Français English
FORUM

Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1419 -



Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, mardi, la douceur de notre application nous tire doucement de nos profonds sommeils. Il est presque six heures. Le chant d'oiseaux mystérieux, le bruit d'une petite cascade accompagnent la fin de nos rêves. Clémentine vient se blottir contre moi. Nous nous levons pour nous rendre aux toilettes. Le mardi, Clémentine termine à midi. Ce qui la rend facétieuse dès le levé. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Je mets deux bûches sur les braises de la cuisinière à bois. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup des bons mots de Clémentine. J'aime quand elle est euphorique. Ça me gagne rapidement. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching.

La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons pour enfiler nos anoraks. Nous sortons dans la fraîcheur humide. Tout est trempé mais il ne pleut pas. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Jusqu'à l'abri à bois. Nous y remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. C'est lourd ce matin. On porte à deux. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer et d'empiler les bûches dans l'atelier.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je commence ce matin ma septième nature morte. Cette quinzième toile destinée à ma saison d'été. Je peins dans cette sorte d'euphorie généreusement offerte par Clémentine. Je l'entends parfois chantonner. La matinée se passe dans une ambiance studieuse. Il est déjà 11 h55.

Clémentine virevolte dans toute la pièce en imitant une ballerine. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe les deux belles tourtes aux fruits de mer commandées hier. La pâte feuilletée à décongelé. J'en étale le tiers dans un grand plat à tarte aux bords hauts. Je coupe et je lave deux gros poireaux. Pendant qu'ils cuisent je prépare une Béchamel. Clémentine y rajoute le gruyère qu'elle vient de râper.

J'égoutte le poireau que je rajoute à la Béchamel. Je verse le tout sur la pâte étalée. Clémentine répand bien. Je recouvre du dernier tiers de pâtes feuilletée. Clémentine joint les bords avec les doigts. C'est hermétiquement clôt. Elle badigeonne le mélange œuf, lait de soja et moutarde sur le dessus. Je mets au four après avoir retiré les deux tourtes. Cuisson à 180° afin de faire mijoter longuement. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et en riant beaucoup.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur la visite de Julie hier soir. Ce second film qu'elle a le souhait de réaliser. << C'est probablement le début d'une longue série. Quand on commence, on ne s'arrête plus ! >> fait Clémentine. Je rajoute : << Julie se dévoile doucement. Je crois que nous ne sommes qu'au début de nos surprises ! >>. Clémentine a une vision beaucoup plus précise encore. << Julie est une vicelarde ! >>.

Nous en sommes convaincus. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Par une des deux fenêtres de la salle de bain, nous voyons la camionnette de l'entreprise garée devant la dépendance. Les deux employés sont entrain de décharger de grands paquets de planches d'environ trois mètres de longs. Nous descendons pour mettre nos anoraks. Il fait presque doux sous ce ciel gris et menaçant. Il y a une grosses voiture qui descend lentement le chemin. C'est Mr Ledru.

Le patron de l'entreprise Ecolisas sort de son véhicule. Il vient à notre rencontre. Nous gardons nos distances. Il met son masque sanitaire. Nous nous saluons. Monsieur Ledru vient régulièrement voir l'avancée du chantier. Tout sera terminé pour le lundi 15 février au soir. Il nous invite à le suivre. Nous entrons dans la bâtisse. Les deux employés ont empilé toutes les planches sur le sol en béton. Ils vont commencer l'aménagement intérieur. La partie la plus passionnante va commencer.

Monsieur Ledru nous propose de bien réfléchir à tout. Car c'est en amont qu'il faut prévoir les éventuelles transformations. Clémentine m'en a déjà parlé. Nous ressortons. Nous contournons la dépendance. Là, entre l'abri à bois et le mur arrière il y a un vide d'environ deux mètres. Il suffit de fermer les deux extrémité pour avoir une sorte de cabanon. D'un côté une cloison de planches, de l'autre une porte. Le tout sur une longueur d'une dizaine de mètres. C'est tout à fait réalisable.

<< Je vous fais ça en fin de chantier ! >> dit monsieur Ledru. Je le surprends à reluquer Clémentine. C'est certain que cette superbe et grande jeune fille ne laisse pas indifférent. C'est là que Clémentine lâche : << Vous pourriez mettre un trou parfaitement rond de cinq centimètres au milieu de la porte et de la cloison du fond. A environ quatre vingt centimètres du sol ? >>. Monsieur Ledru ouvre de grands yeux. << Mais pourquoi donc ? >> dit il. << Une fantaisie ! >> fait Clémentine.

Je ne sais pas si le patron de l'entreprise Ecolisas comprend de quoi il est question, mais il répond : << Parfait ! >>. Nous le laissons aller donner ses directives aux deux employés. Clémentine m'entraîne vers la rivière. Il y a quelques gouttes de pluie. Je dis : << Tu es gonflée. Ces trous, nous aurions pu les faire nous même ! >>? Nous éclatons de rire quand Clémentine lance : << Ça lui donnera des idées s'il ne les a pas déjà ! Et ça m'a excité de parler de ça avec un inconnu ! >>.

Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Clémentine glisse sa main dans ma braguette. Elle m'embrasse. Elle cesse pour me dire : << Deux trous. C'est mieux qu'un ! On va les inaugurer durant la seconde semaine de vacances ! >>. La pluie cesse pour recommencer. Nous préférons rentrer. Nous arrivons au moment ou il se met à tomber des hallebardes. Juste à temps. Nous retournons dans l'atelier. Je rajoute deux bûches dans la cheminée qui crépite.

Je saisis Clémentine par sa longue natte. Je l'entraîne comme par une laisse. Je lui fais faire le tour de la grande pièce. Elle marche courbée en avant, entravée par ma poigne vigoureuse. Je jette un des épais coussins du canapé sur le tapis. J'ordonne : << A genoux, mains sur la tête ! >>. Clémentine, trop heureuse de mon initiative, ne se fait pas prier. Elle se met à genoux. Bien droite, les mains posées sur la tête. Je la tiens par la natte. Je donne quelques à coups en tournant autour d'elle.

Je dis : << Je veux te voir sucer par un de ces trous ! >>. Clémentine, les yeux pleins de reconnaissance me fixe. Elle dit : << La bite à qui ? >>. Je ne sais que répondre. Je finis pas lancer : << Celle de Mr Bertrand par exemple ! >>. Clémentine passe sa langue sur ses lèvres en signe d'appétit. Elle murmure : << Mmhh, miam ! Depuis le temps qu'elle me fait envie ! >>. Je sors ma queue. Je la lui frotte sur la gueule en murmurant : << Délicieuse salope, sans toi la vie serait si triste ! >>.

<< La mienne encore davantage sans toi ! >> lance Clémentine. Je me penche pour lui couvrir le visage de bisous. Je me redresse pour lui mettre la bite dans la bouche. Je la tiens sous le menton et par sa nuque. Je regarde le plus merveilleux spectacle qui soit. Une sublime jeune fille de 23 ans qui suce avec passion, les yeux fermés, à genoux, les mains sur la tête. C'est tellement beau. Elles sont si belles quand elles font ça. Si elles savaient, elles le feraient tout le temps.

Je retire ma queue gluante. Je la frotte sur ses joues. J'essore le prépuce contre ses lèvres. Je l'aide à se redresser. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Clémentine aime garder le foutre longtemps. Elle ne déglutit toujours que lorsqu'il y en a beaucoup. Le mien est épais et visqueux. Pour l'avaler elle préfère bien le diluer de sa salive. Je regarde ces filaments gluants qui emplissent sa cavité buccale. Je la saisis par la nuque. Je murmure : << Je vous aime divine salope ! >>.

Elle avale avec peine en faisant un mouvement de tête avant de dire : << Mon bon "Maître", j'aime tant quand vous faites preuve de telles initiatives ! >>. Je réponds : << Ma douce "Soumise" vous m'ensorcelez à longueur de temps. Comment pourrait-il en être autrement ! >>. Elle m'entraîne dans une danse en chantant : << Je t'aime, je t'aime comme une folle ! >>. Je n'ai plus qu'à me laisser entraîner dans une ronde affolante où nous risquons de tomber à chaque instant.

Nous venons nous vautrer dans le vieux canapé. Dehors il pleut. Le vent jette de véritables paquets d'eau contre les grandes baies vitrées. Nous restons ainsi, serrés tous les deux, à savourer chaque instant de notre bonheur. Que faire avec une telle météo sinon travailler encore un peu. Nous préférons garder nos libidos intactes pour ce soir, avec Estelle. Je promets à Clémentine d'avoir quelques initiatives bien vicelardes. Clémentine s'assoit devant son ordinateur.

Je commence le dessin préparatoire de la première scène de genre. Une scène à trois personnages. Je fais cela à partir du calque d'un ancien tableau. Je me contente de changer quelques détails. A quoi bon m'emmerder. Ça fait longtemps que je pourrais prendre ma retraite. C'est la passion de peindre qui entretient encore ma flamme. Clémentine se lève fréquemment pour venir prendre un classeur sur l'étagère. Pour venir me faire des bisous. Me chuchoter des cochonneries.

Il est 18 h15 quand nous entendons du bruit. Nous entendons chanter Estelle dans le corridor. Elle entre dans l'atelier en se précipitant pour nous faire la bise. Je me lève. Elle s'accroche à mon cou pour me dire : << Cette nuit, j'ai rêvé de toi ! Tu étais le plus merveilleux des amants ! >> dit elle. << On se calme la nympho ! C'est mon mec ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Je saisis Estelle par ses cheveux. Elle ne s'y attendait pas du tout. Je dis : << A genoux ! >>.

Estelle ouvre de grand yeux tout en s'agenouillant sur l'épais coussin. Elle met ses mains sur la tête. J'enlève ma blouse pour lui frotter la bite sur la gueule. Ma bite est encore mouillée de la pipe de Clémentine. Je l'enfonce dans la bouche à Estelle qui pousse un profond râle d'enchantement. Je dis : << J'ai déjà infligé le même tourment à Clémentine ! >>. Estelle se met à sucer comme si sa vie en dépendait. En gémissant. Clémentine tourne autour de nous en se touchant.

Je ne reste pas longtemps dans cette position. Je veux ménager mes lombaires. Je me retire. Je force Estelle à se redresser. << Comme vous êtes salaud encore ce soir, "Maître" ! >> fait elle en parlant avec difficulté. Elle aussi aime garder longuement le foutre en bouche. Elle m'en montre le contenu. << C'est merveilleusement dégueulasse ! >> dit Clémentine en se penchant pour regarder. Il commence à faire faim. Les filles m'entraînent dans une farandole pour quitter l'atelier.

Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Je réchauffe la Flamiche Picarde. Cette tarte au poireau qui va encore faire le délice de la soirée. Et du repas de midi, demain. Estelle m'aide à dresser la table. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos jeux du "Maître" et de ses "Soumises". Elles en raffolent. Je leurs promets de remettre ça ce soir au salon. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font mille et un projets pour les vacances à venir.

<< Si la population n'est pas privée de printemps une nouvelle fois par cette bande de tarés, nous partirons tous les trois une semaine durant les vacances de Pâques. Retourner dans ce Jura que nous voulions refaire l'année dernière avant les mesures imposées par une bande de cinglés ! >> lance Clémentine. Je propose de m'occuper de la location dès demain. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Sans même se consulter, elles se mettent toutes les deux à genoux.

Bien droites, les mains sur la tête, agenouillées sur deux coussins, elles me fixent de leurs regards implorants. Je passe ma queue sur chacun de ses visages d'anges. Dans un concert de gémissements de plaisirs. Elles aiment tant que je m'occupe d'elles. Depuis le couvre feu Estelle reste avec nous les nuits du mardi et du jeudi. Nous n'avons plus besoin de limiter nos folies à une heure précise. Je les fais sucer l'une après l'autre. Clémentine demande l'autorisation de glisser une main dans sa culotte.

<< Moi aussi "Maître" ! >> lance Estelle. Toujours à genoux, les cuisses légèrement écartées, elles se masturbent toutes les deux en se livrant à un enivrant pompage de Zob. Nous passons la soirée comme ça. Je me masturbe dans leurs bouches. J'alterne les moments d'immobilité ou d'agitation. Je distribue quelques gifles. Ce ne sont jamais des actes de violence. Cela fait partie du rôle qui m'est demandé. Cela les excite considérablement. Surtout quand je leurs crache à la gueule.

Bonne soirée à toutes les coquines qui savourent leurs conditions de "Soumises" autant qu'elles savourent une bonne queue juteuse...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1420 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, mercredi, le chant de ses oiseaux mystérieux, le bruit de cette source, nous tirent de nos profonds sommeils. Cette application fait une fois encore nos joies. Car d'être réveillé ainsi est une bénédiction. Il est presque six heures. Estelle est restée accrochée à moi toute la nuit. Elle se serre encore davantage. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte, ses vêtements de gym à la main.

Nous enfilons nos tenues de sport. C'est à notre tour. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et du feu qui reprend dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner encore un peu ensommeillés. Nous mangeons de bon appétit. Estelle est un peu tristounette. Elle sera obligée de nous laisser de suite après la gymnastique. Elle reviendra demain, jeudi. Ça compense un peu malgré tout.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, exercices au sol, aérobic, abdos, pour terminer par un agréable stretching. Estelle dévale les escaliers après nous avoir fait des bises. << A demain ! >> fait elle depuis le bas. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Nous sortons dans la fraîcheur toute relative.

Il ne fait pas froid. Il ne pleut pas. Il est 7 h50 et le jour achève de se lever. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Sous l'abri à bois nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. ll faut se dépêcher. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les bûches. J'allume un beau feu dans la cheminée. Il ne reste jamais de braises le matin.

Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. La peinture de ma septième nature morte m'absorbe rapidement et totalement. Je peins dans une sorte d'enthousiasme diffus. Je pense à tout, sauf à ce que je fais tout en étant extrêmement concentré. Je pense à nos matins qui se ressemblent. A cet enchaînement de rituels que pratiquent chacun d'entre nous. Le lecteur qui parcourt ces lignes tous les matins le sait bien lui aussi.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. A chaque fois qu'elle sèche ses mains c'est pour venir me palper. Debout derrière moi, ses mains sur ma braguette. Je réchauffe le reste de tarte au poireau. Pendant ce temps je prépare une pâte à crêpe. La Chandeleur c'était hier. Comme on n'aime pas suivre les protocoles, nous décalons.

Je fais rissoler des calmars à la poêle. J'y rajoute des champignons, de l'ail et de l'échalote. Clémentine dresse la table en chantonnant. Nous n'arrêtons pas de nous embrasser. De nous serrer fort. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La pâte à crêpe repose sous un linge dans son saladier. Ce sera pour ce soir. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me parle de ses cours. De cet écrit à rendre pour vendredi matin.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine, de la mousse dentifrice aux coins des lèvres, fait une bosse avec sa brosse à l'intérieur de sa joue. En me fixant dans le miroir, elle mime une pipe. Elle me fait un clin d'œil. Nous nous rinçons la bouche tête contre tête au dessus du lavabo. Nous nous essuyons. Je demande : << Tu as sucé le voisin ? >>. Clémentine répond : << Comment tu as deviné que c'était Mr Bertrand ? >>. Nous en rigolons comme des bossus.

Je saisis Clémentine par la nuque pour la forcer à s'accroupir. Je sors ma bite en la tenant sous le menton. Je la lui frotte sur la gueule. Elle m'en présente tous les reliefs en gémissant. << J'aime quand tu fais ça ! >> murmure t-elle avant de gober mon sexe. Je me fais tailler une pipe sans autres préliminaires. Juste quelques minutes. J'aide Clémentine à se redresser. Je me penche pour masser ses jambes endolories. Elle m'entraîne dans l'escalier. Nous descendons en vitesse.

Nous mettons nos anoraks. Nous sortons. Nous pouvons les laisser ouverts car il fait presque doux. La camionnette de l'entreprise est garée devant la dépendance. Clémentine m'entraîne par la main. Nous regardons par une des fenêtres. Les employés sont probablement à l'étage. Nous entendons des bruits de perceuse. De visseuse peut-être. Nous viendrons voir ce soir. Nous descendons vers la rivière. Il ne pleut pas. Le chemin rocailleux évite de marcher dans la boue, les flaques.

Le ciel reste gris et bas. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Le niveau de la rivière est à nouveau critique, menaçant. Il est presque au ras de l'étroit sentier. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. << Je me sens salope, si tu savais ! >> me fait elle. Elle m'embrasse avec fougue avant de s'accroupir. J'ai la bite à l'air. Je me fais sucer. Je lui caresse la tête, je lisse ses cheveux. Je fais le guet car le voisin passe ici tous les jours.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à remonter. En passant devant la dépendance, tenant notre corbeille remplit de bûches, nous parviennent les bruits de perceuse. << Ça bosse dur ! >> lance Clémentine. Nous rentrons. Nous mettons quatre bûches à la cuisine. Nous voilà dans l'atelier à empiler les autres à côté de la cheminée. Il reste une dizaine de minutes. Clémentine, assise sur mes genoux, consulte nos boîtes mails. Un message de Juliette.

Trop accaparée par son entreprise, Juliette aimerait beaucoup nous voir. Elle propose de passer nous visiter en coup de vent vendredi vers 17 h. C'est parfait. Elle risquera de croiser Julie. Les deux femmes s'évitent. Elles ont vécu il y a presque deux ans une histoire sentimentale non aboutie. Nous répondons en la prévenant. Je laisse Clémentine à son télé travail. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Sérénité totale.

Il est 17 h quand Clémentine vient virevolter autour de moi en chantant : << J'en ai marre ! Vivement les vacances ! >>. Accroupie sur ma gauche, sa main sous ma blouse, elle palpe mon Zob tout mou en observant ma peinture. Elle a encore une bonne heure de lecture. Ce livre qu'elle doit terminer afin d'en parfaire le résumé pour vendredi. Elle a déjà un écrit conséquent dont elle me fait la lecture confortablement installée dans le vieux canapé. J'adore l'entendre en peignant.

Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. J'enlève ma blouse. Je reste à quelques mètres du canapé. Je tiens mon sexe à sa base. Je l'agite en direction de Clémentine qui lève la tête. Elle m'observe avec son énigmatique sourire. Le regard par en dessous. Terriblement vicelarde. Je fais tournoyer mon Zob. Je suis cambré sur mes mes genoux fléchis. Clémentine, ne pouvant plus se concentrer, referme son livre. Elle tapote le canapé sur sa droite pour m'inviter.

Je m'approche. Je suis debout devant elle, entre ses jambes écartées. Je la saisis par ses cheveux en catogan. Je lui frotte la bite sur le visage. J'essaie d'être le plus vulgaire possible. Un bruit sourd et caverneux au dessus de nos têtes. Voilà la visite de Christine. Le fantôme de mon ancienne compagne. Je m'assois à côté de Clémentine qui se serre contre moi. Nous écoutons les errances de l'entité qui semble ce soir traîner des pieds. << Elle fatigue ! >> murmure Clémentine.

Je rajoute : << Elle gonfle ! >> nous en rions de bon cœur. Les manifestations ne durent que quelques minutes. Tout s'estompe comme si quelqu'un baissait doucement le volume d'une chaîne stéréo. Clémentine m'entraîne par la main. << Viens, on va voir le chantier ! >> me dit elle. Nous quittons l'atelier. Nous mettons nos anoraks. Nous traversons le jardin dans la nuit noire. Seule le lampadaire éclaire le bas du chemin, là-bas, dans son halo de lumière jaune. Il fait doux.

Nous entrons dans la dépendance. Toujours cette odeur âcre de plâtre. Partout sur les murs il y a des tasseaux de bois vissés verticalement et horizontalement. Au milieu, en haut et en bas. C'est sur ces tasseaux que vont êtres fixés les lambris de chêne. << C'est génial ! Ils bossent vite et bien. Regarde comme tout est soigneusement rangé ! >> lance Clémentine. Nous allons renifler l'odeur du bois de chêne d'un des paquets dont l'emballage est découpé. Superbe odeur.

Nous montons sur l'échelle double pour monter à l'étage par l'ouverture rectangulaire. Les mêmes tasseaux sont fixés sur les cloisons de plâtre. Une peinture brillante a été appliquée partout sur les plaques de BA13. La lumière vive du projecteur fait briller le tout comme un revêtement de verre. Clémentine me sort le Zob. << La lumière va probablement attirer le voisin ! >> murmure Clémentine en s'accroupissant devant moi. Je la tiens par ses cheveux.

A nouveau mon ange se met à me sucer avec passion. Les yeux fermés. Je caresse sa tête en lui chuchotant des douceurs. En bas, le bruit de la porte. << Il y a quelqu'un ? >>. C'est la voix de monsieur Bertrand. Il fait sa ronde. Clémentine cesse de sucer, se redresse et répond : << Oui ! Moi ! >>. Elle pose son index sur ses lèvres en chuchotant : << Reste là. Chut ! >>. Elle me laisse pour passer par l'ouverture rectangulaire et redescendre avec prudence l'échelle double.

Elle a éteint le projecteur. Je suis à l'étage dans le noir. J'entends et je vois. << Julien n'est pas avec vous Clémentine ? >> demande Mr Bertrand. << Non, il adore préparer le repas ! >>. Ces mots suffisent à rassurer le vieux scélérat qui ouvre sa braguette. Il demande : << Vous parlez de "ça" à Julien ? >>. Clémentine se veut rassurante. Elle répond : << Pas du tout Mr Bertrand. Vous n'y pensez pas ! >>. Notre retraité pousse un profond soupir en disant : << C'est mieux, non ? >>.

<< C'est un peu devenu notre secret ! >> lance Clémentine. Je vois le voisin venir au milieu de la grande pièce. Sa bite minuscule à la main, il observe les planches emballées. Il commente : << C'est un superbe beau bois. Du chêne de qualité ! >>. Clémentine écoute. << Je n'ai que quelques minutes. On m'attend pour le repas. C'est vraiment très gentil de m'accueillir comme ça ! >> fait encore notre retraité salace et exhibitionniste. S'il savait que Clémentine et moi sommes complices !

<< Regardez, vous me faite encore bander ! >> fait le vieux salaud en montrant sa toute petite queue à peine moins mollasse. Clémentine s'accroupit pour mieux regarder. Mr Bertrand est un parfait gentleman. Il ne s'approche jamais. Il ne tente rien. Il se contente d'agiter son truc à deux mètres de la jeune fille à présent assise sur les planches. Les bras croisés sur ses cuisses, Clémentine observe, silencieuse avec le plus grand sérieux. << Vous appréciez ? >> demande le vicieux.

<< J'aime les hommes vicieux ! >> répond Clémentine. Elle rajoute : << Surtout quand ils ont du vécu ! >>. Monsieur Bertrand, une fois encore satisfait, se dirige vers la porte en disant : << Il faudra quand même y gouter un de ces jours. Vous me feriez plaisir ! >>. Clémentine se contente de sourire. Le voisin s'en va sur un << Bonsoir Clémentine ! >>. Je descends la rejoindre. Nous regardons par la fenêtre pour le voir arriver dans son jardin. Nous pouvons sortir.

Clémentine s'occupe de la salade en me racontant ses impressions. Elle n'arrête pas de rire. Je fais les crêpes. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me confie ses ressentis. Son profond désir de sucer ce vieux salaud. << Tu as vu sa petite bite. Toute lisse et brillante ! >> me fait plusieurs fois Clémentine. Nous dégustons des crêpes aux fromages. Puis des crêpes au sirop d'érable. C'est un régal. Nous traînons à table. Clémentine est assise sur mes genoux.

Elle me raconte à quel point cette situation l'amuse. Notre voisin est un homme affable, plein d'humour et doté d'une sérieuse culture générale. Un intellectuel en quelque sorte. << Un cérébral surtout ! >> précise Clémentine. La vaisselle. Nous passons au salon. J'y entraîne Clémentine tenue par ses cheveux. Je suis vulgaire. J'ai ce comportement "sévère" qu'elle aime tant. << Je suis une telle salope qu'il faut me remettre sur le droit chemin "Maître" ! >> dit elle en se mettant à genoux.

Je fais : << Chère "Soumise", je suis impatient de voir de quoi vous êtes capable avec ce vieux salopard ! >>. Je frotte ma bite sur sa gueule. Je lui administre une gifle en disant : << Belle salope ! >>. Ce ne sont jamais des actes de violence. Cela fait partie du jeu de rôles. Je force Clémentine à se redresser. Elle retire son jeans et sa culotte. Je la soulève pour la déposer sur le bureau. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles comme nous aimons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment allumer le voisin avant de se faire tringler sur le bureau en confiant leurs impressions...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1421 -



Estelle a une préférence pour la tarte à la tomate

Hier matin, jeudi, c'est en accompagnant nos rêves que surgissent les chants de ces oiseaux mystérieux et le bruit de cette source. Cette application "miraculeuse" qui nous tire de nos profonds sommeils. Clémentine vient se blottir tout contre moi en gémissant. Il est presque six heures. La tête encore dans le cul, nous nous précipitons aux chiottes. Nos rituels pisseux avant de revêtir nos tenues de gym. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Deux bûches sur les braises de la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner. Je viens de me souvenir que j'ai rêvé d'Estelle. << Fais attention, je suis très jalouse et possessive ! >> me fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos folies avec Estelle. Elle nous manque soudain. Mais elle nous rejoint en soirée.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. La douche. Vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux nous descendons pour enfiler nos anoraks. Il est 7 h50. Il fait presque doux encore dehors. Le jour achève de se lever. Nous traversons le jardin. Sous l'abri à bois nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. il faut se dépêcher de rentrer.

Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'empile les bûches à côté de la cheminée dans laquelle j'allume un bon feu. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette septième nature morte destinée à ma saison d'été m'emplit d'une joie intense. Je peins animé d'un plaisir rare. Pour moi, la matinée passe à une vitesse incroyable.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans le feu. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine me confie la même impression en préparant la salade. Elle n'a pas vu passer la matinée. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Je lave et je coupe de belles tomates. Des champignons, de l'ail et un bel oignon. Je tranche les tomates. De façon très régulière.

Clémentine dépose les rondelles en spirale sur la pâte étalée dans le grand plat à tarte. L'ail et l'oignon finement émincés. Les rondelles de champignon. Il suffit de verser sur le tout le mélange œuf, crème fraîche, lait de soja. Clémentine y saupoudre du Parmesan finement râpé. Elle y dépose onze cerneaux de noix. Des graines de sésame grillé. Je met au four. Cuisson à 180° afin que la tarte mijote longuement. J'ai récupéré quelques tranches de tomates. Ail et oignon.

Je fais dorer deux filets de colin. J'y rajoute tomate, ail et oignon. Avec les coquillettes et du gruyère râpé c'est un délice. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. L'odeur qui monte du four promet un repas du soir tout aussi alléchant. Estelle sera contente, elle adore la tarte à la tomate. Nous aussi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur l'attitude de notre voisin hier soir. Le vieil exhibitionniste vicieux.

Je lui raconte ses comportements il y a de nombreuses années. Lorsqu'il draguait Christine, mon ancienne compagne disparue. C'était déjà un beau salaud il y a vingt ans. Pourtant, malgré mes sollicitations auprès de Christine, il ne s'est jamais rien passé. Nous en rions de bon cœur. Onze ans qu'elle est partie. Clémentine me pose toujours des questions précises sur des anecdotes de l'époque. J'ai une excellente mémoire. Nous faisons la vaisselle. Nous remontons.

Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Par la fenêtre nous voyons la camionnette de l'entreprise garée devant la dépendance. Pressés d'aller prendre l'air, nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks. Le ciel est gris mais lumineux. Le sol est trempé. Il fait presque doux. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. La conversation sur l'attitude de notre voisin, nous a considérablement excité.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Nous longeons le cour d'eau dont le niveau est au ras du sentier. Clémentine s'accroupit devant moi. Elle me sort le Zob. Les canards cancanent en approchant. Les poules d'eau et les colvert rappliquent à leur tour. Tous ces emplumés assistent à une fellation en tournant sur la surface de l'eau. Je fais le guet car notre voisin va probablement leurs apporter du vieux pain et des boules de graisse aux graines.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Nous ne nous attardons pas. J'aide Clémentine à se redresser. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses jambes endolories. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Du foutre épais et visqueux qu'elle dilue de sa salive pour pouvoir le déglutir sans peine. D'un mouvement de tête, avec une légère grimace, elle avale. << Tu as bon gout ! >> dit elle en m'entraînant par le Zob. Elle marche devant moi sur l'étroit sentier.

Nous remontons le chemin. Voilà monsieur Bertrand. Notre voisin porte un petit sac contenant la bouffe pour les emplumés. Nous bavardons. Pas un seul instant il ne se doute que je suis parfaitement informé de ses agissements exhibitionnistes. Le vieux scélérat est un rusé coquin. C'est donc avec un aplomb total qu'il parle des travaux qu'il compte faire réaliser chez lui. Par contre, je remarque son regard fuyant quand Clémentine lui adresse la parole. Gêné.

Nous le saluons. Nous allons sous l'abri à bois afin d'y remplir la corbeille d'une dizaine de bûches. Des bruits de perceuse, de scie sauteuse nous parviennent de la dépendance. << Ça bosse ! >> fait Clémentine qui évoque l'attitude de monsieur Bertrand. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes joies que ce matin.

Il est 17 h lorsque Clémentine vient me rejoindre. Elle me couvre le visage de bisous. Telle une actrice de théâtre elle déclame son texte en tournant autour de moi. C'est l'écrit qu'elle doit remettre demain matin. Quel talent d'écriture ! C'est d'ailleurs elle qui corrige le plus souvent les récits postés sur ce forum. Quand il n'y a pas trop de fautes c'est elle. Le français étant ma seconde langue, je n'en maîtrise pas toutes les subtilités, l'orthographe et la grammaire.

<< Pour un écossais tu te débrouilles vraiment bien ! >> dit elle souvent pour me rassurer. Je pose ma palette et mes pinceaux pour applaudir. Je félicite Clémentine pour la qualité de son texte. Elle le relit une seconde fois en s'approchant pour palper la bosse sous ma blouse. Elle se vautre dans le vieux canapé pour corriger les dernières tournures qu'elle juge inaptes. Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. J'ai la bite qui pend.

Je rejoins Clémentine dans le vieux canapé. Elle s'allonge sur le dos, sa tête sur mes cuisses. Les yeux fermés elle frotte sa joue contre ma bite. Je lui caresse la tête. Je lisse ses cheveux qu'elle a dénoué. Ce soir, aucune manifestation surnaturelle. Le seul bruit dans le corridor est l'arrivée d'Estelle. Elle entre dans l'atelier en sautillant vers nous. Elle aussi vient de terminer son écrit. Elle nous fait la bise. Clémentine se redresse. Je suis assis entre mes deux anges.

Les filles parlent de leurs textes. Estelle, tout en bavardant, joue avec ma queue molle. J'ai passé mes bras autour de leurs épaules. Nous sommes tellement contents d'êtres à nouveau tous les trois. Pour les vacances à venir, Estelle nous rejoindra tous les soirs après son travail de bureau. Après avoir aidé sa maman dans l'entreprise familiale. Elle passera la nuit avec nous pour repartir vers neuf heures. La coquine a déjà tout programmé. Elle me fait plein de bisous.

La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle dresse la table. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée à midi. Je réchauffe la tarte à la tomate. << Génial ! >> s'écrie Estelle qui se met à gambader tout autour de la table. Elle m'attrape la queue pour me tirer comme par une laisse. << Tu seras un vrai salaud durant ces vacances, s'il te plaît Julien ? >> me fait elle. Clémentine lui répond : << Mais tu ne t'emmerdes plus ! >>

Elle nous rejoint dans une folle farandole. La sonnerie du four. Nous nous précipitons. << Ne va pas te brûler la bite, je sors la tarte ! >> lance Estelle qui s'empare des maniques. Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent de leurs écrits. Ces textes qu'elle vont rendre demain matin. J'écoute car c'est intéressant. Rien n'est d'ailleurs plus intéressant que les stratégies féminines. C'est riche d'enseignements. Elles savent ruser dans tous les domaines. C'est superbe.

Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles évoquent nos folies à venir. Estelle a le désir de réaliser un nouveau film en extérieur. Il faudra demander à Juliette de nous prêter un cheval. Je bande comme un salaud dans la main d'Estelle qui nous dévoile le scénario. Une jeune fille fait du cheval au bord de la rivière. Elle tombe sur un satyre. Un exhibitionniste. Une conversation improvisée s'engage. Puis la fille descend de son cheval.

C'est encore une histoire hautement érotique. Clémentine demande quelques précisions. Je dis :: << Il y a de fortes probabilités pour que Juliette veuille assister au déroulement des scènes ! >>. Clémentine rajoute : << C'est certain ! >>. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Clémentine par la main. Estelle par la queue. Elles me font tomber dans le canapé. Estelle me retire les baskets. Clémentine me descend le jeans et le slip.

Me voilà comme elles, juste en chemises à carreaux et en chaussettes. Elles me tirent pour m'entraîner dans une farandole dans toute la grande pièce. Ce sont juste les deux grosses bougies qui éclairent le salon. Estelle improvise des paroles sur une mélodie. Clémentine et moi nous les répétons. Nous rigolons comme des fous. Estelle s'arrête net, empoigne ma bite et mes couilles en disant : << Passons donc aux choses sérieuses. Celles qui nous préoccupent ! >>.

Clémentine s'accroupit pour observer. Je lève les pans de ma chemise ouverte. Estelle s'accroupit à son tour. Elle frotte son visage contre mes attributs virils. Clémentine frotte son visage contre mes cuisses. Elles gémissent toutes les deux. Quel bonheur d'être à nouveau ensemble. << Notre couple à trois ! >> comme nous appelle Estelle. Je les saisis toutes les deux par leurs cheveux dénoués. Je les aide à se redresser pour les entraîner vers le canapé.

Les voilà vautrées toutes les deux en présentant leurs croupes poilues. Il y a un des épais coussins entre les pieds de chacune. Je suis à genoux. Mon visage entre les cuisses d'Estelle. Je commence toujours par son croupion. Les filles se masturbent déjà toutes les deux. Quand je suce son clitoris, Estelle se met à ronronner de plaisir. Elle se cale encore mieux au fond du canapé. Je passe à la chatte de Clémentine. Je suce son clitoris géant en fouillant ses peaux.

J'adore être le chef d'orchestre qui dirige cette symphonie de petits cris, de gémissements et de râles de bonheur. J'adore quand elle m'attrapent par les oreilles pour guider ma tête. Je me régale de jus de filles jusqu'à l'ivresse. Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre doucement. D'un dernier coup de reins, elle s'enfile toute la bite pour se mettre à bouger frénétiquement. Je pratique la "machine à coudre" sous le regard de Clémentine qui se masturbe en mâtant.

Je passe à Clémentine que je pénètre avec d'infinies précautions. Avec elle, c'est reposant car nous aimons bouger le moins possible. Estelle nous observe en se masturbant. J'alterne. Je passe de l'une à l'autre. L'orgasme d'Estelle la fait hurler de plaisir. Celui de Clémentine la fait pisser dans la cuvette. Elles m'entraîne par la queue aux toilettes pour nos rituels pisseux. Je me régale encore. Elles aussi. Au lit, Estelle s'endort presque de suite contre moi. Clémentine me taille une pipe.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver à trois pour de longues folies buccales et de bonnes pénétrations...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1422 -



Julie est toute content de visionner son film avec nous

Hier matin, vendredi, c'est en accompagnant nos rêves que notre application nous réveille avec toute sa douceur. Les chants de ces oiseaux mystérieux, le bruit de cette petite source. Il est presque six heures. Estelle qui est restée accrochée à moi toute la nuit se serre encore plus fort en gémissant. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Nous tentons d'émerger davantage pour nous lever. Estelle est la première à le faire pour se précipiter vers la porte.

Ses vêtements de sport à la main. Nous nous habillons. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et du feu qui reprend dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent l'écrit qu'il faut remettre ce matin. << Put-hein, à midi c'est les vacances ! Enfin ! >> lance Estelle, euphorique.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Là aussi ce sont les rituels habituels. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle doit nous quitter pour rentrer. << A demain, 14 h ! Soyez sages ! >> fait elle en dévalant les escaliers. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans et chemises à carreaux. Nous descendons pour enfiler nos anoraks. Il est 7 h50. Nous sortons dans une étrange douceur matinale.

Le jour se lève. Nous traversons le jardin pour aller jusqu'à l'abri à bois. Nous y remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en lignes commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume le feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans cette sorte d'euphorie offerte par mes anges au levé.

Il est 11 h30 quand je dépose la dernière touche de bleu de cobalt sur la surface de la toile. Je termine à l'instant cette septième nature morte destinée à ma saison d'été. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je mets le tableau terminé sur le second chevalet afin qu'il y sèche tranquillement. Je dépose une nouvelle toile sur le chevalet. La huitième et dernière nature morte. Le dessin préparatoire et la couche d'impression sont déjà réalisés. Il est 11 h55. Clémentine me rejoint.

<< Les vacances ! >> chante t-elle en m'entraînant dans une sorte de danse tribale. Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Elle me couvre le visage de bisous. Ses jambes enserrent mes hanches. Je l'emmène ainsi pour quitter l'atelier. Nous allons dans la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de tarte à la tomate. C'est encore meilleur réchauffé. Je poêle deux filets de lieu noir auxquels je rajoute des champignons, de l'ail et de l'échalote.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa matinée. Son texte terminé qu'elle a envoyé en pdf avec d'autres documents. Les résultats arriveront en fin de semaine prochaine. << Deux semaines de vacances, Julien, comme je suis heureuse ! >> fait elle pour conclure chacune de ses phrases. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain.

Pressés d'aller voir l'état du chantier, nous courons presque dans les escaliers. Nous mettons nos anoraks que nous pouvons laisser ouverts. Il fait si doux. Le thermomètre extérieur indique 16°. Le ciel est gris mais lumineux. Le sol est trempé. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Clémentine m'entraîne par la main. Nous entrons dans la dépendance déserte. Il n'y a plus personne jusqu'à lundi. Les pierres réfractaires de la cheminée ont été montées. C'est superbe.

Tout est propre, soigneusement rangé. La découpe dans le plafond pour permettre d'assembler le nouvel escalier nous permet d'apercevoir l'étage. Nous montons l'échelle double pour passer par l'étroit rectangle. Quelle surprise. Toute une grande partie du haut est habillée de lambris de chêne. C'est absolument magnifique. Les cloisons de plaques de plâtre ont été dressées. Il y aura là une grande chambre, une salle de bain, un cabinet de toilette et un coin cuisine. Tout est déjà bien situé.

L'entreprise a suivi les plans conçus par Clémentine. Je la félicite. Nous allons voir l'ouverture béante découpée dans le vieux plancher. C'est par là qu'on arrivera en montant l'escalier. Nous redescendons prudemment l'échelle. Clémentine m'entraîne dans une ronde folle. Elle s'arrête soudain, un air grave, elle dit : << Tu te rends compte la vie de merde que j'aurais dans une chambre d'étudiante, sans toi ! >>. Je l'embrasse afin qu'elle ne continue pas dans cette voie. Elle se serre fort.

Elle veut revenir sur le sujet. Je recommence en glissant ma main dans son jeans. Elle glousse en fouillant ma bouche de sa langue exploratrice. Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte. J'ai rapidement la bite à l'air. Il fait encore bien chaud dans la dépendance. Les employés ne sont partis qu'il y a un peu plus d'une heure. Leur chauffage au gaz fait des miracles. Clémentine s'accroupit devant moi. << Mon bon "Maître", soyez exigeant avec moi ! >> murmure t-elle.

Je lui frotte la queue sur la gueule en disant : << Chère "Soumise", je vous promets des moments exaltants et d'une intensité rare ! J'exercerai mon art sans vous prévenir. Par surprises ! >>. Clémentine gobe mon sexe qu'elle se met à téter comme un nouveau né affamé. Je lui caresse la tête. Je regarde autour de moi. Ce chantier qui deviendra une luxueuse maison d'habitation. Nous ne savons pas pour qui. Mais ce sera une superbe "maison d'ami". Je me fais tailler une pipe des familles.

Je retire ma bite de la bouche gourmande de ma suceuse. Je l'aide à se redresser. Un bruit de moteur. Nous allons voir à la fenêtre. << Julie ! >> lance Clémentine avant de rajouter : << Garde ta bite à l'air ! Elle aime ! >>. Nous sortons pour l'accueillir. Julie est vêtue de son blouson de cuir noir, de son jeans, chaussée de ses bottines brunes. Elle est toute contente. Nous l'invitons à venir visiter le chantier. Clémentine lui explique l'ordre chronologique des travaux.

De son petit sac à dos en cuir, Julie tire le flacon de gel hydroalcoolique. En riant, tous les trois, nous nous frottons les mains. Aucun de nous, ni de nos connaissances n'a jamais de contact avec personne. Mais ce rituel permet une sorte de prévention prudente. On ne sait pas de quoi. Mais ça rassure. Julie fait mine de ne pas avoir vu la queue qui pend mollement de ma braguette. Cette attitude toute féminine qui m'enchante toujours. Nous quittons la dépendance pour rentrer.

Nous voilà au salon. De la poche de son jeans, Julie tire une clef USB en forme de fusée. << Le film ! >> dit elle en la tenant comme un trophée. Clémentine lui propose de l'introduire dans l'ordinateur relié au téléviseur. Elle donne la télécommande à Julie. Nous sommes vautrés dans le canapé. Clémentine entre Julie et moi. Pour le film à Julie, pas de montage. C'est exactement comme il a été réalisé. A l'écran, on me voit entrer dans les toilettes du restaurant.

Nous éclatons de rire en revoyant mon déguisement. Impossible de me reconnaître avec ma fausse moustache noire et mes lunettes noires. Je ressemble en tous points à la photo de mon avatar. Pour les besoins du film et selon le désir de Julie, je suis vêtu d'un costume, chemise et cravate. A l'écran, on me voit debout devant un des deux urinoirs muraux. Une fois encore Clémentine a filmé de façon remarquable. En qualité 4K ces images sont d'une incroyable netteté sur l'écran géant.

J'invite le lecteur à relire le récit narrant cette aventure dans le texte de samedi dernier. Il pourra revivre ces palpitants instants. Julie fait des arrêts sur image. Elle a visionné ce film plusieurs fois. << Mais là, avec les deux semaines de vacances, je vais partir à la découverte de tous les détails ! >> dit elle. Je la regarde. Elle fuit mes regards. Je bande comme un salaud en revoyant ces scènes d'une invraisemblable intensité lubrique. << Merci. C'est vraiment génial ! >> lance encore Julie.

La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève d'un bond pour aller le saisir sur le bureau. << Juliette ! >> s'écrie t-elle. Sur mode haut parleur, nous entendons la courte conversation. Juliette ne pourra pas passer en fin d'après-midi. Trop de contraintes. Je vois le soulagement sur les traits de Julie. Les deux femmes ont entretenu une relation amoureuse. Julie n'avait aucune envie de croiser Juliette. Clémentine vient nous rejoindre. Une main qu'elle glisse dans son jeans.

C'est là que je découvre que Julie aussi a glissé une main dans son jeans. Nous visionnons les 55 minutes de ce film avec de nombreux arrêts sur image. Les filles commentent les situations les plus torrides. Julie passe certaines scènes au ralenti, fait des zooms, revient en arrière. Ce film témoigne parfaitement de nos vices les plus intimes. Quand je nous revois à l'écran, j'ai peine à croire que c'est nous. C'est absolument génial de voir Julie dans le film et assise à ma gauche.

C'est hyper excitant de voir la fille du film assise près de moi. C'est probablement une des situations les plus excitantes qui soient. Nous ne voyons pas le temps passer. Julie reprend les livraisons de repas pour 18 h30. Elle a le désir de passer nous voir le plus souvent possible. Clémentine l'invite à le faire sans restriction. Nous nous levons pour raccompagner Julie jusqu'à son auto. Dans le hall, en mettant son blouson, elle daigne enfin regarder ma queue. Je bande comme un salaud.

J'ai maculé mon jeans de foutre tout autour de ma braguette. J'ai la bite qui dégorge de sperme. << C'est le film qui vous fait cet effet là ? >> demande Julie, espiègle et mutine. Je réponds : << C'est le film certes, mais c'est surtout l'actrice que j'y ai admiré ! >>. Julie soudain toute gênée me fait : << Merci ! >>. Julie a d'autres projets "cinématographiques". Elle est entrain d'en dresser la liste. Elle nous soumettra quelques idées la semaine prochaine. Elle vient passer le lundi soir avec nous.

Nous la regardons partir dans la nuit. Il est 18 h. La faim commence à se faire sentir. Quelle surprise, sur la table de la cuisine, il y a deux paquets en papier kraft. Clémentine en déballe un. Ce sont des tourtes aux fruits de mer. C'est donc ça qu'il y avait dans le grand sachet que tenait Julie en arrivant. Il y a juste une salade à préparer. J'aide Clémentine à concocter un assaisonnement. Nous n'arrêtons pas de nous embrasser, de nous toucher. J'ai la queue qui dégouline de jute.

Clémentine s'installe sur une des chaises, le dossier entre ses cuisses. Les bras croisés sur le support, elle ouvre grand la bouche. Je m'approche. Je n'ai qu'à y glisser ma bite molle et trempée. Immédiatement elle se met à sucer passionnément. Je lui caresse la tête en murmurant mes impressions. Ce film. Julie qui y interprète son propre rôle. La voyeuse. Dans ce film, Julie donne toute la mesure à son personnage. Elle a immortalisé là ses tendances, sa déviance préférée.

Les tourtes aux fruits de mer sont dans le four à bois. Pas de sonnerie pour prévenir. Je sors donc régulièrement mon sexe de la bouche de Clémentine aller voir la cuisson. Nous dressons la table. << Quand je commence à sucer, je ne peux plus m'arrêter ! >> me confie une fois encore Clémentine. Je lui dis : << Après le repas, je vais te bouffer la chatte mon amour ! Je la veux sirupeuse, liquoreuse et juteuse ! >>. Clémentine prend ma main pour la glisser dans sa culotte.

<< C'est comme tu aimes ? >> demande t-elle en empoignant mon Zob. C'est génial. Mes doigts flottent carrément sur les lèvres charnues de sa vulve. Je me les lèche pour les y fourrer à nouveau. Cela amuse tellement Clémentine qu'elle descend son jeans et sa culotte. Je n'en peux plus. Je tombe à genoux. Elle s'assoit sur la chaise pour m'offrir le plus merveilleux croupion de la création. << Arrête, c'est trop bon, ça va brûler dans le four ! >> dit elle en me repoussant doucement.

Nous mangeons de bon appétit. Quelle superbe surprise que nous a fait Julie. Nous traînons à table. Je me lève pour venir frotter ma bite contre la joue de Clémentine. Tout en mangeant, quand sa bouche est vide, elle me suce. La vaisselle. Nous passons au salon. Nous sommes en chemise et en chaussettes. Clémentine pénétrée jusqu'à la garde, couchée sur le bureau, un coussin sous sa nuque. Elle pousse de petits cris d'animal blessé en se faisant tringler. Le bonheur.

Bonne soirée à toutes les coquines que les films pornos personnels excitent au plus haut point. Jusqu'à se faire troncher sur le bureau...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1423 -



Le premier jour des vacances

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par de légers frottements des draps. Clémentine sait quand je me réveille. Moi, je ne m'en rends pas compte mais ma respiration change. Elle vient se blottir contre moi. << J'ai fait un rêve très cochon ! >> me murmure t-elle à l'oreille en se frottant contre moi. Une cuisse sous mes reins, l'autre sur mon ventre, elle se masturbe contre ma hanche. C'est adorable. Je chuchote : << Tu me le racontes devant un bon petit déjeuner ! >>.

Il est 8 h. Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes. Dès nos rituels pisseux terminés nous revêtons nos tenues de sport pour dévaler les escaliers. Clémentine fait le café en me parlant du voisin. C'est de monsieur Bertrand qu'elle a rêvé. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons un bon petit déjeuner. Dehors le ciel est gris mais lumineux. << On se fait un jogging ! >> lance Clémentine. Je trouve la suggestion heureuse car cela nous manque vraiment.

De s'entraîner en salle ne remplace pas la course au grand air. Même si les exercices ne sont pas les mêmes. Nous mangeons de bon appétit, sans traîner. Nous enfilons nos K-ways. Il fait presque doux. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous montons le chemin pour laisser le portail ouvert. Nous courons sur le bord de la route étroite et déserte. Trois kilomètres dans un sens, en passant devant le haras. Nos abdos sur les bancs en bois dans la clairière.

Il est 9 h30 quand nous sommes de retour après une heure d'un running des plus gratifiants. Ça fait du bien et ça décrasse. La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Le portail est resté ouvert. Nous ressortons. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'à la dépendance. Nous revenons voir le chantier en plein jour. Les travaux avancent à grande vitesse. Leurs achèvements sont prévus pour le lundi 15 février. A la vue de ce qui est déjà fait le délai sera respecté.

Les éléments de l'escalier sont déjà prêts à êtres montés. De beaux montants en chêne. Pareil pour les marches, les rampes et les encorbellements. Un escalier monté selon la tradition, sans vis, sans clous et sans parties métalliques. Un bruit de moteur. Nous sortons. C'est la camionnette des fruits et légumes. C'est la même jeune femme. Elle porte son masque sanitaire. Nous la saluons. Du hayon arrière de son véhicule elle tire deux gros cageots déjà préparés.

L'un contient nos légumes et nos fruits. L'autre contient nos produits frais. Fromages, beurre, crème fraîche, œufs et yaourts. Une abondance de kiwis dont nous faisons grande consommation. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. La camionnette s'en va qu'à peine arrive celle de la boulangère. Madame Marthe porte son masque sur son menton. Cela nous amuse toujours beaucoup. << Il n'y a pas plus de virus au bourg que d'or dans mes bas ! >> dit elle.

Cette fois nos deux grosses miches de pain complet et bio sont dans un cageot. Deux brioches au pudding et quatre pâtes feuilletées. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. Nous saluons la dame. Nous passons par derrière pour descendre dans la cave. Nous rangeons nos fruits et nos légumes dans le cellier. Un pain, une brioche et les pâtes feuilletées dans le congélateur. Nous montons. La cuisine. Nous rangeons les produits frais au réfrigérateur.

<< Il est à peine 10 h45 et tout est déjà fait ! >> lance Clémentine en me prenant dans ses bras. << Je t'aime Julien ! >> dit elle plusieurs fois. Nous décidons de commencer le ménage. Ainsi nous serons tranquille pour le reste du week-end. Nous montons à l'étage. Changer les draps, faire la chambre. Clémentine passe l'aspirateur partout. Je la suis avec la serpillère. Nous nettoyons la salle de bain et les cabinets. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous. De nous chuchoter des trucs.

Il est 11 h45 quand nous redescendons. Il commence à faire faim. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules encre un peu congelées. Je verse les haricots verts et les petits pois à peine décongelés dans le wok. Le samedi, on ne s'emmerde pas. C'est du congelé. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit tout en riant beaucoup. Car Clémentine est revenue sur son rêve. Comme dans la réalité, monsieur Bertrand est aussi vicelard dans ses rêves.

<< Celui-là, il ne perd rien pour attendre. Montrer sa queue à une jeune fille ! Tu vas voir mon salaud ! >> fait elle à plusieurs reprises. Nous en rigolons comme des bossus. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie des stratégies possibles pour entraîner notre voisin dans quelques pièges typiquement féminins. << Je vais le corrompre encore davantage ! >> dit elle. Nous éclatons de rire. Il y a des trucs bien sournois.

La vaisselle. Nous remontons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Clémentine mime une fellation mousseuse avec sa brosse à dents. Elle me fait rire. Après s'être rincée la bouche, elle me dit : << Il a un gout de crème dentifrice ce vicieux de monsieur Bertrand ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous redescendons pour continuer le ménage du bas. Ces histoires de voisinage scabreux nous ont quelque peu excité. C'est si drôle.

Clémentine passe l'aspirateur partout. Je la suis avec la serpillère. Nous nettoyons la cuisine et les chiottes. Il est presque 14 h quand tout est propre et nickel. Nous sortons pour fuir l'odeur de chlore persistante pendant une bonne demi heure. Il fait très agréable. Le ciel gris mais lumineux n'est pas du tout menaçant. Nous pouvons même nous assoir sur les rochers au bord du bassin vide. Un bruit de moteur. C'est Estelle. La voiture d'entreprise descend doucement.

Elle se gare devant le garage. Elle nous a vu. Elle sort le grand sac de sport qui contient ses vêtements de change. Elle le laisse sur le haut du perron pour venir nous rejoindre en sautillant. << Ensemble, jusqu'à toujours ! >> lance t-elle en nous faisant des bises. Elle s'assoit sur mes genoux pour nous raconter son vendredi après-midi. Au bureau de l'entreprise familiale avec sa maman. Les courses à l'hypermarché ce matin, avec sa maman également. Elle prend un air espiègle.

<< Maman m'a reparlé des photos qu'elle avait trouvé il y a plus d'un an ! Vous vous souvenez ? >> fait elle. Bien sûr que nous nous en souvenons. << Eh bien elle m'a avoué en avoir fait une copie ! >> lance Estelle avant de prendre un air faussement navrée. << Elle fantasme sur sa fille ? >> demande Clémentine. << Non, mais elle m'a promis de me raconter quelque chose du même ordre bientôt ! >>. Nous restons silencieux. Cela ouvre les portes à toutes les spéculations.

Nous restons assis dehors. Il fait très agréable. Le thermomètre extérieur indique 18°. Nous sommes en chemises à carreaux. << Même pas froid ! >> lance Estelle qui change de position pour se mettre à califourchon sur moi. Je suis en appui sur mes coudes. Estelle a ses genoux posés sur la roche. Elle frotte sa braguette contre la mienne. << Tu seras bien salaud ce week-end ? >> me demande t-elle. << Mais tu ne te fais plus chier avec mon mec ! >> s'écrie Clémentine. Pour de rire.

Je dis : << Toi, un jour, je t'enferme dans une cage toute l'après-midi pour venir te nourrir au sperme ! >>. Estelle me couvre le visage de bisous en disant : << T'es pas chiche ! >>. Nous éclatons de rire quand elle rajoute : << Il y a même pas de cage ! >>. Clémentine rajoute : << C'est un fantasme aussi. Il suffit d'en fabriquer une ! Avec le reste des lattes du chantier ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. << Je m'en charge ! >> fait encore Clémentine.

Il est 15 h. Là-bas, sur le chemin qui descend à la rivière, nous apercevons monsieur Bertrand. Notre voisin va probablement accrocher ses boules de graisses aux branches. Nourrir les canards, les colverts et les poules d'eau. C'est pour ça que ces animaux ont colonisé toute cette partie de la rivière. Il ne nous a pas vu. << On se le fait quand ? >> demande Estelle. << Oh mais je n'arrête pas d'étudier des "plans" pour l'attirer dans un piège ! >> répond Clémentine. Je l'y encourage.

<< C'est une bonne occasion qui se présente. Il va forcément remonter ! >> suggère Estelle. Je propose d'aller dans la dépendance. Je me planque à l'étage et les filles s'amusent. << T'es d'accord ? >> me demande Clémentine sachant déjà ma réponse. Je me contente de lui déposer un bisou sur la bouche. Estelle se lève d'un bond. Clémentine aussi. Elles me tendent leurs bras en disant : << Viens ! >>. Je me redresse. Elles m'entraînent par les mains. Nous entrons dans la bâtisse.

Par une des fenêtres on voit bien le chemin. On le verra remonter. Estelle me propose de m'accompagner à l'étage. Nous montons l'échelle double avec précaution. Clémentine reste en bas. Nous parlons. Nous rions de la farce que nous allons encore réserver à ce retraité vicieux. << Bertrand le chouan ! >> comme l'appelle Estelle. Clémentine guette à la fenêtre. Elle a déboutonné son jean pour glisser sa main dans sa culotte. Nous faisons pareil Estelle et moi à l'étage.

Nous attendons en plaisantant et en riant de nos bêtises quand Estelle, près d'une des fenêtres rondes du haut s'écrie << Gaffe, le voilà ! >>. Nous prenons nos positions. Clémentine ouvre la fenêtre pour être vue depuis le chemin qui passe à vingt mètres. Elle tourne le dos à l'ouverture. J'hallucine. Elle se touche. Cambrée sur ses genoux fléchis c'est ainsi qu'elle se fait surprendre par monsieur Bertrand. Il s'approche de la fenêtre pour dire : << Coucou ! Bonjour ! >>.

Clémentine sursaute. Elle joue parfaitement la comédie. Elle se retourne pour répondre : << Bonjour. Excusez moi ! Je suis tellement contente avec l'avancée des travaux ! >>. Monsieur Bertrand lance : << Oh oui, je comprends ! Je peux entrer par la porte ? >>. Clémentine l'invite à la rejoindre. Elle reboutonne son jeans. Monsieur Bertrand contourne la bâtisse pour entrer par la porte. Il reste toujours à distance. Ce qui est parfait. Estelle est tout contre moi.

Nous regardons en retenant nos respirations. Il faut rester extrêmement discrets. Il fait jour. Il faut observer par les ouvertures entre les lames du vieux plancher. Ne pas les faire grincer. Ne pas trahir nos présences. << Regarde ! >> chuchote Estelle à mon oreille. Le vieux salaud a sorti sa queue pendant qu'il faisait le tour de la bâtisse. Il fait le tour de la grande pièce en commentant les travaux. Il trouve excellente l'idée d'avoir fait enfin aménager cette dépendance.

Il tient sa bite minuscule à sa base. C'est exactement comme une petite saucisse Viennoise. Lisse et régulière. Il se tourne plusieurs fois vers Clémentine pour l'agiter doucement dans sa direction. Il demande : << Il n'est pas avec vous Julien ? >>. Clémentine le rassure d'un mensonge complice : << Non, il va venir me rejoindre après, il n'est pas en vacances comme moi ! >>. Cette réponse permet à notre drôle de continuer son exhibition sexuelle en parfait effronté salace.

Clémentine s'est assise sur les éléments de l'escalier. Elle discute avec notre voisin en l'observant. Le salaud n'est pas gêné le moins du monde. Tout en bavardant il agite sa petite queue. << Appétissante ! >> me chuchote Estelle. Je murmure : << Chut ! >>. Monsieur Bertrand en arrive aux propositions habituelles. Sans jamais insister toutefois. Il se contente de suggérer. << Le jour où vous voudrez y gouter, faites le moi savoir. Je vous la prépare aux petits oignons ! >> dit il.

<< Volontiers ! >> répond Clémentine qui éclate de rire. << Regardez, vous me faites bander Clémentine ! >>. Nous ne voyons pas de réelle différence. Son sexe reste toujours aussi minuscule. Une petite saucisse fine et luisante d'à peine cinq ou six centimètres. Clémentine pose la question qui tue : << Et votre femme ? >>. Monsieur Bertrand a un réflexe. Il se tient soudain bien droit, remballe sa queue pour dire : << Elle a mal à la tête tous les soirs ! Depuis dix ans ! >> dit il.

Estelle et moi avons du mal à garder notre fou rire. << Je comprends ! >> se contente de rajouter Clémentine. Ils éclatent tous les deux d'un rire sonore. << Je vais vous laisser Clémentine. J'ai ma belle-mère à la maison. Et c'est pas triste ! >> fait il en se dirigeant vers la porte. Il se retourne, empoigne sa braguette d'un geste vulgaire en disant : << C'est quoi le signal quand vous serez désireuse de gouter ? >>. Clémentine répond : << Un chiffon jaune à la fenêtre de l'étage, ici ! >>.

Elle montre le plafond du doigt. Monsieur Bertrand rajoute : << C'est noté ! >>. Il sort. Nous restons encore en haut. Estelle est serrée contre moi. Nous regardons le voisin redescendre vers sa propriété. Nous rejoignons Clémentine. Sa main dans sa culotte elle dit : << Vous avez vu, vous avez entendu ! Le vrai salaud ! >>. Nous rions de bon cœur. << En tous cas, sa bite donne vraiment envie d'y gouter ! >> lance Estelle. << Avec de la moutarde ! >> rajoute Clémentine.

Nous en rigolons comme des bossus. Hormis son comportement de scélérat avec ma compagne, derrière mon dos s'imagine t-il, monsieur Bertrand est le plus parfait des voisins. Depuis plus de 25 ans il a toujours été un exemple de gentillesse, de serviabilité et de politesse. Il draguait déjà Christine, ma compagne disparue il y a quinze ans. Même comportement. Mais tout de même moins "appuyé". Nous quittons le chantier pour traverser le jardin. Je récupère le sac de sport d'Estelle.

Nous rentrons. << J'ai ramené du boulot qu'il faut que je termine ! >> fait Estelle. << Oui, moi aussi, il faut que je fasse du tri ! >>. Je propose de passer dans l'atelier. Il n'est que 16 h30. Je pourrai commencer le dessin préparatoire d'une de mes prochaines scènes de genre. Nous adorons l'ambiance très particulière qui règne dans l'atelier. J'y allume un bon feu. Les filles sont debout devant la table de travail rapidement recouverte de classeurs et de feuilles de papier.

Je réalise un dessin à partir du calque d'une de mes anciennes œuvres. Une scène d'intérieur dans l'esprit hollandais du XVIIème. Trois personnages. Deux femmes à qui je donnerai les traits d'Estelle et de Clémentine. Un homme qui aura les miens. Ne sommes nous pas les meilleurs modèles immédiatement disponibles ? Les filles rangent et trient tout en parlant de leurs cours en ligne, du télé travail et de l'ambiance de la faculté des sciences qui leurs manquent beaucoup.

Il est 19 h. La faim se fait cruellement ressentir. Nous laissons tout en suspend pour aller à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle et moi nous épluchons les pommes de terre, les carottes, le navet, le céleri, du choux vert, de l'ail et de l'oignon. En grosses quantité afin d'assurer les trois repas du week-end. Cuisson traditionnelle dans la vieille cocotte en fonte noire. Pendant qu'Estelle remue, je pane trois beaux dos de cabillaud blanc. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche.

En fin de cuisson, après avoir retiré la poêle du feu, c'est un délice avec un peu de gruyère finement râpé. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles reviennent sur l'aventure de l'après-midi. Dans la dépendance. Les attitudes de notre voisin. Sa "petite viennoise" comme l'appelle Estelle. << Tu mets le chiffon jaune à la fenêtre quand ? >> demande Estelle. Clémentine éclate de rire.

<< Quand les travaux seront terminés ! >> lance t-elle, espiègle et mutine. Je dis : << On aménage l'intérieur. Avec un bon lit, tu pourras baiser avec lui dans les toutes meilleures conditions ! >>. Clémentine m'empoigne la braguette pour dire : << Je veux juste sucer ! >>. Nous en rions de bon cœur. Estelle rajoute : << Avec sa petite bite, avec ce qu'il bande, tu ne risques pas d'être incommodée ! >>. Clémentine fait : << On se le fait toute les deux ! Tu veux ? >>.

J'écoute ces intéressants échanges féminins. C'est hyper excitant de les entendre faire des pronostics, élaborer des "plans" et envisager des possibilités. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Nous avons tous les trois le même réflexe. Trop excités. Nous retirons nos fringues à toute vitesse pour les balancer pêle-mêle sur le fauteuil. Nous sommes juste vêtus de nos chemises à carreaux et de nos chaussettes. Je saisis mes deux anges par la nuque pour les emmener sur le canapé.

A genoux sur les épais coussins posés entre leurs pieds. Je passe d'une chatte à l'autre. Je me prends un dessert onctueux. Leurs "yaourts" sont crémeux à souhait. Quand je les lèche, elles tripotent leurs clitoris. Quand je suce leurs clitoris, elles se laissent totalement aller en gémissant de bonheur. Estelle m'attire sur elle. Je passe de l'une à l'autre. Nous baisons comme des fous. L'orgasme d'Estelle est tellurique. Celui de Clémentine cataclysmique et pisseux. Il est 23 h. Nous montons.

Bonne soirée à se faire brouter le minou, à se faire défoncer la chatte à toutes les coquines qui font des "plans" sur la bite du voisin...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1424 -



Nous nous installons dans les vacances

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon profond sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans ma nuque. Par ses incessants mouvements de pieds contre les miens. Ses lèvres qui se referment comme une ventouse sur la peau de mon cou. Pas de doute, elle se réveille. Je glisse ma main dans sa culotte. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection matinale. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Il est 9 h.

J'ai mes mains dans les culottes. Nous savourons cet instant de bonheur intense. Estelle se lève d'un bond. Elle s'empare de ses vêtements pour se précipiter vers la porte en s'écriant : << Pipi ! Vite ! >>. Clémentine glisse sous les draps pour me téter la bite. C'est une bien étrange sensation le matin que de se faire sucer. Je caresse sa nuque, ma main sous ses cheveux. << Déjà ! Venez vite ! >> fait Estelle avant de descendre. C'est à notre tour d'aller pisser.

Morts de faim, vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. L'odeur de café, de pain grillé et de brioche. Estelle me saute au cou en disant : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Je fais pareil avec Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant la partie de cul de hier soir. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup de nos frasques.

Le dimanche, point d'entraînement, de gymnastique ou de jogging. Le ménage a été fait hier. Nous pouvons traîner autant que nous le voulons. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, mes deux anges reviennent sur l'attitude de notre voisin. La petite "saucisse Viennoise" à laquelle fait immanquablement penser sa queue minuscule. Même Estelle, d'habitude si frileuse lorsqu'il s'agit de sucer la bite d'un inconnu, semble sous le charme.

La vaisselle. Nous enfilons nos anoraks. Ce matin il fait à nouveau froid. Le ciel est uniformément gris et bas. Un ciel de neige. Nous traversons le jardin pour retourner dans la dépendance. Il fait froid dans la bâtisse. Nous admirons une fois encore la tenue et la propreté du chantier. Les éléments de l'escalier. << On se refait un "plan" ici ! >> lance Estelle en se serrant contre moi. Je palpe sa chatte à travers le tissu de son jeans. << J'adore quand tu es salaud ! >> me dit elle.

Nous ressortons pour nous diriger vers la rivière. Je marche entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Nous nous installons confortablement dans ces deux semaines de vacances à venir. Estelle a prévu un programme personnel qui lui permettra de passer le maximum de temps avec nous. Elle ne rejoindra sa maman au bureau de l'entreprise familiale que le matin à 10 h. Elle viendra nous rejoindre pour 17 h45 tous les soirs. Une excellente organisation.

Nous longeons la rivière sur l'étroit sentier. Estelle marche devant. Elle s'arrête souvent pour me faire un bisou. Clémentine marche derrière moi. Nous nous tenons tous les trois par la main chaque fois que le sentier le permet. Nous adorons nous embrasser tous les trois car nos bouches conservent le gout de la brioche au pudding. Nous arrivons au vieux lavoir à trois petits kilomètres. Là-bas, les bâtiments du haras. Nos mains sont froides. Nous nous les fourrons sous nos anoraks.

Une fois réchauffées, je fourre les miennes dans les culottes. << Mais j'adore quand tu es entreprenant comme ça ! >> me fait Estelle. << Moi, j'exige qu'à partir d'aujourd'hui il y ait toute les heures une telle démonstration ! >> dit Clémentine en glissant sa main dans ma braguette. Nous sommes tous les trois assis sur la pierre au bord du lavoir vide. Les filles évoquent Juliette, sont haras, ses tracas son indisponibilité. Ça nous ferait plaisir de passer du temps avec elle.

Nous prenons le sens du retour. Nous marchons un peu plus vite car la faim se fait sentir. Il est presque midi quand nous revenons. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe la potée de légumes. Je poêle les pavés de saumon. Je les enduis de moutarde à l'ancienne juste avant la fin de la cuisson. Estelle découpe de fines tranches de Morbier. Nous les disposerons sur les légumes dans nos assiettes. Tout est rapide. On ne s'emmerde pas. Il fait très faim.

Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur le cas Juliette. Nous irons la visiter cet après-midi. Une visite surprise. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent monsieur Bertrand, notre voisin, ses extravagances exhibitionnistes. << Cette fois, c'est moi qui le piège ! On va voir comment il se comporte le vieux salaud ! >> propose Estelle. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir.

Pressés de filer, nous descendons à toute vitesse pour mettre nos anoraks. Nos bonnets et nos gants. Le froid semble encore s'être accentué. Nous retournons dans la dépendance. Nous montons tous les trois l'échelle double pour guetter par une des fenêtres rondes. Ce n'est que de l'étage qu'on voit vers la propriété du voisin, là-bas à plus de 300 mètres. De rester statiques nous refroidis considérablement. C'est une sensation désagréable. Tans pis. Personne ne vient par ici.

Nous redescendons. Nous montons le chemin jusqu'au portail. Nous traversons l'étroite route déserte pour nous engager dans la forêt. Nous prenons le chemin de droite. Il est parallèle à la route à environ 500 mètres. Il mène au haras. Ce chemin est large et permet de marcher de front tous les trois. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les bras. Ça réchauffe de marcher vite. Nous arrivons en vu du haras par sa gauche. Nous prenons rarement ce chemin. Il y a des voitures.

Quelques cavaliers partent là-bas sur le sentier qui longe les prés. Il y a toujours du monde. Principalement des propriétaires de chevaux. Des gens qui viennent s'occuper de leurs bêtes en pension ici. Certaines personnes portent des masques sanitaires. Nous gardons précautionneusement nos distances. Nous entrons dans l'ancienne écurie. Notre préférée. Nous caressons le cou des chevaux. Leurs têtes qui dépassent de leurs box pour nous regarder avec curiosité.

Il y a deux groupes de gens. Il y a une écuyère qui revient de balade. Ici chaque activité éveille les curiosités. Les chevaux restent une attraction passionnante. Voilà Juliette qui sort du local bureau au fond des écuries. Elle est accompagnée d'un couple. Ils portent tous les trois leurs masques sanitaires bleus. Juliette nous aperçoit. Ses yeux s'illuminent soudain d'un sourire. Elle nous fait un coucou de la main. Elle est probablement en pleine discussion car elle rejoint le premier groupe.

Nous restons à l'écart. Nous ressortons car le second groupe de six personnes se dirige vers la sortie. Pas question de nous retrouver à moins de quelques mètres de n'importe quel individu. Se préserver, même si nous restons sceptiques quand à toute cette comédie. Nous voulons privilégier notre qualité de vie. Nous restons un peu dans la grande cour pour regarder les cavaliers qui reviennent ou qui partent. Voilà Juliette qui sort des écuries avec le premier groupe.

Elle aussi conserve soigneusement ses distances. Elle a un signe de regret de ses deux mains. Elle n'a pas de temps à nous consacrer. Nous la saluons d'un signe des mains. Au moins elle nous aura vu. Nous aurons témoigné de nos amitiés et de nos pensées pour elle. Nous reprenons le chemin dans la forêt. Nous y croisons deux cavalières que nous saluons. Un groupe de cinq cavaliers qui rentrent vers le haras. Il est 17 h quand nous revenons à la maison. Il fait un froid sec.

Un petit tour dans la dépendance. Le chantier et ses odeurs de bois, de plâtre et de béton. << On se réchauffe ! >> lance Estelle en saisissant nos mains. Elle nous entraîne dans une ronde. Nous tournons en rond en répétant les paroles surréalistes d'Estelle qui chante en improvisant des phrases. C'est vrai que ça réchauffe. Il fait jour plus longtemps. Nous sommes au début du mois de février. C'est appréciable. Nous quittons la dépendance glacée pour rentrer au chaud.

La nuit va faire place au crépuscule. Il fait bien chaud dans la maison. Nous allons faire un tour dans l'atelier. Sans le feu dans la grande cheminée, l'ambiance est différente. Mais cela reste malgré tout notre endroit préféré. C'est là que nous passons le plus clair de notre temps. Estelle allume une flambée. Clémentine me fait tomber dans le vieux canapé. Je glisse ma main dans sa culotte. Elle glisse sa main dans ma braguette. Nous nous embrassons comme des déments.

<< Et moi ? >> lance Estelle aux prises avec les bûches qu'elle rajoute à la flambée. Le tirage de la cheminée est excellent. Le feu y prend toujours très vite. Estelle vient nous rejoindre. Elle jette un des épais coussins au sol, entre mes pieds. Elle s'y met à genoux. Clémentine me sort le Zob pour le tendre à Estelle. Le dimanche, nous ne nous lavons jamais. Nous restons à macérer dans nos jus. Les passionnés de rapports génitaux buccaux que nous sommes adorent le gout "nature".

Estelle renifle longuement ma queue. Clémentine la décalotte légèrement. Immédiatement l'odeur de "thon" en boîte nous monte aux narines. Je pue de la bite comme rarement. Ça me gêne toujours un peu. << Pouah ! Mr Schlingo ! >> lance Estelle en se pinçant le nez. Nous la regardons faire d'horribles grimaces sans cesser toutefois de humer ma bite "fromageuse". Du bout de la langue, elle fouille mon prépuce en poussant de profonds râles de dégouts. C'est un jeu.

C'est ludique car Estelle, tout comme Clémentine, raffole d'une bite dégueu, de Parmezob et de vieux jus visqueux pour lier le tout. Clémentine me décalotte délicatement et doucement dans la bouche d'Estelle. << Mmhh ! >> gémit elle en essayant de sucer en même temps qu'elle fouille le tour du gland. Clémentine se redresse pour me rouler une pelle d'enfer. Explorer ma bouche de sa langue exploratrice. Ce qui achève de me faire bander comme un salaud.

Nous cessons pour regarder Estelle. Elle est entrain de se régaler d'une pipe sale et juteuse. << Salope ! >> lui chuchote Clémentine à l'oreille. Je saisis Estelle sous le menton pour dire : << Suceuse ! >>. Elle en glousse de plaisir. La faim commence à se faire sentir. J'aide Estelle à se redresser. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. C'est plein de foutre vitreux. Elle a du frome qui colle à gauche de sa bouche. Je le récupère du bout de l'index pour le lui faire sucer correctement.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de potée de légumes en dressant la table. Estelle concocte une belle omelette aux trois fromages. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles envisagent quelques programmes pour les vacances. Nous irons randonner. Nous irons faire un tour en ville. Nous tendrons quelques pièges vicieux à notre voisin. << Bertrand le chouan ! >> comme l'appelle Estelle.

La vaisselle. Je propose aux filles un bon léchage de minous. Moi aussi j'ai l'envie folle de me bouffer de la chatte sale. Elles m'entraînent au salon où elle retirent leurs fringues pour les jeter n'importe où. En riant, en faisant les pitres. Nous voilà tous les trois juste vêtus de nos chemises à carreaux et de nos chaussettes. Nous rions comme des fous. Les filles se vautrent dans le canapé. Leurs jambes relevées qu'elle tiennent sous le genoux. Elles me présentent de merveilleux croupions velus.

A genoux sur les épais coussins, je m'offre un festin divin. C'est fort des chattes de filles négligées. Il y a des miasmes gluants. Le gout légèrement salé ce soir. C'est la "fondue savoyarde". Tant chez Estelle que chez Clémentine. Elles se masturbent toutes les deux en se faisant lécher, pomper et sucer. Le jus de filles du dimanche est relevé par ce fromage qu'il faut recueillir en fouillant chaque plis et replis du bout d'une langue exploratrice. La lectrice sait les plaisirs que cela procure.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font nettoyer le croupion après une promenade et les multiples stimuli excitants de la journée...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1425 -



Une magnifique soirée de vacances

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud d'Estelle tout près de mon visage. Mais il y a aussi celui de Clémentine. Je suis entre mes deux anges. Elles se blottissent toutes les deux contre moi comme pour chercher du réconfort. Je trouve ça adorable. Elles gémissent de bonheur. Il est à peine 8 h. Dehors il fait toujours aussi gris et sinistre. Estelle glisse sa main dans mon slip pour y saisir mon érection matinale. Clémentine me choppe les couilles.

Je glisse mes mains dans les culottes. Estelle se lève la première en disant : << Si je ne vais pas faire pipi, c'est la catastrophe ! >>. Elle trottine vers la porte avec ses vêtements de gym à la main. << Comme c'était bon hier soir ! >> murmure Clémentine qui me branle doucement. C'est à nous d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Estelle à la cuisine. Elle me saute au cou. Je la soulève.

Elle enserre ma taille de ses jambes pour dire : << Comme c'était bien hier soir ! >>. Je fais pareil avec Clémentine. L'odeur de café, de pain grillé et de brioche est un enchantement supplémentaire. J'allume la cuisinière à bois. L'excellent tirage permet un départ immédiat. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre dimanche. La balade. Le haras. La visite à Juliette. Nous mangeons de bon appétit. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Superbe.

La vaisselle. Nous montons nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle prend sa douche la première car elle va nous quitter jusqu'à ce soir. Clémentine m'entraîne par la main pour faire le lit, la chambre. Estelle nous rejoint, nous fait des bises. Elle s'habille. << A ce soir bande de veinards, moi je vais au boulot ! >> dit elle en se précipitant dans l'escalier. C'est à notre tour d'aller sous la douche.

