
- 22 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1386 -
Beaux nénés et meilleurs nœuds
Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon profond sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans mon cou. Toute la nuit encore, elle est restée blottie tout contre moi. Se tournant en même temps que moi, épousant chacun de mes mouvements. Dans cette incroyable douceur. Dans une symbiose parfaite. Il y a quelque chose d'animal dans ce souffle chaud, cette haleine nocturne. Elle sait quand je ne dors plus. Elle glisse sa main dans mon slip en se blottissant encore plus fort. Elle tient mon érection.
Tout cela finit par réveiller Clémentine qui vient se serrer à son tour en gémissant. Je suis entre mes deux anges. Il est presque neuf heures. Dehors le ciel est gris. Menaçant. C'est la distribution des bisous, des douceurs. Clémentine tient mes couilles. Estelle tient ma bite. Elle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Elle trottine jusqu'aux toilettes à reculons en faisant des clowneries. Clémentine se blottie tout contre moi en me chuchotant les premières douceurs de la journée. << Je t'aime ! >>.
Estelle revient, nous fait une bise, se vêt de sa tenue de sport. Elle descend. C'est à notre tour d'aller aux WC. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de brioche, de pain grillé et de café. Rituel matinal. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle m'enserre la taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Traitement identique à Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit.
Nous traînons un peu à table. Assises sur mes genoux les filles évaluent les risques d'aller courir au dehors. Il ne pleut pas mais elle menace. Tant pis. Après la vaisselle nous prenons notre courage. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons dans la fraîcheur humide. C'est très désagréable. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous montons sur la route pour courir nos quatre kilomètres. Nous passons devant le haras. Déjà plusieurs voitures garées dans la cour. Des gens.
Nos abdominaux sur les bancs en bois aux panneaux indicateurs. Quelques gouttes de pluie. << On s'est fait avoir ! >> lance Estelle. << On va se faire saucer ! >> rajoute Clémentine. C'est sous le crachin que nous revenons pour 10 h30. Estelle prend sa douche la première. Nous faisons le lit et la chambre. Il faut passer la serpillère. En partant, pour aérer, nous avons laisser les deux fenêtres ouvertes. Les cons ! C'est à notre tour d'aller sous la douche. Nous nous habillons. Nous descendons.
Nous rejoignons Estelle au salon. Elle est assise au bureau, devant l'ordinateur. Il y a enfin le programme du second trimestre. Elles surfent toutes les deux sur le site universitaire. << Ils peuvent pas mettre toutes les informations au même endroit, ces nazes ! >> lance Clémentine. Nous découvrons nos courriels. Ceux de ma famille en Ecosse, celui de Julie et, surprise, un mail de Laurence, la jeune femme que nous avons souvent croisé au mois d'avril, le long de la rivière. Sympa.
Nous répondons en joignant deux selfies pris à l'instant. Les filles assises sur mes genoux, me tenant par les épaules. Il est 11 h15. Trois coups de sonnette. Nous avons laissé le portail ouvert. Clémentine se précipite. C'est monsieur Jean-Claude, le traiteur. Il vient nous livrer les plats commandés. Il ne pleut plus. Nous l'accompagnons jusqu'à sa fourgonnette. Ce sont de grands cartons contenant les plateaux. Il y en a six. Et un gros contenant le vacherin glacé. Paiement par carte.
Nous remercions Mr Jean-Claude. Il reconnaît Estelle. << J'ai livré vos parents ce matin ! >> lui dit il. Nous le saluons. Nous rentrons avec les "colis". Nous suivons les consignes de notre traiteur préféré. Le vacherin glacé au congélateur jusqu'à demain. Nous plaçons les cartons dans le réfrigérateur. Il faut d'abord ruser, faire de la place. C'est un peu le chantier dans le frigo. Nous nous amusons beaucoup. La faim commence à se faire sentir. Clémentine s'occupe de la salade.
Estelle fait gonfler du millet doré. Je prépare un coulis de courgette. Nous épluchons l'ail, l'échalote. Nous lavons et coupons les bolets. Trois filets de colin que je poêle en panure. Nous rions beaucoup. Estelle ne cesse de passer sa main entre mes cuisses par derrière. A la recherche de mes couilles qu'elle palpe. A chaque fois je dis : << Coquine ! >>. A chaque fois elle me fait un bisou sur la bouche. Nous dressons la table. Dehors, il se remet à pleuvoir. C'est moche.
