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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1615 -



Notre première journée de retour à Edimbourg

Hier matin, il est huit heures trente quand Estelle glisse sa main dans mon slip pour s'emparer de mon érection matinale. C'est de cette manière qu'elle me tire de mon sommeil. C'est si soudain que je quitte un rêve dont je ne me souviens que très vaguement. Elle me fait des bisous en chuchotant : << Tu es dans tous mes rêves ! >>. Cela réveille Clémentine qui se blottit contre moi en gémissant. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle se lève la première pour se diriger vers la porte.

Nous faisons notre lit. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous apprécions de pouvoir aller pisser à deux. Nos rituels pisseux du matin commençaient à nous manquer. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans cette délicate odeur de café, de pain grillé et du reste de brioche au micro onde. Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. J'administre toujours le même traitement à Clémentine qui, ce matin, attend son tour avec impatience.

Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre expédition dans le Nord Est de l'Ecosse. << C'était superbe mais je suis contente d'être de retour. J'aime trop Edimbourg ! >> lance Estelle. << Pareil pour moi ! >> rajoute Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de toutes les choses que nous voulons revoir et faire à Edimbourg. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous enfilons nos tenues de jogging. Nous dévalons l'escalier de service. Le ciel est couvert.

Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous courons d'un bon rythme sur notre parcours habituel. Nous croisons d'autres joggers. Certains que nous commençons à connaître à force de les rencontrer lors de nos runnings matinaux. Il est 9 h45 quand nous sommes de retour. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le message quotidien de Julie qui nous raconte sa journée dans la galerie d'Art. Il reste quatre toiles disponibles.

Heureusement que les acquéreurs du mois de juin ont laissé huit toiles qu'ils ne récupéreront qu'au début septembre. Sinon les murs seraient bien vides et tristes. Estelle vient nous rejoindre. Jupette, T-shirt. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Là aussi nous apprécions de pouvoir être tous les deux. Clémentine me frotte le dos, je frotte le sien. J'aime voir ses cheveux relevés sur sa tête. Ce fin duvet à la base de sa chevelure, dans la nuque. Ses oreilles si finement dessinées. Bisous sous l'eau.

Nous rejoignons Estelle au salon. Elle répond au courriel de ses parents. Clémentine est en jupette, T-shirt. Je suis en short, T-shirt. Tous les trois aux même teintes. Nos préparons le petit sac à dos. Pommes, nectarines, les mini parapluies, les K-ways. Clémentine y met sa cape de pluie en me faisant un clin d'œil. Je comprends. Elle me dépose une bise en chuchotant : << Merci ! >>. Nous n'avons pas évoqué un seul instant le rendez-vous de Clémentine, à 15 h, cet après-midi, avec l'inconnu du parc. Par jeu autant que par pudeur.

<< Il va peut-être me dire son nom ! >> murmure t-elle. << Ce serait la moindre des courtoisies ! >> rajoute Estelle. Nous en rions de bon cœur. Nous allons improviser jusqu'à 15 h. Pressés de filer nous prenons l'escalier à toute vitesse. Le ciel se dégage doucement. La douceur fait place à la fraîcheur un peu désagréable de la matinée. Nous descendons sur Morningside. Voilà St Church of the Christ. La petite église gothique devant laquelle sont garées cinq bus. Il y a des touristes partout.

Nous passons devant chez nos amis les Wong. Cette année, les contacts sont rares. Le couple est débordé de travail. << Et ils ont probablement trouvé d'autres partenaires de partouzes ! >> lance Estelle. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la main. C'est ainsi que nous arrivons sur Leith. Trois kilomètres qui alternent de rues commerçantes et de quartiers résidentiels. Il est 11 h45. Il commence à faire faim. << Fish & chips ? >> propose Estelle. Nous répondons en cœur : << Fish & chips ! >>.

Ce ne sont pas les fastfoods qui manquent sur les quais et dans les rues adjacentes. Il y a toujours une vive animation. Aujourd'hui ce sont des myriades de touristes. Des groupes, des couples, des solitaires. Nous trouvons une échoppe qui fait sandwichs divers et variés. Juste quelques clients qui patientent. Des tables à l'intérieur. Nous commandons. Nous restons à l'extérieur pour admirer un couple de jongleurs. Certainement deux étudiants. La fille est toute menue dans son ensemble collant rouge.

Nous quittons l'endroit avec nos grands cornets de papier kraft en main. Nous avisons un des bancs libres sur le bout du quai. Il y a un angle avec la jetée qui se prolonge dans la mer sur une centaine de mètres. De l'autre côté, le port de plaisance. Nous savourons nos pommes de terre frites, nos beignets de poisson façon nuggets. Il y a des petites fourchettes en plastique bleu. Ce qui évite d'avoir les doigts gras trop vite. La tradition exige toutefois que l'on mange le fish & chips avec les doigts. La coutume.

Il y a des fontaines. Nous pouvons nous rincer les mains et la bouche. Nous flânons longuement sur le port de plaisance. Il y a ce grand bateau blanc amarré depuis des années. C'est le musée. Il y a une exposition des peintres de Leith. Clémentine propose d'aller voir. L'entrée est gratuite. La visite est libre. Estelle n'arrête pas de me palper la braguette. Il n'y a pas de caméra de surveillance. Peu de visiteurs. Je peux donc passer ma main sous sa jupette, entre ses cuisses, et caresser la douceur du coton de sa culotte.

Comme toujours dans les expositions de ce genre, le pire côtoie le médiocre. Mais il y a toujours un ou deux peintres qui sortent du lot. Je ne suis pas objectif car l'art contemporain nous laisse d'une indifférence abyssale. Il y a par contre une dame qui propose de magnifiques paysages des environs d'Edimbourg. C'est de toute beauté. Hélas elle ne présente qu'une dizaine d'huiles sur bois. Dommage. Les barbouilleurs en présentent deux fois plus. << Des "nouillonades" ! >> comme les nomme Clémentine.

Il est 14 h30. Nous nous dirigeons trois rues parallèles plus haut. La porte cochère du jardin public est ouverte. J'avoue à Clémentine que mon cœur bat la chamade. << Et le mien donc ! >> dit elle en plaçant ma main sur ses tous petits seins. L'extrémité est dure. << C'est l'excitation ! >> se justifie Clémentine en riant. Nous allons au fond du parc. Il y a peu de promeneurs. C'est trop loin de l'animation des quais. Le cabanon de bois. Derrière l'espace de deux mètres entre la cloison et le grillage.

<< C'est ouvert ! >> s'écrie Estelle. En tenant un mouchoir en papier pour éviter tout contact, elle maintient la poignée de la porte. Nous y entrons. Il y a du matériel de jardinage appartenant aux employés communaux. << Génial ! >> fait encore Estelle en nous montrant l'étroit soupirail à la vitre poussiéreuse. << On peut mâter tranquillement ! >> rajoute t-elle. Nous n'arrêtons plus de nous palper les sexes. J'ai mes mains sous les jupettes des filles. Elles m'ont sorti la bite. Je bande comme un salaud.

<< Ça va être l'heure, je vais voir. Au moindre problème, vous rappliquez ! >> dit Clémentine en se réajustant avant de sortir. Nous restons planqués dans le cabanon dont Estelle ferme et bloque la porte. Je l'aide à y placer une lourde brouette en métal rouillé. Nous nous embrassons. << Je t'aime Julien ! >> me fait Estelle entre chaque baiser. Nous regardons régulièrement par la fenêtre encrassée. Voilà Clémentine et le jeune homme de hier. C'est elle qui l'entraîne derrière le cabanon.

Nous allons nous coller contre l'étroit soupirail horizontal. La vision est floue à cause de la poussière. Estelle essuie un peu du bout des doigts. C'est mieux d'en laisser pour éviter tout risque d'être vu. Nous voyons Clémentine tirer sa cape de pluie du sac, l'étendre au sol comme une couverture. C'est là que nous apercevons la bite minuscule du garçon. Clémentine la prend entre le pouce et l'index en se mettant à genoux sur la cape. Le jeune type paraît affolé. << Petite bite ! >> murmure Estelle.

Je chuchote : << Petite comme les aime Clémentine. Mais pour une fois que c'est celle d'un mec de son âge ! >>. Nous regardons, le souffle coupé, sans bouger. Clémentine suçote l'extrémité de ce pénis qui ne doit pas faire plus de dix centimètres. Un modèle réduit car son diamètre ne doit pas excéder trois centimètres. Maximum. Le gars tient la tête de Clémentine. Il semble reprendre sa maîtrise de la situation. Il se branle doucement dans la bouche de la suceuse. Ça doit être juteux car nous voyons Clémentine déglutir.

Cinq minutes avant qu'elle ne cesse pour se coucher sur la cape. Elle entraîne le jeune type qui descend précipitamment son short et son slip. Estelle me branle. Je la masturbe. Une fois encore nous sommes au spectacle. Le mec enfile la capote que lui tend Clémentine. Pas très adroit. Nous n'entendons rien dans notre cachette. C'est un peu frustrant cette vitre sale. Le type reste en appui sur ses bras. Il pénètre certainement Clémentine qui se masturbe en se mordillant la lèvre inférieure.

Le garçon se met à bouger doucement. Il tente d'embrasser Clémentine qui détourne le visage à chaque fois. Une règle qu'elle s'est fixée car elle déteste être embrassée par un inconnu. Je bande comme le dernier des salauds dans la main d'Estelle. Je la pénètre d'un doigt. Elle est trempée et ça me dégouline sur la main. Clémentine est entrain de se faire baiser. Nous ne voyons que ses pieds et ses jambes qui s'agitent de chaque côté du corps de son baiseur. << Elle y va cette salope ! >> me chuchote Estelle.

Cette baise dure une bonne dizaine de minutes. Personne ne vient là derrière. Seul un habitant de la grande demeure, collé aux grilles, pourrait voir ce qui se passe ici. Changement de position. Clémentine pousse le mec assez brusquement. Elle le fait basculer sur le dos. Il porte sa capote bien serrée. Sa bite est droite, dure, minuscule et fièrement dressée. Clémentine s'assoit dessus. La taille de ce sexe lui permet cette position qui lui procure le plus souvent de la douleur plutôt que du plaisir.

Elle s'empale sur la queue. A cheval sur le type, c'est elle qui bouge en restant bien droite. Le jeune homme la tient par les hanches, lui tripote les seins tout en la fixant. Il parle. Dommage que nous ne puissions comprendre. << Tu l'as déjà vu baiser comme ça ? >> me chuchote Estelle. Je réponds : << Pas souvent, elle déteste ça ! >>. Nous observons cette scène étonnante. Le type la repousse à son tour. Il la fait mettre à quatre pattes. Estelle se fait prendre par derrière. Le type la baise comme un malade.

Son visage penché près du sien, il doit lui dire des choses bien étonnantes. Clémentine, les yeux fermés, en extase, ne cache pas son plaisir. Elle rit aux paroles de son baiseur. Son visage est à une cinquantaine de centimètres du soupirail. C'est génial de la voir jouir en gros plan. << Excellent ! >> murmure Estelle qui se tortille sur mon doigt. Le type éjacule probablement. Plusieurs spasmes secouent tout son corps. Il se retire en soufflant. Il tombe sur le côté. Sa capote est pleine d'un sperme laiteux. Il tient sa queue toujours dure.

Délicatement, en tentant de ne pas en perdre la moindre goutte, Clémentine la lui retire. Le garçon, amusé et étonné, la regarde faire. Clémentine fait un nœud. Elle agite la capote pleine devant le rire du garçon. Elle se redresse. Se réajuste. Elle abandonne le type qui se redresse, remonte son slip et son short. Il veut certainement rejoindre la fille qui s'éloigne. Nous sortons de notre cachette pour aller récupérer la cape de pluie. Là-bas, nous voyons Clémentine parler vivement avec le mec.

<< Il est tombé amoureux ! >> lance Estelle. Clémentine revient enfin nous rejoindre. << Je suis son quatrième "coup" en huit jours. Sa copine ne sait rien. Elle est avec ses parents. Il veut absolument me revoir ! >> nous confie t-elle en éclatant de rire. << C'était un bon "coup" ? >> demande Estelle. << Et comment ! J'adore les toutes petites bites. Et la sienne était plutôt nerveuse ! >> répond Clémentine. Elle sort la capote du sac à dos. Elle l'agite en disant : << Un souvenir ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Ce "souvenir" ira rejoindre les trois autres dans sa table de nuit. Il y a celui de monsieur Wong, celui de Pierre et celui du mec masqué de cuir qui la baisé lors d'une de nos partouzes avec Juliette il y a deux ans. Nous constatons la quantité de sperme qu'elle contient. << Presque autant que toi ! >> me fait Estelle. Clémentine ne veut absolument pas revoir ce type. Il s'est montré très insistant. Sa copine ne sait rien et ne se doute pas du Casanova qu'il est. << Super "coup", vraiment ! >> lance Clémentine.

Nous quittons le parc pour retourner sur les quais. C'est l'heure de la glace. Nous la savourons assis sur un banc. Clémentine nous confie tout ce que lui racontait John, son jeune et fougueux baiseur. Nous en rions de bon cœur. Lors de nos errances, nous réservons une bonne table dans un excellent restaurant. Clémentine, qui n'est pas allée jusqu'à l'orgasme, est hyper excitée. Estelle et moi nous le sommes tout autant. Nous nous promettons une superbe soirée en rentrant plus tôt que d'habitude.

Bonne baise à toutes les coquines qui aiment s'offrir un "extra" avec un inconnu. Dans un endroit insolite, incongru et bien excitant...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1616 -



Un après-midi à flâner dans le centre historique

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par le mouvement masturbatoire que fait Clémentine contre ma cuisse. Ça cesse. Ça recommence. Je lui dépose un bisou sur le front. Elle se blottit en murmurant : << J'ai rêvé de hier dans le jardin public ! >>. C'est Estelle qui se réveille pour se serrer encore plus fort. Je suis entre mes deux anges. Estelle saisit mon érection naturelle en chuchotant : << Tu nous raconte ton rêve à la cuisine ? >>. Distribution de bises, papouilles et mains dans les culottes.

Estelle, n'en pouvant plus, se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Il est huit heures trente. Nous faisons le lit. Clémentine ne cesse de me faire des bisous en murmurant : << Merci Julien ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine, l'odeur du café et du pain grillé. << Raconte-nous ! >> lance Estelle en sautillant. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en écoutant le rêve de Clémentine. Elle a revécu son expérience de hier.

Nous mangeons de bon appétit en riant des extravagances venues se rajouter aux souvenirs de cette baise en jardin public. Nous lui témoignons beaucoup de reconnaissance pour le spectacle qu'elle nous a offert. << Si ce mec avait deviné qu'on était planqué à un mètre de sa performance ! >> fait Estelle. << J'ai ma dose pour quelques temps ! Je n'aurai pas la chance de tomber sur une aussi petite bite ! >> répond Clémentine. Nous éclatons de rire avant de débarrasser pour faire la vaisselle.

Nous nous lavons les dents avant d'enfiler nos tenues de jogging. Nous dévalons l'escalier de service. L'appartement que nous occupons au premier étage de la grande demeure de mon oncle servait jadis au personnel de maison. L'escalier de service permettait d'éviter de passer par les appartements des propriétaires. Nous voilà dans la fraîcheur matinale. Le ciel est voilé mais lumineux. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Estelle mène la course avec un rythme soutenu et régulier.

C'est notre circuit habituel. Il est tellement parfait. Surtout avec cet espace au sommet de la colline. On y voit tout Edimbourg dans une lumière extraordinaire. Il y a souvent comme une légère brume au-dessus de la ville. Rien à voir avec une pollution quelconque. C'est la condensation car la mer est là-bas, plus loin dans la baie. Il est neuf heures trente quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons un seul message. Julie.

<< Je culpabilise toujours après mes égarements. Je t'aime Julien. Tu m'offres tellement de joie, de possibilités de plaisir. Comment pourrais-je te remercier pour tant de bonheur ! >> dit Clémentine. Elle fait évidemment allusion à ce qui s'est encore passé hier après-midi. La baise avec ce jeune inconnu, derrière ce cabanon. Je la rassure en précisant : << Mais c'est réciproque. Tu sais que je prends un plaisir fou à te voir baiser avec un autre. Surtout ne change rien. C'est trop bien. Trop bon ! >>.

Estelle vient nous rejoindre vêtue comme hier, jupette, T-shirt. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Nous revenons au près d'Estelle. << Il y a enfin des informations sur le site universitaire ! >> lance t-elle avant de rajouter : << Sauf retour à des mesures sanitaires restrictives, les cours reprendront à la faculté le lundi 6 septembre à 8 h. Par contre, le passe sanitaire sera exigé ! >>. Nous préparons des sachets que nous mettons dans le petit sac à dos. Nous sortons pour descendre sur Morningside.

La logistique impose quelques courses. Nous marchons d'un bon pas en faisant le très vague programme de l'après-midi. Estelle veut préparer le repas de midi. Il sera interdit d'entrer dans la cuisine avant son signal. Il y a un petit kilomètre jusqu'aux rues commerçantes. Nous adorons passer devant Christ Church au carrefour. Il y a plein de touristes, de bus garés. A l'angle de la rue principale ce grand bazar qui fait bureau de tabac, magasin de journaux, de souvenir et librairie.

Nous y entrons car Estelle adore envoyer des cartes postales à ses parents, à sa mamie dans le Var. Sa maison est à quelques kilomètres des incendies qui ravagent une partie de la forêt. Mais tout va bien pour sa propriété. C'est Clémentine aujourd'hui qui reste serrée contre moi. << Je t'aime ! >> ne cesse t-elle de me chuchoter à l'oreille. Curieusement, cette attitude qui n'a strictement rien de sexuelle, m'excite considérablement. Je le lui dis. Discrètement elle me palpe la bosse en murmurant : << Génial ! >>.

Estelle choisi ses cartes sur le tourniquet pendant que Clémentine et moi, nous nous touchons le plus discrètement possible. << Petits vicieux ! >> fait Estelle en nous montrant les deux cartes choisies. Nous sortons. Nous passons devant le fastfood des Wong. << Venez, on leurs fait un petit coucou ! >> lance Estelle. Il y a du monde. C'est Ly-Yang qui nous aperçoit la première. Toute souriante elle contourne le comptoir pour venir nous saluer. Nous comprenons subitement leur "silence" depuis notre arrivée en Ecosse.

Ly-Yang est enceinte. Nous la félicitons pour ce joli petit ventre rond quelle caresse en souriant. Elle est toujours aussi belle, petite, le physique de la femme @#$%&. Mais avec un petit ballon sous sa robe de satin noir brodée de motifs asiatiques. Monsieur Wong sort de ses cuisines pour venir nous saluer. Il nous confie être l'homme le plus heureux du monde. << Au bout de dix ans de mariage, d'essais infructueux ça a enfin fonctionné ! >> dit il. Le couple va devenir parents d'ici deux mois.

Nous patientons dans la file pour acheter quelques nems au crabe. Les meilleurs de tout Morningside. Nous saluons les Wong avant de partir. << On comprend tout maintenant ! Il n'y aura peut-être plus jamais de partouzes avec eux ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus. A environ trois cent mètres plus bas il y a la supérette. Sainsbury's Local. C'est sur Morningside Road. Il y a du monde. Nous faisons le plein de fruits, de quelques légumes, de poissons fumés emballés sous vide. Pour nos sandwichs.

Nous passons aux caisses. Nous attirons encore bien des regards. << Regarde le mec là-bas, avec sa tenue de basket-ball américain, il n'arrête pas de nous mâter. Il m'a même fait un clin d'œil ! >> lance Estelle. << Tu veux te le faire ? >> demande Clémentine. << Arrête, déconne pas ! >> répond Estelle en posant discrètement sa main sur ma braguette. Geste discret qui malgré tout n'échappe pas à la jeune caissière qui nous fait le plus adorable des sourires. Je lui adresse un clin d'œil.

Avec nos sacs pleins, nous remontons vers la maison. Nous sommes de retour pour midi tapante. << Interdiction de rester dans la cuisine ! >> rappelle Estelle après que nous ayons rangé les courses. Nous allons au salon. Clémentine m'embrasse soudain avec fougue. Je glisse ma main sous sa jupette. J'adore le contact du coton de sa culotte. A travers le tissus, la grosse bosse de son clitoris géant. Quand j'insiste avec le doigt, juste dessus, Clémentine à des petits frissons qui me comble de ravissement.

Je la soulève pour l'emmener comme une jeune mariée dans la chambre. Je la dépose sur le lit pour lui retirer la culotte. Clémentine en glousse de plaisir. Je me couche à plat ventre, ma tête entre ses cuisses. Je lui suce le clitoris. Ses gémissements m'enchante. Je lui bouffe la chatte déjà trempée. Tout en la broutant, je retire mon short et mon slip. Je cesse pour me redresser en appui sur mes mains. Clémentine saisit ma queue qu'elle frotte contre sa vulve. Je m'introduis doucement, avec précaution.

Ma bite est d'un tout autre calibre que celle qui la pénétré hier. Même si le diamètre est sensiblement plus épais, je lui offre là vingt centimètres d'un cylindre de chair aussi dur qu'un bout de bois. Il me faut le manipuler avec d'infinies précaution. << Je t'aime mon amour ! >> ne cesse -elle de me chuchoter à l'oreille en restant suspendue à mon cou. Ses jambes autour de mes reins. Je la berce ainsi en humant le souffle chaud de sa bouche. Clémentine est accrochée à moi. Immobiles, comme nous aimons.

Je murmure : << Quand je te vois baiser avec un autre, tu n'imagines pas comme ça m'excite les jours suivants. Presque autant que quand je te vois sucer une autre queue ! >>. Clémentine pousse de petits cris en se mettant à bouger. Elle se laisse retomber sur le dos. Je la baise comme un malade. C'est rare que je m'agite ainsi en elle mais là, c'est tellement bon. C'est ainsi qu'Estelle nous surprend ! << On mange les obsédés, c'est prêt ! >> dit elle en se précipitant pour nous faire des bisous.

Je retire mon sexe gluant de celui de Clémentine qui reprend difficilement ses esprits. Estelle se précipite pour me sucer. Je la tiens par les cheveux pour bien lui enfoncer la bite. Elle manque de s'étouffer. En toussant, elle déglutit avec peine en disant : << Salaud ! >>. Elle se redresse pour nous entraîner par la main. L'odeur dans la cuisine nous fait prendre conscience que nous sommes morts de faim. Ce sont des tomates farcies au thon, crevettes. Des pommes de terres rissolées nappées de gruyère de Comté.

Une salade verte en accompagnement. Champignons et tranches d'avocat. Nous félicitons Estelle pour cette sublime surprise. Je lui couvre le visage de bisous. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Elle aussi adore garder mon foutre le plus longtemps possible afin qu'il se mélange à sa salive en tel quantité qu'il faut finir par avaler. Ce qu'elle fait dans un mouvement de tête, une légère grimace, la main posée sur sa gorge. Nous passons à table pour manger de bon appétit. Les filles évoquent la rentrée universitaire.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font différents projets pour l'après-midi. Demain, nous irons sur Glasgow. Un autre de nos pèlerinages rituels. Cet après-midi nous irons nous promener dans le centre historique d'Edimbourg. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos clowneries habituelles. Imitations de fellations avec les brosses à dents. Clémentine qui nous confie qu'après avoir baisé hier avec un inconnu, elle sucerait bien la bite d'un inconnu. Nous en rions de bon cœur.

Pressés de filer, nous dévalons l'escalier. C'est à pieds que nous décidons de faire les quatre kilomètres qui nous séparent du centre. Nous marchons d'un bon pas. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent la main. Nous dissertons sur tout ce que nous voulons encore faire en Ecosse pour les deux semaines à venir. Nous arrivons en ville par East Claremont Street. C'est déjà bien animé. Broughton, Dublin Street, la Scottish National Portraits Gallery et nous voilà sur Princess Street. Une des artères principales.

Nous flânons. On s'en contrefout d'attirer les regards. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous. Cette ville exerce un attrait extraordinaire. Même sur ses habitants. On s'y retrouve en pleine période médiévale. Soudain, au détour d'une rue, une architecture contemporaine mais de bon goût. Le moindre recoin est le prétexte pour aller s'y embrasser, s'y toucher. Estelle me confie à quel point elle veut baiser. Je lui promets une soirée de "bourre" comme elle les aime.

Nous savourons nos bacs de glaces dans le parc en gradins à côté de la National Gallery of Scotland. Il y a des séquences ensoleillées, délicieusement chaudes. Nous réservons une table par téléphone dans un de nos restaurants préférés. Le personnel y est en tenue folklorique médiévale. On y mange des choses succulentes. C'est un établissement étoilé. Nous y sommes attendus pour 19 h30. Nous flânons jusque là. C'est encore une de nos superbes soirées gastronomiques.

Deux visites aux toilettes avec Estelle. Deux visites aux toilettes avec Clémentine. Sous certains regards interrogateurs, amusés ou libidineux. Cela nous amuse tellement. << Et on s'en contrefout tellement ! >> murmure Estelle à l'addition. Comme il fait doux de se promener dans le crépuscule naissant. Nous en oublions nos promesses de baise. Nous voulons tellement profiter de cette ambiance magique. Il y a des animations musicales dans pleins de ruelles du centre historique.

Bonne soirée de promenade à toutes les coquines qui aiment tripoter de la braguette et se faire toucher discrètement dans les ruelles...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1617 -



Jeux de mains, jeux de vilains à Glasgow

Hier matin, jeudi, il est huit heures trente quand je suis tiré de mon sommeil par la main inquisitrice d'Estelle. C'est sa façon à elle de revenir aux réalités de ce monde. Se saisir de mon érection naturelle. C'est tellement adorable. Son souffle chaud contre mon visage, l'haleine de sa nuit. C'est terriblement animal. J'adore. Cela réveille Clémentine qui vient se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges dans un enchantement paradisiaque. Mes mains glissent subrepticement dans les culottes.

Estelle reste blottit contre moi toute la nuit. Ce n'est qu'au matin qu'elle se décolle pour se lever d'un bond, s'écriant : << Pipi ! >> en se précipitant vers la porte. Nous faisons notre lit avant d'aller aux toilettes à notre tour. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. L'enchantement continu avec cette suave odeur de café, de pain grillé. Estelle qui se précipite vers moi pour se frotter. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. Même traitement pour Clémentine.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant mille "plans" pour notre aventure d'aujourd'hui. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Glasgow, la ville où nous irons passer la journée. C'est un rituel à chaque séjour écossais. La vaisselle. Nous nous lavons les dents avant d'enfiler nos tenues de jogging. Nous dévalons l'escalier de service. Le ciel est voilé mais très lumineux. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. C'est parti. Estelle impose un rythme soutenu.

C'est notre parcours habituel. Tellement sympathique. Surtout le sommet de la colline. La vue sur le "Roquefort gothique". C'est ainsi que Clémentine surnomme la ville. Ce matin Edimbourg vaporeuse dans une lumière diaphane qui lui donne des reflets argentés. Il est dix heures quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un message de Julie qui nous annonce une onzième vente. Il ne reste plus que trois toiles dans la galerie d'Art.

Un message de Juliette qui nous annonce son départ pour la Vendée dimanche soir. Une nouvelle semaine de vacances avec sa collaboratrice, madame Walter et son mari Pierre. Nous répondons en joignant une photo prise hier. Ma bite dans la main d'Estelle, moi entre mes deux anges. Clic sur "envoi". Estelle vient nous rejoindre vêtue d'une jupette kaki, d'un fin sweat carmin. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Nous nous habillons aux mêmes teintes. Clémentine en jupette, moi en short.

Dans le petit sac à dos, trois pommes, des barres de céréales, nos K-ways sans doute inutiles car le soleil semble avoir gagné la partie. Le ciel est bleu d'azur. A peine quelques nuages d'altitude. Pressés de filer, nous descendons l'escalier à vive allure en riant. Je roule doucement. Nous rejoignons la nationale en passant par Leith. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière nous raconte le courriel de ses parents. Eux aussi vont s'offrir une dernière semaine de vacances. Elle me caresse le cou, les joues.

Il y a environ quatre vingt kilomètres qui séparent Edimbourg de Glasgow. La circulation est fluide. Le ciel de plus en plus dégagé. Une belle journée s'annonce. Il est 11 h30 quand nous garons la voiture dans le parking à deux pas de la cathédrale Saint-Mungo. Il reste très exactement 17 places sur 250 affichées sur le compteurs lumineux à l'entrée. Nous marchons d'un bon pas. Je suis entre mes deux anges. Nous attirons encore bien des regards. Glasgow n'a pas le pittoresque historique d'Edimbourg.

C'est néanmoins une ville magnifique. Après des années difficiles, d'une économie ruinée, cette ville a surmonté ses crises pour devenir un centre attractif, jeune et de premier plan. Une des deux plus grandes métropoles écossaises avec sa voisine Edimbourg. Il fait beau. Il fait presque chaud. La faim commence à se faire sentir. << Fish & Chips ? >> propose Estelle. Nous répondons en cœur : << Fish & Chips ! >>. Ce ne sont pas les fastfoods qui manquent dans les rues pavées du centre. Il y a un monde fou partout.

Glasgow joue sur sa relative jeunesse pour attirer les visiteurs. Une architecture moderne, conçue avec gout afin de s'harmoniser avec les bâtiments historiques entièrement rénovés. Estelle n'arrête plus de me palper la braguette. Surtout dans la file où nous attendons notre tour. Pas d'autres choix car toutes les sandwicheries sont évidemment prises d'assaut à cette heure. Presque midi. Moi aussi, discrètement car c'est facile dans une file d'attente si on fait attention, je glisse une main entre ses deux cuisses sous sa jupette.

<< Salaud. Tu n'as pas honte de peloter les filles en publics ! >> me chuchote à chaque fois Estelle. C'est enfin à notre tour de passer commande. Elles sont trois à préparer, à servir et à encaisser. Elles ne chôment pas ces trois jeunes femmes derrière le comptoir. C'est très rapide. La formule est rôdé. Nous voilà avec nos grands cornets de papier kraft entrain de manger en marchant. Nous avisons les marches d'un escalier pour nous y assoir. Il y a plein de gens installés partout autour de nous.

Ce sont surtout les langues scandinaves que nous entendons. Cette année il n'y a quasiment aucun touriste latin. Malgré la foule c'est donc relativement calme. Cette façon qu'ont les peuples du Nord de s'exprimer discrètement. Souvent à voix basses. C'est tellement plus agréable. Nous savourons les chips, les nuggets de poisson. Il y a un petit sachet de sauce au paprika. Plutôt épaisse et délicieuse. Ça rempli bien nos ventres affamés. Nous reprenons notre promenade.

Kelvingrove Art Gallery and Museum est à deux pas. Il faut longer les grilles du parc. Le quartier est historique. Le musée est un grand bâtiment de style néo Victorien. C'est une bâtisse impressionnante, toute de pierres ocres. En grès. Il y a des gens assis sur la pelouse. En face, de l'autre côté de la rue, c'est la maison où Marie Stuart était captive avant d'être exécutée. Nous possédons nos passes touristiques. Ce qui évite la queue longue d'au moins vingt mètres à l'une des entrées.

Je félicite Clémentine pour ses talents d'organisatrice. C'est elle qui s'est occupée des réservations dès le mois de mai quand nous avons appris qu'il était possible de se rendre en Grande Bretagne. Nous voilà à l'intérieur de ce véritable palais royal. C'est aussi prestigieux à l'intérieur qu'à l'extérieur. Nous savons où se trouve le tableau que nous sommes venus voir. Un autre de nos nombreux rituels écossais. C'est dans la salle "Spirit of Art" que se trouve cette œuvre magistrale qui nous attire.

"Le Christ de Saint Jean de la Croix". Cette toile de Salvador Dali, peinte en 1951, mesure 205 centimètres sur 116 centimètres. Elle est suspendue en hauteur car elle a été vandalisée en 1961 par un intégriste religieux. Cet individu a certainement pris cette œuvre au premier degré. Salvador Dali n'a jamais voulu réaliser un tableau "religieux". Il s'est représentée lui-même en "Christ" de l'Art pictural. C'est un athlète américain qui a servi de modèle pour ce chef-d'œuvre de la peinture contemporaine.

Nous sommes assis sur des gradins. C'est une sorte de balcon comme dans un théâtre. Clémentine sort la petite paire de jumelles du sac à dos. La toile verticale est à une dizaine de mètres devant nous. Le vide nous sépare de l'œuvre. Nous nous passons les jumelles pour scruter le tableau. Tous les détails sont parfaitement visibles car nos jumelles grossissent huit fois. C'est toujours un moment intense quand nous sommes ici. Rien n'a changé depuis deux ans. Il y a de nombreux touristes assis autour de nous.

Ce chef-d'œuvre de Salvador Dali attire chaque mois quelques 50 milles visiteurs. C'est une moyenne annuelle. C'est un peu comme pour la Joconde au musée du Louvre à Paris. Avec la différence que le visiteur n'admire pas là un tableau vieux de 500 ans mais une œuvre qui n'a que 70 ans. Je recommande vivement aux lecteurs d'aller à la découverte de cette œuvre magistrale sur Google. Puis de la voir un jour dans sa merveilleuse réalité. C'est un choc. Pour moi c'est à chaque fois comme une "commotion".

Je suis entre mes deux anges. Nous restons serrés. Nous nous murmurons les émotions qui nous traversent. Ce tableau ne laisse personne indifférent. Il pourrait figurer au milieu des plus belles toiles classiques sans dénoter. Un panneau d'affichage informe qu'il sera d'ailleurs sur la liste des prochains objets placés au patrimoine de l'humanité. Il est 15 h quand nous visitons les autres salles. Il y en a une consacrée au siècle d'or hollandais. Seule forme d'art pictural qui peut nous émouvoir.

Nous ne faisons que passer rapidement dans les salles consacrées à l'impressionnisme, au fauvisme, à l'expressionnisme et à toutes ces formes d'arts en "isme" qui nous laissent d'une indifférence abyssale. Il est 16 h quand nous sommes dehors. Il fait beau. Il fait doux. Nous flânons un peu. Clémentine nous entraîne dans le parc sur Woodlands Road. Juste derrière le musée. Il y a du monde. C'est un parc extraordinairement fleuri et bien agencé. << C'est bien le diable si je ne trouve pas là un "plan" exhibe ! >> dit Clémentine.

<< Ça va être dur ! Dur comme la bite à Julien ! C'est Salvador Dali qui te fait bander comme ça ? >> lance Estelle. Elle se serre contre moi pour cacher sa main. Elle palpe ma bosse avec sa poigne ferme. << Je te la sors devant tout le monde, espèce de bandeur fou ! >> rajoute t-elle. Nous rions de bon cœur. Sans déconner, je me retrouve bite à l'air dans Kelvingrove Park. Derrière un fourré ou Estelle tente de me faire pisser. Clémentine accroupie entrain de pisser attend mon premier jet.

Je regarde dans toutes les direction. Je suis profondément mal à l'aise. Je sens mon cœur battre la chamade. Ce sont des coups dans ma poitrine, dans mon dos. Je suis couvert de sueur. Seules des inconscients peuvent se livrer à de tels actes déments dans un tel endroit. Nous en sommes ! Nous entendons les voix à une dizaine de mètres. N'importe qui pourrait nous surprendre. Il suffit de passer sous les bosquets en baissant la tête. J'ai la trouille de ma vie. Impossible de pisser. Alors que Clémentine y parvient.

C'est au tour d'Estelle. Je les torche soigneusement toutes les deux. Tout cela n'a duré que deux ou trois minutes. Ouf. Personne. << J'aime sentir les battements de ton cœur en tenant ta queue. C'est génial ! >> lance Estelle. << Parfois je compte. Il y a 40 battements à la minute chez Julien. Le rythme des grands sportifs ! >> rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. C'est l'heure de la glace. De retour dans le centre historique, nous avisons la supérette dans le bâtiment Cadoro.

The Co-operative Food est un petit supermarché dans un centre commercial. C'est un bâtiment du XIXème entièrement rénové. Nous y flânons. Le supermarché est bien conçu. Son agencement est parfait. Nous trouvons nos nouvelles crèmes glacées préférées. Ben & Jerry's. Parfum pralin, vanille et nougat. Ce sont des pots en carton ciré de 500 ml et de 445 gr. Assis sur les marches de l'escalier d'un bâtiment voisin, parmi plein d'autres touristes, nous savourons nos douceurs avec nos petites cuillères à moka laitonnées.

La visite du centre historique nécessiterait d'y passer au moins trois jours. Même si nous préférons Edimbourg, Glasgow sait nous ravir par ses surprenantes architectures. C'est devenu une ville jeune en une trentaine d'années. De la crise économique, de la misère qui ont duré plus de cinquante ans, la ville s'est relevée pour proposer aujourd'hui une économie en pleine santé. Ce qui se traduit partout dans l'optimisme de son architecture et de ses habitants. Nous réservons une table dans un superbe restaurant sur Ingram Street.

Il est 19 h quand nous sommes attablés devant un gigantesque plateau de fruits de mer. Deux visites aux toilettes avec Estelle. Deux visites aux toilettes avec Clémentine. Sous quelques regards interrogateurs. Envieux parfois chez certains clients. Voire libidineux quand les filles m'y entraînent par la main pour traverser la salle. Il y a encore 80 km à faire. Nous quittons après l'addition. Il est 20 h30. Une petite demi-heure de flânerie jusqu'à la voiture. Il est 22 h30 quand nous sommes de retour à Morningside.

Bonnes visites à toutes les coquines qui aiment se faire toucher discrètement dans tous les lieux publics pour en savourer les dangers...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
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Une journée à Stirling

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par Clémentine qui se serre contre moi en murmurant : << J'ai mes petits machins. J'ai un peu mal au ventre ! >>. Je ne sais jamais quoi faire dans ces moments là. Il est huit heures. Estelle se réveille à son tour. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Je caresse doucement le ventre de Clémentine. Estelle saisit mon érection naturelle d'une poigne ferme. Elle se lève d'un bond en s'écriant : << Je dois faire pipi ! >>. Elle se précipite vers la porte.

Nous faisons le lit. << Quand je m'active ça va mieux ! >> me confie Clémentine. Ce matin je préfère la laisser aller aux toilettes toute seule. Je rejoins Estelle dans la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé, je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Clémentine revient. C'est à mon tour d'aller pisser. Elle vient avec moi. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier. Nous rions beaucoup de certaine anecdotes. Nous nous sommes bien amusés à Glasgow. L'ambiance y est si agréable.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. Passer du temps dans le village de Stirling est très sympathique. Cet hiver nous avons souvent évoqué les aventures vécues là les années passées. Il y a une trentaine de kilomètres le long de l'estuaire du Forth River. Nous faisons la vaisselle. Nous nous lavons les dents avant d'enfiler nos tenues de jogging. Nous dévalons l'escalier de service. Le temps est maussade. Un ciel couvert de lourds nuages gris et sombres.

Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur désagréable. C'est parti pour un running d'une heure le long de notre circuit habituel. Pas la moindre goutte de pluie malgré un ciel menaçant. Il est 10 h quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux Clémentine allume l'ordinateur. << Je suis toujours hyper excités deux ou trois jours avant mes règles ! >> me dit elle en me faisant plein de bisous. Nous avons le message quotidien de Julie.

Estelle vient nous rejoindre vêtue de son jeans et d'un sweat. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous nous habillons comme Estelle. Après l'exercice, le ventre de Clémentine se fait toujours oublier quelques heures. Par contre il lui faut porter un soutien gorge car sa poitrine reste congestionnée. Ses tous petits seins sont durs. Je pose donc souvent ma bouche sur chacun de ses seins. Au travers du tissu j'insuffle de l'air chaud. << Comme c'est bon, ça me soulage ! C'est fou ! >> lance Clémentine.

Nous préparons nos affaires. Dans le petit sac à dos, des pommes, des barres de céréales, nos K-ways, les mini parapluies. Pressés de filer nous descendons l'escalier à toute vitesse. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Là-bas, en sortant d'Edimbourg, les deux ponts métalliques de South Queensferry. Assise à l'arrière, Estelle me caresse le cou, les joues en évoquant la rentrée universitaire. Elles se réjouissent toutes les deux. Surtout si cette fois les cours ont lieu en faculté et non pas en télé travail.

Nous passons tout près de l'aéroport. Les gros avions qui atterrissent ou qui décollent sont toujours un spectacle impressionnant. La circulation est fluide. Ça roule plutôt bien. Il est 11 h quand nous garons la voiture sur un des parkings à l'entrée de la ville. Cette cité était l'ancien centre administratif de l'Ecosse. Son château, au sommet de la colline toute autour de laquelle est construite la ville historique. Je porte le petit sac à dos. Les filles me tiennent la main. Nous attirons encore bien des regards.

Nous voilà dans une des rues pavées du centre. Les vitrines des magasins sont fleuries. C'est une tradition écossaise de mettre des fleurs partout. Ce qui égaie les mur de pierres ocres, de grès, le gris du granit. Il y a toujours beaucoup de monde à Stirling. Le centre médiéval est une véritable attraction. Nous flânons. Nous avons dans le sac de quoi nous faire nos sandwichs. Sans vraiment nous en rendre compte, nous montons vers le château. C'est une grande forteresse imposante.

La porte d'entrée fait toujours penser à l'accès de la ville close de Concarneau. Les canons disposés de part et d'autre après avoir franchi la porte rajoute encore à cette impression. Il y a un jardin botanique en contrebas. C'est là que nous décidons de préparer nos sandwichs et de prendre notre repas. La vue sur l'ensemble de la ville est superbe. Il y a plein de visiteurs. Beaucoup de familles car c'est un endroit ludique. Nous trouvons un banc libre. A l'écart. Entre deux sculptures contemporaines.

Je suis entre mes deux anges. Je coupe nos trois baguettes dans le sens de la longueur. Estelle y étale les filets de saumon fumé. Clémentine coupe de fines tranches d'un avocat bien mûr. Nous commençons par savourer nos nectarines. A quelques dizaine de mètres la gueule d'une chimère sculptée dans la pierre délivre un jet d'eau continu. L'idéal pour aller se rincer les mains. Nous mangeons de bon appétit tout en regardant l'animation autour de nous. Il fait bien plus doux que ce matin.

Le ciel semble vouloir s'éclaircir. Estelle pose le petit sac à dos maintenant plus léger sur mes cuisses. << Comme ça je peux jouer avec ta bite sans être vue ! >> dit elle en ouvrant discrètement ma braguette. Il faut les deux mains pour déboutonner mon 501. Ce qui nous amuse toujours beaucoup. << Saloperie de jeans étroit ! >> fait elle avant d'arriver à ses fins. Me voilà avec la bite à l'air dans la main d'Estelle. Parfois elle la donne à Clémentine. Je tiens mes deux anges par leurs épaules.

C'est très agréable de paresser sur ce banc dans l'odeur des fleurs. Il faut refermer la braguette. Nous flânons un peu dans les allées de ce splendide jardin botanique pour remonter au château. Sa visite nous laisse d'excellents souvenirs. Nous présentons nos passes touristiques à l'entrée réservée. C'est une jeune fille en uniforme qui guide notre groupe à travers les salles. Probablement une étudiante qui fait son job d'été. Nous écoutons les explications. Ce qui nous impressionne c'est la salle d'armes.

Nous restons en fin de cortège. D'abord parce qu'Estelle aime bien me tripoter discrètement, ensuite pour éviter une promiscuité trop évidente. Clémentine me chuchote : << Put-Hein de soutien gorge. Les bretelles me démangent. Je pourrais l'arracher ! >>. Dans le petit sac à dos il y a un tube de crème. L'homéoplasmine soulage parfaitement. Il faut juste trouver un endroit où l'appliquer. Pas question d'aller aux toilettes ici. Il faut patienter dans une file. Tout le monde va toujours pisser durant les visites. C'est fou !

Lorsque la jeune guide regarde dans notre direction, Estelle pose sa main sur ma braguette. Nous pratiquons ce jeu très souvent. La jeune fille ne semble nullement déstabilisée. Comme presque toutes les autres elle semble même s'en amuser. Son regard plonge même parfois dans le mien comme une interrogation. Cette fois, je lui adresse un sourire. Une petite hésitation dans son argumentaire. Une seconde hésitation. Pas de doute, nous arrivons à la perturber quelque peu. Clémentine chuchote : << Gagné ! >>.

Nous montons aux étages supérieurs. Il y a des toiles de vieux maîtres écossais. Des peintres de Stirling qui ont immortalisé des personnalités à travers trois cent cinquante ans d'histoire. Ce sont des tableaux remarquables. La jeune guide en survole rapidement la genèse. A présent son regard se porte principalement sur notre trio. Nous sommes derrière le groupe d'une vingtaine de visiteurs. A chaque fois qu'un écart se présente, Estelle pose sa main sur ma braguette pour empoigner ma bosse.

Je bande évidemment comme le dernier des salauds. Le regard de cette belle jeune fille rousse devient insistant. Cela pourrait presque attirer l'attention des touristes. << Elle mâterait bien ta queue celle-là ! >> me murmure Estelle. J'ai une envie folle de la sortir. Les sourires discrets que nous lance de plus en plus souvent la jeune fille commencent à éveiller des interrogations. << Après tout, nous pourrions êtres des amis de notre guide ! >> nous chuchote Clémentine. Une évidence.

Durant tout le reste de la visite se créé une véritable complicité avec la guide. Je guette la possibilité de le faire. Encouragé par mes deux anges, je déboutonne discrètement ma braguette. Estelle et Clémentine restent tout contre moi. Je suis debout entre deux armures. Le groupe est distant de quelques mètres. Nous sommes en retrait. Pas de caméra de surveillance. C'est le moment. La guide nous cherche du regard. Je me tourne vers le mur. Je sors ma bite. Je bande comme un affreux salaud.

<< J'adore quand tu fais le pervers ! >> me chuchote Estelle. << J'adore quand tu es vicelard devant d'autres filles ! >> murmure Clémentine. Elle rajoute. << Va s'y, c'est le moment ! >>. Je me retourne. J'écarte mes mains pour lui montrer ma queue à l'instant même où elle me fixe. Je n'oublierai jamais ce regard. C'est comme si quelqu'un avait allumé une lumière dans ses yeux. Elle interrompt son argumentaire. Des visiteurs se retournent pour voir où elle regarde.

Estelle et Clémentine se placent immédiatement devant moi. Ouf. Personne ne peut se douter un seul instant de ce qui vient de se passer. La guide reprend son texte appris par cœur. Je m'apprête à récidiver. Je veux absolument revivre cet instant. << Félicitations, t'es encore plus salaud que je ne le pensais ! >> me chuchote Estelle. << Tu es génial Julien. Je peux te garantir qu'elle apprécie à 200% pour cent ! >> me murmure Clémentine. Lorsque je vois le sourire que me lance la guide, j'en suis convaincu.

Une autre occasion se présente dans la salle des archives. Il y a de hautes armoires qui abritent quantité de vieux livres sur des étagères. Là, entre deux de ces immenses bibliothèques, caché de la vue de quiconque par Estelle et Clémentine, je sors une nouvelle fois ma queue. J'attends que la guide se dirige par là tout en argumentant. Estelle s'écarte rapidement à l'instant précis où la jeune fille regarde dans notre direction. Je lui montre ma bite que j'agite dans sa direction. Son sourire soudain est désarmant.

Il serait tout à fait impossible de susciter un tel intérêt si j'étais seul. Il est même fort probable que la sécurité ait été prévenue. Mais là, un mec qui montre discrètement son sexe, entouré de deux superbe jeunes filles visiblement complices de ces jeux exhibitionnistes ne peut que susciter l'intérêt de la guide. C'est même certainement la première fois qu'elle assiste à un tel évènement. Elle nous fait de délicieux sourires. Elle est devenue notre complice. Elle manifeste un intérêt évident car elle n'arrête plus de parler en nous observant.

<< Vieux pervers ! Tu devrais avoir honte ! >> me chuchote Estelle. Cette fois c'est moi qui passe ma main entre ses cuisses pour la palper vulgairement. Ce qui n'échappe pas à la guide. La visite arrive à son terme. Nous nous approchons de la jeune fille pour la remercier. Nous la félicitons pour la qualité de sa prestation. Elle est toute rouge. Elle regarde plusieurs fois, et furtivement ma braguette fermée. << Vous avez apprécié ? >> lui demande Clémentine. << C'était fantastique ! >> se contente t-elle de dire soudain très gênée.

Je lui mets discrètement un billet de 10 £ dans la main. Elle ne comprend pas immédiatement. Lorsqu'elle découvre ce que je viens de lui glisser dans la main, elle me fait le plus merveilleux des sourires. << C'est pour acheter mon silence ? >> demande t-elle ingénue. Nous éclatons de rire tous les quatre. Je dis : << On revient la semaine prochaine mais on exige que vous soyez notre guide ! >>. La jeune fille éclate une nouvelle fois de rire avant de répondre : << C'est moi qui exige d'être votre guide ! >>.

Nous la saluons avant de la quitter. D'autres groupes de visiteurs attendent ses services. Nous quittons le château. << Tu m'a mis dans un de ces états. T'es tellement vicelard ! >> me lance Estelle. << Put-Hein comme j'ai envie de me branler ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Je débande enfin dans un slip trempé. Un slip dans le fond duquel macère ma bite. Nous redescendons en ville. Il faut réserver une table dans un bon restaurant ce soir. C'est aussi l'heure de la crème glacée. Il est 17 h.

Bonnes visites à toutes les coquines qui aiment les jeux vicelards dans les endroits les plus incongrus, les plus insolites...

Julien (Monsieur "bite à l'air" selon l'expression d'Estelle pour le restant de l'après-midi)



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Une agréable journée avec une belle randonnée

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Nous nous étirons longuement en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. << Cette fois, mes "petits machins" ne m'ont pas loupé ! >> fait Clémentine. Réglée tous les 20 du mois avec une grande régularité, Clémentine prend une gélule de Quercétine. << C'est à moi dans quatre jours ! >> dit Estelle en se levant pour se précipiter vers la porte.

Nous faisons notre lit. Il est huit heures. Dehors le ciel est gris et sinistre. Il y a eu de la pluie cette nuit. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Dans l'odeur du café qu'elle prépare. Dans l'odeur du pain grillé. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de cette semaine passée à Edimbourg. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Il faudra faire quelques courses.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents avant de nous vêtir de nos leggings, de nos sweats en lycra. Nous dévalons les escaliers. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. C'est parti pour un jogging d'une heure. Un running qui nous emmène le long de notre parcours habituel. C'est Estelle qui impulse le rythme soutenu. Le sol est humide. Détrempé par endroit. Le ciel reste chargé. Il est 9 h30 quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous découvrons nos deux courriels. Le message de Juliette qui nous confirme son départ pour la Vendée. Une semaine de vacances. Celui de Julie qui nous annonce une nouvelle vente. Et de douze !. Il ne reste plus que deux toiles aux cimaises de la galerie. J'ai huit commandes à honorer pour le début décembre. Avec acomptes correspondant à la moitié du prix démentiel demandé. Ce qui n'a pas dissuadé certains commanditaires.

Estelle vient nous rejoindre. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Clémentine se plaint des démangeaisons occasionnées par les bretelles du soutien gorge qu'elle ne porte que durant le temps de ses "petits machins". C'est à dire trois jours. Je lui applique de la pommade deux à trois fois par jour. Nous rejoignons Estelle. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, sweats et baskets. Il est dix heures. Nous mettons les sachets dans le petit sac à dos que je porte. Nous descendons les escaliers.

Il y a à peine un petit kilomètre jusqu'à Morningside. Nous marchons d'un bon pas. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent la main. Il y a une fois encore plein de touristes devant Christ Church et le parc voisin. Il y a toujours au moins cinq autocars garés là. Nous traversons le carrefour pour nous engager dans la rue commerçante. The Corner Shop est la supérette la plus proche. Il y a du monde. Beaucoup d'autochtones. C'est samedi, les habitants font également leurs courses pour le week-end.

Il nous faut des fruits. Pommes, oranges, nectarines, brugnons, kiwis dont nous faisons grande consommation. Estelle me palpe la braguette à chaque occasion. Je dis : << Il y a des caméras partout ! >>. Cela ne semble pas du tout la déranger. Nous en rions de bon cœur. Surtout qu'elle se serre contre moi pour dissimuler sa main exploratrice. Nous passons en caisse. Là, devant la jeune caissière, probable étudiante qui fait son job d'été, Estelle redouble d'activité. Cela me gêne considérablement.

<< Tu aimes faire ton vicieux devant les filles. Je t'y aide ! >> me murmure t-elle à l'oreille. La jeune caissière nous adresse un adorable sourire avant de détourner pudiquement les yeux. Nous voilà dehors avec nos grands sachets remplis à ras bord. Nous flânons encore un peu pour voir les vitrines. Il y a un afflux considérable de touristes. Nous reprenons la direction de la maison. Avec plusieurs arrêts pour nous soulager du poids de nos sacs. Il est 11 h45 quand nous sommes de retour.

Nous tombons sur Oncle Alan qui nous rappelle que nous sommes invités au repas de midi, demain dimanche. Il y a aura son vieil ami monsieur Smith. Un des recteurs à la retraite de l'université d'Edimbourg. C'est le pôle School of GeoSciences (Faculté des sciences de la terre) qui reste le domaine de prédilection d'Estelle et de Clémentine. Ce sera l'occasion d'en savoir davantage quand aux désirs des filles d'exercer dans une des plus grandes universités du Royaume uni. Elles se réjouissent.

Nous promettons d'êtres là pour midi. Nous montons ranger nos courses. Les filles sautillent dans toutes la cuisine. Elles sont tellement heureuses de cette rencontre qui s'annonce. Monsieur Smith est à la retraite en tant que recteur mais fait partie du comité d'administration. Il est interdit de rester dans la cuisine. Estelle veut nous faire la surprise du repas. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Je lui applique de la pommade sur les épaules, dans le dos et a l'endroit ou frotte le soutien gorge. Il y a des rougeurs.

<< Docteur Julien, offrez-moi donc votre fameuse crème ! Elle fait des miracles ! >> me dit elle en me faisant tomber sur le dos. Elle m'ouvre la braguette pour m'en extraire le "tube de crème". Couchés sur le lit, tous les deux, nous nous embrassons avec fougue. Clémentine pose sa tête sur mon ventre. Elle joue un peu avec mon sexe qu'elle décalotte à peine pour passer sa langue sur le méat. J'aime en sentir l'extrémité qui tente de s'immiscer dans l'orifice bien trop étroit.

Sa bouche qui se referme comme une ventouse sur ces deux ou trois centimètres de prépuce fripé qu'elle prend entre ses lèvres. L'indicible caresse exerce son effet enivrant. Je me fais tailler une pipe des familles. Je tiens Clémentine par la nuque. Nous restons tous les deux parfaitement immobiles. Je lui chuchote des choses. Des douceurs, des cochonneries. J'aime l'entendre glousser en suçant. Je dis : << J'aimerais beaucoup te voir sucer un inconnu avant notre départ dans treize jours ! >>.

C'est ainsi qu'Estelle nous surprend. << On mange les vicieux, le repas est servit ! >> dit elle en se précipitant. Elle se jette carrément sur le lit. Clémentine lui tend ma bite ruisselante de jute épaisse et visqueuse. Estelle se met à sucer comme si sa vie en dépendait. Elle cesse pour dire : << Il faut que j'arrête. Quand je commence, je pourrais passer le reste de la journée avec ta bite dans la bouche ! >>. Nous éclatons de rire en nous précipitant à la cuisine. Morts de faim. L'odeur achève de nous torturer.

Un gratin de coquillettes. Au Parmesan. Une sauce au Roquefort et aux champignons. Trois filets de saumon pané. Nous faisons plein de bisous à Estelle qui tient ma queue de sa poigne ferme. << Toi, je ne vais pas cesser de te la sucer, de te la branler partout cet après-midi ! >> lance t-elle. Nous rions. Nous mangeons de bon appétit. Un repas simple mais tellement succulent. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent la rencontre avec Mr Smith demain à midi.

Nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous préparons nos affaires. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, les capes de pluie. Nous emmenons nos nouvelles chaussures de marche dans le sac de sport. Pressés de filer nous dévalons l'escalier de service. Nous prenons la voiture pour contourner Edimbourg jusqu'au départ de l'itinéraire de randonnée. C'est un autre de nos pèlerinages. L'ascension du volcan éteint Arthur's Seat.

Cette haute colline fait face à celle du château. Entre les deux monts la ville est enserrée entre deux fortifications naturelles. Nous garons la voiture sur le parking réservé aux randonneurs. Il y a là deux restaurants. Nous changeons de godasses. Je mets le sac sur le dos. Il y a foule. Nous ne serons pas seuls à gravir la montagne. En passant devant les restaurants, nous lisons les menus. << Wouah ! Des fruits de mer grillés avec des légumes en tartelettes. Des calmars en sauces. ! >> s'écrie Estelle.

Ni une, ni deux, nous entrons dans l'établissement. Nous y réservons une table pour 19 h15. C'est fait. Les filles sautillent autour de moi comme des gamines sortant de l'école. Nous attirons encore bien des regards. Les filles me prennent par les bras, me couvrent les joues de bisous. Nous nous mettons en route. Nous croisons plein de marcheurs. Plein de gens marchent dans le même sens que nous. Nous connaissons bien cet itinéraire. Nous connaissons les coins discrets qui se cachent.

Le premier de ces recoins est en contrebas du chemin. Il faut prendre le sentier. Sur une centaine de mètres nous arrivons sur une sorte de plate forme rocheuse. C'est étroit. Mais cela permet à Estelle de s'accroupir pour me sortir la queue. Clémentine fait le guet. Personne. Je me fais tailler une pipe des familles. Juste une petite minute. Estelle se redresse pour éviter l'ankylose. C'est au tour de Clémentine de se régaler. Estelle fait le guet. Elle se retourne souvent pour me faire un clin d'œil.

Nous remontons. Les filles me montrent le contenu de leurs bouches. Elles adorent garder le foutre le plus longtemps possible. Il se mélange à la salive. Il n'y a plus qu'à avaler. << Miam ! >> fait Estelle dans un mouvement de tête en déglutissant. << Délicieux votre sperme aujourd'hui docteur Julien ! >> lance Clémentine. Nous rions. Il y a une seconde cachette en contrebas d'un abri en bois. C'est un petit chalet ouvert aux quatre vents avec des bancs, des tables. Des panneaux indicateurs.

Il y a là une bonne planque. Les filles s'offrent une nouvelle lampée de foutre. Il faut être particulièrement vigilants car un peu plus loin il y a les WC publics. Nous repartons. Le sommet de Arthur's Seat offre une vue magistrale et à 360° sur toute la région. Là-bas, au Sud, les Borders. Là-bas, au Nord, barrant l'horizon, les sommets des Black Mount. Avec cette atmosphère humide mais lumineuse, la vue est parfaite. On voit la mer. On peut même distinguer le château et les clochers de Stirling.

Il y a beaucoup de monde pour admirer ce paysage de conte de fée. Estelle me palpe la braguette à chaque fois qu'elle se serre contre moi. << Quand je commence à gouter ton foutre, j'ai envie de continuer. Encore et encore ! >> me dit Elle. << Pareil pour moi ! >> précise Clémentine qui m'embrasse à son tour. J'ai le gout de ma bite en bouche car les coquines me propulsent leurs salives dans la bouche. Estelle me crache d'ailleurs souvent dans la bouche juste avant de m'embrasser avec fougue.

Nous faisons le tour du sommet. Il n'y a aucun arbre. De la végétation sèche. C'est bientôt la floraison des bruyères sauvages. Les premiers reflets violacés colorent déjà les chaumes. Il faut respecter les sentiers. Il est formellement interdit de s'en éloigner. Les panneaux rappellent qu'il faut préserver la faune, la flore et que les visiteurs ne sont que tolérés. Nous prenons le chemin opposé qui descend vers le Nord. Le flot des marcheurs est impressionnant. Nous revenons au pied du volcan.

Il faut contourner la montagne par l'Ouest. Nous longeons les clôtures. A droite ce sont des alternances de belles maisons, de prés et de petits champs cultivés. A gauche les parois parfois abruptes et rocheuses de Arthur's Smith. Un autre endroit en retrait du chemin, permet aux filles de se refiler ma bite. De faire pipi. L'une fait le guet pendant que l'autre suce. C'est hyper bon. Je pourrais éjaculer à chaque changement tellement c'est jouissif. Ce qui est merveilleux c'est de voir mes coquines se régaler.

Il est 19 h quand nous arrivons au parking. Le temps de changer de godasses, de remettre les baskets. Nous restons assis quelques minutes dans la voiture, portes ouvertes pieds dehors. Nous faisons le bilan de cette superbe randonnée. << La pipe, ça met en appétit ! >> lance Estelle. J'applique discrètement de la pommade sur les épaules et dans le dos de Clémentine. Sous son sweat. Aux endroit où frottent les attaches du soutif. << Docteur Julien, vous être un trésor de bienfaits ! >> me dit elle.

Morts de faim, nous traversons le parking pour nous rendre au restaurant. Nous avons eu la bonne idée de réserver car les deux salles sont noires de monde. Notre table nous attend. << Génial ! Près de l'escalier qui monte aux chiottes ! >> précise Estelle. A peine assis, elle m'y entraîne par la main. Pressée de me sucer une nouvelle fois. Son pipi d'abord. Puis elle me tient la bite pour en diriger les jets. Comme assoiffée elle pompe entre chacun. Nous rejoignons Clémentine qui m'entraîne à son tour.

Il y a deux autres visites aux toilettes. Enfermés dans un des cabinets des WC hommes, nous nous offrons nos petits plaisirs secrets. Nos rituel pisseux. Hélas, en ce qui concerne Clémentine, je ne peux que sucer son clitoris géant et suçoter son petit trou à pipi. La ficelle blanche qui pend de ses poils interdit l'accès à la source de miel de sa "caverne" magique. Nous traînons à table. Dehors, il se met à pleuvoir. Il est presque 22 h30 quand nous sommes de retour à l'appartement. Pipes au lit.

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment se sustenter afin d'assécher leur soif durant l'effort. Au jus de couilles bien chaud...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1620 -



La visite du château d'Edimbourg

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures quand je suis tiré de mon sommeil par la main inquisitrice d'Estelle. Encore à moitié endormie elle saisit mon érection naturelle en chuchotant : << Tu me négliges en ce moment ! >>. Ce qui n'est absolument pas vrai mais qui me fait déjà éclater de rire. Je la serre encore plus fort contre moi ce qui réveille Clémentine. Je suis entre mes deux anges. Nous émergeons doucement dans une extraordinaire douceur. C'est le troisième jour des "petits machins" de Clémentine. Plus de douleurs.

Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Nous faisons le lit. J'applique immédiatement un peu de pommade sur les rougeurs de Clémentine. A l'endroit des frottements de son soutien gorge. << Terminé cette saloperie. Je n'en mets plus avant la prochaine fois ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur du café qu'elle prépare. Dans les suaves parfums du pain grillé et de la brioche achetée hier. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en nous racontant nos rêves. Du moins ce qui nous en reste en souvenirs. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de cette nouvelle journée. Dehors le ciel est sombre, sinistre, tourmenté de lourds nuages menaçants. Nous traînons à table. Le dimanche pas de jogging. Assises sur mes genoux, les filles évoquent la rentrée universitaire. Elles aimeraient tant revenir à une année de cours en amphithéâtre et pas en télé travail. L'ambiance de la faculté leurs manque assez cruellement.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos clowneries habituelles. Nous restons en slips et en T-shirts de nuit. Toujours assises sur mes genoux, mes deux anges allument l'ordinateur. Estelle a le message de ses parents qui partent aujourd'hui pour une nouvelle semaine de vacances. Le courriel de Julie qui nous raconte son quotidien. Depuis le 15 aout, chaque jour voit diminuer le nombre de touristes. Inexorablement le nombre des visiteurs diminue lui aussi.

Nous répondons. Clic sur "envoi". Il est 10 H Nous nous habillons de nos jeans, de nos sweats car il fait plutôt frais ce matin. Nous enfilons même nos K-ways une fois dans l'humidité extérieure. Il y a eu de la pluie cette nuit. Nous sortons de la propriété pour faire quelques pas. Nous prenons une des venelles qui quadrillent le quartier. Celles qui mènent au sommet de la colline où nous passons tous les jours en courant. L'horizon est bouché. A nos pieds Edimbourg sous un voile semble endormie. Là-bas, en face, le château sur sa colline.

Impossible de s'assoir sur un des bancs. Ils sont trempés. Nous flânons en admirant les maisons de maîtres qui nous entourent. << Demain matin, on retourne se voir notre futur demeure ? >> propose Clémentine. Nous avons toujours encore la clef laissée par monsieur Anderson au début juillet. << Excellente idée ! >> lance Estelle. Je trouve la suggestion très bonne. Estelle qui se serre contre moi pour me palper la braguette. Il n'y a strictement personne dans les ruelles. Si ce n'est parfois une promeneuse de chien où un joggeur solitaire.

J'ai donc très rapidement la bite à l'air dans le quartier résidentiel de la ville. Clémentine s'en amuse autant qu'Estelle. Elles me sortent même les couilles. La braguette étroite et à boutons de mon 501 fait garrot sur mes organes génitaux. << J'aime ! Ça te fait des couilles bien dodues ! >> me dit Clémentine. << De retour à la maison, après les vacances, je te les épile. J'aime quand tes couilles sont glabres ! >> rajoute Estelle. Nous éclatons de rire. Sous mon K-ways, on ne voit pas que j'ai tout mon "matériel" à l'air. Bien exposé.

Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Nous revenons sur nos aventures de l'été. Clémentine a sucé un employé de ferme et a sucé un jeune touriste. Je dis à Estelle : << Et toi, tu ne t'es offerte aucun "extra" ! >>. Elle répond : << Ça ne m'intéresse pas ! J'ai toi ! >>. Nous éclatons de rire quand Clémentine rajoute : << C'est mon mec à moi, je ne fais que le mettre à ta disposition ! >>. Cette plaisanterie nous amuse toujours beaucoup. Je murmure à Clémentine : << J'aimerais bien de voir sucer un mec avant le départ ! >>.

Elle ne dit rien mais elle empoigne mes couilles avant de fouiller ma bouche de sa langue exploratrice. Il y a quelques gouttes de pluie. Nous prenons le sens du retour. Nous sommes attendus pour le repas de midi. Il est 11 h45 quand nous revenons. Nous montons immédiatement pour nous préparer. Le dimanche, pas de douche. Nous aimons rester "sales". Nous nous contentons de nous passer de l'eau sur le visage. De nous coiffer. << De nous donner apparence humaine ! >> comme aime à le souligner Clémentine. Nous voilà prêts.

Nous dévalons l'escalier de service pour rejoindre les appartements de ma famille. C'est la compagne de mon oncle qui nous accueille. Oncle Alan arrive à son tour. Il nous invite à le suivre au salon. Il y a un couple de séniors. Les présentations. C'est monsieur et madame Smith. De très vieux amis à mon oncle. Nous passons à table. Monsieur Smith a été recteur d'une des universités d'Edimbourg durant plus de vingt ans. Il fait toujours encore partie du comité d'administration. C'est un homme plutôt jovial, affable, avec une forte personnalité.

Il s'adresse souvent à Clémentine pour lui expliquer le fonctionnement des universités en Grande Bretagne. Ce sont des établissements privés qui procèdent à leurs propres recrutements de professeurs. Les salaires varient d'une université à l'autre. Ce sont des contrats à durée déterminés. Il faut pouvoir obtenir une chaire de professeur pour avoir un poste d'enseignant fixe et permanent dans une université. Il n'y a pas de numerus clausus au Royaume Unis. Chaque université recrute en fonction de ses besoins. Comme une entreprise privée.

Estelle et Clémentine écoutent toutes ces explications avec une attention extrême. Elles posent des questions très précises qui enchantent monsieur Smith. Il précise qu'il faudra exercer au moins une année en France après l'obtention du Doctorat pour pouvoir postuler dans une université en Grande Bretagne. Mais il assure à Clémentine de pouvoir lui apporter tout son soutien. Nous devrons évidemment êtres pacsés au moins deux ans avant la demande. Condition requise pour prétendre obtenir la citoyenneté britannique au bout de cinq ans.

Les choses ont le mérite d'êtres claires. Nous traînons à table jusqu'aux environs de 14 h. La conversation est restée axée sur les études de Clémentine et d'Estelle. Pour Estelle, à moins de trouver un compagnon écossais, il sera beaucoup plus difficile d'obtenir un poste d'enseignante en universités Britanniques. Nous prenons congés en nous promettant de rester en étroit contact sur les quatre années à venir. Nous laissons ces gens entre eux. Nous les avons tellement accaparés avec les projets de Clémentine et d'Estelle.

Nous remontons pour nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Les filles sautillent autour de moi, toutes contentes d'en savoir davantage quand aux possibilités de venir vivre en Ecosse. << Put-Hein, je vais tout faire pour y arriver ! >> lance Estelle. Elles sont toutes les deux froidement déterminées. Je sais qu'elles iront jusqu'au bout de leurs désirs. Surtout Clémentine qui sait se montrer "guerrière". Nous mettons nos anoraks. Il pleut et la fraîcheur semble s'accentuer. Pressés de filer nous dévalons l'escalier.

Je roule doucement. Direction Edimbourg par Leith. Les filles sont toutes contentes. Elles n'arrêtent plus de me faire des bisous. Nous garons l'auto a une vingtaine de minutes du centre. C'est sur le parking d'une supérette. C'est pratique, gratuit et proche de tout. La pluie est fine et continue. C'est sous les parapluies, serrés entre nous, que nous marchons d'un bon pas. Qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige, il y a toujours autant de monde dans les rues. Surtout en approchant du centre historique. Nous voilà dans High Street.

Là-bas, au bout de Royal Mile, au sommet de sa colline, le château d'Edimbourg. Sa visite fait partie de nos rituels à chaque séjour en Ecosse. Il faut monter le large chemin pavé pour entrer par l'immense porte fortifiée. Cette forteresse est un des lieux les plus emblématiques de la ville. Nous avons nos passes touristiques. Mais nous ne sommes pas les seuls. Il faut attendre dans la file. Ce qui permet à Estelle de me palper discrètement la braguette. << Je te l'ouvre dans le château ! >> murmure t-elle. Je m'empresse de dire : << Pas question ! >>.

Une seule partie du château se visite car la forteresse abrite encore une administration militaire. La visite est guidée. Il faut se regrouper avec vingt autres personnes. Voilà le guide qui nous invite à le suivre. Cette fois c'est un professionnel en uniforme. C'est un peu tristounet. Hors de question de nous livrer à nos petits délires habituels. Il y a bien trop de visiteurs et le guide n'est absolument pas le genre de Clémentine et d'Estelle qui le traite d'épouvantable épouvantail à mouettes. Nous en rions de bon cœur.

La visite est toutefois fort intéressante. Même si nous n'apprenons plus rien elle reste culturelle et intéressante. Je crois qu'en ce qui me concerne, c'est bien la vingt cinquième visite ici. Déjà avec Christine, ma compagne disparue, nous avions pour habitude annuelle de visiter la forteresse. Il ne se présente absolument aucune opportunité qui permettrait de rajouter un peu de sexe à la visite. Dommage. Il est presque 17 h quand nous revenons à l'extérieur. Cela a duré deux heures. Deux heures attractives et fort intéressantes quand même.

Estelle m'empoigne la braguette avec fermeté. Par surprise. C'est presque douloureux. La coquine me roule une pelle d'enfer juste en bas de la colline. Ce qui attire encore bien des regards. Non, je ne suis pas le père des deux superbes jeunes filles qui m'accompagnent. Nous retournons vers le centre historique. Il ne pleut plus et le ciel s'est légèrement éclaircit. C'est l'heure de la crème glacée. Nous avisons un des nombreux salons de thé. Hélas, pour trouver une table, c'est le parcourt du combattant. Avec cette météo et le nombre de gens !

Nous trouvons notre bonheur dans un grand pub typique. Il y a un trio de musiciens qui jouent de belles mélodies traditionnelles. La jeune femme a une voix merveilleuse. Nous savourons nos coupes glacées. L'endroit est vraiment charmant. C'est sur Princes Street. Quelques touristes sont sur la petite piste de danse. Ils tentent des pas assez maladroits en riant. Nous avons quelques numéros de bons restaurants. Clémentine téléphone pour réserver une table pour ce soir. Ce sera notre établissent préféré. Avec le personnel en costume d'époque.

Nous flânons encore un peu dans le dédale des ruelles en escaliers du centre historique. Chaque recoin permet à Estelle de m'y entraîner pour me tripoter. Clémentine m'embrasse avec passion. Estelle m'embrasse avec fougue. Les passants qui tombent sur le spectacle ouvrent souvent de grands yeux. Notre trio ne passe pas inaperçu. Moi qui suis d'un naturel réservé et discret, me voilà souvent offert à la vue des promeneurs. Entre mes deux anges qui s'amusent comme des folles de ces situations. Il commence à faire faim. Il est 19 h30.

Nous arrivons dans le restaurant où nous attend notre table. Le personnel commence à bien nous connaître. C'est tout juste si nous n'avons pas encore nos ronds de serviettes. Les queues de homards fumés au bois de hêtre sont ici les meilleurs de toute l'Ecosse. Accompagnées de petits légumes assaisonnés avec un raffinement rare. La salle est pleine de monde. C'est un endroit très select. Ce qui assure une sélection de la clientèle qui permet le calme absolu. Tout ici est feutré. Discret. Sauf peut-être nos visites à deux aux toilettes.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment s'enfermer dans un des cabinets des toilettes hommes pour savourer de la queue...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1621 -



Une belle journée à randonner

Hier matin, lundi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est huit heures. Dehors le ciel semble aussi sinistre que hier. Nous nous étirons longuement en modulant nos gémissements. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >> Nous faisons le lit avant de nous rendre aux toilettes à notre tour. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Dans ces effluves parfumées au café, au pain grillé et du reste de brioche réchauffée aux micro ondes.

Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Ce matin encore nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le repas de hier. La présente des Smith. Clémentine et Estelle se réjouissent de pouvoir bénéficier, peut-être, d'un appui pour le projet futur d'enseigner en Ecosse d'ici quatre ans. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Il nous tarde de pouvoir randonner. Ce sera donc notre préoccupation du jour. Une virée pédestre.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents avant d'enfiler nos leggings, nos sweats et nos K-ways. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. C'est parti pour notre heure de running. C'est notre circuit habituel. Nous croisons quelques joggeurs tout aussi habituels. Il est neuf heures trente quand nous revenons à l'appartement. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur.

Un message de Julie qui nous raconte sa journée de galeriste. Il y aura peut-être une vente aujourd'hui car un couple de plaisancier est revenu deux fois. Ils n'arrivent pas à se décider entre la dernière scène de genre ou la dernière nature morte. Estelle vient nous rejoindre. Vêtue de son jeans et de son sweat. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Nous nous habillons comme Estelle que nous rejoignons devant l'ordinateur. Le site universitaire donne enfin les premières véritables informations.

La rentrée aura lieu le lundi 6 septembre. Les cours seront donnés dans l'amphithéâtre. Il faudra respecter les gestes barrières. Par contre le passe sanitaire ne sera pas exigé mais souhaitable. Pas de port de masque. Nous préparons les sandwichs. Trois belles baguettes de 200 gr coupées dans leurs longueurs. Estelle y dépose délicatement les tranches de saumon fumé. Clémentine y rajoute des rondelles de tomates et d'avocat. On emballe dans du film alimentaire. Trois nectarines. Trois pommes. Barres de céréales.

Il est 10 h30. Pressés de filer nous descendons l'escalier de service à toute vitesse. Le ciel semble s'éclaircir. Le sol est humide car il y a eu de la pluie cette nuit. Nous prenons l'auto pour descendre jusqu'à Leith. Je roule doucement. Clémentine me palpe la braguette en disant : << Merci docteur Julien pour vos soins. Vos thérapies soulagent mes douleurs tous les 28 jours ! >>. Nous en rions de bon cœur. Estelle rajoute : << Cher docteur Julien, ce sera à mon tour d'ici deux jours ! Le même traitement sel vous pli ! >>.

Nous garons la voiture sur le parking. Il y a là le départ pour le sentier John Muir. Il y a environs 15 km jusqu'à South Queensferry. C'est un de nos itinéraires préférés dans la région d'Edimbourg. Ce chemin longe la rivière Forth qui ne tarde pas à devenir un estuaire au bout de quelques miles. Nous changeons de godasses. C'est l'occasion de remettre nos nouvelles chaussures de randonnée. Il fait presque doux. Le ciel devient lumineux. Les filles hésitent. Jupettes ou rester en jeans ? Je ne sais quoi dire.

Finalement nous nous changeons rapidement. Jupettes et sweats pour mes deux anges, short et sweat pour moi. Les capes de pluie fourrées dans le petit sac archi plein que je porte sur le dos. C'est parti. Il y a du monde. Ce parcours est également très prisé des habitants de la région. Les filles me prennent la main. Nous marchons d'un bon pas. Il est 11 h. Nous attirons évidemment encore bien des regards. Nos différences d'âges. Ces deux superbes jeunes filles qui me tiennent par la main. Des bises.

On distingue déjà le Forth Bridge. Ce pont métallique rouge. Il y a une légère brume sur le fleuve. Un aspect fantomatique. On devine le soleil qui illumine le léger voile de nuages qui subsiste. Les filles évoquent la rentrée universitaire. Cette nouvelle année de préparation au Doctorat. Il y aura toujours ces fameux mardis et vendredis après-midi de libres. Ce qui permet un travail personnel. Ce qui nous permet d'être ensemble Clémentine et moi. Estelle nous rejoindra en soirée pour le même rituel depuis quatre ans.

La John Muir Way réserve bien des surprises aux randonneurs. Parfois le chemin quitte le littoral pour s'engager dans des paysages boisés. Estelle profite de chaque occasion pour me palper la braguette. Mon sweat dissimule l'ouverture béante dans laquelle elle fourre sa main. Quand nous croisons des marcheurs, Estelle se place tout simplement devant moi pour me rouler une pelle. Ce qui cache sa main exploratrice. Ou ma bite. Je bande comme un salaud depuis deux bons kilomètres. Clémentine aime à y jouer aussi.

C'est souvent de justesse que nous évitons de nous faire surprendre. J'ai souvent mes mains sous les jupettes, entre les cuisses douces et chaudes de mes deux anges. Il est 13 h. Il commence à faire faim. Là, sur notre gauche Dalmeny House. Une sorte de petit château de conte de fée écossais typique. C'est également un des terrains de golf le plus célèbre de la région. Nous prenons le sentier de droite qui mène aux criques. C'est là que nous trouvons quelques superbes endroits. La mer est calme.

Là-bas, les trois ponts métalliques qui se succèdent. Nous sommes installés sur un des rochers plats. En tailleurs. Sur un de nos K-ways qui sert de nappe, nous déballons le petit sac à dos. Nos nectarines, la bouteille d'eau, les sandwichs. Nous mangeons de bon appétit. Les filles reviennent sur les paroles de Mr Smith hier. Ancien recteur de l'université d'Edimbourg, à la retraite, il reste au comité d'administration. Il est même président de différents clubs universitaires dont son friands les étudiants anglo-saxons.

Son appui ne sera pas négligeable. Il y a de gros bateaux qui entrent ou qui sortent de l'estuaire. La plage est pleine de gens. Des châteaux de sable font régulièrement leurs apparitions. Des cris, des jeux, les vacances. Ce repas est simple mais délicieux. Il est 13 h30. Nous remontons sur le chemin pour continuer notre randonnée. On se sent un peu lourds. De l'exercice est nécessaire. Nous marchons d'un bon pas. Il est 15 h quand nous arrivons à South Queensferry. C'est notre seconde visite de l'été.

Nous quittons l'itinéraire balisé pour descendre vers l'estuaire. Il y a là un quai tout en longueur où sont amarrés les bateaux de plaisances. C'est ici que nous avons fait connaissance de Lenny, cette étonnante jeune fille hollandaise. Il y a déjà trois ans. Ce sont d'agréables souvenirs. Nous sommes monté à Amsterdam à la Toussaint 2018 pour aller lui rendre visite. << Déjà trois ans ! >> lance Clémentine. << Et vous y êtes allés sans moi, salauds ! >> rajoute Estelle qui saisit ma bite d'une poigne ferme et vengeresse.