Nous nous habillons. Nos jeans, nos chemises à carreaux. Nous descendons pour enfiler nos anoraks. Nous sortons dans le froid. La camionnette de l'entreprise est garée devant la dépendance. Il pleut. C'est sous le parapluie que nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Nous regardons par une des fenêtres. Les employés doivent êtres à l'étage car on ne voit personne. On entend juste le bruit lancinant d'une perceuse ou encore d'une visseuse.

Nous descendons jusqu'à la rivière. L'absence de vent permet de rester à l'abri sous notre grand parapluie. Nous flânons malgré tout en faisant le bilan de nos existences heureuses de privilégiés nantis. << Tu te rends compte ! Si je n'étais pas avec toi, j'aurais une petite vie étriquée dans une chambre d'étudiante. Avec une bourse misérable ! >> me dit Clémentine. Comme toujours, quand elle parle de ces choses, je la prends contre moi pour l'embrasser.

Elle sait que c'est par jeu et que je n'ai pas envie d'aborder ce sujet. Je me contente parfois de dire : << Tu aurais trouvé une autre formule ! >>. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Ce tronçon de la large rivière est calme. C'est l'endroit qu'ont colonisé les canards, les poules d'eau et les colverts. Depuis peu il y a même un couple de hérons cendrés. Deux échassiers magnifiques qui restent à distance. << On doit puer de la gueule ! >> fait Clémentine.

Nous en rigolons comme des bossus. Nous prenons le sens inverse. Nous remontons le chemin. Nous rentrons au sec et au chaud. Nous retirons nos bottes en caoutchouc en faisant les pitres devant le grand miroir du hall d'entrée. Nous allons au salon avec nos baskets à la main. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. << Je n'ai plus les réflexes Windows depuis le Mac que tu m'as offert ! >> lance t-elle à chaque fois alors qu'elle se débrouille très bien.

Un message de ma famille en Ecosse. Ils racontent le confinement qu'ils subissent là-bas. Des séditions de plus en plus nombreuses de gens qui bravent les interdits. Surtout à Edimbourg où les étudiants semblent mener leurs troupes. Un message de Juliette qui nous remercie pour notre passage de hier. Même si ce n'est que quelques minutes, cela semble lui faire autant plaisir qu'à nous. Un message de Julie qui nous confie son impatience de nous rejoindre en soirée.

Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant. On m'y voit assis dans le fauteuil à bascule, Clémentine debout à ma gauche me tenant par les épaules. Devant la grande bibliothèque. Un magnifique cliché qui fait très XIXème. Clémentine surfe sur le site de l'université. Aucune information. Le résultat de ses écrits n'apparaîtra que vendredi prochain. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine lave la salade. Une grosse scarole pour midi et pour ce soir.

Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Il n'est que 11 h30. Mais comme nous voulons les faire en gratin, il vaut mieux s'y prendre plus tôt. Je fais dorer deux filets de limande. C'est une chair ferme et savoureuse qu'il est bon de poêler à feu doux et longuement. Avec ail et échalote. J'égoutte les coquillettes que je verse dans un plat en terre cuite. Clémentine y saupoudre le gruyère de Comté qu'elle vient de râper. J'y verse un mélange œuf, sel, poivre et lait de soja. Chapelure. Au four à bois.

Nous dressons la table avant d'aller dans l'atelier. J'allume un bon feu pendant que Clémentine range quelques classeurs sur l'étagère. Un réflexe. Elle allume son ordinateur. Cette fois elle consulte les messageries des forums où nous publions. Il y a parfois des messages privés totalement délirants. Des témoignages de lecteurs fidèles, d'admirateurs. C'est d'ailleurs pareil sur mon Blog où il y a déjà plus de 25 mille visiteurs. Plus de 8 mille inscrits à la newsletter. Il faut répondre.

Clémentine s'en charge. Elle a mis au point un système de réponses standards. Il suffit de changer une ou deux formules. Envois groupés et automatiques. La moindre des politesse étant de répondre. Il n'y a pas de sonnerie dans la cuisinière à bois. Il faut donc surveiller la cuisson du four. Nous quittons l'atelier morts de faim. Notre intuition était la bonne. Le gratin de coquillettes mijote, sa chapelure bien dorée. Les filets de limande au chaud à l'extrémité de la cuisinière.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le programme de l'après-midi. Avec cette météo pitoyable, nous irons travailler un peu dans l'atelier. Clémentine peut prendre de l'avance pour ses cours à venir. Je vais pouvoir réaliser les dessins préparatoires de mes prochaines toiles. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain.

Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. Couchée à côté de moi, sa tête posée sur mon ventre, elle tire mon Zob de ma braguette ouverte. << Mon délice des vacances ! >> fait elle avant de se mettre à téter délicatement. J'aime cette douce sensation. Ses lèvres qui enserrent la peau fripée de mon prépuce. Sa langue qui fouille en tournant autour du gland. Ses gémissements de plaisirs rejoignent les miens. Je caresse sa nuque avec douceur.

Ce qui est une caresse devient rapidement une fellation. Je me fais tailler une véritable pipe des familles. Toutes les deux ou trois minutes Clémentine cesse pour me donner ses impressions. Cela repose sa mâchoire et lui permet d'exprimer ses ressentis. Nous restons ainsi une bonne demi heure. Hors de question d'aller jusqu'à l'orgasme. Clémentine veut juste me "préparer" pour la soirée. Nous en rions de bon cœur. Nous nous levons. Clémentine essuie ma queue trempée.

Elle me la tient. Accroupie devant moi, elle termine d'en essorer les dernières gouttes de liquide séminal. Elle m'entraîne par la bite comme par une laisse pour descendre les escaliers. Nous allons dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur en chantonnant. Je suis devant mon chevalet à dessin. Je commence un nouveau graphisme à partir du calque d'une ancienne toile. Je ne m'emmerde plus. Nous poussons parfois les mêmes cris d'animaux en éclatant de rire.

L'après-midi se déroule ainsi. Je calque le dessin préparatoire de la prochaine scène de genre à trois personnages. Clémentine vient me rejoindre pour contempler mon travail. Accroupie sur ma gauche, sa main sous ma blouse pour palper mon sexe mou et mouillé. << Donne moi ça. Rien ne se perd chez les honnête gens ! >> fait elle en se mettant à genoux entre le chevalet et moi, entre mes jambes écartées. Elle se remet à sucer. Récupérer la jute qui dégorge depuis des heures.

C'est dans cette situation que nous surprend Estelle qui arrive en chantant. Elle se précipite : << Mais c'est ça qu'ils font ces deux vicieux pendant que je bosse ! >> s'écrie t-elle. Clémentine cesse pour lui tendre ma bite. Estelle tombe à genoux pour la pomper comme une affamée. Je leurs caresse la tête. Mes deux anges se refilent ma queue en gloussant de plaisir. Il est 17 h45. Julie ne va pas tarder. Elle vient livrer nos repas et passer la soirée avec nous. Les filles cessent.

Clémentine montre à Estelle ce qu'elle a déjà préparé pour après les vacances. << Oui, moi je fais pareil au bureau avec maman ! >> dit Estelle. Je range mon matériel. Le portail est ouvert. Julie nous fait toujours un texto quand elle arrive. Le voilà sur mon téléphone. Nous quittons l'atelier pour aller l'accueillir sous le grand parapluie. La nuit tombe. Julie est toute contente. Je prends la grande caisse en bois contenant nos repas. Nous rentrons vite nous mettre au sec.

A la cuisine, Julie tire le flacon de gel hydroalcoolique de son petit sac à dos en cuir. Nous tendons nos mains. Nous voilà tous les quatre à nous les frotter en riant, en les humant. Clémentine tire les tourtes aux fruits de mer de la grande caisse. Les petites boîtes contenant les salicornes assaisonnées de vinaigre de cidre. Je dresse la table. Julie est radieuse. Elle se retrouve avec ses deux meilleures copines et son complice de débauche. Qui est son meilleur copain aussi !

Les tourtes sont encore chaudes. Il suffit de faire l'assaisonnement pour le reste de scarole de midi. Julie émet le souhait d'aller dans l'atelier avant le repas. Elle adore cet endroit plus que tout autre. Derrière son dos, pour m'encourager, Estelle mime une masturbation masculine. Clémentine a ce geste vulgaire, sa main retournée devant sa braguette comme un mec qui pisse en cachant son Zob. Julie les surprend toutes les deux dans le couloir. Elle éclate de rire. Elle est tellement contente.

Je montre mes dessins prêts à êtres recouverts de peinture. Estelle, Clémentine et Julie m'entourent pour écouter religieusement mes explications. Julie se réjouit pour tenir ma galerie d'Art cet été. Pour la seconde année consécutive. C'est l'expérience professionnelle la plus exaltante pour une jeune fille de 20 ans. Nous quittons l'atelier pour retourner à la cuisine. Morts de faim nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études, leurs carrières professionnelles à venir.

Julie veut être professeur de littérature dans l'enseignement supérieur. En université tout comme Clémentine et Estelle. La conversation est donc des plus passionnantes. C'est Clémentine qui, adroitement, glisse la discussion sur le film réalisé dans les toilettes du restaurant. Ce film que nous avons visionné vendredi après-midi. Estelle demande : << Tu as quelques idées du prochain ? >>. Julie, après un instant d'hésitation, répond : << Oui, en extérieur. La rencontre avec un exhibitionniste ! >>.

Estelle s'écrie : << J'ai exactement le même plan. Je suis à cheval, je me balade et je tombe sur un satyre ! >>. Nous en rions de bon cœur. Julie tente de soutenir mon regard lorsque je dis : << Je passe mon casting quand ? >>. Estelle fait : << Oh mais votre candidature est retenue ! Vous êtes l'acteur idéal ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Estelle mime une masturbation masculine en me faisant un clin d'œil. Je comprends. Je me lève pour sortir ma bite molle et suintante.

Julie m'observe comme consternée. Elles sont trois filles, assises à table, à évoquer le prochain film porno qu'elles veulent réaliser. Un mec agite sa queue en écoutant leurs projets. De quoi enchanter n'importe quelle jeune fille dont le sexe est une part importante de la vie. Je bande rapidement comme le dernier des salaud. << Comme le premier surtout ! >> lance Estelle qui se lève pour venir s'accroupir entre la table et moi. Je lui frotte la queue sur la gueule. Bien vulgaire.

Je me fais rapidement tailler une super pipe. Clémentine vient s'accroupir à côté. Elles se refilent ma bite. Estelle demande à Julie : << Tu viens t'amuser avec nous ? Le dessert est succulent ! >>. Je vois bien Julie en proie à une hésitation. Son inhibition de jeune fille en prend encore un sacré coup. Elle ne bouge pas. Elle tente de soutenir mon regard. Le sien est étrange. Comme si elle était contrariée. Nous cessons. La vaisselle. Julie doit être rentrée pour 22 h30.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver avec deux autres pour se livrer à des soirées de débauches...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1426 -



Installés dans la douceur des vacances

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par les gémissements d'Estelle serrée contre moi. Elle dort probablement encore et fait un rêve. Cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Il est presque huit heures. Elle me chuchote : << C'était bien hier soir, au lit ! >>. Estelle finit par se réveiller aussi. Elle glisse sa main dans mon slip en murmurant : << J'ai rêvé du boulot ! >>. Je glisse ma main dans les culottes. << Attention, pipi ! >> s'écrie Estelle en se levant d'un bond.

Ses vêtements de sport à la main, elle file vers la porte. Clémentine et moi enfilons nos tenues de gym. C'est à notre tour. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Nous étions bien inspirés de prendre deux brioches. Son odeur s'ajoute à celle du café et du pain grillé. Je rallume la cuisinière à bois car il n'y a plus de braises. Nous prenons un copieux petit déjeuner en évoquant notre soirée de hier. La présence de Julie. Son projet "cinématographique".

Nous mangeons de bon appétit tout en parlant de ce qui s'en est suivit au lit. Les cunnilingus, les pénétrations et les orgasmes. La vaisselle. Estelle propose un jogging. Bonne idée. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets, nos gants. Nous sortons dans le froid glacial. Changement de programme. Nous remontons pour nous entraîner en salle. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Dehors le ciel est gris, bas et menaçant. Un ciel de neige. C'est même sinistre.

Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit et la chambre. C'est à notre tour. Estelle doit partir. Elle revient en soirée. Deux derniers bisous et elle dévale l'escalier. Nous prenons une bonne douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous redescendons pour mettre nos anoraks, bonnets, gants. Il fait vraiment froid. Le thermomètre extérieur indique moins deux degrés. Nous sortons. La camionnette de l'entreprise est garée devant le garage.

Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Nous passons à une cinquantaine de mètres de la dépendance. On perçoit toujours ce bruit de machine. Le sol commence a sécher. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Tout est calme, silencieux, comme figé par le froid glacial. Clémentine se serre souvent dans mes bras pour me faire part de son bonheur. Elle revient sur la présence de Julie hier soir. Ses attitudes. Son comportement.

Julie est une authentique voyeuse. C'est son vice premier comme elle se plaît à le dire. Hier soir encore elle a donné toute sa mesure en regardant la fellation que me prodiguaient Estelle et Clémentine. Il est 10 h40 quand nous arrivons au vieux lavoir. Là-bas, de l'autre côté de l'étroite route, les bâtiments du haras. Il y a d'ailleurs une jeune cavalière qui avance au galop de l'autre côté de la rivière. C'est magnifique. Nous prenons le sens du retour. Trois petits kilomètres.

Nous revenons en flânant par endroits. Nous arrivons à l'intersection du sentier et du chemin qui monte vers la maison. << Monsieur Bertrand ! >> lance Clémentine en reculant d'un pas. Je dis : << Je me planque ! >>. Il y a des rochers qui forment une sorte de muret naturel, des bosquets de ronces. Je peux m'y cacher en restant accroupis, presque recroquevillé. Clémentine fait mine de regarder la rivière. Notre voisin arrive. Il voit la jeune fille. Il la croit toute seule.

De ma cachette je le vois saisir sa braguette qu'il palpe à pleine main. Décidément, ce satyre ne rate pas la moindre occasion. Je suis à une vingtaine de mètres. << Bonjour Clémentine. Toute seule ? >> fait il. Clémentine se retourne pour dire : << Oh, bonjour monsieur Bertrand ! >>. Le bougre descend la tirette de sa braguette tout en bavardant. Il évoque notre chantier. Il vient saluer les employés tous les jours car ils interviendront chez lui dès la fin des travaux chez nous.

Je n'en reviens pas. Ce salaud est entrain d'extraire son sexe du pantalon malgré le froid intense. Clémentine, debout à quelques mètres, les bras croisés, assiste à ce numéro spécial en discutant. Le bougre ouvre même son anorak pour bien montrer sa queue. << Vous n'avez pas froid ? >> demande Clémentine. << Ça me réchauffe de vous rencontrer dès le matin ! >> répond notre salopiot. Il agite sa bite encore plus minuscule en direction de Clémentine. Elle a un sourire ambigu.

Je m'imagine à la place de ce salaud. Il faut avoir un sacré culot pour s'amuser à ce genre de truc. Mais il n'est pas à son coup d'essai. Il y a un petit sac accroché à son poignet libre. C'est le vieux pain qu'il vient apporter aux canards. Des boules de graisses renfermant des graines qu'il accroche tous les jours aux mêmes branches. A l'intention des oiseaux. << Je dois vous laisser. Julien est entrain de préparer le repas ! >> prétexte Clémentine pour se débarrasser du vieux saligaud.

Elle reprend le chemin. Monsieur Bertrand longe la rivière en marchant vite. Je rejoins Clémentine plus haut. << J'avais trop froid sans bouger. Quand il commence à discuter, il n'arrête plus ! >> me fait elle. Nous en rions de bon cœur. Il est presque midi. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Clémentine s'occupe de la salade en parlant de l'attitude du voisin. Je réchauffe les deux dernières tourtes aux fruits de mer ramenées par Julie hier soir. Je coupe et je lave deux poireaux.

Je concocte une Béchamel. J'égoutte le poireau cuit que je verse dans la Béchamel. Clémentine y rajoute le gruyère qu'elle vient de râper. Je verse le tout sur les deux tiers de la pâte feuilletée étalée dans le grand plat à tarte. Je recouvre du dernier tiers de pâte que Clémentine badigeonne du mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne. Je mets au four électrique après avoir sorti les tourtes. Cuisson à 180° pour que cela mijote 55 minutes. Ce sera notre repas de la soirée.

Nous mangeons de bon appétit tout en riant des frasques de notre voisin. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point ces vieux vicieux l'excitent. Nous en rions de bon cœur quand elle rajoute : << Mais c'est mieux quand il y a du soleil ou qu'il fait chaud ! >>. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. << Il faut que je compare ! >> lance t-elle.

Couchée à côté de moi, sa tête posée sur mon ventre, elle me sort le Zob. Je bande mou. << Je t'aime ! >> murmure Clémentine avant de se mettre à biberonner. Je passe ma main sous ses cheveux pour saisir sa nuque. J'appuie légèrement pour lui enfoncer davantage de bite. Elle aime tant ça qu'elle en gémit de plaisir. Je parle du voisin. De mon fantasme de la voir le sucer un jour. Elle me taille une pipe en gloussant de mes désirs. Elle cesse toutes les deux trois minutes.

Clémentine me donne ses impressions. C'est à cause de moi qu'elle s'est mise à sucer d'autres mecs. Mon fantasme a fini par devenir le sien en un peu plus d'une année de vie commune. Aussi, elle entre dans le jeu de nos fictions. J'évoque une situation avec le voisin. En ce moment le chantier en est une excellente. Clémentine part dans des digressions très excitantes. Avec des précisions détaillées elle décrit des scènes, des endroits où cela serait idéalement possible.

Nous bavardons ainsi. Pas question toutefois d'aller jusqu'à l'éjaculation. Nous aimons tous deux rester excités le plus longtemps possible. Nous nous levons. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Elle laisse mon foutre gluant se dissoudre dans sa salive avant de déglutir dans un mouvement de tête. Elle m'entraîne dans une sorte de tango dans toute la chambre. Nous descendons pour aller dans l'atelier. Nous y allumons un bon feu dans la cheminée. Il est à peine 14 h45.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume son ordinateur. Elle surfe sur le site de l'université. Aucune nouvelle information. Nous allons sur nos messageries. Juste un mot de Julie qui nous remercie pour la soirée. Elle passera une petite heure demain après-midi. Nous allons sur les forums où nous publions nos aventures. Aujourd'hui aucun message privé. Une petite visite sur mon Blog. Aujourd'hui 23 visites. 17 lecteurs. Aucun message privé. Je n'y publie plus de nouveau texte.

Clémentine s'installe avec un livre dans le vieux canapé. Je commence un nouveau dessin préparatoire. A partir du calque d'une de mes anciennes œuvres. Une scène de genre à trois personnages. Il me suffit de changer quelques détails pour en faire une création originale. J'aime entendre Clémentine me faire la lecture à haute voix. L'après-midi se passe ainsi. Il est 17 h30 quand nous entendons chanter Estelle depuis le corridor. Elle entre dans l'atelier pour se précipiter vers nous.

Des bisous. << Put-hein comme ça meule dehors ! >> lance t-elle en venant s'assoir sur mes genoux. Ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa journée au bureau de l'entreprise familiale. Seule avec sa maman. Les facturations, répondre aux commandes, bref, son quotidien lorsqu'elle n'est pas à ses études. Je termine mon dessin. << Tu me laisseras mettre les couches d'impression ? >> fait elle. Elle adore le faire. Je lui promets de les préparer rien que pour elle.

Ce soir encore, il n'y a aucune manifestation surnaturelle. << Christine est partie aux sports d'hiver ! >> lance Estelle. Le fantôme de mon ancienne compagne reste étrangement silencieux depuis quelques jours. << Elle a fini par se lasser ! >> surenchérit Clémentine qui vient s'accroupir pour poser sa tête sur ma cuisse libre. Je lui caresse les cheveux. Estelle glisse sa main dans ma braguette. Les filles évoquent le vague programme des jours à venir. Vendredi prochain nous irons en ville.

La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'ambiance magique de l'atelier pour celle de la cuisine. Estelle rajoute deux bûches dans la cuisinière à bois. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Je réchauffe la Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soirs. Nous dressons la table. Estelle n'arrête pas de me tripoter en se frottant contre ma hanche. << Au bureau quand je suis seule, je me touche en pensant à nos saloperies ! >> dit elle en riant.

Clémentine vient se frotter de l'autre côté. Je tiens mes deux anges par la taille pour les blottir contre moi. << C'est merveilleux notre couple à trois ! >> fait Estelle. Nous en rions de bon cœur. Les filles m'entraînent par les mains dans une farandole. Tout autour de la grande cuisine, autour de la table. Estelle improvise des paroles grivoises que Clémentine et moi nous répétons comme une comptine. Tant de bonheur. Tant d'émotions. Nous nous serrons tous les trois pour les savourer.

La sonnerie du four. << Ne va pas risquer de te brûler la bite, je sors la tarte ! >> dit Estelle en me tirant la queue de la braguette. Nous mangeons de bon appétit. Il en reste pour demain midi. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux les filles proposent une randonnée samedi ou dimanche. Le circuit des collines, le château, le lac. Si la météo le permet, c'est le projet retenu. Je propose aux filles une fin de soirée "léchage de minous". Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois.

La vaisselle. Elles m'entraînent au salon. C'est devenu le premier réflexe. Nous enlevons nos jeans et nos slips pour nous retrouver en chemises et en chaussettes. Les filles sont vautrées dans le canapé à me présenter leurs chattes poilues. Je suis à genoux sur les épais coussins. Je commence par le sexe d'Estelle. Lorsque je les lèche, les coquines se masturbent. Lorsque je suce leurs clitoris, elles gémissent d'extase. Elles me guident, me tiennent par les oreilles. Se frottent.

J'ai le bas du visage trempé de ce jus de fille que j'apprécie tant. Rien est meilleur. Le croupion de jeunes filles de 23 ans offre un suc qui reste un véritable nectar de jouvence. Ce soir, pas de pénétration. Nous préférons tous les trois les rapports génitaux buccaux. C'est avec la bouche que j'offre à mes deux anges de merveilleux orgasmes qui les étourdissent jusqu'au vertige. Nos rituels pisseux. Nos lavages de dents. Au lit, Estelle s'endort la première. Clémentine me suce encore un peu.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer la chatte après une bonne tarte aux poireaux...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1427 -



Visite impromptue et douceur des vacances

Hier matin, mercredi, c'est le murmure d'Estelle à mon oreille qui me tire de mon profond sommeil. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi comme une naufragée à sa branche. En fait, elle dort encore et parle en dormant. C'est adorable. Je la serre encore plus fort. Il est presque huit heures. Cela réveille Clémentine qui vient se blottir tout contre moi. Estelle émerge en glissant sa main dans mon slip. Elle tient fermement mon érection matinale dans sa poigne de fer.

<< Pipi ! >> s'écrie t-elle en se levant d'un bond pour saisir ses vêtements de sport. Clémentine m'entraîne par la main. Nous mettons nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Estelle à la cuisine. Dehors, tout est blanc. Il a neigé cette nuit. Estelle me saute au cou. Dans l'odeur de café, de brioche et de pain grillé. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre copieux petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur notre soirée de hier. J'ai léché les minous de mes anges. A cette évocation j'en ai le gout en filigrane de celui du miel sur ma tartine. Nous en rions de bon cœur. Il est 8 h25. La vaisselle. Nous montons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle qui doit partir jusqu'à ce soir, prend sa douche la première. Nous faisons le lit et la chambre.

C'est à notre tour. En dévalant les escaliers, Estelle nous crie : << A ce soir. Soyez sages ! >>. C'est à notre tour de prendre notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Nous sortons dans un froid polaire. Le thermomètre extérieur indique -4°. Je ne me souviens pas qu'il ait fait si froid. Il y a deux camionnettes garées devant le garage. Nous traversons le jardin.

Il y a deux employés d'une autre entreprise qui sont entrain de décharger des éléments de salle de bain, de cuisine. Nous regardons par la fenêtre. Quelle surprise, l'escalier est entièrement monté. Les marches en chêne protégées par des planches d'isorel. << Ils sont entrain de monter les meubles ! >> me fait Clémentine. Elle m'entraîne par le bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. Toute la campagne est recouverte d'un manteau blanc. C'est magnifique.

Il y a bien dix centimètres de neige. Nous longeons la rivière. Il faut deviner le sentier par endroits. Clémentine qui marche devant moi, commente ce paysage de conte de fée. Elle s'arrête souvent pour se retourner. Elle ponctue ses phrases par un bisou. C'est magique de se promener dans un tel environnement. Tout ce confond dans un blanc intense. Le ciel est gris et bas. Il y a quelques flocons qui tombent. Chaussés de nos bottes en caoutchouc nous avançons difficilement.

Ça glisse et le froid monte par les pieds. Il faut retourner. Nous remontons le chemin. Il y a une troisième voiture qui est garée. C'est celle de monsieur Ledru, le patron de l'entreprise Ecolisas. Il vient régulièrement superviser l'avancée des travaux. Nous rentrons nous mettre au chaud. Clémentine m'entraîne dans l'atelier. Nous allumons un bon feu dans la cheminée. Sa chaleur prendra le relai des trois radiateurs qui fonctionnent à leur plein rendement. Il fait 20° à l'intérieur.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous interrogeons nos boîtes mails. Un message de Juliette qui nous donne quelques nouvelles. Surchargée de travail. Un message de ma famille en Ecosse. Là-bas aussi l'hiver est glacial et la neige atteint des hauteurs records. Le confinement n'est donc plus que ce qu'il est toujours en hiver. Un message de Julie qui nous confirme son passage vers 14 h30. En revenant de ses livraisons de repas. Nous répondons.

Clémentine visite les forums où nous publions. "Les aventures de Clémentine et de Julien" remportent un franc succès. Quelques messages privés sur mon Blog. Réponses automatiques. Posséder et gérer un Blog assure un relationnel virtuel très intéressant. Quand c'est un Blog de récits érotiques écrit par un homme, c'est un peu comme un site de rencontre. Je ne calcule plus le nombre de contacts féminins que cela engendre depuis huit ans. Il y a parfois des échanges qui durent.

C'est Clémentine qui gère tout cela. Ce sont le plus souvent des réponses automatiques. Il serait impossible d'y consacrer tout le temps nécessaire. Dommage. S'il n'y avait pas ma douce compagne, j'aurais probablement déjà fait des dizaines de rencontres grâce à mon Blog. Clémentine surfe sur le site de l'université. Aucune nouvelle information. Nous allons sur le site de l'entreprise Ecolisas. Il y a des photos de notre chantier. Ça reste totalement anonyme. Non identifiable.

Je prépare une nouvelle toile vierge déjà apprêtée au Gesso. Je fixe le calque du dessin d'une ancienne œuvre. Clémentine vient me rejoindre. Assise à côté de moi, elle me regarde dessiner. Silencieuse. J'entends sa respiration. Elle est aussi concentrée que moi. Parfois elle murmure : << Je t'aime ! >>. << Je suis si bien avec toi ! >>. La concentration reprend. Nous éclatons de rire. Elle glisse sa main entre mes cuisses en disant : << Mmhh, c'est bien chaud ! >>

Je fais pareil. J'adore ce petit soubresaut typiquement féminin. Lorsque ma main effleure son entre jambes au travers du tissu de son jeans. << C'était si bon hier soir encore ! C'est divin de se faire lécher, Julien. C'est ce que je préfère ! >> dit elle. Nous adorons les rapports génitaux buccaux. Rien n'est supérieur à un cunnilingus et à une fellation. En tous cas pour nous. Il en va de même pour Estelle. Il commence à faire faim. Il est presque midi. Nous quittons l'atelier.

La cuisine est bien tempérée. Je rajoute deux bûches dans la cuisinière. Clémentine prépare la salade. Je réchauffe le reste de Flamiche Picarde. Cette tarte au poireau qui va encore faire les réjouissances de notre repas. Je prépare une pâte à crêpe. Clémentine poêle des calmars. Ce sera pour les beignets de calmars ce soir. En accompagnement d'un gratin de coquillettes dont je fais bouillir l'eau. C'est rapide. Nous dressons la table. La tarte au poireau a bien chauffé.

Nous mangeons de bon appétit. J'égoutte les coquillettes. Clémentine râpe du gruyère de Comté. Je verse les pâtes dans un plat en terre cuite. Clémentine recouvre d'une couche de gruyère, d'un œuf battu et mélangé d'un yaourt "nature". On saupoudre de chapelure. Au four. Nous reprenons notre repas. C'est bien de faire plusieurs choses en même temps. La pâte à crêpe repose dans un saladier, sous un linge. Les calmars dans la poêle sous un couvercle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque le chantier qui avance. Nous irons voir vendredi. C'est toujours une belle surprise. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Par une des fenêtres de la salle de bain, nous regardons la campagne toute blanche. La neige tombe sans arrêt. C'est magnifique. Il y a les deux camionnettes garées devant le garage. Nous redescendons à la cuisine. Clémentine veut préparer deux belles tartes aux noix.

Il nous en reste tellement. Nous mettons des cerneaux de noix partout. Sur nos gratins, nos tartes, dans nos salades. Il faut dire que c'est tellement bon. La pâte feuilletée a bien décongelé depuis quatre heures. Je casse les noix le plus proprement possible. Clémentine prépare un "flan". De l'œuf, des yaourts "natures", de la crème fraîche. Elle y rajoute du miel. La pâte bien étalée dans les deux grands plats à tarte. J'y dispose les cerneaux de noix. Clémentine recouvre de "flan".

Nous préférons cuire au four électrique. La température et la durée se maîtrisent beaucoup plus facilement que dans le four à bois. Trois coups de sonnette. Il est 14 h45. Clémentine se précipite dans le hall. Elle revient suivie de Julie qui tire le flacon de gel hydroalcoolique de son petit sac à main en cuir. Nous tendons nos mains. Nous nous les frottons en riant. Ce rituel absurde est devenu machinal. Julie adore l'odeur pâtissière qui règne dans la cuisine. Elle regarde dans le four.

Nous lui ferons gouter de la tarte aux noix. Surtout celle avec les rondelles de bananes dessus. Nous quittons la cuisine pour l'atelier. Je surprends le regard de Julie sur ma braguette ouverte. Cette ouverture sombre qui semble aujourd'hui la fasciner. Clémentine et Julie sont installées dans le vieux canapé à siroter du thé au jasmin. A grignoter de petits gâteaux secs. Elles évoquent leurs études. Je dessine en écoutant. C'est passionnant. Parfois Julie se lève pour venir regarder.

Le crépitement du feu dans la cheminée rajoute encore à la magie du moment. Julie, très amoureuse de Clémentine, écoute religieusement ses propos. Clémentine n'est pas du tout attirée par les filles. Aussi, chacun de ses gestes se veut affectueux. Elles sont entre filles donc il y a des gestes de tendresse en riant, des touchés en parlant. Moi, dans mes fantasmes d'homme préhistorique, j'aimerais beaucoup voir Clémentine se gouiner avec une autre. Hélas, cela restera un fantasme.

Je sors ma queue. Tout en dessinant, j'ai le "machin" qui dépasse de ma braguette ouverte. L'élastique du slip fait garrot et maintient mon sexe dressé en l'air. Bien doté par mère nature, il en dépasse une bonne partie. Je mâte en douce. Je surprends le regard de Julie. Cet après-midi elle paraît vraiment intriguée. Clémentine m'observe. Elle me fait de discrets clins d'œil lorsque nos regards se croisent. Elle adore quand je suis bien vicelard avec nos visiteuses.

Julie ne peut pas trop s'attarder. Elle aussi à du travail à préparer pour ses études lorsqu'elle ne livre pas des repas. Il est 17 h. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture totalement couverte de neige. Il y a bien vingt centimètres partout. Julie revient nous faire un coucou demain. J'ai remballé la bite. L'anorak bien fermé. Nous rentrons vite au chaud. Il fait si bon dans l'atelier. << Génial le coup de la bite à l'air en dessinant ! >> me confie Clémentine en sortant mon sexe.

Accroupie devant moi, face à la cheminée, Clémentine se met à me tailler une pipe des familles. C'est dans cette situation qu'Estelle nous trouve en entrant dans l'atelier. << Encore ! >> s'écrie t-elle en venant nous rejoindre. Sans même me faire la bise, elle s'accroupit aux côtés de Clémentine qui lui tend ma queue. << Mmhh ! >> fait elle avant de la gober. Elles se refilent mon chibre. Je caresse leurs têtes en leurs chuchotant des douceurs. Des cochonneries également.

Elles se redressent toutes les deux juste avant la crampe. Je m'accroupis à mon tour pour leurs masser les jambes. Elles m'entraînent en riant. Nous voilà tous les trois vautrés dans le vieux canapé. Je suis entre mes deux anges. Estelle joue avec ma bite qu'elle tord dans tous les sens. Elle nous raconte sa journée avec sa maman dans le bureau de l'entreprise familiale. Nous lui racontons la notre. Le repas du soir est encore une surprise. Il est 18 h45. Nous quittons l'atelier.

A la cuisine, Clémentine prépare la salade. Je réchauffe la pâte à crêpe pendant qu'Estelle fait chauffer le caquelon contenant l'huile. Elle trempe chaque calmar dans la pâte à crêpe avant de le plonger dans l'huile bouillante. Je réchauffe le gratin de coquillettes déjà doré à point. Les deux tartes aux noix trônent majestueusement sur la desserte à côté du buffet. Nous en referons demain. Nous les mettons au congélateur. De futurs desserts. Les beignets de calmar sont superbes.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Pour la semaine prochaine, Estelle sera libre à partir de jeudi. Nous resterons tous les trois ensemble jusqu'au lundi matin. Des réjouissances en perspective. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent nos folies. Ce soir encore, je leurs propose un léchage de minou. << C'est trop bon Julien. Tu vas nous rendre folles. C'est une terrible addiction ! >> me fait Estelle en palpant ma braguette.

La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon par les bras. Impatientes de retourner aux plaisirs des cunnilingus promis. Une fois encore, juste en chaussettes et en chemises, vautrées dans le canapé, elles me présentent leurs moules velues. Je me bouffe du fruit de mer juteux toute la soirée. Dans un concert de gémissements. << Je suis folle de ça ! >> s'écrie Estelle avant de jouir en hurlant. Pareil pour Clémentine. Nos rituels pisseux. Le lavage de dents. Au lit, épuisés, nous plongeons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont développé une telle addiction aux cunnilingus que la vie serait impossible sans léchage...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1428 -



C'est si bien tous les trois, quand Estelle vient nous rejoindre

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon profond sommeil par les incessants mouvements des pieds d'Estelle contre les miens. Il est presque huit heures. Je peux sentir son souffle chaud contre ma joue quand elle se serre encore plus fort. C'est adorable. Je lui dépose un bisou sur le front. Tout en gémissant elle glisse sa main dans mon slip. Ce qui réveille Clémentine à qui je fais un bisou. Je suis entre mes deux anges. Clémentine m'attrape les couilles. Distribution de bisous.

Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Ses vêtements de sport à la main elle file aux toilettes. Nous enfilons nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller aux WC. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et de brioche, elle se bat avec la cuisinière à bois. Je l'aide à rallumer le feu. Quand il fait si froid, il n'y a plus aucune braise. Nous prenons notre petit déjeuner, la tête encore dans le sac.

Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. Les filles évoquent la séance de léchage de minous de hier soir. << Put-Hein, Julien, comme c'est bon ! >> lance Estelle. << Moi, ça fait quatre ans que je suis accro ! >> rajoute Clémentine. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Il est presque 8 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos pour terminer par un stretching.

Estelle qui doit filer jusqu'à ce soir, prend sa douche la première. Nous faisons le lit et la chambre. Dehors tout est blanc. Il a encore neigé cette nuit. Nos traces de pas de hier sont recouvertes. Estelle nous fait des bises avant de descendre à toute vitesse. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons pour mettre nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Le thermomètre extérieur indique moins 4°. Nous sortons dans un froid polaire.

Les deux camionnettes d'entreprises sont garées devant la dépendance. Nous traversons le jardin. Ça glisse un peu avec nos bottes en caoutchouc. Nous regardons par une des fenêtres. La jeune femme, chef du chantier, nous voit. Elle nous fait un signe de la main. Elle veut nous rejoindre. Sur le pas de la porte, elle nous fait signe de venir. Nous la saluons. Quelle surprise. Tous les murs sont recouverts de lambris de chêne. Les lames du parquets on été posées. Terminé !

La jeune femme nous explique que deux employés sont entrain de faire l'installation du mobilier de cuisine, de salle de bain et de procéder aux branchements en haut. Le bel escalier à droite, qui monte à l'étage, paraît massif et imposant. Nous restons véritablement impressionnés. La jeune femme nous informe qu'une entreprise spécialisée viendra lundi faire les branchements de canalisation. Il y aura quelques nuisances sonores. Nous la rassurons, dans l'atelier c'est silencieux.

Nous la laissons pour ne pas retarder le travail. Clémentine, toute contente, m'entraîne par le bras en sautillant dans la neige. Nous descendons vers la rivière. Tout est recouvert d'un manteau blanc. Il y a bien quinze centimètres de neige au sol. Il est pénible de marcher avec nos bottes en caoutchouc. << Une bataille de boules de neige ! Je n'ai jamais fait ça ! >> fait Clémentine. Nous nous séparons d'une dizaine de mètres. Chacun prépare sa boule. Les hostilités commencent.

Clémentine ouvre les offensives. Je riposte. Elle vise bien la bougresse. Je suis touché presque à chaque fois. La neige refroidit les mains. C'est en lissant les boules avant de les lancer qu'il faut tenter de les réchauffer. Nous rions aux éclat. J'ai le bonnet plein de neige. Sur une vingtaine de boules, j'ai touché Clémentine deux ou trois fois. Elle esquive bien. Nous glissons, nous tombons dans la neige. Voilà les canards de la rivière qui viennent regarder en cancanant.

Nous nous secouons. Chacun aide l'autre à enlever la neige. << C'est génial ! >> lance Clémentine avant de m'embrasser. Je la soulève. Sans cesser de fouiller ma bouche de sa langue exploratrice, elle enserre mes hanches de ses jambes. Nous remontons le chemin. << Viens, on fait un bonhomme de neige ! >> propose Clémentine. Nous le faisons à côté de l'escalier du perron. Nous voilà chacun à rouler de grosses boules de neige. De la taille d'un gros tonneau.

J'aide Clémentine à poser la sienne sur la mienne. Elle roule une autre plus petite pour faire la tête. Clémentine pose son bonnet dessus. J'enroule mon écharpe autour. Deux cailloux ramassés au bord du mur pour les yeux. Voilà un bonhomme de neige qui veille sur la maison. Il commence vraiment à faire très froid. Nous rentrons. Je retire les bottes à Clémentine. Je lui masse les pieds pour les réchauffer. Je la soulève comme une jeune mariée pour l'emmener dans l'atelier.

Il est 11 h30. J'allume un bon feu dans la cheminée. Clémentine me lit à haute voix la teneur de nos deux courriels. Un message de ma famille en Ecosse. Un message de Julie qui nous remercie pour le bon moment passé avec nous hier. Nous répondons. Il y a deux nouveaux inscrits sur mon Blog. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de gratin de coquillettes de hier. Bien doré.

Il reste des beignets de calmars. Je les mets dans un plat en terre cuite. Au four avec le gratin. Je dresse la table. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine parle des travaux. << Tu te rends compte, tout ça va devenir réalité. Nous aurons une belle maison d'amis ! >> fait elle toute heureuse. Je la félicite. C'est elle qui a eu cette initiative, qui a fait les plans. C'est remarquable. Je reste admiratif.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous voyons les deux camionnettes garées devant le garage. << Ça bosse bien ! Ils ont fait du super boulot ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la main dans la chambre. Elle me fait tomber sur le lit. Sa tête posée sur mon ventre, elle me sort la bite. << Hier soir, c'est toi qui m'a comblé de plaisir. Maintenant c'est moi ! >> murmure t-elle avant de téter le Zob.

Je caresse sa nuque. Je lui parle des travaux. Des projets que nous avons. Ces vacances dans le Jura que nous avions prévu pour le mois d'avril l'année dernière. Le confinement nous en a privé. Nous remettons ce souhait au mois d'avril de cette année. << Ces enfoirés hésitent encore à nous faire le même coup ! >> fait Clémentine. Toutes les deux trois minutes elle cesse de sucer pour évoquer les travaux, les vacances, l'Ecosse. Je l'attire à moi. Sa tête sur ma poitrine.

Nous nous gardons pour ce soir. J'entraîne Clémentine par la main. << Garde ta bite à l'air que je puisse y avoir accès ! >> me fait elle en descendant l'escalier. Nous allons à la cuisine. Du réfrigérateur Clémentine sort une carotte. << C'est le nez du bonhomme. Viens ! >> dit elle en m'entraînant dehors. Nous faisons très vite. Clémentine plante la carotte en guise de nez à notre bonhomme de neige. Il caille comme jamais en chemise. Bite à l'air. Nous rentrons très vite.

Nous allons dans l'atelier. Il y fait bien chaud. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous faisons un courriel à monsieur Gilbert. Le propriétaire du gîte que nous avons déjà loué il y a quatre ans. Que nous avions réservé pour rien l'an dernier. Nous réservons une semaine. Du dimanche 11 avril au dimanche 18 avril. Pour trois personnes cette fois car il y aura Estelle. << Espérons que cette année nous ne serons pas privés de printemps ! >> murmure Clémentine. Fataliste.

M'attrapant par la queue, Clémentine m'entraîne comme par une laisse. Nous faisons le tour de la grande pièce. Nous allons admirer le paysage d'une blancheur immaculé. << Ça fait presque mal au yeux ! >> lance Clémentine en se serrant contre moi devant une des baies vitrées. Nous restons ainsi, silencieux à regarder au dehors. Clémentine, sans lâcher ma queue qu'elle a reprise en main, m'entraîne vers le vieux canapé. Elle saisit son livre. Se couche sur le dos.

Sa tête sur ma cuisse elle me fait la lecture à haute voix. J'écoute en lissant ses cheveux. Tout en lisant, elle frotte sa joue contre ma queue. Nous restons ainsi longuement. Il est 16 h. Clémentine nous prépare un thé. Quelques petits gâteaux secs. Je me mets au dessin préparatoire d'une nouvelle scène de genre à trois personnages. A partir du calque d'une ancienne de mes réalisations. Clémentine est à sa lecture confortablement installée dans le vieux canapé.

Il est 17 h45 quand nous entendons chanter Estelle depuis le corridor. Elle ouvre la porte pour se précipiter. Une rapide bise à Clémentine et elle vient s'assoir sur mes genoux. << Génial le bonhomme de neige ! >> lance t-elle en empoignant la bite molle qui dépasse de ma braguette. << Il faudrait lui mettre une deuxième carotte ! >> rajoute Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle nous raconte sa journée au bureau de l'entreprise familiale. Seule avec sa maman.

Je termine mon dessin. Estelle sautille dans tout l'atelier en chantant. Elle nous tend les mains. Nous la rejoignons dans une ronde endiablée en improvisant des chansons surréalistes aux paroles absconses. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Ce soir, nous improvisons. Je lave du brocolis pendant qu'Estelle fait gonfler du riz complet. Je poêle trois beaux dos de cabillaud blanc préalablement enduits de moutarde.

<< Je t'ai gardé une bonne chatte crémeuse pour ce soir ! >> me fait Estelle en passant derrière moi pour se frotter et me choper la queue. Nous en rions de bon cœur. Je demande : << Je vois que le programme de la soirée est déjà bien arrêté ! >>. Estelle me secoue la bite en disant : << Mais tu nous a rendu addict au léchage de minou ! C'est de ta faute ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. C'est si bon d'êtres tous les trois.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent la possibilité d'une randonnée samedi ou dimanche. Avec ces merveilleux paysages blancs, si rares dans notre région, il serait fabuleux d'en profiter. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Comme presque tous les soirs depuis trois jours, nous nous retrouvons rapidement juste avec nos chemises et nos chaussettes. J'aime quand ce sont mes deux anges qui prennent toutes les initiatives. C'est tellement bien.

Une fois encore me voilà à genoux entre les jambes de mes deux coquines. Le visage entre leurs cuisses à leurs brouter le minou. Elles discutent, se donnent leurs impressions, me guident par les oreilles, se tortillent pour trouver le meilleur angle. C'est fabuleux d'être le lécheur de deux jeunes filles de 23 ans. A cet âge, le sexe reste encore une priorité absolue. Je sais bien que d'ici quelques années elles passeront à autre chose. D'ici là, nous avons le temps de nous amuser.

Quand je lèche leurs cramouilles, elles se masturbent. Quand je suce leurs clitoris elles partent dans de véritables concertos de gémissements "philharmoniques". Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre doucement. D'un dernier coup de reins, elle s'enfile toute la bite. Elle se met rapidement à bouger, accrochée à moi par ses bras et ses jambes. Je la baise à la hussarde. Elle n'arrête pas de se branler en même temps. Je passe à Clémentine. C'est un concert de petits cris.

L'orgasme d'Estelle l'a laisse hébétée. Elle reprend ses esprits en se caressant doucement. Elle nous regarde baiser. L'orgasme de Clémentine l'a laisse frissonnante. Elle a juste le temps de prendre la cuvette en plastique pour y pisser abondamment. Nos rituels pisseux. Nos lavages de dents. Complètement épuisés nous nous couchons. Je propose de remettre la pipe à demain. << Demain je te vide les couilles ! >> chuchote Estelle avant de s'endormir. Je suis entre mes deux anges.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher, se faire tringler en gémissant comme de véritables cantatrices...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1429 -



Julie vient nous visiter

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon profond sommeil par les murmures d'Estelle à mon oreille. Ses pieds qui bougent contre les miens. Son bras qui m'entoure la poitrine. C'est encore confus. Je ne comprends rien. Estelle dort encore et parle en dormant. C'est adorable. Il est presque huit heures. Cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Estelle aussi se réveille. Nous nous étirons dans un concert de gémissements que nous modulons jusqu'à l'absurde.

Nous éclatons de rire. Estelle se lève d'un bond. Ses vêtements de sport à la main, elle se précipite vers la porte. Nous nous habillons de nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Estelle à la cuisine. J'allume la cuisinière à bois dans l'odeur de café et de pain grillé. Estelle nous raconte son rêve. Clémentine se souvient vaguement du sien. Moi, pas du tout. Nous prenons notre petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant les léchages de minous hier soir. La partie de baise qui s'en ait suivi. Nous en rions de bon cœur. Il est presque 8 h25. La vaisselle. Nous montons nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Pendant que nous courons, Estelle fait du vélo d'intérieur. Puis nous permutons. Charges additionnelles. Exercices au sol et abdos. Dans une intensité maximale. Nous terminons par un agréable stretching.

Estelle qui doit nous laisser jusqu'à demain, prend sa douche la première. Nous faisons le lit et la chambre. Estelle nous fait la bise, me palpe le slip. En dévalant l'escalier elle fait : << A demain. Je suis là pour 14 h ! >>. C'est à nous d'aller prendre notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons pour enfiler nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Le thermomètre extérieur indique moins 3°. Nous sortons dans un froid polaire.

Tout est blanc. La surface de la neige craque sous nos pas. Ça gèle. Les deux camionnettes d'entreprises sont garées devant la dépendance. Nous nous approchons d'une des fenêtres pour regarder à l'intérieur. Deux employés sont occupés à passer une sorte de lasure sur les lambris. Nous descendons vers la rivière. Chaussés de nos bottes en caoutchouc qui font craquer la neige. Clémentine sautille autour de moi. Toute contente avec la fin des travaux qui s'annonce.

Un vent glacial de Nord Est est vraiment désagréable. Toute la campagne est blanche et semble figée. Les eaux calmes de ce tronçon de la rivière commencent à geler sur les bords. C'est moins drôle que hier. << On dirait la neige du haut du congélateur ! >> fait Clémentine qui se baisse pour faire une boule de neige. Elle s'effrite et ne tient pas. Bien trop froide et poudreuse. Nous suivons nos traces de hier. Les canards, les poules d'eau et le colverts nous accompagnent.

<< Regarde ! >> s'écrie Clémentine en pointant son doigt. Là-bas, de l'autre côté de la rivière, à environs deux cent mètres, des chevreuils. Il y a des biches. Nous comptons onze cervidés. Ils nous ont vu. Immobiles, ils nous observent avec autant de curiosité que nous. Il n'est certainement pas simple pour ces animaux de trouver leur pitance avec de telles conditions climatiques. Nous restons à nous observer durant une bonne dizaine de minutes. C'est un superbe spectacle.

Clémentine prend quelques photos. Le froid monte par les pieds. Nous nous remettons à marcher pour revenir. Nous montons le chemin. Il y a un troisième véhicule qui est arrivé. C'est monsieur Ledru, le patron de l'entreprise. Notre bonhomme des neiges est toujours au bas de l'escalier. Clémentine prend quelques photos. Nous posons à tour de rôle. C'est la première fois qu'il y a autant de neige. J'habite ici depuis bientôt 30 ans. Nous rentrons nous mettre au chaud.

Je retire les bottes à Clémentine. Je lui masse les pieds pour les réchauffer. Elle m'entraîne par la main jusqu'à l'atelier. Nous y allumons un beau feu dans la cheminée. Assise sur mes genoux, Clémentine met l'ordinateur en marche. Quatre messages. Le plus important que Clémentine consulte en premier. Les résultats de son écrit sont arrivés. << Génial ! >> s'écrie t-elle à la lecture des appréciations et des notations. Encore une victoire universitaire.

Elle se lève pour se mettre à sautiller dans toute la grande pièce en tournant sur elle-même. Toute euphorique elle revient s'assoir. Elle surfe sur le site universitaire. La seconde partie du trimestre, jusqu'aux vacances de Pâques, sera axée sur les mathématiques. Nous découvrons nos trois autres courriels. Ma famille d'Ecosse à laquelle nous répondons en priorité. Elle nous manque tant. Le message de Julie qui nous annonce sa visite cet après-midi pour 14 h30.

Un mail de Juliette qui nous raconte un peu de son quotidien. Elle a une folle envie de passer une soirée avec nous. Autour d'un bon repas. Nous répondons à chacune. Un petit tour sur les forums où nous publions nos aventures. Un petit tour sur mon Blog. << Tu devrais donner le lien de ton Blog à Julie ! >> me conseille Clémentine. Par déontologie je ne donne pas le lien de mon Blog sur les forums mais par messagerie privée. C'est le moindre des respect pour les administrateurs.

Clémentine m'entraîne dans une farandole. Nous dansons une sorte de tango en nous faisant d'horribles grimaces. La valse en chantonnant du Strauss. Nous rigolons comme des bossus de nos singeries. Je soulève Clémentine plusieurs fois pour la faire tournoyer. Elle enserre mes hanches de ses jambes. << Mon Rudolf Valentino ! >> fait elle à chaque fois. << La Saint Valentin sera fêté dimanche ! >> rajoute t-elle. Nous n'avons absolument pas envie de fêter ce truc. Nous en rions.

Clémentine fait : << A la Saint-Valentin, je te caresse la main. Vivement la Sainte Marguerite ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Elle dit encore, espiègle et mutine : << En tous cas, on se fait une bonne Saint Valentouze à trois ! >>. Pliés de rires nous nous écroulons dans le vieux canapé. Tant de bonheur nous laisse comme hébétés. Nous nous regardons les yeux humides de tant de rires. Il est 11 h50. La faim se fait sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine.

Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet. Je prépare un coulis d'aubergine pendant que rissolent des queues de crevettes décongelées. C'est une préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque notre projet de randonnée dimanche. Nous avons l'intention de faire le sentier des collines. Les routes sont dégagées. Il y a tout de même 25 kilomètres.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Par une des deux fenêtres nous constatons la présence des deux camionnettes. Pourtant c'est vendredi et il est déjà 13 h30. << Ils veulent finir le chantier dans les délais ! >> fait Clémentine. Elle probablement raison. Elle m'entraîne par la main. Nous descendons l'escalier pour mettre nos anoraks. Bonnets, gants. Nous traversons le jardin sous un vent glacial.

Nous contournons la dépendance. Quelle surprise. Comme monsieur Ledru nous l'avait promis, il y a une cloison et une porte. Cet espace qui sépare l'abri à bois de l'arrière de la dépendance est à présent un abri fermé. Ce sont surtout les trous parfaitement ronds, de cinq centimètres, à 80 cm du sol, qui titillent nos surprises. Nous éclatons de rire. Il fait bien trop froid pour les essayer. Ma bite gèlerait sur place. Nous remplissons la corbeille d'une dizaine de bûches.

Nous rentrons au chaud. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. << Julie ! Elle arrive ! >> lance Clémentine. En effet, nous voyons la voiture descendre doucement. Nous l'accueillons sur le haut du perron. Elle est radieuse sous sa chapka, dans son anorak d'esquimau. Nous rentrons au chaud. Le rituel du gel hydroalcoolique. Nous nous frottons les mains en riant. Nous retournons dans l'atelier. Les filles s'installent dans le vieux canapé.

Julie aussi a eu d'excellentes nouvelles de la faculté de Lettres Modernes. Je suis accroupis devant la cheminée à attiser les flammes avec le tisonnier. J'écoute. Julie nous raconte ses livraisons. Avec ce froid, cette neige, le verglas, c'est un job éprouvant. << C'est ce qui sauve le restaurant de ma tante. Parce qu'avec les subventions, les compensations promises, elle peut juste survivre ! >> explique Julie. C'est elle qui arrive sur le sujet de son prochain projet de film.

Dès qu'il fera meilleur, que cette neige aura disparu, nous réaliserons ce film le long de la rivière. Julie nous raconte le scénario très simple. Une fille se promène sur un sentier. Elle tombe sur un exhibitionniste. Une conversation s'engage. Une large part d'improvisation. Plusieurs déclinaisons de la même scène. Clémentine s'occupera de la caméra. Nous en rions de bon cœur. << Je regarde celui que nous avons déjà tourné. Il m'inspire pour d'autres ! >> fait encore Julie.

Je sors ma bite. Comme toujours, Julie fait mine de ne pas s'en rendre compte. J'adore cette attitude toute féminine. Clémentine invite Julie à la suivre. Elles vont s'installer devant l'ordinateur. Je reste assis en tailleur devant la cheminée. Dans cette position, l'élastique de mon slip fait "garrot". Ce n'est pas très agréable. J'entends les filles rire. << Lis ce texte ! >> propose Clémentine à Julie. Le silence. << Génial ! Ce sont des histoires vraies ? >> demande Julie.

<< Tout est parfaitement authentique. Julien serait incapable d'écrire des romans ou de la fiction ! >> répond Clémentine. Je précise : << C'est un talent que je ne possède pas ! Pourtant j'aimerais beaucoup être Alexandre Hugo ou Victor Dumas ! >>. Nous rions de bon cœur. Julie prends le lien de mon Blog sur son téléphone. << Je m'inscris dès ce soir ! Je veux tout découvrir ! >> lance t-elle. Il y a plus de 120 récits sur mon Blog. Julie aura de la lecture. Très peu de photos.

Clémentine précise : << Il n'y a aucune photo de cul. Pourtant c'est là qu'échouent tous les visiteurs qui ont des problèmes avec la lecture. Les plus cons s'imaginent qu'il y a des photos pornos ! >>. Julie est pliée de rire. Elle lit un second texte. << C'est prenant ! >> rajoute t-elle. Je prépare du thé et des petits gâteaux. Nous bavardons. J'ai remballé ma queue. Julie doit nous laisser vers 16 h. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Les camionnettes sont toujours là.

Nous rentrons nous mettre au chaud. Dans l'atelier, Clémentine lit encore un peu. Je commence un nouveau dessin préparatoire. Il est presque 19 h. Ce soir encore, il n'y a aucune manifestation surnaturelle. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Comme j'aime me retrouver seule avec toi ! >> me fait Clémentine en se blottissant contre moi. Elle prépare la salade. Nous n'avons qu'à réchauffer les restes de midi. Ce soir, nous préparons deux tartes aux noix.

Nous ne traînons pas à table. Faire nos tartes aux noix est un plaisir. << On devient un vieux couple. Une soirée sans baiser ! Je m'inquiète ! >> fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Je casse les noix. Clémentine prépare le "flan". Les deux pâtes feuilletées ont bien décongelé. Il est 21 h quand nous sortons les tartes du four. Leur odeur parfume toute la cuisine. Clémentine me sort la bite en disant : << Et maintenant, mon dessert ! >>. Elle s'accroupit en gloussant.

Je la force à se redresser, à s'assoir sur une chaise, le dossier entre les cuisses écartées. J'aime bien cette position car ma suceuse peut pomper en étant confortablement installée. Les bras en appui sur le dossier, Clémentine tète les yeux fermés en gémissant de plaisir. Je caresse ses cheveux que je lisse en chuchotant des douceurs, des cochonneries. Je me fais tailler une pipe des familles. Je propose à Clémentine de monter. De nous terminer au lit.

Nos rituels pisseux, nos lavages de dents. Il est 22 h. Nous voilà couchés. J'offre à Clémentine une alternance de cunnilingus, de pénétrations qui l'emmène à un orgasme nucléaire. Dans une série de petits cris d'animal blessé, Clémentine jouit comme une folle. J'aime continuer à la lécher même si elle tente de me repousser délicatement. Partir pour un second tour. Elle abandonne rapidement la lutte pour se remettre à gémir. Je propose de remettre la pipe à demain.

Bonne soirée à toutes les coquines que la confection de tartes aux noix émoustille au point d'allumer leur libido débridée...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1430 -



Toujours ce froid glacial et cette neige gelée

Hier matin, samedi, je suis réveillé par une chatouille sur ma joue. Un peu comme si un insecte y évoluait. En même temps que je sors du sommeil, je prends conscience que Clémentine est tout contre moi. Ce sont ses cils que je sens contre ma peau. << Papillon ! >> murmure t-elle tout en continuant à battre des paupières. Elle cesse pour frotter son nez contre le mien en chuchotant : << Esquimau ! >>. Je fonds en la serrant contre moi. Je dis : << Je t'aime ! >>.

Ce sont les premiers mots que je prononce. Il est presque huit heures. Nous luttons encore un peu contre l'impérieux besoin naturel. Clémentine m'entraîne par la main. Nous allons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Délicieuse odeur.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. Une histoire surréaliste sur le chantier. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons pour enfiler nos anoraks. Bonnets, gants. Nous sortons dans un froid glacial. Moins 2°.

Quelle surprise, les deux camionnettes d'entreprises sont là. Nous sommes pourtant samedi matin. Nous regardons par une des fenêtres de la dépendance. Les quatre employés doivent être à l'étage. Nous percevons comme le bruit lancinant d'un aspirateur. << Ils veulent finir dans les délais. Ils font des heures supplémentaires. >> fait Clémentine. Nous contournons la bâtisse pour aller sous l'abri à bois. Nous rions en voyant le trou rond dans la nouvelle porte en bois.

Ce vide d'environs deux mètres entre l'abri à bois et la dépendance est à présent un étroit local d'une dizaine de mètres de long. Nous pourrons y ranger des choses. Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. C'est lourd. Nous la portons toujours à deux. Il faut faire deux voyages pour refaire le stock à côté de la cheminée et de la cuisinière. Dehors tout est blanc. La surface de la neige a gelé. Elle craque sous nos pas. Le ciel est entièrement bleu.

Il y a du soleil. << Tout ce que je déteste ! >> fait Clémentine lors de notre second voyage. Moi aussi je déteste le froid glacial, la campagne blanche sous un ciel bleu et ensoleillé. << C'est meringue au frigo ! >> dit encore Clémentine. Nous rangeons le bois dans l'atelier. Nous ressortons avec la corbeille vide. Voilà la camionnette de livraison des fruits et légumes. C'est la même jeune femme qui porte son masque sanitaire. Elle sort de son véhicule.

Nous la saluons. Du hayon arrière elle tire deux gros cageots. L'un contient nos légumes, nos fruits. L'autre contient nos œufs, le beurre, les yaourts, la crème fraîche et nos fromages. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. Il est presque 10 h. Un véhicule s'en va, en voilà un autre. C'est madame Marthe, la boulangère. Son masque sanitaire qui reste accroché à son oreille droite. Elle a toujours quelques bon mots et fait preuve de beaucoup d'humour.

Dans la cagette qu'elle tire de son tube Citroën "Louis la Brocante", il y a nos deux grosses miches de pain complet et Bio. Nos deux brioches au pudding, huit pâtes feuilletées. Du stock car avec les tartes nous en faisons grande consommation. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. Nous saluons la dame qui s'en va vers ses autres clients. Nous descendons à la cave par derrière. J'ouvre les deux grands battants horizontaux pour descendre l'escalier.

Nous rangeons nos fruits et nos légumes au cellier. Les pâtes feuilletées et une miche au congélateur. Nous remontons pour ranger nos produits frais au réfrigérateur. Pour être peinards nous commençons par le ménage du bas. Je passe la serpillère immédiatement après l'aspirateur que pousse Clémentine en chantant. De nombreux arrêts bisous. Nous nettoyons la cuisine, les chiottes. La poussière. Armés de nos plumeaux, nous faisons les pitres en rigolant comme des fous.

Il est à peine 11 h15. Nous montons tout nettoyer à l'étage. Changer les draps, faire la chambre, la salle de bain, les chiottes du haut. Nous possédons une véritable salle de sport à l'étage. Une grande pièce équipé d'agrès. Tapis roulants de joggings, vélos d'intérieurs, haltères bancs de musculation, barres. Machines à exercices spécifiques. Quand j'étais plus jeune j'étais passionné de culturisme. Je m'entraînais tous les jours deux fois, en double set. J'adorais cette activité.

Même si je n'avais pas la génétique pour devenir un champion, ni l'ambition, je me suis carrossé comme une Rolls. Et je continue tous les jours à entretenir tout ça. Clémentine adore cette forme d'entraînement. Depuis l'âge de 14 ans elle s'est fabriquée un corps d'exception. Très fitness. De nous entraîner chaque matin permet une émulation permanente. C'est une jeune fille capable de prendre 45 kg au développé couché pour huit répétitions avec 62 kg de poids de corps ! Pour 1,81 m.

Il est 11 h55 quand tout est nickel, propre et bien rangé. Nous redescendons avec le panier à linge plein à ras bord. Linge trié que nous mettons à la machine par couleurs. Il commence à faire faim. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour les moules pas tout à fait décongelées. Les haricots verts et les petits pois que je fais chauffer à peine décongelés dans le wok. Le samedi, on ne s'emmerde pas. C'est une préparation rapide. C'est délicieux aussi.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur note projet de vacances dans le Jura du 11 avril au 18 avril. << En espérant que ces enfoirés n'aient pas organisé un nouveau confinement d'ici là ! On sait de quoi ils sont capables ces enflures ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents dans une salle de bain qui sent encore la javel. Par la fenêtre nous découvrons que les camionnettes ont disparu.

<< Viens ! On va voir notre nouvelle maison ! >> fait Clémentine en me prenant par la main. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Bonnets, gants. Nous traversons le jardin en courant presque. Nous entrons dans la dépendance. Quelle agréable surprise ! Tout est terminé. Il y a une odeur indéfinissable. L'entreprise Ecolisas est soucieuse de l'environnement. Tous les produits utilisés respectent la charte. Pas de dérivés chimiques ou encore synthétiques.

Nous admirons la grande pièce du bas. Clémentine a déjà prévu l'ameublement. Elle va choisir le mobilier. Clémentine m'entraîne par la main. Nous scrutons chaque endroit. La cheminée est magnifique. C'est comme l'intérieur d'un chalet. Tout est recouvert de lambris de chêne. L'escalier en angle est monumental. Nous le prenons pour monter à l'étage. Nous allons de surprises en surprise. De découvertes en découvertes. C'est absolument magnifique. Superbe.

Il y a deux chambres spacieuses. Chacune éclairée d'une fenêtre ronde en "œil de bœuf". Une cuisine équipée. << C'est fantastique ! >> lance Clémentine qui caresse les meubles. La salle de bain toute équipée. Un cabinet de toilettes. Tout à l'étage est lumineux. Pas de boiseries mais une peinture satinée, claire, à léger crépis. << Put-Hein ! Comme c'est beau. Ils ont vraiment bien bossé ! >> lance Clémentine. Elle m'entraîne dans une sorte de tango, de danse tribale.

Nous poussons des cris d'animaux qui n'existent pas. Clémentine manifeste toujours sa joie d'une façon étonnante et exubérante. Là, c'est carrément de l'euphorie. Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Elle enserre mes hanches de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. << Merci Julien pour cette vie merveilleuse. Tu fais de moi la plus heureuse des femmes ! >> fait elle en m'entraînant maintenant dans une valse. Nous redescendons.

Tous les matériaux utilisés sont exempts de produits issus de l'industrie chimique. Il n'y a pas ces odeurs de white spirit, de diluants ou encore de détergents habituels. Un bruit de moteur. Nous allons voir. C'est la voiture d'entreprise d'Estelle. Clémentine ouvre la fenêtre. << Viens vite ! >>. Estelle sort son grand sac de sport contenant ses vêtements de change. Elle vient nous rejoindre. << Wouah ! C'est génial ! >> s'écrie t-elle en découvrant l'endroit. Elle nous fait des bisous.

Estelle fait le tour de la grande pièce. Elle monte à l'étage. Nous l'entendons commenter ses découvertes. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. << On va pendre la crémaillère ! >> fait elle en sortant ma queue. Il fait encore bien chaud car les employés chauffent au gaz. Estelle redescend. Elle nous voit. Elle se précipite pour se frotter contre ma hanche. Elles s'accroupissent toutes les deux pour me déposer plein de bisous sur le sexe. Nous rions aux éclats.

<< Comment fonctionnent les radiateurs ? A l'énergie solaire ? >> demande Estelle. Nous éclatons de rire. Je lui explique. << Tu vois le gros chaudron noir pendu à sa crémaillère dans la cheminée ? Viens voir ! >>. J'entraîne les filles. Je soulève le couvercle. Une lourde fonte noire. Il y a huit tubulures en cuivre. Il y a deux tuyaux qui sortent du chaudron. Ces tuyaux alimentent les radiateurs à l'étage. C'est un principe scandinave. Il faut simplement allumer un feu dans la cheminée.

<< Mais si cette conne de Ségolène veut interdire le chauffage au bois, tu fais comment ? >> s'écrie Estelle. << Mais madame Royale va se faire royalement enculer ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Ces mesures imbéciles ne sont pas prêtes à êtres appliquées. << Ces cons d'écologistes cul-cul-la-praline sont capables du pire ou encore du pire ! Comme le dit papa ! >> fait encore Estelle en empoignant mon Zob de sa poigne ferme. Elle aussi soulève des haltères.

Nous ressortons dans le froid. Je prends le sac de sport d'Estelle. Nous rentrons vite. Nous passons au salon. Assises devant l'ordinateur, les filles regardent les sites choisis par Clémentine. Ce sont les meubles qu'elle préfère. Je suis debout derrière mes deux anges. Mes mains caressent leurs épaules. Elles en frissonnent de plaisir. Clémentine a fait les choix les plus judicieux. En bas il y aura deux canapés et deux fauteuils qui entoureront une table basse. Des couleurs pastels.

Un grand buffet pour y ranger vaisselle, nappes et accessoires. Un guéridon. Une banquette près de la cheminée. A l'étage ce seront deux chambres à coucher. Il y a des sortes de piédestal sur lesquels seront les lits surélevés. Je trouve l'idée génial. Un grand lit, deux tables de nuit, une armoire, une table, une chaise, un fauteuil dans chacune des chambres. Clémentine a tout conçu. C'est super bien pensé. Il a fallu qu'elle arrive dans ma vie pour que cette vieille grange prenne forme.

<< Dis moi ! T'as mis un sacré pognon là-dedans ! >> me fait Estelle. Nous éclatons de rire. Je réponds : << Il faut bien que j'en dépense un peu ! J'ai 54 ans ! >>. Je me penche, ma tête entre celles des filles pour admirer les meubles que Clémentine va commander. Elle dit : << Julien ne connaît pas les problèmes de budget ! >>. Je n'en connais plus depuis longtemps. Je trouve judicieux les projets de Clémentine pour donner une plus valu considérable à la propriété.

Estelle se tourne vers moi. Elle fourre son nez dans ma braguette ouverte en disant : << Je veux un Julien aussi. J'ai pas envie de me faire chier dans la vie ! >>. Clémentine repousse délicatement Estelle, par jeu, en précisant : << Oui, mais celui-là, c'est le mien ! >>. Je leurs caresse la tête. Je murmure : << Et vous vous le partagez si bien ! >>. Elles se lèvent en même temps pour se serrer contre moi. Chacune se frottant à mes hanches. Je les serre encore plus fort.

Nous allons à la cuisine. Tous les trois assis à la table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri, l'ail et l'oignon. Ce sera pour la potée de légumes. Nous en faisons en grande quantité pour assurer trois repas. Les filles évoquent leurs études, les vacances que nous espérons pouvoir passer dans le Jura. L'inauguration de la maison d'amis. << La Saint Valentouze de demain ! >> s'écrie Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.

<< Tu te souviens des Saint Valentouze à cinq ou six au haras, organisées par Juliette ? >> demande Estelle à Clémentine. << Et comment ! C'était le monde d'avant ! >> répond Clémentine. C'est vrai que ces partouzes nous laissent d'agréables souvenirs. Estelle verse la montagne de légumes dans l'évier emplit d'eau. Elle les secoue. Clémentine les frictionne à la brosse. Je mets deux bûches dans la cuisinière à bois. Estelle égoutte le tout avant de le mettre dans la cocote.

C'est une grande cocote ovale en fonte noire. Cela permet la cuisson à l'ancienne, traditionnelle et tellement meilleure. En plus, sur la cuisinière à bois, c'est le délice assuré. Je jette les épluchures dans la poubelle à compost pendant que Clémentine nettoie la table. Estelle touille les légumes avec la spatule en bois. Les filles discutent mathématiques. Car la seconde partie du trimestre sera consacré aux math. Elles sont toutes les deux hyper balaises en mathématiques.

La cuisine est propre. La cocote est sur l'extrémité de la cuisinière à bois. Dans la fonte, ça attache toujours un peu. Mais ce qui attache est si bon ! Nous quittons la cuisine pour passer dans l'atelier. C'est Estelle qui veut allumer le feu dans la cheminée. Clémentine m'entraîne dans le vieux canapé. Elle me sort la queue. Elle l'agite en direction d'Estelle accroupie devant la cheminée. Elle attise les flammes avec le tisonnier. << C'est toujours moi qui allume la cheminée ! J'aime ! >> dit elle.

Elle vient nous rejoindre. Je suis entre mes deux anges. Estelle tout en bavardant, joue avec ma queue. J'écoute leurs stratégies d'étudiantes pour les cours à venir. Cela va bientôt faire une année qu'elles suivent les cours en télé travail. L'ambiance de la faculté des sciences leurs manque. Estelle, consciencieusement, me sort les couilles. Avec l'élastique du slip qui fait "garrot" elles sont bien dodues. << Je te les épile demain matin ! >> me fait Estelle.

<< Après elles ressembleront à de la peau de poulet ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Il est déjà 18 h45. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. La potée de légumes embaume toute la grande pièce. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare la chapelure dans une assiette, deux œufs battus dans une autre. Il me suffit de passer les filets de colin dans l'œuf puis dans la chapelure avant de les poêler à feux doux. Ça ouvre drôlement l'appétit.

Nous mangeons en savourant longuement chaque bouchée de ce délicieux repas. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font mille projets pour la semaine de vacances à venir. La vaisselle. Je propose une soirée léchage de minous. << Tu me fourres comme un boulanger ! >> s'écrie Estelle. << Belle métaphore pour mettre une baguette au four ! >> lance Clémentine. Les filles m'entraînent au salon. Nous voilà rapidement juste vêtus de nos chemises et chaussettes.

Les coquines, vautrées dans le canapé, tenant leurs jambes relevées, m'offrent leurs superbes chattes hyper poilues. Je suis à genoux sur les épais coussins. Mon visage entre les cuisses de l'une, ma tête entre les cuisses de l'autre. Estelle m'attire sur elle. C'est avec elle que nous faisons l'amour en premier. Sous le regard de Clémentine qui se masturbe en nous observant. Je passe à Clémentine. Nous passons la soirée ainsi. L'orgasme d'Estelle est de huit sur l'échelle de Richter.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font tringler sur le canapé du salon en gémissant de plaisir, en jouissant jusqu'à l'épuisement...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1431 -



Dimanche de la Saint Valentouze

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon profond sommeil par les incessants mouvements de pieds que fait Estelle contre les miens. Sa main qui bouge sous mon aisselle, son bras qui frissonne sur ma poitrine. Son souffle chaud dans mon cou. Elle sait quand je me réveille. Ses lèvres se referment comme une ventouse sur ma joue droite. Tout cela finit par réveiller Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Je distribue les bisous. Un concert de gémissements.

Il est 9 h. Il est rare que nous dormions si tard. Estelle tient mon érection de sa poigne de fer. Clémentine tient mes couilles de sa main ferme. Nous nous chuchotons des douceurs. << C'était génial hier soir "Maître lécheur" ! >> me fait Estelle en se levant d'un bond pour courir vers la porte. << Comme c'était bon hier soir, Julien ! >> dit Clémentine avant de glisser sous la couette pour téter mon Zob. C'est toujours une curieuse impression au réveil. Pas vraiment très agréable.

Estelle revient. Nous nous habillons tous les trois. Elle descend l'escalier. << Petit déjeuner ! >> lance t-elle. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous faisons rapidement le lit avant de dévaler les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine, dans l'odeur de café, de brioche et de pain grillé. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille pour me couvrir le visage de bisous. J'administre le même traitement à Clémentine. Il fait très faim.

J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons un solide petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, tout est blanc, gelé et glacial. Le thermomètre extérieur indique moins 3°. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur notre projet de randonnée. Le dimanche, pas d'entraînement. Nous avons fait le ménage hier. Aucune raison de se mettre une pression quelconque. Même si nous souffrons d'hyper activité.

Nous débarrassons. La vaisselle. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, nos gants pour sortir. Ce froid polaire est détestable. Tout a gelé. La surface de la neige est dure et craquante. Même notre bonhomme de neige est dur comme de la glace. La carotte qui faisait office de nez a disparu. Elle a certainement servi de nourriture à un animal affamé. Nous traversons le jardin pour aller dans la dépendance. << Notre nouvelle maison ! >> comme l'appelle Clémentine.

C'est froid. L'intérieur est froid. Pas d'employé pour la chauffer. C'est moins drôle. Nous découvrons une fois encore la qualité des travaux terminés. L'entreprise reviendra demain pour peaufiner les détails. Nous voyons encore quelques papiers dans les jointures. Il y a encore le crépis des façades extérieures. Avec ce froid il est impossible d'y procéder. Mais ce n'est vraiment pas un souci. L'entreprise viendra réaliser ces travaux aux premiers beaux jours. Nous ressortons.

Accrochées à mon bras, bien serrées, les filles nous entraînent vers la rivière. Les bords en sont couverts de glace. C'est un spectacle magnifique. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Les canards, les poules d'eau et les colverts s'approchent. Ils attendent probablement l'arrivée de monsieur Bertrand, notre voisin. Il vient les nourrir chaque jour. Parfois deux fois. Nous ne pensons jamais a emmener des aliments. Il faut dire que nous n'avons pas de restes.

Nous reprenons le sens inverse. << On va vraiment randonner avec ce froid ? >> demande Estelle. << On va y réfléchir très sérieusement ! >> répond Clémentine. Nous sommes des courageux, des téméraires même. Mais là, avec ces conditions déplaisantes, nous hésitons. Nous remontons le chemin. Dans ce sens, un vent polaire du Nord, devient désobligeant. Nous rentrons vite au chaud. Nous retirons nos bottes en caoutchouc. Je masse les pieds des filles pour les réchauffer.

Nous passons au salon. Assises sur mes genoux, elles allument l'ordinateur. Une rapide petite visite sur le site de l'université. Aucune information. Nous avons deux courriels. Le premier de Juliette qui nous donne de ses nouvelles. Le second de Julie qui confirme sa venue demain soir. Nous confirmons notre commande. Six tourtes aux fruits de mer. Six barquettes de salades. Clic sur envoi. Un petit tour sur mon Blog. Réponse automatique à quelques messages privés.

Une petite visite sur les différents forums où nous publions nos aventures. Réponse rapide à quelques messages privés. Nous répondons toujours. Les lecteurs ont le bon goût et l'amabilité de ne plus mettre de commentaire au bas de nos publications. Cela évite la rupture inutile entre deux récits. Comme nous ne sommes pas en quête de reconnaissance, que nous ne recherchons pas les flatteries, nous préférons le contact en messagerie privé. C'est beaucoup plus instructif.

Estelle se lève pour se dégourdir les jambes en sautillant autour du bureau. Clémentine change de position pour me chevaucher en se frottant. << J'ai déjà envie de faire des trucs ! >> lance Estelle qui pose son sexe sur un des coins du bureau. Penchée en avant, ses mains en appui sur sa surface, cambrée en avant, Estelle se frotte contre le meuble. << Moi, j'en fais déjà ! >> fait Clémentine. << Bienvenue au club des nymphos ! >> rajoute Estelle qui passe derrière moi.

