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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1861 -



Julie encore plus voyeuse que d'habitude

Hier matin, mercredi, il est presque neuf heures. Ce sont les pieds d'Estelle contre les miens qui me tirent du sommeil. Sa bouche qui se pose sur ma joue. Clémentine se réveille aussi pour venir se serrer. Je suis entre mes deux anges. Là-bas, dans son canapé lit, Julie qui s'étire. Estelle dévoile ce qu'elle tient en main. Mon érection qu'elle montre comme un trophée à Julie. << Bonjour ! >> nous fait-elle. Nous la saluons. C'est Clémentine qui se précipite la première aux toilettes. Nous comprenons pourquoi. Il y une petit tache rouge sur le drap.

Réglée comme une horloge, Clémentine a ses "petits machins" tous les 20 du mois. Estelle me masturbe en disant : << Tu as vu comme ce mec ce branle ! Toute la soirée, hier ! >>. Julie n'ose pas répondre et détourne les yeux. Clémentine revient pour enfiler sa tenue jogging. C'est au tour d'Estelle qui n'en peut plus. Je me lève pour enfiler mon legging noir, mon sweat de lycra jaune. En allant pisser à mon tour je dépose moi aussi une bise sur le front de Julie en murmurant : << Vous faites de merveilleuses peintures mademoiselle ! >>. Autre bisou.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café, Estelle presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Julie met les bols, les couverts. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ses vacances. Pour Julie elles sont extraordinaires. << Tant de choses condensées en si peu de temps. C'est magique ! >> dit elle à deux reprises. Nous mangeons de bon appétit en envisageant les options de cette journée. Virée à bicyclette ou randonnée. Les deux nous tentent tous les quatre. Clémentine propose de tirer au sort.

Dehors le ciel est bleu. Il y a du soleil. Mais le thermomètre extérieur n'indique que 12°. Il est neuf heures trente. << Allez faire votre running, je m'occupe de la vaisselle ! >> fait Julie en se levant pour débarrasser. << Serais-tu bien dans ton rôle de soubrette ? >> lui demande Estelle. Julie éclate de rire en répondant : << Ici, avec vous, dans cette maison, c'est mon plus grand plaisir ! >>. Clémentine la prend par les épaules pour rajouter : << Tu es parfaite dans le rôle ! >>. Nous déposons chacun une bise sur son front. On met les K-ways.

Il y a toujours ce maudit vent de Nord Est. Il est le responsable de cette fraîcheur. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Aujourd'hui encore ce sera le parcours qui longe la rivière. Une heure d'un jogging très agréable. Les rayons du soleil sont généreux. À l'abri du vent, il ferait presque chaud. Il est 10 h35 quand nous revenons. Nous montons à la salle de bain. Estelle prend sa douche la première. Je coiffe Clémentine devant le miroir. << Juste de légères contractions du bas ventre. J'espère qu'il n'y aura que ça ! >> me confie t-elle.

C'est à notre tour. Vêtus comme Estelle de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux nous redescendons. Mais où sont Estelle et Julie. << J'ai ma petite idée ! >> dit Clémentine qui m'entraîne dans l'atelier. En effet, Julie, assise devant le chevalet, scrute son œuvre. Estelle a ses mains posées sur ses épaules. Clémentine mime une masturbation masculine en me faisant un clin d'œil. Je comprends immédiatement. Je sors ma queue. Je viens me positionner comme hier juste à côté du chevalet. Julie peut comparer le portrait de ma bite avec la vraie.

Julie me lance un furtif regard en me souriant. << Une belle réussite ! >> lance Estelle qui passe derrière moi pour saisir mon sexe. Elle l'agite en direction de Julie. << Génial, non ? >> fait Clémentine qui la soupèse de sa main à plat. Julie reste silencieuse, contemplative. C'est à nouveau avec le plus grand sérieux qu'elle se penche pour mieux comparer sa peinture avec le modèle. Il est onze heures trente. Il commence à faire faim. Une seconde tourte aux choux fleur nous attend à la cuisine. Il suffit d'allumer le four pour la réchauffer. Facile.

Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Estelle met les assiettes et les couverts. Julie reste accroupie devant la porte vitrée du four. La vision d'une fille, accroupie, de dos, exerce sur ma psyché une émotion particulière. Je sors une nouvelle fois mon Zob pour me masturber doucement. Je ne m'en aperçois pas. C'est Clémentine qui me le fait comprendre d'un geste des doigts. Julie, accroupie devant le four n'observe pas la cuisson de la tourte mais ce que je suis entrain de faire. Dans le reflet de la vitre. De m'en rendre compte m'excite.

Estelle aussi vient de comprendre. Elle s'accroupit à côté de Julie en disant : << Laisse-moi voir ! >>. Julie se retourne, se redresse. Tout en agitant ma queue dans sa direction, je dis : << Démasquée ! >>. Julie rit en cachant son visage dans ses mains. Je rajoute : << Des trois vicieuses ici présentes vous êtes la plus vicelarde. Toutes mes félicitations ! >>. Estelle rajoute : << Tu ne peux pas affirmer une telle chose, il faudrait nous faire passer un concours, un examen ! >>. Nous rions tous les quatre aux éclats. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine reviennent sur le programme de l'après-midi. Julie, assise en face de nous, propose de prendre sa voiture et d'aller nous promener là où nous avons tourné le film "Bondage" il y a deux ans. Nous nous consultons rapidement. << Excellent ! >> fait Estelle. << Superbe ! >> dit Clémentine. Je suggère de prendre ma voiture. Julie, soudain gêné, lance : << Je me sens redevable ! Et puis si je conduis vous mettrez l'ambiance dans l'auto ! >>. Nous nous regardons. Quelle idée !

<< Julien avec moi derrière ! >> s'écrie Clémentine. << Et moi à côté de Julie ! >> lance Estelle. Je rajoute : << Et au retour on permute ! >>. << Venez, on fait la vaisselle et on file ! >> dit Julie en se levant pour débarrasser. Nous montons nous laver les dents. Nous restons vêtus à l'identique. Le thermomètre extérieur indique 19°. Dans le petit sac à dos, des barres de céréales, des pommes, la paire de jumelles. Nous dévalons les escaliers. Julie a une conduite sûre et rassurante. Estelle à ses côtés. Clémentine et moi installés sur le siège arrière.

Je surprends le regard de Julie dans le rétroviseur. Comme si elle me scrutait. Dès qu'elle se sait surprise elle détourne les yeux. Nous traversons le bourg pour prendre la direction de la vieille chapelle. Il y a environ cinq kilomètres. Sans la prévenir, alors que je caresse sa nuque, je force Clémentine. Son visage contre ma braguette. Le mouvement attire immédiatement l'attention d'Estelle. Julie, tout en conduisant se doute qu'il se passe quelque chose. Je sors mon sexe. Je l'enfonce dans la bouche de Clémentine au risque de l'étouffer.

Estelle reste tournée, penchée en arrière pour regarder. Elle commente : << Julien qui fait des siennes ! >>. Julie gare la voiture le long du muret de l'enclos paroissial. C'est une chapelle désacralisée. Nous sortons de l'auto. J'ai la bite à l'air. Julie me jette un regard étrange. Je tiens Clémentine par ses cheveux en disant : << Montre un peu l'intérieur de ta bouche à ces demoiselles ! >>. Clémentine s'accroche à moi en s'accroupissant. Bouche grande ouverte. Julie se penche pour regarder de très près. Estelle la tient par ses épaules. Le silence.

Nous voilà sur le chemin qui monte à flanc de colline. Il est large. Nous pouvons marcher de front tous les quatre. Je suis entre Estelle et Clémentine. Julie accrochée au bras d'Estelle qui lui demande : << Tu es amoureuse de qui cet après-midi ? >>. Sans hésiter, Julie répond : << De vous trois ! >>. Estelle rajoute : << Une petite préférence ? >>. Julie murmure : << Toi ! >>. Nous rions de bon cœur quand Estelle s'arrête pour faire : << Si un jour je te fais lécher mon minou, tu pars en courant ? >>. Julie s'écrie : << Certainement pas, j'adore ! >>.

<< Tu le fais souvent à ta tante ? >> demande Clémentine. Julie répond sans hésiter : << Une fois par semaine. Anne-Marie est très exigeante et dominatrice ! Elle me l'impose depuis que j'ai 16 ans ! >>. Estelle s'exclame : << Cette salope ! >> Julie corrige : << J'adore quand je suis forcée ! >>. Nous nous en doutions mais cet aveux éclaire bien des zones d'ombres. Je dis : << Et si je vous forçais un jour ? >>. Julie reste silencieuse. Juste un discret gloussement que nous entendons à peine. C'est en devisant ainsi que nous marchons 2 heures.

Nous croisons quelques marcheurs. Le plus souvent des groupes, des couples. Aux arrêts pipis Julie reste toujours étonnée de nos rituels. Quand je suis à genoux à me contorsionner pour lécher les minous de mes pisseuses. Par contre, pudique, Julie préfère toujours s'isoler. Mais c'est elle qui me tient la bite pour en diriger les jets. Elle s'amuse beaucoup. Je la sens frissonner de plaisir contre moi, son autre bras autour de ma taille. Elle offre généreusement les derniers reliquats aux bouches gourmandes d'Estelle et de Clémentine accroupies. Le jus.

Nous arrivons aux bâtiments abandonnés des anciennes tuileries. C'est là que nous avions réalisé le petit film privé de Julie. Attachée, enchaînée, elle était livrée aux tourments que je lui infligeais. Pas de pénétrations autres que celles de mes doigts. << Je regarde parfois ce film. J'aimerais bien en réaliser un autre ! >> dit elle en posant sa main entre ses cuisses. Clémentine demande : << Tu as déjà un scénario ? >>. Julie répond : << C'est très vague ! >>. Estelle s'écrie : << Si tu étais "forcée" par Julien par exemple ? >>. Il y a un long silence.

Nous parcourons les ruines déjà envahies des premières ronces. Il y a des lilas sauvages de toute beauté. Je force Clémentine à s'accroupir à plusieurs occasions. Je lui frotte la bite sur la gueule. Estelle dit à Julie : << Tu vois, ce genre de trucs pour un film que tu pourrais appeler "Balade" ! >>. Julie reste silencieuse. Elle observe les fellations que j'impose à Clémentine qui adore être traitée en "Soumise". Je suis très vulgaire. Extrêmement dépravé. Estelle et Julie observent la scène en se tenant par la taille. Je fais sucer Clémentine comme un pervers.

Julie ouvre de grands yeux. Je la sens hyper excitée. Je devine qu'elle s'imagine à la place de Clémentine pour les besoins de ce film que suggère Estelle. À chaque fois que son regard croise le mien je lui adresse un clin d'œil. << C'est notre vicelard ! C'est à présent le tiens aussi ! >> dit Estelle à Julie. Elle est tellement excitée qu'elle ne se rend peut-être même pas compte qu'elle se masturbe à travers le tissu de son jeans. Quand je retire ma bite de la bouche de Clémentine c'est pour me branler en direction d'Estelle et de Julie. Vulgaire et vicieux.

Des voix. Des rires. Il faut cesser. Juste à temps car un groupe de marcheurs vient visiter les ruines. Nous prenons le chemin du retour. Julie exprime un souhait. Celui de trouver un moyen de passer davantage de temps avec nous. Dans le désir de se préparer mentalement à ce nouveau projet "Balade". Clémentine évoque les aspects technique. C'est elle qui tiendra la caméra. Estelle fera l'assistante. L'innocente qui tient compagnie. Qui se touche, qui regarde. Doucement ce projet de film prend forme. Julie en semble enchantée. Nous voilà en voiture.

Il est presque dix neuf heures quand nous sommes de retour. Ce soir, il est prévu un nouveau spectacle. Le "Maître" et sa "Soumise" s'offrent en spectacle devant Estelle et Julie. C'est donc pressés que nous préparons un repas simple. Des spaghettis avec une sauce au Roquefort. Julie ne nous a jamais semblé aussi impatiente de se retrouver au salon. Dès la vaisselle terminée c'est Estelle qui nous y entraîne. J'attache les mains et les chevilles de Clémentine à la chaise sur laquelle je l'assois. Le dossier entre ses cuisses écartées.

Estelle et Julie, vautrées dans le canapé, serrées l'une contre l'autre, regardent. Je frotte ma bite sur la gueule à Clémentine. Je me comporte une fois encore en vrai pervers. Je veux que Julie comprenne bien ce qui peut l'attendre si elle persiste dans son désir de réaliser ce film. Je me fais sucer. Je me penche pour cracher au visage de Clémentine. Je la barbouille de foutre. Je lui mets des gifles. Ce n'est jamais un acte de violence. Cela fait partie du jeu, des personnages. Julie est consternée. Elle est en sueur. Blottie dans les bras d'Estelle.

Clémentine adore évidemment ce traitement. Authentique "Soumise", authentique exhibitionniste, elle est là dans son élément. La pipe restant sa préférence sexuelle, elle vit là une soirée magique. Je crois rêver. Estelle est entrain de masturber Julie qui se contorsionne de plaisir. Estelle m'adresse un clin d'œil. Elle lève le pouce de sa main libre. J'éjacule dans la bouche de Clémentine. Je la fais savourer. Elle me fait le "fond de cuve". Quand je retire ma bite, je lui pisse à la gueule. Julie pousse en cri en se cambrant. Elle connait un orgasme fou !

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment se livrer au stupre et à la luxure avec une invitée qui découvre d'exquises turpitudes...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1862 -



Julie à l'envie folle de réaliser son film

Hier matin, jeudi, il est aux environs de neuf heures. Estelle m'arrache de mon sommeil avec une nouvelle "invention". Cette fois, collée à moi toute la nuit, c'est entre mes fesses qu'elle glisse ses doigts. C'est tellement étrange. Avant même que je prenne vraiment conscience, elle pose ses lèvres sur les miennes. Adorable coquine qui ne supporte pas d'être seule au réveil. Sa main s'empare de mon érection. Clémentine vient se blottir contre moi. Elle empoigne mes couilles. Je suis entre mes deux anges qui me couvrent le visage de bisous.

Mes mains dans les culottes. Dans celle de Clémentine il y a la petite ficelle blanche avec laquelle je joue un peu. Les lèvres pulpeuses et charnues de son sexe sont sèches. La place est "occupée". Par contre lorsque j'enfonce à peine mon doigt entre la fente de celui d'Estelle, c'est un peu moite. Humide peut-être. Là-bas, même si nous sommes extrêmement silencieux, Julie s'étire dans son canapé lit. Comme tous les matins Estelle soulève la couette pour montrer le "trophée" qu'elle agite fièrement. Julie nous fait un délicieux sourire. << Bonjour ! >>.

Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. Au passage elle dépose une bise sur le front de Julie. C'est au tour de Julie d'aller faire pipi. Clémentine frotte son sexe sur le mien en disant : << C'est génial, cette fois mes règles ne sont pas du tout douloureuses. Juste comme une légère congestion dans le bas ventre. Je suis sûre que c'est l'Hépaphenol ! >>. Elle en prend immédiatement une gélule qu'elle avale avec un peu d'eau. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Je laisse Clémentine changer son tampon en revêtant ma tenue de sport.

Clémentine me rejoint pour me sauter au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en mitraillant mes lèvres des siennes. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle et Julie dans la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé. Julie a pressé les oranges et est entrain de peler les kiwis. Distribution de bisous. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée hier après-midi. Nos aventures épiques à quatre nous amusent autant qu'elles amusent le lecteur. Estelle mime des masturbations masculines.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant diverses options pour aujourd'hui. << Virée à vélos ! >> lance Estelle. << Virée pédestre ! >> s'écrie Clémentine. << Et toi ? >> me demandent-elles en même temps. Je réponds : << Prenons en compte la suggestion de Julie ! >>. Julie reste silencieuse. Elle nous regarde tous les trois avec une expression étrange autant qu'amusée. Je beurre les tranches que me tendent les filles. Julie s'est parfaitement adaptée à notre mode de fonctionnement. Je suis comme une sorte de patriarche pas biblique !

Dehors il fait beau, le ciel est déjà haut dans un ciel parfaitement bleu. << On fait comme hier, vous allez faire votre jogging, je m'occupe de la maison ! >> lance Julie en se levant pour débarrasser. Nous sommes tous les trois en tenues. Il suffit d'enfiler nos K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans une fraîcheur encore vive. Le thermomètre extérieur indique 13°. Il n'est que 9 h40. C'est parti. C'est sur le parcours habituel, le long de la rivière, que nous pratiquons notre heure de running. Estelle mène la course. Il est 10 h45. Nous revenons.

Julie en cuisine qui nous reçoit dans l'encadrement de la porte. << Je vous prépare une surprise ! >> dit elle. Nous déposons chacun une bise sur son front avant de monter à la salle de bain. Estelle prend sa douche la première en chantant. Clémentine, en se coiffant adore me voir me raser. Elle glisse sa joue contre la mienne en faisant : << Mmmmhhh, comme il est doux l'homme que j'aime ! >>. C'est à notre tour. Vêtus comme Estelle de nos jeans et de nos chemises à carreaux nous dévalons les escaliers. Estelle est au salon devant l'ordinateur.

Elle surfe sur le site universitaire. << Nous avons enfin les infos pour le troisième trimestre. Maths, dissertes et re maths ! >> dit elle. Clémentine s'assoit sur ses genoux pour voir. Je reste debout derrière mes anges pour caresser leurs cheveux. Le programme universitaire qui les attend dès lundi ne semble pas réellement les enchanter. << Put-Hein mais on ne fait pas maths sup on fait sciences ! C'est quoi encore leurs délires ! >> lance Estelle. << T'inquiète, on va ruser ! >> précise Clémentine. Julie vient nous rejoindre toute souriante.

Elle a noué un des tabliers de cuisine sur ses reins. Petit bout de femme toute mignonne qui nous prépare une surprise. << J'ai deux surprises ! >> dit elle en ménageant son effet. Nous la regardons, pendus à ses lèvres. Elle rajoute : << Un gratin de pommes de terre avec de l'émincé de saumon à la crème ! >>. Nous attendons la seconde révélation. Julie s'amuse. C'est presque dans un murmure qu'elle dit : << On fait mon film cet après-midi ! >>. C'est à nous de rester silencieux, estomaqués. Julie fait encore : << Si vous êtes d'accords ! >>.

Clémentine et Estelle se lèvent. << Sans déconner, t'es sérieuse ? >> lance Estelle. << Le passage à l'acte ? Du fantasme au réel ? >> s'écrie Clémentine. Julie cache son visage dans ses mains. Soudain toute rouge. Nous devinons tout le courage qu'elle a mis dans sa révélation. Clémentine la prend par les épaules pour demander : << Tu crois que tu es prêtes ? >>. Julie lève la tête pour voir dans ses yeux en lançant : << Oui ! >>. Estelle prend sa main pour rajouter : << Cet après-midi ? Et tu veux faire ça où ? >>. Il y a un long silence.

Julie, entre Clémentine et Estelle, nous donne une piste : << Pourquoi ne pas réaliser le film ici, dans le jardin, dehors, en profitant de ce soleil, de la lumière naturelle et de tout ce vert ? >>. Nous la regardons longuement. C'est à toutes ces choses que Julie a pensé en préparant le repas. Nous sommes d'ailleurs morts de faim. Julie, pleine d'initiatives, nous entraîne à sa suite. Comme ça sent bon dans la cuisine. Les assiettes et les couverts sont mis. Il y a une belle salade de tomates. Julie enfile les maniques pour s'accroupir devant le four.

Elle en sort un plat fumant. Un gratin de pommes de terre pannées dont le dessus est merveilleusement doré. Julie insiste pour faire le service : << Ça me fera de l'entraînement pour vendredi et samedi soir au restaurant ! >> lance t-elle. Dans la poêle de l'émincé de saumon à la crème avec du gruyère. Le persil et la ciboulette qui flottent en surface. Nous félicitons Julie pour cette succulente préparation. << Je fais ça toute les semaines pour mes parents, mes papys, mes mamies. J'ai l'habitude des quantités ! >> nous confie t-elle.

Elle rajoute : << Je fais la garniture avec du poulet ou de la dinde. Mais comme vous ne mangez que du poisson, c'est facile de remplacer ! >>. Nous savourons ces délices avec un appétit d'ogres. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, Estelle et Clémentine évoquent leurs études. Julie assise de l'autre côté de la table parle des siennes. Elle aussi se prépare à un troisième trimestre bien remplit. << J'espère avoir mon DEUG ! >> dit elle avec un air inquiet. Nous la rassurons. Julie est travailleuse.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles. Assis tous les quatre sur le rebord de la baignoire, sur le bidet et Julie sur le tabouret, nous mettons au point le programme de l'après-midi. Julie, soudain d'une extrême timidité n'ose plus nous regarder. Elle se contente de suggestions en gardant les yeux baissés. << Venez, on va faire les repérages ! >> propose Clémentine. Nous dévalons les escaliers. Le thermomètre extérieur indique 21°. Il n'est que 13 h30. Nous apprécions d'être au jardin. Tout est vert. Superbe.

<< Là ? >> demande Estelle à Julie qui répond : << Oui, exactement là ! >>. C'est de l'autre côté du bassin encore vide. La haute haie de lauriers nous masque totalement d'éventuels regards indiscrets. Clémentine explique : << Je cherche la caméra ! Autant battre le fer quand il est chaud ! >>. Julie s'écrie : << Je vais mettre un vieux sweat, je monte ! >>. Estelle me palpe la braguette en disant : << Tu vas être à la fête mon salaud. Mais je compte bien y être aussi ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour m'embrasser avec fougue, passion.

Elle m'entraîne par la main en disant : << Viens, je vais me mettre en tenue. Et sois le dernier des salauds. Je vais d'ailleurs t'y aider ! >>. Je rejoins Clémentine au salon. Elle vérifie la charge des deux batteries. Estelle monte se changer. Clémentine me palpe la braguette. Avant de m'embrasser à son tour elle me fait : << Donne moi du spectacle, fais moi gamberger. Rends moi folle d'excitation ! >>. Je promets de faire de mon mieux. Julie et Estelle viennent nous rejoindre au salon. Estelle en jupe kilt, Julie en sweat et jeans. Simple et discrète.



Le film

Clémentine fait un essai caméra. La luminosité est absolument parfaite. Estelle reste avec Julie qui semble avoir besoin de réunir tout son courage. Je me dirige vers elle. Je pose mes mains sur ses épaules en disant : << S'il y a le moindre souci, on n'arrête tout. Stop. Sur un seul mot. OK ? >>. Julie tente d'affronter mon regard. Avec un sourire timide elle répond : << OK. Mais rassurez-vous, je vous accorde ma totale confiance ! >>. Je lui dépose une bise sur le front. Estelle rajoute : << Tu vas voir, on va s'éclater. Tout se passera super bien ! >>.

Estelle est en jupe kilt, en chemisier sous un léger pull bleu. Il fait bon au soleil. Certes nous ne souffrirons pas de la chaleur. Nous sommes entre le bassin et la haie de lauriers. Quel que soit l'angle il est tout à fait impossible d'êtres vus. C'est parfait. Julie fait d'ailleurs plusieurs fois le tour en scrutant avec attention. Nous n'avons encore jamais réalisé de film privé dans l'espace intérieur de la propriété. Pour nous également c'est une grande première. L'endroit, le climat, tout s'y prête. Le vent est même tombé. Comme une offrande des éléments.

Clémentine déplace la chaise pour trouver le meilleur angle avec la lumière du soleil. Estelle s'accroupit à plusieurs reprises, cuisses largement écartées. L'absence de culotte est rare chez elle. N'étant pas réellement exhibitionniste Estelle trouve que la vue d'une culotte blanche sous une jupe émoustille probablement autant sinon davantage que la vision d'un sexe féminin. Je prétends alors souvent qu'une telle touffe, aussi exemplaire, se doit d'être révélée au monde entier. Julie nous écoute, nous consulte du regard. Elle semble si gênée.

Je lui dis : << Toutes ces préparations pour vous. Vous êtes la Star ! >>. Julie baisse les yeux. Estelle ajuste le sweat beige de Julie, ferme les quatre petits boutons laissant son cou au soleil. Doucement elle passe ses mains sur les seins de Julie. << Wouah, ils sont fermes. J'aimerais en avoir des comme ça. Moi je n'en pas presque pas ! >>. Julie sourit timidement. Les mains d'Estelle caressant doucement ses seins galbés sous son sweat à manches longues semble la combler de bonheur. Elle paraît à présent toute rassurée. Par la même nous aussi.

Julie ne désire pas être attachée. Elle préfère rester libre de ses mouvements. Clémentine ne filme pas seulement elle endosse le rôle de réalisatrice et de metteur en scène. Nous savons lui faire confiance. Clémentine a tout de même plusieurs films à son actif. << Vous êtes prêts ? >> nous demande t-elle. Je me précipite pour lui déposer une bise sur chaque joue et sur le front. << Je t'aime ! >> me chuchote t-elle. Je rejoins Julie et Estelle sur le pont en bois au-dessus du bassin hélas encore vide. Ce qui ne se verra pas à l'image. C'est mieux.

<< Moteur ! >> s'écrie Clémentine. Estelle me tient par la main. C'est elle qui nous entraîne doucement à sa suite pour descendre le pont. Je tiens Julie par ses cheveux. Je la sens frissonner. Je frissonne aussi. Je suis certainement aussi troublé qu'elle. Quel merveilleux après-midi. Le soleil est une véritable caresse. Nos ombres sont projetées derrière nous. Clémentine excelle une fois encore dans les repérages. Elle nous guide de sa main libre tout en filmant. Je brusque un peu Julie pour les besoins du scénario. Par jeu. Elle est tellement contente.

Je la fais s'assoir sur la chaise. Adossée au dossier, les mains croisées entre ses genoux, elle tente de me fixer. C'est la première fois qu'elle ose soutenir mon regard avec tant d'aplomb. Je comprends que c'est le personnage qu'elle va incarner qui l'habite déjà. Actrice talentueuse. Estelle s'accroupit cuisses largement écartées face à la caméra. Elle caresse la jambe de Julie dont les reflets argentés du jeans miroitent au soleil. Je sors ma bite. Conformément au souhait de Julie, on ne voit pas mon visage. Clémentine me cadre jusqu'à la poitrine. C'est parfait.

Je m'approche en secouant ma queue toute molle. Un "tuyau d'arrosage" que j'agite jusqu'à quelques centimètres du visage de Julie. Elle a ce réflexe féminin bien légitime. Mêlé de méfiance et de crainte. Je la saisis par ses cheveux que j'empoigne en chignon. Elle en glousse de surprise. De plaisir aussi. Je frotte mon sexe sur son visage encore si juvénile. Elle oppose une résistance. Je ne sais pas si c'est par jeu ou si c'est sincère. Je tente de lui enfoncer la bite dans la bouche. Elle garde les lèvres obstinément serrées en cherchant à se dégager.

Je maintiens bien évidemment mon étreinte. Estelle se redresse pour tenir la tête de Julie. Je connais un principe infaillible. Je pince le nez de Julie. Au bout de son apnée, pour pouvoir respirer, elle n'aura d'autre choix que d'ouvrir la bouche. Il me suffit d'attendre. Estelle me fait un clin d'œil. Julie va jusqu'à l'extrême limite. Juste avant la suffocation elle ouvre la bouche en poussant un cri de soulagement. C'est là qu'en parfait vicelard j'introduis mon sexe encore mou. C'est la première pipe que m'offre Julie. J'ai un curieux sentiment de honte. De gêne.

À sa façon timide de suçoter par petites succions, je comprends soudain que c'est uniquement dans ces conditions que cela pouvait se passer entre nous. Estelle lui tient la tête pour la lui enfoncer sur ma queue. Je commence à bander sérieusement. Clémentine tourne autour de nous pour saisir la scène sous tous les angles. Rusée elle sait comment éviter les prismes lumineux que créés les rayons du soleil dans un objectif. C'est moi qui fait office de "cache". Estelle se penche pour chuchoter des saloperies à l'oreille de Julie. << C'est bon une bite ! >>.

Peu à peu, se prenant à son propre jeu, Julie se met à sucer passionnément. Ses joues creusées par l'effort. Sa bouche qui commencent à dégorger toute la jute qu'elle ne peut déglutir. Lorsque je ressors ma queue, Estelle, avec son index, récupère le foutre aux commissures de ses lèvres pour le faire sucer à Julie. Julie qui me tient par les hanches. Non pas pour me repousser mais pour que je ne m'éloigne surtout pas. Estelle lâche la tête de notre "Soumise". J'empoigne à nouveau ses cheveux pour la faire se lever. Je la promène au bord du bassin.

Clémentine filme le gros plan du foutre qui macule le sweat beige de Julie. Estelle le montre du doigt. Julie semble totalement bouleversée par ce qui lui arrive. Je ne pense pas que quelqu'un se soit déjà occupé de sa petite personne avec tant d'attentions. De ma main libre, je la touche. Entre les cuisses, avec une vulgarité exagérée. Je palpe ses seins. Je l'entraîne à nouveau sur la chaise. Cette fois je ne suis pas obligé de lui imposer la fellation. La bouche déjà ouverte elle gobe ma queue à nouveau molle. Estelle lui explique que molle c'est juteux.

Julie ouvre les yeux pour regarder les poils qui dépassent de ma braguette. Elle observe le va et vient de ma bite qui durcit. Je suis hyper juteux. Nous entendons les gargouillis et les bruits bulleux. Julie s'étouffe sur mon sexe à chaque fois qu'Estelle appuie sur sa nuque. Nous cessons pour lui permettre de déglutir entre deux quintes de toux. Estelle lui murmure : << Tu es une sacrée salope. On n'aurait jamais imaginé ! Tu as sucé comme ça souvent ? >>. Julie doit avaler plusieurs fois avec peine avant de répondre : << C'est la première fois ! >>.

<< Tu préfères te faire enculer ou tailler des pipes ? >> demande t-elle à Julie qui répond : << Ça dépend du mec ! >>. La voilà avec ma queue enfoncée jusqu'à moitié dans la bouche. Il y a tellement de liquide séminal qu'elle ne peut tout avaler. Son sweat beige est maculé de foutre. Du sperme lui coule dans le cou. Je me penche en la tenant par la tignasse. Estelle la maintient fermement. Je lui crache au visage en le barbouillant avec mon sexe comme un peintre fou. Julie pousse de petits cris, gémit, ses yeux larmoyants. Elle a un regard amoureux.

Je lui mets une petit gifle. Ce qui éclabousse le visage d'Estelle à côté. Estelle se penche pour prendre mon sexe en bouche. Elle pompe sous le regard impressionné de Julie. Elle cesse. Elle saisit Julie par le menton. C'est comme si Julie anticipait en ouvrant la bouche. Estelle lui crache la jute. Je lui crache dans la bouche. Les cris de surprises se mêlent aux cris de ravissements. Nous sommes certains d'une chose. Julie vit là un grand moment. De la voyeuse, vicieuse et curieuse, elle se révèle cet après-midi sous une autre facette de sa personnalité.

Estelle la force à se redresser. Julie, debout, sans comprendre, comme soudain perdue, nous regarde. Estelle s'assoit sur la chaise. Je comprends immédiatement. Je force Julie à se mettre à genoux dans l'herbe. Je la tiens par sa tignasse pour placer son visage entre les cuisses écartées d'Estelle. Je me penche pour murmurer à son oreille : << Tu aimes les filles aussi. Là, avec celle-là tu vas te régaler comme jamais ! >>. Julie pousse un cri. Je plaque son visage sur le sexe d'Estelle qui lève son pouce comme pour me féliciter. On entend gémir.

Clémentine tente de filmer le mieux possible. Estelle tient sa jupe relevée. Julie recrache des poils en grandes quantités. Je passe ma main entre les cuisses de Julie pour la masturber par derrière. Je chuchote à son oreille : << Tu veux bien devenir notre mascotte sexuelle ? Devenir notre jouet ? >>. Julie cesse se sucer et de lécher Estelle qui se tortille de plaisir. Julie lui enfonce un doigt en répondant : << Oui Julien ! Si je le mérite ! >>. Clémentine, tout en filmant, me pousse du coude. Je comprends. Nous venons de faire la connaissance de Julie.

Estelle s'écrie : << Put-Hein, je ne suis pas gouine ! Mais là, c'est trop génial. Tu me refais ça quand tu veux ! >>. Elle pousse un long râle, elle crie et repousse Julie pour s'offrir un orgasme tellurique. Je tiens Julie par ses cheveux pour lui fourrer la queue dans la bouche. Clémentine m'indique "deux" avec ses deux doigts levés. Je comprends. Il doit rester deux minutes de film. J'éjacule dans la bouche de Julie en l'empêchant de se retirer. Je suis obligé de lutter car elle met une énergie folle à tenter de se dégager. Je hurle en jouissant. Trop fort !

Nous restons assis tous les quatre sur les roches au bord du bassin. Julie cache son visage sous ses cheveux. Clémentine tout contre moi. Estelle qui me caresse la cuisse. Nous devons reprendre nos esprits. Ce qui s'est encore passé là nous dépasse. Il faudra un peu de temps pour bien caler tout cela dans nos souvenirs. Surtout Julie qui lance : << Je suis morte de honte. J'ai fait ça ! >>. Clémentine se lève pour aller s'assoir tout contre elle. Elle rassure Julie par ces mots : << Personne ne verra jamais ce film. C'est ton œuvre. C'est secret ! >>.

Estelle qui s'assoit sur mes genoux, rajoute : << Moi, j'ai déjà treize films chez moi. Dans une cachette secrète. Toi tu n'en n'as que deux à présent. C'est un beau début de collection ! >>. Estelle et Clémentine me racontent souvent que c'est très tendance chez certaines jeunes filles délurées de se constituer une collection privée et secrète de films les mettant en scène. Julie s'essuie le visage avec un mouchoir en papier. Elle a le menton baveux. Il coule du foutre dans son cou, rajoutant encore à la tache qui macule le haut de son sweat. Sur ses seins.

<< Je vais me changer, prendre une douche ! >> dit elle en s'enfuyant toute timide. Je suis entre mes deux anges. Nous faisons le bilan de cette aventure. Estelle joue avec ma queue toute molle. << Elle en a eu pour son grade ! >> dit elle. << Au-delà de ce qu'elle imaginait, probablement ! >> rajoute Clémentine qui s'accroupit devant moi. Elle se met à sucer. Elle cesse pour agiter ma queue vers Estelle en disant : << Il y a encore de la jute ! >>. Estelle s'accroupit à son tour. Elles se refilent ma queue. Je recommence à bander. C'est tellement bon.

Julie vient nous rejoindre. Elle nous découvre ainsi. Elle reste à distance, totalement bouleversée par ce spectacle. Clémentine lui fait signe de l'index. Julie approche pour tourner autour de nous. Mes deux anges se redressent. Nous descendons jusqu'à la rivière. Je remballe ma queue légèrement congestionnée de toutes ces succions à répétitions. Nous regardons les colverts, les canards et les poules d'eau virevolter sur l'eau. Julie reste silencieuse. Nous respectons son silence. Après tout ce qu'elle vient de vivre son émotion est encore à fleur de peau.

Nous longeons la rivière jusqu'au vieux lavoir. Julie nous confie : << C'était génial ! >>. Nous restons silencieux autour d'elle. Elle n'en dit pas plus. Assise un peu à l'écart elle rajoute : << On se fait une soirée "cinéma" tous les quatre ? >>. Clémentine demande : << Tu veux revoir ta création avec nous ? >>. Sans hésiter Julie répond : << Oui ! >>. Je me lève. Je sors mon Zob pour l'agiter dans sa direction. Elle fixe mon sexe avec une incroyable intensité. Cette queue qu'elle a enfin goûté. Qui lui a donné tant d'émotions. Tant de belles surprises.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se régaler d'un gratin réchauffé, d'un léchage de minous sous le regard de leur invitée...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1863 -



Nous faisons le bilan du film réalisé hier avec Julie

Hier matin, vendredi, il est neuf heures. Estelle est restée accrochée à moi toute la nuit. Comme une naufragée à sa branche. C'est sa main qui glisse dans mon slip qui me tire de mon sommeil. Quand elle empoigne fermement mon érection naturelle, elle pose ses lèvres sur ma joue. Clémentine se réveille pour venir se serrer. J'ai mes bras autour des épaules de mes deux anges. Distribution de bisous. Nous nous murmurons des douceurs en restant les plus silencieux possible. Là-bas, dans son canapé lit, Julie dort encore. Une boule sous ses draps.

Estelle se lève. Sur la pointe des pieds elle file vers la porte. Elle se tourne vers nous pour mimer une masturbation masculine. Se faisant surprendre par Julie qui ouvre les yeux. Nous rions. << Bonjour ! >> nous fait Julie en s'étirant. C'est à son tour d'aller aux toilettes. Clémentine se couche sur moi pour frotter son sexe contre le mien. << Tu as été parfait hier après-midi. Tu m'infligeras la même situation bientôt ? >> chuchote t-elle à mon oreille. C'est à notre tour d'aller pisser. Je laisse Clémentine qui change son tampon. Le dernier jour.

Morts de faim, vêtus de nos leggings en lycra noir, de nos sweats en lycra jaune, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Julie et Estelle dans la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé. Julie presse les oranges. Je pèle les kiwis pour être au près d'elle. Avec ce qui s'est passé hier, elle reste fuyante. Je comprends parfaitement cette réaction chez une jeune fille de 20 ans. Nous prenons notre petit déjeuner en évitant d'évoquer ce qui a eu lieu hier après-midi. Nous avons fait le choix de laisser Julie en parler si elle le souhaite. Total respect.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Estelle nous quittera en soirée et pour la nuit. Le protocole impose qu'elle consacre un peu de temps à ses parents. Estelle adore ses parents. Même si elle a 25 ans elle reste leur fille unique et adorée. << Allez courir, je m'occupe de tout ! >> nous fait Julie en se levant la première pour débarrasser. Nous lui déposons chacun une bise sur le front avant d'enfiler nos K-ways. Le thermomètre extérieur indique 12°. Il est neuf heures trente. Le ciel est bleu, du soleil, ce maudit vent.

Quelques mouvements d'échauffement avant de descendre vers la rivière. C'est avec une bonne foulée que nous la longeons pour notre parcours préféré. Une heure d'un jogging des plus agréables avant de revenir pour 10 h45. Nous montons dans la salle de bain. Estelle prend sa douche la première. Je coiffe Clémentine avant de lui faire une belle tresse jusqu'au milieu du dos. C'est à notre tour. Julie a fait les lits. Son canapé est refermé. Vêtus tous les trois de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous redescendons. Julie est à la cuisine.

Nous avons interdiction d'y entrer car elle nous prépare un repas "surprise". Nous la laissons pour allez au salon. Assise sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Aucune nouvelle information sur le site universitaire. Trois courriels. Celui de Juliette qui nous rappelle qu'elle nous invite demain soir pour un repas. "Soirée impros" comme elle l'appelle. Un message de mon oncle d'Édimbourg. Un petit mot de Julie envoyé depuis la cuisine "Merci pour hier après-midi". Nous rions. Nous répondons à Juliette, à mon oncle. Pour Julie un selfie rigolo.

Debout tous les trois, Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite, nous prenons la pose. J'ai la bite et les couilles qui décorent ma braguette. Nous envoyons en riant de notre réponse. Comme j'ai la bite à l'air, Estelle s'en saisit pour dire : << Tu me fais comme à Julie quand ? >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << J'ai demandé la même chose à Julien ce matin ! >>. Distribution de bisous à mes deux anges. Estelle ne lâche plus ma queue. Clémentine adore m'empoigner les roubignoles. Bien dodues par la braguette.

C'est ainsi que Julie nous surprend alors que je fouille les culottes de mes deux amours. << Oh pardon ! >> lance t-elle en faisant mine de vouloir repartir. << Viens ! Tu es de la famille maintenant ! >> s'écrie Estelle en mimant une fellation. Julie baisse les yeux toute gênée pour rajouter : << Le repas est prêt ! >>. Nous nous précipitons. Je prends Julie par ses épaules. Je dis : << Julie, nous aimons tout chez vous. Absolument tout. Depuis quelques temps, quand vous n'êtes pas là, vous nous manquez ! >>. Je dépose une nouvelle bise sur son front.

Nous voilà attablés. Julie a préparé des coquillettes accompagnées d'un coulis d'aubergine au thon. Une salade de carottes vient parfaire un repas simple mais savoureux. Nous n'arrêtons plus de la féliciter, de lui faire des bises. Julie est ici la même princesse qu'elle l'est chez ces parents. Elle se sent aimée, considérée. Elle nous l'avoue timidement une fois encore. Peut-être à présent avec moins de retenue. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs rentrées universitaires de ce lundi 25 avril. J'écoute avec attention. C'est passionnant.

Dans le flot des échanges, Julie s'exclame : << C'était génial hier après-midi ! >>. Il y a un profond et long silence. Julie rajoute : << Merci. J'ai vécu une chose extraordinaire. On se fait une soirée cinéma ? >>. Nous regardons tous les trois Julie qui n'ose pas lever les yeux. Elle joue avec quelques coquillettes encore dans son assiette. << En général c'est le samedi soir ! >> précise Estelle. << Alors ce sera un samedi soir ! >> lance Julie avec une assurance que nous ne lui connaissons pas. << Samedi prochain ? >> demande Clémentine.

<< Oui, je m'organise. Je viens en fin d'après-midi, je dors ici et je repars avant midi le lendemain ! >>. Nous restons estomaqués par tant d'aplomb. Estelle s'écrie : << Julie, tu n'es pas seulement géniale ! Tu es formidable ! >>. Nous applaudissons Julie qui retourne à sa timidité. Toute rouge. Soudain en sueur. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, Estelle et Clémentine suggèrent plusieurs options pour cet après-midi. Julie devra nous laisser vers 18 h. Estelle idem. Ce sera une randonnée.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Julie est amusée de nous voir déconner. Estelle mime une fellation avec sa brosse qui fait une bosse à l'intérieur de sa joue. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Le thermomètre extérieur indique 19°. Dans le petit sac à dos, les barres de céréales, les pommes. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route et nous engager dans la forêt. Partout le sol est parfaitement sec. Il y a juste ce vent frais.

Je suis entre mes deux anges. Julie reste au bras d'Estelle. Le chemin est large. Nous marchons d'un bon pas. Ça fait du bien et l'environnement est magnifique. J'écoute les filles échanger leurs impressions sur différentes choses. C'est Estelle qui oriente la conversation sur le sexe. << Julien ne nous a pas encore donné ses impressions sur hier après-midi ! >> s'écrie t-elle en sautillant autour de nous. Elle nous arrête en rajoutant : << Vos impressions monsieur le pervers ? >>. Nous rions de bon cœur. Julie baisse la tête soudain très timide.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour rajouter : << Oui, dis nous ! >>. J'hésite. Il me faut trouver les mots exactes. Sur quel registre les articuler. Tout cela est encore tellement récent. Je ne veux surtout pas incommoder Julie. Nous nous asseyons en tailleur sur le bord du chemin. Sur des pierres plates effleurant la surface du sol. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Julie en face de moi yeux baissés. Je dis : << Ce que j'ai vécu hier après-midi a encore des conséquences sur ma psyché aujourd'hui. Je ne gère pas encore ! >>.

Estelle prend la main de Julie en disant : << Tu as des questions à poser à Julien ? >>. Julie n'ose pas soutenir mes regards. Timidement, à voix basse, elle dit : << Je ne suis pas trop décevante ? J'ai tellement honte de ce qui s'est passé. Pourtant je suis fière de l'avoir fait ! >>. Je la rassure : << Julie, vous étiez parfaite. Mais dans ces situations, c'est votre plaisir qui importe. Pas celui de votre partenaire ! >>. Clémentine rajoute : << Ce n'est pas un acte amoureux. Tu te moques du plaisir de l'autre. Tu ne dois penser qu'au tient. Uniquement ! >>.

Julie semble soudain prendre conscience de ce principe. Penser d'abord à elle. Même si c'est contraire à quelques principes judéo-chrétiens. Julie précise encore : << C'est mon éducation. Il faut que j'apprenne à la mettre en stand by dans ces moments d'égarements ! >>. Nous applaudissons. << Sors ta bite, fais nous un cours de branlette ! >> lance Estelle qui entrecroise ses doigts entre ceux de Julie. Je me redresse, debout, pour agiter ma queue toute molle en direction de Julie. Cette fois elle lève les yeux pour regarder avec grand intérêt.

<< J'ai aimé quand tu m'as léché le minou hier. Tu veux refaire un de ces jours. ? >> demande Estelle à Julie qui s'écrie instantanément : << Oh oui ! Oh oui ! >>. Elle éclate de rire en cachant son visage dans ses mains. Estelle la prend par les épaules. Clémentine lui dit : << Toi, tu es entrain de virer ta cuti ! >>. Estelle répond : << Pas du tout, c'est exclusivement jouissif ! Julie est experte en cours de langue vivante ! >>. Nous sommes pliés de rire. Nous repartons. Je garde la bite à l'air. Il faut juste rester vigilant. Il y a d'autres promeneurs.

Surtout des cavalières qui viennent probablement du haras de Juliette. Estelle qui adore me mettre dans l'embarras m'empêche de me tourner quand surgit une jeune fille sur son cheval. Julie est encore bien plus embarrassée que moi. Pourtant souvent elle n'hésite pas à la prendre dans la main. Elle adore me la tenir durant nos arrêts pipis. Julie semble surtout apprécier d'être souvent tout contre Estelle. Elles se tiennent d'ailleurs par la main. Nous les surprenons souvent à se faire un bisou sur la bouche entre deux rires. Il faut songer à rentrer.

Il est 17 h45 quand nous revenons. Julie doit se rendre à son job de serveuse. La mise en place au restaurant de l'étang. Assise au volant de sa voiture, elle regarde ma queue en disant : << Rien ne sera plus comme avant. Je reviens demain matin pour le ménage ! >>. La séparation est difficile. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. << Tu vas te la faire ? >> demande Clémentine à Estelle qui répond : << Je n'ai pas fini de me faire bouffer la chatte ! Quand ce ne sera pas Julien ce sera Julie ! >>. Nous rions. << Salope ! >> dit Clémentine.

Estelle aussi doit nous laisser. La séparation aussi est difficile. Assise au volant de son auto Estelle me tient encore la queue pour faire : << Tu es prié de me faire subir la même chose qu'à Julie. Et dès demain ! Je reviens pour 13 h30 ! >>. Nous la regardons s'en aller. Un dernier coucou. << Enfin seuls. Juste toi et moi. Julien, je t'aime comme une folle. Fais-moi ce soir ce que tu as fait à Julie hier ! >> me fait Clémentine en se blottissant dans mes bras. << Je t'en prie, fais moi la totale. Je ne peux pas baiser à cause de mes "petits machins" ! >>.

Je promets de m'occuper de sa bouche, de son visage et de me comporter comme un véritable pervers. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. << Je t'aime. Je t'aime. J'ai tellement besoin de me retrouver seule avec toi ! >> dit elle en mitraillant mon visage de bisous. Nous rentrons. Il reste des coquillettes à réchauffer. Avec une bonne salade de tomate. Ce soir encore, amoureux fous, nous n'arrêtons pas de nous embrasser. Après le repas j'entraîne Clémentine au salon. Je la tiens par sa tresse comme par une laisse. Vicelard.

Bonne fin de soirée à toutes les "Soumises" qui adorent êtres "dressées" et servir de vides couilles à un "Maître" vicieux et pervers...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
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Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1864 -



Un agréable samedi et une belle soirée chez Juliette

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine passe une cuisse sous mes reins, pose l'autre sur mon érection naturelle. En se frottant contre ma hanche elle me raconte son rêve. << Je n'arrête plus de faire des rêves érotiques ! >> murmure t-elle à mon oreille avant d'en gober le lobe pour le mordiller. L'impérieux besoin ne nous épargne pas la nécessité de courir aux toilettes. << Il n'y a plus rien ! >> lance Clémentine en faisant allusion à ses règles. Ce coup-ci pas de douleurs.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de running, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Les radiateurs fonctionnent depuis près de deux heures. Il y fait bien chaud. Dehors le ciel est gris, bas et menaçant. Clémentine fait le café en me confiant à quel point elle a apprécié notre soirée à deux, hier. << Ça me manque ! On est tout le temps à plusieurs depuis presque deux semaines ! >> précise t-elle. Je pèle nos kiwis, je presse nos oranges. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Nous attendons Julie et les livraisons.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur cette dernière semaine de vacances. Dès lundi 25 avril il faudra se remettre dans le bain. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Julie. Son film que nous avons réalisé jeudi après-midi. << Je m'en doutais. J'avais flairé le potentiel. Mais ce que j'ai filmé là m'a tout simplement abasourdi ! >> confie Clémentine en posant sa main sur la mienne. Elle rajoute : << Il faut dire que tu développes des arguments imparables. J'ai encore vu ça hier soir ! Je t'aime Julien ! On remet les couverts ce soir ! >>.

Clémentine fait allusion à notre invitation. Nous sommes conviés à venir passer la soirée chez Juliette. Il faudra absolument éviter d'évoquer Julie. Les deux femmes ont vécu il y a trois ans une "romance" qui s'est mal terminée. Nous ne savons pas pourquoi et cela ne nous regarde pas. Clémentine dit : << Il est certain que Julie a été son "animal de compagnie". Cette salope s'est certainement fait lécher la chatte dans tous les coins de ses écuries ! >>. Nous en rions de bon cœur. C'est vrai. C'est certain. Estelle a d'ailleurs bénéficié de la virtuosité de Julie.

En parlant de Julie, la voilà qui arrive. Dans son jeans, son pull sous un blouson de cuir noir. Ses bottines. Ses lunettes d'étudiante sur le nez, ses longs cheveux noués en queue. Elle nous fait la bise. Julie est rayonnante ce matin encore. Tellement contente d'être là. << Allez faire votre jogging, je m'occupe de tout ! >> dit elle d'une voix beaucoup plus assurée. Ce qui s'est passé jeudi après-midi n'est probablement pas étranger à cette sérénité nouvelle. Nous déposons une bise sur son front avant de la laisser à sa vaisselle, son ménage.

Nous enfilons les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. Il est pile 8 h30. Le sol est humide de la pluie de cette nuit. D'une bonne foulée nous montons jusqu'au portail. Il faut se résoudre à courir sur le bord de l'étroite route communale. Nous ne croisons que deux véhicules agricoles sur les quatre kilomètres de l'allée et sur les quatre du retour. Il est 9 h35. Nous montons. Julie passe l'aspirateur quelque part à l'étage. Nous prenons notre douche. Clémentine m'embrasse. Nous sommes si amoureux.

Vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous redescendons. Les livraisons ne vont pas tarder. Nous mettons les anoraks. Il y a les premières gouttes de pluie. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Voilà Danièle dans sa camionnette. Elle a grand sourire. Du hayon arrière elle tire deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes. L'autre nos fromages, les œufs, les yaourts, les petits pots de crème fraîche, le beurre. Il était temps, depuis deux semaines nos réserves s'épuisaient. Même commande pour samedi prochain.

À peine Danièle repartie voilà madame Marthe. Notre boulangère au volant de son tube Citroën rénové. La dame a toujours d'amusantes anecdotes. Celles-ci concernent les élections présidentielles de demain soir. Nous récupérons nos deux grosses miches de pain complet bio, notre brioche au pudding, les deux pâtes feuilletées et les deux gros croissants aux amandes. Le cadeau habituel. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons madame Marthe qui repart pour d'autres livraisons. Nous contournons la maison pour passer par derrière.

À la cave, dans le cellier, nous disposons soigneusement les fruits et les légumes sur les étagères. Dans le congélateur d'où je tire un paquet de moules, les sachets de petits pois, de haricots verts, je dépose une des miches, les deux pâtes feuilletées. Je sors également une de nos dernières tartes au noix. Ce sera le dessert pour ce soir, chez Juliette. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Nous lui faisons une bise sur le front avant de vite ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Nous ressortons.

Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Aucune nouvelle information sur le site de l'université. Un message de mon oncle d'Édimbourg qui est impatient de nous revoir fin juin. Un courriel de Juliette qui se réjouit pour nous revoir ce soir. Un mail d'Estelle qui est pressée de revenir vers 13 h30. Dans la petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 €, nos commandes pour les repas de lundi soir. Clémentine, très caressante, glisse sa main dans ma braguette en murmurant : << J'aime ce que tu m'as fait hier soir. Je t'aime ! >>.

Elle me sort la queue. Je bande mou. Clémentine se lève pour passer sous le bureau. À genoux entre mes pieds elle suce mon sexe en faisant : << Mmmhhh ! >>. Julie arrive. Elle reste dans l'encadrement de la porte, cherchant Clémentine du regard. Elle comprend rapidement ce qui se passe. Je pointe l'index de ma main gauche vers le bas. De ma main libre je saisis l'enveloppe pour la tendre à Julie qui s'avance. Elle la prend en me disant : << Merci Julien ! >>. De mon index je lui fais signe de me rejoindre. Julie contourne le bureau.

Elle ouvre ses grands yeux. C'est toujours comme si c'était la première fois qu'elle assistait à un tel évènement. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Je saisis Clémentine pas sa tignasse pour la faire cesser et la forcer à se redresser. Elle dit à Julie en s'essuyant la bouche : << La place est chaude. Maintenant tu connais le goût de la queue de Julien ! >>. Julie hésite. Il y a un léger élan de son corps. Finalement elle recule pour retourner devant le bureau. Je me lève. Je bande comme le dernier des salauds. Julie garde ses yeux fixés sur mon Zob.

<< J'ai prévenu ma tante pour samedi prochain. Je ne pourrai pas assurer le service au restaurant puisque je serai avec vous pour la "soirée cinéma" ! >> dit Julie d'une voix étrangement calme. Une voix qui me rappelle celle d'une autre Estelle connue il y a sept ans. Clémentine pose ses mains sur les épaules à Julie en disant : << Tu veux qu'Estelle fasse le montage du film ? Elle fait ça comme une "pro" ! >>. Julie répond : << Non, j'ai trop honte. Je vais le regarder en cachette un peu cet après-midi ! >>. Clémentine rajoute : << Ça va t'exciter ! >>.

Nous mettons nos anoraks pour raccompagner Julie jusqu'à son auto. Sous le parapluie. Assise au volant, la vitre baissée, elle fixe mon sexe mou que je présente à une vingtaine de centimètres de son visage. Quelle surprise. En démarrant elle y dépose une bise. << À lundi soir. Je suis impatiente ! >> dit elle avant de partir. Nous regardons la Clio rouge monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au sec. Clémentine se jette dans mes bras. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisous.

Clémentine s'occupe à la préparation d'une belle laitue. Je fais le bouillon pour y verser les moules encore congelées. J'ai le tablier noué sur les reins. Je ne risque pas de me brûler la queue. Dans le wok je verse les haricots verts, les petits pois. Nous retrouvons notre habitude culinaire du samedi midi. Nous ne cessons de nous faire des bisous. << Quand je commence à sucer le matin, je pourrais faire ça tout le reste de la journée ! >> me fait elle en glissant sa main sous mon tablier. Elle rajoute : << Sucer de la queue. Encore et encore miam ! >>.

Je prends Clémentine dans mes bras. Je chuchote à son oreille : << Ça fait longtemps que tu n'as pas sucé de l'inconnu ! Tu n'as pas envie un de ces jours ? >>. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche en gémissant de plaisir. Elle cesse pour murmurer : << J'en ai trop envie. On se trouve un "plan" le plus vite possible. On va en "expédition" mardi après-midi, ça te dit ? >>. Je la soulève en m'écriant : << Et comment que ça me dit ! >>. Clémentine s'écrie en riant : << Ça me dit mange ! >>. Nous passons à table pour manger de bon appétit.

Nous traînons. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine envisage différentes stratégies ayant fait leurs preuves dans le passé. Rôder sur les quais du port de plaisance. Traîner entre les bâtiments des toilettes publiques. À proximité de petits chantiers. Il y a toujours un solitaire, parfois très vicelard, dont la bite pourrait faire le bonheur de Clémentine. J'écoute, émerveillé, les options qu'elle propose. Je bande. J'ai ma queue dans sa main. << J'ai envie de faire ma salope, tu n'imagines pas ! >> me confie t-elle plusieurs fois.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous n'arrêtons plus de nous embrasser, de glisser nos mains entre nos cuisses. Nous montons pour nous laver les dents. << Où qu'ils sont les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. Elle découvre ma bite à l'air en s'écriant : << C'est pour moi ? >>. Nous éclatons de rire avant de nous serrer tous les trois. Quel bonheur de se retrouver à nouveau ensemble. Cela nous a semblé une éternité depuis hier en fin d'après-midi vers 18 h. Estelle me tient par la queue en gémissant.

Elle emmène toujours son sac de sport. Il contient ses vêtements de change pour le week-end. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Vautrés dans le canapé, Estelle nous raconte sa matinée. Les courses avec sa maman ce matin à l'hypermarché. << Il y avait un de ces peuples ! La folie ! >> dit elle. En plaisantant Clémentine lui fait : << Je suis jalouse de ce qui s'est passé entre Julie et toi jeudi ! Tu sais qu'elle tombe facilement amoureuse de l'une ou de l'autre ! >>. Estelle éclate de rire en s'écriant : << J'aime quand t'es jalouse ! >>.

Clémentine rajoute : << Tu as vu la pipe qu'elle a fait à Julien. Tu imaginais qu'elle pourrait le faire un jour ? >>. Estelle répond : << Julien ferait aimer ça même à une "bonne sœur" en pèlerinage au Mont Saint-Michel ! >>. Nous sommes pliés de rire. Tout en bavardant ainsi Estelle me tort la bite dans tous les sens. Heureusement je bande mou. Avec cette météo pitoyable, il faut envisager une promenade sous le parapluie ou mettre ce climat à profit pour travailler un peu. Ce sont les deux options que nous allons mettre en application. C'est trop bien.

Je tiens l'immense parapluie. Mes deux anges sont accrochées à mes bras. Il n'y a pas de vent et il fait presque doux. La pluie tombe avec régularité. Nous restons sur le chemin pierreux de la forêt. Les filles parlent de leurs études. De ce troisième trimestre qui débute lundi. Elles ont connaissance du programme. Ce seront des minis thèses à présenter tous les vendredis matins. Avec pour sujets principales, les mathématiques, la chimie des minéraux et leurs formations. J'écoute. C'est passionnant. J'apprends toujours un tas de choses étonnantes.

Malgré la météo, je garde la bite à l'air. Estelle glisse souvent sa main sous mon anorak fermé. << Monsieur le pervers se promène bite à l'air ! J'adore ! >> dit elle à chaque fois. << Tu adores ? Les pervers ou leurs bites ? >> lance Clémentine qui fait pareil. << Les deux mon capitaine ! >> s'écrie Estelle en sautillant autour de nous, sous la pluie. Elle revient vite se mettre à l'abri. Il est 16 h30 quand nous revenons à la maison. Un thé au jasmin avec de petits gâteaux secs avant de nous mettre au travail. Estelle et Clémentine devant l'ordi.

Je réalise un dessin préparatoire pour une future toile. Une nature morte à partir du calque d'une de mes anciennes réalisations. Depuis quelques années je procède ainsi. Je change quelques détails afin d'en faire une œuvre originale. J'aime entendre les filles échafauder différentes stratégies. Différents angles pour aborder certaines thématiques. C'est passionnant. Il est 18 h30. Nous sommes attendus chez Juliette pour 19 h30. Nous quittons l'atelier pour monter nous changer. Sur la demande de mes deux anges, je porte un costume strict.

Chemise blanche déboutonnée sous un veston bleu nuit. Mes souliers de villes. Estelle et Clémentine sont vêtues à l'identique. Comme deux sœurs jumelles. Jupes kilt à carreaux rouges. Un chemisier crème sous un pull bleu nuit au col en "V". Leurs escarpins noirs à talons. Ceux avec la petite sangle qui enserre délicatement la cheville. << Les souliers de baise ! >> lance Clémentine. En effet, pour baiser sans risquer de les perdre, ces souliers sont idéals. Mes deux anges m'entraînent devant le grand miroir de l'armoire. Je suis entre mes deux coquines.

<< Regardez comme on est beaux tous les trois ! >> lance Clémentine en s'accroupissant. Me tenant la jambe, elle pose sa tête contre ma cuisses. Écartant les siennes au maximum. Bas noirs fixés au porte-jarretelles noir. Estelle fait pareil. Par contre, elle porte des collants. Estelle déteste le contact du porte-jarretelle. << Ça me gratte et me démange tout le temps ! >> précise t-elle une fois encore. Je pose mes mains sur leurs têtes. Nous nous observons ainsi longuement, en silence. Mon érection déforme mon pantalon à plis et à pinces. La bosse.

Estelle me la palpe en disant : << Ce soir, chez Juliette, si tu pouvais dépasser toutes les limites de la convenance ! >>. Clémentine rajoute : << Juliette est comme nous, elle adore la compagnie des pervers hyper vicieux et "démonstratifs" ! >>. Nous rions aux éclats. Les filles se redressent. Nous revêtons nos manteaux noirs. Coiffés de nos chapeaux feutres, nous descendons les escaliers avec précaution. C'est sous l'immense parapluie que nous allons jusqu'au garage. Je roule doucement. Clémentine me sort la queue. Estelle a exigé d'être devant aussi.

Il est presque 19 h30 quand je gare la voiture dans la cour déserte du haras. Il y a de la lumière dans les écuries. Nous entendons quelques hennissements. La lumière s'allume au-dessus de la porte d'entrée des bureaux. C'est au-dessus que Juliette a ses appartements. Elle nous accueille au bas de l'escalier, porte ouverte. Ce soir Juliette est en tailleur noir strict, chemisier blanc sous une veste blaser noire. Des bas noirs, ses souliers à talons. Ses longs cheveux attachés en chignon. Cette sublime bourgeoise de 48 ans est ce soir encore si attractive.

Nous la suivons pour monter l'escalier. Juliette nous débarrasse de nos manteaux. Elle nous invite à prendre place dans le canapé. Elle s'installe dans le fauteuil qui nous fait face. Juliette ne croise jamais ses jambes. C'est une attraction supplémentaire qu'apprécie les "connaisseuses". Clémentine et Estelle ont d'ailleurs toujours la même attitude. Les belles filles vicieuses aiment à jouer de leurs séductions. Juliette nous raconte son quotidien. La saison touche à sa fin. Nombre de propriétaires de chevaux récupèrent leurs bêtes. Tous les jours.

Nous racontons notre séjour au Mont Saint-Michel. Sans jamais parler de Julie. Juliette nous pose des questions coquines. << De l'inconnu dans les recoins ? >> demande t-elle à Clémentine dont elle connait la passion pour la fellation. Clémentine répond : << Les meilleures pipes c'est chez vous, Juliette ! >>. Nous rions de bon cœur. Juliette fixe effrontément la grosse bosse qui se forme sous ma braguette encore fermée. Estelle qui s'en rend compte me l'ouvre en disant : << C'est tellement plus confortable, n'est-ce pas ! >>. Nous rions.

Juliette se penche. Sur la table basse il y a un flûte à champagne contenant un bouquet de lilas. Elle ôte les fleurs pour poser le verre sur sa jupe. À l'endroit de son sexe. Elle reste ainsi à me fixer dans les yeux. La vulgarité discrète de cette femme me donne toujours de violentes palpitations. Elle tient cette flûte à champagne d'une manière suggestive en disant : << On passe à table ? >>. Nous nous levons. << J'ai fait simple ! C'est Thomas le traiteur du bourg qui m'a confectionné un bon repas ! >> dit -elle. Elle révèle ce que cachent les couvercles.

Des plateaux de fruits de mer. Des salades de salicornes, des garnitures de petits légumes confits. Nous sommes morts de faim. Clémentine à ma gauche qui me fait du pied. Estelle à ma droite qui fait pareil. Juliette en face de moi qui évoque ses projets futures. Tenir une pension pour chevaux répond à sa passion pour l'équitation. Même si l'appellation de Centre Hippique lui est refusée, Juliette dirige son entreprise en proposant les mêmes prestations. Nous adorons l'écouter. Son accent méridional rajoute encore au charme de ses amusantes anecdotes.

J'ai une main sous la table. J'aime la savoir se demander ce que je fais. Elle s'en doute. Je joue avec ma queue de ma main gauche. Estelle me fait des clins d'œil. Je bande mou. Alors que Juliette évoque ses futures vacances en Corse, je me lève. Je tiens ma bite à sa base, entre le pouce et l'index. Je l'agite en direction de Juliette qui me dit : << Enfin ! Ça fait déjà une demi heure que vous êtes là ! >>. Nous rions. Clémentine prend ma queue dans la main en disant : << Quand il n'y a pas d'autres queues il reste toujours celle de Julien. Miam ! >>.

<< Et quelle bite ! >> lance Juliette en appuyant son visage sur ses mains. << Des exhibes au Mont Saint-Michel ? >> me demande t-elle. C'est Clémentine qui répond : << Non, c'était vraiment impossible, trop de monde ! Par contre on s'est fixés des défis bien salaces ! >>. Estelle raconte en détail nos aventures libidineuses au Mont. Juliette écoute avec un intérêt amusé. Clémentine se lève pour passer derrière moi. Elle me masturbe en interrogeant Juliette : << Et vous, des trucs bien crades durant ces quinze jours ? >>. Juliette reste silencieuse.

<< Je n'ai pas arrêté de bosser. Pas trop de temps pour la gaudriole. Juste une pipe à mon vétérinaire. Mon jeune palefrenier se révèle un étalon plein de fougue. Je vous recommande à toutes les deux de baiser avec lui. C'est une "bête" de somme. Il peut éjaculer trois à quatre fois sans cesser de tringler. Un vrai phénomène ! >>. Estelle s'écrie : << Génial ! Comme mon parrain ! >>. Juliette veut en savoir davantage. Elle se lève. Se calant sur le coin de la table, en appui sur ses mains, elle écoute Estelle en se frottant doucement. Lentement.

Clémentine demande : << Il aime les pipes ? >>. Juliette répond : << Vous l'avez pipé à votre anniversaire. C'était une des bites du Gloryhole ! >>. Clémentine se cale sur le coin de la table. Estelle se lève pour faire pareil. Toutes les trois se masturbent dans un rythme lent avec une étonnante synchronisation. Je me branle doucement en écoutant la conversation. Pour Clémentine qui avait sucé quatre queues différentes ce 2 avril, cadeau d'anniversaire de Juliette, il ne reste que le souvenir d'un moment passionnant. Follement excitant.

Juliette lui propose d'organiser une rencontre avec James, le palefrenier irlandais. << C'est bon de baiser avec lui. Vous m'en donnerez des nouvelles ! >> précise t-elle. Clémentine me consulte du regard. Je lui dis : << Tu te rends compte ! Quatre éjaculations ! De quoi te régaler toute une soirée ! >>. Elle se penche pour me déposer une bise sur la bouche. Estelle s'écrie : << Moi, pendant ce temps je serai avec Julien ! >>. Juliette, tout en se masturbant, nous observe avec un sourire amusé. Elle rajoute : << Je recommande la baise, Estelle ! >>.

Juliette dit encore : << Ce serait dommage de se priver de superbes chevauchées au profit de seules pipes ! Moi, j'alterne les deux avec ce mec ! >>. Estelle me dépose un bisou à son tour en répétant : << Moi, je reste avec Julien pendant ce temps ! >>. Clémentine, excitée comme une puce, accélère son mouvement contre le coin de la table. << Belle perspective, non ? >> lui demande Juliette. Une goutte de sueur tombe du nez de Clémentine qui relève la tête pour répondre : << Je préfère sucer. Mais quatre coups c'est très intéressant ! >>.

Je me masturbe comme un dément. Je constate que les trois coquines accélèrent leurs mouvements. Trois coins de table qui tremblent sous les assauts de ces trois femelles en rut. Elles sont en sueur. C'est excitant d'évoquer de futurs "plans" en se donnant du plaisir. Je dis : << Juliette, un jour je vous éjacule dans la bouche ! >>. Elle répond : << Aurez-vous l'autorisation de Clémentine ? >>. Clémentine, sans cesser de se branler lance soudain : << Autorisation accordée ! >>. Je contourne la table. Juliette s'accroupit. Je lui jute dans la bouche.

Estelle pousse un cri. Elle s'offre un orgasme. Clémentine vient me rejoindre. Elle m'écarte de Juliette pour tomber à genoux. Me tenant par les fesses, elle me suce comme si sa vie en dépendait. Juliette se redresse en montrant l'intérieur de sa bouche à Estelle. Elle lui fait signe de la rejoindre de son index dressé. Estelle se précipite. Ça fait la seconde fois que je la vois embrasser une autre femme. Juliette lui offre probablement mon foutre. Une main sous sa jupe, cambrée sur ses jambes fléchies, Estelle déglutit le foutre que recrache Juliette. Salope !

Clémentine, tout en se touchant, me taille une pipe des familles. Estelle à ma gauche, Juliette à ma droite, elles observent cette fellation. Je n'en peux plus. J'éjacule une seconde fois. Clémentine pousse des gémissements de plaisir. Juliette passe son bras autour de ma taille en disant : << Espèce de vicelard, tu pourrais juter quatre fois dans une soirée toi ? >>. Je me penche pour lui cracher au visage. Juliette ne s'y attendait pas. << Saligaud ! Pervers ! Salopard ! >> s'écrie t-elle en s'essuyant aussitôt avec une des serviettes. Un gros mollard.

Estelle me fait un clin d'œil en levant son pouce comme pour me féliciter. J'aide Clémentine à se relever. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux endoloris et douloureux. Nous prenons le dessert. Cette tarte aux noix que nous avons emmené. Un régal. Je ne sais pas si c'est une goutte de salive ou une goutte de sperme qui colle aux cheveux de Juliette. Juste sur sa tempe droite. C'est exquis. Nous ne le lui faisons pas remarquer. La conversation s'axe sur le projet "James". Clémentine veut absolument gouter ce mec. Baiser avec ce type.

Juliette nous proposera une série de dates. De préférence un vendredi soir ou un samedi soir. << Je vous prépare un des box dans votre écurie préférée. Matelas ou paillasse ? >> lance Juliette. Clémentine répond : << On improvise ! >> Juliette rajoute : << Il m'a déjà baisé dans les chiottes ! >>. Estelle, amusée, s'écrie : << La tête dans l'urinoir ? >>. Juliette répond sur le même ton : << La tête dans l'urinoir ! >>. Clémentine me prend la main pour me demander : << Je peux ? >>. Je réponds : << C'est obligatoire. Il faut que tu essaies ! >>.

La soirée se termine aussi sagement qu'elle a commencé. Il est 23 h. Juliette nous raccompagne. Il ne pleut plus. C'est là, devant la portière de la voiture que je lui fais remarquer la substance blanche qui a séché dans ses cheveux. Elle m'empoigne la braguette. Clémentine se précipite pour retirer la main de Juliette. Elle dit : << C'est toujours avec ma permission ! >>. Nous éclatons de rire. Juliette viendra manger à la maison mercredi prochain. Dans la voiture Estelle n'arrête pas de répéter : << Quelle vieille salope. Une vraie perverse ! >>.

Bonne nuit à toutes les coquines qui adorent ces soirées de dépravations intenses avant de s'endormir tout contre leur pervers vicieux...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1865 -



Un dimanche en "famille"

Hier matin, dimanche, il est un peu plus de huit heures trente quand je suis tiré du sommeil par des chuchotements, des rires étouffés. J'ai beau faire semblant de dormir, mes deux anges savent très bien que je suis réveillé. Estelle à ma droite qui descend sa main dans mon slip. Elle s'empare de mon érection naturelle en posant ses lèvres sur ma joue. Clémentine à ma gauche qui empoigne mes couilles pour poser ses lèvres sur mon autre joue. Je glisse mes mains dans les culottes pour démêler quelques nœuds. C'est ainsi que nous émergeons.

Distribution de bisous. Clémentine passe sa tête sous les draps pour gober mon sexe. C'est toujours une étrange sensation. Mon érection n'a strictement rien de sexuel. C'est juste un état physiologique. Estelle lâche tout pour se lever d'un bond. En filant vers la porte elle s'écrie : << Pipi ! >>. Clémentine se couche sur moi pour frotter son sexe sur le mien. Là, les choses prennent un caractère beaucoup plus tendancieux. C'est qu'on profiterait bien de mon érection. Hélas, nous ne sommes pas du matin et l'envie de pisser est si contraignante.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous dévalons les escaliers. Rejoindre Estelle dans la cuisine, dans l'odeur du café. La brioche royale au milieu de la table. Estelle me saute au cou. Je la soulève dans son pyjama de soie mauve. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène dans toute la grande pièce. Elle se frotte en riant. Je fais pareil avec Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le très vague bilan de nos deux semaines de vacances. Le séjour au Mont Saint-Michel qui paraît déjà si lointain.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant le repas. Des idées. Les parents d'Estelle viennent manger pour midi. La pâte feuilletée est au réfrigérateur. Il suffit de la sortir pour la mettre quelques minutes sur un des deux radiateurs. Nous optons pour une tarte à la courgette. Une tarte à l'aubergine. Des pavés de saumon en papillotes. << Maman adore ! >> lance Estelle qui s'assoit sur mes genoux la première. Ses bras autour de mon cou. Clémentine nous rejoint. Nous traînons un peu. Le dimanche pas de jogging, pas d'entraînement. Pas de sport.

Nous revenons sur la soirée de hier, chez Juliette. << J'adore ces soirées branlettes ! >> dit Clémentine. << Tu as entendu les propositions qu'elle t'a faite ! >> s'écrie Estelle. J'écoute les filles revenir sur les suggestions de Juliette. Organiser un "plan" entre Clémentine et James son palefrenier. << Put-Hein, quatre coups ! Il est pire que mon parrain. Jean-Marc m'en offre souvent deux ou trois sans cesser de bander ! >> rajoute Estelle. Nous rions aux éclats. Clémentine me demande une nouvelle fois : << Je peux ? >>. Je réponds : << Obligatoire ! >>.

Juliette nous informera par courriel. Elle proposera des dates et différentes options. Clémentine adore faire des trucs dans les écuries. L'odeur des chevaux agit sur elle comme le ferait un aphrodisiaque. << Si c'est un bon coup, j'essaie aussi ! >> dit encore Estelle. Nous débarrassons pour faire une première vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Estelle s'habille comme nous. Nous faisons notre lit avant de redescendre à toute vitesse. Clémentine nous confie à quel point la proposition de Juliette l'excite. Elle m'embrasse avec fougue.

Nous coupons et lavons la courgette et l'aubergine. Elles sont énormes. Je prépare un flan. De l'œuf, de la crème fraîche, du lait de soja, un peu de moutarde à l'ancienne. Clémentine lave une belle scarole avant de faire l'assaisonnement de la salade. Estelle étale la pâte feuilletée dans les deux grands plats à tarte. Nous disposons les tranches de courgette et d'aubergine en spirales. Estelle s'occupe des pavés de saumon en papillotes qu'elle fait griller sur le barbecue électrique dans la véranda. Je verse le mélange sur les deux tartes. Tout est OK.

Il fait encore bien frais dans la véranda. Estelle a son anorak. Elle mime des masturbations masculines à chaque fois que je lui montre ma bite derrière la vitre fumée de la porte fermée. Clémentine me la prend entre le pouce et l'index pour l'agiter en direction d'Estelle. Nous disposons les deux tartes sur deux étages dans le four électrique. Cuisson lente à 180°. C'est bien meilleur quand ça mijote longuement. Estelle revient avec les papillotes. Cinq belles pièces qu'il suffira de mettre au four quelques minutes avant le repas. Tout est prêt pour midi.

Nous revêtons nos anoraks comme Estelle. Le thermomètre extérieur indique 16°. Il pleut. Il est 11 h15. C'est sous le parapluie que nous descendons jusqu'à la rivière. Je suis entre mes deux anges accrochées à mes bras. << Si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> me fait Estelle. Elle prononce cette phrase comme une formule magique en palpant ma braguette. Les filles évoquent la rentrée universitaire de demain. Ce sera le premier jour de ce troisième trimestre. L'échéance de ce Master II qui les attend pour juin.

Ce sera alors la dernière ligne droite avant le Doctorat. J'écoute leurs craintes, leurs doutes, leurs plans B ou encore leurs stratégies. Nous remontons doucement sur le chemin pierreux. << Vous avez envie d'aller au marché de la brocante sous cette pluie cet après-midi ? >> demande Estelle. << On verra ce que propose tes parents ! >> répond Clémentine. Nous préparons la table monastère au salon. Les couverts en laiton, les assiettes en grès posées sur le chemin de table en lin. Tout est prêt. J'ouvre le portail depuis l'interphone dans le hall.

Nous nous tenons par les mains en nous faisant des bisous. Dernier conciliabule. Nous n'avons rien oublié. Estelle allume un beau feu dans la grande cheminée. Clémentine reste serrée contre moi. Je caresse sa nuque. Trois coups de sonnette. C'est Estelle qui se précipite. Clémentine murmure à mon oreille : << J'ai envie de me faire sauter par ce James. Il n'est pas vraiment mignon mais il m'inspire. Et dire que j'ai déjà sucé sa bite par le trou dans le mur ! >>. Je chuchote : << Je me réjouis pour être caché avec Estelle à te voir baiser ! >>.

Estelle revient suivie de ses parents. Michèle nous serre la main avant d'échanger des bises. Yvan fait la bise à Clémentine. Ils sont tous deux vêtus d'un jeans, une chemisier blanc sous un pull bleu nuit aux cols en "V". Mêmes mocassins marrons. Comme toujours Estelle reste accrochée à son papa. Elle l'entraîne vers la cheminée. Il y a de belles flammes. Clémentine me fait un clin d'œil. << De nouvelles toiles depuis la dernière fois ? >> me demande Michèle. Je l'invite à me suivre dans l'atelier. Estelle ne nous prête aucune attention. Parfait.

Clémentine rejoint Yvan et Estelle pour admirer la danse des flammes. Michèle adore notre grande demeure. Elle aussi l'appelle "le manoir". Les poutres apparentes partout aux plafonds. Les lustres, les plafonniers anciens, tout cela l'impressionne toujours beaucoup. J'ouvre la porte de la petite pièce ou nous stockons l'inutile en disant : << Un jour il faudra que je fasse venir Emmaüs afin qu'ils nous débarrassent de toutes ces vieilleries ! >>. Nous arrivons devant la porte de l'atelier. << Le saint des saints ! >> dit Michèle. Nous entrons. Pièce magique.

Michèle tombe sur l'œuvre de Julie. J'avais complètement oublié qu'elle était visible sur son chevalet. Cette toile sèche là depuis mardi dernier. Michèle reste silencieuse. Sans doute légèrement déstabilisée par ce qu'elle voit. C'est le portrait de ma bite. Encore plus fidèle que la plus extraordinaire des photographies. Je ne sais quoi dire. Je reste moi aussi silencieux. Que dire ? Que faire ? << C'est vous ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Oui, enfin un détail de ma personne ! >>. Michèle rajoute : << Vous donnez dans l'auto portrait ? >>.

Bien évidemment je ne peux pas révéler qui est l'auteur de ce portrait. Je ne sais quoi dire. Je me contente de répondre : << C'est juste un essai. Une sorte d'expérience si vous voulez ! >>. Je reste très embarrassé. Michèle le sent bien. Elle en est toute amusée. Contente de son petit effet. Estelle, qui me surveille de très prêt vient nous rejoindre. << Tu aurais eu la bonne idée de retourner cette toile ! >> dit elle. Michèle s'empresse de préciser : << Mais non, pourquoi ? C'est de l'art. C'est une création. Elle a toute sa place dans cet atelier ! >>.

Je toussote, terriblement gêné. Estelle me pince sous la fesse droite. Tellement fort que je pourrais crier de douleur. Clémentine vient dans l'encadrement de la porte en lui lançant : << Tu viens ! >>. Estelle, derrière le dos de sa mère pointe un index menaçant. Michèle semble très à l'aise de se retrouver seule avec moi. << Je peux comparer avec la vraie ? >> s'écrie t-elle. J'ai une décharge électrique tout le long de mon échine. Si je veux montrer ma bite à la maman d'Estelle c'est maintenant. J'ouvre rapidement ma braguette. Je sors mon sexe.

<< Wouah ! C'est un portrait d'une fidélité absolue ! Vous êtes réellement très fort ! >> lance t-elle. Je suis mal à l'aise. Je ne peux pas mentir. J'avoue : << Ce n'est pas moi qui ai peint ce tableau. Je n'ai fait que poser. C'est une amie qui vient prendre des cours de peinture ! >>. Michèle contemple ma queue, silencieuse. Je l'agite dans sa direction. Elle dit :<< Je vois le genre d'élève et le genre de sujet que vous abordez ! >>. Nous rions de bon cœur tous les deux. Je suis prêt à remballer immédiatement. Je reste aux aguets. Je me masturbe.

<< Me donneriez-vous des cours de peinture ? Je suis sérieuse ! >> lance Michèle. Je reste complètement consterné. Elle rajoute : << Ce sont ces sujets là qui me donnent envie d'apprendre ! >>. J'avale de travers. Tant d'aplomb, tant de sincérité me laissent complètement pantois. Cambré sur mes genoux fléchis, je me branle devant la maman d'Estelle. Elle me fait le plus adorable des sourires avant de me lancer un clin d'œil. Son regard par en-dessous, terriblement vicelard, elle m'imite tout comme le fait Estelle. Comme une grande sœur.

Je remballe très vite. J'ai le temps de lui dire : << J'aimerais que tu me tailles une pipe ! Tu n'imagines pas ! >>. La porte s'ouvre. C'est Estelle. Michèle fait : << Et moi donc ! >>. Estelle ne sait pas à quoi correspondent ces paroles. Toujours est-il qu'elle me lance un regard furibond en saisissant sa maman par le bras. << On mange ! >> lance t-elle en me tirant la langue. Je palpe vulgairement ma braguette en guise de réponse. Michèle ne se doute de rien. Nous rejoignons Yvan et Clémentine à la cuisine. J'ai l'impression qu'Yvan drague dur aussi.

Depuis l'âge de douze ans, Estelle et Clémentine sont les plus grandes amies du monde. Le papa d'Estelle a toujours fait preuve d'une grande considération pour Clémentine. Elle passait ses week-end chez les parents d'Estelle. Ce n'est peut-être que depuis trois ou quatre ans qu'il découvre la femme chez cette jeune adolescente qui venait à la maison. Je le comprends parfaitement. Clémentine est tellement sexy, tellement attractive. La sœur jumelle de sa fille. Je trouve là un juste équilibre avec la séduction qu'exerce Michèle sur ma personne.

Nous mangeons de bon appétit. À chaque fois que Michèle me lance un discret regard par en-dessous, comme pour me faire comprendre quelque chose, Estelle me donne un violent coup de pied sous la table. Ce qui amuse Clémentine qui voit toujours tout. Yvan ne se doute probablement de rien. Nous évoquons la possibilité qu'il rachète ma grosse berline allemande en remplacement de l'ancienne. Elle a quatre ans, 33 000 km. Nous traînons à table. Il y a le marché à la brocante au port de plaisance. Avec cette météo nous hésitons longuement.

Je guette l'opportunité de montrer ma queue une seconde fois. Durant la vaisselle. En prétextant diverses possibilités. Retourner dans l'atelier. Faire visiter l'étage. J'ai parlé souvent du grenier et de son extraordinaire charpente. Un assemblage de poutres vieux de plus de 150 ans. Rien à faire. Estelle reste présente. Pas folle la guêpe. Clémentine me fait du coude. Elle me chuchote : << Tu n'arriveras pas à tes fins. Estelle ne te lâchera pas ! >>. Je lui murmure : << J'ai envie de baiser avec toi. De te culbuter dans tous les coins ! >>. Nous rions.

Avec cette pluie incessante, nous prenons la sage décision de rester à la maison. Confortablement installés dans le canapé, dans les fauteuils, nous bavardons. Yvan et Michèle ont réservé un cottage dans la région d'Inverness. Comme l'année dernière. Cette fois encore ils resterons un mois plein en Écosse. Nous nous promettons de nous voir. Pourquoi ne pas se faire des randonnées à cinq ! Nous envisageons quantité d'options. Nous leurs ferons découvrir Édimbourg. Estelle reste tout contre sa papa, dans le fauteuil. Michèle seule dans l'autre.

Clémentine tout contre moi dans le canapé. Les filles parlent de leurs études. Yvan et Michèle parlent de leurs entreprises. Le siège et sa succursale créée il y a trois ans. Les affaires marchent au-delà de leurs espérances. Grace à l'essor des ventes par correspondances. Je parle de ma galerie d'Art. Ce sera peut-être la dernière saison. Je ne tiens plus trop à conserver ce rythme de production. Vingt quatre toiles par ans exigent un travail assidu. Le lecteur qui suit nos aventures le comprend aisément. L'après-midi se déroule dans une belle ambiance.

Aucune autre possibilité de montrer ma queue à Michèle ne se présente. Il faut se faire une raison. Estelle reste vigilante. Elle me fait d'ailleurs d'horribles grimaces à chaque fois que je cesse de parler avec Michèle. J'arrive toutefois à lui chuchoter lorsque nous sommes tous deux à la cuisine : << Ce soir je te baise comme un sauvage ! >>. Elle se met à rire avant de murmurer : << Impossible. Je vais te sucer, te vider tes sales couilles d'exhibitionniste. Et toc ! >>. Je rajoute : << Je vais te faire sucer comme le dernier des pervers ! Salope ! >>.

Elle me palpe vulgairement la braguette en disant : << Si tu t'imagines que c'est une punition, tu t'enfonces le doigt dans le fondement jusqu'à la seconde phalange ! >>. Nous sommes seuls à préparer le thé et les gâteaux. Elle se blottit dans mes bras en enfonçant sa langue dans ma bouche. << T'es tellement salaud que tu me rend folle de toi ! >> glisse t-elle à mon oreille sans cesser de me tripoter. Nous retournons au salon. Michèle me lance un regard suspicieux. Elle sait très bien la nature de nos relations. Bien davantage que son mari.

Nous prenons cette collation en revenant sur nos séjours en Écosse. Il reste un peu plus de deux mois avant notre départ. Une fois encore Estelle partira avec nous. Nous évoquons l'époque, il y a trois ans, où elle nous rejoignait en avion. Quand nous allions la chercher à l'aéroport d'Édimbourg. << J'étais morte de trouille à l'idée de prendre l'avion ! >> lance t-elle. Clémentine, tout contre moi, propose à Michèle et Yvan de rester pour le repas du soir. << On réchauffe les restes ! >>. Les parents d'Estelle se consultent du regard. Ils hésitent.

