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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1370 -



Julie vient nous visiter dans l'après-midi

Hier matin, mardi, du plus profond de nos rêves surgissent les chants de ces oiseaux. Le bruit de l'eau de cette source. Il est presque six heures. L'application nous réveille avec sa douceur habituelle. Clémentine vient se blottir contre moi. Je la serre fort. Nous nous étirons en gémissant. L'impérieuse envie naturelle n'est pas supportable longtemps. Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers.

Clémentine fait le café en racontant son rêve de la nuit. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend déconneuse. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la visite de Julie hier soir. Ce repas partagé dans la joie. << Tu seras bien salaud cet après-midi quand elle revient ! >> me lance Clémentine avec un clin d'œil.

Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entrainement nous appelle. Joggings sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Notre douche. Nous nous habillons. Jeans et chemises à carreaux. Nous descendons rapidement, pressés d'aller faire quelques pas au dehors. Nous enfilons nos anoraks. La fraîcheur humide reste désagréable. Mais il ne pleut pas et il fait moins froid. Il est 7 h50. Le jour va se lever. Nous restons sur les dalles de grès. Le sol est détrempé.

Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il faut rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume une bonne flambée dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette douce euphorie offerte par Clémentine. La peinture de ce sixième paysage destiné à ma saison 2021 m'inspire totalement. Cette toile sera terminée bien avant midi.

La matinée se passe dans une saine émulation. Il est 11 h40 quand je dépose la dernière pointe de terre de Sienne sur la surface du tableau. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 11 h55. Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans la cheminée. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe les trois tourtes aux fruits de mer. Je coupe, je lave le poireau que je fais cuire à l'auto cuiseur. Je concocte une Béchamel.

Clémentine râpe du gruyère de Comté. J'étale deux tiers de la pâte feuilletée dans un grand plat. Clémentine y verse le mélange Béchamel, poireaux et gruyère. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Au four. Cuisson à 180° pour bien faire mijoter. La Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait le régal de nos mardis soirs est à cuire. Nous mangeons de bon appétit tout en conversant. Clémentine me raconte sa matinée, son télé travail si absorbant. J'écoute avec beaucoup d'intérêt.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur les visites de Julie. Les sentiments qu'éprouve Julie pour Clémentine. << Et pour toi aussi ! Cette fille t'est profondément reconnaissante ! >> m'explique Clémentine. J'écoute son développement. C'est toujours si juste, si précis. Nous débarrassons. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de sortir un peu, nous dévalons les escaliers. Nous mettons nos anoraks.

Le ciel reste gris, menaçant. Les pluies sont fréquentes et abondantes. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne jusqu'à la rivière. Il faut ouvrir le parapluie. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. J'aime ressentir cet instant où sa poigne se referme sur mon sexe mou. La pluie se remet à tomber. Nous remontons le chemin. Que faire par une telle météo à part retourner dans l'atelier. Travailler encore un peu.

Je mets deux bûches dans l'âtre. Clémentine classe des documents. Tire des exemplaires sur l'imprimante. Je fais deux nouveaux dessins préparatoires à partir de calques d'anciennes réalisations. Nous bavardons. Clémentine me fait une lecture de son écrit. L'après-midi se déroule ainsi. Nous avons tous deux fait du bel ouvrage. Il est 16 h20 quand résonnent les trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Je sors ma queue sous ma blouse de lin écru. Discrètement.

Clémentine revient suivie de Julie. << Bonjour "docteur Julien" ! >> fait Julie en souriant malicieusement. Elle porte ses lunettes d'étudiante, les mêmes vêtements que hier soir. De son petit sac à dos en cuir, elle tire le flacon de gel hydroalcoolique. Nous tendons nos mains. Tous les trois, en riant, nous pratiquons le rituel du nettoyage. Nos modes de vie nous préservent de tous risques. Mais nous jouons le jeu du protocole. Clémentine prépare le thé et les petits gâteaux secs.

Je montre à Julie mes derniers dessins. Elle est à se réjouir à l'idée de tenir ma galerie d'Art l'été prochain. << Je lis régulièrement des livres sur de grands peintres. C'est passionnant. Je découvre Rembrandt, Vermeer et bien d'autres ! >> me confie Julie. Je retire ma blouse de peintre. Julie découvre mon sexe qui pend mollement de ma braguette béante. Elle détourne immédiatement les yeux avec pudeur. J'aime voir ses réactions de jeune fille. A 20 ans on cache difficilement ses émois.

Nous voilà installés dans le vieux canapé en velours. Sur notre gauche, à quelques mètres, la cheminée. Le crépitement du feu. Le craquement du bois. Julie adore cette ambiance d'un autre temps. Parfois elle nous confie avoir l'impression de faire un bond dans le XIX ème siècle en venant dans cette grande demeure. Je lui dis : << Vous êtes ici chez vous Julie. Vous venez quand bon vous semble ! >>. Je me lève pour quitter l'atelier. Je laisse Julie seule avec Clémentine.

Je connais les sentiments qu'elle nourrit pour Clémentine. C'est un peu la moindre des convenances de la laisser jouir un peu de la compagnie de la fille que j'aime. Je suis au salon devant l'ordinateur à écrire ces quelques lignes lorsque Clémentine vient me rejoindre. << Viens ! >> me fait elle en m'entraînant par la main. Nous retournons dans l'atelier. Julie me fait le plus délicieux des sourires. Reconnaissante de l'avoir laissé seule avec ma compagne. Elle est belle.

Je prends la chaise glissée sous la table de travail. Je la dispose au milieu de la grande pièce. J'invite Julie à s'y assoir. << Docteur Julien ? >> me lance t-elle en souriant. Je réponds : << Docteur Julien consulte ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine revient à son tour avec les cordelettes de coton blanc. Je demande à Julie de s'installer avec le dossier de la chaise entre ses cuisses. Elle me regarde avec étonnement. Je lui fixe les chevilles aux pieds de la chaise. Elle en frissonne.

Je menotte ses poignets au dossier de la chaise. Il y a le silence total. Clémentine est assise dans le canapé. Je tourne autour de Julie. Elle ne cesse de me fixer avec une certaine inquiétude. Elle regarde ma bite qui pend mollement. Je me place devant Julie. A environ un mètre. J'agite mon sexe dans sa direction. Je m'approche. Julie reste sur ses gardes. Je me penche pour murmurer : << Pas d'inquiétude, il ne vous arrivera rien ! >>. Julie soupire longuement. Un soulagement.

Je connais suffisamment de sa psychologie pour savoir que cette situation l'enivre de plaisir. Je m'approche encore un peu. Elle détourne son visage. Je pourrais y frotter ma queue tellement je suis près. Je contourne la chaise. Je la saisis par la nuque. Ma main sous ses cheveux. Je me penche pour chuchoter : << Vous êtes merveilleusement docile Julie. Je vous félicite ! >>. J'ai mon visage tout près du sien. J'en scrute chaque détail. Il y a de petites perles de sueur sur son nez, sur ses pommettes.

Je retire délicatement sa paire de lunettes. Je les mets sur mon nez pour lui faire des grimaces. Julie se met à rire. Là-bas, dans le canapé, Clémentine a glissé une main dans son jeans. Rien ne l'excite davantage que de voir mes comportements avec une autre. Tant que je ne la baise pas. Je tiens Julie sous son menton. Elle se laisse totalement aller. Lascive. Sachant bien que je suis un parfait gentleman. Je soulève son menton pour l'obliger à me fixer. Elle ne peut soutenir mon regard.

Julie est une jeune fille réservée. Même si elle est vicieuse, voyeuse, elle n'en est pas moins extrêmement timide. Julie observe la masturbation de Clémentine. Elle lui adresse un sourire. Clémentine se lève. Elle nous rejoint. Elle dépose une bise sur le front humide de Julie qui ferme les yeux. Clémentine lui fait des bises sur les joues. Elle dit à son oreille : << Tu es belle et attractive ! >>. Julie ne peut empêcher ce gémissement d'intense satisfaction qui lui échappe. C'est émouvant.

Je saisis Julie par ses oreilles. Je suis debout derrière elle. Je me penche pour chuchoter : << Dite quelque chose d'intime à Clémentine ! >>. Julie, dans un souffle, lève la tête pour lâcher : << Je t'aime Clémentine ! >>. Cette déclaration d'amour vient du fond du cœur. Je consulte Clémentine du regard. Je montre la porte. Prêt à les laisser seules toutes les deux. Clémentine a un geste de la tête et du doigt négatif. Elle n'est pas lesbienne. Dommage pour Julie et pour moi. Merde !

Je me masturbe bien droit, à quelques centimètres du visage de Julie. De grosses perles de sueur inonde son visage. Elle se tortille les mains menottées. Elle s'agite sur sa chaise. Je crois préférable de la détacher. Elle se lève, tombe à genoux sur un des épais coussins posés sur le tapis. Le visage dans ses mains. << J'ai honte ! >> lance t-elle. Clémentine s'accroupit à ses côtés pour dire : << La honte participe parfois de plaisirs intenses et insoupçonnés ! Laisse toi aller au plaisir ! >>.

Julie reprend ses esprits. << Excusez moi, je suis si émotive ! >> fait elle en se relevant. Je passe mon bras autour de son épaule pour dire : << Julie, il faudra poursuivre cette thérapie sur plusieurs consultations ! >>. Nous en rions de bon cœur. Julie prend son service à 18 h30. Il faut songer à mettre un terme à cette délicieuse visite. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. << Je reviens vendredi ! Je peux ? Pour 14 h30 ? >> lance t-elle. Clémentine répond : << C'est obligatoire ! >>.

A peine Julie est-elle partie, qu'arrive Estelle. Nous sommes encore sur le perron sous la verrière. Les deux voitures se sont croisées devant le portail. Estelle arrive en courant. Elle nous fait la bise et me saute au cou. << S'il se passe quelque chose avec cette petite vicieuse, je t'arrache les couilles ! >> me fait elle en me palpant la braguette. Nous en rigolons comme des bossus. Je la rassure. Clémentine aussi. Nous rentrons au chaud. Estelle veut aller voir l'atelier. << Contrôle ! >> fait elle.

Je la fais s'assoir sur la même chaise. Je dis : << Je te fais vivre tout ce qu'elle a vécu, viens ! >>. Inutile de fixer les mains et les pieds d'Estelle à la chaise. Elle prend la position. Je saisis sa nuque. Je tiens son menton. Je reproduis exactement la même situation. << Cette petite vicieuse en voudra toujours davantage, vous verrez ! >> lance Estelle en se relevant. Elle glisse sa main dans ma braguette pour m'en extraire le Zob. << Espèce de vieux pervers vicieux ! >> s'écrie t-elle.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la tarte aux poireaux. Nous dressons la table. Estelle ne cesse de se frotter à moi, de me tenir le sexe ou encore de m'embrasser. << Plus jalouse que moi, tu ne trouveras pas ! >> dit elle à plusieurs reprises. Nous en rions de bon cœur. Surtout lorsque Clémentine lance : << Pareil pour moi ! >>. Nous faisons les pitres tout autour de la table. Une farandole délirante dans toute la cuisine.

Estelle et Clémentine m'entraînent au salon. Elles me descendent le pantalon et le slip. Toutes les deux accroupies se refilent une queue molle, baveuse et moite. Je bande doucement. La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Je propose aux filles un bon léchage de minou après la vaisselle. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Je me régale de jus de filles. Elles se régalent de jus de couilles. Orgasmes fous. Nous passons la nuit ensemble.

Bonne thérapie à toutes les coquines qui aiment les consultations à domicile. Ficelées sur une chaise entre les main du praticien...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1371 -



Les vacances scolaires approchent

Hier matin, mercredi, notre douce application nous tire de nos profonds sommeils. Il est presque six heures. Estelle, contre moi toute la nuit, se serre encore davantage. Clémentine vient se blottir. Le chant des oiseaux et le bruit de la source s'estompent déjà. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Nous nous habillons. Elle revient pour s'habiller et dévaler les escaliers. C'est à notre tour d'aller pisser avant de descendre la rejoindre à la cuisine. Morts de faim.

L'odeur du café et du pain grillé achève de nous réveiller. Nous prenons un copieux petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit. Estelle est toute contente d'avoir passé la nuit avec nous. Elle revient jeudi soir. << C'est en bonne voie. Un jour je vivrais avec vous ici ! >> lance t-elle et riant. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Joggings sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos pour terminer par le stretching.

Estelle ne s'attarde pas. Deux derniers bisous et elle file à toute vitesse. Nous prenons notre douche. Nous revêtons nos jeans, nos chemises à carreaux. Nous descendons. Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Il est 7 h50. Le jour ne pas tarder à se lever. La fraîcheur est vive mais il ne pleut pas. Nous allons récupérer une dizaine de bûches sous l'abri à bois. Le grand panier. Les cours en lignes commencent à 8 h05. Il faut rentrer. Nous rangeons les bûches à côté de la cheminée.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je commence ce matin le septième paysage destiné à ma saison 2021. Je peins dans la plus totale sérénité. Nous sommes tous deux absorbés par nos travaux. La matinée se passe ainsi, dans une ambiance studieuse. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Plein de bisous.

Elle met deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée de télé travail. Je réchauffe le reste de tarte aux poireaux. Avec deux filets de flétan pané, dorés à la poêle. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur notre douce fin d'après-midi avec Julie. Notre douce soirée avec Estelle.

La vaisselle. Clémentine propose de préparer le repas du soir maintenant. Ainsi nous serons tranquille. Il n'y aura qu'à réchauffer. Un gratin d'aubergines, de riz complet et de courgettes. C'est une préparation rapide. Clémentine râpe du gruyère de Comté, pendant que je lave et coupe les aubergines, les courgettes. Je fais gonfler le riz complet. Tout est rapidement au four pour une cuisson à 180°. Afin de faire longuement mijoter. C'est bien meilleur la cuisson lente.

Nous montons nous laver les dents. Nous avons encore un peu de temps pour aller marcher dehors. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il n'est que 13 h30. Vêtus de nos anoraks, nous tenant par la main, nous descendons jusqu'à la rivière. Le ciel reste gris, bas et couvert. Voilà nos amis à plumes. Les canards, les colverts et les poules d'eau. Tout ce beau monde cancane bruyamment à notre approche. Clémentine glisse sa main dans ma braguette béante.

Il ne fait pas trop froid. Me voilà avec la bite à l'air. Clémentine m'embrasse longuement. Nous le faisons avec tant de fougue que nous en avons les mentons mouillés de salive. << Comme pour manger, nous sommes incapables de le faire proprement ! >> fait souvent Clémentine. Cette fois encore nous en rions de bon cœur. Il est temps de remonter. Je remballe car nous rencontrons parfois notre voisin, monsieur Bertrand qui va nourrir les emplumés.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Il fait tellement sombre depuis plusieurs jours qu'il faut travailler à la lumière artificielle. Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. L'après-midi se passe ainsi, dans la même ambiance studieuse. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre en sautillant dans toute la pièce.

Accroupie à ma droite, sa main sous ma blouse, elle regarde ma peinture. J'aime sa poigne ferme sur mon sexe mou. Clémentine se redresse. Ses feuilles à la main, elle lit son écrit. Ce texte qu'elle n'a cessé de remanier. Telle une actrice de théâtre, elle déclame son récit en parcourant l'atelier. J'écoute en peignant. La nuit tombe. Assise en tailleur sur le canapé, son stylo à la main, Clémentine se lance dans de nouvelle corrections. Elle me fait la lecture des changements.

C'est un texte tellement élaboré que les changements son minimes. Quelques hésitations sur des mots à double sens. << Demain, je tire le définitif sur l'imprimante en archive et j'envoie l'original par fichier PDF ! >> précise Clémentine. Il est 18 h15. Je nettoie ma palette et mes pinceaux quand un bruit sourd résonne au dessus de nos têtes. << Bonsoir Christine ! >> lance Clémentine pour saluer l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Ce soir, c'est un florilège de bruits divers.

J'enlève ma blouse. Je viens m'installer aux côtés de Clémentine. Nous écoutons les errances de l'entité qui parcourt l'étage. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, Clémentine commente les manifestations paranormales. Même si nous y sommes habitués, ces phénomènes surnaturels restent impressionnants. << Ce soir, elle fait fort ! >> lance Clémentine. Pour l'Ecossais que je suis, un fantôme dans sa maison est la chose la plus naturelle du monde. Une tradition.

Tout cela dure une bonne dizaine de minutes pour cesser aussi subitement. Un profond silence y succède. Juste le bruit du feu, les craquements du bois. La danse des dernières flammes. Clémentine joue avec ma queue qu'elle frotte contre sa joue. Elle me confie les derniers tourments que lui cause ce texte à remettre pour vendredi matin. << Après, ce sont deux semaines de vacances bien méritées ! >> fait elle en se redressant. Je bande mou dans sa main.

Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement des endives. Je réchauffe le gratin de courgette, d'aubergine et de riz complet. Je dore six petits gambas à la poêle. Nous dressons la table au salon. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Tous ces gens qui adorent l'ambiance de notre grande demeure, la compagnie du couple que nous formons. C'est parfois extraordinaire. Clémentine revient précédée de Juliette. Leurs sourires radieux.

Juliette est vêtue de sa tenue d'écuyère habituelle. Superbement sexy dans son pantalon d'équitation hyper moulant. Ses bottes, son chemisier et son gilet de cuir. De son petit sac à main elle tire le flacon de gel hydroalcoolique. Avant toute chose, tous les trois, nous nous désinfectons les mains. Un amusant rituel. Même si tout cela n'est pour nous qu'un jeu, que nos modes de vies son extrêmement rigoureux, nous restons d'une prudence absolue. "Dans le Douste, abstiens toi". Blazy.

Juliette est toute contente d'être là. Tout en parlant, elle observe ma braguette béante. Je propose de faire le service. Mais Juliette insiste pour tout faire ensemble. Nous allons chercher les plats à la cuisine. Nous voilà installés à la grande table monastère. Seule la lueur des deux bougies éclaire la vaste pièce. Juliette anime la conversation. Ce soir elle est particulièrement enjouée. Son haras est une entreprise agitée. Il se passe toujours tant de choses imprévues.

Quatre vingt sept chevaux en pension. Ce qui exige une logistique et un suivi de chaque instant. Les impondérables sont monnaie courante. << Vous n'imaginez pas la paperasserie que tout cela impose. Un jour les services sanitaires vont exiger un rapport sur chaque animal. Il faut des contrôles continus. Lutter contre une quelconque infection virale devient une préoccupation permanente des services vétérinaires ! >> nous confie la jeune femme. Elle semble soucieuse.

Son vétérinaire est donc en visite deux après-midi par semaine. Rapidement toutefois Juliette en arrive à ces aventures extra professionnelles. Ce vétérinaire est un jeune homme à l'aube de la quarantaine. Marié. << Un petit vicelard plein d'imagination ! >> précise Juliette en riant. << Combien de pipe par semaine ? >> demande Clémentine. << Le plus souvent deux. Mais on baise aussi par le trou dans le mur. Ce n'est pas vraiment confortable ! >> fait Juliette.

<< Et puis les autorités sanitaires préconisent les rapports protégés ! >> lance encore Juliette. Nous en rigolons comme des bossus. Juliette ne pourra pas venir passer le réveillon de Noël avec nous comme prévu. Elle sera avec sa sœur et son beau frère. << Un vrai con ! >> précise t-elle. Mais c'est sur l'insistance de sa frangine. Le reste de leur famille vivant en Corse. Les déplacements à longues distances étant interdits, les possibilités restent donc très limitées.

Nous racontons nos petites séances de "traitements" administrés à nos visiteuses. << Docteur Julien et sa thérapie de "la chaise" ! >>. Juliette écoute avec beaucoup d'intérêt. Elle mime souvent une masturbation masculine en posant des questions précises. Clémentine me fait du pied sous la table. Je comprends. Je sors discrètement ma queue. Notre conversation me fait bien bander. Je me lève. Les mains sur les hanches, par contractions des muscles fessiers, je fais bouger mon Zob.

Juliette observe. Elle me fixe avec son regard sévère. Cette sublime bourgeois de 43 ans est d'une beauté insolente. << Le "Club" des salopes aux yeux bleus ! >> comme le précise souvent Clémentine. En effet, par le plus grand des hasards, toutes nos relations intimes ont les yeux bleus. Julie, Estelle et Juliette. Clémentine et moi. Nous en rions de bon cœur. Juliette, directrice de son entreprise, peut circuler librement munie de son attestation. Malgré le couvre feu de 20 h.

Nous trouvons toutes ces mesures pitoyables et dignes d'un régime totalitaire. Inutiles et ridicules. Mais il faut s'y plier. << Vous allez voir, dès les fêtes finies, une fois qu'on aura dépensé notre argent, ces enfoirés vont nous emprisonner jusqu'au printemps ! >> lance Juliette. << C'est fort probable avec de tels psychopathes ! >> répond Clémentine. Je précise que dans notre petit monde, ici, à la campagne, pas grand chose ne change. Nous pouvons vivre dans la transgression permanente.

Je me lève à plusieurs reprises pour agiter ma turgescence en direction de Juliette. Nous faisons la vaisselle ensemble. Clémentine plonge, Juliette et moi nous essuyons. J'admire les deux bosses que font les lèvres pulpeuses de sa vulve. Son sexe parfaitement dessiné et partagé en deux parties par la couture de son pantalon. Aussi moulant qu'un leggings. Juliette adore les regards qui se posent sur son croupion délibérément mis en valeur. Elle est tellement attractive.

Juliette observe ma bite qui pend mollement de ma braguette. Clémentine s'essuie les mains après avoir rincé l'évier. Je range la dernière cuillère dans le buffet. Juliette passe derrière moi pour étendre le torchon vaisselle. Elle passe sa main pour me choper la queue. << Vous m'infliger la thérapie de "la chaise" un de ces jours ? >> lance t-elle. Clémentine répond : << Oui, mais je suis l'assistante du docteur Julien ! >>. Nous en rigolons tous les trois comme des bossus.

<< On peut se faire ce plan au haras ! Qu'en dites vous ? Lundi après-midi par exemple ! >> lance Juliette. Nous nous regardons en silence. << On vous tient informée. On vous contacte ! >> fait Clémentine en prenant mon sexe dans sa main. Tout en me masturbant doucement, Clémentine évoque cette possibilité. << Vous voulez que j'organise la présence de Gérard ? >> demande Juliette. Clémentine a soudain les yeux brillants d'intérêt. << Il est sain et en pleine forme ! >> précise Juliette.

Clémentine me consulte du regard. << Je réfléchis ! >> lance Clémentine. Je promets à Juliette un "traitement" de tout premier ordre. La thérapie de "la chaise" peut se dérouler dans n'importe quel endroit isolé. Il est 22 h. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Il fait nuit noire. J'allume le lampadaire du jardin. Assise au volant de son auto, la vitre baissée, Juliette observe ma queue dans la main de Clémentine. << Ce serait bien ce "plan" thérapeutique lundi ! >> dit elle.

Nous la regardons partir. Nous rentrons vite au chaud. Nous montons nous laver les dents. Nos rituels pisseux. Nous sommes tous deux considérablement excités. Au lit, j'alterne les douces pénétrations et les cunnilingus. En baisant, Clémentine me demande mon avis, me donne le sien. Nous sommes hésitants quand à la présence de Gérard. Ce vieux retraité impuissant, vicieux et incontinent. Sa bite minuscule risque fort de mettre Clémentine en appétit. C'est sa préférée. Quelques jours de réflexion...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment recevoir la visite d'une superbe bourgeoise hyper salope et à la présence troublante...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1372 -



Le dernier jour avant les vacances

Hier matin, jeudi, notre application bienveillante nous tire de nos profonds sommeils un peu avant six heures. Le chant des oiseaux et le bruit de la source nous réveillent toujours si délicatement. Aucun traumatisme. Clémentine vient se blottir contre moi. Nous nous étirons en gémissant. Quelques papouilles, nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en racontant son rêve de cette nuit.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un bruit sec. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Clémentine est pressée d'en découdre avec l'écrit en terminant aujourd'hui. Nous mangeons de bon appétit. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Joggings sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Nous prenons notre douche. Pressés de sortir un peu nous descendons très vite.

Nous enfilons nos anoraks. La fraîcheur est vive. Il est 7 h50. Il ne pleut pas. Le jour ne va pas tarder à se lever. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous remplissons le grand panier en osier sous l'abri à bois. Une dizaine de bûches. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un bon feu dans la cheminée. J'empile les bûches sur les autres. Je suis confortablement installé devant mon chevalet.

Je prépare les couleurs sur ma palette. La peinture de cette septième toile destinée à ma saison 2021, m'accapare rapidement. Je peins dans une grande sérénité. J'entends Clémentine parler. C'est comme un monologue car je ne perçois que sa voix avec un professeur ou un étudiant de son groupe. La matinée se déroule dans cette studieuse ambiance que nous apprécions. Il est presque 11 h55 quand Clémentine me rejoint en sautillant. Des bisous. Elle met deux bûches dans l'âtre.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une belle pâte à pain. Je concocte une garniture. Tomates fraîches, ail, oignon, champignons. J'en récupère un peu en accompagnement des coquillettes. Clémentine râpe du Parmesan. La pâte à pain repose sous un linge dans un saladier. La garniture repose sous un couvercle dans une casserole. Le nécessaire de nos pizzas de ce soir et demain midi, est prêt.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Tout sera finalisé cet après-midi. Les dix pages exigées seront envoyées en PDF cet après-midi pour 16 h au grand maximum. Nous traînons à table. C'est avec soulagement que Clémentine, assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, évoque sa stratégie. Cet écrit est d'une grande importance. Il servira de base à la thèse de son Doctorat. Il y a pourtant encore quatre ans d'études acharnées à fournir.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de sortir nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Nous enfilons nos anoraks. La fraîcheur reste vive. Le ciel est uniformément gris. Il ne pleut pas. Le sol est humide. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Nous la longeons sur quelques centaines de mètres. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Nous nous embrassons passionnément. Je glisse ma main dans sa culotte. C'est broussailleux.

Clémentine me confie son embarras quand à notre rendez-vous de lundi, au haras. Si monsieur Gérard est présent lors du "traitement" que j'inflige à Juliette, Clémentine a peur de céder à la profonde tentation. Presque une année entière qu'elle n'y a pas gouté. Tailler une pipe à ce vieux salaud retraité, impuissant, incontinent et doté d'une bite minuscule. Une bite pourtant ultra juteuse. La préférée de Clémentine. << J'y pense tout le temps depuis l'invitation de Juliette hier soir ! >> dit elle.

Certes, le vieux Gérard passe des tests régulièrement. Animé d'une vraie paranoïa, il surveille son état de santé avec assiduité. Comme le dit Juliette : << Il devient malade de n'avoir aucune maladie ! >>. Je ne sais quoi conseiller à Clémentine. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut remonter. Nous remplissons une fois de plus le grand panier en rotin. Une dizaine de bûches que nous empilons à côté de la cheminée. J'y jette deux gros morceaux de bois de hêtre bien sec. Crépitements.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins avec la même sérénité que ce matin. J'entends Clémentine lire son écrit. Elle s'interrompt souvent. Elle écoute probablement un autre étudiant de son groupe. Ou un professeur. Il est 16 h quand elle se met à virevolter dans tout l'atelier en chantant : << C'est parti ! C'est fini ! Je veux du zizi ! >>. Elle me couvre le visage de bisous avant de retourner s'assoir.

Je l'entends chantonner en terminant de classer des documents virtuels dans son ordinateur. Il est 17 h quand elle me rejoint. << Put-Hein ! Ça y est, je suis en vacances jusqu'au lundi 7 janvier ! >>. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle observe ma toile. Ce paysage romantique dont elle apprécie chaque détail. J'ai posé ma palette et mes pinceaux sur la desserte. Je la tiens par la taille. Nous restons silencieux. Clémentine est encore un peu harassée par son écrit.

Elle s'installe dans le canapé en soupirant. Plusieurs livres à côté d'elle. La voilà qui prépare déjà son second trimestre. Elle me lit les quatrième de couverture. J'écoute avec attention. Ce sont des ouvrages en rapport avec ses études. Pour moi c'est un peu de l'hébreu. Il est 18 h15. Du bruit. Voilà Estelle qui arrive. Nous l'entendons déjà chanter dans le corridor. Elle entre dans l'atelier pour se précipiter vers nous. Une bise à Clémentine et elle vient s'assoir sur mes genoux.

Je nettoie ma palette et mes pinceaux un peu maladroitement. Estelle me tient par la taille. Les filles parlent de leurs écrits envoyés. Les résultats n'arriveront qu'à la rentrée de janvier. Elles sont toutes les deux soulagées. << Je n'ai jamais attendu les vacances avec autant d'impatience. Ils vont nous tuer avec ce boulot ! >> lance Estelle. << Et attend, ils vont nous accabler jusqu'en juin, tu vas voir ! >> répond Clémentine. Au vue du planning, elles ne vont pas chômer.

Un gros bruit au dessus de nos têtes. << Bonsoir Christine ! >> font les filles en même temps. Nous écoutons le fantôme de mon ancienne compagne errer à l'étage. Ce soir, les phénomènes ne durent que quelques minutes. Nous sommes tous les trois assis sur les épais coussins, sur le tapis devant la cheminée. Dans l'obscurité nous admirons la danse des dernières flammes. Les filles sont appuyées contre moi. Elles profitent déjà de ce repos qui s'annonce. Enfin un peu de répit.

La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle travaille la pâte. Je réchauffe la garniture. Je dresse la table. Les filles parlent encore un peu de leurs cours en ligne avant de "tourner la page" jusqu'au lundi 7 janvier. Les pizzas sont au four. Nous passons au salon pour nous vautrer dans le canapé. Je suis entre mes deux anges serrés contre moi. Estelle me sort la bite. Elle joue avec tout en bavardant.

Nous racontons notre soirée avec Juliette hier soir. << Tu vas administrer ta thérapie de la chaise à cette vieille pouffe ! >> lance Estelle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine répond : << Mais tu seras là, tu pourras assister docteur Julien ! >>. Estelle s'écrie : << Mais je reste avec vous toutes ces vacances. On ne se quitte que pour le réveillon du 24 à Noël. Cette année je suis juste avec papa et maman ! >>. Nous sommes tous les trois fous de joie à cette idée. C'est superbe.

Estelle rajoute : << Mes parents vous invitent au repas de Noël le vendredi 25 décembre à midi ! >>. Clémentine fait : << Et nous les invitons au repas du soir ! >>. Ce projet nous enchante. << Demain matin il faut que j'aille aider maman au bureau, je reviens en soirée ! >> dit encore Estelle. Il faut aider à l'entreprise familiale qui ferme ses portes du 23 décembre au 2 janvier. La sonnerie du four. Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter à la cuisine. Morts de faim.

Nous mangeons de bon appétit. Les pizzas sont délicieuses. Clémentine rajoute sur tous nos plats au four des cerneaux de noix. Ça donne un goût sublime à toutes les tartes. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, les filles font le vague programme du week-end. Nous allons surtout beaucoup nous reposer. Elles en ont toutes les deux bien besoin. Nous prendrons la voiture pour aller randonner tous les jours si la météo le permet.

La vaisselle. Nous retournons au salon. Estelle prend la chaise à côté du guéridon. Il y a le vieux téléphone noir des années 30 posé dessus. Cet appareil fonctionne toujours encore. Même s'il est devenu un objet de décoration. Elle pose la chaise au milieu de l'espace entre le bureau et la cheminée. << Docteur Julien, j'ai besoin de votre traitement. Je me sens un peu flagada ! >> fait Estelle. << Toi, t'as surtout envie que docteur Julien s'occupe de toi ! >> lance Clémentine.

Je dis : << Gardons la prochaine consultation pour ce week-end ! Contentez vous, chère patiente, de vous déshabiller afin que je vous ausculte ! >>. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Clémentine et Estelle retirent leurs jeans et leurs culottes. Elles les jettent n'importe où en riant aux éclats. C'est émouvant. Les voilà toutes les deux en chemises à carreaux et en chaussette à faire les clowns. Estelle monte sur le bureau pour y parodier une danseuse de cabaret. C'est trop drôle.

Clémentine est debout sur la table monastère à danser lascivement. C'est vraiment les vacances qui commencent ce soir. C'est merveilleux. Estelle s'assoit sur le bureau. Les jambes relevées, les cuisses largement écartées, les pieds posés sur le dessus du meuble. << Si monsieur le docteur veut bien m'examiner ! >> lance t-elle. Je prends la chaise. Je m'assois dessus. Mon visage entre les cuisses d'Estelle. L'odeur de son sexe est étourdissante. Ça sent fort. Ça donne vraiment envie.

Clémentine vient me rejoindre. Debout derrière moi, elle passe ses mains autour de ma poitrine. Je lèche le croupion d'Estelle qui s'allonge en appui sur ses coudes. Je fouille son sexe de ma langue exploratrice. C'est toujours très attrayant chez Estelle car au fur et à mesure de son excitation les lèvres de son sexe deviennent plus accessibles. Le gout un peu âcre. Je suce son clitoris sous les premiers gémissements. Clémentine se met à genoux sur ma droite. Elle me suce doucement.

Je me fais tailler une pipe des familles tout en léchant le croupion d'Estelle. Elle se contorsionne sur le bureau. Elle cherche le meilleur angle à offrir à ma bouche. Cherchant son plaisir le plus intense. Clémentine, pour laisser reposer sa mâchoire, cesse sa pipe pour se redresser et me regarder faire. Elle me chuchote une douceur à l'oreille avant de retourner à sa fellation. L'orgasme d'Estelle la terrasse totalement. Couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses serrées, elle gémit.

Je tiens Clémentine par la nuque. Nous nous embrassons comme des fous. Je murmure : << Toi, je m'occupe de ton cas au lit ! >>. Clémentine nous essuie le menton plein de salive en disant : << Oh oui Julien ! Je t'aime ! >>. Nous nous redressons. << Mais moi aussi je vous aime ! >> s'écrie Estelle qui a repris tous ses esprits. Nous nous précipitons à l'étage. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Puis nos rituels pisseux.

J'aime lécher les croupions de mes deux anges après leurs pissous. Les mélanges m'enivrent. Elles aiment toutes les deux me sucer entre deux jets de pisse. Nous nous précipitons au lit. Estelle, totalement épuisée, s'endort la première. J'offre à Clémentine un cunnilingus qui la fait gémir de bonheur. Je propose de remettre la pipe à demain. << Je veux sucer tous les jours ! >> chuchote Clémentine en se blottissant contre moi. Je m'endors entre mes deux anges. Au paradis...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher le croupion, vautrées sur le bureau, à gémir de plaisir. Les vacances...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1373 -



C'est très agréable un premier jour de vacances

Hier matin, il est presque six heures quand notre douce application entre en fonction. Résonnent le chant des oiseaux et le bruit de la source. Cela ne dure que le temps de nous réveiller tous les trois. En même temps, les filles se blottissent contre moi. Je suis entre mes deux anges. Ce matin nous nous réveillons pour permettre à Estelle de s'entraîner avec nous avant de filer. Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes. Clémentine reste serrée contre moi. Des bisous.

Estelle revient, revêt sa tenue de gym, nous fait la bise et dévale les escaliers. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous descendons rejoindre Estelle à la cuisine. << C'est à cause de moi que vous vous levez si tôt. Je me ferais pardonner. C'est moi qui prépare le repas tout le week-end ! >> fait elle. L'odeur de café et de pain grillé est tellement appétissante. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons en bavardant et en riant.

Nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Joggings sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle ne se change même pas. Elle met son anorak, nous fait la bise et file à toute vitesse. Elle commence à huit heures dans l'entreprise familiale. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans et chemises à carreaux. Nous descendons. Nous enfilons nos anoraks. Il est 7 h50. Le jour va se lever. La fraîcheur hivernale est vive.

C'est un froid sec. Nous faisons quelques pas dans la propriété en restant sur les dalles de grès. Même s'il ne pleut plus depuis deux jours, le sol reste détrempé. Il n'y a pas cours ce matin. Aussi nous pouvons profiter du grand air sans restrictions. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la dépendance, la roseraie. Nous passons entre la haie de lauriers et de cyprès. C'est vraiment très agréable d'assister au levé du jour. Sous un ciel gris certes mais pas menaçant.

Nous rentrons. Il est 8 h15. Nous allons dans l'atelier. Clémentine fait un peu de rangement sur la table de travail. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare les couleurs sur la palette. Je suis confortablement assis devant mon chevalet. Je vais terminer ce septième paysage destiné à ma saison 2021 ce matin. Clémentine commente ce qu'elle fait. Le classement de ses documents. De ses fiches. Les brouillons de ses écrits. J'aime l'entendre chantonner en s'affairant. C'est si bon.

Il est 10 h30 quand je dépose la dernière touche de blanc de titane sur la surface de ma toile. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Dehors, le ciel est voilé mais lumineux. Cela participe d'une ambiance de vacances sympathique. Je retire ma blouse. Je rejoins Clémentine à genoux devant une des étagères. Des classeurs posés au sol. << C'est fou tout ce que je laisse en suspend alors que je crois toujours avoir tout rangé ! >> fait elle. Je m'assois en tailleur pour la regarder faire.

La musique imbécile de mon smartphone. Clémentine s'en saisit. << Estelle ! >> dit elle en mettant sur position haut parleur. Estelle nous apprend qu'elle ne vient nous rejoindre que demain samedi, pour 14 h. << Je fais le sapin avec maman ce soir ! Elle a insisté pour que je reste à la maison ! >> dit Estelle avec une voix résignée. Clémentine la rassure. Je fais : << C'est bien ! Il faut consacrer un peu de temps à tes proches ! >>. Estelle me répond : << Vous en faites partie ! >>.

Je prépare les six prochaines toiles dont le dessin préparatoire est déjà réalisé. C'est Estelle qui passera les couches d'impression à l'acrylique. Elle insiste et elle adore le faire. Je range l'atelier. Mes affaires sont toujours soigneusement classées. Mon atelier n'a rien d'un endroit bohème. Mon matériel doit être ordonné. Soigneusement entreposé. Il est 11 h45. Nous quittons un atelier propre et rangé pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Un belle scarole.

Je réchauffe les deux pizzas restantes. Avec quatre nems au crabe, c'est un petit régal. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur notre invitation lundi à 17 h, chez Juliette, au haras. Nous n'avons pas encore décidé d'y donner suite. << Laissons l'inspiration nous gagner durant ce week-end. On verra ce qu'en pense Estelle ! >> me fait Clémentine. Je trouve cette suggestion pleine de bon sens.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. Couchée à côté de moi, elle me sort le Zob. Tout en jouant avec elle évoque Juliette et son invitation. << La bite à Gérard ! >> me chuchote t-elle. Nous en rions de bon cœur. Même si ce vieux retraité salace est en parfaite santé, il y a quand même une crise sanitaire. Même exagérée à des fins mercantiles, cette crise ne doit pas nous laisser indifférents et insouciants.

Je bande mou. Sa tête posée sur mon ventre, Clémentine joue avec ma queue tout en bavardant. Je sens le souffle chaud de sa bouche tout près de mon prépuce. J'adore. Clémentine se met à téter. A biberonner. Je caresse sa nuque. Toutes les deux trois minutes elle cesse pour me donner ses impressions. M'exposer une idée nouvelle. Sucer est une source d'inspiration non négligeable. J'adore l'écouter autant que j'adore la douceur de sa bouche. De ses lèvres ventouses.

Nous percevons le bruit d'une voiture. Nul doute, c'est Julie. << Reste là haut. Je descends la chercher ! Branle toi ! >> fait Clémentine en se redressant. Il est à peine 13 h30 et Julie arrive déjà. Je me masturbe doucement. C'est très agréable. J'entends des éclats de voix dans l'escalier. Je me couche sur le côté. De ma main gauche je me tiens les couilles. J'ai le jeans et le slip descendus sur les genoux. Je me branle comme un salaud. Julie entre dans la chambre. Consternée.

<< Bonjour Julien. Je dérange ? >> lance t-elle. Clémentine répond : << Non non, tu es la bienvenue. Julien pratique ses exercices quotidiens ! >>. Julie sort le flacon de gel hydroalcoolique de son petit sac à dos en cuir. Nous éclatons tous les trois de rire. Je me couche sur le dos. Julie s'approche pour verser quelques gouttes dans mes mains. Nous nous frottons tous les trois les mains en riant. Je vois bien à l'attitude de Julie que la situation n'est pas pour lui déplaire.

<< Je suis en vacances ! C'est génial. Ce matin on a fait le sapin avec maman ! >> fait Julie en s'installant dans le fauteuil à bascule. Elle se balance en nous racontant ses soirées de livraisons. Nous avons le bonjour d'Anne-Marie, sa tante. Clémentine s'installe à côté de moi. Elle se saisit de ma bite qui ramollit. Elle l'a secoue en direction de Julie. Aujourd'hui, elle observe attentivement. Je demande : << Tu aimes bien notre chambre ? >>. Julie regarde la grande pièce silencieusement.

Clémentine se couche à côté de moi. Sa tête posée sur mon ventre, elle se remet à téter. Une exhibitionniste sous le regard d'une voyeuse. Un vicelard qui reste la bite à l'air. Quoi de plus affriolant qu'un tel trio. Julie lance : << J'aime votre grande maison. C'est comme un manoir avec sa tourelle. Partout à l'intérieur c'est comme au XIX ème siècle. J'aimerais un jour posséder une telle demeure ! >>. Clémentine cesse de téter pour répondre : << Tu es ici chez toi ! >>.

J'observe les attitudes et les expressions de Julie. Elle regarde Clémentine sucer. Elle pose des questions comme pour se donner une contenance, ne pas se sentir isolée avec ce couple devant elle sur le lit. Clémentine cesse de sucer pour répondre. Elle tapote sur le lit pour inviter Julie à nous rejoindre. Julie hésite. Je vois biens qu'elle en meure d'envie. Je lui fais signe de venir. Julie se lève. Elle tourne autour du lit. Se penche pour regarder. Elle s'assoit derrière Clémentine.

Penchée au dessus de Clémentine, Julie observe cette pipe avec attention. Elle évite de fixer mon regard. Timide et réservée malgré tout. Je veux lui faire un clin d'œil. Elle s'installe plus confortablement. Je ne la vois plus. Elle est probablement couchée derrière Clémentine. J'entends les gémissements de Clémentine. Je vois la main de Julie se poser sur l'épaule de Clémentine. Un geste d'affection d'une fille à une autre. Mais en y regardant à deux fois il en va tout autrement.

Je me redresse. J'hallucine. Julie se maintient à l'épaule de Clémentine pour pouvoir se frotter contre elle. En fait c'est un appui nécessaire à son mouvement masturbatoire. Clémentine se laisse faire. J'entends de tous petits gémissements. C'est Julie qui s'offre du plaisir. C'est la toute première fois que nous assistons à ce genre de chose. Julie fuit mon regard à chaque fois qu'elle ouvre les yeux. Elle est rouge de honte, le visage en sueur. Pas de doute elle se donne du plaisir.

Clémentine cesse de me sucer. Elle se relève pour venir poser sa tête contre mon épaule. Le lit bouge doucement. Le corps de Clémentine aussi. L'autre est entrain de se branler contre sa cuisse. Elle a même passé une des siennes par dessus la jambe de Clémentine. Je chuchote à l'oreille de Clémentine : << C'est le moment de te la faire ! Elle est prête ! >>. Clémentine n'est absolument pas lesbienne. Même si elle se laisse faire, c'est une idée qui la révulse. Dommage.

Mon vieux fantasme d'homme des cavernes se verrait bien en compagnie de deux gouines. Hélas. On peut rien contre la nature profonde des individus. Soudain, il y a un petit cri. Julie connaît un orgasme. Elle se blottit tout contre Clémentine qui me regarde très embarrassée. Je lui fais un bisou. Nous nous sourions. Julie se redresse sur un coude pour dire : << Tu m'en veux ? >>. Nous éclatons tous les trois de rire. Clémentine se couche sur le dos en rassurant Julie. << Mais non ! >>.

Nous restons tous les trois couchés sur le dos. C'est la toute première fois que nous sommes dans une situation aussi intime en compagnie de Julie. Elle reste inaccessible, Clémentine entre elle et moi. J'aimerais bien lui déposer un bisou sur le front. Julie pose sa main sur l'épaule à clémentine en se couchant sur le côté. C'est une fille amoureuse. Amoureuse de la fille qui partage ma vie. Situation cocasse. D'autant plus que son amour restera sans échos. Juste quelques retours d'affections.

Nous devinons tous les trois qu'une nouvelle étape de nos relations vient de commencer. Julie, comme pour se raisonner, se lève. Elle retourne s'assoir dans le fauteuil à bascule pour s'y balancer. Elle regarde Clémentine qui s'est remise à sucer. Julie continue d'éviter mon regard. Comme très gênée. Comme honteuse. Je lui lance : << Fais moi un beau sourire Julie et cesse de prendre l'air punie ! Profite de tout ce bonheur ! >>. Julie relève enfin les yeux pour me faire un timide sourire.

Je me fais tailler une pipe des familles. Je prends différentes positions. Je me comporte comme un véritable pervers sous le regard de cette jeune fille de 20 ans. Julie semble complètement hébétée par le spectacle auquel elle assiste. Clémentine devenue le jouet de mes initiatives. Je me couche sur elle, ma bite dans sa bouche. Je lui frotte la queue sur la gueule. Julie assiste à tout cela totalement consternée. C'est la première fois qu'elle voit un tel comportement de mec.

Je tiens Clémentine par la nuque. J'appuie pour lui enfoncer toute la bite. Puis je la tiens par ses cheveux pour soulever sa tête. Il y a plein de foutre qui relie ma queue à sa bouche à chaque fois que je la retire. Je suis à genoux. Je suis couché sur le dos. Je suis à quatre pattes. Je change régulièrement de position. Julie nous observe silencieuse. Je retire ma queue gluante de la bouche à Clémentine pour la présenter à Julie. Je le fais à plusieurs reprises. Je sens bien ses hésitations.

Pourtant, cette fois encore, Julie ne pourra surmonter ses inhibitions de jeune fille. Même si là, devant ses yeux, une autre jeune fille de son âge, se livre à des choses d'une ampleur vicieuse insoupçonnées. Julie reste vraiment consternée durant tout ce show. Je suis couvert de sueur. Je me couche sur le dos. Clémentine s'installe à mes côtés. Sa tête posée sur mon ventre. Une longue pipe qui s'achève. J'éjacule, immobile, en sournois, dans un râle de plaisir fou. Je jouis comme un dément.

Julie se lève. Elle vient s'assoir sur le lit pour regarder Clémentine déglutir. Clémentine cesse. Elle tend ma bite dégoulinante à Julie en disant : << Tu en veux un peu ? Tu veux le finir ? >>. Julie reste silencieuse. Elle continue de regarder. Elle dit : << Je n'ai pas le courage ! >>. Nous voilà à nouveau couchés tous les trois sur le dos. J'ai les couilles vidées, la bite congestionnée. Julie nous confie les indicibles émotions qui l'ont envahi. Elle n'a jamais connu un moment aussi intense.

Nous nous levons. Il est presque 17 h. << Put-hein, on s'est éclaté pendant presque trois heures ! >> s'écrie Clémentine. << Et c'était génial ! >> lance Julie. Nous descendons. Julie reprend ses livraisons dès 18 h30. Elle ne peut plus s'attarder. C'est après le thé et les petits gâteaux que nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Julie, épris de reconnaissance nous prie de recommencer. Je dis : << Vous revenez quand vous voulez. On fait ça souvent avec Estelle ! Vous aurez de quoi mâter ! >>.

Il fait nuit. Un dernier coucou à Julie qui s'en va. Nous nous dépêchons de rentrer. << C'était génial Julien ! Il faut refaire ! Je n'ai jamais tant apprécié d'être regardée ! >> me confie Clémentine. Nous mangeons de bon appétit. Ce soir, c'est à mon tour de lui offrir du plaisir. J'alterne les pénétrations et le cunnilingus. Il me suffit de penser à ce que nous avons vécu cet après-midi pour me retrouver excité comme rarement. L'orgasme de Clémentine est un cataclysme nucléaire.

Bonne après-midi à toutes les coquines qui aiment venir visiter un couple de vicieux. De voir le mec se comporter en vrai salaud sur le lit...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1374 -



Comme c'est bien de commencer ces vacances !

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par les mouvements masturbatoires que fait Clémentine. C'est presque imperceptible. Juste le drap qui bouge légèrement. Juste le matelas qui tremble un petit peu. Clémentine sait quand je cesse de dormir. Ma respiration change. Inutile de faire semblant. Tout cesse. Elle vient se blottir contre moi en murmurant : << J'ai fait un rêve cochon ! >>. Je la serre. Je lui couvre le visage de bisous. Je découvre le coussin entre ses cuisses.

Nous en rions de bon cœur. Je chuchote : << Raconte moi ton rêve devant des tartines de miel ! >>. Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il est 8 h. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte les premières tranches. Nous prenons notre copieux petit déjeuner. Clémentine me raconte son rêve érotique. Les écuries, un inconnu.

C'est une histoire absurde. Nous en rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. La vaisselle. Le jour s'est levé. Il ne pleut pas mais le ciel reste obstinément gris. << On tente le jogging ? J'ai trop envie d'aller courir au grand air ! >> lance Clémentine. Je dis : << Allez, on tente ! >>. Nous enfilons nos K-way, nos bonnets et nos gants. Le sol est bien humide. Certainement détrempé et boueux par endroits.

Nous décidons de monter sur la route qui passe en haut de la propriété. Bonne initiative. Nous pouvons courir au sec. Il y a très peu de voitures sur cette voie communale. Cela nous fait un bien fou. C'est beaucoup mieux que de courir sur nos tapis roulants. Nous arrivons au bourg. Un peu plus de trois kilomètres. Nous revenons par la piste cyclable totalement déserte. Il y a juste la portion de pré dont il faut suivre le chemin rocailleux. Juste éviter quelques flaques boueuses.

Il est 9 h30 quand nous revenons après une heure d'un running régénérateur et gratifiant. La douche. Nous nous habillons. Jeans et chemises à carreaux. Depuis l'interphone j'ai ouvert le portail. Il est presque dix heures. Nous mettons nos anoraks. Nous sortons juste au moment ou arrive la camionnette de livraison. C'est la même jeune femme. Elle porte son masque sanitaire descendu sur le menton. Nous nous saluons. Du hayon arrière de son véhicule elle sort deux cageots.

Le premier contient nos fruits et nos légumes. Le second contient nos fromages, nos yaourts, nos œufs, notre beurre et plein de kiwis. Même commande pour samedi prochain. La camionnette s'en va. Nous attendons l'arrivée de la boulangère. Le tube Citroën ne tarde pas. Voilà madame Marthe. Elle porte son masque sanitaire sur le menton. Elle nous tend nos trois grands sachets. Nos deux grosses miches de pain, la brioche au pudding. Même commande pour samedi prochain.

Nous rentrons toute notre marchandise. D'abord au cellier, à la cave pour y ranger les fruits et les légumes, une miche dans le congélateur. Nous montons à la cuisine pour ranger nos produits frais au réfrigérateur. Il est à peine 10 h30. Clémentine propose d'attaquer le ménage. Ainsi nous n'aurons plus à y penser jusqu'au week-end prochain. Excellente suggestion. Nous remontons faire la chambre, changer les draps, nettoyer la salle de bain, les chiottes de l'étage. Passer l'aspirateur.

A deux tout va bien plus vite. Avant que Clémentine ne vienne vivre avec moi, il y a presque quatre ans, j'avais une femme de ménage qui venait deux fois par semaine. Clémentine ne voulait pas continuer ce principe. Nous y reviendrons peut-être en prenant de l'âge. Nous redescendons pour passer l'aspirateur en bas. Nettoyer la cuisine, les chiottes du bas. Il est midi quand nous terminons. Cela nous a mis en appétit. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet.

Je poêle des calmars décongelés avec des champignons. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Clémentine y rajoute du gruyère de Comté qu'elle vient de râper. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la visite de Julie, hier après-midi. Nous en gardons un délicieux souvenir. << Julie va devenir notre nouvel "animal de compagnie" ! >> lance t-elle en riant.

<< Tu as vu comme elle s'est lâchée hier. C'était très étrange de la sentir se masturber contre moi ! Ça me gêne beaucoup. Je ne suis pas gouine. Elle risque d'être déçue la pauvre ! >> rajoute Clémentine. Je dis : << Elle est comme moi, amoureuse de toi ! >>. Clémentine éclate de rire avant de répondre : << Pas de place dans mon cœur pour une autre ! Mais j'ai beaucoup d'affection pour elle. C'est une fille qui ne triche pas. Elle cache probablement un truc secret. Une fêlure ! >>.

Je me fie toujours aux impressions de Clémentine. Elle a une intuition de médium. Ce qu'elle ressent s'avère toujours exact après quelques temps. Clémentine ne se trompe jamais sur les êtres. Comme elle le précise souvent : << Entre être et avoir, je préfère être. Car ce verbe s'accorde avec tous les autres mots. Alors qu'avoir ne s'accorde avec rien ! >>. Je médite toujours sur les affirmations de Clémentine. Elle voit "juste". C'est limpide, clair et sans équivoque possible.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Il y a deux textos qui arrivent coup sur coup. Clémentine se saisit du smartphone. Ce sont les colis commandés sur Internet. Ils viennent d'êtres livrés et on nous attend au portail. Nous dévalons les escaliers. Nous mettons les anoraks. C'est une jeune fille devant sa camionnette UPS. Ce sont les cadeaux pour Noël. << Génial ! >> s'écrie Clémentine. Tout est là. C'est elle qui s'est occupée des commandes. Elle adore faire ça.

Nous signons le bon de livraison et nous nous dépêchons d'aller tout cacher. Estelle ne va pas tarder. Chez nous, pas de décorations de Noël. Nous détestons ça. << Et puis tu portes ton magnifique sapin bien droit sur tes boules toute l'année ! >> me fait Clémentine quand nous en parlons. Nous en rions de bon cœur. Je glisse ma main dans sa culotte en disant : << Et la guirlande, elle est là ! >>. Je dénoue les poils de sa touffe broussailleuse et incroyablement fournie. Un vrai fourré.

A peine avons nous caché les paquets qu'arrive Estelle. Elle entre dans la maison conne un courant d'air. Elle se précipite pour nous faire la bise. Nous avons encore les mains humides de gel hydroalcoolique. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose par jeu. Estelle nous montre les photos du sapin de Noël dans son salon. << Regardez, on l'a fait avec maman ! Les cadeaux en dessous ! >>.

C'est un beau sapin. Nous le verrons vendredi prochain. Nous sommes invités au repas de midi, le 25 décembre. Pour cause de crise sanitaire, il y a peu d'invités chez les gens raisonnables. Même si nous n'y croyons pas vraiment, suivons le protocole. Dans le doute. Estelle est toute contente d'être avec nous. Elle nous entraîne dans une farandole folle. Une ronde délirante qui passe par la cuisine, le salon, la chambre d'amis qui sert de débarras et l'atelier. Nous rions comme des fous.

Nous avons prévu d'aller en ville. Il faut récupérer des livres commandés à la FNAC. Estelle en a fait réserver pour offrir. Nous montons nous changer. Estelle, de son sac de sport, tire sa jupe kilt, son chemisier crème, son pull bleu nuit, ses collants. Sa veste en cuir cintrée à la taille. Ses escarpins noirs à talons. Elles s'habillent toutes les deux pareilles. Comme des sœurs jumelles. Sur leurs demandes, je porte un pantalon à pinces et à plis, beige, une chemise blanche, un pull noir au col en "V".

Nous prenons la pose devant le miroir de l'armoire. << Comme on est beaux tous les trois ! >> lance Clémentine. Elles s'accroupissent toutes les deux. Leurs têtes en appui contre mes jambes qu'elles enserrent de leurs bras. Elles écartent toutes les deux les cuisses. Estelle ne supporte pas les porte-jarretelles. Clémentine par contre porte le sien. Avec cette météo, elles gardent toutes les deux leurs culottes. Je pose mes mains sur leurs têtes. Nous nous observons avec grand sérieux.

<< Notre bon "Maître" sera t-il délicieusement sévère avec nous cet après-midi ? >> demande Estelle. << Nous avons besoin d'êtres recadrées ! >> rajoute Clémentine. Je réponds : << Délicieuses "Soumises", je vous promets de m'occuper de votre éducation ! >>. Estelle palpe ma braguette. Clémentine en ouvre la tirette. Je sors mon sexe. Une érection molle comme elles en raffolent. Je frotte ma bite contre le visage d'Estelle qui se faufile entre le miroir et moi. Accroupie.

Elle cède sa place à Clémentine qui se met à téter. Elles se refilent ma queue pour en savourer les premières montées de liquide séminal. Je dis : << Chères "Soumises", vous me procurez les plus suaves sensations. Je suis une fois encore pris de vertige ! Venez, partons avant le "drame" ! >>. Elle se redressent en même temps. Estelle se serre contre moi en disant : << Avec vous mon bon "Maître", vivre les situations "dramatiques" est une épreuve que j'adore surmonter ! >>.

Nous en rions de bon cœur. Nous descendons prudemment. Chaussées toutes les deux de leurs escarpins noirs à talons hauts, il faut être vigilants. Nous mettons nos vestes en cuir, nos écharpes, nous élégants chapeaux feutre. Nous prenons la voiture. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Parfois elle se penche sur sa gauche pour en sucer le jus qui suinte. Assise à l'arrière, Estelle caresse mon cou en disant : << Et moi ? J'en veux aussi ! Je suis déjà punie ? >>.

Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'à la ville. La circulation est dense. Je gare la bagnole dans la petite rue habituelle. Il faut marcher une dizaine de minutes pour arriver dans les quartiers du centre. Toutes les rues son piétonnes. Pas de chalets en bois des marchés de Noël des autres années. Pour d'évidentes raisons sanitaires. Par contre, la municipalité à élaboré une décoration époustouflante. C'est de très bon goût. Le choix des couleurs ocres, bronze et vieil or est magnifique.

Il y a des files devant chaque magasin. Il y a un monde fou. Tout le monde est évidemment masqué. << Ces enfoirés vont nous reconfiner dès les fêtes passées, une fois qu'on aura dépensé notre argent ! On les voit venir les sournois ! >> lance Estelle. << Il y a de fortes probabilités avec ces psychopathes ! >> rajoute Clémentine. Les clients ayant réservés des colis sont priés de passer par une porte secondaire. C'est par celle-ci que nous montons à l'étage FNAC.

Estelle récupère ses bouquins. Clémentine récupère les siens. Je récupère mon colis. C'est un disque dur externe de 4 To que j'offre à Clémentine. Apple. Pour bien se connecter au MacBook Air que je lui ai offert l'an dernier. La marque à la pomme sait ruser pour fidéliser sa clientèle. Mais Clémentine a totalement abandonné Windows et le PC. Moi, j'y reste fidèle. J'y suis habitué. A 23 ans on s'adapte beaucoup plus vite aux changements qu'à mes 54 ans. Cela nous amuse bien.

Nous ne nous attardons pas. Nous ne cessons de nous refiler le flacon de gel hydroalcoolique. De nous frotter les mains avant de remettre nos gants. Une opportunité. Là, dans une des ruelles, un portail ouvert. Il donne sur une cour pavée. Personne. Juste une camionnette garée au fond. Clémentine aime explorer les endroits "secrets". << Venez ! >> fait elle. Nous entrons discrètement. << Je dois faire pipi ! >> rajoute t-elle. Nous comprenons l'allusion. Estelle se serre contre moi.

Elle m'entraîne à l'entrée. Sous l'arche de pierres du porche médiéval. Nous faisons le guet. << Un mec seul ! >> fait Estelle à Clémentine. Elle descend sa culotte enfilée par dessus son porte jarretelles. A mi cuisses. Elle s'accroupit. Estelle et moi traversons la ruelle. Nous jouons aux amoureux. Nous faisons mine de regarder notre téléphone. En fait, Estelle filme secrètement. Le type arrive à la hauteur du porche. C'est un jeune gars plutôt élégant. Style jeune cadre. Taille moyenne.

Il tombe sur le spectacle. Là, sur sa droite, à une dizaine de mètres, une superbe jeune fille accroupit est entrain de pisser. Il a un mouvement d'hésitation. Il s'arrête. Il revient sur ses pas. Il mâte. On le comprend. Quel plus merveilleux spectacle que celui-ci. Il regarde dans notre direction. Nous faisons semblant d'être préoccupés par notre écran de téléphone. Il se doute bien que la pisseuse est avec nous. Il pense probablement qu'elle s'est isolée en croyant se cacher à nos regards.

Mais pas aux siens.Il comprend aussi très rapidement qu'il a affaire à une véritable exhibitionniste. Surtout lorsque la jeune fille lève la tête pour lui adresser un magnifique sourire. Clémentine porte ses lunettes noires. Ses cheveux masquent en partie son visage. Son anonymat préservé, elle peut s'offrir une petite frayeur. Les occasions de le faire sont plutôt rares depuis quelques semaines. Elle s'offre donc à cette exhibition avec une passion amoureuse intense et appuyée.

Le type repart. Il s'arrête un peu plus loin. Il prend conscience qu'un "plan" drague se présente. Il revient sur ses pas. Il adresse la parole à Clémentine. Comme souvent dans ces situations, elle ne répond pas. Elle se contente de sourire. Rajouter du mystère au mystère. Quoi de plus attrayant ? Le jeune gars n'insiste pas. Ce n'est pas le genre "emmerdeur". Quelque chose se passe car Clémentine se redresse soudain. Elle regarde derrière elle en remontant prestement sa culotte.

Le jeune type s'en va en accélérant le pas. << Espèce de salope ! Allez pisser ailleurs ! C'est une cour privée ici ! >>. C'est une dame d'un certain âge, une "sénior". Elle arrive rapidement. Clémentine vient de se faire surprendre par la vieille acariâtre. Elle sort pour traverser la route et nous rejoindre. Nous rigolons comme des bossus. << Espèce de dégueulasse ! >> lance encore la vieille. Nous partons à toute vitesse sous les invectives de l'ancêtre. Nous nous marrons comme des fous.

Nous retournons dans les rues piétonnes. C'est sympathique de faire les vitrines. Il ne fait pas froid. Les décorations sont magnifiques. Estelle se place souvent devant moi pour me palper discrètement la braguette. << T'es pas chiche de l'ouvrir ici ! >> me fait elle. << Relève le défi ! >> rajoute t-elle. Je m'y refuse. Il y a foule. Nous attirons bien des regards. Nos hautes tailles, notre élégance, ces deux sublimes jeunes filles accrochées aux bras d'un homme d'âge mûr.

Quand un de ces regards se fait insistant, l'une ou l'autre me dépose une bise. Sur la bouche le plus souvent. Nous nous amusons beaucoup de ces situations. Lorsque la configuration le permet, Estelle palpe rapidement ma braguette. Cela me gêne considérablement. Mais certainement pas autant que la "victime" de ce petit jeu. Le plus souvent un homme qui regarde juste à cet instant précis. Je gronde Estelle qui me dit à chaque fois : << Je mérite une punition mon bon "Maître" ? >>.

Nous flânons ainsi jusqu'à la nuit. Les décorations prennent un air encore plus magique avec les illuminations. C'est féérique. Nous prenons une gaufre avec un verre de thé. Nous déambulons en savourant ce délice sucré. Nous retournons à la voiture. Estelle insiste pour venir s'installer entre les pieds de Clémentine. Je roule doucement. Elles peuvent toutes les deux jouer avec ma bite. Il est 18 h45 quand nous sommes de retour à la maison. La faim se fait cruellement sentir.

Nous restons vêtus ainsi. Il suffit de mettre nos tabliers. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle et moi nous épluchons les patates, les carottes, le céleri, le navet, l'ail et les oignons. Nous en faisons en grande quantité. Pour assurer trois repas. Cuisson traditionnelle dans la vieille cocote en fonte noire. Nous dressons la table au salon. Ce soir "repas élégant". Avec la potée de légumes des crevettes en beignets. Estelle a filmé l'exhibe sur son téléphone. On mâtera ça demain.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Clémentine revient sur son exhibition de l'après-midi. Du jeune homme qui a eu le privilège d'y assister. << De la vieille "pouffe" qui est venue gâcher la fête ! >> lance Estelle. Nous en rions comme des fous. Nous évoquons également l'invitation qui nous est faites par Juliette. De venir au haras lundi soir pour 17 h. Juliette veut subir la "thérapie de la chaise". Ça aussi, c'est très amusant. C'est Clémentine qui hésite encore.

A cause de Gérard. Ce vieux retraité qui vient souvent visiter Juliette. La tentation de gouter à sa bite minuscule, impuissante et incontinente, risque d'être trop forte pour Clémentine. Elle a tellement aimé sucer ce vieux salaud. Avec la crise sanitaire, ce n'est peut-être pas très judicieux. Même si Gérard pète la santé, qu'il est parano au point de répéter ses tests toutes les semaines, il faut rester prudente. Estelle lui fait : << Qu'est-ce t'en as à foutre, tu le suces par le trou dans le mur ! >>.

Nous en rigolons comme des bossus. Estelle rajoute : << Ce n'est certainement pas par le foutre et la pisse qu'un virus se transmet. Un microbe peut-être, un virus non ! >>. Clémentine reste songeuse. Elle m'interroge du regard. La décision lui appartient. Je ne veux pas me prononcer. Je sais à quel point elle adore la petite bite de ce vieux salopard. << Les nuits vont me porter conseil ! >> conclue Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Estelle vient s'y installer aussi.

Leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles reviennent sur nos aventures vécues aux écuries. Déjà plus d'une année s'est écoulée depuis la dernière partouze que nous y avons vécu. Les souvenirs sont nombreux. << De quoi fantasmer tout le restant de nos vies ! >> précise Clémentine. Je propose aux filles un bon léchage de minous après le dessert. Comme ça elle pourront se remémorer des soirées folles en se faisant bouffer la chatte. Je vais encore me régaler.

La vaisselle. Nous retirons nos tabliers. Les filles m'entraînent au salon. Elles retirent leurs bas et leurs collants. Les culottes valdinguent n'importe où. Me voilà à genoux sur les épais coussins. Mon visage entre leurs cuisses. Je passe de l'une à l'autre en m'enivrant de jus de filles. Ça suinte, ça coule, ça colle, j'en ai plein le visage. Elles se frottent sur ma gueule en se racontant des souvenirs de bites. L'orgasme d'Estelle est nucléaire. Celui de Clémentine est cataclysmique.

Bonne première journée de vacances à toutes les coquines bien décidées à se livrer au stupre, à la luxure pour les fêtes de Noël...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1375 -



Premier dimanche de vacances

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par l'incessant mouvement des pieds d'Estelle. Elle "pédale". Ce sont ce qu'elle nomme ses "impatiences". Toute la nuit Estelle est encore restée accrochée à moi comme une naufragée à son radeau. Elle sait quand je sors du sommeil. Ma respiration change. Je sens la sienne dans mon cou. Ce souffle chaud qui comporte une étrange animalité. Elle glisse sa main dans mon slip pour empoigner mon érection naturelle et puissante.

Estelle me dépose plein de bisous sur la joue, la bouche. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux ange tel un bienheureux au paradis. Clémentine glisse sa main dans mon slip pour empoigner ma paire de couilles. Je glisse les miennes dans leurs culottes. Je démêle ces invraisemblables touffes de mes doigts encore un peu goures. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine se frotte contre moi en chuchotant des douceurs.

Il est 9 h. Estelle revient. Elle nous fait des bisous en s'habillant. Elle descend en disant : << Je vais tout préparer, venez vite ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Clémentine me fait : << J'ai mes "petits machins" de fille ! Merde ! >>. Clémentine est réglée comme une horloge. Tous les 20 du mois, c'est le début de son cycle. Nous nous habillons. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et de brioche.

Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille. Je l'emmène faire le tour du grand espace. Elle rit en me couvrant le visage de bisous. Clémentine se plaint d'un mal de ventre qui s'amplifie. Ses seins gonflent et deviennent très sensibles. Il y en a pour deux jours. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de la journée. Dehors le ciel est gris mais lumineux. Il ne pleut pas.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles reviennent sur notre aventure de hier. L'exhibe très réussie de Clémentine. Le jeune homme. La vieille qui est venue chasser Clémentine de sa cour. << Je n'ai même pas pissé pour de vrai ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle a filmé toute la scène sur son téléphone. Le tout ne dure que quatre minutes. Elle se lève pour aller le chercher.

Nous regardons ces amusantes images. << Il fait vachement "jeune prof" intellectuel ! >> lance Estelle. << C'est vrai ! Je ne fais jamais vraiment attention quand je m'amuse ! >> répond Clémentine. Nous en rions de bon cœur. << Regarde la vieille qui se pointe ! Encore bien alerte ! >> fait encore Estelle. Nous rions aux éclats à revoir ces évènements. Le petit film cesse sur les mots de la sénior : << Espèce de dégueulasse ! >>. J'invite le lecteur à relire le récit de hier pour en rire aussi.

La vaisselle. Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons. La fraîcheur est très supportable. Il y a un redoux certain. Pas besoin de bonnet, ni de gants. Accrochées à mon bras, les filles nous entraînent vers la rivière. Le dimanche pas de jogging, d'entraînement ou de gymnastique. De plus, nous avons procédé au ménage et au nettoyage hier. C'est donc l'esprit serein que nous flânons. << Comme c'était bon hier soir ! >> fait Estelle en évoquant mes caresses, mes cunnilingus et son orgasme.

<< C'est devenu une drogue addictive ! >> rajoute Clémentine. Nous longeons le cour d'eau sur sa partie la plus tranquille. Les canards, les poules d'eau et les colverts nous accompagnent sur quelques centaines de mètres. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour en extraire le locataire. Je me retrouve avec la bite à l'air. Clémentine s'accroupit devant moi pour en humer les effluves parfumées. Le dimanche, nous ne nous lavons jamais. Nous aimons macérer dans nos jus. Rester crades.

Sauf Clémentine aujourd'hui, à cause de ses "petits machins". Estelle s'accroupit aux côtés de Clémentine pour sentir aussi. Elle me décalotte légèrement. Juste le méat. << Mmhh ! Monsieur Schlinguo nous gratifie de l'odeur de son Parmezob ! >> fait elle. En effet, je peux sentir la puanteur de mon Zob jusqu'à mes narines. Clémentine y passe une langue exploratrice. Puis c'est au tour d'Estelle. Elles se montrent ce qu'elles récupèrent. Les petites particules de fromage de bite.

Un bruit de l'autre côté de la rivière. Nous ne l'avions pas vu ni entendu venir. C'est une jeune cavalière sur son cheval. Elle vient probablement du haras. Une fille de propriétaire qui monte sa bête. Probablement dans le secret vue les consignes sanitaires. Estelle et Clémentine se redressent en même temps. Ce n'est pas la première fois que nous nous faisons surprendre dans ces circonstances. Elles planquent ma queue. La jeune fille nous adresse un beau sourire.

Une vingtaine de mètres et la rivière nous séparent. A t-elle assisté à la scène ? Probablement car son sourire en dit long. Ce qui est parfait dans ce genre de situation c'est que les protagonistes ont toutes le même âge. Cette cavalière doit avoir dix neuf ou vingt ans. De voir des "copines" s'amuser est rassurant. Certainement excitant également. Aussi, je ne m'inquiète absolument pas. Surtout qu'Estelle et Clémentine s'écartent à dessein pour permettre à l'écuyère de voir ma biroute.

La jeune fille, bien droite sur sa monture nous dépasse doucement. S'éloigne. Estelle et Clémentine s'accroupissent à nouveau pour reprendre leurs dégustations. Là-bas, à une centaine de mètres, dans une trouée des ronces, la cavalière se retourne. Elle m'adresse un coucou de la main avant de disparaître définitivement. << Toutes les cavalières du haras auront vu ta queue ! >> me fait Estelle en se redressant. Elle me montre la crème gluante qu'elle a dans la bouche. Le Parmezob.

Nous prenons la direction inverse. Nous rions beaucoup de cette nouvelle aventure. Nous ne manquerons pas de la raconter à Juliette, la directrice du haras. Il est 11 h45 quand nous revenons à la maison. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare les pavés de saumon en papillotes. Je réchauffe la potée de légumes. Dans nos assiettes, je dépose de fines tranches de Morbier. Avec les légumes, ça fond délicieusement. Estelle prépare les papillotes sur le barbecue électrique de la véranda.

Là-bas, derrière la vitre, en anoraks, elle nous fait des grimaces, mime des masturbations masculines en faisant des singeries. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de mes hanches, les filles reviennent sur notre rencontre de ce matin. La cavalière du bord de la rivière. Nous en rions de bon cœur. Ça nous a bien excité. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir.

Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, trois pommes, la thermos avec du thé bouillant, des barres de céréales. Nos anoraks. Nous voilà à marcher d'un bon pas. Nous montons jusqu'au portail. Nous traversons l'étroite route pour prendre le chemin qui s'enfonce dans la forêt. Il n'y a plus de feuilles aux arbres. Par contre le sol en est recouvert. Nous prenons en direction des roches. Le chemin est large. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les mains.

Il n'y a pas un souffle de vent. Il fait presque doux. Je marche avec la bite et les couilles à l'air. Souvent, l'une ou l'autre passe devant moi, nous arrête, se penche. Elles déposent des bisous sur mes attributs sexuels. Nous marchons toutefois d'un bon pas. Clémentine se plaint de son mal au bas ventre. Ce qui gâche un peu son plaisir. J'ai appliqué de la crème sur sa peau, sous les bretelles du soutien gorge. Elle n'en porte qu'à ses règles. Ça la démange, ça la gratte. Je la masse délicatement.

Nous longeons les champs. Comme il ne pleut plus depuis quelques jours, il y a peu d'endroits véritablement boueux. Il suffit de les contourner. Voilà les roches. Ces amas de granit. Une aberration géologique comme les appelle Clémentine. En effet, sur plusieurs centaines de mètres, c'est un paysage alpestre. Des roches granitiques moussues parfois hautes de cinq à six mètres. Nous aimons y pénétrer comme dans un labyrinthe. Je me fais sucer aux détours de certain "canyons".

Nous remontons jusqu'à l'ancienne voie ferrée. C'est une piste cyclable souvent déserte. Une aberration départementale comme l'appelle Clémentine. Je dois remballer car il y a des promeneurs. Des couples ou des groupes qui pratiquent la marche norvégienne. Equipés de bâtons ils avancent à pas cadencés. C'est parfois d'un style qui frise le ridicule. Car au lieu d'admirer le paysage, ils contemplent leurs pieds. Nous en rigolons comme des bossus. Nous arrivons à la maison abandonnée.

L'ancienne maison du garde barrière. On peut entrer dans le jardin vétuste. Le cabanon est ouvert. Nous y faisons un pèlerinage à chaque passage. Là, le pantalon et le slip sur les chevilles, je me fais tailler une pipe des familles. En parlant de famille, nous entendons des éclats de voix. Estelle et Clémentine qui se partagent mes montées de sèves, se redressent en même temps. Je remonte mes vêtements. Juste à temps. Ce sont deux familles de Simpson. Des gens très bruyants.

Les gamins qui cavalent dans tous les coins en hurlant. Bref, nous ne nous attardons pas. Ces cons là sont venus en bagnole sur la piste cyclable. C'est dire à qui ont a affaire. Nous reprenons notre promenade. J'ai souvent ma main dans la culotte d'Estelle. Son jeans déboutonné qu'elle tient des deux mains pour éviter qu'il ne glisse. Nous arrivons aux Dolmens. Nous ne nous attardons plus. Il est 16 h30 et le crépuscule s'annonce. Nous avons nos lampes frontales dans le sac.

Nous longeons le ruisseau qui passe à 300 m derrière les bâtiments du haras. Il y a des voitures garées dans la cour. Une pension pour chevaux ne peut pas cesser son activité. Les propriétaires sont parfaitement autorisés à visiter leurs animaux. Nous restons le long de l'étroite route communale. Trois kilomètres. Voilà le portail de notre propriété. La nuit est tombée. Il est presque six heures. Ce fut une superbe randonnée. Nous descendons notre chemin pavé.

Une promenade qui a aiguisé nos appétits. Clémentine s'occupe de la salade. Je lui applique un peu de crème. De l'homéoplasmine contre les irritations, les rougeurs causées par les bretelles et la sangle du soutif. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Estelle concocte une superbe omelette aux trois fromages, champignons et fines tranches d'avocat bien mûr. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le programme des prochains jours.

Estelle nous quittera demain matin. Elle aide sa maman au bureau de l'entreprise familiale. Pareil mardi. L'entreprise ferme ses portes jusqu'au lundi 4 janvier. Date de la rentrée universitaire. Nous resterons ensemble tous les trois dès le vendredi 25 décembre au soir. Je suggère un bon léchage de minous après le dessert. Inutile de le proposer deux fois. Nous faisons la vaisselle. Nous passons au salon. Je ne peux que sucer le clitoris géant de Clémentine car il y a le mini Tampax et sa ficelle.

Cette douceur fait oublier ses bobos à Clémentine. Par contre je m'offre une véritable "fondue" au fromage de fille avec la chatte barbouillée de foutrine d'Estelle. Clémentine se masturbe en m'observant savourer la fondue à même le caquelons poilu d'Estelle. Lorsque je suce le clitoris de Clémentine, C'est Estelle qui se branle. Nous passons une bonne partie de la soirée à nous caresser. L'orgasme d'Estelle la fait gémir longuement. Celui de Clémentine soulage un peu ses inconvénients.

Il est presque 22 h. Nous sentons bien la fatigue. Nous montons nous laver les dents, pratiquer nos rituels pisseux. Un peu de pommade pour Clémentine. Nous voilà au lit. Couché entre mes deux anges qui se refilent ma bite, je me fais sucer sans bouger. Elles se donnent leurs impressions. Je leurs donne les miennes. C'est toujours amusant car Estelle s'endort la première. Ce qui permet à Clémentine de me terminer sans avoir à partager. Nous plongeons dans la béatitude. Dodo.

Bonne promenade à toutes les coquines qui aiment les petits arrêts "tripotages" et "suçages" dans une nature hivernale...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1376 -



Le premier lundi des vacances

Hier matin, lundi, notre bienveillante application nous tire de nos profonds sommeils à presque six heures. Le chant des oiseaux, le bruit de la source. Tout cela ne dure que quelques instants. Le temps de nous réveiller. Estelle se serre encore plus fort contre moi. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. << C'est à cause de moi que vous vous levez si tôt ! >> nous murmure Estelle. Clémentine la rassure : << C'est bien, nous avons un tas de choses à faire ! >>.

Estelle se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Elle revient se vêtir de sa tenue de gym. Nous allons pisser. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Le lundi il reste toujours de la brioche. Avec l'odeur du café et du pain grillé, ce levé est un enchantement. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit. Il est six heures vingt cinq. Nous remontons très rapidement.

Notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants pendant qu'Estelle fait du vélo d'intérieur. On permute. Charges additionnelles, abdos et stretching. Le tout dans une intensité maximale. Estelle qui commence à 8 h, ne s'attarde pas. Elle nous fait de rapides bisous, sans se changer, elle enfile son anorak. Elle s'en va. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Nous redescendons. Nous mettons nos anoraks. La fraîcheur humide reste vive. Le jour va se lever.

Il est 8 h. Ce sont les vacances. Il n'y a pas cours. Nous pouvons nous attarder. Regarder la lumière arriver. << C'est un peu comme un crépuscule à l'envers ! >> me fait remarquer Clémentine qui m'entraîne par la main. Nous restons sur les dalles de grès. C'est le second jour de ses "petits machins" de fille. Clémentine se plaint de sa sensation de congestion du bas ventre. Ce matin ce n'est pas réellement douloureux. Par contre ce maudit soutien gorge la démange.

Philosophe, elle en rit en me couvrant le visage de bisous. Nous assistons au levé du jour. << C'est le premier jour de l'hiver ! Le 21 décembre ! >> me fait Clémentine. Avec cette météo nous y sommes depuis quelques semaines. << Je n'ai pas envie d'aller au haras en fin d'après-midi. On prévient Juliette. Tu veux bien ? >> me dit Clémentine. Elle m'en donne les raisons. Incommodée par ses règles, tentée par la bite à Gérard, elle n'a pas envie d'être mal à l'aise.

Je comprends parfaitement. La fille que j'aime a tout mon soutient. Je la rassure. Aucune frustration en ce qui me concerne. Il est 8 h30. Il fait à présent jour. Le ciel est gris, bas, menaçant. Nous rentrons. Nous allons dans l'atelier. Nous allumons un bon feu dans la cheminée. Clémentine s'installe devant son ordinateur. Une petite visite sur le site de l'université. Nous interrogeons nos boîtes mail. Des courriels de ma famille en Ecosse. De nos amis à Edimbourg.

Nous répondons. C'est la première fois depuis 25 ans que je ne passe pas les fêtes dans ma famille. C'est un peu dur pour tout le monde. Les Wong nous font la gentillesse d'un message. Ils nous racontent leurs déboires. Leur commerce fermé, ils assurent leurs survies avec des livraisons de repas à domicile. En Grande Bretagne, les mesures sont drastiques. Il y a comme une odeur de rébellion populaire qui gronde. Les politiciens ne pourront plus imposer longtemps les confinements.

Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant. Nous adressons un courriel à Juliette pour l'informer. Nous ne venons pas en fin d'après-midi. Clémentine profite que nous soyons dans l'atelier pour conclure tous ses rangements. Ces classements et ses mises à jour de fichiers. Je m'attelle à deux nouveaux dessins préparatoires. Deux natures mortes. C'est un gain de temps appréciable pour mon travail de la rentrée. Nous aimons tant cette ambiance calme et studieuse.

Il est presque midi. Clémentine vient me rejoindre. Elle scrute mes deux préparations. Deux dessins réalisés d'après les calques d'anciennes toiles. Il me suffit de changer quelques détails pour ne pas réellement me parodier. Deux bûches dans la cheminée. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet. Je prépare un coulis d'aubergine et de courgette. Je poêle deux filets de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me fait part de ses satisfactions. Elle est contente d'avoir terminé ses rangements ce matin. Tout est prêt pour la rentrée du 4 janvier. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Je passe de la crème sous les bretelles et la sangle du soutien gorge à Clémentine. Ça la soulage des irritations. Elle n'en porte que deux jours par mois. Mais ces deux jours là sont un calvaire. Il faut faire avec.

Je l'entraîne dans la chambre. Je la soulève pour la déposer sur le lit. Je m'allonge à ses côtés. << J'aime quand tu as des initiatives ! >> murmure t-elle. Je déboutonne son jeans. Je le retire avec sa culotte. Je joue un peu avec la petite ficelle blanche presque cachée dans la profonde broussaille de sa touffe. Cela l'amuse toujours. Elle dit : << Arrête ! Un jour tu vas le tirer dehors ! >>. Je me redresse pour mettre mon visage entre ses cuisses. Je lèche son clitoris géant.

