Français English
FORUM

Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1763 -



L'agréable repas en soirée avec Juliette

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. L'illusion de nous réveiller dans un port, quelque part au bord de la mer. On distingue nettement des voix, le bruit du ressac. Le cri des mouettes vient parfaire cette impression. Ce sont les sirènes de gros bateaux au large. Clémentine se blottit contre moi. Nous modulons nos gémissements. L'impérieux besoin de pisser ne nous laisse pas profiter de cet effusion de tendresse. Nous nous précipitons aux WC. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges en me racontant son rêve, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Je pèle nos kiwis. Je récupère les premières tranches éjectées par le grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos jeux de rôles, hier soir. Mon interprétation du "Maître". L'interprétation d'Estelle dans le personnage de la "Soumise". Ça faisait longtemps que nous n'avons plus jouer. Ces séances sulfureuses manquent à Clémentine. Je lui promets de lui offrir une réplique adaptée, soit demain soit vendredi soir.

<< Ce serait super bien vendredi soir, après mon rendez-vous avec le voisin. Tu pourrais me punir de mes déviances ! >> lance Clémentine en posant sa main sur la mienne. Nous mangeons de bon appétit en envisageant différentes déclinaisons. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, un peu de vélo d'intérieur, les abdos, les exercices au sol avant les charges additionnelles. Le retour au calme avec un agréable stretching. La douche. Je descends le premier pour aller préparer l'auto.

La nuit est glaciale. Il est presque 7 h45. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. On dirait un esquimau dans son épais anorak. Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Le thermomètre extérieur indique 2°. Je fais notre vaisselle, notre lit, avant d'aller dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. Je suis confortablement assis devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je peins dans cet enthousiasme qui m'enchante.

Il est 11 h45 quand je dépose la dernière touche de blanc de plomb sur la surface de la toile. Voilà cette première scène de genre destinée à ma saison d'été terminé. Les deux personnages féminins ont les traits de Clémentine et de Julie. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste des coquillettes de hier soir, avec une salade de tomate et un filet de lieu noir que je panne au préalable. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui encore, André Bercoff est dans tous ses états.

Demain, il y a grève des enseignants et Clémentine ne sait pas encore si cela concerne les professeurs d'université. Depuis deux ans que dure cet avilissement, il y a enfin des réactions populaires. Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je redescends pour enfiler mon anorak. Il fait vraiment très froid. C'est à peine s'il y a 4°. Il y a même un peu de givre dans les recoins. Je remplis la brouette d'une vingtaine de bûches. Je les empile à côté de la cuisinière à bois, à côté de la cheminée du salon, de la cheminée de l'atelier. Parfait.

Je retourne à la cuisine. Depuis ce matin, la pâte feuilletée a décongelé. Je l'étale dans deux plats à tarte. Un grand, un petit. Je lave et je coupe un beau choux fleurs que je fais cuire à l'auto cuiseur. Pendant ce temps, je concocte une Béchamel en y incorporant du gruyère de Comté finement râpé. J'égoutte le choux fleurs pour le rajouter avant de remuer afin de rendre le mélange homogène. Je verse sur la pâte feuilletée. Je recouvre de fines tranches de Morbier, de Saint Nectaire et de Roquefort. Je saupoudre de chapelure, de graines de sésame.

Au four électrique pour une cuisson à feu doux. 180° afin que les tartes mijotent longuement. Notre repas de ce soir est en route. Je quitte la cuisine pour l'atelier. Je commence cet après-midi la seconde scène de genre à trois personnages. Toujours dans mon style de prédilection. La peinture hollandaise du siècle d'Or. Ce fameux XVIIème qui a vu éclore des Maîtres comme Gérard Dou, Pieter de Hoock, Vermeer, sans oublier le plus célèbre d'entre tous, Rembrandt. Je peins dans la plus totale sérénité. Mon existence est un enchantement.

Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. << Je t'aime. Demain, je n'ai pas cours, il y a des profs qui font grève ! >> s'écrie t-elle. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Les impressions d'Estelle en ce qui concerne nos petits jeux de hier soir. << Ça tombe bien. Je peux mettre à jour mes travaux pour les partiels ! >> rajoute t-elle en me faisant plein de bisous. Elle regarde la toile.

<< Tu me peins si bien ! >> lance t-elle en prenant la loupe pour scruter son visage. Je dis : << Tu imagines, ton portrait se retrouve sur des dizaines de toiles un peu partout dans le monde. Sans que leurs propriétaires ne se doutent un seul instant que tu existes vraiment ! >>. Clémentine m'attire à elle pour se serrer. Elle a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je peins à présent dans une certaine volupté. C'est si bon d'être auprès de la fille que j'aime. J'aime l'entendre commenter ce qu'elle fait. Chanter.

Il est 18 h15. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Clémentine vient me rejoindre pour passer ses bras autour de ma taille. Je me retourne. Elle fourre sa langue dans ma bouche. Ce baiser fougueux ne mouille pas seulement nos mentons de salive mais me procure une érection démentielle. Clémentine frotte sa braguette contre la mienne. Elle adore se frotter contre ma grosse bosse. Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd, violent. C'est impressionnant.

Nous restons serrés pour écouter les errances de l'entité que nous entendons évoluer à l'étage. Au-dessus de l'atelier c'est notre salle d'entraînement. Le fantôme de mon ancienne compagne semble encore rôder sans but. Cela ne dure que quelques minutes. Il est 18 h35 quand la musique imbécile de mon téléphone retentit. Clémentine s'en empare. << Juliette ! Elle arrive ! >> lance t-elle. << Surtout, garde ta braguette ouverte, je vais l'accueillir ! >> rajoute t-elle. Je sors ma queue. Je bande mou. Il y a même un filament de liquide séminal.

Juliette entre dans l'atelier. Toute souriante. Ce soir elle a ses longs cheveux noirs noués en un natte. Vêtue de sa tenue d'écuyère. Cette belle bourgeoise de 48 ans est encore superbement attractive ce soir. Bien évidemment, avec cette attitude féminine que j'adore, elle fait mine de ne pas avoir vu mon sexe qui pend. Nous nous touchons les poings avant de nous faire les trois bises réglementaires. Nous sommes vaccinés et nous pratiquons nos auto tests presque tous les jours. Les nôtres arrivent d'Écosse, envoyés par mon oncle. Moins chers.

En Écosse un auto test coûte 28 cents. Ici, il est à 4,30€. Oncle Alan nous les envoie par colis de 100. Pourquoi donner son argent à des procédés purement mercantiles ? Juliette adore l'ambiance de l'atelier. Elle contemple la toile achevée. Elle aussi admire les visages si parfaits. Elle reconnait Julie. << Ah bon ! >> fait elle. Julie a été sa jeune amante il y a plus de deux ans. Les souvenirs communs ne sont pas les meilleurs. Clémentine change immédiatement de sujet en évoquant notre soirée branle de samedi dernier. Juliette la regarde.

<< C'est à refaire, qu'en pensez-vous ? >> nous demande t-elle. Je réponds : << Le plus tôt sera le mieux ! >>. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Je ne peux m'empêcher d'observer la silhouette athlétique de Juliette. Sa taille de guêpe, ses fesses magnifiques, sa cambrure de reins encore accentuée par son pantalon d'écuyère. Clémentine prépare une salade d'endive. Juliette met les assiettes et les couverts. Je réchauffe la grande tarte dans le four à bois. Chaud. Juliette fait semblant de découvrir enfin ce qui dépasse de ma braguette.

Je fixe le triangle que forme son sexe sous le pantalon hyper moulant. La couture qui sépare le deux petites bosses de sa vulve. C'est très excitant. Elle le sait. J'entraîne soudain Clémentine, toute étonnée, pour aller au salon. Je mets le foulard en soie autour de son cou. Je peux y fixer le collier canin sans que le cuir n'irrite sa peau. J'accroche la laisse. C'est ainsi que je l'emmène à la cuisine. Juliette a un regard admiratif. << Wouah ! Génial, j'adore ! >> lance t-elle. Clémentine, qui ne s'attendait absolument pas à ça est ravie de ce qui lui arrive.

Je la promène autour de la grande pièce sous le regard brillant de convoitise de Juliette. Je lui tends la laisse. << Je peux ? >> demande t-elle. Clémentine s'écrie : << Bien sûr ! >>. Nous avons déjà joué à ces jeux il y a trois ans, dans les écuries. Juliette est évidemment une dominatrice sévère, une "Maîtresse" dure et exigeante. Pourtant, ce soir, il n'est question que d'un tout petit aperçu. Je reprends la laisse pour la passer autour de mon poignet. Je sors la tarte au choux fleurs du four. Gratinée, dorée à souhait, elle embaume toute la cuisine.

Nous mangeons de bon appétit. Durant tout le repas, je garde la laisse fixée à mon poignet. Parfois, je prends la fourchette de la main de Clémentine pour la nourrir. Juliette nous observe amoureusement. Nous parlons de toute autre chose. Juliette évoque les mesures sanitaires imposées dans son haras. La paperasserie qu'il faut faire pour chaque cheval en pension. Il y en a 87. La vaisselle. Clémentine propose de prendre le dessert au salon. La tarte aux poires qu'à ramené Juliette est un délice. Juliette est installée dans le fauteuil, en face de nous.

Clémentine assise à ma gauche tient mon sexe à pleine main. Juliette, comme à son habitude est vautrée de la façon la plus vulgaire. Une jambe sur l'accoudoir, les cuisses largement écartées. Ce qui permet d'admirer ces deux petites bosses de chaque côté de la couture de son pantalon. Je bande comme le dernier des salauds dans la main de Clémentine. Je la tiens toujours à la laisse. Juliette passe quelquefois son index sur la couture de son pantalon. Elle fait rouler ces deux petites bosses sous ses doigts. Juliette est la plus authentique des vicieuses.

Nous faisons partie du même "Club". Entre membres, il est parfaitement normal de s'adonner aux activités très particulières de cette confrérie du vice. Je me lève. J'ai trop envie de me pignoler devant cette femme. J'agite ma queue dans sa direction. À présent assise normalement, penchée en avant, les coudes sur ses genoux, la tête posée sur ses mains, Juliette observe avec grand intérêt. Clémentine raconte sa rencontre avec un exhibitionniste sur le parking de l'hypermarché. << Celui qu'ils ont arrêté hier ? >> lance Juliette.

Nous rions de bon cœur de l'infortune de ce pauvre type. << Il vaut mieux pratiquer en milieu fermé, au sein d'une fraternité de gens partageant les mêmes passions ! >> lance Juliette. << Oui, c'est préférable dans un monde de dénonciations, de délateurs et de faux culs ! >> rajoute Clémentine. << On se refait une soirée branle samedi soir ? >> propose Juliette. Clémentine promet d'y réfléchir. Nous donnerons notre réponse vendredi par mail. J'entraîne Clémentine en donnant un à coup sur la laisse. Nous faisons le tour de la pièce.