Ils déclinent notre offre. Eux aussi aiment passer leurs soirées en amoureux. Estelle nous raconte souvent qu'après plus de 25 ans de mariage Yvan et Michèle se comportent parfois comme des adolescents. Il est 18 h quand nous les raccompagnons jusqu'à leur voiture. Sous les grands parapluies. << Je rentre pour 22 h15 ! >> leurs dit Estelle. Nous nous saluons. Nous regardons l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. La météo est sinistre et lugubre. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud, au sec. Estelle sautille tout autour de nous.

Elle m'attrape par la braguette en serrant fort : << Dis-moi tout. Qu'est-ce qui s'est passé dans l'atelier ? >> s'écrie t-elle. C'est Clémentine qui répond : << Oh rien ! Tu connais Julien. Il a simplement montré sa queue à ta mère ! >>. Estelle me serre encore plus fort : << Salaud ! >> lance t-elle. Je réponds : << Ben quoi, ce sont les civilités d'usage ! >>. J'ai tout raconté à Clémentine en chuchotant l'histoire à son oreille. Estelle me saisit par les miennes en rajoutant : << Tu es le pire des salauds. À qui tu n'as pas montré ta bite, vieux vicieux ? >>.

Nous retournons au salon pour ranger et débarrasser. Je sors discrètement ma queue. Clémentine me voit faire. C'est à la cuisine qu'Estelle découvre ce qui pend de ma braguette béante. Elle saisit mon sexe mou d'une poigne ferme en disant : << Et j'adore les vicelards ! >>. Elle ne me laisse pas le temps répondre. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour la fouiller avec passion. Sans me lâcher la queue. Elle sait que c'est une manière imparable de me faire bander. C'est au tour de Clémentine. Je dis : << Ce soir, je vous bouffe la chatte ! >>.

Il suffit de réchauffer. Clémentine fait une rapide salade de carottes. Estelle met les assiettes, les couverts. Je sors les tartes fumantes du four. Nous mangeons de bon appétit. Il en restera encore pour demain midi. Cela fera mon repas. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font l'inventaire de tout ce qu'il faut pour la rentrée de demain. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Elles retirent leurs fringues pour les jeter n'importe où en riant. Les voilà vautrées dans le canapé. Chattes à l'air.

À genoux sur les épais coussins, je commence toujours par le minou d'Estelle. Le dimanche pas de toilettes. Je laisse au lecteur le plaisir d'imaginer les parfums "filles négligées". Je me régale de tout ce que je peux lécher, sucer, récupérer. Pendant que je lèche, que je suce, les deux coquines se masturbent. Lorsque je suce leurs clitoris elles se tortillent en gémissant. Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre délicatement. Elle se met rapidement à bouger. Je la baise comme elle aime, à la hussarde. Alternant la "machine à coudre" et le calme Zen.

Je passe à Clémentine. Nous préférons rester immobiles. Je passe de l'une à l'autre. Les chattes sont trempées. Ça rentre comme dans du beurre. Les mécaniques parfaitement lubrifiées permettent de doux va et vient parfaitement synchronisés. L'orgasme d'Estelle la fait hurler. Celui de Clémentine la fait crier. Surtout qu'à l'oreille je lui rappelle que je me réjouis de la voir se faire sauter par le palefrenier. Il faut reprendre nos esprits. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. Séparation difficile. Elle revient mardi soir. Nous rentrons au sec.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont sucer de la queue avant de s'endormir dans les bras de leur amoureux aux couilles vides...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1866 -



Le premier jour de cours de ce troisième trimestre

Hier matin, lundi, il est presque six heures. L'illusion parfaite de nous réveiller dans un port de pêche. C'est quelque part en Écosse. Il y a le cri strident des mouettes. La sirène de ce gros chalutier dans le lointain. On entend des marins se héler. Le bruit du ressac. Les clapotis. L'application "océan" nous bluffe de son réalisme. Tout cela ne dure que 45 secondes. Suffisamment pour nous tirer du sommeil. Clémentine se blottit contre moi en gémissant d'incompréhensibles onomatopées. Je la serre fort. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. C'est limite dans la cuisine car les deux radiateurs viennent de s'enclencher. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je ne me rappelle jamais des miens. Je presse nos oranges, je pèle les kiwis. Le lundi il reste toujours de la brioche. Je la passe au four à micro onde afin de lui rendre un peu de son moelleux. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant ces deux semaines de vacances passées. Elles étaient denses, intenses. Il s'est encore passé tant de choses.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moments les plus marquants. Le film de Julie qui nous rejoint ce soir. Cette première fellation qu'elle a vécu avec moi. Curieusement mes impressions en restent floues. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir une heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Abdos, exercices au sol. Charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching "soigneusement bâclé" comme le précise Clémentine. La douche. Je descends pour aller faire chauffer la voiture. La fraîcheur est humide.

Il pleut. Le ciel est gris, uniforme, bas et sinistre. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Dans son anorak. Elle me fait un bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud, au sec pour faire la vaisselle, notre lit. Je suis à l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. Je suis déjà animé de l'enthousiasme avant même de peindre.

Je commence ce matin le huitième paysage destiné à ma saison d'été. Par associations d'idées je peins en pensant à Julie. Cet année encore, pour la troisième fois, c'est elle qui tiendra la galerie d'Art. En juillet et en aout. Elle me confie souvent à quel point cela la réjouit. Sa passion pour la peinture, le plaisir du contact clientèle. La matinée passe ainsi. Sans que je ne puisse ralentir la marche inexorable du temps qui passe. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les restes de hier.

Pendant que les deux dernières parts de tarte sont au four, je prépare une salade de carottes. J'y rajoute de l'avocat. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff, dans tous ses états, reçoit un invité de marque. Une émission consacrée aux élections présidentielles. Pour Clémentine et moi, tout cela nous a totalement échappé. Nous quittons la France pour retourner vivre dans mon pays, en Écosse d'ici deux ans. Ce qui se passera ici nous laisse d'une indifférence abyssale. On n'en n'a strictement rien à foutre.

Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre la température, je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. Il ne fait que 14°. Il pleut. C'est sous le parapluie que je descends jusqu'à la rivière. Les poules d'eau, les colverts et les canards s'amusent de cette météo pitoyable. Mon téléphone m'avertit d'un texto. << Je t'aime >>. C'est Clémentine juste avant de retourner en cours. Il est 13 h. Je remonte pour retourner dans l'atelier. Concentré devant ma toile, je peins avec le même enthousiasme que ce matin. Un enchantement.

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable sur le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. Assise à califourchon, frottant son sexe sur le mien, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Tu me manques toujours cruellement le premier jour de la rentrée ! >> dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Elle rajoute : << Encore davantage que les autres jours où tu es loin ! >>. Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Les notes de la journée.

J'aime l'entendre chanter, commenter ce qu'elle fait. Je nettoie la palette, les pinceaux. J'enlève ma blouse avant de me laver les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Il est à la bonne hauteur. Je sors ma bite pour pisser. Clémentine se lève précipitamment. Je l'entends courir à toute vitesse pour me rejoindre. Elle saisit ma queue pour en diriger les jets. << Jamais sans moi ! C'est la première fois que je te vois faire ça ici ! >> s'écrie t-elle en se serrant contre moi. Penchée en avant pour me voir uriner majestueusement. Je le fais exprès.

Je fais couler l'eau chaude pour bien rincer le lavabo. Ça sent la pisse. Clémentine s'accroupit pour gober mon sexe. Suçoter les derniers reliquats qu'elle savoure en gémissant. Je caresse sa tête en disant : << Je vous aime mademoiselle. Votre absence est parfois cruelle aussi ! >>. Je l'aide à se redresser. << Garde ta bite à l'air, Julie adore ça autant que moi ! >> dit encore Clémentine en retournant s'assoir. Je suis debout derrière elle à lisser ses longs cheveux noirs. Lorsque le temps est humide ils sont toujours légèrement ondulés. Moins raides.

Trois coups contre la porte qui s'ouvre. C'est Julie. Elle est radieuse. Elle ne peut cacher cette joie immense qui l'habite entièrement. Elle se précipite vers nous en s'écriant : << Bonsoir ! >>. Elle me fait la bise sur la pointe des pieds. C'est ma première fois qu'elle me la fait avant de la faire à Clémentine. En faisant semblant de ne pas apercevoir ce qui pend de ma braguette. Clémentine range ses affaires. Julie est assise devant mon chevalet à scruter mon travail. Je vais la rejoindre. Je suis debout derrière elle. Mes mains posées sur ses épaules.

Je me penche. Ma bouche près de son oreille pour répondre aux questions qu'elle me pose. Je me dirige vers le portait de mon sexe. Je saisis la petite toile de format 2F, qui a séché depuis mardi dernier. Julie me regarde revenir. Je dis : << Votre chef-d'œuvre est magnifique ! >>. Le regard de Julie va du tableau à mon sexe. Elle peut comparer tout à loisir. Toute gênée, timide, elle baisse soudain les yeux. Je m'accroupis devant elle pour rajouter : << Vous êtes une peintre talentueuse ! >>. Julie saisit la toile pour observer son superbe travail.

Bien au-delà du sujet représenté, c'est la qualité technique et artistique de l'œuvre qui nous interpelle. Clémentine vient nous rejoindre. Elle demande : << Tu as mâté le film de jeudi dernier ? >>. Julie se lève pour poser sa toile sur la chaise. Elle répond très gênée : << Oui, deux fois ! >>. Clémentine rajoute : << Et alors, tes impressions ? >>. Julie devient toute rouge pour murmurer : << J'ai honte ! >>. Clémentine la prend par les épaules. << Honte d'être heureuse ? Honte d'avoir réalisé un fantasme ? Honte de t'amuser ? >> lance t-elle.

Je tiens ma queue à sa base, entre le pouce et l'index, pour l'agiter vers les filles. Cette fois Julie observe avec attention. Je dis : << Moi aussi je devrais avoir honte ! Et bien non ! Pas du tout ! >>. Clémentine vient s'accroupir à côté de moi pour agiter ma bite vers Julie en disant : << Pourquoi se priver des plaisirs que nous offrent la vie ! >>. Julie nous fait le plus merveilleux des sourires. Je demande : << Tu te masturbes en regardant le film ? >>. Julie baisse les yeux, à nouveau toute gênée, avant de répondre d'un << oui ! >> vraiment timide.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Julie a ramené nos commandes. De la grande boîte isotherme je tire les trois feuillantines au saumon. Encore bouillantes. Merveilleusement dorées et fumantes. Les deux tourtes aux fruits de mer pour demain midi. En déballant les bacs contenant nos salades, Clémentine dit : << Tu remercies Jean-Louis, le Chef, pour ces délices ! >>. Julie tout en mettant les assiettes et les couverts nous raconte ses deux soirées de serveuse dans le restaurant de sa tante. Le chef cuisinier. Les clients.

<< Rien de remarquable ce week-end ! >> précise t-elle. << Il t'a enculé Jean-Louis ? >> demande Clémentine. << Non, il me doigte rapidement quand je viens dans l'office. Les deux autres cuistots ne s'en doutent pas ! >>. Nous rions de bon cœur. Je demande : << Et le Chef, vous le sucez parfois ? >>. Julie s'écrie : << Jamais ! Il n'aime pas trop ! >>. Nous passons à table. Nous savourons les délices du Chef. Julie nous raconte sa première journée de cours. Elle prépare son DEUG de Lettres Modernes. Les filles évoquent leurs études.

Nous traînons à table. À plusieurs reprises, quand la conversation redevient sexuelle, je me lève pour agiter ma queue vers les filles. Julie cesse alors de parler pour observer, comme sous hypnose. Clémentine me fait un clin d'œil. Je demande : << Julie, auriez-vous un autre fantasme à réaliser ? >>. Elle baisse les yeux. Clémentine rajoute : << Devant la caméra par exemple ! >>. Il y a un long silence. Julie ne s'adresse qu'à Clémentine : << Oui, deux ! >>. Elle n'en dit pas davantage. Nous respectons sa discrétion sans insister. C'est si beau.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon. Tous les trois confortablement installés dans le canapé. Clémentine me sépare de Julie. Je me lève. Je reste à quelques mètres. Je joue avec ma queue. C'est "l'hélicoptère" qui passionne soudain Julie. Je fais tournoyer ma bite dans un sens puis dans l'autre. Julie brise le silence : << J'aimerais être sodomisée devant la caméra, être tripotée. Des choses vulgaires ! >>. Nous restons consternés par cet aveux soudain. Clémentine répond : << Julien déteste la sodomie, tu le sais ! >>.

<< Ça peut tout à fait être un objet ! >> lance Julie. Nous devinons les efforts qu'elle doit faire pour avouer de telles choses. Clémentine, par sa douceur, aide beaucoup ses confessions. Je dis : << Pourquoi ne pas faire un film où vous vous faites enculer par le Chef de cuisine ? >>. Julie ouvre de grands yeux, met sa main devant la bouche comme effrayée. Elle s'écrie : << Il ne voudra jamais. Et il est marié. Jamais je n'oserais lui proposer des trucs pareils ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine demande : << C'est le seul mec qui t'encule ? >>.

Je passe derrière le bureau. Du tiroir du bas je tire le collier canin et la laisse. Silencieusement je viens vers Julie. Elle me regarde avec de grands yeux. Comme effrayée. Je me penche pour lui déposer une bise sur le front. << Pas d'inquiétude Julie, ce n'est qu'un "test" ! >>. Je passe le collier de cuir autour de son cou. J'y fixe la laisse. Je l'entraîne pour faire le tour de la grande pièce. De l'émotion. Craintive, visiblement animée d'une peur bien légitime, elle se laisse faire. Je n'insiste pas. Je retire le tout en disant : << Test concluant ! >>.

<< Oui ! >> lance Julie en cachant son visage dans ses mains. Clémentine la serre contre elle. Je fais : << Julie, vous avez bossé vendredi soir et samedi soir. Vous aviez votre plug anal pendant le boulot ? >>. Elle murmure timidement : << Juste samedi soir ! >>. Clémentine rajoute : << Tu es délicieusement vicieuse Julie. Tu n'imagines pas à quel point nous t'apprécions ! >>. Julie retrouve un peu d'assurance. Elle précise une nouvelle fois : << Je viens passer la soirée et la nuit de samedi prochain avec vous. J'ai pris mon samedi de congé ! >>.

Julie veut absolument visionner le film réalisé jeudi dernier en notre compagnie. Nous nous réjouissons. << Tu sais que ce sont d'authentiques soirées de masturbations communes ! >> lance Clémentine. << Je m'en doute ! Ce sera génial ! >> s'écrie Julie. Je me branle, debout à quelques mètres, devant les deux filles qui mâtent en silence. Je cesse pour m'adresser à Julie : << Voilà mon fantasme. Je roule sur les petits routes. Clémentine est assise à l'arrière avec la caméra. Vous êtes sur le siège passager. Vous me faite une pipe ! >>.

Julie ouvre de grands yeux : << Wouah ! Trop bien ! >> s'écrie t-elle une nouvelle fois. << Tu veux faire ? >> lui demande Clémentine. << Et comment ! >> lance Julie. Je rajoute : << Et baiser avec moi, devant la caméra ? >>. Julie ne répond pas. Elle garde une expression énigmatique. Je n'insiste pas. Clémentine s'adresse à moi : << Les petites vicieuses de 20 ans, ça préfèrent les pipes. Parfois se faire enculer ! Non ? >>. Julie baisse les yeux, cache son visage dans ses mains. Tant de vérités achèvent de l'intimider. Elle se lève. 21 h50.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture sous le parapluie. Assise au volant, elle regarde ma queue à une vingtaine de centimètres de son visage. Comme vendredi dernier elle y dépose une bise rapide avant de démarrer. Julie revient vendredi après-midi pour son cours de peinture. Dans le sachet à côté d'elle, sur le siège passager, le portrait de ma bite qu'elle va accrocher dans sa cachette, au grenier de la maison familiale. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine m'embrasse passionnément.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont baiser sous les draps, confier leurs secrets. Sucer un peu. Se faire lécher avant le dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1867 -



Le mardi Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, il est presque six heures. L'application "océan" nous réveille de ses illusions. L'impression d'être quelque part dans un port de pêche. Le cri des oiseaux de mer, les moteurs d'un chalutier, sa sirène. Clémentine vient se blottir tout contre moi. Elle empoigne mon érection naturelle en chuchotant des douceurs. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos habits de sport nous dévalons les escaliers. Il fait encore un peu frais dans la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Des bises.

Je mets les deux croissants offert par notre boulangère dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les aveux de Julie hier soir. La réalisation probable de ce troisième film ensemble. Un film qui met en images un des fantasmes de cette étonnante jeune fille de 20 ans. << C'est très tendance chez les filles depuis quelques années ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la proposition de Juliette. Organiser une rencontre entre James son palefrenier et Clémentine dans les écuries.

Je l'encourage vivement à vivre une nouvelle aventure. L'odeur des chevaux agissant sur Clémentine comme le meilleur des aphrodisiaques. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure de gym. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol et abdos. Quand elle termine à midi Clémentine est très déconneuse. Notre entraînement pourtant sérieux et intense est entrecoupé de fous rires. Avec les charges additionnelles, c'est une toute autre histoire. Le retour au calme se fait avec un stretching des plus surréalistes. La douche.

Je descends le premier. Il pleut dans une fraîcheur vraiment désagréable. Le ciel est gris. Je fais chauffer la voiture. Clémentine me rejoint sous le parapluie dans son anorak. Un dernier bisou. Elle empoigne ma braguette en disant : << J'ai envie de faire ma salope ! >>. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud, au sec pour faire la vaisselle, notre lit. J'allume un bon feu dans la cheminée de l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantant du Charles Trenet.

La peinture de ce huitième paysage destiné à ma saison d'été m'accapare complètement. Je peins dans cette douce euphorie laissée par Clémentine. La musique imbécile de mon téléphone. En maugréant je le tire de la poche de ma blouse. C'est Juliette. Quelle surprise. Nous échangeons quelques lieux communs avant qu'elle ne nous invite à passer au haras en début d'après-midi. << J'ai mis mon palefrenier dans les anciennes écuries. Les préférées de Clémentine. Si le cœur vous en dit ! >> conclue t-elle. Je promets d'en parler avec Clémentine.

Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je place les deux tourtes aux fruits de mer dans le four électrique. Je prépare une belle laitue. En quantité pour midi et pour ce soir. Je ne cesse de penser à la proposition de Juliette. Nous en parlions encore ce matin au petit déjeuner. Décidément, le destin si souvent capricieux avec l'immense majorité des gens ne fait que m'offrir le meilleur de l'existence. Depuis plus de cinq ans que Clémentine vit avec moi, les retombées la privilégie tout autant que moi. La chance.

Il est 12 h35 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Elle m'entraîne aux toilettes pour le rituel pisseux. << J'ai pris de l'essence. Il y avait un de ces vicieux à la pompe voisine. Il se branlait d'une main en tenant le pistolet de l'autre. Et il se met carrément à causer avec moi ! >> me raconte t-elle pendant que je la torche. Nous rions de bon cœur en nous précipitant à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée.

Estelle ne pourra pas nous rejoindre en soirée. Il y a l'inventaire dans l'entreprise familiale. En présence de l'expert comptable. Elle aidera donc à ces travaux purement administratifs. J'informe Clémentine à propos de la proposition téléphonique de Juliette. Clémentine me consulte longuement du regard. << Qu'est-ce qu'on fait. J'ai du boulot cet après-midi ! >>. Je la laisse organiser l'emploi du temps dans sa tête. << Je peux ? >> finit elle par me demander en s'asseyant sur mes genoux. Je réponds : << Si tu peux sucer du palefrenier ? >>.

Nous rions de bon cœur. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine garde son jeans mais passe un épais sweat rouge sang sur sa chemise à carreaux. << Il ne fait pas toujours très chaud dans les écuries ! >> dit elle avant de m'entraîner par la main. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Clémentine me saute au cou en s'écriant : << Merci Julien. Tu me comprends si bien. On est si complices tous les deux. Je veux que ça dure l'éternité et même plus ! >> s'écrie t-elle.

Nous prenons sa voiture mais je suis prié de conduire. Il n'y a que trois petits kilomètres jusqu'au haras. Clémentine fait un texto à l'attention de Juliette : << On arrive ! >>. Je gare l'auto dans la cour. Il n'y que quelques véhicules garés là. Il est 14 h pile. Nous n'avons qu'une heure trente car Clémentine a un travail de dingue. Ce troisième trimestre commence très fort. Juliette nous fait un grand signe depuis la fenêtre du bureau. Nous la rejoignons. Il ne pleut plus. Nous entrons pour saluer Pauline la secrétaire. Juliette est toute contente.

Elle nous invite à la suivre. C'est un jeu. Un peu comme si elle nous faisait visiter l'écurie. Cet endroit dont nous connaissons chaque recoin par cœur. Surtout le dernier box. La cloison qui comporte le fameux trou dans le mur. Ce Gloryhole dont Clémentine a apprécié les surprises à plusieurs reprises depuis cinq ans. James est occupé à changer le fourrage. Les chevaux encore présents en pension, nous observent. Nous les caressons. Nous saluons le jeune palefrenier. La trentaine, des lunettes qui lui confère un air intellectuel. Bottes de caoutchouc.

Un pantalon d'épais velours, une grosse chemise à carreaux. À haute voix, Juliette fait : << Je vais vous faire visiter la seconde écurie ! >>. Nous comprenons que c'est une phrase destinée à leurrer le palefrenier. Ce dernier va s'imaginer que nous allons quitter l'endroit. Alors qu'elle place l'index sur ses lèvres en nous invitant à la suivre. Nous montons derrière elle l'escalier raide. << Chut, marchez exactement où je marche ! >> chuchote t-elle. Nous restons sur la poutre maîtresse. De là, il y a plusieurs ouvertures dans les planches disjointes.

Nous pouvons apercevoir différents endroits de l'écurie située juste en dessous. Juliette murmure : << Clémentine, nous sommes là au-dessus du second et du troisième box. Là-bas, près des grands paniers en osier, c'est au-dessus des toilettes hommes. Soyez gentille de rester située dans ces zones. Ainsi Julien pourra voir et intervenir en cas de pépins ! >>. Clémentine se serre contre moi. Je la rassure d'un bisou. En même temps il y a de la musique. James vient probablement d'allumer la radio. Clémentine s'éloigne sur la pointe des pieds.

Juliette se met à quatre pattes en me faisant signe de faire pareil. Par les interstices entre les planches on distingue parfaitement ce qui se passe. C'est les deux box. Juliette a demandé à son palefrenier de les ranger, de les nettoyer. Elle a encore bien prévu son "plan". Je lui chuchote : << Salope. Je ne connais pas de femme plus perverse que vous ! >>. Elle murmure : << Une femme qui un jour sera vôtre ! >>. Je garde le silence. Tout au fond de moi je saisis une fois encore la réalité de cette évidence. Nous regardons avec attention.

Nous voyons Clémentine s'avancer dans l'allée centrale. Les mains dans les poches de son jeans. Elle a retiré son anorak car il fait bien plus agréable dans les écuries. La présence des chevaux sans doute. Elle arrive à la hauteur du box ou se tient James. Il se redresse. Il observe cette magnifique jeune fille qui reste dans l'encadrement de la porte. Lors du dernier Gloryhole c'était une des bites qu'a sucé Clémentine. James le sait bien. Il sait à quel genre de fille il a affaire. << Pas trop dur ? >> demande Clémentine. << Non sympa ! >> répond James.

Mon cœur cesse de battre dans ma poitrine lorsque j'entends Clémentine rajouter : << Non, je parle de "ça" ! >> en pointant son index vers la braguette du palefrenier. Mon sang ne fait qu'un tour quand elle mime une masturbation masculine en disant : << C'est ce que je ferais ici car l'endroit m'inspire ! >>. Juliette me pousse du coude. Parfois elle met sa tête contre la mienne. Je peux entendre sa respiration. Pour la voyeuse qu'elle est la situation est évidemment aussi excitante que pour moi. James n'est pas homme a s'entourer d'inutile.

Il pose sa fourche. D'un geste calme, lent, il ouvre la tirette de sa braguette. C'est une belle bite toute molle, fine qu'il extrait de son slip. << Tu te souviens ? >> lance t-il soudain à Clémentine en la tutoyant. Elle entre dans le box. Elle s'assoit sur le bord de la brouette, entre les deux poignées afin d'assurer sa stabilité. << Ça te dit une pipe, là, en vitesse ? >> demande James. Clémentine répond : << Je n'aime pas la "vitesse". C'est toujours forcément bâclé ! >>. La situation est surréaliste. Cette sublime jeune fille avec cet exhibitionniste pervers.

Il agite sa queue en s'approchant. Nous le sentons hésiter. Clémentine le fixe dans les yeux. De son port de tête altier, fière et droite. Comme pour défier le vicelard. Nous l'entendons dire : << À midi, en prenant de l'essence, un type comme vous faisait pareil ! >>. James demande : << Et tu l'as sucé ? >>. Clémentine ne répond pas. Elle continue de fixer le palefrenier. Il paraît mal à l'aise. Il bande comme un salaud. Il se branle. Il s'approche encore. Il n'est plus qu'à environ un mètre devant Clémentine. Elle reste parfaitement immobile.

James dit : << J'aimerais baiser avec toi. Ça te dit ? >>. Clémentine répond : << Vous vous sentez capable ? >>. C'est comme un véritable défi qu'elle lance à cet homme un peu bourru. Juliette glisse sa main entre mes cuisses par derrière. Elle me palpe vulgairement. Soudain, venant d'en bas, des voix. << Merde ! >> chuchote Juliette. Nous regardons. C'est madame Walter, la collaboratrice qui arrive avec un homme. << Un propriétaire de chevaux. Je ne pouvais pas prévoir ! >> murmure Juliette. Tout cela met fin à se qui se passe dans le box.

James remballe sa bite à une vitesse incroyable. Clémentine sort du box en saluant Bernadette toute étonnée de la trouver là. Nous redescendons l'escalier pour rejoindre Clémentine. << Mille excuses. Ce sont les impondérables d'un haras ! >> lance Juliette à Clémentine qui remet son anorak. Nous préférons nous en aller. Nous saluons tout le monde. Dans la voiture, en jouant avec ma queue, Clémentine me fait part de sa déception, de sa frustration. << Heureusement j'ai la tienne ! >> conclue t-elle en me confiant à quel point c'était excitant.

<< Je veux à tout prix me faire ce salopard. Tu as vu comme il se comporte ! >> lance Clémentine en cessant de sucer quand nous sommes de retour. Il est à peine 15 h30. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur entourée de ses fiches. Je suis installé devant mon chevalet. Tout en travaillant nous échangeons nos impressions. << Ce n'est pas dans les écuries qu'il faut que ça se passe ! >> conclue une fois encore Clémentine. Il faudra trouver la meilleure formule. Nous savons pouvoir compter sur Juliette et ses talents.

Il est 18 h30 quand nous quittons l'atelier pour la cuisine. Ce soir, c'est du rapide. Des coquillettes, une sauce au Roquefort, le reste de laitue. Nous mangeons de bon appétit. Pressé de nous offrir une soirée de bonheur, juste nous deux, nous faisons la vaisselle. Je saisis Clémentine par sa tignasse pour l'entraîner fermement au salon. En la faisant mettre à genoux au milieu de la grande pièce, je dis : << Ce soir c'est moi qui vais te baiser. Mais comme une salope. << Je t'aime, je t'aime comme une folle ! >> s'écrie t-elle en gobant mon sexe.

Tout en me suçant Clémentine déboutonne son jeans. Je l'aide à se redresser afin de le lui enlever avec sa culotte. Je l'installe sur le bureau. Penché en avant, mon visage entre ses cuisses, je découvre sa chatte dont les poils son maculés de mouille. L'excitation vécue dans le box avec ce saligaud a laissé des séquelles dont je me régale. Je frotte mon sexe contre le sien avant de la pénétrer. Ce soir, je la baise à la hussarde en la promenant dans tout le salon. Ces petits cris d'animal blessé, ses râles, ses gémissements sont autant de stimulants.

<< J'aime quand tu me baises comme ça Julien ! Comme c'est bon ! >>. Je la saisis par ses cheveux pour l'entraîner vers le canapé. Accroupie au-dessus de la cuvette en plastique, je la tient. Elle peut pisser. Je dis : << Je ne pourrais pas vivre sans la compagnie d'une salope de ton acabit ! >>. Clémentine avant de me sucer répond : << Je ne pourrais pas vivre sans un pervers dans ton genre ! >>. Je la force à se relever pour la déposer sur le bureau. Je la baise. Nous échangeons des vulgarités, des insanités. Un orgasme complètement fou.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui raffolent de bites, de pipes, de baises dans les lieux les plus glauques, les plus insolites...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1868 -



Juliette vient passer la soirée avec nous

Hier matin, mercredi, l'illusion de nous réveiller au bord de la mer est encore parfaite. Il est presque six heures. Le cri des mouettes, le ressac, la sirène d'un gros bateau dans le lointain. Clémentine vient se blottir contre moi. Elle saisit mon érection matinale en chuchotant : << Je t'aime. Comme c'était bien hier ! >>. Quelques bisous, quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Il fait frais dans la cuisine. Clémentine prépare le café en me racontant ses rêves.

Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre aventure au haras hier après-midi. James, le palefrenier exhibitionniste qui faisait des propositions à Clémentine. Moi qui était caché à l'étage avec Juliette. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée en amoureux. << J'aime être seule avec toi ! >> précise une fois encore Clémentine. Il est 6 h25. Nous remontons pour notre heure l'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol.

Les abdos sont prétexte à quelques déconnades. Charges additionnelles avant le retour au calme d'un bon stretching. La douche. Je descends le premier pour préparer l'auto. Le ciel est voilé mais lumineux. Tout est encore trempé. La fraîcheur humide est désagréable. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Un dernier bisou. << Je sens que je vais encore me toucher en roulant ! >> s'écrie t-elle en s'asseyant au volant. Un dernier bisou. Clémentine mime une masturbation masculine en démarrant. Un dernier coucou.

Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier j'allume un beau feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce huitième paysage destiné à ma saison d'été est une plongée dans un autre plaisir. Je peins en pensant à James, le palefrenier de Juliette. À ses propositions. Aux réactions de Clémentine. La matinée passe tellement vite. Il est déjà 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il y a du soleil.

La pâte feuilletée a décongelé. Je lave et je coupe deux gros poireaux. Je les ébouillante quelques instants. Je prépare une belle scarole. Pour midi et pour ce soir. Il reste des coquillettes que je réchauffe. Dans la poêle je fais rissoler un filet de flétan. Je râpe du gruyère de Comté. J'égoutte les poireaux. Je rajoute le tout à la Béchamel. Je verse sur les deux tiers de pâte feuilletée étalée dans un plat à tarte aux bords hauts. Je recouvre du dernier tiers de pâte en jointant bien. Je badigeonne du mélange œuf, lait de soja, moutarde à l'ancienne.

Au four pour une cuisson lente à 180°. C'est serein que je mange. Notre repas de ce soir est prêt. Je fais la vaisselle avant me monter me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. Le thermomètre extérieur indique 18°. Je descends jusqu'à la rivière. Il est 13 h30 quand je suis dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en restant habité par nos aventures de hier. En faisant l'amour dans la soirée, Clémentine m'a confié à quel point elle veut se le faire ce palefrenier.

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Assise à califourchon sur mes cuisses, tout en se frottant, elle me raconte sa journée. Le repas de midi au restaurant universitaire. << Je me suis touchée au retour comme à l'allée ! >> me dit elle. Nous rions. Elle rajoute : << Mais je roule doucement et je suis très prudente. Je veux pouvoir faire ça de très longues années encore ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur entourée de ses fiches. Nous aimons ces douces séances de travail en commun.

<< Mais là, j'en ai marre ! >> s'écrie Clémentine. Je nettoie la palette, les pinceaux. C'est devenu un nouveau rituel. Après m'être lavé les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier, j'y pisse par petits jets tout en laissant couler le robinet. Clémentine se précipite pour venir me la tenir. << C'est génial. J'adore quand tu fais ça ! >> dit elle à mon oreille avant de me faire des bises sur la joue. Je la tiens par la taille. Elle se penche pour sucer les dernières gouttes. Nous nous embrassons passionnément. << Garde ta bite à l'air s'il te plaît ! >> lance t-elle.

Il est 18 h30. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui fera les délices de notre repas. En préparant l'assaisonnement de la salade Clémentine découvre ce que j'ai préparé. Je mets les assiettes, les couverts. Debout derrière elle, je caresse son sexe à travers le tissu de son jeans. Je dis : << Dommage que ça n'ait pas abouti hier après-midi. J'aurai adoré te voir baiser avec ce pervers. Te voir le sucer ! >>. Clémentine fait : << Ce n'est que partie remise. J'adore baiser avec les pervers ! >>.

Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite en répétant : << Garde ta bite à l'air, elle adore ça autant que moi ! >>. Elle revient suivie de Juliette. Notre amie porte sa tenue d'écuyère. Sa tenue de travail. Un pantalon beige hyper moulant. Ses hautes bottes noires de cavalière. Un sweat brun. Ses longs cheveux ce soir en liberté sur ses épaules. Juliette fait mine de ne pas remarquer ce qui pend de ma braguette. C'est devenu un jeu. Cette attitude féminine follement excitante. Je bande mou. Clémentine me fait un discret clin d'œil.

Clémentine sort la tourte du four. Dorée, fumante la Flamiche Picarde suscite l'admiration de Juliette. Elle s'écrie : << Vous m'avez donné la recette. Je régale des amis avec. Mais ce n'est jamais aussi bon qu'ici ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte sa journée de chef d'entreprise. Les tracas administratifs, sanitaires. La saison de pension des chevaux touche bientôt à sa fin. Il ne reste plus qu'une quarantaine de chevaux. Ce qui soulage le travail du personnel. Juliette précise : << Mon palefrenier peut s'adonner à ses pulsions ! >>.

<< Oui, j'ai vu ça hier ! >> lance Clémentine. Juliette propose de recréer une situation similaire mais dans le petit local bureau. De préférence en fin d'après-midi ou en soirée. << Je peux organiser un "plan" ce vendredi, si ça vous chante ! >> dit elle. Clémentine me consulte du regard. Je me tripote la queue sous la table. Juliette fixe le mouvement de mon bras gauche. Clémentine répond : << Ça me chante ! >>. Je me lève pour agiter mon érection en direction de Juliette qui rajoute : << Nous serons cachés avec Julien pour voir ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon. Juliette a ramené une tarte aux pommes. Nous la savourons avec un thé au jasmin. Comme toujours, Juliette est vautrée dans le fauteuil qui nous fait face. Une jambe relevée et posée sur l'accoudoir. Clémentine serrée contre moi qui joue avec ma bite. Les deux petites bosses que font les lèvres du sexe de Juliette sont parfaitement visibles. Séparées par la couture de son pantalon d'écuyère aussi moulant qu'un legging. Je fixe ces bosses. Juliette adore en rajouter. Elle les fait bouger.

Sans doute par petites contractions de ses muscles fessiers. Cette sublime bourgeoise de 48 ans est aussi exhibitionniste que voyeuse. Surtout qu'avec son index elle caresse cette couture centrale. Son ongle long et rouge brille sous la lumière des deux grosses bougies qui éclairent la scène. J'écoute Juliette et Clémentine partager leurs impressions quand à l'attitude du palefrenier. Juliette précise : << Quand ils ne sont pas vicieux, je me charge de transformer mes nouveaux employés en véritables pervers ! >>. Nous éclatons de rire. C'est si vrai !

Je me lève. Je m'accroupis devant Juliette. Elle sait ce que je m'apprête à faire. Elle retire son index. Je palpe chacune des deux petites bosses. Je les fais rouler entre mon pouce et mon index. J'insiste un peu sur l'endroit du clitoris. << Julien, vous êtes incorrigible ! >> dit Juliette en relevant l'autre jambe sur l'accoudoir. Clémentine se lève pour venir se coller contre mon dos. Elle tient ma queue en me masturbant doucement. Juliette prend l'initiative de caresser ma joue. Elle me fixe de ses yeux noisettes. De son air grave et sévère.

Clémentine se redresse pour m'entraîner vers le canapé où elle me fait tomber. Juliette demande : << Jalouse ? Craintive ? >>. Clémentine répond : << Oui, toujours un peu quand vous êtes à proximité de mon homme ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine sait pourtant n'avoir rien à craindre. Je suis d'une fidélité absolue. Tout ce qui se passe avec d'autres femmes est entendus entre nous deux. Prévu, programmé, dans la plus parfaite complicité. Lorsqu'il y a des improvisations cela reste toujours dans le cadre de nos connivences. C'est tellement mieux.

Tout en me faisant masturber j'écoute Juliette et Clémentine mettre au point la stratégie de ce vendredi. Nous serons au haras pour vingt heures. Juliette nous attendra à l'extérieur. C'est l'après-midi de repos de James. À cette heure là il n'y aura aucune visite impromptue. Juliette et moi nous serons cachés dans le box voisin. Le trou du Gloryhole nous permettra de regarder à tour de rôle. << Sympa non ? >> lance Juliette. << Sympa ! Je suis impatiente de me retrouver avec ce vicieux ! >> s'écrie Clémentine. Juliette rajoute : << Vicieuse ! >>.

Nous rions de bon cœur des aventures que nous raconte Juliette. Son palefrenier la baise de temps en temps. Mais c'est la pipe qu'il préfère. Juliette se suce sa queue une à deux fois par semaine. << Une façon de fidéliser mon personnel. Ce type fait un travail remarquable et se dépense sans compter. Il mérite bien quelques gâteries ! >> s'écrie t-elle. Je dis : << Juliette, vous êtes la plus délicieuse des salopes. Je n'ai jamais eu de supérieur hiérarchique mais je suppose que vos employés successifs gardent de beaux souvenirs de leur patronne ! >>.

<< Des souvenirs humides ! >> répond t-elle en se touchant l'endroit du clitoris de son index insistant. L'accent méridional de cette femme rajoute encore à son charisme aussi mystérieux que ses charmes. Juliette s'adresse à Clémentine : << J'aimerais baiser avec Julien. Cette interdiction qui dure depuis plus de quatre ans me pèse ! >>. Il y a un long silence. Cet aveux souvent répété met Clémentine mal à l'aise chaque fois. Juliette est la seule femme avec qui elle m'interdit de coucher. Elle sait les sentiments et les projets de Juliette pour moi.

Continuer à faire comme si tout cela n'existait pas reste l'option choisie par Clémentine. Juliette la respecte totalement mais en révélant la vérité à chaque occasion. Nous finissons toujours par en rire. << Je reste donc la seule concurrente sérieuse. Ça me flatte ! >> conclue ce soir encore Juliette. Nous en rions de bon cœur. Je dis : << Vendredi soir, je serais avec Juliette. Cachés à mâter par le trou dans le mur. Ça va être une dure lutte ! >>. Clémentine me branle en s'écriant : << Qu'elle reste dure ! >>. Juliette lance : << Une bonne turlute ! >>.

Juliette doit nous laisser pour 22 h. Elle aussi a des journées chargées. Je me lève le premier en disant : << Et si vous veniez me la tenir aux toilettes ? >>. Clémentine ne me la lâche pas en se levant. Juliette cesse de se toucher en se redressant. C'est Clémentine qui m'entraîne jusqu'au WC. Je suis devant la cuvette de faïence. Clémentine tend ma queue à Juliette en disant : << Mais c'est moi qui suce ! >>. Juliette se saisit de ma bite à sa base, juste entre le pouce et l'index, la contraignant vers le bas. Je bande trop fort pour pisser.

C'est la situation qui nous excite tous les trois. Clémentine est appuyée contre le lavabo, les bras croisés. Juliette me tient la queue de sa main droite. Penchée pour observer. J'ai mon bras autour de sa taille. Impossible de lâcher la moindre giclée. Par contre, avec l'excitation une goute de liquide séminal perle à l'extrémité de mon méat. Juliette me décalotte légèrement. Elle me masturbe doucement. Juste du bout des doigts. Je demande : << Vous en avez branlé combien des mecs dans votre vie ? >>. Juliette se contente de rire sans répondre.

<< Tous ceux qui ont le destin fou de se retrouver sur votre chemin, sans doute ! >> lance Clémentine. Juliette s'écrie : << Il faut qu'ils me plaisent. Qu'ils aient une certaine classe tout de même ! >>. Je rajoute : << Et qu'ils soient vicelards pervers, dociles aussi, non ? >>. Juliette me lâche la queue en répondant : << C'est exactement ça. Et ces individus, je les sens à des kilomètres ! >>. Nous éclatons de rire. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Clémentine tient ma queue légèrement plus molle dans la fraîcheur humide de la nuit.

Juliette, assise au volant, la vitre baissée, nous dit : << On s'offre une superbe soirée vendredi. Je suis déjà à me réjouir ! Demain je vois Robert, mon vétérinaire. Ça sent la fellation jusqu'ici ! >>. Je lâche une première giclée de pisse contre la portière de sa voiture. << Espèce de salaud ! >> lance Juliette qui se penche pour me regarder pisser. Clémentine en dirige le jet. Je fais un clin d'œil à Juliette. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. Dernier coucou. Nous la regardons partir. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine aussi excitée que moi.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font baiser sous les draps en confiant à quel point elle se réjouisse d'une nouvelle queue...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1869 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, jeudi, l'application "océan" nous tire du sommeil. Il est presque six heures. Ce sont les moteurs de ce chalutier entrant au port. Le cri des mouettes, le clapotis du ressac qui nous bercent de leurs illusions. Clémentine vient se blottir contre moi en chuchotant : << Juliette est une salope. Elle a même hanté mon rêve ! >>. Nous rions. Des papouilles, des bisous en nous précipitant aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra rouge, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine bien fraîche.

Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier en compagnie de Juliette. Ses propositions de préparer un "plan" à l'intention de Clémentine. << Je ne sais pas trop ! >> confie t-elle. Je l'encourage : << Tu ne vas pas restée sur la frustration de mardi après-midi. Et puis ça doit être un bon coup ce palefrenier exhibitionniste ! >>. Nous mangeons de bon appétit en dissertant sur les différentes options. << Pipe ou baise ? >> fait Clémentine.

Je réponds : << Les deux mademoiselle ! >>. Clémentine se lève pour s'assoir quelques instants sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. << Julien, merci de me comprendre, d'être mon merveilleux complice. Grace à toi, depuis plus de cinq ans, je me sens femme et je suis follement heureuse ! >>. Nous ne nous attardons pas. Notre heure d'entraînement nous attend. Nous remontons pour nous livrer à l'aérobic, au jogging sur tapis roulant, aux exercices au sol avec abdos. Les charges additionnelles avant le retour au calme du stretching.

La douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture. Le ciel est bleu, des nuages d'altitudes. La fraîcheur reste vive. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Un dernier bisou. << Je vais encore me toucher en roulant à cause de mon rêve et de notre conversation ! >> me dit elle en s'asseyant au volant. Malgré le froid je sors ma bite toute molle pour l'agiter en sa direction. Elle mime une pipe avant de s'en aller. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de rentrer.

La vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume une bonne flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le Pornographe" de Georges Brassens. Le huitième paysage destiné à ma saison d'été m'accapare toutefois rapidement. Je peins dans la sérénité sans cesser de penser à Juliette, sa proposition. À ce qui va encore probablement se passer aux écuries demain soir. Il est presque dix heures. La musique imbécile de mon téléphone posé sur la desserte parmi les tubes de couleurs.

C'est Juliette. Curieuse synchronicité. Je le lui fais remarquer. << Pareil pour moi. Je n'ai pas cessé de penser à notre soirée de hier et à notre projet ! >> s'exclame t-elle. Nous bavardons un peu. Juliette rajoute : << On se voit demain soir, vendredi, pour vingt heures, au haras ? >>. Je réponds : << Nous en avons déjà parlé ce matin au petit déjeuner. On vous fait un mail ce soir pour la confirmation ! >>. Nous nous saluons avant de raccrocher. La matinée passe si vite qu'il est déjà 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée. Ça flambe.

Il reste une grosse part de tourte aux poireaux que je réchauffe. Je prépare une salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit un scientifique et un économiste. Il est question des aberrations économiques et sanitaires de la gestion de la pandémie. Tous les mensonges dont nous avons été abreuvés sont scandaleux sinon révoltants. Il faut en conclure que l'immense majorité des gens sont des naïfs, des crédules, des moutons, peut-être même des imbéciles. Et ce n'est pas finit.

Je prépare une pâte à crêpe. Je fais rissoler des crevettes et des ronds de calmars. J'épluche, je lave et je coupe en fines lamelles des pommes de terre. Transformées en chips dans une poêle je les en retire pour les poser sur des feuilles de papier absorbant. Le nécessaire pour notre repas de ce soir est prêt. Ce seront des beignets de crevettes et de calmars. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller profiter de ce temps magnifique je dévale les escaliers. Le thermomètre extérieur indique 22°. Le soleil est maître d'un ciel bleu.

Je vais jusqu'à la rivière. J'ai même trop chaud dans ma chemise à carreaux. Une superbe journée de printemps. Enfin. Il est 13 h30 quand je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes pensées presque obsédantes. Juliette, James le palefrenier, sa bite, Clémentine. Tout cela provoque chez moi de nombreuses érections qui participent de mon inspiration. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la chaise avant de se précipiter pour sautiller tout autour de moi. En chantant.

Assise à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, Clémentine se frotte en me racontant sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Julie est amoureuse d'Estelle. Elle lui a envoyé deux textos. Estelle te raconte après, quand elle arrive ! >> m'apprend Clémentine. Nous rions de bon cœur. Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur entourée de ses fiches. Nous adorons ces séquences de travail en commun. Il est 18 h. Estelle arrive dans l'atelier pour se précipiter vers moi comme un ouragan.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte les "déclarations d'amour" de Julie. << Ça me fait de la peine de l'éconduire une fois encore. Je ne peux pas donner suite à ses sentiments ! >> dit elle. << Ses sentiments vont de l'une à l'autre en fonction des attitudes que nous avons avec elle ! >> lance Clémentine qui range ses affaires. << Je fais un courriel à Juliette, je suis OK pour demain ! >> rajoute t-elle. << Sans moi ! Vous êtes salauds tous les deux. Qui va s'occuper de Julien ? >> s'écrie alors Estelle.

<< Juliette, probablement ! Et ça me fait chier ! >> répond Clémentine. Je rassure mes deux anges. Je serais fidèle et sans égarements. Nous rions de bon cœur. Je nettoie la palette, les pinceaux. Estelle et Clémentine viennent se serrer contre moi pour me regarder me laver les mains. << Fais-moi voir aussi ce que tu fais au-dessus du lavabo depuis quelques jours. Clémentine me raconte tout ! >> dit Estelle. Je sors ma bite. Clémentine fait couler un petit filet d'eau du robinet d'eau chaude. Estelle m'attrape le sexe pour en diriger les multiples jets.

<< T'es un salaud ! J'adore ! >> fait elle alors que Clémentine se penche, le visage au-dessus du lavabo. La vapeur est un mélange odorant d'eau bouillante et de pisse. Ça nous monte aux narines. Je bande mou jusqu'aux toutes dernières giclées. << Il faut que tu montres ce plan pisse à Julie. Dans ses textos elle évoque les passions qu'elle a pour tes attitudes de vieux pervers ! >> lance Estelle. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Et elle n'est qu'au début de ses surprises ! >>. Elle se penche davantage. Estelle lui fait sucer ma queue.

À son tour Estelle se pence en s'écriant : << Et moi ! >>. Je la saisis par la nuque pour demander : << Tu as baisé avec Jean-Marc mercredi soir ? >>. Estelle se redresse pour répondre : << Mon parrain je l'appelle "Monsieur trois coups ! Ce salaud me tire pendant plus d'une heure. Je sens sa jute m'envahir à chaque coup ! >>. Clémentine cesse de sucer pour répondre : << On le fait venir un de ces jours pour un plan "chauffagiste" dans la maison d'amis. Je veux qu'il me saute aussi. C'était tellement bien la dernière fois. Il y a trois ans ! >>.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Le téléphone de Clémentine indique l'arrivée d'un SMS. << Juliette, ça marche pour demain soir ! >> s'écrie Clémentine en se précipitant dans mes bras. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour se frotter. << Et moi ! >> lance Estelle. Je lui administre le même traitement en disant : << Ce soir, je fais un contrôle "chatte de salopes" ! >>. Estelle saute de joie autour de moi en entraînant Clémentine. << Oh oui, contrôle de chattes ! >> chantent t-elles en même temps.

Estelle jette les crevettes, les ronds de calmars dans la pâte à crêpe. Clémentine prépare la salade d'endives. Je porte l'huile de friture à ébullition. Les filles parlent de leurs études. Les cours sont intenses. Ce troisième trimestre est celui de ce fameux Master II. Dernière ligne droite avant le Doctorat dans deux ans. << Nous aurons besoin de nombreuses catharsis pour surmonter le stress ! >> lance Estelle. << C'est à dire êtres encore plus salopes, dévergondées et vicieuses ! >> s'écrie Clémentine. Je dis : << Je serais votre maître de thèse ! >>.

<< Si seulement ! >> lance Clémentine. << On se fait un Doctorat "Vice" alors ! >> s'écrie Estelle. Clémentine récupère chaque beignet qui flotte sur l'huile avec l'écumoire. Estelle réchauffe les pommes de terre chips. Je mets les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit. Les beignets de crevettes et de calmars, accompagnés de chips et d'une salade d'endives sont les délices de nos jeudis soirs. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges évoquent des souvenirs du haras.

Ce fameux Gloryhole qui a offert de nombreuses surprises à Clémentine. Les partouzes vécues là-bas. << Il s'est passé des trucs fous aux écuries ! >> lance Estelle. << Et ce n'est pas fini ! >> s'écrie Clémentine. Tous ces souvenirs nous excitent. Ces évènements sont relatés dans nos récits quotidiens. Le lecteur qui suit nos aventures sait de quoi il en retourne. J'ai tout noté comme dans un journal intime. Seuls les prénoms sont des pseudos. Tout le reste est du vécu. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous n'arrêtons pas de nous câliner.

Mes deux anges m'entraînent au salon. Elles arrachent mes vêtements avant d'enlever les leurs. Nous voilà tous les trois juste en chaussettes et en chemises à carreaux. C'est un rituel tous les jeudis soirs. Estelle veut se faire "examiner" le minou par le "docteur Julien". Après sa méga baise du mercredi soir avec son parrain, c'est le prétexte idéal pour des plaisirs buccaux qu'Estelle apprécie tout autant. Vautrées toutes les deux dans le canapé, tenant leurs jambes écartées et relevées sous les genoux, elles me présentent leurs minous.

Il faut fouiller dans les invraisemblables touffes. Je ne cesse de recracher des poils. Je commence toujours par Estelle. Clémentine se masturbe déjà en attendant son tour. Je fouille la fente d'Estelle du bout de la langue pendant qu'elle stimule son clitoris. C'est une douce sensation car les lèvres de son sexe jaillissent doucement comme les pétales d'une tulipe. Ça mouille, ça coule. Je me régale de ses substances légèrement amères. Son "yaourt" devient de plus en plus abondant avec les années. J'en suis impressionné. Un gout fort.

Je passe à Clémentine dont les lèvres charnues de son sexe sont autant de cachettes qui recèlent de délicieuses surprises. Du jus de fille. Comme elle se masturbe souvent dans la journée, il y a d'extraordinaires quantité de mouille. De substances. Un gout vinaigré quand je titille le trou à pipi. Quand je cesse de la fouiller de ma langue c'est pour sucer son clitoris géant. C'est comme si je taillais une pipe. Je passe de l'une à l'autre dans un concert stéréophonique de gémissements, de petits cris de ravissements, de petits râles de jouissances.

Je suis à genoux sur les épais coussins. Je fais se retourner Estelle à quatre pattes pour lui lécher le cul. Avec la transpiration de la journée dans la raie culière se rajoutent les coulées de cyprine. De bouffer ce cul a quelque chose d'exaltant. Ça sent très fort. Les effluves du parfum "fille négligée". Je me branle en même temps. Estelle titille son clitoris en remuant du cul. J'administre le même traitement à Clémentine. J'adore comme elle se tortille. J'enfonce la première phalange de mon index dans les culs. Elles se tortillent les coquines.

<< Enculeur de fille, salaud, pervers ! >> me fait Estelle à chaque fois sans cesser de se masturber. C'est elle qui connaît une série d'orgasmes à répétitions qui la font s'effondrer. Couchée sur le côté, les mains entre les cuisses comme si c'était douloureux, les yeux larmoyants, elle pousse de profonds râles de plaisir. Je tiens la cuvette en plastique des deux mains. Clémentine la dirige en la saisissant également. J'anticipe. Je suce son clitoris. Je me retire au premier spasme. Juste à temps. Clémentine jouit en pissant dans le récipient.

Estelle observe toujours la quantité de pisse avec étonnement. Derrière le jet de pisse, de la vulve, s'écoule une véritable éjaculation de cyprine. Les hurlement de Clémentine traduisent l'orgasme fabuleux qu'elle connaît encore ce soir. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Les filles tentent de reprendre leurs esprits. Il y a de la foutrine qui flotte sur la pisse chaude de Clémentine. J'essaie de la récupérer avec le doigt pour la bouffer. Je retourne la lécher, la sucer en l'écoutant gémir de bonheur. Elle me tient par les oreilles pour me guider. Miam !

Estelle tombe à genoux quand je me redresse. Je lui montre l'heure sur la pendule Westminster. Il est 21 h50. Je dis : << Je te fais sucer samedi. Je vais me montrer le plus vicelard des salauds avec toi ! >>. Estelle cesse de sucer pour répondre : << Des promesses, toujours des promesses ! >>. Clémentine se torche avant de jeter le mouchoir en papier dans la cuvette. Il flotte lui aussi sur la pisse. Je dis : << Pas une goutte à côté ! Félicitations ! >>. En riant elle m'embrasse pendant que je force Estelle à se redresser en la tirant par la tignasse.

Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. La nuit est froide. Assise au volant, la vitre baissée, elle me regarde pisser contre la portière. Clémentine me tient par les hanches en disant : << C'est devenu un autre rituel. Julien pisse contre la bagnole de toutes les visiteuses qui viennent à la maison ! >>. Nous rions aux éclats. À la fin de la toute dernière giclée, j'offre ma queue à Estelle qui suçote du bout des lèvres. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Salle de bain, WC, dernier pipi.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont encore se régaler d'une bonne bite juteuse sous les draps avant de s'endormir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1870 -



Un vendredi très particulier

Hier matin, vendredi, ce sont les cris stridents des mouettes qui nous réveillent. Il est presque six heures. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils en donnant l'illusion d'être en bord de mer. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Quelques papouilles, des bisous avant de nous précipiter aux toilettes. Le vendredi Clémentine termine à midi. Ce qui la rend assez déconneuse. Morts de faim, habillés de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Les radiateurs de la cuisine viennent de s'enclencher. Il y fait encore frais.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier avec Estelle. Le fameux "contrôle minou" qui est un prétexte à se faire lécher la cramouille. << C'était génial ! >> précise Clémentine en prenant un air d'extase avant d'éclater de rire. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le "plan" de Juliette ce soir. << J'ai la trouille ! >> s'écrie Clémentine. Devant l'inconnu c'est une réaction normale.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Aérobic, jogging sur tapis roulant, exercices au sol, abdos. Le jour se lève déjà complètement. Bientôt nous pourrons aller courir à l'extérieur. Les charges additionnelles avant un stretching totalement loufoque où Clémentine nous fait rire aux éclats. La douche. Je descends le premier pour préparer l'auto. Le ciel est gris et menaçant. La fraîcheur humide est vive. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak. Un dernier bisou. Elle palpe ma braguette.

<< Tu penses à moi, hein ! J'ai une épreuve qui m'attend ce soir ! >> dit elle en s'installant au volant. Je regarde la voiture s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, notre lit. Je passe à l'atelier où j'allume un beau feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Ce huitième paysage destiné à ma saison d'été sera terminé dans la matinée. Je peins en pensant à Clémentine. À ce qui va encore se passer ce soir au haras, aux écuries en compagnie de Juliette.

Il est 11 h30 quand je dépose la dernière touche de vert d'émeraude sur le bonnet de la bergère assise sur un rocher. Cette œuvre est terminée comme prévu. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je pose la prochaine toile sur le chevalet. Je pourrai m'y atteler dès lundi matin. Je prépare le matériel pour le cours de peinture de cet après-midi. Julie termine à 16 h et viendra nous rejoindre pour 16 h30. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les beignets de crevettes, de calmars et les chips.

Je prépare une salade de carottes avec des champignons crus, des cerneaux de noix. Je mets les assiettes, les couverts. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou en s'écriant : << Week-end ! >>. Je la soulève pour lui permettre d'enserrer ma taille de ses jambes. Elle me couvre le visage de bisous, enfonce sa langue dans ma bouche en poussant des râles de plaisir. Elle m'entraîne aux toilettes pour le rituel pisseux. Nous sommes morts de faim. Nous voilà installés à table. Clémentine me raconte sa matinée.

Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur le programme du reste de la journée. Julie cet après-midi, James et Juliette ce soir. << J'ai peur. C'est à la fois angoissant et excitant ! >> lance Clémentine en s'asseyant sur mes genoux. Je la rassure. Tout se passera bien. Je dis : << Tu as envie de baiser avec ce mec. Tu devrais rester sereine ! >>. Clémentine change de position pour me chevaucher en frottant sa braguette contre la mienne. << Tu ne te feras pas avoir par Juliette, hein ! Elle est trop heureuse d'être seule avec toi ! >> s'écrie t-elle.

Je rassure Clémentine en précisant : << J'ai promis de ne pas baiser avec elle. Pour tout le reste, je ne peux pas m'engager ! >>. Clémentine m'enfonce la langue dans la bouche pour m'empêcher de continuer. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Sans cesser de nous faire des bisous. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. << Viens ! >> me fait Clémentine en m'entraînant par la main dans la chambre. << Tu me conseilles pour les fringues de ce soir ! >> lance t-elle.

Je suis assis sur le lit. J'adore quand Clémentine fait de l'essayage. Mais, question choix, il m'est impossible de décider pour elle. Tout lui va si bien. Elle est extraordinairement sexy en jupe kilt à petits carreaux verts et rouges. Son chemisier crème sous un pull rouge sang. Des soquettes blanches dans des mocassins noirs. << Je fais pute ? >> me demande t-elle en s'accroupissant devant le miroir, les cuisses largement écartées. Elle dit encore : << Ce soir, je n'aurai pas de culotte ! >>. Je me lève pour passer derrière elle. Mains sur ses épaules.

Je dis : << Tu es magnifique. Absolument divine ! Tu imagines un peu l'effet que tu feras ce soir ! >>. Clémentine glisse sa main dans sa culotte en faisant : << Je me suis toujours auto érotisée comme ça, en me voyant devant le miroir. Je m'excitais toute seule au début de l'adolescence. Mon image me troublait déjà terriblement ! >>. Je prends un foulard de soie verte pour le passer délicatement autour de son cou. << Wouah ! La classe ! >> s'écrie t-elle en se redressant tout en continuant à se toucher. << Bonne idée le foulard ! >> dit elle.

Clémentine a encore du travail. Elle remet son jeans, sa chemise à carreaux. Les vêtements pour ce soir étalés sur le lit. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Il y fait bien chaud. Clémentine est assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. D'ici deux mois ce seront les épreuves cruciales de son Master II. Comme toujours, pugnace et travailleuse, Clémentine va relever ce challenge avec une vraie obstination. Je suis debout derrière elle à lisser ses cheveux. << J'aime, ça me détend quand tu fais ça ! C'est si bon ! >> murmure t-elle.

Je suis installé en face de Clémentine. Je calque le dessin d'une ancienne réalisation sur une toile vierge. Nous aimons ces séances communes. J'aime entendre Clémentine chantonner ou commenter ce qu'elle fait. Il est seize heures trente. Trois petits coups timides contre la porte qui s'ouvre. Julie se précipite. Trois bises à Clémentine. Trois bises sur mes joues. << Comme je suis contente ! >> s'écrie t-elle en retirant son blouson de cuir noir. Julie est vêtue d'un jeans, d'un sweat, de ses bottines. Ses lunettes d'étudiante. Une longue natte.

Assise devant le chevalet où est déposée la toile achevée ce matin, elle reste silencieuse. Je me lève pour aller poser mes mains sur ses épaules. Je me penche pour répondre à ses questions. Ma bouche tout prêt de son oreille. Cette intimité ravit notre douce amie. Je demande : << Et mon "portrait" ? A t-il trouvé sa place dans votre cachette, au grenier ? >>. Julie répond : << Oui. Et je monte souvent en admirer le sujet ! >>. Nous éclatons de rire tous les trois. Je vais au-dessus du petit lavabo de l'atelier. J'ouvre le robinet. J'ouvre ma braguette.

Consternée, depuis la chaise où elle est assise, Julie me regarde pisser. << Une nouvelle pratique que Julien aime à appliquer là ! >> lance Clémentine qui se lève pour venir me rejoindre. << Viens ! >> dit elle à Juliette en lui faisant signe de l'index. Il y a un tout petit miroir. Tout en pissant je peux admirer les expressions de Julie. Elle se précipite. Clémentine me tient la bite pour en diriger les nombreux jets. Elle tend mon sexe à Julie qui s'en empare sans la moindre hésitation. Julie découvre que je l'espionne dans le miroir. Elle devient toute rouge.

Je bande mou. La situation est extraordinairement excitante. Je lâche de minuscules petits jets afin de faire durer le plus longtemps possible. Julie, comme en extase, se concentre. Penchée en avant, me tenant timidement par la taille de son bras droit, elle dirige les giclées de sa main gauche. << Tu es devenue une experte ! >> lui dit Clémentine qui approche son visage. L'odeur d'urine est forte sous le robinet d'où coule un filet d'eau chaude. La toute dernière giclée. Comme si elle anticipait, Julie tend ma queue vers Clémentine qui se met à sucer.

Julie observe mes expressions dans le miroir. Chaque fois que nos regards se croisent elle baisse les yeux, toute gênée. Elle est toute rouge et en sueur. Clémentine se redresse en disant : << Julie, je te recommande les dernières gouttes. Le mec est toujours tellement excité que tu pompes du "mélange" ! >>. Julie ouvre de grand yeux. Sans lâcher ma queue qu'elle scrute d'un air dubitatif. Je dis : << Ça fera l'objet du prochain film ! Qu'en dites-vous Julie ? >>. Julie me lâche pour cacher son visage dans ses mains. Je la prends par ses épaules.

C'est l'heure du cours de peinture. Julie s'assoit sur sa chaise. Devant son chevalet de table. Elle commence cet après-midi un paysage d'après une photo prise prêt de chez elle. Je suis installé à ses côtés. Je tiens ma bite. Julie louche discrètement et régulièrement. Pourtant, elle reste concentrée. Cette faculté toute féminine de pouvoir faire deux choses en même temps. De pouvoir se concentrer sur deux éléments distincts. Il est dix huit heures. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle revient demain matin pour faire notre ménage.

Un dernier bisou. Un dernier coucou. Clémentine tient ma queue pour l'agiter en direction de la Clio rouge qui monte lentement vers le portail. À l'arrêt sur la route, Julie sort de son auto pour nous faire de grands signes, mimer des bisous qu'elle souffle dans ses mains vers nous. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine m'embrasse avec passion en disant : << Quand je te vois faire le pervers avec une autre, ça me rend folle d'excitation. Je crois que je suis bien prête pour ce qui m'attend ce soir ! >>. Sa révélation me fait bander très fort.

Clémentine prépare une salade de tomates avec de l'avocat. Je fais gonfler du riz complet et bio. Je concocte une belle sauce au Roquefort. Dans la poêle je fais dorer deux filets de colin. Nous mangeons de bon appétit. Dans un état d'excitation grandissante, nous faisons la vaisselle avant de remonter. Lavage des dents. Clémentine se change. Je la sens fébrile. << Je t'aime Julien ! >> n'arrête t-elle pas de chantonner. La voilà vêtue de sa jupe kilt, de son chemisier crème sous son pull rouge. Ses soquettes blanches, ses mocassins noirs.

James, le palefrenier exhibitionniste

Nous arrivons au haras pour 19 h50. Je gare la voiture dans la cour quasi déserte. Clémentine pose sa tête sur mon épaule, prend ma main pour la serrer très fort. << Merci Julien. Je suis la femme la plus comprise et la plus heureuse ! >> murmure t-elle à mon oreille. Je lui dépose une bise sur le front en chuchotant : << Tu fais de moi l'homme le plus heureux ! >>. Nous sortons de l'auto. Juliette arrive par la grande porte de l'ancienne écurie. Notre préférée. Elle vient à notre rencontre. Nous nous touchons les poings. Clémentine se serre contre moi.

Juliette s'adresse à Clémentine : << Voilà le "plan" ! James est dans le local bureau. Je l'ai chargé d'un travail d'archives tout à fait "bidon". Il suffit de vous manifester d'une façon ou d'un autre. Il vient voir ce qui se passe. Il vous invitera probablement à prendre un expresso à la machine à café. Julien et moi nous serons dans le box. Il y fait sombre. Il sera impossible de se douter de notre présence ! >>. Clémentine regarde Juliette longuement. Elle finit par répondre : << Joli "plan" de salope. Merci ! >>. Juliette rajoute : << Amusez-bous bien ! >>.

Juliette me prend par le bras cour contourner le bâtiment. Nous le contournons pour passer par les toilettes. Silencieusement nous en sortons pour apercevoir Clémentine debout dans l'allée centrale. Elle nous fait un coucou. Entrain de caresser l'encolure d'un des chevaux elle reste immobile. Juliette m'entraîne dans le dernier box. Il y a les mêmes couvertures matelassées au sol, contre la cloison, juste sous le trou parfaitement rond. Cinq centimètres de diamètre à environ quatre vingt centimètres du sol. Juliette me dépose une bise sur la joue.

Par le trou je vois James. Il est assis à la table entrain de fixer des feuilles dans un classeur. Nous entendons Clémentine tousser, puis se moucher. Ce qui attire l'attention du palefrenier qui se croit seul. Il se lève. Il sort du local bureau. << Bonsoir ! >> lance t-il à Clémentine. Nous l'entendons répondre : << Je crois que je me suis un peu refroidie ! >>. Le palefrenier propose un café bien chaud. << Volontiers ! >> lance Clémentine que nous voyons passer devant le box. Juliette met son index sur ses lèvres en murmurant : << Chut ! >>.

Dommage qu'il n'y ait qu'un trou. Il faut se partager l'orifice. Juliette semble toutefois beaucoup plus intéressée par mes réactions. Je suis à genoux sur les épaisses couvertures. Juliette à mes côtés qui me tient par la taille. Par le gloryhole j'observe avec facilité. Clémentine est installée dans le vieux canapé. Elle jette de discrets coups d'œil vers le trou sans pouvoir distinguer quoi que ce soit. << La patronne m'a chargé de trouver un des documents concernant un cheval qui était en pension deux années de suite ! C'est chiant ! >> explique James.

Juliette veut regarder à son tour. De son épaule elle pousse la mienne. Je passe mon bras autour de sa taille. Elle a un frisson pour se serrer fort. Elle me cède la place trop heureuse d'être enfin seule avec moi. James a sorti sa queue qu'il agite à une cinquantaine de centimètres du visage de Clémentine. Il est debout, à la bonne hauteur, Clémentine assise tenant sa petite tasse de café. James se rapproche. Clémentine pose la tasse sur le tabouret à sa droite. Elle pose ses mains sur les hanches de James en recevant son sexe dans la bouche. Yeux fermés.

Je suis toujours secoué d'une curieuse décharge électrique dans le dos quand je vois Clémentine sucer un autre. Un curieux sentiment. Une émotion profonde m'étreint encore cette fois. Je l'ai vu sucer tant de mecs et tant de fois. Pourtant je ne peux m'y habituer. Je bande. Juliette s'en doute car elle empoigne ma braguette. Je regarde Clémentine tailler une pipe à ce mec. Il lui caresse les cheveux. Passe sa main dans sa nuque avant de l'empoigner fermement. Il enfonce soudain la totalité de sa queue. Clémentine a un haut le cœur. Tousse.

Le salaud fait du forcing. Il ne se doute peut-être pas encore vraiment que Clémentine à l'âme d'une authentique "Soumise". Il s'en doute probablement en voyant les réactions de cette étonnante jeune fille. Il la lâche enfin. Pour reprendre son souffle Clémentine se retire. De longs filaments de foutre relient sa bouche à la bite du salopard. Avec son index il les récupère pour introduire son doigt dans la bouche de la fille. J'ai un frisson de dégout en voyant Clémentine sucer ce doigt avec la même passion que la queue du mec. C'est un vicelard.

Juliette déboutonne mon jeans. Elle du mal à en extraire mon sexe. Je bande tellement fort. Elle me le tient d'une poigne ferme en chuchotant à mon oreille : << Enfin. Tu n'imagines pas comme je suis heureuse Julien ! >>. Cette confession me met très mal à l'aise. C'est paradoxale et ridicule mais j'ai la désagréable impression de commettre un acte qui pourrait causer de la peine à Clémentine. Je culpabilise. Juliette s'en doute car elle murmure : << Cette salope est entrain de sucer et tu culpabilises ! Profite toi aussi. Je n'attends que ça ! >>.

Je sais bien que Juliette dit vrai. Mais j'aime Clémentine. Tellement fort. Par le trou je vois que James recommence à faire du forcing. Il se livre là avec ma compagne à un authentique "face fucking". Il pousse des cris d'animal en rut. Il se comporte comme je le fais souvent avec Estelle. J'ai soudain honte. Juliette passe derrière moi pour se coller à mon dos. Elle me masturbe doucement. Elle doit avoir une solide connaissance du fonctionnement masculin car elle me branle juste sous le prépuce, du pouce et de l'index. Comme je me branle moi-même.

James se retire. Il saisit Clémentine par sa tignasse. La fait basculer sur le canapé en la renversant sur le dos. Il découvre qu'elle n'a pas de culotte. << Salope ! T'es venue te faire baiser là. T'avais prévu ton coup ! >> s'écrie le palefrenier en arrachant son vieux pantalon de velours et son slip. << Capote ! >> crie Clémentine. << Va te faire enculer salope ! >> hurle le salopard en saisissant le sachet que lui tend la fille. À contre cœur, en maugréant, James enfile le préservatif. Il bande comme un taureau. Quinze bons centimètres sur trois de large.

À peine enfilée sur sa turgescence, le salaud se rue sur Clémentine. Elle le reçoit cuisses largement écartées. Couchée sous lui, en tentant d'éviter qu'il ne lui fourre la langue dans la bouche, Clémentine se fait saillir. Car c'est à une vraie "saillie" que nous assistons là. Juliette me masturbe doucement d'un mouvement régulier. Elle ne cherche même plus à regarder. Elle me chuchote des douceurs. Ce sont des confidences. De véritables déclarations d'amour. C'est extrêmement dérangeant. À cause de ce que je vois. À cause de la situation.

Clémentine, les jambes relevées, se fait baiser en poussant de petits cris. Le salaud tente de l'embrasser. Elle évite tant qu'elle peut. Elle passe ses jambes sur les fesses de James en s'astiquant vigoureusement. J'ai déjà vu Clémentine se faire sauter à plusieurs reprises. Mais là, je dois admettre que je ne l'ai jamais vu si "sauvage". James éjacule probablement. Il hurle. Clémentine se laisse embrasser. Elle y met de la fougue, de la passion. Je suis sidéré. James dit à haute voix : << Ça te dit de venir baiser une fois par semaine ? >>. Un silence.

Il se retire. Clémentine répond : << Pourquoi pas ! >>. Tout cela n'a duré qu'une dizaine de minutes. James retire sa capote. Clémentine s'en empare pour y faire un nœud. << Souvenir ! >> lance t-elle. Ce préservatif plein de foutre ira rejoindre sa collection dans le tiroir de sa table de nuit. Clémentine se lève, s'ajuste. James tente de la retenir. << Non ! On m'attend ! >> lance Clémentine d'un ton péremptoire. James lâche son bras pour s'habiller. Clémentine en profite pour filer en s'écriant : << On se contacte par la patronne ! >>. Elle sort vite.

Je me redresse. Juliette aussi tente de me retenir. Je lui dépose une bise sur le front. Je dois me sauver avant que le palefrenier découvre notre stratégie. Je rejoins Clémentine dans la voiture. << J'ai honte ! >> me dit elle en croquant dans une pomme pour enlever le gout de sperme. Il est 21 h30 quand nous revenons. Dans la salle de bain, je saisis Clémentine par la nuque. Je la force à s'agenouiller sur le peignoir roulé en boule. Je lui enfonce la bite dans la bouche en murmurant : << Je t'aime salope. Au lit c'est moi qui vais te baiser ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire sauter une deuxième fois avant de se faire juter dans la bouche. Le dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1871 -



Une soirée cinéma en compagnie de Julie

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Clémentine se blottit contre mon épaule en murmurant : << J'ai encore honte de ce que je t'ai fait hier soir ! >>. Je la prends tout contre moi pour chuchoter : << Hier soir ? Mais tu t'es juste offert un bon moment ! En quoi m'aurais-tu causé du tort ? >>. Clémentine me chevauche en s'écriant : << Je t'aime, je t'aime Julien ! >>. L'impérieux besoin naturel met toutefois rapidement fin à nos effusions de tendresses. Nous nous précipitons aux toilettes sans nous lâcher la main tout en riant tellement.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Pendant que Clémentine fait le café en me racontant ses rêves, je presse les oranges, je pèle les kiwis. Je vais dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Julie arrive pour 8 h30 et nos livraisons pour 10 h. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier au haras. Je réponds aux questions de Clémentine qui veut savoir tout ce qui s'est passé entre Juliette et moi. Je la rassure, Juliette n'a fait que me masturber.

Je confie toutefois les aveux que m'a encore fait cette belle bourgeoise de 48 ans. << Mais elle s'y croit déjà la salope ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Je dis : << Juliette nous a vanté les performances de "Mr quatre coups". Hors je n'en n'ai vu qu'un ! >>. Clémentine s'empresse de corriger : << Je l'ai sucé presque une heure, tu as vu ? Et bien ce pervers m'a éjaculé dans la bouche deux fois avant de me tirer ! Ce sont les fois où il bloquait ma tête, tu te souviens ? >>. Je comprends beaucoup mieux ce qui s'est passé.

Nous mangeons de bon appétit en échangeant nos ressentis. Je félicite Clémentine pour arriver à surmonter ses inhibitions. << Il m'en reste tout de même quelques unes ! >> s'écrie t-elle. Nous éclatons de rire. Du bruit. C'est Julie qui arrive. Elle est toute contente de nous retrouver. Nous évitons de parler de ce qui s'est passé aux écuries. Pour de simples raisons de protocole. Julie et Juliette ont vécu il y a presque quatre ans une relation amoureuse qui ne s'est pas très bien terminée. Julie n'avait alors que seize ans. On ne veut pas savoir.

Julie est vêtue de son jeans, ses bottines, son pull bleu nuit sous son blouson de cuir noir. Ses longs cheveux en catogan. Nous nous faisons la bise. << Allez courir, je m'occupe de tout ! >> lance t-elle en retirant son blouson. Nous la laissons pour enfiler nos K-ways. Il est 8 h30. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide. Le sol est trempé des pluies de cette nuit. Aussi, c'est en restant sur le bord de l'étroite route communale que nous joggons. Nous ne croisons qu'un seul véhicule agricole et une voiture de la poste. Calme.

Il est presque neuf heures trente quand nous revenons. Nous pouvons entendre l'aspirateur quelque part à l'étage. Nous prenons notre douche. Nous revêtons nos jeans, nos épaisses chemises à carreaux. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Le lit est fait. Julie a changé les draps. Ce n'est pas dans ses attributions mais elle est tellement zélée et méticuleuse. Clémentine ouvre le tiroir de sa table de nuit. Elle en tire le préservatif noué, emplit du sperme de James. << Souvenir ! >> dit elle en l'agitant comme un balancier. Nous rions aux éclats.

Il y a cinq autres capotes emplies de liquides jaunâtres. Hermétiquement closes elles sont là depuis quelques années. Les "coups" les plus remarquables de Clémentine. Marquées au fin feutre noir du prénom de leurs "remplisseurs". Il faut descendre. Nous dévalons les escaliers car nos livraisons ne vont pas tarder. Nous enfilons nos anoraks. Le ciel est bas, gris et plutôt menaçant. Le thermomètre extérieur indique à peine 14° alors qu'il est déjà dix heures. Voilà d'ailleurs la camionnette des fruits et légumes qui descend doucement le chemin pavé.

Danièle, toute souriante, nous remet nos deux cageots et récupérant ceux de la semaine dernière. L'un contient nos fruits, nos légumes, l'autre contient les fromages, le beurre, les œufs, les yaourts et les petits pots de crème fraîche. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Danièle s'en va pour d'autres livraisons. Nous n'attendons pas deux minutes sous les premières gouttes de pluie. Le tube Citroën rénové de notre boulangère adoré descend à son tour. Madame Marthe, joviale et hilare nous remet nos deux grosses miches "bio".

Tout en racontant quelques amusantes anecdotes du bourg voisin, elle nous tend la grosse brioche au pudding et les deux énormes croissants aux amandes dont elle nous fait cadeau toutes les semaines. Les deux pâtes feuilletées encore tièdes. Elle aussi a bien d'autres clients à livrer. Paiement par carte, même commande pour samedi prochain. Nous nous empressons de contourner la maison pour descendre à la cave par derrière. Sur les étagères du cellier nous disposons les légumes, les fruits. La cave est saine et sèche. Fraicheur parfaite.

Du congélateur où je mets les deux pâtes feuilletées et une des deux grosses miches de pain complet, je tire un paquet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Clémentine m'embrasse en bas des marches. Elle murmure : << Ça ne te dégoute pas ? J'ai quand même encore sucé une autre bite que la tienne hier soir ! >>. Pour toute réponse je dépose une bise sur son front en chuchotant : << Tu t'es lavée les dents, tu as mangé, plus de douze heures se sont écoulées ! >>. Rires.

Julie s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine. Nous rangeons rapidement les produits frais dans le réfrigérateur. En sortant nous déposons chacun une bise sur son front avant de passer au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. Celui de mon oncle d'Édimbourg qui nous informe d'un superbe plan immobilier. Comme nous voulons nous installer dans mon pays, en Écosse, Clémentine et moi, dès l'obtention de son Doctorat, nous avons déjà conclu un marché avec un vendeur l'année dernière.

Nous nous promettons d'étudier la proposition. D'ici deux mois, quand nous viendrons à Édimbourg, nous visiterons, nous aviserons. Il y a un courriel de Juliette qui nous remercie pour la soirée de hier. Félicitant Clémentine pour sa "prestation". Elle joint une photo en gros plan du trou dans le mur. C'est un endroit assez dégueulasse. Il y a des coulures sèches juste sous l'orifice. De multiples spermes ont séché là. << Beurk ! >> lance Clémentine avec une horrible grimace. Il y a le mail d'Estelle qui nous annonce son impatience d'arriver pour 13 h30.

Dans la petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 €. La liste de nos commandes pour lundi soir. Clémentine y rajoute un petit mot que je signe d'une fleur de lys. Une petite visite sur le site de l'université. Aucune information autre que le programme de la semaine à venir. Il est 11 h25. Julie vient nous rejoindre en disant : << Voilà ! Vous avez une maison bien propre ! >>. Clémentine se lève pour contourner le bureau. Elle prend Julie par ses épaules en répétant une fois encore : << On se moque du ménage. C'est juste si bien quand tu es là ! >>.

Je me lève pour lui remettre l'enveloppe. << Merci ! Moi aussi, je suis si contente d'être là. J'adore cette demeure. J'adore faire du nettoyage. Je le fais d'ailleurs cet après-midi à la maison, pour aider maman ! >> dit elle. Elle rajoute : << Je suis là ce soir pour dix neuf heures. Je peux rester jusqu'à demain matin 11 h. J'ai tout prévu ! >>. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. La séparation est beaucoup moins difficile aujourd'hui. Clémentine palpe ma braguette sous le regard ahuri de Julie qui démarre. Un dernier bisou. Un coucou.

Nous nous dépêchons de rentrer au sec car la pluie est fine et régulière. Clémentine s'occupe de la belle laitue dont elle lave chaque feuille. Je prépare un bouillon dans lequel je jette les moules encore congelées. Dans le wok je vide les sachets de haricots verts et de petits pois. C'est rapide le repas du samedi midi. Peut-être pas très macrobiotique mais succulent. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie les plaisirs vécus hier soir. << Tu as vu comme il me tenait la tête ? >> me demande t-elle.

Je dis : << J'adore te voir sucer un mec. Je crois bien que je préfère te voir tailler une pipe que baiser ! >>. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous épluchons des pommes de terre, des carottes, les navets, un céleri. En grande quantité. Lavés, coupés en morceaux grossiers, ces légumes seront l'accompagnement de nos repas du week-end. Rien de mieux qu'une potée de légumes réchauffée pour accompagner différentes préparations de poissons. Avec des sauces improvisées et variées.

Tout est dans la vieille cocotte en fonte noire. Nous allumons le four électrique sur 180° afin d'en assurer une première cuisson. Parfait. Nous montons pour nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Quand Julie termine son ménage, elle allume toujours les différents diffuseurs d'arômes. À l'étage flottent les effluves parfumées du magnolia. C'est magique. C'est amusant de s'embrasser avec le gout de la crème dentifrice à la verveine. C'est comme un dessert. Clémentine caresse ma braguette en gémissant.

<< Ils sont cachés où les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. Elle nous découvre entrain de nous embrasser, de nous palper. Elle se précipite. Nous nous serrons fort tous les trois en nous faisant plein de bisous. C'est tellement bien de se retrouver ensemble. << Alors ? Raconte-moi hier soir ! >> lance Estelle en s'asseyant sur le bord de la baignoire. << Génial ! J'ai le trophée dans le tiroir de la table de nuit ! >> répond Clémentine. << Trop bien ! Fais voir ! >> s'écrie Estelle en se levant d'un bond. Nous rions.

Nous retournons dans la chambre. Estelle ramène toujours son sac de sport pour passer le week-end avec nous. Il contient ses affaires de toilettes, des vêtements de change et surtout son pyjama de soie mauve qu'elle dépose sur le lit. Clémentine tient le préservatif entre le pouce et l'index. Mouvement pendulaire. Estelle se rapproche pour le regarder de près. << Wouah du foutre frais ! C'est dégueu ta collection ! >> lance t-elle alors que Clémentine continue d'agiter la capote. << J'aime les trucs crades. Depuis le temps tu le sais ! >> répond t-elle.

Nous rions de bon cœur. Estelle se tourne vers moi, pose ses mains sur mes épaules en disant : << Et toi, raconte-moi ce que tu as fait avec la vieille pouffe ! >>. Je la rassure tout comme je l'ai fait avec Clémentine. << Il ne s'est rien passé d'extraordinaire. Juliette me branlait pendant que je mâtais. Elle m'a fait une de ses déclarations d'amour en se projetant dans un avenir bien incertain. Convaincue qu'elle sera ma compagne un jour ! >>. Estelle déboutonne ma braguette en rajoutant : << Il faut que je contrôle ! >>. Me voilà avec la bite à l'air.

Estelle se penche en humant mon sexe. << Ça sent le savon ! >> dit elle en s'accroupissant. Clémentine vient se blottir contre moi. Sa tête contre ma poitrine elle regarde Estelle sucer. Je dis : << Tu n'es pas là depuis un quart d'heure que tu as déjà une bite en bouche ! >>. Estelle cesse, se redresse en répondant : << Oui, une bite, mais ma préférée ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Tu en suces rarement d'autres ! >>. Estelle s'écrie : << Je ne suis pas aussi versatile que toi. Je me contente d'une ! Parfois deux ! >>.

Nous sommes pliés de rire. La préparation du Master II impose des contraintes. Cette épreuve se déroule en juin. Dernière ligne droite avant le Doctorat. Mettant à profit cette météo pitoyable, les filles m'entraînent par la main. Nous dévalons les escaliers pour l'atelier. Estelle a emmené son cartable. Les voilà toutes les deux assises devant l'ordinateur et la tablette. Elles sortent leurs fiches, leurs notes. Je suis debout derrière elle. Je lisse les cheveux de l'une, puis les cheveux de l'autre. Mes deux anges adorent ça. Cela les détend, les calme.

Je les laisse pour m'installer confortablement devant le chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Moi aussi je vais en profiter. Estelle allume une belle flambée dans la cheminée pendant que Clémentine lit à voix haute l'énoncé d'un travail préparatoire. Estelle vient me déposer des bises sur les joues, le front, avant de rejoindre Clémentine. L'après-midi se passe ainsi, dans une émulation productive. Parfois l'un ou l'autre se lève pour venir déposer un bisou. Le plus souvent dans la nuque. << Put-Hein ras-le-bol ! >> lance Clémentine. 18 h.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse pour aller me laver les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Depuis quelques jours j'y pisse allégrement dans une sorte de sérénité. Les filles rangent leurs affaires. Elles se doutent certainement de ce que je m'apprête à faire. Je fais couler un mince filet du robinet d'eau chaude. C'est Estelle qui se précipite la première en s'exclamant : << C'est qu'il pisse le salaud ! >>. Elle saisit mon sexe entre le pouce et l'index en repoussant ma main. Elle tient ma bite pour en diriger les multiples petits jets.

Clémentine vient nous rejoindre en précisant : << Il fait ça tous les soirs depuis lundi dernier ! >>. Estelle s'amuse à secouer ma queue entre chaque giclée. Ce qui m'oblige à me concentrer afin de ne pas éclabousser partout. Le lavabo est étroit. Estelle me dit : << Tu devrais faire installer un urinoir, juste à côté du lavabo. Ce serait beaucoup plus pratique ! >>. Clémentine s'écrie : << Mais qu'en voilà une bonne idée ! >>. Nous rions aux éclats. Et quand je rigole en pissant, j'ai tendance à me déconcentrer. Résultat, j'éclabousse le jeans d'Estelle.

Trois petits coups timides contre la porte qui s'ouvre. Nous n'attendions pas Julie aussi tôt. Elle devait venir pour 19 h et il n'est que 18 h30. Elle découvre cette scène insolite en se précipitant. Dans le petit miroir au-dessus du lavabo je vois les expressions consternées de son visage. Comme hallucinée. Estelle lui tend ma queue en disant : << Tu tombes à pic ! >>. Clémentine corrige : << Tu tombes à bite ! >>. Nous rions aux éclats. Julie s'empare de mon sexe pour en diriger les derniers jets. Je bande mou. C'est terriblement agréable. Fabuleux.

