
- 10 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1668 -
Une expérience inoubliable
Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Clémentine se frotte contre moi avant de me chevaucher. << Je t'aime Julien ! Merci pour hier ! >> murmure t-elle. Je me réveille difficilement. Je ne comprends pas immédiatement de quoi parle Clémentine. C'est quand j'en prends conscience que j'éclate de rire en disant : << Mais c'est moi qui te remercie pour le spectacle ! >>. Nous rions tous les deux aux éclats. Il est tout à fait impossible de tenir une seconde de plus sans nous précipiter aux toilettes, main dans la main.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Pendant que Clémentine fait le café, je vais directement dans le hall d'entrée. Depuis l'interphone j'ouvre le portail. Pour Julie qui arrive à 8 h30. Pour nos livraisons de 10 h. Je rejoins Clémentine à la cuisine pour y presser nos oranges, peler nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre aventure de hier après-midi. J'adore l'air un peu gênée qu'aborde Clémentine lorsque j'évoque ses "extravagances". << Mes sextravagances ? >> dit elle en riant.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le planning de la journée. Même si le thermomètre extérieur n'indique que 2°, le ciel gris mais lumineux invite à un running en plein air. Ça nous manque beaucoup. Ce n'est absolument pas pareil de courir sur des tapis roulants que de le faire sur les chemins. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets, nos gants. Nous sortons au moment précis où la Clio rouge descend le chemin. Julie sort de sa voiture pour se précipiter vers nous. Elle aussi est chaudement vêtue. Elle est toute contente.
<< Bonjour ! C'est pour le ménage ! >> dit elle, mutine. Clémentine répond : << Bonjour ! La maison est ouverte ! >>. Nous rions de bon cœur en souhaitant à Julie une excellente matinée. Quelques mouvements d'échauffement dans le froid vif. Un léger vent du Nord est sans pitié. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail. Une centaine de mètres à petites foulées pour parfaire la mise en condition. Nous traversons la route pour nous engager sur le chemin forestier. Nous courons côte à côte. Ce qui nous permet de parler en même temps.
Clémentine a plein de choses à me dire. Ses impressions quand à ce qui s'est passé avec monsieur Bertrand. Après une nuit de sommeil, la culpabilité a fait place à un profond désir de recommencer. J'écoute amusé. Le ressenti de Clémentine fonctionne toujours un peu de la même manière. Une séquence de dégout, de culpabilité. Puis après le réconfort de mes encouragements, le désir d'une récidive. Une heure d'un jogging des plus agréables, véritablement gratifiant dans la fraîcheur matinale et nous voilà de retour pour prendre notre douche.
Nous entendons Julie passer l'aspirateur. Il est 9 h50 quand nous mettons nos anoraks pour sortir. Le ciel est couvert mais lumineux. Un véritable ciel de novembre alors que nous ne sommes encore qu'au début d'octobre. Voilà la camionnette des fruits et légumes qui descend lentement. Au volant c'est la même jeune femme devenue beaucoup plus souriante depuis 18 mois. Du hayon arrière, elle tire deux cageots. L'un contient nos légumes, l'autre nos fruits, nos fromages, nos œufs, nos yaourts, le beurre et les petits pots de crème fraîche.
Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte bleue. A peine le véhicule repartit arrive madame Marthe dans son tube Citroën rénové. Comme neuf et toujours si propre. Notre boulangère nous tend les grands sachets contenant nos deux miches, la brioche au pudding. Une fois encore, et c'est devenu une habitude, madame Marthe nous offre deux gros croissants à la pâte d'amandes. La dame a toujours quelques amusantes anecdotes à partager. Nous rions bien. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte bleue.
Nous passons par derrière pour aller directement dans le cellier, à la cave. Une des deux miches dans le congélateur d'où je sors un sachet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous disposons les légumes sur les étagères. Nous montons à la cuisine pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Julie passe l'aspirateur dans le hall. Nous quittons vite la cuisine pour aller au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Trois courriels. Celui de Juliette qui nous rappelle que nous sommes attendus.
Ce soir, 19 h30, rendez-vous dans l'ancienne écurie, box du fond. C'est en riant que Clémentine répond : "Sans faute ! Nous serons à l'heure". Le courriel d'Estelle qui sera là pour 14 h. Un courriel de monsieur Anderson d'Edimbourg. Il nous apprend que le propriétaire de la maison accuse bonne réception du tableau envoyé en Californie. Monsieur Campbell nous contactera donc prochainement. Nous répondons. Dans une petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros. J'y rajoute un petit mot. Clémentine lit à haute voix quelques messages.