Juliette se tourne, nous suit du regard. Elle me fait un clin d'œil en mimant une fellation. J'ordonne : << À genoux, mains sur la tête ! >> Clémentine s'exécute immédiatement. Bien droite. Je lui frotte la queue sur la gueule. Juliette se lève pour nous rejoindre. Accroupie, elle scrute. Je lui présente ma bite avant de l'enfoncer dans la bouche de Clémentine. Tout cela ne dure pas. Il est déjà presque 22 h. Je sors mon sexe de la bouche de Clémentine en demandant : << Juliette, ça vous met l'eau à la bouche ? >>. Elle répond : << Et comment ! >>.

Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. La nuit est véritablement glaciale. Impossible de garder la bite à l'air. Assise au volant, fixant ma braguette avec insistance, Juliette nous dit : << J'attends votre mail, vendredi. Venez manger à la maison. On se fait un plan à quatre avec Estelle ! >>. Clémentine se penche pour répondre : << On ne promet rien. On vous tient informée ! Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. << Cette salope aimerait bien faire de moi sa mascotte sexuelle ! >> lance Clémentine. Nous rions...

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment êtres promenées à la laisse avant de se faire lécher et sucer une fois au lit...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1764 -



Clémentine reste à la maison pour cause de grève

Hier matin, jeudi, il est presque huit heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. << C'est génial un jour de congé en pleine semaine ! >> murmure Clémentine en se frottant contre moi. Nous restons serreés l'un contre l'autre à tenter de lutter le plus longtemps possible contre l'impérieux besoin de pisser. Clémentine m'entraîne par mon érection matinale jusqu'aux toilettes. Vêtus de nos tenues de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers. < C'est génial, pas obligé de speeder ! >> lance encore Clémentine.

J'allume immédiatement un bon feu dans la cuisinière à bois. Même si les deux radiateurs de la cuisine fonctionnent bien, le froid glacial du dehors pénètre doucement l'épaisseur des murs. Clémentine fait le café et presse les oranges en me racontant son rêve. Je pèle les kiwis. Ce matin encore le désagréable claquement sec du grille pain. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier avec Juliette. << Ce qui est bien c'est qu'il reste la petite tarte au choux fleurs pour midi ! >> lance Clémentine. Nous éclatons de rire.

Nous mangeons de bon appétit en évaluant la situation. Cette grève des enseignants qui permet à Clémentine de rester à la maison, de réviser malgré tout et de se consacrer à l'avance de son travail. << Après deux ans de coma voilà qu'enfin des gens sortent de la léthargie dans laquelle ils ont été plongé ! Espérons que ce n'est que le début des festivité à venir ! >> lance Clémentine. J'écoute toujours avec beaucoup d'attention ses ressentis. Ses dons de médium lui offrent la capacité de voir l'ombre des évènements qui se projette en avant.

Le thermomètre extérieur indique 2°. Il est 8 h30. Pas de running avec ce froid. Nous faisons la vaisselle avant de remonter pour nous offrir notre heure de gymnastique. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Retour au calme avec un stretching que nous tentons de faire le mieux possible. La douche. Comme il est bon de pouvoir prendre son temps. Nous faisons notre lit. Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous dévalons une nouvelle fois les escaliers. Nous enfilons nos anoraks.

Il y a du givre. Le sol est dur. Avec cet anti cyclone qui règne depuis quelques jours, il gèle la nuit. La terre se dessèche inexorablement. Clémentine reste à mon bras. Nous descendons jusqu'à l'étang qui s'est formé au bas du chemin, devant la rivière. Les canards nous font la fête. Les poules d'eau et les colverts font des cercles concentriques sur la surface. Il n'y a aucun vent. C'est un véritable paysage d'hiver. Clémentine prend quelques photos. Je n'ai peins que de très rares paysages d'hiver. Voilà de la documentation. Malgré les bonnets ça pique.

Nous remontons pour rentrer au chaud. Nous allons dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine se plonge déjà dans ses études. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Quand Clémentine est là c'est encore plus sublime de me livrer à ma passion. J'aime l'entendre commenter ce qu'elle fait. Se mettre soudain à chantonner. Nous adorons ces ambiances d'émulations créatives. Le crépitement du feu.

Parfois, l'un se lève pour aller voir ce que fait l'autre. Lui chuchoter une douceur, lui faire un bisou dans la nuque, sur la joue. Il est rapidement midi. Clémentine met deux bûches dans l'âtre. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Elle s'occupe de la salade de carottes. Je réchauffe la petite tarte au choux fleurs. C'est tellement meilleur réchauffé. Dans le four de la cuisinière à bois la cuisson est extrêmement rapide. Le temps de mettre les assiettes et les couverts. Je passe derrière Clémentine pour me serrer contre elle.

Mes bras autour de sa taille, par dessus son épaule, je la regarde remuer la salade. Je murmure : << Tu sais que je t'aime toi ? >>. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos activités respectives. Il reste à Clémentine trois ans d'études avec son Doctorat. << Parfois, ça m'angoisse ! >> me confie t-elle une fois encore. Je la rassure, quels que soient les résultats, il n'y a aucune inquiétude à avoir. La vie avec moi est d'une totale sécurité. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur notre soirée de hier avec Juliette.

<< Cette salope aimerait bien faire de moi sa mascotte sexuelle. Tu as vu ses réactions lorsqu'elle me promenait à la laisse dans le salon ? >> lance Clémentine. Elle rajoute : << Elle peut toujours rêver, je préfère un "Maître" qu'une maîtresse ! >>. J'écoute avec attention les analyses que fait Clémentine. Elle dit encore : << Son fantasme d'être ma dominatrice trouve une part de son origine dans le désir inconscient de se venger de ma présence dans ta vie. Elle voudrait tellement être à ma place ! >>. Ce que dit Clémentine est si vrai.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Nous redescendons à toute vitesse. Nous mettons nos anoraks. Nous traversons le jardin pour aller dans la maison d'amis. C'est ici que Clémentine reçoit demain après-midi notre voisin. Monsieur Bertrand est attendu pour 15 h. Il fait froid. Il y a juste le hors gel et ses 6°. J'allume les convecteurs électriques. Les voyants des batteries des panneaux photovoltaïques indiquent la charge maximale. C'est parfait.

Tout est en ordre. Clémentine passe la balayette sur la table basse entre les deux canapés. Elle fait la poussière. Je passe le balai au sol. Ce sera plus accueillant pour demain. En matinée, je viendrai allumer la cheminée afin que le système hydraulique chauffe les radiateurs. Je sors ma bite. Clémentine se tourne et me voit avec la queue entre le pouce et l'index. Elle ouvre de grands yeux étonnés en me faisant le plus merveilleux des sourires. << J'aime tes initiatives Julien ! >> dit elle en me contournant pour ranger le balai dans le placard.

<< Viens ! >> rajoute t-elle en saisissant mon sexe. Elle m'entraîne dans l'étroit placard. Il y en a trois. C'est celui du fond. Là où je serai enfermé et caché demain avec Julie. C'est un espace exigu. Il n'y a aucune autre alternative que de rester serrés l'un contre l'autre si on veut y tenir à deux. Clémentine observe par le trou rond et grillagé. << Vue parfaite. Bonne prise en main. Julie sera dans les meilleures conditions ! >> murmure Clémentine en me masturbant doucement. Nous nous embrassons comme des fous. Salive qui dégouline.

Je remballe. Nous quittons la dépendance pour la contourner. Dans l'abri à bois nous remplissons la grande corbeille d'une dizaine de bûches. Nous voilà de retour dans la douce chaleur de l'atelier. Clémentine absorbée par ses préparations. Je peins dans une sérénité paradisiaque. Cette seconde scène de genre à trois personnages m'accapare totalement de ses charmes. Cette fois, les personnages féminins auront à nouveau les traits de Clémentine et d'Estelle. L'après-midi passe à une vitesse extraordinaire. Il est déjà 18 h.

<< Put-hein ! Si je n'arrête pas je pète un câble ! >> lance soudain Clémentine. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je retire ma blouse. Je sors ma queue avant de me laver les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Clémentine ne le sait pas encore. Je m'essuie les mains pour les poser sur mes hanches. Tourné franchement vers Clémentine je reste immobile avec la bite et les couilles garrotées par la braguette étroite de mon vieux 501. Elle s'en rend enfin compte. L'attente m'a fait bander mou. À nouveau elle ouvre de grands yeux ravis.

Elle range ses classeurs sur les étagères derrière elle. Elle éteint l'ordinateur. Elle contourne la table pour tourner autour de moi. Sans s'approcher. Quel jeu merveilleux. Elle m'interroge du regard. Elle éteint les lampes à halogènes. Il ne reste que la lueur des flammes qui dansent dans la cheminée. Je frissonne de plaisir. Cette situation m'enivre de bonheur. Du bruit. C'est Estelle qui arrive. Nous l'entendons chantonner. La porte s'ouvre. Elle se précipite. Une bise à Clémentine avant de sautiller vers moi. Elle découvre ma queue bien dure.

Estelle me l'a saisit d'une main ferme en disant : << Encore en pleine séance je vois ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine vient se blottir. Je tiens mes deux anges par les épaules. L'une tient ma bite, l'autre tient mes couilles. Qu'il est bon de nous retrouver tous les trois. Rapidement pourtant les filles parlent de leur journée. Estelle aussi a profité de cette journée de grève des enseignants pour avancer dans ses préparations. Comme elles sont en plein partiels cette journée est une réelle opportunité pour prendre de l'avance. Anticiper.

Nous sommes tous les trois assis sur les poufs devant la cheminée. Je suis entre mes deux anges. Je les écoute mettre au point les stratégies à venir. Passionnées par leurs études, c'est tout aussi passionnant de les entendre en parler. Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit caverneux, sourd. << Bonsoir Christine ! >> font mes deux anges en même temps pour saluer la présence du fantôme de mon ancienne compagne. Les filles se serrent contre moi. Nous écoutons en essayant de suivre les errances de l'entité à l'étage.

<< Cette fois, je monte voir ! >> s'écrie Clémentine en se levant d'un bond. Nous la suivons. Nous traversons les couloirs pour nous précipiter dans l'escalier. Nous voilà à l'étage. Plus un bruit. << Écoutez ! >> murmure Estelle en pointant son doigt vers la porte de notre salle d'entraînement. Nous nous approchons. Nous entendons nettement de lointains sanglots. Clémentine saisit la poignée pour ouvrir. Cette porte n'est jamais fermée à clef. Pourtant, il est totalement impossible de l'ouvrir. Il y a un soudain vent glacial, la lumière s'éteint.

