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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1664 -



L'habituelle petite baise du mardi soir

Hier matin, mardi, nous sommes tirés de nos sommeils par les cris stridents des mouettes. Il doit y avoir des goélands aussi avec un tel vacarme. L'illusion de se réveiller au bord de la mer est parfaite. Le ressac contre les rochers, le clapotis de l'eau. L'application "océan" n'est probablement qu'un enregistrement sensiblement différent chaque jour. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Comme elle termine à midi Clémentine est déjà d'humeur déconneuse. Son optimisme naturel.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. J'aime l'entendre me raconter ses rêves car elle se rappelle de tout. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur la soirée avec Julie, hier. Nous savourons les deux croissants offerts par madame Marthe, la boulangère, samedi. Passés au micro onde, ils sont délicieux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'attitude de Julie. Sa timidité, sa réserve, ses attitudes.

Il est 6 h25. Nous montons nous offrir notre heure de gymnastique. Aérobic, joggings sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, pompes, charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching prétexte à déconnades. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto. Le jour achève de se lever sous un ciel sinistre. Sur l'instant il ne pleut pas mais tout est trempé. Il fait doux. C'est navrant. Clémentine vient me rejoindre vêtue de son jeans, de son sweat brun sous sa veste de cuir noir, ses bottines marrons à légers talons. Un dernier bisou.

Je regarde la voiture s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre pour faire la vaisselle et le lit. Je vais dans l'atelier. Habité de cette sorte d'euphorie laissée par Clémentine, je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin la suite de cette cinquième œuvre de commande. Je peins animé de ma passion habituelle. La matinée passe tellement vite qu'il est déjà presque midi. Cette toile sera terminée demain soir. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les deux tourtes aux fruits de mer. Je prépare une bonne salade d'endives.

Il est midi vingt. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour me sauter au cou. << Miam, ça sent bon ! >> s'écrie t-elle quand je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. La sonnerie du four. Les tourtes sont dorées à point. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte sa matinée. << J'ai entrevu Mario, l'ouvrier sur son chantier, en rentrant à midi ! >> raconte t-elle. Je propose d'aller nous amuser un peu cet après-midi. << Oh non, pas sous la pluie, c'est trop moche ! >> lance t-elle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine parle de ses cours. De l'intensité du programme de ce premier trimestre universitaire. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Je l'étale dans deux plats à tarte à bords hauts. Clémentine lave et coupe de belles courgettes avec de gros champignons. Je prépare un flan avec de l'œuf, du fromage blanc, de la crème fraîche et de la moutarde à l'ancienne. Clémentine dispose les tranches de légumes en spirale. Je verse le flan dessus.

Une bonne couche de gruyère de Comté que j'ai grossièrement râpé. Clémentine dépose onze cerneaux de noix. Je saupoudre d'un peu de chapelure et de graines de sésame grillé. Au four. Cuisson à feux doux. 180° afin que le tout mijote longuement. Ce sera notre repas du soir et celui de demain midi. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Avec cette météo médiocre, il est décidé de rester à la maison. Nous avons tous les deux du travail. Clémentine m'entraîne dans la chambre pour se changer.

Assis sur le lit, je la regarde prendre des poses devant le grand miroir de l'armoire. En culotte, en chaussettes et en T-shirt. Je viens la rejoindre. Derrière elle, mes bras autour de sa taille, je chuchote des douceurs, des coquineries. << Je t'aime Julien ! >> murmure t-elle à plusieurs reprise en caressant ma tête d'une main. Elle se retourne pour glisser sa main dans ma braguette ouverte. Me voilà avec la bite à l'air. Clémentine, accroupie, sa tête contre ma hanche, ses bras autour de ma jambe, écarte largement ses cuisses devant le miroir.

<< Mon bon "Maître" m'offrira t-il quelques doux châtiments dans les prochains jours ? >> demande Clémentine. Je pose ma main sur sa tête pour répondre : << Ma chère "Soumise" aura droit à une pipe à monsieur Bertrand vendredi après-midi et à un Gloryhole samedi soir ! Est-ce suffisant ? >>. Clémentine se glisse entre le miroir et moi. Elle frotte son visage contre mon sexe en gloussant. Elle tombe à genoux lorsque je la saisis par les oreilles. Imprimant un mouvement régulier du bassin, je me masturbe dans la bouche de la fille que j'aime.

Dans le miroir, je la vois de dos. Cette vision n'est pas seulement excitante mais extraordinairement suggestive. Il faut deviner ce qu'elle fait. L'imaginer. Mais il suffit de baisser le regard pour admirer cette merveilleuse fellation que Clémentine nous offre là. Les joues creusées par l'effort de succion, se maintenant en agrippant mon jeans par les passants du ceinturon, elle me taille une pipe des familles. Je me penche pour murmurer : << Chère "Soumise", cette pipe est une excellente révision de vos compétences pour vendredi après-midi ! >>.

C'est en riant qu'elle cesse pour me dire : << Merci "Maître" de m'accorder des moments de folies avec d'autres bites que la vôtre ! Je vous suis infiniment reconnaissante ! >>. Je l'aide à se redresser. Je lui masse un peu les genoux, accroupis à mon tour. Clémentine met un jeans, ses baskets. M'entraînant par la main, nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Il est presque 14 h. Assise devant son ordinateur, Clémentine se plonge dans son travail en chantonnant. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. J'écoute.

Parfois, l'un se lève pour venir voir ce que fat l'autre. Lui prodiguer quelques douceurs, lui murmurer quelques coquineries. L'après-midi se passe dans cette émulation productive. Il est 18 h30. Du bruit. Nous entendons chanter Estelle qui arrive. Elle entre dans l'atelier comme une bourrasque d'automne. J'anticipe, le pose la palette et les pinceaux sur la desserte à ma droite. Assise sur mes genoux, Estelle nous raconte son après-midi. Tout comme Clémentine elle a mis à profit cette météo pourrie pour travailler à ses cours. Des mises à jour.

<< Tu as été le dernier ses satyres encore hier soir avec Julie, paraît-il ! Clémentine m'a raconté ce matin, en cours ! >> lance Estelle qui se lève pour s'accroupir entre le chevalet et moi. Entre mes jambes. Elle glisse sa main sous ma blouse. << Mais c'est qu'il peint avec la bite à l'air notre vicieux ! >> dit elle en saisissant mon sexe. << Put-Hein, t'es tout trempé mon cochon ! >> rajoute t-elle en déboutonnant ma blouse. Clémentine dit : << C'est les conséquences d'une petite fellation en début d'après-midi ! >>. Estelle avance la tête pour mâter.

C'est toujours très amusant de la voir scruter mon sexe qu'elle tourne dans tous les sens. Elle le décalotte légèrement en gloussant. << Beurk ! Tu as vu l'état de ton chibre ! Je te dis pas l'odeur ! >> s'écrie t-elle avant de le prendre en bouche. Juste la peau du prépuce qu'elle mâchouille pour en sucer le jus. Je peux sentir sa langue tenter de passer entre la peau du prépuce et du gland. Pendant qu'elle se régale, je nettoie ma palette et mes pinceaux. Estelle cesse pour me montrer l'intérieur de sa bouche. Elle se redresse pour s'assoir à califourchon.

Ses bras autour de ma nuque elle me couvre le visage de bisous. Estelle se lève pour aller rejoindre Clémentine. Elles aiment bien comparer leurs travaux. Je retire ma blouse. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. J'écoute les filles échanger leurs stratégies pour les cours de demain. Je reste à une dizaine de mètres. J'agite ma queue molle et dégoulinante dans leur direction. Elles relèvent la tête pour me regarder, silencieuses, avec attention. Ça m'excite toujours. Je sors mes couilles. La braguette faisant garrot, elles sont dodues.

<< Put-Hein, mais arrête de nous tenter vieux salaud ! >> lance Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Clémentine range ses affaires. << Toi, tu vas voir ce que tu vas voir ce soir après la bouffe ! >> fait encore Estelle qui contourne la table pour venir vers moi. Les mains entre ses cuisses, tout en marchant, elle dit : << Tu n'as pas honte de provoquer des jeunes filles innocentes par un comportement de vieux pervers libidineux ? >>. Elle saisit ma queue pour m'entraîner comme par une laisse dans toute la grande pièce.

Clémentine arrive à son tour. Accroupie, elle se met à sucer pendant qu'Estelle enfonce sa langue dans ma bouche. J'aide Clémentine à se redresser. C'est au tour d'Estelle. << Quand je commence à sucer, je n'arrête plus ! >> murmure Clémentine. << Moi pareil ! >> chuchote Estelle qui se redresse. Mes deux anges se serrent contre moi. Je suis pétri d'émotion. Ça fait quatre ans que ça dure. Pourvu que ça dure encore autant. Comme si elle devinait mes pensées, Clémentine lance : << On a pris perpette dans le sexe et le vice ! >>. Nous rigolons.

Il commence à faire drôlement faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la tarte à la courgette et aux champignons. << Miam ! Tout ce que j'aime avec de la queue de vieux vicelard ! >> lance Estelle qui est accroupit devant la vitre du four. Clémentine prépare une salade de carottes. Estelle dresse la table. Je vais de l'une à l'autre pour leurs déposer de délicates bises sur les joues, dans les nuques. Estelle mime une masturbation masculine en me disant : << Ce soir, tu me baises ? J'ai besoin d'une révision pour demain soir ! >>.

Nous éclatons de rire. Clémentine lance : << Tu vas encore te faire tringler par ton parrain à la cave, c'est ça ? >>. Estelle s'écrie : << Oui ! Jean-Marc m'a fait un courriel. Il vient chercher des cartons d'emballages vides. C'est le prétexte des mercredis soirs depuis huit ans ! >>. Nous rions de bon cœur. La sonnerie du four. << Ne va pas risquer de te brûler la queue, je sors la tarte ! >> lance Estelle qui enfile les maniques. Nous mangeons de bon appétit. Ce nouveau rituel des tartes aux légumes du mardi soir est une source de dégustations.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent la soirée Gloryhole qui nous attend samedi soir. << J'aimerais avoir ton courage ! Tu vas te régaler ! >> murmure Estelle à Clémentine. Leurs visages tout près du mien, je scrute leurs expressions. C'est merveilleux de les voir toutes les deux échanger des propos d'une telle intensité vicieuse. << Je ne sais pas si j'aurai le courage ! >> chuchote Clémentine. Estelle rajoute : << Moi, je ne quitte pas Julien d'un centimètre ! >>. Ce qui rassure Clémentine car il y a Juliette.

Nous rions beaucoup. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent par les bras au salon. Elles retirent leurs jeans, leurs culottes, leurs baskets. Je fais pareil. Lorsque Clémentine s'installe seule dans le fauteuil, les jambes posées sur les accoudoirs, cuisses largement écartées en se touchant, c'est pour avoir du spectacle. Estelle se vautre dans le canapé. Je suis à genoux sur un des épais coussins, ma tête entre ses cuisses. Je me bouffe de la chatte de fille négligée. C'est voulu. Estelle me confie souvent le faire exprès.

Je me régale de ses substances. Je suce son clitoris. Tout cela sous les gémissements de plaisir de Clémentine qui nous observe en se masturbant. Estelle aussi se masturbe quand je ne suce pas son clitoris. Elle m'attire sur elle. Je la pénètre délicatement. D'un coup de reins toujours surprenant, elle s'enfile toute la queue. Je la baise comme elle aime. La "machine à coudre". Nous sommes en sueur. Estelle devra partir pour 22 h. Ce qui la motive à s'envoyer en l'air avec toute la fougue dont elle est capable. Son orgasme la fait hurler de plaisir.

Elle me repousse pour se terminer aux doigts de sa main droite. Je me précipite vers Clémentine. Elle tient la cuvette en plastique dans sa main gauche. Elle va atteindre son orgasme pisseux dans un instant. Elle sait ce que je m'apprête à faire. Elle ouvre la bouche en criant. J'y mets la queue ruisselante de mélange. J'éjacule en poussant un cri de néandertalien revenant de la chasse. Nous sommes tous les trois serrés. Je suis entre mes deux anges. Nous reprenons nos esprits. Nous nous habillons. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Pluie.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment s'offrir du bon temps, du foutre, de la baise, des masturbations et des orgasmes fabuleux...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1665 -



Un mercredi soir chez Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque six heures quand l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Cette fois encore le cri des mouettes, la sirène d'un paquebot, le ressac et le clapotis des vagues semblent si réels. Clémentine se serre contre moi pour me faire plein de bisous. << Tu étais dans mon rêve ! >> murmure t-elle. Je suggère qu'elle me le raconte devant de bonnes tartines de miel et de confiture. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Il y est question d'un étang, d'un chantier et même de chevaux. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte les premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en riant de l'invraisemblance du rêve surréaliste de Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre invitation, ce soir, pour 19 h30. Juliette nous attend pour un bon repas. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Un autre plaisir.

Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Retour au calme avec un bon stretching. La douche. Je descends pour aller préparer la voiture sous un ciel couvert et sinistre. Je jour achève de se lever. Tout est trempé. La fraîcheur est plus marquée que hier. Clémentine me rejoint vêtue de son jeans, un pull brun à col roulé sous son blouson de cuir noir. Ses bottines noires à légers talons. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou quand la voiture tourne à droite au portail, en haut du chemin. Il est 7 h45.

Je me dépêche de rentrer. Je descends à la cave pour tirer une tarte aux noix du congélateur. Ce sera notre dessert ce soir. Je fais la vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. Assis devant mon chevalet, je prépare la peinture sur la palette. Je me réjouis de reprendre mon travail sur ce paysage de commande. Avec un peu de chance cette toile sera terminée ce soir. Je peins dans la sérénité des certitudes d'un timing parfait. Ces huit œuvres de commandes seront expédiées à leurs commanditaires au tout début du mois de novembre.

Il est presque midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la petite tarte aux courgettes et champignons de hier soir. Je fais une salade de tomates. C'est rapide. Je mange de bon appétit en écoutant les facétieux propos d'André Bercoff sur Sud Radio. Il reçoit aujourd'hui un de nos politiciens véreux, inutile et bonimenteur qui suscitent tant d'interrogations. Je ne traîne pas. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre un peu l'air, je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. C'est sous la pluie que je sors.

Je reste sur les dalles de grès. Je tiens le parapluie contre quelques coups de vents. Chaque jour davantage de feuilles mortes jonchent le sol. Avec cette pluie elles y collent en formant un amalgame roux. Je descends jusqu'à la rivière. Les 300 m du chemin sont pierreux. Pas de boue. Je regarde la danse des canards en pensant à la chanson ridicule qui soudain me trotte dans la tête. Il y a les poules d'eau, les colverts. Tout ce petit monde à plumes ne se soucie absolument pas de la pluie qui tombe, fine et régulière. Un peu comme un crachin.

Je rentre au sec. Me voilà dans l'atelier. Il est à peine 13 h. Confortablement installé devant mon chevalet, je peins animé du même sentiment que ce matin. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table de travail. Elle se précipite pour me faire des bisous. J'anticipe en posant ma palette et mes pinceaux. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je viens de bavarder un peu avec monsieur Bertrand sous la pluie ! >> dit elle.

Clémentine précise : << Nous avons rendez-vous vendredi après-midi pour 16 h15. Notre voisin n'aura pas plus de trois quart d'heure à nous consacrer ! >>. Nous rions de bon cœur en pensant à cette farce que nous allons encore lui faire. << Il n'arrêtait pas de se tripoter la braguette en parlant avec moi. Le vieux pervers, devant son portail ! >> rajoute Clémentine en riant. Elle a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur. En chantonnant elle tire des feuillets de son cartable. J'aime l'entendre commenter à haute voix.

Il est 18 h pile quand je dépose la dernière touche de bleu de cobalt sur la surface du tableau achevé. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je dépose la toile sur le second chevalet afin qu'elle y sèche. Je dépose la nouvelle sur mon chevalet de travail. Un autre paysage dont le dessin préparatoire et la couche d'impression sont déjà réalisés. Je rejoins Clémentine qui m'explique ce que je vois sur l'écran de son MacBook Pro. Les équations mathématiques affichées me donnent le tournis. Je n'y comprends pas la moindre ponctuation.

Je suis debout derrière Clémentine. Je lisse ses cheveux. << J'adore, Ça détend ! >> dit elle à plusieurs reprises avant de s'écrier : << J'arrête ! >>. Elle range ses affaires, éteint l'ordinateur avant de m'entraîner dans une sorte de tango. Nous parcourons ainsi toute la grande pièce. << Merci Julien ! Je suis heureuse ! >> chante t-elle. Je dis : << Pour ton rendez-vous de vendredi, la pipe qui t'attend ? >>. Nous rigolons comme des bossus quand Clémentine répond : << Aussi ! >>. Nous quittons l'atelier pour monter nous changer.

Nous passons des pantalons noirs à pinces et à plis, des chemises blanches sous nos pulls noirs aux cols en "V". Nos souliers noirs de ville. Nous passons une écharpes de soie crème autour du cou. << Regarde un peu comme on est beaux ce soir tous les deux ! >> fait Clémentine en m'entraînant devant le grand miroir de l'armoire. Nous prenons des poses ridicules en faisant les pitres. Clémentine me sort le Zob. Sur le tissu noir le cylindre de chair est surprenant de netteté. << Tu nous la montres ce soir, Juliette adore aussi ! >> lance t-elle.

<< Autant la laisser dehors pour y aller ! >> s'écrie Clémentine qui m'entraîne par la main. Nous descendons l'escalier pour enfiler nos imperméables. Il y a l'autre miroir à l'intérieur de la porte de la penderie dans le hall d'entrée. Il est 19 h. Nous prenons le grand parapluie. << On prend ma voiture, je l'ai laissé dehors ! >> me fait Clémentine. Je suis prié de conduire. Je roule doucement. Clémentine me tient la bite. Sur ses genoux le Tupperware contenant la tarte aux noix. Il y a un peu plus de trois kilomètres jusqu'au haras. Il fait déjà nuit.

Je gare l'auto dans la cour. Il n'y a plus que la grosse berline allemande de Juliette. Il est 19 h15. Nous sommes attendus pour 19 h30. << Viens, on va voir le "trou" ! >> me fait Clémentine. Nous marchons vite pour traverser la cour. Nous entrons dans le bâtiment des anciennes écuries. Il y a déjà des chevaux qui passent leurs têtes au-dessus des portes basses de leurs box. Nous les caressons. Nous adorons l'odeur. Clémentine m'entraîne jusqu'au fond. Le dernier box. Il y a un cheval. Mais nous apercevons bien le trou parfaitement rond d'environ 6 cm.

L'orifice dans la cloison qui sépare le box du local bureau voisin. Une cloison de planches. << C'est là que ça va se passer samedi soir ! >> murmure Clémentine en prenant ma main. Elle rajoute : << Tu resteras avec moi, hein ! >>. Je la rassure. Je ne veux rien rater du spectacle. << Bonsoir ! >>. C'est la voix de Juliette. Elle a vu la voiture. Elle vient à notre rencontre. Vêtue de sa tenue d'écuyère en tenant un parapluie ruisselant. Elle est souriante, nous serre les mains et nous invite à la suivre. Nous montons dans ses appartements.

J'ai totalement oublié que sous mon imperméable mon sexe évoluait en toute liberté. << Wouah ! Pour une surprise, c'est une surprise ! >> lance Juliette qui tient le Tupperware. << J'ai complètement oublié ! >> lance Clémentine. << C'est un oubli parfait ! N'hésitez pas à en avoir d'autres ! >> fait encore Juliette en m'adressant un clin d'œil. Je consulte Clémentine du regard. Pour dissiper ma dernière crainte, Juliette rajoute : << Gardez-là bien à l'air. J'adore les hommes élégants qui ont cette touche de vulgarité exquise ! >>. Nous rions.

Juliette a préparé des tartelettes aux fruits de mer. Accompagnées de crudités. Il y a de petits bols emplit d'assaisonnement divers. Nous sommes assis à table à bavarder. Juliette nous raconte le quotidien de son entreprise. Chaque jour de nouveaux chevaux arrivent. Ils resteront en pension jusqu'au printemps. << Ce sont pour la plupart les mêmes depuis des années ! Leurs propriétaires sont souvent devenus des amis ! >> confie Juliette. Elle nous parle des entretiens d'embauches pour trouver un second palefrenier. C'est urgent.

<< Je crois que je vais retenir une jeune fille qui veut changer d'orientation professionnelle. De cuisinière elle désire de nouvelles expériences. Je me décide pour vendredi ! >> explique Juliette. La conversation s'oriente toutefois rapidement sur nos préoccupations communes. Le sexe. << Prête et en conditions mentales pour samedi soir ? >> demande Juliette à Clémentine qui répond : << Une légère appréhension, une légère inquiétude mêlées à de la curiosité et de l'excitation. Le tout lié par une certaine impatience ! >>. Nous rions.

Clémentine raconte sa pipe de vendredi dernier. Ces rendez-vous qui vont devenir une constante. Juliette pose tout un tas de questions. Clémentine, avec un luxe de détails, satisfait aux curiosités de Juliette. Elle demande : << Je pourrai essayer le placard avec Julien ? une de vos prochaines fois ? >>. Clémentine s'empresse de préciser : << La place est prise ! >>. Juliette demande : << Estelle ? >>? C'est par un mensonge que Clémentine hoche la tête affirmativement. Juliette et Julie ont vécu une relation il y a deux ans. Inutile d'évoquer Julie.

Cette conversation me procure une de ces érections qui me donnent le vertige. Je me masturbe sous la table. En fixant le mouvement de mon bras, Juliette revint sur la soirée Gloryhole programmée samedi soir. << Tous mes employés sont munis de leurs passes sanitaires. Les invités de la soirée de samedi en sont également munis. J'exige même un test PCR 48 h de chacun d'entre eux. Nous écoutons avec intérêt. Juliette est une femme d'affaire, une capitaine d'entreprise, rien ne lui échappe. Elle se lève plusieurs fois durant le repas.

Sa silhouette est passionnante. Cette sublime bourgeoise de 47 ans offre aux regards une silhouette de rêve. Athlétique, délicatement moulée dans ses vêtements d'équitation. La cambrure naturelle de ses reins. Ses fesses fermes et menues. Ses petits seins qui pointent sous son chemisier crème. Sa longue tresse noire qui flotte jusqu'au milieu de son dos. Il y a surtout cette couture de pantalon qui sépare sa vulve en deux petits bosses. Le triangle de son sexe est affolant de précision sous le tissu beige. Nous observons, nous scrutons. Superbe.

Bien évidement Juliette en joue. Elle aime être regardée, vue et admirée. Ce qui est parfaitement normal avec un tel physique assumé et soigneusement entretenu. Juliette consacre chaque jour une heure trente à un entraînement intensif. << Il n'y a pas de secret, une vie saine, une hygiène alimentaire et un entraînement spécifique ! >> précise t-elle souvent. Nous faisons la vaisselle ensemble tous les trois. Nous portons de petits tabliers. Je fais bouger l'énorme bosse sous le mien en contractant mes muscles fessiers à chacun de ses regards.

Juliette ne s'en prive d'ailleurs pas. Nous retournons au salon pour y prendre une verveine et le dessert. Je reste debout, les mains sur les hanches. Je fais gigoter mon sexe par des contractions régulières. Clémentine s'écrie : << J'adore quand tu fais ça ! >>. Juliette rajoute : << C'est fascinant. Vous avez une superbe queue Julien. Je suis subjuguée à chaque fois ! >>. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Il est 22 h quand nous prenons congé. Nous serons de retour samedi soir pour 19 h30. Juliette nous raccompagne à la voiture.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment regarder les jeux de queue tout en savourant de la tarte aux noix faite "maison"...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1666 -



Le retour d'Estelle en soirée

Hier matin, jeudi, c'est la sirène de ce gros paquebot qui nous arrache de nos profonds sommeils. Le cris des mouettes qui s'en suit achève de nous donner l'illusion d'être dans un grand port. Le bruit du ressac et des clapotis rajoute encore à la perfection de l'ensemble. L'application "océan" est une réussite. Il est presque six heures. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Quelques papouilles avant de nous lever pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Il fait bien chaud. Si le thermostat régule déjà les radiateurs c'est qu'il doit faire froid au dehors. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Dans un claquement sec, le grille pain éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier, chez Juliette. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ses attitudes, ses comportements et ses belles histoires. << A son âge j'espère encore être aussi vicieuse ! >> lance Clémentine. Nous éclatons de rire.

Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement est fort plaisante. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles avec une intensité maximale. Retour au calme avec les étirements d'un bon stretching. La douche. Je descends pour aller sortir la voiture. Il fait vraiment froid ce matin. Le thermomètre extérieur indique 3°. Le jour achève de se lever sous un ciel tourmenté. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre vêtue de son jeans, son pull carmin à col roulé, une écharpe mauve, ses bottines noires.

C'est dans son anorak qu'elle me fait le dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle et le lit. Je vais dans l'atelier. J'allume la cheminée. Je commence ce matin la sixième œuvre de commande. Un autre paysage dans lequel le commanditaire veut situer sa maison. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le gorille" de Georges Brassens. Je peins dans une sorte d'enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes.

C'est la première fois de la saison que la cheminée fonctionne. Le tirage est parfait. Le craquement des bûches de hêtre, les odeurs de la flambée. C'est une véritable journée d'automne. La matinée se passe ainsi. Ma passion dévorante est nourrit par ma peinture. Il est presque midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. A la poêle je fais rissoler un beau filet de lieu noir avec des champignons. Je fais une salade de carottes. C'est très rapide. Je mange de bon appétit en écoutant les pertinence d'André Bercoff.

Sur Radio étant la seule station que je supporte encore une demi heure, je m'amuse beaucoup. La vaisselle. Dans le saladier, je prépare une pâte à crêpe. Je la recouvre d'un linge. A la poêle je fais revenir des crevettes à peine décongelées. Je recouvre d'un couvercle en fin de cuisson. Le nécessaire pour notre repas de ce soir est prêt. Les beignets de crevettes sont une de nos lubies culinaires actuelles. J'égoutte les coquillettes que je verse dans un grand plat en terre cuite. Je recouvre d'une couche de gruyère de Comté, de la chapelure, un œuf.

Au four. Cuisson lente et douce à 180°. C'est tellement meilleur quand ça mijote longuement. Je mets mon anorak. Je sors. Le vent du Nord Est participe probablement de ce premier froid hivernal. Je descends jusqu'à la rivière. Il y a deux magnifiques hérons cendrés qui ont colonisé l'endroit tout comme les poules d'eau, les colverts, les canards. Cette portion de la rivière est calme et dormante sur trois cent mètres. C'est l'idéal pour nos amis emplumés. Il est 13 h30. Je remonte le chemin pour retourner dans l'atelier. Je rajoute deux bûches.

Bientôt je disposerai des châtaignes dans le poêlon à trou. Ce soir, en rentrant, Clémentine sera contente de retrouver un bon feu dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Mes cris de dément résonnent de la même façon. Le craquement du bois. Un véritable enchantement paradisiaque. L'après-midi passe très vite. Il est 17 h30. Clémentine revient de cours. << Génial ! J'y pensais dans la voiture ! >> s'écrie t-elle en posant son cartable sur la table. Elle se précipite.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Le chantier est terminé. Plus de grue, plus d'échafaudage, plus de Mario ! >> lance Clémentine en riant. Elle a encore du travail. Assise devant son ordinateur, elle chantonne en déballant ses documents. J'aime l'entendre commenter à voix haute ce qu'elle fait. Il est 18 h15. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je rejoins Clémentine. Debout derrière elle, je lisse ses cheveux en regardant les équations défiler sur l'écran.

<< J'en ai marre des math ! J'arrête ! >> fait Clémentine. Du bruit. Il est 18 h35. Estelle entre dans l'atelier. Elle se précipite pour me faire des bisous. << Wouah, génial, la cheminée ! >> s'écrie t-elle en sautillant pour aller admirer de près. << Papa a allumé celle du salon ce matin ! >> rajoute Estelle qui revient pour comparer son travail avec celui de Clémentine. Elle glisse sa main dans ma braguette d'un geste devenu machinal. Je la tiens par la taille et Clémentine assise par les épaules. J'écoute. Je n'y comprends rien aux équations de Maxwell.

Clémentine se lève. Elle nous entraîne vers le vieux canapé en velours de l'atelier. Nous y voilà vautrés. Je suis entre mes deux anges. << Racontez-moi votre soirée chez Juliette ! >> lance Estelle qui sort mon sexe. << Après, tu racontes ta soirée baise avec ton parrain ! >> fait Clémentine. Elle narre notre soirée, l'attitude de Juliette. Son look, ses façons de se comporter. Son insistance à réussir la soirée Gloryhole prévue samedi soir. << Juliette sera contente de te voir samedi. Elle nous demande toujours comment tu vas ! >> dit Clémentine.

C'est au tour d'Estelle de nous raconter sa soirée. << Jean-Marc est arrivé vers 20 h15. Juste après la vaisselle. Je l'ai accompagné au dépôt pour l'aider à récupérer les cartons pliés. Ce n'est évidemment que le prétexte qui dure depuis huit ans ! >> explique t-elle. Nous en rions de bon cœur. Estelle continue : << Maman demande depuis longtemps ce que parrain peut bien faire de tous ces cartons qu'il charge dans le coffre arrière de sa voiture ! >>. Tout en parlant, Estelle me tord la queue dans tous les sens. Heureusement que je bande encore mou.

<< On a baisé dans le sous-sol. Il me prend sur la table entre la chaudière et le buffet des confitures. Ça fait huit ans qu'il me baise là. C'est devenu un rituel ! >> raconte Estelle. << Il n'aime toujours pas être sucé ? >> demande Clémentine. << Parfois je le suce dans la voiture comme lorsque j'étais ado ! On fait le tour du quartier à 5 km/h. Mais la pipe ce n'est vraiment pas son truc. C'est un vrai baiseur fou ! >> répond Estelle. Clémentine fait : << Pour ta passion de la pipe, il y a Julien ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Il fait soudain faim.

Il est presque 19 h quand nous quittons l'atelier pour la cuisine. Quand les filles découvrent ce qui est prévu pour le repas, elles sautillent autour de moi en me couvrant le visage de bisous. << Julien, tu es notre maître queue préféré ! >> lance Estelle en saisissant mon sexe pour m'entraîner comme par une laisse. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Estelle allume le feu sous le caquelon qui contient l'huile de friture. Je réchauffe le gratin de coquillettes encore au four. Estelle prépare un grand plat avec du papier absorbant.

Je trempe les crevettes dans la pâte à crêpe. Puis dans l'huile bouillante. Nous les laissons flotter quelques instants. Clémentine les récupère avec l'écumoire. Elle les dispose sur le papier absorbant qu'il faut changer très vite. Il y a rapidement une montagne de beignets qui s'amoncellent dans le grand plat. Nous portons tous les trois des tabliers noués dans le dos. Sous le mien il y a cette bosse que me palpe régulièrement Estelle. Lorsqu'elle ne fait pas << Pouet-pouet ! >> elle dit : << Toucher la bosse du bossu porte bonheur ! >>. Rigolades !

La sonnerie du four. Estelle se précipite pour mettre les maniques accrochées à la hotte. Elle sort un gratin de coquillettes admirablement doré et croustillant. << Miam ! Quel bonne idée ! >> lance t-elle en le posant sur la table. Je dispose les assiettes et les couverts. Une laitue, des beignets de crevettes et un gratin de coquillettes. Je recommande à tous nos lecteurs car c'est un régal. C'est tellement simple à préparer, tellement bon. Certes, c'est encore meilleur en excellente compagnie. Nous mangeons de bon appétit en riant, en bavardant.

Ce soir encore, la conversation reste axée sur le projet du Gloryhole. Estelle ne désire pas participer autrement qu'en restant avec moi. << M'en fou des bites des autres, tant que j'ai la tienne ! >> me dit elle. Elle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. C'est toujours avec cette vulgarité dont elle est coutumière. Clémentine rajoute : << Mais vous restez tous les deux avec moi pendant que j'officie dans le box ! >>. Nous éclatons de rire en promettant de faire de notre mieux. Estelle est une voyeuse extrême.

<< Moi je veux tout de même aller voir dans la pièce d'à côté à quoi ressemble les mecs capables de passer leurs queues dans le trou ! Il faut être un véritable dépravé, un authentique pervers ! >> lance Estelle. << Tout ce que tu aimes ! >> dit Clémentine en mimant une fellation. Estelle rajoute : << Je veux aussi voir ce que fait Juliette. Cette vieille salope va encore faire sa vicelarde. Elle est dans son élément lors de ces soirées déviantes et salaces ! Vous allez voir, elle va en organiser plein cet hiver ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent au sujet plus sérieux de leurs études. Les vacances de la Toussaint commencent le samedi 23 octobre. Les cours reprennent le lundi 8 novembre. << Cette fois, on reste ensemble tout le temps et tous les trois ! >> lance Estelle. Clémentine précise : << Je nous prépare une belle surprise. Un séjour d'une semaine, pas très loin ! Mais je garde encore le secret ! >>. Nous savons pouvoir lui faire confiance. Ses talents d'organisatrice sont sans failles et de parfaites réussites.

La vaisselle. Les filles m'entraînent par le Zob jusqu'au salon. Elles m'arrachent littéralement mes fringues avant de retirer les leurs. Nous sommes tous les trois en chemises à carreaux et en chaussettes. Il fait bien chaud. Vautrées dans le canapé, tenant leurs jambes écartées et relevées sous les genoux, les deux coquines me présentent leurs croupions. Je tombe immédiatement à genoux. Mon dessert m'attend là. Je commence toujours par le sexe d'Estelle. J'aiappris à aimer ses odeurs fortes de fille négligé, ce fromage gluant dans les repli. Miam.

Le gout d'Estelle est particulier. Chaque fille a un gout différent. Je peux encore m'en rendre compte en passant au sexe de Clémentine. Lorsque je fouille leurs vulves, que j'aspire leurs sécrétions, elles stimulent leurs clitos. Quand je suce leurs clitoris, elles me tiennent par les oreilles pour me guider. C'est un concert de gémissements. En pâmoison, elles se tortillent pour chercher les meilleurs angles de jouissances. Je me pourlèche. J'ai le menton trempé de jus de fille. Comme c'est bon et excitant. Je me branle en bouffant de la chatte juteuse.

Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre avec douceur. Elle s'enfile toujours toute la bite d'un coup de reins. Je la baise en tentant d'imiter son parrain. La fameuse "machine à coudre". Je passe à Clémentine qui continue de se masturber en étant pénétrée jusqu'à la garde. En fait, je n'y met jamais la totalité de mes vingt centimètres. Ce serait impossible. Mais ce qui est dedans participe de leurs plaisirs. Estelle jouit la première. C'est au tour de Clémentine. Je lui éjacule dans la bouche. Nous reprenons nos esprits avant de raccompagner Estelle à son auto.

Bonne soirée à toutes les coquines que les conversations libidineuses pendant le repas excitent considérablement avant une bonne baise...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1667 -



Julie vient prendre son cours de peinture

Hier matin, vendredi, nous sommes tirés de nos profonds sommeils par ces insistants cris de mouettes. Le clapotis de l'eau dans l'anfractuosité des rochers. Le bruit du ressac. Cette application "océan" est d'une telle réalité que nous en restons étonnés chaque jour. Il est presque six heures. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gymnastique, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il y fait bien chaud. Un contraste avec notre chambre que nous nous ne chauffons jamais.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le vendredi, Clémentine termine à midi. Ce qui a une certaine tendance à la rendre euphorique. Ce matin encore elle me fait rire en déconnant. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Notre "baise party" avec Estelle. << Il faut qu'on se calme. Les matins sont de plus en plus difficiles ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de notre après-midi.

Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement est vraiment nécessaire. Il faut achever de nous réveiller complètement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles pour revenir au calme avec un stretching bâclé et très déconnant. La douche. Je descends pour aller sortir la voiture. Il fait froid. Il est presque 7 h45, le thermomètre extérieur n'indique que 3°. Il y a le souffle frigorifiant d'un vent de Nord Est assez soutenu. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Elle a même enfilé un bonnet et des gants.

Son jeans, son pull brun à col roulé, une écharpe carmin sous son anorak. Ses bottines de cuir noir à légers talons. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter le chemin jusqu'au portail. Un dernier coucou dans le jour naissant. Je me dépêche de rentrer. Put-Hein ça caille. Je fais la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le grand café" de Charles Trenet. La peinture de cette sixième œuvre de commande m'absorbe rapidement.

Je peins animé de cette douce euphorie dont m'a gratifié Clémentine depuis le levé. Je garde en tête ses traits d'humour. La matinée passe à une vitesse folle. J'ai cette curieuse impression qu'avec les années, le temps s'écoule en accélérant. Je mets deux buches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour enfiler mon anorak. Je sors. Il y a du soleil mais il fait froid. Je traverse le jardin pour me rendre dans la maison d'amis. Tout y est propre. J'allume un feu dans la cheminée. Je vérifie le niveau d'eau dans les tubulures du chaudron de fonte.

C'est OK. Il suffit d'ouvrir les cinq radiateurs. La maison sera bien chaude pour seize heures. Je me dépêche de retourner au chaud. Put-hein de vent du Nord. Il souffle avec une violence accrue. A la cuisine, j'allume la cuisinière à bois. C'est tellement plus agréable et meilleur de cuisinier à l'ancienne. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Dans la poêle je fais rissoler deux filets de flétan avec de l'ail, de l'oignon et des champignons. Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. En sautillant autour de moi, elle chante : << Week-end ! Week-end ! >>.

Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. << J'ai honte ! >> s'écrie t-elle une fois déposée au sol. Je demande : << Honte ? >>. Clémentine répond : << Oui ! Je pense à tout ce que je vais encore faire ce week-end. Je suis une vraie salope envers toi ! J'ai honte ! >>. J'éclate de rire en précisant une fois encore : << J'aime la compagnie des salopes. Je m'ennuie tant avec celles qui ne le sont pas ! >>. Clémentine me rejoint dans une rigolade insensée. Elle prépare une salade d'endives sans cesser de rigoler.

J'égoutte les spaghettis. Je râpe une tonne de Parmesan. Je fais une rapide sauce au Roquefort. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Estelle est pressée de nous rejoindre demain pour 14 h. Elle est enchantée par la baise de hier soir ! >>. Nous éclatons de rire. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me fait part de ses craintes, de son appréhension quand à la soirée Gloryhole prévue demain, au haras, chez Juliette. << J'ai une de ces trouilles. Au fur et à mesure que ça approche ! >> lance t-elle.

Je la rassure. Je serai à proximité. << Je t'aime Julien ! Merci d'être mon merveilleux compagnon, mon délicieux complice, mon doux comparse ! >> me fait Clémentine en me déposant des bisous en mitrailles. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine s'empare d'un de ses peignoirs dans le placard de la salle bain. Elle m'entraîne dans la chambre. Du meuble à chaussures elle sort une de ses paires d'escarpins noirs à talons hauts. Ceux avec la petite sangle délicate autour de la cheville. Tout sous son bras, nous descendons.

Nous remettons nos anoraks. Nous traversons le jardin pour aller dans la maison d'amis. Il y fait déjà bien chaud. << Je passe un petit coup d'aspirateur vite fait ! >> lance Clémentine. Je m'empare d'un chiffon pour faire la poussière. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous. Tout est parfait. Clémentine monte son peignoir et ses souliers à la salle de bain de l'étage. Nous quittons les lieux pour faire quelques pas dans le froid. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le ciel a tendance à se couvrir inexorablement. << Ça sent la neige ! >> dit Clémentine.

Nous rentrons au chaud. Il est 14 h. Nous allons dans l'atelier. Nous mettons à profit cette météo pour travailler encore un peu. Je mets deux bûches dans l'âtre. Clémentine, assise devant son ordinateur, chantonne. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Nous adorons cette émulation. C'est tellement agréable. Il est 15 h30. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine s'en empare. << Julie ! Elle arrive ! >> fait Clémentine. Elle se précipite pour aller l'accueillir. C'est toujours une telle joie quand Julie revient. Si émouvant aussi.

Elle entre dans l'atelier. Toute souriante, radieuse. Elle me serre la main avant de me faire trois bises timides. Julie s'assoit devant le chevalet pour scruter mon travail. << C'est beau ! >> dit elle. Je lui explique un peu de ce travail. << Je suis pressée de prendre mon cours tout à l'heure ! >> rajoute t-elle. Je suis assis à ses côtés. Clémentine range ses affaires. Elle vient nous rejoindre. Ses mains posées sur mes épaules, elle dit : << On va préparer le café ? >>. Nous la suivons à la cuisine. C'est dans la cafetière italienne que se fait ce bon café.

Julie dispose les crêpes dentelles sèches et roulées sur une assiette plate. Deux tasses, le sucrier. Je dépose la cafetière fumante. Le tout sur un grand plateau. Nous enfilons nos anoraks. Je porte le plateau pour traverser le jardin. Il fait bien chaud dans la maison d'amis. Julie regarde plusieurs fois ma braguette. C'est discret. Elle croit que je ne la vois pas loucher discrètement. C'est amusant, mais c'est aussi passionnant. Clémentine me prend dans ses bras en disant : << Donne moi un peu de courage ! >>. Je la sens tremblante. C'est drôle.

Je dis : << Tu vas voir, tout va très bien se passer. Tu vas t'éclater comme une bête ! >>. Julie rajoute : << Et puis tu ne risques rien, Julien et moi nous sommes cachés dans le placard ! >>. Nous éclatons de rire. Je dis : << Et il est déjà 15 h45 ! >>. Clémentine monte les escaliers à toute vitesse. Julie ouvre la porte du dernier placard. J'y place le petit tabouret bas. Julie se met debout dessus en disant : << C'est parfait. Je tends mes bras pour la cueillir. Elle saute en tenant mes mains. << Je me réjouis, Julien. Je suis contente ! >> dit elle.

Il est 15 h55. Nous n'avons que peu de temps. Clémentine redescend de l'étage dans son peignoir. Heureusement qu'il fait bien chaud dans la maison. Julie la regarde avec des yeux emplit d'admiration amoureuse. Clémentine se tourne vers nous. Comme prise de panique, Julie se serre subitement contre moi. Je la prends par les épaules, avec beaucoup d'affection. Clémentine dénoue doucement la ceinture en éponge de son peignoir. Elle en écarte les pans. Elle est entièrement nue. Juste chaussée de ses escarpins noirs à talons hauts. C'est hyper sexy.

<< Wouah ! Cette touffe ! >> lance Julie qui voit enfin la totalité de la toison pubienne de Clémentine qui dit : << J'en ai autant derrière, regarde ! >>. Elle se tourne, relève son peignoir, écarte ses pieds, se penche en avant pour nous montrer sa raie culière. << C'est fou ! Quand on te voit habillée on ne se doute pas de tout ça ! C'est génial ! >> lance Julie. Nous sommes impatients de savoir pourquoi Clémentine est nue. Va t-elle recevoir monsieur Bertrand en tenue d'Eve ? Je sens le cœur de Julie battre au rythme du mien. Affolé.

<< Le placard ! >> s'écrie Clémentine qui nous pousse doucement vers le coin. Le dernier des trois placards. Nous y entrons. Julie monte sur le tabouret. Son visage à la hauteur du mien. Elle passe son bras autour de ma taille. Je passe le mien autour de ses épaules. L'étroitesse du placard impose que nous restions l'un contre l'autre, dans une intimité complice et forcée. Clémentine me fait un rapide bisou sur la bouche. Un bisou sur le front de Julie en disant : << Amusez-vous bien les coquins ! >>. Elle referme la porte. On se serre fort.

Clémentine vérifie que tout soit bien sur le plateau. La cafetière fumante, les deux tasses, le sucrier, les petites crêpes dentelles roulées et sèches. Elle regarde la pendule posée sur la cheminée. Je regarde par l'ouverture grillagée. Cet orifice d'environ cinq centimètres de diamètre qui permet l'aération du placard. Elle me lance un clin d'œil. Elle ne peut pas nous voir mais elle nous devine. Trois coups contre la porte. Clémentine retire son peignoir qu'elle jette sur le fauteuil. Elle s'assoit. Une jambe posée sur le canapé, cuisses largement écartées.

Elle se touche de sa main droite tout en passant sa main gauche dans ses cheveux. Je bande comme le dernier des salauds. J'entends le souffle de Julie qui reprend sa respiration après une apnée. Je murmure à son oreille : << Chut ! >>. Clémentine prend une profonde respiration avant de dire d'une voix forte : << Entrez ! >>. Julie pousse ma tête avec la sienne. Elle veut regarder. Je sors ma queue. Tout en observant, Julie la saisit automatiquement. J'ai un choc émotionnel. Je contrôle ma respiration. J'entends Louis dire : << Bonsoir ! >>.

A mon tour de regarder. Clémentine reste assise. C'est fou de la voir complètement à poil devant ce mec. << Je vous en prie, asseyez-vous ! >> fait Clémentine en montrant le canapé en face du sien. << Si je m'attendais à une telle surprise, Clémentine ! Vous êtes une jeune fille imprévisible ! >> dit Louis en restant debout. Il ouvre sa braguette. Comme il est de profil, je peux voir son sexe minuscule qu'il extrait de son slip. De sa tête, Julie pousse la mienne pour voir. C'est un combat de têtes auquel nous nous livrons dans le plus grand silence.

Louis bande mou. Lorsque qu'il tient son sexe à sa base, on ne discerne plus que l'extrémité de cette petite "viennoise" luisante. On la dirait continuellement mouillée. Tout comme un knacki sortit du liquide de sa boite. Clémentine cesse de se toucher. Elle s'assoit normalement en disant : << Prenons un bon café pendant qu'il est encore chaud ! >>. Monsieur Bertrand s'installe enfin mais à la droite de Clémentine. Il garde toutefois une distance d'un bon mètre. Vautré, il agite son sexe. << Je garde un tel souvenir de vendredi dernier ! >> lance t-il.

Louis se penche pour remuer le sucre dans sa tasse. Clémentine fait pareil. Elle pousse l'assiette plate sur laquelle sont empilées les crêpes. Louis en prend une. Cet homme est un véritable vicelard, pervers et satyre. Mais quelle que soit la situation il reste un parfait gentleman. Car enfin, le voilà assis à côté d'une jeune fille entièrement nue. Elle a 24 ans. Il en a 68 dans un peu plus d'un mois ! Je suis obligé de lutter de ma tête contre celle de Julie pour pouvoir mâter un peu. Julie tient mon sexe dans sa main d'une poigne ferme. Immobile.

Je veux glisser ma main dans son jeans. << Non, j'ai mes règles ! >> chuchote t-elle à mon oreille en tournant sa tête contre la mienne. J'en profite pour lui enfoncer ma langue dans la bouche. Elle se blottit comme elle ne l'a jamais fait. Nous nous embrassons comme des fous. Je n'aurais jamais cru que cette jeune fille de 20 ans, si timide, si réservée puisse faire preuve de tant de passion sensuelle. J'en frémis. Elle me masturbe. Nous en oublions presque la raison de notre présence dans ce placard. Je regarde. Je crois halluciner.

Louis est entrain de doigter Clémentine. Elle est tournée franchement vers lui à le fixer. Je sais à quel point Clémentine est une fille vicieuse. Une authentique salope. Mais là, de la voir ainsi, se faire doigter par ce vieux salaud, immobile, en le fixant par en-dessous avec un regard follement suggestif. Elle allonge son bras, se penche en changeant de position. Elle attrape le sexe de monsieur Bertrand. Julie pousse à nouveau ma tête avec la sienne. Sans cesser de me masturber. Je glisse tout de même ma main dans son jeans, dans sa culotte.

Je reste sur son clitoris. C'est un tout petit bouton bien ferme. Chaque femme possède une particularité clitoridienne. C'est toujours passionnant de découvrir comment ce bouton de plaisir réagit. Car chacun réagit à un stimuli qui lui est propre. Julie a des spasmes. Je sens ses jambe flageoler. C'est à mon tour de regarder. Clémentine est couchée à plat ventre. Louis est à genoux sur le canapé. Clémentine, tout en tenant les talons de ses escarpins, suce comme si sa vie en dépendait. Je sens les frissons de plaisir de Julie qui est serrée contre moi.

Il y a du foutre qui coule au coin de la bouche de Clémentine. Ce salaud retire sa bite pour gifler le visage de Clémentine avec sa queue. Il la frotte sur sa gueule. Louis tient Clémentine par sa tignasse. Nous pouvons l'entendre pousser de petits cris de surprises, de ravissements ou encore de plaisir. << C'est comme ça que tu aimes, hein, grande salope ! Je vais te dresser toi, tu vas voir ! >> dit-il à plusieurs reprises. Il est probablement aussi halluciné que moi par ce qui se passe. Il lui enfonce sa petite bite dans la bouche. Jusqu'aux couilles, le vicieux.

Il déboutonne son vieux pantalon d'épais velours. Il le descend jusqu'aux genoux. Il recommence à frotter son sexe sur le visage de Clémentine qui se redresse pour changer de position. Nous voyons son visage trempé de foutre. La bite de Louis ne cesse de dégorger une jute épaisse et visqueuse. Certainement encore plus gluante et collante que la mienne. Il en barbouille complètement la face de Clémentine qui tente de sucer. Le vieux pervers s'amuse à esquiver au dernier moment. Julie et moi, nous nous battons presque pour regarder.

Je pose souvent ma main sur sa bouche pour la bâillonner en murmurant : << Chut ! >>. Je ne sais pas si notre voisin vient de nous entendre. Il dresse soudain l'oreille. Il regarde même par ici. Il demande : << Il fait quoi Julien ? >>. Clémentine répond : << Pas d'inquiétude. Il bosse comme un fou. Il n'imagine pas un instant ce qui se passe. Il me croit entrain de réviser pour mes cours ! >>. Comme rassuré, Louis enfonce sa queue dans la bouche de Clémentine. Il change de position. Le voilà vautré dans le canapé, slip aux chevilles.

Clémentine est à genoux entre ses jambes. Nous la voyons de dos. Rien ne peut m'exciter davantage que de voir une fille, de dos, entrain de sucer. De devoir deviner ce qu'elle fait est la chose la plus excitante que je connaisse. Là, c'est la fille que j'aime comme un fou. J'imagine ce qui se passe. Julie connaît probablement son premier orgasme car elle a soudain un spasme qui secoue tout son corps. Je la tiens fort contre moi pour l'empêcher de tomber. Elle m'embrasse avec une fougue. Un véritable élan amoureux. Je suis pétri d'émotion.

Je regarde. J'ai le visage collé contre la porte. La tête de Clémentine, maintenue entre les mains du vieux dégoutant, elle suce probablement. << T'aimes ça, hein, salope ! Folle de foutre va ! >> dit Louis au moins une dizaine de fois. Il repousse Clémentine pour lui mettre une gifle. Il se penche pour lui cracher au visage. Il rajoute : << Il faut que j'y aille. On reprend dès que ça va pour toi ! Je vais te laisser mon numéro. J'ai un vieux portable mais qui fonctionne toujours bien ! >>. Il se lève pour remonter son slip et son pantalon.

Il saisit Clémentine vigoureusement par sa tignasse pour la forcer à se relever. << Ne me raccompagne pas à poil salope, tu vas prendre froid ! Et va t'essuyer la gueule, tu devrais avoir honte d'être couverte de foutre ! >> dit il en contournant la table pour se diriger vers la porte. << Salut ! >> fait il encore en se palpant vulgairement la braguette. Il sort rapidement. Clémentine reste comme abasourdie. Elle se précipite vers la porte pour s'enfermer à clef. Julie, dans mes bras, nous sortons du placard. << Vous avez vu ça ! >> lance Clémentine.

<< Qu'est-ce qu'il est dégueulasse ce type ! >> s'écrie Julie. Clémentine regarde mon érection avec envie. Le visage ruisselant de foutre, elle s'essuie en disant : << C'est un vrai salopard ! Je n'imaginais pas à quel point ce mec est un vieux dépravé ! >> lance Clémentine en se couvrant du peignoir. Avec ce qu'elle vient de vivre, malgré les 24°, Clémentine a soudain froid. C'est en frissonnant qu'elle se serre contre moi en saisissant mon sexe. Je bande mou mais du foutre pend de mon sexe. Elle enroule cette coulure autour de l'index. Pour le sucer.

Julie nous observe. Elle me demande : << Tu n'es pas jaloux ? Ça ne te fait pas mal de voir ta compagne faire de telles choses ? Moi je ne pourrais pas le supporter ! >>. Je la rassure. Cela ne change strictement rien à l'amour fou que je porte à Clémentine. Je précise : << Ce qui se passe me rend encore plus amoureux. Ce qu'elle fait me rend fou d'amour pour elle ! >>. Julie me regarde complètement abasourdie. Comme anéantie par cette affirmation qui la dépasse complètement. Clémentine monte se changer. Julie et moi restons dans le canapé.

Soudain, sans que je n'ai le temps d'anticiper, Julie se tourne vers moi, me serre contre elle. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour la fouiller. Ma cavité buccale n'a peut-être jamais été fouillée avec tant de fougue. J'en frissonne. Je mets ma main entre ses cuisses. Elle saisit mon poignet pour le serrer fort. Elle cesse de m'embrasser pour me dire : << Ce placard me rend folle Julien. Je vous demande de me pardonner. Je vais me ressaisir, je vous le promets ! >>. J'éclate de rire. Clémentine redescend. Le visage propre, à nouveau habillée.

<< C'est l'heure de mon cours, non ? >> lance Julie qui se lève. J'adore ces capacités féminines de passer d'une condition à l'autre en un instant. C'est comme s'il ne s'était rien passé. Clémentine dit : << J'ai envie de vomir. Venez, on se dépêche de rentrer ! >>. Il fait froid. Nous traversons le jardin à toute vitesse. Dans la cuisine, Clémentine s'empare d'une pomme dans laquelle elle croque à pleines dents. Nous filons dans l'atelier. Julie s'assoit devant le chevalet. Elle tapote sur la chaise à côté d'elle pour m'inviter à la rejoindre. Je m'installe.

Julie prépare les couleurs sur sa petite palette. J'admire ses gestes mesurés, pondérés et précis. Avec la pointe d'une minuscule truelle à peindre, elle sort la matière nécessaire des tubes qu'elle dévisse avec soin. Sur le chevalet de Julie, je dépose la petite toile qu'elle réalise durant nos cours. Elle met son bras sur l'appui main. Je la regarde mêler l'huile de lin cuite contenant l'ambre dissous à la matière picturale. Elle dépose les premières touches de peinture. C'est un paysage sur un format 2 F de 24 cm sur 19 cm. Quel plaisir de la voir peindre.

Clémentine vient se mettre debout derrière moi. Ses mains sur mes épaules en observant. Julie me demande des conseils. Je n'ai pas grand chose à relever. Elle a acquis une certaine pratique cet été. Tout juste si je peux lui recommander de ne pas trop se concentrer. Laisser vagabonder sa pensée permet de travailler dans un climat d'apaisement et de sérénité. Le résultat étant souvent la parfaite réussite de l'œuvre. Cette heure de cours passe bien trop vite. << Cette toile sera terminée d'ici trois ou quatre séances ! >> lance Julie. Certain !

Julie prend son service au restaurant pour 18 h30. Nous la raccompagnons dans le froid jusqu'à sa voiture. << Je suis là demain matin pour 8 h30 ! >> précise t-elle. Clémentine demande : << Tu manges avec nous à midi ? >>. Julie répond : << J'aimerais bien mais j'ai du boulot pour mes études et il y a mon papy et ma mamy qui viennent le matin déjà ! Ils restent jusqu'à dimanche matin ! >>. Nous la regardons s'en aller. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine se serre contre moi. << Merci Julien ! >> fait elle.

Je la soulève pour la faire tourner en disant : << Tu as été magnifique ! Félicitations mademoiselle ! Vos talents font des heureux ! >>. Elle enserre ma taille de ses jambes. Elle me dépose plein de bisous sur les joues, le front. << Je sens le foutre ? >> me demande t-elle sans oser poser ses lèvres sur les miennes. Je la rassure. La pomme, le dentifrice, tout cela a supprimé toute odeur. Je rajoute : << Viens, on retourne dans l'atelier. Pendant que je range, tu me racontes ! >>. Clémentine m'entraîne toute contente. Le crépuscule arrive doucement.

Je nettoie la palette et les pinceaux utilisés par Julie. Clémentine, debout derrière moi, ses bras autour de ma taille, me confie ses impressions. Ses ressentis. << Tu as vu comme ce type est vicieux ! Et tu sais qu'il n'a même pas éjaculé ! Il est partit sans ! >>. Nous rions. J'écoute Clémentine qui me raconte cette pipe. C'est la seconde fois qu'elle suce monsieur Bertrand. Notre voisin est un retraité pervers. << Il faut être sacrément pervers ! Se faire sucer plus d'une demi heure et ne pas conclure par un orgasme ! >> dit Clémentine.

Je réponds : << Alors je suis le dernier des pervers ! Combien de fois n'ai je pas la même attitude ! >>. Clémentine s'écrie : << Oui, mais tu es mon mec ! >>. Je demande : << Tu n'aimes plus les mecs "tordus" et vicelards ? >>. Clémentine s'empresse de lancer : << Oh si ! Et comment. Je fonctionne comme toi. Je m'ennuie avec les mecs qui ne le sont pas ! >>. Nous éclatons de rire. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les spaghettis à la poêle avec la sauce et des calmars rissolés.

Clémentine prépare la salade. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'aventure de l'après-midi. << Ce vieux salopard m'a donné son numéro de portable ! >> fait Clémentine. Je propose de toujours appeler de notre téléphone fixe afin que monsieur Bertrand n'ait pas le numéro de Clémentine. Elle dit : << Ça tombe sous le sens ! >>. Après la vaisselle, j'offre à Clémentine un merveilleux cunnilingus. Elle murmure des choses insensées. Revient sur des épisodes précis de sa pipe à Louis. Son orgasme est cataclysmique. Un grand moment.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher pour se refaire le film d'une pipe à un vieux salaud vicieux et pervers...

Julien



Classe
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Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1668 -



Une expérience inoubliable

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Clémentine se frotte contre moi avant de me chevaucher. << Je t'aime Julien ! Merci pour hier ! >> murmure t-elle. Je me réveille difficilement. Je ne comprends pas immédiatement de quoi parle Clémentine. C'est quand j'en prends conscience que j'éclate de rire en disant : << Mais c'est moi qui te remercie pour le spectacle ! >>. Nous rions tous les deux aux éclats. Il est tout à fait impossible de tenir une seconde de plus sans nous précipiter aux toilettes, main dans la main.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, je vais directement dans le hall d'entrée. Depuis l'interphone j'ouvre le portail. Pour Julie qui arrive à 8 h30. Pour nos livraisons de 10 h. Je rejoins Clémentine à la cuisine pour y presser nos oranges, peler nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre aventure de hier après-midi. J'adore l'air un peu gênée qu'aborde Clémentine lorsque j'évoque ses "extravagances". << Mes sextravagances ? >> dit elle en riant.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le planning de la journée. Même si le thermomètre extérieur n'indique que 2°, le ciel gris mais lumineux invite à un running en plein air. Ça nous manque beaucoup. Ce n'est absolument pas pareil de courir sur des tapis roulants que de le faire sur les chemins. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets, nos gants. Nous sortons au moment précis où la Clio rouge descend le chemin. Julie sort de sa voiture pour se précipiter vers nous. Elle aussi est chaudement vêtue. Elle est toute contente.

<< Bonjour ! C'est pour le ménage ! >> dit elle, mutine. Clémentine répond : << Bonjour ! La maison est ouverte ! >>. Nous rions de bon cœur en souhaitant à Julie une excellente matinée. Quelques mouvements d'échauffement dans le froid vif. Un léger vent du Nord est sans pitié. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail. Une centaine de mètres à petites foulées pour parfaire la mise en condition. Nous traversons la route pour nous engager sur le chemin forestier. Nous courons côte à côte. Ce qui nous permet de parler en même temps.

Clémentine a plein de choses à me dire. Ses impressions quand à ce qui s'est passé avec monsieur Bertrand. Après une nuit de sommeil, la culpabilité a fait place à un profond désir de recommencer. J'écoute amusé. Le ressenti de Clémentine fonctionne toujours un peu de la même manière. Une séquence de dégout, de culpabilité. Puis après le réconfort de mes encouragements, le désir d'une récidive. Une heure d'un jogging des plus agréables, véritablement gratifiant dans la fraîcheur matinale et nous voilà de retour pour prendre notre douche.

Nous entendons Julie passer l'aspirateur. Il est 9 h50 quand nous mettons nos anoraks pour sortir. Le ciel est couvert mais lumineux. Un véritable ciel de novembre alors que nous ne sommes encore qu'au début d'octobre. Voilà la camionnette des fruits et légumes qui descend lentement. Au volant c'est la même jeune femme devenue beaucoup plus souriante depuis 18 mois. Du hayon arrière, elle tire deux cageots. L'un contient nos légumes, l'autre nos fruits, nos fromages, nos œufs, nos yaourts, le beurre et les petits pots de crème fraîche.

Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte bleue. A peine le véhicule repartit arrive madame Marthe dans son tube Citroën rénové. Comme neuf et toujours si propre. Notre boulangère nous tend les grands sachets contenant nos deux miches, la brioche au pudding. Une fois encore, et c'est devenu une habitude, madame Marthe nous offre deux gros croissants à la pâte d'amandes. La dame a toujours quelques amusantes anecdotes à partager. Nous rions bien. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte bleue.

Nous passons par derrière pour aller directement dans le cellier, à la cave. Une des deux miches dans le congélateur d'où je sors un sachet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous disposons les légumes sur les étagères. Nous montons à la cuisine pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Julie passe l'aspirateur dans le hall. Nous quittons vite la cuisine pour aller au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois courriels. Celui de Juliette qui nous rappelle que nous sommes attendus.

Ce soir, 19 h30, rendez-vous dans l'ancienne écurie, box du fond. C'est en riant que Clémentine répond : "Sans faute ! Nous serons à l'heure". Le courriel d'Estelle qui sera là pour 14 h. Un courriel de monsieur Anderson d'Edimbourg. Il nous apprend que le propriétaire de la maison accuse bonne réception du tableau envoyé en Californie. Monsieur Campbell nous contactera donc prochainement. Nous répondons. Dans une petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros. J'y rajoute un petit mot. Clémentine lit à haute voix quelques messages.

Sur les forums où nous publions nos aventures, il y a tous les jours des lectrices, des lecteurs, qui témoignent de leurs bonheur de nous lire. Ils le font par messageries privées. Nous répondons toujours. Clémentine s'en charge avec plaisir. Un rapide copié/collé ou un petit mot personnalisé. C'est tellement sympathique. Ce sont quelquefois des couples qui nous racontent des histoires similaires aux nôtres. Voilà Julie qui entre dans le salon où elle s'apprête à passer l'aspirateur. Nous quittons pour la laisser travailler. Elle fait ça si consciencieusement.

Il est presque onze heures. Dehors le ciel semble s'assombrir. << Ça sent vraiment l'hiver ! On s'attend à de la neige en regardant par la fenêtre ! >> s'écrie Clémentine qui m'attire contre elle. Elle entoure ma taille de ses bras pour murmurer : << Je suis morte de trouille pour ce soir ! Je n'ai absolument plus le courage ! >>. J'écoute en silence. Je la rassure. Estelle et moi nous serons là. Je dis : << Comme toujours tu as chargé Estelle de me surveiller, d'être mon "garde du corps". Et je m'en réjouis ! >>. Clémentine éclate de rire.

Elle ouvre ma braguette pour me sortir la queue. Je bande mou dans la main de Clémentine. << Je sens les battements de ton cœur. C'est tellement agréable de les sentir par "là" ! >> murmure t-elle. Nous sommes dans la véranda pas chauffée. Les grandes baies vitrées offrent une vue jusqu'à la rivière. << Regarde, il y a cette légère brume mystérieuse sur l'eau et sur le champs de l'autre côté ! >> fait Clémentine en serrant mon sexe dans sa main chaude. Mon bras autour de son épaule je la serre contre moi pour écouter et boire ses mots.

<< Tu ne m'en veux pas si je prends de "mauvaises" habitudes avec monsieur Bertrand ? >> me demande t-elle soudain. Je la rassure en répondant : << Ce sont de bonnes habitudes. Tu as raison d'en profiter autant que tu le souhaites. C'est ta jeunesse, elle n'appartient qu'à toi. Tu fais de moi l'homme le plus heureux du monde ! >>. Clémentine passe entre la baie vitrée et moi pour m'embrasser passionnément. Je bande dans sa main. Elle me malaxe la bite en fouillant ma bouche. Une fois encore la conscience de mes privilèges me donne le vertige.

Tout cela n'est possible que grâce à nos différences d'âge. Nous en parlons souvent. C'est Clémentine qui me rassure toujours quand j'évoque mes 54 ans. << Tu en fais dix de moins et ça me convient si parfaitement que c'est la symbiose la plus parfaite ! >> précise t-elle probablement pour la centième fois depuis plus de quatre ans. Julie vient nous rejoindre en faisant : << Brrr ! Vous restez dans le froid ! >>. En disant ces mots elle découvre mon sexe dans la main de Clémentine. Julie me fait un sourire gêné en baissant les yeux.

Elle ne peut affronter mon regard plus d'une ou deux secondes. Elle ne peut le soutenir alors que je fais tout pour qu'elle soit dans le plus parfait confort mental. Julie est une des plus grandes voyeuses que j'ai connu. Pourtant elle est si timide, si réservée. Est-ce bien la même fille qui était serrée contre moi hier dans ce placard étroit ? Est-ce bien la même qui me masturbait doucement ? Est-ce bien la même fille dont je stimulais le clitoris dans notre cachette ? Julie reste un curieux paradoxe. Un merveilleux mystère que je ne veux pas percer.

Nous sortons de la véranda. Julie louche discrètement sur ma queue. Nous allons au salon. Je lui tend l'enveloppe jaune. << Merci Julien. Je dois vous dire que je ne viens pas pour l'enveloppe mais pour l'immense plaisir d'être là ! >> lance t-elle. Clémentine la rassure par ses mots délicats : << Tu sais, c'est si bon de te savoir dans la maison, de t'entendre. Nous aussi on s'en fou de l'enveloppe ! >>. Je contourne le bureau. Je saisis les poignets de Julie. Elle me fait le plus délicieux des sourires. Nous la raccompagnons dans le hall d'entrée.

Nous la remercions pour le ménage. << Vous êtes attendus demain pour midi ! On prépare quelque chose de bon ! Tes parents aiment les fruits de mer, le poisson ? >> fait Clémentine. Julie s'empresse de répondre : << Oui, maman en prépare deux à trois fois par semaine ! >>. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Assise au volant elle fixe mon sexe. Appuyé contre la portière, il pend dans l'habitacle à quelques centimètres de son visage. Je dis : << On vous donnera la teneur de notre commande de lundi soir, demain dimanche ! >>.

Nous regardons la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Julie est toujours tristounette en nous quittant. Mais nous nous revoyons demain. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon dans lequel je jette les moules même pas décongelées. Dans le wok, je jette les haricots verts et les petits pois pas décongelés non plus. On s'en fou, c'est samedi. Même si ça tire beaucoup de flotte à la cuisson, c'est bon quand même. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la présence de Julie.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la fellation prodiguée hier à monsieur Bertrand. Notre voisin salace s'est fait sucer plus d'une demi heure sans éjaculer. Sans aller jusqu'à l'orgasme. Cette particularité excite considérablement Clémentine qui me dit : << Je veux tirer ça au clair ! >>. Je fais : << Tu as tout l'hiver pour élucider ce mystère ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je rajoute : << C'est quand même infiniment préférable à un éjaculateur précoce ! >> Nous rions.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons pour nous laver les dents. L'odeur de propre partout dans la maison ne cesse de nous faire penser à Julie. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. Couchée à côté de moi, mon sexe dans la main, elle me demande de lui raconter ce qui s'est passé dans le placard avec Julie. << Je veux tous les plus infimes détails ! >> précise t-elle. Doucement, en racontant, je me mets à bander comme un priapique en phase terminale. Clémentine se frotte contre ma hanche.

<< Coucou ! Qu'ils sont où les gens que j'aime ? >>. C'est la voix d'Estelle que nous entendons courir dans l'escalier. Elle ouvre la porte. Elle nous voit allongés. Elle jette son sac de sport au sol pour plonger sur le lit. Elle nous fait plein de bisous. Elle m'en fait sur le sexe. << Wouah ! Ta queue ! >> dit elle en s'installant contre moi. Je suis entre mes deux anges. Je continue à raconter ce qui s'est passé avec Julie dans le placard. Estelle fait : << Put-hein ! Méfie toi, tu sais à quel point je suis jalouse. Je t'arrache les couilles avec les dents ! >>.

Nous rions de bon cœur. Estelle aussi veut plein de détails. C'est au tour de Clémentine de raconter sa pipe à monsieur Bertrand. << J'ai réalisé un vieux fantasme hier. Recevoir un homme toute nue, lascive, entrain de me toucher, vautrée dans un canapé ! >> explique t-elle. Estelle déboutonne mon jeans pour pouvoir chercher mes couilles au fond de mon slip. Elle demande : << Il a quel gout son foutre ? >>. Clémentine s'empresse de préciser : << Je crois bien que c'est le tout meilleur que j'ai gouté. Mais je dis ça pour chaque sperme ! >>.

Nous rigolons comme des bossus. Estelle est très curieuse, autant que très voyeuse. Elle pose tout un tas de questions. Clémentine se fait un plaisir de répondre avec un luxe de détails. Elle finit par demander : << Tu veux te le sucer un de ces jours ? >>. Estelle reste pensive en jouant avec mes couilles. Elle répond : << Tu nous organises un "plan" où je fais ma vicelarde ? J'aimerais aller à la facilité sans trop me faire chier ! >>. Clémentine propose à Estelle de recevoir Louis toutes les deux une des prochaines fois. Estelle se met à réfléchir.

<< Mais moi, je ne veux pas être à poil, ce n'est pas mon fantasme. Par contre il me faut une situation bien vicieuse. Un truc "glauque" ! >> lance Estelle. Clémentine pose sa tête sur mon ventre. Cette conversation achève de l'exciter. Je bande comme le dernier des salauds. << Regarde encore toute cette jute qui macule le bas de ton sweat ! >> lance Estelle qui pose sa tête à côté de celle de Clémentine. En effet, il y a du liquide séminal qui s'écoule de mon sexe. Il y en a plein qui tâche le bas de mon sweat. Je leurs caresse la tête.

Je ne sais pas laquelle gobe l'extrémité de mon sexe la première. Je n'ai jamais réussi à faire le distinguo entre leurs bouches. Je finis par reconnaître la façon de sucer de Clémentine. Passionnée, amoureuse. Alors que celle d'Estelle est plus fougueuse. Elle pompe comme une affamée. Alors que Clémentine suçote lascivement en sirotant. Elles se refilent ma queue en évoquant celle de notre voisin. La minuscule petite saucisse viennoise qui fait envie à Estelle. << J'aime quand il y a un véritable pervers vicieux au bout de la saucisse ! >> dit elle.

Il est hors de question d'aller à l'éjaculation. Moi aussi je veux me garder pour ce soir. Pour me distraire de mon excitation, je propose aux filles un bon léchage de minous. Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. Les voilà toutes les deux, sans jeans, sans culottes, juste en sweats et en chaussettes à m'offrir les saveurs de leurs chattes. Là non plus, pas question de les conduire à l'orgasme. Nous préférons tous les trois nous garder hyper excités pour le reste de la journée. Il est 15 h. Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparations.

Assis à la table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri. Une potée de légumes qui nous fera plusieurs repas. Nous en préparons en très grande quantité. Nous serons cinq à manger demain à midi. Estelle adore la cuisson sur la cuisinière à bois, dans la vieille cocotte en fonte. J'allume donc le feu. Les pâtes feuilletées ont décongelées depuis 11 h ce matin. Clémentine les étales dans cinq petits plats à tartes. Je concocte une Béchamel. Estelle touille les légumes sans cesser de remuer avec une spatule en bois. Ça accroche.

A la poêle je fais rissoler des crevettes, des moules et du crabe. Clémentine râpe du gruyère de Comté. Les filles parlent de leurs études. << Je suis mouillée au fond de ma culotte ! >> lance Estelle à plusieurs reprises. Ces apartés nous font follement rire. << Moi aussi ! >> fait Clémentine. Je rajoute : << Je vous dis pas l'état de mon slip ! >>. Dans la Béchamel je verse le contenu de la poêle. Et dans chaque plats à tarte. Clémentine les recouvre avec le reste de pâte. Elle jointe bien les bords avec les doigts. Il reste de la garniture pour ce soir.

Estelle touille sans cesser de décoller. C'est le meilleur. Je jette un coup d'œil dans la cocote. Miam ! Clémentine mets les tourtes dans le four électrique. Le four à bois est incontrôlable. Le four électrique permet une cuisson douce, à 180° afin que l'ensemble mijote. Il est presque 17 h. << Voilà de la bel ouvrage ! >> lance Estelle qui glisse la main dans son jeans pour se toucher. << Ça me chatouille. Quand je mouille, les poils collent dans ma chatte ! >> dit elle. Clémentine fait pareil. Moi aussi. << Ouf ça soulage ! >> lance t-elle en soupirant.

Elles me montrent leurs doigts plein de mouille. Il y des "substances" au bout de ceux d'Estelle. Je les renifle. J'attrape leurs poignets pour sucer leurs doigts. << Ça m'excite quand tu fais ça ! >> s'écrie Clémentine. << Moi aussi ! >> rajoute Estelle. Elles se serrent contre moi pour frotter leurs entrejambes contre mes cuisses. Distribution de bisous. Je propose : << On va marcher un peu, pour se mettre en appétit ? >>. Toutes les deux se mettent à sautiller en s'écriant : << Oh oui ! Bonne idée ! >>. Nous enfilons nos anoraks pour sortir.

<< Put-hein ça caille ! >> lance Estelle. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine revient sur ses appréhensions. << Je suis morte de trouille en pensant à ce soir ! >> dit elle. Estelle répond : << Mais on est là. Je ne quitte pas Julien d'une semelle ! >>. Nous éclatons de rire. Il est 18 h30 quand nous revenons. Morts de faim. Clémentine fait la salade. Estelle dresse la table. Je fais rissoler trois filets de flétan. Avec la potée de légumes, c'est un repas simple et si délicieux.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer. Nous portons tous les trois des jeans propres, une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Nos bottines noires. Nous prenons des poses devant le miroir. Je peux sentir les tremblements de Clémentine. Nous dévalons les escaliers. Il est 19 h15. Nous sommes attendus pour 19 h30. Je roule doucement. Clémentine tient ma braguette. Voilà le haras. Il y a des voitures garées dans la cour. Nous entrons dans les anciennes écuries. Quelle surprise. Juliette semble nous attendre.

Gloryhole. Le fantasme de Clémentine devient réalité

Nous suivons Juliette. Sa silhouette svelte et athlétique semble légère comme une plume. C'est devenu sa seconde peau cette tenue d'écuyère. << Superwoman ! >> murmure Estelle. Juliette se retourne avec un sourire. Nous caressons quelques chevaux dont l'encolure dépasse au-dessus des portes basses de leurs box. Clémentine reste serrée contre moi. Juliette nous invite à entrer dans le dernier box. Il n'y a pas de cheval. Pour l'occasion il n'y a plus de paille au sol et l'endroit est d'une propreté remarquable. C'est même "aménagé".

Il y a un canapé au fond. Sur le sol, juste sous le trou dans le mur, il y a un de ces coussins emplit d'eau. Juliette s'y met à genoux en disant : << Vous verrez Clémentine, c'est très confortable ! On peut s'y amuser des heures ! >>. Juliette se redresse pour s'assoir dans le canapé. << C'est moelleux, je l'ai récupéré dans un vide grenier ! >> précise t-elle en tapotant des deux mains. Clémentine se met à genoux sur le coussin d'eau. Elle s'écrie : << C'est vrai ! Comme c'est doux ! >>. Estelle s'assoit dans le canapé en disant : << Wouah on y est bien ! >>.

Juliette se redresse. Entre le mur et le canapé, il y a un petit guéridon sur roulettes. Elle le tire délicatement. Il y a des gobelets en plastique blanc, une bouteille de jus de fruits, une bouteille d'eau et des pommes. Je trouve cette attention particulièrement charmante. Juliette a un sourire vicieux en précisant : << Ça peut donner soif et envie de grignoter, le voyeurisme ! >>. Il y a un tabouret. Juliette le place juste contre le coussin d'eau. << Je vous en prie Clémentine, prenez place ! >>. Estelle scrute avec attention chaque recoin.

Elle tient son téléphone à la main. L'application "détecteur de métaux" sur Androïd permet de contrôler. Juliette, amusée, demande : << Vous ne me faites pas confiance ? Je vous assure qu'il n'y a aucune caméra dissimulée ! Je ne veux pas de problème ! >>. Estelle répond : << Deux précautions valent mieux qu'une et entre vicelardes peut-on vraiment se faire confiance ? >>. Juliette semble vexée. Elle lance : << Dans ce cas on annule tout ! >>. Clémentine calme le jeu : << Ce serait trop bête. Jouons le jeu ! Mais vous restez avec moi ! >>.

<< OK ! >> fait Juliette. Cette affirmation est lancée sans hésitation. Elle rajoute : << C'est même moi qui commence les festivités ! >>. C'est là que nous nous rendons compte qu'il y a un sexe qui dépasse du trou. Un sexe mou, de taille très moyenne. Juliette se met à genoux sur le coussin à eau. Clémentine, assise sur le tabouret, saisissant ma main, se penche pour regarder. Estelle me prend par la taille. Juliette renifle la bite avant de faire une grimace. Elle sort sa langue pour lécher l'extrémité du prépuce. Elle ouvre la bouche pour le gober.

Juliette suce durant quelques instants. Elle cesse, se tourne vers Clémentine pour dire : << Ça vous suffit comme preuve ? Jamais je n'accepterais d'être filmée dans une telle situation ! J'ai le même fonctionnement mental que vous ! >>. Elle se lève, s'essuie la bouche avec un mouchoir. Estelle lui dit : << Mille excuses Juliette, vraiment je suis désolée d'avoir douté ! >>. Juliette, d'un geste affectueux, caresse la joue d'Estelle pour répondre : << J'aurais agis exactement de la même façon ! >>. Je regarde Clémentine. Elle est à genoux.

Ses mains posées contre la cloison, elle hume ce sexe qui a durcit depuis quelques minutes. Une bite dressée vers le plafond. Il y a une goutte de liquide séminal opalescent à son extrémité. << Bon appétit Clémentine. Je reviens. Je vais m'occuper de nos "invités". Après tout, je suis la maîtresse de cérémonie ! >>. Juliette nous invite à la suivre. Estelle me prend la main. Avant de sortir du box, nous nous retournons. Clémentine est déjà entrain de sucer. Du bout des lèvres, elle goute, les yeux fermés, en gardant les mains sur la cloison.

<< C'est qui le mec ? >> demande Estelle. << Chut ! A partir de maintenant, plus de questions ! >> répond Juliette. Nous n'entrons pas dans le local bureau. Je donnerais cher pour savoir qui est le fils de salaud qui est entrain de se faire tailler une pipe par la fille que j'aime. Estelle partage probablement le même sentiment. Juliette se saisit de mon autre main. Elle me demande : << Je suppose qu'Estelle est chargée de s'occuper de votre personne ? >>. C'est Estelle qui répond : << Oui, chasse gardée ! >>. Juliette dit : << Je comprends ! >>.

Nous suivons Juliette jusque dans la pièce qui sert de réserve de matériel. Quelle surprise, il y a madame Walter et Pierre, son mari. Il y a Léon, l'ancien palefrenier à la retraite. Il est métisse et paraît encore étonnement jeune. Il y a un inconnu. Juliette fait les présentations : << Monsieur Gautier, mon vétérinaire ! >>. C'est un quadragénaire très quelconque, totalement dépourvu du moindre charisme. C'est donc ce mec que se fait Juliette de temps en temps ! C'est curieux. Il y a Pauline, la jeune secrétaire. Elle est toute gênée de nous revoir.

Estelle manifeste le désir d'aller voir ce que fait Clémentine. << On revient, préparer les jus de fruits ! >> lance Estelle en m'entraînant par la main. Nous retournons dans le box. La lumière tamisée demande un temps d'adaptation. Je me mets à genoux à droite de Clémentine. Estelle se met à genoux à sa gauche. Nous observons cette pipe magistrale. Clémentine suce en gloussant de plaisir de nous savoir là. En regardant mieux, nous découvrons des coulées de foutre sur la cloison, sous le trou. Il y en a également sur le pull noir de Clémentine.

Tout autour de sa bouche la peau est luisante, trempée de jute. Elle cesse de pomper pour me montrer l'intérieur de sa bouche. Je bande comme un salaud. Clémentine saisit la queue entre le pouce et l'index pour l'offrir à Estelle. Estelle a un réflexe de recul. Elle fait la plus horrible grimace que je ne l'ai vu faire. Clémentine hausse les épaules et reprend sa fellation. Je passe ma main sous ses cheveux, sur sa nuque. Sans prévenir, j'appuie. Elle n'a d'autre choix que de gober les dix bons centimètres de queue qui dépassent. Elle pousse un cri.

Elle tente de se dégager en toussant. Il y a du foutre qui jaillit aux coins de ses lèvres. Estelle se touche en regardant comme hallucinée. Je relâche mon étreinte. Clémentine se retire pour tousser, reprendre sa respiration en tenant sa gorge d'une main, la bite de l'autre. Il y a des giclées de foutre qui éclaboussent le mur à chaque toussotement. C'est parfaitement dégueulasse. Estelle chuchote : << Et ce n'est que la première bite ! >>. En disant cela elle prend sa tête dans ses mains avec une expression d'effarement. Je félicite et encourage Clémentine.

Elle reprend le sexe inconnu en bouche pour se remettre à pomper. Je glisse à nouveau ma main sous ses cheveux. J'appuie sur sa nuque. Clémentine pousse un râle profond. Un râle de dégout. Je suis certain que le mec éjacule. Je maintiens la tête de Clémentine, son nez et son menton contre la cloison. Elle tente de se dégager. Rien à faire, je la tiens fermement en chuchotant : << Avale, c'est du sperme ! Tu en as tellement rêvé de cette expérience ! Tu y es ! >>. Je peux sentir que Clémentine, avec des efforts insensés, tente d'avaler malgré tout.

Estelle murmure : << Salope ! >>. Clémentine gémit. Je relâche enfin mon étreinte. Elle se retire pour déglutir en poussant des râles de dégout. La queue disparait aussitôt. Estelle colle immédiatement son œil contre le trou. << C'est un mec cagoulé ! >> fait elle. << Je n'ai jamais rien sucé d'aussi dégueulasse ! >> lance Clémentine en inspirant profondément. Estelle lui tend une des pommes du guéridon. Clémentine y croque en fermant les yeux. Juliette arrive. << Alors ? A votre gout ? >> demande t-elle en se penchant vers Clémentine.

<< Beurk ! >> répond Clémentine au moment où apparait un autre sexe. Je suis certain que c'est celui de Léon. La couleur de sa toute petite bite ne laisse aucun doute. << Je le démarre celui-là ! >> lance Juliette en gobant la chose. Quelques instants avant de l'offrir à Clémentine. Estelle se lève, me prend par le bras pour me forcer à me lever. Elle m'entraîne à la suite de Juliette. Nous retournons dans la réserve. Madame Walter est entrain de sucer le type à la cagoule pendant que Pierre se fait tailler une pipe par Pauline. Jeune suceuse.

Qui est ce mec cagoulé ? Mystère. Juliette refuse de nous répondre. Elle se met à genoux devant son vétérinaire. Je sors ma queue pour la proposer à Estelle. Nous sommes quatre mecs à nous faire tailler une pipe des familles. << Viens, on retourne chez Clémentine ! >> me fait Estelle en m'entraînant par le Zob. Nous revenons dans le box. Clémentine suce passionnément. Il y a du foutre qui lui dégouline aux coins de la bouche. Ce n'est pas qu'elle ne taille pas proprement c'est que la bite dégorge probablement plus de jute qu'elle ne peut en avaler.

Une fois encore, Estelle et moi nous nous masturbons en observant Clémentine. Je ne sais pas si c'est de la sueur ou du foutre, mais son visage est trempé. C'est en regardant attentivement le coussin à eau que je comprends. Clémentine s'est certainement fait pisser à la gueule. J'en ai la preuve en assistant à un instant surréaliste. Clémentine se retire pour éviter le jet qui passe à quelques centimètres de sa bouche. Tout près du visage d'Estelle qui se repousse juste à temps. Clémentine y retourne pour se remettre à pomper en gémissant.

A nouveau, je glisse ma main sous ses cheveux. J'appuie sur sa nuque. Elle tente de résister, de se dégager de mon étreinte. Rien à faire, je suis ferme. Je suis certain que c'est de la pisse qu'elle avale sous contrainte. Je distingue nettement les muscles de son cou qui se contractent de manière régulière. Elle pousse de petits cris en tentant désespérément de se dégager. Je la lâche enfin. Elle tousse. Elle a des hauts le cœur. Va t-elle vomir ? Clémentine a des spasmes qui déforment son visage trempé de jute et de pisse. Il y en a plein son pull.

Elle tient sa gorge comme si elle était douloureuse. Ses yeux sont en larmes. Elle me jette un étrange regard. Je lui fais un clin d'œil. Je glisse une nouvelle fois ma main sous ses cheveux. Comme pour anticiper Clémentine reprend cette petite bite molle dans la bouche. J'appuie. Je suis certain qu'elle se fait éjaculer dans la bouche. Au fond de la gorge car je la maintiens fermement. Je la lâche. Ses hauts le cœur sont inquiétants. Ses spasmes tout autant. Estelle agite ses mains pour manifester sa consternation. Juliette qui revient.

<< Tout ce passe comme vous voulez ? >> demande t-elle à Clémentine. La bite a disparu. Clémentine sans répondre prend une gorgée de jus de fruits. Estelle lui essuie le visage. Une autre queue vient de surgir de l'orifice. Une fois encore Juliette se met à genoux entre Clémentine et moi. Elle gobe cette nouvelle bite. Cette salope semble faire cela comme si c'était l'acte le plus normal. Estelle me regarde comme hallucinée. Juliette saisit cette queue pour la tendre à Clémentine. Juliette nous propose de la suivre. Nous quittons l'odeur de bites.

<< Put-Hein, comme ça pue un défilé de queues ! >> lance Estelle. Juliette se retourne soudain. Elle me prend la bite pour la tordre en disant : << Tu apprécies ce que fait ta salope ? >>. Je suis complètement consterné. Je ne sais quoi dire. Nous voilà dans la réserve. Pierre se fait sucer par sa femme. Pauline taille une pipe au cagoulé. Je demande à Juliette : << Ça fait longtemps que vous avez détourné Pauline de ses travaux de secrétaire ? >>. Juliette me lâche enfin la queue pour me répondre : << Ici, nous partageons les mêmes vices ! >>.

Estelle s'accroupit pour prendre mon sexe en bouche. Juliette suce Léon qui est revenu. << Put-Hein, ta femme ! Une vraie ventouse. Elle m'a vidé les couilles ! >> me dit il en saisissant Juliette par ses cheveux pour lui frotter sa bite sur la gueule. Estelle se redresse. << Viens, on tente une expérience ! >> me dit -elle en m'entraînant par la main. Nous sommes devant la porte du local bureau. Estelle m'embrasse passionnément. Je colle mon oreille à la porte. J'entends le type râler de plaisir. C'est le vétérinaire puisqu'il n'est pas dans la réserve.

Nous contournons le mur pour regarder Clémentine. Les joues creusées par l'effort elle pompe comme si sa vie en dépendait. Elle pousse soudain un cri de ravissement. Le vétérinaire est probablement entrain d'éjaculer. Il sort du local bureau, le visage en sueur. Il est surprit de nous trouver là. Estelle m'entraîne dans le local bureau. Je comprends immédiatement. Je passe ma queue dans le trou. Quelques instants avant que l'indicible sensation de ventouse chaude se referme sur mon sexe. Estelle se place derrière moi pour me coller contre la cloison.