Sur les forums où nous publions nos aventures, il y a tous les jours des lectrices, des lecteurs, qui témoignent de leurs bonheur de nous lire. Ils le font par messageries privées. Nous répondons toujours. Clémentine s'en charge avec plaisir. Un rapide copié/collé ou un petit mot personnalisé. C'est tellement sympathique. Ce sont quelquefois des couples qui nous racontent des histoires similaires aux nôtres. Voilà Julie qui entre dans le salon où elle s'apprête à passer l'aspirateur. Nous quittons pour la laisser travailler. Elle fait ça si consciencieusement.
Il est presque onze heures. Dehors le ciel semble s'assombrir. << Ça sent vraiment l'hiver ! On s'attend à de la neige en regardant par la fenêtre ! >> s'écrie Clémentine qui m'attire contre elle. Elle entoure ma taille de ses bras pour murmurer : << Je suis morte de trouille pour ce soir ! Je n'ai absolument plus le courage ! >>. J'écoute en silence. Je la rassure. Estelle et moi nous serons là. Je dis : << Comme toujours tu as chargé Estelle de me surveiller, d'être mon "garde du corps". Et je m'en réjouis ! >>. Clémentine éclate de rire.
Elle ouvre ma braguette pour me sortir la queue. Je bande mou dans la main de Clémentine. << Je sens les battements de ton cœur. C'est tellement agréable de les sentir par "là" ! >> murmure t-elle. Nous sommes dans la véranda pas chauffée. Les grandes baies vitrées offrent une vue jusqu'à la rivière. << Regarde, il y a cette légère brume mystérieuse sur l'eau et sur le champs de l'autre côté ! >> fait Clémentine en serrant mon sexe dans sa main chaude. Mon bras autour de son épaule je la serre contre moi pour écouter et boire ses mots.
<< Tu ne m'en veux pas si je prends de "mauvaises" habitudes avec monsieur Bertrand ? >> me demande t-elle soudain. Je la rassure en répondant : << Ce sont de bonnes habitudes. Tu as raison d'en profiter autant que tu le souhaites. C'est ta jeunesse, elle n'appartient qu'à toi. Tu fais de moi l'homme le plus heureux du monde ! >>. Clémentine passe entre la baie vitrée et moi pour m'embrasser passionnément. Je bande dans sa main. Elle me malaxe la bite en fouillant ma bouche. Une fois encore la conscience de mes privilèges me donne le vertige.
Tout cela n'est possible que grâce à nos différences d'âge. Nous en parlons souvent. C'est Clémentine qui me rassure toujours quand j'évoque mes 54 ans. << Tu en fais dix de moins et ça me convient si parfaitement que c'est la symbiose la plus parfaite ! >> précise t-elle probablement pour la centième fois depuis plus de quatre ans. Julie vient nous rejoindre en faisant : << Brrr ! Vous restez dans le froid ! >>. En disant ces mots elle découvre mon sexe dans la main de Clémentine. Julie me fait un sourire gêné en baissant les yeux.
Elle ne peut affronter mon regard plus d'une ou deux secondes. Elle ne peut le soutenir alors que je fais tout pour qu'elle soit dans le plus parfait confort mental. Julie est une des plus grandes voyeuses que j'ai connu. Pourtant elle est si timide, si réservée. Est-ce bien la même fille qui était serrée contre moi hier dans ce placard étroit ? Est-ce bien la même qui me masturbait doucement ? Est-ce bien la même fille dont je stimulais le clitoris dans notre cachette ? Julie reste un curieux paradoxe. Un merveilleux mystère que je ne veux pas percer.
Nous sortons de la véranda. Julie louche discrètement sur ma queue. Nous allons au salon. Je lui tend l'enveloppe jaune. << Merci Julien. Je dois vous dire que je ne viens pas pour l'enveloppe mais pour l'immense plaisir d'être là ! >> lance t-elle. Clémentine la rassure par ses mots délicats : << Tu sais, c'est si bon de te savoir dans la maison, de t'entendre. Nous aussi on s'en fou de l'enveloppe ! >>. Je contourne le bureau. Je saisis les poignets de Julie. Elle me fait le plus délicieux des sourires. Nous la raccompagnons dans le hall d'entrée.