<< Put-Hein d'année de merde qui s'achève par une météo de merde ! >> lance Clémentine. << On s'en fout, on est ensemble ! >> rétorque Estelle qui nous entraîne dans une farandole endiablée dans toute la vaste cuisine. Nous poussons des cris de singes en faisant les pitres. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons longuement à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, les filles font le rapide programme de l'après-midi.
C'est flou. C'est vague. Rien ne presse. Nous n'avons aucun souci qui flotte dans les airs. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Les filles miment des fellations juteuses avec leurs brosses. Je glisse mes mains dans les culottes. Toutes les deux déboutonnent leurs jeans pour me permettre un bon accès par derrière. Je fouille un peu entre les raies des fesses. C'est moite, plein de poils et ça me donne envie de lécher.
Les filles m'entraînent dans la chambre. << Ce soir, on te veut en "Mousquetaire" ! >> me fait Estelle en sortant mon pantalon en cuir noir de l'armoire. Ma chemise à jabot aux manches bouffantes. Du bas du placard, elle sort mes cuissardes de cuir noir. << Nous, on se fait une surprise mutuelle ! >> dit Clémentine. Elles ont toutefois décidé de se changer pour l'après-midi. Elles mettent toutes les deux un leggings noir de gym. Extrêmement moulant. << Mets le tiens aussi ! >> lance Estelle.
Nous voilà tous les trois vêtus pareil. Nos leggings noirs en lycra, nos sweats noirs de coton fin. Nos baskets. Nous prenons la pose devant le miroir. << On est hyper sexy tous les trois ! >> lance Clémentine. C'est vrai que nos silhouettes élancées, athlétiques, sont encore sublimées par cette tenue. << Et puis, on a tout le temps envie de glisser les mains partout ! C'est trop tentant ! >> fait encore Estelle en passant sa main entre mes cuisses. Je les tiens toutes les deux par la taille.
Nous nous tournons pour nous contempler de dos. Pour nous contempler de profil. Nous admirons nos physiques avantageux. << On se compare les tablettes de chocolat ! >> lance Estelle en relevant son T-shirt. Nous avons tous les trois des abdominaux saillants. Je m'entraîne depuis plus de trente ans. Les filles depuis plus de dix ans. << Les résultats sont là ! >> fait encore Estelle en palpant la bosse que fait mon sexe dans mon slip. Sous mon collant. Nous prenons des poses de culturistes.
<< Arnoldette Schwarzenegresse ! >> lance Clémentine. << Sylvestresse Stalonette ! >> rajoute Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Je dis : << Docteur Van Damme comme le pain d'épice ! >>. Les filles se pendent à mon cou en riant. Nous sommes tellement heureux que nous en oublions l'heure. Il est déjà 14 h. La musique imbécile de mon téléphone que Clémentine trimballe partout aux périodes de fêtes. Il est posé sur le lit. Elle s'en saisit. << Julie ! >> s'écrie t-elle.
Nous dévalons les escaliers pour aller lui ouvrir. La pauvre est devant la porte, sous l'auvent depuis cinq minutes. On pouvait pas entendre sonner depuis en haut. Elle nous voit dans nos tenues. << Vous faites votre gym à cette heure ci ? >> lance t-elle toute contente de nous voir. Elle a un grand sac de sport. Ses vêtements de change. De la poche de son anorak, elle tire le flacon de gel hydroalcoolique. << Ah non ! Tu remets ça ! >> lui lance Estelle. Nous tendons nos mains.
Nous nous les frottons en riant. Nous jouons le jeu. Ni Julie ni nous ne sommes en contact avec qui que ce soit. Julie fait ses livraisons de repas en gardant la distanciation, en portant son masque sanitaire et en se désinfectant les mains. Ni elle, ni nous, ne croyons un seul instant à toute cette propagande méphitique. Ce qui ne nous dispense pas d'observer une grande prudence. Clémentine invite Julie à monter ses affaires à l'étage. Estelle et moi nous préparons le lit de Julie.
Notre chambre à coucher est grande. Il y a notre lit. Mais il y a un canapé "clic-clac" recouvert d'un plaid et de quantité de coussins. Les peluches à Clémentine. Bunny Boy, le lapin fétiche en peluche, tout sale, à Estelle. Elle l'emmène partout depuis qu'elle a quatre ans. Ça fait donc 19 ans que ce petit lapin suit toutes ses pérégrinations. Julie, cachée derrière le paravent se change. Sa pudeur de jeune fille. Clémentine se couche sur le canapé en position lit. << Confortable ! >> dit elle.