Les filles se blottissent dans mes bras. Nous restons dans l'obscurité totale. Il n'y a plus un bruit. La lumière se rallume. Tout est terminé. Clémentine peut à nouveau ouvrir la porte. Elle dit : << Il faut que j'entre en contact avec Christine. Que je l'aide à quitter la maison définitivement. Je crois qu'elle souffre ici. Elle a tant aimé cet endroit ! >>. Nous écoutons Clémentine développer sa théorie. Elle est médium, elle comprend des choses que nous ne comprenons pas. Elle les ressent également au plus profond d'elle même. Un mystère.

Morts de faim, nous remettant rapidement de nos émotions, nous dévalons les escaliers. << Revenons à des considérations beaucoup plus prosaïques mais tellement plus rassurantes ! >> dit Estelle en sortant ma queue. Il fait bien chaud à la cuisine. Estelle prépare une pâte à crêpe tout en faisant chauffer l'huile de friture. Je fais rissoler les crevettes encore congelées. Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Il suffit de jeter les crevettes dans la pâte à crêpe. De les tremper une minute dans l'huile bouillante pour obtenir de beaux beignets.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte la visite hebdomadaire de Jean-Marc hier soir. Le prétexte habituel de venir chercher des cartons vides. Son parrain la baise depuis ses seize ans à la cave ou au dépôt. << Mais que fait-il de ces cartons ! >> lance Estelle. Nous éclatons de rire. << C'était comment ? >> demande Clémentine. << Tu as déjà baisé avec lui, tu sais de quoi il est capable ! >> répond Estelle. Clémentine rajoute : << Tu nous organises un "plan" un de ces mercredis ? Je remettrai bien les couverts ! >>. Rires.

Nous ne traînons pas. La vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Nous ne sommes rapidement plus qu'avec nos chemises, nos chaussettes. Pas question de baiser avec Estelle. << Il m'a tellement "défoncé" hier soir, ce salaud que mon petit minou a besoin de récupérer ! >> dit elle. << De soins aussi, peut-être, non ? >> lance Clémentine qui s'installe dans le fauteuil. C'est le signal. Clémentine adore se masturber en nous regardant improviser. Estelle est vautrée dans le canapé. Je suis à genoux sur l'épais coussin entre ses pieds.

Mon visage entre ses cuisses, je hume longuement les odeurs de fille négligée qu'aime à m'offrir la coquine. Elle se masturbe déjà. Je passe ma langue le long des fines lèvres de son sexe. Au fur et à mesure de son excitation grandissante, les lèvres d'Estelle semblent s'agrandir pour dépasser davantage. Rien à voir avec les lèvres charnues et pulpeuses de Clémentine dont nous entendons déjà la respiration jouissive. Lorsque je suce le minuscule clitoris d'Estelle, elle me caresse la tête, me saisit par les oreilles en gémissant d'un indicible bonheur.

Elle murmure des choses souvent incompréhensibles totalement sous l'emprise de mes caresses, de son plaisir. J'entends les gémissements de Clémentine. Je cesse pour la regarder. Elle se branle avec passion. La tête rejetée en arrière, les yeux clos. L'orgasme soudain d'Estelle la fait hurler. Elle me repousse doucement pour se tourner sur le côté, les mains entre ses cuisses comme si c'était douloureux. Je vais vers Clémentine. Elle ouvre la bouche pour m'inviter à y mettre mon sexe turgescent. J'éjacule en trois saccades presque douloureuses.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui ont besoin d'une thérapie de choc après des manifestations paranormales...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1765 -



Le rendez-vous avec Louis, notre voisin

Hier matin, vendredi, l'illusion de nous réveiller dans un port est bluffante. L'application "océan" est tellement parfaite. Le cri des mouettes, les sirènes des bateaux qui semblent se répondre. Le clapotis de l'eau. Il est presque six heures. Clémentine vient se blottir contre moi en gémissant. Nous restons quelques instants à tenter d'émerger complètement du sommeil. Quelques papouilles, quelques bisous pour essayer de redevenir lucides. << C'est dur. Et juste pour un matin de cours en plus ! >> chuchote Clémentine en saisissant mon érection.

Nous nous précipitons aux toilettes. Comme tous les vendredis, la perspective de terminer à midi envahit rapidement Clémentine d'une euphorie communicative. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusque dans une cuisine où règne une fraîcheur désagréable. Malgré les deux radiateurs que le thermostat vient de mettre en fonctionnement. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, j'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Je pèle les kiwis en écoutant Clémentine me raconter ses rêves.

Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de folies, hier, avec Estelle. << On devrait se calmer juste un peu, le week-end ne suffit plus pour se reposer ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le rendez-vous qu'a fixé Clémentine à monsieur Bertrand, notre voisin vicelard. Il arrive pour 15 h. Ce matin j'irai allumer la cheminée dans la maison d'amis. Ainsi, il y fera bien chaud. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer corps et âmes à notre heure d'entraînement.

C'est avec une intensité maximale, dans une certaine déconne, que nous pratiquons. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Le stretching du retour au calme, malgré nos efforts n'est une clownerie. Clémentine me fait tellement rire. Elle m'entraîne dans la salle de bain avec des déhanchements caricaturaux totalement absurdes en mimant quelques stars féminines du cinéma des années cinquante. La douche. Je descends le premier pour faire chauffer l'auto. La température extérieure étant exactement de 2°.

Le jour commence à se lever. Il est 7 h45. Les jours rallongent. Ça commence à être perceptible. Enfin ! Clémentine me rejoint emmitouflée dans son anorak. Ce n'est pas un luxe d'être ainsi chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. En appoint avec les deux radiateurs, c'est parfait. Me voilà enfin confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette.

Avant de commencer, je quitte l'atelier pour enfiler une nouvelle fois mon anorak. Je traverse le jardin dans le jour naissant. J'allume également une belle flambée dans la cheminée de la maison d'amis. Les convecteurs électriques ont déjà bien chauffé l'air ambiant. Je vérifie le niveau d'eau dans les tubulures du faux chaudron de fonte noire. Les flamme lui lèchent rapidement le cul. Cette eau, une fois en ébullition, circulera dans les radiateurs. C'est parfait. Je quitte la dépendance pour traverser une nouvelle fois le jardin en sens inverse.

La peinture de cette seconde scène de genre destinée à ma saison d'été, m'absorbe rapidement. D'une façon totale. Je peins dans cette douce euphorie qui n'est que le prolongement de celle de ce matin. La matinée passe vite. Il est 11 h45. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je prépare le chevalet de table. Julie arrive à 14 h30 pour passer l'après-midi avec nous, prendre son cours de peinture. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste des beignets de crevettes de hier soir. Je fais une salade d'endives. C'est rapide.

J'épluche des pommes de terre que je lave avant de les couper en fines tranches. Je les poêle dans l'huile afin d'en faire des chips. Ça va tellement vite. Je remue sans arrêt avant de les disposer sur du papier absorbant. Il est 12 h30. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Il n'y a plus qu'à passer à table. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Mmmhhh, comme c'est bon. J'étais morte de faim ! >> s'écrie t-elle en dégustant.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur son rend-vous de cet après-midi. << Je suis morte de trouille et très excitée. Je culpabilise aussi ! >> me confie t-elle. Une fois encore je la rassure. Je dis : << Ne culpabilise pas, c'est un jeu, notre jeu. Je suis un peu dans le même état d'esprit que toi. Après tout, je vais être caché dans un étroit placard avec Julie tout contre moi ! >>. Clémentine me fait plein de bisous. Elle rajoute : << Comme c'est bon de tout partager avec l'homme que j'aime ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Le week-end commence dans la déconne. C'est magnifique. Clémentine m'entraîne dans la chambre. De l'armoire elle tire une de ses jupes kilts à gros carreaux rouges. Un chemisier crème, un pull bleu nuit au col en "V", ses bas noirs, son porte-jarretelles. Du placard à chaussures elle tire ses bottes de cuir noir à talons hauts. Il fait bien trop froid dans la chambre pour se changer. Nous maintenons volontairement une température basse.

Nous retournons à la salle de bain. Clémentine se change. Comme elle est belle, sexy et attractive dans sa tenue. Je suis assis sur le tabouret entre la baignoire et l'armoire à linge. Clémentine fait le tour de la grande pièce qui n'est une salle de bain que depuis une soixantaine d'années. Elle est sublime. Elle le sait. Parfois elle s'arrête devant le grand miroir du placard. Depuis l'adolescence, son image l'a toujours érotisé. << Ça rend une fille narcissique quand elle est belle. C'était difficile à gérer jusqu'à toi ! >> dit elle une fois encore.

Clémentine s'accroupit devant le miroir. Elle me tourne le dos. Les cuisses largement écartées, elle se contemple, me regarde, change de position, resserre ses jambes, les écarte à nouveau. Les mains sur la tête, sur les hanches où sur les cuisses. Je sors ma queue. Je me masturbe doucement en savourant ce merveilleux spectacle. Gagnée par l'ankylose, à la limite de la crampe, Clémentine se redresse. Elle vient s'assoir sur mes genoux. << Jusqu'à ce que je te rencontre il y presque six ans, c'était compliqué d'être aussi belle ! >> dit elle.

Nous autres, les hommes, nous ne voyons toujours que le bon côté des choses dans le domaine de la sexualité. Mais pour une jeune fille, d'être regardée comme une créature curieuse, étrange et d'une certaine manière extraordinaire, est une gestion de chaque instant public. << Ce qui a certainement participé à mes penchants exhibitionnistes. Je pouvais contrôler plus facilement ce qui émanait de moi ! >> me confie t-elle. Nous en avons parlé souvent. Tout en bavardant, nous nous faisons plein de bisous. Au point d'en oublier le temps qui passe.

Me tenant par la queue, Clémentine m'entraîne. Nous descendons prudemment l'escalier pour aller au salon. Il est déjà 14 h. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons un message de Juliette. Nous avons complètement oublié sa proposition de passer une soirée branle chez elle samedi. << On n'y va pas. On reste juste nous trois, bien au chaud à la maison. Après-tout, on fait pareil ici avec Estelle ! >> lance Clémentine en répondant au courriel de Juliette. Trois coups de sonnette qu'on entend à peine depuis le salon.

<< Déjà ! >> s'écrie Clémentine qui se précipite pour aller accueillir Julie. Je suis debout, penchée devant l'ordinateur, en appui sur mes mains. Je scrute la photo qu'à joint Juliette à son courriel. Il y a toujours un élément troublant. Si ce n'est pas dans son attitude, c'est dans son accoutrement. Clémentine revient suivie de Julie toute souriante. Radieuse d'être de retour avec nous. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Un pull noir, son jans et ses bottines à légers talons. Elle se précipite pour me faire la bise. << Bonjour Julien ! >> dit elle.