Cela facilite considérablement les choses. Je crois que je n'ai jamais vécu un émotion sexuelle aussi puissante. Je suis là, entrain de me faire sucer par la fille qui partage ma vie. Derrière cette cloison, elle ne sait pas que c'est moi. C'est divin. C'est énorme. Heureusement qu'Estelle maintient mon équilibre. Je suis à deux doigts de tourner de l'œil. Je sens Clémentine sucer. Je prends conscience que c'est comme ça qu'elle vient de faire à trois autres mecs. << Tu prends un pied d'enfer, non ? >> me chuchote Estelle. Je suis trempé de sueur. C'est fou.

C'est la meilleure pipe de toute ma vie. Le lecteur, la lectrice, en recherche de la sensation ultime, doivent absolument essayer le Gloryhole. Moi aussi je viens de découvrir à quel point, poussé à ces extrêmes, le Gloryhole est un truc délirant. J'éjacule. Bon sang mais c'est comme ça qu'elle bouffe le foutre des mecs qu'elle suce. Je vais tomber dans les pommes. Je le sens. Estelle met toutes ses forces à me maintenir. J'ai envie de hurler mon amour à Clémentine. Je m'en garde. Je veux être un anonyme parmi les anonymes. Je lui avouerai plus tard.

Je reprends mes esprits. Nous sortons du local bureau au moment où Juliette arrive avec Pierre : << La dernière friandise pour Clémentine ! >> dit elle en tenant la grosse queue de Pierre dans la main. Elle dégorge de foutre. Estelle me dit : << Viens, on va regarder ça ! >>. Nous rejoignons Clémentine qui suce déjà le chibre de ce salaud de Pierre. Juliette reste avec nous. Je crois que c'est la main d'Estelle qui caresse ma nuque. Ce n'est qu'au bout de quelques minutes que je me rend compte que c'est celle de Juliette. Estelle me fait un clin d'œil.

Cette pipe est hyper juteuse. Pierre s'est fait sucer par toutes les filles présentes ce soir. Y compris par Juliette qui en raffole. Nous assistons à l'éjaculation la plus surprenante de la soirée. Il y a tant de sperme qui jaillit que Clémentine est obligée de se retirer. Juliette me tient la nuque avec une douceur incroyable. Elle se penche pour murmurer à mon oreille : << Julien, je t'aime ! Merci d'avoir été là ce soir ! >>. Cet aveux me gêne terriblement. Ce n'est pas la première fois que Juliette me fait cette confidence. Mais là, ce soir, c'est vraiment fort.

La bite disparaît. Clémentine reste prostrée. Elle s'essuie le visage. Ses cheveux sont ruisselants. Probablement de foutre, de sueur et de pisse. Je pose ma main sur sa nuque. Elle me regarde de ses yeux larmoyants pour me dire : << J'ai besoin d'une douche ! >>. Juliette murmure : << J'ai tout prévu. Nous montons chez moi ! >>. Nous ne croisons personne. Nous sortons des écuries par la porte avant pour traverser la cour. Il fait très froid. Clémentine grelotte. Juliette lui a passé une serviette sur les épaules. Clémentine reste contre moi.

Dans la voiture, Clémentine reste étrangement silencieuse. Assise à l'arrière, Estelle caresse mon cou. Il est 23 h quand nous arrivons à la maison. Clémentine est totalement épuisée. Je n'ai jamais vu autant de cernes sous ses yeux. << Tu as pris dix ans ! >> lui fait Estelle. Clémentine, les traits tirés, nous dit : << Put-hein, il faut que je me calme. Ça y est, j'ai vécu ce truc. Il n'y en aura pas d'autre ! >>. Estelle répond : << Jusqu'à la prochaine fois ! >> Nous éclatons de rire. Au lit, Clémentine s'endort blottit contre moi. Estelle ronfle...

Bonne expérience "Gloryhole" à toutes les coquines qui ont le privilège de connaitre un lieu et des gens qui pratiquent de genre de truc...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1669 -



Un dimanche des plus reposants

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures quand je suis réveillé par le souffle chaud d'Estelle contre mon visage. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi comme une naufragée à sa bouée. A peine suis je conscient qu'elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection naturelle. Le matin je bande toujours beaucoup et très fort. Clémentine vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Je passe mes bras sous leurs nuques pour les serrer affectueusement. C'est un concert de gémissements loufoques qui nous font rire.

<< J'ai dormi comme une masse ! >> fait Clémentine. << Le Gloryhole est donc un excellent somnifère ! >> dit Estelle en se levant pour se précipiter aux toilettes. Clémentine se serre tout contre moi pour murmurer : << Je me sens sale à l'intérieur. Beurk ! >>. Je couvre son visage de bisous en chuchotant : << Un bon petit déjeuner avec de la brioche va nettoyer tout ça ! Viens ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, en slips et en T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Il fait bien chaud.

L'odeur de café, de pain grillé et de la brioche qui trône au milieu de la table. Estelle, en pyjama fait une espèce de danse du ventre lascive en fonçant vers moi. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, elle me fait des bisous en mitrailles. Même traitement pour Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur cette extraordinaire soirée au haras. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le comportement de Juliette. Clémentine reste assez silencieuse. Tout juste si elle murmure plusieurs fois : << J'ai honte ! >>.

<< Quand on a le courage de faire ce que tu as fait, on n'a pas honte, on est fière ! >> lance Estelle. Je surenchéris en précisant : << Il faut un sacré courage, bravo ! >>. Clémentine conclue : << Ou une sacrée dose d'inconscience ! >>. Nous éclatons de rire. Le dimanche, pas d'entraînement, pas de jogging. Le ménage a été fait hier par notre délicieuse Julie. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles échangent leurs impressions quand aux fellations multiples d'un vrai Gloryhole.

C'est un fantasme récurrent qui habitait Clémentine depuis la fin de son adolescence. << Je suis tombé sur un film Gloryhole. Et depuis j'y pensais de plus en plus souvent ! >> dit elle. Nous connaissons bien l'histoire. Estelle rajoute : << Tu a réalisé ton fantasme hier soir ! >>. En riant Clémentine confie : << Je suis convaincue qu'il faut réaliser ses fantasmes afin d'en faire une catharsis ! >>. Même si elle ne désire par recommencer, elle précise : << Si on aime faire des fellations à des inconnus sans avoir à supporter leurs humeurs c'est parfait ! >>.

Nous rigolons comme des bossus. Il est dix heures. Nous faisons la vaisselle avant de monter nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous allons dans la chambre faire notre lit. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux, baskets. Pressés d'aller prendre l'air, nous dévalons les escaliers en nous tenant par la main. Nous enfilons nos anoraks. Le thermomètre extérieur n'indique que 4°. Le ciel est voilé mais très clair et lumineux. << Put-hein, comme ça caille ! On se croirait en janvier ! >> lance Estelle.

Il faut mettre les gants et les bonnets. Je suis entre mes deux anges. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les canards, les colverts, les poules d'eau nous font un hommage appuyé en cancanant de plus belle. Nous longeons le cour d'eau. Estelle marche devant. Elle se retourne souvent pour me faire une bise, pour palper ma braguette. Je me retourne à chaque fois pour faire un bisou à Clémentine. Les filles parlent de leurs cours. Des vacances de la Toussaint qui commencent dans deux semaines. << Ça passe si vite ! >> dit encore Estelle.

Nous avançons doucement, en flânant. De multiples arrêts pour nous serrer tous les trois. Nous prenons le sens inverse pour rentrer. Julie et ses parents sont attendus pour midi. Il faut préparer la table, réchauffer les plats. Il est 11 h15. Clémentine s'occupe des salades. Estelle verse de la potée de légume dans un plat carré en terre cuite. Je râpe une quantité industrielle de gruyère de Comté. Nous en recouvrons les légumes. Je casse un œuf sur le tout, de la chapelure, des graines de sésame grillé. Au four. Cuisson à 180° pour que ça mijote.

Nous dressons la table au salon. Estelle n'arrête pas de me toucher, de me passer la main entre les cuisses par derrière. << Tu m'offres un Gloryhole à moi toute seule rien que pour moi et juste toi derrière le mur ? >> dit elle en riant. << Et moi je te filme ! >> lance Clémentine. La table est bien agencée. Ça fait très longtemps que n'avons plus pris de repas au salon. Nos invités préfèrent l'ambiance de la cuisine. Nous verrons bien les réactions de nos convives d'aujourd'hui. Il fait bien chaud. Le thermostat régule les radiateurs de la demeure.

Nous retournons à la cuisine en faisant une sorte de farandole. Les filles sautillent comme des gamins à la sortie de l'école. Il est temps de rajouter les tourtes aux fruits de mer pour les réchauffer. Le gratin de légumes est doré, d'apparence croustillante. La faim commence à se faire sentir. Il est 11 h50. Je vais dans le hall d'entrée. J'ouvre le portail depuis l'interphone. Nos invités ne vont pas tarder. Nous nous regardons. << Impeccable ! >> s'écrie Estelle en me palpant la braguette. Elle passe sa main dans mes cheveux comme pour me coiffer.

Nous prenons des poses ridicules devant le grand miroir de l'entrée. Par une des fenêtres rondes de chaque côté de la porte, nous observons. << Les voilà ! >> lance Estelle pendant que Clémentine me roule une pelle d'enfer. Je bande. << Put-hein, cache cette bosse ! >> me fait Estelle en s'en emparant. Nous regardons la voiture se garer devant le garage. Julie sort la première pour faire la guide. Ses parents observent cette partie de la propriété. Nous sortons pour aller à leurs rencontres. Ils sont souriants, visiblement très contents.

Ce sont des gens simples. Ils sont un peu impressionnés de découvrir la grande demeure du XIXème. Sa dépendance, son isolement. Nous les invitons à entrer. Les parents sont vêtus de jeans, de sweats sous des anoraks identiques. Ils s'en débarrassent dans le hall. Clémentine, en parfaite maîtresse de maison fait visiter le bas. Julie reste avec Estelle et moi. Elle nous raconte sa soirée de serveuse dans le restaurant de sa tante. << Il y avait un des clients réguliers. Un vrai vicieux. Il est toujours avec sa femme et un autre couple. Un cochon ! >> dit elle.

Estelle évoque rapidement notre soirée de hier au haras. Le Gloryhole. << Je le connais bien ce trou. Combien de fois Juliette ne m'a pas entraîné là ! Je la regardais pratiquer des fellations. Je ne savais même pas à qui ! >> lance Julie qui a été l'amante de Juliette durant quelques mois. << Elle a sucé hier soir ? >> demande t-elle. << Juste quelques instants ! >> répond Estelle. Il faut changer de conversation car les parents reviennent. << Quelle grande et belle maison vous avez ! >> me fait la maman d'Estelle. La sonnerie du four.

Julie veut s'occuper du service. << C'est mon job de week-end ! >> lance t-elle. Nous la laissons seule à la cuisine. Nous sommes assis à la grande table monastère. Adeline, la maman d'Estelle ne cesse de tout observer avec des yeux admiratifs. Brice, son papa, scrute la grande cheminée. Cette grande pièce d'inspiration victorienne exerce visiblement une fascination sur le couple. Les plafonds aux moulures, le lustre, la grande bibliothèque, le bureau sont autant de curiosités. Voilà Julie qui apporte les plats. Clémentine dit : << On a fait simple ! >>.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Brice pose des questions précises quand à mes activités de peintre d'art. Il parle de son poste de cadre dans une administration. Adeline évoque son activité de professeur des écoles. Je suis toujours très intéressé par la vie et l'existence des gens que nous rencontrons. Je me demande souvent ce que j'aurais fait si je n'avais pas eu tous mes privilèges. A l'écoute des autres, je peux varier mes interrogations. Ce gratin de légumes, ces tourtes aux fruits de mer et ces salades sont sublimes. Miam.

Je surprends souvent le regard par en-dessous de Julie. Elle me fait même quelquefois l'esquisse d'un timide sourire. Estelle me fait du pied sous la table. Clémentine me fait du genoux. Julie débarrasse. Je me lève pour la rejoindre à la cuisine. Je murmure : << Vous êtes délicieuse aujourd'hui encore Julie. Vous pensez quelquefois au placard ? >>. En riant elle chuchote : << Souvent. Même pendant le service ! >>. Je lui dépose un bisou sur le front avant de filer. Inutile de prendre le moindre risque. Je rejoins les autres au salon. Des rires.

Julie ramène le dessert. Le vacherin glacé sortit du congélateur ce matin. Nous traînons à table. Brice évoque sa passion pour les anciennes motos. Il possède une Triumph Bonneville de 1961. Il est d'ailleurs une véritable encyclopédie de la marque. J'écoute. Je suis impressionné par son savoir. Il est également propriétaire d'une Harley-Davidson de 1964. Lorsque je lui apprend que j'en possède une sous une bâche au fond du garage, il n'a qu'une envie, la voir. Je précise toutefois que la mienne ne date que de 1998. << Un bon cru ! >> lance t-il.

Il est presque 14 h30. Julie débarrasse. J'insiste pour faire la vaisselle avec elle. Estelle me glisse discrètement à l'oreille : << Toi, ne vas pas t'imaginer que je ne t'ai pas à l'œil avec la "petite", vieux salaud ! >>. Elle palpe tout aussi discrètement ma braguette. Clémentine propose une promenade digestive. De faire visiter la maison d'amis et la propriété. Pendant qu'Estelle, Julie et moi, nous faisons la vaisselle, Clémentine fait visiter l'étage à Adeline et à Brice. Estelle pose tout un tas de questions à Julie quand à nos aventures du placard.

Nous sortons dans la fraîcheur hivernale de ce début octobre. Clémentine fait les commentaires. Son rôle de guide est parfait. Je montre ma moto à Brice qui me demande combien j'en veux. Je précise que c'est un souvenir et que je ne tiens pas à m'en débarrasser. Même si je ne roule plus du tout, j'apprécie parfois de l'admirer. C'est un modèle "Electra-Glide" avec tous les accessoires d'origines. Toutes les options. L'après-midi se passe ainsi. Julie reprend son service au restaurant pour 18 h30. Nous raccompagnons ces gens à leurs voitures. 17 h45.

Une fois seuls tous les trois, nous échangeons nos impressions. << C'est sympa de recevoir des gens aussi gentils ! >> lance Estelle. Nous passons une petite heure dans l'atelier. Les filles préparent leurs cours de demain. Il est 19 h. La faim se fait sentir. Clémentine fait la salade. Je réchauffe la potée de légumes. Estelle nous concocte une belle omelette. Elle devra nous laisser pour 22 h. Nous mangeons de bon appétit. Je propose une soirée léchage de minous. Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. C'est délicieux. Petite baise aussi.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer le minou après un dimanche calme, reposant et sans douche. Miam...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1670 -



Julie vient nous livrer et passer la soirée avec nous

Hier matin, lundi, il est presque six heures quand nous sommes réveillés par la sirène de ce qui semble un gros cargo. Le cri des mouettes est strident. On imagine même le balai aériens des laridés au-dessus du ressac et des clapotis. L'application "océan" nous tire une fois encore de nos profonds sommeils avec sa parfaite illusion. Clémentine se serre fort contre moi. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous allons pisser avant de dévaler les escaliers jusqu'à la cuisine. Il y fait bien chaud car le thermostat régule les radiateurs. 20°.

Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses quatre premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le Gloryhole de samedi soir. J'avoue enfin que moi aussi j'ai passé ma bite dans le trou. Ma queue était une de celles que Clémentine a sucé. << J'aime quand tu es vicieux. J'aime quand tu me tenais la nuque pour me forcer. Mais là, tu remportes le "pompon". Je t'aime Julien ! >> s'écrie Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.

Il est 6 h25. Ce matin, c'est dur, nous avons encore la tête dans le cul en montant. Notre heure d'entraînement va nous permettre de nous remettre les yeux en face des trous. << Sans jeu de mots avec le trou dans le mur ? >> demande Clémentine en me faisant plein de bisous. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Le retour au calme se fait dans une véritable déconnade par un bon stretching. La douche. Je descends pour aller sortir la voiture. Il fait un froid glacial. Le thermomètre extérieur indique à peine 1°.

Clémentine vient me rejoindre. Elle est vêtue de son jeans, d'un gros pull et d'une écharpe sous son anoraks. Son bonnet, ses gants, ses bottines noires à légers talons. Un denier bisou. << A ce soir mon vicieux, je t'aime ! >> me fait elle en s'installant au volant. Le moteur tourne. Un dernier coucou. Je la regarde s'en aller dans le jour naissant. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle, le lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Nous avons rentré du bois hier. Le tirage permet une combustion régulière.

Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Les p'tits trous" de Serge Gainsbourg. Je continue ce matin la peinture de cette sixième œuvre de commande. C'est un paysage bucolique où je représente la belle maison à colombages du commanditaire allemand. Je peins dans une profonde sérénité car cette toile sera terminée demain avant midi. La musique imbécile de mon téléphone. Il est 10 h. Je le saisis sur la desserte à ma droite. << Coucou, je t'aime mon vicieux ! >>. C'est Clémentine. Nous rions.

C'est entre deux cours, depuis les toilettes où elle est avec Estelle que Clémentine m'appelle. Elle dispose juste de quelques minutes. J'entends Estelle me raconter des cochonneries en fond. Je les embrasse toutes les deux avant de raccrocher. A la sérénité de peindre vient s'ajouter la félicité. Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de la potée de légumes. Je fais rissoler un filet de lieu noir avec de l'ail. Je prépare une salade d'endive. Je mange en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit un invité particulier.

Un de nos fidèles lecteurs nous a fait remarquer hier, avec un message privé, que dans mon récit relatant la visite des parents de Julie, je fais une "boulette". Je m'en excuse. Pour un peintre, de s'emmêler les pinceaux, est un comble. En effet, au lieu de parler d'Adeline comme étant la maman de Julie, j'écris "Estelle". C'est navrant mais j'écris toujours nos histoires en plusieurs séquences. Je publie le matin sans me relire. Si Clémentine ne corrige pas, l'envoi se fait par un "clic" machinal, irréfléchi et mécanique. Nos lecteurs auront rectifié d'eux-même.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre un peu l'air, je dévale les escaliers pour mettre mon anoraks. Le thermomètre extérieur indique à présent 13°. il est 13 h. Un vent de Nord Est est le grand responsable de ce froid. Je vais jusqu'à la rivière. Je tombe sur monsieur Bertrand. Notre voisin vient nourrir les canards. Nous bavardons un peu. Il ne fait pas la moindre allusion à Clémentine. Alors que le bougre, me croyant dans l'ignorance des pipes qu'elle lui prodigue, ne sait pas que je suis "cocu" volontaire.

Je scrute bien le larron pendant qu'il me parle de sa femme et de sa belle-mère. J'ai envie de lui mettre la main sur l'épaule, de me marrer et de le féliciter d'être le dernier des salauds avec la fille que j'aime. << Vieux pervers va ! >> me dis-je en remontant le chemin. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins en pensant à nos aventures, aux expériences de Clémentine. Ça me fou la trique. C'est inconfortable de bander avec la bite tordue au fond du slip. Aussi, j'ouvre ma braguette pour lui permettre de s'épanouir librement.

Il est 17 h30. Du bruit. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table pour se précipiter vers moi. << Mon vicieux ! >> s'écrie t-elle en s'asseyant sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle a gardé le secret comme tu le lui avais demandé. Elle m'a confirmé ce matin que toi aussi, tu avais passé ta queue dans le trou ! Salaud ! >> me dit elle. Nous éclatons de rire. Clémentine rajoute : << Impossible de reconnaître son mec au gout de son sexe ! >>.

Je m'empresse de dire : << Il faudra faire une seconde tentative. Sinon les conclusions d'une expérience scientifique n'ont aucun fondement ! >>. Clémentine glisse sa main sous ma blouse pour découvrir ma bite à l'air. Je bande mou. << Je t'aime. J'aime les surprises que tu me réserves ! >>. Elle enfonce sa langue pour me fouiller la bouche avec fougue et passion. Je bande très rapidement. Clémentine se lève d'un bond. Elle s'accroupit entre le chevalet et moi. Elle écarte les pans de ma blouse pour se mettre à sucer comme si sa vie en dépendait.

Je caresse sa tête. C'est merveilleux. Je murmure : << Tu as encore du travail Clémentine ! >>. Elle cesse pour dire : << Hélas ! >>. Je lui fais plein de bisous. Nous nous levons tous les deux. Je la raccompagne jusqu'à la table de travail. Assise devant son ordinateur, elle chantonne. Je suis debout derrière elle à lisser ses cheveux. Je lui raconte ma rencontre avec monsieur Bertrand. Les amusantes pensées qui m'animaient durant notre brève conversation. << Ce vieux dégoûtant ne perd rien pour attendre ! >> dit elle. Nous éclatons de rire.

Nous travaillons encore un peu dans l'agréable crépitement de l'âtre. L'odeur du feu de bois est un délicat plaisir de l'automne. Demain nous irons ramasser les châtaignes. Notre châtaignier est généreux cette année. J'en dispose toujours dans un vieux caquelon dont le fond est troué. Au-dessus des braises les châtaignes parfument tout l'atelier et sont savoureuses au goût. Il est 18 h15. Je nettoie la palette et les pinceaux. Clémentine range ses affaires. Elle vient s'assoir sur mes genoux. << Je pense tout le temps à samedi soir ! >> me dit elle.

Je murmure : << Tu vois ! Bientôt tu voudras refaire ! >>. Clémentine se blottit contre moi en poussant un gloussement amusé. Elle change de position pour me chevaucher. Elle frotte son sexe contre le mien. La musique idiote de mon téléphone. Clémentine se penche, tend le bras pour le récupérer. << Julie ! >> s'écrie t-elle. Nous nous levons d'un bond pour quitter l'atelier. Nous accueillons Julie dans le hall d'entrée. Elle nous serre les mains, nous fait des bises. Toute contente d'être de retour. Nous l'entraînons dans l'atelier.

Julie s'assoit devant ma toile. << Papa et maman ont énormément apprécié hier ! >> nous dit-elle. Nous l'écoutons nous raconter les impressions de ses parents. Ce dimanche après-midi passé en notre compagnie. << Nous aussi nous avons beaucoup apprécié ! >> lance Clémentine. Julie a ramené les plats commandés hier. Ils sont encore dans sa voiture. Nous ressortons tous les trois pour aller les récupérer. Je prends la grande boîte isotherme. Clémentine prend le grand sachet contenant les salades. Julie est entre nous, nous tient par les bras.

Les feuillantines de saumon sont encore très chaudes. Pour les sortir de la boîte, j'enfile les maniques. Il y a également les tourtes au crabe pour demain midi. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant les salades. Je tends l'enveloppe contenant les billets. Je paie les repas du lundi en espèces. Julie dresse la table en nous racontant sa journée universitaire. Nous mangeons de bon appétit. Je raconte ma rencontre avec notre voisin au bord de la rivière. Julie écoute avec attention. Elle dit : << C'est un vrai vicieux ce type ! >> nous rions.

Julie rajoute : << C'est étonnant qu'il ne soit jamais venu manger au restaurant ! Je l'aurai bien vu faire le pervers dans les toilettes. C'est le genre ! >>. Nous rions comme des bossus. Clémentine revient sur notre soirée de samedi. Le Gloryhole. Julie pose quelques questions précises. Je peux encore me rendre compte à quel point cette jeune fille de 20 ans est vicelarde. Julie est bien plus voyeuse encore que nous ne l'imaginons. Bien davantage que Estelle. Lorsque je relate ma petite turpitude, Julie me fixe, le regard par en-dessous. Presque sévère.

Je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Julie observe mon sexe. Je bande. Clémentine anticipe la question qui vient sur les lèvres de Julie. << Non, je n'ai pas reconnu Julien au gout de sa queue ! C'était une bite parmi les autres ! >>. Julie me regarde comme consternée. Elle demande à Clémentine : << Tu as avalé le sperme de tous les mecs qui passaient leur sexe par le trou ? >>. Elle tient son visage entre ses mains comme affolée. De grand yeux. << Bien sûr ! >> répond Clémentine.

<< Beurk ! Je ne pourrais jamais faire un truc pareil. Juliette me l'avait proposé plusieurs fois ! Non. C'est inimaginable pour moi ! >> lance Julie avant de rajouter : << Par contre je l'ai regardé faire. A l'époque il y a avait encore son palefrenier vietnamien. Elle le suçait presque tous les jours ! Elle baisait avec lui aussi ! Quelle salope, si vous saviez tout ce que j'ai vu là-bas ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine lance : << Ça doit lui manquer une telle patronne maintenant qu'il est à Paris ! On s'en doutait. >>. Je me lève pour me masturber.

Nous faisons la vaisselle. Julie reviendra pour son cours de peinture vendredi après-midi. << Tu suces le vieux ? >> demande t-elle à Clémentine qui répond : << Toi, tu veux t'enfermer avec Julien dans le placard ! >>. Nous éclatons de rire. Julie dit : << Oui, ça me plairait bien ! >>. Clémentine rajoute : << Il n'y a encore rien de défini, mais je te fais un texto si jamais ! >>. Je propose à Julie de venir à 15 h30, quoi qu'il arrive. Elle est soudain toute contente en s'écriant : << Oh oui ! Super ! >>. Il est 22 h. Nous la raccompagnons à son auto.

Assise au volant, la vitre baissée, Julie regarde ce que je fais de ma queue. Je la tiens dans la main à cause du froid cinglant. Je suis appuyé contre la portière de la voiture. J'agite mon sexe dans l'habitacle. A quelques centimètres du visage de Julie. Elle a toujours ce réflexe bien naturel de rester sur ses gardes. Clémentine est serrée contre moi. << Comme c'est dur de partir ! >> lance Julie en démarrant. Elle se fait violence. Je me penche pour lui faire un bisou sur la joue. Je dis : << On se revoit vendredi ! >>. << Courage ! >> rajoute Clémentine.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les conversations tendancieuses en savourant un bon repas tout en mâtant une belle queue...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1671 -



Le mardi, Clémentine rentre pour midi

Hier matin, mardi, nous sommes arrachés de nos profonds sommeils par l'application "océan". Cette parfaite illusion de se réveiller dans un port en bord de mer. Clémentine se blottit contre moi. Le cri des mouettes, le clapotis de l'eau, le bruit du ressac, tout cela ne dure exactement que 45 secondes. Il est presque six heures. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues fitness, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il y fait bien chaud. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges.

Nous prenons notre petit déjeuner en savourant les kiwis que je pèle soigneusement. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence de Julie hier soir. Les sujets de nos conversations restent le plus souvent axés sur nos déviances sexuelles. Comme le précise Clémentine, le sexe sans ses déviances c'est comme de se baigner dans la mer sans faire pipi dans l'eau. Le mardi, elle termine à midi. Ce qui a tendance à la rendre très déconneuse. J'aime rire de ses facéties matinales. Il est 6 h25. Nous remontons pour notre entraînement.

Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, un peu de vélo d'intérieur. Le retour au calme avec un stretching des plus agréables avant la douche. Je descends pour aller préparer la voiture. Il fait froid. Le ciel est gris, bas et menaçant. La pluie de la nuit a trempé le sol. Clémentine vient me rejoindre vêtue de son jeans, un pull sous son anorak, son bonnet, ses gants, ses bottines à légers talons. << A tout de suite ! >> me dit elle. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant que l'auto ne disparaisse.

Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Moi aussi je suis d'humeur déconneuse. Cadeau de Clémentine. Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Il est onze heures pile quand je dépose la dernière touche de jaune de cadmium sur la surface de la toile achevée. Ce paysage avec la maison du commanditaire. Elle va pouvoir sécher tranquillement.

Je dépose le tableau sur le second chevalet. Je dispose la septième toile sur son support. Le dessin préparatoire et la couche d'impression sont déjà réalisés. Je n'ai qu'à commencer ce paysage dans la suite du précédent. Cette fois c'est une crique. Un bord de mer. Une somptueuse villa avec tourelles qui surplombe une baie quelque part vers Villefranche. La maison du commanditaire. C'est toujours amusant de réaliser de telles peintures. D'abord parce que c'est d'une facilité déconcertante puis parce que cela ne demande pas de concentration.

Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les deux tourtes au crabe. Je fais une salade de carottes et de tomates. Il est midi vingt quand Clémentine reviens de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Il n'y a plus qu'à mettre la table. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Après le repas, assise sur mes genoux, elle revient sur notre soirée Gloryhole de samedi. Nous en rions beaucoup.

<< C'est obsessionnel. Je n'arrête pas d'y penser. Ça m'amuse follement de savoir que je t'ai sucé sans le savoir ! >> dit elle entre deux éclats de rire. Je demande : << Tu veux refaire ? >>. Clémentine reste silencieuse en me fixant longuement. << Pas dans les prochains temps. J'ai deux bites à disposition. Celle du voisin, la tienne ! J'ai de quoi faire ! >> finit elle par répondre. Elle rajoute : << J'ai d'ailleurs une méchante envie de m'occuper de la tienne ! >>. C'est en rigolant comme des bossus que nous débarrassons la table. La vaisselle.

Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. Couchée contre moi, ma queue dans sa main, elle me confie ses ressentis. Trois jours se sont passés depuis l'expérience du Gloryhole. << J'ai le recul suffisant. J'éprouve de la honte mais aussi de l'excitation. Du dégoût aussi quand me reviennent à l'esprit les goûts. Tout au fond de moi, j'ai toujours peur de te causer du tourment, de te faire de la peine ! >> m'explique t-elle.

Clémentine pose sa tête sur mon ventre. Elle joue un peu avec la peau de mon prépuce. L'indicible caresse d'une fellation me donne le vertige. Clémentine suçote l'extrémité. Elle mâchouille la peau fripée. Je la rassure. J'aime tellement être caché pour la regarder sucer un autre. Au début de notre relation, j'ai tant de fois émis ce souhait que Clémentine a fini par réaliser mon fantasme. Découvrant rapidement qu'elle y prenait un plaisir insoupçonné. Je la rassure une fois encore quand à ses interrogations bien légitimes. Clémentine en glousse.

Toutes les deux trois minutes elle cesse pour me confier une autre impression. Des souvenirs qui lui reviennent en mémoire. Lorsqu'elle suce c'est à moi de lui donner mes impressions. De lui raconter ma vision de nos souvenirs communs. Le prochain fantasme que veut absolument réaliser Clémentine me fascine. Sucer un inconnu en se filmant à l'insu du mec. Nous regarderions ce film le soir, sur l'écran géant de notre téléviseur. Clémentine précise : << Et pour réaliser ce truc, le Gloryhole reste une des toutes meilleures formules ! >>.

Nous avons encore du travail. Il est hors de question d'aller jusqu'à l'éjaculation, jusqu'à l'orgasme. Nous aimons tous deux rester excités pour le reste de la journée. Il est 14 h30. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Il fait froid et moche. Nous faisons quelques pas en restant sur les dalles de grès. Nous contournons la maison d'amis. Nous avons là, nous aussi, nos deux Gloryholes. Dans chacune des portes qui ferment depuis le printemps l'espace entre l'abri à bois et la dépendance. Un trou parfaitement rond d'environs six centimètres.

Clémentine m'y entraîne. J'entre dans l'étroit passage. Nous y avons entreposé du matériel. Une brouette, une échelle en alu, divers outils de jardinage, un rouleau de grillage. Clémentine ferme la porte derrière moi. Il fait froid dans ce local obscur d'une dizaine de mètres de long. Il y a un autre trou dans la seconde porte. Ce qui créé un courant d'air permanent. Je sors ma bite que je fais passer par le trou. J'attends. Je me demande ce que peut bien faire Clémentine de l'autre côté de la porte contre laquelle je suis plaqué. Inconfortablement.

Je l'entends me donner ses impressions. Un silence. Soudain la douceur merveilleusement chaude. La sensation d'une ventouse délicate. Clémentine me taille une pipe. Cela ne dure que quelques instants. Pour elle aussi la situation est inconfortable. Tout cesse. Je ressors. Un froid intense saisit ma bite humide. Clémentine la prend en main pour me dire : << Il y a quelque chose d'hyper excitant pour une femme de voir un sexe d'homme qui sort d'un trou dans le mur. Moi, en plus, ça me passionne ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche.

Il fait décidément trop froid pour apprécier nos douceurs. Nous rentrons. Nous nous faisons violence en allant directement à nos postes de travail. Clémentine est assise devant son ordinateur. Entourée de ses feuillets. J'aime l'entendre commenter ce qu'elle fait. Chantonner parfois. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans la saveur élégiaque de ces instants magiques. Parfois, l'un se lève pour venir faire un bisou à l'autre. Lui murmurer une douceur, une cochonnerie. Le crépitement des flammes, le craquement des bûches de hêtre.

L'après-midi se passe ainsi. Dehors c'est une météo maussade, sinistre. Il est 18 h30. Du bruit. Estelle jaillit dans l'atelier pour se précipiter vers moi. J'ai juste le temps de poser ma palette, mes pinceaux sur la desserte. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou elle exige la narration complète de la soirée de hier avec Julie. Clémentine lui en a déjà raconté une partie ce matin en cours. Mais elle veut ma version. Je lui raconte. Clémentine depuis la table de travail ponctue mes dires de quelques détails que j'ai oublié. Estelle me tripote.

<< Si tu baises avec elle, je t'arrache les couilles avec les dents ! C'est ma rivale ! >> lance t-elle. Nous éclatons de rire. << Et c'est mon mec que je te prête ! >> fait Clémentine. Je rassure Estelle en précisant : << Tu n'as pas de rivale ! Tu es unique ! >>. Elle me fait plein de bisous en mitraille avant de se lever pour rejoindre Clémentine. Elles comparent leurs travaux, leurs préparations des cours de demain. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 18 H50. Assis en tailleur tous les trois sur l'épais tapis, nous regardons la danse des flammes.

Je suis entre mes deux anges qui parlent mathématiques. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je fais revenir des filets de saules à la poêle. Avec de l'ail, de l'échalote et des champignons. Estelle passe souvent silencieusement derrière moi pour glisser sa main entre mes cuisses. Lorsqu'elle râpe le Parmesan, c'est à moi de me placer derrière elle. Mes mains remontent de ses hanches sur ses tous petits seins dont je sens durcir les extrémités.

<< Salaud. Tu devrais avoir honte de profiter d'une pauvre fille qui prépare la bouffe ! >> dit elle en se cambrant pour frotter ses fesses sur la bosse sous mon tablier de cuistot. Clémentine vient se serrer contre moi. Je suis pris en sandwich entre mes deux anges. Depuis quatre ans, c'est notre façon de préparer le repas. Estelle égoutte les coquillettes. Elle en a préparé en grande quantité. Le reste fera le gratin de mon repas de demain. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le Gloryhole de samedi soir. Cette histoire nous a tant marqué.

Il y a toujours quelques détails oubliés qui resurgissent en évoquant des situations passées. Surtout lorsque ces situations étaient torrides, triviales et terriblement excitantes. Clémentine raconte son fantasme de selfie. << Génial ! Mais toi qui ne veut pas te faire filmer tu serais prête à te filmer toi-même ? >> demande Estelle. Elle se lève pour mimer une masturbation masculine avec toute sa vulgarité habituelle. Je n'arrive pas à m'habituer à ce divin spectacle. Une jeune fille de 24 ans, superbement belle et sexy qui a des attitudes si vulgaires. Génial.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles échangent leurs points de vues. Estelle aussi a sa vision personnelle de ce qu'elle a vu samedi soir. Pourtant, même si nous étions tout le temps fourrés ensemble, nous avons des souvenirs différents. Clémentine s'amuse de nos diversités de ressentis. Estelle conclue : << Pour se mettre d'accord, il faut tout simplement refaire ! >>. Nous rions. << Arrête, ça va plaire à cette salope de Juliette ! C'est probablement elle que ça excite le plus ! >> lance Clémentine. Nous débarrassons. La vaisselle.

Les filles m'entraînent au salon. Elles me font tomber dans le canapé. Toutes les deux, à genoux sur les épais coussin, me sortent la queue. Avec les pipes de début d'après-midi, les conversations du repas, je bande. Il y a des épanchements de liquide séminal. << Ça colle au fond du slip ! C'est de la bonne colle ! >> fait Estelle en agitant ma queue sous le nez de Clémentine. << De la colle animal ! >> précise t-elle en humant les effluves parfumées du Parmezob. Je dis : << J'ai envie de vous lécher les minous ! >>. Estelle s'écrie : << Si tu es sage ! >>.

Mes deux anges se refilent ma bite qu'elles sucent avec tant de passion. Quand l'une pompe, l'autre murmure ses impressions. Je caresse leurs cheveux. Je fais des efforts insensés pour garder les yeux ouverts. Les filles sont toujours tellement belles quand elles font "ça". Je chuchote moi aussi mes sensations. Lorsque j'évoque le bol de purée tiède dans lequel j'ai l'impression d'avoir mon sexe, elles rient. Cette métaphore culinaire les amuse beaucoup. Je n'ai pas trouvé d'autres éléments de comparaisons. Ce doux et délicat effet granuleux. Chaud.

J'ai bien compris que ce soir les coquines veulent se bouffer de la queue. A chaque fois que je suggère un broutage de minou, elles me pompent plus fort encore. Elles gloussent, riant tout en pipant. Il est presque 22 h. J'éjacule un peu n'importe comment. Elles sont toutes les deux devenues de véritables virtuoses. Elles sentent venir l'éruption de sperme. Aussi, avec soin, elles se partagent l'invraisemblable quantité de foute que je distribue généreusement. << Miam ! >> font elles en cœur. Il faut raccompagner Estelle jusqu'à sa voiture.

Bonne soirée à toutes les coquines que les histoires de Gloryhole pendant le repas excitent au point de tailler des pipes au dessert...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1672 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, mercredi, il est presque six heures quand l'application "océan" nous arrache du sommeil. L'illusion parfaite d'être au bord de la mer. Les mouettes, les clapotis, le ressac. Tout semble si réel. Clémentine se serre contre moi. Quelques papouilles. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je ne me rappelle jamais des miens. J'écoute en pressant nos oranges, en pelant nos kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. La pipe monumentale prodiguée par Estelle et Clémentine. << Tu avais bon goût ! J'aime ta bite en soirée ! >> me confie Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le week-end à venir. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Abdos, charges additionnelles. Un stretching un peu bâclé permet un agréable retour au calme. La douche. Je descends pour aller sortir la voiture.

Il fait froid. Le thermomètre extérieur indique 2°. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Chaudement vêtue de son jeans, son gros pull sous son anorak, son bonnet, ses gants, ses bottines, elle me fait un dernier bisou. Je la regarde partir dans le jour naissant. Le ciel est voilé. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. J'allume une bonne flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je pense à la pipe de hier soir.

Je peins avec une érection contrariée au fond du slip. Je sors ma queue. La peinture de cette septième œuvre de commande m'absorbe toutefois très vite. Il est presque 10 h. La musique imbécile de mon téléphone. En maugréant, je m'en saisis. C'est Juliette. Quelle bonne surprise. Nous échangeons quelques banalités. Juliette ne pourra pas se libérer ce soir. Il y a trop de travail. Les propriétaires emmènent leurs bêtes. Il y a déjà une quarantaine de chevaux en pension jusqu'au printemps. Par contre nous sommes invités à passer ce week-end.

Juliette en arrive à notre soirée Gloryhole. Elle me pose quelques questions sur les impressions de Clémentine. Je la rassure, tout va très bien, l'expérience fut concluante et positive. << Une préférence ? >> demande mon interlocutrice. Je réponds : << Clémentine a beaucoup apprécié l'ensemble. Mais c'est toujours le jour d'après qu'elle peut émettre un avis ! >>. Juliette rajoute : << C'est comme moi. Sur le moment j'apprécie diversement et ce sont les jours suivants que se précisent les conclusions. En ce qui me concerne, superbes ! >>.

Nous nous saluons en riant. Je promets de faire part de l'invitation à ma compagne. Nous raccrochons. Je peins en pensant à cette bourgeoise dont les excentricités sexuelles nous étonnent autant qu'elles nous amusent. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste des coquillettes que je prépare rapidement en gratin. Je lave les feuilles d'une belle scarole. Il y en aura également pour ce soir. Les crevettes ont décongelés. Je les fais revenir à la poêle. Je concocte une pâte à crêpes.

Le rituel des beignets de crevettes des mercredis soirs. J'en prends quelques unes pour les jeter dans la sauce au Roquefort que je prépare très vite. La sonnerie du four. J'en sors le délicieux gratin. L'assaisonnement de la salade. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff et son invité m'amusent encore beaucoup. La vaisselle. La pâte à crêpe repose dans le saladier sous un linge. Les crevettes reposent dans la poêle sous un couvercle. Les feuilles de salade dans le bas du frigo. Je monte me laver les dents.

Je redescends pour enfiler mon anorak. Le ciel est voilé, couvert mais lumineux. Toujours le vent de Nord Est qui refroidit l'atmosphère. Il fait à peine 12°. Il est 13 h15. Je fais les 300 m jusqu'à la rivière. Les canards, les poules d'eau et les colverts font des rondes sur l'eau. Les deux cygnes blancs sont revenus. Ils flottent un peu plus loin. C'est très agréable. Ce tronçon de la rivière est toujours très calme. Les emplumés l'ont colonisé depuis quelques années. Je retourne. Il y a du travail qui m'attend. Je rentre quatre bûches de hêtre.

Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes pensées que ce matin. Juliette m'a prévenue qu'elle me ferait un de ces matins une visite impromptue. Elle passe souvent le long de la rivière sur un des chevaux du haras. Elle ne manque pas de s'arrêter quelques minutes. Il est convenu d'un SMS pour me prévenir. L'après-midi se déroule ainsi. Cette septième toile de commande sera terminée vendredi matin. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Ce soir elle pose délicatement son cartable sur la table.

<< Pfff, quelle journée ! >> dit elle assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Elle me raconte les profs, l'amphithéâtre, le menu du restaurant universitaire. Clémentine doit encore mettre au propre les notes prises aujourd'hui. La voilà assise devant son ordinateur. Je l'entend maugréer, pester et rire de ses propres emportements. Nous aimons tout particulièrement ces moments d'émulation dans nos activités respectives. Très rapidement je l'entends chantonner. Son calme et sa sérénité sont revenus. Le craquement du bois dans l'âtre.

Je profite de ce retour à la normale pour raconter la conversation téléphonique avec Juliette. << Génial ! Juste toi et moi ce soir ! Si tu savais comme ça me manque ! Je t'aime ! J'aime soudain tous les gens qui nous foutent la paix ! >> s'écrie Clémentine. Nous rions de bon cœur quand elle rajoute : << Non je déconne ! >>. Il est 18 h30. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Clémentine range ses affaires, éteint l'ordinateur. Couchée sur le dos, sa tête sur ma cuisse, les yeux fermés, Clémentine s'offre le passage entre deux univers différents.

Nous sommes dans le vieux canapé en velours de l'atelier. Je caresse ses cheveux. Il y a le craquement des dernières braises dans la danse des dernières flammes. Le crépuscule s'annonce déjà. Clémentine se tourne sur le côté pour fourrer son visage dans ma braguette béante. Je l'entends humer. Elle me dit : << Ce soir, je vais beaucoup m'occuper de vous deux ! >>. De sa main agile, elle extrait mon sexe du slip. Le tenant juste entre le pouce et l'index, elle se le frotte sur le visage. Je lui chuchote des douceurs. Clémentine suçote un peu.

Il commence à faire faim. J'aide Clémentine à se redresser. Elle m'entraîne dans une sorte de tango tout autour de la grande pièce. Je danse avec la bite a l'air. En faisant une danse du ventre très lascive, Clémentine frotte son sexe sur le mien. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Mmhhh ! Des beignets ! >> lance Clémentine en découvrant les préparations. Elle fait l'assaisonnement de la salade déjà prête et lavée. Je fais chauffer le caquelon contenant l'huile. Je trempe chaque crevette dans la pâte avant de la plonger dans l'huile bouillante.

Avec un écumoire, Clémentine récupère les beignets bien dorés. Elle les dépose sur des feuilles de papier absorbant. Sur une grande assiette plate. Je mets la table. Le riz complet a gonflé. Rien n'est plus simple et plus rapide que la confection de beignets. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur l'invitation de Juliette. Nous passerons probablement au haras dimanche en fin d'après-midi. C'est également un rituel auquel nous sacrifions avec plaisir. Il y a toujours de l'animation avec les gens qui viennent monter leurs chevaux. On aime bien.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur sa journée assez harassante. Elle a beaucoup "gratté". Les professeurs viennent donner leurs cours sans se soucier du rythme. Les étudiants sont alors obligés de prendre des notes à toute vitesse. << J'aurai dû faire de la sténo, ça irait plus vite ! >> lance Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. << Attends-moi au salon, je te fais une surprise ! >> me chuchote t-elle à l'oreille avant de monter l'escalier à toute vitesse.

Je suis assis derrière le bureau, devant l'ordinateur. Je fais un rapide petit tour sur la boîte mail. Pas de courriels. Un petit tour sur les messageries privées des forums où nous publions nos aventures. Soudain, là, dans l'encadrement de la porte, se détachant sur la lumière du couloir, la silhouette de Clémentine. Elle porte un chemisier blanc aux manches bouffantes. Un jupe qui descend sur le haut de ses mollets. Des escarpins noirs, fermés, à talons hauts. Ceux avec la fine sangle de cuir qui enserre délicatement ses chevilles. Ses cheveux libres.

J'éteins l'ordinateur sans cesse de fixer cette merveilleuse apparition. Clémentine reste ainsi, tenant les montants de la porte. Comme elle est belle. Comme elle est attractive. Discrètement sexy. Je sors ma queue sous le bureau. Clémentine entre dans la grande pièce. Elle marche doucement. C'est exquis. Un raffinement divin. Je la suis des yeux. Elle tourne la tête en faisant voler ses cheveux. Elle m'adresse les regards les plus suggestifs, les sourires les plus éloquents. Je bande. C'est toujours comme si je découvrais une inconnue. C'est fort.

Cette impression participe d'une excitation grandissante. Cette excitation masculine dont le jeu consiste à tempérer l'impatience soudaine. C'est un jeu formidable. J'y suis passé maître. Clémentine également. Je me masturbe en la regardant évoluer autour de moi. Parfois, elle se place devant le bureau. Ses pieds écartés à la largeur de ses épaules. Elle pose sa main à l'endroit de son sexe. Elle exerce de légères pressions de ses doigts au travers le tissus de sa robe carmin. Elle me fixe. C'est passionnant. Je passe à travers plein d'émotions.

Elle marche à nouveau, tournant sa tête pour me regarder. Dans ces affolants moments, je ne sais jamais comment réagir. Je passe par la gêne, par le sentiment amoureux mais aussi par une accélération de ma masturbation. C'est tellement bon, tellement intense. Une femme qui sait offrir de tels moments à son homme est une fée. Elle mérite d'être aimée au-delà de ses désirs les plus fous. Clémentine et moi, nous aimons faire durer ces situations. Elle nous emmène dans des sphères inconnues, nouvelles à chaque fois. Je bande hyper fort.

Clémentine s'accroupit soudain. Cuisses largement écartées. Elle ne porte pas de culotte. Avec la lumière tamisée, son invraisemblable touffe n'est qu'une broussaille sombre. J'ai l'envie folle de me lever pour aller me prosterner devant la fille que j'aime, la remercier, lui hurler ma passion, mon amour. Mais je sais que je dois me raisonner. Attendre le signal. Car c'est de cette attente que dépendra l'intensité de nos ébats. Clémentine se touche tout en se redressant. Sa main entre ses cuisses maintient sa jupe relevée. Vision merveilleuse. Si intense.

Clémentine s'assoit sur le canapé. Elle se laisse tomber en arrière, dos contre le cuir noir. Elle relève ses jambes pour écarter lentement ses cuisses. Cette vision agit toujours sur ma psyché comme une explosion des sens. Cette vue agit toujours sur ma libido comme l'apothéose suprême. J'en frissonne. Je pourrais éjaculer tellement c'est bon, tellement c'est fort. Clémentine m'observe, le regard par en-dessous. Un regard terriblement vicelard, incendiaire. Elle pointe l'index de sa main droite vers son sexe. C'est le signal. Je me lève lentement.

Clémentine aussi adore que je ménage mes effets. Je bande comme le dernier des salauds. Je tourne autour de la petite table basse. Je m'arrête. Mains sur les hanches, je fais bouger mon sexe par contractions des muscles fessiers. Clémentine fixe toujours cela avec l'attention d'une entomologiste. << Viens, je t'en supplie ! >> lâche t-elle soudain dans un souffle. Je me précipite. Dans une position inconfortable, je la pénètre avec d'infinies précautions. Clémentine m'attire sur elle en se couchant de tout son long sur le canapé.

Nous restons ainsi, parfaitement immobiles, à nous fixer longuement. Nous adorons cette communication qui va au-delà de l'intime. Nous contractons tous deux nos muscles fessiers. Cette sensation est une source d'indicibles émotions. << Je t'aime Julien ! >> lance Clémentine dans un souffle ultime avant de s'accrocher à moi pour se bercer. Nous alternons les rythmes avec des séquences d'immobilité totale. Comme souvent, Clémentine me propose de nous "terminer" sous les draps du lit qui nous attend après la salle de bain et les WC.

Bonne soirée romantique à toutes les coquines qui aiment les longs préliminaires visuelles, les longs stimuli avant la pénétration...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1673 -



Estelle veut reproduire la soirée romantique

Hier matin, jeudi, il y a la sonorité sourde et profonde de la sirène d'un paquebot. Le cri strident des mouettes. L'application "océan" nous réveille avec son réalisme habituel. Il est presque six heures lorsque le bruit du ressac et des clapotis vient parfaire l'illusion de sortir du sommeil au bord de la mer. Clémentine se blottit contre moi. << Comme c'était bon hier soir ! >> murmure t-elle à mon oreille. Des bisous, des papouilles. Il faut se lever. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gymnastique, nous nous précipitons aux toilettes.

Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant le rêve qui l'habite encore. Un remake de notre soirée. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons le petit déjeuner en revenant sur des instants précis, des moments particuliers. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute Clémentine me confier ses ressentis. Elle est la plus délicieuse et la plus authentique des exhibitionnistes. J'ai encore été témoin de scènes merveilleuses hier soir. C'est à mon tour de lui confier une fois encore à quel point j'aime la voir faire.

Il est 6 h25. Nous pourrions rester des heures à en parler. Mais il faut penser à notre entraînement. Nous remontons. C'est avec une intensité maximale que nous nous offrons le second plaisir de la matinée. Aérobic, joggings sur tapis roulant, un peu de vélo d'intérieur, les abdos, les charges additionnelles. Les pitreries d'un stretching bâclé pour revenir au calme. La douche. Je descends le premier. Dans le froid glacial je sors la voiture du garage. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Un dernier bisou, je la regarde partir. Un coucou.

Le jour achève de se lever. Je récupère quelques bûches dans l'abri à bois avant de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier animé d'une grande impatience. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je mets des châtaignes dans la vieille poêle trouée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette septième toile de commande m'absorbe immédiatement. Je peins dans la douceur des pensées qui animent mon esprit. Les souvenirs de notre soirée de "romance".

La matinée se passe ainsi. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les derniers beignets de crevettes avec le reste de riz complet. La pâte feuilletée a décongelé. Il me suffit de l'étaler en deux parties dans un grand plat à tarte et un plus petit. Je lave et je coupe des tomates en rondelles épaisses. J'en garde pour ma salade. Je place les rondelles dans les plats à tarte, étalées en spirale sur la pâte feuilletée. Je verse sur le tout un "flan" fait d'œuf, de crème fraîche, de fromage blanc.

Je recouvre du gruyère de Comté que je viens de râper grossièrement. Je place les deux tartes à la tomate dans le four. Cuisson lente à 180° afin que ça mijote longuement. J'écoute Sud Radio. Les pertinences d'André Bercoff m'amusent beaucoup. Son invité du jour semble beaucoup apprécier aussi. Je mange de bon appétit. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. Le ciel est voilé mais lumineux. Il ne fait que 14°. Le vent de Nord Est reste sans pitié depuis plusieurs jours. Hiver en octobre.

Je sors la brouette du réduit derrière l'abri à bois. Je ris en regardant par l'orifice du Gloryhole. Dans la brouette je mets une vingtaine de bûches de hêtre. Je ramène le tout devant l'escalier. Je fais plusieurs voyages pour empiler les buches à côté de la cuisinière à bois de la cuisine et à côté de la cheminée de l'atelier. J'en place quelques unes à côté de la cheminée du salon. Je ramène la brouette. Il est 13 h15. Je retourne dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je peins animé des mêmes pensées. C'est tellement agréable.

Cette toile sera terminée demain matin. L'après-midi passe à une vitesse incroyable. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Je n'ai pas arrêté de penser à hier soir ! >> me confie t-elle. Je lui avoue avoir été hanté des mêmes choses toute la journée. Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur. J'aime l'entendre commenter ce qu'elle fait.

Il est 18 h30. Voilà l'arrivée d'Estelle qui se précipite. Je termine à l'instant de nettoyer ma palette et mes pinceaux. Assise sur mes genoux elle me dit : << Clémentine m'a tout raconté à midi, au restau. J'aimerais beaucoup assister à un peu de ce romantisme particulier ! >>. Nous rions tous les trois. Clémentine achève de ranger ses affaires pour venir nous rejoindre. Estelle me demande des détails, des visions personnelles. << Pour avoir les deux versions ! >> précise t-elle en glissant sa main sous ma blouse. << Braguette ouverte ! >> dit elle.

Les journées raccourcissent. Le crépuscule envahit la grande pièce un peu plus tôt chaque fin d'après-midi. Seules les dernières flammes dansantes éclairent encore cette partie de l'atelier. Nous sommes tous les trois assis en tailleurs sur l'épais tapis devant la cheminée. Ce spectacle apaisant est source de sérénité. << Un bon sas de transition après une journée de fac ! >> fait Clémentine, sa tête sur mon épaule. Je suis entre mes deux anges. Nous restons silencieux à contempler l'âtre. Nous nous tenons par les mains. Un autre bonheur.

La faim commence à se faire sentir. Il est 19 h. Les filles ne me lâchent pas la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Elles découvrent ce qui réchauffe dans le four que je viens d'allumer. Elles sautillent pour m'entraîner dans une farandole. << Wouah ! La tarte à la tomate ! Trop bon ! >> lance Estelle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Clémentine passe ses bras autour de ma taille. Je suis en sandwich entre mes deux anges. Clémentine prépare la salade de carottes. Estelle dresse la table. Moi je distribue des bisous à l'une et à l'autre.

Estelle me sort la queue. C'est en me la tenant fermement qu'elle me fait faire le tour de la grande pièce. Sous le regard amusé de Clémentine. La sonnerie du four. << Ne va pas risquer de te brûler la bite, je m'occupe de tout ! >> lance Estelle en me lâchant pour enfiler les maniques. Les tartes sont dorées à souhait, fumantes. Nous voilà installés à table. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève soudain en mimant une masturbation masculine. << Ça faisait longtemps ! >> dit Clémentine. << Depuis midi ! >> répond Estelle.

En riant mes coquines me racontent qu'Estelle fait ça discrètement, au restaurant universitaire. << Personne ne peut me voir faire ça, j'ai tellement de pratique ! >> s'écrie t-elle en se rasseyant. Elle rajoute : << Hier soir, parrain est venu chercher des cartons. Il m'a baisé presque une heure entière ! J'en ai la chatte encore toute congestionnée ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je dis : << Raconte-nous ! >>. Estelle pose sa main sur mon poignet en précisant : << Hier soir c'était sur la table de la cave. C'est un vrai salaud ! >>.

Nous rions de bon cœur des performances sexuelles de Jean-Marc. Le parrain d'Estelle est un baiseur fou. << Il remplit une capote à moitié l'enfoiré ! >> fait encore Estelle. Je demande : << Tu ne baises plus à "cru" ? >>. Estelle s'empresse de répondre : << Parrain préfère depuis la crise sanitaire ! >>. C'est pliés de rire que nous écoutons les explications fantaisistes que Jean-marc avance le plus sérieusement du monde depuis la reprise des "Fesses Tivités". << Ramène-nous une capote un de ces jours, pour nous montrer ! >> lance Clémentine.

Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges font des projets pour ce week-end. Elles ont le profond désir de vivre des trucs intenses. Estelle propose de tourner un nouveau film. Clémentine suggère une expédition "exhibe". J'écoute amusé. C'est tellement passionnant. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous n'arrêtons pas de nous tripoter, de nous faire des bisous. << Vous me faites du spectacle ce soir, ça reposera ma chatte ! >> lance Estelle en tordant ma bite dans tous les sens.

C'est en me tenant par la queue comme par une laisse qu'Estelle m'entraîne au salon. << Je monte me mettre en tenue ? >> demande Clémentine. Je dis : << Inutile. Il me suffit de penser à hier soir pour me retrouver dans les mêmes conditions ! >>. Estelle tient mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Elle l'agite en direction de Clémentine en disant : << Et d'excellentes conditions, regarde un peu ! >>. C'est vrai que mon érection prometteuse n'est pas sans effet sur Clémentine qui tombe à genoux sur un des épais coussins jeté au sol.

Estelle me lâche. Cette fois c'est elle qui retire ses bottines, son jeans et sa culotte la première. Vautrée dans le fauteuil, les cuisses écartées et posées sur les accoudoirs, elle se touche. Elle écarte les fines lèvres de sa vulve pour dire : << Jean-Marc m'a bien limé hier soir ! C'est tout chamboulé là-dedans ! >>. Clémentine et moi, nous retirons nos godasses, nos jeans et nos slips. Spécialement à l'intention d'Estelle, grande voyeuse incorrigible, nous reproduisons nos gestes de hier soir. Pas besoin de jouer la comédie, d'interpréter un rôle. Non, non !

Nous sommes très vite les acteurs de nos propres personnages. Clémentine, serrée dans mes bras, m'embrasse avec passion. Nous en avons de la bave sur les mentons. Ça glisse. Je bande entre les cuisses de Clémentine qui resserre ses jambes afin de coincer mon sexe. Elle se frotte dessus lascivement. Nous cessons pour regarder ce que fait Estelle que nous entendons gémir et respirer fortement. La coquine se masturbe. Ses doigts font un mouvement pendulaire sur son clitoris. Elle est en sueur. Elle nous fait le plus délicieux des sourires.

A genoux sur l'épais coussin que Clémentine a jeté au sol, j'ai la tête entre ses cuisses. Elle me tient par les oreilles. Du bout de la langue, je fouille les plis et les replis de ses lèvres charnues. Je retire plein de poils de la bouche. Je suce, je pompe. J'adore les substances que je tire. Je cesse pour prendre le clitoris géant en bouche. Clémentine a toujours de formidables spasmes quand je suce son bouton de plaisir. Elle se tortille, se contorsionne. Je retourne à la vulve pour récupérer le jus qui dégouline déjà. Il en ruisselle jusque dans la raie culière. Miam.

Je me bouffe son cul, sa chatte en gémissant de bonheur. Clémentine se laisse faire en gémissant de plaisir. C'est d'ailleurs un concerto pour gémissements en Do Majeur. Estelle se branle en nous observant. La plupart des fois, c'est Clémentine qui est dans ce fauteuil à se masturber en nous regardant. Cette fois, c'est Estelle. Clémentine me repousse doucement en disant : << Attention, ça devient trop fort ! >>. Je me redresse. Elle s'allonge sur le dos, un coussin sous les reins, sa tête sur l'accoudoir. Elle m'attire sur elle. Nous sommes en sueur.

Je m'introduis malgré tout avec d'infinies précautions. Nous entendons Estelle glousser de plaisir. Je la regarde se contorsionner, se tortiller. Elle se masturbe en retenant son souffle. La voilà en apnée, immobile. Elle attend la pénétration. Je me laisse glisser dans Clémentine. A présent que nous sommes l'un dans l'autre, immobiles, nous nous fixons en ignorant totalement Estelle. Il nous importe bien plus de nous offrir nos sensations préférées. Contracter nos muscles fessiers pour faire bouger nos sexes. Je sens les contractions internes du vagin.

Clémentine peut sentir bouger ma queue en elle. Ces contractions qu'elle adore. Estelle se lève. Se sentant isolée, elle veut participer. A genoux, son visage tout près des nôtres, elle nous scrute. Elle nous chuchote ses impressions. Nous murmure les pensées qui l'envahissent. Clémentine confie ses sensations. Je confie les miennes. Estelle, une main entre ses cuisses me caresse la nuque de l'autre. Clémentine se met à bouger doucement. Je suis le mouvement. Nous nous berçons en répondant aux questions d'Estelle. C'est tout simplement génial.

Estelle pousse un petit cri d'animal blessé. Elle s'offre un orgasme d'une extrême qualité. Elle souffle. Je lui dépose des bisous. J'embrasse Clémentine qui bouge de plus en plus vite. Elle se masturbe toujours en même temps qu'elle est pénétrée. C'est la bouche ruisselante de salive qu'elle me repousse délicatement. Je me retire. Elle se redresse. Elle aussi pousse de petits cris d'animal blessé en étant la victime d'un orgasme nucléaire. Estelle qui a recommencé sa branlette, observe ce magnifique spectacle. J'éjacule dans la bouche de Clémentine.

Bonne soirée "romantique" à toutes les coquines qui aiment observer une bonne baise tout en se masturbant avant de devoir rentrer...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1674 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, il est presque six heures quand l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Pour la dernière fois de la semaine résonnent le cri des mouettes, le clapotis de l'eau dans les rochers, le ressac des vagues. Clémentine se serre fort contre moi en gémissant. << Comme tu t'occupes bien de moi en ce moment ! >> chuchote t-elle à mon oreille. Quelques bisous. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues fitness, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte les quatre premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. La présence d'Estelle jusqu'à 22 h. Nous mangeons de bon appétit en évoquant cette seconde soirée de baise romantique. << Jamais deux sans trois ! >> lance Clémentine en se penchant pour me déposer un bisou plein de miel sur la bouche. Je réponds : << Oh oui. Ce soir on récidive ! >>. Il est 6 h25.

Nous remontons. Une heure d'entraînement avec une intensité maximale. De la déconnade maximale aussi car le vendredi Clémentine termine à midi. C'est le début du week-end. Ce qui la rend déconneuse. C'est donc dans cette ambiance que nous pratiquons l'aérobic, le joggings sur les tapis roulants, les exercices au sol, les abdos, les charges additionnelles. Impossible de rester sérieux durant le retour au calme d'un pourtant nécessaire stretching. La douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture dans un froid glacial. 2°.

Le jour se lève à peine à presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Emmitouflée dans son anoraks, sous son bonnet, avec ses gants, elle me fait un dernier bisou. << A tout de suite mon Casanova ! >> me dit elle en s'installant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. La première chose est d'allumer un bon feu dans la cheminée. Je mets quelques châtaignes dans la poêle trouée. Elles sont délicieuses en soirée.

Assis devant mon chevalet, je prépare la peinture sur ma palette. Je termine ce matin cette septième œuvre de commande. Je n'ai jamais été autant en avance sur le planning. Je pourrai expédier ces toiles à leurs commanditaires dès la fin octobre. Je peins dans cette douce euphorie offerte par Clémentine depuis le levé. Ce soir, je vais l'aimer comme un fou. Cette pensée m'excite autant qu'une de nos parties de cul habituelles, sinon davantage encore. Il est presque onze heures quand je dépose la dernière goutte de vert sur le tableau achevé.

Je nettoie la palette et les pinceaux. Je dépose la toile terminée sur un autre support afin qu'elle sèche. Sur le chevalet je dépose la prochaine commande. Un bord de mer. Une maison de style américain. Le dessin et la couche d'impression sont déjà effectués. Tout est OK pour lundi. Je prépare la petite toile de Julie qui viendra prendre son cours de peinture cet après-midi. Une autre réjouissance. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Dehors, le ciel est gris mais lumineux. Il n'est pas tout à fait midi.

Je réchauffe la seconde tarte à la tomate de hier. Je prépare une salade d'endives avec des rondelles d'un avocat bien mûr. Quelques bolets crus coupés en fines tranches. Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. << J'ai pensé à nous tout le temps ! >> s'écrie t-elle quand je la soulève. La sonnerie du four. Enserrant ma taille de ses jambes, Clémentine me couvre le visage de bisous. Je sors la tarte à la tomate pendant qu'elle fait pipi en chantonnant. J'aime l'entendre depuis les toilettes du bas, porte grande ouverte.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Elle a encore un travail d'écriture qu'il faudra rendre lundi matin. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux elle me confie les confidences d'Estelle ce matin, en cours. Sa séance de voyeurisme de hier soir, en observant nos ébats "romantiques", tout en se masturbant, l'ont laissé sous le charme. Nous en rions de bon cœur. << J'aime quand tu m'éjacules dans la bouche après mon orgasme ! >> s'écrie soudain Clémentine avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine m'entraîne dans la chambre pour me faire tomber sur le lit. Couchée à côté de moi, elle me donne ses impressions. J'écoute avec attention. Car je me dis toujours : << Julien, tu peux mieux faire ! >>. En sortant mon sexe qu'elle tient affectueusement, Clémentine me confie ses masturbations, presque tous les soirs en rentrant de cours. << Je roule doucement ! >> s'empresse t-elle de préciser.

<< Parfois, je me touche le matin en allant en cours. Ça dépend de ce qui s'est passé la veille ! >> rajoute t-elle en posant sa tête sur mon ventre. Je caresse ses cheveux noués en une longue natte. Clémentine, du bout des lèvres, suçote la peau fripée de mon prépuce. Je sens sa langue qui tente de s'immiscer par l'extrémité. Je saisis sa natte à la racine. Elle en glousse de plaisir. Elle se met à sucer en prenant davantage de bite en bouche. Je la tiens fermement par sa natte. Je lui chuchote quelques douceurs. Moi aussi je donne mes impressions.

Je pose ma main sur sa nuque délicate. Pour moi, la nuque d'une femme est un des endroits les plus érotiques de son corps. Ces petits cheveux souvent cachés qui poussent en pointe. Je peux passer mes doigts derrière les oreilles. J'appuie par surprise pour enfoncer un maximum de queue. En toussant, Clémentine tente de bien positionner sa bouche. Je relâche mon étreinte. Je la sens sucer passionnément. Je reviens sur notre aventure en Gloryhole samedi dernier. Je faisais pareil en appuyant régulièrement sur sa nuque pour la faire sucer.

Elle cesse pour me confier à quel point elle aime ça. << Tu m'offres une bonne séance de "dressage" un de ces jours, Julien, j'en ai tant besoin ! >> dit elle avant de retourner à sa pipe. J'entends le bruit bulleux et les gargouillis que provoquent les pompages répétés de Clémentine. Je me fais encore tailler une pipe des familles. Hors de question d'aller jusqu'à l'orgasme et l'éjaculation. Nous aimons tous deux rester excités pour le restant de la journée. Il est presque 14 h. Nous dévalons les escaliers en nous tenant la main.

Dans l'atelier, l'odeur du feu de bois se mêle à celle des châtaignes. Dehors il fait de plus en plus gris. C'est une véritable ambiance automnale. Nous les aimons tant. Clémentine s'installe devant son ordinateur. Je suis debout derrière elle, mes mains sur ses épaules. Elle m'explique ce qu'elle s'apprête à faire. Sur l'écran, des équations. Je soulève sa natte pour lui déposer plein de bisous sur la nuque. J'ai envie d'y passer la langue, de lécher. C'est tellement beau, tellement délicat à observer quand elle bouge la tête. C'est passionnant.

Je descends des toiles vierges de l'étagère supérieure. Je choisis de vieux calques d'anciennes réalisations. Depuis quelques années, je ne m'emmerde plus. Je reproduis d'anciens dessins. J'y mets quelques variantes afin d'en faire des originaux. Un vase par ci, une fleur par là pour les natures mortes. Un personnage par ci, un chat par là pour les scènes de genre. Me voilà absorbé dans cette activité. Je calque la première nature morte d'une série de huit. J'entends Clémentine commenter à voix haute ce qu'elle fait. Parfois elle chantonne.

Je termine deux dessins pour 15 h30. La musique imbécile de mon téléphone posé sur la table de travail. Clémentine s'en saisit. << Julie ! Elle arrive ! >> lance t-elle en se levant pour se précipiter vers la porte. Elle revient suivie de Julie. Comme elle est belle encore. En jeans, en pull gris, ses lunettes d'étudiante pareilles à celles de Clémentine. Elle vient vers moi pour me serrer la main. Trois bises. Elle regarde mes dessins. Assise devant le chevalet, ses mains entre ses genoux, elle observe en silence. Clémentine me tient par les épaules.

<< Vous m'apprendrez à dessiner ? >> demande Julie. Je sais qu'elle est plutôt douée. Je réponds : << Oh, ce seront des conseils purement techniques. Vous avez déjà tout le potentiel. Un manque de pratique ! >>. Clémentine retourne à son travail. Julie m'observe. Je colle un autre calque sur une troisième toile. Je lui explique le processus très simple. La motivation. Julie écoute en suivant chacun de mes gestes. Je découvre à l'instant qu'elle louche aussi discrètement vers ma braguette ouverte. Il y a là quelque chose de très excitant.

La présence de cette jeune fille de 20 ans a également quelque chose d'émouvant. Je sais qu'elle vient pour apprendre. Sa passion pour la peinture devient dévorante. Mais elle apprécie tout comme moi cette promiscuité d'une toute autre nature. << Pas de placard cet après-midi ! >> lance Clémentine depuis sa table de travail. Julie glousse d'un petit rire. Je la regarde suivre méticuleusement les traits du calque. C'est elle qui termine ce dessin. Elle ne dit rien. J'approche ma tête de la sienne pour écouter le souffle de sa respiration. Elle est concentrée.

Il est 16 h30. Clémentine s'écrie : << En ce qui me concerne, ras-le-bol, j'ai terminé ! >>. Elle se lève pour préparer le thé sur la petite plaque électrique de l'atelier. Je me lève pour chercher la poêle trouée contenant les châtaignes. << Mmhh, c'est comme quand j'étais petite ! J'adore les châtaignes ! >> dit elle. Nous voilà nous les trois assis en tailleur sur l'épais tapis devant la cheminée. Les filles parlent de leurs cours. C'est Clémentine qui revient sur le placard. << Je ne vais pas systématiser les pipes a ce vieux dégoutant de Louis ! >> dit elle.

Julie demande : << Tu préfères l'improvisation ? >>. Clémentine répond : << Non, c'est laisser le temps à notre voisin d'imaginer de nouvelles initiatives. C'est un vicieux. Un cérébral. Ces mecs ont besoin de gamberger ! J'adore ! >>. J'écoute les filles échanger. Ce soir Julie commence son service au restaurant à 18 h30. Elle revient demain matin pour faire notre ménage. << Je me réjouis pour le cours de peinture du vendredi après-midi et pour le ménage du samedi matin. Je suis tellement bien dans cette grande maison ! >> lance t-elle.

Il est 17 h. C'est l'heure du cours de peinture. Assis l'un à côté de l'autre, à la table de travail, j'observe Julie préparer sa palette. La petite toile posée sur le chevalet de table. Clémentine aussi observe. << Il faut que j'en profite. Vendredi prochain je fais comme toi ! >> dit elle à Julie qui dépose de toutes petites touches sur la surface de son tableau. Il est 17 h50. Julie nettoie sa palette, ses pinceaux. << C'est toujours triste quand je dois partir ! >> dit elle. Elle lance de furtifs regards vers ma braguette. Discrètement, je sors ma bite molle.

Julie se sèche les mains au-dessus du lavabo. C'est dans le miroir qu'elle aperçoit mon sexe. Elle se tourne soudainement. C'est toujours comme si c'était la première fois qu'elle assistait à cette scène. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Par contre elle observe franchement ma queue qui durcit lentement. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture emmitouflés dans nos anoraks. Assise au volant, la vitre descendue, Julie nous confie son impatience de revenir demain matin. Un dernier bisou. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer.

Pour ce soir, gratin de courgettes et d'aubergines. Tout en lavant et en coupant, nous échangeons nos impressions quand aux visites de Julie. << Elle ne vient pas seulement pour son cours de peinture ! Tu as remarqué ses coups d'œil incessants sur ta braguette ? >> me fait Clémentine. Je réponds : << Bien sûr. C'est superbe ! Attendons le jour où elle se lâchera totalement ! >>. Nous préparons notre repas du soir en nous faisant plein de bisous. Je promets à Clémentine de la faire profiter de mon excitation. Je vais lui faire l'amour après le repas.

Bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent de baises romantiques après des visites érotiques. Après un bon gratin de légumes...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1675 - (1675 Mort de Johannes Vermeer)



Un samedi paisible, calme et serein

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Je suis réveillé par le mouvement masturbatoire que fait Clémentine contre ma hanche. Dès qu'elle me sait tiré du sommeil, elle enserre ma cuisse des siennes pour se frotter. << J'ai rêvé de cochonneries ! >> murmure t-elle à mon oreille. Je lui fais plein de bisous. Je dis : << Tu me racontes devant des tartines ! >>. Nous nous levons pour aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Le jour achève de se lever sous un ciel gris.

Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Il y est question de notre voisin. Une situation improbable au-dessus d'une échelle. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis en riant. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les faits réels qui ont eu lieu avec notre voisin. Clémentine lui a déjà fait deux fellations. << Jamais deux sans trois ! >> précise t-elle en me faisant un clin d'œil et en mimant une pipe. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la prochaine stratégie que Clémentine veut appliquer pour une troisième fois.

Il est 8 h25. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants. Le thermomètre extérieur n'indique que 2°. Nous avons trop envie d'aller courir au dehors. Rien ne remplace un jogging au grand air. J'ouvre le portail depuis l'interphone. Quelques mouvements d'échauffement juste au moment où la Clio rouge de Julie descend le chemin. Elle est emmitouflée dans son anorak bleu, sous son bonnet avec une grande écharpe. Nous nous faisons des bisous. Julie vient faire le ménage. Nous la laissons pour démarrer d'un rythme régulier et soutenu.

Nous montons pour traverser la route. Nous nous engageons dans le chemin forestier. Le sol est couvert de feuilles. Toutes les déclinaisons du roux, de la rouille et des rouges éteints jonchent la terre. Une heure d'un running des plus agréables. Nous revenons. Il est 9 h30. Le ciel reste gris et couvert. Sans menace. La douche. Nous entendons Julie passer l'aspirateur dans notre salle d'entraînement. Vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous descendons. Les livraisons ne vont pas tarder. Nous mettons nos anoraks pour ressortir. Il est presque 10 h.

Voilà la camionnette des fruits et légumes. La même jeune femme qui nous adresse un coucou et un grand sourire. Du hayon arrière elle tire les deux cageots habituels. L'un contient nos légumes et kiwis. L'autre les oranges, les fromages, les œufs, les petits pots de crème fraîche, les yaourts et le beurre. Nous rendons les deux cageots consignés de samedi dernier. Même commande pour la semaine prochaine. Paiement par carte. A peine la camionnette repartie, voilà celle de la boulangerie. Madame Marthe, toute souriante en descend.

Elle nous tend la cagette contenant nos deux miches, trois pâtes feuilletées, la brioche au pudding et les deux croissants "cadeau". Quelques bons mots. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous passons par derrière pour descendre direct dans le cellier à la cave. Nous rangeons les fruits et les légumes sur les étagères. Je mets une des miches dans le congélateur avec les pâtes feuilletées. J'en sors un paquet de moules, un paquet de haricots verts, un paquet de petits pois. Nous remontons avec les produits à mettre au frigo.

Une fois tout rangé, nous rejoignons Julie au salon. Elle achève de faire la poussière. Nous ne la perturbons pas. Nous échangeons un sourire. Julie prend à cœur ce rôle de "femme de ménage". C'est un jeu qui lui permet de passer du temps avec nous, dans cette maison qu'elle aime tant. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois courriels. Les Wong nous annonce la naissance de Danh leur petit garçon. Danh signifie "gloire" en vietnamien. Un message de mon oncle Alan d'Edimbourg. Un mail de Juliette. Bonnes nouvelles.

C'est Clémentine qui répond en joignant un selfie pris à l'instant. Une photo fait toujours tellement plaisir. Dans une enveloppe jaune je glisse un billet de 50 euros avec un petit mot. Nous entendons Julie passer la serpillère en chantant. Il est presque onze heures. << Viens, on lui tend un piège sympa ! >> me fait Clémentine en m'entraînant par la main. Nous allons aux toilettes du bas. << Sors ta queue, branle toi ! >> rajoute t-elle en se glissant dans l'armoire des serviettes. Du côté où sont suspendus nos peignoirs. J'extrais mon Zob.

Je jette un coup d'œil vers la porte entrebâillée. Le doigt de Clémentine s'agite. Je suis debout devant la cuvette en faïence toute propre. Il y a l'odeur de javel. Julie a déjà nettoyé. Elle ne va pas tarder à arriver pour passer la serpillère. Je me masturbe. Je bande comme un vrai salaud. Clémentine chuchote depuis l'armoire : << J'adore te voir faire ça ! >>. Silence. La porte s'ouvre derrière moi. << Oh pardon, excusez-moi ! >> fait Julie en voulant ressortir. Je me tourne en disant : << Je le fais exprès pour vous faire une surprise ! >>.

Julie se met à rire. Elle tient le seau et le balai d'où pend la serpillère. << Merci Julien. Vos surprises me font toujours plaisir ! >>. Elle fixe mon érection avec de grands yeux. Je demande : << Vous avez joué hier soir, aux toilettes du restaurant ? >>. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Elle répond en essorant la serpillère dans le seau : << Oui, mais rien de remarquable. Il y avait bien trop de travail. Le restaurant fait le plein. Surtout les vendredis soirs et les samedis soirs ! >>. Clémentine sort de sa cachette. Julie éclate de rire.

Nous la laissons terminer pour aller à la cuisine. Clémentine lave les feuilles d'une belle laitue toute fraîche. Je prépare le bouillon. Dans le wok, je jette les haricots verts et les petits pois. Ils sont encore congelés. Je jette les moules dans l'eau bouillante. Julie vient nous rejoindre. << Tu manges avec nous ? >> demande Clémentine. << J'aimerais tellement rester là. Mais il faut que je rentre. Mon papy et ma mamie viennent tous les samedis matins jusqu'au dimanche matin ! >>. Nous passons notre commande pour les repas de lundi.

Julie note toujours soigneusement. Je lève mon tablier de cuistot pour lui montrer ma bite à présent toute molle. Julie me fait le plus adorable des sourires. Il est onze quarante cinq. Je lui remets la petite enveloppe jaune. << Merci Julien ! >> dit elle. Je réponds : << C'est nous qui vous remercions Julie ! Tout est toujours tellement propre après votre départ ! >>. Elle met son anorak, son bonnet. Nous aussi. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Assise au volant, la vitre baissée, elle fixe ma queue qui pend dans l'habitacle. Il fait froid.

Ma bite à quelques centimètres de son visage, elle démarre. Je me penche pour demander : << Vous m'emmènerez faire un tour dans votre belle auto un de ces jours ? >>. Julie s'écrie : << Oh oui, avec plaisir. Vous pouvez même la conduire si vous voulez ! >>. Clémentine rajoute : << Viens nous rejoindre demain après-midi après ton service, on se fait une promenade ! >>. Julie toute contente répond : << Je vous fais un SMS. Il faut vraiment que je file ! >>. Un bisou. Nous la regardons s'en aller. Un dernier coucou. Nous rentrons au chaud.

Clémentine saisit mon sexe tout mou et tout froid. << Viens, je te le réchauffe, le pauvre ! >> fait elle en s'accroupissant. Là, dans le hall, je me fais tailler une pipe des familles. Je regarde Clémentine de dos dans le grand miroir. C'est très excitant de voir une fille sucer de dos, dans un miroir. L'image stimule la libido. Il me suffit de regarder vers le bas pour constater ce qu'elle fait. Je l'aide à se redresser. Je m'accroupis à mon tour pour lui masser les genoux. Morts de faim, en riant, nous nous précipitons à la cuisine. Il suffit de mettre la table.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur mon comportement dans les toilettes. << Put-Hein ça doit être génial à deux dans un placard pour faire les voyeurs. Il faut que je fasse ce "plan" ! >> lance Clémentine. Je lui propose d'échafauder une stratégie avec un complice. De me regarder avec Estelle par exemple. Je rajoute : << Pourquoi pas avec monsieur Bertrand ? Ce vieux salopard serait content d'être enfermé avec toi dans un espace exigu ! >>. Clémentine me fixe, pensive et silencieuse avant de conclure : << A essayer ! >>.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie les désirs confus qui l'assaillent. << Quand je me touche dans la voiture, en rentrant de cours le soir, j'ai de ces trucs qui me viennent à l'esprit. Julien, je deviens de plus en plus salope. Il faut que je consulte ! >>. Nous éclatons de rire. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Debout derrière Clémentine, mes mains sur ses seins, j'embrasse sa nuque.

Je lui chuchote des douceurs, des cochonneries. J'avoue : << Quand je suis seul la journée, devant mon chevalet, je suis assaillis d'images et de souvenirs. Je te vois dans des situations fortes. La dernière en date reste le Gloryhole de samedi dernier ! >>. Clémentine se tourne pour se serrer contre moi. En frottant sa braguette contre la mienne, elle murmure : << Tu te fais des films ? >>. Je chuchote : << Oui, avec mon actrice préférée ! >>. Clémentine, mutine, espiègle, demande : << Une certaine Clémentine ? La super suceuse ? >>.

Nous rigolons comme des bossus. Nous nous embrassons comme des fous. Je bande à m'en déchirer le slip. << Qu'ils sont où les gens que j'aime ? >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. Elle se précipite. Nous nous serrons tous les trois. Des bisous. C'est tellement bon d'êtres à nouveau ensemble. << Les trois mousquetaires ! >> lance Estelle. Elle palpe l'énorme bosse qui déforme mon jeans. << Put-Hein, tu as quoi encore là-dedans ! >> fait elle en s'accroupissant pour déboutonner. Elle en extrait difficilement le Zob.

<< Quand ton Zob est mouillé comme ça, c'est qu'il s'est déjà passé des choses ! Je veux tout savoir. Julie était là ce matin, n'est-ce pas ! >> s'écrie Estelle en reniflant ma queue qui dégorge de liquide séminal. Clémentine s'accroupit à ses côtés pour lui raconter. Je caresse les têtes de mes deux anges. Estelle se met à sucer. Clémentine attend son tour. Je les force toutes les deux à se relever. C'est trop excitant et j'ai tendance à ne pas bien maîtriser la situation. Avec ce qui s'est passé dans les toilettes ce matin, je suis encore sous l'effet "Julie".

Je récupère le grand sac de sport qu'Estelle emmène toujours pour passer le week-end avec nous. Nous allons dans la chambre. Estelle en sort son pyjama et quelques affaires. Clémentine reste blottie contre moi. Nous regardons Estelle plier et déplier. Elle agite une petite culotte en coton blanc. << Pour demain matin ! >> dit elle. Nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Le ciel reste gris. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous restons sur l'étroit sentier. De nombreux arrêts pour nous faire des bisous. Pour se réchauffer.

Les filles parlent de leurs études. Elles évoquent les vacances de la Toussaint qui débutent samedi prochain. Du 23 octobre au lundi 8 novembre. Nous resterons ensemble tous les trois. Clémentine nous a préparé une surprise qu'elle garde encore secrète. Un séjour d'une semaine dans une location, mais où ? << Pas loin, mystère ! >> se contente t-elle de répondre à nos questions insistantes. Elle se serre contre moi en disant : << J'ai une requête importante. J'aimerais passer quelques moments avec "Maître" Julien durant ce séjour ! >>.

<< Moi aussi ! >> lance Estelle qui vient se blottir contre nous. Je distribue des bisous. Il y a de la vapeur qui s'échappe de nos bouches quand nous parlons. C'est amusant. Je réponds : << Moi aussi, je passerais volontiers du temps avec mes deux adorables "Soumises" ! >>. Nous rions aux éclats. << Tu promets d'être le pire salaud que j'ai rencontré ? >> fait encore Estelle. Nous rions de bon cœur. Clémentine rajoute : << Moi, j'ai un besoin pressant d'être sévèrement recadrée ! C'est une nécessité absolue. Je deviens tellement salope ! >>.

C'est dans cette ambiance que nous arrivons au vieux lavoir. Là-bas, de l'autre côté de la route, à trois cent mètres, les toits des bâtiments du haras. << Venez, on fait un coucou à Juliette ! >> propose Estelle qui sort sa main de ma braguette. Nous traversons la route. Il y a plein de voitures garées dans la cour. De jeunes cavalières s'apprêtent à partir sur leurs montures. Quelle surprise, il y a madame Walter. Il est rare qu'elle soit en tenue d'écuyère. Surtout sous un épais manteau noir. Son visage s'illumine en nous voyant. Elle se précipite.

Nous nous serrons la main. Nous bavardons. Madame Walter demande à Clémentine ses impressions quand au Gloryhole de samedi dernier. Clémentine revient sur des passages précis. << Vous avez reconnu des mecs au gout de leurs bites ? >> demande madame Walter. << Pas du tout ! >> répond Clémentine. Estelle confirme : << Elle n'a même pas identifié celle de Julien qu'elle a dans la bouche au moins une fois par jour. Et depuis plus de quatre ans ! >>. Madame Walter, pliée de rire, rajoute : << Moi non plus, je n'ai jamais reconnu mon mari ! >>.

Elle précise : << Il y a juste la patronne qui prétend deviner l'identité de certains queutards ! Elle pratique beaucoup ! Et avec le nouveau palefrenier, elle donne même dans la surenchère ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle demande : << Vous l'avez déjà essayé le "nouveau" ? >>. Madame Walter s'écrie : << Non, pas le temps, mais je compte bien me le faire. C'est un "beau gosse", un peu timide mais certainement bien vicelard ! >>. Nous n'arrêtons plus de rire. Autour de nous, des groupes de cavalières qui reviennent de balades.

Voilà Juliette. Elle sort du bâtiment du manège. Elle aussi est vêtue de sa tenue d'écuyère sous son épais manteau noir. Il y a quelque chose de magique dans la tenue vestimentaire de ces deux femmes. Elles évoquent ces personnages féminins du XIXème siècle. Le visage de Juliette s'illumine également. Madame Walter nous laisse. << J'ai encore du boulot avant de partir à 17 h ! >> dit elle en faisant un coucou à Juliette. Nous nous serrons la main. Juliette nous dit : << Quelle belle surprise que vous me faites. Ça me fait vraiment plaisir ! >>.

Elle nous invite à la suivre dans la nouvelle écurie. Il y a un groupe de propriétaires de chevaux. Nous restons à l'écart pendant que Juliette parle avec eux. Ils ramènent leurs bêtes pour l'hiver. Estelle nous entraîne vers le fond. Il y a des toilettes. Nous y entrons. Il y a un mec qui en sort. Certainement un des propriétaires. Il découvre ces deux sublimes jeunes filles qui me tiennent par le bras. Il a un curieux sourire. Je devine ses pensées. Que peut bien aller faire un homme d'âge mûr dans les toilettes avec deux jeunes filles ? Nous en rions.

Dans les toilettes hommes, debout devant un des deux urinoirs muraux, Estelle, à ma droite, me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine, à ma gauche, me tient par la taille. La porte s'ouvre soudainement. Nous tournons la tête. C'est le mec qui revient. << Oh pardon ! >> dit il sans rester. << Ce libidineux a la confirmation de ce qu'il supputait ! >> lance Estelle. << Et dans le verbe "supputer", il y a la syllabe "sup" ! >> rajoute Clémentine. Nous rigolons comme des fous. Il ne fait pas très chaud dans les chiottes. Nous ressortons.

Nous rejoignons Juliette qui donne des directives à James. Le nouveau palefrenier est un garçon maigre. Le visage émacié. Il porte des lunettes à montures métalliques. C'est un jeune homme d'une trentaine d'années. Très gentil. Son sourire le rend beau. Comme le précise madame Walter, c'est un "beau gosse". Un mètre quatre vingt. De la taille de Clémentine et d'Estelle. James écoute avec attention les consignes de Juliette. Nous le laissons à son travail pour suivre Juliette. Il y a le type des chiottes dans la cour avec sa femme et sa fille.