Nous nous allongeons tous les trois pour constater. Nous aimons les matelas biens durs. Les nôtres sont garnis de crin de cheval. La meilleur formule pour un confort maximal. Nous nous levons en faisant une ronde. Julie, amusée par nos attitudes, teste son futur lit. Elle va passer la nuit et la journée de demain avec nous. << Tu peux rester autant que tu veux ! Personne ne t'attend ! >> lui fait Clémentine. << C'est vrai ! Je ne reprends mes livraisons que samedi à midi ! >> répond Julie.
Elle a revêtu un pantalon à plis noir. Ça lui va bien. Très classe. Julie aussi a un corps sculptural. Nous le constatons lorsque nous allons manger au restaurant. Quand elle exerce dans sa tenue de serveuse. Petite jupette noire, collants noirs, chemisier blanc et fin tablier de dentelles blanches. << Tu t'habilles en serveuse pour nous un de ces jours ? >> demande Estelle. << J'ai ma tenue dans le sac si tu veux ! >> répond Julie. << Demain, spécialement pour nous ! >> propose Clémentine.
<< Je fais le service alors ! >> s'écrie Julie. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle nous entraîne dans une ronde. Tous les quatre nous faisons les pitres. Un french cancan endiablé en improvisant de stupides paroles de chansons. Estelle lance une courte phrase absurde que nous reprenons en cœur. Nous descendons. Julie, tout comme Estelle et Clémentine adore l'atelier. Nous y allons direct. Estelle allume un beau feu dans la cheminée. Julie mâte la grosse bosse dans mon leggings.
En effet, un collant de sport noir et moulant, attire l'attention sur les attributs masculins. Tout comme les collants de sport que portent Estelle et Clémentine. Elles ne portent pas de culottes la dessous. Toutes leurs formes les plus intimes sont suggérées, magnifiées. Julie n'a d'ailleurs de yeux que pour nos sexes. J'aime surprendre ses regards à la dérobée. Elle se fait surprendre tant par moi, que par Estelle ou encore par Clémentine. Julie regarde mes toiles déjà peintes. Il y en a sept.
Estelle est collée contre moi. Clémentine est assise dans la chaise à bascule. Nous nous sourions en observant les réactions de Julie. << C'est le premier 31 décembre où je me sens aussi bien ! >> lance Julie. Estelle me lâche pour aller prendre Julie par le bras. << Raconte nous tes autres soirs de réveillon. << Oh, je me suis tellement ennuyée jusqu'à ce que je commence à faire la serveuse dans le restaurant de ma tante ! >> répond Julie. Elle a commencé il y a quatre ans, quand elle avait 16 ans.
<< C'est là que tu as commencé à faire ta voyeuse dans les toilettes des messieurs ? >> lui demande Estelle. Julie éclate de rire en disant : << Non, j'ai commencé bien avant ! >>. Nous sommes pliés de rire. Julie nous a déjà narré ses frasques. Estelle lui raconte les siennes. Elles sont toutes les deux d'authentiques voyeuses. Des "regardeuses" comme dit Estelle. << J'avais 13 ans la première fois ! Dans les vestiaires de la piscine ! >> lance Estelle. << Moi aussi, 13 ans ! >> fait Julie.
<< Moi aussi ! >> dit Clémentine. Elles se racontent les circonstances, les détails et leurs premiers émois. J'écoute ravi, en silence. Ces histoires me font bander. Julie mâte d'ailleurs l'énorme bosse qui déforme mon leggings. Nous passons une bonne partie de l'après-midi ainsi. Je prépare du thé du jasmin, des petits gâteaux secs. << J'en ai ramené de ma mamie ! >> fait Julie. << Demain ! >> dit Estelle. << Viens, on monte se maquiller toutes les trois ! >> fait Clémentine à Julie.