Nous la remercions pour le ménage. << Vous êtes attendus demain pour midi ! On prépare quelque chose de bon ! Tes parents aiment les fruits de mer, le poisson ? >> fait Clémentine. Julie s'empresse de répondre : << Oui, maman en prépare deux à trois fois par semaine ! >>. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Assise au volant elle fixe mon sexe. Appuyé contre la portière, il pend dans l'habitacle à quelques centimètres de son visage. Je dis : << On vous donnera la teneur de notre commande de lundi soir, demain dimanche ! >>.
Nous regardons la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Julie est toujours tristounette en nous quittant. Mais nous nous revoyons demain. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon dans lequel je jette les moules même pas décongelées. Dans le wok, je jette les haricots verts et les petits pois pas décongelés non plus. On s'en fou, c'est samedi. Même si ça tire beaucoup de flotte à la cuisson, c'est bon quand même. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la présence de Julie.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la fellation prodiguée hier à monsieur Bertrand. Notre voisin salace s'est fait sucer plus d'une demi heure sans éjaculer. Sans aller jusqu'à l'orgasme. Cette particularité excite considérablement Clémentine qui me dit : << Je veux tirer ça au clair ! >>. Je fais : << Tu as tout l'hiver pour élucider ce mystère ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je rajoute : << C'est quand même infiniment préférable à un éjaculateur précoce ! >> Nous rions.
Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons pour nous laver les dents. L'odeur de propre partout dans la maison ne cesse de nous faire penser à Julie. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. Couchée à côté de moi, mon sexe dans la main, elle me demande de lui raconter ce qui s'est passé dans le placard avec Julie. << Je veux tous les plus infimes détails ! >> précise t-elle. Doucement, en racontant, je me mets à bander comme un priapique en phase terminale. Clémentine se frotte contre ma hanche.
<< Coucou ! Qu'ils sont où les gens que j'aime ? >>. C'est la voix d'Estelle que nous entendons courir dans l'escalier. Elle ouvre la porte. Elle nous voit allongés. Elle jette son sac de sport au sol pour plonger sur le lit. Elle nous fait plein de bisous. Elle m'en fait sur le sexe. << Wouah ! Ta queue ! >> dit elle en s'installant contre moi. Je suis entre mes deux anges. Je continue à raconter ce qui s'est passé avec Julie dans le placard. Estelle fait : << Put-hein ! Méfie toi, tu sais à quel point je suis jalouse. Je t'arrache les couilles avec les dents ! >>.
Nous rions de bon cœur. Estelle aussi veut plein de détails. C'est au tour de Clémentine de raconter sa pipe à monsieur Bertrand. << J'ai réalisé un vieux fantasme hier. Recevoir un homme toute nue, lascive, entrain de me toucher, vautrée dans un canapé ! >> explique t-elle. Estelle déboutonne mon jeans pour pouvoir chercher mes couilles au fond de mon slip. Elle demande : << Il a quel gout son foutre ? >>. Clémentine s'empresse de préciser : << Je crois bien que c'est le tout meilleur que j'ai gouté. Mais je dis ça pour chaque sperme ! >>.
Nous rigolons comme des bossus. Estelle est très curieuse, autant que très voyeuse. Elle pose tout un tas de questions. Clémentine se fait un plaisir de répondre avec un luxe de détails. Elle finit par demander : << Tu veux te le sucer un de ces jours ? >>. Estelle reste pensive en jouant avec mes couilles. Elle répond : << Tu nous organises un "plan" où je fais ma vicelarde ? J'aimerais aller à la facilité sans trop me faire chier ! >>. Clémentine propose à Estelle de recevoir Louis toutes les deux une des prochaines fois. Estelle se met à réfléchir.
<< Mais moi, je ne veux pas être à poil, ce n'est pas mon fantasme. Par contre il me faut une situation bien vicieuse. Un truc "glauque" ! >> lance Estelle. Clémentine pose sa tête sur mon ventre. Cette conversation achève de l'exciter. Je bande comme le dernier des salauds. << Regarde encore toute cette jute qui macule le bas de ton sweat ! >> lance Estelle qui pose sa tête à côté de celle de Clémentine. En effet, il y a du liquide séminal qui s'écoule de mon sexe. Il y en a plein qui tâche le bas de mon sweat. Je leurs caresse la tête.