Voilà une excellente thérapie pour oublier les inconvénients. Clémentine me tient par les oreilles. Comme si elle voulait me guider prudemment. Je suce son clitoris. Elle ne tarde pas à se laisser aller. A chanceler dans une délicieuse extase. Je l'entends gémir. J'adore sentir les frissons de l'intérieur de ses cuisses contre mes joues. En fonction de l'angle recherché, Clémentine m'enserre quelquefois la tête en se tortillant. C'est un moment fabuleux. Nous faisons durer.

Nous aimons tous deux rester excités pour le reste de la journée. Clémentine commence à lutter. Il faut fournir quelques efforts pour repousser l'orgasme qui guette. Elle saisit mes oreilles pour m'attirer vers son épaule. Elle se blottit contre moi en gémissant d'aise. << Tu me fais oublier mes petits bobos ! Je t'aime Julien ! >>. Nous restons ainsi un long moment à revenir sur nos vacances passées. Ces séjours en Ecosse qui nous manquent cruellement. Presque une année.

Il est 14 h30. Nous descendons en restant serrés l'un contre l'autre. A la cuisine, la musique imbécile de mon smartphone. Clémentine s'en saisit. << Julie est devant le portail ! >> s'écrie t-elle. << Merde ! J'ai oublié de l'ouvrir ! >>. J'appuie sur le bouton depuis l'interphone. Sur l'écran nous voyons la voiture descendre le chemin. Nous mettons nos anoraks pour aller accueillir notre visiteuse. Elle est toute contente de nous voir. Il y a les premières gouttes de pluie.

Nous rentrons vite avec le grand coffre contenant nos repas du soir. Six belles tourtes aux fruits de mer. Des salades. Choux rouge, betteraves et salicornes. De son petit sac à dos Julie sort le flacon de gel hydroalcoolique. Ce rituel nous amuse beaucoup. C'est en riant que nous nous frottons les mains. << Je ne peux pas rester avec vous ce soir. Avec les fêtes nous faisons des livraisons jusqu'au soir de Noël ! Mais après, je suis libre jusqu'au 26 décembre ! >> nous confie Julie.

Elle porte ses lunettes d'étudiante. Elle a noué ses cheveux en deux longues tresses. Un pull bleu nuit, un jeans et ses bottines. Julie est attractive. Un peu tristounette de devoir nous quitter pour 18 h. Nous l'entraînons dans l'atelier. Je lui montre mes dessins préparatoires. Comme elle va tenir ma galerie d'Art l'été prochain, j'aime à la tenir informée de mes travaux. Lui expliquer ce qu'elle ne sait pas encore. Ce seront autant d'arguments pour la clientèle et les visiteurs.

Clémentine montre mes toiles déjà réalisées. Julie les connait déjà. Elle admire longuement. Derrière son dos, Clémentine me fait un clin d'œil en mimant une masturbation masculine. Je comprends. Clémentine prend une des chaises pour la placer devant la cheminée. Elle l'a montre à Julie. Elle demande : << Ça te tente ? >>. Julie me regarde interrogative. Elle consulte Clémentine de son regard étonné. Je peux sentir son profond désir de revivre des "situations". La thérapie de la chaise par exemple.

Elle hésite. Je sors ma queue. Je bande mou. Clémentine la saisit à sa base entre le pouce et l'index. Elle l'agite vulgairement. Nous nous regardons longuement tous les trois. Même si elle en meure d'envie, Julie doit surmonter ses inhibitions de jeune fille. A 20 ans rien n'est jamais simple. Et surtout pas dans ce domaine. Clémentine propose un jeu. Je me cache quelque part dans la maison. Elle et Julie doivent me retrouver. A chaque fois une situation suggestive.

<< Oh oui ! >> s'écrie Julie avant de mettre la main sur sa bouche. Comme si ces mots lui avait échappé. Nous en rions de bon cœur. Je quitte l'atelier. Je les laisse toutes les deux. Julie a pris la main de Clémentine. Elles m'adressent toutes les deux un merveilleux sourire. Je vais directement aux toilettes. Là, descends mon pantalon et mon slip. Je me couche au sol. Nos toilettes sont des pièces aménagées. Spacieuses comme des salles de bain. Je suis couché sur le côté.

Je me masturbe. J'entends le bruit des talons des bottines à Julie. Les pas se rapprochent. La porte s'ouvre. Julie est contre Clémentine qui la tient affectueusement par les épaules. Elles sont toutes les deux dans l'encadrement de la porte. Elles m'observent. << Va voir de près ! >> fait Clémentine à Julie qui se rapproche. Penchée en avant, elle me contourne pour regarder ma branlette. Clémentine vient la rejoindre. J'agite ma bite en direction de Julie. << Trouvé ! >> lance Clémentine.

Je suggère qu'elles se cachent à leur tour. << Je préfère vous chercher vous ! >> me fait Julie. << C'est plus vicelard ! >> rajoute Clémentine. Julie se serre contre Clémentine en disant : << On compte jusqu'à 100 ! >>. Je me sauve. Cette fois je vais me planquer au salon. La vaste pièce recèle de plein de recoins. Entre la grande horloge Westminster et la bibliothèque victorienne. Je sors ma queue. Je me mets à genoux. Je recommence à me branler comme un salaud.

J'entends les pas. Les errances des filles qui me cherchent en chuchotant. Je les vois. Elles ne m'ont pas encore vue. Julie reste ostensiblement contre Clémentine à chaque occasion. Sinon elle garde sa main dans la sienne. Ce jeu est autant le prétexte aux jeux vicieux que nous apprécions que celui de rester contre Clémentine. Julie a tous les réflexes d'une fille amoureuse. Amoureuse de Clémentine. Les voilà a explorer le grand salon. Elles me découvrent. Je bande comme un salaud.

Julie reste blottit contre Clémentine. Elles m'observent toutes les deux silencieusement. C'est hyper excitant. Clémentine se met à genoux puis à quatre pattes. Elle fait signe à Julie de la rejoindre. Julie s'accroupit. Elle se rapproche. Son visage tout près de celui de Clémentine. A une cinquantaine de centimètres de mon sexe. Clémentine gobe ma queue pour la suçoter du bout des lèvres. Elle cesse en invitant Julie à gouter à son tour. Julie est hésitante. Je la sens pourtant très attirée.

Clémentine, affectueuse, pose sa main sur la nuque à Julie. Je lui présente ma queue dure. Le silence est total. Juste la respiration de Julie qui s'amplifie. Clémentine caresse affectueusement la nuque à Julie. Elle passe son autre main sous son menton. << Ouvre la bouche ! >> dit Elle. Julie esquisse un début de rapprochement en ouvrant la bouche. Clémentine a son visage tout près de celui de Julie. Elle lui dépose une bise. Mais c'est la bouche de Clémentine que Julie veut embrasser.

Clémentine se détourne juste à temps. Pas du tout gouine, l'idée même d'une telle chose la révulse. C'est vraiment dommage. J'aimerais tant la voir s'éclater avec une autre fille. Surtout que Julie est super belle, offerte comme un fruit de printemps. Julie se redresse. Droite sur ses genoux, elle reprend ses esprits avant de se relever. Je me lève. Pour détendre l'atmosphère et cette soudaine tension, Clémentine propose de prendre le thé. Des petits gâteaux. Julie retrouve son calme.

Le reste de l'après-midi se passe ainsi, à bavarder. Julie reste contre Clémentine qui nous sépare. Une affection féminine. Je suggère à Julie de passer nous voir plus souvent durant ces vacances. Clémentine rajoute : << Et puis il y aura Estelle. Elle aime bien te voir aussi ! Tu vas voir, il se passe des trucs qui vont drôlement te plaire ! >>. Julie pousse un gloussement amusé avant de lancer : << Oh oui ! Je suis libre tous les après-midi ! >>. Je dis : << Alors venez. On jouera au "professeur" ! >>.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture sous le grand parapluie. Elle revient demain après-midi. Nous rentrons vite. Nous réchauffons les tourtes aux fruits de mer. Il y en aura pour demain midi. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Julie. << Tu as vu, elle a failli gouter à ta queue ! >> me fait Clémentine. Je dis, elle veut surtout gouter à ta bouche ! >>. Nous en rions de bon cœur. J'offre à Clémentine un cunnilingus d'enfer après la vaisselle. Son orgasme est nucléaire.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à mettre des filles de leur âge dans le tourment et l'embarras...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1377 -



Julie développe une addiction à nos jeux

Hier matin, mardi, il est 8 h30 quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine se blottit fort contre moi. Elle me couvre le visage de bisous. Elle glisse sa main dans mon slip. << C'est que pour moi jusqu'à samedi matin ! >> dit elle en saisissant mon érection matinale. Je glisse ma main dans sa culotte. << C'est le dernier jour ! >> fait Clémentine lorsque je joue avec la petite ficelle. L'impérieux besoin de pisser ne nous laisse plus aucun répit.

Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux toilettes. Le jour est levé. Il fait gris, moche, sinistre, mais il ne pleut pas. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve de cette nuit. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en évoquant les visites de Julie.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose de tenter le jogging. Le sol est détrempé. Mais si nous restons sur la route, c'est jouable. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways. Il ne fait pas froid. C'est presque agréable. Pas besoin de bonnets ni de gants. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail. Nous restons sur le bord de l'étroite route communale.

Cette fois nous prenons la direction du haras. Trois kilomètres sans la moindre goutte de pluie. Il y a plusieurs voitures garées dans la cour. Nous ne faisons que passer. Nous courons jusqu'au grand totem, ce panneau d'intersections qui indique toutes les directions. Les chemins forestiers, les lieux dits et les sites remarquables de la région. Quelques mouvements aérobic et nous reprenons le sens inverse. Nous ne croisons qu'un tracteur agricole et une camionnette de livraison.

Il est 10 h15 quand nous revenons à la maison. Une bonne douche. Nous prenons tout notre temps pour nous habiller. Bien décidés à profiter de chaque instant de vacances. Nous descendons vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Clémentine nous entraîne dans l'atelier. Assise sur mes genoux, elle allume son ordinateur. Nous interrogeons nos boîte mails. Un courriel d'Estelle qui nous informe qu'elle nous attend avec ses parents, vendredi 25 décembre pour midi.

Un courriel de Juliette qui nous raconte son quotidien. Ce réveillon de Noël qu'elle redoute avec sa sœur et son beau frère. Sa déception de ne pas nous avoir vu lundi soir. Deux courriels de ma famille d'Ecosse. Chagrinée de ne pas nous voir cette année. Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant avec la caméra du MacBook Air de Clémentine. Nous aussi nous sommes profondément tristes et frustrés de ne pouvoir partir pour l'Ecosse. Clémentine davantage que moi.

Nous allumons une belle flambée dans la cheminée. L'atelier est la pièce que nous préférons. Pourtant nous y passons la plupart de nos journées. Son ambiance est particulière. << Les vibrations sont les plus harmonieuses que je connaisse ! >> me confie souvent Clémentine. Nous regardons la campagne par les deux grandes baies vitrées. Orienté au Nord Est l'atelier présente quasiment la même luminosité tout la journée. Ce qui est l'idéal pour tout atelier de peintre.

D'ici la vue porte loin. Par delà la propriété. Jusqu'à la forêt. Un paysage champêtre, campagnard, quelle que soit la saison. Clémentine reste blottit dans mes bras. Elle me chuchote des douceurs. Comme c'est bon de ne rien foutre. Nous prenons conscience que nous vivons quand même sous pression. Surtout Clémentine dont les études sont parfois éreintantes. Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte. J'aime sa main exploratrice. Une main sûre aux recherches précises.

<< On va préparer un "plan" bien vicelard pour Julie cet après-midi. Cette petite salope vient en grande partie pour ça ! >> lance Clémentine. Je dis : << Elle vient aussi parce qu'elle est amoureuse de toi ! >>. Clémentine prend un air de compassion pour répondre : << Là, elle risque fort de connaître de profonds déboires sentimentaux ! >>. Nous en rions de bon cœur. << Je ne suis pas gouine et je ne peux pas diviser mes sentiments ! >> rajoute t-elle encore.

Il est 11 h30. Nous quittons l'atelier. Nous mettons nos anoraks. Nous voilà dehors. Il y a de la bruine. Ce qui dépose rapidement de toutes fines gouttelettes sur nos cheveux. Nous allons jusqu'à la dépendance. Cette vieille bâtisse qui donne à Clémentine l'envie d'entreprendre des travaux. << On fait un appel d'offre. On fait établir des devis ! >> propose t-elle. Transformer cette ancienne grange en maison d'amis. J'écoute ses projets d'aménagements. Tout est déjà très précis.

<< Je m'en occupe demain ! >> lance t-elle. J'écoute, admiratif et convaincu. Après tout, il faut bien que je dépense un peu de mon argent. Cela rajoutera une plus valu à la propriété. Une grande demeure avec sa dépendance. Pourtant, même si nous allons nous installer en Ecosse dès la fin des études à Clémentine, je n'ai nulle envie de vendre. Cette grande maison de maître est un patrimoine familial. C'est une interrogation. Que faire de cette maison ? Clémentine suggère de louer.

La faim commence à se faire sentir. Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe les trois tourtes aux fruits de mer. Je dresse la table. Le ciel s'assombrit. Il faut allumer les plafonniers. C'est lugubre. Nous mangeons toutefois de bon appétit tout en parlant du projet de Clémentine. Nous en avons déjà parlé avec monsieur Bertrand, notre voisin. Il estime la durée des travaux à deux mois. L'aménagement du bas en grand salon et cuisine. L'étage en chambre.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me décrit sa vision des choses avec une grande précision. Je suis emballé par ce projet. Un peu de nouveauté. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous redescendons. Clémentine veut retourner dans la dépendance. Nous mettons les anoraks car la bruine se transforme en pluie. Dans la dépendance, Clémentine me sort la queue. Elle me l'a tient pour m'entraîner.

Nous montons l'escalier raide. << Ici, deux chambres. Une salle de bain et un WC ! >> fait elle en parcourant les lieux. Il y a environ soixante dix mètres carrés au sol. << L'escalier ici ! >> montre t-elle du doigt. Clémentine me tient le Zob en décrivant la configuration. Nous descendons. Une partie du bas, c'est notre garage. Nos deux voitures, nos vélos et ma vieille Harley sont entreposés là. Un établi au fond. Des armoires métalliques pour ranger l'outillage. C'est en ordre.

Il reste quarante mètres carrés au sol pour y aménager un grand salon loft. << Là, la cheminée, des lambris de bois clair pour tapisser les murs. Les poutres apparentes doivent le rester ! >> fait Clémentine. Elle se place derrière moi pour me branler tout en m'expliquant. Je visualise parfaitement ses descriptions. Je commence à bien bander. << Il faudra faire un vide sanitaire, couler une chape en béton ! >> rajoute encore Clémentine comme si elle avait toujours fait de l'aménagement.

J'admire ses capacités à se projeter dans l'avenir. A concevoir chaque étape d'un projet. Quelle femme ! J'ai le privilège de partager sa vie. Je suis envahis d'un sentiment de plénitude, de sérénité qui me fait chanceler. Clémentine s'accroupit. Elle me tient par les hanches. Elle lèche mon érection comme une bâtonnet glacé. Je caresse ses cheveux. Le bruit d'une voiture. Clémentine se redresse pour m'entraîner vers la fenêtre. C'est Julie qui arrive. Il est à peine 13 h45.

Nous sortons pour l'accueillir. J'ai la bite à l'air. Je bande comme un salaud. Julie est toute surprise de nous voir là. << Bonjour ! >> lance t-elle avec un grand sourire. << Je viens de terminer ma dernière livraison au bourg, tout près d'ici ! >> rajoute t-elle. De son petit sac à dos elle tire son flacon de gel hydroalcoolique. En riant, tous les trois, nous nous frottons les mains. Je dis : << Julie, vous m'en mettez un peu sur la queue ! >>. Nous en rigolons tous les trois comme des bossus.

Clémentine invite Julie à venir visiter notre future maison d'amis. Julie regarde plutôt ma bite. Discrètement. A la dérobée. Intriguée par ce sexe que j'ai le plus souvent en toute liberté. Comme tous les rares visiteurs qui pénètre cette bâtisse, Julie ressent un profond sentiment de plénitude. Le magnifique enchevêtrement des charpentes. Clémentine s'adosse à la poutre verticale de l'escalier. Elle passe ses bras derrière elle. Comme si elle était attachée. Je passe ma main entre ses cuisses.

Julie semble subitement très gênée. Clémentine se retire. Elle saisit Julie par les épaules pour la placer contre la poutre. Elle retient ses bras derrière elle. Julie se laisse faire. Je m'approche. Je tiens ma bite toute proche de sa braguette. Elle observe chacun de mes gestes. Je passe ma main sous ses cheveux noués en deux nattes derrière ses oreilles. Je la pose sur sa nuque. Ainsi maintenue par Clémentine et moi, son regard va de l'un à l'autre. Comme inquiète. Comme affolée peut-être.

Clémentine, pour la rassurer, lui dépose un bisou sur le front. Je fais pareil. C'est fou comme cette jeune fille de 20 ans est émotive. Nous la découvrons un peu plus à chaque visite. Je passe délicatement ma main sur sa joue. Clémentine vient se serrer contre moi. Julie reste contre le pilier. Elle nous fixe avec la même attention que nous la fixons. C'est une situation hautement érotique. Julie nous fait le plus délicieux des sourires, baissant les yeux, soudain comme honteuse.

Clémentine propose d'aller prendre le thé. Nous traversons le jardin sous la pluie. Nous voilà installés dans l'atelier. Julie est assise en tailleur devant la cheminée. Le spectacle des flammes semble l'hypnotiser complètement. Clémentine est assise dans le fauteuil à bascule. Je suis installé dans le vieux canapé. Nous restons silencieux. C'est un moment fabuleux. Plein de sérénité. Clémentine vient me rejoindre. Julie se tourne souvent pour voir ce que nous faisons.

Clémentine, couchée sur le côté, sa tête contre mon ventre, joue avec ma queue. Julie nous raconte ses livraisons. L'activité du restaurant réduite à la préparation des repas à livrer. Son activité de serveuse en soirée lui manque. Clémentine me suce avec douceur et passion. Julie observe. Pour ne pas risquer le torticolis elle se tourne vers nous. Là, à quelques mètres, assise sur l'épais tapis, elle observe cette fellation tranquille. Elle n'ose pas affronter mon regard. Elle baisse les yeux.

De l'index, Clémentine lui fait signe de nous rejoindre. Julie préfère assister à tout cela depuis sa place. Elle se contente de nous adresser de timides sourires. Clémentine lui présente ma queue qu'elle agite dans sa direction. Trop heureuse d'assister à tout cela, voyeuse comme elle est, Julie préfère rester au spectacle. Trop inhibée pour s'approcher, pour participer peut-être. Je bavarde avec elle en caressant la tête de Clémentine. Je me fais tailler une véritable pipe des familles.

Julie évoque la peinture, mes toiles, la galerie d'Art. Ses réjouissances de jouer à la galeriste l'été prochain. Julie est timide, réservée, mais terriblement vicieuse. J'adore ce paradoxe. C'est merveilleux de la voir assise là, à cinq mètres, pendant que je me fais tailler une super pipe. Les gémissements de Clémentine. Ses râles de plaisir en tentant de déglutir l'abondance de mon foutre. Julie cesse de parler sans pouvoir cacher son profond trouble. C'est absolument génial.

Julie reprend ses livraisons à 18 h30. Il lui faut partir. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. << Je peux revenir demain ? >> demande t-elle assise à son volant. J'agite ma bite dégoulinante de jute en disant : << Venez quand vous voulez ! >>. Nous nous dépêchons de rentrer au sec. Il commence à faire faim. Clémentine s'occupe de la salade en me donnant ses impressions. << Je t'ai sucé presque deux heures ! C'était génial. Je recommence après. Je te termine ! >>.

J'égoutte les spaghettis que je prépare à "la carbonara". De la crème fraîche à laquelle je rajoute des calmars rissolés à la poêle, du parmesan. C'est un véritable régal. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table en évoquant l'attitude de Julie. Nous partageons l'immense plaisir d'être tous les trois dans de telles situations. La vaisselle. Clémentine, assoiffée de sperme, m'entraîne au salon. Elle recommence à me sucer en me donnant d'autres impressions.

Bonne soirée "pipe" à toutes les coquines qui aiment êtres observées a pratiquer des fellations juteuses par une autre coquine délurée...

Julien

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Julie n'arrête plus de passer tous les jours

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par de légers froissements de draps. Le matelas semble lui aussi animé d'une sorte de légère impulsion. Clémentine sait quand je ne dors plus. Ma respiration change. Elle cesse de se masturber pour venir se blottir contre moi. << J'ai rêvé à des cochonneries ! >> me chuchote t-elle en me couvrant le visage de bisous. Je murmure : << Tu me racontes tout ça devant un bon petit déjeuner ! >>. Nous nous levons d'un bond pour aller aux toilettes.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il est presque neuf heures. Dehors il fait une météo épouvantable. De la pluie, des bourrasques de vent. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner. Clémentine me raconte son rêve. Il y est question du voisin, monsieur Bertrand, dans la dépendance. Une situation cocasse qui nous amuse beaucoup. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me donne quelques détails de cette histoire. Ses rêves commencent souvent par une situation possible. Très rapidement ils virent au surréalisme pour devenir improbables. La vaisselle. Avec ce temps pas de jogging. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles, exercices au sol, abdos et stretching. Intensité maximale.

La douche. Nous nous habillons. Nous faisons notre lit en traînant. Ce sont les vacances. Nous descendons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un courriel d'Estelle qui vient manger avec nous ce soir. Passer la nuit ici. C'est trop difficile pour elle aussi. Il y a un message de Juliette qui nous souhaite un bon réveillon de Noël. Deux mails de ma famille d'Ecosse. Nous répondons comme à notre habitude. En joignant un selfie pris à l'instant. Cela personnalise les courriers.

Nous mettons nos anoraks. C'est sous le grand parapluie que nous traversons le jardin. Nous voilà à l'abri dans la dépendance. Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour en extraire le Zob. C'est en me tenant par la queue qu'elle m'entraîne. Clémentine revient sur ses projets d'aménagements. Nous allons contacter quelques entreprises de rénovation. Clémentine me tire par la bite pour monter l'escalier raide. Le bruit de la pluie sur les tuiles. Un toit parfaitement étanche.

Nous observons cette magnifique charpente. << Regarde, tout est sain. Il n'y a aucune fuite. Aucune tâche d'humidité ! >> précise Clémentine en longeant les murs pour les toucher. Sous les fenêtres rondes, les jointures restent parfaites. Cette bâtisse date de 1882. Elle a été rénovée quatre fois. La dernière intervention remonte à 1963. J'ai toujours connu cet endroit ainsi. Clémentine se serre contre moi. Sans lâcher mon sexe, elle m'embrasse avec passion. C'est émouvant.

Nous redescendons prudemment. Les marches sont raides et aussi étroites que l'escalier. Clémentine virevolte dans toute la pièce. << On va en faire un bel endroit. L'intérieur tout en bois. Comme un chalet ! >> lance Clémentine. Je la regarde tourner autour de moi. Comme elle est belle, vivante et gracieuse. Nous ressortons sous une pluie battante. << Il faut un temps de merde en plus ! >> s'écrie Clémentine. Je remballe car j'ai la queue dans le froid. Nous rentrons en courant.

Il est 11 h45. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du millet doré. Je coupe et je lave deux gros poireaux. La pâte feuilletée a décongelé. Je fais cuire le poireau dans la cocotte-minute. Pendant ce temps je confectionne une belle Béchamel. Clémentine râpe du gruyère de Comté. J'égoutte le poireau. Gruyère et poireau dans la Béchamel. Clémentine verse le tout sur les deux tiers de la pâte étalée dans un grand plat à tarte. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée.

Clémentine badigeonne le mélange œuf, lait de soja sur le "couvercle" de pâte. Au four. Cuisson à 180° pour laisser mijoter longuement. Ce sera notre repas du soir. La Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait nos délices avec Estelle. J'ai récupéré un peu de Béchamel comme sauce avec le millet. J'y rajoute un pavé de saumon finement émincé et poêlé. C'est un régal. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque les travaux de rénovation. Notre projet.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point l'Ecosse lui manque. A cette période, nous sommes déjà installés chez mon oncle, dans sa grande maison victorienne, à Edimbourg. << Saloperie de crise sanitaire ! >> lance Clémentine. Elle n'est pas du genre à déprimer. Rapidement son optimisme naturel reprend le dessus. Elle sautille tout autour de la cuisine en chantant : << On s'en fout, on s'aime ! >>. Elle m'entraîne.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. << Cet après-midi, je m'habille sexy ! >> me fait Clémentine en m'entraînant dans la chambre. Je suis assis sur le lit. Je regarde ses essayages. J'adore ça. Après avoir essayé des robes, des jupes, Clémentine opte pour son tailleur très classique. Jupe droite noire, fendue légèrement sur le côté. Ses bas noirs fixés à son porte-jarretelles noir. Un chemisier blanc. Sa veste blaser noire.

Ses escarpins noirs à talons hauts. Ceux avec la petite sangle autour des chevilles. Elle prend des poses devant le miroir de l'armoire. Elle s'assoit dans le fauteuil à bascule. Puis sur la chaise. S'accroupit devant moi, les cuisses largement écartées. C'est avec une érection particulièrement forte que j'admire ce fabuleux spectacle. Nous descendons l'escalier avec prudence. Clémentine me tient par la queue. A peine sommes au bas de l'escalier que résonnent trois coups de sonnette.

Clémentine se précipite en me disant : << Branle toi, c'est la petite salope ! >>. Elle revient suivie de Julie toute souriante. Il est 14 h45. Elle vient de terminer ses livraisons de repas. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Toujours ses longs cheveux presque noirs noués en deux tresses derrière ses oreilles. Un pull noir, un jeans et ses bottines. Elle se débarrasse de son blouson. De son petit sac à dos de cuir elle tire son flacon de gel hydroalcoolique. Nous nous frottons les mains en riant.

Julie regarde la tenue de Clémentine. Elle dit : << Comme tu est belle ! >>. Dans son regard il y a tout le sentiment amoureux qu'elle éprouve pour Clémentine. Elle fait semblant de n'avoir pas vu mon érection pourtant puissante et raide. Nous allons au salon. Nous prenons le thé. Julie nous raconte ses livraisons de repas. Son réveillon de Noël avec ses parents demain soir. Clémentine, bien droite, terriblement élégante et maniérée, est assise devant nous dans le fauteuil.

Julie reste à distance. Je suis vautré. Je me branle en discutant. Julie m'observe avec un regard sérieux. Presque sévère. Clémentine m'imite en parlant de notre projet de rénovation. << Si vous voulez, je demande à ma tante de vous brancher avec l'entreprise qui a rénové le restaurant. Du superbe travail ! >> lance Julie. Nous prenons bonne note. Julie tire son téléphone de son sac. Elle appelle directement Anne-Marie. Nous entendons la conversation. Mode haut parleur.

Clémentine se précipite au bureau. Sur un bout de papier, elle note les coordonnées de l'entreprise. Impatiente, dès la conversation terminée, Clémentine téléphone à l'entreprise "Ecolisas". Julie et moi nous écoutons la conversation. J'admire une fois encore cette capacité d'organisation dont fait preuve Clémentine. Debout, appuyée contre le bureau, elle évoque une secrétaire de direction prenant des rendez-vous. Elle me fait bander encore plus fort. Julie aussi est en admiration.

Rendez-vous est pris pour lundi prochain. Le patron de l'entreprise "Ecolisas" viendra en personne pour voir le chantier. << J'aime boucler les affaires tout de suite ! >> fait Clémentine en parcourant le grand salon. Julie lui dit : << Tu serais une superbe patronne d'entreprise ! >>. Je confirme. Clémentine s'accroupit devant nous, à quelques mètres. Les cuisses écartées. Dévoilant sa superbe chatte poilue. Elle fait : << Une patronne hypra salope ! >>. Nous en rigolons tous les trois comme des bossus.

Clémentine se redresse. Elle s'approche du canapé. Elle saisit un des épais coussins pour le jeter au sol. Entre mes pieds. A genoux, ses mains posées sur mes cuisses, elle dit à Julie : << Une patronne doit avoir un supérieur hiérarchique pour fonctionner dans les meilleures conditions. Une sorte de conseiller occulte. Un "homme de l'ombre" ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Julie, en admiration totale, regarde Clémentine avec des yeux pétillants. Totalement amoureuse.

Je saisis Clémentine pas sa nuque. Ses cheveux fixés en chignons permettent un accès à son cou gracile. De mon autre main, je saisis son menton. Je force Clémentine à regarder Julie. Nous constatons à quel point elle est gênée. Gênée et pourtant excitée comme une puce par cette situation. << Le patron d'Ecolisas sera là lundi matin pour 11 h ! >> lance Clémentine avant de se mettre à sucer. Julie observe comme consternée. Il y a de petites perles de sueur sur son visage.

Clémentine cesse toutes les deux minutes pour tendre ma queue à Julie. Pour bavarder. Pour donner ses impressions. Julie reste assise à l'autre bout du canapé. Clémentine l'invite à la rejoindre pour voir de plus près. Julie, comme inquiète, apeurée, reste distante. Elle fuit mes regards. Pourtant elle prend un tel plaisir à revenir tous les après-midi. Être confrontée à des situations bien vicelardes semble constituer un de ses emplois du temps favori. Je le lui demande à plusieurs reprises.

Julie fini enfin par me répondre d'un timide : << Oui ! >>. Elle me fait un sourire tout gêné en baissant les yeux. Je dis : << Tu trouves tous les prétextes pour aller voir les clients aux toilettes du restaurant, et là, tu es toute timide ! >>. Julie, un peu confuse, répond : << Ce n'est pas pareil ! Je ne les connais pas. Alors que là, c'est différent ! >>. Clémentine cesse de sucer pour dire : << Cesse d'être compliquée. Opte pour la simplicité. Tu verras, ça ira tout seul ! >>. Un silence.

Julie doit nous quitter pour 17 h30. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle reviendra lundi prochain. Nous avons commandé notre repas. Elle mangera avec nous. La séparation est un peu difficile. Nous nous dépêchons de rentrer. Nous dressons la table au salon. Trois coups de sonnette. << Bonjour les gens ! >>. C'est Estelle qui arrive comme un ouragan. Elle nous fait la bise et me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Ses jambes autour de mes hanches.

Estelle nous raconte ses trois jours à bosser avec sa maman. Au bureau de l'entreprise familiale. C'était dur. Vacances. Estelle admire la tenue de Clémentine qui tourne sur elle même. << Tu es superbe ! >> lui lance Estelle. << Et j'ai sucé tout l'après-midi ! >> répond Clémentine. Je rajoute : << Et ce soir tu vas te faire baiser ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine me demande : << Comme une salope ? >>. Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève.

Clémentine porte son tablier pour protéger ses vêtements. Elle prépare la salade. Estelle réchauffe la tarte aux poireaux. Nous mangeons de bon appétit. Nous demandons plusieurs fois à Clémentine de marcher un peu dans le salon. C'est un tel spectacle. Assise sur le bureau, la jupe retroussée sur les hanches, Clémentine se fait baiser sous les yeux admiratifs d'Estelle qui se masturbe. Qui m'embrasse. Qui suce à chaque fois que je me retire. C'est à son tour. Les orgasmes sont délirants.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire tringler sur le bureau, vêtues de leur tenue de "secrétaire" de direction...

Julien

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Le premier Noël à deux loin de notre Ecosse

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon profond sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans ma nuque. Ses lèvres chaudes contre la peau de mon cou. Elle entortille mes jambes entre les siennes. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection matinale. Toute cette agitation réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Il est presque neuf heures. Je suis entre mes deux anges. Nous nous étirons en modulant longuement nos gémissements. Jusqu'à l'absurde.

Estelle se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Estelle revient, met sa tenue de sport. Des bisous et elle descend à toute vitesse. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans cette délicate odeur de café et de pain grillé. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. Plein de bisous.

Clémentine s'interpose par jeu. C'est à son tour. << On est tellement bien tous les trois ! Je ne pars plus ! >> lance Estelle. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles font le programme des prochains jours. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways. Il ne pleut pas. La fraîcheur matinale n'est pas désagréable. Presque doux.

Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre jogging. Le sol est détrempé. Aussi nous montons courir sur le bord de la route. Comme l'autre fois nous passons devant le haras. Il y a quelques voitures garées dans la cours. Nous courons jusqu'à l'intersection des chemins touristiques. Quatre kilomètres dans un sens. Quelques mouvements aérobic. Des abdos sur les bancs en bois. Quatre kilomètres dans l'autre sens. Il est 10 h30 quand nous revenons.

Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur au salon. Quatre courriels. Quelle surprise. Un message de Lennie, la jeune fille Hollandaise que nous avions rencontré il y a deux ans à Edimbourg. Un message de Julie qui nous confie son bonheur d'avoir passé de bons moments avec nous. Deux mails de ma famille en Ecosse. Estelle vient nous rejoindre. Nous joignons un selfie de nous trois pris à l'instant, joint à nos réponses. Clic sur "envoi".

C'est à notre tour de monter prendre notre douche. Nous nous habillons comme Estelle que nous rejoignons. Jeans, chemises à carreaux. Elle surfe sur le site de l'université. Aucune information si ce n'est les meilleurs vœux de la direction. Nous mettons nos anoraks. Nous ressortons. Il fait presque doux. Le ciel est gris mais lumineux. Accrochées à mes bras, les filles nous entraînent vers la rivière. Sur ses 300 m le chemin rocailleux est praticable sans maculer nos baskets de boue.

Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Je me retrouve rapidement avec la bite à l'air. Clémentine me sort les couilles. C'est avec toutes mes "affaires" exposées que nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. Les canards, les poules d'eau, les colverts nous accompagnent en caquetant et cancanant. Estelle s'accroupit pour humer mon sexe qu'elle décalotte légèrement. << Mmhh ! C'est ma friandise de Noël ! >> fait elle avant de se mettre à téter délicatement.

Clémentine m'embrasse passionnément. C'est à son tour. << Moi aussi que j'en veux ! >> fait elle en s'accroupissant. Estelle se redresse. Elle me roule une pelle d'enfer. Nous prenons doucement le chemin du retour. Arrivée à la fin du sentier, je remballe. Je glisse ma main dans les culottes des filles. J'aime y démêler les poils. Et dans de telles touffes, il y de quoi faire. Elles en rient tout en m'offrant la meilleure cambrure. Le meilleur accès. En déboutonnant leurs jeans. C'est doux.

La faim commence à se faire sentir. Nous remontons le chemin. Nous tombons sur monsieur Bertrand, notre voisin. Il porte un petit sac. Il va nourrir nos amis à plumes. Fixer des boules de graisses et de graines aux branches. Nous bavardons un peu. Nous évoquons le projet d'aménager la dépendance. Monsieur Bertrand nous propose son aide en cas de besoin. << Je peux couler la chape de béton ! Pas de soucis ! >> précise t-il. Nous nous saluons en souhaitant de bonnes fêtes.

Nous rentrons. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe le reste de tarte aux poireaux. Je fais rissoler trois dos de cabillaud blanc. Des champignons. Un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent notre rencontre avec monsieur Bertrand. Ce coquin a déjà montré sa bite à Clémentine mais jamais à Estelle. << Je vais le piéger un de ces jours ! >> lance t-elle.

Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Les filles miment des fellations. Une bosse à l'intérieur de la joue avec leurs brosses. Elle font dégouliner de la mousse de leurs bouches. Nous nous rinçons. Je demande : << Vous avez sucé qui cette fois ? >>. Elles répondent en cœur : << Monsieur Bertrand ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous redescendons pour aller dans l'atelier.

Estelle veut absolument passer les couches d'impression sur mes toiles. Je prépare la peinture acrylique fortement diluée. Clémentine allume un bon feu dans la cheminée. Estelle à genoux me regarde doser les liquides. Je dépose les six toiles à traiter sur une bâche. A l'aide d'un spalter, Estelle peut croiser les couches. Il en faut trois sur chaque dessin préparatoire. Elle adore faire ça. Clémentine et moi, nous sommes vautrés dans le vieux canapé à la regarder faire. Elle le fait bien.

Lorsqu'elle arrive à la sixième toile, la première est déjà sèche. Elle peut recommencer. Le dessin préparatoire finit toujours par transparaître. Je la félicite pour ce bel ouvrage. A quatre pattes elle fait le tour des toiles pour admirer son travail. Je n'ai plus qu'à laver le spalter et à vider le reste d'acrylique. Estelle reste à quatre pattes. A genoux, sa tête contre ma jambe qu'elle enserre de ses bras, elle m'assiste à côté du lavabo. Je rince le matériel. Elle palpe mon Zob.

Clémentine est derrière moi, ses mains autour de ma taille. Ce besoin tactile que nous éprouvons tous les trois à longueur de temps nous émeut. Je range les toiles préparées. Estelle m'aide à plier la bâche. Clémentine la range sur l'étagère du haut. Je remercie mes assistantes pour l'efficacité de leurs interventions. Nous restons serrés tous les trois à regarder la campagne. Il y a le silence. Juste le crépitement du feu dans la cheminée. Il est 15 h30. Estelle va devoir nous laisser.

Elle passe le réveillon de Noël avec ses parents. Nous sommes invités ce soir et demain midi. Nous préférons ne venir que demain. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. La séparation est difficile. Nous nous faisons plein de bisous. Là-bas, à 300 m, en contrebas, nous entendons le bruit léger et lointain d'un moteur. C'est monsieur Bertrand qui passe probablement la souffleuse dans la descente de son garage. Nous regardons Estelle s'en aller. Un dernier coucou.

Nous rentrons. << Noël, juste toi et moi ! Si tu savais comme je suis contente ! >> me fait Clémentine en se serrant contre moi. Elle m'entraîne dans la dépendance. Me tenant par le sexe, elle me fait faire le tour du propriétaire. Elle revient sur l'aménagement. Son projet est devenu notre projet. Peut-être même celui d'Estelle qui a quelques idées très sympas. Je n'arrive pas à me projeter dans l'avenir avec la même facilité que Clémentine. Elle m'explique en imageant son récit.

Je me laisse bercer par ses démonstrations si précises. Se plaçant souvent derrière moi, tout en me décrivant les aménagements futurs, Clémentine me masturbe doucement. Nous restons là à regarder. Clémentine partage si bien ses rêves. Des rêves qu'elle transforme en réalités avec une efficacité redoutable. C'est une femme déterminée. J'en suis amoureux fou et je le lui avoue une fois encore au bas de l'escalier. Elle se serre dans mes bras pour m'embrasser passionnément.

Il est 17 h45. La nuit est tombée. Il n'y a pas le même charme dans la vieille bâtisse avec les néons allumés. Nous rentrons. Nous dressons la table au salon. Nous nous séparons pour aller préparer nos cadeaux. << Tu me manques déjà ! >> fait Clémentine en montant l'escalier. J'attends un peu. Je sors les paquets. Il est difficile de ruser dans une vie commune. J'ai commandé en cachette. Clémentine aussi. Les colis ont été livrés il y a quelques jours. Mais ils restent un mystère.

<< Tu dois monter ! >> me fait Clémentine au bas de l'escalier. Je monte. Je reste dans la chambre. Sur le lit, Clémentine a préparé les vêtements qu'elle veut me voir porter ce soir. C'est amusant. J'entends des bruits au grenier. Au dessus de ma tête. Serait-ce le fantôme de mon ancienne compagne. Je ne crois pas car j'entends Clémentine chantonner en s'affairant. Mais que peut-elle bien bricoler là haut ? Mystère. Elle vient me rejoindre. << Tu dois compter jusqu'à 200 ! >> dit elle.

<< Et très doucement ! >> rajoute t-elle en me quittant avec un air de conspiratrice. Je suis excité par tout ce remue ménage. Je compte doucement jusqu'à 200, assis sur le lit. Je sors de la chambre. Je descends doucement en chantonnant. Afin de manifester ma présence. << Tu peux venir ! >> lance Clémentine. Quelle surprise dans le salon. Il y a un petit sapin, des boules, des guirlandes et tous les paquets disposés dessous. Je regarde admiratif. Comme un gamin. C'est beau.

Je demande : << Où t'as trouvé tout ça ? >>. << Dans une des vieilles malles au grenier. Il y a des trésors là dedans, tu sais ! >> fait Clémentine. Je ne savais même plus qu'il y avait des décorations de Noël. << Un jour, je te ferais voir tout ce que j'ai trouvé là haut ! >> rajoute encore Clémentine. Nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le feuilleté de saumon qui a décongelé. Avec des petites pommes de terre sautées. Clémentine n'arrête pas de chantonner.

Lorsqu'elle cesse, c'est pour m'entraîner dans une sorte de tango dans toute la vaste cuisine. J'admire cette capacité toute féminine de transformer chaque instant en joie festive. Que serait ma vie sans elle, seul, dans cette grande demeure ? Cette pensée m'effraie à chaque fois qu'elle m'assaille. Clémentine devine mes pensées. Ses bisous calment tous mes tourments. Nous préparons notre réveillon. << Une autre surprise ! Tu montes te changer et tu attends mon signal ! >> dit elle.

Je m'exécute. Je monte. Je mets les vêtements préparés. Un pantalon de flanelle claire, à pinces et à plis. Une chemise crème. Un gilet beige de fine laine. Mes mocassins marrons clairs. Sur un bout de papier, posé sur le lit, Clémentine a écrit "braguette ouverte". Je ris en découvrant ce mot. Je me conforme à ce qui suit. Il est marqué. "A la salle d'entraînement jusqu'à mon signal". Je visionne un petit film de nos vacances assis sur un des bancs de musculation. J'attends le signal.

<< Go ! >>. C'est la voix de Clémentine derrière la porte. Je sors. Personne. << Go ! >>. Je descends. Là, dans le salon juste éclairé des bougies du sapin, éblouissante, Clémentine. Elle a bien préparé sa surprise la coquine. Elle porte une robe de soirée. Longue, cintrée à la taille. Elle a mis des boucles d'oreilles. Mais comme elle est belle. J'en ai les larmes aux yeux. Je partage ma vie avec cette femme en devenir. Je vais m'effondrer de bonheur. Je me sens vaciller.

Je m'assois dans la chaise à bascule. Je reste sans voix. Clémentine ne se maquille jamais. Mais là, ce soir, elle s'est transformée en star de cinéma. C'est extraordinaire. Il ne lui a fallu qu'un peu plus d'une demi heure pour réussir ce tour de force. Elle a tout prévu en amont. Qu'elle femme extraordinaire ! Clémentine met une musique douce. Un disque de Frank Sinatra. C'est sublime. Elle me prend par la main. Nous nous serrons pour danser. Tendrement enlacés. Merveilleux.

Même si nous sommes tous deux à des années lumières de ce genre de "loisirs", je dois admettre que ce soir, je vais de découvertes en découvertes. << Je t'aime Julien. Tu as fait de moi la femme la plus heureuse du monde ! >> me chuchote t-elle à l'oreille. Je dis : << Tu as fait de ma vie une succession d'enchantements divins ! Je t'aime Clémentine ! >>. Nous dansons longuement au son de la voix du crooner. Nous en avons tous les deux les yeux humides. Le bonheur sans doute.

Tout s'arrête. Nous restons encore dans une longue étreinte. Clémentine veut faire des photos. Je la trouve encore plus belle, plus majestueuse ce soir. Une femme peut se transformer avec quelques couleurs, une tenue différente, au point de donner l'illusion d'être une autre. Nous allons chercher les plats à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Un repas succulent préparé depuis quelques semaines. Un feuilleté de saumon commandé chez un traiteur. Livré samedi dernier.

Nous traînons à table. Nous nous tenons souvent la main entre deux coups de fourchette. Nous faisons ce soir le bilan de notre aventure qui dure depuis quatre ans. Elle avait dix neuf ans la première fois qu'elle est venue ici. Elle en a vingt trois. En la regardant je découvre déjà la femme qui se dessine en filigrane derrière cette somptueuse jeune fille. J'en suis tellement ému. Je passe là un des moments les plus profond de ma vie. Joyeux Noël mon amour. Quel bonheur.

Clémentine m'entraîne par la main. Nous ouvrons les paquets. Quelle imagination. Je suis en admiration de ces choses simples mais si judicieuses. Clémentine découvre ses cadeaux. Nous sommes comme des gamins, assis en tailleurs devant ce petit sapin. Il n'y a plus que nous. C'est d'une intensité "dramatique". Nous sommes l'un contre l'autre à pleurer de bonheur. Des hoquets et des larmes. Je t'aime Clémentine. Il est presque 22 h. La fatigue nous gagne doucement.

Nous laissons tout à la cuisine et sur la table. Je soulève Clémentine comme une jeune mariée. Je monte l'escalier. Je la dépose délicatement sur le lit. Je la déshabille en faisant durer. J'embrasse son cou. Je dépose de doux baisers sur son visage. Elle me déshabille avec impatience. Nous faisons ce soir l'amour comme une première fois. Nous adorons rester immobiles pour partager nos ressentis. Ce soir c'est en partageant nos émotions. C'est une nuit magnifique que celle-ci...

Bon réveillon de Noël à toutes les coquines qui vivent une merveilleuse histoire depuis si longtemps dans leur jeune vie...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1380 -



Une autre magnifique journée de fête

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par le souffle chaud de Clémentine dans ma nuque. La douceur de ses lèvres contre la peau de mon cou. Il est rare qu'elle reste accrochée à moi toute la nuit. Mais il faut dire que cette nuit a été si intense. Sans ouvrir les yeux, je la serre encore davantage. Elle me chuchote des douceurs en glissant sa main entre mes cuisses pour empoigner délicatement mes couilles. Des couilles encore toutes congestionnées pas la sollicitation dont elles ont fait l'objet.

Il est 9 h05. D'être encore au lit à cette heure est une exception. Mais il fallait bien ça pour récupérer en partie. Nous n'avons pas d'autres alternatives que de nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous avons abandonné toute la vaisselle hier soir. Elle trempe. Nous avions oublié. Ça aussi, c'est une exception. Clémentine fait le café en me racontant son rêve de la nuit. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis.

Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en traînant à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque notre soirée de Noël. << On était dans un autre monde. Encore plus fabuleux. Je t'y emmène à nouveau bientôt. Et toi ? >> me fait elle. Je promets de l'y emmener quand elle le souhaite. Après tout, nous sommes tous deux de grands romantiques. De grands sentimentaux. << De grands jouisseurs ! >> rajoute Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous en faisons la totalité. Il faut également débarrasser la table au salon. Cela nous amuse beaucoup de découvrir le "chantier" que nous avons laissé. Le petit sapin de Noël que Clémentine est allé couper en forêt, discrètement et sur nos terres. Je la félicite pour toutes ces surprises. Pour cette merveilleuse soirée. Dehors, le ciel est gris mais lumineux. Excellente météo pour aller courir. Nous mettons nos K-ways. Nous sortons.

Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous remontons courir sur la route. Quatre kilomètres dans un sens. Des exercices aérobic, des abdos sur les bancs en bois. Quatre kilomètres pour le retour. Nous arrivons à la maison pour 11 h30. Juste le temps de prendre la douche. De nous habiller. Clémentine porte une de ses jupes de velours carmin. Un chemisier crème sous un fin pull de coton brun au col en "V". Ses escarpins marrons à talons hauts.

Ses cheveux qui flottent sur ses épaules. Sur sa demande, je porte un jeans propre, une chemise blanche, mes souliers noirs de ville. Un pull bleu nuit au col en "V". Nous récupérons les paquets cadeaux. Nous enfilons nos manteaux. Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine palpe ma braguette. Il y a trois petits kilomètres jusqu'au bourg. A la sortie du lotissement, la propriété des parents d'Estelle. Les bâtiments de leur entreprise. Il est 11 h55 quand je rentre dans la cour.

C'est Estelle et son papa qui viennent nous accueillir. Yvan est vêtu comme moi. Estelle dévale les escaliers pour venir nous prendre par les hanches. Elle est tellement contente. Son papa également. Nous ne nous serrons pas les mains. Nous respectons le protocole sanitaire. Bien plus par jeu que pas une nécessité quelconque. Voilà Michèle qui vient à notre rencontre dans le hall d'entrée. Elle a un sourire magnifique. C'est la "grande sœur" d'Estelle. Sa maman est belle comme le jour.

Clémentine sort le flacon de gel hydroalcoolique de son petit sac à main. Tous les cinq, en riant, nous nous frottons les mains. << Cette cochonnerie nous donne des gerçures ! >> lance Michèle. Ni son papa, ni sa maman n'ont de contacts avec leurs employés. Tout ce passe par notes informatiques. Il y a même un hygiaphone au bureau pour les rendez-vous, pour donner les directives aux responsables. Nous sommes invités à passer au salon. C'est la grande salle à manger.

C'est un repas commandé à un traiteur. C'est le même artisan du bourg que le nôtre. Il propose des plats divins, d'une originalité et d'une saveur sans pareilles. Nous mangeons de bon appétit. Michèle a dressé la table en y rajoutant les rallonges. Ce qui permet de garder la distanciation. Estelle n'arrête pas de me faire du pied sous la table. Assise à ma droite. Nous échangeons nos impressions sur cette situation sanitaire. Yvan n'est pas plus dupe que nous par toute cette mascarade.

<< Nous n'avons aucune possibilité de vérifier les chiffres qu'on nous assènent tous les jours. Vingt mille contaminés par là, vingt mille contaminés ci ! Et quoi encore ? Se foutre de la gueule d'une nation entière à ce point là, relève de la démence avant le complot ! >> lance Yvan. Nous en rions de bon cœur. Michèle rajoute : << De dangereux psychopathes criminels derrière cette sinistre histoire ! >>. Nous préférons changer de conversation. Tout cela est tellement affligeant.

<< Par contre, les "affaires" n'ont jamais fonctionné à un tel niveau. Je vais être obligé d'embaucher du personnel dans la succursale ! >> précise le papa d'Estelle. Nous traînons à table jusqu'aux environs de 15 h. Nous exigeons de faire la vaisselle ensemble. Michèle fait la distribution des tabliers. Nous plaisantons et rions beaucoup en lavant et en essuyant. Yvan propose de nous faire visiter les locaux de l'entreprise. Nous le suivons comme un guide dans un musée.

La maman d'Estelle semble vouloir entrer en contact avec moi. Aussi, elle m'entraîne dans le bureau. Nous y sommes seuls. Par une des grandes baies vitrées, nous voyons dans l'atelier. Là-bas, Estelle, son papa et Clémentine qui bavardent. Michèle sort une tablette d'un des tiroirs. Elle l'allume. J'hallucine lorsqu'elle me montre l'écran. << C'est vous le responsable de "ça" ? >> me demande t-elle en guettant mes réactions. Je crois que je n'ai jamais été aussi gêné. La honte.

Sur l'écran, le visage de sa fille. Maculé de foutre. Les cheveux suintant de pisse. Nous savons qu'elle a déjà trouvé ces photos il y a plus d'un an. Je ne fuis pas son regard. Je la fixe. Elle semble beaucoup apprécier de me mettre ainsi dans l'embarras. Je réponds : << Oui, j'en suis le responsable ! >>. Michèle me surprend une fois encore. Elle rajoute : << Elle est majeure. Avec mon mari aussi nous avons joué à "ça". Mais avec la différence qu'il est mon mari. Vous saisissez ? >>.

Je suis confus. Que répondre à cette évidence. Michèle ne me laisse pas longtemps mal à l'aise. Elle précise : << J'espère simplement que vous vous amusez beaucoup tous les trois ! >>. Elle me fait un étrange et énigmatique sourire. Je comprends soudain que cette situation la ravie. Elle me fixe par en dessous avec un regard terriblement suggestif. Elle ressemble tellement à Estelle que je lui adresse le même sourire. C'est un réflexe. Elle me fait un clin d'œil. J'adore ces complicités.

Estelle vient nous rejoindre. << Tu arrêtes de draguer ma mère s'il te plaît ! >> lance Estelle en entrant dans le bureau. Michèle éclate de rire en rangeant la tablette éteinte. Elle dit : << C'est moi qui drague Julien ! C'est un monsieur charmant ! >>. Estelle nous entraîne par les bras en lançant : Maman, fais pas ta salope ! >>. Nous rejoignons Yvan et Clémentine en riant. Nous retournons dans leur grande maison. C'est l'heure du thé et des petits gâteaux. Nous offrons les cadeaux.

De magnifiques albums photos. Pour Yvan et Michèle, un livre sur l'Ecosse. Ils nous offrent un album sur le Var, région d'origine de la maman d'Estelle. Nous traînons dans le salon à bavarder. Yvan et Michèle espèrent pouvoir passer deux semaines en Irlande du Nord, l'été prochain. Deux semaines en Ecosse. Nous nous promettons de nous voir là-bas. Je surprends souvent le regard insistant et suggestif de la maman d'Estelle. Estelle qui me pince discrètement à chaque fois.

Elle insiste pour nous emmener à l'étage pendant qu'Yvan et Michèle débarrassent. Là, dans cette chambre de jeune fille que nous connaissons bien, Estelle me fait tomber sur le lit. << Si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents. Elle a un mec je te signale. Et ce mec c'est mon père ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle me chevauche en maintenant mes poignets, mes bras écartés. Elle me roule une pelle d'enfer en me tenant fermement.

Clémentine, assise sur le lit, joue avec une des peluches qui jonchent la couverture. La couette par terre. << Je te fais une pipe, salaud ! >> fait encore Estelle en m'ouvrant la braguette. Sans même me laisser réagir, elle pose sa tête sur mon ventre. Elle gobe mon sexe tout mou. Je ne suis pas rassuré. Me faire tailler une pipe dans la chambre d'une jeune fille alors que ses parents sont en bas, n'est pas spécialement rassurant. Clémentine m'embrasse. Estelle me suce.

Nous restons ainsi une bonne demi heure. Clémentine recommande à Estelle de rester passer la soirée avec ses parents. Un autre cadeau. De nous rejoindre demain en début d'après-midi. << C'est trop dur ! >> lance Estelle. Je dis : << C'est dur aussi pour tes parents si tu les plaques ce soir. Ils n'ont que toi et tu es tout le temps avec nous ! >>. Estelle se serre contre moi. Elle fait : << Non, je passe mes semaines avec eux depuis quelques temps ! >>. Mais elle accepte.

Nous redescendons. Michèle se débrouille une nouvelle fois pour être seule en ma présence dans le salon. Les autres sont dans le hall. << Soyez gentil, tenez moi informée. Je suis très concernée par tout ce qui concerne Estelle ! C'est ma fille, mais elle est si exceptionnelle ! >> murmure t-elle. Je ne sais quoi répondre d'autre que : << Oui, c'est tellement vrai ! >>. Elle m'adresse cet étrange et énigmatique sourire. Nous sortons tous les cinq. Il fait nuit. La fraîcheur n'est pas désagréable.

Nous invitons les parents à Estelle à venir manger vendredi prochain. A midi, pour le premier janvier. Estelle vient s'assoir dans la voiture avec nous. Yvan et Michèle rentrent se mettre au chaud après nous avoir salué. Estelle dit à Clémentine : << Surveille Julien, il en a après ma mère ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je raconte ce qui s'est passé dans le bureau et au salon. Lorsque j'étais seul avec sa maman. << Mais comme elle est salope ! Attends, je vais lui faire la morale ! >> dit elle.

Elle nous quitte. Un dernier coucou et nous partons. Estelle vient nous rejoindre demain, samedi, en tout début d'après-midi. Il est 18 h30 quand nous arrivons à la maison. Nous enfilons nos tabliers. Clémentine s'occupe de la salade en me donnant ses impressions. Nous adorons les parents d'Estelle. Ce sont des gens absolument charmants. Nous partageons plein de centres d'intérêts. Ils sont tous deux de grands sportif. Des gens très cultivés. Extrêmement intelligents. De véritables "cérébraux".

Je réchauffe le reste de feuilleté de saumon. Je fais rissoler de petites pommes de terre à la poêle. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine écoute attentivement. Je lui raconte une nouvelle fois l'attitude de Michèle. Sa façon d'essayer de m'entraîner afin de se retrouver seule avec moi. << Le coup des photos ! Je suis certaine qu'elle aimerait avoir ton foutre sur la gueule. Comme sa fille ! >> lance Clémentine.

Je ne sais qu'en penser. De toute façon Clémentine ressent les choses dans leurs globalités. Rien ne lui échappe. Elle est profondément "médium". Elle sent les gens. Je n'ai qu'à me fier à ses impressions. Tout se vérifie toujours. J'écoute son analyse. Nous en parlerons avec Estelle demain. Je dis : << Elle va m'arracher les couilles avec les dents ! >>. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. La fatigue commence à se faire sentir. J'adore quand Clémentine porte une jupe. Elle aussi.

Je l'entraîne au salon. Je la fais s'installer dans le canapé. Je jette un des épais coussins au sol. Entre ses pieds. Je saisis ses chevilles pour la faire basculer en arrière. Sa culotte est quelque part dans le couloir. Mon visage entre ses cuisses, je prends mon dessert. J'adore les saveurs de sa journée de fille. Je fouille du bout de ma langue chaque plis et replis de son intimité charnue. Ce délicieux gout acidulé m'enivre. Une petit pointe "vinaigrée" assaisonne les lèvres de son sexe.

Lorsque je la fouille ainsi, Clémentine adore se masturber. Quand je suce son clitoris géant, elle me tient par les oreilles. Elle me murmure des douceurs entre deux gémissements. Elle me chuchote les confidences de ses désirs les plus pertinents. Sucer la bite d'un inconnu devient une véritable obsession. Avec la crise sanitaire, il est difficile de donner libre cours à ce fantasme. Je pénètre délicatement Clémentine. L'un dans l'autre, immobiles, elle me confie les plus infimes détails.

Nous adorons baiser ainsi. Parfois nous nous berçons d'un rythme lent. Nous sommes tous deux épuisés. Je propose de monter nous coucher. De nous terminer au lit. Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons. Le rituel pisseux. Le brossage des dents. Nous voilà au lit. Clémentine se régale du jus de mes couilles. Je lui éjacule dans la bouche. Je retire ma queue de sa bouche alors qu'elle veut repartir pour un second tour. C'est moi qui la lèche, qui la suce. Son orgasme est divin.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver dans l'intimité après une journée en compagnie d'amis chers...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1381 -



Estelle est si contente de nous rejoindre

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 8 h15. Clémentine se serre contre moi pour me chuchoter des douceurs. Nous nous étirons longuement en modulant nos gémissements. L'impérieuse envie de pisser est sans pitié. Nous nous précipitons aux toilettes en riant. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos dernières oranges. Je pèle nos derniers kiwis.

Nous prenons un copieux petit déjeuner en faisant le bilan de ces fêtes. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre après-midi de hier. Nous avons passé du bon temps avec Estelle et ses parents. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons dans la fraîcheur matinale. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre jogging. Le ciel est gris mais lumineux. Il fait à nouveau plus froid. Nous restons à courir sur la route. Notre parcours habituel.

Il est 9 h45 quand nous revenons. En même temps que la camionnette de livraison. C'est la même jeune femme. Elle porte son masque sanitaire. Du hayon arrière de son véhicule elle sort deux cageots. L'un contient nos fruits et nos légumes. L'autre nos fromages, les œufs, les yaourts, les petites briques de crème fraîche, le beurre et encore quelques kiwis. Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons. C'est bien quand les livraisons arrivent en même temps.

Voilà madame Marthe, la boulangère. Cette dame a toujours un bon mot, beaucoup d'humour mais très peu de temps à nous consacrer. Nous récupérons nos deux grosses miches de pain complet. Nos trois brioches. L'une au pudding, l'une à la pâte d'amande et l'autre aux noisettes. Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons. Pour éviter d'attraper froid, nous nous dépêchons de tout rentrer. A la cave, dans le cellier, nos fruits, nos légumes. Un pain et deux brioches au congélateur.

Nous rangeons les produits frais au réfrigérateur. Nous pouvons enfin monter prendre notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous changeons les draps du lit. Nous faisons la chambre. Il est 10 h30. Nous nous prenons au jeu du ménage. Nous nettoyons la salle de bain, les chiottes. Clémentine passe l'aspirateur. Je passe la serpillère immédiatement après ses passages. Tout cela ouvre nos appétits. Il est 11 h30. Un coup d'aspirateur en bas.

Je nettoie les chiottes du bas. Nous passons la serpillère sur les carrelages. Il est midi passé. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare un bouillon pour les moules. Je fais cuire des haricots verts et des petits pois à peine décongelés dans le wok. Nous dressons la table. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque la possibilité d'aller randonner un peu cet après-midi. Faire de l'exercice.

La météo s'y prête. Même si le sol est détrempé, nous connaissons quelques circuits aux sentiers rocailleux. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. << Bonjour les gens ! >>. C'est la voix d'Estelle qui monte nous rejoindre. Elle pose son grand sac de sport avant de nous faire la bise. Elle se serre contre moi en disant : << Salaud ! Tu dragues ma mère. Elle n'a pas arrêté de parler de toi hier soir ! >> me fait elle. Nous en rigolons comme des bossus. Je ne drague personne.

Clémentine fait part de notre projet de randonnée. << Mais ! On devrait déjà êtres dehors ! Vite ! >> lance Estelle. Nous restons tous les trois vêtus pareils. Jeans, chemises à carreaux. Il suffit de prendre les grosses godasses. Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, la thermos de thé bouillant, trois pommes, trois barres de céréales. Nous enfilons nos anoraks. Bonnets et gants. Il est 13 h15. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous prenons le sentier facile de gauche.

Nous longeons le cours d'eau. Estelle marche devant. Je la suis de près. Clémentine ferme la marche. Estelle se retourne souvent pour me faire un bisou. Je fais la même chose pour Clémentine. Estelle nous raconte les conversations de sa maman. Ses parents ont beaucoup apprécié notre présence. Nous sommes devenus des amis chers. Même si une fois encore, j'étais le plus âgé, cela ne me gêne plus vraiment. Estelle me répète une fois encore à quel point c'est excitant pour elle.

Ce qui est d'ailleurs le cas pour Clémentine aussi. Le fantasme de l'homme ayant l'âge de leurs papas. Nous en rions de bon cœur. Nous arrivons au vieux lavoir. Le ciel est de plus en plus lumineux. Des coins de bleu pâle. J'ai la braguette ouverte. Si ce n'est pas Estelle qui y fourre sa main, c'est Clémentine. Avec le froid, je préfère ne pas sortir la queue. Nous traversons la petite route étroite pour longer le ruisseau. Nous passons à 300 m derrière les bâtiments du haras.

Nous distinguons de nombreux véhicules dans la cour. Les propriétaires de chevaux qui viennent visiter leurs bêtes. Nous restons sur l'étroit sentier rocailleux. Il y a environs trois kilomètres jusqu'aux Dolmens. Nous ne rencontrons personne. Cette fois, Estelle m'a sorti la bite. Elle me la tient bien au chaud dans sa main. << Je ne savais pas que maman conservait les deux photos qu'elle avait trouvé ! >> lance Estelle. << Il faut dire que tu es tellement attractive dessus ! >> dit Clémentine.

Nous éclatons de rire. Ce sont ces deux photos du visage d'Estelle maculé de foutre. Des mèches de cheveux trempées de pisse qui lui collent sur les joues, le front et qui dégoulinent dans son cou. Des photos que sa mère a trouvé sur son téléphone oublié dans l'entrée, à côté du guéridon. << Quelle idée saugrenue de laisser traîner ton téléphone allumé ! >> lance Clémentine. << Deux minutes, le temps de courir faire pipi en rentrant ! >> s'écrie Estelle. Nous en rions de bon cœur.

<< Maman n'a jamais montré ces photos à papa. Et ne lui en a jamais parlé ! >> précise encore Estelle. Je suis soulagé. << Tant mieux ! >> rajoute Clémentine qui sort son téléphone pour montrer le même genre de clichés. Nous en rigolons comme des bossus. << Julien et sa manie de laisser couler son sperme sur tous les visages de filles ! >> lance encore Estelle. Nous sommes pliés de rire. Nous marchons sur la piste cyclable. L'ancienne voie ferrée. Voilà la maison abandonnée.

C'est l'ancienne maison du garde barrière. Nous entrons dans ce qui était le jardin. Un champs de ronces. Nous entrons dans la cabane à outils. La porte est toujours entrebâillée. Là, dans l'obscurité, les filles, sans même se concerter, m'ouvrent le jeans pour le descendre. Je me retrouve avec le slip sur les genoux. Il fait froid. Estelle et Clémentine sont accroupies. Elles hument les effluves parfumées de ma bite toute molle. Estelle donne des coups de langues. Clémentine tient mes couilles.

<< On se refait un film cette semaine ! J'ai une superbe idée mais c'est encore un secret jusqu'à ce soir ! >> fait Estelle avant de gober mon sexe mou. Clémentine fait un anneau de ses doigts autour de mes couilles. << Dis nous tout ! >> fait elle à Estelle qui arrête de sucer pour répondre : << Ce soir, pendant le repas ! >>. Je leurs caresse la tête. Je les aide à se redresser. J'ai trop froid jambes nues. Elles me remontent les vêtements soigneusement en riant. Plein de bisous.

Nous continuons. Il est déjà 16 h. Dans une heure il fera nuit. Nous avons nos lampes frontales. Nous prenons la direction des roches. Cette "aberration géologique" comme la nomme Clémentine. C'est un labyrinthe de roches granitiques qui s'élèvent à cinq ou six mètres. Sur une superficie d'environ quatre hectares. C'est spectaculaire. A l'abri du vent. Rocailleux. Nous aimons y jouer à cache-cache. Mais là, avec le crépuscule qui arrive, nous nous contentons de traverser.

Nous longeons les prés jusqu'à la forêt. Estelle passe sa lampe frontale autour de la tête. La nuit est plutôt claire. Il y a tous les bruits de la forêt. Les branches sont nues. C'est fantomatique. Un peu comme dans un film impressionniste allemand des années trente. << Dracula ! >> fait Estelle qui me tient par le bras. Le chemin permet de marcher tous les trois en nous tenant. Il est presque 18 h quand nous arrivons à la maison. Malgré les bonnets de laine, les oreilles nous piquent.

Nous allons directement à la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Estelle et moi, nous épluchons les légumes pour la potée. Des pommes de terre, des carottes, un gros navet, un gros céleri. De l'ail, de l'échalote. Cette potée de légumes qui va assurer trois repas. Nous en préparons en grande quantité. Cuisson traditionnelle dans la vieille cocote en fonte noire. Je prépare une pâte à crêpe. Estelle fait rissoler des tranches de calmar.

Il suffit de les tremper dans la pâte à crêpe puis dans l'huile bouillante pour les transformer en délicieux beignets. Il faut dire que notre randonnée de quatre heures, dans le froid, nous a mis dans des appétits d'ogres. Nous dressons la table au salon. Il y a juste la lueur des deux grosses bougies. Ambiance fantastique dans la grande pièce. << Dans cette maison, c'est toujours une plongée dans le dix neuvième siècle ! C'est pour ça que les visiteurs aiment ! >> lance Estelle.

<< On se fait un "repas élégant ? >> demande Estelle. Sans répondre, nous la suivons dans l'escalier. Les filles veulent me faire la surprise. Je vais donc me changer dans la salle de bain. Je les entends rire. Comme c'est merveilleux. Que serait cette grande demeure sans la présence de mes deux anges ? Je porte un pantalon de flanelle claire, une chemise blanche, mes mocassins bruns clairs. Estelle vient me rejoindre suivie de Clémentine. Elles sont époustouflantes. Magnifiques.

Vêtues de leurs jupes kilt à carreaux rouges, d'un chemisier crème et de leurs escarpins à talons hauts elles ont poussé le raffinement jusqu'à porter de ravissantes soquettes blanches à dentelles. C'est absolument génial. Je les félicite. Elle m'entraînent dans la chambre. Estelle sur ma gauche, Clémentine sur ma droite, nous nous observons devant le miroir de l'armoire. C'est absolument superbe. Elles s'accroupissent en même temps en me tenant les jambes.

Leurs têtes contre mes cuisses qu'elles enserrent de leurs bras. Les cuisses largement écartées, elles ne portent pas de culottes. Je pose mes mains sur leurs têtes. Deux sœurs jumelles, ravissantes, sublimes, qui me fixent de leurs regards perçants. Les yeux d'un bleu clair brillent d'une lueur irréelle avec la seule lampe de chevet. << Notre bon "Maître" daignera t-il nous prodiguer quelques séances d'éducations durant ces vacances ? >> demande Estelle d'une voix suppliante et fluette.

<< Oui, nous avons besoin d'êtres sérieusement ré-éduquées ! >> rajoute Clémentine. Je leurs dis : << Mes douces et exquises "Soumises", je vais vous offrir quelques séances mémorables. Dès lundi ! >>. Je les tiens toutes les deux par leurs cheveux pour les forcer à se redresser. Morts de faim, nous descendons. Nous le faisons prudemment car les filles sont en escarpins. Nous mangeons de bon appétit. C'est délicieux. Estelle nous raconte son nouveau projet de film.

<< Pourquoi ne pas nous offrir un repas de réveillon, le 31 décembre, au soir, qui serait bien vicieux, pervers, comme nous les apprécions tant ? >> propose t-elle. Nous écoutons le développement de son scénario. << La caméra filmerait en automatique pour nous permettre à tous les trois une totale liberté de mouvements ! >> rajoute encore Estelle. Nous restons silencieux. C'est encore une superbe idée. Estelle continue : << J'ai l'ancienne caméra à papa dans mon sac ! >>.

L'idée est excellente. Avec deux caméras qui filmeraient sous deux angles différents, nous pourrions réaliser de belles images. Clémentine suggère les meilleurs angles de prises de vues. Estelle donne quelques indications. << On s'habille comme ça, en lycéennes anglaises ! >> propose t-elle encore. << Et Julien en professeur chic et strict ! >> rajoute Clémentine. Chacun est prié d'apporter une idée originale à ce scénario. Nous filmerons ce nouvel épisode jeudi soir. Seuls ici tous les trois.

Cela nous excite déjà considérablement. Nous nous promettons de donner dans une surenchère de turpitudes, de stupre et de luxure. << Je veux être étourdie de lubricité ! >> lance Estelle en s'asseyant sur mes genoux. << Moi aussi, je veux que ce soit mémorable ! >> rajoute Clémentine en venant s'installer sur mon autre cuisse. Leurs bras autour de mes épaules, elles me couvrent le visage de bisous. Je pourrais m'évanouir de bonheur tellement l'émotion m'étreint une fois encore.

Nous traînons à table. Je propose aux filles un superbe léchage de minous après la vaisselle. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Elles se lèvent d'un bond. Nous débarrassons. Nous mettons nos tabliers. Nous faisons la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon en riant. Elles me prennent les mains. Nous parcourons toute la vaste pièce dans une farandole délirante. Nous sommes tellement heureux tous les trois. Notre petit monde se suffit à lui-même. Au diable tout le reste.

Estelle me fait tomber dans le canapé. Toutes les deux, les mains sur les hanches, m'observent silencieuses. Elles marchent doucement. Quel merveilleux spectacle. Ces deux jeunes filles de 23 ans, belles comme des créatures célestes, évoluent ainsi devant moi. Elles sont terriblement sexy. Je ne suis jamais pressé de "consommer". Le plaisir des yeux est déjà une satisfaction divine. Estelle s'accroupit la première. A environs trois mètres devant le canapé. Cuisses écartées.

Clémentine s'accroupit à ses côtés. Toutes les deux, bien droites, les mains posées sur leurs cuisses, m'offrent le plus merveilleux spectacle qu'un homme puisse rêver. Le silence est lourd. Je sens la sueur me picoter le dos. Estelle mime une masturbation masculine. Je comprends immédiatement. Je sors mon sexe. Je bande comme un priapique en phase terminale. Ce soir, sans même se concerter, elles m'offrent un véritable show. Clémentine croise ses mains sur sa tête.

Estelle fait de même. Pour bien tenir en équilibre dans cette position instable, elles sont l'une contre l'autre. Je me branle doucement. Je veux regarder au delà de ce que mes yeux voient. Clémentine se met à genoux. Une main sous sa jupe, elle se masturbe. Estelle fait pareil. C'est fantastique. Ces deux merveilleuses créatures qui se touchent, là, à trois quatre mètres. Elles adorent êtres vues, regardées, scrutées. Estelle a découvert les joies de l'exhibition à l'école de Clémentine.

Clémentine se redresse la première. Elle se dirige vers le bureau. Là, cambrée sur ses genoux fléchis, son sexe posé sur un des coins du meuble, elle se frotte en se tenant sur les bords. Estelle se redresse pour se positionner sur un autre coin. Je me branle de plus en plus vite. Les deux coquines ne simulent jamais. Nous adorons tous les trois la masturbation. Elles se frottent consciencieusement. Elles s'observent. L'une excitant l'autre. C'est prodigieux. Si seulement elles étaient gouines !

Hélas, et je suis prévenu, il n'y aura jamais d'effusions saphiques entre Estelle et Clémentine. Cette simple idée les révulse. Je me lève. Je me branle beaucoup plus efficacement debout. Mes deux anges aussi. Clémentine, le visage penché, à moitié dissimulé par ses cheveux, se concentre en gémissant. Estelle la regarde pour faire pareil. Elles lèvent souvent leurs têtes pour s'observer. L'activité de l'une stimulant celle de l'autre. Régulièrement elles regardent dans ma direction. Ça les excite.

J'ai de la jute qui coule, qui macule ma main droite. Je me tiens les couilles de la main gauche. Je me branle comme un adolescent devant la photo d'une pin-up d'un magazine érotique. Clémentine cesse. Elle se retire brusquement. Comme si le coin du bureau était brûlant. Elle s'accroupit avec les mains entre les cuisses en se mordillant la lèvre inférieure. Elle vient d'éviter l'orgasme de justesse. Ce que ne peut pas faire Estelle qui se met à jouir en poussant de petits cris d'animal blessé.

C'est merveilleux. Clémentine vient me rejoindre. Elle m'offre sa chatte. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Mon visage entre ses cuisses, je me régale de ses substances. Un jus de fille absolument délicieux. Clémentine se met à bouger doucement. Lorsque je fouille les lèvres charnues de son sexe, elle se masturbe. Lorsque je suce son clitoris géant tout son corps se met à vibrer. Estelle vient nous rejoindre, les yeux larmoyants de plaisirs. Je veux absolument goûter à son sexe.

A peine ai-je mon visage entre les cuisses d'Estelle que Clémentine jouit en poussant de profonds râles de plaisir. Je l'entends se lâcher dans la cuvette. Nous l'observons tous les deux. << Tu pisses comme une vache ! Salope ! >> fait Estelle avant de se cambrer, de se raidir dans un second orgasme. Je retourne lécher Clémentine. La saveur de ses "mélanges" est mon nectar de jouvence. Estelle, couchée sur le côté, ses mains entre ses cuisses, reprend doucement ses esprits. Il est 22 h30.

Nous sommes épuisés. Totalement vidés. << Et toi ? >> me demande Estelle. << Je me le vide au lit ! >> répond Clémentine. Nous passons aux toilettes pour nos derniers rituels pisseux. Le brossage des dents à la salle de bain. Nous faisons toute chose dans un état de fatigue qui nous fait rire. Au lit, Estelle s'endort blottie contre moi. Je chuchote à Clémentine : << Viens, dors, tu me vides les couilles demain ! >> En gémissant de plaisir, Clémentine se serre contre moi. Je suis entre mes deux anges.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les "repas élégants" pour tout ce qui leurs succède. Les coins de tables par exemple...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1382 -



Un magnifique dimanche, tous les trois réunis

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par les mouvements que fait Estelle avec ses pieds. Elle n'en est pas encore consciente. Ce sont ses "impatiences" qui précèdent son réveil. Je peux sentir son souffle chaud dans mon cou car toute la nuit elle est restée accrochée à moi. Comme une naufragée à son radeau. Là, elle se réveille vraiment en glissant sa main dans mon slip. Elle saisit mon érection matinale de sa poigne vigoureuse. Tout cela finit par réveiller Clémentine.

Elle vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Je les serre fort. Distribution de bisous. Je glisse mes mains dans les culottes. Estelle saisit mon poignet en disant : << Non ! Mes "petits machins" de fille. Avec une journée de retard ! >>. Elle se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Clémentine se frotte contre moi en me chuchotant des douceurs. Il est 9 h15. Nous sommes rarement au lit si tard. Estelle revient pour nous faire la bise et s'habiller.

C'est à notre tour d'aller pisser. Nous nous habillons. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans cette délicieuse odeur de café, de pain grillé et de brioche. Estelle vient se serrer dans mes bras. << J'ai un peu bobo au ventre. C'est rare que j'ai un jour de retard ! >> dit elle. << Ça m'arrive aussi parfois en hiver ! >> rassure Clémentine. Nous prenons notre copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Le dimanche, pas de sport. Le ménage a été fait hier. Tout le dimanche nous appartient. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles font le vague programme de la journée. De la semaine de vacances à venir. Nous resterons ensemble tous les trois. La vaisselle. Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons. Le ciel est uniformément gris. Il fait froid. Pas un souffle de vent. Le sol commence enfin à sécher un peu.

Accrochées à mon bras, les filles nous entraînent vers la rivière. Nous longeons le cour d'eau. Estelle qui marche devant sur l'étroit sentier se retourne souvent pour me faire un bisou. Je fais pareil en me retournant. Des bisous à Clémentine. Nous arrivons au vieux lavoir. Estelle me prend la main, la glisse dans son anorak pour la poser sur le bas de son ventre. << Ça me soulage docteur Julien ! >> fait elle. Nous sommes appuyés contre le muret du bassin vide. Le silence.

Un léger voile de brume s'installe doucement sur la campagne. Là-bas, de l'autre côté de la route communale, les bâtiments du haras. << Si elle savait Juliette, le nombre de fois que nous sommes tout près d'elle ! >> lance Estelle en caressant ma main. Je suis entre mes deux anges accrochées à moi. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. << Le docteur Julien m'administrera t-il mon médicament aujourd'hui ? >> dit Estelle. Nous en rions tous les trois de bon cœur.

Je réponds : << Avec mon assistante, je m'occuperais de vos soins chère patiente ! >>. Les filles me couvrent le visage de bisous. Je les serre contre moi en les tenant par les épaules. Me voilà avec la bite à l'air. Toute molle. Le froid ne fait pas les supers héros de l'érection. Clémentine me la réchauffe dans sa main. Estelle se lève. Prenant appui de ses mains sur mes cuisses, elle s'accroupit entre mes jambes. << La posologie reste la même docteur ? >> demande t-elle.

Clémentine lui frotte mon sexe sur le visage. Tout autour de la bouche. Juste avant qu'Estelle ne se mette à téter doucement. << Pas plus de cinq gouttes ! >> lui chuchote Clémentine en se baissant. Je bande mou. Estelle se met à sucer avec passion. Elles se prennent toujours au jeu toutes les deux. Cela nous amuse. Quand elles commencent à sucer, difficile de cesser. La position inconfortable ne permet pas de faire durer. J'aide Estelle à se redresser. Je lui masse les genoux.

<< Vous êtes si bon praticien, docteur Julien, que je passerais mes journées dans votre cabinet ! >> lance Estelle en me montrant sa bouche ouverte. Je réponds : << Dites 33. Toussez. Oh ! Vous avez la langue bien chargée chère patiente ! >>. Clémentine rajoute : << Une langue chargée de jus de couilles ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Il est temps de prendre le chemin du retour. Il est 11 h50 quand nous sommes de retour. Clémentine s'occupe de la salade d'endives.

Estelle réchauffe la potée de légumes en mettant la table. Je fais rissoler trois filets de cabillaud blanc. J'y rajoute de l'échalote, de l'ail, du persil et de la ciboulette. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. Il est prévu de partir pour le sentier des collines. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous gardons les même fringues. Nous descendons les escaliers à toute vitesse. Dans le petit sac à dos, la thermos de thé bouillant, pommes et barres de céréales.

C'est un peu absurde de prendre la voiture, de faire 25 km alors que les journées sont si courtes. Mais nous avons trop envie de randonner dans ce cadre magnifique. Je roule toutefois doucement. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, Estelle caresse mes joues, mon cou. Nous fait part de son "bobo au ventre" et de ses seins douloureux. Il est à peine 13 h30 quand nous garons la voiture sur le parking du restaurant fermé. Il y a de nombreuses autos. Plein de promeneurs.

Nous chaussons nos grosses godasses. Je mets le petit sac sur le dos. C'est parti. Nous prenons l'étroit sentier qui monte sur la droite du restaurant. C'est tristounet un restaurant fermé un dimanche. << Vous allez voir, toute cette bande d'enculés va imposer un troisième emprisonnement de la population ! >> lance Estelle d'une voix forte. Elle ouvre la marche. Je tiens la main de Clémentine qui marche derrière moi. Avec la brume qui monte du lac, le site est de toute beauté.

Le sentier monte à flancs de collines. En bas nous devinons les eaux noires du lac caché sous la brume. C'est magnifique. Une atmosphère intemporelle, mystérieuse, magique et étrange. Nous croisons de nombreux marcheurs. Ma braguette ouverte ne se voit pas sous mon anorak fermé. Nous avons nos bonnets, nos gants et nos écharpes. Quelques arrêts à nous faire des bisous. A caresser le ventre d'Estelle que cela soulage. Il est 15 h quand nous arrivons aux ruines du château.

Il y a des échafaudages dressés contre tous les remparts. La rénovation de la forteresse avance à un rythme effréné. Le conseil général et le département mettent les bouchées doubles. Le site deviendra un haut lieu culturel et touristique. Avec salles de spectacles à ciel ouvert, restaurant, salon de thé et même un musée. L'accès à la cour est interdit. << Il est défendu d'interdire ! Ras le cul des interdictions. On vous emmerde ! >> fait Estelle en nous entraînant derrière les barrières.

Nous ne sommes pas les seuls à transgresser l'interdiction. D'autres gens veulent voir et savoir où va l'argent de leurs impôts. Les échafaudages sont impressionnants par leur hauteur. Il y a un plan du site actuel et une image de synthèse représentant le même site d'ici les travaux terminés. Estelle et Clémentine me tiennent par la main. Nous attirons quelques regards. Nos hautes tailles, nos différences d'âge. Suis-je le père ? L'amant ? L'ami ? Nous nous en amusons beaucoup.

Nous ne nous attardons pas. La crépuscule tombe vers 17 h. Même si nous avons nos lampes frontales, il est préférable de prendre le chemin du retour. Le sentier qui descend vers le lac. Nous redescendons dans la brume. C'est impressionnant. Avec le crépuscule tout autour de nous prend une dimension magique. Nous longeons les eaux sombres. A tout moment peur surgir la "Dame du lac", cette légende qui raconte qu'un chevalier est mort ici pour elle en 1260. Lors d'une bataille.

Il est 17 h45 lorsque nous revenons à la voiture. Il fait nuit noire. Il fait froid. De la vapeur sort de nos bouches quand nous parlons. Estelle éteint sa lampe frontale. Cessant ainsi de nous éblouir à chaque fois qu'elle se tourne vers nous. Je roule doucement. Estelle a tellement insisté qu'elle est assise au sol, entre les pieds de Clémentine. Elle me tient la queue. << Mon tube de potion guérissante ! >> fait elle. Nous en rions de bon cœur. Il y a quelques flocons qui tombent.