Il est déjà 17 h30. Avec ce ciel de plus en plus sinistre, les jours qui raccourcissent, le crépuscule ne va pas tarder à s'annoncer. Nous prenons congé. Juliette promet de venir manger à la maison mercredi soir. Nous reprenons le sentier qui longe la rivière. << Il se passe toujours quelque chose au haras ! >> fait Estelle qui marche devant. << L'endroit s'y prête ! >> dit Clémentine. Je confie : << L'endroit et l'odeur des chevaux, m'excitent ! >>. Estelle s'écrie : << Moi aussi ! >>. Clémentine rajoute : << C'est étrange ! Moi aussi. C'est fou ! >>.

Nous arrivons à la nuit tombante. Il est 19 h15. Morts de faim, nous préparons notre repas. Il fait bien chaud dans la maison. Ce matin, j'ai allumé la cuisinière à bois. Il suffit de rajouter deux bûches sur les braises. Assis tous les trois nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets et le céleri en grande quantité. Les filles parlent du haras. De notre aventure dans les chiottes avec le mec qui est revenu voir. La conversation avec madame Walter. Le gout des bites inconnues qui dépassent du trou dans le mur. Nous rions beaucoup.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. Il reste de la laitue déjà lavée. Estelle remue la potée de légumes dans la vieille cocotte en fonte. Je fais rissoler des filets de flétan avec des champignons. Je concocte une sauce au Roquefort. Il est 20 h quand nous dégustons notre repas. Les filles parlent des vacances à venir. Du séjour "mystère" que nous réserve Clémentine. De leurs désirs d'êtres les "Soumises" de ce "Maître" Julien que je vais interpréter avec toute la diligence nécessaire. Avec Clémentine j'ai parfais la pratique de cet "Art" noble.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent nos folies passées et celles à venir. << On a tout le temps de se calmer. Ça nous fera plein de souvenirs pour quand on sera vieilles ! >> lance Estelle. << Deux encyclopédies du vice ! >> rajoute Clémentine. Je propose un bon léchage de minou après la vaisselle. Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. Au salon, longuement, je prends mon "dessert". Deux chattes savoureuses que je lèche puis que j'honore de la plus noble des façons. 22 h30, crevés, au lit. Dodo.

Bonne journée à toutes les coquines qui aiment aller de surprise en surprise dans des situation improvisées et totalement délirantes...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1676 -



Un dimanche peinard

Hier matin, dimanche, il est aux environs de neuf heures lorsque je suis tiré mon sommeil. Ce sont les mouvements de pieds d'Estelle contre les miens. Elle se serre encore plus fort en gémissant dans mon cou. Cela réveille Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. L'enchantement paradisiaque. << Dans une semaine, nous nous réveillerons ensemble tous les jours ! >> murmure Estelle. << Avec grasse matinée obligatoire ! >> chuchote Clémentine. Estelle tient mon érection naturelle à pleine main. Clémentine tient mes couilles.

Je glisse mes mains dans les culottes. Je dénoue quelques nœuds. Je fais passer mes index entre les lèvres des vulves douces et chaudes. << Pipi ! >> s'écrie soudain Estelle qui ne peut réfréner plus longtemps son besoin pressant. Elle se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine me chevauche en disant : << Comme tu t'occupes bien de moi ! C'est si bon tous les soirs ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, en slips et en T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous rejoignons Estelle qui est en pyjama.

L'odeur du café se mêle à celle du pain grillé et de la brioche au pudding. J'allume la cuisinière à bois. Estelle, derrière moi, me tient le paquet des deux mains. << Nymphomane ! >> lance Clémentine qui beurre nos tartines. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Nous mangeons de bon appétit en envisageant nos occupations de ce dimanche. Pas d'entrainement, pas de jogging. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent une randonnée pour l'après-midi. Peut-être qu'il y aura la visite de Julie.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je mets deux bûches dans la cuisinière. Nous montons nous changer. Jeans, chemises à carreaux, baskets. Nous nous lavons les dents en faisant nos singeries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Pressés de prendre l'air, nous redescendons pour enfiler nos anoraks. << Il fait un froid de canard ! >> fait Estelle en se serrant contre moi. Le thermomètre extérieur indique 2° alors qu'il est déjà dix heures. Les filles me tiennent par le bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nos bonnets, nos gants.

Le ciel est gris et bas. Pas un souffle de vent. Une légère brume au-dessus du champs de l'autre côté. Il y a le ballet nautique des canards, des poules d'eau, des colverts pour nous accompagner sur quelques dizaines de mètres. Estelle marche devant. Clémentine marche à l'arrière. De nombreux arrêts bisous sur les trois kilomètres qui nous séparent du vieux lavoir. Comme les arbres se dénudent de plus en plus, la vue porte loin. Les toits des bâtiments du haras sont parfaitement visibles. Fantomatiques dans la brume. Nous admirons.

Estelle retire un gant pour déboutonner mon jeans d'une main agile qu'elle glisse dans la braguette. << Mmhh, comme il fait bien chaud là-dedans ! >> dit elle pendant que Clémentine m'embrasse langoureusement. << Je suis amoureuse Julien ! >> murmure t-elle. Nous prenons le sens du retour. Arrivés au bas du chemin qui monte à la propriété, nous tombons sur monsieur Bertrand. Notre voisin nourrit les canards. Lui aussi est chaudement vêtu. Il porte même une chapka. Ce qui lui donne un côté slave. Petit bonhomme plein d'humour.

Nous bavardons. Lorsqu'il n'est pas seul avec Clémentine, Louis la vouvoie. Rien dans son attitude ne trahit une complicité quelconque. Clémentine affiche exactement la même attitude. Estelle me serre le bras comme pour me signifier son même sentiment. Nous remontons tous les quatre en discutant. Nous informons le voisin que nous serons absents entre le lundi 15 octobre et le dimanche 31 octobre. Comme toujours Louis se propose de faire un tour dans la propriété pour voir si tout est en ordre. Nous pouvons compter sur lui.

Nous nous saluons pour rentrer au chaud. Il est midi. Clémentine prépare la salade. Estelle réchauffe la potée de légumes sur la cuisinière à bois. Dans une poêle je fais revenir les calmars farcis à peine décongelés. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre rencontre avec le voisin. << Vous avez vu comme ce vieux cochon joue très bien l'indifférence ! >> lance Estelle. << Moi, il m'a fait un discret clin d'œil ! >> fait Clémentine. << Vieux pervers ! >> rajoute Estelle.

Nous en rions beaucoup. Clémentine demande : << Tu te le suces quand ? >>. Estelle répond : << Pendant les vacances, on va échafauder un "plan" ! >>. J'écoute les filles émettre différentes hypothèses. C'est amusant. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Il est décidé d'aller randonner dans les collines de l'autre côté du bourg. De monter jusqu'aux vieux couvent abandonné. Ça fait bien six mois que nous n'y sommes plus montés. Lavage des dents en faisant les pitres. Estelle fait une imitation de monsieur Bertrand. Nous sommes pliés de rire.

Nous restons vêtus de nos jeans, chemises à carreaux sur lesquelles nous mettons nos gros pulls. Nos grosses godasses à la main, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, la thermos avec du thé chaud, nos barres de céréales, trois pommes. Pas de nouvelles de Julie qui ne viendra probablement pas nous rejoindre. << Elle aussi a besoin de souffler un peu ! >> précise Clémentine. Nous enfilons nos anoraks. Bonnets, gants. Nous traversons le jardin pour sortir la voiture du garage. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue.

Assise à l'arrière, ses mains dans mon cou, Estelle revient sur cette pipe qu'elle a envie de faire à notre voisin. << Ça fait bien trois ans que ce vieux salaud suscite ce genre de choses ! >> dit elle en éclatant de rire. Nous traversons le bourg dont les rues sont désertes. Je prends l'étroite petite route communale qui mène à la vieille chapelle. Je gare la bagnole. Il y a quelques autres autos. Nous changeons de chaussures pour mettre celles achetées à Fort William cet été. << Nos godasses écossaises ! >> lance Estelle qui sautille pour se réchauffer.

Nous contournons l'enclos paroissial pour prendre le large chemin qui longe les clôtures. Il y a quelques vaches qui broutent malgré la fraîcheur. Je porte le petit sac à dos. Les filles me tiennent par la main. Nous bavardons. Mes deux anges font mille projets pour notre semaine de vacances. Estelle et moi nous sommes dans l'ignorance de leurs destinations. << C'est un secret. Je le dévoile samedi prochain ! Mais soyez assurés que j'ai tout organisé ! >> fait Clémentine en me lâchant pour sautiller tout autour de nous. Comme elle est belle.

Toutes les deux se mettent à sautiller autour de moi. Un peu comme ces mouvements aérobics que nous pratiquons le matin. Pieds écartés, bras relevés, dans un rythme régulier. Comme elles sont belles toutes les deux avec leurs cheveux qui volent sous le bonnet. Elles me couvrent le visage de bisous. Nous prenons le sentier de droite. Ça monte doucement à flanc de colline. Nous croisons quelques rares marcheurs. Des groupes de quatre ou six. Certains armés de ces bâtons utilisés pour la "marche norvégienne". Ça fait un de ces bruits !

De nombreux arrêts bisous. C'est un peu frustrant de ne pouvoir glisser nos mains dans nos slips. Emmitouflés comme nous le sommes ce serait ardu. Estelle parvient tout de même à mettre régulièrement sa main dans ma braguette. Elle reste toutefois sur le tissus de mon slip. << A cause de ma main froide ! >> dit elle en me faisant un bisou sur la bouche. Nous arrivons devant les vastes murs qui entourent les bâtiments abandonnés de l'ancien couvent. La grande porte cochère est ouverte. Ça fait longtemps qu'il n'y a plus de portail. Personne.

Là-bas, sous le grand hangar, il y a toujours ces machines agricoles. L'endroit sert d'entrepôt à quelques agriculteurs. Des tracteurs, des remorques, des outils. Nous montons les marches qui mènent à la grande porte en bois. Elle est fermée. Il y a trois portes semblables. Elles sont toutes condamnées. << Merde, en avril, on pouvait encore entrer ! >> lance Estelle. << Venez, on visite le hangar ! >> propose Clémentine. Nous traversons la cour aussi grande qu'un terrain de basket. Il y a soudain un groupe de randonneurs. Une dizaine.

Ces gens font probablement une halte. Nous entrons dans le hangar. C'est amusant de passer dans le labyrinthe des machines. Certaines semblent aussi grandes qu'une maison. Des moissonneuses batteuses, des machines à maïs. Estelle se hisse sur un très vieux tracteur John Deere. En imitant le bruit d'un moteur elle tente de manipuler le volant. Clémentine monte sur la remorque. Je sors ma bite discrètement. Je monte sur la dernière marche d'une sorte de grande caravane. Je tiens mon sexe à sa base pour l'agiter vers mes deux anges. Je fais gaffe.

Nous entendons les marcheurs parler à l'extérieur. Leurs viendrait-il à l'esprit de faire comme nous ? De venir visiter le hangar ? Je préfère rester sur mes gardes. Estelle et Clémentine viennent de s'apercevoir de ce que je leurs présente. Elles applaudissent en riant. Je fais : << Chut ! >> en mettant l'index sur ma bouche. << Mais on s'en fou ! >> lance Clémentine qui saute au sol pour venir me rejoindre. Estelle descend de son tracteur pour venir aussi. << Mais vos initiatives sont géniales cher monsieur ! >> dit elle en s'accroupissant devant moi.

Clémentine fait pareil. Elles collent leurs visages contre ma queue. Je bande mou. Ça caille avec la bite à l'air. Surtout qu'il y a du courant d'air dans ce gigantesque hangar. Des voix. Je remballe en vitesse. Les filles se redressent. C'est une jeune femme qui est debout là, à une vingtaine de mètres, entre deux remorques. Nous a t-elle vu dans nos amusantes folies ? Son sourire énigmatique semble le confirmer. Elle nous salue à l'instant où nous descendons les marches. D'autre gens arrivent. Ils s'installent sur une remorque basse. Des thermos.

Un monsieur nous demande si une boisson chaude nous ferait plaisir. Nous sortons notre bouteille thermos du sac pour boire avec ces gens très sympathiques. La jeune femme me jette d'étranges et furtifs regards. Je suis convaincu qu'elle nous a vu "jouer". Il est 17 h. Si nous voulons rentrer avant la nuit, il faut repartir. Nous saluons ces gens pour sortir du hangar. Il fait encore plus gris. Le ciel est bas. Il y a de la brume qui monte. Là-bas, au loin, les maisons du bourg se discernent à peine. Nous marchons vite. Le sentier est en pente douce.

Il est 18 h45 quand nous sommes de retour à la voiture. Morts de faim, nous changeons de chaussures. Il est 19 h15. Nous voilà enfin à la maison. Je rajoute deux bûches sur les braises de la cuisinière à bois. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe la potée de légumes. Il y en aura encore pour demain midi. Estelle concocte sa spécialité du dimanche soir. Une belle omelettes aux trois fromages. Ail et oignons pressés. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre superbe promenade. La fatigue commence à se faire sentir.

La vaisselle. Je propose aux filles le traditionnel léchage de minous du dimanche soir. Je ne suis pas obligé de le suggérer une seconde fois. Elles m'entraînent par les bras au salon. Vautrées dans le canapés, juste en chaussettes et en chemises à carreaux, les coquines m'offrent leurs chattes. Le dimanche pas de douche. Quatre heures de marche participent de ces sécrétions et de ces effluves parfumées dont je savoure chaque émanations. Je passe de l'une à l'autre, suçant, léchant, pompant. Leurs orgasmes sont divins. Il est déjà 22 h.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment offrir leurs croupions bien juteux et bien odorants à un "nettoyeur" consciencieux...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1677 -



La soirée avec Julie

Hier matin, lundi, il est presque six heures. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Le clapotis des vagues, le flux du ressac. Le cri strident des mouettes. L'illusion est parfaite. Clémentine se serre contre moi en gémissant. << C'est dur aujourd'hui ! >> murmure t-elle à mon oreille en saisissant mon érection naturelle. Des bisous, des papouilles. J'adore l'humour de Clémentine. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain. Au petit déjeuner du lundi, il reste toujours encore de la brioche. Les deux croissants offerts par la boulangère. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan amusé de notre week-end. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Bien nécessaire ce matin pour se réveiller complètement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, stretching de retour au calme.

La douche. Je descends pour aller préparer l'auto. Clémentine me rejoint dans un froid vif. Emmitouflée dans son anoraks, sous son bonnet. Le jour se lève à peine. Un dernier bisou. Il est presque 7 h45. Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer. Je fais notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le grand Chêne" de Georges Brassens. Dehors le ciel est couvert, gris et bas.

Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes. C'est la huitième et dernière œuvre de commande. Un paysage marin. La matinée passe à une vitesse folle. Il est midi. Je mets deux bûches dans l'âtre avant d'aller à la cuisine. Je réchauffe le reste de potée de légumes en y rajoutant des morceaux de Morbier. Dans la poêle je fais rissoler un filet de lieu noir. Je prépare une salade d'endives. C'est rapide. Très bon aussi. Je mange de bon appétit en écoutant les pertinences d'André Bercoff sur Sud Radio. Le coquin !

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je dévale les escaliers pressé d'aller prendre l'air. J'enfile l'anorak. Il fait un peu moins froid que hier. Le ciel offre même quelques séquences ensoleillées. Je traverse le jardin pour aller chercher quelques bûches sous l'abri à bois. Je remplis la brouette pour faire un voyage. J'empile une partie des bûches à côté de la cuisinière à bois que j'allume. Une partie à côté de la cheminée de l'atelier. Quelques unes à côté de la cheminée du salon. Je range la brouette dans le réduit des Gloryhole derrière l'abri.

Je rentre. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Là aussi, l'après-midi passe à une vitesse folle. Il est 17 h30. Clémentine revient de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter pour me faire des bisous. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. J'écoute amusé les considérations d'Estelle lorsqu'elles ont mangé ensemble à midi. Estelle nous a laissé hier soir à 22 h15. Tristounette.

Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur elle chantonne. Je continue ma peinture en écoutant ses commentaires. Il est 18 h20 quand elle s'écrie : << Ras-le-bol ! Plein les bottes ! >>. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Clémentine range ses affaires. Elle m'entraîne dans une sorte de tango. << Les vacances dans quatre jours ! >> chante t-elle en improvisant une mélodie. Elle enfonce soudain sa langue dans ma bouche pour la fouiller avec passion. Avec ce traitement "brutal", mon érection est presque instantanée. C'est si fort.

Nous sommes assis en tailleur devant la cheminée. Le spectacle des dernières flammes est un enchantement dans le crépuscule naissant. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève pour l'attraper sur la desserte. << Julie ! >> s'écrie t-elle en me tendant la main. Je me lève. Nous nous précipitons dans le hall d'entrée. Julie, dans son anorak, monte les marches à toute vitesse pour nous faire des bises. Nous redescendons pour aller à sa voiture. Je récupère la caisse isotherme contenant nos repas de ce soir et de demain midi. Les salades.

Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. En déballant les feuillantines encore très chaudes, Julie nous raconte son week-end en famille. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant les salades. Je mets la table. Je surprends le regard furtif de Julie sur ma braguette béante. Ce trou noir semble focaliser toute son attention. Ce sont des coups d'œil furtifs, discrets et rapides tout en causant. Clémentine raconte notre week-end. La randonnée de hier. Il est presque 19 h. La faim se fait sentir. Surtout avec l'odeur des feuillantines au saumon.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine évoque nos vacances. La surprise d'un séjour qu'elle a organisé. Je surprends les expressions un peu tristes de Julie. << Vous allez me manquer ! >> lance t-elle. Clémentine pose sa main sur la sienne pour dire : << Il y a encore une semaine de vacances après notre retour. Tu viens passer quelques jours ici, avec nous ! >>. Julie a soudain une expression de joie qui illumine son visage. Elle s'écrie : << Oh oui. Vous me préparez mon canapé lit ! >>. Nous rions de bon cœur devant tant d'émotion.

Nous traînons à table. Julie nous raconte le vicieux qui lui a montré sa queue aux toilettes du restaurant. << Je faisais mon service du vendredi soir. Ce type était avec un couple de gens plus âgés. Peut-être ses parents. J'avais repéré son attitude bizarre et son œil torve ! J'étais certaine que c'était un vicieux. Je les repère très vite ! >> explique t-elle. Je sors ma queue sous la table. La façon de narrer ses aventures provoque toujours une vive excitation. Tout en parlant Julie observe les mouvements de mon bras. Elle sait ce que je fais.

<< Continue ! >> lance Clémentine aussi excitée que moi. Julie lui dit : << Reviens faire la serveuse avec moi un de ces vendredis soirs ! >>. Clémentine répond : << Génial ! On s'organise ce "plan" pour après les vacances ! >>. Julie propose de le réaliser le vendredi 5 novembre, le dernier des vacances de la Toussaint. Clémentine reste silencieuse, me consulte du regard. Je fais : << Superbe projet pour terminer des vacances que tu souhaites libidineuses ! >>. Nous rions tous les trois. Je me lève. Je tiens mon sexe à sa base. Bien droit.

Je l'agite en direction de Julie pour dire : << Et nous, nous interprétons les clients avec Estelle ! >>. Elle me répond : << Génial. Je vous réserve un coin au sous-sol pour mâter ! >>. Nous connaissons bien la configuration du sous-sol du restaurant. Nous y avons déjà "joué" à ce jeu. << Anne-Marie va être folle de joie quand je vais lui annoncer la nouvelle ! >> lance encore Julie en fixant mon sexe. Les mains sur les hanches, je contracte mes muscles fessiers pour le faire bouger. Clémentine et Julie observent, comme subjuguées. Les filles aiment.

Anne-Marie, la tante de Julie, patronne du restaurant de l'étang, est une belle bourgeoise de 45 ans. << Je suis sa "chose", sa lécheuse". Elle est en demande après le service. Elle m'entraîne toujours chez elle à l'étage. Elle en veut en ce moment. Je ne suis jamais à la maison avant minuit ! >> confie Julie. Elles entretiennent toutes les deux une relation sexuelle depuis l'adolescence de Julie. Nous écoutons toujours avec beaucoup d'intérêt ces histoires de lesbiennes. << J'aimerais bien avec toi ! >> lance t-elle à Clémentine. Elle le répète souvent.

Julie est amoureuse de Clémentine. Hélas pour elle, Clémentine n'a absolument aucun penchant homosexuel. Hélas pour moi aussi. Depuis le temps que j'aimerais voir Clémentine dans des situations saphiques. Rien à faire. << Ça me dégoute ! >> répond t-elle toujours à mes requêtes. Nous passons la soirée à table à mettre au point nos prochaines aventures libidineuses. Julie est également amoureuse de moi. Elle l'a confié à demi mots à Clémentine. Ses regards fuyants, ses attitudes timides en sont autant de manifestations. J'en suis touché.

Je demande : << Vous m'accompagnez aux toilettes Julie, après la vaisselle ? >>. Julie n'ose pas soutenir mon regard. Je suis une fois encore debout à agiter mon sexe dans sa direction. Elle se lève pour répondre : << Avec plaisir ! >>. Clémentine me fait un clin d'œil hyper vicelard. Rien ne l'excite davantage que ces situations avec une autre fille. << On joue comme au restaurant, tu veux ? >> propose Clémentine à Julie. Je sors de la cuisine pour me rendre aux toilettes. Debout devant la cuvette, je descends mon jeans, mon slip.

Je bande comme le dernier des salauds. J'entends les talons des bottines à Julie dans le couloir. Ça résonne sur le carrelage. J'ai orienté le miroir ovale entre l'armoire à serviettes et l'étagère à papier cul. Je vois la porte s'ouvrir derrière moi. Julie marque un temps d'hésitation. Elle passe derrière moi. Nos toilettes sont aménagées dans une ancienne pièce. Elles sont grandes. On peut y évoluer à plusieurs sans se gêner. Julie s'assoit sur le tabouret qu'elle rapproche de la cuvette en faïence. Je me masturbe doucement. Juste entre le pouce, l'index.

Clémentine entre à son tour. Appuyée contre le lavabo, les bras croisés, elle observe. Nous sommes tous les trois silencieux. Ce n'est pas la première fois que nous nous amusons ainsi. Il y a juste le bruit de ma respiration. Ces situations affolantes m'excitent toujours considérablement. Je cesse ma branlette pour me concentrer. Je contrains mon sexe vers le bas. En bandant c'est pénible. Presque douloureux. Julie, penchée en avant, ses coudes en appuis sur ses cuisses, son visage à une cinquantaine de centimètres, observe.

Il y a une coulure de liquide séminal. Mon foutre est épais et visqueux. La coulure s'épanche sur une quinzaine de centimètres pour rester en suspend. C'est insolite. Je reste immobile. J'entends le souffle que reprend Julie après quelques apnées. Elle retient sa respiration, concentrée sur ce qui se passe. Clémentine est penchée en avant, une main dans son jeans. Elle aussi scrute avec soin. Je bande comme un priapique en phase terminale. Je suis rouge d'excitation et je sens la sueur perler sur mon nez, mes joues. Juste nos respirations.

Impossible de pisser dans cet état. Je présente ma queue à Julie. Je la tends doucement pour laisser la coulure suspendue. Julie lève rapidement les yeux pour me lancer un délicieux sourire. Je demande : << Ça ne te fait pas envie ? >>. Julie ne répond jamais à ce genre de question. Par contre, elle émet un discret gloussement amusé. Je tends ma queue à Clémentine qui s'accroupit immédiatement en ouvrant la bouche. Je place ma bite avec sa coulure bien en face. Clémentine, d'un gracieux mouvement de tête, attrape cette coulure.

J'entends le râle de plaisir que Julie ne peut cacher. Je lui pose la main sur la tête en enfonçant ma queue dans la bouche de Clémentine. Julie se penche davantage pour admirer cette pipe bien dégoutante au-dessus des chiottes. J'éjacule en sournois, sans prévenir dans les râles de plaisir de Clémentine. Julie, sa tête entre ses mains, semble comme consternée par ce qui se passe. Clémentine lui montre l'intérieur de sa bouche. Je caresse la tête à Julie en disant : << Et si c'était pour vous durant votre séjour prochain avec nous ? >>.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent assister à des scènes vicieuses en compagnie du couple d'amis qu'elles viennent visiter...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1678 -



Le mardi, Clémentine rentre à midi

Hier matin, mardi, le cri des mouettes nous tire de nos sommeils. S'en suivent le bruit du ressac et celui des clapotis contre les rochers. L'application "océan" nous réveille dans l'illusion d'être au bord de la mer. Clémentine se serre fort contre moi en gémissant. Je lui fais plein de bisous. Il est presque six heures. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis.

Le mardi Clémentine termine à midi. Ce qui la rend assez déconneuse. C'est donc en déconnant que nous prenons notre petit déjeuner. Les croissants, réchauffés dans le four à micro-ondes, sont succulents avec du miel. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la visite de Julie hier soir. << J'aime quand tu fais ton vicieux. Hier soir tu as encore été parfait ! >> me dit Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Il est 6 h25. Nous remontons pour achever de nous réveiller complètement. Une heure d'entraînement avec une intensité maximale.

Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Nous terminons par un stretching prétexte à de nouvelles déconnades. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto. Le jour se lève. La fraîcheur matinale remplace le froid intense de ces derniers jours. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle, le lit, avant d'aller dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. C'est beau.

Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. La peinture de cette huitième et dernière toile de commande m'accapare très vite. Totalement. Je peins dans cette ambiance de déconne laissée par Clémentine. La matinée passe tellement vite. Il est presque midi quand je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les deux tourtes aux fruits de mer. Je prépare une salade de tomates. Je dresse la table. Il est 12 h20. Clémentine rentre de cours.

Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ses jambes autour de ma taille pour me couvrir le visage de bisous. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me confie s'être masturbée au volant, sur la route du retour. Elle s'empresse de s'écrier : << Mais je te promets, je fais attention, je roule doucement et je n'ai croisé qu'une seule auto ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine rajoute : << J'ai rencontré Pierre en prenant de l'essence ! >>.

Pierre, le mari de madame Walter, est un sacré coco. Doté d'une bite assez impressionnante, le bougre a fait des propositions à Clémentine. << Il m'a proposé de lui faire une pipe dans sa voiture ! >> dit Clémentine en pouffant de rire. Je fais : << Mais pourquoi avoir refusé ? >>. Clémentine lance : << T'es fou ! Quand tu n'es pas là, c'est impossible ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Elle rajoute : << Mais ce n'est pas l'envie qui m'en a manqué ! >>. C'est en riant que nous débarrassons la table pour faire la vaisselle. Il est à peine 13 h.

La pâte feuilletée a décongelé. Je l'étale dans deux plats à tartes à bords hauts. Clémentine lave et coupe de belle courgettes et de gros champignons. J'émince de l'ail, de l'oignon. Nous disposons les tranches sur la pâte. Je concocte un "flan" avec de l'œuf, du fromage blanc et de la crème fraîche. Clémentine le verse sur le tout. Je mets une bonne couche de gruyère de Comté. Au four, cuisson douce à 180° afin que ça mijote longuement. Ce sera notre repas de ce soir et le mien demain à midi. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns.

Pressés de filer avec ce beau soleil, nous redescendons à toute vitesse. La température extérieur est de 20°. Nous pouvons rester en chemises à carreaux. Il fait agréable. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous prenons le sentier facile à gauche. Clémentine me tient par la taille. Comme le sentier est étroit, nous faisons de nombreux arrêts pour nous embrasser. Clémentine revient sur sa rencontre avec Pierre. Ils ont bavardé quelques minutes. Il n'a pas que proposé une fellation à Clémentine mais également de passer le voir un soir chez lui.

Je suggère à Clémentine de répondre à son invitation. << Sans ta présence, je ne commence rien nulle part ! >> s'empresse t-elle de répondre. J'émets l'hypothèse d'un "plan". << On va voir. Ce type m'a déjà bien baisé. Je l'ai déjà bien sucé. J'en garde un bon souvenir même s'il est un peu brutal ! Ce qu'il a derrière la tête c'est de pouvoir m'enculer. Il m'en a plusieurs fois fait la demande ! >> lance Clémentine. Nous détestons la sodomie. Comme le précise souvent Clémentine : << Un trou du cul est un trou à chier ! Et c'est trou ! >>.

Nous flânons en revenant. Là-bas, nourrissant les canards, monsieur Bertrand. << Un "plan" ! >> murmure Clémentine. Je comprends immédiatement. Je quitte le sentier pour me glisser entre les fourrés et les rochers. Je la regarde s'avancer toute seule, les bras croisés. Je déplore d'être à une centaine de mètres et sans la paire de jumelles. Notre voisin voit arriver Clémentine. Il se redresse pour placer sa main sur sa braguette tout en saluant la jeune fille. Je n'entends rien des propos échangés. Monsieur Bertrand sort tout simplement sa queue.

D'ici, je ne peux pas la distinguer. Sa petite "viennoise" est tellement minuscule. Par contre je vois Clémentine qui s'en empare probablement. C'est en lui tenant la bite qu'elle bavarde avec ce vieux salaud. Il l'a touche. C'est amusant car ce petit bonhomme dont la tête arrive aux épaules de Clémentine semble toujours impressionné, en admiration. Ils discutent ainsi un bon quart d'heure. Ce vieux cochon touche les seins de Clémentine, son entrejambes avec une incroyable vulgarité. Clémentine le contourne, se place derrière lui.

Sa tête au-dessus de celle de Louis, elle le masturbe de plus en plus vite. Elle cesse. Louis se remet bien droit. Je les vois rire. Clémentine indique la direction de la maison. Sans doute prétexte t-elle d'autres occupations. Elle laisse Louis à ses canards. Je peste, je rage, je suis coincé là. A moins d'escalader les rochers, je n'ai d'autres solutions pour rejoindre Clémentine. C'est le choix que je fais pour ne pas être vu. Je reste le long de la forêt pour remonter jusqu'à la propriété. Clémentine m'attend en riant. Elle se précipite dans mes bras.

<< Encore un qui me propose une bonne pipe ! >> me dit elle en éclatant de rire. Je l'entraîne par la main derrière la maison d'amis. Là, dissimulé entre l'abri à bois et la roseraie, nous pouvons surveiller le chemin. Je glisse ma main dans le jeans et la culotte de Clémentine. C'est humide. << Il m'a excité le vieux salopard ! >> chuchote Clémentine. Je réponds : << Tu vas le sucer là, je reste planqué dans le réduit derrière l'abri à bois ! >>. Clémentine me regarde comme étonnée. << Tu veux ? >> demande t-elle. Je réponds : << Oui ! >>.

<< Vos désirs sont des ordres mon doux "Maître" ! >> murmure Clémentine en glissant sa main dans ma braguette. << Attention ! >> chuchote soudain Clémentine que je masturbe doucement. Là-bas, à une centaine de mètres, notre voisin revient de la rivière. Clémentine descend son jeans et sa culotte sur les genoux. Je file me cacher dans le réduit. Par le Gloryhole de la porte, j'ai une vue parfaite. Monsieur Bertrand longe la clôture pour tomber sur le spectacle. Je l'entends dire : << Tu ne peux pas t'empêcher de faire ta salope, hein ! >>.

Il rajoute : << Il est où Julien ? >> Clémentine, en pissant, répond : << Il est occupé à sa peinture ! >>. Louis en sortant sa queue , dit encore : << Moi, si j'étais lui, j'aurais d'autres occupations avec une salope comme toi ! >>. Tout en parlant il s'approche en tenant sa queue minuscule à sa base. Il l'a frotte sur le visage de Clémentine. Elle tombe à genoux dans l'herbe en s'accrochant au pantalon du vieux salaud. Il saisis Clémentine sous le menton et par ses cheveux. Elle a le visage collé contre la braguette. Je la vois téter, sucer, pomper.

<< C'est mon anniversaire le 3 novembre. J'aurai 68 ans ! Je peux te baiser ? >> lance monsieur Bertrand. Clémentine cesse de sucer comme une affamée pour répondre : << Tu arriveras à enfoncer ta bite ? Tu ne bandes même pas vraiment ! >>. Louis s'écrie comme vexé : << Tu vas voir, je te l'enfonce avec les doigts. Une fois qu'elle est dedans je te baise comme une salope ! >>. Clémentine avant de se remettre à sucer, répond : << Je demande à voir ça ! >>. Avec une incroyable vulgarité, Louis saisit Clémentine par ses oreilles.

Il imprime un mouvement lent et régulier à son bassin. Ce type est entrain de se masturber dans la bouche de ma compagne. << Il aime ça le Julien ? >> demande le vieux envers. Clémentine, la bave aux lèvres, en évitant de laisser couler le foutre qu'elle garde en bouche pour le savourer, répond : << Je suis une grande suceuse. Il exige sa pipe tous les soirs ! Mais lui, il bande ! >>. Le vieux dégueulasse lâche un soudain jet de pisse en disant : << Et ça, il te le fait aussi ! >>. Clémentine se met a pomper en gloussant de rire. Elle tousse et cesse.

<< Oui, c'est un pisseur comme toi ! >> répond Clémentine. Louis saisit Clémentine sous le menton et par la nuque. << Bouge pas salope, garde la bouche ouverte ! >> dit il d'un ton autoritaire. Clémentine garde la bouche grande ouverte. La tête penchée en arrière. Ce vieux saligaud éjacule probablement de cette manière. Je vois un filet de bave visqueuse s'écouler de sa queue. Comme le ferait du lait coulant d'un robinet. Ça n'arrête pas. Ce salaud pourrait certainement remplir un verre. La bouche de Clémentine se remplit inexorablement.

Je suis à genoux derrière la porte. Je me branle. Ce spectacle est un des plus délirants auquel j'ai assisté. Clémentine, les yeux grand ouverts fixe Louis avec un regard implorant. << T'en as jamais eu autant, hein ? >> s'écrie le vicelard. Clémentine, avec plusieurs mouvements de tête, tente d'avaler cette prodigieuse quantité de sperme. Elle y arrive péniblement. Louis lui administre une gifle en disant : << Il faut que j'y aille. Si tu en veux encore, viens donc traîner aux abords de la grange, j'y suis souvent jusqu'au soir ! >>. Il remballe.

Clémentine se relève. Elle remonte son jeans et sa culotte en regardant le vieux salaud descendre le chemin vers sa propriété. Elle lui fait plusieurs coucou en mimant une masturbation masculine. << A bientôt ! >> lance t-elle à voix haute. Le vieux répond : << A bientôt ! >>. Je sors de ma cachette, la bite à la main. Je saisis Clémentine par les cheveux pour la forcer à se remettre à genoux. Elle pousse un petit cri de surprise. Je lui enfonce la queue dans la bouche. Elle a un haut le cœur, elle tousse. Je lui éjacule au fond de la gorge en suffoquant.

Je la maintiens fermement malgré ses toussotements, ses râles et ses petits cris d'animal blessé. Je me retire enfin pour lui administrer une gifle. Je l'aide à se relever. Elle tient sa gorge en terminant de déglutir. << C'est ma fête aujourd'hui ! >> dit elle en tombant dans mes bras. << Merci Julien, merci. Je t'aime ! Toutes ces choses que je vis avec toi ! C'est merveilleux ! >> dit elle. Je fais : << Dommage que Pierre ne soit pas dans les parages ! >>. Clémentine éclate de rire en m'entraînant par la main. << Il faut que je me change ! >> dit elle.

Nous rentrons. Nous montons. Le vieux salopard lui a pissé au visage à plusieurs reprises, mouillant la chemise à carreaux. << J'ai encore le gout de sa pisse. Beurk ! >> lance Clémentine en croquant dans une pomme. Nous allons dans l'atelier. Clémentine a encore du travail. Assise devant l'ordinateur elle revient sur ce qui vient de se passer. Tout en peignant j'écoute. Le reste de l'après-midi se passe ainsi. Clémentine ne cesse de grignoter des petits bouts d'une grosse pomme. << Pour faire passer le gout de pisse. Beurk ! >> dit elle.

Je me lève souvent pour passer derrière elle. Soulever ses cheveux pour déposer des bisous dans sa nuque. Je chuchote une douceur, un compliment ou encore un encouragement à sucer toutes les queues qui pourront se présenter dans sa vie. Il est 18 h30 quand Estelle vient nous rejoindre. Je nettoie ma palette et mes pinceaux en écoutant Clémentine raconter son aventure de début d'après-midi. << Put-Hein, je me suce ce vieux salaud dès notre retour de vacances ! >> lance Estelle. Je propose un bon léchage de minous après le repas du soir.

Bonne pipe à toutes les coquines qui aiment sucer dans l'improvisation, dans les situations les plus insolites, les lieux les plus surprenants...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1679 -



Juliette vient passer la soirée avec nous

Hier matin, mercredi, c'est la sirène de ce qui semble être un gros paquebot, qui nous réveille. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils avec le cri des mouettes, le ressac et le clapotis des vagues. Clémentine se serre contre moi. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Un remake de la situation de hier avec notre voisin, mais dans un endroit inconnu et quelque peu sinistre.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis en écoutant attentivement. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier, en compagnie d'Estelle. Lorsqu'elle nous a quitté à 22 h, c'était encore assez pénible. Nous attendons ces vacances avec impatience pour rester ensemble tous les trois. Nous mangeons de bon appétit. << J'ai mes "petits machins" de fille me fait Clémentine en revenant de sa seconde visite aux toilettes. Nous sommes le 20 du mois.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. C'est durant le stretching que Clémentine se plaint de cette congestion qui gagne son bas ventre. La douche. Je descends pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Il ne fait pas froid. Par contre le jour se lève sous un ciel gris et sinistre. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue de son jeans, d'un sweat bleu nuit sous son blouson de cuir noir. Ses bottines. Je pose délicatement ma main sur son ventre. Un bisou.

Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. Ce matin, je n'allume que le petit poêle rond. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine très probablement cette huitième et dernière œuvre de commande demain soir. Je peins dans une sorte de plénitude bienfaisante. Je pense à ce qui s'est passé hier après-midi entre Clémentine et notre voisin. Ce vieux dégueulasse est arrivé à ses fins. Cela m'amuse beaucoup. Cela excite tellement Clémentine.

Il est presque midi. Je rajoute une bûche dans le poêle. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la seconde tarte aux courgettes. Elle est bien plus petite et fera mon repas. Je fais une salade de tomates. Je mange d'excellent appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff y reçoit un de ces invités qui font l'actualité. Pour la visite de Juliette en soirée, je prépare une pâte à crêpe. Dans la poêle je fais rissoler des crevettes, des champignons et des morceaux de poivrons rouge. La préparation pour les beignets. Je coupe de fines lamelles de patates.

Je les fais revenir dans la poêle après avoir vidé son contenu dans un plat creux recouvert d'un couvercle. Je fais dorer les tranches de pommes de terre en les retournant sans cesse. Je les dépose sur un papier absorbant. Ces chips seront l'accompagnement idéal des beignets de crevettes. Je lave les feuilles d'une belle laitue en prévision de la salade. La pâte à crêpe repose dans un saladier, sous un linge. Pour le repas de ce soir, tout est prêt. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je dévale les escaliers pour aller prendre l'air.

Il est 13 h30. Le ciel restera probablement sinistre pour le restant de la journée. Je fais quelques pas dans la propriété. Il fait étrangement doux après ces derniers jours d'un froid presque hivernal. Je rentre pour retourner dans l'atelier. Je peins avec ce même sentiment de plénitude. Encore renforcé en ayant préparé ce qu'il faut pour le repas de la soirée. L'après-midi passe si vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite en s'écriant << Bobo ! >>. Une fois encore, ses règles sont la cause de bien des tourments.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Je pose ma bouche sur son sweat. Sur la pointe de ses petits seins douloureux. J'insuffle de l'air chaud. << Mmhh, j'attendais vos soins toutes la journée, docteur Julien ! >> me dit elle en me caressant la tête. Je passe ma main sous son sweat pour la glisser dans son jeans déboutonné. Je caresse délicatement son ventre congestionné. << Tous les 28 jours, c'est chiant d'être une fille ! >> rajoute t-elle. Je lui fais des bisous.

Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur. J'aime l'entendre chantonner, commenter ce qu'elle fait. Il est 18 h20. << Put-Hein, ras-les-bottes ! >> s'écrie t-elle en rangeant ses affaires. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je rejoins Clémentine dans le canapé. Couchée sur le dos, sa tête sur ma cuisse, les yeux fermés, elle change d'univers. Je caresse ses cheveux. Clémentine se tourne sur le côté. Son visage dans ma braguette béante. C'est amusant, je ne vois plus que ses cheveux. Je caresse sa nuque.

<< Tu n'es pas fâché, ni jaloux à cause de ce que j'ai encore fait hier ? >> me demande t-elle soudain. Je reste silencieux. << Dis-moi ! >> rajoute t-elle. Je la rassure. C'est un jeu. Il est toutefois nécessaire. Je réponds : << Quand on aime autant les pipes que vous, mademoiselle, il est important de pouvoir les pratiquer quand bon vous semble, et à qui vous le souhaitez. Ne vous posez pas trop de questions bien inutiles. Je suis votre complice ! >>. Clémentine se redresse, s'assoit à califourchon sur moi pour dire : << Je t'aime ! >>.

Nous restons ainsi à nous donner une fois encore nos impressions quand à ces évènements fort plaisants. << Hier soir, quand tu m'as léché, je me suis refais tout le film. Au point d'en rêver à nouveau durant la nuit ! >> me confie Clémentine. J'avoue à quel point j'en suis ravi, à quel point cela m'enchante. Nous en rions tous les deux comme des amoureux facétieux se livrant à des farces monumentales. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève pour aller le récupérer sur la desserte, entre mes tubes et mes pinceaux.

<< Juliette ! Elle arrive ! >> lance Clémentine avant de rajouter : << Sois le dernier des salauds ce soir ! >>. C'est en rigolant comme des bossus que nous quittons l'atelier. Nous accueillons Juliette dans le hall d'entrée. Je la débarrasse de son manteau. Clémentine la débarrasse du grand Tupperware rond qui contient la tarte du dessert. Juliette porte sa tenue de cavalière. Je suis toujours subjugué par la cambrure de sa taille de guêpe. A mon goût, ce sont les vêtements les plus sexy que puisse porter une femme. Ses bottes noires, son gilet cintré.

Ce pantalon beige qui moule ses formes comme le feraient des collants. Put-Hein j'apprécie la couture qui sépare sa vulve en deux petites bosses. C'est vraiment fameux. C'est d'autant plus affriolant qu'elle le sait, qu'elle le fait exprès et qu'elle en joue. Cette bourgeoise de 47 ans est une merveille de la nature. << Comme je suis contente de vous voir. J'ai des journées de folie ! >> lance t-elle en nous prenant les mains. Nous l'entraînons au salon. Elle se jette dans le fauteuil en poussant un profond soupir de soulagement. Elle tient sa natte.

Je propose d'aller préparer le repas et de laisser les filles bavarder un peu entre elles. << Pas question ! >> lance Juliette en se levant. Quel dynamisme anime donc cette femme d'une vitalité incroyable. J'ai la braguette ouverte, Juliette ne fait plus semblant de ne pas s'en apercevoir. Elle lève le pouce de sa main droite en me faisant : << Vous avez toujours d'excellentes initiatives Julien ! Félicitations ! >>. Nous éclatons de rire. Je pointe mon doigt vers le triangle de son sexe, parfaitement apparent sous le tissu de son pantalon d'écuyère.

Juliette passe l'index sur la couture. Elle se cambre sur ses genoux fléchis, cuisses bien écartées, pour suivre toute la couture de son index. Le rouge de son ongle évoque une cerise. Clémentine place sa main entre son entrejambes en disant : << Moi, c'est moins drôle ! >>. Juliette comprend immédiatement. << Vos "machins" de fille ? >> demande t-elle avant de rajouter : << Moi, ça s'est terminé dimanche ! >>. Nous rions de bon cœur. Je félicite Juliette à mon tour pour ses "initiatives". << Je dresse la table ! J'ai très envie ! >> lance t-elle.

Je fais chauffer l'huile dans le caquelon. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Je jette chaque crevette, chaque champignon et chaque morceau de poivron dans la pâte à crêpe. Je trempe dans l'huile bouillante pendant que réchauffent les chips au four. << J'ai une faim de louve ! >> lance Juliette en récupérant les beignets avec l'écumoire. Elle nous raconte ses journées chargées. Les propriétaires de chevaux ramènent leurs bêtes. Il y a de la place pour 85 chevaux. Il reste huit places disponibles. Tout ça c'est du boulot.

<< J'ai embauché une nouvelle palefrenière. Valentine. Elle a 28 ans. Après une école de commerce, un poste dans la grande distribution, elle a complètement changé de voie. Un appel de la nature et des chevaux qu'elle aime depuis petite ! Elle bosse super bien ! >> raconte Juliette. Elle nous invite à passer au haras samedi. << Je ferais les présentations ! >>. Nous mangeons de bon appétit. Insidieusement la conversation dévie sur nos préoccupations ludiques. Le sexe. Juliette nous dit : << Je vais vous mettre dans un secret après le repas ! >>.

Nous revenons sur l'expérience Gloryhole de Clémentine. << Deux semaines après, que reste t-il de cette aventure ? >> demande Juliette. Clémentine répond : << Dans les prochains temps, je préfère rester sur mes impressions mais je n'exclue pas une récidive. Juliette observe mes bras. J'ai passé mes mains sous la table pour sortir ma bite. Ces conversations me font toujours bander. Juliette me lance des regards par en-dessous. Ces regards terriblement suggestifs qu'ont les femmes dans les situations ambiguës. Ce qui me fait bander encore plus.

Je me lève. Je tiens mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite en direction de Juliette. Elle se tourne vers Clémentine pour dire : << Si vous pouviez me donner l'autorisation un jour de me la mettre ! >>. Clémentine reste silencieuse, prête à éclater de rire. << Elle répond : << Dans la bouche ou ailleurs ? >>. Juliette dit : << Dans la bouche, c'est déjà fait ! >>. Nous sommes pliés de rire. Juliette insiste pour faire la vaisselle. << C'est tellement plus convivial ! >> lance t-elle. Nous prenons le dessert au salon. De la tarte aux poires.

<< Ce sont des poires de votre verger ! >> dit Juliette en coupant les tranches. Elle est vautrée dans le fauteuil. Clémentine et moi, nous sommes vautrés dans le canapé. << Regardez ! >> fait Juliette en sortant son téléphone de la petite pochette qu'elle a toujours en bandoulière. Elle l'allume, cherche quelque chose de précis. << Voilà ! >> dit elle en tendant l'appareil à Clémentine. Nous regardons. Nous restons consternés, ébahis. C'est le visage de Juliette, du sperme autour de la bouche, à quelques centimètres du Gloryhole des écuries.

Là, son teint mat, ses cheveux noirs et luisants, son discret maquillage, ont un relief extraordinaire. << C'est la bite à qui que vous avez sucé ? >> demande Clémentine. << Pierre ! >> répond immédiatement Juliette. Clémentine, avec le doigt, fait défiler d'autres photos sur l'invitation de Juliette. Nous sommes abasourdis. Je demande : << Nous connaissons les propriétaires de toutes ces couilles que vous avez vidé ? >>. Juliette répond : << La plupart, oui. Et depuis peu Clémentine également ! >>. Nous regardons. Il y a plus de trente clichés.

<< Lorsque j'étais mariée, avec mon mari, nous avons réalisé quelques films pornos. Je me suis fais beaucoup d'argent avec ça. C'était pour une grosse boîte. C'est comme ça que j'ai eu l'argent pour créer mon entreprise avant de divorcer ! >> explique Juliette. Elle rajoute : << Je ne m'en cache pas. C'était magnifique. J'ai connu de superbes "étalons". Mais c'est le passé. Je me contente de faire des photos privées, pour moi et pour quelques intimes dont vous êtes ! >>. Nous écoutons. Je me masturbe pendant que Clémentine fait défiler les photos.

<< J'en ai bien d'autres ! Je les télécharge pour la prochaine fois ! >> fait encore Juliette. Clémentine propose à Juliette de venir manger tous les mercredis soirs. Ce sera plus facile pour elle. Juliette ouvre de grands yeux ravis. << Comme c'est gentil. J'emmène le dessert alors ! >> s'écrie t-elle en se levant. Clémentine lui rend son téléphone. Il est déjà 22 h. Nous raccompagnons Juliette à sa voiture. Assise au volant elle observe mon sexe. Clémentine l'agite dans l'habitacle de la voiture. << On fait des photos un de ces jours ? >> dit Juliette.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont le privilège de faire partie d'un "Club" très privé. Un "Club" qui réunit des vicelards patentés...

Docteur Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1680 -



Le retour d'Estelle en soirée

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'application "océan" nous réveille avec sa douceur habituelle. L'illusion de sortir du sommeil à proximité d'un port. Le cri des mouettes. Clémentine se serre contre moi en gémissant. << Bobo ! >> murmure t-elle à mon oreille. Je pose mes lèvres sur son T-shirt, sur chacun de ses petits seins dont l'extrémité est dure. J'insuffle ainsi de l'air chaud. Je fais la même chose sur sa culotte au niveau de son sexe. << Mmhh, docteur Julien, ça me soulage bien ! Je vous emmène en cours avec moi aujourd'hui ! >>.

C'est le second jour de ses règles. Je la laisse aller aux toilettes d'abord pendant que je m'habille. C'est à mon tour. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Un amusant truc absurde. La commande d'une bicyclette loufoque livrée dans un chalet de montagne. Nous éclatons de rire. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les confidences de Juliette hier soir. Nous mangeons de bon appétit en riant.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Plusieurs fois durant cette séance j'administre le traitement du docteur Julien. Après les exercices aérobics. Après le jogging sur tapis roulants, pendant les abdos qui soulagent beaucoup sa congestion ventrale. Après les charges additionnelles puis après le stretching. La douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture. La fraîcheur matinale reste très supportable. Il est 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans le jour naissant. J'administre mon traitement.

Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, faire le lit. Je vais dans l'atelier. Aujourd'hui, les deux radiateurs suffiront amplement à chauffer la grande pièce. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette huitième et dernière toile de commande m'absorbe rapidement. Je peins en chantonnant, en pensant à tout sauf à ce que je fais. Et tout particulièrement à la visite de Juliette hier. Nous passerons lui faire un petit coucou samedi soir.

Il est midi lorsque je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les derniers beignets de crevettes. La pâte feuilletée a décongelée depuis ce matin. Je lave et je coupe des tomates en tranches. Je les dispose soigneusement sur la pâte feuilletée préalablement étalée dans deux plats à tarte. Je concocte un "flan". Un mélange d'œuf, de fromage blanc, de crème fraîche et de moutarde à l'ancienne. Je verse sur le tout. Je recouvre d'une couche de gruyère de Comté grossièrement râpé. Des graines de sésame grillé, onze cerneaux de noix. Quelques noisettes.

Au four. Cuisson à 180° afin que les tartes mijotent longuement. J'ai gardé quelques tomates pour une salade en accompagnement des beignets et du reste de chips. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Une fois encore André Bercoff fait preuve d'une éloquence rare. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Quand je redescends l'odeur des tartes à la tomates envahit toute la cuisine. Notre repas de ce soir et de demain à midi s'annonce gouteux et fameux. J'enfile inutilement mon anorak pour sortir. Il ne fait absolument pas froid.

La tempête de cette nuit a arraché quelques branchages qui jonchent le sol. La violence des vents à plus de 120 km/h a arraché les dernières feuilles qui forment un véritable tapis sur le gazon. L'entreprise paysagère n'interviendra qu'à la fin novembre. S'il pleut tout cela va former un véritable compost. Excellent pour l'herbe et la terre. Il y a des séquences d'ensoleillement. Le paysage a considérablement changé en 24 h. Les arbres sont presque nus. Je descends jusqu'à la rivière. Il y a encore un vent assez fort. Les canards me font la fête.

Je remonte. Il est 13 h30. Me voilà dans l'atelier. Je peins dans la même douce volupté que ce matin. Les heures de l'après-midi défilent tellement vite. Il est 17 h15 quand je dépose la dernière touche de blanc de titane sur la surface du tableau achevé. Je le dépose sur le second support afin qu'il sèche. Je pourrais expédier les huit toiles à leurs commanditaires dès le retour de nos vacances. Je dépose une des toiles préparées en juin. Je commence ma série de huit natures mortes. Le dessin préparatoire et la couche d'impression déjà réalisés.

Je nettoie ma palette, mes pinceaux. 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Mon traitement docteur Julien, s'il vous plaît ! >> dit elle en levant son sweat et son T-shirt. Clémentine ne porte un soutien gorge que trois jours par mois. Je pose mes lèvres dessus pour insuffler de l'air chaud. << Mmhh, ça soulage ! >> murmure t-elle en retirant son sweat.

Je termine mon "traitement" par une application d'homéoplasmine sur les endroits irrités par les bretelles et la fixation du soutif. Clémentine a encore du travail. La dernière mouture de son travail d'écriture à rendre avant les vacances qui commencent demain à midi. Je range soigneusement mes tubes de peintures. Nous partons une semaine. J'aime retrouver un atelier bien ordonné. Je suis debout derrière Clémentine. Je lisse ses cheveux. Je regarde les mots s'aligner sur l'écran. Des phrases entrecoupées d'équations incompréhensibles.

Je soulève ses cheveux pour déposer des bisous dans sa nuque. Clémentine tente de m'expliquer les "hiéroglyphes" mathématiques qui s'alignent. Je ne suis pas un Champollion de l'algèbre. Malgré ses efforts, je n'y comprends strictement rien. Mon niveau de mathématique s'arrête à la terminale. Du bruit. Il est 18 h30. Estelle entre dans l'atelier comme un coup de vent. Elle se précipite pour me sauter au cou. Un rapide bisou à Clémentine avec qui elle a passé la journée en cours et elle m'entraîne dans un tourbillon. Je la soulève en riant.

Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. << A partir de samedi, 14 h, on ne se quitte plus jusqu'au dimanche 7 novembre ! >> s'écrie t-elle. Clémentine éteint l'ordinateur pour venir nous rejoindre. Je la soulève à son tour. Nous faisons une farandole délirante dans tout l'atelier. En poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. Nous mimons des singes en sautillant et en faisant d'abominables grimaces. Estelle mime des masturbations masculines de la manière la plus vulgaire. Clémentine fait la même chose.

Les filles comparent leurs écrits. Clémentine a tiré son texte en deux exemplaires sur l'imprimante. Estelle a ramené un exemplaire du sien. Chacune lit celui de l'autre. << A level with a satisfecit ! >> lance Estelle. << Yeah, it's true ! idem ! >> fait Clémentine. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la première et grande tarte à la tomate. Clémentine prépare une salade d'endives. Estelle met la table. Nous n'arrêtons pas de nous toucher, de nous faire des bises. Ce soir, tous les trois, comme nous le faisons souvent, nous parlons anglais.

Les filles ne font aucun effort pour parler ma langue natale car elles maîtrisent à la perfection la langue de Shakespeare. << Mmhh, Thursday night's tomato pie fills me with joy ! >> lance Estelle en exagérant l'accent écossais. << I think about it every Thursday in the morning ! >> s'écrie Clémentine avec un accent encore plus caricatural. Estelle me sort la bite. Elle me la tient fermement pendant que je fais des bisous dans la nuque de Clémentine. La sonnerie du four. Par peur que je ne me brûle la queue, c'est Estelle qui sort la tarte.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte sa soirée de hier. La visite hebdomadaire de Jean-Marc, son parrain. Elle a baisé avec lui plus d'une heure. Dans la cave de la maison familiale. Estelle, amusée, nous confie à quel point c'est excitant d'entendre sa maman s'occuper à l'étage. Nous rions tous les jeudis de sa baise du mercredi soir. Estelle nous raconte son orgasme. Celui de son parrain. Il remplit une capote à chaque fois. Clémentine raconte la visite de Juliette hier soir. Ses confidences quand aux films pornos réalisés.

<< On s'en fait un à nous la semaine prochaine ! >> s'écrie Estelle avant de rajouter : << J'ai une idée mais c'est une surprise ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine nous annonce qu'elle va nous révéler la destination de nos vacances samedi après-midi. << Si vous êtes sages ! >> précise t-elle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font mille projets pour les deux semaines de vacances qui nous attendent. << Je vais être la pire salope, je vous préviens ! >> lance Estelle. << Pas autant que moi ! >> rajoute Clémentine.

Je suis prié de me comporter comme le dernier des salauds durant ces deux semaines à venir. << Nous avons besoin, toutes les deux, d'êtres sérieusement recadrées et prises en main par un "Maître" ! >> fait encore Estelle. << J'exige d'être dressée avec fermeté ! >> lance Clémentine. Je dis : << Mes délicieuses "Soumises", je vous promets quelques grands moments. Je vais me surpasser ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Mes deux anges m'entraînent au salon en riant. J'administre son "traitement" à Clémentine.

<< Moi, j'ai mes "petits machins" lundi prochain, docteur Julien ! >> me dit Estelle debout derrière moi en me masturbant doucement. Je réponds : << Je n'aurai que votre bouche alors, chère "Soumise ! >>. Elle me demande : << Vous allez m'administrer votre "médicament" sous forme de sirop ? >>. Je confirme en précisant : << Je vais vous traiter au jus de couilles ma chère ! >>. Clémentine se retourne pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je glisse ma main entre ses cuisses. Elle cesse pour demander : << Votre sirop "maison" ? >>.

Je la saisis par sa tignasse en disant : << Oui, je l'administre par voie buccale de cette manière ! >>. Je jette un des épais coussins au sol. Clémentine se met à genoux dessus, les mains croisées sur la tête. Estelle lui frotte la bite sur la gueule. Je tiens Clémentine par ses oreilles. Estelle lui glisse mon sexe encore à demi mou dans la bouche. << Docteur Julien faites moi donc une démonstration de ce qui m'attend ! >> fait Estelle à mon oreille, toujours derrière moi, en se mettant sur la pointe des pieds. Je m'enfonce complètement.

J'imprime un mouvement lent et régulier de mon bassin. Je me masturbe dans la bouche de Clémentine. Estelle se place à côté de moi pour se frotter contre ma hanche. Elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Avec le plus total contrôle, volontairement alors que je pourrais faire durer des heures, j'éjacule dans la bouche de Clémentine. Je maintiens fermement sa tête. Elle tousse, des giclées de foutre coulent de ses narines tellement l'éjaculation est puissante et abondante. Clémentine n'a d'autres choix que de tenter d'avaler ainsi.

Je peux sentir les efforts qu'elle fait en suffoquant presque. << Elle va se noyer cette salope ! >> dit Estelle en se penchant pour regarder Clémentine déglutir avec peine. Elle demande : << Docteur Julien, c'est avec cette thérapie que vous allez me prodiguer vos soins ? >>. Clémentine, la bouche pleine se met à glousser de rire. Je la maintiens fermement afin qu'elle parte pour un second tour. Estelle m'embrasse, cesse pour se pencher et regarder. C'est elle qui tient ma queue à sa base entre le pouce et l'index. Clémentine suce.

Je demande à Estelle : << Tu as sucé ton parrain hier soir ? >>. Elle répond : << Hélas, il n'aime pas ça ! Mais par gentillesse il me laisse faire un peu quand je l'accompagne jusqu'à sa voiture lorsqu'il part. Je le suce un peu dans la bagnole. Comme il a éjaculé quelques minutes avant, j'ai droit aux reliquats. J'adore le jus qui vient après. C'est sirupeux et légèrement salé ! >>. Clémentine ne cesse de glousser de rire en écoutant notre conversation. Elle me taille une pipe des familles en gémissant de plaisir. J'ai les lombaires douloureuses. La position.

Je force Clémentine à se relever en disant : << Je te garde le jus pour tout à l'heure, au lit ! >>. Estelle s'accroupit rapidement pour sucer à son tour. Elle pousse un petit cri de ravissement en découvrant le jus abondant de mon liquide séminal. Il est 22 h. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Je la tiens par sa tignasse en disant : << Tu as vu ce que je te réserve pour la semaine prochaine ! >>. Estelle, assise au volant, la vitre baissée, me répond : << Je vais vous vider les couilles tous les jours. Et au moins deux fois, docteur Julien ! >>.

Bonne soirée pipe à toutes les coquines qui aiment siroter du foutre épais, gluant et visqueux jusqu'à s'en étouffer de plaisir...

Docteur Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1681 -



Julie vient prendre son cours de peinture

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. Le cri des mouettes nous tire de nos profonds sommeils. Clémentine vient se blottir contre moi. L'application "océan" nous offre l'illusion de nous réveiller au bord de la mer. Le vendredi, Clémentine termine à midi. Ce qui a tendance à la rendre plutôt déconneuse. << J'ai juste encore une petite congestion au niveau du bas ventre ! >> me chuchote t-elle. C'est le troisième jour de ses "petits machins". Elle se précipite aux toilettes la première pendant que je m'habille. C'est à mon tour.

Morts de faim, vêtus de nos tenues sports nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. << J'adore quand tu as ce comportement ! >> me confie une fois encore Clémentine en faisant allusion à la contrainte de la pipe que je lui ai imposé. Je promets d'avoir cette attitude durant toutes les vacances. Elles commencent aujourd'hui à midi. Nous mangeons de bon appétit en riant.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Le retour au calme avec un bon stretching est encore un prétexte à déconner. Clémentine m'entraîne en sautillant jusqu'à la salle de bain. La douche. Je descends pour sortir la voiture. Il fait à nouveau froid. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint emmitouflée dans son anorak, sous son bonnet. Un dernier bisou. << Tu as promis d'être "exigeant" toutes les vacances ! >> dit elle assise au volant.

Je la regarde partir. Un dernier coucou avant de rentrer. Je fais la vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. Je sors quelques calques d'un des étuis à dessins. Je les fixe sur des toiles vierges. Je reproduis d'anciens paysages que j'ai peins il y a des années. Il me suffit de changer quelques détails, de rajouter un personnage ou encore un animal pour en faire une œuvre originale. Je ne m'emmerde plus. Je n'en n'ai plus besoin depuis longtemps. Je réalise quatre dessins préparatoires. Il est déjà midi.

Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la seconde tarte à la tomates. Je prépare une salade de tomates à laquelle je rajoute plein de noix. Je suis entrain de mettre la table quand Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ses jambes autour de ma taille pour me couvrir le visage de bisous. Elle a le nez tout froid. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte ses cours. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, elle évoque nos vacances écossaises.

Deux semaines de vacances nous attendent. Nous avons vraiment l'intention d'en profiter. Il est 13 h15. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. J'applique de la pommade aux endroits irrités par le soutien-gorge. Clémentine n'en porte jamais sauf durant son cycle. Pour elle c'est un instrument de torture. Ses tous petits seins n'ont nul besoin d'êtres "soutenus". Pressés d'aller prendre un peu l'air, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks.

Le thermomètre extérieur indique 13°. Il faut mettre les bonnets et les gants, c'est mieux. Nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine me tient le bras pour rester serrée contre moi. Nous évoquons la visite de Julie cet après-midi. Elle viendra pour 15 h30. << Tu seras le salaud que j'aime. Et qu'elle apprécie encore davantage ! >> me fait Clémentine avant de se placer devant moi pour m'embrasser. Sa langue exploratrice fouille ma bouche avec passion. Je ne connais pas de meilleure aphrodisiaque que la salive de la fille que j'aime.

Nous parcourons les trois kilomètres qui nous séparent du vieux lavoir. Il y a la lumière indécente de ce soleil hivernal. Le bleu de plus en plus pâle d'une fin d'octobre. Il ne subsiste plus beaucoup de feuillages. Là-bas, les toits des bâtiments du haras. Par association de pensées nous évoquons Juliette et son invitation à passer demain en fin d'après-midi. Elle insiste pour nous présenter sa nouvelle palefrenière. Valentine. Une jeune femme de 28 ans fraîchement recyclée dans les activités équines après quelques années dans la grande distribution.

Tout en bavardant, Clémentine joue avec ma queue, sa main dans ma braguette. Nous sommes appuyés contre le muret du vieux bassin vide. Dans la partie ensoleillée sous le toit. << Mmhh, il fait toujours bien chaud dans ton slip ! >> dit elle à plusieurs reprises. Elle revient sur son désir de se comporter en "Soumise". << Ça me manque, si tu savais ! >>. Je promets une fois de plus d'interpréter le rôle du "Maître". Même si je n'en n'ai pas l'âme, j'en ai le talent et la pratique. Clémentine a parfait mon art de jouer à ce personnage. Nous rions.

Je me lève. Je saisis Clémentine par le col de son anorak. Tout en la forçant à s'accroupir devant moi, je sors ma queue dans le froid. Je la lui frotte sur le visage avant de l'enfoncer bien au chaud dans sa bouche. Surprise par cette rapide succession d'évènements, Clémentine glousse d'étonnements. J'appuie sur sa nuque pour enfoncer un maximum de bite. Je passe mes doigts sous son bonnet pour attraper ses oreilles. C'est ainsi que je bouge doucement pour me branler dans sa bouche. Je me penche pour dire : << Douce "Soumise" ! >>.

Je me retire pour remballer. Clémentine, surprise par la brièveté des choses se redresse en ouvrant de grands yeux. Je murmure : << Délicieuse "Soumise", voilà un aperçu des surprises que je vous réserve. Le plus souvent ces surprises seront exercées sous contraintes ! Vous voilà prévenue ! >>. Clémentine chuchote : << Je vous aime mon bon "Maître". Vous allez faire de moi la plus heureuse des "Soumises" ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour m'embrasser avec la même fougue que le pompage qu'elle vient de faire.

Nous prenons le sens du retour sur l'étroit sentier qui longe la rivière. Il est 15 h20 quand nous revenons. << Viens ! >> me fait Clémentine en m'entraînant dans la maison d'amis. Il y fait froid. L'odeur de bois neuf n'est pas désagréable. Nous restons serrés pour nous réchauffer. Je saisis à nouveau Clémentine par le colbac, je la force à s'accroupir lorsque le bruit d'une voiture descend le chemin. Clémentine se redresse en disant : << Dommage mon bon "Maître" ! >>. Nous sortons. C'est Julie qui gare sa Clio rouge devant la porte du garage.

Nous allons à sa rencontre. Comme elle est contente de nous revoir. Nous aussi. Nous la prenons par le bras pour l'entraîner au chaud. Elle se débarrasse de son anorak. Vêtue d'un pull mauve à col roulé, d'un jeans et de ses bottines noires, elle est radieuse. Nous filons directement dans l'atelier. Le crépitement des flammes. Il y règne cette ambiance que nos visiteurs apprécient tant. Julie s'assoit devant les dessins réalisés ce matin. << C'est tellement beau que ça pourrait rester sans peinture, on dirait des lithographies ! >> dit elle admirative.

Je dis : << Cet après-midi vous allez réaliser les couches d'impression ! >>. Julie ravie, s'écrie : << Génial ! >>. Je surprends son regard furtif sur ma braguette restée ouverte. Je porte un slip noir. Ce qui rajoute un peu de mystère à cette ouverture béante. Clémentine range les documents épars sur la table de travail. J'étends la bâche sur le sol. J'y dépose les quatre toiles à traiter. J'indique à Julie la procédure. Appliquée, elle prépare la peinture acrylique dans l'écuelle ronde et chromée. Elle y rajoute l'eau nécessaire. Elle mélange soigneusement.

Je rejoins Clémentine qui classe les feuillets de ses notes. Il y a deux classeurs grands ouverts. Je passe ma main entre ses cuisses pendant qu'elle range. Je chuchote : << J'ai envie de vous mademoiselle ! >>. Elle murmure : << J'aime quand vous me perturbez monsieur ! >>. Je retourne voir ce que fait Julie. Avec un pinceau large, elle applique la première couche d'impression. Le dessin préparatoire à le lumographe reste apparent. Avec le sèche cheveux Julie accélère la prise. Elle pourra appliquer la seconde couche qu'il faut toujours croiser.

Je suis accroupis à ses côtés. Elle est à genoux, ses fesses sur ses talons, passionnée par ce qu'elle fait. Les quatre toiles sont prêtes à recevoir les couches supérieures à l'huile. Cela me fait onze dessins préparatoires pour mes futurs tableaux. Je félicite Julie pour la qualité de son travail. Elle n'ose pas soutenir mon regard lorsque je lui explique quelques astuces. Pourquoi je recouvre les bords de la toile par des bandes de papier kraft collées à l'eau. Mais je sens bien à quel point tout cela la passionne. Clémentine prépare le thé, les petits gâteaux.

C'est la pause avant la séance de peinture. << Ça ne te manque pas trop le placard ? >> demande Clémentine à Julie qui répond : << Ce qui va me manquer, c'est vous la semaine prochaine ! >>. Je dis : << La prochaine fois vous venez en vacances avec nous ! >>. Même si nous savons que c'est impossible à cause de ses activités de serveuse en soirée, j'aime l'idée qu'elle pourrait accepter un jour ma proposition. Nous dégustons les petits gâteaux que Julie trempe délicatement dans son thé. Clémentine évoque son fantasme "bondage".

Julie écoute toujours en ouvrant de grands yeux. Clémentine aime confier à Julie quelques situations exhibitionniste. Julie adore nous raconter ses petites expériences de voyeuse. Elle a un vieux voisin extrêmement vicieux qui lui montre sa bite dans le jardin mitoyen. Depuis le confinement de l'année dernière, ce vieux salaud guette ses retours de cours. << Je l'ai déjà surpris à vingt trois heures, lorsque je rentre du boulot, le pantalon et le slip sur les chevilles. Il me guettait. Ce vieux cochon connaît toutes mes habitudes ! >> dit elle.

Nous en rions de bon cœur. << Tu n'as qu'à le sucer un soir ! >> lance Clémentine. << T'es folle ! >> lance Julie en éclatant de rire. Elle rajoute : << Mais si tu veux sucer de la queue de cochon, je peux t'organiser un "plan" ! >>. Même si c'est une plaisanterie, Clémentine s'écrie : << J'aime de la bonne queue de vieux cochon ! >>. Nous rions aux éclats. Je me lève. Debout devant les filles, je sors ma bite en disant : << J'en suis la preuve vivante ! >>. Julie dit : << Mais vous n'êtes pas vieux, ce n'est pas de la queue de vieux cochon ! >>.

Même si elle n'ose pas me regarder dans les yeux, Julie fixe mon sexe avec l'attention d'une entomologiste. Je bande mou. Clémentine me fait un clin d'œil. J'agite ma bite en la tenant à sa base, entre le pouce et l'index. << J'adore quand vous faits ça ! >> lance Julie en appuyant ses coudes sur ses cuisses pour observer encore plus attentivement. Clémentine passe son bras autour de son épaule. Julie se serre contre elle. Elles regardent toutes les deux mon léger mouvement masturbatoire. Je dis : << Il va être l'heure du cours ! >>.

Julie est installée devant son chevalet de table. Son pinceau à la main. Je suis assis à côté. Clémentine est installée dans le vieux canapé en velours carmin. Confortablement installée, elle lit. J'adore entendre la respiration de Julie. Quand elle se concentre, elle reste en apnée. Ce qui impose qu'elle reprenne son souffle. Elle va terminer cette toute petite toile. Un paysage d'après photo. Je conseille un trait, je recommande un mélange. En temps normal, je n'ai aucune pédagogie et je suis un très mauvais professeur. Mais là, c'est différent.

J'ai la bite à l'air sous la table. Je me masturbe parfois. Julie cesse alors de peindre, s'appuie en arrière contre le dossier de la chaise pour regarder. C'est une jeune fille de 20 ans, extrêmement timide mais aussi extrêmement vicieuse. L'ambiance dans laquelle se déroule ce cours de peinture est torride. Une bite dégage une odeur. Ce qui agit comme un phéromone. Un aphrodisiaque. Inconsciemment sans doute, à chaque fois qu'elle regarde sous la table, Julie soupire. J'adore ce tout petit mouvement que font ses narines délicates en humant.

Là-bas, dans son canapé, Clémentine tout en lisant, m'adresse de petits clins d'œil, des sourires discrets et amusés. Il est déjà 18 h. Julie va être obligée de partir. Sa toile achevée va sécher. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle est tristounette. << C'est tellement bien ! >> dit elle dans un soupir en démarrant. Nous la regardons partir avant de nous dépêcher de rentrer au chaud. << Tu es le professeur le plus génial ! >> me fait Clémentine en empoignant ma queue. << Le plus lubrique aussi ! >> rajoute t-elle en s'accroupissant pour sucer.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir de la queue, de la pipe, du sperme gluant après un repas simple mais délicieux...

Professeur Julien



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Homme, 53 ans, France
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Un samedi peinard avec quelques préparatifs

Hier matin, samedi, il est presque 8 h quand nous nous réveillons. Quasiment en même temps. Quelques papouilles. << Même plus mal ! >> me fait Clémentine en m'entraînant par la main. Nos rituel pisseux peuvent reprendre. Les règles de Clémentine sont terminées. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de la journée. Veille du départ.

Il est pile 8 h30. La musique imbécile de mon téléphone posé sur le buffet. Clémentine se lève pour s'en saisir. << Julie ! >> lance t-elle. Comme j'ai ouvert le portail depuis l'interphone, Julie a garé son auto devant la porte du garage. Nous nous précipitons pour aller l'accueillir. Elle est radieuse dans le froid hivernal. Elle se débarrasse de son anorak. Nous nous faisons des bises. Julie vient pour faire le ménage. Elle s'y met presque de suite. Nous faisons la vaisselle. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants pour sortir dans le froid glacial.

Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous descendons jusqu'à la rivière en maintenant un rythme soutenu. Ce running nous fait un bien fou. Ça change considérablement de nos entraînements en salle. Il est 9 h30 quand nous revenons par la route. Nous entendons Julie passer l'aspirateur. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons de nos jeans, de nos sweats, de nos baskets. Nous descendons les escaliers à toute vitesse. Il est 9 h50. Nous sortons. Nous allons dans la maison d'amis pour allumer les accumulateurs électriques.

Il faut faire chauffer cette maison. Les panneaux photovoltaïques sont en action. Ils vont charger les batteries. Voilà la camionnette des fruits et légumes. La jeune femme nous fait un grand sourire. Elle sort de son véhicule pour en sortir deux grands cageots. Ce matin elle est même loquace. Il a fallu plus de 18 mois pour que cette jeune femme se déride enfin. Dans le premier cageot, nos légumes. Dans le second, nos fruits, nos produits frais. Yaourts, œufs, petits pots de crème fraîche, beurre et surtout nos fromages. Un gros morceau de gruyère.

Paiement par carte, même commande pour samedi prochain. Nous saluons Danielle. Nous la regardons monter le chemin jusqu'au portail. Voilà le "tube" Citroën de la boulangère. Madame Marthe aime à échanger quelques bons mots. Elle nous tend une cagette dans laquelle il y a nos deux miches, une brioche au pudding et deux croissants qu'elle nous offre. Paiement par carte, même commande pour samedi prochain. Nous avons prévenu Danielle et madame Marthe que ce sera Julie qui réceptionnera les commandes samedi prochain.

Julie a insisté pour assurer la permanence. Comme il y aura l'électricité dans la maison d'amis, elle pourra ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Les fruit et les légumes dans le vide sanitaire toujours bien frais. Ce sera pour 24 h. Dès notre retour nous rangerons le tout. Nous passons par derrière pour aller directement au cellier, dans la cave. Nous laissons les légumes bien rangés dans le cageot. Il n'y aura qu'à le mettre dans la voiture demain. Nous partirons pour 13 h30. Clémentine m'assure qu'il n'y a pas plus de 250 km pour la surprise.

Je mets une des miches dans le congélateur. J'en tire un sac de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous remontons pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Julie est entrain de passer l'aspirateur au salon. Nous la rejoignons. Il fait bien chaud dans la maison. Je confirme les commandes pour samedi prochain. << Je m'occupe de tout ! Vous allez me manquer ! >> dit elle avec une petite voix. Nous lui déposons un bisou sur le front avant d'aller dans l'atelier. Il y fait un peu plus frais. C'est grand.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume son ordinateur. Nous ouvrons nos boîtes mails. Trois messages. Le premier de Juliette qui nous remercie pour la soirée de mercredi. Le second envoyé par Estelle qui nous confie son impatience de nous rejoindre. Elle écrit depuis l'hypermarché où elle fait les courses avec sa maman. Le troisième courriel de mon oncle d'Edimbourg. Nous espérons vraiment pouvoir passer le Hogmanay en Ecosse durant les fêtes de fin d'années. Nous répondons aux trois mails en joignant un selfie pris à l'instant.

<< Tu entends les informations ? Insidieusement ces enculés nous préparent une nouvelle épidémie. Ça les arrangerait bien un nouveau confinement avant les élections de l'année prochaine. On contrôle bien plus facilement un troupeau de moutons enfermés dans leurs enclos ! >> lance Clémentine en soupirant profondément. Julie vient nous rejoindre pour passer l'aspirateur dans l'atelier. Nous quittons pour aller à la cuisine. Toute propre dont les tomettes sont à peine sèches. Il est 11 h00. Clémentine fait la salade en évoquant les fêtes en Ecosse.

Je prépare le bouillon. Dans le wok, je verse les contenus du sachet de haricots verts et celui des petits pois. Je jette les moules dans le bouillon en ébullition. Julie vient nous rejoindre. Elle ne peut pas rester manger avec nous. Nous enfilons tous les trois nos anoraks pour la raccompagner jusqu'à sa voiture. Je lui tends la petite enveloppe jaune contenant le billet de 50 euros. Nous y avons glissé un petit mot gentil. Assise au volant, la vitre baissée, Julie nous souhaite bonnes vacances. Nous promettons de lui faire un courriel tous les jours.

<< De toutes façons, dès notre retour, on te fait un grand coucou. Tu viendras passer quelques jours à la maison. On te prépare le canapé lit. On va bien s'occuper de toi ! >> dit Clémentine en se penchant pour lui déposer une bise sur la joue. Je fais la même chose en disant : << Et puis nous aurons plein de choses à nous raconter ! >>. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Il est 11 h50. Tout est prêt. Il suffit de mettre la table, de s'assoir. Je fais le service. Clémentine me palpe la braguette.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Julie. Cette jeune fille de 20 ans, si réservée, si timide et tellement attachante. Nous traînons à table en faisant l'inventaire de tout ce qu'il ne faudra pas oublier. Nous rions de bon cœur sachant bien que même si nous ne partons qu'une semaine, nous emmènerons de quoi en tenir deux. << Je promets de n'emmener que la petite valise ! >> lance Clémentine, assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Je dis : << N'oublions pas le collier canin et la laisse ! >>.

<< Je serai avec mon doux "Maître" plusieurs fois par jour durant ce séjour ? >> demande Clémentine, espiègle et mutine. Je réponds : << Oui, ma douce "Soumise". Je ferai de vous ma "chose" et surtout je vous ferai faire des choses que la morale réprouve ! >>. En éclatant de rire, Clémentine rajoute : << Des choses que la morale réprouve mais pas moi ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain.

<< Où sont les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle que nous entendons monter les escaliers à toute vitesse. Elle ouvre la porte pour nous trouver avec de la mousse dentifrice plein le menton. << Des barbus ! >> lance Estelle qui se précipite pour nous faire des bisous sur le front. Tête contre tête, nous nous rinçons les bouches au-dessus du lavabo. Estelle, derrière moi, imprime un mouvement de son bassin contre mes fesses. Une imitation parfaite d'une baise en levrette. Je m'essuie la bouche en demandant : << Il te pend comme ça ? >>.

Je fais évidemment allusion à Jean-Marc, son parrain qui la baise tous les mercredis soir. En me palpant la braguette, Estelle répond : << Non non, pas du tout, sortit de la position du missionnaire, il est perdu. ! >> nous rigolons comme des bossus. Nous quittons la salle de bain. Estelle a emmené son grand sac de sport contenant ses vêtements pour la semaine. Un sachet avec deux paires de godasses. Je le prends. Nous entrons dans la chambre. Je monte sur le tabouret pour descendre la grande valise à roulettes du dessus de l'armoire.

Nos valises sont recouvertes d'une bâche. Je pose la valise sur le lit. Debout devant l'armoire ouverte, Clémentine choisit les fringues que nous emmenons. Les hommes qui partagent leurs vies avec une femme savent qu'ils ont droit à un quart de l'armoire pour leurs vêtements. Tout le reste étant occupé par ceux de madame. Nous ne dérogeons pas à cette règle. Estelle récupère chaque vêtement que sort Clémentine. Elle le garde plié soigneusement pour le ranger tout aussi consciencieusement dans la valise. Je suis assis sur le lit à regarder.

J'ai droit à deux jeans, deux chemises à carreaux, à deux sweats. Six slips, six paires de chaussettes. Ça prend le tiers de la place dans la valise. Tout le reste est occupé par les fringues de Clémentine. Estelle lui dit : << Je te rappelle que nous ne partons que sept jours. Là, tu pars pour un mois en Ecosse ! >>. Nous rions. << C'est vrai, mais on sait jamais ! >> lance Clémentine en hésitant soudain. Je suis missionné pour préparer deux paires de godasses chacun dans un grand sachet. << Non pas celles-là, les autres ! >> fait Clémentine.

Tout le bas du placard est encombré de la collection de souliers à Clémentine. Une partie de l'étagère également. Mes godasses sont dans le petit meuble à chaussures. La valise est prête. Nous descendons les escaliers. Je porte la valise soudain bien lourde. Clémentine tient le grand sachet contenant quatre paires de godasses. Nous posons le tout dans le hall d'entrée. Demain, avant de partir, il n'y aura qu'à les mettre dans le coffre de la voiture. Estelle pose ses mains sur les épaules de Clémentine toute surprise par cet élan. Un silence.

<< La moindre des choses, est quand même de nous révéler à présent, notre destination. Le lieu de ce séjour que tu as organisé en gardant l'effet de surprise ! >> lance Estelle d'un ton péremptoire. << Tout à l'heure, dans la voiture ! >> répond Clémentine, toute contente de garder encore un peu le secret. Nous sommes tous les trois vêtus pareils. Jeans, chemises à carreaux sous nos sweats. Nos baskets. Nous décidons de rester ainsi pour aller faire nos courses. Il faut assurer la logistique. Papier cul, Sopalin, crème dentifrices, savons, etc...

Il est 14 h30. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou en nous racontant son vendredi soir. Il y a une quinzaine de kilomètres par l'étroite route communale. Nous passons devant l'université. << C'est là que je gare ma voiture tous les jours ! >> lance Clémentine. << Et la mienne à côté ! >> rajoute Estelle. Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Nous désinfectons la poignée du caddie avec du gel hydroalcoolique. Nous enfilons nos gants mappa. Je pousse le charriot.

Clémentine tient la liste des courses en nous entraînant dans les rayons. Il y a beaucoup de monde. C'est samedi. Un embouteillage de charriots aux endroits stratégiques. Le rayon boucherie, le rayon poissonnerie par exemple. Estelle reste serrée contre moi ou me tient par le bras. Nous suivons Clémentine qui choisit les meilleurs produits. En promo ou par lots. Elle nous montre, nous explique et les dépose dans le caddie. Elle n'a pas sa semblable pour choisir avec soin. << C'est quand j'étais "pauvre", j'ai bien appris à choisir ! >> lance t-elle.

Nous n'avons strictement rien à y faire, mais Clémentine insiste pour y passer quand même. Le rayon des vêtements hommes, le rayon culturel et le rayon informatique. Une petite opportunité d'exhibe bien discrète et vicelarde ne serait pas pour lui déplaire. Hélas, avec ce monde, il serait tout à fait impossible de s'offrir un 'plan". Nous passons en caisse. Il faut être patients. Surtout que devant nous, des clients paient avec de la monnaie. Je laisse aux lecteurs d'imaginer la rage qui peut nous gagner lorsque ce gens comptent la monnaie de 100 €.

Ouf. C'est enfin à nous. Nous déambulons dans la galerie commerciale. Nous portons bien évidemment nos masques sanitaires. Cette mesure totalement inutile et idiote commence à peser. Surtout que c'est le seul endroit que nous fréquentons où il faut en porter. << L'hérésie des enculés qui nous imposent ces conneries n'a pas de limite ! >> lance Clémentine en rangeant les achats dans le coffre. << Et dire qu'il y a des tarés capables de revoter pour les mêmes l'année prochaine ! >> rajoute Estelle. Nous rigolons comme des bossus.

Il est 16 h30. Il fait vraiment froid cet après-midi. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Penchée entre les dossiers des sièges, Estelle regarde. << J'exige d'être assise devant avec Clémentine pour chaque déplacement durant ces vacances ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur. Je dis : << Et si on se ramasse une prune ? >>. Clémentine répond : << Avec ce froid, les gendarmes restent bien au chaud dans leurs gendarmeries ! >>. Nous arrivons au haras. Comme promis à Juliette nous venons y faire une visite de courtoisie.

Il y a plein d'autos garées dans la cour. Des jeunes cavalières bravent le froid, droites sur leurs montures. Nous traversons la cour pour aller dans l'ancienne écurie. Notre préférée. Il y a des chevaux dans tous les box. Voilà madame Walter, en tenue d'écuyère sous son manteau noir. Elle donne des directives à une jeune femme que nous n'avons jamais vu. Madame Walter vient vers nous toute souriante. Elle est belle encore aujourd'hui. << Je vous présente Valentine, la nouvelle palefrenière. Elle est avec nous depuis lundi ! >> dit-elle.

Nous saluons la jeune femme. Elle est grande, mince, porte des lunettes à fines montures dorées. Ses cheveux attachés en catogan. Un visage sévère, aux traits fins, Valentine est toutefois très séduisante. Elle nous laisse. Nous bavardons un peu avec madame Walter. << Des trucs sympas en prévisions pour un prochain soir ? >> demande Estelle. << Partouze ou barbecue ? >> répond madame Walter. Nous éclatons de rire. J'aime beaucoup la personnalité de cette femme. La collaboratrice de Juliette affiche ses 45 ans avec classe. Belle.

<< Partouze ! Je préfère ! >> lance Estelle. << On a prévu un truc "collectif" pour samedi prochain, dans les locaux de la nouvelle écurie. Vous en serez ? >> demande madame Walter. J'ouvre mon anorak pour lui montrer ma braguette béante. Clémentine répond : << Nous sommes en vacances et de retour dimanche prochain ! >>. Madame Walter, en fixant l'orifice béant de ma braguette, rajoute : << Il faut absolument qu'on s'amuse à nouveau ensemble. Quand vous êtes là, c'est tellement plus attractif ! >>. Nous sommes bien d'accord !

Voilà Juliette qui arrive accompagnée de deux couples. Probablement des propriétaires de chevaux. Il y a leurs filles qui viennent les rejoindre en courant. Nous restons à l'écart avec madame Walter. Juliette fait visiter les lieux à ces gens. Ce sont certainement leurs chevaux que les deux adolescentes caressent. Je me tourne discrètement pour sortir ma queue. Madame Walter me regarde faire. Clémentine fait le guet. Estelle la prend discrètement dans la main pour l'agiter sous les yeux de madame Walter. Elle est admirative.

<< Toujours aussi vicieux? J'adore. Je m'en occuperais bien volontiers à nouveau un de ces week-end ! >> me chuchote madame Walter. Je murmure : << Je m'occuperai volontiers de vous aussi ! J'en garde de bons souvenirs ! >>. Je bande dans la main d'Estelle. << Je peux ? >> demande madame Walter qui saisit mon sexe que lui tend Estelle. Le groupe de gens ne peut pas voir ce qui se passe. Nous sommes juste derrière l'angle du fond de l'allée. A droite ce sont les chiottes. A gauche le local des produits alimentaires et d'entretiens.

Madame Walter, en tenant ma bite d'une poigne ferme, s'adresse à Clémentine : << Pierre parle souvent de vous. Il vous baiserait bien à nouveau, un de ces jours ! >>. Le mari de madame Walter est un queutard de première. Doté d'un bon calibre, il laisse également à Clémentine d'agréables souvenirs. Elle répond : << Mais c'est quand il veut ! Organisez nous un "plan" ! >>. Tout en prononçant ces mots, Clémentine me consulte du regard. Je lui fais un clin d'œil complice. Madame Walter rajoute : << Je m'en occupe. Il sera ravit ! >>.