Je ne sais pas laquelle gobe l'extrémité de mon sexe la première. Je n'ai jamais réussi à faire le distinguo entre leurs bouches. Je finis par reconnaître la façon de sucer de Clémentine. Passionnée, amoureuse. Alors que celle d'Estelle est plus fougueuse. Elle pompe comme une affamée. Alors que Clémentine suçote lascivement en sirotant. Elles se refilent ma queue en évoquant celle de notre voisin. La minuscule petite saucisse viennoise qui fait envie à Estelle. << J'aime quand il y a un véritable pervers vicieux au bout de la saucisse ! >> dit elle.
Il est hors de question d'aller à l'éjaculation. Moi aussi je veux me garder pour ce soir. Pour me distraire de mon excitation, je propose aux filles un bon léchage de minous. Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. Les voilà toutes les deux, sans jeans, sans culottes, juste en sweats et en chaussettes à m'offrir les saveurs de leurs chattes. Là non plus, pas question de les conduire à l'orgasme. Nous préférons tous les trois nous garder hyper excités pour le reste de la journée. Il est 15 h. Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Préparations.
Assis à la table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri. Une potée de légumes qui nous fera plusieurs repas. Nous en préparons en très grande quantité. Nous serons cinq à manger demain à midi. Estelle adore la cuisson sur la cuisinière à bois, dans la vieille cocotte en fonte. J'allume donc le feu. Les pâtes feuilletées ont décongelées depuis 11 h ce matin. Clémentine les étales dans cinq petits plats à tartes. Je concocte une Béchamel. Estelle touille les légumes sans cesser de remuer avec une spatule en bois. Ça accroche.
A la poêle je fais rissoler des crevettes, des moules et du crabe. Clémentine râpe du gruyère de Comté. Les filles parlent de leurs études. << Je suis mouillée au fond de ma culotte ! >> lance Estelle à plusieurs reprises. Ces apartés nous font follement rire. << Moi aussi ! >> fait Clémentine. Je rajoute : << Je vous dis pas l'état de mon slip ! >>. Dans la Béchamel je verse le contenu de la poêle. Et dans chaque plats à tarte. Clémentine les recouvre avec le reste de pâte. Elle jointe bien les bords avec les doigts. Il reste de la garniture pour ce soir.
Estelle touille sans cesser de décoller. C'est le meilleur. Je jette un coup d'œil dans la cocote. Miam ! Clémentine mets les tourtes dans le four électrique. Le four à bois est incontrôlable. Le four électrique permet une cuisson douce, à 180° afin que l'ensemble mijote. Il est presque 17 h. << Voilà de la bel ouvrage ! >> lance Estelle qui glisse la main dans son jeans pour se toucher. << Ça me chatouille. Quand je mouille, les poils collent dans ma chatte ! >> dit elle. Clémentine fait pareil. Moi aussi. << Ouf ça soulage ! >> lance t-elle en soupirant.
Elles me montrent leurs doigts plein de mouille. Il y des "substances" au bout de ceux d'Estelle. Je les renifle. J'attrape leurs poignets pour sucer leurs doigts. << Ça m'excite quand tu fais ça ! >> s'écrie Clémentine. << Moi aussi ! >> rajoute Estelle. Elles se serrent contre moi pour frotter leurs entrejambes contre mes cuisses. Distribution de bisous. Je propose : << On va marcher un peu, pour se mettre en appétit ? >>. Toutes les deux se mettent à sautiller en s'écriant : << Oh oui ! Bonne idée ! >>. Nous enfilons nos anoraks pour sortir.
<< Put-hein ça caille ! >> lance Estelle. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Clémentine revient sur ses appréhensions. << Je suis morte de trouille en pensant à ce soir ! >> dit elle. Estelle répond : << Mais on est là. Je ne quitte pas Julien d'une semelle ! >>. Nous éclatons de rire. Il est 18 h30 quand nous revenons. Morts de faim. Clémentine fait la salade. Estelle dresse la table. Je fais rissoler trois filets de flétan. Avec la potée de légumes, c'est un repas simple et si délicieux.
La vaisselle. Nous montons nous laver les dents, nous changer. Nous portons tous les trois des jeans propres, une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Nos bottines noires. Nous prenons des poses devant le miroir. Je peux sentir les tremblements de Clémentine. Nous dévalons les escaliers. Il est 19 h15. Nous sommes attendus pour 19 h30. Je roule doucement. Clémentine tient ma braguette. Voilà le haras. Il y a des voitures garées dans la cour. Nous entrons dans les anciennes écuries. Quelle surprise. Juliette semble nous attendre.