Elle regarde la photo de Juliette. << Cette salope ! >> lance t-elle en détournant les yeux. Les deux femmes ont vécu une relation intime il y a trois ans. Cela ne laisse pas un bon souvenir. Ni à l'une, ni à l'autre. Ça s'est terminé par une tension jamais retombée. Clémentine et moi nous désirons surtout ne pas savoir pourquoi. On s'en fout. Il est 14 h30. Nous remettons nos anoraks. Vêtue de sa jupe kilt, Clémentine va être obligée d'affronter le froid glacial sur une soixantaine de mètres. << Attention ! Prêts ? C'est parti ! >> s'écrie t-elle.

Nous traversons le jardin pour entrer dans la maison d'amis. Il y fait bien chaud. Presque trop d'un coup avec les effets du choc thermique. Julie ouvre la porte du placard où nous allons nous planquer tout à l'heure. J'y ai installé le petit escabeau qui lui permettra de pouvoir regarder par la petite ouverture grillagée de la porte une fois refermée. Clémentine nous dit : << Je vous enferme là-dedans d'ici 20 minutes ! >>. Nous rions. Clémentine monte à l'étage pour préparer du thé. Julie dispose les petites crêpes dentelles sur un plateau.

Tout est prêt. Sur la petite table basse entre les deux canapés, il y a les tasses, le sucrier, les coupelles, les cuillères à moka. Clémentine, toute fébrile, se serre plusieurs fois contre moi. Je glisse ma main sous sa jupe kilt. Pas de culotte. Je passe mes doigts entre les lèvres charnues de sa vulve. C'est légèrement humide. Je titille son clitoris géant déjà turgescent. Clémentine à ce sursaut délicieux lorsque je m'y attarde. Julie nous observe amoureusement. Je dis : << Ça va être l'heure ! >>. C'est Julie qui m'entraîne pour entrer dans le placard.

Julie, debout sur le petit escabeau, est tout contre moi. J'ai l'impression que cette fois, ce n'est pas l'orifice grillagé qui l'intéresse. Ce serait plutôt cette situation que nous vivons une fois encore. J'observe ce qui se passe dans la pièce. Clémentine se précipite vers la porte pour accueillir monsieur Bertrand. Je murmure à l'oreille de Julie : << Chut ! Ça commence ! >>. Clémentine invite notre voisin à retirer son anorak, à prendre place dans le canapé. << Tenez, j'ai ramené des biscuits. C'est ma femme qui les fait ! >> lance monsieur Bertrand.

Il dépose une petite boîte en plastique dont il retire le couvercle. Notre voisin nous fait face. Une fois de plus il est très loin de se douter que je suis caché dans le placard. Clémentine s'installe en face de lui. Elle sert le thé. Je distingue l'expression sur le visage de Louis. Il n'a de yeux que pour ce qui se passe sous la jupe kilt de la jeune fille. Clémentine prend un biscuit. << Mmhhh ! Délicieux ! >> fait elle. << Ton cocu, il est occupé à sa peinture ? >> demande monsieur Bertrand. << Oui, il a beaucoup de travail pour cet été ! >> répond Clémentine.

<< Viens t'assoir à côté de moi, viens ! >> lance notre voisin en déboutonnant son pantalon d'épais velours côtelé. Clémentine se lève. Elle s'installe à la gauche de Louis. À mon tour j'ai une vue parfaite sur le porte-jarretelles, l'invraisemblable touffe de Clémentine. Julie pousse ma tête de la sienne. Elle aussi veut regarder. Elle se tient à moi. Serrée. Il n'y a pas d'autre choix dans ce réduit exigu. Je la tiens par la taille. Son bras autour de mes hanches. Je peux sentir battre son cœur. Je suis pétri d'émotion. Je tente de pouvoir regarder à mon tour.

Lorsque je peux enfin le faire je découvre Clémentine serrée contre Louis. Elle tient son sexe minuscule dans la main. À sa façon de le tripoter doucement, je comprends qu'elle joue avec tout en bavardant. Monsieur Bertrand tente plusieurs fois de l'attirer encore davantage contre lui. Il veut l'embrasser. À chaque fois Clémentine esquive. Julie veut voir elle aussi. Je déboutonne ma braguette pour sortir ma queue. Je bande comme atteint d'un priapisme en phase terminale. C'est extrêmement difficile de la tirer du slip dans cet espace restreint.

<< Je veux te baiser un de ces jours. Tu te rappelles comme c'était bon la dernière fois ? >> lance monsieur Bertrand qui se redresse péniblement. Le retraité sexagénaire doit fournir quelques efforts pour s'extraire de ce canapé profond et confortable. Clémentine ne lâche pas son sexe. Je ne vois plus rien. Monsieur Bertrand nous tourne le dos. Je sens le souffle chaud de Julie dans mon cou. Je glisse ma main dans son jeans. Julie a un réflexe qui fait tressaillir son petit corps. Je la tiens fermement de l'autre main. Je la sens devenir lascive.

C'est à mon tour de regarder. Clémentine est probablement entrain de sucer le vieux salaud. Impossible de voir ce qu'elle fait vraiment. Je passe mes doigts dans les poils de Julie pour descendre jusqu'à son clitoris. << Julien ! >> me murmure t-elle à l'oreille. Je chuchote : << chut ! >>. Julie observe en apnée. J'ai peur qu'en reprenant son souffle nous nous fassions repérer. Je titille son clitoris. Si je ne la retiens pas, elle tombe. C'est tellement bon. Julie a tant attendu de revivre cette situation. Je passe mon doigt entre les lèvres de son sexe.

Julie déboutonne son jeans pour me permettre le meilleur accès. Je chuchote à son oreille : << Un de ces jours, je vous emmène faire un tour dans ma voiture. Je vous encule quand vous voulez ! >>. Julie saisit mon sexe en murmurant : << C'est vrai ? Sérieux. Vous détestez ça ! >>. Je chuchote : << En échange d'une bonne pipe ! >>. Julie me serre la queue dans sa main pour m'embrasser. Je suis couvert de profonds frissons. Nous ne regardons même plus ce qui se passe dans la pièce. Je masturbe Julie. Julie me masturbe. C'est sublime.

Je pose mon front contre la porte. Je regarde pas l'ouverture grillagée. Clémentine est à quatre pattes devant Louis. Monsieur Bertrand est vautré dans le canapé. Il caresse la tête de Clémentine. C'est hyper excitant de la voir ainsi de dos, à deviner ce qu'elle fait. Je sors ma main de la culotte à Julie. Je la passe dans son jeans par derrière. Je veux l'enculer de mon doigt. Quelle surprise. La place est prise. Julie porte son plug anal. Je murmure à son oreille : << Petite salope ! >>. Je remonte ma main pour saisir sa nuque d'une poigne ferme.

Nous regardons à tour de rôle. Clémentine est entrain de se régaler. Parfois notre voisin la force à cesser en la tenant par ses cheveux. Il se penche pour lui cracher au visage. << Tu aimes la bite toi, hein ? >>. Clémentine s'essuie le visage en répondant : << Oui ! >>. Complètement soumise aux désirs de ce vieux forban, Clémentine vit encore là un de ces moments qui la passionne. Julie m'embrasse. Je reviens poser mes doigts sur son sexe. C'est à mon tour de mâter. Clémentine, fermement tenue par sa tignasse se ramasse une gifle.

Ce n'est pas la première car nous avons entendu le bruit des claques qu'elle s'est prise. Mais là, je vois. Le vieux salaud se branle soudain dans la bouche de sa suceuse. << Bouffeuse de bite ! >> lui fait Louis en se cambrant soudain. Il éjacule probablement. Il pousse un cri de fauve en se vidant les couilles. Clémentine gémit tellement fort que nous pouvons l'entendre depuis le placard. Je chuchote à Julie, << Je veux vous faire la même chose. Mais d'abord je vais vous enculer puisque vous aimez ça ! >>. Julie murmure : << J'en raffole ! >>.

Je regarde par l'orifice. Clémentine esquive la dernière tentative du vieux pervers. Il veut absolument lui rouler une pelle. Elle se débat avec force. Je suis à deux doigts d'intervenir. << Laissez-là, c'est elle qui se met dans ces situations ! >> me murmure Julie sans cesser de me branler. Je titille son clitoris. Elle a soudain un orgasme. Si je ne la retiens pas, Julie s'effondre à mes pieds. Pour éviter qu'elle ne nous trahisse par ses halètements, je lui enfonce la langue dans la bouche. Je lui chuchote : << Je suis pressé de vous la mettre dans le cul ! >>.

Clémentine raccompagne Louis jusqu'à la porte. Il lui demande : << Le prochain coup, je te le mets dans le fion, tu veux ? >>. Clémentine, qui repousse les mains baladeuses du satyre, répond : << Avec plaisir mais avec capote ! >>. Louis juste avant de sortir, lance : << Merde, je déteste les capotes ! >>. Clémentine est enfin seule. Je soulève Julie comme un fétu de paille, elle ne pèse rien. Clémentine ouvre enfin la porte pour nous libérer. Nous sommes couverts de sueur. Julie me lâche le sexe comme si elle était prise en faute. Elle se reboutonne.

<< C'était bien ? >> demande Clémentine. Julie répond, intimidé, << Oui ! >>. Je dis : << Clémentine, je te présente la jeune enculé que je vais sodomiser sous peu ! >>. Clémentine ouvre de grands yeux. Elle éclate de rire. Je dis à l'attention de Julie : << Montrez donc à Clémentine avec quoi vous vous enfermez dans un placard avec un homme qui pourrait être votre père ! >>. Clémentine qui devine, s'écrie : << Tu as ton plug dans le cul ? >>. Julie, toute timide, en culpabilisant, répond de sa petite voix : << Oui ! C'est trop bon ! >>.

Ça va être l'heure du cours de peinture. Nous mettons nos anoraks. Je demande à Clémentine : << Tu t'es régalée ? >>. Elle se serre contre moi pour me faire humer sa bouche. Je détourne la tête avec dégout. L'odeur de foutre est forte. L'odeur de la bite de ce mec est répugnante. Clémentine me fait : << Je me suis bouffée de la queue, c'était bon, tu n'imagines pas ! >>. Julie hume à son tour pour lancer : << Beurk ! >>. Clémentine lui fait : << La prochaine fois, tu restes avec moi. Il faut absolument que tu goutes cette vieille queue ! >>.

Je rajoute : << Peut-être que monsieur Bertrand va vous enculer. Il l'a déjà proposé à Clémentine ! >>. Julie me regarde avec de grands yeux. Nous éteignons les convecteurs électriques. Nous quittons la dépendance pour traverser le jardin. Le froid est glacial. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Nous voilà dans l'atelier. Je suis ému. Julie a un mouvement de tendresse. Elle me prend le poignet pour me dire : << C'était encore mieux que les autres fois ! >>. Clémentine murmure : << La prochaine fois, tu mâtes enculée par Julien ! >>.