Penchée en avant, ses mains autour de mon cou, elle me suce le lobe de l'oreille droite. Clémentine fouille ma bouche de sa langue exploratrice. << Vous la voyez venir la randonnée de l'après-midi ? >> demande Estelle. Nous éclatons de rire. << On peut quand même aller au moins jusqu'au haras ! Par la forêt ! >> lance Clémentine. << Oui, mais alors habillés comme pour une expédition arctique ! >> rajoute Estelle. Nous en rions de bon cœur. Je bande comme un salaud.

Estelle n'arrête plus de me sucer le lobe de l'oreille. Sa bouche chaude et son souffle me couvrent de frissons. Elle revient s'assoir sur ma jambe libre. Leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles évoquent nos folies. << C'est la Saint Valentouze ! >> lance Estelle. Nous ne sommes absolument pas du genre à marquer les fêtes commerciales et de convenances. Mais celle-là est le prétexte à d'amusantes plaisanteries. Estelle tape sur le clavier "Les amoureux de Peynet".

Immédiatement apparaissent les merveilleux dessins de cet illustrateur décédé. << Comme c'est beau, romantique et mignon ! >> fait Clémentine. Nous admirons les beaux dessins. Je me souviens de tout cela lorsque j'étais petit. Mon papa envoyait souvent des cartes postales des dessins de Peynet à ma maman lors de ses déplacements. Il en trouvait même aux états-unis où il se rendait fréquemment. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons le salon pour la cuisine.

Les pavés de saumon ont décongelé. Estelle les prépare en papillotes dans le four à bois. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée de légumes pendant que je dresse la table. Il fait bien chaud dans la cuisine. Avec ce froid la cuisinière à bois rajoute aux deux radiateurs. Notre cuisine est grande. Il n'y a pas trop de ces trois sources de chaleur. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et en riant beaucoup. Le repas est délicieux. Simple mais nourrissant.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur nos projet "cinématographiques". Estelle veut réaliser un nouveau film pour sa collection. Un dix septième opus. << On en parle à Juliette cet après-midi. On lui loue un cheval ! >> propose Estelle. En effet, pour les besoins du prochain scénario, il faut un cheval. Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain.

Nous enfilons chacun un gros pull bien épais. Nos grosses godasses de marche à la main, nous dévalons les escaliers. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Dans le petit sac à dos que je porte, des gâteaux secs, la thermos avec du thé bouillant. Nous voilà partis. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route. Le chemin dans la forêt. Le ciel est gris mais très lumineux. Le chemin est large. Il permet de marcher tous les trois de front. Les filles accrochées à mes bras.

Grâce aux arbres, même s'ils sont dépourvus de feuillages, le vent est moindre. Nous l'avons de face. C'est vraiment désagréable. Au retour ce sera moins pénible. Il y a trois petits kilomètres jusqu'au haras. Malgré le froid, il y a des voitures garées dans la cour. Un groupe de gens qui portent leurs masques sanitaires. Nous avons totalement oublié les nôtres. Il faut dire que nous vivons loin de toutes ces paranoïas. Nous restons toutefois à distance. Nous entrons dans l'ancienne écurie.

Nous caressons le cou des chevaux qui dépassent de leurs box. Des éclats de voix. C'est Kim Son, le jeune palefrenier. Il est avec deux propriétaires de chevaux. Il semble leurs expliquer quelque chose. Il nous salue du fond de l'allée centrale. Il fait bien meilleur avec les bêtes. Moins froid. Nous quittons pour traverser la cour. Dans l'immense bâtiment du manège, il y a des cavaliers qui tournent. La vapeur sort des naseaux des bêtes avec ce froid intense. Voilà Juliette.

Elle est avec deux couples de propriétaires. Elle nous voit. Ils portent tous leurs masques sanitaires. Eveline, l'autre jeune palefrenière, vient nous rejoindre. Elle nous tend trois de ces hideux masques bleus. Nous la remercions. Nous les enfilons. Elle dit : << Il y a le Préfet, le sous-préfet et leurs femmes ! Leurs filles montent. Jouez le jeu ! >>. Nous voilà parés. Nous regardons les chevaux tourner, se mettre au trot, au galop, sauter des barrières. C'est toujours un beau spectacle. Malgré le froid.

Dans ce grand bâtiment ouvert à tous les vents, il y a un courant d'air désagréable. Juliette vient vers nous à toute vitesse pour nous saluer. Tellement contente de nous voir. Elle s'excuse de ne pas avoir une soirée de libre à nous consacrer. << J'ai de telles journées que le soir, je tombe épuisée dans mon canapé ! >> lance t-elle. Nous comprenons parfaitement. Juliette est tellement contente que nous passions la voir. Elle ne cesse de nous remercier. Elle est beaucoup sollicitée.

Voilà déjà deux autres cavalières qui arrivent. Nous les laissons bavarder. Juliette vient nous rejoindre à la porte. Estelle demande : << On peut vous louer un cheval une heure ou deux aux premiers beaux jours. C'est pour un de mes films ? >>. Juliette éclate de rire : << De la zoophilie maintenant ! >>. lance t-elle. << Rassurez-vous, rien de tout ça, c'est juste pour le monter. Les besoins du scénario ! >> explique Estelle. Juliette la rassure. Il n'est pas question de location mais de prêt.

Estelle la tiendra au courant. << Je peux assister à tout ça ? >> demande Juliette les yeux pétillants d'espièglerie. << Avec plaisir ! >> répond Estelle. Nous prenons congé. Nous reprenons le même chemin par la forêt. Comme nous marchons avec le vent, c'est beaucoup moins éprouvant. Il est 18 h quand nous revenons à la maison. << Et voilà ! Nous avons fait notre randonnée ! >> lance Estelle en enlevant ses grosses godasses. Nous allons au salon nous vautrer dans le canapé.

Je suis entre mes deux anges. Estelle ouvre ma braguette pour m'en extraire le Zob. Elle revient sur le scénario de notre prochaine réalisation. Sur l'acceptation de Juliette. Par association d'idée, les filles en arrivent au projet "cinématographique" de Julie. Très comparable à celui d'Estelle mais sans le cheval. Nous en rions de bon cœur. Tout en parlant Estelle me tord la bite dans tous les sens. Heureusement que je bande encore mou pour le moment. La faim commence à se faire sentir.

Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine prépare une belle salade d'endive et d'avocat. Estelle nous concocte une belle omelette aux champignons et au Roquefort. Je réchauffe le reste de potée. Je dresse la table. Estelle coupe de fines tranches de Morbier. Nous aimons les poser sur les légumes chauds. C'est un fromage onctueux qui fond dans l'assiette. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à tables. Les filles assises sur mes genoux. Nous bavardons encore.

La vaisselle. Je propose aux filles ce qui est devenu le rituel de nos soirées. Un bon léchage de minous. Comme le dimanche nous macérons dans nos jus sans nous laver, je me réjouis de bouffer de la chatte négligée, fromagère et bien odorante. Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Les filles m'entraînent au salon. Nous revoilà juste en chemises et en grosses chaussettes de laine. Je me bouffe de la chatte onctueuse, bien fournie en yaourt et tellement parfumée.

Bonne soirée à toutes les coquines que se font nettoyer la chatte avant de se refiler une bite façon "fondue savoyarde"...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1432 -



Confection de tartes aux noix et visite de Julie

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par les mouvements d'Estelle. Toute la nuit elle est encore restée accrochée à moi. Comme une désespérée à sa bouée. Je l'entends gémir. Il est presque huit heures. Cela réveille Clémentine qui vient se serrer. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous. Ce matin, le réveil est plutôt difficile. Nos soirées de folies nous épuiseraient elles ? Estelle se lève la première. Ses vêtements de sport à la main, elle se dirige vers la porte.

Nous nous vêtons de nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Cette délicieuse odeur de brioche, de pain grillé et de café. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner encore bien ensommeillés. Nous mangeons toutefois de bon appétit. Il est 8 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gym. Ce matin, nous en avons vraiment besoin. C'est même vital.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle qui doit filer jusqu'à ce soir, prend sa douche la première. Nous en profitons pour faire le lit, la chambre. Dehors c'est toujours aussi blanc. Estelle nous fait la bise avant de s'enfuir. C'est à notre tour d'aller prendre la douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous redescendons pour mettre nos anoraks, bonnets, gants. Le thermomètre extérieur indique 0°. Nous sortons dans le froid sibérien.

Il y a deux véhicules d'entreprises et une chenillette. C'est ce bruit que nous percevions depuis le petit déjeuner. Des employés sont entrain de pratiquer une tranchée. Il est question de brancher les canalisations au tout à l'égout. Dernière phase des travaux d'aménagement. Nous regardons par la fenêtre de la dépendance. Nous voyons la jeune femme, chef de chantier, entrain d'étudier un plan avec le collaborateur habituel. Nous contournons la bâtisse pour aller dans l'abri à bois.

Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Deux voyages. Un pour stocker du bois dans l'atelier. L'autre pour empiler les bûches à côté de la cuisinière. Nous descendons jusqu'à la rivière. Tout est encore gelé. Le ciel est bas et gris. Cet hiver qui n'en finit plus commence à devenir détestable. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. << Il faut se projeter dans l'avenir, dans le printemps qui arrivera inéluctablement ! >> me fait Clémentine.

Nous revenons sur nos pas. Nous remontons le chemin. Il y a la voiture de monsieur Ledru, le patron de l'entreprise. Il est entrain de parler avec le type qui a creusé la tranchée d'environ trois mètres de long sur un mètre de profondeur. On voit les gros tuyaux. Il porte son masque sanitaire. Il vient vers nous pour nous saluer. Nous restons à distance. Nous lui faisons part de nos profondes satisfactions. Les travaux sont terminés dans les délais impartis. Tout est remarquable.

Il reste le crépis extérieur à réaliser. Ce sera fait aux premiers beaux jours. Il est impossible d'établir une date précise. Ce sera au printemps. Deux jours de travail. Monsieur Ledru semble un peu gêné de ce contretemps météorologique. Nous le rassurons, rien ne presse. Nous mettons au point les dernières modalités. Je ferai un virement bancaire pour régler le solde. L'entreprise Ecolisas intervient chez monsieur Bertrand, notre voisin, dès demain. Pour deux semaines.

S'il y avait le moindre souci, nous n'aurions qu'à prévenir la jeune femme, chef de chantier. Nous prenons congé. Nous rentrons au chaud. Il est 11 h15. Nous allons dans l'atelier afin d'y allumer un bon feu dans la cheminée. Clémentine sautille autour de moi. Les travaux sont terminés. Sont souhait s'est réalisé. << Avec toi, tout est toujours si simple ! >> fait elle en se blottissant contre moi. Nous regardons les flammes prendre possession de tout le bois disposé dans l'âtre.

Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Une rapide visite sur le site universitaire. Voilà le programme de la seconde partie du trimestre. Sept semaines entièrement consacrées aux mathématiques. Clémentine est une matheuse. Elle se réjouit. Nous ouvrons notre boîte mail. Deux courriels. Le premier, c'est ma famille en Ecosse. Le second c'est Julie qui est impatiente de nous rejoindre. Elle sera là pour 17 h. Un rapide petit tour sur les forums où nous publions nos aventures.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du millet doré. Pendant ce temps je prépare un coulis d'aubergine. Deux filets de limande que je poêle avec des champignons. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me parle de la dépendance. De la maison d'amis. De ces travaux qui prennent fin. Nous ferons l'expérience du chauffage dès demain. Pour constater.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Clémentine est euphorique. Tellement contente. Je la soulève plusieurs fois pour la faire tournoyer dans les airs. Ses jambes autour de ma taille, elle me couvre le visage de bisous. Par la fenêtre de la salle de bain, nous regardons. Il y a un des employés debout dans la tranchée. Un autre qui procède probablement au raccord des tuyaux. << Les tuyaux à crottes ! >> comme les appelle Clémentine. Nous en rions de bon cœur.

Nous redescendons. Les deux pâtes feuilletées ont décongelé. Clémentine prépare un flan. De l'œuf, du yaourt, des bananes en purée, des rondelles de kiwi. J'ai disposé les pâtes feuilletées dans deux grands plats à tarte. Je casse les noix le plus proprement possible. Nous disposons les cerneaux soigneusement. Il suffit de recouvrir de la garniture et mettre au four. Sur ces deux tartes il y a des rondelles de kiwi. C'est un régal. Le four électrique sur 220° afin d'en contrôler la cuisson. 55 minutes.

Nous adorons préparer des desserts. Nous offrirons une de ces tartes à Julie ce soir. Depuis le temps que nous lui en parlons. Il est presque 15 h. Nous quittons la cuisine pour l'atelier. Il y fait bien chaud. Clémentine s'installe dans le canapé avec un livre. Je commence le dessin préparatoire d'une nouvelle œuvre. Il me faut huit scènes de genre à trois personnages. J'en ai déjà réalisé cinq. J'ai une confortable avance sur mon timing habituel. L'après-midi se déroule ainsi.

J'adore travailler en écoutant Clémentine me faire la lecture. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève d'un bond pour le saisir. << Julie ! Elle arrive ! >> fait elle. Il est presque 17 h. << Sors ta bite, je vais aller l'accueillir ! >> me fait Clémentine en sortant de l'atelier. J'ouvre ma blouse. Comme l'imperméable d'un exhibitionniste j'en écarte les pans. Ma bite qui pend mollement de ma braguette ouverte. Clémentine revient suivie de Julie toute contente.

Elle a ses cheveux tressés en une longue natte. Ses lunettes d'étudiante. Un gros pull noir, un jeans, ses bottines et une belle écharpe de soie. Julie tire le flacon de gel hydroalcoolique de son petit sac à dos en cuir noir. Nous nous frottons tous les trois les mains en riant de ce rituel absurde. Surtout que nous n'avons aucun contact avec le monde extérieur. Julie fait mine de ne pas avoir vu ma queue qui pend mollement. Elle s'installe dans le canapé avec Clémentine devant un thé fumant.

Les filles évoquent leurs études. Je termine mon dessin préparatoire. Je surprends quelquefois le regard discret de Julie qui mâte mon sexe. Clémentine me fait de tout aussi discrets clins d'œil. Julie se lève pour venir voir mon travail. Je lui explique les prochaines phases de réalisation. Les couches d'impression à l'acrylique. Elle se réjouit à l'idée de tenir ma galerie d'Art pour la seconde fois cet été. L'an dernier ce fut pour elle une expérience professionnelles de toute première importance.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Julie évite toujours aussi obstinément de regarder franchement mon sexe. Je bande mou. Une belle saucisse de Montbéliard, appétissante et très attractive. Nous sortons les tartes aux noix du four. Elles sont merveilleusement dorées. Clémentine met les quatre tourtes aux fruits de mer dans le four. Voilà enfin Estelle qui arrive. << Excusez moi pour le retard mais il y a du boulot à l'entreprise familiale ! >> lance t-elle en me faisant des bisous.

Il est presque dix neuf heures. Estelle reste assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Clémentine place une des tartes dans un grand Tupperware rond. Julie est toute confuse. << C'est pour toi. Tu la feras gouter à tes parents ! >> dit Clémentine. << Tu fais gouter à Anne-Marie ! >> rajoute Estelle. << Elle vous passe le bonjour. Elle accepte votre invitation pour un repas ! >> lance Julie. Nous verrons cela pour une des semaines à venir. Une éventuelle fin de couvre feu.

Estelle et moi, nous dressons la table. Julie regarde enfin ma bite. Il faut dire qu'Estelle l'agite plusieurs fois dans sa direction. << Toujours sous la main, c'est le gadget idéal ! >> dit elle à chaque fois. Julie consulte Clémentine du regard. Comme pour voir ses réactions. Elle finit par dire : << Tu n'es jamais jalouse ? >>. Nous éclatons de rire quand Clémentine fait : << Si, tout le temps, mais Estelle est incorrigible ! Il suffit de la surveiller. C'est son "doudou" ! >>. Julie éclate de rire.

Estelle enfonce le clou en précisant : << Et tu as parfaitement le droit de t'en servir ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine vide les barquettes de leurs salades pour les disposer sur une grande assiette. Déjà assaisonnées par le Chef du restaurant de l'étang. Les tourtes aux fruits de mer sont rapidement réchauffées dans le four à bois. Nous voilà confortablement installés autour d'un festin de roi. Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent de leurs études. Les programmes.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine évoquent notre projet de vacances dans le Jura. << Si ces enfoirés ne nous préparent pas une de leurs saloperies. Un confinement du printemps par exemple. On les voit venir les psychopathes ! >> lance Clémentine. Julie rajoute : << Là c'est la fin du restaurant. Le dépôt de bilan ! Ma tante en fait des cauchemars ! >>. Estelle dit : << Ils auront commis toutes les erreurs ces cons là ! Avec un soin maniaque ! >>.

Clémentine vient sur le sujet du film. Le prochain projet de Julie. Nous le réaliserons dès les premiers beaux jours, au bord de la rivière. Estelle compare son projet "cinématographique" avec celui de Julie. Le scénario est sensiblement le même. Fantasmes voyeurs de jeunes filles. C'est très intéressant car chacune apporte une idée. Clémentine joue avec ma queue. Nous écoutons les échanges entre Estelle et Julie. << Tu joues à broute minou avec Anne-Marie ? >> demande Estelle.

<< Oui ! >> répond timidement Estelle. Nous ne posons aucune autre question. Les penchants homosexuels de Julie ne nous concernent absolument pas. Nous débarrassons. Je plonge. Les filles essuient. Estelle vient régulièrement me palper le Zob. Debout derrière moi, elle passe ses mains autour de ma taille pour me tripoter. << Tu suces avec nous un de ces soirs ? >> demande t-elle à Julie. Nous en rigolons comme des bossus. Il est presque 22 h. Julie doit nous laisser.

Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Julie tient religieusement le grand Tupperware contenant sa tarte aux noix. Il fait un froid glacial. Un dernier coucou, nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Rituel pisseux, lavage de dents. Au lit, j'alterne les cunnilingus et les pénétrations. << Un soir je lui fais brouter ma chatte ! >> murmure Estelle avant un orgasme tellurique. << Franchement, moi je pourrais pas ! >> lance Clémentine avant de jouir de façon cataclysmique.

Bonne soirée à toutes les coquines qui s'épuisent à la baise, à la lèche, aux pompages de Zob et aux orgasmes délirants...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1433 -



Enfin le froid s'en va pour faire place au redoux

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par les murmures d'Estelle à mon oreille. Elle est blottit contre moi. Elle dort probablement encore. Ses pieds se mettent à bouger contre les miens. Je lui dépose un bisou sur les lèvres. << Mmhh ! >> fait elle en se lovant. Cela réveille Clémentine qui vient se serrer. Je lui fais la même chose. Je suis entre mes deux anges. Il est presque huit heures. Les filles, sans même se consulter, glissent leurs mains dans mon slip.

Je glisse les miennes dans leurs culottes. << Pipi ! >> gémit Estelle qui tente inutilement de lutter. Elle tient fermement mon érection matinale. Clémentine tient mes couilles. Estelle, n'en pouvant plus, se lève d'un bond. Ses vêtements de sport à la main, elle se précipite vers la porte. Clémentine et moi nous enfilons nos vêtements de gym. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous descendons rejoindre Estelle à la cuisine. Odeur de café, de pain grillé, de brioche.

J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Estelle vient se frotter contre moi en disant : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant nos folies. Nous mangeons de bon appétit tout en riant de nos frasques. Il est 8 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos, stretching. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit, la chambre.

Elle nous fait la bise avant de se précipiter dans l'escalier. Elle revient ce soir. C'est à notre tour. La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons pour mettre nos anoraks. Quelle agréable surprise. Il fait presque doux. Il est 10 h. << Ça fait tout drôle, il n'y a plus de camionnette ! >> lance Clémentine qui m'entraîne par la main. Nous traversons le jardin. Nous entrons dans la dépendance. Les dernières finitions on été parachevées hier.

Tout est propre, neuf. Nous allons voir les fenêtres dont les cadres en bois sont de toute beauté. << On allume la cheminée ! >> fait Clémentine. Je sors à toute vitesse pour aller chercher un seau en plastique et du papier journal. Je reviens pendant que Clémentine a mis des branchages, des écorces et des copeaux de bois. Je monte à la salle de bain pour remplir le seau d'eau. Car l'eau coule d'un robinet en laiton jaune. Tout a été réalisé selon les directives de Clémentine.

Je redescends avec le seau plein d'eau et une bouteille en plastique. Clémentine lève le couvercle du chaudron de fonte noire. Je remplis les huit tubulures de cuivre. Il y a juste assez d'eau dans le seau. Clémentine prend la petite boîte d'allumette abandonnée sur le rebord. Elle craque une allumette. Le feu prend très vite. Je sors, je contourne la bâtisse. Je cherche deux bûches dans l'abri à bois. Les flammes lèchent déjà le fond du chaudron. Clémentine m'entraîne dans l'escalier.

C'est impressionnant de monter les marches. Elles sont recouvertes de feuilles de carton. A l'étage tout est lumineux. Clémentine essaie les robinets. Elle ouvre le frigo. Elle essaie les spots encastrés. La cuisine est fonctionnel. << Il suffit de commander les meubles ! >> précise Clémentine. Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Je glisse la mienne dans son jeans que je déboutonne. Il fait froid dans la bâtisse. Nous nous embrassons passionnément. Longuement.

Nous pouvons entendre le crépitement du feu. Nous ouvrons les quatre grands radiateurs de l'étage. Il faut ouvrir les petits robinets au bas de chacun. L'eau chaude va y monter et par un ingénieux système de vanne y rester bloquée. Clémentine m'entraîne par la main. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le froid a laissé place à un climat plus agréable. La neige a totalement fondu partout. Le sol est détrempé. Sur le sentier qui longe le cour d'eau, Clémentine me sort la queue.

Elle se place derrière moi. Tenant mon sexe à sa base entre le pouce et l'index, elle le fait tournoyer. << L'hélicoptère ! >> fait elle à haute voix à l'attention des canards, des poules d'eau et des colverts. Depuis quelques semaines il y a un couple d'échassiers qui s'est installé. Deux magnifiques hérons cendrés. Ils restent à regarder depuis l'autre côté de la rivière large ici d'au moins dix mètres. Il faut être vigilant car monsieur Bertrand, notre voisin, vient tous les jours de ce côté ci.

Clémentine me masturbe doucement en me confiant sa joie de retrouver un peu de douceur. Le ciel est voilé mais lumineux. Nous revenons sur nos pas. Je remballe ma bite pour remonter le chemin. Nous retournons dans la dépendance. Il commence à y faire plus agréable. Nous montons contrôler les radiateurs. Tous les quatre commencent à chauffer. << C'est génial ce système ! >> lance Clémentine. La semaine prochaine une entreprise viendra poser les panneaux solaires sur le toit.

Ainsi, en été, il y aura de l'eau chaude et de l'électricité pour éclairer. Il commence à faire bon à l'étage. Je déboutonne le jeans à Clémentine. Je retire ses bottes en caoutchouc. Pantoise elle me regarde faire. Je retire son jeans et sa culotte. Je la soulève pour l'installer, cul nu, sur le plan de travail entre le frigo et le buffet. Je sors mon Zob. Clémentine assiste à tout cela à la fois amusée et médusée. Debout entre ses cuisses écartées, je frotte mon sexe contre le sien.

Je relève ses jambes que je tiens par les chevilles. En appui sur ses coudes, protégée par son anorak, Clémentine me murmure : << Tu inaugures ? >>. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Clémentine est étroite et peu humide ce matin. Je n'insiste pas. Il y a juste le bout du gland qui coulisse à l'intérieur de mon prépuce. C'est à l'entrée du sexe de Clémentine. Elle me fixe en souriant. << Je t'aime ! >> dit elle en se redressant pour s'accrocher à mon cou. Je me retire.

<< Non ! Ne pars pas ! >> fait elle en me retenant. Je me penche pour lui lécher la chatte, sucer son clitoris géant. Elle se laisse tomber en arrière en gémissant de plaisir. Quelques minutes. Je me redresse. Je viens fourrer mon sexe dans celui de Clémentine. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je suis profondément enfoncé en elle. Je l'entraîne ainsi dans les grandes pièces, dans la salle de bain, la cuisine, le cabinet de toilettes. Clémentine touche les radiateurs.

Ils sont chauds bouillants. Le système fonctionne parfaitement. Je bloque Clémentine contre les murs pour m'y secouer. Elle m'embrasse en gémissant. Soudain, en bas, du bruit. La porte. La voix de monsieur Bertrand : << Il y a quelqu'un ? >>. Nous cessons. Nous nous regardons en mordillant nos lèvres. << L'emmerdeur ! >> chuchote Clémentine. Je lance : << Oui, attendez, je descends ! >>. Je me retire. Je dépose Clémentine au sol. Je remballe ma queue. Je descends.

<< Bonjour Julien ! Je viens aux nouvelles. Ils ont commencé les travaux chez moi ce matin ! >> m'apprend Mr Bertrand. Nous bavardons. Il va faire aménager l'espace au dessus de son garage. Ce sera un appartement. Il a l'intention d'en faire un gîte pour des couples de touristes sans gamins. Clémentine descend nous rejoindre. Nous sommes invités à venir voir les travaux quand nous le voulons. Monsieur Bertrand nous laisse pour redescendre vers sa propriété.

Tout cela nous a ouvert l'appétit. Nous rajoutons quatre bûches dans la cheminée. Selon les consignes du patron de l'entreprise, il faut l'entretenir au moins vingt quatre heures à la première utilisation. Afin de déceler les fuites éventuelles et les imperfections des joints. Nous faisons le tour en regardant sous les radiateurs. Tout semble fonctionner à la perfection. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons la dépendance pour traverser le jardin et rentrer.

Il est midi trente. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe les deux tourtes aux fruits de mer livrées hier soir par Julie. Je dresse la table. C'est rapide. Il y a la quantité. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons un peu. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie sa joie. Nous procéderons à la véritable inauguration lorsque la maison d'amis sera meublée. Nous allons d'ailleurs nous occuper des commandes après la vaisselle.

Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous dévalons les escaliers jusqu'au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Elle connaît les sites de meubles pour les avoir visité souvent. Elle me montre les choix qu'elle a fait. J'ai des gouts de chiottes en matière d'ameublement. Je sais pouvoir lui faire une totale confiance. Nous aimons tous deux les choses très "classiques". Je trouve ses préférences judicieuses.

Nous arrêtons un site précis. C'est une entreprise de fabrication artisanale basée dans le Nord. Ce que nous découvrons sur le catalogue est magnifique. Du mobilier à l'ancienne, en bois de chêne clair. Il y a même des lits à baldaquins. Du fer forgé qui fait "style rétro" des années 30. Je m'écrie à chaque fois : << Oui ! C'est ça ! Parfait ! >>. Clémentine, en gloussant passe commande. Elle propose toutefois de téléphoner pour établir un contact. Ce qu'elle fait immédiatement.

Nous serons livrés fin de la semaine prochaine. Vendredi. C'est parfait. Paiement en ligne. C'est une grande maison réputée. C'est sérieux. Pour un maximum de garantie je téléphone à ma banque. Confirmation par SMS avec un code. Confirmation par mon conseillé bancaire. Clémentine m'entraîne dans une sorte de danse tribale dans tout le salon. << Je te suce dans toute la maison d'amis ! >> s'écrie t-elle en m'entraînant dehors. Nous traversons le jardin une nouvelle fois.

Nous contrôlons l'étanchéité sous les radiateurs, sous l'évier, sous le lavabo, aux robinets, aux siphons. Tout est absolument nickel. Clémentine me sort le Zob. Accroupie devant moi, elle se met à me sucer comme si sa vie en dépendait. Il fait chaud. Ce système de chauffage fonctionne vraiment bien. Le crépitement de la cheminée. Je caresse la tête de clémentine en lui chuchotant des douceurs. Je dis : << Je vous attache ici très bientôt, ma délicieuse "Soumise" ! >>

<< Oh oui mon bon "Maître". J'ai besoin d'être très sérieusement recadrée ! >> fait Clémentine en se redressant. Je me penche pour masser ses jambes au bord de l'ankylose. Nous quittons la dépendance. Nous descendons à nouveau jusqu'à la rivière. Nous marchons jusqu'au vieux lavoir. Là-bas, les bâtiments du haras. Il est 16 h45. Estelle arrive pour 17 h45. Ce ne sera pas de trop de parcourir les trois kilomètres dans l'autre sens pour revenir. On s'embrasse tout le temps.

Nous revenons. Nous retournons mettre quatre bûches dans la cheminée gourmande. Il fait très chaud dans cette nouvelle maison. Un petit tour d'inspection. Aucune fuite. << Si ! Là ! >> me fait Clémentine en saisissant ma main pour la glisser dans sa culotte. Un bruit de moteur. C'est Estelle. Nous sortons pour l'inviter à venir voir. << Génial ! >>. Nous lui faisons faire le tour. Elle a le même réflexe : << On fait des trucs ici ! Baises, lèches et pipes ! >>. Nous en rions de bon cœur.

Nous rentrons pour aller dans l'atelier. Devant l'ordinateur, Clémentine montre les meubles commandés. << C'est absolument superbe ! >> n'arrête pas de s'écrier Estelle. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Ce soir, pas de tarte aux poireaux mais des spaghettis avec du coulis de courgette et des filets de colin panés. Nous mangeons de bon appétit en faisant tout un tas de projets pour l'inauguration de la nouvelle maison d'amis. Estelle propose d'y tourner le film de la soirée.

<< Un bon porno tous les trois ! Pour immortaliser cette soirée ! >> suggère t-elle. Nous applaudissons à cette magnifique idée. La vaisselle. Nous passons au salon. Ce soir, léchage de minou mais aussi pénétrations multiples. Je les baise toutes les deux comme elles le souhaitent. Dans le canapé, sur le bureau et même sur le tapis. C'est dans un concert de gémissements, de petits cris, de râles profonds. L'orgasme de mes anges les laisse hébétées de plaisirs, couchées sur le tapis.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se lâchent une fois encore dans un feu d'arti-fesse et une apothéose de jouissances diverses...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1434 -



Estelle se réjouit pour rester avec nous jusqu'à lundi

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par les murmures incompréhensibles d'Estelle. En même temps, elle bouge ses pieds contre les miens en m'enlaçant encore plus fort. C'est surprenant et tellement adorable. Tout cela réveille Clémentine qui vient se serrer tout contre moi. Il est presque huit heures. Je procède à la distribution de bisous dans un concert de doux gémissements. Je suis entre mes deux anges qui glissent leurs mains dans mon slip.

Estelle se lève la première en s'écriant : << Pipi ! >>. Ses vêtements de sport à la main elle trottine vers la porte. Nous nous levons pour enfiler nos vêtements de gym. C'est à notre tour. Pipi. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Immédiatement j'allume le feu dans la cuisinière. L'odeur de pain grillé, de brioche et de café, achève de nous ouvrir un appétit d'ogre. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant.

C'est son dernier jour de boulot à l'entreprise familiale. Demain Estelle reste avec nous jusqu'à lundi. Cette idée la rend euphorique et déconneuse. Nous mangeons de bon appétit. Il y aura juste encore de la brioche pour demain matin. << Parfait comme entrée en matière ! >> lance Estelle. Il est 8 h25. La vaisselle. Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Intensité maximale.

Estelle qui doit se sauver jusqu'à ce soir, prend sa douche la première. Pendant ce temps nous faisons notre lit et la chambre. Après deux rapides bisous, Estelle dévale les escaliers pour filer. Nous prenons notre douche. Nous revêtons nos jeans, nos chemises à carreaux pour descendre mettre nos anoraks. Au dehors il fait presque agréable. Il est 10 h. Le thermomètre extérieur indique 12°. Le sol commence même à sécher. Nous traversons le jardin.

Nous retournons dans la dépendance. Notre nouvelle "résidence secondaire" comme l'appelle Clémentine. Nous montons vérifier la robinetterie, les radiateurs, les joints et les deux siphons. Tout est absolument parfait. Pas la moindre fuite. Le radiateur de la salle de bain est encore tiède. Avec l'isolation thermique, la chaleur est encore perceptible. Clémentine m'entraîne dans la cuisine, le cabinet de toilette et les deux chambres. Tout est parfaitement en ordre.

Nous admirons le conduit de la cheminée dans la seconde pièce. C'est très esthétique. Des pierres de tailles qui ne doivent pas avoir plus d'une dizaine de centimètres d'épaisseur. C'est très décoratif. Et surtout ça reste chaud longtemps car là, encore tiède. << Viens, on va inaugurer les toilettes ! >> me fait Clémentine en me prenant par la main. Je suis debout devant la cuvette des WC. Clémentine me sort le Zob. Je ne dois pas du tout pisser. Elle me le tient.

Serrée contre moi, une main autour de mes hanches, l'autre tenant mon sexe à sa base, Clémentine attend. Silencieuse. Tous les deux immobiles. Je me concentre. C'est long. Il ne se passe rien. Clémentine murmure : << Pisse ! >>. Enfin il y a quelques petites gouttes qui précèdent une courte giclée dorée. Clémentine s'accroupit. Elle rapproche son visage sans cesser de guetter l'éventuel nouveau jet. Il n'y en a pas d'autre. D'un mouvement de tête elle gobe mon sexe.

<< Mmhh ! >> gémit elle en suçant avec passion. Je lui caresse délicatement la tête pour chuchoter : << Ma douce "Soumise", je vais vous offrir une séance de dressage ici. Et très bientôt ! >>. Clémentine cesse de sucer pour se redresser. Elle dit : << Mon bon "Maître", si vous saviez comme j'en ai besoin ! >>. Elle m'embrasse avec fougue. Ce matin encore, il y a quelque chose de merveilleusement animal dans le comportement de Clémentine. Du plus profond de son âme.

Je la saisis par la taille pour l'emmener. Elle tire la chasse en disant : << Premier pipi ! Le second sera le mien après ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous descendons pour quitter la bâtisse. Clémentine m'entraîne par la main. Nous descendons le chemin rocailleux jusqu'à la rivière. Nous la longeons sur quelques centaines de mètres. Il y a des séquences d'ensoleillement. C'est vraiment très agréable. Ce n'est pas encore vraiment une journée de printemps. Mais c'est prometteur.

Nous pouvons même nous assoir sur les rochers au bord du sentier. Clémentine reste serrée contre moi pour me confier des considérations existentielles. Son bonheur de vivre avec moi depuis quatre ans. Cette vie qu'elle partage avec moi et qui a totalement changé la sienne. Qui a bouleversé la mienne. Nous en arrivons toujours aux mêmes conclusions. Clémentine est éperdue de reconnaissance. Moi je suis dans la conscience douloureuse de notre différence d'âge.

Les canards, les poules d'eau et les colverts font des rondes sur l'eau de la rivière. Monsieur Bertrand, notre voisin, ne va pas tarder à leurs apporter un peu de nourriture. Nous prenons le sens du retour. Nous remontons le chemin pour entrer une nouvelle fois dans la "résidence secondaire". << A mon tour ! >> fait Clémentine en m'entraînant à l'étage. Aux toilettes. Son jeans et sa culotte sur les bottes en caoutchouc, assise sur la cuvette, elle attend.

Je la tiens par la nuque. Je me penche pour lui enfoncer la première phalange de l'index dans le cul. Cela rend son jet plus dru. Plus puissant. Je l'embrasse en même temps avant de m'accroupir entre ses pieds entravés des vêtements. Je passe ma tête entre ses cuisses. Mon visage contre sa toison pubienne. Elle change de position pour m'offrir sa chatte. C'est souvent très inconfortable. Mais je peux lui lécher le minou et sucer son clitoris géant.

Je me redresse. Je l'aide à se relever. A remonter son jeans et sa culotte. Notre rituel pisseux habituel. Clémentine tire la chasse en disant : << Mmhh, comme c'est bon ça ! >>. Je l'entraîne par la taille pour la soulever. Elle enserre mes hanches de ses jambes pour se frotter en m'embrassant. Il commence à faire faim. Nous redescendons pour quitter la bâtisse. La douceur s'est encore accentuée. Nous rentrons pour aller directement à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade.

Je fais gonfler du riz complet en grande quantité. Ce soir nous ferons le reste en gratin. Je concocte un coulis d'aubergine. Je poêle des queues de crevettes décongelées. Avec des champignons. En fin de cuisson j'y rajoute un petit pot de crème fraîche et du Parmesan râpé finement par Clémentine. C'est un repas simple mais délicieux. Nous mangeons de bon appétit en parlant des meubles commandés. Clémentine me propose de retourner voir le catalogue après la vaisselle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque cette seconde semaine de vacances. Jusqu'aux prochaines vacances de Pâques, il y a sept autres semaines. Avec peut-être un séjour d'une semaine dans le Jura. L'appartement près de Morteau est déjà réservé. Tout comme il l'a été l'an dernier juste avant que ne tombe le confinement. Cet absurde et machiavélique enferment de toute une population. Mauvais souvenir.

<< Il reste à espérer que ces enfoirés ne récidivent pas ! Ils en connaissent un rayon en saloperies ! Ça fait trois ans qu'on les voit à l'œuvre ! >> lance Clémentine. La vaisselle. Nous passons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Là, sur l'écran, nos meubles. Ceux que Clémentine a choisi. J'écoute ses commentaires, ses explications. J'admire sa capacité à se projeter dans l'avenir. Elle me décrit comment seront les chambres une fois meublées.

Il y aura deux lits à baldaquin en fer forgé noir. Des tentures blanches tomberont en rideaux tout autour. Un toit de draps blancs sur le dessus. << On va les étrenner chacun à son tour ! >> lance t-elle en me couvrant le visage de bisous. << Assez rêvé. Tout ça arrive la semaine prochaine ! >> fait Clémentine en se levant. Elle m'entraîne par la main. Nous mettons nos anoraks. Nous montons jusqu'au portail. Là-bas, à trois cent mètres, chez les voisins, la camionnette.

<< Ils ont commencé le chantier des Bertrand ! >> dit Clémentine. Nous traversons la route pour prendre le chemin dans les bois. Il faut juste éviter les parties boueuses et les flaques. Nous marchons d'un bon pas. Clémentine me parle de ses études. Elle m'a sorti la bite et les couilles. La braguette à boutons du 501 fait "garrot". S'il y a quelqu'un, je n'aurai pas le temps de tout remballer. Clémentine aime les situations à risques. Même si c'est moi qui les prend. Nous en rions.

Nous arrivons en vue des bâtiments du haras. Il y a plein de voitures garées dans la cour. Un groupe de jeunes cavaliers s'apprête à partir pour une balade à cheval. Je remballe mes organes génitaux. Nous entrons dans la cour. Il y a Kim Son qui tient deux chevaux en bavardant avec un couple de propriétaires. Le jeune palefrenier est vêtu d'une blouse grise, chaussé de bottes en caoutchouc. Il nous aperçoit et nous fait un coucou de la main. Nous gardons nos distances.

Une fois encore nous n'avons pas emmené de masques sanitaires. Nous restons donc distants. Ne désirant pas nous attarder, nous contournons les bâtiments pour prendre le sentier qui longe le ruisseau. Sur la demande de Clémentine, j'ai à nouveau la bite et les couilles à l'air. C'est très sympa car il ne fait pas froid. Quelques arrêts où elle me palpe. Où elle s'accroupit pour lécher les boules ou suçoter le chibre. Je fais le guet pendant qu'elle se donne des frissons.

Nous prenons le sens du retour en contournant les Dolmens. Nous voilà à nouveau sur le chemin dans la forêt. Il y a plein d'animaux. Nous apercevons des buses, une famille de ragondins près du petit étang. Il est 17 h30 quand nous revenons. Juste au moment où arrive Estelle. Elle se précipite. Deux bises. Elle me saute au cou. Je la soulève. << Ensemble jusqu'à lundi ! >> s'écrie t-elle. Je dis : << Et voilà que tu abandonnes père et mère une fois encore ! >>. Elle se frotte contre moi.

Nous retournons dans la dépendance. << On y a pratiqué nos rituels pisseux aujourd'hui ! Les premiers ! >> lance Clémentine. << A mon tour ! Je veux aussi et je dois faire pipi ! >> s'écrie Estelle en nous entraînant aux cabinets. Il fait moins chaud dans la maison. Je la tiens par la nuque pendant qu'elle se soulage. Pareil, un doigt dans le cul pour créer une pression. Un jet de pisse plus puissant. J'attends que ce soit terminé pendant que Clémentine me suce délicatement.

Je lèche le croupion d'Estelle pour récupérer les dernières gouttelettes. C'est un peu âcre ce soir. Quand je commence à bouffer du croupion, j'ai beaucoup de mal à m'arrêter. Je me redresse. << Put-Hein, j'ai développé une véritable addiction à ça ! >> s'écrie une fois encore Estelle qui remonte sa culotte et son jeans en se tortillant. Clémentine cesse de pomper. Nous nous serrons fort tous les trois. Tellement heureux d'êtres à nouveau tous les trois. Nous quittons la bâtisse.

Nous rentrons. A la cuisine Clémentine s'occupe de la salade. Estelle râpe du gruyère en quantité industrielle. Je dispose le riz complet dans un plat en terre cuite. J'y verse le mélange œuf, sel, poivre, graines de sésame et lait de soja. Juste avant le gruyère Clémentine y dépose onze cerneaux de noix. Au four. Estelle dresse la table pendant que je fais dorer trois filets de limande. Les filles évoquent leurs études, les cours en ligne qui reprennent lundi prochain. Le télé travail.

Estelle me sort la queue qu'elle tord dans tous les sens tout en parlant mathématiques. Je leurs caresse souvent la nuque à toutes les deux. Elles adorent ça. Mes mains sous leurs cheveux à masser la peau délicate de leurs cous. Le riz gratine dans le four à bois. C'est donc très rapide. Il faut surveiller sans arrêt car c'est incontrôlable et très chaud. << Ne vas pas te brûler la bite, c'est moi qui sort le gratin du four ! >> lance Estelle en me repoussant délicatement. C'est parfait.

Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent la seconde partie du trimestre universitaire qui les attend pour sept semaines. Je propose un bon léchage de minous après la vaisselle. << Ce soir, je te fais ta fête à toi ! >> me fait Estelle. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Nous y sacrifions à nos rituels buccaux génitaux. Alternant les pénétrations, les cunnilingus et les fellations jusqu'aux orgasmes.

Bonne soirée à toutes les coquines pour qui le léchage de minou est devenu une impérieuse nécessité. Et bien avant la pénétration...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1435 -



Estelle est toute contente de rester jusqu'à lundi

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon profond sommeil par le souffle chaud d'Estelle dans mon cou. Elle est encore accrochée à moi comme une désespérée. C'est trop adorable tous les matins. A l'instant où je lui dépose un bisou sur la joue, elle glisse sa main dans mon slip. En gémissant elle saisit mon érection matinale. Clémentine se réveille à son tour en venant se blottir. Distribution de bisous dans un concert de gémissements que nous modulons longuement jusqu'à l'absurde.

Il est huit heures. Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! Fort ! >> lance t-elle en courant vers la porte, ses vêtements de sport à la main. Nous nous habillons de nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller aux WC. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé. La brioche dans le micro onde embaume toute la grande pièce. Estelle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bises.

Nous prenons notre petit déjeuner en racontant nos rêves. Nous mangeons de bon appétit en faisant mille projets pour la journée. << On se fait un jogging ? >> propose Estelle. Dehors il fait clair. Très agréable puisque déjà 12°. La vaisselle. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons dans la fraîcheur matinale. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Nous montons le chemin jusqu'au portail. Nous restons à courir sur la route.

Il y a trois kilomètres dans un sens jusqu'au haras. Un peu plus loin, dans la forêt au bord de l'étroite route communale, des bancs de bois. Nous y faisons nos exercices abdominaux. Quelques exercices aérobic. Des pompes. Nous prenons le sens inverse. Nous croisons une seule voiture venant du bourg. Il est 9 h45 quand nous revenons après une heure d'un running des plus agréables. Cela nous change de l'entraînement en salle. Estelle prend sa douche la première.

Clémentine et moi nous faisons le lit et la chambre. Estelle vient nous rejoindre déjà vêtue de son jeans, de sa chemise à carreaux. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Nous nous habillons pareils qu'Estelle. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons la rejoindre au salon. Il est 10 h15. Estelle surfe sur le site de l'université. Clémentine se penche au dessus de son épaule pour regarder. Sur l'écran s'affichent les détails du programme de ce second trimestre. C'est parfait.

Estelle se lève. << Viens ! on s'installe ! >> me fait elle. Je m'assois. Les filles se mettent sur mes genoux. Nous interrogeons nos boîtes mails. Il y a le courriel de Julie qui nous confirme sa visite demain en début d'après-midi. Un message de l'entreprise qui viendra installer les panneaux photo-voltaïques sur le toit de notre "résidence secondaire". Rendez-vous confirmé pour lundi 22 février. Deux jours de travaux. C'est parfait. L'énergie solaire est la toute meilleure formule.

Nous faisons un petit tour sur les forums où nous publions nos aventures. << J'aime nos pseudos, Clémentine, Estelle et Julien ! >> fait Estelle en découvrant le message privé d'un lecteur. << Il ne se fait pas chier celui-là, il nous demande carrément s'il peut venir nous voir ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. << Il y a toujours des farfelus ! >> rajoute Clémentine. Un petit tour sur mon Blog. << Je préfère aller sur ton Blog ! >> précise Estelle. Là, aucun message ce jour.

Nous sortons en chemises. Il fait presque doux. Il y a de longues séquences ensoleillées. Nous traversons le jardin pour aller dans la "résidence secondaire". Il y fait frais. Clémentine propose de refaire une bonne flambée. Nous préparons le petit bois. Estelle craque une allumette. C'est parti. Je vérifie le niveau d'eau dans les tubulures du chaudron de fonte noire. C'est OK. Nous ressortons. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les filles me tiennent par la main.

Estelle glisse la sienne dans ma braguette ouverte. << C'était génial hier soir encore ! >> fait elle en faisant allusion à notre sex party. Je réponds : << Tu suces divinement bien ! >>. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Le soleil disparaît pour réapparaître. C'est comme un jeu. Nous voilà assis sur les rochers. Les canards, les poules d'eau et les colvert se rapprochent. Ils attendent la visite de monsieur Bertrand, notre voisin qui vient les nourrir.

J'ai la bite à l'air. Je suis entre mes deux anges. Elles font le très vague programme du week-end qui s'annonce. Nous souhaitons absolument faire cette randonnée sur le circuit des collines. Ce sera dimanche si la météo le permet. Estelle se lève. Elle se place entre mes pieds écartés. Elle s'accroupit. Ses mains posées sur mes cuisses, elle hume les senteurs mâles de mon sexe. Clémentine me le tient à sa base pour l'agiter sous le nez d'Estelle. Je lui caresse les joues.

Elle avance encore un peu son visage en ouvrant la bouche. Tout en me fixant de ses yeux d'un bleu si clair sous le soleil, elle gobe mon sexe pour le sucer. Clémentine m'embrasse sans lâcher ma queue. Je ne tarde pas à bander comme le dernier des salauds. Je me fais tailler une véritable pipe des familles. Il est à peine 11 h30. Il faut cesser car voilà monsieur Bertrand. Il ne nous a pas encore vu, là-bas, à une centaine de mètres. Il tient un petit sachet à la main. Du vieux pain.

Je remballe. Nous nous levons. Nous nous saluons. Nous bavardons un peu. Notre voisin évoque les travaux qui se déroulent chez lui. L'aménagement au dessus du garage. Une ancienne grange qu'il va faire transformer en appartement. Une location saisonnière pour des couples de touristes. << Un complément à ma retraite ! >> précise t-il. Nous le laissons à ses canards pour remonter le chemin. Nous entrons dans la "résidence secondaire". Il commence à y faire meilleur.

Le tirage de la cheminée est excellent. Il permet au feu de brûler parfaitement. Nous rajoutons quatre grosses bûches. Nous montons à l'étage. Les quatre radiateurs commencent à chauffer. Nous contrôlons une fois encore les joints des siphons, des robinets. Tout est parfait. Aucune fuite. Aucune anomalie. Estelle me sort la queue en disant : << On se fait une soirée masquée, une soirée médiévale, ou une soirée élégante pour l'inauguration ? >>. Nous en rions de bon cœur.

Nous tenons absolument à immortaliser cette soirée mémorable. Il faut arrêter une date. Nous allons vers le cycle de Clémentine ce week-end, puis vers celui d'Estelle le week-end prochain. Ce qui est déterminant. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons la bâtisse pour traverser le jardin, rentrer. Directement la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin près de la cuisinière à bois. Nous lavons les belles et grosses tomates.

Pour ce soir, tarte à la tomate. Avec le rajout d'une belle aubergine. Nous coupons l'ail, l'oignon finement. Nous tranchons les tomates et l'aubergine en fines tranches. Les légumes d'hiver étant moins juteux, le tout reste bien ferme. Clémentine étale la pâte feuilletée dans deux plats à tarte aux bords hauts. Il y en aura également une pour demain à midi. Nous disposons les tranches soigneusement afin qu'elles se chevauchent. Estelle y dépose une bonne couche de gruyère de Comté.

Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame grillé. Clémentine y pose onze cerneaux de noix. Au four électrique. Cuisson à 180° afin de bien laisser mijoter 50 minutes. Nous avons récupéré de la tomate et de l'aubergine que je rajoute aux filets de saumon finement émincés. Tout cela rissole à la poêle. Estelle égoutte les coquillettes. Clémentine râpe du Parmesan. Nous mangeons de bon appétit tout en parlant de notre projet "cinématographique". L'inauguration.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles évoquent ce projet de film. Le thème choisi sera la soirée masquée. Seule Clémentine gardera son loup à dentelles noires tout le long du film. Elle ne désire pas être identifiable dans les films que nous tournons. Même si personne ne verra jamais nos "productions", elle préfère jouer de prudence. << On ne sait pas de quoi l'avenir est fait ! >> précise t-elle à ce propos.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos pitreries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Pressés de retourner au dehors, nous dévalons les escaliers à toute vitesse. Nos K-ways. Dans le petit sac à dos que je porte, la thermos avec le thé bouillant. Des barres de céréales et la petite paire de jumelles. Nous remontons jusqu'au portail que Clémentine referme. Nous traversons la route pour prendre le chemin forestier. Il fait vraiment très agréable.

Je marche entre mes deux anges qui me tiennent par la main. Estelle sautille parfois autour de nous pour manifester sa joie. Son euphorie à l'évocation de nos différents projets. Les films, le séjour dans le Jura, notre merveilleuse histoire. J'ai la bite et les couilles à l'air. Ma braguette à boutons fait "garrot". Si quelqu'un se pointe je n'aurai pas le temps de remballer. C'est le risque. Mais mes coquines exigent qu'il en soit ainsi. A tour de rôle elles s'accroupissent pour y faire des bises.

Le sol est encore bien détrempé par endroits. Il suffit d'éviter les coins boueux et les flaques d'eau. Nous marchons d'un bon pas. Nous arrivons aux petites collines. Nous croisons une jeune cavalière. Elle vient probablement du haras. Clémentine a la présence d'esprit de se serrer contre moi. Cachant ainsi mes organes génitaux. Un peu plus loin ce sont deux couples de marcheurs. Armés de leurs bâtons de "marches norvégienne". Là aussi, les filles se serrent contre moi.

Nous devons susciter bien des interrogations chez ces gens car ils nous observent comme si nous étions des martiens. Ces deux superbes jeunes filles dans les bras d'un homme d'âge mûr. Nos hautes tailles. Ils se retournent plusieurs fois. Comme des collégiens ayant fait une bonne blague nous en rions aux éclats. Nous longeons l'ancienne voie ferrée jusqu'aux Dolmens. C'est notre circuit des quatre heures. Il est 18 h15 quand nous sommes de retour. Fourbus mais heureux d'avoir profité.

Nous allons dans la "résidence secondaire". Il y fait bien chaud. Cet ultime contrôle à l'étage, le long des tuyauteries, est concluant. Il n'y a aucun problème à signaler. Estelle et Clémentine, accroupies devant la cheminée regardent la danse des flammes. Debout derrière elles, je les tiens toutes les deux par la nuque. Elles adorent ma poigne ferme. << Tu m'excites ! >> fait Estelle. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine. Elle se tournent pour frotter leurs visages sur ma bite.

Elle se refilent ma queue. << L'apéritif ! >> lance Estelle. << Le digestif après le repas ! >> rajoute Clémentine. Je les force à se redresser en les tirant doucement par leurs nattes comme par des laisses. La faim devient cruelle. Nous quittons la "résidence secondaire" pour rentrer. Il suffit de mettre une des deux tartes à la tomate à réchauffer. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée à midi. Estelle dresse la table. Je fais rissoler le reste de coquillettes.

Nous mangeons de bon appétit tout en riant de nos frasques de l'après-midi. Nous traînons à table. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Ce soir ce sont elles qui m'arrachent mes vêtements. Je me fais sucer par deux anges assoiffées. Je prends Estelle sur le dessus du bureau pendant que Clémentine se branle. Je la prends à son tour dans les chiottes pendant qu'Estelle se masturbe. J'offre des orgasmes dithyrambiques à mes deux amours. Elles me font éjaculer au lit.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se partager une bonne bite avant de se faire tringler après une bonne randonnée...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1436 -



Pour nous, le week-end commence déjà le vendredi

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par les lèvres ventouses de la bouche d'Estelle dans mon cou. Serrée contre moi, elle se frotte doucement dans son demi sommeil. Son gémissement dans le creux de mon oreille. Sa main qui plonge dans mon slip pour saisir mon érection matinale. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir contre moi. Je suis entre mes deux anges. Il est un peu plus de huit heures. Je glisse mes mains dans les culottes.

Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en fonçant vers la porte, ses fringues de sport à la main. Nous nous habillons de nos vêtements de gym. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim nous descendons rejoindre Estelle à la cuisine. Dans la douce odeur de café, de pain grillé et du feu que tente de rallumer Estelle dans la cuisinière à bois. Je prends le relai pendant qu'elle presse les oranges. Que Clémentine pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle suggère de remplacer l'entraînement en salle par un bon jogging. Les runnings nous ont tant manqué tout l'hiver. La vaisselle. Il est 8 h45. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans une agréable fraîcheur matinale. Le ciel est voilé mais très lumineux. Nous montons jusqu'au portail pour courir sur le bord de l'étroite route communale. Nous n'y croisons souvent aucune voiture.

Trois kilomètres jusqu'au haras. un autre jusqu'aux bancs sur lequel nous faisons nos pompes, abdos et quelques exercices de flexions. Retour dans l'autre sens. Il est pile 10 h quand nous sommes de retour. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit, la chambre. C'est à notre tour. Nous nous retrouvons tous les trois au salon, devant l'ordinateur ou Estelle surfe sur le site de l'université. Nous ouvrons nos boîtes mails. Juste un courriel de Julie.

Elle vient nous rejoindre pour 14 h mais devra repartir pour 18 h. Nous répondons. Nous ressortons. Il y a du soleil dans un ciel d'un bleu pâle. C'est vraiment très agréable. Nous sommes en chemise. C'est très supportable. Nous traversons le jardin pour entrer dans la "résidence secondaire". C'est devenu notre premier réflexe depuis quelques jours. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Clémentine propose de faire une flambée. C'est amusant.

Estelle froisse des feuilles de papier journal. Ce sont des journaux du voisin. Cela fait des années qu'il les dépose dans l'abri à bois. Clémentine dispose des branches bien sèches et des écorces. Je vais chercher quatre belles bûches. Le feu prend immédiatement. Les flammes lèchent déjà le cul du chaudron de fonte noire. Je soulève le couvercle pour vérifier le niveau d'eau dans les tubulures en cuivre. Il faut en rajouter un peu. Excellente information.

Il faut donc réajuster les niveaux tous les trois jours d'utilisation. C'est conforme à ce que précise la notice en anglais du fabricant basé en Scandinavie. Nous ressortons. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la main. Nous descendons jusqu'à la rivière. Le niveau de l'eau commence à baisser. Nous suivons son cour sur quelques centaines de mètres. Là-bas, de l'autre côté, deux cavalières qui nous saluent de la main. Il y a un côté printanier qui s'installe.

<< Pourvu que ces enfoirés ne nous privent pas de notre printemps, qu'on soit libres et qu'ils ne nous confinent pas ! >> s'écrie Estelle. << C'est pourtant la prochaine saloperie qu'ils nous préparent ! >> lance Clémentine. Estelle me sort la bite pour l'agiter devant les canards qui cancanent en se rapprochant de la rive. Elle passe derrière moi. Me la tient à sa base pour me la faire tournoyer. << Mesdames et messieurs les emplumés, voilà "l'hélicoptère" ! >> dit elle.

Nous éclatons de rire. Clémentine se penche pour regarder de plus près. Il faut rester prudents. Il y a de probables cavaliers. Il y a également notre voisin qui vient nourrir les canards, les colverts et les poules d'eau. Je fais le guet pendant que mes deux anges s'accroupissent pour jouer avec ma queue. Je les tiens toutes les deux par leurs nattes. Au plus court. Comme des laisses. Je peux ainsi les forcer à se redresser s'il y a une visite impromptue.

Estelle se met à téter la première. << Mmhh ! Ça vient déjà ! >> fait elle à Clémentine en lui offrant le Zob. A son tour Clémentine se met à téter. Je regarde bien partout autour de nous. Personne. Je bande comme un salaud. Il fait presque doux. Je les force à se redresser. Je m'accroupis pour leurs masser les jambes. << Mmhh, c'est bien chaud ! >> dit Estelle. Nous prenons le sens du retour. Je remballe. Nous remontons le chemin. Nous entrons dans la "résidence secondaire".

Il y a fait déjà chaud. Inutile de rajouter du bois. Clémentine monte à l'étage pour vérifier s'il n'y a aucune fuite nulle part. Estelle m'embrasse en tripotant ma braguette. Nous ressortons pour traverser le jardin. Il commence à faire faim. A la cuisine, Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait gonfler du millet doré. Je prépare un coulis de courgette. A la poêle je fais rissoler des queues de crevettes. Estelle coupe de fines tranches de Morbier et de Roquefort.

Nous les faisons fondre sur le millet et le coulis. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme du week-end. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent la rentrée de lundi. La reprise des cours en lignes, du télé travail. Cette ambiance universitaire qui leurs manque. Elles parlent de certains amis étudiants obligés de prendre leurs repas au secours populaire ou au restaus du cœur. La colère commence à y gronder.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pressés de profiter de cette météo, nous dévalons les escaliers pour retourner au grand air. << J'ai envie de faire des trucs ! >> fait Estelle qui n'arrête pas de fouiller ma braguette de sa main exploratrice. Nous retournons dans la "résidence secondaire". Cette fois il y fait vraiment chaud. Clémentine nous entraîne à l'étage. Elle nous explique où seront les meubles.

Estelle donne son avis. J'écoute. Je trouve ça tellement bien. Il faut toujours faire confiance aux femmes pour l'ameublement, l'agencement et la décoration. C'est la certitude de vivre dans un bel environnement. Un bruit de moteur. Nous regardons par la fenêtre. C'est Julie qui arrive ! Estelle ouvre la fenêtre : << Coucou, on est là ! Viens vite ! >> lance t-elle à Julie qui sort de sa voiture pour entrer dans la bâtisse. Elle monte nous rejoindre. Toute contente d'être avec nous.

Estelle tient ma queue dans la main. Julie sort le flacon de gel hydroalcoolique de son petit sac à dos en cuir. Tous les quatre, nous nous frottons les mains en riant. << Je t'en mets sur la bite ? >> me fait Estelle. << Surtout pas ! >> lance Clémentine. Cette fois, Julie observe mon sexe avec attention. Elle m'adresse même un sourire évocateur. Je lui fais un clin d'œil. Clémentine explique une nouvelle fois à Julie comment sera la décoration. Où seront disposés les meubles.

Julie trouve tout cela judicieux. Nous redescendons. Dans le coffre de son auto, Julie a des baskets. Nous lui proposons de quitter ses bottines pour les mettre. Nous l'emmenons en balade. << Génial ! >> lance Julie. Elle, en général si réservée, ne cache plus sa joie de se retrouver avec nous. Nous remontons le chemin pour traverser la route. Nous prenons le chemin forestier. Nous avons nos K-ways. Je marche entre Estelle et Clémentine qui me tiennent par la main.

Julie reste à côté de Clémentine qu'elle tient par le bras. Les filles évoquent leurs études. Nous marchons d'un bon pas. J'ai la bite à l'air. De plus en plus fréquemment, Julie se penche pour l'observer. Quand nous nous arrêtons, Estelle la lui tend en l'agitant. Comme une invitation à y gouter. Estelle et Clémentine s'accroupissent quelques fois pour suçoter. Elles invitent Julie à les rejoindre. Nous la voyons hésiter. Lutter contre le désir de venir s'amuser avec nous. Elle me fait des sourires.

Ni Estelle, ni Clémentine n'insistent. Il n'est pas question d'indisposer notre amie. Notre promenade nous entraîne dans une campagne nue mais ensoleillée. Pour Julie c'est un peu une découverte. Elle ne prend que rarement le temps de se balader. Elle assiste là à une de nos "promenade dépravée" comme les appelle Estelle. << C'est génial ! >> lance Julie. Il est 17 h quand nous revenons à la maison. Nous voilà tous les quatre devant un thé au jasmin et des petits gâteaux.

Cet après-midi, Julie n'a pas cessé d'observer ce qui se passait. Elle prend encore davantage conscience de la profonde intimité, de la complicité totale qui nous unies, Estelle, Clémentine et moi. << Tu t'occupes de la caméra pour filmer notre soirée inaugurale ? >> demande Estelle à Julie. << Oh oui ! Je veux bien. Super ! >> s'écrie t-elle. Clémentine explique que ce sera une soirée "élégante et masquée". Julie semble se réjouir de participer à cette fête. "Pendre la crémaillère".

Cette "célébration" est prévue pour le samedi 6 mars. Ce samedi, impossible car Clémentine à ses règles et les meubles ne sont pas là. Samedi prochain c'est Estelle qui a ses règles. << Et comme nous voulons baiser comme des fous ! >> précise Estelle. Nous éclatons de rire pour rigoler comme des bossus. Julie reprends les livraisons de ses repas pour 18 h30. Elle doit nous laisser. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle est toute tristounette. Nous l'invitons à revenir demain.

Julie viendra nous rejoindre dimanche après-midi. Nous la regardons partir. J'agite ma bite dans sa direction. Nous allons voir le feu dans la "résidence secondaire". Nous rajoutons quatre grosses bûches sur les braises. C'est bien de chauffer. Même si c'est pour rien. Ce n'est pas le bois qui manque. Nous avons du stock pour au moins trois hivers. Et nous nous faisons livrer quinze stères au printemps. C'est bien de laisser sécher deux ou trois ans sous l'abri à bois. C'est excellent.

Nous rentrons. Il est 18 h30. La nuit commence à tomber. La fraîcheur humide du soir devient désagréable. A la cuisine Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle réchauffe le reste de millet et de coulis de courgette. Je pane trois beaux dos de cabillaud blanc. Nous sommes tous les trois considérablement excités. La présence de Julie, nos caresses incessantes durant la balade, la douceur du climat. Tout cela participe d'un éveil des sens. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent ce film qu'elles veulent réaliser. "L'inauguration". D'avoir proposer à Julie de s'occuper des caméras nous semble la meilleure idée. Julie, tout comme Estelle, est une authentique voyeuse. Une regardante passionnée. Elle sera au comble de ses plaisirs à nous regarder baiser tout en filmant. Surtout que nous désirons donner dans une surenchère de débauches. Mettre la barre toujours plus haut.

Bien évidemment, il ne sera pas possible d'aller au-delà de ce que nous faisons d'habitude. Nous louvoyons déjà dans notre royaume de stupre et de luxure à longueur de soirées. C'est l'idée de faire plus fort encore qui anime nos pulsions. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Une fois encore elles m'arrachent littéralement mon jeans et mon slip. Elles me font tomber dans le canapé. Elles retirent leurs jeans et leurs culottes. Clémentine jette les épais coussins au sol.

Toutes les deux, à genoux sur les coussins, se refilent ma bite en évoquant notre projet de film. Estelle l'intitule plus judicieusement "La crémaillère". De cette tradition qui consiste à fêter la prise de possession d'un nouveau lieu de vie. Même si ce ne sera pas tout à fait le cas, le prétexte est parfait. Je les tiens toutes les deux par leurs nattes. Au plus court. J'appuie sur la tête de celle qui a ma bite en bouche. L'autre me fixe en me souriant. Leurs regards hyper vicieux m'excitent.

Je dis à Estelle : << Je te prends sur le bureau, sur le canapé, sur le tapis ? >>. Clémentine cesse de sucer pour répondre : << Prends la partout. Je vous regarde ! >>. Pour Clémentine, rien n'est plus excitant que de se masturber en nous observant baiser. Je prends Estelle fermement par la nuque. Je la force à se lever en même temps que moi. Je l'entraîne vers le bureau. Je la soulève pour l'assoir sur le bord du meuble. Debout entre ses cuisses écartées, je frotte mon sexe contre le sien.

Clémentine s'approche. En se masturbant elle tourne autour de moi pour bien observer. Je m'introduis délicatement dans Estelle. D'un coup de reins, en mordillant sa lèvre inférieur, elle s'enfile toute la queue. Elle se met à bouger comme elle aime. Je la baise en alternant l'homme des bois, l'homme de Néandertal et même le hussard napoléonien revenant de Waterloo. Clémentine gémit encore plus fort qu'Estelle. Je m'épuise à la besogne. Leurs orgasmes sont conséquents.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment s'investir dans des parties de cul endiablées où sont passées en revues différentes options...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1437 -



Un samedi à la météo printanière

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par les mouvements des pieds que fait Estelle. Mais c'est Clémentine qui chuchote à mon oreille. << Bobo ! >>. Je suis entre mes deux anges. << Tu as tes "petits machins" de filles ? >> demande Estelle. << J'ai un peu mal au ventre ! >> répond Clémentine. Quand Clémentine a ses règles je me sens totalement impuissant. Estelle se lève d'un bond en disant : << Je vais faire pipi et je descends ! >>. Elle file vers la porte.

Nous revêtons nos tenues de gym comme Estelle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de pain grillé et de café. J'allume la cuisinière à bois. Il est à peine huit heures. Nous prenons un solide petit déjeuner. Dehors, c'est le même temps que hier. Un ciel principalement bleu. Un soleil qui est déjà levé. Nous mangeons de bon appétit. Nous décidons d'un jogging. C'est vraiment trop bien.

La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur matinale. Nous montons jusqu'au portail. C'est le long de l'étroite route communale que nous courrons. C'est sec. Trois kilomètres jusqu'au haras. Un kilomètre jusqu'à l'aire de repos. Nous y faisons nos exercices abdominaux et nos pompes sur les bancs. Paradoxalement ces exercices soulagent un peu les contractions sourdes qu'éprouve Clémentine.

Nous prenons le sens du retour sans avoir croisé le moindre véhicule. Il est 9 h30 quand nous sommes de retour. Nous laissons le portail ouvert pour les livraisons. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit, la chambre. Estelle, vêtue de son jeans, de sa chemises à carreaux se propose d'accueillir nos livraisons. Nous prenons notre douche. Les douleurs ventrales de Clémentine ont momentanément disparu. Nous nous habillons.

Nous descendons rejoindre Estelle au dehors. La jeune femme qui livre nos fruits et nos légumes est déjà arrivée. Nous la saluons en gardant nos distances. Elle porte son masque sanitaire. Nous récupérons nos deux cageots. L'un contenant nos fruits et nos légumes. L'autre nos fromages, nos œufs, les petits pots de crème fraîche, le beurre et les yaourts. Même commande pour samedi prochain. Nous rendons les deux cageots de la dernière fois. Ils sont consignés.

A peine la camionnette repartie que voilà celle de la boulangerie. Madame Marthe porte son masque accroché à une oreille. Nous la saluons. Elle dit à Estelle : << Je viens de livrer vos parents ! >>. Nous récupérons le cageot contenant nos deux grosses miches de pain complet et "Bio". L'une aux noisettes, l'autre aux noix. Notre brioche au pudding. Nos quatre pâtes feuilletées. Même commande pour samedi prochain. Nous descendons à la cave par derrière pour aller au cellier.

Nous y rangeons nos légumes, nos fruits. Estelle est montée directement à la cuisine pour ranger les produits frais au réfrigérateur. Nous mettons une des miches et les pâtes feuilletées au congélateur. Nous remontons rejoindre Estelle. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. J'administre le même traitement à Clémentine. Elle est toute contente car pour le moment son ventre la laisse tranquille.

Nous ressortons. Nous restons en chemises. Il fait encore meilleur que hier. Le soleil offre même une douche chaleur. Pas un souffle de vent. Quelques gazouillis d'oiseaux. Il y a quelque chose de printanier qui flotte dans l'air. Nous allons dans la "résidence secondaire". Il y fait curieusement bon. Les feux que nous y avons allumé plusieurs jours de suite. L'isolation thermique performante dont nous constatons l'efficacité. La fibre de cellulose. C'est le top du top.

Nous ressortons. Nous descendons jusqu'à la rivière. Il y a vraiment une ambiance de beaux jours. Nous prenons le sentier facile de gauche pour longer le cour d'eau. Estelle marche devant. Clémentine ferme la marche. Je tiens sa main. Je me retourne régulièrement pour m'enquérir d'éventuelles douleurs. Un miracle. Elle n'éprouve aucune sensation de congestions désagréables. Juste l'extrémité de ses tous petits seins qui deviennent très sensibles. Douloureux.

Nous voilà assis sur les rochers à regarder virevolter les oiseaux. Les canards, les poules d'eau et les Colverts font des ronds sur l'onde. Eux aussi semblent heureux de ces premières journées d'ensoleillement. Je suis entre mes deux anges. Régulièrement je pose ma bouche sur les seins de Clémentine. J'y insuffle de l'air chaud à travers le tissu de sa chemise. << Mmhh ! Comme c'est bon ! >> dit elle. Cette formule soulage considérablement ses douleurs. J'aime le faire.

<< J'aime aussi quand le docteur Julien s'occupe de mon cas ! >> fait Estelle. J'applique la même thérapie mais avec une posologie moins dosée. Nous en rions de bon cœur. Nous prenons le sens du retour. Nous remontons le chemin pour y croiser monsieur Bertrand. Notre voisin va nourrir nos amis à plumes. Nous bavardons un peu. Les travaux entrepris chez lui avancent également à grande vitesse. Nous le saluons pour le laisser à ses occupations de retraité.

Nous rentrons. Clémentine est toute contente. Elle s'occupe de la salade en disant plusieurs fois : << Put-Hein, cette fois je n'ai pas mal au ventre ! >>. Estelle touille les haricots verts et les petits pois dans le wok. Je plonge les moules encore légèrement congelées dans le bouillon en ébullition. Le samedi à midi, on ne s'emmerde pas. C'est du congelé. Du congelé "Bio" pour les légumes. Tout est toujours "Bio" dans notre alimentation. Ou presque. Nous rions en préparant.

Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. Avec cette météo, nous sommes pressés de filer. D'aller randonner. Nous avons une bonne inspiration. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. << On pourrait presque partir à bicyclette ! >> lance Estelle. C'est vrai. Ça aussi ça nous manque cruellement. Nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos que je porte, la thermos contenant du thé bouillant, des barres de céréales, les K-ways.

Nous prenons la voiture de Clémentine. Cela fait bien deux mois qu'elle n'a plus roulé. C'est une voiture qui a quatre ans. Une Mini Countryman Morris Cooper que j'ai offert à Clémentine quand elle est venue vivre ici. C'est un véhicule fiable. Elle s'en servait pour aller à l'université tous les jours. Depuis le télé travail, elle circule peu. Une voiture qui démarre au quart de tour, toujours soigneusement garée dans le garage. Je suis au volant. Clémentine à ma droite.

Estelle, assise à l'arrière, me caresse les joues, le cou. Clémentine joue avec ma queue. Je roule doucement. Nous passons tout près de chez Estelle. Nous traversons le bourg. C'est jour de marché le samedi. Nous prenons la petite route qui va vers les collines. Nous quittons la route pour nous garer le long du muret du cimetière. C'est l'enclos paroissial de l'ancienne chapelle. Il y a quelques autos stationnées le long du mur, sur le bord du chemin. Il fait très agréable au soleil.

Nous mettons nos grosses godasses de marche. Je mets le sac sur le dos. C'est parti. Le chemin permet de marcher tous les trois de front. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la main. Nous marchons d'un bon pas. Ce chemin reste sur le flanc d'une colline circulaire qui enserre ce côté ci du bourg. Le clocher aux tuiles d'ardoises brille comme une argenterie vieillie. Nous croisons des marcheurs. Nous attirons encore bien des regards. Ce qui nous amuse beaucoup.

Nous devinons les interrogations. Suis-je le père ? Suis-je l'ami ? Suis-je l'amant ? Nous en jouons avec espièglerie. C'est trop drôle. Nous arrivons aux ruines de l'ancienne ferme. Estelle nous y entraîne. Elle ouvre ma braguette en disant : << Put-Hein, c'est trop triste une braguette fermée ! >>. Elle m'en extrait le locataire. Clémentine s'accroupit pour humer l'odeur de mâle. << Mon médoc si j'ai mal ! >> fait elle avant de suçoter la peau fripée du prépuce.

<< J'ai mal ! >> lance Estelle en s'accroupissant à son tour. << Menteuse ! >> lui fait Clémentine en lui offrant mon chibre mou. Il y a des bruits de voix, des rires. Les filles se redressent. Je remballe. Ce sont trois couples de D'jeunes qui se baladent. Nous les saluons. Les filles ont sans doute l'âge d'Estelle et de Clémentine. Les garçons aussi. Ils me lancent d'ailleurs un étrange regard. Ironique peut-être, sardonique sans doute. Mais certainement envieux.

Nous continuons notre promenade. Nous pourrions nous mettre en T-shirt tellement il fait doux. Nous contournons la colline pour prendre le chemin des étangs. Depuis la légère altitude nous découvrons le dédale des petits plans d'eau. Nous venons trop rarement nous balader par là. Il y a plein de cabanons de pêche. Des tables et des bancs. Il y a pas mal de monde à profiter de cette superbe journée. Nous descendons vers les prés. J'ai la bite à l'air dans le fourré.

Estelle me la tient pour en diriger le jet. Clémentine fait un cercle avec son pouce et son index. En évitant de se faire toucher les doigts par les petits jets que je lâche. Elle joue. La dernière giclée. Estelle et Clémentine s'accroupissent en même temps. Chacune veut sucer le reliquat. Comme lors de nos rituels pisseux à la maison. Nos jeux "pipi" ne sont pas une régression ou une résurgence de nos années de poupons. Non. C'est exclusivement libidineux, excitant et bien vicelard.

Il faut rester prudents. Il y a des promeneurs solitaires. Et ceux-là, on ne les entend pas venir. Nous pourrions nous faire surprendre à chaque instant. Nous sommes quelquefois bien téméraires. Je me fais sucer. Je force les deux coquines à cesser juste à temps. C'est un mec en VTT. Ceux-là non plus on ne les entend pas se pointer. Les enfoirés. Celui-la est couvert de boue. Tout crotté. Il s'est certainement offert quelques frayeurs dans des chemins forestiers et boueux.

J'ai juste le réflexe de me tourner pour cacher mon érection. Je bande comme le dernier des salauds. Je veux remballer. << Non ! Je te promets, on fait attention ! >> lance Estelle en m'empêchant de ranger mon sexe. Nous continuons notre promenade. Merde. Voilà un groupe de marcheurs. J'ai le réflexe de me tourner. Re merde. Il y a un couple qui arrive derrière nous, à une centaine de mètres. Là, je suis fais comme un rat. Heureusement qu'Estelle et Clémentine se serrent contre moi.

Que fait donc cet homme d'âge mûr, serré dans les bras de ces deux superbes jeunes filles ? C'est probablement ce que se disent les gens qui nous croisent là. Nos hautes tailles rajoutent encore au côté "extraterrestre" de la rencontre. Nous en rions de bon cœur. Il y a une des femmes qui se retourne plusieurs fois. La curiosité. Estelle empoigne ma bite. Elle se pousse. Heureusement on ne voit pas ma queue dans sa main avec la distance. Estelle tire la langue à la bonne femme.

Nous en rigolons comme des bossus. << Quand on observe les gens avec tant d'insistance, c'est pour se faire tirer la langue et se faire montrer la bite ! >> lance Estelle. << Probablement une frustrée acariâtre ! >> rajoute Clémentine. Nous rions aux éclats. Les filles sautillent en m'entraînant par les mains. Comme des gamins rentrant de l'école à la vieille des vacances. C'est en faisant les pitres que nous nous faisons dépasser par un groupe de cyclistes à vélos tous terrains.

Ils se marrent en nous évitant. Eux aussi ont le dos et les jambes maculés de boue. Nous revenons par l'ancien couvent. Il y a un sentier encore boueux. Il faut donc jouer de ruses pour éviter les endroits critiques. Je récupère Estelle juste avant qu'elle ne glisse et tombe. << Mon sauveur ! >> fait elle avant de me rouler une pelle d'enfer. Il est presque 18 h30 quand nous arrivons à la voiture. Nous changeons de godasses. Nous rentrons. Je roule doucement.