Gloryhole. Le fantasme de Clémentine devient réalité
Nous suivons Juliette. Sa silhouette svelte et athlétique semble légère comme une plume. C'est devenu sa seconde peau cette tenue d'écuyère. << Superwoman ! >> murmure Estelle. Juliette se retourne avec un sourire. Nous caressons quelques chevaux dont l'encolure dépasse au-dessus des portes basses de leurs box. Clémentine reste serrée contre moi. Juliette nous invite à entrer dans le dernier box. Il n'y a pas de cheval. Pour l'occasion il n'y a plus de paille au sol et l'endroit est d'une propreté remarquable. C'est même "aménagé".
Il y a un canapé au fond. Sur le sol, juste sous le trou dans le mur, il y a un de ces coussins emplit d'eau. Juliette s'y met à genoux en disant : << Vous verrez Clémentine, c'est très confortable ! On peut s'y amuser des heures ! >>. Juliette se redresse pour s'assoir dans le canapé. << C'est moelleux, je l'ai récupéré dans un vide grenier ! >> précise t-elle en tapotant des deux mains. Clémentine se met à genoux sur le coussin d'eau. Elle s'écrie : << C'est vrai ! Comme c'est doux ! >>. Estelle s'assoit dans le canapé en disant : << Wouah on y est bien ! >>.
Juliette se redresse. Entre le mur et le canapé, il y a un petit guéridon sur roulettes. Elle le tire délicatement. Il y a des gobelets en plastique blanc, une bouteille de jus de fruits, une bouteille d'eau et des pommes. Je trouve cette attention particulièrement charmante. Juliette a un sourire vicieux en précisant : << Ça peut donner soif et envie de grignoter, le voyeurisme ! >>. Il y a un tabouret. Juliette le place juste contre le coussin d'eau. << Je vous en prie Clémentine, prenez place ! >>. Estelle scrute avec attention chaque recoin.
Elle tient son téléphone à la main. L'application "détecteur de métaux" sur Androïd permet de contrôler. Juliette, amusée, demande : << Vous ne me faites pas confiance ? Je vous assure qu'il n'y a aucune caméra dissimulée ! Je ne veux pas de problème ! >>. Estelle répond : << Deux précautions valent mieux qu'une et entre vicelardes peut-on vraiment se faire confiance ? >>. Juliette semble vexée. Elle lance : << Dans ce cas on annule tout ! >>. Clémentine calme le jeu : << Ce serait trop bête. Jouons le jeu ! Mais vous restez avec moi ! >>.
<< OK ! >> fait Juliette. Cette affirmation est lancée sans hésitation. Elle rajoute : << C'est même moi qui commence les festivités ! >>. C'est là que nous nous rendons compte qu'il y a un sexe qui dépasse du trou. Un sexe mou, de taille très moyenne. Juliette se met à genoux sur le coussin à eau. Clémentine, assise sur le tabouret, saisissant ma main, se penche pour regarder. Estelle me prend par la taille. Juliette renifle la bite avant de faire une grimace. Elle sort sa langue pour lécher l'extrémité du prépuce. Elle ouvre la bouche pour le gober.
Juliette suce durant quelques instants. Elle cesse, se tourne vers Clémentine pour dire : << Ça vous suffit comme preuve ? Jamais je n'accepterais d'être filmée dans une telle situation ! J'ai le même fonctionnement mental que vous ! >>. Elle se lève, s'essuie la bouche avec un mouchoir. Estelle lui dit : << Mille excuses Juliette, vraiment je suis désolée d'avoir douté ! >>. Juliette, d'un geste affectueux, caresse la joue d'Estelle pour répondre : << J'aurais agis exactement de la même façon ! >>. Je regarde Clémentine. Elle est à genoux.
Ses mains posées contre la cloison, elle hume ce sexe qui a durcit depuis quelques minutes. Une bite dressée vers le plafond. Il y a une goutte de liquide séminal opalescent à son extrémité. << Bon appétit Clémentine. Je reviens. Je vais m'occuper de nos "invités". Après tout, je suis la maîtresse de cérémonie ! >>. Juliette nous invite à la suivre. Estelle me prend la main. Avant de sortir du box, nous nous retournons. Clémentine est déjà entrain de sucer. Du bout des lèvres, elle goute, les yeux fermés, en gardant les mains sur la cloison.