Je la regarde avec consternation. La sodomie ce n'est absolument pas mon truc. Je ne sais même pas si je pourrai bander assez fort et assez longtemps. Julie a un sourire bienveillant. Elle répond à Clémentine. << J'étais déjà assise sur une queue pendant presque deux heures ! >>. Silence. << C'était qui ? >> demande Clémentine. Julie se contente d'un sourire. Nous voilà à nos postes de travail. Clémentine assise devant son ordinateur. Julie à ma droite qui commence son troisième paysage. Je la regarde peindre. Je sais qu'elle a son plug dans le cul.

Ce soir, Julie assure son service au restaurant de l'étang. Comme tous les vendredis soir, dans l'établissement réputé et gastronomique de sa tante. Anne-Marie qui propose de nous retrouver un de ces prochains jours. Nous avons l'intention de l'inviter pour un bon repas. C'est à l'étude. Julie fait l'intermédiaire. De toute façon, nous nous voyons vendredi 21 janvier. Clémentine ira jouer à la serveuse. Un jeu que nous avons déjà pratiqué il y a un peu plus de deux ans. Grand souvenir. Il est 18 h. J'ai préparé un emballage en papier kraft pour Julie.

C'est sa toile. Ce paysage qu'elle a achevé vendredi dernier. À présent sèche, Julie peut l'emmener sans risque. C'est sa seconde réalisation. Nous raccompagnons Julie dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. Elle revient demain matin pour faire notre ménage. C'est surtout un prétexte pour être avec nous. La séparation est pourtant difficile. Nous avons encore vécu cet après-midi un évènement extraordinaire qui nous rapproche encore davantage. Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer.

Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons l'escalier en restant serrés. Dans la salle de bain, Clémentine se change. << Comme je suis contente d'être seule avec toi ce soir. J'ai plein d'émotions à partager. Plein de choses à te dire ! >> dit elle avant de se laver les dents. << J'ai le goût du sperme de ce vieux pervers. C'est persistant et dégueu ! >> lance t-elle. Le truc imparable pour faire passer le goût c'est de manger une pomme. Nous dévalons l'escalier jusque dans la cuisine. Je lave et je coupe une pomme en quatre. Je retire les pépins.

Clémentine s'en régale. Je lui raconte tout ce qui s'est passé dans le placard avec Julie. << Ça m'excite. Je ne peux qu'imaginer ! >> lance t-elle à plusieurs reprises. Clémentine prépare la salade. Je fais gonfler du riz complet. Je fais dorer deux filets de limandes avec des champignons. << Fais moi l'amour ce soir. J'aime te raconter mes secrets quand tu es en moi ! >> s'écrie soudain Clémentine en contournant la table pour se blottir dans mes bras. Nous mangeons de bon appétit. Je dis : << Clémentine, je suis amoureux de toi ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont faire l'amour avec leur compagnon afin de lui murmurer à l'oreille leurs "secrets"...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1766 -



Je réserve une belle surprise à mes deux anges

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine se love contre moi en me faisant des milliers de papouilles. Je la serre fort. Elle me chevauche pour frotter son sexe sur mon érection naturelle. L'envie de pisser met hélas rapidement fin à nos effusions de tendresse. Nous nous prenons par la main pour nous précipiter aux toilettes en riant. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois.

Clémentine fait le café, presse nos oranges en racontant le rêve dont elle se souvient. Je pèle nos kiwis. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Julie doit arriver pour 8 h30. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le rendez-vous de Clémentine, hier après-midi, avec notre voisin, monsieur Bertrand. << Le gout de sa bite était bien dégueu cette fois ! >> lance t-elle avant d'éclater de rire. Nous mangeons de bon appétit. Je reviens sur la présence de Julie cachée avec moi dans le placard étroit et exigu.

Au dehors, il y a de la brume. La température est de 2°. Nous aimons courir. Les runnings en extérieur nous manquent cruellement. Mais nous manquons de courage avec ce froid polaire. Nous nous entrainerons donc en salle. Nous faisons la vaisselle quand résonnent les trois coups de sonnette. << Pile à l'heure ! >> s'écrie Clémentine qui se précipite pour aller accueillir Julie. Je me rends à mon tour dans le hall. Ce matin Julie est toute timide. Probablement à cause de ce que nous avons vécu hier tous les deux. La promiscuité de cet étroit placard.

Julie porte ses lunettes d'étudiante. Elle retire son anorak. Nous nous touchons les poings avant de nous faire la bise en riant de cette stupide habitude du poing. << C'est trop con ! >> lance t-elle. Nous la laissons à son ménage pour monter à toute vitesse. Nous voilà à l'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Nous essayons d'y mettre l'intensité maximale avant le retour au calme d'un bon stretching. La douche. Nous nous habillons de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux.

Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Nos livraisons ne vont pas tarder. Il fait vraiment froid. À tel point qu'il y a du givre sur les branches, dans certains coins du jardin. Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. Voilà la camionnette des fruits et légumes. Depuis quelques mois, Danièle nous fait un grand sourire en arrivant. Du hayon arrière elle tire nos deux cageots. L'un contient nos légumes, nos fruits pour la semaine. L'autre contient nos fromages, nos yaourts, nos œufs, le beurre, les petits pots de crème fraîche.

Paiement par carte, même commande pour samedi prochain. Nous saluons Danièle qui a encore bien d'autres clients à livrer. Elle nous confie "tourner" depuis 7 h ce matin. Il n'est que dix heures et elle sera en livraison jusqu'aux environs de 13 h. À peine est-elle partie qu'arrive le tube Citroën de notre boulangère adorée. Madame Marthe a toujours d'amusantes anecdotes. Elle a préparé notre commande dans une cagette en plastique. Ce sera dorénavant la nôtre. Elle contient nos deux miches, trois pâtes feuilletées et notre brioche ronde au pudding.

<< Cadeau ! >> nous fait la dame en y rajoutant deux croissants aux amandes. Madame Marthe tourne depuis sept heures ce matin. Elle a beaucoup d'autres livraisons. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous la saluons. Nous contournons la maison pour passer directement par la cave. Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères dans le cellier. Je mets les pâtes feuilletées et une miche de pain dans le congélateur. J'en retire un paquet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois pour midi.

Nous remontons pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Nous déposons chacun une bise sur le front de Julie qui s'apprête à passer la serpillère à la cuisine. Il faut ressortir pour chercher la brouette. Nous faisons deux voyages. Il y a du stock pour deux jours. Avec ce froid, la consommation est conséquente. Il faut alimenter la cuisinière à bois, la cheminée du salon, la cheminée de l'atelier. Nous passons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Comme le remarquent nos fidèles lecteurs, nous sommes ritualisés.

Il y a deux courriels. Un message de mon oncle Alan qui nous raconte les conditions hivernales qui règnent en Écosse. Édimbourg est sous un fin manteau neigeux depuis une semaine. Une neige qui gèle. Il y a un mail d'Estelle qui nous rappelle qu'elle arrive pour 13 h30 et que c'est trop dur sans nous. Nous prenons un selfie que nous joignons à nos réponses. Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50€, la commande des repas de lundi soir. Clémentine y rajoute un petit mot gentil qu'elle griffonne à la hâte. Il est presque déjà 11 h.

Clémentine visite le site de l'université. Quelques informations. Les masques sanitaires seront obligatoires en cours jusqu'à la fin janvier. Sur les 180 étudiants de la section scientifique, il n'y a que cinq non vaccinés. << Pourquoi cette information ? >> demande Clémentine. Il y a les premiers résultats des partiels de chimie de la semaine dernière. << Je savais que j'aurais une superbe note ! >> lance Clémentine en trépignant de joie sur mes genoux. Julie entre dans le salon. Toujours avec cet air gêné, contrit, de peur de nous déranger. Nous rions.

<< Voilà, vous avez une belle maison jusqu'à samedi prochain ! >> dit elle. Je lui tends la petite enveloppe jaune. << Merci ! >> fait elle d'une voix timide. Clémentine se redresse. Je me lève pour contourner le bureau. Je pose mes mains sur les épaules de Julie pour dire : << C'est nous qui vous remercions. On s'en fout un peu de ménage. C'est votre présence ici qui nous emplit de joie. J'aimerais beaucoup que vous vous sentiez complètement chez vous ici. Vraiment. Ça me comblerait de joie ! >>. Clémentine rajoute : << De bonheur aussi ! >>.

Julie respire un grand coup avant de répondre : << Je suis tellement timide. J'ai toujours l'impression de déranger ! >>. Clémentine lui dépose une bise sur le front en rajoutant : << Avec tout ce que nous avons déjà vécu ensemble, c'est stupide de ne pas te laisser aller quand tu es là ! >>. Julie nous regarde avec de grands yeux lumineux. La joie se lit sur son visage à nouveau radieux. Je dis : << C'est obligatoire. Plus d'appel téléphonique pour prévenir de votre venue. Vous entrez comme chez vous. Vous aurez parfois des "surprises ! >>.

Julie éclate de rire car elle sait de quelles "surprises" il peut s'agir. Il est 11 h30. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Je demande : << Vous aurez votre plug lundi soir pour venir manger ? >>. Assise au volant, la vitre baissée, Julie a un sourire gêné pour répondre : << Si vous me le demandez ! >>. Clémentine rajoute : << On te le demande ! >>. Nous rions aux éclats. Nous regardons la voiture monter jusqu'au portail grand ouvert. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Le brouillard semble encore s'être épaissit.

Clémentine s'occupe de la salade en me donnant ses impressions quand à Julie. << Il faudrait partager quelques jours de vacances avec elle, loin d'ici. Peut-être qu'elle entrera dans un autre état d'esprit ! >> dit elle. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules encore congelées. J'écoute toujours avec attention les analyses de Clémentine. Dans le wok je jette le contenu du sachet de haricots verts, le contenu du sachet de petits pois. Encore congelés aussi. C'est une préparation rapide. Pas très diététique mais tellement savoureuse.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de l'après-midi. Les jours rallongent doucement pour durer jusqu'aux environs de 17 h30. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine propose un randonnée. J'applaudis la suggestion. Nous adorons marcher dans le froid sur un sol dur qui a gelé durant la nuit. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Clémentine déboutonne ma braguette pour en sortir le locataire. << Je ne m'en suis pas encore occupé aujourd'hui ! >> dit elle en m'entraînant par la queue.

Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Les diffuseurs d'arôme allumés par Julie émanent d'effluves parfumées des huiles essentielles de magnolia. Tout est propre. Les parfums masquent les odeurs de javel et de chlore. Clémentine saisit ma bite au-dessus du lavabo. << Pipi ! Ça fait longtemps que tu n'as plus fait pipo dans le lavabi ! >> dit elle. Je me concentre. Je bande mou. Je pisse. << J'adore parce que je sens quand ça passe. C'est comme un tuyau d'arrosage ! Super ! >> fait elle.