Estelle est assise parterre, entre les pieds de Clémentine. Je n'aime pas trop. En cas de contrôle c'est la "prune". Mais Estelle veut absolument tenir le Zob que Clémentine suce jusqu'à la maison. Il est 18 h50. La fraîcheur du soir nous rappelle que nous sommes le 20 février. Nous voilà à la cuisine. Assis tous les trois à la table à éplucher des pommes de terre, des carottes, de l'ail, de l'oignon, un navet, un céleri. En grande quantité. Afin d'assurer les trois prochains repas.

Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Estelle et moi nous coupons et lavons les légumes. Cuisson traditionnelle dans la vieille cocote en fonte noir. Ce qui attache est encore meilleur. Estelle touille avec la spatule en bois. Je fais rissoler trois filets de flétan avec des champignons. En fin de cuisson j'y rajoute de petits dés de courgette. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur notre balade de l'après-midi.

Estelle a fait quelques photos. On nous y voit faire les clowns, prendre des poses. Moi, avec la bite et les couilles à l'air. Une fois en compagnie d'Estelle qui me la tient. Une fois en compagnie de Clémentine qui cache toujours son visage. Cela nous fait beaucoup rire. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon pour m'arracher le jeans et le slip. << Vous me faites du spectacle ? >> lance Clémentine qui glisse sa main dans sa culotte. J'aide Estelle à retirer jeans et culotte.

C'est en position de "69" que nous goutons aux délicatesses de nos sexes. Les efforts de la marche ont parfumé nos sexes comme nous aimons. Clémentine, à genoux, tourne autour de nous en se touchant. Nous sommes sur l'épais tapis à nous bouffer nos intimités. Nous changeons de position. Estelle m'attire sur elle. Je m'introduis avec précaution malgré tout. Elle est étroite. C'est toujours avec un coup de reins qu'Estelle s'enfile toute la queue. Avec un petit râle sonore.

Je la baise comme elle aime. En alternant le comportement de l'homme de Cromagnon, de l'abominable homme des neiges, de la bête du Gévaudan ou encore avec la délicatesse d'un équarrisseur soviétique des années d'après guerre. Clémentine adore se masturber en assistant à tout cela. Estelle en pousse de petits cris d'animal, des mugissements de plaisir, des gémissements de jouissances. C'est Clémentine qui connait ce soir son orgasme la première. Elle en hurle de plaisir.

Je termine Estelle sur le canapé. Je suis littéralement vautré sur elle à me secouer comme un dément en hurlant. Je suis couvert de sueur. Je ne porte plus que mes chaussettes. Comme un acteur porno des films des années 70. Estelle pousse un cri. Son orgasme la tétanise. Je me retire toujours car elle se branle toujours en se faisant tringler. Clémentine se précipite. Je lui éjacule dans la bouche. Pendant qu'Estelle reprend son souffle, complètement à poil, couchée sur l'épais tapis.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font troncher par une véritable bête en rut qui les besogne comme un dément...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1438 -



Le dernier jour des vacances

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon profond sommeil par la douceur des lèvres d'Estelle. Contre ma joue. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection matinale. << Comme c'était bien hier soir ! >> chuchote t-elle à mon oreille. Clémentine vient se blottir contre moi. Elle colle ses lèvres contre mon cou en glissant sa main dans mon slip pour saisir mes couilles. Je suis entre mes deux anges. Je suis encore un peu dépassé par ces évènements pourtant presque quotidiens.

Je distribue des bisous. Je glisse mes mains dans les culottes. C'est un indicible bonheur qui nous habite dès le matin. Il est 9 h30. Estelle se lève péniblement en disant : << Si je ne vais pas faire pipi, je pisse au lit ! >>. Elle se dirige vers la porte, ses vêtements à la main. Clémentine me dit : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Nous nous habillons. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine.

L'odeur de café, de pain grillé et de brioche embaume déjà toute la grande pièce. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Je fais pareil avec Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Les filles, assises sur mes genoux, font le programme du ménage. Le dimanche pas d'entraînement ou de jogging. Par contre ce matin c'est nettoyage de la maison.

La vaisselle. Clémentine monte s'occuper de notre chambre. Estelle passe l'aspirateur partout. Je commence par nettoyer la cuisine. J'aime entendre Estelle chanter depuis le salon. Je nettoie les chiottes du bas. Estelle vient me rejoindre. Elle n'arrête pas de me tripoter. << Comme tu me baises bien Julien ! >> dit elle à chaque fois. Elle fait encore allusion à notre partie de cul hier soir. Nous montons rejoindre Clémentine à l'étage. Elle fait la poussière dans notre chambre.

Estelle passe l'aspirateur partout. En chantant. Clémentine et moi nous faisons la salle de bain. Je nettoie les chiottes du haut. Comme en bas, je passe la serpillère. Estelle se colle à moi, se frotte à moi. Nous descendons rejoindre Clémentine à la cave. Dans la buanderie. Nous trions le linge de couleur. Une machine tourne déjà avec les draps, les serviettes, les gants de toilettes. Les filles évoquent leurs études. La rentrée de demain. Les cours en ligne. Le télé travail.

Estelle nous laisse pour monter à la cuisine. Elle veut tout préparer. Clémentine m'embrasse en me confiant son immense bonheur. << Cette fois, je n'ai presque pas mal ! >> fait elle en faisant allusion à ses "petits machins" de fille. Elle prend ma main pour la poser sur son ventre. Je glisse ma main dans sa culotte. << Docteur Julien, vos thérapies font des miracles ! >> dit elle en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Nous nous embrassons en nous touchant.

Nous montons rejoindre Estelle à la cuisine. Elle est dans la véranda. Sur le barbecue électrique les trois pavés de saumon en papillotes. Une belle laitue en salade sur la table. L'odeur de la potée de légumes. Dehors il fait beau. Le thermomètre extérieur indique 21°. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Il est 12 h45 quand nous montons nous laver les dents. Nous gardons nos jeans, nos chemises à carreaux. Nous descendons très vite.

Dans le petit sac à dos, la thermos avec le thé bouillant, des barres de céréales, nos K-ways. Sur les épaules, nos sweats. Les grosses godasses à la main, nous sortons. Comme il fait doux et agréable. Nous prenons ma voiture. Ça fait bien trois semaines qu'elle n'a plus roulé. Nous voilà en route. Je conduis doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière commente le paysage en caressant mon cou, mes joues. Il y a 25 bornes jusqu'aux collines.

Je gare l'auto sur le parking du restaurant fermé. Il y a de nombreuses voitures. Des groupes de gens qui se préparent à randonner. Nous changeons de chaussures. Je mets le sac sur le dos. J'ai remballé ma bite. C'est parti. Nous prenons l'habituel sentier qui part sur la droite du restaurant. Il monte rapidement à flanc de colline. Il fait presque chaud. Il est 13 h30. Nous marchons d'un bon pas. C'est une dernière journée de vacances absolument magnifique. Il faut en profiter.

Nous croisons des marcheurs. Souvent de petits groupes. Des couples. Des familles. Là-bas, dans la vallée, le lac dont les eaux reflètent l'immaculé bleu d'un ciel sans nuages. Estelle ouvre la marche. Je suis entre mes anges. Clémentine derrière moi. Estelle s'arrête souvent par surprise pour me faire une rapide bise. Ou alors pour me faire "pouet pouet" à la braguette. Il est 15 h quand nous arrivons au château. Les travaux de rénovations avancent. Il y a des échafaudages partout.

L'intérieur de la forteresse est interdite d'accès. Ce n'est plus qu'un vaste chantier. Le conseil général informe le visiteur par de grands panneaux. Nous tournons autour des murailles. Nous gardons soigneusement nos distances. Il y a quelques rares porteurs de masques sanitaires. << Même ici ! Bande de nazes ! >> lance Estelle. Nous nous gaussons de tant de zèle. Nous prenons le sentier qui descend vers le lac. Là, sur l'aire de repos, il y a des tables, des bancs.

Des gens sont assis. C'est là que nous sortons les gobelets, la thermos, les barres de céréales. Installés à l'une des tables de pierre, nous savourons l'instant. Nous attirons encore bien des regards, des interrogations. Suis-je le père ? Suis-je l'ami ? Suis-je l'amant ? Tout cela nous amuse beaucoup. Surtout lorsque les filles sont assises sur mes genoux à me faire des bisous en ignorant totalement les quelques curieux qui mâtent discrètement le plus souvent.

Les curieuses sont majoritaires. Ce sont surtout les femmes qui observent notre trio. Nous faisons probablement quelques envieux. Nous portons tous les trois nos lunettes de soleil. Ce qui permet de loucher vers qui ont veut. Estelle murmure : << Regarde le vieux pervers là-bas, ce sont des bites qu'il a à la place des yeux ! >>. Clémentine rajoute : << Regarde la vieille pouffe là-bas, celle avec le chapeau. Elle va s'étouffer avec sa pomme ! >>. Nous n'arrêtons plus de rire.

Nous quittons. Il y a de l'affluence car c'est l'aire de pique nique. Nous avançons jésuitiquement parmi la foule des promeneurs. Nos hautes tailles participent de notre présence "extraterrestre". Les filles me tiennent par le bras. Nous prenons le sentier. Nous longeons le lac sur sa droite. C'est dommage de ne pouvoir s'attarder. Il faut être rentrés pour 18 h. << Leurs put-hein de connerie de couvre feu à ces cons là ! >> lance Estelle, rageuse. Nous en rions toutefois de bon cœur.

Il y a ce petit promontoire au dessus du lac. Juste à l'endroit où viennent se jeter les eaux tumultueuses du torrent. La rivière aux eaux bruyantes est un véritable spectacle en ce lieu. Il y a évidemment du monde. Nous gardons nos distances. Clémentine prend quelques photos. Estelle m'ouvre discrètement la braguette en restant serrée contre moi. J'ai beau la gronder rien n'y fait. C'est une femme et quand elle a décidé quelque chose, il serait vain de vouloir l'en dissuader.

Là, très vite. Elle s'écarte. Serrée contre moi, son bras autour de ma taille, elle dit à Clémentine : << Photos please ! >>. Nous posons. Ce n'est pas seulement téméraire mais c'est une prise de risque d'une extrême dangerosité. Il y a des gens partout. Nous récidivons pour trois photos. Estelle se blottit dans mes bras entre chacune pour cacher mon sexe. Je n'en mène pas large. La coquine s'amuse de mon embarras. Clémentine en rit aux éclats. Nous sommes "gonflés" !

Nous quittons l'endroit. Je remballe. Je dis à Estelle en l'attrapant par ses cheveux : << Salope ! Tu vas finir par nous faire attraper ! >>. Nous en rions de bon cœur. Il est 17 h25 quand nous sommes de retour sur le parking. Il y a un monde fou. Tout le monde se dépêche de respecter les consignes. << Connerie de couvre feu ! On devrait imposer un couvre con aux raclures qui décident ce genre de choses ! >> lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Nous partons.

Estelle a encore insisté pour être assise devant, parterre, entre les pieds de Clémentine. J'ai beau la gronder, lui préciser qu'en cas de contrôle, c'est la "prune". << Quels contrôles ? Les gendarmes sont à l'apéro bien au chaud dans leurs gendarmeries ! >> fait Estelle en tenant la queue que suce Clémentine. Je roule doucement. Nous sommes dans une file de bagnoles mais ça roule plutôt bien. Je me fais sucer. Il est 18 h15 quand nous arrivons à la maison.

Il y a le crépuscule qui s'installe. La fraîcheur humide du soir. << Venez, on va dans notre "résidence secondaire" ! >> fait Clémentine en nous entraînant par le bras. Estelle allume la lumière. Il n'y a pas encore de plafonnier. Juste des ampoules polies. Nous prenons toute la mesure du charme de cet endroit. C'est comme entrer dans un chalet de montagne. Mais un chalet luxueux. Estelle me tient par la bite. Je bande comme un salaud. Elle s'accroupit pour sucer la jute.

Avec la pipe tout le long de la route, ma queue dégorge de liquide séminal. La coquine a de quoi se sustenter en se régalant. Clémentine m'embrasse. Je caresse la tête à Estelle qui se redresse juste avant la crampe. Je me penche pour lui masser les jambes. << Des fourmis ! >> dit elle en tentant de déglutir le foutre qu'elle me montre dans sa bouche. Nous montons à l'étage. Il y a de grandes feuilles de carton épais qui protègent les marches de l'escalier.

Pareil sur les lames du plancher. Ce sont de magnifiques lames de chêne. Pas encore traitées définitivement. Ce sera fait après l'ameublement. Les filles proposent le rituel pisseux dans les toilettes. Je tiens Clémentine par ses cheveux. Cambrée au dessus de la cuvette, sans s'assoir vraiment, elle lâche un copieux jet sonore. << Tu pisses comme une vache ! >> lui fait Estelle pendant que je suce les dernières gouttes de Clémentine qui tient son équilibre à ma tête.

C'est au tour d'Estelle. Pareil pendant que Clémentine me tient la bite. C'est à moi. Debout devant la cuvette. Estelle me tient la queue pour en diriger le jet. Comme je bande mou, elle force mon sexe vers le bas. Clémentine est déjà accroupie. Mes deux anges se refilent ma bite qu'elles sucent avec avidité. Savourant le reliquat de pisse qui se mélange au jus de couilles. Elles se redressent à la limite de la crampe. Nous restons serrés. Je suis entre mes deux coquines.

Morts de faim, nous dévalons l'escalier en angle. Nous éteignons les lumières avant de sortir. Il fait nuit noire et froid. Nous rentrons vite nous mettre au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle concocte une belle omelette aux champignons et aux trois fromages. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur notre superbe randonnée de l'après-midi. De cette météo géniale.

La vaisselle. Clémentine m'entraîne par la queue autour de la table de la cuisine. << Vous me faite grimper aux rideaux tous les deux ? >> nous demande t-elle. << Mais "Maître" Julien va se faire un plaisir de me tringler comme il en a le secret ! >> répond Estelle. Nous voilà au salon, juste en chemises et en chaussettes. Clémentine qui a ses "petits machins" est vautrée dans le fauteuil. Elle se masturbe déjà. Je dépose Estelle sur le bureau pour frotter mon sexe contre le sien.

Ce soir, j'alterne le comportement de l'homme des cavernes que je mâtine d'un peu de l'attitude de l'homme préhistorique. Un zeste d'homme de Tautavel. Pour le plus grand plaisir d'Estelle qui adore se faire prendre avec une certaine brusquerie. J'essaie donc d'être à la hauteur de ses attentes bien légitimes. Nous entendons Clémentine gémir de plaisir en nous observant. Parfois elle se lève pour venir voir de près. Me tourner autour. Scruter les expressions de mon visage. Lécher la sueur qui en dégouline.

Quelquefois, je me retire. J'offre ma queue gluante et sirupeuse à la gourmandise de Clémentine. Estelle se masturbe en attendant que je revienne. Nous sommes épuisés. Surtout moi qui reprend là un entraînement physique digne d'un champion olympique. Clémentine s'offre un orgasme en hurlant. Elle pisse dans la cuvette en essayant de ne pas faire gicler à côté. Estelle s'offre un orgasme en poussant des cris. Nos nouveaux rituels pisseux. Lavage de dents. J'éjacule dans la bouche de Clémentine au lit.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les retours de randonnées dans une apothéose de jouissances raffinées et extatiques...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1439 -



La rentrée

Hier matin, lundi, du plus profond de nos sommeils, se mêlant à nos rêves, surgit le chant de ces oiseaux mystérieux. Le bruit de l'eau de cette source mystérieuse. Cette application nous réveille à nouveau en douceur. Estelle se blottit encore plus fort. Clémentine vient se serrer tout contre moi. Je suis entre mes deux anges. Il est presque six heures. Estelle se lève la première en marmonnant : << Pipi ! >>. Elle se dirige vers la porte avec ses vêtement de sport à la main.

Clémentine et moi, nous mettons nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, la tête dans le cul, nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Estelle à la cuisine. Ça nous fait tout drôle car il fait encore nuit dehors. L'odeur du pain grillé, du café et de la brioche nous met du baume au cœur. << Put-Hein, c'est déjà finit les vacances ! >> fait Estelle en s'asseyant lourdement. Nous prenons notre petit déjeuner en restant vaseux et silencieux.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle, son sac de sport à la main, dévale les escaliers en s'écriant : << A demain soir ! >>. Il est 7 h30. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Il est 7 h50. Le jour est levé. La fraîcheur matinale est vive. Nous traversons le jardin.

Sous l'abri à bois nous remplissons la corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous rentrons vite. Nous voilà dans l'atelier. Estelle a laissé le portail ouvert. Nous attendons l'entreprise d'installation électrique. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. J'attaque ce matin la peinture de ma huitième et dernière nature morte.

Je me lève pour retourner dehors. La camionnette est garée devant la dépendance. Ce sont deux employés qui déchargent du matériel. Ils portent leurs masques sanitaires. Celui qui semble être le chef m'explique rapidement. Ils en auront pour deux jours. Il faut installer les panneaux photo voltaïque sur le toit. Relier les branchements à l'armoire électrique. Je les laisse à leurs travaux. Je rentre rejoindre Clémentine. Je lui expliquerai à midi. Il est 8 h30.

Je peins dans un enthousiasme de plus en plus envahissant. La passion qui m'anime, lorsque je me livre à ma peinture, est le meilleur antidote à toutes les situations. La matinée se passe ainsi. Dans le calme et la sérénité. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle est contente d'avoir repris les cours. Elle met deux bûches dans la cheminée. J'enlève ma blouse. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des spaghettis.

Je poêle deux beaux filets de colin. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Un peu de gruyère finement râpé. J'égoutte les spaghettis. Clémentine y rajoute du Parmesan qu'elle vient de râper. C'est un repas rapide mais excellent. Nous mangeons d'ailleurs de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur son télé travail. L'ambiance de l'université qui lui manque. Cette situation sanitaire qui commence à peser sur tout le monde.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Par une des deux fenêtres de la salle de bain, nous voyons un des deux employés sur le toit de la dépendance. Il est arnaché d'un câble. Il fixe de grands panneaux rectangulaires. L'autre employé est au sommet d'une échelle à tendre de l'outillage. << Ça bosse ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la main. Il fait beau. Il y a du soleil. Le thermomètre extérieur indique 20°. Nous sortons en chemises pour traverser le jardin.

Clémentine me tient la main. Nous descendons vers la rivière. Il n'y a pas un souffle de vent. Il y a les gazouillis de quelques oiseaux. << Ils sont bien réels ceux-ci. Pas comme ceux de l'application, le matin à six heures ! >> fait Clémentine en glissant sa main dans ma braguette. Elle vient de l'ouvrir. C'est le dernier jour de ses règles. Cette fois ça s'est plutôt bien passé. Pas trop de douleurs ni de congestions. Toute contente, elle sautille autour de moi sur le sentier.

Nous longeons le cour d'eau. Avec cette douceur j'ai la bite à l'air. Clémentine la prend dans sa main bien chaude. << Je t'aime Julien. Ces vacances ont encore été merveilleuses ! >> dit elle en s'accroupissant. Frottant son visage contre mon sexe, Clémentine me fait part de sa joie. << Dans sept semaines, c'est les vacances ! Le jura peut-être si ces enfoirés n'enferment pas la population une nouvelle fois ! Parce qu'on les voit venir avec leurs saloperies cachées ! >> dit elle.

Nous marchons en flânant. Clémentine se penche souvent pour déposer un bisou sur mon sexe. Les canards, les poules d'eau et les colverts nous accompagnent sur l'eau. Nous voilà assis sur les rochers. Cette partie de la rivière est calme. Le niveau des eaux est revenu à la normale. Le ciel est principalement bleu. A peine quelques voiles d'altitudes. Le soleil est généreux. Cette météo annonce un printemps qui ne tardera plus. Clémentine me parle de ses cours.

C'est une matheuse. Les sept semaines à venir seront consacrées aux mathématiques. Il y aura deux travaux à rendre. Un peu comme des thèses à remettre avant les vacances de Pâques. De quoi réjouir Clémentine qui excelle en ce domaine. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à retourner. Clémentine se lève. Elle prend ma main pour m'entraîner. Je remballe ma bite. Nous remontons le chemin. Nous passons devant la dépendance. Un bruit de perceuse vrille les tympans.

Les employés fixent les panneaux photo voltaïques sur le toit. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Avec ce soleil il faut faire un effort. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. En peignant, j'entends la voix de Clémentine. Elle échange avec des étudiants de son groupe ou avec un professeur. C'est à la fois étrange et amusant.

De n'entendre que des questions, des bribes de phrases, évoque un monologue surréaliste. L'après-midi passe ainsi. Il est 17 h quand Clémentine vient sautiller autour de moi. << Fini ! >> chante t-elle sur tous les tons en imitant une cantatrice. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle palpe mon Zob en regardant ma peinture. Confortablement installée dans le canapé, Clémentine prend quelques notes d'un livre ouvert. Elle chantonne quelquefois.

Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je viens rejoindre Clémentine qui annote inlassablement. Elle cesse. << Viens, on sort encore un peu ! >> dit elle elle empoignant ma main. Nous quittons l'atelier. Il fait encore jour. La camionnette à disparu. Nous entrons voir dans la bâtisse. La petite armoire électrique est ouverte. Il y a un incompréhensible imbroglio de câbles qui pendent. D'autres fixés à des boîtiers. Cela fait partie des travaux.

J'ai la bite à l'air. Clémentine l'empoigne en disant : << Le seul branchement que je maîtrise, c'est avec ce câble ci ! >>. Nous en rions de bon cœur. Clémentine s'accroupit pour frotter son visage sur mon sexe. Elle adore faire ça en me murmurant des douceurs. Elle se met à téter délicatement. Juste la peau du prépuce qu'elle tire du bout des lèvres. Je caresse sa tête. Je lisses ses longs cheveux dénoués. Doucement, cette caresse buccale se transforme en fellation.

Je me fais tailler une pipe des familles. C'est tellement bon que j'ai l'impression d'avoir la queue dans un bol de purée tiède. Le bruit d'un moteur. J'aide Clémentine à se redresser. Nous descendons à toute vitesse. Nous accueillons Julie. Toute contente de nous revoir enfin. J'ai la braguette ouverte. Elle y jette un rapide coup d'œil avant de détourner son regard. Je récupère la grande boîte en bois contenant notre livraison. Nos repas de ce soir et de demain à midi.

Julie est vêtue de son jeans, d'un pull de coton noir sous son blouson de cuir. Ses bottines. Ses longs cheveux flottent sur ses épaules. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Nous traversons le jardin dans le crépuscule naissant. Il est est 18 h45. Nous rentrons. De son petit sac à dos en cuir, Julie tire le flacon de gel hydroalcoolique. C'est le rituel auquel nous sacrifions en riant. Nous nous frottons les mains dans le hall d'entrée. Clémentine débarrasse Julie de son blouson.

Nous allons dans la cuisine. Les tourtes aux fruits de mer sont encore très chaudes. La grande boîte en bois est isotherme. Clémentine sort les salades de leurs récipients. Je dresse la table avec Julie. Elle nous raconte sa rentrée. Elle aussi est frustrée par ce télé travail et ces cours en ligne. L'ambiance de l'université lui manque tant. Cette situation sanitaire qui n'en finit plus commence à peser lourdement sur le moral des gens. J'écoute ce qu'échangent Clémentine et Julie.

<< Nous avons affaire à des gens qui accumulent les erreurs. Tout ce qu'ils entreprennent connaît des échecs cinglants. Pourquoi nous imposent ils leurs errances ? Nous n'avons pas à êtres pris en otage par des incompétents ! >> s'écrie soudain Julie. Je ne l'ai jamais vu si vindicative. << Un ras-le-bol général devant ces incapables ! >> rajoute t-elle encore en soupirant. Même si nous sommes des privilégiés, force est constater un moral général en baisse. La colère monte.

Nous voilà installés à table. Le sujet de la conversation s'oriente à nouveau sur les études. Lettre Modernes pour Julie qui prépare son Deug. Son diplôme d'études universitaires générales. Elle en vient rapidement au sujet de son projet de film. Dès les premiers vrais beaux jours, nous réaliserons cela le long de la rivière. Sur nos terres. Julie nous confie se réjouir. << J'ai mis les différentes déclinaisons par écrit. Je vous les envoie par courriel dès demain ! >> fait elle.

<< Apporte les demain. Puisque tu viens nous voir l'après-midi ! >> propose Clémentine. En effet, Julie termine à 16 h. Elle vient nous rejoindre jusqu'à 18 h. Avant d'aller faire ses livraisons de repas en soirée. << Oui ! Bonne idée ! >> lance t-elle. J'ai sorti ma bite sous la table. J'adore me masturber en écoutant Julie évoquer ses fantasmes "cinématographiques". Elle avoue regarder assez souvent le film que nous avons déjà réalisé ensemble dans les toilettes du restaurant.

Pour l'inauguration de notre "résidence secondaire", ce sera Julie qui sera aux caméras. Elle se réjouie pour cette soirée "crémaillère". Je me lève pour lui montrer ma bite. Je bande comme le dernier des salauds. Cette fois, Julie observe. Sans détourner son regard. Elle tente de surmonter son inhibition naturelle de jeune fille. Pourtant cette situation l'excite tellement. Elle avoue ce soir prendre un plaisir fou à être en nos compagnies. Le "club des dépravés". Nous en rions de bon cœur.

Je suis cambré sur mes genoux fléchis. Je me branle en écoutant les filles parler du film. Elles m'observent du coin de l'œil. Je tiens ma queue à sa base. Entre le pouce et l'index pour l'agiter en direction de Julie. Elle me fait à chaque fois un délicieux sourire. Elle parle de sa tante. Anne-Marie avec qui elle entretient une relation amoureuse. << A tendances sexuelles très marquées ! >> précise t-elle avant d'éclater de rire. La vaisselle. Nous passons dans l'atelier.

Julie doit être rentrée pour 22 h20. Son attestation professionnelle le spécifie. Avant de nous quitter, elle veut voir un peu de ma peinture. Julie se réjouie pour tenir ma galerie d'Art cet été. Pour la deuxième année consécutive. Aussi, elle aime s'imbiber de peinture à chaque occasion. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture dans le froid de la nuit. Un dernier coucou. Julie revient demain après-midi. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Au lit, je me fais sucer comme un voyou.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment venir visiter leur couple d'amis. Couple dont le mec à un comportement de satyre...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1440 -



Notre première virée vélo de l'année

Hier matin, mardi, nous sommes tirés de nos profonds sommeils par cette application téléchargée. La magie des chants de ces mystérieux oiseaux. Le bruit de cette source. Tout cela ne résonne pas seulement dans nos rêves au fond d'une mystérieuse forêt. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Je lui fait des bisous. Il est presque six heures. Nous nous levons d'un bond pour nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers.

Clémentine s'occupe du café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en émergeant doucement. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Nous terminons par le retour au calme d'un bon stretching. Nous filons sous la douche. Enfin correctement réveillés.

Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous redescendons pour mettre nos anoraks. Nous sortons. La fraîcheur matinale, le ciel déjà bleu, annoncent une nouvelle belle journée. Il est 7 h50. Nous remplissons la corbeille d'une dizaine de bûches. L'odeur sous l'abri à bois est printanière. Les cours en lignes commencent à 8 h05. Le temps de rentrer. Clémentine est toute euphorique car elle termine sa journée à midi. Le mardi après-midi, elle n'a pas cours.

<< Cet après-midi, on se paie notre première virée vélo ! >> dit elle dans l'atelier. La voilà assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans cette douce euphorie communiquée par Clémentine. La matinée se passe ainsi, dans une saine émulation. Il est 11 h45 quand je nettoie ma palette et mes pinceaux. Clémentine vient me rejoindre à 11 h55. Nous allons à la cuisine.

Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe les deux tourtes aux fruits de mer restantes de hier soir. La pâte feuilletée a décongelé. Je coupe, je lave et je fais cuire deux beaux poireaux. Je concocte une Béchamel. Clémentine y rajoute le gruyère de Comté qu'elle vient de râper. J'égoutte le poireau que je verse dans la Béchamel. Clémentine répand le tout sur les deux tiers de la pâte feuilletée étalée dans un grand plat à bords hauts. Je recouvre du dernier tiers de pâte.

Clémentine badigeonne le dessus du mélange moutarde, œuf, lait de soja et graines de sésame grillé. Nous sortons les tourtes aux fruits de mer du four pour y mettre la Flamiche Picarde. Cette tarte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soirs. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. Nous montons nous laver les dents. De la fenêtre de la salle de bain, nous voyons la camionnette de l'entreprise. Les six panneaux photo voltaïques sont installés sur le toit.

Nous mettons nos tenues de cyclistes. Il ne fait pas encore assez chaud pour que Clémentine puisse se mettre en jupette. Aussi, c'est vêtus de nos leggings et de nos sweats de lycra noirs que nous redescendons. Dans le petit sac à dos que je porte, la thermos de thé bouillant, des barres de céréales, nos K-ways, nos bonnets, nos gants. Nous sortons. Le thermomètre extérieur indique 22°. Il y a du soleil. Le ciel est entièrement bleu. Clémentine fait un texto à l'attention de Julie.

Il faut la prévenir que nous partons à bicyclette et que nous ne serons pas de retour avant 18 h. Je vérifie le gonflage des pneus de nos machines. 5,5 bars à l'avant et à l'arrière. Nos vélos tous chemins ont passé l'hiver à l'abri de la poussière sous des bâches. Juste avant de les enfourcher, la musique imbécile de mon téléphone. Clémentine le sort du petit sac à dos que je porte. C'est Julie. Elle propose de nous rejoindre au grand chemin pour 15 h30. Elle termine à 15 h.

C'est parfait. Nous voilà partis. Nous descendons les 300 mètres jusqu'à la rivière. Le petit pond de bois dont j'ouvre le cadenas du portillon. 500 mètres sur le chemin qui mène à la piste cyclable. Il fait chaud. Clémentine enrage. Elle dit : << J'aurais pu mettre une jupette ! >>. Tant pis. Quelle surprise, il y a nombre de cyclistes sur la piste. Principalement des séniors, des retraités. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest qui nous poussera au retour. Quel bonheur.

Il y a quinze kilomètres jusqu'au cabanon de l'écluse. Les eaux du canal désert sont encore envahies d'herbes. Il y flotte des branchages. VNF n'a pas encore commencé le nettoyage de ce tronçon. Les Voies Navigables de France entretiennent tout cela avec soin. << On se fait un "plan" ! >> lance Clémentine en s'arrêtant devant le vieux cabanon. Je me planque à l'angle du cabanon, légèrement en contre bas. Invisible à une vingtaine de mètres de la piste cyclable.

Je vois Clémentine franchir la passerelle métallique qui traverse l'écluse. Elle est dissimulée entre deux bosquets de houe, denses et verts. Nous nous faisons des gestes obscènes. Des grimaces. Clémentine guette l'arrivée d'un cycliste solitaire. L'attente est de courte durée. Voilà un sénior athlétique. Clémentine descend rapidement son leggings et sa culotte. A mi-cuisses. Elle s'accroupit. Notre gaillard arrive à bonne vitesse lorsqu'il découvre le spectacle de l'autre côté du canal.

Il freine à en laisser une traînée noire sur le goudron. Un pied à terre, le voilà qui mâte. Clémentine a défait ses cheveux. Elle porte ses lunettes de soleil. Parfaitement préservée par cet anonymat, à une quinzaine de mètres du voyeur, elle reste immobile. Pose pipi. Le type regarde dans toutes les directions. Personne. Il sort son sexe pour l'agiter vers la jeune fille. Je l'entends héler : << Besoin d'aide mademoiselle ? >>. Je ne vois pas sa queue. Il me tourne le dos.

Clémentine reste immobile. Je l'ai vu dans ce "numéro" des dizaines et des dizaines de fois. Mais chaque fois ça me fait bander encore plus fort que sa "victime". Le mec évalue la distance qui le sépare de la pisseuse. Il pose son vélo contre l'appareillage de l'écluse. Il s'apprête à traverser la passerelle. Clémentine se redresse. Je n'ai pas d'autres alternatives que de me manifester. Je dois la sortir de cette situation. Nous avons affaire à un sale type. Je crie : << Hello ! Tout va bien ? >>.

Le mec se retourne. Il tient sa bite à la main. Il a vraiment l'air du gros con qu'il est. Il redescend de la passerelle, ramasse sa bicyclette et s'en va à toute vitesse. Clémentine vient me rejoindre. << Pas de chance, on est tombé sur un sale con ! Tu te rends compte, seule en présence de ce genre d'individu ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Nous remontons sur nos machines. Le grand chemin est à 3 km. Julie est déjà là. Comme nous. En tenue lycra. Elle est toute contente.

Nous bavardons. C'est lorsque nous croisons d'autres cyclistes que nous serrons notre droite. Sinon nous roulons côte à côte. Julie nous raconte l'exhibitionniste à vélo qui est passé devant elle en lui montrant sa queue. A la description qu'elle nous en fait, nous reconnaissons le sinistre con à qui nous avons eu affaire devant le cabanon. << Heureusement qu'il y avait des gens dans l'herbe un peu plus loin parce qu'il n'avait pas du tout l'air cool ce type ! >> précise Julie.

Il est 16 h quand nous arrivons au port de plaisance. Quelle joie de retrouver cet endroit. Quelle surprise d'y découvrir les joueurs de boules, quelques promeneurs. La capitainerie du port est fermée, volets tirés. Nous y fermons nos vélos à cadenas. Nous sommes euphoriques à nous retrouver là. Nous aimons tout particulièrement cet endroit. Nous traversons la petite route. Nous enfilons nos masques sanitaires pour entrer dans la supérette. La gérante est toute contente de nous revoir.

Nous bavardons. Elle nous raconte l'hiver sur le port. L'aberrant couvre feu qui la prive des clients du bourg qui travaillent la journée. << Tout le monde en a marre de toutes ces conneries. A quoi servent les couvres feu, le port des masques pour que rien ne change ? Ces gens-là nous prennent pour des cons ! Et ils ont tort ! >> lance t-elle. Nous allons choisir nos cônes glacés. Nos premières glaces de la saison que nous savourons en nous promenant sur les quais. Il y a du monde.

<< Regardez ! L'exhibitionniste con ! >> fait Julie en nous montrant le type vu devant le cabanon. Il pousse son vélo en regardant partout. << Il cherche un "plan" l'ordure ! >> rajoute Julie. << Mâte un peu comme il marche avec ses godasses de cyclistes le péquenot, on dirait un clown ! >> dit Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Nous ne pouvons nous attarder. Il faut prendre le sens du retour. Nous laissons Julie au croisement du grand chemin. C'est à trois kilomètres de chez elle.

Il est 18 h20 quand nous sommes de retour. Un peu inquiets car nous dépassons l'heure légale de sortie. << Qu'ils aillent se faire enculer avec leurs mesures de nazis ! >> lance Clémentine en m'entraînant par la main. La nuit commence à tomber. La voiture d'Estelle est garée devant la dépendance. Nous nous dépêchons de la rejoindre. Elle nous fait la bise, me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Elle me couvre le visage de bisous. Nous lui racontons.

Je dresse la table. Estelle a déjà préparé l'assaisonnement de la salade. Une laitue lavée à midi. La Flamiche Picarde réchauffe au four. Clémentine nous propose d'aller voir l'installation électrique dans la "résidence secondaire". On y va. J'ouvre l'armoire contenant le vieux compteur. J'ai refusé l'installation de ce maudit Linky. Certaines entreprises veulent faire croire que leur installation est obligatoire. Hors c'est totalement faux. C'est à ça qu'on voit les menteurs et les escrocs.

Il y a un interrupteur central qui permet de choisir entre l'électricité fournie par les panneaux photo voltaïques et celle fournie par EDF. Il y a un manuel d'utilisation. Tout est très simple. Chaque panneau délivre 360 watts. Il y en a six. C'est une configuration de dernière génération garantie dix ans. Nous avons choisi la fiabilité d'un matériel allemand bien en avance. Estelle joue avec les interrupteurs. << Papa en a fait installer il y a quatre ans ! Ça marche super bien ! >> fait elle.

Morts de faim nous traversons le jardin en courant. Il fait froid le soir. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent leurs études. La vaisselle. Estelle m'entraîne par la main jusqu'au salon. Clémentine nous suit très amusée. Je me retrouve rapidement avec le leggings et le slip sur les chevilles. << T'es sexy en collants noirs ! >> me fait Estelle en choppant ma bite. Elle m'entraîne en me tirant par la queue. Je marche difficilement.

Mes vêtements entraves mes chevilles. J'avance comme un con. Estelle se marre évidemment comme une folle. Clémentine glisse une main dans son leggings en s'appuyant contre le bureau. J'ai une méchante envie de lui bouffer la chatte. Le sexe d'une jeune fille de 23 ans qui a passé son après-midi sur un vélo. J'imagine l'intimité du fond de sa culotte. Elle devine ma pensée car elle enlève soudain ses vêtements. Elle se vautre dans le canapé. Estelle m'y tire par le Zob comme par une laisse.

Je suis à genoux sur un des épais coussin. Je me bouffe le croupion juteux et crémeux de Clémentine. Estelle, à quatre pattes derrière moi, me fait le cul en faisant garrot de ses doigts autour de mes couilles. Clémentine m'attire sur elle. C'est rare. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Nous adorons rester l'un dans l'autre sans bouger. Estelle se masturbe assise à côté de Clémentine. Son visage tout près des nôtres. Nous nous murmurons des douceurs.

Ce soir, je me consacre entièrement à Clémentine. Estelle se lève parfois pour venir me bouffer le cul, jouer avec mes couilles. Elle revient s'assoir. Elle s'offre un orgasme qui la fait rugir de plaisir. Je me retire pour terminer Clémentine d'un fabuleux cunnilingus. Estelle me suce comme une désespérée. L'orgasme de Clémentine la fait mugir de bonheur. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. 22 h. Nos rituels pisseux. Lavage des dents. Au lit, entre mes deux anges, nous bavardons encore un peu.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire nettoyer le minou après un après-midi de bicyclette...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1441 -



La solitude à deux

Hier matin, mercredi, une fois encore c'est cette application surprenante qui nous tire de nos profonds sommeils. Se mêlent à nos rêves le chant d'oiseaux mystérieux et le bruit d'une source. Tout cela résonne d'une étrange façon dans une forêt qui paraît extraordinaire. Il est presque six heures. Estelle glisse sa main dans mon slip. Elle est restée serrée contre moi toute la nuit. Clémentine vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Nous gémissons de concert.

Estelle se lève la première. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers la porte, ses vêtements de sport à la main. Clémentine et moi nous enfilons nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons l'escalier pour rejoindre Estelle à la cuisine. L'odeur de pain grillé, de café. C'est une invitation à un petit déjeuner succulent. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur notre soirée. La masturbation d'Estelle. Elle adore.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Estelle devra filer immédiatement après. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos, stretching. Nos rituels quotidiens. Deux bisous. Estelle descend à toute vitesse. << A demain soir ! >> lance t-elle. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons pour enfiler nos anoraks. Nous sortons dans l'agréable fraîcheur matinale.

Le ciel est pur, clair et limpide. Il est 7 h50. Nous allons remplir la corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous rentrons toujours juste à temps. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur. Ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans une sorte d'allégresse qui me fait chantonner en chuchotant. L'orage de Georges Brassens.

La peinture de cette huitième toile destinée à ma saison d'été m'accapare totalement. Cette dernière nature morte de la série de huit est passionnante à réaliser. La matinée se déroule dans une ambiance de travail que nous chérissons. Il est 11 h55 quand Clémentine vient virevolter autour de moi telle une ballerine faisant ses pointes. Nous ne faisons plus de feu dans la cheminée. Seuls les deux radiateurs fonctionnent. Il y a moins de poésie. Je cesse de peindre.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine y prépare la salade de tomates et de carottes. Je réchauffe le reste de tarte aux poireaux. A la poêle je fais dorer deux filets de lieux noirs avec de l'ail, de l'échalote, des champignons. Avec cette douceur, la cuisinière à bois ne fonctionne pas non plus. << Ça sent le printemps ! >> fait Clémentine qui me raconte sa matinée. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous ne traînons pas. Notre vaisselle.

Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés de sortir, nous descendons à toute vitesse. Pas la peine de mettre l'anorak. Le thermomètre extérieur indique 22°. Une fois dehors nous constatons à quel point il fait chaud au soleil. Nous prenons le chemin jusqu'à la rivière. Nous longeons le cour d'eau sur plusieurs centaines de mètres. Nous avons un capital temps assez conséquent. Il n'est même pas 13 h.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. << C'était tellement bon hier soir. Tu m'a fait l'amour toute la soirée ! >> dit Clémentine avant de m'embrasser avec passion. Je glisse ma main dans son jeans que je viens de déboutonner. Puis dans la culotte. Nous nous embrassons toujours avec une telle fougue que nos mentons en sont mouillés de salive. Entre chaque baiser, Clémentine me confie son ressenti. Je n'ai qu'à me laisser bercer de ses paroles.

Je dis : << Ce soir, je récidive. Je te fais l'amour ! >>. Clémentine émet un gémissement de contentement en se lovant dans mes bras. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour m'embrasser à nouveau. Ça me fait bander. Cela me donne le vertige. Je suis obligé de déposer Clémentine au sol pour ne pas vaciller avec elle. Nous en rions en continuant notre promenade. Clémentine me montre son jeans ouvert. Il tient sur ses hanches parce qu'il est moulant.

Avec le pouce dans sa culotte qu'elle tire vers le bas, elle me montre son incroyable touffe. J'adore. Ce poil qui monte en pointe jusqu'au nombril. Je sors ma bite pour l'agiter dans sa direction. Nous nous observons comme si c'était la première fois. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Nous prenons le sens du retour. Il faut rester prudent car monsieur Bertrand, notre voisin, vient nourrir les canards vers ces heures là. Nous remontons le chemin.

Un petit tour dans la "résidence secondaire". Tout y est propre. Il y fait presque aussi doux qu'à l'extérieur. Cette fois Clémentine ouvre son jeans qu'elle descend sur les genoux avec sa culotte. Je m'accroupis. J'adore scruter cette invraisemblable touffe. A la lumière du jour on distingue si bien le poil qui pousse sur l'intérieur des cuisses, sur les haines. J'adore. C'est carrément magique. Lorsqu'elle tire ses poils au dessus de son clitoris géant, ils font bien six ou sept centimètres.

C'est prodigieux. Je dis : << J'ai envie de te sucer, de te lécher ! C'est toujours plus fort que le reste ! >>. Clémentine me force à me relever. << C'est pareil pour moi ! Viens, il faut y aller sinon on va tout oublier ! >> fait elle en remontant ses vêtements. Nous quittons la dépendance pour traverser le jardin. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet.

L'après-midi se passe dans la même ambiance studieuse. Il est 16 h50. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 17 h quand Clémentine vient danser autour de moi. Nous quittons l'atelier sur un pas de danse en riant comme des fous. Pressés de sortir à nouveau. Il fait toujours aussi doux. Le gazouillis des oiseaux évoque celui de notre application le matin. << J'ai envie de te montrer ma chatte. J'aime quand tu la regardes avec attention ! >> me fait Clémentine.

Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous traversons l'étroit pont de bois. J'ouvre le cadenas du portillon. Nous prenons le chemin qui mène à la piste cyclable. Nous longeons la forêt sur notre droite. Le sentier est presque sec. Là, dans les fourrés, Clémentine se déboutonne. A nouveau elle descend son jeans et sa culotte. Je m'accroupis. Je scrute. Le soleil éclaire parfaitement chaque détail. Clémentine écarte ses poils pour me montrer son clitoris géant. J'observe.

A la lumière du jour tout est beaucoup plus net et détaillé. La vue de ce clitoris, de la taille de la première phalange de mon pouce, ne cesse de m'impressionner. C'est une véritable petite bite. Il y a même un prépuce que Clémentine tire pour décalotter cette chose étonnante. Je la tiens par les cuisses pour maintenir mon équilibre. << On joue à l'exhibitionniste et au voyeur un de ces jours ? >> me fait Clémentine qui prend autant de plaisir à me voir la regarder.

Je propose d'y jouer tout de suite. Nous adorons ça. << Je suis tellement bien quand nous sommes juste tous les deux. Tu sais, ça me manque de plus en plus souvent ! >> me dit Clémentine. Je me redresse. Elle remonte ses vêtements. Je la laisse pour longer la forêt seul. Sur une centaine de mètres. Le temps de laisser Clémentine préparer sa "surprise". Je reviens sur mes pas. C'est toujours si merveilleux. Elle est là. Debout. Elle a retiré jeans et culotte.

C'est trop génial. Je reste à distance pour l'admirer. Elle a les pieds écartés. Avec les mains sur les hanches, elle tient les pans de sa chemise. Elle est en baskets. Elle a dénoué ses cheveux. Elle se met à marcher doucement. Elle me tourne le dos pour s'enfoncer entre les arbres. Elle se tourne. Reprend sa position. S'accroupit. Se redresse. Elle fait tout cela avec un sérieux qui achève de me mettre en transe. Je sors ma bite pour me branler. Je bande tellement fort.

Clémentine marche doucement. Il y a là un aspect à la fois félin et peut-être chevalin. Cela flatte l'instinct animal qui sommeille au fond de chacun de nous. J'assiste là à quelque chose de phénoménal. Depuis plus de quatre ans, cette jeune fille qui partage ma vie, m'a réservé tant de surprises que j'en reste une fois encore abasourdi. Comme c'est beau. Comme c'est fragile. Comme c'est éphémère. Je veux incruster chaque image dans chacune de mes cellules.

Clémentine m'offre là un des plus beaux spectacles auquel j'ai assisté. Elle aime tant être vue. Être regardée. A la sortie de l'hiver son tempérament exhibitionniste prend possession d'elle comme une fleur d'un buisson. J'assiste là à l'éclosion de cette fleur de printemps. Je cesse de me branler. C'est tellement prodigieux que je pourrais éjaculer. Clémentine revient sur ses pas. Elle récupère ses vêtements accrochés à un buisson de branches encore nues.

De son index, elle m'invite à la suivre. Je reste à une bonne vingtaine de mètres. Elle se retourne souvent pour observer mes réactions. Il n'y a tout simplement aucun mot pour traduire l'indicible de la situation. Clémentine ouvre sa chemise qu'elle retire. Elle est totalement nue. Juste ses baskets. Elle prend des positions suggestives. Les pieds largement écartés. Les mains sur ses hanches à observer mes réactions. Ses vêtements posés sur les branchages d'un arbuste.

Le silence est total. Même la nature environnante semble sous le charme de ce qui se passe. Clémentine m'invite à la suivre. Je reste toujours à distance. J'imprime ces images dans chacun de mes atomes. Je les tatoue au fond de ma psyché. Clémentine revient à découvert. N'importe quel promeneur pourrait la voir. Rares sont les passages ici. Clémentine, nue, marche avec grâce à une vingtaine de mètres devant moi en direction du petit pont.

J'admire ce culot insensé. Il faut être exhibitionniste jusqu'au plus profond de son être pour prendre de tels risques. Même si dans ce lieu désert ils sont moindres. Clémentine avance à découvert. Il y a une centaine de mètres de pré à traverser. Ce que nous n'avions absolument pas prévu se produit soudain. Là-bas, de l'autre côté de la rivière, revenant des canards qu'il vient de nourrir, monsieur Bertrand, notre voisin. Clémentine se tourne vers moi complètement affolée.

Monsieur Bertrand connaît nos "jeux". Aussi se dépêche t-il de remonter le chemin sans se retourner. Par pudeur. Par respect. Mais aussi à cause de ma présence. Clémentine s'habille à toute vitesse. Le crépuscule arrive. La fraîcheur également. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. << C'était Génial ! J'en avais vraiment besoin. Cette communion avec la nature, avec mes penchants exhibes ! Je t'aime Julien ! Merci ! >> me fait Clémentine en se serrant dans mes bras.

Clémentine s'occupe de la salade en revenant sur son expérience "naturiste". Les corps nus, ainsi que la nudité, n'ont en général aucun effet sur nos libidos. Mais là, ce fut différent. Il était question d'exhibitionnisme pur. De se montrer. Je fais gonfler du millet doré. Je poêle des queues de crevettes. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche. Le gruyère que vient de râper Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup. La survenue de notre voisin dans nos délires nous fait rire.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie son impérieux besoin de reprendre ses exhibitions extérieures. << Je veux revivre cette émotion. Devant un inconnu. En restant totalement inaccessible ! >>. Elle sait pouvoir compter sur mes compétences. Je sécurise toujours ses extravagances. La vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Elle se déshabille complètement. << Ouvre juste ta braguette ! >> me demande t-elle.

Elle s'installe sur le bureau. Ses cuisses largement écartées. Ses pieds remontés sur les bords du meuble. Je m'approche. Je frotte mon sexe contre le sien. Clémentine se met en appui sur ses coudes. Elle me fixe de son regard par en dessous. Je chuchote : << Je vous aime mademoiselle. J'aime les tant les vicieuses ! >>. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Nous aimons rester l'un dans l'autre sans bouger. Nous nous fixons. Avec le plus grand sérieux.

<< C'est si bon de se retrouver tous les deux. Juste toi et moi. C'est presque nouveau ! Tu n'as pas cette impression ? >> me demande Clémentine. A l'instant où elle me pose cette question je prends conscience de la dimension nouvelle que peut prendre notre relation. Nous restons ainsi à alterner nos bercements, nos moments d'immobilisme. Nous cessons pour monter. Nos rituels pisseux. Lavage des dents. Au lit, j'offre à Clémentine le plus merveilleux des cunnilingus. Un orgasme magique.

Bonne soirée à toutes les coquines que l'exhibitionnisme passionne au point de se foutre à poil en plein jour dans la forêt...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1442 -



Estelle nous rejoint en soirée

Hier matin, jeudi, notre application nous réveille en douceur. C'est tellement agréable d'avoir l'impression d'être au milieu d'une profonde forêt. D'entendre le gazouillis des oiseaux, le bruit d'une source qui s'écoule. Il est presque six heures quand cette magie opère une fois encore. Clémentine vient se blottir contre moi. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection matinale. << C'était génial hier ! >> murmure t-elle à mon oreille. Nous nous levons.

Nos rituels pisseux. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine a la même impression que moi en faisant le café. Ça nous fait tout drôle quand Estelle n'est pas là. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons un solide petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre aventure forestière de hier. << A refaire ! >> lance Clémentine. Je dis : << Ce soir, avec Estelle ! >>.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Intense aujourd'hui encore. Joggings sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Nous prenons notre douche. Habillés de nos jeans, de nos chemises à carreaux nous redescendons pour mettre nos anoraks. Affronter l'agréable fraîcheur matinale est un plaisir à chaque fois renouvelé. Il est 7 h50, nous faisons quelques pas jusqu'à la dépendance. Nous y pénétrons.

Les cours en ligne commencent à 8 h05. Le temps de rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Avec ces belles et agréables journées, nous n'allumons plus ni la cheminée, ni la cuisinière. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans une sorte d'extase. Je termine ce matin cette huitième et dernière nature morte destinée à ma saison d'été.

Il est 11 h45 quand je dépose la pointe finale de blanc de titane sur la surface de ma toile. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 11 h55 lorsque Clémentine vient me rejoindre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. La pâte feuilletée a décongelé. Je l'étale dans deux plats à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe de belles tomates en tranches. Je fais pareil avec de gros champignons de Paris. De l'ail, un gros oignon.

Clémentine prépare un "flan". Du lait de soja, deux œufs, un petit pot de crème fraîche et un yaourt "nature". Il suffit d'y rajouter du sel de Guérande, du poivre noir, des graines de sésame. Nous disposons les tranches de tomates en alternant avec les tranches de champignons. Clémentine verse le "flan" sur les deux tartes. J'y rajoute une belle couche de gruyère de Comté. Au four. Cuisson à 180° pour laisser mijoter. J'égoutte les coquillettes cuites al dente.

J'ai gardé un reliquat de tomates et de champignons que je rajoute au pavé de saumon émincé. Je poêle le tout en y rajoutant un peu de moutarde à l'ancienne. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de profiter de cet ensoleillement, nous dévalons les escaliers pour sortir. Il fait doux. Il fait carrément chaud au soleil. Clémentine m'entraîne par la main. Nous descendons à la rivière.

<< Regarde, des primevères ! >> fait Clémentine. Elle s'accroupit. En effet il y a les premières fleurs jaunes du printemps. C'est un peu tôt. Mais c'est beau. Il y en a tout un bouquet entre les roches, dans l'herbe déjà verdissante. Je m'accroupis aux côtés de Clémentine pour admirer. Il n'est évidemment pas question de les cueillir. Laissons la vie éclore. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. Clémentine glisse sa main dans ma braguette.

Elle me sort la bite. << Tu t'en sers bien ! >> fait elle en s'accroupissant une nouvelle fois. Elle frotte son visage sur ma queue en poussant de petits gémissements. Clémentine se met à téter délicatement. Du bout des lèvres. Je caresse sa tête en disant : << Ce soir, mademoiselle, je vous baise comme le dernier des salauds ! >>. Clémentine se redresse pour répondre : << Oh oui, monsieur, soyez le dernier des salauds ! C'est tout ce que je mérite vous savez ! >>.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à revenir. C'est frustrant de devoir quitter l'ensoleillement de l'après-midi enchanteur qui s'annonce. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je commence cet après-midi la peinture de la première scène de genre destinée à ma saison d'été. Une scène à trois personnages. Il me faudra huit toiles de ce style.

L'après-midi se passe dans cette saine émulation qui nous enchante. Il est 16 h45 quand je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est presque 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Nous quittons immédiatement la grande pièce de travail pour sortir. Estelle doit arriver d'une minute à l'autre. Elles suivent toutes les deux les mêmes cours. Mais il y a trois kilomètres à parcourir. Nous allons dans la "résidence secondaire". Clémentine ouvre un des placards muraux.

Celui qui contient les batteries. Les accus se chargeant d'électricité. Nous avons pour consigne de les faire fonctionner le plus souvent possible les premiers jours. Afin de réguler leurs charges. Nous allumons toutes les lumières. La source d'énergie est aussi puissante que sur le réseau EDF. Un bruit de moteur. Voilà Estelle. Nous l'accueillons sur le pas de la porte. Elle arrive en sautillant. Toute contente de nous revoir. Des bisous. Elle me saute dans les bras.

Entre mes deux anges, nous descendons jusqu'à la rivière. Estelle prend soudain un air grave pour dire : << Vous savez, les photos qu'on a fait lors de la randonnée de dimanche. Celles où je tiens la bite à Julien. Et ben maman les a vu ! >>. Nous restons pantois. << Encore ! Je suppose que tu as laissé traîner ton téléphone ! >> lance Clémentine. << Le temps d'aller faire pipi. Même pas deux minutes ! Elle a encore regardé ! Je l'ai engueulé ! >> fait encore Estelle.

Elle éclate de rire en rajoutant : << Tu as toutes ses félicitations pour ton "outil" ! >>. Nous éclatons de rire tous les trois. C'est la seconde fois que Michèle, la maman d'Estelle, tombe sur nos "réalisations". Mais là, ça me gêne encore davantage. << T'es con ! Tu sais qu'elle aime bien fouiller tes affaires ! >> dit Clémentine. Je fais : << Oui, tu as 23 ans, tu devrais lui demander de cesser ! >>. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour rajouter : << C'est fait ! >>.

Clémentine raconte notre aventure de hier. << Génial ! Je veux faire aussi ! >> lance Estelle. Nous traversons l'étroit pont en bois. J'ouvre le cadenas du portillon. C'est une solide grille en fer de 2,50 m de hauteur. Chaque barreau se termine par une "hallebarde". Nous longeons la forêt en restant sur le sentier. << C'était là ! >> fait Clémentine en montrant l'endroit où elle se promenait nue. << J'ai mes "petits machins" de filles ! >> fait Estelle en se déshabillant.

Nous restons consternés de la voir se foutre complètement à poil. Clémentine tient ma bite en main, serrée contre moi. Il n'y a personne. Estelle remet ses baskets pour virevolter complètement nue sur le sentier qui s'enfonce dans la forêt. Elle agite ses vêtements à la main avant de les poser sur les branchages d'un bosquet. Clémentine se déshabille à son tour. << Tu surveilles ! >> me dit elle. Voilà mes coquines complètement à poil entrain de faire les clowns.

<< On emmerde le monde entier ! C'est trop bien ! >> se met à chanter Estelle. Je regarde partout autour de nous. Nous sommes évidemment seuls. Ce ne sont plus nos terres mais celles d'un agriculteur du bourg. Je regarde mes deux anges gambader nues comme au premier jour. Juste chaussées de leurs baskets. Je n'arrête pas de rire. Elles me rejoignent pour me prendre par la main. J'essaie d'imprimer ce moment au plus profond de mon âme. C'est merveilleux.

Contrairement à hier soir, où Clémentine évoluait en tenue d'Eve, ce soir, avec la présence d'Estelle, l'excitation fait place au divertissement. De voir ces deux superbes jeunes filles faire des cabrioles complètement à poil dans la forêt a quelque chose de surréaliste. De bucolique d'une certaine façon. La fraîcheur du soir ne permet pas de profiter de cette situation plus longtemps. Nous sommes tout de même que le 23 février. Les filles s'habillent en grelottant.

Je les frotte toutes les deux vigoureusement au travers leurs vêtements froids pour les réchauffer. Elles me couvrent le visage de bisous. Le crépuscule s'annonce. La nuit ne va pas tarder. Nous reprenons le sens du retour. Nous avons oublié d'éteindre les lumières dans la dépendance. Nous allons les éteindre. Je contrôle l'énergie consommée. Rien. Ou presque. Nous rentrons au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle dresse la table. Je réchauffe une des tartes.

La tarte à la tomate reste la préférence d'Estelle. Même si ce n'est plus vraiment une surprise le jeudi soir, cela reste festif. Elle me saute au cou. << Miam, Julien, je t'aime ! >> fait elle. << Je te rappelle que tu t'adresses à mon mec ! >> lui lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur en nous serrant tous les trois. Nous mangeons de bon appétit. C'est un repas succulent. Nous mangeons plein de noix en dessert. Il en reste tant et tant au cellier, à la cave.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles reviennent sur leurs folies "naturistes" dans la forêt. << Ça me donne l'idée d'un film ! >> lance Estelle. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Estelle me fait tomber dans le canapé. << Toi, je vais te bouffer la bite et te vider les couilles ! >> dit elle en se mettant à genoux entre mes jambes écartées.

Clémentine retire son jeans et sa culotte. << Il y a encore de l'herbe dans mon futal ! >> s'écrie t-elle en nous montrant une brindille. Elle se vautre dans le fauteuil en se touchant. Elle lève son pouce en me faisant un clin d'œil. Estelle me suce déjà. Je lui caresse la tête. Je lisse ses cheveux. Elle ouvre quelquefois les yeux pour me fixer. Son regard terriblement vicelard. Ses yeux d'un bleu si clair, délavé, sont pétillants de malice et d'espièglerie. Comme elle est belle.

Je passe ma main sous son menton pour le saisir. Mon autre main sous ses cheveux noirs, je saisis sa nuque. Je peux la diriger comme elle aime. Je peux doser la quantité de bite que je lui enfonce dans la bouche. Clémentine adore me voir faire le vicelard avec Estelle. Elle se masturbe en gémissant. A chaque fois que je la regarde, elle me fait un sourire. Comme elle est belle. Une fois encore, tous les trois, nous nous livrons au stupre, au vice et à la luxure.

Je me fais tailler une pipe des familles. Toutes les deux trois minutes, je sors ma bite de la bouche de ma douce suceuse. Il y a du foutre qui ruisselle, qui dégouline avec. Estelle tente de tout récupérer. De ne pas en perdre la moindre goutte. Avec l'index, je récupère ce qui coule aux coins de ses lèvres. Je lui fais sucer mon doigt. Les gémissements de Clémentine prennent de l'ampleur. Nous savons qu'elle est devant un de ses films préférés. Je barbouille le visage d'Estelle.

Je me penche pour lui cracher à la gueule. J'étale la salive avec ma queue. Comme je le fais de mes couleurs avec mon pinceau sur la toile. Estelle est entrain de se toucher. Je viens de m'en rendre compte. Elle adore tailler des pipes en se touchant. Clémentine se vautre encore davantage dans son fauteuil. La cuisse gauche posée sur l'accoudoir gauche. La cuisse droite posée sur l'accoudoir droit. Je repousse délicatement Estelle que j'attrape par les cheveux.

Je me lève. Je la tire à quatre pattes jusqu'au fauteuil. Depuis quelques temps Clémentine prend gout à la baise. Autant lui faire profiter de la situation. Je me couche carrément sur elle. Elle m'attrape par la nuque. Je m'introduis avec d'infinies précautions malgré l'inconfort de la position. Estelle guide ma queue. C'est elle qui l'enfonce dans Clémentine. Ses jambes autour de mes reins, elle se fait baiser en poussant de petits cris d'animal blessé. Estelle déboutonne mon jeans.

Elle me le descend pendant que je baise d'un rythme lent et régulier. Elle me choppe les couilles. A genoux derrière moi, m'écartant les fesses elle me fait le cul. Je sens la chaleur de sa bouche. Sa langue qui fouille l'oignon de mon trou de balle. C'est à la fois gênant et très excitant. Clémentine me chuchote des douceurs. Elle se branle toujours en même temps. Elle me repousse délicatement pour s'offrir un orgasme "nucléaire" tout en hurlant de plaisir.

Estelle en profite pour prendre ma queue ruisselante dans la bouche. Sans cesser de se masturber elle pompe comme une assoiffée. Je lui jute dans la bouche en criant de plaisir. Elle me vide les couilles en même temps qu'elle se tortille sur le tapis. En proie à un orgasme qui la fait frémir. Nous reprenons nos esprits. Nos rituels pisseux. Le lavage des dents. Au lit, Estelle s'endort la première tout contre moi. Clémentine me chuchote encore ses derniers secrets.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se masturber en regardant leur mec se faire tailler une pipe...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1443 -



Le vendredi Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, c'est notre application téléchargée qui nous offre notre réveil tout en douceur. Il est presque six heures. Le chant de ces oiseaux mystérieux, le bruit de cette source qui résonnent dans une profonde forêt, se prolongent au delà de nos rêves pour s'estomper doucement. Estelle, qui est restée contre moi toute la nuit se serre encore plus fort. Clémentine vient se blottir contre moi. Ce matin encore, c'est dur d'émerger. Estelle se lève la première. Pipi.

Clémentine et moi, nous nous habillons de nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café et de pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le vague programme du week-end qui commence dès midi. Nous mangeons de bon appétit. Il est six heures vingt cinq quand nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Il faut terminer de se réveiller.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle nous laisse. Deux bises et elle dévale l'escalier en s'écriant : << A demain 14 h ! >>. Nous prenons notre douche avant de nous vêtir de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Nous redescendons pour mettre nos anoraks. Il fait un peu plus froid ce matin. Il est 7 h50. Le ciel est lumineux mais voilé. Ce climat nous ramène à la réalité de l'hiver dans lequel nous sommes encore pour 22 jours.

Nous faisons quelques pas jusqu'à l'abri à bois. Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches.Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de retourner. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Prête à son télé travail presque quotidien. J'allume un bon feu dans la cheminée. J'en profite pour allumer la cuisinière à bois dans la cuisine. J'ai ouvert le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée.

Je retourne rejoindre Clémentine. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette quand la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer. Je prends. C'est la livraison des meubles. Il me faut aller accueillir les déménageurs. C'est un camion qui est garé devant la "résidence secondaire". Deux solides gaillards, portant masques sanitaires, sont déjà affairés à l'arrière de leur véhicule. Je les salue en gardant mes distances. Cinq bons mètres. Il fait froid.

Ces gens viennent nous apporter les meubles commandés par Clémentine. Il y a deux canapés, deux fauteuils, une table basse, un lit à baldaquin en fer forgé qu'il faudra monter. Deux tables de nuit, un bureau, une armoire. Une table de salon, quatre chaises, un buffet, un coffre bas. Une table de cuisine, quatre chaises qui vont avec. Un buffet de cuisine. J'invite celui qui semble le chef à me suivre. Je lui indique ou poser le mobilier. Il connaît son boulot. Je les laisse à leurs tâches.

Je rejoins Clémentine qui est concentrée sur l'écran de son ordinateur. Sur un bout de papier je griffonne "Livraison en cour". Elle me prend la main pour la serrer. Je la laisse pour venir m'installer devant mon chevalet. Je peins dans une sorte de fébrilité à l'idée de ce qui se passe dehors. Il est 10 h quand je retourne voir le déroulement des opérations. L'emménagement est quasiment terminé. Le chef m'explique ce qui a été fait. Je visite avec lui. C'est du super bon boulot. Parfait.

Le camion s'en va. Je retourne à mon labeur. Il est 11 h45 quand je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me prendre par la main. Pressée d'aller voir elle m'entraîne. Je propose de faire bouillir l'eau des spaghettis pendant notre absence. Nous enfilons nos anoraks. Il fait un peu plus doux. Le soleil fait même d'agréables apparitions. Nous traversons le jardin pour entrer dans la "résidence secondaire". Tout est bien rangé. Quelle surprise.

Les deux canapés se font face, séparés par une table basse. Il y a deux fauteuils de part et d'autre. Toutes les tentures d'épais velours carmin sont dans de grands sachets plastiques. Il y a le guéridon et le buffet bas style bahut. Nous montons à l'étage. Dans la chambre à coucher les éléments du lit à baldaquins et ses voileries. Une armoire déjà montée. les tables de nuit. Dans le séjour, il y a la table de salon et le reste du mobilier. A la cuisine la table et le reste des meubles.

Clémentine sautille dans tous les sens. << Ce soir on commence à tout bien ranger. La mise en place ! Tu veux ? >> lance t-elle en m'entraînant dans une sorte de tango. Nous descendons pour ressortir. Clémentine s'occupe de la salade en étant toute euphorique. Je plonge les spaghettis dans l'eau bouillante. Je poêle deux dos de cabillaud blanc. Je prépare un coulis de courgette que je verse avec le poisson dans la poêle. Clémentine râpe du Parmesan.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant la synthèse de ce qu'il faudra faire pour aménager notre "résidence secondaire". Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de filer, nous mettons nos tenues cyclistes à toute vitesse. La musique stupide de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. << Julie ! >> fait elle en mettant sur mode haut parleur. Julie nous attend au carrefour du grand chemin pour 14 h30. Comme la dernière fois.

Nous descendons. Même s'il fait moins chaud que les jours précédents, il serait dommage de se priver d'une belle virée à bicyclette. Nos K-ways. Nos bonnets, nos gants. Dans le petit sac à dos que je porte, la thermos contenant du thé bouillant. Des barres de céréales. Nous voilà sur nos vélos. C'est parti. 300 mètres jusqu'à la rivière. Le petit pont de bois. 500 mètres jusqu'à la piste cyclable. Nous pédalons contre un vent d'Ouest désagréable. C'est lui qui refroidit tout.

Il y a une dizaine de kilomètres jusqu'au cabanon de l'écluse. Nous croisons nombre de cyclistes. Ce n'est pas un peu de fraîcheur qui va effrayer les amoureux de la pédale. Nous nous arrêtons. Il n'est que 14 h. Clémentine aimerait bien s'offrir un plan exhibe. Nous prenons nos positions habituelles ici. Je suis dissimulé à l'angle du cabanon, en contrebas de la route. Clémentine debout, dissimulée entre deux bosquets de l'autre côté de l'écluse. Nous nous faisons des gestes obscènes.

Cette fois, il n'y a pas de solitaire. Nous restons là une dizaine de minutes. Nous repartons un peu déçus. Il y a trois bornes jusqu'au carrefour du grand chemin. Quelle surprise. Julie vient à notre rencontre. Elle est vêtue comme nous. Tenue en lycra, K-ways, bonnet et gants. Elle est toute contente. Nous pédalons ensemble. Le plus souvent possible côte à côte. Il est 15 h30 quand nous arrivons au port de plaisance. Il y règne une certaine animation. Les joueurs de boule.

Des cyclistes. Presque tout le monde porte son masque sanitaire. Il fait un peu frisquet pour manger des glaces. Aussi, nous nous installons sur un des bancs. Du petit sac à dos je tire les gobelets en plastique que Clémentine remplit de thé chaud. Avec les barres de céréales, c'est un bonheur de se réchauffer. Je surprends quelquefois le regard d'Estelle sur la bosse dans mon leggings. Je fixe son entrejambes avec insistance. Son leggings est aussi moulant que les nôtres. Sexy.

<< Venez ! >> fait Clémentine au bout d'un petit quart d'heure. De rester statique refroidit. Elle nous entraîne derrière la capitainerie du port dont les volets sont fermés. La saison de la plaisance n'a pas commencé. Nous descendons la pente jusqu'aux toilettes publiques. Elles sont ouvertes. Nous retrouvons ce lieu qui nous est si familier. Clémentine s'est exhibée là des dizaines de fois. Elle raconte à Julie quelques unes de nos aventures vécues ici. Je montre l'endroit où je me cache.

C'est le dernier cabinet de toilettes que je ferme à double tour. Là, debout sur le couvercle rabattu de la cuvette, je peux voir toute la petite salle par dessus le mur. Ce qui me permet de sécuriser les exhibes de Clémentine. Julie observe et écoute nos explications avec attention. Pour la voyeuse impénitente qu'elle est, tout cela est passionnant. Je descends mon leggings et mon slip. Il ne fait vraiment pas chaud. Il y a même de la vapeur qui sort de nos bouches en parlant.

Clémentine saisit mon sexe mou à sa base. Entre le pouce et l'index pour dire : << J'en ai vu des bites dans ces toilettes ! >>. Julie pose quelques questions quand aux situations que décrit Clémentine. Elle fixe mon sexe. Clémentine s'accroupit pour y poser sa joue tout en racontant. Ça me réchauffe un peu. Julie écoute avec attention tout en regardant. Il est temps de prendre la route du retour. Julie commence ses livraisons de repas pour 18 h30. Il est déjà 16 h.

Pour rentrer le vent d'Ouest nous offre une facilité totale. Il nous pousse. Nous avançons vite. Nous laissons Julie au carrefour du grand chemin. Elle vient passer le dimanche après-midi avec nous. Nous arrivons à la maison pour 18 h. Il fait vraiment froid. Nous entrons dans la "résidence secondaire". Les panneaux photo voltaïques alimentent également des radiateurs électriques. Nous les allumons au maximum. Nous ressortons. A la cuisine, Clémentine prépare la salade.

Je réchauffe le reste de spaghettis avec le coulis de courgette dans le wok. Je panne deux filets de colin que je fais dorer à la poêle. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Nous sommes pressés de retourner dans la "résidence secondaire". La vaisselle. Nous montons nous changer. Jeans, chemises à carreaux avant de dévaler les escaliers. Nos anoraks pour traverser le jardin. Il fait chaud dans la "résidence secondaire". Les radiateurs électriques fonctionnent bien.

Clémentine ouvre un des grands sachets qui contiennent les tentures. Elles sont lourdes, d'un tissus épais. Il suffit de décrocher une des tringles pour enfiler la tenture par ses anneaux. Cela masque les fenêtres. Nous fixons les quatre rideaux d'épais velours carmin. La couleur préférée de Clémentine. << Notre voisin voyeur ne pourra plus mâter en douce ! >> lance Clémentine en me palpant la braguette. Nous en rions de bon cœur. Elle m'entraîne par la main dans l'escalier.

Nous décidons de monter le lit à baldaquins. C'est un fer forgé noir. Clémentine m'aide à déballer la visserie. Il y a même les outils. Nous fixons les montants en étudiant la notice. C'est une activité ludique qui nous nous permet de bavarder. D'évoquer nos éventuelles vacances dans le Jura aux vacances de Pâques. << Si les fous dangereux ne nous imposent pas un nouvel enfermement d'ici là. Ces cons sont capables de tout ! >> lance Clémentine en tenant un montant.

Il faut environ une heure pour terminer le montage du lit. C'est un lit deux places. Quatre montants supportent un cadre sur lequel nous fixons un grand voile de drap beige. Le fer forgé est d'un beau noir satiné. Nous posons le matelas encore emballé sur le sommier à lattes. Encastré dans le cadre du lit. C'est de toute beauté. << Viens ! Je te fais la première pipe du lit à baldaquins ! >> fait Clémentine en me faisant tomber sur le matelas. Elle me sort un Zob mou et flasque.

Sous l'effet de la succion, je ne tarde pas à présenter une érection aussi dure que le gros tournevis posé sur la table de nuit. Clémentine suce passionnément. Je la fais cesser. Je l'entraîne par la main pour nous lever. Je dis : << Je te baise sur ce lit dès demain ! >>. Clémentine se serre dans mes bras. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Je l'emmène ainsi dans la salle de séjour. Il faudra monter le haut du buffet. On fera demain.

Nous allons voir la cuisine. La voilà meublée. Une table de bois clair. Quatre chaises à dossiers, très stylée, de bois clair. Un buffet assortit. Une petite desserte de la même essence recouverte d'un carrelage crème. << C'est exactement tout ce que j'ai commandé ! >> lance Clémentine. Je la félicite d'avoir mené ce projet du début à la fin. Elle m'entraîne dans une danse tribale où nous poussons des cris d'animaux n'existant pas. Nous nous faisons face en mugissant.

Nous adorons faire les clowns à chaque occasion. Là, nous sommes tous les deux pieds écartés sur nos genoux fléchis, les mains sur les cuisses. Comme des singes nous sautillons en tournant. Nous poussons des cris gutturaux. Nous en rigolons comme des bossus avant de nous serrer fort. << Je t'aime Julien ! Je t'aime comme une folle ! Viens, on rentre. On va s'aimer ! >> me fait Clémentine en m'entraînant par la main.

Au lit, je lui offre une succession de cunnilingus, de pénétrations qui la font hurler de plaisir. Elle m'offre des séquences de pompages qui me rendent fou de plaisir. Nous baisons comme nous aimons, en restant le plus souvent immobiles. Nous aimons échanger nos impressions de cette manière. Je termine Clémentine par un suçage de clitoris qui la laisse totalement "atomisée" dans mes bras. Je propose de mettre mon éjaculation à demain. Je suis aussi épuisé qu'elle par tant de bonheur.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment l'alternance des pénétrations et des cunnilingus tout en confiant leurs états d'âme...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1444 -



Un samedi des plus agréables

Hier matin, samedi, je suis réveillé par de légers froissements des draps. La couette qui bouge de façon régulière en frottant contre mon oreille. Clémentine sait que je ne dors plus. Ma respiration change. Tout cesse en même temps qu'elle vient se blottir contre moi. << J'ai fait un rêve cochon ! >> chuchote t-elle. Elle se frotte en serrant ma cuisse gauche entre les siennes. Je la serre fort. Je dis : << Tu me le racontes devant un bon petit déjeuner ! >>. Il est presque huit heures.

Je l'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. Dans les toilettes publiques où nous étions hier après-midi avec Julie. Un inconnu venu pisser qui tombe sur une jeune fille se lavant les mains. Une situation vécue tant de fois dans la réalité. Réminiscences.

Nous en rions de bon cœur. << Il est temps que les beaux jours reviennent. J'ai besoin de revivre de telles émotions ! >> me fait Clémentine. Je dis : << C'est vrai. J'aimerais te revoir à l'œuvre ! >>. La vaisselle. Nous décidons d'un bon jogging. Malgré le froid vif. Le thermomètre extérieur n'indique que 4°. Mais il fait tellement beau. Nos K-ways. Nos bonnets, les gants. Nous sortons. Quelques nécessaires mouvements d'échauffement. Il est 8 h30. C'est parti.

Nous prenons le chemin qui descend vers la rivière. Le sol est bien sec. Nous longeons le cour d'eau sur ses trois kilomètres. Voilà le vieux lavoir. Il faut traverser la route communale. Là-bas, sur notre gauche, les bâtiments du haras. Il faut rester sur l'étroite route jusqu'à la clairière. Un petit kilomètre. Nous y faisons nos abdominaux sur les bancs de bois. Sens inverse. Clémentine donne un rythme soutenu. Nous revenons par le même sentier. Il est 9 h30.

Nous montons ouvrir le portail. Nous montons prendre notre douche. Nous nous habillons de nos jeans, chemises à carreaux. Nous redescendons pour sortir. Nous traversons le jardin pour nous rendre dans la "résidence secondaire". L'odeur du bois est un enchantement. Nous admirons ce nouvel endroit. Clémentine palpe ma braguette en disant : << Tu te souviens ce que tu m'as proposé hier ? Sur le lit à baldaquins ? >>. Elle se blottit contre moi pour m'embrasser.

Un bruit de moteur. C'est la camionnette des fruits et légumes. C'est la même jeune femme portant son masque sanitaire. Du hayon arrière du véhicule, elle tire deux cageots. Ils contiennent nos fruits, nos légumes, fromages, œufs, yaourts, crème fraîche. Le beurre. Même commande pour la semaine prochaine. Je rends les deux cageots vides consignés de la semaine dernière. Nous saluons la jeune femme. Il fait bien meilleur que ce matin. A l'abri du vent toutefois.