Nous longeons le quai. C'est une façon sympathique d'arriver sur ceux du port de pêche. Il y a l'animation habituelle des ports de pêche écossais. Des touristes partout. Les marins qui proposent le fruit de leurs pêches en haute mer. Nous flânons pour admirer la taille gigantesque des crabes, des homards, des langoustes dont les pinces sont attachées. Ce sont des armes redoutables et ces crustacés sont bien vivants. Nous prenons un des larges escaliers pour entrer dans le village.

South Queensferry est un petit bourg. Les rues pavées, les maisons à un étage aux fenêtres fleuries. Des balcons aux rambardes de fer forgé. Il y a tout ce côté traditionnel qui donne l'envie folle de passer le restant de son existence ici. C'est tranquille, calme, si reposant. Cette année, l'absence de touristes latins rajoute encore à cette impression de silence extraordinaire. Il y a du monde toutefois. Nous adorons les boutiques de ce village. Les vitrines y exercent un attrait supplémentaire. C'est magique.

Je me fais tripoter la braguette dans tous les recoins où m'entraînent mes deux anges. Je ne compte même plus le nombre de fois où j'empêche Estelle de me sortir la bite. C'est qu'elle prend tous les risques la coquine. Là, dans la venelle qui passe entre deux pâtés de maisons de granit, je me retrouve la queue à l'air. Clémentine tient mes bras pour que je ne puisse pas me défendre. Estelle m'extrait la bite. Je suis affolé à l'idée que nous pourrions nous faire surprendre à tout instant. Elles rient !

J'ai juste le temps de me retourner. Il y a un groupe de touristes qui vient de s'engager dans l'étroite ruelle. Les filles se serrent contre moi pour bien dissimuler mon sexe dur comme un démonte pneu de camion. Ces gens nous regardent d'une bien étrange façon. Quelques regards amusés tout de même. Libidineux et envieux chez certains messieurs. C'est l'heure de la crème glacée. C'est dans le supermarché Tesco Superstore que nous trouvons notre nouvelle marque préférée. Ben & Jerry's.

Trois pots de 500 ml. Nous en profitons pour acheter une grand pain et une brioche tressée. Nous passons en caisse. Il faut patienter parce qu'il y a plein de clients et juste trois caisses ouvertes sur les cinq. Estelle en profite évidemment pour me tripoter discrètement. << Une telle érection, cher monsieur, ça s'entretient ! >> me chuchote t-elle. Une fois encore elle se débrouille pour que seule la jeune caissière remarque sa main baladeuse. C'est hyper gênant mais c'est également hyper excitant.

C'est beaucoup plus simple de donner libre cours à nos penchants vicieux dans la configuration d'un trio. Deux jeunes filles, un homme. Cela suscite autant d'intérêt chez les femmes que chez les hommes. Surtout chez la plupart des autres jeunes filles du même âge qu'Estelle et que Clémentine. Nous savourons nos pots vanille, pralin et nougat, confortablement installés sur un des bancs sur la place de l'Hôtel de Ville. Il fait doux. Même si le ciel reste voilé il est lumineux. Nous adorons cette ambiance.

Il est 17 h quand nous reprenons le chemin du retour. Après avoir été tant sollicitée, ma bite macère au fond de mon slip humide. A chaque fois qu'Estelle me la sort, il y a un filament de jute qui s'égare, qui dégouline avant de tomber, flasque, au sol. A chaque fois Clémentine se penche pour tenter de rattraper le filet de liquide séminale avec la bouche. Trop tard. Par contre, elle suce un peu. C'est super bon. Il faut ruser, s'écarter du chemin. Se planquer et ce n'est pas toujours possible. Donc on arrête.

Il est presque 20 h quand nous revenons à Leith. Nous cherchons une table dans un des nombreux restaurants. Les meilleurs ont souvent des places restantes. C'est dans celui que nous aimons bien, avec les rideaux et les nappes vichy que nous commandons nos plateaux de fruits de mer. La fatigue commence à se faire sentir. Deux fois trois heures de marche, ça creuse aussi. Nos visites aux toilettes. Deux avec Estelle, deux avec Clémentine. Il est 22 h quand nous reprenons la voiture pour rentrer. 5 bornes.

Bonne randonnée à toutes les coquines qui adorent jouer avec une bite, l'extraire d'une braguette et la sucer dans les coins...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1622 -



Enfin il est possible de faire de la bicyclette

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud d'Estelle contre mon visage. Toute les nuits elle reste serrée contre moi, épousant chacun de mes mouvements. J'adore cette haleine, l'odeur de sa bouche. Je ne sais jamais si elle dort encore où si c'est une façon de me réveiller. En tous cas cela réveille également Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous, de papouilles, de mains dans les culottes. Mon érection naturelle dans la main d'Estelle.

Estelle qui se lève la première pour s'élancer vers la porte. Nous faisons notre lit. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Il y a la brioche et le pain achetés hier. L'odeur du café. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre randonnée de hier. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. << Nous aurons tout fait. Comme les années précédentes ! Rien ne manquera au programme ! >> précise Clémentine. << C'est passé si vite ! >> rajoute Estelle.

Il est neuf heures. La vaisselle. Nous nous lavons les dents avant de nous vêtir de nos tenues sport. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Le ciel est bien dégagé, bleu d'azur. Une magnifique journée s'annonce probablement. C'est parti pour notre heure de running sur le circuit habituel. Il est tellement parfait. Qu'il est agréable de contempler Edimbourg depuis le haut de la colline. Toujours ce voile diffus au-dessus de la ville.

Il est dix heures quand nous revenons à l'appartement. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Le message de Juliette qui nous raconte sa première journée en Vendée. Le courriel de Julie qui nous annonce deux ventes d'un coup. Les plaisanciers qui hésitaient entre la dernière scène de genre à trois personnages et la dernière nature morte ont pris les deux ! Cet été encore tout est vendu. Nous répondons en joignant une photo prise hier à South Queensferry.

Estelle vient nous rejoindre. En jupette, en sweat léger. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous la rejoignons au salon. Elle est devant l'ordinateur à surfer sur le site des pistes cyclables d'Edimbourg. Clémentine est vêtue de sa jupette, de son sweat. Je porte mon short, mon sweat. Tous les trois dans les mêmes teintes. Nous décidons d'une randonnée à bicyclette cet après-midi. Ce sera la première de cet étrange été sans grosses chaleurs et sans trop de journées réellement ensoleillées.

Pressés de sortir, nous dévalons l'escalier de service. Au moment où je m'apprête à contourner la maison oncle Alan surgit du garage. Nous lui faisons part de nos désirs de partir à vélo cet après-midi. Il est inutile d'en louer. Nous sommes invités à disposer des leurs. Deux VTC. Oncle Alan précise qu'il y a également le VTT que nous avons acheté il y a deux ans pour Estelle. Ces engins n'ont pas servi depuis 2019. Mon oncle veut absolument les préparer pour cet après-midi. Nous le remercions.

Clémentine agite la clef de la demeure vide qu'elle nous propose d'aller revoir une nouvelle fois. Il faut contourner la propriété, tourner dans l'étroite ruelle, la remonter sur deux cent mètres. Descendre les marches d'un escalier d'une trentaine de mètres, prendre à gauche. C'est là. Les épais bosquets de lauriers derrière la haute grille en fer forgée occultent complètement la grande maison de maître. Clémentine ouvre le portail qui grince comme dans un film d'épouvante. Nous rions aux éclats.

Nous longeons l'allée sous les branches d'arbres centenaires. << Notre future demeure peut-être ! >> lance Clémentine. << Y aura t-il une chambre pour moi ? >> rajoute Estelle qui palpe ma braguette. Clémentine ouvre la porte principale. Nous sommes sur le perron d'un large escalier de six marches. Nous entrons à la suite de Clémentine. Cette odeur si caractéristique des vieilles demeures fermées. Nous visitons les pièces du bas une nouvelle fois. Cette grande cheminée dans le salon est étonnante.

Il y a beaucoup de similitude avec ma demeure. J'y retrouve des configurations identiques. Nous montons aux étages. Dans chaque pièce, Clémentine commente la disposition des meubles. J'admire son étonnante capacité à se projeter dans l'avenir. << J'y pense tous les jours ! >> confie t-elle. Ce qui explique certainement la netteté de cette vue d'ensemble. Estelle me sort la bite. << Une photo ! >> dit elle en se tenant tout contre moi, mon sexe dans sa main qu'elle agite vers le téléphone que tient Clémentine.

<< Une photo dans chaque pièce ! >> propose Clémentine. Nous posons ainsi dans toutes les pièces de la grande maison. << Cela permettra de se faire une idée des éventuels ameublements futurs ! >> précise Estelle. Nous éclatons de rire. Estelle rajoute : << Le prochain jour de pluie, on vient baiser dans toutes les pièces ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous ressortons pour faire le tour de la propriété. L'ensemble doit mesurer deux cent mètres sur deux cent.

<< Nous sommes très loin de nos 24 hectares en France ! >> fait Clémentine. Personnellement, je m'en moque éperdument. Elle également. << Plus de rivière, plus de forêt, plus de grands espaces à la campagne ! Ça ne va pas vous manquer ? >> lance Estelle. Clémentine s'empresse de répondre : << Non, pas du tout car en échange il y a Edimbourg à nos pieds et à quinze minutes, l'Ecosse partout autour de nous ! >>. Je rejoins totalement Clémentine dans son affirmation.

Nous quittons la propriété pour retourner à l'appartement. Il commence à faire faim car il est presque midi. Estelle nous interdit l'accès à la cuisine. Elle insiste pour nous faire la surprise du repas. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit pour se coucher sur moi. Elle me confie son bonheur d'avoir revu la maison de ses rêves écossais. Tout en bavardant, elle me sort la queue. A présent allongée à mes côtés, sa tête sur mon ventre, elle joue avec mon sexe.

Entre deux succions délicates, Clémentine continue de parler de la maison écossaise. Je conclue : << Ce sera la récompense pour l'obtention de ton Doctorat ! >>. Clémentine cesse de sucer pour se positionner au-dessus de moi. Elle s'enfile l'extrémité de ma queue en disant : << Je suis encore mille fois plus motivée alors ! >>. C'est ainsi qu'Estelle nous surprend en ouvrant la porte. << On mange les vicieux ! >> dit elle avant de se précipiter. Lorsque Clémentine se retire, Estelle se met à me pomper la queue avec fougue.

Cela ne dure pas. Juste pour récupérer toute la jute qui suinte de mon prépuce fripé. Nous nous précipitons dans la cuisine. Estelle a préparé un gratin de pommes de terre. Gruyère de Comté qu'elle a terminé. Une sauce aux Roquefort avec des calmars et des champignons. Une salade de carottes en accompagnement. Nous mangeons de bon appétit en félicitant Estelle pour cette divine surprise. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous restons vêtus comme nous le sommes.

Trois pommes dans le petit sac à dos avec les barres de céréales et les inutiles K-ways. Il fait tellement beau. Le ciel est presque entièrement bleu. Pressés de filer nous dévalons l'escalier de service. Nos bicyclettes nous attendent devant la maison. Comme neuves. Celles de mon oncle et de sa femme semblent n'avoir jamais servi. Nous nous souvenons du VTT acheté pour Estelle. Un vélo d'occasion mais en très bon état. Les pneus sont hyper gonflés. Les chaînes bien huilées. Merci oncle Alan.

Nous descendons sur Leith en traversant Morningside. Les mains sur les poignées des freins car ce n'est quasiment que de la pente douce. C'est Estelle qui a préparé l'itinéraire. Nous quittons Leith pour l'Ouest. Le circuit balisé "Edinbourg Waverlay". Ce circuit alterne le macadam, la terre stabilisée et des tronçons plus rocailleux. Il y a de nombreux tronçons pavés. C'est très désagréable à vélo. Mais c'est un tel enchantement de pouvoir enfin faire de la bicyclette. Nous croisons beaucoup de passionnés.

Quelques kilomètres et nous voilà dans un long tunnel de pierres taillées. Innocent Railway Path. C'est là que passait l'ancienne voie ferrée. C'est impressionnant car cela tient véritablement de l'intérieur d'un gigantesque bunker. Nous nous mettons à pousser des cris pour nous amuser des résonances, de la réverbération et de l'écho du bunker. Nous en rions de bunker. Il y a plus d'un kilomètre à parcourir sous les lumières artificielles. Les immenses toiles d'araignées, les quelques chauves souris qui virevoltent.

D'autre cyclistes font comme nous, ils poussent des cris pour tester l'endroit. C'est amusant. Puis c'est Duddingstone Loch. Ce petit lac aux eaux argentées. C'est une réserve d'animaux sauvages. Nous n'avons jamais vu autant de cygnes, de canards, de poules d'eau qu'ici. Ils vivent en parfaite harmonie avec cet environnement. Nous nous arrêtons en contrebas du sentier autorisé. Il quitte la piste cyclable sur la gauche. Là-bas, au loin, le sommet des montagnes de l'autre côté de l'estuaire du Forth.

Pause pipi. Je tiens les filles par la nuque pour assurer leurs parfaits équilibres. Elles adorent faire des concours de distance quand nous nous amusons ainsi. C'est toujours Clémentine qui gagne. Surtout qu'en leurs enfonçant le doigt dans le cul, la puissance des jets en est décuplée. Elles m'offrent leurs chattes à sucer. A genoux, je me pourlèche de leurs substances. Puis je les torche soigneusement. Tout cela ne dure que quelques minutes. Il faut rester prudents. Nous ne sommes pas les seuls "explorateurs".

Nous reprenons notre escapade. Nous croisons nombre de cyclistes. Ici, avec la relative difficulté du parcours il n'y a pas de famille. L'itinéraire s'adresse à des sportifs aguerris. Nous sommes donc dans notre élément. Voilà l'arrivée en bord de mer. C'est une sorte d'esplanade. Il y a le port de Tranent on Sea. Tout petit bourg sur le quai du port de pêche. Un grand espace pavé. Mussel Shell Sculpture Des structures métalliques d'art contemporain. C'est assez impressionnant. Insolite surtout. Moches.

Nous ne nous attardons pas. Nous arrivons sur Roman Bridge. Il y a là une étonnante statue d'un guerrier tenant un arc à côté d'une bicyclette. Structure métallique absolument surréaliste dans ce décors médiéval. Là, entre les fourrées et un des piliers du pont, Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine qui m'a descendu le short et le slip, me tient les couilles par derrière. Je bande mou en pissant un peu n'importe comment. Accroupies, mes deux anges regardent tomber les dernières gouttes.

Elle se refilent ma bite qu'elles sucent passionnément en échangeant leurs impressions. Nous en rions de bon cœur. Nous reprenons la route. Voilà Prestonpans. Tout petit bourg de bord de mer. Puis c'est le tronçon pierreux de Nice Gravel Section. Nous pédalons contre le vent de Nord Est en plein champs. Dur ! Nous entrons dans la forêt magique de Gravel Trail With Defence. Il y a là, tout le long du chemin, de curieux blocs de pierre taillée en parallélépipèdes. Ils remontent à la nuit des temps.

La piste cyclable fait le tour de cet étrange endroit aux chênes et aux hêtres centenaires. Nous revenons par la gare ferroviaire. La piste cyclable longe la voie ferrée. Ce n'est plus que du macadam. Arrêts pipi pour les filles. Doigts dans les culs. Concours de longueurs de jets. Léchage de minou. Nous avons failli nous faire surprendre par un groupe de randonneurs. L'ensemble de ce circuit dure presque 6 h. Il parcourt plus de 60 km. C'est donc fatigués que nous revenons sur Leith. Morts de faim aussi.

Rien qu'à l'idée qu'il faudra encore se taper les 4 km de montée pour rejoindre Morningside, nous sommes pris de vertige. Un bon repas s'impose donc pour reprendre quelques dernières forces. Nous trouvons une bonne table dans un des nombreux restaurants sur le port. Un énorme plateau de fruits de mer nous rend quelques forces. Il est 22 h quand nous sommes de retour à l'appartement. Fourbus, épuisés, mais tellement heureux de toutes ces nouvelles découvertes. Estelle plonge la première.

Bonne randonnée à vélo à toutes les coquines qui aiment se faire introduire un doigt dans le cul en pissant dans la campagne...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1623 -



Une nouvelle sortie à bicyclette par une journée magnifique

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par le chuchotement plaintif d'Estelle qui se serre encore plus fort contre moi. Son souffle chaud sur mon visage. << J'ai mes "petits machins". Bobo au ventre ! >> murmure t-elle. Je lui fais plein de bisous. Clémentine se réveille à son tour pour se blottir. Je suis entre mes deux anges. Il est presque neuf heures. Nous dormons rarement aussi tard. Estelle se lève pour se précipiter vers la porte. Nous faisons le lit avant d'aller aux toilettes à notre tour.

Nous rejoignons Estelle dans l'odeur de café, de pain grillé et du reste de brioche dans le four à micro-ondes. << Docteur Julien, il faut m'administrer votre traitement ! >> fait elle en se lovant dans mes bras. Je lui dépose plein de bisous avant de poser ma bouche sur chacun de ses tous petits seins dont l'extrémité est dure. A travers le tissu de son T-shirt, je souffle de l'air chaud. << Mmmhh, comme ça soulage ! >> fait elle dans un souffle. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi vélo de hier.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme du jour. Dehors il fait beau, le ciel est presque entièrement bleu. << On se refait une nouvelle sortie vélo ? >> propose Estelle. << Tu nous prépares un itinéraire ? >> demande Clémentine. C'est une affaire entendue. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous enfilons nos leggings, nos sweats avant de dévaler l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale.

C'est parti pour un jogging d'une heure le long de notre parcours habituel. Il est 10 h30 quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un seul message. Celui de Julie qui précise qu'elle ne fait plus qu'acte de présence dans une galerie d'Art où il n'y a plus de toiles à vendre. Mais il se peut qu'il y ait encore des commandes. Estelle vient nous rejoindre en jupette, T-shirt. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous nous vêtons aux mêmes teintes qu'Estelle.

Les filles sont en jupettes, je suis en short. Estelle surfe sur les sites d'itinéraires cyclistes à partir d'Edimbourg. << J'ai trouvé un super circuit, regardez ! >> fait elle en nous montrant des photos et en lisant à voix haute les descriptifs. Ce sera Forth Road Bridge. Nos excellentes conditions physiques permettent d'affronter des itinéraires qui exigent d'êtres en superbes conditions. Il est presque 11 h. << Dans exactement une semaine, à cette heure ci, nous serons sur la route du retour ! >> fait encore Estelle.

<< Interdiction absolue d'un parler ! >> lance Clémentine. Estelle aussi porte un soutien gorge les deux premiers jours de ses règles. Je passe donc de la pommade aux endroits irrités par les bretelles, le dessous et la fixation dans le dos. << Maudit soit celui qui a inventé cet instrument de torture ! >> me dit Estelle qui se laisse enduire en gémissant de soulagement. Nous faisons une rapide visite sur les forums où nous publions nos aventures. Nous répondons toujours aux messages privés.

Clémentine fait la liste des dernières courses à faire demain. Nous consommons tant de fruits de saisons. Une abondance de nectarines, de pêches, de brugnons qu'il est impossible de conserver longtemps. << Interdiction d'entrer dans la cuisine. Je vous appelle quand c'est prêt ! >> lance t-elle en remettant son T-shirt. Elle me fait un bisou, empoigne ma braguette en disant : << Merci docteur Julien ! >>. Clémentine m'entraîne dans la salle de bain. Nous faisons une machine avec le linge de corps.

Nous n'arrêtons pas de nous embrasser, de nous toucher. Depuis la cuisine nous parviennent les chansons d'Estelle. J'ai la bite à l'air, souvent dans la main de Clémentine. J'ai ma main sous sa jupette, entre ses cuisses. J'adore le contact lisse de sa peau et celui du coton de sa culotte. A genoux sur une grande serviette de bain pliée plusieurs fois, Clémentine hume ma bite, se la frotte contre son visage en disant : << Mon doux "Maître", savez-vous que vous ne m'avez pas traité une seule fois comme je le mérite ! >>

Je pose ma main sur sa tête. Elle continue : << Vous ne m'avez pas traité en "Soumise" durant ce séjour écossais. Ça me manque. J'ai sérieusement besoin d'être reprise en main. D'être sévèrement "dressée" ! >>. Je lui passe la bite sur le front, les joues, le nez, les lèvres en murmurant : << Je vous aime tant ma délicieuse "Soumise" que vous perturbez tous mes sens ! J'en oublie mes "devoirs" ! >>. Clémentine me taille une pipe des familles, mains sur la tête, à genoux, bien droite.

C'est ainsi Qu'Estelle nous découvre en entrant dans la salle de bain. << Vous en profitez quand j'ai le dos tourné. On mange, les vicieux, c'est prêt ! >> dit elle en se précipitant pour prendre la queue que lui tend Clémentine. Je l'attrape par ses cheveux pour lui enfoncer un maximum de bite. Elle suffoque, me regarde avec désespoir. Je lui dis : << Cher "animal de compagnie, goutez-moi donc cette friandise ! >>. Je la force à cesser. Elle se redresse pour nous entraîner dans la cuisine.

Miam. Aujourd'hui ce sont des spaghettis bios et complets avec une sauce aux brocolis, Roqueforts et champignons. Trois filets de saumon rissolés à la poêle. Une salade de tomates en accompagnement. Nous la félicitons. Je lui fais plein de bisous en la soulevant. Nous mangeons de bon appétit. Il n'est que 12 h30. Nous pourrons partir un peu plus tôt. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents. J'applique de la pommade. La thérapie du docteur Julien porte ses fruits. Ça soulage les rougeurs.

Dans le petit sac à dos, les K-ways à revêtir en soirée, au retour, les pommes, les barres de céréales. Nous voilà parés. Nous dévalons les escaliers. Cette fois, pour éviter d'avoir à monter Morningside dans le crépuscule après le restaurant, nous démontons les roues avant des vélos pour les mettre dans la voiture. Celle d'Estelle sur une couverture sur le siège arrière. C'est parti. Je roule doucement. Nous descendons sur Leith, point de départ de notre nouvelle randonnée cycliste.

Forth Road Bridge prend son départ à la sortie de Leith. Vers l'Ouest. Une première partie longe l'estuaire puis le fleuve du Forth. Le début est un itinéraire pavé très désagréable. << Ça secoue ! >> lance Estelle qui se lève de sa selle pour remuer du cul. Elle fait souvent des pitreries sur sa bicyclette. Nous rions beaucoup. Nous croisons un grand nombre de cyclistes. C'est une activité entrée dans les mœurs écossaises depuis des décennies. Avec la Hollande et le Danemark c'est le pays de la bicyclette.

Voilà la gare ferroviaire de Haymarket. Un petit bourg réputé pour ses marchés de produits frais et de cultures exclusivement biologiques. Nous franchissons un pont médiéval avant d'entrer dans le village. Il y a plein de monde. Nous poussons nos vélos en marchant. Nous voulons tout voir. Les maisons en pierres de granit, aux fenêtres fleuries. Le puis au milieu de la petite place pavée. Les vitrines des artisans locaux. Il y a un luthier, une boutique de produits pour peintures artistiques. Une galerie d'Art.

Nous nous promettons de revenir en voiture pour visiter l'endroit. Nous reprenons la piste cyclable. Elle longe River Almond jusqu'à Forth Road Bridge. C'est verdoyant, bucolique et champêtre. Toute la campagne Britannique semble résumée ici. Pause pipi pour les filles. Nous trouvons un sentier qui s'écarte de la piste cyclable en terre stabilisée. Je les tiens par la nuque afin de parfaire leur équilibre. Je les lâche pour me pencher. J'enfonce mes index dans les culs. << Enculeur ! >> me lance Estelle.

Un doigt dans le cul des filles donne à leurs jets une puissance qui leurs permet de les projeter plus loin. C'est donc encore l'occasion d'un concours de longueur. Concours que gagne Clémentine dont le jet est toujours impressionnant. Beaucoup moins précis que celui d'Estelle toutefois. Je les torche soigneusement. Estelle en profite pour changer de tampon pendant que Clémentine me tient la bite pour en diriger les jets. Estelle se précipite pour s'accroupir devant moi, sucer les dernières gouttes. Clémentine en veut aussi.

Nous repartons. Tous les cyclistes semblent s'être donnés rendez-vous sur cet itinéraire. Il y a un monde fou. Le circuit n'est pourtant pas facile. Il y a du dénivelé et il faut forcer dans les côtes. Il fait chaud. C'est une des rares journées de cet été où nous frôlons les grosses chaleurs. Voilà le tout petit bourg de Limekilns. Il y a un antiquaire entre un bar et une épicerie. Nous adorons les antiquaires. Nous marchons dans la seule et unique rue du village en poussant nos vélos.

<< Il faut vivre à Edimbourg pour tout voir. Et une vie suffira à peine ! >> lance Clémentine. Estelle me palpe discrètement la braguette en disant : << Docteur Julien, j'aimerais goûter à votre sirop contre la douleur du ventre ! >>. Nous rions de bon cœur. Tout comme Clémentine, lorsqu'elle a ses "petits machins" de fille, il y a une douleurs lancinante dans son bas ventre. Je passe délicatement ma main sous sa jupette pour caresser son sexe au travers le coton de sa culotte. << Mmmhh ! Ç'est bon ! >> fait elle.

Nous repartons. Le paysage est magnifique. Dans les trouées de verdures nous apercevons l'autre rive du fleuve. Voilà Culross, un autre bourg. Kincardine Bridge à l'étrange structure métallique sur un pont de pierre. Nous traversons le Forth. Le pont doit faire un bon kilomètre. Le vent de face. La piste cyclable longe la route. La circulation est dense et bruyante. Au-dessus de nos têtes le cri des mouettes. Vivement l'autre rive. Le calme et la verdure. La piste cyclable longe le canal Kelpies sur cinq kilomètres.

Pause pipi. Nos rituels pisseux. << Ton doigt, espèce d'enculeur de pisseuses ! >> me fait Estelle en mimant une pipe. Je le lui enfonce dans le cul en disant : << Vos désirs sont des ordres mademoiselle ! >>. Elle se cambre pour diriger son jet le plus loin possible devant elle. << Il y a du progrès ! >> lance Clémentine qui n'a pas besoin de mon doigt pour pisser aussi loin. Rires. Je les torche. Accroupies elles se refilent ma bite qu'elle pompent entre deux jets. Nous sommes planqués derrière un cabanon d'écluse.

Le circuit fait une boucle. Il faut à nouveau traverser Kincardine Bridge. Nous suivons la piste balisée. Les indications sont claires et très précises. Nous entrons dans Cramond Brig. Un autre bourg charmant. C'est fou ce que la région d'Edimbourg révèle de secrets lorsqu'on la découvre par les pistes cyclables. Ce circuit se décline sur une cinquantaine de kilomètres. Il est presque 19 h quand nous revenons sur Leith. Morts de faim. Nous mettons les vélos dans la voiture. Il faut revêtir les K-ways. La fraîcheur devient vive.

Nous flânons sur les quais en lisant les menus proposés par les nombreux restaurants. Autant en découvrir un nouveau. C'est celui surmonté d'un moulin qui nous paraît proposer de bonnes choses. Ces moules grillées, fumées, accompagnées de patates rissolées, de légumes confits et de crevettes en gelée. << Jamais gouté de crevettes en gelée ! >> lance Estelle en palpant discrètement ma braguette. Nous entrons. La salle est presque pleine. Nous avons une table près de la fenêtre. Ce qui permet de voir le port.

Les crevettes en gelés, ce n'est vraiment pas notre truc. On goûte mais c'est tout. << C'est pas très bon, hein ! >> fait Estelle. Deux visites aux toilettes avec Estelle durant le repas. Deux visites aux toilettes avec Clémentine. Enfermés dans un des cabinets des toilettes hommes nous pouvons procéder à nos rituels pisseux. Estelle peut s'enivrer de son "sirop" en me pompant le foutre avec avidité. L'addition. Nous sommes morts de fatigue. Heureusement nous sommes en voiture. Nous flânons encore un peu.

Bonne virée à bicyclette pour toutes les coquines qui adorent les pauses pipi, les doigts dans le cul et les pipes juteuses de mélanges...

Docteur Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1624 -



Aujourd'hui, la météo ne permet pas la bicyclette

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons quasiment ensemble tous les trois. Je suis entre mes deux anges accrochées à moi comme des naufragées à leurs branches. Il est presque neuf heures. Fatigués comme nous le sommes en rentrant de nos escapades à vélo, nous dormons comme de véritables enclumes. Distribution de bisous. Estelle se saisit de mon érection naturelle. Clémentine empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes pour défaire quelques nœuds. Défriser quelques poils.

Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. Nous faisons le lit. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé est un autre de nos enchantements. Dehors, le temps est à nouveau couvert. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre randonnée vélo de hier. Nous mangeons de bon appétit en envisageant cette nouvelle journée. Avec cette météo plutôt menaçante, il est préférable de ne pas partir à bicyclette. Dommage.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Je masse délicatement le ventre d'Estelle qui se plaint d'une congestion désagréable. C'est le second jour de ses "petits machins" de fille. Nous enfilons nos tenues de sport. Les K-ways s'imposent. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans la désagréable fraîcheur humide. Ce matin, il fait carrément froid. Le thermomètre extérieur indique 14°. C'est parti pour notre heure de jogging le long du parcours habituel.

Il est 10 h30 quand nous revenons après un running gratifiant. Pas la moindre goutte de pluie. Estelle prend sa douche pendant que nous allumons l'ordinateur. Le message quotidien de Julie qui nous raconte sa journée. Il reste les huit toiles laissées par leurs propriétaires. Elles sont accrochées aux cimaises de la galerie encore une semaine. Elles ne sont plus à vendre mais suscitent un grand intérêt. Le courriel de Juliette qui nous raconte son séjour vendéen. Nous répondons en joignant une photo prise hier.

Estelle vient nous rejoindre. Elle me tend le tube d'homéoplasmine. << Docteur Julien, vos soins sel vous pli ! >> dit elle. Elle est juste en jeans, le haut du corps nu. Je lui applique de la pommade partout où le soutien gorge a laissé des rougeurs. Elle aussi ne porte de soutif que deux à trois jours par moi. Instrument de torture dont elle n'a nul besoin. Ses tous petits seins n'en nécessitent pas. C'est moi qui lui met son soutien gorge. Elle enfile son sweat. Elle empoigne ma braguette en disant : << Merci docteur Julien ! >>.

C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Nous nous habillons pareils. Jeans, sweats. Nous rejoignons Estelle qui surfe sur les sites touristiques écossais. << Toutes ces choses que nous n'avons pas encore vu ! >> lance t-elle en nous montrant un diaporama de photos magnifiques. Il est presque onze heures. Nous descendons l'escalier de service pour aller faire quelques pas. Le ciel va probablement rester couvert, gris et sinistre toute la journée. Il ne fait pas plus de 18°. << Un automne bien précoce ! >> dit Clémentine.

Nous faisons le tour du quartier pour repasser devant notre hypothétique prochaine maison. Toute la propriété est entourée d'une grille de hallebardes d'au moins quatre mètres de haut. On ne distingue pas la demeure occultée par les bosquets de lauriers et de cyprès. Clémentine agite la clef en proposant d'y entrer. Cette fois nous restons dans l'espace extérieur. C'est un endroit bien entretenu. Son propriétaire vit aux états-unis. Nous avons affaire à un intermédiaire, monsieur Anderson.

Nous le reverrons lundi prochain. Il viendra chercher notre réponse et récupérer la clef. Estelle me palpe la braguette dans tous les coins, tous les recoins. La propriété n'en manque pas. Il y a le garage, cette maison en bois, à colombages et à un étage. << J'aimerais bien voir ce qu'il y a là-haut ! >> lance Estelle. La porte du bas est ouverte. Il y a une ancienne voiture des années cinquante. Poussiéreuse. Impressionnante par ses formes rondes et rétros. Estelle s'y installe au volant.

<< C'est encore plus grand que dans ta Mercedes ! >> lance t-elle. C'est une Buick noire avec des chromes partout. << Très Rock and Roll ! >> fait Clémentine. Cette voiture aurait besoin d'un bon lavage extérieur. L'intérieur de cuir beige est propre. Nous montons à l'étage. C'est une sorte de grenier poussiéreux plein de meubles anciens empilés là. << J'aimerais bien que tout ça soit vendu avec la demeure ! >> lance Clémentine. Nous qui aimons les antiquités, il y en a plein ici. Sous la poussière.

Nous redescendons en scrutant chaque recoin. << Ça ferait une belle maison d'amis ! >> dit encore Clémentine. Je dis : << Si nous achetons, c'est une des premières rénovations que j'entreprends ! >>. Estelle empoigne ma braguette en s'écriant : << Et moi je viens y vivre ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous ressortons de la propriété. Clémentine ferme soigneusement le portail à clef. Il faut tirer le lourd battant à deux. << Ça pèse une tonne ! >> lance Clémentine. C'est certainement pas loin !.

Il fait faim. Nous nous dépêchons de rentrer. Estelle nous interdit l'accès à la cuisine. Elle veut nous préparer une bonne surprise. Clémentine m'entraîne à la salle de bain. Nous décrochons le linge suspendu hier. Déjà sec. Elle m'embrasse avec fougue. Nous entendons Estelle chanter depuis la cuisine. << Mon bon "Maître", je vous aime. J'ai besoin de vos sévices. Ils me manquent ! >> murmure Clémentine qui se met à genoux sur une grande serviette pliée plusieurs fois. Bien droite, les mains sur la tête.

Je sors mon sexe. Je le passe délicatement sur son visage en chuchotant : << Je vous aime ma douce "Soumise". Je vous ai quelque peu négligé durant ces deux mois. Mais il m'a fallu m'occuper de Clémentine ! >>. En riant elle murmure : << Et de notre petit animal de compagnie qui est entrain de préparer notre repas ! >>. Je me penche pour lui déposer une bise sur le front. Elle frotte son visage contre ma bite qui durcit de plus en plus. Je me penche pour glisser ma main dans son jeans.

J'aime fouiller dans sa culotte. J'adore les petits spasmes de son corps quand je titille son clitoris géant. Je me redresse. Clémentine, d'un mouvement de tête gracieux, gobe mon sexe qu'elle suce avec la dévotion de la "Soumise" parfaite. Immobile. Les yeux fermés, elle savoure l'instant autant que la queue. C'est ainsi qu'Estelle nous trouve en entrant dans la salle de bain. << On mange les vicieux ! >> dit elle en se précipitant pour en avoir aussi. Accroupie à côté de Clémentine qui lui tend ma bite dure comme du bois.

Estelle suce avec la même avidité. Juste quelques instants. Clémentine se redresse pour me montrer le contenu de sa bouche. J'aide Estelle à se relever. Elle nous pend les mains pour nous entraîner à la cuisine. C'est un gratin de coquillettes qui nous attend. Avec une Béchamel aux champignons. << Plus de Parmesan, plus de Roquefort, plus de gruyère de Comté ! Plus rien ! >> lance t-elle. << C'est génial, on a rien perdu ! >> rajoute Clémentine. Il y a des crevettes rissolées à la poêle avec de l'oignon, de l'ail.

Nous faisons plein de bisous à Estelle en la remerciant pour toutes ses attentions chaque jour. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le planning de l'après-midi. Ce sera une excursion à Linlithgow. Petite ville distante d'une trentaine de kilomètres. Nous aimons y visiter l'impressionnant château. Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Pommade pour Estelle. Clémentine derrière moi, sa main dans mon slip.

Nous restons vêtus comme nos sommes. Il faut sortir les anoraks de l'armoire. La température extérieure reste à 18°. Il y a un peu de vent. Pressés de filer, nous dévalons l'escalier. Je roule doucement. Nous contournons Edimbourg par la nationale Ouest. La circulation est fluide. Clémentine joue avec ma queue. << Quand je commence la journée par une pipe, je pourrais sucer tout le reste de la journée ! >> dit elle en se penchant souvent sur sa gauche pour me tailler une pipe baveuse. Estelle, assise à l'arrière, me caresse les joues.

<< Je veux être assise devant pour le retour ! Moi aussi quand je goute, j'en veux encore ! >> lance t-elle. Nous arrivons à Linlithgow pour 14 h. Nous garons la voiture à l'entrée de la ville. C'est un grand parking. Il y du monde. Bonne idée d'être en anorak. Il ne fait vraiment pas chaud. Linlithgow est un bourg royal. On entre par sa rue principale. Entourée de maisons à un étage, aux fenêtres fleuries, faites de pierres ocres. Estelle n'arrête plus de me palper la braguette. Je suis obligé de la gronder.

<< Mais, docteur Julien, j'ai bobo, il me faut de votre sirop ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. Nous flânons dans les rues du centre historique. Il y a là un charme particulier. C'est un véritable voyage dans le temps. Il y a des constructions qui remontent au moyen-âge. Parfaitement conservées et rénovées. Des recoins où Estelle peut même glisser sa main dans ma braguette ouverte. Mon anoraks cache l'ouverture béante d'où elle extrait mon Zob. << Je veux sucer ! >> dit elle à chaque fois.

Pas question. Il y a trop de passage. Les touristes aiment faire comme nous, explorer le moindre recoin. Combien de fois ai-je juste le temps de cacher mon sexe sous les pans de mon anoraks ! Nous voilà devant le portail d'entrée du palais. Une grande porte de pierres. C'est impressionnant. La visite est libre. Il faut montrer nos passes touristiques. L'endroit est somptueux. C'est une vaste cour carrée couverte de gazon, de la taille d'un terrain de basket, entourée de hauts murs aux fenêtres cyclopéennes.

Linlithgow Palace est un des plus vieux châteaux d'Ecosse. Il se présente là comme il l'était au XVème siècle. Malgré deux incendies. Une partie des appartements royaux se visitent. C'est un enchaînement de salles somptueusement décorées. La salle d'arme. La salle des archives où je me retrouve avec la bite à l'air entre deux gigantesques armoires. Dissimulé des regards par Estelle et Clémentine qui se refilent ma bite en riant. Combien de fois je m'entends prononcer ces mots : << Vous êtes folles les filles ! >>.

Nous quittons le château pour retourner dans les rues du centre historique. Nous réservons une table dans un des meilleurs restaurants de la ville. Mason Belles Kitchen. C'est l'heure de la crème glacée. Le supermarché Aldi nous accueille dans un grand espace lumineux. Nous y trouvons notre nouvelle marque de glace préférée. Ben & Jerry's. Trois pots de 500 ml que nous dégustons sur un des bancs de la galerie commerciale. Juste devant la boutique du coiffeur. Parfums pralin, nougat et caramel fleur de sel. Un délice.

Nous passons le reste de l'après-midi à voir et à visiter un maximum de choses. Il ne reste plus que six jours avant notre départ. Nous évitons d'en parler car nos gorges se serrent. Il y a quelques superbes boutiques d'antiquaires. Nous adorons les vieilles choses. L'une d'entre elles propose une véritable collection de vieilles machines à coudre actionnées par des pédales. Souvent en fer forgé ces antiques machines remontent au XIXème siècle. La plupart fonctionnent encore parfaitement.

Je me fais tripoter à chaque occasion. Et quand ces occasions ne se présentent pas, Estelle sait les créer. J'ai encore passé une bonne partie de l'après-midi à bander comme un salaud. Je peux sentir ma bite macérer au fond d'un slip probablement trempé. Les coquines en rient comme des folles. Il est 19 h30 quand nous allons nous installer devant des friands de poissons. C'est un délice absolu. Deux visites aux toilettes avec chacun de mes anges. Nous traînons à table. Il est 22 h45 quand nous revenons à l'appartement.

Bonnes découvertes à toutes les coquines qui aiment flâner en glissant la main dans une braguette pour y jouer avec une queue moite...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1625 -



Il fait beau. Une nouvelle randonnée vélo

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements que fait Estelle avec ses pieds contre les miens. Ce sont ses "impatiences". Son souffle chaud contre mon visage. L'haleine de sa nuit. Elle me sait conscient. Aussi elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection naturelle. Clémentine se réveille à son tour pour se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Je murmure : << Mais comment vais-je survivre à tout ce bonheur lorsqu'il prendra fin ? >>.

<< Jamais ! >> chuchote Estelle qui se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. << En voilà de curieuses pensées le matin ! >> me fait Clémentine en me chevauchant. Nous faisons le lit avant d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Cette délicate odeur de café à laquelle se mêle celle du pain grillé. Ivresse des sens.Nous prenons notre petit déjeuner. Il est 8 h30. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la visite de Linlithgow et de son château hier. Lieu de naissance de Marie Stuart.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous enfilons nos tenues sport. Nous dévalons l'escalier de service pour nous retrouver dans la fraîcheur matinale. Le ciel est entièrement bleu. Il y a le soleil. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. C'est Estelle qui donne le rythme de notre jogging. Le circuit habituel avec sa vue magnifique sur Edimbourg. Les éclats d'argent de ses toits, de ses clochers sous le soleil. Une heure d'un superbe running et nous voilà de retour pour 10 h.

Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine répond au courriel quotidien de Julie. Julie qui ferme la galerie d'Art le mardi 31 août au soir. Elle consacrera le mercredi premier septembre à nettoyer. Estelle vient nous rejoindre en jeans et sweat. C'est à notre tour d'aller prendre notre douche. Nous nous habillons comme Estelle que nous rejoignons au salon. << On est invité à manger chez mes parents, dimanche 5 septembre ! >> nous fait elle avec un geste masturbatoire.

Elle rajoute : << Et si tu te branles devant ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. Nous éclatons de rire. Je réponds : << Non, rassure toi, je ne ferai que lui montrer la bite ! >>. Elle empoigne ma braguette en disant : << Salaud ! >>. Elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice au goût de crème dentifrice. Il est 10 h30. Clémentine propose d'aller acheter du pain car il n'en reste plus. Pressés de filer nous dévalons l'escalier. Nous tombons sur oncle Alan et sa femme qui reviennent de courses.

Nous bavardons un peu en les aidant à porter les grands sacs. Nous sommes invités au dernier repas de famille mercredi prochain à midi. Oncle Alan nous confirme le rendez-vous pris chez son médecin pour nos tests PCR de mercredi. Le premier septembre au matin. Pour revenir en France, il faut présenter ces tests à la frontières. Ici au Royaume unis, toutes ces choses sont déjà de l'histoire ancienne. Certes, il y a toujours des cas de contamination mais les Anglais préfèrent vivre avec ce virus comme avec celui de la grippe que de faire chier.

Nous marchons d'un bon pas pour descendre sur Morningside. Christ Church sur notre gauche avec ces touristes. Nous traversons le carrefour. Le grand bazar du coin a installé quelques tables sur le trottoir. Nous passons devant le fastfood des Wong. << On se prend des nems pour midi ? >> propose Estelle. << Bonne idée ! >> lance Clémentine. Nous entrons dans le restaurant. Il faut attendre notre tour. Ly-Yang, enceinte jusqu'aux yeux, contourne le comptoir pour venir nous saluer.

Monsieur Wong sort des cuisines avec un grand plateau de beignets vietnamiens. Il nous voit, pose le plateau pour venir nous saluer à son tour. Ils nous souhaitent bon retour et promettent de nous tenir informés de la suite de leur prochaine paternité. Nous achetons six gros nems au crabe. Nos préférés. Nous quittons pour traverser la rue. Notre boulangerie préférée. Nous y prenons une grosse miche rectangulaire, encore chaude. C'est un pain complet aux noix et couvert de graines diverses.

Nous ne nous attardons pas. Nous remontons en marchant vite. Sur le chemin nous décidons d'une nouvelle escapade à bicyclette cet après-midi. << Trop bien avec cette météo ! >> lance Estelle qui se met à sautiller comme une écolière qui revient de l'école. Il est midi. Il nous est interdit d'entrer dans la cuisine pendant qu'Estelle prépare le repas. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Nous y trions du linge et préparons nos vêtements pour l'après-midi. Nous nous embrassons sans arrêt.

J'ai rapidement la bite à l'air ou dans la main de Clémentine. Elle s'accroupit. Pour maintenir son équilibre, elle me tient par les hanches. Clémentine frotte son visage sur mon sexe en gémissant de plaisir. C'est ainsi qu'Estelle nous surprend en entrant dans la pièce. << On mange ! A table les vicieux ! >> dit elle en se précipitant pour s'accroupir à côté de Clémentine qui se redresse. << Je sens la bite ? >> me demande t-elle en me saisissant par la nuque afin que je hume son visage. Je dis : << Oui ! >>. Rires.

Estelle cesse de sucer pour se redresser à son tour. Elle nous attrape les mains pour nous entraîner à la cuisine. Ce sont des pommes chips rissolées à la poêle. Les nems que nous avons acheté ce matin. Une salade de concombre, d'avocat et de champignons. Des morceaux de mimolette. Miam. Nous félicitons Estelle pour ce nouveau repas. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du reste de la journée. Randonnée à bicyclettes. Il faut absolument profiter de cette météo exceptionnelle.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous nous changeons. Jupettes, T-shirts pour les filles. Short T-short pour moi. Dans le petit sac à dos, nos K-ways, nos leggings pour les fraîcheurs du soir. Trois pommes, des barres de céréales. Pressés de filer, nous dévalons l'escalier pour aller au garage. Nous y récupérons les vélos. Rapide contrôle du gonflage des pneus. Je démonte les roues avant pour les mettre dans la voiture. Deux dans le coffre arrière. Un sur le siège arrière, à côté d'Estelle qui le tient.

Je roule doucement. Il faut contourner Edimbourg et son périphérique. Nous garons l'auto sur le parking du supermarché de Haymarket. Le départ du circuit choisi se fait à partir d'ici. Forth Road Bridge. Cet itinéraire fait 95 km. Une boucle autour de l'estuaire. Nous sommes évidement dans une excellente condition physique. Ce qui est le minimum requis pour une telle aventure. La piste cyclable est goudronnée. Quelques kilomètres et nous retrouvons River Almond Bridge et son pont médiéval.

Nous croisons nombre de cyclistes Avec cette météo, c'est une activité de choix. Tant pour les autochtones que pour les touristes. Ce sont souvent des groupes. A chaque fois que c'est possible, nous pédalons de front. Je suis entre mes deux anges. Nous rions beaucoup de nos frasques sexuelles écossaises. << Je veux jouer avec mon doudou ! >> me fait souvent Estelle qui fait évidemment allusion à mon sexe. Nous retrouvons Limekilns, puis Culross, ces deux adorables villages si typiques.

Il faut quitter cet itinéraire pour prendre celui de l'estuaire. Voilà le village de Borkness. Son adorable petit port de pêche. Nous nous promettons de revenir en voiture pour visiter. Premier arrêt pipi pour les filles. Estelle qui a encore ses "petits machins" n'éprouve plus aucun désagrément. << Docteur Julien et sa thérapie ont encore fait des miracles ! >> dit elle. Je les tiens toutes les deux par la nuque. Concours de jets. Clémentine gagne à chaque fois. Je les torche avec soin.

Nous sommes à une vingtaine de mètres en contrebas de la piste cyclable. Une barque à moteur arrive. Les filles remontent leurs culottes en même temps sous les applaudissements grivois des deux mecs. Nous éclatons de rire. Ils s'en vont en lançant des plaisanteries douteuses. C'est à mon tour. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine me tient les couilles. Penchées en avant, elles se refilent ma bite pour en sucer les dernières gouttes. Nous remontons le sentier en poussant nos vélos.

C'est reparti. Nous arrivons à Polmont. Nous quittons la piste cyclable pour traverser Carronshore. Autant de petits bourgs où il serait agréable de flâner. Nous traversons l'ancien pont du fleuve Forth. Là où il devient estuaire. Il y a plein de bateaux. Le ciel d'azur est entièrement bleu. Il fait presque chaud. C'est une véritable journée d'été. Nous voilà sur l'autre rive. La rive Nord. Il est 16 h15. Nous sommes à la moitié du circuit. De ce côté ci de l'estuaire, il y a des montées assez sévères qui alternent avec les descentes.

Voilà le petit village de Terryburn. Nous nous y arrêtons. Il est 17 h. << Ouf ! Ça fait du bien quand ça s'arrête ! >> lance Estelle. Nous poussons nos bicyclettes dans la seule et unique rue. Des maisons à un étage. Toujours ces fenêtres fleuries. Il y a surtout cette supérette qui nous rappelle que c'est l'heure de la crème glacée. Il y a peu de monde car l'endroit est loin d'un axe routier touristique. Nous y trouvons des pots Haagen Dazs. Il n'y a hélas que trois parfums qui n'ont pas nos faveurs habituelles. Tant pis.

Va pour vanille, chocolat et caramel. Nous savourons nos glaces assis sur un muret. Il est rare d'être dans un endroit où il y a si peu de touristes. Nous apprécions. Estelle glisse sa main dans ma braguette. Avec ruse, une certaine virtuosité, elle fait dépasser ma queue du slip. Le long de la cuisse gauche. Elle peut ainsi l'attraper par l'extérieur. << Tu es prié de pédaler avec cette configuration ! >> me dit elle. Nous éclatons de rire. Clémentine se lève, s'accroupit entre mes jambes pour tirer ma bite au maximum.

Les rares passants sont loin de se douter de ce qui se passe. Nous poussons nos bicyclettes pour sortir du bourg, reprendre la piste cyclable. Comme c'est désagréable de pédaler ainsi, avec la bite qui gêne du côté gauche. Estelle me la palpe à travers le tissu en disant : << Contrôle de routine ! >>. Nouvel arrêt pipi à Crambie. Juste à la sortie du hameau. Le dénivelé permet d'admirer l'estuaire depuis les collines qu'il a fallu grimper. Les jambes commencent à se faire sentir. Il y a encore 20 bornes. Une heure.

Nous sommes dissimulés des regards à une vingtaine de mètres de la route. Je tiens les filles par leurs cheveux. Toutes les deux, accroupies, côte à côte, dirigent leurs jets en riant. Je me penche pour enfoncer la première phalange de mes index dans leurs culs. J'adore ce soubresaut causé par la surprise. << Enculeur ! >> me lance Estelle dont le jet est subitement beaucoup plus puissant. Elles se cambrent toutes les deux, en appui sur leurs mains, pour pisser le plus loin possible. Je suis accroupis derrière à leurs doigter le cul.

Cette fois, je lèche les dernières gouttes. Miam. Je me régale du croupion de Clémentine qui est le seul à m'offrir le jus de ses muqueuses. Celui d'Estelle étant occupé par un tampon. Nous repartons. Il est 19 h quand nous sommes de retour à Haymarket. Fourbus, crevés. Nous prenons le premier restaurant que nous trouvons. Une table. C'est un fastfood. Tant pis. Des frites, des tranches de poissons panés. Ce n'est pas très bon mais nous avons tellement faim. Nous arrivons à l'appartement pour 22 h. Totalement épuisés.

Bonne virée vélo à toutes les coquines qui aiment pratiquer le "piss fucking" dans les endroits les plus insolites, un doigt dans le cul...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1626 -



Les belles journées se succèdent

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par des murmures, des rires étouffés. Je suis entre mes deux anges. Elles me savent réveillé. Toutes les deux se serrent fort contre moi. L'une me saisit par mon érection naturelle et l'autre par les roubignoles. << Merci Julien pour ces belles vacances ! >> font elle en même temps. Elles se frottent contre mes hanches, leurs cuisses enserrant mes jambes, pour me couvrir le visage de bisous. Je suis pétri d'émotion avant même d'être totalement conscient.

Je ne sais quoi dire devant tant d'enthousiasme matinal. Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. Clémentine se couche sur moi. << Je t'aime Julien. Je t'aime comme une folle. J'ai été tellement heureuse durant tout ce séjour en Ecosse ! >> murmure t-elle. Je dis : << Mais ce séjour n'est pas terminé. Il reste cinq jours ! >>. Nous faisons le lit avant de nous rendre aux toilettes à notre tour. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Les douces senteurs du café et du pain grillé s'y mêlent divinement.

Estelle me saute au cou. << Merci docteur Julien pour vos soins et votre thérapie ! >> dit elle, faisant allusion à mes attentions durant ses "petits machins". Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. J'administre toujours le même traitement à Clémentine. Il est 8 h30. Nous prenons notre copieux petit déjeuner. Il ne reste plus qu'un pot de confiture d'églantines. << Même s'il ne reste que cinq jours ça sent quand même la fin ! >> lance Estelle en me tendant sa tranche.

Je la beurre, je l'enduis de confiture. Nous mangeons de bon appétit. Dehors il fait beau. << Vous allez voir, maintenant l'été va s'installer sur l'Ecosse. Et nous sommes obligés de rentrer ! >> rajoute Estelle. Nous faisons la vaisselle. Nous nous lavons les dents avant de revêtir nos tenues sports. Nous dévalons l'escalier de service. Il fait beau, mais il fait frais. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Notre jogging nous entraîne sur notre circuit habituel. Une heure d'un très agréable running.

Il est 10 h quand nous revenons. Estelle prend sa douche. Assise sur mes genoux, Clémentine consulte nos messageries. Un courriel de Juliette qui nous annonce son départ de Vendée dimanche en début d'après-midi. Ses vacances sont terminées. Le message de Julie qui nous confie sa tristesse d'arriver en fin de saison. Elle conclue en affirmant qu'elle sera disponible pour l'été prochain. Car "jamais deux sans trois" ! Nous répondons aux deux mails en joignant une photos prise hier durant notre escapade à vélos.

Estelle vient nous rejoindre. Jeans et sweat. Nous lui cédons la place pour nous rendre à la salle de bain. Après la douche nous revêtons les mêmes habits. Nous rejoignons Estelle qui surfe sur les sites touristiques. << Balade vélo cet après-midi ? Regardez voir ! >> dit elle en nous montrant les photos qui s'affichent sur l'écran. << Pour sûr ! Malgré quelques courbatures, il faut combattre le mal par le mal ! >> répond Clémentine. C'est vrai que hier les dénivelés nous ont un peu meurtris. Rires.

Il est 10 h45. Nous descendons l'escalier de service pour aller faire quelques pas au dehors. Le soleil commence à réchauffer l'atmosphère. Nous avons presque trop chaud en sweat et en jeans. Nous parcourons les rues avoisinantes. Le quartier résidentiel est toujours calme et silencieux. A peine s'il passe quelquefois une auto. Si nous croisons un jogger où une promeneuse de chien. Clémentine porte la clef de la propriété autour du cou. Elle nous la montre en l'agitant. << On va rêver un peu ? >> propose t-elle.

Nous voilà dans la propriété. Il y a un nombre incroyable d'écureuils qui ont élu domicile dans ce parc. Clémentine ouvre la porte de la maison d'un geste solennel en disant : << Nous entrons chez nous ! >>. Estelle empoigne ma braguette en s'écriant : << Alors il faut observer le protocole qui porte bonheur et chance ! >>. C'est avec la bite à l'air que je franchis le seuil de la grande demeure. Clémentine, d'un doigt agile qu'elle glisse sous mes roubignoles me les extrait de la braguette d'un mouvement précis.

La braguette fait garrot. Mes couilles sont donc bien dodues sous une queue qui bande légèrement. << J'adore quand elle pend comme ça ! >> lance Estelle. << C'est génial ! >> fait Clémentine. Une fois encore nous parcourons toutes les pièces du bas. Nous montons l'escalier. Estelle, arrivée en haut, se met à califourchon sur la large rampe pour se laisser glisser jusqu'en bas. Nous faisons pareil en rigolant comme des bossus. Nous remontons pour parcourir toutes les pièces de l'étage. Estelle me tient la queue.

<< Photos ! >> lance Clémentine. Nous prenons la pose. Estelle, serrée contre moi, me tient la bite qu'elle pointe vers l'objectif. Second cliché où elle s'accroupit pour poser sa tête contre ma hanche, son visage à quelques centimètres de mon sexe qui pend mollement dans une semi érection. Nous faisons les mêmes photos dans chaque pièce. Je dis : << Tu vas pouvoir les montrer à ta maman ! >>. Estelle me tort la queue en s'écriant : << Salaud ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine nous montre les clichés.

Il commence à faire faim. Nous redescendons sur la rampe de l'escalier en poussant le même cri : << Rock and Roll ! >>. Estelle m'attrape par les épaules en disant : << J'aime les sports extrêmes avec vous, moniteur Julien ! >>. Mes deux anges se serrent contre moi. Distribution de bisous. Nous quittons la propriété. La grille du portail est tellement lourde qu'il faut être à deux pour la refermer. Trois mètres de long sur quatre mètres de haut. Cent ans d'âge. Je dis : << Si on achète, on fait installer une ouverture automatique ! >>.

Je remballe mes attributs virils. Il est midi quand nous revenons à l'appartement. Interdiction de rester dans la cuisine pendant qu'Estelle prépare la surprise du repas. Clémentine m'entraîne à la salle de bain. Nous vidons la machine pour suspendre le linge. Nous n'arrêtons pas de nous embrasser, de nous caresser, de nous chuchoter des douceurs. J'ai à nouveau la bite à l'air et ma main dans la culotte de Clémentine. D'un mouvement lent et régulier, elle se frotte sur ma main, cambrée sur ses genoux fléchis.

J'ai envie de lui lécher le minou. J'ai toujours envie de lui lécher le minou. Fourrer mon visage dans cette invraisemblable broussaille sauvage. Sucer cet invraisemblable clitoris géant. Sucer le jus qui coule de sa vulve. M'enivrer de ses substances. Lorsque je lui chuchote toutes ces envies, Clémentine en rit toujours. Elle enlève son jeans et sa culotte pour s'installer sur la chaise entre le lavabo et la baignoire. << Viens ! >> dit elle en me montrant sa chatte tout en écartant ses cuisses au maximum.

Je plie une serviette pour m'y mettre à genoux. Ma tête entre ses cuisses, mon visage fourré dans sa touffe. Ça gratte, ça chatouille, j'ai des poils dans la bouche. Mais je peux sucer ce clitoris qui a la taille de la première phalange d'un pouce d'homme. Les gémissements de la fille que j'aime, qui se tortille sur la chaise, ne font que me stimuler davantage. << J'ai envie de sucer ! >> murmure t-elle à plusieurs reprises. C'est ainsi que nous surprend Estelle quand elle vient nous chercher.

<< Put-Hein ! Tu me fais ça aussi, sel te pli ! >> dit elle en se précipitant pour s'accroupir derrière moi, me choper la queue et me branler doucement mais d'une poigne de fer. << On mange, les cochons, c'est prêt ! >> dit elle. Je me redresse. Clémentine reprend ses esprits en disant dans un profond soupir : << Wouah c'est bon ça ! Ça met en appétit aussi ! >>. Estelle nous entraîne dans la cuisine. Clémentine remet sa culotte et son jeans. << Sinon je mouille le coussin de la chaise ! >> dit elle en éclatant de rire.

Estelle nous a préparé une salade avec les dernières tomates, le dernier avocat. Des beignets de poissons avec du riz pilaf. Il ne reste plus que de la mimolette à râper. Nous ferons les courses ultimes demain dimanche. Nous félicitons Estelle pour ce repas simple mais tellement bon. << Restes de frigo à la Toscane ! Recette Estelle ! >> lance t-elle. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous nous lavons les dents avant de nous changer. << Je change de culotte, regarde ! >> me fait Clémentine. Nous éclatons de rire.

Les filles portent leurs jupettes, leurs T-shirts. Je suis en short, T-shirt. Nos baskets. Dans le petit sac à dos les K-ways et les leggings pour la fraîcheur du soir. Pressés de filer, nous dévalons l'escalier de service. Un rapide contrôle de la pression des pneus. C'est parfait. Estelle est pénalisée car elle roule sur le VTT dont les pneus sont plus larges. Alors que nous sommes en VTC avec des pneus plus fins. Cette fois, nous descendons directement sur Edimbourg. Le départ de notre itinéraire à partir de Haymarket.

La circulation à bicyclette dans Edimbourg est un véritable plaisir. Pas d'autos. Nous sommes des centaines à circuler ainsi. Il est à peine 13 h30. Nous prenons la direction indiquée. Colinton Tunnel Mural. La piste cyclable commence après Windsor Park. Nous croisons nombre de cyclistes. Ce circuit est un peu l'autoroute des vélos. Quelques kilomètres. Nous entrons dans le tunnel. C'est impressionnant. Beaucoup de gens font comme nous. C'est tellement rigolo de pousser des cris car la résonance y est tout à fait étonnante.

Les murs sont couverts de graffitis. Des rangées de néons éclairent le tunnel depuis le plafond. Il y a même des marcheurs sur les trottoirs des deux côtés. Il y a de la descente. On accélère. On fonce même. Ouf, nous revoilà à la lumière du jour. Il fait carrément chaud. C'est rageant d'avoir passé tout un été qui ressemblait à un automne et d'avoir à présent ces journées magnifiques. La piste cyclable évolue maintenant en pente douce vers les collines. En bas, un lac. Un des réservoirs naturels qui alimentent Edimbourg.

C'est Loganlea Reservoir. Nous nous arrêtons pour lire les informations sur le grand panneau. L'historique de l'aménagement. Estelle m'empoigne la braguette en disant : << Au prochain arrêt pipi, tu me fais comme à Clémentine ce matin ? >>. Nous éclatons de rire. Nous repartons. Les dénivelés sont fréquents. Il faut descendre une cinquantaine de mètres sur un kilomètre puis remonter la même chose sur un autre kilomètre. C'est éprouvant. Ce qui explique qu'il y a beaucoup moins de cyclistes.

Soudain, après la descente et le virage, nous nous retrouvons en pleine forêt. La piste longe une rivière. C'est Colinton Water of Leith. Un des nombreux affluents qui se jettent dans le Forth. C'est absolument magique. Les branchages forment un véritable tunnel de feuillages au-dessus de nos têtes. Nous avisons ce petit sentier qui descend vers la rivière. La pause pipi. Estelle et Clémentine retirent leurs culottes. Elles les enfilent à leurs poignées. Elles s'accroupissent. << Merde, des gens ! >> lance Estelle.

Là-bas, sur l'autre rive, à une vingtaine de mètres, il y a un pêcheur. Nous ne l'avions pas vu. Mais lui nous a aperçu. << Oh et puis merde, il n'a qu'à mâter ! >> fait Clémentine qui change de position pour se mettre bien face au mec. Estelle fait pareil. Je les tiens par leurs cheveux. Elles se concentrent. Pour Estelle qui n'est pas très exhibitionniste, c'est plus difficile que pour Clémentine qui pisse la première. Je regarde le type. Il est vautré dans sa chaise pliante entouré de l'équipement "para militaire" du pêcheur passionné.

Il a de quoi mâter le bougre. Les filles écartent leurs cuisses au maximum. Estelle arrive enfin à se lâcher. Clémentine, pour éviter la crampe, se redresse. Elle garde sa jupe relevée. Estelle se redresse à son tour. Le mec observe consciencieusement. Il n'a probablement jamais assisté à un tel spectacle. Je torche les filles avec un soin particulier. En faisant bien durer. Je montre les mouchoirs en papier au pêcheur avant de les poser bien en vu sur une grosse pierre plate. Clémentine mime une branlette masculine.

Elle se touche. Elle se masturbe doucement. Estelle se serre contre moi pour me palper la braguette. Notre voyeur involontaire reste immobile, pantois. Il est trop loin pour que nous puissions voir les expressions de son visage. Des voix. Il y a des gens. Les filles remettent leurs culottes à toute vitesse. Juste à temps. Ce sont trois couples de randonneurs. Nous filons sur nos bicyclettes en riant comme des fous. Estelle se met à pousser des cris. Nous faisons pareil. << C'est trop délirant ! >> lance Clémentine.

Nous sortons de la forêt pour monter une pente assez raide. Nous voilà au-dessus d'une autre retenue d'eau. Le panneau indique Threipmuir Reservoir. Ce réservoir permet d'irriguer les cultures autour d'Edimbourg. Il y a deux petits barrages. Nous poussons les vélos pour les parcourir. C'est impressionnant. Nous continuons. Voilà Glencorse Reservoir. Une autre retenue d'eau. Celle-ci est un vrai lac. Il y a plein de cygnes et d'oiseaux aquatiques. Interdictions de pêcher. Les rives en sont désertes.

Ce circuit fait une boucle d'environ 50 km. Il est un peu plus fatiguant car les dénivelés sont nombreux. Voilà Stream Side et ses paysages de western. Il y a une rivière au fond de canyons. Les collines deviennent des roches escarpées. Nous nous arrêtons pour prendre quelques photos. C'est magnifique. Il y a des enclos avec des tas de moutons. Des randonneurs. << Il faudra découvrir toutes ces merveilles lorsque nous vivrons à Edimbourg ! >> lance Clémentine. C'est vrai que tout cela est un enchantement de chaque instant.

Seconde pause pipi pour les filles. Cette fois, nous choisissons un endroit isolé. Nous voulons y grignoter nos pommes. Mes deux anges ont surtout envie de se faire lécher les croupions. Moi aussi. Toutes les deux, après leurs pissous, couchées sur le dos, à même le sol, m'offrent leurs chattes. Je me régale. Estelle n'a plus la petite ficelle blanche qui dépasse de sa touffe. J'ai donc accès à sa vulve dont je pompe tout ce que je peux. Put-hein c'est bon. Le jus de fille, après des kilomètres à bicyclette, offre d'incomparables saveurs.

A tel point qu'Estelle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Dans un cri, dans une série de spasmes, de frissons et de convulsions elle me repousse doucement pour se mettre sur le côté. Ses mains entre ses cuisses comme si elle avait mal. Elle reprend son souffle. Je la félicite. Clémentine préfère rester excitée jusqu'à ce soir. Moi aussi. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets contre un rocher. Elle y fait le dessin d'un bonhomme rigolo. "Mr Pipi". Accroupies, toutes les deux se refilent ma bite qu'elles sucent comme des assoiffées.

Nous reprenons notre route. Voilà Torduff Link to Harlaw. Les clochers d'Edimbourg plus loin. Le volcan éteint de Arthur"s Seat. Le château sur sa colline. Il est 19 h quand nous revenons sur Haymarket. Nous trouvons facilement un restaurant. En fait, c'est un fastfood. On s'en fout. Nous sommes en leggings et en K-ways car la fraîcheur du soir a fait place aux chaleurs de l'après-midi. Nous dégustons des plateaux de fish & chips qui nous paraissent aussi succulent qu'un repas de restaurant étoilé. Nous sommes morts de faim.

Bonne virée vélo à toutes les coquines qui aiment les pauses pipis pour s'y faire lécher la cramouille et sucer le clitoris avant la pipe...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1627 -



Un anniversaire imprévu. Une fête improvisée. Un bon restaurant...

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures quand nous nous réveillons tous les trois quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Estelle à ma droite se serre encore plus fort en saisissant mon érection matinale. Clémentine à ma gauche se blottit en empoignant mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Nous restons ainsi un petit moment. Jusqu'à ce que l'envie de pisser devienne trop forte. Envie pressante qui fait bondir Estelle hors du lit. Elle se précipite vers la porte.

Nous faisons le lit avant d'aller aux toilettes à notre tour. Dehors le ciel est couvert. Des cumulus de nuages qui n'ont rien de menaçants mais qui nous privent de ce soleil auquel nous nous sommes habitués. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine où règnent déjà les effluves parfumées au café et au pain grillé. << J'ai mal au cul ! >> s'écrie Estelle. << C'est le vélo ! >> rajoute Clémentine. Je sens également mon arrière train. Il faut dire que hier l'itinéraire choisi ne fut pas simple. Il a fallu fournir des efforts soutenus.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ces sorties vélos. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. Avec cette météo, ce sera des flâneries en ville. Le compte à rebours a commencé. Il faut donc profiter de chaque instant pour le rendre plus dense, plus intense. Afin de ne pas avoir cette désagréable impression de manquer le moindre détail, la moindre anecdote, le moindre plaisir. C'est dimanche. Pas de jogging. Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir. << Tu te souviens du 29 août 2009 ? >> lance Clémentine. << La date où nous nous sommes connues ! >> répond immédiatement Estelle. Elles avaient douze ans toutes les deux en 2009. Je ne les connaissais pas et j'avais déjà 42 ans. J'ai soudain une sensation de vertige. << La nuit des temps ! >> fait Estelle. << Livre de Barjavel paru en 1991 ! >> dit Clémentine. Nous rions de bon cœur. Je propose aux filles de fêter cet anniversaire. Restaurant à midi.

<< Super ! >> s'écrie Estelle qui se serre contre moi. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, elle me couvre le visage de bisous. Même traitement pour Clémentine. Nous nous habillons. Jeans, sweats. << Les trois Mousquetaires ! >> fait Estelle en nous entraînant devant le grand miroir. Nous prenons des pauses ridicules en faisant les clowns. << On va faire nos courses ce matin ? Les dernières avant le départ ! >> propose Clémentine. << Voilà une excellente suggestion ! >> lance Estelle.

Il faut mettre les anoraks parce que le thermomètre extérieur indique à peine 14°. Dans le petit sac à dos que je porte, les sachets. Pressés de filer, nous dévalons l'escalier de service. Il est 10 h15. Nous marchons d'un bon pas. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les mains. Neuf cent mètres jusqu'à Morningside. C'est comme tous les autres jours de la semaine. Christ Church et ses nombreux touristes. La rue commerçante. Ses magasins, sa supérette. Notre boulangerie préférée. Il y a du monde.

Le ciel semble s'assombrir. Nous achetons surtout des fruits dont nous faisons grande consommation. Au bas de la rue, en descendant sur Leith, il y a ce grand restaurant assez chic. Nous n'y avons jamais mangé. Avec cet anniversaire, je propose de tenter le coup pour midi. << Super ! >> s'écrie Estelle. << On va réserver ? >> suggère Clémentine. Avec nos sacs à la main, nous descendons toute la rue commerciale jusqu'à l'ancienne friche industrielle. C'est à présent un grand chantier. En face, un parc. Le restaurant est un ancien manoir.

Il faut pénétrer le parc superbement bien entretenu. Nous traversons l'allée pour monter les larges marches. C'est un endroit beaucoup plus luxueux qu'il n'y paraît. De hauts plafonds. De véritables lustres accrochés entre les moulures. Nous sommes accueillis comme de vieux clients habitués. La chef de salle est une femme élégante et d'un raffinement exquis. Nous réservons une table pour midi et demi. Nous jetons un rapide coup d'œil sur les menus. << Il y a plein de trucs qu'on adore ! >> lance Clémentine.

Nous repartons. Nous récupérons nos sacs posés en haut de l'escalier. Il est 11 h30 quand nous sommes de retour. Nous rangeons nos courses. Estelle propose de revêtir nos chemises blanches sous nos pulls bleus nuits au col en "V". << Avec les jeans, ça fait chicossse ! >> dit elle en nous entraînant dans la chambre. << Mais alors sous les vestes ! >> propose Clémentine. Je suggère d'emmener nos anoraks dans la voiture. Au cas où la pluie se mettrait de la partie car le ciel devient vraiment menaçant.

Nous nous changeons. << Regardez comme on est beaux tous les trois ! >> fait Estelle quand nous prenons la pause devant le grand miroir. Nous avons chaussé nos souliers de ville. Tous les trois en mocassins noirs, en vestes noires. Nous dévalons l'escalier pour courir à la voiture. Je roule doucement. Clémentine garde sa main posée sur ma braguette. Un mouvement régulier qui est très agréable. Assise à l'arrière Estelle me caresse les joues en nous donnant ses impressions quand au restaurant du manoir.

Il faut garer l'auto dans la rue adjacente. Par prudence, Clémentine emmène le grand parapluie. Nous traversons le petit parc. << Après, je te sors la bite dans les fourrés ! >> me fait Estelle. Nous rions. Il y a du monde dans la salle. Les tables rondes sont toutes couvertes de nappes blanches. C'est un décors somptueux. Un nouvel endroit à marquer d'une pierre blanche dans nos mémoires. Nous voilà attablés. Nous passons commandes. Le personnel est en smokings. Ce qui va très bien à la serveuse qui s'occupe de nous.

Queues de homards grillés accompagnées de leurs florilèges de petits légumes. Quatre sauces différentes. Nous mangeons de bon appétit dans un environnement superbe. Nous attirons évidement quelques regards. Estelle et Clémentine fêtent là leurs douze ans d'une indéfectible amitié. Elles se sont connues au collège. Ont continué à se voir, puis à se fréquenter assidument au lycée. Rapidement, lorsqu'elles avaient 14 ans, Clémentine passait ses week-ends chez Estelle. Leurs adolescences communes.

Clémentine pouvait ainsi fuir sa famille d'accueil. Les parents d'Estelle devenant rapidement ses intimes. Au point que Clémentine passait toutes les vacances scolaires chez Estelle. J'aime écouter les souvenirs qu'elles partagent. Je comprends ce lien fort qui les unies. << Et tout ça continue grâce à toi Julien ! >> me fait Clémentine en prenant ma main. Je suis pétri d'émotion. C'est fort. Je me contente de dire : << Il faut que tout cela continue ! >>. Un silence lourd. << Nous ferons tout pour que cela continue toute notre vie ! >> lance Estelle.

<< Nous sommes encore plus soudées que des sœurs jumelles et siamoises ! >> rajoute t-elle. Nous traînons à table. J'écoute les merveilleux souvenirs que les filles échangent. Visites aux toilettes. D'abord avec Estelle. Puis avec Clémentine. Cela attire bien des regards lorsque l'une m'entraîne par la main. Puis l'autre. Et lorsque nous récidivons après les coupes glacées, nous sommes un peu l'attraction d'une partie de la clientèle. L'addition. Le sourire complice de notre serveuse en dit long sur ce que notre trio inspire.

Nous voilà sous le grand parapluie, serrés tous les trois pour traverser le parc jusqu'à l'auto. Nous enlevons nos vestes pour revêtir nos anoraks. Nous changeons de souliers pour remettre nos baskets. En route pour Leith. Nous rejoignons Edimbourg par le périphérique. Nous nous garons à l'entrée de la ville. Sur un des parkings obligatoires. << Sors ta bite. On ne la voit pas sous l'anorak si tu le fermes ! >> s'écrie Estelle qui me palpe la braguette passionnément avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche.

Nous restons serrés tous les trois. Bien des têtes se retournent sur notre passage. Il faut dire que les filles n'arrêtent plus de me faire des bisous. Je murmure : << Je vous aime mes sœurs jumelles ! Quel privilège que de partager vos vies ! >>. Clémentine s'arrête de marcher pour dire : << Mais c'est un privilège pour nous. Tu n'imagines pas un instant comme c'est fort, puissant et profond ! >>. Estelle rajoute : << Sans toi, tout serait sans doute tellement différent. Et puis tu m'as encore offert de merveilleuses vacances ! >>.

Situé sur Mound, la National Gallery est voisine de ce grand parc en gradins. A chacun de nos séjours en Ecosse nous nous faisons un devoir de visiter ce musée. En fait, ce qui nous intéresse, c'est la galerie des peintres hollandais du siècle d'or. Les maîtres du XVIIème. Il y a du monde. Nous parcourons les salles pour admirer les collections permanentes. Il y a tant de choses à voir ici. Des toiles de presque tous les grands peintres sont exposées là. Même des impressionnistes et des fauvistes que nous n'apprécions pas vraiment.

Il y a des caméras de surveillances partout. Je demande donc à Estelle d'être plus discrète encore lorsqu'elle me palpe la braguette. Je refuse bien sûr de sortir ma queue pour déambuler dans les vastes salles de ce bâtiment néo classique. Aussi, ce sont autant de prétextes pour se blottir contre moi afin de masquer l'activité de sa main. Clémentine fait également écran de son corps. Il est assez simple de dissimuler ainsi les palpations de braguette. Par contre notre trio ne passe pas toujours inaperçu.

Cet homme d'âge mûr contre lequel se serrent ces deux superbes jeunes filles. On nous regarde discrètement le plus souvent. Des regards par en-dessous. Parfois interrogateurs, souvent amusés. Libidineux et envieux de la part de certains visiteurs. Nous en jouons avec un plaisir raffiné. Lorsque le regard se fait plus insistant encore, les filles me déposent des bisous. Souvent sur la bouche, l'une après l'autre. Nous en rions comme des fous dans les rares recoins du musée. La visite est libre. Nous préférons la liberté...

Nous admirons ce merveilleux petit tableau de Gerard Dou. Maître hollandais du XVIIème dont la production était réservée par toutes les cours royales d'Europe. Gerard Dou, était immensément célèbre. Ses tableaux sur bois, de petite taille, étaient tellement prisés que les rois réservaient des années en avance. Gerard Dou est devenu aussi immensément riche que célèbre avant de tomber dans l'oubli au milieu du dix huitième siècle. Une bien étrange destinée. Ce petit tableau que nous admirons est protégé par une vitre de sécurité.

C'est un réel pèlerinage devant cette œuvre fabuleuse. Un personnage vêtu d'une cape d'un bleu magique devant une table. Sur la nappe de laquelle est posé un violon. C'est fabuleux. Une loupe est accrochée à une chaînette afin de pouvoir admirer l'incroyable finition, le détail et l'invraisemblable technique du maître. Excellente situation pour permettre à Estelle d'égarer sa main contre ma braguette. C'est toujours tellement excitant que je bande autant de fois par jour qu'elle ne me tripote. Je ne les compte même plus.

Nous terminons notre visite pour 17 h. J'ai encore la bosse quand nous nous dirigeons vers Princess Street. Il ne pleut plus. Mais tout est trempé, le ciel maussade. Nous flânons dans le labyrinthe du centre historique. Ces ruelles en escaliers. Ces venelles pleines d'un charme mystérieux. Il y a là quantité de recoins où s'égarer pour nous embrasser, nous tripoter. Je passe mes mains entre les cuisses bouillantes de mes deux anges. Il est 19 h. Il commence à faire faim. Nous trouvons facilement un bon restaurant typique.

Bonnes visites de musées historiques à toutes les coquines qui aiment palper discrètement de la bosse. Tripoter de la braguette tendue...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1628 -



Flâneries dans les rues d'Edimbourg

Hier matin, lundi, il est 8 h30 quand je suis tiré de mon sommeil par la main d'Estelle qui s'empare de mon érection naturelle. C'est toujours surprenant car cela se mêle encore à mon rêve dont je ne garde aucun souvenir. Elle se serre encore davantage. Ces légers mouvements réveillent Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous avant de nous étirer en modulant longuement nos gémissements. Jusqu'à l'absurde en riant déjà de nos pitreries.

<< Pipi ! >> s'écrie Estelle en se levant d'un bond. Nous faisons le lit avant d'aller aux toilettes à notre tour. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. C'est un autre ravissement que de respirer les odeurs du café, du pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ces deux nouvelles semaines à Edimbourg. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme du jour. Dehors il y a une alternance de séquences ensoleillées, d'autres plus couvertes.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous enfilons nos tenues sports. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffement dans une désagréable fraîcheur matinale. C'est parti. Notre jogging nous entraîne le long de notre parcours habituel. Nous y croisons quelques joggers en nous saluant d'un signe de tête. Il est 10 h quand nous revenons. Il y a un mot collé sur la porte de l'appartement. Monsieur Anderson, l'intermédiaire de la maison, nous attend devant pour 11 h.

Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux courriels. Celui de Juliette qui nous raconte sa rentrée. Julie qui nous raconte la fermeture de la galerie pour demain soir, mardi 31 août. Estelle vient nous rejoindre. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous sommes vêtus tous les trois de jeans, de sweats et de baskets. << J'ai fait un rêve érotique mais je ne me souviens plus ! Je sais juste que c'était bien ! >> lance Estelle. Nous rions de bon cœur.

Nous réunissons tous les vêtements à laver. C'est l'avant dernier jour écossais. Ainsi, pour notre départ jeudi matin, ils seront secs. Une machine. Il faut mettre les anoraks car la température extérieure n'est que de 14°. << Question météo, nous n'aurons aucun regret ! >> fait encore Estelle. Nous descendons l'escalier. Le ciel semble s'assombrir. Les éclaircies se font de plus en plus rares. << Je n'ai jamais vécu une fin octobre dès la fin août ! >> lance Clémentine. Les filles m'entraînent par les mains.