Ni l'une ni l'autre ne se maquillent jamais. A quoi bon quand la nature vous a doté d'une beauté naturelle. Comme le dit Clémentine : << Rajouter des couleurs à l'arc-en-ciel illumine toutes choses d'une lumière nouvelle ! >>. Moi, je me propose de faire la mise en place du salon. Tout préparer pour les festivités de ce soir. << Non, viens avec ! >> me lance Clémentine. Je réponds : << Il faut bien que je m'occupe. Montez vous amuser entre filles ! Vous me raconterez ! >>. Elles filent toutes les trois.
J'étale le chemin de table en lin écru. Je le place au millimètre. La table monastère en prend un caractère médiéval. Je rajoute deux grosses bougies sur le second chandelier. Il est déjà 17 h30. La nuit est tombée. Parfois, depuis l'étage, me parviennent des éclats de rire. C'est merveilleux. Que serait cette grande demeure sans la vie qu'y apportent ces merveilleuses jeunes filles. J'en ai les larmes. Je suis pétri d'émotion. A l'idée que tout cela cesse un jour, je suis couvert d'un frisson. J'ai soudain froid.
Je place les assiettes en grès. Je dispose les couverts en laiton. Les verres ballons. La carafe. Je mets les différentes petites bouteilles de jus de fruits. Pas d'alcool chez nous. Il y a du jus de mangue, de kiwis, de papaye, d'orange ou encore de litchi. J'essaie de faire des nœuds savants dans les serviettes. Comme me l'a appris Clémentine. Je suis nul. Ça ressemble à un vieux mouchoir froissé. J'entends les rires dans l'escalier puis dans le corridor. Mais quelle surprise. C'est absolument fantastique.
Clémentine est maquillée avec finesse. Comme elle est belle. Une poupée. Je l'ai déjà vu ainsi. Mais à chaque fois c'est une émotion "artistique". Estelle a forcé sur l'ensemble. << Je me suis mise en "pute". Je veux être ta "pute" ce soir ! >> me dit elle. Je regarde ses faux cils, ses paupières colorées, ses paillettes dorées. C'est absolument exquis. Julie est carrément une autre. C'est encore plus flagrant. C'est fou ce qu'un maquillage peut changer une physionomie. Bouleversant parfois.
Elles tournent autour de moi. Elles défilent comme des mannequins. En imitant le déhanchement de quelques stars montant les escaliers au festival de Canne. Je les félicite. J'applaudis. J'insiste pour photographier chacune. Je prends le bon appareil dans le bureau. Elles posent pour moi. Prenant des expressions différentes à chaque fois. Ces visages que je connais pourtant si bien me paraissent soudain appartenir à des inconnues. Je suis sous le charme. Je suis sous l'emprise d'une séduction folle.
Je bande comme le dernier des salauds. Je ne sais plus quoi faire de mon corps, de mes mains. En même temps que cela m'excite, cela m'inspire un profond respect. Comme devant une toile de Vermeer, je connais là une "commotion". Je dois m'assoir pour ne pas vaciller. Conscientes de l'effet qu'elles produisent Estelle et Clémentine en rajoutent. Julie reste timidement en retrait. Comme gênée d'être aussi belle, de provoquer cet effet. J'ai pris une dizaine de clichés de chacune.
<< Regarde comme il bande, le "docteur Julien" ! >> fait Estelle à l'attention de Julie. << Vérifions l'authenticité de la "chose" ! >> rajoute Clémentine qui vient me palper. Julie nous observe avec un sourire timide. Je félicite mes trois anges pour leurs transformations. << C'est Estelle qui nous a coloré ! >> lance Clémentine. Je les entraîne toutes les trois devant la porte miroir de la grande bibliothèque. Elles s'observent silencieusement. Je dis : << Prenez bien conscience de vos potentiels ! >>.
Je rajoute : << Il y a peut-être de nouvelles stars de cinéma en devenir ! >>. Estelle s'écrie : << Ah non ! Pas ça ! Moi, je veux devenir Maître de Conférence, rien d'autre ! >>. Clémentine rajoute : << Moi pareil, rien à foutre du cinéma ! >>. Julie rajoute timidement : << Et si moi je peux simplement devenir professeur de littérature en faculté, c'est déjà super bien ! >>. Nous en rions tous les trois de bon cœur. Estelle ne cesse de palper ma bosse. Sous les regards discrets de Julie.