Il est 18 h30 quand nous sommes de retour. Morts de faim. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste potée de légumes. Il en reste pas mal. Estelle prépare une belle omelette aux trois fromages et aux champignons. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de ce dimanche. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent cette ambiance magique, les abords mystérieux du lac. Les fantômes qui doivent rôder là, la nuit, depuis l'éternité.

Par association d'idée, Estelle dit : << Au fait, en parlant de fantôme, celui de Christine semble être parti aux sports d'hiver ! >>. Depuis quelques jours, les manifestations surnaturelles ont cessé. << Oh non ! Elle aime trop la maison où elle a vécu avec Julien ! >> lance Clémentine. Je ne dis rien. J'écoute les filles. Elles connaissent toutes les deux chaque détail de ma vie passée. Même si elles aiment revenir sur des moments précis. Des situations déjà racontées des dizaines de fois.

La vaisselle. Nous passons au salon. Estelle se couche de tout son long sur le canapé. << Docteur Julien, j'ai bobo ! >> fait elle en massant ses seins et son ventre. Je m'assois à la hauteur de son visage pour le caresser délicatement. Je fais des bisous. Estelle saisit ma main pour la poser sur son sexe. Clémentine est assise au sol sur un des épais coussins. Elle me sort le Zob. Estelle me caresse le visage. Je sens son souffle chaud sur mes joues. Elle garde les yeux fermés.

Clémentine me tète délicatement. Je bande mou. J'ai mes mains posées sur les tous petits seins d'Estelle. Lorsqu'elle a ses règles, les bouts sont tous durs mais très douloureux. Avec ma bouche que je pose sur chacun d'eux, à travers le coton de sa chemise, je souffle de l'air bien chaud. << Mmhh, c'est bon docteur Julien ! >> fait Estelle en appréciant mon "traitement". Je bande dans la bouche de Clémentine. Je dis : << Mon assistante est entrain de préparer votre médicament chère patiente ! >>.

Clémentine cesse se sucer. Elle se redresse. << C'est prêt ! >> lance t-elle. Estelle se redresse pour s'installer confortablement. Je me lève. Clémentine derrière moi, agite ma bite en direction d'Estelle. Elle rapproche son visage. Clémentine lui frotte la queue sur la gueule. Estelle, les yeux fermés, en gémissant, présente chaque partie de sa frimousse. Elle ouvre la bouche pour gober mon sexe. Je bande à nouveau mou. Avec l'excitation, cet état provoque d'abondantes montées de liquide séminal.

Estelle pompe avec fougue. Elle prend son "traitement" avec ferveur. C'est beau une patiente qui suit la posologie médicale avec ardeur. Clémentine tient le "tube" à sa base, entre le pouce et l'index. Je me fais tailler une pipe des familles. Je retire régulièrement ma bite afin de laisser Estelle respirer normalement. En hiver nous avons tous le nez un peu bouché. Elle me tient par les hanches. Assise sur le bord du canapé. Je caresse sa tête délicatement. Je la regarde sucer passionnément.

Clémentine se frotte sur ma hanche, cambrée sur ses genoux fléchis à ma droite. Elle m'embrasse avec fougue. C'est tellement excitant que je peux sentir le foutre monter de mes couilles. Nous entendons le bruit "bulleux" dans la bouche d'Estelle. La coquine se régale en gémissant. En poussant de petits gloussements de plaisir. Elle savoure. Je retire ma queue toutes les deux trois minutes. Clémentine cesse de m'embrasser pour regarder les filaments de jute qui pendent.

De longs filaments de foutre qui relient ma queue aux lèvres d'Estelle. Elle nous montre l'intérieur de sa bouche. Comme Clémentine, Estelle aime savourer longuement le jus avant de l'avaler. Un jus tellement épais, gluant et visqueux qu'il est préférable de le dissoudre avec de la salive. Il descend mieux. Mes lombaires commencent à se rappeler à mon souvenir. La position debout, souvent cambrée pour offrir ma bite à la bonne hauteur, cause un début de douleurs. Cela m'incommode.

Je m'assois. Clémentine est à genoux sur l'épais coussin. Son visage tout près de celui d'Estelle qui s'est remise à pomper avec ferveur. Couchée sur le côté, à ma droite, elle peut sucer à son aise. Parfois, elle offre un peu de jus à Clémentine qui se précipite pour pomper. Nous sommes tous les trois en extase. Un concerto pour gémissements en joie majeure. Le final s'annonce grandiose. Mes deux flûtistes étant de véritables virtuoses. Des solistes de tout premier plan.

L'apothéose est un bouquet philharmonique. J'éjacule sans contrôler quoi que ce soit. Ce soir, Estelle n'est pas très partageuse. Elle suce au rythme de mes éjaculations. Trois redoutables saccades. Estelle en tousse. Il s'écoule du sperme sur mon jeans. Clémentine le suce, le lèche. Estelle ne lâche pas le "morceau". Prête à partir pour un second tour. Le "traitement" s'avère efficace. Il est 22 h30. Nous sommes épuisés. Nous montons. Au lit, Estelle s'endort contre moi. Clémentine suce à son tour.

Bonne randonnée à toutes les coquines un peu malades qui attendent le "traitement" de leur "docteur" et son médicament miracle...

Julien

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Clémentine, Estelle, Julie et moi

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par des rires étouffés, des murmures. Dès qu'elles me savent réveillé, les deux coquines se frottent contre moi. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche, imprimant un mouvement masturbatoire contre mes hanches. Je suis entre mes deux anges tel un bienheureux au paradis. << Bonjour docteur Julien ! >> murmure Estelle à mon oreille. << Bonjour mon amour ! >> murmure Clémentine. Pétri d'émotion, je les serre fort contre moi.

Il est presque 9 h. Dehors, des giboulées projettent des paquets d'eau contre les vitres. Il fait sombre. Je distribue des bisous. Estelle se lève d'un bond en disant : << Pipi ! >>. Clémentine passe sous la couette pour sucer mon érection matinale. Ce n'est pas vraiment agréable mais plutôt contraignant. Estelle revient, constate la bosse sous les couvertures. << Pipe du matin fait fuir le chagrin ! >> dit elle. << Pipe du soir, fait fuir le cafard ! >> répond Clémentine en revenant à la surface.

Estelle s'habille de ses vêtements de gym. << Venez vite, dans deux minutes on mange ! >> dit elle en se précipitant dans l'escalier. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Le lundi matin, il reste toujours de la brioche. Son odeur envoûtante se mêle à celles du café et du pain grillé. Estelle passe sa main entre mes cuisses. Nous sommes tous les trois vêtus de nos leggings noir. C'est très sexy.

<< J'ai encore un peu bobo docteur Julien ! >> me fait Estelle que je soulève pour la faire tourner. Je fais pareil à Clémentine. Elles me couvrent le visage de bisous. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit tout en riant. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles font le vague programme de la journée. Avec cette épouvantable météo, ce seront des occupations d'intérieur. Il faut se résigner.

Clémentine propose d'aller fouiller les malles et les coffres qui sont au grenier depuis des décennies. Moi-même je n'ai plus aucun souvenir de ce que tout cela contient. La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Pendant que nous courons sur les tapis roulants, Estelle pédale sur le vélo d'intérieur. Nous avons mis une vidéo de nos vacances en Ecosse. Nous permutons. Charges additionnelles, exercices au sol, abdominaux. Le tout en intensité maximale.

Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit et la chambre. Elle nous rejoint en sautillant. << Comme je suis heureuse ! >> s'écrie t-elle en nous faisant des bises. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Nous nous habillons toujours tous les trois pareils. Jeans, chemises à carreaux et baskets. Nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Estelle au salon. Elle est assise devant l'ordinateur. << Papa et maman vous embrassent ! >> lance t-elle.

Nous découvrons nos courriels. Ma famille d'Edimbourg et de Saint Andrews nous envoie des photos des fêtes de Noël. Juliette nous propose un repas samedi à midi. Julie nous confirme sa venue ce soir. Elle vient nous livrer les repas commandés. Nous répondons aux messages en joignant un selfie de nous trois. Les filles assises sur mes genoux. Elles surfent un peu sur le site de l'université. La formule des cours en ligne se poursuivra tout le second trimestre. L'ambiance de la fac leurs manque.

Je les laisse pour aller à l'une des portes fenêtres. Dehors la pluie ne cesse de tomber. Le vent souffle avec une violence proche de la tempête. Il y a déjà quelques petites branches cassées au sol. Clémentine vient me rejoindre. Serrée contre moi, nous regardons la campagne. D'ici on voit le parc qui jouxte le terrain de monsieur Bertrand, notre voisin le plus proche. Estelle vient nous rejoindre. Je suis entre mes deux anges. Nous observons silencieusement. Un peu d'introspection.

<< Je vais mieux. J'ai juste encore comme une congestion dans le bas ventre ! >> fait Estelle. Elle prend mon poignet pour poser ma main sur son sexe. << Demain, tout sera fini. Nous pourrons réaliser notre nouveau film jeudi ! >> rajoute t-elle. << Moi, j'ai déjà quelques idées ! >> lance Clémentine. Chacun est prié d'en garder le secret jusqu'au dernier moment. Ce jeu nous amuse et nous excite. Je caresse un peu l'entre jambes d'Estelle qui se cambre pour m'offrir le meilleur accès.

Nous restons ainsi à regarder la pluie. Le gravillon au bas des marches est luisant d'eau. Il y a des nuées de corneilles qui volent d'arbre en arbre. C'est une ambiance plutôt sinistre. Clémentine nous entraîne dans l'atelier. Estelle veut y allumer un feu dans la cheminée. << C'est moi qui l'allume à la maison ! >> fait elle en froissant des feuilles de papier journaux. Clémentine est assise dans la chaise à bascule. Je suis derrière elle à lui caresser les épaules. Nous regardons Estelle craquer l'allumette.

Il fait sombre. C'est crépusculaire. Des paquets de pluie sont pulvérisés contre les deux grandes baies vitrées. Le double vitrage rend tout cela insonore. D'ici, on voit jusqu'aux champs, jusqu'à la forêt. Estelle s'assoit en tailleur aux pieds de Clémentine. Je m'installe sur un des épais coussins. Les filles évoquent leurs études. Le programme qui les attend pour le second trimestre. J'écoute les stratégies qu'elles élaborent déjà en fonction des circonstances. Des travaux qui les attendent.

Je feuillette un album photos. Il est 11 h50 quand nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Je pane trois filets de colin. D'abord trempés dans l'œuf, puis dans le mélange chapelure Parmesan. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent la venue de Julie ce soir. Elle livre le repas que nous prendrons tous les quatre. Des réjouissances en perspective.

<< Tu nous fais ton vicieux. Je veux te voir à l'œuvre. Je te surveille. S'il se passe quoi que ce soit avec Julie, je t'arrache les couilles ! >> lance Estelle. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Elles miment une fellation en bavant de la mousse. Des bosses à l'intérieur de leurs joues avec les brosses. Nous nous rinçons la bouche. Je demande : << Vous avez sucé qui cette fois les coquines ? >>.

<< Docteur Julien ! >> s'écrie Estelle en se serrant dans mes bras. << Un inconnu dans les toilettes publiques ! >> lance Clémentine qui vient se frotter contre ma hanche. << On monte au grenier ? >> rajoute t-elle en m'entraînant par la main. Pour me soustraire à l'étreinte d'Estelle. Nous montons l'escalier de bois. L'odeur de grenier. Nous montons ici très rarement. Comme tous les greniers de grandes bâtisses anciennes, la charpente est une œuvre d'art. On entend la pluie sur les tuiles.

Je dis à Estelle : << Tu te rappelles ? C'est ici qu'on a tourné notre premier film porno. Tu étais attachée entre les deux piliers. Tu m'as même pissé sur le plancher ! >>. Estelle répond : << Oh oui ! Je regarde parfois ce film avant de me coucher ! Très branlatoire ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine rajoute : << Et la tâche de pisse est toujours apparente au plafond de la salle d'entraînement ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle glisse sa main dans ma braguette.

J'ai rapidement la bite et les couilles à l'air. Des couilles rendues bien dodues par l'étroitesse de l'ouverture. << J'aime quand ça fait "garrot" ! >> dit Estelle en soupesant les roubignoles. Clémentine ouvre la grande malle en osier. C'est là-dedans qu'elle a trouvé les boules et les guirlandes. Il y a une crèche, des santons dans une boîte. << Oh, le petit Jésus ! >> fait Estelle en pinçant le bout de mon sexe. La peau fripée du prépuce. Elle me lâche pour s'accroupir aux côtés de Clémentine.

Nous allons au vieux buffet vermoulu. << Il faudra le retaper ! >> fait Clémentine en s'accroupissant pour ouvrir les portes du bas. De vieilles boîtes en fer. Banania, Knorr et autres. << Ça date des années trente ! Sûre ! >> dit Clémentine. Je n'ai jamais ouvert ces boîtes. Déjà avec Christine, mon ancienne compagne décédée, nous nous étions promis de faire un jour l'inventaire de toutes ces vieilleries. Je n'ai pas la fibre brocanteur ou antiquaire. Par contre Clémentine adore fouiller les vieux trucs.

Les filles se prennent au jeu. C'est adorable de les voir toutes les deux s'extasier devant de vieux trucs inutiles. << Je suis sûre qu'il y a un trésor caché. Tu as un ancêtre écossais qui devait être corsaire ! >> lance Estelle. Elle précise cela en ouvrant une grande boîte en bois. << Mais oui ! Des papiers de famille ! >> lance Clémentine. Ce sont des bulletins scolaires de mes arrières grand-parents. Des actes notariés. Des documents incroyables qui mériteraient d'êtres étudiés, compulsés.

Nous passons l'après-midi a découvrir quantité de choses que j'ignorais posséder ici. Par les étroites fenêtres rondes en "œil de bœuf" nous voyons la nuit succéder à un bref crépuscule. Estelle n'a pas arrêté de me tripoter la bite et les couilles. Suçotant même quelques instants à chaque occasions. << On va êtres obligés de prendre une seconde douche avec toute la poussière remuée ! >> lance Estelle. Il suffit de s'épousseter un peu. De nous brosser les cheveux. Nous redescendons.

Il est 18 h30. Nous voilà au salon. Nous y dressons la table. Les assiettes en grès, les couverts en laiton. Le tout bien rangé sur le chemin de table en lin écru. << J'ai plus tu tout bobo! >> fait Estelle en prenant ma main pour la poser sur sa braguette. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Estelle me sort la queue. << Il faut accueillir les jeune filles comme il se doit ! >> me fait elle. Julie arrive dans le salon. Elle a son merveilleux sourire. Elle porte ses lunettes d'étudiante.

De son petit sac à dos en cuir, elle tire le flacon de gel hydroalcoolique. Tous les quatre, en riant, nous nous frottons les mains. C'est bien inutile mais tellement drôle. Julie est vêtue de son jeans, d'un pull noir et de ses bottines. Elle ne mesure qu'un mètre soixante dix. Elle est toute petite entre Estelle, Clémentine et leurs mètres quatre vingt un. C'est charmant. Elle insiste pour déballer les plats commandés. Sept tourtes aux fruits de mer dont nous raffolons. Avec des salades, avocats, carottes, salicornes.

Nous mangeons de bon appétit. Julie nous raconte ses livraisons à midi et en soirée. Seules manières de faire fonctionner le restaurant de sa tante. A l'évocation du vieil exhibitionniste, du branleur derrière la vitre de sa porte ou du masturbateur derrière les haies de son jardin, Estelle se lève pour mimer une branlette masculine. Sous le regard consterné de Julie. J'ai la bite à l'air. Je me lève souvent pour agiter ma queue devant le trio de merveilleuses salopes qui compose cette soirée.

Estelle raconte notre projet de film porno. Ce film que nous allons tourner le soir du 31 décembre. Immortaliser un réveillon bien vicelard. << Tu veux te joindre à nous ? Tu n'es pas obligée de participer ! >> fait elle à Julie. Julie qui ne peut cacher sa joie d'être invitée. Avec le couvre-feu à 20 h, elle avait prévu de passer le soir du 31 avec ses parents. Clémentine lui lance : << Tu t'occupes des caméras. Tu sais filmer ? >>. Julie hésite un instant avant de s'écrier : << Oui ! J'aime ! >>.

<< Affaire conclue ! Tu passes la nuit ici, on te prépare un bon lit ! >> rajoute encore Estelle qui prend toutes les initiatives. Nous en rions de bon cœur. << Rassure toi, tu n'es pas obligée de participer ! >> rajoute Clémentine. Il n'est évidemment pas question de mêler Julie à nos extravagances sexuelles. Elle semble toutefois réjouie par cette soirée unique et exceptionnelle. Nous traînons à table. Les filles se racontent leurs petites histoires. Les rencontres et les expériences passées.

Julie semble complètement consternée par les anecdotes d'Estelle et de Clémentine. Tous les vicelards croisés au hasard de nos "expéditions". Des aventures exhibitionnistes de Clémentine. C'est la première fois que nous voyons Julie se trémousser discrètement sur sa chaise. Visiblement passionnée par ces récits épiques et excitants. Nous faisons la vaisselle. Il est 22 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Sous des giboulées qui nous trempent en quelques instants.

Rendez-vous est pris pour le 31 décembre. Julie viendra nous rejoindre jeudi vers 15 h avec des vêtements. Estelle et Clémentine veulent "l'habiller" pour la soirée. Des jeux de filles qui ne sont pas sans nous réjouir. Nous rentrons. Il faut quitter les habits mouillés. Nous en rions de bon cœur. Au lit, Estelle me suce comme une assoiffée. Je lèche et je suce Clémentine qui m'offre une chatte exquise. J'éjacule dans la bouche à Estelle en même temps que jouit Clémentine. Estelle s'endort en gémissant.

Bonnes journées de vacances à toutes les coquines qui préparent un réveillon du 31 décembre qui s'annonce torride et vicelard...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1384 -



Nous passons tellement de bon temps

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon profond sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans mon cou. Elle émet une sorte de roucoulement en dormant encore. Toute la nuit est est restée accrochée à moi. C'est insensé de douceur. J'ai toujours peur de bouger. Elle sait quand je ne dors plus. Clémentine se réveille à son tour pour venir se serrer de la même façon. Je suis entre mes deux anges. C'est un enchantement paradisiaque. Il est presque neuf heures. Nous dormons profondément.

Distribution de bisous. << Comment faisons nous pour ne pas rester ensemble tout le temps ! >> s'écrie Estelle en se levant d'un bond. Elle se précipite aux toilettes. Clémentine me chuchote : << Nous passons tellement de bon temps ! >>. Estelle revient, met sa tenue de gym avant de descendre en disant : << Venez vite ! >>. Clémentine m'entraîne par la main pour aller pisser. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine.

L'odeur de café, de pain grillé et de la brioche aux amandes dont Estelle réchauffe les tranches au micro onde. << C'est la fête ! >> s'écrie t-elle en me sautant au cou. Ça aussi c'est devenu un nouveau rituel. Je soulève d'abord Estelle qui passe ses jambes autour de ma taille pour me couvrir le visage de bisous. Puis je fais pareil avec Clémentine. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.

Les filles mettent en place le programme des prochains jours. Pour ce 31 décembre, nous voulons que tout soit parfait. Il reste deux jours. La vaisselle. Dehors, la météo est sinistre. Il pleut. Tout est trempé. Mais il n'y a plus de vent. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Joggings sur tapis roulants, vélo d'intérieur, charges additionnelles, abdominaux et retour au calme avec le stretching. Estelle prend sa douche la première. Nous allons faire notre lit.

C'est à notre tour. Estelle descend. Nous nous habillons pour aller la rejoindre au salon où elle est installée devant l'ordinateur. Elle lit à haute voix les informations du site universitaire. Il y a le résultat de l'épreuve finale du premier trimestre. << C'est comme pour le bac, on est toutes les deux dans le peloton de tête ! >> lance t-elle. << Fais voir ! >> s'écrie Clémentine. Toutes les deux m'entraînent dans une farandole folle tout autour de la vaste pièce. En poussant des cris.

Elles sont tellement contentes toutes les deux. C'est magnifique. Assises sur mes genoux, nous découvrons nos mails. Ma famille écossaise nous écrit tous les jours. Nous répondons immédiatement. Nous échangeons des photos. C'est tellement difficile de ne pas se voir cette année. Et l'Ecosse vient de se reconfiner. Un message de Juliette qui renouvelle son invitation. Nous sommes invités samedi 2 janvier à midi. Nous nous promettons d'y réfléchir. Un courriel de Julie qui se réjouit.

Nous serons tous les quatre pour le réveillon. Julie, Estelle, Clémentine et moi. Un réveillons très particulier puisque nous réalisons notre seizième film porno. << J'ai plein d'idées ! >> lance Estelle. << Moi aussi ! >> fait Clémentine. Je ne dis rien. Les filles me regardent. Je dis : << Euh...Je vais sérieusement y penser ! >>. En fait, il m'est impossible de me projeter dans l'avenir avec la même facilité que mes deux anges. Et puis j'aime être surpris par leurs charmantes initiatives.

Il est presque onze heures. Mon smartphone se met à vibrer sur le bureau. Clémentine s'en saisit. << Ecolisas ! L'entreprise ! >> fait elle. Nous nous levons. Clémentine se précipite dans le hall pour ouvrir le portail depuis l'interphone. Il y a une voiture d'entreprise qui descend pour se garer à côté de la dépendance. Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons. Il y a un couple. Nous les rejoignons. C'est une femme charmante, blonde, un homme grand, presque de ma taille.

Ils se présentent. Il viennent découvrir les lieux. Ils portent leurs masques sanitaires. Nous gardons soigneusement la distance. Nous les emmenons dans la dépendance. Clémentine a déjà fait une simulation 3D sur l'ordinateur. Elle montre les clichés tirés sur l'imprimante. << C'est facile quand tout est déjà imaginé ! >> fait Mr Ledru, patron de l'entreprise Ecolisas. C'est Mme Ledru qui prend les notes. Elle seconde son mari. Secrétaire visiblement efficace. Nous montons à l'étage.

Mr Ledru explique rapidement les priorités : << Pour les toilettes et la salle de bain, il faudra créer une canalisation. Le tout à l'égout passe tout près. Il ne sera pas utile de faire une tranchée de 50 mètres. Tout est parfait pour entreprendre les travaux dans les toutes meilleures conditions. J'ai deux gars qui viendront emmener le matériel lundi matin ! >>. Nous faisons le tour de l'ancienne bâtisse. << Tout est "sain" ! >> lance plusieurs fois Mr Ledru. Il faudra également rénover le crépis extérieur.

Nous tombons d'accord sur les dates. Le chantier commence lundi 4 janvier dès 9 h du matin. D'après Mr Ledru, tout sera terminé pour la mi février au plus tard. << Il s'agit surtout d'un aménagement intérieur plutôt que d'une rénovation ! >> précise le patron de l'entreprise Ecolisas. Nous aurons le devis dès demain matin. << Vous savez, ce chantier tombe au bon moment. Nous allons nous rendre service mutuellement ! >> fait Mme Ledru en récupérant les images de synthèse que lui tend Clémentine.

Estelle, durant tout le temps de la visite, discrètement, me palpe la braguette. La coquine ne rate pas une occasion. Elle aime tant me mettre dans l'embarras. Nous raccompagnons le couple jusqu'à leur voiture. Nous les saluons. Mr Ledru viendra en personne demain matin vers 11 h pour nous remettre le devis et signer les documents. Nous rentrons vite nous mettre au sec. Clémentine qui aime bien étudier les dossiers à fond, me donne ses impressions. << Un homme sérieux ! >> dit elle.

<< Il faudra simplement penser à l'aspect juridique. Surtout établir une clause précisant les pénalités de retard. Avec les entreprises artisanales, c'est souvent une nécessité ! >> fait Clémentine. Nous l'écoutons souligner chaque point. Je suis admiratif. C'est comme si elle avait fait du droit toute sa vie. Quelle femme ! Estelle m'ouvre la braguette en disant : << Bon, maintenant passons aux choses sérieuses ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine nous entraîne devant l'ordinateur.

Elle nous fait voir les différents clauses inhérentes aux travaux de rénovation, d'isolation et d'aménagement. Je n'imaginais pas qu'il existe autant de lois, de contraintes et de possibilités. Nous n'avons pas besoin d'autorisation préfectorale. Les travaux n'engagent aucun changement de structure. C'est principalement un aménagement intérieur dans un espace privé. Clémentine m'explique absolument tout dans le moindre détail. Estelle me tripote le Zob dans mon slip. Nous écoutons.

La faim commence à se faire sentir. Il est midi passé. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle m'aide à couper, laver et cuire le poireau. J'étale deux tiers de la pâte feuilletée dans le plat à tarte. Estelle concocte une belle Béchamel pendant que j'égoutte le poireau. Nous faisons gonfler du riz complet. Dans la Béchamel, nous versons le poireau, le gruyère de Comté. Nous étalons le tout sur la pâte. Je recouvre du dernier tiers de pâte. Comme un couvercle.

Clémentine badigeonne le dessus avec le mélange œuf, huile d'olive et lait de soja. Au four. Ce sera notre repas de ce soir et de demain midi. La Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soirs est au four. Nous avons récupéré de la Béchamel en accompagnement du riz. Estelle y rajoute les crevettes qu'elle a fait rissoler. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Clémentine revient sur les travaux. Elle est contente que ce projet se réalise enfin bientôt.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles évoquent ce futur chantier. Il n'y aura aucune nuisance sonore. Ce qui est appréciable. Il y aura toutefois du bruit lorsque sera monté l'échafaudage. Mr Ledru nous a expliqué qu'il faudra sabler superficiellement l'ancien crépis afin que la nouvelle couche adhère parfaitement. La teinte est directement mélangée au ciment. Couleur ocre. Clémentine se réjouit de tout superviser.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle n'arrête pas de me toucher. De m'embrasser. Clémentine s'interpose souvent par jeu. Nous dévalons les escaliers pour rejoindre l'atelier. Estelle y allume un beau feu dans la cheminée. Clémentine m'entraîne devant son ordinateur. Une fois encore elle me montre les simulations. Une fois l'aménagement réalisé, ce sera un intérieur chaleureux. Un peu comme dans un chalet.

Estelle vient s'assoir sur mes genoux. Nous regardons et écoutons les explications de Clémentine. Nous la déclarons "Maître d'œuvre" des travaux à venir. Pour le financement c'est très simple. Un tiers au début des travaux, par virement bancaire, un tiers au milieu de la période. Le dernier tiers à la fin des opérations. << Julien ne connait pas les problèmes de budget ! >> lance Clémentine. Je précise : << Il faut bien que je dépense un peu de mon argent. Sinon c'est la banque qui l'utilise ! >>.

Nous en rions de bon cœur. L'aspect financier est toujours la dernière de mes préoccupations. Et puis Clémentine gère si bien tout cela que je peux entièrement me reposer sur son formidable dynamisme. Estelle me sort la queue. << Wouah ! J'aime quand elle jaillit comme ça, longue et molle ! >> fait elle en l'agitant sous le regard de Clémentine. Elle rajoute : << Demain, mes "petits machins" de fille seront terminés. Il me faudra les soins du docteur Julien. Révision complète ! >>.

Nous en rions de bon cœur. << En attendant, il faut que je prenne mon médicament ! >> fait elle encore en se mettant à quatre pattes pour passer sous la table. Clémentine, debout derrière moi, ses mains autour de mon cou, regarde Estelle sucer. Elle me murmure des douceurs à l'oreille. << Merci pour la vie merveilleuse que tu m'offres, Julien. Avec toi tout est tellement simple ! >>. Je lui caresse les mains en chuchotant : << J'aime tant la simplicité et ta présence ! Je t'aime ! >>.

Estelle glousse en écoutant nos échanges. Elle me taille une pipe des familles. Clémentine se met à quatre pattes pour rejoindre Estelle sous la table. Elles se refilent ma bite qu'elles pompent avec avidité. Je leurs caresse la tête. Je regarde l'intérieur qu'a créé Clémentine, là, sur l'écran de l'ordinateur. Grace à cette image d'une grande réalité, je découvre un endroit charmant. Quelle femme. La même qui est entrain de me pomper sous la table. Ce paradoxe me projette au comble de l'excitation.

Nous sommes tous les trois très semblables. Nous aimons rester excités toute la journée. Aussi, je retire ma queue de la bouche d'une des deux coquines pour me lever. << Ohhhh ! >> font elles en même temps depuis le dessous de la table. Je les aide à se redresser. Je leurs masse à toutes les deux les genoux. Nous passons l'après-midi à faire un peu de tri. Les filles classent quelques documents universitaires tirés sur l'ordinateur. Je réalise un nouveau dessin préparatoire. Une nature morte.

Estelle veut absolument y passer passer la couche d'impression. La coquine a repéré la procédure. Préparer l'acrylique Terre de Sienne, la diluer et appliquer les trois couches. Nous rions beaucoup des plaisanteries qui fusent. La nuit est tombée. Depuis quelques jours il n'y a plus aucune manifestation surnaturelle dans la maison. << Christine est partie aux sports d'hiver ! >> lance Estelle. En effet, le fantôme de mon ancienne compagne semble avoir déserté son ancienne demeure.

La faim se fait sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue déjà lavée à midi. Estelle réchauffe la tarte aux poireaux. Je dresse la table au salon où les filles viennent me rejoindre. << Docteur Julien, je dois prendre mon médoc ! >> lance Estelle en se mettant à genoux sur un des épais coussins. Clémentine m'entraîne devant Estelle. Elle sort ma queue pour la lui frotter sur le visage d'Estelle. Elle en gémit de plaisir, ouvrant sa bouche.

Je me fais à nouveau sucer. La sonnerie du four. J'aide Estelle à se redresser. Nous nous précipitons à la cuisine. C'est un repas savoureux que nous mangeons avec appétit. Nous traînons à table. Au programme du soir, je lèche et je suce Clémentine pendant qu'Estelle se débrouille pour me pomper le dard. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. A genoux, mon visage entre les cuisses de Clémentine, je bouffe une chatte délicieuse. Estelle, couchée entre le canapé et moi, suce de la bite.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient le sexe après un délicieux repas. Surtout le sexe juteux qui dégouline de partout...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1385 -



La veille du réveillon, les choses se préparent, se précisent...

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements que fait Estelle avec ses pieds. Ses "impatiences" précèdent son réveil. Elle est accrochée à moi toute la nuit. La naufragée à sa bouée. C'est adorable. J'ai appris à dormir ainsi depuis presque quatre ans. Elle sait que je suis conscient. Ma respiration change. Elle plonge sa main dans mon slip pour se saisir de mon érection matinale et naturelle. Son souffle chaud dans mon cou. Sa bouche ventouse.

Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Clémentine empoigne mes couilles. Elles rient en voyant mes réactions. << Pipi ! >> s'écrie soudain Estelle qui se lève d'un bond. Elle se précipite aux toilettes. Clémentine tient ma bite et mes couilles. Elle me branle en riant. Estelle revient, s'habille, nous fait une bise et descend l'escalier à toute vitesse. C'est à notre tour d'aller pisser. Nous mettons nos tenues de sport.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de brioche, de pain grillé et de café. Estelle se précipite dans mes bras en disant : << Mes "petits machins" de fille sont terminés ! >>. Je la soulève pour la faire tourner. Ses jambes autour de ma taille, elle me couvre le visage de bisous. Même traitement pour Clémentine. C'est un nouveau rituel et elle attend son tour. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en faisant le programme du jour.

Nous mangeons de bon appétit. Il est 8 h45. Nous traînons un peu à table. Assises sur mes genoux, les filles se réjouissent car le "réveillon porno" c'est demain soir. C'est ainsi que l'appelle Estelle. Le "réveillon porno". Nous en rions de bon cœur. Dehors, le ciel est voilé mais lumineux. Le sol est détrempé. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants. Quelques mouvements d'échauffement. Nous montons le chemin. C'est parti pour notre heure de jogging.

Nous courons sur la route pour éviter la boue. Nous passons devant le haras. Déjà des voitures. Nous arrivons aux panneaux indicateurs. Là, sur les bancs en bois, nous faisons nos "groupés maximum", ces exercices abdominaux que nous apprécions. Retour. Il est 10 h20 quand nous arrivons à la maison. Nous laissons le portail ouvert. Estelle prend sa douche la première. Nous faisons le lit et la chambre. C'est à notre tour. Nous nous habillons. Nous descendons rejoindre Estelle au salon.

Elle est assise devant l'ordinateur. Elle répond au courriel de ses parents. Nous découvrons les nôtres. Ma famille en Ecosse. Julie qui se languit de nous rejoindre demain soir. Nous répondons en joignant deux selfies pris à l'instant. Clémentine se lève pour aller guetter l'arrivée de l'entrepreneur. Elle est pressée de régler les dernières formalités. Nous avons déjà un mail de mon comptable. Ses conseils judicieux et avisés quand aux dernières précautions à prendre. Clémentine n'oublie rien.

<< Le voilà ! >> lance Clémentine. << Pile à l'heure ! >> rajoute Estelle. Clémentine sort pour faire l'accueil. C'est madame Ledru. Elle est seule. Elle porte un grand classeur. Elle traverse le jardin en restant sur les dalles de grès. Je vais l'accueillir à mon tour. Juste avant d'arriver au bas des marches du perron, elle met son masque sanitaire. << Mon mari a été appelé sur un chantier. Je viens pour les formalités ! >> nous fait la jeune femme. Une belle et grande blonde très classe.

Nous la faisons entrer au salon. Clémentine s'assoit au bureau en invitant Mme Ledru à s'installer en face. Estelle reste dans le fauteuil. Je suis debout à côté de Clémentine qui prend les choses en main. J'admire cet aplomb incroyable. C'est comme si elle avait fait ça toute sa vie. Comme une chef d'entreprise. Mme Ledru dépose les documents sur le bureau. Clémentine étudie soigneusement chacun d'eux en posant des questions. Tout semble parfait. Une entreprise sérieuse.

Mme Ledru semble surprise par tant d'éloquence de la part d'une jeune fille de 23 ans. Elle doit certainement prendre conscience de la nature de nos rapports. Non, cette interlocutrice assise devant elle, derrière ce bureau, n'est pas ma fille. Pas plus que ne l'est la jeune fille assise dans le fauteuil. Je signe les documents que me présente Clémentine. Le montant des travaux est bien inférieur à nos estimations. Clémentine récupère le relevé d'identité bancaire de l'entreprise.

Je procèderais au virement dès ce matin. Clémentine va d'ailleurs immédiatement sur le site de notre banque. La jeune femme, très détendue, nous explique le fonctionnement et la philosophie de l'entreprise créée il y a cinq ans avec son mari. Tout est basé sur les énergies renouvelables, le souci de la préservation de l'environnement. L'écologie à tous les niveaux. Il y aura deux employés en permanence sur le chantier. Son mari ou elle se déplacent régulièrement pour un contrôle qualité.

Nous avons constaté la qualité des prestations de l'entreprise "Ecolisas" au restaurant de l'étang, propriété de la tante à Julie. Nous savons le sérieux des travaux qui se préparent. Nous raccompagnons madame Ledru jusqu'à sa voiture. Pour bien confirmer ses impressions, Estelle et Clémentine me tiennent par le bras. Nous saluons la dame qui nous fait un magnifique sourire. Les yeux pétillants de malice. Voilà une affaire rondement mené. Je félicite Clémentine pour ses capacités d'organisation.

Morts de faim, nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe le reste de tarte aux poireaux en mettant la table. Je poêle six gros nems au crabes. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Le sujet de la conversation reste ce projet d'aménagement. Initialement, depuis le mois d'avril, le projet de Clémentine est devenu notre projet commun. Même Estelle s'y implique. Elle est confronté à l'administratif dans le bureau de l'entreprise familiale.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles en viennent à madame Ledru. << Tu la trouves comment ? >> me demande Estelle. Je réponds : << Je ne suis pas très "blonde", mais elle est drôlement sexy ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine fait : << En tous cas, elle a la confirmation de ce qu'elle supputait ! Tu as vu son regard quand elle est partie ? >>. Je confirme. Estelle rajoute : << Elle ne doit pas voir ça souvent ! >>.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle part dans une imitation de madame Ledru dont elle mime les manières et la façon de parler. Elle nous fait rire, debout sur le bidet à pontifier. Elle me saute dans les bras. Il est 13 h30. Nous descendons à toute vitesse. Nous mettons nos anoraks. C'est la météo idéale pour une bonne promenade. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine le sort de ma poche.

C'est le traiteur du bourg. Il viendra nous livrer demain en fin de matinée. Nous avons commandé le repas du réveillon et celui du lendemain. Un gros vacherin glacé pour mon anniversaire. Je suis né le premier de l'an. Estelle s'en amuse toujours en disant : << Merci Julien, grâce à ton anniversaire c'est un jour férié ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous remontons jusqu'à la route pour prendre le chemin forestier. Il est rocailleux et permet de marcher en partie au sec.

Estelle n'arrête pas de me toucher, de me tripoter. Le chemin est large, nous pouvons marcher à trois en nous tenant par la main. J'ai rapidement la bite à l'air. La fraîcheur est vive. Aussi, ma queue reste molle. << Je les préfère bien molles pour jouer avec ! >> fait encore Estelle en s'accroupissant devant moi. << Moi aussi, elles sont beaucoup plus juteuses ! >> rajoute Clémentine qui la tient pour la frotter sur le visage d'Estelle. Nous sortons de la forêt pour longer les prés déserts.

Aux roches nous faisons une pause pipi. Je tiens mes deux anges par leurs cheveux. Elles sont accroupies. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Je me penche. J'aime leurs enfoncer un doigt dans le cul pendant qu'elles pisses. Chez Clémentine, cela provoque un jet très puissant. Le jeans et la culotte sur les chevilles, malgré la fraîcheur, elles m'offrent leurs chattes à nettoyer. Mon visage entre leurs cuisses, je recueille les reliquats avec ma bouche. << Mmmhh ! >> gémit Estelle.

<< Fais moi goutter ! >> lance Estelle en m'embrassant. Je les torche soigneusement. Elles rient toujours de mes maladresses. Nous jouons à cache-cache dans le labyrinthe des roches. Celle qui me trouve, me suce une minute. Nous quittons pour prendre le chemin qui monte vers l'ancienne voie ferrée. Nous croisons deux couples de promeneurs. Une cavalière qui vient probablement du haras à Juliette. In extremis j'ai à chaque fois le temps de cacher mon sexe. C'est de justesse.

Nous aimons marquer une nouvelle pause dans le cabanon de jardin de la maison abandonnée. Nous sortons les gobelets et la thermos de thé bouillant du petit sac à dos. Ça fait du bien une boisson chaude avec une barre de céréales. Je me branle en écoutant les filles évoquer le projet de "réveillon porno". Elles se préparent chacun une surprise. Chacune se vêtira en secret de l'autre. Mais elle s'occuperont toutes les deux de vêtir Julie, de la maquiller, de la transformer. C'est exquis.

Estelle s'accroupit pour me sucer un peu pendant que Clémentine m'embrasse. Nous permutons. Tout cela se fait tellement naturellement depuis plus de trois ans de complicité. Impossible de se lasser. Nous reprenons notre balade. Nous arrivons aux Dolmens. Là, c'est moi qui retire mes gants pour glisser mes mains dans les culottes. C'est doux, c'est chaud, c'est plein de poils, c'est moite. J'ai l'envie folle de bouffer de la chatte. << Tu en auras autant que tu voudras ce soir ! >> fait Estelle.

Le crépuscule ne va pas tarder. La nuit tombe vite en hiver. Il est déjà 16 h45. Nous avons nos lampes frontales dans le sac que je porte. Estelle met la sienne autour de son bonnet. Nous prenons le sentier qui longe le ruisseau. Estelle ouvre la marche, sa lampe allumée. C'est la pleine lune. Le ciel est dégagé. C'est une nuit étoilée. Là-bas, à quelques centaines de mètres, les lumières des bâtiments du haras. Il y a de l'animation. Le personnel aux petits soins pour s'occuper des 87 chevaux en pension.

Nous arrivons sur l'étroite route départementale. Nous y restons pour marcher au sec. Il y a encore trois kilomètres où nous ne croisons aucun véhicule. Tout est silencieux. Nous bavardons en chuchotant. Comme si nous ne voulions pas déranger les habitants de la nuit. Ces animaux que nous entendons parfois. Les yeux luisants d'un félin qui traverse la route. Une chauve souris qui virevolte. Il est presque 19 h quand nous arrivons à la maison. Plutôt morts de faim et bien fourbus.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis. Je prépare un coulis d'aubergine. Estelle m'aide à éplucher l'ail, l'oignon, les champignons et à couper les tomates. J'émince un pavé de saumon que je fais revenir à la poêle. Clémentine râpe une tonne de Parmesan. J'égoutte les spaghettis. Nous savourons ce raps comme si c'était un festin de roi. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur le "réveillon porno".

Il y aura notre caméra, celle d'Estelle. Julie s'occupera de filmer nos égarements, nos déviances et nos exactions sexuelles. Nous nous réjouissons. << Il faudra faire le montage !. Cela sera le prétexte de la première soirée cinéma de l'année nouvelle ! >> lance Estelle. Elle rajoute : << J'ai même envie d'aller chercher le vieil ordi à papa pour faire le montage le lendemain ! >>. Nous en rions de bon cœur. C'est un ancien modèle MSI qui fonctionne sous Vista. Avec Windows Movie Maker.

Clémentine propose de préparer le lit pour Julie. Nous avons la chambre d'amis qui nous sert un peu de débarras. Il suffit de monter le lit à l'étage. De le disposer dans notre chambre. Ainsi Julie ne sera pas seule, avec sa peur des fantômes. Et cela respectera son intégrité et sa pudeur de jeune fille. Choses qu'il est important de préserver. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Elles retirent leurs jeans et leurs culottes qu'elles jettent n'importe où ! Nous en éclatons de rire.

Les voilà toutes les deux juste en chemises à carreaux et en chaussettes épaisses à faire les pitres debout sur le bureau. << Topless bar ! >> lance Estelle en relevant sa chemise pour me montrer ses seins minuscules. Elles se touchent toutes les deux en faisant des déhanchements lascifs. J'applaudis. Estelle me tend les bras. Je la descends la première pour aller la déposer dans le canapé. Je fais pareil avec Clémentine. Vautrées toutes les deux, elles m'offrent leurs vulves appétissantes.

A genoux sur un des épais coussins, le visage entre les cuisses d'Estelle je commence par savourer son sexe. Clémentine se masturbe, penchée, pour observer mes expressions. Je passe à son sexe. Quand je lèche leurs minous, mes deux anges stimulent leurs clitoris. C'est rapidement un concert de gémissements. J'aime regarder leurs visages étourdis de plaisir, de bonheur sans nom. Estelle m'attire sur elle. << Docteur Julien, il faut m'ausculter ! >> murmure t-elle en s'enfilant ma queue.

Je passe ainsi de l'une à l'autre avec attention. Je pratique la "machine à coudre". Enfoncé dans Estelle jusqu'aux couilles. Je reste immobile dans Clémentine. Ce soir c'est très agréable de sentir mes couilles balloter contre leurs fesses chaudes. Estelle connaît un orgasme foudroyant. Celui de Clémentine est plus pondéré. Pour éviter de pisser partout en jouissant, elle essaie de contrôler son orgasme. Nous montons. Rituels pisseux aux toilettes. Au lit, Estelle s'endort contre moi. Clémentine me raconte.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher la moule après un bon repas et des pitreries debout sur les meubles...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1386 -



Beaux nénés et meilleurs nœuds

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon profond sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans mon cou. Toute la nuit encore, elle est restée blottie tout contre moi. Se tournant en même temps que moi, épousant chacun de mes mouvements. Dans cette incroyable douceur. Dans une symbiose parfaite. Il y a quelque chose d'animal dans ce souffle chaud, cette haleine nocturne. Elle sait quand je ne dors plus. Elle glisse sa main dans mon slip en se blottissant encore plus fort. Elle tient mon érection.

Tout cela finit par réveiller Clémentine qui vient se serrer à son tour en gémissant. Je suis entre mes deux anges. Il est presque neuf heures. Dehors le ciel est gris. Menaçant. C'est la distribution des bisous, des douceurs. Clémentine tient mes couilles. Estelle tient ma bite. Elle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Elle trottine jusqu'aux toilettes à reculons en faisant des clowneries. Clémentine se blottie tout contre moi en me chuchotant les premières douceurs de la journée. << Je t'aime ! >>.

Estelle revient, nous fait une bise, se vêt de sa tenue de sport. Elle descend. C'est à notre tour d'aller aux WC. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de brioche, de pain grillé et de café. Rituel matinal. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle m'enserre la taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Traitement identique à Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons un peu à table. Assises sur mes genoux les filles évaluent les risques d'aller courir au dehors. Il ne pleut pas mais elle menace. Tant pis. Après la vaisselle nous prenons notre courage. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons dans la fraîcheur humide. C'est très désagréable. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous montons sur la route pour courir nos quatre kilomètres. Nous passons devant le haras. Déjà plusieurs voitures garées dans la cour. Des gens.

Nos abdominaux sur les bancs en bois aux panneaux indicateurs. Quelques gouttes de pluie. << On s'est fait avoir ! >> lance Estelle. << On va se faire saucer ! >> rajoute Clémentine. C'est sous le crachin que nous revenons pour 10 h30. Estelle prend sa douche la première. Nous faisons le lit et la chambre. Il faut passer la serpillère. En partant, pour aérer, nous avons laisser les deux fenêtres ouvertes. Les cons ! C'est à notre tour d'aller sous la douche. Nous nous habillons. Nous descendons.

Nous rejoignons Estelle au salon. Elle est assise au bureau, devant l'ordinateur. Il y a enfin le programme du second trimestre. Elles surfent toutes les deux sur le site universitaire. << Ils peuvent pas mettre toutes les informations au même endroit, ces nazes ! >> lance Clémentine. Nous découvrons nos courriels. Ceux de ma famille en Ecosse, celui de Julie et, surprise, un mail de Laurence, la jeune femme que nous avons souvent croisé au mois d'avril, le long de la rivière. Sympa.

Nous répondons en joignant deux selfies pris à l'instant. Les filles assises sur mes genoux, me tenant par les épaules. Il est 11 h15. Trois coups de sonnette. Nous avons laissé le portail ouvert. Clémentine se précipite. C'est monsieur Jean-Claude, le traiteur. Il vient nous livrer les plats commandés. Il ne pleut plus. Nous l'accompagnons jusqu'à sa fourgonnette. Ce sont de grands cartons contenant les plateaux. Il y en a six. Et un gros contenant le vacherin glacé. Paiement par carte.

Nous remercions Mr Jean-Claude. Il reconnaît Estelle. << J'ai livré vos parents ce matin ! >> lui dit il. Nous le saluons. Nous rentrons avec les "colis". Nous suivons les consignes de notre traiteur préféré. Le vacherin glacé au congélateur jusqu'à demain. Nous plaçons les cartons dans le réfrigérateur. Il faut d'abord ruser, faire de la place. C'est un peu le chantier dans le frigo. Nous nous amusons beaucoup. La faim commence à se faire sentir. Clémentine s'occupe de la salade.

Estelle fait gonfler du millet doré. Je prépare un coulis de courgette. Nous épluchons l'ail, l'échalote. Nous lavons et coupons les bolets. Trois filets de colin que je poêle en panure. Nous rions beaucoup. Estelle ne cesse de passer sa main entre mes cuisses par derrière. A la recherche de mes couilles qu'elle palpe. A chaque fois je dis : << Coquine ! >>. A chaque fois elle me fait un bisou sur la bouche. Nous dressons la table. Dehors, il se remet à pleuvoir. C'est moche.

<< Put-Hein d'année de merde qui s'achève par une météo de merde ! >> lance Clémentine. << On s'en fout, on est ensemble ! >> rétorque Estelle qui nous entraîne dans une farandole endiablée dans toute la vaste cuisine. Nous poussons des cris de singes en faisant les pitres. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons longuement à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, les filles font le rapide programme de l'après-midi.

C'est flou. C'est vague. Rien ne presse. Nous n'avons aucun souci qui flotte dans les airs. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Les filles miment des fellations juteuses avec leurs brosses. Je glisse mes mains dans les culottes. Toutes les deux déboutonnent leurs jeans pour me permettre un bon accès par derrière. Je fouille un peu entre les raies des fesses. C'est moite, plein de poils et ça me donne envie de lécher.

Les filles m'entraînent dans la chambre. << Ce soir, on te veut en "Mousquetaire" ! >> me fait Estelle en sortant mon pantalon en cuir noir de l'armoire. Ma chemise à jabot aux manches bouffantes. Du bas du placard, elle sort mes cuissardes de cuir noir. << Nous, on se fait une surprise mutuelle ! >> dit Clémentine. Elles ont toutefois décidé de se changer pour l'après-midi. Elles mettent toutes les deux un leggings noir de gym. Extrêmement moulant. << Mets le tiens aussi ! >> lance Estelle.

Nous voilà tous les trois vêtus pareil. Nos leggings noirs en lycra, nos sweats noirs de coton fin. Nos baskets. Nous prenons la pose devant le miroir. << On est hyper sexy tous les trois ! >> lance Clémentine. C'est vrai que nos silhouettes élancées, athlétiques, sont encore sublimées par cette tenue. << Et puis, on a tout le temps envie de glisser les mains partout ! C'est trop tentant ! >> fait encore Estelle en passant sa main entre mes cuisses. Je les tiens toutes les deux par la taille.

Nous nous tournons pour nous contempler de dos. Pour nous contempler de profil. Nous admirons nos physiques avantageux. << On se compare les tablettes de chocolat ! >> lance Estelle en relevant son T-shirt. Nous avons tous les trois des abdominaux saillants. Je m'entraîne depuis plus de trente ans. Les filles depuis plus de dix ans. << Les résultats sont là ! >> fait encore Estelle en palpant la bosse que fait mon sexe dans mon slip. Sous mon collant. Nous prenons des poses de culturistes.

<< Arnoldette Schwarzenegresse ! >> lance Clémentine. << Sylvestresse Stalonette ! >> rajoute Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Je dis : << Docteur Van Damme comme le pain d'épice ! >>. Les filles se pendent à mon cou en riant. Nous sommes tellement heureux que nous en oublions l'heure. Il est déjà 14 h. La musique imbécile de mon téléphone que Clémentine trimballe partout aux périodes de fêtes. Il est posé sur le lit. Elle s'en saisit. << Julie ! >> s'écrie t-elle.

Nous dévalons les escaliers pour aller lui ouvrir. La pauvre est devant la porte, sous l'auvent depuis cinq minutes. On pouvait pas entendre sonner depuis en haut. Elle nous voit dans nos tenues. << Vous faites votre gym à cette heure ci ? >> lance t-elle toute contente de nous voir. Elle a un grand sac de sport. Ses vêtements de change. De la poche de son anorak, elle tire le flacon de gel hydroalcoolique. << Ah non ! Tu remets ça ! >> lui lance Estelle. Nous tendons nos mains.

Nous nous les frottons en riant. Nous jouons le jeu. Ni Julie ni nous ne sommes en contact avec qui que ce soit. Julie fait ses livraisons de repas en gardant la distanciation, en portant son masque sanitaire et en se désinfectant les mains. Ni elle, ni nous, ne croyons un seul instant à toute cette propagande méphitique. Ce qui ne nous dispense pas d'observer une grande prudence. Clémentine invite Julie à monter ses affaires à l'étage. Estelle et moi nous préparons le lit de Julie.

Notre chambre à coucher est grande. Il y a notre lit. Mais il y a un canapé "clic-clac" recouvert d'un plaid et de quantité de coussins. Les peluches à Clémentine. Bunny Boy, le lapin fétiche en peluche, tout sale, à Estelle. Elle l'emmène partout depuis qu'elle a quatre ans. Ça fait donc 19 ans que ce petit lapin suit toutes ses pérégrinations. Julie, cachée derrière le paravent se change. Sa pudeur de jeune fille. Clémentine se couche sur le canapé en position lit. << Confortable ! >> dit elle.

Nous nous allongeons tous les trois pour constater. Nous aimons les matelas biens durs. Les nôtres sont garnis de crin de cheval. La meilleur formule pour un confort maximal. Nous nous levons en faisant une ronde. Julie, amusée par nos attitudes, teste son futur lit. Elle va passer la nuit et la journée de demain avec nous. << Tu peux rester autant que tu veux ! Personne ne t'attend ! >> lui fait Clémentine. << C'est vrai ! Je ne reprends mes livraisons que samedi à midi ! >> répond Julie.

Elle a revêtu un pantalon à plis noir. Ça lui va bien. Très classe. Julie aussi a un corps sculptural. Nous le constatons lorsque nous allons manger au restaurant. Quand elle exerce dans sa tenue de serveuse. Petite jupette noire, collants noirs, chemisier blanc et fin tablier de dentelles blanches. << Tu t'habilles en serveuse pour nous un de ces jours ? >> demande Estelle. << J'ai ma tenue dans le sac si tu veux ! >> répond Julie. << Demain, spécialement pour nous ! >> propose Clémentine.

<< Je fais le service alors ! >> s'écrie Julie. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle nous entraîne dans une ronde. Tous les quatre nous faisons les pitres. Un french cancan endiablé en improvisant de stupides paroles de chansons. Estelle lance une courte phrase absurde que nous reprenons en cœur. Nous descendons. Julie, tout comme Estelle et Clémentine adore l'atelier. Nous y allons direct. Estelle allume un beau feu dans la cheminée. Julie mâte la grosse bosse dans mon leggings.

En effet, un collant de sport noir et moulant, attire l'attention sur les attributs masculins. Tout comme les collants de sport que portent Estelle et Clémentine. Elles ne portent pas de culottes la dessous. Toutes leurs formes les plus intimes sont suggérées, magnifiées. Julie n'a d'ailleurs de yeux que pour nos sexes. J'aime surprendre ses regards à la dérobée. Elle se fait surprendre tant par moi, que par Estelle ou encore par Clémentine. Julie regarde mes toiles déjà peintes. Il y en a sept.

Estelle est collée contre moi. Clémentine est assise dans la chaise à bascule. Nous nous sourions en observant les réactions de Julie. << C'est le premier 31 décembre où je me sens aussi bien ! >> lance Julie. Estelle me lâche pour aller prendre Julie par le bras. << Raconte nous tes autres soirs de réveillon. << Oh, je me suis tellement ennuyée jusqu'à ce que je commence à faire la serveuse dans le restaurant de ma tante ! >> répond Julie. Elle a commencé il y a quatre ans, quand elle avait 16 ans.

<< C'est là que tu as commencé à faire ta voyeuse dans les toilettes des messieurs ? >> lui demande Estelle. Julie éclate de rire en disant : << Non, j'ai commencé bien avant ! >>. Nous sommes pliés de rire. Julie nous a déjà narré ses frasques. Estelle lui raconte les siennes. Elles sont toutes les deux d'authentiques voyeuses. Des "regardeuses" comme dit Estelle. << J'avais 13 ans la première fois ! Dans les vestiaires de la piscine ! >> lance Estelle. << Moi aussi, 13 ans ! >> fait Julie.

<< Moi aussi ! >> dit Clémentine. Elles se racontent les circonstances, les détails et leurs premiers émois. J'écoute ravi, en silence. Ces histoires me font bander. Julie mâte d'ailleurs l'énorme bosse qui déforme mon leggings. Nous passons une bonne partie de l'après-midi ainsi. Je prépare du thé du jasmin, des petits gâteaux secs. << J'en ai ramené de ma mamie ! >> fait Julie. << Demain ! >> dit Estelle. << Viens, on monte se maquiller toutes les trois ! >> fait Clémentine à Julie.

Ni l'une ni l'autre ne se maquillent jamais. A quoi bon quand la nature vous a doté d'une beauté naturelle. Comme le dit Clémentine : << Rajouter des couleurs à l'arc-en-ciel illumine toutes choses d'une lumière nouvelle ! >>. Moi, je me propose de faire la mise en place du salon. Tout préparer pour les festivités de ce soir. << Non, viens avec ! >> me lance Clémentine. Je réponds : << Il faut bien que je m'occupe. Montez vous amuser entre filles ! Vous me raconterez ! >>. Elles filent toutes les trois.

J'étale le chemin de table en lin écru. Je le place au millimètre. La table monastère en prend un caractère médiéval. Je rajoute deux grosses bougies sur le second chandelier. Il est déjà 17 h30. La nuit est tombée. Parfois, depuis l'étage, me parviennent des éclats de rire. C'est merveilleux. Que serait cette grande demeure sans la vie qu'y apportent ces merveilleuses jeunes filles. J'en ai les larmes. Je suis pétri d'émotion. A l'idée que tout cela cesse un jour, je suis couvert d'un frisson. J'ai soudain froid.

Je place les assiettes en grès. Je dispose les couverts en laiton. Les verres ballons. La carafe. Je mets les différentes petites bouteilles de jus de fruits. Pas d'alcool chez nous. Il y a du jus de mangue, de kiwis, de papaye, d'orange ou encore de litchi. J'essaie de faire des nœuds savants dans les serviettes. Comme me l'a appris Clémentine. Je suis nul. Ça ressemble à un vieux mouchoir froissé. J'entends les rires dans l'escalier puis dans le corridor. Mais quelle surprise. C'est absolument fantastique.

Clémentine est maquillée avec finesse. Comme elle est belle. Une poupée. Je l'ai déjà vu ainsi. Mais à chaque fois c'est une émotion "artistique". Estelle a forcé sur l'ensemble. << Je me suis mise en "pute". Je veux être ta "pute" ce soir ! >> me dit elle. Je regarde ses faux cils, ses paupières colorées, ses paillettes dorées. C'est absolument exquis. Julie est carrément une autre. C'est encore plus flagrant. C'est fou ce qu'un maquillage peut changer une physionomie. Bouleversant parfois.

Elles tournent autour de moi. Elles défilent comme des mannequins. En imitant le déhanchement de quelques stars montant les escaliers au festival de Canne. Je les félicite. J'applaudis. J'insiste pour photographier chacune. Je prends le bon appareil dans le bureau. Elles posent pour moi. Prenant des expressions différentes à chaque fois. Ces visages que je connais pourtant si bien me paraissent soudain appartenir à des inconnues. Je suis sous le charme. Je suis sous l'emprise d'une séduction folle.

Je bande comme le dernier des salauds. Je ne sais plus quoi faire de mon corps, de mes mains. En même temps que cela m'excite, cela m'inspire un profond respect. Comme devant une toile de Vermeer, je connais là une "commotion". Je dois m'assoir pour ne pas vaciller. Conscientes de l'effet qu'elles produisent Estelle et Clémentine en rajoutent. Julie reste timidement en retrait. Comme gênée d'être aussi belle, de provoquer cet effet. J'ai pris une dizaine de clichés de chacune.

<< Regarde comme il bande, le "docteur Julien" ! >> fait Estelle à l'attention de Julie. << Vérifions l'authenticité de la "chose" ! >> rajoute Clémentine qui vient me palper. Julie nous observe avec un sourire timide. Je félicite mes trois anges pour leurs transformations. << C'est Estelle qui nous a coloré ! >> lance Clémentine. Je les entraîne toutes les trois devant la porte miroir de la grande bibliothèque. Elles s'observent silencieusement. Je dis : << Prenez bien conscience de vos potentiels ! >>.

Je rajoute : << Il y a peut-être de nouvelles stars de cinéma en devenir ! >>. Estelle s'écrie : << Ah non ! Pas ça ! Moi, je veux devenir Maître de Conférence, rien d'autre ! >>. Clémentine rajoute : << Moi pareil, rien à foutre du cinéma ! >>. Julie rajoute timidement : << Et si moi je peux simplement devenir professeur de littérature en faculté, c'est déjà super bien ! >>. Nous en rions tous les trois de bon cœur. Estelle ne cesse de palper ma bosse. Sous les regards discrets de Julie.

Il est presque 19 h. La faim commence à se faire sentir. Clémentine m'entraîne par la main pour me soustraire aux tripotages insistants d'Estelle. Nous préparons les plats que nous sortons du réfrigérateur. Ce sont des plateaux de fruits de mer. Il y a de tout, des huitres, des moules farcies, des crevettes grillées, des queues de langoustines fumées. Des salicornes. De petits beignets de crabes. De minuscules tourtes à la pâte feuilletée contenant d'autres crustacés en sauces. D'une finesse inouïe.

Nous emmenons les plats au salon. Les filles me félicitent pour la préparation. Les plats pourrons se mettre à température ambiante. Les deux chandeliers sont disposés de façon à éclairer cette partie de la grande pièce. Clémentine fixe la première caméra sur son trépieds. Estelle fait de même avec la sienne. L'une filme en 4K l'autre en 1080hp. Dans les deux cas de la très haute résolution. Elles font des essais. Julie observe consciencieusement. C'est elle qui sera chargée de filmer la soirée porno.

Clémentine m'accompagne à l'étage. Je suis le premier à me changer. Chacune des filles prépare une surprise vestimentaire aux autres protagonistes. Me voilà vêtu en "mousquetaire". Ma chemise blanche à jabot et aux manches bouffantes. Clémentine me la fait "blouser" dans mon pantalon de cuir noir et moulant. Je mets les cuissardes. << Superbe ! Tu m'excites comme ça, si tu savais ! >> me fait Clémentine en m'entraînant devant le miroir. Mes long cheveux en catogan.

Nous redescendons. << Super ! >> me fait Julie. Elle prend du recul pour me regarder. Elle rajoute : << C'est vraiment génial ! Vous avez le physique ! >>. Estelle vient se lover contre moi. << Je t'adore en "mousquetaire" ! >> fait elle. Nous passons à table. Nous savourons cet exquis repas de fête avec toute la délicatesse qu'il mérite. Chaque bouchée est meilleure que la précédente. Nous traînons à table longuement. Il est 21 h30 quand Estelle lance : << Si on passait à la phase suivante ? >>.

Pendant que je débarrasse avec Julie et Clémentine, Estelle monte se changer. Ce soir, nous faisons la vaisselle dans la machine. C'est au tour de Julie de monter. Chacune restera cachée jusqu'au signal d'Estelle. Clémentine se serre contre moi. << Je t'aime Julien, je suis tellement heureuse avec toi. Si tu savais ! >> me chuchote t-elle. C'est à son tour de monter se changer. Je passe au salon. Je vérifie que tout soit nickel. Plus une miette sur la table débarrassée. C'est le silence total.

Le réveillon porno

Quelle surprise. Julie entre dans le salon. Je l'ai entendu hésiter longuement avant d'apparaître. Je ne distingue pas encore bien le costume qu'elle s'est choisit pour cette soirée. Elle entre dans la lumière des deux grosses bougies. Le chandelier étant posé en bout de table. Je retiens ma respiration. Je veux être tout entier à cette apparition. Qu'elle est merveilleuse dans sa tenue de jeune lycéenne. Ça lui va tellement bien. Elle ne paraît pas bien plus âgée ainsi vêtue.

Une jupe plissée bleue nuit. Un pull de fin coton sur un chemisier blanc. Ce sont les chaussettes bleues marine qu'elle porte et ses mocassins noir qui parachèvent cet accoutrement de jeune fille nubile. Je n'aurai jamais imaginé être aussi ému qu'à la vue de cette vêture. Elle se tourne. Décidément, le bon gout fait partie de ses choix. Elle porte un cartable sur son dos. C'est l'uniforme d'une collégienne d'un autre temps. Peut-être caricatural. Elle tourne plusieurs fois sur elle même en avançant.

Je ne dis rien. Je suis obligé de m'assoir sur la chaise à bascule entre l'horloge Westminster et la bibliothèque. Julie m'observe par en dessous. Terriblement intimidée par mon sérieux. Elle s'accroupit. Ses genoux serrés l'un contre l'autre. Pudique et réservée. Ses longs cheveux pendent sur son visage. Je ne le vois plus. Un bruit dans le corridor. Des talons qui résonnent sur le carrelage. Julie relève la tête. Je n'ai de yeux que pour elle. Curieusement mon admiration n'a strictement rien de sexuel.

C'est Estelle qui entre à son tour dans le salon. Elle porte une jupe légère, beige, qui s'évase lorsqu'elle marche. Un chemisier crème. Un ceinturon noir. Des souliers marrons à talons hauts. Elle aussi tourne sur elle-même pour voir l'effet que sa tenue exerce sur mes sens. Estelle découvre la tenue "surprise" de Julie. Elle marque un temps d'arrêt. Probablement aussi étonnée que moi par le choix de notre amie. Julie se redresse. Un peu gênée et intimidée par la présence d'Estelle.

Il est flagrant que Julie manque encore de confiance en elle. Un bruit de pas dans le corridor. C'est Clémentine. Quelle nouvelle étonnement. Elle est vêtue d'un pantalon noir à plis et à pinces. Un chemisier blanc. Des souliers noirs, pointus, à talons hauts. Estelle et Clémentine sont grandes. Ces vêtements les affinent et leurs donnent une silhouette tout en hauteur. Julie semble toute petite à côté. La surprise de Clémentine est évidente. Elle regarde Julie avec admiration. Le silence.

Je reste silencieux. Je suis pétri d'émotion. Clémentine allume les deux autres bougies rajoutées au chandelier. C'est là qu'apparait ce détail étrange. Elle porte une sorte de sangle de cuir fixée à sa ceinture. Cette sangle lui passe entre les cuisses, enserrant probablement son sexe. Ce détail m'excite au plus haut point. Clémentine tourne autour du bureau, de la grande table, puis du guéridon. Estelle avance doucement dans le sens contraire. Elles se croisent, silencieuses, très droites et fières.

J'observe les attitudes de Julie. Elle aussi n'a de yeux que pour ces deux superbes filles. Elle est amoureuse de Clémentine. Ce soir elle l'est sans doute tout autant d'Estelle. Julie s'installe sur l'accoudoir du fauteuil. Elle fait incroyablement gamine dans son accoutrement de collégienne. Clémentine lui fait signe de la rejoindre en agitant son index. Elle l'entraîne par la main derrière la première caméra. A côté du bureau. Elle pointe son index pour montrer le petit écran ouvert.

Puis elle l'entraîne derrière la seconde caméra pour faire la même chose. Enfin Clémentine brise le silence lourd et oppressant. << Il te faudra aller d'une caméra à l'autre en fonction de ce qui se passe ! >> dit elle. Julie secoue la tête positivement. Toute timide. Nul doute que ce qu'elle vit là doit la mettre dans un état de trouble inconnu. Estelle, que tout cela amuse, observe malicieusement. Elle me fait un clin d'œil en mimant une masturbation masculine. Je bande comme un salaud.

Une érection sérieusement contrariée par l'étroitesse de mon pantalon de cuir noir. J'ai une méga bosse. C'est presque douloureux. Je surprends le regard de Julie sur ma braguette. Elle semble inquiète. Je lui fais un sourire que je veux le plus rassurant possible. Clémentine l'a prend par les épaules pour lui demander : << Prête ? >>. Julie ne peut tout simplement pas répondre. Elle secoue sa tête de haut en bas. Son état de trouble devient embarras profond. C'est adorable. Charmant.

Clémentine rajoute : << On va s'y mettre ! >>. Estelle, une main sous sa jupe, très excitée par l'ambiance torride, se touche. Julie a un sursaut en découvrant ce que fait Estelle. Je distingue nettement un frisson agiter tout son corps. Je me lève. Je viens me mettre debout au milieu de la pièce. Les mains sur les hanches. Clémentine entraîne Julie derrière la première caméra. Julie comprend immédiatement. << Moteur ! >> fait Clémentine en allumant la caméra. Julie se penche pour scruter l'écran.

Estelle vient me rejoindre à quatre pattes. Elle tourne plusieurs fois autour de moi. Je fais bouger ma bosse en contractant mes muscles fessiers. Julie zoome sur les signaux de Clémentine. Doucement, d'un geste lent, je descends la tirette de ma braguette. Estelle se met à genoux, les mains posées sur la tête. Il faut changer de caméra. Clémentine entraîne Julie. Elles contournent le bureau dans l'obscurité. Clémentine montre le petit écran à Julie qui se penche pour le scruter avec attention.

Julie commence à comprendre le fonctionnement. Ce qui lui est demandé. Je sors ma queue. Je bande mou. Le cuir moulant et noir fait apparaître mon sexe encore plus long. Je le tiens à sa base. Je l'agite devant le visage d'Estelle qui ouvre sa bouche. Quelle nouvelle surprise. Clémentine porte un loup à dentelles. Un masque noir très fin et gracieux. Il est exclu qu'elle soit identifiable. Contrairement à Estelle qui s'en fout. Ce film lui appartient comme les quinze autres déjà réalisés.

Je suis impressionné par la prestance de Clémentine. Cette noblesse, cette classe naturelle. Elle saisit la tête d'Estelle pour l'avancer contre mon sexe. Sans ménagement. D'un geste presque brusque. Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle. Nous entendons la respiration de Julie. Clémentine nous quitte. Hors champs de la caméra, elle fait signe à Julie. Silence. Son index posé sur ses lèvres. Julie fait une grimace d'excuse. Clémentine revient. Elle empoigne fermement Estelle par sa nuque.

Elle appuie sur sa tête. Je lui enfonce la bite dans la bouche. Clémentine la tient par les oreilles. Je me fais tailler une superbe pipe. Estelle s'est déjà prise au jeu. Clémentine s'éloigne. Hors champs elle disparaît dans l'obscurité. Julie doit probablement zoomer sur la fellation. Je la vois concentrée sur le petit écran. Clémentine revient. Elle s'accroupit. Quelle nouvelle surprise. Son pantalon est ouvert. Décousu à l'endroit de son sexe dont j'aperçois les lèvres charnues. C'est incroyablement excitant.

Elle tient Estelle sous le menton et par la nuque. Elle tire Estelle par ses cheveux pour lui retirer la queue de la bouche. Il y a des filaments de foutre qui relient ses lèvres à mon prépuce fripée. Il s'en écoule sur son chemisier. Estelle ouvre les yeux pour me fixer. Clémentine la tient fermement. C'est la toute première fois que je vois Clémentine se comporter en "dominatrice". Elle, d'une nature authentiquement "soumise", joue ici un rôle qui lui va extraordinairement bien. Estelle le découvre aussi.

Je regarde Julie. Elle est accroupit à scruter l'écran de la caméra. Décidément, c'est la soirée des surprises. Je découvre qu'elle ne porte pas de culotte. C'est la toute première fois que je vois son sexe. Il est très semblable à celui d'Estelle. Des lèvres fines. Un clitoris invisible. Mais des poils taillés un peu n'importe comment. Serait-elle une de ces "filles négligées" dont raffolent les "connaisseurs" ? Elle vient de se rendre compte que je mâte. Elle serre ses cuisses, serrant ses genoux. Je lui fais un clin d'œil.

Je pisse au visage d'Estelle. Elle veut se détourner, surprise par mon initiative de salaud. Clémentine la chope pour la maintenir fermement. Entre chaque jet, je veux la lui enfoncer dans la gueule. Je lui pince le nez. Pour pouvoir respirer, elle n'a d'autre choix que d'ouvrir la bouche. C'est là que j'en profite lâchement. A nouveau nous entendons le souffle de Julie. Elle est tellement excitée en assistant à ces scènes. Tout est nouveau pour elle. Nous savons bien qu'elle ne joue pas.

Je regarde à nouveau ce que fait Julie. A nouveau, elle a ses cuisses largement écartées. Cette fois, lorsqu'elle surprend mes regards, elle ne rapproche pas ses genoux. Au contraire, elle se cambre. Julie découvre là, ce soir, les joies de l'exhibitionnisme. C'est certain. Du moins une forme qu'elle ne connaissait pas. Je bande comme un salaud. Je suis excité comme jamais. J'ai intérêt à me contrôler pour ne pas éjaculer dans la bouche d'Estelle. Clémentine doit probablement s'en rendre compte.

Elle se redresse pour forcer Estelle à se relever aussi. Elle l'entraîne vers la table. Julie se redresse. Elle change de caméra. Clémentine installe Estelle sur la table. Elle m'y attend, en appui sur ses coudes, cuisses largement écartées. Je me positionne entre ses jambes. Je frotte mon sexe contre le sien. Estelle a le visage dégoulinant de pisse. Clémentine prend des photos en gros plans. Cette fois, nous entendons distinctement un gémissement. C'est Julie. Bien trop excitée. On la comprend.

Clémentine nous laisse pour aller la rejoindre. Elle prend le contrôle de la caméra qu'elle déplace doucement. Un meilleur angle de vue. Debout à côté de Julie, Clémentine, cambrée sur ses genoux fléchis, se masturbe. Julie ne sait plus où regarder. Clémentine qui se branle. Estelle qui se fait baiser. Moi qui m'agite comme un dément en poussant des cris d'animal en rut. Je regarde à nouveau. Julie a passé une main sous sa jupe. A côté de Clémentine, elles se masturbent toutes les deux.

Je sors ma queue d'Estelle qui se redresse. Elle n'a pas cessé de se toucher pendant que je la tringlais comme un sauvage. Clémentine vient nous rejoindre. Assise à côté d'Estelle, elle se fait pénétrer en poussant un râle de plaisir. Nous restons immobile. Estelle se branle de plus en plus vite. Son orgasme la fait hurler. Julie se trémousse. Heureusement que la caméra filme en mode automatique. Estelle va contrôler l'autre caméra. Elle fait un signe qui indique que nous sommes à la fin de la carte SD.

Clémentine fait un signe de l'index à Julie pour l'inviter à nous rejoindre. << C'est le moment de sortir de ta coquille et de surmonter tes inhibitions. On est toutes les deux avec toi. Tu as un super niqueur à ta disposition ! Vas-y ! >> lui fait Estelle. Julie s'approche d'un pas hésitant. Clémentine tapote le bureau sur sa droite en disant : << Viens ! >>. De la voir là, comme une gamine, me coupe un peu la chique. Je ne suis pas spécialement attiré par ces déviances juvéniles. Même si c'est un jeu.

Heureusement, Julie s'arrête. Elle n'ose pas venir jusqu'à nous. Son visage dans ses mains, elle semble paniquée. Estelle comprend son désarroi. Elle va la rejoindre pour la prendre par les épaules. Elle l'entraîne dans le canapé. Je termine Clémentine qui connaît un orgasme nucléaire. Je me retire juste avant qu'elle ne se lâche dans un jet de pisse. On entends distinctement Julie murmurer : << C'est pas possible ! >>. Je la regarde. Estelle a allumé la petite lampe. Julie est toute rouge, trempée de sueur.

C'est comme si elle était celle qui avait jouis le plus. Je viens m'assoir dans le canapé. J'ai la bite dégoulinante de foutre. J'en ai qui coule sur les cuisses. Julie semble comme hypnotisée par cette vue. Elle ne quitte plus ma bite des yeux. Je la lui tends. Estelle lui dit : << Tu n'imagines pas comme c'est bon quand le mec a baisé toute la soirée ! Vas-y donc ! >>. Une fois encore Julie est à deux doigts de se laisser tenter. Nous avons la décence de ne pas insister. Elle fait tellement gamine. C'est fou !

Clémentine vient nous rejoindre en se séchant la chatte. Elle s'accroupit devant nous pour nous montrer son sexe. << Il est "fumant" ! >> lance t-elle à Julie. Estelle demande à Julie : << Tu as 20 ans, tu adores regarder des bites et tu n'y goutes pas ? >>. Julie semble un peu ennuyée. Elle répond : << Je n'ai pas le courage. Mais avec vous trois, je crois que je vais finir par le trouver ! >>. Nous en rions de bon cœur. Ce qui détend l'atmosphère. Julie cesse d'être craintive, sur ses gardes.

Il est presque minuit. << Nous allons basculer d'une année de merde dans une année de merde ! >> lance Estelle. << Au diable les diables ! >> rajoute t-elle. << Lançons nous dans l'inconnu. Après tout, avons nous un autre choix ? >> fait Clémentine. Julie comme une gamine entourée de grandes filles nous regarde radieuse. Ravie d'être en si bonne compagnie. Nous nettoyons nos saloperies. La serpillère, le foutre sur le bureau. Julie, enfin détendue veut absolument nous assister, nous aider.

Nous montons. Nous nous couchons. Nous sommes totalement épuisés. << Beaux nénés et meilleurs nœuds ! >> lance Estelle à Julie. Clémentine termine de la border comme une grande sœur attentionnée. En fait, c'est une grande sœur qui manque à Julie. Estelle s'endort serrée contre moi. Nous chuchotons encore un peu avec Julie. << Tu te branles ? >> lui demande Clémentine. << Oui ! >> répond timidement Julie en chuchotant. Nous lui souhaitons bonne nuit.

Bonne année à toutes les coquines qui s'apprête à monter d'un cran dans leurs délicieuses turpitudes et de mettre la "barre" plus haut...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1387 -



Julie vient de passer sa première nuit avec nous

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon profond sommeil par la main d'Estelle qui se glisse dans mon slip. << Bon anniversaire Julien ! >> murmure t-elle à mon oreille. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection matinale. Presque immédiatement Clémentine vient se blottir contre moi pour murmurer les mêmes mots à mon oreille. Je suis entre mes deux anges. Nous avons tous les trois le réflexe identique. Nous redressons nos têtes pour regarder vers le canapé ouvert.

La forme du corps de Julie, immobile. Elle semble encore dormir profondément. Nous ne faisons aucun bruit. Nous chuchotons. << Laissons la dormir. Elle a surmonté bien des émotions hier soir ! >> murmure Clémentine. Estelle se lève la première. Sans faire de bruit elle prend ses vêtements de sport pour aller aux toilettes. Sur la pointe des pieds. Nous nous levons. Nous enfilons nos tenues de gym. Estelle est déjà descendue. C'est à notre tour d'aller pisser. Sans faire le moindre bruit.

Il est neuf heures. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de brioche, de café et de pain grillé. Nous prenons un solide petit déjeuner. Dehors, c'est le même temps maussade. Nous décidons de nous entraîner à l'intérieur. Inutile de prendre le risque de se faire saucer. La pluie menace. Nous mangeons de bon appétit. A l'intention de Julie, nous laissons un bol, la confiture, le miel et de la brioche sur la table. Le café dans la bouilloire.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Joggings sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos pour terminer par le stretching. Estelle prend sa douche la première. Sur la pointe des pieds, Clémentine m'entraîne dans la chambre. Vide. Notre lit ainsi que celui de Julie sont faits. Quelle charmante attention. C'est à nous de prendre notre douche. Nous nous habillons. Nous descendons à toute vitesse. Estelle et Julie sont au salon, assises devant l'ordinateur.

Nous saluons Julie d'un : << Bien dormi ? >>. Julie se lève d'un bond en disant : << Superbement. Comme on dort bien chez vous ! >>. Julie et Estelle se sont fait découvrir les sites de leurs universités respectives. Julie a pris son petit déjeuner. A la cuisine tout est nickel. Clémentine demande : << Tu n'es pas trop déçue de ton réveillon ? >>. Julie répond : << Non, c'était génial. C'est le plus beau réveillon de ma vie ! >>. Nous éclatons de rire. Tous les quatre pliés de rire.

Nous répondons à nos courriels. Toutes nos relations nous ont déjà envoyé leurs meilleurs vœux. Il faut répondre. Julie nous prend en photo. Estelle et Clémentine assises sur mes genoux. Nous joignons la photo à tous nos messages. Nous mettons nos anoraks. Nous sortons. Nous faisons quelques pas. Il ne pleut pas. Clémentine et Estelle, accrochées à mon bras, nous entraînent vers la rivière. Julie marche tout près de nous. Nous revenons sur nos folies de hier soir.

<< Je fais le montage sur le vieil ordinateur à papa. Tu peux venir voir le film samedi prochain, en soirée ? >> demande Estelle à Julie. Elle réponds : << Non, je fais mes livraisons de repas. Je ne suis libre que le lundi soir ! >>. Clémentine propose de nous faire une projection dimanche prochain, l'après-midi ! >>. Julie toute contente s'empresse de dire : << Oh oui, je suis libre de 14 h30 à 18 h ! Si ça va pour vous ! >>. Nous nous mettons d'accord. Ce sera donc dimanche prochain.

Il bruine. De quoi mettre quelques gouttes aux bouts de nos cheveux. C'est amusant. La fraîcheur est vive. Nous mettons nos bonnets. Inutile de prendre froid. La faim commence à se faire sentir. Nous remontons le chemin. Il n'y a qu'à réchauffer les plats du traiteur. Julie met la table. Elle insiste pour faire le service. << Ça me manque. Et ça me rappellera le restaurant ! >> fait elle. Je réchauffe les queues de homards fumées au four avec les flamiches de saumon. Les caquelons de légumes.

Nous dressons la table au salon. Julie, depuis l'encadrement de la porte, nous lance : << Je vais me mettre en tenue ! >>. Estelle ouvre ma braguette en disant : << Toi, ça va être ta fête. Joyeux anniversaire ! >>. Elle me sort le sexe. Clémentine déboutonne mon jeans pour pouvoir me sortir les couilles. Elle me reboutonne. La braguette à boutons de mon 501 est étroite. Ma bite et mes couilles sont garrotées. C'est impressionnant. Je suis hyper gêné. Je me sens même un peu con.

<< Tu vas voir, tout va bien se passer ! >> me fait encore Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle est accroupit sur ma gauche. Clémentine est accroupit sur ma droite. Elles ajustent mes couilles. Estelle tient ma bite par l'extrémité du prépuce. << Voilà, c'est présentable ! >> lance t-elle. Julie toussote dans l'encadrement de la porte. Elle est vêtue en serveuse. Les mêmes vêtements qu'elle porte au restaurant. Mais ici, chez nous, cela est presque surréaliste. C'est étonnant.

Sa jupe noire, courte, qui lui arrive à mi cuisses. Ses collants noirs. Le petit tablier de dentelle blanche sur sa jupe plissée. Un chemisier blanc aux manches bouffantes. Ses longs cheveux presque noirs sur ses épaules. Elle est absolument superbe. Estelle et Clémentine se redressent en faisant : << Waouh ! >>. Julie fait comme si elle n'avait pas vu mes organes génitaux saillants de ma braguette. << Vous pouvez prendre place, je vous sers ! >> fait elle en s'éloignant dans le corridor.

Nous sommes assis à la grande table. Il fait tellement sombre que les bougies éclairent avec magie cette partie de la grande pièce. Julie ramène les premiers plats. Estelle insiste pour qu'elle vienne enfin s'installer avec nous. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et en riant beaucoup. Julie nous raconte quelques anecdotes concernant son activité de serveuse en soirée, après ses journées de faculté. Nous en connaissons la plupart. Clémentine insiste pour que Julie revienne sur les plus salaces.

Je me lève souvent pour présenter mes organes génitaux. << Bon anniversaire Julien ! >> me fait Julie toujours aussi intimidée. Nous savons depuis quelques mois que Julie ne joue pas. Elle est réellement comme ça. Timide, réservée, introvertie. Avec nous ici, elle peut se lâcher. Nous la sentons d'ailleurs de plus en plus détendue. Nous traînons longuement à table. Julie insiste pour débarrasser. Reprendre son rôle de serveuse. Ce qui donne évidemment une nouvelle idée de film à Estelle.