Voilà la camionnette de la boulangère. Madame Marthe qui porte son masque sanitaire simplement accroché à son oreille. Elle a préparé la cagette qui contient nos deux grosses miches de pain complet, les quatre pâtes feuilletées et la brioche au pudding. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame. Nous faisons un premier voyage jusqu'à la cave en passant par derrière. Ranger les fruits et les légumes dans le cellier. Clémentine retourne chercher les pains.

Il y en a un qui va direct dans le congélateur avec les quatre pâtes feuilletées. Nous remontons pour ranger les produits frais à la cuisine. Il est 10 h30. Tout est OK. Clémentine propose de faire le ménage afin d'êtres peinards demain dimanche. Excellente suggestion. Nous commençons par le bas. Clémentine passe l'aspirateur pendant que je nettoie la cuisine. Les chiottes du bas. Nous passons la serpillère ensemble. A chaque fois que nous sommes côte à côte, des bisous.

Il est 11 h30. Les moules, les haricots verts et les petits pois ont presque entièrement décongelé. Nous montons faire la chambre. Changer les draps. Nous nettoyons la salle de bain, les chiottes du haut. Clémentine passe l'aspirateur. Je la suis en passant la serpillère. Il est 12 h15. Tout est nickel. Il commence à faire faim. Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir le bouillon dans lequel je jette les moules bien grosses.

Je réchauffe les haricots verts et les petits pois dans le wok. C'est rapide. Le samedi, on ne s'emmerde pas. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de profiter de ce soleil, nous dévalons les escaliers. Nous mettons nos anoraks. A l'abri du vent, il fait presque doux. Mais comme c'est un vent du Nord Est, il est froid et cinglant. Nous allons remplir la grande corbeille d'une dizaine de bûches sous l'abri à bois.

Clémentine m'entraîne pour contourner l'abri. Cette porte en bois qui comporte un trou parfaitement rond de cinq centimètres en son milieu, à environs quatre vingt centimètres du sol. C'est sur sa demande que cela a été réalisé. Nous en rions de bon cœur. Elle ouvre la porte. C'est un espace vide et froid d'une longueur de 10 m. Sur 2 m de large. Il y a un autre trou identique sur la cloison du fond. Ce qui créé un courant d'air glacial. Qu'allons nous bien pouvoir ranger ici ?

Clémentine propose d'y ranger les vieilles caisses qui contiennent les bâches. Elles sont à la cave. Je sors. Je referme la porte derrière moi. J'extrais ma bite de ma braguette ouverte. Je la passe par le trou. C'est la toute première fois que nous expérimentons notre trou personnel. Presque immédiatement je sens la bouche chaude et accueillante de Clémentine se refermer sur l'extrémité de mon sexe. Je reste collé contre la porte. La position est inconfortable. Et il fait froid.

Je regarde sans arrêt sur ma droite parce que là-bas, à une vingtaine de mètres, il y a une trouée dans la haie de lauriers. Depuis le chemin qui longe la clôture, je peux être vu. Certes, c'est un chemin privé qui monte de la propriété de nos voisins à 300 m. Mais justement monsieur Bertrand l'emprunte plusieurs fois par jour. S'il me voyait ainsi, collé à la porte, cambré sur mes jambes fléchies, il se demanderait ce qui se passe. Je me retire doucement. Je rejoins Clémentine.

<< Génial ! Dommage que l'endroit est un véritable réfrigérateur ! >> me fait elle en se blottissant dans mes bras. Je lui montre la trouée d'où l'on pourrait voir ce qui se passe. Clémentine m'entraîne de l'autre côté. Ce second trou n'est visible que de notre jardin. << Celui-là est plus discret. L'autre est vraiment un trou pour exhibes ! >> précise t-elle. << Viens ! On l'essaie ! >> rajoute t-elle. Cette fois, c'est moi qui entre dans l'espace glacial. Je passe ma queue par le trou du fond.

A nouveau, je sens la bouche de Clémentine se refermer sur mon sexe. C'est absolument génial. Curieusement, c'est plus confortable de l'intérieur. Je me retire. Je retourne essayer le trou de la porte mais par l'intérieur. La configuration permet quatre déclinaisons. Je suis collé contre la porte. Je me fais sucer. C'est tellement bon que j'en oublie le froid. Soudain, la voix de monsieur Bertrand, notre voisin. << Bonjour Clémentine ! Tout va bien ? >> demande t-il. Je me retire.

J'entends la très courte conversation. Je n'ose pas sortir. Monsieur Bertrand ne s'attarde pas. Il va nourrir les canards. Je rejoins Clémentine. << Je suis certaine qu'il m'a vu et qu'il a compris ! >> me dit elle. Nous nous regardons. Il n'est absolument pas question que monsieur Bertrand sache que je suis informé de ses approches envers Clémentine. Nous contrôlerons beaucoup plus facilement les situations à venir s'il croit que Clémentine garde tout cela "secret". C'est stratégique.

Je sors. Nous portons la lourde corbeille à deux pour l'emmener devant les marches de l'escalier. Nous retournons dans la "résidence secondaire". Les panneaux photo voltaïques alimentent quatre convecteurs électriques. La chaleur n'est pas la même car c'est l'air qui se réchauffe alors que les murs restent froids. L'inconvénient des radiateurs électriques. Nous retournons ranger les bûches. Un second voyage avec le panier. Un stock près de la cuisinière à bois de la cuisine.

Nous ressortons pour aller vérifier le chauffage dans la "résidence secondaire". Il fait déjà bien agréable dans la salle de bain, dans les toilettes et la cuisine. Seules pièces pourvues de convecteurs. Un bruit de moteur. Nous regardons par la fenêtre. C'est Estelle qui arrive. Il est presque 14 h. Clémentine ouvre la fenêtre : << On est là haut ! >> lance t-elle. Estelle pose son grand sac de sport à côté de l'auto pour entrer dans la dépendance. Elle monte l'escalier pour nous faire des bises.

Elle se serre dans mes bras. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle m'enserre de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. << On est invité à manger chez mes parents dimanche prochain ! >> lance t-elle. Je suis considérablement gêné. Michelle, la maman d'Estelle a encore découvert des photos très particulières sur le téléphone de sa fille. Prises lors de notre randonnée. J'y suis debout contre Estelle qui me tient la bite en souriant. Deux photos "compromettantes".

Le plus dingue c'est qu'il y avait plein de gens dont les plus proches à une dizaine de mètres. J'étais mort de trouille mais Estelle est pleine de ruses et de malices. Personne ne s'est douté un seul instant que Clémentine prenait ces clichés. Je dis : << Tu me mets à nouveau dans une situation embarrassante ! >>. Estelle éclate de rire et dit : << Il y a juste maman qui sait. Je suis sûre qu'elle vous invite pour te revoir de plus près ! Mais défense de draguer ma mère, vieux salaud ! >>.

Clémentine propose d'allumer la cheminée en bas. Avec le système de tubulures dans le chaudron, les radiateurs chaufferont rapidement toute la maison. Estelle dispose les brindilles sur les feuilles de journaux qu'elle vient de froisser. Clémentine prépare les écorces. J'attends avec les bûches. Estelle craque une allumette. Le feu prend immédiatement. On rajoute des branches bien sèches. Le feu gagne vite. Il suffit de rajouter les bûches. Les flammes lèchent le cul du chaudron.

Nous racontons à Estelle l'essai des trous derrière la dépendance. << Je veux voir ! >> fait elle en nous entraînant par la main. Nous contemplons le trou dans la porte. Monsieur Bertrand remonte de la rivière. Il va nous voir. Je me planque derrière la porte. Il y a juste les filles dehors. J'entends le voisin discuter avec Estelle et Clémentine. << Le bonjour à Julien ! >> fait il avant de descendre le chemin. Clémentine répond : << Il est bien au chaud dans la maison ! >>.

Je regarde par le trou. Monsieur Bertrand se retourne pour lancer : << Allez vite le rejoindre avec ce froid ! >>. Il s'en va. Je rejoins mes deux coquines. Estelle veut tenter les trous. Je propose de remettre aux jours meilleurs. << Il fait un froid de tombeau là dedans ! >> précise Clémentine. Nous contournons la bâtisse. Je récupère le grand sac à Estelle. Nous rentrons au chaud. Ce soleil avec froid glacial est frustrant. << Demain, on s'en fout, on randonne ! >> fait Clémentine.

Nous allons dans l'atelier. Estelle y allume la cheminée. Je dispose une grande bâche au sol. Clémentine m'aide à la déplier. J'y dépose les quatre toiles dont le dessin préparatoire est déjà réalisé. Quatre scènes de genre à trois personnages. Typique de la peinture hollandaise du XVII ème. Je prépare la peinture acrylique "Terre de Sienne" dans un grand bol. Estelle adore passer les couches d'impressions sur la surface des toiles. Clémentine aussi. Tout est prêt. Estelle sautille de joie.

Je m'installe dans le fauteuil à bascule. Clémentine s'assoit sur le pouf, ses bras sur mes cuisses. Nous regardons Estelle passer les couches d'impressions. Avec un spalter elle étale soigneusement. Il y a deux couches croisées sur chaque toile. Le dessin préparatoire réapparaît toujours au séchage. Estelle fait tout cela avec une concentration extrême. Elle chantonne. Le crépitement du feu dans la cheminée. Nous adorons l'ambiance de l'atelier. C'est une grande pièce magique.

<< Mes "petits machins" de fille seront terminés demain ! Je mérite ? >> me fait Estelle. Nous éclatons de rire. Je dis : << Oui, tu auras une belle récompense car tu fais du bel ouvrage ! >>. Clémentine me sort la queue toute molle. << Regarde ta récompense ! >> lance t-elle à Estelle. << Oh mais je vais venir gouter ma "récompense" dès la fin de la seconde couche ! >> répond t-elle. Clémentine la tient à sa base pour l'agiter en direction d'Estelle qui reste stoïque.

Clémentine se met à genoux entre mes jambes. << Moi, je n'attends pas ! >> dit elle avant de se mettre à pomper. Je lui caresse la tête. Estelle me fait un clin d'œil. Je la regarde terminer la dernière couche sur la dernière toile. Il ne reste plus de couleur dans le bol. Estelle le rince avec le pinceau large au lavabo. Je bande mou dans la bouche de Clémentine. Estelle s'essuie les mains. Elle en glisse une dans son jeans. << Je n'arrête pas de me branler depuis hier soir ! >> dit elle.

Clémentine cesse de sucer pour dire : << Comme tous les jours quoi ! >>. Nous éclatons de rire. Estelle tourne autour de nous en se touchant. J'aide Clémentine à se redresser en la tenant par ses cheveux. Nous voilà tous les trois vautrés dans le vieux canapé. Je suis entre mes deux anges. Estelle tout en évoquant notre randonnée de demain, joue avec ma queue. Clémentine tient fermement mes couilles. La braguette fait "garrot". Ce n'est pas très confortable.

Mais c'est ainsi que mes deux coquines aiment que je leurs offre leurs "doudous". Je me lève pour préparer le thé. Les filles parlent de leurs études. J'écoute car c'est très intéressant. Je n'ai pas leurs niveaux en mathématiques. J'étais brillant dans cette matière. Aussi je suis la conversation avec intérêt. J'emmène les tasses de thé fumant et les petits gâteaux sur un plateau. Elles évoquent les "intégrales" et les "primitives". Les équations qui sont les bases de leurs travaux.

Nous traînons longuement. Parfois Clémentine rajoute une bûche dans l'âtre. Je vais constater les couches d'impressions. Elles sont parfaitement appliquées. Depuis quelques jours, il n'y a plus aucune manifestation surnaturelle dans la maison. Comme tous les ans, à l'approche du printemps, les phénomènes cessent. Il fait jour plus longtemps. Les filles éteignent l'ordinateur. Il est 18 h quand nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il y fait bien chaud également.

Je rajoute une bûche sur les braises. Nous voilà tous les trois assis à éplucher les pommes de terre, les carottes, le navet, le céleri et du choux vert. Ail, oignon. Ce sera pour cette potée de légumes dont nous raffolons. Nous en préparons en grande quantité. Pour assurer trois repas. Estelle fait cuire dans la cocotte en fonte noire. Cuisson traditionnelle. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais rissoler des queues de crevettes avec des champignons, de l'ail et de l'échalote.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles reviennent sur leurs cours en ligne, le télé travail. Estelle propose de retourner dans la "résidence secondaire" : << Pourquoi ne pas nous amuser là-bas, ce soir ? >>. Nous trouvons cette suggestion absolument géniale. << En plus il doit y faire bien chaud ! >> précise Clémentine. Nous débarrassons. La vaisselle. Les anoraks pour sortir.

Nous traversons le jardin dans la nuit glaciale. Il y a pleine lune. C'est de toute beauté. Comme il fait bien chaud dans la dépendance ! Clémentine rajoute deux bûches sur les braises de la cheminée. Estelle découvre le mobilier qu'elle prend cette fois le temps de bien regarder. Les deux canapés séparés par une table basse. La lampe de chevet sur le guéridon. << C'est génial ! Je peux faire visiter à papa et à maman ? >> demande Estelle. << Dimanche prochain ! >> lance Clémentine.

Nous montons à l'étage. Estelle découvre le grand lit à baldaquin. << C'est adorable ! >> s'écrie t-elle en ouvrant l'armoire, les tiroirs des tables de nuit. Nous la laissons à ses découvertes. Clémentine retire son jeans et sa culotte. << Pas de romantisme ce soir mais de la baise ! >> s'écrie t-elle en se jetant sur le matelas encore enveloppé de sa protection. Elle écarte ses cuisses : << Viens ! >> me lance t-elle. Je me couche sur elle. Je reste toutefois en appui sur mes bras.

Je ne veux pas peser de mes 85 kg sur les 60 de Clémentine. Elle frotte mon sexe contre le sien. Estelle revient de ses explorations. << Carrément ! >> fait elle en s'asseyant sur le bord du lit. C'est elle qui saisit ma queue pour l'enfoncer délicatement dans Clémentine accrochée à mon cou. << Depuis quelques temps, je deviens comme toi, j'ai envie de baiser tout le temps ! >> dit elle à Estelle. Je suis complètement dedans. Parfaitement immobile comme nous aimons.

Estelle s'est allongée à côté de nous. Son visage tout près du nôtre. Nous échangeons nos impressions. Cette confession à trois est hyper excitante. C'est une des composantes fondamentales de notre complicité. Estelle se touche, une main dans sa culotte. Clémentine se met à bouger. Nous baisons vraiment. Nous alternons les moments de calme avec ceux plus mouvementés. Estelle me demande d'une voix implorante : << Tu me donneras ton foutre à bouffer après ? >>.

Je lui promets. Elle s'offre un premier orgasme pendant que nous baisons. Clémentine se masturbe toujours en même temps que nous faisons l'amour. Elle s'offre un orgasme de toute première "bourre". Estelle s'offre son second plaisir. J'ai la bite ruisselante de foutre, trempée jusqu'aux couilles de nos mélanges. C'est ce qu'apprécie Estelle qui se met à sucer comme une assoiffée. Je lui éjacule au fond de la gorge. Elle en tousse. Elle tente de déglutir en poussant de profonds râles.

Nous restons tous les trois couchés sur le dos. Comme hébétés. Au dessus de nos têtes la voilure d'épais coton du lit à baldaquins. Je suis entre mes deux anges. Si nous ne voulons pas nous endormir, il faut partir. C'est dur de traverser le jardin dans la nuit glaciale. Nos rituels pisseux aux toilettes. Le lavage des dents. Au lit, complètement épuisés, nous bavardons encore un peu. Je suis entre mes deux anges. Estelle s'endort la première. Accrochée à moi comme une naufragée.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment inaugurer le nouveau lit en s'y faisant tringler à la "hussarde"...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - Episode 1445 -



Un beau dimanche

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par les mouvements que fait Estelle serrée tout contre moi. Elle est restée ainsi toute la nuit. Je perçois ses gémissements à mon oreille. Cela tire Clémentine de son sommeil. Je suis entre mes deux anges. Il est plus de neuf heures. Nous avons vraiment bien dormi. Estelle tient mon érection matinale à pleine main. Clémentine saisit mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes. Nous restons ainsi à lutter contre l'impérieux besoin naturel.

Estelle se lève d'un bond. << Pipi ! >> s'écrie t-elle en se précipitant vers la porte. Clémentine glisse sa tête sous la couette pour prendre mon sexe dans la bouche. C'est une bien étrange sensation le matin. Estelle revient. << La pipe ! Déjà ! >>. Elle s'habille et descend à toute vitesse. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. L'odeur de café nous enivre.

J'allume la cuisinière à bois dans les parfums du pain grillé et de la brioche. Clémentine vient tout contre moi pour me murmurer : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Je lui dépose un bisou sur les lèvres. << Moi aussi j'aime vous regarder baiser ! >> fait Estelle en beurrant les tranches de pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre soirée de hier. Nous mangeons de bon appétit. La brioche au pudding et à la frangipane est tout simplement excellente.

Nous traînons à table. Le dimanche pas de sport. Le ménage a été fait hier. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur nos différents projets de films. Sur ces deux photos dans le téléphone d'Estelle que sa mère a découvert. Cela me gêne. Estelle éclate de rire en disant : << Avec maman, on a toujours été très complices. Elle m'a confié jouer à ces choses là avec papa aussi ! >>. Nous nous regardons en nous mordillant les lèvres pour ne pas éclater de rire. Cela me rassure.

La vaisselle. Nous enfilons nos anoraks pour sortir. Il y a toujours ce maudit vent de Nord Est qui rend l'atmosphère glaciale. Nos bonnets, nos gants. Le thermomètre extérieur indique 8°. Le ciel est entièrement bleu. Le soleil y règne en maître. Nous traversons le jardin pour aller dans la "résidence secondaire". L'isolation thermique est tellement performante qu'il y fait presque encore chaud. En consultant le thermomètre mural, Clémentine s'écrie : << 18° >>. C'est appréciable.

Nous ressortons pour descendre jusqu'à la rivière. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les bras. Nous longeons la rivière en discutant. Il faut marcher l'un derrière l'autre sur l'étroit sentier. Estelle est devant. Clémentine marche derrière moi en me tenant les mains. Nous arrivons au vieux lavoir. Là-bas, de l'autre côté de la route communale, les bâtiments du haras. Il fait bien trop froid pour s'installer un peu sur les pierres du bassin vide. Nous retournons.

Nous revenons sur nos pas. C'est au croisement du sentier et du chemin qui monte à notre propriété que nous rencontrons monsieur Bertrand. Notre voisin va certainement nourrir les canards. Il tient un sachet à la main. Nous bavardons. Mr Bertrand nous invite à passer voir la fin des travaux. L'appartement qu'il a fait aménager au dessus de son grand garage. Nous passerons voir mardi en tout début d'après-midi. Nous nous saluons pour rentrer au chaud. Il est presque midi.

Estelle s'occupe des pavés de saumon en papillotes. Clémentine fait la salade. Je réchauffe la potée de légumes. Je dresse la table en allant remuer régulièrement. De toutes façons, dans la vieille cocote en fonte noir, ça accroche toujours. Mais c'est le meilleur qu'il faut décoller sans cesse. Estelle, vêtue de son anorak, est dans la véranda. Elle fait cuire les papillotes sur le barbecue électrique. Derrière la vitre elle nous fait des grimaces. Elle mime une masturbation masculine.

Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers avec nos grosses godasses à la main. Il suffit de verser le thé bouillant dans la thermos. De la mettre dans le petit sac à dos avec des barres de céréales, des gobelets. Nous mettons nos pulls. Nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Nous sortons la voiture du garage. Il est 13 h.

Le thermomètre extérieur indique 14°. C'est beaucoup plus supportable que ce matin. Nous partons pour l'itinéraire de la chapelle. C'est à quelques cinq kilomètres. Nous traversons le bourg désert. Je gare l'auto le long du muret de l'enclos paroissial. Il y a d'autres voitures garées là. Nous mettons nos grosses godasses. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. << Je pourrai me la réchauffer de temps en temps ? >> me demande t-elle. Je glisse ma main dans son jeans.

Je dis : << Pareil pour moi ! >>. Clémentine vient glisser la sienne dans mon jeans par le haut, sous le pull. Je serre mes coquines contre moi. Distribution de bisous. Il y a un couple qui arrive en marchant vite. Ils nous observent en souriant. Nous nous saluons sans nous lâcher. Je crois bien que cette vision déstabilise un peu la jeune femme qui découvre ce que nous faisons de nos mains. On ne se gêne même plus. << Rien à foutre ! >> comme le précise Estelle.

Nous voilà partis. Nous restons sur le grand chemin qui part sur la droite de la chapelle. Le vent est moins fort cet après-midi. Comme l'endroit est accidenté nous sommes souvent à l'abri de ses assauts. Nous croisons un premier groupe de marcheurs. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les mains. Il faut s'écarter pour partager le chemin. Nous devinons les interrogations. Suis-je le père ? Suis-je l'ami ? Suis-je l'amant ? Nos hautes tailles aussi suscitent l'intérêt.

Nous arrivons sur le sentier qui monte à flanc de colline. En bas, les maisons et l'église du bourg. Le sentier reste en altitude. C'est comme un fer à cheval qui enserre ce côté-ci du village. Nous croisons un couple qui marche serré fort. La jeune femme est aussi grande que mes deux anges. Le jeune homme doit avoir ma taille. Nous nous saluons d'un sourire complice. Nous contournons l'ancien prieuré. Ce ne sont plus que des bâtiments désertés aux fenêtres noires. Plus de vie.

C'est là que nous nous installons sur un des bancs de bois. Il y a d'autres gens assis un peu plus loin. Il est facile de respecter ici la distanciation. Il y a bien vingt mètres entre chaque banc. Du petit sac à dos Estelle tire les gobelets que Clémentine remplit de thé bouillant. Les barres de céréales sont un délice. Tout cela nous réchauffe bien. Clémentine, à ma droite, nous dit : << Regardez le mec là-bas, avec les deux femmes, il n'arrête pas de mâter ! >>. En effet. Discrètement.

<< Attend, je vais lui faire une surprise ! >> rajoute Clémentine en s'installant plus confortablement. Elle ouvre son anorak en se serrant contre moi. Les cuisses écartées, son gobelet dans la main gauche, elle se touche de la main droite. Il faut avoir toute la ruse de Clémentine pour éviter d'être vue par quelqu'un d'autre que sa "V.P.". (Victime Potentielle). Clémentine est agile de ses mains comme de son mental. Estelle et moi, nous mettons nos lunettes de soleil. Pour loucher discrètement.

Le type observe avec attention. Tout en échangeant parfois quelques mots avec une des deux femmes qui ne se doutent de rien. Clémentine profite de chaque instant où le type regarde franchement par ici. Elle se tripote en bougeant légèrement dans un mouvement masturbatoire. << Ça réchauffe ! >> nous fait elle. Estelle aimerait bien pouvoir faire la même chose. Seulement il y a une des tables en pierres qui la cache à la vue du mec. << Je vais l'entraîner à la faute ! >> dit Clémentine.

Elle se lève. Contourne le banc. Elle se dirige vers le mur pour le longer. Tout dans son attitude laisse penser que cette superbe jeune fille cherche un endroit pour satisfaire un besoin. Elle passe par le porche pour aller dans l'autre partie de la cour. Il y là des amoncellements de parpaings. Certainement en prévisions d'hypothétiques travaux futurs. Il est simple de s'accroupir entre ces rangées pour pisser. Estelle m'entraîne par la main. Nous contournons le bâtiment par l'autre côté.

Nous distinguons Clémentine qui nous fait un coucou de la main. Estelle m'emmène derrière un cabanon de chantier. De là nous avons une vue parfaite sur toute la grande cour. Clémentine passe deux fois devant le porche. Elle tente évidemment d'attirer l'attention du quidam. Elle marche en se touchant comme si elle cherchait un coin. La stratégie fonctionne très bien. Comme à chaque fois. Elle se dépêche d'aller se positionner derrière deux piles de parpaings. Elle guette l'arrivée du mec.

Le voilà. Il passe le porche. Il regarde dans toutes les directions. Il y a deux couples là-bas qui ne prêtent aucune attention à ce qui se passe. Le mec aperçoit Clémentine qui s'accroupit. Il contourne la rangée de parpaings pour la surprendre jeans et culotte descendus juste à mi-cuisses. Nous sommes à une cinquantaine de mètres. Il adresse la parole à cette jeune fille qu'il croit entrain de faire son besoin. Il se touche. Il est à quelques mètres de Clémentine qui redresse la tête.

Elle aussi à mis ses lunettes de soleil. Ses longs cheveux dissimulent en partie son visage. Son anonymat totalement préservé, elle peut s'amuser. Je reste toutefois prêt à intervenir. Le type ne tente rien. Il se contente de sortir sa bite. Nous la distinguons. Il tient son sexe à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter devant la pisseuse. Une bite de belle taille. << Waouh ! >> murmure Estelle. Merde. Il y a les deux couples qui viennent par là. Clémentine a juste le temps de remonter ses fringues.

Le type remballe sa bite à toute vitesse. Il y a également les deux femmes qui accompagnent l'exhibitionniste qui passe le porche. Tout cela met un point final à ces jeux. Clémentine vient nous rejoindre. Nous reprenons notre balade. << Il m'a carrément proposé de le sucer ! >> nous raconte Clémentine. << La proposition habituelle de ces mecs ! >> fait Estelle. << Vous avez vu sa bite ? Appétissante non ? >> rajoute encore Clémentine. << Oui ! Plutôt ! >> lance Estelle en me touchant.

Il est presque 17 h45 quand nous sommes de retour à la voiture. Nous rentrons pour 18 h15. Il fait de plus en plus froid avec l'arrivée du crépuscule. La lune est encore pleine. Nous voilà au chaud. Estelle prépare une belle omelette aux champignons. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de potée. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre aventure de l'après-midi. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles parlent de ce genre de mecs.

<< J'ai toujours aimé les mecs qui montrent discrètement leur bite ! Surtout dans des endroits à risques ! D'entrer dans leurs jeux m'excite ! >> fait Estelle. Elle nous raconte une fois encore ses premières découvertes. Ces visions qui ont été la cause de son amour du voyeurisme. Clémentine revient sur les siennes. Même si nous connaissons parfaitement nos aventures passées, c'est extrêmement agréable d'évoquer des détails précis. << Mon premier vicieux exhibo était un ouvrier de chantier ! >> dit Estelle.

<< Mon premier exhibo était un mec en VTT ! >> surenchérit Clémentine. J'écoute toujours avec beaucoup d'attention. Inutile de poser des questions, elles sont toutes les deux si loquaces, si descriptives que c'est un réel plaisir. Tout cela nous excite considérablement. Je propose à mes deux anges un bon léchage de minous. La vaisselle. Elles m'entraînent toutes les deux par les bras. Au salon, elles retirent jeans et culottes qu'elle jettent n'importe où en riant. Estelle me choppe la queue.

Avec cette conversation, je bande bien. Elle se couche sur le canapé pour m'attirer sur elle. Ses règles sont terminées. Ça fait presque une semaine que nous n'avons plus baisé elle et moi. Clémentine s'installe dans le fauteuil en se masturbant. Elle assiste là à un de ses spectacles préférés. Me voir baiser avec Estelle. Je la baise comme elle aime. A la hussarde. Les gémissements de Clémentine rejoignent ceux d'Estelle qui se branle en même temps que je la besogne.

Son orgasme est "nucléaire". En baisant, entre deux souffles, elle n'a pas cessé de nous raconter ses aventures d'adolescente vicieuse. L'orgasme de Clémentine est "atomique". Elle pisse dans la cuvette en poussant des cris, le corps secoué de spasmes. Je viens lui mettre la bite dans la bouche pendant qu'Estelle reprend ses esprits. J'éjacule en criant. Elle a du foutre plein la gueule. Elle en tousse, manquant de s'étouffer. Nous montons nous coucher. Au lit, Estelle s'endort la première.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire ramoner au retour de promenade et après un bon repas...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1446 -



Un début de semaine sympathique

Hier matin, lundi, nous sommes agréablement réveillés par l'application "forêt" comme la surnomme Estelle. Se mêlant à nos rêves les chants d'oiseaux et le bruit d'une source nous accompagnent dans la réalité. Je suis entre mes deux anges. Estelle à ma droite qui est restée serrée contre moi toute la nuit. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. Il est presque six heures. Estelle se lève la première. Elle se précipite vers la porte, ses vêtements de sport à la main.

Nous revêtons nos tenues de gym. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur de café, de pain grillé et de brioche. Je l'aide à faire reprendre le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ce week-end. L'exhibitionniste rencontré hier. Nos soirées de baise. Il est 6 h25. Nous nous dépêchons de remonter.

Estelle repartira immédiatement après notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Estelle file à toute vitesse après des bisous. Un peu tristounette, elle lance : << A demain soir ! >>. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. A notre tour de descendre pour enfiler nos anoraks. Il fait un froid glacial. Nous traversons le jardin. Il est 7 h50. Nous remplissons la corbeille.

Une dizaine de bûches que nous prenons sous l'abri à bois. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Pas le temps de traîner. Il faut rentrer. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans une sorte d'extase. Il y a le crépitement du bois. Ce feu qui chauffe déjà.

La peinture de cette première scène de genre destinée à ma saison d'été, m'accapare rapidement et totalement. Je travaille aux visages des deux personnages féminins. Je leurs donne ceux d'Estelle et de Clémentine d'après des photos. La matinée se passe ainsi. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle se découvre sur ma toile, vêtue en costume hollandais du XVIIème. << Comme tu me fais belle ! >> s'exclame t-elle. Il commence à faire faim.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet. Je concocte un coulis de courgette avec de l'ail, de l'oignon et un poivron. A la poêle je fais dorer deux filets de limande. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur son aventure de hier. Cet exhibitionniste dans la cour du prieuré. Notre randonnée festive malgré le froid glacial. Nous en gardons un souvenir amusé.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller dehors, nous dévalons les escaliers. Nos anoraks, nos bonnets, nos gants car le thermomètre extérieur n'indique que 15°. << Ras-le-bol de ce froid. C'est éprouvant ! >> lance Clémentine en m'entraînant par la main. Nous descendons jusqu'à la rivière. C'est ce vent de Nord Est qui refroidit tout. Nous longeons le cours d'eau sur quelques centaines de mètres. Nous nous embrassons pour nous réchauffer.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Nous revenons doucement sur nos pas. Nous remontons le chemin. Clémentine m'entraîne dans la "résidence secondaire". Il y fait froid. Nous apprécions cette décoration. C'est comme l'intérieur d'un chalet. Nous pendons la crémaillère samedi prochain. La réalisation de ce film qui immortalisera cette soirée. Julie sera aux caméras. Nous ne nous attardons pas. Il faut rentrer. Nous voilà de retour dans l'atelier. Il y fait bien chaud.

Clémentine devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Moi devant mon chevalet. Je réalise cet après-midi le visage du personnage masculin. Je lui donne mes traits. Personnellement le temps passe à une vitesse folle. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle observe ma toile en jouant avec mon sexe. Elle doit encore prendre quelques notes pour faire la synthèse de sa journée de mathématiques.

Elle est confortablement installée dans le vieux canapé, sa tablette sur les cuisses, un calepin à sa gauche sur lequel elle griffonne. Parfois elle chantonne. << Tu sais que je t'aime, toi ! >> lance t-elle parfois. Il est 17 h30. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je vais à l'interphone du hall d'entrée afin d'ouvrir le portail. Je rejoins Clémentine dans le vieux canapé. Je regarde ses notes. Ce ne sont que des équations auxquelles je ne comprends rien.

Elle m'explique : << Ce sont les valeurs atomiques des différents minéraux qui composent les schistes glaiseux ! >>. J'écoute en tentant de pénétrer les arcanes de la géomorphologie. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se lève d'un bond pour le saisir sur la desserte. << Julie ! Elle arrive ! >> s'écrie t-elle. Je mets deux bûches dans l'âtre. Clémentine se précipite pour aller l'accueillir. J'ai la braguette ouverte. Il me suffit de sortir ma bite toute molle.

Clémentine revient suivie de Julie. Elle est encore radieuse. De son petit sac à dos en cuir, elle tire le flacon de gel hydroalcoolique. Nous tendons nos mains pour les frotter en riant. C'est complètement inutile mais tellement drôle. Nous n'avons aucun contact avec le monde extérieur. Ce soir, Julie porte un pull carmin, un jeans et ses bottines brunes. Ses cheveux presque noirs noués en une longue nattes. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Elle est toute contente.

Elle prend ma place devant le chevalet pour regarder ma peinture. Je lui explique. Je suis accroupis à sa droite. Quelle agréable surprise. Julie pose sa main sur mon épaule. C'est à la fois amical et affectueux. Elle me confie son impatience de tenir ma galerie d'Art cet été. Je lui avoue être très content de lui confier le "bateau". Clémentine vient s'accroupir à côté de moi. Je pose ma main sur le genoux de Julie tout en répondant à ses questions sur les pigments utilisés.

Julie aime avoir un maximum d'informations sur ma technique. Ce qui lui permettra d'étoffer ses connaissances. D'approfondir ses argumentaires. Il y a une complicité qui s'installe entre nous. Il faut dire que cela fait trois ans que nous nous connaissons. << Prête et disponible pour samedi soir ? >> lui demande Clémentine. << Et comment ! Je suis impatiente ! J'ai tout organisé avec ma tante. Il y a quelqu'un pour me remplacer aux livraisons ! >> répond Julie.

Nous traînons ainsi dans l'atelier. C'est la pièce préférée de tous les privilégiés qui y ont accès. Il est 18 h45. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Julie fait enfin semblant d'avoir remarqué ma queue qui pend mollement de ma braguette. Elle me jette un regard terriblement vicieux. Ce regard par en dessous qu'ont les filles qui aiment "jouer". Les repas livrés par Julie sont encore chauds dans la grande boîte isotherme. Il n'y a qu'à mettre la table. Sortir les salades.

Il y a là cinq belles tourtes aux fruits de mer. Trois récipients de plastique dont il suffit de retirer les opercules. Ce sont nos salades. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Clémentine parle de ses mathématiques. Elle sait rendre attractif un domaine qui paraît bien austère à Julie. A son tour Julie parle de son travail sur les écrivains français du XIXème. Un travail de synthèse dans le cadre du DEUG qu'elle prépare pour le mois de juin. C'est passionnant.

C'est Julie qui en arrive la première à notre prochaine soirée du samedi à venir. Elle se réjouie autant que nous. Clémentine lui explique quelques détails. Ce sera une de nos soirées "élégantes". Nous serons tous les trois masqués. Estelle, Clémentine et moi. D'élégants masques vénitiens à dentelles et à broderies. Seule Clémentine gardera le sien toute la soirée. Elle préfère garder son anonymat. Les films appartiennent à Estelle. On ne sait pas de quoi l'avenir est fait.

Julie écoute avec attention. Je me masturbe discrètement sous la table. C'est trop excitant de voir ces deux superbes jeunes filles parler de pornographie. << Il faudra trouver une autre dénomination ! >> précise Clémentine. En effet, la pornographie n'est rien d'autre qu'un acte de prostitution filmé. Hors, dans nos réalisations, tout est désintéressé et totalement axé sur le fantasme. Pas de rémunération ou d'intérêts mercantiles de quelque nature qu'ils soient. C'est du vice pur.

Je me lève pour me branler. Je bande comme un priapique en phase terminale. Je tiens mon sexe à sa base, entre le pouce et l'index. Je l'agite en direction de Julie. Elle est terriblement gênée. Elle ne joue pas. Même si cela ne l'importune absolument pas, son inhibition de jeune fille est encore mise là à rude épreuve. Je n'insiste jamais très longtemps. Ce sont de petites séquences d'à peine une trentaine de secondes. Suffisamment pour susciter une attention détournée.

Julie n'ose pas soutenir mon regard lorsque je fais ça. Mais elle n'ose pas non plus regarder mon Zob. Aussi, elle observe Clémentine en posant une question ou en répondant à l'une de ma compagne. Clémentine adore mon comportement de satyre devant d'autres filles. Elle me fait des clins d'œil discrets. Je dois pisser depuis la fin de l'après-midi. Je cesse de me branler sous la table. J'écoute Clémentine raconter sa rencontre avec l'exhibitionniste hier dans la cour du prieuré.

Julie, voyeuse extrême, avide de détails, pose tout un tas de questions. Elle aussi aime se retrouver dans des situations équivoques et ambiguës. Je dois me concentrer. Je bande mou. L'envie de pisser redevient prépondérante. Je me lève. Je saisis le verre ballon. Je le tiens sous ma bite dans lequel elle pend. Julie louche à plusieurs reprises tout en racontant une de ses anecdotes de voyeuse. Un truc qui lui est arrivé dans les toilettes hommes du restaurant de sa tante.

Je lâche un premier jet. Cette fois Julie ne peut détourner son regard. Je remporte une "victoire". Le second jet est toujours plus bruyant puisqu'il se brise dans la pisse déjà au fond du verre. Clémentine et Julie cessent de parler pour observer. Il y a du liquide séminal qui s'écoule entre deux giclées de pisses. Je frotte le prépuce sur le bord intérieur du verre. Du foutre s'écoule pour venir flotter sur la pisse. Clémentine se lève, pose ses coudes sur la table pour regarder de près.

Quelle n'est pas ma surprise de voir Julie faire de même. Je leurs montre à toutes les deux le contenu du verre ballon. Julie croise enfin mon regard. Elle bât des paupières en tentant de cacher son trouble. Je me masturbe. Il y a une goutte de foutre opalescent qui s'écoule dans le verre. << Vous éjaculez quand vous faites comme ça ? >> me demande Julie. Je lui explique que ces montées de jute sont la conséquence de mon excitation. Je dis : << Vous n'y êtes pas étrangère, Julie ! >>.

Elle a un petit rire nerveux, embarrassé mais que nous devinons très complice. En effet, Julie observe à présent mon activité avec beaucoup d'attention. Presque concentrée. Je lui pose des questions pour tenter de croiser son regard. C'est au dessus de ses forces. Julie insiste pour faire la vaisselle avec nous. Elle propose de passer nous voir demain après 16 h. Juste une petite heure si nous sommes là. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture dans la nuit glaciale. Il est presque 22 h.

Avec ce froid, j'ai remballé ma queue. Pourtant, au volant de sa voiture, tout en nous offrant ses dernières paroles, elle regarde en direction de ma braguette. Elle me lance enfin un regard. Un regard lumineux, terriblement évocateur. Je l'ai rarement vu aussi vicieuse. Elle démarre. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Aux toilettes, Clémentine accroupit à ma droite, me suce entre chaque jet. Elle raffole du mélange qu'elle pompe lorsque je me suis branlé longuement.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment visiter leur couple d'amis. D'êtres en compagnie d'un mec hyper vicelard et de sa complice...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1447 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, du plus lointain de nos rêves jusqu'au réveil, nous accompagnent le chant de ces oiseaux mystérieux, le bruit de cette source. L'application "forêt" nous tire avec douceur de nos profonds sommeils. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Il est presque six heures. Elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en racontant son rêve.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Je remets une bûche sur les braises de la cuisinière à bois. Le grille pain éjecte sa seconde fournée dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine est de plus en plus euphorique. La perspective de terminer à midi, comme tous les mardis, a tendance à la rendre déconneuse. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Ce matin encore dans une intensité maximale.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos pour terminer par le retour au calme d'un bon stretching. Nous prenons notre douche. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous descendons. Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons dans le froid. Le thermomètre extérieur indique 4°. Il est 7 h50. Le ciel est légèrement voilé. Nous allons dans l'abri à bois. Nous remplissons la corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette en chantonnant doucement. "Le grand Café" de Charles Trenet. Je peins dans cette douce euphorie communiquée par Clémentine que j'entends quelquefois chantonner également. La matinée se passe ainsi, dans cette ambiance studieuse.

Il est 11 h45. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 11 h55. Clémentine vient me rejoindre en sautillant autour de moi. Elle met deux bûches dans l'âtre avant de m'entraîner par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. La pâte feuilletée à décongelé. Je coupe, je lave et je fais cuire deux gros poireaux. Pendant ce temps je prépare une belle Béchamel. Clémentine y fait fondre le gruyère de Comté qu'elle vient de râper.

J'égoutte le poireau. Je le verse dans la Béchamel. On dépose le tout sur les deux tiers de la pâte feuilletée étalée dans le grand plat à tarte. Clémentine recouvre la garniture avec le dernier tiers de pâte feuilletée. Elle joint les bords en les pinçant avec les doigts. Elle badigeonne le mélange, moutarde, œuf, lait de soja. Nous mettons au four. Cuisson à 180° pour laisser mijoter la Flamiche Picarde. Cette tarte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soirs.

J'égoutte les coquillettes. J'ai gardé un peu de Béchamel en accompagnement. Deux dos de cabillaud blanc achèvent de dorer à la poêle. Nous mangeons de bon appétit. Nous ne traînons pas. La journée est belle et la température est plus clémente. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés de sortir, nous dévalons l'escalier pour mettre nos anoraks. Nous pouvons les laisser ouverts. Il y a 19°.

Nous avons promis à monsieur Bertrand, notre voisin, de venir visiter l'appartement qu'il a fait installer au dessus de son grand garage. Nous descendons le chemin qui mène à sa propriété. Clémentine me tient la main. Il est à peine 13 h. Mr Bertrand a t-il déjà terminé son repas ? Toujours est-il que madame Bertrand nous voit entrer dans leur jardin. Elle ouvre la fenêtre pour nous saluer. << Mon mari arrive ! >> lance t-elle. Voilà monsieur Bertrand.

Il nous salue. Tout content de pouvoir nous faire visiter sa nouvelle création. C'est la même entreprise qui a réalisé les travaux. Nous pénétrons dans la bâtisse en suivant notre voisin. Nous montons l'escalier. C'est un grand espace divisé en deux chambres, une cuisine, une salle de bain et un cabinet de toilettes. Mr Bertrand est fier de nous montrer l'endroit. Il va louer à des touristes. Des saisonniers. Des couples sans gamins. Pour préserver la tranquillité.

Lorsque je suis avec Clémentine, monsieur Bertrand n'a évidemment aucune attitude ambiguë. Clémentine qui pose toutes sortes de questions quand à l'aménagement. Les meubles seront livrés la semaine prochaine. << Vous viendrez voir quand j'aurai tout installé ! >> fait Mr Bertrand. S'adresse t-il à Clémentine ou à nous deux ? Pour qu'il se réjouisse, je rajoute à l'attention de Clémentine : << Tu viendras voir, tu me raconteras. puis tu m'emmèneras à mon tour ! >>.

Probablement de quoi réjouir notre retraité vicelard qui en glousse de joie. Nous redescendons l'escalier. Nous ne nous attardons pas. Avec ce soleil, nous avons l'intention de partie à bicyclette. De plus, l'absence de vent offre une certaine douceur. Même si le fond de l'air reste frais. Nous remontons le chemin sur ses 300 m. Dans le petit sac à dos, la thermos contenant le thé bouillant, nos barres de céréales. Nous enfilons nos K-ways. Nous voilà sur nos bicyclettes.

Avant de partir, Clémentine appelle Julie. Il est 13 h30. Elle est en pleine révision chez elle. Nous l'informons que nous serons absents jusqu'à 18 h. Un peu déçue je l'entends dire : << Je passe vendredi si vous êtes à la maison ! >>. Nous descendons les 300 m jusqu'à la rivière. L'étroit pont en bois. Les 500 m jusqu'à la piste cyclable. Nous croisons déjà quelques séniors qui pédalent en sportifs. Les eaux du canal sont à leur maximum. Calmes. Deux gros cygnes blancs.

Nous roulons à un bon rythme. C'est tellement euphorisant d'être à vélo au grand air. Il y a treize kilomètres jusqu'au cabanon de l'écluse où nous nous arrêtons. Je me cache à l'endroit habituel. Clémentine traverse la passerelle métallique de l'écluse. Elle aussi se dissimule entre deux bosquets de houe et de lauriers. De là, elle peut voir qui arrive sur sa gauche comme sur sa droite. Combien de fois ne s'est elle pas exhibée ici. Nous ne les comptons même plus.

C'est le cycliste solitaire qui est attendu. Celui qui tombera sur l'enchantement d'un spectacle rare. Cette superbe jeune fille, accroupie entre deux bosquets, entrain de se livrer à son besoin naturel. Du moins, le croira t-il. Nous attendons une bonne dizaine de minutes. Il ne passe que des groupes ou des duos. Nous ne nous attardons pas. Nous repartons. Il est 15 h15 quand nous arrivons au port de plaisance. La saison n'a pas encore commencé. Mais il y a du monde.

Les habituels joueurs de pétanque. Quelques cyclistes qui poussent leurs machines. Des gens qui bavardent. La plupart des grands bateaux sont encore bâchés. Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie fermée. Nous traversons la route pour aller à la supérette. Avant d'y entrer nous enfilons nos masques sanitaires. La gérante nous accueille toute contente. Nous bavardons un peu. Avec cette crise sanitaire qui s'éternise, pas d'animation prévues sur le port.

<< Personne n'y croit plus mais ils s'obstinent à nous imposer des mesures absurdes. En fait, ils agitent la menace d'un confinement comme des punitions possibles si on est pas sages ! Ils en sont là, ces sinistres individus ! >> lance la dame visible excédée par ces restrictions. Avec le couvre feu de 18 h, elle perd toute la clientèle des travailleurs qui terminent à 18 h. Cet effectivement rageant. Nous choisissons nos cônes glacés. Nous les dégustons en flânant sur le quai.

Clémentine m'entraîne vers les toilettes publiques en contrebas de la capitainerie. Elles sont ouvertes. Il y a un mec en vêtements de travail. Pantalon gris, gilet jaune fluo. Il déroule une sorte de tuyau d'arrosage depuis un gros réservoir en plastique. << Attends là, planque toi, c'est un "plan" ! >> murmure Clémentine. Je reste à l'écart. Clémentine descend le sentier. Elle passe à proximité de l'employé communal. Nous nous sommes assurés qu'il était seul. Il salue la jeune fille.

Elle s'arrête à quelques mètres. Elle montre les toilettes du doigt. Je suis à une cinquantaine de mètres, planqué dans les fourrés. Je n'entends rien des propos échangés. Clémentine semble se renseigner sur l'accessibilité aux toilettes. Elle discute. Elle glisse une main entre ses cuisses comme pour signaler l'urgence de la situation. Le type a affaire à une jeune fille qui a vraiment un besoin urgent. Du moins c'est ce qu'il imagine. Clémentine le laisse pour entrer dans les WC.

Je regarde avec attention. Le type passe une première fois près de la porte ouverte. Il passe une seconde fois avant d'entrer dans le bâtiment. Je me dépêche de descendre. Je dois absolument sécuriser la situation. Même si le mec a l'air d'un brave homme. Je grimpe sur la citerne. De là, par l'étroite fenêtre en longueur, je vois à l'intérieur. Clémentine, debout entre deux des urinoirs muraux, bavarde avec l'inconnu. Il lui arrive à l'oreille. Il semble impressionné.

Clémentine se touche. Une main entre les cuisses de son leggings de lycra noir, hyper moulant, elle cause avec l'heureux privilégié. Le gars ne tente rien. Il ne paraît pas déstabilisé. Tout en parlant, il se met à se toucher également. Je donnerais cher pour entendre les propos échangés. Il y a un jeune homme qui se pointe. Je ne l'avais pas vu. C'est un second employé communal. Il me voit perché sur la citerne entrain de mâter : << Tout va bien monsieur ? >> demande t-il.

Je me sens soudain très con. Le type entre à son tour dans le bâtiment dont Clémentine sort à toute vitesse. Je saute de la citerne pour la rejoindre. Nous courons presque pour remonter la centaine de mètres. Il est temps de repartir. En chemin, Clémentine me raconte. << Celui-là, c'était un original. Il ne m'a pas proposé la pipe mais carrément de me baiser dans un des cabinets de toilettes ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Le mec insistait lourdement.

Il est 18 h quand nous revenons à la maison. La voiture d'entreprise d'Estelle est garée devant le garage. Elle nous voit depuis la fenêtre de la cuisine qu'elle ouvre. Nous nous dépêchons de la rejoindre. Deux bises. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Je fais pareil avec Clémentine qui raconte notre aventure aux toilettes du port. << Le porc du port ! >> fait Estelle en tripotant la grosse bosse dans mon leggings.

L'odeur de la tarte aux poireaux envahit doucement la cuisine. Estelle a dressé les couverts, préparé la salade. C'est génial de n'avoir qu'à mettre les pieds sous la table. Nous montons nous changer. Estelle nous accompagne. Quand Clémentine a passé trois heures sur une bicyclette, je n'ai qu'une envie. Lui bouffer la chatte. Je l'a fait tomber sur le lit. Je me couche sur le ventre, ma tête entre ses cuisses. Elle rigole en écartant sa culotte pour m'offrir son sexe. Estelle me tripote.

Je me régale des saveurs exquises et de toutes ces petites choses gluantes que je récupère en léchant et en suçant. Estelle glisse une main dans mon leggings pour me chopper la queue. Elle me retire mon collant. << Moi aussi j'aime quand tu as fait de la bicyclette ! >> me dit elle. Je me mets à quatre pattes tout en continuant à me régaler de Clémentine. Estelle, couchée sur le dos, glisse sa tête sous mon bassin pour me sucer. Je repose sur sa tête. Elle en gémit de plaisir.

Je cesse. Clémentine reprend ses esprits en disant : << Wouah c'est bon ça ! >>. Je force Estelle a cesser sa fellation gourmande. Nous nous habillons. Morts de faim, en riant, nous dévalons les escaliers. Nous mangeons de bon appétit. Ce soir, nous ne traînons pas à table. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Elles retirent leurs fringues. Moi aussi. Juste vêtus de nos chemises à carreaux, en chaussettes, nous reprenons les choses où nous les avons laissé.

Cette fois encore je suis à genoux sur les épais coussins à me bouffer la chatte de mes deux anges. Le jus de fille m'enivre. Je passe d'un sexe à l'autre. Quand je ne suce pas les clitoris, les coquines se masturbent. Ce soir, aucune des deux ne veut baiser. J'ai donc tout le loisir de leurs offrir de merveilleux orgasmes. Dans le calme et la sérénité. Je leurs propose de me finir au lit. Il est 22 h. Au lit, elles se refilent ma bite. Estelle s'endort la première. J'éjacule dans la bouche à Clémentine.

Bonne virée vélo à toutes les coquines qui aiment saisir toutes les opportunités pour s'offrir quelques frissons exhibitionnistes...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1448 -



Juste Clémentine et moi

Hier matin, mercredi, se mêlant encore à nos rêves, surgissent le bruit d'une source, le chant d'oiseaux mystérieux. Tout cela résonne au fond d'une profonde forêt. Cette application téléchargée nous réveille tout en douceur. Il est presque six heures. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. En "robot" comme dit Clémentine qui me tient la bite pour en diriger le jet. C'est un peu dur d'émerger ce matin.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Je mets une bûche sur les braises de la cuisinière à bois. Nous prenons un petit déjeuner copieux. Pain grillé avec miel et confiture. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur l'aventure de Clémentine, hier, dans les toilettes publiques au port de plaisance. << A refaire ! >> lance t-elle.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Il est 6 h25. Ce qui va achever de nous réveiller. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos, stretching. Notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous redescendons pour mettre nos anoraks. Le froid a fait place à une agréable fraîcheur. Le ciel est gris, bas, mais pas menaçant. Il est 7 h50. Nous traversons le jardin jusqu'à 'abri à bois. Nous en adorons l'odeur.

Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste de le temps de retourner. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant l'ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume le feu dans la cheminée. Me voilà installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans un sentiment de sérénité. Je termine ce matin cette huitième scène de genre destinée à ma saison d'été.

La matinée se déroule dans cette ambiance de travail que nous apprécions tant. Il est 11 h30 quand je dépose la dernière touche de vert d'émeraude sur la toile achevée. Je la dépose sur le second chevalet afin qu'elle y sèche. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je pose un nouveau tableau déjà préparé sur son support. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux buches dans le feu. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Il fait vraiment faim.

Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de tarte aux poireaux de hier soir. Je pane deux filets de lieu noir que je trempe d'abord dans l'œuf avant de les passer dans la chapelure. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle est contente de passer la soirée seule avec moi. << Ça me manque de plus en plus ! >> dit elle en me serrant fort.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de sortir, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Il fait presque doux. Le thermomètre extérieur indique 18°. M'entraînant par la main, Clémentine nous emmène vers la rivière. Le ciel est uniformément gris et bas. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Nous regardons la danse des canards, des poules d'eau et des colverts sur la surface de l'onde. Une eau si calme à cet endroit.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Elle m'embrasse. Nos baisers sont toujours passionnés. Nous en avons de la salive sur les mentons. Avec la fraîcheur, il faut les essuyer régulièrement. Je dis : << Ce soir, je te propose une soirée "élégante". Cela nous fera un entraînement pour samedi soir ! >>. Clémentine me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ses jambes autour de mes hanches en s'écriant : << Oh oui ! J'aime quand tu as des idées ! >>.

Ces mots me rappellent que je n'en ai pas beaucoup. Les cours en lignes reprennent à 14 h05. Il faut songer à revenir. Nous montons le chemin comme des amoureux, serrés l'un contre l'autre. Clémentine m'entraîne dans la "résidence secondaire". Il y fait frais. Pour notre "crémaillère" de samedi, la réalisation du film, il faudra chauffer dès le début de l'après-midi. Nous nous dépêchons de filer. Nous voilà dans l'atelier juste à temps. Le timing parfait.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je commence la dix huitième toile destinée à ma saison d'été. La seconde scène de genre à trois personnages. Je peins animé du même sentiment de sérénité que ce matin. J'entends Clémentine échanger avec son professeur ou d'autres étudiants de son groupe. Cet après-midi les conversations sont animées.

Il n'y est pas seulement question de mathématiques mais également de la situation catastrophique dans laquelle se retrouve certains étudiants. Le ras-le-bol général qui anime autant les professeurs de facultés que les étudiants. A l'université plus qu'ailleurs encore, les échanges et les présences sont une nécessité. Surtout en quatrième année. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle observe mon travail.

Elle a encore la synthèse des notes prises aujourd'hui à terminer. La voilà confortablement installée dans le vieux canapé. Sa tablette sur les genoux, un calepin à sa droite. Parfois, elle me raconte quelque chose qui n'a rien à voir avec ses équations. J'aime l'entendre quand je peins. Ce sont d'extraordinaires instants de détente. Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. J'enlève ma blouse. J'ai la bite qui pend de la braguette béante. Je rejoins Clémentine.

Elle cesse ses notes en disant : << Plein-les-bottes ! >>. Allongée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, elle frotte sa joue contre ma queue. << Tu crois qu'on va enfin pouvoir aller passer une semaine dans le Jura ? Ou bien ces enfoirés font de nouvelles promesses pour jouer avec les nerfs des gens ? >> demande t-elle. Je ne sais qui répondre. Moi aussi j'aimerais que ces promesses soient, pour une fois depuis un an, bien réelles. << On nous a tant menti ! >> fait encore Clémentine.

Elle rajoute : << C'est le propre des gens de pouvoir, mais à ce point là, cela relève de la démence, de la psychiatrie ! >>. J'écoute en caressant sa tête, en lissant ses cheveux. Clémentine se lève. Elle m'entraîne dans une sorte de tango dans toute la grande pièce. Il est 18 h30. Nous allons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais gonfler du millet doré. Je prépare un coulis d'aubergine auquel je rajoute un pavé de saumon décongelé, émincé et cuit à la poêle.

Nous passons au salon pour préparer la table monastère. Seules les deux grandes bougies éclairent cette partie de la pièce. << Je monte la première ! >> me fait Clémentine en me faisant un bisou sur la bouche. Je retourne en cuisine. Tout achève de cuire. Il suffit de déposer quelques fines tranches de morbier sur le millet. C'est un fromage qui fond lentement sur les plats chauds. Son odeur ouvre vraiment un appétit d'ogre. Je mets du Roquefort sur le coulis d'aubergine.

J'emmène le tout au salon. << Bonsoir monsieur ! >>. Je me retourne. Là, dans l'encadrement de la porte, Clémentine. Une jeune femme extraordinairement séduisante. Terriblement attractive. Elle est vêtue d'une jupe brune qui descend à mi mollets. Un chemisier blanc sous une veste de style blaser noire. Ses escarpins à talons hauts. Ceux avec la délicate petite sangle de cuir qui enserre la cheville. Ses longs cheveux noirs qui flottent sur ses épaules. Elle est merveilleuse.

<< Carole Bouquet dans James Bond ! >> dit elle. Je fais : << Rien que pour mes yeux ! >>. Je me dépêche de monter me changer. Je me vêts d'un costume noir, strict. Une chemise blanche, un nœud papillon noir. Mes souliers vernis noirs. Je descends. Clémentine est au téléphone avec Julie. Sur mode haut parleur j'entends Julie se réjouir pour samedi soir. Elle va s'occuper des caméras. Clémentine, en me voyant, s'écrie : << James Bond 007 ! >>.

Elle fait une photo pour l'envoyer immédiatement à Julie en disant : << C'est comme ça que nous serons vêtus samedi soir ! >>. J'entends Julie dire : << C'est génial ! Vous avez tellement d'imagination ! >>. Je lui réponds de loin : << Bienvenue dans le monde de James Bande zéro zéro sexe ! >>. Nous l'entendons rire. Clémentine la salue avant de raccrocher. << Comme tu es beau James ! >> me fait elle en m'entraînant dans une valse. Je suis ému par son élégance. Sa classe !

Il fait faim. Nous voilà assis à la grande table. Je dis : << Tu ferais une sublime James Bond girl ! Tu devrais te présenter à des castings. Tu as une carrière toute tracée dans le cinéma ! >>. Quand j'évoque cette possibilité réelle, Clémentine éclate toujours de rire. Elle conclue toujours par ces mots : << Ma carrière, je la veux dans l'enseignement supérieure. Je serai une bien meilleure maître de conférence qu'actrice ! >>. Un tel potentiel serait pourtant une garantie de réussite.

Nous mangeons de bon appétit. Sous la table, je sors ma bite. Clémentine a cette extraordinaire capacité d'incarner quantité de personnages féminins. Ce soir elle est une jeune femme élégante. Très maniérée, hyper sophistiquée. Ce personnage me fait bander comme un dingue. C'est absolument génial de partager la vie d'une jeune fille à l'imagination débordante. Je n'ai qu'à me laisser emporter par les situations et les fantasmes qu'elles induisent. Je suis un privilégié.

Je me lève. Je suis ce soir un homme en costume strict, d'une élégance folle. Je tourne autour de la table en tenant ma bite. Les mains dans les poches de mon pantalon noir, debout devant Clémentine, je contracte mes muscles fessiers pour faire bouger mon sexe. Elle m'observe comme une inconnue. C'est immense ! Comment vais-je encore survivre à une telle épreuve ? Je sens mon cœur battre la chamade. << Je vous aime James ! >> fait Clémentine d'une voix grave et solennelle.

Je dis : << Vous êtes mon espionne favorite. J'enquêterais volontiers sur vos agissements intimes ! >>. Clémentine joue cette merveilleuse comédie en répondant : << Mais faites donc, James, je n'ai rien à refuser à un agent de sa majesté ! >>. Je contourne la table. Clémentine se lève. Elle contourne la table comme pour éviter d'être abordée. C'est merveilleux. Elle s'approche d'un coin de la table pour s'y frotter, penchée en avant, ses mains en appui sur le bord du meuble.

<< Mes agissements sont ils condamnables ? James ? Dites moi ! >> fait elle. Je me masturbe doucement en restant à distance. Nous vivons tous deux là un grand moment d'extase. Nous adorons les jeux de rôles. Celui de ce soir nous donne une idée de film. Il faudra la soumettre à Estelle. Clémentine s'assoit sur la table. Elle remonte ses jambes en écartant ses cuisses. Elle m'invite d'un regard terriblement vicelard et suggestif. Je viens frotter mon sexe contre le sien.

Elle n'a évidemment pas de culotte. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Clémentine se masturbe toujours en même temps. Nous restons immobiles l'un dans l'autre. Nous nous promettons d'exploiter le concept "James Bond" pour de prochaines situations. La soirée se passe ainsi. Je promène souvent Clémentine, pénétrée et accrochée à moi dans tout le salon. Il est 22 h. Il faut songer à la vaisselle. En tablier pour protéger nos vêtements. Cunnilingus au lit.

Bonne soirée à toutes les James Bond girls qui aiment à interpréter le rôle de Carole Bouquet dans le film "Rien que pour vos yeux"...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1449 -



Estelle est tellement contente de nous rejoindre

Hier matin, jeudi, accompagnant encore nos rêves, les chants des oiseaux, le bruit de la source. Tout cela résonne au fond d'une profonde forêt. Cette application nous réveille avec une telle magie. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Il est presque six heures. Nous nous levons pour nous rendre comme des robots aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en racontant son rêve.

Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine revient sur notre soirée à thème de hier. << Un excellent prélude à la soirée qui nous attend samedi ! >> précise t-elle. Il est 6 h25. Clémentine m'entraîne par la main. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et retour au calme avec un bon stretching. Notre douche.

Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous redescendons pour mettre nos anoraks. Nous sortons. La fraîcheur matinale est presque agréable. Il est 7 h50. Nous faisons quelques pas sous un ciel gris et couvert. Un ciel devenu menaçant. Clémentine revient sur la soirée de hier. << Comme c'était bien ! >> dit t-elle en se serrant contre moi. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il ne faut pas tarder. Nous rentrons pour nous rendre directement dans l'atelier.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume le feu dans la cheminée. Davantage pour l'ambiance que pour chauffer. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins animé d'un enthousiasme de chaque instant. La peinture de cette seconde scène de genre destinée à ma saison d'été m'enchante. La matinée se déroule dans l'ambiance studieuse que nous apprécions tant. Le calme et la sérénité.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches sur les braises. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée a décongelé. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je lave et je coupe de belles et grosses tomates avec une courgette. De l'ail, de l'oignon. J'étale la pâte feuilletée dans deux plats à tarte aux bords hauts. Nous y déposons les rondelles de tomates et de courgette. L'ail et l'oignon.

Clémentine prépare un "flan". De l'œuf, de la crème fraîche, du lait de soja, de la moutarde qu'elle verse sur les tomates. J'y rajoute le gruyère de Comté que j'ai grossièrement râpé. Au four. Cuisson à 180° afin de laisser mijoter. Ce sera nos délices de ce soir et de demain midi. Avec les coquillettes égouttées, j'ai poêlé des queues de crevettes auxquelles j'ai ajouté quelques rondelles de tomates et de courgettes restantes. Un peu de Parmesan en fin de cuisson.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur notre soirée. Nos jeux de rôle. << C'est très excitant et très addictif ! >> dit elle en me couvrant le visage de bisous. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller prendre l'air, nous descendons pour enfiler nos anoraks. Dehors la fraîcheur semble s'être accentuée. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Il n'y a pas de vent.

Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Clémentine évoque notre projet de vacances dans le Jura. Une semaine. Du dimanche 11 avril au dimanche 18 avril. Un séjour déjà prévu l'année dernière. Annulé pour cause de confinement. << Si ces enfoirés nous refont la même saloperie cette année, j'achète un fusil ! >> lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur. Elle glisse sa main dans ma braguette pour en extraire le locataire. Une bite bien molle.

Les cours en lignes reprennent à 14 h05. Il faut songer à revenir. Nous remontons le chemin. Clémentine m'entraîne dans la "résidence secondaire". Il y fait frais. L'odeur de bois neuf est forte. C'est très agréable. Nous pendrons la crémaillère samedi soir. Une soirée à thème qui sera immortalisée par Julie derrière les caméras. Clémentine se réjouit. Elle est impatiente. Nous quittons la bâtisse pour traverser le jardin sous les premières gouttes de pluie. Nous rentrons.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Rapidement plongée dans son télé travail. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. L'après-midi se passe ainsi. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Accroupie sur ma gauche, sa main sous ma blouse, elle joue avec mon sexe en regardant ma peinture. Elle a encore quelques notes à mettre au propre.

C'est toujours confortablement installée dans le vieux canapé que Clémentine parfait son travail de la journée. J'aime peindre en l'écoutant me raconter, chantonner ou lire à haute voix des lignes qu'elle griffonne sur son calepin. Ce soir elle a son ordinateur sur les genoux. Ses lunettes d'étudiante sur le nez. Il est 17 h30. Du bruit. C'est Estelle que nous entendons chantonner depuis le corridor. Elle entre dans l'atelier. Elle se précipite pour nous faire des bises.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa soirée de hier. Son parrain est venu à la maison pour apporter des boîtes de matériaux divers. << On s'arrange toujours pour s'isoler un peu ! Ça fait une année qu'on a plus baisé. Ça lui manque. Moi aussi ! >> fait elle. Nous en rions de bon cœur. Elle continue : << Je l'ai raccompagné jusqu'à sa voiture. Je lui ai tenu la queue nerveuse. Put-Hein comme j'avais envie qu'il me baise dans sa bagnole ! >>.

Il n'y a aucune filiation, aucun lien de sang entre son parrain et Estelle. Elle a commencé à baiser avec lui quand elle avait seize ans. Le plus souvent chez lui, en cachette de sa marraine et à la cave. Elle nous raconte souvent des anecdotes amusantes. << Il me baise pendant des heures. Et comme le vrai salaud qu'il est ! >> rajoute t-elle encore. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Estelle est assise à côté de Clémentine. Elle compare leurs travaux de la journée.

Je retire ma blouse. << Tu peins toujours avec la bite à l'air sous ta blouse ? >> me demande une fois encore Estelle qui s'écarte de Clémentine pour m'inviter à venir m'installer entre elles. Elle se saisit de mon sexe en continuant à parler. Estelle aussi se réjouit pour notre soirée de samedi. Clémentine raconte notre soirée de hier. << James Bande zéro zéro sexe ! >>. Estelle me tord la queue dans tous les sens en posant plein de questions. << Génial ! >> s'écrie t-elle.

Rapidement mes deux anges mettent au point le vague canevas de la soirée de samedi. Un scénario très similaire à celui de hier soir. Mais à trois. Estelle aimerait avoir le rôle actif de la "James Bond girl". L'espionne intrigante, la guerrière. Clémentine se réjouit pour le rôle passif de la "captive". Clémentine montre les photos de nos tenues prises hier soir. << Comme tu es beau et élégant avec ton nœud papillon ! >> lance Estelle. << Tu es superbe ! >> dit-elle à Clémentine.

Nous décidons de reprendre ces mêmes tenues samedi soir. Estelle propose soit un pantalon de cuir noir hyper moulant et brillant, des bottines à hauts talons, un chemisier blanc aux manches bouffantes. Ses cheveux noués en natte. Soit un tailleur noir, très strict, ses cheveux en chignon, ses lunettes d'étudiante. << Je vous envoie des photos demain. Je ferai de l'essayage ! >> dit elle. Je bande. Estelle en profite donc pour me tordre la bite vers le bas. La coquine.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << Je sais ce qu'il y a ! Je suis allé voir par la vitre du four en arrivant ! >> lance Estelle en sautillant autour de la table de la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue déjà lavée à midi. Je réchauffe la tarte à la tomates. Depuis quelques mois, c'est devenu notre rituel du jeudi soir. Nous dressons la table. Estelle n'arrête pas de me tenir la queue. Comme un réflexe à chaque fois qu'elle a les mains libres.

Nous passons au salon. J'allume les deux grosses bougies du chandelier posé sur la table. Nous sommes vautrés dans le canapé. Je suis entre mes deux anges. << Tu me baises comme tu le fais si bien ce soir ? D'avoir revu mon parrain hier soir m'a méchamment allumé ! >> fait Estelle. << Mais alors tu vois ton parrain tous les jours vu ton comportement ! >> lance Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Je me lève. Estelle ne lâche pas ma queue.

Je lui retire la main pour la saisir par ses cheveux. Surprise par mon attitude, elle pousse un petit cri. J'attire son visage. Je lui frotte ma bite sur la gueule en disant : << C'est un plaisir que de baiser une salope comme toi ! >>. Ce mot n'est jamais une insulte entre nous. Jamais. Que ce soit Clémentine ou Estelle, ce mot résonne à leurs oreilles comme un compliment. C'est le féminin du mot "salaud" dont elles me traitent lors de nos jeux, de nos folies et de nos déviances.

La sonnerie du four. Je prends les filles par leurs mains pour les aider à se lever d'un bond. Animés d'une faim d'ogres, nous nous précipitons à la cuisine. << Ne va pas te brûler la bite, je sors la tarte ! >> lance Estelle en enfilant les maniques. Nous mangeons de bon appétit. Notre recette de la tarte à la tomate est un tel délice. Davantage encore une "pâtisserie" qu'une tarte. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine.

<< Parrain adore me voir faire "ça". Je le faisais devant lui quand nous étions seuls dans le jardin. Et déjà adolescente ! >> lance Estelle. Je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction. Elle rajoute : << Et parrain faisait exactement comme toi ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Je dis : << Estelle, tout à l'heure, pendant que je te baise, j'exige que tu nous racontes des histoires bien salaces ! >>. Estelle éclate de rire avant de répondre : << Tu les connais toutes ! >>.

Nous ne traînons pas. Clémentine adore nous voir baiser pendant qu'elle se masturbe. Le programme de la soirée est définit. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Nous retirons tous les trois nos jeans et nos sous vêtements. Nous voilà en chemises et en chaussettes à faire les pitres. Clémentine s'installe dans le fauteuil. La cuisse gauche sur l'accoudoir de gauche. La cuisse droite sur l'accoudoir de droite. J'ai une méchante envie de lui bouffer la chatte. Elle se branle.

Estelle m'entraîne vers le bureau sur lequel elle s'assoit. Cuisses écartées, jambes relevées. Elle frotte mon sexe contre le sien avant de se l'enfiler doucement. Clémentine se lève. Tout en se masturbant elle tourne autour de moi pour mâter. Elle se penche. Elle scrute. Elle adore scruter les expressions de mon visage, le sien tout près du mien. Je baise Estelle couchée en appui sur ses coudes. Elle se secoue sur mon sexe comme une aliénée dans sa camisole. Elle est en sueur.

J'alterne le comportement du hussard avec celui de l'homme préhistorique. Clémentine me choppe les couilles. Se frottant contre mes fesses, elle me chuchote des saloperies à l'oreille. Des : << Je t'aime ! J'adore voir tes comportements de dépravé ! >> murmure t-elle à deux reprises. << Moi aussi ! J'aime surtout en subir les conséquences ! >> lance Estelle qui entend. Je suis en sueur. Je pratique la "machine à coudre" en m'appliquant. Dur pour mes lombaires.

Estelle se masturbe toujours en se faisant niquer. Elle nous parle de ses relations avec son parrain. Entre deux souffles, entre deux gémissements, elle nous raconte la fois où ce salaud l'a baisé sur le tas d'herbe fraîchement coupé par la tondeuse de son papa. Ses parents ne se sont jamais doutés de rien. << Sauf maman qui a des dons de voyante ! >> précise Estelle avant de rajouter : << Telle mère, telle fille ! >>. Je connais bien Michèle, sa maman. Superbe bourgeoise.

L'orgasme qui submerge soudain Estelle la fait hurler de plaisir. Elle me repousse délicatement. Comme si c'était douloureux, les mains entre ses cuisses, elle se couche sur le côté en poussant de petits cris d'animal en souffrance. Clémentine m'invite à la pénétrer juste avant le sien. Je la baise comme je viens de baiser Estelle. Elle se masturbe, me repousse délicatement pour se mettre à pisser en criant de plaisir. Nous sommes bons pour passer la serpillère. C'est tellement drôle.

Bonne soirée à toute les coquines qui aiment se faire baiser en raconter des souvenirs d'adolescentes vicieuses et délurées...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1450 -



Le vendredi, Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, une nouvelle fois, cette application magique nous tire de nos profonds sommeils. Ces chants d'oiseaux, cette source qui coule. Tout cela est d'une telle douceur que la transition entre le rêve et la réalité est presque imperceptible. Je suis entre mes deux anges. Il est bientôt six heures. Estelle est encore restée accrochée à moi toute la nuit, épousant chacun de mes mouvements. Clémentine vient se blottir. Distribution de bisous en gémissant.

Estelle se lève la première. Ses vêtements de gym à la main, elle se précipite aux toilettes. Nous nous habillons. C'est à notre tour. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur du café et du pain grillé. Elle me saute au cou. Comme le vendredi elles terminent à midi, elles sont déjà toutes les deux assez euphoriques. Nous prenons un copieux petit déjeuner en riant. Nous mangeons de bon appétit en parlant de nos folies de hier soir.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Estelle partira immédiatement après pour ne revenir que demain, samedi. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Un bon retour au calme avec le stretching. Estelle nous fait la bise et s'en va à toute vitesse. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Il est presque 7 h50. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Bonnets, gants. Car voilà à nouveau le froid.

Ce matin il est intense. Cinglant. Le ciel est bas, gris. Il pourrait neiger. Nous traversons le jardin pour contourner la maison d'amis. Jusqu'à l'abri à bois. Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Il faut se dépêcher. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Rapidement concentrée sur son télé travail. J'allume un bon feu dans la cheminée.

Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette douce euphorie communicative. La peinture de cette seconde scène de genre destinée à ma saison d'été me comble d'un sentiment intense. La matinée se passe dans le calme studieux. Parfois Clémentine chantonne. A la pause de dix heures, elle me fait un bisou avant d'aller faire pipi. Un bisou en revenant. Il est 11 h55 quand elle vient me rejoindre en sautillant autour de moi.

Elle met deux bûches dans l'âtre. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Fini jusqu'à lundi. Clémentine décrète d'une voix sentencieuse : << Fermé pour cause de Week-end ! >>. Elle m'entraîne dans une sorte de danse tribale. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la seconde tarte à la tomate confectionnée hier. C'est encore meilleur réchauffé. Surtout avec des filets de dorades enduites de moutarde et rissolées à la poêle.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque le film de demain soir "La crémaillère". << D'ici là, jusqu'à demain, je t'ai pour moi toute seule ! >> me murmure t-elle à l'oreille, lascive et pleine de tendresse. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Dehors le ciel est gris, bas et menaçant. Nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Bonnets, gants. Nous sortons dans le froid.

Le thermomètre extérieur indique 4°. << Affligeant. Mais nous sommes tolérants. C'est encore l'hiver ! >> lance t-elle en me prenant le bras. Nous descendons vers la rivière. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine le tire de ma poche. << Julie ! >> fait elle en mettant sur mode haut parleur. Julie se propose de passer vers 16 h30. C'est avec joie que nous la recevrons. Nous marchons en flânant. Nous parcourons les trois kilomètres pour arriver au vieux lavoir.

Là-bas, de l'autre côté de la route communale, les bâtiments du haras. Ils ont quelque chose de sinistre en se détachant ainsi sur la grisaille triste d'un ciel bas. Nous n'avons pas beaucoup de nouvelles de Juliette. Elle est occupée à son entreprise. Il y a 87 chevaux en pensions. Nous restons serrés forts. Pour avoir bien chaud. Nous prenons le sens du retour. Le sentier est étroit. Clémentine qui marche devant. Nous nous tenons par les mains gantés. Beaucoup d'arrêts bisous.

Il est 15 h30 quand nous revenons. Clémentine m'entraîne dans la maison d'amis. Il y fait presque aussi froid qu'à l'extérieur. Nous y maintenons une température "hors gel" grâce aux panneaux photo voltaïques. Nous faisons monter la température. Il suffit d'appuyer sur le curseur fixé au mur de la salle de bain. Nous viendrons allumer la cheminée dès demain matin afin qu'il fasse bien chaud pour la "cérémonie" du soir. Ce film qui va immortaliser la "crémaillère".

Il y aura une partie masquée pour que chacun puisse en garder un exemplaire sur disque dur. Il y aura une partie sans masques. Pour Estelle. Nous avons programmé tout cela avec Estelle. Il faudra faire un doublon de chaque scène clef. De quoi beaucoup nous amuser. Les convecteurs électriques chauffent déjà. Nous le sentons. Impossible de les toucher sans se brûler. Nous quittons la maison d'amis pour rentrer. Il fait bien chaud dans notre grande demeure.

Depuis l'interphone, j'ouvre le portail de la propriété. Julie ne va pas tarder. Elle est toujours en avance. Clémentine se serre dans mes bras. << Je t'aime ! >> chuchote t-elle avant de m'embrasser. De sa main virtuose, elle déboutonne la braguette de mon 501. Elle en extrait le locataire. Je bande mou dans sa main douce et chaude. Trois coups de sonnettes. Clémentine m'entraîne par la queue dans le hall d'entrée. Elle ouvre la porte. Nous accueillons Julie de cette manière.

Elle a un immense sourire. Cette fois, elle ne peut pas faire semblant de ne pas voir. J'ai la bite dans la main de Clémentine. Julie est vêtue d'un jeans délavé, de ses bottines, d'un gros pull sous le blouson de cuir dont elle se débarrasse. Elle retire son écharpe. Ses longs cheveux presque noirs flottent sur ses épaules. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Clémentine l'invite à nous suivre. Nous allons dans l'atelier. La pièce préférée de tous les privilégiés qui la découvrent.