Il est presque 19 h. La faim commence à se faire sentir. Clémentine m'entraîne par la main pour me soustraire aux tripotages insistants d'Estelle. Nous préparons les plats que nous sortons du réfrigérateur. Ce sont des plateaux de fruits de mer. Il y a de tout, des huitres, des moules farcies, des crevettes grillées, des queues de langoustines fumées. Des salicornes. De petits beignets de crabes. De minuscules tourtes à la pâte feuilletée contenant d'autres crustacés en sauces. D'une finesse inouïe.
Nous emmenons les plats au salon. Les filles me félicitent pour la préparation. Les plats pourrons se mettre à température ambiante. Les deux chandeliers sont disposés de façon à éclairer cette partie de la grande pièce. Clémentine fixe la première caméra sur son trépieds. Estelle fait de même avec la sienne. L'une filme en 4K l'autre en 1080hp. Dans les deux cas de la très haute résolution. Elles font des essais. Julie observe consciencieusement. C'est elle qui sera chargée de filmer la soirée porno.
Clémentine m'accompagne à l'étage. Je suis le premier à me changer. Chacune des filles prépare une surprise vestimentaire aux autres protagonistes. Me voilà vêtu en "mousquetaire". Ma chemise blanche à jabot et aux manches bouffantes. Clémentine me la fait "blouser" dans mon pantalon de cuir noir et moulant. Je mets les cuissardes. << Superbe ! Tu m'excites comme ça, si tu savais ! >> me fait Clémentine en m'entraînant devant le miroir. Mes long cheveux en catogan.
Nous redescendons. << Super ! >> me fait Julie. Elle prend du recul pour me regarder. Elle rajoute : << C'est vraiment génial ! Vous avez le physique ! >>. Estelle vient se lover contre moi. << Je t'adore en "mousquetaire" ! >> fait elle. Nous passons à table. Nous savourons cet exquis repas de fête avec toute la délicatesse qu'il mérite. Chaque bouchée est meilleure que la précédente. Nous traînons à table longuement. Il est 21 h30 quand Estelle lance : << Si on passait à la phase suivante ? >>.
Pendant que je débarrasse avec Julie et Clémentine, Estelle monte se changer. Ce soir, nous faisons la vaisselle dans la machine. C'est au tour de Julie de monter. Chacune restera cachée jusqu'au signal d'Estelle. Clémentine se serre contre moi. << Je t'aime Julien, je suis tellement heureuse avec toi. Si tu savais ! >> me chuchote t-elle. C'est à son tour de monter se changer. Je passe au salon. Je vérifie que tout soit nickel. Plus une miette sur la table débarrassée. C'est le silence total.
Le réveillon porno
Quelle surprise. Julie entre dans le salon. Je l'ai entendu hésiter longuement avant d'apparaître. Je ne distingue pas encore bien le costume qu'elle s'est choisit pour cette soirée. Elle entre dans la lumière des deux grosses bougies. Le chandelier étant posé en bout de table. Je retiens ma respiration. Je veux être tout entier à cette apparition. Qu'elle est merveilleuse dans sa tenue de jeune lycéenne. Ça lui va tellement bien. Elle ne paraît pas bien plus âgée ainsi vêtue.
Une jupe plissée bleue nuit. Un pull de fin coton sur un chemisier blanc. Ce sont les chaussettes bleues marine qu'elle porte et ses mocassins noir qui parachèvent cet accoutrement de jeune fille nubile. Je n'aurai jamais imaginé être aussi ému qu'à la vue de cette vêture. Elle se tourne. Décidément, le bon gout fait partie de ses choix. Elle porte un cartable sur son dos. C'est l'uniforme d'une collégienne d'un autre temps. Peut-être caricatural. Elle tourne plusieurs fois sur elle même en avançant.
Je ne dis rien. Je suis obligé de m'assoir sur la chaise à bascule entre l'horloge Westminster et la bibliothèque. Julie m'observe par en dessous. Terriblement intimidée par mon sérieux. Elle s'accroupit. Ses genoux serrés l'un contre l'autre. Pudique et réservée. Ses longs cheveux pendent sur son visage. Je ne le vois plus. Un bruit dans le corridor. Des talons qui résonnent sur le carrelage. Julie relève la tête. Je n'ai de yeux que pour elle. Curieusement mon admiration n'a strictement rien de sexuel.