Comme hier soir, nous passons exceptionnellement la vaisselle à la machine. C'est beaucoup moins convivial mais ce sont des circonstances de fêtes. Julie ramène le vacherin glacé. C'est mon gâteau d'anniversaire. Les filles se mettent à chanter : << Happy Birthday, happy Birthday to you ! >>. Je lève mon verre de jus de mangue. Nous lançons le vœux de garder nos relations merveilleuses pour la décennie à venir. Tous les quatre debout à entonner la chanson un peu stupide une nouvelle fois.

Nous savourons ce vacherin délicieux. Entièrement confectionné à partir de produits bio. Glace à la pistache, au nougat, au pralin et à la vanille. Je dis : << Les filles, d'ici une dizaine d'années, ce ne sera plus "Oncle Julien", mais "Papy Julien". << On se sucera du vieux ! >> lance Estelle. << Et comme j'adore sucer du vieux ! >> rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle rajoute : << Et dans dix ans, on aura 33 ans ! Tu ne voudras plus de nous ! >>. Nous rions.

<< Moi je n'aurais que 30 ans ! >> fait timidement Julie. Nous n'arrêtons plus de rire. Nous traînons à table jusqu'aux environs de quinze heures. Dehors il pleut. Clémentine propose d'aller dans l'atelier. C'est la pièce préférée des filles. Julie adore cet endroit. Nous quittons le salon. J'ai le dessous des couilles un peu irrité par le tissus de la braguette. La position assise n'a pas favorisé l'aisance. Julie fait mine de ne pas voir mes attributs masculins. Estelle allume un bon feu dans la cheminée.

J'explique à Julie mes prochaines toiles. Elle se réjouie pour cet été. Elle va tenir ma galerie d'Art durant deux mois. Elle en garde un souvenir fort. Aussi, elle écoute avec attention. Me pose les questions les plus pertinentes. Clémentine prépare le thé. Nous sommes tous les quatre assis en tailleur sur l'épais tapis devant la cheminée. Je ne sais pas si c'est voulu mais je distingue la culotte sous les collants et la jupe de Julie installée face à moi. Estelle lance les quatre dés qu'elle tient à la main.

<< Celui qui a les quatre six peut exiger un gage de la personne de son choix ! >> fait elle. Julie découvre que je mâte sous sa jupe. Elle baisse les yeux pour fuir mon regard. Pourtant, elle ne tente pas de s'ajuster. Elle reste immobile. Ce qui n'échappe évidemment ni à Estelle, ni à Clémentine. J'ai remballé mes couilles endolories. Je n'ai plus que la queue qui pend. Entre chaque lancé de dés, je la saisis pour l'agiter en direction de celle qui les lance. << Si tu continues, je te suce ! >> fait Estelle.

<< Il va continuer de plus belle alors ! >> dit soudain Julie. Cette réplique nous étonne. << Tu aimes ? >> lui demande Clémentine. << Oui ! >> répond Julie d'une voix à peine audible. Je constate que Julie, assise en tailleur devant moi, à environs deux mètres, s'exhibe avec un discret plaisir. Elle est magnifique dans sa tenue de serveuse. Je lui dis : << Ce soir, pour le repas, tu peux te remettre en "collégienne" ? >>. Julie a le regard qui s'illumine. Elle répond : << Oh oui, avec plaisir ! >>.

Nous passons le reste de l'après-midi à jouer au Monopoly porno comme l'appelle Estelle. En effet, ce ne sont pas des hôtels ou des maisons que nous achetons mais des "Bordels", des "Lupanars" ou encore des "bars à baise". Nous rions comme des fous. Cela permet également de digérer. Nous avons vraiment bien mangé mais en quantité. Il fait nuit. Nous passons là un moment magique. Intense. Il est presque 19 h. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Ce soir, juste des salades et du poisson.

Julie monte se changer. Clémentine prépare l'assaisonnement. Estelle lave et coupe des endives. Je fais rissoler quatre beaux filets de cabillaud blanc. Un filet de citron. Nous dressons la table à la cuisine. Sur la demande de Julie qui adore notre grande cuisine de "manoir" comme elle l'appelle. Julie qui apparaît soudain vêtue comme hier soir. Une jupe plissée noire, un chemisier blanc sous son pull bleu nuit. Des chaussettes qui lui arrive sous le genoux. Des mocassins noirs à talons plats.

C'est le cartable qu'elle porte sur le dos qui donne cette touche "scolaire" absolument fabuleuse. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Je me lève pour me branler. Estelle se lève pour m'imiter. Julie, consternée, assiste à tout cela avec un extraordinaire sérieux. Clémentine s'en amuse comme une folle. Estelle demande à Julie : << Tu as déjà excité des mecs dans cette tenue de collégienne ? >>. Julie ne répond pas. Elle nous consulte tous les trois du regard.

Visiblement Estelle a posé une question insidieuse. Nous restons silencieux. Enfin Julie répond : << Je vous révèle un secret. Je le fais parfois. C'est ce qui m'excite le plus ! Mais je vous en prie, ne pensez pas de mal de moi ! >>. Nous éclatons de rire. C'est trop énorme. Julie assiste à nos débordements, à nos déviances et nous devrions penser du mal de ses fantasmes ? Clémentine se lève. Ses mains sur les épaules de Julie, elle la rassure. Julie aime les prévenances de Clémentine.

<< Je vous raconte après, au lit ! >> répond Julie. << D'accord. Tu nous racontes une belle histoire pour nous endormir ! >> lance Estelle. La fatigue se fait sentir. Il est déjà 21 h30. Un lendemain de fête et de folies qui nous laisse sur les rotules. Nous montons. Je suis couché entre Clémentine et Estelle. Là-bas, dans son canapé lit, Julie se met à répondre aux questions d'Estelle. Julie nous raconte alors une étrange histoire. Elle adore s'exhiber dans sa tenue de collégienne.

Tout particulièrement dans un autobus qu'elle prend de son bourg jusqu'à la ville. Aller et retour. Le regards libidineux de certains messieurs suffisent à la mettre dans des états d'excitations folles. Nous écoutons en silence. Dans l'obscurité Julie se confie. Du moins en partie car elle précise à plusieurs reprises : << Je vous raconterais une autre fois. J'ai trop honte ! >>. Clémentine passe sous les draps pour me sucer. Julie ne s'en doute pas. Estelle entretient la conversation.

Soudain le silence. Estelle et Julie viennent de s'endormir en même temps. Clémentine revient de sous les draps. Nous nous murmurons des douceurs. Une fois encore nous savourons les extraordinaires moments que nous offre l'existence. Un privilège rare que nous savons apprécier à sa très juste valeur. << Je t'aime Julien, sans toi, rien de tout cela ne serait possible. Bon anniversaire mon amour ! >> murmure t-elle à mon oreille. Nous nous endormons doucement.

Bon lendemain de fête à toutes les coquines qui aiment à révéler leurs petites histoires secrètes.........et coquines !

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1388 -



Julie nous confie avoir passé un merveilleux séjour

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon profond sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans mon cou. Toute la nuit encore, elle est restée agrippée à moi comme une rescapée à sa falaise. Nous nous réveillons en même temps. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection matinale. Ce qui réveille Clémentine qui vient se blottir. Nous restons silencieux car Julie dort probablement. Nous nous redressons tous les trois pour le constater. Là-bas, sur le canapé lit, sous sa couette.

Distribution de bisous dans un silence absolue. Je glisse mes mains dans les culottes. Estelle se lève, sur la pointe des pieds, ses vêtements de sport à la main, elle quitte la chambre. C'est à notre tour. Discrètement nous partons. Les toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. La délicieuse odeur de café, de pain grillé et de brioche. Quelle bonne idée d'avoir pris trois grosses brioches. On en avait pour toute la semaine.

Nous prenons notre copieux petit déjeuner. Il est à peine 8 h15. Nous mangeons de bon appétit. Nous laissons un mot sur la table à l'attention de Julie. Avec la cafetière italienne prête à servir. Dehors, le jour vient de se lever. Sous un ciel toujours aussi gris et bas. Pas menaçant. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans le froid vif. Nous montons sur la route pour courir au sec. Le parcours habituel. C'est bien.

Quatre kilomètres dans un sens. Quatre kilomètres dans l'autre. Nous passons devant le haras à l'aller et au retour. Nous adorons faire nos abdos sur les bancs dans la petite clairière au bord de la route. Il est 9 h45 quand nous sommes de retour. Julie est entrain de faire la vaisselle de son petit déjeuner. Elle est toute contente de nous voir. Elle a déjà préparé son sac de sport dans le hall. Elle doit nous laisser pour 11 h30. Elle recommence ses livraisons de repas dès midi. C'est dur.

Estelle monte la première pour prendre sa douche. << J'ai fait les lits et la chambre ! >> nous dit Julie. Nous la remercions. Nous l'invitons au salon. Devant l'ordinateur. Clémentine découvre le site de la Faculté de Lettres Modernes où étudie Julie. Je guette les livraisons. Voilà la camionnette des primeurs. Je sors. Clémentine vient me rejoindre. C'est toujours la même jeune femme qui nous livre. Elle porte son masque sanitaire. Nous nous présentons nos meilleurs vœux. C'est sympa.

Du hayon arrière du véhicule, la jeune femme tire deux cageots. L'un contient nos fruits et nos légumes, l'autre contient nos produits laitiers. Même commande pour samedi prochain. Nous nous apprêtons à emmener les cageots à la cave. Voilà la camionnette de madame Marthe, la boulangère. Même rituel. Nous présentons nos vœux. << Je ne dis pas bonne année. On a vu ce que ça donne. Je dis simplement "année" ! >> lance la dame. Nous en rions de bon cœur. Nous prenons nos pains.

Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons. Estelle vient nous rejoindre avec Julie. Nous descendons le cageot de légumes à la cave avec un gros pain, deux pâtes feuilletées. Pour mettre au congélateur. Nous remontons. Estelle a rangé le beurre, les yaourts, les œufs, les petits pots de crème fraîche et les fromages dans le réfrigérateur. Clémentine et moi pouvons enfin monter prendre notre douche. Julie a fait notre lit. Refermée le canapé lit. Ses draps sont pliés dessus. Super.

Nous redescendons vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux et de nos baskets. Nous rejoignons Estelle et Julie au salon, assises devant l'ordinateur. Il est 10 h45. Dehors, le ciel s'assombrit encore. Il faut allumer les lumières. Julie nous confie à quel point ces deux jours ont été uniques. << Sans doute la plus merveilleuse aventure de ma vie ! >> fait elle. Clémentine dit : << Tu reviens quand tu veux. Nous avons beaucoup apprécié ta présence ! >>. Estelle rajoute : << Secret ! >>.

<< Bien sûr ! Je ne vais pas raconter ce que j'ai vécu ici à mes parents ou à ma mamie ! >> lance Julie. Nous éclatons de rire. Par contre Estelle a fait lire notre récit publié ici, sur le forum, à Julie. Mais comme j'utilise des pseudos, personne ne saura jamais qui sont réellement les protagonistes. << C'est génial de tout raconter. C'est comme si vous teniez un journal ! >> fait Julie. Elle rajoute : << Je suis fière d'être une des héroïnes. Mais vous ne racontez pas tout ! Pourquoi ? >>.

<< Nous gardons nos petits secrets ! >> dit Estelle avec un air conspirateur. << Des choses qui ne se racontent pas. Même sur des forums coquins car trop intimes ! >> fait encore Clémentine. A la cuisine, la pâte feuilletée sortie du congèle ce matin a décongelé sur le radiateur. C'est pour la galette des rois de demain. << Tu viens tirer les rois avec nous demain ? On t'attend pour 14 h30 ! >> propose Clémentine à Julie. Elle dit : << Non, j'ai promis à ma mamie d'être là pour les rois ! >>.

Je prépare le bouillon pour les moules. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Estelle râpe de grosses amandes pour la frangipane. Julie l'aide. << Comme j'aimerai rester avec vous ! Je suis tellement bien ici ! >> lance t-elle. Clémentine s'essuie les mains pour venir les poser sur les épaules à Julie. << On se refait un séjour aux vacances de carnaval, tu reviens ! >> lui dit elle. << Si ces enfoirés n'emprisonnent pas la nation une nouvelle fois ! >> s'écrie Estelle.

<< C'est vrai qu'ils nous aurons tout fait en 2020 ces cons là ! >> répond Clémentine. Il est 11 h30. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Comme elle est triste ! << Prends bien soin de toi. On te revoit lundi soir. Tu viens nous livrer nos tourtes aux fruits de mer ! >> lui fait Clémentine. << Je pense très fort à toi ! >> rajoute Estelle. Je dis : << Tu vas nous manquer aussi ! >>. Nous la regardons s'en aller. Un dernier coucou avant de franchir le portail. La voiture disparaît sur la droite.

En gambadant, pour conjurer un peu de la tristesse qui nous étreint, nous rentrons en faisant une farandole. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait cuire les myrtilles auxquelles elle rajoute les amandes râpées transformées en poudre. Je jette les moules encore congelées dans le bouillon. Je fais cuire les haricots verts et les petits pois dans le wok. Estelle fait de magnifiques motifs floraux avec le reste de pâte feuilletée. Je passe ma main par derrière entre ses cuisses. Elle se cambre.

Je lui dis : << A moi de te perturber un peu pendant tes concentrations pâtissières ! >>. Elle rit avant de répondre : << Attends toi, tu ne perds rien pour attendre. Ma vengeance sera terrible ! >>. Je dresse la table. Estelle allume la cuisinière à bois. << Ce week-end, on se fait la bouffe à l'ancienne ! >> fait elle. Je trouve l'idée excellente. Rien de mieux pour cuire au four. Et sans évoquer la délicieuse odeur du bois qui envahit toute la grande cuisine. J'ouvre le grand volet de la hotte.

Estelle verse le mélange de myrtilles et d'amandes sur la pâte étalée dans le plat. Elle y dépose délicatement les motifs floraux. C'est de toute beauté. Il faut attendre que le four à bois soit chaud. Nous mangeons d'abord. Et de bon appétit. Les moules sont délicieuses. Nous sommes bien décidées à maintenir cette ambiance de fête jusqu'à dimanche soir. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent l'invitation de Juliette que nous avons décliné par mail, hier soir.

<< On l'invite à venir tirer les rois demain ? >> propose Estelle. << Elle préfèrerait qu'on tire la "reine" ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine fera le courriel d'invitation après la vaisselle. Il commence à faire chaud dans la cuisine. Heureusement que Clémentine a éteint les radiateurs. La vieille cuisinière à bois a une puissance calorique qu'il est impossible de contrôler. A moins d'ouvrir une fenêtre. C'est le moment d'enfourner la galette des rois.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Estelle propose d'attaquer immédiatement le ménage. << Comme ça, on est peinards pour le reste du week-end ! >> fait elle. Elle rajoute : << Mais cette fois, c'est moi qui m'occupe de la cuisine. Comme ça, je peux surveiller la galette ! >>. Excellente suggestion. Clémentine et moi, nous restons à l'étage. On commence par nettoyer la salle de bain, les chiottes du haut.

Clémentine passe l'aspirateur. Je suis immédiatement derrière avec la serpillère. Nous n'arrêtons pas de nous embrasser, de nous toucher, de rire. Avant que Clémentine ne vienne vivre avec moi, il y avait une femme de ménage qui venait deux fois par semaine. J'avais même envisagé de prendre une gouvernante à temps plein. Une de ces dames robustes capables de tenir une grande demeure. << Tu la niquais parfois ? >> me demande parfois Clémentine. Nous en rions de bon cœur.

Tout est propre à l'étage. Nous descendons. Nous entendons Estelle passer l'aspirateur au salon en chantant. Quelle merveille. La galette des rois est posée sur la table de la cuisine. Tout est propre. Je nettoie les chiottes du bas pendant que Clémentine passe la serpillère dans le hall. Estelle vient me rejoindre. Je suis à genoux, les mains gantées à récurer l'intérieur de la cuvette. Elle s'accroupit derrière moi pour se frotter. << Je t'aime Julien. Comment vais-je vivre sans toi lundi ! >> dit elle.

C'est la voix de Clémentine debout dans l'encadrement de la porte qui répond : << Il te faudra survivre jusqu'à mardi soir ! >>. Nous éclatons de rire. Estelle rajoute : << Avec le couvre feu dès 20 h, je passe la nuit avec vous ! C'est génial les mesures de ce gouvernement de psychopathes ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. La maison est propre. Il est 15 h. << On se fait une balade digestive ? >> propose Clémentine. << Accepté à l'unanimité plus une voix ! >> fait Estelle.

Nous restons vêtus en jeans et en chemises à carreaux. Nous passons un pull, nous chaussons nos grosses godasses, nous enfilons nos anoraks. Bonnets et gants. Dans le petit sac à dos, les lampes frontales, la thermos de thé bouillant. C'est parti. Nous sortons. Le froid s'est accentué. Nous montons vers la route. Nous fermons le portail. Voilà monsieur Bertrand et sa femme qui reviennent de balade. Ils sont accompagnés d'une vieille dame. Sans doute la maman de Mme Bertrand.

Nous bavardons un peu. Nous nous souhaitons le meilleur pour l'année nouvelle. << Que vont ils encore nous réserver comme saloperies pour 2021 ! >> lance monsieur Bertrand. Nous traversons la route pour prendre le chemin forestier. Estelle retire un de ses gants pour glisser sa main dans la braguette que vient de m'ouvrir Clémentine. Hors de question de me sortir la bite avec ce froid. Les branches et le sol commencent d'ailleurs à se recouvrir de givre. Le hululement d'un hibou.

<< La forêt hantée ! >> lance Estelle qui sautille autour de nous, toute contente. Le chemin est large. Nous nous tenons par la main. Je suis entre mes deux anges. Clémentine se réjouit doublement. En effet, dès lundi commence la réalisation de son souhait. L'aménagement de la dépendance. << Julie pourra venir passer ses séjours dans la maison d'amis ! >> lance t-elle. << On se fera un truc fou pour étrenner l'endroit. Un film ! >> dit Estelle en mimant une masturbation masculine.

En hiver, la nuit tombe tôt. Il est 16 h et le crépuscule semble déjà jeter son voile sur la campagne. Nous venons de sortir des bois. Devant nous les prés. Ils se recouvrent de givre. Il y a de la brume au dessus du sol. C'est fantomatique. << Regardez, une sorcière sur son balai ! >> fait Estelle en se mettant à califourchon sur une barrière. << Une sorcière un peu salope ! >> dit Clémentine en observant Estelle frotter son croupion sur la poutre ronde. Estelle accélère le mouvement.

Clémentine s'installe sur la barrière. Toutes les deux, l'une en face de l'autre, elles impriment un mouvement masturbatoire à leurs bassins. << Ça réchauffe ! >> lance Estelle alors que je remplis les gobelets de thé bouillant. Nous apprécions cette boisson chaude. Il y a le silence. Parfois un cri venant des bois. Une chouette, une buse qui s'envole, un vol de corneilles hurlantes. << Il manque une apparition sur la lande ! >> fait Estelle en se blottissant contre Clémentine et moi.

Nous restons souvent ainsi, serrés tous les trois, nos visages se réchauffant. C'est émouvant. Le froid s'amplifie. La nuit va tomber. Nous apprécions cette ambiance magique. Nous voulons absolument faire durer ce plaisir. Nous prenons le chemin du retour mais en marchant doucement. Hors de question de me sortir le Zob. Estelle se contente de glisser sa main dans ma braguette ouverte. Elle porte la lampe frontale sur son bonnet. Il est 18 h30 quand nous rentrons. Il fait bien chaud.

Avec le froid et la balade, la faim se fait sentir. Nous admirons la galette réalisée par Estelle. Nous la félicitons. << Vous savez qu'avant de venir ici, je ne savais même pas me faire cuire un œuf ! J'ai tout appris avec vous ! >> lance Estelle en sortant enfin mon Zob. Debout derrière moi, elle agite ma bite toute molle en direction de Clémentine. Elle rajoute : << Je ne savais pas non plus m'occuper d'une queue ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous nous en souvenons bien !

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle et moi, assis à la table, nous épluchons les patates, les carottes, le navet, le céleri en grande quantité. Cette potée de légumes qui assurera trois repas. J'ai remis deux bûches dans la cuisinière. La cuisson se fera à l'ancienne, dans la vieille cocotte en fonte noire. Méthode traditionnelle que nous apprécions. Les filles évoquent la rentrée de lundi. Les choses sérieuses reprennent dès le 4 janvier. Les cours en ligne. Le télé travail.

L'ambiance de la faculté leurs manque. Il sera possible de retourner à l'université par petits groupes pour des travaux ponctuels. Ne désirant prendre aucun risque, Estelle et Clémentine préfèrent travailler depuis la maison. << Toi, c'est facile, tu as un Julien avec toi tout le temps ! >> lance Estelle. << Tu sais ce qu'il te reste à faire ! >> répond Clémentine. << Pas question, c'est trop bien ensemble tous les trois ! >> s'écrie Estelle. Nous en rions de bon cœur. C'est tellement vrai.

Nous mangeons de bon appétit. Avec la potée j'ai poêlé six gros nems au crabe. Le craquement du feu dans la cuisinière. La douce chaleur. L'odeur des temps anciens. C'est encore un moment magique. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur ces fêtes passées. Aucune nostalgie mais de nouveaux souvenirs pour la vie entière. Estelle fera le montage du film réalisé à la saint Sylvestre. "Le réveillon porno" filmé par Julie. Nous en ferons le visionnage samedi prochain.

Je propose un bon léchage de minous au salon. Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Nous faisons la vaisselle. Je rallume les deux radiateurs thermostatiques. Nous quittons la cuisine. La galette des rois rangée dans le bas du buffet, à côté de la huche à pain. Au salon mes deux anges retirent leurs jeans et leurs culottes. Elles font tourner leurs culottes au bout de leurs doigts avant de les envoyer valdinguer n'importe où. En chemises et en chaussettes, elles se vautrent dans le canapé.

Je suis à genoux sur les épais coussins. Elles m'offrent leurs sublimes chattes velues. Mon visage entre les cuisses d'Estelle je commence à m'occuper de son sexe. Clémentine se masturbe. C'est notre préférence. Nous pourrions faire ça tous les soirs. Nous le faisons d'ailleurs presque tous les soirs. Lorsque je lèche sa vulve, Estelle stimule son clitoris. Je suce son clitoris en l'écoutant gémir. Je passe à la chatte de Clémentine pour lui administrer le même traitement du "docteur Julien".

C'est donc dans un concerto en gémissements majeurs que je dirige l'orchestre. La direction d'orchestre prend d'ailleurs toute sa mesure lorsque Estelle m'attire sur elle. Je peux diriger avec la baguette. Je passe de l'une à l'autre. Mes deux flûtistes s'avèrent toutes aussi virtuoses au trombone à coulisse. L'orgasme d'Estelle secoue tout le canapé. Celui de Clémentine achève d'en déstabiliser les structures les plus profondes. Nous sommes épuisés. Nous montons nous coucher. Dodo.

Bonne journée de lendemain de fête à toutes les coquines qui se réjouissent déjà pour tirer le Roi, avant que celui-ci ne tire la Reine...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1389 -



Le dernier jour des vacances est un doux dimanche

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon profond sommeil, par de douces caresses. Rapidement des bisous. Le souffle chaud de mes deux anges entre lesquelles je suis comme un bienheureux. Estelle à ma droite qui saisit mon érection matinale. Clémentine à ma gauche qui empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Distribution de bisous. Il est 9 h. Nous dormons rarement aussi longtemps. Il faut dire que nos soirées sont souvent épuisantes. Surtout durant les vacances.

Estelle se lève la première. Tous nos gestes semblent au ralenti. Cela nous amuse beaucoup. Elle file aux toilettes. Clémentine se frotte contre moi. << Comme c'était bon hier soir encore ! >> me chuchote t-elle. Estelle revient, s'habille, nous fait des bises avant de descendre. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, vêtus de nos jeans, chemises à carreaux et baskets, nous dévalons les escaliers. Dans la cuisine l'odeur du café, du pain grillé, de la brioche et du feu de bois.

Estelle vient de rajouter deux buches sur les braises. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes enserrant ma taille, elle me couvre le visage de bisous. Puis c'est au tour de Clémentine. Ce nouveau rituel est apparu un peu avant les vacances. Il nous ravi. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre soirée. << Tu lèches divinement ! >> me fait Estelle. Nous mangeons de bon appétit tout en riant. Le dimanche pas d'entraînement. Le ménage a été fait hier. On est tranquille.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles font le bilan de ces vacances. << Un satisfecit dans toutes les matières ! >> lance Clémentine. << Pas un grain de sable dans les rouages ! >> rajoute Estelle. Dehors, tout est blanc de givre. La nature est comme figée dans le silence et les glaces. La vaisselle. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets et nos gants. Nous sortons. Le froid est mordant. Le thermomètre extérieur indique moins trois.

Nous restons bien serrés. Accrochées à mon bras, les filles nous entraînent vers la rivière. Nous laissons des traces de pas dans la fine couche de neige. Estelle et Clémentine font de grands cercles en tournant. C'est symétrique. C'est beau. La condensation émet de la vapeur de nos bouches lorsque nous parlons. C'est un froid sec comme nous aimons. Le ciel est gris mais pas menaçant. De l'autre côté de la rivière, il y a de la brume au dessus du sol. << Là, regardez ! >> s'écrie Estelle.

Une harde de sangliers avec leurs marcassins. Clémentine en compte seize. Ces animaux sont aussi gros que des tonneaux. Ils ne prêtent aucune attention à nos présences. Ils ne sont pourtant qu'à une centaine de mètres. Ils regardent dans notre direction. Pas du tout inquiets. << Les bougres. Ils vont nous coloniser. Papa en a déjà fait fuir en bas de notre terrain ! >> lance Estelle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Hors de question de me sortir le Zob avec ce froid. Elle en rit.

Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. C'est glissant sur les cailloux gelés recouverts de neige. Nous nous tenons fort. Il y a les canards, les poules d'eau et les colverts qui nous offrent un concert de cris. Ça cancane, ça caquette. Le cris strident des poules d'eau. Nous admirons le ballet qu'il font sur les eaux froides. Nous marchons jusqu'au vieux lavoir. Tout est blanc. C'est surréaliste. Là-bas, de l'autre côté de l'étroite route communale, les bâtiments du haras à Juliette.

<< On passe la voir cet après-midi. On se fera pardonner pour ne pas êtres venus manger samedi ! >> propose Clémentine. Nous prenons le sens du retour. Nous marchons d'un bon pas. Il est presque midi quand nous arrivons à la maison. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe la potée de légumes en mettant la table. Je poêle des calmars en y rajoutant champignons, ail et échalote. Je coupe de fines tranches de Morbier. Nous aimons en mettre sur les patates de la potée.

Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons Juliette, le haras en revenant sur quelques aventures épiques que nous y a avons vécu. Le lecteur qui suit nos aventures depuis quelques années, se souvient de certaines soirées "mouvementées". Ces partouzes auxquelles nous participions à notre manière. De grands moments de vices, de stupre et de luxure. Nous en rions beaucoup. << Tout cela n'arrivera peut-être plus avec cette saloperie de crise sanitaire ! >> lance Estelle.

Nous goutons enfin à la galette des rois. Nous félicitons Estelle pour ce gâteau. C'est elle qui trouve la fève. Cette petite bite en porcelaine que nous avons trouvé dans un sex-shop d'Amsterdam il y a deux ans. Une ravissante petite bite sur ses couilles. D'environ trois centimètres sur deux. Nous sommes prévenus. Il faut mâcher doucement. << Je suis la reine ! >> lance Estelle en posant la bite contre sa braguette. Avant de la sucer comme une tétine. Elle me fait un clin d'œil.

<< Mais nous saurons nous adapter aux prochaines aventures "sexe" qui nous attendent ! >> précise Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le très vague programme de l'après-midi. C'est le climat idéal pour une bonne randonnée. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous chaussons nos grosses godasses. Dans le petit sac à dos que je porte, la thermos de thé bouillant.

Nous voilà partis. Nous montons pour traverser la route. Prendre le même chemin que hier. Dans la forêt aux arbres nus. Tout est blanc. Il y a un brouillard qui se lève. La nature est silencieuse. Tout devient magique et mystérieux. Estelle sautille autour de nous toute contente. Là, à une dizaine de mètres devant nous, elle mime une masturbation masculine. Un geste vulgaire et frénétique. Nous applaudissons ses prestations de plus en plus nombreuses. Elle s'accroupit pour mimer des pipis.

Nous longeons les prés jusqu'aux roches. Le labyrinthe de granit nous offre un spectacle féérique. Comme de hautes silhouettes blanches. << Des moines blancs ! >> fait Estelle. Nous montons jusqu'à l'ancienne voie ferrée. La maison abandonnée du garde barrière. Nous marchons d'un bon pas. Avec ce froid, pas de frasques sexuelles. Si ce n'est la main des filles qui vient explorer le contenu de ma braguette. Tout y est mou et au repos. << Ce soir, je lui fais sa fête à ta biroute ! >> dit Estelle.

Nous arrivons aux Dolmens. Il est rare d'évoluer dans une campagne aussi blanche, immaculée à perte de vue. Même si le brouillard en estompe les limites perceptibles. Nous connaissons bien chaque sentier. Nous longeons le ruisseau. Le crépuscule s'annonce déjà. Il n'est que 16 h15. Nous avons nos lampes frontales dans le sac. Là, sur notre droite, se dessinent les silhouettes à peine visibles des bâtiments du haras. Nous prenons le chemin de droite qui y mène par derrière. 400 mètres.

Nous contournons le grand hangar du manège. Il y a des voitures garées dans la cour. Nous entrons dans notre écurie préférée. La plus ancienne. Il y a des gens au fond de l'allée centrale. Les chevaux, dans leurs box, nous regardent passer. C'est Juliette là-bas, qui bavarde avec des propriétaires de chevaux. Elle nous fait signe de les rejoindre. Nous restons à distance. Nous n'avons pas nos masques sanitaires. Les gens les portent. Nous n'avions pas prévu. Nous avons totalement oublié.

Nous caressons quelque chevaux. Il fait bien meilleur dans les écuries. Juliette raccompagne les gens jusqu'à la grande porte. Elle vient nous rejoindre en retirant son masque de tissus. Nous bavardons. Quel plaisir de nous voir. << Venez, je vous montre quelque chose ! >> dit elle. Nous la suivons jusque dans le local bureau. Le "miroir à pipe" est fixé au mur. Le trou parfaitement rond au milieu rend son apparence troublante. << Regardez de plus près ! >> fait encore Juliette.

Nous nous penchons. << Du foutre sec ! C'est qui ? >> lance Estelle. << Gérard ! Il est venu tirer la "reine" hier soir ! >> répond Juliette. Elle nous raconte la soirée. Ce vieux pervers est venu se faire tailler une pipe. << Le trou dans le mur reste la mesure d'hygiène la plus efficace ! >> lance encore Juliette. Nous en rigolons comme des bossus. Juliette se tourne vers Clémentine pour rajouter : << Il n'arrête d'ailleurs pas de parler de vous. Vous lui manquez. Votre bouche surtout ! >>.

<< Vous restez à dîner ce soir ? Je vous ramène après le repas, avant huit heures ! Et puis on s'en contrefout du couvre feu ! >> propose Juliette. Nous préférons rentrer. Clémentine suggère de se revoir mercredi soir, chez nous, pour partager le repas et la galette. Juliette accepte avec joie. Quelle surprise. Voilà Kim Son et Eveline, les deux jeunes palefreniers. Nous nous présentons nos meilleurs vœux. Eux non plus ne portent pas leurs masques sanitaires. Nous gardons toutefois nos distances.

Juliette leurs donnent les dernières recommandations pour demain. Les chevaux dont il faut s'occuper en priorité. La visite du vétérinaire dans l'après-midi. Nous ne nous attardons pas. Clémentine veut revoir le "miroir à pipe". Elle m'entraîne par la main. Accroupie devant le miroir, elle s'y regarde en scrutant la coulure de foutre sec. Elle renifle. Je me penche pour lui dire : << Viens donc t'amuser un de ces jours. Si Juliette se goinfre le foutre du vieux, tu peux en profiter aussi ! >>.

Nous rejoignons Estelle en pleine conversation avec Juliette et les deux palefreniers. Nous ne nous attardons pas. La nuit est claire. Tout est blanc. Nous restons sur la route. Il faut être prudent parce qu'elle est vraiment glissante. La température a probablement encore chuté. Il est presque 19 h quand nous sommes de retour. Morts de faim. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Estelle nous confectionne une belle omelette.

Nous traînons à table. Nous nous régalons. Il reste un peu de galette avec les boules de glaces. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur notre visite aux écuries. Une fois encore Clémentine nous confie à quel point ce "miroir à pipe" est tentant. Je l'encourage à accepter l'invitation de Juliette. Pourquoi ne pas se sucer ce vieux salaud de retraité. Par le trou dans le mur, quels sont les risques ? Personne là-bas n'a d'autres maladies que le vice et la lubricité. Nous en rigolons comme des bossus.

La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Elles me font tomber dans le canapé. Elles jettent chacune un des épais coussins au sol. << Ce soir, on va te vider les couilles, Julien, tu ne t'en remettras pas ! >> lance Estelle en m'arrachant le jeans. Clémentine réserve le même sort à mon pauvre slip. Le dimanche, nous ne prenons pas de douche. Nous aimons tous les trois macérer dans nos jus. Aussi, les deux coquines hument longuement les effluves "Parmezob" en me décalottant légèrement.

Moi aussi, j'ai envie de bouffer de la moule baveuse ayant trempé dans son bouillon toute la journée. Clémentine, compatissante, m'offre la sienne pendant qu'Estelle se savoure un "nem" au fromage. Il faut ruser dans les positions. Je suis à genoux entre les jambes de Clémentine. Estelle est couchée sur le côté entre le canapé et moi. J'offre à Clémentine une superbe orgasme. J'éjacule dans la bouche de la "reine". Je la force à se redresser. Je la bascule dans le canapé. Je la suce à son tour.

Son orgasme n'a strictement rien à envier à celui de Clémentine qui me taille une pipe des familles dans la même position qu'Estelle. Je lui éjacule dans la bouche. Seconde éjaculation qui m'épuise complètement. Les filles m'entraînent dans l'escalier. Le rituel pisseux, le brossage des dents. Nous voilà au lit. Demain matin Estelle nous laissera immédiatement après l'entraînement. Je suis entre mes deux anges. Nous essayons encore tous les trois de nous accrocher à la réalité avant de sombrer dans le sommeil.

Julien

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NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1390 -



Et voilà, c'est la rentrée universitaire

Hier matin, lundi, au plus profond de nos rêves, il y a le chant de ces oiseaux. Le bruit de cette source qui résonne d'une étrange manière. Nous sommes tous les trois réveillés par cette application téléchargée sur le cube réveil. Nous nous étirons en modulant nos gémissements. Il est presque six heures. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes avec ses fringues à la main. Clémentine et moi nous enfilons nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller pisser.

Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et de brioche. Il en reste toujours le lundi matin. Nous prenons notre petit déjeuner pas vraiment réveillés. Nous mangeons de bon appétit. Estelle trébuche sur des mots ce qui rend ses phrases confuses. Nous en rions beaucoup. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Joggings sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Intensité maximale.

Dès la fin de la gymnastique, Estelle prend son sac de sport, nous fait une bise et cavale dans les escaliers. << A demain soir, soyez sages ! >> lance t-elle en partant. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Nous sortons dans la nuit glaciale. Le froid est intense. Le thermomètre extérieur indique moins quatre degrés. Il est 7 h50. Les cours en lignes commencent à 8 h05. Faut y aller.

Nous rentrons. Estelle avait pour consigne en partant de laisser le portail ouvert. Nous attendons les employés de l'entreprise. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je veux m'installer devant mon chevalet lorsque la musique imbécile de mon smartphone le fait vibrer. C'est monsieur Ledru. Il est dehors. Je mets mon anoraks, je sors. Il y a une camionnette et une voiture.

L'entreprise Ecolisas. Mr Ledru vient superviser la livraison du matériel. Il me présente les deux employés chargés du chantier. C'est un homme et une femme. Chaudement vêtus. Environs la trentaine. Ils se mettent immédiatement à décharger la camionnette. Mr Ledru leurs fait découvrir les lieux. Il donne des recommandations précises. Ma présence n'étant absolument pas indispensable, je les laisse pour rentrer. Mr Ledru passera deux à trois fois par semaine. Je vais au chaud.

Clémentine est concentrée sur l'écran de son ordinateur. Je viens lui faire un rapide bisou. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je commence ce matin le huitième paysage destiné à ma saison d'été. Je peins dans une douce sérénité. Les travaux commencent. Le souhait de Clémentine se réalise. Je me livre à ma passion. Tout est parfait. La matinée se déroule ainsi. Dans cette ambiance studieuse que nous affectionnons.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare un coulis de courgette. Je poêle deux belles escalopes de saumon. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle est heureuse de reprendre les cours. Le tété travail.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Depuis une des deux fenêtres de la salle de bain, nous observons la camionnette garée à côté de la dépendance. Ce qui rend Clémentine encore plus joyeuse. Son projet va prendre forme. Chaque jour davantage. Pressés d'aller prendre l'air, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Bonnets, gants. Nous sortons. Tout est blanc. Tout semble figé. Tout est silencieux. Serrée contre moi, Clémentine nous entraîne vers la rivière.

Le froid est cinglant. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. Il y a une légère brume qui rend toute chose mystérieuse. Un voile jeté sur la campagne gelée. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à retourner. Sous l'abri à bois nous remplissons le grand panier en rotin d'une dizaine de bûches. Nous rentrons. Nous irons voir les travaux ce soir. Nous rentrons. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Déjà concentrée.

Je rajoute deux bûches dans l'âtre. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans cette même sérénité. J'entends Clémentine dans ce qui semble un monologue surréaliste. Elle parle avec des étudiants de son groupe. C'est parfois très animé. L'après-midi se passe ainsi. Il est 17 h, il fait nuit dehors. Clémentine vient me rejoindre. Accroupie sur ma droite, sa main sous ma blouse, elle joue avec ma queue. Elle me confie son impatience d'aller découvrir les premiers travaux.

Elle a encore un peu de lecture à finir. La voilà installée en tailleur dans le vieux canapé, calée entre les coussins. Lorsqu'un passage retient son attention, elle en fait la lecture à haute voix. J'adore peindre en l'écoutant parler. Il est 18 h. Elle ferme son livre. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Nous quittons l'atelier. Nous enfilons nos anoraks. Bonnets, gants. Nous sortons. Nous traversons le jardin. L'endroit est désert. Plus de camionnette. Nous entrons dans la dépendance.

Il y a des planches filmées de plastiques transparents. Des sac de plâtres. Des caisses d'outillage. De grands sacs contenant déjà du vieux torchis arraché des murs. << Ils ont déjà bien bossé ! Regarde un peu ! >> me fait Clémentine en montrant les pierres de taille apparentes. Elles ne sont pas très belles. Ce ne sera donc pas une erreur de les recouvrir de lambris, de planches et de panneaux. Nous parcourons toute la partie basse. L'escalier raide est condamné par une brouette.

Un bruit de voiture au dehors. Nous sortons. C'est Julie ! Elle est toute étonnée de nous voir à l'extérieur. Elle se précipite toute contente. Emmitouflée dans son anorak et sous une chapka. Je prends la grande caisse contenant les repas commandés. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Nous dressons la table au salon. Julie nous raconte son week-end et sa première journée de télé travail, ses livraisons de repas, ses cours en lignes. Elle aussi est contente de retrouver ses études.

Je réchauffe trois des tourtes aux fruits de mer. Clémentine retire les films plastiques sur les salades. Nous retournons dans l'atelier. Julie est pressée de voir ma prochaine toile. Debout devant le chevalet, tous les trois, nous observons. << Je me réjouis pour tenir votre galerie d'Art cet été ! J'y pense tous les jours. Ça me motive ! >> me fait Julie. J'ai la braguette ouverte. Parfois elle y jette un rapide regard. Elle croit le faire sans être vue. J'adore ces attitudes typiquement féminines.

Nous quittons l'atelier presque au même moment que ne résonne la sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous ramenons les plats au salon. Nous mangeons de bon appétit. Ce repas est divin. Le cuisinier du restaurant de l'étang est un vrai Chef. << Il faudra le féliciter ! >> lance Clémentine. Julie évoque ces deux jours qu'elle a passé avec nous, la saint Sylvestre et le jour de l'an. Deux nuits à dormir dans cette grande demeure qui la fascine. Que de bons souvenirs.

<< Et le film ? Tu viendras le regarder avec nous dimanche prochain ? >> demande Clémentine. Je sors ma bite discrètement sous la table. Nous voyons bien à l'attitude de Julie que l'évocation de cette soirée mémorable, ne la laisse pas indifférente. Le "réveillon porno" que nous avons mis en images. << Je peux m'arranger pour venir déjà samedi soir mais avec le couvre feu, je serais obligée de dormir ici ! >> répond Julie. Je dis : << Sur le canapé ouvert, comme la dernière fois ! >>

Julie regarde par en dessous. Mon bras qui bouge doucement et de façon régulière exerce toujours cette même attractivité sur la jeune fille. Elle me fait un timide sourire. Je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction. Julie ne joue pas. Nous l'avons cru longtemps. Non, elle est réellement victime d'une timidité maladive. Ce qui ne l'empêche nullement d'adorer se retrouver dans des situations ambiguës. Je tiens ma bite à sa base. Entre le pouce et l'index. Je bande mou.

Clémentine allonge le bras pour s'en saisir. Julie demande : << Clémentine, tu n'es jamais jalouse quand Julien baise avec Estelle ? >>. Nous restons silencieux. Clémentine finit par répondre : << Tout au début, il y trois ans, si ! Nous nous sommes connues avec Estelle, nous avions quinze ans. Très rapidement elle est devenue ma complice, puis celle de notre couple ! >>. Julie écoute avec attention. Passionnée par ce récit. Elle pose quelques questions précises. Clémentine y répond.

<< J'aimerais bien une telle complicité ! >> fait Julie. Clémentine s'empresse de préciser : << Mais tu en fais déjà partie, tu es devenue une complice ! >>. Julie prend conscience que cet aveux, cette révélation, vont changer sa vie affective. Elle entre ce soir, officiellement, dans le "Club". << Le Club ? >> demande t-elle. Clémentine dit : << Oui, tu auras ta carte de membre du Club des dépravés ! >>. Julie éclate de rire. Nous rigolons tous les trois comme des bossus.

Je me lève une nouvelle fois. Je contourne la table. Je passe derrière Clémentine. Je viens me mettre sur la droite de Julie. Elle a ce réflexe habituel. Elle recule sa tête. Elle sait pourtant n'avoir rien à craindre. Clémentine prend son verre ballon. Elle le place sous ma queue. Je bande mou mais avec l'excitation il y a les premières montées de liquide séminal. Une goutte épaisse, gluante et visqueuse qui finit par se détacher. Elle coule le long de l'intérieur du verre. Laiteuse et paresseuse.

Julie observe en silence. Je lâche un petit jet de pisse. Soigneusement contrôlé. Le foutre y flotte. C'est avec le second jet qu'il se mélange à la pisse chaude. Julie qui a retenu sa respiration en regardant, reprend son souffle. Je dis : << Ça aussi, un de ces jours, il faudra le filmer ! >>. Julie lève les yeux pour m'interroger du regard. Clémentine lui explique : << Au lieu du verre, c'est la bouche à Estelle ! >>. Julie semble consternée. Je rajoute : << Et cela pourrait même être la tienne ! >>.

Julie met son visage dans ses mains. Comme effrayée à l'idée d'être utilisée à de telles fins. Je dis : << Il faudra que tu y goutes, maintenant que tu es membre d'honneur du "Club" ! >>. Julie se met à rire. Peut-être nerveusement. Je me masturbe. Le dernier jet de pisse avant une érection qui ne le permet plus. Je presse sur mon prépuce comme si je voulais en essorer le jus. Et du jus s'écoule. Un long filament qui pend dans la pisse. Clémentine tient le verre à la bonne hauteur.

Elle dit à Julie : << Tiens, prends le ! Interdit d'en mettre la moindre goutte à côté sinon tu as un gage ! >>. Quelle surprise. Julie prend le verre sans hésiter. Certainement trop heureuse d'être ainsi invitée à participer. Elle tourne le verre en l'appuyant contre mon sexe que je contraint vers le bas. De la jute s'écoule. << Julien est hyper juteux ! >> lance Clémentine. << Oui, j'ai vu ça souvent ! >> fait Julie extraordinairement concentrée sur ce qu'elle fait et voit. Superbe.

Je lui présente la queue. Julie a ce charmant réflexe de se reculer. Ma façon de lui offrir mon sexe est comme une invitation à y gouter. Il y a toujours cette hésitation. Il est hors de question de faire du forcing, de mettre cette adorable jeune fille de vingt ans dans un embarras plus conséquent encore. Il est encore moins question de l'importuner. Ce qui ne semble absolument pas être le cas cette fois encore. Je me branle. Il y a de la jute qui s'écoule dans le verre. Presque autant qu'il y a de pisse.

Je regarde les doigts délicats de Julie. De petites mains douces, féminines, harmonieuses dont l'une tient un verre plein de pisse et de foutre. Ce paradoxe participe de notre excitation commune. << C'est génial, non ? >> lance Clémentine. << Oui, c'est super ! >> répond Julie. Je suis hyper excité, en sueur et en admiration. Clémentine se lève pour venir se pencher sur ma droite. Je lui offre ma bite à sucer. Julie mâte à s'en déboîter les globes oculaires. Totalement subjuguée.

Julie, munie de son attestation de sortie, doit impérativement être rentrée pour 22 h30. Nous cessons pour faire la vaisselle. << Je peux venir demain après-midi, juste une heure, je termine à 16 h ! >> demande Julie. Nous la raccompagnons à son auto. Elle revient demain. Nous rentrons au chaud. Au lit, j'offre un sublime cunnilingus à Clémentine. Je la pénètre un peu avant de la terminer par un suçage de clitoris. Elle me suce en m'écoutant lui parler de Julie, de mes émotions.

Bonne soirée à toutes les coquines ravies d'avoir été admises, intronisées, membres d'honneur du Club des dépravés...

Julien

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Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1391 -



Estelle, tout comme Julie, est heureuse de nous rejoindre

Hier matin, mardi, au plus profond de nos rêves se mêlent les enchantements de cette douce application. Le chant des oiseaux et le bruit de la source résonnent étrangement au fond d'une forêt enchantée. Cela ne dure que le temps de nous réveiller pour déjà s'estomper. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Il est presque six heures. Je l'emmène comme une jeune mariée, en la portant, jusqu'aux toilettes. Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend légèrement euphorique.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre délicieux petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la présence de Julie hier soir. Il est presque 6 h25. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos, stretching. Avec une intensité maximale.

La douche. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous descendons rapidement. Nous mettons nos anoraks. Nous sortons dans la nuit glaciale. Il est 7 h50. Nous allons jusqu'à l'abri à bois. Dans le grand panier en rotin nous chargeons une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il faut rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Rapidement concentrée. J'allume un bon feu dans la cheminée.

Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette sorte d'euphorie communiquée par Estelle. Le huitième paysage destiné à ma saison d'été prend forme. D'après une photo prise lors d'une de nos promenades. La matinée se passe dans cette émulation constructive que nous aimons. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Dehors il fait gris, sombre et sinistre.

Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet. La pâte feuilletée a décongelé. J'en étale les deux tiers dans un grand plat à tarte. Je lave, je coupe et je fais cuire deux gros poireaux. Pendant ce temps, je concocte une Béchamel. Clémentine râpe une bonne quantité de gruyère. J'égoutte le poireaux que je rajoute avec le gruyère à la Béchamel. J'en récupère un peu pour accompagner le riz. Je verse la garniture sur la pâte. Clémentine l'étale consciencieusement.

Je recouvre du dernier tiers de pâte. Comme une tourte. Clémentine badigeonne le mélange huile d'olive, œuf et lait de soja sur le dessus. Quelques graines de sésame grillé. Je place au four. Cuisson à 180° pour faire mijoter. La Flamiche Picarde, cette douce tourte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soirs, va cuire doucement. Il n'y aura qu'à réchauffer. Je poêle deux filets de colin. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée, son télé travail.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur l'attitude de Julie hier soir. Ses réflexes face à mes comportements de satyre. L'analyse de Clémentine est toujours très fine. Julie est une délicate petite vicieuse. Sa présence nous enchante. Sa façon d'être, sa réserve, sa timidité. << Sa façon d'observer ta queue, tes masturbations et tes déviances aussi ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. C'est tellement épatant.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. De l'une des deux fenêtres de la salle de bain, nous voyons la camionnette de l'entreprise Ecolisas garée à côté de la dépendance. Les travaux ont cours. Nous n'entendons aucun bruit. C'est parfait. La nature des travaux n'entraîne aucune nuisance sonore. Pressés de sortir, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Les bonnets, les gants. Me tenant par le bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. La campagne est blanche de givre.

Dans le froid vif, il est très agréable de longer la rivière. Les canards cancanent sur l'eau. Accompagnés des colverts et des poules d'eau, ils nous suivent sur les eaux froides. << Regarde ! >> s'écrie Clémentine. De l'autre côté de la rivière, à environs une centaine de mètres, des chevreuils, des biches. Ils ne prêtent aucune attention à nous. Nous restons immobiles à les contempler. C'est magnifique. Nous marchons jusqu'au vieux lavoir. Là-bas, de l'autre côté de la route, les bâtiments du haras.

Nous prenons le sens du retour. C'est très agréable de flâner ainsi sur presque sept kilomètres. Il est 15 h30 quand nous revenons à la maison. Cette fois, nous discernons du bruit en passant à une cinquantaine de mètres de la dépendance. Nous irons regarder ce soir quand les employés seront partis. Nous rentrons avec des bûches. Dans l'atelier, nous les empilons à côté de la cheminée. Clémentine propose d'allumer la cuisinière à bois à la cuisine. Estelle adore. Et puis c'est sympathique.

Nous en profitons pour faire un thé. Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour en extraire le locataire. J'ai la bite molle qui pend langoureusement. << J'adore ! >> me confie Clémentine qui la tient à sa base entre le pouce et l'index. Elle l'agite au rythme de ses paroles. C'est amusant. Elle m'entraîne ainsi pour faire le tour de la grande cuisine. Nous pouvons entendre le craquement du bois dans l'âtre. Je bande mou quand Clémentine s'accroupit pour téter le prépuce.

Je caresse ses cheveux noués en catogan. Je regarde ses lèvres qui, telle une ventouse, sucent juste l'extrémité de la peau fripée. Je lui murmure des douceurs. Je bande de plus en plus fort. Trois coups de sonnette. Clémentine se redresse. Me saisissant par mon érection, elle m'entraîne dans le corridor puis le hall. Elle ouvre la porte de sa main libre. C'est Julie. Il est déjà 16 h30. Le crépuscule arrive en même temps. Julie est impressionnée. D'être accueillie de la sorte à de quoi surprendre.

Elle est toute contente. Elle évite de croiser mon regard et mon sexe. Clémentine me lâche pour la débarrasser de son anorak, de son bonnet et de ses gants. De son petit sac à dos en cuir noir, Julie tire le flacon de gel hydroalcoolique. Nous nous frottons tous les trois les mains en riant. Nous allons dans l'atelier. Je rajoute deux bûches. Avec ce froid, la consommation de bois est à son apogée. Je bande mou. Je tiens mon Zob à sa base pour l'agiter devant Julie tout en parlant peinture.

Nous regardons ma toile en voie d'élaboration. << Je me réjouis pour cet été Julien ! Tenir une galerie d'Art est devenu mon rêve ! >> fait Julie. Je suis debout à sa droite. Je me branle, cambré sur mes genoux fléchis. Clémentine adore lorsque j'ai de telles attitudes devant une fille. Julie ne peut s'empêcher d'observer. D'abord en coin, discrètement, puis de plus en plus franchement. Clémentine passe sa main autour des épaules à Julie. Affectueusement mais sans ambiguïté.

<< Nous adorons ta présence. Elle devient une douce habitude ! >> lui dit Clémentine. << Pour moi, mes visites deviennent presque une douce nécessité ! >> lui fait Julie. Elles sont toutes les deux assises dans le canapé. Julie à ce comportement de petite sœur avec Clémentine, sa grande sœur. C'est tout à fait charmant. Même si Clémentine ne peut répondre aux sentiments amoureux de Julie, elle s'efforce d'être la plus avenante possible. J'apprécie ses attentions.

Debout devant les filles, je me masturbe en fixant Julie. La situation est très excitante. Je marche un peu en me secouant la tige. Je tire sur la peau du prépuce comme sur un chewing-gum. La bite bien droite, fièrement dressée vers le haut, je sors mes couilles. Avec l'étroitesse de la braguette, elles sont garrotées. Bien dodues. Je me rapproche. Les mains sur les hanches, par contractions répétées des muscles fessiers, je fais bouger mon sexe. Julie observe comme hypnotisée.

Clémentine me fait de discrets sourires, me lance quelquefois un clin d'œil. Julie reprend ses livraisons de repas à 18 h30. Elle va devoir s'en aller. << Je me suis arrangée pour samedi soir. Je viens vous rejoindre pour 20 h ! >> nous fait elle en se levant. Nous regarderons donc notre film "Le réveillon porno" tous les quatre. Estelle, Clémentine, Julie et moi. << Que de réjouissances en perspectives ! >> fait Clémentine. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle revient vendredi pour 14 h30.

Clémentine m'entraîne dans la dépendance. Les travaux semblent avancer à une vitesse folle. Pour se chauffer les deux employés utilisent un chauffage au gaz. Il fait encore chaud. Ils ont arraché tout le vieux torchis. Ils ont tout dégagé pour monter le matériel à l'étage. La grande pièce est vide. De grands sacs posés dehors, contenant le torchis, les gravas, attendent d'êtres débarrassés. Un bruit de voiture. Voilà Estelle. Elle vient nous rejoindre pour me sauter au cou. Je la soulève. Plein de bisous.

Nous faisons le tour de la grande pièce vide. Estelle trouve que j'ai attendu bien longtemps avant de rénover enfin cette bâtisse. Nous rentrons au chaud. Pour cause de couvre feu qui débute à 20 h, Estelle passe la nuit avec nous. Ce qui nous réjouis. Une farandole folle dans la grande cuisine lorsque Estelle découvre que nous avons allumé la cuisinière à bois. << J'adore ! >> chante t-elle en imitant la chanson "Louxor" de Philippe Katerine. Elle nous entraîne dans une danse endiablée.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Estelle dresse la table. Je réchauffe la Flamiche Picarde. Je sors ma bite. Estelle, faussement étonnée m'observe en mimant une masturbation masculine. Nous lui racontons les visites de Julie, hier soir et cet après-midi. << Cette petite salope va prendre ma place dans ton cœur, salaud, va ! >> me dit Estelle en saisissant mon Zob. Je réponds : << Aucune inquiétude, tu restes ma préférée ! Tu es tellement salope ! >>.

Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine passe derrière moi pour se frotter à mes fesses. Elle rajoute : << Nous sommes le moteur indéfectible du "Club", tous le reste n'est qu'accessoire et anecdote ! >>. << Vous promettez ? >> demande Estelle d'une voix mutine et espiègle. Je dis : << On promet ! Sans toi, ce n'est tout simplement pas vivable ! >>. Nous éclatons de rire comme des bossus. Je passe ma main entre les cuisses de mes deux anges. Estelle me roule une pelle d'enfer.

La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à table. Estelle fait le service. Je préviens les filles : << J'ai mis la fève de la galette quelque part dans la Flamiche. Il faut donc manger en faisant très attention. Celle qui trouve la fève se retrouve avec ma bite en bouche toute la soirée ! >>. Nous en rigolons comme des fous. Nous mangeons de bon appétit. << C'est moi ! >> s'écrie Estelle en nous montrant la petite bite avec ses couilles en porcelaine de Limoges.

Clémentine se lève pour aller tirer une couronne en papier doré du buffet. Elle en coiffe Estelle en disant : << Blowjob Queen ! >>. Nous applaudissons la Reine de la Pipe. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles évoquent la soirée cinéma qui nous attend samedi. << Il y aura Julie ! >> fait Clémentine. << J'ai commencé le montage hier soir dans ma chambre. Je vous préviens, c'est "chaud". Ça dure presque une heure ! >> dit Estelle.

La vaisselle. << Viens par là, toi, avec ta vilaine queue de vicelard ! >> me fait Estelle en m'entraînant par le Zob au salon. Elle me pousse dans le canapé. Clémentine s'installe en face, dans le fauteuil. Elle glisse une main dans son jeans déboutonné. Elle adore regarder en se masturbant. Estelle jette un des épais coussins au sol. Entre mes pieds. Elle s'y met à genoux. Tout en me donnant ses impressions elle me décalotte légèrement pour humer les odeurs de ma journée d'homme.

Elle se met rapidement à sucer comme si sa vie en dépendait. Je lui caresse la tête. Je regarde Clémentine se masturber. Elle me fait de délicieux sourires. Parfois un clin d'œil. Je me fais tailler une pipe des familles. Ce soir encore, je fais durer plus que de raison. Pour le plus grand plaisir de mes deux anges. Entre deux gémissements de plaisir, Clémentine me lance : << Je veux trouver la fève demain ! >>. Estelle cesse de sucer pour répondre : << Tu trouves la fève tous les jours ! >>.

Il est 22 h quand j'éjacule en sournois, sans prévenir, dans la bouche à Estelle. Elle tente de déglutir sans en perdre la moindre goutte. L'abondance de mon sperme rend tout cela difficile. Clémentine connaît un orgasme délirant. Estelle , qui s'est masturbé tout le long de cette sublime fellation, jouit à son tour. Comme elles sont belles toutes les deux. Nous montons. Le rituel pisseux, le lavage des dents. Au lit, Estelle s'endort la première. Je suis entre mes deux anges. Nous plongeons...

Bonne soirée de retrouvailles à toutes les coquines "Reines de la Pipe" qui aiment trouver la fève et en subir les conséquences...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1392 -



Juliette aussi est toute contente de venir nous voir

Hier matin, mercredi, notre application magique nous offre une fois encore un doux réveil. Le chant des oiseaux, le bruit de la source. Tout cela résonne au plus profond de nos rêves. Estelle serrée contre moi toute la nuit. Clémentine qui vient se blottir. Distribution de bisous dans un état de semi conscience. 5 h55. Estelle se lève d'une bond pour se précipiter aux toilettes. Nous revêtons nos tenues de gym. Elle revient pour s'habiller aussi. C'est à nous d'aller pisser. Nous sommes morts de faim.

Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'agréable odeur de café et de pain grillé. Il y a également celle de la cuisinière à bois. Estelle y a rajouté deux bûches sur les braises. Nous prenons notre petit déjeuner en émergeant doucement. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée. << J'aime sucer ton Zob des soirées entières ! >> murmure Estelle. << Moi j'aime vous regarder faire ! >> chuchote Clémentine. Nous en rions de bon cœur.

Il est presque 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle ne s'attarde pas. Son sac à la main elle dévale les escaliers pour rentrer. << A jeudi soir ! >> lance t-elle. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons. Nous mettons nos anoraks pour affronter la nuit glaciale. Dehors, tout est blanc de givre. Le froid est cinglant.

Serrés forts l'un contre l'autre nous faisons quelques pas. Les arbres, le sol, tout est recouvert d'une fine couche de glace. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il faut rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Déjà prête à affronter son télé travail. J'allume un bon feu dans la cheminée. Dehors le jour se lève enfin. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette.

Je peins dans une sorte d'enthousiasme qui me fait chantonner à voix basse. La peinture de cette huitième toile destinée à ma saison d'été m'accapare bientôt tout à fait. La matinée se déroule dans le calme de la concentration. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. J'épluche des pommes de terre en grande quantité. Pour trois repas.

Je les coupe finement. Je les lave. Je les ébouillante. Je les dispose dans un grand plat à gratin. Clémentine y dépose une grosse couche de gruyère de Comté grossièrement râpé. Je saupoudre de chapelure. Clémentine y dispose onze cerneaux de noix, des graines de sésame grillé avant de recouvrir du mélange, œuf lait de soja, crème fraîche. Je mets au four. Cuisson à 180° pour laisser mijoter longuement. Ce sera notre repas de ce soir avec Juliette et pour demain midi.

J'ai récupéré des patates que je fais rissoler dans le Wok. Comme des chips. Je poêle deux filets de cabillaud blanc. Nous mangeons de bon appétit. Nous entendons le bruit d'une machine à l'extérieur. Nous allons voir. C'est une toupie à béton qui tourne inlassablement. Un des deux employés en déverse le contenu dans une brouette. Nous irons voir ce soir. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa matinée. Passionnante.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. D'ici aussi nous parvient le bruit incessant de la machine. << Que peuvent-ils bien faire ? >> demande Clémentine. Je réponds : << Ce sera un mystère jusqu'à ce soir ! >>. Pressés d'aller faire notre petite balade digestive, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Nous voilà dans le froid vif. Le ciel est bas et gris. Il se mettrait à neiger que cela ne nous étonnerait pas. C'est un climat morose, sinistre et hivernal.

Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne jusqu'à la rivière. Les bords commencent à geler dans les endroits ou l'eau est calme. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. Tout est calme et silencieux. Nous nous arrêtons pour nous faire des bisous, nous chuchoter des secrets. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il est temps de retourner. Nous croisons monsieur Bertrand, notre voisin, qui descend apporter du vieux pain aux canards, aux poules d'eau et aux colverts.

Nous bavardons un peu. << Je viendrai voir les travaux si vous le permettez ! >> nous demande le brave homme. Qu'il fasse à sa guise. Nous nous dépêchons de rentrer. Nous voilà à nouveau dans l'atelier. Clémentine assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Elle me dit : << Il fonctionne super bien le disque dur MacWay que tu m'as offert pour Noël ! >>. Un bisou. Je la laisse à son télé travail. Je m'installe confortablement devant mon chevalet.

Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Je termine cette toile demain avant midi. L'après-midi se passe ainsi, dans la quiétude d'un labeur acharné. Dans l'atelier, aucun bruit extérieur ne vient perturber le silence. Juste le crépitement des flammes dans la cheminée. Il est 17 h quand Clémentine virevolte dans la grande pièce. Telle une ballerine. En chantant : << Terminé ! >>. Elle vient me déposer des bisous en mitraille. Accroupie sur ma droite, sa main sous ma blouse.

Clémentine doit encore se consacrer à la lecture. Un livre concernant ses études. Elle est installée dans le vieux canapé, blottie entre les épais coussins. Quand un passage le mérite, Clémentine en fait la lecture à voix haute. J'adore peindre en l'écoutant. Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. J'ai la bite qui pend de ma braguette. Je viens m'installer aux côtés de Clémentine. Elle s'allonge sur le dos, sa tête sur mes cuisses. Elle referme son livre.

Sa joue contre ma queue, elle reste ainsi, silencieuse. Nous apprécions ces moments de retour à l'inactivité. C'est comme un sas. Soudain, au dessus de nos têtes, un bruit sourd, caverneux. << Bonsoir Christine, ça faisait longtemps. Tu étais aux sports d'hiver ? >> lance Clémentine. Comme pour lui répondre, le fantôme de mon ancienne compagne se manifeste par un second bruit. En tous points semblables. Nous écoutons l'entité errer à l'étage. Des pas rapides. Puis hésitants.

Tout cela ne dure qu'une dizaine de minutes. Il est presque 18 h30. Tout cesse. << Eh ben, elle est bien de retour la bougresse ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine.Clémentine prépare l'assaisonnement de la scarole déjà lavée. Je réchauffe le gratin dans le four. Nous dressons la table à la cuisine car Juliette aussi adore l'ambiance de la grande cuisine de "manoir". Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite pour aller ouvrir.

Elle revient suivie de Juliette. La jeune femme est rayonnante. Vêtue de son habituelle tenue d'écuyère. De son petit sac elle tire le flacon de gel hydroalcoolique. Tous les gens que nous connaissons observent le même rituel. Nous nous frottons tous les trois les mains en riant. J'ai la braguette ouverte mais le sexe bien rangé. Juliette y jette plusieurs coups d'œil en nous racontant sa journée. Un travail harassant avec les 87 chevaux en pension jusqu'au printemps. Elle parcours la grande cuisine en parlant.

Juliette aime prendre des poses lascives tout en discutant. Son corps sculptural s'y prête tellement bien. Une fois encore son pantalon d'écuyère épouse ses formes comme le ferait un leggings. La couture de son pantalon divise sa vulve en deux parties bien visibles. Les lèvres de son sexe forment deux petites bosses évocatrices. Je lui fais comprendre à quel point j'apprécie. Je n'arrête pas de fixer son entre jambes. Elle y prend visiblement un grand plaisir. Elle a apporté la galette.

Clémentine à qui rien n'échappe, me fait de discrets clins d'œil. La sonnerie du four. Je sors le plat à gratin fumant. A la poêle j'ai fait rissoler des filets de saumon. En fin de cuisson j'y rajoute un petit pot de crème fraîche. << Je m'en lèche les babines ! >> lance Juliette. << Lesquelles ? >> demande Clémentine. Juliette passe sa main entre ses cuisses pour répondre : << Les quatre ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit.

Nous rions beaucoup des dernières anecdotes du haras. Juliette nous raconte la visite de Gérard comme tous les mardis soirs. << Il vient m'offrir sa queue qui rapetisse encore un peu chaque semaine ! >> confie Juliette. Elle nous raconte les visites du jeune vétérinaire. << Celui-la non plus ne vient pas seulement pour les chevaux ! >> précise Juliette. Nous en rigolons comme des bossus. Ce soir encore Juliette a les yeux pétillants de malice. Comme elle est belle, attractive et salope.

Sous la table, trop excité par ses histoires salaces, je sors ma bite. Ce qui n'échappe ni à Clémentine ni à Juliette. Surtout lorsque je pose ma fourchette pour me branler doucement. Nous adorons ces ambiances bien vicelardes. Juliette qui est une membre du "Club", peut-être même sa "présidente", se lève. Sa main entre ses cuisses, elle se masse la vulve. << Excitant n'est-ce pas ! >> lui fait Clémentine. << Très ! >> répond Juliette qui se rassoit. Elle vient de se réajuster la chatte.

Je me lève à mon tour pour agiter mon érection dans sa direction. << Et vous Clémentine ? >> lance Juliette. Clémentine mime une fellation en disant : << Moi, ce sera tout à l'heure, au lit ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je contourne la table. Debout à la droite de Juliette, je me branle à faible distance de son assiette. Elle tourne la tête, lève ses yeux d'un bleu si clair pour me fixer d'un air sévère. Je lui présente ma queue. Elle dit : << Je m'en suis sucée deux cette semaine ! >>.

<< Oui, mais celle de Gérard ne compte plus vraiment ! Si ? >> fait Clémentine. << Détrompez vous, chaque semaine elle devient plus gouteuse. J'en sirote les sucs avec délices ! >> lance Juliette en se levant une nouvelle fois. La main entre ses cuisses à se palper vulgairement. Je dis : << Juliette, vous êtes la plus exquise des bourgeoises. La salope ultime ! >>. Juliette répond : << Merci du compliment ! Vous savez, c'est naturel. Je ne fais aucun effort ! >>.

Nous en rigolons tous les trois comme des bossus. Cette complicité qui dure depuis plus de trois ans nous émerveille à chaque fois. Clémentine dit : << On se fait une soirée masturbation un de ces jours. Tous les trois. Livrés à nos occupations préférées ! >>. Juliette, cambrée sur ses genoux fléchis, imprime à son poignet un mouvement régulier. Elle appuie sur sa vulve comme elle le ferait sur une poire en caoutchouc. << Volontiers, avec plaisir ! >> répond t-elle.

<< Il faut que je cesse, sinon la soirée masturbation commence de suite. Et, en parfaits cérébraux, tous les trois, il est préférable de se conditionner quelques jours avant ! Que diriez vous de ce vendredi soir ? >> lance Juliette. Nous nous regardons en silence. Clémentine dit : << On vous fait un mail demain matin ! >>. La vaisselle. Clémentine plonge. Juliette et moi nous essuyons. Juliette me croise en touchant mon bras du sien à chaque fois. Elle me fixe de ses yeux libidineux.

Cette jeune femme a un regard tellement expressif qu'elle peut y faire passer tous les messages. J'en suis toujours troublé. Cette femme est troublante. Elle porte ses 43 ans avec une telle attractivité et si terriblement sexy. Je n'hésite plus. Je glisse ma main entre ses cuisses. Je suis derrière elle. Mon bras qui la contourne. Cela ne fait pas très longtemps qu'elle se laisse toucher ainsi. Avec une telle vulgarité. Cela étonne même Clémentine. Juliette se cambre sur ses genoux fléchis.

Son torchon à la main, elle m'offre ainsi la meilleure accessibilité. << Un jour, Julien, il faudra quand même qu'on baise ! Avec l'autorisation de Clémentine bien sûr ! >> lance Juliette. Clémentine tourne la tête pour la regarder en silence. Nous attendons une réponse qui ne vient pas. C'est un interdit que Clémentine ne semble pas près de lever. Son silence en dit suffisamment. Je palpe cette vulve caoutchouteuse avec une vulgarité extrême. Juliette se laisse faire. Elle me fait un sourire.

Juliette, en tant que directrice d'entreprise, la sienne, a une attestation de sortie malgré le couvre feu. Mais elle doit être de retour à 22 h30. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture dans le froid d'une nuit glaciale. Nous promettons de réfléchir à son invitation. La soirée masturbation de vendredi. << On tire les rois avant ! >> précise Juliette. Je dis : << Je tirerais volontiers la Reine ! >>. Clémentine me pince les fesses. Nous rentrons nous mettre au chaud. Au lit.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment la compagnie d'une sublime bourgeoise éminemment salope et vicelarde...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1393 -



Retour au calme avec Estelle

Hier matin, jeudi, réveillés par cette délicate application, nous revenons à la réalité avec le chant de ces oiseaux et le bruit de cette source. Tout cela résonne d'abord au plus profond de nos rêves. Clément vient se blottir tout contre moi. Il est presque six heures. Nous nous levons encore un peu endormis pour nous rendre aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la soirée avec Juliette, hier. << De plus en plus salope ! >> fait Clémentine. Je réponds : << De plus en plus perverse ! >>. Nous en rions de bon cœur. Il est presque 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Dans une intensité maximale.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons pour enfiler nos anoraks. Nous sortons. Il est 7 h50. Il fait encore nuit. La température extérieure est de moins quatre degrés. Tout est blanc de givre. Le froid pique nos oreilles, nos mains, malgré les bonnets et les gants. Nous allons remplir le grand panier en rotin de bûches sous l'abri à bois. Nous nous dépêchons de rentrer.

Nous voilà dans l'atelier. Nous empilons rapidement les bûches avec les autres à côté de la cheminée. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Les cours en ligne commencent à l'instant car il est 8 h05. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans une profonde sérénité. La matinée se passe dans ce climat d'émulation créatrice que nous apprécions tant. Il est 11 h45 quand je termine mon paysage.

Je mets deux bûches dans l'âtre. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une pâte à pain. Je concocte une garniture. Tomates fraîches, ail, oignons, champignons. J'égoutte les coquillettes. Clémentine râpe du Parmesan. Je poêle des queues de crevettes. C'est très rapide. Un repas simple mais rudement bon. Nous mangeons de bon appétit.

La pâte repose sous un linge dans un saladier. La garniture repose sous un couvercle dans une casserole. J'en ai récupéré un peu en accompagnement de nos coquillettes. Le nécessaire pour nos pizzas de ce soir est prêt. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa matinée, ses cours. Elle revient sur la présence de Juliette hier soir. Nous sommes invités à une soirée masturbation demain, vendredi, en soirée.

<< C'est le seul soir où nous pourrions êtres seuls tous les deux ! >> fait Clémentine. Je ne sais quoi répondre. Je me fie entièrement à son avis. Je dis : << De toute manière, avec le couvre feu, il nous faudra êtres de retour pour 20 h. Nous passerons notre soirée juste toi et moi ! >>. Clémentine me couvre le visage de bisou. << C'est vrai ! J'avais oublié ce put-hein de couvre feu à la con ! >> lance Clémentine. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents.

D'une des deux fenêtres de la salle de bain, nous voyons la camionnette de l'entreprise. Les deux employés sont probablement affairés. Aujourd'hui, aucun bruit de machine. Nous redescendons. Nous allons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Elle fait le message pour Juliette. Ce mail qui confirme notre venue demain soir à 18 h30. Nous emmènerons la galette. Il en reste deux au congélateur. Nous mettons nos anoraks, bonnets et gants.

Le froid est vif. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Il y a nos traces de pas dans le givre. Il fait sombre. Le ciel est bas et lourd. Il y a même quelques rares flocons de neige. Clémentine évoque nos rapports avec Juliette. << Je ne veux pas que tu baises avec cette femme. Elle est amoureuse de toi. Par contre, comporte toi en vrai salaud. Fais la sucer ta queue comme un vrai pervers ! >> me dit elle. Nous en rions de bon cœur tout en marchant.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il est temps de remonter le chemin. Il y a monsieur Ledru, le patron de l'entreprise Ecolisas qui vient d'arriver. Il sort de sa voiture. Nous nous saluons en gardant nos distances. Mr Ledru nous informe que lundi matin nous serons incommodés par le bruit du camion toupie. Il sera coulée une dalle de béton sur un vide sanitaire de 50 cm. Il nous invite à le suivre. Nous entrons dans la dépendance. Les deux employés travaillent.

Nous avons l'explication. Voilà à quoi servait la confection du ciment, hier. Il y a de petits piliers de bétons disposés dans la grande pièce que recouvrent des treillis de fer. Cela servira de support à la dalle de béton. Clémentine nous laisse. Elle doit y aller. Monsieur Ledru m'explique la suite des travaux. Une fois la dalle posée, les murs intérieurs seront recouverts d'un crépis. Il sera laissé un espace de 20 cm entre eux et des plaques de plâtre de type BA13. Parfait.

Il sera insufflée de la fibre de cellulose car c'est le tout meilleur isolant qui existe. Je découvre la qualité des travaux déjà réalisés. J'imagine sans peine la qualité de ceux qui vont suivre. Je laisse Mr Ledru à ses employés pour rentrer. Je rejoins Clémentine dans l'atelier. Je lui fais un rapide bisou dans la nuque. Je m'installe devant mon chevalet. Je commence cet après-midi la première nature morte de ma saison d'été. La neuvième toile d'une série que j'estime à 25 pièces.

L'après-midi se déroule ainsi, dans cette ambiance studieuse que nous aimons tant. Il est 17 h quand Clémentine virevolte dans toute la grande pièce en chantant : << Fini de chez fini ! >>. Accroupie à ma droite, sa main sous ma blouse, elle joue avec mon Zob en observant ma peinture. Clémentine a encore une bonne heure de lecture. La voilà confortablement installée en tailleur dans le vieux canapé. Entourée des épais coussins. Elle lit des passages à voix haute. J'adore ça.

Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je viens me vautrer à côté de Clémentine. Elle ferme son livre pour s'allonger sur le dos. Sa tête sur mes cuisses. Sa joue tout contre ma bite. Je lui caresse les cheveux. Elle me parle des travaux. Les choses avancent. Tout sera probablement terminé avant la mi février. Soudain, au dessus de nos têtes, un bruit sourd. Comme venu des profondeurs de l'enfer. << Bonsoir Christine ! >> fait Clémentine.

Comme pour lui répondre, il y a un second bruit. Identique. Nous écoutons le fantôme de mon ancienne compagne errer à l'étage. C'est comme si quelqu'un se déplaçait rapidement. Il y a un claquement de porte. Ce soir, tout cela ne dure que quelques minutes. Nous reprenons notre conversation concernant les travaux. Clémentine est impatiente de voir à quoi ressemblera l'ensemble. Elle a fait tous les plans de l'aménagement intérieur. Que du bois. Comme dans un chalet.

Il est presque 18 h30. Un autre bruit. Beaucoup plus "normal" celui-là car causé par un humain. Estelle entre dans l'atelier comme un ouragan. Elle se précipite pour nous faire la bise. Clémentine se redresse. Assise à ma gauche. Estelle assise à ma droite. Elles sont toutes les deux en contact toute la journée puisqu'elles font partie du même groupe d'étudiants. Toutes les deux inséparables depuis leurs quinze ans. J'aime entendre leurs anecdotes concernant les cours, les profs.

Estelle, tout en parlant, joue avec ma queue qu'elle tord dans tous les sens. Surtout vers le bas pour contraindre mon début d'érection. La coquine. Elle sait que c'est presque douloureux. La faim devient cruelle. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Avec ce froid, nous allumons la cuisinière à bois le matin. Le four ne se contrôle pas comme un four électrique. Mais les aliments cuits au bois sont tellement meilleurs. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la laitue déjà lavée à midi.

Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. Je viens glisser mes mains entre les cuisses d'Estelle, par derrière. Je fais pareil à Clémentine. Comme elles ont toutes les deux les mains occupées, elles ne peuvent que subir mes douces caresses. << Salaud ! >> me fait Estelle en se cambrant sur ses genoux fléchis. Pour me permettre un meilleur accès. Les pizzas sont au four. Nous dressons la table. Estelle me choppe la bite pour m'attirer contre elle. Elle m'embrasse.

Clémentine vient se serrer contre moi, dans mon dos. Je suis pris en sandwich entre mes deux anges. Nous restons ainsi à savourer l'instant. C'est tellement bien tous les trois. Je me tourne pour embrasser Clémentine. C'est Estelle qui se frotte contre mes fesses. Je leurs propose à toutes les deux un bon léchage de minous après le repas. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Estelle nous entraîne dans une farandole dans toute la cuisine. Nous tournons autour de la table.

C'est merveilleux. << Je voudrai que le temps s'arrête ! >> fait soudain Estelle en stoppant. Un air grave. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine en se serrant contre moi. << Parce que ça ne pourra jamais être plus beau ! >> lance encore Estelle. << Jamais ! >> dit Clémentine. Pour quitter cette soudaine gravité, cette cruelle prise de conscience, je glisse mes mains dans les culottes. Comme par gratitude, les filles se saisissent de mes poignets pour s'y accrocher.

J'embrasse l'une. J'embrasse l'autre. Nous oublions tout ce qui nous entoure. Je démêle les poils, je tente de descendre mes index jusqu'à leurs vulves. C'est chaud. C'est moite. J'ai l'envie folle d'aller fourrer ma bouche dans ces endroits humides. Il n'y a pas de sonnerie dans le four à bois. Il faut donc souvent vérifier la cuisson. Nous sommes tous les trois accroupis à regarder. Le dessus des pizzas est en ébullition. Heureusement que nous venons de contrôler. C'est à point.

<< Ne va pas te brûler la bite ! >> me fait Estelle qui s'empare des maniques pour sortir les trois grosses pizzas. Clémentine enfourne celles pour demain. Il n'y aura qu'à réchauffer. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle aimerait bien nous accompagner à la soirée masturbation chez Juliette demain soir. Mais ses parents aiment bien la compagnie de leur fille unique. << Et je termine le montage de notre film pour la soirée cinéma de samedi ! >> dit Estelle.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le vague programme du week-end qui nous attend. Un week-end qui s'annonce affriolant. << Je vais être salope, Julien, tu as intérêt à rester sur tes gardes ! >> lance Estelle. << Moi, je vais me comporter en vraie dépravée ! >> rajoute Clémentine. Je dis : << Me voilà prévenu. Je n'aurai d'autres solutions que d'être le dernier des salauds ! >>. Nous éclatons de rire. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon.

Leurs jeans et leurs culottes jetées n'importe où, les deux coquines, vautrées dans le canapé, m'offrent leurs chattes. A genoux sur les épais coussins, je passe de l'une à l'autre. Mon visage entre leurs cuisses je prends mon dessert dans un concert de gémissements. Lorsque je les lèche, elles stimulent leurs clitoris. Lorsque je suce leurs clitoris, elles me tiennent par les oreilles. Parfois, elles échangent leurs impressions. J'adore être le jouet de leurs plaisirs. Nous adorons les jeux de bouches.

Estelle est toujours la première à m'attirer sur elle. Je la pénètre délicatement. D'un coup de reins elle achève de s'enfiler toute ma queue. Je la baise à la hussarde. Comme elle aime. Je pratique la "machine à coudre" pendant que Clémentine se masturbe. Ce soir encore, Estelle n'arrive pas à réfréner son orgasme bien longtemps. Je passe à Clémentine. Orgasme fou. Pour cause de couvre feu, Estelle reste avec nous. Au lit, entre mes deux anges, nous échangeons nos dernières émotions.

Bonne soirée à toutes les coquines dont le cunnilingus constitue le dessert le plus gouteux avant la pénétration la plus délicate...

Julien

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1394 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, depuis le plus profond de nos sommeils surgissent le chant d'oiseaux mystérieux et le bruit d'une source. Cette application extraordinaire, téléchargée sur notre cube réveil, nous réveille une fois encore avec tant de douceur. Il est presque six heures. Estelle est restée serrée contre moi toute la nuit. Elle s'arrache à mon corps avec un gémissement pour se précipiter aux toilettes, ses vêtements de sport à la main. Clémentine et moi nous nous habillons.

C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Déjà l'odeur du café, du pain grillé et de la cuisinière à bois. Estelle vient de rajouter deux bûches sur les braises. Nous prenons notre petit déjeuner encore un peu vaseux. Nous mangeons de bon appétit. Les filles reviennent sur nos folies de hier soir. Ces cunnilingus généreux que j'aime à distribuer à mes deux anges. C'est si agréable.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos pour terminer par le stretching. Il est 7 h30. Estelle s'empare de son sac, sans même se changer, elle file après deux bisous. << A demain, 14 h ! >> lance t-elle. Nous prenons notre douche. Nous revêtons nos jeans, nos chemises à carreaux. Nous descendons pour mettre nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Nous sortons dans la nuit glaciale.

Il est 7 h50. Le froid pique les oreilles sous la laine. Tout est blanc de givre. Une gangue de glace sur les branches des arbres nus dont les silhouettes fantomatiques se détachent sur la nuit. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Le vendredi, Clémentine termine à midi. Ce qui a tendance à la rendre plutôt déconneuse. Il faut rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Déjà plongée dans son télé travail.

J'allume un bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans cette sorte d'euphorie communiquée par Clémentine. La peinture de ma neuvième toile destinée à ma saison d'été, m'absorbe rapidement. Une nature morte aux perles. La matinée se passe dans cette ambiance studieuse que nous aimons. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre en sautillant tout autour de moi : << Week-end ! >> chante t-elle.

Elle met deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare la salade. Je n'ai qu'à réchauffer les deux grandes pizzas de hier et de mettre la table. Tout est rapide. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et en riant beaucoup. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le très vague programme du week-end. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns.

Par une des fenêtres de la salle de bain, nous voyons la camionnette de l'entreprise Ecolisas. Les deux employés sont entrain d'assembler une sorte d'échafaudage. Un chariot tout en hauteur. Pressés d'aller marcher un peu, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons anoraks, bonnets et gants. Le froid semble encore s'être accentué. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Nous observons l'échafaudage. C'est la jeune femme qui est montée dessus.

Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. La couche de givre qui recouvre toute chose s'est encore épaissit. Aux endroits où les eaux sont calmes, la glace gagne leurs surfaces. Cela fait de nombreuses années qu'il n'a pas fait aussi froid. Nous nous arrêtons souvent pour nous blottir l'un contre l'autre. C'est bon de se réchauffer en nous embrassant. << Je t'aime et je suis folle amoureuse de toi ! >> me confie Clémentine. Je lui couvre le visage de bisous.

Nous prenons le sens du retour. Nous flânons en remontant le chemin. Les deux employés ont disparu. Il n'y a plus de camionnette. Nous allons voir le chantier. Tout est préparé pour lundi. Les treillis de fer posés sur les planches du coffrage. Il n'y a plus qu'à couler la chape de béton. C'est impressionnant de voir les pierres de taille à nues sur les murs. Il fait encore chaud car les deux employés chauffent le chantier au gaz. Clémentine est toute heureuse car les choses s'annoncent parfaites.

Il est un peu plus de 14 h. Le bruit d'une voiture. Nous sortons. C'est Julie toute étonnée de nous voir sortir de la dépendance. Nous l'invitons à venir voir à l'intérieur. Clémentine lui explique l'enchaînement des travaux. Nous traversons le jardin pour rentrer. Nous retirons nos anoraks, nos bonnets et nos gants. Julie tire le flacon de gel hydroalcoolique de son petit sac à dos en cuir. Le rituel habituel. Nous nous frottons tous les trois les mains en riant. << Des gerçures ! >> lance Julie.

Elle nous montre ses doigts. En effet il y a des rougeurs. << C'est cette saloperie ! >> dit elle. Nous allons dans l'atelier. Clémentine a encore un travail de classement. J'ouvre discrètement ma braguette avant de mettre ma blouse. Je m'installe devant mon chevalet. Julie vient s'assoir à ma droite. Elle adore me regarder peindre. Tout en maniant mes pinceaux, je lui explique ce que je fais. Ce qui vient enrichir son argumentaire lorsqu'elle tiendra ma galerie d'Art cet été.

Nous entendons Clémentine chantonner en classant ses documents. Julie est silencieuse. Elle écoute, observe. Je bande mou. C'est très excitant de savoir ma queue à l'air. Je contracte mes muscles fessiers afin de la faire bouger. La présence de la jeune fille provoque doucement mon érection. Pas mes contractions, je fais bouger mon sexe. Julie peut regarder cette bosse sur ma blouse. Cette bosse qui bouge comme s'il y avait un animal sous le tissu. J'adore. Elle aussi...

Clémentine commente parfois ce qu'elle fait. Julie louche plus souvent sur cette bosse qui bouge toute seule que sur la toile. Je demande : << Qu'en pensez-vous Julie ? >>. Je tourne la tête pour surprendre son regard braqué sur la bosse. << Elle détourne rapidement les yeux, toute gênée pour répondre : << C'est beau ! >>. Je continue : << Quoi donc ? >>. Elle met son visage dans ses mains pour rire timidement. Clémentine, intriguée mais se doutant, vient nous rejoindre.

Elle comprend immédiatement en voyant s'agiter ma queue sous la blouse. La venue de Clémentine calme cette légère tension qui envahit Julie. C'est adorable. Clémentine s'accroupit sur ma gauche. Elle glisse sa main sous ma blouse pour saisir ma turgescence à pleine main. Julie, toute gênée se lève. Je lui dis : << Donnez moi donc vos impressions quand à cette peinture ! >>. Julie, qui ne peut s'empêcher d'observer ce que fait Clémentine, se rassoit. Elle reste silencieuse.

Ce n'est qu'au bout de quelques instants qu'elle évoque son impatience d'être déjà au mois de juillet. De pouvoir revivre les joies de la Galerie d'Art. Je dis : << Cette année, j'augmente votre pourcentage Julie. Vous me faites du si bon travail ! >>. Julie reste silencieuse. Elle m'adresse un merveilleux sourire. Clémentine vient de lâcher ma bite pour se redresser. Il est presque 16 h30. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Julie ne cesse de tout regarder. D'assimiler le maximum de choses.

Vivre la création d'une œuvre d'art permet d'en expliquer le déroulement. Ce qui s'intègre déjà à l'argumentaire que Julie prépare pour cet été. Je retire ma blouse. Julie découvre mon sexe. Je bande mou. Il pend lascivement de ma braguette. Elle détourne les yeux pudiquement. J'adore cette attitude toute féminine. Autant qu'elle adore cette situation. Nous prenons le thé au jasmin en grignotant les petits gâteaux secs. Julie et Clémentine évoquent leurs études respectives. J'écoute.

Julie est assise dans le fauteuil à bascule. Clémentine est tout contre moi dans le canapé. Le crépuscule fait place à la nuit. Julie nous confie aimer l'ambiance qui règne dans notre grande demeure. Le crépitement de la cheminée ponctue chacune de ses phrases. << Il y a du mystère partout. Surtout à la tombée de la nuit. C'est comme dans un film ! >> précise Julie. Clémentine lui rappelle qu'elle est invitée demain soir à notre "soirée cinéma". Le visionnage de "Réveillon Porno".

Julie doit reprendre les livraisons des repas pour 18 h30. Nous la raccompagnons dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. Elle s'est débrouillée pour se libérer à 20 h demain. Elle sera là pour pour 20 h30. Nous la regardons partir. Nous rentrons au chaud. Nous montons nous changer. Jeans et chemises propres. Nous récupérons la galette qui a décongelé. Nous sortons la voiture du garage. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma braguette. Il est 18 h30.

Nous garons l'auto dans la cour du haras. Presque immédiatement Juliette sort de l'ancienne écurie pour venir nous accueillir. Elle est vêtue de sa tenue d'écuyère sous son lourd manteau noir. Nous la suivons pour monter dans ses appartements. Ça fait quelques mois que nous n'étions plus venus ici. Rien n'a changé. Un intérieur très bourgeois, à l'image de la propriétaire. Nous nous frottons les mains au gel hydroalcoolique. C'est là aussi ce rituel imbécile mais rassurant.

Nous sommes invités à nous installer dans le canapé. Sur la petite table basse, des toasts. Des chips. Des petits gâteaux salés. C'est génial d'avoir prévu ce style de repas. Peu de préparations. Juliette s'absente quelques minutes. Elle revient vêtue d'une jupe de satin noir et luisante. Un chemisier rouge en satin tout aussi luisant. Des souliers noirs à talons hauts. Elle est absolument sublime. Elle s'installe en face de nous dans un des deux fauteuils. Nous dégustons les victuailles en parlant.

Tout en bavardant, Juliette, assise bien droite, écarte imperceptiblement ses cuisses. C'est très subtil. Cette superbe bourgeoise de 43 ans a de l'expérience. Le moindre de ses gestes, de ses mouvements, semble nous êtres destinés. Clémentine me fait du pied. Je regarde avec attention sous la jupe de Juliette. La lumière tamisée du salon ne permet pas de distinguer quoi que ce soit. Juliette écarte davantage encore. Je bande comme le dernier des salauds. Je sors ma queue.

Clémentine déboutonne son jeans. Juliette passe sa main entre ses cuisses. Tous les trois, soudain silencieux, nous nous observons. Cette "soirée masturbation" tant attendue commence dans un véritable tourbillon des sens. Nous nous masturbons tous les trois. Le bonheur se lit sur le visage de Juliette. Clémentine se penche sur le côté pour sucer mon sexe. Juliette se penche en avant sans cesser de se branler. Elle pousse soudain un gémissement. Excitée par ce spectacle. Je l'observe.

Nous nous fixons sans baisser nos yeux. C'est d'abord troublant puis très excitant. Nous entendons le bruit bulleux d'une pipe de qualité. Clémentine est couchée sur le côté, sa tête contre mon ventre. C'est une véritable pipe des familles. Elle se touche en gémissant, ma bite dans la bouche. Juliette m'observe fixement. Son regard presque sévère. Immobile, il y a juste son bras qui bouge doucement. Je pourrais éjaculer tellement le moment est intense. L'ambiance est lourde.

Le couvre feu débute à 20 h. Il est impossible s'attarder longtemps. Nous cessons pour déguster la galette. Je dis : << Celle qui a la fève sera la reine de la pipe ! Si c'est moi, je serais le roi des vicelards ! >>. Juliette éclate de rire en disant : << Mais vous l'êtes déjà Julien ! >>. Nous en rigolons tous les trois comme des bossus. C'est Clémentine qui trouve la fève. Une petit personnage médiéval en porcelaine. << J'imagine ce qui va se passer ce soir chez vous ! >> lance Juliette.

Nous en rions de bon cœur. Juliette nous raccompagne jusqu'au bas de l'escalier. Il fait bien trop froid pour qu'elle sorte ainsi vêtue. Nous nous promettons d'approfondir la prochaine soirée masturbation. << C'est trop bien et ça me rajeunit ! >> fait Juliette. Nous nous saluons. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en me donnant ses impressions. << J'adore ces soirées Julien ! Je découvre avec joie que cette salope peut se limiter à ça elle aussi ! >> me dit elle.

Nous avons déjà passé quelques soirées dans d'authentiques partouzes à plusieurs dans le haras à Juliette. Nous connaissons son comportement. Quelque soit la situation, cette jeune femme contrôle toujours ses attitudes. C'est génial de se maîtriser jusque dans les situations extrêmes. Il est exactement 20 h quand nous arrivons à la maison. Clémentine m'entraîne par la main. Nos rituels pisseux. Nous montons. Nous nous lavons les dents en faisant les pitres devant le miroir.

Au lit, j'offre à Clémentine une alternance de cunnilingus et de pénétrations. Elle me confie ses émotions, ses ressentis tout en jouissant à en être enivrée de plaisir. Les séquences où elle me taille une pipe me permettent de lui confier mes impressions. Nous nous réjouissons pour ce qui nous attend ce week-end. L'orgasme à Clémentine est "nucléaire". C'est Nagasaki. Tout son corps en tremble longuement. Les frissons semblent ne plus cesser. Je lui éjacule dans la bouche.

Bonne soirée à grignoter des toasts tout en se masturbant à toutes les coquines qui aiment la galette des rois...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1395 -



Un samedi des plus agréables

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par de légers froissements des draps. La couette bouge presque imperceptiblement. Clémentine sait quand je me réveille. Aussi elle cesse de se masturber pour venir se blottir contre moi. << J'ai fait un rêve cochon ! >> susurre t-elle à mon oreille. Je chuchote : << Tu me le racontes devant de bonnes tartines de miel ! Viens ! >>. Il est presque 8 h. Je l'entraîne par la main aux toilettes. Nos rituels pisseux du matin.

Morts de faim, vêtus de nos de tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je mets deux bûches sur les braises de la cuisinière à bois. Je presse nos dernières oranges. Je pèle nos derniers kiwis. Nous prenons notre solide petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. Un inconnu dans un autobus venu s'assoir à ses côtés. Qui glisse sa main entre ses cuisses. Elle change de place. Il revient et recommence.

Nous en rions de bon cœur. Surtout que les rêves de Clémentine tournent toujours au surréalisme le plus délirant. Le jour se lève. Clémentine suggère un jogging. A condition de rester sur le bord de la route. En faisant très attention car tout est glissant de givre. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons. Il fait trop froid. << Viens, tant pis, on monte s'entraîner ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la main dans les escaliers. C'est bien aussi.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. La douche. Nous nous habillons. Il est dix heures. Nous dévalons les escaliers pour aller réceptionner nos livraisons. A peine sommes nous dans le hall qu'arrive la camionnette. C'est la même jeune femme. Elle porte son masque sanitaire. Du hayon arrière elle tire deux gros cageots. Nous lui rendons les anciens que nous avons empilé sous l'abri à bois. Deux cageots qui contiennent nos fruits, légumes et produits frais.

Même commande pour samedi prochain. Voilà madame Marthe la boulangère. Elle porte son masque sanitaire descendu sur le menton. Cela nous amuse toujours beaucoup. Elle nous tend les grands sachets. Ceux qui contiennent chacun une grosse miche de pain complet et bio. Celui qui contient notre brioche au pudding. Même commande pour samedi prochain. Nous rentrons avec nos achats. Nous rangeons les fruits, les légumes à la cave, dans le cellier. Une miche au congélateur.

Nous remontons pour ranger les œufs, les yaourts, les petits pots de crème fraîche, les fromages et le beurre au réfrigérateur. Aujourd'hui, la brioche est énorme. Nous en raffolons. Il est 10 h30. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets et nos gants. Le froid est vif. Le thermomètre extérieur indique moins cinq degrés. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Nous n'arrêtons pas de nous serrer fort, de nous faire plein de bisous. Le ciel est bas et gris.

Clémentine revient sur notre soirée de hier chez Juliette. Une séance de masturbation à trois. Avec cette crise sanitaire, nombreux sont ceux qui ont révisé et adapté leurs façon d'aborder la sexualité. Nous avons toujours été adeptes des masturbations communes. Nous observer, nous sourire, échanger nos impressions en nous masturbant l'un en face de l'autre. C'est la première fois que nous pratiquons vraiment avec Juliette. Elle aussi a adapté ses pulsions de mante religieuse.

Nous longeons la rivière. Cet après-midi, avec Estelle, nous envisageons une bonne randonnée. Le climat s'y prête. Le froid vif, l'absence de vent, une campagne blanche et gelée. Chaudement vêtus, c'est un vrai plaisir. Nous prenons le chemin du retour. Sur le bord des eaux calmes, la glace gagne tous les jours en surface et en densité. Clémentine m'entraîne dans la dépendance. Nous allons voir les travaux déjà réalisés. << Ils n'ont pas chômé à deux ! >> fait Clémentine.

Une fois le "gros œuvre" terminé, l'aménagement pourra commencer. C'est cette phase des travaux que nous attendons avec impatience. Nous quittons la bâtisse froide pour rentrer au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules à peine décongelées. Dans le wok je jette les haricots verts et les petits pois décongelés. Nous dressons la table. Il fait bien chaud dans la cuisine avec la cuisinière à bois. Nous faisons nos cuissons dessus.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la soirée masturbation de hier soir. << Un excellent prélude à celle qui nous attend ce soir ! >> fait elle. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. << Coucou, les gens ! >>. C'est la voix d'Estelle qui monte l'escalier à toute vitesse en tenant son grand sac de sport. Elle nous fait plein de bisous.

Nous sommes tellement contents d'êtres à nouveau ensemble tous les trois. "Les trois Mousquetaires" du vice, comme se plaît à nous appeler Estelle. << Nous sommes le seul couple de trois au monde ! >> lance t-elle avant de se blottir contre moi. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. Je la promène ainsi dans toute la grande salle de bain. C'est le rituel. J'administre le même traitement à Clémentine. Il est à peine 13 h30. Estelle tire des vêtements de son sac.

Elle les étale sur le lit. << C'est ma tenue de pute pour ce soir ! >> fait elle. Nous en rigolons comme des bossus. Pressés d'aller marcher au grand air, nous enfilons des pulls. Sous nos jeans nous enfilons des collants. << Oh, tu es sexy ! >> me fait Estelle en palpant ma bosse. Je glisse ma main entre ses cuisses. << J'adore ! Obligation de le faire toutes les deux minutes ! >> rajoute t-elle. Nous chaussons nos grosses godasses. Nous dévalons les escaliers. Nos anoraks, bonnets, gants.

Nous voilà dehors. Nous montons jusqu'au portail. Nous le refermons. Nous traversons la route pour prendre le chemin dans la forêt. Par endroit, la glace étant tellement lourde, le sol est jonché de branches cassées. Un spectacle parfois désolant. << C'est une façon naturelle d'élaguer les arbres ! >> fait Clémentine. Nous marchons en restant bien serrés. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. C'est un peu notre circuit préféré par ce froid glacial. C'est très agréable.

Nous longeons les prés. Toute la campagne est blanche, couverte d'un givre qui s'épaissit chaque jour. Il y a une légère brume au dessus du sol. Estelle et Clémentine prennent des photos. Nous en profitons pour faire des selfies en faisant les pitres. Hors de question de me sortir le Zob avec cette température. << Elle risque d'être toute minuscule comme celle du vieux Gérard ! >> lance Estelle. Nous éclatons de rire. Je dis : << Encore plus petite ! >>. Clémentine lance : << Je veux voir ! >>.

Là, en arrivant dans le labyrinthe des roches granitiques, je sors rapidement ma queue pour l'agiter devant les filles. << Oui ben ça reste tout de même un bon "morceau" ! >> s'écrie Estelle en s'accroupissant. Avec son haleine chaude, elle souffle sur mon sexe. Le froid empêche toute inspection plus prolongée. Je remballe. Nous montons jusqu'à l'ancienne voie ferrée. La maison abandonnée de l'ancien garde barrière. Puis ce sont les Dolmens. Nous marchons d'un bon pas.

Nous longeons le ruisseau. Nous passons derrière les bâtiments du haras. Nous revenons sur notre soirée masturbation de hier, ici, avec Juliette. << La prochaine, je veux être avec ! C'est bien aussi de se branler à plusieurs ! >> lance Estelle en palpant ma braguette. Nous arrivons à l'étroite route communale. Pour éviter le sentier glissant du bord de la rivière, nous rentrons en restant sur le bord de la chaussée. Le crépuscule fait place à la nuit. Tout est blanc donc lumineux.

Il est presque 18 h quand nous sommes de retour. << Superbe rando ! >> fait Estelle toute contente de retrouver la chaleur de la maison. Nous retirons nos sous vêtements trop chauds à l'intérieur. En profitant pour nous tripoter en riant. Nous voilà attablés à la cuisine. Clémentine prépare la salade. Estelle et moi, nous épluchons les légumes pour la potée. Nous en faisons en grande quantité afin d'assurer les trois repas du week-end. Patates, carottes, céleri, navet, ail, oignons.

Une cuisson traditionnelle dans la vieille cocotte en fonte noire. Sur la cuisinière à bois. A l'ancienne. Je laisse le lecteur imaginer les parfums d'une telle préparation. A la poêle je fais rissoler trois gros filets de colin avec des champignons, de l'ail et de l'échalote. Nous dressons la table. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles évoquent leurs études. Les cours en ligne, le télé travail.

La vaisselle. Nous passons au salon. Estelle sort la petite boîte en plastique transparent de sa poche. Elle contient la carte SD. Le film tourné durant notre réveillon du 31 décembre. << J'ai terminé le montage hier soir. Attention, âmes sensibles s'abstenir ! >> fait elle. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine relie l'ordinateur à l'écran géant du téléviseur. Un essai. Ça fonctionne. Estelle glisse la carte SD dans le lecteur. Tout est prêt pour notre soirée cinéma. Nous montons.

Les filles me demandent de revêtir un pantalon noir à pinces et à plis. Une chemise blanche. Mes mocassins de ville noirs. Elles revêtent leurs jupes kilts à carreaux rouges, leurs chemisiers crèmes, leurs soulier noirs à légers talons. Leurs cheveux noués en couettes. Elles m'entraînent devant le miroir de l'armoire. Nous prenons des poses. Des plus séduisantes aux plus ridicules en riant comme des fous. Estelle s'accroupit à ma droite. Clémentine s'accroupit à ma gauche.

Leurs têtes contre mes jambes qu'elles enserrent de leurs bras, elles écartent les cuisses. Estelle porte une culotte. Clémentine n'en porte pas. << En hiver, j'ai toujours froid à la chatte ! >> fait Estelle. Je sors ma bite. Sur le tissu noir de mon pantalon, elle pend lascivement vers la gauche. Vers Clémentine qui me contourne accroupie pour se caler entre moi et le miroir. Je lui frotte la queue sur le visage. << Il faut qu'on se refasse une séance de dressage un de ces jours ! >> fait Estelle.

J'aide les filles à se redresser. J'embrasse Estelle qui fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Clémentine, penchée en avant, me suce. Puis c'est au tour de Clémentine de fouiller ma bouche. Au tour d'Estelle de me pomper. Je bande comme le dernier des salauds. Nous passons à la salle de bain pour nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir. Il est 20 h15. Julie ne va pas tarder. Nous descendons en restant serrés tous les trois. Nous allons au salon.

Sur la petite table basse, devant le canapé, des cacahuètes, des noix de cajou, des amandes du thé bouillant et des petits gâteaux secs. J'ouvre le portail depuis l'interphone. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Estelle en profite pour me rouler une pelle d'enfer. Julie arrive dans le salon. Elle reste comme consternée dans l'encadrement de la porte. Estelle tient ma bite dans la main. Julie, mécaniquement, sort le flacon de gel hydroalcoolique de son petit sac.

En riant, tous les quatre, nous nous frottons les mains. Nous voilà confortablement installés dans le canapé. Estelle à ma droite qui tient mon Zob, Clémentine à ma gauche, Julie tout au bout du canapé. Clémentine tient la télécommande. L'écran géant s'allume. Il y a juste les deux grosses bougies du chandelier. La grande pièce est dans l'obscurité. A l'image, nous reconnaissons la table telle que nous l'avions préparée pour le repas de fêtes. Le générique apparaît en fondu enchaîné.

Estelle nous a encore préparé un montage "professionnel" comme à son habitude. Les mots s'inscrivent lentement. " Réveillon Porno". Nous éclatons tous les quatre d'un rire sonore. A l'écran, Estelle assise sur la chaise, le dossier entre ses jambes. Je félicite Julie pour la prise de vue. C'est elle qui s'occupait des caméras. J'ai toujours un peu honte quand je me vois dans les films que nous tournons. Des films que bien entendu personne à part nous ne verra jamais. Totalement privés.

A l'écran on me voit tourner autour d'Estelle. J'ai la bite à la main. Je bande mou. Je l'agite devant son visage. J'invite le lecteur à redécouvrir cette soirée du 31 décembre en lisant son récit, ici-même, sur ce fabuleux forum. C'est l'épisode No 1386 daté du 1 janvier 2021. Nous revivons devant ce film les plus palpitants moments de ce "Réveillon Porno". Clémentine fait de nombreux arrêts sur image. Les scènes les plus salaces. Notamment quand je pisse au visage d'Estelle entre deux pompages.

Je découvre que Julie fait comme nous. Sa main glissée dans son jeans déboutonné, elle se masturbe. Je me penche pour l'observer. Julie évite absolument de croiser mes regards pourtant insistants. Clémentine, sa main droite sous sa jupe, se masturbe en manipulant la télécommande de sa main gauche. Estelle me tord la bite dans tous les sens de sa main gauche. Sa main droite sous sa jupe. C'est la toute première soirée masturbation en compagnie de Julie. Toute timide et silencieuse.

<< Tu aimes ? >> lui demande Clémentine. << Oui ! >> fait Julie d'une voix à peine audible. Elle pose sa tête sur l'épaule à Clémentine. Clémentine la laisse s'installer ainsi. La soirée se déroule lentement. Julie se met soudain à pousser de petits gémissements plaintifs. Elle jouit. Elle n'a pas l'habitude de nos soirées "branlette". Il faut dire que nous savons esquiver nos orgasmes juste à temps. Ce sont surtout les arrêts sur image qui font monter la température. Et flirter avec les extrêmes.

Julie, toute gênée, le visage dissimulée entre ses mains, se laisse tomber aux pieds de Clémentine. Clémentine cesse de se masturber pour caresser délicatement ses cheveux. Julie saisit son poignet. Julie est amoureuse de Clémentine. Même si Clémentine n'est absolument pas lesbienne, l'affection féminine permet quand même des manifestations de tendresses. C'est beau. Le film ne dure exactement que 49 minutes. Estelle a supprimé l'inutile. Nous la félicitons pour le montage.

Nous félicitons Julie pour la qualité des prises de vue. << Quand on est chargé de la caméra, on ne prend pas vraiment conscience de ce qu'on filme. Là, je viens d'en prendre toute la mesure ! >> fait elle en retrouvant un peu de son calme. Elle me fait enfin un délicieux sourire. Clémentine s'est levée pour échapper poliment aux manifestations amoureuses de Julie. Nous n'avons touché à aucune noix, amandes ou gâteaux. Nous sommes en sueur. Nous sommes encore tout rouge.

Julie observe avec admiration Estelle et Clémentine. Ses deux "grandes sœurs" dont elle envie la façon d'assumer leurs sexualités déviantes. Julie est une grande vicieuse, une membre du "Club", mais elle ne l'assume pas encore pleinement. Ses 20 ans ne le lui permettent peut-être pas. Estelle et Clémentine, avec leurs 23 ans, ont un peu plus de "vécu". Trois ans, dans ces âges là, font une différence que je ne soupçonnais pas. Je débande doucement. Ma queue suinte de jute.

J'ai plein de liquide séminal qui s'écoule. Le tissu autour de ma braguette en est maculé. Julie n'arrête plus de regarder ces tâches encore humides et fraîches. Comme subjuguée par leur apparence visqueuse et gluante. Il est 23 h. Nous sommes épuisés. Nous laissons Julie aller aux toilettes du bas. Clémentine, Estelle et moi nous montons utiliser celles du haut. Nous avons préparé le lit à Julie. Elle vient s'y installer en pyjama. Toute timide et réservée. C'est tellement adorable.

Je suis entre Estelle et Clémentine. Nous bavardons encore un peu. Là-bas, dans le canapé lit, Julie nous donne ses impressions. C'est sa toute première expérience de masturbation à plusieurs. Elle nous confie avoir découvert des émotions et des sensations qu'elle n'imaginait pas un seul instant. Estelle l'invite à venir récidiver quand elle le souhaite. Elle propose même à Julie d'élaborer des scénarios qu'elle aimerait vivre. Julie éclate souvent de rire. Nous nous endormons ainsi.

Bonne soirée cinéma à toutes les coquines qui participent pour la toute première fois à une soiré cinéma. Avec branlette...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1396 -



Un dimanche des plus agréables

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements que fait Estelle avec ses pieds. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi comme une naufragée à sa bouée. Elle sait lorsque je ne dors plus. Elle se serre encore plus fort. Je peux sentir son souffle chaud sur ma nuque. Ses lèvres se referment comme une ventouse sur la peau de mon cou. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection matinale. Je me retrouve déjà avec sa bouche contre la mienne.

Tout cela finit par réveiller Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. << Aucun de nous à part Julie, n'est allé jusqu'à l'orgasme hier soir ! >> murmure Estelle. Nous nous redressons. Là-bas, dans le canapé lit, Julie dort encore à poings fermés. Il est presque neuf heures. Nous luttons contre l'impérieuse envie de pisser. Estelle se lève la première. Ses vêtements à la main, sur la pointe des pieds, elle sort de la chambre pour aller aux toilettes.

Clémentine me chuchote des douceurs en tenant mon sexe. Je glisse ma main dans sa culotte pour dénouer les poils. C'est moite. C'est doux. C'est chaud. Nous nous levons. Sans faire le moindre bruit, nos habits à la main, nous quittons la chambre. A notre tour d'aller pisser. Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et de brioche. J'aide Estelle à redémarrer le feu dans la cuisinière. Elle n'arrête pas de me toucher, me faire des bises.

Nous prenons notre copieux petit déjeuner en évoquant notre soirée cinéma. Nous mangeons de bon appétit en bavardant et en riant. << C'est la première fois qu'on regarde une de nos réalisations pornos sans nous emmener à l'orgasme ! >> répète une fois encore Estelle. << On doit vieillir ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. << Je crois plutôt que c'est la présence intimidante de Julie ! >> précise encore Clémentine. Je dis : << En tous cas, Julie s'est bien éclatée ! >>.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour des épaules, de ma taille, les filles font le vague programme de la journée. Le dimanche, pas d'entraînement, pas de jogging. << Par contre, ce matin, ménage ! >> lance Estelle. Nous nous répartissons les tâches. La vaisselle. Clémentine commence par la cuisine. Je fais les chiottes du bas. Nous pouvons entendre Estelle chanter en passant l'aspirateur. Elle commence par le salon. A trois, ça va très vite. Je passe la serpillère.

Au salon, Assise sur le bureau, portant juste sa chemise à carreaux, Estelle se fait tringler sous le regard de Clémentine qui se masturbe. C'est trop excitant de revoir mentalement les images de notre film. C'est trop excitant d'en parler. Aussi, je baise Estelle à la hussarde, mon jeans et mon slip sur les genoux. Clémentine qui me tient les couilles par derrière de sa main gauche et chaude. << Bonjour ! >>. Nous regardons. Julie, en pyjama, dans l'encadrement de la porte.

Elle semble complètement ébahie. Consternée par ce qu'elle découvre encore ce matin. Nous cessons pour répondre en cœur : << Bonjour Julie ! >>. Ce réflexe nous fait éclater de rire. << Ton petit déjeuner t'attends ! >> lui fait Clémentine. Nous cessons. Estelle remet ses vêtements. Nous allons tous les trois à la cuisine. << Tu n'as besoin de rien Julie ? >> demande Clémentine. << Non ! Excusez moi, je dors toujours profondément. J'ai besoin de dormir beaucoup ! >> nous fait Julie.

Nous la laissons pour monter. Clémentine fait la chambre, change les draps. Je l'aide à refermer le canapé lit. Nous entendons Estelle chanter en passant l'aspirateur. Je nettoie les chiottes du haut. Je rejoins Clémentine à la salle de bain. Elle a déjà commencé à passer la serpillère. << Je peux vous aider ? >> fait Julie qui vient de s'habiller. Nous la découvrons dans le couloir. Toute fluette, si fragile. On dirait une fille de quinze ans un peu perdue. Clémentine la prend par les épaules.

En grande sœur affectueuse, elle lui propose de nous attendre au salon. Pourquoi ne pas allumer l'ordinateur. Nous serons là d'ici dix minutes. << Non, je préfère rester avec vous. Je dois vous quitter d'ici dix minutes. J'ai mes livraisons à partir de midi ! >> dit Julie. Nous avions oublié. Nous terminons par notre salle de sport. Un rapide coup d'aspirateur, de plumeau et de serpillère. Nous redescendons tous les quatre. Nous mettons nos anoraks pour raccompagner Julie à sa voiture.

Il est 11 h40. Julie semble d'une tristesse infinie. Elle aimerait tant rester avec nous. Il lui faut aider sa tante. Les livraisons de repas restent l'ultime manière de survivre puisque le restaurant est fermé. << Ces psychopathes nous auront tout imposé depuis presque un an ! >> lance Estelle en colère. << Quoi qu'il arrive ces salopards toucheront toujours leurs salaires de ministres, eux ! >> rajoute t-elle encore. Nous regardons Julie s'en aller. Il fait un froid glacial. Le ciel est gris mais lumineux.

Nous nous dépêchons de rentrer. Estelle s'occupe des pavés de saumon qu'elle prépare en papillotes. Sur le barbecue électrique de la véranda. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée de légumes. Je dresse la table. Il fait bien chaud partout. Avec la cuisinière à bois nul besoin d'allumer les radiateurs de la grande cuisine. Nous regardons Estelle en anorak derrière les vitres fumées de la grande porte. Elle mime une masturbation masculine en nous faisons des grimaces.

Nous mangeons de bon appétit tout en riant et en bavardant. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur la présence de Julie. << Elle est adorable notre "petite sœur" ! >> fait Estelle. << Oui, complètement sous le charme de ce qu'elle découvre ici. Notre vie secrète ! >> rajoute Clémentine. << Je me prends d'affection pour elle ! >> dit encore Estelle. Elle précise : << Si j'étais gouine, je suis certaine qu'elle ferait une bonne lécheuse ! >>. Nous rions.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller en balade, nous redescendons avec nos écharpes et nos pulls à la main. Nous enfilons nos anoraks. Nous chaussons nos grosses godasses. Nos bonnets, nos gants. C'est parti. Accrochées à mon bras, les filles nous entraînent vers la route. Comme nous préférons marcher en nous tenant par le bras, nous préférons les larges chemins de la forêt. Le sol est gelé.

C'est exactement le même circuit que hier. Mais la campagne blanche et glacée est d'une telle beauté. Estelle n'arrête pas de palper ma braguette. Lorsque Clémentine m'embrasse, Estelle est derrière moi à se frotter. Lorsque c'est Estelle qui m'embrasse, c'est Clémentine qui est derrière moi. Nous parlons de notre réalisation porno. Le "Réveillon Porno". Estelle a fait un superbe travail de montage. Musique durant le générique de début et de fin. C'est notre seizième film porno.

Ces films que personne ne verra jamais car exclusivement privé, sont la collection que se constitue Estelle. Son fantasme d'adolescente de faire l'actrice porno trouve toute sa dimension réelle depuis trois ans. Elle a quelques autres scénarios sous le coude. A partir des premiers beaux jours, elle a des idées de réalisations en extérieurs. Nous écoutons amusés les détails qu'elle nous révèle. Nous faisons le même parcours que hier. Jusqu'au crépuscule qui refroidit encore davantage.

Jusqu'à la nuit glaciale. Il est 18 h30 quand nous sommes de retour. Immédiatement deux bûches dans la cuisinière. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle nous prépare une belle omelette aux trois fromages. Elle y rajoute des cerneaux de noix, de fines rondelles d'avocat et de champignons. Je dresse la table. Nous n'arrêtons plus de rire de nos folies, de nos soirées passées et de celles à venir. << Je suis certaine que Julie, masquée pour rester anonyme, serait prête à jouer dans un film ! >> fait Estelle.

<< Je crois bien ! Vous avez vu comme elle se masturbait hier soir ! >> dit Clémentine. Nous mangeons de bon appétit. << Tu as vu comme elle nous mâtait ce matin, au salon, pendant qu'on baisait ? >> lance Estelle. L'image de Julie, en pyjama, dans l'encadrement de la porte, nous restera pour toujours gravée en mémoire. Je dis : << Elle est adorable ! >>. Estelle rajoute : << On en fait notre "petit animal de compagnie ? >>. Clémentine répond : << Ah non, c'est toi seulement ! >>.

Nous en rigolons comme des bossus. Estelle fait encore : << Si jamais je suis hyper excitée, qu'elle l'est aussi, je lui fais lécher ma cramouille ! >>. Clémentine la regarde consternée avant de demander : << Sans déconner ? Tu pourrais te gouiner avec une meuf ? >>. Estelle éclate de rire avant de répondre : << Ben une bouche, ça reste une bouche ! >>. Nous éclatons de rire. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur leurs études. Les cours en ligne reprennent demain.

La vaisselle. Nous passons au salon. Seule la lueur des deux grosses bougies éclaire cette partie de la vaste pièce. Je suis entre mes deux anges. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. Nous sommes vautrés dans le canapé. Je glisse mes mains dans les jeans déboutonnés. Je fouille les poils dans les culottes. Nous sommes bien fatigués. Les filles apprécient ce moment de calme et de détente. Estelle joue avec ma queue. Nous évoquons quelques aventures passées.

Estelle se redresse. Elle jette un des épais coussins au sol. Elle s'y met à genoux. Ses mains posées sur mes cuisses, elle renifle ma bite toute molle. Clémentine la saisit pour l'agiter sous ses narines. Elle me décalotte un peu. Estelle a un réflexe de recul en faisant : << Pouahh ! >>. Je comprends immédiatement. L'odeur chevaline qui évoque également le vieux thon en boîte me monte au nez. Le dimanche nous ne nous lavons pas. Nous aimons macérer dans nos jus. Les plaisirs du dimanche soir.

Estelle rapproche son visage. Avec une horrible grimace, elle tend sa langue. Clémentine lui frotte mon gland à moitié décalotté dessus. On voit bien les miasmes de Parmezob. Il y en a rapidement autant sur la langue d'Estelle que sur la peau interne de mon prépuce. << Mmhh ! >> fait Estelle dans un gémissement. Juste avant de gober ce nem au fromage. Les joues creusées par l'effort de succion, les traits de son visage reflète une béatitude mariale. Elle déguste. Elle savoure. Elle s'enivre.

Clémentine me tient la bite qui grossit et qui durcit. Elle m'embrasse goulument. Nous sommes tous les trois en prise aux vertiges de nos folies. C'est tellement bon. Je me surprends à gémir en cœur avec mes deux anges qui se refilent à présent une superbe turgescence. J'ai la bite hyper sensible. C'est absolument génial. Je sens le moindre petit coup de langue. Quand l'une cesse de sucer, elle m'embrasse. J'ai donc le goût assez fétide de mon sexe dégoûtant. Ce n'est pas ragoutant.

Je propose aux filles de m'offrir leurs minous. Moi aussi je veux mon dessert. Clémentine suggère de monter nous coucher. De m'offrir leurs chattes au lit. << Si je me couche je m'endors ! >> lance Estelle, la bouche pleine de foutre épais en visqueux. << Bon ! >> fait Clémentine qui retire son jeans et sa culotte qu'elle jette au loin. Je me lève. Je tiens fermement Estelle par sa tignasse. Je me mets à genoux sur son coussin. Estelle se couche sur le côté entre le canapé et moi.

Mon visage entre les cuisses de Clémentine, je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Il y a de la mouille. Des miasmes que je récupère en nettoyant chaque recoin. Clémentine se masturbe en même temps. Je me fais tailler une superbe pipe par Estelle qui se touche aussi. Je suce le clitoris géant de Clémentine qui se tortille dans le canapé. Sa tête rejetée en arrière, cherchant le meilleur angle à offrir à ma bouche vorace. Je me bouffe de son "yaourt" avec passion.

C'est onctueux le jus de fille qui a passé 24 h sans se laver, qui a marché quatre heures et qui s'est retrouvée excitée plusieurs fois dans la journée. Je me régale comme un bienheureux. Je ne pense même plus à la pipe. Même si je sens la bouche ventouse de ma suceuse s'affairer sur ma turgescence baveuse. Le bruit de bulles qui nous parvient est l'indicateur de ce qu'elle savoure, qu'elle tente de déglutir. Clémentine connaît un orgasme dithyrambique. J'éjacule dans la bouche d'Estelle.

Nous montons. Totalement épuisés nous pratiquons nos derniers rituels pisseux. Je peux enfin savourer les sucs et le croupion sale à Estelle. Nous nous lavons les dents. Au lit, Je me bouffe la chatte d'Estelle. Son gout et son odeur. C'est fort. Son "yaourt" est visqueux, gluant, un peu âcre. Je me régale à plat ventre, mon visage entre les cuisses de ma pourvoyeuse de "crème". Son orgasme est rapide. Clémentine qui tient mes couilles vient se blottir. Je m'endors entre mes deux anges.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se bouffer de la queue "fromagère" aux spécialités du terroir...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1397 -



Julie passe la soirée avec nous

Hier matin, lundi, accompagnant nos rêves avant de nous réveiller, il y le chant des oiseaux et le bruit de la source. Cette application qui nous tire avec douceur de nos profonds sommeils. Il est presque six heures. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent contre moi comme pour s'accrocher aux derniers instants d'onirisme. Estelle se lève la première. Ses vêtements de sport à la main, elle se précipite aux toilettes. Nous nous levons pour mettre nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller pisser.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et de brioche. Je l'aide à rallumer la cuisinière à bois. Nous prenons un copieux petit déjeuner tout en émergeant doucement. C'est dur le lundi matin. Nous mangeons de bon appétit. Il est presque 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Dans une intensité maximale pour se réveiller.

Estelle n'a pas le temps de s'attarder. Son sac de sport à la main, elle dévale les escaliers après nous avoir fait un bisou. << A mardi soir ! >> crie t-elle arrivée en bas. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Pressés de sortir, nous descendons à toute vitesse. Nous enfilons nos anoraks, bonnets et gants. Nous sortons dans la nuit glaciale. Il est 7 h50. Tout est blanc de givre depuis une dizaine de jours. C'est devenu une couche de glace par endroit.

Nous remplissons le grand panier en rotin d'une dizaine de bûches. Les cours en lignes commencent à 8 h05. Nous avons tout juste le temps de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les buches à côté de la cheminée dans laquelle j'allume un bon feu. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans une sorte de sérénité qui m'enivre de passion.

Je termine certainement cette neuvième toile destinée à ma saison d'été demain. Une première nature morte d'une série de huit. Venant du lointain, il y a un bruit sourd et persistant. Je me lève. Je quitte l'atelier pour aller voir depuis la véranda. J'ai mis mon anorak car cette grande pièce n'est pas chauffée en hiver. Je découvre l'origine du bruit. C'est un camion dont la toupie à béton tourne doucement. Il y a un homme qui manipule un gros tuyau qu'il a passé par une des fenêtres de la dépendance.

Les deux employés de l'entreprise Ecolisas observent le déroulement des opérations. Ils sont entrain de couler la chape. Nous irons voir avec Clémentine, à midi. Je retourne la rejoindre. Elle est concentrée sur son télé-travail. Le reste de la matinée se passe ainsi. Dans cette émulation constructive que nous apprécions tant. Il est 11 h55 quand Clémentine vient sautiller autour de moi. << Raconte moi ! >> fait elle en mettant deux bûches dans l'âtre. Je l'emmène par la main. Nous quittons l'atelier.

Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets et nos gants. Nous sortons dans le froid glacial pour traverser le jardin. Il y a les deux employés qui mangent dans la camionnette. Ils nous font un signe amical. Clémentine ouvre la porte de la dépendance. L'odeur de béton frais. Effectivement, la chape a été coulée. C'est impressionnant. La jeune femme vient nous rejoindre. C'est elle la chef de chantier. Elle nous explique ce qui va se passer. Le béton va sécher durant 48 h. C'est le laps de temps.

Pendant ce temps, il sera procédé au sablage des façades extérieures. La jeune femme nous prévient que nous serons probablement indisposés par le bruit du compresseur. Nous la rassurons. L'atelier est situé Nord, Nord-Est, de l'autre côté de la maison. Nous ne serons pas importunés. Nous la saluons. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Toute contente de l'avancée des travaux. Je fais gonfler du riz complet. Je prépare un coulis de courgettes.

Je pane deux filets de cabillaud blanc que je poêle à feu doux. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie sa joie. C'est au printemps de l'an dernier que le souhait d'aménager la dépendance a germé dans son esprit. Là, avec l'avancée des travaux, ce souhait se concrétise. Nous sommes impatients qu'arrive la phase de l'aménagement intérieur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents.

Pressés de retourner dehors, nous mettons nos pulls. Nous descendons. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets et nos gants. Nous sortons. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Les deux employés sont entrain d'installer un appareillage devant la bâtisse. Un gros tuyau. Nous descendons le chemin. Il y a le vent du Nord qui vient rajouter un froid supplémentaire. C'est désagréable. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. Il fait un froid de canard.

Et justement les canards cancanent en nous suivant sur l'eau. Les bords de la rivière son gelés. Clémentine prend quelques photos. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à remonter. Nous remplissons le grand panier en rotin d'une dizaine de bûches. Nous rentrons au chaud. Nous empilons les bûches à côté de la cuisinière à bois. Nous retournons dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet.

Je peins dans le même état d'esprit que ce matin. Moi aussi je suis emplis de cette joie à l'idée des travaux à venir. J'entends Clémentine échanger avec des étudiants de son groupe. J'aime ce qui paraît un monologue car je n'entends qu'elle. L'après-midi se déroule ainsi. Il est 17 h lorsque Clémentine vient s'accroupir à ma gauche. Sa main sous ma blouse pour me raconter son après-midi. Elle tient ma bite toute molle dans sa main chaude et douce. Elle a encore une bonne heure de lecture.

La voilà installée en tailleur dans le vieux canapé. Entourée des épais coussins. Elle lit. Quand un passage est remarquable, elle en fait la lecture à haute voix. J'adore peindre en l'écoutant. C'est un moyen mnémotechnique qui lui permet de mieux retenir. Même si je ne comprends pas la teneur scientifique de sa lecture, c'est la "chanson" de sa diction qui m'enchante. Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. J'enlève ma blouse. Je viens rejoindre Clémentine qui ferme son livre.

Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, frottant sa joue contre mon sexe qu'elle suçote par instant, elle me parle des travaux. Soudain, au dessus de nos têtes, un bruit sourd. Caverneux. << Bonsoir Christine ! >> lance Clémentine. Comme pour lui répondre, le fantôme de mon ancienne compagne se manifeste par un second bruit. Plus profond encore. Nous écoutons les errances de l'entité. C'est comme si quelqu'un marchait à l'étage en traînant des pieds. Cela dure une dizaine de minutes.

Tout s'estompe. Le silence. Juste le crépitement du feu. Nous aimons rester dans l'obscurité. Il y a juste encore la lueur des dernières flammes. Ce qui fait des ombres chinoises aux poutres du plafond et sur les tomettes ocres du sol carrelé. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève d'un bond pour le récupérer sur la desserte. << Julie ! On a oublié d'ouvrir le portail ! >> lance Estelle. Nous quittons l'atelier pour courir jusque dans le hall. Depuis l'interphone j'appuie sur le bouton.

Nous accueillons Julie à sa voiture. Elle est toute contente de nous revoir. Je prends la grande caisse contenant nos repas. Nous rentrons vite nous mettre au chaud. Les cinq tourtes aux fruits de mer sont encore très chaudes. Clémentine sort les salades qui les accompagnent. Julie tire le flacon de gel hydroalcoolique de son petit sac à main. Tous les trois nous nous frottons les mains en riant. Julie nous aide à dresser la table. Il est presque 19 h. Nous voilà attablés autour d'un véritable festin.

Julie nous raconte les livraisons de son dimanche. Sa journée de cours en ligne. Les filles parlent de leurs études. Ce soir, c'est Julie qui revient sur notre soirée cinéma de samedi. Le "réveillon porno" qu'elle a participé à réaliser le 31 décembre. << C'était génial ! >> murmure t-elle comme si les mots échappaient à sa timidité. Clémentine saisit la balle au bond. Quelle meilleure opportunité que de proposer à Julie une nouvelle réalisation. Mais cette fois en tant qu'actrice.

Julie reste mutique. Comme consternée par les propos de Clémentine. Sous la table, je sors ma bite. C'est très excitant. << Tu essaies de mettre un de tes fantasmes par écrit. Comme le synopsis d'une histoire que tu aimerais voir se réaliser. Prends ton temps. On te propose de mettre ce fantasme en image ! >> propose Clémentine. Julie, toujours silencieuse, s'agite doucement sur sa chaise. Son visage semble s'éclairer. Clémentine rajoute : << Tu sais Julie, c'est une occasion unique ! >>.

Julie se met enfin à parler. << Mon fantasme le plus pertinent, vous le connaissez bien. Nous l'avons déjà réalisé souvent dans les toilettes du restaurant. J'aime voir les messieurs dans leurs intimités. Ce qu'ils font seuls devant les urinoirs ! >> fait elle. << Pourquoi ne pas te mettre en scène ? Julien interprète le rôle d'un client. Nous pouvons aménager un endroit pour faire le film ! >> propose Clémentine. << C'est trop beau pour être vrai ! Vous seriez d'accord ? >> rajoute Julie, souriante.

Je me lève. Je bande comme un salaud. Je tiens ma bite à sa base, entre le pouce et l'index. Je l'agite dans sa direction. Je dis à Julie : << Fais comme le propose Clémentine. Mets en scène ton fantasme le plus clairement possible. Comme si tu élaborais un scénario ! >>. Elle fixe mon sexe, soudain perdue dans ses pensées. << Je ne voudrais pas qu'on me reconnaisse dans le film ! >> lance Julie. << Pas de soucis. Tu te maquilles. Je te fais une coiffure. Tu portes des lunettes ! >>.

Julie, rassurée, écoute Clémentine lui raconter ses "transformations" lorsque nous partons en expédition exhibitionniste. Je rajoute : << Julie, tu as affaire à une véritable spécialiste de l'anonymat. Une "transformiste" de tout premier ordre ! Laisse toi aller à tes penchants sans penser à autre chose ! >>. Julie me fait un sourire timide. << Tu gardes la clef USB dans un endroit secret. Tu seras la seule dépositaire de ce film. Prépare ce projet longuement ! >> précise Clémentine en se levant.

Debout derrière Julie, Ses mains posées sur ses épaules, elle rajoute : << C'est moi qui filme. Tu veux qu'Estelle soit de la partie ? >>. Julie ne sait quoi dire. Les filles restent silencieuses à me regarder. Je me masturbe doucement. D'un geste lent et régulier. Clémentine se penche pour préciser : << Tu sais Julie, tu fais ça avant tout pour toi. Pour garder un souvenir d'une situation que tu aimes vivre. De te revoir dans le film sera un "déclencheur" pour longtemps ! >>. Julie reste silencieuse.

Je rajoute : << Moi, je ne ferai que de la figuration ! Mais je te propose de réaliser plusieurs déclinaisons de la même scène. Nous pouvons filmer dans des lieux différents ! >>. Julie tente de soutenir mon regard. Elle baisse timidement les yeux pour répondre : << Je suis terriblement gênée. Soudain, je ne sais pas si j'oserais faire une chose pareille devant une caméra ! >>. Clémentine lui dit : << Réfléchis, prends ton temps. Il te faut mûrir ce projet. Toi seule décide ! >>.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, son bras autour de mon cou, Clémentine expose nombre de détails, de situations possibles. La façon dont elle compte filmer. Julie, admirative, écoute avec un enchantement de plus en plus visible. Clémentine fait : << Et si on tournait dans les toilettes du restaurant. Anne-Marie a été complice une fois. Pourquoi ne le serait elle pas une seconde fois ? >>. Julie s'écrie : << Surtout qu'elle partage les mêmes fantasmes de voyeuse ! >>.

Je dis : << Eh ben, tu vois, tout est déjà en place pour réaliser ce film ! >>. Clémentine surenchérit : << Tu as la caméra, celle qui filme et l'acteur qui interprétera l'exhibitionniste ! Il n'y a plus qu'à... >>. Julie met son visage dans ses mains. Sa timidité et sa réserve naturelle reprennent le dessus. Elle fait : << Il faut que je me conditionne. Laissez moi un peu de temps. J'ai vraiment envie de le faire ! >>. Nous applaudissons. << Eh ben voilà, tu as 20 ans. Tu es une grande fille ! >> lance Clémentine.

Julie doit être rentrée pour 22 h30. Munie de son attestation de sortie. Elle est censée livrer des repas. Elle insiste pour faire la vaisselle avec nous. Je plonge. Clémentine et Julie essuient. Clémentine vient me toucher la queue. Elle dit à Julie : << Tu veux venir la toucher ? Te familiariser avec un "accessoire" du film ? >>. Nous éclatons tous les trois de rire. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle revient demain pour 16 h30. Juste deux petites heures. C'est parfait.

Bonne soirée à toutes les coquines dont le désir secret est de mettre leurs fantasmes en images. Dans un petit film cochon...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1398 -



Quelle joie d'être tous les trois, avec Estelle

Hier matin, mardi, nous sommes réveillés si délicatement par notre application téléchargée. Ces chants d'oiseaux, ce bruit de source qui résonnent si mystérieusement au fond d'une profonde forêt. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. << Je finis à midi ! >> chuchote t-elle. Je lui couvre le visage de bisous. Il est presque six heures, nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine s'occupe du café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Je pose deux bûches sur les braises de la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner. Comme elle termine à midi le mardi, Clémentine est un peu euphorique. Nous mangeons de bon appétit en riant de ses dérisions. Nous évoquons la visite de Julie hier soir. Cette conversation qui est restée axée sur cette éventualité de tourner un film où Julie jouerait son rôle.

Il est presque 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, exercices au sol, abdos pour finir par le stretching. Notre douche. Nous nous habillons. Nos jeans, nos chemises à carreaux. Nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Nous sortons dans la nuit glaciale. Tout est blanc de givre. Il est 7 h50. Nous récupérons quelques bûches sous l'abri à bois.

Les cours en ligne commencent à 8 h05. Tout juste le temps de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les bûches sur les autres. Je fais un feu dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins en chantant doucement. La matinée se passe ainsi, dans cette ambiance studieuse que nous affectionnons. Il est 11 h45.

J'applique la dernière touche de blanc de titane sur la surface de la toile. Ce premier paysage d'une série de huit est terminé. Il est 11 h55. Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre avant de m'entraîner dans une sorte de tango dans toute la grande pièce. << C'est finit jusqu'à demain ! J'ai juste quelques mises à jour à faire ! >> me confie telle en dansant. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Deux belles endives.

Je réchauffe les deux tourtes aux fruits de mer livrées par Julie hier soir. La pâte feuilletée à décongelé. Je coupe et je lave deux gros poireaux. Je les ébouillante à la cocotte minute. Je prépare une belle Béchamel. Clémentine râpe du gruyère de Comté. J'égoutte les poireaux pour les rajouter à la Béchamel. Avec le gruyère. Un peu de noix de muscade. Je verse le tout sur les deux tiers de la pâte feuilletée étendue dans un grand plat à tarte aux bords hauts.

Je recouvre comme avec un couvercle du dernier tiers de la pâte. Clémentine badigeonne le dessus du mélange huile d'olive, moutarde à l'ancienne et œuf. Je mets au four. La Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait les délice de nos mardis soirs, mijote à 180°. Nous dégustons nos tourtes aux fruits de mer tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur le vague projet de film avec Julie.

Julie en meure d'envie. Mais il lui faut surmonter ses inhibitions. Ses 20 ans sont encore très timides et réservés. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de filer, nous redescendons à toute vitesse. Nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Le ciel est gris, bas et sinistre. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Là, à une cinquantaine de mètres, nous découvrons la façade de la dépendance. Elle est toute propre et presque nue.

Les employés ont "sablé" les murs depuis hier après-midi. Nous n'avons pas entendu fonctionner le compresseur. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. Il fait froid. Le vent du Nord rend tout cela très désagréable. Ça pique les oreilles. Nous reprenons le sens inverse. Nous rentrons nous mettre au chaud. Nous voilà dans l'atelier. Il est 13 h45. Clémentine fait sont travail de classement. J'aime l'entendre chanter. Je suis installé devant mon chevalet.

Je commence la dixième toile destinée à ma saison d'été. Un paysage d'après une photo prise l'été de l'année dernière. Clémentine commente ce qu'elle fait à voix haute. J'adore. Je peins dans une sorte de sérénité euphorisante. Clémentine vient quelquefois me faire des bisous sur les joues, dans la nuque. Accroupie sur ma gauche, sa main sous ma blouse, ma queue dans sa main, elle me regarde peindre. Il est 16 h20. La musique imbécile de mon téléphone.

Clémentine le saisit sur la desserte. << Julie ! Elle arrive dans cinq minutes ! >> lance Clémentine. Le portail est ouvert car il y a l'entreprise dehors. Clémentine quitte l'atelier en mimant une masturbation masculine. Elle revient suivie de Julie. Le sourire de Julie est radieux. Elle a ses cheveux presque noirs qui pendent sur les épaules. Vêtue d'un gros pull, d'un jeans, chaussée de ses bottines. Elle vient s'assoir à ma gauche pour me regarder peindre.

Clémentine est confortablement installée dans le canapé avec son livre. Il y a juste le crépitement du feu. Nous apprécions ce moment de grâce silencieuse. << Je n'arrête pas de penser au film ! >> fait soudain Julie. Clémentine et moi, nous nous regardons. Elle me fait un discret clin d'œil. Nous attendons la suite. << J'en ai parlé vaguement à ma tante. Nous pouvons disposer des toilettes du restaurant ! >> rajoute Julie tout aussi soudainement. Nous restons silencieux.

Je bande sous ma blouse. Ce qui forme une grosse déformation. Une belle bosse que je fais bouger en contractant mes muscles fessiers. Clémentine se penche pour la regarder aussi. Julie louche. Je tourne la tête pour surprendre son regard. Elle dit : << Anne-Marie met une condition, elle veut participer ! >>. Je cesse de peindre. << Mais c'est génial ! >> lance Clémentine. Nous restons à nouveau silencieux tous les trois. C'est à Julie de prendre sa décision. Son courage.

Clémentine précise à l'intention de Julie : << Ces enfoirés risquent de nous confiner dans pas longtemps. Tu veux réaliser ce film avant ou après ? >>. Julie répond : << Je ne vous cache pas que je préfère me conditionner mentalement. Je suis longue à la détente. Mais en trichant avec les attestations de sortie, nous pourrons prévoir ! >>. Cela nous semble judicieux. << A l'idée des attestations de sortie et du confinement, j'en suis plus malade que d'un virus ! >> fait Clémentine.

Nous en rions de bon cœur. Pour changer de conversation, Julie me pose quelques questions sur cette prochaine toile. Comme c'est elle qui tiendra ma galerie d'Art cet été, elle est à l'affût de la moindre information. De quoi étoffer ses futurs argumentations. Je débande doucement. Clémentine prépare le thé et quelques petits gâteaux. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Nous voilà tous les trois installés en tailleurs sur les épais coussins devant la cheminée. Sur le tapis.

Dehors il fait nuit. Les filles évoquent leurs études. Il y a juste la faible lueur de la lampe de chevet posée sur le guéridon à côté du canapé. Nous regardons la danse des flammes dans l'âtre. C'est un si beau spectacle. Julie reprend ses livraisons à 18 h30. Il est 18 h. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle est tristounette. << Je peux revenir vendredi vers 14 h30 ? >> fait elle. Clémentine dit : << Mais ne demande plus, tu viens quand tu veux ! >>. Nous la regardons partir.

La camionnette de l'entreprise est déjà partie. Nous rentrons nous mettre au chaud. Nous retournons dans l'atelier. Il y fait si bon. Voilà Estelle. Elle se précipite pour nous faire la bise, se blottir contre moi. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Elle me couvre le visage de bisou. Je fais pareil avec Clémentine. C'est notre rituel depuis quelques semaines. Nous adorons. Il est 18 h45. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle dresse la table. Je réchauffe la Flamiche Picarde. Estelle n'arrête pas de me tripoter. De passer sa main entre mes cuisses, par derrière, pour tenter de palper mes couilles. J'ai la braguette ouverte. Elle ne tarde pas à m'en extraire le Zob. << Wouah ! C'est chaque fois la première fois ! >> dit elle en s'accroupissant devant moi pour la humer. Elle maintient son équilibre en me tenant par les hanches. Clémentine vient la saisir par les oreilles.

Elle appuie. Estelle frotte son visage contre ma queue avant de la prendre dans la bouche. Clémentine la maintient ainsi, fermement, pour la faire pomper. Elle se penche pour me faire plein de bisous. La sonnerie du four. J'aide Estelle à se redresser. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et en riant. << Si ces enfoirés nous emprisonnent une nouvelle fois dans un troisième confinement, je vient m'installer ici ! >> lance Estelle en riant.

<< Il y a deux ordinateurs et une tablette dans la maison ! >> fait Clémentine. << J'emmène le mien ! >> dit encore Estelle. Nous en rions de bon cœur. Les filles s'organisent rapidement. << Une semaine ici, une semaine chez mes parents ! >> rajoute encore Estelle. J'écoute amusé par cette détermination qui est tout sauf une plaisanterie. Clémentine en vient aux souhaits de Julie. << Le film lui a donné des idées. Elle veut le sien aussi ! >> s'écrie Estelle.

Nous faisons la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Estelle veut reproduite la situation d'avant le repas. Elle s'accroupit entre le bureau et le canapé, au milieu de cet espace éclairé par les deux grosses bougies. Clémentine me fait un clin d'œil. Elle est debout derrière Estelle. Elle la tient par les oreilles. C'est une invitation. Je viens me positionner devant Estelle. Je lui frotte la bite sur la gueule. Clémentine la saisit sous le menton d'une main ferme pour la forcer à l'immobilisme.

Je passe ma queue sur ses lèvres comme un lipstick. Elle ouvre la bouche. Je n'ai plus qu'à m'y introduire. Clémentine se penche au dessus d'Estelle pour m'embrasser avec fougue. Cela participe de ma soudaine excitation. Je me fais tailler une pipe des familles. Clémentine contourne Estelle qui se met à genoux, pour se serrer sur ma gauche. Nous nous embrassons comme des fous. Cela provoque une montée de liquide séminal aussi conséquente que la sécrétion de salive.

Je bave autant de la bouche que de la queue. Estelle se régale. Elle se tient à mes hanches. Je ne veux pas lui infliger plus longtemps cette torture. De rester à genoux sur le plancher de chêne. Je l'aide à se relever. Clémentine la tient fermement par sa tignasse pour l'entraîner sur la chaise. Elle la force à s'assoir, le dossier entre les cuisses. Je reviens me positionner. Clémentine, assise sur le bureau, une main dans son jeans déboutonné, se masturbe en regardant Estelle de dos.

C'est moi qui tient à présent Estelle par ses oreilles. Elle en glousse de plaisir. Depuis quelques temps, elle aussi prend goût à être traitée en "Soumise". Je surprends de plus plus souvent Clémentine avoir des comportements de "Dominatrice". Estelle a glissé une main dans son jeans. Elle aussi se touche en me suçant. Nous passons la soirée à décliner cette situation. J'entraîne Estelle sur le canapé. Je reste toujours debout pour me faire pomper. Je jette un des coussins au sol.

D'une poigne ferme je la force à s'y mettre à genoux. Je me penche pour dire : << Toi, tu as besoin d'une bonne séance de "dressage". Je vais m'y appliquer dès ce week-end ! >>. Estelle cesse de sucer pour dire : << Mais pourquoi attendre le week-end ? Puisque je reviens jeudi soir ! >>. Je lui frotte la bite sur le visage en murmurant : << Petite salope ! >>. Estelle cesse à nouveau sa pipe pour lancer : << Pourquoi "petite" ? >>. Je lui enfonce la queue jusqu'aux couilles.

Clémentine, qui adore quand j'ai ce comportement, se masturbe en gémissant. Ce sont ses "films" à elle. En "live". J'aime voir son visage perler de sueur lorsqu'elle se masturbe. Elle est toujours tellement excitée. Estelle se livre corps et âme à cette queue qu'elle suce comme si sa vie en dépendait. Je me comporte en véritable pervers. Cambré sur mes genoux fléchis, j'alterne les pénétrations buccales et les frottements sur la tronche. Estelle en glousse de bonheur.

Il est 22 h. Je propose aux filles de nous terminer au lit. Nous montons. Nos rituels pisseux. Je peux à mon tour me régaler des sucs de leurs chattes baveuses. Le "yaourt" est sirupeux, abondant et onctueux. Au lit, entre mes deux anges, je me fais tailler une super pipe. Elles se touchent toutes les deux en se refilant ma queue. Quand l'une suce, l'autre lui murmure ses impressions. Je les tiens par la nuque. J'éjacule comme un salaud. Leurs têtes se touchent. Nous plongeons dans le sommeil.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment êtres guidées pour sucer. Tenues par les oreilles, la bite frottée sur la gueule...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode - 1399 -



Une soirée. Juste Clémentine et moi...

Hier matin, mercredi, Résonnent le chant des oiseaux, le bruit de la source, au plus profond de nos sommeils. L'application magique fait son œuvre. Nous nous réveillons en douceur. Clémentine et Estelle se blottissent fort contre moi en gémissant d'aise. Quelques papouilles. Il est presque six heures. L'impérieux besoin naturel n'a aucune pitié. Nous devons nous lever pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café. Estelle met deux bûches sur les braises de la cuisinière. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner pas encore vraiment réveillés. Les yeux pas en face des trous. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos jeux de hier soir. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle dévale les escaliers pour filer. << A demain ! >>.

Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Bonnets, gants. Nous sortons dans la nuit glaciale. La température semble toutefois être remontée car le givre a disparu dans nombre d'endroits. Il est 7 h50. Nous remplissons le grand panier en osier d'une dizaine de bûches. Il faut contourner un gros compresseur, l'échafaudage à roulettes, une brouette. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il ne faut pas tarder. Nous rentrons rapidement.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les bûches à côté de la cheminée dans laquelle j'allume un bon feu. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. La peinture de cette dixième toile destinée à ma saison d'été m'impatiente. Je peins avec tant de plaisir encore ce matin. Juste le crépitement du feu. Le craquement du bois de hêtre. Son odeur surtout. C'est un réel enchantement.

La matinée se passe ainsi. Dans cette émulation créative que nous apprécions. Il est 11 h55 quand Clémentine vient sautiller autour de moi avant de mettre deux bûches dans l'âtre. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare la salade. Je réchauffe le reste de tarte aux poireaux. Je dresse la table pendant que rissolent deux beaux filets de flétan. La sonnerie du téléphone à l'ancienne résonne depuis le salon. C'est un gros téléphone des années 30.

Clémentine se précipite. Je m'occupe des cuissons. Elle revient. << C'était Juliette. Elle ne peut pas venir ce soir, elle a un empêchement ! >> fait Clémentine. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant Juliette. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me dit : << Je suis contente. Ce soir on est juste toi et moi. Tous les deux. C'est de plus en plus rare ! >>. Elle me couvre le visage de bisous en mitraille. Je fais : << Je te réserve une surprise ! >>.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Par une des fenêtres de la salle de bain, nous apercevons la camionnette de l'entreprise. Les façades de la dépendance sont comme neuves. Entièrement nettoyées. L'ancien crépis a été retiré en partie de ses couches supérieures. Il pleut. Il y a même du vent. Nous redescendons pour mettre nos anoraks. Sous le grand parapluie, nous sortons. La fraîcheur humide et désagréable a fait place au froid de ces derniers jours. Ce n'est pas mieux.

Il faut ruser avec le parapluie afin que les bourrasques de vent ne l'abîme pas. Nous passons à une cinquantaine de mètres de la dépendance. Les façades sont prêtes à recevoir la couche de revêtement neuf. Nous descendons jusqu'à la rivière. Cette météo sinistre ne se prête pas à la promenade. Aussi, nous remontons. Les rafales de vent nous mouillent. Nous reprenons le chemin pour rentrer au chaud et surtout au sec. Nous allons dans l'atelier. Il y fait si bon. Il n'est que 13 h30.

Clémentine reste blottie contre moi devant une des deux grandes baie vitrées. Nous regardons la campagne qui nous entoure de partout. C'est triste une campagne en hiver, sous la pluie. Mais infiniment moins triste qu'une ville. Je glisse ma main dans le jeans de Clémentine. Elle contracte ses abdominaux pour me permettre le meilleur accès. Je descends le plus loin que je peux. Je démêle les poils avant de glisser mes doigts entre les lèvres charnues de son sexe moite et bien chaud.

Clémentine m'embrasse avec fougue. Elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Je déboutonne son jeans. Des deux mains je descends son jeans et sa culotte sur ses cuisses. Je saisis sa natte pour l'entraîner, comme par une laisse. Nous faisons le tour de la grande pièce. Clémentine marche avec peine. Entravée par ses vêtements, elle me suit. Je rajoute deux bûches dans la cheminée. J'ordonne : << Accroupie ! >>. Clémentine, en poussant un gloussement de plaisir, s'accroupit.

Je la tiens par sa natte. Je tourne doucement autour d'elle. Comme elle est belle ainsi offerte à mon regard inquisiteur. Je me place devant elle. Je sors mon sexe. Je le frotte sur son visage. Elle veut le gober de sa bouche ouverte. A chaque fois j'esquive. Je me penche pour chuchoter : << C'est un avant goût de ce que je te réserve pour ce soir ! >>. Je tire sur sa natte pour la forcer à se redresser. Je remonte correctement sa culotte et son jeans. Je l'entraîne vers la table de travail.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut penser aux choses sérieuses. Clémentine, assise devant son ordinateurs, ses écouteurs sur les oreilles m'adresse le plus merveilleux des sourires. Je lui dépose quelques derniers bisous avant de la laisser à son télé travail. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé d'un certain trouble délicat et prometteur. L'après-midi se déroule ainsi. J'entends souvent Clémentine parler. Elle échange avec des étudiants de son groupe.

Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Accroupie sur ma gauche, sa main sous ma blouse, elle me tient la queue en observant ma toile. Dans son autre main elle tient son livre. Elle a encore une bonne heure de lecture. La voilà confortablement installée dans le vieux canapé, entourée de tous les épais coussins. J'adore quand elle me lit des passages à voix haute. Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. J'ai la bite qui pend. Je viens rejoindre Clémentine.

Elle ferme son livre pour se coucher sur le dos, sa tête sur mes cuisses. Nous adorons ces moments de retour au calme et à l'inactivité totale. C'est comme un sas nécessaire. Clémentine frotte sa joue contre mon sexe qui pend mollement de ma braguette. Soudain, au dessus de nos têtes, un bruit sourd. Il semble venir du plus profond des enfers. << Bonsoir Christine ! >> lance Clémentine pour saluer la visite du fantôme de mon ancienne compagne. Nous écoutons les manifestations étranges.

Même si nous n'avons plus peur depuis longtemps, ces phénomènes surnaturels restent impressionnants. Il y a là, dans notre maison, une entité venue de l'au delà. Ce n'est jamais très serein. Mais la demeure ancienne d'un écossais se doit de posséder son fantôme. Je reste donc fidèle aux traditions familiales. Mes ancêtres peuvent êtres fiers. La demeure est hantée comme il se doit. Ce soir, tout cela ne dure que quelques minutes. Les flammes dessinent des ombres au plafond, au sol.

Nous restons ainsi à profiter de ce moment. Silencieux. Je caresse les cheveux, la tête et les joues de Clémentine. Elle tourne souvent son visage pour passer ses lèvres sur mon sexe. La faim commence à sérieusement se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du millet doré. Je prépare un coulis d'aubergine. Je fais rissoler quatre gros nems au crabe. Nous mettons la table. Les préparations sont rapides. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie son désir de pouvoir revivre ces petites aventures qui nous manquent à tous deux. Sucer un inconnu pendant que je reste caché pour mâter. S'exhiber devant des inconnus pendant que je suis planqué pour sécuriser la situation. Se retrouver dans un contexte ambigu. Toutes ces choses qui sont nécessaires à Clémentine. Aux fantasmes d'une fille de 23 ans qui ressent le besoin de vivre ses désirs fous.

J'écoute. C'est très intéressant d'écouter Clémentine. Quel que soit le sujet de la conversation. La vaisselle. Clémentine plonge, j'essuie. Elle rince l'évier quand je passe derrière elle. Je déboutonne son jeans que je descends avec sa culotte. Les mains mouillées à manipuler l'éponge, Clémentine se laisse faire en riant. La voilà avec ses vêtements sur les genoux. Je saisis sa natte. Je lui tends la serviette. Elle se sèche. Je l'entraîne ainsi pour faire le tour de notre grande cuisine. Il y fait chaud.

Je l'emmène jusqu'au salon. Clémentine marche derrière moi avec difficulté, entravée par ses vêtements. Là aussi, je lui fais faire le tour de la vaste pièce. Dans l'obscurité. Clémentine, tenue par sa natte, allume les deux grosses bougies du chandelier. J'ordonne : << A genoux sur le coussin ! >>. Clémentine se met à genoux sur l'épais coussin que je viens de jeter au sol. Elle pose ses mains sur la tête, doigts croisés. Je m'éloigne pour regarder ce merveilleux spectacle sous tous les angles.

Je m'approche. Avec vulgarité j'enfonce mon index dans le trou de son cul. Elle ne s'y attendait pas. Elle a un mouvement de surprise. Je fais bouger le doigt. Je me penche davantage pour chuchoter : << Tu es ma merveilleuse salope, Clémentine ! >>. Dans un gloussement de plaisir elle se met à quatre pattes pour me permettre de fouiller ses profondeurs. Nous détestons tous les deux l'idée même de sodomie. Mais là, dans ces conditions du "Maître" et de sa "Soumise", cela fait partie du jeu.

Je suis à genoux à ses cotés pour bien fouiller son trou du cul. Je lui glisse à l'oreille : << Tu te souviens de ce mec qui t'a enculé dans le sous bois près d'Edimbourg ? >>. Clémentine répond : << Oui, ce salaud m'a éclaté le cul. Il m'a fait mal ! >>. J'évoque Pierre, le mari de madame Walter qui l'a également enculé un soir, lors d'une de nos partouzes au haras avec Juliette. Clémentine dit : << Ce salaud ! Mais j'adorais baiser avec lui. Une crevure ce mec ! >>. J'écoute les détails qu'elle me donne.

Je me redresse. Je me mets en position derrière Clémentine. Je contrôle l'état de son sexe. Il est trempé. Je m'y introduis par derrière. Nous n'aimons pas cette position car nous avons besoin de nous voir, de nous chuchoter des choses. Mais là aussi, ce n'est qu'un jeu. Je baise Clémentine comme je le fais avec Estelle. A la hussarde. Sans le moindre égard. Ce n'est pas très excitant cette position. Je me retire. Je me redresse pour saisir Clémentine par la natte. Je l'entraîne à quatre pattes.

Nous faisons le tour de la table, du bureau. Chaque fois que nous arrivons à l'angle d'un des meubles, Clémentine lève la patte. Entravée par ses fringues toujours descendus. Je lui enfonce une nouvelle fois le doigt dans le cul. En la faisant avancer. Je me penche pour lui chuchoter : << J'aimerais te voir livrée ainsi aux perversités d'un inconnu ! Je serais caché à t'observer ! >>. Clémentine pousse un râle de plaisir avant de répondre : << Moi aussi. Ça me manque. Saloperie de crise sanitaire ! >>.

Je l'aide à se redresser. Je lui remonte ses vêtements en disant : << Je vais te terminer au lit ! >>. Clémentine m'entraîne par la main. Nous gravissons l'escalier à toute vitesse. Nos rituels pisseux ou je peux savourer ses mélanges. Elle peut savourer les miens. Lavage des dents. Nous voilà au lit. Enfin cette position classique que nous aimons tant. Je suis sur Clémentine. Nous sommes immobiles. Nous échangeons nos histoires, nos impressions. Son orgasme est une merveille.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à se retrouver cul nu, un doigt enfoncé dedans, à s'entendre murmurer des saloperies...

Julien

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Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

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Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1400 -



Estelle est toute contente de venir nous rejoindre

Hier matin, jeudi, notre douce application nous tire de nos profonds sommeils. Se mêlant à nos rêves qu'ils transforment probablement. Le chant des oiseaux, le bruit de la source. Clémentine vient se blottir contre moi. Je la serre fort. Il est presque six heures. Quelques dernières papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant ses rêves.

Je mets deux bûches sur les braises de la cuisinière. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant nos passions de hier soir. << C'est tellement bon ! >> fait Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en nous réveillant enfin complètement. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos pour finir par le retour au calme d'un bon stretching. La douche.

Nous nous habillons rapidement. Pressés d'aller au dehors. Nous descendons pour enfiler nos anoraks. Nos bonnets, nos gants. Quelle surprise, il neige. < Décidément, c'est un véritable hiver cette année ! >> fait Clémentine en m'entraînant vers l'abri à bois. Il fait froid. Nous laissons nos empreintes dans la neige. Nous remplissons le panier en osier d'une dizaine de bûches. Nous en faisons grande consommation. Mais il y a là de quoi tenir au moins quatre hivers.

Les cours en ligne commencent à 8 h05. Tout juste le temps de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les bûches sur les autres. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette en chantonnant doucement. Je peins dans une douce sérénité. La peinture de ma dixième toile destinée à ma saison d'été m'accapare.

La matinée se passe dans cette ambiance studieuse que nous affectionnons. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me couvrir le visage de bisous en tenant ma tête. << Je t'aime. Comme c'était bon hier soir ! >> me fait elle en mettant deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une belle pâte à pain. Je concocte une garniture. Tomates fraîches, champignons, ail, oignon, ciboulette.

J'en récupère un peu en accompagnement des coquillettes que j'égoutte. Clémentine râpe du Parmesan. Nous mangeons d'excellent appétit. La pâte à pain repose sous un linge dans un saladier. La garniture repose sous un couvercle dans une casserole. Le nécessaire pour nos pizzas de ce soir et demain midi est déjà prêt. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur notre soirée, hier. << J'ai besoin d'être "dressée" ! >> me dit elle.

Régulièrement Clémentine ressent le besoin d'être la"Soumise" qui sommeille en elle. Même si je n'ai pas l'âme d'un "Maître", j'interprète assez bien le personnage. Suffisamment pour qu'elle y trouve ses moments de plaisirs rares et particuliers. Je lui promets de jouer ce rôle dès ce soir. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en regardant par une des fenêtres de la salle de bain. Il y a la camionnette de l'entreprise devant la dépendance. Nous irons jeter un coup d'œil en soirée.

Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Il neige de petits flocons qui recouvrent tout. Ce fin manteau blanc ne tiendra certainement pas longtemps. Il ne fait plus aussi froid que les semaines passées. Clémentine nous entraîne sur le chemin qui descend à la rivière. On en devine les formes. Toute la campagne est blanche. Clémentine prend quelques photos. Je m'éloigne un peu. Je sors ma bite que j'agite toute molle dans sa direction. Elle prend des clichés en riant.

Heureusement, nous l'avons vu venir. Voilà monsieur Bertrand notre voisin. Il vient apporter du vieux pain aux canards. Fixer quelques boules de graisse et de graines aux branches à l'intention des oiseaux. J'ai remballé ma queue. Nous bavardons un peu. Mr Bertrand nous apprend qu'il vient visiter notre chantier chaque matin. << Ils font un travail remarquable. Je les sollicite au printemps pour des travaux chez moi ! >> nous confie le retraité. Il nous raconte ses projets.

Les cours en ligne reprennent pour 14 h05. Nous remontons le chemin. Nous rentrons nous mettre au chaud. Au sec car la neige est de plus en plus humide. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. La peinture de ce second paysage sera terminée demain en fin de matinée. Je peins dans ce même sentiment de douce sérénité. Le timing est parfait. La vie s'écoule heureuse. Le bonheur.

Une fois encore l'après-midi se passe dans le confort d'un travail gratifiant. Il en va de même pour Clémentine qui vient me rejoindre. Il est 17 h. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle me regarde peindre en tenant mon sexe. Je pose ma palette et mes pinceaux sur la petite desserte à ma droite. Je saisis Clémentine par la nuque. Je relève ma blouse. J'attire sa tête sur ma queue que je lui enfonce dans la bouche. Surprise par mon initiative elle tombe à genoux en suçant.

Je lui retire la bite de la bouche. Clémentine a encore une heure de lecture. Je me lève pour l'aider à se redresser. << Mais j'adore quand tu as ces comportements, Julien, j'adore ! >> s'écrie t-elle. Elle s'installe dans le canapé avec son livre. << Mmhh ! >> fait elle en se calant entre les coussins. Je reprends ma peinture. Je bande mou. Agréable inspiration pour travailler encore un peu. Quand un passage est intéressant, Clémentine m'en fait la lecture à haute voix. J'adore.

Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je vais rejoindre Clémentine. Mais au lieu de m'assoir à ses côtés, je la saisis par ses cheveux en catogan. Elle en perd son livre qui tombe au sol. J'attire sa tête fermement. Je lui frotte la bite sur la gueule. Elle pousse de petits cris de ravissement. Je lui ai promis, durant le repas de midi, que dès ce soir, je me comporterais selon ses désirs. Je lui enfonce la queue dans la bouche. Elle suce passionnément.

Au dessus de nos têtes un bruit sourd. Comme provenant d'une profonde caverne. Je dis : << Bonsoir Christine. Je suis occupé au dressage de ma "Soumise". Veux tu bien m'excuser ! >>. Clémentine cesse de sucer pour éclater de rire. Nous écoutons les errances du fantôme de mon ancienne compagne. Clémentine lance : << Si tu veux venir t'amuser avec nous, n'hésite pas ! >>. Quand Christine était encore de ce monde, nous avions un peu les mêmes jeux. C'est merveilleux.

Tout cela ne dure que quelques minutes. Je tiens Clémentine par sa tignasse pour la forcer à se mettre à quatre pattes. Je lui fais faire le tour de la grande pièce. A l'angle de chaque meuble, elle lève la jambe comme un chien qui pisse. Elle se redresse pour caler un des gros montants de mon chevalet entre ses cuisses. Elle s'y tient des deux mains pour se frotter. Un autre bruit cette fois. C'est Estelle qui arrive. Elle tombe sur la scène en s'écriant : << J'arrive au bon moment ! >>.

Clémentine ne fait jamais semblant de se masturber. Aussi, c'est pour de vrai qu'elle se fait du bien contre ma jambe qu'elle enserre de ses bras. Estelle m'embrasse avec fougue. Elle n'est pas arrivée depuis deux minutes qu'elle me suce déjà. Elles sont toutes les deux accroupies. Elles se refilent ma bite. Je les tient toutes les deux par les cheveux. Avec fermeté. Je passe d'une bouche à l'autre en contrôlant la durée. Quand elle ne suce pas, Estelle ne cesse de dire : << C'est génial ! >>.

J'aide les filles à se redresser. Nous nous serrons fort comme pour apprécier encore davantage notre immense bonheur. << Je ne pars plus ! Je reste définitivement ! >> fait Estelle en se frottant contre ma hanche. En faisant pareil, Clémentine rajoute : << Moi aussi ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. La faim commence à se faire sentir. J'entraîne mes deux anges par leurs catogans. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade.

Estelle travaille la pâte à pain pour la rendre plus onctueuse encore. Je réchauffe la garniture. Les filles parlent de cette journée de télé travail. Elles sont toutes les deux dans le même groupe d'étudiants. Toujours complices depuis le lycée et leurs quinze ans. J'aime écouter. C'est passionnant. Je les regarde. Ces deux sublimes jeunes filles de 23 ans. Tellement sérieuses dans leurs études. Tellement affectueuses dans la vie. Tellement salopes quand l'occasion se présente. Le bonheur.

Les pizzas sont au four. Celles pour demain dans le four électrique. Celles pour ce soir, dans le four à bois. Il turbine. Ça cuit très vite. Une dizaine de minutes où nous dressons la table. << Put-Hein, j'aime arriver dans ce genre d'ambiance ! >> lance Estelle sans me lâcher le sexe. Clémentine rajoute : << On se fait une méchante séance de dressage samedi soir. Ça vous tente ? >>. Estelle s'écrie : < Et comment ! >>. Elle se serre contre moi en chuchotant : << Maître Julien je vous aime ! >>.

Je saisis sa nuque pour l'embrasser comme un dément. Clémentine vient se frotter contre ma hanche, attendant son tour. Je dis : << Samedi soir, vous serez toutes les deux attachées, livrées à un véritable pervers. Je vais vous faire passer l'envie de vous comporter en salopes ! >>. Estelle tord ma bite dans tous les sens en disant : << T'es pas chiche ! >>. Nous en rions de bon cœur. Il n'y a pas de sonnerie pour le four à bois. Il faut aller vérifier régulièrement la cuisson.

<< C'est prêt ! >> lance Clémentine. Nous arrêtons de nous embrasser, Estelle et moi, pour venir nous accroupir aux côtés de Clémentine. C'est un superbe spectacle dans le four. Les dessus des trois pizzas évoquent l'ébullition d'un volcan. << Je les sors ! >> lance Estelle en enfilant les maniques. Nous sommes morts de faim. Nous savourons les plus délicieuses pizzas du monde. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent nos séances de "dressage" du passé.

Je promets à Estelle de grands moments de turpitudes. Depuis quelques mois elle me parle de son fantasme. Être encagée plusieurs heures. Nous l'avons déjà fait dans l'ancienne niche du chien qui traînait dans la dépendance. Nous avons même tourné un film dans cette situation. Tout cela me donne quelques idées. Mais c'est Clémentine qui est toujours la plus imaginative dans ce domaine. Elle est une authentique "soumise". Alors qu'Estelle a découvert ces plaisirs que depuis trois ans.