Madame Walter a encore quelques tâches a effectuer avant de partir. Le crépuscule arrive inexorablement. Elle rajoute : << En tant que cadre, nous sommes corvéables à merci ! Je ne compte plus les heures. Heureusement que les chevaux sont ma passion ! >>. Nous la saluons pour nous diriger vers la porte. Nous caressons quelques chevaux. Juliette s'adresse à nous : << Bonnes vacances, merci d'être passé ! >>. Nous la saluons. Je lui lance un clin d'œil. Ce qui n'échappe peut-être pas à une des deux adolescentes. Il est 19 h.

Nous arrivons à la maison. Assis tous les trois à la table de la cuisine, nous épluchons les patates, les carottes, le navet et le céleri. Ce sera pour ce soir et pour demain midi. Estelle et Clémentine échangent leurs impressions. << Tu vas baiser avec Pierre ? > demande Estelle. << Je vais me gêner ! Tu as vu la queue qu'il a ! >> répond Clémentine. Je dis : << Il me semble qu'il y a deux ans il te l'a mis aussi, non ? >>. Estelle s'écrie : << Oh, je n'ai pas une bonne mémoire ! >>. Nous pouffons de rire. Clémentine évoque madame Walter.

Nous rions beaucoup de cette conversation. Une conversation qui nous excite également beaucoup. Estelle touille les légumes dans la vieille cocote en fonte noire. Elle décolle sans cesse avec une spatule en bois. Tout ce qui accroche est tellement bon. Clémentine fait la salade. Je fais rissoler des calmars à la poêle. Des champignons. Je coupe de fines tranches de Morbier. Nous adorons les faire fondre sur la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles faire mille projets. Clémentine se lève soudain, sentencieuse. Silence.

<< Nous partons demain pour la Vendée. J'y ai réservé un studio au premier étage d'une maison dans le village de Pouzauges ! >> dit Clémentine. Sans même nous consulter, Estelle et moi nous applaudissons. << Génial ! >> lance Estelle. Je m'écrie : << Super ! >>. Nous gardons un merveilleux souvenir de notre dernier séjour en Vendée, il y a trois ans. Nous nous étions promis de revenir dans cette "Suisse" vendéenne. Je recommande à nos lecteurs de découvrir ses bocages, ses vallons, ses sentiers, ses châteaux dont celui de Gilles de Rais.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles font des "plans" pour ce séjour. Même si Clémentine a toute latitude pour dépenser les mille euros que je lui octroi chaque mois, elle ne peut s'empêcher de me rendre des comptes. Alors que je n'en demande pas. Elle a sa carte bancaire et en dispose comme bon lui semble. << Mes vieux relents de culpabilités sans doute ! >> dit elle comme pour se justifier. Je lui fais plein de bisous en riant. Estelle dit : << Moi aussi je veux un Julien ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Mes deux anges m'entraînent par les mains au salon. Elles me font tomber dans le canapé pour m'arracher mes fringues. Elles restent en chemises à carreaux et en chaussettes, comme moi. Clémentine se lève pour aller s'assoir sur le bureau. Cuisses largement écartées, jambes relevées. Je comprends immédiatement. Je me lève. Estelle me tient la queue qu'elle frotte contre le sexe de Clémentine. Elle m'embrasse avec passion pendant que Clémentine s'enfonce mon chibre dans la chatte avec douceur.

Je suis enfoncé jusqu'aux couilles qui battent contre ses fesses. Clémentine, couchée, en appui sur ses coudes, me fixe. << Je peux avec Pierre ? >> me demande t-elle soudain. Je me mets à bouger doucement. Je réponds : << Tu es obligée avec Pierre ! >>. Estelle me tient les couilles par derrière. Elle dit : << Pendant que Clémentine baise avec Pierre, moi, je baise avec toi ! >>. Elle s'installe sur le bureau dans la même position que Clémentine. Je n'ai plus qu'à passer de l'une à l'autre. Tout en baisant, les filles discutent le plus naturellement.

Quand je suis enfoncé dans Estelle, c'est souvent pour faire la "machine à coudre". Elle aime trop se faire baiser à la hussarde. Quand je suis enfoncé dans Clémentine, nous restons immobiles. La fatigue se fait sentir. Mes lombaires aussi ! C'est toujours Estelle qui a son orgasme la première. Pendant que je les tire, elles se masturbent toujours en même temps. Estelle me repousse doucement en hurlant. C'est comme si ça lui faisait mal. Je saisis Clémentine par ses cheveux pour la faire descendre du bureau. Je la force à se mettre à genoux sur le parquet.

Je la maintiens fermement. Je lui enfonce la bite dans la bouche. Elle n'a pas le temps de revenir de sa surprise que je lui éjacule au fond de la gorge. Estelle retrouve ses esprits. Elle se lève. Me tenant les couilles par derrière, elle enfonce sa langue dans ma bouche pour la fouiller. Je tiens Clémentine par les oreilles. Ma bite dans la bouche, elle suffoque, tousse. Je cesse d'embrasser Estelle pour dire à Clémentine : << C'est ce genre de comportement que je vous réserve cette semaine, ma douce "Soumise" ! >>. Estelle rajoute : << Ta belle salope ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se réjouissent pour les vacances à venir. Les coups de queues, les cunnilingus et les pipes...

"Maître" Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1683 -



Dimanche, jour du départ

Hier matin, dimanche, il est plus de neuf heures quand nous nous réveillons tous les trois. Quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges qui se serrent contre moi. Estelle à ma droite qui saisit mon érection matinale à pleine main. Clémentine à ma gauche qui tient mes couilles à pleine poigne. Je glisse mes mains dans les culottes. C'est très agréable de dénouer quelques nœuds dans les abondantes toisons. C'est délicat de passer les doigts entre les lèvres douces de leurs sexes. Plein de bisous. Estelle se frotte en gémissant.

C'est pourtant elle qui se lève la première pour se précipiter aux toilettes. Clémentine se frotte à son tour en chuchotant : << Tu as été merveilleux hier soir. J'adore quand tu as ce comportement avec moi. Je vous aime "Maître" Julien ! >>. Je murmure : << Je vais tout faire pour satisfaire vos désirs ma délicieuse "Soumise" ! >>. Nous en rions de bon cœur avant de nous précipiter à notre tour aux toilettes. Morts de faim, encore en slips et en T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur du café.

Les effluves parfumées de la brioche au pudding se mêlent à celles du pain grillé. Estelle, en pyjama, se jette à mon cou en disant : << C'était tellement bien hier soir ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bises en mitrailles. Même traitement à Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre visite au haras, la proposition de madame Walter d'organiser un "plan" baise avec son mari. Pierre étant un baiseur fou. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en parlant cul.

Le dimanche matin, pas de sport, nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent nos différents souvenirs des partouzes d'il y a deux, trois ans, aux écuries. Nous rions beaucoup. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux, baskets. Il était temps car Clémentine et moi nous avions légèrement froid. C'est qu'il fait froid au dehors.

Pressés d'aller nous en rendre compte, nous dévalons les escaliers une nouvelle fois pour enfiler nos anoraks. Nous sortons. Il est 10 h15. Le thermomètre extérieur indique 4°. Pourtant le ciel est dégagé et il y a du soleil. << Je ne me souviens plus d'un mois d'octobre aussi froid ! >> lance Estelle qui reste accrochée à mon bras. << L'an dernier on faisait des balades juste avec un sweat ! >> rajoute Clémentine qui me tient par le bras. Je suis entre mes deux anges. Nous descendons jusqu'à la rivière. Il y a un véritable tapis de feuilles mortes.

Il en flotte à la surface de l'eau. Nous prenons le sentier facile de gauche. Estelle qui marche devant se retourne souvent pour me faire une bise. Passer sa main entre mes cuisses pour me palper. Je me retourne à mon tour pour faire des bisous à Clémentine qui marche derrière. Nous n'avons pas nos bonnets ni nos gants. Le froid vif est encore accentué par un léger vent de Nord Est. Nous n'insistons pas. Nous revenons sur nos pas. Au bas du chemin nous nous serrons très fort tous les trois avant de remonter. Le croassement des corbeaux.

Clémentine nous entraîne dans la maison d'amis. Il y fait bien chaud. Les panneaux photovoltaïques ont rechargé les batteries. Nous laisserons les convecteurs électriques chauffer la maison durant notre absence. Clémentine a indiqué à Julie où nous cachons la clef. << C'est tellement évident qu'il est impossible de s'en douter ! >> avait dit Julie toute étonnée. Nous quittons la dépendance pour passer à l'arrière. Nous chargeons le grand panier d'une dizaine de bûches. La brouette d'une bonne vingtaine de bûches. Il fait froid à l'ombre.

Estelle et Clémentine porte la grande corbeille. Je pousse la brouette. Nous empilons des bûches à côté de la cuisinière à bois, à côté des cheminées de l'atelier et du salon. Nous retournons tous les trois ranger la brouette et la corbeille. << On ne se quitte pas d'une semelle pendant deux semaines ! >> lance Estelle. << Sauf pour faire caca ! >> s'écrie Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Estelle nous entraîne dans une farandole tout autour du jardin, du bassin vide. Il y a des branchages cassés partout à cause de la tempête de mercredi.

Il est onze heures trente. Nous rentrons au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe le reste de potée de légumes. Je fais rissoler trois filets de flétan à la poêle. Des champignons, de l'ail, de l'oignon. En fin de cuisson, je rajoute un petit pot de crème fraîche. Estelle rajoute des petits cubes de Saint Nectaire sur les légumes. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Nous sommes attendus à notre location pour 19 h. Clémentine a tout prévu. Son secret reste aussi une belle surprise.

Nous nous réjouissons pour découvrir les lieux. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font l'inventaire de ce qu'il faut emmener. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous récupérons nos affaires de toilettes, des serviettes et des lavettes. Le sèche-cheveux, les brosses. Nous faisons notre lit. Julie a fait le ménage hier. Il y a encore l'odeur de chlore malgré les effluves d'huiles essentielles répandues par les diffuseurs d'arômes. Nous laissons tout en ordre avant de redescendre.

La glacière électrique, branchée depuis le petit déjeuner, affiche maintenant moins 18°. Clémentine y dispose nos œufs, le beurre, les fromages, les yaourts. Les filets de poissons congelés, les moules et les calmars tirés du congélateur. C'est parfait. << On dirait le mois de juin et le départ pour l'écosse ! >> lance Estelle en passant derrière moi pour me palper la braguette. Nous descendons à la cave récupérer le cageot de légumes et de fruits. C'est OK. Nous enfilons nos anoraks pour mettre les bagages et la nourriture dans le coffre de l'auto.

Clémentine branche la glacière sur l'allume cigare. J'ai fait le plein d'essence hier. Je sors la voiture du garage. Tout est en ordre. Nous rentrons vite au chaud. << Les préparatifs, ça m'excite toujours ! >> fait Estelle en glissant sa main dans ma braguette. << Moi, ce sont les départs qui me mettent dans des états "douteux" ! >> dit Clémentine qui se frotte contre ma hanche. Distribution de bisous. Il est presque 14 h. Un dernier tour dans l'atelier. Je réuni les cendres de la cheminée avec le tisonnier. Là aussi nous laissons un endroit propre.

Nous fermons les volets de la cuisine, du salon. Monsieur Bertrand, notre voisin est prévenu de notre absence. J'enclenche le système de sécurité. La maison est dotée d'une domotique de pointe. D'une vidéo-surveillance et d'une alarme de dernière génération. Les voyants lumineux indiquent que tout fonctionne parfaitement. Nous fermons la maison. << Il y a toujours un petit pincement au cœur en partant ! >> dit Estelle. << La saveur élégiaque d'un départ imminent ! >> rajoute Clémentine. Nous voilà dans la voiture. Le moteur ronronne.

Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Assise à l'arrière, caressant mon cou, Estelle nous confie ses impressions. Il y a deux cent cinquante kilomètres qui nous séparent de Pouzauges. Notre destination. C'est dimanche. Pour éviter les axes de grandes circulations, nous préférons prendre les petites routes départementales autant que possible. Pour nous, un voyage en automobile doit rester un plaisir. Nous aimons assister aux défilements des paysages. D'être pressé en auto nous semble la dernière des hérésies.

Il est décidé d'un arrêt toutes les heures. La voix obséquieuse de la dame du GPS indique les directions. Nous n'avons qu'à nous laisser guider. Les filles parlent de leurs études. De mathématiques. De la seconde partie du trimestre qui les attend. J'écoute en conduisant. C'est passionnant. J'aime les entendre rire d'amusantes anecdotes universitaires. Premier arrêt pipi. Je m'engage dans un chemin de terre. Là, mes deux anges descendent leurs jeans et leurs culottes. Je les tiens par la nuque. Concours de longueur de jets en faisant attention.

Bien évidemment, à ce jeu, c'est toujours Clémentine qui gagne. Je les torche soigneusement. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets fumant dans le froid. Clémentine, serrée contre moi, observe les reflets dorés sous le soleil. Estelle me secoue la queue pour faire tomber les dernières gouttes. Clémentine s'accroupit pour sucer les derniers reliquats. Je l'aide à se redresser. Nous repartons. Second arrêt une heure plus tard. Cette fois à la sortie d'un petit bourg. Sur un chemin pavé qui mène à un monument commémoratif. Bel endroit pour pisser.

Entre les deux portières ouvertes pour rester cachées de la route, mes deux anges font leurs pipis. Je suis accroupis derrière elles. J'aime enfoncer mes index dans les culs. Ça donne de la vigueur aux jets et surtout, ça les fait rire. << Enculeur de filles ! >> me lance toujours Estelle quand je fais ça. Je les torche. Cette fois c'est Clémentine qui me tient la bite pour en diriger les jets. Estelle, accroupie, suce entre chacun d'eux. Je lui caresse la tête. Clémentine se penche pour mieux regarder en disant : << Le thé chaud est servi ! >>.

Nous faisons quelques pas pour aller visiter l'endroit. C'est un monument à la mémoire des vendéens massacrés par les troupes républicaines entre le 3 mars 1793 et le 2 mai 1795. << Déjà des CRS ? >> lance Estelle. Nous éclatons de rire. Il y a des promeneurs. Des familles. Là-bas, il y a même une buvette et une boutique de souvenirs. Nous allons voir. Estelle n'arrête pas de me tripoter. Pas toujours très discrète. Clémentine fait écran pour dissimuler nos agissements. Il est temps de repartir. Le soleil baisse déjà sur l'horizon.

Le paysage change. Il est vallonné. Difficile de s'imaginer être en Vendée. Il est 18 h45 quand nous arrivons à Pouzauge. Ravissant village à flanc de colline. La location est à la sortie du bourg. En direction de la Flocellière. J'entre dans la cour d'une belle maison ancienne. Sur les recommandations de Clémentine qui a tout organisé. C'est un monsieur un peu enrobé qui vient nous accueillir. Nous nous saluons. Monsieur Gérôme a l'air étonné. Clémentine a eu plusieurs contacts téléphoniques avec lui. Il est le propriétaire de la maison.

C'est un homme charmant et courtois. Un peu dragueur aussi. Il nous présente sa femme qui vient nous rejoindre. C'est un couple de jeunes retraités. En pleine forme. Nous sympathisons immédiatement. Non, je ne suis pas le père de ces deux jeunes filles qui restent auprès de moi. Les regards interrogateurs de la dame m'amusent beaucoup. Monsieur Gérôme nous invite à le suivre. Nous contournons la maison. Il y a une entrée secondaire. Un escalier en colimaçon. A l'étage, c'est un grand studio que nous découvrons. Au moins quarante mètres carrés.

Il y a le coin cuisine. Superbement bien aménagé. Il y a une salle de bain, un cabinet de toilettes. La grande chambre. Un canapé lit, une table, quatre chaises et même un fauteuil. Deux yuccas, un ficus. C'est un loft. Les couleurs pastels rajoutent encore au côté charmant de l'endroit. C'est vraiment le lieu idéal pour passer une agréable semaine. Monsieur Gérôme nous raccompagne jusqu'à la voiture. Nous y récupérons nos affaires pour les monter. Deux allers retours et nous voilà installés. Nous avons prévu la literie. Nous n'avons rien oublié.

Par la fenêtre la vue sur le village en contrebas est magnifique. Il fait nuit. Les lumières scintillent. Nous rangeons nos affaires. Le frigo est grand. Un congélateur dans le haut. Nous ouvrons le canapé pour préparer notre lit. << Ce soir, spaghettis et sauce au pistou ! >> lance Estelle qui veut tout préparer. << Salade de tomates ! >> rajoute Clémentine. Je sors ma bite pour dire : << Sans oublier la saucisse ! >>. Nous rigolons comme des fous. Estelle nous entraîne dans une farandole. << Espérons que c'est insonorisé ! >> s'écrie Clémentine.

La préparation du repas est rapide, efficace. Nous traînons à table en regardant notre nouvel environnement. Il fait bien chaud. Ce sont des convecteurs électriques. Clémentine nous raconte comment elle a trouvé l'endroit sur Internet. Elle dispose de mille euros tous les mois par carte bancaire. Elle a versé un acompte de 200 euros. Elle a eu quatre contacts téléphoniques avec le propriétaire. << Il était parfois très coquin au téléphone ! >> précise t-elle. Nous rions. La fatigue commence à se faire sentir. Il est 22 h. Vaisselle. Le lit. Cunni et pipes.

Bonne soirée de caresses et de folies à toutes les coquines qui découvrent un nouveau lit et un nouvel endroit pour s'y amuser...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1684 -



Notre premier jour de vacances

Hier matin, lundi, il est presque huit heures quand je suis tiré de mon sommeil. C'est le souffle chaud d'Estelle contre mon cou. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi. Comme une naufragée à sa bouée, épousant chacun de mes mouvements. Ses lèvres se collent soudain contre ma peau comme une ventouse. Sa main se glisse dans mon slip pour saisir mon érection matinale. Clémentine se réveille à son tour pour se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Nous regardons la grande chambre dans laquelle nous nous trouvons.

Un grand espace lumineux. Un loft. Estelle se lève pour se précipiter vers la porte des toilettes. Clémentine me chevauche en couvrant mon visage de bisous. Estelle revient pour plonger sur le lit : << J'ai mes "petits machins". Docteur Julien, il me faut vos soins ! >>. Clémentine m'entraîne par la main. C'est à notre tour d'aller pisser. Estelle fait le café qui embaume tout le studio. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Clémentine beurre les tranches de pain que vient d'éjecter le grille pain. Nous n'avons pas encore tous nos repères.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du jour. Lorsqu'elle a fait la réservation, Clémentine s'est documentée sur la région. Il n'est pas question de faire de grands déplacements en voiture. Nous allons privilégier les découvertes à partir d'ici. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan du week-end passé. L'accueil qui nous a été fait au haras. Les souvenirs épiques des choses vécues dans les écuries. Notamment ce Gloryhole auquel pense Clémentine presque tous les jours. A la fois dégoutée et excitée.

Il est huit heures trente. La vaisselle. Nous sommes en tenues de jogging. Nous dévalons l'escalier en colimaçon pour sortir par derrière. La fraîcheur est vive. Quelques mouvements d'échauffement. Nous sortons de la propriété pour longer l'étroite route communale. La maison est située à la sortie du village, en retrait et quasiment invisible. Nous prenons le premier chemin à droite. Le sol est légèrement humide mais pierreux. Nous pouvons courir côte à côte d'un bon rythme. Il faut improviser car c'est notre premier running à Pouzauges.

Nous restons un moment à flanc de colline. La vue sur le vallon est magnifique. Des séquences ensoleillées permettent d'en admirer la topographie. Du sommet nous apercevons le château, une église massive qui semble Romane. Il y a une sorte de grange vide. L'endroit sert probablement d'abri pour les promeneurs. Le sol est terreux et sec. C'est là que nous faisons nos pompes. Il y a des planches. Nous pouvons y faire nos exercices et nos abdos. Nous nous fions au sixième sens de Clémentine pour le retour. Il est 9 h30 quand nous revenons.

Il y a monsieur Gérôme dans son jardin. Nous le saluons. Nous bavardons quelques instants. Il nous indique un parcours pour nos prochains joggings. Il me félicite pour ma voiture. Il voit rarement de telles grosses berlines allemandes. Après l'effort, nous commençons à avoir froid. Le propriétaire a de curieux mais discrets regards sur les filles. Nous le laissons pour remonter. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume son ordinateur. Un message de Juliette. Un message de Julie. Des mots très gentils.

Nous répondons en joignant un selfie pris hier soir après le repas. Estelle revient vêtue de son jeans, sa chemise à carreaux. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous rejoignons Estelle qui surfe sur le forum. << Tu racontes bien nos aventures ! J'adore les pseudos que tu donnes à tout le monde. J'aimerais bien m'appeler Estelle pour de vrai ! >>. Nous rions. Clémentine rajoute : << J'adore "Clémentine". Moi aussi j'aime bien ce pseudo ! Sans parler de "Julien" qui me plaît beaucoup ! Gérôme ! >>. Nous sommes tous les trois habillés pareil.

Il est dix heures. Nous avons tout rangé dans les placards muraux et dans le frigo. Estelle propose un menu simple et facile pour midi. << Un gratin de patates ! >> lance Clémentine. << Super ! >> fait Estelle. Elle propose d'éplucher et de préparer de suite. Bonne idée. Après tout nous sommes en vacances et nous voulons profiter de chaque instant. J'applique le traitement du docteur Julien à Estelle. Mes lèvres sur le tissu de sa chemise, j'insuffle de l'air chaud sur chacun de ses petits seins. << Mmhh, ça fait un bien fou ! >> murmure t-elle.

Nous épluchons les pommes de terre. Nous les lavons avant de les couper en tranches. Clémentine les aligne soigneusement dans un grand plat en pyrex. Je prépare le mélange œuf, gruyère de Comté et crème fraîche. Estelle le verse sur le tout. Une bonne couche de chapelure. Je mets au four. Cuisson à feu très doux. 160° afin que ça mijote tranquillement jusqu'à midi. Sur l'ordinateur, Clémentine nous montre les différentes choses à voir dans les environs. Cet après-midi, nous ferons la promenade jusqu'à Notre Dame du vieux Pouzauges.

J'administre le traitement du docteur Julien sur le bas ventre d'Estelle. C'est le premier jour de son cycle. C'est congestionné et contraignant. Elle déboutonne son jeans qu'elle descend à mi-cuisses. Debout devant l'évier, les mains sur les hanches, suppliante, elle dit : << Bobo ! >>. Je suis accroupis. Mes lèvres posées sur le fin coton blanc de sa culotte, j'insuffle là aussi de l'air chaud. << Vous devriez faire breveter votre méthode docteur Julien car elle est redoutablement efficace ! >> dit elle en me caressant la tête. Je souffle.

Clémentine qui lave les endives, nous fait : << Attention a ne pas abuser. C'est une thérapie de choc ! >>. Nous rions. Je me redresse. Estelle reste avec son jeans à mi-cuisses, cambrée sur ses genoux fléchis. Elle m'attire contre elle. Elle enfonce sa langue pour fouiller ma bouche avec passion. Elle palpe ma braguette. Pour me faire bander instantanément, rien de plus efficace que de m'embrasser passionnément et avec fougue. << Ça fait partie du traitement ! >> dit elle en cessant pour saisir ma main qu'elle place sur son ventre.

Clémentine vient de s'essuyer les mains. Elle en glisse une dans son jeans déboutonné. << J'aime vous regarder soigner les filles, docteur Julien ! >> dit elle en même temps qu'Estelle m'embrasse à nouveau. << C'est comme la pipe. Quand je commence je pourrais faire ça toute la journée ! >> lance t-elle en cessant de fouiller ma bouche de sa langue exploratrice. Je pose mon index à l'endroit de son clitoris. << Mmhh ! Docteur Julien, vous êtes un praticien de toute première bourre ! >>. Clémentine dit : << Qui ne te bourre pas ce jour ! >>.

Nous rions de bon cœur. Il est 11 h30. La table est mise. Je fais revenir trois filets de flétan à la poêle. L'inconvénient de vivre dans un loft reste les odeurs de cuisine. Il y a la hotte. Elle fonctionne parfaitement. Clémentine a ouvert la porte fenêtre. Elle nous appelle depuis le balcon. Nous avons une vue magnifique sur l'ensemble du village et de ses environs. Les nuages encombrent le ciel. C'est un jeu de cache cache avec le soleil. Estelle reste avec son jeans à mi-cuisses. C'est amusant de la voir marcher ainsi, en canard dans la grande pièce.

Je la touche régulièrement. Elle m'ouvre la braguette. Elle m'en extrait le locataire. Je bande mou. Clémentine s'accroupit pour scruter le filament de liquide séminal qui pend à son extrémité. D'un mouvement gracieux de la tête elle l'attrape en murmurant : << Mmhh ! >>. Estelle se précipite en s'écriant : << C'est mon médicament ! >>. Toutes les deux, accroupies, se refilent ma bite. Je saisis Estelle par ses cheveux pour la forcer à se redresser. C'est moi qui enfonce ma langue dans sa bouche. Elle est penchée au-dessus de Clémentine.

Je tiens Clémentine fermement par sa tignasse pour lui enfoncer un maximum de bite. Elle en toussote. Des hauts le cœur quand j'appuie davantage. Estelle cesse de m'embrasser pour regarder ce que je fais à Clémentine. Elle est tombée à genoux sur le carrelage. Je ne la lâche pas. Nous l'entendons gémir, pousser des râles, tenter de déglutir avec la queue au fond de la gorge. La sonnerie du four. Je la lâche enfin. Je l'aide à se relever. Elle est toute rouge, en sueur, elle reprend son souffle en tenant sa gorge. Elle me regarde, implorante.

Estelle sort le gratin du four. Clémentine reste interrogative en me fixant avec insistance. Je la saisis par la nuque, fermement, sans ménagement pour l'entraîner dans toute la grande pièce. Je dis : << Ce seront des vacances de "Soumise" selon vos désirs, mademoiselle ! >>. Clémentine met ses mains sur la tête pour s'accroupir. Elle fait : << Je suis à votre disposition mon doux "Maître" ! >>. Je la prends par les cheveux pour l'emmener à table. Nous mangeons de bon appétit tout en riant beaucoup de ce qui vient de se passer.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent leurs impressions quand à cette première matinée. Estelle déplore d'être dans son cycle pour les trois jours à venir. << Il faudra te contenter de sucer ! >> lui fait Clémentine. Nous éclatons de rire. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres. Dans le petit sac à dos, trois pommes, les barres de céréales, la thermos avec du thé chaud. Nous descendons l'escalier en colimaçon. Il y a une odeur de neuf. Un peu comme dans notre maison d'amis. Il est 14 h15.

Nous sortons de la propriété. Nous restons sur l'étroite route. Cinq cent mètres. Il y a un chemin pierreux qui descend en pente douce. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la main. Les séquences d'ensoleillement réchauffent agréablement. Il y a une demi heure de marche jusqu'à l'église romane. En temps normal. Car nous mettons le double à cause de nos nombreux arrêts. J'embrasse Estelle avec fougue. Chaque fois, avant de le faire, je force Clémentine à s'accroupir pour lui fourrer la bite dans la bouche. Bien profondément.

Nous ne croisons personne. Fort heureusement car souvent notre trio libidineux donne dans des excès notoires. Voilà enfin l'église. C'est une bâtisse massive, sans grâce, typiquement romane. Nous en faisons le tour. Il y a quelques visiteurs. Ce qui nous oblige à nous tenir. Ce qui ne m'empêche nullement d'embrasser Estelle avec fougue dans chaque recoin. Je tiens souvent Clémentine par son catogan. Je dis : << Demain, je vous promène à la laisse ma douce "Soumise" ! >>. Clémentine en glousse de plaisir. Elle n'arrête pas de se toucher.

L'intérieur de l'édifice religieux est aussi austère que l'extérieur. C'est un lieu de culte. Il y a un large escalier qui mène à l'entrée du sanctuaire. Il y a une famille assise sur les marches. Il faut sans cesse rester sur nos gardes. Nous n'avons pas toujours conscience de nos exactions sexuelles. Estelle se montre la plus vigilante cet après-midi. Dans l'édifice il y a quantité de recoins. Estelle nous y entraîne. A chaque fois elle se serre contre moi. << C'est moi ton amoureuse aujourd'hui ! >> dit elle avant de me rouler une pelle d'enfer.

Je force à chaque fois Clémentine de s'accroupir. Hors de question de sortir mon Zob dans l'église. Je me contente de frotter son visage contre ma braguette. J'y mets toute la vulgarité possible. Je me comporte enfin comme elle en rêve si souvent. Lorsque nous marchons au dehors pour visiter les environs de l'église, elle est en attente. Son regard m'implore. Je lui dis : << Je vais te faire sucer tout à l'heure, grande salope ! >>. Elle a un élan amoureux en se jetant dans mes bras. Je détourne la bouche lorsqu'elle veut m'embrasser.

J'embrasse Estelle en me contentant de tenir fermement Clémentine par ses cheveux. Il n'y a personne. La voilà à genoux sur une pierre plate. Sans doute une ancienne pierre tombale. Une fois encore je la maintiens pour lui enfoncer la queue jusqu'à la gorge. Elle tousse, suffoque. Pendant qu'Estelle et moi nous nous embrassons comme des fous. Je pince le nez de Clémentine en la tenant par la nuque. Elle n'a d'autre choix que de déglutir. C'est une véritable épreuve que je lui inflige. Estelle se penche pour la regarder avaler avec difficulté.

<< T'es dans ton élément, là, hein, espèce de salope ! Tout ce que tu aimes ! >> lui murmure Estelle. Clémentine pousse un gloussement amusé et affirmatif. Je la force à se redresser. Je masse ses genoux douloureux. Je la tire par ses cheveux. Elle marche derrière nous, penchée en avant dans une position inconfortable. Estelle me tient l'autre main. Nous nous embrassons tellement de fois tout l'après-midi que nous en avons les mâchoires endolories. << J'ai une autre surprise pour ce soir ! >> lance Clémentine derrière nous.

Nous nous retournons. Je lui crache au visage. Elle est totalement surprise par mon attitude. Le mollard ruisselant sur la gueule, elle dit : << Notre table nous attend à 19 h au restaurant Paramy ! >>. Estelle s'écrie : << Génial ! >>. Je fais une bise sur le front de Clémentine avant de la choper par sa tignasse. Accroupie, elle se retrouve une fois encore avec mon sexe en bouche. Je me comporte avec Estelle en amoureux. Elle me demande : << Tu me réserves le même traitement durant ces vacances, sel te pli Julien ! >>. Je promets.

J'administre une bonne gifle à Clémentine avant de la relever fermement. Elle a du foutre et du crachat plein la gueule. Interdiction de s'essuyer le visage en arrivant sur la place du village. Nous pouvons ressentir l'immense excitation qui habite Clémentine. Nous arrivons devant le restaurant. J'ai les couilles et la bite congestionnées par les multiples érections vécues cet après-midi. J'essuie le visage de Clémentine avec un mouchoir en papier. Elle a les yeux larmoyants mais pétillants de malice, de contentement et de bonheur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment êtres traitées en "Soumises" volontaires par un "Maître" amateur mais très performant...

"Maître" Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1685 -



Second jour de notre séjour en Vendée

Hier matin, mardi, il est neuf heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges serrées contre moi. << Bobo ! >> murmure Estelle en saisissant mon érection matinale. C'est le deuxième jour de ses "petits machins". J'administre mon traitement. Mes lèvres contre le tissu de son T-shirt de nuit, j'insuffle de l'air chaud sur les pointes de ses tous petits seins. Clémentine me tient les couilles en me faisant des bisous. << Mmhh docteur Julien, vous me faites tant de bien ! >> chuchote Estelle.

Elle se lève pour se précipiter vers la porte des toilettes. Clémentine me confie à quel point elle a apprécié mon comportement de hier. << J'ai bien dormi et je crois même en avoir rêvé tellement c'était bien ! >> me dit elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Tous les trois, vêtus de nos tenues de jogging, nous prenons notre petit déjeuner en faisant le vague programme de la journée. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de celle de hier. << Vous étiez parfait, mon doux "Maître" ! >> me fait encore Clémentine. Nous rions.

<< Je veux ma part moi aussi ! >> rajoute Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. << On peut très bien êtres deux "Soumises" ! >> lance Clémentine qui mime une fellation. Nous éclatons de rire. Il est 9 h30. La vaisselle. Nous nous lavons les dents avec nos pitreries habituelles. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants avant de dévaler l'escalier en colimaçon. La fraîcheur est vive. Le thermomètre extérieur indique 10°. Le ciel se partage entre nuages et soleil. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti.

Cette fois nous suivons les recommandations de monsieur Gérôme. Le propriétaire nous a conseillé un itinéraire sympa. Il faut longer la route en montant. Puis prendre un chemin à gauche. Nous pouvons courir le plus souvent côte à côte. Il y a un endroit parfait pour les pompes, les abdos et les exercices au sol. Avant de repartir, Estelle fait des sauts autour de nous en hurlant : << Je suis heureuse ! >>. Nous repartons en faisant une boucle beaucoup plus agréable que celle de hier. Il est 10 h35 quand nous revenons au studio.

Estelle prend sa douche la première. Nous faisons le lit. Assise sur mes genoux, Clémentine consulte nos boîtes mails. La wifi fonctionne à la perfection. La connexion est immédiate. Le MacBook Pro est instantané. Juste un courriel de Julie auquel nous répondons. Estelle revient vêtue de son jeans, de sa chemise à carreaux, ses baskets. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous rejoignons Estelle qui lit la première mouture de ce texte. Nous sommes tous les trois habillés pareils. Nous mettons nos anoraks pour sortir marcher un peu.

Il y a monsieur Gérôme penché sur le moteur de sa voiture. Nous le saluons. Nous bavardons un peu. Nous le remercions pour l'itinéraire. << Alors ? Les demoiselles aiment notre belle Vendée ? >> demande t-il. Les filles jouent le jeu. J'observe les regards libidineux de notre hôte. Ça doit gamberger dans sa tête de retraité. Ce n'est certainement pas tous les jours que deux sublimes jeunes filles passent du temps dans sa propriété. Il me pose des questions sur ma voiture qu'il ne cesse d'admirer. Je réponds à ses interrogations. C'est amusant.

Une grosse berline allemande fait partie des fantasmes de notre homme. Je lui promets de l'emmener faire un tour avant la fin de la semaine. Nous le laissons pour aller marcher un peu le long de la route. << T'as vu comme il nous mâte le vieux dépravé ! >> lance Estelle. << Je suis comme déshabillée par ses regards lubriques ! >> rajoute Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Il est 11 h30 quand nous sommes de retour. Il fait faim. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle réchauffe le reste du gratin de patates.

Dans la poêle je fais rissoler les calmars à peine décongelés. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Il faut faire fonctionner la hotte car les odeurs de cuisine envahissent tout le studio. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le regard salace du propriétaire. << Toi qui aime les vieux pervers, en voilà un autre ! >> dit Estelle à Clémentine qui répond : << Je vais tester sa verve et voir un peu son fonctionnement. J'ai déjà un "plan". Il est souvent dans son jardin ! >>. Nous éclatons de rire. La vaisselle.

Nous nous lavons les dents. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Il suffit de passer un bon pull sous les anoraks ouverts. Nous prenons nos grosses godasses de marche achetées cet été en Ecosse. Dans le petit sac à dos trois pommes, des barres de céréales, la thermos contenant du thé chaud. Du fond de la valise, je sors le collier canin et la laisse. Je mets le foulard de soie autour du cou de Clémentine avant d'y passer le collier de cuir et d'y fixer la laisse. En gloussant de plaisir elle me couvre le visage de bisous.

Nous descendons l'escalier à toute vitesse. Il est 13 h15. Je tiens Clémentine à la laisse jusque sous l'auvent de l'ancienne grange. Merde. Nous ne l'avions pas vu. Monsieur Gérôme pousse une brouette. Il tombe sur le spectacle. Il ouvre de grands yeux. Clémentine se dépêche d'entrer dans l'auto. Le propriétaire, sans voix, nous regarde partir. Clémentine lui fait un petit signe de la main en disant : << Nous voilà "découverts" ! >>. Estelle rajoute : << Ça peut servir notre "plan" ! >>. Je roule doucement. Clémentine me sort la queue.

Il n'y a que deux petits kilomètres à faire pour arriver à la sortie du village. Je gare la voiture. Il y a un parking. Avec du monde au départ de la randonnée. Le circuit du "Bois de la Folie" commence ici. Nous changeons de chaussures. Je porte le petit sac à dos. Clémentine agite la laisse qu'elle dissimule sous le pan de son anorak. Il ne fait pas trop froid. Nous pouvons garder nos anoraks ouverts. Nous suivons l'allée principale. Il y a un carrefour. Un totem indique les directions. Il y a plein de marcheurs, en groupes le plus souvent. En couples parfois.

Nous prenons la direction du belvédère. La vue est remarquable. Nous restons sur le GRP, le sentier de Grande Randonnée de Pouzauges. Nous pouvons le plus souvent évoluer côte à côte tous les trois. Lorsqu'il n'y a personne, je tiens Clémentine par la laisse. Je donne quelquefois de petits à coups qui la font glousser de joie. Après la rue des Soriettes, il faut prendre un sentier pittoresque. La rue des Ecluses. On reprend le sentier en direction d'un lac. Nous croisons moins de promeneurs. Ce qui me permet de sortir ma bite.

Notre système est bien rôdé. Quand arrivent des marcheurs, Estelle ou Clémentine se mettent contre moi. Elles font écran de leurs corps pour dissimuler nos agissements. C'est à la fois hyper gênant, mais super excitant. Estelle me la tient fermement. Aussi fermement que je tiens Clémentine à la laisse et au plus court. Parfois, au pied d'un arbre, Clémentine se met à quatre pattes pour lever une jambe contre le tronc. << Tu me donnes envie de faire pipi pour de vrai ! >> lui fait Estelle. C'est à quatre pattes que Clémentine fait quelques mètres.

Cette fois, nous nous faisons surprendre par deux couples de séniors. Ils découvrent la scène, éberlués. Ils n'ont probablement jamais vu ça. Clémentine se redresse pour s'accroupir. Elle pose sa tête contre ma cuisse qu'elle tient entre ses bras. << Bonjour ! >> fait elle à ses gens qui nous contournent comme si nous étions des pestiférés. Ils se retournent plein de fois, consternés de découvrir que ce genre de choses existes réellement. Nous rions comme des fous en arrivant au lac de l'Espérance. C'est magnifique. Le ciel se reflète dans ses eaux.

Là, un sentier qui semble se perdre dans la végétation. Il faut parcourir plusieurs centaines de mètres. Comme les feuilles deviennent rares, pour se cacher, il faut prendre toutes les précautions. Clémentine est à quatre pattes. La jambe relevée, en appui contre un tronc. Estelle lui frotte ma bite sur la gueule. Clémentine tente de gober mon sexe dur. Estelle l'en empêche en esquivant au dernier instant d'un geste adroit. Nous profitons de l'endroit pour pisser vraiment. Mes deux anges descendent leurs jeans, leurs culottes jusqu'aux genoux.

Accroupies, je les tiens toutes les deux par la nuque. Les anoraks sont suspendus aux branches basses. Je m'accroupis derrière les filles pour enfoncer mes index dans les culs. J'adore le petit réflexe qu'elles ont. Ce spasme qui secoue leurs corps lorsqu'elles sont ainsi pénétrées. Cela a pour effet de permettre des jets plus puissants. J'adore les entendre rire à celles qui pissera le plus loin. Elles sont en appui contre moi. Bien évidemment, à ce concours, c'est toujours Clémentine qui gagne. Merde ! Un couple de promeneurs. Surpris.

Ce sont des quinquagénaires. Ils nous contournent en disant : << Oh pardon, excusez-nous ! >>. Les filles font tous leurs efforts pour ne pas se pisser dessus. C'est un grand moment de gêne intense. Pas de chance aujourd'hui, nous nous faisons surprendre de partout. Je torche malgré tout mes deux anges avec soin. Elle remontent leurs fringues en riant. << Ils se souviendront du "Bois de la Folie" ceux-là ! >> lance Estelle. Nous faisons le tour du lac. Voilà le Val Rétif et son petit hameau. C'est charmant. Bucolique et de toute beauté.

Là, derrière un petit kiosque en bois, je fais sucer Clémentine. Estelle m'embrasse avec passion. Clémentine suce comme si sa vie en dépendait. Nous manquons une fois encore de nous faire surprendre. Une dizaine de marcheurs. Ils nous saluent. Je tiens Clémentine à la laisse. Discrètement. Seules les deux femmes qui ferment la marche semblent s'être rendues compte de ce qui se passe. Elles se retournent deux fois pour bien mâter. Je tiens Clémentine à la laisse de ma main droite. De ma main gauche relevée, je leurs adresse un coucou.

Nous prenons la direction indiquée. Voilà les Moulins du Terrier Marteau. Impossible de les visiter sans rendez-vous. Nous en faisons le tour. D'anciens moulins en parfait état. Restaurés et visiblement soigneusement entretenus. Un autre recoin où je peux enfoncer ma queue dans la bouche de Clémentine. Sa joie est si intense. J'ai ce comportement de "Maître" qu'elle aime tant. Estelle est pressée de vivre ces situations. J'ai promis de lui infliger le même sort pour vendredi et samedi. A droite, nous prenons le circuit de l'Abbaye Rambaud.

Le hameau de Champorté. Clémentine prend plein de photos. Je n'arrête pas de la tripoter le plus vulgairement possible. Estelle compte le nombre de fois que j'ai mis ma queue dans la bouche de Clémentine. << Dix sept fois ! Espèce de vieux salaud ! Tu ne bats toutefois pas ton record écossais d'il y a trois mois ! >> me fait Estelle qui empoigne ma bite pour la tordre dans tous les sens. Une fois encore c'est ainsi que nous nous faisons photographier par Clémentine. Je dis à Estelle : << Fais le nécessaire pour que ta mère ne les trouve pas ! >>.

<< A ce propos, mes parents nous invitent à manger dimanche soir, à notre retour ! >> répond Estelle. << Génial ! >> lance Clémentine. Voilà le château de la Cacaudière. Puis c'est le Dolmen du Marchais. Là, je me fais surprendre entrain de me faire tailler une nouvelle pipe. Comme Estelle m'embrasse avec fougue, nous n'avons pas été assez vigilants. Deux couples de quinquagénaires. Eux ne semblent pas du tout effrayés par ce qu'ils découvrent. Il y a même un des types qui dit : << Bon appétit ! >>. Clémentine se redresse trop tard.

Elle a son jeans et sa culotte à mi-cuisses. Une fois encore, nous sommes pris en flagrant délire. Une des femmes rajoute : << Faites attention, il y tout un groupe qui arrive ! >>. En effet, là-bas, il y a une bonne vingtaine de marcheurs qui déboulent. << Merci, c'est gentil ! >> fait Estelle en me dissimulant. Je suis entrain de remballer ma queue dégoulinante. Un peu n'importe comment. Nous prenons la direction du donjon. Il est presque 19 h quand nous revenons à la voiture. La nuit est totalement tombée. Il fait un froid de canard.

Morts de faim, nous arrivons au studio pour 19 h15. Clémentine s'occupe de la salade verte. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises en riant de nos aventures. J'ai administré le traitement du docteur Julien à Estelle plein de fois cet après-midi. Elle m'en est reconnaissante au point de ne plus cesser de m'embrasser. Je réchauffe le reste de la garniture de calmars. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Ce soir, au lit, je vais baiser Clémentine comme elle le mérite. Estelle va se branler.

Bonne soirée à toutes les coquines heureuses de se faire trimballer à la laisse, de se faire toucher et de se faire mettre la queue en bouche...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1686 -



Notre troisième jour de vacances vendéennes

Hier matin, mercredi, il est neuf heures quand je suis tiré de mon sommeil par les mouvements d'Estelle contre moi. Ses pieds qui bougent de manière régulière. Ses "impatiences" comme elle les appelle. Rapidement toutefois c'est sa main qui saisit mon érection matinale. Ce qui réveille Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. << Même plus mal ! >> fait Estelle en faisant allusion au troisième jour de ses "petits machins". Elle se lève en s'écriant : << Pipi ! >> Nous la regardons trottiner jusqu'à la porte des toilettes.

Clémentine me chevauche pour frotter son sexe sur le mien. << Je passe de merveilleuses vacances, Julien. J'adore ton comportement ! >> murmure t-elle en couvrant mon visage de bisous. C'est à notre tour d'aller sacrifier à nos rituels pisseux. Estelle fait le café. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. << C'est génial d'avoir tout emmené. Pas besoin de faire des courses ! >> lance Estelle qui fait une curieuse danse du ventre avant de frotter son sexe sur le coin de la table. Lascive et riante.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de hier. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle d'aujourd'hui. Nous remercions Clémentine pour la préparation de ce séjour. J'admire ses capacités d'organisation. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos singeries habituelles. Une fois encore nous prenons conscience du privilège, du bonheur que l'existence nous offre. Nous enfilons nos tenues de jogging. Nous dévalons les escaliers en colimaçon. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur vive.

La météo est identique à celle de hier. Peut-être un peu plus nuageuse. Nous prenons le même itinéraire que hier. Notre running est des plus agréables. Nous sommes de retour pour 10 h30. Cette fois monsieur Gérôme est accompagné de sa femme. Son attitude est fort différente. Nous échangeons quelques amabilités avant de remonter. << Vous avez vu qui porte le pantalon dans le couple ? >> demande Estelle. << Effectivement la vraie patronne semble être madame ! >> répond Clémentine. Nous en rions de bon cœur. C'est amusant.

Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine ouvre nos boîtes mails. Juste le message quotidien de Julie qui nous raconte ses journées. Ses soirées de serveuse au restaurant de sa tante. Nous répondons en joignant une photo prise hier après-midi en balade. Estelle vient nous rejoindre. C'est à notre tour d'apprécier une bonne douche. Nous la rejoignons devant l'ordinateur. Nous sommes tous les trois vêtus pareils. Jeans, chemises à carreaux, baskets. Nous redescendons faire quelques pas au dehors. Il n'y a que 13°.

Nous marchons sur le bord de la route. Il n'y a pas de voiture. Je suis entre mes deux anges. Il y a parfois un ou deux cyclistes. Ça nous manque un peu la bicyclette. Estelle se plaint d'une légère contraction du bas ventre. La douleur a disparu. C'est tant mieux. Je passe ma main entre ses cuisses pour palper doucement la couture de son jeans. << Merci docteur Julien, vos soins m'ont été d'un grand secours ! >> dit elle en se blottissant contre moi. J'ai mon autre main entre les cuisses de Clémentine. Nous prenons le sens du retour. La faim.

Il est 11 h45. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Estelle fait gonfler du riz complet. Je fais une pâte à crêpes. Dans la poêle je fais rissoler des crevettes. Estelle fait chauffer de l'huile dans une casserole. Je trempe les crevettes dans la pâte à crêpe avant de les plonger dans l'huile bouillante. Estelle les récupère après une minute avec l'écumoire. Clémentine dresse la table. Les filles parlent de leurs études. La seconde partie de ce premier trimestre qui s'achèvera le samedi 18 décembre. Tout est prêt. Nous voilà assis à table. C'est miam.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur mon attitude avec Clémentine. << J'aime randonner en compagnie de mon "Maître" ! >> dit elle. Estelle rajoute : << C'est à mon tour vendredi ! Notre doux "Maître" a promis ! >>. Nous rions aux éclats. Je dis : << J'adore me promener avec mes deux adorables "Soumises" ! >>. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines. Elle le fait chaque fois avec cette vulgarité dont elle est coutumière. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles me racontent.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents. Il est décidé de rester habillés comme ça. Il suffit de mettre un pull et d'emmener nos grosses godasses. Dans le petit sac à dos, nos pommes, nos barres de céréales. Pour ne pas risquer d'irriter la peau du cou de Clémentine, malgré le foulard de soie qui la protège, nous n'emmenons pas le collier canin et la laisse. Par contre, je prends la paire de menottes qu'elle a eu l'initiative de mettre dans la valise. Nous enfilons nos anoraks avant de dévaler les escaliers. La fraîcheur règne.

Je roule doucement. Il y a une quinzaine de kilomètres qui nous séparent de Saint André-sur-Sèvre. C'est du Puy-Thareau que nous partirons pour notre découverte de l'après-midi. Il est 14 h15 quand je gare l'auto sur le parking. Je remballe ma queue car il y a d'autres gens qui sont auprès de leurs voitures. C'est une randonnée très prisée. Autant des rares touristes que des autochtones. Nous changeons de chaussures. Je porte le petit sac à dos. C'est parti. Les filles me tiennent par la main. Le ciel est parfois légèrement voilé mais lumineux.

La rue de la Promenade porte bien son nom. Il faut prendre à gauche puis à droite. Le départ se fait d'ici. Au lieu dit "La Combe". Le chemin est large. Il permet d'évoluer côte à côte tous les trois. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la main. Nous croisons quelques marcheurs. Nous attirons bien évidemment bien des regards curieux. Suis-je le père de ces deux superbes jeunes filles qui me font des bisous ? Nous adorons susciter ce genre d'interrogations et nous en amuser. Après "La Bleure", nous longeons des bâtiments agricoles.

C'est là, entre deux hangars que les filles m'entraînent. Je me retrouve avec le jeans et le slip sur les genoux. Les pans de mon anoraks ouvert. Estelle tient ma bite à sa base pour la présenter à Clémentine. Je la saisis par sa natte. Comme par une laisse. Je la force à s'accroupir. Estelle lui frotte la queue sur la gueule. De ma main libre, je tiens Clémentine sous le menton. Estelle lui fourre le sexe dans la bouche. Je saisis Clémentine par ses oreilles pour bien me branler. Elle suce en rythmant son pompage de Zob. Estelle m'embrasse.

Depuis trois jours, j'ai l'impression que ma compagne est Estelle et que notre "petit animal de compagnie" est Clémentine. C'est une très curieuse impression. Estelle m'en fait part. Nous nous murmurons nos ressentis en écoutant Clémentine glousser. Elle est tombée à genoux dans l'herbe. Elle s'accroche à moi en me tenant par les fesses. J'ai froid avec le cul nu. Je la force à se redresser. Elle me fait humer l'intérieur de sa bouche. Estelle aussi veut renifler. << L'odeur de bite ! >> dit elle en lâchant enfin mon sexe. Je remonte mes fringues.

Nous reprenons notre promenade. Je tiens Clémentine et Estelle par leurs nattes comme par des laisses. C'est comme ça que nous croisons deux couples de séniors qui marchent vite. Ils nous regardent plutôt amusés. Spectacle rare dans le bocage vendéen. Nous en rions de bon cœur. Nouvel arrêt au lieu dit "Le chêne fin". Là, derrière un cabanon clôturé, je me retrouve une nouvelle fois avec mon jeans et mon slip sur les genoux. C'est Estelle qui me descend les fringues. Je ne suis pas obligé de forcer Clémentine. La voilà déjà à genoux dans l'herbe.

Ses mains posées sur la tête, bien droite, elle ouvre la bouche. Une fois encore Estelle y introduit mon sexe. Je me fais tailler une pipe des familles. Estelle m'embrasse avec tant de fougue que nous en avons les mentons trempés de salive. Clémentine se ramasse probablement d'abondantes rasades de liquide séminal. Elle est tellement gourmande qu'elle en tousse. Je la tiens par les oreilles afin qu'elle n'ait d'autres possibilités que d'avaler avec la queue en bouche. Elle a des hauts le cœur, des toussotements. Estelle fouille ma bouche de sa langue.

C'est comme ça que nous nous faisons surprendre par un couple de promeneurs. Ils sont hyper gênés. Des quinquagénaires qui tombent sur ce spectacle surréaliste et hallucinant. La dame tousse de gêne. Le type nous fait : << Excusez-nous, on ne fait que passer. ! >>. Je dois être rouge de honte. J'ai soudain froid au cul. Clémentine se redresse. Le couple disparaît au départ du sentier. Je remonte mes vêtements. Estelle mime l'attitude de la femme. Clémentine imite le mec en disant : << Excusez-nous, on ne fait que mâter ! >>. Nous rigolons.

Il est 18 h30 quand nous terminons la boucle de cette magnifique randonnée. Il y a d'autres randonneurs qui se changent devant leurs voitures. Je roule doucement. Il reste des beignets de crevettes et du riz. << Pourquoi aller au restaurant ? Un bon repas nous attend au studio ! >> lance Estelle assise à l'arrière. Clémentine, penchée sur sa gauche, me suce. Ma main libre sur sa nuque j'appuie pour bien enfoncer ma queue. Estelle, penchée pour regarder ou pour me faire des bisous, demande : << Pourquoi tu tousses ? >>. Nous rions.

Il est 19 h15 quand nous sommes de retour. << Tu ne t'es pas servi des menottes ! >> me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur quand je dis : << Après le repas ! >>. La salade est vite préparée. Il suffit de réchauffer le riz et les beignets. Un repas simple mais tellement délicieux. Estelle n'arrête pas de se comporter en fille vulgaire et vicieuse. Debout, elle mime des branlettes masculines ou se frotte l'entre jambes contre le coin de la table. Elle se penche pour me faire un bisou sur le front. Elle se masturbe pour de bon en se frottant.

Clémentine se lève pour faire la même chose. Je passe de l'une à l'autre pour glisser mes lèvres dans leurs nuques. J'adore sucer la racine de leurs cheveux. Concentrées sur leurs masturbations, elles se mettent à souffler fort. Par derrière je glisse mes main entre leurs cuisses. Elles se cambrent davantage. Estelle se retourne pour m'embrasser avec fougue. Clémentine est à nouveau accroupie. Je sors ma queue. Estelle s'en empare. Une nouvelle fois elle fourre mon sexe dans la bouche de Clémentine. Nous cessons en reprenant nos respirations.

Nous nous regardons tous les trois. Nous éclatons de rire. << On est fous ! >> lance Estelle en débarrassant la table. << Complètement cinglés ! >> rajoute Clémentine. Nous faisons la vaisselle sans arrêter de nous faire des bises, d'enfoncer nos langues dans nos bouches. << Soirée lubrique en perspective ! >> fait Estelle. Nous nous séchons les mains. Nos rituels pisseux aux toilettes où nous nous régalons de nos épanchements, de nos mélanges. Estelle porte hélas encore un tampon. Clémentine n'arrête plus de sucer. Estelle m'embrasse encore.

Il est 21 h. Nous sommes dans le lit. Je suis enfoncé dans Clémentine que je baise comme un fou. La "machine à coudre". Je me retire régulièrement afin qu'Estelle qui se masturbe comme une démente, puisse se régaler de foutre. Elle n'arrête pas de me faire le cul, son visage enfoncé entre mes fesses. Clémentine m'embrasse. Je l'ai rarement senti bouger autant. Nous qui aimons baiser immobiles, nous voilà dans de folles étreintes. Elle se masturbe toujours en même temps. Son orgasme fait trembler toute la structure du canapé lit.

L'orgasme d'Estelle est une suite de spasmes presque inquiétants. Elles sont couchées sur le dos, toutes les deux, les mains entre leurs cuisses comme si elles étaient en proie à la douleur. Clémentine se redresse la première, les yeux larmoyant de plaisir, elle me dit : << Julien, je t'aime comme une folle ! >>. Je saisis sa natte pour lui fourrer la bite dans la bouche. Estelle vient se serrer contre moi en disant : << Julien, je t'aime ! >>. J'éjacule dans la bouche de Clémentine en hurlant de plaisir. Juste avant qu'Estelle ne m'embrasse à nouveau.

Bonne soirée de folies à toutes les coquines que les randonnées vicelardes excitent plus que de raison...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1687 -



Notre quatrième jour de vacances à Pouzauges

Hier matin, jeudi, il est neuf heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. Je suis entre mes deux anges qui se frottent lascivement contre mes hanches. Elles me couvrent le visage de bisous. Me chuchotent des douceurs et des coquineries. Estelle tient mon érection. Clémentine tient mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Nous restons ainsi en tentant de lutter contre l'impérieux besoin naturel. Estelle craque la première pour se précipiter vers la porte des toilettes.

<< Tu as encore été le parfait personnage de mes fantasmes de "Soumise" hier ! >> murmure Clémentine. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous rejoignons Estelle pour l'aider à tout préparer. L'odeur de café et de pain grillé envahit tout le studio. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée de hier après-midi. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celle de cet après-midi. Nous bénéficions d'une agréable météo. Même s'il fait plutôt froid, il y a souvent un ciel dégagé.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous enfilons nos leggings, nos sweats, nos baskets, nos K-ways. Bonnets, gants. Nous dévalons l'escalier. Ce matin encore, la fraîcheur reste vive. Il est 9 h45 et la température est de 6°. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Notre jogging nous entraîne sur le même parcours. Une heure d'un excellent running. Il est 10 h45 quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois mails. Julie, mon oncle Alan et Juliette.

Nous répondons en joignant une photo de nous trois prise hier. Estelle vient prendre notre place. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous sommes tous les trois vêtus pareils. Jeans, chemises à carreaux, baskets. << Finis mes "petits machins" ! Prends garde à toi ! >> me fait Estelle en saisissant mon poignet. Elle glisse ma main dans son jeans déboutonné, dans sa culotte. Je descends jusqu'aux fines lèvres de son sexe. C'est doux, lisse et chaud. Elle m'embrasse avec sa fougue habituelle pendant que Clémentine déboutonne ma braguette.

Debout derrière moi, elle glisse sa main dans mon slip pour en extraire le Zob. Estelle se frotte sur ma main sans cesser de fouiller ma bouche de sa langue exploratrice. Il est 11 h. Nous cessons pour nous réajuster. << Petite mise en bouche pour cet après-midi ! >> fait Estelle. Clémentine m'embrasse à son tour. Passionnément. Les filles m'entraînent par la main. Nous mettons nos anoraks pour redescendre. Nous faisons quelques pas en restant sur le bord de la route déserte. Nous parlons menu et cuisine. A midi ce sera un gratin.

En parlant repas, la faim arrive inexorablement. Nous nous dépêchons de retourner. Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Estelle lave et coupe une grosse aubergine et une belle courgette. Je râpe du gruyère de Comté en grosse quantité. Je prépare un "flan". Mélange d'œuf, de crème fraîche et de fromage blanc. De la moutarde à l'ancienne. Estelle a disposé les tranches d'aubergine et de courgette géométriquement dans un grand plat en pyrex. Je verse le "flan" sur le tout. Clémentine recouvre d'un grosse couche de gruyère.

On saupoudre de chapelure avant de mettre au four. J'allume la hotte. Nous mettons la table. Estelle mime quelques masturbations masculines en proposant de réaliser un petit film cochon cet après-midi, au château de Pouzauges. << Je filme ! >> lance Clémentine avant d'aller chercher la pochette contenant la caméra et deux batteries. << Génial ! >> fait Estelle qui frotte son entre jambes contre un des coins de la table. Cambrée en avant, en appui sur ses mains. << Tu me donnes envie ! >> dit Clémentine qui prend un autre coin.

Je fais pareil. Nous sommes tous les trois à frotter nos sexes contre les coins de cette pauvre table. Tout en mettant le vague programme de l'après-midi au point, nous nous masturbons d'un mouvement lent et régulier. << C'est bon, hein ? >> lance Estelle. Nous répondons en cœur : << C'est délicieux ! >>. Nous cessons pour nous serrer tous les trois. C'est si bon d'être tous les trois dans notre bulle, privilégiés. Une fois encore nous en prenons pleine conscience. Je suis entre mes deux anges. Nous sommes sur le balcon. La vue est imprenable.

La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons. Estelle sort le gratin du four. Il est doré, fumant. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques unes de nos aventures. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent ce séjour en Vendée. << Ce sont vraiment des vacances cool. C'est génial ! >> lance Estelle. << Ça permet de faire un grand "reset" avant la seconde partie du trimestre ! >> rajoute Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos clowneries.

Nous restons vêtus de nos jeans, chemises à carreaux. Il suffit d'enfiler un pull. Dans le petit sac à dos la caméra, les pommes, les barres de céréales. Nous mettons nos anoraks. C'est parti. Nous dévalons les escaliers. Il y a un peu plus d'une demi heure d'ici jusqu'au château. Il faut rester sur la route, prendre le chemin qui descend sur la droite. On distingue déjà les ruines là-bas. Estelle sautille autour de nous. Clémentine reste accrochée à mon bras. Nous croisons quelques couples de marcheurs. Nous suscitons encore bien des interrogations.

Les ruines du château de Pouzauges sont massives. Le donjon carré est incroyablement haut. Son apparition dans l'écrin de forêt est spectral. Il y a une atmosphère lourde, étrange. Clémentine est une vraie médium. << Je sens des choses étranges ici ! >> dit elle. Estelle palpe ma braguette en répondant : << J'ai peur ! >>. Nous rions de bon cœur. Nous longeons les murailles extérieures. Les courtines sont flanquées de tours et de contreforts. Cette forteresse construite au XIIème siècle a traversé le temps. C'est toujours impressionnant.

Nous lisons le grand panneau. L'historique du château. Le nom maudit de Gilles de Rais effraie rien qu'à sa lecture. L'immense donjon mesure 26 mètres de haut. Nous faisons tout le tour du mur d'enceinte. Estelle n'arrête pas de palper ma braguette. Il y a des visiteurs. Il faut donc rester prudents dans nos attouchements lubriques. Je tiens Clémentine pas sa natte, comme par une laisse. Les quelques marcheurs qui nous croisent ont alors d'étranges regards. Nous pénétrons dans les ruines par une des deux poternes. L'accès est libre.

C'est une cour carré. Tout est propre et soigné. Il y a des panonceaux explicatifs qui nous apprennent quantité de choses. << Vous croyez que Catherine de Thouars, la femme de Gilles de Rais était une perverse ? Une vicieuse ? >> demande Estelle. << Une sacré salope ! >> répond Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. La visite du donjon est impossible. Il y a une grosse grille qui condamne la porte. Il faut se contenter de rester dans la cour. Mais il y a des recoins. Estelle nous entraîne dans une anfractuosité. Une ancienne porte murée.

Il faut descendre deux marches dans l'épaisseur des murs. Là, à l'abri des regards éventuels, elle déboutonne mon jeans. Elle en extrait le locataire. Clémentine sort la caméra du sac à dos. Elle fait une rapide mise au point. Assise sur une des marches, ses mains sur mes hanches, Estelle regarde l'objectif d'un regard vide. << Moteur ! >> lance Clémentine. Estelle scrute mon sexe sous tous les angles. Il pend lourdement de ma braguette béante. Clémentine s'accroupit pour filmer la scène en gros plan. Je commence à bander doucement.

Il y a des voix lointaines, des rires. Des visiteurs. Personne ne vient par là. Estelle lèche ma queue à présent dure et fièrement dressée vers le ciel d'azur. Elle gobe soudain l'extrémité. En fixant l'objectif de la caméra, elle reste immobile. Je garde mes mains sur les hanches. Je regarde les environs pour surveiller. Clémentine tient la caméra, concentrée sur sa prise de vue. Estelle fait des trucs bien vicelards avec le bout de sa langue. Elle gobe l'extrémité de mon sexe. Les joues creusées par l'effort de succion, elle fixe une fois encore l'objectif.

Elle cesse pour sourire à la caméra, faire quelques clins d'œil avant chaque nouvelle initiative. Tout cela est follement excitant. Nous avons de la chance. Personne ne vient par là. Il faut préciser qu'il n'y a rien de spectaculaire dans ce coin reculé de la cour du château. Je me fais tailler une pipe. C'est extrêmement agréable d'avoir la queue dans une bouche chaude. C'est comme si je l'avais glissé dans un bol de purée tiède. Il y a bien cinq minutes que je me fais pomper. Estelle cesse à plusieurs reprises pour montrer à la caméra le fruit de ses pompages.

De la jute, gluante, épaisse et visqueuse qu'elle laisse volontairement s'écouler aux coins de ses lèvres. Avec la luminosité, l'opalescence du liquide séminal a des reflets dorés. Des voix. Il faut cesser. Pour les besoins du film, Estelle arrête de sucer comme si c'était un acte volontaire. Un dernier clin d'œil à l'objectif. Clémentine murmure : << Coupez ! >>. Je remballe précipitamment. Ce sont deux couples qui font des photos. Nous sortons de notre cachette. Nous saluons ces gens pour nous en aller. Il y a un parc autour du mur d'enceinte.

Nous pouvons récidiver derrière des bosquets de lauriers. Ils gardent leurs feuillages denses et épais en toutes saisons. Estelle tient à filmer une éjaculation faciale. Ce n'est pas la première fois. Mais ce sont le plus souvent des photos. << Je veux du crade, du dégueu ! Sel te pli Julien, soit salaud ! >> me dit elle en s'accroupissant une fois encore. Clémentine filme dans les différentes cachettes que nous exploitons. Il y déjà six stations différentes et plus d'une demi heure d'images. << Ce sera notre prochaine soirée cinéma ! >> lance Estelle.

C'est là, entre un panneau explicatif et un pan de mur, avec en fond le paysage du bocage vendéen, que j'éjacule au visage d'Estelle. J'ai toujours d'abondantes éjaculations. Je balance soigneusement ma purée. Je macule la face d'Estelle consciencieusement. Mon sperme ne coule jamais. Il reste en paquets collés aux endroits où je le dispose. Il y en a sur son front, sur une paupière, sur sa joue, sur son nez. Une traînée barre sa bouche d'une stalactite fort gracieuse. Clémentine filme. Estelle se redresse. Clémentine marche à reculons devant elle.

Estelle me tient par la main. Nous faisons quelques pas dans le parc. Le visage d'Estelle, couvert de foutre, est filmé sous tous les angles. Nous croisons un couple de séniors. Ils observent ce visage en comprenant fort bien ce qui vient de se passer. Nous croisons deux jeunes femmes. L'une d'entre elles semble consternée. Elle se retourne sans arrêt pour bien regarder. Se pince t-elle pour être certaine de ne pas rêver ? << J'adore ! >> lance Estelle. Elle rajoute : << Ça devient froid et ça commence à me chatouiller ! >>. Je sors un mouchoir.

J'essuie son visage d'ange. Au moment où j'utilise le second mouchoir, Clémentine s'écrie : << La batterie est vide. Exactement 43 minutes de film ! >>. Estelle me fait plein de bisou. << Je t'aime Julien ! >> dit elle. Nous prenons le chemin du retour en faisant une boucle par les bâtiments agricoles. Il est 19 h quand nous sommes de retour. Morts de faim. Il suffit de réchauffer le gratin. Clémentine prépare une rapide salade d'avocats. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre réalisation de l'après-midi. << Fameuse visite ! >> dit Estelle.

Nous traînons à table. << On se mâte le film samedi prochain, dernier week-end avant la rentrée, pour clôturer ces vacances. Qu'en dites vous ? >> demande Estelle. Nous applaudissons. L'idée est formidable. << C'est notre treizième film ! >> rajoute encore Estelle. La vaisselle. Il est 21 h30. La fatigue se fait sentir. J'attache Clémentine sur une chaise. Elle nous regarde baiser comme des malades. J'en ai mal aux couilles. Il est 22 h. Je cesse pour venir lui éjaculer dans la bouche. Je la détache. Derniers pissous. Au lit, épuisés, dodo...

Bonne visite au château à toutes les coquines qui aiment réaliser des films cochons dans des ruines et se faire inonder de foutre...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1688 -



Notre cinquième jour de vacances à Pouzauges

Hier matin, vendredi, il est une fois encore neuf heures. Les grasses matinées nous réussissent plutôt bien. Nous nous réveillons ensemble. Clémentine à ma gauche qui se frotte d'un mouvement masturbatoire contre ma hanche. Estelle à ma droite qui se frotte contre ma cuisse en tenant mon érection matinale. Je suis entre mes deux anges. Mes mains dans les culottes à défaire quelques nœuds de ces abondantes toisons. Distribution de bisous. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Elle se précipite vers la porte des toilettes.

Clémentine se frotte lascivement en disant : << Comme c'était bon hier soir. J'ai encore le gout de ton sperme dans la bouche ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous rejoignons Estelle qui prépare le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis pendant que Clémentine beurre les tranches de pain grillé. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. Clémentine, attachée sur une chaise, condamnée à ne pas pouvoir se masturber, en nous regardant baiser Estelle et moi. << Put-Hein, c'était géant ! >> dit-elle.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du jour. Dehors, le ciel est couvert et menaçant. << C'était trop beau pour rester vrai ! >> lance Estelle qui rajoute : << Notre bon "Maître" a promis de faire de moi sa "Soumise" aujourd'hui et demain ! >>. Je dis : << Délicieuse "Soumise", je n'ai pas oublié ! >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine fait : << Deux "Soumises". Est-ce trop vous demander, "Maître" ? >>. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font un "plan B" en cas de mauvais temps.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Vêtus de nos leggings, de nos sweats en lycra, de nos baskets, nous enfilons les K-ways, les bonnets, les gants. Nous dévalons les escaliers en colimaçon. La fraîcheur est moins vive que les jours précédents. Par contre le ciel est lourd, bas et gris. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Notre jogging nous entraîne sur le parcours habituel. Nous essuyons quelques premières gouttes de pluie. Il est 10 h45 quand nous revenons après un bon running.

Estelle prend sa douche. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. Celui de Julie qui nous raconte sa soirée de serveuse. Celui de Juliette qui nous confie se réjouir pour nous revoir mercredi prochain. Nous répondons en joignant une photo prise hier, dans le château. Estelle nous rejoint. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Il est 11 h15. Vêtus tous les trois de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous sommes sur le balcon. Il y a des séquences pluvieuses de plus en plus nombreuses. Une ambiance sinistre.

Mes deux anges serrées contre moi, nous devisons de choses futiles. << On se fait un gratin de coquillettes avec des filets de saumon ? Ça vous dit ? >> demande Estelle. << Oh quelle bonne idée ! >> répond Clémentine. Nous allons à la cuisine. Sans cesser de nous faire des bisous, de nous caresser, nous préparons notre repas. << C'est génial de manger là le soir ! Je préfère ! >> lance Estelle. << C'est vrai, moi aussi. On est tellement bien tous les trois, dans notre petit monde ! >> dit Clémentine. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes bio.

Clémentine s'occupe de la salade. Les dernières carottes. Je fais rissoler trois beaux filets de saumon avec de l'ail, de l'oignon et des champignons. Estelle égoutte les coquillettes avant de les verser dans le plat en pyrex. Il y en aura pour le repas du soir. Elle râpe le dernier gros morceau de Parmesan. Une grosse couche sur les coquillettes. Saupoudrées de chapelure et au four. Je fais une sauce au Roquefort. Tout est prêt. Je saisis Estelle par la nuque en glissant ma main sous sa natte. J'aime ce petit réflexe de surprise qui secoue son corps.

Je l'entraîne vers le canapé lit. J'ordonne : << A genoux ! >>. Je jette un des deux épais coussin au sol. Estelle, a genoux, les mains sur la tête, bien droite, me fixe d'un regard implorant. Clémentine se met à genoux sur le second coussin. Elles sont toutes les deux installées de la même façon. Comme d'étonnantes jumelles. Depuis douze ans qu'elles sont amies intimes, la nature leurs a façonné une certaine ressemblance. Je m'éloigne. Je sors ma bite. Je reste à quelques mètres. Je contemple ce merveilleux spectacle en me masturbant.

De les voir ainsi, toutes les deux, dans la même position, a quelque chose d'affolant. D'indéfinissable. C'est à la fois surréaliste, incongru et très excitant. J'ordonne : << Mains dans les culottes ! >>. Toutes les deux, immédiatement, glissent une main dans leurs jeans. Nous nous masturbons tous les trois en nous observant. Le silence est lourd, presque palpable. Juste le bruit de la pluie qui tombe sur le balcon. Les premiers gémissements. Il ne se passe pas cinq minutes et voilà notre plaisir déjà intense. Je m'approche en présentant mon érection.

Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle qui m'en présente toutes les parties en gémissant. Je passe à Clémentine. Je fais des vas et viens. A chaque fois que l'une veut gober mon sexe je vais vers l'autre. La sonnerie du four. J'aide mes deux anges à se relever. << Je vous aime mon doux "Maître" ! >> murmure Estelle en me déposant une bise délicate sur la joue. << Je vous aime mon doux "Maître" ! >> chuchote Clémentine qui me bise pareillement. Nous quittons nos personnages pour nous serrer fort. C'est tellement bon d'être en osmose totale.

Estelle sort un gratin merveilleusement doré du four. Clémentine remue la salade. Je retire le couvercle sur la poêle. Nous sommes morts de faim. Nous voilà confortablement installés à savourer le plus simple mais le plus délicieux des repas. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles se donner leurs impressions de "Soumises". Clémentine est une authentique soumise. Estelle l'est devenue d'abord par jeu, ensuite par passion. Il y a presque quatre ans, nous avons tourné notre premier film en le consacrant à ce thème. La "Soumise". Géant !

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mille projets pour notre seconde semaine de vacances. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres. << Même si tu n'es pas un vrai "Maître", tu le joues si bien Julien ! >> lance Estelle. << Moi, j'y trouve tout le bonheur que ça me procure ! >> rajoute Clémentine. Estelle m'embrasse la première. Notre crème dentifrice laisse une douce saveur de miel. Clémentine m'embrasse à son tour pendant qu'Estelle sort mon Zob.

Il est 14 h. Je passe le fin foulard de soie autour du cou d'Estelle. C'est toujours une précaution que je prends. Je peux y mettre le collier canin sans que le cuir n'irrite la peau. Il suffit de fixer la laisse. Elle pend discrètement sous l'anorak. Il faut prendre le parapluie géant. Nous descendons à toute vitesse. La température extérieure est de 16°. Il pleut. Une pluie fine et continue. Il y a un quart d'heure jusqu'au centre de Pouzauges. Par la route car avec cette pluie les chemins sont déjà détrempés. Nous restons serrés sous le parapluie. Un léger vent.

Pouzauges s'est battit au fil des siècles autour de son château. Sous la pluie et sous ce ciel gris, il y a un aspect "dramatique". C'est Clémentine qui attire notre attention sur cette curieuse atmosphère. << La Toussaint ! >> lance Estelle. Ce qui ne retire évidemment rien au charme particulier de l'endroit. Les rues échelonnées à flanc de coteaux semblent parallèles aux murs d'enceinte de la forteresse. Les maisons suivent le tracé des murailles. Nous retournons dans l'église romane. Il y a quelques visiteurs. Nous cherchons l'abri de la pluie.

Discrètement, en ouvrant son anorak, Estelle me tend la laisse en chuchotant : << Sel vous pli mon bon "Maître" ! >>. Je n'aime pas trop déconner dans les endroits réservés à des cultes. Par respect pour ceux qui les pratiquent. Mais c'est un défi que je tiens à relever. Je saisis la poignée de la laisse. Les gens sont partis. Je balade Estelle à la laisse dans tout l'intérieur de l'édifice. Nous admirons les peintures murales. Ce ne sont pas seulement des fresques mais d'authentiques œuvres d'art. Tout en commentant Estelle me palpe la braguette.

Il y a deux chaises "prie-dieu" dans le coin. Estelle en déplace une pour s'y mettre à genoux. Les coudes en appui sur l'assise prévu à cet effet. Clémentine fait de même avec la seconde chaise. Toutes les deux, à genoux, dans la semi obscurité, ouvre la bouche en me fixant. Le regard implorant elles sont en attente. La tentation est de plus en plus forte. Quoi de plus délirant que d'être en proie à la tentation dans un endroit censé nous en délivrer ? Il n'y a que nous. Je sors ma bite. Tant pis. Que les divinités se rincent l'œil. Après tout, on sen fou...

Je frotte ma queue sur le visage d'Estelle qui murmure : << Cher "Maître", que ce blasphème nous offre un enfer de bonheur et de plaisir ! >>. Je chuchote : << N'en rajoutez pas délicieuse "Soumise", une éternité de plaisir ne suffirait pas à nos turpitudes ! >>. Je passe à Clémentine qui murmure : << Je vous aime "Maître". Vous avez le sens de la transgression et cela m'enchante ! >>. A chaque fois que l'une veut gober mon chibre, je passe à l'autre. Nos yeux s'habituent à la pénombre. Peu de lumière arrive par les étroites fenêtres romanes.

Je me fais tailler des pipes par mes deux anges. Et deux anges dans une église, quoi de plus "divin". Surtout que leurs gémissements évoquent des cantates "célestes". Je bande comme le derniers des salauds. Du bruit. La lourde et grande porte s'ouvre. Je me retire pour planquer ma queue dégoulinante de foutre sous les pans de mon anorak. Les filles restent à genoux. C'est un groupe de six visiteurs. Ils sont certainement convaincus que nous sommes des "fidèles" en "prière". Estelle éclate soudain d'un rire sonore. Clémentine aussi.

Nous partons tous les trois dans un furieux fou rire. Un fou rire communicatif puisque ces gens se mettent à rire aussi. A parler à haute voix. C'est trop drôle. Nous préférons quitter l'église. Nous parcourons les rues sous notre grand parapluie. Les maisons basses. Il y a un côté sinistre avec cette météo déplorable. Nous retournons dans l'enceinte du château. La porte murée offre un abri dans l'épaisseur des murailles. C'est là que je sors ma queue. Aussitôt mes deux anges s'accroupissent. Je les tiens au plus courts par la natte et la laisse.

Une fois encore je distribue mon liquide séminale à l'une puis à l'autre. Il y a un clébard qui vient fouiner par là. Deux femmes arrivent un peu plus loin. Je les ai vu trop tard car elles regardent avec insistance. Elles ont probablement compris ce qui se passe dans l'anfractuosité. Je force Estelle et Clémentine à se redresser. En s'essuyant la bouche, elles observent les deux femmes qui rappellent le chien. C'est qu'il me reniflerait la bite le con ! Je planque mon sexe en refermant mon anorak. Les deux voyeuses sont sous leurs parapluies. Vicelardes.

Nous remontons les deux marches pour prendre la direction de la poterne. En passant devant les deux quinquagénaires nous entendons distinctement l'une dire : << On ne se gêne plus ! >>. L'autre rajouter : << C'est une honte ! >>. Estelle se retourne, mime une fellation en disant : << Vous devriez gouter celle-là plutôt que celle du clebs ! >>. Nous rions de leurs airs offusqués. << Pauvres connes ! >> lance Clémentine. Nous sortons en rigolant comme des bossus. Les ruelles pittoresques du villages méritent la visite. Même sous la pluie.

L'après-midi passe très vite. La découverte des venelles et des recoins de Pouzauges nous ravit. Des recoins où les filles me sucent avec gourmandise. Souvent au mépris des plus élémentaires prudences. Il est 19 h quand nous revenons au studio. Hyper excités, certes, mais aussi morts de faim. Il suffit de réchauffer le reste du gratin. Il reste de la sauce au Roquefort. Avec trois gros nems pas décongelés, ce sera un délice quand même. Clémentine fait une salade des dernières endives. Les provisions diminuent. Il reste deux jours. Pas de panique.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table en faisant le bilan de l'après-midi. << On a sucé dans tous les coins ! >> lance Estelle. << J'aime les visites pipeuses ! >> rajoute Clémentine. Nous éclatons de rire. La vaisselle. Ce soir, c'est Estelle qui est attachée sur sa chaise. Privée de la possibilité de se masturber. Elle nous regarde baiser. Il est 21 h45. Je me lève. Je fourre ma queue dans la bouche d'Estelle pour éjaculer. Une incroyable abondance de foutre. La résultante d'un après-midi d'excitations démesurées. Pipi. Dodo.

Bonne visites d'un village typique de cette belle Vendée à toutes les coquines qui peuvent découvrir les recoins en suçant de la queue...

"Maître" Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Le sixième jour de nos vacances vendéennes

Hier matin, samedi, il est un peu plus de neuf heures. C'est Estelle qui me tire du sommeil. Sa main glisse sur mon slip pour palper la bosse de mon érection naturelle. Elle y glisse sa main pour la saisir. Elle dépose ses lèvres délicates dans mon cou comme une ventouse. Cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. N'en pouvant plus, Estelle se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. << Mmhh ! C'est si bon de passer des vacances de "Soumises" ! >> chuchote Clémentine.

C'est à notre tour d'aller aux WC. Nous rejoignons Estelle qui met la table. Il y a cette délicieuse odeur de café. S'y mêle déjà celle du pain grillé. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi et notre soirée de hier. << Je n'ai jamais vécu une frustration aussi excitante que d'être attachée sur une chaise à vous regarder baiser ! >> dit Estelle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine rajoute : << Quand tu nous as rejoins au lit, tu t'es masturbée si vite que tu as jouis en deux minutes ! >>.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de cette avant dernière journée vendéenne. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux les filles me témoignent l'immense bonheur de ce séjour à Pouzauges. << Ça aurait été n'importe où que c'était aussi fort ! >> fait Estelle. << Oui mais là c'était en Vendée ! >> lance Clémentine. Nous rions. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents. Il est 10 h. Même s'il y a du soleil, la température extérieure n'excède pas 14°. Nous enfilons nos tenues de jogging.

Il faut enfiler les K-ways, les bonnets, les gants avant de descendre à toute vitesse. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour un running d'une heure. Le long de notre itinéraire habituel. Il est 11 h quand nous revenons. Estelle prend sa douche. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un seul courriel. Celui de Julie. Elle nous raconte sa journée et sa soirée de hier. Elle est venue ce matin pour réceptionner nos livraisons. Tout s'est bien passé. Nous avions prévenu la dame des fruits et légumes et madame Marthe.

Nous répondons en remerciant Julie qui se réjouie de nous rejoindre lundi pour 18 h. Estelle arrive vêtue de son jeans, de sa chemise à carreaux. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Vêtus comme Estelle nous la rejoignons devant l'ordinateur. Elle surfe sur le site universitaire. Pas d'informations particulières. Il est 11 h20. Nous mettons nos anoraks pour redescendre un peu. Nous tombons sur monsieur Gérôme. Avec une souffleuse, il chasse les feuilles mortes devant son garage. Nous nous saluons. Il est tout sourire.

Lorsque sa femme n'est pas avec lui, le comportement du propriétaire est radicalement différent. Il reluque mes deux anges avec un regard libidineux qu'il ne tente même plus de dissimuler derrière ses lunettes de protection. << Alors, vous étiez bien à l'étage ? >> demande t-il en nous apprenant que nous étions les troisième touristes à louer son studio. Nous le rassurons, c'est parfait. << Ils déploient une carte de la France, ils jettent une pièce de monnaie. Là où elle tombe, ces cons-là décrètent que c'est d'ici que vient le Covid ! >> lance Gérôme.

Nous rions des théories de monsieur Gérôme. Même si nous ne sommes pas loin de penser pareil. Le propriétaire continue : << Ils veulent enfermer la population pour les fêtes. Et faire un grand coup de communication au printemps. Se présenter comme étant les sauveurs de la nation. On les sent venir avec leurs gros sabots, ces enfoirés ! >>. Nous rigolons comme des bossus à écouter monsieur Gérôme. Son accent, ses tics et ses intonations. Nous promettons de venir les saluer lui et sa femme, demain, avec notre départ. Nous remontons.

Clémentine s'occupe de la salade. Les dernières carottes. Estelle fait gonfler du riz complet. Les crevettes n'ont pas eu le temps de décongeler. Je les fais revenir à la poêle avec de l'ail, de l'oignon, les dernier champignons. Estelle verse le tout dans le riz pour bien mélanger. Il suffit de casser deux œufs et de les rajouter au mélange chaud. Voilà un riz à la créole fait "maison". Nous en avons préparé en grande quantité pour le repas de demain à midi. Ce soir nous mangeons à Cholet, dans un restaurant. Nous ne traînons pas.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous restons vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Il suffit de mettre un pull. Nos anoraks. Nous dévalons les escaliers en colimaçon. Il est 13 h30. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, tout en caressant mon cou, revient sur ce qui lui est arrivé hier soir. << Notre doux "Maître" aura t-il la bonté de nous imposer de nouveaux tourments la semaine prochaine ? >>. Je réponds : << Douces "Soumises", comptez sur moi ! >>.

Il y a une quarantaine de kilomètres par la nationale 249. Ça roule bien, la circulation est fluide. Plutôt sympa pour un samedi. Nous arrivons à Cholet vers 14 h. La circulation se densifie. Comme toujours, nous cherchons une rue à une quinzaine de minutes du centre. Inutile d'aller garer la bagnole dans d'inextricables nœuds de circulations. A droite c'est le centre hospitalier. Sur la gauche le centre commercial Leclerc. L'endroit idéal pour laisser la voiture. Pas de péage. La température extérieure est de 18°. Il y a du soleil.

Nous marchons d'un bon pas. Les trottoirs permettent de rester côte à côte. Les filles me tiennent par le bras. Nous attirons évidemment encore bien des regards. Des regards dans lesquels nous lisons souvent les mêmes interrogations. Suis-le père, l'ami ou l'amant de ce deux superbes jeunes filles ? Nos hautes tailles participent de cette attention dont nous faisons encore l'objet. Nous nous en amusons beaucoup. L'avenue Napoléon Bonaparte. Puis le boulevard du maréchal Juin qui nous emmène au centre. Cholet est une ville charmante.

L'architecture moderne sait composer avec les bâtiments des siècles passés. C'est bien conçu. Les rues sont larges, beaucoup de verdure. Des arbres séculaires que la municipalité prend soin de conserver. Ce sont les rues piétonnes du centre ville qui sont souvent les plus agréables à parcourir en flânant. Nous avons nos anoraks ouverts. Estelle se serre donc souvent contre moi pour palper discrètement ma braguette. De belles vitrines sont autant de prétextes pour cette activité que pratique également Clémentine. Il faut être adroit. Gaffe !

Moi aussi je glisse mes mains entre les cuisses de mes deux anges. Nous passons devant le musée d'Arts et d'Histoires. Une architecture contemporaine assez agressive. Un large escalier qui n'en finit pas mène à l'immense porte d'entrée. Entre deux colonnes massives. << Jakin et Boaz ! On a compris ! >> lance Estelle qui fait allusion à la Franc-maçonnerie. << Probablement. Cette obédience occulte a pris les rênes de toutes les institutions publiques et privées ! >> rajoute Clémentine. Nous n'y entrons pas. Nous préférons découvrir la ville.

Voilà le musée du textile. Nous nous promettons de revenir à Cholet deux ou trois jours pour visiter ces musées. Nous récupérons quelques brochures touristiques à l'Office du Tourisme. C'est là, en choisissant des dépliants, qu'Estelle me déboutonne carrément. Le tourniquet nous dissimule des visiteurs présents. Je la gronde. Elle s'en fou. Je la tance. Elle s'en contre fou. Je la menace de passer la nuit ficelée, attachée à côté du lit. << Mais, mon doux "Maître", vos menaces ne sont déjà plus que vecteurs de nouveaux fantasmes ! >> murmure t-elle.

<< De plus, cher "Maître", je vous aime ! >> rajoute t-elle en tripotant la bosse qui se forme dans mon slip. Clémentine dissimule ce qui se passe. Notre trio attire pourtant l'attention. Une des deux hôtesses, derrière son bureau, me jette un regard amusé. A t-elle compris ? Certainement parce qu'elle me fait un sourire par en dessous. La coquine. Elle est mignonne en plus. Clémentine qui voit toujours tout, me chuchote : << Tu as un ticket là-bas ! >>. Estelle murmure : << Fais gaffe, je suis une "Soumise" extrêmement jalouse, tu le sais ! >>.

Nous sortons. Clémentine s'improvise très souvent comme guide lorsque nous partons à la découverte. Une des brochures à la main, elle commente les monuments et bâtisses remarquables devant lesquels nous passons. Estelle n'arrête pas de me bloquer. De se placer devant moi pour cacher ce qu'elle fait de sa main. J'ai refermé ma braguette. << Tu bandes mon salaud ! Put-Hein ! >> dit elle à chaque fois. Clémentine, imperturbable continue la visite. A chaque fin de phrase elle dit : << J'ai envie de sucer ! >>. Nous rigolons comme des fous.