C'est Estelle qui entre à son tour dans le salon. Elle porte une jupe légère, beige, qui s'évase lorsqu'elle marche. Un chemisier crème. Un ceinturon noir. Des souliers marrons à talons hauts. Elle aussi tourne sur elle-même pour voir l'effet que sa tenue exerce sur mes sens. Estelle découvre la tenue "surprise" de Julie. Elle marque un temps d'arrêt. Probablement aussi étonnée que moi par le choix de notre amie. Julie se redresse. Un peu gênée et intimidée par la présence d'Estelle.
Il est flagrant que Julie manque encore de confiance en elle. Un bruit de pas dans le corridor. C'est Clémentine. Quelle nouvelle étonnement. Elle est vêtue d'un pantalon noir à plis et à pinces. Un chemisier blanc. Des souliers noirs, pointus, à talons hauts. Estelle et Clémentine sont grandes. Ces vêtements les affinent et leurs donnent une silhouette tout en hauteur. Julie semble toute petite à côté. La surprise de Clémentine est évidente. Elle regarde Julie avec admiration. Le silence.
Je reste silencieux. Je suis pétri d'émotion. Clémentine allume les deux autres bougies rajoutées au chandelier. C'est là qu'apparait ce détail étrange. Elle porte une sorte de sangle de cuir fixée à sa ceinture. Cette sangle lui passe entre les cuisses, enserrant probablement son sexe. Ce détail m'excite au plus haut point. Clémentine tourne autour du bureau, de la grande table, puis du guéridon. Estelle avance doucement dans le sens contraire. Elles se croisent, silencieuses, très droites et fières.
J'observe les attitudes de Julie. Elle aussi n'a de yeux que pour ces deux superbes filles. Elle est amoureuse de Clémentine. Ce soir elle l'est sans doute tout autant d'Estelle. Julie s'installe sur l'accoudoir du fauteuil. Elle fait incroyablement gamine dans son accoutrement de collégienne. Clémentine lui fait signe de la rejoindre en agitant son index. Elle l'entraîne par la main derrière la première caméra. A côté du bureau. Elle pointe son index pour montrer le petit écran ouvert.
Puis elle l'entraîne derrière la seconde caméra pour faire la même chose. Enfin Clémentine brise le silence lourd et oppressant. << Il te faudra aller d'une caméra à l'autre en fonction de ce qui se passe ! >> dit elle. Julie secoue la tête positivement. Toute timide. Nul doute que ce qu'elle vit là doit la mettre dans un état de trouble inconnu. Estelle, que tout cela amuse, observe malicieusement. Elle me fait un clin d'œil en mimant une masturbation masculine. Je bande comme un salaud.
Une érection sérieusement contrariée par l'étroitesse de mon pantalon de cuir noir. J'ai une méga bosse. C'est presque douloureux. Je surprends le regard de Julie sur ma braguette. Elle semble inquiète. Je lui fais un sourire que je veux le plus rassurant possible. Clémentine l'a prend par les épaules pour lui demander : << Prête ? >>. Julie ne peut tout simplement pas répondre. Elle secoue sa tête de haut en bas. Son état de trouble devient embarras profond. C'est adorable. Charmant.
Clémentine rajoute : << On va s'y mettre ! >>. Estelle, une main sous sa jupe, très excitée par l'ambiance torride, se touche. Julie a un sursaut en découvrant ce que fait Estelle. Je distingue nettement un frisson agiter tout son corps. Je me lève. Je viens me mettre debout au milieu de la pièce. Les mains sur les hanches. Clémentine entraîne Julie derrière la première caméra. Julie comprend immédiatement. << Moteur ! >> fait Clémentine en allumant la caméra. Julie se penche pour scruter l'écran.
Estelle vient me rejoindre à quatre pattes. Elle tourne plusieurs fois autour de moi. Je fais bouger ma bosse en contractant mes muscles fessiers. Julie zoome sur les signaux de Clémentine. Doucement, d'un geste lent, je descends la tirette de ma braguette. Estelle se met à genoux, les mains posées sur la tête. Il faut changer de caméra. Clémentine entraîne Julie. Elles contournent le bureau dans l'obscurité. Clémentine montre le petit écran à Julie qui se penche pour le scruter avec attention.
Julie commence à comprendre le fonctionnement. Ce qui lui est demandé. Je sors ma queue. Je bande mou. Le cuir moulant et noir fait apparaître mon sexe encore plus long. Je le tiens à sa base. Je l'agite devant le visage d'Estelle qui ouvre sa bouche. Quelle nouvelle surprise. Clémentine porte un loup à dentelles. Un masque noir très fin et gracieux. Il est exclu qu'elle soit identifiable. Contrairement à Estelle qui s'en fout. Ce film lui appartient comme les quinze autres déjà réalisés.