La vaisselle. Je saisis mes deux anges par leurs nuques. Je les emmène sans ménagement jusqu'aux chiottes. J'ordonne : << A genoux, salopes ! >>. Je prends deux serviettes pliées dans l'armoire pour les jeter au sol. Elles s'y installent. A genoux, bien droites, les mains sur la tête. Elles s'observent. Je reste à distance. Nos toilettes sont une ancienne pièce. Elle est spacieuse. Je me masturbe en regardant ces deux merveilleuses jeunes filles. Elles attendent en respirant de plus en plus fort.

Je m'approche. Je me penche. Je glisse mes mains entre leurs cuisses. Elles ont ce mouvement réflexe typiquement féminin que j'adore. Je les tripote avec une rare vulgarité. J'y ai pris goût moi aussi. Je me positionne devant la cuvette. Je bande encore mou. Je lâche une giclée de pisse qui éclabousse. Les filles observent, penchées en avant. Elles prennent appui sur le bord de la cuvette. J'offre ma queue dégoulinant à Estelle. Elle pousse un râle de plaisir en suçant comme une assoiffée.

Je me retire pour lâcher une seconde giclée. Cette fois j'offre ma queue dégoulinante à Clémentine. Comme je dois pisser depuis la fin de ma séance de peinture, il y a là de quoi régaler mes deux pompeuses. Je dis : << Les filles, ce n'est qu'un avant goût de ce que je vous réserve pour samedi soir. Là, il est déjà tard. Je vous propose de monter nous coucher. Je vous termine au lit, toutes les deux ! J'ai envie de vous bouffer la chatte ! >>. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois.

Elles pissent touts les deux. Je lèche chacune en me régalant de leurs doux mélanges. Elles m'entraînent par la main. Je crois que nous n'avons jamais grimpé les escaliers aussi vite. Au lit, j'alterne les léchages de minous et les pénétrations. Estelle jouit en criant. Clémentine jouit en hurlant. Je jouis en pleurant de plaisir. Je suis entre mes deux anges. Nous sommes serrés. Nous nous confions nos ressentis. Estelle s'endort la première. Clémentine me tient les couilles en s'endormant.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment préparer la prochaine séance de "dressage" en savourant de la bite juteuse...

Julien

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1401 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, notre douce application nous tire de nos profonds sommeils. Le chant des oiseaux, le bruit de la source. Tout cela accompagne nos réveils avec tant de délicatesse. Estelle se serre encore plus fort. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant d'aise. Il est presque six heures. Nous nous levons. Estelle se lève d'un bond, ses vêtements de gym à la main, en s'écriant : << Pipi ! >>. C'est à notre tour. Clémentine m'entraîne par mon érection matinale aux toilettes.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café, du pain grillé. Je mets deux bûches dans la cuisinière. Nous prenons un copieux petit déjeuner. << C'était génial hier soir ! >> lance Estelle. << On se fait ça samedi soir en plus fou ! >> rajoute Clémentine. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entrainement. Estelle devra nous laisser immédiatement après. C'est dur.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Le tout avec une intensité maximale. Estelle, un peu tristounette, nous fait deux bises avant de dévaler les escaliers en criant : << A demain, 14 h ! >>. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets pour sortir. Quelle surprise dans la nuit glaciale. La neige est restée au sol. Il est 7 h50. Nous allons sous l'abri à bois pour charger le panier en rotin d'une dizaine de bûches.

Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine, un peu euphorique car elle termine à midi, est assise devant son ordinateur, ses écouteur sur les oreilles. J'empile les bûches à côté de la cheminée où j'allume un bon feu. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans cette légère euphorie partagée par Clémentine. Je chantonne même à voix basse pour ne pas la déranger. Le crépitement du bois.

Il est 11 h40 quand je dépose la dernière pointe de Terre de Sienne sur la surface de ma toile. Cette seconde nature morte est terminée. Il m'en faut encore six. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 11 h55. Clémentine parcourt toute la grande pièce en imitant une ballerine. << Le week-end ! >> chante t-elle sur tous les tons. Elle met deux bûches dans l'âtre. Elle m'attire dans quelques pas de danse avant de m'entraîner par la queue jusqu'à la cuisine.

Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe les deux pizzas déjà prêtes. Je dresse la table. La préparation est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Ces pizzas réchauffées sont un véritable délice. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur notre soirée de hier. << J'adore quand tu te comportes en "Maître". Tu es de plus en plus crédible ! >> me confie t-elle. Je réponds : << Tu es une si belle en "Soumise". J'y prends goût ! >>.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pressés d'aller découvrir les travaux, nous dévalons les escaliers. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Il fait froid. Nous traversons le jardin en restant dans nos pas. Les façades de la dépendance ont été sablées en surface. Les murs sont d'une propreté exemplaire. Le crépis restant servira de sous couche au neuf. Nous entrons dans la bâtisse, le cœur battant.

La chape en béton est bien sèche. Il y a même un mur qui est déjà entièrement plâtré de blanc. Lisse. Il y a de l'équipement posé au sol. << Ils bossent super bien ! >> fait Clémentine. Sur deux planches posées sur des tréteaux, il y a le plan de l'escalier conçu par Clémentine. Les employés sont certainement entrain d'en étudier la configuration. Clémentine reste le maître d'œuvre de ce chantier. Elle a tout imaginé depuis le mois d'avril l'année dernière. Une fois encore je la félicite.

Il est impossible de monter à l'étage car l'ancienne escalier raide a été enlevé. Il y a bien une échelle double au sol mais nous préférons ne toucher à rien. Les odeurs du plâtre neuf, du béton, sont fortes. Il fait froid. Les employés chauffent au gaz quand ils sont présents. Il y a même deux grosses bonbonnes de butane dans un coin. Clémentine, toute contente, m'entraîne dans une sorte de danse tribale dans toute la pièce. Un bruit de moteur. Nous regardons par la fenêtre. C'est Julie.

Il est à peine 13 h45 et elle est déjà là. << Coucou ! >> faisons nous en sortant de la bâtisse. Julie, toute surprise nous rejoint. Nous lui faisons visiter le chantier. Clémentine explique toutes les phases déjà passée et celles à venir. Julie tire le flacon de gel hydroalcoolique de la poche de son anorak. Nous tendons nos mains. Nous les frottons tous les trois en riant de ce rituel ridicule. Nous jouons le jeu car aucun d'entre nous n'est jamais dans une situation comportant le moindre risque.

<< C'est un virus qui s'attrape surtout par la télé et par les médias ! >> fait Julie. Nous traversons le jardin enneigé pour rentrer au chaud. Julie nous confirme que les routes sont praticables, dégagées et salées. Demain après-midi il nous faudra aller faire des achats. Nous retournons dans l'atelier. La pièce préférée des visiteurs qui ont l'autorisation d'y pénétrer. Je montre à Julie ma toile terminée. Elle pose d'adroites questions auxquelles je réponds le plus précisément possible.

Julie est installée dans le fauteuil à bascule. Clémentine et moi nous sommes vautrés dans le vieux canapé. Les filles évoquent leurs études, les cours en ligne, le télé travail. Elles parlent de tous ces étudiants qui sont seuls, livrés à eux-même. Souvent dans de petites chambres, loin de chez eux. Julie à des amis qui souffrent de ces situations d'isolement. C'est toujours de la jeunesse que souffle le vent du changement. Combien de temps encore faudra t-il pour que souffle le prochain ?

J'ai la braguette béante. Julie y jette de plus en plus souvent un œil attentif. Clémentine, à qui rien n'échappe, s'en rend également compte. Elle demande à Julie : << Tu penses au film ? >>. Julie répond : << Oh oui ! Tout le temps ! J'ai un petit scénario qui se prépare. Nous pouvons disposer des toilettes du restaurant ! >>. Je sors ma bite doucement en contrôlant chaque geste. Julie détourne son regard avec la pudeur de ses 20 ans. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Ses cheveux en liberté.

Je bande mou. Ma queue pend de ma braguette. A présent, Julie évite même mes regards. Clémentine pose des questions précises quand à la présence d'Anne-Marie. La tante de Julie, propriétaire du restaurant de l'étang, veut être présente durant les prises de vue. C'est une jeune femme très voyeuse. Julie et elle entretiennent une relation. Cela ne nous regarde pas. Mais elles sont très complices. Nous nous en sommes déjà plusieurs fois rendus compte. Sa présence sera la bienvenue.

Clémentine explique le déroulement de ce projet. C'est elle qui filme. Julie pourra se mettre en scène. Jouer son propre personnage. Estelle se chargera des accessoires. Je ferai l'acteur. Le partenaire de jeu de Julie qui nous explique sa façon de voir les choses. En fait, ce ne sera rien d'autre que la reproduction de situations que Julie a déjà vécu tant de fois. Entrer dans les toilettes hommes du sous sol et surprendre un mec devant les urinoirs. Nous improviserons la suite de l'histoire.

Julie, extrêmement gênée de parler de tout cela n'ose plus me regarder. Elle est adorable ainsi gagnée par ses inhibitions de jeune fille. Je me lève. Je tiens ma bite à sa base entre le pouce et l'index. Je dis : << Julie, je vous propose de faire une "répétition" dans nos toilettes. Ça vous tente ? >>. Elle évite de regarder le sexe que j'agite dans sa direction. Elle tente de soutenir mon regard pour répondre : << Oui ! >>. Julie ne joue pas. C'est sa véritable nature. Avec nous elle peut l'exprimer.

Je me dirige vers la porte. Clémentine est déjà debout. Prête à entraîner Julie pour me rejoindre. Je quitte l'atelier. Je vais directement aux toilettes. Nous n'avons pas d'urinoir mural. Aussi, c'est au dessus du petit lavabo que je me positionne. Je me masturbe doucement. La porte s'ouvre. << Oh pardon, excusez-moi ! >> fait Julie en prononçant cette phrase répétée à chaque fois qu'elle provoque cette situation. Je réponds par ces mots qu'elle entend certainement le plus souvent.

<< Mais je vous en prie, mademoiselle ! Si vous avez à faire, n'hésitez pas ! >>. Clémentine entre la première pour aller se glisser entre l'armoire et l'étagère. Julie entre à son tour. Elle s'empare du balai brosse et du seau. Elle reproduit très exactement ce qui se passe dans les toilettes du restaurant. J'interprète le rôle d'un client. Je reste immobile. J'observe Julie dans le miroir. Elle imite à la perfection la jeune serveuse qui vient chercher du matériel de nettoyage. C'est d'une rigueur !

Je dis : << Vous faites ça souvent ? >>. Julie lève la tête pour m'observer. Elle lance : << Je dois passer la serpillère. Cela fait partie de mon travail entre deux services ! >>. Je me masturbe doucement. Je reproduis probablement une scène à laquelle la jeune serveuse assiste souvent. Je me tourne pour lui montrer ma bite. Je me branle en disant : << J'espère que je ne vous importune pas mais l'intimité des toilettes permet toutes sortes de choses ! >>. Julie fait mine de ne pas voir.

C'est certainement au dessus de ses forces de continuer à interpréter son rôle. Elle pose les objets dans le coin pour s'enfuir. Clémentine vient me rejoindre. Nous éclatons de rire. Elle saisit mon érection pour m'entraîner. Nous rejoignons Julie dans l'atelier. Elle garde son visage entre ses mains. << Alors ? >> demande Clémentine. Julie répond : << C'est exactement comme ça le plus souvent ! >>. Nous en rions de bon cœur. Julie retrouve le sourire. Même si elle évite de me regarder.

Clémentine change de sujet. Inutile d'incommoder Julie. Nous savons tous les trois que lors du tournage de ce film, les choses se dérouleront un peu différemment. Julie nous communiquera la date où nous tournerons ce film. Elle précise encore une fois qu'il n'y aura pas de copie, que c'est pour son usage exclusif. Nous la rassurons. Personne, absolument personne, ne verra jamais ces images. << Si ! Nous ! On se fera une soirée cinéma ! >> lance Julie. Nous éclatons de rire.

L'après-midi se passe ainsi. Dans la joie et la bonne humeur. Les filles surfent sur les sites de leurs universités. Elles échangent quelques anecdotes. L'ambiance de la faculté leurs manque à toute les deux. Julie reprend ses livraisons de repas à 18 h30. Elle doit nous quitter. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Dans la nuit glaciale. Elle revient lundi soir pour nous livrer nos repas et passer la soirée avec nous. Dûment munie de son attestation de sortie pour le travail.

Nous rentrons nous mettre au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Je fais rissoler des calmars. Je rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Clémentine râpe du Parmesan. Nous dressons la table. Nous mangeons de bon appétit. Assise sur mes genoux après le dessert, Clémentine revient sur les attitudes de Julie. << Tu vas voir, elle va se lâcher comme jamais durant le tournage du film. Elle se réjouit comme une folle ! >>.

J'en suis convaincu aussi. La vaisselle. Clémentine voudrait revivre la scène des toilettes. << J'adore les vicieux. J'adore ces situations ! >> me fait elle en m'invitant à me rendre aux WC le premier. Je prends la même position. Clémentine entre. Elle reproduit exactement tout ce qu'à fait Julie. Nous vivons un moment extraordinaire. Nous faisons durer. C'est hyper excitant. Clémentine ne tarde pas à venir me sucer après une bonne demi heure de ce jeu fabuleux. Je me branle comme un salaud.

<< Il faudra vivre tout cela avec Estelle. Ça lui donnera de l'inspiration pour un de ses films ! >> lance Clémentine. Je la force à se redresser. Nous procédons à nos rituels pisseux. Nous montons nous laver les dents. Au lit, j'alterne les cunnilingus et les pénétrations. Je la fais jouir. J'aime repartir pour un second tour de léchage de minou après un premier orgasme. Clémentine aussi. Je propose de remettre la pipe et mon éjaculation à demain. Ce sera encore meilleur. Nous nous endormons.

Bons jeux à toutes les coquines qui aiment la proximité d'un mec vicieux et complice avec qui elles peuvent vivre des "situations"...

Julien

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1402 -



Un samedi des plus sympathiques

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par le mouvement masturbatoire qu'a Clémentine contre ma jambe qu'elle enserre de ses cuisses. Cette fois, c'est la volonté délibérée de me faire partager ses émois. << J'ai fait un rêve cochon si fort ! >> me chuchote t-elle en se blottissant contre moi. Je murmure : << Et ce n'était plus tenable, n'est-ce pas ! >>. Elle me couvre le visage de bisous. Elle glisse sa main dans mon slip pour s'emparer de mon érection matinale.

Il est presque 8 h. Je glisse ma main dans sa culotte. C'est humide. J'ai déjà l'envie folle de lui bouffer la chatte. Nous ne sommes pas du matin. Et puis l'impitoyable envie de pisser ne nous laisse aucun autre choix. Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse les oranges, je pèle nos kiwis. J'allume le feu dans la cuisinière.

Nous prenons notre petit déjeuner en riant beaucoup. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine revient sur son rêve. Il y est question de monsieur Bertrand. Une situation surréaliste ou notre voisin est debout sur l'échafaudage dehors. Ce vieux salaud lui a déjà montré sa queue. Clémentine s'est déjà exhibée plusieurs fois devant lui dans le jardin. Il est donc tout naturel que ce retraité très sympa hante quelquefois ses rêves. Elle m'en parle assez souvent quand nous baisons.

La vaisselle. Il est 8 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. La douche. Nous descendons à toute vitesse. Il est presque dix heures. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Nous sortons dans le froid humide. La neige persiste et recouvre toute chose. Elle doit bien mesurer dix centimètres d'épaisseur. Nous montons pour aller ouvrir le portail. Nous revenons sous l'abri à bois.

Nous remplissons le grand panier en osier d'une dizaine de bûches. Le bruit d'une voiture. C'est la livraison. C'est la même jeune femme. Elle porte son masque sanitaire. Nous nous saluons en gardant nos distances. Du hayon arrière de sa camionnette, elle sort deux grands cageots. L'un contient nos fruits et nos légumes. L'autre contient nos fromages, nos yaourts, nos œufs, le beurre, les petits pots de crème fraîche. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte.

A peine est-elle partie qu'arrive le tube Citroën de madame Marthe, la boulangère. Elle porte son masque sanitaire sur le menton. Cela nous amuse toujours beaucoup. Nous récupérons les trois paquets contenant nos grosses miches de pain et la brioche au pudding. Même commande pour samedi prochain. Nous rentrons avec nos livraisons. A la cave, dans le cellier, nous rangeons les fruits et les légumes. Une miche de pain dans le congélateur. Nous en faisons l'inventaire.

Nous remontons pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Cet après-midi, il nous faut aller faire des courses à l'hypermarché. Avec cette météo c'est un peu comme une épreuve. Certes, la campagne sous la neige c'est beau, les routes sont dégagées. Mais c'est la promiscuité qui nous rebute. Nous imaginons l'affluence avec les mesures de couvre feu entrées en vigueur ce samedi. Tout ferme à 18 h. << Une nouvelle connerie de ces cons ! >> lance Clémentine.

<< Ils auront passé en revue toutes les conneries que des cons peuvent faire depuis presque un an ! >> rajoute encore Clémentine. Je propose de téléphoner à monsieur Paillet, le traiteur du bourg. Nous savons qu'il fait également des livraisons de produits de la mer. << Excellent ! Viens ! >> me fait Clémentine en m'entraînant au salon. << Je m'en occupe ! >> dit elle en cherchant le numéro dans notre répertoire. Elle appelle depuis le téléphone fixe. C'est immédiat.

J'entends la conversation en allumant l'ordinateur. Clémentine passe commande. Colin, cabillaud, moules, crevettes, langoustines, homards et d'autre produits de la mer dont nous faisons grande consommation. Nous avons deux courriels. Monsieur Paillet vendra nous livrer lundi pour midi. C'est parfait. Clémentine vient me rejoindre en disant : << Pas besoin d'aller s'emmerder dans un hypermarché cet aprème ! >>. Nous découvrons le mail de Juliette. Le mail de Julie. Super.

Juliette nous propose de venir mercredi soir en emmenant le repas. Julie nous apprend qu'elle prépare une série de dates qu'elle nous soumettra lundi soir. Ce film qu'elle veut réaliser. Nous répondons comme d'habitude, en joignant un selfie pris à l'instant. Il est presque 11 h. Nous remontons pour faire la chambre, changer les draps et laver la salle de bain. A deux c'est rapide. Je nettoie les chiottes pendant que Clémentine passe la serpillère. A l'étage, tout est nickel.

Il est un peu plus de midi. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Clémentine s'occupe de la salade en évoquant la visite de Julie hier après-midi. Je prépare le bouillon pour y plonger les moules. Dans le wok, je chauffe les haricots verts et les petits pois décongelés depuis ce matin. C'est très rapide. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur son rêve de cette nuit. Notre voisin, Mr Bertrand.

Avec cette neige, il y a peu d'opportunité d'organiser un plan exhibe. Il n'y a ni potager, ni jardin à s'occuper. La maison des Bertrand est en contre bas à plus de trois cent mètres. Mr Bertrand monte tous les jours. Il longe la haie de cyprès et de lauriers pour descendre à la rivière. C'est la seule occasion d'organiser un plan. Mais ce n'est pas toujours à la même heure. Et puis, avec ce froid, ce cher retraité ne se promène certainement pas avec la bite à l'air. Nous en rions de bon cœur.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents dans une salle de bain qui sent fort la javel et le chlore. Nous redescendons. Il est 13 h. Clémentine nettoie la cuisine. Je nettoie les chiottes du bas. Clémentine passe l'aspirateur partout. Je la suis avec la serpillère. Tout est nickel pour 14 h pile. Nous nous faisons plein de bisous en nous félicitant d'avoir accompli le rituel du ménage. Nous serons peinards pour tout le week-end. Clémentine m'embrasse avec fougue dans la cuisine.

<< Bonjour les gens qu'ils sont où ? >>. C'est la voix d'Estelle qui arrive. Elle jette son grand sac de sport dans le couloir. Elle se précipite pour nous faire la bise. Elle se serre contre moi. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille pour me couvrir le visages de bisous. Je fais immédiatement pareil avec Clémentine car c'est un autre de nos rituels. Jamais l'une sans l'autre. Cela nous amuse tant. Nous accompagnons Estelle à l'étage. Je porte son sac de sport.

Estelle emmène toujours des vêtements de change. Elle sort Bunny Boy sont petit lapin fétiche en peluche qu'elle pose sur le lit. << On est allées faire les courses ce matin avec maman. Vous n'imaginez pas la cohue à l'hypermarché. C'est devenu l'activité principale de toute la région ! >> fait elle. Nous lui confions que nous avons préféré la formule de la livraison à domicile. Ce principe s'est considérablement développé depuis le début de cette crise sanitaire qui n'en finit plus.

Estelle dépose son pyjama sur le lit, un sweat shirt sur la chaise. Elle marque son territoire comme le font toutes les filles en arrivant quelque part. Clémentine et moi nous sommes assis sur le bord du lit à la regarder ranger ses affaires un peu partout. Nous l'écoutons nous raconter ses petites anecdotes. Le travail au bureau de l'entreprise familiale pour aider sa maman. Elle vient nous rejoindre en se jetant sur le lit. << Racontez moi la visite de Julie, hier ! >> demande t-elle.

Clémentine lui raconte en détail. Nos jeux dans les toilettes. L'attitude de Julie. Mon comportement. << Tu me fais ce plan, après ! Je te rappelle que je suis une voyeuse vicieuse moi aussi ! >> me lance t-elle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Je trouve l'idée de revivre ces situations tout à fait charmante. Nous sommes tellement contents de nous retrouver tous les trois. Nous sommes allongés sur le lit. Je suis entre mes deux anges. Elles évoquent leurs études.

Estelle m'a sorti la queue. Clémentine m'a sorti les couilles. Tout en parlant, les deux coquines jouent avec mes organes génitaux. Le plus naturellement du monde. Je glisse mes mains dans les culottes. J'aime démêler les poils. Et avec de telles touffes, il y a de quoi faire. De véritables broussailles. J'aime les écouter bavarder. J'aime sentir ce réflexe féminin quand j'arrive jusqu'aux lèvres de leurs sexes. Je suis certainement un des plus grands bouffeurs de chattes au monde.

Je me contrôle. Je me fais violence. Je me garde tout ça bien au chaud pour ce soir. Je bande d'ailleurs comme un salaud dans la main d'Estelle. Tout en parlant elle me tord la queue dans tous les sens. La contraignant avec insistance vers le bas. Elle sait que c'est presque douloureux. La coquine. Nous restons ainsi à nous reposer. C'est vraiment très agréable. C'est là que nous prenons conscience que nous sommes très souvent sous tension toute la semaine. Superbe.

<< Tu nous prépares quoi pour ce soir ? >> me fait Estelle en se tournant pour se frotter contre moi. Enserrant mes hanches de ses cuisses. Clémentine fait de même. Elles se frottent toutes les deux en me faisant plein de bisous. Je réponds : << Ce soir, mes demoiselles, je vais être un véritable salopards. D'une perversité inouïe. Avec un comportement que la morale réprouve ! >>. Nous rigolons comme des bossus quand Estelle dit : << La morale peut-être mais pas nous ! >>.

Pour éviter de nous laisser envahir par le désir galopant qui nous gagne, nous nous levons. Je remballe la bite et les couilles. La braguette étroite de mon 501 irrite souvent en marchant. Les filles reboutonnent leurs 501. Elles m'entraînent par la main jusqu'aux toilettes. << Ça valait bien la peine de se reboutonner ! >> lance Estelle. Nos rituels pisseux. Je peux enfin passer d'une chatte à l'autre après les avoir tenu toutes les deux par la nuque pour pisser. C'est à leur tour.

C'est hyper excités que nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Estelle y allume une flambée dans la cheminée. Clémentine m'entraîne dans une sorte de tango dans toute la grande pièce. A chaque fois qu'elle s'arrête c'est pour m'embrasser avec fougue. << A moi ! >> fait Estelle en m'arrachant des bras de Clémentine. Estelle est une fille hyper dynamique. C'est donc une sorte de danse tribale totalement loufoque qui fait éclater de rire Clémentine.

Nous nous arrêtons soudain. Nous nous tenons tous les trois par la main. Nous prenons une fois encore conscience de notre immense bonheur. De notre immense privilège. Ce n'est pas sans cette gravité qui nous étreint profondément. Estelle lâche ces mots : << Il ne faut jamais que ça s'arrête. Sinon je meure ! >>. Clémentine rajoute : << Moi aussi ! >>. Je ne sais quoi dire. Nous regardons nos yeux s'embuer. Nous sommes tous les trois des "sentimentaux".

Heureusement que Clémentine, dont l'optimisme prédominant reprend rapidement le dessus, nous entraîne dans une ronde folle. Une farandole. Estelle improvise des paroles absurdes que nous répétons en cœur. << Si on nous voyait ! >> lance Estelle. << On nous internerait avec une camisole ! >> rajoute Clémentine. << Mais heureusement il y a docteur Julien ! >> fait encore Clémentine en palpant ma braguette bossue. Nous en rigolons comme des bossus.

Il fait nuit. Nous sommes dans l'obscurité. Seule la lueur des flammes éclaire cette partie de l'atelier. Nous sommes assis en tailleurs sur le tapis à regarder ce magnifique spectacle. Ce soir, il n'y a aucune manifestations surnaturelles. << Christine nous boude ! >> dit Estelle en montrant le plafond. Nous avons un grand album photos parterre. Nous regardons les images de cette Ecosse qui nous manque cruellement. Nous espérons pouvoir y retourner cet été. Estelle veut rester les deux mois.

La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Assis tous les trois à la table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, le céleri, les navets et du choux vert. De l'ail, de l'oignon. Nous en faisons en grande quantité. Une potée de légumes qui assurera les trois repas du week-end. Cuisson traditionnelle dans la vieille cocotte en fonte noir et sur la cuisinière à bois. Clémentine prépare la salade. Estelle coupe des lamelles de Morbier. Je poêle des queues de crevettes.

En fin de cuisson, je verse un petit pot de crème fraîche. Estelle dispose les fines tranches de morbier sur une planchette. Nous dressons la table. Après la salade d'endive, Estelle nous sert. Sur la montagne de potée de nos assiettes, nous déposons les tranches de Morbier. Elles fondent doucement. Il suffit de faire un "volcan" et d'y verser la sauce aux crevettes. C'est un repas simple mais savoureux. Nous dégustons chaque bouchée en parlant de nos vacances passées. Notre chère Ecosse.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles évoquent le projet de film avec Julie. Nous avons déjà réalisé un film dans les toilettes du restaurant l'automne dernier. << Ma mère a failli tomber dessus. Je le regardais sur ma tablette que j'ai laissé allumé pour aller pisser ! >> fait Estelle. << Maman a déjà trouvé des photos très suggestives il y a deux ans. Il ne faudrait pas qu'elle tombe sur un film ! >> rajoute t-elle en éclatant de rire.

La vaisselle. Nous montons nous changer. Les filles me veulent en "Mousquetaire" ce soir. Je mets ma chemise à jabot et aux manches bouffantes. Clémentine me la fait blouser dans mon pantalon moulant de cuir noir. Je chausse mes cuissardes noires. Estelle fixe un nœud de velours noir à mes cheveux en catogan. << Put-Hein, comme tu es beau comme ça ! >> s'écrie t-elle en passant sa main entre mes cuisses. Les filles se déshabillent. Je reste assez surpris. Elles restent en T-shirt.

Juste une culotte, des soquettes blanches et des baskets. Nul doute, les coquines se sont concertées en secret. Elles attachent leurs cheveux en catogan. Elles m'entraînent devant le miroir de l'armoire. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite. De leurs mains libres, qu'elles glissent dans leurs culottes, elles me fixent. Je comprends immédiatement quel sera le registre de la soirée. Je bande presque immédiatement. Je les saisis toutes les deux par leurs cheveux.

Fermement, mais prudemment, je les entraîne. << Attendez mon bon "Maître" ! >> me fait Estelle. De son sac de sport elle tire un collier canin et une laisse. Je reste consterné par cette initiative. << Nous avions un chien quand j'étais petite ! >> rajoute Estelle en me tendant les objets de cuir usé. Je lui passe le collier autour du cou. J'y fixe la laisse. Je donne un à coup. Elle en glousse de plaisir. Je l'entraîne ainsi. Je tiens Clémentine par sa tignasse. Nous descendons prudemment.

Nous voilà au salon. Je jette deux épais coussins au sol. J'ordonne : << A genoux ! Mains sur la tête ! >>. Les filles se précipitent. Je passe derrière le bureau. Du tiroir du bas je sors le collier canin, la laisse et les deux paires de genouillères. Je rejoins les filles. A genoux, très droites, les mains sur la têtes, elles m'observent silencieuses. Comme elles sont belles. J'en ai le vertige. Je ne dois pas me laisser envahir par le sentiment. Il est exigé de moi que j'interprète le rôle du "Maître".

Je passe le collier canin autour du cou de Clémentine. J'y fixe la laisse. J'ordonne : << Debout ! >>. Je leurs fixe à toutes les deux les genouillères. J'ordonne : << A quatre pattes ! >>. Elles se précipitent toutes les deux au sol pour se mettre à quatre pattes. Je les tiens à la laisse. C'est la première fois que je les balade toutes les deux. C'était toujours l'une ou l'autre. Je les entraîne pour faire le tour de la grande pièce. Il y a juste la lueur des deux grosses bougies sur le chandelier.

Lorsque nous contournons un meuble, l'une lève la patte comme un chien pour faire mine de pisser. J'enfonce mon doigt dans le cul d'Estelle. Elle a ce réflexe féminin qui m'épate toujours. Je fais de même pour Clémentine. Même mouvement du corps. Je me mets à genoux derrière les filles pour tourner mes doigts. Je fouille leurs culs. Même si nous détestons tous les trois la sodomie, cet acte fait partie du jeu. J'enfonce bien les doigts pour les tourner avec vulgarité.

Je regarde ces deux merveilleuses salopes se trémousser en se faisant enculer. Je laisse un doigt dans le cul d'Estelle pour palper la vulve déjà mouillée de Clémentine. J'y enfonce le doigt. Quand je fouille le cul de l'une, je fouille la chatte de l'autre. J'ai le doigt dans le cul de Clémentine. Mon visage entre les fesses d'Estelle je lui bouffe le cul. Puis je passe à Clémentine. Les coquines ont des soubresauts de plaisir. Je les entends gémir de bonheur. Elles écartent les cuisses, les fesses.

Je me couche sur le dos pour glisser mon visage entre les cuisses d'Estelle. Elle se frotte la chatte sur ma gueule. Il y a du "yaourt" qui dégouline. Je n'arrête pas de fouiller le cul et la chatte de Clémentine avant de lui offrir le même traitement. Je me régale comme rarement. Je bande comme le dernier des salauds. C'est une poutre que j'ai dans le slip. Contrainte par mon slip et mon pantalon moulant. Je cesse. Je me redresse. J'ai le visage trempé de jus de salopes. Comme c'est génial !

Je saisis les laisses pour entraîner les filles. Nous arrivons près du canapé. Il y a toujours la cuvette posée sur l'étagère basse du guéridon. Je la prends. Je la pose au sol. J'ordonne : << Debout ! >>. Les filles se redressent. Elles ont leurs culottes qui finit par tomber sur leurs chevilles. Je saisis Clémentine au plus court en tirant sur la laisse. Elle comprend. Elle s'accroupit au dessus de la cuvette. Elle se lâche. Estelle regarde comme consternée. Je m'approche pour l'embrasser.

Je lèche son visage en enfonçant mon doigt dans sa chatte. Elle est tellement trempée que ça rentre comme dans du beurre. Clémentine se redresse. Sa chatte dégouline de pisse et de cyprine. Je tombe à genoux pour me bouffer ça. Tout récupérer. Clémentine se tortille en me tenant par les oreilles. Elle en gémit de plaisir. Je me redresse. C'est au tour d'Estelle. Elle se lâche dans plusieurs jets de pisse qu'elle semble parfaitement contrôler. Ça la fait jouir de pisser comme ça.

Je me bouffe tout ce qui dégouline quand elle se redresse. Clémentine se masturbe, cambrée sur ses genoux fléchis. Je cesse. Elles se branlent toutes les deux, le corps frissonnant de jouissance. Je les entraîne vers le bureau. Les culottes mouillées restent près de la bassine. Il y a de la pisse partout autour. Je saisis Estelle par ses hanches pour la soulever. Je l'installe sur le bureau. Elle comprend. Impatiente elle écarte ses cuisses en relevant ses jambes. Pressée de se faire tirer.

Je tiens Clémentine par la laisse. Je sors ma queue avec difficulté. C'est presque douloureux tellement je bande. Je m'introduis dans Estelle qui pousse un cri de plaisir. Je la baise à la hussarde. En appui sur ses coudes, la tête rejetée en arrière, cette sublime salope se fait tringler comme elle aime. Elle finit par se coucher complètement pour se faire niquer en criant. Je me retire en sueur. J'empoigne Clémentine pour la soulever. Je l'installe sur le bureau. Elle écarte immédiatement ses cuisses.

Je lui administre le même traitement qu'à Estelle qui se branle comme rarement. Je dis : << Il fallait filmer cette soirée ! >>. Clémentine se met à pousser de petits cris. C'est rare qu'elle bouge pendant que je la saute. Elle se masturbe en même temps. Ce soir, c'est elle qui ne peut réfréner l'orgasme fou qui la terrasse. Tout son corps est secoué de spasmes. Elle a du mal à reprendre son souffle. Je me retire. Elle se tient la chatte comme si ça lui faisait mal. Estelle explose à son tour.

Je contemple ces deux magnifiques salopes entrain de se comporter comme rarement. Il faut dire que nous plaçons la barre toujours plus haut. Sans le vouloir vraiment. En laissant s'exprimer nos instincts primaires. Nous sommes trois dépravés. J'ai la bite qui dégorge de jute. Dès que Clémentine reprend ses esprits, elle le constate. Elle saute carrément du bureau pour se mettre à genoux. Elle se met à sucer comme si sa vie en dépendait. << Pisse moi dessus ! >> crie t-elle.

<< A moi aussi ! >> s'écrie Estelle qui saute du bureau à son tour. Toutes les deux à genoux, se refilent ma bite qu'elles pompent comme des assoiffées. Je suis obligé de me tenir au bureau. Je suis tellement excité. J'en ai le vertige. Je dois pisser depuis le repas. Impossible, je bande jusqu'à la congestion. J'éjacule sans pouvoir contrôler. Elles n'en perdent pas une goutte. Se battant presque pour en avoir chacune sa dose. C'est merveilleux. C'est émouvant. Je pourrais m'écrouler au sol.

Elles n'arrêtent pas. Elles adorent toutes les deux repartir pour un second tour. Je n'en peux plus. Je pisse n'importe comment. Elles se font arroser en gémissant. Elles sucent. Je me laisse tomber parterre. Elles sont couchées contre moi, leurs têtes sur mon ventre à sucer les derniers épanchements. C'est fini. Je me redresse. Je les tiens à la laisse. Elles sont toutes les deux à genoux, trempées de pisse. Leurs regards plein de reconnaissances. Elles se branlent à nouveau. Il est 23 h.

Nous sommes épuisés. Vraiment crevés. Je les entraîne aux toilettes du bas. Il y a de quoi s'essuyer. Un sèche cheveux. Je m'en occupe avec soin. Elles sont toutes les deux assises sur la banquette. Nues. Elles semblent si fragiles après les folies. Elles se laissent faire. Tellement contentes que je m'occupe d'elles. Je le fais tout le temps. Nos derniers pissoux. Nous montons en riant mais totalement crevés. Entre mes deux anges, nous nous endormons en murmurant encore un peu.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment êtres promenées à la laisse, enculées par un doigt et baisées comme des salopes...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1403 -



Un si bon dimanche

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans ma nuque. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi comme une naufragée à sa branche. Je la sens parfois se blottir encore plus fort. Le contact de ses lèvres ventouses dans mon cou. C'est une sensation divine. Cela réveille Clémentine qui vient se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges dans un enchantement paradisiaque. Le soir, elles s'endorment avec les pieds froids contre les miens.

Elles ont les pieds bouillants le matin. Il est 9 h30. Nous dormons de plus en plus longtemps. Distribution de bisous. Estelle me tient par mon érection naturelle. Clémentine me tient par les couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Nous tentons de lutter contre l'impérieux besoin de pisser. << Tu as été génial hier soir, Julien ! >> chuchote Estelle. << Ah oui, tu t'améliores vraiment. >> murmure Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! >> fait elle.

Clémentine me chevauche en riant. << Comme c'était bon hier soir "Maître" ! >> dit elle en frottant son sexe sur le mien. Je fais : << C'est vous êtes de plus en plus exquise chère "Soumise" ! >>. Estelle revient, nous fait des bises, s'habille et dévale les escaliers. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous descendons rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et de brioche. Estelle tente de rallumer la cuisinière.

Pendant que Clémentine met la table, je dispose du petit bois sur du papier froissé. Estelle craque une allumette. Le feu redémarre très vite. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous savourons ce "chinois", cette brioche au pudding si délicieuse. Nous traînons à table. Le dimanche pas de sport. Le ménage a été fait hier. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles reviennent sur leur soirée de "Soumises", hier. Mon rôle de "Maître".

Nous sommes conscients que tout cela n'est qu'un jeu. Que tout cela reste très subjectif. Mais que ces séances de "dressage" restent de grands moments de plaisirs. Cela paraît encore plus intense. Mais ce n'est qu'une impression. Tout ce que nous vivons présente la même profondeur émotive. << On filme la prochaine ! Mais on laisse la caméra tourner en automatique ! >> propose Estelle. << Samedi prochain ? >> demande Clémentine. << Pour moi ça marche ! >> dit Estelle.

La vaisselle. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Nous sortons dans le froid humide et désagréable. La neige a partiellement fondu. Il y a cette "soupe" détestable aux endroits où nous marchons habituellement. Tout est détrempé. Le ciel est gris, bas et menaçant. Nous sommes chaussés de nos bottes en caoutchouc. L'arme absolue contre la gadoue. Accrochées à mon bras, les filles nous entraînent vers la dépendance. Nous allons visiter le chantier. Tout montrer à Estelle.

L'odeur de plâtre et de béton reste prépondérante. Il fait froid dans la grande pièce. << On se fera une fiesta pour l'inauguration. On pendra la crémaillère à notre manière ! >> fait Estelle. Nous en rions de bon cœur. Nous ne nous attardons pas. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le niveau des eaux a considérablement augmenté. Avec la fonte des neiges, c'est vraiment étonnant. Quelle surprise. Il y a monsieur Bertrand, notre voisin, qui donne du vieux pain aux canards et aux colverts.

Nous bavardons. Je reste entre mes deux anges qui me tiennent fort. Mr Bertrand vient régulièrement visiter le chantier en matinée. Il a fait connaissance avec les deux employés. Il a pris contact avec monsieur Ledru, patron de l'entreprise Ecolisas. Lui aussi a un projet d'aménagement. Nous continuons notre balade. Si le niveau des eaux monte encore, le sentier sera à nouveau impraticable. Estelle marche devant. Clémentine marche à l'arrière. Nous préférons rester serrés.

Nous reprenons le sens inverse. Il y a quelques gouttes de pluie. Pas de doute, la journée s'annonce pluvieuse. Il est 11 h30 quand nous sommes de retour. Nous remplissons le grand panier en osier d'une dizaine de bûches. L'odeur du bois de hêtre sous l'abri est envoutante. Estelle colle son nez sur les bûches en disant : << Je fais pareil à la maison. C'est moi qui rentre les bûches et qui m'occupe de la cheminée ! >>. Nous rentrons. Nous empilons les bûches à la cuisine à côté de la cuisinière.

Clémentine prépare la salade. Il fait presque trop chaud à la cuisine. J'entre baille la porte vitrée de la véranda. Estelle file à toute vitesse en criant : << Pipi ! >>. Je réchauffe la potée de légumes sur la cuisinière à bois. Estelle revient en portant un tupperware rond. Elle le pose sur la table, retire le couvercle pour en sortir une galette. << Surprise ! Je l'ai fait vendredi soir. Celui qui trouve la fève sera le vassal des deux autres ! >> lance t-elle. Nous admirons cette splendide petite galette à la frangipane.

Estelle m'aide à préparer les pavés de saumon décongelé en papillotes. Nous les faisons cuire sur le barbecue électrique de la véranda. Nous sommes vêtus de nos anoraks car la grande pièce vitrée n'est pas chauffée. Nous faisons des pitreries derrière les vitres. Clémentine nous fait des grimaces. Estelle me palpe la braguette en me disant : << Je t'aime Julien. J'aime nos vies de folies ! >>. Je la prends par les épaules pour dire : << Nous avons les plus belles existences du monde ! >>.

Nous rejoignons Clémentine dans la chaleur soudain bienfaisante de la cuisine. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, il pleut. Ce qui achève de faire disparaître le peu de neige qui restait. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent leurs études. Estelle coupe la galette en trois parties. << Le sigle Mercedes ! >> dit elle en coupant soigneusement. C'est vrai que cela évoque le logo de la célèbre marque. De mon auto. De celle des parents d'Estelle.

Nous savourons cette galette à la frangipane. Bien meilleure encore que celles du commerce. Nous félicitons Estelle quand soudain elle tombe sur la fève. Un petit personnage médiéval. << Perceval ! >> lance t-elle en suçant soigneusement l'objet. C'est un ravissant petit personnage finement ciselé. << C'est une des fèves de ma collection. Je les garde depuis petite ! >> rajoute t-elle. Je dis : << Tu es donc notre vassal pour le restant de la journée ! >>. Clémentine rajoute : << Notre esclave ! >>.

Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous sommes vêtus tous les trois exactement pareil. Comme toujours. Je saisis Estelle qui est entrain de mimer une masturbation masculine, par ses cheveux. Je l'entraîne dans la chambre. Je la soulève pour la jeter sur le lit comme un paquet de draps. Elle est toute surprise. J'ordonne : << Tu vas te mettre en tenue de salope et nous rejoindre au salon ! >>.

J'entraîne Clémentine toute étonnée par la main. << Tu es de plus en plus génial, Julien ! >> me fait elle en descendant l'escalier serrée contre moi. Nous allons au salon. Elle m'embrasse avec fougue. << Je t'aime, je t'aime. Je suis si heureuse ! >> me dit elle entre deux baisers passionnés. Nous sommes devant une des deux portes fenêtres à regarder dehors. << Comme ça ? >>. C'est la voix d'Estelle. Nous nous retournons. Elle est magnifique. Sa jupe kilt à carreaux rouges.

Son chemisier crème. Ses escarpins noirs à talons hauts. Ceux avec la petite sangle délicate autour de la cheville. << Les souliers de baise ! >> comme les appelle Clémentine car elles permettent toutes les positions sans jamais tomber. Estelle virevolte gracieusement dans toute la pièce. Tournant sur elle même. On voit sa culotte blanche. << Je porte toujours une culotte parce qu'en hiver j'ai froid aux fesses ! >> dit elle en se mettant à genoux sur un des épais coussins qu'elle a jeté au sol.

Bien droite, ses mains posées sur la tête, elle fait : << Je suis à vous ! >>. Clémentine passe une main dans son jeans qu'elle déboutonne. Nous restons à distance pour admirer Estelle. Nous tournons autour d'elle. Elle nous observe. Je passe derrière elle pour poser mes mains sur ses tous petits seins. Elle non plus ne porte pas de soutien gorge. A quoi servirait-il ? Aussi, j'ai accès à ses tétons déjà turgescents. Je chuchote : << Mais vous bandez déjà ma douce esclave ! >>. Elle soupire d'aise.

Clémentine se masturbe. Rien ne l'enchante davantage que de me voir faire le pervers avec Estelle. Je me penche pour passer ma main sous sa jupe. Entre ses cuisses bouillantes. Par derrière. Par devant. Je suis accroupis à la tripoter. Je la palpe. Je l'ausculte. Je la pelote. Je touche ses parties intimes avec l'insistance d'un pervers. Estelle reste bien droite. En fonction de l'endroit que je touche, elle a des soubresauts. Des frissons. Je lui couvre le visage de bisous.

Je n'ai absolument pas l'âme d'un "Maître" car dans ces situations, j'ai plutôt envie de laisser s'exprimer ma véritable nature. D'être d'une douceur infinie avec cette sublime jeune fille. Ce n'est évidemment pas ce qu'elle attend. J'interprète donc le rôle qui m'est demandé avec toute la maestria nécessaire. Clémentine, vautrée dans son fauteuil a retiré son jeans et sa culotte. Elle est devant un de ses "films" préférés. Je tripote Estelle partout. J'essaie d'y mettre toute la vulgarité possible.

Je descends sa culotte. J'enfonce un doigt dans tous les trous. Je les renifle. Le dimanche nous aimons tous les trois rester à macérer dans nos jus, sans nous laver. Le doigt que je retire de son cul sent la crotte. Je n'en peux plus. Je me couche sur le dos. Je glisse mon visage entre ses cuisses, la tête posée sur le coussin. Elle n'a plus qu'à s'assoir sur ma gueule. Je me bouffe de la chatte odorante. L'odeur forte de fille négligée d'Estelle m'enivre tous les dimanches. C'est d'une exquise délicatesse.

Je bande comme le dernier des salauds. Je sors ma queue raide comme un piquet. Estelle tombe en avant. Nous voilà à nous livrer à un "69" gouteux. J'entends les gémissements de Clémentine qui se branle. Le sexe d'Estelle me dégouline dans la bouche. Depuis quelques mois, elle mouille presque autant que Clémentine. Son "yaourt" reste toutefois bien plus âcre. J'ai appris à en apprécier les saveurs épicées et légèrement amères. Elle frotte son croupion sur mon visage déjà trempé.

Je cesse. Je me redresse. Je recommence à la toucher. Cela calme mon envie de lui juter dans la bouche. Je l'embrasse comme un fou. Je lui lèche le visage. Estelle est couverte de frissons. Les yeux fermés, en gémissant, elle se laisse faire. Elle se laisse tomber. C'est tellement bon qu'elle a le besoin de s'offrir totalement. Je la soulève. Je la porte comme une jeune mariée pour la déposer délicatement sur le canapé. Sa culotte est restée parterre avec mon jeans et mon slip. Je m'introduis dans la fille.

Nous baisons comme elle aime. A la hussarde. Clémentine, en sueur, toute rouge, se masturbe en gémissant tout autant qu'Estelle. J'alterne les léchages de chatte et les pénétrations. Je m'occupe exclusivement d'Estelle. Clémentine se met à pousser de petits cris d'animal blessé. Elle a juste le temps de récupérer la cuvette pour s'y lâcher en hurlant de plaisir. Estelle bouge comme une folle, pénétrée jusqu'aux couilles. Elle se met à pousser les mêmes petits cris dans un orgasme foudroyant.

Nous sommes tous les trois allongés sur l'épais tapis. Je suis entre mes deux anges. Nous échangeons nos ressentis. Nous reprenons nos esprits. Je propose aux filles de partager ma bite ce soir, au lit. Même si elles adorent bouffer mon foutre, elles savent aussi faire preuve de patience. Il est 17 h. Estelle a un peu froid vêtue de sa jupette. Nous montons tous les trois. Elle se change. << Tu es génial Julien ! Vraiment, tu t'améliores ! >> me fait elle. Ce qui n'est qu'une simple impression.

Nous prenons des poses devant le miroir de l'armoire. Nous sommes tellement heureux tous les trois. << Notre couple de trois ! >> comme le surnomme Estelle. Nous redescendons. Nous traînons un peu dans l'atelier. Les filles surfent sur le site de l'université. Je dépose la toile sur le chevalet. Cette troisième nature morte que je commence demain matin. Morts de faim, nous retournons à la cuisine. Clémentine fait la salade. Estelle prépare une belle omelette. Je réchauffe le reste de potée de légumes.

Bon dimanche à toutes les coquines qui aiment inverser le jeu. Celui qui trouve la fève dans la galette sera l'esclave...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1404 -



Julie vient livrer nos repas en soirée

Hier matin, lundi, réveillés par notre douce application, nous prenons doucement conscience de la réalité dans des chants d'oiseaux et le bruit d'une source. Cela ne dure pas. Estelle qui est restée accrochée à moi toute la nuit se serre encore plus fort en saisissant mon érection matinale. Clémentine vient se blottir en saisissant mes couilles. Il est presque six heures. Estelle se lève d'un bond. Ses vêtements de gym à la main elle se précipite aux toilettes. Puis c'est à nous.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Estelle à la cuisine. L'odeur de café, de brioche et de pain grillé se mêle à celle de la cuisinière à bois qu'Estelle rallume. Nous prenons notre petit déjeuner encore un peu endormis. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Elle est encore meilleur passée au micro-onde. Les filles reviennent sur nos folies du week-end. << Samedi prochain, on les filme ! >> lance Estelle. Nous rions.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos pour finir par le stretching. Estelle, vêtue comme elle est, son sac de sport à la main, dévale les escaliers en criant : << A demain, soyez sages ! >>. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons avant de redescendre pour enfiler nos anoraks. Les bonnets, les gants. Nous sortons dans la nuit froide et humide. C'est désagréable.

Nous allons remplir le panier en rotin d'une dizaine de bûches. Il est 7 h50. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous rentrons vite. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les bûches à côté de la cheminée. J'y allume une bon feu. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je commence ce matin le troisième paysage destiné à ma saison d'été.

Je peins dans une sérénité reposante. La matinée se passe ainsi. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me déposer plein de bisous. Elle met deux bûches dans l'âtre. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du millet doré. Je prépare un coulis d'aubergine. Je poêle deux filets de cabillaud blanc. Tout est rapide. Nous mangeons de bon appétit. << C'était génial ce week-end ! >> dit plusieurs fois Clémentine.

Trois coups de sonnette. Nous avions oublié. Clémentine se précipite. C'est monsieur Paillet, le traiteur du bourg qui vient nous livrer. C'est vraiment sympathique. Je viens rejoindre Clémentine. Je paie par carte. Ce sont deux grandes boîtes contenant les produits. Dans l'une le congelé, dans l'autre le frais. Nous descendons immédiatement à la cave pour tout mettre au congélateur. Poissons, moules, crevettes, langoustines et autres homards. Pas besoin d'aller à l'Hypermarché.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur nos jeux du week-end. Le rôle de "Maître" dont je me suis acquitté avec maestria. Les rôles de "Soumises" d'Estelle et de Clémentine. << Ça m'a manqué. Merci Julien. C'était tellement bon ! >>. Je lui promets de faire encore mieux samedi prochain. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous regardons par une des fenêtres.

Il y a la camionnette de l'entrepris en bas. Garée devant la dépendance. Nous descendons. Nous enfilons nos anoraks. Nos bonnets, nos gants. Nous sortons. Le ciel reste gris, bas et menaçant. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Tout est détrempé. Il y a parfois quelques gouttes. Nous descendons le chemin pour suivre le sentier qui longe le cour d'eau. Le niveau a encore monté. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte.

<< Je suis encore sous l'émotion ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Il y a les canards qui viennent cancaner. Suivis des colverts et des poules d'eau. Ils attendent probablement le vieux pain de monsieur Bertrand. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Nous remontons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé du même sentiment que ce matin.

L'après-midi se déroule dans l'ambiance studieuse que nous affectionnons. Il est 17 h quand Clémentine virevolte dans toute la grande pièce. Imitant une ballerine qui ferait ses pointes, elle chante sur tous les tons : << Fini, de chez fini ! >>. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle observe mon travail en palpant ma queue. Elle a encore de la lecture. La voilà confortablement installée dans le vieux canapé. Elle me fait parfois la lecture à haute voix. J'aime.

Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je viens rejoindre Clémentine. Elle s'allonge sur le dos, ferme son livre, pose sa tête sur mes cuisses. Sa joue contre ma bite, elle reste les yeux fermés. Nous apprécions ce retour à l'inactivité comme une friandise. Ce soir encore, aucune manifestations surnaturelles. Nous restons silencieux. Je caresse les cheveux et la tête de Clémentine. Nous sommes dans l'obscurité. Juste les flammes dans la cheminée.

Il est 18 h30. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se redresse pour aller le récupérer sur la desserte. << Julie ! Elle arrive ! >> fait Clémentine. Je me redresse. Clémentine saisit ma bite en disant : << Sois hyper vicelard ce soir ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Je bande mou dans sa main. Nous quittons l'atelier. Nous dressons la table à la cuisine. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite.

Elle revient suivie de Julie. Elle porte la grande boîte contenant nos repas. De son petit sac à dos en cuir, elle tire le flacon de gel hydroalcoolique. C'est le rituel. Nous nous frottons les mains. Ce soir Julie a noué ses cheveux en une longue natte. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Un pull noir, un jeans et ses bottines. Les tourtes aux fruits de mer sont encore très chaudes. Clémentine sort les bacs en plastique contenant les salades. Tout est déjà prêt.

Pas une seule fois Julie n'a fixé ma braguette. Comme toujours, elle fait mine de ne pas l'avoir remarqué. J'adore. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Julie prépare sa Licence de Lettres Modernes. L'ambiance de la faculté leurs manque. Elles en parlent avec nostalgie. << Savez-vous que nous sommes 99,96 % de survivant à ce virus ? >> lance Julie. << Et tout ce bordel à cause de 0,04 % de décès. Toutes causes confondues ! >> rajoute Clémentine.

C'est rageant. Surtout pour des jeunes gens qui ont tout de même le sentiment qu'on se fout profondément de leurs gueules. J'écoute avec attention les échanges. Il se prépare des choses chez les étudiants. Julie, pour changer de sujet, lance soudain : << Les dates du vendredi 29 ou du samedi 30 ? >>. Nous nous regardons en silence. Julie rajoute : << Les toilettes du restaurant sont à notre entière disposition ! >>. Nous restons étonnés par le ton solennel de Julie.

Clémentine demande : << Tu es prête ? >>. Julie, sans hésiter, comme pour remporter une nouvelle victoire, rajoute : << Oh oui ! Tout à fait ! J'ai même hâte d'y être ! >>. Nous éclatons de rire. Je me lève pour agiter ma bite toute molle en direction de Julie. Je dis : << Les accessoires sont prêts eux aussi. Clémentine allonge le bras pour me la saisir. Elle fait : << Je m'occupe de la caméra ! >>. Julie essaie de soutenir mon regard avant de dire : << L'acteur aussi je vois ! >>.

C'est la toute première fois que Julie est aussi détendue en abordant le sujet de ce film. Clémentine propose la date du vendredi 29 janvier. << Si ces odieux crétins n'ont pas emprisonné le pays dans un nouveau confinement ! >> précise t-elle. Je dis : << Au quel cas nous saurons tricher comme nous l'avons toujours fait avec ces sinistres individus ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Il suffit d'avoir sur soi plusieurs attestations avec différentes heures. C'est imparable.

La date du vendredi 29 est retenue. Nous serons là pour 14 h30. Au restaurant de l'étang. << Je vous réserve une surprise ! Vous verrez, ce sera passionnant ! >> rajoute encore Julie. Clémentine m'a attiré vers elle. Tout en parlant, elle me masturbe. Julie observe comme à son habitude. A la fois consternée, étonnée et silencieuse. Je lui demande : << Avez vous un souhait particulier pour le film ? >>. Julie n'arrive pas à soutenir mon regard. Gênée, elle détourne la tête.

<< Si vous pouviez être en costume, cravate, très élégant. Comme les clients qui viennent au restaurant à midi ! >> fait timidement Julie. Je réponds : << Mais avec plaisir. Il faut que vous puissiez vivre la situation le plus fidèlement à la réalité ! >>. Clémentine rajoute : << Ce sera un client beaucoup plus vicieux que les autres ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Julie se détend à nouveau. Lorsqu'il est question de sexualité, je tutoie Julie avec facilité.

Je dis : << Je te propose quelques initiatives que tu n'oserais pas entreprendre dans les situations habituelles ! >>. Julie, sans oser me regarder dans les yeux, répond : << Je veux absolument reproduire des copies conformes. Je ne sais pas si je pourrais aller au-delà. Une prochaine fois peut-être. Pour réaliser le fantasme qui découle du premier presque à chaque fois ! >>. Je demande : << Sucer ? >>. Julie reste silencieuse. Elle ne répond pas. Je n'insiste pas.

Nous faisons la vaisselle ensemble. Pour détendre un peu l'atmosphère, Clémentine propose d'aller au salon. De prendre un thé. Julie doit impérativement être rentrée pour 22 h30. Munie de son attestation de sortie professionnelle. Il nous reste une petite demi heure. Il n'est que 21 h30. Les filles sont assises dans le canapé. J'apporte le thé. Je remplis les tasses. De petits gâteaux secs. Je reste debout à quelques mètres. Je tiens ma queue à sa base, entre le pouce et l'index.

A chaque fois que Julie m'adresse la parole pour répondre à une de mes questions, j'agite ma bite dans sa direction. Clémentine me fait un clin d'œil. Je suis cambré sur mes genoux fléchis, bien orienté vers les filles. Je me branle comme le dernier des pervers. Julie évite de regarder. Lorsqu'elle me répond, c'est sans lever les yeux. Je dis : << Julie, je suis impatient de vivre ton fantasme dans ces toilettes ! En plus, tu nous réserves une surprise ! >>. Elle se met à rire.

C'est un rire nerveux. Une fois encore je découvre le plaisir qui l'envahit dans les situations embarrassantes. Elle aime tant s'y retrouver. Les créer. Sa timidité de jeune fille lui en fait pourtant subir les tourments. Du haut de ses 20 ans, elle a déjà connu bien des situations. Situations qu'elle a créée avec ruse et stratégie. Authentique voyeuse, insatiable et passionnée, Julie aussi est impatiente. << Tout ce que je dois surmonter ! Vous n'imaginez pas ! >> lance t-elle.

Il est 22 h. Nous la raccompagnons dans la nuit jusqu'à son auto. Je remets la caisse en bois dans le coffre. Clémentine tient le parapluie. Julie est assise à son volant, la vitre baissée. Je suis appuyé contre la portière à agiter ma bite dans la voiture. A une cinquantaine de centimètres de son visage. La situation l'affole. Elle revient vendredi après-midi, pour 14 h30. Nous nous dépêchons de rentrer. Au lit, Clémentine veut absolument se consacrer à une pipe. Immense !

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment rendre visite à leur couple d'amis. Un couple dont le mec est un vrai vicelard...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1405 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, réveillés par cette douce application, nous émergeons de nos profonds sommeils un peu avant six heures. Le chant de ses oiseaux mystérieux, le bruit de cette source mystérieuse, qui résonnent au fond d'une forêt mystérieuse nous enchantent. Nous nous étirons en modulant nos gémissements jusqu'à l'absurde. Comme elle termine à midi, Clémentine est facétieuse. Elle m'entraîne par mon érection matinale jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je rajoute deux bûches sur les braises de la cuisinière à bois. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner dans une sorte d'euphorie. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. Une histoire surréaliste qui nous amuse beaucoup. Il est 6 h25. Nous remontons pour notre heure d'entraînement.

<< Michel Cymes, qui est à la médecine ce que Plastic Bertrand est à l'Académie française, serait fier de nous ! >> lance Clémentine décidément très déconneuse ce matin. Nous en rigolons comme des bossus. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et le retour au calme d'un stretching un peu monotone. La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons pour enfiler nos anoraks. Bonnets, gants.

Nous sortons dans la nuit froide. Il fait à nouveau plus froid. Il est 7 h50. Nous traversons le jardin pour aller sous l'abri à bois. Nous y remplissons le grand panier en osier d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Le temps de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine, déjà concentrée sur son télé travail est assise devant son ordinateur. Ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les bûches sur les autres, à côté de la cheminée. J'allume le feu.

Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans cette euphorie offerte par Clémentine depuis le réveil. La peinture de cette troisième nature morte destinée à ma saison d'été, m'absorbe rapidement. La matinée se passe dans cette émulation constructive que nous apprécions tant. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans les flammes. Nous quittons l'atelier pour la cuisine.

Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je réchauffe les deux tourtes aux fruits de mer ramenées par Julie hier soir. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Je la sépare en deux parties. Deux tiers, un tiers. Je coupe et je lave deux gros poireaux. Je les fais cuire à l'auto cuiseur. Je prépare une Béchamel. Clémentine râpe une tonne de gruyère de Comté. J'égoutte les poireaux que je rajoute avec le gruyère dans l'onctueuse Béchamel.

Clémentine a disposé la grande partie de pâte feuilletée dans un grand plat à tarte à bords hauts. Je verse la Béchamel que Clémentine disperse de façon homogène avec une spatule en bois. Je recouvre le tout avec la petite partie de pâte. Clémentine badigeonne le mélange moutarde à l'ancienne, œuf et lait de soja sur le dessus. Je place au four. Cuisson à 180° pour que ça mijote. La Flamiche Picarde, notre délicieuse tarte aux poireaux du mardi soir est à cuire.

Nous mangeons de bon appétit. Les tourtes aux fruits de mer sont encore meilleures réchauffées. Avec une laitue, c'est un régal. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque le film que veut réaliser Julie. La date du vendredi 29 janvier a été retenue. Nous nous réjouissons pour ce projet. << Il faudra emmener un costume dans une petite valise ! >> me rappelle Clémentine. Nous en rions de bon cœur.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Par une des deux fenêtres nous voyons la camionnette de l'entreprise devant la dépendance. Pressés de sortir, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Bonnets, gants. Il fait froid. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière lorsque la jeune femme, chef du chantier, sort de la bâtisse. Nous la saluons. Elle nous invite à venir voir.

Nous gardons nos distances. Les deux employés terminent le plâtrage du dernier mur intérieur. L'odeur est forte. La jeune femme nous explique la phase qui va suivre. Ils vont fixer les rails de métal afin d'y fixer les plaques de BA13. Des plaques de plâtre de 13 mm déjà prêtes. Il y aura un vide de 20 cm. Ce qui permettra d'insuffler la fibre de cellulose. Le meilleur isolant thermique actuellement sur le marché. C'est beaucoup plus cher, mais tellement plus efficace.

Nous les laissons travailler pour sortir. En descendant vers la rivière, Clémentine sautille en m'entraînant par la main. Elle est si contente de l'avancée des travaux. Le ciel est voilé mais lumineux. Nous longeons le cour d'eau dont le niveau a encore monté. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. << Je suis tellement heureuse. Sans toi et la vie que tu m'offres, je serais à me morfondre dans une chambre d'étudiante, seule et sans le sous ! >> me dit elle.

Je réponds : << Oh, je te sais assez débrouille et assez démerde. Tu aurais organisé ton existence autrement ! >>. Clémentine se blottit contre moi. Avant de m'embrasser avec passion, elle chuchote : << Je ne crois pas. Je t'aime ! >>. Nous longeons la rivière sur les trois kilomètres qui nous séparent du vieux lavoir. Là-bas, de l'autre côté de l'étroite route communale, les bâtiments du haras. << Viens, on va y faire un tour. Un coucou à Juliette ! >> propose Clémentine.

Nous traversons la route. Je remballe ma bite. Sur la demande de Clémentine, je garde ma braguette ouverte. C'est invisible sous mon anorak. Il y a des voitures garées dans la cour. Deux jeunes cavalières s'apprêtent à partir sur leurs montures. Des filles de propriétaires de chevaux. << Les sports équestres sont très féminins ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la main dans l'ancienne écurie. Kim Son, le jeune palefrenier est occupé à changer la paille d'un box.

Il est tout content de nous voir. Nous bavardons un peu. << La patronne n'est pas là ! >> nous apprend le jeune garçon. Nous le laissons vaquer à ses activités. Clémentine me montre le trou parfaitement rond à 80 cm du sol, sur le mur du dernier box. On distingue les coulures qui maculent la cloison jusqu'au sol. Le box est occupé par un cheval qui attend ses caresses. << Ce trou a encore beaucoup servi ! Regarde tout le foutre qui a coulé dessous ! >> murmure Clémentine.

Elle rajoute : << Ça me fait envie ! Put-Hein, et comment ! >> chuchote t-elle en palpant discrètement ma braguette. C'est vrai que ce trou noir, d'environ six centimètres de diamètre, a de quoi susciter l'intérêt de n'importe quelle passionnée de fellations à des inconnus. Le fantasme ultime en fait. Clémentine tente d'ouvrir la porte du local adjacent. C'est ouvert. Nous y pénétrons. J'allume la lumière. Nous voyons le trou. D'ici il est lumineux. Clémentine s'accroupit.

Je regarde aussi. On voit le cheval. De ce côté aucune coulure sous l'orifice. << Je suis hyper excitée Julien ! >> me fait Clémentine. Je dis : << Viens, on sort. Nous n'avons rien à faire dans ce local ! >> Ce local qui sert aussi de bureau. Je l'entraîne par la main. Nous quittons les écuries. Un petit tour dans le grand bâtiment. Le manège à chevaux. Il y a quelques écuyères qui sautent des obstacles. Quelle surprise, il y a madame Walter. Nous sommes heureux de nous revoir.

Elle porte son masque sanitaire car elle était en pleine conversation avec un cavalier. Nous bavardons. Nous apprenons que Juliette est très sollicitée par les services vétérinaires. Il y a de constants contrôles. La peur des autorités sanitaires qu'il y ait une propagation virale chez les chevaux. << Elle va en ville presque tous les jours ! Ils nous pourrissent la vie ! >> fait Mme Walter. Clémentine dit : << Il y a tous ces gens payé à pourrir la vie des autres par excès de zèle ! >>.

Il y a un ras-le-bol qui se généralise. << Le couvercle sur la marmite commence à remuer ! >> rajoute Mme Walter. Nous la laissons à son travail d'assistante de direction. Car il y a du boulot. Nous regardons les écuyères évoluer dans de gracieuses figures équestres. C'est de toute beauté. Il est déjà 16 h30. Le crépuscule s'annonce doucement. Nous avons nos lampes frontales dans le petit sac à dos que je porte. Nous revenons en restant sur le bord de l'étroite route. Sur les trois kilomètres nous ne croisons aucun véhicule. Il fait nuit quand nous arrivons. Les employés sont entrain de ranger du matériel.

Nous les saluons de loin. Ils terminent leur journée. Nous récupérons quelques bûches sous l'abri à bois. Avec ce froid et les deux feux à entretenir, nous en faisons grande consommation. La camionnette s'en va. Il est un peu plus de six heures. Clémentine m'entraîne dans la bâtisse. L'odeur de plâtre est forte. Tous les murs sont comme neufs. Recouverts de plâtre blanc. Le tour des fenêtres est jointé avec un grand soin. Tout le chantier est propre. Entretenu. Rien ne traîne.

<< On voit quand c'est une femme qui dirige les opérations ! >> lance Clémentine en m'entraînant dans une ronde. Un bruit de voiture. C'est Estelle. Elle voit la lumière dans la dépendance. Elle entre. Il fait encore bien chaud après le départ des employés. Estelle nous rejoint dans cette ronde qui devient farandole. Nous sommes tellement contents d'être à nouveau tous les trois. << Sors ta bite, il fait bien chaud ! >> me lance Estelle en s'accroupissant soudain devant moi.

Je lui offre mon sexe à humer. Clémentine s'en saisit entre le pouce et l'index pour le décalotter légèrement. << Bonsoir petit Schlingo ! >> fait Estelle en reniflant bien. << Je n'ai pas arrêté de penser à notre week-end fou ! >> dit elle avant de se mettre à téter le prépuce. Clémentine, sans lâcher ma queue, m'embrasse avec passion. Je caresse la tête de ma suceuse. Je la force à se redresser. Nous reprenons notre farandole. Ce qui agite ma bite. Nous éclatons de rire.

Morts de faim, nous sortons pour traverser le jardin en courant. Le sol se met à geler. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement du reste de laitue déjà lavée. Je réchauffe la Flamiche Picarde. Cette tarte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soirs. Estelle dresse la table. Elle me prend la bite pour la serrer dans sa main chaude. << J'aime mon Doudou ! >> me dit elle en me couvrant le visage de bisous. Nous lui racontons notre visite au haras. Le trou dans le mur.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine vient d'avoir une idée. << Et si on se faisait faire un système extérieur avec un trou ? Je pense à une sorte de cabanon à côté de l'abri à bois, derrière la dépendance ? >>. Nous la regardons. Nous l'écoutons. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine rajoute : << Je vais le concevoir. Après tout, profitons de la présence d'une entreprise pour le faire réaliser ! >>. Nous écoutons les différentes possibilités que propose Clémentine.

Tout cela est faisable. Il faut juste bien concevoir la chose. La vaisselle. Les filles sont pressées de retourner à nos jeux sexuels. Nous sommes tous les trois considérablement "allumés". Estelle veut absolument sucer. A genoux sur un des épais coussins, elle me taille une pipe des familles. Clémentine est installée dans le fauteuil. Elle adore se masturber en nous observant. Je leurs propose un bon léchage de minous. << Après, au lit ! >> me fait Estelle entre deux pompages.

La soirée se passe ainsi. Je me fais pomper la bite dans une indicible douceur. Estelle, qui se masturbe aussi tout en suçant, gémit de concert avec nous. C'est un concert de gémissements que nous poussons tous les trois. Nos respirations fortes, nos apnées. J'éjacule dans la bouche d'Estelle en poussant un cri. Les filles m'entraînent aux toilettes. Nos rituels pisseux. Lavage des dents. Au lit, je me bouffe de la chatte. Extatique ! L'orgasme d'Estelle est délirant. Celui de Clémentine est fou.

Bonne soirée à toutes les coquines qui préfèrent les rapports génitaux buccaux à la baise. Que des coulées de foutre enivrent...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1406 -



Clémentine apprécie mes initiatives

Hier matin, mercredi, nous sommes tirés de nos profonds sommeil par le chant des oiseaux, le bruit de la source. Cette application téléchargée qui nous est tellement agréable. Estelle qui est restée accrochée à moi toute la nuit se serre encore plus fort. Tout comme Clémentine qui vient se blottir. Il est presque six heures. Je suis entre mes deux anges. Nous ne pouvons pas rester plus longtemps. Estelle, ses vêtements de sport à la main se précipite aux toilettes.

Pendant ce temps nous nous habillons. C'est à notre tour. Mort de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Ça sent déjà le café et le pain grillé. Je dépose deux bûches sur les braises de la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en émergeant doucement. << J'adore m'endormir avec le gout de ton foutre ! >> lance Estelle. Nous en rions comme des bossus. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle dévale les escaliers en disant : << Je file. A demain soir ! >>. Avec le couvre-feu de 18 h, Estelle reste avec nous jusqu'au matin. Le mardi et le jeudi. Nous apprécions. Nous prenons notre douche. Vêtus de nos jeans, chemises à carreaux, nous descendons pour enfiler nos anoraks. Nous sortons dans la nuit froide. Comme les jours rallongent, les premières lueurs de l'aube pointent sur l'horizon. C'est beau.

Nous remplissons le grand panier d'une dizaine de bûches de bois. Il est presque 8 h. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il faut se dépêcher de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les bûches sur les autres à côté de la cheminée. J'y allume un bon feu. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare mes couleurs sur la palette. Je peins dans un enthousiasme de chaque instant.

La peinture de cette troisième nature morte destinée à ma saison d'été, me passionne. Durant sa pause de 10 h, qui ne dure que cinq minutes, Clémentine va aux toilettes. Elle revient en disant : << J'ai mes "petits machins" de fille ! Merde ! >>. Je me lève. Debout derrière elle, je lisse ses cheveux. Elle adore ça. Tout en étant concentrée sur son télé travail elle en gémit d'aise. Je retourne à ma peinture. La matinée est studieuse. Il est déjà 11 h55.

Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en se plaignant de cette congestion du bas ventre qui devient pénible. Ses tous petits seins sont toujours douloureux durant les deux premiers jours. Je réchauffe le reste de tarte aux poireaux. Avec deux filets de cabillaud blanc que je poêle avec des champignons. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, les bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa matinée. Son bas ventre qui est douloureux. << Il me faut votre remède docteur Julien ! >> me fait elle en se déplaçant pour s'installer à califourchon sur mes cuisses. Elle frotte son sexe contre le mien. Elle me couvre le visage de bisous. Je lui caresse le dos. Ma bouche posée sur ses seins, je souffle de l'air chaud au travers du tissu. Elle aime. Ça soulage un peu.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. En regardant par une des deux fenêtres, nous voyons la camionnette de l'entreprise. Il y a une bétonnière posée tout près du mur. Probablement pour le crépis extérieur. Pressés d'aller prendre l'air, nous redescendons. Nous enfilons nos anoraks. Nos bonnets, nos gants. Il fait un peu moins froid. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres.

La montée du niveau semble s'être stabilisé. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Elle en extrait le locataire qu'elle garde dans sa poigne ferme et chaude. << Tu me feras oublier mon bobo ce soir ? >> fait elle en s'accroupissant pour humer mon odeur d'homme. Je la saisis par ses cheveux attachés. Je tire un peu dessus en demandant : << Comme tu aimes ? Comme ça ? >>. Je la force à se redresser pour la tirer sur quelques mètres. Fermement.

<< Oui ! S'il te plaît ! >> répond t-elle toute ravie. Le sentier est étroit. Je l'entraîne. Elle marche derrière moi, tenue par la tignasse, penchée en avant, obligée de penchée la tête pour regarder où elle met les pieds. << "Maître", je vous suis reconnaissante de tous vos bienfaits ! >> dit elle. Je me retourne. Je la prends dans mes bras. Je l'embrasse comme un dément. Notre étreinte nous fait vaciller de bonheur. Je murmure : << Je vous aime, délicieuse "Soumise" ! >>

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à rentrer. En remontant le chemin, je tiens Clémentine par ses cheveux. Elle avance à côté de moi. Parfois je tire un peu pour la forcer à lever la tête pour regarder le ciel gris. Nous passons à une cinquantaine de mètres de la dépendance. Je cesse. Inutile de se faire voir par les deux employés probablement à l'intérieur. Nous rentrons au chaud. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles.

Je mets deux bûches dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé de ce même sentiment d'euphorie. Je peux entendre Clémentine parler, échanger avec son professeur ou un des étudiants de son groupe. L'après-midi se passe ainsi. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Accroupie à ma gauche, une main sous ma blouse, elle tient fermement mon sexe en me regardant terminer ma toile. Elle s'installe dans le canapé, avec son livre, entre les coussins.

J'aime lorsqu'elle me lit des passages à voix haute. Il est presque 18 h quand je dépose la dernière pointe de bleu de cobalt sur ma toile. La voilà finie. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je rejoins Clémentine qui ferme son livre. Elle me tend les bras. << Docteur Julien, bobo ! >> fait elle. Je la saisis sous le menton et par la nuque pour l'embrasser avec fougue. Tout son corps en frissonne. Clémentine aime tant être surprise par mes initiatives.

Je me redresse. Je suis debout entre ses jambes. Je lui frotte la bite sur le visage en disant : << Chère patiente, je vais vous administrer le traitement. Trois gouttes, matin, midi et soir ! >>. En riant Clémentine se lève pour se pendre à mon cou. Elle demande : << Combien de jours ? >>. Nous en rions de bon cœur. Elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Soudain, au dessus de nos têtes, un bruit sourd et caverneux qui résonne longuement. Un peu comme un gong.

<< Bonsoir Christine ! >> lance Clémentine pour saluer la visite du fantôme de mon ancienne compagne. Nous tombons dans le canapé. Silencieux, nous écoutons les errances de l'entité. Cela ne dure guère plus de quelques minutes. Lorsque tout est revenu au calme, je saisis Clémentine par ses cheveux. Je me lève. Je l'entraîne. Elle se met à quatre pattes. Je la promène ainsi dans toute la grande pièce. Elle lève la patte à l'angle de chaque meuble que nous contournons.

Quand je m'arrête, c'est pour lui frotter la bite sur la gueule. La faim commence à se faire sentir. Il est 18 h45. Je l'aide à se redresser. Je m'accroupis pour lui masser les genoux. << Vous êtes si plein d'attentions pour moi "Maître" ! >> fait elle. Toute contente, elle m'entraîne par le Zob. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me confiant à quel point nos "distractions" lui font oublier sa congestion du bas ventre. Ses seins douloureux.

Je fais gonfler du pilpil de blé. Je prépare un coulis de courgette. C'est rapide et délicieux. Avec quatre gros nems aux crabe c'est un régal. Surtout que nous rajoutons du Parmesan sur le tout. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point, une fois encore, elle apprécie la solitude à deux. J'écoute en insufflant de l'air chaud au travers le tissus de sa chemise, ma bouche sur ses seins.

<< Mmhh comme ça fait du bien. Ça soulage. C'est chaud ! >> dit elle en me présentant chaque sein. Elle me caresse la tête. La vaisselle. A nouveau, par surprise, je la saisis par sa tignasse. Je l'entraîne au salon. Je l'a fait s'assoir sur la chaise, le dossier entre ses cuisses écartées. Du tiroir du bas du bureau, je sors les genouillères. Je reviens les fixer à ses genoux. Je passe le collier canin autour de son cou. J'y fixe la laisse. En gloussant de plaisir, Clémentine m'observe.

J'ordonne : << Debout ma "Soumise". Mettez vous à genoux ! >> Clémentine se lève d'un bond, toute heureuse d'être prise en main. Je dis : << A quatre pattes ! >>. Clémentine se met immédiatement en position. Je donne un à coup sur la laisse. Je j'entraîne ainsi. Nous faisons plusieurs fois le tour de la grande pièce. De nombreux arrêts me permettent de lui frotter la bite sur la gueule, de lui enfoncer la queue dans la bouche. Je lui administre quelques bonnes gifles.

Ce ne sont jamais des actes de violence. Cela fait tout simplement partie du rôle qui m'est demandé. Je me penche pour lui cracher au visage. Pour fouiller sa bouche de ma langue exploratrice. Il y a encore le gout des nems au crabe. Clémentine est à genoux, bien droite, les mains sur la tête. Je suis assis sur la chaise. Nous nous fixons en silence. Ses yeux bleus clairs ont cet étrange reflet dans la lueur des deux grosses bougies. Cela m'impressionne toujours énormément.

Ce n'est pas seulement beau, mystérieux, mais également émouvant. Cette expression de profonde reconnaissance. Clémentine est une authentique "soumise" alors que moi je ne fais qu'interpréter un personnage. Je passe délicatement ma main sur son visage. Elle ferme les yeux pour apprécier mes caresses. De mon autre main, je tiens la laisse au plus court. Je donne quelques à coup en murmurant de grossières insanités. Clémentine en pousse des gloussements de joie.

Je dirige ma queue vers son visage. Je bande mou. Je dois dois pisser depuis la fin de ma séance de peinture. Soudain, sans prévenir, je lâche un jet que je dirige avec précision. J'inonde son visage d'un jet puissant et chaud. Elle a le réflexe de détourner la tête, de fermer la bouche. Elle est ruisselante de pisse. Ça me fait méchamment bander. Je me lève. Je saisis ses oreilles. Elle ouvre la bouche pour m'accueillir. J'y enfonce une queue trempée de pisse. Elle pompe en gémissant.

Je peux encore lâcher une dernière giclée. Je la guide par les oreilles. J'imprime à mon bassin un mouvement lent et régulier. Je me masturbe dans la bouche de Clémentine. Elle a des hauts le cœur. Il lui est impossible de déglutir l'abondance du liquide séminal. Elle doit s'y prendre plusieurs fois en toussant. Je lui murmure des douceurs. Elle en pousse de petits râles sonores et profonds. Elle bouffe du foutre avec un tel plaisir. Je dis : << Imagine que ce soit la bite d'un inconnu ! >>

Clémentine redouble encore de passion en suçant. J'évoque le mec qu'elle a sucé dans les toilettes publiques à Edimbourg. Le mec qu'elle a sucé dans les sous-bois lorsque nous revenions de la plage de Portobello. Ses gloussements de plaisirs à chaque évocation me font bander encore plus fort. J'éjacule en sournois, sans prévenir. Je la maintiens par la nuque et sous le menton. Une larme s'écoule de ses yeux. Elle tente de déglutir mes trois giclées successives. Je me vide les couilles.

Je me retire pour lui permettre d'avaler proprement. Elle a le visage trempé. Certainement un mélange de pisse, de sueur et de larmes. << Je vous aime "Maître". Vous m'accordez tant d'attentions ! Je vous aime ! >> me fait elle en me montrant l'intérieur de sa bouche. Je lui frotte le Zob sur le visage avant de l'enfourner une nouvelle fois. Nous repartons pour ce second tour dont elle raffole. Il est déjà 21 h30. Je la force à cesser. Je l'entraîne aux toilettes. Je lui sèche les cheveux.

Nous montons. Au lit, je suce son clitoris géant avec passion. Il ne m'a jamais paru aussi gros que ce soir. Comme la phalange d'un pouce d'homme. La place est prise et il y a la petite ficelle blanche. Je concentre mes ardeurs sur son bouton de plaisir. Je lui offre un orgasme qui la tétanise de bonheur. Blottie contre moi, elle se love dans mes bras. << Je n'ai même plus mal ! >> murmure t-elle. Je chuchote : << Je t'aime Clémentine. Je t'aime comme un fou ! >>.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se régaler d'une bite juteuse, pisseuse et se faire sucer le clitoris jusqu'à l'extase...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1407 -



Estelle est tellement contente de nous rejoindre

Hier matin, jeudi, au plus profond de nos sommeils, se mêlent le chants d'oiseaux mystérieux, le bruit d'une source mystérieuse. Cette application qui nous réveille chaque jour avec tant de délicatesse. Il est presque six heures. En gémissant Clémentine vient se blottir contre moi. Nous nous étirons avant de nous lever pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait notre café.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Je mets deux bûches sur les braises de la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos jeux du "Maître" et de sa "Soumise". Nous y avons encore joué hier soir. << On est remarquablement bons ! >> fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Elle se plaint de la congestion douloureuse de son bas ventre. Seconde journée de ses règles. C'est assez pénible.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, exercices au sol, abdos. Nous revenons toujours au calme par quelques minutes de stretching. Nous prenons notre douche. Vêtus de nos jeans, chemises à carreaux, nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Nos bonnets, nos gants. Nous sortons dans la nuit fraîche. Il fait nettement moins froid que les jours précédents. Il est 7 h50. Nous allons sous l'abri à bois.

Nous remplissons le panier en osier d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Chaque matin, c'est un peu le même rituel. Comme pour tout le monde. Clémentine s'assoit devant son ordinateur. Elle place les écouteurs sur ses oreilles. J'empile les bûches sur les autres. J'allume un beau feu dans la cheminée. Je m'installe confortablement devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette.

Je commence aujourd'hui la quatrième nature morte destinée à ma saison d'été. Je peins dans une remarquable sérénité. Je suis tellement en avance sur mon planning. Nous sommes à la seconde quinzaine de janvier et j'ai déjà onze toiles de réalisées. La matinée se déroule dans l'ambiance studieuse habituelle. Il est 11 h 55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans le feu. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade.

La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je lave de belles et grosses tomates. J'étale la pâte dans deux grands plats à tarte. Je coupe les tomates en tranches régulières. Clémentine adore les disposer géométriquement. Je prépare le mélange œufs, crème fraîche, lait de soja. Je verse sur les tomates. Clémentine y rajoute du gruyère de Comté grossièrement râpé. Onze cerneaux de noix en rond. Nous mettons au four à 180°.