Il n'y a que quelques centaines de mètres pour arriver au lieu du rendez-vous. Mr Anderson nous attend devant le portail ouvert. Nous nous saluons sans nous toucher. Nous longeons l'allée pour entrer dans la maison. Je suis évidemment intéressé par cette demeure du XIXème. Tout est parfaitement entretenu, rénové et sain. Seulement voilà, il faudra attendre quatre ans avant de quitter la France pour revenir dans mon pays. Clémentine doit encore passer son doctorat et exercer une année en tant que professeur en université.

Le deal est alors d'une étonnante simplicité. Le propriétaire vit en Californie. Il n'est absolument pas pressé de vendre. Mr Anderson lui a parlé de moi, de ma peinture et surtout de la côte de mes toiles. Aussi, le propriétaire a chargé Mr Anderson de récupérer un de mes tableaux chaque année. Comme autant de promesses d'achat en quelque sorte. Je trouve cette idée parfaite. Je promets à Mr Anderson que la première toile lui parviendra pour la fin du mois de septembre. L'affaire est inattendue mais conclue. Un document signé.

A l'issue de ces quatre années, le propriétaire fera l'acquisition de ces quatre tableaux. Nous visitons la demeure une dernière fois. Nous remettons les clefs à Mr Anderson que nous saluons. Sur le chemin du retour, Clémentine et Estelle ne cessent de sautiller autour de moi. Comme des écolière avant les vacances. << Tu t'attendais à un plan aussi génial ? C'est surréaliste ! >> me fait Clémentine. << Put-Hein, elle ne s'est pas penchée sur ton berceau la bonne fée, elle a carrément passé la nuit avec toi ! >> s'écrie Estelle.

Je dis : << Vous n'y êtes pas du tout, c'est vous qui me portez bonheur, qui m'apportez la chance ! >>. Il est midi quand nous sommes de retour. Interdiction d'entrer dans la cuisine. Estelle insiste pour nous faire la surprise d'un repas. << Allez faire vos cochonneries, je vous appelle quand c'est prêt ! >> dit elle en nous poussant hors de la pièce. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. Elle se couche à côté de moi. Tout en m'embrassant elle ouvre ma braguette.

Me voilà avec la bite à l'air. << Quand j'apprends d'aussi bonnes nouvelles, j'ai envie de sucer ! >> chuchote Clémentine en posant sa tête sur mon ventre. Je me fais tailler une pipe des familles. Clémentine suçote juste l'extrémité de mon sexe en prenant soin de ne surtout pas le décalotter. Elle aime cesser de pomper pour passer sa langue entre la peau du prépuce et celle du gland. Fouiller, explorer, chercher. Je lui caresse la tête en lui murmurant des douceurs, des cochonneries. Mes couilles sont en ébullition.

C'est ainsi qu'Estelle nous trouve en ouvrant la porte. Tout en précipitant pour plonger sur le lit, elle dit : << C'est prêt les vicieux, vous pouvez passer à table ! >>. Clémentine lui tend ma queue ruisselante du foutre qu'elle n'a pas eu le temps de récupérer. Cela fait évidemment le bonheur d'Estelle qui se met à pomper comme si sa vie en dépendait. Clémentine me montre ce qu'elle a en bouche. Cela ne dure pas. Estelle se redresse d'un bond pour nous entraîner par les mains jusqu'à la cuisine.

Quelle agréable surprise. Un gratin de coquillettes nappé de mimolette, de biscottes pilées, et de rondelles d'avocat fondues. Trois filets de poisson poêlés avec champignons, ail, oignons. Une salade de tomates. Nous la félicitons. Je lui fais des bisous. Elle saisit ma bite molle en disant : << Je te préviens, quand je commence à sucer je peux y passer le reste de la journée ! >>. Clémentine lance : << Pareil pour moi ! >>. Nous éclatons de rire en nous asseyant. Nous mangeons de bon appétit. C'est super bon.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur cet incroyable deal. Quatre de mes toiles pour sceller une promesse de vente. Une toile chaque année à la fin du mois de septembre. << Ça ferait le scénario d'un film ! >> lance Estelle. << Mais toutes nos aventures feraient l'objet d'un scénario ! >> rajoute Clémentine. La vaisselle. Nous nous lavons les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Mes deux anges miment des fellations avec leurs brosses à dents.

Nous décidons de rester vêtus ainsi. Avec ce climat, à peine 18°, pas de jupettes pour Estelle et Clémentine. Jeans, Sweats, baskets, anoraks. Pressés de filer nous dévalons l'escalier. Nous prenons l'auto. Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour en extraire une queue molle gluante qui colle au fond du slip. Estelle, assise à l'arrière, me supplie de pouvoir passer devant. S'assoir entre les pieds de Clémentine comme elle le fait parfois. Pouvoir avoir accès à ma bite mouillée de foutre.

Je refuse. En cas de contrôle bien improbable, ce genre de comportement automobile est durement sanctionné. Nous garons l'auto sur le parking du supermarché Regus, sur Sainsbury's. C'est à l'entrée de la ville juste à côté de St Andrew square. Ainsi, nous pouvons faire nos derniers achats alimentaires. Nous marchons d'un bon pas. Il y a une vingtaine de minutes jusqu'au centre historique. J'ai bien évidemment remballé ma queue qui macère dans son jus au fond de mon slip. Par contre, je garde la braguette ouverte.

Nous attirons encore bien des regards. Mes deux anges sont accrochées à mes bras. << Nous attirons bien des convoitises aussi. A voir le regard de certains ! >> lance Estelle qui profite de chaque arrêt pour glisser sa main dans ma braguette. Les pans de mon anorak cachent parfaitement l'ouverture béante de mon jeans. Nous arrivons sur Royal Mile. Il y a un monde fou. Le ciel devient menaçant. Dans le petit sac à dos que je porte, nos minis parapluies de rando. Il y a constamment une ambiance de fête à Edimbourg.

Nous espérons pouvoir venir y passer les fêtes de fin d'année. Le Hogmaney, ce fameux nouvel an écossais, reste à Edimbourg une des plus grandes festivités hivernales d'Europe. << Vous avez vu ce qui se prépare en France. Nos dangereux psychopathes vont se venger des manifestants de l'été. Accuser tous les anti passe sanitaire d'êtres responsables de la quatrième vague. Résultat, tout le monde reconfiné ! Les frontières cloisonnées. On les voit venir ces enfoirés ! >> lance Clémentine. Elle a probablement raison.

Il y a la grande librairie Armcher Books. C'est un véritable supermarché du livre. Sur deux étages. Nous prenons l'escalator. Pour tout amoureux des livres, cet endroit est un peu la caverne d'Ali Baba. Ce sont des allées entre de hautes bibliothèques. Plein de monde évidemment, selon les rayons. Nous cherchons un bel album photos à ramener pour Julie. Il y a l'embarras du choix. Clémentine feuillette, nous montre les différents ouvrages. Estelle, discrètement fouille ma braguette.

<< Regarde l'état où tu te mets ! >> me murmure t-elle en me montrant ses doigts trempés de jute. Je chuchote : << C'est à cause de vous deux ! >>. Nous rions. Il est difficile de faire un choix car il y a tant de beaux livres. Je propose d'en prendre deux. Ils sont lourds. Clémentine a une idée. << On les laisse dans le restaurant où nous allons réserver notre table pour ce soir. Comme ça, pas besoin de les trimballer ! >>. Nous trouvons la suggestion excellente. << Il faut juste trouver le restau ! >> lance Estelle.

C'est dans le complexe commercial de Little Fairy Tale que nous choisissons un des six restaurants qui affichent des menus plus alléchants les uns que les autres. Notre table est réservée. Nous pouvons y laisser le sac qui contient les deux albums d'un poids démentiel. Ouf, soulagé. Nous flânons dans les ruelles pavées. Il y a parfois quelques gouttes de pluie. Il y a aussi quantités de recoins où les filles peuvent me tripoter, m'embrasser, donner libre cours à leurs envies de jouer avec une queue en lieux publics.

Ce sont souvent des challenges qu'elles se fixent. Celle qui aura le culot de prendre la bite en bouche sous une porte cochère, à l'entrée d'un immeuble ou encore dans un couloir dont la porte est ouverte. Nous nous amusons à ces jeux comme des fous. C'est hyper excitant. Nous échappons souvent de justesse aux regards des passants. Certains ne sont évidemment pas dupes. Leurs sourires convenus ne laissent que peu de doute. Ils nous ont vu où alors ils ont compris. << C'est génial ! >> lance à chaque fois Estelle.

Il est rapidement 19 h. Nous avons réservé pour 19 h30. << Et les courses ? >> demande Estelle sans trop y croire. << On les fait demain ! Le pain restera frais plus longtemps ! >> répond Clémentine. Nous voilà attablés dans un endroit luxueux. Un personnel aux petits soins. La salle est presque pleine. Nous prenons une spécialité de la maison. Devil's pudding. Ce sont des fruits de mer grillés présentés en gelée accompagnés de calmars en beignets, de petits légumes et surtout d'un délice particulier. Du crabe fumé confit. Miam !

Quatre visites aux toilettes durant tout le repas. Deux avec Estelle. Deux avec Clémentine. Sous quelques regards interrogateurs. Y compris de la jeune serveuse qui nous adresse de délicieux sourires à chaque retour. << Elle nous guette. Sans doute une membre du "Club" ! >> suppose avec justesse Clémentine. Il est 21 h30. Nous récupérons nos livres. C'est sous la pluie qu'il faut marcher une vingtaine de minutes pour retourner à la voiture. Cette fois j'autorise Estelle à venir se cacher parterre, devant, entre les pieds de Clémentine.

Bonnes flâneries en ville à touts les coquines qui aiment se fixer des défis coquins. Parfois bite en bouche, juste une seconde...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1629 -



Quelques dernières folies écossaises

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements de pieds d'Estelle. Encore une de ses "impatiences" qui donnent l'impression qu'elle pédale. A moitié endormie, elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection naturelle. J'adore être empoigné ainsi pour prendre conscience du réel. Tout cela réveille Clémentine qui vient se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges. Il est huit heures trente. Distribution de bisous et de papouilles.

Estelle se lève précipitamment pour trottiner vers la porte. Nous faisons le lit. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle. Dans la cuisine parfumée des odeurs du café et du pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant nos flâneries coquines de hier. << J'adore sucer dans les coins ! >> lance Estelle. << C'est trop excitant ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions beaucoup. Nous mangeons de bon appétit tout en élaborant le programme de cette avant dernière journée écossaise.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents avant de revêtir nos tenues sports. Nous dévalons l'escalier de service. Quelques mouvements d'échauffements dans la désagréable fraîcheur matinale. Heureusement que nous avons nos K-ways. C'est parti. Estelle impulse le rythme soutenu de ce jogging. Le long de notre itinéraire quotidien. Le ciel est couvert mais absolument pas menaçant. Un running qui se déroule dans les toutes meilleures conditions. Il est dix heures quand nous sommes de retour.

Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine consulte nos courriels. Juste celui de Julie qui nous raconte sa journée. Il y a moins de visiteurs. C'est la fin de la saison. Elle ferme la galerie d'Art ce soir pour venir nettoyer demain. Les propriétaires des huit toiles laissées gracieusement depuis fin juin, viendront les récupérer dans la matinée. Nous répondons en joignant une photos prise hier. Estelle vient nous rejoindre vêtue d'un jeans, d'un sweats, de baskets.

C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous sommes habillés comme Estelle lorsque nous venons au salon. Clémentine propose de faire nos dernières courses ce matin sur Morningside. Excellente suggestion. Pressés de filer nous descendons l'escalier à toute vitesse. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent les mains. Nous marchons d'un bon pas. Je porte le petit sac à dos qui contient les sacs. Neuf cent mètres. Voilà le carrefour de Christ Church, son église gothique, son parc, ses touristes.

Nous passons devant le fasfood des Wong. Nous y entrons pour les saluer une dernière fois. Ly-Yang, enceinte jusqu'aux yeux insiste pour nous offrir les six nems que nous voulions acheter. Monsieur Wong nous souhaite un bon retour. Ils nous promettent de garder le contact et de nous tenir informés du bébé à venir. Nous quittons pour traverser la rue. La boulangerie. Nous prenons un gros pavé bio, une grosse brioche au pudding et trois baguettes. En Ecosse elles ne pèsent qu'environs 200 gr.

La supérette. Il y a moins de touristes. Sans doute la fin des vacances pour la plupart des gens. Nous sommes le 31 août. Le ciel s'éclaircit doucement. Nous prenons des fruits. Des pommes de terre précuites, des champignons, un avocat, des tomates, des pommes. Il faut des barres de céréales. Des boîtes de pâté végétal. Des filets de saumon fumé pour d'éventuels sandwichs. Nous passons en caisse. Devant la jeune caissière légèrement hébétée, Estelle me palpe discrètement la braguette.

Ce genre de situations passe beaucoup mieux entre deux jeunes filles sensiblement du même âge. J'adresse un sourire et un clin d'œil complice à la jeune caissière. Probablement une étudiante qui fait son job d'été. Les sacs sont pleins. Nous remontons la rue commerçante, le carrefour, pour reprendre la direction du quartier résidentiel. Tout bruit, toute circulation cessent au bout d'une centaine de mètres. Il est presque midi quand nous revenons à l'appartement. Nous rangeons les courses.

Interdiction de rester dans la cuisine quand Estelle prépare le repas. Clémentine m'entraîne dans la salle de bain. Nous vidons la machine pour suspendre le linge à la place de celui de hier que nous décrochons. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, de nous caresser. Clémentine me confie à quel point son bonheur est intense. << Une fois de retour, nous serons contents de retrouver nos anciennes habitudes. La maison. Il faut juste savoir raisonner nos émotions ! >> dit elle.

Dans la chambre à coucher, je descends une des valises de l'armoire. Clémentine me tend les vêtements qui sont restés soigneusement pliés depuis la fin juin. C'est fou tout ce que les filles emmènent et qu'elles ne portent jamais. Nous nous embrassons devant le grand miroir en nous observant. C'est ainsi qu'Estelle nous découvre en entrant dans la pièce. << On mange, les amoureux, c'est prêt ! >> dit elle en se précipitant pour prendre la place de Clémentine. Elle m'embrasse avec fougue. Juste quelques instants.

Estelle nous entraîne dans la cuisine. Miam. Elle a préparé les pommes de terre en gratin. Les nems achetés ce matin délicatement poêlés. Une sauce aux champignons. Une salade de tomates. Nous lui faisons plein de bisous pour la remercier. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. Pressés de filer nous débarrassons avant de faire la vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous restons vêtus de nos jeans, sweats et baskets. Le ciel reste voilé mais lumineux. Dans le petit sac à dos, les K-ways.

Nous dévalons l'escalier. Je roule doucement. Clémentine me palpe la braguette. Nous descendons sur Leith. C'est là que nous voulons passer cet avant dernier après-midi à Edimbourg. Il fait doux. Pas plus de 20° mais il n'y a pas un souffle de vent. Nous garons la voiture sur le parking habituel. On y trouve beaucoup plus facilement une place. Qu'il fait bon de se retrouver là. A flâner sur les quais pavés. Les fortes particularités de Leith rendent toujours les séjours à Edimbourg encore plus passionnants.

Il y a moins de touristes ici aussi. Estelle ne se gêne même plus pour me palper ouvertement la braguette à chaque occasion. Et ces occasions sont nombreuses. Leith est habité par quelques artistes remarquables. Ce ne sont pas les galeries d'Arts qui manquent. Nous en visitons quelques unes. L'art contemporain nous laisse d'une indifférence abyssale. Aussi nous apprécions les rares endroits où sont exposées des œuvres plus "classiques", plus "académiques". Il y a un artiste américain qui propose de l'hyper réalisme.

C'est une peinture froide, dépourvue du moindre "sentimentalisme" car l'artiste se fixe comme défi de représenter la réalité. Par contre la technique, l'exécution et le rendu sont extraordinaires. Il y a notamment un auto portait saisissant de vérité. Beaucoup plus net que la plus précise des photographies. Le travail de ce peintre n'est pas sans rappeler celui de Jean Olivier Hucleux. Dans la galerie, Estelle n'arrête plus de me tripoter. C'est une jeune femme qui tient l'endroit. Peut-être la compagne du peintre.

Elle nous surprend à deux reprises. Son sourire ne laisse aucun doute. Elle comprend. Lorsque nous quittons la galerie, elle m'adresse un clin d'œil. J'adore cette trop rare attitude féminine. Surtout de la part de femmes complices. Je bande comme le dernier des salauds. Nous prenons la rue transversale. Il y a une pente douce qui nous emmène sur Old Town. D'ici, la vue sur le port est superbe. Surtout dans la lumière diaphane de ce ciel voilé. Il y a l'entrée d'un immeuble dont la porte est ouverte.

Clémentine nous entraîne dans le hall. Il y a un couloir. << Venez ! >> dit elle. Nous y pénétrons sur sa dizaine de mètres. Il y a un angle. Une porte fermée. Un escalier étroit. Clémentine ouvre ma braguette pour en extraire le locataire. Je bande mou. << C'est comme une saucisse et j'adore la saucisse ! >> murmure Estelle. Tous nos sens aux aguets nous restons d'une prudence extrême. Nous n'avons strictement rien à faire ici. C'est privé. C'est excitant de jouer avec les interdits. Mais il faut anticiper et rester vigilants.

Clémentine agite ma queue. << Tu suces la première ou moi ? >> demande t-elle à Estelle qui s'accroupit. Sans même répondre elle prend ma bite dans la bouche. Elle maintient son équilibre en me tenant par les hanches. Clémentine me roule une pelle d'enfer. Combien de fois avons nous vécu cette situation ? Nous ne pourrions même plus les compter. Clémentine sort son téléphone pour faire quelques photos. Estelle adore être photographiée avec mon sexe en bouche. L'endroit est mal éclairé.

Ce qui donne à chaque cliché un climat glauque. Estelle se met carrément à genoux. Elle suce passionnément. << Là ! >> chuchote Clémentine à chaque photo. Estelle ouvre alors les yeux pour fixer l'objectif, bite en bouche, joues creusées par la succion. Je me tiens aux boîtes aux lettres métalliques. C'est cocasse, insolite, mais également terriblement excitant. Il y a un chat qui nous observe. Il glisse le long du mur pour filer. Des voix. Quelqu'un descend les escaliers. Il faut cesser.

C'est avec la bite à l'air que je cavale derrière Clémentine. Nous sortons du hall. Je remballe devant une mamie consternée. Je ne sais pas si elle a vu ma queue mais en tous cas elle accélère le pas. Pliés de rire nous marchons d'un pas rapide pour quitter l'endroit. << On refait ! C'est trop bien ! >> lance Estelle. Clémentine, dans l'encadrement d'une porte, ne pouvant être vue de la rue, se touche en disant : << On aura plein de superbes photos comme souvenirs ! >>. Elle sort son téléphone pour nous montrer.

Les clichés pris dans ce couloir obscur respirent carrément le vice. Cette jeune fille à genoux qui taille une pipe en nous fixant. Je dis à Estelle : << Tu es merveilleuse. Put-Hein ! Une fille belle comme un ange, qui fait des saloperies ! C'est trop génial ! >>. Elle me palpe la braguette pour répondre : << Et tu n'as encore rien vu ! >>. Clémentine rajoute : << J'adore vous photographier. Surtout quand c'est aussi salace ! >>. Nous éclatons de rire. Leith Walk déroule ses beautés en pente douce.

Les anciens lieux industriels trouvent une nouvelle vie avec quantité de projets artistiques. Mais il y a également des boutiques, des échoppes, des fastfood qui sont aménagés dans de curieux bâtiments industriels jadis abandonnés. Certains sont repeints de couleurs éclatantes. Ce sont également autant de galeries commerciales où il fait bon découvrir des choses insolites. Leith est une possession jeune. Ce sont les jeunes investisseurs, les jeunes créateurs qui ont insufflé un dynamisme nouveau à ce quartier.

Nous réservons une table dans un restaurant. L'un des nombreux établissements qui proposent une gastronomie de très haute qualité. Celui que nous choisissons est situé dans Custom Made. Une de ces autres réhabilitations qui laissent admiratif. Le restaurant est agencé dans un ancien atelier. Des poutres, des charpentes en métal. C'est totalement surréaliste. Nous trainons tout l'après-midi dans ce quartier haut en couleurs. Nous cherchons quelques endroits glauques pour refaire des photos.

C'est toujours Clémentine qui a le flair pour trouver les bons coins. C'est elle qui prend les photos. Dans le salon de thé où nous dégustons nos coupes glacées, nous regardons la vingtaine de clichés. Il y en a trois, pris entre deux plots en béton, où Estelle regarde l'objectif, l'œil amusé, du foutre qui lui coule de la bouche refermée sur mon sexe. Le plus fou ce sont ces gens qu'on distingue en arrière fond à parfois une centaine de mètres. Nous prenons tous les risques pour réaliser ces folies géniales.

Nous terminons l'après-midi sur le port. Il y a là trop de monde pour récidiver dans nos délires. << Je te suce dans les chiottes du restaurant ! Tu vas voir ! >> s'écrie Estelle en me prenant par le bras. Je suis entre mes deux anges. Le restaurant dans Custom Made est peut-être insolite mais qu'est-ce qu'on y mange bien. Comme promis, je me fait tailler des pipes par Estelle lors de nos deux visites aux toilettes. C'est moi qui fait les photos en orientant le téléphone.

Bonne balade dans les rues pavées à toutes les coquines qui aiment profiter de chaque recoin pour s'adonner à leur passion pipeuse...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1630 -



La dernière journée à Edimbourg

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons au son de l'application "mer". Ce sont des cris de mouettes, le bruit du ressac contre les rochers. C'est tellement parfait qu'on a l'impression d'avoir passé la nuit à la belle étoile dans quelque crique au bord de l'océan. Je suis entre mes deux anges. Il est sept heures. Distribution de bisous, de câlins et de papouilles. << On se garde cette application "mer" pour la rentrée ! >> me propose Clémentine. << C'est celle que j'utilise depuis l'année dernière ! >> fait Estelle.

Estelle qui se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Nous faisons le lit. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. << Dur avec la tête dans le sac ! >> lance Clémentine. Nous en rions un peu bêtement. C'est vrai que nous n'avons plus l'habitude de nous lever si tôt. << Il faudra la reprendre dès lundi prochain ! >> ponctue Clémentine. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine, dans la douce odeur où se mélangent celle du café, celle du pain grillé. En plus, ce matin il y a de la brioche au pudding.

Nous prenons notre copieux petit déjeuner en faisant le programme de la matinée. Un programme assez rigoureux car nous avons rendez-vous chez le médecin traitant de mon oncle pour 10 h. Effectuer un test PCR est un acte médical dans certains comtés de Grande Bretagne. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant le passage de la frontière vendredi matin, au port de Boulogne-sur-mer. Nous avons nos passes sanitaires, mais il faut un test de moins de 72 heures. << Chiant ! >> lance Estelle.

La vaisselle. Nous nous lavons les dents. Nous revêtons nos tenues sports. Les K-ways car le thermomètre extérieur indique 12°. Il est 7 h30. Nous dévalons l'escalier de service. Brrr. Quelques mouvements d'échauffement car il fait carrément froid. Le jour est levé sur un ciel d'un gris clair. C'est parti pour notre jogging quotidien le long du parcours habituel. Nous croisons davantage de joggers à cette heure matinale. Une heure d'un excellent et gratifiant running avant de revenir à l'appartement.

Estelle prend sa douche pendant que Clémentine allume l'ordinateur. Juste le message de Julie qui nous raconte sa journée de nettoyage, hier, premier septembre. Plein de touristes voulaient encore entrer dans la galerie d'Art. Julie joint deux photos. Nous répondons. Nous l'invitons à venir passer le samedi soir avec nous. Estelle vient nous rejoindre en jeans, sweats et baskets. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Nous nous vêtons comme Estelle que nous rejoignons au salon. Elle surfe sur le site universitaire.

<< La rentrée se déroule tout à fait normalement lundi à 8H. Pas de passe sanitaire par contre il faut porter les masques et respecter une distanciation entre les étudiants ! >> fait elle en lisant à voix haute. << Combien de temps cela va t-il durer ? >> rajoute Clémentine. Il est neuf heures. Nous décrochons le linge qui a séché au-dessus de la baignoire. Pour notre départ demain matin, tout est propre. Il suffira de mettre les draps dans la machine, la compagne de mon oncle s'occupera du reste.

Nous réunissons nos affaires. Je descends la seconde valise et celle d'Estelle du dessus de l'armoire. Clémentine lui passe les vêtements pliés qu'elle dispose avec soin dans les valises. << Mais tout ce qu'on a encore emmené et qu'on n'a jamais mis ! >> lance Estelle à chaque vêtement. Nous rions de bon cœur car pour moi c'est un peu pareil. Les valises sont faites. Il est 9 h40. Nous enfilons nos anoraks. Le médecin exerce à deux pâtés de maisons. Nous dévalons les escaliers pour nous précipiter dans la rue.

Il y a dix minutes jusqu'au cabinet du docteur Stevenson. C'est une assistante qui nous reçoit. La salle d'attente est spacieuse et aérée. Il y a cette désagréable fraîcheur automnale qui s'installe insidieusement partout. Le docteur Stevenson est probablement à quelques temps de la retraite. Un vieillard plein d'humour et d'espièglerie. Mon oncle lui a parlé de ma peinture. Le docteur Stevenson aimerait bien voir quelques photos de mes toiles. Clémentine en possède plein dans son téléphone.

Il me contactera cet automne pour une éventuelle commande. Le prix que je lui annonce, pourtant indécent et dissuasif, ne le déstabilise pas du tout. Mr Stevenson précise que ce sera son cadeau de départ à la retraite le premier novembre. Il est 10 h30. Nos tests sont réalisés. Nous aurons les résultats par SMS d'ici trente minutes. Nous bavardons encore un peu. Le docteur Stevenson admire silencieusement chacune des photos que lui montre Clémentine. Il en télécharge deux sur son ordinateur.

Nous payons l'acte médical. Nous prenons congé. Nous flânons un peu dans les rues désertes et silencieuses du quartier résidentiel. Estelle me palpe la braguette sans observer la moindre prudence. Il n'y a personne. Là, derrière le tronc d'un des arbres centenaires, elle me déboutonne pour en extraire le locataire. Je bande mou. Avec Clémentine nous surveillons les environs pendant qu'Estelle, accroupie, hume les senteurs fromagères de mon sexe. << Mmhh ! Le Parmezob sent délicatement ce matin ! >> dit elle.

Merde. Une promeneuse de chien. Je me tourne juste à temps. Estelle se redresse rapidement. << Il y a toujours l'épée de la dame au clebs au-dessus de nos têtes ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus en prenant la direction de la maison. Nous sommes attendus pour midi. Le dernier repas de famille avec ma tante et son mari. Ils viennent ce matin de Saint Andrew. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Les musiques imbéciles de nos téléphones résonnent en même temps dans une cacophonie sonore et surréaliste.

<< Test négatif ! >> lance Estelle. << Tout est OK ! >> fait Clémentine. Idem pour moi. << En plus, tu vas vendre une toile au vieux toubib ! T'as tout bon ! >> me fait Estelle. Il est midi. C'est la femme de mon oncle qui nous accueille pour nous inviter à la suivre. Ma tante et son époux sont là pour nous saluer. Nous sommes tous les sept tellement contents de nous revoir. De passer ce dernier repas en famille. Nous voilà attablés devant un somptueux repas livré par le traiteur habituel.

Nous faisons mille projets. Bien évidemment Estelle et Clémentine restent l'attraction principale de ce bon moment gastronomique. S'il n'y a pas de nouvelles folies restrictives, de privations de liberté, nous viendrons passer les fêtes de fin d'année à Edimbourg. Le Nouvel An écossais, le fameux Hogmanay est le plus grand évènement festif d'Europe. Cette fête se déroule à partir de Noël pour atteindre son apogée dans la nuit du 31 décembre. Musique partout, retraite aux flambeaux, animations de toutes sortes.

Nous traînons à table. Dehors le ciel reste couvert. Rien de véritablement menaçant. Il est 14 h quand nous prenons congé de la famille. Discrètement, je glisse une enveloppe dans la main de la femme de mon oncle et dans celle de ma tante. << Je t'ai vu faire. Il y a quoi dedans ? >> me demande Estelle lorsque nous remontons l'escalier. Je dis : << Le luxe suprême consiste à recevoir sans jamais demander ! >>. Estelle me fait : << Merci Julien. Tu m'as encore offert les plus belles vacances de ma vie ! >>.

Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous dévalons l'escalier de service. Dernière errances dans Edimbourg. Cette ville que nous aimons tant. Je roule doucement. Pour l'occasion j'autorise Estelle à passer devant. Assise au sol, entre les jambes de Clémentine, il est beaucoup plus facile de jouer avec ma queue. Invisible. Je n'utilise le levier de vitesse que pour les marches arrières. J'ai une préférence pour la boîte automatique. C'est tellement plus simple en grosse berline.

Nous garons l'auto sur le parking du Supermarché Lidl. C'est carrément un hypermarché. C'est à partir de là que nous marchons d'un bon pas vers la ville. Il est 15 h15. Nous flânons dans le dédale des rues du centre historique. Nous respirons l'air de la ville. Nous essayons de nous imprégner une fois encore de chaque coin, de chaque monument et de l'ambiance particulière de cet endroit magique. Estelle, qui cette fois est obligée d'être discrète, me tripote vulgairement la braguette. << J'ai envie de faire ma salope ! >> dit elle à chaque fois.

Nous avisons ce petit salon de thé. Il y a une partie qui fait pub. Nous voilà attablés devant de gigantesques coupes glacées. Nous dégustons nos parfums préférés en faisant le bilan de ce séjour. Je dis à Estelle : << Si on peut passer le Hogmaney à Edimboug entre Noël et Nouvel An, tu es obligatoirement de la partie ! >>. Estelle me rend la main pour répondre : << Cette fois, je viens avec vous partout ! >>. Nous en rions de bon cœur. << On ne peut plus se passer de toi ! >> rajoute Clémentine.

Cette phrase, prononcée comme une sentence, est lourde de vérité. Notre "couple à trois" est devenu une telle réalité que nous ne pouvons imaginer de nouvelles aventures sans Estelle. Première visite aux toilettes avec Estelle qui m'y entraîne par la main. Nos rituels pisseux dans un des cabinets des toilettes hommes. Je fais le contorsionniste pour me régaler du sexe d'Estelle. Nous rejoignons Clémentine. Elle est entrain de réserver une table dans notre restaurant préféré sur Royal Mile.

<< Il y a le mec du pub, là-bas, qui n'arrête pas de me mâter ! >> nous chuchote t-elle. Discrètement, dans l'écran noir de nos téléphones que nous utilisons comme des rétroviseurs, nous observons l'attitude du mec. Il y a juste l'encadrement d'une porte qui sépare le salon de thé du pub. << Fais lui le test des chiottes ! >> propose Estelle. Clémentine répond : << C'est exactement mon idée ! >>. Elle se lève. D'un geste rapide et discret, elle se touche comme pour se réajuster la braguette. Le type a tout vu.

Nous regardons Clémentine marcher doucement vers la porte des WC. Estelle me tient la main. Il ne se passe même pas une minute. Le mec contourne son comptoir pour aller aux toilettes. << C'est génial ! Regarde ! >> me fait Estelle en montrant l'écran de son téléphone. Excellente idée de la part de Clémentine qui filme les évènements. Estelle enfile un des écouteurs dans l'oreille et me tend l'autre. On entend très mal mais on voit tout ce qui se passe. Le mec qui surprend Clémentine dans les chiottes hommes.

Elle est devant les lavabos. Le téléphone posé de façon à filmer dans le miroir. Cette image inversée nous permet tout de même de distinguer les agissements du vicelard. Il se masturbe. << Put-Hein, mâte un peu la queue qu'il a ! >> murmure Estelle. C'est une véritable lance à incendie. Ce type est doté d'un sexe qui pourrait faire sa fortune dans les films pornos. Il l'agite mollement en direction de Clémentine. Il demande : << Don't you want to suck me a bit ? >>. Clémentine ne répond pas. Trop préoccupée à cacher le téléphone.

C'est adroit car il est posé contre sa petite pochette en cuir. Le type se masturbe de plus en plus frénétiquement. La présence de cette sublime jeune fille, aussi grande que lui, dans les toilettes hommes, ne le laisse visiblement pas indifférent. Clémentine se lave tranquillement les mains en fixant l'individu dans le miroir. Il demande : << We get into one of the toilets and you give me a good blowjob. You do not want ? Take a look at the gift I am offering you ! >>. Clémentine reste silencieuse en s'essuyant les mains.

Elle récupère ses affaires. On ne voit plus rien que ses pieds et le carrelage. Nous l'entendons dire : << Thanks for the show. Thank you for the gift. But I have to join my friends. Above all, do not change your habits. You are perfect ! >>. Clémentine vient nous rejoindre. << Je crois que je n'ai jamais vu une bite pareille ! >> murmure t-elle. Nous confirmons. << Tu n'avais pas envie d'y goûter ! Put-Hein elle est appétissante ! >> chuchote Estelle. Nous regardons le type sortir des toilettes et retourner à son job de barman.

<< Ce n'est pas une bite qu'on suce deux minutes. C'est une queue qui mérite qu'on s'en occupe longuement ! >> ponctue Clémentine. Elle rajoute : << J'ai une méchante envie de sucer maintenant ! >>? Nous en rions de bon cœur. L'addition. Nous passons par le pub pour sortir. Dans un des nombreux miroirs, je vois Clémentine adresser un clin d'œil au barman, tout en levant les deux pouces de ses mains. Le mec lui fait un sourire complice. Nous voilà dehors. Je félicite Clémentine. Le ciel s'assombrit inexorablement.

Nous traînons sur Princess Street. Je suis entre mes deux anges. Les filles échangent leurs impressions quand à cette bite phénoménale. Clémentine, passionnée par les tous petits calibres, appartenant de préférences à de vieux vicieux pervers, précise : << De temps en temps une lance à incendie c'est sympa aussi ! >>. Nous éclatons de rire lorsqu'elle rajoute : << J'adore les pompiers ! >>. Estelle redouble d'activité. Elle me tripote et pas toujours discrètement. Nous parcourons le labyrinthe des ruelles en escaliers.

Il est 19 h30 quand nous sommes attablés devant des plateaux de fruits de mer. C'est notre restaurant préféré. Le personnel y officie en costume folklorique écossais. << Les mecs en kilt, ça me fait mouiller ! >> murmure Estelle au passage de chaque serveur. Je dis : << Moi ce sont les filles en kilt ! >>. Estelle répond : << Alors à la maison, ce week-end, je serai tout le temps en kilt ! >>. Nous en rions de bon cœur. Il est 21 h30. Nous profitons de cette dernière promenade à Edimbourg. Sous les premières gouttes.

Bons moments dans les toilettes hommes à toutes les coquines qui aiment se tromper de WC. Voir de belles queues biens agitées...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1631 -



Il faut quitter Edimbourg. Il faut quitter l'Ecosse...

Hier matin, il est six heures lorsque l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Le premier instant de stupeur passé, nous nous étirons longuement en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Je suis entre mes deux anges blotties contre moi. Comme si elles cherchaient un réconfort à cette terrible fatalité. C'est la fin de notre séjour en Ecosse. << En route pour de nouvelles aventures ! >> lance fataliste Estelle qui se lève péniblement. << Ça me fout un coup de vieux ! >> rajoute t-elle.

Nous nous levons également pour enlever les draps du lit. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous emmenons les draps à la salle de bain. Direct dans la machine. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. L'odeur de café, de pain grillé et de brioche au micro-onde. Nous prenons notre petit déjeuner en terminant d'émerger péniblement. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le planning du jour. La seule certitude c'est qu'il faut parcourir 750 km pour arriver à Folkestone ce soir. Notre hôtel nous y attend.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Les affaires sont déjà réunies. Dans la glacière branchée hier sur 5° tout ce qui doit rester au frais. Nectarines, brugnons, filets de saumon fumé. Les valises sont prêtes. La tristesse fait à présent place à la saveur élégiaque d'un départ imminent. Comme le précisait Estelle au levé, de nouvelles aventures nous attendent déjà. Nous regroupons les bagages dans le couloir, devant la porte de l'appartement. Avec Clémentine nous descendons d'abords les valises. Bien lourdes.

Tout dans le coffre de l'auto. Nous remontons aider Estelle à passer le balai et la serpillère. C'est rapide. Tout est propre car nous avions un suivi régulier dans le ménage. Estelle nous entraîne dans une sorte de farandole. << A l'année prochaine cher appartement, à l'année prochaine ! >> chantons nous en cœur. Pas trop fort car il n'est que 7 h. Distribution de bisous à mes deux anges qui se serrent contre moi. Je suis pétri d'émotion. Pour la route, nous emmenons des vêtements de change dans le petit sac de sport.

Nous fermons la porte derrière nous. Nous laissons la clef de la maison à l'endroit convenu. Le jour commence à se lever. Il est 7 h30. Sur sa tablette, profitant encore de la Wifi, Estelle envoi notre récit du jour sur les forums où nous publions. J'ai fait le plein d'essence hier. C'est parti. Je roule doucement. C'est un peu comme dans un film dramatique des années 50. Les rues de Morningside. Les pâtés de maisons. Les commerces dont certains sont déjà ouverts. Nous arrivons à Leith. Un pincement au cœur. Il faut quitter.

Par Leith nous rejoignons le périphérique qui contourne Edimbourg. Cette fois, c'est vraiment fini. Les filles échangent leurs impressions, leurs ressentis. Il y a des séquences plus tristes, d'autres plus joyeuses. Parfois, à cause de l'émotion, les voix se font plus hésitantes. S'étranglent. << Je pourrais pleurer ! >> lance Estelle assise à l'arrière. << Pleure ! >> lui fait Clémentine qui pose sa tête sur mon épaule. La voix de la dame du GPS nous renseigne sur l'itinéraire. Nous avons décidé de rejoindre la motorway 74. L'autoroute.

La circulation est assez fluide. Le jeudi étant un jour de semaine. Les retours de vacances ont commencé le 31 août. En ce 2 septembre, nous n'y sommes donc pas trop confrontés. Je respecte toujours les limitations de vitesses. J'ai même souvent tendance à rouler en dessous. Comme à chaque voyage il est convenu de s'arrêter cinq minutes toutes les heures. Estelle, assise à l'arrière, ses mains dans mon cou, nous parle des impressions de ses parents. Ils ont été enchantés par les découvertes de l'Irlande et de l'Ecosse.

Clémentine pose sa main sur ma braguette. << A quoi peut-elle bien ressembler la dame du GPS ? >> demande soudain Estelle quand la voix annonce les noms des agglomérations que nous apercevons tantôt à droite, tantôt à gauche. Il est 9 h quand nous arrivons à la hauteur de Lockerbie. Nous sommes dans les Borders. Cette magnifique région au Sud d'Edimbourg. Des collines, des pâturages, des cultures agraires, des animaux dans les prés. C'est bucolique. Romantique sous ce ciel d'un gris clair.

Nous quittons l'autoroute pour faire quelques kilomètres. Arrêt pipi. A l'entrée d'un chemin, voilà l'endroit idéal. Nous en profitons pour nous changer. Les filles mettent leurs jupettes. Je mets mon short. Nous portons tous les trois ces abominables chemisettes hawaïennes qui nous donnent l'air de touristes de bandes dessinées. Nous rions en nous contemplant. << Pratique le short ! >> lance Estelle qui glisse sa main dans ma braguette ouverte. Dissimulée par les pans de la chemise. << Bite à l'air pour conduire ! >> dit elle encore.

C'est reparti. Une cinquantaine de kilomètres, voilà Gretna, la frontière entre l'Ecosse et l'Angleterre. Une vingtaine de bornes et voilà Carlisle. Le paysage change doucement. Les collines font maintenant place à des champs plats. C'est un peu le grenier à céréales de la Grande Bretagne. Nous quittons l'autoroute. Nouvel arrêt à la hauteur de Penrith. Nous avons presque parcouru 200 km. Je tiens les filles par leurs cheveux afin de parfaire leur équilibre. Concours de jets dans un éclat de rire commun.

Là-bas, il y a un agriculteur dans son tracteur. Il tire lentement une grosse citerne. Il passe à environs cent mètres. Il découvre la scène, ralenti et nous fait un coucou de la main levée. Les filles, tout en pissant dans sa direction lui font de grands signes pour répondre à son geste. Il continue son chemin en disparaissant derrière les groupes d'arbres. Je torche soigneusement les coquines. Elles retirent leurs culottes. << Pas besoin de culotte dans la voiture ! >> s'écrie Estelle qui fait tournoyer la sienne.

C'est reparti. Nous passons Darlington. Nouvel arrêt à York. Tous ces camions sur l'autoroute obligent à une vigilance soutenue. Clémentine qui le sait bien ne me touche que très peu. J'ai d'ailleurs remballé ma bite. Nous quittons l'autoroute pour parcourir quelques kilomètres. Arrêt pipi. Nous récidivons dans nos jeux pisseux. Cette fois je me régale des croupions de mes deux anges. Nous avons décidé de ne pas prendre de douche ce matin. Afin de nous offrir nos effluves et nos saveurs naturelles. << C'est bio ! >> dit Estelle. Rigolades !

Je me régale donc des chattes de mes coquines. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. J'ai le short et le slip sur les chevilles. Clémentine me tient les couilles par derrière. Elles s'accroupissent pour se refiler les dernières gouttes. Nous n'avions pas vu ce couple assis dans l'herbe. Eux, si ! C'est la jeune femme qui nous fait un coucou avant de lever le pouce de sa main droite. Ils ne sont qu'à une centaine de mètres. Je suis soudain hyper gêné. << It's right ! >> lance Clémentine. Le mec répond : << Yeah, it's right ! >>.

Nous rigolons comme des bossus en retournant à la voiture. Nous rejoignons l'autoroute. Il commence à faire faim. Plus qu'une heure de route avant midi trente. Heure à laquelle nous avons décidé de manger. Nous quittons l'autoroute à la hauteur de Lincoln. J'avise l'entrée de la ville. Il y a des bancs au bord d'un petit lac. C'est charmant. Il y a de la verdure. Là-bas, sur une colline basse, une grande demeure victorienne. Ce n'est pas privé car il y a plein de promeneurs. Nous emmenons de quoi faire nos sandwichs.

Les baguettes ont un peu durci. Nous les préférons ainsi. Assis sur un banc, nous préparons notre repas. Le ciel semble s'assombrir sans devenir menaçant. Clémentine beurre les tranches de baguettes coupées en deux. Estelle y dépose les filets de saumon fumé. Nous commençons par les dernières nectarines bien fraîches. Les sandwichs sont gouteux. Surtout avec les tranches des deux dernières tomates. Nous admirons les nombreux cygnes évoluant sur l'eau. C'est un repas simple mais succulent.

Nous ne traînons pas. Après les brugnons en dessert, nous nous lavons les mains à une fontaine. Nous jetons nos déchets dans une des poubelles jaunes. C'est reparti. Peterborough. Cambridge où nous nous arrêtons. Il est 15 h. Nous avons super bien roulé. Dans la descente d'un chemin, nous pratiquons nos rituels pisseux. Cette fois nous nous assurons d'êtres bien seuls. Nous avons envie de nous tripoter un peu. Estelle, assise sur une souche, m'offre les saveurs de son croupion pendant que Clémentine me suce.

C'est au tour de Clémentine. Cette fois l'arrêt dure un bon quart d'heure. C'est trop bon. Toute tristesse, toute nostalgie nous ont quitté. Nous reprenons la route. Impossible d'éviter Londres et ses interminables enchevêtrements autoroutiers. Heureusement que la dame du GPS est là pour nous guider. Londres est le nœud incontournable du Sud Est de l'Angleterre. La circulation est dense. Il faut compter plus d'une heure trente, souvent à 10 km/h pour s'extraire de cette immense toile d'araignée sur l'écran du GPS.

Il est 18 h30. Nous arrivons enfin à Folkestone. C'est une ville portuaire et industrielle. Douvres n'est pas très loin. Nous sommes dans le Comté du Kent. Il règne ici une odeur citadine se mêlant à celle de la mer du Nord. Le ciel s'est dégagé pour faire place au soleil. C'est parfait d'être habillé léger. Nous trouvons rapidement l'hôtel où nous avons réservé notre chambre. Il est près de l'embarcadère où nous prendrons le ferry pour Boulogne demain matin à 8 h30. Nous montons nos affaires dans la chambre.

Le parking privé est sécurisé. Nous pouvons laisser nos valises dans l'auto. Nous découvrons la carte du restaurant de l'hôtel. Digne de l'établissement recommandé par le guide Michelin. Nous flânons un peu dans le centre avant de revenir pour 19 h30, morts de faim et de fatigue. Nous savourons des beignets de fruits de mer accompagnés de petits légumes de saison, de pommes de terre en sauce et de crudités absolument délicieuses dans leurs assaisonnements vinaigrés. 22 h. Une douche. Le plumard.

Bon retour de vacances à toutes les coquines qui raffolent d'arrêts pipis le long des petits routes de campagne où elles sont "vues"...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1632 - (1632 Naissance de Johannes Vermeer)



Nous revenons à la maison en soirée

Hier matin, il est sept heures quand l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Je suis entre mes deux anges. Nous émergeons péniblement en découvrant la chambre impersonnelle de l'hôtel. Je suis entre mes deux anges. Le jour se lève aussi péniblement que nous. Estelle saisit mon érection matinale en murmurant : << J'ai rêvé que je te branlais partout ! >>. Clémentine qui se blottit fort, chuchote : << Tu le fais déjà tous les jours, dans la réalité et presque partout ! >>. Nous rigolons comme des bossus.

Estelle se lève la première. << Vivement le jogging demain matin, parce que je rouille ! >> dit elle en se précipitant dans les cabinets. Nous faisons notre lit en réunissant nos affaires. C'est à nous d'aller aux toilettes. Nous rejoignons Estelle qui regarde par la fenêtre. << Regardez, c'est probablement notre bateau qui est à quai, là-bas ! >>. C'est certainement ce grand ferry que nous prendrons d'ici une heure. Nous quittons la chambre. Dans l'ascenseur Estelle tripote la braguette de mon short. << Ouverte ! >> fait elle.

Ma braguette béante ne se voit pas sous les pans de ma chemise hawaïenne. Nous remettons la clef à la jeune fille de la réception. Nous allons dans le restaurant. Nous avons prévu le coup. Il nous reste du pain complet et bio, de la confiture d'églantine. Parce que le pain blanc, cet aliment dévitalisé, sans aucun apports nutritionnels où de vitamines, n'est rien d'autre qu'un amidon totalement inutile. Par contre, le café est parfait. Nous prenons notre rapide petit déjeuner à une table isolée. Il y a du monde dans la salle.

Nous reprenons l'ascenseur pour descendre au parking souterrain de l'hôtel. C'est parti. Il faut contourner cette partie de la ville en faisant un considérable détour. Nous entrons dans l'aire de l'embarcadère pour 8 h10. Nous n'attendons pas longtemps dans la file réservée aux possesseurs d'un titre de transport. Nous suivons les panneaux indicateurs puis les signes de l'employé. Je roule au pas pour entrer dans les entrailles de l'énorme bateau. C'est un véritable parking. Avec une forte odeur de carburant.

Nous laissons l'auto pour monter sur un des ponts supérieurs. Il y a là un grand salon où nous pouvons déguster thé, café, chips, petits gâteaux ou encore des fruits. Nous voilà installés à une des tables tout près de l'énorme baie vitrée. Toute la carcasse du navire s'ébranle soudain. Les frémissements de l'armature du bateau sont presque inquiétants. Nous quittons le port en accélérant. C'est parti. Direction Boulogne-sur-mer. La traversée dure environ une heure trente. Le ciel est immensément bleu. Il y a un beau soleil.

Par contre, lorsque nous allons marcher sur le pont, la fraîcheur est étonnante. Le vent du large. Nous sommes en haute mer. Nous avons longtemps hésité en juin entre le tunnel sous la Manche et le Ferry. Le ferry reste beaucoup plus romantique que 40 km de tunnel, la voiture sur un wagon de train. << Non merci ! >> lançait Clémentine, au début juin, lorsqu'elle faisait les réservations. Il y a évidemment des touristes partout sur le bateau. Principalement des Anglais qui viennent passer septembre sur le continent.

Voilà le débarcadère de Boulogne. Le navire, en ralentissant, entre dans le port. Avec ce soleil, nous avons l'impression de partir en vacances plutôt que d'en rentrer. Nous descendons récupérer la voiture. Il faut passer la douane. Depuis le Brexit, il y a à nouveau un contrôle des passagers. Quelle n'est pas notre désagréable surprise que de voir tout le monde porter un masque sanitaire. << Bienvenue à Kaunard-Land ! >> lance Estelle. Nous enfilons nos masques sanitaire en préparant nos pièces d'identités.

Il faut scanner son QR code sur un des écrans qui émet un bip et clignote d'un vert fluorescent. Nous venons de quitter un pays où toutes les restrictions sanitaires ont disparu pour arriver dans un pays qui les applique toujours encore. << Je suis pressée de quitter définitivement ce pays de vrais cons, je n'en peux plus ! >> lance Clémentine, une fois que nous sommes sur la route. << Put-Hein, mais c'est quoi cette nation de moutons ! Aucune dignité, aucun honneur ! >> rajoute Estelle excédée.

Je roule doucement. Nous avons fait le plein d'essence hier soir. Ça me fait tout drôle de rouler à droite après avoir passé deux mois à rouler à gauche. Clémentine me tient la bite. Je bande mou. Nous appliquons la même règle. Un arrêt de cinq minutes toutes les heures. Comme je respecte toujours les limitations de vitesses avec un soin scrupuleux, je me fais évidemment klaxonner souvent. << On est bien de retour dans ce pays de Kaunards ! Regarde le celui-là, il nous fait même un doigt d'honneur en nous dépassant ! >> lance Estelle.

Nous en rions toutefois de bon cœur. Je constate hélas la conduite dangereuse de nombre de chauffards. Nous sommes bien de retour en France. Je propose un bon restaurant à midi. Marquer le coup. Ce n'est pas ce qui manque sur la route. Il est presque midi quand nous arrivons sur Alençon. Volontairement, nous avons choisi les routes nationales plutôt que l'autoroute. Pour éviter de se taper des camions, des comportements hérétiques et de devoir rouler à 110 km/h. Nous aimons prendre notre temps et admirer les paysages.

C'est vendredi. La circulation est fluide. Il y a nombre de contrôles routiers. Ce qui est parfait. Quand on n'a rien à se reprocher, les contrôles restent une rassurante sécurité supplémentaire. Les gendarmes ne chôment pas vu le nombre de voitures stationnées aux endroits stratégiques. << Et paf, encore un con d'aligné ! >> lance Estelle à chaque fois. Nous en rigolons comme des bossus. Là, sur le bord de la route, à la sortie d'un bourg, un établissement gastronomique étoilé. Je gare l'auto sur le parking. Contrôles des QR code.

Attablés devant des légumes gratinés accompagnés de filets de dorades, nous savourons un délicieux repas. Il y a peu de monde dans la salle. La jeune serveuse observe souvent nos attitudes. Nous pouvons deviner les interrogations qui l'assaillent. Les filles me tiennent par les poignets, se penchent pour me faire un bisou ou encore passer une de leurs mains sur mon visage. De quoi se poser bien des questions. Non, assurément, je ne suis pas le père de ces deux superbes jeunes filles. Quelques clients doivent s'en rendre compte également.

C'est surtout lorsque Estelle m'entraîne par la main aux toilettes que certains regards deviennent inquisiteurs. << Ils aimeraient bien venir avec nous pour voir ! >> murmure Estelle en m'attrapant par la taille avant d'entrer dans les toilettes. Nos rituels pisseux, enfermés dans un des cabinets des WC hommes. Nous rejoignons Clémentine. La jeune serveuse me fixe souvent avec une esquisse de sourire. Elle doit avoir l'âge d'Estelle et de Clémentine. Elle a probablement saisi la nature de nos relations. Pas l'ombre d'un doute.

Elle comprend encore mieux lorsque c'est Clémentine qui m'entraîne par la main. Cela nous amuse de plus en plus. Ce jeu est source de joie mais aussi d'excitation. Les jupettes des filles qui virevoltent avec leurs démarches volontairement déhanchée. De quoi susciter la flamme de bien des libidos. Souvent autant masculine que féminine. Nos rituels pisseux dans le même cabinet. Quelle surprise de voir la jeune serveuse dans les toilettes hommes avec un seau et une éponge. Ce n'est pourtant pas l'heure des nettoyages.

<< Elle veut en savoir davantage ! Comme Julie il y a trois ans, rappelle-toi ! >> me chuchote Clémentine pendant que nous nous lavons les mains. La jeune fille nous adresse le plus merveilleux des sourires. Elle vient d'avoir la confirmation de toutes ces supputations. Avant le dessert, Estelle récidive. S'en est certainement trop pour ce client qui nous dévisage comme si nous allions commettre un crime. Nous éclatons de rire. << T'as vu la gueule du mec ! >> me fait Estelle en tenant ma bite pour en diriger le jet dans la cuvette.

Il y a également une seconde visite avec Clémentine. L'addition. Cet intermède gastronomique et libidineux nous a mis en pleine forme. Au moment de sortir, la patronne nous demande si tout était à notre goût. Nous la félicitons pour la qualité de l'ensemble. << Des toilettes aussi ? >> demande t-elle avec une certaine ironie. << Même de vos toilettes tout à fait charmantes. On peut y passer d'exquis moments ! Félicitations ! >> répond Clémentine avec le même ton légèrement cynique. Nous éclatons de rire en entrant dans la voiture.

Arrêts pipis toutes les heures. Il est presque dix neuf heures quand nous franchissons le portail de notre propriété. Tout est en ordre. La végétation a poussé. Au point d'en être exubérante à certains endroits. Les volets de la demeure sont fermés. Rien n'a bougé. Je m'empresse de désamorcer les fonctions des alarmes. La maison est équipée d'une domotique de pointe. Les caméras filment 24 h sur 24 durant nos absences. Pour éviter le tintamarre des alarmes et de prévenir la gendarmerie, mieux vaut penser à tout éteindre.

Estelle et Clémentine m'entraînent dans une folle farandole. Nous sommes contents de retrouver notre petit monde, notre univers. Nous déchargeons la voiture. Il y a toujours cette impression de ramener davantage qu'en partant. La soirée est agréable. La fraîcheur l'emporte toutefois sur les chaleurs de la journée. Qu'il est bon de retrouver le calme et le silence de notre petit coin de paradis au fin fond de la campagne. Nous rentrons les bagages en deux fois. Estelle ouvre tous les volets de la maison.

Il y a une odeur de renfermé. Nous avions pourtant pris le soin d'entre bailler une vitre au haut de certaines fenêtres. Nous sommes morts de faim. La fatigue se fait également sentir. Des spaghettis jetés dans l'eau bouillante. Les derniers filets de saumon fumés réchauffés. Une rapide sauce Béchamel avec les derniers champignons, les derniers morceaux de mimolette rescapée d'Ecosse. Les dernières tomates en salades. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ce voyage. C'est toujours une épreuve 1400 km en deux jours.

Estelle se lève souvent pour mimer une masturbation masculine. C'est pour ponctuer ses narrations érotiques. Elle revient sur les moments de vices les plus intenses. Nos folies. Nos frasques sexuelles partout où elles sont possibles. Clémentine applaudit en riant. Je me lève pour agiter ma queue à chaque fois. << Demain, jogging, je suis frustrée depuis depuis deux jours ! >> lance Estelle en relevant sa jupette pour mettre la main dans sa culotte. Nous éclatons de rire. << On est bien de retour ! >> lance Clémentine.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le programme du week-end. Demain, samedi soir, Julie vient nous rejoindre. Dimanche à midi nous sommes invités chez les parents d'Estelle. D'un commun accord nous nous proposons d'utiliser nos dernières forces pour ranger toutes nos affaire encore ce soir. La vaisselle. Nous montons les bagages. Clémentine met des draps frais en préparant le lit. Je déballe ma valise. Estelle prend chaque vêtement pour le ranger délicatement. Un bisou à chaque fringue.

Clémentine fait la même chose. Tout faisant, nous échangeons nos souvenirs. Ces choses qui reviennent en mémoire subitement. Il est 21 h30 quand je remets les valises vides sur le haut de l'armoire avant de les recouvrir de la bâche. Il reste celle d'Estelle. Nous l'aiderons à la défaire dimanche, chez elle. Estelle prend sa douche la première. Nous rangeons les godasses. La plupart de nos affaires n'ont évidemment pas servi. C'est à notre tour de passer à la salle de bain. Nous rejoignons Estelle qui dort déjà en ronflant doucement.

Bon retour de vacances à toutes les coquines qui aiment palper de la queue, un peu partout, WC de restaurants, voiture, musées, etc...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1633 -



Qu'il est bon de retrouver nos petites habitudes

<< C'est comme la bicyclette, ça ne s'oublie pas ! >> me chuchote Clémentine à l'oreille. Il est huit heures, nous nous réveillons quasiment ensemble tous les trois. Je demande : << Quoi donc ? >. C'est Estelle qui répond : << Les petites habitudes ! >>. Nous rions de bon cœur en nous étirant longuement. Je suis entre mes deux anges. Cette bonne nuit de repos nous a été bénéfique. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Elle chante : << Pipi du matin, pour les putes et les catins ! >>. Rires...

Nous faisons notre lit. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Elle me saute au cou dans la délicieuse odeur du café et du pain grillé. << Merci pour ces merveilleuses vacances Julien ! Merci ! >>. Je la soulève pour dire : << Merci Estelle pour ta merveilleuse présence toutes ces vacances ! >>. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. J'administre le même traitement et les mêmes mots à Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du jour. Dehors il fait beau, le ciel est immensément bleu. Par contre le thermomètre extérieur n'indique que 12°. Nous prenons notre copieux petit déjeuner sans traîner. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents et enfiler nos tenues sports. Deux jours sans faire nos joggings quotidiens nous ont terriblement frustré. Nous dévalons les escaliers pour sortir. K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale.

C'est parti. Nous retrouvons avec bonheur notre parcours habituel. Le long de la rivière, sur trois kilomètres, puis un kilomètre sur le bord de la petite route. La clairière avec les tables et les bancs. Nous pouvons y pratiquer nos abdos, nos pompes, nos exercices au sol. Retour par le même itinéraire. Là-bas, les bâtiments du haras. Une pensée pour Juliette. Il y a déjà des voitures garées dans sa cour. Il est 9 h30 quand nous revenons, heureux et satisfaits. Estelle prend sa douche la première pendant que je me rase.

Clémentine adore assister au rituel du rasoir. C'est toujours elle qui applique la mousse avec le blaireau. Estelle chantonne. Que c'est bon d'êtres tous les trois dans nos douces routines. C'est à notre tour d'aller sous l'eau. Nous sommes vêtus tous les trois à l'identique. Jeans, sweats, espadrilles à semelles de cordes. Nous attendons nos livraisons. Aussi nous redescendons rapidement. J'ouvre le portail depuis l'interphone. Voilà la camionnette des fruits et légumes. C'est la même jeune femme.

Nous nous saluons. Depuis plus d'une année, il s'est créée une sorte de complicité. Du hayon arrière de son véhicule, elle tire deux cageots et une cagette. L'un contient nos oranges, nos kiwis, nos bananes. L'autre contient nos carottes, nos tomates, nos scaroles, nos laitues, un choux fleurs. Les fromages, les yaourts, le beurre, les œufs et les petits pots de crème fraîche dans la cagette. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. La jeune femme nous quitte pour d'autres livraisons.

Estelle commence à ramener les cageots en contournant la maison pour descendre dans la cave. Voilà Mme Marthe, la boulangère. Hilare comme à son habitude, elle nous raconte quelques amusantes anecdotes. Les masques sanitaires sont accrochés au rétroviseur. Comme pour la jeune femme des fruits et légumes. << Ces cons-là n'ont pas intérêt à nous pourrir un nouvel automne avec leurs conneries de "variant de mes fesses ! >> lance la dame. Nous sommes pliés de rire. C'est qu'elle a du bagout madame Marthe.

Nous récupérons nos deux grosses miches de pain complet et bio. L'un aux noix, l'autre aux graines. Notre belle brioche au pudding et à la pâte d'amande. Mme Marthe nous offre trois gros croissants. Elle a bien d'autres livraisons à effectuer. Nous la remercions. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Elle est entrain de ranger les produits frais dans le réfrigérateur rebranché hier soir. Clémentine m'entraîne à la cave en me faisant plein de papouilles.

Nous mettons une des miches dans le congélateur. Nous en sortons un gros paquet de petits pois et de haricots verts, un paquet de moules. Estelle est dehors avec le boucher traiteur qui vient livrer les produits de la mer. Il officie également en tant que poissonnier. Tout est congelé. Filets de colin, de limande, de flétan, de lieu noir, de saumon. Ainsi que les crevettes, les queues de homards, de langoustes et les moules. Même commande pour dans un mois. Paiement par carte. Toujours "sans contact".

Nous nous dépêchons de tout ranger au congélateur dans le cellier, à la cave. Il est presque onze heures. Nous rejoignons Estelle au salon. Elle surfe sur le site de l'université. Il n'y a aucune nouvelle information. Pas de passe sanitaire, pas de masque sanitaire, par contre il faut respecter les jauges, les gestes barrières et la distanciation. Estelle et Clémentine se réjouissent de retrouver enfin une rentrée normale. La vie étudiante en amphithéâtre et en restau U leurs manque terriblement depuis plus de 18 mois.

Nous découvrons nos messages. Le courriel de Julie qui vient nous rejoindre ce soir pour 19 h30. Le courriel de Juliette qui nous invite à manger mercredi prochain, en soirée. Les mails de ma famille qui nous souhaite une bonne reprise. Nous répondons. Estelle nous entraîne dans une farandole. Elle improvise les paroles d'une chanson. Nous répétons en cœur. Nous parcourons ainsi toute la grande pièce en faisant les fous. Nous nous serrons tous les trois. Distribution de bisous. Nous sommes là les êtres les plus heureux du monde.

Il commence à faire faim. Nous allons jusqu'à la cuisine en faisant les pitres. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle jette les petits pois et les haricots verts encore congelés dans le wok. Elle remue avec la spatule en bois. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules encore congelées. On s'en fout. C'est bon quand même et le samedi, on ne s'emmerde pas ! Nous dressons la table dans la véranda. Avec ce soleil, cette luminosité extraordinaire, il serait dommage de ne pas prolonger l'ambiance des vacances.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un rapide état de notre mental. Le retour s'est très bien passé. Nous sommes hyper contents d'être chez nous. Aucune tristesse, aucune nostalgie. << On devient des adultes ! >> lance Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. << Tu ne nous a pas encore montré ta bite aujourd'hui ! >> rajoute t-elle. Je me lève. J'ouvre les boutons de mon 501. Je sors ma queue pour l'agiter devant les filles qui applaudissent. Nous rigolons comme des bossus.

<< On se fait une virée vélo ? >> propose encore Estelle. << Et comment, ça va être génial ! >> fait Clémentine. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns. Nous nous changeons. Il fait bon, doux et chaud. Mes deux anges portent une jupette, un T-shirt. Je suis en short, T-shirt. Tous les trois dans les mêmes teintes. Pressés de filer nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales, K-ways. Nous traversons le jardin en courant presque.

Nos arbres fruitiers débordent de fruits. Pommes, poires, prunes, noix. Il faudra proposer à Juliette de venir faire une razzia sur toutes ces bonnes choses. Elle ne possède pas d'arbres à fruits. Tous les ans elle se fait un plaisir de venir nous dévaliser. Tant mieux. Nous détestons gâcher. Je vérifie le gonflage des pneus. Il faut rétablir une pression de 5,5 bars dans chacun d'entre eux. Je vérifie les chaînes, les freins. Tout est OK. Estelle a eu l'excellente idée de laisser sa bicyclette ici depuis notre dernière virée en juin.

C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. La passerelle en bois dont j'ouvre le cadenas du portillon. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Il fait chaud. Le soleil est maitre de ce ciel d'azur. Nous pédalons poussés par un léger vent de Nord Est. Nous l'aurons de face au retour. Nous croisons nombre de cyclistes. Des filles en rollers, et, hélas, de plus en plus de cons lancés à des vitesses hallucinantes sur des trottinettes électriques. Sans évoquer ces autres cons qui promènent leur chien sans laisse sur une piste cyclable.

<< Les cons sont de sortie. Et il faut constater qu'ils sont de plus en plus nombreux ! >> lance Estelle qui balance un bon coup de latte à un clébard qui risque de la faire chuter. Le propriétaire, roi des cons, se met à l'insulter. Nous rigolons comme des bossus de la profonde bêtise qui envahit peu à peu notre monde. << Le règne du crétin magnifique se profile à l'horizon ! >> rajoute Clémentine. Nous parcourons les dix kilomètres qui nous séparent du cabanon de l'écluse. Pause pipi pour les filles. Du moins, tentative de pissous.

Il est tout à fait impossible de pisser au milieu de la piste cyclable. Il y a trop de passages. Tant pis. Elles se gardent pour le port de plaisance. Il reste quinze kilomètres avant d'y arriver. Il y a du monde. Nous retrouvons l'endroit avec le même plaisir que si nous étions encore en Ecosse. Les joueurs de boules, des groupes de cyclistes qui poussent leurs vélos. Des touristes. Les plaisanciers assis sur le pont de leurs bateaux. Il y a une ambiance particulière en cet endroit. Beaucoup d'habitués.

Nous fermons les bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Le petit chalet du capitaine est fermé. Clémentine, discrètement, retire sa culotte qu'elle glisse dans la pochette avant du sac à dos. Elle prend ma main pour la glisser entre ses cuisses. Le contact rêche de sa touffe fabuleuse me procure toujours un léger frisson. << Et moi ? >> me fait Estelle en prenant mon autre main. Elles me font plein de bisous sur les joues. Estelle me palpe la braguette. Je bande mou. C'est très agréable. Je dois changer la position de mon Zob au fond du slip.

Nous traversons la route pour aller à la supérette. Il est 15 h30. Il y a du monde. Nous saluons la gérante. Avec tous ces clients, elle n'a pas le temps de bavarder mais nous sommes contents de nous revoir. Estelle prend son tour dans la file de la première caisse. Clémentine m'entraîne au fond du magasin. Dans l'armoire congélateur, nos pots Haagen Dazs. Quelques uns de nos parfums préférés sont là. Noisettes, amandes et pistaches. Un pot de chaque. Des pots de 500 ml. Nous rejoignons Estelle.

Cette stratégie permet de garder les pots de crèmes glacées bien froids. Nous savourons nos douceurs assis sur le muret. Les pieds dans le vide à regarder les gens. Il y a une animation demain dimanche. Des employés communaux et des bénévoles sont entrain d'installer des stands, des bâches. Nous flânons un peu sur le quai. Après renseignements, demain, ce sera la vente et la dégustation des pâtisseries au profit d'associations caritatives. Nous viendrons probablement y faire un tour. A bicyclettes.

Clémentine nous entraîne vers les bâtiments des sanitaires réservés aux plaisanciers. Il y a la salle des machines à laver dont la porte est ouverte. Il y a des gens à l'intérieur. Il y a les toilettes hommes, les toilettes femmes. Du monde partout. Nous allons jusqu'au bâtiment des toilettes publiques. C'est le rendez-vous des D'jeunes du bourg. Inutile de tenter un "plan" avec toute cette affluence. Nous continuons pour prendre le chemin qui longe le canal sur l'autre côté de la piste cyclable. Il y a quelques pêcheurs.

Chez les passionnés de pêche à la ligne, une nouvelle tendance fait sont apparition. Ils sont équipés d'un véritable matériel para militaire. Tentes kakis, caisses kakis, tenues de camouflages. C'est ridicule et risible mais cela nous amuse beaucoup. Nous arrivons aux amas rocheux. Là, il y a des ronces, des fourrés, des bosquets sous les acacias. << J'aime ces endroits à bons plans ! >> fait Clémentine. Nous restons assis au bord de l'eau. Les rochers permettent d'éviter le contact de l'herbe. De se tâcher.

Je suis entre mes deux anges. Estelle à ma droite qui est assise en écartant bien ses cuisses. Clémentine assise à ma gauche dans la même position. L'une porte culotte, l'autre n'en porte pas. A chaque fois qu'un cycliste solitaire passe de l'autre côté du canal, les filles exagèrent leurs positions. Nous rions de l'expression et des attitudes de ceux qui s'en aperçoivent. Ils sont rares. Comme je suis là, aucun ne s'arrête. Là, sur la gauche, arrive un petit bateau blanc d'environ six mètres. Il y a juste un grand type blond à la barre.

Il avance tout doucement. Il s'apprête à franchir la dernière écluse avant le port. << Planquez-vous, un super "plan" ! >> lance Clémentine. Estelle et moi nous nous levons d'un bond. Elle m'entraîne derrière les fourrés. Bonne cachette pour mâter tranquilles. Clémentine se redresse pour s'accroupir. Cuisses bien écartées. Le bateau glisse doucement et silencieusement sur l'onde. Le marin d'eau douce découvre le spectacle. Il n'est qu'à une dizaine de mètres de la superbe jeune fille qu'il découvre ainsi.

Clémentine garde ostensiblement le visage baissé, caché par ses cheveux qu'elle vient de défaire. Elle vient de mettre ses lunettes de soleil. Totalement préservée par cet anonymat, elle peut se livrer à une splendide exhibition de très haute qualité. Notre plaisancier coupe les gaz. Le bateau se stabilise presque à la hauteur de Clémentine. Le type semble seul à bord. Il adresse un sourire à Clémentine qui relève enfin la tête. Elle nous tourne dos. Nous avons déjà assisté à ce show tant de fois. Pourtant c'est toujours une grande "première".

Je bande comme le dernier des salauds dans la main d'Estelle. J'ai glissé ma main dans sa culotte. Mon doigt aussi glisse entre les fines lèvres de son sexe humide. << J'aime quand tu fais ça ! >> me chuchote t-elle en me masturbant doucement. Nous regardons Clémentine et l'inconnu. Des voix soudaines. Depuis la cabine, monte une jeune femme. Clémentine a tout juste le temps de se redresser, de faire semblant de prendre des photos. Le type détourne son attention. Lui aussi joue l'indifférence. Le bateau repart.

Clémentine vient nous rejoindre. Estelle se couche sur le dos. La pierre plate offre un espace d'environ deux mètres sur un mètre cinquante. Elle retire sa culotte pour m'entraîner sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Clémentine s'accroupit en se masturbant. Elle adore nous voir baiser. Estelle s'enfile la bonne moitié de ma queue avant de s'accrocher à moi. Je reste en appui sur mes mains. Elle peut bouger comme elle aime, suspendue à mon cou par ses mains, à mes hanches par ses jambes.

Merde alors ! Il y a toujours des emmerdeurs ! Voilà deux familles de Simpson aux chiards braillards qui rappliquent. Ils sont encore à une centaine de mètres. Ce qui nous permet de nous réajuster et de partir comme des promeneurs. Il est 17 h. Nous retournons aux vélos. Le vent est tombé. Ce n'est donc pas une épreuve que de prendre le chemin du retour. Nous croisons presque autant de monde qu'à l'allée. Il est 19 h quand nous arrivons à la maison. Fourbus mais tellement heureux.

Pour le repas du soir. Nous faisons cuire au four des feuillantines de saumon encore congelées. Quatre belles pièces. Clémentine prépare les carottes. Estelle prépare l'assaisonnement. Je coupe l'ail et l'oignon. La fraîcheur du soir nous oblige à nous changer. Jeans, sweats, baskets. Je félicite Clémentine pour sa petite prestation au bord du canal. Nous en rions de bon cœur. Nous dévalons les escaliers pour redescendre à l'instant précis où résonnent les trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Nous dressons la table avec Estelle.

Clémentine revient suivie de Julie. C'est fou ce qu'une jeune fille de 20 ans peut changer en quelques mois. Comme elle est belle. Ses longs cheveux qui flottent sur ses épaules. Son jeans et son sweat presque aussi moulants que des justes au corps de danseuse. Elle se précipite pour me faire la bise. Dans son élan elle se serre contre moi. Estelle et Clémentine me font un clin d'œil. Je suis gêné et pétri d'émotion. Julie est radieuse, rayonnante. Nous passons à table. << Raconte-nous ! >> lance Estelle.

Julie commence à me remercier pour tout. Cette opportunité de tenir une galerie d'Art pendant deux mois. Ce contact permanent avec les visiteurs. << Vous n'imaginez pas comme toute cette expérience professionnelle est gratifiante ! >> précise t-elle. Julie nous raconte nombres d'anecdotes amusantes. Les instants où se concluent les ventes. Ces moments d'émotions intenses qu'ils procurent. << C'est à chaque fois comme une "réussite". Ça procure une immense fierté ! >> confie t-elle plusieurs fois.

<< Sans parler des deux salaires ! Julien, vous êtes fou ! >> rajoute t-elle en prenant un ton grave et en se tenant subitement très droite. Clémentine dit d'une voix sentencieuse : << Toute peine mérite salaire ! >>. Estelle rajoute : << Sans toi, la galerie d'Art serait définitivement fermée ! >>. Julie, pour la première fois, me fixe plus de quelques secondes en me parlant. Sans baisser les yeux. Je trouve ça magnifique. Il est certain que Julie est à présent habitée d'une confiance en elle beaucoup plus affirmée.

Nous traînons à table. Julie nous apprend qu'elle passe la nuit avec nous mais qu'il lui faudra repartir avant midi. Repas de famille. Nous l'invitons à venir passer le prochain lundi soir avec nous. Comme jadis. << Je ne livre pas encore les repas. Je veux me consacrer du temps. J'ai prévenu ma tante. Anne-Marie ne pourra compter sur moi qu'au début octobre ! >>. Julie aussi a sa rentrée universitaire ce lundi. C'est donc une excellente idée de nous raconter tout ça devant un bon repas. << Affaire conclue ! >> dit Clémentine.

Nous faisons la vaisselle. J'admire la façon de se comporter de Julie. Pas de doute, en deux mois, la jeune fille s'est transformée. Ses gestes, ses attitudes, son maintien corporel. Une véritable métamorphose. Nous prenons notre dessert au salon. Je suis entre mes deux anges. Julie, assise dans le fauteuil en face de nous, écoute à présent les histoires de nos vacances. Par courriels quotidiens nous racontions nos aventures. Ce sont surtout nos frasques sexuelles qui intéressent Julie qui pose bien des questions.

Je bande comme un salaud. Surtout qu'Estelle vient de me déboutonner la braguette. Julie observe du coin de l'œil. Les vieux réflexes sont de retour. Julie évite de croiser mes regards. << Tu t'es faite draguer dans la galerie ? >> demande Estelle en me sortant la queue. Une queue dure fièrement dressée vers le plafond. Tenue d'une poigne ferme. Julie nous raconte le vicieux qui est venu trois fois. Il faisait semblant d'admirer les toiles tout en se touchant discrètement. << Il était moche en plus ! >> lance Julie en éclatant de rire.

Nous passons la soirée ainsi. A beaucoup rire. Julie louche sur mon sexe. Elle n'ose pas encore regarder franchement. Sauf quand Estelle l'agite dans sa direction en donnant quelques précisions quand à nos coquineries écossaises. Il est 22 h30. Nous sommes épuisés. Nous montons. Julie utilise les toilettes et la salle de bain la première pendant que nous préparons son lit. Le canapé clic-clac dans notre chambre. C'est à notre tour d'aller pratiquer nos rituels pisseux. Nous rejoignons Julie qui dort déjà profondément dans son lit.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment inspirer les marins d'eau douce, au bord des canaux, en offrant leurs shows...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1634 -



Un dimanche des plus réjouissants

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans mon cou. Ses jambes viennent d'enserrer ma cuisse. Elle se frotte doucement. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection naturelle. C'est dur comme du bois. Cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Nous regardons Julie s'étirer en gémissant car nos agissements l'ont tiré de son sommeil également. << Bonjour ! >> nous fait elle depuis son canapé lit.

<< Bonjour Julie ! >> répondons-nous en cœur. Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. Elle passe tout près de Julie pour lui déposer un bisou sur le front. Nous faisons notre lit. Il est neuf heures. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. En slip et en T-shirt de nuit, nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Elle me saute au cou. << Dernier jour des vacances ! Comme j'ai été heureuse ! >> dit elle. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous.

J'administre toujours le même traitement à Clémentine. C'est ainsi que Julie nous découvre en entrant dans la pièce. L'odeur de café, de pain grillé et de brioche sont un véritable ensorcellement. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de nos retrouvailles, hier. Nous mangeons de bon appétit en bavardant et en riant. Julie nous confie à quel point cet été fut le point d'orgue de toute une année d'attente. Les filles se réjouissent pour la rentrée universitaire de demain. Je les écoute échanger leurs impressions.

Le dimanche, pas d'entraînement, pas de jogging. Nous traînons à table. Julie est la seule à s'être déjà habillée. C'est qu'elle doit nous laisser pour 11 h30. Il est à peine neuf heures trente. Estelle et Clémentine, assises sur mes genoux, dissertent sur cette rentrée. Julie débarrasse la table. << A partir de samedi prochain, je viens faire votre ménage entre 9 h et 11 h30 ! >> lance t-elle. << Mais tu manges avec nous alors ! >> s'écrie Clémentine. << Je ne pourrai rester avec vous le midi que jusqu'au début octobre ! >>.

Julie reprend son travail de serveuse dans le restaurant de sa tante à partir du premier octobre. Ce qui impose la mise en place et le service. << On va bien en profiter d'ici octobre alors ! >> rajoute Clémentine. Julie ne cache pas sa joie. Elle se met à faire la plonge. Nous essuyons. Dehors il fait beau, le ciel est entièrement bleu. Nous montons nous laver les dents, nous changer. Julie a déjà enlevé les draps de son lit et refermé le canapé. Nous dévalons les escaliers pour la rejoindre au salon, assise devant l'ordinateur.

Je lui tends un emballage de papier kraft très élégant. C'est un paquet bien lourd. Nous l'avons fait faire dans la grande librairie à Edimbourg. Julie ouvre de grands yeux. Elle me regarde, interrogative. << Ouvre ! >> lui fait Clémentine. << Oui, on est pressés de voir ton cadeau ! >> rajoute Estelle. Nous sommes tous les trois debout autour du bureau. Sur le paquet, j'ai collé une enveloppe jaune. Julie commence par l'enveloppe. << Vous êtes fou Julien ! >> s'écrie t-elle en montrant le contenu. Un chèque conséquent.

Je dis : << C'est le pourcentage sur les ventes ! >>. Elle se lève d'un bon pour monter sur le bureau, à quatre pattes, elle me fait une bise sur chaque joue. Cette réaction spontanée et authentiquement émotionnelle nous enchante. Julie ouvre le paquet avec d'infinies précautions. << Je veux garder l'emballage ! >> précise t-elle avant de découvrir les deux albums photos. L'un présente des photos en noir et blanc, l'autre des photos principalement sépias ou en couleurs. << Comme c'est beau l'Ecosse ! >> s'écrie Julie.

C'est tellement bon de faire plaisir, tellement bon de rendre quelqu'un heureux. Clémentine et moi nous nous regardons. Estelle nous fait un sourire. Nous partageons là un instant de profonde émotion. Julie se lève. Elle nous fait une bise à chacun. Je dis : << Nos amis intimes se comptent sur les doigts d'une main. Vous en êtes Julie ! >>. Je sens son profond désir de se blottir contre moi, de se serrer dans mes bras. Elle se maîtrise, un peu stupide, incapable du moindre mouvement. Je passe mes mains sur ses bras. Caresse.

<< Venez, on profite de ce soleil ! >> lance Clémentine. Nous nous précipitons dans le hall. Il est 10 h30 et il fait déjà doux. Les rayons de ce soleil sont une véritable caresse. Nous traversons le jardin pour raccompagner Julie jusqu'à sa Clio rouge. Elle y pose ses deux gros albums photos. Nous descendons le chemin qui mène à la rivière. Je suis entre Clémentine et Estelle qui me tiennent par les mains. Julie est au bras de Clémentine. Au sol, jonchent les premières feuilles de l'automne. Pas un souffle de vent.