<< C'est qui le mec ? >> demande Estelle. << Chut ! A partir de maintenant, plus de questions ! >> répond Juliette. Nous n'entrons pas dans le local bureau. Je donnerais cher pour savoir qui est le fils de salaud qui est entrain de se faire tailler une pipe par la fille que j'aime. Estelle partage probablement le même sentiment. Juliette se saisit de mon autre main. Elle me demande : << Je suppose qu'Estelle est chargée de s'occuper de votre personne ? >>. C'est Estelle qui répond : << Oui, chasse gardée ! >>. Juliette dit : << Je comprends ! >>.
Nous suivons Juliette jusque dans la pièce qui sert de réserve de matériel. Quelle surprise, il y a madame Walter et Pierre, son mari. Il y a Léon, l'ancien palefrenier à la retraite. Il est métisse et paraît encore étonnement jeune. Il y a un inconnu. Juliette fait les présentations : << Monsieur Gautier, mon vétérinaire ! >>. C'est un quadragénaire très quelconque, totalement dépourvu du moindre charisme. C'est donc ce mec que se fait Juliette de temps en temps ! C'est curieux. Il y a Pauline, la jeune secrétaire. Elle est toute gênée de nous revoir.
Estelle manifeste le désir d'aller voir ce que fait Clémentine. << On revient, préparer les jus de fruits ! >> lance Estelle en m'entraînant par la main. Nous retournons dans le box. La lumière tamisée demande un temps d'adaptation. Je me mets à genoux à droite de Clémentine. Estelle se met à genoux à sa gauche. Nous observons cette pipe magistrale. Clémentine suce en gloussant de plaisir de nous savoir là. En regardant mieux, nous découvrons des coulées de foutre sur la cloison, sous le trou. Il y en a également sur le pull noir de Clémentine.
Tout autour de sa bouche la peau est luisante, trempée de jute. Elle cesse de pomper pour me montrer l'intérieur de sa bouche. Je bande comme un salaud. Clémentine saisit la queue entre le pouce et l'index pour l'offrir à Estelle. Estelle a un réflexe de recul. Elle fait la plus horrible grimace que je ne l'ai vu faire. Clémentine hausse les épaules et reprend sa fellation. Je passe ma main sous ses cheveux, sur sa nuque. Sans prévenir, j'appuie. Elle n'a d'autre choix que de gober les dix bons centimètres de queue qui dépassent. Elle pousse un cri.
Elle tente de se dégager en toussant. Il y a du foutre qui jaillit aux coins de ses lèvres. Estelle se touche en regardant comme hallucinée. Je relâche mon étreinte. Clémentine se retire pour tousser, reprendre sa respiration en tenant sa gorge d'une main, la bite de l'autre. Il y a des giclées de foutre qui éclaboussent le mur à chaque toussotement. C'est parfaitement dégueulasse. Estelle chuchote : << Et ce n'est que la première bite ! >>. En disant cela elle prend sa tête dans ses mains avec une expression d'effarement. Je félicite et encourage Clémentine.
Elle reprend le sexe inconnu en bouche pour se remettre à pomper. Je glisse à nouveau ma main sous ses cheveux. J'appuie sur sa nuque. Clémentine pousse un râle profond. Un râle de dégout. Je suis certain que le mec éjacule. Je maintiens la tête de Clémentine, son nez et son menton contre la cloison. Elle tente de se dégager. Rien à faire, je la tiens fermement en chuchotant : << Avale, c'est du sperme ! Tu en as tellement rêvé de cette expérience ! Tu y es ! >>. Je peux sentir que Clémentine, avec des efforts insensés, tente d'avaler malgré tout.
Estelle murmure : << Salope ! >>. Clémentine gémit. Je relâche enfin mon étreinte. Elle se retire pour déglutir en poussant des râles de dégout. La queue disparait aussitôt. Estelle colle immédiatement son œil contre le trou. << C'est un mec cagoulé ! >> fait elle. << Je n'ai jamais rien sucé d'aussi dégueulasse ! >> lance Clémentine en inspirant profondément. Estelle lui tend une des pommes du guéridon. Clémentine y croque en fermant les yeux. Juliette arrive. << Alors ? A votre gout ? >> demande t-elle en se penchant vers Clémentine.
<< Beurk ! >> répond Clémentine au moment où apparait un autre sexe. Je suis certain que c'est celui de Léon. La couleur de sa toute petite bite ne laisse aucun doute. << Je le démarre celui-là ! >> lance Juliette en gobant la chose. Quelques instants avant de l'offrir à Clémentine. Estelle se lève, me prend par le bras pour me forcer à me lever. Elle m'entraîne à la suite de Juliette. Nous retournons dans la réserve. Madame Walter est entrain de sucer le type à la cagoule pendant que Pierre se fait tailler une pipe par Pauline. Jeune suceuse.