Je suis impressionné par la prestance de Clémentine. Cette noblesse, cette classe naturelle. Elle saisit la tête d'Estelle pour l'avancer contre mon sexe. Sans ménagement. D'un geste presque brusque. Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle. Nous entendons la respiration de Julie. Clémentine nous quitte. Hors champs de la caméra, elle fait signe à Julie. Silence. Son index posé sur ses lèvres. Julie fait une grimace d'excuse. Clémentine revient. Elle empoigne fermement Estelle par sa nuque.
Elle appuie sur sa tête. Je lui enfonce la bite dans la bouche. Clémentine la tient par les oreilles. Je me fais tailler une superbe pipe. Estelle s'est déjà prise au jeu. Clémentine s'éloigne. Hors champs elle disparaît dans l'obscurité. Julie doit probablement zoomer sur la fellation. Je la vois concentrée sur le petit écran. Clémentine revient. Elle s'accroupit. Quelle nouvelle surprise. Son pantalon est ouvert. Décousu à l'endroit de son sexe dont j'aperçois les lèvres charnues. C'est incroyablement excitant.
Elle tient Estelle sous le menton et par la nuque. Elle tire Estelle par ses cheveux pour lui retirer la queue de la bouche. Il y a des filaments de foutre qui relient ses lèvres à mon prépuce fripée. Il s'en écoule sur son chemisier. Estelle ouvre les yeux pour me fixer. Clémentine la tient fermement. C'est la toute première fois que je vois Clémentine se comporter en "dominatrice". Elle, d'une nature authentiquement "soumise", joue ici un rôle qui lui va extraordinairement bien. Estelle le découvre aussi.
Je regarde Julie. Elle est accroupit à scruter l'écran de la caméra. Décidément, c'est la soirée des surprises. Je découvre qu'elle ne porte pas de culotte. C'est la toute première fois que je vois son sexe. Il est très semblable à celui d'Estelle. Des lèvres fines. Un clitoris invisible. Mais des poils taillés un peu n'importe comment. Serait-elle une de ces "filles négligées" dont raffolent les "connaisseurs" ? Elle vient de se rendre compte que je mâte. Elle serre ses cuisses, serrant ses genoux. Je lui fais un clin d'œil.
Je pisse au visage d'Estelle. Elle veut se détourner, surprise par mon initiative de salaud. Clémentine la chope pour la maintenir fermement. Entre chaque jet, je veux la lui enfoncer dans la gueule. Je lui pince le nez. Pour pouvoir respirer, elle n'a d'autre choix que d'ouvrir la bouche. C'est là que j'en profite lâchement. A nouveau nous entendons le souffle de Julie. Elle est tellement excitée en assistant à ces scènes. Tout est nouveau pour elle. Nous savons bien qu'elle ne joue pas.
Je regarde à nouveau ce que fait Julie. A nouveau, elle a ses cuisses largement écartées. Cette fois, lorsqu'elle surprend mes regards, elle ne rapproche pas ses genoux. Au contraire, elle se cambre. Julie découvre là, ce soir, les joies de l'exhibitionnisme. C'est certain. Du moins une forme qu'elle ne connaissait pas. Je bande comme un salaud. Je suis excité comme jamais. J'ai intérêt à me contrôler pour ne pas éjaculer dans la bouche d'Estelle. Clémentine doit probablement s'en rendre compte.
Elle se redresse pour forcer Estelle à se relever aussi. Elle l'entraîne vers la table. Julie se redresse. Elle change de caméra. Clémentine installe Estelle sur la table. Elle m'y attend, en appui sur ses coudes, cuisses largement écartées. Je me positionne entre ses jambes. Je frotte mon sexe contre le sien. Estelle a le visage dégoulinant de pisse. Clémentine prend des photos en gros plans. Cette fois, nous entendons distinctement un gémissement. C'est Julie. Bien trop excitée. On la comprend.
Clémentine nous laisse pour aller la rejoindre. Elle prend le contrôle de la caméra qu'elle déplace doucement. Un meilleur angle de vue. Debout à côté de Julie, Clémentine, cambrée sur ses genoux fléchis, se masturbe. Julie ne sait plus où regarder. Clémentine qui se branle. Estelle qui se fait baiser. Moi qui m'agite comme un dément en poussant des cris d'animal en rut. Je regarde à nouveau. Julie a passé une main sous sa jupe. A côté de Clémentine, elles se masturbent toutes les deux.