Nous prenons le sentier facile de gauche. Estelle ouvre la marche. L'étroitesse du chemin nous oblige à marcher les uns derrière les autres. Julie est derrière. La conversation s'oriente sur la rentrée universitaire. Julie aussi possède son passe sanitaire. Lorsque nous évoquons les nôtres, elle a le même réflexe que Clémentine. Elle lance : << Je n'ai pas envie de me priver de ce que j'aime. Le ciné, le restau, le théâtre ou encore les concerts ! >>. Nous sommes parfaitement d'accord même si le principe du passe sanitaire est douteux.

Estelle se retourne souvent, arrêtant alors notre cortège. Elle me palpe la braguette. Me la déboutonne lors d'un des arrêts suivants. Finalement, je me retrouve à avancer avec la bite à l'air. Je me retourne pour montrer le "tableau" à Clémentine qui s'écrie : << Bien ! Ça devrait être comme ça tout le temps ! >>. Julie me fait le plus adorable des sourires. Nous parcourons un petit kilomètre avant de nous assoir sur une souche. Les eaux de la rivière sont à leur niveau habituel. Des eaux profondes et limpides.

Je surprends plusieurs fois le regard de Julie qui louche sur mon sexe. Estelle s'en saisit souvent. Je bande bien dur. Clémentine prend le relai d'Estelle à chaque fois que cette dernière lâche mon chibre. Elle l'agite en direction de Julie. << Tu veux t'amuser un peu avec ? >> demande t-elle à Julie. << Oui ! Prends là, c'est génial ! >> rajoute Estelle. Quelle n'est pas notre surprise en voyant Julie se pencher, tendre son bras, saisir ma queue. << Voilà ! C'est superbe ! On te la prête ! >> lance encore Estelle.

Nous éclatons de rire. La poigne de Julie reste timide. Sa main immobile serre ma turgescence d'un geste sûr. Il faut songer à prendre le chemin du retour. Il est onze heures passées. Estelle ouvre la marche. Je reste prudent, prêt à remballer, quand nous reprenons le chemin qui monte vers la propriété. Il arrive que notre voisin, monsieur Bertrand, descende lui aussi vers la rivière. Une nouvelle surprise devant la voiture de Julie lorsqu'elle saisit mon sexe à présent mou. << Merci Julien ! >> me dit elle en même temps.

Nous nous revoyons lundi soir. Sans Estelle qui dit : << Vous me raconterez ! >>. Des bises à Julie que nous regardons partir dans son auto. Je sors la nôtre du garage. Nous sommes attendus pour midi chez les parents d'Estelle. Juste le temps de nous changer. Jeans propres, chemises blanches, mocassins beiges. Je prends la grande valise à Estelle et son sac de sport contenant ses chaussures. C'est parti. Nous arrivons au bourg pour midi tapante. C'est Yvan, le papa d'Estelle qui nous accueille dans le jardin.

Nous sommes contents de nous revoir. Michèle, la maman, apparaît en haut de l'escalier. Au diable les gestes barrières. Nous nous serrons les mains. << On fait comme les politiciens à la télé ! Eux non plus ne respectent aucune des mesures qu'ils préconisent ! >> lance Yvan. Michèle nous invite à la suivre jusqu'au salon. Nous sommes morts de faim. Nous voilà tous les cinq attablés autour d'une délicieux repas. Nous mangeons de bon appétit. De la dorade en fritures avec des légumes. C'est absolument divin.

Les parents d'Estelle reviennent sur leurs séjours en Irlande et en Ecosse. << L'an prochain on se fait l'Ecosse quatre semaines. On loue un cottage dès le mois prochain, pour êtres sûrs ! >> lance Michèle. << C'est trop bien ! Quel merveilleux pays. C'étaient probablement nos plus belles découvertes. Nos plus belles vacances ! >> rajoute Yvan. Nous traînons à table. Michèle propose de prendre le dessert au jardin. << Il faut juste sortir une chaise ! >> dit elle. Nous insistons pour aider à débarrasser et à faire la vaisselle d'abord.

Estelle plonge. Nous essuyons en bavardant, en riant. Les parents d'Estelle sont devenus des amis. Ils l'étaient déjà pour Clémentine depuis plus de dix ans. Ils le sont à présent également pour moi. Je surprends quelquefois ce curieux regard par en-dessous que me lance Michèle. La vaisselle terminée, nous sortons par la véranda. Yvan me retient par le bras en chuchotant : << Ma femme ne me cache jamais rien. Un jour il faudra que je te parle de nos folies de jeunes mariés, il y a vingt ans ! >>. Yvan me tutoie pour la première fois.

Je comprends immédiatement ce qu'il sous entend en précisant que sa femme ne lui cache rien. En descendant l'escalier il rajoute : << Et surtout amuse-toi, elle apprécie énormément. Moi aussi ! >>. C'est soudain comme si ces confidences avaient levé le dernier voile de mes interrogations. Je suis assis entre Clémentine et Estelle. << Je vais préparer les coupes glacées ! >> lance Michèle. Je propose d'aider. << Vous viendrez chercher le plateau, je vous appelle depuis la véranda ! >> me répond t-elle en se levant.

Nous bavardons. Nous évoquons les souvenirs communs de l'Ecosse. Nous racontons la visite de la maison qui nous est proposée à Edimbourg. << Tout de suite ! N'hésitez pas une seconde ! >> lance Yvan. << Julien, c'est bon ! >>. Je me retourne, c'est la voix de Michèle. Je me précipite pour venir chercher le plateau. Il est posé sur la table dans la cuisine. Cinq grosses coupes glacées y sont préparées. Michèle pointe son index vers ma braguette en demandant : << Alors ? Rassuré ? >>.

Je reste sidéré par cette question. Sans me laisser le temps de répondre, Michèle rajoute : << Je n'ai encore rien vu aujourd'hui ! >>. Je comprends subitement ce qu'elle sous entend. D'un geste lent et précis, je déboutonne ma braguette. Je sors ma queue. Je la tiens à sa base. Ce moment est tellement excitant que je bande comme le dernier des salauds. Michèle chuchote : << J'adore ça Julien. Je tiens à vous le dire maintenant. De plus vous avez le consentement de mon mari à qui je ne cache jamais rien ! >>.

Mon érection est presque douloureuse tellement la situation m'excite. Je ne sais quoi dire. << J'y goûte un de ces jours. Qu'en dites-vous ? Comment réagira Clémentine à qui vous ne cachez rien non plus ? >> murmure Michèle. Je dis à voix basse : << Clémentine adore quand je me comporte comme un satyre devant d'autres femmes ! Pas de problème ! >>. Michèle conclue en disant : << Alors c'est parfait. Venez, emmenons les glaces ! >>. Je remballe avec difficultés. Je prends le plateau. Michèle prend la corbeille contenant les gâteaux.

C'est comme si Clémentine savait déjà. Ses qualités et ses dons de médium participent certainement de ma certitude. Surtout qu'elle me fait du pied, saisit souvent mon poignet. Nous décidons d'une promenade. La maison des parents d'Estelle est en lisière de forêt. D'un côté les bâtiments de leur entreprise de l'autre la forêt. Il fait chaud. Nous profitons de l'ombre des feuillages au-dessus du chemin. La conversation s'axe sur différents sujets. Estelle reste au bras de son papa. Clémentine à mon bras. Michèle anime les échanges.

Nous revenons pour 17 h. La collation est délicieuse. Du thé, des crêpes dentelles roulées et sèches. Nous laissons Estelle et ses parents pour 18 h. Estelle viendra nous rejoindre mardi soir. Derniers bisous. Discrètement Michèle m'adresse un clin d'œil. Je crois même surprendre un mouvement suggestif de sa langue à l'intérieur de sa bouche contre sa joue. Nous rentrons. Dans la voiture je raconte à Clémentine les confidences d'Yvan et de Michèle. << Je me doutais bien qu'ils étaient de mèche et complices ! >> dit elle.

Clémentine rajoute : << Il faut voir comment va réagir Estelle ! Je crains qu'elle va te passer un sacré "savon" ! >> . Nous éclatons de rire. A peine rentrés, voilà le téléphone fixe qui sonne. Je décroche. << Vieux salaud ! Tu crois que je n'ai rien vu ! Attends mardi, je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. C'est Estelle. Clémentine tient l'écouteur, pliée de rire. Je tente de rassurer Estelle qui conclue : << Baisez à ma santé ce soir ! >>. << Promis ! >> lance Clémentine. Nous préparons notre repas du soir. Léger. Crudités.

Bon dimanche à toutes les coquines qui aiment aller de surprises en surprises. Surtout lorsque ces surprises sont à caractère libidineux...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1635 -



La rentrée universitaire

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Nous sommes tirés de nos profonds sommeils par des cris de mouettes. Le ressac des vagues contre les rochers. C'est l'application "océan" qui nous réveille ainsi. Tout en douceur, nos donnant l'impression d'être encore en Ecosse. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Plein de bisous, de papouilles. Nous nous levons assez péniblement pour aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour nous précipiter dans la cuisine.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Nous prenons notre petit déjeuner en émergeant lentement. C'est dur ce matin. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan du week-end. Clémentine s'amuse de mon comportement de satyre avec Michèle, la maman d'Estelle. Elle adore quand j'ai ces attitudes avec d'autres femmes complices. Nous en rions de bon cœur. Dehors il fait nuit noire. Inutile de prendre des risque en allant courir à l'extérieur.

Nous montons pour nous offrir notre séance d'entrainement à l'étage. C'est la première fois depuis plus de deux mois que nous pénétrons dans la petite salle. Clémentine se serre dans mes bras en murmurant : << J'aime retrouver les routines avec toi ! >>. Quelques mouvements d'étirements. C'est parti. Aérobic, jogging sur les tapis roulants, abdominaux, charges additionnelles. La douche. Clémentine est vêtue d'un jeans, de mocassins beiges, d'un pull en coton fin, de son blouson de cuir noir cintré à la taille.

Ses cheveux en liberté qui flottent sur ses épaules. Elle est terriblement belle et attractive. Nous dévalons les escaliers. Le jour s'est levé. Il est 7 h35. La fraîcheur matinale est surprenante. Je sors l'auto de Clémentine. Nous l'avons fait tourner hier soir. Tout est OK. Un dernier bisou. << Tu penses à moi, hein ! Moi je vais beaucoup penser à toi ! >> me fait Clémentine en se mettant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou en haut du chemin. Le portail s'ouvre automatiquement. La voiture tourne à gauche pour disparaître.

Je rentre. Je monte faire notre lit. Je redescends pour faire la vaisselle. Quelle étrange sensation que procure la solitude. Je regarde partout autour de moi. Je n'ai plus été seul dans cette grande demeure depuis si longtemps. Je suis pris d'un soudain vertige. Une décharge électrique fulgurante parcourt ma colonne vertébrale. Une émotion comparable à celle que procure la peur. La terreur peut-être. Je vais dans l'atelier. Quelle merveilleuse attention de la part de Clémentine. Elle a mis des fleurs en cachette.

Il y a surtout cette photo de nous deux, tirée en cachette également sur l'imprimante, posée sur le chevalet. Je suis pétri d'émotion. Je regarde à nouveau partout autour de moi. Clémentine et moi avons habité cette grande pièce pendant plusieurs mois. Je regarde la table de travail où elle était assise des journées entières à suivre ses cours en ligne, a suivre ses études en télé travail. A présent, il n'y a plus rien qu'un carnet, qu'un stylo et une chaise vide. Mon cœur se serre. Quelle désagréable sensation.

J'ai du travail. J'ai les dessins préparatoires de huit œuvres de commande à réaliser. Le dessin préparatoire d'une œuvre destinée à la garantie de la réservation de notre probable future maison à Edimbourg. Sur la toile déjà enduite et préparée, je n'ai plus qu'à poser le calque d'une ancienne création. Cela fait quelques années que je procède ainsi. Je ne m'emmerde plus. Il me suffit de changer quelques détails pour en faire une œuvre originale. Il est 8 h45. Me voilà assis devant le chevalet à calquer.

C'est une nature morte aux fruits, avec un petit coffre dont dépassent des bijoux. Il y a quantité de petits objets qui seront autant de prétextes à refléter la lumière. Je peins selon les préceptes des anciens maîtres hollandais du XVIIème. Il y a donc un luxe de détails dans un clair obscur dont émanent le mystère et la magie. Je suis concentré sur ce travail lorsque la musique imbécile de mon téléphone me tire de mes introspections. Je le saisis machinalement sur la desserte à ma droite.

C'est Juliette. Quel plaisir d'entendre sa voix. La jeune femme me rappelle que nous sommes attendus pour le repas du soir, mercredi à 19 h30. Je la rassure, nous n'avons pas oublié et c'est une réjouissance. A mon tour je rappelle à Juliette qu'elle peut venir faire de la cueillette. Nos arbres fruitiers regorgent de pommes, de prunes, de poires. Il y a des mûres et les framboises ne vont pas tarder. << Je viens cet après-midi ! >> lance t-elle toute contente. Nous échangeons quelques banalités avant de raccrocher.

Il est 11 h. Je termine le dessin préparatoire. Je pose la toile sur la bâche posée au sol. Je prépare de la peinture acrylique "terre de Sienne". Je l'applique au spalter, très diluée, en deux couches croisées. L'acrylique sèche rapidement. Cette couche d'impression permet d'harmoniser les teintes des couches supérieures qui seront de peintures à l'huile. Je pose la toile prête à être peinte sur le chevalet. Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin.

Je lave un beau choux-fleurs. Je le fais cuire à l'auto-cuiseur. Pendant ce temps je concocte une Béchamel. Je râpe une bonne quantité de gruyère. J'étale un tiers de la pâte dans un plat à tarte rond à bord haut. J'égoutte le choux-fleurs pour le mettre dans la Béchamel avec le gruyère. Je verse le mélange sur la pâte. Je recouvre avec le tiers de pâte restante en joignant soigneusement les bords. Je badigeonne du mélange œuf, lait de soja et crème fraîche sur le dessus. Je saupoudre de graines de sésame grillées. Au four.

Cuisson à feu doux, 180° afin que la Flamiche Picarde mijote longuement. Avec les coquillettes que j'égoutte, j'ai gardé un peu de Béchamel. Accompagné d'une salade verte, c'est mon repas de midi. Durant toute cette préparation, je subis les assauts de mes émotions. Cette détestable sensation de solitude, ce silence presque effroyable, tout cela en devient soudain effrayant. Dehors il fait beau, il fait chaud. Je sors avec mon assiette pour aller m'assoir au bord du bassin. Clémentine me manque cruellement.

Je prends conscience, dans sa terrifiante réalité, de l'amour que je porte à cette jeune fille de 24 ans qui partage mon existence depuis plus de quatre ans. Je suis pris d'effroi à l'idée de me retrouver, forcément, dans la logique des choses, seul un jour. Vieillissant. Je sens bien que mes yeux s'humidifient inexorablement. Depuis le décès de Christine, mon ancienne compagne, je ne crois pas être descendu dans d'aussi basses considérations de l'existence. Il est temps que je retourne dans l'atelier. M'oublier dans le travail.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Seul, tout me paraît triste, presque morbide. C'est assez terrible. Il faut que je me secoue. Je dévale les escaliers pour retourner dans l'atelier. A l'instant précis où résonne les trois coups de sonnette. Je regarde l'écran de l'interphone. C'est Juliette devant le portail. J'ai complètement oublié sa venue. Elle est accompagnée d'une jeune fille que je ne reconnais pas immédiatement. C'est Pauline, sa secrétaire depuis trois ans. Je regarde la grosse berline descendre le chemin.

Juliette est une femme de 45 ans. Une superbe bourgeoise. Hyper sexy. Soudain, du plus profond de moi monte cette évidence et cette certitude. << Non Julien, tu ne seras pas seul. Cette femme te l'a promis et te convoite depuis des années ! >>. Je retrouve soudain mon optimisme. Toute tristesse me quitte d'un coup. Juliette se précipite vers moi, je descends les marches pour aller à sa rencontre. Il est rare que nous nous fassions la bise. Ce réflexe commun nous amuse. Nous nous serrons les mains en gardant longuement la prise.

Je salue Pauline. Elles viennent toutes les deux pour la cueillette. Je les aide à sortir les grands paniers du coffre de la Mercedes. Non, je ne vais pas rester seul dans mon atelier cet après-midi. Je vais rester avec Juliette et Pauline. Elles m'aident à sortir la grande échelle double et la petite. Juliette ne m'a jamais semblé si heureuse. Nous nous connaissons depuis quatre ans. Toute réserve et toute comédie sont devenues inutiles. Nous voilà sous les branches du premier pommier à cueillir tout en bavardant, en riant.

L'après-midi se déroule ainsi, dans la joie, les rires, les bons mots et les confidences de Juliette. Je lui raconte nos vacances en Ecosse. Elle me raconte ses vacances en Corse, puis en Vendée. Il est 17 h30. Voilà la voiture de Clémentine qui descend lentement le chemin. Elle est toute souriante à nous découvrir au sommet des échelles. Je descends. Elle se blottit dans mes bras en murmurant : << Comme tu m'as manqué, Julien, je t'aime comme une folle. Presque jusqu'à la douleur quand tu n'es pas au près de moi ! >>.

Nous laissons Juliette et Pauline à leurs cueillettes. Quatre grands paniers sont déjà pleins. Juliette a l'intention de remplir quantité de bouteilles d'un bon jus de pommes. Elle a une connaissance qui a un pressoir. Clémentine m'entraîne par la main. Nous descendons le chemin vers la rivière. Accrochée à mon bras, sa tête contre mon épaule, elle me raconte sa première journée de cours. Tout a été bien pensé à l'université. La jauge des étudiants dans l'amphithéâtre, ainsi que les distances de sécurité. Même au restaurant universitaire.

Nous longeons la rivière comme les amoureux d'un premier jour. Nous n'arrêtons pas de nous serrer l'un contre l'autre, de nous embrasser. De nous raconter les émotions suscitées par la solitude. Celle de Clémentine était cérébrale, la mienne était physique. Nous remontons vers 18 h30. Juliette et Pauline sont reparties. Sur la porte un petit mot " A demain". Elles reviendront pour les poires et les prunes demain. La fraîcheur du soir commence à s'annoncer. A peine dans la maison, Clémentine me déboutonne la braguette.

<< Contrôle ! >> dit elle en se mettant à genoux à même le carrelage du hall d'entrée. Elle me sort le Zob qu'elle hume longuement. Elle le tourne pour l'examiner par dessus, par dessous. Elle en décalotte juste l'extrémité. << J'ai besoin d'être seule avec toi. Je ne sais même plus ce que c'est. Nous sommes tous le temps à trois ! >> murmure t-elle en se relevant. Je lui masse les genoux. << Je t'aime Julien. Je t'aime comme une folle ! >>. Elle m'entraîne en me tenant par la queue jusqu'au salon.

A genoux sur un des épais coussin, entre mes jambes écartées, Clémentine joue avec ma queue tout en revenant sur certaines séquences de sa rentrée universitaire. Trois coups de sonnette. Nous nous levons. << Ne remballe pas ! Sois salaud comme j'aime ! >> fait encore Clémentine en m'entraînant par la main. Nous allons accueillir Julie. Elle est vêtue d'un jeans, d'un sweat bleu nuit sous son blouson de cuir noir. Elle se précipite pour nous prendre les mains. Un tel élan qui nous fait fondre tous les trois. Elle fait mine de ne pas voir mon Zob.

Julie retire son blouson et nous suit à la cuisine. J'allume le four pour réchauffer la Flamiche Picarde. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée à midi. Julie dresse la table. Les filles racontent leurs premières journées à la faculté. J'écoute leurs échanges passionnés. Elles aiment leurs études. Il est 19 h 30 quand nous passons à table. J'écoute beaucoup plus que je ne parle. Je reviens de tant d'émotions aujourd'hui que j'en suis encore tout remué. La matinée solitaire fut une épreuve douloureuse.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine raconte quelques unes de nos frasques sexuelles écossaises. Julie nous confie qu'elle regarde quelquefois ce film que nous avons tourné au printemps. Lorsqu'elle était attachée dans le vieil entrepôt de l'ancienne tuilerie abandonnée. << Je veux une suite. J'exige une suite ! >> dit elle avec une assurance étonnante. Elle arrive même à soutenir mon regard plus de quelques secondes. Nous évoquons le placard de la maison d'amis.

Cet endroit étroit où Julie et moi étions cachés pour observer Clémentine et monsieur Bertrand. << On va donner suite à ces épisodes ? >> demande Julie. Elle le fait avec tant d'aplomb que nous en restons admiratifs. Julie a bien changé depuis deux mois. D'être la tenancière d'une galerie d'Art, une "patronne" durant deux mois, lui a été profitable. Même si sa timidité reste à fleur de peau, elle sait la dompter. La soirée se passe ainsi. Julie est libre dès le vendredi après-midi. Comme Clémentine. Rendez-vous à vendredi 14 h.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. J'invite Julie à m'accompagner aux toilettes. Nos vieilles habitudes nous manquent. Quelle n'est pas ma surprise de la voir saisir ma queue sans même que je l'y invite. Elle dirige un jet net et précis sous le regard étonné et impressionné de Clémentine. Julie secoue les dernières gouttes comme si elle avait toujours fait ça. Je lui caresse la nuque quand elle se penche pour regarder de près. Elle essore soigneusement la peau du prépuce en le serrant entre le pouce et l'index. Elle doit y aller. Déjà 22 h.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont vécu le premier jour d'une rentrée universitaire. Qui ont plaisir à retrouver leur complice...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1636 -



Second jour de la rentrée universitaire

Hier matin, mardi, il est presque six heures quand l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Les cris des mouettes, le ressac des vagues contre les rochers. Tout cela surgit subrepticement en se mêlant à nos rêves, ne dure que 45 secondes pour s'estomper tout aussi furtivement. Le temps de nous réveiller. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Je la serre. Des bisous, des papouilles. Nous nous levons pour aller vers la porte. Les toilettes, la tête encore dans le sac. C'est dur.

Nos rituels pisseux. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. L'absence d'Estelle est presque cruelle. Je mets les croissants offerts par madame Marthe, la boulangère, dans le four à micro ondes. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant la visite de Julie hier soir. Les changements qui s'opèrent chez cette jeune fille de 20 ans sont étonnants. C'est surprenant.

Nous mangeons de bon appétit. Il est 6 h20. Nous montons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Ce qui va encore achever de nous réveiller complètement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdominaux, exercices au sol, charges additionnelles, retour au calme avec un fort plaisant stretching. La douche. Il est 7 h35 quand nous sommes habillés. Nous descendons à toute vitesse. Je sors la voiture de Clémentine. Elle vient me rejoindre. En jeans, mocassins, sweat sous son blouson de cuir noir.

Ce matin ses cheveux sont noués en natte. Une longue tresse qui bat le haut de son dos. Super belle et sexy. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Il est 7 h45. Le jour s'est levé. La fraîcheur matinale est étonnante. Je me dépêche de rentrer. Je laisse le portail ouvert car Juliette arrive pour la cueillette vers 8 h30. Je fais la vaisselle. Je monte faire notre lit. Je redescends pour me rendre dans l'atelier. Toujours cette sensation de profonde solitude. Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette.

Je commence ce matin la peinture de la première des quatre toiles annuelles qui serviront de cautions pour réserver la maison à Edimbourg. Ce n'est qu'une variante d'une nature morte réalisée il y a plus de dix ans. Je change quelques détails afin d'en faire un tableau original. D'un format 6F, (41 cm x 33 cm). Je peins dans un enthousiasme des plus agréables. Toute tristesse disparaît comme par enchantement dès les premiers coups de pinceau. Ma passion reste la meilleure thérapie. Quel bonheur de m'y livrer à nouveau.

La musique imbécile de mon téléphone. En pestant je le saisis. Il est posé sur la desserte à ma droite. C'est Juliette qui m'annonce qu'elle est dans le jardin avec Pauline, sa secrétaire. Je promets de venir les saluer dans la matinée. Je peins en chantonnant "Le pornographe" de Georges Brassens. Il est neuf heures. Je dois honorer ma promesse car sinon je vais oublier d'aller saluer Juliette. Je garde ma blouse. Je quitte l'atelier pour sortir. Juliette est en haut de l'échelle double. Sous les branches d'un des pommiers.

Je monte la rejoindre. Nous nous serrons les mains. Elle est belle comme le jour. Elle aussi a attaché ses cheveux noirs en une longue tresse. Elle porte une robe d'été malgré la fraîcheur encore vive. << C'est un plaisir de te revoir Julien ! >> dit elle. Je ne peux que lui avouer la même chose. C'est la toute première fois qu'elle me tutoie ainsi. Elle rajoute : << N'oublie pas, Clémentine et toi vous venez manger demain soir ! >>. Je la rassure, Clémentine se réjouie autant que moi. Nous bavardons quelques minutes.

Je laisse Juliette à sa cueillette. Je vais saluer Pauline en haut de son échelle. Elle est en jeans et sweat. C'est une belle jeune fille de 23 ans. Nous l'avons connu lorsqu'elle était capitaine du port de plaisance. Un job d'été à la fin de ses études. C'est nous qui l'avons conseillé à Juliette qui cherchait une secrétaire. Nous bavardons un peu. Pauline me confie à quel point son travail dans l'entreprise à Juliette est gratifiant. << Je fais toutes sortes de choses. Même de la cueillette de fruits ! >> me dit elle en riant.

Je laisse les cueilleuses à leurs occupations pour retourner à ma peinture. La matinée se passe ainsi. Il est 11 h45. Je nettoie ma palette et mes pinceaux pour aller à la cuisine. J'épluche les pommes de terres. En regardant par la fenêtre je constate que Juliette et Pauline sont reparties. Elles reviendront pour 14 h. Je fais cuire les patates coupées en lamelles dans l'auto cuiseur. Dans une poêle je fais revenir de l'ail, de l'oignon. Des champignons. Deux filets de colin. Il est midi vingt. Clémentine rentre. Elle se précipite dans mes bras.

Cette année encore, elle n'a pas cours le mardi après-midi. Tout comme le vendredi où elle termine à midi. << Je t'aime mon amour. Comme je suis contente d'être au près de l'homme que j'aime ! >> dit elle lorsque je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. J'ai déjà préparé l'assaisonnement. Avec ce soleil, la chaleur revenue, nous mangeons dans la véranda. Je raconte ma matinée. Clémentine me pose des questions quand à la présence de Juliette.

Elle me raconte sa matinée de cours. Le trimestre sera axé sur les mathématiques. Les étudiants de cinquième année sont invités à préparer leurs plannings personnels. Tout en suivant un programme rigoureux qu'ils devront organiser avec leurs propres méthodes. << Je n'ai pas choisi mathématiques supérieures, merde ! Et là c'est carrément du même niveau ! >> s'écrie Clémentine. Les mathématiques sont une de ses passions. Elle n'est pas véritablement ennuyée. Mais elle a tout de même choisi la géomorphologie il y a trois ans.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine m'apprend qu'Estelle ne viendra pas nous rejoindre en soirée. << Elle a trop de trucs à faire ! C'est la rentrée ! >>. Les deux filles sont dans le même cursus universitaire. << Les mecs de notre section sont de sacrés dragueurs. Mais ce ne sont pas des "boulets". Estelle a revu Gauvain et son charmant sourire. Hier il est venu prendre le dessert à notre table, au restaurant universitaire ! >> me raconte Clémentine.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous nous changeons. Cet après-midi, virée vélo. Nous voulons profiter de cette journée d'été. Même si Clémentine a du travail, elle veut s'accorder quelques heures de détente. Nous n'irons pas en direction du port de plaisance mais vers le bourg, la chapelle gothique désacralisée à quelques kilomètres. Il est surtout question de se changer un peu les idées. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Comme il fait bon dehors.

Dans le petit sac à dos, deux pommes, des barres de céréales. Je vérifie la pressions des pneus. Parfaite. C'est parti. Trois cent mètres jusqu'à la rivière. La petite passerelle en bois dont j'ouvre le cadenas du portillon. Cinq cent mètres jusqu'à la piste cyclable. Cette fois nous prenons la direction du bourg. Il y a trois kilomètres de pente ascendante. Il faut également pédaler contre un léger vent de Nord Est. Il nous poussera au retour. Clémentine porte sa jupette kaki, son T-shirt carmin. Il fait chaud.

Je suis en short et T-shirt. Dans les mêmes teintes. Nous traversons le bourg. Il y a quelques touristes qui flânent dans les rues pavées. Nous prenons la petite route qui monte vers les collines. Là, à flanc de coteaux, l'enclos paroissial. C'est le vieux cimetière. Tout autour de la chapelle il y a un muret d'environ un mètre qui délimite le lieu. Il y a là souvent des expositions diverses, des manifestations culturelles. Il n'y a personne en ce mardi après-midi. Nous poussons les vélos pour entrer dans l'enclos.

Clémentine pose sa bicyclette contre le mur derrière la chapelle. << Viens , on regarde si c'est ouvert ! >> me dit elle en me prenant la main. C'est évidemment fermé. Clémentine monte sur une grosse pierre taillée. Hissée sur la pointe des pieds, elle regarde par un des vitraux grillagés. Je glisse ma main entre ses cuisses. Ses fesses sont à la hauteur de mon visage. << Mmhhh ! >> gémit Clémentine qui écarte ses pieds pour m'offrir un meilleur accès. Je glisse mes doigt entre la couture de sa culotte et sa cuisse droite.

<< J'aime quand tu fais ça ! >> rajoute t-elle en se cambrant davantage pour me permettre une parfaite exploration. J'adore cette invraisemblable touffe qui dépasse de partout. J'enfonce délicatement l'extrémité de mon index. Je le tourne doucement. << Mmhh ! >> gémit Clémentine qui se tourne. Je retire ma main. Elle retire sa culotte pour s'installer sur la grosse pierre. En appui sur ses coudes, les cuisses largement écartées, elle m'offre son sexe appétissant. Elle me fixe avec un air grave et sérieux.

Je m'accroupis pour mettre ma tête entre ses cuisses. Autour de nous c'est le silence. J'avance mon visage. Rien ne m'excite davantage que de m'offrir le festin qui m'attend. Clémentine s'allonge. Je me redresse pour glisser le petit sac à dos sous sa nuque. Clémentine est confortablement couchée sur le dos. La pierre est lisse et sans aspérités. Je suis à genoux dans l'herbe. Du bout de la langue je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de sa vulve. Les poils drus me chatouillent. J'en ai dans la bouche. J'adore.

J'aime cette petite goutte de cyprine qui perle au bas de sa vulve. Une goutte qui s'écoule doucement vers le trou du cul. Je la récupère. Ainsi que les suivantes. Clémentine ne cesse de gémir de plaisir. Elle me tient par les oreilles, comme pour me guider. Je prends son clitoris géant entre mes lèvres. J'adore ce spasme soudain qui secoue tout son corps. A chaque fois que son clitoris est entre mes lèvres, Clémentine a les mêmes frissons, les mêmes soubresauts. C'est adorable. Je suce ce bouton de plaisir. Il y a là de quoi se régaler.

Un clitoris géant, comme une petite bite, que je peux décalotter du bout de mes lèvres. Il y a toujours de la "substance" à récupérer là. Surtout que Clémentine secrète beaucoup. Ses muqueuses sont productives. Le goût de ce "fromage" me couvre de frisson. Je retourne récupérer tout ce qui coule. Des sécrétions abondantes. Clémentine, entre deux gémissements, me demande souvent : << Raconte-moi ce que tu fais. C'est tellement bon. Tu me rends folle ! >>. Je lui raconte après avoir déglutis.

Clémentine adore repousser l'orgasme. Comme moi elle apprécie de faire durer. Je me régale. A plusieurs reprises Clémentine me repousse délicatement en murmurant : << Attention ! >>. Je cesse alors pour ne pas provoquer l'orgasme. Nous nous gardons pour ce soir. Je bande comme un salaud. Je prends tant de plaisir à m'occuper ainsi. C'est divin. Nous préférons tous les deux les rapports génitaux buccaux. << Attention, attention ! >> s'écrie une fois encore Clémentine. Cette fois je dois cesser impérativement.

Clémentine se redresse. L'intérieur de ses cuisses tremble. Elle se mordille la lèvre inférieure. << C'était limite cette fois encore ! >> dit elle en reprenant son souffle. << Viens ! >> rajoute t-elle. J'ai la bite à l'air. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. C'est toujours pour conclure. Juste une petite pénétration de principe avant de cesser jusqu'à ce soir, au lit. Il est 16 h30. Clémentine a du travail. Nous reprenons le chemin du retour. Facile car ce n'est que de la descente.

Il est dix sept heures quand nous revenons à la maison. Monsieur Bertrand est entrain de bavarder avec Juliette et Pauline. Nous n'avons pas encore vu notre voisin depuis notre retour. Il est tout content de nous revoir. Nous discutons tous les cinq un bon quart d'heure. J'aide Juliette et Pauline à mette les quatre grosses corbeilles dans la voiture. Là-bas, du coin de l'œil, j'observe Clémentine entrain de discuter avec Mr Bertrand. Ça m'excite. Juliette s'en rend compte. Elle me chuchote : << Elle le suce ? >>.

Je réponds : << Non, pas encore. Mais c'est en projet ! >>. Pauline contourne l'auto pour nous rejoindre. Juliette lui dit : << C'est le nouveau Mr Gérard de la compagne à Julien ! >>. Je suis étonné. Ainsi Pauline est dans le "secret" ? Elle ferait elle aussi partie du "Club" ? Juliette saisit alors la main de Pauline. Je viens de comprendre le message. Pauline est la nouvelle partenaire de Juliette. Pauline me fait le plus délicieux des sourires. << Il faut qu'on y aille ! >> lance Juliette. Nous nous saluons. Pauline me fait un clin d'œil.

Je rejoins Clémentine et le voisin. Clémentine me dit : << J'invite Louis à prendre un café dans la maison d'amis, demain soir, en rentrant de cours. Tu viens aussi ? >>. Je comprends immédiatement. Je réponds : << Je crains fort que l'urgence de mes commandes m'interdise de me joindre à vous. Veuillez m'excuser Louis ! >>. Clémentine me fait un clin d'œil. Nous saluons monsieur Bertrand qui redescend vers sa propriété. Dans l'atelier, avant de se mettre à son travail, Clémentine m'embrasse. << Merci Julien ! >> murmure t-elle.

Bonne balade à toutes les coquines qui aiment se faire lécher, sucer, pénétrer dans les lieux aussi insolites qu'un vieux cimetière...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1637 -



Clémentine revoit Louis avant une soirée chez Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque six heures quant le cri des mouettes, le ressac des vagues sur les rochers nous tirent de nos profonds sommeils. L'application "océan" offre chaque jour des variantes car ce ne sont pas tout à fait les même bruits. Comme nous avons encore bien baisé avant de nous endormir, le réveil est douloureux et cruel. C'est avec la tête dans le sac que, comme des zombies, nous nous rendons aux toilettes. Dès nos rituels pisseux terminés, morts de faim, nous dévalons les escaliers.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain délivre ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant nos folies de hier soir. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celles qui s'annoncent. Nous finissons par en rire. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, retour au calme avec un bon stretching. Une bonne douche nous attend.

Je descends le premier pour aller sortir la voiture de Clémentine. Le jour s'est levé sur un ciel entièrement dégagé. La lumière orangée sur l'horizon annonce l'imminente arrivée du soleil. Il est 7 h40. Clémentine me rejoint vêtue de son jeans, d'un fin pull bleu nuit sous sa veste de cuir noir. Ses mocassins beiges. Un dernier bisou. << Tu penses à moi hein, parce que je t'aime fort ! >> dit elle en montant dans son auto. Je la regarde monter le chemin avant de disparaître. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle.

Je monte faire notre lit. Pressé de retrouver mon travail, je dévale l'escalier pour entrer dans l'atelier. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le grand café" de Charles Trenet. Je peins dans un enthousiasme extraordinaire. La musique imbécile de mon téléphone posé sur la desserte à ma droite. En râlant, je m'en saisis. C'est Juliette. Elle m'annonce qu'elles reviendront avec Pauline, en début d'après-midi pour cueillir les dernières pommes. C'est parfait.

La matinée se passe ainsi. Il est midi lorsque je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Je lave les tomates. Je verse le reste des pommes de terre dans un plat en terre cuite. Je recouvre d'une grosse couche de gruyère de Comté grossièrement râpé. Au four. Dans une poêle je fais rissoler des crevettes avec l'ail et l'oignon. En fin de cuisson j'y rajoute un petit pot de crème fraîche, deux lamelles de Morbier. La sonnerie du four. Je mange de bon appétit. Dehors il fait beau, chaud. Le soleil est maître d'un ciel immensément bleu.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je descends les escaliers à toute vitesse pour sortir. Comme il fait doux. L'été que nous avons tant attendu dès la fin du mois de juin arrive enfin en début septembre. Je traverse le jardin pour aller dans la maison d'amis. J'aère. L'odeur de bois neuf est forte. J'époussette avec le plumeau car il y a de la poussière. Je passe un coup d'aspirateur dans la pièce du bas. J'ouvre le placard dans lequel je vais me dissimuler en fin d'après-midi. Clémentine reçoit Louis Bertrand, notre voisin à 17 h45.

Je dispose bien les vieilles couvertures pliées au sol. Pour éviter les craquements ou encore de faire du bruit. Tout est OK. Je sors au moment ou descend la grosse berline allemande de Juliette. Il est à peine 13 h30. Nous nous saluons. Pauline me fait le plus adorable des sourires. Cette jeune fille de 25 ans est fort attractive. Je les aide à sortir les grosses corbeilles de l'auto. Je les laisse à leurs cueillettes pour retourner à mon labeur. Confortablement installé devant mon chevalet, je peins dans une sorte d'exubérance.

Cette toile sera terminée pour vendredi. L'après-midi passe à une vitesse phénoménale. Il est 17 h. Je nettoie la palette et les pinceaux. Je retire ma blouse. Je me lave les mains au petit lavabo. Je quitte l'atelier. Je sors. Juliette et Pauline sont aux sommets de leurs échelles. Elles s'apprêtent à en descendre. Cette année encore, il n'y aura aucun gâchis. Toutes les pommes sont cueillies. Je les aide à mettre les grosses corbeilles, lourdes, qu'il faut porter à deux, dans la voiture. << A ce soir ! >> me fait Juliette. Je rentre dans la maison d'amis.

J'ai laissé un petit mot sur la table de la cuisine à l'intention de Clémentine qui rentre pour 17 h30. Je guette derrière une des fenêtres, à l'abri de l'épaisse tenture. Voilà la Morris Cooper crème de Clémentine qui descend doucement le chemin. Je lui fais un coucou depuis ma planque. Elle mime rapidement une masturbation masculine avant de se précipiter dans la maison. Je monte à l'étage pour regarder par la fenêtre de la salle de bain. De là, je peux voir monter Louis depuis sa propriété. Le voilà qui arrive par le chemin.

Louis Bertrand est un retraité de 62 ans. Alerte, dynamique et plein d'humour. Depuis quelques mois nous le savons extrêmement vicelard, légèrement pervers et très entreprenant. Il longe la clôture en se massant la braguette. Je descends pour aller me cacher dans le dernier placard. Il y en a trois. Par l'ouverture ronde et grillagée d'une dizaine de centimètres, j'ai une vue d'ensemble sur toute la grande pièce. Clémentine entre. << Je t'aime mon coquin ! Tu vas te rincer l'œil ! >> dit elle à voix basse tout près de la porte du placard.

Je n'ai pas le temps de répondre. Trois coups contre la porte. Clémentine, en jupe kilt , en pull de coton fin, porte ses escarpins noirs à talons hauts. Elle se précipite pour aller ouvrir. A peine notre voisin entré qu'il passe sa main sous la jupe de Clémentine. << Tu es enfin de retour. Tu m'as manqué petite salope ! >> dit il. Clémentine se cambre sur ses genoux fléchis pour lui permettre le meilleurs accès. Elle repousse les avances buccales de Mr Bertrand qui veut l'embrasser. Il est plus petit qu'elle. C'est toujours très amusant.

Clémentine propose à Louis de s'installer. Elle monte préparer un café. Nous l'entendons chantonner à l'étage. Je vois ce vieux salaud sortir sa toute petite queue. Si elle fait cinq centimètres c'est le bout du monde. Une petite bite toute lisse, luisante, sans poils qui ressemble tant à une saucisse viennoise tout juste sortie de sa boîte. Il s'assoit. Il me tourne le dos. Clémentine redescend avec la cafetière italienne fumante, deux petites tasses et le sucrier posés sur un plateau. Elle pose le tout sur la table. Elle s'installe face à Louis.

De ma cachette j'ai une vue imprenable sur les agissements de Clémentine. Tout en racontant quelques anecdotes de nos vacances, elle écarte ses cuisses. Elle ne porte pas de culotte. Je ne vois pas les expressions de monsieur Bertrand. Il faudra que je songe à disposer judicieusement un miroir. Je retiens ma respiration tout en me masturbant doucement. C'est trop génial d'assister au spectacle que m'offre la fille que j'aime. J'entends parfaitement la nature des propos échangés. Louis parle de ses vacances qu'il a passé chez lui.

Clémentine est assise avec une indécence folle. Sa touffe incroyablement velue offerte aux regards. Louis se lève pour agiter son sexe devant la sublime jeune fille. Je le vois enfin car il contourne la table pour s'assoir à côté de Clémentine. Il cesse de se toucher pour glisser sa main entre les cuisses de Clémentine. Le salaud est entrain de la doigter. Elle se laisse faire en saisissant le sexe minuscule de notre "athlète". Il bande mou. Nous l'avons toujours vu bander mou. A nouveau il cherche à embrasser Clémentine.

Il lui saisit la nuque pour la forcer. Clémentine se laisse faire jusqu'à un certain point. Son visage à une vingtaine de centimètres de la bite du vieux satyre, elle oppose une soudaine résistance. << Suce-moi ! >> lance le bougre d'une voix autoritaire. << Non ! Pas maintenant ! >> s'écrie Clémentine qui se redresse dans un ultime effort. << Put-Hein, mais je veux que tu me tailles une pipe ! >> rajoute t-il. Clémentine se lève pour échapper à toute nouvelle tentative. << Pas comme ça, ce sera comme moi je veux ! >> répond t-elle.

Louis se lève à son tour pour se diriger vers la porte. << Je serai patient ma grande. Fais moi signe ! >> dit il en remballant sa queue minuscule. Il quitte. Je sors de ma cachette. Clémentine se précipite dans mes bras. Je la rassure. Si les choses devaient dégénérer, je viendrais immédiatement à son secours. << Il n'est pas réellement convaincant dans ses élans autoritaires. Je sens que c'est plutôt un jeu pour faire le "macho" ! >> précise Clémentine en s'accroupissant pour me sucer. Je me suis bien branlé. C'est juteux.

A genoux sur l'épais tapis, Clémentine me taille une pipe. Je caresse sa tête en la félicitant pour son show devant ce vieux saligaud. Je murmure : << Je suis tout de même impatient de te voir déguster la "viennoise" qu'il te propose ! >>. Clémentine se redresse en disant : << Sa petite bite est hyper appétissante. Moi aussi je suis pressée d'y goûter. Mais ce sera comme je l'entends. Je veux que notre bonhomme soit totalement passif ! >>. Nous éclatons de rire. Il est 18 h45. Nous traversons le jardin pour entrer dans la maison.

Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons à l'étage. Elle choisit mes vêtements pour ce soir. De l'armoire elle tire un jeans propre, une chemise blanche, ma veste noire, mes mocassins. << Je reste vêtue comme ça. Je mets juste une culotte ! >> me dit elle. Elle m'attire devant le grand miroir. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> lance t-elle en s'accroupissant. Sa tête posée contre ma cuisse, elle enserre ma jambe de ses bras. << Je vous aime mon doux "Maître" ! J'ai besoin d'être prise en main vous savez ! >> fait elle.

Je l'aide à se redresser. Nous sommes attendus chez Juliette pour 19 h30. Nous dévalons les escaliers. La tarte aux noix a décongelé depuis ce matin. Je n'ai qu'à la mettre dans le grand Tupperware. Ce sera le dessert. Nous filons. Nous prenons la voiture de Clémentine. Mais c'est moi qui suis obligé de rouler. Je le fais doucement. Clémentine me palpe la braguette sur les trois kilomètres qui nous séparent du haras. Elle me confie à quel point elle m'est reconnaissante de la laisser divaguer sexuellement avec sa nouvelle "proie". Notre voisin.

Il n'y a plus que deux voitures garées dans la cour. Nous sortons de l'auto. Juliette est à son balcon. << Vous connaissez le chemin ! >> lance t-elle. Nous entrons pour gravir l'escalier. Juliette est vêtue d'une jupe évasée qui lui couvre les mollets. Des souliers à talons, un chemisier blanc. Elle nous invite à la suivre. L'odeur nous fait succomber. Nous sommes morts de faim. La table est dressée au salon. Ce sont des tourtes aux fruits de mer. Accompagnées de crudités. << Livrés par le traiteur ! >> précise t-elle.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte ses quatre semaines en Corse, chez sa sœur, à Sartène. Elle a fait beaucoup de moto. Puis sa semaine en Vendée chez des amis propriétaires de chevaux. Nous racontons un peu de nos vacances. Rapidement nous en arrivons à nos frasques sexuelles. Clémentine raconte sa pipe à un agriculteur d'âge mûr et sa baise avec un jeune homme, en Ecosse. Juliette raconte sa baise avec un voisin de sa sœur. << Un type marié, insatisfait. Mais quel "machine à coudre ! >> lance t-elle.

De fil en aiguille, puisqu'il est question de machine à coudre, Juliette nous invite à une "soirée" au début du mois d'octobre. Il y aura Pierre, le mari de madame Walter, sa collaboratrice, il y aura Pauline, monsieur Gérard et son copain black. << Pauline s'est fait "plaquer" par son petit copain. Elle n'est pas très bien. Alors je la console un peu ! >> précise encore Juliette. Elle rajoute à l'intention de Clémentine : << J'organise également une soirée "Gloryhole" dans les écuries. Si ça te tente. Il y aura de la bite ! >>.

Depuis notre retour de vacances, Juliette nous tutoie. Nous faisons pareil. << De la bite inconnue, ça devient vraiment un fantasme fort et permanent ! >> répond Clémentine. << Et bien je te promets un grand "festin" ! >> rajoute Juliette. Je dis : << Par surprise, je passerai la mienne par le trou ! >>. Clémentine éclate de rire avant de lancer : << Et je serai obligée de te reconnaître au goût ? >>. Je réponds : << Par exemple ! >>. Nous sommes tous les trois pliés de rire. Juliette s'écrie : << Ce sera totalement impossible, j'ai déjà essayé ! >>.

La soirée se déroule ainsi. Nous faisons mille projets. << Les affaires reprennent. Les partouzes me manquent ! >> fait encore Juliette entre deux éclats de rire. Nous l'invitons à venir manger mercredi prochain. La saison ne va tarder à reprendre. Le pensionnat pour chevaux va connaître son activité d'automne. Il faut donc profiter de ce répit. << Je t'accompagne aux toilettes Julien ? >> me fait soudain Juliette lorsque nous terminons d'essuyer la vaisselle. << Volontiers ! >> répond Clémentine.

Je suis debout devant la cuvette des toilettes. Impossible de pisser. Je bande tellement. Par contre, avec l'excitation de la conversation, j'ai la bite qui dégorge de liquide séminal. Juliette et Clémentine s'accroupissent pour observer les coulures qui tombent lourdement sur la faïence. Clémentine tient ma bite entre le pouce et l'index. Elle la propose à Juliette. Je la vois hésiter. Son visage à quelques centimètres de mon sexe. << Je vais me l'offrir bientôt. Là, ce soir, ce serait dommage à cause de l'heure ! >> fait Juliette.

C'est Clémentine qui se la prend en bouche. Ses joues creusées par l'effort, tout en gémissant de plaisir, elle fixe Juliette d'un regard malicieux et amusé. Je leurs caresse la tête à toutes les deux. Il est extrêmement rare que Juliette se laisse faire ainsi. Je passe même ma main sous ses cheveux pour lui tenir la nuque. Je sens les battements de son cœur. J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui pousse un râle profond. Elle montre le contenu de sa bouche à Juliette qui fait : << C'est tellement dégueulasse que ça m'excite ! >> dit elle.

Bonne soirée de retrouvailles à toutes les coquines qui se réjouissent des prochaines soirées à venir. L'odeur de vice qui plane déjà...

Julien



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Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1638 -



Enfin, une soirée rien qu'à nous

Hier matin, jeudi, c'est l'application "océan" qui nous réveille de ses douceurs. Le cris des mouettes se confond avec le ressac des vagues contre les rochers. << Il manque l'odeur du goémon ! >> murmure Clémentine encore dans un demi sommeil. Il est presque six heures, elle se serre contre moi. Je lui dépose des bisous sur le visage. << Mmhh ! >> gémit elle. Il faut se lever. Comme des automates nous nous dirigeons vers la porte pour aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier chez Juliette. Ce sont bien évidement les souvenirs de nos histoires érotiques, de nos frasques sexuelles qui nous laissent les plus amusantes impressions. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la fin de la soirée, aux toilettes. Lorsque je suis entre Juliette à ma gauche et Clémentine à ma droite, en érection, entrain d'essayer de pisser. << J'adore ces situations avec une autre fille ! >> lance Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Il est 6 h25, nous remontons. Une heure d'entraînement est un autre plaisir. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Après l'action, le retour au calme d'un bon stretching. La douche. Je descends le premier pour aller sortir la voiture de Clémentine. Le jour s'est levé sous un ciel voilé. Une douceur toute relative causée par ces derniers jours de soleil. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue de son jeans, d'un fin pull de coton sous sa veste en cuir. Ses mocassins. Il est 7 h45. Un dernier bisou.

Les cours commencent à 8 h05. Il y a treize kilomètres jusqu'à l'université. Ce qui permet à Clémentine de ne prendre aucun risque. Surtout qu'elle reste sur les petites routes communales, puis départementales. Je regarde la voiture monter les 100 mètres du chemin, le portail s'ouvrir. Je me dépêche de rentrer. J'ai du travail. Je fais la vaisselle, je monte faire notre lit. Je dévale les escaliers pour aller dans l'atelier. C'est en chantonnant "L'orage" de Georges Brassens que je prépare ma palette. Je peins dans une sérénité totale, presque mystique.

La matinée passe ainsi, à m'offrir les plaisirs intenses de la passion, confortablement installé devant le chevalet. Il est midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Je coupe des tomates fraîches en lamelles assez épaisses. De l'ail, de l'échalote. Je prépare un "flan" avec de l'œuf, de la crème fraîche, du fromage blanc. J'étale la pâte dans un grand plat à tarte et dans un petit. J'y ordonne une spirale avec les tranches de tomates que je recouvre du "flan", puis de gruyère râpé. Au four, cuisson douce. 180°.

Ce sera notre repas de ce soir et de celui de demain midi. Le riz complet a gonflé. Dans une poêle je fais revenir un filet de colin. Avec quelques champignons. En fin de cuisson, je rajoute du Roquefort qui fond instantanément. Je mange de bonne appétit. J'écoute les informations. La mort de Jean-Paul Belmondo ce lundi 6 septembre 2021 m'a beaucoup chagriné. Il était non seulement un de mes acteurs préférés mais également une de mes personnalités préférées. Il y a évidemment la litanie des drames planétaires habituels. Radotages.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre l'air, je redescends à toute vitesse. Le ciel reste voilé de hauts nuages d'altitude. Une sorte de palette de peintre où il n'y auraient que toutes les nuances du gris. Je vais jusqu'à la rivière. Une surprise en remontant le chemin. Monsieur Bertrand, le voisin. Nous nous saluons. Je fais celui qui ne se doute pas un seul instant être un cocu de toute première catégorie. Je ne ressens aucun trouble chez Louis. Alors que je sais qu'il tourne autour de Clémentine comme un oiseau de proie.

Nous bavardons. Il me raconte les touristes qui ont loué l'appartement au-dessus du garage. << Ça met du beurre dans les épinards. En plus ce sont toujours des couples discrets, très propres et forts sympathiques ! >> précise monsieur Bertrand. Nous nous saluons. Il est 13 h30. Je rentre. Me voilà assis dans l'atelier, devant mon chevalet. Je peins animé de la même profonde sérénité que ce matin. Je pense à ce vieux salaud de Louis. Ce vieux saligaud qui doigte ma compagne, tente de l'embrasser et de l'entraîner dans les turpitudes de la fellation.

Je ris de ce secret que nous partageons, Clémentine et moi. L'après-midi se déroule ainsi. Il est 17 h30 lorsque Clémentine revient de cours. Elle jette son sac dans le canapé pour se précipiter vers moi. J'anticipe toujours. Je pose la palette et les pinceaux sur la desserte à ma droite. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le repas de midi au restaurant universitaire. Gauvain le bel étudiant qui vient s'assoir à leur table pour draguer Estelle. Estelle qui ne viendra pas nous rejoindre en soirée. Du travail.

<< Rien que toi et moi ! Tu m'offres une petite séance de "dressage" ce soir ? >> me demande Clémentine. Sans me laisser le temps de revenir de mon étonnement, de répondre, elle m'embrasse avec fougue. Je suis presque instantanément en érection. C'est désagréable de bander dans le slip lorsque la bite est tordue. Car toute aussi surprise que moi. C'est tellement bon les baisers avec Clémentine. Sa bouche chaude est d'une douceur étonnante. Sa langue exploratrice est une visiteuse passionnée. Nos salives se mélangent avec abondance.

Clémentine a encore du travail. Assise à la table de travail, elle déballe ses affaires tout en commentant à haute voix le déroulement des opérations. Mettre au propre des notes prises à la hâte, finaliser le planning personnalisé. Je peins en écoutant. J'aime tant la musique de ses paroles que je n'en perçois même pas le sens. Lorsque je le lui fais remarquer elle éclate de rire en disant : << C'est normal chez les quinquagénaire ! La sénilité fait son apparition ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Ma toile sera terminée demain en fin de matinée.

Il est 18 h45. << Put-Hein, ras-le-bol ! >> s'écrie Clémentine qui vient s'avachir dans le vieux canapé. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse pour rejoindre Clémentine. Elle tient ses cheveux en catogan pour me les tendre. Je comprends immédiatement. Je les saisis. Je l'embrasse à mon tour avec fougue. Il commence à faire faim. C'est en tenant Clémentine ainsi, d'une poigne ferme, que je l'entraîne. Elle marche derrière moi, penchée en avant, maintenue par sa tignasse. Je peux l'entendre glousser.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. J'allume le four. Clémentine râpe quelques carottes pendant que je prépare l'assaisonnement. Nous mettons la table. Nous n'arrêtons plus de nous faire des bisous, de nous chuchoter des douceurs. << Je voudrais me retrouver seule avec toi plus souvent, Julien. C'est un besoin viscéral ! Tu veux bien ? >> me dit elle à plusieurs reprises. Je la saisis par ses cheveux d'une poigne ferme. Je l'entraîne au salon en disant : << Je partage entièrement ton souhait. Nous allons faire le nécessaire ! >>.

Je lâche Clémentine en ordonnant : << A genoux, mains sur la tête ! >>. Clémentine exécute immédiatement mon ordre. Bien droite. Du tiroir du bas du bureau, je sors le collier canin et la paire de menottes. Je noue un foulard de soie autour du cou de Clémentine avant d'y passer le collier canin. Le cuir ne pourra pas irriter sa peau. J'y fixe la laisse. Je sors mon sexe. Je me positionne devant Clémentine qui me fixe avec des yeux plein de reconnaissance. Ça fait longtemps que nous n'avons plus joué au "Maître" et à la "Soumise. Trop longtemps.

Je frotte ma bite sur le visage de ma "soumise". J'adore l'entendre glousser de plaisir. Elle pousse de petits cris de surprises. Elle tente de gober l'extrémité de mon sexe. J'esquive toujours au dernier instant. Je donne quelques à coups sur la laisse. J'ordonne : << A quatre pattes ! >>. Clémentine s'exécute. Je la promène ainsi à la laisse dans toute la grande pièce. A chaque angle d'un meuble, elle s'arrête, renifle le sol avant de lever une de ses jambes. Comme pour faire pipi. La sonnerie du four. C'est à quatre pattes que je l'entraîne.

Clémentine découvre une autre surprise. La tarte à la tomate que nous apprécions tant. Accompagnée d'une salade de carotte, un délice. Nous mangeons de bon appétit. << Comme ça me manque au bout de quelques temps d'être traitée en "soumise". Ça aussi, c'est un besoin viscéral tu sais ! >> me fait Clémentine. Comme je ne suis pas un vrai "Maître", je n'ai quasiment jamais l'initiative du jeu. Pourtant je me promets toujours d'agir par surprise. Clémentine adore être contrainte. Tout en mangeant, je garde la poignée de la laisse à mon poignet.

La vaisselle. Pressés de retourner à nos jeux, nous quittons la cuisine comme nous y sommes venus. Clémentine à quatre pattes, tenue à la laisse. Au salon, je jette les épais coussins un peu partout au sol. J'ordonne à Clémentine de s'y mettre à genoux. Je lui frotte la bite sur la gueule sur chacun d'entre eux. Je me penche pour murmurer à son oreille : << J'ai vu monsieur Bertrand vers 13 h30. Un de ces jours je t'attache nue à un tronc d'arbre sur le sentier de la rivière. Pour qu'il te découvre ainsi, à poil, offerte à ses concupiscences vicelardes.

Clémentine en glousse de plaisir. J'ordonne : << Debout ! >>. Les mains sur la tête, Clémentine me regarde. Je tourne autour d'elle. Je murmure : << Merveilleuse salope. Sans toi ma vie dans cette grande demeure serait d'un ennui mortel ! >>. J'ouvre son jeans. Elle retire ses mocassins. Je descends son jeans et son slip. Je retire ses vêtements. Je glisse ma main entre ses cuisses. Je glisse mes doigts entre les lèvres charnues de son sexe. Clémentine est trempée. Il en coule sur mes doigts. J'en enfonce un, puis deux. Je les lui montre.

Je suce mes doigts. Je donne un à coups avec la laisse. J'entraîne Clémentine vers le bureau. Je la soulève pour l'assoir. Je saisis chacune de ses chevilles. Elle est en soquettes. Elle se laisse glisser en appui sur ses coudes. Elle me regarde. Elle ne veut rien rater. Ce sont mes expressions de visage qui rajoutent à son excitation. Je frotte mon sexe contre le sien. << Prenez-moi mon bon "Maître" ! >> lance t-elle en s'avançant. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Centimètre par centimètre. Clémentine se mordille la lèvre inférieure, yeux fermés.

Une bonne partie de ma queue enfoncée, nous restons immobiles à nous fixer. A présent, Clémentine affiche ce regard de défi. J'adore. Clémentine est expressive. Chacun de ses sentiments se lit instantanément sur son visage. Nous échangeons nos impressions. Nous revenons sur nos aventures passées. Nous envisageons les propositions faites par Juliette. Cette soirée Gloryhole qu'elle organise dans les prochains temps. Cette partouze à laquelle nous sommes invités. Nous nous mettons à bouger, à baiser comme des malades pour cesser.

J'avoue à Clémentine mon profond désir de la revoir dans des situations vicieuses. Ma préférence reste de la voir tailler des pipes à d'autres mecs. Mais de la voir baiser avec un autre est fort plaisant. << Tant que je te sais à proximité, caché, pour sécuriser mes folies, je peux m'y adonner sans restrictions ! >> lance t-elle entre deux souffles de plaisir. Je rajoute : << Je veux déjà te voir sucer le voisin ! >>. Clémentine se redresse pour s'accrocher à mon cou. Je la soulève pour la promener dans toute la pièce. Mon sexe enfoncé dans le sien.

<< Je rêve parfois de sa petite saucisse viennoise ! Elle me fait terriblement envie. Elle est tellement appétissante. Mais je veux savourer toutes les situations qui précèdent. Attends encore un peu. Tu auras un spectacle de choix ! >> me dit Clémentine. Elle rajoute : << J'ai adoré quand tu m'as éjaculé dans la bouche, hier soir, dans les chiottes de Juliette. Tu as vu son regard quand je lui ai montré le contenu de ma bouche ? >>. Je confirme. Nous adorons ces situations vicieuses. Clémentine dit : << Une soirée Gloryhole, mmhhh miam ! >>

Je me retire. Je l'installe dans le canapé. A genoux sur un des coussins, mon visage entre ses cuisses, je lui bouffe la chatte. Et ce soir encore, il y a de quoi bouffer. C'est en criant que Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui l'assaille. J'ai juste le temps de saisir la cuvette. Clémentine s'y répand dans un jet qui gicle partout. Prostrée en avant, ses cuisses resserrées sur ses mains, comme si elle avait mal, elle pousse encore de profonds râles de plaisir. Elle reprend ses esprits. Je l'emmène comme une jeune mariée pour monter l'escalier.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les jeux de rôles du "Maître" et de la "Soumise". Qui aiment se confier dans ces situations...

Maître Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1639 -



La visite de Julie est toujours un bel "évènement"...

Hier matin, vendredi, réveillés par l'application "océan", nous nous étirons en modulant nos gémissements. Une sorte de concours de l'absurde. Clémentine est euphorique car elle termine à midi. C'est le début de son week-end. C'est par mon érection matinale qu'elle m'entraîne aux toilettes. Six heures. Nos rituels pisseux en riant comme des fous. << C'était génial hier soir. Je t'aime Julien ! >> fait elle lorsque nous dévalons l'escalier, morts de faim, jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe du café.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Les premières tranches de pain grillé sont expulsés dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée du "Maître" et de sa "Soumise". << On refait ! >> lance Clémentine. Je suis évidemment partant pour une récidive. Une simple demande et j'endosse le rôle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'absence d'Estelle. Avec cette rentrée universitaire, Estelle a préféré se consacrer à tous les préparatifs pour le trimestre.

Il est 6 h25. Nous montons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Le stretching avant de nous précipiter sous la douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto de Clémentine. Le jour s'est levé sous un ciel menaçant. Il y a eu de la pluie cette nuit. Le sol est mouillé et luisant. Une fraîcheur humide. Clémentine vient me rejoindre vêtue de son jeans, d'un sweat, pull noir sous sa veste en cuir. Ses bottines. Un dernier bisou.

Un dernier coucou lorsque la voiture est en haut du chemin. Le portail se referme. Je me dépêche de rentrer. La vaisselle. Je monte faire notre lit. Je redescends pour aller dans l'atelier. Assis devant le chevalet, en chantonnant, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette plaisante euphorie communicative. Je pousse des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. La matinée se passe ainsi. Il est onze heures trente lorsque je dépose la dernière touche de jaune de cadmium.

Cet éclat de lumière sur une des perles. Cette toile est achevée. Je la dépose sur l'autre chevalet afin qu'elle sèche. Cette œuvre servira de caution pour la réservation de la maison à Edimbourg. Il en faudra trois autres. Une chaque année à la même date. Si je prends l'option d'achat, le propriétaire me les achètera. Dans le cas contraire, elles seront conservées. C'est un deal qui me convient parfaitement. Je nettoie la palette, les pinceaux, je retire ma blouse, je me lave les mains au petit lavabo de l'atelier.

Je quitte la grande pièce pour me rendre à la cuisine. Dehors, il pleut. C'est une ambiance morose que nous inflige la météo de ce vendredi. Je réchauffe la seconde tarte à la tomates. C'est encore meilleur réchauffé. Au four, à 160°. Je lave les feuilles d'une belle laitue. Un assaisonnement. Ail, échalote, olives noires à la grecque que je dénoyaute, huile d'olive, huile de noix et une cuillère à soupe de Kelpamare. Je dresse la table. Il est midi quinze. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. << Week-end ! >> s'écrie t-elle.

Je la soulève pour la faire tourner. De ses jambes Clémentine enserre ma taille pour me couvrir le visage de bisous. << Miam ! >> fait elle. Elle se lave les mains. Nous pouvons passer à table. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Estelle viendra nous rejoindre demain, samedi, vers 14 h. Elle est pressée, impatiente de retrouver notre trio. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le vague programme du jour.

Avec cette météo, les choix sont plutôt restreints. De toutes façons, il y a Julie qui vient nous rejoindre pour 14 h. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une fellation avec sa brosse à dents. Tête contre tête, nous nous rinçons la bouche au-dessus du lavabo. Je demande : << Tu as sucé qui ? >>. Clémentine empoigne ma braguette pour répondre : << Louis Bertrand ! >>. Nous éclatons de rire.

Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Clémentine a quelques classements à effectuer. Toutes ces feuilles, ces notes manuscrites accumulées depuis lundi dernier. Je dispose une nouvelle toile sur le chevalet. Le dessin préparatoire y est déjà réalisé. J'en ai préparé une dizaine en juin. Les couches d'impression ont été appliquées par Estelle fin juin. Tout est prêt pour lundi prochain. Je n'ai qu'à m'assoir et peindre. Clémentine admire le tableau achevé ce matin. << C'est beau ! >> murmure t-elle dans un souffle.

Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite pour aller recevoir Julie. Elle revient suivie de notre amie. Julie est vêtue d'un jeans, d'un sweat bleu nuit sous son blouson de cuir noir. Des bottines. Elle se précipite pour me serrer la main. Dans son élan elle me fait trois bises. C'est tout récemment qu'elle a commencé à le faire. Elle se débarrasse de son blouson qu'elle accroche à un des crochets où je suspends mes blouses. Comme Clémentine, Julie a ses cheveux noués en une longue natte.

Elle observe ma dernière réalisation. Clémentine est derrière moi, ses bras autour de ma taille. Après un long silence, Julie que demande : << Racontez moi la genèse de cette nouvelle œuvre ! >>. C'est Clémentine qui raconte. La "caution" pour la maison en Ecosse. << Génial ! >> lance Julie à plusieurs reprises. Je dis : << Julie, vous viendrez en Ecosse pour pendre la crémaillère avec nous. C'est en Ecosse que vous passerez de belles vacances faites de nouvelles découvertes ! >>. Julie, toute contente, s'écrie : << Je me réjouie ! >>.

Clémentine entraîne Julie vers la table de travail pour lui montrer ses préparations. Ce trimestre va être consacré aux mathématiques. << Put-Hein, mais c'est niveau Math Sup ! >> s'écrie Julie. Je rejoins les filles pour profiter des explications de Clémentine. C'est là que je surprends le regard de Julie. Elle louche le plus discrètement possible vers ma braguette. Clémentine s'en rend compte également. Elle me fait un clin d'œil. Je comprends immédiatement. Nous sommes télépathes. Très pratique.

Julie et Clémentine sont assises dans le canapé. << Moi aussi j'ai une surprise à vous montrer ! >> dit elle. Je viens m'assoir à sa droite. Julie est entre Clémentine et moi. C'est rare. Elle nous montre l'écran de son téléphone. Ce sont des photos qu'elle a prise cet été, lorsqu'elle tenait ma galerie d'Art. On la voit assise devant un chevalet de campagne, entrain de peindre. Je m'écrie : << Ah mais ça alors ! >>. Nous admirons les différents clichés. Julie semble très amusée de nos étonnements.

Mais nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Voilà les photos des petits tableaux qu'elle a réalisé. << J'ai appliqué tous vos préceptes. J'ai mis à profit tous vos conseils. J'ai tenté de reproduire tout ce que je vous ai vu faire ! >> explique Julie. Ce sont des peintures d'une extrême simplicité. Mais elles sont rigoureuses. Un vase, une pomme, des crayons. Je la félicite pour ses talents d'observatrice. Clémentine reste admirative. << Ce sont des coups d'essais et j'y ai pris beaucoup de joie ! >> confie Julie.

Il y a là une dizaine de réalisations. Clémentine s'écrie : << Tu nous les montre en vrai ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Je vous en offre une demain matin quand je reviens pour le ménage ! >>. Nous avions totalement oublié qu'à partir de septembre, Julie fera la "femme de ménage" tous les samedis matins. Nous écoutons Julie nous raconter les conditions dans lesquelles elle peignait. << C'est très attractif pour les visiteurs, une fille qui peint ! >> précise Julie. Je trouve cette formule absolument géniale.

Je me lève pour aller à la plaque électrique. Je fais bouillir l'eau du thé. Discrètement, j'ouvre ma braguette. Clémentine vient me rejoindre pour préparer les tasses. Julie nous observe depuis le canapé. Elle me fait de merveilleux sourires tout en fuyant à chaque fois mes regards. Je sors ma queue. Je bande mou. C'est une belle saucisse qui pend de l'ouverture de mon jeans. C'est quand je me retourne que Julie la découvre. Comme éberluée, elle ne peut détacher son regard de mon sexe lorsque je reviens avec la théière.

Cette fois Julie est assise dans la confortable chaise à bascule. En face du canapé où Clémentine et moi sommes installés. Je bande. Julie a toutes les peines du monde à ne pas garder son regard braqué sur ma turgescence. Pour animer l'ambiance, Clémentine pose quelques questions à Julie. Sur sa rentrée universitaire, sur ses études de Lettres Modernes. Sur la première année de Licence qu'elle prépare. Elle a obtenu son DEUG haut la main en juin. A présent ce sont deux années de préparations pour sa Licence.

Clémentine tient ma bite tout en parlant programme d'études. Julie, comme hypnotisée, a du mal a cesser de fixer la main de Clémentine qui me branle doucement. << Tu veux t'amuser un peu ? >> demande t-elle à Julie. Quelle n'est pas notre surprise de la voir se lever pour nous rejoindre. Accroupie devant moi, elle saisit le sexe que lui tend Clémentine. << Je sens les battements de votre cœur ! >> murmure Julie. Je chuchote : << Là, à l'instant, il bat pour vous ! >>. Nous éclatons tous les trois de rire.

Décidément, cet après-midi, nous allons de surprises en surprises. Julie se met à me masturber doucement. Elle fixe mon sexe avec l'attention d'une entomologiste. << Tu as déjà branlé des mecs ? >> demande Clémentine. << Oui, juste mon ex petit copain ! >> répond Julie. Je rajoute : << Vous avez surtout branlé votre tante, non ? >>. Julie éclate de rire. Clémentine demande : << Et d'autres filles ? >>. Julie murmure : << Oui, ma meilleure copine quand j'étais au collège. C'est tout. Mais elle a déménagé depuis longtemps ! >>.

Julie me décalotte délicatement. Elle se penche pour regarder la goutte de liquide séminal au bout de mon méat. Cette goutte opalescente. << On dirait une perle ! >> chuchote Julie. << Et sucer, tu l'a déjà fait ? >> demande Clémentine. << Oui ! Toujours mon "ex" ! Mais ce n'était pas génial ! >> répond Julie. << Et des mecs dans les chiottes du restau quand tu vas mâter pendant le service ? >> demande encore Clémentine. Julie, soudain toute gênée, reste silencieuse en fuyant le regard de Clémentine.

Je dis : << Raconte nous ! >>. Julie reste silencieuse. Elle observe cette coulure de liquide séminal qui va atteindre sa main. Nous n'insistons pas. Je rajoute : << Tu nous raconteras un jour ? >>. Julie reste silencieuse. Je tends le bras pour passer mes doigts sur sa joue. Julie lâche un discret gémissement qu'elle étouffe rapidement en faisant semblant de tousser. Une jeune fille de 20 ans, dans toute sa timidité. Même si Julie est très vicieuse, voyeuse, elle reste très réservée. Je passe ma main sous sa tresse.

Je la saisis comme une laisse. J'attire sa tête vers mes genoux. Julie n'oppose aucune résistance. Je sens que je pourrais attirer son visage entre mes cuisses. Je peux sentir le spasme d'excitation qui s'empare de Clémentine. Je ne tente rien d'autre. Je désire absolument laisser le libre arbitre à cette jeune fille. Lorsque ce sera le moment, elle fera ce qu'elle aura envie de faire. Pour l'instant, elle se concentre sur le foutre qui coule sur sa main. Elle lève les yeux pour me lancer un rapide regard amusée.

Clémentine se penche sur le côté. Sa bouche se referme sur l'extrémité de mon sexe. Je me fais sucer. C'est exaltant sous les yeux de Julie qui s'avance encore pour mieux voir. En temps normal, elle porte souvent ses lunettes d'étudiante. Là, cette paire de lunettes est posée sur la table basse, à côté des petits gâteaux. Clémentine cesse pour tendre mon sexe à Julie. Cette invitation fait hésiter Julie. Elle à un mouvement de recul. Ses yeux sont pétillants de malice et d'envie. Je lui adresse un clin d'œil.

Clémentine n'insiste pas. Julie s'installe en tailleur devant moi. Ses genoux contre mes mollets. Cette intimité est merveilleuse. Je dis : << Julie, vous pensez quelquefois à nos séances de voyeurisme, quand nous étions tous les deux cachés dans le placard ? >>. Julie répond : << Au moins une fois par jour ! >>. Nous rions de bon cœur. Je suis entrain de me faire tailler une pipe des familles tout en bavardant avec Julie. Nous pouvons entendre les gloussements de rire que fait Clémentine lorsque Julie et moi évoquons nos histoires de placard.

Je me fais sucer une bonne heure. Pour permettre à Clémentine de laisser reposer sa mâchoire, toutes les deux trois minutes, je tire sur sa natte pour sortir ma queue. A chaque fois Julie pousse un petit cri. Ma bite ruisselle de foutre gluant. Clémentine l'offre plusieurs fois à Julie qui a ce mouvement de recul à chaque tentative. Nous n'insistons pas. Il est 17 h. J'éjacule dans la bouche de Clémentine. Elle en pousse des râles de plaisir. Je découvre la main de Julie dans son jeans. Elle va être obligée de nous laisser pour 18 h.

Bon après-midi à toutes les coquines qui aiment recevoir une amie intime. Qui aiment échanger leurs histoires de filles vicieuses...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1640 -



Un samedi de routines et de bien-être

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand nous sortons du sommeil quasiment en même temps. Clémentine enserre ma jambe de ses cuisses pour se frotter lascivement. Ce mouvement masturbatoire est des plus agréables. Ni elle ni moi ne sommes du matin et l'envie de pisser est bien trop forte. << J'ai rêvé de ce qu'on a fait hier, devant Julie ! J'adore quand tu m'éjacules dans la bouche devant une autre fille ! >> me fait Clémentine en m'entraînant par mon érection matinale. Nos rituels pisseux aux toilettes.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier après-midi. Elle revient ce matin pour faire notre ménage. De neuf heures à onze heures. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le comportement et l'attitude de Julie hier, pendant que Clémentine me suçait. << Tu as vu comme elle mâte ! Elle adore vraiment mâter ! >> rajoute Clémentine.

La vaisselle. Nous mettons nos K-ways. Il fait beau. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. C'est parti. Le sol est encore détrempé par endroit. Nous restons sur le bord de la petite route. Il n'y a aucune voiture. Trois kilomètres, nous passons devant le haras. Il y a la voiture de Juliette garée dans l'entrée de la cour. Elle s'apprête certainement à partir. Encore un kilomètre jusqu'aux bancs sur lesquels nous pouvons faire nos abdos, nos pompes et nos exercices au sol. Nous revenons par le même itinéraire.

Il est neuf heures trente quand nous sommes de retour. La Clio rouge de Julie est garée devant le garage. Clémentine se serre contre moi, empoigne mon "paquet" en disant : << Montre-lui ta bite ce matin ! >>. Nous en rions de bon cœur en rentrant. Nous montons à l'étage. Depuis notre salle d'entraînement, nous entendons l'aspirateur. Nous ouvrons la porte. << Bonjour Julie ! >> faisons-nous en même temps. Julie arrête l'appareil pour nous faire un coucou. << Bonjour ! >> lance t-elle avant de reprendre son activité. Sérieuse et appliquée.

Nous prenons notre douche. Vêtus de nos jeans, de nos sweats, de nos baskets, nous dévalons les escaliers. Nous attendons nos livraisons. C'est la camionnette des fruits et légumes qui descend lentement le chemin. Nous sortons pour aller réceptionner nos commandes. C'est la même jeune femme. Nous nous saluons avant de récupérer nos deux cageots. Nous rendons ceux de la semaine dernière car ils sont consignés. Nos légumes, nos fruits, nos fromages, le beurre, les œufs, les yaourts, les petits pots de crème fraîche.

A peine la livreuse partie, voilà madame Marthe, la boulangère, au volant de son "tube" Citroën rénové et comme neuf. Nous réceptionnons nos deux grosses miches, notre brioche au pudding et à la pâte d'amande. Une fois encore, la dame nous offre quatre gros croissants. Nous nous saluons après avoir échangé quelques bons mots. Même commandes pour samedi prochain. Tant pour la livraison des fruits et légumes que pour la boulangerie. Nous passons par derrière la maison pour entrer par la cave.

Dans le cellier nous rangeons nos fruits, nos légumes. Dans le congélateur nous mettons une des deux miches de pain. Nous en retirons un paquet de moules, de haricots verts et de petits pois. Nous remontons pour ranger nos produits frais dans le réfrigérateur. Il est 10 h30. Julie est entrain de passer l'aspirateur au salon. << Sors ta bite ! >> chuchote Clémentine. Elle me déboutonne la braguette pour en extraire le locataire. Accroupie, elle suçote l'extrémité du prépuce. C'est doux. Je bande rapidement mais assez mollement.

Clémentine se redresse. Elle me tient par la queue pour m'entraîner. Nous restons dans l'encadrement de la porte. Je tiens ma bite à sa base, entre le pouce et l'index. Je l'agite toute aussi mollement et lourdement. Julie lève la tête. Elle découvre le spectacle. Elle mime probablement l'étonnement. Car ici il n'y a plus grand chose pour l'étonner. Elle nous adresse le plus délicieux des sourires. Je bande doucement. Mon sexe se redresse tout en devenant dur comme une branche. Julie baisse les yeux pour continuer son labeur.

Nous la laissons pour retourner à la cuisine. Je me branle. Clémentine m'y encourage en disant : << Quand je commence à te sucer le matin, je pourrais y passer le reste de la journée. Fais-moi du jus ! >>. Elle passe derrière moi. Ses bras autour de ma taille, penchée sur le côté, sa tête sous mon aisselle, elle observe ma masturbation lente et régulière. C'est ainsi que Julie nous découvre en entrant dans la cuisine. << J'ai juste encore la serpillère à passer sur les carrelages. Excusez-moi ! >> lance t-elle toute gênée.

Nous sortons de la cuisine. Nous allons au salon. Je glisse un billet de 50 euros dans une enveloppe. Nous sortons dans le jardin. Il fait bien meilleur que ce matin. Il est 11 h15. Le soleil est haut dans un ciel presque entièrement dégagé. Nous faisons quelques pas dans la propriété. L'entreprise paysagère intervient lundi 20 septembre. Il y aura fort à faire. Surtout que les premières feuilles d'automne commencent à joncher le sol. Des branchages cassés. Il faudra tailler les haies. Voilà Julie qui nous rejoint. Prête à partir.

<< Tu ne manges pas avec nous ? >> demande Clémentine. << J'aimerais tellement ! >> répond Julie. Sa mamie et son papy viennent passer le week-end chez ses parents. Ce ne sont pas vraiment des obligations mais Julie aime se retrouver en famille. << C'est moi qui prépare le dessert ! >> rajoute t-elle encore. Je lui donne l'enveloppe en précisant : << Ce n'est pas du "black", c'est une vieille "dette" ! >>. Nous rions toujours de bon cœur de cette formule stupide. << Merci Julien ! >> me fait Julie en me faisant soudain une bise.

Elle fixe ma braguette à présent refermée pour dire : << J'ai beaucoup apprécié ! >>. Clémentine empoigne mon "paquet" en lançant : << Nous aussi ! >>. Il est convenu que Julie revienne lundi soir. Nous mangerons ensemble. Nous la regardons partir dans sa petite auto rouge. Nous nous embrassons comme des fous. Je bande. Nous nous frottons l'un contre l'autre. Je soulève Clémentine pour qu'elle se frotte sur ma bosse. Il commence à faire faim. Nous rentrons. Il est presque midi. Clémentine s'occupe de la salade.