De son petit sac à dos en cuir noir, Julie tire le flacon de gel hydroalcoolique. Nous nous frottons tous les trois les mains en riant. Nous n'avons absolument aucun contact avec le monde extérieur. Aussi, ce rituel nous amuse toujours autant. Julie s'assoit devant mon chevalet. Elle contemple ma toile en gestation. Je m'accroupis à sa droite pour répondre à ses questions. Une fois encore, en parlant, Julie à le réflexe de poser sa main sur mon épaule. C'est affectif et complice.

Je pose d'ailleurs à plusieurs reprises ma main sur son genoux. Clémentine prépare le thé et les petits gâteaux secs. Julie est impatiente de tenir ma galerie d'Art cet été. Elle est donc en quête de toutes les informations possibles quand à mon travail, à ma peinture. Durant la seconde semaine des vacances de Pâques, je vais l'initier à la peinture. Tout le processus. Depuis la création du dessin préparatoire jusqu'à la réalisation picturale. En passant par l'application des couches d'impression.

Tout cela la réjouit considérablement. Cette fille de 20 ans est adorable. De plus en plus souvent elle se lâche dans de profonds soupirs lascifs. Elle nous dit : << Sans ce projet, avec cette crise sanitaire, la vie serait bien déprimante. Avec vous, je suis comme en thérapie. En soins intensifs. Je vous remercie d'exister ! >>. Ce n'est pas la première fois qu'elle émet ce sentiment. << Avant cette relation très particulière, j'avais une tendance à la déprime ! >> rajoute t-elle.

Clémentine s'approche, se penche et lui dépose une bise sur le front. Je me redresse pour faire la même chose. Nous voilà vautrés dans le vieux canapé. Il fait bien chaud. Le feu dans la cheminée crépite. Il fait sombre avec cette météo déplorable. Julie est installée à l'autre bout du canapé. Clémentine nous sépare. J'ai la bite toute molle et renfrognée au bord de ma braguette béante. Parfois Julie se penche pour regarder furtivement. J'aime son attitude très réservée mais vicieuse.

Les filles évoquent notre projet. Ce film que nous allons réaliser demain soir. Pour ça aussi Julie ne peut cacher sa joie. Elle va s'occuper des caméras. Celle qui sera fixée sur le trépieds. L'autre qu'elle portera en fonction des déplacements et des situations. La conversation me fait légèrement bander. D'entendre ces deux jeunes filles mettre au point, avec tant de détails, les évènements salaces à venir, m'excite considérablement. Je me lève pour aller à la cheminée.

Ce n'est en fait qu'un prétexte pour me tourner vers le canapé. Je tiens mon sexe en érection à sa base. Entre le pouce et l'index. Je l'agite doucement vers les filles. Elles sont soudain silencieuses. Clémentine et Julie observent comme si c'était la première fois. Je me masturbe doucement en me décalottant légèrement. Avec un mouvement régulier. C'est une sensation merveilleuse. Julie tente bien d'affronter mon regard insistant. J'aimerais pouvoir la fixer. Longuement.

Il lui est totalement impossible de soutenir mon regard. Trop timide. Trop réservée. Et pourtant si vicieuse. Julie s'est déjà retrouvée dans des situations bien plus torrides. Dans les toilettes du restaurant de sa tante où elle officie en soirée. En qualité de serveuse. Avec cette crise sanitaire qui n'en finit plus, la voyeuse impénitente qu'elle est doit se rabattre sur d'autres formules. Nous sommes donc dans sa vie, les plus merveilleux complices de débauches et de déviances.

Quelle jeune fille de 20 ans ne rêverait pas, dans le plus profond de ses secrets, de telles situations ? Comme le dit souvent Clémentine : << Des connes probablement. Ou encore des débiles mentales ! >>. Comme pour se ressaisir, ne pas se laisser étourdir pas ses sens, Julie pose des questions. Clémentine y répond. Manipuler les caméras numériques est d'une telle simplicité. Julie reprend les livraisons de ses repas à 18 h30. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture.

Le crépuscule dure longtemps quand il fait si moche. Il fait froid. Un dernier coucou. Nous la regardons partir. Elle sera là pour 18 h demain soir. Nous partagerons le repas avant de nous livrer au stupre, à la luxure et aux activités "cinématographiques" prévues. Clémentine m'entraîne dans la maison d'amis. Il y fait bien meilleur grâce aux convecteurs électriques. Au ré de chaussé ils sont judicieusement placés au bas des murs. En montant, la chaleur inonde la pièce.

Il commence à faire faim. Nous traversons le jardin en courant. Clémentine s'occupe de la salade en parlant de l'attitude de Julie. Cette jeune fille est adorable. << J'en ferais bien notre petit "animal de compagnie" si nous n'avions pas déjà Estelle ! >> dit elle. Estelle est devenue bien plus que cela depuis plus d'une année. Elle est la troisième partie de notre couple. De notre amour. Je fais gonfler le riz complet pendant que je concocte une sauce au Roquefort.

J'y rajoute un filet de colin finement émincé et poêlé. Une tonne de gruyère de Comté finement râpé. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point son bonheur la submerge tous les jours. << Tu sais, cet élément de comparaison avec ma vie d'avant est souvent présent en moi. Sans toi je serais à me morfondre au fond d'une chambre d'étudiante ! >> fait elle une fois encore.

Je change de conversation en parlant de mon Ecosse natale qui me manque cruellement. De notre projet de séjour dans le Jura la première semaine des vacances de Pâques. Clémentine n'est pas dupe de ma stratégie. Elle ne peut s'empêcher de sourire en jouant le jeu. Nous faisons la vaisselle. Elle m'entraîne au salon. Elle me fait tomber dans le canapé où je m'affale lourdement. A genoux sur un des épais coussins posé entre mes pieds, elle sort ma bite toute molle.

<< J'ai envie de te sucer. J'ai envie de sucer à chaque fois que tu la sors. Surtout quand tu la montres à une autre. Je crois que c'est l'émotion la plus excitante ! >> me dit elle avant de se mettre à téter. Il y a une rapide montée de liquide séminal. De me masturber devant Julie il y a deux heures a provoqué des productions de jus de couilles. Clémentine se régale. J'aime la regarder, totalement passionnée par ce qu'elle fait. Les yeux fermés. Un sentiment d'extase sur son visage.

Je me fais tailler une pipe. Quand Clémentine commence, elle ne peut plus s'arrêter. Comme moi, les rapports génitaux buccaux restent sa préférence absolue. << Un sexe c'est comme une bouche ! >> précise t-elle souvent. Je lui caresse la tête. Je lui lisse les cheveux en lui murmurant des douceurs, des cochonneries. Elle en glousse de plaisir en déglutissant avec peine. Une longue pipe que je lui propose de terminer au lit. Ça fait plus d'une heure qu'elle pompe...

Bonne soirée à toutes les coquines que la fellation passionne. Que l'intimité masculine qu'elles pénètrent ainsi enivre jusqu'à l'extase...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1451 -



Un samedi presque routinier

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par de légers froissements réguliers de la couette contre mon oreille. Clémentine sait quand je me réveille. Ma respiration change. Il est donc tout à fait inutile de faire semblant de dormir pour l'écouter se masturber. Elle se serre contre moi pour continuer à se frotter contre ma hanche. << Bonjour mon amour. J'ai fait un rêve très cochon ! >> chuchote t-elle. Je lui propose de me le raconter devant un bon petit déjeuner.

Vêtus de nos tenues de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il est presque huit heures. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en riant beaucoup du rêve de Clémentine. Un inconnu sur un bateau, au large de l'Ecosse. Situation que nous avons vécu il y a deux ans en voulant monter sur les îles Shetland avec Estelle qui ne se sentait pas très bien.

Nous mangeons de bon appétit. Le thermomètre extérieur indique 2°. << Mais c'est carrément l'hiver ! >> s'écrie Clémentine. Nous préférons remonter pour nous offrir notre heure d'entraînement en salle. Jogging sur tapis roulant. Ce matin Clémentine met un de nos films pendant que nous courons. Charges additionnelles, abdos et stretching. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Nous nous dépêchons de descendre. Nous attendons nos livraisons.

Nous enfilons nos anoraks pour sortir dans le froid. Bonnets, gants. Il est dix heures. Voilà la première camionnette. C'est la même jeune femme qui porte son masque sanitaire. Du hayon arrière elle tire deux cageots. L'un contient nos fruits et nos légumes. L'autre contient nos fromages, nos yaourts, nos œufs, nos petits pots de crème fraîche, le beurre. Je lui rends les cageots vides de la semaine écoulée. Même commande pour samedi prochain. Avec ce froid, inutile de se presser.

Clémentine m'entraîne dans la maison d'amis. Nous y allumons la cheminée. Je vérifie le niveau d'eau des tubulures dans le chaudron purement décoratif mais fonctionnel. Un bruit de moteur. Voilà la camionnette de la boulangerie. Madame Marthe porte son masque accrochée à son oreille gauche. Elle sort du tube Citroën pour nous donner le cageot dans lequel il y a nos deux grosses miches de pain complet, nos quatre pâtes feuilletées et la grosse brioche au pudding.

Même commande pour la semaine prochaine. Madame Marthe n'est pas encore partie qu'arrive le véhicule utilitaire du traiteur. Il vient nous livrer les produits de la mer. Comme ils sont du même bourg, les voilà qui bavardent un peu. Mme Marthe s'en va. Nous récupérons nos poissons. Filets de lottes, de flétan, de cabillaud, de colin. Les paquets de moules congelées. Les langoustines, les crevettes, les queues de homards et de langoustes. Même commande pour dans trois semaines.

Nous retournons jeter un coup d'œil dans la maison d'amis. Nous montons à l'étage. Les radiateurs tiédissent déjà. L'eau chaude des tubulures commence à remplacer l'eau froide des radiateurs. Nous allumons les convecteurs électriques. Ce soir, ici, il fera bien chaud. Nous sortons pour aller ranger nos livraisons. Nous passons par derrière pour descendre à la cave. Les fruits et les légumes dans leurs casiers respectifs au cellier. Les produits de la mer dans le grand congélateur.

Nous montons mettre les fromages, les œufs, les petits pots de crème fraîche, les yaourts et le beurre dans le réfrigérateur. J'ai monté un paquet de moules, de haricots verts et de petits pois afin qu'ils décongèlent jusqu'à midi. Nous montons faire la chambre, changer les draps et préparer le canapé lit pour Julie qui passera la nuit avec nous. Clémentine passe l'aspirateur. Je la suis partout avec la serpillère. Nous lavons la salle de bain et les chiottes. A deux ça va tellement plus vite.

Il est 12 h15. Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules. Dans le wok je réchauffe les haricots verts et les petits pois. C'est une préparation très rapide le samedi. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dans l'élan du ménage, Clémentine suggère que nous faisions celui du bas. Ainsi nous serons tranquilles pour le restant du week-end. Nous débarrassons. La vaisselle.

Nous montons nos laver les dents. Nous redescendons pour nous livrer au ménage du bas. Nous nettoyons la cuisine, les chiottes du bas. Clémentine passe la serpillère. Je la suis avec la serpillère. Il est 13 h45. Toute la maison est propre. Nous enfilons nos anoraks. Bonnets, gants. Nous traversons le jardin dans le froid d'une véritable journée d'hiver. Il fait chaud dans la maison d'amis. Les flammes dans la cheminée lèchent le cul du chaudron en fonte noire. C'est magnifique.

Clémentine nous entraîne à l'étage. Il y fait encore plus chaud. Inutile de laisser fonctionner les convecteurs électriques. Les radiateurs chauffent suffisamment. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Elle en extrait le locataire. << Je t'aime Julien ! >> murmure t-elle à mon oreille en massant mon sexe de sa main chaude. Je murmure : << Je t'aime Clémentine ! >>. Je glisse ma main dans son jeans qu'elle déboutonne. J'ai accès à sa culotte. Sa toison pubienne.

Le bruit d'un moteur. Nous regardons à la fenêtre. C'est le véhicule d'entreprise d'Estelle. << Coucou ! >> fait Clémentine en ouvrant la fenêtre. Estelle pose son grand sac de sport parterre pour venir nous rejoindre à toute vitesse. << Comme il fait bien chaud. Comme c'est beau et agréable ici ! >> lance t-elle en nous faisant des bises. J'ai la bite à l'air qu'elle saisit avant de me rouler une pelle d'enfer. << Tu commences fort ! >> lui fait Clémentine qui s'interpose par jeu.

<< On pourrait manger ici ce soir ! Dans la cuisine ! >> suggère Estelle. Nous n'y avions pas pensé. << Bien vu l'aveugle ! >> lance Clémentine qui me consulte du regard. Elle rajoute : << On prépare la bouffe comme d'habitude et on ramène tout ici ! >>. Voilà une idée que nous applaudissons. Nous redescendons. Je mets deux bûches dans l'âtre. Nous sortons dans le froid glacial. Je prends le sac de sport d'Estelle. Nous traversons le jardin pour rentrer au chaud.

Estelle apporte toujours des vêtements de change. Des vêtements de sport, des sous-vêtements. Elle passe quand même pas mal de temps avec nous. A la cuisine, Clémentine sort quatre assiettes du buffet. Quatre verres. Des couverts. Elle met le tout dans un des cageots vides. Nous montons dans la chambre. De l'armoire elle tire nos vêtements pour ce soir. Soigneusement tirés sur des cintres. Nous emmenons le tout dans la maison d'amis. Nous disposons les couverts sur la table.

Cela nous fait tout drôle d'êtres dans cette cuisine toute neuve. << C'est comme si nous étions en vacances, loin ! >> fait Clémentine. Estelle, qui n'arrête pas de me toucher la braguette, rajoute :: << Un gîte de France ! >>. Nous disposons les vêtement sur les barres dans l'armoire de la chambre. Il suffit de retourner chercher le trépieds et les caméras. Ce que nous faisons immédiatement. << Il faudra ramener tout ce bordel demain matin ! >> dit Estelle en me sortant le Zob.

Clémentine fait des essais caméra. Il y a la notre qui filme en 4K et celle du papa d'Estelle qui filme en 1080p. Clémentine adore faire des réglages fins et précis. Nous recherchons le meilleur angle pour la caméra fixe. Estelle a ramené deux cartes SD. D'une durée de 60 minutes chacune. << Si une déconne on a l'autre ! >> dit elle. << On en a plein ! >> lance Clémentine qui essaie son loup noir à dentelles. << Super ! >> faisons nous en même temps avec Estelle. Un côté "cour du roi".

Tout est prêt pour ce soir. Nous contrôlons une dernière fois. Clémentine tire les tentures afin d'occulter toutes les fenêtres. La dernière fois que nous avons filmé ici, monsieur Bertrand, notre voisin, est venu mâter par une des fenêtres. En cachette. << Là, personne ne peut voir de l'extérieur ! >> fait Clémentine. Il est déjà 15 h. Nous sortons. Accrochées à mon bras, les filles nous entraînent vers la rivière. Nous voyons la fumée monter au ciel depuis les cheminées de nos maisons.

Nous longeons le cour d'eau. Les filles évoquent leurs rôles respectifs, ce soir, devant les caméras. << Je me sens hyper salope, vous n'imaginez pas ! >> lance Estelle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine rajoute : << Pas autant que moi ! >>. Nous marchons sur l'étroit sentier jusqu'au vieux lavoir. Le ciel est gris et bas. Il pourrait neiger que cela ne nous étonnerait pas. Pas question d'avoir la queue à l'air avec ce froid. Par contre, les coquines glissent leurs mains dans ma braguette.

<< C'est juste pour la réchauffer ! >> dit Estelle à chaque fois en retirant son gant. Nous prenons le sens du retour. Nous montons le chemin en admirant les cheminées qui fument. Nous retournons dans la maison d'amis pour alimenter le feu. Il faut faire pareil dans la cuisine. Il est 18 h quand la musique imbécile de mon téléphone le fait vibrer sur le frigo. Clémentine s'en saisit. << Julie ! >> s'écrie t-elle avant de se précipiter pour aller l'accueillir. Estelle en profite pour m'embrasser.

Clémentine revient suivie de Julie. Elle a une petite valise. << Des fringues de change ! >> dit Julie en sortant le flacon de gel hydroalcoolique de son petit sac à dos en cuir noir. Tous les quatre, en riant, nous nous frottons les mains au gel. C'est complètement ridicule puisque aucun d'entre nous n'a le moindre contact avec le monde extérieur. Julie, lorsqu'elle livre les repas aux clients, garde ses distances et porte son masque sanitaire. Mais nous sacrifions au rituel.

Julie passera la nuit avec nous mais devra nous laisser dès 11 h demain matin. Le dimanche est un jour d'affluence pour les livraisons. << Même le dimanche ? >> demande Estelle. << Surtout le dimanche ! >> répond Julie. Nous voilà tous les quatre assis à la table à éplucher les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri, l'ail et l'oignons. Nous en préparons en grande quantité. Cette potée de légumes assure nos trois repas à venir. Clémentine s'occupe de la salade.

Estelle remue les légumes dans la vieille cocote en fonte noire. Cuisson à l'ancienne sur la cuisinière à bois. Julie m'aide à paner quatre beaux filets de colin. Les filles évoquent leurs études. Comme par pudeur, aucun d'entre nous ne parle du film. Nous évitons le sujet comme pour nous réserver la "surprise". Il faut tout emmener dans la "résidence secondaire". Nous contrôlons n'avoir rien oublié. Il faut sortir dans le froid d'une nuit glacial. En tenant les plateaux. Il faut faire gaffe.

Nous voilà bien au chaud dans la maison d'amis. Nous inaugurons véritablement la maison ce soir. Nous montons les plats chauds et fumants à l'étage. Assis autour de la table, dans cette cuisine moderne et équipée, nous savourons notre repas en bavardant. Julie nous confie son appréhension. Sa crainte de ne pas être à la hauteur. De mal faire. Clémentine la rassure. Qu'elle fasse comme la dernière fois. Il suffit de suivre les évènements et de filmer leurs déroulements.

Nous traînons à table. Il est 19 h30. La vaisselle. Nous n'avons pas nos repères dans ce nouvel endroit. Nous avons oublié les torchons par exemple. Tant pis, nous laissons égoutter la vaisselle dans le lave vaisselle qui fonctionne pour la toute première fois. Clémentine se rend la première dans la chambre à coucher pour se changer. Il fait bien chaud. Nous pourrions nous balader à poil dans la maison. Estelle me palpe la braguette devant Julie qui fait mine de ne pas s'en apercevoir.

Clémentine revient. Elle est vêtue de sa jupe brune qui descend à mi mollets, d'un chemisier blanc aux manches bouffantes. Ses cheveux flottent sur ses épaules. Elle est chaussée de ses escarpins noirs à talons hauts. Ceux avec la fine sangle qui enserre délicatement ses chevilles. C'est au tour d'Estelle d'aller se changer. Nous descendons au salon. Clémentine donne quelques dernières recommandations à Julie. Le fonctionnement des caméras. La configuration des lieux.

Estelle descend nous rejoindre. Elle est vêtue à l'identique. Comme Clémentine. Juste la couleur de la jupe qui est pourpre. << Deux sœurs jumelles ! >> lance Julie qui en prend une fois encore conscience. C'est à mon tour d'aller me changer. Clémentine monte avec moi. Je mets mon costume noir. Ma chemise blanche. Clémentine y fixe le nœud papillon. A la salle de bain elle me coiffe. Elle lisse mes longs cheveux dont elle parfait le catogan. << James Bande ! >> me murmure t-elle.

Je réponds : << Pas encore ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous nous admirons devant le grand miroir de l'armoire. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> dit Clémentine en se lovant contre moi. Nous prenons des poses. Julie et Estelle, impatientes, montent nous rejoindre. Estelle se serre contre moi de l'autre côté. Julie nous observe en s'asseyant sur le lit. << Comme vous êtes beaux et élégants ! >> lance t-elle. << On va s'éclater devant les caméras ? >> s'écrie Estelle.

Nous dévalons l'escalier. Selon le scénario élaboré par Estelle, j'attache Clémentine sur la chaise. Le dossier entre ses jambes. Ce qui l'oblige à avoir les cuisses écartées. Elle porte son loup noir à dentelles. Ce masque qui évoque la "cour du roi". Un bal à Versailles. Julie est derrière la caméra fixe. Elle tient déjà l'autre à la main. Elle fuit mes regards. Estelle sort de la pièce pour aller dans le hall d'entrée. Je suis debout devant la cheminée une flûte de champagne à la main, l'autre dans ma poche.

<< Moteur ! >> lance Clémentine. Julie appuie sur Start. Ce n'est pas du champagne qu'il y a dans mon verre mais du jus de pomme. Nous ne buvons jamais la moindre goutte d'alcool. Estelle entre dans la pièce. Elle improvise une conversation. Nous savons jouer la comédie. Les mots échangés sont d'une banalité affligeante. Mais peu importe les mots. Estelle s'approche de moi. Elle se touche au travers de sa jupe qu'elle remonte pour glisser sa main entre ses cuisses. C'est intense.

Le comportement d'Estelle n'a rien de particulier. Elle fait ça si souvent. Mais là, animée de son fantasme de faire l'actrice porno, elle redouble de malice. Tout en se touchant, elle contourne la table basse entre les deux canapés. Elle s'approche de Clémentine attachée sur sa chaise. Julie filme en plans rapprochées. Elle tourne autour de la chaise. Elle filme Clémentine et Estelle en gros plan. Estelle saisit les cheveux de Clémentine pour me montrer son visage masqué.

Je m'approche. Julie me filme. Je suis debout devant Clémentine. Estelle lui relève la voilure de dentelle au dessus de la bouche. Je sors mon sexe. Je m'approche pour le frotter sur la bouche à Clémentine. Estelle s'en saisit pour faire de même. Je regarde les expressions de Julie pendant qu'elle filme. Je découvre à quel point elle prend du plaisir à filmer ces scènes. Quoi de plus fabuleux pour une authentique voyeuse que de se retrouver dans de telles situations.

Estelle me sort les couilles d'un mouvement lent et précis. Pour les besoins du film. Elle fourre ma queue dans la bouche de Clémentine. Julie filme en gros plan. La caméra est équipée d'un stabilisateur d'images. Ainsi les émotions de Julie ne perturbent pas la prise de vue. Estelle est accroupit à ma droite. Elle tient mes couilles de sa main gauche, la nuque de Clémentine de sa main droite. Elle appuie afin d'enfoncer toute la bite dans la bouche. Clémentine gémit de plaisir.

Nous vivons là des choses que nous pratiquons souvent. Mais là, de les faire devant la caméra, décuple leur plaisir jusqu'au vertige. Surtout que la caméra est tenue par une jeune fille de 20 ans. Une complice aussi vicieuse que nous. Pas une seule fois je n'arrive à croiser le regard de Julie. Elle est accroupit sur ma gauche à filmer. Je pose ma main sur sa tête. Elle n'a aucun réflexe. Je passe ma main dans ses cheveux. Elle reste concentrée sur sa prise de vue. Estelle remarque mon "manège".

Elle me serre les couilles d'une poigne de fer comme pour me punir. Julie se laisse caresser. Je suis très affectueux. Je me fais tailler une pipe des familles. Je lui passe la main sous les cheveux, dans la nuque. Tout comme je le fais à Estelle. Elles regardent toutes les deux cette superbe fellation masquée. Personne à part nous ne verra jamais ces images. Mais Clémentine préfère toujours garder son anonymat. Estelle retire ma bite dégoulinante de la bouche de Clémentine.

Elle se redresse. Sans me lâcher les couilles, elle m'entraîne sur le canapé de droite. Elle s'y laisse tomber en écartant ses cuisses. Je me couche sur elle en restant en appui sur mes bras. Julie reste tout près de nous pour filmer chaque instant. Nous entendons sa respiration de jeune fille excitée. Quand elle reprend sa respiration après une apnée. Cela s'entendra évidemment dans le film. Je m'introduis dans Estelle qui se met immédiatement à bouger comme elle aime. Je la baise.

Conformément aux recommandations de Clémentine, Julie filme les expressions de nos visages. Avec la chaleur et mon costume, je suis en sueur. Je ne tarde pas à suer à grosses gouttes. Même si ça commence à être vraiment désagréable, je reste concentré sur ce qui m'est demandé. Estelle pousse de petits cris. Je me retire. Je contourne le canapé pour aller tremper ma queue dans la bouche de Clémentine. Estelle vient nous rejoindre en se masturbant. Julie filme avec beaucoup de soins.

Malgré toutes mes tentatives, je n'arrive pas une seule fois à croiser le regard de Julie. Elle ne joue pas. L'intensité de ce qu'elle vit ce soir la trouble au plus haut point. Et elle veut s'acquitter du rôle qui lui est impartit. Elle s'en acquitte d'ailleurs fort bien. Je saisis Estelle par sa tignasse pour l'entraîner dans toute la pièce. Elle marche derrière moi, courbée en avant. Julie nous précède pour filmer. Je fais tomber Estelle dans le canapé de gauche. Je m'introduis comme le dernier des salauds.

Je la baise comme elle aime. Sous l'objectif et l'œil vigilant de Julie. Elle prend évidemment un indicible plaisir à nous accompagner dans une de nos soirées de débauches. Filmer, tenir la caméra, n'est qu'un prétexte pour assister au stupre et à la luxure. A chaque fois que c'est possible, je la saisis par sa nuque. Elle est toute proche à filmer en gros plans les expressions du visage d'Estelle. Qui jouit d'ailleurs comme une salope. Julie se laisse faire. Elle se rapproche même davantage.

Le fait que je lui accorde, à elle aussi, un peu d'attention, la comble d'aise. Je tiens ses cheveux en catogan. Je la regarde filmer. Elle en glousse de plaisir. Nul doute que cela s'entendra. Avec les gémissements et les cris d'Estelle qui se masturbe en se faisant baiser. Elle me repousse délicatement. Comme elle le fait toujours avant de jouir. Son orgasme est "tellurique". Je l'ai rarement vu trembler autant, tant frissonner, agitée de spasmes qui secouent tout son corps. C'est merveilleux.

Estelle jouit devant la caméra. A se revoir ainsi, lui procurera bien des plaisirs, seule dans sa chambre, devant l'écran de son ordinateur. De se voir jouer dans son propre film porno, procure des joies inexprimables. Julie filme. Je me lève pour rejoindre Clémentine. Je lui relève le voile de dentelle au dessus de la bouche. Elle bouge doucement en se frottant sur la chaise. Je découvre qu'elle est dégoulinante de sueur. Il fait décidément trop chaud. Julie vient filmer en très gros plan.

Je ne sais pas si c'est pour filmer seulement car elle me présente sa nuque. J'éjacule dans la bouche de Clémentine. Elle a encore parfaitement interprété son rôle de "soumise" passive. Il y a tellement de foutre que c'est une explosion de sperme dans la bouche baveuse de Clémentine. Ça gicle. On entend distinctement le profond soupir jouissif de Julie. Estelle vient nous rejoindre. Accroupie. Je lui donne ma bite à sucer. Il y a un des trois premiers signaux qu'émet la caméra.

Il reste deux minutes dans la carte SD. Estelle, trempée de sueur, montre l'intérieur de sa bouche à l'objectif de la caméra. Caméra qui émet son dernier signal. Pas une seule fois Julie n'a utilisé la caméra fixe. Elle est restée à filmer dans le feu de l'action. Je détache Clémentine qui se touche immédiatement. Nous nous affalons dans les canapés. Je suis totalement vanné. Estelle est épuisée, sa tête sur mon épaule. Nous regardons Clémentine se masturber.

Julie se touche. Galvanisée par l'attitude de Clémentine, excitée par ce qu'elle a vu, Julie peut elle aussi s'offrir un orgasme bien mérité. Elle jouit doucement. En se mordillant la lèvre inférieure. Un orgasme à son image. Délicat, inhibé, timide, sans ostentation. Alors que celui de Clémentine, cuisses écartées, est "nucléaire". Julie me fait enfin un timide sourire en quittant la pièce pour courir aux toilettes. Je suis entre mes deux anges. Elles sont serrées contre moi. Nous reprenons nos esprits.

Julie revient. Comme perdue. Elle regarde partout, comme affolée. << Un problème ? >> demande Estelle. << Non ! Mais j'ai tellement honte de faire ça devant quelqu'un ! >> répond Julie. Julie n'est pas du tout exhibitionniste. Clémentine lui a déjà proposé de l'initier. C'est encore un vague projet. Nous quittons la maison d'amis pour rentrer. La nuit est glaciale. Nous courons presque pour traverser le jardin. Julie fait son pipi toute seule. Alors que nous y allons tous les trois.

Lavage de dents. Julie s'est mise en pyjama. La voilà couchée dans son canapé lit. A l'autre bout de notre grande chambre à coucher. Je suis entre mes deux anges. Estelle demande : << Tu as fais du super bon boulot Julie. Félicitations ! >>. Elle rajoute : << Tu es belle quand tu te branles. Tu fais ça souvent ? >>. Julie a un petit rire nerveux avant de répondre : << Oui ! >>. Clémentine rajoute : << On se fait une soirée masturbations tous les quatre ! Ça te dit ? >>. Julie s'endort sans répondre.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment jouer à l'actrice porno devant une complice très voyeuse et vicieuse qui tient la caméra...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1452 -



Un dimanche avec quelques surprises

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon profond sommeil par les incessants mouvements que fait Estelle avec ses pieds. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi comme une naufragée à sa bouée. C'est adorable. Elle sait quand je ne dors plus. Elle se serre encore plus fort en glissant sa main dans mon slip. Elle saisit mon érection matinale en gémissant. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Il est plus de neuf heures.

Nous regardons Julie s'étirer dans son canapé lit. Elle ouvre les yeux. << Bonjour ! >> fait elle en se redressant pour s'assoir. Elle est vêtue de son pyjama blanc. << Bien dormi ? >> demande Estelle en faisant glisser la couette pour montrer ma queue qu'elle tient. Julie fait mine de ne pas s'en apercevoir. Comme mues par le même réflexe, sans même se consulter, Clémentine et Estelle me font plein de bisous sur la bite avant de se la refiler en suçant. Je les tiens par la nuque.

C'est toujours une très curieuse impression le matin. Pas vraiment agréable car mon érection n'est pas la cause d'une excitation quelconque. Julie ne peut faire autre chose que de voir, de constater. Elle se lève. Estelle lui fait : << Viens. On prend notre friandise d'avant petit déjeuner ! >>. Clémentine cesse de sucer pour rajouter en lui tendant ma queue : << Oui, viens te régaler ! >>. Pour toute réponse, profondément embarrassée, Julie dit : << Il faut que j'aille aux toilettes ! >>.

Elle ne revient pas. Nous en rions de bon cœur. C'est Estelle qui va aux toilettes la première avec ses vêtements à la main. Clémentine et moi nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Julie et Estelle à la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé, de la brioche embaume toute la grande pièce. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit.

Le dimanche matin, pas d'entraînement, de gym ou encore de jogging. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, Estelle et Clémentine reviennent sur notre soirée. "La crémaillère". Ce film que nous avons tourné pour immortaliser la soirée d'inauguration de notre maison d'amis. Julie écoute en souriant. Je la félicite pour son travail à la caméra. Estelle en fera un montage. Soirée cinéma samedi prochain.

<< Tu viens regarder le film avec nous ? >> demande Estelle. << Oui ! Volontiers. Je me ferai remplacer pour les livraisons ! >> répond instantanément Julie. << Génial ! >> s'exclame Clémentine. Nous débarrassons. La vaisselle. Nous mettons nos anoraks. Nous en prêtons un vieux à Julie. Nous sortons. Il est 10 h. Le thermomètre extérieur indique 10°. Il fait un peu moins froid. Nous traversons le jardin pour aller ranger la maison d'amis. Récupérer la vaisselle.

Nous n'avons laissé aucune trace. Aucune séquelle de nos extravagances sexuelles de hier soir. Julie ne peut cacher sa joie d'être avec nous. Elle dit : << Je peux dormir ici samedi prochain ! Je dors si bien dans ce canapé lit ! >>. Nous en rions de bon cœur. Estelle nous entraîne tous les quatre dans une farandole autour des canapés. Julie rit aux éclats. Il est certain que d'être avec nous agit sur elle à la manière d'une thérapie. Nous quittons pour traverser le jardin.

Nous rangeons la vaisselle. Nous ressortons pour descendre jusqu'à la rivière. Julie doit nous quitter pour 11 h15. Ses livraisons de repas l'attendent jusqu'à 14 h30. Nous évoquons nos réalisations. C'est la seconde fois que Julie officie derrière la caméra. << Jamais deux sans trois ! >> précise Estelle en me sortant la queue. Cette fois Julie observe. Elle me lance un regard furtif et me fait un merveilleux sourire. Estelle et Clémentine lui présentent mes attributs virils.

Clémentine me tient les couilles. Estelle tient ma queue qu'elle agite vers Julie. Une nouvelle fois, toutes les deux invitent Julie à y gouter. C'est toujours un embarras profond qui s'empare de Julie. Je sens l'énorme tentation qui s'opère dans sa psyché. Ce matin encore, sans chercher à le dissimuler, elle en est morte d'envie. Pour échapper à cette terrible attraction, elle nous tourne le dos pour se mettre à marcher. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres.

<< C'est l'endroit idéal pour le film que je veux réaliser ! >> lance Julie qui ouvre la marche. Elle aussi veut mettre ses fantasmes en images. C'est Clémentine qui s'occupera du tournage. Estelle fera "décor" comme elle le dit en riant. Il faut penser à revenir. Nous prenons le sens inverse. Julie récupère sa petite valise. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle semble habitée d'une tristesse infinie. C'est la première fois qu'elle se blottit dans mes bras. C'est émouvant.

Les yeux en larmes elle dit : << Je vous livre lundi soir ! Vous allez me manquer ! >>. Clémentine la serre contre elle. Puis c'est au tour d'Estelle. Nul doute que notre relation vient de franchir un nouveau cap. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. De monter pour nous changer. Nous sommes attendus à midi chez les parents d'Estelle. Nous plions le canapé lit. << Pas de chichis, on reste en jeans ! >> propose Estelle.

Nous mettons simplement tous les trois des chemises blanches avec nos jeans propres. Nos blousons en cuir noir. Une écharpe de soie négligemment nouée autour du cou. Nos bottines. << Les trois mousquetaires ! >> lance Estelle. Nous prenons des poses devant le grand miroir de l'armoire. Nous dévalons les escaliers. Nous sortons l'auto du garage. Nous prenons la grosse berline allemande. Il y a trois kilomètres jusqu'au bourg, le lotissement où habite Estelle.

<< Je te rappelle, à tout hasard, cher Julien, que ma mère a vu ta bite sur les deux photos qu'elle a trouvé sur mon téléphone ! >> lance Estelle quand je me gare dans l'allée de la maison. Bien sûr, je n'arrête pas d'y penser et cela me gêne horriblement. C'est Yvan, le papa d'Estelle qui vient nous accueillir en sortant de son garage. Nous avons tous deux la même taille. Le même physique athlétique. Lui aussi pratique le culturisme depuis de nombreuses années.

Il est tout content de nous revoir. Estelle se précipite pour se serrer contre lui. << Tu es beau papa, aujourd'hui ! Je t'adore en jeans ! >> fait elle en s'accrochant à son bras. Yvan nous invite à le suivre. Michèle, la maman d'Estelle vient à notre rencontre dans le couloir. Elle est absolument magnifique. La grande sœur d'Estelle plutôt que sa mère. Nous gardons nos distances. Michèle et Yvan sont vêtus comme nous. Chemisiers blancs, jeans propres. Estelle fait bien les choses.

Nous voilà installés dans le salon. Autour de la grande table. C'est Estelle qui anime ce début de conversation. Elle aide sa maman à ramener les plats. Un gratin de choux fleurs confis absolument délicieux. De la lotte en Béchamel accompagnée de beignets de crevettes, de crabes. De fines tranches de pain grillé aillées et persillées. Nous bavardons en riant. Yvan parle de l'entreprise familiale qui ne cesse de se développer. Ce secteur d'activité est florissant avec la "crise".

Michèle parle de l'administratif. Du projet d'embaucher une secrétaire à temps plein. Elle ne peut plus assurer la paperasserie toute seule. Même avec l'aide d'Estelle qui la seconde lors de ses après-midi de libre. Nous allons prendre l'air. Il fait presque doux au soleil, dans le grand jardin. Estelle reste accrochée au bras de son papa. Michèle marche aux côtés de Clémentine qui me tient la main. Nous marchons vers les bâtiments de leur entreprise. C'est plutôt vaste.

C'est là que je découvre le regard de Michèle. Nous sommes tous deux l'un face à l'autre dans le grand hall d'entrée. L'odeur forte du carton. Elle fixe ma braguette avec insistance. Je suis soudain terriblement gêné. Je pense aux photos qu'elle a vu. Estelle et Clémentine suivent Yvan qui explique quelques fonctionnements. Nous restons à distance. Michèle me dit : << Félicitations ! C'est impressionnant ! >>. Elle fait évidemment allusion à mon sexe. J'ai soudain honte.

Elle enfonce le clou pour m'achever en murmurant : << Dans la réalité ça doit être fameux ! Elle a de la chance Estelle ! >>. Je suis pris de vertige. Je ne sais quoi dire. Je crois que je devient tout rouge. Je sens la sueur perler sur mon front, le bout de mon nez. Michèle, prenant conscience de mon embarras, éclate de rire. << Venez, rejoignons notre guide ! >>. Elle pointe son doigt vers ma braguette en me faisant un sourire équivoque. Son regard est suggestif. C'est une vicieuse.

<< Telle mère, telle fille ! >> comme me précise si souvent Estelle. Il me vient soudain une idée. Et si je lui montrait ma queue ? Discrètement ? Les parents d'Estelle veulent absolument voir notre nouvelle maison d'amis. Nous les invitons pour dimanche prochain. Ils viendront manger à leur tour à midi. Yvan nous invite à le suivre dans les différents ateliers de son entreprise. Il prend visiblement un grand plaisir à nous expliquer ce qui s'y passe. Avec une certaine fierté.

Michèle me lance quelques regards étrangement insistants. A nouveau seule avec moi, avant de quitter le bureau, elle se tourne franchement vers moi. Elle fixe à nouveau ma braguette. Je bande presque instantanément. La présence d'une vicieuse a toujours cet effet là. Surtout quand elle me le fait savoir par une attitude aussi évidente. << Au début, je trouvais l'amitié de ma fille pour vous "malsaine". Je vous le dis franchement. Mais c'était "avant" ! >> lance t-elle.

Je ne sais quoi dire. Je suis plus âgé que le père d'Estelle. Il y a de quoi se sentir mal à l'aise. Mais depuis presque trois ans, nous entretenons une amitié naissante. Yvan n'évoque jamais les préférences relationnelles qu'éprouve sa fille. Il connait Clémentine depuis son adolescence. Quand elle venait à la maison faire ses devoirs avec Estelle. C'est à son tour de me glisser discrètement : << Vous en avez de la chance, Julien, elle est magnifique Clémentine ! >>.

Que de surprises en ce dimanche. Nous retournons au salon. Vautrés dans le canapé et les fauteuils, nous savourons le thé et les coupes glacées. Je surprends à plusieurs reprises le regards de Michèle. Sur ma braguette. Par en dessous quand elle me fixe. Il est 16 h quand nous prenons congé. Yvan et Michèle sont attendus dimanche prochain. Ils se réjouissent. Ils nous raccompagnent jusqu'à la voiture. << Je vous l'achète dès que vous la vendez ! >> me fait Yvan.

Je roule doucement. Clémentine m'a sorti la queue qu'elle suce pas instant. Estelle assise à l'arrière me tire les oreilles. << Tu arrêtes de draguer ma mère espèce de salaud ! Tu crois que je n'ai rien vu ! Hein ? C'est une femme mariée ! >> me fait elle à plusieurs reprises jusqu'à la maison. J'ai beau l'assurer que je n'entreprends strictement rien et que l'idée même me révulse. Nous voilà de retour. Clémentine, à qui rien n'échappe revient sur l'attitude de la maman d'Estelle.

<< Telle mère, telle fille ! >> lance t-elle. Nous en rions aux éclats. Estelle sait bien que tout cela n'est qu'un jeu. Qu'il n'arrivera rien. Par contre je lui avoue mon envie de montrer ma queue à sa maman. << T'es vraiment le dernier des salauds ! >> s'écrie t-elle en empoignant ma braguette avec force. << Tu as vu comme elle mâtait sa braguette ? Sans déconner ! Si ce n'est pas pour en savoir davantage ! >> lance Clémentine. Estelle me sort le Zob. Il est gluant de jus.

<< Regarde un peu ! Il en a bavé du jus de couille ! C'est maman qui te mets dans ces états là ? Salaud va ! >> fait elle en me faisant tomber dans le canapé. A genoux sur un des épais coussins, Estelle me taille une pipe. Clémentine assise dans le fauteuil nous observe en se masturbant. Elle me fait des clins d'œil. Je caresse la tête d'Estelle en lui chuchotant des saloperies. J'évoque évidemment Michèle. Elle cesse pour me dire : << J'ai déjà surpris mes parents à "ça" ! >>.

<< Tu vois bien ! Telle mère, telle fille ! >> rajoute Clémentine. Estelle suce comme si sa vie en dépendait. Il commence à faire faim. Nous cessons pour aller à la cuisine. Il est 19 h. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la potée de légumes. Il y en aura encore pour demain midi. Estelle prépare une belle omelette aux trois fromages. Elle y rajoute de fines tranches d'un avocat. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de ce week-end. C'était passionnant.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles reviennent sur le film de hier soir. Clémentine me confie à quel point elle a adoré. Estelle m'avoue à quel point elle aime se faire baiser comme je le fais. Je propose à mes deux anges une soirée léchage de minous. Inutile de le proposer deux fois. La vaisselle. Elles m'entraînent toutes les deux au salon. A genoux sur les épais coussin, je bouffe de la chatte en appréciant les parfums et les saveurs d'un dimanche sans douche.

Bonne soirée à toutes les coquines qui préfèrent se faire nettoyer la chatte par une bouche plutôt que par une douche...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1453 -



Un début de semaine dans la lancée du week-end

Hier matin, lundi, nous sommes tirés de nos profonds sommeils par cette douce application téléchargée. Des chants d'oiseaux et le bruit d'une source qui nous paraissent encore plus mystérieux. Ils résonnent si étrangement au fond de cette forêt. Tout cela ne dure que très peu de temps. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent contre moi comme pour se réfugier de ce réveil. Nous restons ainsi en modulant longuement nos gémissements. Il est presque six heures.

Estelle se lève la première. Ses vêtements de sport à la main, elle se précipite aux toilettes. Nous nous habillons. C'est à notre tour. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Son odeur se mêle à celle du café, du pain grillé et du feu que rallume Estelle dans la cuisinière à bois. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur les moment les plus intenses de ce week-end. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants. Estelle devra nous laisser immédiatement après. Charges additionnelles. Abdos et stretching. Estelle file à toute vitesse. Des bises et la voilà qui dévale l'escalier en lançant : << A demain soir ! Soyez sages ! >>. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. 7 h50.

Jeans, chemises à carreaux, nous redescendons à notre tour pour mettre nos anoraks, bonnets, gants. Au dehors il fait un froid cinglant. << Ce maudit hiver qui n'en finit plus ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la main. Nous traversons le jardin pour aller sous l'abri à bois. Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Nous nous dépêchons de rentrer car les cours en lignes commencent à 8 h05. Nous voilà dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette seconde scène de genre destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement et totalement. Je peins dans une sorte d'enthousiasme délirant. C'est tellement passionnant que je chantonne à voix basse pour ne pas déranger Clémentine déjà concentrée sur son télé travail. L'ambiance studieuse que nous aimons.

La matinée se passe ainsi. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans le feu. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je réchauffe le reste de potée de légumes. J'enduis de moutarde à l'ancienne deux beaux filets de limande. Je les saisis à la poêle avec de l'ail et de l'échalote. En fin de cuisson j'y rajoute un petit pot de crème fraîche et du gruyère de Comté finement râpé. C'est un délice.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur l'attitude de Julie samedi soir. Sur l'attitude de la maman d'Estelle, hier. << Nous avons un tissu social de rêve. Tu ne trouves pas ? >> me demande t-elle. Il faut admettre que nous sommes des privilégiés. Que nos relations sont gratifiantes à tous points de vues. Nous débarrassons. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents.

Pressés de sortir un peu, nous descendons les escaliers à toute vitesse pour enfiler nos anoraks. Ce soleil et ce ciel bleu sont trompeurs. Car le froid est vif. Attisé par un vent de Nord Est détestable. Bonnets, gants. Clémentine reste à mon bras. Nous descendons jusqu'à la rivière. << Je déteste quand il fait beau mais froid ! >> fait Clémentine en m'entraînant sur le sentier qui longe la rivière. << J'ai adoré être attachée sur ma chaise samedi soir. Ces situations me manquent ! >> dit elle.

Clémentine est une authentique "Soumise". Aussi je lui promets de remédier à ce manque très bientôt. Même si je n'ai pas l'âme d'un "Maître" je sais en interpréter le comportement à la perfection. J'ai appris avec elle. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à retourner. Nous remplissons une nouvelle fois la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Nous rentrons au chaud. Nous voilà dans la douce chaleur de l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur.

Je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé du même sentiment que ce matin. J'entends parler Clémentine. Ses échanges avec son professeur et des étudiants de son groupe. La conversation semble quelquefois très passionnée. L'après-midi se déroule dans une émulation si positive. Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle regarde ma peinture en jouant avec mon sexe. Je pose ma palette pour saisir sa nuque.

Je prends sa natte à pleine poigne. Je me lève. Je tire sur sa natte comme sur une laisse. Clémentine se met à quatre pattes. Je l'entraîne ainsi pour faire le tour de la grande pièce. Aux coins de chaque meuble, Clémentine s'arrête pour lever la patte. Je dis : << Aujourd'hui, c'est la journée des "droits de la femme". Ce qui n'a rien à voir avec la journée des femmes ! Voulez-vous bien pardonner mon comportement, ma délicieuse "Soumise" ? >>.

Clémentine se redresse. A genoux, les mains croisées sur la tête, elle fait : << Mon doux "Maître", vous m'accordez ce soir le droit au plaisir. Vous m'accordez en permanence le droit au bonheur ! Et pour tous les autres "droits", je les ai déjà volé depuis longtemps ! >>. Je m'accroupis devant elle pour caresser son visage. Sans lâcher sa natte. Je lui dépose plein de bisous en murmurant : << Je vous aime ma délicieuse "Soumise". J'admire vos traits d'esprit et votre raison ! >>.

Je me redresse. J'ouvre ma blouse pour frotter ma bite sur son visage. Elle m'en présente toutes les aspérités en gémissant de plaisir. Je l'aide à se relever. Je me penche pour lui masser les genoux. Clémentine doit encore mettre ses notes du jour au propre. Je l'entraîne par sa natte jusqu'à la table de travail. Nous nous embrassons avec tant de passion que la salive mouille nos mentons. Clémentine s'installe confortablement dans le vieux canapé de l'atelier.

Je suis à nouveau installé devant mon chevalet. Ce petit intermède ludique n'a pas entamé notre acharnement au travail. Clémentine, son ordinateur sur les genoux, griffonne sur son calepin. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est déjà 18 h. Je retire ma blouse. Avec la bite à l'air, je viens rejoindre Clémentine qui termine ses écritures. Couchée sur le dos, sa tête sur mes genoux, elle me confie son profond désir d'être "soumise" : << J'ai besoin d'être "recadrée" ! >> dit elle.

Elle frotte sa joue contre ma bite. Je caresse sa tête. Je lisse ses cheveux en écoutant ses souhaits. Je promets d'offrir une attention toute particulière à ses envies. Je me lève. Je la saisis une nouvelle fois par sa natte. Je l'entraîne. Elle marche derrière moi, courbée en avant. Je donne quelques à coups. Nous quittons l'atelier pour le salon. Près du bureau, j'ordonne : << A genoux ! >>. Clémentine s'exécute immédiatement. Mains croisées sur la tête. Son regard plein de reconnaissance.

Du tiroir du bas, je tire le foulard en soie, le collier canin et la laisse. Je passe le foulard en soie autour de son cou. Par dessus j'y attache le collier en cuir. J'y fixe la laisse. Je l'entraîne une nouvelle fois à quatre pattes. La musique imbécile de mon téléphone le fais vibrer. Je le tends à Clémentine. << Julie ! >> dit elle. J'aide Clémentine à se redresser. Je l'emmène, tenue à la laisse, dans le hall d'entrée. Nous accueillons Julie toute heureuse de nous revoir. Je la débarrasse de sa grande boîte.

Cette caisse isotherme qui contient notre repas du soir. Julie observe le cou de Clémentine paré de son collier canin en cuir. De la laisse qui pend jusqu'à ses cuisses. Clémentine débarrasse Julie de son anoraks. Le rituel habituel. Nous nous passons les mains au gel hydroalcoolique. Nous invitons Julie à nous suivre à la cuisine. Je sors les cinq tourtes aux fruits de mer. Elles sont encore hyper chaudes. Elles sont magnifiques dans leurs croûtes de pâte feuilletée dorée.

Clémentine ouvre les boîtes en plastique qui contiennent les salades. Julie nous raconte sa journée de télé travail. Ses cours en lignes. L'ambiance de la faculté de Lettres Modernes qui lui manque tant. C'est éprouvant. Cette crise sanitaire qui n'en finit plus. Du moins l'idée que l'on tente de nous en imposer. << Personne n'y croit plus ! Sans entrer dans des thèses complotistes, tout ça cache autre chose ! >> lance Julie qui en parle avec un certain énervement. Nous dressons la table.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études. Cette fois encore c'est Julie qui revient sur notre soirée de samedi. "La crémaillère". Elle nous confie à quel point cela comble son plaisir de voyeuse. Clémentine dit : << Nous aurons d'autres occasions de donner libre cour à nos fantasmes. Et puis tu te débrouilles plutôt bien avec une caméra ! >>. Julie me lance des regards furtifs. Elle me fait de petits sourires timides. J'adore ses attitudes inhibées.

Je me lève à plusieurs reprises pour agiter ma queue dans sa direction. Je bande mou. Elle détourne à chaque fois les yeux pour poser une question à Clémentine. C'est sa façon de fuir cet embarras que pourtant elle recherche tant. Paradoxe féminin qui suscite mon admiration. Nous traînons à table. Demain après-midi, mardi, nous devons nous rendre à l'hypermarché. La logistique impose d'y faire des achats. La zone commerciale est à quelques kilomètres de chez Julie.

Elle nous invite à passer. << Je suis seule. Je termine les cours en ligne à 16 h. Venez. Je vous ferai visiter la maison de mes parents. C'est modeste. Ça vous tente ? >> dit elle. << Super ! >> répond Clémentine. Nous promettons de venir pour 16 h15, après les courses. J'invite Julie à jouer un peu. Je dois pisser depuis la fin de l'après-midi. Je me lève pour aller aux toilettes. Je suis debout devant la cuvette, ma queue à la main. Je me concentre pour pouvoir pisser en érection.

La porte s'ouvre. Clémentine vient s'appuyer contre le lavabo, à ma droite. Julie me contourne pour aller se positionner entre l'armoire à pharmacie et l'étagère des serviettes et du papier cul. Clémentine, les bras croisés, observe la scène. Julie évite mes regards insistants pour se concentrer sur ma queue. Je me branle doucement en décalottant légèrement mon sexe. Je peux entendre la respiration des deux filles concentrées sur ma masturbation. Je suis moi-même en apnée.

Ce sont toujours de grands moments. D'être ainsi observé avec attention, décuple les sensations. C'est terriblement excitant. Il me faut à la fois lutter contre une gêne bien naturelle et garder la maîtrise de mon activité. Je pourrais éjaculer tellement c'est agréable. Je n'arrive pas à pisser. Pourtant je cesse à plusieurs reprises pour me concentrer. Il y a juste du liquide séminal qui perle au bout du méat. Une grosse goutte épaisse de sperme qui reste en suspend à l'extrémité.

Julie, les mains posées sur ses genoux, penchée en avant, scrute avec attention. Elle est super belle avec ses cheveux en libertés qu'elle tient à présent d'une main. Ses lunettes d'étudiante qu'elle doit réajuster à cause de la sueur qui perle sur son nez. Aux soupirs qu'elle pousse entre ses apnées, je devine son degré d'excitation. Julie se retrouve une fois encore dans cette situation qui reste sa préférée. Assister à ce que fait un homme dans les toilettes lorsqu'il vient y pisser.

Clémentine se précipite. Elle me tend la laisse en s'accroupissant. Julie pousse un petit cri. Son excitation est trop forte. Je saisis la laisse au plus court. Je donne un à coup. Clémentine, d'un mouvement de tête gracieux, gobe mon sexe pour le sucer comme si sa vie en dépendait. Je regarde Julie s'approcher pour s'accroupir à ma gauche. Elle observe la pipe. Je pose ma main sur sa tête. Elle se laisse faire en se penchant encore davantage. Clémentine cesse de sucer.

Elle lui présente cette queue qui la fait mourir d'envie. Julie hésite. << Miam ! >> murmure Clémentine. Pour fuir cette terrible tentation, Julie se redresse. Elle m'adresse un timide sourire. Elle n'ose pas. Clémentine se redresse à son tour. Nous quittons les toilettes pour retourner à la cuisine. Julie insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi nous essuyons la vaisselle. Julie a besoin de retrouver ses esprits. Nous la raccompagnons à sa voiture dans la nuit glaciale. 22 h.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment aller mâter les mecs dans les toilettes. Surtout quand c'est le mec du couple d'amis...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1454 -



Une petite visite chez Julie

Hier matin, mardi, accompagnant encore nos rêves, le chant de ces oiseaux mystérieux, le bruit de cette source, nous tirent de nos profonds sommeils. L'application téléchargée fait encore son office. Il est presque six heures. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Le mardi elle termine à midi. Ce qui la rend plutôt euphorique. J'adore quand elle est déconneuse. C'est par mon érection matinale qu'elle m'entraîne aux toilettes. Elle me tient la bite pour en diriger le jet.

Vêtus de nos tenues de gym, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Je rajoute une bûche sur les braises de la cuisinière à bois. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur la visite de Julie hier soir. << J'adore ton comportement de satyre devant les filles ! >> fait Clémentine en se levant pour me couvrir le visage de bisous. Il est 6 h25.

Nous remontons pour achever de nous réveiller complètement. Rien de telle qu'une bonne heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Notre douche. Vêtus de nos jeans, chemises à carreaux, nous redescendons pour mettre nos anoraks. Bonnets, gants. Il fait encore un froid hivernal sous ce ciel uniformément gris. << Déplorable ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'à l'abri à bois. Il est 7 h50.

Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Il faut se dépêcher de retourner car les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Elle chantonne. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je peins dans cette délicieuse euphorie communicative. C'est encore un grand moment.

La matinée passe à une vitesse folle. Plus rapidement pour moi que pour Clémentine qui se bat avec des mathématiques. Il est 11 h55 quand elle vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je termine probablement cette seconde scène de genre destinée à ma saison d'été demain pour midi. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe les deux tourtes aux fruits de mer.

Nous en commandons cinq à Julie chaque lundi soir. Ce qui permet d'en avoir encore le lendemain. Ces tourtes sont tellement délicieuses. Je coupe et je lave deux gros poireaux. Les deux tiers de la pâte feuilletée décongelée depuis ce matin sont étalées dans le grand plat à tarte. Je concocte une Béchamel. J'égoutte les poireaux pour les rajouter à la Béchamel. Clémentine y rajoute le gruyère de Comté qu'elle vient de râper. On verse le tout sur la pâte feuilletée.

Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée. Clémentine en badigeonne la surface du mélange œuf, moutarde, lait de soja et graines de sésame. Je sors les deux tourtes aux fruits de mer du four pour y mettre la Flamiche Picarde. Cette tarte aux poireaux qui fait les délices de nos mardis soirs. Cuisson programmée et à 180° pour laisser mijoter. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine fait le programme de l'après-midi.

Nous avons prévu d'aller à l'hypermarché. C'est impératif. Ensuite nous irons visiter Julie pour répondre à son invitation. Il faudra être de retour pour 18 h. Estelle sera déjà là. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents et nous changer. Sur la demande de Clémentine, je mets un pantalon noir à plis. Ma chemise blanche sous un pull bleu nuit au col en "V". Elle s'habille exactement de la même manière. Nous prenons des poses devant le miroir de l'armoire.

<< Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> fait Clémentine en s'accroupissant sur ma droite. Enserrant ma jambe de ses bras, sa tête contre ma cuisse, elle dit : << Je vous aime mon doux "Maître" ! >>. Je pose ma main sur sa tête pour répondre : << Je vous aime ma douce "Soumise" ! >>. Pressés de filer, nous descendons à toute vitesse revêtus de nos manteaux noirs, de nos écharpes crèmes et de nos chapeaux feutres. Nous adorons l'élégance chic.

Nous prenons la grosse berline allemande. Depuis presque deux ans la Mercedes n'a que 6 400 km au compteur. Il faut qu'elle roule. Il est 13 h30. Nous voilà partis. Je roule doucement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. << Nous avons "soirée cinéma" samedi prochain. Je me réjouis déjà ! >> dit elle. Nous visionnerons le film tourné samedi dernier. "La crémaillère". Moi aussi je me réjouis. Il y a 13 km jusqu'à la zone commerciale.

Nous garons la voiture sur le parking de l'hypermarché. Avec du gel hydroalcoolique je nettoie la poignée du caddie. Nous enfilons nos gants de fin caoutchouc "Mappa". Aucun contact avec quoi que ce soit. Même si nous ne croyons plus un seul instant à toutes stupidités nous enfilons nos masques sanitaires. Je pousse le chariot. Clémentine, la liste des courses à la main, nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. Nous attirons l'attention, les regards.

Il n'y a pas grand monde. L'affluence se fait à partir de 16 h. Le couvre feu impose la fermeture des commerces pour 18 h. << Ils auront fait toutes les conneries sans en oublier une seule toute cette bande de tocards ! >> lance Clémentine. Il nous faut des produits d'entretien. Des éponges, du papier cul, du Sopalin, des céréales, de l'huile d'olive, de noix et quantité de choses pour plusieurs semaines. De quoi remplir le caddie. Nous flânons un peu.

Nos hautes tailles, notre élégance, attirent bien des interrogations. Nous renouons avec cette vieille tradition qui consiste à faire un tour aux rayons culturels et aux rayons des vêtements hommes. << Tu te souviens quand ces pitres ridicules ont imposé la fermeture des librairies l'an dernier. Les supermarché étaient obligés de bâcher les bouquins ! Et de tels trous du culs dirigent un pays ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus de tant de connerie.

Il n'y a aucune opportunité de s'amuser un peu. Nous faisons le tour des rayons trois fois. Parfois on s'arrête pour feuilleter un livre, un album ou encore une bande dessinée. Clémentine nous entraîne dans les rayons des vêtements hommes. Il y a un type seul. Il est accroupit devant les chaussettes. Je reste à l'écart, en tête de gondole. Clémentine avance doucement en poussant le chariot. Elle s'arrête deux mètres après l'inconnu. Il se redresse.

Il doit lui arriver à l'oreille. Il mâte la superbe jeune femme d'une élégance folle debout sur sa droite. Avec ses talons et son chapeau, Clémentine flirt avec le mètre quatre vingt dix. Le quidam a donc de quoi être impressionné. Il l'est d'autant plus que Clémentine a une main entre ses cuisses. Les pans de son manteau ouvert dissimule parfaitement ce qu'elle fait. Je suis à une dizaine de mètres à faire semblant de choisir une chemise en promotion.

Le mec cache Clémentine à ma vue. J'aimerais bien voir ce qu'elle fait. Je sais qu'elle se touche. Notre "victime potentielle" semble déstabilisée. Je suis certain qu'il se touche aussi. Il est vêtu d'un jeans, d'un anoraks. Il doit avoir la trentaine. Le manteau permet à Clémentine d'exagérer. Ce qu'elle fait avec plaisir. Ça fait tellement longtemps qu'elle ne s'est pas exhibée. Cette opportunité mérite donc toute sa virtuosité. Le type se touche. J'en suis sûr.

Surtout que Clémentine tourne ostensiblement sa tête dans sa direction. Elle fixe probablement sa braguette avec insistance. Je me mets à la place de ce pauvre homme. Il ne s'attendait pas à une telle aventure en venant choisir des chaussettes. Il y a une jeune femme qui arrive. Elle pousse un chariot. Merde. C'est la compagne de notre chanceux. Elle dévisage Clémentine avec un regard inquisiteur en rejoignant son compagnon. Certainement une jalouse.

Clémentine vient me rejoindre. Nous nous dirigeons vers les caisses. Clémentine vérifie une dernière fois la liste. Nous avons tout. Nous rangeons nos achats dans le coffre d'auto. Nous voilà repartis. Clémentine me raconte. << Il n'arrêtait pas de se palper la braguette. Il était à deux doigts de sortir sa queue ! Il faut dire que je me touchais comme la dernière des salopes ! >> me raconte Clémentine. Nous passons devant l'université. Clémentine en est nostalgique.

Il y a trois kilomètres jusqu'au lotissement où habite Julie. Le GPS nous guide. Il est 16 h15 quand nous nous garons devant le No 11. << Notre chiffre porte bonheur ! >> lance Clémentine. En effet toutes nos existences, à tous les deux, sont balisées du chiffre 11. Julie vient sur le perron. Nous passons par le portillon. Elle est toute heureuse. C'est à nous de procéder au rituel. Clémentine sort le flacon de gel hydroalcoolique de son sac à main. Nous rions.

<< Comme vous êtes beaux et élégants tous les deux ! >> fait Julie en nous invitant à la suivre. Ses parents travaillent. Nous montons à l'étage. Julie nous fait découvrir son univers de jeune fille. Sa chambre est spacieuse, lumineuse. Un lit, une table de nuit. Une armoire, une petite table guéridon. Un bureau sur lequel trône un ordinateur, des livres. Tout est méticuleusement rangé. Julie s'assoit sur son lit en disant : << Voilà l'endroit où je vis, où je travaille ! >>.

Elle fixe ma braguette, soudain rêveuse avant de rajouter : << Si j'avais su qu'un jour vous visiteriez ma maison, que vous seriez dans ma chambre ! Ça me fait tout drôle ! >>. Clémentine répond : << A nous aussi. C'est presque surréaliste. Très insolite ! Merci pour ton invitation ! >>. Julie nos propose de redescendre prendre le thé. Son père rentre le premier pour 17 h15. Il est hors de question de rester au-delà de 17 h. Nous voilà assis dans le canapé du salon.

C'est une maison simple. L'ameublement est de bon goût. << Mon papa est dans l'administration. Ma maman dans le commerce ! >> précise Julie. Elle rajoute : << Les toilettes sont au fond du couloir à gauche ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine dit : << C'est une convention humaine, les toilettes au fond des couloirs, à gauche ! >>. Je comprends que c'est peut-être une suggestion de la part de Julie. Je me lève en disant : << Vous pouvez m'y emmener ? >>.

Julie se lève d'un bond. Trop contente que j'ai compris l'invitation. Clémentine qui vient de saisir également, se lève pour nous suivre. C'est un petit cabinet de toilettes. Il suffit juste à nous maintenir tous les trois à l'étroit. J'ai la bite à la main. Clémentine debout à ma droite l'observe. Julie à ma gauche regarde. Un premier jet. La respiration des filles changent. Je propose à Julie de me la tenir. C'est déjà arrivé il y a plus d'un an. Quelle surprise, elle la prend en main.

Elle en dirige les jets. Je commence à bander. << C'est comme tenir un tuyau d'arrosage. On sent quand ça passe ! >> lance Julie comme admirative. Clémentine rajoute : << Et quand tu suces, tu le sens venir ! >>. Julie rit un peu nerveusement. Elle me lâche la queue. Clémentine s'en saisit pour en secouer les dernières gouttes. Julie, comme par peur de laisser la moindre trace, essuie le bord de la cuvette avec du P.Q. avant de tirer la chasse. Nous ressortons.

Nous ne nous attardons pas. Julie nous raccompagne jusqu'à l'auto. Il fait froid. Elle vient nous voir vendredi après-midi. Un dernier coucou. Il est 17 h30 quand nous revenons. Estelle est déjà là. Elle nous aide à ranger les courses. Elle a passé son après-midi avec sa maman au bureau de l'entreprise familiale. << Maman n'arrête pas de parler de toi ! Tu cesses de l'envoûter espèce de vieux salaud ! >> dit elle en glissant sa main dans ma braguette ouverte.

Nous montons nous changer. Estelle, assise sur le lit nous raconte le montage du film qu'elle a commencé hier soir. << Il n'y a pas grand chose à supprimer. Julie a superbement filmé ! J'y ai juste rajouté de la musique et un générique ! >> précise Estelle. Nous voilà à nouveau tous les trois en jeans et en chemises à carreaux. Nous redescendons. Il est 18 h30. Nous allons dans l'atelier. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons pour la cuisine.

Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe la tarte aux poireaux. Avec Estelle nous dressons la table. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte notre aventure à l'hypermarché avec l'inconnu. Notre visite à Julie. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le programme de la soirée. Léchage de minous, pompage de Zob et baise au salon. << Bref, une soirée dans la plus pure tradition hédoniste ! >> lance Estelle. Nous faisons d'abord la vaisselle.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont se faire bouffer la chatte, sucer de la queue et se faire ramoner soigneusement...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1455 -



Notre voisin qui drague Clémentine...

Hier matin, mercredi, cette application "miracle" comme la nomme Estelle, nous tire de nos profonds sommeils avec sa délicatesse habituelle et quotidienne. Ce chant d'oiseaux et le bruit de cette source nous accompagnent depuis nos rêves jusqu'au réveil. Je suis entre mes deux anges. Il est presque six heures. Quelques bisous et Estelle, ses vêtements de gym à la main, se précipite aux toilettes. Clémentine a du mal à lâcher mon érection matinale. Nous nous habillons.

C'est à notre tour d'aller aux chiottes. Morts de faim, vêtus de nos tenus de sport, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé, du feu qu'elle tente de rallumer dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre copieux petit déjeuner en évoquant nos folies de hier soir. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et en riant beaucoup. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos pour revenir au calme avec un agréable stretching. Estelle, qui est obligée de partir, nous fait deux bisous avant de filer à toute vitesse. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Pressés de sortir, nous descendons pour enfiler nos anoraks. Il fait moins froid que les autres jours. Il est 7 h50. Nous traversons le jardin sous un ciel gris, bas et menaçant. Jusque dans l'abri à bois.

Nous y remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous ne nous attardons pas. Nous rentrons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Déjà concentrée sur son télé travail. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. Je termine probablement cette scène de genre pour midi.

Je peins dans une sorte d'extase pas du tout mystique mais ô combien plus jouissive. Il est 11 h quand je dépose la dernière touche de bleu de cobalt sur la surface achevée de mon tableau. Je n'ai qu'à le poser sur un autre support afin qu'il sèche. Je dépose une nouvelle toile sur mon chevalet. La troisième scène de genre destinée à ma saison d'été. C'est encore un autre plaisir que de commencer une nouvelle œuvre. Je vais d'ailleurs de plaisir en plaisir. C'est gratifiant.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans la cheminée. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de la tarte aux poireaux de hier soir. Je prépare une pâte à crêpe que je laisse reposer jusqu'à ce soir sous un linge dans un saladier. Ce sera pour les beignets de crevettes. Avec le reste de Flamiche Picarde, je fais dorer deux beaux filets de colin. Je les poêle avec des champignons.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur son exhibe de hier, à l'hypermarché. << Comme ça m'a fait du bien de me replonger dans mon fantasme ! >> lance t-elle en me palpant la braguette. << Il faut juste souhaiter que ces enfoirés ne nous privent pas de notre printemps comme l'an dernier. Parce qu'ils commencent à jouer avec nos nerfs ! >> rajoute t-elle, soudain "remontée".

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller au grand air. Nous dévalons les escaliers pour sortir en chemises. Il fait presque doux. Le ciel est gris, bas et menaçant. Clémentine m'entraîne vers la maison d'amis. Nous y entrons. L'odeur de bois neuf nous ravis. Le chêne émet des effluves très spécifiques. Tout ici est en chêne. Sans aucune colle ou vernis synthétiques d'origines chimiques. Il n'y a donc aucune crainte à respirer toutes ces senteurs.

Clémentine glisse sa main dans ma braguette. << Mon hyper aventure de hier à l'hypermarché m'a rendu hyper salope. C'est hyper bien ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Nous montons à l'étage. Il y a encore quelques effluves de plâtre frais. Par la fenêtre ronde de la salle de bain, on voit les toits de la propriété du voisin à 300 m en contrebas. << Regarde, il monte le chemin ! >> lance Clémentine. En effet monsieur Bertrand longe la clôture de notre propriété.

<< Viens vite, on se fait un "plan" ! >> fait Clémentine en m'entraînant par la main. Nous dévalons l'escalier en angle. Clémentine se précipite à l'une des fenêtres. Elle ouvre celle à côté de la cheminée. Le chemin passant à une vingtaine de mètres, monsieur Bertrand ne manquera pas de la remarquer. Je reste à l'écart. Derrière les vitres de l'autre fenêtre dont je tire les tentures. Caché derrière l'épais tissu carmin, je peux assister à ce qui va se passer.

Voilà monsieur Bertrand, un grand sachet à la main, qui arrive. Il voit Clémentine entrain de secouer la petite pelle et la balayette à la fenêtre. << Bonjour Clémentine ! >> lance t-il. Clémentine répond : << Bonjour Mr Bertrand ! >>. Une conversation s'engage. Notre voisin va donner du vieux pain aux canards. Tout en bavardant, je le vois se toucher. D'abord discrètement pour constater les réactions de la jeune fille. Puis plus franchement en découvrant son attitude.

Notre retraité vicieux ne tarde pas à sortir son sexe. Il le fait souvent. Surtout après avoir demandé : << Et julien ? Il va bien ? >>. Et que Clémentine ait répondu : << Oui, il est dans son atelier ! Je viens faire un peu de ménage ! >>. Notre salopiot tient sa bite minuscule à sa base. Entre le pouce et l'index. Il l'agite en direction de la fille tout en causant. J'observe sa totale maîtrise de lui-même. Sa bite ressemble à une petite saucisse viennoise. La peau matte et luisante.

<< Je peux passer vous voir, toute seule, un de ces jours ? >> demande l'effronté. << Bien sûr, quand vous voulez ! >> répond Clémentine. Elle rajoute : << En remontant des canards si vous voulez. J'ai un petit quart d'heure. Vous m'aiderez à rentrer du bois ! >>. Monsieur Bertrand remballe sa bite en disant : << A tout de suite ! >>. Je le regarde descendre vers la rivière. Clémentine vient me rejoindre. Elle saisit mon érection pour m'embrasser.

<< Il est génial ce vieux salaud. Il tombe dans tous mes pièges ! >> me fait Clémentine en s'accroupissant. Elle tête l'extrémité de mon sexe turgescent. Je caresse sa tête. Je guette par la fenêtre en me faisant tailler une pipe. Je dis : << Le voilà qui remonte ! >>. Clémentine se redresse. Je vais me planquer dans le dernier des trois placards muraux. Le seul qui est vide. << Tu m'a mis en appétit ! >> me fait Clémentine en déboutonnant son jean.

Il y a une petite ouverture d'aération dans la porte du placard en bois. Une grille ronde qui masque une ouverture circulaire d'environ quatre centimètres. Bien pensée. Je vois Clémentine aller à la fenêtre. Comme il fait presque doux, c'est très agréable d'aérer. Sa main dans sa culotte, elle se touche. Elle vient toquer à la porte de mon placard en disant : << Il arrive ! >>. En effet, trois coups à la porte. << Entrez ! >> lance Clémentine. Monsieur Bertrand entre.

Le salaud se touche. Clémentine, le jeans déboutonné, tient un des grands tapis de laine. << Quel plaisir de vous aider ! >> lance le vieux vicelard en saisissant l'autre extrémité du tapis. Clémentine apprécie beaucoup notre voisin. Un homme plein d'humour, doté d'une solide culture générale dont le physique n'est pas sans rappeler un Georges Brassens plus mince. C'est un gentleman. Il garde toujours ses distances, ne tente jamais rien et reste d'une politesse courtoise.

<< Clémentine, vous ne me laissez pas indifférent. Vous le savez. J'aimerais vous faire une proposition ! >> lance t-il en secouant le tapis à la fenêtre. Dans ma cachette je retiens ma respiration. Je me branle silencieusement. << Faites ! >> répond Clémentine. << J'aimerais avoir des moments d'intimités avec vous. Avec ma femme il ne se passe plus rien depuis dix ans. Vous comprenez ? Je ne suis qu'un homme ! >>. Clémentine reste silencieuse. Elle me tourne le dos.

<< Qu'entendez vous par "intimité" ? >> demande Clémentine. Monsieur Bertrand sort sa bite. << Vous me faites bander. Et c'est si bon ! Quand je me branle je pense à vous ! >>. Clémentine ne répond toujours pas. Notre voisin revient à la charge en disant : << S'il vous plaît. Ne dites rien à Julien. Sur un seul mot de votre part, je n'en parle plus jamais et je cesse mes comportements douteux ! >>. Cette fois Clémentine répond : << J'en suis flattée. Ne changez rien ! >>.

Le vieux salaud, comme rassuré, comme soulagé, pousse un profond soupir. En se masturbant, il rajoute : << Vous faites de moi l'homme le plus heureux de la terre ! >>. Clémentine éclate de rire. Elle joue tellement bien. Mais, a t-elle réellement besoin de jouer ? Monsieur Bertrand pousse l'art raffiné de la courtoisie avec tact. Il cesse de se branler. Il présente sa petite queue. Elle est à peine plus raide. Elle doit mesurer cinq à six centimètres. << Elle est belle ! >> lance Clémentine.

<< J'ai honte. Elle est si insignifiante et ridicule ! >> lance monsieur Bertrand. << En tous cas comme je les aime ! >> fait Clémentine. Comme rassuré, monsieur Bertrand dit : << Appelez moi Louis s'il vous plaît. Dans l'intimité ! >>. Clémentine, amusée et espiègle, répond : << Avec plaisir Louis ! Mais tout cela reste entre nous. Il ne faudrait pas que Julien ne se doute de quoi que ce soit ! D'accord ? >>. Monsieur Bertrand remballe son sexe en disant : << Comptez sur moi ! >>.

Il rajoute : << Je vous demande la réciproque. Ma femme n'a pas besoin de se douter de quoi que ce soit non plus ! >>. Clémentine éclate de rire avant de répondre : << Ce n'est pas moi qui irait lui raconter rassurez vous ! >> Monsieur Bertrand s'apprête à sortir après avoir salué la jeune fille. Clémentine, cambrée sur ses genoux fléchis, mime une masturbation masculine en disant : << J'adore ! >>. Monsieur Bertrand se palpe la braguette en lançant : << Moi aussi ! >>. Il sort.

Clémentine vient frapper à la porte en disant : << Il est partit ! >>. Je sors de mon placard. J'ai la bite à la main. Je dégouline de foutre tellement je me suis branlé. << Tu as entendu ce vieux saligaud ? >>. Nous rigolons comme des bossus quand je dis : << Oui, j'ai vu aussi ! >>. Clémentine s'accroupit pour me sucer. Les cours en lignes reprennent à 14 h05. Juste le temps d'y aller. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles.

Je commence cet après-midi la troisième toile destinée à ma saison d'été. Je peins animé de sensations plus merveilleuses les unes que les autres. Clémentine se lève plein de fois pour venir me faire un bisou. Pour murmurer à mon oreille : << Merci ! >>. Elle fait évidemment allusion à notre complicité. Lors d'une de ses "visites" rapides, je lui glisse : << Je veux te voir sucer ce mec ! >>. Clémentine, en riant me dit : << J'en ai follement envie. Mais je prépare le "plan" ! >>.

Il est 17 h quand Clémentine vient me rejoindre. Accroupie sur ma gauche, sa main sous ma blouse, elle me masturbe doucement en regardant ma peinture. Elle a encore la mise au propre de ses notes à terminer. La voilà installée dans le vieux canapé de l'atelier. J'aime peindre en l'écoutant me raconter des choses. Ce soir la conversation reste évidemment axée sur notre voisin. Ce retraité salace qui doit se réjouir d'avoir conclu sa drague. Depuis deux ans qu'il s'y applique.

Il est 18 h15. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je rejoins Clémentine. Allongée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, elle frotte sa joue contre mon sexe. Elle me donne ses impressions. Je lisse ses cheveux en écoutant. Je ne dis jamais rien lorsque Clémentine me donne ses impressions. C'est passionnant. Elle a le don d'élocution. C'est avec éloquence qu'elle évoque les sujets les plus tendancieux. C'est merveilleux une jeune fille de 23 ans pleine d'imagination.