Julie essore la peau fripée de mon prépuce avec soin. Elle tapote même l'extrémité de mon sexe sur le rebord intérieur du lavabo. << Wouah ! Tu commences à capter comment ça fonctionne ! >> lance Estelle. Clémentine s'accroupit pour récupérer les derniers reliquats sous le regard effaré de Julie. << Tu ne nous as même pas encore fait la bise que tu as déjà une bite en main ! >> fait Estelle en tendant sa joue à Julie toute confuse. Elle ne cesse de regarder Clémentine se régaler du "mélange". Elle se redresse et dit : << On s'est vus ce matin ! >>.

<< Pas moi ! >> s'écrie Estelle qui serre Julie contre elle. Ces manifestations de douceur, de tendresse que nous avons à l'égard de cette jeune fille de 20 ans la plonge dans d'indicibles émotions. Julie se sent aimée. Autant ici qu'avec ses parents et grands parents. Je tiens mon sexe à pleine main. Il est bouillant. Julie s'assoit devant mon chevalet pour scruter ma peinture de l'après-midi. Je suis entre Estelle et Clémentine qui restent serrées contre moi. Nous sommes debout derrière Julie. Ça m'excite toujours énormément une fille vue de dos.

Estelle m'attrape par mon érection. Elle me masturbe doucement. Clémentine me palpe les couilles à travers le tissus de mon jeans. Je caresse les pointes dures de leurs tous petits seins. Julie se retourne. Toujours avec cet air halluciné. Comme si c'était la toute première fois qu'elle assistait à ça. Elle reste béate. Estelle lui tend ma queue en demandant : << Un petit apéro avant la bouffe ? >>. Julie se lève comme pour fuir la tentation. Je la devine tellement désireuse de gouter une seconde fois à mon sexe. Depuis le film réalisé ensemble.

Ce film totalement privé que nous allons découvrir après le repas pour notre "soirée cinéma". Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la potée de légumes. Estelle remue avec la spatule en bois pour détacher ce qui attache. Le meilleur. Clémentine fait l'assaisonnement pour le reste de la laitue déjà lavée. Julie met les assiettes et les couverts. Je remplis les deux carafes. L'une avec de l'eau, l'autre avec du jus de mangue dont nous raffolons tous les quatre. C'est une préparation rapide, rationnelle.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures. Hier soir Julie a fait son job de serveuse au restaurant de sa tante. Pas d'anecdotes croustillantes à nous raconter. << Heureusement qu'il y a celles que je vis avec vous ! >> lance t-elle. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Avec la vulgarité dont elle est coutumière. Julie ne peut pas soutenir mes regards. Trop timide. Par contre, lorsque je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction, ses yeux restent braqués sur mes branlettes.

Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Julie a préparé son canapé lit ce matin. Il n'y a donc aucune contrainte. Nous pouvons passer au salon. Clémentine allume le téléviseur. Julie, de la poche de son jeans, sort une clef USB en forme de fleur. Clémentine la branche dans la prise. Nous nous installons confortablement. Je suis entre Clémentine à ma gauche et Estelle à ma droite. Julie tout contre Estelle. Clémentine manipule la télécommande. Estelle manipule ma bite. Julie penchée en avant qui observe mon sexe.

L'écran s'allume. J'invite le lecteur à relire l'épisode 1862 où je relate la réalisation de ce film. Il pourra immédiatement en saisir la teneur. Julie, tout contre Estelle, est soudain comme effondrée. De se revoir à ainsi à l'image, dans des situations absolument délirantes, l'envahit de honte. << Mais tu es géniale Julie ! Tu devrais être contente ! >> lui fait Estelle en jouant avec ma queue. << Mais je suis contente. J'ai regardé ce film plusieurs fois. J'ai tellement honte de me voir faire de telles choses. Et pourtant ça me remplit de plaisir ! >> s'écrie t-elle.

<< Pareil pour moi ! On te fera découvrir ceux que nous avons tourné ! >> répond Estelle. Clémentine rajoute : << Tu es très "sage" en comparaison ! >>. Nous rions de bon cœur. Julie retrouve un peu de sérénité. En visionnant ces images, il y a des séquences d'une turpitude folle. Quand je suis debout devant Julie assise sur la chaise. Que je la maintiens fermement d'une main pour lui pisser au visage par exemple. Par petits jets parfaitement maîtrisés. Que je la force à sucer. Que je macule son visage de crachats, de foutre et de pisse chaude.

Aux scènes les plus cruciales, Julie cache son visage dans ses mains. Elle a des frissons que nous pouvons ressentir car le canapé les transmet. Estelle place sa main entre les cuisses de Julie qui les écarte immédiatement en s'installant plus confortablement. Clémentine fait des arrêts sur images en posant à chaque fois une question à Julie. << Tu ressentais quoi là ? Tu appréciais ça ? Tu aimes le mélange ou seulement l'une des substances ? >>. Julie est totalement confuse. Par la caresse d'Estelle sur son entrejambes. Par les questions précises.

Je bande comme le dernier des salauds. Probablement aussi fort que dans le film où je contemple mes agissements de pervers. Dans le film il y a plusieurs séquences où je frotte ma queue dégoulinante sur la gueule de Julie. Estelle lâche mon sexe le temps de fourrer une de ses mains dans la culotte de Julie. Elle nous masturbe tous les deux en s'adressant à Clémentine : << Tu devrais essayer, chatte et queue, c'est divin comme sensation ! >>. Clémentine se penche pour regarder en disant : << Non merci, j'ai la mienne ! >>. Clémentine se touche.

Je m'adresse à Julie qui est entrain de jouir des caresses d'Estelle : << Vous êtes remarquable Julie. Absolument divine. Aviez-vous une idée préalable du prodigieux potentiel qui sommeille en vous avant ce film ? >>. Julie ouvre les yeux. Tout en maintenant le poignet d'Estelle afin que surtout elle n'arrête pas de la masturber, elle me répond : << J'ai honte. Non, je n'avais aucune idée des plaisirs que cela pouvait procurer ! >>. C'est Clémentine qui pose la question qui tue : << Tu es prête pour une suite ? >>. Julie s'écrie : << Oh oui. Oh oui ! >>.

En prononçant ces mots, Julie est la victime consentante d'un orgasme qui la tétanise. C'est comme un cri de douleur qu'elle pousse en se levant pour échapper aux caresses d'Estelle qui retire sa main. Julie tombe à genoux devant le canapé. La tête baissée, elle reste prostrée. Silencieuse. Nous la regardons sans dire un mot. Clémentine se penche pour récupérer le liquide séminal qui s'écoule de mon sexe. Elle me suce. Julie relève enfin la tête pour découvrir Estelle et Clémentine entrain de se refiler ma bite. Dans un bruit bulleux et de gargouillis.

Je lui fais un clin d'œil. Elle m'adresse un sourire en fuyant immédiatement mon regard. Conformément à son souhait, dans le film, pas une seule fois on ne voit mon visage. Juste ma bouche quand je lui crache à la gueule. Ou dans la sienne grande ouverte. Estelle cesse de sucer pour tendre mon sexe à Julie en disant : << Tu en veux un peu, on est très partageuses ! >>. Julie, une fois encore, comme pour fuir la tentation presque insurmontable qui la gagne, n'a d'autre choix que de se lever. Elle s'éloigne en refermant son jeans. Elle est toute rouge.

Le visage couvert de sueur, elle reste assise en tailleur pour observer cette fellation. Clémentine et Estelle qui sucent comme si leurs vies en dépendaient. Quand Estelle cesse elle me dit : << Tu me fais quand comme à Julie dans le film ? >>. Je réponds : << Je t'ai déjà traité de la même façon tant de fois ! >>. Clémentine, quand elle cesse de sucer, rajoute : << Oui, mais ça donne envie de refaire ! >>. Je lance : << Je vous promets de vous offrir les mêmes sévices ! >>. Je me lève. Julie, silencieuse à environs deux mètres, nous observe pensive.

Clémentine et Estelle s'assoient au bord du canapé. Julie se lève soudain pour s'approcher. Penchée en avant, ses mains sur ses genoux, elle scrute avec attention. J'éjacule en contrôlant parfaitement les trois saccades et les giclées des deux dernières gouttes. Clémentine et Estelle se partagent l'abondance incroyable de mon sperme. Je saisis Julie par la nuque. Je retire ma queue de la bouche de Clémentine. Je veux la fourrer dans celle de Julie qui se soustrait adroitement de mon étreinte. Trop craintive. Encore en proie aux émotions de ses vingt ans.

Nous reprenons nos esprits. Je suis entre mes deux anges. J'ai mes mains dans leurs culottes. Julie assise en tailleur devant la télé éteinte nous observe. Elle nous fait de merveilleux sourires. C'est un instant de grâce. Divin, magique et ensorcelant. Estelle demande : << Et le film No 2, tu as déjà une idée ? >>. Julie baisse les yeux pour répondre toute timide : << Oui ! >>. Clémentine demande : << Dis-nous ? >>. Julie répond : << Demain matin au petit déjeuner ! >>. Nous rions de bon cœur de tant de réserve, de timidité et surtout de candeur.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont encore s'amuser un peu sous les draps. L'amie "actrice" dormant déjà dans son canapé lit...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1872 -



Un dimanche un peu particulier

Hier matin, dimanche, il est neuf heures lorsque la main exploratrice d'Estelle se glisse dans mon slip. Elle empoigne ma tumescence. Toute la nuit Estelle est restée contre moi. Là, elle se serre encore plus fort en déposant ses lèvres dans mon cou. Ce qui réveille également Clémentine qui se blottit contre moi. Elle s'empare de mes couilles qu'elle adore tenir fermement tout en me faisant des bises. Je suis entre mes deux anges. Là-bas, dans son canapé lit, Julie qui s'étire. << Bonjour ! Comme je dors profondément ici ! >> dit elle, bras écartés.

C'est le moment que choisissent mes deux anges pour dévoiler ce qu'elles tiennent en main comme un trophée. La couette tombe au sol. Estelle tient fièrement mon sexe dur. Un véritable "démonte-pneus" de camion. << Bonjour Julie ! >> faisons-nous tous les trois en même temps. Julie détourne les yeux, cache sa bouche de sa main avant d'éclater de rire. Estelle lâche tout, se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Elle se précipite vers la porte en faisant un détour pour déposer une bise sur le front de Julie. Elle est assise dans son lit à s'étirer.

C'est à son tour d'aller aux toilettes. Clémentine, couchée sur moi, frottant son sexe sur le mien, me chuchote des : << Je t'aime ! >>. C'est à nous d'aller d'aller aux WC. Morts de faim, vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine, Julie et Estelle, encore en pyjama qui font les clowns. Il y a l'odeur du café, du pain brillé. Au milieu de la table trône l'énorme brioche au pudding et à la pâte d'amandes. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ses jambes autour de ma taille je la promène dans la grande pièce.

J'administre le même traitement à Clémentine. << C'est notre rituel du matin ! >> confie Estelle à Julie. Je sens bien qu'elle en meure d'envie. Je lui tends les bras. Elle consulte Estelle et Clémentine du regard. << C'est si bien ! >> appui Estelle. Julie se lance. Je l'attrape. Elle ne pèse rien. Petit brin de fille de 20 ans qui doit mesurer 1,70 m et peser 55 kg toute mouillée . Par contre Julie n'ose pas me couvrir le visage de bisous, n'ose pas entortiller ses jambes autour de ma taille. Estelle et Clémentine applaudissent en chantant des << Super ! >>.

Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur la "soirée cinéma" de hier. Julie est toute gênée, timide. Tout le temps les yeux baissés quand Estelle relève ses talents "d'actrice". Même si prétendre que de se faire pisser au visage, de se faire cracher à la gueule, de se faire éjaculer dans la bouche relève d'un autre talent que celui d'une petite salope comme nous en raffolons. C'est pliés de rire que nous revenons sur les scènes clefs. Celles que soulignait Clémentine hier soir avec de nombreux arrêts sur images. De grands moments de vice.

<< Tu as un secret à nous révéler ! >> lance soudain Estelle retrouvant un peu de son sérieux. Julie rit encore un peu et nerveusement. Elle reste silencieuse. Nous sommes tous les trois suspendus à ses lèvres. C'est presque dans un murmure qu'elle révèle le fantasme du second film qu'elle désire réaliser. << Toute une histoire. De la rencontre jusqu'à faire l'amour ! >> chuchote t-elle. Nous restons sidérés. << Put-Hein, pour une seconde expérience, tu fais fort ! >> s'écrie Clémentine. << En effet. Tu ne te mouches pas du pied ! >> fait Clémentine.

Nous rigolons comme des bossus. << Et je suppose que cet "acteur" sera Julien ! J'ai bon ? >> lance Estelle. << Oui ! >> répond timidement Julie, à peine audible. << Ton avis ? >> me lance Estelle. Je dis : << Ça me flatte mais ça me gêne ! >>. Julie n'ose pas soutenir mes regards. Elle me répond toujours en s'adressant à Estelle ou à Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges passent en revues les différentes options de scénarios possibles. Julie assise en face de nous, les bras croisés, écoute en silence.

Tout cela est encore au stade du projet un peu fou et surtout flou. Julie nous promet d'en écrire le scénario, de nous l'envoyer par mail. Le jeudi 26 mai étant le jour de "l'Ascension' est férié. Le jour idéal car Julie viendra passer l'après-midi avec nous. Cette date reste pour le moment la seule certitude. Julie débarrasse. Nous faisons la vaisselle. Nous remontons nous laver les dents. Estelle et Julie quittent leurs pyjamas pour des jeans, des sweats. Vêtus tous les quatre pareils, nous dévalons les escaliers. Dehors il fait beau, le soleil haut dans le ciel.

Je suis entre Estelle et Clémentine, nous descendons jusqu'à la rivière. Julie reste au bras d'Estelle. Estelle se montre très attentionnée à l'égard de Julie. Dans le film hier soir, nous avons regardé plusieurs fois la séquence ou Julie, à genoux entre les jambes d'Estelle, lui prodigue un cunnilingus passionné. C'est la toute première fois qu'Estelle est emmenée à l'orgasme par la bouche d'une autre fille. Elle avoue avoir le désir de refaire mais dans des conditions particulières. Conditions qu'elle ignore encore. Julie est depuis amoureuse d'Estelle.

Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. Estelle déboutonne ma braguette pour en extraire le locataire. Clémentine se serre contre moi. Estelle agite ma bite en direction de Julie complètement consternée. Ce n'est pourtant pas la première fois. Pourtant elle réagit toujours comme si c'était le cas. << Julien va te la mettre pour ton prochain film. Tu auras la place pour l'accueillir ? >> demande t-elle à Julie qui ouvre de grands yeux. Elle finit par répondre : << Je ne sais pas si elle va rentrer elle est impressionnante comme ça ! >>.

Nous rions aux éclats. Estelle me masturbe. Julie reste sidérée. Clémentine m'embrasse passionnément pendant qu'Estelle s'accroupit pour me bouffer la bite. Elle cesse plusieurs fois en présentant ma queue à Julie qui n'ose pas s'approcher. Julie devra nous quitter vers 11 h ce matin. Il faut donc prendre le chemin du retour. Je prends son sac de sport pour le déposer sur la banquette arrière. Julie, assise au volant est toute tristounette. Elle revient demain soir. Ces lundis où elle nous apporte nos commandes et où nous mangeons ensemble. Le rituel.

Nous déposons de derniers bisous sur son front. Estelle agite ma queue molle à quelques centimètres de son visage. Julie démarre. Nous la regardons remonter jusqu'au portail ouvert. Elle sort de sa Clio rouge pour nous envoyer des bisous qu'elle souffle dans ses mains. Un dernier coucou, nous rentrons. << Quand je commence à sucer le matin, je pourrais passer le reste de la journée à ça ! >> lance Estelle avant de s'accrocher à mon cou pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Clémentine derrière moi, serrée, jouant avec ma queue.

Nous restons ainsi longuement. Les filles permutent. Estelle et Clémentine reviennent sur le sujet du prochain film. << Tu serais d'accord ? Julien qui baise la "petite" ? >> demande Estelle. Clémentine répond : << Oui, superbe. Surtout que c'est moi qui filme ! >>. Estelle rajoute : << Il faut trouver une astuce pour m'inclure dans le scénario. J'aimerais bien que la "petite" me lèche encore une fois ! >>. Nous rions de bon cœur. << Nous n'avons pas encore le regard de Julien sur tout ça ! >> lance Clémentine qui me masturbe doucement. Je bande fort.

Je dis : << Je ferai de mon mieux. J'incarnerai le personnage souhaité. Pour moi, aucun souci ! >>. Les filles m'entraînent dans une farandole folle dans toute la cuisine. Estelle invente des paroles salaces que nous répétons en cœur sur la mélodie d'une comptine d'école maternelle. Nous sommes pliés de rire. Il commence à faire faim. Clémentine prépare une belle laitue. Estelle fait griller les papillotes au saumon sur le barbecue électrique de la véranda. Je réchauffe la potée de légumes. Je vais souvent me placer derrière Clémentine.

Je caresse ses tous petits seins en déposant mes lèvres dans sa nuque. << Je t'aime ! >> murmure t-elle. Derrière la vitre fumée Estelle mime des masturbations masculines. J'agite ma bite dans sa direction. C'est une préparation rapide et succulente. Nous mangeons de bon appétit en évaluant différentes activités pour l'après-midi. Il y a un fond d'air frais malgré les 20° affichés par le thermomètre extérieur. Nous optons pour une randonnée à vélos. Estelle a emmené le sien, roue avant démontée dans l'arrière de son kangoo d'entreprise.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges finalisent la décision. Estelle consulte l'agenda des animations du port de plaisance sur son téléphone. << Il y a une animation sur les quais. La fête du muguet ! >> lance t-elle en nous montrant l'écran. << Va pour la fête du muguet ! >> s'exclame Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous mettre en tenues cyclistes. Pas de risque, nous glissons les leggings, les sweats et les K-ways dans le petit sac à dos que je porte. Parfait.

Nous dévalons les escaliers pour traverser le jardin en shorts et T-shirts. C'est vrai que la température est limite. Je sors la bicyclette d'Estelle de l'arrière du véhicule d'entreprise. Je remonte la roue. << Papa vérifie toujours la pression des pneus ! >> précise t-elle. Je vérifie la pression des pneus de nos vélos. 5,5 bars à l'arrière comme à l'avant. C'est "tape cul" mais beaucoup plus facile pour rouler. Nous voilà sur nos VTC. Nous descendons jusqu'à la rivière en exultant de joie. L'étroite passerelle en bois dont j'ouvre la cadenas du portillon.

Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Il y a un monde fou. Nous croisons quantité de cyclistes, de familles, de couples, de filles en rollers. Surtout de ces véritables crétins qui promènent leurs chiens sans les tenir en laisse. Salopards inconscients et stupides. Ce printemps il y a une recrudescence de ces trottinettes électriques qui nous dépassent à des vitesses hallucinantes. << Les crétins sont de sortie ! >> lance Estelle à chaque fois qu'un de ces vrais cons nous double au mépris de la prudence la plus élémentaire. Dangereux.

Il y a 25 km jusqu'au port de plaisance. Sur le canal que nous longeons il y a les premiers bateaux. La saison commence. Il y a bien trop de gens. Impossible de nous livrer aux jeux exhibitionnistes de Clémentine. Il est 15 h30 quand nous arrivons au port. Le vent nous a poussé tout le long de la piste cyclable. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie du port. Il fait beau, il fait bon. C'est un premier mai magnifique. Nous flânons parmi les badauds. Des vendeurs de muguets installés devant des paniers remplis. C'est très convivial.

Nous nous offrons des cônes glacés à la supérette pleine de clients. Impossible de nous livrer à nos petits jeux exhibitionnistes. Par contre, avec notre virtuosité discrète nous nous tripotons dans tous les coins. Je relève quelques défis "bite à l'air". Là, derrière des bosquets, je sors ma queue pour me branler sans réelle conviction. Bite molle qu'attrapent tour à tour Estelle ou Clémentine en murmurant : << Défi relevé ! >>. J'adore glisser mes mains entre les cuisses chaudes de mes deux anges. Parfois je les glisse dans les culottes. C'est humide.

Le dimanche nous restons toujours à macérer tous les trois dans nos jus. Pas de douche. Pas de toilettes intimes. Des filles qui ont pédalé une cinquantaine de kilomètres, qui ont transpiré, offrent en soirée les chattes les plus gouteuses qu'un gourmet puisse espérer. Quand je murmure à mes deux coquines ce que je vais leurs faire ce soir, elles sautillent autour de moi. Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles, ces deux sublimes jeunes filles qui restent serrées contre moi, qui me font des bisous. Révélant la nature de nos relations.

Nous nous amusons beaucoup de ces situations, de ces regards libidineux, interloqués, interrogateurs parfois lourds de reproches chez les dames frustrées. << Des féministes ! >> lance alors Estelle. Nous sommes pliés de rire. La saison estivale semble commencer vraiment en ce premier mai. De beaux bateaux de plaisance manœuvrent dans le port. Il y a un monde fou à admirer ces incessantes activités. Avec les heures qui avancent, la fraîcheur devient plus vive. C'est ce maudit vent de Nord Est contre lequel il faudra lutter au retour. Un peu de sport.

Nous pratiquons nos rituels pisseux dans les fourrés entre les bâtiments sanitaires. Il y a des gens partout. C'est un peu chiant. Il est 17 h30. Derrière la capitainerie du port, nous revêtons nos leggings, nos sweats et nos K-ways. Il faut pédaler contre le vent frais. C'est assez désagréable. Nous le savions, nous gérons nos efforts en conséquence. Il est 19 h quand nous sommes de retour. Morts de faim, morts de froid. Clémentine prépare l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle nous concocte une belle omelette aux quatre fromages. Miam.

Je réchauffe la potée de légumes. Il en restera encore pour demain midi. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ce week-end passionnant. La présence de Julie. La soirée cinéma. Nos "jeux" en extérieurs. Nous ne traînons pas. Les filles sont pressées de passer à l'étape ultime de nos dimanches soirs. Ce léchage de minous dont je les gratifie de façon hebdomadaire. La vaisselle. Au salon, vautrées dans le canapé, juste vêtues de leurs sweats en lycra jaune, de leurs soquettes de cycliste, mes deux anges m'offrent un sirupeux dessert.

À genoux sur les épais coussins, la tête entre leurs cuisses, je savoure de la fondue. Des coulées composées de substances indéfinissables, du "yaourt" onctueux. C'est savoureux de nettoyer des chattes aux odeurs fortes, aux gouts étonnants, dans un concerto de gémissements lascifs, jouissifs et "musicaux". Les coquines me tiennent par les oreilles pour bien me guider. Je passe de l'une à l'autre. Un festin de Roi. Je me pourlèche de jus de filles. J'ai le bas du visage trempé de foutrine dans laquelle collent de petits miasmes venus d'on ne sait d'où...

Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est 21 h45 quand elle hurle de plaisir, totalement possédée par l'orgasme qu'elle s'offre en bloquant mon visage contre son sexe trempé. Couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses comme si c'était douloureux, Estelle reprend ses esprits en me regardant offrir son orgasme pisseux à Clémentine. C'est toujours un spectacle de la voir crier de jouissance en pissant dans la cuvette que nous tenons tous les deux en tentant d'éviter que ça n'éclabousse partout. Je la suce encore un peu. J'adore le mélange.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui sucent encore un peu sous les draps, se font pénétrer avant de se faire éjaculer dans la bouche...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1873 -



La douce compagnie de Julie en soirée

Hier matin, lundi, l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. L'illusion bluffante de nous réveiller en bord de mer, dans un port sans doute. Il est presque six heures. Le cri des mouettes, le bruit du ressac, les clapotis jusqu'au bas de notre lit. Clémentine se blottit contre moi en fourrant sa tête dans mon cou. Quelques bisous, des papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. La tête dans le cul. Morts de faim, vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats en lycra rouge, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine encore fraîche.

Les deux radiateurs viennent de se mettre à fonctionner. Clémentine fait le café en racontant son rêve. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le plaisir est double car le lundi il reste toujours de la brioche. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les faits les plus marquant du week-end. << Dense ! >> lance Clémentine qui se lève pour faire un pas de danse. Nous rions. Nous mangeons de bonne appétit en évoquant la présence de Julie et son retour ce soir. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.

Il fait jour mais nous n'avons pas le courage d'aller courir dans la fraîcheur matinale. Le thermomètre extérieur indique 6°. C'est donc dans notre salle que nous pratiquons. Aérobic, joggings sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Avec les charges additionnelles, ça ne rit jamais. Le retour au calme d'un stretching bâclé avant la douche. Je descends le premier pour sortir la voiture. Il est presque 7 h45. Il fait carrément froid. Le ciel est voilé mais lumineux. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Sous son bonnet de coton.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier j'allume une belle flambée, le tirage de la cheminée rend tout cela très rapide. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque aujourd'hui le neuvième paysage destiné à ma saison d'été. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes. Il est 11 h55 quand je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine bien chaude.

Il reste de la potée de légumes que je réchauffe. Je prépare une salade de tomates avec des champignons crus. Dans la poêle je fais rissoler un filet de colin. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff dans tous ses états reçoit un sociologue dans son émission. Il est à la fois captivant et inquiétant d'entendre l'analyse d'un aspect de la société qui échappe à la plupart des gens. La dérive d'une fausse démocratie vers un régime totalitaire unique en Europe. Je retourne dans mon pays d'ici deux ans. L'Écosse étant une vraie démocratie.

Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas je dévale les escaliers. La météo est beaucoup plus clémente que ce matin car le thermomètre indique 20°. Il y a des séquences ensoleillées. C'est ce maudit vent de Nord Est qui souffle discrètement. Je descends jusqu'à la rivière. La campagne est verte, magnifique, il y a des fleurs partout. Le gazouillis incessant des oiseaux. Sur l'eau les poules d'eau, les colverts, les canards se livrent à d'étranges circonvolutions en cancanant. Vision bucolique.

Je remonte. Il est 13 h30. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins avec le même enthousiasme que ce matin. L'après-midi passe encore à une vitesse impressionnante. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. En sautillant elle se précipite vers moi en jetant son cartable dans le fauteuil à bascule. Assise à califourchon sur mes genoux, en se frottant, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << On fait le "pont" vendredi 27 mai et Estelle me charge de te couvrir de bisous ! >> dit-elle, sa main sous ma blouse.

Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle est absorbée dans ses notes. J'aime l'entendre commenter ce qu'elle fait. Ces moments de labeur en commun sont pour moi d'extraordinaires sources d'inspirations. << Là, voyez-vous, si je n'arrête pas, je pète un plomb ! >> lance t-elle soudain. Il est 18 h20. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Clémentine qui vient de ranger ses affaires, se précipite pour me rejoindre. << C'est moi qui la tient ! >> dit elle.

Je m'apprête à pisser, un mince filet d'eau coulant du robinet d'eau chaude. Voilà exactement une semaine que ce rituel a fait son apparition dans notre quotidien. Clémentine tient ma bite à sa base, entre le pouce et l'index pour en diriger les multiples petits jets. Nous adorons nous amuser ainsi. C'est passionnant parce qu'avec l'excitation ma queue durcit légèrement. Je bande mou. Clémentine prétend que c'est beaucoup plus facile alors de contrôler. Lorsqu'elle me fait rire, ça me secoue un peu, je ne maîtrise plus rien et ça gicle n'importe comment.

Trois coups timides contre la porte qui s'ouvre. Julie. Comme toujours, elle est largement en avance. Elle se précipite. Dans le petit miroir accroché au-dessus du lavabo je vois les expressions étonnées de son visage. Même si Julie se doute bien de ce qui se passe, elle veut en avoir la certitude. Elle s'approche. Debout à ma gauche elle regarde Clémentine diriger les dernières giclées. Avec la chaleur de l'eau, l'odeur de pisse nous monte aux narines. Ça me gêne un peu. On n'arrive jamais vraiment à s'habituer à ce genre de chose. C'est surréaliste.

Julie, sur la pointe des pieds, me fait deux bises sur la joue. Elle me contourne pour aller les faire à Clémentine. Je reste les mains sur les hanches, la queue posée sur le rebord intérieur du lavabo. Les filles observent la subite dernière coulée. Clémentine s'accroupit pour gober mon sexe encore ruisselant. Julie, complètement effarée, ses mains sur ses joues, contemple cet étonnant spectacle. << Je suis tellement excitée quand je viens ici. À chaque fois je comprends pourquoi ! >> lâche t-elle en reprenant son souffle. J'aide Clémentine à se relever.

Je demande à Julie : << Cela vous dérange t-il que je reste bite à l'air pour le restant de la soirée ? >>. Un instant de silence. Nous éclatons tous les trois de rire. Julie s'assoit devant le chevalet pour contempler le travail de ma journée. Clémentine me tient la queue. Nous sommes tous deux derrière elle. Je pose mes mains sur les épaules à Julie. Je dis : << Cet été est peut-être la dernière saison où j'exploite ma galerie d'Art ! >>. Julie se retourne pour lancer : << Je me réjouis pour la tenir en juillet et août. C'est une magnifique expérience ! >>.

C'est la troisième année. Julie sera gérante de mon espace d'exposition. Elle prend soudain un air triste. Clémentine explique que rien n'est encore déterminé. Nous avons le projet d'aller vivre en Écosse. Julie s'exclame : << Et si je reprends la galerie à mon nom ? >>. Je lui explique que le régime fiscal ne serait plus le même. Exposer d'autres peintres serait un commerce. Alors que de proposer mes œuvres reste sous la formule "d'artiste libre". Ce qui administrativement est totalement différent. Julie, triste prend soudain conscience de cette réalité.

Je serre mes mains sur ses épaules en précisant : << Même s'il est préférable de prendre cette éventualité en compte, rassurez-vous, pour cette année, rien ne change ! >>. Julie regarde mon sexe que tient Clémentine à sa base. Elle l'agite vers Julie qui rajoute : << Alors je viendrai passer mes étés en Écosse ! >>. Nous rions. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Julie a ramené nos commandes. Elle nous apprend qu'il ne sera plus possible de nous livrer les repas. La formule cesse d'exister à partir de cette semaine.

<< Tout change dans ce monde. Aucune pérennité des choses ! >> soupire Clémentine en déballant les bacs contenant les salades. De la grosse boîte isotherme je tire les trois habituelles feuillantines au saumon encore bouillantes. Les deux tourtes aux fruits de mer pour demain. Je dis : << Julie, lorsque vous viendrez les lundis soirs, ce sera pour gouter à notre cuisine ! >>. Julie, toute heureuse, contourne la table pour me déposer une bise sur la joue. Clémentine rajoute : << À moins bien sûr que tu ne veuilles plus venir les lundis soirs ! >>.

<< Vous êtes fous ! Les lundis soirs avec vous me sont aussi nécessaires que l'air que je respire ! >> s'écrie Julie d'une voix suppliante. C'est moi qui dépose une bise sur son front. La voilà rassurée. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre "soirée cinéma" de samedi. Clémentine demande : << Tu es déjà à gamberger sur le scénario du prochain film ? >>. Cette fois, sans hésiter, comme fière de l'annoncer, Julie répond : << Oh oui. C'est dans la voiture, en rentrant de cours, que me viennent les idées ! J'en tire mon inspiration ! >>.

<< Toi aussi tu te masturbes en roulant ? >> demande Clémentine. Cette fois Julie baisse les yeux pour répondre d'une voix timide à peine perceptible : << Oui, souvent ! >>. Nous rions de bon cœur. Elle rajoute soudain : << Depuis vous, je vis dans un univers très particulier. Je pense tout le temps à notre relation ! >>. Je me lève pour agiter ma queue dans sa direction. << Ça par exemple ! C'est génial. Je ne connais personne d'autre qui fait "ça" ! >> lance encore Julie. Clémentine rajoute : << Bienvenue au "Club" ! >>. Nous éclatons de rire.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Clémentine lave, Julie et moi nous essuyons. Elle ne cesse d'observer les différents états de mon sexe. Parfois un peu plus mou, parfois un peu plus dur. Cette adorable jeune fille de vingt ans est passionnée par ces "métamorphoses" incessantes. Nous passons au salon. Assise à ma droite, dans le canapé, Clémentine joue avec ma queue. Julie, installée dans le fauteuil en face, bavarde sans cesser de regarder. Comme hypnotisée. Elle nous raconte son dimanche après-midi avec ses parents, papys et mamies.

Nous revenons sur ma galerie d'Art. La date du vernissage fixée au dimanche 26 juin de 19 h à 20 h. Julie insiste pour s'occuper de tout. Il y aura mes habituels collectionneurs. Une quinzaine de personnes. Clémentine fait un rapide inventaire de ce qu'il faut prévoir. Julie écoute attentivement. L'ouverture officielle de la galerie à la date du samedi 2 juillet. Julie ne peut cacher sa joie. Elle se réjouit depuis l'an dernier. Cette expérience est si riche d'évènements, de rencontres, de situations qu'elle profitera au reste de sa carrière. Ce qu'elle nous explique.

<< En espérant que les mêmes tarés ne vont pas nous inventer un nouveau variant et revenir avec leurs mêmes prétextes sanitaires bidons ! >> lance Clémentine. << Oui ! Qu'ils ne nous gâchent pas la vie cet été ! >> s'écrie Julie. Je bande mou dans la main de Clémentine. Pendant que Julie tiendra la galerie, juillet et aout, nous serons en Écosse. Clémentine en profite pour m'annoncer qu'Estelle a enfin eu son passeport : << Huit mois d'attente ! Tu te rends compte ! Bravo l'administration française. Tous ces fonctionnaires ? Il font quoi ? >>.

Je me contente de répondre : << Tout ici part en couilles ! Dans deux ans nous serons loin de tout ça ! >>. Julie observe la main de Clémentine. Parfois elle me masturbe doucement. En fonction des sujets de conversations elle me décalotte légèrement, me branle frénétiquement, me la tord dans tous les sens ou l'agite en direction de Julie. Je lui adresse un clin d'œil lorsque son regard croise furtivement le mien. Julie devra nous laisser pour 22 h. Elle reviendra vendredi pour son cours de peinture. Elle n'arrête pas d'en parler.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. La nuit est froide, noire et sans lune. Assise au volant, la vitre baissée, Julie nous confie son ressenti. Ces soirées qu'elle passe avec nous sont devenues de véritables addictions. Nous avouons qu'il en va de même pour nous. Je suis appuyé contre la portière. Clémentine tient mon sexe à une vingtaine de centimètres du visage de Julie. Elle y dépose rapidement une bise. Elle démarre, attristée, en faisant un sourire qui nous brise le cœur. Je pisse contre la portière. Clémentine en dirige le jet. Dernier coucou.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se régaler d'une bonne queue sous les draps, baiser un peu et se faire lécher le minou...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1874 -



Le mardi Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, il est presque six heures. L'illusion de nous réveiller dans un port de pêche. Le moteur de ce chalutier qui s'éloigne. Ces oiseaux de mers criards. Le clapotis du ressac. Probablement des pêcheurs ou des marins qui se hèlent. L'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils avec une certaine poésie. Clémentine vient se blottir tout contre moi en gémissant d'incompréhensibles murmures. Je la serre fort en déposant plein de bisous sur son front, ses joues. Elle saisit mon érection naturelle. Il faut déjà se lever.

Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos habits de sport, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Je mets les deux énormes croissants dans le four à micro ondes afin de leurs rendre un doux moelleux. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier soir. Clémentine me fait remarquer à quel point elle est heureuse d'être avec nous. Nous mangeons de bon appétit en prédisant les week-end que Julie viendra passer ici.

Il est 6 h25. Cette fois, nous prenons tout notre courage. Nous enfilons nos K-ways pour sortir. Le thermomètre extérieur indique 10°. << Jouable ! >> lance Clémentine. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons à l'allée, puis au retour. Exactement une heure d'une excellent joggings dans une campagne printanière et verdoyante. La douche. Je descends le premier pour préparer l'auto. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson de cuir noir, une écharpe de soie mauve autour du cou.

Un dernier bisou. << À tout de suite ! >> dit elle en s'installant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, j'allume le petit poêle rond de fonte noire. Les deux radiateurs fonctionnent déjà. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de mon neuvième paysage destiné à ma saison d'été est source d'autres joies. Je peins animé de l'euphorie laissée par Clémentine. Quand elle termine à midi elle est déconneuse.

Il est 11 h55. Je mets une grosse bûche dans le poêle qui ronronne agréablement. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les deux belles tourtes aux fruits de mer. Je prépare une salade de carottes. Il est midi vingt quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bises. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Cet après midi elle a son rendez-vous gynéco. Nous en profiterons pour faire nos courses.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur son expérience avec James le palefrenier. << Je peux le revoir ? >> me demande t-elle timidement. Je l'encourage. << Il baise bien et j'adore le gout de sa bite tu sais ! >> rajoute t-elle. Nous rions de bon cœur. Je dis : << On prépare un "plan" avec Juliette demain soir. C'est à son tour d'emmener le repas ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. La pâte feuilletée a décongelé. Nous lavons et coupons deux gros poireaux. Direct dans l'auto cuiseur pour quelques minutes.

Clémentine étale les deux tiers de la pâte dans un plat à tarte aux bords hauts. Je concocte une Béchamel. Clémentine râpe du gruyère de Comté. J'égoutte le poireaux avant de le rajouter à la Béchamel avec le gruyère. On étale le tout sur la pâte. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Clémentine badigeonne le dessus du mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne. Quelques graines de sésame grillé. Au four pour une cuisson lente à 180°. Plus longtemps ça mijote, c'est meilleur. Pour ce soir. Nous montons nous laver les dents, nous changer.

Sur la demande de Clémentine je porte un jeans propre, une chemise blanche, des mocassins marrons, mon blouson de cuir brun. Clémentine porte une de ses jupes carmins légèrement évasées au-dessus du genoux. Un chemisier crème, des souliers de ville noirs à légers talons. Sa veste de cuir noir cintrée à la taille. Une écharpe de soie crème enserre nos cous. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> me fait elle en m'entraînant devant le grand miroir de l'armoire. Nous descendons l'escalier prudemment en restant serrés.

Nous prenons la grosse berline allemande. Je roule doucement. Le thermomètre indique 22°. Ce maudit vent de Nord Est a enfin disparu. Clémentine joue avec ma queue tout en revenant sur son aventure avec James dans les écuries. << Tu as vu comme il me faisait sucer ? J'adore les vicieux de ce genre ! >> dit elle avant de se pencher pour me sucer un peu. J'appuie d'une main sur sa nuque en murmurant : << C'est un connaisseur. Il a rapidement compris à qui il avait affaire. C'est génial de se faire tailler une pipe par une vraie pipeuse ! >>.

Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'aux cabinets médicaux. Un grand bâtiment où sont regroupés différents médecins au-dessus de la pharmacie. En face il y a les bâtiments où exercent mon expert comptable, son frère notaire au-dessus du cabinet fiduciaire. Je gare l'auto sur le parking. Je remballe mon érection avec difficulté. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Les filaments laiteux de mon épais liquide séminal. << Elle tente de déglutir avec peine en disant : << Je t'aime. Tu me comprends si bien. C'est merveilleux. Viens ! >>.

Nous voilà dans la salle d'attente du gynécologue. Il est 14 h25. Cinq minutes d'avance. C'est l'assistante qui vient chercher Clémentine. Un autre couple arrive puis deux femmes. Les prochains rendez-vous. Je consulte mon téléphone prenant mon mal en patience. Une vingtaine de minutes. Clémentine revient toute souriante accompagnée du docteur. Un monsieur jovial, un peu enrobé, de petite taille. Nous quittons pour passer par la pharmacie avec une ordonnance. << J'aime qu'on m'ausculte. J'adore montrer ma chatte ! >> murmure Clémentine.

Contre ses règles souvent douloureuses, Clémentine se fait prescrire des médicaments homéopathiques très efficaces. Hépaphénol et Lactoxira. << Même si ce n'est que somatique, chez moi, ça fonctionne très bien ! >> précise Clémentine à la préparatrice qui recommande la posologie. Les effets secondaires éventuels. Nous reprenons l'auto. Direction l'hypermarché. Pendant que je roule Clémentine retire sa culotte en disant : << Une petite exhibe me fera le plus grand bien. Quand je commence à montrer ma chatte je n'arrête plus ! >>.

Nous rions de bon cœur. Clémentine saisit mon poignet pour placer ma main entre ses cuisses. << Mmhh, c'est bon ça ! >> lance t-elle en écartant ses cuisses autant que l'habitacle le permet. Je glisse mon index entre les lèvres pulpeuses de sa vulve. J'enfonce juste la première phalange. Je saisis son clitoris géant entre le pouce et l'index. << Mmhhh ! >> gémit elle de plaisir. Nous garons l'auto sur le parking presque désert. Nous nettoyons la poignée du caddie avec le gel hydroalcoolique. Nous enfilons les fins gants mappa. Nous voilà prêts.

Clémentine qui tient la liste des courses nous entraîne dans les différents rayons. Je pousse le chariot. J'aime la voir comparer les prix, soupeser les articles avant de les mettre dans le caddie. Il y a peu de monde. Nous attirons les regards des clients que nous croisons. Nos hautes tailles. Cette sublime jeune fille qui dépose des bises sur la joue d'un homme d'âge mûr. Non, c'est certain, je ne suis pas le père de cette merveilleuse créature. Nous adorons jouer de l'intérêt que nous suscitons. Le chariot se remplit de papier cul, de lessives et autres.

La logistique impose de ne rien oublier. Avec la liste il y a toujours des idées d'achats autres. Du savon en poussettes. Des tampons "minis", de la crème de cirage, des produits d'entretiens divers. Clémentine nous entraîne au rayon culturel. C'est là qu'il y a les meilleures opportunités d'exhibe. << Regarde, une victime potentielle ! >> me fait Clémentine en montrant le type qui feuillette un magazine. Je reste au rayon des bandes dessinées. J'ai assisté à ces situations d'innombrables fois. Clémentine pousse le caddie pour se rapprocher du mec.

Elle cale le chariot contre le rayon. Ce qui fait écran. Là, à environ deux mètres de l'inconnu, Clémentine s'accroupit pour saisir un magazine du bas. De l'endroit où je me trouve, à une vingtaine de mètres, j'ai une vue parfaite sur l'entre jambes de Clémentine. Tournée de trois quart vers le mec elle feuillette sa revue avec les cuisses légèrement écartées. Notre "victime" se rend assez vite compte du privilège dont il fait l'objet. Ce qu'il ne sait pas encore c'est que ce n'est qu'un jeu. Notre homme a alors la réaction "classique" et habituelle. Fréquente.

Il s'accroupit à son tour. Il veut en voir davantage. Il me tourne le dos. À chaque fois que Clémentine replace un magazine pour en prendre un autre, elle a un mouvement précis. Écartant davantage les cuisses. Personne ne passe. Quelques minutes de cette situation torride. L'inconnu ne tente rien. Que pourrait-il d'ailleurs tenter ? Il y a une femme qui arrive en poussant un chariot. Clémentine anticipe. Elle est devenue virtuose de ces mises en scènes. Depuis l'adolescence où elle découvrait les plaisirs de l'exhibition discrète et de grande qualité.

La femme se rapproche de son homme. Clémentine s'est redressée pour s'éloigner. Je vois la femme lui lancer un curieux regard. Se douterait-elle de quelque chose ? Clémentine vient me rejoindre, nous continuons nos errances dans le magasin. Un petit tour au rayon des vêtements hommes. Il y a là parfois des solitaires qui peuvent servir de "cobayes". Hélas, il faut se résoudre à passer en caisse. Pas d'autres opportunités. Nous rangeons les courses dans le coffre spacieux de la Mercedes. Nous quittons. Clémentine aime passer devant sa fac.

Nous rentrons par la petite route communale. Là, le chantier à présent terminé ou Clémentine s'était fait surprendre entrain de pisser par un ouvrier. Un ouvrier qui en avait profité pour lui montrer son gros sexe. Nous rions de bon cœur. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue qu'elle suce parfois. Le paysage étant magnifique je la fais cesser en la tirant pas ses cheveux tout en disant : << Regarde les chevaux. Regarde les moutons ! >>. Elle s'écrie : << Mais je suce ! Tu n'aimes pas ? >>. Nous rions. Il est 18 h quand nous revenons.

Nous sortons les courses pour les déposer à côté de l'auto quand arrive Estelle. Elle gare son véhicule d'entreprise devant la maison d'amis. Elle se précipite en sautillant pour me sauter au cou. C'est à trois que nous rangeons nos achats. De quoi tenir deux mois au moins. Voire davantage. Le ciel est resté voilé mais lumineux toute la journée. La fraîcheur du soir se rappelle à nous. Nous montons nous changer. Estelle, assise sur le lit, nous raconte son après-midi. << J'ai bossé un peu avec maman au bureau. J'ai préparé les cours ! >> dit elle.

Il fait faim. Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il suffit de réchauffer la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui fera les délices de notre repas du soir. Clémentine fait une salade de tomates. Estelle met les assiettes et les couverts. Elle devra nous laisser pour 22 h. D'ici là une belle soirée nous attend. Je promets à mes deux anges des léchages de minous et quelques douces pénétrations. << Moi je veux sucer encore ! >> s'écrie Clémentine. << Moi aussi ! >> rajoute Estelle. Nous sommes pliés de rire. La sonnerie du four. Miam.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Ce Master 2 qu'elles préparent pour la fin du trimestre. Quatre épreuves sur deux jours. Lundi 27 juin et mardi 28 juin. Nous serons en Écosse depuis deux bonnes semaines quand tomberont les résultats. Assises sur mes genoux, mes deux anges parlent de nos vacances, d'Édimbourg, des visites que nous voulons refaire durant ces deux mois qui nous attendent. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle m'entraine par la bite au salon. Comme par la laisse. Elle m'en fait faire le tour.

Sous le regard amusé de Clémentine qui déboutonne son jeans pour y glisser une main. Je bande comme le dernier des salauds. << Prends moi sur le bureau, comme une brute ! >> lance Estelle en arrachant ses vêtements pour les jeter n'importe où. Couchée sur le bureau, en appui sur ses coudes, elle me fixe en se faisant pénétrer. Clémentine se masturbe à ma gauche, penchée en avant pour regarder coulisser mon sexe dans celui d'Estelle. Elle retire ses vêtements pour s'allonger à son tour. Je passe de l'une à l'autre en savourant les différences.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se sont faire reluire le minou. La bouche encore pâteuse du sperme qui les a inondé de jute gluante...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1875 -



Une très agréable soirée en compagnie de Juliette

Hier matin, mercredi, ce sont les cris stridents des oiseaux de mer. Il est presque six heures. Les moteurs d'un chalutier qui se rapproche. Tout cela semble si réel que nous avons l'impression de nous réveiller dans un port de pêche. Clémentine se serre contre moi. L'application "océan" nous tire du sommeil avec ses bluffantes illusions qui ne durent qu'exactement 45 secondes. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes avant de revêtir nos habits de gym. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Tout en me racontant son rêve, Clémentine fait le café. Le grille pain éjecte les premières tranches pendant que je presse les oranges, que je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier après-midi. La visite chez le gynécologue puis les courses à l'hypermarché. La petite exhibe sympa de Clémentine devant un parfait inconnu. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée baise à trois, avec Estelle. << Avec le Master 2 qui s'annonce, il y aura de la demande ! >> lance Clémentine. Nous rions.

Il est 6 h25. Comme hier matin, nous enfilons nos K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide et désagréable. C'est le long de la rivière que nous pratiquons notre jogging. Les pluies de la nuit n'ont pas rendu le sentier difficile ou boueux. Une heure d'un bon running plus tard nous voilà de retour pour prendre une douche rapide. Nous habiller. Je descends le premier pour préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Le ciel reste d'un gris de plomb. Clémentine vient me rejoindre dans son blouson de cuir noir. Une écharpe.

Un dernier bisou. Elle me palpe la braguette en disant : << Il y aura vraiment de la demande. Ne serait-ce que pour conjurer les craintes que suscite le Master II ! >>. Je la rassure : << Je serais un "thérapeute" à l'écoute ! >>. Nous rions. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, faire notre lit. Je file à l'atelier pour y allumer le petit poêle Godin. Il a une incroyable puissance de chauffe. Je suis confortablement installé devant le chevalet.

Je prépare les couleurs sur la palette en chantant "Le grand Café" de Charles Trenet. La peinture de ce neuvième paysage destiné à ma saison d'été me plonge immédiatement dans d'agréables introspections. Je pense à nos relations. Tous les membres de notre "Club" très fermé pratiquent la déviance sexuelle avec un égal enthousiasme. Je peins en revenant sur les facéties dont je me souviens. Un souvenir en éveille rapidement un autre. Qu'il est bon de travailler avec des érections cycliques. Il est déjà 11 h55. Je mets une bûche dans le poêle.

Il reste une part de tourte aux poireaux que je réchauffe au four électrique. Je lave les feuilles d'une belle et grosse laitue. J'en prépare pour ce soir. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit deux analystes qui décrivent la déroute de nos institutions. Le noyautage des hautes administrations par des énarques surtout soucieux de leur carrière que des affaires du pays. Ces intervenants concluent très justement à ce qui ressemble fort au retour à l'ancien régime. Une différence. Le monarque ne règne que 5 ans.

Je débarrasse pour faire la vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller me dégourdir un peu les jambes, je sors. Le ciel s'est encore obscurcit pour devenir franchement menaçant. Je descends jusqu'à la rivière. La floraison commence à laisser sa place aux verts des feuillages. Les buissons, les fourrés et les bosquets sont à nouveaux denses. Tout cela m'inspire. Je rentre. Installé devant mon chevalet je peins animé des mêmes réflexions que ce matin. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite en jetant son cartable.

Assise à califourchon sur mes cuisses, tout en se frottant, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle me charge de te faire des bisous, de te branler un peu devant Juliette et de te sucer la queue de sa part ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur à mettre au propre ses notes de la journée. << La crampe de l'écrivain ! >> lance t-elle en mimant une masturbation masculine. Je lui raconte le sujet de mes pensées de la journée. Mes nombreuses érections.

Nous rions de bon cœur lorsqu'elle m'apprend qu'elle s'est touchée au volant. << Ce matin en allant en cours, ce soir en revenant ! >> précise t-elle. Les membres de notre "Club" très fermé sont de ferventes "pratiquantes". << Put-Hein, il faut que j'arrête ! >> lance Clémentine. Il est 18 h30. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse pour me laver les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Ma bite repose sur le bord intérieur. J'ouvre le robinet d'eau chaude. Je m'apprête à pisser quand Clémentine se précipite.

<< Jamais sans moi pipo dans le lavabi ! >> s'écrie t-elle en saisissant mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Avec les nombreuses excitations de la journée il y a du liquide séminal qui s'écoule entre chaque petit jet parfaitement contrôlé. Clémentine se penche en avant. Son visage à une vingtaine de centimètres de ma queue pour admirer le liquide jaune qui entraîne le liquide opalescent. Je la tiens par ses hanches. Je remonte sur ses tous petits seins. La toute dernière giclée je la réserve pour la bouche de Clémentine qui vient de s'accroupir.

Je la regarde déguster, les yeux fermés, avec cette expression d'extase dont elle est coutumière. Je caresse ses cheveux. Je passe mes deux doigts sur ses joues creusées par l'effort de succion. Ça part doucement en pipe des familles lorsque la musique imbécile de mon téléphone retentit. Clémentine se redresse pour se précipiter vers la desserte. << Juliette ! Elle arrive ! >> lance t-elle en m'entraînant par la main. << Surtout, garde la bite à l'air. Cette salope adore ça autant que moi ! >> dit elle. Nous accueillons notre amie dans le hall d'entrée.

Ce soir encore cette sublime bourgeoise de 48 ans est vêtue de sa tenue de travail. C'est à dire de son pantalon d'écuyère beige, hyper moulant, ses bottes noires de cavalière. Un gilet cintré sur un chemisier crème lorsque je la débarrasse de sa veste de velours brun. Ses longs cheveux noirs en une longue natte qui pend sur son épaule droite. Clémentine la débarrasse du grand Tupperware rond qui contient le repas. Comme toujours, même en me faisant la bise, Juliette fait mine de ne pas voir ce qui dépasse de ma braguette vulgairement béante.

Nous allons dans la cuisine. J'admire une fois de plus cette magnifique cambrure de reins. Cette silhouette svelte et athlétique. Plus petite que Clémentine Juliette n'a rien à envier au physique d'une jeune fille de 25 ans. Juliette a concocté une tarte à la courgette. Des rondelles de champignons alternent avec des rondelles d'avocat. Une bonne couche de gruyère dore le tout que je place au four afin de réchauffer. Juliette met les assiettes, les couverts en nous racontant son quotidien de chef d'entreprise. Son accent méridional donne un certain cachet.

D'être en compagnie de ces deux femmes hyper sexys dans la cuisine, avec les pensées du jour qui ont animé ma libido, je ressens une nouvelle excitation. Les femmes ont un sixième sens beaucoup plus développé. J'en ai encore la preuve lorsque le regard de Juliette se braque soudain sur mon sexe. En même temps que de graveleuses pensées encombrent mon esprit. Juliette passe son index sur la couture centrale de son pantalon. Cette couture qui divise les lèvres de sa vulve en deux petites bosses qu'elle ne tente jamais de dissimuler.

Elle demande à Clémentine : << Avec le recul, votre petite aventure en compagnie de mon palefrenier, concluante ? >>. Clémentine me consulte du regard avant de répondre : << Un amant parfait. Je comprends pourquoi vous l'avez embauché ! >>. Juliette éclate de rire avant de répondre : << Ce n'est pas mon critère de recrutement. Je ne découvre les qualité de mon personnel masculin qu'après quelques temps. Vous aurez remarqué que je n'ai qu'un seul employé mâle ! >>. Nous éclatons de rire. Juliette insiste pour sortir la tarte du four.

<< N'allez pas risquer de vous brûler, ce sera bien dommage ! >> lance t-elle en s'accroupissant. Rien ne peut stimuler ma libido autant que la vision d'une femme accroupie, me tournant le dos. Clémentine le sait. Aussi elle me fait un clin d'œil en pointant son doigt sur mon sexe en érection. Juliette aussi le sait car avant d'ouvrir la porte du four elle contemple mon attitude dans la vitre fumée. Elle tourne la tête pour m'adresser un sourire troublant, le regard par en-dessous. Les membres de notre "Club" très fermé sont d'authentiques coquines. Sublimes.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette revient sur notre soirée à quatre. Lorsque Clémentine baisait avec James dans le local bureau. Lorsque Juliette et moi étions cachés dans le box voisin pour mâter par le trou du Gloryhole. << On refait quand ? >> demande t-elle. Clémentine répond : << Organisez-nous un "plan" ! Moi je veux bien me refaire ce type. Il baise plutôt bien et le gout de son foutre n'est pas dégueu ! >>. J'écoute cette conversation surréaliste en me tripotant de la main gauche. Tout en mangeant avec la droite. C'est bon.

Juliette et Clémentine sont très amusées par mon comportement. << Excité ? >> me demande Juliette. Je me lève pour agiter ma queue dans sa direction. Je bande mou. << J'adore les semis érections. Je trouve ça beaucoup plus beau ! >> lance Juliette. << Moi aussi ! >> ponctue Clémentine. Juliette rajoute : << Il y a quelque chose de rassurant tout au fond de nous quand ça ne bande pas fort et dur ! >>. J'écoute les analyses des deux femmes concernant l'érection masculine. C'est très intéressant. On apprend à tout âge. J'en profite !

Nous ne traînons pas. Juliette propose de faire la plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Avec l'excitation il y a une coulée de foutre qui pend de l'extrémité de la peau fripée de mon prépuce. << Faites attention de ne pas tâcher votre pantalon ! >> me fait Juliette en remarquant la "stalactite" de foutre épais, gluant et visqueux. Clémentine s'accroupit. D'un gracieux mouvement de tête, se tenant à mes hanches, elle ouvre la bouche pour gober la coulure. Je vois le spasme qui agite tout le corps de Juliette. Il n'y a pas d'âge pour l'émotion.

Nous passons au salon pour y prendre le dessert. Dans le canapé, Clémentine à ma droite, joue avec ma queue tout en bavardant. Juliette vautrée dans le fauteuil qui nous fait face ne cesse de passer son index sur la couture centrale de son pantalon. Elle insiste un peu sur l'endroit de son clitoris. Seules ses mains trahissent son âge. C'est merveilleux les mains d'une femme d'âge mûr. Le vernis rouge de ses ongles brille à la lueur des deux grosses bougies du chandelier. Je bande comme un salaud dans la main de Clémentine. C'est excitant.

Clémentine se touche de son autre main. J'écoute les deux femmes mettre au point la prochaine rencontre avec le palefrenier. Juliette revient sur des anecdotes particulières où elle s'est retrouvée seule avec James. Sur la paille, sur les couvertures, parfois par l'orifice du Gloryhole, elle s'est offerte du "jus de palefrenier", s'est fait défoncer la chatte. << Vous savez qu'il encule divinement ? >> lance Juliette. << Merci, pas de ça pour moi ! >> s'écrie Clémentine qui déteste la sodomie. << Dommage, il a une bite à cul ! >> rajoute encore Juliette.

Je me lève. Clémentine me lâche la bite. Je reste un instant debout devant Juliette. Mes mains sur les hanches, par petites contractions des muscles fessiers, je fais bouger mon sexe. Clémentine se lève pour venir voir. Penchée en avant, son visage à une vingtaine de centimètres de ma queue, elle montre à Juliette la coulure qui pend à nouveau. Juliette à un réflexe. Elle s'avance, trop envieuse de gouter. Elle aussi est hyper excitée. Pas seulement par ses attouchements perpétuels mais par les sujets de conversations. Clémentine se met entre elle et moi.

Toujours craintive. Toujours cette vieille peur et cette jalousie latente. Pour Clémentine Juliette reste la seule et unique "rivale". Elle sait les sentiments qu'éprouve Juliette, les projets qu'elle bâtit dans sa tête. Je dis : << Il faudra tout de même que tu laisses Juliette apprécier la qualité de mon foutre ! >>. Clémentine cesse de sucer pour répondre : << Déjà fait ! >>. Juliette m'adresse plusieurs clins d'œil pendant que Clémentine tire le foutre qui encombre le conduit de ma verge. Elle se masturbe en silence. Nous nous sourions comme des complices.

Il est 21 h45. Juliette doit nous laisser pour 22 h. Je force Clémentine à cesser sa pipe. Assise sur la table basse son visage est à bonne hauteur. Je m'accroupis à mon tour pour prendre chaque petite bosse du sexe de Juliette que je fais rouler entre mes doigts. Juliette a un réflexe et un petit cri d'extase. Clémentine me tient la queue comme pour me garder à distance. Juliette me dit : << Quand nous ferons à nouveau les voyeurs pendant que votre douce compagne se fera sauter, vous êtes prié de parfaire vos manipulations ! >>. Éclats de rire.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se rassurer sous les draps. En se faisant lécher, baiser et juter au fond de la gorge...



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1876 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, jeudi, l'application "océan" nous réveille de ses illusions. Il est presque six heures quand les moteurs de ce chalutier qui rentre au port se font entendre dans le lointain. Le cri des oiseaux de mer qui semblent résonner dans la chambre comme le clapotis de l'eau tout contre les pieds du lit. Clémentine se serre contre moi en murmurant d'incompréhensibles borborygmes. Ce qui nous fait rire. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos vêtements de sport, nous dévalons l'escalier.

De la fraîcheur dans la cuisine. Clémentine fait le café en racontant son rêve. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. J'écoute amusé car je ne me souviens jamais des miens. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. La compagnie de Juliette a encore été des plus agréables. << Cette salope n'arrête plus de vouloir m'entraîner dans des "plans" vicelards ! >> s'écrie Clémentine. Je dis : << Mais tu les aimes tellement ses "plans" là ! >>. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways.

Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. C'est sous un ciel de plomb que nous courons sur le bord de la route. Les pluies nocturnes ont détrempé le sentier qui longe la rivière. Une heure d'un jogging revigorant et nous revenons pour prendre notre douche. Je descends le premier pour faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint dans son blouson de cuir noir, son jeans, ses bottines. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou depuis le portail. Je m'empresse de rentrer au chaud.

Après avoir fait la vaisselle, notre lit, je passe à l'atelier. J'y allume le petit poêle de fonte noire. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Les craquements du bois dans le Godin ne cessent plus sous l'assaut des flammes que j'entends gronder. La peinture de ce neuvième paysage destiné à ma saison d'été m'accapare rapidement, totalement. Je peins en pensant à Juliette. Ses comportements, ses attitudes, ses préoccupations. Pour un homme de mon âge, quinquagénaire et en pleine forme, cette femme serait la compagne idéale.

Il est 11 h55 quand je rajoute une bûche dans le poêle avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Une fois encore Juliette envahit mon esprit puisque je réchauffe la dernière part de sa tarte. Il me suffit de préparer une salade de concombre. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états" reçoit aujourd'hui deux journalistes d'investigations. C'est à dire des journalistes qui font leurs boulots. Pas de ces animateurs d'informations qui citent et obéissent à leurs comité de rédaction. Pas des Michel Drucker de l'actualité.

Je débarrasse. Je prépare une pâte à crêpes. Dans une poêle je fais revenir des crevettes, des ronds de calmars. J'épluche, je lave et je coupe des pommes de terre en fines tranches. Dans une autre poêle je les transforme en chips. En fin de friture je les dépose sur des feuilles de papier absorbant. Elles sont dorées à souhait. J'en goutte une. Un délice. Elles seront l'accompagnement de nos beignets de crevettes de ce soir. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Je me précipite dans l'escalier, pressé de sortir un peu.

Le ciel s'est dégagé. Il y a des séquences ensoleillées, d'autres plus menaçantes. Je descends jusqu'à la rivière. Le fond de l'air reste frais. Je flâne un peu avant de remonter. Il est 13 h30. Confortablement installé devant mon chevalet, je reprends ma peinture. Une fois encore Juliette envahit mon esprit à plusieurs reprises. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. Assise à califourchon sur mes cuisses, tout en se frottant, elle me raconte sa journée. Des bisous.

Le restaurant universitaire proposait ses deux habituels menus. << Pizzas du jeudi, ou ravioles aux légumes ! >> dit Clémentine qui se lève car elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne. Il est 18 h15 quand Estelle arrive à son tour. J'anticipe toujours en posant ma palette et mes pinceaux sur la desserte. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou elle me dit : << Clémentine m'a tout raconté à midi. Tu as encore fait ton pervers hier soir avec Juliette. Donne-moi tes impressions, salaud ! >>.

Clémentine qui range ses affaires s'écrie : << Cette salope vient allumer mon mec jusque sous notre toit ! >>. Estelle se lève pour rejoindre Clémentine. Elle compare des trucs sur l'ordinateur pendant que je nettoie la palette, les pinceaux. << Tu m'appelles pour le pipo dans le lavabi ! >> lance Estelle en mimant une masturbation masculine. Je retire ma blouse pour aller me laver les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. La bite qui pend sur le rebord intérieur de la faïence. Estelle et Clémentine arrivent à toute vitesse. C'est notre nouveau rituel.

<< Sors tes couilles. Il en faut pour toutes les deux ! >> dit Estelle en saisissant mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Je fouille au fond du slip pour chercher les roubignoles qu'empoigne immédiatement Clémentine. Je suis entre mes deux anges. C'est adorable une main de fille qui tient le Zob pour faire pipi. C'est un pur moment de plaisir presque tous les soirs. Je les tiens toutes les deux par la taille en contrôlant parfaitement chacun de mes jets. De tous petits jets pour amuser les coquines. Elles rient, penchées en avant pour bien voir.

Quand je ris aussi, le contrôle est moins fiable. Mais Estelle dirige bien les opérations. Ça ne gicle pas n'importe comment. Comme le robinet d'eau chaude coule, l'odeur de la pisse nous monte aux narines. Nous rions de bon cœur. J'arrive doucement aux dernières coulées. C'est Clémentine qui s'accroupit la première. Estelle lui offre ma bite à sucer. Je bande mou, c'est donc bien juteux. Estelle m'enfonce la langue dans la bouche sans lâcher mon sexe. Clémentine pousse de petits gloussements de ravissements. Je contracte les muscles fessiers.

Ce qui permet de bien me vider. Sous l'effet de l'indicible caresse, c'est une belle érection qui envahit la bouche de Clémentine. Je demande à Estelle lorsqu'elle cesse de m'embrasser : << Raconte-moi ta baise avec Jean-Marc hier soir ! >>. Estelle s'écrie : << Mon parrain baiseur m'a encore sauté sur les piles de cartons au dépôt ! Le salaud ! >>. Clémentine se redresse en rajoutant : << Tu nous racontes à table, pendant qu'on mange ! >>. C'est vrai qu'il commence à faire faim. Les filles m'entraînent par les mains. Nous quittons l'atelier. La cuisine.

<< Mmhh, ce soir il y aura des beignets avec des pommes chipes ! >> s'écrie Estelle qui ne lâche plus mon Zob. J'ai la bite et les couilles garrotées par l'étroitesse de la braguette bouton de mon Levi's. Et comme il n'y a que deux boutons sur trois d'ouverts, je laisse au lecteur d'imaginer à quel point c'est serré et inconfortable. Nous mettons nos tabliers. Nous les nouons sur nos reins. Estelle jette les crevettes et les ronds de calmars dans la pâte en remuant bien le tout. Je porte l'huile de friture à ébullition dans son caquelon. Il suffit de le brancher.

Clémentine fait une belle salade de tomates avec des champignons crus. Estelle glisse les crevettes et les ronds de calmars enrobés de pâte dans l'huile bouillante. Elle laisse flotter une petite minute. Avec un écumoire Clémentine les récupère pour les disposer sur des feuilles de papier absorbant. Je réchauffe les pommes de terre chips à feu doux dans le wok, sans graisse. Préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Les filles évoquent leurs études, quelques anecdotes de cours, les tics verbaux de certains professeurs pittoresques.

Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines. C'est totalement hors sujet, hors contexte, mais tellement drôle. J'ai remballé mes couilles car c'est vraiment désagréable. Je n'ai que la bite à l'air. Aussi, à chaque fois, comme par mimétisme, je me lève pour agiter ma queue dans sa direction. << Tu fais ça avec Juliette aussi ? >> me demande Estelle qui connait parfaitement la réponse. Je réponds par une question : << Raconte-nous ta soirée sur les piles de carton du dépôt de l'entreprise familiale, s'il te plaît ! >>.

<< Ben, il m'a d'abord niqué, avant de me tirer comme le salaud qu'il est pour terminer par me baiser comme un rustre en poussant des mugissements d'animal en rut ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. Estelle rajoute : << Et tout ça pendant plus d'une heure. Tu imagines un peu l'état de ma chatte ! Il faudra d'ailleurs que tu fasses un contrôle très approfondi tout à l'heure ! >>. Nous sommes pliés de rire. Estelle précise : << Et comme toujours, maman m'a regardé d'une étrange façon quand je suis revenue avec des cernes sous les yeux ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Pressée de procéder à ce "contrôle approfondi", Estelle m'attrape par la bite pour m'entraîner au salon. << Le contrôle du jeudi soir ! >> s'écrie t-elle en me poussant dans le canapé. Clémentine et Estelle retirent leurs jeans et leurs culottes qu'elle jettent n'importe où en riant. Je dispose les épais coussins au sol. Le contrôle approfondi du jeudi soir consiste à pratiquer de merveilleux cunnilingus. Vautrées toutes les deux dans le canapé, tenant leurs jambes relevées, elles me présentent leurs minous goulus.

À genoux sur les épais coussins, je commence par le sexe d'Estelle. Son odeur de fille négligée me donne toujours un haut le cœur. Pourtant cette répulsion m'excite immédiatement. Je surmonte mon dégout en voyant les filaments de fromage. Elle ne me laisse d'ailleurs pas le temps de me livrer à d'autres analyses visuelles. Elle m'attrape par les oreilles pour coller mon visage sur sa touffe. Je passe la langue entre la fente que j'écarte. Les lèvres de sa vulve jaillissent comme les pétales d'une tulipe. J'en fouille les plis et les replis d'une langue avide.

Le petit gout vinaigré du trou à pipi que je fouille tout aussi soigneusement. Estelle titille son clitoris en se masturbant. Tout comme le fait Clémentine qui attend son tour. Je cesse de lécher, de pomper pour sucer le tout petit clitoris d'Estelle. Elle se pâme en poussant de profonds râles de contentement. Je la laisse à sa masturbation pour passer au croupion de Clémentine. Le gout est différent. Moins âcre. Plus onctueux. Je suce son clitoris géant avec délectation car il y a de délicieux petits miasmes dans les peaux tout autour. Ce gout "fromage".

Le lecteur qui sait le gout de l'Édam comprend ce que je savoure. Alors que chez Estelle ce serait plutôt un camembert de Normandie un peu "fait". Cette métaphore fromagère provoque les rires de mes deux jouisseuses. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il ne reste pas tout à fait trente minutes pour qu'elle s'offre son "choc émotionnel" de la soirée. Je m'y applique avec soin. Les filles me tiennent par les oreilles pour bien se frotter sur mon visage dont le bas est trempé de "yaourt". Ces jus de filles que je savoure en gémissant de bonheur, de plaisir.

Quand je ne suce pas les clitoris, je fouilles les vulves. Parfois je retourne l'une pour lui bouffer le cul. Il y a de la cyprine qui y coule pour se mêler à la sueur de la raie culière. Je recommande car c'est "caverneux". À quatre pattes, me présentant leurs culs, riant ou échangeant leurs impressions, mes deux anges se font reluire tout en se masturbant. J'enfonce la première phalange de mes index. Je tourne doucement. C'est toujours Estelle qui s'exclame : << Enculeur de filles ! >>. Je les retourne comme des crêpes pour bouffer du minou.

L'orgasme d'Estelle la fait hurler. Elle se tortille, se contorsionne en me repoussant délicatement. Les mains entre ses cuisses comme si c'était douloureux elle se tourne sur le côté sans cesser de pousser de petits râles. L'orgasme de Clémentine la fait crier. Je tiens la cuvette en plastique le plus près possible en maintenant ses cuisses écartées. Ça gicle un peu à côté mais l'incroyable jet de pisse vient se briser au fond du récipient. Estelle se redresse pour contempler ce spectacle fantastique dont il est impossible de se lasser. C'est impressionnant.

Je fourre mon visage entre ses cuisses pour aller sucer, pomper, récupérer ce mélange onctueux qui me fait pousser de petits cris de ravissement. Estelle se met à quatre pattes au sol pour saisir mon sexe. Je bande mou et ça dégouline de foutre. Avec quelques contorsions Estelle parvient à gober mon sexe pour sucer comme si sa vie en dépendait. Clémentine me repousse délicatement en déposant la cuvette à côté du canapé. Avec le doigt je récupère la foutrine qui flotte sur la pisse. Quand je le porte à la bouche Clémentine est toute excitée.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont faites lécher, nettoyer la chatte. Avant une petite baise de principe sous les draps.

Julien (lécheur fou)



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Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1546 -



Julie vient prendre son cours de peinture

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. C'est le cri strident des mouettes qui nous arrache du sommeil. L'application "océan" offre l'illusion de nous réveiller une fois encore au bord de la mer. Clémentine vient se blottir tout contre moi. Elle se frotte contre ma cuisse en murmurant : << Le vendredi, je termine à midi ! >>. Nous rions en nous précipitant aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Quand elle termine à midi, Clémentine est plutôt déconneuse. Ce matin encore.

Elle prépare le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses quatre tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le "contrôle minous" de hier soir. Ce cunnilingus dont j'ai gratifié Estelle et Clémentine. << C'est tellement bon Julien. Ça reste ce que je préfère ! >> dit Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les vagues projets du week-end. Il y a une animation au port de plaisance dimanche. Peut-être irons-nous. Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways avant de sortir.

Le ciel est nuageux. La fraîcheur est moindre. Le thermomètre extérieur indique 12°. Quelques mouvements d'échauffement. C'est sur le sentier qui longe la rivière que nous nous offrons notre heure de running. Nous revenons pour prendre la douche. Je redescends le premier pour prépare la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint dans son blouson de cuir noir, ses jeans, ses bottines noires. J'aime le foulard de soie mauve qu'elle passe autour de son cou. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre en vitesse.

Je fais la vaisselle, le lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume le petit poêle rond de fonte noire. Il faut chauffer longtemps cette année. Nous sommes déjà le 6 mai pourtant. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Ce neuvième paysage destiné à ma saison d'été sera terminé dans la matinée. Je peins dans l'euphorie laissée par Clémentine. Il est 11 h quand je dépose la dernière pointe de jaune de cadmium sur la surface de la toile. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je dépose l'œuvre achevée sur un second chevalet.

Il reste un paysage à réaliser et j'en aurai dix. Je suis en mesure dès à présent d'accrocher 25 toiles aux cimaises de ma galerie. C'est Julie qui va être contente. Je quitte l'atelier pour aller faire quelques pas au dehors. Il y a de belles séquences ensoleillées. C'est une plaisante alternance de couleurs. Je contourne la maison d'amis pour constater que le stock de bois est encore fort conséquent. Il y a là de quoi chauffer pour les quatre hivers à venir. << Bonjour ! >>. Je me retourne. Je ne l'avais pas vu monter le chemin. C'est monsieur Bertrand.

Notre voisin qui aime à apporter du vieux pain aux canards. Nous nous saluons. Même si Louis n'habite qu'à un peu plus de trois cent mètres, la maison plus bas, nous ne nous croisons que rarement. Je le laisse à ses canards pour rentrer. Je prépare une salade de carottes. Il reste des beignets de crevettes, des pommes de terre chips. Il n'y a qu'à réchauffer au four à micro ondes. Je mets les assiettes, les couverts. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. << Week-end ! >> s'écrie t-elle en se précipitant pour me sauter au cou.

Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour couvrir mon visage de bisous. Je la promène dans toute la cuisine. << Je me suis encore fait draguer en prenant de l'essence. Tu ne devineras jamais par qui ! >> dit elle quand je la dépose. Je réponds : << Langue au chat ! >>. Clémentine fait : << Langue à la chatte. Il y avait Pierre, le mari de madame Walter qui nettoyait sa bagnole à l'éléphant bleu ! Nous avons échangé quelques mots. Il m'invite à boire un café un soir après les cours ! >>. Clémentine m'embrasse immédiatement.

Je n'ai pas le temps de répondre. Nous voilà attablés. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur cette rencontre. J'écoute Clémentine me raconter. Pierre propose à Clémentine de l'attendre un soir, à 17 h pour aller au salon de thé voisin de l'université. << Je n'ai vraiment pas envie. Que dois-je faire ? >> me demande t-elle à deux reprises. Je réponds : << Tu n'oublies pas sa véritable proposition. Celle dont a parlé Juliette. Pierre à le fantasme de t'emmener en "promenade" dans son auto. Que tu lui tailles une pipe pendant qu'il roule ! >>.

Clémentine éclate de rire. << Je crois qu'il va attendre longtemps ! >> s'écrie t-elle. Je rajoute : << Pourtant, tu as déjà sucé ce mec plusieurs fois depuis quatre ans ! >>. Clémentine précise : << Oui. Mais à chaque fois tu étais planqué pas loin. Alors qu'une ballade seule avec lui rendrait ta présence cachée tout à fait impossible. Je ne préfère pas commencer ce genre de trucs sans toi ! >>. Je n'insiste pas. Clémentine rajoute encore : << Il m'a laissé sa carte avec son numéro. Direct avec les autres, dans la "collection" ! >>. Nous rions.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, mon ange murmure à mon oreille : << Ce qui n'exclue absolument pas qu'on mette tous les deux au point un "plan" où tu serais caché pas loin ! >>. Nous éclatons de rire. Je m'écrie : << Génial ! Nous allons y réfléchir très sérieusement ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents avant de dévaler les escaliers. Pressés d'aller faire quelques pas au dehors. Le ciel se couvre inexorablement mais sans être menaçant. Il fait doux.

Clémentine me tient la main. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous nous embrassons passionnément. Ce qui provoque chez moi des érections démentielles. Clémentine adore se frotter. Nous en bavons de plaisir. Il y a le Master II d'ici un mois et demi. Clémentine a encore du travail. Nous remontons pour aller dans l'atelier. La voilà assise devant son ordinateur, concentrée sur ses préparations. Je reste un instant auprès d'elle, pour lisser ses longs cheveux. << J'adore quand tu me fais ça ! Je t'aime ! >> dit elle, faisant défiler des graphiques.

J'ai en projet une toile de format 100 x 81 cm (40 F). J'aime conclure ma saison de travail par une réalisation de grande taille. Je prépare donc ce support avec le plus grand soin. J'applique du Gesso sur la surface. Quatre couches de cette émulsion d'acrylique contenant des pigments de blanc de titane. Chacune de ces couches sèche très vite. Surtout que j'y passe le sèche cheveux. Je n'ai plus qu'à poncer soigneusement pour rendre la surface aussi lisse que le marbre. Parfois je cesse pour aller rejoindre Clémentine. Je lisse ses cheveux.

Il est 16 h. Trois coups timides contre la porte qui s'ouvre. C'est Julie qui se précipite d'abord vers Clémentine pour lui faire trois bises. Plus réservée elle s'approche de moi. Je me penche. Trois bises. Cet après-midi Julie est vêtue de son blouson de cuir noir, de son jeans, de ses bottines. Ses lunettes d'étudiante, ses cheveux en liberté qui flottent sur ses épaules. Elle retire son blouson pour s'assoir devant la toile achevée ce matin. Silencieuse, elle scrute longuement. Je vais la rejoindre. Accroupis à côté de sa chaise je réponds à ses questions.

Je lui apprends que j'ai déjà 25 toiles prêtes pour cet été. Elle est rayonnante. Elle s'écrie : << Si vous saviez comme je me réjouis pour ces deux mois d'été ! >>. Je l'écoute développer tous les souhaits qu'elle désire mettre en application. Peindre devant les visiteurs est un attrait supplémentaire. Cette forme d'exhibition vécue l'an dernier lui laisse un souvenir indicible. Julie n'a qu'une envie, revivre ces moments d'une intensité folle. En riant, posant sa main sur mon épaule, elle précise : << Mais ce ne seront pas des portraits comme le vôtre ! >>.

Depuis sa table de travail, Clémentine s'écrie : << Dommage. Tu pourrais lancer un nouveau concept. Le portrait de la bite des messieurs que cela intéresse ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je me redresse en même temps que Julie se lève. Elle fixe rêveusement ma braguette béante avant de dire : << Ce serait une façon de m'enrichir ! Mais il faut que vous me donniez encore quelques cours à ce propos. Nous avons un second portrait à réaliser ! >>. Je reste stupéfait. C'est Julie qui revient sur ce projet de second portrait de ma bite !

<< Bite et couilles ! >> lance Clémentine depuis sa table. Julie s'écrie : << Oui ! On avait dit ! >>. D'un geste lent, parfaitement maîtrisé, je sors mon sexe. Avec les testicules qu'il me faut extraire difficilement du slip. Mes organes génitaux ainsi présentés à notre jeune amie lui font ouvrir de grands yeux. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Par contre elle reste comme hypnotisée par ce que je lui présente. Je reste ainsi, mains sur les hanches, ma bite grossissant lentement. Je bande mou. Clémentine, depuis sa table, nous observe silencieusement.

<< Je peux prendre quelques photos ? Pour l'inspiration ! >> lance t-elle en se précipitant pour récupérer son téléphone dans la poche de son blouson. Je prends la pose. Accroupie, Julie fait quelques clichés. << On en fait quelques unes dehors, à la lumière naturelle ? >> propose t-elle. Je dis : << Excellente idée ! >>. Clémentine se lève. Pour rien au monde elle ne voudrait manquer ça. Dans le hall d'entrée j'enfile mon blouson en jeans. Nous descendons au jardin. C'est près du bassin devant les fourrés que Julie prend une dizaine de photos.

<< Juste avec la bite s'il vous plaît ! >> s'écrie t-elle. << Toi aussi tu préfères quand il y a juste la queue ? >> demande Clémentine. << Oui, ça m'excite davantage ! >> répond Julie. Julie est venue pour son cours de peinture. Il est presque 17 h et elle devra nous laisser pour 18 h. Nous voilà tous les trois dans l'atelier. Clémentine devant son ordinateur. Julie devant le chevalet de table. Moi installé à sa gauche. Je la regarde peindre sans intervenir. Je me contente de répondre à ses questions d'ordre technique. C'est un magnifique paysage qu'elle peint.

D'après une photo prise près de chez elle. Je me masturbe doucement sous la table. Ce qui passionne Julie autant que sa peinture. Lorsqu'elle prend du recul ce n'est pas seulement pour contempler son travail, c'est aussi pour loucher sur mon activité manuelle. Il est presque dix huit heures. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Assise au volant, Julie nous dit : << Je vous envoie la plus belle des photos prises dehors ! >>. Clémentine agite mon sexe en répondant : << Avec plaisir mais on préfère les tableaux ! >>. Nous rigolons.

Julie revient demain matin pour faire notre ménage. Nous la regardons partir. C'est devenu un rituel. Après avoir franchi le portail Julie sort de l'auto pour nous faire des bises qu'elle souffle dans ses mains. Un dernier coucou, nous nous dépêchons de rentrer. << Toute une soirée rien qu'à nous Julien. J'ai plein d'émotions à partager, plein de choses à te raconter ! >> me dit Clémentine en me prenant dans ses bras. Nous retournons dans l'atelier afin d'y ranger nos affaires. Nous n'arrêtons pas de nous embrasser. Clémentine joue avec ma bite mollasse.

<< J'adore quand tu es vicieux. Quand tu fais le pervers devant d'autres filles. Si tu savais comme ça m'excite. Surtout quand je sais qu'après je t'ai pour moi toute seule ! >> s'écrie t-elle en s'accroupissant pour me sucer un peu. En se redressant elle rajoute : << J'ai pensé à ta proposition avec Pierre. Je crois que j'ai un scénario. Je te le raconte en faisant l'amour après le repas ! >>. Je bande comme le dernier des salauds. Il est 18 h45, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine me tient par la queue comme par la laisse. J'adore.

On fait très simple. Des coquillettes avec une sauce au Roquefort. Deux filets de colin finement émincés que nous rajoutons après les avoir poêlé. Nous mangeons de bon appétit. << Je vais sucer Pierre. J'ai une idée. Tu vas beaucoup apprécier ! >> dit elle en s'asseyant sur mes genoux. Je réponds : << Je vais me faire sucer par Julie. Moi aussi j'ai une idée pour le second film qu'elle veut réaliser ! >>. Notre connivence, nos totales complicités, nous excitent soudain au plus haut point. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Vite, au salon !

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont pouvoir développer leurs idées de scénario en faisant l'amour dans les bras de leur coquin...



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1878 -



Un samedi des plus agréables

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine glisse sur moi pour me faire des bisous. Je la renverse pour me mettre au-dessus. Mon corps en appui sur mes bras pour ne pas peser de tout mon poids. << Wouah, j'aime ! >> gémit elle en s'accrochant à mon cou, passant ses jambes autour de ma taille. Même si nous ne sommes pas du matin, la situation est très excitante. Hélas, l'impérieux besoin naturel met fin à nos effusions sensuelles. Nous nous précipitons aux toilettes. Nos rituels pisseux.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons l'escalier. Pendant que Clémentine fait le café, je presse nos oranges, je pèle les kiwis. Dans le hall d'entrée, depuis l'interphone, j'ouvre le portail. Je rejoins Clémentine qui se bagarre avec le grille pain qui s'est bloqué. L'odeur de pain brûlé. Je débranche. Ça disjoncte. L'appareil libère les quatre tranches noires. Il faut recommencer. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les révélations de Clémentine hier soir. C'est quand nous faisons l'amour qu'elle me révèle ses doux secrets.

Il y a deux "plans" pour vivre un "truc" sympa avec Pierre. Le mari de madame Walter est un baiseur fou mais également un hyper vicelard. Nous allons réfléchir et choisir la meilleure formule. Ce salaud propose à Clémentine de l'attendre un soir, après les cours, sur le parking de l'université. Nous en parlerons à Estelle qui arrive en début d'après-midi. Nous mangeons de bon appétit en évaluant les possibilités, les risques et les conséquences. Clémentine n'est absolument pas contre l'idée d'une bonne pipe dans la bagnole pendant que Pierre roule.

<< Pierre roule sans amasser mousse ! >> lance Clémentine. Nous rions. Il est 8 h25 quand Julie arrive. Son sourire enjoué. << Bonjour ! >> nous fait elle en entrant dans la cuisine. Nous nous levons pour lui faire des bises. << Allez faire votre running, je m'occupe de tout ! >> dit elle en se mettant déjà à débarrasser la table. Nous enfilons nos K-ways pour sortir. Quelle agréable douceur printanière. Enfin. Le thermomètre extérieur indique 14° mais il y a du soleil, le ciel est d'un bleu d'azur. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti.

Nous courrons sur le sentier qui longe la rivière. À l'allée comme au retour nous maintenons un bon rythme. Il est neuf heures trente quand nous revenons. La douche. Nous entendons l'aspirateur quelque part à l'étage. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers pour sortir. Nous n'attendons pas longtemps. Voilà la camionnette, Danièle au volant qui nous fait un grand sourire. Du hayon arrière elle tire les deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes. Le second les fromages, les yaourts, les œufs, le beurre.

Les petits pots de crème fraîche ont changé d'emballage. << Toujours Bio ! >> nous fait Danièle. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. À peine Danièle repartie que voilà madame Marthe, notre boulangère. Le tube Citroën se gare derrière la Clio rouge de Julie. Madame Marthe a toujours d'amusantes anecdotes. Elle nous tend le cageot contenant nos deux grosses miches de pain complet, la grande brioche au pudding, les deux pâtes feuilletées et les deux énormes croissants à la pâte d'amande. Paiement par carte. En riant.

Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame qui s'en va pour d'autres livraisons. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Dans le cellier nous disposons soigneusement les fruits et les légumes sur les étagères. Du congélateur je tire un paquet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie vient de passer la serpillère dans la cuisine. C'est pieds nus pour ne pas salir que nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Tout reste clean.

Nous passons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. Celui de Juliette qui nous invite à passer au haras demain dimanche. Elle y organise une animation. Un courriel d'Alan mon oncle d'Édimbourg. Un mail d'Estelle qui témoigne de son impatience de nous rejoindre à 13 h30. Dans une petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 euros. Clémentine y rajoute quelques mots gentils que je signe d'un dessin de fleurs. Il y a nos passeports posés sur le bureau. Nous les avons reçu il y a deux semaines. C'est parfait.

Pour nous rendre en Écosse cet été il faut disposer de nos passeports. La Grande Bretagne ne faisant plus partie de l'union Européenne de simples cartes d'identités ne suffisent plus. Des passeports qui seront encore valables l'année prochaine. Je suis citoyen britannique, j'ai la double nationalité, je n'en n'ai nul besoin mais j'ai préféré jouer le jeu. Clémentine et moi ne sommes pacsés que depuis trois mois. Nous formons un couple officiel. Ce qui évite les tracas administratifs qui s'annoncent dans les prochaines années. Julie nous rejoint au salon.