Je jette les moules non décongelées dans le rapide bouillon en ébullition. Dans le wok, je verse les haricots verts et les petits pois. Ils n'ont pas décongelé non plus. Ce qui tire un maximum de flotte qu'il faut verser dans l'évier pendant la cuisson. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant l'attitude de Julie. Nous l'avons encore senti triste de devoir nous quitter. Ces obligations familiales que nous respectons et admirons totalement. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur l'absence d'Estelle toute cette semaine.

Les deux filles sont dans le même cours, suivent le même cursus universitaire, mangent à la même table dans le restaurant universitaire. J'ai donc des nouvelles tous les soirs lorsque Clémentine rentre de la faculté. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Tout est hyper propre, l'odeur de chlore reste présente malgré le diffuseur d'arômes mis en fonction par Julie avant son départ. Il est 13 h30. << Coucou ! Qu'ils sont où les gens ? >>. C'est la voix d'Estelle dans l'escalier. Elle arrive dans la salle de bain.

Comme elle est belle. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Estelle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. << Tu m'as manqué Julien, si tu savais ! >> ne cesse t-elle de répéter. Pour rire, je réponds : << Je croyais que tu ne m'aimais plus et que Gauvain avait pris ton cœur ! >>. Estelle sautille tout autour de nous quand je soulève Clémentine à son tour. << T'es fou toi, Gauvain est juste un copain de fac. Ce n'est pas parce qu'il me drague que je vais sortir avec lui ! >> s'écrie t-elle. Rires.

Estelle a emmené son sac de sport. Il contient ses vêtements pour le week-end. Elle l'ouvre pour en sortir sa jupe kilt, son chemisier blanc et ses escarpins noirs à talons hauts. << Tu me fais ma fête ce soir. Mon absence mérite un châtiment ! >> lance t-elle. Clémentine ouvre notre armoire pour en sortir exactement les mêmes vêtements. << Ce soir, on fête nos retrouvailles ! >> dit elle. Estelle mime une masturbation masculine en faisant : << Clémentine m'a raconté vos frasques sexuelles de la semaine. Et monsieur Bertrand ! >>.

Le programme de l'après-midi est défini. Nous partons en randonnée. Il suffit de mettre nos godasses de marche dans un sac. Nous restons en jeans et sweats. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréales. Nous dévalons les escaliers. Estelle est euphorique. Si contente d'être de retour. Je roule doucement. Clémentine ouvre ma braguette. Assise à l'arrière, tout en me caressant les joues, le cou, Estelle me raconte sa semaine chargée. Ce premier trimestre nécessite une série de préparations intenses. Estelle a préféré s'y consacrer.

Nous traversons le bourg pour prendre la petite route jusqu'à la chapelle gothique. Je gare l'auto le long du muret. Il y a probablement une exposition ou une manifestation culturelle ce week-end car il y a plein de monde. Après renseignements nous apprenons qu'il y aura ce soir un concert. Un quatuor qui interprétera Brahms. Nous avons nos passes sanitaires, aussi, nous évaluons la possibilité de revenir en soirée pour 20 h30. Il y a soixante places. Il en reste une dizaine de disponibles. Je prends le petit sac sur le dos. C'est parti.

Nous traversons l'étroite route pour prendre le chemin des anciennes tuileries. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la main. Elles évoquent leurs études, ce trimestre qui commence à peine et qui est déjà si dense. Il y a une heure de marche en pente légère. Voilà l'ancienne carrière dont ont été extraites les pierres qui ont servi à la construction de la chapelle, de certaines maisons anciennes du bourg. Il n'y a personne. C'est un peu un labyrinthe de grosses pierres abandonnées dans un vaste cratère au fond d'un gouffre.

Nous n'y descendons pas. Nous le contournons pour prendre l'étroit sentier qui monte aux anciennes tuileries. Estelle n'arrête pas de me palper la braguette. << Sors ta queue ! J'ai envie de mon "doudou" ! >> dit elle en s'accroupissant devant moi pour déboutonner mon 501. J'ai la queue qui pend mollement. L'extrémité légèrement humide à cause des petits plaisirs de la matinée. D'un gracieux mouvement de tête, Estelle en gobe la peau fripée du prépuce. Elle suçote en gémissant de plaisir. Clémentine m'embrasse.

Je bande mou. Je sens le liquide séminal tiré du fond de mes couilles par la succion de plus en plus forte d'Estelle. Je lui caresse la tête. Je l'aide à se redresser juste avant l'ankylose. Je masse ses genoux. << Miam ! Comme c'est bon. J'en avais oublié les saveurs ! >> murmure Estelle en s'essuyant le coin des lèvres. C'est au tour de Clémentine de se régaler un peu. << Je t'aime Julien, tu m'as manqué ! >> fait une fois encore Estelle qui se penche pour regarder Clémentine entrain de pomper comme si sa vie en dépendait.

Nous reprenons notre marche. Je passe souvent mes mains entre les cuisses des filles. Elles se cambrent sur leurs genoux fléchis pour me permettre le meilleur accès. Nous arrivons aux bâtiments abandonnés. C'est ici que nous avons tourné le film avec Julie. Sont fantasme de "soumise" que nous avons mis en images. Rien n'a changé. La salle des fours est la seule encore entière. Jonchée de débris de toutes sortes. L'endroit sert également à quelques "festivités" nocturnes des D'jeunes du bourg. Il y a plein de déchets alimentaires.

<< Tu me baises ici avant l'hiver ? >> me demande Estelle qui me tient la bite de sa poigne ferme. J'ai ma main dans la culotte de Clémentine qui mouille avec abondance. Estelle rajoute : << Je crois bien que maman a encore visité mon téléphone. Je n'en suis pas certaine. Mais il n'était pas exactement à la place où je l'ai posé, jeudi dernier en soirée ! >>. Clémentine demande : << Tu crois qu'elle a mâté les photos faites en Ecosse ? >>. Estelle hésite avant de répondre : << Je ne sais pas. Elle n'a fait aucune allusion ! >>.

Nous ressortons pour parcourir la cour de l'ancienne usine. Il y a des gravats. Les bâtiments de briques rouges totalement à l'abandon. C'est à la fois sinistre et excitant de se promener là. Estelle déboutonne son jeans. Elle le descend avec sa culotte à mi-cuisses. Elle reste ainsi, debout sur un plot en béton, les mains sur les hanches. Nous applaudissons. Elle se cambre. De ses doigts elle écarte les lèvres de son sexe. C'est un jet dorée, fin, parfaitement contrôlé qui jaillit soudain. La coquine pisse du haut du socle de béton. Fabuleux !

Clémentine est incapable de pisser proprement debout. Aussi, elle ne tente pas d'imiter Estelle qui saute au sol. Je la soulève pour l'assoir sur le socle en béton. Je me penche pour lui lécher la chatte. Ses gémissements résonnent dans toute la cour. Je suce son clitoris. Je lèche sa vulve. Je me régale de ses substances et du reliquat de pipi. Clémentine derrière moi, me branle en regardant la scène. Je bande comme le dernier des salauds lorsque des voix se font entendre. C'est un groupe de marcheurs. Ils surprennent Estelle entrain de se rhabiller.

Nous rigolons comme des bossus. Nous filons à toute vitesse par l'autre sentier. Afin de ne pas croiser les promeneurs. Ils sont une dizaine. Des séniors en couples. Ils s'arrêtent dans la cour pour prendre des photos. Depuis le haut de colline, nous observons ces gens. << Ouf ! On l'a échappé belle ! >> dit Estelle. Nous prenons le chemin du retour. Il est 18 h30 quand nous revenons à la voiture. Devant la chapelle, dans l'enceinte du cimetière, il y a une équipe de télévision. Des cameramen qui filment. Sans doute pour un reportage régional.

Nous restons assis sur le muret, les pieds dans le vide, à regarder cette animation. Il y a les pontes de la région. Chacune, chacun qui sont interviewés devant la caméra. Cette récupération politicienne à chaque manifestation culturelle est d'un ridicule absolu. << Regarde-moi ces pingouins et ses putes entrain de faire leur numéro en espérant passer à la télé ce soir ! >> lance Estelle. Nous nous gaussons ouvertement. Ce qui ne va pas sans susciter quelques regards interloqués de gens qui passent près de nous. On s'en contre fout !

La faim commence à se faire sentir. Nous changeons de godasses avant de remonter en voiture. Il n'y a que cinq à six kilomètres jusqu'à la maison. Ce soir, on fait hyper simple. Clémentine prépare la salade verte. Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis. Je fais revenir trois filets de colin dans la poêle. Pendant que je m'occupe de tout le reste, les filles montent se changer. Je les entends rire dans l'escalier. Je prépare la table dans la véranda. Il y fait encore bien chaud de cette journée des plus agréables. Le silence. Mon sixième sens.

Je regarde dans la cuisine. Là, accroupies l'une à côté de l'autre, Estelle et Clémentine, vêtues à l'identique, cuisses largement écartées, qui me présentent leurs minous. Je reste silencieux. Je m'accroupis à mon tour pour bien regarder. Elles sont à quelques mètres, silencieuses, les coudes posés sur leurs cuisses, à observer mes réactions. C'est tout simplement merveilleux, spectaculaire, grandiose. Que pourrais-je bien dire ? Rien. Nous nous regardons. La soirée s'annonce torride. Mais la faim reste la première de nos préoccupations.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre randonnée de l'après-midi. Demain, à midi, nous recevons les parents d'Estelle. Nous nous réjouissons. Ensuite, dans l'après-midi, nous irons au port de plaisance tous les cinq pour le second vide grenier de l'année. Des réjouissances. Surtout que la météo s'annonce clémente. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles font mille projets pour l'automne. Estelle veut réaliser son fantasme de film équestre. Toujours pas fait !

Il faudra emprunter un cheval à Juliette pour concrétiser ce projet qui date de ce printemps. Nous en parlerons à Juliette mercredi prochain puisqu'elle vient manger à la maison. Je glisse mes mains sous les jupes de mes deux anges. J'adore fouiller dans les poils. Glisser mes doigts entre les lèvres humides de leurs vulves. Titiller les clitoris. Elles se trémoussent toutes les deux en se tortillant sur mes cuisses. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Elles m'entraînent toutes les deux au salon. Impatientes de se livrer à nos "jeux de société".

Clémentine s'installe dans le fauteuil. Sa jambe gauche sur l'accoudoir de gauche. Sa jambe droite sur l'accoudoir de droite. Elle se touche. C'est le signal. Rien n'excite davantage Clémentine que de nous observer, Estelle et moi. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Mon visage entre les cuisses largement écartées d'Estelle vautrée dans le canapé. Je lui bouffe le minou. Elle me tient par les oreilles comme pour me guider. Elle se contorsionne doucement pour chercher le meilleur angle de jouissance. Son sexe abonde de cyprine gluante.

Elle me repousse délicatement pour m'attirer sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions en disant : << Je vais froisser vos beaux habits mademoiselle ! >>. Nous entendons Clémentine gémir de plaisir. Elle se masturbe en observant le spectacle. Je baise Estelle comme elle aime. A la hussarde, avec la délicatesse d'un lutteur ukrainien, avec la tendresse d'un équarrisseur soviétique. J'alterne les moments plus calmes avec la "machine à coudre" qu'elle apprécie tant. Estelle bouge comme une folle sous moi. En poussant des cris de plaisirs.

Elle me repousse soudain, avec délicatesse, pour s'offrir les dernières manipulations digitales qui précèdent son orgasmes fou. Je reste debout à admirer ce divin spectacle. Estelle se couche sur le côté, les mains entre ses cuisses, comme si elle avait mal, en me fixant de ses yeux reconnaissants. Je vais vers Clémentine qui s'offre un orgasme manuel cataclysmique. Elle pisse dans la cuvette. Je la saisis par ses cheveux pour lui mettre ma queue dans la bouche. J'y éjacule en poussant des cris d'homme des cavernes revenant de la chasse.

Bonnes retrouvailles à toutes les coquines. Tous ces réflexes habituels qui précèdent les plus délicieux tourments de la chair...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1641 -



Un très agréable dimanche en "famille"

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures quand je suis tiré de mon sommeil. C'est le mouvement masturbatoire que fait Estelle contre ma jambe. Elle m'enserre de ses cuisses en se blottissant tout contre moi. << C'était bon hier soir ! >>> murmure t-elle à mon oreille. Cela réveille Clémentine qui vient se serrer fort. Je suis entre mes deux anges. Depuis le retour d'Ecosse, ce n'était plus arrivé. Nous savourons cet instant magique avec la probable même intensité. << C'est si bon tous les trois ! >> chuchote Clémentine.

Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Elle se précipite vers la porte. Clémentine me chevauche. A cheval sur mon érection matinale elle me dit : << C'est vrai que c'était bon hier soir. Je t'aime Julien ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, encore en slips et en T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Il y a cette suave odeur de brioche qui se mêle à celles du pain grillé et du café. Estelle me saute au cou en lançant : << Je t'aime Julien ! >>.

Je la soulève. Elle s'accroche de ses jambes et de ses bras pour me couvrir le visage de bisous. Même traitement pour Clémentine. Dehors il y a du soleil, le ciel est presque entièrement bleu. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de folie. << Tu m'as rarement baisé comme ça ! >> s'écrie Estelle quand j'étale du miel sur sa tranche de pain grillée et beurrée. << C'est parce que ça ne t'est plus arrivé depuis plus d'une semaine ! >> lance Clémentine. Nous en éclatons de rire.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Les parents d'Estelle viennent manger à midi. Nous passerons l'après-midi en leur compagnie. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles reviennent sur nos frasques sexuelles écossaises. << Ça paraît déjà si loin ! >> fait Estelle. Je sais à quel point le temps est vertigineux. J'écoute mes deux anges échanger leurs ressentis. Le dimanche, c'est repos. Pas de sport, de jogging ou d'entraînement.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous nous habillons. Jeans, T-shirts. Pressés d'aller prendre l'air, nous descendons à toute vitesse. Il fait déjà très doux. La journée s'annonce chaude. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le traiteur vient nous livrer pour 11 h45. Il n'est encore que 10 h. La tarte aux noix décongèle sur le rebord de la fenêtre. Pas d'inquiétude. Il suffira de dresser la table au salon. Je suis entre mes deux anges.

Nous restons sur le sentier facile. Sur la gauche, il longe la rivière dont les eaux sont à leur niveau normal. Calmes, claires et poissonneuses. Ce tronçon ferait le bonheur des passionnés de pêche. Seul monsieur Bertrand vient parfois y taquiner le goujon ou la carpe. C'est sur nos terres. Estelle marche devant, elle me tient par la main pour se retourner souvent, me faire une bise. Clémentine marche derrière moi. Je tiens sa main pour faire pareil. Nous nous arrêtons souvent. Lorsque Estelle m'embrasse, c'est Clémentine qui joue avec ma queue.

Quand c'est Clémentine qui m'embrasse, c'est Estelle qui joue avec ma bite. Je glisse mes mains dans les culottes. Avec ces multiples arrêts tendresse, nous n'arrivons pas jusqu'au vieux lavoir. Il faut revenir sur nos pas. Il est onze heures trente. Nous voilà de retour. Nous dressons la table au salon. Le portail est ouvert. Nous sortons pour attendre le traiteur. Voilà la voiture de monsieur Paillet qui descend lentement le chemin. Nous allons l'accueillir. Mr Paillet n'est pas seulement le boucher du bourg voisin mais aussi son poissonnier.

Nous récupérons les deux grands plateaux de fruits de mer emballés sous un film transparent. Les cinq tourtes au crabe et au saumon. Les bacs de crudités où la salicorne tient une place de choix. Lorsque je pose la carte bancaire sur le lecteur optique, monsieur Paillet me chuchote : << Heureux homme que vous êtes ! >>. Il fait évidemment allusion aux deux sublimes jeunes filles qu'il regarde monter l'escalier avec les victuailles. Je réponds avec un clin d'œil : << Comme vous dites, cher monsieur ! Comme vous dites ! >>.

Je rejoins mes deux anges à la cuisine. Nous disposons le tout sur la grande table monastère du salon. La tarte aux noix qui sera le dessert a décongelé. Nous montons nous changer. Jeans propres, chemises blanches, mocassins beiges. Tous les trois pareils. << Les trois Mousquetaires ! >> fait Estelle quand Clémentine nous entraîne devant le miroir de l'armoire. Nous dévalons les escaliers. Juste en même temps que ne résonnent les trois coups de sonnette. Estelle se précipite pour aller accueillir ses parents.

Yvan et Michèle sont vêtus à l'identique. Comme nous. Nous nous saluons. Nous sommes contents de nous revoir depuis dimanche dernier. Le couple fait maintenant partie de nos amis. Clémentine, en parfaite maîtresse de maison, nous invite à la suivre. Nous voilà tous les cinq confortablement installés à table. Les bancs sur lesquels nous sommes assis sont recouverts de coussins moelleux. A ma gauche Estelle, et Yvan. A ma droite Clémentine et Michèle. Nous mangeons de bon appétit. La nourriture est succulente. Les tourtes sont divines.

Nous bavardons en riant. Les parents d'Estelle parlent de la nouvelle secrétaire, présente depuis plus de six mois dans leur entreprise. Yvan précise qu'il va falloir embaucher du personnel pour faire face à un succès grandissant. Michèle nous confie à quel point il est agréable de lever le pied. << Depuis presque vingt ans, nous travaillons comme des malades. Là, je peux enfin me reposer un peu ! >> précise t-elle. Clémentine et Estelle me font du pied sous la table. Estelle surveille mes regards mais aussi ceux de sa maman.

Je me lève pour débarrasser. << Attendez Julien, je vous aide ! >> me fait Michèle. Estelle me donne un violent coup de pied. Je vais à la cuisine accompagné de Michèle. Elle fixe ma braguette sans vergogne tout en parlant. Son regard par en dessous est terriblement évocateur. Je murmure : << Je te la montre à la moindre occasion ! >>. Michèle, surprise que je la tutoie, chuchote : << C'est une bonne occasion, là ! >>. Rapidement, je déboutonne mon 501. Je sors ma queue. Je la tiens à sa base. Depuis le salon on entend les voix.

Je l'agite mollement en direction de Michèle. Michèle est une superbe bourgeoise de 48 ans. Belle. Je me plais souvent à imaginer qu'elle est la grande sœur d'Estelle tellement la ressemblance est frappante, troublante. Je remballe juste à temps. Estelle entre dans la cuisine. Nul doute qu'elle vient surveiller. Je fais semblant de disposer les assiettes dans l'évier. Michèle jette les coquilles vides dans la poubelle. De son œil suspicieux, Estelle me lance un regard sévère. Se douterait-elle de quelque chose ? Elle n'est pas dupe. Pas folle la guêpe.

Je ramène la tarte aux noix. Michèle ramène le plateau sur lequel sont disposées les coupes de glaces. Estelle les a préparé avec amour. Nous prenons notre dessert en riant beaucoup de quelques anecdotes coquines. Estelle n'arrête pas de me pincer la cuisse sous la table. Il est 14 h lorsque nous faisons la vaisselle. C'est rapide car il est extrêmement rare que nous utilisions le lave vaisselle. Nous préférons la convivialité. Nous voilà prêts à partir. Nous irons au port de plaisance avec la voiture des parents d'Estelle.

C'est mon ancienne Mercedes. Spacieuse et parfaitement entretenue. Comme neuve. Je suis assis à l'arrière entre Estelle et Clémentine. Il y a 30 km par la route. Il fait beau. La circulation est plus dense à partir des faubourgs de la ville. Estelle n'arrête pas de me pincer, de me mordre l'oreille en murmurant à mon oreille : << Salaud ! Tu dragues ma mère. Ce soir je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. Je la rassure en chuchotant : << C'est toi que j'ai envie de draguer cet après-midi ! >>. Clémentine palpe discrètement ma bosse.

Yvan roule comme moi. Il aime prendre son temps, conduire prudemment et admirer le paysage. Il gare la voiture sur le bord de la route. Il y a une file d'autos d'au moins un kilomètre. Les manifestations organisées par la municipalité du bourg voisin sont toujours un succès. Ce second vide grenier de l'année est encore une véritable réussite. Il est 15 h. Il y a un monde fou. Pour pénétrer le marché aux puces, le port du masque est obligatoire. << Put-Hein ! On avait oublié cette merde ! >> lance Estelle en mettant son masque sanitaire.

<< Ça gâche toujours un peu le plaisir cette inutile et dérisoire obligation ! >> fait Michèle. Le soleil est haut dans le ciel. Il fait aussi chaud qu'en plein mois d'aout. Clémentine me tient par la main. Yvan et Michèle se tiennent par la main comme des amoureux qu'ils sont restés par delà les années. Estelle reste au bras de son papa. Lorsqu'elle se retourne c'est pour lever son masque et me tirer la langue. Nous flânons en évitant tant que possible toute promiscuité. Il suffit de ne pas nous enfoncer dans les allées pleines de promeneurs.

Ce sont surtout les meubles anciens qui nous intéressent. Mais, comme pour toutes ces manifestations populaires, les plus belles choses disparaissent dès le matin. Les professionnels de la brocante viennent faire leurs razzias à l'ouverture. Nous montons le chemin qui mène au vieux cimetière sur le haut de la colline. De là haut la vue sur le port, sur le bourg et les environs est splendide. Combien de fois ne sommes nous pas venus ici pour nous encanailler avec Estelle et Clémentine. Chaque endroit nous rappelle bien des souvenirs.

C'est agréable d'êtres assis tous les cinq sur un des bancs, à l'ombre des arbres centenaires qui bordent le cimetière. Il y a du monde là aussi. L'après-midi se déroule ainsi. C'est fort plaisant de le passer ensemble. Yvan est un homme intéressant, d'un niveau d'instruction supérieur, doté d'une solide culture générale. Michèle est une femme pleine d'humour qui partage toutes les qualités de son mari. Ils se sont connus sur les bancs du lycée, se sont aimés dès les bancs de l'université. Estelle me tripote discrètement. Tout comme Clémentine.

Il est 18 h30 quand nous quittons le port de plaisance. La fraîcheur du soir s'annonce. Il ne nous est pas possible de passer la soirée ensemble car les parents d'Estelle sont invités à l'anniversaire d'un voisin. Dommage. C'est un peu dur de se quitter. Estelle reste avec nous quand ses parents nous déposent dans la propriété. Michèle m'adresse un de ses regards par en-dessous terriblement suggestif. C'est discret. Mais cela n'échappe pas à Clémentine. Nous rentrons. Estelle m'attrape la paquet. << Vieux salaud va ! >> dit elle.

<< Tu crois que je n'ai pas vu tes manigances cet après-midi avec maman ! >> rajoute t-elle. Bien évidemment tout cela est exagéré car il n'y a eu aucune "manigance". Nous réchauffons le reste des tourtes avec des pommes de terres coupées finement et rissolées à la poêle. Clémentine prépare une salade de concombre. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous. Estelle me taquine quand à sa maman. Je lui raconte ce qui s'est passé lorsque Michèle m'a accompagné à la cuisine pour débarrasser la vaisselle. << Vieux pervers ! >> dit elle.

Estelle sait que je montre ma bite à sa mère. Par contre elle ne sait pas ce que m'a confié son papa le week-end dernier. Yvan et Michèle, dans leurs jeunes années, pratiquaient parfois l'échangisme. Avec Clémentine, nous nous sommes promis de garder le secret. Nous lui raconterons un jour car il nous est extrêmement difficile de cacher des choses à Estelle. Il faut juste la bonne occasion pour aborder le sujet. Nous mangeons de bon appétit. Après le repas, je lèche les minous de mes deux anges. Estelle nous quitte pour 22 h.

Bon dimanche à toutes les coquines qui aiment tripoter de la bosse de braguette en cachette lors des promenades dominicales...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1642 -



Julie vient passer la soirée avec nous

Hier matin, lundi, il est presque six heures quand l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Le cri des mouettes, le bruit du ressac. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut se lever. Dur. Nous allons aux toilettes. Vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en étant encore très vaseux. Ce qui nous fait beaucoup rire.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan du week-end passé. Notre dimanche après-midi en compagnie d'Estelle et de ses parents. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdominaux, charges additionnelles, le tout avec une intensité maximale. Retour au calme avec un bon stretching. La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Le jour s'est levé sous un ciel entièrement bleu.

Clémentine vient me rejoindre vêtue de son jeans, d'un sweat sous sa veste de cuir noire. Ses mocassins. Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un coucou. Je me dépêche de rentrer. La vaisselle. Je fais le lit. Je redescends pour aller dans l'atelier. Je commence ce matin le dessin préparatoire de la première œuvre de commande. J'ai huit toiles en commandes. Quatre portraits, quatre paysages. Je ne m'emmerde plus. D'après photos fournies par les commanditaires. Agrandissement, imprimante.

Je coupe chaque photos en quatre avec l'informatique. Je passe chaque partie dans l'imprimante. Il me suffit d'assembler les quatre parties sur la toile après en avoir passé l'arrière au crayon lumographe. Je n'ai plus qu'à calquer. Repasser le dessin à la pointe du pinceau le plus fin avec de l'acrylique noire. Je vais consacrer la journée à ce travail. Il est 10 h lorsque la musique imbécile de mon téléphone m'arrache de mon labeur. En râlant, je le saisis. C'est Julie. Elle m'appelle entre deux cours depuis les WC de la fac.

Quelle agréable surprise d'entendre sa voix. Julie n'a que quelques minutes. Elle me propose de passer commande pour le repas du soir. Elle passera au restaurant de sa tante pour récupérer les plats. Elle sera là pour 19 h. Ce qui m'évitera de devoir préparer la bouffe. Excellente idée. Nous nous saluons. Julie exprime son impatience de nous revoir. Je continue mes calques. Il est presque midi. J'ai terminé deux portraits. Quatre membres d'une même famille qui demandent à êtres vêtus et représentés façon XIXème.

A la cuisine, je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une salade de tomates. Dans la poêle je fais revenir un filet de lieu noir avec ail, champignons et échalote. C'est rapide. Je râpe du parmesan. Il fait tellement beau dehors, tellement chaud. Je mets le tout sur un grand plateau. Je sors pour prendre mon repas près du bassin. A l'ombre des branches du noyer. Il suffit de donner un coup de chiffon sur la table et la chaise. Les meubles de jardin ont passé l'été à l'extérieur. Ce n'est pas très propre. Tant pis.

Je mange de bon appétit en admirant ce qui se passe autour de moi. Le gazouillis des oiseaux, les papillons blancs qui virevoltent. Il n'y a pas le moindre souffle de vent. Je traîne à table. Je fais quelques pas dans la propriété. Il est temps que l'entreprise paysagère intervienne. De plus en plus de feuilles jonchent le sol. Des branchages aussi. Les haies sont à tailler, des arbres à élaguer. En faisant le tour de la dépendance, je vois monter monsieur Bertrand le long de la clôture. Il porte un grand sachet.

Le voisin apporte de la nourriture aux canards de la rivière tous les jours. Nous nous saluons. Nous bavardons. Monsieur Bertrand est un retraité plein d'humour. Il me raconte quelques amusantes anecdotes. Sa belle-mère, une femme très âgée, vient d'être placée en maison de retraire. Un établissement résidentiel. Sa femme va donc tous les après-midi la voir. << Ça me fait des vacances, Julien, vous n'imaginez pas ! >> dit il en riant. Pas une seule allusion à Clémentine. Alors que le bougre rêve de me faire cocu.

Il ne sait pas que chacun des moments qu'il passe avec Clémentine est rigoureusement programmé par notre complicité. Louis n'est que la "victime" de nos petits jeux. Nous rions de bon cœur mais lui ne sait pas pourquoi je ris tant. Nous nous saluons. Je retourne à ma vaisselle. Je monte me laver les dents. C'est un peu frustrant de ne pas pouvoir profiter de ce magnifique après-midi. Me voilà dans l'atelier. Je travaille jusqu'à 17 h. J'ai terminé le dessin préparatoire de quatre commandes. C'est parfait.

Je range mon matériel. Je nettoie le fin pinceau, je rince le gobelet qui a contenu la peinture acrylique. J'utiliserai la même technique pour réaliser les quatre autres commandes. Des gens qui veulent avoir un tableau de leur maison ou résidence secondaire en l'inscrivant dans un paysage idyllique. C'est très facile à peindre. Ces huit toiles serons expédiées courant du mois de novembre. Je pourrais me contenter de ses travaux de commandes depuis une dizaine d'années. Mais je suis animé par la passion de peindre.

Je quitte l'atelier pour sortir au jardin. Il est 17 h30. Voilà la voiture qui descend le chemin. J'ai ouvert la porte du garage. Clémentine n'a qu'à s'y garer. Je la rejoins. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Je prends son grand cartable de cuir brun. << J'ai encore du boulot ! >> dit elle. Je propose d'aller nous installer à la table du jardin. C'est impossible car Clémentine a besoin d'avoir accès à ses dossiers papiers. Nous allons dans l'atelier.

Assise à la table de travail, devant son ordinateur, Clémentine me raconte sa journée. J'écoute en préparant le thé. Je viens souvent me placer juste derrière elle. Je lisse ses cheveux de mes mains. Elle adore. C'est quelque chose qui lui procure de la détente et de la relaxation. Elle m'explique ce qu'elle fait, ce que je vois sur l'écran. Elle me parle d'Estelle avec qui elle mange au restaurant universitaire. Elles sont ensemble partout. << Jusqu'aux toilettes aux interclasses ! >> lance t-elle en prenant mes mains.

Je m'installe dans le canapé avec "Le matin des magiciens" de Jacques Bergier et Louis Pauwels. Ce livre que j'aime à relire cycliquement depuis l'adolescence. J'adore entendre Clémentine chantonner, commenter à haute voix ce qu'elle fait, maugréer en cherchant une feuille dans un classeur. Il est 18 h30. << Put-hein, ras-le-bol ! >> lance t-elle soudain en rangeant ses affaires. Elle vient me rejoindre. Couchée sur le dos, sa tête sur ma cuisse, les yeux fermés, Clémentine change de "dimension".

Je caresse son visage de la pointe de mes doigts. Je lisse ses longs cheveux noirs. Nous restons ainsi, silencieux à savourer ces instants magiques. Je chuchote : << Julie vient nous rejoindre pour 19 h. Elle emmène le repas. Feuillantines au crabe avec salades pour ce soir. Tourtes aux fruits de mer pour demain midi ! >>. Clémentine saisit mes poignets. En s'étirant elle fait : << Mmhhh ! J'ai faim ! >>. Elle se tourne pour fourrer son visage dans ma braguette béante. << Mais ça sent la queue là dedans ! >> dit elle.

Nous éclatons de rire. << Fais voir un peu ce que tu me caches là ! >> murmure t-elle en me sortant le sexe. Clémentine y frotte son visage. << J'aime quand tu m'éjacules dans la bouche sans prévenir. La semaine dernière tu l'as fait trois fois ! >> dit elle avant de se mettre à sucer du bout des lèvres. Trois coups de sonnette. Nous cessons. << Notre repas ! >> lance Clémentine qui se redresse. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour aller accueillir Julie. Comme elle est belle ce soir encore.

Je la débarrasse de sa grande caisse qui contient nos repas. Clémentine prend le grand sachet qui contient nos salades. Julie est toute contente d'être à nouveau avec nous. Elle porte ses lunettes d'étudiante, son blouson en cuir, ses jeans, ses bottines à légers talons. Depuis peu, c'est le rituel des trois bises. Comme elle est petite avec son mètre soixante dix, je suis obligé de me pencher. Ça m'amuse toujours beaucoup. Clémentine aussi qui dit : << On va mettre un escabeau dans l'entrée ! >>.

Les feuillantines sont encore chaudes. Il suffit d'ôter les opercules sur les bacs contenant les salades. Nous dressons la table. Nous sommes morts de faim. Julie fait mine de ne pas voir ce qui pend de ma braguette. Ce comportement typiquement féminin est un réel petit plaisir supplémentaire. Juste avant de passer à table, de nous assoir, je tiens mon sexe à sa base, entre le pouce et l'index. Je l'agite en direction de Julie qui s'installe. Je demande : << Soyez sincère Julie, est-ce que mon attitude vous indispose ? >>.

Julie éclate de rire avant de répondre : << Si vous m'indisposiez, Julien, je ne serais pas assise là, en face de vous ! >>. Clémentine rajoute : << Depuis le temps que ça dure, tu es habituée, non ? >>. Nous rions tous les trois de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent de leurs études. Quelques amusantes anecdotes concernant les cours en amphithéâtres, certains professeurs, certains étudiants. Julie va reprendre son job de serveuse dans le restaurant de sa tante le week-end dès le début octobre.

Nous promettons de venir manger pour le premier vendredi, 2 octobre. << Réserve-nous déjà une table ! >> fait Clémentine. Je dis : << Chère Julie, je vous fixe déjà rendez-vous dans les toilettes du sous-sol ! >>. Nous rigolons comme des fous. Julie, soudain sérieuse, lance sentencieusement : << Comme je suis heureuse de savoir que vous existez ! Vous n'imaginez pas tout ce que vous m'apportez ! >>. Nous restons silencieux à l'observer. Elle rajoute : << Je me réjouie pour toutes nos histoires à venir ! >>.

Je me lève. J'agite mon sexe vers Julie pour dire : << Il en va de même pour moi, pour nous ! >>. Clémentine mime une pipe en rajoutant : << Il en va de même porno ! >>. Ce trait d'humour nous fait rigoler comme des bossus. Tout en mangeant, je raconte ma conversation avec monsieur Bertrand vers midi et demi. Julie, spontanément, s'écrie : << Vivement le placard ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine demande : << C'est pour te faire toucher par Julien où pour mâter ce que je fais avec monsieur Bertrand ? >>.

Toute aussi spontanément, Julie rajoute : << Les deux je crois, les deux ! >>. Pas de doute, Julie gagne en assurance. Elle est non seulement devenue notre amie intime mais également la complice idéale. Nous faisons la vaisselle. Julie nous confie son fantasme de voyeuse. << Ça me reprend toujours très fortement au début le l'automne. C'est comme une sorte de refuge mentale pour occulter l'hiver qui approche ! >> dit elle. << Tu nous raconteras tes "plans" et tes aventures ? >> demande Clémentine.

<< Oh oui, j'adore pouvoir les raconter. Je vais créer un Blog. Un Blog non répertorié où je vais raconter mes petites histoires. Je vous en donnerai le lien ! >> s'écrie Julie. Je pourrais l'embrasser tellement elle est vivante et animée ce soir. Un grand changement avec la jeune fille réservée et timide que nous connaissons il y a peu. C'est notre intimité, nos complicités qui permettent à Julie cette extraversion étonnante. Nous nous réjouissons pour découvrir son Blog. << Je vous dirai quand je publie mon premier récit ! >> précise t-elle.

Je demande : << Vous m'accompagnez aux toilettes Julie ? >>. Elle se lève en répondant : << Oh oui ! Avec plaisir ! >>. Ce soir, c'est elle qui nous précède. Il est presque 21 h45. Julie devra nous quitter immédiatement après. Demain elle a école. Clémentine me fait un clin d'œil, appuyée contre le lavabo, les bras croisés. Julie, à ma droite, m'observe. Je suis debout devant la cuvette des toilettes. Je bande mou. Je lâche un jet puissant. Soudain, Julie se penche pour saisir ma bite entre le pouce et l'index.

Je lâche ma queue pour laisser Julie prendre les initiatives. Julie me tient la bite pour en diriger le jet. Je la tiens par la taille pour la rapprocher de moi. Elle se serre. Clémentine, que mes attitudes avec d'autres filles excitent, glisse une main dans son jeans. Elle s'accroupit aux dernière gouttes. Julie lui tend mon sexe. Clémentine se met à genoux pour sucer. Julie observe avec attention. Je la serre fort contre moi. Elle en glousse de plaisir. Il faut Cesser. 22 h. Nous raccompagnons Julie à sa voiture.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent la visite de l'amie intime afin de voir leur mec se livrer au vice et à la turpitude en WC...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1643 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Le cri des mouettes, le bruit du ressac contre les rochers, le clapotis de l'eau. L'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. C'est un peu le bruit de nos vacances qui nous réveille ainsi. Clémentine se serre contre moi. Des papouilles. L'impérieux besoin de pisser nous impose sa contrainte. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il fait bien chaud dans la maison.

Avec le soleil de ces derniers jours, la température est comme en plein été. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Clémentine termine à midi. Ce qui la rend déconneuse. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier soir. Nous avons une affection particulière pour cette adorable jeune fille de 20 ans. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ses comportements, ses attitudes, son tempérament.

Il est 6 h25. Nous remontons. C'est dans une certaine euphorie que nous procédons à notre entraînement. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. L'intensité maximale malgré les fous rires que provoque Clémentine. Retour au calme avec un bon stretching. La douche. Je descends pour aller préparer la voiture de Clémentine. Le jour s'est levé sous un ciel bas et gris. Clémentine vient me rejoindre vêtue de ses jeans, sweat, veste en cuir noire, ses mocassins. Un dernier bisou.

Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer car du travail m'attend. Je fais la vaisselle. Je fais notre lit. Je vais dans l'atelier. Je réalise ce matin les dessins préparatoires des quatre dernières commandes. Deux commanditaires souhaitent une vue sublimée de leurs propriétés en bord de mer. Un autre désire la peinture du lieu de sa prime jeunesse. Le dernier veut la vue sur la baie de Douarnenez depuis la fenêtre de sa grand-mère décédée il y a fort longtemps. De quoi m'amuser.

La matinée passe rapidement. Il est presque midi quand je termine ces préparatifs. Je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Je mets les deux tourtes aux fruits de mer dans le four. J'épluche des pommes de terre. Je les lave avant de les couper en tranches régulières. Je les jette dans l'eau bouillante. Il est midi vingt. Clémentine rentre. Elle se précipite pour me sauter au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisou. << Je me touche un peu dans l'auto en rentrant ! >> dit elle en riant.

Clémentine s'occupe de la salade. J'égoutte les tranches de pommes de terre ébouillantées, à peines saisies. Je les dispose dans un grand plat en terre cuite. Je recouvre de gruyère de Comté râpé. Une bonne couche sur laquelle je verse le mélange œuf, crème fraîche, moutarde. Je saupoudre de chapelure, quelques graines de sésame grillé. Clémentine dépose onze cerneaux de noix sur le tout. Je sors les tourtes du four pour y placer le gratin de pommes de terre. Ce sera notre repas de ce soir. Avec Estelle qui en raffole.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Deux heures de math, ça t'achève complètement. Surtout après deux heures de chimie minérale ! >> me fait Clémentine. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa masturbation solitaire, dans la voiture quand elle rentre de cours. Elle s'écrie : << Je suis prudente, je te promets. Je roule doucement, comme toi ! Et je ne croise quasiment personne sur la route ! >>. Nous rions de bon cœur.

Clémentine me confie que c'est une excellente formule de décompression après la tension des cours, l'attention et la concentration. Elle déboutonne son 501, glisse sa main dans sa culotte pour me montrer comment elle fait. De l'autre main elle tient un volant imaginaire tout en faisant un bruit de moteur avec les lèvres. << Je pense à des trucs très cochons comme nous en avons le secret ! >> précise t-elle encore en riant. Elle enfonce soudain sa langue exploratrice dans ma bouche pour un baiser vertigineux.

Dehors, le climat est devenu menaçant. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine m'entraîne dans la chambre pour se changer. Elle met une robe d'été. Il fait tellement doux dans la maison. Contre moi, devant le miroir, elle me dit : << Même en tenues de maison, on est beaux tous les deux. Regarde ! >> dit elle avant de s'accroupir. Sa tête contre ma jambe qu'elle enserre de ses bras. Elle écarte largement ses cuisses. J'adore ses poils qui dépassent de la culotte.

Clémentine possède une chatte tellement velue qu'aucune culotte ne pourrait la contenir. << Mon bon "Maître", auriez-vous l'obligeance de me recadrer un de ces tous prochains jours ? J'aime votre comportement lorsque vous êtes sévère et exigeant ! >> dit elle en se déplaçant, toujours accroupie, pour frotter son visage contre ma braguette ouverte. Je n'ai qu'à en sortir le locataire pour que son plaisir soit total. Je pose une main sur sa tête, l'autre sous son menton en disant : << Il sera fait selon vos désirs ma douce "Soumise" ! >>.

Je guide son visage. Lorsque Clémentine veut gober mon sexe, j'esquive sournoisement. Ce qui la fait glousser. Je me penche pour lui déposer plein de bisous sur le front. Je murmure : << Je vous aime comme un fou Clémentine ! >>. Clémentine tombe à genoux. Elle empoigne mon pantalon à la hauteur des hanches. Elle se met à me sucer comme une affamée. Je la tiens par les oreilles. J'imprime un léger mouvement du bassin. Je me masturbe lentement dans sa bouche ventouse. Une indicible sensation d'irréel.

Je l'aide à se relever. Je lui masse les genoux. Je glisse ma main sous sa robe, entre ses cuisses bouillantes. J'introduis mon index entre la couture de la culotte et l'aine. Lorsque je le fais passer délicatement entre les lèvres charnues et pulpeuses de sa vulve je constate l'humidité qui règne là. J'enfonce mon doigt. Clémentine a ce petit spasme en se blottissant contre moi. << Mmhh, c'est bon ça ! >> chuchote t-elle. Nous avons tous les deux du travail qui nous attend. Nous dévalons les escaliers.

Autant profiter de cette météo qui se détériore. Il y a de la pluie maintenant. Un léger vent se lève. Nous voilà dans l'atelier. Il est presque 14 h. Clémentine est assise devant l'ordinateur. Sur la table elle étale ses documents, ses classeurs, les notes prises en cours ce matin. Je suis debout derrière elle. Je lui lisse les cheveux pendant qu'elle m'explique ce que je vois sur les feuilles de papier. Des équations mathématiques qui me paraissent un intraduisible charabia. Mon niveau en math est assez basique. Celui de la terminale.

Je laisse Clémentine à son labeur. Dans une coupelle de métal chromé je prépare le mélange eau, acrylique et terre de sienne. Je mélange longuement en rajoutant quelques gouttes de retardateur de séchage. Je branche le sèche cheveux destiné à cet usage. Je dépose les huit toiles dont le dessin préparatoire est réalisé sur de grandes feuilles de papier kraft que je déroule du gros rouleau. Deux mètres de large. A l'aide d'un pinceau large, j'étale la première couche d'impression sur chaque toile. Le spalter permet la bonne régularité.

Lorsque les huit surfaces sont enduites, je passe le sèche cheveux sur chacune. Je peux recouvrir de la seconde couche que je croise. Ce travail est rapide. Un passage de sèche cheveux et tout est prêt. La couche d'impression est une technique ancienne. Elle permet d'harmoniser les couches supérieures. Je place les huit toiles à la verticale, l'une derrière l'autre sur une des étagères. Tout en haut. Je garde le portait de famille que je dispose sur le chevalet. Avec des punaises je fixe la photo sur le montant de droite.

Ainsi, je vais pouvoir commencer la peinture de cette première commande. J'aime entendre Clémentine chantonner à sa table. Parfois elle commente ce qu'elle fait. Je prépare les couleurs sur la palette. Je commence toujours par le fond. L'astuce des fonds en "clair obscur" permet d'installer quantité de reflets lumineux. Je peins dans une sorte d'euphorie car c'est ma première séance depuis trois mois. Parfois Clémentine vient me rejoindre sur la pointe des pieds. Elle me dépose un bisou dans la nuque. C'est si doux !

Nous travaillons ainsi jusqu'aux environs de 18 h. Clémentine a mis à profit cet après-midi consacré à des préparations personnelles. Je nettoie la palette et les pinceaux. Je me lave les mains au petit lavabo de l'atelier. Du bruit. Estelle entre comme un coup de vent dans la grande pièce. Elle a passé sa matinée en cours avec Clémentine et son après-midi aux mêmes préparations. Elle se précipite pour me faire plein de bisous, glisser sa main dans ma braguette béante. << Put-Hein, il faut que je vous raconte ! >> s'écrie t-elle.

<< Maman a encore fouillé mon téléphone. Je l'oublie tout le temps un peu partout dans la maison. Elle est aussi voyeuse que moi. Elle a trouvé des photos ! >> rajoute t-elle en me sortant la queue. << Raconte ! >> lance Clémentine. Estelle explique : << Des photos où je tiens Julien par la queue dans les endroits les plus invraisemblables. En Ecosse, cet été ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine demande : << Mais pourquoi tu laisses traîner ces photos dans ton téléphone. Mets les sur un disque dur externe ! >>.

<< J'suis con. Mais j'aime bien les regarder. Surtout quand je suis nostalgique des vacances. C'est beau l'Ecosse en arrière plan, avec la grosse bite à Julien ! >> répond Estelle. Nous sommes pliés de rire. << Ainsi ta mère a fait quelques allusions ! >> lance Clémentine. << Oui, elle ne s'est pas gênée. Je l'ai engueulé. Elle rigolait comme une dingue ! >> fait encore Estelle qui sort son téléphone pour nous montrer de quelles photos il est question. Je reconnais bien le château de Stirling derrière nous. Ma bite aussi !

Nous rigolons comme des bossus. Les filles comparent leurs préparations. Ce trimestre sera consacré à un travail personnalisé. Chaque étudiant devra organiser sa stratégie en suivant le programme imposé. J'écoute en préparant le thé. Dehors il pleut. Il fait sombre et sinistre. Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare la salade. Je réchauffe le gratin de patates. Estelle dresse la table. Dans une poêle, sur la demande de mes deux anges, je concocte une belle omelette aux champignons.

Nous n'arrêtons pas de rire, de nous faire des bisous. << Si j'avais su j'aurais mis une robe aussi ! >> lance Estelle qui déboutonne son jeans. Je glisse ma main sous la robe de Clémentine. L'autre dans la culotte d'Estelle. Elles ont les minous chauds, moites et accueillants. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les photos découvertes par Michèle dans le téléphone de sa fille. << Elle ne peut pas s'empêcher de fouiller mes affaires ! Depuis mon école maternelle ! >> lance Estelle. Nous traînons à table en bavardant et en riant.

Je propose aux filles de reprendre nos bonnes vieilles habitudes. Ce soir, léchage de minous au salon. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Nous faisons la vaisselle. Il reste encore plein de gratin de patates pour demain. Mes deux anges m'entraînent au salon. Estelle retire son jeans, sa culotte. Clémentine juste sa culotte. Elles sont toutes les deux vautrées dans le canapé. Les jambes relevées, cuisses écartées qu'elles maintiennent sous les genoux. Je jette les épais coussins au sol. Je me mets à genoux devant Estelle.

Je commence toujours par la chatte à Estelle. J'ai appris à aimer son odeur forte de fille négligée. Le goût légèrement amère de ses muqueuses, puis le gout un peu fade de sa cyprine. Clémentine se masturbe en attendant son tour. Estelle pousse de petits gémissements d'animal blessé. Je passe au minou de Clémentine. Là, c'est le gout légèrement vinaigré des lèvres de son sexe dont je fouille les plis et les replis du bout de la langue. Lorsque je ne suce pas leurs clitoris les filles se masturbent en me regardant sucer l'autre.

Estelle m'attire sur elle. Elle en a pris l'habitude. Je m'introduis délicatement. Elle se met à bouger presque immédiatement. Clémentine se rapproche. Elles ont toutes les deux le visage près du mien. Cette proximité participe d'une excitation folle. Comme j'aimerais qu'elles soient gouines toutes les deux. Hélas. Ce désir restera probablement au stade du fantasme à tout jamais. << On a essayé quand on avait 14 ans toutes les deux, ça s'est terminé en rigolade ! >> précise souvent Estelle qui se fait ramoner comme une hystérique.

Juste avant l'orgasme, entre deux cris, Estelle s'écrie : << Demain soir, parrain vient chercher des cartons à la maison. Il va me baiser à la cave. Ça fait longtemps. Il m'a fait un texto hier soir ! >>. Estelle se cambre soudain. Tout son corps se raidit sous moi. Elle s'accroche. Elle me repousse doucement. Je me retire. Clémentine se précipite pour prendre ma bite en bouche. Au moment où elle jouit à son tour, je lui éjacule dans la bouche. << J'adore être ton vide couilles ! >> dit elle dans un souffle en reprenant ses esprits. Déglutissant avec peine.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire lécher, sucer, avant de se faire pénétrer pour baiser comme des folles...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1644 -



Juliette vient passer la soirée avec nous

Hier matin, mercredi, il est presque six heures quand l'application "océan" nous réveille. L'enchantement d'un réveil en bord de mer est une illusion parfaite. Le cri des mouettes, le bruit du ressac, les clapotis. Les yeux encore fermés, en gémissant, nous nous serrons fort. Clémentine murmure des mots incompréhensibles. Nous éclatons de rire. Pressés par l'urgence absolue du pissou, nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gymnastique, nous dévalons les escaliers.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos amusantes folies de hier soir. << C'était bon. J'adore quand tu m'éjacules dans la bouche par surprise ! >> fait Clémentine. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la présence d'Estelle que j'ai baisé comme un véritable hussard. << Ce soir elle se fait sauter par son parrain, à la cave ! >> rajoute encore Clémentine. Son parrain avec lequel il n'y a aucun lien filiale. Nous en rions de bon cœur.

Il est 6 h25. Nous remontons. Ce matin, l'entraînement est très agréable et participe de nous réveiller totalement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, retour au calme avec un stretching encore un peu bâclé. La douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto de Clémentine. Il pleut. Clémentine vient me rejoindre sous son parapluie. Jeans, sweat, veste en cuir et bottines. Un dernier bisou. Un dernier coucou lorsque la voiture franchit le portail en haut du chemin.

Je me dépêche de rentrer. La vaisselle. Je fais notre lit. Je vais dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans un enthousiasme joyeux. A chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent je pousse des cris surréalistes. La thérapie du "cri primal" du docteur Janov. Ça me fait marrer ces théories à la con. Il est dix heures. La musique imbécile de mon téléphone posé sur la desserte à ma droite. Je m'en saisis en râlant. C'est Juliette. Quelle plaisir de l'entendre.

Juliette me raconte son week-end. Hier elle a emmené les 150 kilos de pommes cueillies chez ses amis qui possèdent un pressoir. Ce soir, lorsqu'elle viendra nous rejoindre pour partager notre repas, elle nous emmènera quelques bouteilles. Nous bavardons une dizaine de minutes. Nous nous saluons. Juliette sera là pour 19 h30. Je peins en pensant à cette belle bourgeoise de 47 ans. Délicieusement salope et merveilleusement vicelarde. Quel privilège de la compter parmi nos intimes. C'est un vrai bonheur.

Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste du gratin de pommes de terre. Je fais une rapide salade de carottes. Un filet de colin que je poêle avec de la moutarde, de l'ail, de l'oignon. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Je coupe et lave un beau choux fleurs. Je l'ébouillante dans l'auto cuiseur. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute une bonne quantité de gruyère de Comté grossièrement râpé. Je poêle des crevettes. J'égoutte le choux fleurs.

J'étale deux tiers de la pâte feuilletée dans un grand plat à tarte aux bords hauts. Je mélange le choux fleurs, les crevettes rissolées. Dans la Béchamel. Sel, noix de muscades, paprika, gingembre et curcuma. Je verse le mélange homogène sur la pâte. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée. Je joins soigneusement les bords en les soudant avec le pouce et l'index. Je badigeonne du mélange, œuf, lait de soja et moutarde. Je retire le gratin de patates du four. J'y mets la Flamiche Picarde. 180° afin qu'elle mijote longuement.

Je mange de bon appétit en écoutant la litanie anxiogène des informations parfaitement calibrées, formatées et mensongères. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Dehors, la pluie tombe avec régularité. Pressé d'aller prendre l'air quand même, je dévale les escaliers. C'est sous le parapluie que je reste sur les dalles de grès. Elles permettent de faire le tour de la propriété sans marcher dans l'herbe trempée. Une dizaine de minutes sous un ciel d'un gris uniforme, sinistre et bas. Il est presque 13 h30.

Me voilà dans l'atelier. Assis devant mon chevalet, je retourne à ma passion. Animé du même enthousiasme que ce matin, je peins au gré de mes pensées. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. La visite de Gauvain à leur table pour draguer Estelle. Nous en rions. Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur à mettre au propre les notes prises en cours.

J'aime l'entendre chantonner, commenter à voix haute ce qu'elle fait. Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je me lave les mains au petit lavabo de l'atelier. Clémentine range ses fiches, éteint l'ordinateur et vient me rejoindre dans le canapé. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, les yeux fermés, elle passe d'une dimension à l'autre. Je caresse son visage du bout de mes doigts. J'aime l'entendre gémir, ronronner de plaisir. Je sors ma bite pour la coller contre sa joue.

<< Tu sera bien salaud ce soir, hein, elle vient aussi pour ça, Juliette ! >> me dit Clémentine en se tournant sur le côté afin de frotter son visage contre mon sexe. Clémentine a cessé d'être jalouse à propos de Juliette. Même si elle sait la passion amoureuse que Juliette éprouve pour moi, Clémentine est rassurée quand à mes sentiments exclusifs et sans partage. Clémentine est la fille que j'aime. Par contre, Clémentine adore mes comportements de satyre avec d'autres femmes. Tout particulièrement avec Juliette.

Je lui promets donc d'être à la hauteur de sa demande ce soir. Dehors, avec la pluie, voilà l'obscurité. Une véritable soirée de l'automne qui s'annonce. Clémentine déboutonne son jeans. Elle prend mon poignet pour glisser ma main dans sa culotte. J'aime dénouer les nœuds des poils, sentir ce clitoris géant, passer mes doigts entre les lèvres charnues de sa vulve. C'est moite. Je cesse pour renifler mes doigts. Rien n'exerce un effet aphrodisiaque plus puissant sur ma libido que l'odeur de la foufoune de Clémentine.

A nouveau couchée sur le dos elle me donne ses impressions. << J'adore quand tu me touches. C'est si bon. Tu es toujours si doux et délicat ! >> murmure t-elle en maintenant mon poignet. Elle se frotte sur ma main. << Mmhh ! >> gémit elle en passant sa joue contre ma queue. Je bande mou. La peau fripée de mon prépuce colle contre celle de Clémentine. Je la masturbe doucement. Je tiens son clitoris entre le pouce et l'index. J'adore les spasmes de Clémentine quand je fais ça. Ses petits frissons de plaisirs.

Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. J'allume le four afin de réchauffer la tourte au choux fleurs. Clémentine lave les feuilles d'une belle scarole. Je prépare l'assaisonnement. Nous dressons la table. Juliette a émis le souhait de manger dans notre cuisine. Elle apprécie l'ambiance de la grande pièce. La cuisinière à bois qui ne fonctionne pas encore, la hotte à laquelle sont pendus des ustensiles. Cela lui rappelle la cuisine d'un manoir. Les tomettes du sol, les deux murs de briques rouges.

Clémentine m'embrasse à plusieurs reprises. Je la touche. Trois coups de sonnettes. Elle se précipite en me disant : << Garde ta braguette bien ouverte ! >>. Elle revient suivie de Juliette. Ce soir Juliette est en tenue d'écuyère. Ses cheveux noirs en une longue tresse qui pend dans son dos. Son pantalon de cavalière est aussi moulant qu'un legging. Son corps athlétique, ses formes hyper sportives en sont sublimées. Nous nous serrons la main. Depuis notre retour d'Ecosse, Juliette me fait à chaque fois trois bises.

Clémentine déballe le contenu du grand sac que lui a donné Juliette. Ce sont quatre bouteilles de jus de pommes. Nous remercions Juliette pour cette délicate attention. << Ce sont vos pommes ! Ne me remerciez pas. Ce sont mes amis qui ont le pressoir ! >> lance Juliette. Elle vient de découvrir ma braguette béante. Elle a toujours ce regard sévère lorsqu'elle le constate. Je sais bien que c'est un air de circonstance qui fait partie d'une comédie. Nous sommes contents de nous retrouver. La sonnerie du four.

Nous voilà confortablement installés à table. La Flamiche Picarde au choux fleurs est un véritable délice. Nous mangeons de bon appétit tout en conversant. Juliette nous raconte son entreprise. La pension pour chevaux. Les propriétaires commencent à emmener leurs bêtes. Il y a même des coups de téléphone des départements voisins. << Cette année, je n'en prends que 80. Pas un de plus. Mon palefrenier vietnamien nous a quitté fin aout. Il est partit travailler dans la région parisienne ! >> nous apprend Juliette.

Très rapidement, la conversation s'oriente sur ce qui nous réunit. La sexualité déviante que nous partageons. Juliette organise une soirée Gloryhole dans l'ancienne écurie. Ce trou dans le mur que nous connaissons bien. Clémentine écoute soudain avec beaucoup d'intérêt. Juliette lui dit : << Si ça vous tente, je vous propose quelques belles surprises ! >>. Clémentine demande : << Des inconnus ? >>. Juliette éclate de rire avant de répondre : << Pas seulement ! >>. Elle rajoute, espiègle et mutine : << Des "connus" aussi ! >>.

Nous rions. C'est devenu un fantasme pour Clémentine. Depuis quelques mois, elle évoque son désir d'avoir affaire à plusieurs bites qui passeraient chacune à son tour par un trou. << Je ne connais rien de plus vicieux, de plus dégoûtant et de plus excitant ! >> lance Clémentine. Juliette s'empresse de préciser : << Moi non plus ! Et je ne m'en prive pas ! >>. Nous savons à quel point cette femme est perverse et vicieuse. Pour changer de conversation Juliette évoque son annonce.

<< Je vais rencontrer deux nouveaux postulants au poste de palefrenier. Il me faut des gens d'expérience et bosseurs. Il y a une femme et un homme qui ont postulé. Je les reçois demain et vendredi ! >> précise Juliette. Je sors ma bite sous la table. Clémentine s'en est déjà rendu compte. C'est quand je me lève pour débarrasser que Juliette s'en rend compte à son tour. << J'adore votre discrétion, Julien ! >> me fait elle. Avec ces histoires de trou dans le mur, je bande comme un salaud. Terriblement !

Debout devant la table, en face de Juliette, les mains sur les hanches, je contracte mes muscles fessiers. Ce qui a pour effet de faire bouger ma queue. << Je suis toujours admirative devant cette prouesse ! >> me dit Juliette. Il y a une goutte de liquide séminal qui perle à l'extrémité de mon prépuce. Juliette se lève. << Je vais vous aider à débarrasser. J'insiste pour faire la plonge ! >> lance t-elle en contournant la table. Tout près de moi, elle se penche pour observer franchement mon sexe.

La présence de cette femme a toujours un effet mystérieux sur ma libido, sur ma psyché. Je lui dis : << Juliette, j'aimerais être une de ces bites que vous appréciez tant par votre Gloryhole ! >>. Elle me répond : << Mais ce serait un plaisir de vous savoir parmi les anonymes ! >>. Clémentine pose la question qui tue : << J'aimerais savoir si je pourrais reconnaître Julien au gout de sa bite ! >>. Juliette s'empresse de répondre : << Je crois que c'est totalement impossible. Surtout avec le goût de plusieurs bites ! >>.

Juliette lave, Clémentine et moi nous essuyons. La conversation reste axée sur ce concept de goût et de queues diverses. Clémentine veut absolument tenter cette expérience. Juliette me fait un clin d'œil en essuyant ses mains. Elle dit à l'attention de Clémentine : << J'organise cette soirée le samedi 9 octobre. 20 h. Venez avec Estelle. Elle va certainement apprécier ! >>. Clémentine me consulte du regard. Je fais un signe de tête affirmatif. Elle me demande : << Je peux ? >>. Nous éclatons de rire.

Je réponds : << Mais c'est une obligation car tu ne peux pas refuser une invitation de Juliette ! >>. Nous rions. Juliette précise : << Oui, une invitation ne se refuse pas ! >>. Il est déjà 22 h. Juliette recommence à avoir des journées chargées. Demain elle reçoit le premier candidat pour le recrutement. C'est sous le grand parapluie que nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Juliette me prend le poignet pour dire : << Je compte sur la présence de ta queue, salopard. Tu vas beaucoup t'amuser ! >>.

Je suis toujours étonné des rares tutoiements que m'adresse Juliette. Je la tutoie pour répondre : << Surtout si tu cherches à savoir à qui appartient telle ou telle queue ! >>. Juliette éclate de rire en s'asseyant dans son auto. J'agite ma bite dans l'habitacle de sa Mercedes. A quelques centimètres du visage de Juliette qui démarre. << Venez manger mercredi prochain. Je vous attends pour 19 h30 ! >> dit elle. Un dernier coucou. << Put-Hein, ce qui s'annonce est génial ! >> me confie Clémentine en m'entraînant par la queue.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent des évènements à venir. L'automne s'annonce plein de surprenantes turpitudes...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1645 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, jeudi, il est presque six heures quand le cri des mouettes nous arrache de nos profonds sommeils. Le bruit du ressac, le clapotis mais aussi la sirène de ce bateau au loin. Chaque jour, l'application "océan" nous réveille ainsi mais avec de légères différences. Cela ne dure que 45 secondes. Un peu comme de courtes séquences d'une réalité lointaine. Clémentine se blottit contre moi. Nous nous étirons en modulant nos gémissements tout en nous étirant. Il faut se lever. L'envie de pisser est tellement forte.

Morts de faim, vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers. Il fait toujours aussi doux à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier, en compagnie de Juliette. Nous mangeons de bon appétit en évoquant sa proposition. Cette soirée Gloryhole à laquelle nous sommes conviés. J'aime les yeux malicieux de Clémentine quand elle en parle. J'y vois une sorte d'appétit gargantuesque. Nous en rions.

Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement nous attend. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Le stretching permet le retour au calme avant la douche. Je descends le premier pour préparer la voiture de Clémentine. Il pleut. C'est sous le parapluie qu'elle vient me rejoindre. Il est 7 h45. En jeans, son sweat sous sa veste de cuir noir. Ses bottines. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre vaisselle et notre lit.

Me voilà dans l'atelier. Presque huit heures. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans une douce sérénité. Ce premier portrait de commande sera probablement terminé demain matin. Parfait. Il est dix heures, La musique imbécile de mon téléphone posé à ma droite, sur la desserte. Je le prends. Quelle surprise. C'est Juliette. Après quelques lieux communs et formules de convenances, Juliette revient sur sa proposition. Son invitation à la soirée Gloryhole. De la télépathie ?

Je lui apprends en riant que nous en parlions ce matin avec Clémentine. Juliette aimerait beaucoup qu'Estelle nous accompagne et participe. Je rassure Juliette. Rien ne se fait sans Estelle. Clémentine lui en parlera sans doute durant le repas de midi au restaurant universitaire. La soirée Gloryhole aura lieu le samedi 9 octobre à 20 h. << D'être avec vous, de vous voir Julien, sera pour moi un plaisir supplémentaire ! >> me fait Juliette avant de me saluer. Je réponds : << Pour moi c'est pareil Juliette ! >>. Nous raccrochons.

Je peins en pensant à cette femme extraordinaire sous bien des aspects. 47 ans, seule, divorcée depuis bientôt huit ans. Hyper sportive, une vraie athlète, des penchants pervers, extrêmement vicieuse, bourgeoise très stylée, une solide culture générale, un haut niveau d'instruction, redoutablement intelligente. Chef d'entreprise, ferme, autoritaire et sans doute un brin manipulatrice. Cette belle femme m'attire depuis près de quatre ans. Me reviennent en mémoire tous ces merveilleux moments passés avec elle.

Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de la tourte au choux fleurs. Avec une salade de tomates et un filet de colin que je fais revenir à la poêle. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Les informations y semblent beaucoup plus réelles. André Bercoff est un journaliste plein de verve, d'humour et qui n'a pas la langue dans sa poche. La vaisselle. Je monte me laver les dents avant de redescendre dans la cuisine. J'égoutte les coquillettes. Je les verse dans un grand plat.

Je recouvre de gruyère de Comté, je verse le mélange œuf, fromage blanc. Je termine en saupoudrant de la chapelure et en déposant onze cerneaux de noix. Au four. Cuisson à 180° afin de bien faire mijoter le gratin. A la poêle je fais rissoler des rondelles de calmar. Champignons, ail, oignon. Juste avant la fin de la cuisson, je rajoute un petit pot de crème fraîche. Parmesan. Notre repas du soir est déjà préparé. Il n'y aura qu'à réchauffer. Il est 13 h15. Je prends le parapluie. Je fais quelques pas au dehors.

Je reste sur les dalles de grès pour contourner la dépendance. Derrière la maison d'amis, il y a l'abri à bois. Il y a là un stock de bûches coupées en 33 cm pour quatre hivers. Il y a surtout ces deux portes que nous avons fait disposer de chaque côté. Clémentine a demandé à l'entrepreneur, amusé, de creuser un trou parfaitement rond de cinq centimètres de diamètre au milieu de chaque porte. Nous disposons ainsi de nos propres Gloryholes. Jusqu'à présent ils n'ont pas réellement servi. Mais ont-ils été conçu là pour servir ?

Je regarde par les orifices. C'est un couloir d'environ un mètre de large qui sépare le mur de la dépendance et la cloison en planches de l'abri à bois. Nous y entreposons des bêches, des râteaux, une brouette. Des trucs de bricolage. Il est 13 h30. Je rentre. La pluie a cessé. Le ciel reste gris mais s'éclaircit légèrement. Me voilà dans l'atelier. Assis devant mon chevalet je peins en chantonnant du Brassens. L'après-midi est fécond et passe à une vitesse folle. Il est 17 h30. Du bruit. Clémentine revient de cours.

Comme souvent, elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour venir me rejoindre. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu de midi au restaurant universitaire. Clémentine a parlé de l'invitation Gloryhole à Estelle. << Elle est enchantée mais ne désire pas réellement participer de façon active. Juste mâter ! >> précise Clémentine. Je lui raconte la conversation téléphonique avec Juliette ce matin. << Elle ne perd pas le Nord, cette salope ! >> s'écrie Clémentine.

Nous rions de bon cœur. Clémentine connaît bien les sentiments de Juliette pour moi. C'est d'ailleurs elle qui a attiré mon attention à ce propos il y a plus de trois ans. Lors de nos partouzes au haras, il s'est passé des choses entre Juliette et moi. C'est torride. Clémentine s'est montrée très jalouse durant ces trois années. Aujourd'hui, rassurée, elle est beaucoup plus sereine à ce sujet. Tant mieux, car mes sentiments pour Clémentine sont sans équivoques, sans conditions et sans zones d'ombre. Je l'aime.

Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, la voilà absorbée dans son labeur. J'aime l'entendre chantonner, commenter à haute voix ce qu'elle fait. Je peins en écoutant ses considérations. Il est 18 h30. Du bruit. Estelle entre dans l'atelier comme un ouragan. Elle se précipite vers moi. J'anticipe. Je pose la palette et les pinceaux sur la desserte. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle évoque cette soirée Gloryhole. << Les "affaires" reprennent ! >> dit elle.

Nous en rions beaucoup. Estelle confirme son désir d'être exclusivement voyeuse. Elle me raconte la soirée de hier. Son parrain est venu récupérer des cartons. Ils sont entreposés à la cave du bâtiment annexe. << Qu'est-ce qu'il m'a mis le salaud ! >> lance Estelle. Depuis l'adolescence Estelle baise avec Jean-Marc. Il n'y a aucune filiation, de lien de sang, aucun inceste donc. Jean-Marc a été son premier "coup" comme elle le précise. Depuis, il l'a baise tous les mercredis soir, en cachette, à la cave où parfois chez lui.

Avec les restrictions sanitaires de ces dix huit derniers mois, ces petites sauteries avaient cessé. Elles semblent reprendre de plus belle. Estelle rajoute une fois encore : << J'ai deux bonnes bites à disposition. Celle de mon parrain, celle de Julien ! Cela me suffit amplement ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle rejoint Clémentine. Elles comparent leurs préparations. Je nettoie la palette et les pinceaux. Je retire ma blouse. Je me lave les mains au petit lavabo de l'atelier. J'écoute les filles parler de leurs études.

Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle m'entraîne dans une sorte de polka mouvementée et remuante en imitant un chant tyrolien. Nous éclatons de rire. << Ça te réussi de te faire baiser tous les soirs ! >> lance Clémentine qui prépare la salade d'endives. Je réchauffe le gratin de coquillettes, la poêlée de calmar. << Miam ! Tout ce que j'adore ! >> s'écrie Estelle, accroupie devant la porte vitrée du four. Nous dressons la table. Estelle glisse sa main dans ma braguette béante. << Fais voir un peu ! >> dit elle.

Ma bite dans la main, Estelle me demande : << Et toi, tu participes aux activités Gloryhole ou tu restes à regarder avec moi ? >>. Clémentine répond : << En tous cas, quoi qu'il se passe, j'exige que vous restiez tous les deux avec moi ! >>. Je rassure Clémentine. Je resterai son vigile, son garde du corps, toute la soirée. Estelle s'accroupit pour humer mon sexe. Elle dit : << Moi, je m'occuperai de la bite à Julien. Cela évitera qu'une autre le fasse ! >>. Estelle fait évidemment allusion à Juliette. Nous rions de bon cœur.

La sonnerie du four. Estelle met la manique pour sortir le gratin du four. Doré à point, fumant, il parfume toute la cuisine de ses effluves fromagères. << Ça sent encore plus fort que ta bite ! >> me fait Estelle qui plonge sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons comme des fous. Clémentine vient se frotter derrière moi. C'est à son tour. Estelle ne me lâche pas la queue. Je bande comme le dernier des salauds. Nous sommes morts de faim. Nous voilà attablés. Nous mangeons de bon appétit.

Les filles parlent du programme de la matinée de demain. Le vendredi elles terminent à midi. Julie viendra nous rejoindre en fin d'après-midi. Elle apportera le repas préparé par le chef du restaurant de sa tante. Ce sera un cadeau qu'elle tient absolument à nous faire. En début d'après-midi nous irons en ville. A la poste centrale. J'expédie demain la première toile "caution" à monsieur Anderson de Edimbourg. Par association d'idée, nous en venons à parler de nos vacances en Ecosse. Que de souvenirs !

C'est Clémentine qui revient à la soirée Gloryhole. Estelle lui dit : << Tu vas enfin réaliser un de tes fantasmes. Sucer plusieurs bites les unes après les autres ! >>? Clémentine éclate de rire en lançant : << Pas trop quand même ! >>. Elle me fait le plus délicieux des sourires en me regardant par en dessous. Ce regard terriblement vicieux que je lui connaît si bien. << Salope ! >> fait Estelle. Clémentine nous confie ce désir de vivre cette situation. << Juste une fois dans ma vie ! >> précise t-elle.

<< Tu aimes tellement ça qu'il y en aura d'autres ! >> rajoute Estelle. Je dis : << Et il serait vraiment dommage de t'en priver ! >>. Clémentine nous observe avec un sourire amusé. << J'aime trop sucer, j'en raffole ! >> lance t-elle soudain. Nous éclatons de rire. << Et votre voisin, monsieur Bertrand, tu te le suces quand ? >> demande Estelle. Clémentine répond : << Celui-là je me le prépare longuement. C'est un tel salaud. Il est encore pire que Gérard. Un vrai pervers ! Je me le réserve pour l'hiver ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Je suggère un bon léchage de minou. Clémentine nous propose une soirée baise. Elle adore se masturber dans le fauteuil en nous regardant baiser. << Tu veux ? >> me lance Estelle qui se jette dans mes bras. Je n'ai pas le temps de répondre qu'elle s'accroupit pour sortir ma bite. Clémentine retire son jeans et sa culotte. Elle s'installe dans le fauteuil. Les cuisses posées sur les accoudoirs, elle se touche déjà en me faisant un clin d'œil.

Estelle me taille une pipe. Je l'aide à se redresser. Nous retirons tous les deux nos jeans et nos slips. << Je me fout à poil comme hier soir dans la cave ! >> lance Estelle. Elle m'entraîne sur le canapé juste vêtue de ses chaussettes. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. << Je suis toujours à poil quand parrain me nique. Il adore quand je porte juste mes baskets ! >> fait Estelle qui s'enfile toute la queue d'un simple coup de reins. Elle se met à bouger immédiatement. Comme une hystérique.

Je la baise à la hussarde. Souvent je tourne la tête pour regarder Clémentine qui se masturbe en gémissant. Rouge, couverte de sueur, elle me fait des clins d'œil ou des sourires. Estelle, accrochée à moi, alterne la "machine à coudre" et les moments de calme. << J'adore ça ! >> s'exclame t-elle à chaque "démarrage". Son orgasme est inévitable car elle se masturbe toujours en même temps. Il y a celui de Clémentine. Je regarde mes deux anges, prostrées, entrain de jouir. Je vais éjaculer dans la bouche de Clémentine.

Après avoir repris nos esprits, nous restons assis tous les trois sur le fauteuil. Estelle et moi sur les accoudoirs, Clémentine vautrée au fond. << Je me sens tellement salope en ce moment, je pourrais baiser tous les soirs ! >> murmure Estelle. << Je pourrais sucer tout les jours ! >> chuchote Clémentine. Il est 22 h. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Il ne pleut pas. La fraîcheur humide est désagréable. La séparation est difficile. Estelle revient samedi, pour 14 h. Un dernier bisou. Un dernier coucou.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se masturber, baiser et sucer en évoquant les aventures passées et à venir...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1646 -



Le vendredi Clémentine termine sa semaine à midi

Hier matin, vendredi, il est presque six heures quand résonnent les cris des mouettes au-dessus du ressac et des clapotis. L'application "océan" nous tire du sommeil avec son enchantement si délicat. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Le vendredi, elle termine à midi. Ce qui a tendance à la rendre légèrement euphorique dès le réveil. C'est en me tenant par mon érection matinale qu'elle m'entraîne aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers pour nous rendre dans la cuisine.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Dans un claquement sec, le grille pain éjecte ses deux premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. Clémentine adore se masturber en me regardant baiser avec Estelle. Depuis quelques temps, je prends l'habitude de venir lui éjaculer dans la bouche après l'orgasme d'Estelle. C'est un plaisir supplémentaire. << Un raffinement exquis dont tu me gratifies ! >> me fait clémentine. Nous en rions de bon cœur. J'en promets d'autres.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. C'est toujours un peu contraignant de revenir au calme avec un stretching que nous avons tendance à bâcler. La douche. Je descends pour aller sortir et préparer l'auto. Le jour s'est levé sous un ciel bleu. La fraîcheur est vive. Clémentine me rejoint vêtue de son jeans, sweat, veste de cuir noir, ses bottines.

Un dernier bisou. Il est presque 7 h45. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. La vaisselle. Je fais notre lit. Je dévale les escaliers pour aller dans l'atelier. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette euphorie communicative offerte généreusement par Clémentine. La matinée se passe dans cette ambiance qui me fait pousser des cris surréalistes. Il est onze heures quand je dépose la dernière touche de vert émeraude sur la surface du tableau achevé. Un portrait d'une famille Belge.

Je nettoie la palette, les pinceaux. Je dépose la toile terminée sur le second chevalet afin qu'elle y sèche. Le tableau peint la semaine dernière est sec. Je n'ai plus qu'à l'emballer selon ma façon. Ce sont des cadres en bois qui permettent d'expédier une œuvre de 41 x 33 cm sans risque. Je les ai conçu et c'est un artisan menuisier qui les fabrique selon mes plans. La toile est calée de manière à préserver sa surface peinte de tous frottements. Il me suffit de terminer l'emballage avec un papier kraft. Je fais ça soigneusement.

Il est 11 h30. Je quitte l'atelier avec le colis. Je sors. Il fait beau, il y a du soleil. Quelle journée magnifique. Je mets le paquet dans la voiture que je sors du garage. Je fais quelques pas dans la propriété. Je reste sur les dalles de grès car le sol est encore humide des pluies de hier. Il y a monsieur Bertrand, notre voisin qui doit brûler des feuilles mortes. Depuis sa propriété, 300 m plus bas, monte les odeurs caractéristiques et un peu de fumée. Je rentre. A la cuisine, je réchauffe le reste du gratin de coquillettes.

Dans une poêle je fais revenir deux beaux filets de saumon. Champignons, ail, oignon. Je concocte une sauce au Roquefort. Je dresse la table dans la véranda. Il est toujours agréable de prendre le repas en profitant des grandes baies vitrées. Il est 12 h20 quand Clémentine revient de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre mes hanches de ses jambes pour couvrir mon visage de bisous. << Week-end ! >> fait elle en retirant sa veste. << Miam ! J'ai faim ! >> s'écrie t-elle en se lavant les mains au-dessus de l'évier.

Nous mangeons de bon appétit. << Il y a un petit chantier sur la route à quelques kilomètres du haras ! Je me suis arrêtée trente secondes pour mâter. Il y avait un ouvrier. Il m'a vu. Il m'a fait un coucou de la main droite en empoignant vulgairement sa braguette de la main gauche ! >> raconte Clémentine. Elle rajoute : << Comme il était moche avec sa moustache ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa matinée.

En faisant la vaisselle, Clémentine revient sur le mec du chantier. Comme nous allons en ville cet après-midi, pourquoi ne pas tenter un "plan" au retour. Il nous faudra être là pour 19 h. Julie vient nous rejoindre. << Génial ! Mais souvent les ouvriers ne bossent pas le vendredi après-midi ! >> lance Clémentine. Je dis : << Nous verrons bien ! >>. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine n'est pas seulement euphorique mais également très excitée.

Nous nous changeons. Avec cette météo, Clémentine porte une de ses jupes carmins, légèrement évasée au-dessus du genoux. Un chemisier blanc sous un fin pull de coton brun. Un léger foulard de soie sépias. Ses souliers de ville marrons à petits talons. Sur sa demande je porte un pantalon à plis et à pinces beige, une chemise crème sous une veste de fin coton grège. Mes mocassins beiges. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> fait Clémentine en nous entraînant devant le grand miroir de l'armoire.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Clémentine récupère son petit sac à dos de cuir noir qui est également son élégant sac à main. Nous quittons la maison pour 13 h45. Je roule doucement. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à la poste centrale, devant la gare. La circulation est fluide jusqu'aux abords de la ville. << C'est là ! >> me fait Clémentine lorsque nous dépassons le haras de trois bornes. Sur la gauche, il y a un petit chantier. Probablement la construction d'une petite maison relai EDF. Il y a une camionnette.

Clémentine palpe ma braguette en disant : << C'est l'endroit idéal pour une petite exhibe de qualité, tu ne trouves pas ? Et tu peux rester planqué de l'autre côté de la route, regarde, il y a un monticule et des fourrés ! >. C'est vrai que le lieu s'y prête. Nous nous arrêterons ici au retour. Il est 14 h15 quand je gare l'auto sur le grand parking derrière la gare. C'est à dix minutes du centre ville. Il suffit de traverser la gare pour aller à la poste. Je porte mon tableau emballé sous le bras. Il faut enfiler nos masques sanitaires.

Nous attendons devant le guichet des expéditions. C'est une jeune asiatique, mignonne comme tout, adorable qui enregistre notre colis. Envoi international avec toutes les précautions d'usage. A l'attention de Mr Anderson, Edimbourg. La jeune fille m'assure que le colis arrivera à destination dès lundi. Je signe les documents couvrant les frais d'assurance. Clémentine, soudain, me palpe discrètement la braguette. A part la jeune employée des postes, personne ne peut s'en rendre compte. Les yeux complices de la jeune fille sont merveilleux.

Je suis terriblement embarrassé. Les formes de mon sexe se distinguent un peu trop bien dans mon pantalon cintré à la taille. Je paie par carte. Nous saluons la jeune préposée qui nous suit d'un regard bienveillant. Je me retourne une dernière fois avant de sortir de la salle. Tout en s'occupant de la cliente suivante, la jeune fille me fait un coucou discret de la main. << J'adore ces plans ! >> me fait Clémentine une fois à l'extérieur. Il faut aller à la FNAC pour récupérer les livres commandés par Clémentine. Dix minutes de marche.