Qui est ce mec cagoulé ? Mystère. Juliette refuse de nous répondre. Elle se met à genoux devant son vétérinaire. Je sors ma queue pour la proposer à Estelle. Nous sommes quatre mecs à nous faire tailler une pipe des familles. << Viens, on retourne chez Clémentine ! >> me fait Estelle en m'entraînant par le Zob. Nous revenons dans le box. Clémentine suce passionnément. Il y a du foutre qui lui dégouline aux coins de la bouche. Ce n'est pas qu'elle ne taille pas proprement c'est que la bite dégorge probablement plus de jute qu'elle ne peut en avaler.
Une fois encore, Estelle et moi nous nous masturbons en observant Clémentine. Je ne sais pas si c'est de la sueur ou du foutre, mais son visage est trempé. C'est en regardant attentivement le coussin à eau que je comprends. Clémentine s'est certainement fait pisser à la gueule. J'en ai la preuve en assistant à un instant surréaliste. Clémentine se retire pour éviter le jet qui passe à quelques centimètres de sa bouche. Tout près du visage d'Estelle qui se repousse juste à temps. Clémentine y retourne pour se remettre à pomper en gémissant.
A nouveau, je glisse ma main sous ses cheveux. J'appuie sur sa nuque. Elle tente de résister, de se dégager de mon étreinte. Rien à faire, je suis ferme. Je suis certain que c'est de la pisse qu'elle avale sous contrainte. Je distingue nettement les muscles de son cou qui se contractent de manière régulière. Elle pousse de petits cris en tentant désespérément de se dégager. Je la lâche enfin. Elle tousse. Elle a des hauts le cœur. Va t-elle vomir ? Clémentine a des spasmes qui déforment son visage trempé de jute et de pisse. Il y en a plein son pull.
Elle tient sa gorge comme si elle était douloureuse. Ses yeux sont en larmes. Elle me jette un étrange regard. Je lui fais un clin d'œil. Je glisse une nouvelle fois ma main sous ses cheveux. Comme pour anticiper Clémentine reprend cette petite bite molle dans la bouche. J'appuie. Je suis certain qu'elle se fait éjaculer dans la bouche. Au fond de la gorge car je la maintiens fermement. Je la lâche. Ses hauts le cœur sont inquiétants. Ses spasmes tout autant. Estelle agite ses mains pour manifester sa consternation. Juliette qui revient.
<< Tout ce passe comme vous voulez ? >> demande t-elle à Clémentine. La bite a disparu. Clémentine sans répondre prend une gorgée de jus de fruits. Estelle lui essuie le visage. Une autre queue vient de surgir de l'orifice. Une fois encore Juliette se met à genoux entre Clémentine et moi. Elle gobe cette nouvelle bite. Cette salope semble faire cela comme si c'était l'acte le plus normal. Estelle me regarde comme hallucinée. Juliette saisit cette queue pour la tendre à Clémentine. Juliette nous propose de la suivre. Nous quittons l'odeur de bites.
<< Put-Hein, comme ça pue un défilé de queues ! >> lance Estelle. Juliette se retourne soudain. Elle me prend la bite pour la tordre en disant : << Tu apprécies ce que fait ta salope ? >>. Je suis complètement consterné. Je ne sais quoi dire. Nous voilà dans la réserve. Pierre se fait sucer par sa femme. Pauline taille une pipe au cagoulé. Je demande à Juliette : << Ça fait longtemps que vous avez détourné Pauline de ses travaux de secrétaire ? >>. Juliette me lâche enfin la queue pour me répondre : << Ici, nous partageons les mêmes vices ! >>.
Estelle s'accroupit pour prendre mon sexe en bouche. Juliette suce Léon qui est revenu. << Put-Hein, ta femme ! Une vraie ventouse. Elle m'a vidé les couilles ! >> me dit il en saisissant Juliette par ses cheveux pour lui frotter sa bite sur la gueule. Estelle se redresse. << Viens, on tente une expérience ! >> me dit -elle en m'entraînant par la main. Nous sommes devant la porte du local bureau. Estelle m'embrasse passionnément. Je colle mon oreille à la porte. J'entends le type râler de plaisir. C'est le vétérinaire puisqu'il n'est pas dans la réserve.