<< Vous voilà avec une maison propre ! >> dit elle en s'approchant. Clémentine se lève pour contourner le bureau. Elle pose ses mains sur les épaules de Julie. << Merci ! Mais le ménage, c'est très secondaire. Ce qui importe c'est de te savoir avec nous ! >> dit Clémentine. Julie répond : << Moi aussi ! Pour lundi soir, il n'y a plus de livraisons de repas. C'est terminé jusqu'à l'automne ! >>. Je me lève en tendant l'enveloppe jaune à Julie. Je dis : << C'est nous qui allons vous préparer les surprises culinaires des prochains lundis. Ça vous dit ? >>.

Julie saisit l'enveloppe en disant : << Merci. Comme je suis contente. J'aime les surprises ! >>. Clémentine rajoute : << Et dans le mot "culinaire" il y a "cul" ! >>. Nous rions tous les trois. Il est 11 h30. Nous raccompagnons Julie jusqu'à son auto. Assise au volant, un peu tristounette, elle regarde Clémentine palper ma braguette. Je dis : << Pour lundi soir, on vous prépare une belle surprise ! >>. Nous nous penchons pour lui déposer un dernier bisou sur le front. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer.

Clémentine lave les feuilles d'une belle laitue. Il y en aura pour ce soir. Je fais le bouillon pour y jeter les moules encore congelées. Dans le wok je vide les sachets de haricots verts et de petits pois. La préparation du samedi. Rapide et facile. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Julie. Depuis quelques semaines, sur ce forum, je raconte l'histoire d'une autre Estelle connue il y a sept ans. C'est Clémentine qui fait le parallèle entre Julie et cette "Estelle". Les mêmes attitudes réservées, le même comportement timide et discret.

Clémentine précise toutefois : << Quand on découvre l'évolution des relations, on va de surprises en surprises ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur les propositions de Pierre. << Tailler une pipe à ce mec, seule avec lui dans sa bagnole, pendant qu'il roule ! Ça m'excite ! >>. Je reviens à la charge en insistant : << Mais fais le ! Tu vas beaucoup t'amuser ! >>. Clémentine rajoute : << Voilà le plan. On fait ça près de la chapelle du bourg. Écoute ! >>.

J'écoute. << Je donne rencart à Pierre près de la chapelle. Toi, tu es planqué dans les environs. Je change de bagnole. S'il y a le moindre blême tu rappliques ! >> développe Clémentine. Je demande : << Mais alors pourquoi dans la bagnole ? >>. Clémentine répond : << C'est plus discret, plus excitant aussi ! Et je connais ce type depuis quatre ans. Il est hyper vicelard mais hyper gentil aussi ! >>. Clémentine reste silencieuse, accrochée à mon silence. Nous nous fixons longuement. Je murmure : << Tu vas encore nous rendre dingues ! >>.

Je me réjouis comme un fou, c'est vrai. Rien ne m'excite davantage que d'être planqué dans une cachette pour observer Clémentine. De la voir tailler une pipe à un autre me propulse au nirvana de mes fantasmes les plus inavouables. << Rien ne m'excite davantage que de te savoir caché à me regarder ! Si tu savais ! >> lance Clémentine. Nous fonctionnons tous deux de la même manière. Je ne suis pas voyeur. Mais de mâter ma cochonne est un véritable enchantement. Surtout lorsque je peux me masturber peinard en observant depuis ma planque.

<< Nous irons faire un tour à la chapelle. Étudier soigneusement la configuration des lieux et prendre nos dispositions. Il faut que ce soit un super "plan" ! >> rajoute Clémentine. Je propose d'y aller dès cet après-midi, et à bicyclette avec Estelle. << Génial ! Viens ! >> s'écrie Clémentine en se levant d'un bond. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. << Qu'ils sont où les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle juste avant d'entrer dans la pièce.

Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Nous restons serrés tous les trois à nous faire plein de bises. C'est tellement bien de nous retrouver. Estelle emmène toujours son sac de sport le week-end. Il contient ses vêtements de change. Dans la chambre, elle en tire son pyjama de soie mauve qu'elle étale sur le lit. Elle en sort son passeport qu'elle agite en s'écriant : << Prête pour l'Écosse ! >>. Elle montre sa photo en disant : << Vous m'aimez avec les lunettes ? >>. Je m'écrie : << Tu fais hyper sérieuse, prof de fac ! >>. Nous rions.

<< Tu as fait ton pervers avec Julie hier et ce matin, espèce de vieux salaud ? Raconte ! >> lance Estelle en déboutonnant mon jeans. Nous nous changeons pour enfiler nos tenues de cyclistes. Il fait tellement agréable que nous mettons nos shorts de lycra noir. Nos T-shirts de lycra jaune. Soquettes, godasses de sport. << Laurente Jalaberte ! >> lance Estelle en se contemplant devant le grand miroir de l'armoire. Nous rions comme des fous en prenant la pose à ses côtés. Je suis entre mes deux anges que je tiens par la taille. Nous faisons les pitres.

<< J'aime ta "bosse" ! >> lance Estelle en la palpant. Clémentine se serre contre moi. Je glisse mes mains entre leurs cuisses qu'elles écartent en se cambrant sur leurs genoux fléchis. << Comme c'est bon ça ! >> s'écrie Estelle qui saisit mon poignet pour que surtout je n'arrête pas. Les filles s'accroupissent. Me tenant les jambes, leurs têtes contre mes cuisses. Je caresse leurs têtes. Nous restons ainsi à nous observer, à nous faire des sourires. Je les aide à se redresser avant la crampe. Pressés de filer nous dévalons les escaliers en riant.

Dans le petit sac à dos que je porte, trois pommes, les barres de céréales, la petite paire de jumelles, nos K-ways. De la voiture d'entreprise à Estelle je sors son vélo. << Papa a tout vérifié ! >> précise t-elle. Je vérifie le gonflage des pneus de nos bicyclettes. Parfait. Rien n'a bougé depuis la dernière sortie. Estelle est très tactile encore cet après-midi. Elle n'arrête pas de palper la "bosse". << Put-hein, j'aime trop le contact du lycra sur ta bite. C'est génial ! >> s'écrie t-elle. << Moi aussi, j'adore ! >> rajoute Clémentine. Je précise que j'aime aussi.

C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois dont j'ouvre le cadenas du portillon. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Cette fois, nous la prenons en sens inverse. Direction le bourg. Il y a un léger vent de Nord Est contre nous. Il nous poussera au retour. Avec cette merveilleuse journée, il y a évidemment du monde. Nous croisons plein de cyclistes, des joggeurs, des filles à rollers, des familles. Il faut partager la piste cyclable avec quantités d'utilisateurs différents. De plus en plus de ces trottinettes électriques aussi.

Nous pédalons en bavardant. Il y a trois kilomètres jusqu'au bourg. Ça monte un peu. Qu'il est agréable de pousser les bicyclettes dans les rues pavées pour apprécier l'endroit. Tout le monde profite de cet ensoleillement, de cette chaleur étonnante. Nous remontons sur les vélos en prenant la petite route communale. Un peu plus d'un kilomètre jusqu'à la chapelle désacralisée. Il y a des gens. Il se prépare là une exposition de peinture pour demain avec un vernissage en soirée. Un concert donné par un quatuor classique. Nous garons les vélos.

Assis tous les trois sur un des bancs dans l'enceinte du vieux cimetière, nous regardons les activités. << Dites-moi tout ! >> lance Estelle. Clémentine raconte le "plan". << On vient faire des repérages. Je vais tailler une pipe à Pierre. Et il faut trouver les meilleures planques pour Julien ! >> explique t-elle. Estelle que je gronde car, sans gêne, elle me tripote la "bosse". Pour cacher son activité manuelle je pose le petit sac à dos sur mes cuisses. J'écoute les filles échanger leurs impressions, leurs stratégies. Comment bien organiser ce "plan pipe".

<< Je veux être là. Cachée avec Julien ! >> s'écrie Estelle. Elle vient de glisser sa main dans mon short. Je suis entre mes deux anges. Il faut toutefois rester prudents. Une bonne dizaine de personnes s'affairent. Transportant des caisses, des emballages depuis les voitures jusque dans la vieille chapelle en pierres de granit. Nous parcourons l'ancien enclos paroissial. La bâtisse est au milieu d'un cimetière. C'est un endroit préservé et classé monument historique. Plus personne n'est enterré là depuis au moins un siècle. C'est fleuri, bien entretenu.

J'écoute mes deux anges faire l'inventaire des possibilités. << Si on a la bagnole garée là, c'est parfait. Regardez, depuis ici, avec la paire de jumelles ont voit parfaitement ! >> dit Clémentine en nous entraînant à sa suite. C'est trois marches d'un escalier qui mène à un des deux caveaux. Il n'y a pas de porte. L'intérieur est pavé. Il y a des plantes vertes soigneusement disposées. À l'abri d'un soleil généreux. Nous sommes tous les trois dans l'étroite construction. << C'est l'endroit idéal, là, par la petite fenêtre gothique ! >> précise encore Clémentine.

C'est vrai. Depuis l'intérieur d'une voiture garée à une vingtaine de mètres, occupé à se faire tailler une pipe, il est parfaitement improbable pour le conducteur d'apercevoir un voyeur. L'endroit est stratégique. << On s'en fait un autre ! >> propose Estelle. Nous découvrons rapidement une autre possibilité. Depuis l'angle de la chapelle, il y a un renfoncement qui permet d'observer sans être vu. C'est un espace vide d'environ dix centimètres. Comme s'il manquait une pierre de taille. En fait, il devait y avoir là une statuette, peut-être une sculpture.

Encore une fois nous étudions bien la configuration de l'endroit. << C'est parfait aussi. Regardez, on a un angle différent. Si la bagnole est garée exactement là, entre les deux créneaux sur le muret, la vue est parfaite ! >> précise Estelle. Clémentine prend une photo. Nous retournons dans le caveau familiale. Clémentine veut également prendre une photo. Nos agissements interpellent deux femmes. L'une demande : << Vous êtes touristes ? Je peux vous raconter l'histoire de la chapelle ! >>. Nous mentons effrontément en disant : << Oui >>.

Nous écoutons les deux dames nous raconter une histoire que nous connaissons déjà fort bien. C'est toujours intéressant. Nous les laissons pour continuer à faire l'inventaire des endroits les plus stratégiques. << Le plus difficile sera d'emmener Pierre à garer sa bagnole ici ! >> lance Estelle en désignant le point exact. Nous sortons de l'enclos pour bien situer le lieu. Clémentine ramasse deux gros cailloux. Elle les dispose à quelques mètres l'un de l'autre en disant : << Là ! C'est le mieux ! >>. Effectivement, c'est l'emplacement qui convient le mieux.

Satisfaits de nos investigations, nous reprenons nos vélos. << Tout ça m'a excité, pas vous ? >> demande Estelle. << Et comment ! >> répond Clémentine qui rajoute : << On se trouve un coin ? >>. Nous montons sur nos bicyclettes pour continuer l'étroite route qui monte aux anciennes tuileries. C'est pentu. Ça demande quelques efforts. Aucune voiture pour déranger notre montée lente et régulière. Nous venons rarement jusque là. Surtout à vélos. Trois kilomètres d'une route en lacets. Nous voilà arrivés en haut de la colline. C'est superbe.

La vue depuis l'emplacement panoramique est splendide. Il y a quelques voitures garées là, des promeneurs. Estelle n'arrête pas de me toucher. Je dois parfois la gronder. << M'en fout, qu'ils mâtent ! >> lance t-elle à chaque fois avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. En contrebas, poussant nos bicyclettes, nous découvrons deux espèces de plateaux rocheux. C'est à l'abri des regards. Il faut simplement rester près des fourrées pour ne pas êtres vus depuis la table d'orientation. << Parfait ! >> lance Estelle. << Parfait ! >> dit Clémentine.

Nous déplions les K-ways pour nous installer dessus. Qu'il est bon de savourer une pomme en cet endroit. Le soleil est généreux. Il chauffe juste ce qu'il faut. Parfois, depuis la terrasse nous parviennent des voix, des rires. C'est à une cinquantaine de mètres plus haut. Estelle glisse sa main dans mon short, mais par la cuisse. Une main exploratrice qui trouve rapidement mon érection. << Wouah ! >> s'écrie t-elle. Clémentine rit à voir la main d'Estelle qui bouge dans mon short. Elle m'embrasse avant de me faire mordre dans une barre de céréales.

Nous adorons nous embrasser pour nous faire gouter les différents parfums. Noisettes, abricots ou encore amandes. Je bande comme un salaud. Ma bite à présent fièrement dressée par le haut de mon short. En riant, mes deux anges me le descendent avec mon slip à mi cuisses. Je regarde dans toutes les directions. J'ai un peu peur. Surtout que mes deux coquines s'en contrefoutent d'être surprises à jouer à "touche pipi". Estelle soupèse mes couilles en disant : << Tu crois que ça pèse combien une paire de roubignoles poilues ? >>. Nous rions.

Clémentine tire sur la peau fripée de mon prépuce pour l'allonger sur cinq bons centimètres. Des doigts de ces deux mains elle écarte. Estelle se penche pour tenter de voir à l'intérieur. Elle laisse couler un filet de salive qui remplit le petit orifice. C'est amusant. Posant sa bouche contre les doigts de Clémentine elle suce pour récupérer son mollard. Je bande. C'est terrifique. Nous nous allongeons tous les trois. Je suis entre mes deux anges. Je remonte mon slip et mon short car des voix se rapprochent. C'est bon d'êtres inondés de ce soleil chaud.

Quand le silence est revenu je pose mes mains sur les sexes de mes deux coquines. C'est vrai que le contact lisse du lycra est une véritable invitation. Je palpe. << C'est génial ! >> murmure Clémentine. << C'est divin ! >> chuchote Estelle. Je dis : << En Écosse, on se fait des poses comme ça une fois par jour minimum ! >>. Estelle se tourne pour appuyer sa tête sur mon ventre. Elle fait : << Quelle bonne idée ! >>. Elle pose sa bouche sur la bosse. À travers le lycra je sens le souffle chaud qu'elle insuffle. Je caresse sa nuque. C'est fabuleux.

Clémentine fait pareil. Me voilà rapidement avec la bite à l'air. Mes deux anges se refilent ma queue qu'elles suçotent, qu'elles mordillent, qu'elles lèchent tout en échangeant leurs impressions. << Comme ça, tu aimes ? >> demande Estelle en se mettant à sucer très fort. Elle cesse pour laisser Clémentine faire pareil. Je me contente de gémir de contentement. Je les tiens toutes les deux par la nuque. Je reste aux aguets. Prêt à cacher nos activités à la moindre alerte. Il faut tout de même rester sur nos gardes. Nous sommes entrain de déconner.

Nous traînons là. Parfois assis en tailleurs à évoquer l'Écosse, Édimbourg, l'itinéraire entre Stirling et Inverness. Ces paysages fabuleux dans le Glen Coe. Parfois nous sommes allongés à revenir sur des souvenirs vécus lors de nos vacances passées dans mon pays. Je caresse les vulves humides de mes deux anges. Je m'y attarde dans les endroits les plus sensibles. J'introduis la première phalange d'un index explorateur sous des gémissements de plaisir. Une fois encore je compare le clitoris géant de Clémentine à celui d'Estelle. Petit bouton.

Je suis en stéréophonie. Les gémissements de plaisirs d'Estelle à ma gauche. Les gémissements de plaisirs de Clémentine à ma droite. Elles se font toucher, doigter, caresser en poussant de petits cris. Je reste à l'écoute, vigilent. Ce serait très con de se faire surprendre là. Les filles me tiennent les poignets. Comme si elles craignaient que je cesse. Estelle glisse sa main dans mon slip quand celle de Clémentine n'y est pas. Il faut penser au retour. Nous ne sommes encore qu'au tout début du mois de mai. Vers 17 h30 la fraîcheur s'accentue assez vite.

Surtout que le soleil a tourné et que nous sommes à présent dans l'ombre. Nous nous réajustons. Nous rions de nos yeux cernés. << Les trois jouisseurs fous dans toutes leurs splendeurs ! >> s'écrie Estelle en serrant mon érection avec force. << Des mecs ! >> lance Clémentine. En effet, deux types, en tenues cyclistes, soudain repérés, s'enfuient comme des voleurs. << Les salauds, ils nous mâtaient ! >> s'exclame Estelle. Nous éclatons de rire en voyant ces deux voyous dévaler le sentier sur leurs VTT. Nous rigolons comme des bossus.

Nous remontons jusqu'à la table d'orientation. Il n'y a plus personne. Le vent est plutôt frais. Nous reprenons la petite route vêtus de nos K-ways. Bien utiles dans la descente car c'est souvent dans l'ombre. Voilà la petite chapelle. Il y a plein de voitures garées. Probablement pour le vernissage et en prévision du concert de ce soir. Il est 18 h45. Sur la piste cyclable, à partir du bourg, le vent de Nord Est nous pousse. Pas d'effort. La piste est presque déserte. Il est 19 h15 quand nous arrivons à la maison. Morts de faim. Notre rituel pisseux.

Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la laitue. Estelle et moi, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets et le céleri. Ce sera pour la potée de légumes. Nous en faisons en grande quantité car cela assurera l'accompagnement de nos trois repas du week-end. Nous rions de nos aventures de l'après-midi. Je promets aux filles de bonnes pénétrations après le repas. Des léchages de minous et toutes ces choses qui font les divertissements de nos soirées. << Tu me niques comme un salaud ! >> me fait Estelle en se frottant.

Clémentine nous aide à couper et à laver les légumes. Estelle remue la potée dans la vieille cocotte en fonte noire. Dans la poêle je fais revenir trois dos de cabillauds blancs avec de l'ail, de l'échalote, des petits champignons. Clémentine met les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles parler de leurs études. Ce Master II qu'elles préparent pour la mi juin. Ce diplôme sera le dernier avant le Doctorat dans deux ans. C'est passionnant de les entendre mettre au point différentes stratégies. D'évoquer un plan B.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur nos vacances en Écosse. Comme tous les ans nous ferons les 1 500 km en voiture. Nous partirons le mercredi 29 juin au matin pour arriver à Édimbourg le jeudi 30 juin au soir. Deux mois dans un pays de mythes, de légendes de paysages à couper le souffle. Mon pays. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Toujours encore en tenues cyclistes, nous voilà au salon. << Sur le bureau, j'adore ! >> me fait Estelle en me palpant.

Mes deux anges arrachent nos vêtements. Nous rions comme des fous. Moi, je veux d'abord me régaler de ces deux minous prometteurs. Les deux coquines ont sué, on fait du vélo, ont été doigtées, il y a là de quoi savourer les plus merveilleux jus de filles. Vautrées dans le canapé Estelle et Clémentine se font bouffer la chatte. Et il y a vraiment de quoi bouffer. Ensuite, couchées toutes les deux sur le bureau, elles se font pénétrer. Quand je baise Estelle, je doigte Clémentine. Quand je baise Clémentine, je doigte Estelle. C'est absolument fou.

Bonne fin de soirées à toutes les coquines épuisées qui retrouvent leurs esprits sous les draps. Serrées contre leur coquin fatigué...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
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Un beau et doux dimanche

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures. Estelle est restée accrochée contre moi toute la nuit. Comme une naufragée à sa branche. D'être seule, déjà réveillée, l'insupporte. Aussi, c'est à chaque fois avec de nouvelles ruses qu'elle me tire de mon sommeil. J'adore. C'est tellement farfelu cette fois encore. Elle glisse une main dans mon slip en posant ses lèvres sur les miennes. Douce. Tout en empoignant ma tumescence elle imprime de petits mouvements identiques à celui de sa bouche sur la mienne. Je la serre fort contre moi. C'est si bon.

Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. L'impérieux besoin naturel devient tellement pressant. Nous pouvons tenir mais pas Estelle qui se lève d'un bond. Dans son pyjama mauve elle se précipite vers la porte. C'est Clémentine qui me tient par mon érection matinale en chuchotant : << Comme c'était bon hier soir ! Je vous aime Mr Cunni ! >>. Nous rions de bon cœur. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos jeans, de nos sweats nous descendons.

L'odeur de café, de pain grillé envahit déjà la cuisine lorsque nous y rejoignons Estelle. Elle me saute au cou en s'écriant : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Je la soulève pour la faire tournoyer. Même traitement à Clémentine mais cette fois c'est moi qui précise : << Merci pour hier soir. C'était géant ! >>. La brioche trône au milieu de la table. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur notre soirée. C'est vrai que depuis près de cinq ans elles sont si merveilleuses. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée.

Le dimanche, pas de sport, pas d'entraînement. Pas de toilettes non plus. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges parlent de leurs études. De ce qu'il ne faut surtout pas oublier pour demain en cours. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle quitte son pyjama de soie mauve pour s'habiller comme nous. Pressés d'aller faire quelques pas au dehors, nous dévalons les escaliers en nous tenant par les mains et riant.

Le ciel est bleu. Le soleil y est majestueux. Le thermomètre extérieur indique déjà 16° alors qu'il n'est que 10 h30. Pas un souffle de vent. Quelques nuages d'altitude. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les mains. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous la longeons en restant sur le sentier. Estelle marche devant. Clémentine est derrière moi. Quand Estelle s'arrête pour me faire une bise, je fais la même chose avec Clémentine. Il y a quelquefois des séquences nuageuses. Mais absolument rien d'inquiétant. Il fait tellement doux.

Estelle déboutonne mon jeans pour en extraire le locataire. << Tu ne préfères pas aérer un peu ? >> dit elle le plus sérieusement du monde. Je suis donc à évoluer au bord de l'eau avec la bite à l'air. Nous arrivons au vieux lavoir. Assis au soleil, sur le muret du réservoir vide, nous apprécions cette magnifique matinée de printemps. Estelle joue avec mon sexe qu'elle tord dans tous les sens tout en bavardant. Je bande mou. Elle la refile à Clémentine qui fait pareil. J'ai mes mains entre leurs cuisses à palper leurs sexes à travers le tissu des jeans.

Il y a un soudain hennissement. Nous nous retournons. C'est une jeune cavalière. Estelle m'empêche de remballer. Elle le fait avec fermeté. Rien ne l'amuse davantage que de me mettre dans l'embarras. Par contre elle cache mon sexe des deux mains. Le haras est à quelques centaines de mètres. Il est rare qu'une cavalière passe de ce côté ci de la rivière puisqu'à deux kilomètres c'est une forêt privée. Sur mes terres. La jeune fille ne se doute pas de ce qui se joue là, sous ses yeux. Elle nous fait un grand sourire et un < Bonjour ! >> appuyé.

À peine a t-elle fait quelques mètres qu'Estelle agite ma queue dans sa direction. Heureusement que la jeune écuyère nous tourne le dos. Pour m'empêcher de dire quoi que ce soit, Estelle s'assoit à califourchon sur mes cuisses en enfonçant sa langue dans ma bouche. Clémentine tient ma bite. Je bande doucement dans sa main. La cavalière a disparu. Nous prenons le chemin du retour. << Attention, si elle fait demi tour, il y a un risque. Maintenant si elle passe par la forêt, pas de blême ! >> lance Clémentine. Estelle m'empêche de remballer.

Elle dit : << Un satyre, avec la bite à l'air, ne constitue pas une menace lorsqu'il est en compagnie de deux filles belles comme nous ! >>. Nous rions de bon cœur quand je fais : << Oui, mais quand même ! >>. La supposition de Clémentine s'avère exacte. La jeune écuyère revient sur ses pas. Estelle marche devant, masquant mon sexe. J'ai le temps de me retourner lorsque nous nous déportons pour la laisser passer. Clémentine, espiègle, me tient la bite comme si elle me faisait pisser. Je suis hyper gêné, certainement rouge de honte. Coquines.

La jeune fille se doute certainement de quelque chose car elle me lance un regard insistant, par en-dessous. << Waouh ! Tu as vu comme elle t'a mâté vieux séducteur va ! >> me fait Estelle en secouant ma queue toute molle. Il est 11 h45 quand nous sommes de retour. Clémentine fait une salade de tomates. Estelle prépare les trois pavés de saumon décongelés en papillotes. Sur le barbecue électrique de la véranda. Je réchauffe la potée de légumes. À chaque fois que je regarde par la vitre fumée, Estelle mime une masturbation masculine.

Je viens me coller contre la vitre pour y frotter mon sexe. Elle s'approche, s'accroupit et lèche la vitre de l'autre côté. Clémentine s'approche pour regarder en riant. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous nous changeons pour enfiler nos tenues vélos. Pressés de filer, nous descendons à toute vitesse. Dans le petit sac à dos que je porte, les barres de céréales, les pommes, les leggings et les K-ways. C'est parti. Sur nos vélos. 300 m jusqu'à la rivière. 500 m jusqu'à la piste cyclable.

Avec cette météo nous croisons nombre de cyclistes, de familles et de filles en rollers. Nous pédalons d'un bon rythme poussés par un très léger vent de Nord Est. Nous l'aurons une fois encore de face au retour. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Nous parcourons les 25 km d'une seule traite. Il y a du monde sur les quais. Il y a la fête des mères. Une animation organisée par la municipalité du bourg voisin. Le port de plaisance grouille de monde. Nous sommes tous les trois en shorts de lycra noir, en T-shirts de lycra rouge. Il fait bien chaud. 22°.

Les bicyclettes fermées à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie, nous traversons la route. Le rituel des cônes glacés. C'est dans la supérette pleine de clients que nous choisissons nos parfums. Noisette et pralin. C'est d'ailleurs tout ce qui reste avec vanille chocolat que nous détestons. Estelle nous attend en caisse, dans la file. Ce stratagème nous permet d'éviter de perdre trop de temps. Nous savourons nos glaces en flânant entre les stands de barbe à papa, de frites, le pittoresque manège à chevaux de bois et les vendeurs de ballons.

Estelle palpe souvent ma "bosse". Elle le fait avec cette désinvolture qui nous amuse. Combien de fois n'est-elle pas surprise par des promeneurs. Je suis terriblement gêné. J'ai beau la gronder, elle n'en n'a strictement << Rien à branler ! >> comme elle aime à le répéter. << À part la queue de Julien ! >> rajoute Clémentine que cela amuse. Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles. Ces deux sublimes jeunes filles qui me tiennent par le bras. Qui me déposent des bises sur les joues. Comme si nous étions seuls au monde. Rires.

Nous descendons machinalement vers les bâtiments des sanitaires. Un réflexe. Nous savons qu'il y a là des fourrés, des bosquets et des possibilités de donner libre cours à nos "déviances". C'est dimanche. Il y a la fête. Bien d'autres que nous trouvent ici différentes raisons d'y traîner. C'est la file devant les toilettes publiques. Évidemment. Une bande de jeunes squatte les bancs derrière les fourrés. Nous continuons pour longer le canal. La saison de la plaisance a commencé. Des bateaux font des manœuvres dans le port. D'autres le quittent ou arrivent.

Cet après-midi il y a un nombre incroyable de pêcheurs. << C'est devenu un sport national ! >> lance Estelle. << Ça développe les paupières ! >> rajoute Clémentine. Nous rions. Nous trouvons enfin un endroit pour nous livrer à nos rituels pisseux. Je tiens les filles par la nuque. Les shorts et les culottes à mi-cuisses elles font leurs pipis. C'est toujours là que j'en profite. Je m'accroupis pour enfoncer adroitement la première phalange de mes index dans les trous du cul. << Enculeur de filles ! >> s'écrie une fois encore Estelle. Rires.

Le doigt dans le cul a une étonnante particularité. Il décuple la puissance du jet chez une femme. Toutes les deux se cambrent pour ajuster le "tir". À ce jeu c'est toujours Clémentine qui gagne. Son jet peut alors atteindre les cinq ou six mètres. Avec une courbe montante absolument surprenante. Nous n'avions pas anticipé. << Bravo ! >>. C'est la voix d'un pêcheur qui trimballe son attirail. Il passe juste là à ce moment. Je me sens soudain très con. Je me lève. Les filles éclatent de rires en disant : << Bonjour monsieur ! >>. Le type se marre.

Il se retourne plusieurs fois. Nous nous donnons en spectacle. Je torche soigneusement mes deux coquines. << Fais voir, il y a de la mouille ? >> me demande Estelle en inspectant le mouchoir en papier avant que je ne le jette dans l'herbe. Nous rigolons comme des bossus. << Tu crois que le mec va se branler ? >> demande encore Estelle. << Probable, après un tel show ! >> répond Clémentine. C'est Estelle qui me tient la bite pour en diriger les nombreux jets. Nous adorons jouer à ça. Clémentine me tient les couilles par derrière, entre les cuisses.

Cette fois, c'est moi qui me fait surprendre entrain de pisser. C'est deux jeunes femmes qui bavardent. Elles tombent sur la scène en éclatant de rire. Comme l'explique souvent Clémentine, la présence de deux filles désamorce toujours le côté inquiétant d'une telle rencontre. C'est encore vérifiable cette fois-ci. Car au lieu de paniquer, de s'enfuir en courant ou de s'offusquer les deux jeunes femmes nous font un grand sourire avec un << Bonjour ! >> sincère et amusé. Estelle agite ma queue dans leurs directions avec un << Bonjour ! >>.

Je me sens vraiment ridicule mais ça me fait tout de même bander mou. Les deux jeunes femmes continuent leur balade. L'une d'entre elle se retourne plusieurs fois. Je lui fais un coucou de la main levée. Surprise. Elle me fait le même signe. Pas de doute, lorsque ce genre de choses se passent avec deux filles, il n'y aucun souci. Nous retournons à la supérette. L'excitation ça donne envie d'être gourmand. Seconde tournée de glace avant de prendre la route du retour. Il est 17 h30. Nous mettons nos leggings, nos K-ways. Il faut affronter la fraîcheur.

Nous sommes de retour pour 19 h. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle nous concocte sa spécialité du dimanche soir. Une omelette au quatre fromages. Je réchauffe la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures de l'après-midi. << Moi, j'adore être vue ! >> précise Clémentine. << Moi, j'aime voir ! >> dit Estelle. Je rajoute :: << Et vous aimez surtout me mettre dans des situations embarrassantes ! >>. Nous rions aux éclats. Pressés d'aller nous occuper de nos sexes, nous faisons la vaisselle rapidement.

Moi qui adore le cunnilingus, je laisse au lecteur d'imaginer de quoi je vais encore me régaler ce soir. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous avons une heure trente de plaisirs devant nous. Vautrées dans le canapé, mes deux anges m'offrent les chattes les plus gouteuses qu'il soit possible. Des filaments de foutrine. Des petits miasmes de fromage. Des coulures baveuses. Du "yaourt" onctueux qui rappelle le goût "chèvre bio". Je suis à genoux sur les épais coussins, passant de l'une à l'autre. C'est le grand nettoyage du dimanche soir. Je me régale.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment à garder les minous bien dégueux toute la journée de dimanche. Nettoyage jouissif...

Julien (Léon, le "nettoyeur")



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1880 -



Julie est invitée à manger en soirée

Hier matin, lundi, il est presque six heures. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Cette bluffante illusion de nous réveiller dans un port de pêche. Le cri des oiseaux de mer. Les moteurs de ces chalutiers qui se croisent. Tout cela ne dure que 45 secondes mais semble si réel. Si convaincant. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Quelques papouilles, quelques bisous. Il faut se faire violence. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café en racontant son rêve. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Pour lui rendre son moelleux je la passe dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. Surtout sur notre soirée de folie au retour. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les différentes options du repas à préparer ce soir. Julie sera notre invitée. Cette fois elle viendra les mains vides car le restaurant n'assure plus les livraisons à domicile jusqu'à l'automne.

Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Notre parcours préféré le long de la rivière. Une heure d'un agréable running plus tard nous sommes de retour pour prendre une bonne douche. Je descends le premier pour préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans la fraîcheur matinale. Dans son blouson de cuir noir, son jeans, ses bottines. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou.

Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. Ce matin, dans l'atelier, inutile d'allumer le poêle. Les radiateurs fonctionnent depuis près de deux heures. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin le dixième paysage destiné à ma saison d'été. Je peins dans la douce sérénité des certitudes. J'aurai une fois encore le nombre de toiles requises pour exploiter ma galerie d'Art dans les toutes meilleures conditions. La matinée passe tellement vite. Je ne vois pas les heures qui défilent.

Il est 11 h55 quand je quitte l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée a décongelé. Je coupe et je lave deux poireaux. Je les ébouillante dans l'auto-cuiseur. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute le gruyère de Comté râpé, le poireau égoutté. Je verse le tout sur les deux tiers de pâte étalée dans un grand plat à tarte aux bords hauts. Je recouvre du dernier tiers en jointant soigneusement les bords. Je badigeonne du mélange œuf, moutarde à l'ancienne et lait de soja. Au four pour une cuisson lente à 180°. C'est mieux quand ça mijote.

J'égoutte mes coquillettes. J'ai gardé un peu de Béchamel en accompagnement. Avec un filet de limande, c'est un repas copieux. Il me suffit de préparer la laitue pour ce soir et pour maintenant. Je mange de bon appétit. Dans la sérénité la plus totale car notre repas de ce soir est prêt. Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents avant de dévaler les escaliers. Pressé d'aller profiter un peu de cette belle journée. Le thermomètre extérieur indique 22°. Il fait chaud. Sensation encore accentuée par l'absence d'un moindre souffle de vent.

C'est agréable de descendre jusqu'à la rivière. Il y a des fleurs partout. Dans les prés de l'autre côté du cour d'eau. Je flâne un peu en regardant les canards, les poules d'eau et les colverts virevolter sur cette partie calme de la rivière. Il y a ma peinture qui m'appelle. Je remonte nonchalamment. Il est 13 h45. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes sentiments de plénitude que ce matin. L'après-midi passe aussi rapidement. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux.

Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée de cours. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle me charge de te couvrir de bisous en tenant ta queue ! >> dit elle en passant sa main sous ma blouse pour la fourrer dans ma braguette toujours grande ouverte. J'aime avoir l'objet de mon plaisir à portée immédiate en fonction de mes satisfactions de peintre. C'est tellement agréable d'observer son travail en se paluchant. Clémentine sort mon sexe mou en me déposant des bises en mitraille sur les joues, mon front, mon nez, mes lèvres.

Elle a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur entourée des notes prises en cours. J'aime l'entendre chantonner. C'est encore une de ces merveilleuses séances d'émulation commune. Constructive et gratifiante car inspirante. Il est 18 h30. << Là, il faut que j'arrête, sinon je pète un câble ! >> lance soudain Clémentine. Je nettoie la palette, les pinceaux lorsque trois coups timides sont frappés contre la porte qui s'ouvre. Julie entre dans l'atelier pour se diriger d'abord vers Clémentine. J'ai le réflexe de cacher mon sexe sous la blouse.

Je me lève pour accueillir notre douce amie. Ce soir elle porte une veste de velours carmin cintrée à la taille. Ses jeans, ses bottines. Ses longs cheveux presque noirs en liberté qui flottent sur ses épaules. Je retire délicatement ses lunettes d'étudiante en disant : << Je veux tout voir sans artifices ! >>. Julie me fait le plus beau des sourires en baissant les yeux. Toute intimidée par mon initiative. En baissant ses yeux il lui est impossible de ne pas voir ce qui pend de ma braguette. Elle est soudain toute gênée. Pourtant elle voit ça très régulièrement.

Julie s'installe devant le chevalet pour scruter mon travail de la journée. Clémentine vient me rejoindre. Je suis au-dessus du petit lavabo de l'atelier à me laver les mains. Clémentine tient mon sexe entre le pouce et l'index pour en guider les jets multiples. Julie meure d'envie de regarder. Elle fait semblant d'être concentrée sur ma peinture. C'est Clémentine qui l'invite à venir la tenir avec elle. Julie se lève d'un bond. L'invitation de Clémentine la rassure. Je suis de plus en plus surpris par les initiatives de Julie. Une fois avec nous plus la moindre hésitation.

Clémentine lui tend ma queue. Julie s'en empare avec le bout des doigts. Je lâche un jet. Le robinet d'eau chaude coule. Ce qu a pour effet de faire monter l'odeur aux narines. Je passe mon bras autour des épaules de Julie. Elle se serre contre moi, gloussant. La preuve évidente du moment d'intense plaisir qu'elle vit là. Clémentine se frotte contre ma cuisse. Je dis : << Julie, à partir de ce soir, je n'irai plus pisser sans vous ! >>. Julie rit nerveusement en faisant attention. Lorsque je ris ça gicle un peu n'importe comment. Je serre Julie contre moi.

Les derniers jets. Quelle surprise. C'est probablement d'instinct que Julie essore la peau fripée de mon prépuce pour en faire s'écouler les dernières gouttes. Je bande mou. L'excitation produit une perle de liquide séminal qui apparait soudain. << C'est là qu'il y a le meilleur ! >> dit Clémentine en se penchant en avant. Une fois encore, d'instinct, Julie offre mon sexe à la bouche gourmande de Clémentine. Comme craintive, Julie me lâche pour s'éloigner. Clémentine cesse de sucer pour lancer : << Tu ne veux pas goutter ? >>. Julie reste sidérée.

Elle fait non de la tête en restant comme hypnotisée par mon érection. Clémentine la tient à sa base pour l'agiter vers Julie. Nous sentons bien que la tentation est grande. Que Julie lutte pour surmonter son désir de s'approcher. Clémentine m'attire au-dessus du lavabo pour taper délicatement ma queue sur le rebord. Plus rien ne s'écoule. Elle referme le robinet. Il commence à faire faim. Je reste bite à l'air. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue. Je réchauffe la Flamiche Picarde encore au four.

Julie met les assiettes, les couverts. Les filles évoquent leurs études. Les appréhensions bien légitimes avant les examens qui s'annoncent. Julie prépare son DEUG de Lettres Modernes. Clémentine prépare son Master II. J'écoute avec intérêt. Tout comme Clémentine, Julie est une bosseuse. Ce qui n'empêche pas les craintes. Julie affiche beaucoup moins de confiance en elle que Clémentine. Pour faire diversion, alléger un peu l'ambiance, j'agite ma queue toute molle. Julie ouvre toujours de grands yeux comme si c'était la première fois. Ça me gêne un peu.

Nous mangeons de bon appétit. Julie découvre une nouvelle fois les saveurs de la tourte aux poireaux. Elle nous raconte sa soirée de serveuse au restaurant. Anne-Marie sa tante qui envisage toujours encore de vendre pour aller s'installer au Portugal. Une rentrée financière qui disparaîtrait pour Julie. Nous traînons à table. La conversation prend une tournure beaucoup plus ludique. Clémentine raconte nos aventures de hier après-midi au port de plaisance. Je me lève plusieurs fois pour agiter mon sexe en direction de Julie de plus en plus ravie.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon. Julie devra nous laisser pour 22 h. Nous avons une heure trente devant nous. Elle est installée dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine à côté de moi dans le canapé, joue avec ma bite. Nous revenons sur le projet du prochain film que souhaite réaliser Julie. Elle viendra nous rejoindre mercredi 25 mai jusqu'au vendredi 27 au soir. Nous nous réjouissons. Julie se lève, s'empare de sa veste pour en tirer son téléphone. Elle s'approche pour nous en montrer l'écran. Quelle surprise.

C'est une des photos de mon sexe qu'elle a pris près du bassin, vendredi dernier. << Je préfère sans les couilles ! >> dit elle. << Pourtant tu voulais faire le second "portrait" avec les roubignoles à Julien ! >>. Nous rions de bon cœur. La photo n'est pas très bonne. Avec la luminosité elle est sans relief. Les couleurs fades. << Je peux en refaire vendredi prochain ? >> me demande Julie. Je réponds : << Oui, mais je pense qu'en intérieur il y aura une meilleure définition de l'image ! >>. Julie s'écrie : << Oh oui, une séance photo. Génial ! >>.

Julie s'assoit à côté de Clémentine. Toutes les deux font défiler la dizaine de clichés pris vendredi dernier. Je suis debout. Cambré sur mes genoux fléchis à me masturber devant les filles. Julie en reste comme hypnotisée. << J'adore ça ! >> lance t-elle dans un souffle. << C'est une bonne idée de film ça. Assise devant un mec qui se branle ! >> s'écrie Clémentine. Julie est soudain toute rouge sans répondre. Je passe le bout de mes doigts sur sa joue. Elle me fait un timide sourire avec un regard furtif. Clémentine s'avance, bouche grande ouverte.

Julie, comme consternée, observe ce qui se déroule là, sous ses yeux. Je me masturbe doucement. Mon sexe juste devant la bouche grande ouverte de Clémentine. J'y éjacule avec un contrôle total. Mon corps est parcouru de frissons. Deux décharges électriques le long du dos. Julie qui porte les mains à son visage. Clémentine reçoit consciencieusement trois décharges de foutre. Et deux giclées. Mon sperme est abondant, gluant, épais et visqueux. De quoi remplir la bouche de toute honnête femme. Clémentine tourne la tête vers Julie sidérée.

Elle se penche pour regarder l'incroyable quantité de sperme. Clémentine fait mine d'approcher sa bouche de celle de Julie qui a un mouvement de recul. Clémentine n'insiste pas et déglutit avec peine, plusieurs tentatives. Julie paraît totalement paniquée. Je secoue ma queue qui ramollit. Clémentine présente sa bouche ouverte. Je lâche un tout petit jet de pisse. Je n'ai jamais vu Julie faire une telle grimace. Je lui dis : << Chère Julie, c'est ce qui vous attend dans le prochain film ! >>. Elle met sa main devant la bouche comme effrayée. Mâtant.

<< C'est dégueulasse ! >> finit elle par dire en se reculant comme par crainte. Il faut dire que je pointe mon Zob dans sa direction. Je la rassure. Je ne vais pas mouiller ses vêtements. Julie s'approche tout près du visage de Clémentine pour la regarder déglutir. << Beurk ! >> lance t-elle. Clémentine lui montre l'intérieur de sa bouche à présent vide. Julie se redresse. Beaucoup plus pour se soustraire aux tentations qui l'envahissent que par crainte. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Je pisse contre la portière de sa voiture. Séparation difficile.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment se faire offrir un délicat cunnilingus sous les draps. Excitées par leur vicelard patenté...

Julien



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C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
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Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1881 -



Une rencontre vicieuse dans les WC pour Clémentine

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Ce sont les sirènes et les moteurs de ce chalutier qui nous tire de nos profonds sommeils. Il y a probablement des marins qui se hèlent sur les quais. Le cri des mouettes et les clapotis de l'eau viennent parfaire l'illusion de nous réveiller au bord de la mer. L'application "océan". Clémentine vient se blottir contre moi. Quelques papouilles, quelques bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Habillés de nos tenues de jogging nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en racontant ses rêves fantaisistes.

Je presse nos oranges, je pèle les kiwis.Je passe les deux gros croissants au four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier soir. Son attitude, ses comportements. Par association d'idée nous évoquons le film qu'elle veut réaliser très bientôt. Nous mangeons de bon appétit. Lorsque Clémentine termine à midi, les mardis, elle a une certaine tendance à l'euphorie. J'aime l'entendre imiter quelques unes de nos connaissances. Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways pour sortir. Douce fraîcheur.

Quelques mouvements d'échauffement et nous voilà partis pour notre heure de running. Extraordinairement gratifiante. La douche. Je redescends le premier pour sortir la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint vêtue de sa veste de cuir noir cintrée à la taille, son jeans, ses bottines. << Tu me manques déjà ! >> dit elle en me faisant un bisou. Je la regarde partir. Le ciel est légèrement nuageux. Un dernier coucou avant de rentrer faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier je m'installe devant mon chevalet pour préparer mes couleurs.

La peinture de ce dixième paysage destiné à ma saison d'été est une véritable source de plaisir. Je peins dans la douce euphorie laissée par Clémentine. Que le temps passe vite lorsqu'on se livre totalement à sa passion. Il est 11 h55. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les restes des coquillettes de hier midi et de la tourte aux poireaux de hier soir. Pendant que je fais une salade de concombre. Le thermomètre extérieur indique 24°. J'hésite en préparant. Il serait sympathique de prendre notre premier repas du printemps dans le jardin.

Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Ses jambes autour de ma taille elle couvre mon visage de bises. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Avec la préparation du Master II il n'y a pas seulement une tension grandissante chaque jour à l'université. Il y a une sorte d'émulation entre les étudiants. Ce qui est très constructif. J'écoute car tout cela est passionnant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine propose une virée vélo.

Superbe suggestion. Nous débarrassons pour faire la vaisselle, monter nous laver les dents et nous mettre en tenues. C'est la première fois que Clémentine peut revêtir une de ses jupettes tennis. Beige. Un T-shirt de coton blanc. Il fait presque aussi chaud qu'un début d'été. Je suis en short de coton kaki, un T-shirt gris. Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, les barres de céréales, les K-ways. Je vérifie le gonflage des pneus des bicyclettes. Parfait. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. La passerelle en bois.

Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Même si le ciel reste principalement encombré de nuages d'altitude, il fait chaud. Cette fois c'est contre un léger vent d'Ouest qu'il faut pédaler. Nous préférons car il nous poussera au retour. Nous croisons quelques cyclistes. Souvent des séniors. La piste est beaucoup moins fréquentée en semaine que le week-end. Nous pouvons rouler côte à côte en bavardant. Il y a vingt cinq kilomètres jusqu'au port de plaisance. La destination habituelle. Premier arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Clémentine traverse le canal.

Je reste dissimulé à l'angle du cabanon, en contrebas de la piste. Je vois Clémentine à une trentaine de mètres guetter l'arrivée d'un cycliste. Elle retire sa culotte qu'elle tient dans sa main. Nous nous faisons des signes, des grimaces tout en restant vigilants. Voilà un quidam habillé façon "Tour de France". Clémentine se met en situation pipi. Accroupie, les cuisses largement écartées, elle défait rapidement ses cheveux et met ses lunettes de soleil. L'anonymat parfait pour s'offrir quelques délicats frissons. J'ai assisté tant de fois à cette scène.

Le type pédale d'un bon rythme. Soudain, sur sa droite, il aperçoit cette sublime jeune fille. La position ne laisse aucun doute. Le mec freine un peu plus loin, fait demi tour pour venir s'arrêter. Là, de l'autre côté du canal, une superbe pisseuse. Notre Laurent Jalabert se doute bien que c'est une intention délibérée. Je reste prêt à intervenir. Le mec me tourne le dos. Il évalue la situation. Sur sa droite et sur sa gauche les passerelles métalliques qui permettent de traverser l'écluse. Je le sens hésiter. Clémentine prend un plaisir fou à faire durer ce moment.

Il y a un groupe de cyclistes qui arrivent. D'autres coureurs du "Tour de France". On les entend se gueuler des trucs, se marrer. Notre voyeur remballe probablement sa queue. De ma cachette il est impossible de distinguer ce qu'il fait. Clémentine se redresse. Ses exhibitions ne s'adressent toujours qu'à un seul individu. Le gaillard reste avec son vélo à la main. Il connaît certainement un des coureurs car ce dernier s'arrête pour bavarder. Clémentine en profite pour traverser la piste. Nous remontons sur nos machines pour continuer notre périple.

Il y a de l'animation sur le quai du port. La saison estivale a commencé. Nous avons croisé des bateaux sur le canal. Certains font des manœuvres à l'entrée des écluses. Les joueurs de pétanques. Chaque année plus nombreux. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie du port. Clémentine retire discrètement sa culotte. Le cabanon est ouvert. Cette année encore c'est une jeune fille qui fait le job de "capitaine". Elle est en pleine conversation avec un couple de plaisanciers. Une belle blonde très classe. Grande et athlétique. Attractive.

Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Le rituel des cônes glacés. Il y a quelques clients. Nous bavardons avec la gérante. Dimanche prochain il y aura le premier vide grenier de la saison sur le port. Nous adorons venir y flâner. Il y a toujours de l'insolite dans ces ventes de vieilleries entre particuliers. Nous dégustons nos cônes en flânant. C'est instinctif mais nous descendons toujours jusqu'aux bâtiments des sanitaires. Celui privé réservé aux plaisanciers, l'autre étant les toilettes publiques. Clémentine apprécie d'y vivre des "plans".

Nous avons déjà vécu là d'exaltants moments. Des exhibes, des rencontres et des surprises. En semaine il n'y a pas une grande affluence. L'endroit est désert. Nous restons discrètement autour des bâtiments. L'accès à celui des plaisanciers est fermé. Il faut demander la clef à la capitainerie. Nous pénétrons dans les toilettes publiques. Personne. L'odeur de javel et de chlore est éprouvante. Tout est propre et impeccable. Nous guettons depuis la porte entre ouverte. << Là, regarde, on dirait le voyeur de la piste cyclable ! >> lance Clémentine.

En effet, c'est lui. De taille moyenne. D'apparence beaucoup moins sportive que sur le vélo qu'il pousse. Il descend par là. << Il vient pisser, sûre ! >> dit encore Clémentine. Nous connaissons parfaitement les lieux. Nous nous sommes tant amusé à ces petits jeux depuis presque cinq ans. Je file m'enfermer dans un des cabinets. Debout sur le couvercle rabaissé, je peux voir par-dessus le mur carrelé. Clémentine se met devant un des quatre urinoirs muraux. Cambrée sur ses jambes fléchies, les pieds bien écartés. Pose de pisseuse. Pose de salope.

C'est dans cette position que le sénior tombe sur la scène. Lui aussi reconnaît la fille qui le dépasse d'une bonne tête. << Décidément ! Les grands esprits se rencontrent ! >> dit il. Clémentine ne répond pas. Je devine les délicieux frissons qui l'animent. Elle m'explique souvent ce que lui procure l'exhibitionnisme. Ce mélange de honte, de gêne, de crainte et d'excitation folle. Les décharges électriques. Le type sort son sexe pour se positionner devant l'urinoir voisin. À peine un mètre sépare les deux protagonistes. Je reste prêt à intervenir en me branlant.

Il est tout à fait impossible à Clémentine de pisser debout et proprement. Elle s'en met toujours plein les cuisses. Par contre de simuler lui offre d'indicibles émotions. Surtout à côté de l'innocente victime de son petit jeu. Avec les années Clémentine a peaufiné ses exhibes. Elle est devenue une véritable virtuose. Allant parfois jusqu'aux extrêmes. Le mec pisse. Trop heureux de pouvoir lui aussi s'émouvoir d'un moment aussi intense. Je les vois tous les deux de dos. J'entends le type pisser par petits jets sonores. Clémentine tourne enfin la tête.

Sans changer de position elle mâte ce que fait le cycliste. Je me masturbe en retenant ma respiration. Je suis le plus silencieux possible. Notre homme comprend une fois encore à quelle genre de fille il a affaire. Il pourrait être le grand père de cette jeune fille vicieuse sur sa droite. Il demande : << Vous aimez ces situations ? >>. Clémentine se redresse pour se pencher en avant, scruter la bite du mec. Elle réponds : << J'adore ! >>. Le type secoue les dernières gouttes. Il se tourne vers la jeune fille en disant : << Si le cœur vous en dit ! >>.

Je sens bien l'hésitation de Clémentine. Sucer de l'inconnu est devenu un de ses fondamentaux. C'est un fantasme dont je suis responsable. C'est moi il y a cinq ans qui ai suggéré ce genre de pratique. La fellation à des inconnus. Réticente au début, voulant découvrir, au bout de quelques mois Clémentine s'est trouvée là un jeu nouveau. Et depuis cinq ans elle ne s'est pas privée. Jusqu'à adorer ça. Mais c'est sans compter contre l'inhibition féminine. Une inhibition le plus souvent insurmontable. Clémentine, sachant n'avoir rien à craindre se touche.

C'est hyper excitant de la voir debout devant cet inconnu, une main sous sa jupette, à se toucher effrontément. Notre privilégié se masturbe probablement aussi. Je ne le vois toujours que de dos. Lorsqu'il se tourne enfin je découvre une toute petite bite, toute molle. Ce sont ces bites là qui restent les préférées de Clémentine. Des bites qui ne présentent aucun risque de pénétrations. Clémentine demande : << Vous venez souvent rôder par là ? >>. L'inconnu répond : << Oui, quand je fais mon tour à vélo ! Et vous, vous vous exhibez souvent ici ? >>.

Devant la pertinence de la question, Clémentine éclate de rire. Notre sénior également. Clémentine rajoute : << On se voit une prochaine ? >>. Notre inconnu la regarde : << Mais avec plaisir ! >>. Clémentine rajoute : << Dimanche, au vide grenier, derrière la supérette pour 16 h ? >>. Le type va de surprises en surprises. Il s'écrie : << C'est formidable ! >>. Clémentine le laisse en disant : << À dimanche alors ! >>. Notre homme remballe. Il sort à son tour. Je n'attends pas plus de deux minutes. Je sors du cabinet pour rejoindre Clémentine dehors.

Sur le chemin du retour Clémentine me raconte ses émotions, ses sensations, sa profonde envie de s'arrêter pour se masturber encore un peu. Nous nous arrêtons au cabanon de l'écluse. Personne. Les vélos cachés dans les fourrés. À l'intérieur de la cabane, inconfortablement installés, j'offre à Clémentine un cunnilingus qui la fait crier de plaisir. Je la pénètre. C'est toujours l'instant où Clémentine me confie ses secrets les plus intimes. Son orgasme la propulse durant quelques minutes dans une autre dimension. Je lui éjacule dans la bouche.

Il est 18 h45 quand nous revenons à la maison. Estelle est là. Elle nous concocte une belle surprise. Elle me saute au cou. Trop contente d'être avec nous. L'odeur dans la cuisine achève d'ouvrir nos appétits d'ogres. Des bouchées à la reine avec une garniture délicieuses. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Clémentine raconte nos aventures de l'après-midi. Tous les trois, excités comme des puces, nous faisons la vaisselle avant de passer au salon. C'est encore une soirée léchage de minou. Je pénètre Estelle. Clémentine se masturbe en mâtant.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui retrouvent les joies de la bicyclette, de l'exhibitionnisme et de la rencontre avec des inconnus...

Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1882 -



L'agréable compagnie de Juliette

Hier matin, mercredi, ce sont les cris des oiseaux de mer qui nous arrachent du sommeil. Il est presque six heures et l'application "océan" nous bluffe de ses illusions. Les moteurs d'un chalutier. La sirène d'un gros bateau dans le lointain. Tout cela ne dure que 45 secondes d'un réalisme fou. Clémentine vient se serrer contre moi en gémissant. Quelques papouilles, quelques bisous. Elle s'empare de mon érection naturelle pour me chuchoter : << Comme c'est dur de se lever ! >>. Je la soulève comme une jeune mariée pour l'emmener aux WC.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine Clémentine fait le café. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Nous faisons toute chose comme dans un état second. << Ce sont nos folies de tous les soirs qui sont responsables de nos états comateux du matin ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. C'est probablement vrai. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ces fameuses "folies" de hier soir, en compagnie d'Estelle. Des folies assumées.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant déjà les folies de ce soir. En compagnie de Juliette ces folies sont beaucoup plus cérébrales. << Plus reposantes ! >> précise Clémentine. Il est 6 h25. Nous enfilons nos k-ways avant de sortir. Quelques mouvements d'échauffement avant de descendre jusqu'à la rivière d'une bonne foulée pour notre parcours préféré. Un running d'une heure qui nous réveille rapidement et totalement. Il n'existe pas de meilleure thérapie que l'exercice physique pour émerger de manière radicale. Puis c'est une bonne douche.

Je descends le premier pour sortir l'auto. Le ciel est bleu. Le soleil monte inexorablement pour y régner en maître. 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Elle porte sa veste de cuir noir cintrée à la taille. Son jeans, ses bottines. Elle met ses lunettes pour s'installer au volant. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre en flânant. Il fait si beau. Je fais la vaisselle puis notre lit avant de passer dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans la plus totale sérénité.

Le dixième et dernier paysage destiné à ma saison d'été m'accapare complètement. Livré corps et âme à ma passion je ne vois évidemment pas filer les heures. Il est 11 h55. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste une bouchée à la reine préparée par Estelle hier soir. Je n'ai qu'à faire une salade de carottes et voilà mon repas de midi. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff est dans tous ses états. Il reçoit deux scientifiques qui évoquent ce fameux réchauffement climatique. Une bien autre version des choses.

Je coupe et je lave un gros choux fleurs. Je le porte à ébullition dans l'auto cuiseur pendant que je prépare un coulis d'aubergine crue. J'y rajoute deux œufs. De la crème fraîche, de la moutarde à l'ancienne. Lait de soja. J'égoutte le choux fleurs pour le mettre dans un grand plat carré en terre cuite. Je verse la garniture. J'y rajoute une grosse couche de gruyère de Comté grossièrement râpé. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Onze cerneaux de noix. Je place au four pour une cuisson lente à 180°. Il faut que ça mijote.

Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller profiter de cette ambiance d'été, je dévale les escaliers. Il fait presque aussi chaud qu'en plein mois de juillet. Je suis mal à l'aise dans mon jeans, dans ma chemise à carreaux. Comme la chaleur n'a pas encore gagné l'intérieur de la maison, le contraste est saisissant et surprenant. Je vais jusqu'à la rivière. Là-bas, de l'autre côté, quelque chevreuils broutent tranquillement dans l'herbe verte et fleurie. Je reste immobile à contempler longuement ce merveilleux spectacle. Sans être vu.

Je remonte pour retourner dans l'atelier. C'est un peu frustrant de me livrer à ma passion. Je peins avec le même sentiment de totale sérénité que ce matin. L'après-midi passe tellement vite. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite vers moi pour s'installer à califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou. En se frottant doucement elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant l'ordinateur entourée de ses notes prises aujourd'hui. Elle chantonne.

<< Put-hein, ras-le-bol ! >> s'écrie t-elle soudain en se levant pour ranger ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine m'entraîne par la main. Nous sortons pour descendre jusqu'à la rivière. Il est 18 h30 et c'est une réelle soirée d'été. Nous restons assis sur la souche couchée là depuis des années. Nous admirons les mouvements gracieux des hérons cendrés qui ont colonisé l'endroit. Deux coulpes d'échassiers qui scrutent la surface des eaux. Clémentine revient sur notre aventure de hier. Sa rencontre dans les toilettes du port.

J'écoute en riant. << Dimanche, on ira à ce vide grenier. Tu imagines le monde qu'il y aura. Surtout s'il fait aussi beau ! Le "plan" pipe restera un fantasme ! >> explique t-elle. Je précise : << C'est bien une seconde rencontre pour formaliser la première ! >>. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte en disant : << Tu as raison, mais je n'aime pas trop faire durer mes impatiences ! >>. Nous rions aux éclats. Il faut songer à remonter car Juliette ne va pas tarder. Si ces chaleurs persistent je vais remplir le grand bassin du jardin.

Nous dissertons sur le sujet quand la grosse berline allemande descend lentement le chemin pour se garer devant la maison d'amis. Juliette en sort pour venir à notre rencontre. Elle est en jupe légère, une simple veste de jeans sur un T-shirt. Des baskets. C'est la toute première fois que nous la voyons ainsi vêtue. Nous nous serrons la main. Trois bises. Une longue natte pend sur son épaule droite pour battre sur son sein. Cette belle bourgeoise de 48 ans est encore hyper attractive ce soir. Je le lui fais remarquer. Elle fixe ma braguette ouverte en souriant.

Nous marchons un peu dans la propriété. Juliette nous raconte sa journée de chef d'entreprise. Sur les 85 places disponibles dans son haras, il ne reste plus qu'une vingtaine de chevaux en pensions. Ce qui soulage considérablement la somme de travail. << James n'attend que votre prochaine visite ! >> précise Juliette. Elle fait évidemment allusion au rendez-vous qu'elle compte organiser. Clémentine demande : << Vous l'avez sucé depuis mercredi dernier ? >>. Juliette rit en répondant : << Non, je me suis contenté de mon vétérinaire ! >>.

Il commence à faire faim. Nous rentrons. À l'ombre la fraîcheur vient doucement remplacer la chaleur. Dommage car nous pourrions manger dehors avec ce soleil. Clémentine et Juliette découvrent ce que j'ai préparé pour le repas. << Génial ! >> lance Clémentine. << Superbe ! >> s'écrie Juliette. Il suffit de réchauffer pendant que Clémentine fait une salade de concombre. Juliette met les assiettes les couverts. Tout en discutant elle regarde de plus en plus ostensiblement ma braguette béante. Je comprends la "demande". Je comprends le "message".

Juliette s'accroupit devant le four. Je connais bien le fonctionnement mental de cette femme. La vitre du four permet une fonction "rétroviseur". La vision d'une femme, accroupie, me tournant le dos, exerce sur ma libido un effet follement aphrodisiaque. Je sors ma bite. Clémentine me fait un clin d'œil. Juliette m'observe dans le reflet de la vitre. La sonnerie du four. Elle se redresse pour enfiler les maniques. Juliette ouvre le four pour en sortir le gratin de choux fleurs. Doré à point, fumant. Follement appétissant. Elle dépose le plat sur la table.

Je bande mou. Juliette s'accroupit une nouvelle fois alors que c'est inutile, pour refermer le four. Mais tournée de trois quart, elle m'offre la vue de sa chatte. L'absence de culotte me procure une décharge électrique. Surtout que Juliette reste quelques instants dans cette position en scrutant mon regard sur son sexe. Clémentine vient me rejoindre pour découvrir elle aussi l'objet de toutes mes attentions. << Bienvenue au "Club" >> fait elle à Juliette qui se redresse et dit : << J'aime y être accueillie avec les égards des autres membres ! >>.

Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit. Juliette parle des contraintes administratives de son entreprise. De Pauline sa secrétaire qui est noyée sous la paperasse. De madame Walter sa collaboratrice obligée de faire secrétaire adjointe. Mais Juliette sait agrémenter ses journées avec de petits écarts fort sympathiques. Sucer son vétérinaire au fond d'une des trois écuries. Baiser avec Pierre, le mari de madame Walter. Bernadette est très préteuse et ils s'amusent souvent à trois. Impossible de se lasser des histoires de Juliette.

Clémentine raconte sa rencontre de hier avec le cycliste. D'abord au bord du canal. Puis dans les toilettes publiques du port de plaisance. Je suis souvent debout à me masturber. J'adore écouter ces deux femmes échanger leurs petites aventures. L'exhibition étant un des plaisirs de Juliette pourtant plutôt très voyeuse. << On se fait un "plan" à deux un de ces jours ? Quand j'aurais plus de temps ? >> demande Juliette. << Volontiers ! >> s'écrie Clémentine toujours friande d'expériences nouvelles. Juliette lance : << Un concours pipi devant un mec ! >>.

Nous rions aux éclats. À chaque fois que je me masturbe dans sa direction, avec toute la vulgarité qu'il l'est possible, Juliette cesse de parler. Elle regarde avec attention. Elle lève les yeux pour me fixer sévèrement. C'est un jeu que nous pratiquons depuis quatre ans. Impossible de s'en lasser. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous voilà au salon. Juliette, vautrée dans le fauteuil qui nous fait face. Une jambe relevée, cuisse posée sur l'accoudoir. Nous sommes installés dans le canapé. Tout en parlant Clémentine joue avec ma queue.

La vue sur le sexe de Juliette est parfaite. Soigneusement épilée, sa chatte est surmontée d'un triangle noir dont la pointe est vers le bas. Des poils taillés consciencieusement. Même si je préfère la broussaille sauvage de Clémentine, bien plus fournie, c'est agréable de découvrir une fois encore le "gazon" de Juliette. Les lèvres charnues de son sexe invitent à la luxure. Elles sont ouvertes. La chatte appétissante d'une femme de 48 ans qui s'en est beaucoup servie. Qui s'en sert encore beaucoup. Je me lève pour venir m'accroupir à côté du fauteuil.

Clémentine se touche. Une main glissée dans son jeans déboutonné. Je passe mon index sur les lèvres de la chatte de Juliette. Elle titille son clitoris. Sans rien de commun avec le clitoris géant de Clémentine, celui de Juliette est de bonne taille. Un petit gland qu'elle décalotte entre son index et son médius. Pour me le présenter. J'ai l'envie folle d'aller le sucer. Je me retiens. Je ne veux pas jouer avec les interrogations de Clémentine. Je me contente d'enfoncer la première phalange de mon index dans la vulve généreuse que nous présente Juliette. Je le tourne.

<< Un beau salaud ! >> dit elle en s'adressant à Clémentine qui répond : << Le mien ! >>. Clémentine aime toujours à bien situer les choses. Elle sait les sentiments de Juliette pour moi. << Pour ta fortune aussi ! >> précise toujours Clémentine lorsque nous en parlons entre nous. Nous le savons bien. Pour le quinquagénaire que je suis la psychologie féminine n'a que peu de secrets. Juliette doit nous laisser pour 22 h. Il nous reste une quinzaine de minutes. Clémentine se lève pour venir se saisir de mon érection. Je bande comme un vrai salaud.

Je fouille le sexe de Juliette qui reste totalement stoïque tout en bavardant, en tripotant son clitoris. J'admire l'absolu contrôle dont fait preuve cette merveilleuse salope. Même Clémentine qui me masturbe doucement, à genoux, en se frottant contre ma cuisse, admire cette maestria. J'ai ma main libre dans sa culotte. Juliette saisit mon poignet pour retirer ma main. Je lui montre mon index. Bien mouillé. << J'aime vos explorations. Il serait agréable d'y consacrer une soirée ! Qu'en dites-vous ? >> lance Juliette en se levant pour se réajuster.

Je dis : << Excellente suggestion ! >>. Clémentine qui ne lâche pas ma queue s'écrie : << En voilà une bonne idée ! >>. Nous rions de bon cœur en nous promettant de bien étudier la question. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. La fraîcheur à présent redoutable fait frissonner Juliette. Elle ne s'attarde pas. Nous passerons peut-être au haras dimanche soir en revenant du port. Juliette regarde, comme effarée. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets contre la portière de la Mercedes. Un dernier coucou. On se dépêche de rentrer.

Bonne nuit à toutes les coquines qui, tout en se faisant baiser sous les draps, aiment à chuchoter leurs impressions à l'oreille de leur coquin...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1883 -



Comme c'est bien les soirées avec Estelle

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. C'est le moteur de ce chalutier qui se rapproche qui nous réveille. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Le cri des oiseaux de mer vient parfaire l'illusion. Nous sommes dans un port de pêche. Clémentine se blottit tout contre moi en murmurant : << Je reste au lit ! >>. Ce n'est évidemment qu'un réflexe sans réel fondement. Quelques papouilles, quelques bisous plus tard nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers.

Clémentine fait le café. Je pèle les kiwis, je presse les oranges. Le grille pain expulse ses tranches juste à l'instant où Clémentine fait le mouvement d'un prestidigitateur pour les recueillir. D'un geste gracieux. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Juliette hier soir. << Tu as vu cette salope. Carrément sans culotte. À t'allumer malgré ma présence ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en inventoriant les attitudes de Juliette. Cette femme ne manque pas d'un certain culot.

Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-Ways pour sortir. Nous pourrions presque nous en passer. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur matinale. C'est parti pour notre parcours habituel. Une heure d'un pur bonheur avec un running des plus gratifiants. La douche. Je descends pour sortir la voiture. Clémentine vient me rejoindre dans son jeans, ses bottines, sa veste de cuir noir cintrée à la taille. Un dernier bisou. Elle pose sa main sur ma braguette en disant : << À ce soir. N'oublie pas, je t'aime ! >>. Je la regarde partir.

Un dernier coucou. Je rentre pour faire la vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. Il subsiste l'odeur des multiples feux de bois. Il va falloir nettoyer la cheminée. Le ramoneur passera lundi prochain. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je pense à Juliette. Ses comportements de hier soir. Certes, nous somme devenus de véritables complices depuis près de cinq ans. Mais là, elle a franchi un nouveau palier dans la "démesure". Ce qui m'enchante. Je peins dans un enthousiasme délirant en chantant.

La peinture de ce dixième et dernier paysage me plonge dans d'autres réflexions. Le temps passe alors si vite. Il est 11 h55. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste du gratin de choux fleurs de hier soir. Il me suffit de le réchauffer pendant que je prépare une salade de carottes. Dans la poêle je fais revenir un filet de flétan avec des champignons, de l'ail, de l'échalote. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Les invités d'André Bercoff sont deux journalistes d'investigations. Ils évoquent un mandat présidentiel de cinq ans accablant.

Je ne traîne pas. Je débarrasse. Je confectionne une pâte à crêpes. Dans la même poêle je fais revenir des crevettes, des ronds de calmars. J'épluche, je lave et je coupe en fines tranches de grosses pommes de terre. Dans la poêle je les fais frire pour les transformer en chips. Elles seront l'accompagnement parfait de nos beignets de crevettes. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je chantonne en dévalant les escaliers. Je suis doublement serein. Notre repas de ce soir est assuré. Ma peinture avance. Je vais faire quelques pas dehors.

Le ciel est voilé mais lumineux. Il fait encore bien chaud puisque le thermomètre extérieur indique 24°. Je suis en T-shirt et bermuda kaki. Qu'il est bon de descendre jusqu'à la rivière. Je la longe sur quelques centaines de mètres. Il y a un vent d'Ouest assez fort, annonciateur d'un changement climatique. Là-bas, au-dessus de l'horizon de lourds nuages noirs s'amoncellent. Je remonte pressé de retourner à ma passion. Installé devant mon chevalet, je peins animé des mêmes pensées obsédantes pour Juliette. Je suis entouré de sublimes salopes.

Je suis abîmé dans mes pensées lorsqu'un bruit violent, semblable à celui d'un canon, déchire le profond silence.Un orage éclate. Tout s'assombrit. Je me lève pour allumer la lampe à halogène. Dehors, c'est une véritable tempête. Des bourrasques d'un vent puissant font plier les arbres. Un éclair zèbre le ciel. Un second coup de tonnerre encore plus violent. Il se met à tomber de véritables hallebardes. Il est 17 h15. Clémentine ne va pas tarder. Elle est sur la route. J'admire le déchaînement des éléments depuis la grande baie vitrée de l'atelier.

Je sors avec le parapluie. Il faut ruser contre le vent. La Morris Cooper descend lentement le chemin. J'accueille Clémentine toute contente d'être à l'abri. Accrochée à mon bras, nous traversons le jardin en courant. Le rituel pisseux. En se lavant les mains, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Nous passons dans l'atelier. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine achève sa journée d'étudiante. Au dehors la météo semble se calmer un peu. Quelques éclairs, quelques coups de tonnerre.

Dix huit heures quand Estelle arrive. Elle entre dans l'atelier comme un des coups de vent de l'orage qui s'éloigne. J'anticipe. Je pose mes outils de travail sur la desserte. Estelle se précipite pour s'assoir sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Elle ne tarde pas à rejoindre Clémentine pour comparer leurs travaux. Il est 18 h30. Je nettoie les pinceaux, la palette. Je retire ma blouse pour laver mes mains au-dessus du petit lavabo. Estelle me rejoint pour regarder. << Pas de pipo dans le lavabi ce soir ? >> demande t-elle en palpant ma braguette.

C'est Clémentine qui précise : << Non, Julien a fait pipi avec moi lorsque je suis rentrée ! >>. Estelle glisse sa main dans mon slip pour en extraire une bite mollasse qu'elle déroule soigneusement. Je l'entraîne par sa natte pour rejoindre Clémentine. Je suis debout derrière mes deux anges à caresser leurs nuques. Elles m'expliquent ce que je vois sur l'écran. Elles rangent leurs affaires tout en continuant à parler d'équations mathématiques. Ce qui pour moi reste de l'algèbre indéchiffrable. Mon niveau en mathématique étant celui de la Terminale.

Nous quittons l'atelier pour sortir. Constater les dégâts éventuels après ce véritable ouragan. Nous sommes debout sur le perron. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les hanches. Estelle tient ma queue. Des branchages cassés, épars sur le gazon. Tout est trempé et dégoulinant de flotte. Le ciel s'illumine sur ce champs de bataille. Heureusement l'entreprise paysagiste intervient lundi prochain. << Ils auront du boulot ! >> s'exclame Estelle qui tord ma bite dans tous les sens. La fraîcheur contraste fort avec les chaleurs de la journée.

Il commence à faire faim. Nous allons dans la cuisine. Les filles sont enchantées par la surprise du repas de ce soir. Clémentine s'occupe de la salade de concombre. Estelle jette les crevettes et les ronds de calmars dans la pâte à crêpe. Dans la friteuse électrique je porte l'huile à ébullition. C'est hyper rapide. Avec une cuillère Estelle récupère chaque crevette, chaque rond de calmar enrobés de pâte pour le mettre dans l'huile bouillante. Elle laisse flotter les beignets une petite minute. Clémentine les "pêche" avec l'écumoire. Ils sont parfaitement dorés.

Je réchauffe les pommes de terre chips. Nous mangeons de bon appétit en savourant cette délicieuse préparation. Les filles parlent de leurs études. C'est passionnant. C'est Estelle qui aborde le sujet. << Hier soir, parrain est venu chercher des cartons. Il m'a baisé comme un authentique salaud ! >>. Clémentine rajoute : << Comme tu aimes quoi ! >>. Nous rions aux éclats. Comme tous les mercredis soirs Jean-marc est venu à la maison. Tout ça a commencé il y a neuf ans, quand Estelle avait 16 ans. Depuis c'est devenu un véritable rituel. La baise.

J'adore écouter les frasques sexuelles d'Estelle. Elle les a déjà raconté à Clémentine au restaurant universitaire. Je les découvre à mon tour. << Je suis certaine que maman se doute de quelque chose. Si vous pouviez voir les regards qu'elle me lance quand Jean-Marc s'en va ! >> lance Estelle. Estelle me pose tout un tas de questions sur le comportement de Juliette. Sur mes attitudes. Clémentine aussi lui a déjà tout raconté. Mais c'est ma version des choses qui intéresse Estelle qui mime des masturbations masculines. Je me lève pour lui montrer le Zob.

Ces conversations me font toujours considérablement bander. Aussi, debout, j'agite ma queue vers mes deux anges. << Ce soir je te suce ! >> lance Estelle. << Et moi je regarde ! >> s'écrie Clémentine. Je demande : << Et pas de contrôle minou ce soir ? >>. Estelle éclate de rire avant de répondre : << Juste un petit, pour voir si tout est en ordre ! >>. Pressés d'aller nous livrer à nos délicieuses déviances, nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Elles me font tomber dans le fauteuil avant d'arracher leurs fringues.

Estelle jette un des épais coussins au sol, entre mes pieds. J'ai la queue qui dépasse de ma braguette. Cette vue excite mes deux anges qui me demandent de garder mon bermuda. Clémentine se vautre dans le canapé. Elle se touche, cuisses largement écartées. Estelle, à genoux, hume mes odeurs d'homme avec délectation. Elle renifle ma virilité en la tournant dans tous les sens, en la décalottant légèrement. Ça sent fort et nous monte aux narines. << Je peux la sentir jusque là ! >> fait Clémentine pourtant à deux bons mètres. Nous rions de bon cœur.

Je me penche pour passer ma main entre les cuisses d'Estelle. J'adore ce spasme qui secoue tout son corps. Clémentine se masturbe. Elle me fait des clins d'œil, des sourires. Estelle me suce goulument. Je me penche pour poser toutes sortes de questions. << La dernière pipe que tu as fait à ton parrain, c'était quand ? >>. Estelle cesse de sucer pour répondre : << Il n'aime pas la pipe. Il préfère me défoncer la chatte pendant des heures ! >>. Je demande : << Il te fait jouir à chaque fois ? >> Estelle dit : << Je me branle en même temps ! >>.

Je regarde Estelle pomper mon sexe comme si sa vie en dépendait. Elle reprend sa fellation passionnée après chaque réponse. Je caresse sa nuque, son cou. Je me laisse sucer en restant parfaitement immobile. Nous sommes bercés par les gémissements de plaisir de Clémentine. Je la regarde se contorsionner dans le canapé. Son corps parcouru de frissons. Les expressions d'extase sur son visage quand elle ferme les yeux, la tête rejetée en arrière. Estelle ouvre ses yeux fréquemment. Parfois interrogatrice, parfois complice, mais toujours si vicieuse.

C'est beau une fille qui taille une pipe. Si elles savaient comme elles sont belles quand elles font ça ! Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il reste une vingtaine de minutes. Par petites contractions des muscles fessiers je fais bouger mon sexe dans la bouche gourmande d'Estelle. Ce qui a pour effet de secréter davantage de liquide séminal. Estelle se régale en gémissant. En serrant le poignet de la main qui tient sa nuque, elle me fait comprendre tout ce que mes agissements lui procurent de jus de couilles. Elle aussi reste immobile durant la pipe.

J'observe les expressions extatiques d'Estelle. Ma bite enfoncée dans sa bouche. J'observe les expressions extatiques de Clémentine qui se masturbe. C'est amusant car leurs gémissements semblent synchrones. Comme si elles les échangeaient. J'éjacule. Estelle fronce les sourcils. La bouche soudain envahit du flot de mon foutre. Les quantités de sperme que j'expulse sont toujours impressionnantes. Je suis un "phénomène" comme aiment à le préciser Estelle qui reste surprise. Trois saccades juteuses suivies de trois dernières giclées abondantes.

Clémentine s'est contrôlée. Je lui promets un cunnilingus tout à l'heure sous les draps. Elle se garde, préservant son orgasme. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. Tout est trempé mais le ciel est partiellement étoilé. Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets contre la portière de la voiture. Estelle qui mâte, amusée, ouvrant de grands yeux. Elle revient samedi. Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer car la fraîcheur humide est fort désagréable. Pressés d'aller au lit.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font offrir un cunnilingus suivit d'un orgasme délicieux. Avant de sucer encore un peu. Dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1884 -



Le week-end commence à midi ce vendredi

Hier matin, vendredi, ce sont les cris des oiseaux de mer qui nous arrachent du sommeil. L'illusion de nous réveiller au bord de la mer est parfaite. Au point de croire que tout cela se passe là, dans notre chambre. L'application "océan" est bluffante. Le bruit des moteurs d'un chalutier, le clapotis de l'eau. Clémentine, en gémissant vient se lover tout contre moi. Quelques bisous. Elle saisit mon érection naturelle. Quelques papouilles. Il faut se lever car il est presque six heures. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous enfilons nos tenues de jogging.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. En racontant ses rêves elle imite l'accent méridional de Juliette. Plié de rire je presse les oranges, je pèle les kiwis. Comme si c'était une opération magique Clémentine attrape les quatre tranches qu'expulse le grille pain. Quand elle termine à midi, elle est souvent très facétieuse. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. La pipe somptueuse dont m'a gratifié Estelle. L'orgasme de Clémentine une fois que nous étions au lit, sous les draps.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme du week-end qui commence aujourd'hui à midi. Il est 6 h25. Nous enfilons les K-ways pour sortir. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Le ciel est gris, bas et menaçant. C'est le long de la rivière que nous pratiquons notre running. Il y a quelques gouttes au retour. La douche. Je descends pour sortir la voiture. Presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans sa veste de cuir noir, cintrée à la taille, son jeans, ses bottines. Comme elle est belle ce matin encore.

Un dernier bisou. Elle serre son bassin contre le mien, m'attrape par les fesses pour se frotter un peu avant de s'installer au volant. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre me mettre à l'abri de la pluie qui ne va pas tarder. Je fais la vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. Je termine ce matin le dixième paysage destiné à ma saison d'été. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je peins en pensant à ma compagne. Clémentine et Estelle en cours. Je suis un peu euphorique. L'ambiance "Clémentine".

Il est 11 h30 quand je dépose la dernière touche de bleu outremer sur la surface de la toile achevée. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je suis baigné de sérénité. J'ai le stock nécessaire pour exploiter ma galerie d'Art en juillet et en août. Julie sera ravie de pouvoir tenir mon espace d'exposition durant l'été. Pour la troisième année consécutive. Cet après-midi, je pourrai commencer la réalisation d'une œuvre beaucoup plus personnelle. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste des beignets de hier et les pommes chips.

Je prépare une belle salade de tomates et de concombre. Il est midi trente. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. J'aime la promener ainsi dans toute la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Cet après-midi, j'ai du boulot. Heureusement qu'il fait moche, je ne serai pas frustrée ! >> dit elle. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque la visite de Julie tout à l'heure.

<< Tu seras bien salaud hein ! J'ai besoin de me divertir un peu ! >> murmure t-elle en glissant sa main dans ma braguette béante. Je promets de faire au mieux. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Il ne pleut pas mais le ciel est chargé. Il fait doux. Clémentine me tient la main. Nous descendons jusqu'à la rivière. À cet endroit, quand il pleut, le sol est rapidement boueux. Il faut sautiller sur les rochers pour parvenir sur le sentier de gauche. Nous y flânons un peu.

<< Je n'arrête déjà plus de penser à l'Écosse. Je me réjouie. Ces deux mois me feront un bien fou ! >> confie Clémentine qui a mille projets pour nos vacances. << Je vais être salope, tu n'as pas idée ! >> lance t-elle en sautillant autour de moi. Elle se jette dans mes bras pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Elle me sort la bite. Accroupie devant moi, elle hume mes odeurs d'homme. Les narines parfois collées sur l'ouverture de la peau plissée de mon prépuce. Je caresse ses cheveux en chuchotant des douceurs. Moi aussi je serai salaud en Écosse.

<< Pourquoi ne pas commencer de suite ? >> demande Clémentine en gobant l'extrémité de mon sexe d'un mouvement de tête gracieux. J'adore sentir sa langue tenter de glisser entre la peau du prépuce et celle du gland. Je l'aide à se redresser. La crampe n'est pas loin. Nous prenons le sens inverse. Notre voisin vient tous les jours nourrir les canards. C'est dans ces heures. Je remballe préventivement ma bite. << Dommage ! >> lance Clémentine qui me prend par le bras. Nous remontons le chemin sous quelques nouvelles gouttes de pluie. 13 h45.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je suis debout derrière elle à lisser ses cheveux qu'elle a détaché. Elle m'explique son travail de l'après-midi. Un compte rendu qu'il faudra rendre lundi matin. Un dernier bisou dans sa nuque, mes lèvres posées sur sa peau comme une ventouse. << Mmhh ! J'adore ! >> fait elle en m'attrapant par le poignet pour m'empêcher de m'éloigner. Je la laisse à son labeur pour rejoindre ma toile en gestation. Je fignole quelques détails du dessin préparatoire.

Nous apprécions ces séquences de travail en commun. Parfois l'un se lève pour venir faire un bisou à l'autre. Pour lui chuchoter des douceurs, pour promettre des cochonneries à mettre en application. Il est rapidement 16 h. Trois coups timides frappés contre la porte qui s'ouvre. Julie se précipite vers Clémentine pour déposer trois bises sur ses joues. Elle se précipite vers moi pour faire pareil. Cet après-midi elle porte un T-shirt, un jeans et des baskets. Du sachet en papier kraft qu'elle tient elle sort une toile de petit format. 2 F - 24 cm x 19 cm.

Elle vient s'accroupir à ma droite pour me la montrer. C'est le dessin préparatoire recouvert de sa couche d'impression terre de Sienne. << C'est d'après une des photos prises vendredi dernier ! >> précise t-elle. C'est le dessin de ma bite et de mes couilles dépassant de la braguette bouton de mon Levi's. Clémentine se lève pour venir voir. << C'est génial ! Rien que le dessin est magnifique ! >> lance t-elle. Je félicite Julie pour la qualité de l'ensemble. << Je peux peindre d'après nature ? >> me demande Julie, espiègle et mutine. Nous rions.

Je réponds : << Mais tout de suite chère portraitiste mondaine ! >>. Je n'ai jamais vu Julie rire aussi spontanément. Je me lève. Je lui propose de prendre ma place. Je retire la grande toile pour la remplacer par la petite à Julie. Elle s'installe. Je la regarde préparer les couleurs sur sa palette. Elle est consciencieuse, concentrée. Il y a beaucoup de poésie dans chacun de ses gestes précis. Clémentine me sort la bite et les couilles. Sur la photo qui a servi de modèle je bande mou sur mes couilles comprimées par l'étroitesse de la braguette.

Je n'ai qu'à reprendre la pose. Julie n'ose pas soutenir mes regards. Sa palette dans la main gauche, son pinceau dans la main droite elle procède au mélange des couleurs. Elle commence par le bleu indigo de mon jeans. Par petites contractions de mes muscles fessiers je fais bouger ma queue. Depuis sa table de travail, Clémentine qui observe de temps en temps la scène me lance : << Interdiction formelle de bouger ! >>. Lorsque je la regarde prononcer ces mots elle m'adresse un clin d'œil. Julie a là le prétexte idéal pour contempler mon sexe.

Pour réaliser les plis de la braguette de mon jeans Julie pourrait parfaitement se contenter de la photo punaisée sur le montant du chevalet. Mais mon exhibition salace nous comble d'aise tous les trois. La position debout m'oblige à bouger légèrement, à me déplacer un peu. À chaque fois je m'excuse auprès de Julie qui lance : << Mais faites donc. Je n'attaquerai les teintes chairs que vendredi prochain ! >>. C'est très excitant de poser bite à l'air devant une jeune fille de vingt ans qui en fait le portrait. Parfois je m'astique vulgairement le manche.

<< C'est super aussi en érection, avec les couilles en dessous ! >> lance Julie sans oser me fixer dans les yeux. Clémentine s'écrie : << Prends quelques photos. Tu auras du matériel pour un éventuel troisième "portrait" de la Joconde ! >>. Nous rions aux éclats. Julie se lève pour tirer son téléphone de son petit sac. Je me branle de la main droite en tenant les couilles de la main gauche. Julie s'approche, téléphone à la main pour s'accroupir à environ un mètre devant moi. Je retire mes mains pour présenter une érection exemplaire. Raide.

Julie se déplace rapidement pour prendre des clichés sous différents angles. Entre chaque photo je me masturbe pour entretenir la raideur de mon chibre. Clémentine, excitée par ce qui se passe sous ses yeux, se lève pour venir voir de plus près. Se collant contre mon dos, elle passe ses mains sur mes attributs virils. << Regarde, comme ça ! >> dit elle à Julie en faisant une boucle de son index et de son pouce autour de mes couilles. De l'autre main, juste entre le pouce et l'index, elle décalotte légèrement le gland. Julie tombe alors à genoux.

Elle prend plusieurs clichés. << Il y a là de quoi inspirer n'importe quelle portraitiste ! >> fait Julie avant de se redresser. Je continue de me masturber parce que c'est vraiment trop bon. Julie me fait : << On travaille encore un peu ? >>. C'est dur de devoir cesser. Je pose à nouveau mes mains sur mes hanches pour poser. << La goutte ! >> lance Julie en pointant son index. Je me penche pour regarder. Avec l'excitation considérable, il y a une coulure gluante et visqueuse qui pend de mon Zob. Julie saisit son téléphone pour en prendre une photo.