La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Dehors il pleut. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'huile de friture. Je fais également bouillir l'eau des coquillettes. Je fais rissoler les crevettes décongelées. Je les jette chaudes dans la pâte à crêpe. Il suffit de les tremper dans l'huile bouillante et voilà nos délicieux beignets. Clémentine égoutte les coquillettes qu'elle recouvre de Parmesan grossièrement râpé. Nous mangeons de bon appétit.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur sa conversation avec notre voisin. << Je vais préparer des "plans" d'enfer. Je vais l'attirer dans tous les pièges. Merci Julien. Tu es merveilleux ! >> dit elle. Je lui propose un léchage de minou au salon. Elle pourra me raconter. La vaisselle. Nous filons au salon. Clémentine nous déshabille. Juste en chemises et en chaussettes. Elle m'attire sur elle. Nous adorons baiser sans bouger. J'écoute Clémentine me raconter.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent des "plans" qu'elles préparent avec un vieux voisin vicelard et pervers...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1456 -



C'est l'anniversaire d'Estelle

Hier matin, jeudi, l'application "miracle", fait un nouveau miracle. Depuis le plus profond de nos rêves surgissent les chants d'oiseaux mystérieux, le bruit d'une source. Comme résonnant au fond d'une étrange forêt, tout cela nous réveille en douceur. Clémentine se blottit contre moi pour murmurer : << Bonjour mon amour ! >>. Il est presque six heures. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nos rituels pisseux du matin. Particulièrement sympas.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant l'anniversaire d'Estelle. Nous le fêterons ce soir. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur l'attitude de notre voisin, hier. Ses propositions à Clémentine qui en rit aux éclats. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching. Notre douche. Vêtus de nos jeans, chemises à carreaux, nous descendons pour enfiler nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 10°. Il pleut. C'est donc sous notre grand parapluie que nous traversons le jardin jusqu'à l'abri à bois. Il est 7 h50. Nous y remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer en se dépêchant.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. En chantonnant doucement, je prépare les couleurs sur ma palette. La peinture de cette troisième scène de genre à trois personnages me comble d'aise. Je peins dans une sorte de douce sérénité. La matinée se passe ainsi, dans cette ambiance studieuse et concentrée que nous apprécions tant.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée a décongelé depuis ce matin. Clémentine s'occupe de la salade. Je lave et je coupe en tranches de belles tomates. Les tomates d'hiver restent bien fermes et ne partent pas en jus. Je coupe de fines tranches d'un avocat pas trop mûr. De l'ail, de l'oignon. Quelques tranches d'un gros champignon de Paris. C'est rapide.

Clémentine adore disposer les tranches en spirale sur la pâte à pain préalablement étalée dans deux plats à tartes aux bords hauts. Je prépare un "flan". Un mélange d'œuf, de lait de soja, de moutarde à l'ancienne, du fromage blanc, sel, paprika, poivre noir. Je verse sur les tomates. Clémentine dispose onze cerneaux de noix sur chaque tarte à la tomate. Au four. Cuisson à 180° pour faire longuement mijoter. Ce seront nos repas de ce soir et de demain midi. Parfait.

Le riz complet a déjà gonflé dans son eau. J'ai gardé quelques tranches de tomates que je fais revenir avec une courgette, l'ail, l'échalote. Pour en faire une sauce. J'y rajoute du Roquefort. Deux dos de cabillaud blanc poêlé. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur son aventure de hier. Les avances de monsieur Bertrand, notre voisin. Retraité vicelard qui lui a déjà montré sa bite plusieurs fois.

Nous en rions de bon cœur. L'astuce consiste à faire croire à notre voisin que je ne suis absolument pas informé. Ce qui permettra de considérables amusements futurs. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de sortir prendre l'air, malgré la pluie, nous dévalons les escaliers. Sous le grand parapluie, nous traversons le jardin. Nous entrons dans la maison d'amis. Nous adorons l'odeur du bois de chêne des lambris qui recouvrent les murs. Celle des meubles.

Nous montons à l'étage pour guetter vers la propriété du voisin. Monsieur Bertrand se rend deux à trois fois par jour à la rivière. Pour ce faire, il longe la clôture de notre propriété. Clémentine aimerait bien une récidive à l'aventure de hier. Hélas aujourd'hui, ce n'est pas son heure. Nous ne nous attardons pas. Sous l'immense parapluie, nous descendons jusqu'à la rivière. Nous longeons le cour d'eau. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte pour m'embrasser.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à prendre le sens inverse. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes émotions que ce matin. Une fois encore l'après-midi se déroule dans cette émulation que nous adorons. Il est 17 h quand Clémentine vient s'accroupir à ma gauche. Sa main sous ma blouse, elle joue avec mon Zob en regardant ma toile.

Je pose ma palette pour passer ma main sous ses cheveux. Je tiens sa nuque. << Je vous aime mon doux "Maître" ! >> chuchote t-elle en frottant sa joue contre la bosse que fait ma bite molle sous le tissu de la blouse. Je murmure : << Je vous aime ma douce "Soumise" ! >>. Clémentine doit encore mettre ses notes au propre. Ce qu'elle griffonne sur son calepin. La voilà confortablement installée dans le vieux canapé. Son ordinateur sur les cuisses. Elle chantonne.

Il est 17 h30. Du bruit. Estelle entre dans l'atelier comme un ouragan. Elle se précipite pour nous faire la bise. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa soirée de hier. Son parrain vient tous les mercredis soirs. Ses livraisons de cartons sont également un prétexte pour voir Estelle. << On se débrouille toujours pour êtres seuls lui et moi. Nous gardons nos distances. Il voudrait reprendre nos baises du mercredi soir. Moi aussi ! >> dit elle.

Nous en rions de bon cœur. Estelle va s'assoir aux côtés de Clémentine. Elles comparent leurs notes de la journée. Elles suivent les mêmes cours, les mêmes études et sont en contact permanent depuis la troisième, au lycée. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 18 h. Clémentine raconte son aventure avec le voisin, hier. << Put-Hein, si tu te le fais, je me le fais avec toi. Ce vieux salaud m'excite ! >> lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.

Nous quittons l'atelier. << Venez, on sort. On sait jamais. On peut le croiser ! >> fait Estelle. Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons sous le grand parapluie. Hélas, avec cette pluie, la rencontre avec monsieur Bertrand remontant de la rivière est peu probable. Estelle me palpe la braguette avant d'y fourrer sa main. Nous rentrons nous mettre au chaud et au sec. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe une des deux tartes à la tomate. Je vais dans la véranda pas chauffée.

Je dispose 24 bougies sur le vacherin glacé qui a décongelé. Il est magnifique. Nos parfums préférés. Pistache, nougat et amande. Estelle veut toujours savoir ce que je bricole. Elle vient me rejoindre. J'ai juste le temps de cacher le vacherin. << Qu'est-ce que tu fais en cachette ? Tu te branles ? >> demande t-elle en regardant ma braguette. Je réponds : << Surprise ! >>. Il est presque 19 h. La table est mise. << Miam ! De la tarte à la tomate ! >> s'écrie Estelle qui en raffole.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Je me lève pour aller chercher le vacherin dans la véranda. J'allume les 24 bougies. Clémentine attend l'instant précis où je reviens pour éteindre les lumières. << Happy Birthday Estelle, with love ! >> faisons nous en même temps. Estelle a soudain les yeux humides. << Comme c'est gentil ! >>. Je dépose le vacherin sur la table. Estelle me saute au cou. Je lui répète : << Bon anniversaire Estelle ! Bon anniversaire ! >>.

En mouillant ses doigts à chaque fois, Estelle mouche chaque bougie en faisant un vœux. Cette tradition écossaise permet d'éviter de postillonner sur le gâteau en soufflant les bougies. Nous dégustons ce vacherin livré par la boulangère samedi matin avec nos pains. Son mari est un maitre boulanger mais également un pâtissier hors pair. Estelle le savoure assise sur mes genoux. Nous traînons à table en évoquant nos futures aventures. La soirée cinéma de samedi.

La vaisselle. C'est moi qui entraîne Estelle par sa nuque jusqu'au salon. Je la fais s'assoir sur une des chaises, le dossier entre ses cuisses largement écartées. Elle est émerveillée par mon initiative. Du tiroir du bas du bureau, je tire la paire de menottes et les cordelettes de coton blanc. Clémentine fixe la cheville gauche d'Estelle au pied de la chaise. Je fixe sa cheville droite. J'attache ses poignets avec les menottes derrière son dos. Je la tiens fermement pas sa nuque.

Je me positionne debout devant la chaise. Clémentine déboutonne son jeans pour glisser sa main dans sa culotte. Elle adore regarder ce que je fais avec Estelle. Je tiens Estelle par sa nuque. Je sors ma queue pour la frotter sur son visage. Je dis : << Bon anniversaire Estelle ! Vingt quatre ans. Doucement tu vas quitter la jeune fille pour devenir la jeune femme ! >> Estelle en gémissant de plaisir répond : << Je ne veux pas aller plus loin en âge. Je ne voulais déjà pas avoir 18 ans ! >>.

Je lui frotte la bite sur la gueule. Clémentine, tout en se masturbant d'une main, me tient par les hanches de l'autre. Elle dit : << Bon anniversaire Estelle. Moi aussi j'aimerais rester pour l'éternité à cet âge ! >>. J'enfonce doucement ma queue dans la bouche d'Estelle. Elle suce comme si sa vie en dépendait. Clémentine se frotte contre moi en observant les expressions d'extase sur le visage d'Estelle. Comme elle est belle. Je retire ma bite pour lui permettre de bien respirer.

Je murmure : << Ce soir, pour ton anniversaire, je ne te baise pas. Je te fais exclusivement sucer ! Une contrainte comme tu les aimes. Par contre, dimanche, je vais te pénétrer toute la soirée. Tu seras ma "chose". Je te promets un moment d'extase ! Surprise ! >>. Estelle gémit de plaisir en reprenant sa pipe. Je la tiens par les oreilles. Ma bite bien enfoncée, je lui éjacule au fond de la gorge. Elle ne s'y attendait pas. En règle générale je fais durer très longtemps. Parfois sans éjaculer.

Elle manque d'étouffer. Elle tousse. Il y a de la morve qui lui gicle du nez. Sans doute du sperme aussi. Car mes éjaculations sont abondantes. Je peux remplir un verre à cognac jusqu'au bord. Je la maintiens fermement. Elle tente de se dégager pour pouvoir déglutir. Je l'en empêche. Je dis : << Tu es une jeune femme maintenant. Tu dois affronter les réalités de l'existence avec résignation ! >>. Elle rit en même temps qu'elle tousse. Elle en a les larmes qui coulent.

Elle pousse un profond râle. Je me retire enfin. Elle peut avaler avec peine et avec plusieurs déglutis. A peine a t-elle réussi que je lui fourre la bite une nouvelle fois au fond de la bouche. Elle tente de se débattre. Mais les mains menottées dans le dos ne lui offre pas l'avantage. Je lui lâche un premier jet de pisse en répétant : << Bon anniversaire mademoiselle ! >>. Elle tousse. Il y a de la morve et de la pisse qui lui coule des narines. Elle manque de se noyer si je ne me retire pas.

Dans un cri elle reprend sa respiration. Elle pleure. Je lui inonde le visage d'un nouveau jet. Elle tousse, elle crache. Clémentine est entrain de filmer la scène avec son téléphone. Elle dit à Estelle en se penchant vers elle : << Tu auras de quoi faire un montage. C'est le film de ton cadeau d'anniversaire ! >>. Estelle M'implore de lui essuyer le visage. Ça la gratte, ça la pique. Je lui frotte la bite sur la gueule. Je lui enfourne la queue pour une nouvelle giclée qu'elle avale en gémissant.

C'est reparti pour une seconde pipe. J'observe ses expressions. Les yeux fermés, Estelle suce avec passion. Elle a de la pisse qui macule le haut de sa chemise. Il y en a qui dégouline sur ses cuisses, mouillant son jeans. Clémentine, à genoux sur un des épais coussins, filme la scène. Elle murmure : << Bon anniversaire Estelle. Bientôt ce sera le mien. Tu seras à ma place ! >>. J'éjacule une seconde fois. Il est déjà 22 h. Nous sommes épuisés. Je détache Estelle. Je lui masse les poignets.

Nous montons à la salle de bain. Avec le sèche cheveux, je sèche Estelle. << Put-Hein, si je m'attendais à ça ! J'adore quand tu me fais des cadeaux comme ça ! >> me dit Estelle. << Vivement mon anniversaire le 2 avril ! >> lance Clémentine qui me suce pour récupérer tout ce qu'elle peut. Au lit, entre mes deux anges que je serre fort contre moi, j'écoute leurs impressions. Estelle s'endort la première. Clémentine à qui je fais un doigt, me chuchote : << Tu as été formidable ce soir ! >>.

Bonne soirée d'anniversaire à toutes les coquines qui aiment les cadeaux juteux, pisseux et totalement inattendus...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1457 -



Le week-end commence vendredi à midi

Hier matin, vendredi, l'application téléchargée nous tire de nos profonds sommeils avec sa délicatesse habituelle. Encore endormis nous sommes dans une étrange forêt où résonnent les chants de mystérieux oiseaux, le bruit d'une source. Je suis entre mes deux anges. Estelle à ma droite qui est restée accrochée à moi toute la nuit et qui murmure à mon oreille : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Clémentine à ma gauche qui chuchote : << Une soirée d'anniversaire ! >>.

Il est presque six heures. Estelle se lève d'un bond. Ses vêtements de sport à la main, elle se précipite aux toilettes. << Tu m'offriras une telle soirée pour mon anniversaire dans trois semaines ? >> fait Clémentine en me saisissant par mon érection matinale. Nous nous habillons. C'est à notre tour. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers pour aller rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et du feu dans la cuisinière à bois.

Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant l'anniversaire d'Estelle hier soir. Enchantée de nos débauches festives, elle me dit : << Tu sais Julien, on peut fêter tous mes anniversaires à venir par anticipation ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit. Il est 6 h25. Nous montons nous offrir notre heure d'entraînement. Estelle devra partir immédiatement après. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos, et retour au calme avec un bon stretching.

<< A demain après-midi ! >> lance Estelle en dévalant les escaliers après nous avoir fait des bises. Nous prenons notre douche. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux nous descendons précipitamment. Nous mettons nos anoraks. Il fait froid sous un ciel gris, lourd et menaçant. Il ne pleut plus mais le sol est encore détrempé. Il est 7 h50. Nous traversons le jardin jusqu'à l'abri à bois. Nous y remplissons la grande corbeille en rotin d'une dizaine de bûches. C'est lourd.

Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer. D'aller dans l'atelier. Clémentine, euphorique depuis le levé, est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Le vendredi, elle termine à midi. Ce qui a tendance à la rendre très déconneuse. J'allume un feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur ma palette. La peinture de cette troisième scène de genre destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement.

Je peins animé d'un peu de cette euphorie communicative. La matinée se passe dans cette ambiance sereine et calme que nous apprécions. Il est 11 h45. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne dans une danse tribale dans toute la grande pièce. Nous nous faisons face en sautillant, fléchis sur nos genoux pour pousser des cris de singes. C'est un autre de nos rituels. Une femme et un homme de la tribu des Fou-dingues !

Je mets deux bûches dans la cheminée. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Je réchauffe la seconde tarte à la tomate. A la poêle je fais dorer deux filets de colin préalablement enduits de moutarde à l'ancienne. C'est bien d'y rajouter de l'ail et de l'échalote finement émincés. Nous mangeons de bon appétit tout en revenant sur la soirée d'anniversaire de hier soir. J'invite le lecteur à redécouvrir le récit de cette soirée dans le texte publié hier.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque son aventure avec le voisin. Elle aimerait bien une récidive. << Pour confirmer mes dernières impressions ! >> précise t-elle. Je propose de tenter une rencontre cet après-midi. Avec cette météo médiocre, autant créer un rayon de soleil. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pressés de sortir, nous dévalons les escaliers.

Il suffit d'enfiler nos anoraks. Nous traversons le jardin sous un ciel toujours aussi gris. Nous traversons le jardin pour aller dans la maison d'amis. Nous montons à l'étage pour y allumer les convecteurs électriques. Les panneaux photo voltaïques sur le toit alimentent des batteries en électricité. Il est bon de les faire fonctionner souvent quand elles sont neuves. Les convecteurs sont rapidement très chauds. Ils réchauffent l'air ambiant. Clémentine m'entraîne à la fenêtre.

Là, depuis la salle de bain, nous avons une vue parfaite sur la propriété des Bertrand. Leurs maison est à un peu plus de trois cent mètres en contrebas. Clémentine reste serrée contre moi, ma queue dans la main. Il y a du mouvement. << C'est lui ! >> fait Clémentine. En effet, monsieur Bertrand sort de son garage. Il tient un de ses sachets contenant de la nourriture pour les oiseaux. Il s'apprête donc à monter le chemin qui longe la clôture de notre propriété. Nous redescendons.

Clémentine m'entraîne à l'extérieur. Nous contournons la dépendance pour aller sous l'abri à bois. << Cache toi derrière ! >> me fait elle en ouvrant la porte. Là, par le trou parfaitement rond de cinq centimètres, j'ai une vue parfaite sur le chemin et ses environs immédiats. Il me suffit de m'accroupir pour voir. Clémentine est accroupit de l'autre côté de la porte. Son doigts dans l'orifice pour caresser le mien. Elle me dit : << Attention, le voilà ! >>. Elle regarde à l'intérieur du trou.

<< Bonjour Clémentine ! >> fait notre voisin en arrivant à la hauteur de la bâtisse. Clémentine se redresse pour répondre : << Bonjour Louis ! >>. << Tout va bien ? Toute seule ? >> demande monsieur Bertrand. << Oui ! Très bien. Julien est dans son atelier. Je viens chercher quelques bûches ! >> lance Clémentine, son doigt toujours dans le trou. Je le suce. Je regarde. Mr Bertrand observe le trou en disant : << Quelle est l'utilité de cet orifice ? Un tuyau ? >>.

Clémentine répond : << Non c'est une sorte d'aération. Nous allons entreposer des choses ici ! >>. Monsieur Bertrand, tout en bavardant, se touche. Il demande : << Vous avez réfléchi à ma proposition ? >>. Clémentine reste silencieuse un petit moment à regarder le retraité qui se palpe la braguette. Il descend la tirette de son pantalon d'un geste lent et précis. Comme pour faire durer l'instant. Il en extrait son sexe minuscule. Il le tient à sa base. Il reste silencieux.

<< Oui. J'y ai pensé. Lorsqu'il sera possible de nous voir, je mettrai un chiffon jaune à la fenêtre de la salle de bain. Il sera visible depuis chez vous ! >> lance soudain Clémentine. << Parfait Clémentine. Je vous promets de grands moments ! Rassurez vous, avec ma femme et ma belle-mère, nous restons confinés. Aucun risque ! >> fait le vieux salaud en agitant sa queue devant la jeune fille. Dans ma cachette, je me branle. J'écoute et je regarde. Le bougre est loin de se douter de ma présence.

Il précise : << J'adore la pipe Clémentine ! >>. Clémentine éclate de rire en disant : << Quoi de plus normal ! Moi j'en raffole ! >>. Notre vieux saligaud se masturbe doucement. L'extrémité de sa toute petite bite entre le pouce et l'index, il rajoute : << Je sais me montrer surprenant vous verrez ! >>. Clémentine rit aux éclats en lançant : << Je n'en doute pas un seul instant ! >>. Monsieur Bertrand remballe sa bite en disant : << Il faut que j'y aille, nous allons en ville ! >>.

Il salue Clémentine avec sa courtoisie habituelle. Clémentine se dirige vers la clôture pour rajouter : << Au revoir. Et n'oubliez pas. Le chiffon jaune ! >>. Je ne vois plus monsieur Bertrand qui descend le chemin mais je l'entends dire : << C'est noté Clémentine. Je suis impatient ! >>. Je me redresse pour passer ma bite dans le trou. Presque aussitôt je sens la bouche chaude et accueillante de Clémentine se refermer dessus. Je me fais sucer longuement.

La position est inconfortable. Il faut être collé contre la porte. Cambré. Je retire mon sexe. Je rejoins Clémentine debout qui me montre l'intérieur gluant de sa bouche. << Viens, on se dépêche de filer, il va revenir de la rivière ! >>. Nous contournons la bâtisse pour y entrer. Il fait y bien chaud maintenant. Je félicite Clémentine pour ce "plan" mis au point. Le chiffon jaune à la fenêtre. Je lui confie mon impatience de la voir sucer notre voisin. << Je t'aime Julien ! >> fait elle.

Je l'entraîne dans la chambre à coucher. Elle me fait tomber sur le lit. Sa tête posée sur mon ventre, elle reprend sa pipe. Je caresse sa tête, sa nuque. Je lui donne mes impressions. Toutes les deux trois minutes, Clémentine cesse pour me donner les siennes. La petite bite de notre voisin exerce sur elle une sorte d'attraction "magique". Elle me confie son impatience de pouvoir y gouter enfin. << Merci Julien. Tu es le plus merveilleux complice qu'une femme puisse imaginer avoir ! >>.

Je déboutonne le jeans à Clémentine. Sur le matelas encore emballé de son film plastique bruyant. Clémentine retire son jeans et sa culotte. Elle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous adorons rester l'un dans l'autre sans bouger. Ce qui maintient mon érection ce sont nos conversations. Clémentine me confie alors tous ses secrets de fille. Ses désirs, ses envies, ses réjouissances, ses "plans". Parfois nous nous mettons à bouger en "berceuse".

Le film plastique est bruyant. Ce n'est pas très agréable au contact. Mais comme le lit à baldaquin ne sert pas, il vaut mieux garder la protection du matelas. Je dis : << Tu vois, le fer forgé va me permettre d'attacher tes mains et tes pieds. C'est ainsi que je t'offrirai ta prochaine gâterie ! >>. Clémentine se met à bouger. Avant de m'embrasser avec fougue, elle murmure : << Oh oui ! Baise moi comme ça ! >>. Je promets de le faire prochainement. Il est presque 16 h30.

Nous cessons. Il nous faut reprendre nos esprits. Nous sommes tous deux enivrés de plaisir. Nous adorons rester excités jusqu'au soir. Nous quittons la maison d'amis au moment où arrive Julie. Visite surprise. << J'ai tenté de vous joindre ! >> dit elle en sortant de la voiture toute contente. << On a laissé le téléphone dans l'atelier ! >> répond Clémentine. Nous nous excusons. Je félicite Julie d'avoir pris l'initiative de venir quand même. Je dis : << Vous êtes ici chez vous ! >>.

Nous rentrons. Dans le grand carton qu'elle dépose sur la table de la cuisine, Julie tire deux tourtes aux fruits de mer. Nous en raffolons. << Cadeau ! >> dit elle. << Génial ! Ce sera notre repas de ce soir ! >> lance Clémentine. Je prends Julie par ses frêles épaules pour dire : << Vous nous gâtez Julie. Deux fois. Par votre présence et par votre cadeau ! Venez ! >>. Nous quittons la cuisine pour retourner dans l'atelier. Elle s'installe immédiatement devant le chevalet.

Julie est une des très rares personnes qui peut pénétrer ce lieu. Notre "prison spirituelle" comme l'appelle Clémentine. Elle regarde en silence. Elle ne pourra pas s'attarder longtemps. Julie reprend ses livraisons de repas pour 18 h30. Je pose mes mains sur ses épaules. Debout derrière elle. Clémentine derrière moi qui ouvre ma braguette. Je me penche. A l'oreille de Julie je murmure : << Vous aurez de belles choses à présenter dans la galerie cet été, Julie ! >>.

Elle se réjouie tellement pour tenir ma galerie d'Art en juillet et en août. Son expérience de l'année dernière l'avait déjà enchanté. Clémentine me sort la queue. Je contourne Julie pour venir me positionner à côté de la toile. Comme je me suis fais sucer, comme j'ai baisé, il y a du foutre qui dégouline. J'en ai sur le bord de la braguette. Julie observe comme hallucinée. Clémentine met à son tour ses mains sur les épaules à Julie. Julie pose les siennes sur celles de Clémentine.

Julie est amoureuse de Clémentine. Hélas pour elle, Clémentine n'a absolument aucune attirance pour les filles. Hélas pour moi aussi car j'aimerais beaucoup la découvrir dans quelques effusions saphiques. Julie, comme pour échapper à toute tentation se lève. Elle va regarder les autres toiles déjà sèches. Me poser des questions quand aux pigments, à l'ambre dissous que j'utilise dans mes médiums. Elle sait déjà tout cela. C'est juste pour éviter l'ivresse des tentations.

Nous buvons le thé. Nous savourons des petits gâteaux. Il est temps de raccompagner Julie jusqu'à sa voiture. Elle revient demain soir pour partager notre repas et la soirée cinéma. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe les deux tourtes aux fruits de mer. Nous mangeons de bon appétit. La conversation reste axée sur notre voisin, ses attitudes, ses propositions salaces. Nous passons la soirée à nous caresser. Cunnilingus, baise et fellation.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment conclurent leurs journées par de merveilleux moments de luxures...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1458 -



Un samedi à la météo merdique

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand Clémentine vient se frotter contre moi en gémissant. Elle glisse sa main dans mon slip. Je glisse la mienne dans sa culotte. Nous restons serrés forts en gémissant. Clémentine tient mon érection matinale à pleine poigne. Je glisse délicatement mes doigts entre les lèvres charnues de sa vulve. Nous tentons bien de lutter contre l'envie de pisser. Finalement, c'est elle qui l'emporte. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges. Je pèle nos kiwis. Je rallume le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons un solide petit déjeuner. Le grille pain éjecte à plusieurs reprises ses tranches dans un claquement sec. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La vaisselle. Il est 8 h30. Nous montons nous livrer à notre heure d'entraînement. Cela achève de bien nous réveiller.

Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Retour au calme par un bon stretching. Notre douche. Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous dévalons une nouvelle fois l'escalier. Nous enfilons nos anoraks pour sortir. La fraîcheur matinale ainsi que la pluie nous font un accueil désagréable. J'ai ouvert le portail depuis l'interphone. Sous notre grand parapluie nous traversons le jardin jusqu'à la maison d'amis. Sous l'abri à bois nous récupérons les cageots.

Il est un peu plus de dix heures. Voilà la camionnette de livraison. Toujours la même jeune femme au volant. Elle porte son masque sanitaire. Du hayon arrière de son véhicule elle tire deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes. L'autre contient fromages, œufs, beurre, yaourts, petits pots de crème fraîche. Je lui remets les deux cageots vides de la semaine dernière. Ils sont consignés. Même commande pour la semaine prochaine. Nous nous saluons.

A peine le véhicule parti, voilà la camionnette de madame Marthe, la boulangère. Son masque sanitaire accroché à son oreille gauche. Elle aussi prépare nos deux grosses miches, les quatre pâtes feuilletées et la brioche au pudding dans une cagette. Quelques nouvelles du bourg. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la dame. Sous l'auvent du garage, nous sommes à l'abri de la pluie. L'un tient un cageot, l'autre le protège avec son parapluie. Il faut faire vite.

Trois voyages en courant pour traverser le jardin. C'est qu'il pleut à verse. Nous rangeons les fruits et les légumes à la cave dans le cellier. Une des deux miches ainsi que les pâtes feuilletées dans le congélateur. Nous montons ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Il est 10 h30. Clémentine suggère de nous attaquer au ménage. De commencer par l'étage. Ainsi nous serons peinards pour le week-end. Nous commençons par la chambre. Changer les draps. La poussière.

Nous déplions le canapé lit pour le préparer. Ce sera pour Julie qui passe la nuit avec nous. Nous faisons la salle de bain, les toilettes. Clémentine passe l'aspirateur. Je passe derrière avec la serpillère. A deux, ça va vite. Il est 11 h30. Nous redescendons pour faire la poussière au salon. Nettoyer les chiottes du bas. Nous ferons le nettoyage de la cuisine après le repas. Clémentine passe l'aspirateur. Je passe immédiatement derrière avec la serpillère. Il est déjà 12 h30.

Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue dont elle lave des feuilles pour ce soir. Je prépare le bouillon pour les moules. Je les jette alors qu'elles n'ont pas encore vraiment décongelé. Pareil pour les haricots verts et les petits pois que je fais revenir dans le wok. Nos appétits aiguisés, nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque nos folies de hier soir. Ma promesse de l'attacher sur le lit à baldaquin en fer forgé.

Nous rions de bon cœur à l'évocation de monsieur Bertrand, notre voisin coquin. Le coup du chiffon jaune à la fenêtre de la salle de bain comme signal. Pour lui faire croire que Clémentine est seule dans la maison d'amis. La vaisselle. Nous nettoyons la grande cuisine. Je rajoute une bûche dans la cuisinière à bois. A ce propos, j'ai commandé quinze stères de bois qui seront livrées lundi matin. Déjà coupées en bûches de 33 centimètres. Je maintiens toujours un stock pour trois ans.

La maison est propre. Ça sent bon partout. Clémentine m'entraîne au salon. Assise sur mes genoux, elle allume l'ordinateur. Un message de Juliette qui nous donne quelques nouvelles. Il y a une tension permanente au haras. Il y aurait un virus qui s'en prendrait aux équidés. Certains centres hippiques sont atteints par cette nouvelle calamité. Les services vétérinaires sont donc à surveiller cette propagation. Les 87 chevaux en pension dans son haras sont sous contrôle.

Un message de ma famille en Ecosse. Ils seraient tellement heureux de nous revoir cet été. Nos appartements nous attendent à Edimbourg et à Saint Andrew. << Tu vas voir, ces enfoirés nous préparent une de leurs saloperies de confinement pour le printemps ! Et donc nous gâcher les vacances d'été. On les voit venir ces psychopathes ! >> s'écrie Clémentine. Toutes ces histoires auxquelles plus grand monde ne croit, l'énerve. Mais cela termine toujours en éclats de rire.

Nous répondons aux courriels. Nous faisons un petit tour sur les forums où nous publions nos aventures. Aucun message privé. Par contre sur mon Blog, trois nouveaux inscrits. Deux nouveaux messages privés. Nous répondons toujours. Il est 13 h50. Du bruit. Voilà Estelle qui arrive. Elle se précipite pour nous faire la bise. Toute contente d'être enfin de retour. Les filles sont assises sur mes genoux. Estelle nous raconte son vendredi après-midi au bureau de l'entreprise familiale.

Ce matin elle est allée faire les courses avec sa maman. Flânerie dans la galerie commerciale. Pas trop de monde. Elles surfent un peu sur le site de l'université. Il reste quatre semaines avant les vacances de Pâques. Nous avons réservé un appartement à quelques kilomètres de Morteau, dans le Jura. Nous avons le projet d'y passer la première semaine des congés. << Si ces fils de putes n'emprisonnent pas la nation une nouvelle fois ! Ça les arrangerait bien ça ! >> lance Estelle.

Nous quittons le salon. Je prends le grand sac de sport d'Estelle. Nous montons le mettre dans la chambre. Nous faisons les clowns devant le grand miroir de l'armoire. Estelle me palpe la braguette en demandant : << Elle a déjà pris l'air aujourd'hui ? >>. Clémentine répond : << Non on va aller la promener sous le parapluie ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine accroupit à ma gauche, Estelle accroupit à ma droite. Leurs têtes en appui contre mes cuisses.

Je pose mes mains sur leurs cheveux pour les caresser doucement. Nous nous observons tous les trois. << Mon bon "Maître" m'a promis de m'attacher sur le lit à baldaquin et de me baiser comme ça ! >> fait Clémentine. << Mon bon "Maître" m'infligera t-il le même traitement ? >> demande Estelle. Je réponds : << Mes douces "Soumises", ce que j'inflige à l'une, je l'inflige à l'autre ! Vous savez que je suis équitable ! >>. Elles se serrent contre mes jambes en changeant de position.

Frottant leurs sexes contre mes mollets, mes tibias, elles me font de merveilleux sourires dans le miroir. Comme elles sont belles toutes les deux. Je les aide à se redresser. Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Estelle allume un bon feu dans la cheminée. Clémentine s'installe dans le canapé. Je vérifie le séchage de mes deux dernières toiles. Estelle vient me rejoindre. Elle glisse sa main dans ma braguette. Elle en extrait le locataire avec beaucoup de dextérité.

Nous sommes tournés vers Clémentine qui nous observe. Silencieuse. Estelle tient ma bite à sa base. Juste entre le pouce et l'index. Elle l'agite en direction de Clémentine. Elle raconte à Estelle la dernière rencontre, hier, avec notre voisin. Le "plan" du chiffon jaune à la fenêtre. << Excellent ! >> lance Estelle qui écoute avec attention. Clémentine est très très descriptive dans ses narrations. Je commence à bander mollement. Estelle veut absolument participer aux jeux futurs.

Nous rejoignons Clémentine dans le vieux canapé. Assis entre mes deux anges, j'écoute silencieusement les stratégies qu'elles mettent en place. Elles comptent bien les mettre en application. C'est passionnant tout ce que les filles peuvent imaginer de situations. Du moins celles qui ont de l'imagination dans ce domaine. Surtout quand ce sont d'authentiques vicieuses, délurées et coquines. L'une l'est davantage que l'autre. Et je sais par expérience que ce ne sont pas que des mots.

Tout en conversant, Estelle me tient la queue qu'elle tord dans tous les sens. Je bande mou fort heureusement. S'il n'y avait pas cette maudite pluie, nous pourrions aller nous promener. Mais en regardant par les deux grandes baies vitrées, force est de constater la médiocrité du climat. Je tiens Clémentine par ses épaules. Je tiens Estelle par sa taille. C'est un bonheur de les écouter échafauder des "plans". << Je note ! >> fait souvent Clémentine aux idées d'Estelle.

Estelle a apporté la clef USB sur laquelle il y a le film réalisé samedi dernier. Elle en a fait un montage très succin. Julie a tellement bien filmé qu'il n'y avait rien à jeter. Estelle a rajouté un générique de début, de fin et de la musique. Nous nous réjouissons pour en découvrir le résultat ce soir. Notre "soirée cinéma". Filmée en 4K la haute définition des images est quatre fois supérieure au 1080p classique. De quoi se réjouir. Je prépare le thé. Les petits gâteaux. Nous traînons.

Assis en tailleur, en triangle tous les trois sur les épais coussins posés sur le tapis, nous savourons le thé et les gâteaux. Les flammes de la cheminée, ainsi que leurs crépitements, offrent un spectacle magnifique. Avec ce temps il fait tellement sombre. Clémentine est la première à déboutonner son jeans pour y glisser sa main. Estelle ne tarde pas à l'imiter. Je tiens ma queue. Nous nous masturbons tous les trois en discutant. Depuis ce jeudi, le 11 mars, Estelle a 24 ans.

<< C'est comment d'un point de vue psychologique ? >> demande Clémentine. << Ce qui m'importe c'est le point de vue physiologique ! >> répond Estelle en accélérant son mouvement masturbatoire. Nous éclatons de rire. Estelle propose de créer une page Facebook "Les aventures de Clémentine, de Julien et d'Estelle". Aucun d'entre nous n'a de profil Facebook. Nous n'y tenons absolument pas. << Pour vivre heureux, vivons cachés. Et loin de ces merdes ! >> lance Clémentine.

Il est presque dix heures. Deux dernières bûches dans l'âtre. La musique imbécile de mon téléphone posé sur la desserte. Clémentine se lève pour le prendre. << Julie ! Elle arrive ! >>. Nous nous levons. Estelle reprend ma bite en main pour dire : << Tu es prié de la garder à l'air et de faire ton salaud avec ! >>. Les filles m'entraînent par les mains. Nous quittons l'atelier pour aller accueillir Julie. Nous ouvrons la porte au moment où elle arrive sous son parapluie, sa valise à la main.

Le rituel du gel hydroalcoolique. Nous nous frottons les mains en riant tous les quatre dans le hall d'entrée. Julie est vêtue comme nous. Elle aussi s'est mise aux chemises à carreaux. Par contre, elle ne mesure qu'un petit mètre soixante dix. << Je me sens naine avec vous ! Toute petite ! >> dit elle souvent. Clémentine et Estelle l'entraînent par le bras. Sans me lâcher la queue. Nous allons à la cuisine. Comme toujours Julie fait mine de ne pas avoir vue ma queue qui pend mollement.

Le rituel des légumes que nous épluchons. Assis tous les quatre à la table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, le navet, le céleri. L'ail, les oignons. Un demi choux vert. Ce sera pour nos trois repas à venir. Les filles évoquent leurs études. J'écoute en silence. C'est toujours si intéressant. Estelle s'occupe de la cuisson de notre potée de légumes. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Julie m'aide à paner de belles escalopes de thon blanc.

Tout est rapide. La potée de légumes cuit de façon traditionnelle dans la vieille cocote en fonte noire. Estelle, avec la spatule en bois, décolle ce qui attache. C'est le meilleur. Je poêle les escalopes de thon. Julie coupe de fines tranches de Morbier. Nous adorons les déposer sur les légumes chauds dans nos assiettes. C'est absolument divin. Je recommande. Nous mangeons de bon appétit. La conversation est à présent axée sur notre voisin. Le retraité vicieux qui montre sa bite.

Julie a également un voisin exhibitionniste. Les filles racontent leurs différentes expériences avec nos voisins respectifs. Estelle raconte le promeneur de chien qui se baladait pendant le confinement de l'année dernière. Il lui montrait discrètement sa bite en passant devant la propriété. Il pissait entre deux bosquets de lauriers. Nous rions aux éclats de toutes ces extravagances. La vision féminine de ces évènements me procurent de merveilleuses érections. Je me lève.

Je montre ma queue dure comme le bois à mes trois spectatrices. Cette fois Julie mâte. Elle évite toutefois de croiser mes regards qu'elle ne peut toujours pas soutenir. Cela m'amuse beaucoup. Alors que Clémentine et Estelle me font d'amusants clins d'œil. Nous traînons à table. Il est presque 20 h quand nous faisons la vaisselle. Nous passons au salon. L'écran géant du téléviseur est déjà relié à l'ordinateur par le câble HDMI. Clémentine aime préparer et câbler. C'est sa grande passion.

Estelle tend la clef USB 3.1 à Clémentine qui l'introduit dans l'ordi. Nous voilà confortablement installés dans le canapé. Je suis entre Clémentine qui tient la télécommande et Estelle qui tient ma bite. Julie est à l'extrémité du canapé, à côté de Clémentine. Le film débute par un générique très pro. De la musique classique en fond sonore. Dans le film, Clémentine a le pseudo de "Samantha", Estelle le pseudo de "Slavia" et moi celui de "Mike". Nos pseudos habituels "d'acteurs".

Nous en rigolons comme des bossus. J'invite le lecteur à redécouvrir le récit de dimanche dernier. Il pourra ainsi se faire une idée très précise du film qui dure 50 minutes. C'est l'épisode 1451. A l'image on y voit Clémentine attachée sur une chaise dont le dossier l'oblige à garder les cuisses écartées. Elle porte son loup noir à dentelles. On me voit tourner autour en costume noir, chemise blanche, nœud papillon, les mains dans les poches, la queue fièrement dressée.

Julie découvre ces images avec stupéfaction. C'est pourtant elle qui tenait la caméra. << Ce n'est pas pareil. En filmant, on reste concentrée sur ce que l'on fait avec la caméra. On ne se rend pas vraiment compte de ce qui se passe réellement ! >> précise t-elle. Elle est penchée en avant, les coudes en appui sur ses genoux, son menton dans ses mains. Clémentine fait de nombreux arrêts sur images. Je bande comme le dernier des salauds dans la main chaude d'Estelle.

Souvent, Julie se penche davantage encore pour mâter ce que fait Estelle. A l'image on me voit entrain de baiser Estelle sur un des deux canapés de la maison d'amis. Les cuisses écartées, couchée sous moi, elle n'arrête pas de gigoter. Là, la même fille est assise à ma droite entrain de nous branler en se regardant dans le film. Je recommande cette expérience. Faire l'acteur dans son propre film privé. De se regarder à l'écran quelques jours plus tard est la chose la plus excitante au monde.

Bien évidemment si les les images sont bien tournées, dans des conditions favorables et avec du matériel sophistiqué. Sinon, c'est lamentable. Nous félicitons Julie pour sa prestation derrière la caméra. Elle a zoomé les moments cruciaux. Fait des gros plans aux instants les plus torrides. Avec la haute définition, la qualité 4K permet de voir les jets de pisse que reçoit Clémentine en pleine gueule comme si c'était réel. Peut-être encore plus sublimé que dans la réalité.

Nous sommes tous les quatre, comme en extase devant ces images. Nous nous masturbons en retenant nos respirations devant les scènes les plus intenses. Même Julie, la main dans son jeans déboutonné, s'offre du plaisir. Nos apnées sont longues. Nous reprenons nos respirations dans de profonds souffles. Des soupirs. Nous regardons notre film avec un plaisir fou. Avec les nombreux arrêts sur image, il est presque 23 h quand Julie pousse un petit cri en s'effondrant au fond du canapé.

Nous l'observons se mordiller la lèvre inférieur d'où coule de la bave. Nul doute. Son orgasme est "nucléaire". C'est au tour d'Estelle qui se met à pousser de petits cris d'animal blessé. Elle a lâché mon Zob pour s'occuper de son sexe. Clémentine saisit ma queue pour m'entraîner aux toilettes. Il lui est totalement impossible de s'offrir un orgasme "sec" au salon. Je suis à genoux devant la cuvette, entre ses pieds. Elle pousse un cri. C'est en hurlant de plaisir qu'elle jouit en pissant.

J'adore lui lécher le minou immédiatement après. Ses mélanges sont succulents. Estelle et Julie sont venues nous rejoindre. Toutes les deux accroupies elle me regarde bouffer la chatte à Clémentine. Son orgasme la laisse épuisée. Nous nous regardons tous les quatre. Nous avons les yeux cernés. Les visages en sueur. Je dis à Julie : << Bienvenue au "Club" ! >>. Julie a un rire amusé avant de répondre : << J'ai ma carte depuis plus de deux ans ! >>. Nous éclatons de rire.

Je propose de monter nous coucher. Clémentine et Estelle veulent me "terminer" au lit. Lavage de dents en déconnant. Julie s'amuse beaucoup. Cela fait plaisir de la voir de plus en plus détendue en nos compagnies. Même si elle avoue avoir honte de ce qu'elle a fait dans le canapé. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine répond : << La honte, c'est ce petit condiment en plus qui donne sa saveur particulière à un bon plat gastronomique ! >>. Julie rit beaucoup.

Nous voilà couchés. Julie, là-bas, dans son canapé lit qui lutte déjà contre le sommeil. Je suis entre mes deux anges. Les filles bavardent encore un peu. Nous félicitons Julie une nouvelle fois. Estelle s'endort la première. Julie ronfle légèrement. Clémentine me taille une pipe. Avec l'excitation j'éjacule une quantité industrielle de foutre. Elle est obligée de se retirer plusieurs fois pour pouvoir avaler chaque giclée. Je pousse des râles de plaisir. Je n'ai jamais éjaculé aussi fort et autant.

Bonne soirée cinéma à toutes les coquines qui aiment découvrir à l'écran leurs talents de comédiennes et leurs prestations d'actrices...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1459 -



Un dimanche plutôt reposant

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements que fait Estelle avec ses pieds contre les miens. Toute la nuit elle est restée tout contre moi. Elle aussi sait quand je ne dors plus. Ma respiration change. Sa bouche, telle une ventouse, se colle contre la peau de mon cou. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir. Il est neuf heures. Je suis entre mes deux anges. Dans la douceur de nos étreintes affectives, c'est la distribution de bisous.

Nous luttons contre l'envie de pisser en regardant Julie qui se réveille doucement. Là-bas, dans son canapé lit, elle s'étire. << Bonjour ! >> nous fait elle en se redressant dans son pyjama blanc. Elle rajoute << Comme je dors bien chez vous ! >>. Nous la saluons. Clémentine dit : << Tu viens quand tu veux. Tu es ici chez toi. C'est ton lit ! >>. Estelle tient mon érection matinale à pleine main. Clémentine tient mes couilles. Estelle retire soudain la couette pour montrer mon Zob.

Nous éclatons tous les quatre de rire. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Ses vêtements à la main, elle se précipite vers la porte. Julie s'apprête à se lever en disant : << Je resterais bien avec vous toute la journée mais il faut que je parte à onze heures trente au plus tard ! >>. Julie a ses livraisons de repas à assurer. C'est à son tour d'aller pisser. Nous nous habillons. Jeans chemises à carreaux. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous descendons vite.

Nous rejoignons Estelle et Julie à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et de brioche. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre mes hanches de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. C'est au tour de Clémentine. Julie nous observe. Nous sentons bien cette pointe d'envie qui l'anime. Elle reste distante, n'osant pas. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. C'est Julie qui y dépose les deux bûches. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le film de hier soir. Julie est impatiente de faire l'actrice dans le sien. D'immortaliser un de ses fantasmes dans un film totalement privé. Nous le ferons au bord de la rivière dès les premiers beaux jours. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine évoquent leurs prochaines réalisations. Julie, assise en face de nous, écoute et nous observe. Le dimanche pas de gym, pas d'entraînement. C'est le repos.

Julie se lève pour débarrasser. La vaisselle. Elle plonge, nous essuyons. Il est 10 h. Nous enfilons nos anoraks. Il faut se munir des parapluies. La fraîcheur est vive, désagréable et très humide. Estelle et Clémentine me tiennent par les bras. Julie tient le bras de Clémentine. Nous descendons jusqu'à la rivière. Quelle surprise, voilà monsieur Bertrand. Notre voisin qui revient des canards. Ses amis à plumes qu'il va nourrir deux fois par jour. Il est surprit.

Ce ne sont pas deux filles avec moi aujourd'hui, mais trois. Nous faisons les présentations. Nous bavardons un peu. Plein d'humour, Mr Bertrand me demande : << Il faut assurer la logistique dans votre "pensionnat de jeunes filles" ! Si vous avez besoin d'un homme à tout faire ! >>. Nous éclatons de rire. Nous nous saluons car notre voisin n'a que sa cape de pluie et sa capuche. Il remonte prestement le chemin. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres.

Arrivés à l'endroit des canards, des poules d'eau et des colverts, Estelle glisse sa main dans ma braguette en disant à Julie : << Tu as déjà vu un hélicoptère sous la pluie ? >>. Julie regarde sans répondre. Clémentine nous abrite du grand parapluie. Estelle me sort le Zob. Passant derrière moi elle le tient à sa base entre le pouce et l'index. Après l'avoir agité en direction de la rivière, elle le fait tournoyer en répétant : << L'hélicoptère ! >>. Julie se met à rire.

<< Tu veux la faire tourner aussi ?? >> demande Estelle à Julie sous son parapluie. Sans répondre Julie vient la rejoindre pour prendre sa place. Maladroitement elle prend la queue molle que lui donne Estelle. Julie me fait tournoyer la bite. C'est maladroit. Ça manque de pratique. Nous rions tous les quatre de bon cœur. Julie la lâche très vite. Nous prenons le chemin du retour. Il est presque onze heures. Nous rentrons au chaud et au sec. Nous allons dans l'atelier.

Estelle y allume un bon feu dans la cheminée. Julie reste près de Clémentine dans le vieux canapé. Je lui montre une de mes natures mortes. Elle me demande : << Vous n'avez jamais tenté de peintures érotiques ? >>. C'est Clémentine qui répond : << Si ! Mais comment veux-tu vendre de telles peintures ? Ça ne s'expose pas ! >>. C'est Estelle qui précise : << A moins de vendre en ligne sous pseudonyme ! >>. Nous y avons déjà pensé. Je ne néglige pas l'idée de le tenter un jour.

Julie doit nous laisser. C'est avec une infinie tristesse qu'elle se lève. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture sous les parapluies. Nous sentons bien que Julie pourrait éclater en larmes. Aussi Clémentine s'empresse de dire : << On se voit demain soir. Tu viens livrer nos repas et tu manges avec nous. On se réjouit ! >>. Estelle rajoute : << Je pense à toi, promis ! >>. Un dernier coucou, nous la regardons partir. Nous nous dépêchons de rentrer. Il pleut vraiment fort.

Nous montons faire la chambre, le lit, retirer les draps du canapé lit. Clémentine nous les fait sentir en disant : << Odeur de fille ! >>. Nous en rions de bon cœur. Estelle me sort la bite pour m'entraîner devant le grand miroir de l'armoire. Elle dit : << Tu n'as pas honte de montrer ta queue de vicieux à trois filles en même temps ? Espèce de vieux salaud ! >>. Elle ne me laisse pas le temps de répondre car elle m'embrasse avec fougue. Il y a encore le gout de la brioche.

C'est au tour de Clémentine. Nous restons serrés tous les trois. Je suis entre mes deux anges. Nous nous faisons des grimaces dans le miroir. Estelle agite ma bite. Clémentine palpe mes couilles. Il commence à faire faim. Nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare les pavés de saumon pas vraiment décongelés en papillotes. Sur le barbecue électrique de la véranda pas chauffée. Elle a passé son anorak.

Je réchauffe la potée de légumes en regardant Estelle, là-bas, derrière la vitre fumée. Elle mime des masturbations masculines avec toute la vulgarité habituelle. Elle fait également le geste vulgaire de la pipe, faisant une bosse à l'intérieur de sa joue, tournant le poing fermé devant sa bouche. J'agite ma bite dans sa direction. Clémentine vient me rejoindre pour la saisir. Comme tout à l'heure, au bord de la rivière, c'est "l'hélicoptère". Nous mangeons de bon appétit. C'est miam.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font le bilan du week-end. Elles évoquent la présence de Julie, ses comportements timides, ses attitudes réservées. << D'ici une année, à suivre les cours de ce "pensionnat de jeunes filles", elle te suce, te touche la queue tout le temps ! >> lance Estelle pour pasticher monsieur Bertrand. Clémentine rajoute : << Il n'y a pas meilleure université du vice qu'ici ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

La vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Les filles, de la mousse aux coins des lèvres, miment des pipes avec leurs brosses à dents. Je demande : << Estelle, tu suces qui ? >>. Elle répond difficilement pour ne pas avaler de crème dentaire : << La bite à un certain Julien ! >>. Je demande à Clémentine qui dit : << La bite d'un certain Mr Bertrand ! >>. Nous nous rinçons la bouche en riant, têtes contre têtes.

Que faire par une météo aussi médiocre sinon d'aller travailler un peu. Nous dévalons les escaliers pour nous rendre dans l'atelier. Il y fait bien chaud. Il fait tellement sombre qu'il faut allumer les lampes à halogène. Clémentine nous entraîne devant son ordinateur qu'elle allume. Assises sur mes genoux, les filles font un petit tour sur le site universitaire. Réflexe d'étudiantes sérieuses. Pas d'informations particulières si ce n'est le programme de la semaine à venir. Mathématiques.

Un petit tour sur les différents forums où nous publions nos aventures. << C'est pitoyable ! Ces mecs qui mettent la photo de leurs bites en avatar. C'est une des raisons pour lesquelles les meufs fuient ce genre de forum. Ils s'imaginent que c'est leurs bites qui nous intéressent ! >> fait Estelle. Elle ne s'y rend plus depuis longtemps. Nous avons un message privé. Clémentine y répond toujours anonymement sous mon pseudo "Oncle Julien". Nous faisons un tour sur mon Blog.

Là, c'est beaucoup plus sérieux et très fréquenté. J'y publie mes histoires passées. Une autre Estelle que je situe comme élève d'un conservatoire. Une Nathalie exhibo que j'ai connu il y a dix ans. Une Gaëlle rencontrée en forêt il y a huit ans. Quelques autres récits narrant des évènements vécus avant l'arrivée de Clémentine dans ma vie. Estelle adore mon Blog. << Je vais souvent m'y recueillir ! >> lance t-elle en me palpant la braguette. Il y a trois messages privés.

Clémentine adore y répondre. Celui ou celle qui nous envoie le message croit que c'est moi qui répond. Cette duperie nous amuse beaucoup. Un petit tour sur nos boîtes mails. Juste un message de ma famille en Ecosse. En réponse au courriel envoyé hier. Nous avons hâte de nous revoir. Cet été peut-être. << Si ces enfoirés n'interdisent pas les vacances à l'étranger cet année encore ! >> précise Clémentine. << Ils ont inventé toute cette histoire pour nous enfermer ! >> rajoute Estelle.

<< N'entrons dans aucune thèse complotiste mais force est de constater que toute cette histoire sent le fétide ! >> précise Clémentine. Nous allons nous vautrer dans le vieux canapé en velours carmin. Je suis entre mes deux anges. Nous regardons le feu dans la cheminée. Estelle joue avec ma queue toute molle. Le spectacle des flammes, leurs crépitements, tout cela est toujours captivant. << Tu as promis de me baiser attachée et comme une salope ce soir ? >> dit elle.

<< Pourquoi attendre ce soir ? >> rajoute Clémentine que nous surprenons avec la main dans son jeans déboutonné. Estelle se lève. Elle me prend la main pour m'entraîner. Nous quittons l'atelier. Clémentine nous suit. Du tiroir du bas, dans le bureau au salon, elle sort les cordelettes de coton blanc et la paire de menottes. << Venez, on retourne dans l'atelier ! >> dit Estelle. Ses initiatives sont toujours surprenantes. Nous retournons dans la chaleur du feu de bois.

Je saisis Estelle par sa nuque. J'ordonne : << Enlève ton jeans et ta culotte ! >>. Elle ne se le fait pas dire deux fois. La voilà juste en chemise à carreaux et en chaussettes. Tout comme Clémentine. J'attache les pieds d'Estelle à ceux du canapé. Jambes très largement écartées. Clémentine s'installe dans le fauteuil à bascule. Cuisse gauche sur l'accoudoir de gauche, cuisse droite sur l'accoudoir de droite. Je retire mon jeans et mon slip. Estelle m'implore du regard.

Je me mets à genoux sur un des épais coussins pour lui bouffer la chatte. Le dimanche pas de douche. Nous restons toujours tous les trois à macérer dans nos jus. Je passe à la chatte de Clémentine qui se masturbe passionnément. Je retourne vers Estelle pour la pénétrer. J'ai attaché ses mains aux deux côtés du canapé. Totalement offerte à mes assauts, j'alterne le comportement du hussard, de l'homme des bois. Le tout avec la délicatesse d'un lutteur ukrainien en plein combat.

Estelle se fait troncher comme elle aime. Je la regarde, bouche ouverte, yeux fermés, à pousser des cris. Clémentine adore se masturber en nous regardant. Je suis rapidement en sueur. Il fait soudain trop chaud. Estelle connaît un orgasme totalement incontrôlé. Pourtant, depuis presque quatre ans, elle a appris à maitriser ses émotions. Je passe à Clémentine que je fais se lever. Je la soulève. Elle est tellement trempée, dégoulinante, que mon sexe s'enfile dans le sien tout seul.

Je la promène ainsi dans tout l'atelier. Estelle a recommencé à se toucher. Elle nous observe. Clémentine pousse de petits cris. Je la repose au sol. Mes lombaires me font trop souffrir. Clémentine tombe à genoux pour se masturber à nouveau. Une main entre ses cuisses, elle me retient de l'autre. Je voudrais aller pénétrer Estelle une nouvelle fois. Clémentine m'en empêche pour se mettre à me sucer. Estelle gigote sur son canapé. Ligotée est crie : << Au secours, une crampe ! >>.

J'entraîne Clémentine à quatre pattes en la tirant par sa natte. Je détache rapidement Estelle qui peut enfin masser sa cuisses gauche douloureuse. C'est toujours là que la crampe la saisit. Clémentine se frotte contre mon mollet. Elle reste accrochée à ma jambe en se masturbant. Estelle se termine d'un second orgasme qui semble totalement la bouleverser. Je fais monter Clémentine dans le canapé. Je me couche sur elle pour la baiser comme je l'ai fait avec Estelle.

Elle se masturbe toujours en même temps. Elle me repousse délicatement en hurlant. Elle pisse en jouissant. Il y a une flaque sur au moins cinq mètres devant le canapé. Jusque devant le chevalet. Le tapis l'a échappé belle. Estelle me taille une pipe. Je regarde Clémentine passer la serpillère. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Nous restons avachis dans le canapé jusqu'à l'heure du repas. Je suis entre mes deux anges qui échangent leurs impressions. J'écoute en récupérant doucement.

Bonne fin d'après-midi à toutes les coquines qui aiment se faire baiser façon "tribale", à l'ancienne, attachée sur le canapé...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1460 -



Julie est tellement heureuse de nous rejoindre

Hier matin, lundi, l'application téléchargée nous tire tous les trois de nos profonds sommeils. Au fond d'une étrange forêt résonnent les chants d'oiseaux et le bruit d'une source. Tout cela nous accompagne depuis nos rêves jusqu'au réveil. Il est presque six heures. Je suis entre mes deux anges. Estelle qui est restée accrochée à moi toute la nuit se serre encore davantage en saisissant mon érection matinale. Clémentine empoigne mes couilles. Je glisse mes mains dans les culottes.

Estelle se lève la première. Ses vêtements de sport à la main, elle se précipite vers la porte. Nous nous habillons. C'est à nous d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé et du reste de brioche au micro-onde. Il suffit de mettre une bûche sur les braises de la cuisinière à bois. Le feu reprend. Nous prenons notre petit déjeuner. C'est un peu dur ce matin de se réveiller.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle fait des imitations de bègues en nous faisant rire. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan des folies de notre week-end. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Estelle devra partir immédiatement après. Jogging sur tapis roulant, charges additionnelles, abdos. Retour au calme avec un stretching bienfaiteur. Estelle dévale les escaliers après des bisous. << A demain ! >> lance t-elle.

Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Il fait toujours aussi froid dehors. Il y a de gros nuages lourds et gris dans un ciel bleu. Nous traversons le jardin pour contourner la maison d'amis. Il est 7 h50. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Dans l'abri à bois nous nous dépêchons de remplir la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Juste le temps de rentrer. Nous filons dans l'atelier. J'allume la cheminée.

Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Rapidement plongée dans son télé travail. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. J'ai ouvert le portail depuis l'interphone. Ce matin il y a la livraison du bois. La peinture de ma troisième scène de genre destinée à ma saison d'été m'accapare déjà. Je peins dans une profonde sérénité car le timing est parfait. Il est dix heures, nous faisons notre pause pipi. Notre rituel.

Depuis la fenêtre nous apercevons l'énorme benne attachée à un grand tracteur. Deux hommes costauds son entrain de ranger quinze stères de bois de hêtre. Bûches de 33 cm qui sècheront sous l'abri à bois pendant au moins trois ans. Nous retournons à l'atelier. La matinée se déroule ainsi. Dans le calme profond de nos travaux respectifs. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre en sautillant. Elle met deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine.

Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare un coulis d'aubergine aux champignons. Ail, oignon, persil et ciboulette. Je poêle deux beaux filets de colin. Je les fais dorer. J'égoutte les coquillettes. Clémentine râpe du Parmesan. Je rajoute un peu de Roquefort froid coupé en dés dans la salade. Nous mangeons de bon appétit. Dehors, il y a une alternance de séquences pluvieuses et d'ensoleillement. Nous traînons à table en bavardant.

Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur les attitudes de Julie. Julie qui est amoureuse de Clémentine aime rester au près d'elle. << C'est touchant ! Dommage pour elle que je ne sois pas gouine ! Ça m'attriste parfois de la voir un peu tristounette ! >> fait Clémentine. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller au grand air, nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks. Il fait un peu moins froid que ce matin. Il ne pleut plus. Notre parapluie.

Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte en me disant : << Tu me feras la même chose que tu as fait à Estelle hier ? >> lance t-elle. Je promets de l'attacher au fer forgé du lit à baldaquin et de la besogner longuement. Pourquoi ne pas le faire demain après-midi puisque Clémentine termine à midi le mardi ? << Je t'aime Julien ! >> dit elle avant de m'embrasser tout en me sortant la queue. J'adore.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Nous reprenons le chemin qui monte. Tout l'abri à bois est à nouveau plein à craquer. Nous entreposons là une réserve de bois pour trois années. Cet hiver nous en avons fait grande consommation. Il a fait froid tout le temps. Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches avant de rentrer. Nous portons à deux car c'est lourd. Nous soulevons déjà nos centaines de kilos de fonte chaque matin à l'entraînement.

Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes sensations que ce matin. Pour le début du mois de mai j'aurai les vingt quatre toiles nécessaires à ma saison d'été. L'après-midi se passe dans les mêmes conditions que la matinée. Il est 17 h quand Clémentine vient sautiller autour de moi. Telle une ballerine elle virevolte dans toute la grande pièce en chantant.

<< Je soulève de la poussière. Mon chéri va me punir demain après-midi, attachée sur le lit ! >> chante t-elle. Nous en rions de bon cœur quand elle vient s'accroupir à ma gauche. Sa main sous ma blouse elle joue avec mon sexe en me regardant peindre. Elle a encore ses notes de l'après-midi à mettre au propre. La voilà installée dans le vieux canapé. Son ordinateur sur les genoux. Parfois elle chante. Parfois elle me donne une impression. Il est 17 h45. Je nettoie ma palette, mes pinceaux.

Je retire ma blouse. Ma bite pend de ma braguette. Clémentine tapote sur le canapé pour m'inviter à venir m'assoir à ses côtés. Juste à cet instant il y a la musique imbécile de mon téléphone. Clémentine se précipite pour le récupérer sur la desserte, entre les tubes de peinture. << Julie ! Elle arrive ! >> lance Clémentine qui m'entraîne par la main. Nous allons l'accueillir dans le hall. Je la débarrasse de la grande boîte isotherme en bois. Elle contient nos repas livrés.

Julie retire son blouson de cuir. De son petit sac à dos en cuir noir, elle tire le flacon de gel hydroalcoolique. Nous nous frottons tous les trois les mains en riant. Clémentine invite Julie à nous suivre. Je vide la boîte. Cinq belles tourtes aux fruits de mer encore chaudes. Trois coupelles contenant les salades. Nous retournons dans l'atelier. Julie veut absolument voir mon travail de la journée. Pas une seule fois elle ne regarde mon sexe. Comme si elle ne l'avait pas encore remarqué.

J'adore cette attitude toute féminine. Elle est assise devant mon chevalet. Elle nous confie une fois encore son impatience de tenir ma galerie d'Art cet été. Elle scrute les visages des trois personnages représentés sur la toile. Ils ont nos traits. Il y a Estelle, Clémentine et moi. << C'est génial, Julien. Vous vous immortalisez sur toutes vos créations ! On dirait des photos, c'est fou ! Quelle technique ! >> dit elle dans un souffle. Je suis debout derrière elle. Je pose mes mains sur ses épaules.

Je dis : << Si vous me fournissez une belle photo, vous serez un des prochains personnages féminins d'une toile à venir ! >>. Julie, toute contente s'écrie : << Oh oui ! On fait la photo tout de suite ! >>. Clémentine propose d'en faire quelques unes avec notre appareil. C'est le D780 de Nikon. Un reflex professionnel qui fait de sublimes photos. Elle file au salon pour le chercher. J'ai mon visage tout près de celui de Julie. Je murmure les descriptions de la toile qu'elle regarde. A son oreille.

Je la sens troublée d'être ainsi seule avec moi. Dans un moment de profonde intimité artistique. Clémentine revient. Elle invite Julie à se rapprocher le la fenêtre. Il est 18 h30. La nuit n'est pas encore tombé. Julie prend volontiers la pose pour plusieurs clichés. Nous découvrons le résultat. << Wouah ! Tu es canon avec le Nikon ! >> lance Clémentine pour amuser Julie un peu grave. Je la rassure en disant : << Vous êtes parfaite Julie. Je me ferai un plaisir de vous représenter sur une toile.

La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine ôte les opercules sur les coupelles contenant nos salades. Je réchauffe trois des tourtes aux fruits de mer. Les deux autres au réfrigérateur pour demain. Julie dresse la table en nous racontant son dimanche. Les livraisons de repas à midi et en soirée. << Ils avaient promis de permettre l'ouverture des restaurants au 20 janvier. Nous sommes le 15 mars ! >> fait Julie sur un ton de forte contrariété.

<< Tout ce que ces énarques amateurs n'ont pas promis depuis un an ! Quand on navigue à vue comme ils le font, on démissionne et on dégage ! >> rajoute Clémentine. J'écoute les noms d'oiseaux dont les filles affublent les "amateurs". Nous éclatons de rire aux adjectifs les plus cocasses. Julie regarde mon sexe à la dérobée. Voilà la troisième fois que je la surprends à loucher derrière ses lunettes d'étudiante. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup.

C'est Julie qui revient sur notre séance cinéma de samedi dernier. << J'aime manipuler une caméra. Lorsque je vois le résultat, je suis assez fière de moi. C'est rare. Je me trouve tellement nulle pour un tas de choses ! >> dit elle. Clémentine la rassure en précisant : << Nous sommes tous pareils, confrontés aux doutes permanents. Mais c'est ce qui permet de briller dans nos choix ! >>. Julie regarde toujours Clémentine avec admiration. Une fille amoureuse. C'est magnifique.

Clémentine propose à Julie de tenir la caméra pour nos prochaines réalisations. << Mais c'est toi qui la tiendra pour mettre mes fantasmes en images ! >> répond Julie. Elle observe ma bite sans oser fixer mon regard pour rajouter : << Et Julien fera "l'acteur" ! >>. Nous en rions de bon cœur. Je me lève. Je tiens ma bite à sa base pour l'agiter en direction de Julie. Lorsque j'aborde la sexualité, je tutoie toujours Julie. Je dis : << Tu aimerais faire l'actrice pour une réalisation personnelle ? >>.

<< Quoi ? >> demande t-elle un peu inquiète. Je la rassure : << Pas de contacts physiques. Non juste ce que nous apprécions tous deux. Des situations glauques et suggestives ! >>. Julie pose sa fourchette et son couteau. Elle observe ma légère masturbation avant de répondre : << Volontiers Julien. Si vous avez un scénario, je joue avec vous ! >>. Clémentine précise : << Le scénario, c'est moi qui vais le définir. Je te fais un mail cette semaine pour te le soumettre ! >>.

Julie semble toute contente. Voilà un nouveau projet qui s'annonce. Julie nous confie à quel point l'ambiance de la Faculté de Lettres Modernes lui manque. << Je déprime. Alors chaque petit truc me donne le moral ! >>. Je dis : << Là, on va te fabriquer un moral d'acier ! >>. Nous éclatons de rire. Je me lève pour me masturber. Cambré sur mes genoux fléchis je me branle. Clémentine et Julie, silencieuses, observent comme si c'était la première fois. C'est très excitant.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine parle de ses cours en ligne avec Julie. Assise de l'autre côté de la table, elle parle des siennes. Nous débarrassons. La vaisselle. Je propose à Julie le rituel du petit tour aux toilettes. << Oh oui ! >> ne peut-elle s'empêcher de lancer juste avant de se reprendre en mettant la main devant la bouche. Nous en rions aux éclats. Je dis : << Venez ! Ce sera une répétition pour un projet de film ! >>. Elle prend le bras de Clémentine.

Je suis debout devant la cuvette. Je tiens ma queue. Je bande mou. Même si j'ai une sérieuse envie de pisser, je dois me concentrer. Clémentine appuyée contre le lavabo, les bras croisés. Julie debout devant l'étagère à serviettes. Je lâche plusieurs jets. Il est décidé de consacrer un prochain film à ce sujet. Il est 22 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle revient demain pour 17 h. Juste une petite heure. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Au sec.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment passer la soirée en compagnie de leur couple d'amis. De partager des instants salaces...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1461 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, se mêlant à nos rêves, résonnent les chants de ces oiseaux mystérieux, le bruit de cette source. Il est presque six heures. L'application nous réveille de sa douceur habituelle. Il set presque six heures. Nous ne traînons pas. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine fait le café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine qui termine à midi est un peu euphorique. Il est 6 h25. Nous remontons. C'est notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles. Abdominaux et stretching. Ce matin encore avec une intensité maximale. La douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Il fait froid. Le ciel est gris. Il est 7 h50. Nous traversons le jardin sous nos bonnets. Nos gants.

Sous l'abri à bois nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Il faut se dépêcher car les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cette euphorie offerte par Clémentine. Je suis rapidement et totalement absorbé par ma peinture.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle m'entraîne dans une danse tribale. Nous parcourons toute la grande pièce en poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. Elle est tellement contente. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Une grosse laitue dont elle lave les feuilles également pour ce soir. La pâte feuilletée a décongelé. Je réchauffe les deux tourtes aux fruits de mer livrées hier soir par Julie. Je lave et je coupe les poireaux.

Je concocte une Béchamel. Clémentine râpe une grande quantité de gruyère. J'égoutte le poireau qui a cuit cinq minutes. Je rajoute à la Béchamel avec le gruyère. On verse sur les deux tiers de la pâte feuilletée étalée dans le plat à tarte. Je recouvre du dernier tiers. Clémentine joint les bords avec les doigts. Elle badigeonne le dessus du mélange œuf, moutarde à l'ancienne, lait de soja et graines de sésame grillées. Ce sera notre tarte aux poireaux pour le repas du soir.

Je sors les deux tourtes aux fruits de mer du four. On les remplace par la Flamiche Picarde. Cuisson à 180° pour laisser longuement mijoter. Les tourtes aux fruits de mer sont un délice. Par association d'idée, tout en mangeant, nous évoquons Julie. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me propose une promenade cet après-midi. Je trouve cette suggestion parfaite. Nous avons besoin de nous détendre un peu. Nous débarrassons. La vaisselle.

Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers, les grosses godasses à la main. Dans le petit sac à dos que je porte, il y a la thermos de thé bouillant, deux gobelets, nos mini parapluies, nos barres de céréales. Nous voilà prêts. Nous sortons. Le ciel est gris, bas et lourd. Pourtant les nuages ont quelque chose de rassurant. Pas menaçants. Nous montons jusqu'au portail vêtus de nos anoraks.

Il fait un peu moins froid. Nous traversons l'étroite route déserte pour prendre le chemin forestier. Il suffit d'éviter les flaques et les endroits boueux. Me tenant la main, Clémentine parle de ses espoirs. Pouvoir passer une semaine de vacances dans notre location du Jura. << Si ces enfoirés nous privent une nouvelle fois de vacances, j'achète un fusil ! >> lance t-elle. Nous en rions de bon cœur. Nous marchons d'un bon rythme. Nous nous arrêtons parfois pour nous embrasser.

Nous longeons les prés. Tout est lugubre et hivernal. Cette année le printemps tarde à se manifester. Nous passons le labyrinthe des rochers où clémentine me sort la bite. Accroupie devant moi, elle suce un peu tout en me donnant ses impressions. Je caresse sa tête en écoutant. Il n'y a personne. Nous longeons l'ancienne voie ferrée jusqu'aux Dolmens. Nous suivons le sentier au bord du ruisseau. Là-bas, sur notre droite, les bâtiments du haras. Nous rentrons en suivant la route.

Il est presque 17 h quand nous sommes de retour. Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Nous avons eu de la chance car voilà les premières gouttes de pluie. La voiture de Julie qui descend. Elle est toute contente. Nous rentrons ensemble. Elle nous aide à empiler les bûches à côté de la cheminée. Clémentine propose un thé. Il en reste dans la thermos. Je prépare quelques petits gâteaux secs. Nous voilà tous les trois vautrés dans le canapé de l'atelier.

De sa voix douce et calme, Julie nous parle de ses cours en ligne. Des livraisons de repas qui reprennent ce soir. Elle devra nous laisser pour dix huit heures. Assise à l'autre bout du canapé, à côté de Clémentine, elle se penche quelquefois pour s'adresser à moi. Je surprends ses regards furtifs sur ma braguette béante. Je sors discrètement ma bite. Je bande mou. Si le lecteur se rend dans ma galerie photo, il pourra voir à quoi ça ressemble. Julie comme toujours, semble consternée.

Je tiens mon sexe à sa base. Je bande mou. Je l'agite à chaque fois que Julie se penche. Clémentine s'en saisit tout en bavardant. Julie regarde plus franchement. Elle évoque le fantasme voyeur qu'elle veut réaliser devant la caméra. Elle expose quelques détails et quelques souhaits précis. Nous réaliseront ce film dès les premiers vrais beaux jours. Et cette année, ils tardent. Il est 17 h45. Du bruit. Voilà Estelle qui arrive. Elle se précipite. Des bisous. Elle aussi toute contente.

Estelle s'assoit sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Elle nous raconte son après-midi au bureau de l'entreprise familiale avec sa maman. Ses parents devaient venir manger dimanche dernier. C'est reporté à dimanche prochain. Clémentine propose de faire venir les repas déjà préparés. Julie se propose de nous livrer. Quelle excellente idée ! Nous n'aurons rien à préparer. Julie doit nous laisser. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Les adieux son difficiles. Il pleut.

Elle revient vendredi. Un dernier coucou, nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Nous retournons dans l'atelier. Je montre à Estelle les photos de Julie prises hier par Clémentine. Elle me prête ses traits pour le personnage féminin de ma prochaine toile. Estelle me dit : << Fais gaffe, je suis hyper jalouse ! Il se passe un truc avec elle, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> Nous en rions de bon cœur. La faim se fait sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine.

Estelle ne lâche pas mon sexe. << Mon Doudou ! >> dit elle à chaque fois qu'elle le prend en main. Je fais : << Une fille de 24 ans avec un "Doudou" ! Il faut qu'elle consulte ! >>. Nous en rions quand Clémentine rajoute : << Une consultation chez le docteur Julien ! >>. Nous dressons la table. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Je réchauffe la Flamiche Picarde. Cette tarte aux poireaux qui va encore faire les délices de notre repas. Tarte rituelle des mardis soirs.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études. Ce télé travail parfois ennuyeux. Ces cours en ligne qui ne remplaceront jamais l'ambiance de l'amphithéâtre de l'université des sciences. Estelle, totalement hors sujet, pour déconner, se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbations masculine. << Maman m'a encore parlé de toi au bureau ! T'arrête d'exercer tes sorcelleries sur ma mère, où je te mords l'œil ! >> lance t-elle.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mes épaules, de ma taille, les filles reviennent sur nos folies du week-end. Elles en préparent d'autres pour le prochain week-end. Estelle parle du prochain film qu'elle veut réaliser. "Fille timide". Une vague histoire de drague salace. Nous écoutons ses délires en riant. Avec cette météo exécrable qui dure, c'est frustrant de ne pouvoir tourner le film en extérieur. "L'écuyère". Il faut un des chevaux de Juliette.

Lorsque nous en avons parlé avec la patronne du haras, elle semblait emballée par le projet. A condition d'y participer en simple spectatrice. Il suffit d'attendre un climat un peu plus clément. Nous débarrassons. La vaisselle. Estelle veut absolument vivre les émotions vécues par Julie hier soir dans les toilettes. Nous reproduisons donc tout spécialement pour elle. Nous avons déjà joué à ça tant de fois. Mais c'est tellement excitant qu'il est impossible de s'en lasser.

Je demande à Estelle : << Tu te souviens, il y a trois ans, tout au début, quand tu jouais la timide, la fille effarouchée ? >>. Estelle se serre contre moi pour répondre : << Mais je ne jouais pas. C'était intimidant d'être avec un homme de l'âge de mon papa dans les toilettes ! >>. Clémentine rajoute : << Pourtant ça faisait déjà quatre ans que tu baisais avec ton parrain ! >>. Estelle éclate de rire pour dire : << Mais pas dans les chiottes ! Je ne l'ai jamais vu pisser. Jamais ! >>.

Nous en rigolons comme des bossus. Je vais aux toilettes. Je suis debout devant la cuvette, la bite à la main. La porte s'ouvre derrière moi. Estelle me contourne pour s'appuyer contre l'étagère à serviette. La même attitude que Julie hier soir. Je sais que Clémentine reste derrière la porte entrouverte pour mâter. Je lâche un premier jet. Je me masturbe un peu. Un second jet. Estelle, soudain trop excitée, se précipite pour s'accroupir à ma gauche. Elle m'attrape la queue.

Clémentine entre à son tour. Elle a la main dans son jeans déboutonnée. Appuyée contre le lavabo elle regarde Estelle sucer. Entre chaque petit jet, elle pompe comme une assoiffée. Les jets se transforment en giclées. Estelle, à genoux sur le carrelage, me suce comme si sa vie en dépendait. Clémentine tout en se masturbant passe derrière moi pour se frotter. Je propose aux filles de passer au salon. J'ai une méchante envie de bouffer de la chatte. Estelle se redresse.

Je lui masse un peu les genoux douloureux. Les filles m'entraînent au salon. Nous retirons nos jeans et nos slips en riant. Pressés de nous livrer à nos rituels habituels. Les filles vautrées dans le canapé, m'offrant leurs sexes. Je suis à genoux sur les épais coussins. Je commence toujours par le sexe à Estelle. C'est fort, odorant et baveux. Lorsque je ne suce pas son clitoris, elle se masturbe en poussant de petits gémissements. J'administre le même traitement à Clémentine.

L'orgasme d'Estelle la laisse hébétée. Celui de Clémentine est pisseux. Elle se lâche dans la cuvette en hurlant de plaisir. Estelle veut absolument reprendre sa pipe. Pendant que Clémentine passe la serpillère pour essuyer ce qu'elle à mis à côté, je me fais tailler une pipe des familles. Impossible de s'habituer à l'indicible caresse. Je propose à mes deux anges de monter. Rituel pisseux. Lavage de dents. Au lit, elles se refilent ma bite. Estelle s'endort la première.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire brouter juste en chemises et en chaussettes. Vautrées dans le canapé...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1462 -



Avec toujours cette météo bien merdique

Hier matin, mercredi, il est presque six heures quand l'application "Forêt" nous tire de nos profonds sommeils. Des chants d'oiseaux. Le bruit d'une source. C'est à la fois tellement délicat et subtil que c'est étroitement lié à nos rêves. Estelle est restée blottie contre moi toute la nuit. Elle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection matinale. Je suis entre mes deux anges. Clémentine vient se serrer fort. Distribution de bisous. Estelle se lève la première en s'écriant : << Pipi ! >>.