Ces tartes à la tomate remplaceront les pizzas habituelles du jeudi soir. Une surprise que nous réservons à Estelle qui en a parlé le week-end dernier. J'ai récupéré des tomates que je poêle avec des champignons. Je fais rissoler deux filets de colin. Avec les coquillettes, c'est un véritable régal. Surtout noyés sous une montagne de Parmesan. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur nos jeux.

Pendant qu'elle évoque ses préférences, je souffle de l'air chaud sur ses tous petits seins. A travers le tissu de sa chemise. Elle adore. Ça soulage un peu la douleur. << Vous êtes si doux, docteur Julien ! >> me fait elle en me présentant chaque sein, l'un après l'autre. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Par une des fenêtres nous constatons que la camionnette de l'entreprise est là. Nous descendons pour mettre nos anoraks. Nous sortons. Il fait très agréable.

Pas besoin de bonnets, de gants. Nous descendons à la rivière avec nos anoraks ouverts. Clémentine me sort la bite en disant : << Il faut profiter de cette douceur toute relative ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Les canards, les colverts et les poules d'eau nous accompagnent en poussant des cris. Ils attendent probablement le vieux pain que leurs apporte notre voisin, monsieur Bertrand. Le ciel est gris et lumineux.

Clémentine me tient par la queue en marchant devant moi sur l'étroit sentier. Elle s'arrête pour m'embrasser. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à remonter. En passant devant la dépendance, nous sommes rejoint par la jeune femme, chef de chantier. Nous la saluons. Elle nous informe que lundi nous risquons d'êtres incommodés par le bruit. En effet, l'entreprise va insuffler la fibre de cellulose. L'isolant entre les plaques de plâtre et les murs. Nous la rassurons.

L'atelier étant situé Nord, Nord Est, de l'autre côté de la maison, nous entendons très peu de bruit. Cette opération durera toute la matinée. Elle sera renouvelée pour l'isolation de l'étage et de la toiture. C'est parfait. Nous laissons la jeune femme à ses obligations pour rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. L'après-midi se passe dans la même ambiance que notre matinée.

Il est 17 h quand Clémentine sautille tout autour de moi, toute contente d'en avoir terminé. Même si elle a encore une bonne heure de lecture. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle tient mon Zob en regardant ma peinture. Je lui caresse la tête. << Je veux te sucer ! >> murmure t-elle en frottant son visage sur la bosse qui déforme ma blouse. Elle se raisonne. La voilà confortablement installée dans le vieux canapé, entourée de tous les épais coussins.

Lorsqu'un passage l'interpelle davantage qu'un autre, elle m'en fait la lecture à voix haute. J'adore. Il est dix huit heures. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. << Fonctionnaire de la peinture ! >> lance Clémentine en refermant son livre. Je retire ma blouse. Je viens la rejoindre. Elle me tend les bras pour m'attraper et me faire tomber. Allongée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, elle ferme les yeux. Je caresse ses cheveux. Elle frotte sa joue contre ma queue toute molle.

Ce soir, il n'y a aucune manifestation surnaturelle. Le seul bruit c'est l'arrivée d'Estelle que nous entendons chanter depuis le corridor. Elle entre dans l'atelier comme un ouragan. Elle se précipite. Nous fait la bise. Je suis entre mes deux anges. Tous contents d'êtres à nouveau tous les trois, nous restons vautrés dans le canapé. << Je brave les interdits avec panache ! >> lance Estelle. Le couvre-feu est à 18 h. Mais elle est munie d'une attestation de son employeur. Ses parents.

En cas de contrôle bien improbable, il suffit de prétexter une dernière livraison. Estelle circule avec la voiture de l'entreprise familiale. << Il faut ruser avec ces enfoirés. Ils envisagent même d'emprisonner la population une troisième fois ! >> dit elle en haussant le ton. Elle tient ma bite qu'elle tord dans tous les sens en parlant. J'ai passé mes bras autour des épaules de mes deux anges. Je les écoute évoquer leurs cours. L'ambiance universitaire qui leurs manque tellement.

Je bande mou dans la main chaude d'Estelle. Elles me font plein de bisous sur les joues. Nous sommes dans la pénombre. Il y a juste les ombres chinoises des flammes sur le sol et au plafond. C'est toujours spectaculaire. << On se fait un film samedi soir ? Le "Maître" et ses "Soumises" ? >> propose Estelle. << Encore ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Clémentine raconte notre séance de hier soir. Promenée à la laisse, à quatre pattes, ma bite dans la bouche.

<< Put-Hein, pendant que je suis seule dans ma chambre ! Salauds ! >> s'écrie Estelle. Elle se lève, jette un des coussins au sol, s'y met à genoux, les mains sur la tête. << A moi ! >> fait elle. Je me lève. Je passe derrière elle. Je pose mes mains sur ses tous petits seins. Comme elle ne porte jamais de soutif, j'ai un accès direct en déboutonnant juste un bouton de sa chemise. << Salaud ! >> dit elle en restant bien droite, immobile. Clémentine glisse une main dans son jeans.

La faim commence à se faire sentir. J'aide Estelle à se relever. Je les entraîne toutes les deux en les tenant par les cheveux. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il est presque 19 h. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe une des deux tartes à la tomate. Je le fais discrètement pendant qu'Estelle est occupée à mettre la table. Je n'arrête pas de glisser ma main entre ses cuisses chaudes. << Mais quel salaud ce soir ! >> dit elle à chaque fois. Je fais pareil à Clémentine.

Je coince Estelle entre le réfrigérateur et le buffet. Je glisse ma main dans son jeans déboutonné. Je n'arrête plus de la tripoter. En y mettant toute la vulgarité qu'elle aime. << Put-hein ! Mais pourquoi tu n'as pas ces initiatives tout le temps ! >> lance t-elle. Clémentine est derrière moi. Elle se frotte. Elle tient ma queue. Je roule des pelles d'enfer à Estelle qui est comme affolée par tant de sollicitudes. Elle me tient par les épaules. Je sens son souffle chaud sur mon visage.

Ses gémissements sont de plus en plus forts. J'ai un doigt dans sa chatte. Je la tiens par la nuque de mon autre main. Elle se masturbe sur la main que je laisse dans sa culotte. Il n'y a pas de sonnerie dans le four à bois. C'est Clémentine qui va régulièrement jeter un coup d'œil. << C'est prêt ! >> fait elle. Je retire mon doigt. Il est trempé. Je me le lèche. J'adore le jus de fille. Surtout en apéritif. << Comme t'es délicieusement salaud ! >> me fait Estelle en chopant ma bite.

<< Surprise ! >> lance Clémentine lorsque Estelle découvre la tarte à la tomate fumante. Le dessus bout encore comme la surface d'un volcan. Je dis : << Tu vois, on pense à toi ! Tu as émis le souhait d'une tarte à la tomate ! >>. Estelle nous fait des bises. Je bande mou. Nous mangeons de bon appétit. << C'est succulent ! Miam ! >> fait Estelle à chaque bouchée. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles bavardent.

Elles évoquent nos films déjà réalisés. J'écoute amusé le prochain scénario qui germe dans l'esprit d'Estelle. Clémentine propose de tourner ce film dans la dépendance. Ainsi, dans le film, nous aurons le souvenir du chantier. Je trouve l'idée excellente. << Tu fais l'ouvrier ! Clémentine fait la propriétaire et moi je fais le "petit animal de compagnie ! >> lance Estelle. << Génial ! >> s'écrie Clémentine. J'écoute les différentes déclinaisons possibles. Elles ont de l'imagination.

Il faudra mettre le chauffage au gaz en route en fin d'après-midi pour chauffer la grande pièce. << Mettre les caméras aux endroits stratégiques et en fonction automatique ! >> précise Clémentine. Que de réjouissances en perspective ! La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Clémentine n'a presque plus de douleurs. << Fouille moi ! >> me fait Estelle en descendant son jeans et sa culotte. Je la tiens fermement par la nuque pour l'entraîner derrière le bureau.

Elle marche avec difficulté avec ses fringues aux genoux. Et qui ne tardent pas à tomber sur ses chevilles. Je la coince entre la grande horloge Westminster et la bibliothèque. Clémentine qui a allumé les deux grosses bougies rôde autour de nous en se touchant. Je recommence à tripoter Estelle comme un vrai voyou. Elle se tortille avec mon doigt dans la chatte. Elle se frotte sur ma main. << Mais comme t'es salaud ce soir ! >> n'arrête t-elle pas de dire.

Clémentine est toute proche. Je peux sentir son haleine sur ma joue. Elle observe de près nos expressions de visage. C'est passionnant. Autant pour elle que pour nous. Je n'arrête pas de rouler des pelles à Estelle. Elle s'offre en vacillant de plaisir. Elle est accrochée à moi pour ne pas perdre l'équilibre. Je chuchote : << Je te baise sur le bureau, salope ! >>. Je l'entraîne fermement. Elle avance avec difficulté. Je la soulève pour l'assoir sur le bureau. Clémentine lui arrache ses fringues.

Je saisis Estelle par ses chevilles. Je la bascule sans ménagement. Elle est en appui sur ses coudes. Elle me regarde avec un air étonnée. << Salaud ! Mais comme t'es salaud ! >> ne cesse t-elle de dire. Clémentine introduit mon sexe dans celui d'Estelle. Je la baise comme elle aime puisqu'elle bouge déjà comme une folle. Clémentine déboutonne mon jeans qu'elle descend avec mon slip. Elle me chope les couilles par derrière. << C'est passionnant ! >> murmure t-elle derrière moi.

Je sens sa poigne ferme qui palpe mes roustons. Je suis enfoncé dans Estelle jusqu'à la garde. Elle est couchée sur le dos. Elle pousse de petits cris. Clémentine contourne le bureau pour lui murmurer à l'oreille : << Tu te fais ramoner, salope ! Tu vas voir samedi soir ! >>. Estelle se redresse péniblement. Je l'aide. Elle me tient par le cou. Je fais la "machine à coudre". Je suis en sueur. Estelle se touche en se faisant niquer. Son orgasme est fantastique. Celui de Clémentine aussi.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire tripoter, se faire mettre un doigt avant de se faire ramoner...

Julien

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Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, accompagnant nos rêves, il y a le chant des oiseaux, le bruit de la source. Ça vient de tellement loin. Alors que ce n'est que cette application qui nous offre un réveil si délicat. Estelle est restée accrochée à moi toute la nuit, épousant chacun de mes mouvements. Elle se serre encore plus fort. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Il est presque six heures. Estelle se lève d'un bond. Ses vêtements de gym à la main, elle se précipite aux toilettes.

C'est à notre tour. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé et du feu qui reprend dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner dans une certaine euphorie. Les filles terminent à midi. Nous mangeons de bon appétit en riant de nos folies de hier soir. << C'est tellement génial ! >> lance Estelle plusieurs fois. Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos, stretching. Estelle dévale les escaliers en criant : << A demain, 14 h ! Soyez sages ! >>. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons avant de redescendre pour mettre nos anoraks. Il y a cette fraîcheur humide. Il est 7 h50. Il fait encore nuit. Nous allons dans l'abri à bois pour y remplir le grand panier en osier d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il faut songer à rentrer.

Dans l'atelier, nous empilons les bûches sur les autres. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant doucement. Je peins dans cette légère euphorie offerte par Clémentine. La peinture de cette quatrième nature morte m'absorbe rapidement et totalement. La matinée se passe dans cette ambiance studieuse qui nous enchante.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre. Elle m'entraîne dans une sorte de danse tribale en chantant : << Le week-end ! >>. Je me laisse emporter dans cette ronde avec l'ivresse du bonheur. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je réchauffe la seconde tarte à la tomate. J'y dépose d'abord de fines lamelles de Roquefort. Je dresse la table. Dehors il pleut.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie son enchantement. C'est le troisième jour de ses "petits machins" de fille. Elle n'a plus mal. Elle me couvre le visage de bisous. Je souffle de l'air chaud au travers le tissu de sa chemise sur ses tous petits seins. << Plus besoin de soutif ! >> fait elle en me caressant la tête. Elle me présente chacun de ses seins. Elle adore ce "chauffage buccale".

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Par une des deux fenêtres, nous constatons que la camionnette de l'entreprise Ecolisas n'est plus là. Ils terminent à midi. << Viens, on va voir le chantier ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la main. Nous descendons à toute vitesse. Nous enfilons nos anoraks. Il faut prendre le parapluie. Il pleut à verse. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Il y a une bétonnière sous l'auvent, à côté de l'échafaudage à roulettes.

Nous entrons dans la dépendance. << Oh ! Superbe ! >> s'écrie Clémentine en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Les murs sont recouverts de plaques de plâtre. Les cadres des fenêtres ont été changés. C'est du bois de chêne. Les arrondis du haut leurs donnent une allure de style renaissance. Les lattes du plafond ainsi que les poutres ont été poncées. Tout sent déjà le neuf. << Ils font vraiment du super boulot. Regarde un peu comme tout est rangé ! >> lance Clémentine.

Elle me sort la bite. Elle m'entraîne en la tirant pour longer les murs. Nous constatons la finesse et la qualité des travaux. C'est une femme qui mène et dirige le chantier. Il n'y a pas une poussière au sol. Clémentine s'accroupit devant moi en me tenant par les hanches. Elle frotte son visage contre mon sexe. Elle me donne ses impressions, tellement heureuse de l'avancée des travaux. Je regarde le plafond et les poutres. C'est exquis. La configuration ressemble à notre grand salon.

Je saisis les oreilles de Clémentine. Elle a noué ses cheveux en une longue natte. Elle le fait souvent pendant son télé travail. Je la guide. Elle tète mon prépuce en mâchouillant la peau du bout de ses lèvres. Je regarde le chauffage qu'utilisent les employés. C'est une bombonne de gaz surmontée d'un tuyau se terminant par une soucoupe soufflante. Il suffit d'ouvrir la bouteille et d'allumer avec une allumette. Ce sera utile demain soir pour tourner notre film. Clémentine suce en écoutant.

Je lui explique comment je vais m'y prendre. Je bande mou. J'adore cette sensation d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. Je l'aide à se redresser. C'est moi qui m'accroupis pour masser ses genoux endoloris. Elle m'embrasse avec passion sans lâcher ma queue qu'elle serre dans sa main. Un bruit de moteur. << Julie ! >> fait Clémentine. Nous allons à la porte. En effet, Julie gare sa voiture juste devant. Toute contente de nous revoir. Nous aussi. Nous l'invitons à venir voir.

Comme à chaque fois, Julie fait mine de ne pas s'apercevoir que j'ai la bite qui pend de ma braguette béante. Elle a ses cheveux qui flottent sur ses épaules. Un blouson en cuir noir, des jeans et ses bottines. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Comme à chacune de ses visites, nous nous frottons les mains au gel hydroalcoolique. Ce flacon qu'elle tire de son petit sac à dos. Julie observe avec attention le chantier. Elle aussi est impressionnée par la rapidité avec laquelle tout se déroule.

Il y a une échelle double pour remplacer l'ancien escalier. Clémentine y monte. << Ils ont tout entassé en haut ! Et c'est rangé au cordeau ! >> fait Clémentine. Je monte sur l'autre échelle. Je surprends le regard de Julie braqué sur mon sexe. Elle s'aperçoit que je l'ai vu. Elle baisse les yeux en devenant toute rouge. Clémentine et moi, chacun sur une des échelles doubles, nous regardons. Les nouveaux cadres de fenêtres, ronds en "œil de bœuf" sont déposés au sol. Déjà prêts.

<< Ça va être de toute beauté ! >> fait encore Clémentine. Je surprends une nouvelle fois le regard de Julie. De voir ma bite par une perspective différente, doit beaucoup l'intéresser. Je descends en disant : << Montez voir Julie, ce sera les chambres à coucher, la salle de bain et les WC. Julie monte à son tour. Clémentine rajoute : << Tu seras invitée à l'inauguration ! >>. Je scrute une nouvelle fois l'appareil de chauffage. Je comprends parfaitement comment le faire fonctionner.

Nous quittons la bâtisse pour traverser le jardin. Nous rentrons au sec. Nous allons directement dans l'atelier. Comme Julie tiendra ma galerie d'Art cet été, elle aime à découvrir mes nouvelles productions. Je l'invite à prendre place devant le chevalet. Clémentine lui donne ma palette et mes pinceaux. Je lui montre comment les tenir. Comment poser la main qui peint sur le support. Elle est toute contente de se retrouver en situation. << J'aimerais apprendre à peindre ! >> dit elle.

Je tiens ma bite à sa base, entre le pouce et l'index. Julie évite de regarder. J'adore ce jeu féminin de "savoir" mais de ne pas "voir". Je dis : << Julie, au printemps, vous allez venir peindre votre première toile. Vous serez assise à côté de moi. Ainsi, cet été, dans la galerie, vous pourrez peindre. C'est très attractif pour les visiteurs. Une belle jeune fille qui peint ! >>. Julie laisse échapper un gloussement de plaisir. J'agite ma bite dans sa direction. Elle fuit mes regards insistants.

Nous savons qu'elle ne joue pas. Elle n'est pas réellement mal à l'aise. C'est sa timidité et sa réserve naturelle. Clémentine s'amuse toujours de ces situations. Elle adore mes comportements de pervers devant une autre fille. Elle me fait un clin d'œil. << Je peux vous regarder peindre ? >> me demande Julie. Elle s'installe sur le tabouret. Je m'assois sur la chaise. Clémentine prépare le thé et les petits gâteaux. Je peins. Julie est tout près, à ma gauche, penchée vers moi et la toile.

Je dépose chaque pointe de couleur de mes plus fins pinceaux. Je peux entendre la respiration de Julie. C'est à la fois émouvant et excitant. J'explique chacune de mes délicates touches de peinture. Je tourne soudain la tête. Je surprends le regard de Julie. Elle mâtait ma queue. C'est adorable. Nous rejoignons Clémentine. Julie est installée dans le fauteuil à bascule. Clémentine et moi dans le vieux canapé. Les filles évoquent leurs études. L'ambiance de l'université qui leurs manque.

Subrepticement Clémentine oriente la conversation sur le film que veut réaliser Julie. Nous serons au restaurant de l'étang, vendredi prochain, 29 janvier pour 14 h30. Julie met son visage dans ses mains en disant : << J'ai honte. J'ai peur ! >>. Nous éclatons de rire. Je fais : << Mais Julie, combien de fois avez vous vu le loup dans ces toilettes ! Vous devriez vous réjouir ! >>. Elle se redresse, respire un grand coup avant de répondre : << Mais je n'arrête pas de me réjouir ! >>.

Je me lève pour me branler. Je bande. Les effets de cette conversation. Julie nous donne quelques détails. Ses souhaits quand à certaines séquences précises. Elle veut mettre en image son fantasme. Elles sont plus nombreuses qu'on ne l'imagine les filles qui mettent en images leurs fantasmes secrets. Julie nous confie avoir quelques copines de fac qui les réalisent. << Parfois des trucs fous ! >> précise t-elle. Clémentine demande : << Comme quoi par exemple ? >>.

<< De se faire éjaculer au visage par plusieurs mecs ! Une mode ! >> lance Julie en cachant le sien dans ses mains. Comme gênée par ses propres mots. Elle est adorable. Je demande : << Ça te plairait ce genre de "plan" ? >>. Julie reste silencieuse. Elle finit par murmurer : << Avec un seul mec seulement ! >>. Je m'approche en agitant ma queue. Elle lève enfin les yeux pour mâter. Clémentine dit : << Et si on mettait ce projet en route pour un second film ? >>. Julie reste silencieuse.

Je me branle. Elle regarde, prenant tout son courage. C'est parfois timide une jeune fille de 20 ans. Elle fait : << Je dois encore y penser. Peut-être le prochain film. Mais je ne suis absolument pas prête pour ça ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine propose : << On se fait une petite répétition pour le film de la semaine prochaine ? >>. Le visage de Julie s'éclaire soudain lorsqu'elle s'écrie : << Oh oui ! >>. Je me dirige vers la porte. Je vais directement aux toilettes.

Je me branle devant le lavabo, comme la semaine dernière. Nous n'avons pas d'urinoir mural. Quelques minutes. La porte s'ouvre. C'est Julie. << Oh pardon, excusez moi ! >> dit elle comme elle le fait en entrant dans les toilettes du restaurant. Nous nous sommes connus de cette manière. Ça situe bien les choses pour la suite d'une relation. Clémentine ne vient pas. Je sais qu'elle est derrière la porte à écouter. A regarder par la porte légèrement entre baillée. J'adore.

Julie reproduit très exactement les gestes de l'autre fois. Ceux qu'elle aura dans le film. Cette situation est éminemment excitante. Tant pour elle que pour moi. Je me tourne pour me masturber franchement. Elle fait mine de passer le balai. C'est grandiose. Julie ne s'attarde pas. Tout comme elle le fait dans la réalité, lorsqu'elle surprend des clients aux WC du restaurant de sa tante. Clémentine entre à son tour. << C'est super ! On va s'éclater ! >> dit elle, une main au fond de sa culotte.

Nous rejoignons Julie dans l'atelier. Elle est assise devant la toile qu'elle scrute avec attention. << Je suis impatiente d'être à vendredi prochain ! >> dit elle soudain. Nous restons étonnés. Nous éclatons de rire tous les trois en même temps. Julie reprends ses livraisons de repas à 18 h30. Nous la raccompagnons sous le parapluie jusqu'à sa voiture. Elle revient lundi soir pour nous livrer et manger avec nous. Munie de l'attestation signée par son employeur. Sa tante.

Nous rentrons. Nous préparons un rapide repas. Salade, spaghettis et queues de crevettes à la crème. Une tonne de Parmesan dessus. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la visite de Julie. Ses attitudes. Mon comportement. Tout cela nous excite considérablement. Après la vaisselle, nous passons au salon. Clémentine me propose de nous branler l'un en face de l'autre en échangeant nos impressions. Nous adorons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment rendre visite à leur couple d'amis intimes pour se retrouver dans des situations excitantes...

Julien

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Un samedi ludique et fort agréable

Hier matin, samedi, il est aux environs de huit heures quand je suis tiré de mon sommeil par les mouvements masturbatoires que fait Clémentine contre ma hanche. Serrée contre moi. Dès qu'elle me sait réveillé, elle passe une de ses cuisses sous mes reins. L'autre sur mon ventre pour se frotter. << Je t'aime Julien ! >> murmure t-elle en cessant pour glisser sa main dans mon slip. Elle saisit mon érection matinale d'une poigne ferme. << Je suis tellement bien ! >> rajoute t-elle.

Elle me couvre le visage de bisous. << J'ai fait un rêve érotique ! >> chuchote t-elle. Je dis : << Tu me racontes devant des tartines de miel ! >>. L'impérieux besoin de pisser est tel que nous nous levons d'un bond. Clémentine m'entraîne aux toilettes en me tenant par le sexe. Nos rituels pisseux terminés, morts de faim, vêtus de nos de tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Je rallume la cuisinière à bois.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. Un inconnu dans un cimetière. Le déroulé de ses rêves tend le plus souvent vers des situations surréalistes, voire absurdes. Nous en rions de bon cœur. Clémentine s'est déjà amusée souvent dans des cimetières. Nous trouvons que ce sont des endroits qui se prêtent bien aux jeux exhibitionnistes. Il est 8 h30. Comme dehors il pleut, nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, exercices au sol, abdos pour finir par le stretching. La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons pour enfiler nos anoraks. Le ciel est bas et d'un gris sinistre. La pluie a cessé. Nous montons ouvrir le portail. Clémentine m'entraîne dans la dépendance. Nous admirons l'avancée des travaux à la lumière du jour. << On pourrait manger parterre tellement ce chantier est propre et rangé ! >> dit elle.

Le bruit d'un moteur. C'est la camionnette de livraison. C'est la même jeune femme qui en sort. Elle porte son masque sanitaire. Du hayon arrière de son véhicule elle tire deux cageots. L'un contient nos fruits et nos légumes. L'autre nos produits frais. Yaourts, œufs, crème fraîche, fromages et beurre. Même commande pour la semaine prochaine. Nous nous saluons. A peine est-elle partie qu'arrive la camionnette de madame Marthe, la boulangère. Elle est souriante.

Son masque sanitaire sur le menton, totalement inutile, elle nous donne nos trois grands sachets en papier kraft. Nos deux grosses miches de pain complet et bio. Notre brioche au pudding. Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons. Nous descendons à la cave avec nos lourds cageots. Nous rangeons les fruits et les légumes au cellier. Un pain dans le congélateur. Nous remontons pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Nous ramenons des moules.

Nous prenons l'escalier qui mène à l'étage pour y faire notre chambre, changer les draps. Laver la salle de bain et les toilettes du haut. Il est 11 h50 quand nous terminons. La faim se fait sentir. Nous descendons à toute vitesse. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y plonger les moules à peine décongelées. Dans le wok, je verse le sachet de haricots verts et le sachet de petits pois à peine décongelés. C'est une préparation rapide. Le samedi, on ne s'emmerde pas.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque la soirée qui nous attend. Ce nouveau film que veut réaliser Estelle. Dans son courriel, elle nous donne les dernières directives. Le rôle qu'il m'est demandé de tenir cette fois ci est celui d'un ouvrier, sur son chantier, qui reçoit la visite de la commanditaire. Nous avons le décors d'un vrai chantier, j'ai une vieille salopette. Je peux jouer dans les meilleures conditions.

Clémentine se charge des deux caméras, des prises de vues. Sa participation se limitera aux prises de vue. Le reste encore tenu secret par Estelle. Elle révélera des aspects du scénario au dernier moment. A ce moment les deux caméras filmeront en automatique. Ce projet est évidemment des plus excitants. << Tu sera le vicelard extrême, Julien, Estelle en veut. Moi aussi ! >> me fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Je promets de me surpasser et d'être à la hauteur des attentes.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. La météo sinistre oblige à allumer les lumières dans toutes les pièces où nous entrons. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Dans la grande malle décorative, il y a nos vêtements de randonnée, de gros travaux. Elle fouille un peu. Voilà ma vieille salopette. C'est un "bleu de travail" à l'ancienne. Et il est ancien. Une vieille chemise à carreaux en fin de course mais très épaisse. De grosses godasses de "sécurité" aux extrémités renforcées.

<< Ça va bien le faire ! >> dit Clémentine en glissant sa main dans ma braguette. Il y a également une braguette à la salopette. << C'est parfait ! >> rajoute Clémentine qui en fait sortir un doigt qu'elle agite en riant. << Je me sens déjà hyper vicelarde, si tu savais ! >> murmure t-elle avant de m'embrasser avec passion. Nous laissons tout tomber sur l'épais tapis pour fouiller nos bouches baveuses de nos langues exploratrices. Je bande rapidement comme le dernier des salauds.

<< Bonjour les gens qu'ils sont où ? >>. C'est la voix d'Estelle qui monte les escaliers à toute vitesse. Elle jette son grand sac de sport à côté du lit pour nous faire la bise et se précipiter dans mes bras. Je la soulève pour la faire tourner. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Je fais pareil avec Clémentine. C'est le rituel. Quand je le fais avec l'une, je le fais avec l'autre. En déballant quelques vêtements de son sac, Estelle nous raconte son vendredi. Son samedi matin.

Hier, après-midi à aider sa maman au bureau de l'entreprise familiale. << Ce matin on est allées faire les courses. Un hypermarché relativement peu fréquenté ! >> précise Estelle. Elle rajoute : << J'y ai croisé madame Walter et son mari. On a bavardé cinq minutes ! Maman m'a posé quelques questions sur ce couple. J'étais bien emmerdée. Je suis restée très évasive. Si elle savait ! >>. Nous éclatons de rire quand Clémentine dit : << Si elle savait elle voudrait participer ! >>.

Nous en rions de bon cœur. Je montre la tenue d'ouvrier que je porterai ce soir. << Super ! >> lance Estelle en montrant la tenue qu'elle aura pour le film. << Wouah ! >> fait Clémentine. C'est une jupe plissée, un chemisier crème, une veste blazer, des collants noirs et des escarpins à talons hauts. Ceux avec la petite sangle qui enserre la cheville. Les "souliers de baise" comme les appelle Clémentine. Des souliers qui ne tombent jamais. Quelles que soient les positions.

Nous descendons avec un petit matelas gonflable. << Je suis méchamment excitée Julien. Lundi j'ai mes "petits machins" de fille. Alors ça décuple toujours ma libido les jours d'avant ! >> fait encore Estelle en se serrant dans mes bras. Clémentine dit : << Alors tu as tes "petits machins" tous les trois jours parce que tu es tout le temps libidineuse ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous mettons nos anoraks. Nous emmenons le matelas dans la dépendance.

Je vais chercher la pompe. Estelle m'accompagne. << Je ne te lâche pas d'une semelle jusqu'à lundi matin ! >> me fait elle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. C'est Clémentine qui veut gonfler le matelas. C'est un petit matelas de camping. Estelle se jette dessus. Ce n'est absolument pas confortable. Elle rebondit en tombant sur le béton. Elle éclate de rire. << Pour la baise, ça va être du sport ! >> lance t-elle. Une fois bien gonflé, nous nous asseyons tous les trois dessus.

<< C'est pas top ! >> dit Clémentine. << Pour tirer un coup ça fera l'affaire ! >> fait Estelle. Je suis assis entre mes deux anges qui me font tomber en arrière. Distribution de bisous. Nous restons ainsi un petit moment à regarder le plafond. Depuis qu'il est poncé, prêt à recevoir la lasure, il est comme neuf. Clémentine se redresse. Nous aussi. Nous ressortons pour aller chercher les caméras. Estelle a ramené la sienne. Elle filme encore en 1080p. La notre filme en 4K.

Clémentine fixe la notre sur le trépieds haut. Estelle fixe la sienne sur le trépieds bas qu'elle place sur un tabouret. Les filles étudient le meilleur angle. Il faut utiliser des rallonges branchées sur une longue prise de chantier, au sol. J'ouvre la bombonne de gaz. Il y a une grande boîte d'allumettes. J'allume. Cela fonctionne immédiatement. Ce principe de chauffage permet de réchauffer l'espace intérieur. Ainsi, pour ce soir, nous pourrons filmer dans les toutes meilleures conditions.

Nous faisons encore un peu les clowns. Les filles nous entraînent dans une farandole tout autour de la grande pièce. Estelle invente des paroles sur une mélodie. Nous répétons en cœur. Nous n'arrêtons par de rire. Nous nous arrêtons. Nous nous regardons. Nous éclatons de rire. << Si on nous voyait ! >> lance Estelle. << En psychiatrie direct ! >> lance Clémentine. Je dis : << Voilà un bon sujet de film ! Les deux folles et le médecin psychiatre ! >>. Estelle s'écrie : << Oui ! Génial ! >>.

Nous laissons tout ainsi pour sortir. Il ne pleut pas mais le ciel est menaçant. Accrochées à mon bras, les filles nous entraînent vers la rivière. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. La fraîcheur est vive mais il ne fait pas froid. J'ai donc rapidement la bite et les couilles exposées aux intempéries éventuelles. Quand ce n'est pas Estelle qui me tripote, c'est Clémentine. Elles sont toutes les deux considérablement agitées. Elles ne cessent de sautiller autour de moi.

Il est 16 h quand nous revenons. Estelle propose de faire le ménage du bas. << Comme ça, demain matin, grasse matinée, farniente et glandage ! >> dit elle. Nous trouvons la suggestion parfaite. Estelle passe l'aspirateur dans le salon. Nous l'entendons chanter depuis la cuisine que nous nettoyons. Nous faisons les chiottes du bas. Clémentine et moi nous passons la serpillère sur les carrelages. Un coup d'aspirateur dans l'atelier. << L'atelier est triste quand on n'y est pas ! >> dit Estelle.

Il est 18 h quand tout est nickel. << On se prépare une super bouffe ! >> lance Clémentine. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle et moi, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, le céleri, le navet et du choux. Nous en faisons en grande quantité car cette potée de légumes assurera trois repas. Cuisson traditionnelle dans la vieille cocote en fonte noire. Sur la cuisinière à bois. Je fais cuire trois beaux dos de cabillaud blanc.

En fin de cuisson, Estelle y rajoute un petit pot de crème fraîche. Clémentine un peu de gruyère de Comté finement râpé. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. La vaisselle. Le scénario exige que je me change le premier et que j'aille sur le chantier. Estelle et Clémentine m'entraînent à l'étage. J'enfile mes habits d'ouvrier. Je porte ma salopette un peu étroite et mal taillée sur une chemise à carreaux de grosse flanelle délavée. Mes grosses godasses. Estelle me coiffe d'une casquette.

Elles éclatent de rire en m'emmenant devant le miroir de l'armoire. Clémentine m'accompagne. Nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Il fait nuit. Il ne pleut toujours pas. Nous entrons dans la dépendance. Nous allumons les deux spots qui éclairent le chantier d'une lumière vive et blanche. Ça fait presque mal aux yeux. Les premières secondes sont éblouissantes. Il fait bien chaud. Depuis quatre heures que le chauffage fonctionne. C'est vraiment agréable et parfait.

Je retire mon anorak. Clémentine aussi. D'une bassine rectangulaire posé dans un coin de la pièce, je tire une palette et une truelle. Clémentine fait quelques essais de caméra. Elles sont chacune équipées d'une carte SD d'une durée d'une heure. Plus qu'il n'en faut. Clémentine me met en scène. Elle dirige mes mouvements, montre les endroits précis où je dois me tenir. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. C'est Estelle qui prévient qu'elle arrive.

Je me mets en situation. La truelle dans une main, la palette dans l'autre. Je fais mine de lisser le mur. << Ça tourne ! >> lance Clémentine. Une petite minute. La porte s'ouvre. Estelle entre dans la grande pièce. Elle aussi est éblouie par la lumière blanche. Elle porte un manteau ouvert sur sa jupe plissée. Ses longs cheveux presque noirs qui flottent sur ses épaules. << Bonjour monsieur. Je viens visiter le chantier. Tout va bien ? >> fait elle en m'observant passer la truelle.

Clémentine filme. Nous savons qu'elle fait de l'excellent travail. Estelle interprète le rôle de la propriétaire avec son talent habituelle. Elle parcourt la grande pièce en inspectant chaque recoin. Clémentine suit son itinéraire en filmant. Estelle s'approche de l'échelle. Elle y monte quelques marches en faisant très attention. Avec ses escarpins à talons elle est prudente. Clémentine approche avec la caméra pour filmer sous sa jupe. Estelle redescend pour venir rôder autour de moi.

J'interprète mon rôle du mieux que je peux. Estelle s'accroupit le long du mur. Comme pour en inspecter le revêtement de plâtre qu'elle caresse de la main. << Vous faite de l'excellent travail monsieur ! >> dit elle en écartant ses cuisses. Son collant est ouvert juste à l'endroit de son sexe. Avec cette lumière vive je discerne bien cette superbe touffe. Clémentine vient filmer de près. Elle porte la caméra fixée sur le petit trépieds. Ce qui permet de la trimballer avec une grande maniabilité.

Estelle se redresse. Elle tourne autour de moi. Elle s'accroupit une nouvelle fois. Cette fois en exagérant l'écartement de ses cuisses. Son manteau prend d'ailleurs la poussière fine de plâtre qui a déjà recouvert le sol depuis vendredi. Elle s'approche pour caresser le mur juste devant moi. Son visage à une dizaine de centimètres de ma braguette ouverte. C'est suggestif. Clémentine filme avec soin. Ce sont les expressions du visage d'Estelle autant que son comportement qui passionnent.

Toujours accroupie, elle se cale entre le mur contre lequel elle s'appuie et moi. Clémentine nous contourne pour une parfaite prise de vue. Je jette la palette en plastique ainsi que la truelle. Je sors mon sexe. Je bande mou. J'approche mon bassin, cambré sur mes genoux fléchis pour appuyer ma bite contre le visage d'Estelle. Elle pose ses mains sur mes hanches. Elle se met à sucer avec une telle passion que je dois me tenir au mur de mes deux mains. Je reste ainsi à me faire pomper.

Clémentine reste accroupie tout près d'Estelle pour la filmer en gros plans. Les expressions du visage d'une superbe jeune fille de 23 ans, entrain de tailler une pipe, restent quand même un des plus beaux moments cinématographiques qui soit. A condition d'apprécier le genre. Ce qui est notre cas. Estelle adore se voir dans les films que nous tournons. Tout comme Clémentine, sa propre image l'auto érotise depuis son adolescence. De se revoir dans ces situations la fascine comme un beau paysage.

Je suis penché en avant, les mains en appui sur le mur. Je me fais tailler une pipe des familles. Clémentine se redresse pour filmer les expressions de mon visage. La situation est filmée sous tous les angles. Je suis en sueur. C'est que ce chauffage au gaz fonctionne rudement bien. Je n'ai aucun scrupule à l'utiliser puisque c'est moi qui paie. Je saisis Estelle par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Elle a du foutre qui lui gicle de la bouche. Clémentine filme. C'est magnifique.

Je l'entraîne d'une poigne ferme vers le matelas. Elle retire son manteau. Il faudra le brosser et le secouer. Il y a de la poudre de plâtre qui le macule. Quelle drôle d'idée que d'avoir mis un manteau noir dans le cadre d'un chantier ! Je la maintiens fermement par sa tignasse. Je la fais mettre à genoux avant de m'y mettre à mon tour. Nous ne jouons plus seulement pour la caméra mais pour nous. Je fais tomber Estelle sur le dos. Rien n'est plus inconfortable qu'un matelas gonflable de camping.

Je me couche sur elle. Pour ne pas peser de tout mon poids, je reste en appui sur mes bras solides. Je m'introduis doucement dans la fille qui gémit avant de se trémousser de plaisir. Tortillant du bassin pour trouver le meilleur angle de plaisir, Estelle se fait baiser comme elle aime. Clémentine tourne autour de nous. La caméra fixe filme toute la scène depuis le début. Clémentine la déplace de temps en temps en fonction de nos activités. Elle filme les expressions de nos visages.

Je baise Estelle à la hussarde. J'alterne le comportement de l'homme de Cromagnon, de Néandertal ou encore celui de l'homme des bois. Je lui crache au visage. Je lui balance une gifle. Ce ne sont jamais des actes de violences. Cela fait partie de ce qui m'est demandé. Estelle se masturbe toujours en baisant. C'est un peu plus difficile avec les vêtements qu'elle porte ce soir. Son orgasme est magnifique. Les yeux larmoyants, la bouche ouverte, poussant de petits cris d'animal blessé.

Elle est couchée sur le côté. Les mains entre ses cuisses, comme si elle souffrait. Clémentine filme ce sublime visage et ses expressions d'extases. Je viens me mettre à genoux tout près de sa tête que je saisis par les cheveux. Je lui jute à la gueule en criant de plaisir. Nous sommes épuisés. Avec cette poussière de plâtre partout, nous en avons le goût en bouche. << C'est fini ! >> lance Clémentine. Nous sommes arrivés au bout des 60 minutes des cartes SD. Nous nous levons.

Clémentine prend quelques photos du visage d'Estelle en gros plans. Maculé de mon sperme épais, gluant et visqueux. Un peu jaunâtre sous cette lumière blanche. Elle prend différentes expressions. De la jute plein la gueule. Pendant que Clémentine plie les trépieds des caméras pour tout ranger. Estelle me montre les doigts plein de jute qu'elle suce. Elle se nettoie le visage ainsi en disant : << C'était génial Julien ! Tu me baises tellement bien ! >>. J'éteins le chauffage. Nous éteignons les lumières.

Dehors, il fait nuit noire. Il ne pleut pas. Je soulève Estelle chaussée de ses souliers à talons hauts. Nous traversons le jardin à toute vitesse pour rentrer au chaud. Nous éclatons de rire. Nos rituels pisseux. Nous sommes littéralement crevés. Nous montons nous coucher. Je suis entre mes deux anges. Nous échangeons nos impressions. Estelle s'endort la première. Je lèche le minou de Clémentine pour lui offrir un délicieux et rapide orgasme. Nous nous endormons à notre tour.

Bonne soirée de tournage à toutes les coquines qui aiment faire l'actrice dans des petites productions personnelles qui restent secrètes...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1410 -



Quelle surprise en visionnent les rushes

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements masturbatoires qu'a Estelle contre ma cuisse. Elle dort probablement encore. Cela tire Clémentine de son sommeil. Elle vient se blottir contre moi. Elle fait la même chose. Je suis entre mes deux anges. C'est dans un enchantement paradisiaque que nous émergeons doucement. << C'était génial hier soir ! >> murmure Estelle. Je sens son souffle chaud dans mon cou, contre ma joue, dans mon oreille droite. C'est si bon.

<< Monsieur l'ouvrier du chantier, je vous aime ! >> chuchote Clémentine à mon oreille gauche. Estelle se saisit de mon érection matinale. Clémentine empoigne mes couilles. Distribution de bisous. Je glisse mes mains dans les culottes pour y démêler les poils. Caresser les lèvres pulpeuses et charnues du sexe de Clémentine. Glisser mes doigts sur la fente d'Estelle qui se lève d'un bond en s'écriant : << Je dois faire pipi ! >>. Nous la regardons trottiner jusqu'à la porte ses fringues en main.

Clémentine se frotte contre ma jambe qu'elle enserre de mes cuisses. << Je t'ai adoré dans ton personnage, hier. Je t'ai rarement vu baiser comme ça ! >> me dit elle. Estelle ouvre la porte pour dire : << Je descends préparer le petit déj, venez vite ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. L'odeur de café, de pain grillé et de brioche. Estelle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner.

Elle enserre mes hanches de ses jambes tout en me couvrant le visage de bisous. C'est au tour de Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en riant beaucoup. Il est déjà 9 h30. << Tous les dimanches, on se lève plus tard ! >> lance Estelle. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le dimanche, pas d'entraînement. Le ménage a été fait hier. Dehors le ciel est clair. La pluie a enfin cessé. Assises sur mes genoux, les filles évoquent notre soirée de hier. Le film.

<< On se regarde ça après ! J'en ferai le montage cette semaine ! >> fait Estelle. La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Estelle passe sa main entre mes cuisses, par derrière. Pour me palper les couilles. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Nous restons serrés tous les trois en savourant ce bonheur. Nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Il fait à nouveau plus froid.

Nous traversons le jardin pour aller dans la dépendance. Clémentine dégonfle le matelas. Estelle saute dessus à pieds joints pour le vider de son air. Je vérifie qu'il ne reste aucune trace de nos exactions et de nos frasques de hier. Nous dévissons les caméras de leurs supports. Estelle récupère les deux cartes SD. Elle les agite en disant : << Une nouvelle soirée cinéma samedi prochain ! >>. Elle les range soigneusement dans la petite boîte en plastique transparent.

Nous plions le matelas dégonflé pour l'emmener au garage. Sur le haut de l'armoire à outils, au fond. Nous rentrons ranger les caméras et les trépieds. << Si papa savait ce que je fais de sa caméra ! >> lance Estelle. << Si ta maman savait surtout ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Surtout à l'idée que sa maman a déjà trouvé des photos de sa fille, souriante, le visage maculé de foutre, les cheveux ruisselants de pisse. Je dis : << Oui, il ne faudrait pas ! >>.

Estelle glisse la carte SD tirée de sa caméra pour la glisser dans l'ordinateur. Avance rapide. Nous découvrons hallucinés la qualité des images. Avec l'ignoble lumière blanche des deux projecteurs de chantier, tout est d'une netteté "clinique". << Oh put-Hein ! Là ! Regardez ! Il y a quelqu'un derrière la fenêtre ! >>. Complètement consternés, nous découvrons cette "horreur". << Monsieur Bertrand ! >> s'écrie Clémentine. Arrêt sur image. Là, derrière le carreau, le visage du voisin.

<< Put-hein mais je ne l'avais pas vu ! >> lance Clémentine. Nous nous regardons. Nous discernons le visage de notre voisin à chaque fois que la caméra est orientée de ce côté-ci. << Le salaud ! Regarde, il s'est passé une bonne demi-heure entre l'éjaculation faciale et la pipe ! >> rajoute Estelle. En effet, monsieur Bertrand a probablement mâté la presque totalité de ce qui se passait. Nous nous regardons en silence. Estelle porte la main devant sa bouche, complètement sidérée.

Clémentine murmure : << Il a certainement vu la lumière dans la dépendance. Il est monté voir. Il fait souvent sa ronde à la nuit tombée. Put-hein, le voyeur ! >>. Je ne sais quoi dire. L'intrusion de notre voisin dans notre monde à de quoi perturber. Estelle éclate de rire en s'écriant : << Je ne suis pas autant exhibitionniste que toi, Clémentine. On refait la prochaine fois. C'est toi qui te fait sauter sur le matelas ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. << Génial ! >> fait Clémentine.

Nous ne cessons de regarder les quinze secondes où l'on voit le voisin derrière la vitre. Son visage qui se détache dans la nuit noire. Violemment éclairé par la lumière vive des spots. La caméra a été orientée trois fois vers la fenêtre. Sur une trentaine de minutes. Trois fois où l'on aperçoit la face blafarde de monsieur Bertrand. Philosophe, Estelle finit par dire : << Après tout, s'il a passé du bon temps, tant mieux. Nous aussi ! >>. Clémentine rajoute : << Un membre du "club" ! >>.

Sur l'autre carte SD aucune vision nocturne car la caméra n'était pas orientée vers la fenêtre. Il est 11 h30. Nous sortons à nouveau pour aller sous l'abri à bois. Nous remplissons le grand panier en osier d'une dizaine de bûches. Deux voyages. C'est au second que monsieur Bertrand passe à une cinquantaine de mètres. Derrière la clôture et la haie de laurier. Il va nourrir les canards de la rivière. Il nous aperçoit. Comme s'il n'était absolument au courant de rien, il s'arrête. Nous salue.

Nous bavardons un peu. J'observe l'attitude d'Estelle. Je le fais discrètement. Elle est très gênée mais tente de ne rien montrer. Monsieur Bertrand nous parle de sa femme qui est allée passer le week-end chez sa vieille mère. << Nous avons fait nos tests car elle va venir s'installer avec nous s'il y a un prochain confinement. Des prises de sang. Nous sommes clean ! Comme des nouveaux nés ! >> précise le voisin. Nous en rions de bon cœur. Nous le laissons partir.

Nous rentrons pour aller empiler les bûches à côté de la cuisinière à bois et à côté de la cheminée dans l'atelier. Les pavés de saumon ont décongelé. Estelle les prépare en papillotes sur le barbecue électrique de la véranda. Vêtue de son anorak, elle mime des masturbations masculine derrière les vitres fumées. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée de légumes. Je dresse la table. J'agite ma bite molle en direction d'Estelle qui grelotte dans la véranda non chauffée.

Nous mangeons de bon appétit tout en parlant du cas "Bertrand". << Ce vieux salaud a de quoi gamberger avec ce qu'il a vu hier soir ! >> fait Estelle. << Vous avez vu son attitude ce matin. Il n'a rien laissé trahir de ses émotions ! >> rajoute Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles ne cessent d'évoquer le voyeurisme du voisin. Il n'y a pas de volets aux fenêtres de la dépendance. Nous les aurions fermés. Mais nous ne pouvions pas imaginer êtres espionnés.

<< Moi, avec le recul, ça m'excite assez ! >> lance Clémentine. << Moi aussi ! >> conclue Estelle. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Les bonnets, les gants. Nous sortons. Nous montons jusqu'au portail. Nous traversons la route pour prendre le chemin forestier. Il est rocailleux. Il suffit d'éviter les rares endroits boueux, les flaques d'eau.

Nous aimons ce chemin car il est large. Il permet de marcher tous les trois par le bras ou par la main. Je suis entre mes deux anges. Le sujet de la conversation reste évidemment notre retraité de voisin voyeur. Clémentine raconte les fois où il lui a montré sa bite en bavardant avec elle. Le nombre de fois où elle s'est exhibé devant lui dans le jardin. Estelle trouve tout naturel que monsieur Bertrand nous espionne peut-être plus souvent que nous le croyons. << Probable ! >> dit Clémentine.

Nous prenons le chemin qui longe les prés. Il y a une jeune cavalière qui nous croise. J'ai tout juste le temps de me tourner pour cacher mon sexe. Elle vient probablement du haras à Juliette. Il y en a une seconde dans le labyrinthe des roches granitiques. Là aussi, c'est juste à temps que Clémentine se met devant moi. << Put-Hein ! Mais tout dans nos existences tourne autour de la sexualité ! >> s'écrie Estelle qui s'accroupit devant moi pour humer les effluves odorantes de ma bite sale.

Le dimanche nous aimons tous les trois macérer dans nos jus. Sans nous laver. Ce qui assure le rituel de nos dégustations de la soirée. Nous longeons l'ancienne voie ferrée. Nous arrivons aux Dolmens pour longer le ruisseau. Nous passons derrière les bâtiments du haras, là-bas à plus de 300 m. Il y a plein de bagnoles garées dans la cour. Le crépuscule s'annonce déjà. Il est 17 h30. Nous restons sur le bord de l'étroite route communale. Nous ne rencontrons aucun véhicule sur les 3 km.

Il est 18 h30 quand nous arrivons à la maison. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de potée. Estelle nous concocte son omelette du dimanche soir. Cette fois au Roquefort, au Morbier et au Saint Nectaire. A présent, nous rions beaucoup du voyeurisme de monsieur Bertrand. << Il est devenu un figurant à son insu ! A chaque fois on le verra dans le film ! >> lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit. Repas simple mais succulent.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles parlent de leurs cours en ligne qui reprennent demain. Ce télé travail qui les tient éloignées de l'université fermée pour cause de crise sanitaire. << Ça restera un fait historique, cette crise ! >> fait Estelle. La vaisselle. Je propose aux filles un léchage de minous au salon. Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Elles m'entraînent par les bras pour me jeter dans le canapé. << D'abord je goute à ta queue ! >> lance Estelle.

Clémentine me sort la bite. Elle est assise à côté de moi en retirant son jeans et sa culotte. Estelle, à genoux sur un des épais coussins, me suce comme si sa vie en dépendait. Pour laisser reposer sa mâchoire elle cesse toutes les deux trois minutes. Elle revient sur le voyeurisme du voisin. Clémentine se masturbe en observant la scène. Je force Estelle a cesser. A se redresser. Je lui déboutonne le jeans. Elle retire ses vêtements qui vont rejoindre ceux de Clémentine dans le fauteuil.

C'est moi qui suis à genoux. Je commence par la chatte à Estelle. Son odeur forte de fille négligée est devenue une véritable addiction. Le gout d'amande amère de son jus est devenue une drogue. Surtout que depuis quelques mois Estelle est devenue aussi généreuse en cyprine que Clémentine. Lorsque je ne suce pas son clitoris pour nettoyer les peaux, Estelle se masturbe. Je passe au croupion de Clémentine. Je me sustente de son nectar. C'est du yaourt. Quelle abondance. Quelle onctuosité.

Les filles, quand elles ne gémissent pas de bonheur et de plaisir, échangent leurs impressions. Elles me tiennent par les oreilles, me guident à tour de rôle. Je me savoure du fruit de mer avec un appétit rare. Il y a là de quoi nourrir un honnête homme. J'ai le bas du visage trempé de foutrine. Je me régale de ce nectar de jouvence sous les gémissements, sous les râles et parfois des petits cris d'animal blessé. Ce soir, aucune ne désire être pénétrée. La préférence pour d'excellents cunnilingus.

L'orgasme d'Estelle l'a fait hurler de plaisir. Elle me repousse juste avant. Elle se tourne sur le côté, les mains entre ses cuisses comme si c'était douloureux. L'orgasme de Clémentine la fait pousser un cri grave et profond. Elle aussi me repousse juste avant de pisser dans la cuvette. Ça gicle. Il faut dire que le jet est tellement puissant. Je reviens sucer. J'adore le mélange. Sous les derniers soubresauts jouissifs de Clémentine qui s'affaisse complètement épuisée. Vidée de ses sucs.

Je suis entre mes deux anges. Nous restons silencieux à reprendre nos esprits. Estelle tient ma bite molle dans sa main chaude. Elles ont leurs têtes appuyées contre mes épaules. << Comme c'est bon notre couple à trois ! >> murmure Estelle. << C'est merveilleux ! >> chuchote Clémentine. << Et toi ? On te néglige trop souvent dans ces moments là ! >> me fait Estelle. Je la rassure. Je suis l'homme le plus comblé de la planète. Que pourrais je souhaiter de plus ?

Il est 22 h. Complètement crevés nous procédons à nos rituels pisseux. En suçant, Estelle n'arrête pas de me fixer de son regard plein de reconnaissance. Nous montons. Au lit, entre mes deux anges qui se partagent une pipe des familles, je leurs chuchote mes impressions. Estelle s'endort évidemment la première. J'ai juste encore le temps de la prendre par la nuque pour fourrer son visage contre mon cou. J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui déguste en gloussant de joie.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire bouffer une chatte négligée par un dimanche de promenade et riche d'excitations...

Julien

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1411 -



La visite de Julie qui vient nous livrer en soirée

Hier matin, lundi, cette superbe application nous réveille une fois encore de la plus douce des façons. Les chants d'oiseaux, le bruit d'une source. Le tout qui résonne au fond d'une forêt. Accompagnant nos rêves. Estelle qui est restée accrochée à moi toute la nuit se serre encore plus fort. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. << C'est bien le principe du couvre-feu, cela me permet de rester avec vous ! >> murmure Estelle avant de se lever d'un bond pour courir aux toilettes.

Nous mettons nos tenues de gym. Il est six heures. C'est à notre tour. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. L'odeur de café, de pain grillé de la cuisinière à bois que rallume Estelle. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Nous prenons un copieux petit déjeuner en évoquant notre week-end. Nous mangeons de bon appétit. Les filles reviennent sur le voyeurisme de monsieur Bertrand, notre voisin. Légèrement pervers. Nous en rions de bon cœur.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Charges additionnelles, abdos et stretching. Il est 7 h30. Estelle dévale les escaliers avec son sac de sport en s'écriant : << A demain soir ! >>. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Nous sortons. Il est 7 h50. Le jour se lève doucement sous un ciel bas et sinistre. Il fait froid. Bonnets et gants.

Nous allons sous l'abri à bois pour y remplir le grand panier en osier d'une dizaine de bûches. Les cours en lignes commencent à 8 h05. Nous rentrons vite. Dans l'atelier, Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les bûches à côté de la cheminée. J'y allume un beau feu. Je suis rapidement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Voilà une nouvelle semaine avec tous les rituels quotidiens et si habituels.

Je peins dans la sérénité la plus totale. Cette quatrième nature morte destinée à ma saison d'été me procure les plus suaves émotions. La matinée se passe dans le calme d'une émulation gratifiante. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans le feu avant de m'entraîner par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet. Je prépare un coulis de courgette. Je poêle deux filets de colin.

C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur le comportement de notre voisin. << Je fais une fixette sur ce mec ! Tu sais, je suis certaine qu'il est encore plus vicieux que je ne l'imagine ! >> dit elle. J'abonde dans ce sens. Clémentine ne se trompe jamais. Elle a déjà eu affaire à lui et n'a pas eu à s'en plaindre. Séducteur, exhibitionniste et plein d'humour. Excellente culture générale.

J'écoute ses impressions. Je ne me lasse pas de l'entendre relater des aventures déjà vécues. Lorsque je suis planqué dans le jardin. Que je regarde Clémentine s'exhiber discrètement devant ce type. Les fois où il lui a montré la bite. Où il faisait semblant de pisser. Sa toute petite biroute sympathique. << Une bonne opportunité et je me suce ce mec ! >> fait Encore Clémentine. Je dis : << Tu as entendu hier, quand on a bavardé, il a passé ses tests. Il est au top pour ses 66 ans ! >>

<< Je peux ? J'en ai trop envie. Gouter la bite d'un mec. Même s'il n'est pas un inconnu, Ça m'exciterais vraiment à fond ! >> me confie encore une fois Clémentine. Je l'y encourage. Elle rajoute : << Attends, on va se préparer un "plan". Je vais l'attirer. Il monte régulièrement le chemin. Il suffit qu'il me voit et c'est parti pour une drague ! >>. Nous en rions de bon cœur. Quand Clémentine organise un "plan", c'est toujours une réussite. Je n'ai qu'à m'en réjouir. De grands moments.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Par une des deux fenêtres de la salle de bain nous voyons la camionnette garée devant la dépendance. << J'espère que nous n'avons laissé aucune trace de nos exactions sur le chantier ! >> lance Clémentine en glissant sa main dans ma braguette ouverte. << Je t'aime Julien, tu me comprends si bien. C'est merveilleux nous deux ! >> fait elle avant de m'embrasser passionnément. Nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks.

Les bonnets, les gants sont nécessaires. Il fait froid. Il y a même quelques flocons tourmentés par un vent de Nord. Nous descendons jusqu'à la rivière. Bien serrés l'un contre l'autre en marchant contre les bourrasques. Le ciel est gris, bas et sinistre. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. Les canards, les colverts et les poules d'eau nous accompagnent en poussant leurs cris. Ils attendent probablement le vieux pain que leur apporte monsieur Bertrand.

Les cours en lignes reprennent à 14 h05. Il faut songer à remonter. En passant près de la dépendance, nous entendons les employés. Le bruit lancinant d'une probable ponceuse. Nous remplissons le panier en osier d'une dizaine de bûches. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier à empiler les bûches sur les autres. Clémentine s'assoit devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je m'installe devant mon chevalet. C'est reparti pour une séance de travail.

L'après-midi passe vite. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Des bisous. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle palpe mon Zob en regardant ma peinture. Elle a encore une heure de lecture et de notes à prendre. La voilà confortablement installée dans le vieux canapé, entourée de tous les coussins. J'aime l'entendre me faire la lecture à haute voix. Il est dix huit heures. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. J'enlève ma blouse. Je rejoins Clémentine.

Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, elle frotte sa joue contre ma bite, les yeux fermés. Nous apprécions ce retour à l'inactivité. Ce soir encore, il n'y a aucune manifestation surnaturelle. << Christine est partie en vacances ! >> chuchote Clémentine. En effet, depuis quelques jours le fantôme de mon ancienne compagne est étrangement silencieux. Il est 18 h25. Nous nous levons pour quitter l'atelier. Julie ne va pas tarder. Le portail est resté ouvert. C'est parfait.

A l'instant où je contrôle l'écran de l'interphone, je vois arriver la voiture. Nous enfilons nos anoraks pour aller à sa rencontre. Julie est toute contente. Je prends la caisse qui contient nos repas. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. De son petit sac à dos en cuir, Julie tire le flacon de gel hydroalcoolique. Tous les trois en riant, nous sacrifions à ce rituel. Julie me fait de délicieux sourires. Nous allons à la cuisine. Les tourtes aux fruits de mer sont encore bien chaudes.

Je les retire de la caisse. Clémentine sort les salades. Julie nous raconte son week-end. Nous dressons la table. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Les cours en ligne, le télé travail. Les étudiants de première année pourront retourner à l'université par petits groupes. Ce qui ne concerne ni Clémentine ni Julie. L'ambiance de la faculté leurs manque. Il y a une certaine frustration. Surtout que cela va faire une année que la situation perdure.

C'est Clémentine qui parle de notre projet. Ce film que veut réaliser Julie. C'est soudain comme une libération. Nous sentons bien que Julie avait envie de venir sur le sujet. Elle est soudain animé d'un enthousiasme qu'elle ne cherche pas à dissimuler. Clémentine évoque notre réalisation de samedi soir. Elle raconte le coup du voisin voyeur. Julie ne peut s'empêcher de s'écrier : << Oh put-hein ! Le "plan" ! >>. Clémentine confie alors les quelques fois où le voisin s'est montré vicieux.

Julie écoute avec attention. << Mon voisin est pareil. L'année dernière, pendant le confinement du printemps, il se branlait ou me montrait sa queue depuis son jardin ! >> fait elle. Je sors ma bite sous la table. Je me lève pour l'agiter en direction de Julie. Je dis : << Comme ça ? >>. Elle éclate de rire pour répondre : << Exactement comme ça ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine demande : << Il s'est passé des "trucs" ? >>. Julie répond : << Non jamais ! >>.

C'est vendredi prochain, le 29 janvier, que nous serons au restaurant de l'étang pour 14 h30. << Je vous réserve une surprise. Il va falloir "assurer" Julien ! >> lance Julie, espiègle et mutine. Clémentine me fait un clin d'œil. Je dis : << Je dois m'attendre à des actes charnels ? >>. Julie éclate de rire avant de faire : << Non ! Quand même pas ! Quoi que... >>. Elle a son regard fuyant habituel lorsque je me masturbe, debout, avec juste la table qui nous sépare. C'est adorable.

Je dis : << Vous savez Julie, je me réjouis pour cette aventure. Faire l'acteur n'est pas pour me déplaire ! >>. Clémentine rajoute : << Julien a acquis une certaine expérience ! >>. Nous en rions tous les trois de bon cœur. Clémentine prend son verre ballon pour le tenir juste sous ma queue. Je bande mou. Sans entrer dans des considérations cérébrales, j'y lâche un petit jet de pisse. Julie détourne le regard comme terriblement gênée. Cette attitude de jeune fille m'enchante.

Je dis : << Julie, je vous promets d'être bien vicelard ! Avez vous une requête particulière ? Quelque chose que vous auriez déjà vécu par le passé avec un client du restaurant par exemple ? >>. Julie réfléchit un instant avant de répondre : << Que vous soyez en costume et en cravate. Que vous improvisiez ! Moi, je vais entrer dans les toilettes, en ressortir, revenir plusieurs fois ! >>. Clémentine fait : << Je vais filmer en tenant la caméra pour bien saisir chaque plan ! >>.

Nous nous réjouissons tous les trois pour cette nouvelle aventure. Je dis : << Julie, j'espère que vous saurez me réserver quelques bons moments. Des initiatives surprenantes ! >>. Julie me répond : << Julien, nous avons déjà vécu de telles situations. Je veux simplement les revivre pour un film souvenir ! >>. Clémentine fait : << Je vais enfin voir ce qui se passait dans les toilettes du sous-sol pendant que j'étais à table en haut ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

Je me lève à nouveau. Clémentine reprend le verre ballon. Je me masturbe. Elle passe le bord du verre sous ma queue. J'essore la peau de mon prépuce. Il y a du liquide séminal qui coule dans le verre. Il vient se déposer sur la pisse pour y flotter. Je lâche un second jet d'urine chaude. Je m'essore le prépuce une nouvelle fois. Cette fois c'est une giclée de mélange qui jaillit pour tomber dans le verre. Clémentine le dirige vers Julie pour lui montrer l'intérieur. << Du jus de vicieux ! >> dit elle.

Julie se penche pour bien observer. Elle reste silencieuse. Elle lève les yeux pour me regarder. Elle les baisse rapidement. Incapable de surmonter sa timidité. Pétrifiée par le profond trouble qui la gagne. Je me branle. Clémentine place le verre sous ma braguette. Je bande comme le dernier des salauds. Je contrains ma bite vers le bas. A nouveau j'essore la peau fripée. Il s'écoule un filet visqueux le long de la paroi du verre. Il y a une abondante coulée. Clémentine en montre le contenu à Julie.

Une fois encore, la tête penchée, elle regarde de près ce que lui présente Clémentine. On la voit renifler, humer, le nez au dessus du verre. A nouveau son regard rapide. Un curieux regard. Clémentine met le verre à sa bouche en disant : << J'aime prendre mon digestif avant la vaisselle ! >>. Julie complètement hallucinée, comme consternée, regarde Clémentine vider le contenu du verre. << Tu en veux ? >> fait elle à Julie en lui tendant le verre. Juste encore un fond glaireux.

Julie a un mouvement de recul. Une grimace de dégout. Elle me lance comme un regard de reproche. Elle se lève pour débarrasser la table. C'est sa manière de fuir le tourment qu'elle ne peut dissimuler plus longtemps. Nous faisons la vaisselle. Julie doit être rentrée pour 22 h30. Son attestation professionnelle ne va pas au-delà. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. << Je me réjouie pour vendredi ! >> dit elle assise au volant de son auto. Il fait trop froid pour lui montrer ma bite.

Nous rentrons vite au chaud. << Tu as été génial Julien ! Tu te doute bien à quel point elle apprécie ce qui se passe ici ! >> me fait Clémentine. Nous allons aux toilettes. Nos rituels pisseux. Lavage des dents. Au lit, j'offre à Clémentine un cunnilingus qui la fait hurler de plaisir. Je la baise un peu. << C'est génial de se faire baiser par un salaud comme toi ! Je t'aime ! >> me chuchote Clémentine. Je la termine au cunni. Elle veut absolument que je lui jute dans la bouche. Dodo...

Bonne soirée à toutes les coquines qui viennent s'encanailler chez leur couple d'amis. Pour assister à des trucs bien vicelards...

Julien

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Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1412 -



Clémentine et Julien parce que c'est trop bien (Estelle)

Hier matin, mardi, du plus profond de nos rêves surgissent les chants d'oiseaux, le bruit de la source. L'application nous tire de nos sommeils avec sa délicatesse habituelle. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Je la serre fort. Il est presque six heures. Nous filons aux toilettes. Clémentine, qui termine à midi, est plutôt facétieuse. J'adore quand elle me fait rire dès le matin. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Je mets deux bûches sur les braises de la cuisinière. Nous prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la visite de Julie hier soir. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Comme tous les matins de 6 h30 à 7 h30. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, exercices au sol, abdos pour terminer par le retour au calme d'un excellent stretching. La douche.

Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Pressés de sortir, nous descendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks. Il est 7 h50. Le jour se lève doucement. Il fait froid. Il y a même du givre sur les branches nues des arbres. Nous allons sous l'abri à bois afin d'y remplir le grand panier d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer et d'empiler les bûches sur les autres. Nous voilà dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans cette douce exubérance généreusement distribuée par Clémentine depuis le levé. La matinée se passe dans une ambiance studieuse. Il est 11 h45 quand je dépose la dernière pointe de rouge de cadmium sur la surface de ma toile achevée. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Des bisous.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je réchauffe les deux dernières tourtes aux fruits de mer de hier soir. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Je lave et je coupe deux gros poireaux. Je les fais cuire à l'auto cuiseur. Je concocte une belle Béchamel. Clémentine râpe du gruyère de Comté. J'égoutte les poireaux que je rajoute avec le gruyère dans la Béchamel. Je verse le tout sur les deux tiers de la pâte étalée.

Les bords hauts du grand moule à tarte permettent à Clémentine de bien répandre cette garniture. Je recouvre le tout du dernier tiers de pâte. Clémentine y badigeonne le mélange moutarde, œuf, lait de soja. Nous mettons au four électrique afin de contrôler la cuisson à 180°. Il est toujours préférable de laisser mijoter longuement. Ce sera notre Flamiche Picarde du mardi soir et du mercredi midi. Cette tourte aux poireaux qui fait les délices de nos repas. Je recommande, c'est un régal.

Nous mangeons de bon appétit. Les tourtes aux fruits de mer que nous ramène Julie sont d'une excellence rare. Le Chef du restaurant de l'étang fait de la bel ouvrage. Avec la salade d'endives, c'est un festin. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la visite de Julie, hier. Ses attitudes. Mon comportement. Notre projet "cinématographique" de vendredi. Après le film nous en profiterons pour aller faire des courses en ville.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Par une des deux fenêtres, nous voyons la camionnette de l'entreprise garée devant la dépendance. Une des fenêtres est ouverte. Il y a une sorte de poussière grise qui s'en échappe. << Ils procèdent à l'isolement thermique ! >> fait Clémentine qui m'entraîne par la main. Pressés d'aller voir, nous dévalons les escaliers. Nous mettons nos anoraks, bonnets, gants. Nous traversons le jardin. Nous observons par une des fenêtres.

Un des employés tient un gros tuyau relié à une sorte de compresseur. On entend le ronronnement du moteur. On en perçoit les vibrations jusqu'à dehors. Il y a une grosse cuve dans laquelle l'autre employé verse de grand sac d'une matière floconneuse et grise. Ce sont les grands sacs de fibres de cellulose qui sont entreposés à côté de la bâtisse. Ils insufflent cette fibre entre les plaques de plâtre et les murs. C'est l'isolant thermique. Les employés portent des masques. Tant de poussière.

Nous descendons jusqu'à la rivière. Le ciel est gris, bas et sinistre. Nous longeons le cour d'eau. Clémentine marche devant moi en me tenant par la main. Elle s'arrête souvent pour me faire un bisou. Elle évoque ses cours en lignes. Le travail qu'elle prépare et à rendre avant les vacances de Carnaval. J'écoute car c'est très intéressant. Nous parcourons les trois kilomètres qui nous séparent de l'ancien lavoir. L'eau croupissante du bassin recommence à geler tellement il fait froid.

L'absence de vent rend toutefois notre balade très agréable. Nous traversons l'étroite route départementale pour aller au haras. Faire un coucou à Juliette et au personnel. Il y a des voitures garées dans la cour. Deux cavalières qui partent en promenade bien droites sur leurs montures. Nous entrons dans l'ancienne écurie. C'est là qu'il y a le local bureau et souvent de l'animation. Il y a madame Walter en pleine conversation avec Eveline et Kim Son, les deux jeunes palefreniers.

Elle donne des directives. Elle porte à la main un grand classeur. Nous restons à distance. Nous n'avons pas nos masques sanitaires. Oubliés. Madame Walter nous fait un coucou de la main. Les deux palefreniers également. Il y a des éclats de voix qui viennent du fond des écuries. Du local bureau. Nous reconnaissons celle de Juliette. Nous arrivons sans doute à un moment d'effervescence. Nous préférons repartir. Tout le monde est au boulot. Nous retournons dehors.

<< Mais qui voilà ! >>. Nous nous retournons. C'est monsieur Gérard. Il porte son masque sanitaire. Nous nous saluons. Nous gardons nos distances. Gérard est tout content de nous revoir. C'est vrai qu'il a pris un coup de vieux comme nous l'avait précisé Juliette. Nous bavardons. Il est venu donner un coup de main. << Ils sont débordés de boulot. 87 chevaux en pensions. Les pressions permanentes des services vétérinaires. Sans parler des fourrages ! >> fait le retraité.

<< L'administration n'a rien d'autre à foutre que de faire chier le monde ! Quelle bande de cons ! Quel pays ! >> lance monsieur Gérard. Nous écoutons ses ressentis en riant beaucoup. Gérard illustre toujours ses propos de métaphores pertinentes. Voilà Juliette qui arrive en compagnie d'un jeune type élégant. << Le vétérinaire ! >> fait discrètement Gérard. Juliette nous fait un signe amical de la main. Nous préférons laisser tout ce beau monde à ses occupations. Nous saluons Gérard.

Nous revenons sur le sentier. Nous longeons la rivière sur les trois kilomètres qui nous séparent de la maison. En flânant comme à l'aller. Il est un peu plus de seize heures quand nous arrivons à l'intersection du sentier et du chemin. << Regarde ! >> lance Clémentine. Là-bas monsieur Bertrand, notre voisin. Il descend le chemin en tirant une petite remorque. Il ne nous a pas vu. << Planque toi, je lui fais un "plan" ! >> dit Clémentine. Mais où me cacher. Il faut faire très vite.

Là, derrière l'amas rocheux. Attention aux ronces. Je saute littéralement par dessus les buissons. Je laisse Clémentine accroupie au dessus de l'eau sur le sentier. Je reste accroupis moi aussi. Je peine à rester dissimulé complètement. En hiver aucun feuillage pour se cacher. Monsieur Bertrand arrive. Il voit Clémentine accroupie lui tournant le dos. Il tire une petite remorque pleine de branchages. Je suis à une dizaine de mètres. J'entends : << Bonjour Clémentine ! Tout va bien ? >>.

Clémentine se redresse en se tournant : << Bonjour monsieur Bertrand. Oui, ça va bien, et vous ? >>. C'est une conversation de convenance faite de lieux communs. Le temps qu'il fait. Le froid. Toutes ces choses sans grand intérêt. Par contre ce qui a de l'intérêt pour le retraité, c'est la présence de cette superbe jeune fille seule. << Il n'est pas là Julien ? >> demande encore Mr Bertrand. << Il est déjà monté, un coup de téléphone ! >> répond Clémentine. Le vieux se touche.

Une main sur sa braguette, visiblement ravi de me savoir absent, Mr Bertrand peut s'adonner à son comportement. Tout en bavardant, il descend lentement la tirette de son pantalon de gros velours côtelé. Clémentine fait mine de ne pas s'en apercevoir. Le retraité bricoleur sort tout ainsi doucement son sexe. Avec le froid cette bite déjà naturellement petite ne doit pas mesurer plus de six centimètres. << Vous n'avez pas froid ? >> demande Clémentine qui regarde enfin la scène.

<< Vous permettez ? >> lance le vieux pervers. Clémentine se met à rire. Elle répond : << Bien sûr ! >>. Monsieur Bertrand continue : << Parce que je suis quand même sur vos terres ! >>. Clémentine le rassure : << Mais le chemin vicinal est à tout le monde ! >>. J'écoute cette conversation totalement surréaliste. Monsieur Bertrand tient sa bite à sa base. Avec le pouce et l'index, il tente de la sortir complètement de sa braguette. Il en présente tout ce qu'il peut.

<< Vous n'avez pas envie qu'on s'amuse un de ces jours ? >> demande le vieux libidineux. Il n'en est pas à sa première proposition. Clémentine ne répond jamais. Elle se contente d'afficher un sourire. Attitude toute féminine qui laisse planer un divin mystère. Se sent-il observé ? Toujours est-il que le vieux salaud regarde partout autour de lui. Je ne l'ai jamais vu bander. A l'automne, lors de sa dernière exhibition, il a donné quantité de détails sur sa sexualité à Clémentine.

Il en parle à nouveau : << Ce n'est pas parce que je bande très peu que je ne sais pas m'en servir ! >> lance t-il en l'agitant devant la jeune fille. << Oh, mais je n'en doute pas ! >> répond Clémentine en éclatant de rire. Mr Bertrand pose la question qui tue : << Vous en avez déjà parlé à Julien ? >>. Clémentine soudain sérieuse fait : << De quoi donc ? >>. Mr Bertrand répond : << De mes comportements avec vous ! >>. Dans un mensonge convenu, Clémentine lance : << Non ! >>.

Rassuré, le vieux satyre, se branle doucement. Sa toute petite queue reste molle, comme je l'ai toujours vu. << Alors, ça vous dit ? >> demande le vieil effronté. << Quoi donc ? >> répond Clémentine. Elle fait l'âne pour avoir du foin car elle sait très bien où veut en venir le saligaud. Il dit : << Qu'on s'offre un peu de bon temps ! >>. Clémentine le regarde, visage baissé, par en dessous, terriblement vicelarde. Elle fait : << Avec ce froid, vous n'y pensez pas monsieur Bertrand ! >>.

La conversation reste axée sur les insistances du vieux salaud. Le crépuscule ne va tarder. Clémentine, morte de froid, sans avoir répondu aux avances du retraité fripon le salue avant de monter le chemin. Dès que Mr Bertrand a disparu le long du sentier, je sors de ma cachette pour rejoindre Clémentine. Elle m'attend en grelottant. Moi aussi je grelotte. Nous rentrons au chaud. Il est 17 h30. Voilà Estelle qui arrive. En même temps que s'en va la camionnette de l'entreprise.

Nous sommes tellement contents d'êtres à nouveau ensemble tous les trois. Nous allons dans l'atelier. Clémentine raconte son aventure avec monsieur Bertrand. << Ce vieux salaud ! >> fait elle en écoutant les détails. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine prépare la salade. Estelle met la table. Je réchauffe la Flamiche Picarde. Elle n'arrête pas de me toucher. De me faire des bisous. Estelle a commencé le montage de son film. Elle nous raconte.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur le comportement du voisin. << On le voit bien dans le film entrain de mâter derrière la vitre. Trois fois quelques secondes ! >> dit Estelle. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Je propose aux filles un bon léchage de minous. C'est donc au salon que je distribue de généreux cunnilingus. Ce soir, c'est Clémentine qui jouit la première. Au lit, je me fais encore sucer un peu. Nous nous endormons.

Bonne balade à toutes les coquines qui apprécient de tomber sur le voisin vicelard. Brave exhibitionniste qui a beaucoup d'humour...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1413 -



Décidément, notre voisin se révèle être un fieffé coquin

Hier matin, mercredi, notre application nous réveille de ses douceurs habituelles. Le chant des oiseaux, le bruit de la source.Les premiers enchantements de la journée. Estelle qui est restée accrochée à moi toute la nuit se serre encore plus fort. Clémentine vient se blottir. Je suis au paradis entre mes deux anges. Il est presque six heures. Estelle se lève d'un bond. Ses vêtements de gym à la main, elle se précipite aux toilettes. C'est rapidement à notre tour d'aller pisser.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur du café, du pain grillé, de la cuisinière à bois qu'elle rallume. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Estelle est un peu contrariée car elle devra filer immédiatement après la gymnastique. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Ce qui constitue un de nos autres plaisirs.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle descend à toute vitesse en s'écriant : << A demain ! >>. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Nous dévalons une nouvelle fois les escaliers pour enfiler nos anoraks, bonnets, gants. Il est 7 h50. Le jour se lève. Il fait un froid polaire. Nous allons sous l'abri à bois afin d'y remplir le grand panier d'une dizaine de bûches. Tous nos rituels matinaux et quotidiens sont presque achevés.

Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous rentrons vite. Dans l'atelier, Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les bûches sur les autres à côté de la cheminée dans laquelle j'allume un bon feu. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je commence ce matin la cinquième nature morte destinée à ma saison d'été. La treizième toile d'une série de vingt quatre tableaux. Peut-être même trente.

Je peins dans la sérénité. La matinée est un enchantement supplémentaire tant la passion de peindre m'envahit totalement. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me faire plein de bisous. Elle met deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Je réchauffe le reste de Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui va encore faire notre régal. C'est très rapide. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur les agissements de monsieur Bertrand, notre voisin. << Ce soir, on tente un "plan". On va dans la dépendance encore chaude. La lumière va l'attirer. Tu te planques à l'étage ! >> fait elle. Nous en rions de bon cœur. J'écoute le développement de Clémentine qui m'expose sa stratégie. C'est imparable. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles.

Par une des deux fenêtres de la salle de bain, nous apercevons les deux camionnettes de l'entreprise garée devant la dépendance. Il y a un employé jamais vu qui tire des poutres, des planches du second véhicule. << C'est l'escalier ! >> précise Clémentine. C'est probable. Pressés d'aller voir, nous descendons à toute vitesse pour mettre nos anoraks, bonnets et gants. Le ciel est menaçant. Nous nous approchons de la dépendance pour regarder par une fenêtre.

Toute la grande salle est propre. Les trois employés entassent soigneusement les éléments de l'escalier conçu selon les plans de Clémentine. S'appuyant sur un logiciel, elle a créé un superbe escalier en angle. Visiblement, les gros travaux dans la grande pièce sont terminés. Ils vont pouvoir continuer à l'étage. Clémentine m'entraîne par le bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Il y a quelques flocons de neige.

Les cours en lignes reprennent à 14 h05. Il est temps de remonter. Nous chargeons le grand panier d'une dizaine de bûches. Avec la cuisinière et la cheminée, nous faisons grande consommation de bois. La seconde camionnette est repartie. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé du même sentiment d'extase créatrice que ce matin.

C'est amusant d'entendre parler Clémentine. Je n'entends qu'elle. Elle s'adresse sans doute à un prof et à des étudiants de son groupe. Cet après-midi, la conversation semble animée. N'ayant pas toujours à voir avec les études. Il est même question d'un troisième confinement. << On ne va pas se laisser emprisonner une nouvelle fois par cette bande de psychopathes ! >> lance à plusieurs reprises Clémentine. Les étudiants en ont plus qu'assez et ils le manifestent en cours.

A entendre le monologue de Clémentine, il ne sera pas si simple de conditionner la population une nouvelle fois. C'est toujours de sa jeunesse qu'un pays retrouve sa vitalité. Serait-ce le cas pour ce qui se prépare. << Je ne me confinerai pas. Je ferai usage de légitime défense contre tout individu voulant me priver de ma liberté ! >> prononce plusieurs fois Clémentine. C'est le mot d'ordre qui semble circuler de plus en plus sur Internet. J'écoute très intéressé.

Je trouve ça formidable. Enfin un peu de dignité et d'honneur semble gagner les populations. L'après-midi se passe malgré tout dans une ambiance studieuse. Les études sont prioritaires. Il est 17 h quand Clémentine vient sautiller autour de moi. Elle chante : << J'ai presque fini ! >>. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle palpe ma bite molle en observant ma nouvelle toile. Elle a encore de la lecture. Elle s'installe dans le vieux canapé. Parmi les coussins.

J'aime peindre en l'écoutant lire les meilleurs passages à haute voix. Même si je n'y comprends rien en sciences appliquées, c'est la chanson des mots que me ravi. Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse pour venir rejoindre Clémentine. Elle se serre contre moi en saisissant ma queue toute flasque. << On sort pour piéger le vieux ? >> me fait elle. Nous en rions de bon cœur. Nous quittons l'atelier. Nous mettons nos anoraks, bonnets et gants.

Il fait nuit. Des flocons tombent. La neige recommence à tenir au sol. Nous traversons le jardin pour entrer dans la dépendance. Il y fait encore bien chaud car les employés sont partis il y a à peine une dizaine de minutes. J'allume les deux projecteurs. Cette lumière blanche et vive est agressive. Violente. Nous découvrons les éléments de l'escalier qui sera assemblé bientôt. Nous montons sur l'échelle double. En effet, l'entreprise a commencé à retirer le vieux torchis des murs.

L'étage va être rénové lui aussi. Même traitement. Plaques de plâtre créant un espace d'une vingtaine de centimètres pour insuffler la fibre de cellulose. Nous regardons par une des fenêtres rondes qui donnent sur la propriété des voisins. Là-bas, à plus de 300 m, il y a de la lumière sur le perron de monsieur Bertrand. Nous scrutons. Avec la neige qui tombe c'est magnifique. << Là, regarde, il monte par ici ! >> me fait Clémentine. En effet, la silhouette s'approche. Mr Bertrand arrive.

Il longe la clôture de notre propriété. Il reste un moment entre la haie de lauriers et la rangée de cyprès. Il semble très prudent. << Reste là. Je descends ! >> fait Clémentine. De l'étage je vois distinctement tout ce qui se passe en bas. De plus je reste dans l'obscurité. Clémentine est debout près des éléments de l'escalier. Elle fait des photos. Je surveille ce que fait le voisin. Il ouvre le portillon. Il passe devant l'abri à bois. Il hésite. Il s'approche de la fenêtre.

Je chuchote à l'adresse de Clémentine, ma tête dans l'ouverture rectangulaire : << Il arrive ! >>. Clémentine fait semblant de prendre des photos du chantier. Trois coups contre la vitre. Clémentine s'approche de la fenêtre. Elle voit Mr Bertrand. Elle lui fait signe de contourner la bâtisse. De la rejoindre. Le bougre ne se fait pas prier. Il entre. << Bonsoir Clémentine ! >> fait il en entrant. Il secoue la neige qui recouvre ses vêtements dans l'encadrement de la porte.