<< J'ai envie de te sucer ! >> me fait Clémentine accrochée à mon bras. Ce soleil, ces opportunités, les regards que nous lancent certains passants, tout cela participe d'une excitation grandissante. Nous flânons. Il y a beaucoup de monde dans le centre. Encore davantage au premier étage de la grande librairie. Clémentine a été informée par SMS de la disponibilité de ses livres. Il suffit d'attendre à un des accueils. Il faut patienter. Clémentine me touche discrètement. Il faut faire très attention. Il y a des caméras de surveillance.

Même si ce n'est pas encore un délit d'être serré l'un contre l'autre dans un grand magasin, il faut veiller à dissimuler nos agissements tactiles. Ça nous amuse. Je touche le sexe de Clémentine à travers le tissu de sa jupe. Sa culotte est restée dans l'auto. Nous récupérons les bouquins. C'est lourds les livres d'une étudiante en cinquième année de doctorat. Je porte les deux sachets. Nous ne flânons pas. Nous revenons à la voiture pour 16 h30. La circulation est dense jusqu'à la sortie de la ville. Direction la petite route.

Quelques kilomètres. Je ralentis. La camionnette est toujours garée là, juste dans l'entrée du chantier. Je tourne à gauche pour aller garer la voiture derrière le monticule et les fourrés. Le chantier semble désert. Clémentine sort la petite paire de jumelles du vide poche. Nous quittons la voiture pour contourner le talus. De là, nous avons une vue parfaite et discrète sur le chantier. Il y a effectivement un mec. Il doit être de petite taille, enveloppé. C'est vrai qu'avec sa moustache, il a l'air d'une sorte de Groucho Marx.

Nous étudions la manière de procéder. La façon la plus rusée consiste a prendre l'auto. Clémentine seule au volant, moi planqué à l'arrière pour sécuriser l'opération. Nous retournons à la voiture. Cette fois c'est Clémentine qui se met au volant. Elle a toujours peur de conduire notre grosse berline allemande alors qu'elle se manipule comme n'importe quelle auto. Je suis à l'arrière, avec la paire de jumelles. Clémentine se gare un peu plus loin, à une vingtaine de mètres de la camionnette. Sur le hayon arrière, je dispose les deux sacs.

Ils contiennent les livres achetés à la FNAC. C'est stratégique et ça permet de mâter sans être vu. Clémentine sort de l'auto. Comme une fille pressée de faire pipi et qui cherche un endroit discret. Je vois le type qui observe. Il est sur la première planche d'un échafaudage. Reconnaît-il la jeune fille qui s'est déjà arrêtée là ce matin ? Il n'est qu'à une vingtaine de mètres. Il regarde la fille qui tourne autour de l'auto, une main entre ses cuisses. Clémentine s'arrête plusieurs fois. Une cuisse serrée sur l'autre. En se tortillant.

Voir une telle salope, en pleine campagne, au bord d'une petite route déserte, à de quoi interroger. Le mec se cache derrière l'angle de la petite construction. Clémentine porte ses lunettes de soleil. Ce qui lui permet de loucher où elle veut. Elle a vu le type. Elle s'accroupit à quelques mètres de la voiture. Juste derrière une bétonnière. Bien tournée vers la construction. Les cuisses largement écartées. De ma cachette, impossible de voir ce qu'elle fait. Par contre je scrute avec les jumelles ce que fait l'ouvrier.

Il quitte l'angle de la construction. Il a son sexe dans la main. Un gros machin impressionnant. Une véritable lance à incendie. Il l'agite en direction de la fille. Ce n'est pas tous les jours qu'on peut voir une belle jeune fille, très bourgeoise, pisser à côté d'une grosse Mercedes. Le type a t-il conscience de son immense privilège ? Oui, probablement. Il ne tente rien. Il reste sur son échafaudage. Il se contente de mâter en agitant son sexe. Clémentine relève la tête pour bien faire comprendre au mec qu'elle le mâte aussi. Qu'elle le fait exprès.

Deux exhibitionnistes qui se font face. Même si j'ai assisté à ce numéro de Clémentine d'innombrables fois, c'est toujours une grande première. Le type se masturbe. La fenêtre de la voiture est ouverte. Je l'entends dire à voix haute : << Bonjour mademoiselle. Tu bois le café avec moi ? >>. De sa main libre il agite une bouteille thermos. Invitation et manière de faire connaissance plutôt originales. Clémentine décline l'offre. Elle se redresse à la limite de l'ankylose pour répondre : << Une prochaine fois ! >>.

Juste à cet instant arrive une autre Mercedes. Probablement le grand patron qui vient voir où en est le chantier. Le mec crie : << Moi, c'est Mario ! >>. Clémentine répond : << Enchantée ! A une prochaine ! >>. Elle se met au volant. Nous partons. Deux cent mètres plus loin nous nous arrêtons. << Conduis s'il te plaît, j'ai trop envie de me toucher ! >> fait Clémentine. Je me mets au volant. Il est 18 h45 quand nous revenons à la maison. Le temps de nous changer. Trois coups de sonnette. C'est Julie avec nos repas du soir.

Nous l'accueillons avec le même plaisir qu'a Julie de nous revoir. Elle nous annonce qu'elle passera la nuit ici car elle fait notre ménage demain matin. Il suffit d'ouvrir le canapé lit dans notre chambre, d'y mettre des draps frais. Dans la grande boîte, des tourtes aux fruits de mer, des salades. Nous mangeons de bon appétit. Notre aventure exhibitionniste enchante Julie. << Emmenez-moi avec vous pour une prochaine "expédition" ! >> dit elle à plusieurs reprises. Nous promettons en envisageant diverses possibilités.

Je montre ma bite à Julie. Ce soir, elle y prend un plaisir qu'elle ne tente même plus de dissimuler par un jeu quelconque. Elle me la tient aux toilettes pour en diriger le jet. Clémentine, excitée par son "exhibe de chantier", puis par ce qui se passe, ne cesse de se masturber. Je me branle ouvertement devant Julie qui m'y encourage en créant des situations déjà vécues. Elle me conseille, me guide. Me demande des explications. Ses questions vicieuses sont hyper excitantes. J'éjacule dans la bouche de Clémentine. 22 h30. Dodo.

Bonnes exhibes à toutes les coquines qui aiment les situations insolites devant des mecs pour se livrer à des jeux sextraordinaires...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1647 -



Un samedi plein d'agréables moments

Hier matin, samedi, il est huit heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Quelques papouilles, quelques bisous, quelques douceurs murmurées à l'oreille. Nous regardons Julie qui dort encore dans le canapé lit. Sur la pointe des pieds, pour ne pas la réveiller, nous allons aux toilettes. Nous revenons pour nous habiller. Julie est entrain de s'étirer. Nous luis déposons chacun un bisou sur le front. << Bonjour ! >> faisons nous en même temps tous les trois. Nous en rions. Nous revêtons nos tenues de jogging.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café, je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Julie descend à son tour pour venir nous rejoindre. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Julie, pudiquement, baisse les yeux. Visiblement, ça la gêne un peu. Nous savons que c'est sincère. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée. Dehors il fait beau, le ciel est bleu. Même si la température extérieure n'est encore que de 12°, à huit heures quinze.

Julie ne pratique que trois joggings par semaine où trois séances d'entraînement lorsque la météo est moins clémente. Plus jeune, elle faisait de la danse classique. Une discipline aussi exigeante que la gymnastique. Julie aime à entretenir son physique. << Je fais la vaisselle. Je m'occupe de tout. Allez courir ! >> précise t-elle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de pouvoir enfin courir en extérieur, nous redescendons à toute vitesse. Il faut enfiler les K-ways. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale.

Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons à bonnes foulées. Le sol est encore humide par endroit. Trois kilomètres jusqu'au vieux lavoir. Un kilomètre jusqu'à la clairière où nous pouvons faire nos abdos et pompes sur les bancs. Il est 9 h20 quand nous revenons après un superbe running. Nous entendons Julie passer l'aspirateur. Nous prenons notre douche. Nous revêtons nos jeans, nos sweats, nos baskets. Nous redescendons. J'ouvre le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Les livraisons ne vont pas tarder.

Il est presque dix heures. Voilà la camionnette des fruits, des légumes et des produits frais. La jeune femme nous fait un grand sourire en garant son véhicule devant le garage. Du hayon arrière elle tire deux cageots. Nous lui rendons ceux de la semaine dernière, consignés. Nous prenons possession de nos légumes, de nos fruits, de nos yaourts, de nos pots de crème fraîche, du beurre, des œufs et des fromages dont nous faisons grande consommation. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la jeune femme.

Nous n'attendons que quelques minutes. Voilà le tube Citroën entièrement rénové de madame Marthe, la boulangère. Elle aussi est souriante. Nous récupérons nos deux miches, la brioche au pudding et à la pâte d'amande. Depuis notre retour de vacances, la boulangère nous offre tous les samedi trois gros croissants. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame. Nous contournons la maison pour descendre avec les cageots par derrière. A la cave, dans le cellier, nous rangeons les fruits et légumes.

Une miche dans le congélateur dont je tire un paquet de 2 kg de moules, un paquet de haricots verts, un paquet de petits pois. Nous remontons. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Julie est entrain de passer l'aspirateur au salon. Il y a un paquet sur la table de la cuisine. Il est écrit dessus "à ouvrir sans attendre". Clémentine défait l'emballage en murmurant : << Mais qu'est-ce que ça peut bien être ? >>. Quelle surprise. C'est une des petites toiles dont nous a parlé Julie. Qu'elle peignait cet été dans la galerie d'Art.

C'est un vase bleu, posé sur une nappe carmin. Dans le fond clair obscur on devine un meuble. Nous regardons en silence. C'est d'une simplicité dépouillée. C'est peint avec soin. Peut-être un peu naïf dans l'exécution. Nous admirons surtout la volonté de faire qui se devine derrière ce petit tableau de format F-2. (24 x 19 cm). Il est presque onze heures. Julie nous rejoint dans la cuisine avec un seau et un balai brosse. << J'ai juste encore à passer la serpillère sur les carrelages de la cuisine, du hall et des toilettes ! >> dit elle.

Nous sortons de la cuisine. Julie me demande : << Dites moi les choses les plus sincères quand au tableau. Je vous l'offre, c'est cadeau ! >>. Je lui promets d'en parler après le ménage. Nous la laissons terminer pour aller au salon. Dans une petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros. Clémentine rajoute un petit mot "Merci Julie". Nous allumons l'ordinateur pour découvrir nos courriels. Ma famille d'Ecosse nous envoie quelques nouvelles. Le message de Juliette qui nous invite à venir manger mercredi prochain, en soirée.

Julie entre dans le salon. Elle a retiré sa blouse. Elle est toute souriante. Nous la remercions pour la qualité de son travail. Le ménage est super bien fait. << J'adore ! Ça me change de la fac et des cours ! >> dit elle. Je lui tends la petite enveloppe en précisant la formule habituelle : << Ce n'est pas du "black", c'est cette vielle dette hebdomadaire ! >>. Julie est toujours reconnaissante mais gênée quand elle répond : << Merci Julien ! Merci Clémentine ! >>. Clémentine s'empresse de rajouter : << C'est nous qui te remercions ! >>.

Je prends la petite toile pour la montrer à Julie. Je dis : << Vous avez du talent Julie. Un coup d'œil extraordinaire. La mise en place et la disposition de l'ensemble sont d'un équilibre parfait. L'application des couleurs est bien réalisée. Félicitations ! >>. Julie s'écrie : << Vous êtes sincère ! S'il vous plaît, si vous pouviez rajouter des choses comme vous le faites si bien ! Je serais curieuse de voir ce que ça pourrait devenir ! >>. Je trouve l'idée excellente. Je propose à Julie de venir assister à cette réalisation. Un cours de peinture par exemple.

<< Génial ! >> lance Julie toute contente. Je rajoute : << Les premiers vendredis de froidures de cet automne. Vous serez dans l'atelier, je vous montrerai quantité de choses ! >>. Julie ose soutenir mon regard, souriante, tellement ravie de mon invitation. Nous quittons le salon. Ça sent bon dans toute la maison car notre délicieuse amie a allumé les diffuseurs d'arôme pour masquer l'odeur des produits ménagers. Il est 11 h30. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. << Reviens demain, tu passes l'après-midi avec nous ! >> lance Clémentine.

Julie s'installe au volant de sa petite Clio rouge. Elle fixe ma braguette. Peut-être machinalement avant de répondre : << Les week-end, il y a toujours mes papys et mes mamies à la maison. Je suis partagée par mes désirs. Celui de revenir est très fort maintenant. Je vous fais un courriel demain matin. Mais je viens lundi soir avec les repas commandés ! >>. Son regard se braque de nouveau sur ma braguette. Je la montre de l'index en disant : << Elle t'attend avec impatience lundi soir ! >>. Julie éclate de rire en démarrant. Un dernier coucou.

Nous nous dépêchons de rentrer, animés par la faim qui se fait sentir. Il fait très agréable. Clémentine s'occupe de la salade. Je jette les moules encore congelées dans l'eau bouillante. Je verse les haricots verts et les petits pois encore congelés dans le wok. On s'en fout, c'est samedi et c'est très bon quand même une fois cuit. Nous mangeons de bon appétit en parlant de Julie, sa personnalité, sa timidité, sa réserve si naturelle pour une jeune fille de vingt ans. Ses parents aimeraient beaucoup faire la connaissance du propriétaire de la galerie.

Cet homme qui permet à leur fille de gagner de belles sommes d'argent en juillet et en août pour la seconde année consécutive. Pour eux je suis un peu le "père Noël". Cela nous amuse beaucoup. Julie va s'occuper de cette rencontre. Clémentine suggère de les inviter à manger. Je trouve l'idée excellente. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur son exhibe de hier après-midi, devant l'ouvrier du chantier. << Je passe devant tous les jours en allant et en revenant de cours ! >> dit elle.

Je dis << Tu me raconteras ! >>. Clémentine s'écrie : << Toute seule je ne m'arrête pas ! Je ne prends jamais aucun risque ! >>. Je comprends. Je demande : << On y retourne mardi après-midi, ça te tente ? >>. Clémentine me couvre le visage de bisous en répondant : << Oh oui ! Super ! >>. Nous éclatons de rire. Elle rajoute : << Encore une innocente "victime" qui va subir la torture mentale que je vais lui infliger ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand je lance : << Une torture qui mène obligatoirement à l'onanisme ! >>.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. << Qu'ils sont où les gens ? >>. C'est la voix d'Estelle qui monte les escaliers. << Qu'ils sont là ! >> lance Clémentine. Estelle jette son grand sac de sport devant la baignoire avant de se précipiter pour nous faire la bise. Elle empoigne ma braguette pour demander : << T'as été salaud avec Julie ? Raconte-moi vieux pervers ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour enfoncer sa langue dans ma bouche.

J'inflige le même traitement à Clémentine. Nous nous tenons tous les trois par les mains. Tellement contents d'êtres à nouveau réunis. << Vélo ? >> lance Estelle. << Vélo ! >> répond Clémentine. Nous nous précipitons dans la chambre pour nous mettre en tenues. Jupettes, T-shirts pour les filles, short, T-shirt pour moi. Pressés de pouvoir profiter de cette nouvelle journée ensoleillée, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, trois pommes, des barres de céréales, les leggings et les K-ways pour le retour dans la fraîcheur du soir.

Je vérifie le gonflage des pneus. 6 bars à l'arrière et à l'avant. C'est tellement plus facile quand c'est gonflé à bloc. J'aide Estelle à sortir sa bicyclette de l'arrière de sa voiture d'entreprise. << Papa a tout vérifié ! >> lance Estelle en fixant la roue avant de son VTC. 300 mètres jusqu'à la rivière. La passerelle en bois dont j'ouvre le cadenas du portillon. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Il fait chaud. Un léger vent de Nord Est nous pousse. Il sera redoutable ce soir, au retour. Nous croisons un nombre impressionnant de cyclistes.

Tous les amateurs de bicyclette veulent profiter d'un tel après-midi. De plus c'est samedi. Il y a des filles en rollers. De plus en plus de trottinettes électriques. Certaines nous dépassent à des vitesses hallucinantes. Cela en devient dangereux. Les pouvoirs publics vont certainement prendre des mesures à l'encontre de ces fous dangereux et inconscients du danger qu'ils font courir aux autres usagers. << Les cons sont de sorties ! >> lance Estelle en évitant de justesse un gros chien que sont crétin de maître laisse divaguer sans laisse.

Il fait chaud. C'est un bonheur absolu de se retrouver là, à pédaler sans effort. Impossible de s'arrêter au cabanon de l'écluse car il y a des familles installées autour de tables de pique nique. Nous parcourons donc les 25 km jusqu'au port de plaisance, d'une seule traite. Là aussi, il y a un monde fou. Les joueurs de boules. Des groupes de cyclistes. Les derniers plaisanciers qui nettoient les ponts de leurs bateaux. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Clémentine retire discrètement sa culotte pour la glisser dans le sac à dos.

Il est 15 h45. Nous traversons la route pour aller à la supérette. C'est l'heure des crèmes glacées. Il n'y a pas trop de clients. Nous bavardons un peu avec la gérante. Il y aura le second "carré des antiquaires" dimanche prochain, le 26 septembre. C'est toujours une animation fort prisée. Nous adorons les meubles anciens, les vieilles œuvres d'art, les choses du passé en général. Nous choisissons nos parfums préférés dans une des armoires congélateurs du fond du magasin. Haagen Dazs. Pistache, noisette, pralin. Trois pots de 500 ml.

C'est assis sur un des bancs, sous les platanes, que nous savourons nos crèmes glacées. Le sol est jonché de feuilles mortes. << Ça sent l'automne ! >> fait Estelle en nous montrant l'un des type là-bas, qui n'arrête pas de mâter vers nous. << C'est peut-être un mec qui a déjà assisté à un de tes shows ! >> lance Estelle à Clémentine qui répond : << Et bien il va assister à un second ! >>. Nous éclatons de rire. Le type est dans un groupe d'une dizaine de marcheurs. Ils sont équipés pour de la randonnée. Où peuvent-ils bien aller ici ?

Toujours est-il que le quidam trouve certainement un prétexte pour s'éloigner du groupe. En effet, il se dirige vers le bâtiment des toilettes, là-bas, en contre bas. << Celui-là, a droit à un traitement spécial ! >> lance Clémentine qui se lève. Nous la suivons en jetant nos pots vides dans une des poubelles. Nous essuyons nos petites cuillères en laiton avec des mouchoirs en papier. Tout en marchant. Les abords des toilettes publiques sont le lieu de réunion des D'jeunes du bourg voisin. Curieux endroits pour des rencontres à scooters.

<< Où est le mec ? >> demande Estelle. << Là-bas, regardez, il va vers les arbres du chemin qui longe le canal ! >> répond Clémentine. Nous prenons la descente. Estelle me retient par le bras en disant : << C'est le moment de se planquer pour ne pas êtres repérés ! >>. Elle m'entraîne vers les fourrés derrière lesquels nous nous dissimulons. Estelle sort la petite paire de jumelles du sac à dos que je porte. Nous regardons Clémentine avancer doucement, les bras croisés, sur le chemin. Il y deux pêcheurs plus loin. Un bateau qui passe.

<< Voilà le mec ! >> chuchote Estelle qui me passe les jumelles. Je mâte. Le type est à moitié dissimulé dans les buissons. Que peut-il bien faire ? Clémentine arrive à sa hauteur, à environ une dizaine de mètres. Estelle me prend les jumelles en murmurant : << Je te raconte ! >>. Nous sommes à une centaine de mètres. Je vois Clémentine s'arrêter. << Le type se fait surprendre entrain de pisser ! Il cause ! >> commente Estelle. Je glisse ma main par derrière sous sa jupette. << Tu es prié de ne plus cesser ! >> chuchote Estelle.

J'adore placer ma main entre les cuisses chaudes, sentir la douceur du coton sous mes doigts. Estelle commente ce qu'elle observe : << Le mec s'est tournée franchement. Tout en causant il pisse devant Clémentine ! >>. Je regarde. Je ne distingue pas ce que fait l'homme. Je vois simplement Clémentine parfaitement droite, les bras croisés, entrain de discuter. Estelle me tend enfin la paire de jumelles. Je découvre le mec qui lance de petits jets tout en bavardant. Clémentine est encore tombée sur un de ces vicelards qu'elle apprécie tant.

Clémentine regarde dans toutes les directions. Personne ne peut l'apercevoir sinon du canal. Elle s'accroupit. Droite, ses cuisses écartées devant le mec. Estelle commente tout ce qu'elle mâte. Je glisse mes doigts dans sa culotte. J'adore y démêler les poils, glisser mon index entre les lèvres de sa vulve. C'est moite. 25 km sur la selle du vélo, la sueur et maintenant l'excitation du spectacle. J'ai la méchante envie de lui bouffer la chatte. Je suce mes doigts plein de son odeur forte de fille négligée. Je les suce. << Je t'aime ! >> murmure Estelle.

<< Attention ! >> rajoute t-elle soudain. Là-bas, le type est sortit des fourrés. Il agite son sexe à quelques mètres devant Clémentine. Je suis prêt à dévaler la pente pour voler à son secours à la moindre alerte. Il ne se passe rien. Le type avance doucement en se masturbant. Clémentine se redresse. Le mec parle avec animation. Clémentine s'éloigne en marchant en arrière. Le type tourne autour d'elle. Je reste sur mes gardes. Il ne se passe rien d'inquiétant. Le branleur regarde partout autour de lui avant de descendre son short et son slip.

C'est à ce moment que nous entendons des voix : << Maurice ? Maurice, t'es où, qu'est-ce tu fout ? >>. Ce sont les gens de son groupe. Ils descendent le chemin. Le mec a juste le temps de remonter ses fringues tout en se précipitant dans les buissons. << Avec les ronces il va s'arracher les couilles ! >> lance Estelle à voix haute. Les gens du groupe passent tout près de nous. Une des femmes a probablement entendu la remarque d'Estelle. Elle regarde dans notre direction. Nous éclatons de rire. Clémentine remonte le chemin.

Elle nous raconte la nature des propos échangés : << Ce sont des touristes Belges. Le mec m'a évidemment fait les propositions habituelles. La pipe, la petite baise rapide et même la sodomie dont il se vante d'être un grand spécialiste ! >>. Nous sommes pliés de rire en remontant vers le port de plaisance. << Combien de porcs n'avons nous pas rencontré au port ! >> lance Estelle. Il est presque 18 h. La fraîcheur s'annonce subrepticement. Avant de reprendre nos vélos, nous passons nos leggings, nous enfilons nos K-ways.

Il faut pédaler contre ce léger vent de Nord Est. Ce n'est pas une partie de plaisir. Il faut parcourir les 25 km du retour en sportifs. Il est 19 h30 quand nous arrivons, fourbus mais diantrement heureux. Estelle et moi nous épluchons les patates, les carottes, les navets et le céleri. Ce sera pour une potée de légumes qui assurera les trois repas du week-end. Clémentine prépare une belle salade d'endives. Nous coupons les légumes en petits morceaux grossiers. Cuisson dans la vieille cocotte en fonte noire. Ce qui accroche au fond est encore meilleur.

Estelle touille avec une spatule en bois tout en racontant ce qu'elle a vu dans la paire de jumelles. Clémentine aime entendre la vision que nous avons de ses "shows". Je fais rissoler des crevettes avec de l'ail, de l'échalote et du persil. Nous mangeons de bon appétit tout en riant beaucoup de cette nouvelle aventure. Nous traînons à table. Après ce repas copieux, la fatigue se fait sentir davantage. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent les exhibes de Clémentine. C'est toujours du grand spectacle.

Je propose un bon léchage de minous après la vaisselle. << Oh oui ! >> s'écrie Estelle. << Tu vas te régaler ce soir ! >> lance Clémentine. Elles m'entraînent au salon. Elles retirent leurs leggings, leurs culottes. << Regarde ce qui t'attend ! >> me fait Estelle en me montrant le protège slip crémeux scratché au fond de sa culotte. Clémentine me montre le sien. Toutes les deux, vautrées dans le canapé, les jambes relevées, les cuisses écartées, maintiennent cette position, les mains sous les genoux. Elles rigolent comme des folles. J'ai de l'appétit...

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer la chatte après 50 bornes de vélo, un petite exhibe et de multiples pissous...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1648 -



Un dimanche calme, reposant et pluvieux

Hier matin, dimanche, il est neuf heures quand je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud d'Estelle. J'adore cette sensation. Il y a toujours quelque chose de profondément animal dans cet instant. Ses lèvres se déposent comme une ventouse dans mon cou. Sa main s'enfile dans mon slip pour saisir mon érection naturelle. Estelle, qui est restée contre moi toute la nuit, épousant chacun de mes mouvements, se serre encore plus fort. C'est adorable. Estelle est adorable. Je savoure ce moment de bonheur absolu.

Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. En riant déjà comme des fous. Clémentine empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Le besoin de pisser est si urgent qu'il met un terme brutal à cet enchantement paradisiaque. Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. Clémentine me dit : << J'ai adoré hier soir. Tu m'as encore éjaculé dans la bouche ! C'était génial ! >>.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Dès la fin du rituel pisseux, morts de faim, nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur du café, du pain grillé et de la brioche. Estelle me saute au cou. Je la soulève. En enserrant ma taille de ses jambes, elle dit : << Tu es le plus divin lécheur de chattes ! >>. Elle me couvre le visages de bisous. Même traitement à Clémentine qui rajoute : << Je vous aime monsieur Cunnilingus ! >>. C'est en riant aux éclats que nous nous installons devant cette table bien mise.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre virée vélo de hier. La rencontre avec l'exhibitionniste pisseur le long du canal. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée. Je me suis régalé des croupions de mes deux anges. Deux jeunes filles qui on fait de la bicyclette, qui ont sué, qui ont été excitées, offrent des minous appétissants et dignes d'un fin gourmet. << Tu avais quoi au "menu" ? >> me demande Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine. Clémentine répond : << Fondue savoyarde ! >>.

Nous trainons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles échangent leurs impressions. Clémentine raffole des rapports génitaux buccaux. Estelle aussi mais elle apprécie également une bonne baise à la "sauvage". Le dimanche, pas d'entraînement, pas de jogging, pas de douche. Nous restons à macérer dans nos jus. Et, le plus souvent, le dimanche soir, du "jus" il y en a ! >>. Nous sommes encore en slips et en T-shirts de nuit. Nous avons soudain légèrement froid. Nous regardons dehors.

Il pleut. Le ciel est uniformément gris. Quelle horreur. Le contraste avec la journée de hier est saisissant. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Avec leurs brosses à dents les filles miment des fellations. Tête contre tête, au-dessus du lavabo, nous nous rinçons la bouche en imitant des gargarismes. Pliés de rire nous retournons dans la chambre pour changer les draps et faire notre lit. Nous récupérons les draps pliés dans lesquels a dormi Julie.

Nous nous habillons tous les trois à l'identique. Jeans, sweats, baskets. Nous prenons quelques poses ridicules devant le grand miroir de l'armoire. Nous dévalons les escaliers. Il est déjà 10 h. Dans la buanderie, à la cave, nous trions le linge pendant qu'Estelle fait tourner la machine contenant les draps. Les filles parlent de leurs études. Des cours qui les attendent dès demain matin. Elles aiment toutes les deux les math. Ce sont des matheuses. Malgré tout, de commencer la semaine par des mathématiques leurs semble un peu lourdingue.

Estelle, assise sur la machine, me dit : << Tu me prends en mode "essorage" ? >>. Nous éclatons de rire quand Clémentine rajoute : << Il devrait y avoir un mode "secouage" ! >>. Nous remontons pour aller au salon. Assises sur mes genoux, mes deux anges consultent le site universitaire. Elles m'expliquent ce que je vois sur l'écran. Les rencontre de plusieurs droites sur une surface cubique. Pour moi, c'est de l'hébreu. Je précise : << Et pour moi, l'hébreu, c'est du chinois ! >>. Estelle lance : << Mais c'est pourtant simple ! >>.

Rien à faire. Mon logiciel est âgé de 54 ans. Il ne peut plus assimiler de nouveaux éléments au risque d'un bug général. Nous en rions de bon cœur. Nous visitons nos boîtes mails. Nous avons un seul message. L'entreprise paysagère confirme sa venue demain matin à 8 h. Il est presque onze heures. Nous mettons nos anoraks. C'est sous notre immense parapluie noir que nous sortons. Je suis entre mes deux anges qui restent accrochées à mes bras. Je tiens le parapluie. Nous restons sur les dalles de grès jusqu'au chemin.

C'est un chemin pierreux qui descend à la rivière. Même trempé comme ce matin, il n'est pas boueux. Il y a trois cent mètres. La pluie est fine et régulière. Les feuilles jonchent le sol. Au prochain coup de vent ce sera l'hécatombe des feuilles mortes suspendues à leurs branches. Nous ne prenons pas le sentier qui longe la rivière. Nous y perdrions la protection du parapluie. Serrés tous les trois nous regardons la danse des canards. Ils attendent probablement la visite de Mr Bertrand. Notre voisin vient leurs apporter du vieux pain tous les jours.

Estelle glisse sa main sous mon anorak. << Mais c'est qu'il a sa braguette fermée notre Julien ! >> dit elle en s'accroupissant devant moi, toujours sous le parapluie. Elle déboutonne mon 501 pour en extraire le locataire. Avec cette désagréable fraîcheur humide, la sensation est pénible. << Ta ta ta, on dit ça pour se donner un genre ! Bite à l'air monsieur, et c'est tout ! >> lance Estelle en se redressant. Clémentine s'accroupit à son tour pour lever le bas de mon anorak. << Même dehors, sous la pluie, ça sent comme j'aime ! >> dit elle en humant.

Nous remontons en marchant lentement. Estelle nous entraîne derrière la dépendance. L'abri à bois. Elle ouvre une des deux portes de l'arrière. << Voulez vous bien nous offrir la vision d'un Gloryhole bien achalandé ! >> lance t-elle. Je rentre dans le long couloir qui sépare les deux portes. Les filles restent à l'extérieur. Je glisse mon sexe dans le trou parfaitement rond de cinq centimètres de diamètre. Je bande mou. Derrière la porte j'entends mes deux anges échanger leurs impressions. << Là, on sait qui c'est ! >> fait Estelle.

<< Chez Juliette, on ne saura pas ! >> rajoute Clémentine. Une bouche se referme sur l'extrémité de mon sexe froid. Comme c'est agréable. C'est tout simplement divin. Non seulement l'indicible caresse est soudainement très excitante mais elle réchauffe. Je n'entends plus que des << Mmhh ! >>. Des gloussements et des rires. Elles se refilent probablement ma queue. Je commence d'ailleurs à bander généreusement. Tout cesse. Estelle ouvre la porte pour m'attraper par la bite. Elle m'entraîne au dehors. A l'abri sous l'auvent.

Clémentine me montre les photos. On voit Estelle fixer l'objectif avec ma queue dans la bouche. Par contre Clémentine qui ne désire pas être reconnue sur les photos de ce style, masque son visage de ses cheveux tout en suçant. Je dis à Estelle : << Encore des photos que ta mère va trouver en fouillant ton téléphone ! >>. Estelle éclate de rire. Nous nous dépêchons de rentrer. Il commence à faire faim. Il suffit de réchauffer la potée de légumes. Clémentine fait la salade. Estelle dresse la table. Je poêle trois filets de limandes.

C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit tout en parlant de la soirée Gloryhole qu'organise Juliette. Ce sera le samedi 9 octobre. Nous y sommes attendus pour 20 h. << Je vous préviens, la seule bite que je suce sera celle de Julien ! >> lance Estelle. << Comment tu sauras que c'est celle de Julien ? Au goût ? Mais toutes les bites ont un goût de bite ! >> fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle rajoute : << Je mettrais un petit ruban de satin rouge autour de la queue à Julien ! >>.

Nous sommes pliés de rire. Je dis : << Pas de tricherie ! Il faudra jouer le jeu ! >>. Estelle s'écrie : << Pas moi ! >>. Clémentine s'empresse de préciser : << Moi, je joue. Ces jeux-là sont une addiction ! >>. Nous n'arrêtons plus de rire. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font différents plans sur la comète. Cette soirée Gloryhole tourne déjà dans leurs têtes. << Je vais être salope ce 9 octobre au soir ! >> fait Clémentine. << Pourquoi attendre le 9 octobre ! >> rajoute Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle.

Nous montons nous laver les dents. Pressés de filer malgré cette météo pitoyable, nous dévalons les escaliers. C'est en voiture que nous partons pour aller vers le bourg. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, me caresse les joues en nous racontant sa soirée de mercredi. La baise avec son parrain. Jean-Marc viendra la niquer tous les mercredis soirs. Comme il le fait toutes les semaines depuis qu'Estelle a quinze ans. << Sacrée famille ! >> lance Clémentine.

<< Ce n'est pas un membre de la famille, c'est juste mon parrain. Il n'y a aucune filiation ! >> aime à préciser Estelle. Nous traversons le bourg. Clémentine est entrain de me tailler une pipe. Je dois rouler à 30 km/h. << Vous me laissez venir devant ! >> s'écrie Estelle. J'arrête la bagnole. Estelle passe à l'avant par des contorsions au-dessus des dossiers des sièges. L'intérieur spacieux de la grosse berline allemande permet parfaitement ce genre de gymnastique. Estelle est à genoux parterre. Clémentine lui tend ma queue. Elles sucent à tour de rôle.

Je roule doucement. Nous ne croisons aucune auto sur la petite route communale. Il y a juste le chuintement des essuies glaces sur le pare-brise et les gloussements de plaisir de mes deux anges. C'est surréaliste de rouler ainsi, sans autre destination que la jouissance. Là-bas, les collines. On devine la silhouette du château dans la brume automnale. C'est absolument génial de se faire sucer ainsi. Il faut juste espérer qu'il n'y ait pas un contrôle de gendarmerie. << Pensestu ! Avec ce temps ils restent bien au chaud dans la gendarmerie ! >> dit Estelle.

<< Et quand un gendarme rit dans la gendarmerie, tous les gendarmes rient dans la gendarmerie ! >> fait Clémentine. C'est dans cette ambiance loufoque que nous parcourons la région, sans but, en allant vers nulle part. Parfois je m'arrête pour apprécier ces pipes comme elles le méritent. Les filles me sucent avec passion. C'est difficile de partager. Chacune veut se la pomper le plus longtemps possible. Estelle me propose de niquer sur le siège arrière. << Exhibition sexuelle en plus, si on se fait gauler ! >> lance Clémentine.

Il faut donc trouver un coin retiré. Je ne veux pas m'engager dans des chemins forcément boueux. Avec cette pluie incessante le risque de s'embourber est grand. Je propose de reprendre le chemin de la maison. Il y a juste ce tronçon de route nationale où Estelle repasse à l'arrière. Au cas où. Il est 17 h quand nous revenons à la maison. J'ai les couilles congestionnées, en ébullition. J'ai moi aussi envie de bouffer de la chatte. Je n'ai pas arrêté de fouiller dans les culottes de mes deux anges pendant qu'elles se refilaient ma queue.

C'est donc au salon, dans le canapé, que je baise Estelle à la hussarde, comme elle aime. Avec cette délicatesse de lutteur ukrainien qui la fait hurler de plaisir. Sous le regard de Clémentine qui se masturbe dans son fauteuil. L'orgasme d'Estelle est dithyrambique. Celui de Clémentine est cataclysmique. Et pisseux car la cuvette est pleine à son tiers. J'ai la bite dégoulinant de mélange. Je saisis Clémentine pas sa tignasse pour bien la maintenir. Je lui jute dans la bouche en poussant des cris de footballeur venant de marquer un but.

Nous retrouvons nos esprits lentement. Couchés tous les trois sur l'épais tapis du salon. Je suis entre mes deux anges blotties contre moi. Estelle s'endort. Nous restons ainsi un long moment. Clémentine me murmure des douceurs. Dans son sommeil, Estelle chuchote des << Moi aussi ! >> sans vraiment comprendre de quoi parle Clémentine. C'est en riant que nous allons dans la cuisine. Il est 19 h30. Morts de faim. Clémentine fait la salade. Estelle concocte une belle omelette. Je réchauffe le reste de la potée de légumes.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont sucé de la queue tout l'après-midi, qui se sont fait tirer au retour, avant un bon repas...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1649 -



Un début de semaine fort plaisant

Hier matin, lundi, l'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Il est presque six heures. Les cris des mouettes, le bruit du ressac, les clapotis. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Elle s'est déjà levée cette nuit. << J'ai mes "petits machins" >> murmure t-elle à mon oreille. Réglée comme une horloge, tous les 20 du mois, avec une régularité métronomique, Clémentine subit son cycle. Nous nous levons. Cette fois, je vais aux toilettes seul. Puis c'est à elle. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier.

Clémentine fait le café. << J'ai mal au ventre ! Mes seins sont douloureux. Put-Hein, c'est chiant ! >> dit elle. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Je pose mes lèvres sur le bout dur des tous petits seins de Clémentine. Je souffle de l'air chaud à travers le tissu de son sweat lycra. Je masse son bas ventre délicatement. << Mmhh ! C'est bon. Ça soulage ! >> murmure t-elle. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre journée de hier. Nos errances en voiture. << Les pipes au chauffeur ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur.

Le lundi matin il reste toujours de la brioche réchauffée et ramollit dans le four à micro ondes. Nous mangeons de bon appétit tout en parlant de la visite de Julie ce soir. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles, retour au calme avec un bon stretching. Ce matin, les étirements sont un soulagement supplémentaire pour Clémentine. La douche. Je descends le premier pour aller sortir sa voiture du garage. Il fait plutôt frais.

Le jour s'est levé sous un ciel gris, menaçant et sinistre. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue de son jeans, d'un pull carmin à col roulé sous son blouson de cuir brun. Ses bottines marrons. Je lui inflige le traitement salvateur mais hélas très momentané. Mes lèvres posées sur son pull à l'endroit de ses seins. Je souffle de l'air chaud. << Merci docteur Julien. Venez avec moi en cours. J'aurais besoin de vos soins toute la journée ! >> dit elle. Nous rions. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter le chemin jusqu'au portail. Un dernier coucou.

Je me dépêche de rentrer. Je fais notre vaisselle. Je fais notre lit. Je redescends dans l'atelier. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je commence ce matin la peinture de ma seconde œuvre de commande. Un autre portait de famille. Trois personnages qui demandent à êtres vêtus façon XVIIIème. J'ai une encyclopédie des costumes. Les illustrations sont précises. Il y a même des photographies très détaillées. Ce qui me permet d'habiller les commanditaires selon leurs goûts, leurs souhaits, leurs désirs.

Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris surréalistes. Je pense à tout sauf à ce que je fais. Je pense à hier. Cette promenade toute aussi surréaliste. En voiture, sous la pluie, avec Estelle et Clémentine qui suçaient ma queue. << A refaire absolument. Ça me rappelle mon adolescence avec mon parrain ! >> m'avait précisé Estelle hier soir, avant de partir vers 22 h, lorsque nous l'avons raccompagné jusqu'à son auto. La matinée se déroule ainsi. Ma passion m'habite jusqu'aux environs de midi. Il fait soudain faim.

Je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Sur le frigo, il y a la petite toile offerte par Julie. Tout en faisant bouillir l'eau des spaghettis, j'étudie la façon dont je vais pouvoir rajouter des éléments sur ce petit tableau. Je prépare la salade de carottes. Je fais rissoler un gros filet de lieu noir. C'est rapide. Je mange en écoutant Radio Sud. Une fois encore la verve d'André Bercoff me fait sourire. Dehors, le ciel reste sinistre. Il pleut par intermittences. Une véritable météo de merde. Je ne traîne pas. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je dévale l'escalier.

J'enfile l'anorak, je prends le parapluie. Il est 12 h45. Je vais faire quelques pas. Je reste sur les dalles de grès car le sol est détrempé. J'avais complètement oublié la présence de l'entreprise paysagère. La camionnette est garée devant le garage. La remorque est pleine de branchages. Le bassin a été vidé de son eau. Il n'y a presque plus de feuilles qui jonchent le gazon. Je découvre les deux employés entrain de casser la croûte derrière la dépendance, à l'abri de l'auvent sous l'abri à bois. Il y a quelques gouttes de pluie. Je les salue.

C'est la jeune femme habituelle qui dirige le chantier. Elle connait parfaitement son boulot et sait ce qu'il y a à faire dans la propriété. Le jeune employé semble morose. La jeune femme est plutôt souriante. Je leurs souhaite un bon après-midi. Je les laisse pour rentrer sous le parapluie. Je pense à ces travailleurs courageux qui exercent quelle que soit la météo. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je reprends mon ouvrage en chantonnant. Je peins animé des mêmes sensations que ce matin. L'après-midi passe ainsi.

Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. << Docteur Julien, votre traitement, vite ! >> s'écrie t-elle en jetant son cartable sur la table de travail. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa matinée, le menu du restaurant universitaire à midi. << J'avais oublié l'entreprise paysagère ! Ils ont fait du super boulot. J'ai croisé leur camionnette qui partait ! >> rajoute encore Clémentine. Je souffle de l'air chaud sur la pointe douloureuse de ses seins. Elle retire son pull. En soutien gorge.

Clémentine ne porte de soutien gorge que les deux premiers jours de ses règles. Ses seins sont si petits qu'elle n'en n'a nul besoin. Ils gonflent juste un peu durant les trois jours de son cycle. Elle me tend le tube d'homéoplasmine. J'étale cette pommade sur les rougeurs causées par les bretelles sur ses épaules, par la fixation au milieu de son dos et sous ses seins. << Docteur Julien, je vous aime ! >> dit elle en se laissant faire. Soulagée par mes soins. Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur.

Nous aimons ces ambiances studieuses. Clémentine chantonne parfois. Elle commente ce qu'elle fait. Me lance des << Je t'aime ! >>. Il est 18 h. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je retire ma blouse pour me laver les mains au-dessus du petit lavabo. Je rejoins Clémentine. Debout derrière elle, je lisse ses cheveux en observant ses notes mises au propre sur l'écran du MacBook Pro. Je me penche pour lui faire des bisous dans la nuque. << J'arrête. Ras-le-bol ! >> fait elle en éteignant l'ordi. Elle m'entraîne par la main jusqu'au canapé.

Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, les yeux fermés, Clémentine passe d'une dimension à une autre. Ce moment agit toujours comme un sas de décompression. Il est nécessaire. Je caresse son visage du bout de mes doigts. Nous restons ainsi, silencieux, durant de longues minutes. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. << Mon médicament ! >> chuchote t-elle. Ma bite, lovée au fond de mon slip, est encore molle. Ce qui me permet de la sortir avec facilité même vautré dans le vieux canapé en velours de l'atelier.

Clémentine adore frotter son visage contre mon sexe encore mou. La thérapie du docteur Julien est fort efficace pour soulager les maux de filles. Clémentine suçote l'extrémité de mon prépuce. Elle mâchouille la peau fripée. J'adore la regarder faire. Elle est tellement belle, tellement attractive en faisant ces choses là. Je bande mou. C'est très agréable. La succion légère devient rapidement pompage de Zob. Je lui chuchote des douceurs, des cochonneries. Clémentine est couchée sur le côté. Toute occupée à une fellation qui devient juteuse.

La musique imbécile de mon téléphone. Il est là-bas, posé sur la desserte à côté du chevalet. Clémentine cesse de sucer pour se précipiter. << Julie, elle arrive ! >> lance Clémentine en lisant le SMS. << Garde ta bite à l'air ! >> rajoute t-elle en m'entraînant par la main. Il n'est que 18 h45. Julie est toujours en avance. Nous nous précipitons pour aller l'accueillir. Julie est devant la porte. Vêtue de son blouson de cuir noir, son jeans et ses bottines. Je prends la grande caisse contenant nos repas. Clémentine prend le grand sachet contenant nos salades.

<< Entre directement, c'est toujours ouvert. Tu es ici chez toi ! >> fait Clémentine à Julie toute contente d'être de retour. Elle retire son blouson. Elle nous fait la bise une seconde fois à la cuisine. Nous déballons les feuillantines au crabe pour ce soir. Les tourtes aux fruits de mer pour demain midi. Julie nous raconte sa journée de fac. Ses études de lettres modernes la passionnent. Elle prépare sa Licence sur deux ans. C'est sa troisième année. Les feuillantines sont encore bouillantes. Je dis : << Tu féliciteras le Chef ! C'est toujours hyper bon ! >>.

Julie dresse la table pendant que Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant les salades. Je suis debout devant le réfrigérateur. Je tiens le petit tableau offert par Julie. J'ai la bite qui pend de ma braguette béante. Julie regarde franchement. << Vous allez rajouter des choses avec le vase ? >> me demande Julie qui vient me rejoindre. Je lui explique comment je vais procéder. << Je pourrai venir pour voir et apprendre ? >> demande t-elle encore. Il est prévu des cours de peinture les vendredis après-midi de 16 h à 18 h dès le mois d'octobre.

Quelle n'est pas ma surprise. Tout près de moi, sur ma gauche, Julie observe sa création en écoutant mes explications. Soudain, elle se saisit de mon sexe. J'ai comme une décharge électrique. C'est sans doute la toute première fois que Julie a cette initiative. Sa petite main douce et chaude reste sans bouger, serrant à peine ma bite. Elle dit : << Je me réjouis pour ces leçons de peinture ! >>. Je me penche pour lui déposer un bisou sur la joue, puis sur le front. Elle me lâche la queue pour rejoindre Clémentine qui dépose les feuillantines.

Je tiens Clémentine par les épaules pour dire à Julie : << Surtout, n'hésitez pas, ces initiatives sont à notre goût ! >>. Clémentine s'empresse de rajouter : << Il serait stupide de t'en priver ! >>. Julie rit un peu gênée. Peut-être étonnée de son initiative. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. C'est un réel délice. Le Chef du restaurant de l'étang est un maître queue redoutable. Les filles évoquent leurs études. Julie revient sur l'invitation de ses parents. Ils aimeraient beaucoup me rencontrer. Savoir qui je suis.

Depuis deux ans je permets tout de même à leur fille d'avoir un superbe travail. Tenir une galerie d'Art durant deux mois, lorsqu'on a vingt ans, reste une chose exceptionnelle pour la plupart des gens. Julie nous propose de venir manger à la maison le dimanche 3 octobre. Clémentine s'écrie : << Super ! Nous emmenons le dessert ! >>. Julie semble comme soulagée. Elle s'empresse de rajouter, comme pour s'excuser : << Mais nous sommes des gens très simples, nous vivons dans une toute petite maison ! >>. Nous éclatons de rire.

Je dis : << Mais si vous saviez à quel point nous nous moquons des apparences ! >>. Julie est soudain sereine. Je pose ma main sur son poignet pour la rassurer davantage. Nous traînons à table. Je me lève plusieurs fois pour agiter ma queue en direction de Julie. Elle me fait à chaque fois le plus délicieux des sourires. Timide et réservée, Julie n'ose pas soutenir mon regard. Clémentine évoque la soirée Gloryhole au haras. Il y a deux ans Julie a vécu une relation de quelques mois avec Juliette. Elle ne souhaite donc pas remettre les pieds aux écuries.

La vaisselle. Je propose à Julie de m'accompagner aux toilettes. Ce moment qui est devenu un autre de nos rituels. Elle se précipite en s'écriant : << Génial ! >>. Clémentine, en appui contre le lavabo, les bras croisés, observe Julie. Julie me tient la bite pour en diriger les jets. Depuis notre retour d'Ecosse, Julie prend beaucoup plus facilement l'initiative de saisir ma queue. De bien en secouer les dernières gouttes. Il est 22 h. Nous la raccompagnons jusqu'à son auto. Sous le parapluie. Elle revient vendredi pour 14 h. Un dernier coucou.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment recevoir l'amie intime pour observer l'évolution d'un comportement délicieusement vicelard...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
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Le mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, nous sommes réveillés par notre application préférée du moment. "Océan". 5 h55. Ce sont les cris des mouettes, le ressac des vagues et, aujourd'hui, la sirène lointaine d'un gros bateau. Clémentine se serre contre moi. << J'aurais encore besoin de vos soins docteur Julien ! >> murmure t-elle. Quelques papouilles, quelques bisous. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Je laisse Clémentine changer de tampon. Je m'habille. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Les premières tranches sont éjectées du grille pain dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier soir. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le retour d'Estelle ce soir. Il est 6 h25. Nos montons pour nous livrer à l'intensité maximale de notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. C'est avec un bon stretching que nous retrouvons le calme. Nous prenons notre douche.

Je descends le premier. Je sors la petite auto du garage. Le jour s'est levé sous un ciel clair et limpide. Par contre la fraîcheur est étonnement vive. Il est 7 h45. Clémentine vient me rejoindre. Vêtue de son jeans, d'un pull au col en "V" sur un chemisier. Son blouson de cuir noir. Ses bottines marrons. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire notre vaisselle, notre lit, avant d'aller dans l'atelier. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette.

Je peins rapidement dans une sorte d'enthousiasme débridé qui me fait pousser des cris surréalistes. La peinture de cette seconde œuvre de commande est un plaisir. Un portrait de famille. Le père, la mère, le fils sans le saint esprit. Tous les trois vêtus en costume aristocratique du XVIIIème. La matinée se passe ainsi, à chantonner, à siffler. Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe au four les deux tourtes aux fruits de mer apportées par Julie hier soir. Pendant ce temps je lave les feuilles d'une belle laitue. Il est presque 12 h20.

Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Clémentine se lave les mains au-dessus du lavabo. << Mes soins docteur Julien ! >> fait elle en retirant son pull, sa chemise et son soutien gorge. J'applique de la pommade aux endroits rougis par les bretelles et la fixation du soutien gorge. << J'ai pas trop mal au ventre ! >> dit elle. La sonnerie du four. Je sors les tourtes du four. Clémentine remet ses vêtements. << Merci docteur Julien ! >> fait elle. Des bisous.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Elle est contente d'avoir retrouvé l'ambiance de la faculté depuis la rentrée. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me dit : << Tu te souviens de Mario, l'ouvrier du chantier vendredi dernier ? Je l'ai vu à midi en rentrant. On y fait un petit tour après ? >>. Je trouve la suggestion tout à fait extraordinaire. Clémentine s'empresse de rajouter : << J'ai beaucoup de boulot, il faut être de retour pour 16 h30 maximum ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine se change. Il fait beau, presque chaud, le thermomètre extérieur indique 22°. Il y a un léger vent de Nord Est. Elle revêt une de ses jupes kilt, elle garde son chemisier blanc sous son pull bleu nuit. Elle remet ses bottines. Clémentine m'entraîne devant le grand miroir de l'armoire. << Je fais pute ! C'est parfait. Nous allons beaucoup nous amuser ! >> dit elle en défaisant ses cheveux. Comme elle est belle et attractive. Je dis : << Tu me fais bander ! >>.

Clémentine change de tampon pendant que je mets d'autres baskets. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Il fait très agréable. << On prend ma caisse ! >> lance Clémentine. Par contre c'est moi qui doit conduire. Il y a une dizaine de kilomètres sur l'étroite route communale. Nous passons devant le haras. Il y a plein de voiture garées dans la cour. Il n'est que 13 h30. Nous arrivons à l'endroit où nous étions vendredi dernier. C'est le petit chantier où Clémentine croise l'ouvrier parfois deux fois par jour. Matin et soir au retour.

Je ne ralentis pas. Il y a une camionnette mais on ne voit personne. Quelques centaines de mètres plus loin, je fais demi tour. Je cède le volant à Clémentine. Je m'installe à l'arrière. Nous repassons. Cette fois nous tournons à gauche. Il y a une cinquantaine de mètres. Clémentine gare la voiture afin de pouvoir démarrer et filer le plus rapidement possible. Nous avons apporté la petite paire de jumelles. Entre les deux sièges avant, parfaitement dissimulé, j'ai une vue parfaite sur le chantier. Clémentine retire sa culotte. Un dernier bisou.

<< Au moindre pépin, tu rappliques ! >> dit elle en sortant. Je la regarde tourner deux fois autour de la voiture. Là-bas, sur son échafaudage, Mario. Coiffé de son casque jaune, vêtu d'un gilet jaune, il vient d'apercevoir la superbe jeune fille qui s'avance vers la route. Clémentine marche doucement en faisant semblant de consulter son téléphone. Je regarde avec les jumelles. Mario cesse d'activer la truelle qu'il tient à la main. Je le vois déboutonner son gilet jaune pour l'écarter. Il descend la tirette de sa braguette. Tranquillement.

Clémentine, de l'autre côté de la route, s'est accroupie. Face à la clôture du chantier. Les cuisses largement écartées. Le type comprend parfaitement à quel genre de fille il a affaire. Cette fille qui revient pour la seconde fois s'exhiber devant lui. Il comprend également le privilège qui lui est octroyé. Il sort son sexe. Un gros machin plutôt impressionnant. Il bande mou en le tenant à sa base. Il agite sa queue en direction de la jeune fille toujours accroupie. Clémentine a ses cheveux qui pendent devant son visage, elle porte ses lunettes noires.

Dissimulée derrière ce parfait anonymat, elle peut s'offrir les frissons qu'elle apprécie tant. Mario reste sur son échafaudage. Il ne tente rien. Il essaie d'attirer l'attention de la pisseuse. Mais Clémentine reste ostensiblement avec la tête baissée. En observant sa chatte. J'imagine la vue qu'a le mec sur cette chatte poilue présentée avec la plus invraisemblable indécence. Moi aussi je bande. J'ai assisté à ce spectacle tant de fois. C'est toujours une grande première. Je me masturbe avec autant de bonheur et de plaisir que la "victime" sur son échafaudage.

Un bruit de moteur. Immédiatement Clémentine se redresse. Pour échapper à l'ankylose, elle fait quelques pas. Mario a le réflexe inutile de se tourner. Pourtant il n'est pas vraiment visible de la route pour un automobiliste qui passe à 60 km/h. Dès la voiture disparue, Clémentine reprend sa position exactement au même endroit. Il n'y a aucune flaque de pisse parterre. Je sais qu'elle tente de le faire. Surmonter l'excitation intense qui l'habite, pour pouvoir pisser, lui permet toujours d'atteindre d'autres sommets. Le plaisir que lui procure son exhibe.

J'entends vaguement des paroles presque hurlées. C'est le mec depuis son échafaudage. Clémentine lève enfin la tête. De la main, elle adresse un signe amicale à Mario. Il fait de même de sa main libre. L'autre agitant sa queue dans un mouvement masturbatoire. Une autre voiture arrive. Clémentine se redresse juste à temps. De voir une jeune fille seule, si sexy en pleine campagne, fait ralentir l'automobiliste. L'auto s'arrête pour faire marche arrière. Le type descend de son véhicule. Il demande si tout va bien. << Oui, oui ! >> fait Clémentine.

Le type tente la petite drague de circonstance. Clémentine tourne les talons sans répondre pour revenir vers sa voiture. L'inconnu n'insiste pas. Il retourne dans son auto, démarre et s'en va. Clémentine retourne vers la route. Là-bas, du haut de son échafaudage, Mario lance des cris de joie. Je regarde dans les jumelles. Il a son ventre contre la rambarde de l'échafaudage. Il pisse. C'est prodigieux de voir les éclats dorés sous la lumière du soleil. Il pisse durant un moment. Incroyable. Clémentine, les bras ballants, observe ouvertement. C'est super.

Une autre bagnole. Cette fois, Mario remballe à toute vitesse avec la bite encore ruisselante de pisse. La grosse Mercedes entre doucement dans l'enclos du chantier. C'est probablement le patron. Clémentine vient me rejoindre. Elle se met au volant. Elle démarre. Je reste planqué. Nous reprenons la route du retour. Je reste à l'arrière en caressant le cou de Clémentine que je félicite pour sa prestation. Elle me raconte ses émotions. Pour elle aussi, c'est à chaque fois une grande première. << Il faut que je consulte, c'est une addiction ! >> dit elle.

Nous en rigolons comme des bossus. C'est une addiction certes, mais de celles dont il est exclu de se sevrer. Nous revenons à la maison. Je dis : << Merci Chauffeur ! >>. Clémentine m'entraîne par la main. Nous nous dépêchons de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Je raconte ma masturbation dans la voiture. A quel point Clémentine me fait bander quand elle fait ses "shows". << Mais je le fais autant pour toi. Tu n'imagines pas à quel point c'est excitant de te savoir caché à m'observer. Je t'aime Julien. Comme une folle ! >> lance Clémentine.

Nous sommes dans l'atelier. Il est 16 h30. Clémentine est assise devant son ordinateur. Je suis installé devant mon chevalet. Nous adorons ces longues séances de travail. J'aime entendre Clémentine commenter des séquences de son travail à voix haute. Parfois chantonnant en classant ses feuilles. Je peins dans un enthousiasme enchanteur. Il est 18 h30. Estelle arrive. Elle entre dans la grande pièce comme un ouragan. Elle se précipite. J'anticipe. Je pose ma palette et mes pinceaux. Assise sur mes genoux, Estelle nous raconte son après-midi.

Je nettoie mon matériel. Clémentine range ses affaires. Nous voilà tous les trois installés dans le vieux canapé en velours de l'atelier. Je suis entre mes deux anges. Clémentine raconte nos aventures de l'après-midi. << Mario la gosse bite ! >> lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle rajoute : << Même si ça me fait partir plutôt de chez moi demain matin, je prends la petite route. Je veux voir à quoi ressemble ce vicelard ! >>. Il commence à faire faim. C'est pliés de rire que nous quittons l'atelier pour la cuisine. Des coquillettes.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle dresse la table. Je fais rissoler trois beaux filets de colin. Champignons ail et oignons. Estelle égoutte les coquillettes. J'en ai fait suffisamment pour n'avoir qu'à réchauffer demain à midi, tout seul. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Ce trimestre commence très fort. Il va même s'intensifier. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur l'invitation de Juliette. La soirée Gloryhole du samedi 9 octobre. D'autres réjouissances en perspective. De la bite.

Je propose aux filles une soirée léchage de minou. La vaisselle. Nous nous précipitons au salon. Clémentine, ayant ses règles, préfère se masturber dans son fauteuil. << Faites moi du spectacle ! >> dit elle. Estelle retire ses bottines, son jeans, sa culotte. Vautrée dans le canapé, elle se fait bouffer la chatte. Je me régale, à genoux sur un des coussins, mon visage entre ses cuisses. Elle m'attire sur elle. Nous baisons comme des malades. Une fois encore, pendant l'orgasme d'Estelle, je vais vite éjaculer dans la bouche de Clémentine.

Nous reprenons difficilement nos esprits. Ces soirées de folies nous épuisent. Nous en rions de bon cœur. Il est 22 h. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Il fait froid la nuit. C'est désagréable. Estelle est un peu tristounette de devoir nous quitter. << A demain ! >> dit elle à Clémentine en sortant sa main de ma braguette. Estelle et Clémentine se revoit en cours. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. << J'adore quand tu m'offres le fruit de tes plaisirs. Jute-moi dans la bouche encore une fois au lit ! >> lance clémentine.

Bonnes petites exhibes à toutes les coquines qui adorent créer des situations vicelardes devant des inconnus, des endroits insolites...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1651 -



Juliette vient partager le repas du soir

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. Le cris des mouettes, le ressac des vagues, les clapotis. Nous sommes réveillés par l'application "océan". Clémentine se blottit dans mes bras. Quelques papouilles. Des bisous. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Je laisse Clémentine changer son tampon pour revenir m'habiller. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers. Il fait plutôt frais dans la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant la soirée avec Estelle. << J'adore vous voir baiser tous les deux ! >> fait Clémentine dont c'est le dernier jour des "petits machins" de fille. Nous mangeons de bon appétit en parlant de Juliette qui vient passer la soirée avec nous. Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Aérobic en échauffement, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Intensité maximale. Le stretching permet un agréable retour au calme. La douche.

Je descends le premier pour aller sortir l'auto. Le jour s'est levé sous un ciel clair et limpide. Par contre le thermomètre extérieur n'indique que 7°. Je comprends pourquoi la fraîcheur gagne à présent l'intérieur de la maison. Clémentine vient me rejoindre vêtue de son jeans, d'un pull carmin, sous son blouson de cuir noir. Elle a passé une écharpe et porte ses bottines marrons. Très élégante. Il est 7 h45. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter le chemin. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer. C'est le premier jour de l'automne.

Je fais la vaisselle. Je fais le lit. Je descends à la cave pour allumer la chaudière. Je vérifie le niveau dans la cuve à mazout. De quoi affronter deux hivers. Tout fonctionne. Je remonte pour ouvrir tous les radiateurs. Je vais dans l'atelier. Les deux radiateurs ne tardent pas à chauffer. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le 22 septembre" de Georges Brassens. La peinture de ce second portrait de commande m'absorbe rapidement. Je peins dans la douce sérénité des certitudes. Cette toile sera achevée vendredi.

La matinée se déroule ainsi. Il fait à présent bien chaud dans toute la maison. Un thermostat régule la température. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il est midi. La pâte feuilletée a décongelée. Je fais gonfler du riz complet. Je coupe et je lave deux gros poireaux. Direct dans l'auto cuiseur. Je concocte une Béchamel dans laquelle je rajoute du gruyère de Comté grossièrement râpé. J'égoutte le poireau. Je le mélange à la Béchamel après en avoir récupéré un peu comme sauce avec le riz. Je verse le tout sur les deux tiers de la pâte étalée.

Ce sont deux plats à tarte aux bords hauts. J'étale soigneusement. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Je joins les bords. Je badigeonne le mélange œuf, lait de soja, moutarde sur le dessus. Au four. Cuisson à 180° afin de laisser longuement mijoter. Notre repas de ce soir est assuré. Je fais rissoler des tranches de calmars avec des champignons, de l'ail, de l'oignon. Je mange en écoutant Radio Sud. La verve d'André Bercoff m'amuse encore beaucoup. Je ne traîne pas. La vaisselle. Je monte me laver les dents. J'allume l'ordinateur.

Trois messages. Monsieur Anderson accuse bonne réception du tableau expédié vendredi dernier. Le colis est déjà en route pour la Californie. C'est parfait. Le message de Julie qui confirme sa venue vendredi pour 18 h. Elle passera la soirée et la nuit chez nous pour faire le ménage samedi matin. Le courriel de Juliette qui confirme sa venue ce soir avec le dessert. Il est 13 h30. Je sors. Il fait très agréable sous le soleil. Le thermomètre extérieur indique 20°. Par contre un léger vent de Nord Est persiste à imposer une sensation de fraîcheur.

Je fais quelques pas dans la propriété. L'entreprise paysagère a fait du bon travail. Toutes les haies sont à nouveaux taillées au cordeau. Il n'y a plus de ces multitudes de petits branchages parterre. Par contre les feuilles mortes recommencent à s'accumuler. L'entreprise paysagère reviendra le lundi 29 octobre. Une dernière fois avant l'hiver. Je rentre. La peinture m'attend. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé du même sentiment de profonde sérénité que ce matin. Ma passion peut d'exprimer.

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Comme toujours, elle jette son cartable sur la table de travail pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur. Nous adorons cette ambiance studieuse. Il est 18 h. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. << Ras-le-bol ! >> s'écrie Clémentine qui cesse également pour ranger ses affaires. Nous nous installons dans le canapé.

Couchée sur le dos, sa tête sur mes genoux, Clémentine change d'univers. Je caresse ses cheveux, son visage du bout de mes doigts. Nous restons silencieux. << Je suis passée devant le chantier ce matin, j'y suis repassée ce soir. Il y avait Mario affairé sur la remorque de sa camionnette ! >> lance t-elle soudain en ouvrant les yeux. Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte pour rajouter : << On y retourne vendredi ? >>. Nous éclatons de rire lorsque je dis : << Tu vas provoquer une apoplexie à ce brave ouvrier. Le pauvre ! >>.

Clémentine extrait mon sexe de l'ouverture béante. Elle y frotte sa joue, se tourne sur le côté pour en gober l'extrémité. Comme elle est belle avec le bout de la bite dans la bouche. Les filles sont si belles, si émouvantes quand elles font ça. Si elles savaient ! Je bande lentement, inexorablement. C'est à présent un chibre que Clémentine suce passionnément. Je lui chuchote des douceurs, des cochonneries. J'évoque le sexe minuscule de monsieur Bertrand, notre voisin. Je le compare à celui de Mario, l'ouvrier de chantier. Sacré "machin" !

Clémentine cesse de pomper pour rire. << A choisir, ce sera celle de Louis ! >> dit elle avant de retourner à sa pipe. Clémentine a une préférence pour les toutes petites bites. Les bites de retraités dont elle raffole. J'ai toujours trouvé cette attirance très étrange. Même si j'en sais le pourquoi, ça reste une bizarrerie étonnante. Il est 18 h30. L'indicible caresse me fait tourner la tête. Clémentine cesse de pomper toutes les deux trois minutes. Ce qui lui permet de laisser reposer sa mâchoire de gourmande. J'ai la bite qui dégouline de foutre.

Clémentine adore en garder dans sa bouche le plus longtemps possible. Le liquide séminal se mélange à sa salive. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Nous nous redressons. Je couvre le visage de Clémentine de bisous. Elle déglutit enfin pour avaler avec peine. << Je vous aime docteur Julien, votre médicament est un trésor de bienfaits ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Elle saisit ma queue qui commence à ramollir pour m'entraîner. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. J'allume le four pour réchauffer la Flamiche Picarde.

Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade. J'ai lavé les feuilles d'une belle laitue à midi. Je dresse la table à la cuisine. Juliette adore l'ambiance de notre grande cuisine. "Cuisine de manoir" comme elle aime à la décrire. Trois coups de sonnette. << Garde ta braguette ouverte ! >> lance Clémentine qui se précipite. Elle revient suivie de Juliette. Comme elle est belle et attractive encore ce soir, dans son pantalon beige et moulant d'écuyère, sa veste noire cintrée à la taille et ses bottes d'équitation. Elle est toute souriante.

Nous nous serrons la main. Trois bises. Juliette parcourt la cuisine en regardant partout. Tout en nous racontant sa journée, quelques anecdotes amusantes, elle fait plusieurs fois le tour de la table. Je la regarde évoluer gracieusement. Son physique d'athlète, sa longue natte noire qui pend au milieu de son dos. Elle vient de retirer sa veste. Son chemisier grège aux manches bouffantes rajoute encore à sa classe naturelle. Quelle silhouette ! Clémentine la rejoint. Elle dépasse Juliette d'une demi tête. Elles se tiennent par les mains.

Clémentine n'a aucune attirance homosexuelle. C'est bien dommage. Par Contre Juliette est bisexuelle et ne manque jamais de faire comprendre à Clémentine à quel point elle aimerait "bien". Clémentine suscite souvent cette attraction particulière chez les filles bisexuelles. Notamment Julie qui est amoureuse de Clémentine. Je les regarde pour dire : << Comme vous êtes belles toutes les deux ! >>. Juliette porte magnifiquement ses 48 ans. D'une façon exceptionnelle entretenue par un entraînement physique quotidien.

Je fixe son entrejambes. Son pantalon d'écuyère est moulant. Il ne cache absolument rien des formes de son sexe. Juliette le fait évidemment exprès. Tant dans son entreprise qu'ailleurs. La couture du pantalon passe très exactement entre les lèvres de sa vulve. On discerne bien les deux petites protubérances de chaque côté de la couture, sous le tissu. C'est extrêmement excitant. Juliette me fait le plus délicieux des sourires. Clémentine vient me rejoindre pour regarder avec moi. Juliette, mains sur les hanches se campe sur ses pieds.

Les pieds écartés, bien droite, fière et le port de tête altier, Juliette prend visiblement un plaisir fou à être contemplée ainsi. Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour en extraire une érection majestueuse. << Je vous fais cet effet là Julien ? >> demande Juliette d'une voix faussement timide et amusée. Clémentine répond : << Julien possède un organe très sensible et extrêmement réactif ! >>. Nous éclatons tous les trois de rire. La sonnerie du four. << N'allez pas vous brûler, Julien, je m'en occupe ! >> lance Juliette.

C'est Clémentine qui attrape les maniques accrochées à la hotte. Elle sort du four deux tourtes aux poireaux dorées qui embaument toute la grande pièce. Nous mangeons de bon appétit. Juliette parle de son entreprise. Les propriétaires de chevaux commencent à ramener leurs bêtes. Elles passeront l'hiver au haras, dans la pension pour chevaux. << Je reçois des demandes d'hébergements des départements voisins ! Je pourrais agrandir et faire construire une quatrième écurie ! >> dit elle. Juliette est à la tête d'une entreprise florissante.

Elle a ramené une tarte aux pommes "maison". Nous faisons la vaisselle avant de prendre le dessert au salon. Juliette est vautrée dans le fauteuil. Clémentine et moi nous sommes installés dans le canapé. Sur la petite table qui nous sépare, les tranches de tartes absolument délicieuses. Juliette décroise ses jambes. Elle pose sa cuisse gauche sur l'accoudoir de gauche. C'est étourdissant de discerner aussi précisément toutes les formes de son intimité. Le tissu épouse à la perfection chaque détail. Comme le ferait un collant. Elle le sait.

J'ai la bite à l'air. Dans la main de Clémentine qui parle de l'Ecosse. Juliette s'est promise un séjour dans mon pays. Probablement en aout prochain. << Trois semaines chez ma sœur en Corse, deux semaines en Ecosse ! >> précise t-elle. Ce n'est encore qu'un projet. Je suggère de nous tenir informés. Je pourrai m'occuper de l'hébergement, de la location de véhicule et nous pourrons passer du temps ensemble, tous les quatre, avec Estelle. << Génial ! >> lance Juliette qui passe un rapide doigt sur la couture de son pantalon, à l'endroit de son sexe.

Juliette revient sur la soirée Gloryhole qu'elle organise samedi 9 octobre. << Voulez-vous être l'héroïne centrale de la soirée ou une "assistante" ? >> demande t-elle à Clémentine. << Je vais bien y réfléchir ! >> répond t-elle. Nous en rions beaucoup. Il est 22 h. Juliette se lève tôt. Tout comme nous, une heure d'entraînement constitue son premier plaisir de la journée. Je me lève le premier. Je tiens mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite vers Juliette en disant : << Et vous, que ferez-vous lors de cette soirée "trou" ? >>.

Juliette me répond : << Je m'occuperai des invités ! Et comme vous en serez un privilégié, je saurai être une hôtesse parfaite ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Juliette se lève. Elle glisse une main entre ses cuisses serrées l'une sur l'autre. Comme une femme qui doit pisser. Elle se touche. Clémentine fait exactement pareil. Je me branle. Nous nous observons quelques minutes à nous masturber. Nous raccompagnons Juliette dans le froid de la nuit jusqu'à sa voiture. << Passez donc au haras ce week-end ! >> dit elle.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment recevoir une amie intime extrêmement attractive afin de stimuler la libido de leur mec...

Julien



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Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Le cri des mouettes, le bruit du ressac, les clapotis. L'illusion de se réveiller au bord de la mer est parfaite. Clémentine se blottit contre moi en murmurant : << Viens, on s'en fout, on dort encore ! >>. Ce n'est évidemment qu'une boutade car il faut se lever. Ne serait-ce d'abord que par l'impérieuse nécessité de pisser. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gymnastiques, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses quatre premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant la visite de Juliette hier soir. Par association d'idée, nous en venons à la soirée Gloryhole à laquelle nous sommes conviés. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. Même si nous ne sommes pas encore parfaitement réveillés, cette invitation à de quoi nous amuser dès l'aube. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.

Un bon échauffement avec des mouvements aérobics. Jogging sur tapis roulant. Ce matin Clémentine met un film tourné durant nos vacances en Ecosse. Nous courons en regardant ces images extraordinaires. Abdos, exercices au sol. Les pompes sont toujours prétextes à d'amusantes clowneries. Les charges additionnelles. Ce matin nous privilégions les haltères plutôt que les machines. Cela demande une concentration plus intense. Nous terminons par un retour au calme souvent assez bâclé. Un bon stretching avant la douche. 7 h25.

Je descends pour aller préparer la voiture de Clémentine. Le jour s'est levé sous un ciel clair et limpide d'un bleu encore très pâle. Il fait froid. 7° à 7 h45. Clémentine vient me rejoindre vêtue de son jeans, son pull pourpre à col roulé sous son blouson de cuir noir. Une écharpe carmin. Ses bottines noires à légers talons. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou lorsque l'auto arrive au portail. Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. Ce matin, j'allume le petit poêle rond en fonte, le "Godin".

Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "National 7" de Charles Trenet. La peinture de mon second portrait de commande m'absorbe rapidement. Je peins animé d'un enthousiasme délirant. Il est dix heures. La musique imbécile de mon téléphone. Il est posé sur la desserte à ma droite. En râlant, je m'en empare. C'est Juliette. Elle est dehors, sur un cheval. Je m'empresse d'aller la rejoindre. Il fait un peu moins froid et le soleil règne en maître. Juliette est sur son cheval, bien droite et souriante.

<< Bonjour Julien ! Je profite du temps qui me reste pour m'offrir quelques dernières promenades ! >> me dit elle en descendant de sa monture. Elle porte une veste matelassée. Une bombe d'où pend sa longue natte. Un de ses pantalons d'équitation toujours tellement moulants, ses bottes d'écuyères noires. Juliette tient son cheval par la longe. << J'adore nos soirées. Je tenais à vous remercier pour celle de hier. Je me suis encore régalée ! >> lance t-elle. Je dis : << Moi aussi j'adore vos visites. Clémentine également ! >>.

<< Je ne vais pas vous déranger plus longtemps. Je ne fais que passer ! On se voit ce week-end ? >> fait encore Juliette en passant une main entre ses cuisses. De battre mon cœur s'est arrêté. Je dis : << Juliette, j'adore. Vraiment ! >>. Juliette demande : << Quoi donc ? Les cavalières vicieuses ? >>. Je réponds : << C'est exactement ce que j'adore. Passez donc un jour de la semaine prochaine, je vous ferai visiter la maison d'amis ! >>. Juliette, sans cesser de se toucher se tourne vers la dépendance en disant : << C'est noté ! Lundi 15 h ! >>.

Nous nous saluons. Juliette remonte sur son cheval. Je la regarde descendre vers la rivière. Le port de tête altier, droite et fière sur sa monture. Quelle sublime silhouette. Elle se retourne en arrivant en bas du chemin. Elle est à 300 m mais je distingue bien son imitation d'une masturbation masculine. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je reprends mon labeur avec une érection intense. Je peins sans cesser de penser à cette étonnante bourgeoise. Cette visite n'était pas innocente. Je sais quand les femmes ont des stratégies particulières.

Il est presque midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Il me suffit d'allumer le four pour réchauffer la seconde Flamiche Picarde. Beaucoup plus petite. Je prépare une salade de carottes. Je mange de bon appétit en écoutant les facéties d'André Bercoff sur Sud Radio. Il ne ménage ni les sujets, ni les invités. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je reviens à la cuisine. Il est à peine 12 h45. Je prépare une belle pâte à pain que je laisse reposer dans un saladier sous un linge. Je lave et coupe des tomates. De l'ail, deux gros oignons.

Je fais revenir le tout à la poêle. En fin de cuisson je rajoute un verre de lait de soja mélangé à un œuf. Je mets un couvercle. Je râpe du Parmesan dans un grand bol que je range dans la partie basse du réfrigérateur. Pour ce soir, le nécessaire de la tarte à la tomate est prêt. Je sors pour faire quelques pas dans la propriété. Il fait très agréable à présent. 22°. Chaque jour, davantage de feuilles jonchent le sol. Je regarde les arbres dont les branches sont chaque jour plus apparentes. Il est 13 h45. Je rentre pour retourner dans l'atelier.

Confortablement installé devant mon chevalet je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Les mêmes pensées m'assaillent. Juliette. L'après-midi se déroule toutefois dans une ambiance de travail intense. Ce portrait de famille sera terminé demain avant onze heures. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle balance son cartable dans le fauteuil à bascule avant de se précipiter pour me faire plein de bisous. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire.

<< Je suis passée devant le chantier. Je n'ai pas vu Mario aujourd'hui, juste sa camionnette ! >> lance t-elle. Nous rions. Je raconte la visite et l'attitude de Juliette en matinée. << Cette salope ! Elle t'a fait sa déclaration ? >>. Je la rassure. << Cette vieille pute vient se toucher dans le jardin maintenant ! >> lance encore Clémentine. Nous éclatons de rire. Clémentine a cessé d'être jalouse des sentiments de Juliette pour moi. Car Juliette a probablement les mêmes pour Clémentine. Nous évoquons à nouveau cette soirée Gloryhole du 9 octobre prochain.

Clémentine a encore du travail. Moi aussi. Assise devant son ordinateur elle commente à haute voix ce qu'elle fait. Elle chantonne parfois. Une équation mathématique sur l'air de la Traviata. Ça m'amuse. Je ne peux m'empêcher de me lever, de passer derrière elle et de lui déposer des bises dans la nuque. Il est 18 h30. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Estelle entre comme un ouragan dans l'atelier. Elle se précipite pour me faire plein de bisous. Assise sur mes genoux, elle revient sur la journée universitaire en compagnie de Clémentine.

Les filles évoquent leurs études. Estelle glisse sa main sous ma blouse pour l'introduire dans ma braguette, mon slip. << Mais tu as la bite toute gluante ! Tu t'es branlé ? >> lance t-elle. Clémentine qui est entrain de ranger ses affaires éclate de rire en disant : << Juliette est venue faire un tour. Ceci explique cela ! >>. Estelle se lève, arrache presque ma blouse avant de s'accroupir devant moi. << Fais voir l'état des lieux, espèce de vieux pervers ! >>. Elle me sort la queue. Clémentine vient nous rejoindre. Elle s'accroupit à côté d'Estelle.

<< Regarde un peu le jus de ses couilles ! >> dit Estelle en faisant tourner mon sexe sous le regard de Clémentine. Sous son nez aussi. << Elle t'a sucé cette vieille salope ? >> demande encore Estelle. Sans attendre ma réponse elle gobe l'extrémité de mon chibre. Clémentine attend son tour en essayant de sortir ma queue de la bouche d'Estelle. Elles se refilent une queue ruisselante de foutre. Je leurs caresse la tête. Je regarde mes deux anges se régaler avec gourmandise. Je me penche pour dire : << Il y a une autre surprise à la cuisine ! >>.

Mes deux coquines cessent pour se redresser. Je leurs masse un peu les genoux à toutes les deux. Estelle nous entraîne dans une sorte de ronde endiablée. Elle improvise des paroles loufoques sur un air de comptine. Nous répétons en cœur. Il y a du foutre qui s'écoule de mon Zob pour maculer le tissu sur mes cuisses. Nous rigolons comme des fous en quittant l'atelier pour la cuisine. Les filles découvrent les préparations. << Génial ! Je t'aime ! >> s'écrie Clémentine. << Super ! Une tarte à la tomate ! >> lance Estelle. Plein de bisous.

Estelle travaille la pâte avant de la déposer dans le grand plat à tarte aux bords hauts. Le reste dans le plus petit plat. Clémentine prépare une salade d'endives. Je réchauffe la garniture. Je verse sur les pâtes bien étalées. Au four. Cuisson à 300°. Nous dressons la table sans cesser de nous tripoter, de nous faire des bisous, de rire. J'ai la bite à l'air sous mon tablier de cuisinier. Estelle y glisse très souvent sa main. Clémentine fait pareil. Je glisse les miennes entre leurs cuisses. Par derrière lorsqu'elle me tournent le dos. Sinon par devant.

A nouveau, Estelle nous entraîne dans une farandole. Nous parcourons toute la grande pièce en sautillant comme des gamins sortant de l'école. Tout ce bonheur rien que pour nous. J'en ai soudain une conscience aiguë, presque douloureuse. Le jour où tout cela cessera sera un véritable gouffre dans ma vie. Clémentine est médium. Télépathe, c'est comme si elle devinait soudain mes pensées. Elle se précipite dans mes bras. Nous nous embrassons passionnément. Estelle, accroupie, me tient le Zob en attendant son tour. La sonnerie du four.

<< Ne va pas risquer de te brûler la bite ! Je sors les tartes du four ! >> lance Estelle en attrapant les maniques suspendues à la hotte. Les tartes sont merveilleusement dorées et fumantes. Leurs parfums achèvent de nous étourdir de plaisir. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Juliette, son invitation à la soirée Gloryhole. Estelle nous raconte la visite de son parrain, hier soir. Tous les mercredis soirs il vient la baiser dans la cave. << Qu'est-ce qu'il m'a encore mis le salaud hier soir. Put-hein il peut me baiser des heures ! >> dit elle.