Nous contournons le mur pour regarder Clémentine. Les joues creusées par l'effort elle pompe comme si sa vie en dépendait. Elle pousse soudain un cri de ravissement. Le vétérinaire est probablement entrain d'éjaculer. Il sort du local bureau, le visage en sueur. Il est surprit de nous trouver là. Estelle m'entraîne dans le local bureau. Je comprends immédiatement. Je passe ma queue dans le trou. Quelques instants avant que l'indicible sensation de ventouse chaude se referme sur mon sexe. Estelle se place derrière moi pour me coller contre la cloison.
Cela facilite considérablement les choses. Je crois que je n'ai jamais vécu un émotion sexuelle aussi puissante. Je suis là, entrain de me faire sucer par la fille qui partage ma vie. Derrière cette cloison, elle ne sait pas que c'est moi. C'est divin. C'est énorme. Heureusement qu'Estelle maintient mon équilibre. Je suis à deux doigts de tourner de l'œil. Je sens Clémentine sucer. Je prends conscience que c'est comme ça qu'elle vient de faire à trois autres mecs. << Tu prends un pied d'enfer, non ? >> me chuchote Estelle. Je suis trempé de sueur. C'est fou.
C'est la meilleure pipe de toute ma vie. Le lecteur, la lectrice, en recherche de la sensation ultime, doivent absolument essayer le Gloryhole. Moi aussi je viens de découvrir à quel point, poussé à ces extrêmes, le Gloryhole est un truc délirant. J'éjacule. Bon sang mais c'est comme ça qu'elle bouffe le foutre des mecs qu'elle suce. Je vais tomber dans les pommes. Je le sens. Estelle met toutes ses forces à me maintenir. J'ai envie de hurler mon amour à Clémentine. Je m'en garde. Je veux être un anonyme parmi les anonymes. Je lui avouerai plus tard.
Je reprends mes esprits. Nous sortons du local bureau au moment où Juliette arrive avec Pierre : << La dernière friandise pour Clémentine ! >> dit elle en tenant la grosse queue de Pierre dans la main. Elle dégorge de foutre. Estelle me dit : << Viens, on va regarder ça ! >>. Nous rejoignons Clémentine qui suce déjà le chibre de ce salaud de Pierre. Juliette reste avec nous. Je crois que c'est la main d'Estelle qui caresse ma nuque. Ce n'est qu'au bout de quelques minutes que je me rend compte que c'est celle de Juliette. Estelle me fait un clin d'œil.
Cette pipe est hyper juteuse. Pierre s'est fait sucer par toutes les filles présentes ce soir. Y compris par Juliette qui en raffole. Nous assistons à l'éjaculation la plus surprenante de la soirée. Il y a tant de sperme qui jaillit que Clémentine est obligée de se retirer. Juliette me tient la nuque avec une douceur incroyable. Elle se penche pour murmurer à mon oreille : << Julien, je t'aime ! Merci d'avoir été là ce soir ! >>. Cet aveux me gêne terriblement. Ce n'est pas la première fois que Juliette me fait cette confidence. Mais là, ce soir, c'est vraiment fort.
La bite disparaît. Clémentine reste prostrée. Elle s'essuie le visage. Ses cheveux sont ruisselants. Probablement de foutre, de sueur et de pisse. Je pose ma main sur sa nuque. Elle me regarde de ses yeux larmoyants pour me dire : << J'ai besoin d'une douche ! >>. Juliette murmure : << J'ai tout prévu. Nous montons chez moi ! >>. Nous ne croisons personne. Nous sortons des écuries par la porte avant pour traverser la cour. Il fait très froid. Clémentine grelotte. Juliette lui a passé une serviette sur les épaules. Clémentine reste contre moi.
Dans la voiture, Clémentine reste étrangement silencieuse. Assise à l'arrière, Estelle caresse mon cou. Il est 23 h quand nous arrivons à la maison. Clémentine est totalement épuisée. Je n'ai jamais vu autant de cernes sous ses yeux. << Tu as pris dix ans ! >> lui fait Estelle. Clémentine, les traits tirés, nous dit : << Put-hein, il faut que je me calme. Ça y est, j'ai vécu ce truc. Il n'y en aura pas d'autre ! >>. Estelle répond : << Jusqu'à la prochaine fois ! >> Nous éclatons de rire. Au lit, Clémentine s'endort blottit contre moi. Estelle ronfle...
Bonne expérience "Gloryhole" à toutes les coquines qui ont le privilège de connaitre un lieu et des gens qui pratiquent de genre de truc...
Julien
NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...