C'est dans cette ambiance délirante que nous parcourons les rues du centre. Il est 16 h30. L'heure d'une bonne coupe glacée dans un des nombreux salons de thé. Voilà une pâtisserie réputée sur la place Rougé. << Wouah ! Regardez ce qu'il y a comme choix ! C'est fou ! >> lance Estelle. Devant nos yeux, derrière les vitrines, il y a un étalage de véritables merveilles. Il faudrait passer des mois à Cholet, venir chaque jour pour gouter un autre de ces délices. Je propose de prendre une pâtisserie avec la coupe glacée. Estelle sautille autour de nous.

Nous entrons dans la boutique. Il y a bien une terrasse mais avec la fraîcheur nous préférons prendre nos consommations à l'intérieur. La certitude de ne pas être incommodé par la fumée des fumeurs. Les seuls à braver le froid pour satisfaire leurs absurdes addictions. Nous voilà confortablement installés autour d'une petite table ronde, dans des fauteuils qui épousent à la perfection les formes du corps. Même pour les grands gabarits comme nous. C'est une jeune serveuse très élégante qui prend nos commandes. Elle nous conseille.

Clémentine et Estelle me font du pied sous la table. Elles me tiennent les poignets en me confiant leurs excitations. Il y a d'autres clients. Nous attirons évidemment l'attention de certains d'entre eux. La serveuse, toute souriante, revient. Sur le grand plateau, nos coupes glacées, trois pâtisseries. Trois sablés différents que nous allons gouter. C'est si bon que je ne saurais m'empêcher de recommander cet endroit à nos lecteurs gourmands et gourmets. Sablé au chocolat, sablé à la crème d'amande, sablé à la crème de nougat. Aïe aïe aïe...

Une petite bouchée de glace mélangée à une petite bouchée de gâteau. Nous laissons fondre dans la bouche. Longuement. << Oh mon Dieu, qu'il est bon de commettre le péché de gourmandise ! Que l'enfer soit emplit de petits gâteaux ! >> fait Estelle, les yeux fermés en savourant son délice. Nous traînons à table. C'est probablement le tout meilleur souvenir qu'il nous restera de nos gourmandes escapades. << Tu viens, j'ai deux mots à te dire ! >> rajoute Estelle en se levant tout en prenant ma main. Clémentine nous fait un clin d'œil.

Les toilettes sont aussi "classes" que tout le reste. C'est là, dans les WC hommes que nous nous enfermons dans un des cabinets. Estelle fait son pipi. Je la tiens par la nuque. Ces endroits souvent étroits obligent à mettre en pratiques des exercices de contorsionnistes. Tout est rigoureusement propre. Je suis accroupis devant la cuvette. Estelle se tient aux murs de chaque côté. Cambrée sur ses genoux fléchis, elle m'offre les saveurs de sa chatte. Je suce son petit trou à pissou avant de récupérer la goutte de cyprine qui perle entre ses lèvres.

Ce mélange affole toujours mes sens. Après les délices du salon de thé, les délices d'Estelle. << Je pourrais jouir ici tellement ce que tu me fais est bon ! >> dit elle en me repoussant doucement. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Je bande mou. Accroupie, elle suce les dernières gouttes. Le mélange du liquide séminal et du reliquat d'urine est un délice supplémentaire pour elle aussi. Bien évidemment beaucoup plus cérébral. Nous restons là une bonne dizaine de minutes. Il y a quelqu'un. Nous attendons que la personne soit partit.

Nous rejoignons Clémentine en pleine lecture des brochures touristiques. << C'était bon ? >> demande t-elle. A peine suis-je assis qu'elle se lève. Elle m'entraîne par la main. Quelques regards interrogateurs de clients amusés. Carrément libidineux de certains mecs. Nous voilà dans les toilettes. Clémentine adore fouiller ma bouche de sa langue exploratrice tout en pissant par petits jets. Je lui raconte ce que nous avons fait avec Estelle, ici, il n'y a pas cinq minutes. Nous reproduisons très exactement les mêmes égarements salaces. C'est si bon.

Comme je ne dois plus pisser, Clémentine me taille une pipe. Accroupie devant moi. Je caresse sa tête en murmurant des douceurs. Je l'aide à se redresser. Je masse un peu ses genoux endoloris. Dix nouvelles minutes dans les toilettes hommes. Nous rejoignons Estelle qui bavarde avec la serveuse. La jeune femme nous lance un regard amusé. Elle parle des recettes "maisons" et secrètes qui ont fait la réputation de l'établissement. << Moi-même je suis ignorante des secrets de fabrications mis en œuvre ! >> explique t-elle. Je demande l'addition.

Quand c'est aussi bon, je laisse toujours un pourboire royale. Cette fois il est même impérial. Nous voilà dans la rue. << Put-Hein, je n'ai jamais rien gouté d'aussi succulent ! >> lance Estelle en se serrant contre moi. << Tu parles des pâtisseries ou des toilettes ? >> fait Clémentine. Nous éclatons de rire quand je réponds : << Moi, c'était le tout. Une cascades de délices ! >>. Clémentine se serre fort. Comme nous sommes invités à manger chez les parents d'Estelle, demain soir à notre retour, je propose d'acheter le dessert ici.

<< Génial ! >> lance Estelle. Nous retournons dans la boutique. La serveuse nous recommande les spécialités. Un bel emballage contenant des pâtisseries d'une beauté magique. Nous reprenons nos déambulations citadines. Clémentine commence à lire les menus proposés devant certains restaurants. C'est "La Grange" qui a les menus les plus attractifs. Nous y réservons une table pour 19 h. C'est un établissement réputé. L'endroit est follement accueillant. Nous nous promenons encore dans le centre. Il y a un antiquaire. Super.

Nous adorons visiter les magasins d'antiquités. Je porte la boîte en carton rigide contenant les pâtisseries. Je ne peux donc pas me défendre des assauts d'Estelle. Elle en profite bien la coquine. Je bande souvent comme le dernier des salauds. Surtout qu'Estelle adore me mettre dans l'embarras quand il y a des gens. Cette femme, par exemple, qui vient de voir la main d'Estelle tripoter la bosse. Cette dame nous jette un curieux regard. Surtout que Clémentine me tient par la taille en même temps. Notre trio à de quoi susciter bien des interrogations.

Il est 19 h15. Nous voilà installés devant une table ronde. La salle est lumineuse, spacieuse. L'endroit est splendide. Ce restaurant gastronomique propose une cuisine "classique" et "académique". Le personnel est aux petits soins. D'une courtoisie rare. C'est presque chaleureux. Bien évidemment, notre extraordinaire trio attire une fois encore bien des regards. La serveuse, d'une amabilité rare, prend notre commande en nous conseillant. Morts de faim, nous regardons défiler quelques plateaux que portent d'autres collaborateurs.

Dans un restaurant gastronomique, de grande classe, nous préférons évoquer des "collaborateurs" plutôt que des "serveurs". Ils sont de bons conseils et savent orienter les préférences des clients. Ce qui est le cas à "La Grange". Nous nous régalons de fruits de mer en crème, de poissons en sauces. Tout cela fait chavirer les sens. Décidément, Cholet réserve bien des surprises. Les filles me tiennent par les mains. Nous reprenons nos esprits après ces orgasmes gastronomiques. Le regard libidineux du gros type, là-bas, avec ses amis, nous amuse.

Le regard intrigué de cette belle dame en compagnie de son mari et d'un autre couple nous intrigue tout autant. C'est l'instant WC. Estelle se lève, m'entraîne par la main. Les toilettes hommes sont d'un luxe inouï. Enfermés dans un des cabinets, nous procédons à nos rituels pisseux. Derrière la porte, nous entendons l'incessant va et vient des pisseurs. Nous rejoignons Clémentine qui s'amuse à sourire au vieux libidineux accompagné de quelques amis. A peine suis-je assis, qu'elle se lève pour m'entraîner à son tour par la main. Des regards.

Une fois encore, nous devinons toutes ces questions. Que peuvent bien aller faire aux toilettes ces deux sublimes jeunes filles en y emmenant par la main cet homme d'âge mûr ? Cela me gêne toujours un peu. Jusque dans les chiottes où nous donnons libre cours à nos délicieuses déviances. Dix minutes à lécher du minou, à me faire sucer la bite. Derrière la porte le bruits des pisseurs. Nous rejoignons Estelle qui a pris le relai. Elle aussi s'amuse à fixer le vieux cochon, là-bas, avec ses amis qui ne se doutent de rien. L'addition.

Il faut retourner à la voiture. Elle est toute seule, au milieu du parking de centre Leclerc. Je roule doucement. Clémentine me suce. Sur l'insistance d'Estelle, à la sortie de la ville, je me gare sur le côté. Elle passe devant pour s'assoir au sol, entre les jambes de Clémentine. En se mettant à genoux, par dessus le levier de vitesses, elle aussi me me pomper le dard pendant que je roule. Je dis plusieurs fois : << S'il y a les flics, je prends une prune. Je peux même perdre des points ! >>. Estelle cesse de pomper pour répondre : << On les suce ! >>.

Il est 22 h30 quand nous sommes de retour. Lavage des dents, derniers pissous tous les trois. Nous sommes épuisés. Je suis entre mes deux anges. Malgré nos promesses de nous nous offrir une véritable orgie au lit, nous nous endormons en nous caressant doucement. Estelle ronfle déjà légèrement, serrée contre moi. Clémentine me donne ses impressions. Nous aimons faire le bilan de nos journées. J'ai ma main dans sa culotte. Je joue avec ses poils. Elle a sa main dans mon slip pour malaxer doucement mes couilles. Nous plongeons. Dodo.

Bonne visite à toutes les coquines qui aiment découvrir en tripotant de la braguette, en y fourrant les mains, en suçant du Zob...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1690 -



Le jour du retour arrive toujours trop tôt

Hier matin, dimanche, il est plus de neuf heures quand nous nous réveillons ensemble. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle à ma droite qui tient mon érection naturelle. Clémentine à ma gauche qui empoigne mes couilles. J'ai mes mains dans les culottes. En riant, nous nous rendons compte une fois de plus que ce rituel matinal n'a rien de sexuel. Estelle se lève la première en disant : << Si je ne vais pas pisser ça va être un dégât des eaux ! >>. Nous la regardons se précipiter vers la porte des WC. C'est toujours un spectacle.

Clémentine me chevauche en frottant doucement son sexe sur le mien. << Merci pour ces merveilleuses vacances, Julien ! >> murmure t-elle en déposant des bises en mitrailles sur mon visage. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous rejoignons Estelle qui fait le café. Clémentine beurre les premières tranches de pain grillé. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre expédition de hier. Cholet est une petite ville vendéenne absolument charmante. Elle recèle bien des trésors. De belles surprises.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos agissements. Nos rituels pisseux dans les toilettes des restaurants, des salons de thé. Cela nous rappelle les vacances dans mon Ecosse natale. Le dimanche pas de jogging. Notre seul entraînement du jour sera de faire le ménage du studio. Ce loft que nous allons quitter cet après-midi. Nous sommes attendus chez les parents d'Estelle pour 19 h. De bien belles réjouissances en perspective. << Tu es prié de laisser ma mère tranquille. Et en dehors de tes turpitudes habituelles ! >> me fait elle.

Nous rions de bon cœur car je me comporte toujours comme un gentleman avec les dames. Même quand elles sollicitent mes déviances en exposant les leurs. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles confient leurs bonheurs, leurs joies. Il reste une seconde semaine de vacances. Elles sont décidées à en profiter plus que de raison. J'écoute amusé et avec beaucoup d'intérêt leurs projets, leurs souhaits et leurs désirs. << Je vais être salope ! Vous n'imaginez pas ! >> lance Estelle.

Clémentine rajoute : << Je vais perpétuellement donner dans la démesure ! >>. Nous rions. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant mille pitreries devant le miroir de la salle de bain. Nous restons en slips et en T-shirts de nuit. Clémentine retire les draps du canapé lit. Je nettoie la salle de bain et les chiottes. Estelle passe l'aspirateur. A chaque fois que nous nous croisons, c'est un bisou. Une main qui se glisse entre des cuisses. Nous préparons les valises en réunissant toutes nos affaires. Le linge de corps est sec.

Nos petites culottes, slips et T-shirts portés toute la semaine, suspendus hier, ont bien séché sur l'étendoir. Nous revêtons nos jeans, nos chemises à carreaux, nos baskets. Nous descendons nos bagages. Il fait un peu moins froid que les matinées précédentes. Nous mettons les valises dans le coffre de l'auto. Voilà monsieur Gérôme. Nous nous saluons. << C'est le départ alors ? N'oubliez pas, vous êtes invités pour le café après le repas ! >> dit il. Nous le rassurons, nous serons là pour 13 h30. Une fois encore son regard libidineux nous amuse.

Nous bavardons un peu. Monsieur Gérôme ne tarit pas d'éloge sur ma grosse berline allemande. << C'est mon rêve une Mercedes de classe "S" ! Vous ne la vendez pas des fois ? >> demande t-il. Je précise qu'elle va encore me faire de l'usage pour les deux ans à venir. Je promets de penser à lui si je change d'auto. Je l'invite à s'assoir au volant. Clémentine est assise sur le siège passager. Je dis : << Faites donc un petit tour avec ! >>. En riant il répond : << Avec la fille ou avec la voiture ? >>. Je fais : << Avec les deux ! >>. Il démarre.

Je précise que je n'utilise pas la boite de vitesses manuelle mais exclusivement automatique. Il n'y a rien d'autres à faire que d'accélérer, de freiner. Une grosse voiture se conduit infiniment mieux avec une boîte de vitesses automatique. Surtout avec mon style de conduite plutôt calme et tout en douceur. Clémentine me fait un clin d'œil. Estelle se serre contre moi. Nous regardons ma voiture s'éloigner. Elle me dit : << C'est papa qui va te la racheter. N'oublie pas ! >>. Je la rassure, je n'ai pas oublié. Nous avons fait un contrat "auto" avec Yvan.

Estelle m'embrasse avec passion. Le ciel se dégage lentement. Voilà la femme du propriétaire. Nous la rassurons. Monsieur Gérôme est entrain d'essayer ma voiture. Elle aussi réitère la demande : << On vous attend pour le café avant votre départ. On a beaucoup aimé vous avoir dans la maison. Vous êtes si calmes, si discrets. C'est un plaisir ! >> dit elle. Elle nous laisse. Estelle recommence à m'embrasser. A me confier à quel point elle a apprécié mon comportement. << Surtout quand tu m'as attaché sur la chaise ! Je t'aime ! >> fait elle.

Un bon quart d'heure se passe. La voiture revient enfin. Nous voyons Clémentine rire aux éclats. Elle sort la première de l'auto pour se précipiter vers moi. Les filles, serrées contre moi, regardent monsieur Gérôme s'extraire du véhicule. << C'est la classe ! Un vaisseau spatiale. On n'entend rien. La douceur de la conduite est étonnante. Aussi simple à manœuvrer qu'une "coccinelle" ! >> lance t-il admiratif et émerveillé. Il en fait le tour une fois encore. Clémentine me murmure : << Il m'a montré sa queue, m'a demandé de le sucer ! >>.

Elle rajoute : << Je vous raconte après ! >>. Il est 11 h45. << Gérôme, tu viens ! Laisse ces gens se préparer ! >> lance la femme du propriétaire depuis la fenêtre. << Allez, bon appétit. Merci pour la compagnie et vos conseils mademoiselle ! >> fait-il tout particulièrement à Clémentine. Nous remontons. Clémentine s'occupe de la salade en nous racontant ce qui s'est passé. << Il est passé derrière le cimetière. Là il s'est arrêté. Il m'a dit à quel point je ne le laissais pas indifférent. En affirmant ce sentiment il m'a demandé s'il pouvait me montrer l'effet que je lui faisais ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine rajoute. << J'avais un peu peur. Il m'a demandé si ça me plaisait ! >>.

Estelle réchauffe le reste de riz à la Créole. Je fais revenir les trois derniers dos de cabillaud à la poêle. Estelle pose plein de questions : << Tu l'as sucé ? >> demande t-elle. << J'en ai toujours envie quand je vois une queue ! Si vous aviez vu celle-là ! >> répond Clémentine. << Raconte ! >> lance Estelle qui vient se frotter contre moi. Clémentine raconte : << Une bite de taille moyenne mais étrangement tordue vers la gauche. Comme un crochet. Il a décalotté un gland affreux et violacé. Il y avait de la mouille ou du frome ! Beurk, dégueu ! >>.

Nous rions aux éclats. Je dis : << Tu aurais gouté, tu pourrais nous en dire davantage ! >>. Clémentine s'écrie : << Arrête ! J'en avais follement envie ! >>. Estelle rajoute : << Tu lui proposes d'essayer la bagnole une deuxième fois après le café ! >>. Clémentine me fixe de son regard troublée. Je dis : << Mais oui, tu lui tailles une pipe dans un chemin ! >>. Elle vient se serrer contre moi pour murmurer : << Je n'ai pas le courage. J'ai toujours besoin que tu sois dans les parages. Ça me rassure et j'aime tant quand je sais que tu me mâtes ! >>.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle pose encore tout un tas de questions. Elle veut des détails. Clémentine revient plusieurs fois sur des instants précis. De se retrouver en présence d'un vieux dégueulasse, dans une situation ambiguë, reste un de ses amusements préférés. Combien de fois ne l'a t-elle pas vécu. Avec monsieur Gérard le palefrenier retraité, avec monsieur Bertrand, notre voisin. Quelques autres messieurs lors de quelques opportunités durant nos vacances. << Si on trouve un "plan" cet aprème, je le suce dans l'auto ! >> dit elle.

Nous avons beau tourner l'idée sous tous les angles, nous ne trouvons pas de réelles possibilités de réaliser ce "plan". Nous éclatons de rire car les idées sont de plus en plus surréalistes. Délirantes. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous rangeons et nettoyons le coin cuisine. Tout est nickel propre. Nous nous lavons les dents. Les filles miment des fellations avec la plus grande des vulgarité. Têtes contre têtes, en rigolant comme des bossus, nous nous rinçons les bouches au-dessus du lavabo. Il est presque 13 h30. L'endroit est net.

Nous descendons l'escalier doucement, en chuchotant. Nous voilà devant la porte du propriétaire. Estelle frappe trois coups contre la porte en disant : << C'est comme au théâtre ! Les trois coups avant le levé de rideau ! >>. Clémentine rajoute : << Avant l'ouverture des braguettes ! >>. C'est madame qui vient nous ouvrir : << Entrez ! >> fait elle d'un ton obséquieux. Nous la suivons au salon. Monsieur Gérôme est devant la télé. Il se lève, baisse le son avec la télécommande et nous invite à nous assoir. Tous les trois dans le canapé.

Madame apporte les tasses de café fumantes accompagnées de petits gâteaux secs. Estelle murmure : << Chez les vieux, les gâteaux ont souvent leurs âges, faites gaffe ! >>. Nous avons envie d'éclater de rire. Nous ne touchons pas aux petits gâteaux qui nous paraissent synthétiques. Estelle a sans doute raison. Il y a d'ailleurs une odeur de "vieux" dans le salon où tout est vieux. En présence de sa femme, monsieur Gérôme est un tout autre personnage. Estelle ou Clémentine me font souvent du coude pour attirer mon attention.

Le voilà qui évoque sa carrière aux postes. Il a terminé directeur d'une agence postale. Il se souvient où la poste s'appelait encore les "PTT". << PTT. Petit Travail Tranquille ! >> lance sa femme. << Ou Pétez Tous Tranquillement ! >> rajoute le facétieux sexagénaire. Nous rions de bonne grâce. Mais par politesse surtout. Nous avons droit à l'histoire de leur rencontre, de leur mariage. De leur fille qui habite à Brisbane en Australie, mariée à un psychiatre qui pratique les sports extrêmes. Nous écoutons, hallucinés, ces tranches de vies surréalistes.

Il est 14 h30. N'en pouvant plus, Clémentine se lève la première en disant : << C'est pas le tout, mais nous avons de la route ! >>. Profitant de cette aubaine, Estelle et moi nous nous projetons littéralement en l'air. Comme soulagés. Le couple nous raccompagne jusqu'à la voiture. Nous les saluons en les remerciant une fois encore pour le studio, pour leur hospitalité et le café. << Merci pour la balade en voiture ! Vous avez une conduite exemplaire ! >> lance Clémentine à monsieur Gérôme. Sa femme ne peut pas comprendre l'allusion.

C'est en rigolant comme des fous que nous quittons la propriété. << Put-Hein, ça fait du bien de quitter l'EHPAD ! >> s'écrie Estelle. Nous sommes pliés de rire. Estelle fait des imitations de monsieur Gérôme. Clémentine, écroulée de rire, lance : << C'est pas bien de se moquer des gens ! >>. J'ai du mal à conduire tellement je me marre. Je dis : << Bon, cette semaine nous a couté 400 euros pour la location. On était bien, ces gens étaient sympathiques. C'est un peu normal que la solitude les bouffe ! >>. Nous rions comme des bossus. C'est trop !

Il y a deux cent cinquante kilomètres. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, Estelle me caresse le cou, les joues. Parfois elle se redresse pour toucher mon sexe avec de multiples contorsions. Arrêts pipis toutes les heures. Il fait beau. Nos rituels pisseux, aux bords des petites routes que nous prenons volontairement, sont autant de prétextes pour nous sucer, pour nous lécher. << J'ai envie de baiser ! >> lance Estelle à chaque arrêt. << On s'arrête dans un chemin ? >> propose Clémentine. C'est ce que je fais.

Là, sur le siège arrière, je baise Estelle comme elle aime. Assise à l'avant, en se masturbant, Clémentine nous regarde. Elle est souvent à genoux sur le siège pour rapprocher son visage du mien. La situation est inconfortable. Inutile de continuer. << Put-Hein ! On s'offre une semaine de turpitudes ininterrompues ! >> lance Estelle en remettant son jeans et en nouant les lacets de ses baskets. Nous rigolons en reprenant la route. Je crois que le plus souvent, je n'ai pas dépassé les 70 km/h. Nous adorons admirer les paysages. C'est superbe.

Il est 18 h45 quand nous arrivons au bourg. C'est à la sortie qu'il y a le lotissement. La grande maison accolée au hangar de l'entreprise des parents d'Estelle. Je contourne le pâté de maisons toutes semblables. << Les tranches napolitaines ! >> comme les surnomme Estelle. La nuit est tombée. << Le changement d'heure en est techniquement responsable. Depuis des années qu'ils affirment que c'est la dernière fois ces cons ! >> lance Clémentine. Je gare la voiture avant d'entrer dans la propriété. Nous nous faisons des bisous. Je range ma queue.

Chez les parents d'Estelle - La soirée d'Halloween

C'est le papa d'Estelle qui nous reçoit. Il est dans le jardin, devant le garage à bricoler une des deux portes horizontales. Estelle lui saute au cou pour lui faire plein de bisous. Elle est tellement contente. Yvan nous tend le poing. Nous faisons de même pour nous toucher. << Que la raison nous pardonne les gestes barrières ! >> dit-il. Nous rions. Yvan nous invite à le suivre. Nous passons par le garage pour entrer dans la chaufferie. << C'est là ! >> me chuchote Estelle en montrant l'empilement des cartons pliés entre la chaudière et la table. Je comprends.

C'est l'endroit où elle baise avec son parrain. Elle nous raconte ses exploits sur la table ou sur la pile de cartons. Nous montons les escaliers. Yvan tient Clémentine et Estelle par les bras en disant : << Nous avons des invités ! >>. La maman d'Estelle vient nous accueillir dans le couloir. Michèle est vêtue d'un jeans. Un chemisier crème sous son tablier de cuisine. Estelle se jette à son cou pour lui faire des bisous. Michèle nous tend d'abord le poing avant de faire la bise à Clémentine puis à moi. Elle s'écrie : << On s'en fou de ses "barrières" ! >>.

<< Vous pouvez vous installez, tout est prêt ! >> lance la maman d'Estelle. Je pose sur la table la belle boîte en carton qui contient les pâtisseries ramenées de Cholet. << Comme elle est belle ! C'est gentil d'emmener le dessert. Il y en aura deux avec les coupes glacées ! >> rajoute t-elle. Nous sommes seuls dans la cuisine. Michèle fixe ma braguette avec insistance tout en parlant des glaces "maisons" qu'elle prépare dans la sorbetière. << Toujours avec des fruits du jardin ou du marché ! >> précise t-elle encore. Son regard est insistant.

Estelle qui se doute probablement de quelque chose vient nous rejoindre. Elle me jette un regard sévère en fixant elle aussi ma braguette. Michèle, pour faire diversion, s'accroupit devant la porte vitrée du four. Estelle agite son index d'un air menaçant. Elle me saisit par le bras pour m'entraîner au salon. Clémentine est entrain de rire aux éclats avec Yvan. Cela fait douze ans qu'ils se connaissent. Clémentine venait ici lorsqu'elle était encore collégienne. Avec Estelle, toute les deux, toujours fourrées ensemble. Yvan est un peu son papa d'adoption.

Elle me confie parfois qu'il était sérieusement question d'adoption lorsqu'elle avait treize ans. Mais les démarches, d'une complications extrêmes en France, sont une véritable chicane qui décourage bien des initiatives. Estelle me chuchote : << Si tu fais ton vicieux avec maman ce soir, je t'arrache les dents avec les couilles ! >>. Le papa se retourne pour dire : << Qu'est-ce que tu chuchotes là-bas avec ce monsieur ? >>. Nous rions de bon cœur. Yvan et Michèle sont devenus des amis depuis l'Ecosse cet été. Des complicités se sont créées.

<< A table ! Je fais le service ! >> fait Michèle en entrant dans le salon en portant un grand plateau. << Maman, je t'aide ! >> lance Estelle en me faisant une discrète grimace. C'est évidemment pour anticiper ma proposition de le faire. Je suis assis aux côtés de Clémentine qui me fait du pied sous la table. Michèle et Estelle viennent avec les carafes d'eau, les coupelles de sauces. La surprise est de taille. C'est une "fondue" de fruits de mer, de saumon et de cabillaud. Le caquelon contenant l'huile bouillante sur le chauffe plat au milieu de la table.

Nous remercions Michèle et Yvan pour cette invitation. << C'est génial de rentrer de vacances, de n'avoir qu'à mettre les pieds sous la table ! >> lance Clémentine. << Ça nous fait autant plaisir ! >> précise Michèle. Nous mangeons de bon appétit. C'est comme une fondue bourguignonne. Simplement, à la place des viandes de bovins, ce sont des produits de la mer. Les sauces sont de véritables délices. Nous trempons nos crevettes, nos moules ou nos morceaux de saumon dans les six sauces différentes. Estelle raconte nos vacances.

Bien évidemment, elle n'évoque pas un seul instant nos frasques sexuelles. Aucune allusion. << Je verrai des photos peut-être ? >> demande Michèle. Elle me lance un regard par en-dessous. Cette question a un double sens qu'elle espère me faire comprendre. Clémentine le confirme en me faisant du pied sous la table. Yvan pose des questions sur Cholet, sur Pouzauges. Féru d'Histoire, le papa d'Estelle collectionne des livres d'Histoires de France. Avant de créer son entreprise, il a exercé en tant que professeur d'Histoire durant 4 ans.

Les conversations sont animées. Autant Michèle que Yvan sont curieux de tout. Estelle et Clémentine ne tarissent pas d'anecdotes sur tel ou tel lieu que nous avons visité et découvert. Michèle se lève pour débarrasser. Je me lève en disant : << Je vous aide ! >>. Avant qu'Estelle n'ai le réflexe de le faire, je prends les coupelles que je dispose sur le plateau avec le chauffe-plat et le caquelon. Je suis Michèle à la cuisine. Du tiroir du buffet, elle sort un dentier qui semble en caoutchouc. << Les dents de vampire d'Estelle quand elle était petite ! >> dit elle.

J'hallucine. Michèle le met dans la bouche pour bien le caler sur ses vraies dents. << Happy Halloween ! >> fait elle en faisant une grimace. Elle est belle. C'est comme si c'était la grande sœur d'Estelle. Ce soir encore, c'est terriblement troublant. Jusqu'aux mimiques, jusqu'aux expressions, les accents. Nous entendons rire depuis le salon. Michèle fixe ma braguette en me demandant : << A part Clémentine et Estelle, avez-vous déjà eu affaire à une femme vampire ? >>. Elle agite ses mains. Je suis incapable de prononcer le moindre mot.

Michèle appuie sa question d'un clin d'œil entendu. J'aime les vicieuses. La maman d'Estelle l'est probablement autant que sa fille. C'est comme si elle lisait dans mes pensées car elle rajoute : << Elle m'en raconte des choses Estelle quand nous allons faire les courses ou quand je suis assise dans sa chambre pendant qu'elle travaille à ses cours ! >>. Je me sens devenir tout rouge. Comme un collégien. La sueur me picote soudain les joues, le bout du nez. Michèle retire les dents de caoutchouc avec une sensualité affolante. Je bande.

Elle fixe cette bosse impudique qui déforme ma braguette. Je me décide enfin à prononcer cette phrase. Je le fais en appuyant les syllabes de chaque mot : << Une femme vampire, suce t-elle seulement le sang de ses victimes ? >>. Michèle se contente de me lancer le plus affolant des regards. Des yeux de braise. Les mêmes qu'Estelle quand j'ai des initiatives "viriles". Elle ne répond pas à ma question. Estelle jaillit soudain dans la cuisine. Elle regarde la bosse. << Put-Hein ! Encore entrain de draguer maman ! Je vais le dire à papa ! >> dit elle.

Nous éclatons tous les trois d'un rire sonore qui attire Yvan et Clémentine. Ils nous semblent bien complices ces deux-là, là, dans l'encadrement de la porte de la cuisine. Estelle insiste pour faire la plonge. Nous essuyons en parlant de la fête d'Halloween, de ses origines. Yvan raconte les déguisements qu'avaient Clémentine et Estelle lorsqu'elles étaient adolescentes. << Je dois avoir des photos quelque part ! >> lance Michèle. Nous essuyons. C'est très rapide. Michèle déballe les pâtisseries. << Quelles merveilles ! >> s'écrie t-elle.

Nous sommes priés de retourner nous assoir au salon. Cette fois Estelle insiste pour que je quitte la cuisine. Elle veut rester avec sa maman pour préparer les coupes glacées. Estelle, assise sur les genoux de son papa, ses bras autour de son cou, porte les dents de vampire. Nous rions. Assise sur mes genoux, Clémentine raconte quelques farces qu'elles faisaient toutes les deux en sortant du collège, la soirée d'Halloween. << La cueillette des bonbons ! On sonnait à toutes les portes en portant nos masques de sorcières ! Tu te souviens ? >>.

Michèle reviens avec le grand plateau. Les coupes glacées ainsi que les pâtisseries sur de petites assiettes posées dessus. Nous sommes déjà repus de la fondue marine. Le dessert est une merveille supplémentaire. Je surprends quelquefois le regard par en-dessous que me lance Michèle. Malgré sa grande discrétion, cela n'échappe pas à Clémentine qui voit tout. A chaque fois elle me donne un petit coup de genoux. Nous traînons à table. Il est presque 22 h. La fatigue commence à se faire sentir. Nous bâillons à nous en décrocher la mâchoire.

<< Pourquoi ne pas se faire un bon repas, tous les cinq, dimanche prochain ? Vous venez à la maison ! >> lance Clémentine. << Génial ! >> s'écrie Estelle. Je me lève pour aller aux toilettes. Quelle surprise de trouver Michèle devant la porte avec la petite pelle et la balayette. << Je récupère toujours les miettes à la cuisine après la vaisselle ! >> dit elle comme pour justifier de sa présence. Nous entendons rire depuis le salon. Je murmure : << Michèle, je rêve de vivre une pipe avec toi. C'est de ta faute. Tu fais absolument tout pour ça ! >>.

Sans une seule hésitation, elle chuchote : << Il suffit de m'inviter. Mais à une condition. Estelle n'a pas à le savoir, OK ? >>. Je la rassure tout en précisant que ce sera avec la complicité obligatoire de Clémentine. Je dis : << Je ne cache jamais rien à ma compagne ! >>. Michèle s'empresse de me répondre : << Il en va de même avec mon mari ! Dès ce soir, après votre départ, il sera informé de votre proposition ! Je me permets de vous traiter de "salaud". J'aime les salauds car je m'ennuie avec les hommes qui ne le sont pas ! >>. Nous rions.

Ce rire attire évidemment immédiatement Estelle. << Racontez-moi ce qui vous fait rire ? >> demande t-elle. Michèle répond : << Je parle de tes dents de vampire en caoutchouc ! >>. Estelle, pas vraiment dupe, se contente de lâcher un : << Wouai wouai ! Raconte ça à un cheval de bois et il te donne un coup de sabot ! >>. Clémentine et Yvan viennent nous rejoindre. Nous enfilons nos anoraks. << On se voit dimanche prochain ? >> demande Clémentine. << On se voit dimanche ! >> répond Michèle. Ils nous raccompagnent dans la nuit.

Estelle s'assoit devant, à côté de Clémentine après avoir fait des bisous à son papa, à sa maman. Un dernier coucou, nous partons. Je roule doucement. Estelle se penche sur sa gauche, forçant Clémentine à se serrer contre moi. Elle saisit ma braguette avec force. << Espèce de vieux dépravé, tu n'as pas honte. Ma mère est une femme mariée ! Vieux cochon va ! >>. Clémentine dit : << C'est peut-être une femme mariée mais elle n'a pas les yeux dans sa poche ! >>. Je rajoute : << Plutôt sur ma braguette ! >>. Estelle s'écrie : << Vicelards ! >>.

Il est 23 h quand nous arrivons chez nous. Nous emmenons toutes nos affaires. Il y a une agréable odeur de jasmin dans la maison. Il fait bien chaud. Le thermostat des radiateurs. Sur l'ardoise d'écolière posée sur la table de la cuisine, les mots de Julie écrits à la craie jaune : << Je suis impatiente de vous rejoindre. Je me suis occupée de tout ! >>. C'est adorable. Nous sommes épuisés. Nous montons avec nos bagages. Le dernier pissou. Nous voilà au lit. Je suis entre mes deux anges. Estelle s'endort la première avec ma bite dans la main.

Bon retour de vacances à toutes les coquines qui ont fêté Halloween en s'amusant beaucoup...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1691 -



Julie vient nous rejoindre en fin d'après-midi

Hier matin, lundi, notre grasse matinée nous emmène jusqu'aux environs de neuf heures. Estelle me tire du sommeil en me chuchotant des douceurs à l'oreille. C'est d'abord dans mon rêve puis dans ma réalité. Elle saisit mon érection matinale de sa poigne ferme. Cela réveille Clémentine qui vient se blottir tout contre moi. Elle empoigne mes couilles. Je suis entre mes deux anges à distribuer des bisous. << Ça va être dur de remettre le réveil à 5 h55 la semaine prochaine ! >> lance Clémentine. Estelle se lève pour se précipiter vers la porte.

Nous l'entendons chantonner depuis les toilettes. Clémentine se frotte contre moi en murmurant : << Je vous aime mon doux "Maître". S'il vous plaît, mettez moi dans le droit chemin. Je suis si dépravée ! >>. Nous éclatons de rire. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café et de pain grillé. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bises. J'administre toujours le même traitement à Clémentine. C'est si bon.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Clémentine est la seule à se rappeler de ses rêves. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de notre semaine vendéenne. << A refaire. Mais tout nu ! >> fait Estelle. Nous éclatons de rire. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant monsieur Gérôme, le studio et les différentes visites de Pouzauges. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le très vague programme du jour. << Glander ! >> conclue Estelle. Nous faisons notre vaisselle en rigolant bien.

Nous remontons nous laver les dents. Nous nous vêtons de nos tenues de jogging. Nous dévalons les escaliers. Il faut mettre les K-ways. Pas besoin des bonnets, des gants, il fait moins froid. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour un running d'une heure, sous un ciel bas, chargé et menaçant. Le sol est détrempé. Nous courons sur le bord de l'étroite route déserte. Il est presque onze heures quand nous revenons. Estelle monte prendre sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur du salon.

Juste le message de Julie qui nous annonce sa venue pour dix huit heures. Elle restera avec nous jusqu'à mercredi 18 h. Nous répondons avec une photo prise la semaine dernière, dans les rues de Cholet. Estelle vient nous rejoindre. Nous lui laissons la place pour monter à la salle de bain à notre tour. Nous redescendons à toute vitesse. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Clémentine propose d'aller récupérer les fruits, les légumes et les produits frais rangés par Julie samedi matin dans la maison d'amis.

C'est sous le parapluie qu'il faut traverser le jardin. La pluie est forte. Nous ramenons les cageots. Nous rangeons les fruits et les légumes sur les étagères du cellier, à la cave. Je récupère des paquets de moules, de haricots verts et de petits pois dans le congélateur. Une pâte feuilletée. Nous remontons pour ranger les œufs, les yaourts, le beurre, les petits pots de crème fraîche et les fromages dans le réfrigérateur. Nous montons défaire les valises. << Toutes ces choses que nous avons emmené pour rien ! >> dit Clémentine.

Il est presque midi. Il fait faim. Clémentine s'occupe de la salade verte dont elle lave chaque feuille. Estelle prépare le bouillon pour les moules. Dans le wok, je jette les haricots verts et les petits pois encore congelés. On s'en fou, c'est les vacances et ce sera bon quand même. Estelle jette les moules dans le bouillon en ébullition. Je mets les assiettes et les couverts. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Julie en fin d'après-midi. << Les trois mousquetaires étaient en réalité quatre ! >> lance Estelle.

<< Athos, Porthos, Aramis et d'Artagnan ! Mais ont-ils réellement existé ? >> demande Clémentine. Je dis : << En tous cas, nous, nous existons bel et bien ! >>. Estelle rajoute : << Et on peut toucher ! >>. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles émettent la possibilité de faire une bonne surprise à Julie. Je trouve l'idée de Clémentine géniale. Nous mettons rapidement au point le petit scénario. Julie nous ramènera ce soir la commande. Le repas préparé par le "Chef" du restaurant.

Nous n'aurons donc aucune préparation. << Rien que du plaisir, du plaisir et du plaisir ! >> lance Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Il est 13 h30. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. << Comme c'est bon d'être de retour ! >> s'écrie Estelle en sautillant dans toute la grande pièce. J'allume un bon feu dans la cheminée. Les filles sont assises devant l'ordinateur. Elles surfent sur le site universitaire. Je prépare des calques.

Ce sont des dessins d'anciennes créations. Des paysages d'après photos prises dans la région. Il me suffit de rajouter un personnage, un animal pour en faire une réalisation originale. Estelle et Clémentine sont absorbées dans quelques révisions. Je fixe mes calques sur des toiles vierges. Je n'ai plus qu'à calquer. Puis à repasser chaque trait à la mine de plomb. Parfois, c'est Estelle qui vient me faire des bises dans la nuque. Parfois c'est Clémentine. D'autres fois c'est moi qui vais les rejoindre. Debout derrière elles je lisse leurs cheveux.

Il est rapidement dix sept heures. Dehors, il n' a pas cessé de pleuvoir. Nous rangeons nos affaires. Les filles sont contentes d'avoir fait leurs préparations pour la rentrée de lundi prochain. << Plus besoin d'y penser ! >> dit Estelle en déboutonnant ma braguette. Elle en extrait ma bite toute molle. << Elle s'est bien reposée, il est temps de lui prodiguer quelques massages avant un peu d'exercice ! >> rajoute t-elle. Les filles se serrent contre moi. Nous regardons la pluie tomber devant une des deux grandes baies vitrées. Un spectacle assez lugubre.

<< On prépare la surprise ? Julie est toujours en avance ! >> lance Clémentine. Nous quittons l'atelier pour monter à l'étage. Nous nous changeons. Estelle et Clémentine portent leurs jupes kilt à carreaux rouges, un chemisier crème sous un pull bleu nuit au col en "V". Sur leurs demandes, je porte mon pantalon de cuir noir, mes cuissardes et ma chemise blanche aux manches bouffantes. Estelle arrange mon catogan en y mettant un nœud de velours carmin. << Vous êtes beau monsieur d'Artagnan ! >> me fait elle en palpant ma braguette.

Nous prenons des poses devant le grand miroir de l'armoire. Mes deux anges m'entourent de leurs bras. << Comme on est beaux tous les trois ! >> lance Clémentine en s'accroupissant à ma gauche. Estelle fait pareil à ma droite. Leurs têtes contre mes jambes qu'elles enserrent de leurs bras, elles écartent toutes les deux largement leurs cuisses. Clémentine ne porte pas de culotte. Estelle préfère la garder. C'est vrai que pour les deux façons, c'est tout aussi merveilleux. Clémentine passe devant moi, tournant le dos au miroir. Toujours accroupie.

Elle frotte son visage contre ma braguette. Je ne tarde pas à bander. Estelle me sort la queue. Bien dure, pointée vers les moulures du plafond. Toutes les deux lèchent ma bite en s'observant dans le miroir. C'est fabuleux. Je les aide à se redresser. Je masse un peu leurs genoux endoloris. Nous descendons avec précaution car les filles portent leurs escarpins à talons hauts. Elles sont toutes les deux hyper bandantes. << Bitables ? >> demande Estelle. << Baisables ? >> demande Clémentine. Je n'ai pas le temps de répondre.

Trois coups de sonnettes. J'ordonne soudain : << A genoux, mains sur la tête ! >>. Toutes les deux me regardent comme ahuries. Elles se mettent à genoux. J'ai la bite bien dressée. Je vais accueillir Julie. Elle reste comme hébétée sur le haut de l'escalier sans oser entrer. Elle regarde ma queue avec une expression d'inquiétude mêlée d'étonnement. << Bonsoir Julie. Venez, entrez, nous vous attendions avec impatience ! >>. Le premier moment de stupeur passé, Julie entre. Je l'invite à me suivre. Elle découvre Estelle et Clémentine à genoux.

Julie éclate de rire. Elle se penche pour faire des bises. << Alors ça, pour une surprise, je ne pouvais pas être mieux accueillie ! >> lance t-elle. Estelle et Clémentine se relèvent. Elles saisissent Julie par les bras. << On est contente de te revoir ! >> dit Clémentine. << Tu nous as manqué ! >> rajoute Estelle. Je regarde ces trois anges, là, debout dans le couloir. Je dois me pincer pour ne pas m'évanouir de bonheur. << Il y a les repas dans l'auto, je retourne les chercher ! >> dit Julie. << On vient avec toi ! >> s'écrie Clémentine.

Je tiens le grand parapluie. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Nous récupérons la grande boîte isotherme et le sac contenant nos salades. Nous nous dépêchons de rentrer au sec. Julie a emmené son sac de sport. Il contient ses vêtements de change pour les deux jours qu'elle va passer avec nous. A la cuisine nous sortons les trois feuillantines au saumon et les trois tourtes aux fruits de mer de la boîte. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant les salades. Julie et Estelle mettent les assiettes et les couverts.

Tout est encore bien chaud. Il est presque dix huit heures trente. Nous laissons tout sur la table pour aller au salon. Julie, en jeans et en sweat demande : << J'ai emmené une jupe. Je vais me changer pour me mettre dans l'ambiance ? >>. Clémentine répond : << Mais non, c'est juste pour la surprise ! >>. Julie rajoute : << Comme vous êtes beaux tous les trois ! >>. Estelle demande : << Tu es amoureuse de qui ce soir ? >>. Julie répond immédiatement : << De vous trois ! Je suis tellement contente de vous revoir. Dans cette maison ! >>.

Nous sommes installés dans le canapé. Je suis entre mes deux anges. Julie est installée dans le fauteuil en face. Estelle et Clémentine, les cuisses largement écartées, restent silencieuses. J'ai la bite à l'air. Mon pantalon de cuir noir est moulant. C'est très désagréable. Mais avec la queue à l'extérieur de la braguette, c'est formidable. Julie, terriblement gênée, ne sait quoi dire. Clémentine rompt le silence en parlant de notre séjour vendéen. Estelle donne quelques détails. J'écoute en fixant Julie. Elle n'ose pas affronter mes regards insistants. Si timide.

Estelle joue avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens en bavardant. Je glisse ma main entre ses cuisses. Julie ne peut plus dissimuler son extrême excitation. Clémentine demande : << Tu te masturbes en pensant à nous ? A ce qui se passe ici ? >>. Julie, toute rouge, le visage luisant de sueur, répond : << Tout le temps ! >>. Estelle demande : << Il t'es arrivés des trucs sympas au restau durant le service ? >>. Julie nous raconte quelques anecdotes. << Il y a toujours un ou deux messieurs très vicieux lorsque je descends aux WC ! >> dit elle.

<< C'est ta spécialité de voyeuse ! Raconte nous ! >> dit encore Estelle qui adore les détails les plus salaces. Curieuse coïncidence. Julie aussi a vu la bite tordue d'un "tordu" dans les WC au sous-sol du restaurant. Clémentine raconte la bite tordue que lui a montré monsieur Gérôme. Elles rient en évoquant ces "crochets". Je demande à Clémentine : << Tu veux qu'on retourne à Pouzauges deux jours pour que tu puisses sucer ce type ? >>. Elle éclate de rire en répondant : << On ne va pas faire 500 bornes pour une pipe à un vieux salaud ! >>.

Estelle rajoute : << Surtout qu'il y a la queue de ce vieux salaud de Louis à trois cent mètres d'ici ! >>. Cette allusion à notre voisin nous fait rire aux éclats. Julie rajoute : << Mais la sienne n'est pas tordue ! >>. Ce bon mot provoque notre hilarité au point d'en être écroulés dans le canapé. Il commence à faire faim. Nous quittons le salon pour la cuisine. << Il faudra féliciter le Chef de cuisine. C'est encore un régal ! >> fait Clémentine. C'est vrai que ce repas est un véritable délice. Nous le savourons avec appétit. Nous bavardons en riant.

Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Clémentine fait pareil. Moi, lorsque je me lève, je ne suis pas obligé de mimer. Il me suffit de me branler vraiment devant mes trois spectatrices. Elles applaudissent en riant. Quelle n'est pas notre surprise quand Julie se lève pour faire pareil. Julie a très rarement des attitudes vulgaires. De la voir ainsi, me fait bander jusqu'à la douleur. Heureusement que le dessert tempère un peu nos excitations. << Ce soir je vous regarde tous les trois ! >> lance soudain Julie.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine répondent aux questions de Julie sur nos visites vendéennes. Elle est assise en face de nous. Si fragile, si belle aussi. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon pour reprendre nos places. Clémentine penchée sur sa droite, sa tête contre mon ventre me suce. Je masturbe Estelle qui bavarde avec Julie. La soirée se passe ainsi. Estelle et Clémentine se partagent le jus de mes couilles sous l'attention de Julie qui n'ose pas soutenir mon regard. Il est déjà 22 h30.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment réserver d'agréables surprises à l'amie intime qui vient passer la soirée à la maison...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - Episode 1692 -



L'agréable présence de Julie

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud d'Estelle. L'haleine de sa nuit contre mon visage avant que ses lèvres ne s'y posent comme une ventouse. Elle reste accrochée à moi toute la nuit comme une naufragée à sa branche. Appliquant souvent d'autres ruses pour m'emmener à la réalité. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection. Tout cela réveille Clémentine. Elle se blottit contre moi en glissant sa main dans mon slip pour y empoigner mes couilles. Je suis entre mes deux anges. Un autre se réveille là-bas.

Il est presque neuf heures. Julie, dans son canapé lit reprend conscience elle aussi. << Bonjour ! >> échangeons-nous. << Pipi ! >> s'écrie Estelle qui se lève pour se précipiter vers la porte. << Tu as bien dormi ? >> demande Clémentine. Julie répond : << Oh oui, je dors si profondément ici ! >>. C'est au tour de Julie d'aller aux toilettes. Nous nous habillons avec Estelle venue nous rejoindre. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en nous racontant son rêve. Passionnant.

Estelle glisse les premières tranches dans le grille pain. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Julie vient nous rejoindre, vêtue de son jeans, de son sweat. Nous prenons un bon petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un très vague programme de la journée. Ce sont de vraies vacances, sans contraintes et sans impératifs. Julie ne reprend son service au restaurant de sa tante que vendredi soir. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine bavardent avec Julie.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Avec la météo de ce matin, pas de running. Nous laissons Julie pour notre heure d'entraînement. Julie redescend au salon, son petit coin réservé près de la bibliothèque. Il y a tant de livres que pour elle ce sont autant de découvertes. Aérobics, joggings sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Le tout avec une intensité maximale. Retour au calme avec un bon stretching. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons notre lit.

C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Ces petits moments où nous nous retrouvons seuls, Clémentine et moi, sont comme un oasis de douceurs. Des instants d'intimités. << Ça me manque parfois d'être toute seule rien qu'avec toi ! >> me chuchote t-elle avant de m'embrasser. Ce matin nous faisons donc durer notre présence à la salle de bain. Nous nous vêtons comme Estelle. Nos jeans, nos chemises à carreaux. << Garde bien ta braguette ouverte. Nous sommes quatre membres du même "Club" ! >> fait encore Clémentine en riant.

Nous descendons l'escalier en nous arrêtant toutes les trois ou quatre marches pour nous embrasser, nous toucher. C'est agréablement excitant. Comme des gamins qui feraient des choses en cachettes. Il est presque onze heures. Nous rejoignons Estelle et Julie au salon. Julie est confortablement installée dans le fauteuil à côté des étagères. Le grand châle recouvre ses épaules. Elle lit. Estelle est assise au bureau devant l'ordinateur. Il y a une ambiance feutrée, studieuse. Nous restons silencieux en passant derrière Estelle qui surfe sur le Web.

Nous avons trois messages privés sur ce forum. Estelle a commencé à répondre. Nous sommes amusés par un des messages. Un type qui voudrait s'inviter dans notre "trio". Ce genre de proposition reste fréquente. Nous répondons toujours avec quelques mots. Dans un dossier bureau nous avons des formules toutes faites. Il suffit de les personnaliser. Cela prend deux minutes et ça fait plaisir. Sur le site de l'université il y a enfin quelques informations pour la rentrée de lundi. << Put-Hein, encore des maths ! >> murmure Clémentine.

La présence silencieuse de Julie impose une sorte de solennité. C'est étrange. Très agréable. Je surprends son regard furtif. Elle lève les yeux du livre qu'elle feuillette pour nous observer une seconde. Elle est belle dans ce coin du salon. Toute petite dans son fauteuil. Estelle et Clémentine sont assises sur mes genoux. Nous surfons sur quelques forums où nous publions. Certains rares auteurs proposent des textes intéressants. Il est onze heures trente. Clémentine m'entraîne à la cuisine. Elle prépare une belle scarole. Un bel assaisonnement.

Je fais réchauffer les tourtes aux fruits de mer rapportées par Julie hier soir. Estelle vient nous rejoindre pour mettre les assiettes et les couverts. A tour de rôle elles se serrent contre moi pour raconter leurs impressions. Je les soulève. Elles enserrent ma taille de leurs jambes. Je les promène ainsi dans toute la grande cuisine. Estelle glisse sa main dans ma braguette béante pour en sortir ma queue. Elle l'agite vers Clémentine en riant. Elle termine de couper l'ail et l'échalote. Sachant Julie dans la maison, cela me gêne un petit peu. Même si elle "sait".

C'est d'ailleurs ainsi qu'elle nous surprend en venant nous rejoindre. Elle ouvre de grands yeux comme si c'était la première fois qu'elle assistait à cette scène. J'adore la décharge électrique qui parcourt mon échine lorsque Julie reste pétrifiée dans l'encadrement de la porte. Estelle agite mon sexe dans sa direction en disant : << Ça met en appétit, non ? >>. Julie m'adresse un timide sourire avant d'entrer dans la cuisine. Je sors la pâte feuilletée du réfrigérateur. Ce sera pour la tarte aux choux fleurs de ce soir. La sonnerie du four. Ça sent bon !

Estelle enfile les maniques en disant : << Ne va pas risquer de te brûler la queue, je sors les tourtes ! >>. Julie éclate de rire. Clémentine m'entraîne par la main. Nous dévalons l'escalier pour descendre à la cave. Nous récupérons le gros choux fleurs sur une des étagères du cellier. Nous nous embrassons passionnément. << Je suis hyper excitée. On fait des "trucs" cet aprême ? >>me demande t-elle. Je réponds : << Surprends-moi par une émanation de ton imagination ! >>. Clémentine éclate de rire en rajoutant : << J'ai déjà mon idée ! >>.

Nous remontons pour rejoindre Julie et Estelle qui parlent de leurs études. Ma bite à l'air les intéresse soudain bien davantage car je bande comme le dernier des salauds. Le choux fleurs dans les mains que je pose sur l'évier. Tout est prêt. Nous voilà assis a manger de bon appétit. Estelle se lève souvent pour mimer une masturbation masculine avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. Depuis quelques temps, Clémentine fait la même chose. Bien évidemment, quand je me lève à mon tour, je ne tiens pas une bite imaginaire. Nous rions.

Julie fuit toujours mes regards. Sa timidité. Nous traînons à table. Assise en face de nous, elle regarde Estelle et Clémentine installées sur mes genoux. Clémentine expose son idée. << Cet après-midi, Julien et moi, nous donnons un spectacle exceptionnel et gratuit au salon ! Ça vous tente ? >>. Il y a un instant de silence. Estelle et Julie éclatent soudain de rire. Nous aussi. Julie et Estelle sont deux des plus grandes voyeuses qui existent sur terre. Cette suggestion ne peut que les ravir. << Génial ! >> lance Julie. << Sextraordinaire ! >> fait Estelle.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. J'étale la pâte feuilletée dans deux plats à tarte aux bord hauts. Estelle lave le choux fleurs. Julie râpe du gruyère de Comté en quantité industrielle. Clémentine m'aide à concocter une belle Béchamel. Le choux fleurs est saisit dans l'eau bouillante quelques minutes. Il suffit de l'égoutter. De le verser dans la Béchamel. Estelle recouvre d'une bonne couche de gruyère. Clémentine saupoudre des graines de sésame grillé sur le dessus. Onze cerneaux de noix sur chacune. Au four. Cuisson lente à 180°.

Notre repas de ce soir est prêt. << C'est cool ! >> fait Estelle en ressortant ma bite de la braguette. Julie, avec cette fausse pudeur mais avec cette authentique timidité, détourne les yeux. Il est 14 h. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Devant Julie aussi, qui est pliée de rire. Soudain solennelle, Clémentine, d'une voix sentencieuse, lance : << Le spectacle commence dans dix minutes. Les spectateurs sont priés de prendre place. Les artistes se préparent ! >>.

Estelle saisit Julie par la main. Elles dévalent toutes les deux les escaliers. Clémentine m'entraîne par la main dans la chambre. << Tu veux me baiser en jupe ? En robe ? A poil ? Dis-moi ! >> demande t-elle. Je réponds sans réfléchir : << En jupe ! >>. Clémentine rajoute : << Toi, tu mets ton costume gris. Je veux me faire baiser par un homme très élégant qui viendrait me visiter ! >>. Nous nous changeons. Clémentine est vêtue d'une de ses jupes kilt à carreaux rouges. Un chemisier crème. Elle porte ses escarpins noirs à talons hauts.

Je porte mon costume gris. Dans le miroir, je ressemble à un banquier ou encore à un agent d'assurance. Nous rions comme des fous. Clémentine me prend la main, nous descendons prudemment. Au salon, Julie et Estelle sont assises dans le canapé. Surprise. Elles se tiennent par la main. Mes vieux fantasmes d'homme des cavernes ressurgissent du fond de ma libido. J'aimerais beaucoup les voir s'embrasser, faire l'amour. Hélas, je sais bien que ce genre de choses révulse Estelle autant que Clémentine. Julie est si amoureuse.

Elles applaudissent toutes les deux lorsque nous entrons dans la grande pièce. Dehors, les bourrasques de vent jettent des paquets de pluie contre les vitres. Le ciel est sinistre. Il fait sombre. Juste les deux grosses bougies du chandelier offrent un peu de couleurs. Clémentine me tient la main. Nous faisons le tour du salon ainsi. Estelle et Julie nous observent en silence. Clémentine me lâche pour s'assoir sur le bureau. Elle se met en appui sur ses coudes. Les jambes relevées. Les cuisses largement écartées. Les pieds sur le bord du meuble.

Bien exposée à notre vue. J'ai envie de m'assoir sur le canapé avec les filles pour regarder cette scène magnifique. Clémentine mime une masturbation masculine d'une main tout en se touchant de l'autre. A présent couchée sur le dos au travers du bureau. Je sors ma queue. Je bande comme un salaud. J'agite ma bite en direction d'Estelle et de Julie. Nos deux voyeuses sont comme deux poissons dans l'eau. Estelle a déjà fourré une main dans son jeans déboutonné. Julie se touche la braguette. Je me tourne vers Clémentine. Je m'approche.

Elle est à nouveau en appui sur ses coudes. Je frotte mon sexe sur le sien. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Centimètre par centimètre. Derrière moi, j'entends les premiers gémissements de nos voyeuses. Je tourne la tête pour voir les deux coquines entrain de se masturber. Elles regardent avec le sérieux et l'attention d'observateurs scientifiques devant une nouvelle expérience. Je suis enfoncé dans Clémentine. Nous restons immobiles comme nous le faisans toujours. Mais là, cette fois, les sensations son décuplées. Puissance 10.

Nous alternons les mouvements lents, rapides avec des séquences d'immobilité. C'est Estelle la première qui vient tourner autour du bureau pour nous regarder sous tous les angles. Sa main dans son jeans déboutonné. Elle est souvent cambrée sur ses genoux fléchis pour se branler. Je cherche Julie du regard. Elle est derrière moi. Comme si elle voulait cacher ce qu'elle fait. Elle aussi se masturbe. La situation nous excite tous les quatre follement. Clémentine se masturbe en même temps que je la besogne avec passion. J'en ai mal aux couilles.

Julie, à côté de moi, observe mes expressions. Son visage à une trentaine de centimètres du mien. Tout en se masturbant elle me dit : << J'adore les expressions des mecs quand ils sont occupés à des activités sexuelles ! >>. Je pourrais éjaculer tellement cet aveux m'excite. Au plus haut point. Estelle pousse soudain un cri. Son orgasme la tétanise. Elle est obligé de se tenir à la chaise avant de tomber à genoux, puis sur le côté en hurlant de plaisir. Clémentine connaît un orgasme prodigieux. Elle me repousse doucement pour se tourner sur le côté.

Ses mains entre ses cuisses, comme si elle avait mal, elle pousse des râles de jouissance. Curieusement Julie cesse de se branler. Je prends subitement toute la mesure de l'étendue de cette perversité si bien dissimulée. << De me garder malgré la folie qui me gagne, décuple encore davantage mon excitation ! >> dit elle lorsque je la regarde en me masturbant. Je contourne le bureau pour aller éjaculer dans la bouche de Clémentine. Ce n'est qu'à cet instant que Julie se libère d'un orgasme cataclysmique. Elle se tient au bureau, haletante, en sueur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir une bonne tarte au choux fleurs après un après-midi de stupre, de luxure et de baise...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1693 -



Julie voudrait un second spectacle

Hier matin, mercredi, devenus des adeptes de la grasse matinée, c'est dur ! Il est un peu plus de neuf heures. Le mouvement des pieds d'Estelle contre les miens me tire de mon sommeil. Clémentine vient se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges. Nous émergeons doucement. Là-bas, dans son canapé lit, Julie se réveille à son tour. Estelle baisse la couette pour lui montrer ce qu'elle tient dans la main. Mon érection naturelle qu'elle exhibe comme un trophée. << Bonjour ! Déjà ! >> lance Julie. Nous éclatons tous les quatre de rire.

Estelle se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine me chevauche en frottant son sexe sur le mien. C'est au tour de Julie d'aller aux toilettes. Puis c'est à nous. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Estelle et Julie dans la cuisine. Dehors, il fait toujours aussi moche. Il pleut. Le ciel est bas, sinistre. Dans l'odeur du café, du pain grillé, je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petite déjeuner en revenant sur nos extravagances sexuelles de hier. Nous en rions beaucoup. Julie reste un peu gênée.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée. Cette pipe mémorable que m'a prodigué Clémentine sous les regards de Julie et d'Estelle qui se sont masturbées pour la seconde fois de la journée. << Ça crève ! >> lance Estelle. << J'ai les yeux cernés ! >> rajoute Julie. Nous rions. Nous traînons à table. Avec cette météo pitoyable, se sera l'entraînement en salle. Julie est en pyjama. Estelle, Clémentine et moi, en slips et en T-shirts de nuit. Nous débarrassons. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns.

Nous revêtons nos tenues de gym. Julie profite de la salle de bain. Tous les trois nous allons à satisfaire nos besoins d'exercices. Aérobics, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Intensité maximale. Retour au calme avec un bon stretching un peu bâclé. Estelle prend sa douche la première. Nous faisons notre lit. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux nous descendons rejoindre les filles. Julie est installée comme hier, dans le fauteuil devant le coin bibliothèque.

Estelle est assise au bureau, devant l'ordinateur. Nous avons deux courriels. Celui de mon oncle Alan d'Edimbourg. Celui de Juliette qui s'excuse de ne pouvoir venir ce soir. La totalité des places du haras sont occupées par 87 chevaux. Ce qui exige une présence et une surveillance. Juliette nous affirme toutefois que tout rentrera dans l'ordre dès la semaine prochaine. Nous sommes invités à passer au haras ce week-end. << Je reste avec vous ! >> lance Julie depuis son fauteuil. L'absence de Juliette semble comme la soulager.

Julie et Juliette ont entretenu une relation il y a presque trois ans. Cela ne s'est pas bien terminé. Julie ne désire plus la revoir. En apprenant la défection de Juliette, Julie peut rester avec nous. Il est 11 h15. Estelle et Clémentine sont assises sur mes genoux. Avec cette météo il n'y a aucun véritable programme pour le reste de la journée. C'est du repos forcé. << On peut assister à une nouvelle prestation ? >> fait timidement Julie depuis le coin bibliothèque. Nous éclatons de rire. << Voilà une belle suggestion ! >> dit Estelle qui mime une pipe.

Les filles me font plein de bises. Julie nous observe avec un sourire. Je lui adresse un clin d'œil. Elle baisse les yeux. Pour cacher son trouble elle fait semblant de lire. Estelle m'embrasse en fouillant ma bouche de sa langue exploratrice. Puis c'est au tour de Clémentine. << Tu veux aussi ? >> demande Estelle à notre jeune lectrice. Julie ne répond pas. Nous savons que ce n'est pas l'envie qui manque mais le courage. Nous respectons toujours ses silences. Comme le précise souvent Clémentine, le jour où Julie se lâchera sera une explosion des sens.

Il est onze heures trente. Estelle et Clémentine m'entraînent par la main jusqu'à la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer la seconde tarte au choux fleurs. Clémentine prépare la salade et son assaisonnement. Une belle laitue. Estelle et moi nous épluchons les pommes de terre. Nous les lavons avant de les couper en tranches. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises. Estelle me sort la queue. Je fourre mes mains dans les culottes. Pour me permettre le meilleur accès, mes deux anges déboutonnent leurs jeans. Je peux glisser mes doigts entre les lèvres.

Quelle n'est pas ma surprise d'apercevoir Julie, dans le couloir, penchée en avant, pour mâter discrètement. << Tu regardes depuis longtemps ? >> demande Estelle. << Tu satisfait ton vice ? >> rajoute Clémentine en lui faisant le signe de venir avec son index. Estelle tient ma bite à sa base pour l'agiter en direction de Julie. Elle entre dans la cuisine. << Je peux aider ? >> demande t-elle. << Oui, tenir la bite à Julien pendant que je termine de râper le gruyère ! >> répond Estelle. Même si elle l'a déjà fait quelquefois, Julie reste distante.

Je recouvre les pommes de terre du mélange œufs, fromage blanc et crème fraîche. Estelle y dépose une grosse couche de gruyère et quelques lamelles de Saint Nectaire. Julie met les assiettes et les couverts. La sonnerie du four. Clémentine sort la tarte au choux fleurs merveilleusement dorée. Il suffit de la remplacer par le gratin de pommes de terre. Ce sera pour notre repas de ce soir. Il est bon d'être prévoyant lorsqu'on fait partie d'un "Club" ou le stupre et la luxure exigent une présence et des compétences constantes.

Il est midi tapante. Nous sommes tous les quatre confortablement installés. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études. Julie prépare sa Licence de Lettres Modernes sur deux ans. Littéraire et cérébrale, elle est passionnée d'auteurs français du XIXème. C'est un vrai plaisir de l'entendre en parler. C'est Clémentine qui emmène subrepticement la conversation sur le domaine sexuel. Estelle participe bien évidemment avec entrain. Nous rions beaucoup. Estelle se lève pour mimer une branlette.

Clémentine imite Estelle à chaque fois. Lorsque je me lève, je n'ai pas besoin de tenir une bite imaginaire. Il me suffit de secouer la mienne. Julie assiste à tout cela avec un silence "religieux". Elle ne se remet à parler que pour répondre aux questions parfois saugrenues d'Estelle. Nous traînons à table. Il est convenu que nous passeront l'après-midi comme hier. Assises sur mes genoux, Clémentine et Estelle mettent au point le scénario. Julie, assise en face de nous écoute, ravie et amusée. Son voyeurisme va encore trouver là son épanouissement.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres. Estelle et Julie descendent les premières. Clémentine et moi nous passons dans la chambre pour nous changer. << Julien , je t'aime. Je vais faire l'amour avec toi comme jamais ! >> me dit elle en mettant son chemisier qu'elle glisse dans sa jupe kilt. Sur la demande des filles, je me vêts du même costume gris que hier. Chemise blanche, cravate. Julie adore encore davantage que mes deux anges. De quoi fantasmer sur un homme élégant.

<< Baise-moi sans aucun égard. Comme tu le fais avec Estelle. Ne te pose pas trop de questions ! >> me fait Clémentine en se blottissant contre moi devant le grand miroir de l'armoire. Nous nous embrassons passionnément. Je bande comme un salaud. Clémentine frotte son sexe contre le mien. Elle porte ses escarpins noirs, fermés, à talons hauts. Ceux avec la petite sangle de cuir qui enserre délicatement ses chevilles. Elle est encore sublime aujourd'hui. Terriblement sexy et féminine. Nous descendons doucement et prudemment.

Estelle et Julie sont installées comme hier. Dans le canapé. Elle se tiennent par la main en bavardant. Elles applaudissent lorsque nous entrons dans le salon. Il fait sombre. Il y a juste les deux grosses bougies du chandelier. Les bourrasques de vent jettent des paquets de pluie contre les vitres. Je laisse Clémentine s'assoir sur le bureau, comme hier, dans une position d'une indécence folle. Je contourne le meuble. Du tiroir du bas je tire le foulard de soie, le collier canin, la laisse. Il y a un silence total. Estelle et Julie nous observent.

Je passe le foulard de soie autour du cou de Clémentine. << Génial ! >> murmure t-elle. En glissant sa main droite entre ses cuisses. L'usage du foulard permet d'éviter les irritations. Je peux y passer le collier canin. J'y fixe la laisse. Je donne un à coup afin de faire sauter Clémentine du bureau. Je l'entraîne par la laisse. Nous faisons un premier tour de la grande pièce. Du tiroir du bas, je tire les genouillères. Accroupis devant Clémentine je les fixe à ses genoux. C'est terriblement excitant sur une fille en jupe, vêtues de façon élégante.

J'ordonne : << A genoux ! >> Clémentine se met à genoux. Je dis : << Mains sur la tête ! >>. La voilà bien droite, fière, à fixer ma braguette. Je regarde Estelle et Julie. Estelle a déjà une main glissée dans son jeans déboutonné. Julie se touche la braguette, main entre ses cuisses. Je sors ma queue. Le silence est lourd et pesant. Je la frotte sur le visage de Clémentine. Clémentine, authentique exhibitionniste, vit là des moments extraordinaires. Je me penche pour saisir la poignée de la laisse. J'ordonne : << A quatre pattes ! >>.

J'entraîne Clémentine en la tenant par la laisse. Au coin de chaque meuble, elle lève la jambe. Nous entendons déjà les respirations plus fortes d'Estelle et de Julie. Nos voyeuses sont dans leurs éléments. Elles ont de quoi mâter. Clémentine ne porte pas de culotte. Je me mets à quatre pattes derrière elle pour lui bouffer le cul. D'être vêtu de mon costume ne me permet pas une totale liberté de mouvements. Mais cette contrainte participe de l'excitation intense que tout cela nous procure. Je me mets sur le dos. Mon visage entre ses cuisses.

Clémentine frotte son sexe sur ma gueule. Je la tiens par les hanches. Je contracte mes muscles fessiers pour faire bouger ma bite. Je sais que là-bas, vautrées dans le canapé, nos deux voyeuses scrutent chacun de nos gestes. Cette fois c'est Julie qui se lève la première. Elle vient se mettre à quatre pattes pour observer ce que je fais. Je cesse. Je me redresse. Estelle vient nous rejoindre à son tour. Sa main fourrée dans sa culotte. Je suis à genoux. J'enfonce mon sexe dans celui de Clémentine. Par derrière. Ce qui est extrêmement rare.

Je la baise à la hussarde. Estelle est émerveillée. Cambrée sur ses genoux fléchis, elle se masturbe. Julie déboutonne enfin son jeans pour fourrer elle aussi sa main dans sa culotte. Je baise Clémentine comme je le fais rarement. Là, exposée aux regards, elle trouve toute sa mesure exhibitionniste. Elle en pousse des râles de plaisir. Estelle me dépose des bises sur le front en chuchotant : << Génial ! >>. Elle est obligée de se tenir au bord du bureau de sa main libre. Elle gémit de plus en plus fort. Julie est tombée à genoux, sans retenue.

Elle se lâche enfin. Elle se masturbe. Son visage couvert de sueur, elle l'approche du mien. Julie donne toute la mesure à sa passion voyeuriste. Elle scrute mes expressions. Elle murmure : << C'est passionnant Julien ! >>. Je suis presque gêné d'être scruté ainsi, d'aussi prêt. Cette jeune fille qui n'a que vingt ans sait me surprendre à chaque instant. Elle se masturbe d'un mouvement régulier. Je regarde Estelle dont le visage est luisant de sueur. Je la devine entrain de lutter pour retarder le plaisir qui la gagne, qui l'envahit inexorablement.

Je me retire. A genoux je viens présenter ma bite ruisselante à Clémentine qui ouvre la bouche pour la gober. Je pourrais éjaculer en hurlant tellement c'est bon. Je fais des efforts insensés. Je me redresse. Julie se lève. Je force Clémentine à se relever. Je la soulève pour l'assoir sur le bureau. Je suis debout entre ses cuisses. Je m'introduis à nouveau. A ma droite Estelle, à ma gauche Julie. Elles me déposent un bisou en même temps. Estelle est soudain secouée de spasmes. Son orgasme est nucléaire. Julie sait étonnement contrôler son plaisir.

Je baise Clémentine couchée de tout son long sur le bureau. Je souffle aussi fort qu'elle. Elle se fait tirer comme jamais. C'est au tour de Julie de s'effondrer littéralement sur la chaise. Le corps secoué de spasmes. Son orgasme est presque inquiétant. Je continue à besogner Clémentine. Nous avons rarement baisé aussi longtemps et avec tant d'entrain. Je me retire. Estelle se précipite. C'est elle qui reçoit les giclées de foutre qui manquent de la noyer. Elle tousse, elle s'étouffe. Et pourtant elle continue de pomper comme une affamée.

Bonne soirée à toutes les coquines dont c'est le rêve de vivre des moments de folies où elles peuvent se lâcher complètement...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1694 -



Un jeudi plein de bonnes surprises et de bons moments

Hier matin, jeudi, il est une fois de plus neuf heures. Cette heure doit être notre horloge biologique. Le changement d'horaire n'est certainement pas étranger à cette particularité. Le reste de l'année c'est vers huit heures que nous nous réveillons. Je suis entre Estelle et Clémentine qui viennent se blottir tout contre moi. Distribution de bisous. Nous regardons Julie sortir de son sommeil. << Bonjour ! >> nous lance t-elle d'une petite voix. << Bonjour ! >>répondons nous en cœur. Estelle baisse la couette pour montrer ce qu'elle tient en main.

A la vue de mon érection matinale Julie a toujours le réflexe de rire en cachant ses yeux. Estelle me lâche rapidement pour se précipiter vers la porte. Clémentine se masturbe doucement contre ma hanche. Une cuisse sous mes reins, l'autre sur mon ventre. Ça appui sur ma vessie. C'est au tour de Julie d'aller aux toilettes. Nous faisons le lit avant d'aller pisser à notre tour. Morts de faim, en slips et en T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Julie et Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café et de pain grillé. Estelle me saute au cou.

Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Me couvre le visage de bises. J'administre toujours le même traitement à Clémentine. Julie en meurt d'envie. Sa timidité l'en empêche. Je lui dépose un bisou sur le front. Elle est toute menue dans son pyjama bleu. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos exactions sexuelles de hier. Estelle nous félicite pour nos prestations. Deux après-midi de suite on nous baisons sous les regards admiratifs de nos deux spectatrices. Estelle et Julie ravies.

Nous prenons notre petit déjeuner en envisageant différents scénarios possibles pour la journée. Julie nous laisse ce matin pour aller chez ses parents. Elle revient pour 14 h. Nous lui promettons de nouvelles surprises. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en déconnant. Vêtus de nos tenues de sport nous raccompagnons Julie jusqu'à l'escalier. << A toute ! >> fait elle en nous faisant à chacun une bise. Je passe ma main sous ses cheveux. Je caresse sa nuque en disant : << Reviens vite ! >>. Elle "fond"...

Dehors il fait froid. Il ne pleut plus mais le sol est détrempé. Nous donnons notre préférence à l'entraînement en salle. Aérobics, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Avec cette intensité maximale qui nous transforme en guerriers pour le reste de la journée. Retour au calme avec un stretching toujours un peu bâclé. Estelle prend sa douche la première pendant que nous réunissons le linge à laver. Clémentine m'embrasse. << C'est génial ce qui s'est passé ces deux derniers jours. J'ai adoré faire l'amour avec toi ! >> murmure t-elle.

C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Vêtus comme Estelle, de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous descendons la rejoindre au salon. Assise devant l'ordinateur elle surfe sur le site universitaire. << Informations Covid ! >> fait Estelle en me tenant par la taille. << Put-Hein ! Ils ne vont pas recommencer à nous faire chier avec leurs délires et leurs fantasmes d'emprisonnement de la population! >> lance Clémentine. << Pas d'inquiétudes. La direction de l'université de compte pas prendre de mesures plus stricts ! >> répond Estelle.

Assises sur mes genoux, mes deux anges font des commentaires acerbes sur les nouvelles affabulations pseudos scientifiques. J'écoute amusé. Nous ouvrons nos boîtes mails. Un message de Juliette qui nous invite à passer au haras. Elle organise une animation équestre dimanche après-midi. Elle nous promet d'être libre pour mercredi prochain. Et pour toute la mauvaise saison, ses mercredis soirs nous seront consacrés. Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant. Mes deux anges assises sur mes genoux. Mains sur ma braguette.

Il est presque onze heures. Nous descendons à la cave, à la buanderie pour vider la machine. Suspendre nos culottes, nos chaussettes, nos slips. Ça sèche très bien dans la grande pièce. Estelle ne cesse de palper ma braguette. << Merci pour ton don de sperme hier ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. Elle rajoute : << Qui a un "plan" pour cet après-midi ? >>. Nous nous regardons. Clémentine répond : << Et si j'étais dans le public cet après-midi ? >>. Estelle se met à sautiller autour de nous en s'écriant : << Baiser, baiser et baiser encore ! >>.

Nous rions en remontant l'escalier de la cave. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets et nos gants. Le thermomètre extérieur n'indique que 4°. Il est 11 h35. Nous faisons quelques pas dans la propriété. Nous restons sur les dalles de grès car le sol est spongieux des pluies de ces derniers jours. Le ciel est menaçant. Il risque fort d'en tomber encore. Les filles restent blottis contre moi, me tenant le bras. Nous faisons le tour de la maison d'amis. En désignant le Gloryhole de la porte derrière l'abri à bois, Estelle dit : << On ne l'exploite pas assez ! >>.

Avec ce froid, il n'y a nulle envie d'aller s'amuser au "trou". << On n'a pas encore trouvé de plan pour en faire un à l'intérieur ! >> lance Clémentine. Je réponds : << C'est beaucoup plus intéressant dans un endroit public, fréquenté, que chez des privés ! >>. Clémentine rajoute : << Ça restreint forcément l'utilisation ! >>. Nous éclations de rire. La faim commence à se faire sentir. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. J'allume la cuisinière à bois de la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en parlant de son expérience Gloryhole.

Estelle fait gonfler du riz complet en suggérant une récidive. << Cette fois, je suce avec toi ! >> dit elle à Clémentine. Je fais rissoler trois dos de cabillaud avec des champignons, de l'ail et de l'oignon. Nous mangeons de bon appétit. Les filles échangent leurs impressions. Le goût de bites inconnues qui passent par un trou dans le mur, reste un déclencheur puissant. C'est Estelle qui a sucé une bite pour la première fois par un tel trou. C'était il y a presque quatre ans, dans les écuries du haras chez Juliette. Nous nous souvenons bien de "ça".

Quelques mois plus tard, nous y avons même tourné un film. D'excellents souvenirs. << Nous avions 20 ans et nous étions déjà les dernières des salopes ! >> lance Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. << Aujourd'hui nous en avons vingt quatre et nous sommes toujours encore dans le peloton de tête ! >> rajoute Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Je me lève pour sortir ma queue. Je l'agite en direction d'Estelle puis de Clémentine. Elles applaudissent en riant aux éclats. Nous traînons à table.

Assises sur mes genoux, les filles évoquent quelques grands souvenirs de nos partouzes au haras. << Cet hiver, leurs saloperies de propagandes anxiogènes et mensongères ne nous empêcheront pas de nous payer du bon temps ! Et sans masque. Bande de cons ! >> fait Clémentine. << Qu'ils retournent au diable d'où ils viennent ces enfoirés ! >> lance Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle prépare une pâte à crêpes. Dans la poêle, je fais rissoler des crevettes, des morceaux de poivrons. Pour le repas de ce soir.

Avec les beignets de crevettes, nous ferons des chips. Clémentine épluche les patates. Les filles parlent partouzes, Gloryhole, goût de bites. Je suis plié de rire. Des filles qui parlent cul c'est à la fois émouvant et hilarant. Nous coupons les patates en fines tranches. Je les fais revenir dans l'huile des crevettes. Estelle les retourne sans arrêt. Clémentine dispose les chips sur des feuilles de papier absorbant. La pâte à crêpe repose dans un saladier, sous un linge. Les crevettes dans la poêle sous un couvercle. Pour le repas de ce soir, tout est prêt.

Il est 13 h30. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. << Tu vas me baiser comme j'aime cet après-midi ? >> me demande Estelle en glissant sa main dans ma braguette. Je réponds : << Et mieux encore ! >>. Clémentine s'écrie : << Et si on se faisaient sauter toutes les deux devant Julie ? >>. Je trouve la suggestion excellente. Je dis : << Nous l'avons déjà fait. Mais on peut y rajouter de l'improvisation ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine propose de nous mettre en tenues. Nous allons dans la chambre en dansant.

Estelle et Clémentine portent des jupes kilt. Des chemisiers crèmes sous de fins pulls bleu nuit aux cols en "V". Estelle propose de mettre des soquettes blanches et des mocassins noirs à talons plats. << Lycéennes ! >> lance t-elle en entraînant Clémentine devant le grand miroir de l'armoire. En effet, elles font penser toutes les deux à des étudiantes anglaises. Elles se font des couettes avec des rubans de satin rouge. Sur leurs demandes, je porte un pantalon clair à pinces et à plis. Une chemise blanche sous un pull blanc de style "brax golf".

Nous prenons des poses ridicules devant le miroir. << J'ai envie d'être salope quand je me vois comme ça ! >> lance Estelle. << Et moi donc ! Je crois bien que je vais l'être tout l'après-midi ! >> répond Clémentine. Je les trouve tellement craquantes, tellement sexy vêtues ainsi que je bande à en déglinguer la braguette encore fermée de mon pantalon. Nous dévalons les escaliers au moment même où Julie arrive. Debout dans le hall d'entrée, retirant son anorak, elle nous contemple avec de grands yeux. << La fête ! >> lance Estelle.

<< Viens ! >> fait Clémentine en prenant Julie par le bras. Estelle me roule une pelle d'enfer. Un baiser qui m'enivre d'excitation. Nous rejoignons Clémentine et Julie au salon. << Mes parents étaient contents que je passe un peu de temps avec eux. Ils vous offrent leurs salutations ! >> dit Julie avant de rajouter : << S'ils se doutaient de ce qui se déroule ici ! A quoi j'occupe mon temps libre ! >>. Nous pouffons de rire. Estelle est déjà assise sur le bureau, ses jambes relevées, ses pieds posés sur le meuble, en appui sur ses coudes.

<< Comme vous êtes beaux tous les trois ! Si j'avais su je me serais vêtue pareille ! >> fait encore Julie qui tient Clémentine par le bras. Je sors ma queue. Je me place entre les cuisses largement écartées d'Estelle. Elle saisit ma bite pour se l'introduire doucement. En mordillant sa lèvre inférieure, elle enfonce centimètre par centimètre. C'est au tour d'Estelle de se faire niquer. C'est elle qui se met presque immédiatement à bouger. A remuer. Je la soulève pour la promener ainsi dans toute la grande pièce. Clémentine se masturbe déjà.

Elle se lève pour venir s'installer sur le bureau. Dans cette position d'une indécence folle, elle attend son tour. Lorsque j'observe Julie qui fuit mes regards, je découvre l'état dans lequel tout cela la met. Le trouble d'une jeune fille de 20 ans est émouvant. Surtout lorsqu'à ce trouble se rajoute des gestes discrets mais évocateurs. Julie se touche le sexe au travers le tissu de son jeans. Elle est toute rouge. Je ramène Estelle que je dépose sur le bureau. Je sors d'elle pour m'enfoncer avec précaution dans Clémentine. Je la soulève. Même promenade.

Estelle se masturbe comme une désespérée. Elle est debout, cambrée sur ses genoux fléchis à attendre mon retour. Je passe de l'une à l'autre. Mes lombaires commencent à se rappeler à moi. Je n'ai plus 20 ans moi. J'en ai 30 de plus. Julie a glissé sa main dans son jeans déboutonné. Elle n'est plus assise. Tout en se masturbant, elle nous accompagne dans nos déplacements. Estelle rugit de plaisir. Clémentine pousse de petits cris. Julie adore scruter les expressions de mon visage. De voir un homme d'âge mûr en action l'excite au possible.

Tout en baisant Clémentine coincée contre la bibliothèque, je demande à Julie : << Vous ne voulez que je vous fourre aussi ? Regardez un peu comme Estelle et Clémentine sont rayonnantes en se faisant tirer comme ça ! >>. C'est la première fois qu'elle s'écrie : << Oui ! Ça me plairait ! Mais je ne me sens pas prête ! Je n'ai pas le courage ! >>. En disant ces mots, elle tombe au sol en étant la victime d'un orgasme d'une violence inouïe. Elle est couchée sur le côté, les mains dans sa culotte à pousser des cris, des gémissements, des râles.

Comme si elle voulait se libérer d'une force qui la possède, Julie se contorsionne parterre. Estelle s'accroupit pour lui venir en aide. << L'exorciste 2 ! >> lance t-elle. Clémentine et moi, tout en baisant comme des malades, nous éclatons de rire. Estelle se branle, accroupie. Elle aussi est victime d'un orgasme délirant. Clémentine se masturbe en même temps que je la besogne. << Sors ! >> s'écrie t-elle pour s'offrir un de ses orgasmes fous qui la font pisser sur le parquet. Il faut la voir tomber à genoux dans la flaque de pisse. En hurlant.

Julie et Estelle, assises parterre, reprenant leurs souffles et leurs esprits contemplent ce phénomène. Je m'approche. Je saisis fermement Clémentine par les cheveux. Je lui pisse au visage. Elle pousse un cri de surprise en essayant de gober ma bite. Je bande mou en pissant tout ce que je peux. Estelle se met à genoux pour s'approcher. Je lui en offre quelques jets. J'enfonce mon sexe ruisselant de pisse dans la bouche de Clémentine. Estelle me lèche les couilles. C'est à son tour. Julie, à genoux, à quelques mètres, recommence à se branler.

J'éjacule en hurlant comme un sauvage. Mon corps est secoué de spasmes. Deux giclées dans la bouche de Clémentine ruisselante de pisse. Deux giclées dans la bouche d'Estelle dont une des couettes ruisselle également de pisse. Julie, comme hébétée, se masturbe en poussant de petits râles. Elle qui se maîtrise toujours si bien a perdu là toute inhibition. Sont second orgasme semble encore plus douloureux que le premier. Clémentine me suce en me tenant par les hanches. Je n'en peux plus, j'arrache ma bite de sa bouche. Estelle en veut encore.

Je reste à quelques mètres. Je suis pris de vertige. Comme les filles je regarde les conséquences de nos jouissances. Il y a de la pisse parterre. Julien se redresse la première en disant : << Je deviens folle ! Il ne faut plus que je vienne ! >>. Elle prononce ces mots sans réelles convictions. Clémentine se lève. Elle se précipite en dégoulinant de pisse vers la porte. Elle revient avec le seau, le balai et la serpillère. Nous rions. Nous montons nous changer. Julie nous accompagne. Silencieuse elle nous observe comme consternée.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont se régaler de beignets de crevettes, de chips, après s'être offertes de la queue...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1695 -



Julie nous quitte à 18 h

Hier matin, vendredi, notre grasse matinée nous emmène jusqu'aux environs de neuf heures. Estelle qui est restée accrochée à moi toute la nuit, palpe la bosse de mon érection matinale avant de glisser sa main dans mon slip pour la saisir. Clémentine vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Comme animée d'un sixième sens, là-bas, dans le canapé lit Julie s'étire en sortant de son sommeil. Estelle baisse la couette pour lui montrer le trophée qu'elle tient dans la main. Julie rit en détournant les yeux. << Bonjour ! >> lui faisons nous.

<< Bonjour ! >> dit elle en s'asseyant . Estelle se lève. En se précipitant vers la porte elle lui dépose un bisou sur le front. Clémentine se frotte contre moi. << C'était génial hier encore ! >> lance t-elle. << Oh oui ! Magique ! >> répond Julie qui se lève. En pyjama c'est à son tour d'aller aux toilettes. Clémentine et moi nous faisons le lit. C'est à nous d'aller aux WC. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle et Julie à la cuisine. L'odeur du café et du pain grillé a déjà envahit toute la pièce.

Je presse nos oranges, nos kiwis. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos frasques de hier. << J'ai de quoi nourrir mes fantasmes de voyeuse pour des semaines ! >> lance Julie. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant nos déviances et nos penchants. Nous traînons à table en faisant le très vague programme de la journée. La seule certitude c'est le cours de peinture de 17 h. Cet après-midi nous irons déposer les toiles à la poste. Il faut les envoyer à leurs commanditaires. Nous débarrassons pour faire la vaisselle.

Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. Le thermomètre extérieur ne dépasse pas 6°. Le ciel est clair, d'un bleu pâle. Il y a quelques nuages. Julie va à la salle de bain. Nous descendons à toute vitesse pour enfiler nos K-ways, nos bonnets, nos gants. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour un jogging d'une heure. Nous préférons courir sur le bord de l'étroite route déserte. Nous passons devant le haras. Il y a déjà des voitures garées dans la cour. Un kilomètre plus loin il y a la clairière pour y faire nos exercices.

Il est 10 h30 quand nous sommes de retour. Julie est confortablement installée dans son fauteuil. Son coin préféré près de la bibliothèque. Elle lit. Estelle monte prendre sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Aucun message dans nos boîtes mails. C'est sur le site de l'université que Clémentine cherche quelques informations. Rien de neuf non plus. Estelle nous rejoint. C'est à notre tour de monter prendre notre douche. Habillés tous les trois de la même façon, nous voilà devant l'ordinateur. Concentrés.