Nous en rions de bon cœur. Estelle rajoute : << Même toi Julien tu ne t'alignes pas ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. << Je confirme, c'est un baiseur incroyable ! >> précise Clémentine qui s'est fait niquer par Jean-Marc. Le parrain d'Estelle est un niqueur fou. Nous nous souvenons de cette soirée, il y a déjà presque deux ans, où j'étais planqué pour assister à la scène. Clémentine baisée par ce type qui l'a niquait comme une machine. Ses couilles qui battaient contre son cul. Estelle qui les lui tenait fermement. Grande baise !

Je dis : << Quel souvenir ! >>. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Clémentine qui rajoute : << Il me baise quand il veut. Tu nous prépares un "plan cul" Estelle, un de ces soirs ? >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles ne cessent d'évoquer quelques unes de nos soirées mémorables. << Il y en a tellement qu'il faudrait les mettre en archive sur un disque dur externe ! >> lance Clémentine. << Pas besoin, Julien les raconte sur le forum ! >> rajoute Estelle.

La vaisselle. Je propose aux filles un bon léchage de minous au salon. << Pas de baise pour moi ce soir, je dois me remettre de celle de hier soir. Jean-Marc m'a littéralement défoncé ! >> lance Estelle en m'entraînant par la queue. Elle me fait tomber dans le canapé en jetant un des épais coussin au sol. A genoux, elle se met immédiatement à me pomper le Zob. Me fixant dans les yeux, les joues creusées par l'effort de succion, elle me fait des clins d'œil. Clémentine, qui a retiré son jeans et sa culotte, se masturbe dans son fauteuil en nous observant.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se branler en regardant leur mec se faire tailler une pipe baveuse dans le canapé...

Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1653 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. L'application "océan" nous tire de nos profonds sommeils. Qu'il est agréable d'être réveillé par le cri des mouettes, le bruit du ressac et des clapotis. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Nous nous levons un peu comme des robots mal assurés pour nous rendre aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Routine quotidienne égayée par l'euphorie qui gagne Clémentine. Elle termine à midi. Ça la rend déconneuse.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur la présence d'Estelle hier soir. La pipe qu'elle m'a faite pendant plus d'une heure. La visite de Juliette sur son cheval en matinée. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la venue de Julie ce soir. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Retour au calme avec un bon stretching qui est encore un prétexte à déconnades.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la voiture de Clémentine. Le jour s'est levé sous un ciel d'un bleu pâle. La fraîcheur est vive. Clémentine vient me rejoindre vêtue de son jeans, de son pull à col roulé mauve sous son blouson de cuir noir. Ses bottines noires à légers talons. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter le chemin jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je rentre pour faire notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette.

Je peins animé de cette euphorie offerte par Clémentine. Les radiateurs chauffent agréablement toute la maison. Il est 10 h45 quand je dépose la dernière touche de blanc de titane sur la surface de la toile. Ce second portrait de famille est terminé. Je le place sur l'autre chevalet afin qu'il y sèche tranquillement. Je prends le troisième tableau de commande. Je fixe la photo de la commanditaire avignonnaise qui veut se faire représenter en costume folklorique du XIXème. Il me suffit de scotcher la photocopie sur la toile pour en faire le calque.

Il est 11 h30 quand ce travail est réalisé. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Dans le bol de métal chromé, je prépare le mélange acrylique terre de Sienne avec de l'eau. J'applique la couche d'impression en deux couches croisées sur le dessin préparatoire. Dès lundi, je pourrai m'attaquer à cette nouvelle commande. Je quitte l'atelier pour la cuisine. J'allume le four pour réchauffer la seconde tarte à la tomate. C'est encore bien meilleur quand c'est réchauffé. Dans une poêle, je fais rissoler des crevettes, de l'ail des champignons. Oignon.

En fin de cuisson je rajoute un petit pot de crème fraîche. Je prépare une salade de carottes avec des morceaux d'un avocat bien mûr. Il est 12 h20. Clémentine rentre de cour. Elle me saute dans les bras pour m'entraîner dans une ronde folle autour de la table. << Week-end ! >> chante t-elle en improvisant une mélodie. La sonnerie du four. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Je suis passée devant le chantier ce matin et au retour. Personne ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos singeries habituelles. Nous nous changeons. Jupette et T-shirt pour Clémentine. Short et T-short pour moi. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, nos pommes, nos barres de céréales et surtout nos K-ways pour le retour. La fraîcheur du soir est cruelle si on ne l'anticipe pas. Nous sortons. Il fait aussi chaud qu'une journée de fin de printemps. Nous sortons les vélos du garage. Je vérifie la pression des pneus. 5,5 bars devant et derrière.

C'est parti. 300 m jusqu'à la rivière. La petite passerelle en bois dont j'ouvre le cadenas du portillon. 500 m jusqu'à la piste cyclable. Il est à peine 13 h30. Il faudra être de retour pour 18 h. Nous pédalons contre un vent d'Ouest assez marqué. Il nous poussera au retour. Nous croisons nombre de cyclistes, de filles en rollers ou encore de simples promeneurs. Nous pouvons rouler côte à côte presque tout le temps en bavardant. Même s'il faut fournir un effort constant contre le vent, nous papotons en riant. Le sujet principale restant le Gloryhole.

Cette soirée Gloryhole prévue le samedi 9 octobre trotte dans la tête de Clémentine. Plusieurs fois par jour. Elle me confie l'excitation que cela lui confère. Chaque jour davantage. Nous en rions beaucoup. << Après, je me calme ! >> conclue toujours Clémentine avant de rajouter : << Au moins huit jours ! >>. Si les gens que nous croisons pouvaient se douter du sujet de nos conversations ! Cette épatante jeune fille en jupette sur son vélo attire encore bien des regards. Nous croisons principalement des séniors. Ils n'ont pas les yeux en poche.

Il est 15 h quand nous arrivons au port de plaisance. Dimanche, c'est le marché aux antiquaires. Des employés communaux et des exposants sont déjà entrain de décharger du matériel de camionnettes garées un peu partout. Il y a une sorte d'effervescence. La municipalité du bourg voisin organise quasiment chaque dimanche une autre animation, d'autres festivités. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Clémentine retire discrètement sa culotte qu'elle glisse dans le petit sac à dos que je porte.

Je passe ma main entre ses cuisses qu'elle serre sur mon poignet. << Tu fais ça tout l'après-midi, c'est trop bon ! >> dit elle en se serrant contre moi pour me palper la braguette. Nous traversons la rue pour nous rendre dans la supérette. Il y a peu de clients. Nous bavardons un peu avec la gérante. Le second marché aux antiquaires de l'année connaît toujours un grand succès. Les amateurs y viennent des départements voisins. << Excellent pour les affaires ! >> précise la dame. Nous choisissons nos crèmes glacées préférées.

Haagen Dazs. Deux pots de 500 ml. Noisettes, amandes. Nous les dégustons assis sur un des bancs sous les platanes. Les feuilles qui jonchent le sol ne laissent aucun doute. Nous sommes bien à l'automne commençant. Nous regardons les joueurs de boules. C'est probablement le même type qui mâte vers le banc. Aurait-il repéré Clémentine ? L'aurait-il reconnu ? Toujours est-il que Clémentine écarte légèrement ses cuisses à chaque fois que le mec mâte par ici. Nous portons tous deux nos lunettes de soleil. Nous pouvons loucher.

Nous ne nous attardons pas. Nous flânons un peu sur les quais avant de descendre vers les bâtiments des sanitaires réservés aux plaisanciers. Les portes sont fermées à clef. Nous passons par le bâtiment des toilettes publiques. Il n'y a personne. Nous entrons dans la partie hommes. Clémentine se met en position devant un des urinoirs muraux. Par derrière je glisse ma main sous sa jupette. Je passe mes doigts entre les lèvres charnues et pulpeuses de sa vulve humide. << Mmhh, c'est bon ! >> murmure t-elle en se tortillant légèrement.

J'enfonce mon doigt. Clémentine se touche. Son clitoris géant entre le pouce et l'index, elle se cambre en avant. Je sors ma bite. Par derrière, je l'enfonce doucement dans le sexe de Clémentine. Juste l'extrémité. Il serait impossible d'en enfoncer davantage sans lui faire mal. Nous restons ainsi. Immobiles. Silencieux. Nous écoutons les bruits qui proviennent de dehors. Personne n'arrive. Nous quittons les lieux. << C'est génial. J'adore tes initiatives Julien ! Une petite exhibe serait sympa ! >> me dit elle en m'entraînant par la main.

Pourtant, il n'y a aucune réelle opportunité. Clémentine aimerait beaucoup s'exposer un peu à quelques regards d'inconnus. Nous n'arrêtons pas de nous toucher. J'ai souvent mon doigt dans la chatte. Clémentine a souvent sa main dans mon short par au-dessus. Il suffit de se serrer l'un contre l'autre pour que nos agissements manuels passent inaperçus. Il est 16 h30. Il faut songer à repartir. Nous reprenons nos bicyclettes. Clémentine remet sa culotte. Il n'y a que dans les films pornos que les filles font de la bicyclette sans porter de culotte.

Nous en rions beaucoup. Le retour est des plus agréables. Le vent d'Ouest nous pousse. Nous avançons sans faire le moindre effort. Si ce n'est celui de maintenir l'équilibre. Il faut revêtir les K-ways. Il est 18 h quand nous revenons à la maison. Nous montons nous changer. Jeans, sweats, baskets. Nous dévalons les escaliers. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine le prend. << Julie ! >> lance t-elle. Nous allons dans le hall d'entrée pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Nous sortons pour accueillir Julie. Toute contente, souriante.

Trois bises. Je prends la caisse isotherme qui contient notre repas de ce soir. Julie est radieuse. Vêtue de son jeans, de son sweat sous sous blouson de cuir noir. Ses bottines. Elle porte ses lunettes d'étudiante et ses cheveux sont noués en catogan. Nous rentrons. A la cuisine, nous déballons les feuillantines au crabe et les salades. Je dis : << Il faudra remercier le Chef ! >>. Julie répond : << Je suis contente de reprendre les livraisons. C'est juste pour vous. Ça me remet le pied à l'étrier ! Je reprends mon service en soirée vendredi prochain ! >>.

Je la félicite. Joindre un job de serveuse tout en suivant ses études n'est pas chose simple. << J'adore ! Vous savez pourquoi ! >> rajoute encore Julie. Je pose ma main sur sa nuque en disant : << Les toilettes du restaurant, au sous-sol ? >>. Julie me fait un délicieux sourire sans répondre. Les feuillantines sont encore chaudes, bouillantes. Nous dressons la table. Julie va passer la soirée et la nuit avec nous car demain matin elle fait notre ménage. Nous remontons pour préparer son lit. Le canapé lit que nous ouvrons pour y mettre les draps.

<< J'adore dormir là ! C'est comme si j'étais en vacances, loin ! >> lance Julie en tapotant son oreiller. << Ce soir on va baiser comme des fous au lit, ça te dérange ? >> demande Clémentine. << Pas du tout, je m'endors facilement n'importe où ! >> répond Julie. Nous éclatons de rire en descendant à toute vitesse. Morts de faim. Nous mangeons de bon appétit. Chaque soir le crépuscule qui précède l'obscurité arrive plus tôt. Nous traînons à table. Julie nous parle de ses études de Lettres Modernes. Elle prépare sa licence. Troisième année de faculté.

La conversation glisse toutefois rapidement sur nos préoccupations ludiques. Julie évoque les toilettes du restaurant. Le voyeurisme dont elle est si friande. Clémentine lui demande : << Il t'arrive de faire le service avec ton plug anal ? >>. Julie éclate de rire en répondant : << Oui, parfois ! Ça m'excite de le porter en public alors que personne ne peut s'en douter ! >>. Julie nous raconte quelques amusantes anecdotes. Anne-Marie, sa tante, en porte également un assez souvent. << C'est elle qui me le met avant le service ! >> lance t-elle.

La patronne du restaurant de l'étang, la tante à Julie est une membre du "Club". Julie et elle ont une relation amoureuse. Julie nous confie quelques histoires. Je sors ma queue sous la table. En écoutant Julie je me masturbe. Elle s'en doute car elle fixe souvent le mouvement de mon bras. Clémentine fait : << Julie ! On vient manger au restaurant vendredi premier octobre. Réserve-nous la table habituelle ! >>. Julie s'écrie : << C'est génial de venir pour mon premier soir de reprise ! >>. Je rajoute : << Je te donne rendez-vous aux toilettes ! >>.

Nous rions beaucoup en revenant sur nos souvenirs communs. Le lecteur qui suit nos aventures depuis quatre ans sait comment tout cela a commencé. C'est dans les toilettes du sous sol au restaurant que nous avons fait connaissance, Julie et moi. << Je m'en rappelle bien ! Vous étiez beaucoup plus réservé que certains clients. Il y a des mecs qui descendaient leurs frocs en me faisant des propositions ! >> dit Julie. Je réponds : << Moi, j'ai tout de même attendu la seconde fois ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je me lève, Zob à l'air.

Les mains sur les hanches, je contracte mes muscles fessiers. Cela fait bouger mon érection. Julie observe en silence. Elle n'ose pas soutenir mes regards. Clémentine saisit ma queue en disant : << Tu viens avec à la soirée Gloryhole ? >>. Julie s'écrie : << Je ne remets plus les pieds au haras. Je n'ai aucune envie de revoir Juliette ! >>. Les deux femmes ont eu une liaison amoureuse de quelques mois qui a mal fini. Nous n'insistons pas. La vaisselle. Nous passons la soirée au salon. Clémentine me branle. Julie nous raconte des trucs. 22 h. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment branler leur mec en écoutant les confidences d'une voyeuse terriblement vicieuse...

Julien



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Estelle vient nous rejoindre pour 13 h30

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine me chevauche en me couvrant le visage de bisous. Elle se frotte sur mon érection matinale. Nous regardons Julie se réveiller là-bas, dans son canapé lit. << Bonjour ! >> dit elle en s'étirant. L'impérieux besoin de pisser ne nous laisse pas d'autres choix. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous faisons le détour pour aller déposer un bisou sur le front de Julie. C'est à son tour pendant que nous nous habillons de nos tenues jogging.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Julie descend à son tour. Vêtue de son jeans, d'un simple T-shirt, ses baskets. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de ce samedi. Dehors le ciel est d'un bleu pâle. Il va faire beau. << Vélo cet après-midi ! >> lance Clémentine. << Tu viens avec ? >> demande t-elle à Julie. << J'aide mon papa au jardin ! >> répond t-elle.

Nous savons les rapports forts qu'entretient Julie avec sa famille. Nous n'insistons pas. Nous nous reverrons lundi soir pour partager le repas. << Je m'occupe de tout ! Je suis là pour ça le samedi matin ! >> lance encore Julie. Il est 8 h30. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour une heure de jogging. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière pour la longer avec un rythme soutenu. Le sentier est bien sec, c'est un plaisir. Il est 9 h30 quand nous revenons. Nous ouvrons le portail pour les livraisons.

Nous montons prendre notre douche. On entend Julie passer l'aspirateur dans notre chambre. Il est 9 h45. Vêtus de nos jeans, de nos T-shirts nous dévalons l'escalier pour sortir. Le soleil est maître d'un ciel totalement bleu. Il commence à faire très agréable. Nous sortons les bicyclettes du garage. Une rapide vérification des câblages, de la pression des pneus et du fonctionnement des dérailleurs. C'est OK. Voilà la camionnette des fruits et légumes qui descend lentement le chemin. C'est toujours la même jeune femme depuis dix neuf mois.

Nous nous saluons. Avare de sourires durant de longs mois, Geneviève est très avenante depuis notre retour de vacances. Du hayon arrière elle sort les deux cageots contenant nos commandes. Nous lui rendons ceux de la semaine dernière. Consignés. L'un contient nos légumes, l'autre nos fruits et les produits frais. Fromages, yaourts, beurre, œufs, petits pots de crème fraîche. Même commande pour samedi prochain. Nous attendons quelques minutes. Des bisous. Voilà le tube Citroën entièrement retapé de madame Marthe, notre boulangère.

Mme Marthe a toujours quelques facétieuses anecdotes à nous raconter. Nous adorons son humour. Nous récupérons nos deux grosses miches de pain complet, nos quatre pâtes feuilletées, notre brioche au pudding. Depuis notre retour des vacances la boulangère nous offre toujours deux ou trois gros croissants. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons madame Marthe qui s'en va pour d'autres livraisons. Nous passons par derrière pour descendre directement à la cave. Il suffit d'ouvrir les deux volets métalliques de la trappe.

Au cellier nous disposons soigneusement les légumes et les fruits sur les étagères. Dans le congélateur nous mettons une des deux miches, les quatre pâtes feuilletées. J'en tire un paquet de moules de 2 kg, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous remontons par l'intérieur. Dans le réfrigérateur, nous rangeons nos produits frais. << Mmhh ! Il y a du Morbier, du Saint-Nectaire et du Bleu d'Auvergne ! >> fait Clémentine qui caresse affectueusement l'emballage du Roquefort. Nous consommons beaucoup de fromages. Miam.

Nous allons au salon car Julie est entrain de passer la serpillère sur les carrelages du bas. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Deux messages. Celui de Juliette qui nous invite à passer au haras demain dimanche. Celui de mon notaire qui nous propose une série de dates. Clémentine et moi avons l'intention de nous pacser. Pour de pures raisons administratives. Ce pacs lui permettra d'obtenir la nationalité écossaise au bout de cinq années de présence à Edimbourg. Il est toujours préférable de prévoir. J'anticipe toujours.

Dans une enveloppe je glisse un billet de 50 euros à l'intention de Julie. J'y rajoute un papier sur lequel j'écris "Ce n'est pas du Black, c'est cette vieille dette". C'est une clause entendue entre nous. Il est presque 11 h. Nous répondons à deux messages privés sur ce forum. Deux fidèles lecteurs qui nous font part de leurs bonheurs de lire nos aventures chaque jour. Nous répondons toujours. Juste un petit mot. C'est la moindre des choses. Ce sont des témoignages tellement gentils, parfois poignants de gens seuls. Autant de femmes que d'hommes.

Il est 11 h20 quand Julie vient nous rejoindre. Elle s'est changée. << Une machine tourne en bas, dans la buanderie ! Mes draps et les vôtres ! >> précise t-elle. Clémentine lui fait lire notre dernier récit. << Tu devrais t'inscrire sous un pseudo masculin, on te foutrait la paix et tu pourrais lire toutes nos aventures ! >> propose t-elle à Julie qui éclate de rire en répondant : << J'adore le pseudo que vous me donnez. "Julie" ! Ça me va bien ! >>. Elle rit de tous les pseudos que nous donnons aux gens que nous connaissons tous les trois.

<< Estelle ! Anne-Marie ! C'est trop bien ! >> s'écrie t-elle en déclinant la proposition de s'inscrire. Elle rajoute : << Je préfère la réalité au virtuel ! >>. Je tends son enveloppe à Julie. << Merci Julien ! Trois heures de ménage. C'est rudement bien payé ! >>. Je précise : << Ah mais ce n'est pas une rémunération quelconque. C'est le remboursement de cette vieille dette, vous savez ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine passe la commande pour le repas de lundi soir. Julie passera au restaurant de sa tante pour les récupérer. Il est 11 h45.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. La séparation est un peu dure. Assise au volant de sa petite Clio rouge, Julie fixe ma braguette en disant : << Vivement lundi soir. Je me réjouis déjà ! >>. Je réponds : << N'oubliez pas, à partir du vendredi premier octobre, vous prenez un cour de peinture entre 16 h et 18 h ! >>. Julie s'empresse de s'écrier : << Oh mais je n'oublie pas. J'ai soif d'apprendre ! >>. Un dernier bisou sur le front. Il fait chaud. Nous regardons l'auto monter vers le portail. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer.

Tout est propre dans la maison. Julie a le bon goût d'allumer les diffuseurs d'arômes afin de masquer les odeurs de javel et de chlore. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare un rapide bouillon. Dans le wok je jette les haricots verts et les petits pois même pas décongelés. On s'en contre fou, c'est bon quand même. Dans le bouillon en ébullition je jette les moules pas décongelées non plus. << Il fait tellement bon qu'on pourrait manger dans le jardin ! >> fait Clémentine. Je dis : << Et pourquoi pas ! >>.

Le mobilier de jardin est encore dehors sous une bâche coincée avec de grosses pierres. Ni une, ni deux, nous allons mettre une nappe et disposer les couverts, les assiettes. A l'ombre du noyer dont les noix commencent à tomber. Avec toutes les pluies des dernières semaines, elles ne sont pas très bonnes. Il nous en reste encore deux gros paniers plein de l'année dernière au cellier. Et les noix se conservent très bien dans une cave sèche à température constante. Nous rentrons récupérer les plats. Quel plaisir que de manger dehors. Il y a 24°.

Nos voisins, les Bertrand, doivent probablement faire pareil. Depuis leur propriété à plus de 300 m monte les odeurs d'un barbecue. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Julie. Ses attitudes. << Elle prend un plaisir fou à nous observer. Tu as vus hier soir, au lit, quand on s'est offert un "69" entrecoupé de petites baises, elle mâtait. Je suis sûr qu'elle se touchait sous les draps ! >> lance Clémentine. C'est vrai que c'est assez génial de baiser sous le regard d'une jeune voyeuse de 20 ans. Clémentine rajoute : << Elle bave en mâtant ta bite ! >>.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la soirée Gloryhole prévue pour le samedi 9 octobre. << Ça m'excite de plus en plus. Tu sais que j'y pense en cours, plusieurs fois par jour ! >> dit elle. Je l'encourage à y penser encore davantage. Je suggère qu'elle soit la "princesse" de la soirée. Que toutes les bites qui se présenteront par l'orifice, ne soient que pour elle. Sans partage. Nous rions quand Clémentine précise : << De toute façon, je n'arrive pas à convaincre Estelle à participer ! >>.

En parlant d'Estelle, voilà la voiture d'entreprise qui descend lentement le chemin. Elle se gare devant le garage. Estelle en sort avec son grand sac de sport qu'elle jette à côté de la bagnole. Elle se précipite pour nous faire la bise. << On a mangé la même chose à midi ! Papa raffole de moules ! >> lance t-elle. Nous éclatons de rire quand Estelle rajoute : << Et avec maman, il a certainement de quoi se régaler ! Venez, je vous aide à faire la vaisselle. Comme ça on peut s'arracher plus vite ! >. Je récupère son grand sac de sport à côté de l'auto.

J'en profite pour sortir son vélo et y fixer la roue avant. Je rejoins les filles à la cuisine. Nous montons nous laver les dents pendant qu'Estelle prépare le petit sac à dos. Pommes, barres de céréales, les K-ways. Nous dévalons les escaliers, pressés de filer. 13 h45. C'est parti. 300 m jusqu'à la rivière. La passerelle en bois. 500 m jusqu'à la piste cyclable. Avec cette météo exceptionnelle, tout ce que la région compte d'amateurs de bicyclette s'est donné rendez-vous là. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Il nous poussera au retour.

Nous croisons nombre de cyclistes, de filles en rollers, de cinglés fonçant à des vitesses hallucinantes sur des trottinettes électriques. Il y a 25 km jusqu'au port de plaisance où nous arrivons pour 15 h30. Il y a plein de gens. Les joueurs de boules, les exposants du marché aux antiquaires qui préparent leurs stands. Des groupes de cyclistes. Des plaisanciers qui commencent à bâcher leurs bateaux. Nous fermons les vélos à cadenas derrière la capitainerie. Clémentine retire discrètement sa culotte. Estelle et Clémentine sont en jupettes et T-shirts.

La culotte est dans la poche avant du petit sac à dos que je porte. Estelle garde le plus souvent la sienne. << J'ai comme un sentiment d'insécurité quand je n'en porte pas ! >> dit elle en riant. Nous traversons la route pour aller à la supérette. Nos pots de crèmes glacées Haagen Dazs nous y attendent. Il y a des clients. Donc nous utilisons notre stratégie habituelle. Estelle prend place dans la file à une des deux caisses. Clémentine et moi, nous allons chercher les pots dans les armoires congélateurs au fond du magasin. Bonne formule.

Nous savourons nos délices assis sur le muret, les pieds dans le vide. Parfums noisettes, amandes et pistaches. Nous nous faisons goûter. Nous adorons nous embrasser avec la bouche pleine de glace pour la laisser fondre. Une fois avec Estelle à ma gauche. Une fois avec Clémentine à ma droite. Ce qui n'échappe évidement pas à quelques observateurs. Notamment ce groupe de cyclistes touristes qui poussent leurs vélos. C'est toujours amusant de voir les réactions, les expressions et les attitudes. Quelques regards envieux, parfois libidineux.

Estelle est réglée comme un métronome. Tous les 25 de chaque mois, elle a ses "petits machins" de fille. Quelques contractions désagréables du bas ventre. Les pointes de ses tous petits seins légèrement congestionnés. J'applique le traitement du "docteur Julien". Je pose mes lèvres sur ses seins. A travers le tissus de son t-shirt, j'insuffle de l'air chaud. Je pose délicatement ma main sur son ventre pour masser doucement. << Mmhh ! Ça soulage ! >> murmure Estelle. Nous jetons les pots vides dans une des nombreuses poubelles.

Nous nous dirigeons vers les bâtiments des sanitaires. Ceux réservés aux plaisanciers sont fermés. La saison est terminée. Les environs du bâtiment des toilettes publiques sont le rendez-vous des D'jeunes du bourg voisin. Nous descendons donc le chemin qui longe le canal. Il y a là souvent d'excellents "plans". Il y a des pêcheurs. Nous avons l'impression que cette activité devient une mode. Il y en a toujours davantage. Le plus drôle c'est l'équipement para militaire de certains. C'est trop rigolo de taquiner les poissons en tenues de combat.

Il y a ce type qui pousse son vélo. Il marche sur le sentier derrière les fourrés. << Un "plan" ! >> lance Clémentine qui glisse sa main sous sa jupette, entre ses cuisses. En effet, les circonstances semblent parfaites pour une bonne petite exhibe. Estelle et moi nous avons toujours le réflexe nécessaire. Nous nous dissimulons derrière les bosquets. Clémentine marche doucement, les bras croisés. Le type n'est plus qu'à une centaine de mètres. Clémentine glisse sa main entre ses cuisses. L'une sur l'autre. Mimant parfaitement la fille qui doit faire pipi fort.

Elle se penche pour passer sous les branches basses. Du côté du canal aucun pêcheur ne peut la voir. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Nous avons assisté tant de fois aux shows de Clémentine. Pourtant c'est à chaque fois une grande première. Je bande comme un salaud dans la main d'Estelle. Comme elle a ses "petits machins" je me contente de passer l'extrémité de mes doigts à l'endroit de son clitoris. << Mmhh, c'est bon Julien ! >> chuchote t-elle avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Juste quelques secondes.

Nous ne voulons rien perdre du spectacle qui s'offre à nous, là-bas, à une centaine de mètres. Le cycliste pousse son vélo. Il arrive à la hauteur de la jeune fille qu'il découvre accroupie, entrain de faire son pipi. Nous voyons Clémentine de dos. Impossible de savoir si elle pisse vraiment. Même avec la paire de jumelles que nous nous refilons. Le type s'arrête. Il doit être à une dizaine de mètres de Clémentine. Il regarde rapidement dans toutes les directions. Certain de ne pas être vu, notre gaillard laisse tomber sa bicyclette pour descendre son short.

<< Put-Hein la queue ! >> murmure Estelle qui me tend les jumelles afin que je me rende compte du chibre qu'exhibe le bonhomme. Celui-là aussi est doté d'un superbe engin. Il bande comme le dernier des salauds. Il tient sa queue à sa base pour l'agiter vers la fille. Nous le voyons parler. Impossible d'entendre le moindre mot. Il se cambre sur ses genoux fléchis pour se branler. Il tient ses couilles de la main gauche en se masturbant frénétiquement de la main droite. Il ne cesse de regarder partout autour de lui. Clémentine vient de se redresser.

Elle se torche en prenant tout son temps, exagérant le mouvement, cuisses largement écartées. Nous la voyons causer avec le branleur. La situation est surréaliste. Ils discutent tous les deux en se masturbant. << Put-Hein regarde ! >> murmure Estelle en me passant la paire de jumelles. Le mec cesse de se branler pour lâcher un jet de pisse. Il recommence. S'arrête. << Un pisseur. Plus fort que toi ! Le salopard ! >> chuchote Estelle qui m'arrache carrément les jumelles des mains. Nous rions d'un rire étouffé. Le type ne tente rien. Il reste cool.

La situation perdure une bonne dizaine de minutes. Il y a deux femmes qui arrivent en poussant également leurs bicyclettes. Le mec s'arrête, remonte son short, secoue sa main probablement pleine de pisse. Les deux femmes rejoignent notre salopiot. Je regarde attentivement. Pas doute, c'est probablement sa femme et sa fille. Clémentine disparaît immédiatement. Elle vient nous rejoindre de l'autre côté des fourrés, par le chemin. Nous restons planqués pour voir s'éloigner le trio. << Vous avez vu ? >> nous demande Clémentine.

<< Il m'a fixé un rencard le salaud ! Il sera là demain pour le carré des antiquaires. 15 h30, près des chiottes. Si je veux baiser avec lui ! >> rajoute Clémentine. << Il ne manque pas d'humour celui-là ! >> lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. << Je n'ai encore jamais baisé avec un mec qui pourrait me pisser dans la chatte ! >> s'écrie Clémentine avant d'éclater de rire. Je dis : << A tenter ! >>. Clémentine me fait : << Il faut que j'essaie ça ! >>. Je propose de revenir demain et de tenter l'expérience. Clémentine reste pensive.

<< On se planque pour mâter ! Tu ne risques rien d'autre que de te faire niquer ! >> lance Estelle. Je rajoute : << C'est vrai ! Et il n'a pas l'air trop moche ! Juste un petit ventre ! >>. Clémentine me fixe longuement. Je sors ma queue pour l'agiter dans sa direction en faisant un clin d'œil. << Tente le plan ! >> rajoute Estelle qui s'en saisit pour me branler doucement. Clémentine s'accroupit en ouvrant la bouche. Je n'ai qu'à faire deux pas pour la lui mettre. Estelle me roule une pelle. Clémentine me taille une pipe. Sans prévenir, j'éjacule. Trop excité.

Clémentine tombe à genoux dans l'herbe en attrapant mon short par les hanches. En gémissant de plaisir elle déglutit les décharges au fur et à mesure de leurs giclées. Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Aux spasmes de jouissances qui agitent mon corps, elle comprend ce qui se passe. J'attrape Clémentine par ses cheveux défaits pour la forcer à cesser. A se redresser. Je sais qu'elle raffole des deuxièmes éjaculations. Elle tente d'avaler avec peine après nous avoir montrer le contenu de sa bouche. Elle se blottit contre moi.

<< Et moi ? >> lance Estelle. Je réponds : << Toi, je t'en garde pour ce soir. Ce sera le médicament pour ce que tu as. Le traitement du docteur Julien ! >>. C'est en riant comme des fous que nous retournons aux vélos. Il est presque 18 h. La fraîcheur humide du soir impose d'enfiler nos leggings et nos K-ways. Le généreux vent d'Ouest nous pousse sur les 25 km du retour. Nous pouvons papoter sans faire le moindre effort. Il est 19 h20 quand nous arrivons à la maison. Fourbus mais tellement satisfaits de notre virée vélo. Morts de faim aussi.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle et moi, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, le navet, le céleris. Nous en faisons en grande quantité. Ce sera notre potée de légumes pour les trois prochains repas. Estelle touille sans arrêt avec une spatule en bois. Les légumes attachent dans la vieille cocotte en fonte. Mais c'est tellement bon. Dans la poêle je fais rissoler trois filets de saumon avec des champignons. En fin de cuisson, je rajoute un petit pot de crème fraîche. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le porc du port.

J'encourage vivement Clémentine à tenter l'expérience. Se faire baiser en se faisant pisser dans la chatte. << Ils ne courent pas les rues les mecs capables de telles prouesses ! >> lance Estelle. Je rajoute : << Tu imagines un peu les sensations ! Toi qui n'a jamais d'orgasme en baisant sans te masturber en même tant, tu risques peut-être de connaître enfin le "grand frisson" ! >>. Nous éclatons de rire. La vaisselle. Nous passons au salon. Clémentine se masturbe vautrée dans le fauteuil en regardant Estelle me tailler une pipe des familles. Juteuse !

Bonne soirée à toutes les coquines qui hésitent à tenter de nouvelles expériences sans en parler longuement au préalable...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1655 -



Un dimanche sympathique

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par le souffle chaud d'Estelle contre mon visage. L'haleine de sa nuit. Il y a quelque chose d'animal dans ce souffle. Son sixième sens, probablement. Elle me sait réveillé. Encore dans un demi sommeil, ses lèvres se posent sur les miennes. L'effet ventouse rajoute encore à cette animalité sensuelle et déjà si terriblement excitante. Estelle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection matinale. Clémentine, en gémissant vient se blottir contre moi aussi fort qu'Estelle. Il est un peu plus de neuf heures.

Je suis entre mes deux anges. C'est un enchantement paradisiaque. Nous nous étirons longuement. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Elle se précipite vers la porte. Clémentine me chevauche en riant. Nous mimons l'acte d'amour. << Je t'aime Julien. Comme je suis heureuse ! >> me chuchote t-elle en se frottant sur ma queue dure comme le bois. Elle me couvre le visage de bisous. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, en slips et en T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine.

<< C'est merveilleux ces matinées ensemble ! >> lance Estelle qui se jette dans mes bras. Je la soulève dans l'odeur du café. Elle enserre ma taille de ses jambes, dans les parfums du pain grillé et de la brioche. J'administre le même traitement à Clémentine. C'est vrai que c'est tellement merveilleux ! Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre virée vélo de hier. Le branleur pisseur qui a fixé rendez-vous à Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Dehors, le ciel est gris, couvert.

Avec cette météo menaçante nous n'irons pas au carré des antiquaires à bicyclette. C'est un peu dépités que nous faisons cet amère constat. Le dimanche, pas de jogging, pas d'entraînement, pas de gymnastique. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles parlent de leurs études. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous nous changeons. Jeans, sweats. Nous faisons le lit. Nous dévalons les escaliers.

Nous sortons. Il n'y a pas la fraîcheur des autres matins. La belle journée ainsi que la chaleur de hier y sont certainement pour quelque chose. Nous descendons jusqu'à la rivière. Mes deux anges sont accrochées à mes bras. Ce sont des échanges de bisous. C'est le second jour des "petits machins" de fille pour Estelle. Je lui administre donc le traitement du docteur Julien. Les lèvres posées sur l'extrémité de ses tous petits seins. A travers le tissus j'insuffle de l'air chaud. Je glisse ma main sous sont sweat pour caresser le bas de son ventre.

Nous prenons le sentier de gauche. Estelle marche devant. Elle se retourne souvent pour demander le traitement du docteur Julien. Clémentine qui marche derrière se serre alors contre moi, ses bras autour de ma taille. Nous arrivons au vieux lavoir. Il est 10 h45. Assis sur le muret du bassin vide, nous faisons le bilan de la semaine passée. << Aux vacances de la Toussaint, on reste ensemble tous les trois ! >> lance Estelle. Je trouve la suggestion fort plaisante. << C'est trop dur juste le week-end ! >> rajoute t-elle. Nous sommes d'accords.

Estelle me sort la queue qu'elle tient dans sa main tout en parlant de nos vacances écossaises. Nous étions fourrés ensemble durant plus de deux mois. << Notre couple à trois ! >> aime à répéter Estelle. Tout en parlant elle me tord le Zob dans tous les sens. Comme je bande mou, ce n'est pas désagréable. Nous prenons le sens du retour. De nombreux arrêts pour le traitement du docteur Julien. Il est midi passé quand nous revenons à la maison. Clémentine fait une salade de tomates. Estelle réchauffe la potée de légumes dans la cocotte en fonte.

A la poêle je fais rissoler des calmars auxquels je rajoute du Roquefort en fin de cuisson. Un déglaçage pour une sauce. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Estelle est contente, les douleurs ont fait place à une légère contraction de son bas ventre. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges font l'organisation du planning de l'après-midi. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous nous changeons. Estelle a ramené des fringues dans son grand sac de sport. Prévoyante. Stratège.

Les filles portent toutes les deux une jupe brune qui descend sur le haut du mollet. Un chemisier crème sous une veste cintrée brune. Des souliers de ville marrons à légers talons. Sur leurs demandes, je porte un pantalon brun à pinces et à plis. Une chemise crème sous ma veste brune. Des mocassins marrons. Vêtus des mêmes teintes nous prenons des poses devant le grand miroir de l'armoire. << Les trois mousquetaires sont beaux encore aujourd'hui ! >> fait Estelle qui me palpe la braguette. Clémentine me palpe les fesses. Nous rions.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers une nouvelle fois. Par précaution, nous emmenons les parapluies. Le ciel reste couvert de nuages gris et tourmentés. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, me caresse les joues, le cou. Parfois je glisse ma main sous la jupe de Clémentine. J'adore l'intérieur de ses cuisses lisses et chaudes. Les poils qui dépassent de sa culotte de coton soyeux. Il y a plus de trente bornes par la route jusqu'au port de plaisance. Le marché aux antiquaire est un succès.

Il faut garer l'auto à plus d'un kilomètre du port. Il y a un monde fou. Toutes les manifestations organisées par la municipalité du bourg voisin, attirent toujours les foules. Je suis entre mes deux anges qui ne lâchent ni mon bras, ni ma main. Nous attirons évidemment encore bien des regards. Il faut mettre nos masques sanitaires pour entrer dans l'espace du marché aux antiquaires. Comme toujours dans ce genre de manifestations, les plus belles choses sont déjà parties ce matin de bonne heure et sans doute avant l'ouverture officielle.

Nous détestons les bains de foules. La promiscuité est pénible. Tout le monde veut encore profiter de ces dernières festivités. Nous flânons un peu. Ce sont les vieux livres et les vieux disques vinyles qui nous intéressent. Il y aurait là de quoi passer une journée entière à tous les regarder. Certains exposants en proposent des cartons pleins. Il est 15 h30. Clémentine propose d'aller sur le lieu de son rendez-vous. Nous quittons le marché pour descendre vers les bâtiments des sanitaires. Il y a la file devant le bâtiment des toilettes publiques. A éviter.

Estelle et moi, nous restons en retrait. Cachés derrière les nombreux bosquets soigneusement taillés qui entourent l'endroit. Nous regardons Clémentine descendre doucement, les bras croisés. Sa silhouette est extraordinairement romantique dans ce décors de verdure. Très sexy également. Sa jupe légèrement évasée jusqu'au-dessus du mollet, sa veste cintrée, participent encore à la grandir. Soudain, il y a le type de hier après-midi. << Mais d'où il sort comme un diable de sa boîte celui-là ! >> murmure Estelle qui joue avec ma bite dans ma braguette.

Nous observons la scène depuis notre cachette. Il n'y a personne par là. Le type regarde partout autour de lui. Il est de la même taille que Clémentine. En jeans, en sweat et en baskets. << Mais où sont sa femme et sa fille ? >> chuchote encore Estelle qui m'a sorti le Zob. L'inconnu lui aussi a sorti son sexe. Nous sommes à une centaine de mètres. Estelle tire sa petite paire de jumelles de son sac à main. Nous observons à tour de rôle. Il y a de jeunes amoureux qui cherchent le calme. De ces couples qui errent. Chaque fois le mec cache son Zob.

Il est hors de question de baiser avec ce type. Même si la proposition du type est intéressante. Se faire pisser dans la chatte, Clémentine ne baise pas avec un inconnu sans préservatif. Et ce n'est arrivé que quelques rares fois. Par contre elle s'accroupit tout près du type pour le regarder pisser. Il bande comme le dernier des salauds. Une bite qu'il tient à sa base entre le pouce et l'index. Il y a là vingt bons centimètres. Estelle et moi nous nous passons les jumelles pour regarder. Des couples d'amoureux passent. Le mec cesse à chaque fois.

Il se masturbe. C'est impressionnant de le voir maîtriser parfaitement les jets de pisse qu'il propulse à deux trois mètres. Il propose probablement à Clémentine de tenir sa lance à incendie. Nous voyons Clémentine hésiter. Voilà un groupe de jeunes qui descendent. Des garçons et des filles. Cela met un terme définitif à la démonstration du branleur pisseur. Clémentine le laisse pour remonter. Nous la rejoignons en haut du chemin. Là-bas, le type marche très vite pour rejoindre un groupe de gens. Clémentine nous raconte. C'est fou.

<< Je n'ai jamais vu ça ! Même toi Julien dans tes meilleurs dispositions, tu ne t'alignes pas ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. << Il m'a donné son numéro de téléphone ! >> lance encore Clémentine en agitant une petite carte. Nous lisons. C'est un agent immobilier. Il habite le bourg voisin. << Il m'a proposé une baise. De me faire découvrir les sensations que procure sa "spécialité" ! >> fait encore Clémentine. J'encourage vivement Clémentine à revoir ce vicelard. << Sans capote, je ne baise pas. Donc je ne ressentirai rien ! >> rajoute t-elle.

Il est 16 h30. Nous nous offrons nos cônes glacés en flânant encore un peu jusqu'à la jetée. Il y a un peu moins de monde. Clémentine reste serrée contre moi. << Je culpabilise toujours un peu quand je fais des saloperies avec un autre ! >> me dit elle. Je la rassure une fois encore. J'aime être planqué pour mâter. Estelle précise : << C'est trop génial. J'ai fait de Julien un véritable voyeur ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je m'écrie : << Je suis voyeur certes mais exclusivement en ce qui concerne la fille que j'aime ! >>.

<< Les filles que tu aimes ! >> lance Estelle qui se place devant moi pour enfoncer sa langue dans ma bouche. Je corrige en disant : << Les deux filles que j'aime ! >>. Elles m'entraînent toutes les deux dans une farandole. Il y a des gens un peu plus loin qui nous regardent amusés. Non, je ne suis pas le père de ces deux sublimes jeunes filles élégantes et si attractives. Ces gens peuvent en êtres certains quand Estelle et Clémentine me font plein de bisous, m'embrassent en se moquant éperdument des regards. Nous rions comme des fous.

Il est presque 17 h30. Nous retournons à la voiture. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. << Docteur Julien, ce soir, avant que je vous quitte vers 22 h, il faudra m'administrer mon traitement ! >> fait Estelle assise à l'arrière qui me caresse le cou. Comme convenu, nous nous arrêtons au haras. Il y a plein d'autos garées dans la cour. Des cavalières qui rentrent de promenades. Des groupes de gens qui bavardent. Nous cherchons Juliette des yeux. La voilà, là-bas, en pleine conversation avec une dizaine de personnes.

Elle nous voit. Nous fait un coucou de la main. Nous faisons pareil. << Au moins, elle nous aura vu ! >> dit Clémentine. C'est vrai. Nous aurons répondu à son invitation de passer en fin d'après-midi. Il est inutile de la déranger. Pour Juliette le dimanche n'est pas une journée de repos. Surtout avec l'arrivée de l'automne. En retournant à la voiture, nous croisons madame Walter. Elle est enchantée de nous revoir. L'assistante de Juliette est très élégante dans sa tenue d'écuyère. Elle aussi est en plein travail. Nous échangeons quelques mots.

<< On se voit à la soirée Gloryhole ? >> demande la jeune femme. << Parce que vous y serez ? >> demande Estelle. << Je suis de tous les "coups" si vous me passez l'expression ! >> répond madame Walter. Elle nous lance un clin d'œil avant de devoir nous laisser. Nous repartons. Il est 19 h15 quand nous arrivons à la maison. Mort de faim. Clémentine prépare une salade d'endives. Estelle concocte une belle omelette aux trois fromages. Je réchauffe la potée de légumes. Il en restera un peu pour demain. Nous mangeons de bon appétit.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont recevoir le traitement du docteur Julien. Cette potion "maison" faite de jute gluante...

Docteur Julien



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Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1656 -



Les présences de Julie sont tellement agréables

Hier matin, lundi, il est presque six heures lorsque l'application "océan" nous réveille. C'est comme de se réveiller au bord de la mer. Le cri des mouettes. Le bruit du ressac et les clapotis de l'eau dans les rochers. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Il faut se faire violence car l'envie de pisser ne nous laisse d'autres choix que de nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan du week-end. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le départ d'Estelle hier soir. Un peu tristounette de nous quitter à 22 h. Elle revient demain mardi, en fin d'après-midi. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. C'est un peu dur le lundi mais tellement gratifiant. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Le retour au calme, si nécessaire d'un agréable stretching. Il est 7 h25. La douche. Un autre de nos petits plaisirs.

Je descends pour aller préparer l'auto de Clémentine. Le jour s'est levé sous un ciel voilé mais lumineux. La fraîcheur n'est pas très vive. Clémentine vient me rejoindre. Il est presque 7 h45. Vêtue de son jeans, de son pull mauve sous sa veste de cuir noir, de ses bottines noires, elle me fait un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture du troisième portrait.

C'est d'après la photo d'une dame. Son commanditaire demande à ce que le personnage soit habillé façon second Empire. C'est donc un réel plaisir qui nourrit encore ma passion. Même si de réaliser la bobine d'inconnus a un côté austère, c'est sympathique de les rendre plus beaux qu'ils ne le sont probablement dans la réalité. Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait rapidement pousser des cris surréalistes. La matinée passe à une vitesse vertigineuse. Il est midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer le reste de potée.

Je fais revenir un filet de lieu noir avec des champignons, de l'ail et une échalote. C'est très rapide. La potée de légumes, réchauffée pour la quatrième fois, est encore meilleure. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Les pertinences d'André Bercoff m'amusent toujours beaucoup. Cet homme sait rendre ses émissions hautement attractives. Il est 12 h45. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors, je redescends à toute vitesse. Il fait doux. Un léger vent d'Ouest fait tomber les feuilles.

Je vais jusqu'à la rivière. Il y a monsieur Bertrand, notre voisin. Il vient chaque jour apporter du vieux pain aux canards qui en raffolent. Nous bavardons. Louis ne fait pas la moindre allusion à Clémentine. Le rusé retraité n'hésiterait pourtant pas à me cocufier si je n'étais pas informé. C'est amusant d'être dans le secret de Clémentine. Je laisse Mr Bertrand à ses volatiles pour remonter le chemin. Il y a quelques séquences ensoleillées. Je ramasse quelques noix. Les coquilles sont humides. Celles qui ne sont pas véreuses ont mauvais goût.

Avec les pluies, l'enveloppe des noix pourrissait encore accrochée aux branches. Il est 13 h30. Je suis assis devant mon chevalet. Je peins avec le même enthousiasme que ce matin. Je pense à ce vieux salaud de Louis. Les fois où j'étais caché avec Julie dans le placard pour observer ses agissements. Ses comportements de satyre avec Clémentine. L'après-midi passe aussi vite que la matinée. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle balance son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. << Je t'aime ! >> s'écrie t-elle.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Gauvain venu s'assoir à table pour draguer Estelle. << Ça fait trois ans que ça dure. C'est qu'il s'accroche le pauvre ! >> dit Clémentine qui a encore du travail. Elle s'installe devant son ordinateur à la table de travail. J'aime l'entendre commenter à voix haute ce qu'elle fait. Parfois elle chantonne. Il est 18 h15 lorsqu'elle s'écrie : << Ras-le-bol ! >>. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Clémentine range ses affaires en chantant.

Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, les yeux fermés, Clémentine change d'univers. Je caresse ses cheveux, son front. Elle tient mon poignet en gémissant de plaisir. << Tu sera vicieux avec Julie après ? >> me demande t-elle. Je la rassure. Je lui raconte ma petite discussion avec Louis. Je dis : << J'ai passé un bon moment à penser à ce que vous faisiez tous les deux. Quand j'étais planqué dans le placard avec Julie ! Tu te souviens ? >>. Clémentine ouvre les yeux, se redresse, glisse sa main dans ma braguette pour sortir mon Zob.

<< Et comment que je m'en souviens ! Ce vieux pervers me doigtait. Il a une vulgarité toute particulière et très "classe" ! >> fait Clémentine en éclatant de rire. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine me lâche la queue pour s'en emparer sur la desserte. << Julie, elle arrive, elle est au portail ! >> lance Clémentine. Je remballe ma bite. Nous nous précipitons pour aller accueillir notre douce et jeune amie. Elle est radieuse. Vêtue de son blouson de cuir noir, de son jeans, ses bottines, ses cheveux qui flottent sur ses épaules.

Des bises. Je sors la caisse isotherme du coffre de sa voiture. Elle contient nos repas commandés. Clémentine prend le sachet contenant les salades. Le ciel est entièrement couvert et menaçant. Mais la douceur persiste. Nous nous dépêchons de rentrer. A la cuisine, Julie sort les feuillantine aux fruits de mer de la caisse. Les tourtes au crabe et aux crevettes pour demain midi. Elle nous raconte son week-end en compagnie de ses parents, de son papy, de sa mamie. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant les salades de salicornes.

Je dresse la table. Plusieurs fois, à la dérobée, je surprends le regard de Julie sur ma braguette béante. Lorsqu'elle est prise en flagrant délit, elle m'adresse un sourire timide pour détourner très rapidement le regard. J'adore ce comportement de jeune fille. Ses 20 ans en sont magnifiés. Il est 19 h. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte son aventure avec le branleur pisseur qui s'exhibait au port de plaisance, samedi et dimanche après-midi. << Génial ! Il ne m'arrive jamais rien de tel ! >> s'écrie Julie toute excitée par l'histoire.

<< Il faut dire que je me promène rarement toute seule. Je n'ai pas souvent le temps ! >> rajoute t-elle. Je dis : << On s'enferme dans le placard pour mâter, un de ces jours ? >>. Julie, ravie, répond : << Oh oui ! Vous me faites signe quand vous recommencez avec le voisin ! >>. Nous rions comme des fous. Clémentine précise : << On organise ce plan un vendredi après-midi, avant ton heure de cours avec Julien ! Ça te dit ? >>. Julie est toute agitée sur sa chaise en s'écriant : << Génial ! C'est trop bien ! >>. Elle me lance un regard par en-dessous.

Julie est une jeune fille vicieuse, voyeuse, très réservée toutefois. Avec nous elle peut se lâcher, s'exprimer, manifester ses sentiments, confier ses attirances. Clémentine dit encore : << Vendredi soir, on vient manger au restaurant. On marquera ta reprise comme serveuse ! >>. Julie toute joyeuse, s'exclame : << Superbe ! Anne-Marie aussi sera contente de vous revoir. Elle demande souvent de vos nouvelles ! >>. Je sors ma bite sous la table. Julie regarde le mouvement discret de mon bras. Elle sait ce que je fais et prépare. Je me lève.

En agitant mon érection dans sa direction, je dis : << Moi aussi je me réjouis pour revoir votre tante. Vous vous souvenez, lorsque nous avons tourné le petit film porno dans les toilettes du restaurant ? Les réactions d'Anne-Marie ? >>. Julie me fait : << Oui, bien sûr, ma tante m'en parle souvent ! >>. Clémentine demande : << Tu lui lèches toujours la chatte ? >>. Julie éclate de rire avant de répondre : << Bien sûr, hier soir encore. Elle passe à la maison. C'est la sœur à maman, elle vient saluer ses parents, mon papy et ma mamie ! >>.

Nous rions. << Ça se passe où ? >> demande encore Clémentine. << Dans ma chambre, parfois dans sa voiture. Je suis à genoux parterre et Anne-Marie est dans le siège passager ! >> répond Julie. Elle nous donne d'intéressants détails. Clémentine se touche en posant plein de questions. Je me masturbe en écoutant. Julie n'ose jamais soutenir mon regard. Le sien est fuyant. Au début je croyais que c'était hypocrite. Non. C'est la timidité maladive dont est victime Julie. Je dis : << Si je propose à Anne-Marie de me sucer, quelle serait sa réaction ? >>.

Julie éclate de rire avant de lancer : << Ça lui arrive parfois. Elle me raconte des trucs assez glauques. Vous savez, c'est la plus grande vicieuse que je connaisse. Pire encore que Juliette. Demandez-lui franchement ! Elle me parle de vous en beaucoup de bien. Elle raffole des vicieux dans votre genre. Moi aussi ! >>. Nous sommes pliés de rire. Clémentine, assise sur mes genoux, répond aux questions que lui pose Julie. Julie est voyeuse. << C'est maladif, mais il est tout à fait exclu que je me soigne ! >> précise t-elle souvent en riant aux éclats.

Clémentine lui promet de l'emmener avec nous pour quelques trucs bien vicelards. Julie veut absolument revivre le "placard". Clémentine débarrasse la table. Je me lève. Je passe derrière Julie qui, soudain inquiète, suit du coin de l'œil mon déplacement. Je pose mes mains sur ses épaules. Je me penche pour murmurer à son oreille : << Je vous propose de me tailler une pipe. Ne me répondez pas tout de suite. Prenez votre temps. Réfléchissez longuement. Je vous assure que ce sera un des grands moments de votre vie ! >>. Julie reste silencieuse.

Elle consulte Clémentine du regard. Je glisse mes mains sous ses aisselles avant de les poser sur ses seins. Julie saisit mes poignets. Elle les serre afin de bloquer mes mains sur sa poitrine. Elle dit enfin : << J'y pense déjà depuis longtemps. Vous me l'avez déjà proposé. Je ne me sens pas prête. Pourtant, j'en meure d'envie. Je suis déjà dans votre intimité à tous les deux comme vous êtes dans la mienne ! >>. Julie se lève. Elle veut faire la plonge. Elle se tourne vers Clémentine pour dire : << J'aimerais te faire ce que je fais à ma tante ! Tu veux ? >>.

De battre mon cœur s'est arrêté. Mon vieux fantasme de voir Clémentine avec une autre fille verra t-il enfin le jour bientôt ? Clémentine reste silencieuse. Elle pose ses mains sur les épaules à Julie avant de répondre : << Je te promets d'y réfléchir ! >>. Julie s'écrie : << Je t'aime Clémentine ! >>. Elle se tourne vers moi pour dire : << Je vous aime Julien ! >>. Un long silence. Embarrassant et gênant. Clémentine et moi nous nous regardons. << L'heure est grave ? J'ai dis une bêtise ? >> demande Julie. Nous éclatons tous les trois de rire.

Nous faisons la vaisselle. Nous prenons le thé et des petits gâteaux au salon. La conversation reste axée sur toutes les éventualités, toutes les possibilités qui s'offrent à nous. Clémentine, assise à côté de moi dans le canapé, joue avec ma bite. Elle l'a présente souvent à Julie qui est installée dans le fauteuil. Je découvre son regard envieux. Clémentine dit à chaque fois : << Elle est pour toi quand tu te sens prête ! >>. Julie nous fait le plus merveilleux des sourire. Elle se touche discrètement. Il est 22 h. Nous la raccompagnons à sa voiture.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment venir visiter leur couple d'amis intimes. De vivre en leur compagnie de délicieux moments...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1657 -



Estelle revient en fin d'après-midi

Hier matin, mardi, il est presque six heures. Le cri des mouettes, obsédant et strident nous arrache de nos profonds sommeils. S'en suivent le bruit du ressac contre les rochers, le clapotis de l'eau. L'application "océan" donne l'illusion de se réveiller sur une plage, dans un port ou encore près de la mer. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Des bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Dès la fin de nos rituels pisseux, vêtus de nos tenues sports, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses premières tranches. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier en compagnie de Julie. Il subsiste toujours une certaine émotion après son départ. Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'attitude et le comportement de cette adorable jeune fille de vingt ans. Sa timidité, sa réserve, sa redoutable intelligence, son humour parfois. Ses penchants vicieux et son voyeurisme.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. L'échauffement qu'offrent les exercices aérobics permet d'être très vite performants. Le jogging sur tapis roulants en est facilité. Les abdominaux sont un réel plaisir. L'intensité maximale avec les charges additionnelles. Le retour au calme toujours un peu bâclé d'un agréable stretching. Il est 7 h35. La douche. Je descends le premier pour sortir la voiture de Clémentine. 7 h45. Le jour achève de se lever sous un ciel gris mais lumineux. Il fait plutôt froid ce matin. 5°.

Clémentine me rejoint vêtue de son jeans, de son pull carmin sous son blouson de cuir noir. Elle a passé une écharpe pourpre. Ses bottines noires à légers talons. Ses longs cheveux noués en catogan. Je l'adore avec ses lunettes d'étudiantes pour pouvoir conduire en toute sécurité. Un dernier bisou. << A tout de suite ! >> me dit elle en s'asseyant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Le mardi Clémentine termine à midi. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre vaisselle, notre lit. Je suis impatient d'aller dans l'atelier.

Ce matin j'allume le petit poêle rond Godin. L'odeur du feu de bois, le craquement des bûches. Tout cela respire déjà un peu de l'automne dans lequel nous pénétrons chaque jour davantage. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette humeur un peu déconnante que m'a laissé Clémentine. De terminer à midi la rend toujours un peu euphorique. Ce troisième portrait de commande m'accapare rapidement. Même si je pense à tout sauf à ce que je fais, je reste très concentré. En poussant des cris déments.

La matinée passe à une vitesse fulgurante. Je quitte l'atelier pour aller à la cuisine. Je mets les tourtes aux fruits de mer dans le four pour les réchauffer. Je lave les feuilles d'une grosse laitue. Pour midi et pour ce soir. Il est 12 h20. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre mes hanches de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Clémentine se lave les mains au-dessus de l'évier. Elle adore préparer l'assaisonnement de la salade en me racontant sa matinée de cours. Il y a toujours quelques amusantes anecdotes.

Nous mangeons de bon appétit en élaborant le menu de ce soir en compagnie d'Estelle. Les tourtes aux fruits de mer ramenées par Julie hier soir sont un véritable délice. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte les réactions d'Estelle quand elle évoque les visites de Julie. << Fais gaffe, elle est jalouse ! >> lance Clémentine. Nous éclatons de rire. Ce n'est évidemment qu'un jeu même s'il y a un fond de réalité. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. La pâte feuilletée a totalement décongelé depuis ce matin.

Je l'étale dans deux plats à tarte à bords hauts. Un grand, un plus petit. Clémentine coupe les courgettes en tranches. Je prépare un flan avec de l'œuf, de la crème fraiche, du fromage blanc et un peu de moutarde. Clémentine dispose les rondelles en spirale. J'y verse le flan. Elle dispose onze cerneaux de noix sur chacune. Je recouvre d'une bonne couche de gruyère de Comté. Au four. Cuisson à feux doux 180°. C'est bien meilleur quand ça mijote longtemps. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain.

Nous dévalons les escaliers avec nos nouvelles chaussures de marche achetées cet été en Ecosse. Nous les enfilons dans le hall d'entrée. Nous mettons nos anoraks. Une bonne marche de deux heures est nécessaire. Il fait frais. La température extérieure n'excède pas 14°. Le vent du Nord Est est impitoyable. Nous montons jusqu'au portail. Nous traversons la route pour prendre le chemin de la forêt. Nous foulons de grandes quantité de feuilles mortes. Elles jonchent le sol. Au prochain gros coup de vent, les arbres risquent de se retrouver nus.

Clémentine en ramasse quelques unes. Elle trie pour ne garder que la plus belle. Dans un livre il y a les feuilles de chaque automne passé ensemble. C'est la cinquième feuille que Clémentine garde par la tige tout le long de la promenade. Elle me tient la main. Nous faisons mille projets pour les vacances de la Toussaint. Cette semaine dans le Jura semble nous porter la poisse car il faut sans cesse la remettre pour des raisons sanitaires. Aussi, nous envisageons une semaine en Vendée ou en Normandie. Pas trop loin. Clémentine a encore du travail.

Deux heures d'une belle promenade. Nous passons par le labyrinthe des roches. Nous faisons la boucle pour revenir. Il est 15 h45 quand nous revenons. Devant son portail, monsieur Bertrand est entrain de fixer une remorque pleine de feuilles mortes à son hub. Il nous salue. Ses activités de retraité vont le conduire cet après-midi à la déchetterie. << Trop de feuilles. J'en garde une partie pour les laisser pourrir sur le compost ! >> nous explique t-il. Clémentine lui propose de venir prendre le café vendredi après-midi pour 16 h. Il accepte.

Tout heureux, Louis ne peut cacher sa joie. Je m'empresse de m'excuser. Je ne pourrai pas être là, j'ai beaucoup trop de travail. C'est bien évidemment un grossier mensonge. Je serai caché avec Julie dans le placard pour mâter. Nous le saluons pour le laisser vaquer à ses occupations. Nous rentrons. Nous retirons nos grosses godasses. Nous allons dans l'atelier. Il subsiste les senteurs du feu de bois allumé ce matin. Clémentine range sa feuille morte dans le gros livre. Elle me saute au cou, m'entraîne dans une sorte de tango loufoque.

<< C'est génial ! Vendredi après-midi on s'offre un super plan ! >> s'écrie Clémentine avant de m'embrasser avec fougue en glissant sa main dans ma braguette. Nous rions de bon cœur de mon mensonge. << Ce vieux cochon ne s'imagine pas un seul instant qu'il est à chaque fois le jouet de nos turpitudes ! >> rajoute encore Clémentine. Elle m'entraîne par la main jusqu'à la table de travail. << Caresse moi les cheveux ! >> me demande t-elle en allumant son ordinateur. Je suis debout derrière elle à lisser ses cheveux que j'ai défait.

Un dernier bisou dans la nuque. Je la laisse à son labeur. Je vais rejoindre mon poste de travail. Je peins dans la sérénité totale. Nous adorons ces séance d'émulations. J'aime entendre Clémentine chantonner, commenter à haute voix les choses qu'elle fait. Il est 18 h15. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Du bruit. Il est 18 h30. Estelle entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, elle me couvre le visage de bisous en glissant sa main dans ma braguette. << Raconte moi tes cochonneries avec Julie ! >> dit elle.

Je narre ce que Clémentine lui a déjà raconté ce matin en cours. << Si tu baises avec elle, je t'arrache les couilles avec les dents vieux pervers ! >> s'écrie t-elle sur un ton faussement autoritaire. Clémentine dit : << Et ben vendredi, à seize heures, Julie sera cachée dans le placard avec Julien ! Ça risque de déraper sévère ! >>. Estelle me sort le Zob en lançant : << Vieux salaud dégénéré ! Tu ne perds rien pour attendre ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle rejoint Clémentine à la table de travail pour comparer leurs préparations.

<< Toi, tu ne bouges pas là-bas. Tu gardes ta bite à l'air. Je m'en occupe après le repas ! >> me fait encore Estelle. Je bande mou. Je tiens mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite en direction des filles. << C'est le dernier jour de mes "petits machins" de fille ! Demain soir je peux baiser avec parrain ! >> lance Estelle en mimant une masturbation masculine. Clémentine range ses affaires. Elle montre la nouvelle feuille morte à Estelle qui fait la même chose chaque automne depuis toute petite. << J'ai 18 feuilles ! >> dit elle.

Il fait faim. Mes deux anges se serrent contre moi. J'embrasse Clémentine pendant qu'Estelle me tord la bite. J'embrasse Estelle pendant que Clémentine me masturbe un peu. Les filles m'entraînent par la queue. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement pour la laitue dont les feuilles sont déjà lavées. Estelle dresse la table. Je réchauffe la tarte à la courgette. << Mmhh ! Génial ! Quelle bonne surprise ! >> lance Estelle en découvrant le repas du soir. Accroupie devant la vitre du four. Je m'approche.

Je secoue ma bite molle à quelques centimètres de son visage. Clémentine me fait un clin d'œil. Je saisis Estelle pas ses cheveux noués en catogan. Je la maintiens fermement. Elle pousse un cri de surprise en tombant à genoux sur les tomettes en terre cuite du sol. Je lui frotte la bite sur la gueule. Elle ne s'y attendait pas. La bouche obstinément fermée, elle m'empêche d'y enfoncer ma queue. J'ai beau insister. Elle garde les lèvres serrées en poussant de petits cris. J'adore. Je l'aide à se redresser. << Vieux salaud ! >> dit elle avant de m'embrasser.

<< J'adore tes initiatives de vieux dépravé ! Tu vas voir après, au salon, je vais te vider les couilles ! >> lance t-elle en empoignant mon sexe. Elle me le tord dans tous les sens en disant : << Punition ! >>. Elle m'entraîne dans toute la grande pièce. Nous faisons le tour de la table sous les rires de Clémentine. Je suis éperdu de bonheur, pétri d'émotion. Nous partageons une fois encore ces merveilleux instants. La sonnerie du four. << Ne va pas te brûler ta queue de vicieux, je sors la tarte ! >> lance Estelle qui décroche les maniques de la hotte.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Estelle sera obligée de nous quitter pour 22 h. Il est 19 h30. Nous savourons chaque instant autant que ce délicieux repas. << Tu vas sucer le voisin vendredi ? >> demande Estelle. << Si sa petite viennoise reste aussi appétissante que dans mes souvenirs, il y a de fortes chances ! >> répond Clémentine. << Je peux ? >> me demande t-elle en posant sa main sur la mienne. Je réponds : << Mais je t'y encourage. Depuis le temps que j'aimerais te voir sucer ce vieux dégueulasse ! S'il te plaît ! >>.

Nous rions de bon cœur. Comme à son habitude, Estelle se lève plusieurs fois pour mimer des masturbations masculines. Les filles évoquent le sexe minuscule de monsieur Bertrand. Cette particularité de ressembler à une petite saucisse viennoise luisante, lisse et un peu molle. << Si elle est bonne, j'y gouterai aussi ! >> lance Estelle. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Clémentine retire son jeans et sa culotte avant de se vautrer dans le fauteuil. Estelle me fait tomber dans le canapé. Elle jette un coussin au sol.

A genoux, elle défait mes baskets, m'arrache mon jeans et mon slip. << Toi, je vais te sucer jusqu'au coma ! >> dit elle en frottant son visage sous mes couilles en tenant mon sexe mou. Clémentine se masturbe en nous observant. Elle aime tant ça. Je me fais tailler une pipe des familles par Estelle. Toutes les deux trois minutes elle cesse pour nous donner ses impressions. Parler du voisin. De la grosse bite du mec qu'on a vu se branler et pisser ce week-end, au port. Estelle se masturbe en même temps. J'éjacule en poussant des cris de sauvage.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment sucer de la queue dans la quiétude d'un salon victorien, à genoux sur un épais coussin...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1658 -



Une délicieuse soirée en compagnie de Juliette

Hier matin, mercredi, l'application "océan" nous tire du sommeil. Il est presque six heures. Le cris des mouettes, le bruit du ressac, les clapotis dans les anfractuosités. L'illusion est parfaite. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Nos rituels pisseux terminés, vêtus de nos tenues de ym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte les quatre premières tranches.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier, en compagnie d'Estelle. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la venue de Juliette ce soir. Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Aérobic comme échauffement. Jogging sur tapis roulants. Les exercices abdominaux. Les charges additionnelles. Le stretching nous permet un retour au calme avant la douche. Je descends pour aller sortir la voiture de Clémentine. Il fait froid ce matin. Il est presque 7 h45. Le ciel est couvert et menaçant.

Clémentine me rejoint vêtue de son jeans, d'un pull mauve sous son blouson de cuir noir. Une écharpe violette. Ses bottines noires à légers talons. Ses cheveux sur les épaules. Comme elle belle. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre pour aller faire la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. J'allume le petit poêle Godin. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de ce troisième portrait de commande est un plaisir supplémentaire. Je peins rapidement dans un enthousiasme délirant.

La matinée se passe dans les toutes meilleures conditions de travail. Cette toile sera terminée ce soir. Il n'y a qu'un seul personnage. Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la petite tarte à la courgette. Je fais une salade de tomates. C'est rapide. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui encore la verve d'André Bercoff est appréciable. J'épluche, je lave et je coupe en tranches de belles pommes de terre. Je les ébouillante dans l'auto-cuiseur. Je les dispose dans un grand plat en terre cuite.

Juliette, dans son courriel, a exprimé le souhait de se régaler d'un gratin dauphinois. Je verse sur le tout le mélange œuf, fromage blanc, crème fraîche. Je recouvre d'une couche de gruyère de Comté grossièrement râpé. Des graines de sésame, de la chapelure. Je mets au four. Cuisson lente à 180°. C'est bien meilleur en laissant mijoter longuement. Thermostat sur une heure trente. Je descends à la cave. Du congélateur je tire six encornets farcis. Pour ce soir, revenus à la poêle, ils seront le délicieux accompagnement du gratin de patates.

Je monte me laver les dents. J'enfile mon anoraks pour sortir. La fraîcheur est accentuée par ce vent de Nord Est assez désagréable. Le ciel est couvert. Sinistre. Chaque jour davantage de feuilles jonchent le sol. Les pluies de cette nuit ont tout détrempé. Je fais quelques pas en restant sur les dalles de grès. Je vais jeter un coup d'œil dans la maison d'amis. Tout est propre. Il y a toujours encore cette odeur de neuf qui persiste depuis le mois de mars. Il y a de la poussière sur les meubles. Il faudra faire un peu de ménage vendredi, avant la "fête".

Je rentre pour aller dans l'atelier. Il est 13 h30. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins animé du même état d'esprit que ce matin. Il est 17 h15 quand je dépose la dernière pointe de rouge de cadmium sur la surface de la toile terminée. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Clémentine rentre. Elle se précipite pour me faire quantité de bisous en mitraille. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Les réjouissances d'Estelle qui se fait tirer ce soir par Jean-Marc, son parrain. Nous rions de bon cœur.

Clémentine a encore du travail. Installée devant son ordinateur elle chantonne en mettant ses notes au propre. Je prépare la peinture acrylique terre de Sienne délayée avec de l'eau. J'applique les deux couches d'impression sur le dessin préparatoire du quatrième et dernier portrait. Un homme d'âge mûr habillé en colonel de la garde impériale. Selon le souhait du commanditaire. Je commence cette nouvelle œuvre dès demain matin. J'aime entendre Clémentine me raconter des choses passionnantes. Des anecdotes d'étudiantes. C'est beau.

Il est 18 h30. << Put-Hein comme j'en ai marre ! >> lance soudain Clémentine avant de ranger ses affaires. Je vais la rejoindre. Je la tiens par ses épaules, debout derrière elle. Je lui chuchote des douceurs. Elle éteint l'ordinateur, se tourne pour m'embrasser avec fougue. Nous en bavons de plaisir. Nous nous embrassons toujours avec tellement de passion que la salive mouille nos mentons. Nous adorons les faire glisser l'un contre l'autre en nous fixant. Je raconte ma visite dans la maison d'amis. La poussière dont il faudra se débarrasser. Rires.

<< Nous le ferons en début d'après-midi. Un petit coup d'aspirateur, de plumeau et le tour sera joué ! >> fait Clémentine en glissant sa main dans ma braguette. << Je me réjouis pour prendre le café avec ce vieux salaud de Louis ! Si tu savais ! >> rajoute t-elle encore en me sortant le sexe. Elle m'entraîne jusqu'au canapé où elle me fait tomber. A genoux sur un des coussins, Clémentine joue avec ma queue en me confiant ses ressentis quand à son rendez-vous de vendredi après-midi. 16 h. Je caresse ses cheveux en écoutant ses impressions.

La musique imbécile de mon téléphone. Il est posé sur la desserte, avec mes pinceaux et quelques tubes de peintures. Clémentine se lève pour s'en saisir. << Juliette est en chemin. Elle arrive dans cinq minutes ! >> fait-elle. Je remballe ma bite. << Surtout, garde ta braguette ouverte. Je suis hyper excitée. Je veux assister à des trucs. Sois vicieux s'il te plaît. Juliette aime ça autant que moi ! >> rajoute Clémentine. Il n'est pas tout à fait 19 h. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Les encornets farcis ont décongelé. J'allume le four.

Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Elle revient suivie de Juliette. Cette femme est passionnante à regarder. Ce soir encore elle est vêtue de sa tenue d'écuyère. Ce pantalon beige hyper moulant, son chemisier blanc sous un gilet de cuir. Ses bottes d'équitation. C'est absolument parfait. Ses longs cheveux flottent sur ses épaules. Cette bourgeoise de 47 ans est rayonnante de beauté, de séduction et d'attractivité. Elle me fait la bise. << Comme je suis contente d'être là. Mes journées commencent à être bien chargées ! >> dit elle.

Dans la poêle, je fais revenir les six encornets. Au four réchauffe le gratin de pommes de terre. Juliette a ramené une tarte aux pommes. << C'est avec vos pommes ! Elles n'ont jamais été aussi bonnes que cette année ! >> précise t-elle. Clémentine dresse la table. Juliette, appuyée contre le buffet, les bras croisés, nous parle de sa journée. Son entreprise connaît l'effervescence habituelle d'un début d'automne. La pension pour chevaux reçoit tous les jours de nouveaux pensionnaires. La limite sera de quatre vingt bêtes. Beaucoup de travail.

<< J'ai un nouveau palefrenier depuis lundi. Un jeune type de 35 ans. Il a de l'expérience. Il est plutôt bel homme et bosse super bien ! James est d'origine anglaise ! >> raconte Juliette. J'observe le triangle parfait de son sexe moulé à la perfection dans son pantalon de cavalière. Cette couture qui passe exactement au milieu des deux bosses que font les lèvres de sa vulve. Juliette le sait. Elle en joue. Surtout qu'elle se redresse pour se cambrer sur ses jambes, ses pieds écartées. D'un geste lent, elle se touche sans cesser de parler.

Juliette fait ce geste souvent. Comme si elle remettait ces deux bosses à leurs places. Comme le ferait un mec avec ses couilles. Ça aussi, ce n'est pas gratuit. Elle sait parfaitement ce qu'elle fait. Surtout qu'à chaque fois elle fixe ma braguette béante. La sonnerie du four. Je sors le gratin délicieusement fumant et dorée. << Mmhh ! J'en ai rêvé, Julien l'a fait ! >> lance Juliette en venant se pencher pour admirer. Je coupe le feu sous la poêle. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. Juliette évoque quelques amusantes anecdotes.

Les propriétaires de chevaux dont chacun a une doléance particulière. Un peu comme si leurs chevaux étaient des exceptions. Elle en arrive rapidement à la soirée Gloryhole prévue pour le samedi 9 octobre. Clémentine me fait du pieds sous la table. << Vos souhaits Clémentine ? >> lui demande Juliette. Sans hésiter, Clémentine répond : << Je veux bien être le centre d'attraction. Racontez-moi comment vous prévoyez les choses ! >>. Juliette, ravie de l'enthousiasme soudain de Clémentine, répond : << Vous serez seule dans le box ! >>.

<< Pas de caméra, pas de film, on est bien d'accord ! >> précise Clémentine. << Vous avez ma parole Clémentine. Pas de ça entre nous. Seul Julien sera autorisé à entrer dans le box. Les autres messieurs viendront à tour de rôle passer leurs queues dans le trou. Chacun seul dans le petit local de l'autre côté du mur ! J'y veillerai personnellement. Madame Walter se chargera de les faire patienter ! >>. Nous écoutons le plan prévu par cette vicelarde. Je demande : << Et vous Juliette, à part être la maîtresse de cérémonie ? >>.

<< Si Clémentine le permet, j'aurai une attention toute particulière à votre égard Julien ! >>. Clémentine me donne un coup de pied sous la table avant de répondre : << Pas de baise Juliette, pas de baise ! Pour le reste, aucun souci ! >>. Nous restons un instant silencieux tous les trois. Nous éclatons soudain de rire. Clémentine rajoute : << Il y aura Estelle pour s'occuper de Julien. Pourra t-elle me tenir compagnie dans le box ? >>. Juliette répond : << J'y ai pensé. Peut-être sera t-elle sollicitée par quelques invités entreprenants ! >>. Nous rions.

Je sors ma bite sous la table. La conversation est plutôt excitante. Je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe en direction de Juliette. J'adore l'air sévère avec lequel elle me tance à chaque fois. Je me branle avec une vulgarité exagérée. Juliette lance : << Eveline, la seconde palefrenière serait certainement intéressée. Elle me parle quelquefois de vous ! >>. Nous nous souvenons bien de cette jeune fille très discrète et travailleuse. Ce qui se prépare pour cet automne nous paraît très intéressant. Juliette nous laisse pour 22 h.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent d'un programme passionnant qui se prépare pour l'automne. Des trucs sympas...

Julien



Classe
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Classe

Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle" et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique trente cinquième page qui nous attend déjà...

Cordialement.


Homme, 53 ans, France
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Estelle nous rejoint en fin d'après-midi

Hier matin, jeudi, le cri des mouettes nous réveille. Au loin, la sirène d'un gros paquebot. Le bruit du ressac. Les clapotis dans les rochers. Il est presque six heures. L'application "océan" nous tire ainsi de nos profonds sommeils. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Quelques douceurs murmurées à l'oreille. Il est temps de se lever, de se précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier, en compagnie de Juliette. << J'apprécie de plus en plus cette femme ! Elle est délicieusement "tordue" dans sa tête ! >> fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant une fois encore cette soirée Gloryhole à laquelle nous sommes conviés. Clémentine précise même : << Une soirée qui me sera en quelque sorte entièrement dédiée ! >>. Nous éclatons de rire. Je dis : << Tu seras la star ! Je me réjouis de t'y voir à l'œuvre ! >>.

Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement nous attend. L'échauffement avec des exercices aérobics est toujours prétexte à déconnades. Vient le jogging sur tapis roulants qui est un pur moment d'extase. Les abdominaux qui procurent des sensations fort agréables pour le transit. Les charges additionnelles. Ce matin nous avons une préférence pour les mouvements libres que permettent les haltères. Nous bâclons toujours un peu le stretching du retour au calme. C'est dur après l'action et l'intensité maximale que nous déployons.

La douche. Je descends pour aller préparer l'auto. Il fait froid. A peine 3° et il est presque 7 h45. Le jour achève de se lever sous un ciel clair et lumineux. Clémentine vient me rejoindre vêtue de son jeans, de son pull mauve sous son blouson de cuir noir. Ses bottines noires à légers talons. Elle porte un bonnet mauve et une écharpe de soie violette. Un dernier bisou. Elle met ses lunettes. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre pour faire notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume le poêle Godin. Sa fonte noire chauffe vite.

Je prépare les couleurs sur la palette en pensant à Juliette. Ses regards qui en disent plus long qu'une lettre de deux pages. Comme le dit parfois Clémentine : << Tout ce qui se passe ne serait-il pas prétexte à être plus souvent près de toi ? >>. Nous connaissons les sentiments que Juliette éprouve pour moi. Ce qui rendait jalouse Clémentine il y a quelques mois encore participe à présent de son plaisir de jouer. Je peins animé de ce sentiment de profonde sérénité qui me ravit. La peinture de ce quatrième portrait de commande m'enchante.

La matinée se passe ainsi. Il est presque midi. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer le reste du gratin de pommes de terre. Je fais revenir un filet de colin à la poêle. Je me prépare une salade d'endives. Je mange de bon appétit en écoutant André Bercoff et son invité du jour sur Sud Radio. La vaisselle. Dans le saladier, je prépare une pâte à crêpe. Je la recouvre d'un linge. Je descends à la cave chercher un sachet de crevettes dans le congélateur. Pour le repas de ce soir, ce seront des beignets de crevettes avec des coquillettes.

Je monte me laver les dents. Pressé de prendre la température, je dévale les escaliers pour sortir. Comme il fait bon au soleil. Il y a bien ce désagréable vent de Nord Est. Je descends jusqu'à la rivière. Les canards me font la fête croyant probablement que je fais comme monsieur Bertrand. Que je leur apporte à manger. Les poules d'eau, les colverts font des cercless. Depuis quelques mois deux hérons cendrés ont colonisé l'endroit. Ils sont magnifiques avec leurs longs becs, leurs pattes fines et interminables. Ils se meuvent avec tant de grâce.

Je remonte. Il est 13 h15. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé de la même sérénité que ce matin. Ce quatrième portrait sera terminé demain en fin de matinée. Timing parfait avant le week-end. L'après-midi passe à une vitesse folle. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Le chantier devant lequel elle passe deux fois.