Nous nous habillons. C'est à notre tour d'aller pisser. Vêtus de nos tenues de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans l'odeur de café, de pain grillé et du feu qu'elle tente de rallumer dans la cuisinière à bois. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos folies de hier soir. Nous prenons ce savoureux petit déjeuner en riant beaucoup de nos frasques. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.

Jogging sur tapis roulant. Pendant que nous courons, Estelle fait du vélo d'intérieur. Puis on permute. Charges additionnelles. Exercices au sol, abdominaux. Le tout dans une intensité maximale. Retour au calme avec un stretching légèrement contraignant. C'est difficile de quitter le feu de l'action pour des mouvements d'étirement. Mais ces mouvements sont nécessaires. Estelle doit partir. Un dernier bisou et elle dévale l'escalier en lançant : << A demain soir. Soyez sages ! >>.

Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. C'est toujours un peu étrange quand Estelle s'en va. C'est comme si elle faisait partie de nous. Nous descendons pour enfiler nos anoraks. Nous sortons dans la désagréable et humide fraîcheur matinale. Il pleut. C'est sous le grand parapluie que nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Dans l'abri à bois nous remplissons la corbeille d'une dizaine de bûches. Il est 7 h55.

Le temps de rentrer car les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je vais terminer cette troisième scène de genre destinée à ma saison d'été ce matin. Je peins dans une profonde sérénité. Juste le crépitement dans l'âtre. Clémentine chantonne quelquefois. Le bonheur.

Il est 11 h quand je dépose la dernière touche de jaune de cadmium sur la surface du tableau. Je le dépose sur un autre support afin qu'il y sèche tranquillement. Sur mon chevalet je dépose une nouvelle toile. Le dessin préparatoire et la couche d'impression déjà réalisés me permettent d'attaquer immédiatement. Il me suffit de nettoyer ma palette et d'y rajouter les couleurs nécessaires. Je commence cette quatrième scène de genre animé d'une joie intense.

Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans la cheminée. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je réchauffe le reste de la tarte aux poireaux de hier. Je prépare une pâte à crêpes pour les beignets de crevettes de ce soir. La pâte reposera dans un saladier, sous un linge, tout l'après-midi. Je poêle deux dos de cabillaud blanc avec des champignons, ail et échalote.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point elle est contente d'être seule avec moi jusqu'à demain soir. << Je t'ai tout à moi ! >> dit elle avant de me couvrir le visage de bisous. Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Par la fenêtre nous regardons ce temps médiocre. << Dimanche c'est le printemps. Tu a vu cette météo ! >> lance Clémentine.

Elle rajoute : << Et quand il y aura du soleil, qu'il commencera à faire chaud, que les oiseaux se mettront à chanter, nos dangereux psychopathes vont décréter le confinement ! Fils de putes ! On les voit venir ! >>. Clémentine se blottie dans mes bras en disant : << Je pourrais pleurer avec de tels salauds ! >>. Je la berce doucement en lui chuchotant des douceurs. Après tout, nous vivons retirés du monde, à la campagne, sur nos terres. Nous y faisons ce que nous voulons.

Clémentine m'entraîne par la main. Nous dévalons les escalier pour mettre nos anoraks, bonnets, gants. C'est sous le grand parapluie que nous descendons jusqu'à la rivière. Je dis : << Tu vois, confinement ou pas, cela ne changera strictement rien à nos libertés d'aller et de venir autant que nous le voulons. Nous avons des hectares rien qu'à nous. On les emmerde ! >>. << Mais les vacances ! >> s'écrie Clémentine en glissant sa main dans ma braguette. Là, je ne sais plus quoi dire.

Il pleut. Le paysage encore hivernal reste d'une tristesse infinie. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres. Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut songer à retourner. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Elle me tient par les mains sur ses épaules. Je suis debout derrière la chaise. Elle ne veut pas me laisser partir. Un dernier bisou dans le cou et je vais m'installer devant mon chevalet.

La peinture de cette quatrième scène de genre destinée à ma saison d'été m'accapare totalement. Je vais donner les traits du visage de Julie à l'un des deux personnages féminin. Je le ferai à partir d'une des photos prises lundi soir. Elles sont d'une netteté sans pareille. L'après-midi se déroule dans cette saine émulation qui nous enchante. Il est 17 h quand Clémentine, qui a retrouvé son optimisme naturel vient me rejoindre en virevoltant comme une ballerine qui ferait ses pointes.

Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle observe ma peinture en jouant avec mon sexe. Je pose ma palette pour la saisir par la nuque. Ce gloussement de satisfaction immédiat me rassure. Lorsque Clémentine a quelques moments de doutes, il me suffit d'avoir ce comportement pour qu'elle retrouve toute sa vitalité. Je dis : << Je sais quoi faire faire pour te faire oublier les aléas de l'existence ! >>. Elle pose sa tête sur ma cuisse. Je caresse sa nuque chaude et douce.

<< Je vous aime mon doux "Maître". Sans vous ma vie serait une faillite ! >> dit elle. Nous rions. Je la saisis par ses cheveux en catogan. Je me lève. Je l'entraîne ainsi, à quatre pattes pour faire le tour de la grande pièce. Aux coins de chaque meuble, Clémentine lève la patte. Je dis : << Je vous aime ma douce "Soumise". Sans vous ma vie serait bien terne ! >>. Elle se redresse, à genoux sur le tapis, les mains croisées sur la tête, elle me fixe de son regard plein de reconnaissance.

Je me penche pour fouiller sa bouche de ma langue exploratrice. En même temps, j'ouvre ma blouse. Je lui frotte le Zob sur le visage. Elle m'en présente tous les angles en gémissant de plaisir. << J'aime les attentions de mon doux "Maître" ! >> souffle t-elle avant de gober ma bite pour la sucer avec passion. Je la tiens sous le menton et par la nuque pour lui chuchoter plein de douceurs. De cochonneries. Je me fais tailler une véritable pipe des familles. C'est absolument divin.

Je retire ma queue gluante et dégoulinante pour dire : << Ma douce "Soumise", il me semble que vous avez encore vos notes à mettre au propre ! >>. J'aide Clémentine à se redresser. Je m'accroupis pour masser ses genoux. Elle m'entraîne par la main toute joyeuse. Me voilà assis devant mon chevalet. Clémentine est confortablement installée dans le vieux canapé. Son ordinateur sur ses cuisses. Elle y met les notes prises sur son calepin. Nous travaillons encore un peu.

Il est 18 h15. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je rejoins Clémentine qui éteint son ordinateur. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, je caresse sa tête. Elle frotte sa joue contre ma bite molle et humide. << Tu me "recadres" un peu ce soir ? J'ai besoin d'être sérieusement recadrée tu sais ! >> me dit elle. Nous en rions de bon cœur. Je promets de faire le nécessaire. Endosser le rôle du "Maître". Même si je n'en ai pas l'âme. Je le joue très bien.

Il commence à faire faim. Après ce moment de calme qui agit un peu comme un sas entre l'action et le calme, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je porte l'huile à ébullition. Les queues de crevettes ont décongelé. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Je trempe chaque crevette dans la pâte à crêpe avant de la plonger dans l'huile bouillante. J'égoutte les spaghettis. Clémentine retire les beignets avec un écumoire. Une louche à trous qui permet de les récupérer.

Du Parmesan sur les spaghettis, les beignets de crevettes. Une salade d'endives et de tomates. Quel succulent dîner du soir. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur les attitudes de monsieur Bertrand. Notre voisin retraité et vicieux. Elle a échafaudé quelques nouveaux fantasmes exhibitionnistes. Je propose de l'attacher un jour et que notre voisin la surprenne ainsi, ficelée à un pilier.

Lorsque la météo sera plus clémente, il n'est pas exclu qu'en laissant une des fenêtres du bas, dans la maison d'amis, ouvertes, Clémentine se fasse surprendre en pleine masturbation, couchée sur un des deux canapés. Elle a déjà bien élaboré la stratégie. << Tu sais, pendant mon télé travail, j'ai parfois des idées ! >> me dit elle. Nous en rions de bon cœur. Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle. Je saisis Clémentine par son catogan. Je l'entraîne sans ménagement.

Dans le salon, j'ordonne : << Ma douce "Soumise", retirez votre jeans et votre culotte ! >>. Pendant ce temps, du tiroir du bas du bureau, je tire les genouillères, la paire de menottes, le collier canin, le foulard en soie et la laisse. Je fixe les genouillères aux genoux de Clémentine. Je passe le foulard en soie autour de son cou avant d'y mettre le collier canin. J'y fixe la laisse. J'ordonne : << A quatre pattes ! >>. Clémentine toute contente, ne se fait pas prier. Joyeuse.

Je donne un à coup sur la laisse. Je passe derrière elle pour lui enfoncer un doigt dans le cul. Elle a ce petit soubresaut de surprise qui m'émeut. Je me redresse. Je l'entraîne. Clémentine avance à quatre pattes dans toute la grande pièce. Une fois encore elle lève la patte aux coins de chaque meuble. Je me penche souvent pour lui enfoncer un doigt dans le cul. Nous possédons un de ces plugs anal en métal chromé. Nous ne sommes pas adeptes des objets ni de sodomies.

Ce plug anal a un anneau auquel il est possible de fixer une queue de renard. Poils synthétiques. Je le sors du tiroir. Je la fais cracher sur le plug. C'est le petit modèle. Je le lui enfonce doucement. Les jambes écartées, à quatre pattes, légèrement cambrée pour permettre l'introduction de l'objet, Clémentine pousse un petit cri. Voilà le plug bien enfoncé. J'y fixe la queue de renard. Nous reprenons notre "promenade". C'est absolument divin de voir cette superbe jeune fille ainsi.

J'ordonne parfois : << A genoux. Mains sur la tête ! >>. Je lui frotte la bitte sur la gueule. Je la glisse dans sa bouche. Je bande mou. Ce qui me permet de lâcher une toute petite giclée de pisse à chaque fois. Clémentine ouvre alors les yeux pour me fixer de son regard plein de reconnaissance. Clémentine est une authentique "soumise". Alors que je ne fais qu'interpréter un personnage. Mais je l'interprète à la perfection. A chaque nouvel arrêt, c'est une nouvelle giclée de pisse.

Clémentine suce avec passion. Parfois, je lâche un jet mal contrôlé. Il en gicle alors aux coins de la bouche de ma "soumise". Je lui administre une gifle. Ce ne sont jamais des actes de violence. J'en serais bien incapable. Mais cela fait partie du jeu. Je dis : << Ma douce "Soumise", à chaque fois que vous en laisser échapper une goute, c'est la gifle ! >>. Dans un gloussement de plaisir, me tenant aux hanches, à genoux, Clémentine pompe comme si sa vie en dépendait.

Je l'entraîne par la laisse. Parfois, je passe derrière elle pour faire tourner le plug anal. Je la force à se lever. Je la soulève pour l'assoir sur le bureau. Je la tiens par ses chevilles pour la faire basculer en arrière. En appui sur ses coudes, le visage en sueur, le regard plein de surprise, elle me regarde la pénétrer avec d'infinies précautions. Je dis : << Enculée et baisée, ma douce "Soumise". Rien que pour votre plaisir ! >>. Clémentine se met à gémir. Elle dit : << J'aime vos thérapies, "Maître" ! >>.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se font "recadrer", un plug dans le cul, une bite dans la bouche ou dans le fion...

Julien

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - Tous droits réservés - © - Copyright -

Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle" et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique trente et unième page qui nous attend déjà...

Cordialement.


Homme, 53 ans, France
Classe - 1 -Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1463 -



Vingt quatre heures sans Estelle et elle nous manque

Hier matin, jeudi, c'est en accompagnant nos rêves que les chants de ces mystérieux oiseaux, le bruit de cette source, nous tirent de nos profonds sommeils. Il est presque six heures. Clémentine vient se lover contre moi en glissant sa main dans mon slip. Mon érection matinale en main, elle murmure à mon oreille : << Comme vous étiez doux avec moi hier mon bon "Maître" ! >>. Je réponds : << Comme vous étiez aimante ma douce "Soumise" ! >>. Il faut se lever de toute urgence.

L'envie de pisser ne permet pas de rester couchés une seconde de plus. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe du café. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. Je rajoute du petit bois et une bûche sur les braises ardentes dans la cuisinière. Nous prenons un délicieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en évoquant nos jeux.

Il est 6 h25. Nous remontons. L'heure d'entraînement est le premier réel combat de la journée. Un combat que nous gagnons toujours. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et retour au calme avec un bon stretching. Nous prenons notre douche. Habillés de nos jeans, de nos chemises à carreaux nous descendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Il fait un froid humide. Il ne pleut pas mais le sol est encore détrempé. Nous traversons le jardin.

Sous l'abri à bois nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Il faut se dépêcher car les cours en ligne commencent à 8 h05. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette quatrième scène de genre destinée à ma saison d'été me happe tout entier et rapidement.

Je peins animé d'enthousiasme. La matinée est une succession d'émotions picturales. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Ce que disent les étudiants des nouvelles mesures en Île de France. Je réchauffe le reste de spaghettis de hier soir. Je concocte un coulis de courgette avec de la tomate et des champignons. Ail, échalote.

Je pane deux filets de lieu noir. Je badigeonne de moutarde à l'ancienne. Je trempe dans l'œuf puis dans la chapelure. J'y rajoute du Parmesan finement râpé. Je fais revenir à feux doux dans la poêle. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur nos jeux du "Maître" et de sa "Soumise". << C'est quelque chose dont j'ai vraiment besoin, Julien ! >> me dit elle à plusieurs reprises.

Je le sais bien. Aussi je m'applique à interpréter le personnage assez souvent. Pas assez aux goûts de Clémentine dont c'est un besoin viscéral. Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Pressés de sortir, nous redescendons à toute vitesse pour enfiler nos anoraks. Il y a un vent glacial. Le sol sèche déjà. Sous nos bonnets, nous prenons le chemin qui mène à la rivière. Accrochée à mon bras, Clémentine revient sur nos petits jeux.

Je lui promets d'interpréter le rôle très bientôt. << J'adore quand on y joue seuls. Juste toi et moi ! >> précise t-elle. Je comprends. Je m'en étais déjà rendu compte. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres. Les canards cancanent en nous accompagnant. Les colverts et les poules d'eau viennent les rejoindre. Nous ne pensons jamais à leurs apporter à manger. Monsieur Bertrand, notre voisin retraité s'en charge. C'est une de ses passions.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il est temps de revenir. Sous l'abri à bois nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Avec cet hiver qui n'en finit pas nous en faisons grande consommation. Nous rentrons. Dans l'atelier nous empilons le bois à côté de la cheminée. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Une succession d'émotions.

Cet après-midi, les échanges avec les autres étudiants, le professeur sans doute aussi, sont vifs. Je n'entends que Clémentine mais je peux recomposer les sujets de conversations. Il y est question de confinement, de folie gouvernementale. Fusent les noms d'oiseaux pour qualifier tous ces individus. Des "malfaisants" est le terme qui revient le plus souvent. Même si ce n'est pas drôle, je ne peux m'empêcher de sourire aux emportements de Clémentine. La colère ne lui va pas du tout.

Il est 17 h quand elle vient me rejoindre. Accroupie à ma gauche, sa main sous ma blouse, elle joue avec mon sexe en regardant mon travail. Je pose ma palette pour glisser ma main sous ses cheveux. Saisir sa nuque. Le gloussement immédiat m'indique à quel point Clémentine a besoin de réconfort. Elle frotte son visage contre la bosse que fait ma bite sous la blouse. Je lui chuchote des douceurs. Sa crainte de voir nos vacances de Pâques gâchées est grande.

Philosophe et de nature optimiste, elle fait : << Si ces salauds nous privent de liberté, non seulement ça leurs pétera à la gueule, mais nous irons passer une semaine de vacances dans notre résidence secondaire ! >>. Nous en rions de bon cœur. Notre résidence secondaire est la maison d'amis que nous venons de faire aménager. Elle est à au moins cent mètres de notre demeure. Rires. Clémentine a encore ses notes à mettre au propre. La voilà installée dans le vieux canapé.

J'aime peindre en l'écoutant chantonner ou me donner ses impressions. Elle adore prononcer des suites de mots incongrus pour en faire des phrases surréalistes. Il est 18 h. Du bruit. C'est Estelle. Elle entre dans l'atelier comme un ouragan, en sautillant. Elle se précipite pour nous faire des bisous. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa soirée de hier. La visite de son parrain qui vient livrer de grands cartons. Comme tous les mercredis soirs.

<< Il a une méchante envie de baiser avec moi. Depuis plus d'un an, ça lui manque. Je suis restée avec lui dans sa camionnette une dizaine de minutes. Dommage qu'il déteste la pipe ! >> nous dit elle en éclatant de rire. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il y a deux photographies de Julie punaisées sur le haut du chevalet. J'explique à Estelle qu'un des personnages féminins de mon tableau aura le visage de Julie. << Fais gaffe, je suis jalouse ! >> lance Estelle.

Je retire ma blouse. Estelle saisit ma bite pour me tirer. Nous faisons ainsi le tour de la grande pièce. Clémentine nous observe en rangeant les papiers épars sur la table de travail. Estelle me promène comme à la laisse. Clémentine dit : << Hier soir, je me suis faite promener comme ça avant d'être baisée comme j'aime ! >>. Estelle me branle un peu en lançant : << Voilà ce qui se passe ici quand je ne suis pas là. Des séances de bondage, de soumissions et de sexe ! >>.

Nous en rigolons comme des bossus. Estelle m'entraîne pour me faire tomber dans le canapé. A genoux sur un des épais coussins, ses mains posées sur mes cuisses, elle dit encore : << Il faut que je vérifie le matériel ! >>. Clémentine vient nous rejoindre. Elle s'installe à côté de moi. Nous observons Estelle qui renifle ma queue. Elle décalotte juste le méat. L'odeur nous monte aux narines. Même sous la douche le matin, il m'est interdit de laver cette partie entre le prépuce et le gland.

Clémentine adore me nettoyer avec sa bouche. Elle aime les sensations fortes. Et comme mes muqueuses secrètent pas mal, elle a de quoi faire. Estelle tente de glisser sa langue entre le prépuce et le gland. Nous regardons la bosse en faire le tour. Estelle nettoie en gémissant. Un râle de dégout vient ponctuer son activité de "Mademoiselle propre". Je lui caresse la tête. Quand elle se met à sucer, je passe mes doigts dans le creux de ses joues. Les yeux fermés, elle suce avec passion.

La faim commence à se faire sentir. Je propose de remettre cette activité à tout à l'heure, en dessert. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. La tarte à la tomate a décongelé. Il suffit de la réchauffer dans le four à bois. Sa chaleur est tellement puissante qu'il faut surveiller. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle et moi, nous dressons la table. Ce soir, ce sera une tarte réchauffée préparée il y a quelques semaines. Depuis octobre de l'an dernier, c'est la préférence d'Estelle.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les mesures gouvernementales, les errances de l'exécutif et ce que cela va leurs coûter aux prochaines élections. Estelle, tout en bavardant, se lève à plusieurs reprises pour mimer des masturbations masculines. Je me lève pour agiter mon sexe dans sa direction. Ce rituel a lieu à chaque repas, ou presque. Depuis bientôt quatre ans. Cela nous amuse. Clémentine reste toujours assise. Elle mime une pipe en nous observant.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, mes deux anges évoquent notre week-end à venir. Clémentine aura ses "petits machins" de fille. Ce qui limitera les possibilités. Mais il est décidé de nous offrir une superbe soirée dans la maison d'amis. Nous y prendrons notre repas. << Tu nous "soumets" Julien ? >> lance Estelle. << Tu as appris à aimer ça aussi , hein ! >> répond Clémentine. Nous en rions de bon cœur.

Je propose que ce soit Clémentine la "soumise" principale de cette soirée à venir. << Oh oui ! >> s'écrie t-elle. << Et moi alors ? >> lance Estelle en glissant sa main dans ma braguette. Je réponds : << Je vais préparer tout ça avec un grand soin ! >>. Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle. Je suggère un bon léchage de minous. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. C'est Estelle qui m'entraîne par la queue. Au salon, nous retirons nos jeans et nos sous vêtements.

<< Je veux te vider les couilles. J'en ai encore rêvé cette nuit. Même dans mes rêves tu es le dernier des salauds ! >> lance Estelle. Elles sont toutes les deux vautrées dans le canapé. Tenant leurs jambes largement écartées et relevées sous les genoux, elles me présentent leurs chattes hyper poilues. Depuis presque quatre ans, sa dernière taille, la toison pubienne d'Estelle n'a plus rien à envier à celle de Clémentine. Il y a du poil à l'intérieur des cuisses. Jusqu'au nombril.

A genoux sur un des épais coussins, je commence par la moule d'Estelle. Une moule au jus de fille. L'odeur de fille négligée, le goût légèrement âcre, m'enivrent de plaisirs gustatifs. Lorsque je ne suce pas son clitoris, elle se masturbe en gémissant. Je passe au sexe de Clémentine. Ce soir encore c'est une véritable "fondue". Pas du tout savoyarde mais au fromage onctueux. Lorsque je ne suce pas son clitoris géant, Clémentine se masturbe en gémissant.

C'est un merveilleux concerto stéréophonique pour deux voix. Les cantatrices sont absolument divines. Je dirige l'orchestration avec virtuosité. L'orgasme d'Estelle la laisse hébétée. Ses petits cris d'animal blessé ont achevé de la laisser sans voix. J'ai juste le temps de prendre la bassine pour la donner à Clémentine qu'elle y pisse en hurlant de plaisir. Son orgasme la laisse toute aussi épuisée. J'ai la langue et la mâchoire un peu congestionnées. Il faut préciser que je me donne à fond.

Je suis invité à m'installer entre mes deux anges. Ce soir, ni l'une ni l'autre n'ont souhaité la pénétration. Ce fut donc exclusivement une soirée cunnilingus. Les rapports génitaux buccaux restent nos préférences. Estelle se met à genoux entre mes jambes. Avec l'excitation ma bite suinte de liquide séminal. Ce soir il est particulièrement épais et gluant. Estelle, du bout des lèvres se met à suçoter. Elle aspire avec un bruit bulleux. Clémentine et moi nous l'observons.

C'est passionnant d'observer une jeune fille, belle comme un ange, avec une bite dans la bouche. Parfois Estelle ouvre les yeux pour nous regarder tous les deux. Ses yeux bleus, amusés et malicieux, brillent alors d'une lueur lubrique qui achève de me mettre en transe. Clémentine n'est pas insensible non plus à ce genre de spectacle. Elle se masturbe de la sa main gauche en tenant la mienne de sa main droite. Je me fais tailler une pipe des familles. C'est divin.

Je caresse le visage d'Estelle du bout de mes doigts. Je chuchote des douceurs, des cochonneries. Je donne mes impressions. Ces situations me projettent toujours dans un passé que nous avons vécu ensemble tous les trois. Là j'évoque nos vacances dans les Alpes l'an dernier. Nos longues randonnées. Nos aventures. Nos frasques et les films cochons que nous y avons tourné. Clémentine propose de les revoir un de ces soirs. Estelle cesse de sucer pour suggérer : << Soirée cinéma ! >>.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment évoquer les vacances avec une bite en bouche et des souvenirs plein la tête...

Julien

Classe



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode - 1464 -



Le vendredi, Clémentine termine ses cours à midi

Hier matin, vendredi, intimement imbriqués à nos rêves, il y a le chant de ces étranges oiseaux. Le bruit de cette source mystérieuse. Tout cela nous accompagne en douceur jusqu'à nos réveils. Il est presque six heures. L'application téléchargée a joué son rôle à la perfection. Estelle est restée serrée contre moi toute la nuit. Clémentine vient se blottir à son tour. Je suis entre mes deux anges. C'est dur ce matin d'émerger. Estelle se lève la première en s'écriant : << Week-end ! >>.

Nous nous habillons. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Elle me saute au cou dans cette suave odeur de café, de pain grillé et du feu qui reprend dans la cuisinière à bois. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Je fais pareil avec Clémentine. Elles ont tendance à être très déconneuses car le vendredi elles terminent à midi.

Nous prenons notre petit déjeuner en riant de nos frasques. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du week-end. Il est 6 h25. Nous remontons. C'est notre heure d'entraînement qui va achever de bien nous réveiller. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos. Le stretching. Ces étirements qui permettent de revenir au calme sans imposer de stress à l'organisme. Estelle est obligée de partir. Elle dévale les escaliers après des bisous.

<< A cet aprème ! >> crie t-elle depuis le bas de l'escalier. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous descendons pour mettre nos anoraks. Dehors il fait toujours aussi froid. 7 h50. Le sol est humide. Nous traversons le jardin en restant sur les dalles de grès. Sous l'abri à bois nous remplissons le grand panier d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Il ne faut donc pas traîner. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud.

Dans l'atelier, j'empile les nouvelles bûches sur les autres. Clémentine est assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume une flambée dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette quatrième scène de genre destinée à ma saison d'été est passionnante. Je peins dans cette euphorie communicative. Je chante doucement pour ne surtout pas déranger Clémentine.

La matinée se passe ainsi. Il est 11 h45 quand je nettoie mes pinceaux et ma palette. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre en sautillant. << Week-end ! >> chante t-elle en tourbillonnant tout autour du chevalet, de mon emplacement de travail. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste de la tarte à la tomate. Je poêle deux filets de limande préalablement enduits de moutarde à l'ancienne. Ail, échalote, persil, ciboulette.

Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je les égoutte pour les verser dans un plat en terre cuite. Clémentine casse un œuf dessus. Je recouvre d'une copieuse couche de gruyère de Comté râpé. De la chapelure. Clémentine y dispose onze cerneaux de noix. Je mets au four. Cuisson à 180°. Ce sera notre gratin pour ce soir. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine évoque son rendez-vous chez le gynécologue.

C'est cet après-midi à 15 h. Nous y retrouverons Estelle qui a prévu sa consultation en même temps. Avec sa maman. Elles font ça depuis l'adolescence. << C'est la seule situation où montrer ma chatte à un homme me laisse indifférente ! >> dit elle. Nous en rions de bon cœur. Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous regardons par la fenêtre. D'ici nous voyons la maison des Bertrand à 300 m.

<< L'an dernier, à la même date, la nature renaissait. Les arbres étaient déjà en fleurs. L'herbe était verte. Cette année c'est encore l'hiver ! >> fait Clémentine en glissant sa main dans ma braguette. Nous nous embrassons passionnément. A tel point que de la salive humidifie nos mentons. Ça me fait toujours bander très fort. C'est dans la main de Clémentine que mon érection trouve une fois encore son plein épanouissement. Je bouge même un peu, pour me branler doucement.

Assis sur le tabouret à côté de la baignoire, je feuillette un fascicule touristique du Jura. Pendant ce temps Clémentine se lave soigneusement l'entre jambes en parlant de nos vacances. Le Jura fut le cadre de nos première vacances il y a presque quatre ans. << Jura Suck Park" se souvient Clémentine qui vient me montrer son minou bien coiffé. << Sens et donne moi tes impressions ! >> fait elle en écartant les lèvres charnues de son sexe. Je hume. Je dis : << Jasmin ! >>.

C'est une eau de toilette intime exempte de tout produit chimique. Un eau naturelle et "Bio". Aucun risque d'irritation pour des muqueuses intimes. C'est d'ailleurs prévu à cet effet. Clémentine déteste les parfums. Une exception pour cet après-midi. Nous nous changeons. Clémentine porte une jupe carmin qui descend à mi mollets. Ses collants couleur café. Un chemisier blanc sous un pull brun au col en "V". Ses bottes marrons à talons. Ses cheveux noués en catogan.

Sur sa demande, je porte un jeans propre, une chemise blanche, un pull bleu nuit au col en "V". Nos écharpes crèmes. Nos manteaux noirs. Clémentine m'entraîne devant le grand miroir de l'armoire. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> dit elle. Nous prenons des poses pour nous observer sous tous les angles. Clémentine s'accroupit. Elle enserre ma jambe de ses bras. Sa tête posée contre ma cuisse, elle chuchote : << Je vous aime mon doux "Maître". Je vous aime ! >>.

Je pose ma main sur sa tête pour murmurer : << Je vous aime douce "Soumise". Je vous aime ! >>. Je sors ma bite pour l'offrir à Clémentine. Elle suce un peu. Je bande mou. Je dis : << N'allons pas nous exciter, tu auras la chatte crémeuse devant le gynéco ! Il va diagnostiquer des pertes blanches qui n'existent pas ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine fait : << C'est un docteur, il sait faire la différence ! >>. Nous descendons les escaliers en rigolant.

Il est 14 h15. Il fait un froid humide et désagréable. Nous sortons la grosse berline allemande du garage. Il faut bien qu'elle roule un peu. La dernière fois que j'ai fait le plein c'était à la mi novembre. Nous sommes le 19 mars. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Il y a une quinzaine de kilomètres jusqu'en ville. Le praticien exerce dans une des rues piétonnes du centre. Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. Il y a dix minutes de marche. Nous nous tenons par la main.

Il faut porter ces saloperies de masques sanitaires. Nous portons nos beaux masques en tissus achetés à Saint-Malo l'année dernière. Ils présentent de superbes motifs celtiques. Il y a pas mal de monde en ville. Ça fait longtemps que nous n'étions plus venus. Le cabinet du gynécologue est au premier étage d'une pharmacie dans une vieille maison de caractère. Nous arrivons à l'accueil. Six personnes maximum dans la salle d'attente. Nous sommes quatre. Estelle et sa maman sont déjà là.

Nous jouons le jeu en gardant nos distances. Michèle est toute heureuse de nous revoir. La maman d'Estelle paraît bien plus jeune que ses 48 ans. Presque la grande sœur. Estelle aussi est en jupe. Très élégante. Nous bavardons un peu. Les parents d'Estelle viennent manger à la maison dimanche. Michèle emmènera le dessert. Nous faisons venir les repas par Julie. Ce sera donc la fête pour tout le monde. Je surprends le regard de Michèle sur ma braguette à quelques reprises.

Réflexe naturel ou volonté délibérée ? C'est la question que je me pose. L'assistante entre dans la salle d'attente. C'est à Estelle de passer d'abord. << Je déteste ! >> chuchote t-elle en passant devant nous. La consultation dure une dizaine de minutes. Puis c'est au tour de Clémentine qui murmure : << Je déteste ! >>. Nous en rions de bon cœur. C'est étrange de me retrouver en compagnie d'Estelle et de sa maman. Nous ne pouvons pas avoir nos comportements habituels.

Clémentine revient. C'est au tour de Michèle. Seuls tous les trois, nous nous faisons des bisous. Estelle dit : << J'ai la chatte révisée. Malgré les nombreuses heures de vol, les joints restent étanches ! >>. Nous sommes éclatés de rire. << Mes durites comme neuves ! >> lance Clémentine. Elles sont assises sur mes genoux. C'est ainsi que Michèle nous surprend en revenant. Estelle se lève d'un bond. Michèle se met à rire avec nous sans savoir pourquoi. Nous passons à l'accueil pour les formulaires.

Il est bien dommage que les salons de thé soient fermés. Nous serions bien allés déguster un chocolat chaud avec une pâtisserie. Nous flânons tous les quatre dans les rues piétonnes. Estelle tient sa maman par le bras. Clémentine tient mon bras. Nous allons à la FNAC. Inutile d'envisager une petite exhibe. La présence de la maman d'Estelle est dissuasive. Pourtant, il y aurait là quelques joyeuses opportunités pour Clémentine. Elle me le chuchote à l'oreille. Il est 17 h30.

C'est le dernier jour de couvre feu à 18 h. A partir de demain c'est 19 h. Nous nous quittons au coin de la rue des Saintes. Nous revoyons Michèle dimanche. Estelle est un peu tristounette de nous laisser. Nous voilà de retour à la voiture sous une pluie de petits grêlons. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en me donnant ses impressions. << Je déteste me faire ausculter le minou. C'est juste mon chéri qui sait me ravir ! >> dit elle en se penchant pour sucer un peu.

Julie devait venir mais nous l'avons prévenu. Elle est passée tout de même car nous découvrons un paquet posé sur l'escalier. C'est comme les cartons carrés des pâtissiers. Nous découvrons une belle tourte aux fruits de mer avec un petit mot. << Comme c'est gentil ! Cette fille est adorable ! >> fait Clémentine. Je mets la tourte au four avec le gratin de coquillettes. J'allume. Nous montons nous changer. Nous voilà en jeans, chemises à carreaux à faire les clowns devant le miroir de l'armoire.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Nous dressons la table. << Tu me dresses aussi ce soir ? >> me fait Clémentine en sortant mon Zob tout mou. Elle m'embrasse avant de rajouter : << Tu m'auscultes aussi. Tu vérifies que tout est en ordre ! >>. Nous éclatons de rire. Je sors la bouffe du four. Nous nous régalons. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Il reste de la tourte et du gratin pour demain midi. On fera des moules avec.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur nos vacances dans le Jura. Nous devions déjà y aller l'an dernier à la même période. Le confinement en a décidé autrement. << S'ils me privent de mes vacances, j'achète un flingue et je les retrouve ! >> lance Clémentine en me chevauchant. Nous en rions de bon cœur. Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle. Je saisis Clémentine par son catogan. D'une poigne ferme. Elle pousse un petit cri de surprise.

Je l'entraîne ainsi, sans ménagement jusqu'au salon. Elle en glousse de plaisir. J'ordonne : << Retire tes vêtements du bas, mets toi à genoux, les mains sur la tête ! >>. Clémentine ne se fait pas prier. Je jette un des épais coussins au sol. Elle peut s'y mettre à genoux. Debout devant elle, je lui frotte la bite sur la gueule. Elle en gémit de plaisir. Je la fais sucer un peu. Je retire ma queue. Je m'accroupis. Je glisse ma main entre ses cuisses. C'est chaud, c'est doux, c'est moite.

Je me couche sur le dos. Ma tête sur le coussin. Mon visage entre ses cuisses. Clémentine se frotte sur ma gueule. Je me régale. Je cesse. Je me redresse. Je la soulève pour l'emmener. Je l'assois sur le bureau. Je saisis ses chevilles pour la faire basculer en arrière. En appui sur ses coudes, elle m'observe. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Doucement. Centimètre par centimètre. Clémentine est étroite. Je m'y enfonce totalement. Nous aimons rester immobiles. Clémentine me raconte.

Nous savons que demain elle aura ses "petits machins" de fille. Réglée comme une horloge, Clémentine se prépare à cette épreuve mensuelle et menstruelle. Les douleurs au ventre, aux seins. Aussi, il faut en profiter ce soir. Cela précipitera probablement les évènements. Je la besogne avec soin. Nous alternons les séquences de calmes avec celles plus agitées de l'homme de Néandertal que j'interprète à la perfection en mugissant. Les gémissements de Clémentine sont de véritables airs d'opéra.

Bonne soirée de baise à toutes les coquines qui aiment se faire inspecter la chatte une seconde fois après la consultation de Doc Gynéco...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1465 -



Un samedi froid et glacial

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon profond sommeil par les mouvements masturbatoires que fait Clémentine. Une cuisse sous mes reins, une cuisse sur mon ventre, elle se frotte contre ma hanche. C'est adorable, émouvant aussi. Il est à peine huit heures. << Je t'aime Julien ! >> chuchote t-elle à mon oreille. Je la serre fort contre moi. Impossible de rester un instant de plus. L'impérieux besoin naturel nous propulse aux toilettes. Nous enfilons nos tenues de gymnastique.

Morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Clémentine s'occupe du café en me racontant son rêve. Je presse nos oranges, je pèle nos kiwis. Il faut rallumer la cuisinière à bois. Nous prenons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos folies de hier soir. << J'adore quand mon "Maître" me prend sur le bureau du salon ! >> fait Clémentine. Je dis : << J'adore prendre ma "Soumise" sur le bureau ! >>. Quelques bisous.

La vaisselle. Nous envisageons un bon jogging. Mais le thermomètre extérieur, qui indique 3°, nous en dissuade. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et retour au calme par un stretching un peu bâclé. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous redescendons pour mettre nos anoraks, bonnets, gants. Nous affrontons un froid glacial. Un vent de Nord Est.

<< Put-Hein d'hiver qui déborde sur le printemps ! >> lance Clémentine qui se serre contre moi. Nous traversons le jardin. Nous entrons dans la maison d'amis. Comme nous avons en projet d'y passer la soirée, il faut chauffer. Nous allumons le feu dans la cheminée. C'est incroyablement rapide car le tirage est excellent. Je vérifie le niveau d'eau dans les tubulures du chaudron. C'est OK. Nous montons allumer les convecteurs électriques. Les batteries sont chargées au maximum.

Nous ressortons pour aller remplir la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Voilà la camionnette des fruits et légumes. Elle se gare devant le garage. C'est la même jeune femme. Elle porte son masque sanitaire sur le menton. Du hayon arrière elle tire deux cageots. L'un contient nos fruits et nos légumes. L'autre contient nos fromages, nos yaourts, nos œufs, le beurre, les petits pots de crème fraîche. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la jeune femme.

A peine la camionnette repartie, voilà celle de madame Marthe, la boulangère. Son masque sanitaire accroché à l'oreille, elle tire une cagette de son tube Citroën. Il contient nos deux grosses miches de pain complet et Bio, deux pâtes feuilletées, notre brioche au pudding. Quelques échanges de bons mots. Des nouvelles du bourg. Madame Marthe ne manque pas d'humour. Même commande pour la semaine prochaine. Nous saluons la dame. Nous rentrons avec les cageots lourds.

Nous passons par derrière pour descendre à la cave. Nous rangeons les fruits et les légumes dans le cellier. Une miche et les pâtes feuilletées au congélateur dont je tire un paquet de moules. Nous montons pour ranger les produits frais au réfrigérateur de la cuisine. Il faut ressortir pour aller chercher la corbeille de bois. Un petit tour dans la maison d'amis. Il commence à y faire plus chaud. L'odeur du feu dans la cheminée est un pur bonheur. Les convecteurs sont chauds.

Les radiateurs, alimentés par l'eau qui boue dans les tubulures du chaudron, commencent également à tiédir. Nous récupérons la corbeille pour rentrer nous mettre au chaud. Il est 10 h30. Clémentine suggère de nous mettre au ménage. Excellente suggestion qui nous permettra d'êtres peinards tout le week-end. Nous commençons par l'étage. Clémentine se plaint de congestions douloureuses au bas ventre. << Ça y est, mes "petits machins" de fille ! >> dit elle en courant aux toilettes.

Elle en revient la main sur son sexe. << Je vais mettre un put-hein de soutif ! >> lance t-elle un peu dépité. L'extrémité de ses tous petits seins sera douloureuse durant deux jours. Condition féminine. Ce sont les seuls jours où elle porte un soutien gorge. Elle déteste. Clémentine m'entraîne à la salle de bain. Je lui masse la peau avec une pommade. Les bretelles et le fermoir du soutien gorge n'irriteront pas trop sa peau si sensible. Il faut reproduire l'opération régulièrement. Homéoplasmine.

Nous commençons par la chambre. Changer les draps, faire la poussière. Avec les fenêtres ouvertes il fait un froid glacial. Cela incite à faire vite. Nous faisons la salle de bain. Nous nettoyons les chiottes du haut. Le plus chiant c'est la salle d'entraînement. Nos appareils et nos agrès attirent la poussière. Surtout les bancs de musculation. Les haltères. Clémentine passe l'aspirateur. Je passe immédiatement derrière avec la serpillère. Il est 11 h30 quand l'étage est propre et nickel.

Nous descendons pour commencer par le salon. Là aussi, le plus long c'est de faire la poussière sur les meubles. Nous nettoyons les chiottes du bas. Avant de passer l'aspirateur et la serpillère, nous allumons le four pour réchauffer le reste de gratin de coquillettes. Nous terminons le ménage. Il restera la cuisine à nettoyer après le repas et la vaisselle. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare le bouillon dans lequel je vais jeter les moules. Je réchauffe le reste de la tourte aux fruits de mer.

C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine propose une bonne balade, chaudement vêtus, cet après-midi. Je trouve la proposition excellente. Marcher de longues heures permet à Clémentine d'oublier les maux qui l'accablent en ce premier jour de ses règles. Une certaine hyper activité agit comme une thérapie de choc. Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle. Nous nettoyons la cuisine.

Tout est nickel en bas aussi. Nous montons nous laver les dents. Du bruit en bas. << Coucou les gens ! Qu'ils sont où ? >>. C'est la voix d'Estelle dans l'escalier. Elle vient nous rejoindre. Elle a le bout du nez tout froid en nous faisant des bises. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle enserre mon bassin de ses jambes en me couvrant le visage de bisous. Enfin tous les trois. Comme tous les week-end, Estelle a emmené des vêtements de change dans son grand sac de sport.

Nous faisons les clowns devant le miroir de l'armoire. Estelle aussi a envie d'une bonne balade. Nous restons en jeans, en chemises à carreaux. Nous enfilons de gros pulls. Nous prenons nos grosses godasses à la main pour dévaler les escaliers. << La liberté est autorisée jusqu'à 19 h ce soir ! >> lance Estelle. Nous avions oublié puisqu'ici, chez nous, sur nos terres, nous n'en tenons même pas compte. Je suggère de prendre la voiture pour aller jusqu'au circuit de la chapelle.

<< Super ! >> s'écrie les filles en même temps. Nous prenons la berline. Je roule doucement. Il y a quatre kilomètres. Il faut traverser le bourg désert. Clémentine joue avec ma queue. Estelle assise à l'arrière me caresse les joues. Je gare la voiture le long de l'enclos paroissial. Le muret de pierres d'une hauteur d'un mètre. Il y a d'autres véhicules garés là. Nous chaussons nos godasses de marche. Anoraks bien fermés, bonnets sur la tête, les mains dans les gants, nous voilà partis.

Ce circuit est attrayant même en hiver. Le chemin pierreux est large et permet de marcher ensemble tous les trois. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par les mains. Nous marchons d'un bon pas. Les endroits à découvert sont balayés par le vent glacial. C'est moins drôle. Nous quittons le chemin pour emprunter le sentier qui reste à flanc de colline. A l'abri du vent. C'est beaucoup plus sympathique. Estelle marche devant. Clémentine marche derrière moi en tenant ma main.

Les collines enserrent le bourg comme une sorte de fer à cheval naturel. Elles se prolongent plus loin. Le vent souffle au sommet où nous arrivons en tenant nos bonnets sur la tête pour ne pas qu'ils s'envolent. Là-bas, au loin, le canal. Plus loin, à 15 bornes, les bâtiments de la zone commerciale. Nous redescendons à l'abri du vent. Estelle glisse sa main dans ma braguette en disant : << Il faut me réchauffer ! >>. Je dis : << En me refroidissant ! >>. Nous éclatons de rire. Nous repartons.

Nous revenons par le même sentier afin de rester à l'abri du vent. Nous croisons quelques marcheurs. Il y a de petits groupes armés de bâtons qui pratiquent la marche norvégienne. On les entend venir car ça fait un boucan d'enfer sur la caillasse. De la bouteille thermos nous nous servons trois gobelets de thé au jasmin bouillant. Ça fait un bien fou. Du petit sac à dos que je trimballe toujours en balade, nous tirons des barres de céréales. Tout ça réchauffe agréablement.

Le retour est beaucoup plus agréable. Il y a les anciens bâtiments du couvent abandonné. Le grand portail est ouvert. Estelle nous y entraîne. C'est un endroit étrange. << C'est plein de fantômes. Il s'est passé des choses ici ! >> lance Clémentine dont les facultés médiumniques sont toujours très acérées. Nous faisons le tour de la grande cour. Il y a du matériel agricole. Les exploitants du bourg entreposent leurs machines ici depuis des années. C'est impressionnant.

<< On vient se tourner un film ici ! >> s'écrie Estelle en découvrant que l'entrée des anciennes écuries est ouverte. Nous pouvons même pénétrer dans les habitations. Tout est vide, à l'abandon. Il y a une forte odeur de moisi. << Il fait aussi froid que dans un tombeau ! >> lance Clémentine qui grelotte contre moi. << Si on veut de la fraîcheur en été, il faut venir ici ! >> rajoute Estelle. Nous quittons cet endroit sinistre pour reprendre le sentier. Nous voilà sur le grand chemin.

Il est 18 h quand nous sommes de retour à la voiture. Nous enlevons nos grosses godasses. Je roule doucement. Cette fois Estelle est assise au sol, entre les pieds de Clémentine, pour me toucher le Zob. Il est 18 h30 quand nous sommes de retour. << Comme c'était bien ! >> fait Estelle qui ouvre ma braguette. Nous voilà tous les trois assis à la table de la cuisine à éplucher pommes de terre, carottes, navet, céleri, ail, oignons pour la potée de légumes. Nous en faisons en grande quantité.

Cela assure nos repas de tout le week-end. Ce soir, nous préparons tout ici mais nous disposons les préparatifs dans un cageot. Nous remettons nos anoraks. Nous traversons le jardin pour aller dans la maison d'amis. Nous montons à l'étage. La cuisine est équipée. Ultra moderne et fonctionnelle. Nous n'y avons pas encore nos repères. C'est sur la cuisinière électrique qu'Estelle fait cuire la potée de légumes. << On a l'impression d'êtres loin, en vacances ! >> lance Estelle.

Clémentine s'occupe de la salade. Nous n'avons rien oublié. Il y a l'huile d'olive, l'huile de noix, la moutarde à l'ancienne. Je fais rissoler les pavés de saumon finement émincés avec de l'ail, de l'échalote, du persil et de la ciboulette. C'est rapide. Nous rions beaucoup en nous racontant nos frasques du week-end dernier. << Tu as encore ensorcelé maman hier. Dans la voiture elle n'a pas arrêté de parler de toi ! Vieux salaud ! Tu es prié d'arrêter la magie noire ! >> fait Estelle.

Nous éclatons de rire. Je n'exerce évidemment aucun sortilège sur la maman d'Estelle. Nous voilà installés à la table de cette cuisine ultra moderne. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il fait presque trop chaud. J'éteins les convecteurs électriques. La chaleur des radiateurs est amplement suffisante. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent nos vacances. Nous souhaitons vraiment très fort pouvoir nous rendre dans le Jura.

Une semaine au début des vacances de Pâques. Notre location nous y attend à quelques kilomètres de Morteau. << On ira visiter Saint-Claude, la capitale de la pipe ! >> s'écrie Estelle en mimant une fellation. Nous en rions de bon cœur. Clémentine rajoute : << J'ai toujours cru que les meilleures pipes se taillaient dans le bois de Boulogne, alors qu'elles se taillent dans de la racine de bruyère ! >>. Nous sommes pliés de rire. Cette vieille plaisanterie fait toujours son petit effet.

Nous débarrassons la table. Nous faisons la vaisselle. Nous nettoyons pour ne laisser aucune trace. Les filles m'entraînent par la main pour dévaler l'escalier en angle. Il fait un peu moins chaud en bas. C'est vraiment très agréable. Nous voilà vautrés dans un des deux canapés qui se font face, séparés par la table basse. Sur notre droite la cheminée, le crépitement du bois. C'est un superbe moment. Je suis entre mes deux anges. Estelle joue avec ma bite tout en bavardant.

Clémentine se plaint du retour de ses douleurs. Elle se lève pour faire des exercices d'assouplissement. Touchant ses pieds avec ses mains. Elle fait quelques pompes. << Ça soulage ! >> dit elle. Je bande mou dans la main d'Estelle. Heureusement car la coquine me tord la bite dans tous les sens en bavardant. << Mon médicament ! >> lance Clémentine en s'accroupissant entre mes jambes écartées. En appui contre la table basse derrière elle. Estelle lui présente ma queue.

La bouche de Clémentine s'ouvre pour gober mon sexe tenu par Estelle qui dit : << Il faut suivre la posologie. Pas plus de quelques gouttes à la fois ! >>. Nous en rions de bon cœur. J'adore entendre Clémentine rire en suçant. Je caresse et je lisse ses cheveux. Ses yeux fermés, ses mains posées sur mes cuisses, elle savoure cet instant magique en se mettant à genoux sur un des épais coussins. Estelle me roule des pelles qui nous font baver de salive. C'est encore un grand moment.

Je glisse ma main dans la culotte d'Estelle qui préfère la retirer. Je la doigte. Elle a sa tête contre mon épaule. Les filles gémissent de bonheur. La pipe de Clémentine est encore source d'un indicible plaisir. Je leurs murmure des douceurs, des cochonneries. << Put-Hein ! Il y a quelqu'un ! >> s'écrie soudain Estelle en se levant d'un bond. Juste vêtue de sa chemise à carreaux, en chaussettes, elle se précipite vers la fenêtre. << C'est le voisin, il s'enfuit comme un voleur ! >> lance t-elle.

Nous avons oublié de tirer les tentures. << Comme des cons ! >> rajoute Clémentine. Estelle occulte les fenêtres en tirant les tentures. Elle revient s'assoir. Ça nous a un peu coupé la chique. << Ce vieux saligaud a vu de la lumière depuis chez lui et il est monté voir ! >> fait Estelle. << Monsieur Bertrand est un véritable voyeur. Cela fait probablement un moment qu'il mâtait. Ce vieux pervers ! >> rajoute Clémentine avant de retourner à sa fellation juteuse.

Estelle m'offre sa chatte à doigter. Elle nous donne ses impressions. C'est très excitant de découvrir, après coup, qu'il y avait quelqu'un derrière les vitres, qui observait. Le premier moment de stupeur passé, c'est fort plaisant. Nous en convenons tous les trois. Je propose à Clémentine d'enlever son jeans et sa culotte, de prendre ma place. Même si son sexe est occupé, rien ne m'empêche de sucer son clitoris géant. C'est d'ailleurs également une excellente thérapie contre les douleurs menstruelles.

C'est moi qui suis à genoux sur les épais coussins. Les filles me présentent leurs chattes. Je suce le clitoris géant de Clémentine. Elle en gémit d'aise. Elle me tient par les oreilles pour me guider. Je passe au sexe d'Estelle. Là aussi, avec la marche de cet après-midi, ses muqueuses ont fabriqué de quoi me régaler. Plus je me bouffe de la chatte et plus j'adore ça. C'est toujours d'épatantes surprises. Surtout qu'Estelle, depuis quelques mois, m'offre d'abondants de jus de fille.

Ce soir, c'est Clémentine qui jouit la première. Sans pisser. Elle a pris ses précautions en allant aux toilettes quelques minutes avant. Pendant qu'Estelle poussait de petits cris d'animal blessé. Elle se masturbe toujours quand je ne suce pas son petit bouton de plaisir. Son "Over Drive" comme surnomme son clitoris. Clémentine pousse de petits cris de plus en plus rapides. Elle arrive. Son orgasme est émouvant. C'est au tour d'Estelle de jouir, secouée de spasmes inquiétants.

Nous reprenons nos esprits serrés tous les trois. Je suis entre mes deux anges. C'est merveilleux. Nous sommes silencieux. << Et toi ? >> me demande Estelle. Je réponds : << J'ai tellement jouis que toute éjaculation serait superflue. Je t'éjacule dans la bouche demain, après le départ de tes parents ! >>. Nous éclatons de rire quand Estelle dit : << Parce que maman t'aura excité, hein ? C'est ça, vieux cochon ! >>. Nous restons pliés de rire quant je fais : << Oui ! C'est ça ! >>.

Il est 22 h30. Nous enfilons nos anoraks. Il faut prendre le cageot qui contient la potée de légumes, les fromages et les pots de yaourts vides. Ne rien laisser traîner. Ne rien oublier. Nous traversons le jardin dans une nuit glaciale. Juste un croissant de lune dans le ciel noir. C'est une épreuve avant de retourner bien au chaud. Les toilettes, rituels pisseux. Clémentine y reste pour ses "petites affaires". Elle nous rejoint à la salle de bain. Au lit, épuisés, nous bavardons encore un peu...

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient de se faire brouter dans un lieu différent et de jouir en "résidence secondaire"...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1466 -



Les parents d'Estelle viennent manger à la maison

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon profond sommeil par les incessants mouvements de pieds que fait Estelle contre les miens. Ses "impatiences" qui durent jusqu'à ce que je me réveille. Elle sait quand je ne dors plus. Ma respiration change. Encore à moitié endormie, elle glisse sa main dans mon slip. Saisissant mon érection matinale, elle se blottie encore plus fort. Tout cela finit par réveiller Clémentine qui vient se serrer contre moi. Je suis entre mes deux anges. Il est 9 h30.

Nous restons ainsi à tenter d'émerger complètement. Clémentine empoigne mes couilles. Distribution de bisous. Estelle se lève d'un bond, saisit ses vêtements et se précipite vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine me fait part de son mal au ventre, de ses seins douloureux. Je caresse doucement les endroits douloureux. Ce qu'elle aime c'est lorsque j'insuffle de l'air chaud au travers le tissu de son T-shirt, ma bouche délicatement posée sur ses seins. Ça soulage.

C'est à notre tour d'aller pisser. Morts de faim, vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. L'odeur de café, de pain grillé et de brioche embaument. J'allume le feu dans la cuisinière à bois pendant qu'Estelle reste collée contre mon dos pour me palper la braguette. Nous prenons notre savoureux petit déjeuner tout en évoquant nos folies de hier soir. Nous mangeons de bon appétit tout en riant beaucoup de nos frasques.

Nous traînons à table. Le dimanche, pas de gym, d'entraînement ou encore de jogging. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles font le très vague programme de la journée. Nous attendons les parents d'Estelle pour midi. Nous attendons Julie qui vient nous livrer les repas commandés. Un peu comme le ferait le traiteur du bourg. << Si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus.

Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, nos gants pour sortir. Il fait moins froid que hier. Il est déjà 10 h30. Nous traversons le jardin pour nous rendre dans la maison d'amis. Il y fait encore bien agréable. Nous contrôlons si tout est bien propre. Estelle glisse sa main dans ma braguette en disant : << Vous vous souvenez, hier soir, monsieur Bertrand qui nous mâtait derrière la fenêtre ? >>. Nous avions complètement oublié ce détail.

C'est la seconde fois que nous surprenons ce vieux salaud. << Le voyeur impénitent ! >> lance clémentine. Nous tirons les tentures pour laisser entrer la lumière. Nous quittons la "résidence secondaire" pour descendre vers la rivière. Nous pouvons retirer nos bonnets et nos gants. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la main. Le niveau des eaux revient doucement à la normale. Nous longeons la rivière sur l'étroit sentier. Estelle marche devant. Elle se retourne souvent.

Clémentine marche derrière moi sans me lâcher la main. C'est un dimanche gris. Le ciel reste bas et lourd. Il n'est toutefois pas menaçant. Nous prenons le sens inverse. Il faut songer à retourner. Nous remontons le chemin quand nous tombons sur monsieur Bertrand. Il va nourrir les canards. Nous nous saluons. Nous bavardons. Notre voisin ne manifeste aucune attitude quand à son voyeurisme de hier soir. Nous ne faisons aucune allusion. C'est bien de ne pas relever les faits.

Nous rentrons. Il est 11 h30. Nous dressons la table au salon. << Vous avez vu comme il est stoïque le voisin ! Comme si rien ne s'était passé ! >> fait Estelle. << C'est un vicieux et probablement un sacré pervers ! >> rajoute Clémentine. La musique imbécile de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. << Julie, elle arrive ! >> dit elle. Nous nous précipitons dans le hall pour l'accueillir. Elle est toute contente de nous voir. Nous la débarrassons de la grande boîte.

Julie est en pleine livraison. Nous faisons aujourd'hui partie des clients qu'elle livre. Elle ne peut rester. Ce qui la chagrine. Elle reviendra nous livrer demain soir pour passer la soirée avec nous. Je l'accompagne jusqu'à sa voiture pour le paiement. Elle me prend la main. Son regard est triste. Je lui dépose une bise sur le front. Elle s'installe dans sa voiture, démarre en fixant ma braguette. << A demain ! >> lance t-elle avant de partir. Je rejoins Estelle et Clémentine à la cuisine.

<< Elle t'a fait une pipe ? >> me demande Estelle. Nous éclatons de rire. Elles ont déballé les plats. Ce sont les plateaux de fruits de mer. Il y en a en quantité. Il en restera pour ce soir, c'est sûr. Il y a les tartelettes au saumon. Nous emmenons le tout au salon. Les tartelettes posées sur des chauffes plats. Clémentine allume les petites bougies. Il est temps de monter nous habiller de jeans propres, de nos chemises blanches. C'est rapide. Je passe de la pommade sur la peau à Clémentine.

Les endroits ou frotte son soutien gorge qu'elle déteste. Ses épaules, son dos. Nous voilà prêts. Nous dévalons les escaliers à l'instant précis ou résonnent les coups de sonnette. Estelle se précipite. Elle revient suivie de ses parents. Ils sont vêtus comme nous. Yvan me tend le coude. Michèle me fait signe de la main. Nous jouons le jeu de la distanciation. Même si aucun d'entre nous n'est exposé dans son existence au moindre risque. Clémentine les débarrasse de leurs manteaux.

Nous passons au salon. Nous voilà installés à la grande table monastère. Estelle sur ma gauche a côté de son papa. Clémentine à ma droite assise à côté de Michèle. Nous dégustons ces fruits de mer d'une fraîcheur et d'une saveur exquises. Yvan nous parle de l'entreprise familiale. De la filiale en plein essor qu'ils ont créé l'an dernier. Michèle parle de son travail de secrétaire. L'arrivée d'une nouvelle employée va considérablement la soulager. Estelle n'aura plus trop de travail.

Nous revenons sur nos projets de vacances en Ecosse cet été. Michèle et Yvan ont le désir de passer deux semaines en Irlande. Clémentine évoque son souhait le plus cher. S'installer définitivement soit à Edimbourg, soit à Saint Andrews. Une fois son Doctorat obtenu elle a l'intention d'y exercer en tant que maître de conférence. Nous avons d'ailleurs l'intention de nous pacser afin qu'elle puisse avoir la double nationalité et devenir citoyenne écossaise. Cela semble passionner Michèle.

Nous parlons peinture. Cette petite toile non signée que j'ai offert aux parents d'Estelle il y a presque deux ans. Ils en sont fiers. Je ne signe jamais les rares toiles que j'offre. Cela est arrivé trois fois dans ma vie. Une toile signée se revend très cher. Je prends donc les mesures nécessaires afin d'empêcher toute spéculation. Michèle me demande si elle peut visiter mon atelier. Je surprends quelquefois son regard insistant. Un regard par en dessous, parfois presque lubrique.

Clémentine me fait du pied. Estelle me regarde d'un air de reproche. Cela m'amuse. Je me lève en disant : << Venez, je vous fais visiter ! >>. Yvan et Michèle se lèvent. Estelle me pince le bras en cachette. Clémentine me prend la main. Nous quittons le salon. << Je serais perdue dans une aussi grande demeure ! >> lance Michèle. Nous entrons dans l'atelier. Cette grande pièce exerce toujours un envoûtement particulier sur les rares visiteurs autorisés. Michèle et Yvan sont des privilégiés.

Les toiles déjà peintes sont posées sur un drap au sol, le côté peint vers le mur. Clémentine, toute fière en retourne quelques unes pour les montrer. << C'est fou ! On dirait des photos ! >> fait Michèle. << C'est incroyable ! >> rajoute Yvan. Estelle ne cesse de me pincer les fesses discrètement. Pourtant je ne drague pas sa maman. Les parents d'Estelle découvrent les scènes de genre. Les personnages féminins ont les traits de Clémentine et de leur fille. Ils sont silencieux.

<< Mais comment réussissez-vous de tels prodiges ? >> fait Yvan, médusé devant les tableaux. << On ne discerne pas le moindre coup de pinceau. C'est diabolique ! >> dit Michèle. Clémentine précise : << C'est diabolique ! >>. Michèle me jette un curieux regard. Pendant que Clémentine explique certaines des techniques utilisées, sans révéler le moindre secret, Michèle me pose des questions sur les peintures que j'emploie. Je lui montre les tubes de peintures BLOCKX.

Tout en tournant les tubes, elle fixe ma braguette. Elle le fait ostensiblement afin que je m'en rende bien compte. Nous sommes juste elle et moi près du chevalet. Je tiens un des tubes que je place à hauteur de ma braguette. Le regard que me lance à cet instant précis Michèle n'a jamais été aussi suggestif. Il faut préciser qu'avec les photos qu'elle a trouvé sur le téléphone à Estelle, le souvenir de ma queue ne l'a laisse indifférente. Je baise quand même sa fille. Yvan et Michèle le savent.

Je profite de l'opportunité pour refaire. Cette fois je tiens le tube contre ma braguette comme si je tenais mon sexe. Je dis : << J'utilise beaucoup ce tube. Sa teinte reste ma préférée ! >>. Michèle se penche en avant. Cet élan m'excite d'un coup. Elle n'entre pas dans un jeu quelconque. Elle est le "jeu". << Crème de céruse ! >> fait elle, les yeux rivés sur le tube que j'agite à une dizaine de centimètres de son visage. Elle saisit le tube pour répéter : << Votre tube préféré ! >>.

Là-bas, à une quinzaine de mètres, Clémentine montre mes toiles à Yvan. Estelle tient son papa par le bras. L'occasion est trop bonne. J'imprime au tube un mouvement masturbatoire. Je chuchote : << C'est une couleur très délicate ! >>. Michèle se redresse. Elle me fixe avec une lubricité sans égale pour murmurer : << Ça donne envie d'y goûter ! >>. La messe est dite. Je murmure : << C'est de la peinture à salopes ! >>. Michèle me fait un clin d'œil en chuchotant : << Intéressant ! >>.

Estelle vient nous rejoindre. Elle me lance un regard suspicieux. Je dis : << Je viens de draguer ta maman ! >>. Nous éclatons de rire. Nous rejoignons Clémentine et Yvan. Michèle propose de faire la vaisselle avant d'aller marcher un peu. Excellente suggestion. Nous prenons notre dessert. La tarte aux pommes qu'a ramené Michèle. Un délice. Elle les réalise à partir d'une compote qu'elle confectionne en mélangeant un peu de banane aux pommes. Nous faisons la vaisselle.

Nous mettons nos manteaux, nos anoraks. Il fait bien meilleur que ce matin. Nous descendons à la rivière. Estelle reste accrochée à son papa. Nous marchons derrière. Clémentine me tient par la main. A ma droite il y a Michèle. Nous évoquons les vacances, la situation sanitaire, la situation économique, les comportements des dirigeants. Nous longeons la rivière sur quelques centaines de mètres avant de revenir. Il est déjà 16 h. Nous rentrons prendre le thé.

Assis au salon, nous savourons les crêpes dentelles sèches tout en bavardant. Michèle me lance de discrets regards lourds de sous entendus. Même Estelle ne s'en rend pas compte. Trop heureuse d'être en compagnie des deux hommes qui comptent le plus dans sa vie. Par contre Clémentine, à qui rien n'échappe, reste serrée contre moi. Comme pour marquer son territoire. Il est presque dix sept heures quand nous raccompagnons Yvan et Michèle jusqu'à leur voiture.

Nous rentrons nous mettre au chaud. Estelle se précipite contre moi. Elle empoigne ma braguette avec une telle force que la douleur est intense. << Salaud ! Tu crois que je ne t'ai pas vu ! Tu es vraiment un ignoble vicieux ! Pas ma mère j'ai dit ! >> s'écrie t-elle. J'avoue tout. << Mais quel salaud ! >> lance Estelle à chaque phrase. Clémentine éclate de rire. << Excellent le coup du tube de peinture ! >> fait elle. Estelle éclate de rire. << Refais la même chose avec moi ! >> dit elle.

Nous retournons dans l'atelier. Je reproduis le coup du tube de peinture en prononçant les mêmes mots. << Tu n'as pas honte ? Une femme mariée ! >> lance Estelle en ouvrant ma braguette pour en extraire le locataire. Clémentine s'accroupit la première. Estelle fait de même. Toutes les deux scrutent l'état de ma bite molle. Il y a du liquide séminal qui s'en écoule encore. L'excitation de tout à l'heure. Elles se refilent ma bite en échangeant leurs impressions. Je caresse leurs têtes.

Bonne soirée à toutes les coquines qui sucent la bite d'un salaud avec enthousiasme, passion et concentration. De la queue de vicieux...

Julien



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2021 - Episode 1467 -



Julie est tellement contente de revenir

Hier matin, lundi, l'application "forêt" nous réveille de ses enchantements. Le bruit de la source. Le chant des oiseaux. Il est presque six heures et ces merveilles cessent déjà. Je suis entre mes deux anges. Estelle qui est restée contre moi toute la nuit se serre encore plus fort en gémissant. Clémentine vient se blottir. Estelle se lève d'un bond. Ses vêtements de gym à la main, elle se précipite vers les toilettes. C'est rapidement à notre tour. Un véritable soulagement.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. << Je n'ai plus mal ! >> me fait Clémentine alors qu'Estelle me fait plein de bisous. L'odeur du café est forte ce matin. S'y mêlent celle de la brioche, celle du pain grillé. Je rajoute une bûche sur les braises de la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant notre week-end. Nous mangeons de bon appétit en parlant de la visite des parents d'Estelle.

<< T'es un vrai salaud ! T'en prendre à ma mère ! >> fait Estelle. Nous en rions de bon cœur. Il est 6 h25. Nous remontons. C'est notre heure d'entraînement. Estelle devra partir immédiatement après. Jogging sur tapis roulants, charges additionnelles, abdos et stretching pour retrouver le calme. Après des bises, Estelle dévale les escaliers avec son sac de sport. << A demain ! >> s'écrie t-elle depuis le hall. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons.

Jeans, chemises à carreaux, nous descendons pour mettre nos anoraks, bonnets, gants. Il est 7 h50. Le froid est encore vif. Nous traversons le jardin pour aller dans l'abri à bois. Nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Les cours en ligne commencent à 8 h05. Juste le temps de rentrer et nous voilà dans l'atelier. Clémentine retrouve son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. J'allume un beau feu dans la cheminée. Le tirage est excellent.

Je suis installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant doucement. La peinture de cette quatrième scène de genre m'accapare rapidement. Je peins dans un profond sentiment d'absolu. La matinée se passe ainsi, dans cette saine émulation qui nous comble. Il est 11 h55 quand Clémentine vient me rejoindre. Elle met deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade en racontant sa matinée.

Je réchauffe le reste de potée de légumes. Dans la poêle je fais dorer deux dos de cabillaud blanc avec des champignons, de l'ail, de l'échalote. En fin de cuisson j'y rajoute un petit pot de crème fraîche et du gruyère finement râpé. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur notre randonnée de samedi après-midi. La visite du couvent abandonné. Elle aimerait bien y retourner.

Nous débarrassons. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. C'est le dernier jour de ses règles. Clémentine n'éprouve plus aucune douleurs. Ce qui la rend légèrement euphorique. Nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks. Il fait moins froid que ce matin, même si le thermomètre extérieur ne dépasse pas 11°. Accrochée à mon bras, Clémentine nous entraîne vers la rivière. Nous longeons le cour d'eau sur quelques centaines de mètres.

Il y a le retour des cygnes. Deux magnifiques cygnes blancs. Où étaient-ils passés tout l'hiver ? Mystère. Sur ce tronçon d'environ 500 m les eaux sont très calmes. Même en période de crue. Y cohabitent des poules d'eaux, des canards, des colverts et un couple de hérons cendrés. << C'est notre zoo privé ! >> fait Clémentine en glissant sa main dans ma braguette ouverte. Nous observons les emplumés. Nous admirons leurs circonvolutions aquatiques.

Les cours en ligne reprennent à 14 h05. Il faut penser à retourner. Sous l'abri à bois nous remplissons une nouvelle fois la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Il y a un bon stock à la cuisine et dans l'atelier. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine assise devant son ordinateur, ses écouteurs sur les oreilles. Prête pour son télé-travail. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans les mêmes dispositions d'esprit que ce matin. Une douce euphorie.

L'après-midi se déroule ainsi. Il est 17 h quand Clémentine vient s'accroupir à ma gauche. Sa main sous ma blouse, jouant avec ma bite, elle me regarde peindre. Elle a encore ses notes à mettre au propre. La voilà bien installée dans le vieux canapé, son ordinateur sur les genoux. Elle chantonne, elle me donne des impressions. Ses pensées vagabondent. J'adore travailler en l'écoutant. Il est 18 h. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je retire ma blouse.

La bite pendante, je viens rejoindre Clémentine qui éteint l'ordinateur. Couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, les yeux fermés, elle frotte sa joue contre ma queue. Je caresse et je lisse ses cheveux. Ce moment de calme nous est devenu nécessaire. Il y a juste le crépitement du feu. Dehors le ciel est resté gris toute la journée. Il commence à faire sombre. La musique stupide de mon téléphone. Il est sur la desserte. Clémentine se lève d'un bond pour s'y précipiter.

<< Julie ! Elle arrive ! >> fait elle en courant presque vers la porte. Je me lève pour touiller les braises avec le tisonnier. Clémentine revient suivie de Julie. Son visage est toujours radieux quand elle revient après quelques jours. Mais là, ce soir, il reflète une joie immense. Elle a un rapide regard sur mon sexe avant de me faire le plus délicieux des sourires. Elle porte ses lunettes d'étudiante, ses longs cheveux presque noirs flottent ce soir sur ses frêles épaules.

Julie s'installe devant le chevalet. Elle scrute la toile. Il y a les deux photos d'elle punaisées sur le haut. Je passe derrière elle. Je pose mes mains sur ses épaules. Elle a un frisson. Je me penche. Mon visage tout près du sien, je lui dis : << Le personnage féminin de gauche aura les traits délicats de votre visage ! >>. Clémentine me tient par la taille. Julie ne dit rien. Son regard va de sa photo au tableau. Elle finit pas murmurer : << Je suis flattée. Vraiment ! C'est un honneur ! >>.

Je me retourne pour serrer Clémentine dans mes bras. Nous nous embrassons passionnément. Je bande mou. Julie se lève pour se diriger vers la cheminée. Le spectacle des dernières flammes est toujours captivant. Nous nous installons dans le vieux canapé. Clémentine entre Julie et moi. Julie nous raconte ses livraisons du week-end. Ce travail qu'elle accomplit en plus de ses études de Lettres Modernes. Nous la félicitons pour ce courage et cet acharnement.

<< Il y a tellement d'étudiants qui n'ont plus rien. Qui survivent. Qui sont seuls et largués avec cette crise sanitaire qui n'en finit plus ! >> lance Julie. Elle rajoute : << Alors je ne vais pas m'apitoyer sur mon sort. Je suis une privilégiée. J'ai un boulot à côté et je vis chez mes parents ! >>. Nous écoutons. Clémentine fait : << Si je n'avais pas avec Julien, j'aurais une vie de merde au fond d'une piaule, sans argent ! >>. Les filles échangent leurs ressentis. J'écoute.

Parfois Julie se penche en avant. Les coudes posés sur ses cuisses, elle regarde furtivement mon sexe. Il est mou. Il pointe fripé de ma braguette béante. La faim commence à se faire sentir. Je me lève le premier. Je tiens ma bite à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite vers les filles en disant : << Ce soir, je me sens terriblement vicelard. Il faudra m'en excuser ! >>. Quelle n'est pas ma surprise d'entendre Julie s'écrier : << C'est à mon goût ! J'adore ! >>.

Nous éclatons de rire. Clémentine se lève pour m'attraper par le sexe. elle fait : << Mais si tu n'étais pas vicieux, les soirées seraient d'un ennui profond ! >>. Nous en rigolons comme des bossus. Julie se lève à son tour pour dire : << Ce serait alors d'aucun intérêt ! >>. Je m'approche. Je pose mes mains sur ses épaules pour préciser : << Julie, j'espère être à la hauteur de vos attentes ! >>. Elle est soudain gênée et redevient la fille timide et réservée. Ce n'est pas un jeu.

Clémentine me tire par la bite comme par une laisse. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Sur la table il y a la caisse isotherme qui contient nos tourtes aux fruits de mer. A côté son disposées les boîtes contenant nos salades. Je remercie Julie pour les livraisons de hier et de ce soir. Le "Chef" et ses deux assistants du restaurant de l'étang, préparent d'excellentes spécialités. Elles sont trois à livrer. Anne-Marie, la tante, une autre étudiante et Julie. Pour faire tourner le restaurant.

Clémentine retire les opercules sur les boîtes. Julien sort les tourtes aux fruits de mer encore très chaudes. L'odeur achève de nous ouvrir un féroce appétit. Je paie par carte bancaire. Ce qui amuse Julie c'est le pourboire que je lui prépare toujours dans une enveloppe. Nous dressons la table. Il n'y a rien à préparer. Il y a cinq tourtes. Deux pour demain à midi. Nous voilà confortablement installés à table. C'est encore meilleur que les autres fois. Nous mangeons de bon appétit.

Les filles parlent de leurs études. Julie nous parle du restaurant. Anne-Marie pense quelquefois à vendre et à partir s'installer au Portugal. Elle y a une petite maison. La crise sanitaire et les mesures délirantes prises par des irresponsables auront provoqué bien des faillites et des dépôts de bilan. Malgré les promesses évidement jamais tenues de compensations financières. Julie est une jeune fille de 20 ans. Les gens de son âge commence à prendre conscience des enjeux de l'avenir.

Cette conversation très sérieuse prend fin sur l'initiative de Julie qui dit : << Heureusement, il y a des petits paradis sur terre. Ici, c'est l'un d'entre eux ! >>. Julie n'ose pas soutenir mes regards. Ce sont à chaque fois des coups d'œils furtifs. Elle en vient à nous confier son impatience d'être au printemps. Le projet de son film. La conversation prend rapidement une tournure beaucoup plus légère. Le film où Julie veut interpréter son propre rôle. "La voyeuse" en promenade.

<< J'élabore un scénario très sérieux vous savez. Je veux que cette réalisation soit l'absolu reflet d'une réalité ! >> précise t-elle. Clémentine la rassure. Elle tiendra la caméra. Estelle saura diriger les "acteurs". A savoir Julie dans son rôle, moi dans celui de l'exhibitionniste qu'elle rencontre au bord de la rivière. Julie nous donne quelques détails. Elle a même préparé quelques dialogues qu'il nous faudra apprendre par cœur. Nous en rions beaucoup.

Cette conversation me fait évidemment bander. Clémentine me fait du pied sous la table. Je me lève. Je tiens mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Cette fois Julie observe chacune de mes "performances" car je le fais plusieurs fois. << Vous êtes parfait dans le rôle ! >> lance Julie. Clémentine rajoute : << Julien et Estelle, c'est le casting rêvé ! Vous aurez un film digne des meilleurs Césars du cinéma ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Julie en à les larmes aux yeux.

Je l'ai rarement vu rire autant. Doucement, avec le temps, cette jeune fille timide, réservée, inhibée, laisse s'exprimer davantage de sa nature profonde. C'est une véritable vicieuse, avide de situations étourdissantes de vice. Comme me le confie souvent Clémentine qui est passionnée de psychologie ; << Le jour où elle se lâchera vraiment, il y aura des étincelles ! >>. Je veux bien le croire. Surtout que Clémentine ne se trompe jamais. J'invite Julie à me rejoindre aux toilettes.

Je me lève une nouvelle fois pour m'y rendre. Ce jeu devient une sorte de rituel. A peine suis-je debout devant la cuvette, la bite à la main, que la porte s'ouvre. Clémentine s'appuie contre le lavabo à ma droite. Les bras croisés. Julie se met entre l'étagère à linge et l'armoire. Je me concentre. Je bande comme un salaud. Impossible de pisser. Les filles attendent, silencieuses et aussi concentrées que moi. J'entends leurs souffles. Je perçois leurs apnées. Leurs respirations.

Rien à faire. Je me masturbe doucement. Julie se rapproche. Penchée en avant, les mains en appui sur ses genoux, elle regarde. Clémentine glisse une main dans son jeans qu'elle vient de déboutonner. Julie évite mes regards insistants. Je sais bien qu'elle adore se retrouver terriblement gênée dans les situations les plus ambiguës. Rien ne lui procure davantage d'émotions. Elle nous l'a confié tant de fois. Les plaisirs d'une authentique voyeuse. D'une jeune fille vicieuse.

<< J'ai souvent honte d'être aussi vicieuse. C'est parfois tellement intense que j'en suis effrayée ! >> nous confie une fois encore Julie. C'est en pensant à tout cela, en regardant cette jeune vicelarde, que je me branle comme un véritable salaud. Julie doit nous quitter pour 22 h. Son attestation ne lui permet pas d'être dehors au-delà de 22 h30. Elle insiste pour faire la vaisselle avec nous. Nous cessons donc nos petits jeux. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle revient demain...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment visiter un couple d'amis dont le mec offre d'intenses moments de dépravations..

Julien



Classe


NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquez ici pour vous connecter