Je suis planqué à l'étage. Je peux mâter et écouter dans les meilleures conditions. La conversation reste dans le lieu commun habituel. Monsieur Bertrand évoque les travaux qu'il va entreprendre chez lui au printemps. Sa vieille belle-mère qui va venir s'installer durant le probable confinement. << Elle sera mieux chez nous que dans une EHPAD ! Elle va sur ses 94 ans ! >> précise t-il. Tout en bavardant, le retraité se touche la braguette. Il recommence à se tripoter.

<< Il n'est pas là, Julien ? >> demande t-il. << Non, il prépare le repas. Je suis venu faire quelques photos ! >> répond Clémentine dans un mensonge complice. Je retiens ma respiration. Je reste sans bouger. Il n'est surtout pas question d'être trahis par un bruit quelconque. Clémentine a cette merveilleuse attitude toute féminine. Elle fait mine de ne pas voir ce que fait le vieux salaud de sa main droite. Il ouvre la tirette de sa braguette. Il est coutumier du fait le coquin.

Il sort sa queue. Ce petit cylindre de chair ocre et curieusement lisse. A peine si son sexe mesure les cinq ou six centimètres. Il en vient aux propositions salaces habituelles. Clémentine prononce la phrase qui tue : << Et votre femme ? >>. Bien emmerdé, notre satyre répond : << Ça fait longtemps que nous avons tourné la page "cul" ! Elle a tout les soirs mal à la tête si vous voyez ce que je veux dire ! >>. Clémentine éclate de rire avant de dire : << Dommage ! >>.

Le vieux saligaud se paluche. Il y a des instants de silence. Cette fois Clémentine observe attentivement le mouvement masturbatoire de monsieur Bertrand. Il déboutonne son pantalon de velours. Il le descend en même temps que son slip. J'ai du mal à distinguer car le bougre s'est déplacé. Pour rassurer la jeune fille sur ses intentions, il s'est reculé. Clémentine reste silencieuse. Elle observe avec un sourire amusé. << C'est quoi le tatouage ? >> lance t-elle au bout d'un moment.

<< C'est un souvenir de l'armée ! >> répond Mr Bertrand qui vient se remettre près de la fenêtre. Cette fois, je vois très bien. Il a une paire de couilles fripées qui pendent assez mollement sous une bite un plus raide mais toujours aussi minuscule. Clémentine raffole des petites queues molles et des vieux salopards qui les exposent à la vue des jeunes filles. Monsieur Bertrand l'agite en sa direction. Il reste à quelques mètres sans tenter la moindre approche. Une attitude rassurante.

<< Vous avez réfléchi à ma proposition, Clémentine ? Nous pourrions nos amuser en secret. Ici par exemple. Un de ces soirs. Ça ne vous tente pas ? Vous semblez si intéressée et pas du tout farouche ! >> lance le vieux pervers que je vois frissonner de plaisir. Clémentine ne répond pas. Le bougre revient à la charge : << J'adore les pipes. Je vous ai déjà vu faire avec Julien ! Je suis sûr que vous les appréciez également ! >>. Clémentine répond enfin : << J'en raffole ! >>.

<< Eh ben alors, je vous propose un en-cas qui vous comblera d'aise ! >> rajoute le salingre en faisant tournoyer sa bite. << L'hélicoptère ! >> lance Clémentine. Ils se mettent à rire tous les deux. Clémentine lance soudain : << Il faut que je rentre. Merci pour votre prestation. Je vais réfléchir à votre proposition ! >>. Notre salopard remonte ses fringues. Il sort le premier en saluant poliment cette magnifique jeune fille devenue la complice de ses moments de débauches. Veinard.

Clémentine monte me rejoindre. Prudents, nous attendons que le voisin soit rentré chez lui. Clémentine me dit : << Tu as vu ! Tu aurais imaginé ça ? >>. J'ai déjà raconté à Clémentine qu'il avait des attitudes toutes aussi salaces avec Christine, mon ancienne compagne. Il était plus jeune et peut-être moins démonstratif. Nous en rigolons comme des bossus en rentrant. Clémentine s'occupe de la salade en me confiant ses impressions. Cette aventure l'a hyper excité.

Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Je fais revenir des calmars à la poêle. Avec ail, échalote et champignons. Je rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Nous mangeons de bon appétit. Clément me confie ses ressentis. << Je peux m'amuser avec ce mec Julien. J'ai vraiment envie de gouter sa bite ! >>. Je l'encourage. Surtout qu'il a passé ses tests et ce n'est certainement pas par le sperme qu'il peut y avoir le moindre risque. Ce vieux salaud est aussi sain que nous.

La vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. A genoux sur un des épais coussins, entre mes jambes, elle joue avec ma bite en faisant mille projets. Elle m'expose ses prochaines stratégies. Je la regarde sucer mon sexe en imaginant la manière dont elle s'y prendra pour sucer celui de monsieur Bertrand. Elle cesse de sucer toutes les deux trois minutes pour m'exposer une nouvelle idée. Je lui caresse la tête. Je récupère du foutre aux coins de sa bouche pour lui faire lécher mon doigt.

Bonne soirée à toutes les coquines qui préparent un "plan" d'enfer. Surtout si elles ont un voisin vicelard et exhibitionniste...

Julien

Classe



Classe
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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle" et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique trentième page qui nous attend déjà...

Cordialement.



Classe
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Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1414 -



Estelle est tellement contente d'être avec nous

Hier matin, jeudi, le chant des oiseaux, le bruit de la source viennent se mêler intimement à nos rêves. Une fois encore cette application nous réveille de ses douceurs habituelles. Il est presque six heures. Clémentine vient se blottir contre moi. Elle se frotte en gémissant. Nous nous levons avec la tête encore ensommeillée pour nous précipiter aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café en me racontant ses rêves. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Je mets deux bûches sur les braises dans la cuisinière. Nous prenons notre petit déjeuner en émergeant doucement. Nous mangeons de bon appétit. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. De quoi nous réveiller et nous transformer en guerriers pour la journée qui nous attend.

La douche. Nous descendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks. Il faut prendre le parapluie. Nous sortons dans le jour naissant. Il ne fait pas froid. Nous traversons le jardin sous une pluie battante. Sous l'abri à bois nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en lignes commencent à 8 h05. Il faut se dépêcher. Nous rentrons vite. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles.

J'empile les bûches sur les autres, à droite de la cheminée. J'y allume un bon feu. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. La peinture de cette cinquième nature morte destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement et totalement. Je peins dans un enthousiasme délirant. La matinée se passe dans cette émulation constructive que nous apprécions tant. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Me couvrir le visage de bisous.

Elle met deux bûches dans le feu. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Je fais gonfler du riz complet. Je lave et je coupe de belles et grosses tomates toutes rouges. Je les coupe en tranches régulières que Clémentine range en spirale sur la pâte. J'ai étalé la pâte dans un plat à tarte dont les bords sont hauts. Je verse sur le tout le mélange œuf, crème fraîche et lait de soja. C'est une sorte de flan.

Clémentine y dépose des cerneaux de noix et des amandes. Il suffit de recouvrir de gruyère et de chapelure. Au four à 180° pour laisser mijoter longuement. Ce sera notre repas du soir. Depuis deux semaines nous préférons une bonne tarte à la tomate plutôt qu'une pizza. J'ai récupéré quelques tranches de tomates restantes pour les poêler avec un pavé de saumon émincé. De l'ail, une échalote, du persil et de la ciboulette. Avec le riz, c'est un véritable régal. Je recommande.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. << Ces enfoirés vont nous pourrir les vacances de Carnaval ! >> lance Clémentine. Durant son télé travail, en constant contact avec d'autres étudiants de son groupe, il est question de ce probable troisième confinement. << Ce sont vraiment des losers, des incapables et des irresponsables ! Paralyser tout un pays ! Tristes cons ! >> fait encore Clémentine. Je ne sais trop quoi dire mais j'adhère totalement à cette idée.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur son "aventure", hier soir, dans la dépendance, avec notre voisin. << Monsieur Bertrand est décidément le voisin idéal pour nos fantasmes ! >> dit elle. Je réponds : << Une excellente alternative à monsieur Gérard. De plus, tu l'as immédiatement sous la main ! >>. Nous en rions de bon cœur. Cette perspective n'est pas sans réjouir Clémentine. Cela nous amuse beaucoup.

Nous avons pris une décision formelle. Je ferai toujours celui qui est dans l'ignorance. Le cocu vertueux et naïf. Ce sera éminemment plus excitant. Tant pour Clémentine que pour moi. Cela permettra surtout à monsieur Bertrand de donner toute sa mesure. << Nous n'en sommes pas encore là. Soyons patients et avançons avec une prudence de Sioux ! >> Lance Clémentine. J'admire sa capacité à se projeter dans l'avenir et à échafauder les stratégies les plus élaborées.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Par une des fenêtres nous voyons la camionnette de l'entreprise garée devant la dépendance. Un des employés est juché sur l'échafaudage extérieur. Il tient le cadre rond d'une des fenêtres en "œil de bœuf". Ces cadres sont en aluminium anodisé. Il pleut. Le gaillard est à l'abri sous l'auvent du toit. Pressés d'aller marcher malgré tout, nous dévalons les escaliers.

Nous mettons nos anoraks. C'est sous le grand parapluie que nous descendons vers la rivière. Serrée contre moi, Clémentine me dit : << Tu vas voir, aux vacances de Pâques il sera interdit de partir. Ces salopards vont nous confisquer le printemps ! C'est si simple avec des peuples de lâches ! >>. J'écoute. Je ne sais jamais quoi répondre à tant de pertinence et de vérité. Même si je ne le dirai pas de cette manière. C'est vrai que nous sommes dociles avec les dirigeants.

Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. Il fait étrangement doux. Pas un souffle de vent. Juste cette pluie incessante. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à remonter. Le sentier puis le chemin sont rocailleux. Nos bottes en caoutchouc ne se maculent pas de boue. Nous passons à une cinquantaine de mètres de la dépendance. De ce côté ci les trois fenêtres ont déjà été changées. L'aluminium des cadres ne dénote pas sur l'ocre des murs.

Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches avant de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je rajoute deux bûches dans la cheminée. Je suis confortablement assis devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. J'aime entendre Clémentine parler. Cela ressemble à un monologue car je n'entends qu'elle. L'après-midi se déroule ainsi. De la plus agréable façon.

Il est 17 h lorsque Clémentine parcourt toute la grande pièce en virevoltant comme une ballerine autour de moi. << Encore demain matin et la semaine sera terminée ! >> chante t-elle sur tous les tons en imitant une cantatrice. Je ris à m'en tordre sur ma chaise. Accroupie sur ma gauche, sa main sous ma blouse, elle palpe mon Zob en regardant mon travail de la journée. Clémentine a toutefois encore une heure à consacrer à la nécessaire lecture de son livre. Elle se redresse.

Confortablement installée dans le vieux canapé, parmi les épais coussins, elle se met à lire. J'aime l'entendre me faire la lecture à voix haute. Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je viens rejoindre Clémentine qui ferme son livre. Allongée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, frottant sa joue contre mon sexe, elle reste les yeux fermés. Je caresse sa tête. Nous apprécions tellement ce retour au calme. Ce retour à l'inactivité. Le silence.

Soudain, au dessus de nos têtes, un bruit sourd et caverneux. << Bonsoir Christine ! Ça faisait longtemps ! >> lance Clémentine. Nous écoutons les errances du fantôme de mon ancienne compagne. C'est la première manifestation surnaturelle de la semaine. Les bruits de pas ne durent que quelques minutes. Tout cesse. Un autre bruit. C'est Estelle qui arrive. Elle entre dans l'atelier comme un ouragan pour se précipiter vers nous. Des bisous. Elle s'installe.

Je suis entre mes deux anges. Estelle nous raconte sa soirée de hier en jouant avec ma bite qu'elle tord dans tous les sens. Heureusement que je bande mou. Clémentine raconte nos petits jeux de hier soir. Sa confrontation avec un monsieur Bertrand bien vicelard. << Je le suce avec toi ce vieux salaud ! >> lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Elle rajoute : << Hier soir j'avais mon parrain au téléphone. De baiser avec moi lui manque cruellement. A moi aussi ! >>.

Il n'y a aucun lien de parenté entre son parrain et Estelle. Jusqu'à février de l'année dernière, tous les mercredis soirs, c'était une baise party dans la cave du parrain. Il baisait Estelle comme elle aime. A la hussarde en la prenant comme une brute. Nous en rigolons comme des bossus. Il est 18 h50. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée à midi. Estelle met la table. Je réchauffe la tarte à la tomate.

<< Venez, on sort ! >> propose Estelle. << On va taquiner le vieux ? >> lance Clémentine. Nous enfilons nos anoraks. Il ne pleut plus. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Nous entrons dans la dépendance. Tout est parfaitement rangé. Nous montons l'échelle double pour entrer par la trappe rectangulaire. A l'étage le chantier avance. Toutes les fenêtres son montées. Il y a même déjà un mur recouvert de plaques de plâtre. Nous regardons au dehors.

Là-bas, à plus de 300 mètres, dans la propriété du voisin, la lumière s'allume pour illuminer le perron. << Il a vu la lumière ici, il se pointe ! >> fait Estelle. Effectivement nous voyons sa silhouette monter le chemin en longeant la clôture. << Viens, on descend ! >> dit Clémentine à Estelle. Elles descendent prudemment. Je reste planqué dans l'obscurité. Cette fois monsieur Bertrand passe par la porte. Il frappe contre l'huis. C'est Estelle qui va lui ouvrir. Je ne le vois pas. Je l'entends.

<< Bonsoir mesdemoiselles ! >> fait il poliment. << Bonsoir monsieur Bertrand ! >> font les filles en cœur. Ils viennent se mettre au milieu de la grande pièce. Je les vois tous les trois. Avec la présence d'Estelle, Mr Bertrand n'a aucun comportement libidineux. Peut-être gêné. Pourtant il sait que c'est une merveilleuse salope également. Il l'a déjà vu dans le jardin aux beaux jours. Je me souviens de la fois où toutes les deux pissaient, accroupies, bien droites à une centaine de mètres de lui.

Lui aussi s'en souvient. << Je n'ai que quelques minutes. On m'attend pour le repas ! >> fait monsieur Bertrand. << Nous aussi, Julien est entrain de tout préparer ! >> lance Estelle. Elles marchent avec lui jusqu'à la porte. Je ne les vois plus. Je vais à la fenêtre. Ils sont tous les trois à l'extérieur. Juste avant de s'en aller, Mr Bertrand se retourne. Il se palpe la braguette d'une main, faisant un coucou de l'autre. C'est rapide. Les filles lui font un coucou, bras levés. Sacré vicelard va !

Je descends pour les rejoindre. Nous rentrons vite. Morts de faim. Nous voilà à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Le sujet de la conversation est évidemment notre voisin vicieux. << Il doit être un vrai salaud au lit ce type ! >> fait Estelle. << Oh, je crois qu'il est salaud n'importe où, pourvu qu'il y ait une fille ! >> dit Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Je propose aux filles un bon léchage de minous après la vaisselle. << Oui ! Faisons la ! >> s'écrie Estelle.

Au salon, mes deux anges retirent leurs jeans et leurs culottes en un temps record. Tout est balancé n'importe où sur l'épais tapis. Elles sont vautrées dans le canapé, jambes relevées qu'elles tiennent sous les genoux. Elles me présentent leurs croupions en riant. Toutes contentes de la farce qu'elles ont faite à notre voisin. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Il y en a un entre les pieds de chacune. Je commence toujours par la chatte odorante d'Estelle. Odeur de fille négligée. J'adore.

Les filles se masturbent déjà en échangeant leurs impressions quand à notre satyre de voisin. Je glisse ma langue dans l'intimité d'Estelle dont la cyprine suinte. Je passe au sexe de Clémentine. Quand je fouille leurs vulves, les coquines se masturbent en bavardant. Quand je suce leurs clitoris c'est un concert de gémissements, de petits râles sonores. Je passe de l'une à l'autre. Ce soir, aucune ne désire être pénétrée. Nous raffolons tous les trois de ces jeux génitaux buccaux.

L'orgasme d'Estelle arrive bien trop vite. Si excitée par ce qui s'est passé dans la dépendance et par mes attentions linguales qu'elle ne peut le réfréner. Je passe à Clémentine dont l'orgasme est tout aussi rapide. Elles sont toutes les deux contre moi à reprendre leurs esprits. Il est déjà 21 h30. << Au lit je te vide les couilles ! >> me fait Estelle. Nous allons aux WC. Nos rituels pisseux. Au lit, couché entre mes deux anges qui se refilent ma bite, je me fais pomper comme un bienheureux.

Bonne soirée à toutes les coquines que la présence d'un voisin vicieux et facétieux comble de joie en se faisant lécher...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1415 -



Le vendredi de toutes les surprises

Hier matin, vendredi, notre douce application nous offre un réveil des plus agréables. Du plus profond de nos rêves résonnent le chant de ces oiseaux mystérieux, le bruit de cette source. Cela ne dure pas. Estelle est restée accrochée à moi toute la nuit. Elle s'accroche encore plus fort en glissant sa main dans mon slip. Clémentine vient se blottir. Il est presque six heures. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Elle file avec ses fringues de gym à la main. Clémentine est déjà facétieuse.

Le vendredi elles terminent toutes les deux à midi. Ce qui les rend déconneuse. Estelle descend en lançant : << Venez vite ! >>. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans l'odeur de café, de pain grillé et de la cuisinière à bois qu'elle rallume. Je n'ai plus qu'à presser nos oranges et nos kiwis. Estelle se frotte contre moi en disant : << Prêt pour cet après-midi ? Monsieur l'acteur porno ! >>. Nous éclatons de rire.

Nous prenons notre petit déjeuner en riant. Nous mangeons de bon appétit. Avec ce couvre feu de 18 h, Estelle passe deux nuits supplémentaires avec nous. Ce qui nous ravis autant qu'elle. Il est presque 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle nous fait la bise avant de filer. << A tout à l'heure. Je suis là pour 13 h30 ! >> lance t-elle. Nous prenons notre douche.

Habillés de nos jeans, de nos chemises à carreaux nous redescendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks. Nous sortons dans le jour naissant. 7 h50. Il pleut mais il fait étrangement doux. C'est sous le grand parapluie que nous traversons le jardin. Sous l'abri à bois nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer. Nous voulà dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles.

J'allume un beau feu dans la cheminée. J'empile les bûches sur les autres. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette cinquième nature morte destinée à ma saison d'été me passionne. Je peins dans cette euphorie communicative offerte par Clémentine depuis le levé. La matinée se passe dans une ambiance studieuse. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre en dansant. Elle me fait plein de bisous.

<< C'est le week-end ! Je le veux merveilleux et inoubliable ! >> chante t-elle en m'entraînant dans une sorte de tango dans toute la grande pièce. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de la Flamiche Picarde. Cette tarte aux poireaux qui fait le délice de nos jeudis soirs et de nos vendredis midis. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Clémentine est assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou.

Elle revient sur notre rendez-vous de l'après-midi. Nous devons être au restaurant de l'étang pour 14 h30. Il y a une quinzaine de kilomètres à faire. Nous allons y réaliser le fantasme de Julie. Ce film porno qui va immortaliser son voyeurisme dans les toilettes du restaurant de sa tante. J'ai soudain un frisson. Comme une peur adolescente m'envahit. Clémentine à qui rien n'échappe, me dit : << Pourquoi tu as la trouille ? Julie ne va pas te manger. Dommage ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

<< Demains soir, samedi, nous avons notre soirée cinéma. Le visionnage du film que nous avons tourné samedi dernier. Estelle en a fait le montage. Nous nous réjouissons donc doublement. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents dans une euphorie délirante. En regardant par une des deux fenêtres nous constatons que la camionnette de l'entreprise Ecolisas est déjà partie. Le vendredi les deux employés terminent à midi eux aussi. Nous irons voir le chantier demain.

Il est 13 h15 quand Estelle arrive déjà. << Coucou les gens qu'ils sont où ? >> lance t-elle en montant les escaliers. Elle nous fait la bise. Me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. Elle a apporté son grand sac de sport. Ses vêtements de change pour le week-end. Elle en tire un grand sachet. << La surprise pour cet après-midi ! >> dit elle en prenant un air de conspiratrice. Elle est adorable.

Nous allons dans la chambre. C'est Clémentine qui choisit les vêtements que je vais porter dans le film. Sur la demande de Julie, ce sera un costume, une chemise blanche et une cravate. Clémentine sort mon costume gris de l'armoire. Il est suspendu sur son cintre sous une enveloppe protectrice en plastique. Les chaussures qui vont avec. Estelle recommence à me tripoter sans arrêt. Nous en rions beaucoup. << Je te mets en condition ! >> fait elle en glissant sa main dans ma braguette.

Nous dévalons les escaliers. Il est 13 h30. Nous enfilons nos anoraks. Le grand parapluie. Nous traversons le jardin avec nos affaires. Clémentine a récupéré la pochette en cuir contenant la caméra. Elle tient également le trépieds. Nous voilà partis. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Assise à l'arrière, Estelle caresse mon cou, mes joues en me faisant des clins d'œil dans le rétroviseur. Nous avons prévu de faire des courses avant d'aller rejoindre Julie.

Treize petits kilomètres. Je gare l'auto sur le parking. C'est loin d'être un après-midi d'affluence. Nous nous attendions au pire. Nous mettons nos masques sanitaires. Je nettoie la poignée du caddie avec du gel hydroalcoolique. Je pousse le charriot. Estelle reste accrochée à mon bras. Clémentine nous précède avec la liste des courses en main. C'est rigoureux, méthodique. Il n'y a qu'à la suivre dans les rayons qui nous concernent. Nos hautes tailles attirent quelques regards.

Papier cul, éponges, produits d'entretien, eau de javel, pastilles de chlore, mouchoirs en papier, etc... Nous n'avons rien oublié sur la liste. Le caddie se rempli. Nous passons en caisse. Nous ne traînons pas. Nous rangeons les achats dans le coffre arrière. Nous retirons ces maudits masques qui sont bien plus auto contaminants que ne le seraient les rares clients croisés dans l'hypermarché. En route. Clémentine et Estelle veulent passer devant leur université. Comme pour un pèlerinage.

Je me gare sur le parking désert. << On n'est pas prêtes d'y retourner ! Put-Hein ça me manque grave ! >> lance Estelle. << Moi aussi, ça devient viscéral ! >> rajoute Clémentine. Elles ont toutes les deux des amis étudiants qui galèrent comme jamais. Qui crèvent la faim. << S'ils se réveillent et qu'ils descendent dans la rue, ça va péter ! >> fait Estelle. << Et on les rejoint ! >> surenchérit Clémentine. Nous repartons. Nous quittons le campus universitaire en prenant la petite route.

Quelques kilomètres et nous garons la voiture sur le parking désert du restaurant de l'étang. Cet endroit où nous avons passé de si bonnes soirées semble d'un triste avec ses volets baissés. C'est Anne-Marie qui descend les marches sous son parapluie pour nous accueillir. Nous gardons nos distances. La tante de Julie est toute souriante. Heureuse de nous revoir. Nous nous saluons. Elle nous invite à la suivre. Nous pénétrons dans la grande salle. Comme c'est triste un restaurant sans clients.

Nous suivons Anne-Marie jusqu'aux cuisines. Il y a là une activité quotidienne. A midi et le soir, le chef et son assistant préparent les plats que livrent Anne-Marie, Julie et une autre étudiante embauchée pour la circonstance. Clémentine m'entraîne par le bras. Nous descendons aux toilettes du sous sol. Suivis d'Estelle et d'Anne-Marie. Clémentine fixe la caméra sur son trépieds. C'est un trépieds léger qui permet de manipuler et de déplacer facilement l'appareil. Selon les scènes à filmer.

C'est rapide. Nous remontons à toute vitesse. Je vais me changer. Estelle est assise sur une chaise en aluminium. Clémentine m'assiste. Anne-Marie évoque le couvre feu, l'éventualité de ce troisième confinement qui pourrait signer l'arrêt de mort de son restaurant. << Que faut-il faire pour se débarrasser de cette poignée de crapules qui précipite notre pays à la ruine ? >> lance t-elle visiblement accablée. << Hélas, ce n'est qu'une manière radicale qui pourrait nous sauver ! >> fait Estelle.

Tout le monde se rend bien compte que rien dans cette histoire de pandémie, de virus, n'est cohérent. Tout semble tellement foireux. Ce sont surtout les entrepreneurs, les artisans et les commerçants qui vont faire les frais de cette stratégie du mensonge et du malheur. << Ils vont le payer ces ordures ! >> fait encore Anne-Marie d'une voix sourde et lourde de menaces. Je me change doucement. Nous n'avons pas encore vu Julie. << Elle prépare sa surprise ! >> précise Anne-Marie.

Le film

Je suis avec Clémentine, Estelle et Anne-Marie dans les cuisines désertes du restaurant fermé. C'est un peu tristounet et ça sent le graillon. Le Chef vient de partir avec son assistant. Clémentine m'aide à ajuster mon costume gris. Je porte une chemise blanche. Une cravate grise. Des souliers de ville noirs et vernis. Nous n'arrêtons pas de rire. << Il y a quelque chose de très "pro" dans votre manière de procéder ! >> nous fait Anne-Marie. Estelle répond : << Nous avons pas mal de pratique ! >>.

La porte métallique du grand réfrigérateur en acier chromé me permet de me regarder comme dans un miroir. Clémentine, accroupie, ajuste les plis de mon pantalon sur les lacets de mes chaussures. << Tu es beau ! >> me fait Estelle en tirant sur le bas de ma veste. Je surprends le regard très particulier d'Anne-Marie. Elle reste à distance. Je l'observe dans le miroir de la porte. Cette femme est particulièrement attirante. Une belle bourgeoise. La quarantaine "mature". Exquise.

Me voilà prêt. Julie ne veut pas se montrer. Elle ne le fera qu'une fois en situation. Lorsque la caméra tournera. Anne-Marie nous laisse. Dans l'encadrement de la porte, elle se retourne pour lancer : << Je vous vois en bas. A tout de suite ! >>. Estelle s'accroupit à côté de Clémentine. << Moi aussi, je te réserve une surprise pour tout à l'heure ! >> me fait elle en palpant ma braguette fermée. << Je préfère le contact du jeans et la braguette ouverte ! >> rajoute t-elle, espiègle et mutine.

Clémentine se redresse la première. Elle me couvre le visage de bisous en disant : << Fais moi délirer tout à l'heure, aux toilettes ! >>. Je réponds : << Je vais rester le plus naturel possible. Exactement comme le désire Julie puisqu'elle veut reproduire la réalité vécue ! >>. Estelle se redresse à son tour pour dire : << Oui, mais si tu mets une pincée de vice par là, une pincée de perversité par là, le plat sera plus "épicé" ! >>. Clémentine m'entraîne par la main. Nous sortons de la cuisine.

Estelle me tient par le bras. Les escaliers qui descendent au sous sol sont larges. Nous pouvons rester serrés tous les trois. Nous voilà dans le couloir. J'ai le cœur qui bat la chamade. Le dernier accessoire. Clémentine sort la moustache et la paire de lunettes noires de la petite boîte en plastique. Elle me colle soigneusement la fausse moustache noire. Elle pose délicatement la paire de lunettes noires sur mon nez. Estelle ajuste mon catogan en faisant pendre mes cheveux sur le col de la veste.

<< Karl Lagerfeld ! >> fait elle avant de pouffer de rire. << En plus jeune et avec moins de cheveux gris ! >> rajoute Clémentine. Nous rions de bon cœur. Il y a un étrange silence. << Il faut y aller ! >> dit Estelle d'une voix sentencieuse avant de remonter en courant. << Show must go on ! >> fait Clémentine qui m'entraîne par la main dans les toilettes. Elle me laisse devant la porte qu'elle me demande de garder ouverte, la poignée dans la main. Elle passe derrière la caméra.

Je me regarde dans le miroir. Je ressemble en tout point à la photo de mon avatar, sans la casquette. Je me trouve d'un ridicule affligeant. Après tout, nous sommes là pour nous amuser. << Moteur ! >> fait Clémentine en même temps qu'elle saisit son téléphone. C'est le signal. Je ferme la porte derrière moi. J'avance doucement. Je contrôle chacun de mes pas, de mes mouvements. Je traverse la salle. Je viens me positionner devant un des deux urinoirs mural. J'ouvre ma braguette.

Je retiens ma respiration. Je frissonne comme un adolescent. Comme une première fois. La porte s'ouvre. Je regarde dans le carrelage ocre. Il est aussi brillant qu'un miroir. Comme dans un rétroviseur, je vois arriver Julie. Elle est vêtue comme en service. Une jupette de velours noir moiré. Des bas noirs. Des souliers noirs à légers talons. Un chemisier blanc avec un gilet noir à manches courtes extrêmement cintré à la taille. Un petit tablier de dentelles fines. Elle est absolument "craquante".

Je prends conscience de tous ces immenses privilèges que me réserve mon existence. Je vis là quelque chose d'extrême. Probablement le fantasme de centaines de milliers d'hommes par delà le monde. Et c'est pour moi, là, maintenant. Je ne suis pas seulement excité mais aussi pétri d'émotions. Julie dit : << Oh pardon ! Excusez moi ! >>. Je réponds : << Mais vous êtes toute excusée. Faites donc ! >>. Julie se dirige vers un seau et un balai brosse. Elle fait mine de passer la serpillère.

Je me masturbe doucement en agitant ma queue encore toute molle. Dans le reflet du carrelage je peux voir Clémentine penchée en avant. Elle scrute le petit écran de la caméra. Je vois Julie penchée en avant qui passe la serpillère. Elle s'approche. Tout comme elle le faisait dans la réalité. Elle mâte discrètement. Je me tourne en agitant ma bite. Je demande : << Je ne vous dérange pas mademoiselle ! >>. Julie me contourne avant de répondre : << Non, pas du tout. Moi non plus j'espère ? >>.

Je commence à bander. La situation est aussi torride que dans la réalité. La porte s'ouvre soudain. C'est Estelle. Elle est vêtue de sa jupe kilt, ses souliers noirs à léger talons, un chemisier blanc sous sa veste blaser. Ses longs cheveux dissimulent son visage. Elle dit : << Oh, excusez moi, je crois m'être trompée de toilettes ! >>. Julie répond : << Mais je vous en prie, vous avez les cabinets juste là ! >>. Je trouve cette idée géniale. La façon d'Estelle de s'immiscer dans le scénario.

Je me masturbe. Julie vient passer la serpillère sous l'urinoir. Elle se penche au dessus de ma queue, son visage à une cinquantaine de centimètres. J'admire le culot dont elle fait preuve. Ce courage qu'elle n'a pas dans nos toilettes, à la maison, quand elle vient nous livrer. Je pointe mon sexe en l'air. Clémentine arrive sur ma gauche pour filmer la scène en gros plan. Je vois Estelle accroupit entre les deux lavabos qu'elle tient des deux mains. Elle ne porte pas de culotte. C'est trop génial.

Je suis dans ces toilettes en compagnie des trois plus merveilleuses salopes que la terre ait porté. L'une filme. Une autre s'exhibe. L'autre fait la voyeuse. C'est tout simplement fantastique. Je dois me retenir au mur. Je vacille. J'ai un vertige. Je pourrais éjaculer tellement c'est jouissif. Je ne dois toutefois pas oublier que je fais d'abord l'acteur pour le film de Julie. Je regarde Estelle qui dissimule son visage derrière ses cheveux. Ce n'est pas son film. Elle veut conserver son anonymat.

Julie pose le balai brosse. Elle se dirige vers la porte en disant : << Merci pour votre agréable compagnie monsieur ! >>. Elle sort des toilettes. Pas un mot. J'attends le signal de Clémentine. Tout cela n'a duré qu'une vingtaine de minutes. Estelle s'est redressée. Elle reste entre les deux lavabos, une main sous sa jupe. Je n'ai pas le temps de réagir. La porte s'ouvre une nouvelle fois. Dans le reflet du carrelage ce n'est pas Julie. J'hallucine. C'est sa tante. Anne-Marie. Hyper élégante.

En jupe, en chemisier, en bottes noires à talons hauts, un manteau noir ouvert. Des lunettes noires, un chapeau feutre. << Bonjour monsieur ! >> me fait elle en venant se positionner devant l'urinoir sur ma droite. Je suis couvert de frissons, j'ai la tremblotte. Je n'ai jamais vécu tant d'émotions en si peu de temps. Je bande comme un priapique en phase terminale. Anne-Marie se met à bavarder. Cambrée sur ses genoux fléchis, elle écarte les lèvres de sa chatte.

Je vois tout dans le reflet du carrelage. Je crois qu'il est préférable de ne rien dire. Anne-Marie se montre d'ailleurs très loquace. Elle a de la conversation. La porte s'ouvre une nouvelle fois. Julie revient. A nouveau elle s'empare du balai brosse. Elle tourne autour de nous, faisant mine de passer la serpillère sous les deux urinoirs. En insistant. Elle penche deux fois sa tête entre sa tante et moi. Je dois me tenir au mur. Sinon, je me casse la gueule dans l'urinoir en tombant. C'est tellement fou.

Clémentine est sur ma gauche. Elle filme et ne rate pas un instant de folie. Là-bas, Estelle qui se masturbe entre les deux lavabos. Soudain Anne-Marie se saisit se Julie par l'épaule. Les deux femmes se roulent une pelle d'enfer. Nous connaissons la relation qu'entretiennent les deux lesbiennes. Ça aussi Julie veut probablement l'inscrire dans ce film. Que puis-je bien faire ? Je me masturbe. Là-bas, Estelle lève le pouce de sa main libre et me fait un clin d'œil. Anne-Marie et Julie cessent.

Se prenant par le bras elles s'éloignent vers la porte. Clémentine les suit avec la caméra. Elles se retournent dans l'encadrement de la porte. Là, d'un geste précis, elles se touchent. Julie passe sa main sous la jupe de sa tante. Anne-Marie passe sa main sous la jupe de Julie. C'est juste un instant. Elles disparaissent. La porte se referme doucement. Je me branle. J'éjacule en gros plan devant l'objectif de la caméra. Estelle, son visage à nouveau dissimulé par ses cheveux se précipite.

Clémentine filme mon sperme qui macule la faïence de l'urinoir. Il y en a une sacrée quantité. Je suis extrêmement juteux de nature. Mais là, avec l'excitation, c'est carrément délirant. Estelle, accroupie, lèche. Elle récupère absolument tout. La faïence était bien évidemment préalablement passée à l'eau de javel. Clémentine filme. Soudain le signal sonore qui indique la fin de la capacité de la carte SD. Clémentine éteint juste à temps. Estelle se redresse pour me montrer ce qu'elle a en bouche.

<< Ne jamais rien perdre ! >> dit elle avec peine avant de déglutir. Je suis couvert de sueur. Clémentine essuie mon visage avec un mouchoir en papier. Tu as été parfait. Je suis hyper excitée, si tu savais ! >>. Estelle rajoute : << Et moi alors ! Put-Hein, Julien ! Tu as fait fort ! >>. Je n'ai absolument pas l'impression d'avoir fait quelque chose d'exceptionnel. Clémentine plie le trépieds. Nous sortons des toilettes pour remonter. Julie est à nouveau en jeans, en pull et bottines.

Anne-Marie est également en jeans et en sweat-shirt. Elle me regarde par en dessous avec un regard vicieux. Il est déjà 17 h15. Le chef cuisinier ne va pas tarder à revenir. Clémentine tend la carte SD à Julie en disant : << Amuse toi bien ! >>. Julie répond : << C'était au-delà de mes espérances les plus folles ! >>. Je lui dis : << Merci pour la surprise ! Si je m'attendais à ça ! >>. Anne-Marie lance : << Ça, ça s'appelle Anne-Marie ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

La porte arrière s'ouvre. C'est le Chef qui revient pour le service du soir. Nous le saluons. Il est très loin de s'imaginer ce qui s'est passé ici cet après-midi. Je reste en costume. Nous saluons Julie et Anne-Marie qui vont reprendre leurs livraisons de repas d'ici une heure. Dans la voiture Estelle est assise au sol entre les pieds de Clémentine. Elles jouent avec ma queue et mes couilles congestionnées. Il est 18 h quand nous sommes de retour à la maison. Il commence à faire faim.

Le retour

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle et moi nous épluchons les pommes de terre, les carottes, le céleri, le navet, les oignons et l'ail. Nous en faisons en grande quantité. C'est pour la potée de légumes. Cette potée va assurer nos repas du week-end. Un accompagnement de tous les plats à venir jusqu'à dimanche. Nous en raffolons. Estelle s'occupe de la cuisson traditionnelle dans la vieille cocote en fonte noire. Sur la cuisinière à bois. Je pane trois gros filets de cabillaud blanc.

Nous sommes morts de faim. Les émotions vécues cet après-midi, ça creuse. Je me sens un peu flagada. Nous mangeons de bon appétit sans cesser de parler ce que nous avons encore vécu dans les toilettes de ce restaurant. << Demain soir, on remet les couverts "cinématographiques" ! >> lance Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes hanches, les filles reviennent sur nos aventures vécues dans la dépendance samedi dernier.

L'attitude de monsieur Bertrand, notre voisin. << Vous allez le voir derrière la vitre dans le film. Le vrai pervers. Voyeur. Planqué pour mâter ! >> dit Estelle. << Il y avait de quoi mâter ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Je propose aux filles un bon léchage de minous après la vaisselle. Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Elles se lèvent d'un bond pour débarrasser. C'est moi qui plonge. Elles essuient en revenant sur le film de cet après-midi.

Elles m'entraînent par les mains. Nous voilà au salon. Estelle déboutonne mon jeans. Clémentine me le descend avec le slip. Je les enlève complètement. Les filles retirent leurs jeans et leurs culottes qu'elles jettent n'importe où, en faisant les pitres. Nous sommes tous les trois en chemises à carreaux et en chaussettes à faire une farandole dans la grande pièce. Seule la lueur des deux grosses bougies éclaire le salon. Il faut faire attention. Nous rions comme des fous.

Elles m'entraînent pour me faire tomber dans le canapé. Toutes les deux, à genoux sur les coussins, reniflent et scrute ma bite. Clémentine soupèse mes couilles. << Oh ! Je suis sûre qu'elles se remplissent à nouveau ! >> dit elle. Estelle me tient la queue à sa base pour l'agiter. << Elle a fait du bel ouvrage cet après-midi ! >> dit elle avant de la porter à sa bouche. Clémentine m'embrasse avec fougue. Estelle me suce avec passion. Elle cesse pour dire : << Et voilà du jus ! >>.

Elle la tend à Clémentine qui suce à son tour. Je suis pris de vertiges. C'est soudain tellement bon. Je frissonne sous les effets de l'indicible caresse. Je leurs caresse les cheveux, la tête. Je passe délicatement mes doigts sur leurs joues creusées par l'effort de succion. Je leurs murmure mes impressions. Celle qui ne suce pas me donne les siennes. Nous vivons tous les trois un enchantement paradisiaque. Je propose à Clémentine de s'installer dans le canapé. J'ai envie de bouffer de la chatte.

Elle se redresse pour s'installer à ma gauche. Je saisis Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser sa pipe. << Quand je commence, je n'arrête plus ! >> lâche t-elle dans un soupir. Elle s'installe à ma droite. Je suis entre mes deux anges. Nous savourons cet instant merveilleux. Elles se masturbent toutes les deux. Je me lève. Je me mets à genoux. Mon visage entre les cuisses d'Estelle, je commence à fouiller son intimité du bout de ma langue. C'est trempé de mouille.

Quand je la fouille ainsi, elle se masturbe en gémissant. Lorsque je suce son clitoris elle pousse de petits râles de plaisir. Je passe à Clémentine. Je me régale comme rarement. Cela me permet de laisser reposer ma bite et mes couilles congestionnées par tous les plaisirs de l'après-midi et du début de soirée. L'orgasme d'Estelle la fait crier d'extase. Elle me repousse délicatement juste avant. Elle se tourne sur le côté, ses mains entre ses cuisses. Elle suffoque en reprenant ses esprits.

L'orgasme de Clémentine est tout aussi dithyrambique. Elle me repousse doucement pour ramasser la cuvette posée au sol à côté du canapé. Elle jouit en se lâchant dans un jet qu'elle ne peut contrôler. En hurlant de plaisir. Nous restons tous les trois avachis dans le canapé. Etourdis de plaisirs, il nous faut revenir à la réalité. Ne serait-ce que pour aller aux toilettes, nous laver les dents et nous coucher. Ce qui ce soir nous demande de gros efforts. Il est déjà 22 h.

Bon vendredi de folies à toutes les coquines qui rêvent de réaliser leurs fantasmes devant une caméra...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1416 -



Un samedi des plus agréables avec "soirée cinéma"

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans mon cou. Il y a de tous petits gémissements. Elle rêve probablement encore. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi. C'est devenu une vieille habitude. Ses lèvres se déposent sur mon cou comme une ventouse. En même temps elle glisse sa main dans mon slip. Cela fini par réveiller Clémentine qui vient se blottir en gémissant. C'est merveilleux. Je suis entre mes deux anges. Il est à peine huit heures.

Nous restons ainsi à lutter contre l'envie de pisser. C'est à celle ou à celui qui craquera le premier. Distribution de bisous. Estelle tient mon érection matinale. Clémentine tient mes couilles. C'est Estelle qui craque la première. Ces vêtements de gym à la main elle se précipite vers la porte. << Je descends préparer le petit déjeuner ! >> lance t-elle en courant dans le couloir jusqu'aux chiottes. Clémentine me branle un peu en murmurant : << Superbe film hier aux toilettes du restaurant ! >>.

C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café et de pain grillé. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre mes hanches de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Je fais la même chose avec Clémentine. Je remue un peu les braises dans la cuisinière pour faire redémarrer le feu. Estelle vient d'y mettre deux bûches. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant.

Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur le film de Julie réalisé hier. << Espérons que Julie nous en fasse profiter lors d'une "soirée cinéma" ! >> dit Estelle. << Probable ! Elle était tellement contente à jouer son personnage de voyeuse ! >> rajoute Clémentine. La vaisselle. Il est 8 h30. << Il ne pleut pas ! On tente un jogging en restant sur la route ? >> propose Estelle. Nous trouvons la suggestion épatante et de courir dehors nous manque tellement. On met nos K-ways.

Il ne fait pas froid. Juste cette fraîcheur humide et désagréable. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail que nous laissons ouvert pour les livraisons de tout à l'heure. Nous restons sur le bord de la route. Le ciel est bas, gris et menaçant. Tant pis. Nous en avons trop envie. C'est Estelle qui donne le rythme en courant devant. Trois kilomètres jusqu'au haras. Il y des voitures garées dans la cour. Déjà des cavalières sur leurs montures. Il est 9 h.

Nous faisons quelques exercices aérobic, de rapidité et d'assouplissement. Des abdos sur les bancs en bois humide. Nous prenons la direction du retour. Il est 9 h35 quand nous revenons après un running des plus gratifiants. Estelle prend sa douche la première pendant que nous changeons les draps du lit. C'est à notre tour. Estelle déjà habillée de son jeans et de sa chemise à carreaux descend. Vêtus comme elle, de nos jeans et de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers.

Quelle bonne inspiration d'aller courir avant la pluie car il se met à pleuvoir. Nous mettons nos anoraks. Sous le grand parapluie nous traversons le jardin pour aller voir le chantier dans la dépendance. A nouveau cette odeur de plâtre frais. L'odeur vient de l'étage. En bas tout est propre, rangé. Les employés ont coulé le socle en béton de la future cheminée. Les poutres et les lattes du plafond sont comme neuves, prêtes à êtres traitées puis cirées. Tout est vraiment nickel.

Nous montons sur l'échelle double. Par la trappe rectangulaire nous découvrons que tous les murs et les encadrements des fenêtres sont couverts de plaques de plâtre BA13. Il y en a au plafond. Sur la charpente. Seules les poutres maîtresses restent visibles. << Ça va être super bien ! >> lance Estelle. << On viendra passer nos week-end ici quand tout sera terminé ! >> fait Clémentine. Nous éclatons de rire. Dehors, un bruit de moteur. Nous sortons pour aller faire l'accueil.

C'est la camionnette de livraison. C'est la même jeune femme. Elle porte son masque sanitaire. Nous la saluons en gardant nos distances. Du hayon arrière de son véhicule elle tire deux gros cageots. Nous lui rendons ceux de la semaine dernière. Le premier contient nos fruits et nos légumes. Le second contient nos yaourts, nos fromages, nos œufs, les pots de crème fraîche et le beurre. Même commande pour samedi prochain. Nous la saluons. Nous descendons à la cave pour ranger les crudités.

Estelle reste à l'extérieur car la boulangère ne va pas tarder. Nous avons toutefois le temps de ranger nos fruits et nos légumes au cellier. Nous rejoignons Estelle et madame Marthe. Deux grosses miches de pain complet et bio. Notre grosse brioche au pudding et à la frangipane. Même commande pour samedi prochain. << J'ai livré vos parents ce matin ! Vous avez le bonjour ! >> fait Mme Marthe à Estelle. Nous saluons la boulangère. Nous rentrons vite nous mettre au sec. Il pleut à verse.

Nous rangeons les produits frais au réfrigérateur. Une des miches dans le congélateur à la cave. Une machine tourne déjà dans la buanderie. << On fait le ménage ? Comme ça on est peinards pour le week-end ! >> lance Estelle. Nous remontons. Estelle passe l'aspirateur au salon. Nous l'entendons depuis la cuisine que nous nettoyons. Nous faisons également les chiottes du bas. Il suffit de passer la serpillère juste après Estelle qui monte aspirer à l'étage. Il est 11 h50. Tout est propre en bas.

Estelle vient nous rejoindre. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe la potée de légumes. Il y en a vraiment beaucoup. Je prépare le bouillon pour les moules qui ont presque décongelé depuis ce matin. Les filles évoquent leurs études. Ce confinement qui est repoussé. La triste condition de certains de leurs collègues étudiants. Nous dressons la table. Nous mangeons de bon appétit. C'est rigolo d'avoir les mains collantes à force d'ouvrir des quantités de moules délicieuses.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles reviennent sur le film tourné hier. << C'est le deuxième film que nous tournons dans les toilettes du restaurant ! >> fait Estelle. << Et c'est la seconde fois qu'Anne-Marie participe ! >> dit Clémentine. << Jamais deux sans trois ! >> rajoute encore Estelle. Elles partent dans des élucubrations très amusantes sur les possibilités qu'offrent des toilettes de restaurant pour tourner des films pornos.

Nous en rigolons comme des bossus. << Ce soir, nous avons le nôtre à voir ! >> fait Estelle. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Estelle a déjà passé l'aspirateur dans la salle d'entraînement et dans la chambre à coucher. Elle se propose de faire la poussière pendant que nous faisons la salle de bain et les chiottes de l'étage. Nous l'entendons chanter en passant le plumeau. Clémentine m'embrasse sans arrêt.

Il est 14 h. Nous redescendons en laissant un étage propre et qui sent bon. Nous allons directement dans l'atelier. Notre pièce préférée. Estelle y allume un bon feu dans la cheminée. Assise sur mes genoux, Clémentine allume son ordinateur. Nous consultons nos boîtes mail. Trois courriels. Un de Julie, un de ma famille d'Ecosse, un de Juliette. Estelle virevolte dans toute la grande pièce en imitant une ballerine. Clémentine lit nos messages à haute voix. Estelle lance des : << Bien ! >>.

Julie nous remercie pour ce que nous avons réalisé hier. Elle ne tarit pas d'éloge sur ma prestation pourtant très passive. N'importe quel mec aurait parfaitement fait le job. Nous en rions de bon cœur quand Estelle lance : << Mais justement, tu n'es pas n'importe quel mec ! >>. Clémentine rajoute : << Et Julie n'est pas n'importe quelle meuf ! >>. Le message de Juliette est beaucoup moins drôle. Elle évoque les services vétérinaires et les incessants contrôles qui pourrissent la vie du haras.

<< En fait, comme ce virus, malgré l'invention des variants, n'effraie plus grand monde, ils veulent inquiéter les gens en accusant leurs animaux de compagnie ! Les enfoirés. Le variant "animal" ! >> lance Estelle qui s'arrête de danser pour prendre un air menaçant. << Oui, menacer les gens d'euthanasier leurs chiens et leurs chats. Ça leurs ressemblerait bien à ces psychopathes ! >> rajoute Clémentine. Heureusement que le message de mon oncle et sa femme est plus réjouissant.

L'Ecosse est confinée. Mais le ras-le-bol gagne la population. Il y a des gens qui refusent de rester emprisonnés. Comme en France, les médias tentent de cacher la réalité pour ne pas donner d'idées aux autres. << C'est enculés & Cie sur toute l'Europe ! >> lance Estelle. Estelle se remet à danser en chantant des inepties qui nous font nous tordre de rire. Elle vient nous prendre par la main pour nous entraîner dans une ronde folle. << On les emmerde, on leurs chie à la gueule ! >> chante t-elle.

Nous reprenons les paroles en cœur sur la même mélodie. Nous n'arrêtons pas de rire comme des fous. Nous nous écroulons dans le vieux canapé. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Clémentine se blottit contre moi. << J'ai l'impression qu'ici, dans cette demeure, avec toi, il ne peut rien nous arriver ! >> lance Clémentine. Je suis entre mes deux anges. Estelle extrait mon Zob mou pour le tenir fermement dans sa main. << On est sur notre île déserte ! >> dit elle.

Nous restons silencieux à regarder la danse des flammes. Avec ce ciel sinistre la grande pièce est sombre. Il règne ici la saveur élégiaque des temps révolus. Nous sommes loin de tout. Si près de nous. C'est un enchantement paradisiaque de chaque instant. Nous n'avons pas assez de tous nos sens pour apprécier tout ce bonheur. Estelle extrait ma paire de couilles. Avec l'étroitesse de la braguette, elles sont comme garrottées. Ce qui les rend dodues à la peau bien tendue.

Estelle se lève, jette un des épais coussins au sol. S'y met à genoux entre mes jambes écartées. << On dirait de la peau de poulet ! >> fait elle en scrutant mes roubignoles. Elle y passe son doigt. << Je te les épile consciencieusement un de ces jours. Nous ne pouvons pas les laisser ainsi négligées ! >> rajoute t-elle. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine se couche sur le côté, sa tête contre mon ventre pour scruter ma bite. << Il n'est pas pileux Julien ! J'adore ! >> dit elle.

C'est vrai que je ne suis pas très poilu. Tant mieux. Je n'ai jamais eu à me raser chaque jour. Ça aussi c'est appréciable. Estelle renifle mes couilles. << Ça ne sent rien ! >> dit elle. Elle renifle la bite que lui tend Clémentine en la décalottant légèrement. << Là, par contre, c'est Mr Schlingo ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine presse la peau du prépuce comme pour l'essorer. Estelle se met immédiatement à téter. Je peux sentir sa langue fouiller les plis. C'est bon. C'est chaud.

Elles se refilent la bite pour en téter l'extrémité. Elles se donnent leurs impressions. J'assiste toujours à ces moments comme si tout cela ne m'appartenait pas. C'est à la fois amusant, étonnant et rapidement passionnant. Deux sublimes jeunes filles qui inspectent ma virilité avec tant d'attention. C'est un "contrôle" qu'aimerait tout homme normalement constitué. << Et même les autres ! >> fait Estelle, espiègle et malicieuse. Il n'est pas question de tailler une pipe. Juste de s'amuser.

Les festivités seront pour ce soir. Pour notre "soirée cinéma". L'après-midi se passe ainsi, à traîner entre le canapé, le tapis, le fauteuil à bascule. << Comme c'est bon de ne rien foutre ! >> lance plusieurs fois Estelle. Le crépuscule ne va pas tarder. << Venez, on va dans la dépendance ! >> propose Clémentine. Nous quittons l'atelier pour enfiler nos anoraks. La pluie a momentanément cessé. Il fait presque doux. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès.

Le chantier n'est pas chauffé le week-end. Ce qui ne rend pas l'endroit très agréable. << La lumière va peut-être attirer le voisin ! >> fait Estelle en montant sur l'échelle double. Nous la voyons disparaître par la trappe rectangulaire. Nous la rejoignons à l'étage. L'odeur de plâtre et des enduits est forte. Nos yeux s'habituent à l'obscurité. << Là, il y a un projecteur ! >> lance Estelle. En effet, il y en a un troisième à l'étage. << Ah ! >> fait Clémentine en l'allumant. Nous découvrons l'endroit.

Il y aura ici une grande chambre, une salle de bain et des toilettes. Nous scrutons les joints des plaques de plâtre. Au sol sont posés les grands sacs contenant la fibre de cellulose. Elle sera insufflée entre les plaques de plâtre et les murs. L'isolant parfait. Puis commenceront enfin les travaux d'aménagement. Les lambris de chêne, les boiseries et les habillages. C'est cette phase qu'attend impatiemment Clémentine. Estelle me tient la bite. Nous écoutons les explications de Clémentine.

<< Bonsoir ! Il y a quelqu'un ? >>. C'est la voix de monsieur Bertrand. Clémentine passe sa tête par l'ouverture. << Oui, il y a nous ! Bonsoir ! >> lance t-elle. Je remballe ma bite. Nous descendons avec précaution. << J'ai vu de la lumière, je me suis permis ! >> fait le voisin. Lorsque je suis avec les filles, ce charmant retraité a un comportement de parfait gentleman. Clémentine me fait du pied pour me faire comprendre à quel point cette situation l'amuse. Estelle aussi.

Nous bavardons. Mr Bertrand a sollicité la même entreprise pour les travaux qu'il va entreprendre au printemps. L'aménagent d'un petit appartement au dessus de son grand garage. Il observe donc soigneusement ce chantier pour en admirer les perfections. << Ils font vraiment du super boulot ! >> lance notre voisin en caressant les cloisons. Dehors il fait nuit. Nous nous saluons sur le pas de la porte. Mr Bertrand nous laisse pour redescendre le chemin jusqu'à sa propriété.

La faim commence à se faire sentir. La pluie s'est remise à tomber. Nous nous dépêchons de rentrer au sec. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe la potée de légumes. Je fais rissoler des calmars avec des champignons, de l'ail et de l'échalote. Estelle dresse la table. Je rajoute un petit pot de crème fraîche et du gruyère en fin de cuisson. Nous mangeons de bon appétit en savourant ce délicieux repas. Les filles évoquent notre voisin. << Bertrand le chouan ! >> comme l'appelle Estelle.

En effet monsieur Bertrand nous raconte parfois ces ancêtres chouans qui ont défendu la Bretagne contre l'envahisseur français. Nous connaissons l'histoire par cœur mais c'est toujours amusant. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles reviennent sur la "soirée cinéma" qui nous attend. << On va le voir dans ses œuvres, notre chouan ! >> lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Nous faisons la vaisselle.

Nous passons au salon. De la poche de son jeans, Estelle tire la petite boîte en plastique transparent qui contient la carte SD. Elle l'introduit dans l'ordinateur relié au téléviseur par le câble HDMI. C'est Clémentine qui s'occupe toujours des branchements. Elle allume le tout. << C'est OK ! >> fait elle en saisissant la télécommande. Nous nous vautrons tous les trois dans le canapé. Sur la table basse devant nous, des infusions de camomille fumantes et des petits gâteaux secs.

Je suis entre mes deux anges. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. Clémentine manipule la télécommande. Estelle manipule mon Zob. Le film commence. Comme toujours Estelle a procédé à un montage "professionnel". Une image fixe. Toujours la même. Son visage maculé de foutre, les cheveux ruisselant de pisse, qui fixe l'objectif avec une sorte de nostalgie. C'est une photo prise il y a trois ans, lors d'une de nos premières réalisations. Une photo qui annonce l'ambiance.

Le générique qui défile. La musique de Jean-Sébastien Bach en fond sonore. Dans ce film mon pseudo est Mike et celui d'Estelle est Junon. Nous en rigolons comme des bossus. C'est tellement bien fait. Le film commence. On me voit, déguisé en ouvrier du bâtiment, entrain de lisser un mur, une truelle à la main. J'y suis à peu près aussi crédible que Gérard Depardieu dans le rôle de Jeanne d'Arc. Nous éclatons de rire. J'invite le lecteur à relire le texte de dimanche dernier. Il comprendra.

On voit Estelle arriver. Elle y incarne une bourgeoise très stylée. Elle n'a pas besoin de forcer beaucoup. Elle est une jeune bourgeoise stylée. A l'image elle est vêtue d'une jupe sous un manteau noir. D'une élégance folle dans ce chantier. Clémentine a encore filmé avec sa maestria habituelle. On me voit lisser ce mur et la jeune fille tourner autour de moi. S'accroupir, cuisses écartées pour faire mine de scruter le joint des murs. Elle change de place. Toujours la même position de vraie salope.

C'est là qu'elle est appuyée contre le mur, dans le film, ma bite dans la bouche, entrain de sucer avec passion. Clémentine fait les premiers arrêts sur image. Estelle assise à ma droite, tient ma bite. De son autre main elle se touche. Clémentine aussi, de sa main libre, se masturbe. Nos films sont toujours tellement intenses grâce au talent de Clémentine. << Là, regardez bien ! >> s'écrie soudain Estelle. Nous scrutons l'écran géant du téléviseur. Clémentine met en fonction "ralenti".

Nous voyons distinctement le visage de monsieur Bertrand derrière la vitre. Il se détache sur le fond noir de la nuit. Clémentine zoome. Grâce à la caméra 4K, en agrandissant l'image ne pixélise pas, la netteté reste étonnante. Nous le reconnaissons bien notre voisin voyeur. << Bertrand le chouan ! >> lance Estelle. << Put-Hein ! Mais je ne l'ai même pas vu en filmant ! >> s'écrie Clémentine. << Toi qui voit toujours tout ! >> lui fait Estelle. Nous regardons consternés.

Clémentine remet en fonction normale. Le film continue. C'est hyper excitant car Estelle joue son rôle à la perfection. Elle est la propriétaire des lieux qui vient visiter le chantier. En se faisant l'ouvrier au passage. Le fantasme ultime et probable de la plupart des ouvriers de chantier. Dans le film, je la baise comme dans la réalité. A la hussarde. Alternant l'homme des bois, l'homme de Néandertal, l'homme de Cromagnon et même l'abominable homme des neiges. << Là ! >> s'écrie Estelle à ma droite.

Clémentine arrête le film. Elle zoome sur l'autre fenêtre. La tête du voisin se détache dans l'obscurité. On le reconnaît bien le bougre. En enclenchant la fonction "ralenti", nous découvrons les expressions de son visage. << Ça fait une bonne demi heure qu'il mâte l'enfoiré ! >> précise Estelle. Nous nous branlons tous les trois sur ce "ralenti" que Clémentine repasse plusieurs fois. En effet il y a bien trente minutes entre la pipe et la baise. << Le saligaud s'en est payé une tranche ! >> dit Estelle.

<< C'est génial ! A son insu, monsieur Bertrand a fait le "figurant" dans notre film ! >> lance Clémentine qui adore les voyeurs. << Et il fait toutes les cascades lui-même sans se faire doubler ! >> rajoute Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Le film se termine par cette éjaculation faciale que j'offre à Estelle juste avant de lui pisser au visage. << Là ! Regardez bien ! Je suis certaine qu'il se branle ! >> lance Estelle. Clémentine fait un arrêt sur image. Puis fonction "ralenti".

C'est vrai qu'il y a un mouvement de l'épaule caractéristique d'un bras qui bouge en rythme. << L'enfoiré a assisté à presque tout le film ! >> lance Estelle en me branlant. << On va lui trouver un prochain rôle, à son insu ! Qu'est-ce que vous en pensez ? >> fait Clémentine. << Génial ! On va se faire un méga plan ! Il va en faire une apoplexie le pauvre, à son âge ! >> répond Estelle. Nous n'arrêtons plus de rigoler. Nous sommes épuisés. Nous nous sommes tant branlés devant ces images.

Nous abandonnons tout dans le salon. Nos rituels pisseux où je savoure les délicieux et abondants mélanges de mes deux anges. Où elles savourent les miens. Nous nous lavons les dents pour nous calmer un peu. Au lit, je me bouffe de la chatte. Un jus de fille d'une saveur merveilleuse. Je les pénètre. Lorsque j'en suce une, l'autre me pompe. Estelle jouit en hurlant. Clémentine jouit en criant. J'éjacule comme un dément en poussant des cris de sauvage. Nous plongeons dans un profond sommeil.

Bonne "soirée cinéma" à toutes les coquines qui aiment revoir leurs talents d'actrice. Surtout lorsqu'il y un voyeur imprévu...

Julien

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Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1417 -



Un dimanche à récupérer doucement

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les incessants mouvements que fait Estelle avec ses pieds contre les miens. Ses "impatiences" qui font songer à un pédalage. Elle est restée accrochée à moi toute la nuit. Comme une naufragée à sa branche. Cette fois, c'est moi qui lui couvre le visage de bisous avant qu'elle ne se réveille vraiment. Je lui glisse la main dans la culotte. Elle en gémit d'aise. Tout cela sort Clémentine de son sommeil. Elle vient se blottir.

Je suis entre mes deux anges. Il est presque 9 h30. Tous les dimanches nous dormons plus longtemps. J'ai mes mains dans leurs culottes. Elles ont les leurs dans mon slip. Distribution de bisous. << Obligatoire. Tu dois nous réveiller comme ça tous les jours ! >> murmure Estelle. << Oh oui, c'est trop bien ! >> chuchote Clémentine. Nous luttons contre l'impérieux besoin de pisser. N'en pouvant plus, Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte.

<< Je t'aime Julien ! >> fait Clémentine en se frottant contre moi. Son sexe contre ma hanche. Estelle revient, s'habille et nous fait une bise. << Je descends. Venez vite ! >> dit elle avant de dévaler les escaliers. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus comme Estelle de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous descendons à toute vitesse. L'odeur de Café, de pain grillé, de brioche sont un enchantement. Estelle me saute au cou.

Je la soulève pour la faire tourner. Elle enserre mes hanches de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Puis je fais pareil à Clémentine. Il faut rallumer le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons d'abord notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit. La brioche est un délice. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles reviennent sur notre "soirée cinéma". Notre film porno. Le voisin.

<< Nous en rions de bon cœur. Le vieux retraité voyeur s'est rincé l'œil. Et nous aussi en le regardant reluquer ! >> lance Estelle. Le dimanche matin, pas d'entraînement. Le ménage a été fait hier. Nous pouvons nous consacrer à nous. << J'ai un joli petit scénario pour un prochain film ! Mais il faut que je le fignole ! >> dit encore Estelle. Nous savons pouvoir lui faire confiance. Elle a de l'imagination. La vaisselle. Nous allumons le feu dans la cuisinière.

Nous mettons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Nous sortons dans la désagréable fraîcheur humide. Tout est trempé mais il ne pleut pas. Accrochées à mon bras, les filles nous entraînent vers la rivière. << Tu me réveilles comme ce matin tous les jours quand je dors ici ! >> me fait Estelle en glissant sa main dans la braguette. << C'est trop bon, Julien ! >> rajoute Clémentine qui s'arrête pour m'embrasser. Nous avons le gout de la brioche. C'est délicieux.

Le dimanche, nous restons tous les trois à macérer dans nos jus. Pas de douche. Le dimanche matin nous ne nous lavons pas les dents pour garder le gout de la brioche. Nos baisers restent donc parfumés au pudding et à la frangipane jusqu'au repas de midi. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. << J'aimerais faire un film où tu serais masqué, Julien. Où tu porterai une cagoule pour me baiser comme une salope ! >> me dit Estelle.

<< Tu t'es déjà fait baiser autrement ? >> lui lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Je glisse mes mains dans les culottes. Pour me permettre le meilleur accès, elles déboutonnent leurs jeans. Je fouille. Je démêle les poils. Je descends jusqu'aux sexes. C'est moite, chaud. Je glisse mon doigt sur les lèvres charnues de Clémentine. Sur la fente d'Estelle. Elles se serrent contre moi pour se frotter sur mes mains. << Mais tu es génial ce matin ! >> lance Estelle.

Elle me sort le Zob. Elle s'accroupit devant moi. Elle tient mon sexe. Je bande mou. Clémentine m'embrasse avec passion, debout sur ma droite. Estelle hume les effluves parfumées de ma queue sale. << Mmhh ! Comme j'aime ! >> gémit Estelle qui frotte son visage sur mon sexe. Clémentine cesse de fouiller ma bouche de sa langue exploratrice. Nous regardons Estelle gober ma bite pour la sucer comme si sa vie en dépendait. << C'est très chaud ce matin ! >> dit Clémentine.

Il y a un bruit de branches qui craquent. Ça provient de l'autre côté de la rivière. C'est une jeune cavalière. Impossible qu'elle n'ait pas vu ce qui se passe. Estelle cesse pour se redresser. Je suis entre mes deux anges. La jeune fille, bien droite sur son cheval, nous adresse un grand sourire. Elle nous fait un signe amical de la main. Elle continue son chemin sans se retourner. << Elle vient du haras. De chez Juliette ! >> fait Estelle. << Elle a vu et elle a compris ! >> dit Clémentine.

J'ai juste eu le temps de planquer mon sexe. Nous retournons en flânant. Nous n'arrêtons pas rire de cette aventure. << Quand il y a un plan "sexe", il est toujours pour nous. Même quand on ne l'a pas cherché ! >> lance Estelle en me tenant par la queue. Elle marche devant en me tirant. Nous sommes sur l'étroit sentier. Clémentine me tient la main en marchant derrière. Nous arrivons à l'intersection du sentier et du chemin qui monte vers la maison. Un léger vent se lève.

Nous rentrons. Il est midi et demi. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare les pavés de saumon qui ont décongelé. En papillotes. Elle est dans la véranda non chauffée, vêtue de son anoraks, devant le barbecue électrique. Je réchauffe la potée de légumes en dressant la table. Clémentine me fait plein de bisous. Nous regardons Estelle derrière la vitre qui mime des masturbations masculines avec sa vulgarité coutumière. Elle nous fait des grimaces. Je lui montre le Zob.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles parlent de leurs études, des cours en ligne, du télé travail. Il y a un écrit à rendre pour le vendredi 5 février. Les vacances commencent le samedi 6 février. << Ça n'a jamais passé aussi vite ! >> fait Clémentine. << Je viens tous les soirs pour vous livrer ! >> lance Estelle. Avec le couvre feu de 18 h la ruse consiste à être munie de l'attestation signée de son employeur. C'est à dire de ses parents. Excellente astuce.

Estelle va aider sa maman au bureau de l'entreprise familiale la journée et nous rejoindre en soirée. Nous nous réjouissons. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur notre rencontre de ce matin. La jeune cavalière. << On devrait se faire un film avec un cheval ! >> lance Estelle. Elle rajoute : << Je serais entrain de me promener et je tomberais sur un satyre cagoulé ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. C'est trop drôle.

<< On emprunte un cheval à Juliette. Elle sera toute contente de participer ! >> dit Clémentine. << Chiche ! >> s'écrie Estelle avant de rajouter : << Je vais étudier cette idée ! >>. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous regardons par une des deux fenêtres. << Monsieur Bertrand ! >> s'écrie Estelle. En effet nous le voyons monter le chemin qui longe notre propriété.

Il porte un grand sachet. << Il va donner du vieux pain aux canards et accrocher les boules de graisse aux branches ! >> fait Clémentine. << On lui fait une "surprise" pour quand il remonte ? >> lance Estelle. Nous dévalons les escaliers. Nous enfilons nos anoraks. Nous traversons le jardin. Nous sommes prêts à partir en balade. Mais avant, les filles veulent piéger notre voisin. Nous le voyons remonter de la rivière. Il se retourne plusieurs fois. Il marche doucement.

Clémentine sort de la dépendance. Elle contourne la bâtisse. Estelle et moi nous restons planqués à l'intérieur. Derrière la fenêtre nous voyons Clémentine se déboutonner, descendre son jeans et sa culotte. Elle va se faire surprendre accroupie à côté de l'abri à bois. Voilà Mr Bertrand qui se pointe. Il tombe sur le spectacle. Il marque un temps d'arrêt. Il regarde dans toutes les directions. Il ouvre sa braguette à toute vitesse pour en extraire sa bite minuscule.

Nous le voyons parler. Clémentine redresse la tête. Une fois encore elle a bien préparé son exhibition. Une réussite. Elle reste dans cette position tout en bavardant avec le voisin. Il agite sa bite tout en causant. Il reste à distance. Ce qui est bien avec cet homme c'est qu'il ne tente jamais aucune approche. Il sait profiter de l'instant. Il sait faire durer. Clémentine, à la limite de la crampe, se redresse. Doucement elle se torche avec un mouchoir en papier. Longuement.

Elle reste avec ses vêtements descendus sur les genoux malgré la fraîcheur. Monsieur Bertrand doit probablement rentrer. Nous savons que sa vieille belle-mère est à la maison. Clémentine remonte ses vêtements. Mr Bertrand la salue. Elle contourne la bâtisse. Nous sortons pour aller à sa rencontre. << Bravo ! >> fait Estelle. Je félicite Clémentine pour son superbe show ! Nous montons jusqu'au portail en riant beaucoup. Clémentine nous raconte la conversation.

<< Il est dans le registre des propositions salaces ! >> fait Clémentine. Nous traversons la route pour prendre le chemin rocailleux dans la forêt. Je marche entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Elle évoquent les différents pièges qu'elles pourraient tendre à notre voisin. Pendant les vacances de février il y aura probablement quelques opportunités de nous amuser. << Le pauvre, s'il savait qu'on est au courant de tout ! >> lance Estelle. Nous en rions de bon cœur.

Nous faisons notre promenade en suivant le parcours habituel. Trois heures au grand air. De nombreux arrêts bite à l'air, mains dans les culottes, baisers fougueux et petites fellations rapides. Nous croisons quelques promeneurs. Il est 18 h quand nous revenons à la maison. Il fait nuit. Il y a quelques gouttes. Nous arrivons juste avant la pluie. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine classe quelques documents qu'elle prépare pour demain. Estelle regarde mes dernières toiles.

Nous adorons cette grande pièce. Nous avons toujours des choses à y faire. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Estelle concocte sa belle omelette du dimanche soir. Champignons, ail, échalote, trois fromages différents. Morbier, Saint Nectaire et Roquefort. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux.

Je les écoute mettre au point les stratégies concernant leurs cours. Cet écrit qu'il faudra remettre vendredi prochain. C'est très intéressant. La vaisselle. Elles m'entraînent au salon par les bras. Elles me font tomber dans le canapé pour m'arracher godasses, jeans et slip. A genoux sur les épais coussins, elles se refilent ma bite qu'elles sucent comme si leurs existences en dépendaient. Je caresse leurs cheveux. J'écoute leurs échanges, leurs impressions, les gargouillis de foutre bulleux.

Estelle se redresse. Elle retire son jeans et sa culotte pour se vautrer dans le fauteuil en face. << Cette fois c'est moi qui mâte ! >> fait elle en se masturbant. Clémentine me suce en gloussant de plaisir. Je la force à cesser. A se redresser. Je lui arrache ses fringues. Je la pénètre doucement. Nous restons immobiles comme nous aimons. C'est tellement passionnant de nous murmurer nos petites histoires. Nous ignorons complètement Estelle qui se branle en essayant d'entendre.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se masturber en regardant une bonne baise, là, à quelques mètres, sur le canapé...

Julien

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Homme, 53 ans, France
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Julie vient nous livrer et passe la soirée avec nous

Hier matin, lundi, c'est notre application qui nous tire de nos profonds sommeils. Ces oiseaux qui chantent. Cette source qui s'écoule. Cette étrange résonance au fond de cette mystérieuse forêt. Il est presque six heures. Estelle qui est restée serrée contre moi toute la nuit se blottit encore plus fort. Tout comme Clémentine. Je suis entre mes deux anges. Ce matin, c'est difficile d'émerger vraiment. Estelle se lève la première. Elle saisit ses vêtements de sport pour se précipiter vers la porte.

Nous enfilons nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et de brioche. Je mets deux bûches sur les braises de la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en nous réveillant doucement. Nous mangeons de bon appétit en riant. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Estelle devra sa sauver immédiatement après.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle reste vêtue de son leggings et de son sweat de lycra noir. Son grand sac de sport à la main, après deux bises, elle dévale les escaliers en s'écriant : << A demain soir ! >>. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Nous descendons pour mettre nos anoraks. Nous sortons. Il est 7 h50. Le jour se lève. Il fait presque doux. L'atmosphère est humide.

Nous allons sous l'abri à bois afin d'y remplir la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous avons tout juste le temps de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les bûches à côté de la cheminée. J'y allume un bon feu. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je termine aujourd'hui cette cinquième nature morte.

Je peins en chantonnant doucement pour ne pas risquer de déranger Clémentine. Elle est plongée dans son télé travail. Parfois elle chantonne aussi. La matinée se déroule dans cette ambiance studieuse et habituelle. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Je prépare un coulis de courgette. Je poêle deux dos de cabillaud blanc.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur les folies de notre week-end. << C'est si intense qu'il nous faut la semaine pour récupérer ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. C'est tellement vrai. Je réponds : << Avec tout ce que nous vivons la semaine, nous ne récupérons pas vraiment ! >>. Clémentine rajoute : << Vivement les vacances. Plus que cinq jours ! >>. Oui, nous les attendons.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller prendre l'air, nous redescendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks. Nous sortons. Il fait doux. Nous ouvrons nos vestes. De la dépendance nous parviennent les bruits lancinants d'un moteur. Nous passons devant la bâtisse. << Ils sont entrain d'insuffler la fibre de cellulose. Regarde la poussière qui sort de la fenêtre ! >> fait Clémentine. En effet, comme une fumée grise qui s'échappe par l'ouverture. Les employés bossent.

Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons sur quelques centaines de mètres. Le ciel est gris, bas et menaçant. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. << J'ai envie de sucer ! >> me confie t-elle en s'accroupissant devant moi. Elle m'extrait le Zob. Elle le renifle un peu avant de se mettre à téter. La position inconfortable ne tarde pas à provoquer la crampe. J'aide Clémentine à se redresser. Je bande mou car j'ai fait le guet. Notre voisin passe ici tous les jours.

Les cours en lignes reprennent à 14 h05. Il faut retourner. Nous remontons le chemin. Toujours le bruit du compresseur qui permet de souffler l'isolant entre les cloisons de plâtre et les murs. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je mets deux bûches dans le feu. Je suis confortablement assis devant mon chevalet. Je peins avec le même enthousiasme que ce matin. Complètement absorbé.

Il est 16 h45 quand je dépose la dernière touche de vert d'émeraude sur la surface de ma toile. Le tableau est fini. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je prépare un nouveau support dont le dessin préparatoire est déjà réalisé. La couche d'impression y est également appliquée. Je commence demain matin cette sixième nature morte destinée à ma saison d'été. Il est 17 h. Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne dans une sorte de tango dans toute la grande pièce.

Elle a encore une heure de lecture. J'en profite pour réaliser le dessin préparatoire de ma septième nature morte. Je le fais avec le calque d'un ancien tableau peint il y a quelques années. Je change simplement des détails. L'emplacement d'une carafe, la disposition d'un bouquet. Je suis un habile faiseur et un artisan rusé. Il est 18 h quand un bruit sourd et caverneux résonne à l'étage. << Bonsoir Christine ! >> lance Clémentine pour saluer le fantôme de mon ancienne compagne.

Je viens m'assoir à ses côtés. Elle se couche sur le dos. Sa tête posée sur mes cuisses, les yeux fermés. Nous écoutons les errances de l'entité au dessus de nos têtes. Ce moment de retour au calme et à l'inactivé est des plus gratifiants. C'est vrai que nous avons besoin de vacances. Les bruits durent une bonne dizaine de minutes. Tout cesse brusquement. Le silence. Clémentine frotte sa joue contre ma queue toute mollasse. Je lui caresse la tête. Je lisse ses cheveux.

La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève comme un ouragan pour le saisir sur la desserte. << Julie ! >> fait elle. Julie vient nous livrer et passer la soirée avec nous. Nous quittons l'atelier pour aller l'accueillir. Nous sortons. Il y a quelques gouttes de pluie. La voiture descend lentement le chemin. Julie est vêtue de son blouson en cuir noir, de son jeans, de ses bottines. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Ses cheveux flottent sur ses épaules. Elle est toute contente.

Je prends la caisse qui contient nos repas. Nous rentrons vite. De son petit sac à dos en cuir, Julie tire son flacon de gel hydroalcoolique. C'est le rituel. Nous nous frottons tous les trois les mains en riant. Julie découvre ma braguette béante. Ce soir, rien ne dépasse. Pas encore. Les tourtes aux fruits de mers sont encore chaudes. Clémentine ouvre les boîtes en plastique et en retire les opercules. Elles contiennent les salades. Il y a cinq tourtes. Deux pour demain midi. C'est parfait.

Nous dressons la table à la cuisine. Julie nous raconte son week-end. Les livraisons de repas à midi et le soir. Ses études de Lettres Modernes. Elle aussi se réjouit pour les vacances qui approchent. Il est presque 19 h. Nous voilà confortablement installés devant de succulentes tourtes bien dorées. Elles ressemblent à des galettes des rois. Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent de leurs études. J'écoute. C'est toujours très intéressant. Le bruit du feu dans la cuisinière.

C'est Julie qui arrive la première sur le sujet du film. Ce film personnel que nous avons réalisé vendredi après-midi. << Vous avez le bonjour d'Anne-Marie. Ma tante aimerait beaucoup vous inviter un soir. Ça vous tente ? >> lance Julie. Nous nous regardons. Nous promettons d'y réfléchir. Ce serait avec plaisir. Mais pourquoi ne viendrait elle pas la première. << Je lui en parle demain ! >> fait Julie. Elle nous confie avoir regardé le film plusieurs fois durant ses moments de libres.

<< Tes impressions ? Raconte nous ! >> demande Clémentine. Julie, soudain très gênée, baisse les yeux. Il y a un petit moment de silence. Elle lève la tête pour répondre : << C'est au delà de mes espérances ! Merci ! >>. Nous aimerions beaucoup voir le résultat de notre travail. Clémentine propose une "soirée cinéma". << J'ai trop honte ! >> lance Julie. Je dis : << Mais nous avons réalisé tout ça ensemble ! Pourquoi avoir honte ? Et de quoi ? >>. Il y a un long silence.

<< On se le regarde vendredi après-midi. Je suis là pour 14 h. Ça vous tente ? >> lance soudain Julie. << OK ça marche ! >> fait Clémentine. Je rajoute : << Nous sommes pressés de voir ça ! >>. Julie éclate de rire avant de rajouter : << Une belle performance d'acteurs ! >>. Nous la rejoignons dans des éclats de rires libérateurs. Je sors ma bite sous la table. Julie doit s'en douter. Elle voit bien que mes mains ont disparu. Je me lève en tenant mon Zob à sa base.

Je l'agite dans la direction de Julie. Je dis : << Si tu as un autre fantasme à réaliser devant la caméra, n'hésite pas ! >>. Julie fuit mes regards. Sa timidité naturelle reprend le dessus. Clémentine fait : << N'hésite pas Julie, si nous pouvons rendre service ! >>. Nous en rigolons tous les trois comme des bossus. Julie lance soudain : << Je me promène et je tombe sur un exhibitionniste ! C'est un autre film que j'aimerais réaliser ! >>. Clémentine répond : << On a ce qu'il faut ! >>.

Je me lève une nouvelle fois. Je bande mou. Je dis : << Je postule pour le casting ! Je veux le rôle ! >>. Julie éclate de rire en disant : << Candidature retenue ! >>. Clémentine demande : << Tu voudrais faire ça en extérieur ? >>. Julie reste silencieuse quelques instants avant de répondre : << J'ai des idées précises dans des endroits où je rôde parfois. Je vous en ferai une liste ! C'était quand je revenais de cours l'année dernière ! Avant la crise sanitaire ! >>. Nous écoutons.

<< Vous avez des principes moraux concernant la religion ? >> me demande Julie. Je réponds : << Non, pour moi ce ne sont que des prisons mentales ! >>. Julie tente de soutenir mon regard. Elle dit : << Parfait. Il en va de même pour moi ! J'aimerais un truc dans l'église à la sortie de la ville ! >>. Nous nous regardons. Même si tout cela nous est étranger, Clémentine et moi avons pour principe de respecter les lieux de cultes. Avant tout ce sont des endroits de recueillements.

Julie voit bien que nous hésitons. Elle rajoute : << On n'est pas obligé qu'il s'y passe quelque chose mais nous pouvons y amorcer une situation ! >>. Nous découvrons que Julie est au moins aussi imaginative qu'Estelle dans le domaine du scénario. Elle dit encore : << J'écris tout cela et je vous en soumets le texte ! >>. Comme Julie est une littéraire, qu'elle est en seconde année de Lettres Modernes, ce sera probablement un simple exercice pour elle. Je me lève pour agiter ma queue.

La vaisselle. Je plonge. Julie et Clémentine essuient. J'ai la bite à l'air sous mon tablier. Clémentine passe derrière moi pour y glisser la main. Elle demande à Julie : << Tu as déjà fait des photos pornos ? >>. Julie hésite un instant avant de répondre : << Des selfies un peu cons, toute seule dans ma salle de bain ! >>. Nous en rions de bon cœur. << Tu veux en faire de bonnes et des sérieuses ? >> lance Clémentine. Je dis : << Si tu as besoin d'un modèle masculin, n'hésite pas ! >>.

Nous sentons bien que Julie est soudain très intéressée. Quelle jeune fille de 20 ans n'est pas en proie à ce genre de doux délire ? Clémentine calme le jeu en disant : << Réfléchis à tout ça. Fais une liste. Fais un choix. Attends, je vais te montrer quelque chose ! >>. Je rince l'évier, les filles suspendent les torchons devant la cuisinière. Nous passons au salon. Du tiroir du bas du bureau, Clémentine tire la petite pochette en cuir. De la taille d'un porte feuilles. Elle en sort des photos.

Ce sont ces clichés que nous avons pris il y a deux ans. Le visage de Clémentine couvert de foutre. Mon foutre gluant et visqueux qui colle en paquet. Julie et moi nous sommes installés dans le canapé. Clémentine vient s'assoir entre nous. Julie découvre ces photos. Elle reste consternée. << C'est toi ? >> dit elle dans un souffle. << Ça te tente ? >> demande Clémentine. Julie reste comme abasourdie. Je me lève pour me positionner devant les filles, à environ deux mètres du canapé.

Julie scrute les photos avec attention. << C'est génial ! >> finit elle par lâcher. << Tu veux en faire ? >> lui demande encore Clémentine. << J'y réfléchis ! >> lance Julie en reprenant sa respiration normale. Elle regarde mon érection. J'agite mon sexe dans sa direction. Je dis : << J'ai les accessoires ! >>. Nous en rigolons tous les trois comme des bossus. Julie doit être rentrée pour 22 h30. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle est pressée de revenir vendredi après-midi.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment revenir sur les souvenirs qu'évoquent d'anciennes photos...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
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