<< J'ai failli m'arrêter quand j'ai vu Mario. Lui ne m'a pas vu ! J'aimerais bien retourner taquiner ce brave homme sur son échafaudage ! >> lance Clémentine. Nous éclatons de rire. Je l'encourage à le faire. << Toute seule, je ne m'arrête pas, je ne tente jamais rien ! >> précise t-elle. Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur. Je peins en l'écoutan lire à haute voix un texte de présentation pour son devoir de mathématiques. Je la félicite en disant : << C'est éminemment littéraire. Félicitations. C'est balaise ! >>.

Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. C'est indéniable et à présent bien perceptible. Les jours diminuent. Le crépuscule arrive de plus en plus tôt. Nous entendons chantonner. Il est 18 h30. Estelle entre dans l'atelier. Elle se précipite pour me faire plein de bisous. Assise sur mes genoux, elle raconte sa soirée de hier. Comme elles mangent ensemble à midi, Estelle a déjà tout raconté à Clémentine. << J'ai baisé avec parrain hier soir. Je suis certaine que maman se doute de quelque chose. Elle me lance d'étranges regards ! >> me dit elle.

Nous en rions de bon cœur. Je lance : << Après avoir découvert les photos, elle va découvrir tes baises avec Jean-Marc ! >> Estelle s'écrie : << Déconne pas ! Et mes secrets put-hein ! >>. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. << Et toi hier soir, tu as encore montré ta bite à Juliette ? Vieux cochon va ! Clémentine m'a tout raconté ! >>. Je confirme en donnant quelques amusants détails. Je demande : << Tu viens à la soirée Gloryhole en invitée ou en participante ? >>. Estelle en se levant, répond : << En invité. Je te tiens compagnie ! >>.

Je sais qu'Estelle et Clémentine s'entendent toujours dans ces situations très particulières. Quand Clémentine me sait avec Estelle elle a la certitude que je ne "papillonne" pas avec une autre. De surcroit avec Juliette pour cette soirée très spéciale. Estelle est assise à côté de Clémentine. Elles comparent leurs textes de présentation. J'écoute les deux créations. << Dis-nous comment c'est ! >> me demande Estelle. Je les félicite toutes les deux pour la qualité de ces introductions à des équations algébriques qui me sont incompréhensibles.

Je retire ma blouse. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Estelle vient me rejoindre sans bruit, sur la pointe des pieds. Ses bras autour de ma taille, elle me fait à l'oreille : << La soirée Gloryhole sera ma soirée Julien ! >>. Clémentine qui nous rejoint à son tour, rajoute : << Mais tu as des soirées Julien tout le temps ! >>. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte en répondant : << Non, seulement quand je suis là ! >>. Je ne peux m'empêcher de m'écrier : << Vous êtes adorables toutes les deux. Je vous aime ! >>.

Nous rions aux éclats quand Estelle lance : << Enfin une déclaration d'amour ! >>. Elle nous entraîne dans une farandole. Elle improvise des paroles sur une mélodie de comptine que nous répétons après elle. Tant de bonheur nous émeut tous les trois. Nous nous serrons tous les trois. Je couvre leurs visages de bisous. Je suis pétri d'émotion. Il commence à faire faim. Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle remue la pâte à crêpes. Clémentine prépare une salade de carottes. Je fais rissoler les crevettes avec des champignons.

Le caquelon de fonte contient l'huile qui commence à frémir. Je verse le contenu de la poêle dans la pâte. Avec une cuillère Estelle récupère chaque crevette, chaque champignon qu'elle jette dans l'huile bouillante. Avec un écumoire elle récupère chaque beignet bien doré. Clémentine dresse la table en nous regardant faire. << Ne vous ébouillantez pas ! >> lance t-elle. Estelle répond : << Non, la bite à Julien est encore bien protégée sous son tablier ! >>. Nous rions. J'égoutte les coquillettes. Clémentine râpe du Parmesan. Tout est rapide.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs devoirs de math à rendre vendredi prochain. C'est un peu comme une thèse qu'il faudra présenter devant un jury d'étudiants. Elles se réjouissent car elle adorent ces challenges. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Avec sa vulgarité habituelle. Clémentine demande : << Raconte-nous comment s'est passé votre baise hier soir, et où ! >>. Estelle racle sa gorge comme avant un exposé. Elle se lève. Bien droite, les mains derrière le dos, comme à l'école.

<< Ben, il m'a pris à la cave, sur la pile de cartons pliés. Puis il m'a pénétré sur la vieille table entre la chaudière et l'armoire à confitures. Nous entendions marcher en haut. Jean-marc met sa main sur ma bouche dans les phases critiques. Il me fait jouir comme le salaud qu'il est. Et ça va faire huit ans que ça dure. J'avais seize ans la première fois. C'est moi qui cherchait des "trucs" depuis deux ans ! Voilà, vous savez tout ! A oui, un détail, j'adore ça ! >> nous raconte le plus tranquillement du monde Estelle. Nous éclatons de rire. Elle est pliée !

<< Des détails ? >> demande encore Estelle d'une voix timide. Je demande : << Oui ! Et pas de pipes ? >>. Estelle s'empresse de préciser : << Parrain n'aime pas trop les pipes. Lui, son truc, c'est la pénétration. Il aurait été un acteur porno performant et de talent ! >>. Nous sommes pliés de rire. Estelle rajoute : << Les pipes, c'est avec toi ! >>. Clémentine lance : << On va vérifier ça tout à l'heure. Contrôle de routine ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles partagent leurs souvenirs des fellations qu'elles ont déjà vécu.

Clémentine totalise des pipes à douze mecs différents. Sa première lorsqu'elle était adolescente, à un type à bicyclette au bord d'un étang. << Je me souviens, j'étais planquée ! >> s'écrie Estelle. Je connais tous les détails des aventures de Clémentine depuis son adolescence. Mais j'adore les entendre encore et encore. << Venez, on va au salon. Je vous raconte une fois de plus ! >> fait Clémentine qui m'entraîne par la main. Elle retire son jeans et sa culotte pour s'installer dans le fauteuil. Estelle me fait tomber dans le canapé. Elle m'embrasse.

Je retire mes baskets, mon pantalon, mon slip. Estelle est à genoux entre mes jambes. << Raconte-nous tes aventures ! >> demande t-elle à Clémentine. En se touchant, Clémentine revient une fois encore sur ses aventures d'adolescente. Lorsque sa narration s'arrête, c'est pour gémir, reprendre son souffle. Ses propres mots l'excitent autant que de voir Estelle me prodiguer une fellation lascive et délicate. Toutes les deux trois minutes Estelle cesse pour poser une question sur un détail précis. Ce qui lui permet de laisser reposer sa mâchoire.

J'aime cet épisode particulier où Clémentine suçait un mec dans sa bagnole. Elle l'a vu à plusieurs reprises. Elle n'avait que seize ans et découvrait les turpitudes masculines avec ravissement, curiosité et intérêt. Le type la prenait toujours par les cheveux pour l'entraîner hors de la voiture. Même sous son parapluie lorsqu'il pleuvait. Il éjaculait à l'extérieur de l'auto. Prétextant une femme jalouse au point d'inspecter les sièges de la bagnole. Nous rions toujours beaucoup de ce souvenir épique. << Un vrai salaud ! >> précise Clémentine.

Il y avait aussi ce moniteur du centre équestre qui montrait sa queue à certaine filles. Ce qui lui a valu un licenciement et des problèmes pour exhibitions sexuelles. C'était limite. Ce qui n'a nullement empêché Clémentine de lui tailler quelques pipes par la suite. Il y a ce type qui l'a draguait à la bibliothèque municipale plusieurs vendredis soirs. << Celui-là, je lui ai vidé les couilles dans les chiottes et une autre fois dans sa bagnole ! >> lance Clémentine avant de pousser un petit cri. Ses souvenirs agissent une fois encore comme un déclencheur.

Clémentine se baisse pour récupérer la cuvette en plastique. C'est dans un orgasme pisseux qu'elle hurle de plaisir. Estelle, qui s'est fait baiser hier soir par son artilleur fessier de parrain se contente ce soir de me sucer. Une première éjaculation qui lui emplit la bouche. Elle en tousse, manque de s'étouffer. Nous repartons pour un second tour. Mais cette fois, interrompant la suite de son récit, je me lève pour éjaculer dans la bouche de Clémentine. Il est 22 h quand nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Elle revient samedi.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à remémorer leurs souvenirs d'adolescente. Leurs "premières fois". Pipe ou baise...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1660 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, le cri des mouettes nous arrache de nos profonds sommeils. La sirène d'un gros paquebot n'a jamais résonné aussi proche. L'application "océan" nous réserve bien des surprises car chaque jour elle nous réveille différemment. Le bruit du ressac, les clapotis rajoutent encore à cette illusion parfaite. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Il est presque six heures. L'irrépressible besoin de pisser à raison de nos papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Clémentine est déjà toute déconneuse. C'est vendredi.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sports, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Nos petites folies en compagnie d'Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le rendez-vous de Clémentine avec monsieur Bertrand, notre retraité de voisin. Quand elle termine à midi, comme les mardis et vendredis, Clémentine aime lancer des plaisanteries qui nous font rire.

Il est 6 h25. Nous remontons nous livrer corps et âmes à l'heure de gymnastique si nécessaire. Aérobic, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles pour terminer par un bon stretching. Il est 7 h25. La douche. Je descends pour aller sortir la voiture. Je jour achève de se lever sous un ciel d'un bleu pâle et sans nuages. Clémentine me rejoint vêtue de son jeans, un sweat carmin sous son blouson de cuir noir. Ses bottines noires à légers talons. Ses cheveux noués en catogan, elle porte ses lunettes d'étudiante. Super belle. J'adore !

Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. J'allume le petit poêle rond. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. Je termine ce matin ce quatrième portrait de commande. Je peins dans cette euphorie laissée par Clémentine. Il est onze heures lorsque je dépose la dernière touche de vert de schweinfurt sur la surface du tableau achevé. Je nettoie la palette et les pinceaux. Je regarde l'œuvre.

Je dépose la toile sur le second chevalet afin qu'elle y sèche tranquillement. Je fixe la photo du paysage de la cinquième commande sur un des montants. Il me servira de modèle pour la prochaine toile que je commence dès lundi. Le dessin préparatoire ainsi que la couche d'impression sont déjà réalisés. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste quantité de beignets de crevettes au réfrigérateur. C'est dans le four que je les réchauffe avec le reste des coquillettes que je prépare en gratin. C'est rapide. Je fais une rapide salade de tomates.

Dehors il fait beau. Il fait même chaud avec les 23° qu'affiche le thermomètre extérieur. Par contre de gros et lourds nuages barrent l'horizon. Je fais quelques pas dans la propriété. Les feuilles mortes jonchent le sol. Celles qui sont encore accrochées offrent toutes les déclinaisons de rousseurs. Voilà la voiture qui descend doucement le chemin pour entrer dans le garage ouvert. Clémentine se précipite à ma rencontre pour se jeter dans mes bras. << Je suis morte de faim ! >> dit elle en m'entraînant par la main. Je prends son cartable.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée de cours. Les propos d'Estelle quand à nos jeux de hier soir. Clémentine nous a fait tout un tas de confidences sur les aventures de son adolescence pendant qu'Estelle me suçait en écoutant, en posant des questions. Nous rions de bon cœur. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me chuchote à plusieurs reprises à l'oreille : << Tu ne seras pas jaloux cet après-midi ? >>. En riant je la rassure. Je murmure à chaque fois : << Si, comme un cocu heureux ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller faire un peu de ménage dans la maison d'amis, nous dévalons les escaliers. Le ciel se couvre inexorablement. Le soleil s'est caché derrière de gros nuages sinistres. << Ça va saucer ! >> lance Clémentine qui m'entraîne par la main. J'allume immédiatement un bon feu dans la cheminée. Clémentine passe l'aspirateur. Armés tous les deux d'un plumeau, nous faisons la poussière en déconnant.

Tout est rapidement nickel. Nous montons voir à l'étage. << Viens, on fait la poussière ici aussi ! >>. Depuis la mi juin la poussière a eu le temps de s'accumuler tranquillement. Je dis : << On va proposer à Julie de faire un extra ici, une fois par mois ! >>. Clémentine rajoute : << Excellente idée. Mais on ne la laisserons pas toute seule ! >>. Nous en rions. Il est quinze heures. Toute la maison est propre et accueillante. L'odeur du feu de bois monte jusqu'ici. Cela rajoute encore à ce côté bucolique et campagnard que nous apprécions tant.

Nous sortons pour contourner la maison. Sous l'abri à bois, dans la grande corbeille, nous mettons une dizaine de bûches. Il faut porter à deux car c'est lourd. Nous faisons deux voyages. L'un pour approvisionner l'atelier. L'autre pour empiler les bûches à côté de la cuisinière à bois de la cuisine. Nous montons nous laver les mains, changer de jeans, de sweats car nos vêtements sont plein de poussière. Nous descendons dans la buanderie, à la cave, pour remplir une machine. Clémentine se serre contre moi en murmurant : << Je t'aime ! >>.

<< Je culpabilise toujours un peu avant de faire ma salope ! J'ai honte quand je pense nous deux ! >> chuchote t-elle. Je la rassure. C'est une constante. C'est bien normal. Je dis : << Je culpabilise de prendre tant de plaisir, caché, à t'observer dans tes merveilleux égarements ! >>. Nous éclatons de rire. Je soulève Clémentine qui enserre ma taille de ses jambes. Tout en m'embrassant avec fougue elle frotte son sexe contre mon ventre. Nous nous embrassons avec tant de passions que nous en avons les mentons trempés. Nous aimons les frotter.

Nous laissons la machine tourner pour remonter. Dehors, le climat est devenu menaçant. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine s'en empare. << Julie ! >> s'écrie t-elle. Nous nous précipitons dans le hall d'entrée pour l'accueillir. Elle est radieuse. Nous nous faisons la bise. Vêtue d'un jeans noir, d'un sweat rouge sous son blouson de cuir marron, ses bottines brunes à légers talons. Nous l'invitons à nous suivre dans l'atelier. << Je me réjouis pour mon cours de peinture, Julien ! >> lance Julie en sautillant autour de moi.

Je lui montre la petite toile disposée sur le chevalet de table. Elle s'installe devant en caressant les pinceaux. << J'ai pris gout à cette activité cet été, dans la galerie d'Art ! >> dit elle encore. Clémentine reste serrée contre moi. Nous regardons Julie imiter l'acte de peindre. Son premier véritable cours de peinture débutera à 17 h pour s'achever à 18 h. Julie devra alors nous laisser. Elle reprend son job de serveuse au restaurant de sa tante. Les vendredis et samedis soirs. Je dis : << Réservez-nous une table pour 19 h45, Julie ! >>.

Nous viendrons manger pour ce premier soir de reprise. << C'est génial ! Je vous garde la table habituelle, près de l'escalier qui descend aux toilettes du sous-sol. Anne-Marie sera hyper contente de vous voir. Ma tante me parle si souvent de vous ! >> lance Julie. Clémentine me montre l'heure sur la pendule de l'atelier. Il est 15 h35. Je comprends. Le rendez-vous de Clémentine est à 16 h. Julie se lève. Elle a ce réflexe de plus en plus fréquent de me déposer une bise sur la joue. Se hissant sur la pointe des pieds pour me la faire une fois encore.

Le rendez-vous de Clémentine avec monsieur Bertrand

Il fait bien chaud dans la maison d'amis. Le bas est accueillant et agréable. Le feu dans la cheminée lèche le cul du chaudron de fonte noire. Ce qui fait bouillir l'eau contenue dans les six tubulures de cuivre qu'il contient. Cet ingénieux système fait chauffer les deux radiateurs du bas. Les trois radiateurs du haut. Julie nous dit : << Vous auriez prévenu, je serais venue faire le ménage en début d'après-midi ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous la remercions. C'était très simple à faire et rapide. Clémentine nous entraîne à l'étage. Dans la cuisine.

Elle prépare le café dans la cafetière italienne. J'ouvre le paquet de petits gâteaux secs. Julie prépare les deux tasses, le sucrier et les petites cuillères. Il est 15 h30. Monsieur Bertrand est attendu pour 16 h. C'est un homme précis et ponctuel. Bien qu'il soit retraité il reste actif et dynamique. Il soigne tout particulièrement sa propriété, son jardin, son potager et ses lapins. Nous descendons. Je tiens le plateau sur lequel tout est posé. Je le dépose délicatement sur la table basse entre les deux canapés. << Je monte me changer ! >> fait Clémentine.

Dans le petit sac de sport qu'elle tient à la main, il y a la surprise qu'elle veut me faire. Mais également l'offrir à monsieur Bertrand. Julie me fait un délicieux sourire. Je l'entraîne au dernier placard. J'ouvre la porte. Je dis : << Nous allons êtres à l'étroit tous les deux, comme les dernières fois. Vous avez une doléance particulière ? >>. Julie fuit mon regard appuyé. Elle se contente de répondre : << Non ! >>. Je prends son poignet comme un docteur afin de palper son pouls. Julie a la tremblote. Cela m'amuse toujours. Son cœur bat si rapidement.

Nous regardons par la fenêtre qui donne sur l'arrière. De là on voit bien le chemin qui monte de chez les Bertrand. Nous écartons discrètement les épaisses tentures de velours carmin. Pour ne pas êtres vus. Clémentine redescend. Elle est superbe. Elle porte une robe bleue nuit cintrée à la taille sur laquelle est à passé un boléro pourpre. Cette robe arrive au-dessus du mollet. Ses chevilles sont délicatement enserrées par les fines sangles de cuir de ses escarpins à talons hauts. Elle tourne sur elle-même en relevant sa robe.

<< Tu es sublime ! >> lance Julie. Je rajoute : << Tu es merveilleusement belle ! >>. Clémentine monte sur la table basse pour s'y accroupir. Cuisses largement écartées, elle nous montre sa chatte. << Tu ne t'épiles jamais ? >> demande Julie. << La dernière fois ça doit remonter à cinq ans ! >> répond Clémentine. << Ça pousse partout ! Tu es hyper pileuse ! >> fait Julie admirative. Clémentine se redresse. Je dis : << 15 h50, sachons anticiper, à partir de maintenant, chère Julie, silence total dans le placard. Quoi qu'il arrive ! >>.

Julie se précipite vers le placard pour y entrer la première. Clémentine me fait une bise en m'accompagnant. Je rentre dans le placard à mon tour. Julie est debout sur le petit tabouret. Ainsi elle peut observer comme moi par la petite ouverture grillagée de la porte. Il faut se serrer. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche avant de dire : << Si les choses tournaient mal, viens vite ! >>. Elle peut compter sur moi. Depuis quatre ans je sécurise tous ses fantasmes exhibitionnistes, tous ses délires sexuels. Un dernier bisou. Elle ferme la porte.

Je n'ai d'autre choix que de passer mon bras autour des hanches de Julie qui me tient par les épaules. Cette intimité soudaine la fait trembler de tout son corps. C'est amusant. Dans l'obscurité, je lui fais un bisou sur la joue. Ça toque à la porte. Je chuchote : << Chut. Silence absolu ! >>. Julie se serre contre moi. Par le trou grillagé qui ne fait que sept centimètres de diamètre, je vois Clémentine se diriger vers la porte. << Bonjour Louis ! >> fait elle en serrant la main de monsieur Bertrand. Elle l'invite à la suivre et à prendre place.

Julie et moi nous regardons à tour de rôle. Une amusante dispute à coups de têtes pour pouvoir regarder. Monsieur Bertrand nous tourne le dos. Il est assis dans le canapé. Clémentine s'installe en face lui. Nous écoutons. Nous entendons très bien la conversation. Louis parle de ses travaux d'automne, de sa belle mère très âgée et hospitalisée. Clémentine parle de ses études. Monsieur Bertrand demande même de mes nouvelles. << Oh, il n'arrête pas de bosser, il a plein de commandes ! Là, il est dans son atelier à peindre ! >> répond Clémentine.

Tout en bavardant, elle regarde la braguette de notre voisin avec insistance. Julie a son visage contre le mien. Elle attend son tour pour regarder. Clémentine écarte ses cuisses lentement. Toutes les deux trois minutes elle dévoile un peu plus de l'intérieur de ses cuisses. Vêtue de sa robe, elle est follement érotique. Je vois monsieur Bertrand se tortiller. Il sort probablement son sexe car Clémentine l'encourage d'un sourire. Avec son regard par en-dessous, terriblement vicieux. << On reprend nos bons petits moments cet automne ? >> demande t-il.

<< Avec plaisir ! >> répond Clémentine qui écarte ses cuisses avec une indécence folle. Même s'il nous tourne le dos, loin de s'imaginer que nous sommes cachés dans le placard, nous devinons ce que que fait notre voisin. J'entends la respiration de Julie qui change de rythme. Je lui mets la main sur la bouche en chuchotant : << Chut ! >>. Elle se blottit contre moi. Je la tiens carrément dans mes bras. Je bande comme le dernier des salauds. Quand c'est à mon tour de regarder, je constate que Louis s'est installé à côté de Clémentine.

Il tend son bras pour placer sa main sur le sexe de Clémentine. Il tente de l'embrasser. Chose que Clémentine déteste par dessus tout de la part d'autres hommes. Par contre elle saisit le sexe de Mr Bertrand. Cette toute petite "saucisse viennoise" qui semble toujours humide car luisante. Elle est minuscule. Clémentine la tient à sa base entre son pouce et son index. Elle se penche pour regarder de près. Le vieux salaud passe sa main sous ses cheveux. La saisit-il par la nuque ? Impossible de voir. << Tu me suces ? S'il te plaît ? >> demande t-il.

Je sors ma bite dans le placard. Julie ne peut se dégager. Je la laisse regarder pour bien extraire ma queue de mon slip. Quand c'est à mon tour de regarder, je découvre Clémentine avec la bite de Louis en bouche. Il a ouvert son pantalon. Clémentine suce, les yeux fermés. L'expression de son visage ne laisse aucun doute sur le plaisir qu'elle prend. Ses lèvres collés sur les couilles du vieux dégueulasse. Je prends la main de Julie. Je la pose sur mon sexe en chuchotant : << Chut ! >>. Je glisse ma main sous son pull pour entrer dans son jeans.

Julie se déboutonne pour me permettre le meilleur accès. Comme en juin, j'enfonce mon doigt. Elle a des sursauts, des tressautements, des spasmes. Je l'embrasse dans le cou. J'ai ma main libre sur sa bouche. C'est à mon tour de regarder. Clémentine est à genoux entre les jambes de Louis. Il l'a tient par les oreilles. Comme je le fais souvent. Il a la tête renversée en arrière. Il se fait pomper sans bouger. Clémentine est immobile aussi. << Tu te régales ? >> demande t-il. Clémentine cesse de sucer pour répondre : << Comme jamais ! >>.

Julie serre mon sexe dans sa main. Encore plus fort quand c'est à son tour de mâter. Je la doigte d'un geste lent et régulier. Son souffle est parfois plus fort. On pourrait nous entendre. Je suis obligé de mettre ma main sur sa bouche, de répéter encore : << Chut ! >>. Je mâte. Clémentine s'est remise sur le canapé. Couchée sur le côté, à sucer comme si sa vie en dépendait. Louis la doigte, la masturbe. Il ne cesse de lui murmurer des choses inaudibles depuis le placard. Elle se met à quatre pattes comme pour bouffer de la queue plus facilement.

J'hallucine. Il y a des bulles de foutre sur les couilles de ce vieux pervers. Je n'ai jamais vu une telle quantité de jute. A t-il déjà éjaculé où est-ce de la sécrétion de liquide séminal dans lequel il y a du sperme ? Je vois Clémentine tenter de déglutir. Je ne l'ai jamais entendu gémir autant. Elle se régale. Elle se frotte sur la main de Louis d'un mouvement masturbatoire lent et régulier. << Tu sais que ça fait plus de dix ans que je n'ai plus eu la moindre relation sexuelle, Clémentine ? >> lance Mr Bertrand. Il rajoute : << Tu es merveilleuse ! Merci ! >>.

Clémentine avale et avale encore. << Tu te doutes de ce que je te fais bouffer ? >> lui demande le vieux salopard. Clémentine répond d'un gémissement affirmatif sans cesser de sucer. C'est hallucinant. Julie me masturbe doucement. Au même rythme que je la caresse. Je suis certain qu'elle a déjà eu un orgasme. Elle en tremble au point que c'est moi qui la tient. Je la sens les jambes flageolantes. Je regarde à nouveau. Clémentine, à genoux devant Louis, le tient par les hanches. Il est debout. Il tient sa queue. Il bande mou, comme toujours.

Soudain, il y a une coulure laiteuse. C'est du sperme épais, visqueux et gluant qui s'écoule lentement dans la bouche de Clémentine. Cela ne semble plus s'arrêter. Je n'ai jamais vu une telle quantité de sperme s'écouler ainsi d'une toute petite bite. Clémentine se met droite sur ses genoux pour gober le sexe de Louis. Elle suce. Je la vois déglutir au rythme des giclées de foutre du salopard. Il a un orgasme très curieux. Immobile, il connaît un plaisir rare. Il caresse la tête à Clémentine en disant : << C'est mon anniversaire le 3 novembre. 68 ans ! >>.

Il rajoute en essayant de sortir sa queue de la bouche de Clémentine qui ne cesse de pomper avec avidité : << Je voudrais faire l'amour avec toi. Je ne sais pas si ça marche encore. Tu veux bien m'offrir ce cadeau ? >>. Il arrive enfin à se libérer de l'étreinte gourmande. Clémentine se lève. Elle s'essuie la bouche. De son index elle récupère le sperme sur les couilles crémeuse de Louis qui attend sa réponse. Clémentine s'accroupit pour lui lécher les couilles qu'elle nettoie avec un soin passionné. Elle dit enfin : << Je ne baise qu'avec Julien ! >>.

<< Il en a de la chance Julien ! Nous sommes voisins depuis près de 25 ans. Son ancienne compagne baisait avec moi tous les lundis soirs. Il ne le sait pas. Elle m'a bouffé des litres de foutre, s'il savait ! >> lance monsieur Bertrand. Bien évidemment, comme avec Clémentine, je savais très bien ce qui se passait. Clémentine demande : << Elle était comment Christine ? >>. Louis, sans hésiter, s'écrie : << Belle comme toi, gentille comme toi et merveilleusement salope comme toi ! >>. Ils éclatent tous les deux de rire. Louis remballe sa queue.

<< Il est presque 17 h. Je dois te laisser Clémentine. Tu veux bien réfléchir à ma proposition. Je n'ai plus fait l'amour depuis plus de dix ans. Ma femme ne veut même plus en entendre parler ! >> lance encore Louis en allant vers la porte. Clémentine, avec un mouchoir en papier, s'essuie la bouche. << Je vais y réfléchir. Ce qui s'est passé là, reste entre nous. Vous n'en parlerez jamais à personne ! Juré ? >> s'écrie Clémentine. << Promis, juré ! A qui veux-tu que j'en parle ? A mes lapins ? >> répond monsieur Bertrand. << Au revoir ! >> dit-il.

Clémentine vient ouvrir la porte du placard. Julie et moi nous sommes en sueur. Julie ne lâche pas mon sexe en sortant la première. J'ai la bite qui dégouline. Je dis à Clémentine : << Merci pour ce merveilleux show ! Tu as été fantastique ! >>. Julie rajoute, en gardant mon sexe dans la main : << C'est vrai ! Tu as été formidable ! >>. Clémentine, sans répondre, s'accroupit pour gober ma bite. Julie m'embrasse soudain. J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui pousse de petits cris de ravissement. << Deux spermes différents ! >> dit Julie.

Je demande à Julie pendant que Clémentine me fait le fond de cuve : << Tout à l'heure, avec mes doigts, je vous ai offert un orgasme ? >>. Julie se met sur la pointe des pieds une nouvelle fois. Elle me fait une bise avant de murmurer : << Deux ! >>. Clémentine se redresse pour me montrer l'intérieur de sa bouche. << Ça ne te dégoute pas deux spermes différents ? >> lui demande Julie comme consternée. Clémentine répond : << Un soir, lors d'une partouze au haras, quatre mecs m'ont balancé toutes leurs purées ! J'en ai vomis ! >>.

Elle rajoute : << J'en ai vomis parce que ce vieux dégueulasse de Gérard n'a pas cessé de me pisser dans la bouche ! >>. Julie écoute avec de grands yeux. Clémentine dit encore : << Pour conclure la soirée, Julien m'a rempli la bouche de son sperme ! >>. Julie s'écrie :: << Moi j'aurais dégueulé toute la soiré ! >>. Clémentine dit : << J'ai attendu que ces messieurs aient terminé pour dégueuler derrière les écuries. Tu te rappelles Julien quand ce vieux pervers de Gérard me tenait par la nuque pour vomir ? >>. Je confirme. Grand souvenir.

Il est 17 h. Julie referme son jeans en disant : << Et mon cours de peinture ? >>. Je réponds : << On y va ! >>. Clémentine s'écrie : << Attendez-moi, je monte récupérer mes fringues. Nous entendons subitement un bruit de gargarisme. Je monte à toute vitesse en entraînant Julie. Clémentine, à genoux devant la cuvette des toilettes a des hauts le cœur. Un filet jaunâtre et gluant relie sa bouche à la faïence. << C'est de la pisse ! >> lance Julie. Clémentine, les yeux larmoyants, agite la tête d'un signe affirmatif. C'est donc ça que lui lâchait Louis.

J'aide Clémentine à se redresser. << Je n'arrive pas à vomir ! >>. Nous sortons des toilettes. Clémentine prend la pomme posée sur la desserte. Elle y croque à pleine dents. << Comme c'est bon ! >> dit elle. << Quoi ? La pomme ou le foutre à la pisse ? >> lui demande Julie. << Les deux ! >> répond Clémentine. Nous éclatons de rire. Nous quittons la maison d'amis pour rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Julie assise à côté de moi. Une palette et un pinceau en main. Elle reproduit chacun de mes gestes. Avec attention.

Le cours de peinture

Nous sommes assis l'un à côté de l'autre à la table de travail. Clémentine se penche pour me dire : << Je monte prendre une douche. Je me sens si sale ! Il me faudra laver l'intérieur aussi proprement que l'extérieur ! >>. Julie la regarde avec un sourire de compassion. L'odeur de sperme qui émane de la bouche de Clémentine rend son haleine fétide. << Ça sent la pissotière ! Comme dans les chiottes du restaurant en fin de soirée ! >> lance Julie. Nous éclatons de rire. Clémentine se précipite vers la porte en s'écriant : << A tout à l'heure ! >>.

Je demande à Julie de préparer les couleurs sur la palette. Je découvre la justesse de chacun de ses gestes. Précis. De la pointe d'une petite truelle à peindre, Julie récupère un peu de matière sans appuyer sur le tube. Juste prend la peinture à l'extrémité pour la déposer sur la palette. Ces gestes délicats me ravissent. Elle est près de moi. Je lui dépose une bise sur la joue en murmurant : << Parfait ! >>. Elle répond : << C'était merveilleux dans le placard. Ça aussi, je l'ai attendu tout l'été ! >>. Je passe mon bras autour de son épaule.

Je regarde sa façon d'étaler la peinture sur la surface de la toile. C'est une toute petite toile. J'y ai dessiné un vase, une fleur posée devant. C'est donc les couleurs du fond qu'applique mon "élève". Je n'ai aucune pédagogie, en temps normal, je déteste enseigner. Je me découvre soudain une "vocation". La respiration de Julie à mon oreille, son souffle, m'excitent peut-être encore davantage que le placard. Je bande à nouveau comme un vrai salaud. Clémentine revient, radieuse, souriante. Elle me fait plein de bisous. Elle s'installe sur mes genoux.

L'heure de cours passe si vite. Julie a réalisé la totalité du fond. Du noir le plus profond à droite au brun le plus chatoyant à gauche. Fidèle au principe des natures mortes hollandaises du XVIIème. Julie se lave les mains au-dessus du lavabo de l'atelier. Elle retire la blouse bien trop grande que je lui ai prêté. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Il y a quelques gouttes de pluie. << A tout à l'heure ! >> fait Clémentine. Julie démarre en fixant ma braguette béante. Elle lève le pouce de la main droite avant de s'en aller. C'est la première fois.

Nous nous dépêchons de rentrer. Je monte pour me changer. Je m'habille comme Clémentine d'un jeans propre, d'une chemise blanche. Clémentine assise sur le lit se tient le ventre en disant : << J'ai le gout de la bite de ce pervers ! J'ai beau me laver les dents, ça reste ! >> me dit elle. Je propose qu'elle me donne ses impressions devant un bon plateau de fruits de mer, au restaurant de l'étang. Nous prenons des poses ridicules en rigolant comme des bossus devant le grand miroir de l'armoire. Nous enfilons nos vestes noires. Habillés pareils.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Je l'ai essuyé soigneusement aux toilettes avec du papier cul. Pourtant, elle suinte encore. Il faut dire que l'excitation de mon après-midi était tellement forte. Il y a une vingtaine de kilomètres par la petite route départementale. Je gare l'auto sur le parking. Nous sommes accueillis par Julie. Comme elle est belle en tenue de serveuse. Ses bas noirs, sa robe de velours noir, son petit tablier de dentelles blanches. Elle est vraiment magnifique. Je le lui dis. Elle en rougit de plaisir.

Il y a du monde. Anne-Marie, toute contente de nous revoir vient nous saluer à notre table. Elle aussi est vêtue comme Julie. Nous faisons notre commande. Nous attirons encore quelques regards. Julie assure un service impeccable avec une autre jeune fille. A chaque fois que c'est possible, elle vient bavarder avec nous. Parlant de cet extraordinaire après-midi passé ensemble. << Il y en aura d'autres, tu verras ! >> lui fait Clémentine qui me raconte ses impressions, son ressenti, cette toute première pipe qu'elle a fait à notre voisin. Je bande.

Je descends aux toilettes du sous-sol. Je suis debout devant l'urinoir de gauche. Je me masturbe doucement. Je guette. Dans le reflet du carrelage blanc, je vois la porte s'ouvrir. C'est Julie. Elle se précipite vers moi. Elle saisit ma queue pour me faire plein de bisous sur la joue. << C'était merveilleux cet après-midi. Le placard, le cours de peinture, votre présence ici ce soir ! >> chuchote t-elle avant de filer rejoindre son service. Je remonte rejoindre Clémentine. Il est 22 h quand nous quittons le restaurant. Julie viendra faire le ménage demain matin.

Bonne soirée au restaurant à toutes les coquines qui gardent en bouche lee remontées de sperme d'un après-midi à sucer...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1661 -



Un samedi fait de merveilleuses improvisations

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand nous nous réveillons. Clémentine se blottit contre moi. Imprimant un mouvement masturbatoire contre ma hanche, elle murmure : << Je culpabilise ! >>. Je me tourne pour la prendre tout contre moi en demandant : << Mais pourquoi donc ? >>. Elle chuchote : << A cause de ce qui s'est passé hier ! Je suis une incorrigible salope ! >>. Je lui couvre le visage de bisous en répondant : << Si tu n'étais pas cette incorrigible salope, que la vie serait triste et monotone ! >>. Clémentine se serre.

L'impérieux besoin de pisser ne nous laisse pas continuer. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je viens derrière elle pour murmurer à son oreille : << Je culpabilise ! >> . Clémentine se met à rire. En m'imitant elle dit : << Et pourquoi donc ? >>. Je chuchote : << A cause de ce qui s'est passé hier dans le placard ! >>. Nous éclatons de rire. << Je t'aime Julien, je t'aime ! >> s'écrie Clémentine. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain, dans un claquement sec, délivre ses quatre premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre soirée au restaurant. Le comportement de Julie lorsqu'elle est venue me rejoindre quelques instants aux toilettes. Nous mangeons de bon appétit en faisant le constat sur nos libidos de véritables dépravés. << C'est si bon d'êtres complices ! >> fait Clémentine en posant sa main sur la mienne. Je dis : << J'ai tout le temps envie de faire des trucs avec toi ! >>. Clémentine rit.

<< Moi aussi ! Et tu sais quoi ? Ces trucs, et bien on les fait ! >> dit elle. C'est sur ce constat que nous rions comme des fous. La vaisselle. Depuis l'interphone dans le hall d'entrée, j'ouvre le portail. Julie doit arriver pour neuf heures. Nos livraisons pour dix heures. Nous montons nous laver les dents. Dehors il fait moche. Il y a eu de la pluie. Le sol est détrempé. Aussi nous choisissons l'option d'entraînement intérieur. Aérobic, joggings sur tapis roulants. La porte s'ouvre. C'est Julie. Toute timide, souriante. << Bonjour, c'est pour le ménage ! >> dit elle.

Nous cessons pour nous faire la bise. Julie ne s'attarde pas. Elle devra nous laisser pour 11 h45. Elle file pour commencer le nettoyage. Nous continuons par nos exercices au sol, les abdominaux, les charges additionnelles. Terminer par un stretching permet un retour au calme salvateur. Nous prenons notre douche. Nous pouvons entendre Julie passer l'aspirateur. Nous nous habillons de nos jeans, de nos sweats pour redescendre à toute vitesse. Il faut prendre le parapluie pour sortir car la pluie tombe à nouveau. Fine, régulière et continue.

Il est dix heures tapante. Voilà la camionnette des fruits et légumes. La jeune femme nous fait un délicieux sourire. Du hayon arrière elle tire deux cageots. L'un contient nos légumes, l'autre nos fruits, les fromages, les yaourts, les petits pots de crème fraîche, les œufs et le beurre. Même commande pour samedi prochain. Voilà le tube Citroën de madame Marthe la boulangère. Nous échangeons quelques bons mots en récupérant nos deux grosses miches de pain, notre brioche au pudding. Une fois encore Mme Marthe offre deux croissants.

Même commande pour samedi prochain. Nous n'attendons pas longtemps, voilà la camionnette du traiteur. C'est lui qui tient la boucherie poissonnerie du village. D'une des caisses isothermes qu'il trimballe, il nous donne les sachets congelés contenant nos produits de la mer. Même commande pour le samedi 6 novembre. Nous passons par l'arrière. Il suffit d'ouvrir les deux battants en métal pour accéder à la cave. Dans le cellier nous rangeons les légumes, les fruits sur les étagères. Dans le congélateur, une miche et les sacs de produits de la mer.

Je sors un sachet de moules. Un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous montons à la cuisine. Dans le réfrigérateur, nous rangeons nos produits laitiers. Nous entendons Julie passer l'aspirateur au salon. Nous la rejoignons. Elle est toute à sa tâche. A peine si elle nous prête une attention. Clémentine met cette attitude sur le compte de ce qui s'est passé hier, dans le placard. Assise sur mes genoux, elle allume l'ordinateur. Un courriel de Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités mercredi soir pour un bon repas tous les trois.

Un message d'Estelle qui nous confirme sa venue à partir de 13 h45. Nous entendons Julie s'affairer au ménage de la cuisine. Dans une enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 euros. J'y rajoute un petit mot griffonné à la hâte. "C'était magnifique hier. Dans le placard et aux toilettes du restaurant". Clémentine me palpe la braguette en me faisant des bisous. << J'ai envie de sucer ! >> me dit elle. Je réponds : << Suce ! >>. Clémentine se lève, passe sous le bureau. Je sors ma queue. La position est inconfortable. Je bande avec la bite tordue.

Je peux sentir la bouche ventouse de Clémentine. Je retire mon sexe de sa bouche pour l'aider à s'extirper de sous le bureau. Ça me fait trop mal d'avoir la queue contrainte vers le bas pendant l'érection. Je prends Clémentine dans mes bras. Je chuchote : << Tu as été merveilleuse hier après-midi. Je t'ai admiré. Tu es tellement belle, attractive, quoi que tu fasses ! >>. Clémentine m'embrasse. Elle demande : << Même quand je suce un autre type ? >>. Nous éclatons de rire. Je réponds : << Surtout quand tu suces un autre ! >>.

Julie vient nous rejoindre. << Terminé ! >> dit elle en me découvrant avec la queue dans la main de Clémentine. Soudain gênée, elle détourne le regard pour lancer : << Oh pardon ! Excusez-moi ! >>. Nous rions. Clémentine s'écrie : << Viens ! >>. Julie s'approche du bureau en fixant mon sexe bien raide que Clémentine agite à présent dans sa direction. << C'est bien étroit dans le placard, non ? >> dit elle en secouant doucement ma queue. Julie ne réponds pas. Elle se contente d'un sourire malicieux. Je lui tends son enveloppe jaune.

Julie la saisit en disant : << Merci Julien ! >>. Je contourne le bureau pour venir lui déposer une bise sur le front. Je murmure : << Vous étiez merveilleuse hier. Deux fois. Dans le placard, dans les toilettes. Vous n'imaginez pas un seul instant tout le bonheur et le plaisir que cela me procure ! >>. Julie lève les yeux, tente de soutenir mon regard avant de répondre : << Pour moi aussi ! Je n'ai presque pas dormi tellement j'y ai pensé ! >>. Je la prends par les épaules pour dire : << Vous avez le week-end pour vous reposer ! >>. Julie rit.

<< Ce soir je bosse. Demain vous êtes invités à manger. Mes parents veulent absolument faire votre connaissance ! >> lance Julie qui se reprend. << Superbe ! La présence d'Estelle ? >> demande Clémentine. << C'est prévu. Je me réjouis. Ce sera une belle fête pour moi ! >> répond t-elle. Il est 11 h45. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Il ne pleut plus. Assise au volant, par la vitre descendue, Julie fixe ma braguette. Je sors ma queue une nouvelle fois. << C'est beau ! >> dit elle en démarrant. Je secoue ma bite dans l'habitacle.

Nous la regardons partir. Un dernier coucou avant que la voiture ne disparaisse. Clémentine m'entraîne par le Zob. << Toi, tu vas de faire sucer par cette petite coquine dans pas longtemps ! >> me dit elle. Morts de faim, nous préparons notre repas. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y plonger les moules encore congelées. Dans le wok, je verse les haricots verts et les petits pois tout aussi congelés. Tant pis. C'est bon quand même et le samedi on ne veut pas s'emmerder. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me fait quelques aveux. << Je peux refaire avec Louis ? >>. Je reste étonné par cette demande. Aussi je m'empresse de préciser : << Tu dois refaire ! Surtout que tu as tellement apprécié ! >>. Clémentine change de position pour me chevaucher. << Oh oui ! J'ai aimé. Merci Julien. C'est tellement bon d'être comprise ! Je bénie le jour où je t'ai rencontré ! >> s'écrie t-elle. Je lui fais plein de bisous écoutant ses impressions. << Je n'ai jamais gouté une bite aussi bonne ! >> fait elle encore.

Elle rajoute : << C'est un vicieux. Je peux sentir tout ce qu'il fait. Il fait comme toi, il contracte ses muscles fessiers pour faire bouger sa queue dans ma bouche. Ça n'arrête pas de couler. Je pompe, je pompe encore et il en vient tout le temps. C'est très peu salé chez lui. Sa bite est tellement petite que je peux la prendre entièrement et la sucer comme un bonbon ! >>. J'écoute avec ravissement. Je ne suis même pas obligé de poser de questions car Clémentine les anticipe toutes. Ses explications m'excitent. Elle sent ma bosse en se frottant.

<< Je peux baiser avec lui pour son anniversaire ? >> me demande encore Clémentine. Je réponds : << Mais tu es obligée de baiser avec lui ! >>. Nous éclatons de rire quand Clémentine s'écrie : << Commet va t-il s'y prendre, il bande mou tout le temps ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous n'arrêtons pas de nous embrasser. Clémentine me confie un nouveau fantasme. << J'y pense en rentrant de cours, dans la voiture, sur la petite route, en me touchant ! Mais je roule doucement ! >> dit elle.

Nous montons nous laver les dents. << J'aimerais sucer un mec en filmant la scène sans qu'il le sache. Tu ne serais pas là. Je te ferai découvrir le film le soir en rentrant ! >> dit elle. Je trouve cette nouvelle idée absolument sublime. Je fais : << Et si tu baisais avec le voisin en appliquant ce concept ? >>. Clémentine s'écrie : << Génial ! Avec Louis je ne risque rien d'autre que de me faire tringler ! Nous le connaissons si bien ! >>. Je suggère : << Garde toujours le téléphone à portée de main ! >>. Elle répond : << Ne t'inquiète pas ! >>.

<< Mais qu'ils sont en haut les gens ! >>. C'est la voix d'Estelle dans l'escalier. Elle jette son grand sac de sport dans la salle de bain. Nous nous serrons tous les trois. C'est un autre bonheur que de se retrouver à nouveau ensemble. << Les trois Mousquetaires à nouveau réunis ! >> lance Estelle qui se met à sautiller autour de nous. Elle s'arrête soudain, prend un air sévère pour me dire : << Raconte-moi le placard vieux salaud ! >>. Nous éclatons de rire. Je réponds : << Clémentine va d'abord te raconter sa pipe ! >>. Estelle s'écrie : << Oh oui ! >>.

Nous allons dans la chambre. Estelle sort son pyjama et quelques affaires du sac de sport. Clémentine et moi nous sommes allongés sur le lit à la regarder plier et déplier. << Raconte ! >> s'écrie t-elle. Clémentine à ma gauche, me sort la queue. Je n'arrête plus de bander depuis ce matin. Il y a une goutte de liquide séminal qui perle à l'extrémité de la peau fripée de mon prépuce. Estelle s'allonge à ma droite. << J'écoute ! >> dit elle en se serrant contre moi. Sa tête sur ma poitrine. Clémentine commence son histoire. Sans omettre de détails.

Dans sa narration elle souligne à quel point c'était superbe. J'adore l'entendre faire des descriptions précises. Le gout du foutre de monsieur Bertrand, sa façon de se comporter en se faisant sucer. Ses couilles qui semblent ne jamais se tarir. << Put-Hein, tu me donnes envie. Ce vieux dégueulasse ne m'a jamais laissée indifférente ! >> murmure Estelle à plusieurs reprises. C'est elle qui tient ma queue aussi dure qu'un morceau d'acajou. Clémentine me tient les couilles à pleine poigne. Je glisse mes mains dans les culottes. C'est trempé au fond.

Les filles échangent leurs impressions. Monsieur Bertrand a souvent fait preuve de comportements déviants. Quand il se faisait surprendre entrain de pisser ou carrément de se branler. Qu'il continuait en bavardant avec Clémentine. << J'adore les vieux pervers ! >> lance Estelle. << Moi aussi, ce sont souvent de véritables tordus bien dégoutants ! >> rajoute Clémentine. Je dis : << Et plus c'est dégoutant, et plus ça vous attire ! >>. En cœur, sans même se consulter, mes deux anges s'écrient : << Ah oui ! On adore ça ! >>. Nous rigolons.

Clémentine propose à Estelle d'élaborer un "plan". Pourquoi ne pas s'offrir la bite de ce vieux salopard toutes les deux. L'entraîner dans un de ces pièges féminins dont elles sont passées maîtresses depuis l'adolescence. J'écoute. C'est tellement étonnant d'entendre des filles envisager différentes stratégies. Estelle propose de lui fixer rendez-vous dans la maison d'amis, toutes les deux nues. << Génial ! On garde juste nos souliers à talons hauts. On se touche en discutant avec lui ! >> lance Clémentine. << Wouah, génial ! >> s'écrie Estelle.

Il y a de la jute qui s'écoule. J'ai une flaque de foutre sur le bas de mon sweat. Clémentine se redresse sur son coude et s'en aperçoit la première. Elle glisse sa tête pour aller lécher. << Rien ne doit se perdre ! >> dit elle en montrant ce qu'elle vient de récupérer à Estelle. Estelle se déplace pour poser sa tête sur mon ventre. Elle gobe mon sexe que lui présente Clémentine. Dans l'état d'excitation où je me trouve, l'indicible et soudaine caresse me fait tourner la tête. Clémentine se redresse pour m'embrasser passionnément en gémissant.

<< Ça ne te dégoute pas de m'embrasser après ce que tu me vois faire à d'autres ? >> murmure Clémentine à mon oreille. Je réponds : << Je ne pourrais pas t'embrasser immédiatement après. Mais le jour suivant, ça va ! >>. Nous éclatons de rire. Estelle cesse de me sucer pour rigoler avec nous. Elle retourne à sa fellation douce, immobile et si délicate. Je la sens savourer tout ce qu'elle tire de mes couilles que tient toujours Clémentine. Clémentine revient sur sa pipe de hier à monsieur Bertrand. Estelle tout en suçant écoute avec attention comme moi.

Estelle cesse de pomper pour interrompre le descriptif de Clémentine. Elle dit : << J'ai comparé à plusieurs reprises, ma préférence va au foutre de Julien ! Et toi Clémentine, dis ce que tu me racontes au restaurant universitaire ! >>. Nous rions. Je m'empresse de répondre : << Dans l'ordre des préférences il y avait le jus de ce vieux salaud de Gérard. Depuis hier, celui de ce vieux pervers de Louis ! >>. Clémentine rajoute : << Je ne cache jamais rien à Julien. Il sait mes préférences ! >>. Je confirme en précisant : << J'apprécie tes préférences ! >>.

Estelle cesse de sucer toutes les deux trois minutes. Cela lui permet de laisser reposer sa mâchoire. Elle pose alors une question. Clémentine s'empresse d'y répondre. Chacune expose sa nouvelle idée pour tendre un piège à notre voisin. Elles ont le profond désir de s'amuser. C'est un brave type. << J'aime les petites bites ! Ça n'évoque pas une arme ou quelque chose de menaçant ! >> confie Clémentine. Estelle rajoute : << La grosse bite que je suce en ce moment n'a jamais représenté une menace ! Ni celle de mon parrain ! >>. Nous rigolons.

Je me fais sucer exclusivement par Estelle. Nous écoutons les belles histoires que nous raconte Clémentine. J'ai l'impression de déverser des litres de liquide séminal dans la bouche d'Estelle. Il y a des moments où la situation est critique. Je suis à deux doigts d'éjaculer. Même si je maîtrise parfaitement le fonctionnement de mon sexe, il y a des instants de lutte intense. Je veux absolument me garder pour ce soir. Estelle cesse souvent pour me montrer l'intérieur de sa bouche avant de déglutir avec peine. Clémentine se penche pour regarder.

Elle encourage Estelle à avaler avant de causer. Nous rions comme des fous. Heureusement que cet humour me permet de tempérer un peu mes envies d'éjaculer. << Je sens tes couilles qui bougent dans ma main ! C'est super ! >> fait Clémentine. Estelle arrête de pomper pour dire : << Moi, je sens les battements du cœur à Julien dans ma bouche ! >>. Je lui caresse la tête. Je n'ai jamais réussi à répondre à cette question que me posent souvent mes deux anges. Je n'ai pas de préférence. J'apprécie autant les pipes de Clémentine que celles d'Estelle.

Pourtant, cet après-midi, Clémentine ne suce pas. Elle reste serrée contre moi à nous raconter des souvenirs, des impressions, des ressentis, des comparaisons. Estelle a de quoi poser des questions pour approfondir tel ou tel détail. Moi, je lutte contre l'envie d'éjaculer qui devient une torture. Je saisis Estelle pas sa tresse pour rapprocher son visage près du mien. << Tu sens le foutre ! J'adore ton haleine ! >> lui fait Clémentine. Une fois encore mon vieux fantasme libidineux me fait espérer que mes deux anges vont enfin se rouler une pelle.

Clémentine se contente de mettre son nez devant la bouche grande ouverte d'Estelle. Moi aussi je peux sentir l'odeur forte. << J'adore ce parfum ! C'est un véritable aphrodisiaque ! >> murmure Clémentine en fourrant son visage dans mon cou. Estelle se couche sur moi. << J'aime aussi quand tu me la mets et que tu me baises comme une brute épaisse ! >> dit elle. Nous restons ainsi longuement. Comme toujours dans ces situations, Estelle s'endort en ronflant légèrement. Cela nous amuse toujours beaucoup. Clémentine tient ma queue.

A l'oreille elle continue à me confier ses désirs. << Je suis devenue une obsédée de la queue, de la pipe ! >> murmure t-elle. Je dis : << C'est de ma faute. C'est à cause de moi. Rappelle-toi comme j'insistais pour te voir sucer un autre ! >>. Clémentine me répond : << Tu n'as fait que m'offrir la possibilité de me révéler à moi-même. Secrètement j'en avais tellement envie sans oser le faire ! >>. Dans son sommeil, Estelle semble entendre car tout en dormant elle ponctue de << Moi aussi ! >> de << J'aime ! >> ou encore de << Super ! >>. Rires...

Il est 16 h30 quand nous nous réveillons. Sans même nous en rendre compte nous avons plongé tous les trois. En gémissant Estelle se blottit fort. Son premier réflexe est de saisir ma queue. << Tu es trempé ! Tu en as mis partout, regarde ! >> dit elle en relevant le bas de mon sweat. En effet, durant mon sommeil, le foutre a continué de s'écouler. Clémentine se réveille, se redresse pour regarder. << Ça doit être pareil au fond de ma culotte ! >> dit elle. << Pareil au fond de la mienne ! >> lance Estelle qui se penche pour sucer à nouveau.

<< Ah non ! Tu ne vas t'y remettre ! >> s'écrie Clémentine. Estelle se redresse pour répondre : << Non, c'est juste pour ne pas gâcher ! >>. Clémentine m'entraîne par la main. Nous allons aux toilettes. Estelle nous rejoint. Je tiens Clémentine par sa tresse. Je suis penché pour lui enfoncer un doigt dans le cul. Cela a pour effet de donner de la vigueur au jet. Sa vulve est trempée. Je me mets à genoux. Clémentine s'avance pour m'offrir sa chatte. Je me régale alors qu'Estelle est à genoux pour me tenir la bite. << A mon tour ! >> s'écrie t-elle.

Je lui administre le même traitement. << T'es un enculeur ! >> dit elle. A genoux, je me régale de sa chatte. Des filles excitées et après avoir pissé, offrent le nectar le plus savoureux à tous connaisseurs gourmets et gourmands. Estelle me tient la bite pour en diriger le jet. Clémentine, à genoux, suce à chaque fois qu'Estelle lui tend la queue. Je dégorge autant de jus de couilles que de reste de pisse. Estelle tombe à genoux pour en avoir aussi. J'ai mal dans le bas du dos. La position. Je force mes deux anges à se relever. Je masse leurs genoux.

Nous dévalons les escaliers. Il pleut. C'est sous l'immense parapluie que nous descendons jusqu'à la rivière. Les filles me tiennent par les bras. << C'est génial aussi des après-midi à ne rien faire ! >> dit Estelle. << C'est vrai. Avec les semaines que nous passons, ça m'a fait un bien fou ! >> rajoute Clémentine. Nous longeons la rivière sur le sentier pierreux. Il y a des endroits glissants. Nous restons sur nos gardes. Nous allons jusqu'au vieux lavoir. La pluie fine s'est arrêtée. Dans nos K-ways, sous notre parapluie, nous restons presque au sec.

Il est 19 h15. Il va faire nuit quand nous revenons. Il fait faim. Estelle, Clémentine et moi, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, le céleri, le navet, l'ail et l'oignon. Ce sera pour la potée de légumes. Nous en faisons en grande quantité. Il y en aura jusqu'à lundi midi. Clémentine prépare la salade. Estelle remue la potée dans la vieille cocotte en fonte noire. Dans la poêle je fais revenir trois filets de limandes pas décongelées. Ça tire de la flotte. Les filles parlent à présent de leurs études. De l'échéance de ce trimestre. Une petite thèse !

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le programme de demain, dimanche. Le repas de midi chez les parents de Julie. Peut-être une visite à Juliette en fin d'après-midi, dans ses écuries. La vaisselle. Estelle propose une baise party. Au salon, juste vêtues de leurs sweats et de leurs chaussettes, vautrées dans le canapé, elles m'offrent leurs croupions. Je passe de l'une à l'autre. Elles se masturbent toujours en même temps. L'orgasme d'Estelle. L'orgasme pisseux de Clémentine. Le mien.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font ramoner après un après-midi de confidences libidineuses et de pompage de Zob...

Julien



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Le repas de midi chez les parents de Julie

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures quand je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans mon cou. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi comme une naufragée à sa branche. Elle se serre encore plus fort avant de déposer ses lèvres ventouses sur la peau. Sa main glisse dans mon slip pour s'emparer de mon érection.Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges dans un enchantement paradisiaque. Clémentine glisse sa main sur celle d'Estelle pour empoigner mes couilles.

Je passe mes mains dans les culottes pour dénouer, défaire, les poils de ces incroyables touffes. Nous émergeons ainsi. << Pipi ! >> s'écrie soudain Estelle qui se lève pour se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche pour frotter son sexe sur le mien. << Je t'aime ! >> murmure t-elle plein de fois en déposant des bisous en mitraille sur tout mon visage. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, juste en slips et en T-shirts de nuit, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Dans l'odeur du café, du pain grillé.

La brioche au pudding et aux amandes trône sur la table. Estelle est en pyjama. Elle vient me serrer dans ses bras en disant : << Tous les matins de la semaine j'attends celui-là ! C'est l'Ecosse d'un coup ! >>. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me faisant des bisous en mitraille. Je fais pareil avec Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la journée de hier. Nous mangeons de bonne appétit en évoquant la passion pour la fellation de Clémentine. L'amour de la pipe pour Estelle. Des prétextes à beaucoup rire.

Le dimanche, pas d'entraînement, pas de jogging. Plus de ménage à faire puisque Julie s'en charge les samedis matins. Nous traînons à table en dissertant sur la qualité des brioches de madame Marthe, la boulangère. Assises sur mes genoux, les filles revoient le programme de la journée. Dehors, il pleut. Il fait sombre. Nous sommes attendus pour midi chez les parents de Julie. << Nous sommes prévenus, ce sont des gens très simples. Nous resterons donc très simples ! >> précise Clémentine. << Pas de chichis inutiles ! >> rajoute Estelle.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons pour nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Les filles miment des fellations avec leurs brosses à dents. Nous nous rinçons la bouche, têtes contre têtes au-dessus du lavabo en poussant des gémissements déments. Je demande aux filles : << Là, vous avez sucé qui ? >>. Estelle s'écrie : << Julien ! >>. Clémentine lance : << Louis ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous passons dans la chambre pour nous habiller en riant beaucoup de nos frasques.

Les jeans et les chemises blanches pour midi sont étalés sur le lit. Ainsi nous pourrons nous changer avant de partir d'ici un peu plus d'une heure. Pressés d'aller prendre l'air, nous descendons à toute vitesse pour enfiler les K-ways, prendre le parapluie. Nous sortons. Il fait étrangement doux. Pas un souffle de vent. La pluie fine tombe de manière continue. Comme hier. Nous montons jusqu'au portail pour traverser l'étroite route communale. Nous prenons le chemin pierreux qui s'enfonce dans la forêt. Je suis entre mes deux anges.

Les feuilles mortes jonchent le sol. Il en tombe même avec la pluie. << Il fait bon. J'ai trop chaud avec le K-ways sur le sweat ! Tu peux sortir ta queue ! >> lance Estelle en me stoppant, placée devant moi avant de s'accroupir. Elle extrait mon Zob de ma braguette béante. Le dimanche nous ne nous lavons pas. Nous restons à macérer dans nos jus. Estelle dépose plein de bisous sur mon sexe en disant : << C'est mon doudou ! >>. Clémentine se serre contre moi. Tête contre tête nous regardons Estelle parler à ma bite. Je caresse ses cheveux.

Elle lèche ma queue, suçote la peau fripée de mon prépuce avant de se redresser. << Je ne te dis pas l'odeur ! >> fait elle en me soufflant son haleine en plein nez. C'est vrai, ça sent fort la bite sale. << Et encore, je n'ai pas décalotté ! >> rajoute Estelle. Nous rions. Nous marchons en flânant. Il faut éviter les endroits boueux et les flaques. Il faut également penser à revenir. Il est 11 h20 quand nous revenons pour nous changer. Vêtus tous les trois exactement de la même manière, nous faisons les pitres devant le grand miroir de l'armoire.

Nous prenons des poses ridicules en nous contorsionnant. Je dis à l'intention d'Estelle : << Interdiction d'ouvrir ma braguette. Ni même d'y poser la main ! >>. Estelle éclate de rire en lançant : << Cher monsieur, sachez que ma passion première est de braver les interdits ! >>. En plaçant évidemment sa main sur ma braguette pour s'écrier : << Pouet pouet ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous mettons nos vestes noires. Nous avons des bottines noires. Elles font un bruit d'enfer sur le carrelage du hall d'entrée. L'immense parapluie.

Nous courons en restant sur les dalles de grès jusqu'au garage. Je sors la voiture. Je roule doucement. Clémentine palpe ma braguette. Estelle, assise à l'arrière caresse mes joues, mon cou. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'au lotissement à la sortie de la ville. C'est là, devant une petite maison identique aux autres que je gare l'auto. << Les tranches napolitaines ! >> fait Estelle pour désigner les petites maisons bicolores. Julie vient à notre rencontre pour ouvrir le portillon. Elle se contente de nous serrer les mains. Pas d'effusions ici.

Son sourire est merveilleux. Elle nous invite à la suivre. Julie porte un jeans, des baskets, un sweat noir. Ses longs cheveux noués en catogan. Aujourd'hui elle n'a pas ses lunettes d'étudiante sur le nez. Nous entrons dans la maison. C'est la maman qui nous accueille. C'est une femme de petite taille. D'une extrême gentillesse. Vêtue d'un jeans, d'un sweat rouge. Elle est étonnée devant nos hautes tailles. Voilà le papa. C'est un petit homme sec, souriant et immédiatement sympathique. Lui aussi a soudain l'impression d'être parmi les géants.

<< Julie nous a dit que vous étiez de hautes tailles, mais en vrai, c'est impressionnant ! >> fait la maman en nous invitant à passer au salon. Dans cette petite maison, tout est à l'échelle de ses habitants. C'est à notre tour d'être impressionnés. C'est décoré avec gout. Tout est d'une étonnante simplicité, à l'image de ces gens d'une gentillesse exquise. C'est un gratin de courgette accompagné d'une saule meunière. << Julie nous a dit que vous ne mangiez que des produits de la mer. J'espère que cela vous conviendra ! >>. Nous rions.

Je suis entre Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. En face de moi, il y a Julie entre son papa et sa maman. Nous mangeons de bon appétit. Comme pour me défier, Estelle pose souvent discrètement, un instant, sous la table, sa main sur ma braguette. Julie me lance de petits regards furtifs. C'est très excitant. C'est extraordinaire à quel point elle ressemble à sa maman. La conversation tourne autour de mes activités de peintre, ma galerie d'Art. << Nous sommes allés voir Julie souvent dans votre galerie. C'est magnifique ! >> fait la maman.

C'est elle qui parle. Le papa se contente de sourire, de ponctuer les dires de sa femmes par des : << Oui ! >>, << C'est certain ! >> ou encore des << C'est vrai ! >>. De façon adroite, j'oriente la conversation sur les activités de ce couple de gens simples et si bienveillants pour leur fille unique. On sent tout l'amour qu'ils ont pour elle. Une profonde admiration aussi. Le repas est délicieux. Clémentine, Estelle et Julie parlent de leurs études. La maman de Julie pose plein de questions sur le choix et l'orientation pour des études scientifiques.

Au dessert viennent les histoires de vacances. Le papa et la maman de Julie ne partent en général que deux semaines. Une semaine chez les parents de la mère, une autre chez les parents du père. << Depuis que Julie tiens la galerie d'Art en été, elle ne nous accompagne plus ! >> précise la maman. Le papa rajoute : << Mes parents sont repartis ce matin. Ils ont 80 km à faire. A leurs âges, c'est une vraie expédition ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous restons à table. Le café. Il est presque 14 h. Le papa de Julie me propose de me faire voir le garage.

C'est là qu'il a son atelier. C'est au sous sol. Il a une passion pour le bois. Nous apprenons que c'est lui qui a fabriqué la plupart des meubles de la maison. Clémentine et Estelle restent en haut pour la vaisselle. Je découvre les machines, les tours à bois, les scies circulaires ou à précision. Il y a cette agréable odeur de sève, de bois de diverses natures. Principalement du chêne, du hêtre mais également des essences plus exotiques comme l'acajou, le palissandre. << Regardez, j'ai un vieux stock de palissandre du brésil. ! >> m'explique Jean-jacques.

Il me fait sentir les parfums suaves de ces essences rares. Quelle surprise, voilà Julie. Elle nous rejoins en souriant. Visiblement elle aussi entretien une relation complice avec son papa qu'elle tient souvent par le bras. Jean-Jacques me dit : << Si Julie n'avait pas eu des prédispositions pour la littérature, elle aurait travaillé dans le bois ! >>. Julie confirme. Son papa rajoute : << Elle m'aide souvent le week-end. Nous sommes tous les deux là à bricoler. C'est une excellente artisane ! Douée ! >>. J'écoute tout cela totalement subjugué.

Julie me lance de petits regards furtifs. En direction de ma braguette également. Nous remontons. Estelle, Clémentine et la maman sont assises dans les fauteuils et le canapé du salon. Julie nous invite à visiter sa chambre. Nous laissons ses parents pour la suivre dans l'escalier. << C'est génial de vous savoir là, dans ma maison ! >> lance Julie en ouvrant la porte de sa chambre. C'est petit, tellement bien agencé. << J'ai fait tous le mobilier avec papa, comme je le voulais ! >> précise Julie. Nous sommes enchantés par l'agencement.

D'être à cinq dans cette chambre la rend encore plus petite qu'elle ne l'est en réalité. Le bureau, les chaises, la table de nuit, le lit, l'armoire, la commode. Le tout à l'échelle des dimensions de la pièce. Il y a plein de petites peluches sur l'étagère au-dessus du lit. << J'en choisis une autre tous les soirs pour dormir avec ! >> précise Julie. C'est adorable. Je découvre cette jeune fille sous un tout autre angle. Estelle demande : << Il y avait déjà une bite à l'air dans ta chambre ? >>. Julie éclate de rire en disant : << Oui, celle de mon "ex" ! >>.

<< En voilà une autre ! >> lance Estelle en ouvrant ma braguette. Je m'écrie : << Non Estelle, pas ici ! >>. Julie lance : << Pourquoi pas ici ? >>. Je me retrouve avec le sexe qui pend de ma braguette dans la chambre d'une jeune fille, à l'étage de la maison de ses parents. Comme chez Estelle. Clémentine me la saisit entre le pouce et l'index pour l'agiter dans la direction de Julie. << C'est génial ! Vous n'imaginez pas ! >> lance t-elle. Il faut remballer à toute vitesse. La maman toque à la porte avant d'entrer. Je me sens très con.

Nous redescendons pour prendre le thé au salon. Les parents de Julie sont absolument enchantés de notre visite. Ils ont enfin fait la connaissance de ce peintre accessoirement employeur de leur fille. Clémentine propose qu'ils viennent à leur tour manger à la maison. << Restez comme vous êtes ! >> précise t-elle. Le repas est prévu pour dimanche prochain, 10 octobre, à midi. Il est 16 h lorsque nous prenons congé. Julie et ses parents nous accompagnent sous les parapluies. Leurs sourires témoignent du plaisir qu'ils ont eu à nous voir.

Nous prenons la petite route qui mène au carrefour. A droite c'est l'université d'Estelle et de Clémentine. A gauche c'est la ville. Tout droit c'est l'étroite route communale. Nous passons devant le chantier. Clémentine joue avec ma bite. Elle nous raconte une fois encore ces émotions lors de ses exhibes ici, devant Mario, l'ouvrier. Nous passons devant le haras. Il y des voitures garées dans la cour. Nous sortons sous le parapluie. C'est dans le bâtiment du manège que nous retrouvons Juliette. Il y a des cavalières qui montent. Du spectacle.

Nous avons plaisir à faire connaissance avec James, le nouveau palefrenier. Il est de taille moyenne, presque maigre, porte des lunettes. Il doit avoir la trentaine. Un fort accent anglais. Il découvre que je suis écossais. Nous nous mettons instinctivement à bavarder en anglais. Nous saluons Eveline, la palefrenière dont c'est la dernière semaine à travailler là. Elle partira rejoindre son copain à Paris. << Il faudra que j'embauche du monde ! >> précise Juliette. Nous quittons le haras vers 18 h30. Nous voilà à la maison pour 18 h45.

Bon dimanche à toutes les coquines qui aiment voir une bite dans leur chambre sous le toit de la maison familiale et en cachette...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1663 -



La visite de Julie en soirée

Hier matin, lundi, il est presque six heures quand l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Le cri des mouettes est strident aujourd'hui. Le ressac et les clapotis paraissent plus sonores. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Nous ne traînons pas. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis.

Nous prenons un exquis petit déjeuner. Le lundi il reste toujours de la brioche. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre dimanche. Le repas chez les parents de Julie, hier. Comme le précise Clémentine, la situation est "normalisée". Même si Julie est majeure, c'est bien mieux ainsi. Il est 6 h25. Nous montons nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobics, joggings sur tapis roulants, abdos, charges additionnelles. Ce matin encore le stretching un peu bâclé permet un agréable retour au calme avant une bonne douche.

Je descends pour aller sortir l'auto du garage. Je suis sous le parapluie car le jour achève péniblement de se lever sous un ciel sinistre. Par contre il fait étrangement doux. Clémentine vient me rejoindre vêtue de son jeans, un sweat carmin sous sa veste de cuir noir. Ses bottines brunes à léger talons. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter le chemin jusqu'au portail. Un dernier coucou avant qu'elle ne disparaisse. Je me dépêche de rentrer au sec. Je fais notre vaisselle, notre lit. Je suis pressé d'aller dans l'atelier. Je prépare les couleurs sur la palette.

Assis devant mon chevalet, je chantonne en évaluant le travail qui m'attend aujourd'hui. Je commence la cinquième toile de commande. Un paysage dans lequel le commanditaire veut faire figurer la maison de sa prime jeunesse. La photo est fixée sur le montant du support. Je peins dans un enthousiasme passionné qui me fait rapidement pousser les cris les plus surréalistes. La matinée passe très vite. Il est presque midi quand je quitte l'atelier pour la cuisine. Je n'ai qu'à réchauffer le reste de potée de légumes. Je fais une salade d'endives.

Dans la poêle je fais rissoler du poulpe décongelé depuis ce matin. Ça fait un moment qu'il était dans le congélateur du haut du frigo. J'y rajoute, ail, échalote et champignons. Je mange de bon appétit en écoutant les diatribes de l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio. Je m'amuse comme un petit fou à l'audition des dialogues. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé de prendre un peu l'air je redescends pour sortir. C'est sous le parapluie que je vais jusqu'à la rivière. Il n'y a pas le moindre souffle de vent. Il fait très doux.

Les branches des arbres commencent à dévoiler leurs structures squelettiques. A la prochaine tempête, il n'y aura plus aucune feuilles encore suspendues. Il est 13 h quand je reviens dans l'atelier. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans le même enthousiasme que ce matin. Livré corps et âme à ma passion dévorante. Bien évidemment, l'après-midi passe bien trop vite. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable sur la chaise pour se précipiter. Elle sautille tout autour de moi. Heureuse.

Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Elle a encore bien du travail. Elle s'installe devant son ordinateur en chantonnant. J'aime peindre en l'écoutant commenter ce qu'elle fait. << Je pense à voix haute ! >> précise t-elle souvent en riant de ses facétieuses réflexions. Il est 18 h15. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Clémentine range ses affaires. Couchée sur le dos, les yeux clos, sa tête sur ma cuisse, nous restons silencieux dans le vieux canapé de l'atelier. Je caresse ses cheveux.

En ouvrant soudainement les yeux, Clémentine me fait : << Je peux fixer rencard à Louis vendredi après-midi ? >>. J'éclate de rire. Je dis : << Mais bien évidemment. Wouah ! Je vais avoir du spectacle ! >>. Clémentine se redresse, glisse sa main dans ma braguette. << Je suis passée deux fois devant le chantier. Ce matin et ce soir. Je n'ai pas vu Mario l'ouvrier. Mais par association d'idée j'ai pensé à notre voisin ! >> explique t-elle. J'écoute amusé. Elle rajoute : << Monsieur Bertrand fera parfaitement l'affaire ! >>. Nous sommes pliés de rire.

Trois coups de sonnette. << Déjà ! >> s'écrie Clémentine qui m'entraîne par la main. Julie est vêtue d'un ciré jaune, encapuchonnée comme un petit lutin. Elle est adorable. Souriante. Je descends les marches. Nous allons récupérer la caisse isotherme et le sachet dans son auto. Clémentine nous protège du grand parapluie. Nous nous dépêchons de rentrer au sec. Julie se débarrasse de son ciré dégoulinant de flotte. Elle nous fait la bise. Dans la cuisine nous déballons les repas commandés. De ces feuillantines au crabe dont nous raffolons.

Pour demain midi deux tourtes aux fruits de mer. Miam. Julie aime beaucoup l'ambiance de l'atelier. Comme pour la plupart de nos rares visiteurs, l'atelier exerce un attrait particulier. Je l'invite à nous suivre. Assise devant le chevalet, Julie observe mon travail de la journée. Penchée en avant, elle scrute chaque détails. Mes dessins préparatoires sont toujours déjà de véritables œuvres d'art. Ils pourraient se suffire à eux-même. Julie me pose des questions précises sur les couleurs et les mélanges utilisés. Quels pinceaux. Je parle technique.

Clémentine est derrière moi, ses bras autour de ma taille. Je pose mes mains sur les épaules de Julie, debout derrière elle. << Mes parents vous ont beaucoup apprécié hier. Comme pour la plupart des gens, la différence d'âge entre Clémentine, Estelle et vous les a étonné ! >> lance Julie. Après un long silence où elle caresse un pinceau large, elle rajoute : << Papa et maman se réjouissent pour dimanche prochain ! >>. Nous aussi nous avons beaucoup apprécié. Clémentine dit : << On va les gâter d'un excellent repas et d'un très bon moment ! >>.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour en sortir la queue. Julie se retourne toujours assise sur la chaise. Elle découvre ce que Clémentine tient en main. << Ça se passe derrière mon dos maintenant ? >> lance Julie, facétieuse. Clémentine confie son désir d'organiser un nouveau rendez-vous avec monsieur Bertrand, vendredi à 16 h dans la maison d'amis. << Tu aimes tellement les bites de vieux ? >> lui demande Julie. Clémentine répond : << Les toutes petites, molles, bien baveuses, ce sont les meilleures. Je te les recommande ! >>.

<< Beurk ! >> fait Julie en observant mon sexe avec la même attention qu'elle le faisait à l'instant sur le tableau. Je passe ma main sous ses cheveux pour la poser sur sa nuque. Ces gestes de douceurs procurent à la jeune fille des émotions qu'elle ne peut dissimuler. Elle ne cherche d'ailleurs plus à les cacher. Julie se sent tellement bien avec nous, en totale confiance. Clémentine agite mon sexe à une cinquantaine de centimètres de son visage. La tentation est visible. Un frisson parcourt le corps de Julie alors qu'il ne fait pas froid.

Clémentine me masturbe doucement. Julie regarde. Le silence est total. Juste le souffle à peine perceptible de nos respirations. Celle de Julie semble s'accentuer. Probablement proportionnelle à l'excitation qui la gagne. Elle dit soudain : << A présent, quand je rentre dans ma chambre, je vous vois debout devant le bureau avec votre sexe bien en évidence. L'image de hier va rester à jamais ! >>. Je demande : << Vous êtes fâchée ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Non ! Pas du tout. Au contraire ! >>. Nous éclatons tous les trois de rire.

Clémentine rajoute : << Julien serait-il à l'origine de nouveaux fantasmes ? >>. Julie baisse les yeux comme gênée. Elle murmure : << Oui ! >>. Je caresse sa nuque. Je chuchote : << Vous êtes adorable ! >>. Je bande comme un priapique en phase terminale. Je peux sentir mon cœur battre dans ma poitrine. C'est un moment d'émotion intense où se mêle le sentiment et l'excitation. C'est presque bouleversant. C'est moi qui suis soudain terriblement gêné d'être ainsi devant une jeune fille de 20 ans, si timide, si réservée et pourtant si vicieuse.

Julie reste un paradoxe inexplicable pour moi. Un mystère. Clémentine tente bien d'éclairer ma lanterne lorsque j'évoque cette impression. C'est une fille. Elle peut facilement en comprendre une autre. Malgré ses explications, je n'arrive pas à percer l'univers fantasmatique de Julie. C'est une fille voyeuse, capable de créer des situations torrides, tout en restant spectatrice, en retrait de ses propres initiatives. C'est passionnant. Comme à l'instant présent où elle approche encore davantage son visage pour lever les yeux et me regarder furtivement.

Sans oser soutenir mon regard, elle observe Clémentine, la toile posée sur le chevalet puis mon sexe tenu à sa base entre le pouce et l'index de Clémentine. Je demande : << Vous êtes allée vous amuser dans les toilettes du restaurants, ce week-end ? >>. Soudain soulagée de ce silence Julie s'écrie : << Oui, hier hoir, je suis rentrée dans les toilettes hommes comme je le fais d'habitude. Avec un balai et un seau. Pour voir la réaction d'un client entrain de pisser ! >>. Julie nous explique que le choc que cela lui procure est tellement intense, si puissant.

<< De me retrouver là, soudain, à la fois devant cette scène et devant mes pulsions de voyeuse me procure les plus folles émotions ! J'ai à la fois la honte et le plaisir ! >> précise telle une fois encore. << Estelle a le même fonctionnement que toi ! >> lui dit Clémentine. << Tu te rappelles le soir où tu as fait le service avec moi ? >> demande encore Julie à Clémentine qui répond : << Et comment ! A refaire ! J'y pense souvent ! >>. Je bande comme un vrai salaud à écouter ce dialogue surréaliste entre filles dépravées. Je suis un privilégié.

Il commence à faire très faim. Clémentine sans lâcher ma queue, prend la main de Julie pour nous entraîner à la cuisine. Les feuillantines sont encore très chaudes. Clémentine retire les opercules sur les bacs contenant nos salades. Julie m'aide à dresser la table. Nous mangeons de bon appétit. Les filles reviennent sur les souvenirs communs. C'est qu'en trois ans, nous en avons vécu des choses ensemble. << Tu veux participer vendredi après-midi ? >> demande Clémentine. << Sucer du vieux ? >> répond Julie. Elles éclatent de rire. Moi aussi !

<< Non, je préfère rester dans le placard avec Julien. C'est tellement bon de mâter ! >> lance Julie. << C'est tellement bon l'intimité de cet espace réduit, hein ? >> fait Clémentine. Julie baisse la tête, toute gênée pour murmurer : << Oui ! >>. Je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction en disant : << Et vous avez de quoi vous occuper en regardant ! >>. Julie baisse les yeux en esquissant un mystérieux sourire. Nous traînons à table. Nous mettons au point le programme de vendredi prochain. Julie viendra prendre son cours de peinture.

Elle sera là pour 15 h30. Sans rentrer après son heure de cours, elle viendra directement. << Je me réjouis ! >> dit elle. << Pour le doigt et la bite à Julien où pour le cours ? >> demande Clémentine en riant. << Les trois ! >> répond Julie. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Julie ne cesse de regarder mon sexe qui pend mollement de la braguette. Il y a ce filament laiteux, gluant et visqueux qui reste collé au bout. C'est ce qui semble l'intriguer particulièrement. Je lui explique. << C'est génial ! >> dit elle d'une voix timide. Nous rions.

Nous raccompagnons Julie à sa voiture. Clémentine tient le parapluie. Julie est assise au volant, la vitre baissée. Je suis en appui contre la portière. Mon sexe à une vingtaine de centimètres de son visage. Je décalotte légèrement le bout du gland. De son index Julie récupère la coulure épaisse qui s'est collée le long de ma bite. Clémentine se penche dans l'habitacle pour regarder. Julie fait tourner son doigt afin que la coulure s'y enroule. Soudain, elle le porte à sa bouche. Les yeux fermés, une expression d'extase sur son visage, elle suce son index.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent visiter leurs couples d"amis intimes. Assister au comportement très particulier du mec...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
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