<< Qu'ils sont cachés où les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. Elle se précipite pour regarder ce que nous faisons. << Comme des gosses ! >> s'exclame t-elle. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. En riant ça fait gicler un peu n'importe comment. Clémentine maintient fermement le Zob pour diriger les dernière gouttes. << Donne ! >> lui fait Estelle qui saisit ma queue. Elle se penche pour humer avant de prendre la peau fripée de mon prépuce entre ses lèvres pour suçoter. Divine sensation.

Clémentine m'embrasse. Estelle me suce. Elle n'est pas arrivée depuis deux minutes qu'elle a déjà mon sexe dans la bouche. Je dis : << Ça commence fort ! >>. Estelle cesse, se redresse pour répondre : << Ce n'est que le début ! >>. Nous rions de bon cœur. Je remballe. Estelle emmène toujours des vêtements de change dans son grand sac de sport. Comme tous les samedis elle en fait un rapide inventaire. Elle en sort son pyjama de soie mauve. Pour nous le montrer. Puis elle en tire Bunny Boy son petit lapin peluche tout gris, tout sale. Son "doudou".

Nous descendons en riant avec nos grosses godasses à la main. La proposition de Clémentine nous rend impatients. Nous mettons nos chaussures de marche, nos anoraks, nos bonnets, nos gants. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail. Nous traversons la route pour nous engager dans le chemin forestier. La brume donne un aspect fantomatique à toute chose. Les arbres nus sont autant de créatures mystérieuses. Je suis entre mes deux anges qui restent accrochées à mon bras. Les filles évoquent leurs études, les résultats des partiels.

Nous faisons de nombreuses haltes. Clémentine m'embrasse pendant qu'Estelle palpe ma braguette. Du petit sac à dos que je trimballe, Estelle sort la thermos. Elle contient du thé au jasmin bouillant. Avec ce froid les petites lampées de boisson chaude font le plus grand bien. Nous longeons les clôtures des prés qui se succèdent jusqu'au labyrinthe de roches. Nous ne croisons personne. Arrêts pipi pour les filles que le thé fait pisser. Il faut faire vite. Chacune son tour, jeans et culotte à mi-cuisses. Je leurs caresse les fesses de mes mains chaudes.

Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine la tient aussi. Nos pipis se transforment en vapeur dès qu'ils tombent au sol. Il fait tellement froid. << La Bérézina ! >> lance Estelle. Nous longeons l'ancienne voie ferrée, depuis dix ans une piste cyclable. Nous croisons un couple de marcheurs. Voilà les Dolmens. Le crépuscule s'installe doucement. Il faut accélérer le pas. Dans le petit sac à dos nos lampes frontales. Estelle nous filme dans différents endroits. << Ce ne sont pas des URBEX mais des CAMPEX ! >> dit-elle. Nous rions.

Cette nouvelle tendance en vogue qu'on découvre sur Youtube. Des gens filment leurs explorations urbaines. D'où le nom URBEX. Alors que nous autres, à la campagne, nous appelons ces explorations des CAMPEX. Je précise pour nos amis lecteurs que "CAMPEX" est une invention à Estelle. Depuis petite elle a toujours inventé des mots à elle. Il est 18 h quand nous revenons à la maison. Quelle joie de se retrouver au chaud. Morts de faim nous préparons le repas. Assis tous les trois autour de la table de la cuisine, nous épluchons les légumes de la potée.

Des pommes de terre, des carottes, des navets, du céleri, des oignons, de l'ail. Nous en préparons en grande quantité. Cette potée de légumes assurera l'accompagnement des trois repas du week-end. Clémentine prépare une belle laitue avec son assaisonnement. Estelle touille les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. À l'aide de la spatule en bois elle décroche sans arrêts ce qui colle au fond. C'est le meilleur. Pendant ce temps, dans une grande poêle, je fais rissoler des champignons avec des filets de colin finement émincés. Miam.

Nous adorons nous livrer à cette occupation. Les sensations élégiaques d'un retour dans le temps de nos insouciances de gamins. Nous n'arrêtons toutefois pas de nous faire des bisous. Estelle me palpe la braguette. Les couilles par derrière en passant ma main entre mes cuisses. Clémentine vient se frotter contre ma hanche. Imitée par Estelle. Je les tiens alors par la taille pour distribuer des bises. Tout cela sans cesser de surveiller les cuissons, de remuer et de vérifier. Je mets les assiettes et les couverts. Nous mangeons de bon appétit.

Estelle nous raconte son vendredi après-midi chez ses parents. Le repas du soir avec son papa et sa maman adorés. Ses courses à l'hypermarché ce matin avec sa mère. << On a croisé deux supers beaux mecs ! Même maman ouvrait de grands yeux ! >> dit elle. Clémentine raconte sa fellation à monsieur Bertrand, hier après-midi. << Évidemment, c'est mieux, salope ! J'aimerais bien sucer ce mec encore une fois ! >> lance Estelle. Estelle qui me regarde d'un air inquisiteur pour me dire : << Et toi tu étais avec Julie vieux salaud ! >>.

Elle me pose tout un tas de questions. J'entre dans les détails les plus salaces. J'invite le lecteur à relire mon récit de hier afin qu'il comprenne bien la nature de mes propos. Estelle m'interrompt à plusieurs reprises pour me dire : << Vieux pervers ! >>. << Vieux dépravé ! >>. Ou encore : << Vieux dégueulasse, vieux profiteur ! >>. Clémentine, pliée de rire, rajoute : << Tout ce que tu aimes ! >>. Nous rigolons tels des bossus. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes anges reviennent sur nos aventures communes. Trop bien !

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. << Je veux me retrouver dans le placard avec toi, vieux cochon ! Tu fais comme si j'étais Julie ! >> me dit Estelle à chaque fois qu'elle me croise lorsque nous essuyons. << À moi aussi il faut que tu me fasses connaître les "affres" d'une promiscuité de placard étroit ! >> lance Clémentine en rinçant l'évier. Mes deux coquines m'excitent à me toucher, à me palper à me chuchoter des cochonneries. Je dis : << Vous deux, ce soir, je vous réserve une sacrée surprise ! >>. Je les entraîne au salon par les mains.

Soirée "Bondage" totalement improvisée

Estelle allume le feu dans la cheminée. Elle excelle dans cet exercice. Clémentine, serrée contre moi, me fait des bisous. Nous observons la dextérité avec laquelle Estelle nous offre une belle flambée. Elle vient nous rejoindre en se blottissant. Je suis entre mes deux anges. Nous admirons la danse des flammes. Les premiers crépitements. Les premières étincelles éjectées de l'âtre. Il n'y a que la lueur des deux grosses bougies du chandelier. L'ambiance de la grande pièce en devient magique. Le carillon de l'horloge Westminster marque huit coups.

Estelle glisse sa main dans ma braguette. Je me tourne vers elle. D'un geste lent et méthodique je déboutonne sa chemise à carreaux. Je la lui retire. Je tire son T-shirt. J'ouvre son jeans pour le descendre. Elle est en culotte et en chaussettes, amusée par mon initiative. Je l'entraine par sa natte jusqu'à la chaise. Je la fais s'assoir, le dossier entre ses cuisses écartées. Ses bras posés sur le dossier elle me regarde, étonnée, un sourire sur les lèvres. Je retourne vers Clémentine. Je la déshabille de la même façon. Je l'entraîne par sa natte.

Les voilà toutes les deux assises presque nues sur les deux chaises de la table monastère. Elles sont comme deux sœurs jumelles. Silencieuses, elles m'observent. Je sors ma queue. Je bande mou. Je tiens mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite dans leurs directions. Je découvre l'intérêt croissant qui illumine leurs regards. C'est la première fois que j'ai cette initiative. J'improvise à partir d'un fantasme qui m'assaille parfois durant mes séances de peinture. Je passe derrière le bureau. Du tiroir du bas, je sors les cordelettes.

Ce sont des cordelettes de coton doux et blanc. Je m'approche d'Estelle. Je la saisis fermement par sa natte. Je l'entraîne ainsi. Elle marche droite et fière, le port de tête altier. Je la plaque contre la bibliothèque. Je monte sur la dernière marche de l'escabeau. Je fixe chaque poignet d'Estelle aux poutres du plafond. Il y a des cintres de fer qui permettent de passer les cordelettes et d'y faire des nœuds. Je redescends pour fixer ses chevilles aux poignées des tiroirs du bas. Les pieds écartés. Je retourne vers Clémentine. Je l'entraîne ici.

Je l'attache de la même façon. Je m'écarte. Je prends du recul. Je veux découvrir ce spectacle insolite. Les filles sont restées silencieuses durant toute l'opération. Elles le sont toujours. Elles m'observent avec attention. Je lis le grand intérêt qui animant leurs regards. Je bande. Je me masturbe en restant à une dizaine de mètres. C'est un spectacle étrange et merveilleux. Ces deux jeunes filles sublimes, attachées, juste en culottes et en chaussettes. Il fait bien chaud dans le salon. Et la température promet de monter encore. Très rapidement.

Je m'approche à nouveau. Estelle est à gauche. Clémentine est à droite. Je glisse mes deux mains en même temps entre leurs cuisses. Je palpe le doux coton blanc de leurs culottes. C'est chaud, d'une infinie douceur. Je m'accroupis. Je scrute. Les poils qui poussent sur le haut de l'intérieur des cuisses me fascinent. Leurs culottes peinent à contenir ces invraisemblables touffes. Je tire un peu sur les poils. J'approche mon visage pour humer leurs intimités. D'abord le sexe d'Estelle. Puis le sexe de Clémentine. J'entends leurs respirations changer.

Je cesse pour lever les yeux. Toutes les deux me regardent avec curiosité. Dans ces situations, n'est pas le dominé celui qu'on imagine. C'est moi qui suis dominé par l'enchantement paradisiaque de l'instant. Je glisse mes mains dans les culottes. Clémentine est déjà mouillée. Estelle n'est qu'humide, ou moite, je ne sais pas encore. Je joue de mes doigts entre les lèvres de leurs vulves. Les fines lèvres d'Estelle enserrent mon index. Les lèvres charnues et généreuses de Clémentine m'invite à y enfoncer mon index. Je les pénètre doucement.

Juste les premières phalanges. Les yeux fermés, mes deux anges sont en apnées. La tête renversée en arrière, elles apprécient mes explorations. Estelle donne quelques légers coups de reins. Le plaisir la gagne. Clémentine est couverte de frissons. Toutes les deux tentent de se cambrer sur leurs genoux qu'elles arrivent à peine à fléchir. Les bras et les jambes attachés ne permettent qu'une amplitude de mouvements très réduite. J'insiste. Je tille les clitoris. Les premiers gémissements résonnent en stéréophonie. Merveilleuse musique.