Elle me la montre. Je dis : << Il est superbe ton appareil. Il prend de belles photos ! >>. Julie s'écrie : << Samsung Galaxy S20 + ! >>. Nous rions aux éclats. Julie devra nous laisser d'ici une dizaine de minutes. Ce soir elle a son travail de serveuse. En la regardant nettoyer sa palette et ses pinceaux, je reprends ma branlette. C'est tellement bon. Clémentine me fait de nombreux clins d'œil, lève son pouce ou fait une bosse avec sa langue à l'intérieur de sa joue. Il est dix huit heures, nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Il ne pleut pas.

<< Je suis là demain matin pour le ménage ! >> précise Julie en s'installant au volant. Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets contre la portière de la Clio rouge. << C'est carrément génial, ça nettoie la bagnole ! >> lance t-elle. Julie qui ose enfin soutenir mon regard me fait le plus délicieux des sourires. Je me penche pour lui faire une bise sur le front. Nous la regardons partir. Arrivée en haut, au portail, Julie sort toujours de l'auto pour mimer des bisous qu'elle souffle en notre direction dans sa main. Je me masturbe dans sa direction.

Nous nous dépêchons de rentrer. De retour dans l'atelier Clémentine tombe à genoux pour se mettre à sucer comme si sa vie en dépendait. Je l'aide à se redresser au bout de quelques minutes. C'est moi qui m'accroupis pour masser ses genoux douloureux. << Put-Hein comme ça m'excite vos séances de peinture ! Je t'aime Julien. Tu es le plus merveilleux des salauds ! >> s'écrie t-elle en me sautant au cou. Elle se frotte. Entre deux baisers passionnés je murmure : << Ce soir, avec toi, je serai le plus salaud des salauds ! >>. Elle s'accroupit à nouveau.

C'est une pipe sublime qui ne dure que quelques minutes car cette position est rapidement pénible. Tant pour les jambes de Clémentine que pour mes lombaires. Nous terminons de ranger nos affaires. Clémentine a bien avancé dans son travail. Tout est OK pour lundi matin. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il est 18 h45 et il fait faim. Ce sera un repas sur le pouce. Des tranches de pain beurrées, couvertes de fines tranches de différents fromages simplement passées au micro ondes. Nous sommes trop pressés de nous livrer à nos sexes en folies.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font brouter, pénétrer, avant de tailler une pipe magistrale à leur salaud. Roi des salauds...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1885 -



Un samedi de calme et de quiétude

Hier matin, samedi, Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant d'aise. Saisissant mon érection naturelle, elle passe une cuisse sous mes reins. L'autre sur les miennes. C'est en se frottant qu'elle murmure : << Comme j'aime ta façon de m'aimer ! >>. Elle fait évidemment allusion à notre soirée en amoureux. Hier soir nous étions seuls tous les deux. Et ça aussi c'est extraordinairement passionnant. Il est presque huit heures et l'urgence de nos pipis met un terme à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons aux toilettes. Des bisous.

Morts de faim, vêtus de nos habits de sport nous dévalons les escalier. J'ouvre le portail depuis l'interphone du hall d'entrée. Dans la cuisine Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les dernières oranges. Je pèle les derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les délices de notre soirée. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague et éventuel programme de la journée. Dehors le ciel est bleu, il y a le soleil qui y règne en maître. 8 h25 et voilà Julie. Toujours en avance et tellement radieuse.

Trois bises à chacun. Elle retire son blouson en disant : << Je m'occupe de tout. C'est la raison de ma présence ce matin ! >>. En quittant la cuisine nous déposons une bise sur son front avant de la laisser à son ménage. C'est sans K-ways que nous sortons dans la fraîcheur matinale. C'est limite. Aussi les quelques mouvements d'échauffement sont précieux. C'est parti. Nous descendons jusqu'à la rivière d'une bonne foulée. Ce matin encore notre parcours de prédilection. Nous adorons y pratiquer nos joggings quotidiens. C'est tellement bien.

Une heure d'un superbe running plus tard nous voilà de retour. Nous entendons l'aspirateur quelque part à l'étage. C'est devenu un des bruits habituels de nos samedis matins. La douche. Vêtus de nos jeans, de nos T-shirts blancs, nous dévalons les escaliers pour ressortir. Voilà Danièle au volant de sa fourgonnette. Avec un grand sourire, elle tire de l'arrière du véhicule les deux cageots. L'un contient nos légumes, nos fruits. L'autre contient nos fromages, les petits pots de crème fraîche, les œufs, les yaourts et le beurre au sel de Guérande.

Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons Danièle qui s'en va vers d'autres livraisons. << Un de ces jours on lui fait un "plan" braguette ouverte ! >> me dit Clémentine. Nous rions aux éclats quand arrive le tube Citroën rénové de madame Marthe. Notre boulangère hilare qui nous raconte quelques amusantes anecdotes concernant le bourg. Elle nous tend la cagette contenant nos deux grosses miches de pain complet et bio. Notre brioche au pudding. Les deux croissants aux amandes qu'elle nous offre en cadeau.

Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Madame Marthe aussi se dépêche d'aller vers d'autres clients à livrer. Nous passons par derrière avec nos cageots pour descendre à la cave. Dans le cellier, nous disposons nos fruits, nos légumes sur les étagères. Du congélateur où je range une des deux miches, je tire un paquet de moules, un paquet de haricots verts, un paquet de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie qui s'apprête à passer la serpillère à la cuisine nous laisse le temps de tout ranger au réfrigérateur.

Une fois encore nous déposons une bise sur son front avant de nous rendre au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. Un de mon oncle d''Édimbourg qui nous apprend que l'appartement au premier étage de la grande demeure nous attend. Un courriel de Juliette qui nous donne le programme de l'animation qu'elle organise ce week-end dans son haras. Le mail d'Estelle qui est impatiente de nous retrouver pour 13 h30. Elle précise emmener sa bicyclette. Avec ce soleil et cette journée d'été, ce sera notre activité.

Dans la petite enveloppe jaune je glisse l'habituelle billet de 50 €. Clémentine y rajoute un petit mot que je signe d'une fleur. Clémentine surfe sur le site universitaire. Il y a de nouvelles informations concernant le Master II. Les épreuves se dérouleront sur deux jours. Le mercredi 22 juin, le jeudi 23 juin. Mais en fait toute la seconde quinzaine de juin sera consacré à cet examen crucial. << Je suis prête ! >> lance Clémentine, les dents serrées comme pour affronter un adversaire invisible. Son assurance m'impressionne toujours. Une gagnante.

Il est 11 h20. Julie vient nous rejoindre. Toute souriante, comme une élève qui vient de faire ses devoirs, les mains derrière le dos, elle dit : << Vous voilà avec une maison bien propre ! >>. Clémentine se lève pour contourner le bureau. << Merci Julie ! >> fait elle en posant ses mains sur ses épaules. Je me lève à mon tour pour lui tendre l'enveloppe jaune. Julie s'en saisit en nous remerciant elle aussi. << Tu n'oublies pas, lundi tu viens manger ! >> dit Clémentine. << Oh non, je n'oublie pas ! >> s'écrie Julie. Nous la raccompagnons à sa voiture.

Il fait très doux. Juste quelques nuages d'altitude dans un ciel d'azur. Assise à son volant, Julie nous confie son impatience de revenir lundi soir. Clémentine, palpant ma braguette, dit : << Passe un bon week-end. Tu salues tes parents de notre part ! >>. Julie, tout en fixant la main de Clémentine répond : << Je n'y manquerai pas ! À très vite ! >>. Elle démarre, nous la regardons partir. Un dernier coucou avant de rentrer. << On pourrait presque manger dehors ! >> lance Clémentine qui m'entraîne par la main. Nous dressons la table dans la véranda.

Clémentine fait l'assaisonnement d'une belle laitue dont elle nettoie les feuilles. Je prépare un bouillon. Dans le wok je verse les haricots verts et les petits pois encore congelés. Dans le bouillon en ébullition je jette les moules congelées. C'est la préparation rapide et habituelle de nos samedis. Pas très nutritive mais délicieuse pour un repas simple. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence de Julie. Clémentine évoque le second "portrait" que peint Julie. Ma bite et mes couilles. << La Joconde No 2 ! >> lance Clémentine. Nous rigolons.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me fait part des légitimes appréhensions à l'échéance du Master II. Même si elle est confiante et prête à affronter ce nouveau défi, elle veut l'appréhender dans les toutes meilleures conditions. Être la meilleure comme toutes les épreuves traversées depuis le début de sa scolarité. << Comme je veux être professeur d'université, je ne quitterai jamais l'école ! >> lance t-elle. Je dis : << À cause de toi, je fréquente une "écolière" ! >>. Nous en rions.

<< Oh ! je ne suis pas la première ! À lire ton Blog ou encore les aventures que tu publies dans d'autres rubriques de ce forum ! >> fait Clémentine. Elle enfonce sa langue dans ma bouche après avoir murmuré : << Mon vieux pervers adoré que j'aime ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. La porte s'ouvre : << Coucou les gens ! >>. C'est Estelle qui nous surprend. Arrivée sur la pointe des pieds elle nous effraie. C'est une surprise.

Trois bises à Clémentine avant de me sauter au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle se frotte en me couvrant le visage de bises. Même traitement à Clémentine. Nous allons dans la chambre pour nous changer. Du sac de sport qu'elle emmène toujours avec elle le week-end, Estelle tire son pyjama de soie mauve qu'elle étale sur le lit. Nous nous mettons en tenues vélo. Une fois encore Clémentine peut mettre une de ses jupettes tennis kakis. Estelle et moi en shorts lycra noir. Tous les trois en T-shirt beige. Nous prenons la pose en riant.

Je suis entre mes deux anges devant le grand miroir de l'armoire. << J'aime la bosse dans ton short. Même si tu voulais la cacher tu ne le pourrais pas ! >> lance Estelle qui me la palpe. << Wouah et ça m'excite vieux cochon. Tu n'as pas honte de pervertir deux jeunes filles innocentes avec de telles visions ! >> rajoute t-elle en glissant sa main dans mon slip. Clémentine est plié de rire en palpant mes couilles mais par derrière. Sa main entre mes cuisses. Je glisse la mienne sous sa jupette. J'adore le contact lisse de sa culotte en coton. C'est doux.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, nos pommes, nos barres de céréales. Nous traversons le jardin. De son Kangoo, je tire la bicyclette d'Estelle. << Papa a tout vérifié ! >> précise t-elle alors que je fixe la roue avant démontée pour les besoins du transport. Nous récupérons nos vélos dans le garage. Vérification du gonflage des pneus. Rien n'a bougé depuis la dernière sortie. C'est parti. Sous un soleil chaud et radieux. 300 m jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. 500 m jusqu'à la piste cyclable.

Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. C'est parfait car il nous poussera au retour. Nous croisons nombre de cyclistes. Tous les amateurs de vélos profitent de cette journée magnifique. << J'ai envie de faire ma salope ! >> lance Clémentine. << Et moi donc ! >> s'écrie Estelle. Nous rions de bon cœur. Pourtant, sur les vingt cinq kilomètres qui nous séparent du port, mes deux anges ne cessent de parler de l'échéance du Master II. C'est une pensée qui restera probablement récurrente jusqu'au jour de l'examen. On peut comprendre.

Il est 15 h35 quand nous arrivons au port de plaisance. Il y a une animation fébrile. C'est demain dimanche qu'a lieu le premier vide grenier de la saison. Des employés communaux sont entrain de marquer les emplacements. Le manège à chevaux rétro tourne déjà. La caravane chromée du vendeur de pizza est en place. Il y a les joueurs de boules. Plein de monde. Des bateaux font des manœuvres dans le port. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie fermée. Clémentine retire discrètement sa culotte pour la fourrer dans le sac.

Estelle palpe la "bosse" en disant : << Toi mon salaud, tu vas te la faire tripoter cet après-midi. A t-on idée d'exhiber un tel machin dans son short ! >>. Nous rions de bon cœur en traversant la route pour aller dans la supérette. << Nougat s'il y a ! >> nous dit Estelle en nous attendant dans une des deux files aux caisses. Cette stratégie nous permet d'aller chercher nos glaces, de les choisir sans avoir à attendre aux caisses. Il y a enfin des Häagen Dazs à l'amande, à la pistache et au nougat. Nous prenons un pot de chaque. 500 ml de pur plaisir.

Nous rejoignons Estelle en caisse. Notre stratégie fonctionne à plein. Nous voilà installés tous les trois sur le muret, les pieds dans le vide, à savourer nos crèmes glacées. Nous avons nos petites cuillères à moka dorées. On se fait goûter. Nous adorons nous embrasser en laissant fondre la glace dans nos bouches. Je suis entre mes deux anges. J'embrasse tantôt l'une, tantôt l'autre. Quelques promeneurs amusés assistent à nos rituels de dégustations. Lorsqu'un regard masculin se fait plus insistant, Clémentine écarte ses cuisses. Une jambe relevée.

Nous nous gaussons des regards hallucinés de certains cyclistes solitaires qui passent en bas en poussant leurs vélos. << Dans un port quoi de plus naturel que de voir une moule ! >> fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. << Tu sais que tu as un rencard ici, demain, dans les chiottes avec le mec de mardi dernier ? >> lance Estelle. Clémentine s'écrie : << C'est très informel. Et puis avec le monde qu'il y aura demain, les possibilités sont quasi nulles ! >>. Nous rions. << Pauvre type qui va encore se branler seul et de dépit ! >> dit Estelle.

Estelle qui ne cesse de glisser sa main dans mon slip. Le plus souvent par ma cuisse, insidieusement par le short. La coquine me fait bander comme le dernier des salauds. << Et après tu reproches à Julien d'avoir en permanence une grosse bosse dans son short ! >> lance Clémentine en posant sa main sur la "bosse". Je glisse ma main sous sa jupette pour démêler quelques poils. Passer mon index entre les lèvres charnues de son sexe. Je glisse mon autre main entre les cuisses d'Estelle. Autant dire que cette chaude journée l'est encore plus.

Nous jetons nos pots vides dans une des poubelles. << Adieu petite chose devenue insignifiante ! >> fait Estelle en laissant tomber le sien dans la corbeille. Nous flânons un peu sur les quais. Depuis cinq ans cet endroit a toutes nos préférences. Mes deux anges me tiennent par les mains. Parfois l'une d'entre elles me prend par la taille. Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles. Ces deux sublimes jeunes filles accrochées à un homme d'âge mûr. Leurs attitudes donnent une idée très claire de la nature de nos relations. Nous en jouons.

C'est en nous amusant des effets suscités que nous descendons vers les bâtiments des sanitaires. Ceux destinés aux plaisanciers sont fermés. Par contre celui des toilettes publiques est ouvert. Mais avec le monde il y a de l'attente. Dans les fourrés, un peu plus loin, c'est le rendez-vous des D'jeunes du bourg. Toute cette fréquentation nous empêche de nous livrer à nos pulsions. Nous continuons pour prendre le chemin qui longe le canal. Des pêcheurs. Ce qui nous fait rire ce sont les équipements para militaires de certains d'entre eux. Surréaliste.

Estelle me tripote sans gêne. Je dois parfois la tancer vertement. Rien n'y fait, évidemment. Un bateau blanc qui arrive. Avançant lentement sur l'eau il ralentit encore. Il s'apprête à franchir la dernière écluse qui le sépare du port. << Un "plan" ! >> lance Clémentine. Nous comprenons immédiatement. Clémentine tire la petite paire de jumelles du sac à dos que je porte. Elle mâte consciencieusement. Le bateau n'est plus qu'à environ trois cent mètres. Le temps de se mettre en position, d'échafauder la stratégie. Estelle m'entraine dans les fourrés.

Il faut faire attention car il y a des ronces. Nous sommes parfaitement dissimulés. Clémentine s'accroupit entre deux buissons juste au bord du canal. Le bateau arrive. C'est un jeune homme, la trentaine, plutôt avenant qui manœuvre. Il semble seul. << Beau gosse ! >> lance Estelle qui me tient la queue. Nous avons assisté à cette scène tant de fois et pourtant c'est comme une grande première. Nous voyons Clémentine de dos. Rien ne m'excite davantage que de voir une fille accroupie, de dos. Mais quand je sais ce qu'elle fait, c'est le nirvana.

Les cuisses largement écartées, les cheveux défaits qui cachent son visage penchée, Clémentine se fait surprendre dans cette position. Le jeune homme découvre la scène. Le bateau avance à peine car l'écluse n'est plus qu'à une cinquantaine de mètres. Il braque son regard sur la jeune fille qu'il voit sur la rive. Peut-être à cinq mètres. Son expression amuse Estelle qui dit : << Il vient d'avoir une vision surnaturelle, regarde comme il mâte ! >>. Je bande comme un fou dans sa main. Nous observons cette situation totalement délirante. C'est fabuleux.

Clémentine se livre là à son fantasme préféré. Authentique exhibitionniste elle peut s'offrir les plus divins frissons. Et elle ne s'en prive pas. Impossible de voir si elle pisse. << J'ai envie de te sucer ! >> me fait Estelle. Moi aussi j'ai ma main dans sa culotte. Je sens la mouille sur mes doigts. Je dis : << Moi aussi j'ai envie de te bouffer la chatte ! >>. Le bateau s'éloigne. Clémentine se redresse. Nous la voyons sautiller sur place pour chasser l'ankylose. Les bras croisés, d'un pas lent, elle suit le bateau qui s'arrête dans l'écluse. Elle s'arrête aussi.

Il y a un employé des VNF qui assure les manœuvres. Impossible pour Clémentine d'agir sans se faire repérer. D'autant plus qu'une belle blonde vient de rejoindre le jeune homme. L'employé des Voies Navigables de France ferme la porte d'entrée. Il ouvre la seconde pour faire monter le niveau des eaux. C'est amusant de voir le bateau monter doucement. La jeune femme blonde vient de remarquer Clémentine. Se douterait-elle de quelque chose ? Le bateau s'éloigne pour entrer dans le port. L'employé VNF lui aussi vient de remarquer Clémentine.

C'est un quinquagénaire trapu, moustachu qui fait les dernières manœuvres en prévision du prochain arrivant. Là, entre deux troncs d'acacias, cachée de la vue des pêcheurs, Clémentine s'accroupit à nouveau. Cette fois pour être vue de notre gaillard à moustaches. Il se place derrière le boîtier électrique pour mâter. Que fait cette superbe jeune fille accroupie à une vingtaine de mètres, de l'autre côté de l'écluse ? C'est probablement la question que se pose le brave homme. << Quelle salope ! >> me fait Estelle. Je dis : << La mienne ! >>.

C'est à ce moment qu'un sixième sens nous fait tourner la tête tous les deux en même temps. Il y a un mec à une dizaine de mètres. Ce mec nous observe peut-être depuis un moment. Estelle lâche ma bite. Je retire ma main de sa culotte. Nous nous sentons très cons. C'est un jeune type. Il se palpe le short vulgairement en réajustant sa casquette avant de partir tranquillement. Il se retourne en nous adressant un salut militaire en levant le pouce de sa main gauche. Pas de doute, ça faisait un moment que cet individu nous espionnait. Nous rigolons.

Là-bas, la situation évolue rapidement. Le gaillard à moustache se montre. Les mains sur les hanches, il semble vouloir faire comprendre à la pisseuse qu'il la vue. Qu'il la mâte avec satisfaction. Le bougre est à son travail. Cette séquence doit apporter un peu de fantaisie à sa journée. Clémentine porte ses lunettes de soleil, ses cheveux défaits qui masquent en partie son visage. Ce parfait anonymat lui permet de surenchérir dans sa passion. Debout, cambrée sur ses genoux fléchis, elle se masturbe en fixant ce mec. Il faut féliciter son grand calme.

Certes, il est au boulot, mais quand même, il pourrait se laisser aller un peu. Il sort un téléphone de sa poche. Il regarde à présent en direction du canal. Un collègue vient certainement de le prévenir de l'arrivée d'un nouveau bateau. En effet, là-bas, arrive déjà un autre navire. Il y a plusieurs familles qui se dirigent vers ici. Clémentine cesse. Quelle n'est pas notre surprise. Notre voyeur à casquette qui sort des fourrés. Nous le voyons s'adresser à Clémentine. Le salaud lui montre sa queue. Il a son short à mi-cuisses. C'est totalement dingue.

<< Il s'en passe des trucs cet après-midi ! >> lance Estelle qui a recommencé à me branler pendant que je la masturbe du doigt. << Regarde, il se branle l'enfoiré ! >> rajoute t-elle. Il y a pourtant une bonne vingtaine de personnes qui se dirigent vers ici. C'est juste à temps que notre salopiot remballe. Un virtuose à n'en point douter. Il salue Clémentine comme il l'a fait avec nous. Un salut militaire avant de s'éloigner. C'est en pouffant de rire que Clémentine vient nous rejoindre. << Un taré ! On a mérité un cône glacé, non ! >> lance t-elle.

Nous retournons dans la supérette. Nous sommes tous les trois dans un état d'excitation qui nous rend fébriles. Nous flânons encore un peu en dégustant nos glaces. Ça calme les corps et les esprits. << Put-Hein ce soir on s'envoie en l'air ! >> s'écrie Estelle. << Et comment ! >> rajoute Clémentine. Il est 17 h45. Nous prenons la piste cyclable dans le sens inverse. Clémentine qui déteste faire du vélo cul nu a remis sa culotte. Il est 19 h15 quand nous revenons à la maison. Morts de faim et légèrement fatigués. L'exercice, conjugué à nos folies sans doute.

Assis tous les trois à la table dans la cuisine, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri. Nous en faisons en grande quantité. Une potée de légumes est l'accompagnement parfait des trois repas du week-end. Clémentine revient sur les émotions vécues cet après-midi. << J'en avais besoin. Put-hein chaque été c'est plus fort ! J'adore être regardée ! >> précise t-elle. << Nous, on adore te regarder. Tu es vraiment divine et tellement salope ! >> rajoute Estelle. Je dis : << Tu es adorable quand tu fais ça ! Géniale ! >>.

Clémentine fait l'assaisonnement pour le reste de la laitue de midi. Estelle fait cuire les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. Je fais rissoler trois beaux dos de cabillaud blanc. J'écoute les filles analyser leurs comportements. Les exhibitions de Clémentine agissent un peu comme une catharsis. Une façon d'évacuer le stress induit par la proximité du Master II. Estelle veut s'y mettre également. Même si elle est bien plus voyeuse qu'exhibitionniste. Mes deux anges évoquent différentes possibilités, différentes stratégies. C'est passionnant d'écouter.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos aventures de l'après-midi. Je dis : << Ce soir, je vais vous bouffer la chatte à toutes les deux ! >>. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine en s'écriant : << Je te promets que tu vas en avoir à bouffer, ma culotte est trempée de mouille ! >>. Nous éclatons de rire. Nous sommes toujours encore dans nos tenues cyclistes, à macérer dans nos jus. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Mes deux anges m'entraînent au salon en arrachant nos vêtements. Odeurs.

Vautrées toutes les deux dans le canapé elles m'offrent les chattes les plus merveilleuses du monde. Barbouillées de cyprine, de filaments de fromage, de tous les jus qui suintent d'un croupion excité par un après-midi de folies. À genoux sur les épais coussins je savoure mon dessert sous les gémissements de plaisir de mes deux coquines. Ce soir, trop épuisées par nos aventures, Estelle et Clémentine se contentent de léchages de minous. Les orgasmes sont cataclysmiques. Dans les cris, les gloussements, les petits râles de bonheur total.

Bonne nuit à toutes les coquines s'étant fait nettoyer le croupion après un après-midi de débauches vicieuses devant des voyeurs...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1886 -



Un dimanche au lac

Hier matin, dimanche, il est neuf heures trente. Estelle glisse sa main dans mon slip. saisissant ma tumescence. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi. Épousant chacun de mes mouvements. Ne ferais-je pas moi aussi comme elle ? En déposant ses lèvres dans mon cou comme une ventouse. C'est une merveilleuse sensation. Clémentine se réveille pour venir se blottir tout contre moi. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Clémentine empoigne mes couilles d'une main ferme. Bien dodues. Je glisse mes mains dans les culottes.

Nous pourrions rester ainsi l'éternité entière. Hélas l'impérieux besoin naturel y met fin. Estelle se lève d'un bond. Propulsée par l'urgence elle se précipite vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine se couche sur moi en se frottant. << Je t'aime Julien ! >> murmure t-elle entre chaque baiser sur la bouche, le front, le bout de mon nez. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, encore en slips et en T-shirts de nuit nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine baignée des odeurs de café, de brioche.

Le pain grillé et ses effluves suaves. Estelle me saute au cou en s'écriant : << Je t'aime en slip ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène ainsi dans toute la grande pièce. Même traitement pour Clémentine. C'est un de nos rituels des dimanches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier après-midi. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les sublimes cunnilingus que j'ai offert à mes deux anges. << Je préfère ça que la baise ! >> s'écrie Estelle. << Moi aussi ! >> lance Clémentine.

Je dis : << C'est comme moi, je préfère la pipe à la baise ! >>. Mes deux coquines posent leurs mains sur les miennes en prenant un air de compassion. << Et nous on t'a encore négligé hier soir ! >> s'écrie Estelle. Nous rions de bon cœur. Je les rassure. Mon plaisir à brouter du minou est immense. Je ne ressens jamais aucune frustration. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille les filles évaluent les différentes options que propose cette merveilleuse journée d'été. Dehors il fait tellement doux et beau.

Retourner au port de plaisance, flâner entre les stands du vide-grenier. << Il va y avoir un monde fou ! >> lance Estelle. << Et avec ces chaleurs, ce sera souvent pénible ! >> précise Clémentine. Une idée jaillit soudain en moi. Je m'écrie : << Et si on allait au lac des collines. Se baigner, se prélasser au bord de l'eau ? On ne l'a encore jamais fait ! >>. Mes deux anges se lèvent d'un bond, en même temps. Elles m'entraînent dans une farandole folle. Estelle improvise des paroles loufoques que nous répétons en riant sur une mélodie de comptine.

Les filles se blottissent contre moi, me font plein de bises. Estelle choppe ma queue. Clémentine empoigne mes roubignoles. << Quelle bonne idée ! >> lance Estelle. << On n'y aurait pas pensé ! >> dit Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous faisons le lit avant de nous changer. Estelle quitte son pyjama pour mettre une robe d'été, légère, rouge à petites fleurs blanches et jaunes. Clémentine met une de ses jupes légères, carmin.

Un T-shirt kaki. Moi qui suis en bermuda hawaïen d'un ridicule qui nous fait rire. C'est sur l'insistance des filles qui m'adorent dans cet accoutrement que je met une chemise hawaïenne blanche à fleurs colorées. Nous prenons la pose devant le grand miroir de l'armoire. Je suis entre mes deux anges. Je les tiens par la taille. Elles sont encore belles comme le jour. Sexys comme les pin-up d'un calendrier pour chauffeurs routiers. Nous rions beaucoup de cette comparaison émise par Estelle qui s'accroupit la première. Se retenant à ma jambe.

Clémentine fait pareil. Elles posent toutes les deux leurs têtes contre mes hanches en écartant leurs cuisses. << Culottes jusqu'au lac ! >> lance Estelle dont je caresse la nuque. La main sous sa longue natte. << Pas de culotte dès le départ ! >> s'écrie Clémentine que je tiens par la natte relevée. Je dis : << Et moi bite à l'air ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Les filles se redressent. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine nous préparons ce que nous emmenons. De la potée de légumes dans un saladier Tupperware.

Clémentine et Estelle préparent la salade. Un gros concombre, quatre grosses tomates. Elles y rajoutent du thon et des crevettes en boîtes. Dans un autre saladier Tupperware. Du pain tranché. Deux bouteilles d'eau gazeuse. Des pommes, des barres de céréales. Le tout dans une grande corbeille en osier. Dans un grand sac, une couverture, des serviettes, nos paires de sandales en plastique transparent. Nous faisons l'inventaire pour êtres certains de ne rien oublier. << Venez, on s'arrache, de toute façon on oublie toujours un truc ! >> fait Clémentine.

Le thermomètre extérieur indique déjà 26° alors qu'il n'est que 11 h30. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou, mes joues en nous racontant son vendredi après-midi. Les courses à l'hypermarché avec sa maman. Nous traversons le bourg désert et silencieux. Nous prenons la direction des collines. Il y a environ 25 km par la route communale que nous apprécions tout particulièrement. Elle sillonne entre les pâturages, les champs et les prés où paissent des troupeaux de bovins. Magnifique.

Nous garons l'auto sur le parking du restaurant. Il faut chercher pour trouver une place. C'est le départ des nombreux itinéraires de randonnées. C'est aussi l'endroit où se garent les nombreux clients de l'établissement gastronomique et étoilé. Il faut marcher environ vingt minutes en trimballant toutes nos affaires. Nous ne sommes pas les seuls à nous transformer en sherpas. Heureusement que les arbres nous protègent d'une chaleur devenue accablante. Voilà le lac aux eaux sombres en contrebas du sentier. Il n'y a pas encore trop de monde.

Nous connaissons bien le sentier qui fait le tour du petit lac. Une étendue d'eau qui doit faire 1500 mètres de longueur sur 600 mètres de largeur. Il y cette pente qui peut effrayer les familles. C'est celle-là que nous contournons avec prudence. Tout en bas, à l'abri des rochers, il y a une surface de quelques mètres qui permet d'étaler notre couverture, les serviettes et de nous installer peinards. Ce sont juste les adeptes de canoé ou du kayak qui peuvent nous voir. << Génial ! >> lance Estelle. << Super ! >> s'écrie Clémentine. Nous voilà bien.

Il est extrêmement rare que nous partions en pique-nique. << Nous prenons de l'âge ! >> fait Clémentine. << On vieillit ! >> rajoute Estelle. Je dis : << On n'a oublié les boules pour jouer à la pétanque ! >>. Nous rions. Estelle qui enlève ses vêtements pour ne garder que son slip s'écrie : << Tu n'as pas oublié tes boules ! Regarde ! >>. Elle m'attrape par les roubignoles. Nous voilà tous les trois juste en slips. << J'ai pas de seins ! Quand j'étais ado ça me complexait terrible ! >> s'écrie Estelle. << Moi aussi c'était pareil ! >> lance Clémentine.

À l'ombre il fait tellement agréable. Il y a bien quelques insectes mais rien de gênant. En tournant le soleil va probablement taper cet après-midi. Nous faisons le tour de notre petit coin de paradis. À l'abri des arbres et des rochers nous pourrons nous protéger de sa morsure. Assis en tailleur sur la grande couverture, nous mangeons de bon appétit. << Put-Hein, mais comme c'est bon ! >> s'écrie Estelle. C'est vrai que là, dans ces conditions, tout est délicieux. Nous prenons tout notre temps. Les filles parlent de leurs études, de l'examen qui les attend.

Il y a un canoé qui passe à une cinquantaine de mètres. Il y a un jeune couple qui explore les rives du lac. Il faudra s'attendre à de nombreux passages de ce genre. Là-bas, de l'autre côté, il y a des familles. Les cris des chiards nous parviennent au loin. << On a oublié d'emmener la radio. Pour écouter le match de foot, comme font les "blaireaux" ! >> lance Estelle. Nous rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : << Comme des "beaufs" ! >>. Nous savourons les yaourts en dessert. Estelle se lève la première pour descendre dans l'eau.

<< Oh put-Hein comme elle est froide ! >> lance t-elle. Nous la rejoignons. C'est l'eau des deux rivières qui descendent des collines. Elles n'ont pas encore la température de l'air ambiant. D'y être jusqu'à mi mollet est une véritable épreuve. On s'y habitue toutefois assez rapidement. Nous descendons, de l'eau jusqu'aux genoux, jusqu'à mi-cuisses, jusqu'aux fesses. Un arrêt pour reprendre notre courage. La pente est soudain abrupte. Estelle perd pieds la première. << L'horreur ! >> s'écrie t-elle en nageant. Nous faisons la même chose.

L'eau froide coupe le souffle. Comme un choc dans la poitrine. Pourtant on s'y fait rapidement. Nous nageons tous les trois sous un soleil de plomb alors que nous ne sommes qu'à la mi mai. Nous nageons doucement en allant vers le milieu du lac. Impossible de s'habituer vraiment à la fraîcheur de l'eau. Elle ne doit pas dépasser les 16°. Un contraste avec les 28° de l'air ambiant. Nous ne perdons pas de vue nos affaires. Mais l'endroit, quasi inaccessible, reste désert. Nous revenons doucement en bavardant. Nous voilà couchés sur les serviettes.

Je suis entre mes deux anges. La chaleur nous sèche rapidement. Nous restons exposés au soleil. C'est paradisiaque. Estelle pose sa tête sur mon ventre. Elle sort ma queue du slip encore mouillé. Elle joue avec en évoquant le cunnilingus de hier soir. << Ce soir, on te fait ta fête ! >> dit elle en se mettant à suçoter. Clémentine se serre contre moi pour m'embrasser. Elles permutent en échangeant leurs impressions. << On est bien mieux ici qu'au vide-grenier, vous ne trouvez pas ? >> demande Clémentine. << Sûr ! >> répond Estelle.

Nous retournons dans l'eau. Cette fois nous contrôlons beaucoup mieux le processus. Les filles nouent leurs nattes sur la tête pour ne pas risquer de mouiller leurs cheveux. Nous nageons en avançant doucement. Estelle parlent du monstre du Loch Ness qui vit sous nos pieds. On se fait quelques frayeurs en imaginant de grands serpents sous marins qui guetteraient le baigneur égaré. Le soleil tape vraiment très fort. Nous voilà de retour sur les serviettes. Je doigte mes deux anges qui tiennent mes poignets pour que surtout je n'arrête pas. C'est doux.

Il est 18 h. La chaleur fait place aux premières fraîcheurs du soir qui s'annonce. Nous rangeons nos affaires. Nous revenons à la voiture. Aucun de nous ne porte de slip. Car les slips de bain sont les seules choses que nous avons oublié. Il est dix neuf heures quand nous revenons à la maison. Morts de faim mais tellement heureux de notre après-midi. Clémentine fait la salade. Estelle nous concocte son omelette aux quatre fromages du dimanche soir. Elle devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste presque trois heures encore ensemble.

Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur notre aventure au lac. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges parlent de leurs études. Avec l'approche des épreuves du Master II, c'est tout à fait normal. La vaisselle. Nous passons au salon. Fatigués. Vautrés dans le canapé, nous nous caressons doucement. Estelle joue avec ma queue. J'ai mes mains dans les culottes sèches. C'est absolument divin d'êtres là tous les trois dans un état de sérénité totale. Estelle glisse la première dans le sommeil. Clémentine suce.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui ont passé un merveilleux dimanche. Qui avant de s'endormir contre leur coquin sucent encore un peu...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1887 -



La présence de Julie

Il est presque six heures hier matin, lundi. L'application "océan" nous arrache du sommeil. Ce sont d'abord les cris des mouettes. Puis la sonorité profonde de la sirène d'un gros bateau dans le lointain. Le bruit obsédant des moteurs d'un chalutier qui se rapproche. Tout cela ne dure que 45 secondes. Clémentine se serre contre moi en murmurant des borborygmes. Quelques Papouilles. Quelques bisous. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenus de jogging nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café en racontant ses rêves, la signification des borborygmes. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en riant. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre journée de hier, au lac des collines. << À refaire plus souvent ! >> précise Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée. Il est 6 h25. Nous sortons. Sans K-ways c'est limite. Frais. Aussi nous nous dépêchons d'effectuer nos mouvements d'échauffement.

Notre parcours habituel le long de la rivière. Ce matin encore c'est exaltant de courir dans la campagne. Exactement une heure d'un running superbe nous voilà de retour pour prendre notre douche. Je descends le premier pour préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Son jeans, ses bottines, sa veste de cuir noir cintrée à la taille. Comme elle est belle. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre. Un dernier coucou. Je n'ai pas le temps de rentrer que voilà le véhicule de l'entreprise paysagiste.

Je reçois la dame et son assistant. C'est toujours la même chef de chantier depuis quelques années. Nous nous saluons. Elle connaît bien la propriété. Je les laisse à leurs travaux pour rentrer. Je fais la vaisselle, le lit, avant de passer dans l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin ma grande toile de format 20 F (73 x 60cm). Un format que je n'utilise que très rarement. D'après une photo de la propriété. Je vais représenter notre demeure et rajouter nos personnages. Une sorte de "première".

Il est dix heures lorsque résonne la musique imbécile de mon téléphone. En maugréant je le saisis. C'est Mr Didier, le ramoneur. Lui aussi intervient dans la maison depuis près de vingt ans. Je me lève pour aller le recevoir. Il connaît les lieux. Je lui propose de commencer par la cheminée de l'atelier. Je peins en l'écoutant travailler. Lorsque je découvre le monceau de suie qu'il a fait tomber je suis stupéfait. Il faut dire que cet hiver encore, douze stères de bois ont été consommées ici. Mr Didier continue dans la cheminée du salon, dans celle de la cuisine.

Il est 11 h quand je le raccompagne après l'avoir réglé par carte bancaire. Je découvre la pelouse et le reste du jardin déjà parfaitement nettoyés des branchages qui jonchaient le sol depuis la tempête. Ce sont les bruits des tailles haies qui résonnent. Le ciel est bleu, il y a du soleil, il fait chaud. Je retourne dans l'atelier. Je peins dans la sérénité la plus totale. L'odeur acre de la suie est pénible. J'ouvre une des deux baies vitrées. Comme l'atelier est situé Nord, Nord Est, c'est la fraîcheur qui le pénètre. C'est un peu désagréable. Je remets la blouse.

Il est 11 h55. J'arrête tout. Je vais à la cuisine. Il reste de la potée de légumes qu'il me suffit de réchauffer. Avec un filet de lieu noir préalablement panné. Je prépare une salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff et son invité dissertent sur la nomination d'une femme au poste de premier ministre. C'est amusant. Il est question de Sanne Marin la premier ministre Finlandaise. C'est vrai que ça a autrement plus de gueule. Mais en Finlande le président aime probablement les femmes. J'écoute en riant.

Je ne traîne pas. Je concocte une belle Béchamel. J'y rajoute du saumon finement émincé cuit à la poêle avec des champignons. Je rempli les six Bouchées à la Reine de cette savoureuse garniture. Elles sont dans un plat carré de terre cuite. J'y mets quelque petits dés de Morbier, d'avocat. Je fais gonfler du riz complet. Je râpe du gruyère de Comté. Je place le riz dans un second plat carré en terre cuite. Je le recouvre de gruyère, de chapelure et de graines de sésame grillé. Je dispose le tout au four. Cuissons lente à 180°. Il faut que ça mijote.

Notre repas du soir est déjà prêt. Il n'y aura qu'à réchauffer. Je fais la vaisselle avant de sortir. Je descends jusqu'à la rivière. Impossible de fuir le bruit des machines. Les deux employés de l'entreprise paysagistes taillent les haies, élaguent les arbres qui en ont besoin. Je remonte. Il est 13 h45. Me voilà installé devant mon chevalet. L'odeur persistante de la suie. Je peins en chantonnant. Depuis la grande pièce, je n'entends quasiment aucun bruit. Tant mieux. L'après-midi passe encore tellement vite. 17 h30 quand Clémentine rentre de cours.

<< Mais c'est quoi cette odeur ! >> s'écrie t-elle. Elle se précipite pour se mettre à califourchon sur mes cuisses. Ses bras autour de mon cou elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Estelle me charge de te faire plein de bisous. Sur la queue ! >> dit elle. Nous rions aux éclats. Elle se lève car elle a encore du travail. Nous aimons ces séquences d'émulation commune. Inspirantes et gratifiantes. Il est 18 h30. Trois coups timides contre la porte qui s'ouvre. C'est Julie qui arrive. Toute souriante, toute radieuse. Magnifique.

Elle se précipite vers Clémentine pour lui faire trois bises. Elle vient vers moi pour me faire pareil. Je me lève pour lui céder ma place. Julie adore s'assoir devant ma toile pour la scruter. Je nettoie la palette, les pinceaux. Clémentine range ses affaires. Julie reste silencieuse à observer ma peinture. Je retire ma blouse. Clémentine mime une discrète masturbation masculine. Je comprends immédiatement. Je vais au-dessus du petit lavabo. Je sors mon sexe que je dépose sur le bord de la cuvette en faïence. Je me lave les mains. Le robinet coule.

C'est comme un sixième sens qui l'avertit. Julie tourne la tête pour regarder. Elle découvre mon sexe posé sur le bord du lavabo. Clémentine vient me rejoindre pour se caler contre mon dos. Elle passe une main pour saisir ma bite toute molle. Je me retiens. Je veux faire durer ce moment de plaisir intense. Julie se tourne complètement sur sa chaise. Les mains posées sur ses genoux elle observe silencieusement. Clémentine agite ma queue. << Tu veux la tenir ? >> demande t-elle à Julie qui se lève d'un bond pour venir nous rejoindre. Je bande mou.

Julie saisit mon sexe juste entre son pouce et son index, à la moitié. J'ai une envie pressante depuis le début de l'après-midi. Je me retiens depuis plus de deux heures. Je voulais absolument réserver tout cela pour ce soir. Clémentine se penche en avant. Elle ouvre le robinet d'eau chaude pour en laisser couler un mince filet. Je me lâche avant de me retrouver en érection. L'odeur de la pisse exaltée par l'eau chaude nous monte aux narines. << Ça couvre celle de la suie ! >> dit Clémentine, son visage à une vingtaine de centimètres de mon Zob.

Julie dirige les premiers jets. J'en lâche plein. << C'est génial, ça fait comme des à coups ! >> murmure Julie qui change de main. Pas très pratique de se servir de la gauche quand on est droitière. Dans le petit miroir j'admire les expressions de son visage presque juvénile. Elle se sait observée. Elle n'ose pas soutenir mes regards. Concentrée sur les nombreux petits jets que je lâche. Chacun d'eux me procure un véritable plaisir. Clémentine pose son index sur la peau légèrement décalottée de mon prépuce. Julie tire la peau comme je le lui ai appris.

C'est hyper excitant. Je bande. Julie contrarie l'érection en forçant mon sexe vers le bas. Les jets sont plus fins, se contrôlent moins facilement. Julie semble comme affolée, ayant peur de ne plus maîtriser la situation. Elle vise à présent la fente horizontale d'évacuation du trop plein. << Wouh ! Virtuose ! >> lance Clémentine. Il y a un bruit d'écoulement dans le siphon. C'est amusant. Comme un gargouillis profond. Je lâche les deux dernières giclées en passant mon bras autour des épaules de Julie. Je dis : << Félicitations ! Du grand art ! >>.

Une goutte de liquide séminal perle soudain à l'extrémité du méat à peine décalotté. Je vis là un tel moment d'excitation que du foutre monte des couilles. La dernière petite goutte de pisse n'arrive pas à faire tomber la perle opalescente de sperme. Julie, comme si elle anticipait le désir de Clémentine, lui présente mon érection. Clémentine descend son visage pour gober mon sexe en gémissant. Je serre Julie contre moi en disant : << C'est toujours comme ça qu'il faut conclure ! >>. Julie me fixe soudain dans le petit miroir. Juste un instant.

Clémentine suce en poussant un long : << Mmhh ! >> avant de se redresser. Elle dit à Julie : << C'est le meilleur. Un petit "mélange" avant de passer à table ! >>. Julie lâche enfin ma queue. Je bande comme atteint d'un priapisme en phase terminale. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer. Clémentine fait une rapide salade de carottes. Julie met les assiettes, les couverts sans cesser de loucher vers ma bite qui pend de ma braguette. Lorsque les filles découvrent ce que je sors du four elles sont ravies. << Miam ! >> lance Julie.

Nous mangeons de bon appétit. Julie nous raconte son week-end avec ses parents, ses papys, ses mamies. Elle avoue penser à nous tout le temps. Lorsqu'elle le répète une fois encore je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction. Je dis : << Nous aussi, on pense très souvent à toi ! >>. Clémentine rajoute : << Même en nageant dans les eaux froides du lac ! >>. Nous traînons à table. Clémentine assise sur mes genoux raconte notre samedi soir, notre dimanche. Julie devra nous laisser pour 22 h. Nous avons une heure trente devant nous.

Julie aussi se retrouve devant l'échéance prochaine d'un examen crucial. Elle est en deuxième année de Lettres Modernes. Elle passe son DEUG d'ici un mois et demi. Je les écoute parler des angoisses, des appréhensions et des craintes que cela induit dans leurs vies d'étudiantes. C'est Julie qui change soudain de conversation : << Heureusement que nous avons des hobbies ! >>. Clémentine demande : << Le sexe par exemple ? >>. Julie s'écrie : << Surtout ! >>. Comme gênée de s'être livrée ainsi, elle cache son visage dans ses mains.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Clémentine plonge, Julie et moi nous essuyons. À chaque fois que nous nous croisons elle fixe ostensiblement ma queue. Parfois elle me jette un coup d'œil par en-dessous, terriblement suggestif. Volontairement vicelard. Quand nos regards se croisent furtivement je lui adresse un clin d'œil. Clémentine nous observe dans la bande laitonnée du carrelage. Comme dans un miroir elle peut nous voir. Je lui dépose souvent un bisou dans la nuque. Nous quittons la cuisine pour le salon. Devant une bonne tisane.

C'est Julie qui revient sur le sujet du nouveau "portrait" qu'elle réalise. Lorsqu'elle reviendra vendredi elle pourra continuer la peinture de ma bite et de mes couilles. Nous rions aux éclats. Clémentine joue avec ma queue. Julie parle du prochain film qu'elle veut réaliser. Elle désire en garder le scénario secret jusqu'au dernier moment. Elle viendra passer trois jours avec nous. Du mercredi 25 mai au vendredi 27 mai. Le jeudi 26 étant férié. C'est ce jour-là que nous tournerons ce film. Le troisième mettant en scène Julie dans un de ses fantasmes. Superbe.

Il est 22 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à son auto. La séparation est difficile. Assise au volant, la vitre baissée, elle regarde la main de Clémentine qui agite mon sexe dans l'habitacle de la voiture. À une vingtaine de centimètres de son visage. En gardant un certain recul elle nous confie à quel point c'est dur d'attendre jusqu'à vendredi. << Tu viens quand tu veux, ne te gêne pas ! >> lui fait Clémentine. << Je bosse comme une dingue pour mon DEUG ! >> répond Julie en démarrant. Clémentine dirige les jets de pisse contre la portière. Fumante.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines excitées par l'attitude de leur coquin. Une bonne pipe sous les draps avant de s'endormir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1888 -



Clémentine s'offre les émotions d'une exhibe improvisée

Hier matin, mardi, il est presque six heures. L'application "océan" nous réveille de ses illusions. C'est comme d'être dans un port de pêche. Les cris des mouettes. Le bruit des moteurs de ce chalutier qui s'éloigne. Clémentine vient se serrer contre moi en gémissant : << Ce sont des goélands ! >>. Nous rions en nous faisant plein de bisous. Quand Clémentine termine à midi elle est déjà facétieuse dès le levé. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos vêtements de jogging, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine.

Clémentine fait le café. Elle raconte ses rêves en imitant l'accent méridional de Juliette. Je suis plié de rire en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Je passe les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée avec Julie hier. << Tu as vu comme elle aime tenir ta queue pour te faire pisser ? C'est plus intense à chaque fois ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup de nos frasques. Il est 6 h25. Nous sortons dans l'agréable fraîcheur.

Quelques mouvements d'échauffement. Nous courons le long de la rivière. Une heure d'un running sublime. La douche. Je descends pour préparer l'auto. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint en sautillant. Vêtue de sa veste de fin velours carmin, d'une jupe brune, de ses souliers de ville à légers talons. Je m'écrie : << Tu es magnifique ! >>. Un dernier bisou sous un ciel d'azur ou le soleil règne déjà en maître absolu. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre en flânant sous l'effet de l'attractivité qu'exerce Clémentine sur ma psyché.

Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette toile personnelle me comble d'aise. Je peins en chantonnant, en poussant des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. La matinée passe tellement vite. Il est 11 h45. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste deux bouchées à la reine et du riz que je réchauffe . Je lave une belle laitue pour midi et pour ce soir. Un assaisonnement aux olives noires.

Il est 12 h25 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. Je la dépose pour prendre du recul en disant : << Laisse moi te regarder. Comme tu es belle habillée comme ça ! >>. Clémentine tourne sur elle-même en faisant : << C'est ce que j'ai cru voir dans les regards de quelques collègues étudiants. Dans celui du prof aussi ! >>. Elle s'accroupit soudain, cuisses largement écartées, en tenant la table. Quelle surprise, pas de culotte. Mon érection est instantanée.

<< Ma culotte ! >> lance Clémentine en la sortant de la poche de sa veste. Nous rions aux éclats. Je dis : << Tu es adorable. Je t'aime comme un fou ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Je n'ai enlevé ma culotte qu'en quittant la fac. Je me suis encore touchée en rentrant. Mais je te promets je roule doucement ! >>dit elle. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer. C'est en tenue cycliste que nous dévalons les escaliers à toute vitesse.

Dans le petit sac à dos que je porte, des pommes, des barres de céréales. Je vérifie le gonflage des pneus. C'est parti. 300 m jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois dont j'ouvre le cadenas du haut portillon. 500 m jusqu'à la piste cyclable. Quand elle termine à midi Clémentine est très déconneuse. Aussi elle tourne en dérision quelques pensées qu'elle partage en pédalant. Nous croisons des séniors à vélos. En semaine il y a moins de monde. Nous pouvons pédaler le plus souvent l'un à côté de l'autre en bavardant. Il fait très chaud.

Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse car un agent VNF y fait passer un bateau. Il y a 25 km jusqu'au port de plaisance. Contre un léger vent d'Ouest qui nous poussera au retour. Il est 15 h quand nous arrivons. Nous fermons les bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie du port. Cette année la capitaine du port est une ravissante jeune fille blonde. Elle est dans l'encadrement de la porte à téléphoner. Nous la saluons d'un sourire avant de traverser la route. La supérette est presque déserte. Nous pouvons bavarder avec la gérante. Si sympathique.

Nous apprenons que dimanche il y aura la fête des bateaux avec bénédiction sur le port. Encore une animation proposée par la municipalité du bourg voisin. Nous y viendrons peut-être en balade. Nous prenons deux pots de crème glacée. Häagen Dazs. Nos parfums préférés. Nougat et pistache. Avec nos petites cuillères à moka dorées nous dégustons nos glaces assis sur le muret. Nos pieds dans le vide. Clémentine est en jupette tennis. Sa culotte dans le petit sac à dos que je porte. Nous regardons les joueurs de boules. Des retraités.

Il y a parfois un cycliste qui passe en poussant son vélo. À chaque fois Clémentine écarte légèrement ses cuisses. Mais ils sont rares à regarder en l'air. Dommage car la vue est époustouflante. << Touche-moi ! >> murmure Clémentine. Je glisse ma main entre ses cuisses. C'est chaud, c'est doux. Je passe mon index entre les lèvres charnues de sa vulve humide. Je comprends soudain pourquoi cette demande. Il y a un type qui sort de sa camionnette avec des outils. C'est un employé communal. Clémentine l'avait repéré depuis un petit moment.

<< Ça fait bien dix minutes qu'il mâte ! >> dit elle. Je ne pouvais pas le voir. Il était discret derrière son véhicule. Lorsqu'il me voit il détourne la tête. Il descend vers les bâtiments des sanitaires. << Viens, on va s'amuser un peu ! >> lance Clémentine en se levant pour m'entraîner par la main. Nous jetons nos pots vides dans une des poubelles. Nous contournons le bâtiment des toilettes publiques en restant sur la route. Nous prenons les marches de l'escalier abrupte pour descendre. << Là, regarde ! >> chuchote Clémentine. Je regarde.

L'employé communal vient de soulever le couvercle d'un regard d'égout. Il y déroule un câble d'acier. Nous sommes dissimulés derrière les fourrés. << Attends-moi. S'il y a le moindre souci tu rappliques ! >> murmure Clémentine en saisissant mon poignet pour guider ma main sous sa jupette. << Mmhh ! >> dit elle avant de contourner les fourrés. Je l'observe. Elle marche lentement, les bras croisés. J'ai assisté à cette scène tant et tant de fois. Pourtant mon cœur bat la chamade et mon érection est presque douloureuse. Quels merveilleux instants.

Le type est à genoux devant le trou rond. Il semble concentré. Je suis planqué à une trentaine de mètres. En semaine il n'y a pas grand monde. Il lève la tête comme alerté par un sixième sens. Il découvre la sublime jeune fille aperçue tout à l'heure sur le muret. Il regarde dans toutes les directions. << Bonjour ! >> lance t-il à Clémentine qui passe lentement à quelques deux mètres. << Bonjour ! >> répond Clémentine qui se penche pour regarder elle aussi dans le trou. << Attention c'est bouché et ça sent très mauvais ! >> lance l'employé.

Je l'entends depuis ma planque car il parle fort. Je reste soudain le souffle coupé. Clémentine vient s'accroupir devant le trou pour y regarder. Un mètre à peine la sépare de l'homme. La quarantaine, de petite taille, en bleu de travail, portant une casquette au logo du bourg. Comme sur sa camionnette. Son sang ne doit faire qu'un tour en découvrant la chatte poilue de la superbe jeune fille accroupie devant lui. Je me masturbe tellement cette vision me bouleverse. Heureux privilégié que cet employé communal bénit des dieux.

Clémentine porte ses lunettes de soleil, ses cheveux qui pendent devant son visage assurent son anonymat. Notre homme tombe à terre en s'asseyant. Il ne dit plus rien. Il contemple ce spectacle. Clémentine reste dans cette position. Je n'entends plus la nature de la conversation. C'est comme si les deux protagonistes chuchotaient. Un bruit de moteur. Une voix qui crie : << Jean-Luc, t'es là ? >>. Je regarde en l'air. Là-haut, sur la route, une autre camionnette, un autre employé communal. Clémentine se redresse vivement pour s'éloigner d'un pas leste.

Nous nous rejoignons. << Exquis ! >> me dit elle en saisissant ma queue dure comme du bois. << Tu as aimé ? >> me demande t-elle. Elle ne me laisse pas le temps de répondre. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Je glisse ma main sous sa jupette. C'est trempé entre ses cuisses. Il faut songer à repartir. Il est déjà 17 h30. Nous passons devant le cabanon de la capitainerie. La capitaine est entrain de baisser les volets. << Quelle belle journée ! >> lance t-elle. Nous bavardons un peu. C'est son job d'été. Nathalie prépare un BTS en alternance.

Nous apprenons qu'elle a à peine 20 ans alors qu'elle en fait bien vingt cinq. Elle habite au bourg voisin. Elle a trouvé ce job par son papa secrétaire de Mairie à la ville. << Des "relations" ! >> précise Nathalie. Elle reste totalement sidérée en regardant Clémentine remettre sa culotte en disant : << Je déteste faire du vélo sans culotte ! >>. Après un instant de consternation Nathalie éclate de rire. Nous la saluons pour repartir. Il est 19 h quand nous revenons. Estelle est déjà là. Elle me saute au cou. << Venez vite, c'est prêt ! >> lance t-elle.

Quelle divine surprise. Estelle a préparé un coulis de tomates avec des spaghettis. Trois filets de flétan avec des champignons. C'est carrément génial de rentrer et de mettre les pieds sous la table. Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte son après-midi à aider sa maman au bureau de l'entreprise familiale. Le bilan comptable de l'exercice exige un travail laborieux. La présence de la secrétaire débordée, ne suffit pas. Clémentine raconte son exhibe devant l'employé communal. << Tu as pissé dans le trou ? >> demande Estelle.

Nous rigolons comme des bossus. Estelle se lève. En mimant une masturbation masculine elle me demande : << Et toi, c'était bon ? >>. Je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction en répondant : << Si tu savais comme c'est génial ! >>. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges reviennent sur leurs études. L'échéance du Master II qui se profile. << Il faut qu'on 'y mette un peu plus sérieusement ! >> s'écrie Estelle. Clémentine la rassure : << On arrête pas de bosser en cours. On est hyper prêtes ! Pas de blêmes ! >>.

Je propose aux filles une soirée léchage de minous. Celui de Clémentine me taraude l'esprit depuis cet après-midi. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est Clémentine la plus impatiente qui m'entraîne par la bite jusqu'au salon. Elle reste en jupette, sans culotte, vautrée dans le canapé. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Je me régale des saveurs étourdissantes du sexe de Clémentine. Estelle, à genoux derrière moi, me masturbe, penchée pour admirer le cunnilingus que je prodigue à Clémentine. Elle devra nous laisser pour 22 h.

Je me pourlèche du "yaourt" de Clémentine. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de sa vulve trempée. Je suce son clitoris géant en me faisant pomper par Estelle. Elle est couchée entre le canapé et moi. Position inconfortable qui lui permet toutefois de me tailler une superbe pipe. Je lui éjacule dans la bouche. Elle déglutit avec difficulté l'abondance de mon sperme. Clémentine connaît un orgasme qui la fait hurler. Accroupie au-dessus de la cuvette elle pisse en se tenant au canapé. Je lèche encore un peu. Il faut reprendre nos esprits.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se sont fait nettoyer le minou après les émotions d'un après-midi à bicyclette et une belle exhibe...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1889 -



La présence envoûtante de Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. Pour nous réveiller en douceur, nous avons choisi l'application "océan". C'est comme de se réveiller au bord de la mer ou encore dans un petit port de pêche. Le cri des oiseaux de mer. Les clapotis de l'eau, le ressac. Les marins qui se hèlent au loin dans une langue inconnue. Les sirènes de ces gros bateaux dans le lointain. L'illusion est parfaite. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Quelques papouilles, quelques bisous avant de nous précipiter aux toilettes. Le besoin est urgent.

Morts de faim, dans nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine y fait le café pendant que je presse les oranges, que je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Nous mangeons de bon appétit en dissertant sur le cunnilingus, sur la fellation. Nous avons tous deux une très nette préférence pour les rapports génitaux buccaux. Il en va de même pour Estelle. << Mais ce soir elle va se faire tringler par son parrain ! Je la vois ce matin. Elle va me raconter ! >> dit Clémentine.

Nous rions de bon cœur. Il est 6 h25. Nous sortons dans l'agréable fraîcheur. Hier encore la journée était presque caniculaire. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour une heure de running le long de la rivière. La douche au retour. Pas une minute à perdre. Je descends le premier pour préparer l'auto. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Avec ces chaleurs elle peut enfin porter des robes ou des jupes. Comme elle est belle encore ce matin dans sa jupe pourpre, son T-shirt violet sous sa fine veste noire. Magnifique.

Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je flâne un peu en faisant le tour de la propriété. Tout est extraordinairement propre et rangé. L'entreprise paysagiste fait toujours de l'excellente besogne. Le bassin est emplit d'eau. Je reste un instant sur le pont en bois qui le chevauche. J'ai soudain la "révélation". À midi je mange là, dans le jardin, sous le noyer, au bord de l'eau. Je retourne au fond du garage pour sortir le mobilier de jardin. Je retire la bâche qui le recouvre depuis l'automne dernier. Tout est propre. J'installe le tout.

Je rentre pour aller dans l'atelier. L'odeur de suie persiste encore un peu. J'entre baille légèrement une des deux grandes baies vitrées. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ma toile "personnelle" m'emporte rapidement dans les tréfonds du plaisir. Je peins dans un enthousiasme délirant. La matinée passe si vite. Il est 11 h55. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste des spaghettis et du coulis de tomates de hier soir. Je réchauffe en préparant une salade de concombre. Rapide.

Je regarde par la fenêtre. Là-bas, sous le noyer, la table et les chaises blanches sont une véritable invitation. Je me sens soudain un peu fainéant. Tout sortir. Après tout je décide de manger de bon appétit à l'intérieur. En écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états reçoit aujourd'hui un physicien et un climatologue. Tout ce beau monde démonte systématiquement la théorie du réchauffement climatique si chère à nos écologistes de salons parisiens peuplés de bourgeoises désœuvrées se délectant d'histoires d'énergies renouvelables. Rires.

La pâte feuilletée a décongelé. Je l'étale dans deux plats à tarte aux bords hauts. Le grand, le petit. Je lave et je coupe en fines tranches une belle aubergine, une énorme courgette. Je dépose les tranches en spirales sur la pâte. Je fais un "flan" avec de l'œuf, de la crème fraiche, du lait de soja, moutarde que je verse sur le tout. Il suffit de recouvrir d'une bonne couche de gruyère de Comté. J'y dépose de fines lamelles de Morbier. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Au four pour une cuisson douce à 180°. C'est meilleur quand ça mijote.

Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Je descends à toute vitesse, pressé d'aller dans la nature. Je suis en bermuda et T-shirt. Il est 13 h15. Il fait aussi chaud qu'au mois d'août. C'est extraordinaire. Je vais jusqu'à la rivière que je longe sur quelques centaines de mètres. Là-bas, de l'autre côté, une cavalière. C'est une jeune femme. Elle vient de m'apercevoir. Nous nous faisons un signe de la main. Je la regarde s'éloigner. Elle vient probablement du haras qui n'est qu'à un peu plus de trois kilomètres. Une extraordinaire vision bucolique.

Appelé par ma passion, je prends le sens inverse pour rentrer. Installé devant mon chevalet, je reprends ma peinture en plongeant dans ma passion. Je peins habité d'une profonde sérénité. Le repas de ce soir est déjà prêt. L'après-midi n'est qu'une succession de petites joies picturales. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. << C'est génial, tu as mis la table et les chaises dans le jardin ! >> lance t-elle en se précipitant vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restau universitaire.

Clémentine a encore du travail. J'admire sa silhouette lorsqu'elle fait quelques pas de danse. Sa jupe qui s'envole quand elle tournoie sur elle-même. Ses cheveux qui font de même. La voilà assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Nous adorons ces séquences de concentrations communes. Il est 18 h30. << Là, stop, où je pète un câble ! >> s'écrie t-elle soudain. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse, je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. La bite posée sur le rebord intérieur pour pisser béatement.

Clémentine accourt pour me l'attraper. << Jamais sans moi, tu pourrais en mettre partout ! >> dit elle en la relevant pour en diriger les multiples jets vers la fente du trop plein. Le robinet d'eau chaude coule avec la même régularité. Clémentine me la secoue longuement avant de se pencher pour en recueillir les derniers reliquats. Cette petite giclée qu'elle savoure en poussant un << Mmhh ! >>. C'est en me tenant par le sexe qu'elle m'entraîne. Nous quittons l'atelier pour aller au jardin. À ces heures il fait moins chaud. Nous ne sommes qu'en mai.

<< Viens, on sort la balancelle ! >> propose Clémentine qui me lâche la queue pour prendre ma main. Je veux remballer. << Non, surtout pas, Juliette ne va pas tarder ! >> s'écrie Clémentine. Nous retirons la bâche qui recouvre la balancelle au fond du garage. À deux ce n'est pas lourd, juste encombrant. Nous l'installons à côté de la table et des chaises. Clémentine s'y assoit. Je passe derrière elle pour la pousser doucement. Sa jupe relevée à mi-cuisse sur sa peau mate me fait baver d'envie d'y fourrer mon visage. Quand je l'avoue, elle m'y invite.

Voilà la grosse berline allemande qui descend lentement pour se garer devant la maison d'amis. Ce soir Juliette porte une jupe d'été grège. Légèrement évasée aux genoux. Un T-shirt crème sous une légère veste de lin blanc. Des mocassins beiges. Ses longs cheveux noirs en catogan. Toute souriant et heureuse de nous voir dehors, elle se précipite. Nous nous faisons la bise. Comme toujours Juliette fait mine de ne pas voir ce qui pend de ma braguette. J'adore. Ce comportement féminin si exaltant. Juliette s'installe dans la balancelle. Je la pousse.

Il est 19 h. Il commence à faire faim. La fraîcheur nous rappelle que nous ne sommes encore qu'au printemps. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine prépare une salade de carottes avec des radis. Juliette met les assiettes, les couverts. Je réchauffe la grande tarte. Juliette nous raconte sa journée de chef d'entreprise. Il ne reste plus qu'une vingtaine de chevaux au haras. Ce qui soulage considérablement le travail des employés. Je lui parle de cette belle jeune femme blonde que j'ai vu passer sur son cheval à la rivière.

<< C'est madame Simon, la femme du dentiste. Ils ont encore leur cheval en pension. Ils viendront le récupérer la semaine prochaine. Elle vient monter tous les après-midi ! >> explique Juliette. Je ne demandais pas temps d'explications mais j'en suis satisfait. Juliette fait enfin semblant de découvrir ce qui pend de ma braguette. << Vous en avez profité pour lui montrer votre queue ? >> me demande Juliette. Nous éclatons de rire en nous installant à table. C'est un repas délicieux. Juliette, vicieuse, le regard par en dessous repose la même question.

Je réponds : << Non, ça ne m'est même pas venu à l'esprit. Et puis pour un homme seul, ça passe beaucoup plus difficilement que lorsqu'il est avec une jeune fille ! >>. Clémentine s'écrie : << Elles sont beaucoup plus rassurées avec la présence d'une autre femme ! >>. Nous rions. Juliette précise : << C'est vrai. Mais c'est d'une extrême rareté. À part vous, lorsque nous avons fait connaissance il y a cinq ans, je ne suis jamais tombée sur un tel couple ! >>. Nous prenons souvent plaisir à revenir sur le jour de notre rencontre. C'était dans les prés.

Je me masturbe sous la table de la main gauche tout en mangeant. Nous sommes tous les trois considérablement excités. Juliette me fixe de son regard sévère. Je me lève en tenant mon érection. Je la tiens entre le pouce et l'index, à sa base, pour l'agiter dans sa direction. << On se fait une nouvelle rencontre un de ces jours ? >> demande Juliette. << Génial ! >> s'écrie Clémentine. Je dis : << Il suffit de mettre le "plan" au point par téléphone. Clémentine et moi nous venons rôder près du haras et on "joue" ! >>. Juliette a une expression ravie.

<< À réaliser absolument ! >> conclue t-elle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je propose d'aller faire quelques pas. La fraîcheur du soir est limite. Le soleil descend au-dessus des arbres. C'est magnifique. Clémentine reste contre moi pour aller jusqu'à la rivière. << Avant d'en connaître le propriétaire, je passais souvent à cheval de l'autre côté. J'admirais votre grande demeure. Je ne savais pas encore qu'un jour j'en serais l'heureuse invitée ! >> confie Juliette qui s'arrête pour fixer mon sexe. Je bande mou. Juliette est comme hypnotisée.

Clémentine saisit mon sexe pour le relever. << Si le cœur vous en dit ! >>. Juliette, toute étonnée demande : << Vous m'y autorisez ? >>. Clémentine agite ma queue en s'accroupissant, elle répond : << Avec plaisir ! >>. Juliette regarde partout autour de nous. Elle hésite longuement. Nous la sentons fébrile. Cette belle bourgeoise de 48 ans perdrait-elle ses moyens ? Je dis : << Une bonne pipe au bord de la rivière. Ça devrait vous faire envie, non ? >>. Juliette s'accroupit. Pour maintenir son équilibre elle attrape mon bermuda. Fermement.

C'est admirable de la voir ainsi hésiter, ma bite à une cinquantaine de centimètres de son visage. Clémentine agite ma queue en sa direction. La fraîcheur devient assez désagréable. Nous sommes tous les trois vêtus comme en plein été. Juliette se ressaisit. Elle se redresse soudain. Clémentine aussi qui dit : << Plus envie ? >>. Juliette me prend par le bras pour nous entraîner. Nous remontons le chemin. Comme pour conjurer sa folle envie, Juliette donne ses impressions quand à notre grande demeure. La tourelle qui l'impressionne.

Clémentine me tient par la main. C'est la toute première fois que nous marchons ainsi. Juliette à mon bras. Nous rentrons au chaud. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Il reste une petite heure. Nous voilà au salon. Installée dans le fauteuil qui nous fait face, une jambe posée sur l'accoudoir, Juliette nous offre la vision de son sexe épilé à la perfection. Ce triangle de poils noirs qui s'arrête juste au-dessus de son clitoris. Clémentine serrée contre moi dans le canapé joue avec mon érection. Juliette évoque ses vacances en corse. Tout le mois d'aout à venir.

Parfois elle passe l'index entre les lèvres charnues de sa vulve pour s'arrêter sur son clitoris qu'elle titille tout en parlant de Sartène, de sa sœur, de quelques réjouissances Corses. Clémentine demande : << Vous avez quelques bites en Corse ? >>. Juliette s'écrie : << Non, là-bas, ce sont des vacances en famille. C'est très stimulant pour la libido de ne pas pratiquer un mois ! >>. Je demande à mon tour : << Quelques exhibes tout de même ? >>. Juliette répond : << Oui, quelques exhibes. Mais surtout libre cours à mes passions voyeuses ! >>.

Nous rions de bon cœur. Nous écoutons quelque amusantes anecdotes vécues par Juliette. << Je connais des endroits près de Sartène. Il y des sentiers de randonnées. Je sais où me planquer pour observer ! >> confie t-elle. Plus jeune elle mettait des bouquins pornos dans les fourrés. À peine visibles. Cachée elle regardait la réaction des mecs qui les découvraient. << J'en ai vu ! Des petites, des grosses. Comme dans la chanson de Pierre Perret ! >> lance t-elle en éclatant de rire. Nous écoutons, passionnés, les récits bien vicelards de Juliette.

Bonne fin de soirée à toute les coquines que ces conversations ont excités. Qui se font brouter la chatte sous les draps avant un bon dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1890 -



Estelle, Clémentine et moi

Hier matin, jeudi, ce sont les cris des oiseaux de mer qui nous arrachent de nos profonds sommeils. Il est presque six heures et l'application "océan" nous offre un réveil en douceur. Le bruit du ressac. Les moteurs de ce chalutier qui s'éloigne. Clémentine vient se lover tout contre moi. << Comme elle est salope Juliette ! >> murmure t-elle à mon oreille. Nous rions aux éclats. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos habits de jogging nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en racontant ses rêves.

<< J'ai rêvé de Juliette ! >> lance t-elle pendant que je presse les oranges, que je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Juliette hier soir. << Tu as vu comme elle est exhibitionniste ! Encore pire que moi ! >> s'écrie Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant quelques souvenirs marquants des exhibes de cette belle bourgeoise de 48 ans. Clémentine imite l'accent méridional de Juliette pour revenir sur des souvenirs précis. J'avoue prendre énormément de plaisir avec les exhibitionnistes.

<< Sinon tu ne serais pas avec moi ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Il est 6 h25. Nous sortons. La fraîcheur matinale est devenue très agréable depuis ces derniers jours de grosses chaleurs. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Notre heure de running quotidien sur notre parcours préféré. Le long de la rivière. La douche. Je redescends le premier. Je prépare la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre, vêtue comme hier d'une de ses jupes carmins légèrement évasée à la taille. Un T-shirt kaki, sa veste.

Un dernier bisou. << En jupe je peux me toucher en roulant ! >> murmure t-elle lascivement à mon oreille avant de s'installer au volant. Je passe mon bras dans l'habitacle pour placer ma main entre ses cuisses qu'elle écarte. << Je t'aime ! >> dit elle en démarrant. Je regarde l'auto monter vers le portail qui s'ouvre. Il reste ouvert car nous nous faisons livrer en mazout ce matin. Un dernier coucou. Je fais quelques pas dans la propriété. Le ciel est d'un bleu de lapis lazuli. Le soleil y monte pour régner en maître absolu. Probablement pour la journée.

Je rentre pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je n'ai pas le temps de commencer que la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer. Je le saisis. C'est la livraison du mazout. Je sors. Bolloré vient faire le plein des deux cuves. Le chauffeur ne connait pas les lieux, c'est peut-être un nouvel employé. Je lui indique où brancher le tuyau. Je lui fais visiter la chaufferie à la cave. L'emplacement des cuves. Deux fois six mètres cubes. Trois hivers au moins.

Je le laisse à sa tâche pour remonter dans l'atelier. Je peins dans un enthousiasme délirant. Je pense à Clémentine, à Juliette, à Estelle, à Julie, à toutes ces femmes qui constituent l'environnement affectif de mon existence. Je prends une fois encore conscience de mes privilèges. Je n'y peux rien. C'est comme ça depuis que je suis tout petit. La matinée passe extraordinairement vite. Il est 11 h55. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer la petite tarte à la courgette et à l'aubergine. Je poêle les crevettes et les rondelles de calmars.

Pour les beignets de ce soir. Je fais une salade de concombre. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit aujourd'hui Michel Colon. Ce journaliste Belge qui fait un des plus sérieux travail d'investigations sur les magouilles des irresponsables gouvernementaux. C'est à la fois fascinant, scandaleux, consternant et révoltant. La France remporte haut la main les palmes de la corruption. Je ne traîne pas. J'épluche, je lave et je coupe de fines tranches de pommes de terre. Des chips que je fais frire à la poêle.

Je les retourne sans cesse pour bien les faire dorer dans l'huile de noisettes. Cette huile donne un goût extra aux chips que je dépose sur des feuilles de papier absorbant. Je prépare une belle pâte à crêpes. Notre repas du soir est déjà prêt. La vaisselle avant de monter me laver les dents. Je dévale les escaliers pour sortir. Il fait vraiment très chaud. Le thermomètre extérieur indique 29°. C'est en bermuda et en T-shirt que je descends jusqu'à la rivière. Chaque jour est un nouvel enchantement paradisiaque. Ce printemps est une réelle exception.

Ma passion m'appelle inexorablement. Je remonte pour retourner dans l'atelier. Je peins avec la sérénité des certitudes. L'après-midi se déroule dans le calme et l'introspection. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. Contrairement aux autres soirs où elle se précipite vers moi, elle reste près du fauteuil à bascule. Elle s'accroupit en me fixant d'un regard terriblement suggestif. Je reste pantois. C'est merveilleux. Clémentine écarte les cuisses. Elle me montre sa culotte qu'elle tient dans sa main gauche.

Je ne pourrai jamais m'habituer à un tel spectacle. Quand la femme qui partage la vie d'un homme est capable de lui offrir de telles émotions après cinq ans de vie commune, pas de doute, c'est elle et pas une autre. J'écarte les pans de ma blouse en me levant. Je sors mon sexe. Je bande mou. << Je me suis touché en allant et en revenant ! >> dit elle. Je la rejoins. Je me penche pour déposer une bise sur son front. Je frotte mon sexe sur son visage. << Fais de moi ta "chose" Julien, j'en ai besoin. Il y a bientôt mon examen ! >> s'écrie t-elle.

Je l'aide à se redresser. Je passe ma main sous sa jupe. Mon doigt entre les lèvres charnues de sa vulve trempée. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Elle tient mon Zob, je caresse sa chatte. C'est dans mes bras qu'elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Clémentine a encore du travail. Je devine une certaine anxiété lorsqu'elle évoque l'échéance du Master II. Je la rassure : << Tu es au top niveau. Tu n'as jamais rien manqué. Pourquoi t'inquiéter de ce qui n'est après tout qu'une formalité avant ton Doctorat ! >>.

Clémentine me tient par les poignets. Je suis debout derrière elle. Elle m'explique les courbes que je vois sur l'écran de l'ordinateur. Je lisse longuement ses cheveux dont j'ai défait le catogan. << Mmhh, j'adore, ça me détend ! >> chuchote t-elle en restant toutefois concentrée sur ses fiches. Je la laisse pour aller nettoyer la palette, les pinceaux. << Dimanche, nous sommes invités à l'anniversaire des parents d'Estelle ! >> lance Clémentine. Je m'écrie : << Wouah ! Génial ! >>. À peine a t-elle prononcé le nom d'Estelle la voilà qui arrive. Bisous.

Assise à côté de Clémentine, elle compare ses notes. Je les sens tracassées toutes les deux. Je répète une fois encore qu'il est inutile de s'inquiéter. Elles n'ont jamais rien raté. Debout derrière elles, penché en avant, mon visage entre les leurs, je regarde l'écran. << On mange chez mes parents, dimanche à midi ! >> dit Estelle. Yvan et Michèle sont nés tous deux au mois de mai. Ils fêtent chaque année leurs anniversaires ensemble. Je fais : << C'est un privilège supplémentaire d'êtres leurs invités ! >>. Je dépose des bisous dans les nuques.

<< Si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> lance Estelle. Nous rions aux éclats de cette phrase que répète à chaque fois Estelle. Je réponds : << Non, je me contenterai de lui montrer ma bite ! >>. Estelle tourne sa tête pour me faire une horrible grimace en faisant : << Salaud ! >>. Il est 18 h45. Les filles rangent leurs affaires. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Lorsqu'elles découvrent ce que j'ai préparé, mes deux anges me couvrent le visage de bises. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte.

Clémentine prépare une belle salade de tomates. Estelle jette les crevettes et les ronds de calmars dans la pâte à crêpes. Je monte à ébullition l'huile dans la friteuse électrique. C'est hyper rapide. Avec une cuillère Estelle récupère chaque crevette et rond de calmar pour les déposer délicatement dans l'huile. Une petite minute à laisser flotter les beignets. Clémentine les pêche bien dorés avec l'écumoire. Déposés sur des feuilles de papier absorbant ce sont comme des pépites d'or. Je réchauffe les pommes de terre chips. Je prépare notre table.

Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles parler de leurs cours, de leurs stratégies. Ce fameux Master II qui focalise toutes leurs attentions. Toutes leurs craintes également. Je dis : << Mais dans quel état serez-vous dans deux ans avant les épreuves du Doctorat ! >>. Clémentine pose sa main sur la mienne en s'écriant : << Tu seras là pour nous seconder ! >>. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine en lançant : << Tu fourniras le carburant et tu appliqueras ta thérapie ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Je me lève aussi.

J'agite mon sexe en le tenant à sa base entre le pouce et l'index. Je demande à Estelle : << C'était comment la baise hier soir avec parrain ? >>. Elle s'écrie : << Oh put-hein le salaud ! Il m'a niqué pendant plus d'une heure. Depuis quelques mercredis il n'éjacule même plus. Il préfère se terminer dans la bagnole en rentrant ! >>. Nous rions aux éclats. << Drôle de mec ce Jean-Marc ! >> lance Clémentine. Il y a toujours encore en projet de faire venir le parrain d'Estelle pour lui montrer l'ingénieux principe de chauffage dans notre maison d'amis.

Jean-Marc est chauffagiste de profession. Clémentine s'est déjà fait sauter par ce mec il y a trois ans. Elle reconnaît que c'est un baiseur fou. Elle aimerait bien récidiver. Le prétexte idéal serait donc de lui faire voir notre installation particulière. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges prévoient le "plan" Jean-Marc avant les vacances d'été. Avant notre départ pour l'Écosse le jeudi 30 juin. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous filons au salon car il y a le fameux "contrôle minou".

Comme tous les jeudis soir, je suis chargé de faire une vérification du minou d'Estelle. Après la baise effrénée du mercredi soir, rien ne la ravit davantage qu'un cunnilingus passionné. Estelle est en jupe aussi. Elle retire sa culotte qu'elle jette en l'air en riant. Elle se vautre dans le canapé. Ses jambes largement écartées qu'elle maintient en l'air en les tenant sous les genoux. Je n'ai plus qu'à me mettre à genoux sur un des épais coussins. Clémentine, la jambe gauche sur l'accoudoir gauche, la jambe droite sur l'accoudoir droit, vautrée dans le fauteuil.

Elle adore nous regarder en se masturbant. Mon visage entre les cuisses d'Estelle j'enfonce ma langue dans la fente encore étroite. Cette fente qui s'ouvre doucement pour laisser jaillir les lèvres fines de son sexe. En même temps que s'écoulent les premiers jus de fille. C'est enivrant. J'en ai des vertiges. Les gémissements de Clémentine et d'Estelle sont la plus douce des musiques. Depuis quelques temps Estelle émet de petites éjaculations. C'est divin. Les effets de mes caresses linguales. Son "yaourt" est onctueux, légèrement âcre. Je me régale.

Je la saisis par ses chevilles pour la renverser complètement. La basculer en arrière. Ce qui me permet de lécher la raie culière. Là aussi sa journée de fille a laissé des saveurs étonnantes. L'odeur forte en même temps que le goût me révulsent autant qu'ils m'excitent. Je bande. Je me masturbe en même temps. Soudain, dans un cri, Estelle me repousse délicatement pour jouir. Couverte de frissons. Je me précipite vers Clémentine toute surprise. Je lui bouffe le minou. Et il y a de quoi bouffer. Son orgasme est nucléaire. Et pisseux. Je tiens la cuvette.

Nous reprenons nos esprits comme souvent. Couchés tous les trois sur le tapis. Je suis entre mes deux anges qui échangent leurs impressions. Je suis prié d'appliquer cette "thérapie" le plus souvent possible avant les épreuves du Master II. Il est presque 22 h. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Avant de s'installer au volant, elle remet sa culotte. << J'ai perdu le protège-slip quelque part dans le jardin ! >> lance t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Un dernier bisou. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer.

Bonne nuit à toutes les coquines qui vont se régaler d'une bonne bite bien juteuse avant de s'endormir tout contre leur lécheur fou...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1891 -



Encore un bel après-midi

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Le cri des oiseaux de mer, strident, nous tire du sommeil. Le clapotis de l'eau, la sirène de ce gros bateau dans le lointain. L'illusion de nous réveiller au bord de la mer. L'application "océan" est d'une perfection bluffante. Clémentine vient se serrer contre moi en gémissants des propos amphigouriques. Cela nous amuse toujours beaucoup. C'est avec la tête encore dans le sac que nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de running, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine prépare le café en multipliant les facéties. Imitant l'accent méridional de Juliette pour raconter ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée à trois, hier soir. Quand elle termine à midi, comme tous les vendredis, Clémentine est très déconneuse. Nous sommes pliés de rire. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du week-end. Il est 6 h25. Quelques mouvements d'échauffement dans l'agréable fraîcheur matinale. C'est parti pour notre jogging.

Une heure absolument magnifique de course soutenue le long de la rivière. La douche. Je descends pour préparer l'auto. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint vêtue d'une de ses jupes d'été, un T-shirt sous une veste de lin légère. Chaussée de mocassins. Le ciel est bleu. Le soleil s'y installe en maître de cérémonie. Un dernier bisou, je la regarde partir. Un dernier coucou. Je flâne un peu en faisant le tour de la propriété. Je respire le grand air en jouissant du gazouillis des oiseaux. Je porte mon bermuda, un T-shirt. C'est un enchantement.

Me voilà dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce paysage personnel me comble de satisfactions immédiates. Je peins dans une profonde sérénité. Il est 11 h55. Je quitte ma passion pour la cuisine. Il reste des beignets de crevettes, de ronds de calmars, des pommes de terre chips. Il suffit de réchauffer. Je n'ai qu'à préparer une salade de concombre. Sur un plateau je dispose les assiettes, les couverts, les verres et une carafe d'eau. Nous allons prendre notre repas dehors.

Je passe un coup d'éponge sur la surface blanche de la table métallique. J'y étale une nappe. Ce sera une belle surprise pour Clémentine qui ne va pas tarder. Je rentre pour chercher les plats lorsqu'elle arrive. << Génial ! Oh quelle bonne idée ! >> s'écrie t-elle en me sautant au cou. Nous rentrons pour le rituel pisseux et nous laver les mains. Il fait chaud. Nous mangeons de bon appétit sous l'ombre rafraîchissante du noyer. Il y a bien quelques insectes mais rien d'embarrassant. Clémentine me raconte sa matinée. Beaucoup de travail cet après-midi.

<< Put-Hein, comme ça me fait chier ! Je serais bien partie à bicyclette aujourd'hui ! >> lance t-elle assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. L'échéance du Master II se rapproche. Pas question de ne pas être prête. Ce qui nécessite quelques sacrifices. Je propose de faire des pauses toutes les heures pour aller marcher un peu jusqu'à ce soir. << Excellente suggestion ! >> s'écrie Clémentine. Nous débarrassons pour tout rentrer et faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries devant le miroir. En riant.

Pressés de profiter encore un peu de cette nouvelle véritable journée d'été, nous dévalons les escaliers. Je dis : << Pourquoi ne pas bosser dehors, là, à l'ombre des arbres ? >>. Clémentine envisage rapidement cette possibilité. Je rajoute : << Viens, on sort tout ensemble et on s'installe dehors ! >>. Clémentine, soudain convaincue, m'entraîne par la main. Dans l'atelier nous réunissons nos affaires. Celles de Clémentine se réduisent à son ordinateur, ses fiches, son cartable. Moi je prends mon vieux chevalet d'extérieur que je déplie au jardin.

Je retourne chercher ma toile. Clémentine récupère la palette, les pinceaux. Nous sommes tous deux très légèrement vêtus. Clémentine porte une ample robe d'été d'une incroyable légèreté. Je suis en slip et T-shirt. Tous deux en sandalettes. Clémentine est assise à la table. La Wifi fonctionne à la perfection. Je suis installé devant mon chevalet. Qu'il est agréable d'être là. Nous adorons ces séquences d'émulations communes, tous prêts l'un de l'autre. Parfois, depuis chez monsieur Bertrand, nous entendons des voix, des bruits de jardinages.

La maison de notre voisin est à un peu plus de trois cent mètres en contrebas. Nous n'en voyons que le haut du toit. Il doit brûler des feuillages car l'agréable odeur de la torréfaction monte jusqu'à nous. C'est dans cette ambiance bucolique que nous travaillons. Sans voir passer le temps. Parfois, l'un d'entre nous se lève pour faire un bisou à l'autre, lui chuchoter des douceurs. Clémentine me lit des extraits de ses textes à haute voix pour me demander mon avis. Quelquefois elle prononce une phrase surréaliste qui nous fait rire. Là, un papillon.

Il virevolte autour de ma toile. Il fait un petit vol autour de Clémentine. Il y a des clapotis depuis le bassin. Quelle surprise, ce sont des oiseaux qui viennent se baigner. Il est 16 h. Le bruit d'un moteur. C'est la Clio rouge de Julie qui descend lentement pour se garer devant le garage. Elle ne nous a pas encore vue. Clémentine se lève pour contourner la balancelle. << Coucou ! >> lance t-elle à Julie qui nous découvre enfin. Vêtue d'une robe d'été, en sandalettes, elle se précipite. Ses cheveux noués comme ceux de Clémentine, en natte.

Trois bises à Clémentine. Trois bises qu'elle me fait tremblotante. Clémentine lui fait : << Toi, tu étais encore impatiente de nous voir ! Tu es toute fébrile ! >>. Julie s'écrie : << Oh oui ! Et de vous découvrir là, dans le jardin m'émerveille. Quelle bonne idée ! >>. Julie vient pour sa séance de peinture. Est-ce bien raisonnable de continuer le portrait de ma bite et de mes couilles dans le jardin ? À cette question, nous éclatons de rire. << Pourquoi pas ! >> lance Julie qui fixe la bosse dans mon slip. Je dis : << Venez, on va chercher votre matériel ! >>.