Il y a quelques messages privés sur les forums où nous publions. Nous répondons toujours. Quand Estelle lit à haute voix la teneur des petits mots qui nous sont adressés, Julie rit avec nous. Elle se lève pour venir voir. Estelle et Clémentine sont assises sur mes genoux. Julie est derrière moi, penchée, ses mains sur mes épaules, son visage tout près du mien. Nous rions en lisant. Il y a souvent des propos totalement surréalistes. Il est onze heures trente. Nous quittons le salon pour la cuisine. J'allume la cuisinière à bois. C'est sympa.

Clémentine prépare la salade d'endive. Estelle réchauffe le reste des beignets de crevette. Il reste des pommes de terre chips. Julie met les couverts et les assiettes. Les filles évoquent leurs études. Estelle déboutonne ma braguette, accroupie devant moi. Clémentine me fait un clin d'œil. Julie, soudain silencieuse, contourne la table pour se rapprocher. Penchée en avant, ses mains en appui sur ses genoux, elle regarde Estelle extraire mon sexe de mon pantalon. << Avec les slip de garçon, il faut toujours ruser, la bite est au fond ! >> fait Estelle.

<< C'est surtout quand ça colle au fond du slip que c'est plus compliqué ! >> rajoute Clémentine. Nous rions comme des fous. << Regarde un peu ! >> dit Estelle à Julie. Julie s'accroupit à côté d'Estelle qui décalotte légèrement le gland. Immédiatement l'odeur nous monte au nez. Je ris des grimaces que font les filles en humant ma queue. Je bande mou. Estelle l'agite sous le nez de Julie. Elle se redresse comme pour fuir cette tentation d'y gouter que je sens de plus en plus forte. Estelle, du bout de la langue, titille le méat. Sensation étrange.

Julie n'ose pas soutenir mon regard. Lorsque j'ai la bite à l'air, elle n'a de yeux que pour ce qui se passe. Estelle se redresse pour passer derrière moi. Penchée en avant, sa tête sous mon aisselle, elle agite ma bite en direction de Julie. << C'est mon doudou, je ne m'en lasse pas ! >> dit elle. << C'est ton doudou mais c'est mon mec ! >> lance Clémentine. Une fois encore, comme si tout cela arrivait pour la première fois, Julie nous observe avec un air halluciné. Je bande. << Branle toi un peu ! >> me fait Estelle. Je dis : << Avec plaisir ! >>.

Toutes les trois m'observent. J'adore le regard de Clémentine. La plus vicieuse des trois coquines. J'ai l'envie folle de l'embrasser. Elles applaudissent toutes les trois. De me branler ainsi, devant trois spectatrices, est à la fois gênant et très excitant. Même si nous nous connaissons si bien, que nous sommes complices, c'est toujours un sentiment extraordinaire. Au bout de cinq minutes je pourrais éjaculer tellement c'est bon. Je cesse sous les << Bravo ! >> des filles. C'est qu'il commence à faire sacrément faim. C'est bien plus important.

Nous mangeons de bon appétit en riant de nos folies. << Hier, vous avez fait fort ! >> précise Julie. Estelle se lève. Tout en mimant une masturbation masculine, elle rajoute : << C'est tellement fort qu'on essaie toujours de mettre la barre plus haut ! >>. Clémentine lance : << Et la barre de Julien se prête très bien à nos entraînements presque quotidiens ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine se lève pour imiter Estelle. Je me lève pour agiter ma bite en direction de Julie. Le repas simple mais délicieux se passe dans cette ambiance.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres. << Comme je suis bien avec vous ! >> fait soudain Julie redevenue sérieuse. Elle rajoute : << Quand je me retrouve seule à la maison, c'est comme si je revenais de colonie de vacances ! >>. Nous rions aux éclats. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Un artisan menuisier du bourg, me prépare tous les ans les encadrements très spéciaux qui permettent d'expédier des toiles de format 6-F (41 x 33 cm) sans qu'elles risquent de s'abimer.

Il y a huit toiles à préparer ainsi. Estelle et Clémentine connaissent bien la façon de faire. Elles adorent faire l'emballage une fois les toiles enchâssées. Julie est assise devant le chevalet. Il ne faut pas plus d'une vingtaine de minutes pour terminer les colis. Il est à peine 13 h30. Chaque colis ne pèse pas plus de trois kg. Nous les emmenons dans le hall d'entrée. << Et dire qu'il y a là des dizaines de milliers d'euros ! >> lance Estelle. C'est vrai que je demande un prix insensé afin de tenter de dissuader les commanditaires. L'argent ne les effraie pas.

Nous enfilons nos anoraks. Nous emmenons tout ça jusqu'au garage. Quatre colis sur le siège arrière. Quatre colis dans le coffre. Estelle et Julie assises à l'arrière, serrées à cause des toiles, Clémentine assise dans le siège passager, nous partons pour la ville. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Julie, penchée en avant, ne cesse de regarder. << Vous arrivez à rouler comme ça ? >> demande t-elle. Estelle répond : << Mais Julien ne roule correctement qu'avec la bite à l'air ! >>. Nous parcourons les 15 km jusqu'à la poste en riant.

C'est vendredi après-midi. Je gare la voiture sur le parking. La poste est en face de la gare. Il y a évidemment beaucoup de monde. Il faut enfiler nos masques sanitaires pour entrer dans le bâtiment de la poste. Attendre dans la file, au guichet d'expédition. Bien sûr, il n'y a que deux employées pour quatre guichets. Débordées, elles vont de l'un à l'autre. << Put-Hein, c'est archaïque comme service. Je déteste la poste ! >> murmure Estelle qui palpe discrètement ma braguette. Julie assiste là à une de nos habitudes lorsque nous attendons.

Elle semble à la fois amusée et médusée. Elle scrute mes expressions, regarde autour de nous, admire la virtuosité avec laquelle tout cela se passe à l'insu des gens présents. << Vous faites fort ! C'est génial ! >> chuchote t-elle. << Parfois quelqu'un nous surprend. Ça nous amuse beaucoup ! >> précise Clémentine. C'est enfin à notre tour. Attendre plus de vingt minutes pour cinq minutes d'une procédure toute aussi archaïque. Voilà les toiles expédiées. Nous nous retrouvons dehors. Nous arrachons nos masques pour nous dépêcher d'aller à l'auto.

Le ciel s'est à nouveau partiellement couvert. La gare et son environnement sont les choses les plus tristes un vendredi après-midi sous les nuages gris et bas. Nous nous dépêchons de quitter les lieux. Nous passons devant l'université. Estelle et Clémentine adorent passer devant lorsqu'elles n'ont pas cours. Elles expliquent à Julie la configuration des bâtiments. << Tu aimerais beaucoup les toilettes ! >> lance Estelle à Julie. Nous passons devant la petite bâtisse EDF. Là où Clémentine s'est offerte quelques belles exhibes devant un ouvrier de chantier.

Julie écoute consternée. J'arrête la voiture. Nous sortons pour voir. Les travaux sont terminés. Clémentine me tire par la bite pour traverser l'étroite route communale. << Tiens là un peu. Elle est bien chaude ! >> dit elle en l'agitant devant Julie. Estelle me roule une pelle. Merde. Un bruit de moteur. Les filles sont devant moi. Depuis la voiture qui passe, impossible de voir ce que nous faisons. Je glisse mes mains entre les cuisses d'Estelle et de Clémentine qui m'embrasse à son tour. Une seconde bagnole. << Ça circule le vendredi ! >> lance Estelle.

Quelle agréable surprise. Julie saisit ma queue bien dure. C'est elle qui me tient comme par une laisse pour traverser la route. Il y a quelques gouttes de pluie. Je roule doucement. Clémentine me taille une pipe. Estelle et Julie échangent leurs impressions. Julie n'a encore jamais taillé une pipe à un mec pendant qu'il conduit. << A essayer absolument ! >> lui dit Estelle. Clémentine cesse de sucer, se redresse pour rajouter : << C'est surprenant car les réactions de la queue ne sont pas les mêmes ! Essaie, tu vas te régaler ! >>. Julie écoute.

Il est presque 16 h30 quand nous revenons à la maison. Nous rentrons rapidement sous une pluie fine. Nous allons directement dans l'atelier. Clémentine et Estelle s'installent dans le canapé. Elles lisent silencieusement. J'allume un bon feu dans la cheminée. Julie est assise devant son chevalet de table. Elle prépare sa palette et ses pinceaux. J'apprécie beaucoup ses capacités de passer de l'excitation à la concentration. Un privilège féminin qui suscite l'admiration. Je la regarde peindre. Je conseille une nuance, une retouche, un mouvement.

Julie termine en cette fin d'après-midi cette première toile réaliser en cours. Estelle et Clémentine se lèvent pour venir admirer. << Wouah ! Tu es douée ! >> lance Estelle. << Tu fais fort aussi ! >> rajoute Clémentine. Julie, aussi gênée que lorsqu'elle assiste à une de nos baises, reste silencieuse. Je la félicite. Il faudra laisser sécher son tableau jusqu'à vendredi prochain. << Tu pourras l'accrocher au mur de ta chambre ! >> fait encore Estelle. Il est presque dix huit heures. Julie reprend son job de serveuse dans le restaurant de sa tante pour 19 h.

Je tiens le sac de sport contenant ses affaires. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Julie est entre Clémentine et Estelle qui la tiennent affectueusement. Julie semble affreusement triste. << Je reviens pour le ménage demain matin ! >> dit elle en s'asseyant au volant, vitre baissée. J'agite ma queue dans l'habitacle de l'auto. Nous nous penchons chacun pour lui déposer un dernier bisou. Nous la regardons partir. Nous sommes probablement aussi tristounets que Julie. A la cuisine, nous préparons la potée de légumes du week-end.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir de nouvelles turpitudes, de nouvelles excentricités et de nouveaux orgasmes...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1696 -



Un samedi très sympathique

Hier matin, samedi, c'est Estelle qui nous réveille. Il est presque huit heures. << Il y a les livraisons ce matin ! >> nous chuchote t-elle en me chevauchant. Tout en frottant son sexe sur mon érection, elle rajoute : << Si je ne vais pas aux toilettes, je fais pipi au lit ! >>. Clémentine prend sa place lorsqu'elle s'élance vers la porte. << J'ai passé de belles vacances, Julien. Tu as été tous ces hommes que j'aime ! >> fait elle en me couvrant le visage de bisous. C'est à notre tour d'aller aux WC. Vêtus de nos tenues sports nous dévalons l'escalier.

L'odeur du café et du pain grillé nous donne le tournis tellement nous sommes morts de faim. Estelle me saute au cou. << Comme c'était bien ces vacances ! >> s'écrie t-elle lorsque je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène dans la cuisine. << J'adore quand tu m'emmènes promener ! >> dit elle en me déposant des bises en mitrailles. C'est au tour de Clémentine. Je presse nos dernières oranges, je pèle nos derniers kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la journée de hier. La poste, Julie, nos folies.

Nous mangeons de bon appétit en détaillant la matinée. L'après-midi sera consacré à l'improvisation. Il est 8 h30. La vaisselle. Nous enfilons nos k-ways, nos bonnets, nos gants. Le thermomètre extérieur indique 2°. Quelques mouvements d'échauffement bien nécessaires avec ce froid vif. C'est parti. Le sol est encore humide. Aussi, c'est sur le bord de l'étroite route déserte que nous courons. Un heure d'un running des plus agréables avant de revenir pour 9 h35. Julie est déjà là. Sa clio rouge est garée devant le garage. Nous entendons l'aspirateur.

Estelle prend sa douche la première pendant que nous enlevons les draps du lit. Julie vient nous faire la bise. << Comme vous m'avez manqué depuis hier ! >> s'écrie t-elle. Estelle vient nous rejoindre vêtue de son jeans, de sa chemise à carreaux. Elle aussi est contente de revoir Julie. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous faisons vite. A la fois pour permettre à Julie de nettoyer mais aussi pour aller réceptionner nos livraisons vers dix heures. Vêtus comme Estelle, nous la rejoignons au salon. Elle est assise au bureau devant l'ordi.

Juste le message de Juliette qui nous invite à passer demain, dimanche, pour voir l'animation équestre dans son haras. Nous y ferons une petite visite. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets et nos gants pour sortir. Nous faisons quelques pas en restant sur les dalles de grès. Le ciel se dégage. Il y du bleu. Le soleil illumine le paysage de son indécente lumière d'hiver. Il fait un froid cinglant. Un léger vent du Nord accentue encore cette sensation. Voilà la camionnette des fruits et légumes. La jeune femme nous fait un grand sourire en se garant.

Nous récupérons nos deux cageots. L'un contient nos légumes, nos fruits pour la semaine. Le second contient nos fromages, nos yaourts, nos œufs, nos petits pots de crème fraîche, le beurre nos deux pots de fromage blanc et les kiwis. Nous rendons les cageots consignés de la semaine dernière. << Elle est très gentille la fille qui m'a reçu samedi dernier ! >> dit la jeune femme en faisant allusion à Julie. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. A peine la camionnette partie, voilà celle de Mme Marthe, notre boulangère.

Elle a toujours d'amusantes anecdotes. << Elle est très timide, la jeune fille de samedi dernier ! >> lance madame Marthe en faisant la même allusion à Julie. Nous récupérons la cagette contenant nos deux miches de pain, la brioche ronde au pudding, deux pâtes feuilletées et les deux croissants "cadeau". Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons. Nous passons par derrière pour descendre à la cave par l'extérieur. Dans le cellier nous disposons soigneusement les fruit et les légumes sur les étagères. Clémentine me fait des bisous.

<< Fais gaffe, je t'aime mais je suis également follement amoureuse ! >> me fait elle en glissant sa main dans mon jeans par la taille. Nous nous embrassons passionnément. Je dis : << Moi aussi, je t'aime comme un fou ! >>. Estelle prend un air triste pour demander : << Et moi ? >>. Nous rions. Nous mettons une miche, les deux pâtes feuilletées dans le congélateur. J'en tire un paquet de moules, un paquet de haricots verts, un paquet de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Dans le réfrigérateur nous rangeons nos produits frais.

Cette fois c'est Estelle qui déboutonne la braguette de mon jeans. << Je t'aime Julien ! Moi aussi je suis amoureuse ! >>. Estelle ne me laisse pas le temps de répondre. Elle me roule une pelle extraordinairement passionnée. Ces baisers fougueux provoquent toujours des érections presque douloureuses. Les coquines aiment alors à se frotter contre la grosse bosse qui déforme ma braguette. Julie arrive dans la cuisine. Elle tient un seau, un balai et la serpillère. << Oh pardon ! >> lance t-elle toute confuse. Nous éclatons de rire. Merveilleux.

Cette fois, je prends Julie par les épaules pour dire : << Nous ne pardonnons plus, nous donnons des gages ! Et votre gage sera de nous réserver une table, ce soir, pour 19 h30, au restaurant de l'étang ! >>. Le soudain sourire de Julie éclaire son visage comme celui d'une madone sur un tableau du Caravage. Je lui dépose un bisou sur le front. << Belle improvisation pour ce soir ! >> lance Clémentine. Estelle se met à sautiller autour de nous. Clémentine nous entraîne hors de la cuisine afin de permettre à Julie de terminer son nettoyage.

Au salon, dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50€. Un petit mot griffonné à la hâte. Estelle n'arrête plus de me malaxer la queue, sa main dans ma braguette. Je dis : << Il est 11 h20 et tu ne m'as pas encore sorti le Zob ! >>. Nous rions aux éclats quand elle répond : << Tu ne m'en as pas laissé l'occasion, tu bouges tout le temps ! >>. Me voilà avec la bite à l'air. Estelle me la tord dans tous les sens. Heureusement que je bande mou car elle adore me la contraindre vers le bas quand je suis en érection. Clémentine m'embrasse.

C'est sur cette nouvelle scène épique que tombe Julie en entrant dans la grande pièce. Je dis : << Merci Julie. Je suis toujours un peu gêné quand vous faites le ménage dans la maison ! >>. Clémentine s'écrie : << C'est tellement propre, ça sent si bon ! Vraiment merci, Julie ! >>. Estelle rajoute : << On adore ta présence, ménage ou pas ! >>. Julie, toute gênée par tant de condescendances sincères, baisse les yeux, toute rouge. Quelle adorable jeune fille. Je contourne le bureau. Je m'approche d'elle. Je lui tend la petite enveloppe jaune.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. << C'est génial de venir ce soir. Je vous réserve la table habituelle. Merci ! >> dit Julie en s'installant au volant, vitre baissée. Je sors ma bite pour l'agiter dans l'habitacle. Je suis entre Estelle et Clémentine. Tous les trois penchés, nous déposons chacun notre tour un bisou sur la joue de Julie. Elle est soudain bien tristounette. Nous sentons bien qu'elle se fait violence de devoir nous quitter. Elle resterait bien mais son papy et sa mamie viennent passer le week-end. Sa famille compte beaucoup aussi.

Nous la regardons s'en aller. Un dernier coucou. J'ai la bite qui gèle. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare le bouillon pour les moules. Je jette les haricots verts et les petits pois encore à moitié congelés dans le wok. Ils partent en flotte. Estelle jette les moules encore congelées dans l'eau en ébullition. C'est samedi, c'est toujours rapide, mais très bon quand même. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant Julie, sa présence. << Elle est amoureuse de moi en ce moment ! >> dit Estelle.

Elle nous raconte que ce matin, pendant que nous étions sous la douche, Julie a saisi la main d'Estelle avant de se serrer contre elle. << Tu lui roules ta pelle d'enfer quand ? >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Estelle s'écrie : << Jamais ! >>. Elle se lève pour mimer une masturbation masculine en disant : << Je préfère les mecs ! >>. Clémentine rajoute : << En fait, elle est amoureuse de moi aussi. De Julien bien évidemment, mais d'une autre façon ! >>. Je déplore une fois encore que mes coquines ne soient pas gouines.

Dans mes vieux fantasmes d'homme des cavernes j'aimerais tant voir Estelle et Clémentine dans des étreintes saphiques. Hélas, cela restera un fantasme. Elles me racontent souvent que lorsqu'elles avaient quatorze ans, elles ont parfois essayé toutes les deux. C'était beaucoup plus affectueux que sexuel. << Et puis ça terminait en rigolade sur le lit ! >> fait Estelle. << Ton lit devenait alors notre trampoline ! >> dit Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent sur les folies de notre séjour à Pouzauges.

Nous y avons tourné un film. Nous voulions le voir ce soir. Ce sera pour demain. << Le dernier soir de nos vacances ! >> lance Estelle. << On va être crevés lundi matin ! >> rajoute Clémentine. Nous éclatons de rire. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Nous adorons les promenades dans le froid. Je suis entre mes deux anges qui restent accrochées à mon bras. Nous montons au portail.

Nous traversons la route pour prendre le chemin dans la forêt. Il ne reste presque plus de feuilles aux branches. Le ciel est bleu. Le soleil ne parvient pas à réchauffer l'atmosphère. A peine 11°. Maudit vent du Nord. Estelle nous rappelle que demain, à midi, ses parents viennent manger à la maison. Nous n'avions pas oublié. << Si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> précise une fois encore Estelle. Je ne peux rien cacher à mes deux anges. Aussi, je lui avoue ce qui s'est passé dimanche dernier, après le repas.

<< Salaud ! Si tu te fais sucer par ma mère, tu casseras quelque chose de façon irrémédiable ! >> lance Estelle en se blottissant contre moi. Je la rassure. Il n'en est pas question. Au-delà des considérations bien légitimes d'Estelle, je ne tiens pas à ce qu'il se passe quoi que ce soit avec Michèle. Clémentine précise : << Jusqu'à présent, ce ne sont que des jeux de séductions. Tu peux être certaine que ça en restera là ! >>. Comme rassurée, Estelle retrouve son sourire. Elle me couvre le visage de bisous. Son nez est tout froid. Je la serre fort.

C'est au tour de Clémentine. Je dis : << Qui serait assez stupide pour mettre en péril une si belle histoire d'amour ! >>. Clémentine rajoute : << Une si belle histoire à trois ! >>. Estelle s'écrie : << A quatre maintenant, quand il y a Julie ! >>. Nous éclatons de rire. Il fait bien trop froid pour me balader avec la bite à l'air. Aussi, les filles me palpent la braguette à chaque arrêt bisou. Et il y a de nombreux arrêts. La fin de nos vacances apporte un sentiment teinté de nostalgie. Quand ce n'est pas Estelle qui m'embrasse, c'est Clémentine. Dans le froid.

Nous faisons la boucle des collines. Nous nous amusons du labyrinthe des rochers avant de revenir en longeant les clôtures des prés. Il y a quelques vaches encore présentes malgré le froid. Elles broutent en nous regardant passer. Il est 17 h. Le crépuscule ne va pas tarder. Si nous voulons rentrer avant la nuit, il faut accélérer le pas. Estelle nous entraîne. C'est en sautillant comme des gamins à la sortie de l'école que nous traversons la route. Il fait nuit quand nous franchissons le portail. Il y a de la lumière chez les Bertrand, nos voisins.

Il est 18 h. Nous allons dans l'atelier. La grande pièce est à peine tempérée. Le thermostat des radiateurs est réglé de telle manière que lorsque nous n'y sommes pas l'atelier reste à 18°. Malgré tout, les filles font un dernier contrôle de leurs préparations pour la rentrée de lundi. Je regarde la toile que je vais commencer lundi matin. La seconde nature morte de la saison. Comme tous les ans, il y aura huit natures mortes, huit scènes de genre et huit paysages. De quoi habiller les murs de ma galerie d'Art. Je suis à m'en réjouir. Parfait.

Il est 18 h45. En frissonnant, les filles viennent se serrer contre moi. Nous quittons l'atelier pour monter nous changer. Il ne fait pas beaucoup plus chaud dans la chambre à coucher. C'est volontaire. On dort beaucoup mieux à 14 ou 15°. Nous choisissons nos vêtements pour les emmener à la salle de bain. Là, il y a les 22° sympathiques. Les filles portent des pantalons noirs, à pinces et à plis. Un chemisier blanc sous un pull noir au col en "V". Sur leurs demandes, je suis vêtu à l'identique. Nos souliers de villes. Nous adorons l'élégance.

Les filles m'entraînent dans la chambre. Nous prenons des poses ridicules devant le grand miroir de l'armoire. << Regardez comme on est beaux tous les trois ! >> lance Clémentine. Je suis entre mes deux anges. Je passe mes mains sous leurs cheveux pour les tenir par la nuque. << J'adore quand tu fais ça ! >> dit Clémentine en passant sa main sur ma braguette. << Moi aussi, ça m'excite ! >> rajoute Estelle. Nous mettons nos manteaux noir, nos écharpes blanches. Nous nous coiffons de nos chapeaux feutres. C'est hyper bien.

Nous descendons doucement les escaliers sans cesser de nous faire des bises. Il est beaucoup plus facile d'affronter le froid cinglant de la nuit, si chaudement vêtus. Nous sortons l'auto du garage. Je roule doucement. Clémentine me sort la queue une fois la voiture chaude. Il y a une quinzaine de kilomètres. Je promets à Estelle qu'elle pourra s'assoir devant avec Clémentine, au retour. La nuit est sans lune, noire et silencieuse. Nous ne croisons pas le moindre véhicule. Je gare l'auto sur le parking. Il y a souvent ici de grosses berlines comme la nôtre.

Julie est ravie de nous revoir. << Comme vous êtes beaux et élégants tous les trois ! >> dit elle en nous invitant à la suivre. La salle est presque pleine. Nous ne sommes pas les seuls à êtres élégants. Le restaurant de l'étang est gastronomique et réputé. Notre table habituelle nous attend. C'est Anne-Marie, la patronne et tante de Julie qui vient allumer les bougies en nous saluant. Nous avons toujours plaisir à nous revoir. Anne-Marie est une de ces sublimes bourgeoises de 45 ans. Ce soir encore elle est attractive et sexy dans son ensemble tailleur.

Nous bavardons un peu. Julie vient prendre la commande. Je la félicite pour sa tenue. Sa jupe de velours noir, son chemisier blanc, son petit tablier de dentelles, ses bas noirs et ses escarpins à talons hauts. Clémentine dit : << Julie, on s'amuse un de ces soirs comme ça. Tu joues ton personnage de serveuse à la maison ! Ça te tente ? >>. Julie a un petit rire discret. Il y a du monde. Elle répond : << Avec plaisir ! >>. Estelle rajoute : << Tu es hyper "craquante" habillée comme ça ! >>. Ce sont trois plateaux de fruits de mer qui nous régalent.

Entre deux services, Julie vient nous glisser quelques mots. Elle n'a que quelques instants à chaque fois. Anne-Marie également vient bavarder avec nous. Elle est ravie que les affaires aient repris. << Espérons que ces enflures ne vont pas tout gâcher une nouvelle fois pour les fêtes de fin d'année avec leurs délires Covid ! >> lance t-elle à deux reprises. Clémentine rajoute : << Ça les arrange les confinements. Des troupeaux de moutons inquiets et anxieux se contrôlent beaucoup plus facilement dans des enclos ! >>. Julie vient débarrasser.

Je demande : << Auriez-vous peut-être des toilettes ? >>. Julie me fait un sourire complice. Nous savons très bien où se trouvent les toilettes. C'est juste une façon de l'inviter à m'y rejoindre. Même si ce n'est que quelques instants. Clémentine me fait un clin d'œil. Les filles lâchent les poignets qu'elles me tiennent. Ce qui attire quelques regards intrigués de certains clients. Cet homme d'âge mûr, est il le père, l'amant ou l'ami de ces deux sublimes jeunes filles qui l'accompagnent ? Ces questions que nous devinons encore sur tous ces visages.

Je me lève pour me diriger vers l'escalier qui descend au sous-sol. L'endroit est aussi luxueux et clean que le reste. J'entre dans les toilettes hommes. Debout devant un des deux urinoirs muraux, je sors mon sexe. Je bande mou. Avec Estelle et Clémentine, durant le repas, nous avons évoqué nos aventures. J'étais en érection tout le temps. Sous la table, discrètement, Estelle n'arrêtait pas de me caresser la cuisse. De monter jusqu'à ma braguette. Titiller mes couilles de son index inquisiteur. Je me concentre devant la cuvette en faïence blanche.

J'entends ce bruit de pas dans l'escalier. Depuis plus de trois ans, je le reconnais bien. Julie dévale l'escalier pour me rejoindre. Dans le reflet du carrelage murale, je la vois entrer. Elle se précipite vers moi. << Julien ! >> s'écrie t-elle. Il est extrêmement rare que Julie manifeste ainsi tant d'enthousiasme. << Je suis contente de vous savoir là tous les trois ! >> dit elle encore. Elle est debout à côté de moi. Adorable petit bout de femme d'un mètre soixante dix. Elle regarde mon sexe. Je sais qu'elle n'a que très peu de temps. Il y a son service.

Même si elles sont à deux à assurer le service du restaurant, avec la clientèle nombreuse, il y a tout le temps à courir dans tous les sens. Je me retourne. Je la saisis par les épaules. Elle ne réalise même pas que j'enfonce ma langue dans sa bouche. Je la sens frissonner contre moi. Je suis obligé de la retenir. Je l'embrasse. Va t-elle s'évanouir ? Ce n'est pas la première fois. Nous le faisons quand nous sommes tous les deux cachés dans le placard. Là, les circonstances sont différents. Julie vacille quand je relâche mon étreinte. Elle s'enfuit vers la porte.

Je me masturbe devant l'urinoir. Un autre bruit de pas. Je sais que c'est une femme. Les talons résonnent d'une façon particulière. La porte s'ouvre. C'est Clémentine. Elle se précipite. Clémentine est médium. Son sixième sens est d'une efficacité inouïe. Elle saisit ma queue pour s'accroupir. Il faut rester vigilant. Certaines semelles ne font aucun bruit. Clémentine me suce. Je lui raconte ce qui s'est passé. Elle cesse pour me dire : << Je le savais. Cette fois elle est venue te rejoindre pour te témoigner de tout ce qu'elle ressent de plaisir ! >>.

Il faut garder nos esprits. Je force Clémentine à se redresser. << Je t'aime comme une folle Julien. Je nage perpétuellement en plein délire avec toi ! >> dit elle en m'entraînant par la main. Nous remontons rejoindre Estelle en pleine conversation avec Julie. << A mon tour ! >> dit elle sans me laisser le temps de me rassoir. Elle m'entraîne à son tour. Les regards qui se portent sur nous à cet instant ne sont pas racontables. Estelle et moi nous nous enfermons dans un des deux cabinets. Nos rituel pisseux. Cela dure dix nouvelles minutes.

Lorsque nous remontons, Anne-Marie nous lance un regard amusé. Elle m'adresse un clin d'œil. Nous prenons notre dessert dans un état d'excitation passionnant. Je promets aux filles de m'occuper de leurs cas, ce soir, au lit. Nous avons augmenté la température des radiateurs. Il fera beaucoup plus agréable pour les folies qui nous attendent. L'addition. Julie nous raccompagne jusqu'à la porte. Là, dehors, sur le perron, elle nous tient par les mains. Celles d'Estelle, celles de Clémentine puis les miennes. << Je viens lundi soir ! >> dit elle.

Quelle surprise. En arrivant à la voiture, c'est Anne-Marie qui vient nous rejoindre. << Merci d'apporter un peu d'animation ! J'ai été si contente de vous revoir. Il faut qu'on s'organise un truc ! J'ai votre adresse mail ! >> lance t-elle. Anne-Marie nous serre la main. << Je vous contacte bientôt ! >> rajoute t-elle encore avant de retourner au chaud. Comme promis, je laisse Estelle s'assoir à côté de Clémentine, sur le siège passager. Le risque d'un contrôle de gendarmerie à 22 h30, sur une route communale déserte, est quasi inexistant. Ça caille !

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir de la bite après une soirée restaurant dont les toilettes laissent des souvenirs...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1697 -



Le dernier jour de nos vacances

Hier matin, dimanche, nous renouons avec la grasse matinée. En effet il est plus de neuf heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges. Estelle tient mon érection matinale. Clémentine tient mes couilles. J'ai mes mains dans les culottes à défaire quelques nœuds. A glisser mes doigts entre leurs lèvres. Une fois encore je peux comparer les lèvres charnues de Clémentine à celles beaucoup plus fines d'Estelle. Nous regardons le rectangle gris du ciel par les fenêtres. Estelle se lève d'un bond.

Clémentine se frotte contre ma hanche en me chuchotant des douceurs. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, en slips et en T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Déjà cette délicieuse odeur de café à laquelle se mêle celle du pain grillé. La brioche au pudding trône au milieu de la table. Estelle, en pyjama, me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes elle me couvre le visage de bisous. << Merci pour ces vacances ! C'est merveilleux ! >> s'écrie t-elle. Je la dépose.

Même traitement à Clémentine. Pendant qu'elle presse nos oranges, qu'elle pèle nos kiwis, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur notre soirée, hier, au restaurant. L'attitude de Julie dans les toilettes. L'invitation à nous revoir d'Anne-Marie, sa tante et patronne de l'établissement gastronomique. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de cette seconde semaine de vacances. La présence de Julie avec nous. << Ça me rend toujours triste quant tout s'arrête ! >> dit Estelle.

Le dimanche, pas de sport. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges parlent de leurs études. La rentrée universitaire de demain matin. Comme si elles cherchaient du réconfort, les filles se serrent contre moi. Comme au lit ce matin. C'est émouvant. Je dis : << Pour moi aussi, demain matin, ce sera difficile ! >>. Clémentine me fait plein de bises en mitraille. << Et personne pour te consoler ! Tout seul ! J'aurai une pensée pour toi ! >> fait Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous changer.

Nous nous lavons les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous recevons les parents d'Estelle pour midi. Il est 10 h. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il y a une grande quantité de potée de légumes au réfrigérateur. Nous l'avons préparé vendredi soir. C'est donc en gratin qu'Estelle suggère de la préparer. Un gain de temps. Estelle s'en occupe pendant que Clémentine lave les feuilles d'une belle et grosse laitue. J'évide les tomates. Avec soin.

Deux gros pavés de saumon décongèlent sur le couvercle qui recouvre l'eau bouillante. C'est un couvercle creux qui recueille la glace qui fond. Je prépare une Béchamel. Estelle casse des œufs qu'elle mélange à de la crème fraîche, de la moutarde à l'ancienne. J'émince finement le saumon que je mélange à la Béchamel. J'y rajoute du Gruyère qu'est entrain de râper Clémentine. Je farcis les tomates avec le saumon à la Béchamel. Estelle verse son mélange dans le plat contenant la potée. Elle recouvre d'une belle couche de gruyère.

Au premier étage du four, la potée. Au second les dix tomates farcies. Deux par personnes car elles ne sont pas très grandes les tomates d'hiver. Cuisson lente à 180° afin que notre repas de midi mijote longuement. Nous dressons la table au salon. Estelle ne cesse de me palper la braguette. Clémentine et moi nous tirons bien le chemin de table en lin afin de le centrer. Nous disposons les assiettes et les couverts. Dehors il fait moche, sinistre. Un ciel bas et menaçant. Estelle me prend soudain par les épaules. Elle a quelque chose à me dire.

Clémentine nous observe. D'un ton sentencieux, martelant chacun de ses mots, Estelle dit : << Si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. Un instant de silence. Nous éclatons de rire tous les trois. Je la rassure. Je dis : << Je me conterai de lui montrer ma bite comme je le fais le plus souvent ! >>. Estelle me saisit la braguette de sa poigne ferme en s'écriant : << Salaud va ! >>. Elle s'accroupit. Elle glisse sa main dans ma braguette béante. Fouillant dans le slip elle en extrait la bite molle et odorante du dimanche.

Le dimanche, nous ne prenons jamais de douche. Nous aimons macérer dans nos jus. Notre rituel dominical de la soirée, nous offre alors les saveurs et les miasmes de la journée. J'adore pratiquer le cunnilingus sur leurs cramouilles négligées. Les filles adorent pratiquer la fellation sur ma biroute puante. La "fondue" savoyarde qui se forme entre le prépuce et le gland reste leur dessert préféré des dimanches soirs. La table est mise. Tout est prêt. En montant pour nous changer nous parviennent les effluves parfumées de notre repas de midi. Miam.

Nous faisons notre lit. Il fait froid dans la chambre. Il faut refermer les fenêtres. Nous nous vêtons tous les trois pareils. Jeans propres. Chemises blanches et mocassins. Assises toutes les deux devant le miroir de la salle de bain, je leurs fais une belle natte. Je sais bien tresser les cheveux. Trois parties égales. C'est Christine, mon ancienne compagne disparue qui m'a enseigné. Il y a fort longtemps. Pendant que je m'occupe de l'une, l'autre se lisse bien les cheveux avec une brosse. C'est rapide. << Merci monsieur le coiffeur ! >> fait Estelle.

<< Merci "Maître" ! >> me fait Clémentine. Elles me coiffent à leur tour. Clémentine lisse mes longs cheveux. Estelle me les fixe en catogan avec un ruban de velours verts. << Oh, notre bon "Maître" a de plus en plus de cheveux blancs ! >> lance t-elle. << C'est beau ! >> rajoute Clémentine. Nous prenons des poses suggestives devant le miroir avant de redescendre. Je suis prié de garder ma bite à l'air jusqu'à l'arrivée de nos invités. Ils ne vont d'ailleurs pas tarder car il est déjà 11 h45. Estelle me roule une pelle d'enfer. Je bande rapidement.

Clémentine passe sa main entre nous pour saisir ma queue. Debout derrière moi elle me masturbe doucement en me faisant des bises dans la nuque. Il faut cesser. Nous rions. Le portail est ouvert. Sur l'écran de contrôle de l'interphone, nous regardons descendre mon ancienne Mercedes rachetée par les parents d'Estelle. Nous les accueillons sur le perron de l'escalier. Ils sont vêtus exactement comme nous sous leurs épais anoraks rouges. Nous nous serrons les mains. Estelle se jette dans les bras de son papa puis elle prend sa maman par la main.

Nous rentrons au chaud. Nous voilà confortablement installés à la grande table monastère. Estelle insiste pour faire le service. Je suis en bout de table sur ma chaise médiévale à haut dossier sculpté. A ma droite Clémentine aux côtés de Michèle. A ma gauche Estelle à côté de son papa. Nous savourons ce repas d'une simplicité confondante mais tellement savoureux. Nous bavardons. Yvan nous fait part de leur désir de louer un cottage en Ecosse pour une durée d'un mois. Michèle nous confie à quel point ils sont tombés amoureux de ce pays.

Ce sera l'été prochain. << A moins que l'interdiction de circuler et que les libertés aient été totalement supprimées ! Avec les individus qui dirigent ce pays, il faut s'attendre à tout. Surtout au pire ! >> lance Yvan. << On les sent venir pour les fêtes de fin d'année. Ça sent d'ailleurs très fort un enfoiré. Même au travers d'un écran de télévision ! >> rajoute Michèle. Nous rions beaucoup en dégustant le gratin de légumes et les tomates farcies. Estelle me fait du pied sous la table à chaque fois que je m'adresse plus particulièrement à Michèle.

Elle surveille d'ailleurs les regards de sa mère autant que les miens. Clémentine aussi me fait du pieds sous la table. Yvan est un charmeur. Un séducteur. Les parents d'Estelle sont un couple magnifique. Michèle est une belle bourgeoise de 48 ans. Elle ressemble bien plus à la grande sœur d'Estelle qu'à sa maman. Nous traînons à table. Estelle insiste pour s'occuper de tout. C'est le prétexte pour éviter que je ne me retrouve seul avec Michèle à la cuisine. Mais pendant qu'Estelle débarrasse, Michèle me lance des regards par en-dessous. Génial.

Nous prenons notre dessert. Une tarte aux pommes qu'ont ramené Michèle et Yvan. << Une tarte faite "maison" ! >> précise la maman d'Estelle. Il est 14 h30 quand nous attaquons la vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. A chaque fois que nous nous croisons, Michèle me lance un regard de braise. Cette femme me fait bander comme un salaud. Dans mon fantasme de vieux pervers libidineux, j'imagine Michèle, Juliette et Anne-Marie se livrant aux turpitudes que génère mon imagination d'homme de Néandertal déviant et vicelard.

J'adore aussi les belles bourgeoises d'âge mûr. Surtout quand elles sont aussi "craquantes" que ces trois connaissances. Je découvre les regards très suggestifs que lance Yvan à Clémentine. Dommage qu'Estelle ait placé des interdits bien compréhensibles. Bien légitimes surtout. Ce sont quand même ses parents. << Un peu de retenue "queue" diable ! >> dit elle souvent lorsque nous évoquons nos relations. Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Nous montons vers le portail. Estelle reste au bras de son papa. Ils ouvrent la marche.

Je suis entre Clémentine qui me tient par le bras et Michèle qui marche à ma droite. Il fait froid. Le vent est tombé. Le sol du chemin forestier est recouvert de feuilles dont certaines sont déjà pourrissantes. Nous bavardons en marchant. La terre pierreuse permet d'avancer au sec. Il faut juste éviter de quitter le chemin. Nous faisons une boucle d'une heure et demi. C'est fort plaisant. La présence de Michèle à mes côtés est parfois troublante. Clémentine qui sait toujours tout, me pince souvent le coude pour me confier sa complicité amusée.

Il est 17 h quand nous revenons. Un bon thé et le reste de la tarte nous attendent. J'allume le feu dans la cheminée. Le craquement du bois accompagne nos conversations. Je vais aux toilettes. Quelle n'est pas ma surprise. En sortant, il y a Michèle qui regarde le grand tableau ancien accroché au mur. Elle attend son tour. C'est la seule occasion de se retrouver seuls. Elle fixe ostensiblement ma braguette. Depuis le salon nous entendons les rires. J'ouvre ma braguette. Je sors ma queue. Michèle s'accroupit. Elle me fixe de ses yeux bleus délavés.

Je bande rapidement. Il faut rester d'une prudence de Sioux. Pas question d'aller au-delà. Michèle se redresse. << Quand même ! Nous avons réussi ! >> murmure t-elle en entrant dans les toilettes. Je la laisse. Je referme ma braguette juste à temps. Estelle. La coquine vient contrôler. Son prétexte est de chercher une carafe d'eau à la cuisine. << Viens avec moi, vieux vicieux ! >> me dit elle. A la cuisine, d'une main elle touche ma bosse, de l'autre elle me met une gifle. << Tu ne l'as pas volé vieux satyre ! >> dit elle avant de m'embrasser.

Nous retournons au salon. Michèle arrive à m'adresser quelques regards suggestifs durant nos papotages. Yvan drague quelquefois ouvertement Clémentine lorsqu'il a l'occasion de ne bavarder qu'avec elle. Il est 18 h30. Nous raccompagnons Yvan et Michèle jusqu'à leur voiture. Il fait nuit. Il fait froid. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. << Dis moi la vérité, vieux cochon, comment tu t'es démerdé pour montrer ta bite à ma mère ? Parce que je suis sûre que tu l'as fait ! >> dit Estelle en empoignant ma braguette avec force.

Je lui raconte tout. Clémentine dit : << Ton père, c'est aussi un sacré coco ! Tu as vu comme il me drague ! >>. Estelle se met à rire : << Vous êtes un couple de vicelards ! >> . Nous rigolons comme des bossus. Clémentine rajoute : << Ce qui explique pourquoi tu ne nous quitte pas d'un poil de couilles, vicieuse ! >>. Estelle nous entraîne dans une farandole folle dans tout le salon. Il suffit de réchauffer le reste du gratin avec une bonne omelette. De préparer une rapide salade d'endives. Voilà notre repas du soir que nous dégustons avec plaisir.

<< La bouffe, le cul, les plaisirs immédiats ! Voilà nos soucis ! >> lance Estelle avant de lâcher un rot sonore que ne désavouerait pas un vieux grognards. Nous sommes pliés de rire. Quand elles étaient adolescentes, Clémentine et Estelle se lançaient dans d'omériques concours de rots. Elles m'en font quelquefois la démonstration. La vaisselle. Au salon, les filles m'offrent leurs chattes. A genoux sur les épais coussins, je passe de l'une à l'autre pour prendre mon dessert du dimanche soir. Les orgasmes sont sublimes. 22 h. Estelle s'en va.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font lécher, brouter et sucer pour célébrer dignement la fin des vacances de la Toussaint...

Julien (Maître lécheur)



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1698 -



C'est la rentrée

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Le cri des mouettes. La sirène d'un gros bateau quelque part dans le lointain. Le clapotis des vagues. Le ressac contre les rochers. L'impression de se réveiller au bord de la mer. L'application "océan" nous berce quelques instants de ses illusions. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Nous nous étirons. Il faut se lever. << Comme c'est dur ! >> murmure Clémentine. C'est moi qui l'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Finies les grasses matinées. Je dis : << Aujourd'hui, il y a école ! >>.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sports, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la journée de hier. La présence des parents d'Estelle, nos folies de la soirée quand ils sont repartis. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Julie ce soir. Nous avons commandé de délicieuses feuillantines de saumon, des tourtes au crabe pour mardi midi.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Nous essayons d'y mettre toute l'intensité possible. Il faut absolument nous réveiller complètement. Le retour au calme se fait avec un stretching. Même en nous concentrant, il est un peu bâclé. La douche. Je descends le premier pour aller sortir la voiture. Il fait froid. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint emmitouflée dans son anoraks. Capuche sur le bonnet. Ses gants. Bottines fourrées.

Un dernier bisou. Je la regarde monter le chemin jusqu'au portail. Un dernier coucou. L'auto disparaît dans le jour naissant. Je me dépêche de rentrer au chaud. Le thermomètre extérieur indique 1°. Le froid hivernal pour un 8 novembre. Je fais la vaisselle. Je fais le lit. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette en chantant "Au près de mon arbre" de Georges Brassens. La passion m'anime déjà.

J'attaque ce matin la seconde nature morte destinée à ma saison 2022. Je peins dans un enthousiasme qui me fait pousser des cris surréalistes. Je suis tellement heureux de retrouver la passion dévorante de la création. La matinée passe avec une rapidité qui me laisse pantois. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer le reste de potée de légumes. Je me prépare une salade de tomates. Je fais rissoler un beau filet de limande avec de l'ail, de l'oignon, des champignons.

Je mange d'excellent appétit en écoutant Sud Radio. Les bons mots ainsi que les pertinences d'André Bercoff m'amusent beaucoup. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je descends à toute vitesse pour enfiler mon anorak. Je sors. Le thermomètre extérieur indique 7°. C'est sous le bonnet, avec les gants, que je descends jusqu'à la rivière. Le froid ne semble en rien affecter la vie des canards, des poules d'eau, des colverts. Les deux hérons cendrés, sur leurs fines pattes d'échassiers, restent immobiles sur un rocher au-dessus de l'eau.

En marchant sur l'étroit sentier, je fais un vague bilan de ces deux semaines de vacances passées. Je suis pétri d'émotions. Que serait ma vie sans la présence de Clémentine ? Sans la présence d'Estelle ? Je suis soudain pris d'effroi à cette idée. Je prends pleinement conscience de tous mes privilèges. Il est 13 h15. Je reviens sur mes pas pour remonter le chemin. Je rencontre notre voisin. Monsieur Bertrand va nourrir les canards. Il suspend des boules de graisses contenant des graines aux branches bordant la rivière. Nous bavardons un peu.

Lui aussi est surpris par ce froid bien précoce. << Il vient nous baratiner à la télé demain soir notre humoriste ! >> lance t-il. Clémentine et moi, nous ne regardons jamais la télévision. Comme le précise souvent Clémentine, le jour où nous regarderons la télévision sera le moment de nous quitter. En attendant nous avions bien d'autres choses à faire en soirée. Monsieur Bertrand évoque les vacances de fin d'année. Avec sa femme ils iront passer quelques jours chez son frère à Sarlat, dans le Périgord noir. Nous nous saluons. Je me dépêche de rentrer.

Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je regarde les deux bûches que je viens de mettre dans la cheminée. La morsure des flammes les attaque déjà. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Il est déjà 17 h 20. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Gauvain, le jeune étudiant qui drague toujours un peu Estelle après le dessert. Nous rions.

Clémentine a encore du travail. Le crépuscule arrive. Elle est assise devant l'ordinateur. J'aime l'entendre commenter ce qu'elle fait. Mettre au propre les notes prises à la hâte. Classer quelques documents tirés sur l'imprimante. Il est 18 h. << Ras-le-bol ! >> lance Clémentine qui range ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Couchée sur le dos, sa tête sur ma cuisse. Clémentine savoure ce moment de "passage". Nous restons ainsi dans le canapé. Je caresse ses cheveux. Je passe le bout de mes doigts sur ses joues. Délicatement.

Les yeux fermés, Clémentine murmure : << Je t'aime Julien. Je suis tellement heureuse. Aujourd'hui j'ai été assaillie par plein d'images de nos vacances ! >>. J'écoute. Je regarde les traits fins de son visage. Je suis envahi de bonheur. Soudain, un bruit sourd au-dessus de nos tête. << Christine ! >> s'écrie Clémentine en ouvrant les yeux et en saisissant mon poignet. Nous avions totalement oublié le fantôme de mon ancienne compagne disparue. Nous écoutons. Il y a un second bruit. Fort. Puissant. Impossible de le situer. Il provient de l'étage.

Quelqu'un se met à marcher. C'est comme une errance. Nous frissonnons tous les deux. Nous avions perdu l'habitude de cette présence. << En général, les manifestations commencent fin octobre ! >> chuchote Clémentine. Tout cesse aussi soudainement. Le silence est total. Peut-être plus effrayant encore que les bruits de l'au-delà. Clémentine se redresse pour s'assoir à califourchon sur moi. Elle se frotte doucement. << Christine va passer l'hiver avec nous ! >> dit elle. Je réponds : << Elle aimait tant cette maison ! >>. La musique de mon téléphone.

Clémentine se lève pour le récupérer sur la desserte. << Julie ! >> lance t-elle en me prenant la main. Nous quittons l'atelier pour aller accueillir Julie. Elle est frigorifiée sur le pas de la porte en haut de l'escalier. Nous enfilons nos anoraks pour aller récupérer les repas commandés dans sa voiture. Nous la tenons tous les deux par le bras. Petit bout de femme toute heureuse d'être à nouveau là. Je récupère la grosse boîte isotherme. Clémentine récupère le grand sachet qui contient nos salades. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud.

Nous nous débarrassons de nos anoraks pour aller à la cuisine. Il y fait bon. Je rajoute deux bûches dans la cuisinière à bois. Julie est radieuse. << Je n'ai pas arrêté de penser à notre semaine ensemble ! Aujourd'hui, en cours, j'avais plein d'images, comme des flashs ! >> raconte t-elle. << Pareil pour nous ! >> répond Clémentine. Il est 18 h35. Nous mettons les couverts et les assiettes. Inutile de préparer quoi que ce soit. Le repas est bien au chaud dans sa boîte. Sur la demande de Julie, nous retournons dans l'atelier. Sa pièce préférée.

Julie est assise devant le chevalet. Elle contemple mon travail. Clémentine reste blottie contre moi. Elle pose sa main sur ma braguette. Je reste braguette ouvert toute la journée. C'est une vieille habitude prise jadis avec Christine. Je vois le regard furtif de Julie passer de la toile à la main de Clémentine. Julie, assise sur la chaise, les mains entre ses genoux, nous regarde soudain pour dire : << Je voudrais passer plus de temps ici, avec vous. C'est trop bien. C'est comme une thérapie ! >>. Clémentine se penche pour lui déposer une bise sur le front.

Je fais pareil. Je suis debout derrière elle. Mes mains sur ses épaules. Je réponds aux quelques questions que pose Julie quand à la peinture. Clémentine me sort le Zob. Je bande mou. Lorsque Julie se retourne avant de se lever, elle découvre la scène. Confuse, gênée, elle détourne le regard. Cette attitude de jeune fille m'émeut bien plus qu'elle ne m'excite. Je prends Julie par la main pour l'emmener devant son tableau. Il sèche depuis vendredi dernier. Elle pourra le récupérer vendredi prochain. Je la félicite pour son talent. Je dis : << Vous avez un don ! >>.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine tient ma bite à sa base. Entre le pouce et l'index. Elle l'agite en direction de Julie. C'est la toute première fois en trois ans que Julie dit à voix basse : << Je viens aussi pour "ça" ! >>. Elle prend un air triste pour prononcer ces mots. Nous éclatons soudain de rire. Tous les trois en même temps. << Parmi les réminiscences de tes vacances, il y avait aussi des images de ce genre ? >> demande Clémentine, espiègle. Julie éclate de rire pour répondre : << Surtout ! >>.

Cette jeune fille de vingt ans, si souvent secrète, réservée et timide, semble depuis quelques temps sortir de sa "coquille". Clémentine ôte les opercules sur les bacs contenant nos salades. Je sors les feuillantines au saumon encore très chaudes de la boîte isotherme. Je dis : << Chère Julie, même commande pour lundi prochain. Paiement par carte bleue ! >>. Julie lance : << C'est noté ! >>. Nous voilà installés à table. Nous savourons ce repas à double titre. La qualité de la cuisine du "Chef" du restaurant de l'étang, la présence de notre amie.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre soirée, vendredi dernier, au restaurant. Je félicite Julie pour sa tenue de serveuse. << Tu es hyper sexy tu sais ! >> dit Clémentine. Julie est toute confuse. Elle le sait bien. Elle ne joue pas. Elle est sincère. Clémentine rajoute : << On s'offre une soirée "serveuse". Tu veux ? Tu t'habilles comme pour faire le service. On joue ici ! >>. Julie ouvre de grand yeux. En évitant mes regards, elle répond : << Jeudi, c'est jour férié. Je ne bosse pas la soirée du mercredi ! >>. Nous nous consultons du regard.

Julie rajoute : << Je viens pour 19 h. Je reste avec vous. Et je fais le "service" chez vous en soirée. Je dors là et je reste jusqu'au jeudi soir ! Je peux ? >>. Clémentine se lève. Elle dépose plein de bisous sur le front de Julie. Je me lève pour agiter ma queue dans sa direction. Clémentine lance : << Ce sera une magnifique soirée. Un week-end fabuleux en pleine semaine ! >>. Le jeudi 11 novembre est un jour férié. Nous voilà bien décidés à inscrire celui de 2021 dans nos souvenirs les plus intimes. Julie ne peut dissimuler son bonheur.

Nous traînons à table. Je dis : << Il faudra juste annuler la soirée avec Juliette ! >>. Clémentine rajoute : << A nous d'annuler cette fois. On sera quitte ! >>. Julie s'empresse de lancer : << Si elle vient, je ne viens pas ! Je ne veux pas gâcher vos soirées ! >>. Nous rassurons Julie. Nous allons tout organiser. Julie rajoute : << Je vous promets de belles surprises et un service impeccable! >>. Nous rions comme des fous quand Clémentine fait encore : << Par contre, chez nous, les toilettes ne sont pas au sous-sol ! >>. Nous sommes pliés de rire.

Je me lève souvent pour agiter mon sexe en direction de Julie. Si elle fuit mes regards insistants, elle observe mes agissements avec grand intérêt. Lorsque je lui propose de m'accompagner aux toilettes, elle me regarde pisser comme si c'était la première fois. Clémentine se masturbe en regardant Julie me tenir la bite pour en diriger le jet. Tout cela nous rappelle les premières fois avec Estelle il y a plus de quatre ans. Il est 22 h. Nous raccompagnons Julie dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. << On se voit mercredi ! >> dit elle moins triste.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment mettre au point les scénarios de leurs prochaines folies...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1699 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, il est presque six heures. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. L'illusion de se réveiller en bord de mer est parfaite. Le cri des mouettes, le bruit des vagues. Chaque jour c'est légèrement différent. Sans doute pris sur le vif. Clémentine se serre contre moi. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. A la cuisine, j'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges.

Je pèle nos kiwis. L'odeur du pain grillé et des deux croissants réchauffés au micro onde embaume toute la grande pièce. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. La présence de Julie. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée qui nous attend mercredi. << C'est déjà très excitant rien que d'y penser ! >> lance Clémentine. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, retour au calme avec un bon stretching.

La douche. Je descends pour aller préparer l'auto. La faire chauffer un peu dans le froid de la nuit glaciale. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Sous sa chapka, ses gants épais, elle est toute frigorifiée. Un dernier bisou. Il est presque 7 h45. Je la regarde partir. Un dernier cou. Elle revient pour midi comme tous les mardis. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle, je fais notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je dispose quelques châtaignes dans la poêle trouée posée sur la crémaillère.

Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le grand café" de Charles Trenet. La peinture de cette seconde nature morte destinée à ma saison 2022 m'accapare rapidement, totalement. Je peins dans cette sorte d'euphorie laissée par Clémentine ce matin. Il est dix heures quand la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer dans la poche de ma blouse. Je l'en sors en maugréant. C'est Juliette. Une fois encore, elle s'excuse de ne pouvoir venir mercredi soir. J'écoute avec attention.

Il y a un contrôle sanitaire impromptu l'après-midi. Avec présence du vétérinaire et d'un inspecteur départemental. Je rassure Juliette. C'est la seconde fois qu'elle est obligée d'annuler en catimini. C'est partie remise pour mercredi 17 novembre. Nous passerons faire un coucou dimanche en fin d'après-midi. Nous bavardons encore un peu avant de nous saluer. Bien évidemment, je n'ai pas évoqué la soirée de mercredi avec Julie, son ancienne amante. Je suis toutefois soulagé. La fatalité fait très bien les choses. Je ne suis pas obligé d'annuler.

Je peins dans une sérénité qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Des hurlements de dément. Les circonstances font toujours si bien les choses dans ma vie. Il est presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je mets deux bûches dans la cuisinière à bois. Je prépare une salade de carottes avec du choux blanc. Je réchauffe les deux tourtes au crabe ramenées hier soir par Julie. Il est 12 h25 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou en s'écriant : << Je t'aime toi. Et comme une folle ! >>.

Je la soulève pour la faire tourner. Elle a le bout du nez tout froid. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. La sonnerie du four. << Comme c'est bon. Je n'ai qu'à mettre les pieds sous la table ! >> dit elle en se lavant les mains au-dessus de l'évier. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Je lui raconte le coup de téléphone de Juliette. << Génial ! Tout se fait sans problème. Nous ne sommes pas obligés de prendre l'initiative d'annuler sa venue puisque les circonstances le font ! >> lance t-elle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie avoir quelques idées de scénarios pour demain soir. << J'en ai parlé rapidement à Estelle ce matin, elle propose de filmer la soirée ! >> fait encore Clémentine avant de rajouter : << On en parle ce soir. Estelle nous rejoint pour 18 h30 ! >>. Je trouve cette idée très amusante. Julie n'est absolument pas contre ce genre d'initiative. Nous avons déjà tournée un film au mois de juin. Un film "bondage" qui la mettait en scène, attachée et ficelée.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. La pâte feuilletée a décongelé. Nous lavons et coupons les poireaux. Je prépare une Béchamel pendant que Clémentine plonge le poireau dans l'eau bouillante. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, de faire des "plans" pour mercredi soir. J'étale les deux tiers de la pâte dans un grand plat à tarte aux bords hauts. Clémentine égoutte le poireau. Elle le verse dans la Béchamel. Je rajoute une montagne de gruyère de Comté râpé. On dépose le tout sur la pâte étalée. Clémentine répand avec soin.

Je recouvre du dernier tiers de pâte. Clémentine badigeonne le mélange œuf, fromage blanc et moutarde à l'ancienne sur le dessus. Au four. Cuisson à 180° pour que la Flamiche Picarde mijote longtemps. Cette tourte aux poireaux fera les délices de notre repas de ce soir. Nous montons nous laver les dents en déconnant. C'est encore géniale d'être ensemble. Pressés de nous aérer un peu, nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 8°. Nous marchons dans le froid. Nous descendons jusqu'à la rivière.

Clémentine reste serrée contre moi. Nous regardons la danse des poules d'eau, des colverts et des canards. Monsieur Bertrand, notre voisin, a aménagé des abris accrochés dans les branches. De petites maisons en bois qu'il a confectionné. A chacune pendent des boules de graisses contenant des graines. Il y a donc quantité d'oiseaux qui ont colonisé l'endroit. C'est magnifique. Nous longeons la rivière. Un léger vent du Nord contribue à cette sensation de froid intense. Nous nous arrêtons souvent pour nous embrasser. Nous chuchoter des douceurs.

<< Je me suis encore masturbée dans la voiture en rentrant. Mais je te promets, je roule doucement et je fais très attention. De toute façon je n'ai croisé que deux autos sur les 15 km ! >> me dit Clémentine en s'accrochant à moi. Nous rions de bon cœur. Clémentine a encore du travail. Nous prenons le sens du retour. En remontant le chemin qui mène à notre propriété, nous tombons sur monsieur Bertrand. Son sachet contenant du vieux pain à la main. Nous bavardons un peu. Louis évoque la livraison du fioul qu'il attend pour vendredi.

<< Vous venez prendre le café un de ces vendredis après-midi ? >> lui demande Clémentine. Le vieux salaud cache parfaitement sa joie pour répondre : << Mais avec plaisir. Même si je n'ai jamais trop de temps, je me ferai une joie ! >>. Il ne sait évidemment pas que je suis parfaitement informé. Caché dans le placard, le plus souvent avec Julie, j'assiste à ses perversions avec ma compagne. Salaud va ! << Je vous ferai signe ! >> lui dit encore Clémentine. Nous le laissons pour aller remplir la grande corbeille d'une dizaine de bûches de hêtre.

Nous rentrons au chaud. Quelques bûches à côté de la cuisinière. Quelques bûches à côté de la cheminée de l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur. Je suis installé devant mon chevalet. Nous adorons ces après-midi de travail, l'un près de l'autre. J'adore entendre Clémentine chantonner entre deux choses. J'adore l'entendre commenter ce qu'elle fait. Lancer des anathèmes contre le professeur de mathématiques. Parfois, l'un se lève pour aller faire des bisous à l'autre. Lui murmurer des cochonneries à l'oreille. Des douceurs aussi.

L'après-midi passe très vite. Il est déjà 18 h30 quand Estelle jaillit dans l'atelier comme un ouragan. J'anticipe immédiatement en posant ma palette et mes pinceaux sur la desserte. Estelle se précipite. Assise sur mes genoux, elle nous raconte son après-midi à faire comme Clémentine. Travailler, réviser et préparer. Clémentine range ses affaires pendant qu'Estelle compare leurs écrits. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 19 h45. Nous sommes assis tous les trois sur des poufs devant la cheminée. Juste la lueur des dernières flammes.

Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd. Impossible de le localiser. Estelle et Clémentine se serrent encore plus fort contre moi. << Oh put-hein ! Ça faisait longtemps ! >> s'écrie Estelle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. << Ça a recommencé hier soir ! >> précise Clémentine. << Tu as fais le rituel ? >> me demande Estelle. Je réponds : << Non ! Mais je vais le faire jeudi soir. Il faut que ce soit un jour 11 ! >>. Estelle fait : << On le fait ensemble, tous les trois. Afin que le fantôme de Christine soit rassuré et tranquille ! >>.

Nous écoutons l'entité errer à l'étage. Les gonds de toutes les portes sont soigneusement graissés. Pourtant ils grincent comme dans un film d'épouvante. Des bruits de pas, de meubles que l'on déplace. C'est toujours très impressionnant. Cette grande demeure du XIXème siècle est hantée. Elle l'était déjà du vivant de Christine. Mais là, depuis sa disparition il y a dix ans, je sais que c'est elle. Le phénomène ne dure jamais plus de quelques minutes. Des minutes qui semblent très longues. Nous écoutons. Je suis entre mes deux anges. Tout cesse.

<< Put-hein, ça me donne faim ! >> lance Estelle qui se lève d'un bond. Comme nous le faisons le matin pour nos exercices aérobics, elle se met à sauter sur place. Jambes écartées, bras levées. Nous nous levons pour l'imiter. Ça devient très vite une nouvelle pitrerie. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Wouah ! Miam ! De la Flamiche Picarde ! >> lance Estelle en découvrant la tourte aux poireaux dans le four. Clémentine prépare la salade. Estelle met les assiettes et les couverts. J'en profite pour glisser ma main entre ses cuisses.

<< Par derrière, le fourbe ! >> lance Estelle avant de se retourner pour chercher mon Zob au fond de mon slip. Elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Je bande évidemment très vite. C'est au tour de Clémentine. La sonnerie du four. Estelle enfile les maniques avant de sortir la tourte du four. Une Flamiche magnifique, dorée à point, fumante et parfumée. Estelle prend toujours une photo. Elle nous confie posséder plus de 100 clichés de nos tourtes. Nous rions de bon cœur. Nous voilà confortablement assis à table. C'est un vrai délice.

Tout en mangeant de bon appétit, nous évoquons la soirée de mercredi. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Elle propose de filmer notre soirée. << J'ai déjà fait un texto à Julie. Elle n'a pas encore répondu ! Elle va aimer être filmée ! Sûre ! >> lance t-elle. Je suis debout. J'agite ma bite en direction de mes deux anges. Elles envisagent un scénario plus sérieux que les autres. J'écoute. C'est impressionnant deux jeunes filles qui échafaudent un plan super vicelard. Je me lève pour me branler à l'aise.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles fignolent leur projet "cinématographique". Estelle, tout en parlant, me tord la queue dans tous les sens. Vers le bas, en érection, c'est presque douloureux. Elle le sait bien la coquine. Aussi c'est vers le bas qu'elle contraint mon Zob. Je propose un bon léchage de minou au salon. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 20 h45. Au salon, toutes les deux culs nus, vautrées dans le canapé, elles m'offrent mon dessert en continuant de parler "film".

L'orgasme d'Estelle la fait crier de plaisir. L'orgasme de Clémentine la fait hurler. Un orgasme pisseux de "femme fontaine". C'est un spectacle hallucinant. Impossible de s'y habituer. Ce n'est pas un acte volontaire. Clémentine a souffert de ce phénomène toute son adolescence. Je la torche soigneusement avant de jeter le mouchoir en papier dans la cuvette en plastique emplie aux deux tiers. Nous reprenons nos esprits. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Elle revient demain soir. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud.

Bonne soirée à toutes les coquines qui, après s'être fait lécher, sucer, vont pouvoir déguster une bite au lit avant de s'endormir...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1700 -



Julie vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, mercredi, l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Elle le fait en nous berçant de ses illusions habituelles. Le cri des mouettes, strident, le bruit des vagues, du ressac contre les rochers. Clémentine se serre contre moi. Il est presque six heures. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, j'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Ça prend très vite. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les cunnilingus de la soirée de hier. << Je ne me lasserai jamais de cette douceur ! >> me fait Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée qui nous attend aujourd'hui. La présence de Julie qui reste avec nous jusqu'à vendredi en fin d'après-midi. Comme il y a le "pont" du 11 novembre, ce sera un week-end prolongé. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Ce matin encore, nous en avons vraiment besoin pour émerger complètement.

Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Méthodique et avec une intensité maximale. Retour au calme avec un stretching que nous tentons de faire le mieux possible. La douche. Je descend pour aller faire chauffer la voiture. Emmitouflée dans son anorak, sous sa chapka, Clémentine vient me rejoindre dans la nuit glaciale. Il est presque 7 h45. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter le chemin. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle. Je fais le lit. Je vais dans l'atelier.

Qu'il est agréable d'allumer un bon feu dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette seconde nature morte destinée à ma saison 2022 est rapidement un autre plaisir. Je peins en ayant parfaitement conscience que mon existence est une succession de plaisirs. Quand j'étais bébé, la bonne Fée ne s'est pas seulement penchée sur mon berceau, mais elle a probablement passé la nuit avec moi. La matinée passe encore à une vitesse vertigineuse. La passion.

Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je mets également deux bûches dans la cuisinière. Je réchauffe la dernière portion de tourte aux poireaux. Je me fais une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff et son invité reviennent sur le discours présidentiel de hier soir. Comme nous ne regardons pas la télévision, j'apprends tout cela avec une certaine consternation. Peut-on avoir tant de mépris pour une nation qui vous a élu ? Je débarrasse pour faire la vaisselle. Il est 12 h45.

Je monte me laver les dents. Pressé de prendre l'air, j'enfile mon anorak. Il fait froid. Le thermomètre extérieur indique 7°. Je descends jusqu'à la rivière. Je la longe sur l'étroit sentier. Il y a ce léger vent de Nord qui participe de ce climat polaire. En revenant, je tombe sur monsieur Bertrand. Notre voisin qui va nourrir ses emplumés. Surtout les canards dont il aime vanter les mérites. Lui aussi m'entretient de l'allocution présidentielle. Son ressenti est identique au mien. << En d'autres temps, il y aurait eu une révolution ! >> lance t-il. Rires.

Nous sous saluons. Me voilà bien au chaud dans l'atelier. L'odeur des braises se mêle à celles des châtaignes. Comme il est agréable d'être confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes pensées que ce matin. Je ne redoute qu'une seule chose. C'est que ce temps ne passe pas aussi vite. Pourtant, une fois encore l'après-midi s'écoule à mon insu. Il est 17 h30 quand Clémentine revient de cours. Elle pose son cartable sur la table. Elle sautille autour de moi dans toute la grande pièce. Elle me saute au cou.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Fini jusqu'à lundi ! Je veux m'occuper de toi, de nous deux ! >> lance t-elle en me couvrant le visage de bisous. Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur. J'aime l'écouter chantonner ou commenter ce qu'elle fait. Il est 18 h. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Cette toile sera terminée vendredi en fin de matinée. Du bruit. C'est Estelle qui entre dans l'atelier en sautillant dans toute la grande pièce.

Elle se précipite. Assise sur mes genoux, elle évoque ce week-end prolongé qui nous attend. Clémentine range ses affaires. Les filles comparent leurs travaux avant d'éteindre l'ordinateur. Nous restons assis sur les poufs en contemplant la danse des dernières flammes. Toutes les lumières éteintes le spectacle est toujours magnifique. Intemporel. Les filles restent serrées contre moi en parlant de leurs études. Soudain, nous prenant par surprise, le bruit d'une porte qui claque. Le bruit sourd qui s'en suit provient de l'étage.

<< Christine ! >> font mes deux anges en même temps. Se serrant encore plus fort contre moi, elles retiennent leurs respirations. Nous écoutons. Ce soir les errances de l'entité au-dessus de nos têtes paraissent sans but. Les pas semblent traînants et hésitants. Tout cela ne dure que quelques minutes pour cesser aussi soudainement. Dans un dernier fracas inexplicable qu'il est impossible de localiser. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève pour le récupérer sur la desserte, entre mes tubes de peintures et les pinceaux.

<< Julie ! >> lance t-elle simplement. Nous nous levons en même temps. << Sors ta bite ! >> s'écrie Estelle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. C'est en riant comme des fous que nous quittons tous les trois l'atelier. Nous accueillons Julie emmitouflée dans son anorak. Elle pose son sac de sport à côté de celui d'Estelle dans le hall d'entrée. Elle nous fait la bise. << Comme je suis contente ! >> dit elle avec le bout du nez tout froid. Nous enfilons nos anoraks pour aller récupérer la grande boîte isotherme dans sa voiture.

Clémentine prend le sachet contenant nos salades. Nous rentrons vire rejoindre Estelle et Julie dans la cuisine. Il y a fait bien chaud. Il est presque dix neuf heures. << Je reste avec vous jusqu'à demain 11 h. Je vais manger avec mes parents. Je reviens pour 14 h jusqu'à vendredi 18 h ! >> lance Julie toute contente. Clémentine lui fait une bise sur le front en disant : << C'est génial ! >>. Estelle fait pareil en disant : << C'est super ! >>. Je fais la même chose en disant : << Nous sommes aussi heureux que vous Julie ! >>. Il fait faim .

Dans leurs sacs de sport, Julie et Estelle ont emmené de quoi se changer pour les prochains jours. Je propose aux filles de monter se préparer pendant que je m'occupe du repas. << Je reste avec toi, on se change plus tard ! >> me dit Clémentine qui me prend par le bras. Julie fixe ma braguette béante avec beaucoup d'attention. Elle n'ose pourtant pas soutenir mon regard. J'adore sa timidité et sa réserve. Estelle entraîne Julie par le bras. Elles montent toutes les deux en riant. Clémentine m'embrasse avec fougue. << Je t'aime ! >> dit elle.

Nous mettons les assiettes et les couverts au salon. En tirant bien le chemin de table en lin écru, Clémentine me fait : << Sois super vicieux ce soir. Je veux de l'émotion, du salace et du cochon ! >>. Je promets de faire de mon mieux. Nous rigolons comme des bossus. Je sors les tartelettes aux fruits de mer de la grande boîte ramenée par Julie. C'est encore très chaud. J'y laisse les friands de saumon pour demain. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant nos salades. Nous sommes au salon. Nous allumons la grande cheminée.

<< Bonsoir ! >>. C'est la voix d'Estelle. Julie et Estelle se tiennent par la main. Leurs silhouettes se détachent dans l'encadrement de la porte. Elles sont hyper sexys. Julie est vêtue exactement comme au restaurant lorsqu'elle fait la serveuse. Sa jupe courte de velours noir. Son chemisier blanc aux manches bouffantes. Le petit tablier de dentelles en demi lune noué autour de la taille. Ses bas noirs. Ses souliers fermés à talons hauts. Estelle est en jupe kilt, chemisier blanc sous un fin pull de coton noir. Ses escarpins noirs avec la petite sangle.

<< Wouah ! Vous êtes "craquantes" toutes les deux ! >> lance Clémentine qui m'attrape par la main. << On monte se changer ! >> rajoute t-elle en m'entraînant par la main ! Clémentine s'habille très exactement comme Estelle. Sur sa demande, je porte mon costume strict, noir, avec une chemise blanche et une cravate. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> chuchote Clémentine en m'entraînant devant le grand miroir de l'armoire. Elle s'accroupit devant moi. D'une main adroite, elle sort mon Zob. Il pend magnifiquement sur le tissu noir.

Nous descendons rejoindre les filles au salon. Elles sont toutes les deux devant l'ordinateur. << On tente de connecter le téléphone à Julie ! >> explique Estelle. Julie est penchée en avant, ses coudes posés sur le bureau. Clémentine me montre son cul ainsi présenté. Julie est beaucoup plus petite que nous avec son mètre soixante dix. Ses talons hauts la grandissent un peu mais comme Estelle et Clémentine portent les leurs, le gain est nul. En me penchant, je vois les bas fixés au porte-jarretelles. C'est de toute beauté. C'est magnifique.

J'ai soudain la conviction que cette position est voulue. << Ça marche ! >> lance Estelle. Sur l'écran nous découvrons les images contenues dans le téléphone de Julie. Nous reconnaissons les toilettes en sous-sol du restaurant de l'étang. Soudain, là, à l'écran, Julie. Elle est vêtue dans le film comme maintenant. Sa tenue de serveuse. Nous retenons nos respirations. Julie commente les images : << Je me mets en scène pour de petites choses amusantes. Vous êtes les premiers à voir mes secrets ! >>. Là, sur l'écran, Julie glisse une main sous sa jupe.

Elle se touche en regardant l'objectif de son téléphone. Ce qu'elle dit est incompréhensible. << Le son n'est jamais bon parce que les toilettes ont une résonance désagréable ! >> précise t-elle. Nous découvrons ces images avec une surprise grandissante. Je bande avec une immédiateté douloureuse. Le film ne dure qu'une vingtaine de seconde. Il y en a un autre. Julie, toujours en tenue de soubrette, accroupie devant l'objectif de son téléphone. Cuisses largement écartées qui se doigte. Elle se met à quatre pattes pour montrer son petit cul.

Quelle surprise. Elle porte un plug anal. Les prismes du "diamant" bleu miroitent de mille feux. << Tu fais ça où ? >> demande Estelle qui se touche. << Dans les toilettes, dans la réserve, parfois en haut quand la salle est vide ! >> répond Julie. Je me masturbe doucement. Tout comme Clémentine. Julie est toute contente de l'effet que ces images produisent sur nous. Je la félicite. Clémentine dit : << Tu es géniale Julie ! >>. Estelle rajoute : << Tu caches bien ton jeu ! >>. Julie éclate de rire en disant : << Et vous ne savez pas tout ! >>. Nous rions.

Du tiroir du bas du bureau, Clémentine sort la caméra qu'elle fixe sur son trépieds. << On filme notre repas ! Tu veux ? >> demande t-elle à Julie qui s'écrie : << Oh oui ! >>. Clémentine, toujours désireuse de préserver son anonymat, met son loup noir à dentelles. Même si personne à part nous ne verra jamais ce film, elle préfère se préserver. Nous, on s'en fou. Estelle sautille dans toute la grande pièce. Dans l'obscurité des recoins elle s'accroupit en disant à chaque fois : << Je me touche ! >>. Julie, debout à nos côté, se touche aussi.

En fait, nous sommes tous les quatre à nous masturber. La faim commence à se faire sentir. << Je fais le service ! >> lance Julie qui cesse de se masturber pour se précipiter vers la porte. Estelle vient nous rejoindre pour me rouler une pelle d'enfer. Clémentine, derrière moi, tient mon érection en murmurant : << J'adore les surprises. Et Julie est une fille surprenante ! >>. Estelle cesse de m'embrasser pour chuchoter : << Elle m'excite ! C'est la première fois qu'une fille me met dans cet état ! >>. << Tu vires ta cutie ? >> fait Clémentine.

Julie revient avec le grand plateau. << A table ! >> dit elle avec cette assurance qu'elle a en faisant son job de serveuse. J'adore sa façon de marcher. Un peu comme un mannequin, qui présenterait sa collection. La caméra tourne en "automatique". Nous voulons absolument immortaliser cette soirée totalement improvisée. Nous mangeons de bon appétit. Julie répond avec agilité à toutes les questions que pose Estelle. Nous apprenons que Julie adore se filmer dans de courtes scènes. Des situations vicieuses. << J'ai plein de "travers" ! >> dit elle.

Elle rajoute : << Je ne suis pas seulement légèrement nymphomane, je suis également légèrement narcissique. J'adore me revoir dans mes improvisations. Quand ça me prend, je me filme. Et ça me prend souvent ! >>. Nous sommes pliés de rire. Les aveux de cette jeune fille de 20 ans ont encore de quoi nous étonner. Elle continue : << J'ai au moins une trentaine de ces petits films dans mon téléphone. Si je le perds et que quelqu'un le trouve, je suis grillée ! >>. Nous éclatons de rire. Julie, ce soir, a de quoi nous surprendre à chaque nouvelle phrase.

Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines. Clémentine l'imite. Je me lève pour agiter mon sexe vers l'une, vers l'autre. Je bande mou. Julie continue ses confessions. << Avec Anne-Marie, on se fait parfois des films ! Elle est bien plus coquine que moi. C'est une femme de 45 ans. Mais je ne peux pas tout raconter. Elle n'aimerait pas. Elle me fait faire des trucs cochons ! >>. Estelle pose des questions. Julie refuse d'y répondre. Elle se contente de dire : << Un jour, c'est elle qui vous racontera ! >>.

Nous gardons présent à l'esprit qu'Anne-Marie, la tante de Julie, patronne du restaurant de l'étang a en projet de nous inviter un soir. << Ce sera forcément un lundi soir. C'est le jour de fermeture du restaurant ! >> précise Julie. Nous traînons à table. Clémentine est passée dessous. A genoux entre mes jambes, elle me suce. Julie se penche souvent pour observer. Elle me lance alors un rapide regard inquisiteur. Presque sévère. Estelle se masturbe contre un des coins de la table. J'invite Julie à faire pareil en disant : << Il y a trois autres coins ! >>.

<< C'est comme ça que je préfère ! >> dit Julie en se levant. Un main en appui contre la table, cambrée sur sur ses genoux fléchis, elle se touche. Rapidement, avec le bien qu'elle se fait, Julie se met à gémir. Clémentine cesse de sucer pour regarder à son tour. Je l'aide à revenir de sous la table. C'est Estelle qui descend à son tour. J'adore lorsque Clémentine porte son loup à dentelles. Ça lui confère une classe incroyable. Là, malgré qu'elle l'a levé à chaque bouchée, il y a un peu de Béchamel sur les dentelles. Ou est-ce du foutre ? Mystère.

Julie cesse aussi soudainement. Elle se met à débarrasser la table. Nous faisons la vaisselle tous les quatre. << Demain, je vous montre d'autres séquences ! J'ai quelques belles surprises ! >> fait Julie en plongeant. Nous essuyons en écoutant. Ce soir Julie a beaucoup plus d'assurance. Nous le lui faisons remarquer. << Quand je suis déguisée en serveuse, j'ai beaucoup plus de confiance en moi. C'est étrange. En mettant ces vêtements c'est comme si j'endossais un autre personnage. Une déformation professionnelle sans doute ! >>.

Nous retournons au salon. Je suis entre Clémentine et Estelle. Elles se refilent ma bite. Nous observons Julie. Spécialement pour nous, tout en se touchant avec élégance, elle évolue dans le salon. C'est lorsqu'elle s'accroupit que c'est encore plus magique. Elle n'est pas seulement voyeuse. Nous la découvrons ce soir, pour la première fois, terriblement exhibitionniste. De nous observer ainsi l'excite au plus haut point. La coquine est une incroyable branleuse. Elle cesse juste avant l'orgasme, reprend ses esprits, puis recommence. Accroupie, debout.

Parfois à genoux, ou vautrée dans le fauteuil, Julie nous offre le plus merveilleux des spectacles. Estelle et Clémentine se masturbent. Lorsque l'une me suce, l'autre se redresse pour mâter. Il est 23 h. Nous sommes tous les trois épuisés. La caméra a cessé de filmer depuis longtemps. Juste une heure d'images saisies pendant le repas. Je me lève le premier. J'ai la bite et les couilles congestionnées. Je prends une coupelle creuse en verre. Je me masturbe. Les trois filles se rapprochent. J'éjacule une invraisemblable quantité de sperme.

Julie hume le contenu. Clémentine s'empare de la coupelle pour la placer sous ma queue. Estelle me fixe en disant : << Tu es plus vicieux parfois ! Pas ce soir ? >>. Je comprends immédiatement. Je bande mou. Ce qui me permet de lâcher quelques tous petits jets de pisse parfaitement contrôlés. Julie, comme en extase, se remet à se masturber avant de s'affaisser en gémissant. Son orgasme la tétanise. Clémentine et Estelle se partagent le contenu de la coupelle en se masturbant. Estelle jouit la première. L'orgasme pisseux de Clémentine.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent s'offrir des moments de lubricité intense. Jusqu'à la folie. Avant d'aller dormir...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1701 -



Un "pont" du 11 novembre plutôt sympa

Hier matin, jeudi, il est huit heures trente quand je suis tiré de mon sommeil par les lèvres d'Estelle sur ma joue. Toute la nuit elle est restée collée à moi. En épousant chacun de mes mouvements. Dès qu'elle me sait conscient, elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection naturelle. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Nous venons probablement de réveiller Julie. Là-bas, dans son canapé lit, elle s'étire en gémissant. << Bonjour ! >> fait elle en se tournant pour nous observer, souriante.

<< Bonjour ! >> faisons nous en même temps. Estelle se lève la première. En se précipitant vers la porte elle fait un détour. Elle dépose un bisou sur le front de Julie qui s'assoit dans son lit. C'est à son tour d'aller aux toilettes. Nous faisons le lit. Les WC sont accessibles. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle et Julie à la cuisine. Elles sont toutes les deux en pyjama. Nous sommes tous les deux en T-shirts et en slips de nuit. J'allume la cuisinière à bois dans l'odeur de café, de pain grillé. C'est rapide, le tirage est excellent.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre soirée de hier. Julie n'ose pas croiser mes regards. C'est amusant. Je la félicite pourtant pour le "service". Nous prenons notre copieux petit déjeuner en faisant le très vague programme de la journée. Il est neuf heures. La vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents, nous vêtir de nos tenues de sport. Julie va à la salle de bain. Clémentine, Estelle et moi, nous allons dans notre salle d'entraînement. Avec ce froid, pas de running dehors.

Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Le retour au calme avec un bon stretching. En déconnant aussi. Estelle prend sa douche la première. Nous faisons les lits. Il fait plutôt froid dans la chambre. Les deux fenêtres sont ouvertes pour aérer. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous descendons rejoindre Estelle et Julie au salon. Julie est dans son coin préféré. Son fauteuil au coin de la bibliothèque. Estelle est devant l'ordinateur. Elle nous fait signe de venir.

Elle nous fait lire le mail de Jean-Marc, son parrain. Il s'exprime très bien par l'écrit. Il déplore ne pas avoir vu Estelle hier soir comme tous les mercredis. Il se réjouit donc pour mercredi prochain. Nous rions en découvrant sa description de la baise qu'il promet. << Il a toujours de nouvelles formules ! >> lance Estelle. Nous ouvrons nos messageries. Juste le courriel de Juliette qui s'excuse une fois encore pour son absence. Une absence qui nous a bien arrangé puisqu'elle a permis à Julie de passer la soirée avec nous. Nous répondons avec un selfie.

Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine surfent sur le site de l'université avant d'interroger la messagerie de ce forum. Deux messages privés. Entre un lecteur qui aimerait nous rejoindre et un autre qui nous raconte des trucs insensés, nous rions beaucoup. Nous répondons toujours. C'est Clémentine qui s'en charge. Un petit mot gentil. Il est 10 h15. << On va faire un petit tour dehors. Tu viens avec nous ? >> demande Estelle à Julie qui se lève d'un bond en s'écriant : << Oh oui ! >>. Nous enfilons nos anoraks. Bonnets, gants.

Le thermomètre extérieur indique 5°. Il y a un très léger vent du Nord. Une véritable ambiance hivernale. Estelle et Clémentine me tiennent par le bras. Estelle tient le bras de Clémentine. Nous montons jusqu'au portail. Nous traversons la route pour prendre le chemin forestier. Le sol est sec. Les arbres ont quasiment perdu toutes leurs feuilles. Certaines essences comme les frênes, les bouleaux, conservent encore quelques feuillages roux. Les filles évoquent leurs études. Il reste cinq semaines jusqu'aux vacances de Noël. Des réjouissances.

Pour Estelle, Clémentine et moi, ce sera l'Ecosse. << A moins que "Despote premier" enferme la nation dans une succession de couvres feux, de confinements partiels et autre joyeusetés qui lui procurent tant d'orgasmes ! >> lance Clémentine. << L'enfoiré nous aura tout fait. Juste pour son bon plaisir ! >> rajoute Estelle. << Papa et maman pensent pareil ! >> fait Julie. Estelle me palpe la braguette. Julie regarde avec insistance. Soit en se penchant tout en marchant, soit en passant devant nous lorsque nous marquons un arrêt. Elle scrute.

Elles ont toutes les trois leurs cheveux qui flottent en dépassant de leurs bonnets. Avec ce froid pas question de sortir ma bite. D'enlever nos gants. C'est frustrant mais comme le précise Estelle : << On se rattrapera cet après-midi ! >>. Nous faisons la boucle par le labyrinthe rocheux. Julie ne connait pas du tout l'endroit. Elle fait une belle découverte. Estelle lui montre les endroits où nous faisons des cochonneries à la belle saison. Accroupie devant moi, ses mains sur mes hanches, son visage contre ma braguette elle mime une fellation. Nous rions.

C'est au tour de Clémentine. A chaque fois je tient le pompon de leurs bonnets. Quelle surprise quand Julie prend la même position. C'est la première fois qu'elle appui son visage contre ma braguette. J'imite la respiration et les gémissements qui précèdent un orgasme. Nous éclatons de rire. << Bienvenue au "Club" ! >> lance Estelle à Julie qui se redresse toute honteuse. Avec ce froid le rouge de ses joues est bien marqué. Il est temps de revenir. Julie doit nous quitter pour 11 h30. Elle mange avec ses parents avant de revenir pour 14 h.

Il est 11 h20 quand nous traversons la route. Là-bas, devant son portail, monsieur Bertrand. Il met des cartons dans le coffre arrière de son auto. Nous nous saluons. Nous bavardons un peu. Notre voisin a déjà vu Julie. Il est plein d'humour encore ce matin. Ses bons mots nous amusent. << Vous venez prendre le café demain pour 15 h30, Louis ? >> lui demande Clémentine. Monsieur Bertrand sait ce que cela sous entend. << Oh, oui, ça me ferait plaisir à moi aussi ! >> rajoute Estelle. J'imagine l'état mental dans lequel notre voisin se retrouve.

Il s'empresse de s'écrier : << Mais avec plaisir. Hélas je n'aurai qu'une petite demi heure. La belle-mère est à la maison pour le "pont" du 11 novembre ! >>. Un silence. << Une demi-heure ? Mais ça ira parfaitement ! >> lance Clémentine. Nous laissons notre voisin à ses occupations. << A demain alors ! >> font Clémentine et Estelle en se retournant. Je prends Julie par le bras pour dire : << Et nous deux, nous serons cachés dans le placard ! Sympa, non ? >>. Julie ne répond pas. Estelle et Clémentine nous rejoignent en sautillant.

<< On lui a fait un clin d'œil toutes les deux à ce vieux cochon ! >> lance Estelle. Nous raccompagnons Julie à sa voiture. Elle est un peu tristounette de devoir nous laisser. Un dernier bisou. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine prépare la salade d'endives. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je réchauffe les trois énormes friands au saumon. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. << Tu suces le vieux avec moi demain ? >> demande Clémentine. Estelle répond : << Oui, je veux gouter ce vieux cochon ! >>.

Nous rions. J'écoute les filles préparer le "plan". Elle baptisent cette organisation "pipe au vieux". Monsieur Bertrand, 68 ans, est un retraité sportif et en pleine forme. Rien du vieux. << Depuis le temps que sa "viennoise" me fait envie ! >> rajoute encore Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Dans le saladier, je prépare la pâte à crêpes. Estelle fait rissoler les crevettes avec des morceaux de poivron, des petits oignons sauciers. Ce sera pour les beignets de crevettes du repas de ce soir. Avec des coquillettes au gratin.

Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Les filles mimes des fellations avec leurs brosses à dents. Têtes contre têtes, au-dessus du lavabo, nous nous rinçons la bouche en riant. << Demain, tu vas te retrouver tout seul avec Julie, punis, enfermés dans un placard. Tu n'es pas trop triste ? >> me demande Estelle. Je réponds : << Oh si ! Nous allons beaucoup nous ennuyer Julie et moi ! >>. Nous éclatons tous les trois d'un fou rire. << Le "Club" des vicieux ! >> rajoute Clémentine en se touchant.