Je m'approche de Clémentine pour chuchoter : << Je vous aime ma délicieuse "Soumise" ! >>. Je m'approche d'Estelle pour murmurer les mêmes mots. Estelle qui bouge à présent son bassin en rythme sur ma main fouilleuse de culottes. J'approche mon visage de la bouche haletante d'Estelle. Je hume son haleine. L'odeur de la potée de légumes, certes, mais une odeur plus intime. J'approche mon visage de la bouche de Clémentine. Je hume. C'est démentiel. Ça me fait bander comme un fou. Je scrute le moindre détail, le moindre pli.

Les premières rides qui se forment subrepticement chez ses deux superbes jeunes filles de presque 25 ans. Il y a là de quoi procéder à une véritable étude entomologique. Je ne m'en prive pas. Je les laisse pour prendre du recul. Leurs attitudes ont a présent bien changé. Mes deux anges sont lascives, en attente. Je me masturbe en contemplant ce divin spectacle. Je reviens. Je me frotte contre la cuisse droite d'Estelle. Comme un animal. Je me frotte sur la cuisse gauche de Clémentine. J'essaie d'être vulgaire, de me comporter en pervers.

Je reviens devant Estelle que je saisis fermement pas sa natte. Je l'embrasse avec gourmandise. Elle en gémit de plaisir. Je cesse, je lui crache dans la bouche. Son plaisir est apparent. Je le sais. Ses yeux deviennent humides. Je connais bien ses réflexes et les conséquences de mes actes. Des doigts, je tire sur sa culotte afin de l'écarter. Je peux placer mon sexe à l'orifice du sien. Elle pousse un râle de bonheur. Je frotte longuement mon sexe à l'entrée du sien pour m'y enfoncer de quelques centimètres. << Salaud ! >> lance t-elle dans un souffle.

Je me retire. De mes doigts j'écarte la culotte de Clémentine. Je glisse mon sexe entre les lèvres lippues de sa vulve. Ça rentre tout seul. Je la tiens par les fesses. Je m'introduis de toute la longueur de ma queue. Clémentine pousse un cri de ravissement. Estelle me fixe. Elle m'observe comme si j'étais un inconnu. De la sueur coule sur ses joues, perle sur le bout de son nez. Je baise Clémentine comme un sauvage. Elle pousse de petits cris d'animal blessé. Je me retire aussi brusquement que je l'ai pénétré. Je reviens m'enfiler dans Estelle.

Ce soir, je me comporte avec ces deux sublimes jeunes filles comme si elles étaient de parfaites inconnues livrées à un véritable dépravé. À mon grand étonnement je ne suis pas obligé d'interpréter un personnage. Tout se fait naturellement. Je suis encouragé par les halètements, les gémissements, les petits cris qu'émettent mes deux anges. Je glisse mes doigts entre leurs fesses. Je les encule de mes doigts explorateurs. Quand je baise Estelle comme un hussard, j'ai mes doigts dans le fion de Clémentine. J'alterne quand je baise Clémentine.

Je me surprends à pousser des râles. Un véritable homme des cavernes en rut qui honore deux innocentes promeneuses venues visiter sa tanière. Pourtant, même dans ces égarements de dément, je garde le contrôle. Je veux dépasser mes limites. Par contre, les filles, elles, ne contrôlent plus rien. Clémentine a pissé dans sa culotte plusieurs fois. Ça lui coule sur les jambes. Quand je la pénètre, je suis debout dans une flaque de pisse. Son visage trempé de sueur que je lèche comme un affamé en murmurant des << Je t'aime ! >> d'une voix gutturale.

Je sais comment faire pisser Estelle dans sa culotte. J'agite mon doigt dans sa chatte en appuyant contre l'urètre mais à l'intérieur. << Arrête! T'es fou ! >> s'écrie t-elle en tombant la tête en avant pour se lâcher dans un jet anarchique. Avec elle aussi, quand je la pénètre une nouvelle fois, c'est debout dans une marre de pisse. Elle ne peux pas me repousser pour jouir, attachée comme elle l'est. Son orgasme ressemble à la torture d'une damnée tourmentée dans les enfers d'un plaisir indescriptible. Elle ne souffre que d'une chose, de son bonheur.

Je m'accroupis pour bouffer sa chatte ruisselante de jus de fille. Je m'en ramasse de copieuses rasades. C'est un véritable nectar des Dieux. Je me redresse. Je monte sur l'escabeau pour détacher les mains d'Estelle. Elle dénoue les nœuds qui enserrent ses chevilles. << J'ai honte ! >> s'écrie t-elle. Je pénètre Clémentine pour lui faire subir le même tourment ultime. Son cri est d'une telle intensité. J'ai soudain peur de lui avoir fait mal. Que nenni. Elle aussi est soudain la proie d'un orgasme ultime, fou, au-delà du descriptible. Je m'accroupis pour bouffer.

Estelle revient avec un seau, une serpillère et un balai. Je détache Clémentine qui s'accroupit, le visage dans ses mains. Dans un souffle elle soupire : << Je crois que ça n'a jamais été aussi fort ! >>. Estelle, entrain d'enlever sa culotte trempée, répond : << Moi aussi, cette fois c'était au bord de la folie ! >>. Clémentine retire sa culotte aussi mouillée que la serpillère. Elle éclate de rire. Je n'ai pas éjaculé. À quoi bon, j'ai vécu là un orgasme qui a duré presque une heure et demi. C'est totalement épuisés que nous montons les escaliers.

Bonne nuit à toutes les coquines qui viennent de vivre les émotions d'une authentique soirée "Bondage soft" avec ravissement...

Maître Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1767 -



Il faut un bon dimanche pour se remettre du samedi

Hier matin, dimanche, il est un peu plus de neuf heures. Je suis réveillé par des murmures, des chuchotements. Je suis entre mes deux anges qui devinent immédiatement que je sors de mon sommeil. Mon visage est soudain couvert de bisous. Estelle à ma droite saisit mon érection naturelle. Clémentine empoigne mes couilles. << Bonjour "Maître" Julien ! >> font elles en même temps. Les coquines se sont probablement concertées pour le dire en cœur. C'étaient ça les murmures, les rires étouffés que je percevais juste avant le réveil.

Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer contre moi en disant : << Bonjour mes délicieuses "Soumises" ! >>. Nous restons ainsi à lutter contre l'impérieux besoin de pisser. Distribution de papouilles, de bisous. Je bande dans la main d'Estelle qui me lâche soudain. Se levant d'un bond, se précipitant vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine se frotte contre ma cuisse qu'elle enserre des siennes. << Comme c'était génial hier soir. Tu refais ça quand tu veux. Des surprises comme ça j'en veux tous les jours ! >> dit elle.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Nous nous nous habillons de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Morts de faim, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café, du pain grillé. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille pour me couvrir le visage de bises. << Tu as été sensationnel hier soir. Je ne m'en suis pas encore remise ! >> lance t-elle. Clémentine presse nos oranges, pèle nos kiwis pendant que j'allume le feu dans la cuisinière à bois.

Le grille pain libère ses premières tranches dans un claquement sec en même temps qu'Estelle crie : << Clac ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant évidemment sur notre soirée de hier. Mon initiative, mon interprétation de ce personnage du "Maître", les délicieux tourments infligés, tout cela a enchanté, sinon émerveillé mes deux anges. << À refaire ! >> lance Estelle. << Obligatoire ! >> rajoute Clémentine. Les coquines me félicitent. Nous rions beaucoup de nos extravagances sexuelles et de ces moments de plaisir qui en découlent.

Nous mangeons de bon appétit en savourant la brioche. Ce "chinois" au pudding et aux pépites de chocolat est une merveille. Estelle y dépose de petites perles de miel crémeux. Je tente à mon tour. Je comprends immédiatement pourquoi elle le fait. Clémentine dépose une perle de miel sur le bout de sa langue en me la présentant. Je me lève. Je me penche pour lui sucer la langue. Estelle veut évidemment faire pareil. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, blotties contre moi, les filles font le programme de l'après-midi qui nous attend.

Il est décidé d'une bonne randonnée. Nous aimons tant marcher dans le froid. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous faisons le lit après avoir refermé la fenêtre. Le froid est glacial. Le thermomètre extérieur indique 0°. Et encore, il est fixé contre le montant externe de la fenêtre. Estelle s'habille à la salle de bain. Nous la rejoignons. << Quand je pense à ce que tu nous as fait hier soir, j'ai envie de me branler ! >> lance t-elle en sautillant.

Nous redescendons serrés tous les trois. C'est trop bon. Nous passons au salon. Il y a encore les cordelettes de coton blanc sur le parquet. Estelle se remet dans la position où elle était attachée en disant : << Wouah, je ne m'attendais pas à ça ! >>. Clémentine prend la même position en rajoutant : << Je crois que ça n'a jamais été aussi fort ! >>. Je leurs dépose à toutes les deux une bise sur les lèvres en touchant leurs entrejambes. A travers l'épais tissu de leurs 501, je palpe entre leurs cuisses. << Salaud ! Je t'aime ! >> fait Estelle.

Je promets de faire preuve de nouvelles initiatives dans les prochains temps. << Monsieur prendrait-il enfin conscience des besoins de nos petites personnes ? >> s'écrie Estelle en nous entraînant dans une farandole. Elle invente des paroles sur un air de comptine. Nous répétons chaque phrase. Nous sommes pliés de rire quand nous nous faisons face en poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. En sautillant comme des bonobos atteints de démence. Le dimanche, pas d'entraînement. Le ménage a été fait hier. Ce n'est donc que bon temps.

Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Il fait vraiment très froid. C'est excellent pour le sol. Les agriculteurs et les jardiniers doivent êtres contents. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par le bras. Nous descendons jusqu'à l'étang qui s'est formé au bas du chemin. Il y a une fine couche de glace sur les bords. << On a l'impression de vivre dans un monde en noir et blanc ! >> lance Estelle. << C'est déprimant avec ce ciel bleu pâle ! >> rajoute Clémentine. Nous détestons copieusement l'hiver tous les trois. Il faut composer avec.

Nous remontons. Voilà monsieur Bertrand. Notre voisin tient le petit sachet qui contient du vieux pain pour les canards. Nous bavardons un peu. Le vieux salaud ne laisse rien percevoir. C'est comme si ce qui c'était encore passé avec Clémentine vendredi après-midi n'avait jamais existé. Le retraité nous parle des canards sauvages qu'il a apprivoisé depuis plus de trois ans en les nourrissant tous les jours. Estelle me pince le bras pour me faire comprendre qu'elle pense la même chose que moi. Ce vieil hypocrite me croit dans l'ignorance. Le bougre !

Nous nous saluons pour le laisser à ses emplumés. << Vous avez vu comme ce vieux pervers sait jouer la comédie de l'indifférence ! >> lance Estelle. << Ça ne semble pas le gêner de croire cocu son voisin de vingt cinq ans. Vieux dépravé va ! Mais j'aime sucer sa bite dégueulasse ! >> rajoute Clémentine en le montrant du doigt, là-bas à quelques 300 mètres. Nous rigolons comme des bossus. Nous jetons un rapide regard dans la maison d'amis. Tout est en ordre. Le système "hors gel" maintient une température entre quatre et six degrés.