Nous laissons Clémentine à ses préparations. Dans l'atelier il suffit de reprendre la petite toile commencée vendredi dernier. La mallette contenant les peintures, la palette, les pinceaux. Seule avec moi, le comportement de Julie change totalement. Timide, réservée, comme si j'étais un inconnu. Je dis : << Savez-vous que nous nous réjouissons pour la semaine prochaine. Trois jours en votre agréable compagnie ! >>. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Elle répond : << Je ne pense plus qu'à ça. Je vais m'organiser pour rester jusqu'à samedi ! >>.

Je suis accroupis, cuisses largement écartées. Mon slip baille un peu. Je découvre soudain le regard de Julie qui fixe mon entre jambes. Elle devient toute rouge en se sachant surprise. Je sors mon sexe par l'ouverture entre l'élastique et la cuisse gauche. Je reste un instant ainsi. Julie déglutit. Je sens qu'elle n'a qu'une envie, c'est de fuir. Non pas la situation mais l'embarras de sa timidité. Je me redresse. Je bande mou. C'est la toute première fois que nous sommes vraiment seuls elle et moi. Je saisis mon Zob à sa base pour le lui présenter. Bien droit.

Je dis : << Julie, j'ai un fantasme récurrent. Faire une promenade en voiture avec vous. Vous comprenez ce que cela signifie ? >>. Julie porte ses mains devant son visage sans répondre. Je rajoute : << J'adore me faire tailler une pipe en roulant. Je vous le propose ! >>. Julie me fait un sourire furtif, le regard fuyant, sans répondre elle s'empare de la mallette. Je n'insiste pas, nous rejoignons Clémentine au jardin. Lorsqu'elle découvre mon sexe collé contre l'intérieur de ma cuisse, coincé par l'élastique, elle me fait un clin d'œil. Julie s'installe.

Je sors mon sexe par le haut en passant les couilles sur l'élastique. << L'effet n'est pas tout à fait le même que par la braguette ! >> fait Julie en préparant ses couleurs. Je demande : << Voulez-vous que j'aille passer un jeans ? >>. Elle répond : << Non, non, ça ira ! >>. Je prends la pose. Quelques insectes virevoltent curieusement autour de mes attributs virils. Je suis parfois obligé de les chasser d'un mouvement de la main. << C'est l'odeur ! >> lance Clémentine. Julie tout en peignant rit aux éclats. Je bande mou sur les couilles dodues.

Il est 17 h30. Julie devra nous laisser pour dix huit heures. Elle reviendra demain matin pour le ménage. Clémentine est satisfaite par l'avancée de ses travaux. Elle chantonne. Julie ne m'a jamais semblé aussi heureuse que cet après-midi. Le prétexte de peindre le portrait de mes organes génitaux lui permet de contempler, de mâter et d'admirer ma queue. Je n'ai jamais ressenti d'émotions plus divines que de poser pour une jeune fille peintre. Émouvant. Mes érections alternent avec des moments de "mollesses". Julie est aux anges. La béatitude.

Lorsque la séance se termine, pendant que Julie nettoie sa palette, ses pinceaux, je scrute son travail. C'est toujours réalisé avec un soin maniaque. Beaucoup plus réaliste que la meilleure des photos. Je dis : << Julie, vous devez vous orienter vers la peinture hyper réaliste. Vous excellez dans cette discipline. Vous faites les choses les plus difficiles avec une remarquable facilité. Vous êtes rapide surtout ! >>. Julie se met prêt de moi en demandant : << Vous croyez ? Moi je vois plein de trucs qui ne vont pas ! >>. Clémentine nous rejoint.

<< Nous, on n'en voit aucun ! >> lance t-elle. Je rajoute : << Ces trucs qui ne vont pas sont totalement invisibles. Nous les peintres, on voit des choses que les autres ne discernent pas. C'est dans la logique des choses ! >>. J'agite ma queue toute molle vers la toile en disant : << Que penses-tu de ton portait ? >>. Les filles éclatent de rire. Clémentine passe son index sous mon sexe comme pour le soupeser. Elle s'accroupit. << Mmhh ! Tu as senti l'odeur ? On comprends pourquoi ça attire les mouches ! >> lance t-elle à l'attention de Julie. Rires.

Il est temps de raccompagner Julie à sa voiture. Je remballe mes "jouets" en disant : << Ne vous inquiétez pas Julie, je range vos affaires. Assise au volant de son auto, elle ne cesse de fixer ma bosse. Clémentine l'empoigne en faisant : << Tu as déjà une idée du scénario pour le film de la semaine prochaine ? >>. Julie démarre en répondant : << Ça se précise. Je vous en parlerai au dernier moment. J'ai trop honte ! >>. Je me penche pour lui déposer une bise sur le front en murmurant : << Adorable Julie ! >>. Elle s'écrie : << À demain matin ! >>.

Nous la regardons partir. Clémentine passe derrière moi pour me descendre le slip à mi cuisses. Depuis le portail, sortie de sa voiture, elle nous envoie des bisous en les soufflant dans ses mains. Je pratique "l'hélicoptère" en faisant tournoyer ma bite. Un dernier coucou. Nous retournons à nos occupations. Je range les affaires de Julie. << Tu n'as pas une tristesse soudaine quand elle s'en va ? >> me demande Clémentine. J'avoue partager le même sentiment. L'absence de Julie nous paraît soudain cruelle. Nous regardons où elle était assise.

Je ramène le tout dans l'atelier. En trois voyages. Je rejoins Clémentine à nouveau plongée dans ses révisions. Debout derrière elle j'écoute ses explications. Je dépose des bisous dans sa nuque. Je propose d'aller m'occuper du repas de ce soir. De manger dehors. << Non ! On fait tout ensemble ! >> me répond t-elle en éteignant son ordinateur dont elle rabat le couvercle. Je l'aide à rentrer ses affaires. À la cuisine nous préparons un repas rapide. Spaghettis, coulis de tomates, Parmesan. Nous mangeons de bon appétit dans le jardin. Merveilleux.

<< Merde ! >> s'écrie soudain Clémentine en revenant des toilettes. << J'ai mes "petits machins ! >> rajoute t-elle l'air dépité. Je précise : << Comme tous les 20 du mois ! >>. Elle s'assoit sur mes genoux. Elle murmure : << J'ai envie de te sucer. C'est encore plus fort quand je te vois faire le vicieux avec une autre ! >>. Nous rions de non cœur. La fraîcheur s'accentue. Nous débarrassons pour tout rentrer, faire la vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon pour me faire tomber dans le fauteuil. À genoux entre mes pieds elle dit : << Mon dessert ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se réjouissent à être seules avec leur coquin. Même si elles ont leurs "petits machins"...

Julien



Classe

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Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1892 -



Un samedi matin plein de nos petits rituels

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand nous nous réveillons en même temps. Clémentine se couche sur moi en me chuchotant des << Je t'aime ! >>. Elle me couvre le visage de bisous en se frottant doucement sur mon érection naturelle. Du tiroir de sa table de nuit, elle tire la boîte contenant son médicament homéopathique contre les règles douloureuses. << Préventif et drôlement efficace ! >> précise t-elle en avalant d'un coup. Nous nous précipitons aux toilettes. Pipis. Je la laisse seule au WC pour m'habiller de mes vêtements de jogging.

Clémentine me rejoint en disant : << Même pas mal. Juste une légère congestion dans le bas du ventre ! >>. Je la masse délicatement pendant qu'elle s'habille. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'ouvre le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis en écoutant. Je ne me souviens jamais des miens. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant la présence de Julie hier après-midi. Julie qui revient ce matin pour le ménage.

Nous mangeons de bon appétit. J'ai déjà raconté hier soir la proposition que j'ai faites à Julie. C'était dans l'atelier, lorsque nous y étions seuls. << Je fais le nécessaire ce matin pour que tu sois seul avec elle quelques minutes. Tu réitères ta proposition. Tu me raconteras ! >>. Nous mettons au point différentes possibilités. En parlant de Julie la voilà qui arrive. Comme à son habitude avec une dizaine de minutes d'avance. Elle est encore toute radieuse, toute contente. Trois bises à Clémentine avant de m'en faire trois délicates aussi. Sur les joues.

Julie est en jeans, un T-shirt kaki, des baskets. Ses cheveux noués en natte. Nous terminons de manger. Je propose à Julie un café. Elle décline mon offre en rétorquant : << Je suis debout depuis six heures trente. J'ai pris un solide petit déjeuner ! >>. Nous terminons pour débarrasser lorsqu'elle rajoute : << Allez faire votre running, je m'occupe de tout ! >>. Avant de quitter la cuisine nous déposons chacun une bise sur son front en la remerciant. Nous voilà dehors. Comme il fait agréable sous ce ciel bleu. Quelques mouvements d'échauffement.

C'est le long de la rivière que nous pratiquons notre heure de jogging. Il est 9 h30. Nous montons prendre notre douche. Quand elle a ses règles Clémentine porte un soutien gorge. Même si ses tous petits seins n'en n'ont nul besoin. Mais les mouvements du corps pendant la course peuvent générer des douleurs. Les bretelles de ce soutif lui causent de désagréables frottements. Je passe de la pommade sur ses rougeurs. << Docteur Julien, vous êtes le meilleur thérapeute ! >> me dit elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Un délice.

Clémentine est vêtue d'une de ses robes d'été. Rouge avec de petits motifs floraux jaunes et bleus. Une de mes préférées pour la maison. Je suis en bermuda gris et en T-shirt kaki. Tous les deux en espadrilles catalanes aux semelles de cordes. Nous descendons en nous serrant fort. << N'oublie pas de "coincer" Julie toute seule dans un coin ! >> me chuchote Clémentine. Nous entendons l'aspirateur quelque part à l'étage. Nous sortons pour traverser le jardin. Il est presque dix heures. Voilà Danièle au volant de sa camionnette qui descend le chemin.

Nous réceptionnons nos deux cageots. L'un qui contient les fruits, les légumes. Le second qui contient les fromages, les œufs, les yaourts, les petits pots de crème fraîche, le beurre. Paiement par carte bancaire. Même commande pour samedi prochain. Danièle n'est jamais très bavarde. Elle a bien d'autres clients à livrer jusqu'à treize heures. Nous la saluons. Il fait déjà bien chaud au soleil. Le thermomètre extérieur indique 20°. Voilà le tube Citroën entièrement rénové de notre boulangère qui descend le chemin. Madame Marthe est encore hilare.

La dame a toujours des anecdotes qui nous font rire. Elle nous tend la cagette contenant les deux grosses miches de pain complet, les deux pâtes feuilletées, la brioche au pudding et les deux croissants aux amandes. << Offerts par la maison aux clients fidèles ! >> lance madame Marthe qui elle aussi a encore bien d'autres livraisons. Paiement par carte. Même commande pour la semaine prochaine. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Nous rangeons nos fruits, nos légumes sur les étagère dans le cellier. Il y fait frais et sec.

Du congélateur où je met les deux pâtes feuilletées, une des deux grosses miches, je tire l'habituel paquet de moules, les sachets de haricots verts et de petits pois. << C'est maintenant, dans la cuisine qu'il faut revenir sur ta proposition ! >> me fait Clémentine lorsque nous remontons par l'escalier intérieur. Julie s'apprête à passer la serpillère. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Clémentine s'écrie : << Oh, j'ai oublié un truc à la cave ! >>. Elle quitte précipitamment la cuisine où je me retrouve seul avec Julie.

Je demande : << Il y avait des trucs sympas hier soir au restau ? >>. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Aussi c'est en fixant ma braguette qu'elle répond : << Non. Par contre il y a des coquins sur la terrasse extérieur ! >>. Je reviens sur ma proposition de hier : << Une promenade en voiture, tous les deux, un de ces prochains jours ? >>. Julie devient soudain toute rouge. Elle Trempe la serpillère dans le seau sans répondre. Je rajoute : << Personnellement, ce serait un grand moment que j'aimerais partager avec vous ! >>. Le silence.

Je n'insiste pas. Je dépose une bise sur son front avant de quitter la cuisine. Clémentine est dans le couloir entrain d'écouter. Elle me fait un clin d'œil en posant son index sur ses lèvres. << Chut ! >>. Je m'apprête à aller vers le salon quand la voix de Julie m'interpelle : << Je vous promets d'y réfléchir. Ça ferait un beau sujet pour le scénario d'un film ! >>. Je reste pantois. Je me contente de dire : << Génial ! >>. Clémentine lève le pouce de sa main droite. Elle va à la cuisine à son tour. Me voilà au salon devant l'ordinateur. Clémentine me rejoint.

<< Elle est hyper excitée par ta demande. Je suis certaine qu'il y aura un passage à l'acte ! >> murmure Clémentine. Assise sur mes genoux elle surfe sur le site de l'université. Dans la petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 €. Sur une carte de visite je griffonne quelques mots ayant trait à la "promenade en auto". Nous avons trois messages. Celui de mon oncle d'Édimbourg qui joint deux photos de l'appartement qui nous attend pour notre arrivée le premier juillet. Le mail de Juliette qui nous invite à passer dimanche au haras.

Le courriel d'Estelle qui est impatiente de nous rejoindre dès 13 h30. Julie arrive au salon. << Vous avez une belle maison bien propre ! >> dit elle. Clémentine se lève pour la prendre par la taille. << Merci Julie ! >> fait elle. Je me lève. J'ai la braguette de mon bermuda béante. Julie ne cesse de la fixer même en parlant avec Clémentine. Je lui tends la petite enveloppe jaune. << Merci ! >> fait elle. Je dis : << N'oubliez pas Julie, on vous attend pour mercredi ! >>. Elle exulte. << Je suis là après les cours. Et jusqu'à samedi matin ! >> s'écrie t-elle.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Assise au volant Julie regarde mon Zob qu'agite Clémentine dans sa direction. Je m'appuie contre la portière. Ma bite à une vingtaine de centimètres de son visage. Julie a ce réflexe d'y déposer une bise tout en démarrant. << À lundi soir ! >> lui fait Clémentine. << Oh oui, à lundi soir ! >> répond Julie. Nous la regardons partir. Arrivée en haut du chemin, au portail Julie sort de sa voiture pour souffler des bisous vers nous. Un dernier coucou. Morts de faim nous nous dépêchons de rentrer. Préparation rapide.

Avec cette météo il est décidé de manger dans le jardin. Nous mettons la nappe, les assiettes et les couverts sur la table métallique. Clémentine s'occupe de la salade de cresson. Dans le wok je verse les haricots verts et les petits pois encore congelés. Dans le bouillon en ébullition je vide le paquet de moules elles aussi encore congelées. Clémentine se serre contre moi. Dans mes bras elle me confie son bonheur. << Ça va être génial la semaine prochaine. Ce "pont" du jeudi 26 mai. Vive l'ascension ! >> lance t-elle en sautillant. Des bisous.

Nous sortons avec les plats. C'est à l'ombre du noyer, dans la douceur champêtre de ce samedi d'été, que nous prenons notre repas. Clémentine me confie ses appréhensions quand à l'épreuve du Master II. C'est la première fois que je la sens anxieuse avant un examen. << Celui-là est très particulier car il détermine la préparation au Doctorat ! >> précise t-elle. Je comprends. Je la rassure une fois encore en rappelant qu'elle n'a jamais rien raté. << Je vieillis, le doute m'assaille ! >> s'écrie t-elle avant d'éclater de rire. Un rire communicatif.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, mon ange propose une virée à bicyclette cet après-midi. L'échéance de cet examen d'ici un mois motive son désir de "s'éclater" un maximum. << Quelques bonnes exhibes ! >> lance t-elle. Nous rions de bon cœur. Les exhibitions de Clémentine agissent comme une catharsis pour dissoudre ses craintes infondées. Je suggère : << Une pipe à un inconnu, ça te plairait ? >>. Clémentine s'installe à califourchon sur mes cuisses. En se frottant elle dit : << Pourquoi pas ! >>.

Nous débarrassons pour tout rentrer et faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos habituelles pitreries devant le miroir de la salle de bain. << J'ai envie de faire ma salope, si tu savais ! >> s'écrie t-elle en essuyant sa bouche. Je réponds : << Je sais ! >>. Nous éclatons de rire avant de nous embrasser comme des fous. << Qu'ils sont où les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle en entrant dans la pièce. Elle se précipite pour se serrer contre nous. Nous restons ainsi tous les trois à nous faire plein de bisous. Douceurs.

Estelle emmène toujours son sac de sport. Dans la chambre, posé sur la chaise, elle en extrait son pyjama, sa tenue cycliste. << N'oubliez pas. Demain nous sommes attendus pour midi. C'est l'anniversaire de mes parents ! >> précise t-elle. << Impossible d'oublier ! >> lance Clémentine. Nous nous changeons. Clémentine porte une de ses jupettes tennis, un T-shirt. Estelle et moi en shorts lycra noir, en T-shirt coton crème. Nos baskets. Pressés de nous évader pour un après-midi d'aventures, nous dévalons les escaliers. Nous tenant les mains.

Dans le petit sac à dos que je porte, des barres de céréales, des pommes. Je sors le vélo d'Estelle de son Kangoo. << Papa a tout vérifié ! >> précise Estelle quand je fixe la roue avant. Je vérifie le gonflage des pneus des nôtres. C'est parfait. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle dont j'ouvre le cadenas du portillon. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest qui nous poussera au retour. Nous croisons pas mal de monde. Des cyclistes, des filles à rollers, des familles qui flânent un peu.

Trois kilomètres et nous voilà à longer le canal. Il y a plein de pêcheurs. C'est samedi. Il y a nombre de bateaux de plaisances. Les employés VNF ne chôment pas. Ils ouvrent et referment les écluses. Il y en a dix sept jusqu'au port. Arrêt pipi au cabanon. Nous avons déjà parcouru 15 bornes. Nous posons les vélos contre la rambarde métallique de la passerelle. Personne à l'horizon. Au milieu de la piste cyclable, accroupies, leurs culottes aux genoux, mes deux anges font pipi. Je surveille. C'est si drôle de voir les coulées de pisse qui grandissent.

Je suis prêt. Je tiens les mouchoirs en papier. Je torche mes deux anges. J'enfonce un doigt dans Estelle qui s'écrie : << Doigteur de filles ! Salaud ! >>. Alors qu'elle est toute contente. Nous rions de bon cœur. Les filles se redressent pour remonter leurs culottes. Juste à temps car voilà un véhicule des Voies Navigables de France. Un bateau arrive sur le canal. Nous remontons sur nos machines pour reprendre notre route. Il est 15 h30 quand nous arrivons au port de plaisance. Quelle ambiance encore cet après-midi. C'est pour le vide grenier de demain.

Les joueurs de boules. Des familles qui déambulent. Des groupes de cyclistes qui bavardent. Les bateaux arrivant qui font des manœuvres sur l'eau. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie dont les volets sont clos. Personne. Clémentine retire rapidement sa culotte pour la fourrer dans le sac à dos. Je passe ma main entre ses cuisses. J'aime tenir son clitoris géant entre le pouce et l'index. J'adore le spasme qui secoue tout son corps quand je le fais. << Et moi ? >> lance Estelle qui saisit mon poignet pour que je fourre ma main aussi.

Je fouille un peu dans sa culotte lorsqu'une voix nous fait : << Bonjour ! >>. C'est un employé communal. Le même que mardi dernier. Celui qui observait dans le trou d'égout alors que Clémentine était accroupie devant lui. Il la reconnaît probablement car il rajoute : << Comment va depuis la dernière fois ? >>. Nous portons tous les trois nos lunettes de soleil. Ce qui préserve en partie notre anonymat. Mais le bougre a tout de même reconnu cette merveilleuse salope qui lui montrait sa chatte. L'a t-il vu retirer sa culotte à l'instant ? Mystère.

Il est là pour le boulot. << On doit tout préparer pour six heures demain matin ! Les premiers exposants arrivent tôt ! >> lance t-il. Nous le saluons pour le laisser à son travail. Il remonte sur son triporteur électrique. Ce qui explique pourquoi nous ne l'avons pas entendu venir. Nous traversons la route pour aller dans la supérette. Il n'y a pas trop de clients. Nous pouvons bavarder un peu avec la gérante. Son mari aura un stand demain, au vide grenier. Nous choisissons nos crèmes glacées. Il n'y a plus que la marque "Carte d'Or". C'est très bon aussi.

Gourmands que nous sommes, c'est chacun un bac de 900 ml. 450 gr. Deux de nos parfums préférés seulement. Nougat, pistache. << On tente "crème brûlée" ! >> propose Estelle. Nous passons en caisse. Assis sur un des bancs à l'ombre des platanes nous dégustons nos bacs. On se fait goûter. << Pas dégueu la "crème brûlée" ! >> lance Clémentine. Je suis entre mes deux anges. Nous adorons nous embrasser avec de la glace qui fond dans la bouche. Une fois avec Estelle, une fois avec Clémentine. Ce qui ne manque pas d'attirer bien des regards.

On s'en fout ! Depuis le temps. << On est des extraterrestres pour les gens de toute façon ! >> fait Estelle avec justesse. Nous rions de bon cœur quand Clémentine dit : << Tu nous montres ton antenne de Martien ! >>. Impossible se sortir mon Zob, il y a trop de monde. << Tiens, voilà notre homme au triporteur ! >> lance Estelle. L'employé communal s'arrête à une trentaine de mètre. De la benne de son engin, il tire une pelle et un balai. Il nous voit. Il nous adresse un sourire. << Toi mon voyeur, je te suce quand tu veux ! >> chuchote Clémentine.

<< Sans déconner ? Tu pourrais sucer ce type ? >> demande Estelle. << J'aime la bite ! >> répond Clémentine que je sens terriblement excitée. Discrètement je passe ma main sous sa jupette. Elle écarte légèrement les cuisses. Il y a la ficelle du tampon avec laquelle je joue un peu. Le clitoris géant de Clémentine me paraît encore plus gros. Je murmure : << Tu bandes ? >>. Clémentine chuchote : << Oui ! >>. Estelle me fait : << Et moi ? >>. J'explique qu'avec cette manie de porter des shorts plutôt que des jupettes, les explorations sont dures.

J'insiste avec ma main. Jusqu'à ce que l'employé communal s'en rend compte. Il est d'une extrême discrétion. Même s'il voit parfaitement ce que nous faisons, il continu son travail. Il change les sacs en plastique des deux poubelles. Consciencieux et précis. << Attendez moi ! >> fait Clémentine en se levant. Elle se dirige vers le kiosque rond où flottent des lambeaux d'affiches déchirées. On voit même encore les tronches de quelques candidats malheureux aux présidentielles. Là, à l'abri des regards, Clémentine s'accroupit, cuisses largement écartées.

De notre banc nous avons une vue magnifique. Tout comme pour notre homme au triporteur qui mâte. Il doit être bien déstabilisé. Il nous regarde. Puis il regarde Clémentine. Nous le devinons un peu confus. On le serait à moins. Nous devinons ses interrogations. << Mais qu'est-ce que c'est que ce trio de délurés ? >> murmure Estelle. Je chuchote : << C'est probablement son questionnement ! >>. Surtout que Clémentine reste en position. Une sublime jeune fille, qui ne pisse pas mais qui reste en position pipi. De quoi affoler les sens ! Non ?

Pourtant l'employé communal fait son travail avec méticulosité. Il remonte sur son engin électrique. Il fait un signe amical à Clémentine. Il tourne la tête vers nous en levant son pouce. Il démarre en s'en allant tranquillement. Clémentine vient nous rejoindre. << Mais comme t'es salope aujourd'hui ! >> s'écrie Estelle. Je félicite Clémentine pour son show. Elle dit : << Celui-là, il ne faut pas que je le rencontre une troisième fois ! >>. Nous rions aux éclats. Il est 17 h35. La fraîcheur nous rappelle que nous ne sommes encore qu'à la mi mai. Un peu plus.

Nous retournons aux vélos. Clémentine remet sa culotte. C'est parti. Comme prévu, le vent d'Ouest nous pousse sur les 25 km. Nous pédalons avec aisance tout en bavardant. Je propose de revenir au port mardi. S'il pleut, ce sera en voiture. << Pour le mec au triporteur ? >> demande Estelle. Clémentine précise : << Pour sa queue ! >>. C'est dans cette ambiance que nous arrivons à la maison après 19 H. Nous restons vêtus ainsi. Assis à la table de la cuisine nous épluchons les patates, les carottes, les navets, le céleri. L'ail et le gros oignon.

Nous en faisons en grande quantité. Pour le repas de ce soir et de demain soir. La potée de légumes reste l'accompagnement idéal de la plupart des préparations. Clémentine fait une salade de tomates. Estelle remue les légumes dans la vieille cocote en fonte noire. Je fais rissoler trois beaux dos de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit. Une légère fatigue fait son apparition. Je propose aux filles un bon léchage de minou après la vaisselle. Clémentine s'écrie : << Moi je vous regarde. Je me branle. J'ai mes "petits machins ! >>.

Rien n'est plus savoureux pour un esthète doublé d'un fin gourmet que de la chatte de jeune fille ayant fait de la bicyclette. Je m'en régale encore ce soir en léchant, suçant et dégustant le minou d'Estelle. Elle m'attire sur elle. Je la baise comme elle aime, à la hussarde. Avec la délicatesse d'un lutteur ukrainien. Mais c'est dans la bouche de Clémentine que j'éjacule en hurlant comme un dément. Épuisés, nous reprenons nos esprits avant de monter en titubant de fatigue jusqu'à la salle de bain. Estelle n'arrête pas de m'embrasser. Un bon dodo.

Bonne nuit à toutes les coquines qui s'offrent des moments d'une intensité rare. Quel que soit l'endroit. Saisissant toutes les opportunités...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1893 -



La compagnie des parents d'Estelle

Estelle reste toujours accrochée à moi toute la nuit. Comme une naufragée à sa bouée de sauvetage. Hier matin, dimanche, il est 9 h quand elle glisse sa main dans mon slip. Elle saisit ma tumescence d'une poigne ferme. Est-elle encore dans un demi sommeil ? Je ne le crois pas car Estelle ne supporte pas de rester réveillée toute seule. Ses lèvres se posent dans mon cou. Elle se frotte contre ma hanche. Tout cela tire Clémentine de son sommeil. Elle aussi vient se serrer tout contre moi. Se frotter contre ma hanche. Je suis entre mes deux anges. Bonheur.

Distribution de bisous, de câlins, de papouilles. Je glisse mes mains dans les culottes pour dénouer quelques nœuds. Je passe mes doigts comme des peignes dans les touffes fournies. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Dans son pyjama de soie mauve elle se précipite vers la porte. De sa table de nuit Clémentine prend une gélule de son médicament homéopathique contre les règles douloureuses. << L'homéopathie c'est peut-être purement somatique, mais chez moi, ça fonctionne bien. Je n'ai pas eu mal hier ! >> me confie t-elle.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Je laisse Clémentine changer son tampon pour me vêtir de mon bermuda, de mon T-shirt. Clémentine revient pour passer sa robe d'été. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me faire plein de bises. Même traitement à Clémentine dans l'odeur du café, du pain grillé et surtout de la brioche qui trône sur la table. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos douces et tendres folies de hier soir.

<< Comme c'est bon ! >> me fait Estelle en mimant une masturbation masculine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le planning du jour. Nous sommes attendus pour midi chez les parents d'Estelle. Ils fêtent leurs anniversaires. Étant nés tous les deux en mai, ils marquent ces dates sur une seule journée. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent ce sujet récurrent. L'examen de la fin juin. Ce Master II qui semble les accabler. Elles auront les résultats en Écosse, vers mi juillet.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Estelle quitte son pyjama pour une robe d'été. Elles sont belles toutes les deux dans leurs tenues légères, pastelles à motifs floraux. Pressés d'aller dehors nous descendons à toute vitesse. Comme il fait bon ce matin encore. Même si le ciel est voilé, d'un gris clair et laiteux, il fait déjà chaud. Le thermomètre extérieur indique 20°. Il n'est que 10 H. Les filles me tiennent les mains. Nous descendons jusqu'à la rivière. C'est un enchantement. Délicieusement bucolique.

Nous longeons le cours d'eau. Estelle ouvre la marche en se retournant souvent pour me faire une bise, palper ma braguette ouverte. Je me retourne à mon tour pour faire une bise à Clémentine. Voilà le vieux lavoir. Assis sur le muret du bassin vide nous conversons. Les filles ont décidé d'occulter le sujet du Master. C'est de l'Écosse que nous devisons. Nous partirons le jeudi 30 juillet au matin pour arriver à Édimbourg le premier juillet vers 19 h. Un voyage en voiture que nous connaissons fort bien. Ça fait 25 ans que je le pratique presque chaque année.

Cette fois encore nous serons tous les trois. Deux mois de bonheur, de plaisirs et de la joie des redécouvertes. C'est un rituel aussi de faire chaque été un pèlerinage aux mêmes endroits. Ces hauts lieux pittoresques qui parsèment mon pays. Les parents d'Estelle viendront y passer le mois d'aout. Depuis le Brexit le passeport est exigé. Estelle et ses parents ont attendu presque huit mois pour l'obtenir. Il sera valable cinq ans avec une tolérance de six mois. J'ai la double nationalité. Cette mesure ne s'applique pas à ma personne. Un avantage.

Tout en bavardant Estelle joue avec ma queue. Je bande mou dans sa main. Parfois Clémentine s'accroupit entre mes jambes. Estelle lui frotte ma bite sur le visage. Tout cela en évoquant Édimbourg, le Glen Coe ou encore St Andrews et son charme médiéval. Nous reprenons le sens inverse en marchant plus vite. En arrivant au bas du chemin qui monte à notre propriété nous tombons sur monsieur Bertrand. Notre voisin est entrain de nourrir ses amis les canards. Nous nous saluons. À l'expression de son visage je le devine heureux de voir les filles.

Louis ne peut s'empêche de s'écrier : << Comme vous êtes belles toutes les deux. Vive le printemps ! >>. Estelle et Clémentine font en même temps : << Merci monsieur ! >>. Nous ne nous attardons pas, l'heure presse. Mes deux anges restent en robes. En sandalettes. Je reste avec mon bermuda kaki. Sur leurs demandes, je passe une chemise hawaïenne. Nous prenons la pose devant le grand miroir de l'armoire. Ma tenue tient du dilettante anglais en vacances autant que du ridicule d'un touriste californien visitant Honolulu. Nous rions.

Nous dévalons les escaliers. Le temps de mettre la tarte aux noix qui a décongelé dans le grand Tupperware rond et nous voilà partis. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Il est 11 h55 quand je gare la voiture dans la descente du garage. Je remballe ma bite. << Si tu la montres à ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> lance Estelle. Je n'ai pas le temps de répondre. Yvan vient nous accueillir. Nous montons par la cave. Yvan porte exactement la même tenue que moi. C'est encore un coup monté d'Estelle. Elle l'avoue.

Nous suivons le papa d'Estelle dans l'escalier. Michèle nous reçoit avec son grand sourire. Vêtue d'une robe d'été semblable à celles d'Estelle et de Clémentine. C'est fou cette impression de me retrouver en face de la grande sœur d'Estelle. Nous passons directement dans la véranda à l'arrière de la maison. Confortablement installés, nous savourons de délicieux plateaux de fruits de mer. << Ça nous met en condition pour l'Écosse ! >> lance Yvan. Nous bavardons en riant beaucoup. Quand je m'adresse à Michèle, Estelle me donne des coup de pieds. Aïe !

Pourtant le regard par en-dessous que sa maman me lance quelquefois est suggestif. Ça me fait bander. Nous traînons à table. Les baies vitrées sont largement ouvertes. Il y a des séquences d'ensoleillement. C'est absolument magnifique. Nous parlons de nos programmes durant cet été. Nous ferons découvrir Édimbourg aux parents d'Estelle. Ils louent un van pour une semaine. Nous leurs conseillons l'Est de l'Écosse. Le climat y est moins tropical. Et surtout il n'y a pas les midges, ces minuscules mouches typiquement écossaises et très pénibles.

Nous faisons la vaisselle. Il est décidé d'aller tous les cinq au vide grenier sur le port de plaisance. Yvan insiste pour prendre sa voiture. Mon ancienne Mercedes qu'il m'a acheté il y a quatre ans. Il s'apprête d'ailleurs à acheter l'actuelle car j'en change tous les trois ou quatre ans. Ce sera probablement pour septembre. Je guette le moment où je serai seul avec Michèle. Estelle est constamment présente. Pas folle la guêpe. Mais là, alors qu'Estelle est avec son papa qu'elle tient par la taille, avec Clémentine au jardin, je suis avec Michèle dans la véranda.

Michèle fixe ma braguette. Nul doute, dans son regard je devine l'attente. Ça aussi c'est devenu un rituel. Tout en sortant ma bite, je dis : << Il faut qu'on ruse pour s'offrir ces "plans" en Écosse. Qu'en pensez-vous ? >>. Michèle, ravie, me regarde par en-dessous, terriblement vicieuse en répondant : << Oui. Je le raconte à mon mari que ça amuse. Mais évitons d'attirer l'attention d'Estelle. Pour elle c'est intolérable ! >>. Nous rions de bon cœur. J'agite ma bite. << Mmhh ! >> murmure Michèle que je devine morte d'envie. Je bande comme un salaud.

Je me tiens prêt à remballer au moindre bruit. Juste à temps car voilà Estelle. Son regard inquisiteur sur nous elle dit : << Vous venez, on s'en va ! >>. Elle fixe elle aussi ma braguette mais d'un air sévère. Derrière le dos de sa maman elle pointe un index menaçant qu'elle agite comme une maîtresse d'école. Nous prenons place à l'arrière. Je suis entre mes deux anges. Yvan et Michèle à l'avant. Je me fais rarement promener. Yvan roule comme moi. Doucement. Eux aussi adorent prendre leur temps et admirer le paysage. Il y a 28 km jusqu'au port.

Discrètement Estelle me pince la braguette. Parfois jusqu'à la douleur. C'est pour me punir sans doute. Il faut garer la voiture à un bon kilomètre tellement il y a du monde. Cette manifestation organisée par la municipalité du bourg est encore un franc succès. Nous flânons. Les bains de foules ce n'est pas vraiment notre tasse de thé. Il faut louvoyer entre les visiteurs. Ce qui met en rage ce sont ces poussettes qui empêchent la libre circulation. Il y a même des abrutis qui tiennent d'énormes chiens en laisse dans les allées bondées de monde.

<< Les meilleures choses et les bonnes occasions partent toujours dès le matin ! >> dit Yvan. Michèle rajoute : << Ce sont les antiquaires qui se pointent aux aurores pour rafler les trucs les plus intéressants. Nous quittons rapidement la foule pour monter la colline jusqu'au vieux cimetière. Estelle reste au bras de son papa ou le tient par la main. Michèle reste au près de Clémentine et de moi. Il fait chaud, lourd, le temps va tourner à l'orage. Clémentine, déjà dans le secret de mon exhibition de la véranda, chuchote à Michèle : << Super non ? >>.

Nous rions quand Michèle met l'index sur sa bouche, montre Estelle du doigt en murmurant : << Chut ! Elle entend tout et à des yeux derrière la tête ! >>. Il y a du monde là aussi. Il faut dire que la vue est majestueuse. En bas le port de plaisance qui ressemble à une fourmilière. Au loin les collines. On voit jusqu'aux différents bourgs de la campagne environnante. C'est de toute beauté. Au-dessus de l'horizon, le ciel est sombre et menaçant. C'est de l'Ouest que viendra l'orage. Le vent s'est d'ailleurs levé pour souffler par bourrasques.

Pas d'autres occasions de montrer ma queue à Michèle. Par contre, discrètement, Clémentine palpe ma braguette sous le regard intrigué et amusé de la maman d'Estelle. Elle nous sait complices. Elle connait Clémentine depuis ses douze ans, quand elle venait passer les week-end avec Estelle à la maison. Nous redescendons. Nous retournons à la voiture. Le retour est aussi sympa que l'aller. Nous déclinons l'offre de manger ensemble encore ce soir. Nous avons évidemment d'autres préoccupations en tête. Par contre nous invitons Yvan et Michèle.

Ils viendront manger à la maison le dimanche de Pentecôte, 5 juin. Nous reprenons notre auto. Il est 19 h quand nous arrivons à la maison. Estelle qui se doute de quelque chose me sort la queue. Presque violente. Elle me la tord dans tous les sens en disant : << Je suis certaine que tu as fait ton salaud. Je te connais. Dis-moi tout ! >>. Clémentine prépare la salade de carottes. Estelle concocte son omelette aux quatre fromages des dimanches soirs. Je remue la potée de légumes qui réchauffe en avouant mon exhibition dans la véranda vers 13 h30.

<< Tu n'es qu'un salaud ! Tu devrais avoir honte. Est-ce que je montre ma chatte à ton oncle d'Édimbourg, moi ? Vieux pervers va ! >> lance Estelle en revenant me tordre la queue sous mon tablier de cuistot. Clémentine rit aux éclats. Elle s'écrie : << Oncle Alan aimerait probablement la voir ta chatte ! Tu as vu comme notre présence l'émoustille encore à 88 ans ! >>. Nous sommes pliés de rire. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines. Je me lève pour agiter mon sexe.

Nous ne traînons pas. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle, me tirant par la bite, m'entraîne au salon. << Viens là, vieux salaud, que je contrôle l'état de ton zguègue. Elle me fait tomber dans le canapé. Clémentine déjà excitée, se vautre dans le fauteuil, une main entre ses cuisses. Estelle, à genoux entre mes jambes, scrute ma bite qu'elle tient entre le pouce et l'index. Elle hume longuement. << Pouahh ! Monsieur Schlinguo du dimanche soir ! >> dit elle en décalottant légèrement.

Immédiatement l'odeur nous monte aux narines. Clémentine, depuis son fauteuil, à deux mètres, s'écrie : << Je la sens jusque là ! >>. Je suis profondément gêné mais très excité. En faisant une horrible grimace, du bout de la langue, Estelle recueillie les particules de Parmezob. Elle suce un peu. Elle a plein de Parmezob aux coins des lèvres. Un peu sur le nez. Je lui caresse la tête avant de la chopper sournoisement par la nuque. Je lui enfonce la bite au fond de la gorge. Elle tousse, tente de se débattre pour finir par sucer en gémissant de plaisir.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se régalent d'un nem au Parmesan ayant macéré dans son jus tout un dimanche...

Julien - (Maître fromager)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
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Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1894 -



L'agréable compagnie de Julie

Il est presque six heures en ce lundi matin. C'est l'application "océan" qui nous tire du sommeil. Clémentine vient se blottir contre moi. Le cri des mouettes, la sirène de ce gros bateau au loin. Le clapotis de l'eau. L'illusion est toujours aussi parfaite. Nous nous réveillons dans un port de pêche. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. J'y laisse Clémentine qui change de tampon. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves.

Je presse nos oranges, je pèle les kiwis. Le grille pain éjecte ses quatre tranches. En début de semaine il reste toujours de la brioche. Pour lui rendre son moelleux il suffit de la passer au four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en dissertant sur le week-end. C'était vraiment très sympathique. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre dimanche en compagnie des parents d'Estelle. Clémentine me demande de raconter une nouvelle fois l'épisode où je montre ma queue à Michèle. Je décris le plaisir qu'éprouve la maman à "voir".

Il est 6 h25. Nous sortons dans la douce fraîcheur matinale. Ce matin le ciel est voilé. Il y a eu de la pluie cette nuit. Aussi nous montons jusqu'au portail pour courir le long de la route. Sans croiser la moindre voiture tant à l'aller qu'au retour. Un agréable jogging d'une heure. La douche. Je descends le premier pour faire tourner le moteur de la voiture. Il est 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans une de ses jupes carmins. Un T-shirt crème sous sa veste légère en lin beige. Des mocassins. Comme elle est belle et "classe". Quelques bisous.

Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui se referme automatiquement. Un dernier coucou avant de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture m'absorbe rapidement et totalement. Je peins dans une totale sérénité en poussant des cris surréalistes à chaque "réussite". La matinée passe tellement vite. Il est 11 h55. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste de la potée de légumes que je réchauffe. Je lave les feuilles d'une belle et grasse laitue.

Pour maintenant et pour ce soir. Dans la poêle je fait revenir un filet de flétan avec des champignons. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Dans tous ses états, André Bercoff reçoit aujourd'hui un scientifique et un sociologue. J'écoute amusé les différentes versions avancées par les médias aux ordres par les "experts". Sans doute les mêmes "experts" qui sortent d'un placard lorsqu'il faut proposer une explication simplifiée pour décrire une actualité qui pose question. C'est à la fois drôle et inquiétant cette propension aux mensonges.

Pour le repas de ce soir, je concocte une belle Béchamel dans laquelle je rajoute du thon en boîte. Le reste de champignons. Du gruyère de Comté finement râpé. De la ciboulette, du persil, de l'ail et de l'échalote. J'égoutte les coquillettes que je dispose tout autour des bouchées à la reine emplies de la garniture. Je recouvre d'une fine couche de Parmesan. Je mets le grand plat au four. Cuisson lente afin que cela mijote longuement. Four électrique à 180°. Je fais la vaisselle. Dehors, un énorme coup de tonnerre. Suivit d'un éclair d'une formidable intensité.

Je monte me laver les dents. Soudain, le bruit de la pluie. En regardant par la fenêtre j'assiste à un de ces curieux phénomènes météorologiques. Ce n'est pas la pluie qui fait ce bruit. C'est les grêlons qui tombent du ciel sombre et sinistre. Une vision d'apocalypse. Inutile espérer faire ma petite balade. Je descends pour me rendre directement dans l'atelier. Je peins animé des mêmes joies que ce matin. L'après-midi s'écoule aussi vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cour. Elle pose son cartable sur la table pour se précipiter.

Assise à califourchon sur mes cuisses, tout en se frottant légèrement, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle me charge de te dire que tu es le dernier des salauds, un exhibitionniste et qu'elle te "corrige" demain soir ! >> fait Clémentine qui glisse sa main dans ma braguette ouverte. Elle a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur, entourée de ses notes prises aujourd'hui. J'aime l'entendre commenter ce qu'elle fait. Lorsqu'elle se met à chantonner, à s'exclamer : << J'arrive pas à me relire ! >>.

Il est 18 h30. Trois coups timides sont frappés contre la porte qui s'ouvre. Julie toute rayonnante se précipite vers Clémentine. Trois bises. Julie se précipite vers moi. Trois bises. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je laisse Julie s'installer sur ma chaise. Elle adore scruter mon travail. Je retire ma blouse. La bite posée sur le rebord intérieur du petit lavabo, je lave mes mains. Clémentine qui vient de terminer de ranger ses fiches, me rejoint. Elle tient mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Depuis quelques semaines c'est le nouveau rituel.

Je lâche de multiples petits jets parfaitement contrôlés. Le robinet d'eau chaude coule d'un mince filet d'eau pour rincer en même temps. Ça pue la pisse. Julie tourne la tête. Elle se lève pour venir voir. Debout à ma gauche, elle observe. J'adore voir les expressions de son visage dans le petit miroir au-dessus du lavabo. << Tu veux la tenir un peu ? >> demande Clémentine que je tiens par la taille. De mon autre main je saisis celle de Julie. Elle s'empare de ma bite pour en diriger les jets. << J'adore sentir quand ça passe ! >> s'écrie t-elle toute ravie.

Clémentine, penchée en avant, le visage au-dessus du lavabo, regarde avec intérêt. Je passe ma main sous sa jupe que je retrousse. Quelle plaisir que de sentir le doux contact du coton de sa culotte. Julie est en jeans. Je passe ma main sur ses fesses en lui demandant : << Ça vous plaît ? >>. Julie ne répond que par un gloussement amusé. Elle a compris le fonctionnement d'une queue. Elle secoue les dernières gouttes en prenant les deux mains. Elle passe son doigt sous le filet d'eau chaude avant de le passer sur la peau fripée de mon prépuce.

C'est bien davantage pour jouer encore un peu que par soucis d'hygiène. Elle redresse ma queue pour la présenter à Clémentine qui se penche pour la gober. Julie découvre à l'instant que je l'observe dans le petit miroir. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Elle baisse les yeux mais sans lâcher mon sexe. Clémentine se redresse. Julie me lâche. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand les filles découvrent ce que j'ai préparé pour le dîner, elles sont enchantées. << J'adore ! >> lance Julie. << Super ! >> dit Clémentine.

Il suffit de réchauffer. Julie met les assiettes et les couverts. J'aide Clémentine à faire l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Nous mangeons de bon appétit en nous racontant nos week-end. Julie était en compagnie de ses parents, de ses papys, de ses mamies. En soirée, le vendredi et le samedi, elle a fait son job de serveuse dans le restaurant de sa tante. Elle nous raconte le vicelard qu'elle a rejoint dans les toilettes du sous sol. << Je n'ai jamais vue une queue aussi longue, il l'avait dehors sous la table. Un vrai vicieux ! >> lance t-elle.

Comme d'habitude elle surprend le type en faisant mine d'entrer dans les chiottes en tenant un balai et un seau. << Il la secouait comme un tuyau d'arrosage. Impressionnant ! >> rajoute encore Julie soucieuse de partager le moindre détail. Je lui raconte mon exhibition. Lorsque je montre ma bite à la maman d'Estelle, en cachette. << Il ne faudra jamais faire ça à la mienne, hein, promis ! >> s'écrie Julie. Je promets. Je me lève en agitant mon sexe dans sa direction en disant : << Je la montre à sa fille qui visiblement adore mes exhibes ! >>.

Julie rit en cachant son visage dans ses mains. << Tu viens mercredi jusqu'à samedi ? >> demande Clémentine. << Oui, je me suis organisée. Je ne bosse pas vendredi soir ! >> répond Julie. Nous nous réjouissons de sa présence. Nous serons quatre. << Prête pour le film ? >> demande encore Clémentine. << Oh oui, j'ai concocté un scénario. Je vous le révèle mercredi soir ! >> répond Julie. Je me branle sous la table. Julie fixe le mouvement de mon bras comme hypnotisée. Je dis : << Ça m'excite cette idée de faire un troisième film ! >>.

Nous traînons à table. Nous entendons le tonnerre gronder. Un second orage s'apprête à éclater. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon. Julie est installée dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine assise à ma gauche dans le canapé, joue avec mon sexe. Je bande mou. J'écoute les filles parler de leurs études. Julie prépare son DEUG. Cet examen qui sanctionnera sa deuxième année en Lettres Modernes. Elle aussi appréhende cet échéance avec une certaine crainte. Julie aussi se destine à être professeur en université.

Elle ne cesse de fixer la main de Clémentine qui me tord la bite dans tous les sens. Un peu comme le fait Estelle. Il y a une goutte de liquide séminal. Clémentine stoppe son mouvement pour me décalotter légèrement. << Du jus de couilles ! >> dit elle à Julie qui se lève pour venir voir de près. C'est la première fois qu'elle a ce réflexe. À chaque fois c'est moi qui me lève pour venir la lui montrer. Julie s'accroupit en posant ses mains sur mes genoux. La tête penchée pour scruter la perle opalescente qui reste accrochée à mon méat. Un grand silence.

J'adore les expressions de Julie quand elle mâte ainsi. Je peux discerner chaque relief de son visage. C'est hyper excitant. Clémentine lui tend mon sexe. Julie, hésitante, lui fait un sourire. Elle n'ose pas me fixer dans les yeux. Je récupère la goutte avec l'extrémité de mon index. Je la présente à Julie. Elle avance la tête pour prendre mon doigt dans sa bouche. Je sens le frisson qui parcourt tout le corps de Clémentine. Rien ne l'excite davantage que mes initiatives vicieuses avec d'autres filles. Je tourne mon doigt dans la bouche de Julie.

C'est passionnant de la voir sucer mon index en fixant Clémentine dans les yeux. Je bande évidement comme le dernier des salauds. Cette fois c'est une coulée de foutre qui suinte avant de glisser lourdement le long du prépuce. Julie devra nous laisser pour 22 h. Mon jus de couilles est épais, visqueux et gluant. Il ne s'écoule que sur deux ou trois centimètres. << Wouah ! >> ne peut s'empêcher de s'écrier Julie. Passionnée par l'instant. Clémentine tourne ma bite pour bien lui présenter la coulure laiteuse. Je sens l'ébullition dans mes roubignoles.

C'est Julie qui recueille la coulée avec son index. Ses doigts fins et gracieux. Elle le porte à sa bouche. Je peux sentir tout le frisson qui la secoue. Elle est obligée de garder son équilibre en s'accrochant à ma jambe de sa main libre. Elle se redresse comme pour fuir une profonde tentation. Elle suce son doigt en nous regardant, comme prise en flagrant délit dans le pot de confiture. Je ne peux m'empêcher de dire : << Vous êtes adorable Julie ! Passionnante ! >>. Clémentine rajoute : << Vivement mercredi ! >>. Nous raccompagnons Julie à son auto.

Il ne pleut plus mais ce second orage à fait rage. Il y a quelques branchages épars sur le sol. Assise au volant de sa Clio rouge, Julie observe le mouvement masturbatoire qu'imprime Clémentine sur mon sexe. << Tout ça va me manquer jusqu'à mercredi ! >> dit elle en démarrant. << On va au bout de tout jusqu'à samedi, tu veux ? >> lance Clémentine. Julie s'écrie : << Oh oui ! Tout au fond ! >>. Nous la regardons partir. Arrivée en haut du chemin Julie sort de sa voiture pour souffler des bisous dans notre direction. Clémentine agite ma queue. Coucou.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent quand leur mec fait le vicieux devant une autre fille. Qui vont le sucer sous les draps...

Julien



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1895 -



Tous les trois, Estelle, Clémentine et moi

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Réveillée par l'application "océan", c'est dans mes bras que Clémentine commente le cris des mouettes. Le bruit des moteurs de ce chalutier qui rentre au port. C'est tellement réel. Elle saisit mon érection naturelle pour me faire des bisous. Le mardi Clémentine termine à midi. Une douce euphorie la gagne déjà. Nous nous précipitons aux toilettes. << Plus rien ! >> s'écrie t-elle à propos de ses "petits machins" de fille. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers en riant.

Clémentine fait le café. En l'écoutant raconter ses rêves je presse les oranges, je pèle les kiwis. Je passe les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Clémentine d'un geste magique attrape les tranches qu'éjecte le grille pain. J'adore ses facéties du matin. Surtout qu'elle imite l'accent méridional de Juliette en copiant ses mimiques. Nous prenons notre petit déjeuner en riant de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre soirée avec Julie. Nous nous réjouissons de la savoir bientôt avec nous quatre jours.

Il est 6 h25. Nous sortons. La fraîcheur humide est vive et désagréable. Il faut enfiler les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement. C'est à nouveau sur le bord de l'étroite route communale que nous pratiquons notre jogging. Une heure d'un running des plus vivifiants. La douche. Je redescends le premier pour préparer l'auto. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint vêtue d'un jeans, de son blouson de cuir et de ses bottines. Le ciel est nuageux. Un dernier bisou. Elle palpe ma braguette en disant : << À tout de suite ! >>. Un dernier coucou.

Je m'empresse de rentrer pour faire la vaisselle, le lit, avant d'aller dans l'atelier. Installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Toujours encore habité par l'euphorie laissée par Clémentine je peins dans une sorte d'exaltation. C'est magique. La matinée passe encore si vite. Il est 11 h55. Dehors le ciel s'est obscurcit au point qu'il faut allumer la lampe à halogène. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste deux bouchées à la reine et des coquillettes de hier soir. Je n'ai qu'à réchauffer en préparant une belle salade de carottes. Rapide.

Il est midi vingt quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, elle me couvre le visage de baisers. Elle m'entraîne aux toilettes pour le rituel pisseux du retour. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Une large plage horaire est prévue tous les jours afin de permettre aux étudiants de préparer leur Master II avec les professeurs. L'ambiance est très particulière. Les étudiants se sentent soutenus, encouragés et rassurés. J'écoute avec attention. C'est passionnant.

Nous ne traînons pas. Clémentine a du travail. Cette météo est idéale. Aucune frustration de ne pouvoir filer à bicyclettes ou à pieds. La vaisselle. Je prépare une pâte à pain. Pour ce soir nous prévoyons des fougasses. Mais des fougasses "maisons" car nous adorons apporter une touche personnelle à nos préparations. Dans un bol je concocte un agrégat d'avocat pressé, d'ail, d'échalote, d'olives noires à la grecque et dénoyautées, de ciboulette. Persil. Je place au bas du réfrigérateur ce mélange que j'incorporerai dans la pâte juste avant la cuisson.

Clémentine se blottit contre moi pour dire : << Il ne me faut pas seulement un maître de thèse à l'université mais un "Maître" qui sait me faire oublier mes tracas d'étudiante ! >>. Elle ne me laisse pas le temps de répondre. Elle enfonce sa langue dans ma bouche en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Même si je n'ai absolument pas l'âme d'un "Maître", je me débrouille toujours très bien pour incarner ce personnage. Quand Clémentine m'embrasse comme ça, je me retrouve avec une érection démentielle. Un vrai démonte pneu de camion.

Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. << Tu sais que ça fait longtemps que tu ne m'as plus promené à la laisse ! >> s'exclame Clémentine en me sortant la queue. Je l'entraîne près d'une des deux fenêtres de la grande pièce. Il pleut. Le ciel est devenu d'un gris uniforme. Je dis : << C'est sous le parapluie qu'il faudrait te promener ! >>. Nous pesons le pour et le contre. Finalement il faut rester raisonnables. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Il faut également allumer les halogènes.

Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je reste debout derrière elle. Elle m'explique ce qu'il y a sur l'écran. J'écoute religieusement en lissant ses cheveux qu'elle a défait. << Mmhh, j'adore quand tu fais ça, ça me détend ! >> dit elle. Je soulève ses cheveux pour faire des bises dans sa nuque. Je prend le lobe de son oreille entre mes lèvres pour le suçoter. << Mmhh ! >> murmure t-elle. Cette capacité toute féminine de rester concentrée même durant les plus suaves séquences d'affections. Je la laisse à son travail.

Confortablement installé devant mon chevalet je peins dans une sorte de sérénité "mystique". J'aime entendre Clémentine chantonner, commenter ce qu'elle fait. Je pense à sa demande. Clémentine est une authentique "Soumise". C'est viscéral. Au plus profond d'elle même. Aussi je me dois de faire le nécessaire. Je ne le fais pas assez souvent. Elle n'est pas vraiment frustrée mais m'en parle souvent lorsque nous faisons l'amour. J'ai une soudaine impulsion. Je me lève. J'ai la bite à l'air. Je me place devant la table. Clémentine lève les yeux.

J'agite ma queue dans sa direction. Elle fixe "l'hélicoptère". Je m'avance, je contourne la table. Je me place à sa droite pour la saisir par ses cheveux. Je lui frotte la bite sur la gueule. Elle lâche son stylo. Clémentine gobe mon sexe encore mou que j'enfonce totalement dans sa bouche. Sous l'effet de la surprise elle pousse un profond gémissement. Je fais bouger sa tête dans un va et vient masturbatoire alors que je commence à bander sérieusement. Je la lâche pour la laisser, pantoise, hébétée. Elle me regarde retourner m'installer devant mon chevalet.

Nous reprenons nos activités. Elle s'est levée en silence. Sur la pointe des pieds elle est venue se placer derrière moi. Je ne m'en rends compte qu'à l'instant où elle murmure à mon oreille : << Je vous aime mon doux "Maître" ! >>. Je me retourne. Elle a une main dans son jeans déboutonné. Je me lève pour sa saisir par sa tignasse. Je la force à se mettre à genoux. Je lui passe la queue sur le visage. Je la fais tomber à quatre pâtes. Sans lâcher ses cheveux, je l'entraîne ainsi pour faire le tour de la grande pièce. Clémentine avance à mon rythme.

À chaque coin des meubles elle lève la jambe comme si elle pissait. Je la fais mettre à genoux. Je lui enfonce la bite dans la bouche. À nouveau j'agite sa tête dans un mouvement masturbatoire que j'accélère. Je retire ma queue. Un filament de bave et de foutre relie sa bouche à mon sexe. Je la force à se redresser. C'est en la tenant fermement par la nuque que je la ramène à sa place. << Je vous aime mon bon "Maître ! >> dit elle en se rasseyant. Je l'abandonne pour retourner m'installer devant le chevalet. Clémentine chantonne, heureuse.

Ses séquences d'émulations communes nous permettent d'avancer dans nos travaux. Même si cet après-midi elles sont agrémentées de nos "jeux" de rôles. << C'est divin nous deux ! >> lance Clémentine avant de rajouter : << Je n'arrive même pas à relire mes notes tellement je les prends rapidement en cours ! >>. Ce privilège féminin de pouvoir se consacrer à deux choses à la fois. Je peins dans un état d'excitation très inspirant. Je récidive plusieurs fois jusqu'à 18 h15. Clémentine a le visage barbouillé de foutre. Des cheveux qui y collent.

Ce qui ne l'empêche nullement de conduire ses préparations et ses révisions à leurs termes. << Ça me picote ! C'est votre foutre qui sèche mon doux "Maître" ! >> lance t-elle. Du bruit. Estelle entre dans l'atelier. Elle se précipite vers moi. J'anticipe en posant ma palette, mes pinceaux. Assises sur mes genoux, ses bras autour de mon cou , elle nous raconte son après-midi consacré aux mêmes labeurs que Clémentine. Elle découvre ma bite à l'air en écartant le pan de ma blouse. << Espèce de salaud, elle est gluante ! >> s'écrie t-elle.

C'est à cet instant qu'elle découvre le visage de Clémentine. Elles étaient en cours ensemble ce matin. Elle se lève pour la rejoindre. << Mais tu as la gueule comme la bite à Julien ! Vous avez fait quoi ? >> s'exclame t-elle. << Julien m'offre de petites pauses récréatives. Et je t'assure que c'est foutrement bon ! >> répond Clémentine. Je nettoie la palette, les pinceaux. J'entends les filles comparer leurs préparations, leurs révisions, finaliser des choses encore en suspend. La bite sur le bord intérieur du lavabo, je me lave les mains.

<< Attend toi ! >> lance Estelle qui se précipite pour me rejoindre. Clémentine range ses affaires. Estelle tient ma bite pour en diriger les jets. J'adore voir ses expressions dans le petit miroir. Lorsque son regard croise le mien, elle me tire la langue. Clémentine vient nous rejoindre. Elle porte sur son visage les stigmates de ce que je lui ai fait endurer cet après-midi. Des cheveux collés sur sa joue gauche, sur le côté droit de son front. Les légères cernes d'une fille qui a passé de bons moments. Elle s'est touchée souvent tout en travaillant.

Elle me fait un clin d'œil dans le miroir avant de s'accroupir à ma gauche. Estelle se place derrière moi pour secouer les dernières gouttes. Elle offre ma bite encore dégoulinante à Clémentine qui se met à sucer comme si sa vie en dépendait. Estelle se serre fort contre mon dos. Elle observe avec l'attention d'une entomologiste la pipe juteuse de Clémentine. Le reliquat de pisse avec les montées de foutres. Ce mélange qu'elle savoure avec extase, fruit de mes excitations de l'après-midi. << Tu me fais pareil ce soir sel te pli ? >> murmure Estelle.

Il est 18 h40. Il commence à faire faim. J'aide Clémentine à se redresser. Elle ouvre grand la bouche pour m'en montrer le contenu. Je m'accroupis à mon tour en même temps qu'Estelle qui ne lâche pas mon Zob. Je masse délicatement les genoux de ma "Soumise" qui me caresse la tête. Je me redresse alors qu'Estelle tombe à genoux pour me sucer encore un peu. Je dis : << Des gourmandes ce soir ! >>. Je force Estelle à se relever. Je les entraîne toutes les deux par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Mmhh ! >> fait Estelle.

Clémentine s'occupe de la salade de concombre. Estelle travaille encore un peu la pâte à pain qui a bien gonflé. J'y incorpore la préparation. On dispose la pâte en deux galettes sur les plaques. On les place dans le four déjà chaud. Estelle tripote ma queue en passant sa main sous mon tablier. Clémentine me fixe en faisant une bosse à l'intérieur de sa joue avec sa langue. Je glisse ma main entre les cuisses d'Estelle qui met les assiettes et les couverts. << Demain, pas de baise avec parrain, j'aurai mes "petits machins" ! >> lance Estelle avec un air dépité.

<< Tu le suces ! >> fait Clémentine qui vient me palper la bosse. << Jean-Marc déteste la pipe. À chaque fois que je commence il me force à cesser. Lui, c'est la baise ! >> dit Estelle. Nous rions de bon cœur. La sonnerie du four. Estelle enfile les maniques pour sortir les fougasses fumantes et dorées. Nous les remplaçons immédiatement par deux autres galettes. Il y en aura encore pour mon repas de demain midi. Nous mangeons de bon appétit. C'est absolument délicieux. Le gout de l'avocat, subtil, qui se mêle à celui de l'ail, des olives, de l'échalote.

Les filles reviennent sur leurs études. J'écoute avec attention car c'est réellement très intéressant. Nous ne traînons pas. Nous sommes tous les trois pressés de retourner à nos turpitudes. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. << Notre bon "Maître" aura t-il quelques égards pour nous ce soir ? >> demande Estelle en se mettant à genoux sur un des épais coussins qu'elle jette au sol devant le bureau. Trop heureuse de l'initiative d'Estelle, Clémentine fait la même chose. Toutes les deux, bien droites et très fières.

Les mains sur la tête, elles m'observent, les yeux pleins de reconnaissance. J'agite mon sexe dans leur direction. Je reste distant. Je veux profiter de ce merveilleux spectacle en me masturbant. J'ai la queue qui dégouline. Estelle ouvre la bouche. C'est vers elle que je me dirige. J'enfonce mon sexe. Estelle pousse une sorte de grognement avant de se mettre à pomper passionnément. Quand je retire mon sexe pour l'offrir à Clémentine, un filet de bave relie mon Zob aux lèvres d'Estelle. Je passe de l'une à l'autre en laissant des coulées de foutre gluant.

Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il nous reste environs une heure. Ce soir je vais me faire sucer par mes deux anges. J'éjacule une première fois dans la bouche d'Estelle qui tousse, déglutit avec difficulté dans de profonds râle. Je lui enfonce immédiatement la queue pour qu'elle continue. Les yeux larmoyants je la contraint en disant : << Tiens, bouffe, salope ! >>. J'éjacule une seconde fois dans la bouche de Clémentine. Elle tousse, manque de s'étouffer sous la contrainte que je lui impose. Nous devons reprendre nos esprits. Mes couilles vides.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se sont retrouvées de nombreuses fois avec une queue dans la bouche durant cet après-midi...

"Maître" Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1896 -



Julie et Estelle viennent nous rejoindre en soirée

Il est presque six heures hier matin, mercredi. L'application "océan" nous réveille de ses illusions. La sirène de ce gros bateau qui résonne étrangement dans le lointain. Le cris des oiseaux de mer. Des marins qui se hèlent. Il y a même le clapotis de l'eau. Clémentine se serre contre moi. Quelques papouilles, quelques bisous. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine Clémentine fait le café en racontant ses rêves. Je presse les oranges, je pèle les kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée pipe de hier. << Ça faisait longtemps que tu n'avais plus ce comportement que j'aime tant ! >> lance Clémentine. Nos jeux du "Maître" et de ses "Soumises". Même si Estelle ne l'est pas vraiment, elle a pris goût à ces séances d'un genre très particulier. Nous mangeons de bon appétit en faisant le menu de ce soir. Il y aura Julie et Estelle. Nous serons quatre jusqu'à samedi matin. Je propose des pizzas. << Génial ! >> s'écrie Clémentine. Il est 6 h25. Nous enfilons nos K-ways pour sortir.

Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Nous allons jusqu'à la rivière que nous longeons pour notre running quotidien d'une heure. Le sol est à nouveau bien sec. Retour à 7 h25. La douche. Je redescends le premier pour sortir la voiture du garage. Clémentine me rejoint vêtue de son jeans, son blouson de cuir et ses bottines. La fraîcheur de ces deux derniers jours contraste avec la douceur des précédents. Le ciel est bleu, des nuages d'altitude, un soleil généreux. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Dernier coucou.

Je rentre pour faire la vaisselle, le lit avant d'aller dans l'atelier. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture m'accapare complètement de ses suaves plaisirs. Je peins en pensant à Julie. Cette délicieuse jeune fille de 20 ans qui fait partie de notre environnement depuis plus de quatre ans. La matinée passe extraordinairement vite. Il est 11 h55 quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste presque une fougasse entière. Il suffit de la réchauffer. Un filet de flétan à la poêle. Je lave les feuilles d'une belle laitue.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit aujourd'hui un épidémiologiste et un scientifique. Il y est question de ce nouveau virus appelé "La variole du singe". Le virus Monkeypox. Ce n'est pas une nouvelle danse à la mode. Non. C'est la nouvelle stratégie anxiogène qui doit nous préparer à de nouvelles restrictions pour l'été ou l'automne. Il faudra donc se méfier de l'herpès du hamster, de la diarrhée du poisson rouge ou encore du psoriasis de la souri domestique. Un virus en appelle un autre. Chimère.

Je prépare une pâte à pain. En grande quantité. Je la laisse reposer dans un saladier sous un linge. Dans le wok, sans graisse, je concocte la garniture. De belles tomates fraîches revenues avec de l'ail, de l'oignon, de la ciboulette, du persil. Après avoir coupé le feu je couvre d'un couvercle. Notre repas de ce soir est prêt. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de prendre la température je dévale les escaliers pour sortir. Il fait chaud. Pas autant que la semaine dernière mais c'est très agréable. Je redescends jusqu'à la rivière. C'est magnifique.

Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes pensées que ce matin. Je ne vois pas passer le temps. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Vacances jusqu'à lundi ! >> s'écrie t-elle. Le pont du jeudi de l'ascension commence ce soir. Elle a néanmoins encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses notes du jour, elle chantonne. J'adore peindre en l'écoutant. C'est beau.

Il est 18 h30 Estelle entre dans l'atelier en s'écriant : << Surprise ! >>. La surprise ce n'est pas seulement elle mais Julie qui l'accompagne. Estelle la tient par la main pour l'entraîner dans une farandole tout autour de nous. C'est un enchantement paradisiaque soudain. Estelle rejoint Clémentine pour comparer leurs révisions. Julie vient me rejoindre. Je lui cède ma chaise. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous sommes tous les quatre tellement heureux d'êtres ensemble. Il y a cette joie fébrile de profiter de chaque instant. D'en saisir l'essence.

Clémentine range ses affaires. << On est arrivées en même temps devant le portail avec Julie ! >> fait Estelle qui vient se blottir contre moi. Elle rajoute : << Je suis encore sous l'effet de ce qui s'est passé hier soir ! >> me dit elle. Julie fait la bise à Clémentine. << On sort un peu ? >> propose Clémentine. Il fait tellement beau. Julie reste au près d'Estelle dont elle tient la main. Tout comme Clémentine qui nous entraîne au jardin. Le soleil est superbe dans un ciel dont les nuages blancs d'altitude décorent le bleu d'azur. Il fait très agréable.

Nous faisons quelques pas. Les filles, installées dans la balancelle, parlent de leurs études. Je remue l'eau du bassin avec une des branches arrachées durant la tempête. Il commence à faire faim. Nous rentrons. La fraîcheur du soir s'annonce déjà. Il est 19 h. J'allume le four à 300°. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. Julie met les assiettes et les couverts. J'écoute leurs conversations. La préparation du DEUG de Lettres Modernes pour Julie qui panique quelque peu.

Estelle étale la pâte sur les deux grandes plaques. Je verse la garniture. Estelle recouvre d'une copieuse couche de gruyère de Comté qu'elle vient de râper. Première fournée. Il y en aura deux autres. << Tu es toujours partante pour le film demain ? >> demande Estelle. Julie répond : << Oh oui ! Et comment. Même si je suis morte de peur et de honte ! >>. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine précise : << Le bon moment de plaisir d'une sexualité déviante se doit d'être accompagné d'une légère honte ! >>. Julie ouvre de grands yeux.

<< Tu nous en racontes le scénario ? >> lance Estelle. Julie baisse soudain la tête. Jouant avec ses doigts, elle dit d'une voix à peine perceptible : << J'ai honte ! >>. Clémentine la prend par les épaules pour la rassurer : << Si tu as honte c'est que c'est un superbe scénario ! >>. Nous sommes suspendus aux lèvres de Julie. Nous respectons son silence sans insister. Sans la brusquer. Estelle mime une masturbation masculine en s'écriant : << J'ai adoré être la "Soumise" du "Maître hier soir ! >>. Julie lève la tête pour nous interroger.

<< C'est quoi ! >> demande t-elle. << Tu sais, nos jeux très spéciaux ! >> répond Estelle. Clémentine mime une fellation. Julie, comme consternée regarde Estelle et Clémentine se livrer à des mimes évocateurs et suggestifs. La sonnerie du four. C'est Estelle qui enfile les maniques pour sortir les pizzas, fumantes, odorantes, dorées. Morts de faim nous nous installons à table. << Mmhh ! C'est absolument délicieux ! >> s'écrie Estelle. Julie, assise en face de moi, n'ose pas soutenir mes regards. C'est Clémentine qui revient sur le scénario.

Sans lever les yeux de son assiette, Julie confie ce fameux scénario qu'elle a concocté depuis plus d'une semaine. Une jeune fille qui fait du stop. Un mec qui s'arrête pour la prendre. Du gentleman de rigueur, doucement le type vire satyre. Une fellation s'en suit. Dans un chemin creux il la baise. C'est un scénario très classique. Mais les "acteurs" de ce film ne le sont pas puisque c'est de nous dont il est question. << Tu veux baiser avec Julien ? >> demande Estelle. Julie est toute rouge, le visage couvert de sueur. Elle répond timidement : << Oui ! >>.

Clémentine saisit mon poignet. Je reste pantois. Je lui demande : << Qu'en penses-tu ? Tu serais d'accord ? >>. Clémentine s'adresse à Julie : << Je sais déjà comment je vais filmer tout ça ! Nous allons beaucoup nous amuser ! >>. Estelle s'écrie : << Et moi ? J'ai un petit rôle au moins ? >>. Julie lui adresse un sourire avant de murmurer : << Celui que tu préfères, la voyeuse cachée dans les fourrés ! >>. Nous restons silencieux. Nous regardons cette jeune fille de 20 ans, les yeux baissés, timide, cette jeune fille en apparence si innocente...

Clémentine dit : << Mais pas de sodomie, Julie, d'accord ? >>. Estelle rajoute : << Pour nous ça n'existe tout simplement pas ! >>. Julie me jette un regard furtif en chuchotant : << Dommage ! >>. Je rajoute : << On déteste l'idée même de l'enculade ! >>. Julie se met à rire nerveusement. Je me lève pour passer derrière elle. Mes mains sur ses épaules, mon visage penché à côté du sien je précise : << Mais tout le reste sera absolument sublime ! >>. Clémentine répond enfin à ma question de tout à l'heure : << Autorisation accordée ! Baise ! >>.

Nous éclatons tous les quatre d'un rire sincère. Julie a retrouvé ses couleurs. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine envisagent différentes options du film. L'endroit où nous pourrons réaliser les prises de vues. Julie, assise en face de nous dit : << J'ai même prévu l'endroit. Près de chez moi, il y a un étroit tronçon de route abandonnée. Une route qui ne mène plus nulle part. Il y a les ruines d'une maison. J'y étais déjà. On peut faire des "plans" là dedans ! >>. Nous regardons Julie. Nous allons de surprise en surprise.

<< Mais comme tu es salope ! >> s'écrie Estelle. << Bienvenue au "Club" ! >> lance Clémentine. Je bande comme le dernier des salauds en écoutant cette conversation surréaliste. J'imagine déjà les situations. << Il va falloir faire ton pervers ! >> me fait Estelle. << Il te faut redoubler d'initiatives vicieuses ! >> rajoute Clémentine qui palpe ma bosse. Julie se lève pour débarrasser. C'est surtout pour se donner de la contenance car elle est à nouveau hyper gênée. << Ce n'est qu'avec vous que je me révèle ! >> précise t-elle en remplissant l'évier.

Nous faisons la vaisselle. Nous passons au salon. Je suis entre Estelle qui joue avec ma queue et Clémentine une main sur ma cuisse. Julie est installée dans le fauteuil qui nous fait face. Elle évite mes regards pour ne s'adresser qu'à Clémentine ou à Estelle. Nous mettons au point les derniers détails. Les vêtements que nous porterons. Julie aimerait beaucoup que je sois en costume cravate. Elle sera en jeans, baskets avec un petit sac à dos. Estelle sera en jupe, à mâter avec une paire de jumelles. Je bande comme un fou en écoutant tout cela.

Estelle et Clémentine racontent notre séance de hier soir. Nos jeux du "Maître" et de ses "Soumises". Elles en vantent les plaisirs indicibles à Julie qui écoute, qui pose tout un tas de questions. J'ai mes mains entre les cuisses de mes deux anges. Estelle, ayant ses "petits machins", ne participera pas au scénario autrement qu'en voyeuse. La soirée se passe ainsi. Comme pour nous préserver, nous réserver pour demain, nous nous limitons volontairement. Il est 22 h. Épuisés nous montons. Nous préparons le canapé lit pour Julie. Lavage des dents, les pipis.

Julie veut assister à nos rituels pisseux. Elle est blême en découvrant une fois encore nos "dégustations". << Le "Club" des dépravés ! >> lance Estelle. << Dont tu fais partie ! >> rajoute Clémentine. Nous laissons Estelle toute seule afin qu'elle change son tampon. Nous voilà au lit. Je suis entre Estelle qui agite mon sexe et Clémentine qui tient mes couilles. Julie, là-bas, dans son canapé lit nous observe. Elle plonge la première. Estelle se blottit contre moi pour s'endormir à son tour. Nous nous câlinons encore un peu avec Clémentine. Douceurs.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se réjouissent pour tourner une nouvelle page de stupre, de luxure de leurs vies d'étudiantes...

Julien (acteur amateur)



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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1897 -



Une bien agréable journée

Hier matin, jeudi, il est presque neuf heures quand Estelle se serre encore davantage contre moi. Elle saisit mon érection naturelle avant même que je ne sois réellement conscient. Clémentine se réveille également pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges. Là-bas, dans son canapé lit, Julie s'étire. << Bonjour ! >> lui faisons-nous en cœur. Estelle retire la couette pour montrer ce qu'elle tient en main.<< Bonjour ! >> fait Julie en ouvrant de grands yeux. << Trophée de chasse ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus.

Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! > s'écrie t-elle en courant vers la porte. Un bisou sur le front de Julie avant de disparaître. << Comme je dors bien chez vous ! >> dit encore Julie en se redressant pour s'assoir dans son lit. C'est à son tour d'aller aux toilettes dans son pyjama bleu. Clémentine tient mon sexe à pleine poigne : << Tu seras le dernier des salauds cet après-midi, hein ! >> murmure t-elle. Je promets de faire de mon mieux. << Non, de laisser ton naturel s'exprimer ! >> rajoute t-elle. C'est en riant que nous nous précipitons aux WC.

Morts de faim, dans nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle et Julie dans la cuisine. Toutes les deux en pyjamas qui font les clowns. L'odeur du café et celle du pain grillé baignent la pièce. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos conversations de hier soir. Une manière détournée d'évoquer ce film que nous avons en projet cet après-midi. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. << Je prépare le repas ! >> lance Julie. << Wouah ! On va être à l'hôtel ! >> dit Estelle.

<< Allez tranquillement faire votre running, je m'occupe de tout ! >> fait encore Julie en se levant pour débarrasser. << Tu n'es pas notre boniche ! >> s'écrie Clémentine. Julie insiste. Nous sortons sous un ciel très mitigé. La fraîcheur est limite. 16° alors qu'il est déjà 9 H30. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. À petites foulées jusqu'à la rivière que nous longeons à l'aller et au retour. Une heure d'exercice plus tard nous revenons sous un ciel qui s'est totalement couvert. Sans être menaçant. Nous montons prendre notre douche.

Estelle occupe la salle de bain la première. Nous découvrons Julie couchée sur son lit entrain de lire. La chambre est faite et rangée. << C'était bien ? >> nous demande notre lectrice. Clémentine répond : << Merci pour la vaisselle, le lit, la chambre ! >>. Julie fixe la bosse que fait mon sexe sous le lycra de mon legging. << Sympa quand Julien est en tenue sport, non ? >> lance Clémentine qui me la palpe. Estelle vient nous rejoindre en jeans et T-shirt. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Nous redescendons vêtus comme Estelle et Julie.

Elles sont en cuisine. Julie a fait simple. Mais ça va être rudement bon. Un gratin de pommes de terre est déjà au four. Il mijote à feu doux. Je lui dépose une bise sur le front. << Tu as toutes les qualités ! >> dit Estelle à Julie qui soulève le couvercle du Wok. << Mmhh ! Génial ! >> s'écrie Estelle. Nous découvrons un coulis d'aubergine et de courgette. Dans la poêle quatre filets de lieu noir avec des champignons. Clémentine s'exclame : << Julie, tu es un cordon bleu ! >>. Nous quittons la cuisine pour passer au salon. Clémentine allume l'ordinateur.

Julie a ramené sa tablette qu'elle consulte en wifi. Assise sur mes genoux, Estelle et Clémentine surfent sur le site universitaire. Pas d'informations. Par contre il y a l'emploi du temps de la semaine prochaine. << Put-hein, on va encore gratter tous les jours ! >> fait Estelle. << Oui, la crampe de l'écrivain nous guette ! >> rajoute Clémentine. Il y a deux courriels. Celui de mon oncle d'Édimbourg. Celui de Juliette qui nous souhaite un bon week-end prolongé. Nous répondons. Il commence à faire faim. Julie est concentrée sur sa tablette.

Elle aussi surfe sur le site de son université. Nous quittons le salon pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer. Je mets les assiettes, les couverts. Estelle et Julie réchauffent les contenus de la poêle et du wok. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de carottes. Je sors le gratin de pommes de terre du four. C'est encore hyper chaud. Doré à point. Nous mangeons de bon appétit en félicitant Julie pour ses délicieuses préparations. << Il y en a encore pour ce soir ! >> lance Estelle. << Superbe ! >> rajoute Clémentine. C'est tellement bon.

Nous ne traînons pas. Fébriles à l'idée de ce que nous avons en projet, nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Julie est toujours amusée de nos facéties de salle de bain. Estelle se change. Assis tous les trois sur le lit, nous assistons à ses essayages. Elle se décide pour une jupe kilt à gros carreaux rouges qu'elle tire de son sac de sport. Un simple T-shirt carmin. Des souliers de ville, noirs, à légers talons. << Tu es magnifique ! >> lance Julie. Je dis : << Tu es sublime ! >>. Estelle tourne sur place devant le grand miroir.

Sur la demande de Julie, je me vêts d'un costume noir, strict, d'une chemise blanche au col déboutonné. Mes mocassins noirs. << Wouah ! Tu es élégant ! >> s'écrie Estelle. << Comme vous êtes beau ! >> rajoute Julie. Nous ne tardons pas. Nous descendons. Clémentine récupère le petit sac contenant la caméra. Il y a deux batteries de secours. Un rapide contrôle. Celle qui est déjà dans l'appareil est à son maximum de charge. Nous sortons. Il y a une certaine tension électrique qui nous unis. Lorsque je frôle Julie je la sens trembler un peu.

Nous sortons pour traverser le jardin. Je sors la voiture du garage. Je roule doucement en me faisant palper la braguette par Clémentine. Estelle et Julie assises à l'arrière. Estelle me caresse le cou, les joues. Dans le rétroviseur je surprends les expressions du visage de Julie. Je crois bien qu'elle n'en mène pas large. Morte de trouille. De honte peut-être. Nous passons devant le haras. Une dizaine de kilomètres et je prends à gauche. C'est Julie qui me guide. Nous allons vers la banlieue de la ville distante de cinq bornes. Nous ne connaissons pas par là.

<< À gauche. Tout droit on arrive au lotissement. Là-bas, regardez, la maison de mes parents ! >> dit Julie. Je tourne à gauche. C'est une route étroite, défoncée par endroits. Des nids de poules qui rendent la conduite inconfortable. << C'est là, sur ce tronçon ! >> fait Julie. Je m'arrête. Pour les besoins de son scénario, Julie descends de la voiture. Clémentine également. Avec la caméra. Estelle reste à l'arrière. Je redémarre pour faire une centaine de mètres. Estelle me confie : << Put-hein, comme je suis excitée ! >>. Je réponds : << Et moi ! >>.

Je fais demi tour. Là, sur la gauche de la route, Julie, pouce en l'air, qui fait du "stop". Clémentine à une vingtaine de mètres qui filme mon arrivée. Je m'arrête, je descends la vitre. Julie n'ose pas affronter mon regard. Elle murmure : << J'ai honte ! >>. Estelle répond : << Tu vas voir comme ça va être bon ! >>. Julie contourne la voiture pour s'installer côté passager. Je démarre. Je récupère Clémentine qui s'assoit à l'arrière. << Jusque là, tout va bien ! >> dit elle. Nous rions. Il faut jouer le jeu. Clémentine rallume la caméra pour filmer.

Je m'adresse à Julie : << Je vous dépose en ville mademoiselle ? >>. Julie répond : << Oui, je vous montrerai l'endroit. Estelle et Clémentine restent silencieuses à l'arrière. Je sors mon sexe. Avec l'excitation de ce jeu d'acteur, je bande comme le dernier des salauds. Clémentine filme. Julie découvre ma bite à l'air. Elle ne joue pas vraiment car dans la réalité elle aurait exactement le même comportement. Elle demande : << Vous faites ça souvent ? Avec toutes les auto stoppeuses ? >>. Je réponds : << Avec les belles petites salopes ! >>.

<< Et j'en suis une ? >> demande Julie filmée en gros plan par Clémentine. Je regarde les expressions d'Estelle dans le rétroviseur. Je réponds : << Je ne le sais pas encore mais je compte sur vous pour me l'apprendre ! >>. Aussitôt Julie se penche sur le côté gauche. Je me fais tailler une pipe. C'est immédiatement délicieux. Dans la bouche de Julie je me sens fondre. C'est absolument divin. Elle ne joue pas. Elle suce pour de vrai. Clémentine tente de saisir la scène du mieux qu'elle peut. Estelle, debout, se tenant à mon dossier tente de voir.

Je gare l'auto sur le bord de la route. J'en sors. Je la contourne pour saisir Julie par ses cheveux. Je la tire littéralement de l'auto. Pour les besoins du scénario. Car cette façon de me comporter n'est pas dans ma nature. Estelle et Clémentine sortent à leurs tours. Estelle se dirige vers les fourrés. Clémentine filme la scène. Je force Julie à se mettre à genoux dans l'herbe. Je frotte ma bite sur son visage juvénile. Clémentine film cette pipe en tournant autour de nous. Là-bas, je vois Estelle dans son rôle de voyeuse. Elle joue à la perfection. Sublime.

Estelle n'a pas besoin de forcer son personnage. Elle l'incarne à la perfection puisque c'est sa préférence. Voir, regarder, mâter. C'est une pipe que je fais durer. Je profite évidemment de la situation. J'en rajoute dans l'attitude du pervers. Je sors plusieurs fois ma queue dégoulinante de la bouche de Julie. Je lui tapote le visage avec. Je le barbouille. Je la tiens fermement sous le menton ou par la nuque. Je me livre à un authentique "face fucking" dans les règles de l'Art. Là-bas, cambrée sur ses genoux fléchis, la voyeuse qui se masturbe.

Clémentine filme. Tantôt accroupie, tantôt debout ou penchée en avant. Des gros plans sur cette extraordinaire fellation. La seconde que me prodigue Julie. J'en ai des frissons. Je suis couvert de sueur dans mon costume. Je n'en peux plus. Je retire rapidement ma bite pour éjaculer au visage de ma pipeuse passionnée. Je la tiens par ses cheveux, au-dessus de la tête pour la forcer à regarder la caméra. Elle se laisse faire. Julie est extraordinairement lascive. De se laisser faire est certainement partie intégrante du fonctionnement de sa libido.

Je dirige un premier jet de pisse. Mon sperme est épais, gluant et visqueux. Abondant. Il macule toute la face de Julie. Plusieurs jets de pisse ne suffisent pas à rincer son visage. Elle pousse de petits cris où se mêlent ravissements, surprises et dégoûts. Je lui enfonce le sexe dans la bouche entre chaque giclée. C'est écœurant de la voir tousser, les yeux larmoyants. Une expression de dégoût qui alterne avec les expressions d'extases. Je la force à se relever. Je déboutonne son jeans. Je le descends avec sa culotte. Je la plaque contre la Mercedes.

Je m'introduis à cru dans son sexe. Je suis surpris. Ça rentre tellement facilement. Julie est trempée. Je la baise sous l'objectif de la caméra. L'angle de prise de vue est limité. Estelle, une main sous sa jupe, vient nous rejoindre. Je reste immobile. C'est la première fois que Julie soutient mon regard. Elle me fixe. Je n'ai jamais vu dans ses yeux cette expression de reconnaissance. Je me mets à bouger lentement sous les gémissements émerveillés de mon "actrice". Elle a le visage trempé de foutre, de pisse. Il y en a sur le haut de son T-shirt rouge vif.

Je baise comme un malade. Je la pénètre jusqu'au fond. Je dois m'y reprendre à plusieurs fois pour prendre conscience que je tringle cette adorable jeune fille de 20 ans qui vient prendre des cours de peinture. Qui va tenir ma galerie d'Art tout l'été. Qui est si timide et réservés à chacune de ses visites. Julie se met à pousser de petits cris d'animal blessé. Rapidement ils deviennent de plus en plus sonores. Je comprends que l'instant qu'elle vit là est d'une intensité sans pareil. Estelle se masturbe en scrutant les expressions de Julie qui jouit.

Son orgasme est aussi authentique que sa façon d'interpréter son propre rôle. Je me retire. Là, sous l'œil de la caméra, je la fais tomber à genoux pour lui remettre la bite dans la bouche. Je l'enfonce jusqu'aux couilles en appuyant sur sa tête. Julie tente bien de se soustraire à mon étreinte. Elle essaie de me pousser, de se dégager en gémissant. Je la maintiens pour éjaculer une seconde fois. Une véritable explosion. Il en jaillit de ses narines. Avec sans doute de la morve. Je me retire enfin. Un soulagement pour Julie qui tousse en râlant.