Nous dévalons les escaliers. Je suis prié de garder ma bite à l'air. Je bande mou. Presque tout le temps. Tant par nos conversations, par nos attitudes que par la main baladeuse d'Estelle. La pâte à crêpes repose dans son saladier, sous un linge. Les crevettes reposent dans la poêle sous un couvercle. Le gratin de coquillettes mijote au four à 180°. Pour le repas de ce soir, tout est prêt. Les filles m'entraînent dans une farandole dans tout le salon. Estelle improvise des phrases absurdes sur des airs de comptines. Phrases que nous reprenons en chantant.

Il n'est que 14 h et Julie revient déjà ! Le bout de son nez tout froid, elle nous fait des bises. Comme si nous ne nous étions pas vu depuis des jours. Nous allons dans l'atelier. La grande pièce préférée de tous les privilégiés qui peuvent y pénétrer. Je suis entre mes deux anges. Julie installée devant mon chevalet, scrute la nature morte que je suis entrain de réaliser. Estelle, tout en parlant, tord ma bite dans tous les sens. Julie se penche pour regarder. Elle observe ce que fait Estelle avec autant d'intérêt que la toile. Clémentine m'embrasse.

Nous faisons mine d'oublier totalement Julie. Lorsque Clémentine m'embrasse, Estelle me masturbe d'un mouvement lent et régulier. Lorsque c'est elle qui m'embrasse c'est Clémentine qui me branle. Je bande comme le dernier des salauds. Les rares fois où j'arrive à croiser le regard de Julie, je lui fais un clin d'œil. Pour la voyeuse qu'elle est, le spectacle est de qualité. Estelle, couchée sur le côté, se met à sucer. Clémentine m'embrasse en attendant son tour. Julie déboutonne enfin son jeans. Trop excitée après ces longs moments de voyeurisme.

Elle glisse une main dans sa culotte. Elle se masturbe en nous observant. Elle est dans son élément. Rien ne lui convient davantage que de voir. Bien évidemment, avec les fellations passionnées que me prodiguent mes deux anges, sous le regard de notre voyeuse, je sécrète des quantités considérables de jute. Estelle et Clémentine ont de quoi se régaler. Quand l'une suce, l'autre évoque le rendez-vous avec monsieur Bertrand demain. Ce qui rajoute encore à ma production de foutre. Julie écoute tout en se masturbant d'un mouvement régulier.

Une bonne partie de l'après-midi se déroule ainsi. Il y a des pauses où nous allumons un bon feu dans la cheminée. Où nous dégustons de délicieux marrons chauds qui ont éclaté dans la poêle percée. Les filles ont toutes les trois leurs mains dans la culotte. J'ai la bite à l'air qui dégouline. Mon sexe colle carrément sur le tissu, le haut de ma cuisse est maculé de jus de couilles. Nous reprenons. Cette fois, Julie pose tout un tas de questions. Estelle et Clémentine, à tour de rôle, lorsqu'elles n'ont pas ma bite en bouche, répondent en riant. Je bande !

Me voilà à genoux sur les épais coussins. Estelle et Clémentine ne portent plus que leurs chemises à carreaux, leurs chaussettes. Moi aussi. Je passe d'une cramouille à l'autre en suçant, en léchant, en pompant. C'est Estelle qui m'attire sur elle la première. Je la baise à la hussarde. Clémentine se masturbe en attendant son tour. Julie fait de même, là-bas, vautrée dans son fauteuil. Elle fait preuve d'un grand contrôle d'elle-même. Lorsque je lui demande si elle veut nous rejoindre, elle répond : << Non ! Je préfère regarder, c'est trop bon ! >>.

Nous n'insistons pas. Estelle connaît un orgasme foudroyant. C'est en hurlant qu'elle me repousse délicatement pour jouir, ses mains entre ses cuisses, couchée sur le côté. C'est en criant, une cuvette dans la main, que Clémentine jouit en pissant. Julie, complètement sidérée, observe tout cela en étant secouée de spasmes. Elle aussi est entrain de se lâcher dans un orgasme délirant. J'éjacule dans la bouche de Clémentine en disant : << Un avant goût pour demain ! >>. Julie se lève, s'approche, tombe à genoux pour regarder de près. 18 h30.

Bonne soirée à toutes les coquines qu'un après-midi de jouissances folles a mis en appétit. Beignets de crevettes avant de recommencer...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1702 -



Le second jour du "pont" de quatre jours

Hier matin, vendredi, il est presque neuf heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Estelle à ma droite, qui tient déjà mon érection matinale. Clémentine à ma gauche qui empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Nous en oublierions Julie qui s'étire en gémissant, là-bas, dans son canapé lit. << Bonjour ! Qu'est-ce que je dors bien avec vous ! >> dit-elle. Estelle se lève en s'écriant : << Pipi ! >>. Julie répond : << Moi aussi ! >>. Clémentine se frotte contre moi en me faisant plein de bisous. Douceurs.

C'est au tour de Julie d'aller aux toilettes. Nous découvrons les lit en aérant la chambre. C'est à nous d'aller aux toilettes. En slips et en T-shirts de nuit, morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle et Julie à la cuisine. Elles sont en pyjama. L'odeur du café, du pain grillé. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. C'est Julie qui presse les oranges, qui pèle les kiwis. Les filles reviennent sur nos folies de hier en riant aux éclats. C'est merveilleux. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant nos douces "exactions" sexuelles.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. Le rendez-vous d'Estelle et de Clémentine dans la maison d'amis avec notre voisin. << Il faudra aller chauffer, allumer les radiateurs et les convecteurs électriques ! >> dit Estelle. Julie devra nous laisser après son cours de peinture, en fin d'après-midi, à 18 h. Elle reprend son service au restaurant pour 18 h30. La mise en place. << Tu nous réserves une table pour 19 h30 ! >> lance Clémentine. Sans même nous consulter, tous les quatre, nous crions : << Génial ! >>.

Il est 9 h25. << Montez vous entraîner, je m'occupe de la vaisselle et je fais les lits ! >> propose Julie. Tous les trois, l'un après l'autre, nous lui déposons une bise sur le front. Nous montons pour nous laver les dents, nous mettre en tenues de sport. Avec 4° à l'extérieur, il est évidemment hors de question d'aller courir dehors. Ce sera l'entraînement en salle. La grande pièce n'est chauffé qu'en "hors gel". A peine s'il y fait dix degrés. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, stretching. Estelle prend sa douche la première.

Nous fermons les deux fenêtres de la chambre à coucher. nous préparons nos vêtements. Jeans, chemises à carreaux. C'est à notre tour d'aller à la salle bain. Habillés, nous descendons à toute vitesse. "On est dans la maison d'amis" dit le petit mot sur la table de la cuisine. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, les gants. Il y a du brouillard. Il fait vraiment froid. Clémentine m'entraîne par la main. Nous traversons le jardin en courant. Nous rejoignons Estelle et Julie. Elles sont entrain d'allumer la grande cheminée. Ça flambe déjà.

<< J'ai allumé les convecteurs électriques ! >> dit Estelle. En effet, ils pulsent de l'air chaud. << Pour nos nouvelles folies, il fera bien chaud ici, cet après-midi ! >> rajoute Julie. Par acquis de conscience, je soulève le couvercle du chaudron accroché à la crémaillère. Les flammes lui lèchent le cul. Les six tubulures en cuivre sont pleines d'eau. << J'ai réajusté le niveau ! Je sais tout comment ça marche ! >> lance Estelle qui vient m'attraper par la taille. Nous quittons la maison d'amis encore bien trop froide pour être véritablement accueillante.

Il est onze heures quinze. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le brouillard humifie tout. Comme le fait remarquer Clémentine, le temps est à la neige. Quelques degrés de moins et des précipitations seraient suffisants. Je suis entre mes deux anges qui restent serrées contre moi. Julie reste serrée contre Estelle. Nous avons bien l'impression qu'il se noue une complicité entre les deux filles. Il faut souligner que notre mode de vie et ce qui se passe chez nous a de quoi susciter les "complicités" de toutes natures. De révéler des choses enfuies en soi.

Nous remontons car la faim se fait cruellement ressentir. Clémentine s'occupe de la salade. Nous réchauffons les beignets de crevettes. Il en reste largement assez. Le second plat de coquillettes gratinées réchauffe dans le four à bois. Avec le four à bois il faut être d'une vigilance extrême. Les cuissons ne peuvent pas s'y contrôler. Julie s'accroupit souvent devant la porte pour surveiller la cuisson par l'étroite lucarne. Estelle met les assiettes et les couverts. << Il est midi et tu n'as pas encore sorti ta bite ! >> me dit elle en déboutonnant ma braguette.

Julie, à quatre pattes devant le four, observe les mains expertes et baladeuses d'Estelle. Elle tient ma bite molle entre le pouce et l'index pour l'agiter vers Julie et Clémentine. << Regardez-moi le coquin. Il a sa queue toute molle. On ne lui fait plus d'effet ! >> lance t-elle. Clémentine répond : << Tu vas voir cet après-midi ! Julien saura nous épater ! >>. Julie rajoute : << Je vous tiens informées ! >>. Nous éclatons de rire. Julie fait évidemment allusion au placard dans lequel elle et moi seront cachés. En parfait voyeurs. Julie ouvre le four.

Estelle enfile les maniques en disant : << Laissez moi sortir le plat du four ! >>. Ce à quoi Clémentine répond : << Dès qu'il est question de sortir quelque chose, tu te précipites ! >>. Nous rions. C'est dans cette ambiance que nous passons à table. Les beignets de crevettes réchauffés à la poêle sont encore meilleurs. Le gratin de coquillettes d'ailleurs aussi. Nous mangeons de bon appétit sans cesser de plaisanter sur nos déviances, nos turpitudes passées et celles à venir. Estelle se lance dans ses imitations de masturbations masculines.

C'est a première fois que je vois Julie se lever, entre Clémentine et Estelle et faire mine de se branler façon "mec". << Bienvenue au "Club" Julie. Tu postules en tant que membre d'honneur ? >> demande Estelle. << La place de "présidente" est vacante ! >> rajoute Clémentine. J'assiste à ce merveilleux spectacle. Je me lève à mon tour pour leurs montrer l'effet que ces scènes épiques ont sur ma virilité. << Ahhhh ! Voilà qui est mieux! >> lance Estelle. << Voilà qui est beau ! >> fait Julie que nous découvrons de plus en plus mutine et espiègle.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine évoquent le rendez-vous de tout à l'heure avec monsieur Bertrand. Julie, assise en face, écoute. Elle n'ose pas affronter mes regards. Elle sait pourtant que je scrute chacune de ses expressions. Comme le dit Clémentine, à la manière d'un "scientifique". Il est décidé de ne pas tendre de piège ni d'élaborer un scénario particulier. Estelle et Clémentine recevront le larron en toute simplicité. << Vicelard comme il est, il aura toutes les initiatives, toutes les audaces ! >> dit Estelle.

Julie écoute avec attention. Je lui dis : << Nous deux, nous serons cachés dans le placard. Êtes-vous prête à affronter cette nouvelle épreuve ? Car je ne réponds pas de mes attitudes ! >>. Julie, sans oser me regarder dans les yeux, répond : << Je ne réponds pas non plus des miennes ! >> Nous éclatons de rire. << Julie ! On ne te reconnait plus ! >> lance Estelle. Julie répond : << Depuis que je vous fréquente, je ne me reconnais plus toujours très bien. Il me faut des jours pour m'en remettre. Nous allons d'éclats de rire en fous rires.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Autant de prétextes pour déconner. Estelle et Clémentine partent dans des imitations de fellations. Julie, qui n'ose pas, regarde amusée. De la mousse dentifrice autour de la bouche. << Barbouillée de sperme ! >> lui lance Estelle qui suce sa brosse à dents en laissant suinter et s'écouler la mousse. Nous allons tous les quatre dans la chambre à coucher. Il est 14 h15. Estelle et Clémentine sortent plusieurs jupes kilts de l'armoire, des chemisiers et des pulls en coton.

Julie et moi nous sommes assis sur le lit à regarder les essayages. Quand l'une ou l'autre nous demande nos avis, nous nous contentons de dire : << Génial ! >>. Julie rajoute : << Tout vous va si bien, vous avez des tailles "mannequins". Sur vous tout est comme dans un catalogue de mode ! >>. Je confirme. Finalement, ce seront les jupes kilts à carreaux et à dominantes rouges. Des chemisiers crèmes. Pas de pull. Pas de culotte pour Clémentine. Leurs escarpins noirs, fermés, à talons hauts, avec la petite sangle autour de la cheville.

Elles m'entraînent devant le miroir de l'armoire. Nous y prenons des poses. Suggestives, lascives, sexy et pornographiques. Julie glousse de rire en nous regardant faire les pitres. << Viens ! >> lui lance Clémentine. Julie vient nous rejoindre. Clémentine et Estelle accroupies de chaque côté, leurs têtes contre mes hanches, leurs bras autour de mes cuisses. Je fais bouger ma bite. << C'est génial ! >> dit Julie en s'éloignant pour mieux voir de loin. La voyeuse préfère une vue d'ensemble. Il faut penser à l'heure. Il est 14 h40. Nous descendons.

Nous enfilons les anoraks. Les filles sont mortes de froids sans bas, sans pantalons. Nous traversons le jardin à toute vitesse. Comme il fait bien chaud dans la maison d'amis. Presque trop ! Nous faisons un rapide inventaire. Il suffit de faire chauffer le café à l'étage. Sur la table basse entre les deux canapés, les tasses, les crêpes dentelles sèches, le sucrier, les petites cuillères. Tout est OK. << C'est l'heure. La punition du placard ! >> lance Estelle en allant ouvrir la porte du dernier placard. Julie me regarde, interrogative. Il va être l'heure.

Lorsque Clémentine referme la porte du placard, Julie se serre immédiatement contre moi. L'endroit est si exigu qu'il serait difficile de faire autrement. Nous voilà plongés dans l'obscurité. Le rayon de lumière qui passe par l'orifice grillagé, nous permet de distinguer nos visages. Je passe mon bras autour des épaules de Julie. Je peux déjà sentir battre son cœur. Que d'émotions dans cet espace réduit et clos. Julie colle ses yeux sur le trou. De la main je caresse son cou. Là aussi, je peux ressentir sous mes doigts battre la carotide. Une indicible sensation.

Julie me laisse regarder. Elle ne sait pas quoi faire de ses mains. Que pourrait elle d'ailleurs faire d'autre que de passer ses bras autour de ma taille. Debout sur son petit tabouret pour être à la hauteur de l'ouverture de cinq centimètres de diamètre. Trois coups sont frappés contre la porte. Tête contre tête, nous nous battons presque pour regarder le premier. Je laisse Julie observer en chuchotant : << Chut ! >>. Elle retient sa respiration. Elle pose sa main dans ma nuque. C'est doux, c'est chaud, c'est fabuleux de sentir cette petite main.

Monsieur Bertrand vient d'arriver. Estelle et Clémentine, absolument ravissantes dans leurs jupes kilts, leurs chemisiers crèmes, sont d'exactes sœurs jumelles. Avec leurs talons hauts, elles culminent toutes les deux à plus d'un mètre quatre vingt six. Notre voisin, de petite taille, paraît comme un modèle réduit à côtés des deux filles qui le dépassent d'une bonne tête. C'est amusant de le voir s'adresser à elles le visage levé vers le haut. Julie pousse ma tête de la sienne. Elle veut voir. Je passe ma main libre entre ses cuisses. Je touche son sexe.

La toile de son jeans est douce. Au moment précis où je le fais, tout son corps est animé d'un soubresaut. Je murmure : << Chut ! >>. Elle se cambre légèrement pour peser sur ma poigne. J'appuie. Elle se redresse. Je retire ma main pour la passer sous son sweat. C'est à mon tour de voir. En caressant ses tous petits seins. Elle enfuit son visage dans mon cou. C'est trop bon. Je viens de comprendre ce qu'il faut faire pour regarder plus longtemps. Monsieur Bertrand est vautré dans le canapé, entre Estelle et Clémentine. Ils nous font face.

Ma main descend sur le T-shirt de Julie. Cette fois je la glisse dans son jeans. Elle rentre le ventre. C'est Julie qui mâte. Elle respire fort malgré qu'elle contrôle son souffle. Je viens d'atteindre son clitoris. Elle déboutonne son jeans. J'imprime un très léger mouvement de mon index sur son bouton de plaisir. Avec ce que je lui fais, elle enfuit une nouvelle fois son visage dans mon cou en se tortillant légèrement. Je peux enfin regarder à nouveau. Louis a la bite à l'air. Estelle se lève. Des deux mains elle lui descend le pantalon en riant.

Le bougre est comme un gamin dans un magasin de bonbons. Clémentine lui tient le menton afin de l'empêcher de tenter de l'embrasser. << Pas de ça entre nous, voyons, monsieur Bertrand ! >> lance Estelle qui se met à genoux entre ses jambes. Julie revient à la charge pour regarder elle aussi. Je sors ma bite. Je masturbe Julie de ma main libre tout en me masturbant de l'autre. L'espace exigu ne permet aucune fantaisie. Il faut rester serrés. De se tripoter dans ces conditions n'est pas la panacée. Le corps de Julie est déjà secoué de spasmes.

C'est à mon tour. Estelle est probablement entrain de sucer. Je la vois de dos, parfaitement immobile, le front contre le ventre de ce vieux dégueulasse. Clémentine maintient Louis afin qu'il cesse de tenter ses approches labiales. Julie me saisit soudain la queue. Je bande comme un priapique en phase terminale. Elle imprime un mouvement d'appui. Un peu comme si elle manipulait une poire en caoutchouc. C'est absolument divin. Elle pousse mon visage avec le sien. Je la touche. J'enfonce mon index pour le faire bouger en rythme. Elle soupire.

Je murmure une fois encore : << Chut ! >>. Elle me chuchote à l'oreille : << Mais c'est trop bon ! >>. Je met ma main libre sur sa bouche. Je regarde par l'orifice. Clémentine, couchée sur le côté, est entrain de sucer. Estelle lèche probablement les couilles de ce vieux salaud. Comme elle est de dos, je ne vois que cette explication. Louis se lève. Il saisit les deux coquines par leurs tresses. Sa petite "viennoise" luisante semble dure tout en pendant vers le bas. D'un mouvement de tête, Clémentine essaie de la reprendre en bouche. De la gober.

Le vieux salopard se tourne vers Estelle. C'est elle qui peut gober ce sexe minuscule. Elles se refilent la queue. A chaque fois qu'elle cesse de piper, Estelle fait une horrible grimace. Julie repousse ma tête avec la sienne. Je la branle sans discontinuer. Son bassin épouse l'exacte rythme de mon index. Elle me tient par mon érection. Sa façon d'appuyer puis de relâcher est identique au mouvement de mon doigt. C'est à nouveau à moi de voir. J'hallucine. Il y a du foutre qui pend d'une bonne quinzaine de centimètres du bout de la queue de Louis.

Un foutre bien plus épais que le mien. Clémentine se régale. Sur l'expression de son visage se lit l'exaltation. Estelle tient le verre juste en dessous. Clémentine cesse subitement de sucer. Estelle, concentrée, recueille le jet de pisse. Un jet court, un mélange jaunâtre. Elle ne cesse de faire des grimaces à chaque fois que Clémentine la consulte du regard. Malgré le dégout qui semble l'habiter, elle suce du bout des lèvres. Elle suce en guettant ce que lâche le salopard. Julie me pousse de sa tête. J'ai deux doigts enfoncés dans son sexe. Bien dedans.

Je les écarte en rythme. S'en est trop car elle se cambre. Elle saisit mon poignet. Je ne sais pas si c'est pour me guider, pour que j'arrête ou simplement pour s'y retenir. J'enfonce ma langue dans sa bouche. Le baiser que nous échangeons là est un moment de pure extase. Elle lâche ma queue pour me tenir par les épaules. Ce baiser semble être soudain beaucoup plus important que tout le reste. Nous entendons soudain un cri. Je regarde. Louis, tombé dans le canapé, vient probablement d'éjaculer. Clémentine a la bouche pleine de foutre.

Ça lui coule de partout. Ce vieux salaud jute de telles quantités de foutre qu'il est difficile d'avaler au rythme de ses giclées. Des "déjections" comme les appelle Clémentine lorsqu'elle m'en parle. Estelle tente de se soustraire à l'étreinte ferme et puissante du vieux dégueulasse. Il arrive à lui remettre sa bite dans la gueule. Elle se débat. Pendant ce temps, méthodiquement, Clémentine se descend le contenu du verre. De son visage contre le mien Julie me repousse. Elle veut mâter aussi. Je pourrais éjaculer tellement je suis excité par ce qui se passe.

Julie chuchote : << Comme elle est salope Clémentine. Elle le suce encore, beurk ! >>. J'arrive enfin à regarder à nouveau. Estelle, maintenue par les cheveux, fait tous ses efforts pour lutter. Elle repousse monsieur Bertrand en appuyant des deux mains sur ses cuisses velues. C'est marrant. Chez ce mec, tout est poilu sauf ses organes génitaux. Il éjacule probablement une nouvelle fois. Debout, tenant Clémentine par la nuque. Je la regarde déglutir avec tant de passion. C'est fou. Elle n'arrête plus. C'est Louis qui la repousse soudain.

<< T'es une vraie ventouse ma grande. Il doit être au paradis ton Julien avec une salope comme toi ! >>. Clémentine s'essuie la bouche avec le mouchoir que lui tend Estelle. << Merci ! >> dit elle poliment en se redressant. << Ce n'est pas que je m'emmerde avec vous, mais il faut vraiment que j'y aille ! J'ai deux autres bonnes femmes qui m'attendent ! >> lance Louis en remontant son slip et son pantalon. << Ce type est d'un vulgaire ! Beurk ! >> murmure Julie en reprenant mon érection dans sa petite main toute chaude. Je regarde.

Estelle et Clémentine raccompagnent notre voisin jusqu'à la porte. << T'aimes pas ma bite toi ! >> dit il à Estelle. Elle répond : << C'est le gout. Ta bite a un gout dégueulasse. C'est quoi ? >>. Le vieux salaud éclate de rire. Il montre Clémentine du doigt en disant : << Mais l'autre grande salope là, elle s'en régale ! >>. Clémentine répond : << J'adore les bites bien dégueulasses. J'adore les "mélanges" aussi ! La tienne est parfaite ! >>. Louis enfile son anorak. Estelle vient nous ouvrir. Enfin un peu d'air. Elle découvre mon érection coulante.

Elle s'accroupit immédiatement. << C'est celle-là que je préfère ! >> dit elle avant de se mettre à sucer. Clémentine n'ose pas affronter mon regard. Assise devant la table basse, elle coupe une des pommes en quatre. << Pour faire passer le gout ! >> fait elle à Julie qui va la rejoindre. Je me fais tailler une superbe pipe. Clémentine donne ses impressions à Julie. Elle répond à ses questions. Il s'est passé plein de choses que Julie aimerait bien comprendre. Estelle cesse de sucer pour dire : << La prochaine fois c'est toi qui le suce ! >>. Silence.

<< Ça te dit de le faire avec moi ? >> demande Clémentine à Julie. Elle me regarde. Elle regarde Estelle. Elle semble perdue. Elle ne sait quoi dire. Je fais : << Tu devrais tenter. Avec Clémentine, tu es à la bonne école ! >>. Julie me répond : << Oui, j'ai vu ! >>. Elle s'adresse à Clémentine qui déguste sa pomme : << Ça te dégoute pas les bites de vieux incontinents ? >> demande t-elle. Clémentine rajoute : << Plus c'est crade et plus ça m'excite ! >>. J'éjacule dans la bouche d'Estelle en poussant un cri de sauvage. Clémentine me fait un clin d'œil.

Nous restons tous les quatre vautrés dans les canapés. Clémentine contre moi. Elle tient mon sexe mou. J'ai ma main entre ses cuisses. << Le vieux salaud n'a pas arrêté de me doigter ! >> dit elle. En face de nous Julie et Estelle qui me montre sa culotte, les cuisses largement écartées. << Raconte-nous ce qui s'est passé dans le placard ! >> demande Estelle à Julie. Toute gênée, elle raconte nos attitudes. << Salaud ! >> me lance Estelle à chaque révélation. Clémentine me masturbe un peu car je bande à nouveau. Julie fixe ma queue.

Je lui dis : << C'est ce que vous aviez en main dans l'obscurité, vous savez ! >>. Elle m'adresse le plus délicieux des sourires. Il est presque 16 h45. Il y a le cours de peinture. Estelle et Clémentine sont pressées de se changer. Retrouver leurs jeans et leurs chemises à carreaux. Il faut affronter le froid polaire et le brouillard en courant à toute vitesse. Nous voilà tous les quatre dans l'atelier. Julie devant son chevalet qui attaque une nouvelle toile. Un nouveau paysage. Elle pourra emporter l'autre qui a bien séché depuis la semaine dernière. Parfait.

Clémentine et Estelle sont assises devant l'ordinateur en face de nous. Les révisions. L'heure de peinture passe très vite. J'emballe la toile terminée la semaine dernière. Julie me dit : << J'espère que c'est la première d'une longue série ! >>. Nous la raccompagnons jusqu'à la voiture. << Je reviens demain matin à 8 h30 pour le ménage ! >> précise t-elle. << Nous nous revoyons ce soir au restaurant ! >> lui fait Clémentine. Un dernier bisou. Nous regardons la Clio rouge monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Nous rentrons au chaud.

Bonne soirée restaurant à toutes les coquines qui se sont dégustées une "viennoise" bien juteuse durant l'après-midi. Avec "apéritif"...

Julien



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Un samedi avec quelques rebondissements

Hier matin, samedi, il est huit heures. Estelle se serre encore plus fort contre moi en gémissant à mon oreille. Elle saisit mon érection naturelle. Il faut préciser qu'elle a une fois encore de quoi emplir sa main. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir. Elle empoigne mes couilles. Je suis entre mes deux anges. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l"absurde. Estelle se lève aussi soudainement qu'elle m'a tiré du sommeil. Elle se précipite vers la porte en poussant des : << Pipi, pipi pipi ! >>.

Clémentine me demande : << Tu n'es pas dégouté ? >>. Je suis surpris par cette question saugrenue en demandant : << Mais pourquoi donc ? >>. Elle répond : << J'ai sucé un mec hier après-midi ! >>. Nous éclatons de rire lorsque je rajoute : << Et un vieux cochon en plus. Tu devrais avoir honte de me procurer tant de belles choses à voir depuis mes cachettes ! >>. Rire. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escalier pour rejoindre Estelle. Vêtus comme nous, elle fait le café.

J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Le claquement sec des premières tranches éjectées par le grille pain. Clémentine presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier après-midi. << Put-hein elle a un gout dégueulasse la bite de ce mec ! >> dit Estelle avec une grimace de dégoût. << Tu trouves ? Moi j'ai beaucoup apprécié ! >> répond Clémentine. Nous rions lorsque Estelle rajoute : << De toute manière, plus c'est dégoûtant, plus ça t'excite ! >>. C'est la réalité.

Il est 8 h25. Nous débarrassons. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine s'en empare pour s'écrier : << Julie ! >>. Estelle se précipite pour aller ouvrir le portail depuis l'interphone. Par la fenêtre nous regardons descendre la Clio rouge. Nous accueillons notre amie. Débarrassée de son anorak, elle nous fait des bises. Estelle et Clémentine la tiennent par le bras. Nous revenons dans la cuisine. << Montez faire votre gymnastique, je m'occupe de tout ! >> fait Julie. Elle regarde la bosse que font mes organes génitaux dans mon legging.

Nous montons nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, stretching. Estelle prend sa douche la première. Clémentine et moi, nous changeons les draps du lit. Souvent dans mes bras, Clémentine me confie culpabiliser comme à chaque fois qu'il s'est passé quelque chose avec un autre. << Avec le temps ce sentiment de culpabilité est de plus en plus fort ! Je vieillis ! >>. Je lui fais plein de bisous. Pour la rassurer je dis : << Surtout, culpabilise, j'adore ! Je t'aime ! >>. Nous éclatons de rire.

C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle au salon. Nous entendons l'aspirateur que passe Julie. Notre "employée de maison" fait notre ménage. Dans une petite enveloppe jaune je glisse le billet de 50 euros. Un mot griffonné à la hâte. Les filles surfent sur le site de l'université. Le programme des cours du lundi. Nous consultons nos boîte mails. Un courriel de mon oncle Alan qui nous apprend qu'en Grande Bretagne, tout se passe au mieux.

Il fait évidemment allusion aux mensonges prévisibles des médias concernant une "5ème vague" en Europe. Il y a le message de Juliette qui nous invite à passer demain au haras. Elle y organise une animation équestre. Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant. Il est presque dix heures. Nous mettons nos anoraks pour affronter le froid. Ce matin, il est moins vif. Le thermomètre extérieur indique 8°. Voilà la camionnette des fruits et légumes qui descend doucement. La jeune femme nous fait un grand sourire tout en conduisant encore.

Du hayon arrière, elle tire les deux cageots habituels. Celui qui contient nos légumes et nos fruits pour la semaine. Celui contenant nos yaourts, nos fromages, nos petits pots de crème fraîche, nos œufs, le beurre et le fromage blanc. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. A peine la camionnette partie que voilà celle de madame Marthe, la boulangère. En nous racontant les derniers potins du bourg, elle nous tend le cageot contenant nos deux miches de pain complet, nos deux pâtes feuilletées, notre brioche, les deux croissants.

Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. Nous saluons la dame hilare par ses propres petites histoires. Nous passons par derrière pour descendre à la cave. Là, dans le cellier, nous rangeons nos fruits, nos légumes sur les étagères. Une miche de pain, les deux pâtes feuilletées dans le congélateur. J'en tire un paquet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous remontons pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Juste avant que Julie ne commence à nettoyer la cuisine. Passer la serpillère.

Nous lui faisons tous les trois un bisou sur le front avant de remettre nos anoraks. Nous traversons le jardin pour aller dans la maison d'amis. Faire la vaisselle de ce que nous avons laissé traîner sur la table hier. << C'était là ! >> lance Estelle en se jetant dans le canapé. Elle mime une pipe en nous faisant un clin d'œil. Clémentine fait la même chose. Je sors ma bite pour l'agiter en direction des deux coquines. Les convecteurs électriques fonctionnent toujours. Je regarde l'état de charge des batteries. Elles sont à mi pleines. Parfait.

Je dis à Clémentine qui lave les tasses : << Tu as été merveilleuse hier ! >>. Elle répond en riant : << Je n'ai pourtant fait aucun effort ! >>. Estelle et moi nous essuyons. Elle lance : << J'aimerais bien être à la place de Julie, planquée avec toi dans ce placard. Ça doit être une "torture" géniale ! >>. Clémentine demande à Estelle : << Tu a compté le nombre de fois où ce vieux salaud de Louis me proposait de baiser avec lui. Il ne cessait de me rappeler que son anniversaire était le 3 novembre et que je pourrais lui faire un "cadeau" ! >>.

Nous rigolons comme des bossus quand Estelle répond : << Pouahhh, baiser avec ce vieux pervers ! >>. Clémentine s'essuie les mains. Elle nous lance : << On fait une expérience, ça vous dit ? >>. Estelle et moi restons silencieux, suspendus à ses lèvres. Clémentine explique. Je baise avec Louis, vous êtes cachés tous les deux dans le placard ! >>. Estelle se serre contre moi. Nous restons encore silencieux. Estelle s'écrie : << Sérieux ? >>. Clémentine rajoute : << Sérieux ! >>. Nous nous regardons. Clémentine nous fait un clin d'œil bien vicelard.

Du buffet, elle tire un torchon vaisselle jaune. Elle ouvre la fenêtre pour le coincer sous le battant de gauche. << Qu'est-ce que tu fais ? >> demande Estelle. << C'est le signal convenu quand je veux voir Louis ! Il le voit depuis son jardin ! >> répond Clémentine. << Venez, on allume la cheminée en bas, comme ça il fera bien chaud cet après-midi ! >> fait encore Clémentine qui nous entraîne par le bras pour dévaler l'escalier d'angle. Nous allumons un bon feu. Les flammes lèchent le cul du chaudron. Chauffant l'eau qui aliment les radiateurs.

<< Il fait faim ! >> lance Estelle. Nous nous dépêchons de traverser le jardin. Il est 11 h40. Julie est entrain d'enfiler son anorak. Je lui tends la petite enveloppe jaune. << J'aimerais tant rester avec vous. Je reviens lundi soir avec les commandes habituelles ! >> dit elle. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Quelle surprise. Il y a monsieur Bertrand qui monte le chemin depuis sa propriété à 300 mètres. Il est derrière la clôture. D'un signe de la main il nous fait un coucou. Clémentine se précipite pour aller le saluer. << Salope ! >> dit Estelle.

Nous regardons Julie partir. Estelle se blottie contre moi en disant : << Si tu savais comme je me réjouie d'être avec toi dans ce placard ! Pourvu que ça se fasse. Put-hein comme je me réjouie ! >>. Clémentine vient nous rejoindre en sautillant. << C'est bon, il me baise cet après-midi. Rendez-vous à 15 h mais il n'aura qu'une demi heure ! >> nous dit elle en nous entraînant par les bras. Nous rentrons au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Elle dit : << Excellent le coup du torchon jaune suspendu à la fenêtre ça marche super bien ! >>.

Clémentine rajoute : << Le voisin attendait ce signal depuis des mois ! >>. Estelle verse les moules encore congelées dans le bouillon en ébullition. Elle demande : << Sans déconner, tu vas vraiment baiser avec le vioque ? >>. Nous rions quand Clémentine rajoute : << Je vais me gêner peut-être ! >>. Je remue les haricots verts et les petits pois encore congelés avec une spatule en bois dans le wok. Estelle sautille autour de la table en s'écriant : << Comme c'est génial notre "Club" de vicieux patentés ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant ce nouveau rendez-vous salace avec monsieur Bertrand. Les filles reviennent sur la fellation qu'elle lui ont prodigué hier. Les mots que chuchotait Louis en se faisant sucer par ces deux sublimes jeunes filles. << Tu te rappelles comme il faisait bouger sa bite qui était à peine dure ? >> lance Estelle. << Put-hein, la quantité de jus qu'il distribuait ! Une vraie station service ! >> rajoute Clémentine. Nous rions comme des fous. Depuis le placard, je n'entendais rien de tous ces échanges.

<< De toute façon tu étais occupé à te faire branler par Julie et à la doigter, vieux pervers ! >> me fait Estelle. Je dis : << Cet après-midi je vais te faire voir comment je m'y prends avec de jeunes vicieuses de ton espèce ! >>. Elle se lève pour venir s'assoir sur mes genoux. << Oh oui, fais moi voir ça ! >> murmure t-elle. Clémentine vient s'installer sur ma jambe libre. Toutes les deux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, font mille "plans" pour cet après-midi. Nous traînons ainsi à table. J'écoute amusé les stratégies délirantes de mes anges.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Dans toute la maison il y a l'odeur du jasmin. Ces huiles essentielles et naturelles distribuées par les diffuseurs d'arômes. S'y mêlent celles de la javel et du chlore aux toilettes. Julie nous offre chaque samedi matin sa prestation de "femme de ménage" avec zèle et passion. << J'ai la trouille ! >> dit soudain Clémentine qui nous entraîne dans la chambre. Elle rajoute : << Chaque fois que je baise avec un autre ! >>.

Le fonctionnement de Clémentine m'amuse toujours beaucoup. Dans sa peur se mêlent l'excitation et le désir. Elle se blottie dans mes bras. Sur la pointe des pieds, elle me fait plein de bisous en mitraille. << Je sais que tu n'es pas loin, ça me rassure ! Et puis de savoir que tu me regardes me met dans des états d'extase. Je t'aime Julien, c'est si merveilleux ! >>. Estelle se serre. Elle est derrière moi, ses mains sur ma braguette. Elle rajoute : << Moi aussi, un jour, je veux un Julien rien qu'à moi ! >>. Elle me sort la bite. Je bande comme un salaud.

<< Tu t'habilles comment pour te faire sauter ? >> demande Estelle. Clémentine répond : << Du pratique, du rapide. Le vieux m'adore en jupe ! >>. Assis sur le lit, Estelle et moi, serrés l'un contre l'autre, nous regardons Clémentine faire des essayages. Elle nous demande nos avis, nous la conseillons. Nous la félicitons pour son élégance, ses choix. Clémentine adore essayer des vêtements et faire des "défilés de mode" dans la grande chambre à coucher. Estelle et moi nous applaudissons. Ce sera finalement une jupe d'un épais velours carmin.

Une jupe qui descend à mi mollets. Un chemisier crème sous un pull kali. Ses bottes de cuir noir à talons hauts. << Je fais pute ? >> nous demande Clémentine. << Tu es surtout d'une élégance folle ! >> lui répond Estelle. Clémentine vient s'accroupir devant moi, les cuisses largement écartées. Elle me demande : << Je peux baiser comme une vraie salope avec ce vieux dégueulasse ? >>. J'éclate de rire pour répondre : << Non seulement tu peux, mais tu dois ! >>. Clémentine glisse sa main entre ses cuisses pour se toucher. Elle me sourit.

Je me penche pour lui déposer une bise sur le front. Elle se redresse. Sans cesser de se toucher, elle contourne le lit pour ouvrir le tiroir de sa table de nuit. Elle en sort trois capotes nouées, pleines de vieux spermes. << Monsieur Wong ! Pierre ! L'inconnu écossais ! >> dit elle en nous montrant chaque préservatifs. Nous rions comme des fous. << Et il y aura le modèle "Louis" ce soir ! >> lance Estelle. << Exactement. Ma collection s'étoffe mais ne dépassera pas les dix spécimens ! >> répond Clémentine. Nous rigolons comme des fous.

Il est 14 h30. Nous descendons les escaliers en restant tous les trois serrés. Lentement, avec prudence. Clémentine se touche. << Tu te prépares ? >> lui demande Estelle dans le hall d'entrée. << Je me touche tout le temps ou presque ! >> répond Clémentine avant de rajouter : << Presque autant que toi ! >>. Je remballe ma bite avant d'affronter le froid. Nous mettons nos anoraks. Mes deux anges m'avouent êtres fébriles à l'idée de ce qui nous attend. << Put-hein comme on est pervers tous les trois ! >> lance Estelle dans le jardin.

<< Tu voudrais que ça cesse ? >> lui demande Clémentine quand nous entrons dans la maison d'amis. Il y a quelques gouttes de pluie qui tombent. Estelle répond : << Certainement pas. Si je n'étais pas aussi vicieuse je me ferais rudement chier ! >>. Nous éclatons de rire. Il fait presque trop chaud dans la maison d'amis. Clémentine dispose les épais et confortables coussins sur un des deux canapés. Celui qui fait face aux trois placards à une dizaine de mètres. Elle les tapote en disant : << Je veux me faire tirer dans les meilleures conditions ! >>.

Nous sommes pliés de rire. Estelle ouvre la porte du dernier placard. Sur la pointe des pieds elle regarde par l'ouverture grillagée. Ce trou parfaitement rond d'environ cinq centimètres de diamètre. Je propose de mettre une des bûches, la plus plate, au sol afin qu'elle puisse observer sans être obligée de se hisser sur la pointe des pieds. Nous essayons plusieurs bûches. Nous en trouvons une qui est parfaite. Il ne faut pas qu'elle fasse de bruit. Nous testons. Parfait. << Ça va être l'heure ! >> lance Clémentine qui pose un préservatif sur la table.

Estelle et moi, nous entrons dans l'espace exigu du placard. Elle est bien plus grande que Julie avec son mètre quatre vingt un. Elle se serre contre moi. C'est toujours tellement émouvant que je suis pétris d'émotion. Ce curieux paradoxe d'être ainsi l'un contre l'autre en "amoureux" pour assister à des choses d'une toute autre nature que les sentiments. Clémentine nous enferme en disant << Have good time for the show ! >>. Estelle répond : << It's right ! Get fucked like the last bitches ! >>. Je rajoute : << Filled the condom, bitch ! >>.

Je regarde le premier. Estelle glisse sa main dans ma braguette. Tout comme je le fais avec Julie, j'ai mon bras autour de son épaule. De ma ma main libre je caresse le bout de ses tous petits seins. << Je t'aime Julien. Comme c'est bon d'être là, cachée avec toi. Tu n'imagines pas ! >> murmure t-elle. Je me contente de chuchoter : << Chut ! >> Nous nous embrassons comme des fous. Trois coups forts. Certainement contre la porte de la maison. Je regarde par le trou grillagé. C'est monsieur Bertrand. A peine est-il entré qu'il touche Clémentine.

Cambrée sur ses genoux fléchis, elle se laisse doigter par le vieux saligaud. Estelle veut regarder à son tour. Elle me tient la queue. Je peux comparer son attitude à celle de Julie hier. Estelle gagne immédiatement toute ma préférence. C'est tellement bon avec elle. Je glisse ma main dans son jeans. Elle rentre le ventre pour me permettre le meilleur accès. Par contre, la "bataille", tête contre tête pour tenter de regarder, est la même qu'avec Julie. C'est à mon tour de voir. Clémentine repousse Louis qui veut absolument lui rouler une pelle.

Elle maintient la main du vieux salaud en tenant son poignet. Elle se fait doigter en restant penchée vers l'arrière. La scène est à la fois cocasse et excitante. Monsieur Bertrand, petit bonhomme légèrement ventru, n'insiste pas vraiment. Nous l'entendons distinctement lorsqu'il s'exprime à voix haute. << Viens, je veux te la mettre, grande salope ! Il est où ton cocu de Julien ? >> lance t-il en lâchant Clémentine pour ouvrir son pantalon, le descendre sur les genoux avec son slip. Clémentine répond : << Il baise avec Estelle ! Les deux vicieux ! >>.

Ce mensonge fait rire monsieur Bertrand. Clémentine contourne la table basse pour se vautrer dans le canapé. Le vieux pervers reste à distance pour admirer cette sublime jeune fille qui écarte ses cuisses en se touchant. Il découvre une fois encore ce clitoris géant que Clémentine aime à décalotter entre son index et son médius. << Tu as le cadeau des dieux ma grande ! >> lui fait notre voisin en contournant la table à son tour. Il se couche carrément sur la fille. C'est surréaliste de voir ce petit bonhomme chevaucher une "grande".

Estelle n'arrête pas de repousser ma tête avec la sienne. C'est une réelle dispute. C'est à celui qui veut tout voir. Moi je veux absolument regarder ma compagne se faire tringler par ce vieux pervers. Je ne sais pas comment il réussit un tel prodige avec une si petite queue qui ne bande jamais réellement. Je comprends quand je le vois tenir son sexe pour tenter de l'introduire. Il se donne de la peine. Il souffle comme un bœuf une fois qu'il est dedans. Il se met à baiser Clémentine en tentant de l'embrasser. Chose qu'elle déteste avec d'autres hommes.

C'est donc dans une sorte de lutte perpétuelle qu'elle se fait sauter par cet étonnant petit lutin espiègle et d'un dynamisme qui laisse pantois. C'est un retraité de 68 ans que nous voyons s'agiter dans cette jeune fille de 24 ans. Clémentine est une cérébrale. Le film qu'elle est entrain de vivre se calque très exactement sur une réalité qui la fait délirer. Les yeux fermés, une expression d'extase sur le visage, elle se fait tringler comme rarement. Ce petit personnage est étonnement vif et agile. Il ne tente plus de l'embrasser. Lui aussi jouit peinard.

C'est une véritable lutte à laquelle nous nous livrons Estelle et moi. Estelle se montre beaucoup plus pugnace à ce jeu que Julie. Estelle est une authentique voyeuse. Et très cérébrale également. Je la doigte. Elle me branle. Avec elle, il est beaucoup plus facile de faire tout cela dans un silence absolue. Quand c'est à mon tour de mâter je constate que le couple ne change pas de position. Le vieux pervers est couché sur la fille. Il ne cesse pas de s'agiter d'un mouvement régulier. Une vraie machine à baiser. << Chapeau le vieux ! >> murmure Estelle.

Je chuchote à son oreille : << Tu veux te le faire un de ces jours ? >>. Estelle se met à bouger sur mes doigts qui la pénètre. Elle murmure : << Tu as vu comme il baise Clémentine. Ça doit être génial ! >>. En effet, ça doit être génial. Clémentine gémit de plaisir. Elle bouge doucement sous le vieux salopard. C'est la première fois que je la vois jouir sans se toucher en même temps. Elle tient Louis par ses épaules. Il a compris le vieux dégoûtant. Il ne tente plus de l'embrasser par la force. Soudain, il se cambre. Se raidit en hurlant.

Il remplit probablement la capote de tout son sperme. C'est étonnant. Clémentine pousse un cri presque en même temps. Elle aussi connait un orgasme fou. Elle a pris soin de pisser juste avant l'arrivée de monsieur Bertrand. Il n'y a donc pas l'effusion urinaire habituelle. Monsieur Bertrand se retire en soufflant comme un bœuf. << Ça fait bien dix ans que je n'ai plus baisé. Put-hein que c'est bon. Je ne m'en souvenais plus ! >> lance t-il en s'asseyant lourdement. Il redevient soudain cet homme de 68 ans. Il retire le préservatif. Clémentine s'en empare.

Je n'ai jamais vu un "ballon" remplit d'une telle quantité de sperme. << Bon anniversaire Louis ! >> lui lance Clémentine en nouant le préservatif avec précaution. << Tu fais quoi ? >> demande monsieur Bertrand. << C'est pour ma collection ! >> répond Clémentine. << Et tu en as beaucoup ? >> lance notre voisin. << C'est la quatrième. Mais je garde que celles qui le mérite ! >> dit Clémentine. Louis se lève assez péniblement. Il remonte son slip et son pantalon. << Merci Clémentine. C'est mon plus beau cadeau d'anniversaire ! >> dit il.

Clémentine se réajuste. Elle essuie les sécrétions abondantes de son sexe avec un mouchoir en papier. Louis, accroupit, observe avec attention. << Tu me le donnes, moi aussi j'aurai un souvenir ! >> dit il. Clémentine le replie délicatement avant de le lui tendre. Il s'en empare en le humant. << Merci mille fois. Si tu veux de nouveau, tu mets le chiffon jaune à ta fenêtre ! >> lance t-il avant de se diriger vers la porte. << Il faut vraiment que j'y aille. Merci Clémentine ! >> fait il avant de sortir. Clémentine vient nous libérer du placard.

Nous la félicitons. << C'est ce que j'ai vu de plus excitant ! >> lance Estelle. Je rajoute : << Tu as été épatante ! Bravo ! >>. Clémentine éclate de rire. Elle nous montre le préservatif remplit de sperme. C'est incroyable. << Il y a du foutre dans les couilles des vieux ! >> s'écrie Estelle en le prenant du bout des doigts. Je dis à Clémentine : << Tu aurais baisé à "cru", tu imagines un peu l'explosion dans ta chatte ! >>. Clémentine ouvre de grands yeux. << Je déteste ça, mais là, je dois admette que ça ne m'aurait pas déplu de voir ! >> fait elle.

Nous reprenons nos esprits en buvant du thé et en savourant de petites crêpes dentelles. Il est presque seize heures. Je suis entre mes deux anges. Clémentine, totalement épuisée reste blottie contre moi. Elle regarde Estelle jouer avec ma queue. Nous racontons à Clémentine ce que nous avons vécu dans le placard. << Il faut que je vive cette expérience moi aussi ! >> lance t-elle. Estelle répond : << Je baise avec Louis la prochaine fois. Tu restes avec Julien dans le placard ! >> Clémentine fourre son visage dans mon cou. Elle dit : << Mmmhhh ! >>.

Il est dix sept heures. Nous quittons la maison d'amis après avoir éteint les convecteurs électriques. Il pleut. Il fait moche mais légèrement moins froid. Dans la cuisine, assis tous les trois à table, nous épluchons les légumes de la potée qui fera l'accompagnement des trois repas du week-end. Estelle pose tout un tas de questions à Clémentine. Clémentine se fait un plaisir de narrer avec plein de détails ce qu'elle a vécu avec notre voisin. << J'adore les toutes petites bites. Je la sentais à peine mais c'était génial ! >> explique t-elle en riant.

Estelle remue la potée de légumes avec la spatule en bois. Dans la vieille cocote en fonte noire. Ce qui attache est tellement bon. Cette cuisson à "l'ancienne" sur la cuisinière à bois participera de la délicatesse de ce plat. Clémentine lave les feuilles d'une belle laitue. Je lui fais plein de bisous dans la nuque. Elle m'embrasse en fouillant ma bouche de sa langue. Estelle voulant sa part également fait pareil. Nous passons au salon. Nous restons vautrés tous les trois dans le canapé. Je suis entre mes deux anges qui évoquent encore la baise.

Ce soir, après le repas, Clémentine aimerait beaucoup nous regarder baiser. Estelle se pend à mon cou en disant : << On va te faire un spectacle d'enfer ! Après ce que tu nous a offert cet après-midi, on te doit bien ça ! >>. Nous rions. Je bande comme un salaud. Mes couilles sont en ébullition depuis le placard. Estelle, trop animée par l'envie d'y gouter, se met à me sucer. Je me répand dans sa bouche sans pouvoir contrôler mon éjaculation. Pas de soucis, d'ici deux heures, je vais la baiser comme elle aime sous le regard de Clémentine.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se sont fait baiser l'après-midi par la toute petite "viennoise" juteuse d'un vieux pervers...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1704 -



Un dimanche de retour au calme

Hier matin, dimanche, il est plus de neuf heures. Je suis tiré de mon sommeil par des murmures et des rires étouffés. Je suis entre mes deux anges. Avec une extraordinaire bienveillance toutes les deux me couvrent le visage de bisous. Un enchantement paradisiaque. << Je t'aime ! >> murmure Clémentine. << Je t'adore ! >> chuchote Estelle. Leurs mains caressent mon torse, mon ventre, avant de s'égarer dans mon slip. Estelle saisit mon érection. Clémentine empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Un instant sublime.

Nous restons ainsi, serrés tous les trois dans un de ces moments d'extases irréelles. L'impérieux besoin naturel d'Estelle l'oblige à se lever. A se précipiter vers la porte. << Venez vite, je prépare le petit déjeuner ! >> lance t-elle avant d'aller aux toilettes en chantonnant. Clémentine se glisse sous moi. C'est excessivement rare. << Merci pour tout ce que tu acceptes avec moi. Hier après-midi en est encore une preuve. Je t'aime comme une folle ! >> chuchote t-elle à mon oreille. Je murmure : << Merci pour tout ce que tu m'offres de joies ! >>.

C'est à notre tour d'aller pisser. Juste vêtus de nos slips et T-shirts de nuit, morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle. La cuisine embaume déjà des effluves parfumées du café, du pain grillé et de la brioche. Estelle, dans son pyjama de soie mauve, me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me faire plein de bises. << C'était génial avec toi, enfermée dans un placard ! >> dit elle. Je soulève Clémentine à son tour. << Je crois que cette demi heure de baise, hier après-midi, était la meilleure ! >> fait elle.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ce qui s'est passé hier. Chacun a toujours une vision différente des évènements. Clémentine répond à toutes les questions que pose Estelle. Elle aussi veut se faire tringler par notre voisin. << L'avantage des petites bites, c'est que ça rentre sans faire mal ! >> lance t-elle avant d'éclater de rire. << Et celle-là, je t'assure, elle rentre en glissant ! >> précise Clémentine. Nous avons vu monsieur Bertrand, hier, se la mouiller soigneusement avec de la salive avant de l'introduire dans Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence de Julie durant deux jours de ce "pont" du 11 novembre. A présent Estelle sait très exactement ce qui se passe dans ce placard entre deux voyeurs. Nous en rions de bon cœur. Il est presque dix heures. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous faisons notre lit et nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux, baskets. Nous dévalons les escaliers pour aller au salon.

Assises sur mes genoux, mes deux anges consultent le site universitaire. Il y a le programme du reste du trimestre. Principalement consacré aux mathématiques. Nous ouvrons nos boîtes mails. Aucun message. Nous allons sur la messagerie du forum. Deux lecteurs témoignent de leurs satisfactions. Lire nos aventures chaque jour constituent pour eux un plaisir. L'un parle de "friandises", l'autre des masturbations effrénées auxquelles il se livre en découvrant chaque matin nos récits. Nous répondons toujours. C'est Clémentine qui s'en charge.

Nous mettons nos anoraks. Il faut s'équiper du parapluie. Non seulement il fait vraiment froid, mais il pleut sans arrêt depuis hier. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Le sol détrempé est également spongieux. Clémentine nous entraîne dans la maison d'amis. Il y fait à nouveau froid. Il ne subsiste aucune "trace" de nos folies de hier. Estelle prend la position qu'avait Clémentine hier. Elle se couche dans le canapé. Clémentine se serre contre moi. Je lui dis : << Rappelle toi, monsieur Bertrand te propose des récidives ! >>.

<< D'abord, c'est moi, je veux tenter ça avec ce mec ! Sa petite "viennoise" est peut-être dégueu au goût mais semble bien "paisible" pour une baise. Et puis je veux voir comme il s'y prend le vieux dépravé ! >> lance Estelle qui se relève. Nous rions. Clémentine rajoute : << On va se le partager aussi celui-là, je le sens ! Sa bite va te plaire ! >>. Estelle vient se serrer. Je tiens mes deux anges par leurs tailles, blotties contre moi. Nous montons à l'étage pour vérifier une dernière fois que les robinets sont bien fermés, que le "hors gel" fonctionne.

Sous l'immense parapluie que je tiens, nous descendons jusqu'à la rivière. Le chemin pierreux permet de marcher sans risque de s'enliser. Par contre l'accès au sentier facile de gauche nous est interdit. Avec la pluie, les eaux sont montées. Nous restons à observer les poules d'eau, les colverts, les canards. Comme ils ont colonisé l'endroit, qu'il se sont reproduit, toute cette faune est de plus en plus nombreuse. Il y a deux couples de hérons cendrés. << On va pouvoir ouvrir un zoo ! >> lance Estelle. Notre voisin vient les nourrir tous les jours.

Il commence à faire faim. Nous remontons. Clémentine prépare la salade. Estelle s'occupe des pavés de saumon à peine décongelés. Elle les prépare à la poêle avec de petits oignons, de l'ail et des champignons. Je réchauffe la potée de légumes sur la cuisinière à bois. Les filles évoquent leurs rentrées universitaires demain. Les préparations sont rapides. Nous voilà confortablement installés à table. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de l'après-midi. Avec ce temps, les possibilités sont plutôt restreintes. Dommage.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine échangent leurs impressions quand aux journées passées. Elles aussi ont ce sentiment que le temps s'écoule parfois de plus en plus vite. << C'est curieux, mais je n'ai jamais l'impression de m'ennuyer ! >> fait Estelle. << C'est vrai ça, depuis plus de quatre ans, je ne garde pas le souvenir du moindre ennui. Merci Julien ! >> dit Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Estelle glisse sa main toute chaude dans ma braguette ouverte.

Nous redescendons ainsi. Doucement. Au bas des escaliers Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Estelle me sort la queue. J'ai mes mains entre leurs cuisses chaudes. C'est au tour d'Estelle de fouiller ma bouche. Je bande. C'est imparable. Estelle m'entraîne par la bite qu'elle tient d'une poigne de fer. Nous allons au salon. Nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé. De la poche de sa chemise, Estelle tire une clef USB. << Le film et les photos de Pouzauges. On se les mâte enfin ? >> propose t-elle. << Génial ! >> dit Clémentine.

Elle se lève pour allumer l'ordinateur et le téléviseur. Tout fonctionne rapidement. Clémentine introduit la clef USB dans l'ordinateur. Presque immédiatement, à l'écran, apparaissent les ruines du château. Son donjon monumental. Il y a quatre photos prises sous des angles différents. << C'est déjà loin ! Déjà un souvenir ! >> lance Clémentine. << J'ai regardé ces photos et le film toute seule dans ma chambre ! >> dit Estelle en jouant avec ma bite qu'elle tord dans tous les sens. C'est à la cinquième photos que nos "déviances" se précisent.

On nous y voit, Estelle et moi, posant devant les fortifications. Estelle tient ma queue bien raide. Nous sourions à l'objectif. C'est Clémentine qui prenait les clichés. Il y en a une bonne dizaine dans la cour de la forteresse. Comme toujours, quand nous faisons ce genre de chose, c'est dans des endroits publics. On voit des gens dans le paysage. Des touristes, des visiteurs qui sont loin de se douter de la nature de nos jeux. Ces images éveillent en nous le souvenir de ces vacances très agréables et reposantes en Vendée, il y a à peine trois semaines.

Voilà un des deux films. On m'y voit jouer à l'exhibitionniste. Je suis dissimulé derrière des fourrés. C'était dans le parc du château. Clémentine a superbement filmé la scène. On voit Estelle arriver depuis l'allée centrale. S'engager dans la travée qui longe la grille. Elle tombe sur un "vilain monsieur" qui agite son sexe dans sa direction. Estelle joue toujours à la perfection les personnages qu'elle incarne. Tout parait d'une authenticité surprenante. Il y avait du vent ce jour là. C'est désagréable d'entendre son bruit qui couvre nos paroles.

C'est à la fois amusant et passionnant d'assister à ces situations. Je n'y pensais déjà plus. Là, c'est comme si je voyais deux inconnus se livrer à des choses étonnantes. << Tu as une superbe queue ! Regarde ! >> fait Estelle au moment ou Clémentine a réalisé un plan serré en zoomant. Par une étrange luminosité, juste sur cette partie de mon anatomie, mon sexe parait plus clair. Il se détache parfaitement sur la couleur de mes vêtements. On voit bien que je suis entrain de montrer ma bite à une jeune fille qui se balade. Estelle joue super bien.

A l'écran, on la voit s'approcher. Fixer ma bite tout en parlant. Dommage qu'on ne comprenne rien à cause du vent. Nous nous souvenons des paroles échangées. C'était le jeu d'une rencontre. Je bande comme un salaud. Je vois cette superbe jeune fille dans le film. La même est assise à ma gauche là, dans la réalité. Je ne connais pas d'émotion plus sensuelle, plus enivrante et plus excitante que celle procurée par cette situation. Clémentine commente les images. Il y avait des promeneurs. Il a fallu cesser. Le film s'arrête donc brusquement.

Il y en a un second. C'était lors de notre randonnée du jour 2. Cette fois c'est Estelle qu'on voit cachée derrière des bosquets. Je suis entre deux hangars agricoles. Je me masturbe. Je me souviens. J'entendais des gens discuter dans l'un des bâtiments. J'étais légèrement inquiet. Clémentine filmait en faisant de nombreux zoom. On y voit Estelle, de dos. Elle se touche probablement. Elle est à une trentaine de mètres. Elle interprète là son propre personnage. Combien de fois, dans la réalité, quand elle était adolescente, n'a t-elle pas vécu "ça" ! Voyeuse.

Clémentine se touche, une main dans son jeans déboutonné. Elle revient sur des souvenirs passés. Lorsqu'elles étaient toutes les deux de jeunes lycéennes et qu'elles partaient pour des "expéditions" vicieuses à travers la campagne. Elles ont plein d'anecdotes très excitantes. << Comme on était déjà hyper salopes toutes les deux ! Tu te souviens du mec en mobylette ? >> lance Estelle. J'écoute ces merveilleuses histoires en regardant les photos qui suivent. Estelle avec ma bite dans la bouche, accroupie devant moi, qui fixe l'objectif. Le bonheur.

La durée du contenu de cette clef USB ne fait pas tout à fait 30 minutes. Estelle aussi se touche de sa main libre. << Une vie de vices, de turpitudes ! >> dit elle dans un souffle. << Et nous n'en sommes qu'au début ! >> rajoute Clémentine. Nous éclatons de rire. Tout ça nous a considérablement excité. Je suis à genoux sur les épais coussins. Mes deux anges m'offrent leurs chattes à brouter. Comme nous ne prenons jamais de douche le dimanche, je me régale du sexe de filles "négligées". C'est crémeux. C'est onctueux. Il y a des miasmes.

L'orgasme d'Estelle l'a fait hurler de plaisir. J'ai de sa foutrine tout autour de la bouche. << Je sens aussi fort ? Ça ne te dégoute pas ? >> me fait elle juste avant de se prostrer pour jouir. Ses mains entre ses cuisses, couchée sur le côté, comme en proie à une douleur insoutenable. Je saisis la cuvette en plastique sous le guéridon. J'anticipe. L'orgasme pisseux de Clémentine la fait pousser de petits cris d'animal blessé. C'est toujours impressionnant de la voir pisser en jouissant. Heureusement que je garde toute ma tête. Je contrôle.

Estelle et moi nous regardons l'incroyable quantité de pisse. Ça mousse, il y a de la cyprine qui flotte. Nous humons. << Pouah, c'est fumant ! Ça remugle ! >> lance Estelle. Clémentine reprend ses esprits. Elle éclate de rire en nous voyant "analyser" le contenu de la cuvette. Nous sommes tous les trois couchés sur l'épais tapis. Je suis entre mes deux anges. Estelle ne tarde pas à s'endormir. Clémentine se couche sur le côté. Sa tête posée sur mon ventre, elle se lance dans une douce et merveilleuse fellation. Je lui chuchote des cochonneries.

C'est toujours très amusant d'entendre Estelle qui dit des choses dans son sommeil. Comme si elle entendait ce que je raconte. Je parle de monsieur Bertrand. Je donne mes impressions. Je félicite Clémentine pour sa prestation de hier après-midi. Je chuchote : << J'aime te voir faire des saloperies avec un autre ! >>. Estelle murmure : << Moi aussi ! >> entre deux ronflements. C'est trop drôle. Clémentine cesse souvent pour enfuir son visage dans mon cou. Elle me confie à quel point notre complicité la comble. Nous restons ainsi jusqu'au soir.

Bonne soirée à toutes les coquines dont l'appétit est ouvert par un cunnilingus orgasmique de tout premier ordre. D'une fellation juteuse...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1705 -



Un lundi de retour à la "normale"

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Nous les avions oublié ces mouettes dont les cris nous réveillent. Le ressac. La sirène de ce probable gros cargo dans le lointain. Les illusions de l'application "océan" nous arrachent de nos profonds sommeils. Clémentine se serre contre moi. Encore dans une sorte de demi conscience, nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, en riant, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Je presse nos oranges.

Je pèle nos kiwis en écoutant Clémentine me raconter son rêve. Nous prenons notre petit déjeuner d'autant plus copieux qu'il reste toujours de la brioche le lundi matin. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan des folies de ces quatre jours passés. << Je me réjouie pour ce qui m'attend avec toi dans ce placard ! Enfin je saurai ! >> lance Clémentine. Nous rions. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, stretching. Nous voilà bien réveillés.

La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Clémentine me rejoint emmitouflée dans son anorak dont la fourrure du capuchon la fait ressembler à un esquimau. Il fait rudement froid. Elle est adorable. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle et notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette en chantonnant "Le gorille" de Georges Brassens.

J'attaque ce matin la troisième nature morte destinée à ma saison 2022. Je peins dans cet enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris de déments. Qu'il est bon de retrouver mon autre passion. Dans le craquement du bois et le crépitement des flammes. L'odeur des châtaignes embaume l'atelier. Il est 10 h quand la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer. Je le tire de la poche de ma blouse en maugréant. C'est Juliette. Après les lieux communs usuels, la jeune femme me raconte son week-end. L'animation au haras, hier.

Nous voulions y passer pour faire un coucou. Mais avec ce froid, la pluie, nos activités ludiques, le visionnage des films de nos vacances, nous n'avions plus envie de mettre le nez dehors. Juliette est impatiente de nous retrouver mercredi soir. Comme convenu ce sera chez nous. Nous nous saluons avant de raccrocher. Le temps passe si vite qu'il est déjà presque midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de la potée de légumes. Je poêle un beau filet de limande avec de l'ail, de l'échalote.

Accompagné d'une salade de tomates, ce repas simple me régale. J'écoute Sud Radio en m'amusant des pertinences d'André Bercoff qui décidément n'a pas son pareil pour mettre son doigt où ça fait mal. Parfois même toute sa main dans la plaie béante des mensonges médiatiques. Un vrai phénomène. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. La présence de Clémentine me manque. Aussi, pour ne pas céder à d'inutiles émotions négatives, je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. Mon bonnet, mes gants. Il fait très froid.

Le ciel est gris, bas, couvert, menaçant. Je descends jusqu'à la rivière. Comme toujours, lorsque la pluie est tombée plusieurs jours, c'est un petit étang qui s'est formé en bas. Ce qui fait le plaisir de nos emplumés. Les canards, les poules d'eau, les colverts ne se soucient pas du climat. Je remonte lentement. Je tombe sur monsieur Bertrand. Louis va nourrir ses amis. Nous bavardons. J'admire l'aplomb de notre voisin. Il ne sait pas que je "sais". J'ai intérieurement un rire qui m'amuse. Le bougre ne manque pas d'un certain culot. Vieil hypocrite !

Le vieux salaud me fait cocu en croyant que je ne suis pas dans le secret de ma compagne. Et là, avec une parfaite nonchalance, il parle du vieux pain qu'il emmène aux canards, de sa belle-mère ou encore de l'entretien de son jardin. Nous nous saluons. En le quittant je marmonne : << Sacré toi va ! >>. Me voilà dans l'atelier, confortablement installé devant ma toile. Je peins dans la même attitude mentale que ce matin. Je suis à rire de l'attitude de monsieur Bertrand. L'homme à la "viennoise" comme l'ont baptisé Estelle et Clémentine.

Il est dix sept heures trente. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. Elle vient s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Gauvain venu draguer Estelle quelques minutes au dessert. Je lui raconte le coup de téléphone de Juliette, la rencontre avec notre voisin. Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur. << Il est tout froid ! >> dit elle car aujourd'hui, elle l'a emmené en cours. Nous aimons cette ambiance studieuse.

Il est 18 h15. << Ras-la-culotte ! >> s'écrie Clémentine. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Elle range ses affaires. Nous restons l'un contre l'autre, assis sur les poufs devant la cheminée. Lumières éteintes. Juste les ombres "chinoises" des dernières flammes. Soudain, au dessus de nos têtes, le bruit sourd qui annonce les manifestations du fantôme de Christine. Nous nous blottissons pour écouter. Des bruits de pas, des errances, des craquements. Il est impossible de localiser leurs provenances. Ce qui est certain c'est que ça se passe à l'étage.

Le phénomène ne dure toujours que quelques minutes. A peine a t-il cessé que la musique idiote de mon téléphone donne une suite ridicule aux manifestations de l'au delà. Clémentine s'en empare. << Julie ! >>. Nous nous levons pour nous précipiter vers la porte. Nous accueillons notre amie toute souriante sous sa chapka. Elle aussi ressemble à une inouïe loin de sa banquise. Nous mettons nos anoraks. Nous allons récupérer la grande boîte isotherme dans sa Clio rouge. Elle contient nos repas de ce soir et celui de demain midi. Les salades.

Nous revenons vite au chaud. Nous nous faisons la bise. Le bout du nez tout froid de Julie sur ma joue. En mettant la table et les couverts, Julie nous raconte son week-end. La présence de son papy, de sa mamie. Son job de serveuse en soirée. De la grande boîte isotherme, je tire nos feuillantines au saumon. Encore très chaudes. Je sors les friands au crabe et au calmar pour demain. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant nos salades. Il est 19 h. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Julie revient sur nos souvenirs communs.

Le placard. Nous rions de bon cœur. Clémentine, assise sur mes genoux, raconte sa baise avec monsieur Bertrand, samedi après-midi. Je raconte mon aventure en compagnie d'Estelle dans le placard. Julie me lance : << Oh ! Je suis jalouse ! Et c'était aussi bien qu'avec moi ? >>. En riant je dis : << Je manque encore d'éléments de comparaisons ! >>. Il y a un fond de vérité que je devine dans l'affirmation de Julie. Nous ne la connaissons pas assez pour savoir ses émotions intimes. Après tout, une pointe de jalousie est une épice supplémentaire.

Nous faisons la vaisselle. Discrètement, sous mon tablier, tout en faisant la plonge, j'ai sorti ma bite. Je bande mou. Ça fait une grosse bosse que ne manque pas de remarquer Julie. Clémentine me fait un clin d'œil. C'est Clémentine qui dénoue le tablier pour me le retirer. Julie porte soudain ses mains à son visage. C'est si drôle. Elle a vu mon Zob tant de fois et pourtant c'est comme si c'était une première. Nous savons qu'elle ne joue pas. Ce qui nous impressionne. << On va au salon ? >> propose Clémentine qui me prend par la queue.

Elle prend la main de Julie pour la placer sur mon sexe. Après un mouvement d'hésitation, elle s'en saisit comme elle le fait dans le placard. Je dis :<< Promenez-moi donc un peu dans cette grande pièce Julie ! >>. Pendant que Clémentine allume les deux grosses bougies du chandelier, Julie me promène dans tout le salon. Elle ne peut dissimuler la joie que cela lui procure. Petit bout de femme, bite dans la main, qui découvre une fois encore les plaisirs de l'hédonisme des esthètes. Clémentine s'installe dans le fauteuil. Elle nous observe amusée.

Julie prend visiblement là du bon temps. Je bande comme le dernier des salauds. Alors que ce soir encore je suis sans doute le premier d'entre eux. Je m'arrête. Je pose mes mains sur les épaules de Julie. Elle m'observe, les yeux levés, interrogative. Je lui fais un sourire. Elle n'ose pas soutenir mon regard. Elle lâche mon sexe dans l'attente de ce qui va se passer. Je jette un coup d'œil par dessus sa tête. Là-bas, dans son fauteuil, Clémentine se touche. Une main glissée dans son jeans déboutonné. Je me penche soudain pour embrasser Julie.

Surprise par une initiative rare, qu'elle n'attendait certainement pas, elle est soudain comme une poupée désarticulée. Je fouille sa bouche de ma langue. Elle s'accroche soudain à moi. Comme prise de vertige. Je passe ma main sous ses cheveux. Je caresse sa nuque. Ma bite contre son ventre. Elle est si petite. Son mètre soixante dix tout contre moi. Elle ose enfin mettre ses bras autour de ma taille. Les remonter jusqu'aux épaules pour se blottir. Je suis pétri d'émotions. C'est la toute première fois que cela se passe ainsi. Une étrange impression.

C'est sans nul doute, pour elle comme pour moi, un instant "solennel". Elle se laisse complètement aller. Je pourrais en faire tout ce que je voudrais. Mais là, dans l'intensité de ce moment émouvant, je me contente de l'embrasser. De l'embrasser comme probablement jamais un homme ne l'a fait. C'est le ressenti que j'éprouve. Ce baiser dure. Elle non plus ne veut plus qu'il cesse. Nous entendons les premiers gémissements de Clémentine. Nous cessons pour la regarder. Elle se masturbe en nous observant. Je soulève Julie. Elle ne pèse rien.

Je peux sentir les frissons qui parcourent son corps à la moindre de mes initiatives. Elle est en sueur. Julie vit là un moment d'une indicible profondeur. Ce réflexe naturel, féminin, de passer ses jambes autour de ma taille. Accrochée à moi, je la promène dans toute la grande pièce. Instinctivement, certainement sans s'en rendre vraiment compte, elle frotte son sexe contre le mien. Je l'embrasse passionnément. Ses gémissements lascifs traduisent toutes les surprises qui l'animent ce soir. Julie m'embrasse comme une fille amoureuse. C'est beau.

Je cesse de fouiller sa bouche de ma langue inquisitrice pour chuchoter : << N'est-ce pas le plus merveilleux prolongement de nos aventures du placard ? >>. Julie rit nerveusement. Sans doute pour se ressaisir, pour cacher ce trouble intense qui la pénètre jusqu'au plus profond de son être. C'est merveilleux. Ne sachant quoi répondre, ou pour se donner la contenance nécessaire pour affronter cette "épreuve", c'est elle qui enfonce sa langue dans ma bouche. Cette fois c'est elle qui est l'exploratrice. Et elle "explore" avec fougue.

Clémentine se lève. Elle vient nous observer de près. Elle se masturbe. Pendant que nous nous embrassons comme des déments, Julie et moi, Clémentine me dépose des bisous sur la joue en gémissants. Je connais son fonctionnement. A l'intensité de ses gémissements, je devine un orgasme qui s'annonce. Rien n'excite autant Clémentine que de me voir avec une autre. Julie ne semble plus vouloir cesser. Elle ne pèse rien. Je pourrais la garder soulevée durant des heures. Ce n'est évidemment que l'impression du moment. C'est si intense.

Je la pose au sol. Elle garde ses bras levés, autour de mon cou, comme une fille éperdument amoureuse. Que n'ai-je pas fait là, ce soir ! Clémentine se cambre soudain sur ses genoux fléchis. Un orgasme violent la tétanise soudain. Va t-elle tomber. Julie me lâche pour tenir Clémentine par ses hanches. Pas d'inquiétude. Le plaisir de Clémentine est toujours d'une telle intensité qu'il peut paraître violent. Elle tombe à genoux. Je lui passe la bite sur le visage. Quelle surprise. Julie s'en saisit pour bien la guider. J'ai soudain les couilles en ébullition.

C'est Julie qui la glisse dans la bouche de Clémentine. Je n'en peux plus. Je pourrais parfaitement me contrôler, me maîtriser, j'adore faire durer. Mais là, maintenant, comme si je pouvais ressentir la demande tout au fond de moi, j'éjacule en hurlant. Julie me "contemple" comme si j'étais une sorte d'Alien. Elle découvre, surprise, cette attitude qu'elle ne connait pas. Elle ne m'a jamais vu jouir ainsi. Clémentine me tient par les hanches. Comme pour me retenir. Elle suce, elle pompe en gloussant. Nous la regardons avaler avec peine, déglutir. L'effort.

Julie lui caresse la tête. Je caresse la sienne. Ce qui vient de se dérouler ce soir est une grande première pour Julie. Comme pour nous avec elle. Nous savons dès à présent que rien ne sera plus comme avant. Une certitude à la fois inquiétante et réjouissante. Il est déjà 22 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à son auto. Dans la nuit glaciale. La séparation est extrêmement difficile pour elle. Julie revient vendredi après-midi pour son cours de peinture. Clémentine lui dit : << Et si tu en as besoin, reviens quand tu veux ! >>. Nous la regardons partir.

Bonne soirée à toutes les coquines qui viennent de vivre un des moments les plus émouvants de leurs existences de jeunes filles...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1706 -



Estelle me fait une grosse jalousie

Hier matin, mardi, il est presque six heures. L'application "océan" nous réveille par l'illusion sonore d'être au bord de la mer. Plus exactement dans un port ce matin. << L'Ecosse ! >> murmure Clémentine en se blottissant contre moi. Le temps d'écouter le cri des mouettes, les sirènes de quelques chalutiers, le bruit du ressac. Tout cela ne dure que quarante cinq secondes. Clémentine m'entraîne par la main. Nous nous précipitons aux toilettes. Le mardi, elle termine à midi. C'est donc en déconnant qu'elle me tient la bite pour en diriger les jets.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'allume immédiatement la cuisinière à bois. Clémentine fait le café. Dans le four à micro ondes, les deux croissants que nous offre la boulangère chaque samedi matin. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses quatre tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'attitude de Julie hier soir. Nous mangeons de bon appétit en évoquant son comportement de fille amoureuse. C'est beau.

Il est 6 h25. Nous montons nous livrer à notre heure de gymnastique. Ce matin encore avec une intensité maximale. Aérobics, joggings sur tapis roulants, abdos, exercices au sol qui sont autant de prétextes à la déconne. Charges additionnelles. Là on rit beaucoup moins. Le retour au calme avec un stretching bâclé car nous rions tellement des pitreries de Clémentine. Nous prenons notre douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture. Il fait froid. Une désagréable fraîcheur humide entre deux séquences pluvieuses. C'est moche.

Clémentine me rejoint engoncée dans son anorak, sous son bonnet à pompon, ses gants. Un dernier bisou. << Juste un peu plus de quatre heures et on est ensemble. Juste toi et moi. J'en ai vraiment besoin ! >> dit elle soudain sérieuse. Je regarde l'auto monter vers le portail qui s'ouvre. Je viens de changer les piles de la télécommande que tient Clémentine. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume une bonne et belle flambée dans la cheminée. Les flammes crépitent très vite.

Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette en chantonnant "La mer" de Charles Trenet. L'euphorie dans laquelle Clémentine m'a encore plongé ce matin habite chacun de mes gestes. Je peins sans cesser de chanter. La peinture de cette seconde nature morte destinée à ma saison 2022 m'accapare pourtant totalement. Il est aux environs de dix heures. La stupide musique de mon téléphone. A chaque fois je me promets de changer cette sonnerie ridicule. Je saisis l'appareil de la poche de ma blouse.

C'est Julie. Elle m'appelle depuis les toilettes de la faculté. L'inter classe ne dure que quelques minutes. Elle va à l'essentiel. << C'était merveilleux hier soir. Merci Julien. Mais ça me perturbe tellement. Et vous ? >>. Je ne sais quoi répondre. Julie rajoute : << Je comprends. Je me réjouis pour vendredi. Passez une belle journée. Je pense très fort à vous deux. A vous trois ! A vous ! >>. Elle raccroche. Je sens dans cet appel un certain désarroi. Ce témoignage m'émeut. Tout cela rajoute encore à l'optimisme de mon humeur. Il est presque midi.

Je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer les quatre chaussons au crabe et au calmar. Je prépare une salade de tomates. Pendant que gonfle du riz complet. Il est 12 h25. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite en s'écriant : << Je t'aime ! >>. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisou. En se lavant les mains au-dessus de l'évier, elle me raconte sa matinée. << Math, math et math ! >> lance t-elle en s'asseyant. Le repas est simple mais terriblement bon.

Je raconte l'appel téléphonique de ce matin. Nous mangeons d'excellent appétit en évoquant Julie. << Elle est amoureuse de nous trois, entretient une relation avec sa tante et apprécie les coquineries enfermée dans un placard avec un homme ! Curieuse personne ! >> lance Clémentine. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me confie à quel point elle est heureuse. << L'après-midi est à nous. Mais ce soir, tu vas avoir affaire au courroux d'Estelle. Je lui ai parlé de notre soirée ! >> me dit elle en riant.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles. Clémentine m'entraîne par la main. Elle me fait tomber sur le lit. Couchée à mes côtés, elle ouvre ma braguette. En fouillant dans mon slip, elle trouve facilement un sexe tout mou, recroquevillé sur lui même. Elle me l'extrait en le tenant dans sa main chaude. Tout en me chuchotant des douceurs elle pose sa tête sur mon ventre. Je bande mou. Je m'attends à ce qui..........m'attend ! Clémentine joue avec mon prépuce tout fripé.

Avec le pouce et l'index, elle décalotte juste le bout du gland. Elle hume longuement sans cesser de murmurer des choses qui deviennent de plus en plus incompréhensibles. Ses lèvres se referment sur l'extrémité de ma bite. Je peux sentir la délicate introspection de la langue qui tente de s'immiscer entre les peaux. Je ferme les yeux. Couché sur le dos, je n'ai plus qu'à me laisser fondre de plaisir. Sa bouche devient cette ventouse qui fait de moi une "chose" avachie sur le lit. Je passe ma main sous ses cheveux pour caresser sa nuque. Délicatement.

Toutes les deux trois minutes Clémentine cesse. Pour laisser reposer sa mâchoire, elle me confie ses ressentis. Elle pense à monsieur Bertrand en me suçant. Elle compare les saveurs, les consistances, les arrivées de foutre. J'écoute amusé en posant des questions précises. Clémentine m'avoue beaucoup apprécier la "viennoise" de notre voisin. Sa première baise avec lui, vendredi dernier, ne fait que confirmer cette préférence. << J'aime les toutes petites bites molles qui appartiennent à de vieux pervers dépravés ! >> dit elle avant de sucer.

Nous aimons tous deux rester excités pour le reste de la journée. Même si Clémentine confesse à chaque fois : << Quand je commence à sucer, je pourrais le faire tout le temps ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine a encore du travail. Elle vient de tailler une pipe pendant plus d'une demi heure. Elle se redresse. Je me lève. Je la soulève comme une jeune mariée. Nous descendons avec précaution. Clémentine adore garder le foutre longuement afin qu'il se dissolve avec sa salive. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Excitant.

Nous voilà dans l'atelier. Je reste auprès de Clémentine assise devant son ordinateur. Mes deux mains posées sur son épaules, je regarde les équations incompréhensibles qui s'affichent sur l'écran. << Mon cours de ce matin ! >> m'explique t-elle. Malgré ses explications tout cela reste d'un hermétisme totale. Un dernier bisou dans sa nuque. Je suis installé devant mon chevalet. Le crépitement des flammes tourmente le silence monacale de l'atelier. Nous adorons tous deux ces séances de travail. Cette émulation dans nos activités pourtant si différentes.

Parfois l'un se lève pour aller déposer des bisous dans le cou de l'autre. Chuchoter des douceurs, des cochonneries. L'après-midi se passe. Il est 18 h quand je nettoie ma palette, mes pinceaux. Clémentine range ses fiches. Nous voilà dans le vieux canapé en velours de l'atelier. Il fait nuit. Nous avons éteint les lumières. Couchée sur le dos, sa tête sur ma cuisse, Clémentine savoure ce moment. Je caresse son visage de la pointe de mes doigts. Elle frotte sa joue contre ma queue molle et gluante. Queue qui a collé au fond de mon slip tout l'après-midi.

Clémentine se couche sur le côté. Elle gobe ce sexe dont elle est si friande. Je caresse sa nuque. Je lui chuchote mes impressions. Elle cesse pour me demander de faire des comparaisons. J'avoue qu'une bouche reste une bouche. Quelle qu'en soit sa propriétaire. Que ce sont les sentiments qu'on ressent pour cette propriétaire qui font toute la différence. << Tu m'aimes alors ? >> dit elle en éclatant de rire. Juste à l'instant précis où un bruit sourd se fait entendre au-dessus de nos têtes. << Bonsoir Christine ! >> lance Clémentine. Nous écoutons.

Je débande dans la main de Clémentine. Nous restons concentrés sur les errances absurdes de l'entité qui se manifeste une fois encore. << Vivre dans une maison hantée, avec un homme dont je suis éperdument et follement amoureuse. Quel bonheur ! >> chuchote Clémentine. Ces phénomènes auxquels nous nous sommes habitués ne durent que quelques minutes. Tout cesse aussi soudainement. Juste au moment où Estelle jaillit comme un ouragan dans l'atelier. << Salaud ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers nous. Elle chope ma queue molle.

<< Et il se fait tailler une pipe le bougre ! >> lance t-elle. Clémentine est pliée de rire. Estelle me fait carrément la morale. Le plus sérieusement du monde et en tordant mon sexe dans tous les sens. Sans le moindre égard. Avec une brusquerie rare. << Fais gaffe avec Julie. Si elle me remplace ce sera une tragédie nationale. Un drame historique ! >> dit elle en martelant chaque syllabes. Je suis entre mes deux anges. Je la rassure. << C'est toi mon petit animal de compagnie préféré ! >>. Elle rajoute : << Et mon cul, c'est du poulet ? >>.

Nous ne tardons pas à rigoler tous les trois comme des bossus. J'ai rarement vu Estelle m'exposer sa jalousie avec tant de pertinence. Je lui promets que tout cela reste purement "amical". << Tu lui roules des pelles toutes la soirée, tu la doigtes comme un pervers et tu parles "d'amitié" ! Vieux salaud va ! >> s'écrie t-elle encore avant de se lever, de se mettre à genoux entre mes jambes. Elle me taille une pipe des familles alors que je m'attendais à de nouvelles tortures manuelles. Clémentine m'embrasse. Il est presque 19 h. Il commence à faire faim.

C'est moi qui entraîne mes deux anges par les bras. Clémentine précise : << On n'a rien préparé à bouffer ! >>. Estelle répond : << Parfait, je meurs d'envie de manger des coquillettes. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je fais rissoler trois dos de cabillaud blanc. << Raconte-moi dans le détail ce qui s'est passé hier soir, espèce de vieux vicieux ! >> dit Estelle en glissant sa main dans ma braguette. << Et n'oublie rien sinon je te mors l'œil ! >> rajoute t-elle avant de jeter les coquillettes dans l'eau bouillante.

C'est Clémentine qui satisfait sa curiosité. Estelle ponctue chacune des descriptions de Clémentine par ce mot << Quel salaud ! >>. Ou encore : << Quand je ne suis pas là ! >>. Nous rions beaucoup. Je rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuissons. Estelle met les assiettes et les couverts. Clémentine égoutte les coquillettes. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Assises sur mes genoux, les filles se projettent déjà dans le week-end. En se promettant les trucs les plus dingues.

Je propose un bon léchage de minous. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je ne suis évidement pas obligé de réitérer ma suggestion. Les filles m'entraînent au salon. Elles se défringuent à toute vitesse. Vautrées dans le canapé, juste en chemises et en chaussettes, elles me présentent leurs chattes. Tenant leurs jambes relevées sous les genoux, elles rient aux éclats. Je suis à genoux sur les épais coussin. Je commence par Estelle. Je ne sais pas si ce sont nos histoires qui l'ont fait mouiller comme ça, mais je me régale d'un jus de fille sirupeux.

Lorsque je fouille sa vulve en suçant, Estelle se masturbe en gémissant. Lorsque je suce son clitoris est se lâche dans de petits cris d'animal blessé. Je cesse pour lui dire : << Tu vois, c'est toi que j'aime ! >>. Elle me caresse la tête. Je passe à Clémentine. Je me régale de ses substances jusqu'au vertige. Je passe de l'une à l'autre. Ce soir, Estelle ne m'attire pas sur elle. Elle apprécie ce cunnilingus dévastateur en gloussant de plaisir. Je lui dis : << Demain soir, tu vas encore baiser comme une folle avec ton parrain. Sais-tu que je suis jaloux ? >>.

Nous en rions de bon cœur. L'orgasme d'Estelle la tétanise complètement. C'est comme si elle était elle-même surprise par son intensité. Pendant qu'elle reprend ses esprits, son souffle, j'offre son orgasme à Clémentine. Dans un hurlement elle jouit en se frottant contre mon visage. C'est rare qu'elle maintienne ainsi ma tête pour se frotter sur ma gueule. C'est délicieux. Hyper excitant. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. La séparation est difficile dans le froid de la nuit noire. Sous une pluie fine et glaciale. Elle revient jeudi soir.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont encore s'offrir une bonne fellation avant de s'endormir dans les bras de leur amoureux...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1707 -



Juliette revient enfin passer la soirée avec nous

Hier matin, mercredi, nous sommes réveillés juste avant six heures par notre application "océan". C'est fort plaisant d'être tiré du sommeil par le ressac, le cri des mouettes, les clapotis de l'eau. Clémentine se blottit contre moi. Quelques papouilles. L'impérieux besoin naturel est subitement si fort que nous n'avons d'autres choix que de nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine, Clémentine fait le café pendant que j'allume la cuisinière à bois. Je presse nos oranges.

Je pèle nos kiwis en écoutant Clémentine me raconter son rêve. Je ne me rappelle jamais des miens. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. Ce merveilleux cunnilingus que j'ai offert à Estelle et à Clémentine. << C'est tellement bon Julien. C'est ça qui va me rendre gaga ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en faisant le menu du repas de ce soir. Ce sera une autre fête avec la visite de Juliette. On fera simple. Tourte au choux fleurs.

Il est 6 h25. Nous montons achever de nous réveiller complètement avec une heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching des plus agréables. La douche. Je descends le premier pour aller préparer l'auto. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint dans le jour naissant et par un froid polaire. Emmitouflée dans son anorak, elle s'accroche rapidement à moi. << Tu vas me manquer jusqu'à ce soir ! >>. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou.

Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle. Je fais le lit. Je vais dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le grand Café" de Charles Trenet. J'adore cette chanson. La peinture de cette seconde toile destinée à ma saison 2022 me saisit immédiatement. Je peins dans cette profonde sérénité qu'offre les certitudes absolues. Cette nature morte sera achevée ce soir. Il est 10 h. La stupide musique de mon téléphone.