Je sors ma queue d'Estelle qui se redresse. Elle n'a pas cessé de se toucher pendant que je la tringlais comme un sauvage. Clémentine vient nous rejoindre. Assise à côté d'Estelle, elle se fait pénétrer en poussant un râle de plaisir. Nous restons immobile. Estelle se branle de plus en plus vite. Son orgasme la fait hurler. Julie se trémousse. Heureusement que la caméra filme en mode automatique. Estelle va contrôler l'autre caméra. Elle fait un signe qui indique que nous sommes à la fin de la carte SD.
Clémentine fait un signe de l'index à Julie pour l'inviter à nous rejoindre. << C'est le moment de sortir de ta coquille et de surmonter tes inhibitions. On est toutes les deux avec toi. Tu as un super niqueur à ta disposition ! Vas-y ! >> lui fait Estelle. Julie s'approche d'un pas hésitant. Clémentine tapote le bureau sur sa droite en disant : << Viens ! >>. De la voir là, comme une gamine, me coupe un peu la chique. Je ne suis pas spécialement attiré par ces déviances juvéniles. Même si c'est un jeu.
Heureusement, Julie s'arrête. Elle n'ose pas venir jusqu'à nous. Son visage dans ses mains, elle semble paniquée. Estelle comprend son désarroi. Elle va la rejoindre pour la prendre par les épaules. Elle l'entraîne dans le canapé. Je termine Clémentine qui connaît un orgasme nucléaire. Je me retire juste avant qu'elle ne se lâche dans un jet de pisse. On entends distinctement Julie murmurer : << C'est pas possible ! >>. Je la regarde. Estelle a allumé la petite lampe. Julie est toute rouge, trempée de sueur.
C'est comme si elle était celle qui avait jouis le plus. Je viens m'assoir dans le canapé. J'ai la bite dégoulinante de foutre. J'en ai qui coule sur les cuisses. Julie semble comme hypnotisée par cette vue. Elle ne quitte plus ma bite des yeux. Je la lui tends. Estelle lui dit : << Tu n'imagines pas comme c'est bon quand le mec a baisé toute la soirée ! Vas-y donc ! >>. Une fois encore Julie est à deux doigts de se laisser tenter. Nous avons la décence de ne pas insister. Elle fait tellement gamine. C'est fou !
Clémentine vient nous rejoindre en se séchant la chatte. Elle s'accroupit devant nous pour nous montrer son sexe. << Il est "fumant" ! >> lance t-elle à Julie. Estelle demande à Julie : << Tu as 20 ans, tu adores regarder des bites et tu n'y goutes pas ? >>. Julie semble un peu ennuyée. Elle répond : << Je n'ai pas le courage. Mais avec vous trois, je crois que je vais finir par le trouver ! >>. Nous en rions de bon cœur. Ce qui détend l'atmosphère. Julie cesse d'être craintive, sur ses gardes.
Il est presque minuit. << Nous allons basculer d'une année de merde dans une année de merde ! >> lance Estelle. << Au diable les diables ! >> rajoute t-elle. << Lançons nous dans l'inconnu. Après tout, avons nous un autre choix ? >> fait Clémentine. Julie comme une gamine entourée de grandes filles nous regarde radieuse. Ravie d'être en si bonne compagnie. Nous nettoyons nos saloperies. La serpillère, le foutre sur le bureau. Julie, enfin détendue veut absolument nous assister, nous aider.
Nous montons. Nous nous couchons. Nous sommes totalement épuisés. << Beaux nénés et meilleurs nœuds ! >> lance Estelle à Julie. Clémentine termine de la border comme une grande sœur attentionnée. En fait, c'est une grande sœur qui manque à Julie. Estelle s'endort serrée contre moi. Nous chuchotons encore un peu avec Julie. << Tu te branles ? >> lui demande Clémentine. << Oui ! >> répond timidement Julie en chuchotant. Nous lui souhaitons bonne nuit.
Bonne année à toutes les coquines qui s'apprête à monter d'un cran dans leurs délicieuses turpitudes et de mettre la "barre" plus haut...
Julien