Penchée en avant, la bouche dégoulinante de foutre, les yeux en larmes, Julie reprend son souffle. Clémentine me fait un clin d'œil. Estelle s'emmène au bout d'un orgasme qui la fait tomber à genoux en criant. Julie lève les yeux. Pleine de reconnaissance elle m'adresse le plus délicieux des sourires. Maculée de foutre, ses cheveux qui collent dans la pisse. Je n'en peux plus. Je suis épuisé. Je ne me souviens pas d'avoir déjà baisé une fille avec autant de passion. Folie. J'en ai mal à la queue. Les couilles presque douloureuses. Nous sommes hébétés.

Nous reprenons tous les trois nos esprits pendant que Clémentine vérifie les images sur l'écran de la caméra. En défilement rapide avant le bip sonore. La batterie est vide. Du sac de sport dans le coffre, Julie tire une serviette, des vêtements de change. La voilà redevenue cette jeune fille timide et réservée. Elle va dans les fourrés pour se changer. Dans la voiture, c'est Clémentine qui me suce. Je roule doucement. << Put-Hein, c'était trop génial ! >> lance Estelle assise à l'arrière à côté de Julie mutique. Les yeux fermés. Peut-être qu'elle dort déjà.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont à se remettre d'émotions surréalistes et éprouvantes. Après un bon repas revigorant...

Julien (acteur amateur)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1898 -



Une bien agréable journée avec Julie

Hier matin, vendredi, il est aux environs de neuf heures. Estelle qui est restée contre moi toute la nuit saisit mon érection naturelle. Prenant le lobe de mon oreille entre ses lèvres. Je sens sa langue. C'est une douce sensation. Clémentine se réveille pour venir se lover tout contre moi. Je suis entre mes deux anges. Je les tiens par les épaules pour une distribution de bisous. Là-bas, dans son canapé lit, Julie qui s'étire. Comme elle le fait à chaque fois que Julie dort à la maison, Estelle fait tomber la couette pour montrer ce qu'elle tient fièrement en main.

Julie se tourne sur le côté pour regarder. Silencieuse. Hier soir, après le repas, elle n'a pas tardé. Elle nous a laissé pour monter se coucher très tôt. Il devait être 20 h30. Trop secouée par ce qui s'était passé dans l'après-midi. Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. Faisant un crochet pour aller déposer une bise sur le front de Julie. Clémentine secoue mon sexe en disant : << Tu es remises de tes émotions ? >>. Julie qui se lève à son tour, répond : << Pas vraiment, il me faudra plusieurs jours pour m'en remettre ! >>. Elle file. WC.

Clémentine murmure à mon oreille : << Tu étais vraiment génial hier. Tu m'as excité comme rarement ! >>. Je chuchote : << Avec toi, j'ai beaucoup de pratique et d'entraînement ! >>. Nous rions en nous précipitant aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de running, nous dévalons les escaliers. Quelle bonne odeur de café et de pain grillé à la cuisine. Julie et Estelle, encore en pyjama, pressent les oranges, pèlent les kiwis, riant. Je fais une bise sur la joue de Julie qui est soudain toute timide. Je crois bien qu'un frisson secoue son corps.

Estelle se blottit contre moi en disant : << Moi aussi je veux être prise en stop !. Dès que je n'aurai plus mes "petits machins ! >>. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, elle mitraille mon visage de bisous. Même traitement à Clémentine. Julie nous observe en mettant les bols. << À toi ! >> lui fait Clémentine. Toute réservée Estelle se met contre moi, ne sachant que faire de ses bras. Je la soulève. C'est Estelle qui la met en position en soulevant ses jambes. Je dis : << Mais vous ne pesez rien Julie ! >>. C'est moi qui lui fais des bises.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. Quand Julie est montée se coucher, j'ai offert à mes deux anges une séance cunnilingus. Juste le gentil clitoris à Estelle puisque il y avait la petite ficelle. Julie écoute en ouvrant de grands yeux. Elle n'ose pas affronter mes regards. Aussi elle ne s'adresse qu'à Clémentine ou à Estelle. C'est adorable. Ce qui s'est passé entre nous hier après-midi devrait tout de même l'aider à être plus communicative dans le domaine de l'affect. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la baise.

<< Allez faire votre jogging, je m'occupe de tout ! >> lance Julie en se levant pour débarrasser. Avant de quitter la cuisine nous lui déposons chacun une bise sur le front. La météo est sensiblement la même que hier. Quelques mouvements d'échauffement avant de descendre jusqu'à la rivière. C'est notre parcourt préféré. Vingt cinq minutes de course dans un sens. Dix minutes d'exercices au sol que nous pratiquons sur des bancs en bois. Vingt cinq minutes de course pour le retour. Estelle prend sa douche la première. Julie en cuisine.

<< Défense d'entrer ? >> demande Clémentine. << Oui, je prépare une surprise. Ce sera très simple ! >> répond Julie. Nous montons rejoindre Estelle qui vient de se changer. Jeans, T-shirt. C'est à notre tour d'investir la salle de bain. Clémentine est d'une douceur. << Je t'aime Julien. Tu sais hier, en filmant vos ébats, j'étais folle amoureuse de toi ! >> dit elle. Je la prends dans mes bras. Je fais : << Je n'ai toujours qu'une crainte quand je "pratique" des trucs avec une autre. C'est de te faire mal ! >>. Clémentine m'embrasse passionnément.

<< Julie ou Estelle, ça m'excite. Ne t'inquiète pas ! >> rajoute t-elle en empoignant l'énorme bosse qui déforme mon slip. Nous nous habillons, jeans, T-shirt avant de dévaler l'escalier. Nous entendons rire à la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon. Assise sur mes genoux, elle allume l'ordinateur. Un seul message. L'hôtel que nous avons contacté en Angleterre pour la nuit du 30 juin au premier juillet nous confirme une seconde fois la réservation. Ce sera le même établissement que l'an dernier. Clémentine surfe sur le site de l'université.

Estelle vient nous rejoindre en tenant Julie par la main. << Julie nous réserve une belle surprise, je suis la seule dans le secret ! >> dit elle. Elle vient s'assoir sur mon autre cuisse. Elle regarde le programme universitaire de la semaine prochaine. Je surprends le regard amoureux de Julie sur nous trois. Elle baisse immédiatement les yeux. Il commence à faire faim. << C'est prêt ! Tout ! >> fait Julie. Clémentine et Estelle se lèvent. Elles entraînent Julie dans un tourbillon. Clémentine me tend la main. Je rejoins la farandole. Chanson. Paroles folles.

C'est ainsi que nous nous rendons à la cuisine. Quelle belle surprise en effet. Ce sont des spaghettis à la Carbonara. Une garniture à la crème contenant des crevettes, des ronds de calmars. Une salade de concombre avec des rondelles d'avocat. Nouvelles bises sur le front à Julie pour la remercier, la féliciter. Nous mangeons de bon appétit en faisant l'inventaire des différentes options de l'après-midi. Le ciel est couvert de nuages gris blancs. Aucune menace pluvieuse pourtant. La température extérieure n'excède pas 20°. Chacun donne une idée.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine commentent la décision. C'est en voiture que nous irons jusqu'aux collines. Nous désirons faire découvrir le sentier du lac à Julie. Julie qui est sur sa chaise en face de nous. Toute contente d'être une fois encore le centre d'intérêt. Cela ne flatte pas son égo, c'est un sentiment d'une toute autre nature. Le bonheur de faire partie d'une "confrérie" partageant les mêmes penchants. Ces déviances sexuelles qui nous unissent dans une sorte de passion pour les plaisirs fous.

Julie se lève pour débarrasser. Elle plonge. Nous essuyons la vaisselle. << Julien a pour principe la randonnée "bite à l'air". Y vois-tu une objection, un ressenti personnel ? >> demande Estelle à Julie qui répond : << Non, absolument pas. Je m'adapte très vite ! >>. Nous rions aux éclats. Nous montons nous laver les dents. Julie s'amuse de nos habituelles pitreries. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je vais porter, des pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau. Nous voilà parés. Nous sortons au grand air.

Je roule doucement. Clémentine déboutonne ma braguette. Estelle et Julie, assises à l'arrière, reviennent sur le film réalisé hier après-midi. << On s'organise une soirée cinéma ? >> lance Estelle. Clémentine qui joue avec ma queue propose un samedi soir. << Je peux me libérer ce samedi ! >> s'écrie Julie. << Tu restes avec nous jusqu'à dimanche matin ? >> s'exclame Estelle. << Oui, si vous me supportez encore une journée de plus. Mais il faut que j'aille passer l'après-midi avec mes parents, mes papys, mes mamies. Je reviens le soir ! >> fait Julie.

<< C'est une affaire qui marche ! >> lance Estelle toute contente. Il y a 25 km jusqu'au parking du restaurant. Il y a plein de voitures. Il est 14 h. Nous prenons le sentier qui monte à gauche du restaurant. Nous n'avons pas fait trois cent mètres qu'Estelle glisse sa main dans ma braguette. Elle en extrait le locataire en disant : << Julie, je te présente monsieur "bite à l'air" ! >>. Julie s'arrête. Elle fait : << Enchantée ! >>. Nous éclatons de rire. << Regarde ! >> dit encore Estelle en se plaçant derrière moi pour faire tournoyer mon Zob. "L'hélicoptère".

Nous manquons de nous faire surprendre. Voilà deux couples de randonneurs. J'ai juste le temps de me retourner, de faire semblant de lire un des panneaux fixé au tronc d'un arbre. Ouf ! Nous rions aux éclats. Il y a une heure trente de marche jusqu'au château. Nous découvrons une forteresse totalement rénovée. Le conseil général qui a financé l'opération explique la nouvelle vocation du lieu sur deux grands panneaux. Ce sera un endroit multi culturel. Il y a plein de monde. Aussi, je me garde d'exhiber ma queue. Je bande mou et c'est génial.

Nous visitons la cour intérieure. Il y a un musée, un salon de thé, une boutique souvenir. Une cinquantaine de sièges en bois, des souches vernies, tournés vers l'escalier du donjon. C'est la scène sur laquelle auront lieu les concerts, les pièces de théâtre et autres manifestations. << C'est drôlement bien fait ! >> lance Clémentine. Nous avons connu ce château presque en ruines il y a encore quatre ans. << Chapeau pour le boulot ! >> s'écrie Estelle qui palpe ma braguette discrètement. Sous l'œil inquiet mais très intéressé de Julie. Il y a des glaces.

Le choix n'est pas vaste. Ce sont des cônes que nous savourons en montant sur le chemin de ronde. Tout a été pensé avec rigueur et logique. La sécurité est assurée par de grosses chaînes métalliques. C'est agréable de se promener à vingt mètres au-dessus du sol, les cheveux au vent. Un vent assez frais. Les filles prennent quantité de photos. Il y a plein de gens. La rénovation connaît un franc succès. Et ce n'est que le tout début. Nous nous promettons de venir assister à des spectacles. << Bite à l'air ? >> lance Estelle. Nous rions.

<< Bite à l'air ! >> fait Julie. Nous nous arrêtons pour la regarder. Complètement surpris par sa réplique. Je dépose une bise sur son front. Elle m'adresse le plus délicieux des sourires quand je rajoute : << Bienvenue au "Club" mademoiselle ! >>. Estelle et Clémentine la prennent contre elles. Julie ne sent plus la joie qu'elle laisse éclater dans des effusions de tendresse. Nous repartons à contre cœur car l'endroit est charmant. << Un château moderne ! >> fait Estelle lorsque nous traversons le pont-levis. Nous prenons le sentier du lac.

Je peux à nouveau me balader avec la bite à l'air. Estelle me la prend souvent à pleine main. C'est bon, c'est chaud. Julie assiste une fois encore à nos rituels pisseux. En contrebas du sentier. Par contre, elle va faire son pipi éloignée, ayant besoin de préserver une intimité bien légitime. Combien de fois n'avons nous pas manqué de nous faire surprendre durant toute la descente. Surtout moi. Nous avons différentes ruses. La plus simple. Estelle ou Clémentine se serrent dans mes bras. Les passants ne peuvent pas s'en douter, ne peuvent pas voir.

Nous parcourons le sentier qui contourne le lac. Le ciel reste obstinément couvert de nuages gris blancs. Il est 18 h30 quand nous arrivons à la voiture. Je propose : << Et si on se faisait un restaurant ? Nous n'avons encore jamais tenté celui-là ! >>. Les filles me regardent avec de grands yeux. << Mais en voilà une bonne idée ! >> lance Estelle. << Génial ! >> s'écrie Clémentine. Nous entrons dans l'établissement. Nous avons de la chance. Il reste une table. Nous voilà confortablement installés. C'est une grande salle à l'architecture très campagnarde.

Ce sont des carpes frites qui font les délices de notre repas du soir. C'est absolument surprenant. Le poisson de rivière n'a pas la même tessiture que le poisson de mer. Nous mangeons de bon appétit. Je devine que Julie tente de surmonter sa timidité. Elle me fixe parfois durant quelques secondes lorsque je m'adresse à elle en particulier. Elle assiste à notre rituel des toilettes. Lorsque j'y vais une première fois avec Estelle. Sous quelques regards interrogatifs de certains clients. Lorsque j'y vais une seconde fois avec Clémentine. C'est amusant.

<< Je vous recommande le cabinet du fond dans les toilettes hommes ! >> murmure Clémentine quand nous revenons. << Tu veux essayer avec Julien ? >> demande Estelle. Julie, comme complètement perdue reste sans voix. Bien évidemment elle ne peut pas donner libre cours à son envie folle de m'accompagner. Elle regarde partout autour d'elle. Décontenancée. Nous rions. Il est 21 h. Nous quittons cet autre endroit charmant. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Assises à l'arrière Estelle et Julie. Julie qui vient de s'endormir.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont encore s'amuser un peu sous la couette. Sous le doux ronflement de l'invitée...

Julien (Monsieur "Bite à l'air)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1899 -



Un samedi qui s'inscrit presque dans la routine (presque)

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Estelle, tout en saisissant mon érection matinale se serre encore plus fort contre moi. Depuis quelques temps elle gobe le lobe de mon oreille pour le suçoter. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. C'est probablement Julie qui nous a réveillé car son lit est vide. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Elle se précipite vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine se couche sur moi, se frottant sur mon sexe qui ramollit. << Je t'aime ! >> murmure t-elle.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, dans nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Julie, déjà en jeans et T-shirt a tout préparé. Nous la remercions en déposant une bise sur son front. << Le samedi matin je suis là pour le ménage ! >> précise t-elle. Depuis l'interphone, dans le hall d'entrée, j'ouvre le portail. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de hier après-midi. Sur notre agréable soirée. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Dehors le ciel est bleu.

Il y a bien quelques nuage gris blancs. Par contre la température extérieure a encore fraichi. Il est 8 h30. << Je m'occupe de tout ! >> lance Julie qui débarrasse la table. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur vive. Le thermomètre n'indique que 16°. C'est le long de la rivière que nous pratiquons notre running quotidien. Estelle impulse un rythme rapide et soutenu. Ça réchauffe. Il est 9 h30 quand nous revenons. On peut entendre le bruit de l'aspirateur quelque part à l'étage. C'est Julie. Estelle prend sa douche la première.

Nous avons le réflexe de vouloir faire la chambre mais Julie a déjà tout fait. Une machine tourne certainement déjà à la cave avec les draps. Clémentine se blottit contre moi pour me dire : << Comme je suis heureuse. Tu sais que je suis beaucoup plus sereine pour mon exame ! >>. Je caresse son visage pour répondre : << Tu as tort de t'inquiéter. C'est encore une épreuve réussie qui t'attend. Une pure formalité ! >>. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Vêtus de nos jeans, de nos T-shirt, nous redescendons pour sortir. Il fait un peu meilleur.

Estelle est déjà dehors, là-bas, occupée à sortir la bicyclette de son Kangoo. Nous la rejoignons. Je fixe la roue avant. Voilà la camionnette. Danièle au volant qui descend lentement le chemin pour venir se garer derrière l'auto à Julie. Du hayon arrière elle tire deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes, l'autre les fromages, les yaourts, le beurre, les œufs, les petits pots de crème fraîche et surtout ces fromages que nous aimons tant. Roquefort, Morbier, Saint-Nectaire, Gruyère de Comté, Parmesan et même ce sympathique Saint Agur.

Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Danièle ne s'attarde pas. D'autres livraisons l'attendent. << Tu lui as déjà montré ta bite ? >> me fait Estelle lorsque la camionnette remonte vers le portail. C'est Clémentine qui répond : << Non, pas encore, mais nous cherchons un "plan" pour le faire ! >>. Nous éclatons de rires. Voilà madame Marthe, la boulangère, au volant de son tube Citroën rénové. << Louis la Brocante ! >> lance Estelle. C'est comme ça que ses parents l'appellent. Elle se gare derrière la Clio rouge de Julie.

Madame Marthe a toujours d'amusantes anecdotes concernant le bourg voisin. En voyant Estelle elle s'écrie : << J'ai livré vos parents il y a une heure ! >>. Nous récupérons les deux grosses miches de pain, les huit bouchées à la reine, la brioche au pudding. << Cadeau ! >> fait la dame en y rajoutant des deux habituels gros croissants aux amandes. Deux pâtes feuilletées. Paiement par carte. Même commande pour la semaine prochaine. Notre boulangère ne s'attarde pas non plus. << Et à elle, tu la lui as montré ? >> dit Estelle avant de pouffer de rire.

Nous contournons la maison par derrière pour descendre à la cave. Estelle assiste à un de nos rituels du samedi matin. Tout en nous aidant à disposer les fruits et les légumes sur les étagères dans le cellier, elle lance : << J'ai envie de te sortir la bite. Les caves ça m'inspire ! >>. Du congélateur où je mets une miche, les deux pâtes feuilletées et les bouchées à la reine, je tire un paquet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits poids. << On fait pareil le samedi midi, que du congelé ! >> lance Estelle en palpant ma braguette.

Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie vient de passer la serpillère dans la cuisine. << Allez-y, il suffit que je repasse un coup ! >> précise t-elle alors que nous déposons chacun une bise sur son front. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. << Avant que vous ne partiez pour l'Écosse, il me faudra le nettoyer ! >> rajoute encore Julie. Clémentine s'écrie : << Ah, non, ça c'est de mon ressort. Tous les mois ! >>. Nous laissons Julie à son ménage pour aller au salon. Assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur.

Un nouveau message de l'Hôtel Anglais où nous avons réservé une chambre à l'aller et début septembre pour le retour. Une confirmation avec un reçu à télécharger. Clémentine en tire immédiatement la copie sur l'imprimante. << C'est rassurant quand l'organisation est performante ! >> précise t-elle en lisant à voix haute. << Put-hein, deux fois 140 euros ! Ils ne s'emmerdent pas les english ! >> lance Estelle. Je précise : << On ne va tout de même pas dormir dans un taudis ! C'est un trois étoiles s'il te plait ! >>. Un très bon souvenir.

Dans la petite enveloppe jaune j'ai pour habitude de glisser un billet de 50 €. Clémentine y joint un petit mot gentil qu'Estelle signe d'une bite avec des couilles maladroitement dessinées. J'y rajoute une fleur avec mes initiales. Les filles surfent sur le site de l'université. Le programme des cours de la semaine prochaine est détaillé. << Qu'est-ce qu'on va encore gratter ! >> lance Estelle. Elles font quelques grivoiseries sur un des professeurs. << Un jour, il avait une de ses chaussures dénouée. Sa braguette mal fermée ! >> lance Estelle.

<< C'est con mais ça nous faisait marrer ! >> rajoute Clémentine. << En parlant de braguette mal fermée ! >> fait encore Estelle en déboutonnant la mienne. << J'ai envie de faire ma salope ! >> dit elle en fouillant dans mon slip pour en extraire un sexe tout mou. Elle joue un peu avec tout en lisant à voix haute le message de la direction. Julie vient nous rejoindre. Toute souriante elle précise : << Voilà une maison propre. Je vais rentrer pour rejoindre mes parents, mes papys, mes mamies. Je reviens ce soir pour 18 h30 ou 19 h ! >>.

Estelle et Clémentine se lèvent pour la prendre par les épaules, la taille. << Tu vas nous manquer ! >> lance Estelle. << On s'est tellement habitués à toi ! >> s'écrie Clémentine. Je me lève en la remerciant moi aussi. Je lui tends la petite enveloppe jaune. << Merci. Vous aussi vous allez me manquer jusqu'à ce soir ! >> dit elle en regardant ma bite toute molle qui pend de la braguette. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Estelle me tient la queue. Julie, assise au volant, tire la petite boîte en plastique transparent qu'elle agite malicieusement.

<< À ce soir, pour le film ! >> lance t-elle en démarrant. Estelle agite mon sexe dans sa direction. Je la tiens par ses épaules. Clémentine me tient par la taille. Je suis entre mes deux anges. Arrivée en haut du chemin, comme souvent, Julie sort de son auto pour nous envoyer des bisous qu'elle souffle dans ses mains. Un dernier coucou. Nous rentrons animés par une faim de loups. Clémentine prépare une belle laitue. Estelle concocte le bouillon pour les moules. Dans le wok je verse le contenu des sachets de petits pois, de haricots verts.

<< Demain, pour la fête des mères, je téléphone à la maison ! >< dit Estelle. Nous avons déjà fêté cette journée il y a deux dimanches car les parents d'Estelle sont invités dans la famille. Ils viendront manger dimanche prochain. Le 5 juin. Estelle verse les moules dans le bouillons. Encore congelées. Il ne faut pas plus de dix minutes de cuissons pour qu'elles s'ouvrent toutes. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises. Je glisse mes mains, par derrière, entre les cuisses de Clémentine puis d'Estelle. J'ai la bite à l'air sous mon tablier de cuistot.

L'une ou l'autre de mes anges ne manquent pas de palper la "bosse". Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le "plan" vélo de cet après-midi. Il y a un léger vent de Nord Est qui rafraîchit. << On se prend la direction du Bourg pour changer ? >> propose Estelle. << Excellente suggestion. Au retour ce maudit vent nous poussera ! >> lance Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur leurs études. L'échéance du Master II. Les stratégies à appliquer.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons. Pas de jupette cet après-midi pour Clémentine. Tous les trois en shorts noirs, lycra, en sweat jaune lycra également. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, des barres de céréales, nos K-ways, nos leggings. Il faut anticiper sur la fraîcheur du retour en fin d'après-midi. Nous sortons nos bicyclettes du garage. Contrôle de la pression des pneus. 5,5 bars pour les deux.

C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois dont j'ouvre le cadenas du haut portillon. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous la prenons sur la droite, dans le sens contraire. Il faut pédaler contre un vent désagréable. Nous croisons nombre de cyclistes, de filles en rollers. Encore une famille de Simpson qui se balade avec un chien non tenu en laisse. << Faites gaffe, les crétins sont de sorties ! >> lance Estelle prête à donner un coup de pied si l'animal pouvait menacer de la faire tomber. À de tels cons il vaut mieux ne rien dire.

Le bourg est à trois kilomètres. Nous aimons le traverser en poussant nos vélos. Il y a de l'animation cet après-midi. Probablement pour la fête des mères demain. Il se prépare un vide grenier. Des bénévoles installent déjà le chapiteau pour la buvette. Différentes associations installent leurs stands. Nous quittons pour prendre l'étroite route communale qui mène à la vieille chapelle désacralisée. Les arbres nous protègent du vent. Ça monte légèrement mais on pédale aisément. Nous passons devant la chapelle. Il se prépare là un truc aussi.

Plein de monde, des voitures garées partout. Il y aura là une animation en soirée. Ce sont souvent des concerts de musique classique. C'est l'amicale des donneurs de sang qui organise ce genre de manifestations. La vie de village. Nous montons lentement. Grand pignon, petit plateau. La route est en lacets. Quelques bornes et nous arrivons au sommet des collines. La vue est splendide avec un fond d'air légèrement humide. Mais là-haut le vent souffle à nouveau. << Pipi ! >> lance Estelle que nous suivons en prenant un sentier qui descend.

Il n'y a que des sportifs qui passent ici en vélo. De là personne ne peut nous voir. Estelle et Clémentine, leurs shorts et les culottes descendus font leurs pissous. Je tiens les mouchoirs en papier pour les torcher. Je m'accroupis derrière elles. Je passe mes doigts entre les raies culières bien écartées. C'est là que j'enfonce un index dans chaque trou du cul. << Enculeur de filles ! >> lance Estelle qui s'y attend à chaque fois. D'enfoncer un doigt dans le cul d'une pisseuse est étonnant. Le jet devient soudain beaucoup plus puissant. Impressionnant.

Je les retire pour caresser les clitos. Le géant de Clémentine que je saisis entre le pouce et l'index. Le petit bouton d'Estelle que je titille du bout du médius. << Mais comme t'es salaud encore aujourd'hui ! >> s'exclame t-elle. << Comme j'aime ! >> s'écrie Clémentine qui tourne la tête pour me faire un bisou. Je veux me redresser. Mon équilibre instable permet à Estelle de me faire chuter. Me voilà sur le dos. Immédiatement elle pose son croupion sur mon visage. C'est absolument divin. Même si un insecte me démange sous la cuisse droite.

Estelle se frotte un peu. Je lèche et je suce. C'est épatant. C'est au tour de Clémentine que je lèche à genoux alors que cambrée sur ses genoux fléchis, jambes largement écartées, elle m'offre sa chatte. Estelle accroupit derrière moi me branle dans le short. Je bande comme un dément. << Tu me baises ! >> s'écrie Estelle d'une voix autoritaire. Clémentine tire les K-ways du petit sac à dos. Ils feront offices de couverture. Estelle arrache littéralement son short et sa culotte pour se coucher sur le dos. Elle m'attire sur elle. Je la pénètre avec douceur.

J'ai mon short et mon slip à mi mollets. Clémentine me les retire complètement avant d'empoigner mes couilles par derrière. Je baise Estelle comme elle aime. C'est à dire à la hussarde. J'alterne la "machine à coudre" et les moments plus calmes. Clémentine me chuchote des douceurs, me parle des projets cochons qu'elle nous prépare pour l'Écosse. Estelle se masturbe tout en étant pénétrée jusqu'aux couilles qui battent sur son cul. << Tu as aimé baiser avec Julie avant hier ? >> me demande Estelle en haletant de plus en plus fort. Je la baise.

Je réponds : << Oui, c'était drôlement sympa. Moins étroite que toi. Moins profonde aussi ! >>. À ces mots Estelle se cambre. Tout son corps raidit, elle pousse un cri. La coquine s'offre là un orgasme "campagnard" du plus bel aloi. Elle me repousse délicatement pour se tourner sur le côté, mains entre ses cuisses comme si elle était en proie à une douleur vive. Je découvre la tache sur le K-ways. Une véritable marre dans laquelle trempaient ses fesses. Clémentine m'attrape par les hanches pour me faire tomber sur le dos. Me sucer.

Je me fais tailler une pipe tout en la doigtant. Estelle qui reprend ses esprits pose sa tête sur ma poitrine en caressant mon visage. Lors d'une de ses pauses qui permettent de reposer sa mâchoire, j'attire Clémentine pour la faire cesser sa fellation passionnée. Je suis entre mes deux anges. Nous savourons cet instant de calme, de sérénité. Je joue avec les poils de chattes que je dénoue. Je débande doucement. Je veux garder ma vitalité et mon éjaculation pour notre "soirée cinéma". À cette évocation nous sommes soudain tous les trois fébriles.

<< Ça va encore génial ! >> dit Estelle qui recommence à se frotter contre ma hanche. << Moi, je suis impatiente de voir comment va se comporter Julie ! >> fait Clémentine. Assis en tailleurs, chassant quelquefois un insecte, nous dégustons nos barres de céréales. << Un avant goût de ce qui nous attend en Écosse ! >> lâche Estelle en mimant une pipe avec la barre de céréales. << Moi je suce toutes les bites qui se présentent ! >> lance Clémentine qui fait pareil. Nous rions aux éclats. Nous poussons les vélos pour remonter sur la route déserte.

Nous observons la plus grande prudence pour redescendre. Mains sur les poignées de frein jusqu'à la chapelle. Nous nous arrêtons pour voir. D'une camionnette des gens sortent de grands instruments. Contrebasse, violoncelles et même un orgue Hammond déjà posé sur les pavés. Il y aura effectivement un concert en soirée. Nous faisons quelques pas dans l'édifice. Tout est prêt. Des dames fleurissent les coins et tout autour de la petite scène. Un musicien accorde un curieux instrument. Il répond à Clémentine qui demande : << C'est un psaltérion ! >>.

Estelle palpe discrètement la bosse que fait mon sexe sous le lycra de mon short. Je glisse ma main entre ses cuisses. J'adore ce réflexe qui l'a fait légèrement tressauter. << J'ai encore envie ! >> me chuchote t-elle à l'oreille. Clémentine vient nous rejoindre en murmurant : << J'aurais bien sucé ce jeune homme avant son concert ! >>. Je l'encourage en chuchotant : << Tente le coup ! Tu es rusée ! >>. Nous regardons le garçon accorder les multiples cordes de cet étrange instrument. L'arrivée des autres musiciens met un terme aux spéculations.

Inutile de continuer à gamberger. Ce ne sera tout simplement pas possible. Il est déjà 18 h. La fraîcheur nous oblige à enfiler nos leggings et nos K-ways. Le mien maculé de foutre encore humide. Clémentine l'essuie avec un mouchoir en papier. Nous rions. C'est parti. Il est 18 h30 quand nous arrivons à la maison. La voiture à Julie est garée devant le garage. Elle nous fait un grand signe depuis la fenêtre de la cuisine. Nous nous dépêchons de la rejoindre. Julie est entrain d'éplucher les légumes pour la potée. Patates, carottes, céleri, navets, ail, oignons.

Nous l'aidons en racontant nos péripéties de l'après-midi. << Encore ! >> lance Julie amusée. Elle nous raconte son après-midi en famille. Elle nous quittera demain matin vers onze heures. << Tu as prévenu Anne-Marie que tu ne viens pas bosser ce soir ? >> demande Estelle. << Oui, depuis trois jours ! >> répond Julie. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue. Estelle remue la potée de légumes pour éviter qu'elle n'attache. Dans la vieille cocotte en fonte il faut décoller sans arrêt. Je fais revenir à la poêle quatre gros dos de cabillaud blanc.

Julie met les assiettes, les couverts. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Mes deux anges sur mes genoux qui parlent études avec Julie assise en face de nous. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon. J'aide Clémentine à glisser le meuble sur roulette. Dessus c'est l'écran géant du téléviseur qu'elle branche en HDMI sur l'ordinateur. Il suffit d'y insérer la carte SD que tient Julie. Un essai. << Ça fonctionne ! >> lance Clémentine qui tient la télécommande. Tous les quatre installés dans le canapé.

Estelle à ma droite qui joue avec ma queue. Clémentine à ma gauche qui manipule la télécommande. À sa gauche Julie penchée en avant pour regarder ce que fait Estelle. L'écran s'illumine. Nous retrouvons les images prises par Clémentine. Dans nos souvenirs tout est encore présent. Mais chacun a tendance à déformer le souvenir d'un évènement. Là, la réalité nous saute aux yeux. Ce jour là le ciel était couvert. La luminosité parfaite. Tout baigne dans un certain romantisme. Le film commence. On voit une jeune fille faire du stop au bord d'une route.

Nous reconnaissons bien l'endroit. Julie précise que c'est à environs deux kilomètres de chez elle. À l'écran on voit arriver ma grosse Mercedes. Clémentine a fait un balayage lent sur l'endroit. Là-bas, dans les fourrés, une jeune fille accroupie. C'est Estelle qui interprète son propre rôle. Celui de la voyeuse qu'elle est. La voiture s'arrête à la hauteur de la stoppeuse. J'invite le lecteur à retrouver l'épisode 1895 afin de redécouvrir le déroulement des évènements. Clémentine fait de nombreux arrêts sur image. Julie se cache le visage dans ses mains.

<< J'ai honte ! Mais j'ai fait ça ! >> s'écrie t-elle devant les images les plus crues. << Tu es surtout géniale ! >> lui dit Clémentine à chaque fois. Je bande comme le dernier des salauds dans la main d'Estelle. Une nouvelle fois j'éprouve cette extraordinaire extase. De me retrouver en compagnie des "actrices" de ce film. C'est une émotion incroyable. Il est impossible de la décrire ou encore de la comparer à quoi que ce soit. C'est tellement fort, tellement surréaliste, tellement intense ! Les filles m'avouent que ce sont les mêmes sensations pour elles.

Le pervers vicelard qu'elles voient à l'écran est assis là, à leurs côtés. Il se fait même masturber par l'une des protagonistes. Chacun imagine facilement l'état dans lequel nous nous trouvons devant ce film. Un film qui restera évidemment totalement privé. Julie a une main dans son jeans. Tout comme Clémentine ou encore Estelle. Nous nous masturbons tous les quatre. Clémentine fait un arrêt image. Le visage de Julie, énorme sur l'écran géant haute définition. Maculé de sperme. Les cheveux collant à la pisse sur son front, sur sa joue gauche. Intense.

Elle se cache dans ses mains en criant : << Non ! Pas ça ! Je suis morte de honte ! >>. Estelle se penche pour dire : << Je te montrerai les photos de ma gueule couverte de foutre et de pisse ! Ma mère en a même trouvé deux ! >>. Je précise : << Vous êtes merveilleuse Julie. J'ai du mal à imaginer que nous avons fait ça réellement ! >>. Clémentine rajoute : << La réalité est là, devant nos yeux ! >>. Estelle lance : << Dans toute sa juteuse réalité ! Julie, tu as d'autres idées de films ? >>. Julie ne répond pas. Elle s'observe sur l'écran en se touchant.

Le fantasme de faire "l'actrice" de leur propre film porno est présent chez nombre de jeunes filles. Peu d'entre elles le réalise. Mais celles qui le font peuvent témoigner de l'indicible émotion qu'elles éprouvent en se découvrant à l'image. Ce sont bien évidemment des films secrets. Qui n'ont strictement aucune vocation à êtres publiés. Clémentine, Estelle m'en ont souvent parlé. Depuis l'adolescence elles en rêvaient. Notre complicité a permis que tout cela se réalise. Un concours de circonstances rares et heureuses. Julie découvre ce soir encore ces joies.

Le film ne dure que 37 minutes. Mais quelles minutes ! Moi aussi j'ai honte de me voir à l'image. Je me trouve d'un ridicule total. En costume noir, le pantalon et le slip descendus, à baiser une jeune fille sur le capot de ma bagnole. Et le plus ridicule c'est que mon pantalon et mon slip glissent inexorablement pour se retrouver sur mes chevilles. Il y a toutefois une incohérence. Estelle que l'on voit cachée dans les fourrés au début du film est présente dans tous les plans de prises de vues, quelques kilomètres plus loin. << On s'en fout ! >> dit elle.

Julie pousse soudain un cri qui nous effraie. Elle se lève, comme pour échapper à l'orgasme qui la fait tomber à genoux puis sur le tapis de tout son long. << Tu n'a jamais jouis aussi fort n'est-ce pas ? >> lance Estelle qui se tortille avant de s'offrir le sien dans une suite de râles graves et sonores. Je murmure à l'oreille de Clémentine : << Garde toi. Je t'offre le tient au lit dans cinq minutes ! >>. Le film s'arrête. Estelle et Julie, toutes rouges, reprennent leurs esprits en se regardant. Puis, prises d'un fou rire elles se redressent pour s'essuyer la sueur.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont encore se faire lécher, brouter, sucer sous les draps. Piper leur coquin "d'acteur"...

Julien (Primé au Fesse Tival de Canne)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1900 -



Le dimanche de la fête des mères

Hier matin, dimanche, il est neuf heures quand nous sommes tirés de nos sommeils par de légers bruits. Tous les trois en même temps. C'est Julie qui vient de quitter la pièce le plus silencieusement possible pourtant. Je suis entre Estelle et Clémentine. Nous nous étirons en poussant des gémissements que nous modulons longuement. Jusqu'à l'absurde avant de rires aux éclats. Estelle saisit mon érection naturelle. Clémentine empoigne mes couilles. Je glisse les mains dans les culottes pour passer mes doigts en peigne dans les poils.

Bisous, câlins, papouilles. Estelle n'en pouvant plus lâche mon sexe, se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine me chevauche pour me faire plein de bises sur le visage en murmurant des dizaines de : << Je t'aime ! >>. L'impérieux besoin de pisser met toutefois rapidement fin à nos effusions de tendresse. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous enfilons nos jeans, nos sweats avant de dévaler les escaliers. Tout est déjà prêt. Julie et Estelle, encore en pyjama, se racontent des choses drôles en riant.

L'odeur du café, du pain grillé et de la brioche qui trône au milieu de la table. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille je l'emmène faire le tour de la cuisine. Puis c'est à Clémentine. Cette fois, Julie ne se montre pas hésitante. Elle enserre elle aussi ses jambes autour de ma taille quand je la soulève. Sous les applaudissements d'Estelle et de Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de hier. Julie revient sur la soirée cinéma : << Je passe des moments d'extase avec vous ! >>.

Elle garde les yeux baissés pour nous confier cette émotion. Estelle rajoute : << Tu n'imagines pas comme il en va de même pour nous ! Moi, j'aimerais te voir plus souvent ! >>. Julie lève les yeux. Avec un regard amoureux elle répond : << Moi aussi tu sais ! >>. Clémentine vient s'assoir sur mes genoux en terminant sa tartine de miel. << Alors les amoureuses, on s'avoue ses sentiments ? >> lance t-elle. Estelle vient s'installer sur mon autre cuisses en disant : << C'est vrai. Vous voyez Julie tous les lundis, tous les vendredis et tous les samedis ! >>.

Nous traînons à table. Julie assise en face de nous évoque ce troisième film que nous avons réalisé ensemble. Elle fait comme Estelle. Les films sont téléchargés sur un disque dur externe et sur une clef USB. Cachés dans un endroit secret. Cette petite pièce aménagée dans le grenier de ses parents ou elle dissimule ses secrets depuis toute petite. Julie nous l'a fait visiter il n'y a pas si longtemps, en revenant du Mont Saint-Michel. Elle se lève pour débarrasser tout en rajoutant : << J'ai quelques autres idées de films. Mais c'est en gestation ! >>.

Julie nous prie de rester assis tous les trois pendant qu'elle fait la vaisselle dans son pyjama de fin coton bleu. Nous montons pour nous laver les dents. Estelle et Julie se changent pendant que Clémentine et moi faisons le lit. Julie a déjà enlevé les draps de son canapé lit. Il suffit de refermer le "clic-clac". Tous les quatre, vêtus pareils, nous dévalons les escaliers. Je tiens le grand sac de sport de Julie que je mets dans sa voiture. Le ciel est parsemé de nuages d'altitudes, gris blancs. Un vent de Nord Est impose une fraîcheur plutôt désagréable.

Estelle et Clémentine à mon bras, Julie à celui d'Estelle nous descendons jusqu'à la rivière. Julie devra nous quitter pour onze heures. C'est la fête des mères. Nous avons marqué cet évènement en avance avec les parents d'Estelle il y a deux semaines. Ils sont invités. Estelle passera également les voir en fin de matinée avant qu'ils ne partent. << Il y a un oubli de ta part ! >> me dit elle en déboutonnant ma braguette pour y fourrer sa main. Julie passe devant nous pour regarder avec cette attention particulière que nous lui connaissons si bien.

Estelle et Julie sont de véritables voyeuses. Elles se racontent souvent comment cette déviance est entrée dans leurs existences. Treize ans pour Estelle. Quatorze ans pour Julie. C'est à la fois amusant et passionnant de découvrir les trésors d'ingéniosité dont peuvent faire preuve des jeunes filles "éveillées" pour satisfaire leurs penchants. << J'ai tous les vices. Je suis gourmande, je suis voyeuse, je suis curieuse, je me masturbe tout le temps, j'aime être salope ! >> lance Estelle en jouant avec mon sexe. << C'est pareil pour moi ! >> s'écrie Julie.

Je demande : << Julie, j'adore vos histoires. Un jour, Estelle, Clémentine et moi nous vous écouterons nous raconter. Un peu comme dans l'ancien temps, quand des conteurs passaient dans les maisons pour conter des histoires ! Ça vous tente ? >>. Julie ouvre de grands yeux pour répondre : << Je ne suis pas très douée. Vous allez très vite vous ennuyer ! >>. Estelle lâche mon sexe pour la prendre par ses épaules. Elle rajoute : << Ah non ! Pas du tout. Nous avons quelques souvenirs très agréables des moment où tu te confiais ! Géniale ! >>.

J'ai la bite à l'air. C'est Clémentine qui me la tient. Elle dit à Julie : << Moi, je te raconterai mes histoires d'exhibes. Tu es très loin de tout savoir ! >>. Julie ouvre à nouveau de grands yeux en s'écriant : << Oh oui ! On se fait des soirées "histoires" ! >>. Je trouve cette idée absolument sublime. Nous remontons doucement le chemin. Julie s'installe au volant de sa Clio rouge. La vitre baissée, elle regarde Clémentine agiter ma queue dans l'habitacle de l'auto. À une vingtaine de centimètres de son visage. Estelle assise sur le siège passager.

Elle sort toutefois rapidement du véhicule. Nous regardons Julie s'en aller. Un dernier coucou. Estelle s'installe au volant de son Kangoo. Clémentine agite ma queue sous son nez. << Mmhh, l'odeur des dimanches se précise ! >> lance Estelle avant de gober mon sexe pour sucer quelques instants. << Je suis de retour dans une petite heure ! >> lance t-elle en démarrant. Elle rajoute, espiègle et mutine : << Quand je commence à sucer le main, je pourrais le faire toute la journée. Nous la regardons partir. Clémentine agite ma bite. Coucou.

Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine me saute au cou. << J'aime être seule avec toi. C'est peut-être une des seules choses qui me frustre parfois. Ne pas être assez souvent seule avec toi ! >>. Tout en frottant sa braguette contre ma bite légèrement dure, elle enfonce sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons comme des fous. Clémentine s'accroupit, me tient par les passants de mon jeans. Elle se met à sucer passionnément. Je l'aide à se redresser. Elle dit : << Moi aussi, quand je commence, je pourrais faire ça toute la journée ! >>.

Clémentine fait une salade de concombre. Je réchauffe la potée de légumes à feu doux. Tout en faisant revenir trois beaux pavés de saumon, je remue pour que cela n'attache pas au fond de la vieille cocotte en fonte noire. Clémentine vient se lover contre moi, dans mon dos, ses bras autour de ma taille pour murmurer : << Je suis ta suceuse hein ? >>. Je chuchote : << La fille que j'aime ! >>. Elle rajoute : << En Écosse, quand j'aurai l'esprit libéré de l'examen qui m'attend, tu feras de moi ton vide couilles ? J'en ai besoin, si tu savais ! >>.

Je me retourne pour la prendre dans mes bras. Je réponds en la tenant par la nuque : << Je ferai tout ce que tu me demanderas, je t'aime ! >>. Nous nous embrassons. Il faut toutefois remuer les légumes. Ça nous fait rire. Nous mettons les assiettes, les couverts. Estelle qui revient en sautillant : << Vous avez plein de bisous de mes parents ! >> lance t-elle avant de passer ses mains sous mon tablier. << Mmhh, on bande mou je vois ! >> s'écrie t-elle en s'accroupissant. Sa tête sous mon tablier elle pompe à nouveau. Clémentine m'embrasse.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence de Julie. Elle nous manque. << Nous en avons fait notre mascotte sexuelle ! >> conclue Clémentine. << Et comment ! Mais il faut préciser qu'elle est en "demande" ! >>. Nous passons en revue différentes options pour cet après-midi. Pas de bicyclette à cause de ce vent détestable. Par contre je propose de prendre la voiture et d'aller au port de plaisance. Il y a là-bas une animation "fête des mères". << Il y aura du monde ! >> s'écrie Estelle. << On se fait le vide grenier ! >> dit Clémentine.

En effet, au bourg voisin, comme nous l'avons constaté hier en passant, il y a le premier vide grenier de l'année. Nous n'y avons jamais été. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges mettent au point le programme. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Il n'y a que trois kilomètres jusqu'au bourg. Nous décidons de les faire à pieds. En longeant la rivière. << Excellent ! >> lance Estelle à la suggestion de Clémentine. Nous nous changeons. Jupes pour mes deux anges.

Leurs jupes kilt à carreaux. À dominantes rouges. Un chemisier sous un pull de coton fin et bleu. Des mocassins à talons plats qui rendent la marche facile. Sur leurs demandes je porte un pantalon beige clair, une chemise sous un fin pull de coton crème. Mes mocassins beiges. Nous prenons des poses devant le grand miroir de l'armoire. Estelle et Clémentine s'accroupissent. Se tenant à mes jambes, leurs têtes appuyées contre mes hanches, elles écartent toutes les deux largement les cuisses. Les culottes de coton blanc paraissent fluorescentes.

<< Tu seras bien en salaud en Écosse, hein ! >> fait Estelle en passant sa main sur la bosse qui déforme ma braguette fermée. << Tu seras vicieux comme on aime ? >> rajoute Clémentine. En caressant leurs cheveux je promets de faire de mon mieux. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Clémentine et Estelle portent leurs petits sacs à dos en cuir noir. Il font également office de sac à main. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous prenons le sentier de gauche. Il est bien plus escarpé par endroit que celui qui mène au haras.

Il y a des passages où il faut redoubler de prudence. Tout va bien. Nous arrivons au bourg par le vieux pont de pierres en dos d'âne. Il est interdit à la circulation. Par contre il y a plein de voitures garées avant. Il est 14 h45. Nous arrivons par la rue des écoles. Estelle et Clémentine me tiennent par la main. Il y a là aussi un monde fou. Nous attirons encore bien des regards. Nos hautes tailles. Cet homme d'âge mûr tenu par deux sublimes jeunes filles. Nous nous amusons toujours beaucoup de l'intérêt que nous suscitons. C'est si drôle.

C'est sympathique de flâner. La place de l'église est le pôle d'attraction du village. C'est là que se concentrent la plupart des stands. C'est le village d'Estelle. Elle connait pas mal de monde. Des gens qui tentent de vendre chaque année les vieilleries de leurs greniers. C'est l'occasion pour Clémentine de s'offrir quelques frissons. Là, accroupie devant des cartons emplit de vieux disques vinyles, elle regarde les titres. Le monsieur barbu mâte discrètement. Estelle et moi, tout en feuilletant des vieux bouquins, nous observons la scène. Excitant.

Il y a nombre d'opportunités identiques qui se présentent. Clémentine peut se faire de petites frayeurs. Elle nous donne ses impressions avant. Elle nous confie ses ressentis après. Estelle, discrètement, palpe l'énorme bosse qui déforme ma braguette. C'est furtif car il n'est pas question de se faire surprendre. Il y a les toilettes publiques derrière la Mairie. << C'est aussi la fête du Maire ! >> lance Estelle qui nous entraîne. Inutile d'espérer nous offrir des situations vicieuses car il y a plein de gens qui attendent à l'extérieur. C'est bien dommage.

<< On vient se faire un "plan" ici en semaine ! >> propose Clémentine. << Un film ! Ça fait longtemps qu'on n'en n'a plus fait avec moi comme actrice ! >> rajoute Estelle. Nous éclatons de rires. Pour pisser, il faut ruser. Mes deux anges n'ont pas leurs pareilles pour trouver des "plans" pipis. Risquer de se faire surprendre accroupie est un plaisir divin pour Clémentine. Ça l'est dans une moindre mesure pour Estelle. << Tu te rappelles quand tu sécurisais mes exhibes, là, derrière le kiosque du square ? >> demande Clémentine à Estelle.

Lorsqu'elles étaient adolescentes, Estelle et Clémentine s'amusaient beaucoup de ces situations. Estelle, voyeuse, restait cachée pour observer les messieurs qui surprenaient Clémentine. Je raffole de ces histoires qu'elles m'ont raconté tant de fois. Depuis cinq ans, c'est moi qui sécurise les exhibes de Clémentine. Là, je surveille pendant que mes deux adorables coquines font leurs pipis. Je me précipite pour les torcher très rapidement. Il faut faire vite, anticiper chaque seconde à venir. Il y a vraiment du monde. Le risque est grand. Excitant.

Nous nous offrons des cônes glacés que nous dégustons en flânant. Estelle bavarde parfois avec des habitants du bourg qu'elle connait depuis toute petite. Nous nous promenons dans les rues plus calmes. Mais il y a des gens partout. C'est inévitable. Nous arrivons toutefois à nous toucher dans quelques recoins. De jouer nous excite toujours tellement. Il est presque dix huit heures. Le ciel est couvert. La fraîcheur devient désagréable. Nous prenons le chemin du retour. Je promets aux filles une soirée léchage de minous après le repas. Il fait faim.

Bonne "faim" de soirée à toutes les coquines qui vont jouir d'un cunnilingus et d'une queue juteuse. Avant une bonne nuit de sommeil...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Un début de semaine des plus agréables

L'application "océan" nous gratifie de ses illusions. Il est presque six heures. C'est hier matin, lundi. Les cris des oiseaux de mer. La sirène d'une gros bateau dans le lointain. Sa résonance grave et profonde. Le bruit des moteurs de ce chalutier qui s'éloigne. Clémentine se love tout contre moi en gémissant. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de jogging, muent par une faim redoutable, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café, je presse les oranges, pèle les kiwis.

Même s'il reste toujours encore un peu de brioche le lundi matin, le grille pain éjecte les premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les particularités de ce week-end. L'après-midi au vide grenier du bourg hier après-midi. La soirée léchage de minous. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le film réalisé avec Julie. Julie que nous retrouverons ce soir. Nous passons en revue les différents plats que nous aimerions partager avec elle. Je propose un gratin de choux fleurs ou encore des courgettes rondes farcies.

<< Le choux fleurs ! >> s'écrie Clémentine. Je dis : << Va pour le choux fleurs ! >>. Il est 6 h25. Il faut enfiler les K-ways avant de sortir. La fraîcheur désagréable est encore plus marquée. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour un running d'une heure le long de la rivière. Rien n'est plus vivifiant que de courir au grand air tôt le matin. La douche. Je redescends le premier pour préparer la voiture. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue de son jeans, d'un sweats sous son blouson de cuir. Ses bottines. Elle est tellement belle ce matin.

Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Je m'empresse de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Dans l'atelier, confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je mets ce matin la dernier main à cette toile toute personnelle. Je peins dans un enthousiasme délirant. À chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent, j'aime à pousser le cri le plus surréaliste qui soit. Dans la volupté rare que procure la plus totale sérénité. La matinée passe vite.

Il est 11 h55 quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste de potée de légumes. Dans la poêle je fais rissoler un filet de lieu noir avec des champignons. Je prépare une salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit un sociologue et un journaliste d'investigation. C'est passionnant d'entendre les révélations accablantes concernant cet ancien trotskyste d'Edwy Plenel qui dirige Médiapart. C'est toujours amusant de débusquer la vérité derrière les apparences. Pas triste !

Je décortique un gros choux fleurs dont je laisse tremper les morceaux dans une bassine d'eau vinaigrée. Le temps de râper du gruyère de Comté, de concocter un mélange œufs, crème fraîche, moutarde à l'ancienne et lait de soja. Je rince le choux fleurs avant de le disposer dans un grand plat rectangulaire en terre cuite. J'y verse le mélange. Je recouvre d'une grosse couche de gruyère. Quelques fines tranches de Morbier. Onze cerneaux de noix. Je saupoudre de chapelure avant de mettre au four. Cuisson lente à 180° afin que le tout mijote bien.

La vaisselle. Je monte me laver les dents avec le sentiment du devoir accompli. Notre repas du soir est assuré. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors je dévale l'escalier. Il y a des séquences ensoleillées. D'autres qui le sont beaucoup moins. Ce maudit vent de Nord Est est responsable de cette désagréable fraîcheur. Je descends jusqu'à la rivière. Un peu de pluie ne ferait pas de mal à la terre car le sol est tellement sec par endroit qu'il craquelle. Je remonte. Me voilà dans l'atelier confortablement installé devant mon chevalet. La satisfaction.

Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. L'après-midi passe d'ailleurs tout aussi vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur le fauteuil à bascule avant de se précipiter vers moi. Assise à califourchon sur mes cuisses, tout en se frottant légèrement, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle me charge de te faire des milliers de bisous partout. Et lorsqu'elle précise "partout", tu comprends ce que cela sous entend ! >> dit elle en me mitraillant le visage de bises.

Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle chantonne. J'adore ces séances d'émulations communes. Même si nos activités ne sont pas les mêmes cela reste gratifiant et très productif. << Là, si je continue, je pète un câble ! >> lance soudain Clémentine en se levant. Il est 18 h30. Trois coups timides contre la porte qui s'ouvre. C'est Julie qui vient nous retrouver. Radieuse, souriante, vêtue d'un jeans, de son blouson de cuir brun qu'elle retire, des baskets. D'abords trois bises à Clémentine. Normal.

Je nettoie la palette, les pinceaux quand elle vient me rejoindre. Assise devant ma toile elle scrute avec attention. Clémentine me fait un clin d'œil. Une bosse à l'intérieur de sa joue. Je suis au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Ma bite posée sur le bord intérieur, je me lave les mains. C'est à ce moment que Julie tourne la tête pour s'en apercevoir. Elle cache son visage dans ses mains. J'adore ce réflexe typiquement féminin. Lorsqu'elle regarde à nouveau je lui fais signe de l'index. Elle se lève pour s'approcher. Debout à ma gauche elle observe mon sexe.

Clémentine vient se placer sur ma droite. Dans le petit miroir je vois leurs visages en déplaçant simplement la tête. Je m'adresse à Julie : << Si vous me la tenez, ce ne sera pas seulement un bon moment mais je n'en mettrais pas partout ! >>. Les filles se mettent à rire. << Comme ça ! >> lance Clémentine en saisissant la queue entre le pouce et l'index. << Comme d'habitude ! >> s'écrie Julie toute amusée. Je regarde les expressions de son visage dans le miroir. Elle saisit mon sexe. Clémentine passe son bras autour de ma taille, tout contre moi.

Je lâche plusieurs séries de petits jets nets et précis. << J'adore sentir quand ça passe dans le "tuyau" ! >> fait Julie, penchée au-dessus du lavabo, concentrée. Un mince filet d'eau chaude coule du robinet. L'odeur de la pisse nous monte aux narines. Avec le temps, en s'amusant ainsi avec nous, sans toutefois perdre de sa réserve et de sa timidité, Julie devient plus adroite dans la manipulation de bite. Clémentine, penchée elle aussi au-dessus du lavabo, observe silencieusement. À chacune des dernières giclées elle dit : << Waouh ! Ça éclabousse ! >>.

Julie secoue les dernières gouttes avant de relever ma queue qui raidit pour la présenter à Clémentine. Elle se penche davantage pour la gober. Je saisis Julie par sa nuque pour chuchoter : << Merci Julie, c'est de mieux en mieux ! >>. Elle lève les yeux pour me fixer timidement dans le miroir. Je vois bien qu'elle lutte pour soutenir mon regard. Je lui adresse un clin d'œil. Elle me fait le plus délicieux des sourires. Clémentine cesse de sucer pour se redresser. Elle tend ma queue à Julie en disant : << Un petit apéritif ? >>. Julie recule soudain.

Je veux remballer lorsque Julie s'écrie : << Non ! Pourquoi la ranger, je suis là jusqu'à 22 h ! >>. Nous éclatons de rire. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Lorsque les filles découvrent le gratin de choux fleurs elles s'exclament : << Génial ! >>. En même temps. Il suffit de relancer le four à son maximum pour réchauffer. Clémentine prépare une salade de concombre. Julie met les assiettes, les couverts. Je surprends à plusieurs reprises son regard louchant sur ma queue. Une queue qui pend mollement de la braguette.

Je lui demande : << Vous avez vu le Chef de cuisine récemment ? >>. Comprenant où je veux en venir, Julie répond : << Oui, je suis passé rapidement au restaurant hier soir. Je l'ai surpris avec ma tante. Ce sont des comparses depuis quelques années. << Tu partouzes avec eux ? >> demande Clémentine. << Non, mais Anne-Marie aime bien nous regarder quand Jean-Louis m'encule ! >>. Clémentine rajoute : << Tu es la mascotte sexuelle de ces deux là aussi, n'est-ce pas ? >>. Julie se met à rire un peu nerveusement avant de s'écrier : << Oui ! >>.

La sonnerie du four. Je sors un gratin de choux fleurs doré à point. Encore fumant je le pose sur la table. Julie veut faire le service. Nous mangeons de bon appétit. Julie prépare son DEUG de Lettres Modernes. Elle aussi est anxieuse à l'idée de passer cet examen d'ici moins d'un mois. Je les écoute échanger leurs ressentis. C'est Julie, à notre grande surprise, qui revient sur nos préoccupations communes en disant : << Je vois Jean-Louis demain soir. Je termine à 16 h le mardi. Je fais souvent un petit tour dans les cuisines du restaurant.

<< Il t'encule à chaque fois ? >> demande Clémentine. << Non, parfois il se branle en nous regardant Anne-Marie et moi ! >> répond Julie. Je me masturbe sous la table. La nature de cette conversation est des plus encourageante. Julie fixe le mouvement de mon bras tout en conversant. Je me lève. J'agite mon sexe dans sa direction. Elle me fait un sourire en me lançant un coup d'œil furtif. Elle s'adresse à Clémentine : << Tu devrais te faire sauter par Jean-Louis. C'est un vrai porc ! >>. Clémentine s'écrie : << La sodomie, non merci ! >>.

Je demande à Julie : << Mais ce mec doit aimer baiser aussi, non ? >>. Elle me répond : << Moi, il ne m'a jamais baisé "normalement". Il prétend que je l'inspire uniquement à l'enculade ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Pas seulement à cause de la nature surréaliste du propos mais à l'évocation de la scène. Julie, souvent à quatre pattes, sur une table basse en aluminium, dans les cuisines du restaurant, enculée par un type à moustache, costaud, qui pourrait être son père. << J'adore ça depuis qu'il me l'a fait découvrir ! >> précise Julie.

Nous traînons à table. J'écoute la conversation en me pignolant sous la table ou debout. Clémentine et Julie cessent souvent de parler pour observer les expressions de mon visage. Ce qui les intéresse tout autant que ma masturbation parfois frénétique. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon. Julie installée dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine tout contre moi dans le canapé qui joue avec mon sexe. La conversation continue mais cette fois concernant les rapports qu'entretiennent Julie et sa tante. Depuis cinq ans.

Bisexuelles toutes les deux. Julie y trouve un parfait épanouissement. Je bande comme le dernier des salauds dans la main de Clémentine. Tout en me masturbant Clémentine revient sur le film que nous avons réalisé jeudi dernier. << J'ai adoré ! >> murmure timidement Julie. Elle sort son téléphone de la poche de son blouson posé au sol à côté du fauteuil. Elle se lève en l'allumant pour venir nous montrer l'écran. On y découvre son visage maculé de mon sperme, des mèches de cheveux qui collent dans la pisse, sur son front, sur sa joue gauche.

L'expression vicieuse de ses yeux cernés. La fille qui vient de jouir. << J'ai fait une capture d'écran en visionnant cette dernière partie du film ! >> explique t-elle. Nous observons cette extraordinaire photo. Nos têtes se touchent. Je passe ma main sous les cheveux de Julie, la tenant par la nuque, je dis : << J'ai passé un moment magnifique avec vous pour faire ce film ! >>. Julie se redresse en s'écriant : << C'est vrai ? >>. Je la rassure en précisant : << Oui, bien sûr. Je suis impatient de découvrir votre prochain projet ! >>. Julie se met à genoux.

Les mains en appui sur la table basse, elle nous fait le plus délicieux des sourires. Elle dit : << J'ai quelques idées. Mais j'aime les développer longuement ! >>. Clémentine rajoute : << Moi, je m'éclate à filmer ce genre de choses. Si tu savais mon impatience ! >>. Julie se redresse. Il va être l'heure de nous quitter. Elle soupire, l'air triste, en disant : << Les bons moments passent toujours trop vite ! >>. Elle met son blouson. << Ne laisse pas ce genre de photos dans ton téléphone ! >> lance Clémentine. Julie s'écrie : << Pas de risques ! >>.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture dans la nuit froide. Assise au volant, la vitre baissée, Julie nous fait part de sa tristesse. Elle revient vendredi. << Je reste avec vous de samedi soir à lundi soir. Le lundi 5 juin c'est Pentecôte. C'est un jour férié. Ça vous dit ? >> s'exclame t-elle. << Et comment ! >> s'écrie Clémentine. Julie rajoute : << On se fait le film No 4 ! >>. Clémentine tient ma bite pour en diriger les jets contre la portière de l'auto. Julie démarre. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que l'attitude de leur mec devant d'autres filles excitent. Elles vont pouvoir sucer au lit...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1902 -



Le mardi Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, le cri des mouettes nous arrache de nos profonds sommeils. Il est presque six heures. L'illusion de nous réveiller dans un port de pêche. Des marins qui se hèlent rajoutent encore au réalisme. Cette fois nous discernons bien. Ils s'expriment en anglais. Le clapotis de l'eau qui semble lécher les pieds de notre lit. Clémentine se love contre moi en murmurant : << On est déjà en Écosse ! >>. Bisous, papouilles. Il faut impérativement nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de running, nous dévalons les escaliers.

Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Quand elle termine à midi, elle est toujours pleine de facéties. Ce matin elle imite l'accent méridional de Juliette. Ses manières un peu pincées de bourgeoise de 48 ans. Nous rions aux éclats. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Je passe les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes afin de leurs rendre du moelleux. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier soir. << Tu as entendu ? Elle a déjà en projet un quatrième film ! >> dit Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en dissertant sur cette adorable jeune fille de 20 ans. << Le 6 octobre nous fêterons ses vingt et un an ! >> rajoute encore Clémentine. Il est 6 h25. Nous enfilons les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans l'étonnante fraîcheur de cette dernière matinée de mai. C'est parti pour un jogging d'une heure. Notre parcours préféré, le long de la rivière. La douche dès le retour. Je descends pour sortir la voiture du garage. Le ciel est gris mais pas menaçant. Clémentine me rejoint en jeans, sweat, blouson et bottines.

<< Il ne faut pas que j'oublie de prendre de l'essence avant de rentrer ! >> fait elle en me faisant des bisous, serrée contre moi. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. Je passe dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. En sachant que je termine cette toile avant midi, je peins dans la douce euphorie laissée par Clémentine. Il est 11 h quand je dépose la dernier touche de vert d'émeraude sur la surface du tableau à présent achevé.

Je nettoie la palette, les pinceaux. D'un de mes grands cartons d'archives, je tire d'anciens dessins. Des feuilles de papier calque d'un format "raisin", (50 x 65 cm), je n'ai qu'à les fixer pour les reproduire sur des toiles vierges. Je procède ainsi depuis quelques années. Je change certains détails afin d'en faire des originaux. C'est mon travail du mois de juin. Préparer les 24 dessins pour l'année prochaine. Dès la rentrée de septembre je pourrai m'y atteler. Il est 11 h45. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste du gratin. Au four.

Ce gratin de choux fleurs qui a fait les délices de notre repas de hier soir. Je prépare une belle scarole dont je lave les feuilles. Dans une poêle je fais rissoler deux filets de colin préalablement pannés. Il est 12 h35 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Estelle ne nous rejoint pas ce soir. Elle aide sa maman à l'entreprise. Et comme moi elle a ses révisions ! >> m'apprend t-elle.

Elle s'empresse de rajouter : << J'adore être seule avec toi. Juste nous deux ! >>. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le programme de l'après-midi. Nous mettons à profit cette météo moche pour travailler. << La fatalité organise mon emploi du temps. Je peux réviser sans frustrations ! >> dit elle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine est toute joyeuse. Pressés de faire quelques pas au dehors, nous dévalons les escaliers à toute vitesse.

Le thermomètre extérieur indique 20°. Le ciel se couvre de lourd nuages gris. Bien sombres sur l'horizon. Me tenant par la main, Clémentine m'entraîne vers la rivière. Comme ce matin durant notre running, nous la longeons en bavardant. La conversation reste axée sur l'examen que passe Clémentine fin juin. Le Master II. Dernière épreuve avant son Doctorat d'ici deux ans. Comme à chaque fois je la rassure quand à ses capacités de faire face à n'importe quelles épreuves. << Tu es une gagnante. Tout le reste n'est que péripéties et formalités ! >>.

<< Je t'aime, tu sais ce que j'apprécie quand je suis anxieuse ou tracassée, n'est-ce pas ! >> dit elle en se serrant dans mes bras. Je murmure : << Je fais le nécessaire dès ce soir ! >>. Clémentine s'accroupit devant moi. Maintenant son équilibre en me tenant par les fesses, elle frotte son visage sur ma braguette ouverte. << Seul mon "Maître" peut soulager mes tourments, n'est-ce pas ? >> murmure t-elle alors que je caresse sa tête. Je la saisis soudain fermement par la racine de sa natte. De l'autre main je sors mon sexe encore mou.

Je le frotte sur ses joues, son nez, son front avant de le passer tout autour de sa bouche. Je chuchote : << Je vais bien m'occuper de vous ma délicieuse "Soumise" ! >>. J'enfonce mon sexe dans sa bouche. J' appuie sur sa nuque que je tiens de la main gauche. De la main droite je la tiens sous le menton. Je ne l'ai pas laissé me répondre. Je l'entends gémir de plaisir. Je l'aide à se redresser. C'est moi qui m'accroupis pour masser ses jambes endolories. Nous prenons le sens du retour. << Je vous aime mon doux "Maître" ! >> me dit elle plusieurs fois.

Je reproduis ma contrainte pour la troisième fois juste en bas du chemin qui remonte à la propriété. Dans mon impatience de répondre aux demandes de Clémentine je ne prête aucune attention à l'entour. Je me fais sucer. Une toux. << Oh pardon ! >>. C'est monsieur Bertrand, notre voisin. Il nous surprend ainsi. Ce n'est certes pas la première fois, mais c'est toujours profondément gênant pour moi. Clémentine se redresse rapidement pour dire : << Bonjour Louis ! >>. Il s'adresse à elle : << Bonjour Clémentine ! >>. J'en profite pour remballer vite.

Notre voisin, plein d'humour est également fair-play. Il fait celui qui n'a rien vu. Nous bavardons un peu. Le vieux salaud s'est déjà fait sucer par Clémentine mais il ne sait pas que je suis parfaitement informé. Il ne fait aucune allusion. Je sens pourtant chez le retraité une certaine fébrilité. << On se voit un de ces jours pour prendre le café ? >> lui fait Clémentine. << Mais avec plaisir Clémentine ! >> répond t-il. Je m'empresse de rajouter : << Il faudra m'excuser de ne pas être avec vous mais j'ai tellement de travail avant l'Écosse ! >>. Mensonge.

Nous saluons notre voisin avant de remonter. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée de ses notes. Des classeurs ouverts tout autour d'elle. << Ça m'excite quand ce vieux salaud nous surprend ! >> me dit elle. Je confie à quel point ça me met mal à l'aise quand c'est un mec qui nous surprend. Clémentine rit aux éclats car elle aime parfois me mettre dans l'embarras. Je déplie la grande bâche pour l'étendre au sol. J'y pose huit toiles de format 6 F, (41 x 33 cm). Je prépare la peinture acrylique "Terre de Sienne".

Je m'apprête à faire une première couche d'impression très légère. Ça sèche tellement vite. J'étale sur chaque toile à l'aide d'un spalter. Je passe un coup de sèche cheveux sur le tout. Il me reste à fixer les papiers calques sur chacune des toiles. Reproduire les dessins. Je commence toujours par des natures mortes. J'aime entendre Clémentine chantonner, commenter ce qu'elle fait ou encore me lancer des douceurs. Je me lève souvent pour venir me placer derrière elle. Je soulève sa natte pour mouiller sa nuque de mes lèvres humides.

<< Mmhh, j'adore ! >> gémit elle sans cesser de manipuler des feuilles, un stylo à la main. L'après-midi se déroule ainsi. Il fait de plus en plus sombre. Si ce n'est pas un orage qui va éclater, ce sera de la pluie pour cette nuit. << Put-Hein je pète un fusible ! >> lance soudain Clémentine qui se lève. Il est 18 h. Elle range ses affaires pendant que je termine mon dernier dessin. J'ai procédé au calque des huit natures mortes destinées à ma saison 2023. Du bon boulot. Il suffira de recouvrir d'une seconde couche d'impression "Terre de Sienne".

Clémentine vient me rejoindre alors que je suis au lavabo entrain de me laver les mains. Elle reste serrée contre mon dos tout en sortant mon sexe de ma braguette béante. Elle change de position en le saisissant entre le pouce et l'index. Penchée en avant, pour regarder de prêt, elle dirige mes premiers jets. Je la tiens par la nuque. Entre chaque jet, je la force à sucer en disant : << Ma douce "Soumise", je réponds à vos attentes ! >> Clémentine en glousse de plaisir. Je lui pisse dans la bouche par petites giclées encore parfaitement contrôlées.

Tant que je bande mou, cela ne me demande aucun effort. J'ordonne : << À genoux ! >>. Clémentine cesse de pomper pour s'exécuter. Bien droite, les mains posées sur la tête, elle me fixe avec plein de reconnaissance. Elle attend mon prochain commandement. Je prends sa natte en ordonnant : << À quatre pattes ! >>. Clémentine obéit immédiatement. C'est ainsi que je l'emmène faire le tour de la grande pièce. À chaque coin de meuble, elle lève la cuisse comme pour pisser. Je l'entraîne ainsi à la cuisine. J'ordonne << À genoux ! >>.

Bien droite, à nouveau les mains sur la tête, Clémentine me fixe. Son air de "soumission" n'est absolument pas feint. Clémentine est une authentique "Soumise". Je passe mon sexe sur ses lèvres en disant : << Pour ce soir, on fait très simple. Je suis pressé de vous infliger une séance dont vous me direz des nouvelles ! >>. Elle répond : << Que proposez vous mon doux "Maître" ? >>. Je l'aide à se redresser. Il est temps de soulager ses pauvres genoux que je masse longuement. Je n'ai pas du tout l'âme d'un "Maître". Mais je l'interprète fort bien.

Clémentine fait l'assaisonnement du reste de la scarole. Je coupe de fines tranches de pain complet et Bio. Je les beurre. J'ouvre une boîte d'anchois dont je dépose les filets sur les tranches beurrées. Je recouvre de fines lamelles de gruyère de Comté. Au four à micro ondes. Nous savourons ce repas d'une simplicité rare mais tellement délicieux. Clémentine mange en restant assise sur mes genoux. À peine terminé, après la rapide vaisselle, j'ordonne : << À quatre pattes ! >>. Clémentine réagit immédiatement. À nouveau je l'entraîne au salon.

J'ordonne : << Déshabillez-vous chère "Soumise" ! >>. Je l'aide à se dévêtir totalement. Nue comme au premier jour de son existence, Clémentine, debout, les mains derrière le dos, attend le prochain ordre. Je m'approche pour la soulever. Je l'assois sur le bureau. En appui sur ses coudes, elle ne cesse de me fixer d'un regard implorant. Je la maintiens par ses chevilles. Je frotte mon sexe contre le sien. C'est juste la bonne hauteur. Nous nous fixons. Je la pénètre doucement, avec d'infinies précautions. Clémentine se mordille la lèvre inférieure.

Je la baise comme le ferait un vrai "Maître". Sans le moindre égard. Comme une esclave sexuelle à ma merci. J'alterne la "machine à coudre" en murmurant des insanités, des vulgarités. J'évoque notre voisin. Monsieur Bertrand en disant : << Je veux que vous suciez ce mec avant que nous partions en Écosse ! >>. Clémentine ouvrant avec peine les yeux pour reprendre un peu ses esprits, répond : << Oh oui, mon bon "Maître". Je ferai selon vos ordres ! >>. Je décris des situations bien vicelardes qui excitent encore davantage Clémentine.

Je me retire pour la soulever. Je la porte jusqu'à la table monastère. Là, à quatre patte sur un des deux bancs, je la pénètre en levrette. C'est extrêmement rare. Nous aimons trop baiser en nous fixant dans les yeux. Je la baise à la hussarde en tenant des propos odieux. Sous les cris, les râles et les gémissements de Clémentine éperdue de reconnaissance. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Clémentine se masturbe toujours lorsqu'elle est pénétrée. Autant que quand elle ne l'est pas d'ailleurs. C'est une grande masturbatrice. Une passionnée.

Je me retire de toute urgence. Je suis considérablement excité. Je la soulève pour la poser au sol en ordonnant : << À genoux ! >>. Bien droite, les mains sur la tête, Clémentine me suce passionnément. Elle a connu deux orgasmes durant cette séance. Il y a de la pisse parterre. Je la tiens fermement par la nuque et sous le menton pour lui éjaculer au fond de la gorge. Les yeux en larmes, toussant, Clémentine tente de s'arracher à ma poigne de fer. J'attends de débander un peu. Je me retire pour lui pisser à la gueule en rugissant.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont fait baiser, qui se sont fait éjaculer dans la bouche, qui se sont fait pisser au visage...

Maître Julien (Pour de faux)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1903 -



Nous sommes contents de retrouver Juliette

Il est presque six heures, hier matin, mercredi. L'illusion parfaite de nous réveiller dans un port de pêche. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Le cri des mouettes, la sirène du gros bateau qui résonne gravement dans le lointain. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. À mon oreille, comme si c'était un secret, elle murmure : << Je vous aime mon doux "Maître". Vous vous occupez si bien de moi ! >>. Des bisous, des papouilles. Impossible de s'attarder davantage. Il faut pisser. Nous nous précipitons aux toilettes.

Morts de faim, dans nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse les oranges, je pèle nos kiwis. J'adore voir Clémentine saisir les tranches expulsées du grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. << J'aime être livrée à vous mon doux "Maître". Je demande une récidive le plus tôt possible ! >> me confie Clémentine en venant manger sa tartine de miel sur mes genoux. Elle rajoute : << Fais gaffe, je suis aussi amoureuse ! >>.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant Juliette qui doit venir passer la soirée avec nous. C'est à son tour d'emmener le repas. C'est toujours une double surprise. Comment sera son attitude ? Qu'aura t-elle préparé ? Il est 6 h25. Nous enfilons les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur, sous un ciel gris, nuageux. C'est parti. Une heure d'un running des plus agréables. La douche. Je descends pour préparer la voiture. Clémentine vient me rejoindre. Il est presque 7 h45. Elle se blottit dans mes bras. Bisous.

Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre. Je fais notre vaisselle, notre lit avant de passer dans l'atelier. J'étale la grande bâche pour y poser les huit toiles. Je prépare la peinture acrylique "Terre de Sienne" que j'applique très diluée avec un pinceau large. Cette émulsion de pigments a la particularité de sécher très vite. Je peux étaler la seconde couche dès le huitième support traité. J'aborde toujours cette occupation sous un angle ludique. Il ne me faut pas plus d'une heure pour réaliser ces dernières couches d'impression. C'est parfait.

Les dessins préparatoires restent parfaitement visibles sous le voile "Terre de Sienne". Cette couche d'impression a deux fonctions. La première étant de fixer de façon définitive les couches de peinture à l'huile qui viendront la recouvrir. La seconde étant d'harmoniser les teintes et les couleurs. Cette technique s'est développée à partir du XVIème siècle jusqu'au XIXème où elle a disparu d'abord chez les fauvistes puis chez les impressionnistes. Ce qui explique l'état parfois terni des couleurs qui ont perdu tout leur éclat. C'est préjudiciable.

Il est dix heures. Je recommence l'opération avec huit nouvelles toiles vierge. Une première couche d'impression. D'un des grands cartons d'archives, je tire les calques de huit anciennes réalisations. Cette fois ce sont des scènes de genre à trois personnages. Il me suffit de changer quelques détails en reproduisant le dessin pour en faire des originaux. Il est 11 h55 quand j'en ai reproduit trois. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Je prépare une belle laitue dont je lave les feuilles. Pour midi et pour notre repas de ce soir.

Dans la poêle je fais dorer un filet de colin avec des champignons. C'est rapide. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit aujourd'hui un politologue et un général des armées. Il y est question des évènements dramatiques en Ukraine. Évènements qui ont la particularité d'enrichir encore davantage quelques financiers internationaux qui ont tout intérêt à ce que les situations s'enveniment et empirent. Sur Sud Radio, station indépendante, les choses peuvent êtres dites, révélées sans êtres censurées.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors, je dévale les escaliers. Le ciel est bas et nuageux. Tous les dégradés de gris offrent les déclinaisons les inspirantes. Je prend quelques photos. Elles seront utiles pour la réalisation des cieux des prochains paysages. Je vais jusqu'à la rivière. J'aime ce climat très particulier. La fraîcheur matinale a fait place à une certaine douceur. Mon travail m'attend. Me voilà de retour dans l'atelier. Je m'attelle à mes cinq dessins préparatoires restant. C'est un plaisir instantané.

Il est seize heures quarante cinq quand je termine. Il ne me reste plus qu'à étaler les deux couches d'impression. Je termine exactement au retour de Clémentine. Il est presque 17 h30. Elle se précipite pour se blottir dans mes bras. Je la soulève pour la faire tourner. Elle enserre ma taille de ses jambes. << Comme tu m'as manqué ! Surtout après ce que tu m'as offert hier soir ! >> dit elle entre les bisous qu'elle dépose sur mon visage. Clémentine a encore du travail. Je l'emmène pour la déposer à la table, devant son ordinateur. Elle s'en amuse.

Je reste debout derrière elle à lisser ses cheveux. Elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Je dépose une bise dans sa nuque avant de la laisser à ses fiches, à ses notes. Je quitte l'atelier. Clémentine me lance un regard tristounet. Je pose mon index sur mes lèvres en disant : << Je reviens ! >>. Je vais au salon. Du tiroir du bas du bureau je tire le collier canin, le foulard de soie et la laisse. Je rejoins Clémentine absorbée dans ses révisions. Sans un mot, debout derrière elle, je passe le foulard autour de son cou. C'est doux.

Ce foulard de soie protège sa peau de toute irritation. Je place le collier canin. Clémentine ouvre Quick Time sur son MacBook Pro. Elle peut ainsi se voir sur l'écran. Regarder ce que je fais. Je fixe la laisse à l'anneau du collier. Je me penche pour murmurer à son oreille : << Ma douce "Soumise", veuillez continuer vos travaux ! >>. Elle attrape mon poignet. Celui qui tient la laisse, pour que surtout je ne me sauve pas. Je donne un à coup sur la laisse en disant : << Je vais aller ranger mon bordel ! >>. Elle me lâche. Je vais plier la grande bâche.

Je recommence cette opération demain. Il me reste huit paysages à préparer. J'aime entendre Clémentine commenter ce qu'elle fait. Tout en étant extrêmement concentrée elle peut se mettre à chantonner. Je suis assis dans le vieux canapé de velours carmin à feuilleter un livre d'Art lorsqu'elle s'écrie : << Ras le bol ! >>. Il est presque 18 h30. Elle se lève, range ses classeurs, éteint l'ordinateur pour venir me rejoindre. À deux mètres, elle s'arrête pour se mettre à genoux en me tendant la poignée de la laisse. Je me lève pour la saisir. Un à coup.

J'ordonne : << À quatre pattes ! C'est l'heure de la promenade ! >>. Clémentine s'exécute avec la célérité du bonheur que cela lui procure. Je la promène ainsi dans toute la grande pièce. À chaque coin de meuble, contre les pieds de la table ou des chevalets, elle lève une cuisse. Je passe ma main entre ses jambes pour palper vulgairement l'endroit de son sexe. La musique imbécile de mon téléphone. Cela met un terme à la "promenade". Clémentine se lève d'un bond pour s'en saisir. << Juliette ! Elle est arrivée ! Sors ta queue ! >> lance t-elle.

C'est Clémentine qui me la sort. Elle m'entraîne par la main. Nous accueillons Juliette. Ce soir encore Juliette porte sa tenue de travail. C'est à dire son pantalon beige et hyper moulant d'écuyère, ses hautes bottes de cuir noir, un sweat brun clair moulant. Je la débarrasse du grand Tupperware qui contient la surprise. Clémentine la débarrasse de sa veste de fin lin noir. Juliette porte ses longs cheveux noirs en natte posée sur son épaule gauche. J'admire cette silhouette incroyablement athlétique. Cette cambrure de reins. Belle bourgeoise de 48 ans.

Juliette fait mine de ne pas voir ce qui pend de ma braguette. Par contre elle félicite Clémentine pour l'accessoire qu'elle porte autour du cou. << Ça vous va si bien ! >> lance t-elle. Clémentine me tend la poignée de la laisse que je saisis. Nous passons à la cuisine. Juliette a préparé une magnifique tarte à l'aubergine et à la courgette. Il suffit de la réchauffer au four. Clémentine prépare l'assaisonnement pour la laitue déjà lavée. Juliette met les assiettes, les couverts. Je viens me placer derrière Clémentine pour l'enserrer de mes bras. Trop bien.

Juliette nous raconte sa journée de chef d'entreprise. Il ne reste plus que six chevaux en pension. Ce qui soulage considérablement la charge de travail de ses quatre employés. << Vivement les vacances ! >> s'écrie t-elle à plusieurs reprises. La sonnerie du four. Juliette, appuyée contre le buffet, les bras croisés, se précipite pour enfiler une manique. Elle dit : << N'allez pas risque de vous brûler ! >>. Elle pointe son index sur mon sexe. Juliette a donc vu ce qui pendait de ma braguette. Cette discrétion toute féminine. Elle s'accroupit devant le four.

Rien ne m'excite davantage que la vision d'une femme, accroupie, me tournant le dos. Clémentine me fait un clin d'œil avec un geste masturbatoire. Je comprends immédiatement. Je me branle doucement dans une semi érection. Je sais bien que Juliette m'observe dans la vitre du four car elle met curieusement longtemps avant d'en ouvrir la porte. Elle tourne soudain la tête pour m'adresser le plus délicieux des sourires. Nous mangeons de bon appétit en nous racontant les derniers évènements. Pas un seul instant nous n'évoquons Julie. Le film.

Juliette nous raconte quelques une de ses frasques. << De la nouvelle queue ? >> demande Clémentine. << Non, je me contente de celles qui sont au haras ! >> répond t-elle. Nous rions de bon cœur. Juliette éprouve toujours un plaisir qu'elle ne dissimule plus depuis longtemps à nous raconter ses petites aventures dans les écuries. Je me branle sous la table. Il m'est totalement impossible de me lasser des histoires de Juliette. Tout comme Clémentine nous adorons l'écouter narrer ses anecdotes. << Le directeur de la clinique vétérinaire ! >> lance t-elle.

<< Mahdi, vous savez le grand Black du Gloryhole ! >> rajoute Juliette à l'attention de Clémentine qui s'écrie : << Monsieur "gros machin" ! >>. Nous rions aux éclats. Je me lève pour me masturber en direction de Juliette qui raconte les coups de queues que lui offre ce monsieur. << J'adore sucer sa bite. Mais il préfère me la fourrer. Dommage, je passerais bien volontiers plus de temps à me la savourer ! >> rajoute t-elle en fixant le mouvement régulier de la "veuve poignet". Clémentine dit : << Je m'en souviens bien. Un goût très particulier ! >>.

Lors du Gloryhole offert à Clémentine pour son anniversaire, la queue de Mahdi faisait partie des cinq qu'elle a sucé. << Un must n'est-ce pas ? >> lance Juliette. J'écoute les deux coquines échanger leurs impressions. La vaisselle. Nous passons au salon. Juliette vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, la jambe droite posée sur l'accoudoir, se touche. Clémentine, serrée contre moi sur le canapé, joue avec ma queue. Je tiens la laisse au plus court. J'y donne de temps à autre un à coup. J'écoute bien avantage que je ne parle. C'est super excitant.

Surtout que Juliette est très loquace ce soir. Cela fait deux semaines qu'elle n'est pas venue. Nous éprouvons la même satisfaction. << Un Gloryhole avant l'Écosse ? >> propose t-elle à Clémentine qui me consulte du regard. Je dis : << C'est une invitation qui ne se refuse pas ! >>. Clémentine me masturbe en me faisant une bise sur la joue. << Je vais y réfléchir ! >> finit elle par répondre. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Je me lève. J'entraîne Clémentine par la laisse. Je viens m'accroupir devant Juliette qui se touche depuis une demi heure.

La couture centrale de son pantalon d'écuyère qui sépare les lèvres charnues de sa vulve me fascine toujours. Deux petites bosses de chaque côté que je malaxe délicatement entre mon pouce et mon index. La poignée de la laisse à mon poignet, Clémentine reste à genoux à ma droite pour me masturber. Juliette me fait le plus adorable des sourires en disant : << C'est une de vos délicatesses qui me manque ! >>. Nous rions de bon cœur quand je me redresse. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à son auto. Je tiens Clémentine par sa laisse.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire pénétrer, tenue à la laisse, avant d'aller sucer sous les draps. Un bon dodo...

Maître Julien (Pour de semblant)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1904 -



Encore une soirée à deux

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Le cri strident des oiseaux de mer. Les moteurs de ce chalutier qui s'éloigne. Les voix des marins qui se hèlent en anglais. Pas de doute, l'application "océan" nous projette dans un futur proche. L'illusion de nous réveiller dans un port de pêche quelque part en Écosse. Clémentine vient se blottir contre moi comme pour chercher un réconfort. Tout en murmurant des propos incompréhensibles qui nous font rire. Bisous, papouilles. Clémentine tente une traduction. Nous nous précipitons aux toilettes en riant.

Morts de faim dans nos tenues de sport nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle les kiwis. Comme en effectuant un tour de magie Clémentine attrape les tranches qu'éjecte le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite de Juliette hier soir. << Tu te souviens de ses histoires graveleuses au haras ? >> demande Clémentine. Je réponds : << Je me souviens surtout de sa proposition d'un gloryhole avant notre départ pour l'Écosse ! >>. Il y a un silence. Elle pose sa main sur la mienne.

<< Je vais y réfléchir. Si je laissais parler mes instincts, j'aurais pas mal de bites à sucer avant de partir ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur. Il est 6 h25. Nous enfilons les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement sous un ciel aussi gris et couvert que hier. C'est parti pour notre heure de jogging. Le long de la rivière. Au retour, une bonne douche. Je descends pour sortir la voiture du garage. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue de son jeans, de sa veste de lin cintrée sur un T-shirt brun, de ses baskets. Il fait plutôt doux.

Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Sous des coins de ciel bleu que laissent apparaître les nuages. Je rentre pour faire la vaisselle, le lit. Dans l'atelier, j'ai mes dessins préparatoires qui m'attendent. Huit paysages que je reproduis d'après les calques d'anciennes réalisations. C'est un labeur qui prend la matinée. Il est 11 h55. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de la tarte aux aubergines et aux courgettes de Juliette. Je fais une salade de carottes. Dans la poêle un filet de flétan et des champignons.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états, reçoit un sociologue. Dans son émission d'aujourd'hui, il est question du Jubilé de la Reine Élisabeth II. Étant moi même sujet de sa gracieuse majesté, j'écoute religieusement. C'est le règne le plus long de l'histoire. 70 ans sur le trône d'Angleterre et sur celui de quinze autres pays. Sans évoquer ceux du commonwealth. J'écoute avec passion. Même si je suis écossais la Reine reste une personnalité fascinante. Elle a toute mon admiration et est un peu notre icône à nous.

Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare un coulis de tomates. Dans la même poêle je fais revenir des ronds de calmars encore congelés. Ça tire énormément de flotte. Je rajoute au coulis. J'égoutte les coquillettes pour les verser dans un plat carré en terre cuite. Je recouvre d'un mélange œufs, crème fraîche, moutarde à l'ancienne et lait de soja. Une grosse couche de gruyère de Comté. De la chapelure avant de disposer au four pour une cuisson lente à 180°. Hors du feu je couvre la garniture d'un couvercle. Ce sera notre repas de ce soir.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelque pas, je dévale les escaliers. Quelle surprise, le ciel est entrain de se dégager et il fait bien chaud. Il y a tellement de cerises sur notre cerisier que je récupère un grand panier en rotin. Je sors l'échelle double du garage. C'est un plaisir rare que de cueillir de gros bigarreaux presque noirs. Craquants sous la dent, délicieusement sucrés et juteux. Je remplis le panier avec facilité. Demain, confiture de cerises, tarte au cerises. Je reste sous le cerisier une bonne heure. Deux paniers.

Le ciel est devenu bleu. Plus que quelques traînées blanchâtres. Il fait chaud. Je range l'échelle avant de rentrer avec mes paniers bien lourds. Je mets des cerises dans une assiette creuse. Je descends les deux paniers dans le cellier, à la cave. Le meilleur endroit pour les conserver bien fraîches. Je retourne dans l'atelier en mettant l'assiette sur la table de travail. Dans l'écuelle ronde en métal chromé je prépare la peinture acrylique fortement diluée. Deux couches de "Terre de Sienne" sur les toiles. Les dessins préparatoires restent visibles.

Voilà mes vingt quatre toiles qui sont prêtes à êtres recouvertes de leurs couches supérieures à l'huile. Dès septembre je pourrai me remettre au travail. C'est un peu mécanique. Je ne sais toujours pas si je vais continuer à exploiter ma galerie d'Art. Ma passion reste intacte. Je ne m'en lasse pas. Mais ce sont ces échéances qui commencent à me fatiguer. J'aimerai peindre en dilettante, sans pression. C'est sur ces réflexions qu'arrive Clémentine. Il est 17 h30. Elle pose son cartable sur le fauteuil à bascule pour se précipiter dans mes bras.

Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. Je l'emmène s'assoir devant son ordinateur. << Oh, des cerises ! >> lance t-elle en découvrant l'assiette. Elle en goûte une en s'écriant : << Waouh, mais c'est une véritable pâtisserie ! >>. Clémentine a encore du travail. Tout en dégustant ses cerises, entourée de ses notes, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle ne viendra pas ce soir non plus. Il faut absolument qu'elle bosse pour le Master ! >> dit elle un peu tristounette.

Je suis debout derrière Clémentine à lisser ses longs cheveux noirs. << Mmhh, j'en ai besoin, ça me détend ! >> fait elle en saisissant mon poignet de sa main libre. Elle m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordinateur. Je relève ses cheveux pour déposer de délicates bises dans sa nuque. Ce qui la fait frissonner un peu. Je la laisse afin de ne pas la perturber. Je quitte l'atelier pour aller au salon. Du tiroir du bas du bureau je sors le collier canin, le foulard en soie et la laisse. Je reviens dans l'atelier. << T'étais où ? >> fait Clémentine en écrivant.

Je reste à distance. J'agite le collier en cuir brun, le foulard et la laisse. Clémentine s'écrie : << Oh oui ! J'aime vos initiatives mon doux "Maître" ! >>. Je pose le tout sur le vieux canapé en velours carmin. Je range les huit toiles dont la seconde couche d'impression a séché. Je plie consciencieusement la bâche afin qu'elle prenne le moins de place possible. Rangée dans le bas de l'armoire qui contient mes ustensiles de peinture. Je suis confortablement installé dans le canapé à feuilleter mon livre d'art. J'écoute Clémentine commenter ce qu'elle fait.

Soudain elle se lève pour venir me rejoindre en sautillant. Elle jette un coussin au sol avant de s'y mettre à genoux. Bien droite. Fière. Les mains posées sur la tête. Je comprends. Je me lève. Je passe le fouloir en soie autour de son cou. Ainsi, en y fixant le collier canin, le cuir n'irritera pas sa peau. J'y attache la laisse. Le regard plein de reconnaissance, Clémentine me fixe en restant ainsi, immobile. Je m'éloigne afin d'admirer cette scène à la fois surréaliste, merveilleuse et très évocatrice de ce qui nous attend ce soir. Clémentine se redresse.

Elle me fait une bise sur la bouche avant de retourner à ses révisions. J'aime l'entendre chantonner tout en étant concentrée sur son labeur. Il est 18 h45. << Là, j'en ai vraiment marre ! >> s'écrie t-elle. Pourtant après le repas il faudra encore consacrer un peu de temps à la finalisation du mémoire à rendre demain matin. De sa qualité dépendra une note pour le Master II. Cette rédaction est donc d'une importance cruciale. Je comprends pourquoi Estelle préfère rester à travailler chez elle. Clémentine me tend la laisse en se touchant.

Je la saisis. Je donne un à coup. J'ordonne : << À quatre pattes ! >>. Clémentine s'exécute immédiatement. Je l'entraîne ainsi. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Aux montants des portes Clémentine lève la cuisse. Je l'emmène devant la vitre de la porte du four. Elle découvre le gratin de coquillettes. J'allume le four à pleine puissance. << Mmhh ! Génial ! >> s'écrie t-elle en se redressant. << Je t'aime ! >> fait elle en se blottissant dans mes bras. Clémentine prépare la salade de concombre. Je mets les assiettes et les couverts. Il fait faim.

C'est insolite de voir Clémentine se mouvoir dans la cuisine avec son collier canin et la laisse qui pend sur sa braguette. Je ne peux m'empêcher de venir me placer contre elle, dans son dos, mes bras autour de sa taille pour lui murmurer des douceurs. La sonnerie du four. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le week-end prolongé qui nous attend. Lundi de Pentecôte étant un jour férié nous avons tout un tas de projets. Les parents d'Estelle viennent manger dimanche à midi. La réalisation du quatrième film avec Julie. Joli programme.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur ses cours, ses révisions. Ses angoisses devant l'échéance de son Master II. Je la rassure. << En prenant de l'âge je trouve que je m'inquiète davantage ! >> dit elle. Je précise : << Pourquoi t'inquiéter. Ce n'est pas l'âge, c'est l'importance de cet examen. Tu vas passer ce cap avec panache et tout le reste n'est que péripétie ! >>. La vaisselle. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons avec tant de fougue. La salive coule.

Clémentine me tend la poignée de la laisse. J'ordonne bien inutilement : << À quatre pattes ! >> qu'elle est déjà dans l'action. Je donne un à coup. C'est comme ça que nous retournons dans l'atelier. J'emmène Clémentine à sa table de travail. Je suis debout derrière elle à caresser sa tête. Mes doigts comme des peignes que je passe dans ses cheveux. Clémentine se remet à ses écrits. Je la laisse pour retourner m'installer dans le canapé. Je l'entends chantonner, maugréer, fulminer parfois contre ses notes qu'elle n'arrive pas à relire.

Il est 21 h. << Fini ! >> s'écrie t-elle. Le bruit de l'imprimante pendant qu'elle range ses affaires. Telle une actrice de théâtre déclamant son texte, Clémentine tourne autour de la grande pièce en lisant sont mémoire. << Dis-moi ? >> me demande t-elle. J'applaudis en la félicitant pour ce travail. Je réponds : << Comment veux-tu ne pas gagner une nouvelle fois. C'est tellement bien ! Tu aurais entrepris des études de Lettres Modernes comme Julie sans rencontrer la moindre difficulté ! >>. Clémentine se met à genoux sur le coussin toujours encore au sol.

Elle pose sa feuille sur les tomettes du carrelage pour me tendre la laisse. Je me lève pour la saisir. << J'aurai ma récompense mon bon "Maître" ? >> demande t-elle avec le regard soudain suppliant. Je sors ma bite que je frotte sur son visage. << Mmhhh ! >> n'arrête t-elle de gémir en se touchant, une main dans son jeans. J'ordonne : << Déshabillez-vous ma douce "Soumise". Que je vous récompense comme il se "doigt" ! >>. Clémentine se couche au sol pour retirer tous ses vêtements. À une vitesse incroyable pendant que je me masturbe.

Je retire mes baskets, mon jeans, Pour me coucher sur elle. Je reste en appui sur mes bras afin de ne pas peser de tout mon poids. Clémentine saisit mon érection pour se l'enfiler doucement. Nous nous fixons. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Centimètre par centimètre. Me voilà enfoncé jusqu'aux couilles. Nous adorons rester immobiles. Ce sont toujours dans ces moments d'une intensité folle que Clémentine me confie ses secrets de filles. Elle se masturbe tout en me racontant ses émois, ses fantasmes, ses désirs, ses envies.

J'écoute religieusement car ses révélations participent de mon plaisir. Je me mets à bouger doucement. Nous nous berçons ainsi longuement. Je murmure : << Viens, on monte, on continue sous les draps ! >>. Je me retire. Clémentine reste accrochée à mon cou. Je la soulève comme une jeune mariée. C'est comme ça que nous montons dans la salle de bain. << Je suis folle amoureuse de toi Julien ! >> s'écrie t-elle, la bouche pleine de crème dentifrice. Nous rigolons comme des bossus quand elle tente de dire autre chose. Rituels pisseux.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont faire l'amour sous les draps, aimées passionnément par un amant fougueux...

Julien



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Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après plus de 1905 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis cinq ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement.

Clémentine et Julien

Classe

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Classe - 1 - Tous droits réservés - © -2022 - Épisode 1905 -



Tartes et confitures de cerises

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Ce sont les moteurs de ce chalutier rentrant au port qui nous tirent de nos sommeils. L'application "Océan" nous offre encore l'illusion de nous réveiller en bord de mer. Le cri des mouettes vient parfaire la magie. Clémentine vient se blottir tout contre moi. Quelques papouilles, quelques bisous. L'impérieux besoin naturel est odieux. Nous nous précipitons vers les toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves.

Je ne me souviens jamais des miens. Aussi j'écoute avec beaucoup d'intérêt tout en pressant les oranges, en pelant les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le collier canin et la laisse que Clémentine adore que je fixe à son cou. Je promets d'emmener ces accessoires avec nous en Écosse cet été. Nous mangeons de bon appétit en riant de nos frasques sexuelles. Il est 6 h25. Nous mettons les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur. C'est parti pour notre heure de jogging sous un ciel voilé mais lumineux.

La douche. Je descends le premier pour préparer la voiture. Le vendredi Clémentine termine à midi. Comme souvent cela la rend très déconneuse. Elle vient me rejoindre en sautillant. Vêtue d'une jupe carmin légèrement évasée aux genoux, sa veste de fin lin marron sur un T-shirt brun. Ses mocassins. Elle me saute au cou. Il est presque 7 h45. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Le soleil fait une timide apparition. Par contre il fait doux et très agréable.

Je rentre pour faire la vaisselle, le lit. Je passe dans l'atelier pour contempler le travail de ces deux derniers jours. Vingt quatre toiles prêtes à êtres peintes. C'est serein et rassuré que je retourne à la cuisine. Les deux pâtes feuilletées mises dans le bas du réfrigérateur hier sont à point. Je cherche les deux paniers de cerises dans le cellier à la cave. Dans une grande casserole je mets du sucre roux. Je verse les cerises du premier panier dans l'évier emplit d'eau. Je laisse tremper en remuant de temps en temps. J'étale les pâtes feuilletées sur la table.

Il faut dénoyauter les cerises. Un labeur qui va me prendre une grande partie de la matinée. Je m'y attelle avec résignation. Le résultat en vaudra la peine. Pas un seul vers dans les fruits. Il est presque onze heures quand les deux tartes aux cerises sont au four. Quand je remplis les dix grands bocaux que je stérilise à l'eau bouillante. De la bel ouvrage, selon la tradition et surtout selon la façon de faire de ma grand-mère. Il y a fort longtemps. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner.

Il suffit de réchauffer le reste du gratin de coquillettes au four à micro ondes. Clémentine prépare la salade de carottes en me racontant sa matinée. La remise de son mémoire et l'oral de deux minutes pour le présenter. Tout s'est très bien passé. << Estelle me prie de t'embrasser partout. Elle est impatiente de nous retrouver demain à 13 h30 ! >> me précise t-elle. Dans la poêle je fais revenir deux dos de cabillaud blanc. Je concocte une sauce au Roquefort. C'est rapide. Dans la cuisine règne l'odeur des tartes et des confitures. Un bonheur.

Je mets les assiettes et les couverts sur la table dans la véranda. Nous mangeons de bon appétit en révisant le programme de ce week-end prolongé. Nous traînons à table. Depuis les grandes baies vitrées nous admirons les eaux miroitantes du bassin. Le ciel est bleu. Le soleil joue à cache cache avec quelques nuages. Pourtant là-bas, au-dessus de l'horizon, le ciel est menaçant. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie sa joie de se retrouver seule avec moi ce soir encore. << J'aime. Tu t'occupes si bien de moi ! >>

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Il est décidé de faire une bonne promenade avant l'arrivée de Julie vers 16 h. Julie qui vient prendre son cours de peinture. Et surtout achever le second "portrait" de mon sexe. Nous en rions de bon cœur en dévalant les escaliers. Je suis en bermuda kaki, en chemise hawaïenne, en baskets. Clémentine porte une de ses robes d'été. Mauve à petits motifs floraux jaunes et rouges. Ses baskets. Nous sortons au soleil.

Nous descendons jusqu'à la rivière. Main dans la main, sur l'étroit sentier, Clémentine parle de son Master II. Cet examen qui va sanctionner six ans d'études. Dernière épreuve avant celle du Doctorat d'ici deux ans. Souvent elle s'arrête pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je passe ma main sous sa robe. Le contact lisse et chaud de sa culotte en coton me procure les plus douces émotions. Clémentine fourre sa main dans ma braguette ouverte. << Tu me mets le collier et la laisse avant que Julie n'arrive ? >> me demande t-elle, espiègle et mutine.

Nous arrivons au vieux lavoir. Assis sur le muret du bassin vide, nous évoquons le séjour en Écosse qui nous attend. Deux mois dans mon pays. Nous irons revoir la demeure que nous avons en projet d'acheter à Édimbourg. Clémentine revient souvent sur la possibilité de nous y installer dès l'automne. << Je peux très bien préparer mon Doctorat là-bas ! >> précise t-elle une fois encore. Comme ses études nécessitent une maîtrise parfaite de l'Anglais, elle ne redoute pas cette particularité. Nos fréquents séjours en Écosse le favorisent d'ailleurs.

J'ai la bite à l'air. Clémentine me la tord dans tous les sens en parlant. J'ai ma main dans sa culotte. C'est divin de nous toucher en parlant de tout à fait autre chose. Une habitude vieille de plus de cinq ans. Nous prenons le sens du retour. Clémentine veut se consacrer à ses révisions. L'examen se déroule sur une semaine mais principalement le mercredi 22 juin et le jeudi 23 juin. Jours cruciaux et déterminants. Nous voilà dans l'atelier. Je procède au rangement minutieux de mon matériel. L'inventaire des tubes de peintures et des pinceaux.

Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, ses classeurs ouverts. Je quitte l'atelier. Dans l'encadrement de la porte je mets l'index sur ma bouche. Je fais un clin d'œil à Clémentine. Au salon, du tiroir du bas du bureau, je tire le foulard de soie, le collier canin et la laisse. Je rejoins Clémentine en lui montrant les objets. Je perçois le soudain frisson qui l'agite sur sa chaise. Debout derrière elle, je passe le foulard en soie autour de son cou. J'y fixe le collier canin dont le cuir ne risquera par d'irriter sa peau. J'y attache la laisse.

Je lisse ses cheveux lorsque trois coups timides sont frappés contre la porte. Julie, toute radieuse vient nous rejoindre. Elle porte un pantalon clair de fin coton. Un simple T-shirt crème. Ses baskets. Trois bises à Clémentine. Trois bises sur mes joues. Julie aussi connait les affres de la préparation d'un examen. Son DEUG de Lettres Modernes. Elle s'en libère un peu en se confiant à Clémentine. Je les laisse pour préparer le chevalet de table. J'y pose la toute petite toile qui sera probablement achevée tout à l'heure. Julie contourne la table.

Elle s'installe sur la chaise pour préparer les couleurs sur la palette. Je passe derrière Clémentine. Je la tiens par la laisse. Julie vient de se rendre compte de ce que Clémentine porte autour du cou. J'agite la poignée de la laisse dans sa direction en disant : << Ça ne vous donne pas des idées pour les réalisations d'un prochain film ? >>. Elle reste silencieuse, dubitative avant d'ouvrir de grands yeux pétillants de malice. Je sors ma queue. Je bande mou. Clémentine y dépose un rapide bisou avant que je vienne prendre la pose devant le chevalet.

Julie se met à peindre. Sur le tableau le tissu du pantalon est noir. Cela importe peu car Julie finalise le "portrait" avec tous les infimes détails qui vont en faire une œuvre hyper réaliste. Elle excelle dans cette discipline. Parfois, j'agite mon sexe dans sa direction. Clémentine, rêveuse, observe la scène pour se détendre quelques instants. Avant de replonger dans ses révisions. Dehors, soudain, tout devient sombre. Pas de doute. Un orage ne va pas tarder à éclater. Je propose de prendre le thé et les petits gâteaux. La collation de dix sept heures.

Sur la plaque électrique de l'atelier, je fais bouillir l'eau. Je surprends le regard de Julie qui ne cesse de lorgner sur mon sexe. Il pend un peu lamentablement de la braguette de mon bermuda. Elle vient me rejoindre pour mettre les tasses sur le plateau. Avec quelques crêpes dentelles bien sèches et roulées en forme de cigare. J'écarte les pans de ma chemise hawaïenne pour bien montrer ma bite. Julie observe toujours comme si c'était la toute première fois. Clémentine me fait un clin d'œil en léchant suggestivement son stylo. Je bande mou.

Julie s'installe sur un des poufs devant la table basse. Je vais chercher Clémentine que je ramène tenue à la laisse, à quatre pattes. Julie, comme animée de frissons, observe cette scène surréaliste sans pouvoir dissimuler le profond trouble qui l'envahit. Assise à mes côtés dans le vieux canapé, Clémentine joue avec ma bite tout en savourant une crêpe qu'elle trempe dans son thé. Julie fait pareil. Les filles parlent de leurs études. De leurs examens. Une certaine angoisse commune qu'elles partagent devant cette épreuve. J'écoute. Clémentine me branle.

<< Je termine ce tableau avant 18 h ! >> lance Julie en passant à un tout autre sujet. Je demande : << On retourne à nos petits plaisirs ? >>. En disant cela je tends la poignée de la laisse à Julie qui, après un instant d'hésitation, s'en empare. C'est elle qui emmène Clémentine à qui j'ordonne : << À quatre pattes ! >>. Quand Julie découvre les attitudes de Clémentine qui lève la cuisse aux coins de chaque meuble elle ne peut cacher l'excitation qui la gagne. Elle emmène Clémentine pour faire tout le tour de la grande pièce. En y prenant un plaisir neuf.

Elle me consulte du regard. Je dis : << Ça vous plairait ? >>. Julie s'écrie : << Vous me l'avez déjà passé autour du cou. Vous vous souvenez ? Un soir à la cuisine, pendant le repas ! >>. Je m'en souviens très bien. Clémentine en s'asseyant devant son ordinateur, fait : << Le sujet d'un prochain film ! >>. Julie en s'installant devant son chevalet lance : << Oh oui ! Je vais composer un scénario pour ça ! >>. Je prends la pose. Il est 17 h45 quand ma "portraitiste" dépose la dernière touche sur la surface de son chef-d'œuvre à présent terminé.

Je viens me placer derrière elle. Mes mains posées sur ses épaules. Je me penche en avant. Mon visage tout près de celui de Julie, nous scrutons sa réalisation. C'est époustouflant de réalisme. Bien supérieur à la meilleur des photos. À son oreille je dis : << Félicitations Julie. C'est impressionnant. C'est digne des plus grands. Vous avez de l'or dans les doigts ! >>. Julie m'écoute religieusement. Je peux entendre le souffle de sa respiration. Ma proximité participe de ses émotions. De cette excitation que je sens à fleur de peau. C'est presque émouvant.

La toile devra sécher quelques jours avant que Julie ne puisse la récupérer. Elle la laisse sur le chevalet de table que je met sur l'étagère du haut. Là, elle ne risque rien. Julie, pleine de reconnaissance, dit : << Merci pour toutes ces choses merveilleuses que je vis ici, avec vous ! >>. Je la prends par ses frêles épaules pour déposer un baiser sur son front. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Ce soir Julie fait la serveuse dans le restaurant de sa tante. Elle revient demain matin, puis demain soir pour rester avec nous jusqu'au lundi en soirée.

Assise au volant, la vitre baissée, Julie regarde la main de Clémentine qui tient fermement mon sexe. Avec l'excitation une goutte de liquide séminal perle sur la peau fripée du prépuce. Clémentine lui tend ma queue. Julie a un mouvement de recul. En démarrant elle lance : << Vivement demain ! Je vous aime ! >>. Nous la regardons partir. Un dernier coucou sous les premières gouttes de pluie. Nous nous dépêchons de rentrer. << J'ai envie de faire l'amour Julien. Tu m'excites à être aussi vicieux avec nos visiteuses ! > lance Clémentine.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire baiser, tenues à la laisse, dans tous les recoins de la maison. Puis au lit...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1906 -



Une journée faite de petites surprises très plaisantes

Il est presque huit heures. Comme c'est agréable de dormir un peu plus longtemps le samedi. Clémentine vient se lover contre moi en murmurant : << J'aime tes initiatives. Mais depuis quelques jours, j'en raffole ! >>. Mon amour fait évidemment allusion à mon comportement de "Maître". Un maître d'opérette. Elle saisit mon érection matinale pour m'entraîner aux toilettes. Morts de faim, dans nos shorts et T-shits en lycra, nous dévalons les escaliers en baskets. Clémentine fait le café. J'ouvre le portail depuis l'interphone de l'entrée.

Je la rejoins dans la cuisine pour presser les dernières oranges, peler le derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos jeux du "Maître" et de sa "Soumise". << Tu en auras une autre ce week-end ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit tout en révisant le programme du week-end. Julie arrive. Bien en avance et trop impatiente de se retrouver auprès de nous. En jeans, un sweat brun, ses baskets. Elle nous fait la bise. Ses longs cheveux fixés en catogan. Sans ses lunettes d'étudiante.

Il est 8 h25. << Allez faire votre running. Je m'occupe de tout ! >> dit elle. Nous déposons chacun une bise supplémentaire sur son front avant de sortir. Ce matin il fait déjà lourd. Un climat orageux. Le ciel est voilé mais lumineux. Même si par endroits il est plus sombre. Quelques mouvements d'échauffement. Avec la pluie de cette nuit, il est préférable de monter pour courir sur le bord de la route. Une heure d'un jogging des plus gratifiants. La douche. Clémentine porte une de ses robes d'été, des sandalettes. Je suis en bermuda et T-shirt.

On entend l'aspirateur quelque part à l'étage. Julie a déjà fait notre chambre. Elle a même déjà installé son lit. Celui qu'elle va occuper jusqu'à lundi. Clémentine me fait : << La deuxième "Soumise" ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche en palpant la braguette en tissu léger de mon bermuda kaki. Elle m'entraîne par la main. Nous dévalons les escaliers pour sortir. En traversant le jardin on s'arrête au cerisier pour déguster quelques fruits. Les bigarreaux sont exquis. Craquants sous la dents. Offrant leurs jus en explosant dans la bouche.

Voilà la camionnette qui descend lentement le chemin pavé. Danièle au volant qui nous fait un grand sourire. Danièle n'est jamais très bavarde. Une jeune femme plutôt réservée mais extrêmement dynamique. Du hayon arrière du véhicule elle tire les habituels deux grands cageot. Nous les récupérons. L'un contient nos fruits, nos légumes. L'autre contient les fromages, les œufs, les yaourts, le beurre, les petits pots de crème fraîche. Nous rendons les deux cageots consignés de la semaine dernière. La même commande pour samedi prochain.

Paiement par carte. Danièle a bien d'autres livraisons jusqu'au début de l'après-midi. Nous la saluons. Voilà le tube Citroën de notre boulangère. Madame Marthe, toujours hilare a pourtant ce matin une mine fatiguée. Nous récupérons les deux grosses miches de pain, les deux pâtes feuilletées, la brioche au pudding et la dizaine de bouchées à la reine. Les deux croissants aux amandes offerts en cadeau. Nous avons l'explication de la mine un peu défaite de la dame. Un décès dans sa famille. Paiement par carte. Même commande pour samedi.

Nous contournons la maison pour descendre à la cave. Sur les étagères du cellier nous disposons les fruits, les légumes. Du congélateur où je dépose une miche de pain, les pâtes feuilletées et les bouchées à la reine, je sors un paquet de moules, deux sachets de petits pois, de haricots verts. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie qui s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine nous aide à ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Avant de la laisser à son ménage nous déposons une autre bise sur son front. Nous quittons pour aller au salon.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. Le premier concerne les locations d'un camping car à la fin du mois de juillet. Comme tous les ans nous irons parcourir les petites routes sinueuses du nord de l'Écosse dans un van. Deux fois une semaine d'aventures. Tout est enregistré et en ordre. Un mail de Juliette qui nous invite à manger chez elle mercredi prochain. Un courriel d'Estelle qui nous fait part de son impatience de nous retrouver dès 13 h30. Clémentine répond. Je sors une petite enveloppe jaune du tiroir du haut.

J'y glisse un billet de 50 euros. Clémentine y rajoute un petit mot gentil que je signe d'une fleur stylisée. Elle surfe un peu sur le site de l'université. L'inscription au concours aura lieu à la mi septembre. L'admission aux deux années de la préparation au Doctorat. << Put-hein, deux examens à deux mois d'intervalle. Heureusement qu'il y a le break écossais ! >> lance Clémentine. Julie vient nous rejoindre. << Vous voilà dans une maison bien propre ! >> dit elle. Nous nous levons pour contourner le bureau. Je lui remets la petite enveloppe jaune.

Clémentine prend Julie par ses épaules : << Si tu savais comme on est contents de savoir que tu reviens ce soir ! >>. Julie, comme amoureuse saisit Clémentine à la taille pour s'écrier : << Pas autant que moi ! Mais je vous quitte demain matin à 11 h30 pour aller chez mes parents. Je reviens vers 14 h ! >>. Il est 11 h30. Nous la raccompagnons jusqu'à sa Clio rouge. Un dernier bisou. Nous la regardons s'en aller. Un dernier coucou avant de se dépêcher de rentrer. Le ciel s'illumine mais reste laiteux. Il fait lourd. C'est comme en plein été.

Clémentine fait la salade. Une belle laitue dont elle lave chaque feuille. Je porte à ébullition le bouillon dans lequel je verse le paquet de moules encore congelées. Dans le wok je vide les sachets de petits pois, de haricots verts congelés. Ça tire de la flotte. Aussi je récupère avec la louche. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises en nous murmurant des douceurs, des cochonneries. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les présences de Julie. << On va en faire notre mascotte sexuelle, tu vas voir ! >> lance Clémentine. Nous rions.

Je demande : << N'est-ce pas déjà le cas ? >>. S'asseyant sur mes genoux en dégustant son yaourt, Clémentine répond : << À chacune de ses visites, les choses se précises. Ce week-end on tente une nouvelle expérimentation. J'ai ma petite idée ! >>. Je sais pouvoir faire confiance à l'imagination débordante de la fille que j'aime. Nous traînons un peu avant de débarrasser pour faire la vaisselle. Clémentine me sort la queue. C'est en la tenant fermement qu'elle m'entraîne dans les escaliers. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres.

<< Que les gens que j'aime s'attendent au meilleur ! >>. C'est la voix d'Estelle qui ouvre la porte de la salle de bain. Elle se précipite vers moi. Ça fait plusieurs jours que nous ne nous sommes pas vu elle et moi. Elle m'attrape par la bite. J'ai encore de la crème dentifrice autour des lèvres. Estelle se place derrière moi sans lâcher mon sexe pendant que je me rince la bouche. Ma tête contre celle de Clémentine. << Tu m'as manqué ! >> s'écrie Clémentine. Je me retourne en demandant : << Tu t'adresses à ma bite ou à moi ? >>. Nous éclatons de rire.

Estelle a emmené son sac de sport. Il contient ses vêtements de change pour le week-end. Posé sur le tabouret elle en tire son pyjama de soie mauve, sa tenue vélo. Nous nous changeons en faisant les clowns. En prenant des poses absurdes devant le grand miroir de l'armoire. Le diffuseur d'arôme libère les dernières effluves de magnolia. À la fin de son ménage Julie allume toujours tous les diffuseurs. Ça sent tellement bon partout dans la maison. Clémentine porte sa jupette "tennis" kaki. Un T-shirt carmin. Estelle et moi, en shorts coton beiges.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, des pommes, des barres de céréales. Nous sortons. Du Kangoo d'Estelle je tire son vélo. << Papa a tout vérifié ! >> précise t-elle en mangeant quelques cerises. Je vérifie le gonflage des pneus des nôtres. C'est parti. 300 m jusqu'à la rivière. L'étroite passerelle en bois. 500 m jusqu'à la piste cyclable. Un léger vent de Nord Est nous pousse. Nous l'auront probablement de face au retour. Curieusement nous ne croisons pas grand monde. Le soleil fait son apparition.

Nous pouvons rouler côte à côte en bavardant. Les filles ont pris une décision. Interdiction de parler Master, études et révisions. Il y a dix kilomètres jusqu'au cabanon de l'écluse. Pas de chance. Un beau bateau blanc s'y trouve. Un agent VNF manœuvre les portes. Nous continuons. << On pisse au port. Il y aura peut-être une excellente opportunité ! >> dit Clémentine. << On s'entraîne pour l'Écosse ! >> fait Estelle. Il est 15 h15 quand nous arrivons au port de plaisance. Il y a du monde. Les joueurs de boules, des plaisanciers. Promeneurs.

Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie fermée. Clémentine retire sa culotte qu'elle glisse dans la poche avant du sac à dos. Nous traversons la route pour aller à la supérette. Pas trop de clients. Ce qui permet à la gérante de bavarder un peu avec nous. Elle nous donne le programme des festivités à venir. Demain, c'est la fameuse course des "caisses à savon". Cette compétition réservée aux amateurs de véhicules "maisons" souvent en bois, sans moteurs. Le départ aura lui au sommet de la colline.

L'arrivée se fera sur le quai. Trois aller retour pour chaque compétiteur. Ces manifestations organisées par le bourg voisin sont toujours de grands succès. Il faudra s'attendre à une affluence record. Si la météo se met de la partie évidemment. Nous choisissons nos glaces préférées. Trois pots Haagen Dazs. 250 gr de pistache, de nougat et d'amandes. Assis sur le muret, les pieds dans le vide, nous dégustons nos douceurs glacées. Un régal. Nous adorons échanger les goûts. Une cuillère à moka de glace dans la bouche avant de nous embrasser.

Une fois Clémentine. Une fois Estelle. C'est super bon et super excitant aussi. Là-bas, un cycliste vêtu façon "tour de france" pousse son vélo. Il vient vers ici. Il longe l'allée en regardant les boulistes. Lorsqu'il jette un coup d'œil vers nous, Clémentine écarte ses jambes. La vue doit être exquise et parfaite car notre sportif ouvre de grands yeux. Estelle murmure : << Regardez comme ça le trouble ! >>. En effet, pour être certain de ne pas rêver, le quidam s'arrête pour regarder par ici une nouvelle fois. Clémentine relève une jambe. Vue d'enfer.

Un pied posé sur le muret, il est impossible de ne pas avoir une vue parfaite sur sa chatte hyper poilue. De quoi déstabiliser tout un peloton de coureurs cyclistes s'apprêtant à faire le col du mont Ventoux. Notre privilégié mâte une troisième fois. Estelle et moi nous faisons mine de regarder ailleurs. Elle pose sa main sur ma bosse. Les exhibitions de Clémentine me font toujours bander. Je me mets facilement à la place de la pauvre victime. Le type finit par s'en aller. Estelle propose de laisser Clémentine seule. De nous planquer un peu plus loin pour voir.

Clémentine s'écrie : << Non, ne me laissez pas. J'ai un autre "plan" ! >>. Elle se lève. << Je vais l'attirer vers les chiottes. Allez-y déjà, j'arrive ! >> dit elle. Estelle me prend par la main. Nous descendons l'escalier pour nous diriger vers les bâtiments des sanitaires. Pas de chance. Le samedi les fourrés avoisinants sont le lieu de rendez-vous des D'jeunes du bourg. Scooters, casquettes, capuches malgré la chaleur et nuisances sonores de toutes natures. Ce qui dissuade de traîner là. Les autorités font pourtant le nécessaire. Chaque week-end.

Clémentine contourne les bâtiments pour prendre le chemin qui longe le canal. Nous la suivons à une centaine de mètres. << Là, le mec ! >> me fait Estelle en montrant le cycliste. En effet, le type semble suivre cette sublime jeune fille qui marche lentement, les bras croisés. Il y a quelques pêcheurs. Deux beaux bateaux de plaisance attendent leur tour devant la dernière écluse. Il fait lourd. D'imposants amas nuageux s'accumulent sur l'horizon. Pas de doute, l'orage sera pour ce soir. Estelle et moi restons à longer les fourrés qui nous cachent.

Nous sommes presque à la hauteur de Clémentine. Elle s'arrête. Estelle lui lance : << Coucou, on est cachés derrière toi ! >>. Clémentine se retourne. Elle ne peut pas nous voir. De plus le soleil l'éblouit. Par contre elle aperçoit le cycliste qui pousse son vélo en faisant mine de flâner. Il s'arrête même pour bavarder avec un pêcheur. Clémentine se positionne entre deux buissons. En faisant très attention aux orties qu'elle piétine pour les aplatir et surtout aux ronces. Penchée en avant, elle guette. Estelle et moi planqués à une dizaine de mètres.

Notre coureur du "tour de France" se pointe nonchalamment. C'est un jeune type. Environs la trentaine. Athlétique, un peu dégarnit. << Il arrive ! >> lance Estelle en me serrant la queue. Nous restons tous les deux cachés. Serrés l'un contre l'autre. J'ai ma main dans sa culotte. Le quidam ne s'attendait certainement pas à cette surprise. Là, sur sa gauche, cette jeune fille accroupie qui semble pisser. Nous voyons Clémentine de dos. Impossible de savoir si elle pisse vraiment. Toujours est-il que le jeune homme s'arrête. << Bonjour ! >> lance t-il.

Clémentine porte ses lunettes de soleil. Ses cheveux défaits pour la circonstance masquent son visage. Elle redresse la tête. J'aimerais bien voir ses expressions. Nous regardons celles du type. Je me mets mentalement à sa place. Que ferais-je dans une telle situation ? Probablement comme lui. Le quidam sort sa queue par le haut de son short qu'il tire vers le bas. Une superbe queue d'un bonne quinzaine de centimètres. Fine, bien droite. Il se décalotte en disant : << Excusez-moi, je ne fais que passer, mais c'est trop bien ! Si je dérange ! >>.

Clémentine reste silencieuse. Tout en restant dans cette position elle fixe sans doute le type. Il bande. Depuis notre planque Estelle et moi nous voyons bien et nous entendons bien. Il est impossible de nous apercevoir car le soleil au-dessus de nous est éblouissant. Je sais ce qui se passe dans la psyché de Clémentine. Cette bite, là, à quelques mètres, généreusement offerte. Un type plutôt sympa et poli. Timide peut-être malgré la masturbation lente à laquelle il s'adonne en admirant ce merveilleux spectacle. Estelle aussi me branle. Je la masturbe.

Le cycliste s'approche. Nous l'entendons demander : << Ça vous tente ? >>. Clémentine qui répond : << Quoi donc ? >>. Le gaillard, d'une voix chevrotante, troublé par ce qui se passe, dit : << Une pipe ! >>. Il n'attend pas la réponse. Il s'apprête à tourner les talons pour s'en aller. C'est un gentleman. Les préférés de Clémentine qui le regarde s'en aller. Il fait quelques mètres en remballant son sexe. Il pourrait être vu depuis un des bateaux qui arrivent. Prudence. Clémentine se redresse en lançant : << Au revoir et félicitations, elle est superbe ! >>.

Le mec se retourne. Il tient son vélo et répond : << Merci ! >>. Il accélère le pas pour remonter le chemin de hallage. Nous rejoignons Clémentine. << Curieuse réaction, tu ne trouves pas ? >> lui demande Estelle. << Un timide qui n'a pas osé aller au bout de son désir ! J'étais à deux doigts de lui dire oui ! >> répond Clémentine. Nous remontons le chemin à notre tour. Je passe ma main sous la jupette de Clémentine. Son sexe est baveux. J'ai l'envie folle de lui bouffer la chatte. Elle saisit ma queue raide et dure avant de m'embrasser.

Estelle s'exclame : << Ne prenons pas de risque. On se casse. Regardez ce qui nous attend ! >>. Elle montre le ciel. En effet, de lourds nuages sombres semblent s'approcher. Nous retournons aux vélos. Clémentine remet sa culotte. Estelle me palpe la bosse. << Ça se calme un peu là dedans ! >> dit elle avant de fourrer sa langue dans ma bouche. Nous voilà sur nos machines à pédaler comme des sportifs désireux de remporter l'étape. Nous regardons fréquemment le ciel. Il faut gagner de vitesse sur l'orage qui menace. Qui nous poursuit.

Surtout que le vent a tourné. Il nous pousse en même temps qu'il pousse les nuages menaçants. Cette odeur d'ozone si caractéristique qui précède la pluie. Nous arrivons à la maison pour dix neuf heures. Sous les premiers éclairs qui zèbrent les cieux obscurcis. Les formidables coups de tonnerre. Effrayants et d'une violence inouïe. Ouf. Nous l'avons vraiment échappé belle. La voiture de Julie est devant le garage. À peine sommes nous à l'intérieur qu'un véritable déluge s'abat sur toute la région. Julie accoure. Elle est à la cuisine à préparer le repas.

Nous lui faisons plein de bises. Elle est folle de joie à revoir Estelle. Elle ne cherche même pas à dissimuler ces sentiments amoureux. Estelle, hétérosexuelle à mille pour cent est toujours très embarrassée. Pourtant elle serre Julie dans ses bras. L'odeur nous met en appétit. Julie qui connaît nos habitudes du week-end a concocté une potée de légumes. Dans la poêle des ronds de calmars qui baignent dans la crème. Des champignons. << Je suis arrivée à 18 h. Alors j'ai tout préparé ! >> lance t-elle alors qu'Estelle nous entraine dans la véranda.

Les grandes baies vitrées offrent un spectacle dantesque. Une pluie diluvienne. Des rafales d'un vent qui souffle en tempête. Sous un ciel obscur. Clémentine prend des photos. C'est grandiose. Le déchaînement des éléments est impressionnant. << S'il y a de la grêle, les cerises sont foutues ! >> s'écrie Estelle en glissant sa main dans mon short. Julie ne regarde plus au dehors mais fixe ostensiblement ce que fait Estelle dans mon slip. Elle me jette un œil furtif car elle ne peut pas soutenir mon regard. Elle baisse les yeux après une esquisse de sourire.

Clémentine se retourne pour nous prendre en photo tous les trois. Morts de faim, nous passons à table. << Interdiction de parler "études" durant tout le week-end ! >> lance Estelle. Clémentine se lève. Elle quitte la cuisine en nous faisant un clin d'œil. Elle revient en agitant le foulard de soie, le collier canin et la laisse. Julie a un frisson d'émotion qui la secoue sur sa chaise. << Un éclair vient de te toucher ? >> lance Estelle qui a aussi remarqué ce réflexe. Clémentine me tend les accessoires avant de s'assoir pour continuer son repas. Je les prends.

Je me lève tout en disant : << Julie, nous tenons à vous remercier pour ce repas. C'est tout simplement divin ! >>. Estelle s'écrie : << Tu fais super bien la bouffe ! >>. Debout derrière Julie tremblotante, je passe le foulard de soie autour de son cou. J'y fixe le collier canin. J'accroche la laisse au mousqueton. Julie, immobile, cesse de manger. Ses yeux vont d'Estelle à Clémentine. Je me penche pour murmurer à son oreille : << N'ayez aucune crainte Julie. Laissez-vous aller au plaisir des sens. Comme nous le faisons ! >>. Julie saisit mon poignet.

Je donne une série de légers à coups avant de passer la poignée de la laisse à mon poignet. Je retourne m'assoir. Nous mangeons de bon appétit. Julie ne cache plus sa joie, ses émotions. Elle semble baigner dans un bonheur intense. << On se fait le film demain ? >> demande Estelle. << C'est quoi le scénario ? >> s'enquit Clémentine. Julie baisse les yeux avant de répondre : << J'ai honte. Vous me trouvez stupide et conne n'est-ce pas ? >>. Clémentine se lève pour venir déposer une bise sur son front. Estelle fait la même chose. Moi aussi.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est Estelle qui tient Julie à la laisse. << Viens ! >> dit elle en l'entraînant vers la porte. << À quatre pattes ! >> fait Clémentine. Julie nous regarde, comme paniquée. Elle a pourtant assisté souvent à cette scène lorsque je promène Clémentine à la laisse. Julie finit pas s'exécuter. Estelle dont la nature dominatrice trouve là toute sa dimension, donne plusieurs à coups. Julie lève la tête pour l'interroger du regard. Clémentine me sort la queue. Je bande mou. Nous suivons Estelle qui mène Julie par la laisse.

Clémentine et moi, installés dans le canapé, nous assistons à ce spectacle insolite. Julie promenée à quatre pattes, tenue en laisse par Estelle. Nous sommes encore en tenues cyclistes. C'est donc hautement surréaliste. Alors que Julie est en jeans, T-shirt et baskets. Dehors, la pluie a cessé. Ce curieux paradoxe de fin d'orage. Quand le soleil illumine à nouveau toute chose. Il est 20 h30. C'est une magnifique soirée ensoleillée qui fait place au cataclysme crépusculaire qui l'a précédé. Estelle ordonne : << À genoux ! >>. Julie obéit immédiatement.

Estelle lâche la laisse pour contourner le bureau. Du tiroir du bas elle tire la paire de menottes, les cordelettes de coton blanc. << Debout ! >> lance t-elle. Julie se lève presque d'un bond. << Sur la chaise, dossier entre les cuisses ! >> ordonne Estelle. C'est la première fois que nous découvrons toute l'autorité dont Estelle peut faire preuve avec une authentique "Soumise". Julie est une authentique "Soumise". Nous en avons là devant les yeux la preuve formelle. Elle semble baigner dans une extase quasi mystique. Obéissant à la moindre sollicitation.

<< Je filme ? Tu veux ? >> demande Clémentine accroupie devant la chaise. Estelle fixe les chevilles de Julie aux pieds de la chaise. Les mains menottées derrière le dos, Julie murmure : << Oui ! >>. Clémentine se redresse d'un bond. Elle contourne le bureau pour en tirer la caméra. La batterie est chargée. Elle revient pour s'accroupir. << Moteur ! >> s'écrie t-elle. Estelle, debout à côté de Julie tenue pas ses cheveux, fixe l'objectif. Un sourire carnassier comme pour partager sa pensée "regardez-moi ce trophée". Je reste vautré dans la canapé.

Je me branle comme un fou. De voir ces trois jeunes filles s'amuser ainsi me procure des spasmes. J'ai des décharges électriques dans le dos. Estelle et Julie fixent l'objectif. Clémentine, à genoux, filme. Estelle prend des poses de vainqueur. Elle se tourne vers moi pour dire : << Tu viens faire le pervers ? >>. Je comprends. Je me lève. Clémentine me fait un clin d'œil. Elle se redresse pour s'assoir sur le tabouret qu'elle place à un petit mètre. Je passe devant Julie. Estelle la maintient fermement par ses cheveux. Julie tente de prendre du recul.

Je bande comme un dément. Je m'avance. Je frotte ma queue sur le visage de Julie. Estelle se penche pour lui dire : << Tu apprécies hein, petite salope ! Tu révèles ce soir ta véritable nature ! >>. J'enfonce ma bite dans la bouche de Julie qui pousse un râle de dégout en grimaçant. Le visage d'Estelle tout près du sien elle continue : << Tu as déjà vécu ce genre de truc ? >>. Je me retire pour permettre à Julie de répondre. << Oui ! >>. Estelle demande : << Avec qui ? >>. Julie comme morte de honte murmure : << Jean-Louis le chef ! >>.

Nous nous regardons. << Ainsi il ne se contente pas seulement de t'enculer le salaud, il te fait d'autres trucs ! >> s'exclame Estelle. << Non, pas lui, ma tante ! >> répond Julie en se retrouvant avec ma bite dans la bouche. Nous nous regardons comme effarés. Nous venons d'apprendre une chose nouvelle. Julie est également la mascotte sexuelle du chef cuisinier mais aussi de sa tante. Nous savons qu'Anne-Marie et Julie entretiennent une relation. Mais nous étions loin de nous douter dans quel cadre. Clémentine reste concentrée tout en filmant.

<< On n'en apprend de belles. Tu n'es pas la petite "sainte ni touche" que l'on pourrait imaginer ! >> lance Estelle qui appuie sur sa nuque. J'ai toute la bite enfoncée. Mes couilles ruisselantes de foutre qui battent sur le menton de Julie. Elle tente de se débattre. Estelle lui pince le nez. Julie n'a d'autres alternatives que de pomper. Et elle pompe étonnamment bien. Je me retire à plusieurs reprises. Des filaments de foutre lient ma queue trempée à la bouche de Julie. Elle reprend sa respiration. Tousse, de la bave aux coins des lèvres. Larmes aux yeux.

<< Remets là ! >> me fait Estelle. Clémentine tient la caméra d'une main. De l'autre elle se masturbe. Elle change de main. Cette faculté de rester concentrée. Je tends mon bras pour lui caresser la tête. << Jute ! >> me lance Estelle en maintenant fermement la nuque de Julie. J'éjacule en hurlant. Clémentine a probablement un orgasme. Elle s'agite sur son tabouret. Julie tente d'avaler. Elle pousse des râles. De la jute dégouline de sa narine gauche. Clémentine fait un signe. Nous arrivons à la fin de la batterie. En effet il y a les trois bips sonores.

Plus que trente secondes de film. Je me retire. Estelle se place devant Julie en me poussant. Elle lèche le visage de Julie. Récupère tout le foutre avant de se redresser pour m'embrasser. << Terminé ! >> lance Clémentine. Je remarque que les pieds du tabouret sont dans une flaque de pisse. Pas de doute. Tout en filmant Clémentine s'est offert un orgasme pisseux. Comme à son habitude. Estelle détache Julie qui s'effondre au sol. Je l'aide à se relever. Nous montons tous les trois, totalement épuisés. Nous laissons Julie seule dans la salle de bain.

<< Put-Hein ! Quelles sont vos impressions ? >> nous demande Estelle à genoux dans les toilettes entrain de sucer entre deux jets de pisse. << On s'en doutait ! C'est une authentique "Soumise". Peut-être presque autant que moi ! >> répond Clémentine. Je dis : << Je crois que nous allons au devant de grandes découvertes ! >>. Je me bouffe les chattes de mes deux anges après leurs pissoux. Nous allons dans la chambre. Julie est déjà couchée dans son canapé lit. Elle s'endort en nous lançant un dernier regard plein de reconnaissance.

Bonne nuit à toutes les coquines épuisées par tant d'émotions. Sidérées par tant de révélations. Serrées contre leurs "Maître" d'opérette...

Maître Julien (pour de rire)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1907 -



Yvan et Michèle viennent manger à la maison

Il est neuf heures trente quand nous sommes réveillés par un léger bruit. C'est la porte de la chambre qui vient de se refermer. Julie est probablement allée aux toilettes. Je suis entre mes deux anges. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Le dimanche nous aimons faire la grasse matinée. Estelle est restée accrochée à moi toute la nuit. Là, en gémissant, elle se blottit encore plus fort. Clémentine se serre fort. Je passe mes mains dans les culottes. Mes doigts comme des peignes pour défaire quelques nœuds. Lisser ces touffes fournies.

Estelle lâche mon érection naturelle pour se lever d'un bond. Poussée par l'impérieux besoin naturel elle se précipite vers la porte. Clémentine se couche sur moi pour me murmurer : << Je t'aime Julien. J'ai adoré te voir hier soir avec Julie ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Encore en slips et en T-shirts de nuit, morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle et Julie dans la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café, du pain grillé. Julie a tout préparé. Elle est dans les bras d'Estelle qui semble la consoler. C'est merveilleux.

Nous déposons une bise sur son front. Julie est toute gênée, toute timide. << C'est ce qui s'est passé hier soir ? >> demande Clémentine. << Oui, j'ai honte ! >> répond Julie. Je pose mes mains sur ses épaules pour dire : << Dans ce cas, il n'y a qu'une seule solution. On n'arrête tout, vous ne venez plus et l'honneur est sauf ! >>. Julie lève la tête pour s'écrier : << Oh non, pas ça ! >>. Je précise : << Je plaisantais ! >>. Julie rit un peu nerveusement, toute heureuse que ce ne soit qu'une plaisanterie. << Un petit déjeuner ! >> fait Estelle.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant le repas de midi. Les parents d'Estelle viennent manger à la maison. Nous avons prévu des bouchées à la reine. Nous hésitons sur l'accompagnement. Coquillettes, riz ? Finalement Clémentine propose un gratin de courgettes. Nous applaudissons. Excellente idée. Ce dimanche matin encore la brioche au pudding est d'une délicatesse absolue. Julie n'ose pas affronter mes regards insistants. Juste de furtifs coups d'œil ou de timides sourires. Estelle qui s'en amuse lui demande : << Ton "Maître" préféré ? >>.

Julie, la tête sur son bol de café répond : << Julien ! >>. Estelle et Clémentine se mettent à applaudir. Julie rajoute à l'attention de Clémentine : << Mais tu devrais essayer Jean-Louis. Il n'excelle pas seulement en tant que Chef de cuisine ! >>. Nous éclatons de rire. Estelle s'écrie : << À la bonne heure, tu as retrouvé ton humour ! >>. Nous organisons le programme. Julie rejoint ses parents, ses papys, ses mamies pour 11 h30. Elle ménage la chèvre et le choux. Elle revient pour 14 h. Les parents d'Estelle seront alors déjà repartis.

Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, Estelle et Clémentine reviennent sur le film que veut réaliser Julie. Cette dernière répond : << Non, je préfère remettre. Le film improvisé de hier soir est meilleur ! >> Elle s'adresse à Clémentine pour rajouter : << Merci pour ton initiative ! >>. Estelle propose de nous offrir une soirée cinéma après le repas pour découvrir ces images. << Génial ! >> s'écrie Julie soudain surprise par sa réaction en cachant son visage dans ses mains. Nous rions toutefois tous les quatre.

Julie se lève pour débarrasser. Nous faisons la vaisselle avant de monter nous laver les dents. C'est toujours un spectacle qu'apprécie Julie. Nous voir faire les clowns, partager notre optimisme, nos joies de vivre. Julie et Estelle encore en pyjamas se changent. Clémentine et moi faisons les lits. Estelle et Clémentine portent une robe d'été à motifs floraux. Julie est en jeans, T-shirt. Je suis vêtu de mon bermuda kaki et de ma chemise hawaïenne. Nous dévalons les escaliers pour aller faire quelques pas au dehors. Tout est trempé. Les orages de cette nuit.

<< J'ai entendu le tonnerre. Ça ma réveillé deux fois ! >> raconte Julie au bras d'Estelle qui me tient la main. Nous n'avons rien entendu. Nous dormons toujours telles des enclumes au fond de l'Atlantique. Le ciel n'est pas menaçant mais voilé. Laiteux. Il fait déjà lourd. C'est assez désagréable. Le taux élevé d'humidité dans l'air fait coller les vêtements les plus légers sur la peau. Il est 10 h30. Nous rentrons. Julie insiste pour nous aider. Clémentine fait la salade de tomates et concombre. Estelle lave et coupe en fines tranches deux grosses courgettes.

Dans la casserole je concocte une Béchamel. Julie ouvre les deux boîtes de thon. Elle les fait revenir dans une poêle avec des champignons. Je râpe du gruyère de Comté. Nous bavardons. À chaque fois qu'une des filles en vient à parler études, une autre s'écrie : << Tu as un gage ! C'est interdit ! >>. Julie demande : << Quoi comme gage ? >>. Estelle répond : << Une pipe à Julien ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Quelle surprise d'entendre Julie s'écrier : << J'ai déjà deux gages alors ! >>. Nous rions aux éclats quand je sors ma bite, hilare.

Je sors les deux poches de mon bermuda à présent à l'envers. Je les tiens par les pointes en disant : << Vous connaissez l'éléphant à trompe rose ? >>. Pliés de rire que nous remplissons les bouchées à la reine de la garniture. << Tu ne fais pas ça à ma mère à midi, hein, vieux salaud ! >> me lance Estelle tout en s'emparant de ma queue. Je bande mou. Julie ne cesse de mâter, en louchant le plus souvent. Clémentine qui s'en rend compte me fait des clins d'œil. Le gratin de courgettes et les bouchées à la reine sont au four. Mijotent à 180°.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à son auto. Assise au volant, la vitre baissée, elle fixe mon sexe. Sur la demande d'Estelle j'ai également sorti les couilles. << Très élégant le "trois pièces" non ? >> demande Clémentine à Julie en soupesant mes roubignoles. Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Nous nous dépêchons de rentrer pour préparer la table dans la véranda. Il faut profiter de cette douceur. Là-bas, au-dessus de l'horizon de lourds amas nuageux. Serrés tous les trois, nous évoquons Julie, ses attitudes qui trahissent ses penchants.

<< Elle laisse parfois échapper des trucs qui révèlent sa nature profonde. C'est amusant ! >> dit Clémentine. << Une nature très semblable à la nôtre ! >> fait Estelle en empoignant mon service "trois pièces". Elle rajoute : << Il serait peut-être temps de remballer tout ça ! >>. À peine a t-elle prononcé ces mots que nous voyons descendre la Mercedes des parents d'Estelle. << Je vais les accueillir ! >> s'écrie t-elle en se précipitant pour sortir par la porte vitrée de la véranda. Je remballe bite et couilles alors que Clémentine murmure : << Dommage ! >>.

Yvan est vêtu d'un short semblable au mien. Un T-shirt blanc. Il est aussi athlétique que moi. Nous avons la même taille. Michèle porte une magnifique robe d'été cintrée à la taille. Des sandalettes à légers talons. Une fois encore je suis stupéfait. C'est comme si j'étais en présence de la grande sœur d'Estelle. C'est sidérant. Nous sommes contents de nous revoir. La sonnerie du four. << Je m'occupe du service ! Installez-vous ! >> lance Estelle en enfilant une manique. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant les vacances en Écosse.

Yvan et Michèle ont loué un cottage au sud d'Inverness. Ils y resteront un mois. Ce sera leur base pour visiter le pays en profondeur. Nous leurs feront visiter Édimbourg. Tout cela est palpitant. Nous envisageons quelques visites communes de monuments. Nous avons nos petites habitudes. Nous allons en partager quelques unes. Les parents d'Estelle ont également loué un van pour la semaine où ils seront à Édimbourg et dans le Sud Est de l'Écosse. Nous nous réjouissons pour tous ces projets. Je surprends quelquefois le regard de Michèle.

Sa façon de me fixer par en-dessous. C'est terriblement suggestif. C'est un jeu. Elle connait bien sa fille, aussi elle ne le fait qu'en s'assurant qu'Estelle est occupée à bavarder avec son papa. Ce qui ne l'empêche pas de me donner de violents coups de pied sous la table dès qu'elle s'en aperçoit quand même. C'est devenu un jeu. Même si Estelle me surveille du coin de l'œil. Michèle trouve toujours une parade et une astuce. Cette fois elle prétexte le désir de revoir l'atelier. Elle se lève pour m'inviter à la suivre. << Maman ! >> s'écrie Estelle. Rires.

Yvan et Michèle devront nous laisser pour 13 h45. Ils rejoignent un autre couple pour un projet commun. Nous ne disposons donc que d'un timing réduit. Nous voilà dans l'atelier. Je sais qu'Estelle ne va pas tarder à nous rejoindre. Je montre les 28 toiles destinées à ma galerie d'Art. Michèle est admirative. Accroupie, elle scrute les scène de genre. Les personnages féminins ont les traits de Clémentine et d'Estelle. << Ma fille va devenir célèbre un jour ! >> lance Michèle. Elle lève la tête en écartant légèrement ses cuisses. Elle ne porte pas de culotte.

J'en ai subitement le souffle coupé. Une érection fulgurante. Michèle reste dans cette position en écartant encore un peu plus. Elle aussi porte sa touffe à la "sauvage". Pas de ticket de métro ou autres stupidités à la mode. Elle fixe ma braguette. Je dis : << S'il vous plaît Michèle, réservez-moi quelques belles surprises en Écosse ! >>. À peine ai-je prononcé cette phrase que la porte s'ouvre. Michèle resserre ses cuisses en s'emparant d'une toile. Elle joue à la perfection. J'aime pénétrer la psyché des vicieuses. C'est le bonheur le plus absolu.

Estelle n'est pas dupe. Elle se précipite. Elle regarde ma braguette. Tout est fermé mais déformé par une bosse énorme. Estelle fixe sa mère avec une sévérité rare. C'est certain, elle n'est pas folle la guêpe. Elle agite un index vengeur dans ma direction. Nous rejoignons Clémentine et Yvan dans la véranda. Il y a de lointains grondements de tonnerre. Là-bas, à l'Ouest, au-dessus de la forêt, le ciel est sombre et sinistre. Pas question de faire la vaisselle. Nous profitons du temps qui nous reste pour savourer des coupes glacées avec un bon café. Délicieux.

Nous raccompagnons les parents d'Estelle jusqu'à leur voiture. Une dernière poignée de main. Estelle qui tient son papa par le cou. Nous les regardons partir. Un dernier coucou. Nous sommes invités chez eux le dimanche 26 juin. Ils viendront au vernissage de ma galerie en fin d'après-midi. Nous nous dépêchons de rentrer pour faire la vaisselle. Il reste du gratin de courgettes. Ce sera délicat avec la potée de légumes ce soir. Estelle me pince les fesses à plusieurs reprises en faisant : << Dis moi ce qui s'est passé avec maman dans l'atelier ! >>.

Je la rassure : << J'ai été sage. Je redoute tes punitions ! >>. Elle tire la peau sous son œil droit en disant : << Sage ! Toi ! Espèce de vieux pervers déjanté ! >>. Nous éclatons de rire. Voilà Julie qui revient. Elle se précipite vers nous comme si nous ne nous étions pas vu depuis des mois. Un éclair zèbre soudain le ciel. Un coup de tonnerre d'une violence inouïe. Il se met à pleuvoir des cordes. La nature se déchaîne. Nous restons dans la véranda pour assister à ce spectacle grandiose. Il y a un canapé en rotin dans la véranda. C'est pratique.

Je suis entre Clémentine et Estelle. Julie tout contre Estelle. Estelle palpe ma braguette. Nous parlons de l'Écosse. Les filles racontent à Julie quelques unes de nos aventures écossaises. Clémentine va chercher son ordinateur et le disque dur sur lequel sont téléchargées des milliers de photos. Nous admirons ces magnifiques images en redécouvrant les endroits. Chacune réveille un autre souvenir. Une nouvelle histoire. Julie est passionnée. Nous traînons ainsi. Le ciel s'illumine aussi soudainement qu'il s'est obscurcit. Je propose une balade en voiture.

Les filles préfèrent rester à la maison. Estelle joue avec ma queue. Julie ne cesse de mâter. Clémentine me fait des clins d'œils. L'après-midi se passe ainsi. Entre le salon, la véranda, l'atelier. L'atelier où Estelle admire le "portrait" qu'a réalisé Julie. << Put-Hein, on dirait une photo ! Tu es hyper douée ! >> lance t-elle. Julie, toute timide ne répond rien. Je prends la pose. Estelle place la toile à côté de ma hanche. Toutes les trois comparent le portrait et l'original. << T'as même mis la petite protubérance qui ressemble à une verrue ! >> s'écrie Estelle.

Nous rions aux éclats. Comme il est bon de passer un après-midi à ne strictement rien faire. Clémentine présente des films réalisés en Écosse durant nos séjours. Julie est réellement passionnée par ces images. << Je veux découvrir ce pays un jour ! >> dit elle plusieurs fois assise sur les genoux d'Estelle. Je suis tout contre Clémentine dont je caresse l'entre-jambes. Il commence à faire faim. Dehors tout s'est à nouveau assombrit. Clémentine fait la salade de carottes. Il suffit de réchauffer le gratin de courgettes et la potée de légumes. Un délice.

Nous traînons à table. Ce soir, Julie est assise sur les genoux d'Estelle. Petit brin de femme qui semble toute frêle dans les bras d'Estelle. Clémentine est assise sur mes genoux. Julie se réjouit pour tenir ma galerie d'Art pour la troisième année consécutive. << Deux mois de pur bonheur ! >> précise t-elle. Je la tranquillise. Mon comptable s'est occupé de tout l'administratif. Quand je lui annonce son prochain salaire et le pourcentage sur les ventes, Julie s'écrie : << Vous êtes fou Julien ! >>. Je réponds : << Mais sans vous, je n'exploiterais plus ! >>.

C'est vrai. Lorsque mon oncle a cessé de tenir ma galerie il y a trois ans, pour raison de santé, je n'avais plus l'envie de continuer. S'il n'y avait pas eu Julie, je n'exploiterais plus. La vaisselle. Nous passons au salon. Vautrés dans le canapé, nous nous apprêtons à visionner le film totalement improvisé de hier soir. Aussi j'invite le lecteur à redécouvrir le récit de hier, l'épisode 1906 pour retrouver cette ambiance très particulière. Estelle joue avec ma queue. Clémentine manipule la télécommande. Julie le visage caché dans ses mains est morte de honte.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se visionne un porno "maison". Un film perso, totalement privé, mais hautement branlatoire...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1908 -



Le lundi de Pentecôte, jour férié

Même en essayant d'être la plus silencieuse possible, Julie nous réveille vers neuf heures trente. C'est lorsqu'elle ferme la porte derrière elle pour aller aux toilettes. Je suis entre mes deux anges qui se serrent contre moi. Estelle saisit mon érection matinale d'une main ferme. Clémentine empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. C'est ainsi qu'en ce lundi matin de Pentecôte nous prenons pieds dans la réalité de notre bonheur. L'impérieux besoin ne nous laisse pas grand répit. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>.

Clémentine se couche sur moi en murmurant : << J'aime être seule avec toi ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, dans nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Estelle et Julie sont dans la cuisine. Elles préparent le petit déjeuner en riant. Toutes les deux encore en pyjama. L'odeur du café. Celle du pain grillé. Les parfums du reste de la brioche qui tourne dans le four à micro ondes. Distribution de bisous. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur des moments de ce week-end. Dehors il fait beau. Le soleil est roi.

<< Allez faire votre running, je m'occupe de tout ! >> lance Julie en se levant la première pour débarrasser. << Mais tu n'es pas notre boniche ! >> s'écrie Estelle. << Non mais j'aime m'occuper des tâches domestiques. C'est mon côté "femme au foyer" ! >> répond Julie. Nous rions de bon cœur. Nous remontons toutefois pour nous laver les dents, faire la chambre. Julie retire les draps du sien. Estelle se met en tenue sport. Nous déposons une bise sur le front de Julie avant de dévaler les escaliers. Il fait très lourd. Le sol est encore humide.

Les pluies de cette nuit ne permettent pas d'aller courir le long de la rivière. Quelques mouvement d'échauffement. C'est donc sur le bord de l'étroite route parfaitement déserte que nous pratiquons. Il est onze heures quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Aucun message. Elle surfe un peu sur le site universitaire lorsque Julie entre au salon. << Interdiction absolue de venir à la cuisine. Je prépare une surprise ! >> dit elle. Elle paraît toute menue dans son tablier.

Estelle vient nous rejoindre en robe d'été. C'est à notre tour de monter à la salle de bain. Clémentine porte une robe semblable. Je suis en bermuda et chemisette. Nous descendons rejoindre Estelle au salon. Devant l'ordinateur elle lit les quelques messages privés sur ce forum. Des témoignages plaisants. Ces lecteurs qui nous gratifient de mots gentils. Des lectrices aussi. Qui s'identifient quelquefois à l'une ou à l'autre. C'est Clémentine qui répond par quelques phrases. Estelle fourre sa main dans ma braguette en disant : << Mr l'écrit vain ! >>.

Nous rions de bon cœur. << C'est prêt ! >>. Julie vient nous chercher. C'est qu'il fait extrêmement faim. Nous la suivons. Avec la potée de légumes, il y a des pavés de saumon poêlés. Une sauce aux champignons. Julie se ramasse encore plein de bises de reconnaissance. Elle en glousse de plaisir. Nous la félicitons. Il n'y a plus qu'à s'assoir. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de l'après-midi. Julie devra nous laisser vers 18 h. << Demain il y a école. J'ai encore une tonne de révisions pour mon examen. J'ai la trouille ! >> dit elle.

<< Tu as emmené ton vélo ? >> demande Estelle. << Oui, il est dans le coffre avec la roue avant démontée ! >> répond Julie. Nous traînons un peu à table. Ce repas est délicieux. La vaisselle avant de monter nous laver les dents. Nous mettre en tenues. Quand elle vient passer quelques jours à la maison, Julie aussi emmène des vêtements de change dans son sac de sport. Estelle, Julie et moi, nous sommes en short de coton, T-shirts. Clémentine porte une de ses jupettes "tennis", un T-shirt. Nous prenons des poses ridicules devant le miroir.

Julie qui paraît si petite entre Estelle et Clémentine. Son mètre soixante dix entre les mètres quatre vingt un de mes deux anges. Nous dévalons les escaliers pressés de filer. Du coffre arrière de sa Clio rouge, je sors la bicyclette de Julie pour y fixer la roue avant. Dans le petit sac à dos que je porte, des pommes, des barres de céréales. La bouteille d'eau fixée sur le cadre de mon vélo. C'est parti. 300 m jusqu'à la rivière, l'étroite passerelle de bois, 500 m jusqu'à la piste cyclable. Il faut pédaler contre un fort vent d'Ouest. C'est une vraie épreuve.

Ce vent qui nous poussera au retour est redoutable. Il gâche un peu le plaisir mais apporte une agréable fraîcheur. Il fait lourd. Même si le ciel n'est pas menaçant, l'atmosphère reste à l'orage. Nous croisons nombre de cyclistes, de filles en rollers, de familles en promenade. << Drôle d'idée de se balader sur une piste cyclable ! >> lance Estelle. << Partout ailleurs les chemins sont encore trempés ou boueux ! >> dit Clémentine. De beaux bateaux de plaisance se suivent sur le canal. Pas d'arrêt pipi au cabanon de l'écluse. Un groupe de cyclistes y mange.

Il est 15 h quand nous arrivons au port de plaisance. Même si Julie est beaucoup moins sportive que nous, son coup de pédales est vigoureux. Nous fermons les vélos à cadenas derrière le cabanon de la capitainerie fermée. Julie ouvre de grands yeux en regardant Clémentine enlever sa culotte pour la glisser dans le sac à dos. << J'anticipe ! >> précise t-elle. Estelle palpe ma bosse en disant : << Nous avons nos petits rituels toujours avec nous ! >>. Il y a du monde. Les joueurs de boules bien sûr, mais également des familles, un clébard.

Il y a des clients dans la supérette. Julie et Estelle restent dans la file à nous attendre en caisse. Clémentine et moi allons choisir nos pots de Haagen Dazs. Ces glaces délicieuses que nous adorons. Ce seront les parfums nougat, amande, pistache et vanille pour Julie. Nous les rejoignons juste à temps. Ce stratagème permet de ne pas devoir attendre au risque de faire fondre nos précieuses délicatesses. C'est assis sur le muret habituel, les pieds dans le vide, que nous savourons nos glaces. Je suis entre Estelle et Clémentine. Julie aux côtés d'Estelle.

Tout en dégustant nous observons le quai et son animation. << Je viens quelquefois ici avec mes parents. On venait souvent quand j'étais petite. On montait sur la colline, au vieux cimetière ! >> précise Julie. Elle se penche en avant pour regarder la main exploratrice d'Estelle qui palpe ma bosse. << Ça va encore être difficile pour une exhibe de qualité ! >> lance Clémentine. Je passe ma main entre ses cuisses qu'elle écarte avec un réflexe. Personne ne regarde par ici et en l'air. Clémentine cherche une victime potentiel à son désir d'une exhibe.

Hélas, pas de promeneur solitaire. Il y a bien ce cycliste, là-bas, qui pousse son vélo. << Venez, on va rôder un peu près des chiottes ! >> propose Clémentine. Nous jetons nos pots vides dans une des poubelles. Nous descendons jusqu'aux bâtiments des sanitaires. Ceux réservés aux plaisanciers sont ouverts. Nous y entrons. Personne. Le bruit de deux grosses machines à laver qui tournent. La saison de la plaisance a commencé. Estelle glisse sa main dans mon short en disant : << Que les festivités commencent ! >>. Julie reste bouche bée.

Elle ouvre de grands yeux en regardant partout autour de nous. << Ne t'inquiète pas. Tu es entourée de "spécialistes" de la débauche ! >> lui fait Clémentine. Estelle présente ma queue. Elle se place derrière moi en la tenant à sa base entre le pouce et l'index. Elle l'agite en direction de Julie en disant : << Tu veux goûter la glace à deux boules de Julien ? >>. Julie reste consternée. Un peu inquiète elle ne cesse de regarder vers la porte. Clémentine s'accroupit devant moi. Estelle lui frotte ma bite sur le visage. Je bande mou. Julie reste stupéfaite.

Des voix. J'ai juste le temps de remballer que la porte s'ouvre sur deux couples de plaisanciers. Des séniors. << Vous cherchez quelque chose ? >> nous demande une des femmes. Nous savons que nous n'avons strictement rien à faire ici. Un panneau précise bien "Interdit au public. Espace réservé aux plaisanciers". Sans répondre, nous quittons l'endroit précipitamment, en file indienne. Comme des gamins pris à chaparder des fruits dans un verger. En remontant vers les quais nous rigolons comme des bossus. Ces situations nous amusent beaucoup.

Nous flânons un peu. Estelle et Clémentine me tiennent par la main. Julie est souvent au bras d'Estelle. Nous attirons quelques regards. Nous devinons les interrogations. Suis-je le père de ces trois sublimes jeunes filles ? Nous nous amusons beaucoup de ces situations. Nous montons le chemin qui mène au vieux cimetière, en haut de la colline. Personne n'est plus enterré ici depuis au moins cinquante ans. C'est un site classé et fort bien entretenu. Un haut lieu touristique. Il y a plein de promeneurs car la vue sur le port et ses environs est superbe.

Nous connaissons bien les recoins du cimetière. Ses caveaux de familles dont certains sont ouverts, vides. Les fourrés, les socles de statues qui forment un véritable labyrinthe. Nous montrons à Julie les tombes sur lesquelles nous avons baisés. Les endroits où Clémentine s'est fait surprendre entrain de pisser. Je suis entrain de toucher le sexe de Clémentine quand Julie passe sa main sur ma bosse. Cette initiative me fait pousser un cri d'admiration. Surtout que je bande comme le dernier des salauds. Il faut quand même faire gaffe, il y a des visiteurs.

Estelle me descend soudain le short et le slip de ses mains adroites et précises. Me voilà avec mes fringues à mi-cuisses. Je me sens d'un ridicule ! Julie saisit mon sexe comme elle ne l'a encore jamais fait. << Wouah ! Bienvenue au "Club" ! >> lui fait Estelle qui me choppe les couilles par derrière. Elle s'accroupit. Clémentine se fait doigter en se tenant au montant d'un caveau de famille. Julie me tient fermement le Zob sans oser soutenir mon regard. Je caresse sa joue. Je passe ma main sous sa natte pour glisser mes doigts sur sa nuque. Des voix.

Je remonte mon slip et mon short aussi vite qu'Estelle se redresse. C'est un groupe de promeneurs. Ne jouons pas plus longtemps. Nous quittons l'endroit pour redescendre le chemin. Impossible de donner libre cours à nos envies de sexes. Trop de monde. De toute façon, il faut prendre le sens du retour. Aux vélos, Clémentine remet sa culotte. Il y a deux cyclistes à une trentaine de mètres qui découvrent la scène comme effarés. << Mâtez bien. Mettez-vous en plein les yeux ! >> fait Clémentine tout en prenant son temps. Nous rions aux éclats.

Le vent d'Ouest nous pousse. Il suffit de maintenir l'équilibre. Nous pédalons avec une facilité déconcertante tout en avançant à grande vitesse. Autant de gens sur la piste cyclable au retour qu'à l'aller. Il est 18 h tapante quand nous sommes de retour. Je démonte immédiatement la roue avant de la bicyclette de Julie pour la mettre dans le coffre de sa voiture. Nous rentrons. Julie ne se change pas. Elle récupère son sac de sport. Nous la raccompagnons jusqu'à son auto. La séparation est un peu difficile. Julie revient vendredi après-midi.

Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Estelle me palpe la bosse en disant : << C'est fou comme on s'attache à Julie ! >>. Clémentine fait : << C'est qu'elle est attachante ! >>. Je glisse mes mains entre leurs cuisses. Le contact doux de la culotte en coton de Clémentine. Le contact lisse du lycra du short d'Estelle. Je dis : << Ce soir, après la bouffe, léchage des minous. J'imagine tout ce qu'il y a de succulent au fond de vos culottes ! >>. Elles me couvrent le visage de bisous en riant.

Clémentine fait la salade de tomates. Estelle nous concocte une omelette aux quatre fromages. Je réchauffe le reste de potée de légumes. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. << C'est génial. Demain soir on est à nouveau ensemble ! >> lance Estelle. Nous ne traînons pas. Après la vaisselle nous passons au salon. Trop impatientes de se faire bouffer les chattes, mes deux anges arrachent leurs fringues pour se vautrer dans le canapé. À genoux sur les coussins, je passe d'un minou à l'autre. Il y a là de quoi régaler tout honnête homme.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer le minou après une virée à bicyclette et de nombreuses excitations...

Julien



Classe

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Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1909 -



Le mardi Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Ce sont les cris de ces oiseaux de mer qui nous arrachent de nos profonds sommeils. L'illusion est tellement parfaite que ces cris semblent provenir de la fenêtre. Il y a la sirène de ce gros bateau dans le lointain. Un résonance grave et profonde. Clémentine vient se serrer contre moi. Une cuisse sous mes reins, l'autre sur mon érection naturelle. En se frottant elle murmure : << J'ai rêvé de toi ! >>. L'application "océan" vient encore de nous bluffer par son réalisme. Nous nous précipitons aux toilettes. Urgences.

Morts de faim, vêtus de nos vêtements de jogging, nous dévalons les escaliers. Une fraîcheur dans la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse les oranges, je pèle les kiwis. Afin de leurs rendre du moelleux je passe les deux gros croissants aux amandes dans le four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les épisodes les plus marquants de ce week-end. Clémentine, lorsqu'elle termine à midi, est plutôt facétieuse. Nous mangeons de bon appétit en riant de son imitation de l'accent méridional de Juliette.

Il est 6 h25. Nous enfilons les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. Sous un ciel lourdement couvert, nuageux, nous courons sur le bord de l'étroite route. Les pluies de la nuit ont détrempé les sols. Une heure d'un agréable running et nous voilà de retour. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto du garage. Clémentine vient me rejoindre. Son jeans, ses bottines. Un Sweat sous sa veste de cuir noir. Un dernier bisou. << Réserve-moi une belle surprise >> me dit elle au volant.

Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre pour faire notre vaisselle, notre lit. Je suis dans l'atelier. Il est grand temps de procéder à quelques rangements, à quelques inventaires. Je suis d'un soin maniaque. Presque un trouble obsessionnel compulsif. J'aime que tout soit soigneusement ordonné. Mon atelier ne présente aucun de ces mythes "bohèmes" que l'imaginaire populaire prête aux artistes peintres. C'est à l'image de ma peinture. Net, clair et précis. Je suis abstrait dans ses considérations. Soudain la musique imbécile de mon téléphone.

Je décroche. C'est Juliette. Quelle surprise. En entendant sa voix, je pense aux imitations de Clémentine. Nous bavardons un peu en échangeant des lieux communs. << J'organise un gloryhole avant votre départ pour l'Écosse. Ça marche toujours ? Que diriez-vous du samedi 18 juin ? >> propose t-elle. Je reste un instant silencieux. Je réfléchis. Je finis par répondre : << J'en parle à Clémentine ce midi ! >>. Juliette me rappelle que nous sommes invités chez elle demain soir. Partager un bon repas "surprise". Je la rassure. Nous serons là.

Nous nous saluons. Je raccroche. Je continue l'inventaire de mes tubes de peintures en pensant à cette belle bourgeoise de 48 ans. Exquise salope dont la compagnie n'est jamais ennuyeuse. Il me faut passer commande chez Blockx en Belgique afin de me ravitailler en huiles d'œillette. Précieuse. Il est 11 h30. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais immédiatement bouillir l'eau des coquillettes. Je râpe du gruyère de Comté en quantité industrielle. Je trempe deux filets de flétan dans de l'œuf, puis dans la chapelure avant de les mettre à la poêle.

Dans le reste d'œuf, je rajoute de la crème fraîche, du lait de soja et des dés de Roquefort. Je fais fondre dans une casserole à feux doux. J'égoutte les coquillettes pour les verser dans un grand plat en terre cuite. J'y verse le mélange. Je recouvre du gruyère râpé. Je saupoudre du reste de chapelure. Au four pour une cuisson lente à 180°. Il est midi trente quand Clémentine rentre de cours. << Mmhh, ça sent bon ! >> s'écrie t-elle en se jetant à mon cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous en mitraille.

La sonnerie du four est presque synchrone avec son arrivée. Lorsqu'elle découvre la première "surprise" elle s'exclame : << Trop bien ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Je reviens sur l'appel de Juliette ce matin, ses propositions. Le gloryhole, le repas de demain soir. Clémentine reste silencieuse. Elle pose sa main sur la mienne en disant : << Pour demain soir c'est super. Par contre, pour le gloryhole je ne suis pas enthousiaste. Mon Master II accapare toutes mes capacités mentales, tu comprends ? >>.

Je la rassure. Je comprends parfaitement. << Et puis, avec toi, j'ai tout ce qu'il me faut. On verra en Écosse pour tout le reste. Je vais y réfléchir jusqu'à demain et je donnerai ma réponse à Juliette ! >> rajoute t-elle. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose de faire une liste de tout ce qu'il ne faudra pas oublier avant notre départ. Il y a un programme chargé jusqu'au jeudi 30 juin. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. Rires.

Clémentine m'entraîne par la main. Nous dévalons les escaliers. Nous sortons. Il y a quelques séquences d'ensoleillement. C'est chaud et très agréable. Nous allons jusqu'à la rivière. Clémentine, dans mes bras, me confie le tourment qui l'habite davantage chaque jour. L'échéance de son examen de fin de trimestre. Il est d'une importance vitale. De son obtention dépend la possibilité de se présenter au concours du Doctorat. J'écoute. Son trouble est légitime. Même s'il est totalement infondé. Clémentine est une bosseuse. Risques minimes.

<< Bonjour ! >>. C'est monsieur Bertrand. Notre voisin qui vient donner du vieux pain à ses amis les canards. Qui accours en cancanant. Nous bavardons un peu. Nous l'informons de nos dates de départ et de retour en septembre. Louis nous apprend qu'il entreprend des travaux cet été. La construction d'un mur protecteur du côté de la route et de la rivière. De par notre absence nous n'aurons pas à subir de désagréments sonores. Nous le laissons à ses canards. En remontant, Clémentine me dit : << Lui je le sucerais bien avant l'Écosse ! >>.

C'est en riant de bon cœur que nous allons dans l'atelier. Clémentine a du travail. Ses révisions sont une priorité absolue. Je la laisse devant son ordinateur, entourée de ses fiches pour aller au salon. Du tiroir du bas du bureau je sors le foulard, le collier canin et la laisse. << T'étais où ? T'as pas le droit de m'abandonner ! >> dit elle lorsque je reviens. Elle lève les yeux pour découvrir les accessoires que j'agite. << Tu as toujours les bonnes initiatives ! >> s'écrie t-elle en se levant pour me rejoindre. Bien droite, les bras le long du corps. Silence.

Je passe le fin foulard de soie autour de son cou. J'y fixe le collier canin. Ainsi le cuir n'irritera pas sa peau. J'y attache la laisse. J'ordonne : << À genoux ! >>. Sans se faire prier, trop heureuse de vivre cet instant magique, elle s'exécute. Bien droite, fière, les mains sur la tête, Clémentine me fixe de son regard implorant. Je sors ma bite pour la lui frotter sur le visage. À chaque fois qu'elle veut la gober, j'esquive en disant : << Ma douce "Soumise", vous avez vos révisions ! >>. Je la laisse sucer un peu en donnant quelques à coups sur la laisse.

Je l'aide à se redresser. Accroupis je masse ses genoux. Je la tire par la laisse pour lui faire faire le tour de la grande pièce avant de la faire s'assoir sur sa chaise. Debout derrière elle je lisse ses longs cheveux. Elle m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordinateur. Un bisou sur sa joue et je la laisse à ses révisions. Je déplie la bâche pour y poser huit toiles vierges. J'aime entendre Clémentine commenter ce qu'elle fait. Parfois elle chantonne. Avec un pinceau large, j'applique deux couches de gesso sur les toiles de lin. C'est très agréable à réaliser.

Le gesso est une émulsion de pigment blancs de titane dans une résine acrylique. Cette sous couche permet l'accroche parfaite de la peinture. Plusieurs fois je cesse pour rejoindre Clémentine. Derrière elle, mon visage tout prêt du sien pour lui murmurer des douceurs. Murmurer les cochonneries que je lui destine ce soir. L'après-midi se déroule ainsi. Dehors le ciel est resté maussade. Il y a bien eu quelques apparitions du soleil. Il est 18 h. << Je pète un plomb ! >> lance soudain Clémentine en se levant pour sautiller sur place. Bouger un peu.

J'ai la bite à l'air. Toute molle. Qui pend de ma braguette. Clémentine s'approche doucement en me tendant la poignée de la laisse. Je la prends. J'ordonne : << À quatre pattes. C'est l'heure du pissou ! >>. Clémentine, trop heureuse de retrouver nos jeux, ne se fait pas prier. Je la promène ainsi dans toute la grande pièce. À chaque coin de meuble elle lève la patte. Voilà le spectacle que découvre Estelle en ouvrant la porte de l'atelier. Elle se précipite en s'écriant : << Et moi ! >>. De ma main libre je la saisis par sa nuque pour l'embrasser.

Elle me tient la bite. Je bande mou. Sa langue fouille ma bouche comme une désespérée. Clémentine reste à quatre pattes en nous observant. Estelle cesse pour lui tendre mon sexe en disant : << Nonosse ! >>. Clémentine se redresse pour se mettre à genoux. Estelle lui frotte ma bite sur la gueule. Je me fais tailler une pipe. Embrassé passionnément par Estelle. J'aide Clémentine à se redresser. Accroupis tous les deux. Estelle derrière moi me branle. Je masse les genoux de Clémentine. Elle me caresse la tête. Nous cessons nos égarements.

Les filles comparent leurs travaux de révisions. Cette capacité toute féminine à passer d'une situation follement intense et excitante à la concentration la plus résolue. Je reste un peu comme un con à me branler. Estelle lève les yeux pour me lancer : << Tu as raison de bien te préparer. Ce soir je me sens hyper salope ! >>. Il est 18 h45. Il commence à faire faim. J'ai rangé tout mon matériel. Les filles rangent le leur. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le gratin de coquillettes. J'en ai fait en grande quantité. Le reste de sauce.

Clémentine fait la salade. Estelle fait revenir trois filets de colin avec des champignons. En fin de cuisson j'y rajoute le reste de sauce au Roquefort. Nous mangeons de bon appétit. Les filles restent préoccupées par leurs révisions. J'admire ce côté stratège. C'est impressionnant cette facette féminine d'échafauder des "plans" imparables. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges évoquent l'Écosse. Estelle aussi fait déjà ses valises dans sa tête. Nous rions aux éclats en pensant au surplus de vêtements que nous emportons.

La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. << Tu devrais avoir deux colliers, deux laisses ! >> fait Estelle en saisissant ma queue. Clémentine, à genoux sur un des épais coussins, mains sur la tête, nous observe. Je viens m'accroupir devant elle. Je glisse ma main entre ses cuisses pour la palper vulgairement. Un spasme secoue tout son corps. J'ordonne : << À poil ! >>. Clémentine se redresse d'un seul élan. Elle se déshabille pendant qu'Estelle qui a pris sa place sur le coussin me taille une pipe des familles. Clémentine nous rejoint. Nue.

Je force Estelle à se redresser en lui disant : << Si tu te fout à poil, je te baise aussi ! >>. Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Les voilà toutes les deux toutes nues, juste avec les chaussettes. Installées sur le bureau, les coudes en appui. Je pénètre Clémentine. Quand j'interprète le personnage du "Maître" ça rentre curieusement beaucoup plus facilement. Je passe de l'une à l'autre. Lorsque je les baise, Estelle et Clémentine se masturbent. J'ai les couilles en ébullition. L'orgasme d'Estelle est nucléaire.

Couchée sur le côté, les mains entre les cuisses comme si c'était douloureux Estelle reprend ses esprits en me regardant besogner Clémentine. Elle se lève pour aller chercher la cuvette en plastique à côté du canapé. Elle fait bien car l'orgasme de Clémentine est pisseux. À peine me suis-je retiré, qu'elle se redresse pour pisser dans la cuvette en hurlant de plaisir. Ce spectacle nous fascine toujours. Estelle qui murmure, me tenant par la taille : << Quelle salope ! >>. Elle s'accroupit pour me sucer. Je lui éjacule au fond de la gorge en hurlant.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont fait tringler comme des malades sur le bureau. Avant un bon câlin sous les draps...

Maître Julien (pour de semblant)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
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