En pestant alors que je réalise le détail le plus magique de la pointe de mon plus fin pinceau, je saisis le téléphone posé sur la desserte. C'est Juliette. La jeune femme me confirme sa venue ce soir. << Enfin ! >> s'écrie t-elle deux fois. Nous nous réjouissons. Nous avons tant de souvenirs communs. Tant de bons moments à nous remémorer. Juliette précise : << Tant de choses nous attendent encore Julien ! >>. Nous nous saluons. Je peins avec un sentiment de félicité. Penser à cette femme est une source de plaisirs supplémentaires. 11 h50.

Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les coquillettes de hier que je prépare en gratin. Il suffit de les mettre dans un plat en terre cuite. De les recouvrir d'une bonne couche de gruyère de Comté. De verser sur le tout un mélange œuf, crème fraîche. Aujourd'hui j'y rajoute même un yaourt "nature". Au four de la cuisinière à bois. Il "turbine" comme la chaudière d'un cargo. Je lave les feuilles d'une belle laitue. J'en fais abondamment. Il y en aura pour ce soir. Je fais revenir un filet de colin dans la poêle.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Une fois encore André Bercoff passe au crible les fadaises de cette 5ème vague tant souhaitée par les dirigeants. Les véritables complotistes de toute cette saga surréaliste sont entrain de préparer les opinions. Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je redescends à toute vitesse. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Je lave un magnifique choux fleurs. Je laisse les morceaux flotter dans l'eau légèrement vinaigrée. Je prépare une Béchamel. Je râpe du gruyère.

Pendant que le choux fleurs cuit dans l'eau bouillante, j'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans un grand plat à tarte. Un plat à bords hauts. J'égoutte le choux fleurs que je verse dans la Béchamel. Je mélange en rajoutant de la noix de muscade, quelques graines de sésame grillé, du curcuma, du gingembre et du persil fraîchement émincé. J'étale soigneusement le tout sur la pâte. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée. Un "couvercle" que je jointe avec soins. Je badigeonne le dessus du mélange œuf, moutarde à l'ancienne, fromage blanc.

C'est au four électrique que je mets la tourte. Il est beaucoup plus facile de contrôler la cuisson lente à 180°. Afin que ça mijote longuement. Voilà notre repas de ce soir qui cuit tranquillement. Je mets mon anorak pour aller prendre l'air. Le ciel est gris, bas, menaçant. Le sol est humide. Il fait froid. Le thermomètre extérieur n'indique que 8°. Je contourne la dépendance pour aller remplir la brouette avec une vingtaine de bûches. Bois de hêtre et un peu de chêne. Je fais deux voyages pour rétablir le stock à côté de la cheminée et de la cuisinière.

Me voilà dans l'atelier. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes sentiments que ce matin. Il est exactement dix sept heures quand je dépose la dernière minuscule touche de jaune de cadmium sur la surface de la toile. Je retire ma loupe frontale pour contempler l'ensemble de mon travail. Encore du bel ouvrage. Je nettoie ma palette et mes pinceaux en poussant des beuglements de satisfaction. Demain matin, je pourrai attaquer la troisième nature morte. Et nous ne sommes qu'à la mi novembre !

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Je lui raconte l'appel de Juliette ce matin. Clémentine se réjouie autant que moi. Les visites de Juliette, ses présences, sont autant de certitudes de passer de bons moments. << Tu seras vicieux et plein d'initiatives inattendues. Tu veux bien ! >> lance Clémentine qui se lève car elle a encore du travail. Je promets de faire au mieux.

Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine chantonne. Je dépose la toile achevée sur le second chevalet afin qu'elle sèche. Sur le chevalet de travail je place la nouvelle. Le dessin préparatoire ainsi que la couche d'impression sont déjà réalisés. Je vérifie le tout avec la loupe. C'est parfait. Je rejoins Clémentine. Debout derrière elle, je lisse ses cheveux. Elle adore quand je fais ça. C'est apaisant. Il est 18 h30. Clémentine range ses affaires. Elle éteint les lumières pour venir s'assoir à côté de moi devant la cheminée, sur un pouf.

La danse des dernières flammes est un merveilleux spectacle ce soir. Les crépitements sont sonores dans le silence monacale de la grande pièce. Soudain, au-dessus de nos têtes le bruit sourd qui nous surprend toujours. Clémentine se serre encore plus fort. << Bonsoir Christine ! >> lance t-elle pour saluer l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Nous avons beau êtres habitués de ces manifestations de l'au-delà, ces phénomènes sont toujours étonnants. Nous écoutons l'entité errer à l'étage sans pouvoir localiser les bruits de pas furtifs.

Ce soir c'est un peu comme une danseuse que nous entendons. Christine pratiquait la danse "classique". Je me souviens de quelques folies lorsqu'elle se vêtait de ses tenues de ballerine. Ces vêtements sont dans un coffre au grenier. Clémentine ne veut pas que je m'en débarrasse. Je respecte ses désirs. Tout cela ne dure que quelques minutes. Clémentine glisse sa main dans ma braguette comme pour se rassurer. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève pour s'en saisir. << Juliette ! >> s'écrie t-elle. Nous quittons l'atelier.

Nous accueillons Juliette. Elle est emmitouflée dans un anoraks épais, kaki, sous son chapeau. Elle rentre vite pour nous tenir les mains. Les siennes sont gelées. << C'est dingue ce froid hivernal à la mi novembre ! >> dit elle en découvrant ma braguette béante. Elle me lance un regard inquisiteur. J'adore. Clémentine nous invite à la suivre. Comme la plupart de nos visiteurs, Juliette a une préférence pour notre cuisine. << Une cuisine de manoir ! >> aime t-elle à souligner. Il suffit de mettre la tourte quelques minutes dans le four de la cuisinière.

Débarrassée de son anorak, Juliette retrouve ses mouvements amples de sportive. Elle se lave les mains au-dessus de l'évier en nous racontant sa journée. La présence de Valentine, la nouvelle palefrenière, Avec James, le nouveau palefrenier, ils abattent un super boulot. Il y a 87 chevaux en pension jusqu'au printemps. J'admire le physique athlétique de cette femme magnifique. Son dynamisme de chef d'entreprise. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Avec Juliette nous mettons les assiettes et les couverts.

Nous passons au salon quelques minutes avant de manger. Clémentine allume les deux grosses bougies du chandelier. Juliette aime parcourir la grande pièce. S'arrêter devant l'imposante bibliothèque. Comme à chaque fois, elle demande : << Vous avez tout lu ? >>. Je répond que je consacrerai ma retraite à terminer la lecture de tous ces ouvrages. Nous rions. Clémentine me tient par la taille. Juliette prend quelques une de ses poses sexy qui nous enchantent. Elle s'assoit au bureau. Elle essaie le fauteuil. Fait le tour de la table monastère.

Je regarde Juliette se mouvoir dans le salon. La plus importante partie de cette grande pièce reste dans l'obscurité. Clémentine adore y allumer les deux grosses bougies du chandelier. Cette luminosité particulière sublime la silhouette athlétique de Juliette. Son extraordinaire cambrure de reins encore soulignée par sa taille fine. Ses fesses merveilleusement mises en valeur, tout comme ses cuisses galbées dans son pantalon d'écuyère. Cette femme magnifique de 48 ans n'a strictement rien à envier aux formes sculpturales de Clémentine.

Elles aiment parfois se comparer dans le grand miroir du hall d'entrée. Juliette est plus petite que Clémentine. Mais les silhouettes sont identiques. Par contre Juliette a des seins. Clémentine n'en n'a quasiment pas. Bien évidemment, chez les femmes surtout, l'une aimerait avoir ce que l'autre n'a pas et vice versa. J'observe amusé. Je donne mon avis si on me le demande. Elles n'en n'ont pas besoin car elles savent qui elles sont et ce qu'elles représentent pour le regard d'un homme. Je me contente d'un sourire complice et entendu.

Ce soir encore, je remarque ces deux petites bosses que séparent la couture de son pantalon moulant. Une couture qui partage équitablement ces petites boules. Les lèvres de sa vulve. Je n'ai fait que les entrevoir un soir de partouze, au haras, il y a deux ans. Je les ai vu lors d'un des concours de pisse que faisait Juliette et Clémentine lors du confinement, il y a un an et demi. Mais là, dissimulées sous ce tissu beige , elles sont réellement superbes. Ce qui est suggéré est souvent beaucoup excitant que ce qui est vu. Ce soircela se confirme.

Juliette sait ce qu'elle suscite. Clémentine me fait quelques clins d'œil. Entre exhibitionnistes, les filles se comprennent parfaitement. Juliette surprend mes regards appuyés. Avec elle inutile de jouer les hypocrites. Je regarde franchement et précisément le triangle évocateur de son sexe. C'est symétrique sous le tissu serré. C'est magnifique. Juliette s'appuie contre le bureau, bras croisés. Elle s'accroupit près de la grande cheminée. Elle se met à califourchon sur l'accoudoir d'un des fauteuils. Tout cela n'est qu'un spectacle offert pour notre seul plaisir.

Il commence à faire faim. Clémentine vient se serrer contre moi avant de passer son bras autour de ma taille. Juliette défait son catogan pour laisser flotter ses cheveux jusqu'au milieu de son dos. Et de dos elle tout aussi attractive que de face. Ses fesses sont aussi moulées dans son pantalon d'écuyère que tout le reste. Ces bottes de cavalière, son gilet de cuir à manches courtes. Sa chemises aux manches bouffantes. Cette sublime bourgeoise est un bijou de femme. Clémentine me fait une horrible grimace pour me punir de mâter ainsi.

Nous quittons le salon pour la cuisine. Je sors la tourte aux choux fleurs du four. Elle est dorée comme un gratin. Clémentine remue la salade. Je regarde les seins de Juliette. Des seins admirablement proportionnés à son buste. Des seins qui pourraient faire exploser son chemisier. Elle prend tellement de plaisir à être dévorée des yeux. Elle me lance un regard par en-dessous, terriblement vicelard. Me fait un sourire suggestif. Je pense aux mots de Clémentine juste avant l'arrivée de Juliette. Je prends tout mon courage. Je le place dans ce geste.

Je pose ma main sur ce triangle. Juliette a un réflexe féminin tout à fait légitime. Comme c'est beau ! Je me sens subitement comme un puceau. J'en ai même la tremblotte. Je veux retirer ma main. Juliette saisit mon poignet pour m'en empêcher. Elle consulte Clémentine du regard. Elle dit : << Je suis prêteuse ce soir ! Jusqu'à un certain point toutefois ! >>. Nous éclatons de rire quand Juliette répond par une question : << Le point "G" je suppose ? >>. Je passe mes doigts sur ces deux bosses. Elles semblent coulisser sous mon index.

Comme fuyant mes palpations pourtant délicates les deux bosses restent impalpables. C'est magique. Par contre mon index se cale parfaitement entre chacune d'elles sur la couture du pantalon. Juliette ne dit rien. Elle se contente de me fixer. Comme interrogative. Jusqu'où pourrais-je aller ? J'appuie l'endroit de son clitoris. Un soubresaut. << Vous êtes un vrai thérapeute Julien ! >> lance t-elle. << Et si nous mangions ? >> lance Clémentine. Je cesse. Nous voilà assis. << Je coupe les parts ! >> dit Juliette en prenant la pelle à tarte.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette évoque les tracas vécus la semaine dernière. Un accident de cheval arrivé à une jeune cavalière, fille d'un des propriétaires. Il y a 87 chevaux en pensions jusqu'au printemps. Tous les jours il y a des demandes d'hébergements. Depuis les départements voisins. Tout cela impose un suivi administratif, sanitaire et logistique. << Alors quand je me fais toucher comme ce soir, j'en oublie mes tracas professionnels ! >> lance Juliette. Nous rions. Clémentine répond : << Les consultations sont gratuites ! >>.

Nous traînons à table. Doucement la conversation s'oriente sur un sujet qui nous préoccupe tout autant. Le sexe. Juliette espère pouvoir organiser quelques soirées "particulières" dans les prochaines semaines. Bien évidemment nous sommes invités. Les présences d'Estelle et de Clémentine, seules jeunes filles de 24 ans dans un parterre de gens d'âge mûr, restent un must fort apprécié. Nous promettons d'étudier chaque proposition. Nous gardons tant d'excellents souvenirs. Des souvenirs qui remontent à plus de deux ans déjà. De grands moments.

Cette conversation m'excite. Discrètement, sous la table, j'ouvre ma braguette. Cela n'échappe pas à Juliette. Ni a Clémentine. Je bande. C'est presque douloureux d'avoir la bite tordue au fond de mon slip. Je me lève en disant : << Excusez-moi, mais c'est trop pénible ! >>. Juliette s'écrie : << Mais quoi donc ? D'avoir une belle queue ? >>. Nous rions aux éclats. Je sors mon sexe dur. Un vrai démonte pneu de camion. << Wouah ! >> fait Clémentine qui connaît pourtant bien cet "outil". << Impressionnant ! >> rajoute Juliette en mâtant.

Je suis très loin d'être un surhomme. Rien d'exceptionnel. Les 20 cm réglementaires sur les 4 cm d'un diamètre congestionné par l'érection démente. Juliette tend le bras. Elle saisit mon sexe à pleine main. Elle me fixe de son regard sévère. Elle me la tord légèrement vers le bas à plusieurs reprises. Juliette s'adresse à Clémentine : << Un jour, il faudra quand même me permettre de l'essayer ! Juste pour l'expérience ! >>. Clémentine répond : << Je vais bien étudier votre requête Juliette. Je vous promets une réponse avant les fêtes ! >> Nous rions.

Nous traînons à Table. Avant de goûter la tarte aux poires qu'a ramené Juliette, nous faisons la vaisselle. Clémentine plonge. Juliette et moi nous essuyons. Mon torchon dans une main, je passe l'autre sur les "bosses" si appétissantes de Juliette. Son sexe semble palpiter. Brune, méditerranéenne, au caractère sanguin, cette belle Corse est là, devant moi, comme un fruit savoureux. Elle se cambre sur ses genoux fléchis à chaque fois que je touche sa vulve. Tout cela n'échappe pas à Clémentine qui voit tout. Elle me fait des sourires suggestifs.

Nous prenons le dessert au salon. Clémentine contre moi dans le canapé. Juliette installée face à nous dans le fauteuil. Sur la table basse nos tasses de thé fumant. La moitié de la tarte. J'ai la bite à l'air. C'est à la fois hyper gênant et hyper excitant. Surtout qu'en me parlant, Juliette ne cesse de scruter mon sexe. Lorsqu'elle me fixe dans les yeux c'est avec cet air de reproche, de sévérité qui m'étourdissent de vertiges. Clémentine s'en saisit parfois pour l'agiter en direction de Juliette. Elle dit : << Je vous promets une réponse pour les fêtes ! >>

La reste de la soirée se déroule ainsi. L'ambiance de vice est lourde et pesante. C'est divin. Il est 22 h. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. La nuit est noire et glaciale. Je touche une dernière fois Juliette avant qu'elle ne s'installe au volant. Cette fois je le fais avec vulgarité. << Je reviens pour une nouvelle consultation mercredi prochain ! >> me dit elle en démarrant. Nous nous serrons les mains. Juliette referme la vitre. Nous la regardons partir. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine m'embrasse passionnément.

<< J'adore ton comportement de ce soir. Tu as vu comme elle a apprécié ? Il faudra approfondir tout ça ! >> fait Clémentine lorsque nous débarrassons la table basse. Je ferai cette petite vaisselle avec celle du petit déjeuner demain matin. << Fais-moi goûter ! >> fait soudain Clémentine en s'accroupissant devant moi. Elle me sort le Zob. Avec l'excitation il est suintant de liquide séminal. Clémentine l'observe. Mon sexe pend lourdement de ma braguette ouverte. D'un mouvement de tête gracieux, Clémentine en gobe l'extrémité. En gémissant.

Je la regarde suçoter. Les yeux fermés. Une expression d'extase sur son visage, Clémentine se régale de mes épanchements. Elle cesse pour se redresser. << J'aime l'effet qu'ont les visiteuses sur ta psyché ! >> dit elle en me montrant l'intérieur de sa bouche. Cette jute en filaments gluants qu'elle tente de déglutir. Elle m'entraîne par mon érection. Nous faisons le tour de la grande pièce. Clémentine imite les intonations de Juliette. Cet accent méridional, Corse, qui fait chanter les phrases de notre amie. Juliette prend les mêmes poses.

Je peux donc comparer dans l'immédiateté des situations récentes. Je dis : << Tu n'as rien à lui envier, vraiment ! Tu me fais "craquer" ! >>. Clémentine frotte sa braguette contre mon sexe. << Même avec mes tous petits seins ? >> fait elle. Je pose mes mains dessus en répondant : << Surtout avec tes petits seins. Ce sont mes préférés ! >>. C'est vrai que je n'ai strictement aucune attirance pour l'hypertrophie mammaire. Aucun fantasme concernant les poitrines féminines. J'aime tout particulièrement la "platitude" de Clémentine.

Nous montons à toute vitesse. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine entoure mon cou de ses bras. Je la soulève. C'est comme ça que nous entrons dans notre chambre. Au lit, je lui offre un délicieux cunnilingus. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous nous berçons comme nous aimons. Clémentine me chuchote ses impressions, les émotions vécus lors de mes attitudes avec Juliette. Je la termine avec un autre cunnilingus. Je propose de remettre la pipe à demain. Nous plongeons.

Bonne soirée à toutes les coquines que l'attitude de leur mec, avec une visiteuse vicieuses, enivre de plaisirs et d'excitations...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle" et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique trente sixième page qui nous attend déjà...

Cordialement.



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Clémentine, Julien et Estelle, (Tous trois réservés)

Hier matin, jeudi, il est presque six heures quand la sirène de ce cargo résonne dans le lointain. Le cri des mouettes. Le clapotis du ressac. L'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Quelques papouilles. L'impérieux besoin de pisser nous mène tout droit aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gymnastique, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café en racontant ses rêves. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses tranches.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la visite de Juliette hier soir. << Tu l'as plutôt étonné ! Tu as vu ses réactions quand tu la touchais ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en riant de mes initiatives. Je réponds : << Oui, j'ai essayé de satisfaire à tes demandes. C'est vrai que mes initiatives ne semblaient pas lui déplaire ! >>. Il est 6 h25. Nous remontons. Cette heure d'entraînement, avec l'intensité que nous comptons bien y mettre va nous réveiller complètement. Ce matin nous en avons besoin. Et c'est un peu dur.

Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Le retour au calme avec un excellent stretching. La douche. Je descends pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45 quand Clémentine vient me rejoindre. Emmitouflée dans son anorak, elle me fait plein de bisous. Le froid glacial de ce jour naissant est encore accentué par un léger vent du Nord. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit.

Me voilà dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je commence ce matin la troisième toile destinée à ma saison 2022. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. Je peins dans une douce sérénité tout à fait comparable à celle de hier. Bien évidemment je suis assaillis par d'amusantes pensées quand à la soirée de hier. Juliette est une femme autoritaire, au caractère affirmé. Belle bourgeoise de 48 ans. C'est un plaisir de partager un repas en sa compagnie. Superbe.

La matinée passe si rapidement. Il est midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste de tourte aux choux fleurs. Je prépare une salade de carottes. J'écoute Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff est dans tous ses états. Je fais rissoler un filet de lieu noir avec quelques champignons, de l'ail, de l'oignon et du persil. C'est très rapide. Je mange de bon appétit. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je redescends à la cuisine. Je prépare une pâte à crêpe. Le repas de ce soir.

Dans le wok, je fais revenir des crevettes, des morceaux de poivrons. Ce sera une soirée beignets de crevettes. J'épluche, je lave et je coupe en fines tranches des pommes de terre. La pâte à crêpe repose dans le saladier, sous un linge. Les crevettes reposent dans le wok, sous un couvercle. A la poêle je fais frire doucement les chips sans cesser de les remuer, de les retourner. J'en fais en grande quantité. La hotte au-dessus de la cuisinière à bois fonctionne à plein régime. Les pâles de son vieux moteur électrique font un bruit d'enfer. C'est amusant.

Il est 13 h30. Je mets mon anorak pour aller faire quelques pas dehors. Le ciel est bleu. Le soleil y brille majestueusement sans toutefois réussir à réchauffer l'atmosphère. Il y a dix degrés. Je descends jusqu'à la rivière. Le niveau des eaux est revenu à la normale. Les canards me font un accueil sonore. Ça cancane fort. Je remonte. Me voilà dans l'atelier, assis devant mon chevalet. Je peins habité de la même sérénité. Cette fois encore l'après-midi passe si vite. Ce temps qui m'échappe m'effraie. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours.

Son cartable posé sur la table, elle se précipite pour venir s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Ce soir encore d'amusantes anecdotes étudiantes me font bien rire. Clémentine a encore du travail. J'aime l'entendre chantonner devant son ordinateur. J'aime l'entendre faire des commentaires quand aux notes qu'elle met au propre. Il est 18 h20. Je nettoie ma palette et mes pinceaux lorsque Estelle entre dans la grande pièce. Elle se précipite en s'écriant : << Salaud ! >>.

Assis sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me pose tout un tas de questions. << Clémentine m'a raconté tes "prestations" de vicieux hier soir ! Je suis de plus en plus jalouse, fais gaffe ! >> me dit elle en fourrant sa main libre sous ma blouse. Dans ma braguette béante. Nous rions de bon cœur quand je réponds : << Raconte moi donc ta soirée de hier, avec ton parrain ! C'était dans la cave ou dans le dépôt des cartons ? Et fais gaffe, je suis jaloux ! >>. Estelle raconte sa baise avec Jean-Marc, son parrain aux performances étonnantes.

Soudain, alors que Clémentine vient nous rejoindre, un bruit sourd et d'une violence inouïe au-dessus de nos têtes. << Bonsoir Christine ! >> font Estelle et Clémentine en même temps. Assises sur mes genoux, elles écoutent serrées contre moi. Ce soir, le fantôme de mon ancienne compagne traîne des pieds. C'est l'impression qu'il donne. Il y a des bruits étranges. Impossible de les identifier. Impossible de les localiser. << Put-Hein, elle fait fort ce soir ! >> murmure Estelle en frissonnant contre moi. Nous restons muets de stupeur. C'est fou.

<< Cette année, tu n'as pas encore pratiqué le rituel ! C'est peut-être à cause de ça ! >> me dit Clémentine. Estelle propose de réaliser ce rituel samedi soir. Il faudra descendre dans le souterrain. C'est un acte toujours pénible que je rechigne a effectuer. Les phénomènes cessent aussi subitement qu'ils ont commencé. Nous sommes tous les trois dans l'obscurité à regarder danser les dernières flammes. Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Durant tout le temps qu'ont duré les manifestations de l'au-delà, Estelle a tenu mon sexe en main.

Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Je réchauffe les chips pendant qu'Estelle porte à ébullition l'huile de friture. Il faudra d'ailleurs en changer car elle a déjà servi quatre fois. C'est toxique. Estelle jette les crevettes et les morceaux de poivrons dans la pâte à crêpe. Avec un écumoire Clémentine les récupère après les avoir laissé flotter une à deux minutes. Je mets les assiettes et les couverts. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les phénomènes paranormaux de notre grande demeure hantée. Estelle change de conversation.

<< Hier soir, Jean-Marc m'a gâté ! Qu'est-ce qu'il m'a encore mis le salaud ! >> dit elle avant de rire. << Tu es entourée de salauds ! >> lance Clémentine. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine en disant : << J'aime les salauds. Je m'emmerde avec ceux qui ne le sont pas ! >>. Nous rions aux éclats. << Ce soir, je veux comparer entre deux salauds ! >> rajoute encore Estelle. Je comprends soudain ce qui m'attend tout à l'heure au salon. Je me lève pour agiter ma bite. Je dis : << Comparaison n'est pas raison ! >>.

Ce vieux dicton populaire nous fait rigoler comme des bossus. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font des projets pour le week-end. Si la météo est clémente, nous aimerions bien randonner dimanche. << On passe au haras faire un coucou à Juliette ! >> lance Clémentine. Estelle me mordille l'oreille avant de dire : << Comme ça tu pourras lui toucher la chatte à travers le tissu de son pantalon d'équitation. Vieux pervers ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. C'est Estelle qui m'entraîne au salon par le Zob.

Clémentine s'installe dans le fauteuil. Ce soir encore, elle veut nous regarder. Clémentine adore se masturber en observant nos égarements. Estelle ouvre mon jeans pour le faire tomber en même temps que mon slip. Je suis en chaussettes et en chemises à carreaux. Je déboutonne son jeans. Elle m'aide pour que ça aille plus vite. La voilà elle aussi juste en chaussettes et en chemise à carreaux. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Accrochée à mon cou, je la promène dans toute la grande pièce. Elle se frotte contre moi.

Clémentine, une main dans son jeans déboutonné, se retourne pour suivre tous nos déplacements. Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Même si nous pratiquons ces choses très souvent, il est tout à fait impossible de s'en lasser. Et avec la fougue d'Estelle, c'est à chaque fois une grande première. Je l'assois sur le bureau. En appui sur ses coudes elle me fixe de son regard innocent. Comme si elle subissait avec étonnement ce que je fais. Je frotte mon sexe contre le sien. Je le fais passer entre les fines lèvres de sa vulve humide.

<< C'est génial quand tu le frottes sur mon clito ! Mmhhh, comme c'est bon ! >> dit elle. Je n'ai pas besoin d'un stimuli supplémentaire, je bande comme le dernier des salauds. Nous entendons les premiers gémissements de Clémentine qui se tortille dans son fauteuil. Estelle saisit mon érection. Elle se l'introduit doucement. Centimètre par centimètre en se mordillant la lèvre inférieure. D'un coup de reins, elle achève cette pénétration pour se redresser. Accrochée à mon cou, elle se met à bouger. Je l'accompagne en suivant le même rythme.

Je la soulève pour l'emmener. Nous faisons le tour du salon. Clémentine se lève. Tout en se touchant, le visage aussi ensuqué que celui d'Estelle, elle nous suit. Je dépose à nouveau mon doux "colis" sur le bureau. Clémentine s'accroupit pour regarder l'aiguille de la "machine à coudre" coulisser dans le sexe d'Estelle. Je la baise avec toute la délicatesse d'un lutteur ukrainien. Je la nique avec toute la douceur d'un catcheur de l'époque soviétique. C'est dans un concerto de cris, de gémissements et de contorsions diverses, qu'Estelle jouit en hurlant.

Elle me repousse délicatement. Tout en se faisant niquer comme une furie, elle ne cesse de se masturber. Couchée sur le côté, ses mains entre ses cuisses, comme si la douleur était insupportable, Estelle reprend son souffle et ses esprits. J'ai la bite dans la bouche de Clémentine. A genoux, tout en se masturbant d'une main, elle tient mes fesses de l'autre. Estelle se redresse. Elle se met à quatre pattes sur le bureau. Elle m'attrape par le cou pour enfoncer sa langue et m'embrasser avec passion. J'éjacule dans la bouche de Clémentine.

J'ai les lombaires qui me font atrocement souffrir. Si je ne force pas Clémentine à se relever, elle va partir pour un second tour. Aussi, la saisissant par ses cheveux, je l'aide à se relever. Elle me montre l'invraisemblable quantité de sperme qu'elle garde le plus longtemps possible avant de le déglutir. Estelle regarde elle aussi. Clémentine me fait un clin d'œil en tentant d'avaler d'un coup. Impossible. Mon sperme est épais, gluant et elle doit s'y reprendre plusieurs fois. Ce qui amuse Estelle. Elle reprend ma bite en main. Je bande mou.

Nous sommes vautrés tous les trois dans le canapé. Il faut reprendre nos esprits. Je suis entre mes deux anges. Ce soir, Clémentine n'est pas allée jusqu'à l'orgasme. Nous nous habillons. Nous raccompagnons Estelle dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. La séparation est douloureuse. Elle revient samedi pour 14 h. Nous nous dépêchons de rentrer. Au lit, je pénètre Clémentine qui ne cesse de se masturber. Elle me repousse doucement. Je glisse mon visage entre ses cuisses. Je suce son clitoris. Son orgasme est merveilleux. Nous plongeons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment regarder une bonne baise en salon tout en se touchant et en suivant les ébats...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1709 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, nous sommes tirés de nos profonds sommeils par le cri strident des mouettes. L'application "océan" nous donne la parfaite illusion de nous réveiller près d'un port. Il y plusieurs bruits de sirènes. Sans doute des chalutiers. << On est en Ecosse ! >> chuchote Clémentine à mon oreille. Il est presque six heures. Nous nous levons assez péniblement pour nous précipiter aux toilettes. Le vendredi Clémentine termine à midi. Ce qui la rend assez déconneuse dès le levé. Elle me tient la bite pour en diriger les jets en riant.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons l'escalier. Clémentine fait le café en racontant son rêve. J'allume une bonne flambée dans la cuisinière à bois. Je presse nos oranges, je pèle nos deux kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les folies de la soirée de hier. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celles qui s'annoncent pour ce week-end. Estelle ayant envisagé quelques "plans" assez farfelus. Toujours est-il que ce dimanche, si la météo le permet, nous souhaitons randonner. Le besoin s'en fait sentir.

Il est 6 h25. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobics, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Le stretching est un prétexte à la déconne car ce retour au calme est plutôt bâclé. La douche. Je descends pour aller faire chauffer la voiture. Clémentine, emmitouflée dans son anorak, vient me rejoindre dans le jour naissant. Il est presque 7 h45. Un dernier bisou. Je regarde l'auto partir. Un dernier coucou dans le froid glacial. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier.

J'allume le feu dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette troisième toile destinée à ma saison 2022 est un plaisir. Je peins animé de cette douce euphorie que m'a laissé Clémentine en partant. La matinée passe si vite. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de beignets de crevettes et de chips dans un plat au four. Je prépare une salade de tomates. Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou.

Clémentine m'entraine dans une ronde autour de la table. Tellement contente de ce début de week-end. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, elle me couvre le visage de bisous. Nous mangeons de bon appétit. << En faisant le plein d'essence, j'ai rencontré madame Walter. Nous avons bavardé un peu. Elle me prie de te saluer ! >> raconte Clémentine. S'en suit la description des vêtements que portait aujourd'hui la collaboratrice de Juliette. << Une tenue d'équitation sous son manteau noir ! Toujours très élégante>> précise Clémentine.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le très vague programme de l'après-midi. Elle propose une petite balade de deux heures. Je trouve la suggestion excellente. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous restons vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Il suffit de mettre un pull. Nos grosses godasses de marche à la main, nous redescendons à toute vitesse. Pressés de filer.

Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Il y a de la brume. L'uniformité de la grisaille qui nous entoure est sinistre. Angoissante peut-être. Nous montons jusqu'au portail. Nous traversons la route pour nous engager dans le chemin forestier. De forêt, il n'y a plus que les arbres nus. Vides de toutes feuilles. Clémentine me tient par le bras. En marchant d'un pas moyen, nous faisons le bilan de nos vies. Une sorte de rétrospective. << Nos folies nous épuisent. Il n'y a pas un soir ou presque sans que nous y sacrifions ! >> lance Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. C'est vrai qu'au petit matin, les levés sont de plus en plus difficiles. Clémentine me saisit la main. Nous accélérons le pas. Nous marquons plusieurs arrêts ou, en riant de nos conversations, Clémentine se blottit contre moi. Avec ce froid glacial c'est très agréable. Pas de pipis dehors. << Inutile de se geler les fesses ! >> dit elle en sautillant autour de moi. Lorsque je suggère un bon restaurant ce soir, Clémentine s'écrie : << Non ! Si tu veux bien, j'aimerais rester toute seule avec toi ! >>. Je trouve l'idée parfaite.

<< J'ai envie de spaghettis, de Parmesan et de nems ! Maintenant que j'en parle, je me rends compte que c'était dans mes rêves de la nuit ! >> fait elle en se serrant fort. << Je t'aime ! Je suis si bien avec toi ! >> murmure t-elle avant de m'embrasser passionnément. Je suis pétri d'émotion. Nous connaissons les chemins que nous empruntons par cœur. Avec la brume qui nous entoure il serait totalement impossible de s'y retrouver. Quelle joie. Nous tombons nez à nez avec un couple de cervidés. Une biche et un chevreuil. Ils nous observent. Silence.

Ils sont probablement aussi étonnés que nous. Nous surgissons dans leurs univers. Dans ce brouillard que peuvent bien faire là ces deux humains ? Nous restons aussi immobiles que ce couple étonnant. Lentement, sans frayeur, ils s'éloignent pour disparaître tels des fantômes dans la brume de plus en plus épaisse. Nous revenons par le chemin qui longe les clôtures des prés. Il est 15 h15 quand nous revenons. Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Avec ce froid, la consommation de bois est conséquente. 12 bûches par jour.

Bien sûr c'est une moyenne. Nous rentrons nous mettre au chaud. Nous allons dans l'atelier. Je rajoute deux bûches sur les braises. Clémentine se serre contre moi pour me chuchoter d'autres douceurs. Nous nous embrassons comme les amoureux fougueux que nous sommes restés depuis cinq ans. Clémentine s'installe dans le canapé avec un livre. Je prends mes pinceaux. J'adore peindre en l'écoutant me faire la lecture. Au delà du sens des mots, c'est leurs musiques qui m'enchantent. La musique imbécile de mon téléphone. Le con.

Clémentine se précipite pour le récupérer. << Julie ! >> lance t-elle avant de rajouter : << Reste à travailler, je vais l'accueillir ! >>. Le craquement du bois, les crépitements du feu. Quel bonheur. Julie entre dans l'atelier. Elle vient me rejoindre. Le bout de son nez tout froid lorsqu'elle me fait la bise. Clémentine propose un thé et des crêpes dentelles sèches. << Oh oui ! Quelle bonne idée ! >> fait Julie. Je cesse de peindre. Je nettoie la palette et les pinceaux en disant : << La guerre est finie, les fusils à la mairie ! >>. Julie se penche pour regarder.

Ça l'intrigue tout autant. C'est avec un papier cul rêche, bas de gamme, que je frotte la palette. Depuis des années elle en est devenue polie et luisante. Julie observe chacun de mes gestes. Assise à ma droite. << C'est prêt ! >> lance Clémentine depuis la table basse devant le canapé. Mais c'est installés tous les trois sur les poufs que nous prenons cette délicieuse collation. Julie nous raconte sa semaine. << Le vieux voisin cochon m'a encore montré son sexe depuis l'entrée se son garage. Malgré le froid. Bravo ! >> dit elle avant d'éclater de rire.

<< Raconte ! >> demande Clémentine. Julie entre dans quelques amusantes anecdotes. Depuis le confinement d'il y a un an et demi, cela s'est produit à plusieurs reprises. << Depuis quelques temps, je regarde franchement pour le mettre mal à l'aise ! Ça fonctionne plutôt bien. Ça le gêne alors il se dépêche de s'en aller ou de rentrer ! >> répond Julie. Nous rions aux éclats. Julie se lève en grignotant une crêpe dentelles. Ce sont de petits cigares qui ne pèsent rien mais tellement délicieux. Elle se dirige vers le chevalet devant lequel elle s'installe.

Julie est assise devant mon chevalet. Il y a toujours ce long moment silencieux. Clémentine et moi, nous nous consultons du regard. Souvent elle me prend la main avant de se serrer contre moi. Derrière Julie, nous restons totalement muets. Sa respiration accélère imperceptiblement. Julie se rend compte elle aussi de ce phénomène. C'est sa concentration. Elle se tourne alors pour poser une question. Une question précise, pertinente. Aujourd'hui je l'entends demander : << Cet effet de fondu, comment le faites-vous ? >>.

J'explique alors le plus clairement possible. Une fois encore, en cet après-midi, elle écoute en fixant ma braguette. Clémentine qui a son bras autour de ma taille, fait un mouvement de sa main. Elle aussi a remarqué le regard braqué sur la bosse qui commence à se former. Julie se retourne à nouveau pour recommencer à scruter la toile. Clémentine passe sa main sur ma braguette qui se boursoufle inéluctablement. Julie se contorsionne sur sa chaise. << Et cette opalescence qui transparaît dans les nues, comment faites-vous cet effet ? >> dit elle.

A nouveau, durant toute mon explication elle fixe ostensiblement la bosse devenue apparente. Par contractions de mes muscles fessiers, je fais bouger mon sexe. La bosse bouge alors en rythme. Clémentine ne cesse de masser ma hanche. Elle aussi est penchée pour observer ma "prestation". Julie me lance un furtif coup d'œil complice. Bien évidemment sa timidité si naturelle l'empêche une fois encore de soutenir ce regard que je voudrais insistant. Je peux sentir l'excitation grandir chez Clémentine. Tout autant que chez Julie. Merveilleux moment.

C'est lorsque Julie nous tourne une fois de plus le dos que Clémentine déboutonne ma braguette. D'un geste rapide mais précis. Son habitude confère à cet acte une habileté épatante. Julie se retourne pour poser une nouvelle question. Ces effets de sfumato semble l'interpeller. Cette fois, en écoutant mes descriptions techniques elle scrute l'ouverture obscure avec autant d'attention que ma peinture. Elle sait bien ce qui se passe. Julie adore jouer. Et à ce jeu elle sait nous étonner. Cette fois, Clémentine me sort une queue bien raide.

En se retournant une nouvelle fois, Julie découvre ce démonte pneu de camion qui pointe fièrement vers les moulures du plafond. Elle se met à rire en mettant sa main devant la bouche. Je dis : << J'attends votre prochaine question mademoiselle ! >>. Julie a du mal à reprendre son sérieux. Clémentine se met à rire à son tour. Ce rire qui me gagne également. La bite à l'air, je me sens soudain très con. C'est juste à cet instant précis que Julie saisit mon sexe à pleine main. << Ce pinceau se manipule pour d'autre Arts ? >> lance t-elle.

Clémentine et moi en restons pantois, bouches grandes ouvertes. Que pourrions-nous bien dire, rajouter ! Julie lâche pourtant très vite mon sexe en disant : << J'ai mon cours de peinture qui commence d'ici un quart d'heure. Mon professeur est exigeant et peut se montrer sévère ! >>. Je passe ma main sous ses cheveux pour la poser sur sa nuque délicate. Elle observe à nouveau la toile. Silencieuse. La douceur de ma main, immobile et bienveillante, rajoute de ce moment de grâce. Elle lève son bras pour saisir mon poignet. Je suis pétri d'émotion.

Clémentine tient mon sexe dur comme un pieu de bois de chêne. Elle adore sentir battre mon cœur par ma queue. Lorsque je bande aussi fort, les battements de mon cœur s'accélèrent. Julie se lève. Je sens bien que c'est surtout pour fuir la tentation. Debout, tournant le dos à la cheminée, elle nous observe, le visage entre ses mains. << Si vous saviez comme toutes ces situations reviennent en moi comme autant de flashback. Quand je m'y attends le moins. A n'importe quels moments de la journée ! >> lance t-elle. Clémentine me masturbe un peu.

<< Mais c'est exactement pareil pour nous. Je crois qu'il n'y a pas une journée sans que nous ne parlions de toi ! >> fait Clémentine. Julie, soudain comme éclairée de l'intérieur par une lumière divine, nous adresse le plus merveilleux des sourires. Sans même nous consulter, animés du même élan, nous nous précipitons pour déposer une bise sur les joues de Julie. Elle regarde ma queue, la pointant du doigt en disant : << Moi, je compare avec celles que j'arrive à entrevoir dans les toilettes du restaurant ! >>. Nous éclatons de rire. Sublime Julie.

Assise devant le chevalet de table, Julie prépare les couleurs sur sa palette. Je suis installé à sa gauche. Clémentine est dans le canapé. Elle a repris la lecture de son livre. Julie commente chacun de ses gestes. J'écoute, amusé, comme si c'était moi l'élève. J'ai la bite à l'air. Toutefois, je débande. La concentration me fait changer de centre d'intérêt. Je regarde Julie peindre. Il y a la précision du mouvement. C'est impressionnant. Cette jeune fille est très douée. Si elle s'accroche à cette activité, il est certain qu'elle produira de belles choses. Sûr !

Souvent elle me demande. << Là, que me conseillez-vous ? Je reste dans le flou ou je détaille ? >>. Comme toujours j'invite ma jeune élève à laisser s'écouler son inspiration tout autant que sa peinture. Tout juste si je rajoute : << C'est une question de tempérament. Ne laissez jamais les questions techniques prendre le dessus. Les choses se résolvent au fur et à mesure de l'exécution de l'œuvre ! >>. J'entends la respiration de Julie. Ses soupirs. Son souffle lorsqu'elle cesse les apnées de ces concentrations. J'aime ces ambiances.

Il est dix huit heures. Julie prend son service au restaurant pour 18 h30. Elle nettoie sa palette, ses pinceaux. Elle dépose le petit chevalet de table sur un coin de l'étagère. << A vendredi prochain cher tableau ! >> dit elle avant de se laver les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Clémentine cesse sa lecture. Soudainement très triste, Julie nous prend les mains. << Comme j'aimerais rester avec vous ! >> dit elle. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture dans la nuit glaciale. Le brouillard est dense. Julie reviendra demain matin pour le ménage.

La séparation est difficile. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine m'entraîne par la main. Nous faisons une sorte de danse triviale devant la cheminée. En sautillant comme des chimpanzés et en poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. Clémentine me fait tomber dans le canapé. A genoux sur un des épais coussins, elle me sort la bite. Ses coudes en appui sur mes cuisses, elle scrute mon sexe en le faisant tourner. De l'index, elle me montre la coulure. << C'est l'effet Julie ? >> demande t-elle en riant. Avant de lécher le foutre.

Nous avions une fois encore oublié. Il est 18 h30. Clémentine se régale des saveurs de mon liquide séminal. Abondant et sirupeux. Lorsque le bruit sourd résonne au dessus de nos têtes. Clémentine cesse de sucer. En déglutissant avec peine elle me fixe. Tous deux nous écoutons les errances du fantôme de Christine. Ses pas lourds ce soir qui ne sont pas localisables. C'est toujours à l'étage que cela se passe. Un meuble qui glisse sur le plancher. Une porte qui claque. Les pas qui s'éloignent pour s'éteindre dans un silence lourd et oppressant.

<< Le silence qui suit une sonate de Mozart est encore du Mozart ! >> lance Clémentine avant de retourner à sa pipe. Je bande mou. Elle se pompe donc une quantité de jute considérable, en gémissant d'aise. Je caresse sa tête. Je passe ma main sous ses cheveux. Du bout de mes doigts j'explore partout. Derrière ses oreilles, la racine de ses cheveux que j'adore regarder. Ses sourcils, ses joues creusées par l'effort de succion. Il est hors de question d'aller jusqu'à l'orgasme, l'éjaculation. Nous avons des idées pour ce soir, après les spaghettis et les nems.

Bonne soirée à toutes les coquines qui après avoir savouré de la saucisse dans son jus, vont déguster des nems avant le "dessert"...

Julien (professeur occasionnel de peinture)



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1710 -



Un agréable samedi

Hier matin, samedi, il n'est pas tout à fait huit heures quand Clémentine me réveille. << J'ai mes "petits machins" ! >> me chuchote t-elle avant de se lever précipitamment. Je la regarde courir vers la porte. Je m'étire avant de me lever. En ouvrant le lit pour l'aérer, je découvre qu'effectivement, Clémentine a ses "petits machins". Je défais les draps. Clémentine revient pour m'aider. << Même pas mal ! Juste un ventre congestionné ! >> dit elle en me faisant plein de bisous. Je me précipite aux WC. Elle me tient la bite pour en diriger le jet.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous pressons nos oranges, nous pelons nos kiwis. Dehors le jour se lève sous un ciel gris, bas et plutôt sinistre. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. << Tu as remarqué que je suis toujours beaucoup plus excitée la veille de mes règles ? >> me demande Clémentine. Je réponds : << Mais alors tu as tes règles tous les jours ! >>.

Nous rions de bon cœur. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée Il est 8 h30 quand résonnent les trois coups de sonnettes. Clémentine se précipite. Elle revient suivie de Julie. Radieuse, toute contente d'être de retour, elle nous fait des bises. J'adore le bout de son nez tout froid contre ma joue. Comme toujours, avec ce sérieux que nous lui connaissons bien, elle monte à l'étage pour commencer le "ménage". Nous faisons la vaisselle.

Avec ce froid et cette météo, pas question d'aller courir dehors. Nous remontons nous aussi pour nous offrir notre entraînement en salle. Nous entendons Julie passer l'aspirateur. Elle commence par notre chambre. Nous voilà à nous échauffer par quelques mouvements aérobics. Joggings sur tapis roulants. Abdos, exercices au sol. Clémentine se plaint d'une légère congestion du bas ventre. Charges additionnelles en privilégiant ce matin les haltères et les barres plutôt que les machines. Retour au calme avec un bon stretching.

La douche. Nous mettons nos jeans et nos chemises à carreaux avant de redescendre. Le thermomètre extérieur indique 3°. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Le silence et le froid hivernal sont assez perturbants. Voilà la camionnette des fruits et légumes. Danièle nous fait un grand sourire en sortant du véhicule. Du hayon arrière elle sort les deux cageots. Elle récupère ceux de la semaine dernière. L'un contient nos légumes, nos fruits. L'autre nos fromages, nos œufs, le beurre, nos petits pots de crème fraîche, les yaourts.

Paiement par carte et même commande pour la semaine prochaine. A peine Danièle repartie qu'arrive le tube Citroën de madame Marthe, la boulangère. Nous adorons son humour. Elle nous donne la cagette dans laquelle il y a nos deux pâtes feuilletées, nos deux grosses miches de pain complet et bio, notre brioche au pudding. C'est devenu une habitude, madame Marthe nous offre nos deux gros croissants à la pâte d'amande. Paiement par carte et même commande pour samedi prochain. Nous attendons car le traiteur doit nous livrer en poissons.

Le contenu des cageots ne risque pas de se gâcher avec le froid qu'il fait. Clémentine se blottit dans mes bras. Nous nous embrassons. Voilà monsieur Thomas, notre boucher charcutier poissonnier. Du hayon arrière de sa camionnette réfrigérée, il tire la boite en plastique bleu contenant nos commandes. Paiement par carte et même commande pour dans un mois. Nous passons par derrière pour descendre directement à la cave. Dans le cellier nous rangeons soigneusement nos fruits et nos légumes sur les étagères après un coup de chiffon.

Dans le congélateur nous rangeons tout ce qui est déjà congelé. Les filets de limandes, de lieu noir, de colin, les pavés de saumons, les paquets de moules, de crevettes, les nems, les calmars et les dos de cabillauds. Je prends un paquet de moules, de haricots verts et de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. A la cuisine, dans le réfrigérateur, nous rangeons nos produits frais et laitiers. C'est un rituel dont nous nous acquittons une fois encore comme chaque samedi matin. Nous entendons Julie passer l'aspirateur dans le hall.

Nous quittons la cuisine pour lui permettre de la nettoyer. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux messages. Un courriel de oncle Alan qui nous rapporte les derniers potins écossais. Un message de Juliette qui nous remercie pour le délicieux mercredi soir qu'elle a passé avec nous. Elle se réjouit pour la semaine prochaine sans omettre de nous inviter à passer au haras ce week-end. Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros. Nous y joignons un petit mot qu'écrit Clémentine. Je rajoute mon prénom.

Clémentine surfe un peu sur le site de l'université. Pas d'informations particulières à part l'horaire des cours et leurs programmes. Julie vient nous rejoindre. Comme le temps passe vite. Il est déjà presque 11 h30. Je lui tends l'enveloppe. << Tu restes avec nous ? On t'invite à manger là ! >> lance Clémentine. Toute triste, Julie répond : << J'aimerais tellement. Mais il y a papy et mamie qui m'attendent ! Je suis un peu leur "mascotte", leurs "doudou" et leurs petite fille "adorée" ! >> fait Julie. Je dis : << Mais c'est tout pareil pour nous ! >>.

Nous rions de bon cœur en accompagnant Julie dans le hall d'entrée. C'est moi qui lui passe l'anorak. Elle m'adresse un sourire qui me fait craquer. Je la pends par les épaules pour lui déposer un bisou sur le front. Clémentine fait la même chose. Julie, amoureuse de Clémentine, a le réflexe de vouloir s'accrocher à elle. Nous la raccompagnons jusqu'à sa Clio rouge garée devant le garage. << Je suis là lundi soir, avec les commandes ! 18 h45 ! >> dit encore Julie en démarrant. Nous la regardons partir avec son sourire si tristounet. Un dernier coucou.

Nous passons derrière la maison d'amis. Dans l'abri à bois, nous chargeons la brouette d'une bonne vingtaine de bûches. Nous rentrons vite nous mettre au chaud. Une dizaine de bûches empilées à côte de la cheminée de l'atelier. Une dizaine de bûches empilées à côté de la cuisinière à bois. Clémentine prépare la salade. Je fais le bouillon que je monte en ébullition. Dans le wok je verse le contenu des sachets de haricots verts et de petits pois. Même congelés ça cuit quand même assez rapidement. Je jette les moules congelées dans le bouillon.

Nous mettons les assiettes et les couverts sans cesser de nous faire des bisous. De manière préventive, comme Clémentine a ses "petits machins", je pose les lèvres sur son sein gauche. J'insuffle de l'air chaud à travers le tissu de son épaisse chemise à carreaux. Je passe au sein droit. << Mmhh, docteur Julien ! Vous êtes un thérapeute exquis ! Je n'ai pas mal cette fois-ci. J'espère que ça va durer les trois jours ! >>. Je la prends dans mes bras. Elle se serre, son visage dans le creux de mon épaule. << Je t'aime ! >> murmure t-elle. Il fait faim.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les présences de Julie. Les samedis matins sont un peu frustrants car notre jeune amie se consacre au ménage. En y mettant la même conscience professionnelle que dans tous les autres domaines où elle excelle. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque nos vacances de fin d'année. Nous avons en projet de passer les fêtes à Edimbourg, dans ma famille. Le Hogmanay reste la plus grande fête d'Europe en hiver. C'est une festivité inoubliable.

Il faut imaginer une ville à caractère médiéval, transformée en un gigantesque marché de Noël, dont les rues du centre deviennent un parc d'attractions. On y vient du monde entier pour fêter nouvel an. << En espérant que nos trous du cul ne nous imposent pas les mêmes humiliantes mesures "sanitaires" bidons que l'année dernière. Parce que ça les arrangent bien ces enfoirés avec leurs magouilles ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus de cette vulgarité rare. Pliés de rire nous débarrassons pour faire la vaisselle.

Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. << Coucou ! Mais qu'ils sont cachés où les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle qui monte l'escalier. Elle se précipite alors que nous nous essuyons les mains. Elle nous fait la bise. << Vous avez vu ce qui se passe en Autriche ! J'espère que les gens vont lyncher ces tyrans ! Ils vont nous priver de vacances de Noël ces enculés ! >> lance t-elle. Nous éclatons de rire même si tout cela est plutôt dramatique et inquiétant. Estelle me palpe la braguette.

<< Passons aux choses sérieuses ! >> rajoute t-elle en ouvrant les boutons de mon 501. Je dis : << J'ai réussi à les garder boutonné depuis ce matin ! >>. Clémentine dit : << Un record ! >>. Pliés de rire nous allons dans la chambre. Estelle pose son sac de sport sur la chaise pour en sortir son pyjama, une culotte. Comme elle passe le week-end avec nous, depuis presque cinq ans, elle apporte toujours ses vêtements de change. Là, en me lançant un curieux regard par en dessous, elle en tire sa jupe kilt, un chemisier crème, un pull bleu nuit.

Elle dépose ses escarpins noirs à talons hauts à coté du lit. << C'est pour ce soir ! >> dit elle en pesant chacun de ses mots. Clémentine et moi nous sommes assis sur le lit à regarder. Estelle dépose soigneusement ses habits à côté de nous. Estelle passe sa main sur ma joue, dans mon cou pour la poser dans ma nuque. << Raconte-moi encore tes prouesses hier, durant le cours de peinture à Julie ! >> lance t-elle. C'est Clémentine qui raconte. << Et des cours de flûte ? Tu m'en donnes quand ? >> fait encore Estelle. Nous éclatons de rire.

<< Mais sans déconner, tu n'as plus besoin de cours, tu es une virtuose ! >> dit Clémentine. Je rajoute : << Le final de ton concerto pour flûte est toujours grandiose. Une coda éblouissante ! >>. Estelle, en riant aux éclats, s'assoit sur mes genoux en disant : << Tu viens au concert ce soir ? >>. C'est dans cette ambiance délirante que nous nous retrouvons tous les trois à rouler sur le lit. Je dépose plein de bisous sur les joues de mes deux anges qui font pareil. Je me retrouve rapidement avec la bite dans la main d'Estelle. Je bande mou.

Clémentine me sort les couilles. Avec juste la braguette ouverte, il y a toujours cet effet "garrot" qui enserre mes organes génitaux. Ça les fait rire. Estelle saute sur le lit comme sur un trampoline. Bientôt rejointe par Clémentine. Les bras croisés, jouant la consternation, je regarde ce numéro de "voltige" en essayant de garder mon sérieux. Ma bite et mes couilles à l'air. L'émotion qui m'étreint me fait soudain prendre conscience de cet immense bonheur dans lequel nous évoluons tous les trois. Je ne pourrai pas survivre à sa fin. Pas cette fois !

Les filles sautent du lit pour m'entraîner dans une farandole délirante. Estelle improvise des paroles loufoques que nous reprenons en cœur. Estelle tombe subitement à genoux devant moi. << Voyons voir ! >> dit elle en pinçant la peau juste entre mes couilles qu'elle tire vers le haut. Clémentine s'accroupit pour saisir mon Zob à sa base, entre son pouce et son index. Elles se regardent en pouffant de rire. Je pose mes mains sur leurs têtes. J'observe. C'est tellement merveilleux. Estelle prend une couille pour la soupeser. Puis l'autre pour comparer.

Je bande mou. J'ai encore la bite sèche. Clémentine me la décalotte légèrement. Toutes les deux approchent leurs nez pour humer longuement. << Monsieur Schlinguo ! >> me dit Estelle en me fixant soudain sérieusement. << Monsieur pue de la bite ! >> rajoute Clémentine. Je rajoute : << Mesdemoiselles les adorables dépravées ! >>. Estelle s'écrie : << Mais pour vous servir adorable vieux cochon ! >>. Clémentine se redresse. Elle me montre le miroir dans lequel nous pouvons observer la scène sous un autre angle. C'est superbe.

Estelle se redresse à son tour. << Ce matin, avec maman, nous étions faire les courses à l'hypermarché ! >> dit elle. Nous éclatons de rire quand Clémentine lance : << Mais qu'est-ce que ça vient faire maintenant, cette histoire de courses ? >>. Estelle répond : << Rien ! J'avais juste envie de prononcer cette phrase hors de tous contextes ! Vous n'aimez pas ? >>. Je prends Estelle par les épaules pour déposer une bise sur son front. Nous descendons. Il est déjà 14 h45. Nous mettons nos anoraks. Il fait toujours aussi froid. Il y a même du brouillard.

Un brouillard humide et désagréable. Mes deux anges me tiennent par les bras. Nous allons jusqu'à la rivière. Quelle surprise. Il y a monsieur Bertrand, notre voisin. Il est avec ses canards bien aimés. Nous nous saluons. Comme toujours, Louis ne laisse transparaître aucun signe d'une complicité quelconque. Il ne se doute pas que Clémentine, Estelle et moi, nous savons "tout". Aussi, ce sont des échanges de lieux communs sur la météo, la consommation de bois, sa belle-mère encombrante lorsqu'elle passe le week-end à la maison. Bref...

Lorsqu'il en vient à la situation actuelle en Autriche, monsieur Bertrand a la même attitude. << S'ils veulent la guerre, ils l'auront ces enfoirés ! Pour qui se prennent ces dictateurs d'opérettes ! >> lance t-il soudain animé d'un dynamisme rare. C'est qu'il est parfois très agité notre bonhomme. Sa petite taille le fait ressembler à une sorte de Korrigan, de lutin facétieux. C'est à cet instant précis que Clémentine demande : << Vous venez boire le café samedi prochain ? >>. Louis redevient lui-même. Soudain calme et dépassionné.

<< Oh oui, avec plaisir. Mais vous connaissez mes emplois du temps, je n'aurai encore qu'une demi heure ! >> répond t-il. Clémentine rajoute : << Il y aura Estelle ! >>. Alors là, notre voisin prend un air obséquieux pour répondre : << Mais avec joie ! >>. Je regarde ses expressions. Ce vieil hypocrite, non content de me faire cocu avec ma compagne, s'en prendrait même à sa copine. Pourtant, ce retraité salace sait jouer la comédie. A peine si son regard s'est éclairé un instant. Sur l'impulsion d'une libido qui doit déjà le tourmenter.

Nous le saluons pour le laisser à ses canards, ses poules d'eau et ses colverts. Nous longeons la rivière. L'immobilité nous a quelque peu refroidit. Estelle, qui marche devant, se retourne à chaque fois qu'elle nous parle. Clémentine marche derrière moi en tenant ma main. Estelle se retourne une nouvelle fois pour dire : << C'est râpé pour moi, samedi prochain. C'est le 27 novembre et j'ai probablement mes "petits machins le 25 ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine rajoute : << Tu resteras cachée avec Julien dans le placard ! >>.

<< Julien tu n'en as pas marre du placard ? >> me fait Estelle en empoignant ma braguette de sa main gantée. L'air chaud de son souffle est agréable sur mon visage. Nous nous serrons tout les trois pour souffler de l'air chaud. Nos visages soudain enveloppés de vapeur. << Mmhh, c'est bien chaud ! >> lance Estelle. Nous prenons le sens du retour. La nuit ne va pas tarder. Le crépuscule la précède déjà. Nous revenons dans la nuit. Nous n'avions pas prévu cette épaisse brume qui nous entoure. Le seul repère reste le sentier. C'est dangereux.

Il faut marcher doucement et avec prudence. Il y a la rivière sur notre gauche. Nous ne la voyons pas mais nous entendons les clapotis du courant. Il est presque 18 h quand nous sommes de retour. Grelotants. Il fait bien chaud dans la maison. Je mets immédiatement deux bûches dans la cuisinière. Nous allumons la cheminée du salon. Cette ambiance d'un autre temps, dans le salon victorien, avec cette brume qui entoure la maison nous plonge en plein XIXème. << C'est génial ! >> murmure Estelle. << Fantastique ! >> chuchote Clémentine.

Elle allume les deux grosses bougies du chandelier. Avec les flammes qui dansent dans la cheminée, cet éclairage rajoute encore à l'atmosphère d'une autre époque. Nous retournons à la cuisine. Assis tous les trois autour de la table, nous épluchons les pommes de terre, les navets, le céleris et les carottes. La préparation de la potée de légumes qui sera l'accompagnement des trois repas du week-end. Les filles parlent de leurs études. Des quatre semaines qui restent avant les vacances. Cette fois encore, Estelle viendra avec nous en écosse.

C'est en avion que nous partirons. Il serait dommage de perdre deux jours à l'aller et deux jours au retour sur les dix jours d'absence. << Encore une fois, ce projet est tributaire de la folie de nos fous ! >> lance Clémentine. << Put-Hein, arrête, j'ai tellement envie de retrouver Edimbourg en hiver ! >> s'écrie Estelle. Je ne dis rien. Moi aussi je meure d'envie de retrouver mon pays, ma famille. Nous lavons et coupons les légumes. Clémentine s'occupe de la salade. Une belle scarole. Estelle touille les légumes dans la vieille cocote en fonte noire.

Dans la poêle, je fais rissoler trois beaux dos de cabillaud blanc. Avec des champignons, de l'ail de l'échalote, du persil et de la ciboulette. En fin de cuisson, juste avant de pousser la poêle sur le bord de la cuisinière à bois, je rajoute un petit pot de crème fraîche. Je vais tripoter Estelle qui remue et décolle sans arrêt les légumes. Ce qui colle au fond de la cocote est le meilleur. << Salaud ! Profiteur ! >> dit elle à chaque fois que je glisse ma main entre ses cuisses. Clémentine me fait la même chose. Je suis pris en "sandwich" entre mes deux anges.

<< Je monte, j'ai un truc à faire ! >> lance soudain Clémentine en se précipitant vers la porte. Clémentine et moi nous mettons les assiettes et les couverts. Nous nous embrassons passionnément lorsque la porte s'ouvre. Estelle, vêtue de sa jupe kilt, de son chemisier crème sous son pull bleu nuit. Le col en "V" avec un liseré d'un bleu clair est magnifique. Ses escarpins noirs à talons hauts. Ses bas noirs fixés au porte-jarretelles qu'elle nous montre en relevant sa jupe. << Tu es sublime ! >> lui lance Clémentine. C'est vrai. Superbe.

Nous mangeons de bon appétit Nous bavardons. Les vacances en Ecosse restent le principal sujet de conversation. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Elle retrousse sa jupe pour empoigner une bite imaginaire qu'elle secoue avec cette vulgarité dont elle est coutumière. Je bande. Aussi, lorsque je me lève, c'est une vraie queue que je branle devant mes deux anges. << Mmmhh ! Miam ! >> fait Clémentine. << Après, Julien et moi, on te fait un super show ! A l'américaine ! >> lui lance Estelle. Nous rions.

Nous ne traînons pas à table ce soir. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle passe un tablier que je lui noue sur les reins. << Tu fais soubrette ! Génial ! >> lui dit Clémentine qui se passe sa main entre ses cuisses. Nous essuyons pendant qu'Estelle plonge. C'est Clémentine et moi qui la prenons par les bras pour l'emmener au salon. Clémentine retire son jeans et sa culotte. Elle s'installe dans le fauteuil. Cuisse droite sur l'accoudoir de droite. Cuisse gauche sur l'accoudoir de gauche. Elle joue avec ses poils en nous observant.

Estelle tourne autour du bureau. Elle va vers la cheminée. Je suis debout devant Clémentine. Je me branle doucement. Je regarde Estelle se livrer à une splendide exhibition. Elle monte sur la chaise, puis sur le bureau. Accroupie, les cuisses largement écartées, elle nous regarde. Elle est magnifique. La sœur jumelle de Clémentine. La ressemblance est frappante dans cette lumière tamisée. Estelle se met à quatre pattes avant de s'assoir. Les pieds relevés, posés sur le bord du bureau, les cuisses largement écartées, elle tire le tissu de sa culotte.

Estelle préfère toujours garder sa culotte. C'est un accessoire qui lui paraît indispensable pour érotiser l'ambiance. << Rien de tel qu'une culotte blanche sous l'obscurité d'une jupe ! >> précise t-elle souvent. Clémentine se masturbe. C'est déjà tellement bon qu'elle me lance des regards comme affolée. Je travers l'espace entre le canapé et le bureau. Estelle m'attend car le regard qu'elle me lance est intense. Je frotte mon sexe contre le sien. Je suis obligé de fléchir un peu mes genoux pour être à la bonne hauteur. Je suis grand. Je tiens ma bite.

Estelle, en appui sur ses mains, se laisse aller doucement en arrière. La voilà en appui sur ses coudes. Elle me fixe avec ce regard intense, par en-dessous, terriblement suggestif. Un peu comme par défi. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Malgré ma grande attention, Estelle se mordille la lèvre inférieure. Je fais coulisser la peau de mon prépuce à l'intérieur de sa vulve. Ça rentre alors doucement. Dans un soupir de contentement, Estelle se couche sur le dos pour se laisser pénétrer complètement. Ce soir, curieusement, elle reste immobile.

Je sens mes couilles sur ses fesses chaudes. Le bord de sa culotte est très gênant contre ma queue. Estelle l'écarte avec son doigt. Elle se met à bouger lentement. Je calque mon mouvement sur le sien. Nous entendons les gémissements de Clémentine. Estelle accélère le rythme. Je ne tarde pas à la baiser à la Hussarde. Comme elle aime. Elle se redresse, m'attrape par les épaules pour se caler contre moi. J'adore. Je fouille sa bouche de ma langue exploratrice sans cesser de bouger en rythme. Clémentine se lève pour nous rejoindre.

Comme souvent, son visage tout près des nôtres, elle observe. Quand j'arrête d'embrasser Estelle, Clémentine scrute mes expressions. Tout en restant cambrée sur ses genoux fléchis, en massant son clitoris géant, elle nous murmure des choses souvent incompréhensible. Ce soir, le fantôme de Christine n'est pas de la fête. Où alors, dans cette partie de la maison, nous n'avons rien entendu. Je baise Estelle comme un dément. Nous poussons tous les deux des cris qui pourraient nous faire enfermer dans un asile d'aliénés. Clémentine se met de la partie.

Nous cessons pour recommencer. Parfois je me retire pour offrir à Clémentine le fruit de nos mélanges juteux. Accroupie, sans cesser de se masturber, elle suce en poussant de petits râles de plaisir. Estelle se touche. Je reviens. Là, ça rentre comme dans du beurre. Un beurre dont se régale Clémentine à chaque fois que nous cessons d'en fabriquer. Ce soir, Estelle arrive à tenir plus d'une heure trente. Mon érection maintenue par les ardeurs buccales de Clémentine entre deux fournées me permet d'offrir à Estelle une "performance" de haute qualité.

C'est dans un cri, en me repoussant, qu'elle se tourne sur le côté, les mains entre ses cuisses resserrées. Elle se mord la lèvre inférieure en proie à un orgasme nucléaire. C'est comme si c'était une douleur intense. Clémentine dont la place est occupée par un tampon, frotte son clitoris géant contre ma cuisse en m'embrassant comme si sa vie en dépendait. C'est impressionnant de sentir ce clitoris hors normes contre ma peau. Elle m'entraîne par la main en se touchant. Nous nous précipitons aux toilettes. Son orgasme pisseux y trouve la bonne place.

Estelle vient nous rejoindre. Comme ivre, elle s'accroupit pour me regarder lécher le reliquat de pisse. Elle me caresse délicatement la tête, la nuque. Clémentine vient de vivre un orgasme cataclysmique. Estelle me chuchote à l'oreille : << Je t'aime. Comme c'était bon ce soir ! >>. Clémentine se penche pour murmurer : << Merci pour le spectacle ! Vous faites très fort tous les deux ! >>. J'essuie Clémentine. Il est presque 23 h. Nous sommes épuisés. Nous montons en titubant, en riant comme des fous. Entre mes deux anges, je m'endors le dernier.

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1711 -



Un dimanche d'une agréable simplicité

Hier matin, dimanche, il est plus de neuf heures quand Estelle saisit mon érection naturelle d'un poigne ferme. Elle me réveille ainsi, encore dans un demi sommeil. Elle est restée serrée contre moi toute la nuit. Les lèvres de sa bouche se posent sur la peau de mon cou. Comme une douce ventouse. Cela réveille également Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. L'une tient ma queue, l'autre tient mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes pour démêler quelques poils. Je joue avec la petite ficelle de Clémentine. Tampax.

Nous restons ainsi à lutter contre l'envie de pisser. << Comme c'était bon hier soir ! >> murmure Estelle en se redressant péniblement. << Vous avez fait fort ! >> chuchote Clémentine. Estelle se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine me confie les légères crampes qu'elle ressent parfois dans son bas ventre. Mais contrairement à la plupart des autres fois, ses "petits machins" de fille ne sont pas douloureux. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, en slips et en T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers.

Dans la cuisine il y a déjà l'odeur du café, celle du pain grillé. Estelle chantonne. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. En slips et en T-shirts, c'est très limite. Estelle est dans son pyjama mauve. J'aime le contact de la soie lorsque je passe ma main entre ses cuisses. Elle se jette dans mes bras pour s'écrier : << Mais qu'est-ce que tu me baises bien et des soirées entières ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me déposer des bises en mitrailles. J'inflige le même traitement à Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre soirée. << J'ai la chatte congestionnée ! >> fait Estelle en se levant. Elle baisse le pantalon de son pyjama, sa culotte à mi cuisses. << Docteur Julien, il me faudrait un examen ce matin ! >>. Nous rions de bon cœur. Je me lève pour passer derrière elle. Je glisse ma main entre ses cuisses. De mon index que je glisse délicatement entre les fines lèvres de sa vulve chaude je m'attarde sur le clitoris. Un tressautement, un sursaut secouent tout son corps lorsqu'elle murmure : << Mmhh ! >>.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent cette randonnée que nous avons tant envie de faire cet après-midi. Comme la nuit tombe de plus en plus tôt, il faudra partir dès le tout début de l'après-midi. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle glisse sa main dans mon slip. << Mais tu as la bite qui part en couilles ! >> dit elle avant d'éclater de rire. Je réponds : << Elle est aussi congestionnée que ta chatte ! C'est que tu la sollicites beaucoup ces derniers jours ! >>.

<< Et il y a encore aujourd'hui ! >> rajoute Clémentine qui empoigne mes couilles par derrière, son poignet entre mes fesses. L'élastique de mon slip éminence se montre très résistant durant cet assaut. Les filles m'entraînent par les mains. Nous montons nous laver les dents. Le goût de la délicieuse brioche au pudding reste persistant malgré la crème dentifrice au miel de Manuka. Nous faisons les pitres en faisant le lit, en nous habillant. Les bises n'arrêtent plus. Devant le grand miroir de l'armoire, nous prenons des poses ridicules. J'ai la bite à l'air.

C'est Estelle qui me la tient pour l'agiter devant le miroir. Sur le cintre, il y a ses vêtements de hier soir. Sa jupe kilt à carreaux rouges, son chemisier crème,et son pull bleu nuit au col en "V". Elle glisse sa main sous la jupe en disant : << Il s'en passe quelquefois de drôles sous ce tweed ! >>. Nous rions. Nous redescendons. Nous allons au salon. Assises sur mes genoux, les filles consultent nos boîtes mails. Aucun message. Par automatisme, elles vont faire un tour sur le site universitaire. Pareil. Rien de neuf depuis hier. Nous mettons nos anoraks.

Le thermomètre extérieur indique 2°. Il est 10 h45. Nous allons jusqu'à la rivière. Sous nos bonnets, nos gants. Les filles restent accrochées à mes bras. Il n'y a pas un souffle de vent. Une légère brume cache le paysage au-delà de quelques centaines de mètres. C'est vraiment un temps hivernal. Pourtant, à la surface de l'eau, les canards, les poules d'eau et les colverts ne semblent pas ce soucier de ce froid vif. Ça cancane et ça piaille comme à la belle saison. Clémentine nous fait toutefois remarquer que leurs plumages ne sont plus les mêmes.

Nous remontons. Clémentine nous entraîne dans la maison d'amis. Il y fait froid. Seul un "hors gel" est maintenu en permanence à 5°. L'odeur du bois neuf est persistante malgré les huit mois depuis l'aménagement intérieur. << Pas d'autre façon de se réchauffer ! >> lance Estelle qui se met à sautiller. A faire les mouvements aérobics que nous faisons tous les matins. Le dimanche, pas de gym, pas d'entraînement. Nous l'imitons en pastichant nos exercices. Nous quittons pour traverser le jardin. Le sol est humide. Il est 11 h15.

Je pousse la brouette que nous avons chargé d'une vingtaine de bûches. Nous les empilons dans l'atelier, à la cuisine. Quelques unes à côté de la cheminée du salon. Estelle virevolte comme une danseuse qui ferait ses pointes. Clémentine se blottit contre moi. Nous regardons Estelle évoluer tout autour de nous. Nous passons à la cuisine. Les pavés de saumon on décongelé. Estelle veut les préparer en papillotes. Nous les enveloppons dans du papier sulfuré puis dans des feuilles d'aluminium. Nous allons dans la véranda glacial. Il y fait froid. 6°.

Là, sur le barbecue électrique, nous faisons cuire les papillotes. Nous nous dépêchons de retourner dans la douce chaleur de la cuisine. << Quelle horreur ce froid ! >> lance Estelle qui, pour réchauffer ses mains, les glisse sous ma chemise qu'elle déboutonne. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée de légumes sur la cuisinière à bois. Estelle collée contre moi, dans mon dos. << Il ne faut pas t'étonner que je sois aussi collante, mais tout ce que tu me fais les soirs où je suis là, me rend amoureuse ! >> dit elle en me palpant.

<< Tu as déjà la bosse ? >> demande Clémentine en passant sa main sur ma braguette. Nous rions de bon cœur. Je dis : << Soyez gentilles de permettre à cette pauvre bosse de se reposer un peu ! >>. Estelle répond : << Mais pas plus d'une heure ! >>. Elle se précipite dans la véranda pour retourner les papillotes. Nous mettons les assiettes et les couverts. Estelle revient frigorifiée. Le bout de son nez déjà tout froid. Elle reste tout contre moi en frottant ses mains dans mon dos. Je lui fais plein de bisous tout chauds. Il est presque midi.

Cette fois, c'est moi qui retourne dans la véranda avec le plateau. Derrière la porte vitrée, les filles m'observent comme si j'étais entrain de réaliser un acte de bravoure. Estelle mime une masturbation masculine. Clémentine mime une fellation. Je me dépêche d'éteindre le gril électrique, de disposer les trois papillotes sur le plateau pour revenir. << Notre héros ! >> lance Estelle qui palpe ma braguette avant de rajouter : << Ça mérite une bonne pipe ! >>. Clémentine rajoute : << Deux ! >>. C'est en riant que nous nous installons à table.

Nous mangeons de bon appétit. Les pavés de saumon en papillotes, accompagnés d'une salade d'endives et d'une potée de légumes sont un repas délicieux. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges dégustent leurs yaourts au miel en parlant du voisin. Monsieur Bertrand et sa "viennoise" minuscule dont le goût à horrifié Estelle. Nous rions aux éclats lors de ses comparaisons. Estelle a sucé beaucoup moins de bites que Clémentine. Aussi, sa préférée reste celle de monsieur Gérard, le palefrenier à la retraite. Il y a trois ans.

La toute petite bite de ce vieux saligaud incontinent laisse un agréable souvenir à Clémentine comme à Estelle. << Dommage qu'il ait disparu de la circulation ! >> lance Clémentine. Juliette nous donne parfois de ses nouvelles. Depuis le premier confinement il y a 19 mois, il ne va pas très bien. 68 ans. Il s'est isolé chez lui et ne passe plus au haras qu'à de rares occasions. Nous débarrassons. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Sur nos épaisses chemises à carreaux, nous passons nos gros pulls d'hiver. Les écharpes de laines.

C'est en tenant nos grosses godasses de marche que nous dévalons les escalier. Dans le petit sac à dos, la thermos avec du thé bouillant, trois barres de céréales et les lampes frontales. Nous enfilons nos chaussures, nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Nous voilà prêts à affronter le froid polaire de notre "expédition". Nous nous réjouissions tant de pouvoir enfin randonner. Nous montons jusqu'au portail. Nous traversons la route pour nous engager dans le chemin forestier. Il est large. Nous pouvons marcher de front en nous tenant tous les trois.

Le brouillard s'est densifié. Tout juste si la vision est d'une centaine de mètres. Nous marchons d'un bon pas. Lorsque Estelle a une bonne idée, elle se met à sautiller. Clémentine fait de même lorsqu'elle évoque l'Ecosse. << Pourvu que ces enfoirés ne décrètent pas de nouvelles mesures scélérates pour nous priver de liberté ! >> lance t-elle. << De toutes façons, nous continuerons de vivre comme bon nous semble. Entre nous, la famille, les amis, au diable les gestes barrières, les masques et les gel de mes fesses. On est vaccinés ! >> s'écrie Estelle.

Nous avons choisi le circuit des quatre heures. Cela fait bien six mois que nous ne l'avons plus emprunté. C'est un réel plaisir de revoir les collines, le labyrinthe des roches. Là-bas, la silhouette fantomatique de la maison abandonnée du garde barrière. La voie ferrée étant une piste cyclable, nous y marchons. Même si ce froid m'empêche d'avoir la bite à l'air, Estelle me touche régulièrement. Elle sautille, se met devant moi. Nous stoppons. Elle me palpe. Nous repartons. Parfois c'est Clémentine. Le crépuscule s'annonce déjà. Inexorablement.

Nous arrivons aux Dolmens. Nous aimons bien passer sous les énormes pierres de deux d'entre eux. Il y a un groupe de marcheurs qui nous saluent. Ils pratiquent la marche norvégienne. Leurs bâtons font un véritable raffut quand ils s'éloignent. Il va faire nuit sous peu. Le brouillard se densifie encore. C'est excitant de longer le ruisseau, de passer à environ trois cent mètres derrière le haras. Nous voilà sur la route déserte. Nous entrons dans la cour du haras. Il y a encore quelques voitures garées. De la lumières dans les écuries. Du monde.

Juliette est en pleine conversation avec un groupe de gens. Nous lui adressons un grand coucou. Nous restons en retrait. Nous caressons les encolures des chevaux qui nous regardent. Estelle ne cesse de palper ma braguette. << Ça m'excite l'odeur des chevaux, des écuries, tu n'imagines même pas ! >> murmure t-elle. Juliette vient nous rejoindre. << Il y avait de la visite cet après-midi. Malgré le brouillard des cavaliers sont sortis ! >> nous raconte t-elle. Nous faisons quelques pas. << Vous voulez que je vous ramène ? >> demande t-elle.

Nous préférons longer l'étroite route communale. Dans la nuit, avec nos lampes frontales nous sommes vus et nous voyons. Nous reverrons Juliette mercredi soir. Nous nous saluons. Ça lui fait toujours tant plaisir de nous voir le week-end. Même si ce n'est que quelques minutes. Il est presque 19 h quand nous sommes de retour. Il fait bien chaud dans la maison. Clémentine prépare une salade de tomates. Estelle concocte une belle omelette aux trois fromages. Je réchauffe la potée de légumes. Il en restera même pour mon repas de midi, demain.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table avant de débarrasser pour faire la vaisselle. Au salon, je caresse les pieds froids de mes deux anges. Elles sont blotties contre moi dans le canapé. Juste la lueur des deux grosses bougies. J'ai enfin la queue à l'air. Dans la main d'Estelle ou dans celle de Clémentine. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Je propose un petit léchage de minous. Me voilà à genoux sur les épais coussins à me régaler du croupion d'Estelle. A juste sucer le clitoris géant de Clémentine. Des orgasmes rapides mais superbes.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer le croupion négligé du dimanche, jour sans douche mais avec orgasmes...

Julien



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La reprise après un week-end "agité"

Hier matin, lundi, il est presque six heures. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. La sirène de ce probable paquebot dans le lointain. Les cris des mouettes. L'illusion est parfaite. Clémentine vient se blottir contre moi. Quelques papouilles. C'est le troisième jour de ses "petits machins" de fille. Clémentine va aux toilettes la première. Je m'habille de mon legging, de mon sweat en lycra. C'est à mon tour d'aller au WC. Elle me tient la bite pour en diriger les jets. Morts de faim, vêtus en tenues sports, nous dévalons les escaliers.

Clémentine fait le café. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. En pressant nos oranges, elle me raconte son rêve. En pelant nos kiwis, j'écoute amusé. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses premières tranches. Nous mangeons de bon appétit. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les moments les plus intenses du week-end. Il y a encore là de quoi nourrir bien des souvenirs. << Il faut qu'on se calme, c'est de plus en plus difficile d'émerger le matin ! >> lance Clémentine. Rires.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants. Abdos. Exercices au sol. Charges additionnelles. Retour au calme avec stretching pas très académique. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint dans le froid glacial du jour naissant. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fait le lit, notre vaisselle.

Dans l'atelier, j'allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette troisième toile destinée à ma saison 2022 est une plongée vertigineuse dans ma passion. Je peins dans cet enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. La matinée passe si vite. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer le reste de la potée de légumes. De préparer une salade de carottes.

Je fais rissoler un filet de limande à la poêle. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui, André Bercoff est encore dans tous ses états. Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents. En regardant par la fenêtre, je vois un camion garé dans la propriété du voisin. Avec les arbres nus de l'automne, malgré les quelques 350 mètres, malgré le brouillard, je distingue deux silhouettes. Je descends. J'enfile mon anorak pour aller faire quelques pas. Le thermomètre extérieur indique 7°. L'ambiance générale est assez sinistre.

Je vais jusqu'à la rivière. Je suis salué par les canards qui m'offrent un concert en cancanant, en dansant sur l'eau. Je remonte, pressé de retourner à ma passion. Me voilà dans l'atelier. Assis devant mon chevalet, je peins animé du même enthousiasme que ce matin. L'après-midi passe aussi vite. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite vers moi. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. J'écoute les amusantes anecdotes en recevant un tas de bisous que je rends à chaque fois.

Clémentine a encore du travail. Devant son ordinateur, elle chantonne. J'aime l'entendre commenter ses activités. 18 h15. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Clémentine range ses affaires. Installés l'un contre l'autre, sur les poufs, nous admirons les dernières flammes. Les lumières éteintes, le feu offre de magnifiques ombres mouvantes. Un bruit sourd à l'étage. << Bonsoir Christine ! >> lance Clémentine pour saluer l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Elle se serre encore plus fort en frissonnant Nous écoutons avec attention.

Ces phénomènes ne sont pas localisables. Ce soir, ce sont des pas lents. Une sorte d'errance. La manifestation ne dure que quelques minutes. Nous nous rendons compte que nous étions en apnée en reprenant nos souffles. << Tu n'as toujours pas pratiqué le rituel ! >> me rappelle Clémentine. C'est vrai. Chaque année je rechigne à le faire. C'est pénible et cela m'épuise totalement. La musique ridicule de mon téléphone est aussi soudaine que les poltergeists. Clémentine se lève en disant : << Sors ton Zob ! >>. Elle se précipite vers la porte.

Je sors mon sexe. Il est mou. J'allume la petite lampe d'ambiance. Je suis debout devant la cheminée. Clémentine revient suivie de Julie. Comme toujours Julie ignore totalement ce qui pend de ma braguette. Le bout de son nez froid sur ma joue lorsqu'elle me fait la bise. Julie s'installe devant mon chevalet pour regarder mon travail de la journée. Tout en racontant son week-end. << Infiniment moins passionnant que le vôtre, j'en suis sûre ! >> dit elle. Clémentine répond : << Pendant le repas, on te raconte ! >>. Julie observe à présent ma bite.

Je bande mou. Je suis debout à la gauche du chevalet. Mes mains sur les hanches. Clémentine a posé les siennes sur les épaules de Julie. Derrière elle, en me faisant un sourire, elle regarde comme si c'était la toute première fois. C'est terriblement excitant. Mon érection prend une certaine ampleur. En contractant mes muscles fessiers, je fais bouger ma queue. << Il y beaucoup de lyrisme dans ce mouvement ! >> murmure Julie. Nous éclatons de rire. J'aime l'humour dont cette jeune fille de 20 ans fait preuve. Je saisis mon sexe bien dur à sa base.

Je le tiens entre le pouce et l'index pour l'agiter vers les regardantes. Clémentine me fait un clin d'œil. Je remonte mes doigts sur la peau fripée de mon prépuce. Je décalotte légèrement le gland. Juste l'extrémité. Je devine les imperceptibles frissons qui animent le corps de Julie. Pour la voyeuse qu'elle est, chacune de mes initiatives vicieuses ne peut que nourrir sa libido. Elle lève ses mains pour saisir les poignets de Clémentine. Je me masturbe doucement. D'un mouvement lent et régulier. C'est hyper jouissif. Mon érection est au maximum.

Il commence à faire faim. Il est 18 h50. Nous quittons l'atelier pour retourner dans le hall d'entrée. Nous enfilons nos anoraks. La caisse isotherme qui contient nos repas est dans la voiture de Julie. La nuit est froide et glaciale. Le brouillard induit une humidité désagréable. Je récupère la caisse. Clémentine prend le sachet contenant nos salades. Nous nous dépêchons de rentrer. Dans la cuisine nous déballons. Julie met les assiettes et les couverts. Je sors à nouveau ma queue à présent toute molle. Les feuillantines au saumon sont encore chaudes.

Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant nos salades. Paiement par carte. Même commande pour lundi prochain. Et pour demain midi, il y a deux magnifiques tourtes au fruits de mer et Béchamel. Nous mangeons de bon appétit. Julie nous raconte son week-end en famille. La présence de ses deux papys, de ses deux mamies. Une famille unie dont elle est l'amour. Elle nous pose quelques questions sur nos activités après son départ vendredi dernier. C'est Clémentine qui aime à détailler nos aventures. Je l'écoute aussi ravi que Julie.

Lorsque Julie ouvre de grands yeux à l'écoute de nos "performances", elle a un petit spasme qui traduit l'excitation grandissante. Aux moments clefs, durant les descriptions les plus pertinentes de Clémentine, je me lève. Je tiens ma queue à sa base pour l'agiter en direction de Julie. Comme toujours, elle n'ose pas soutenir mes regards appuyés. Ses yeux restent braqués sur ma bite. Avec les narrations de Clémentine, j'ai de nombreuses occasions de souligner son propos. Je n'arrête donc pas de poser ma fourchette pour me lever. Branlette.

Nous trainons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine raconte notre randonnée de hier. Julie, installée sur sa chaise, en face de nous, pose des questions. Elle se lève pour débarrasser. Nous l'aidons. Clémentine plonge. Julie et moi nous essuyons. Ses nombreux regards furtifs sur mon sexe le fond durcir. Julie pourrait s'assoir et regarder. Non. Elle aussi préfère ce jeu troublant. Simplement mâter discrètement comme si rien ne se passait. Je dépose des bisous dans la nuque de Clémentine entre chaque couvert.

<< Pour le Black Friday, vendredi prochain, je vous fais une surprise ! >> lance soudain Julie. Nous la regardons, pendus à ses lèvres. Mais elle se contente de mettre l'index sur sa bouche en rajoutant : << Chut ! C'est une surprise ! >>. Nous quittons la cuisine. Je propose à Julie de m'accompagner aux toilettes. Elle s'écrie : << Oh oui ! Il ne s'est rien passé vendredi et samedi soir au restaurant. Mon service est resté sans "animations" ! >>. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : << Tu n'est pas allée aux WC aux bons moments ! >>.

<< Si si ! Je guette toujours les messieurs qui descendent aux toilettes. Ma tante aussi. Anne-Marie est également très voyeuse actuellement ! >> répond Julie. Nous éclatons de rire. Je suis debout devant la cuvette en faïence. Je me concentre pour tenter de pisser. Clémentine est appuyée contre le lavabo, à ma droite. Les bras croisés, elle attend le premier jet. C'est une giclée que je lâche en essayant de bien la contrôler. Julie, à ma gauche, penchée en avant, les mains sur ses genoux, observe. Sa tête à une cinquantaine de centimètres.

Elle se rapproche encore. Je peux presque sentir son souffle sur ma queue. Je bande mou. Ce ne sont donc que des successions de petites giclées de plus en plus anarchiques. Je tends ma queue à Julie. C'est comme si elle attendait cet instant. Elle saisit ma bite en s'accroupissant. Elle me la tord vers le bas. C'est très amusant mais également très excitant de sentir ses doigts se contracter. Elle appuie, elle relâche, appuie à nouveau. Les giclées se tarissent. Je bande bien trop fort. Même si Julie comprend ce qui se passe, elle continue.

Clémentine s'approche. Elle me prend par la taille. Penchée en avant, elle observe. Les filles sont silencieuses, immobiles à attendre qu'il se passe quelque chose. Cette attente est récompensée par cette goutte de liquide séminal qui perle soudain du méat. Julie approche son visage si près que je suis convaincu qu'elle va récupérer ce foutre en ouvrant la bouche. Elle se contente pourtant de mâter. C'est d'autant plus drôle que cette proximité couvre ses lunettes d'étudiante de buée. Elle les retire de sa main libre avant de lâcher mon sexe.

Clémentine s'accroupit pour sucer cette goutte opalescente qui grossit encore. Julie se redresse. Elle me fait un sourire timide. Je me fais tailler une pipe. Je passe ma main sous les cheveux de Julie. Je tiens délicatement sa nuque. Elle essuie les verres de ses lunettes. Clémentine se redresse. Elle nous montre l'intérieur de sa bouche. Julie est animé de spasmes qui secouent tout son corps. Elle devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h45. Nous passons au salon. La séparation est difficile. Julie reviendra vendredi. Le Black Friday !

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver dans les toilettes à tenir une bite pour en faire gicler le contenu...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
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