Nous rentrons. Il est presque 11 h45. La faim commence à se faire sentir. Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue dont elle lave chaque feuille avec soin. Estelle émince les pavés de saumon qui ont décongelé près de la cuisinière à bois. Elle ronfle sous l'effet du feu d'enfer qui règne dans son fourneau. Je réchauffe la potée de légumes. Nous en avons fait en telle quantité qu'il en restera pour mon repas de demain. Nous préparons tout en revenant sur les attitudes de monsieur Bertrand. La fellation que lui a prodigué Clémentine vendredi.

<< Il faut que je goute encore une fois la bite de ce vieux salopard. Je ne me souviens plus vraiment de son goût ! >> lance Estelle avant d'éclater de rire. Je passe mes bras autour de la taille de Clémentine. Je suis serré derrière elle pour lui dire à l'oreille. << Merci Clémentine pour les spectacles que tu m'offres lorsque je suis caché pour te regarder. Je t'aime ! >>. Clémentine, les mains occupées ne peut que tourner la tête pour me faire un bisou. Elle répond : << J'aime te savoir caché. Ça me sécurise. Mais ça m'excite aussi et surtout ! >>.

Je passe mes bras autour de la taille d'Estelle. Serré derrière elle, je dis à son oreille. << Et toi, tu es devenue aussi nécessaire à mon existence que tu l'es à celle de Clémentine ! >>. Estelle, ses mains occupées à la cuisson de l'émincé de saumon qu'il faut remuer sans arrêt, tourne la tête pour me faire une bise. Elle répond : << J'aime tes déclarations d'amour ! >>. Je mets les assiettes et les couverts. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre extraordinaire histoire. << Notre couple à trois ! >> comme aime à dire Estelle.

Nous avons pleinement conscience de cet extraordinaire privilège. J'en conclue en me levant pour dire solennellement : << La bonne fée ne s'est pas contentée de s'assoir sur mon berceau quand j'étais bébé, elle a carrément passé la nuit avec moi ! >>. Les filles éclatent de rire en applaudissant mon "allocutions". Estelle rajoute : << Normal, la baguette magique, c'est toi qui l'avait ! >>. C'est dans cette ambiance que nous traînons à table. C'est au tour de Clémentine de se lever pour prononcer quelques mots d'une façon toute aussi solennelle.

<< Je suis la femme la plus heureuse du monde. Et je vous en remercie tous les deux ! >>. Nous applaudissons. Bien évidemment toutes ces vérités sont énoncées dans la plus pure tradition de la dérision. C'est au tour d'Estelle de prononcer son allocution : << Merci à vous deux d'exister dans ma vie. Vous en faites un enchantement permanent ! >>. Tonnerre d'applaudissements. Assises sur mes genoux, les filles évoquent différents souvenirs qui ont marqué nos aventures. << Les trois mousquetaires ! >> lance Estelle. Distribution de bises.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. Avec toujours nos habituelles pitreries. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers. Dans le petit sac à dos, la bouteille thermos avec du thé chaud, des barres de céréales, les lampes frontales. Nous chaussons nos godasses de marche. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. C'est parti. Même itinéraire que hier. On ne s'en lasse pas. Le ciel est bleu, le soleil, le froid glacial. Alors que hier c'était un brouillard à couper au couteau. Je suis entre mes anges.

Nous marchons d'un bon pas. De nombreux arrêts bisous. Lorsque nous quittons la forêt le vent polaire nous gifle. << La claque ! >> lance Estelle. << La raclée ! >> rajoute Clémentine. Elles se tournent toutes les deux pour abriter leurs visages contre ma poitrine. Nous longeons les clôtures des prés. Tout est blanc de givre. Clémentine prend quelques photos. Nous faisons la grande boucle des quatre heures. Les jours rallongent. C'est à présent bien perceptible. Après un long crépuscule, la nuit tombe totalement vers 17 h40. La lune est presque pleine.

Il est 18 h30 quand nous sommes de retour. Frigorifiés mais heureux. Il fait faim. Il faut rallumer la cuisinière à bois. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. Il reste de la laitue. Estelle concocte une omelette aux quatre fromages. Elle y rajoute des flocons d'avoine. Judicieuse idée qui donne davantage de "corps". Avec des petits champignons noirs réhydratés dans l'eau bouillante. Je réchauffe une fois encore la potée de légumes. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles évoquent leurs cours.

C'est la fin des partiels. Elles vont à présent travailler sur la base des résultats. Passionnées par leurs études j'aime à les écouter en parler. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon. Estelle me fait tomber dans le canapé en disant : << Ce que tu nous a infligé hier soir mérite un châtiment exemplaire ! >>. Elle se met à genoux sur l'épais coussin qu'elle vient de jeter au sol, entre mes pieds. Estelle déboutonne ma braguette avec sa dextérité habituelle. Clémentine s'installe à côté de moi pour poser sa tête sur mon épaule.

Je dis : << Les filles, j'ai envie de vous bouffer la chatte. S'il vous plaît ! >>. Elles éclatent de rire. Elles se se lèvent toutes les deux pour retirer leurs jeans et leurs culottes. Le dimanche nous ne prenons pas de douche. Nous restons dans nos jus. Les filles ont marché quatre heures. Il y a eu quelques arrêts pipi. Il y a donc là de quoi régaler un honnête homme. C'est moi qui suis à genoux entre les jambes d'Estelle. Mon visage entre ses cuisses à me savourer de la chatte baveuse et crémeuse. Ce "yaourt" est onctueux. Une merveille.

Je passe au sexe de Clémentine. Là, c'est puissance deux. Quand je fouille leurs intimités avec ma langue, elles se masturbent. Lorsque je suce leurs clitoris elles gémissent de plaisir en se tortillant. L'orgasme d'Estelle la laisse comme anéantie. Elle devra nous laisser pour 22 h. L'orgasme de Clémentine la laisse hagard. << Et toi ? >> me fait elle en me forçant à me relever pour saisir mon sexe. Elle me suce. Estelle s'est endormie. J'éjacule en poussant des cris de bêtes. Clémentine déglutit avec peine en poussant des râles de plaisir. Jouissance folle !

Bonne fin de soirée à toute les coquines. La différence entre une moule et une huitre ? Essayez donc d'ouvrir une huitre avec la langue !

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1768 -



Un lundi des plus sympathiques

Hier matin, lundi, l'application "océan" nous tire du sommeil à presque six heures. C'est l'illusion de nous réveiller dans un port, quelque part en Écosse. Le cris des mouettes, le clapotis du ressac. Les sirènes de ces bateaux au loin. Clémentine se blottit dans mes bras en gémissant. Elle murmure : << Comme c'était bien ce week-end ! Je reste au lit. Je dors encore ! >>. Quelques papouilles plus tard, poussés par l'impérieux besoin naturel, nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers.

J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis. Le grille pain délivre ses premières tranches avec son lugubre claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur le week-end passé. << De grands souvenirs ! >> lance Clémentine. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Julie ce soir pour nous livrer nos repas. Des réjouissances en perspective. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Excellent moyen d'émerger complètement.

Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles. Le tout avec une intensité maximale et avant le retour au calme d'un bon stretching. La douche. Je descends pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Le jour se lève. Clémentine me rejoint dans le froid glacial. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter le chemin jusqu'au portail qui s'ouvre. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume une bonne flambée dans la cheminée.

Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La joie de me plonger dans la peinture de cette seconde scène de genre à trois personnage m'enchante. Je sais déjà que j'aurai réalisé mes 24 toiles pour ma saison d'été. C'est bien parti. Je peins dans la sérénité d'une passion retrouvée. La matinée passe tellement vite. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer le reste de potée de légumes. Je fais rissoler un filet de lieu noir avec des champignons.

J'écoute Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff semble d'un engouement exacerbé. Je prépare une bonne salade d'endives. En fin de cuisson, je rajoute un petit pot de crème fraîche dans la poêle. Je mange de bon appétit. Pressé de retourner à ma passion, je ne traîne pas. La vaisselle avant de monter me laver les dents. Le thermomètre extérieur indique 6°. J'enfile tout de même mon anorak pour aller faire quelques pas. Le paysage hivernal ne m'inspire pas vraiment. Je me dépêche de rentrer. Me voilà dans l'atelier, devant mon chevalet.

Je peins animé du même sentiment de sérénité que ce matin. Cette toile sera probablement terminée jeudi avant midi. L'après-midi passe encore plus vite. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Je l'entends chantonner. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. C'était le dernier jour des partiels. Ce qui est un soulagement. Dès demain il y aura un retour à un travail plus personnel. Plus introspectif.

Clémentine a encore ses notes à mettre au propre. La voilà assise devant son ordinateur. J'aime l'entendre chantonner, commenter ce qu'elle fait. << Mais là, put-hein, j'en ai marre ! >> s'écrie t-elle. Il est 18 h15. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Je retire ma blouse pour me laver les mains au-dessus du petit lavabo. Clémentine passe ses bras autour de ma taille pour se serrer dans mon dos. << Je t'aime ! >> dit elle plusieurs fois. Je me retourne pour l'embrasser avec fougue. Clémentine se frotte doucement. Nous avons de la salive sur le menton.

Nous sommes assis sur les poufs devant la cheminée. L'obscurité permet d'apprécier les ombres projetées par la danse des dernières flammes. Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit sourd et caverneux que nous connaissons si bien. Il annonce la venue du fantôme de mon ancienne compagne. Nous écoutons le florilège des manifestations habituelles. << Christine aussi fait fort ce soir ! >> murmure Clémentine. Le phénomène ne dure une fois encore que quelques minutes. Trois coups contre la porte. Nous nous regardons en silence.

La porte s'ouvre. Quelle surprise, c'est Julie. Nous nous levons pour l'accueillir. Clémentine s'écrie : << C'est génial ! Enfin tu arrives naturellement. Viens ! >>. Je félicite Julie pour son initiative. Elle est toute contente. << J'ai pris tout mon courage ! >> dit elle. Clémentine l'invite à nous attendre dans la cuisine, le temps que nous allions récupérer les commandes dans l'auto. << Inutile, j'ai tout rentré c'est déjà sur la table ! >> précise Julie. Nous lui déposons chacun une bise sur le front. Notre joie est si grande à tous les trois. Une belle surprise.

De la grande boîte isotherme je tire les feuillantines de saumon. Clémentine retire les opercules sur les bacs à salade. Julie met les assiettes et les couverts. Il n'y a rien à préparer. Je sors aussi de la boîte les deux quiches aux fruits de mer pour demain midi. Nous voilà tous les trois confortablement installés à table. Nous mangeons de bon appétit. Je dis à Julie : << Il faudra une fois encore remercier le Chef pour cet excellent repas ! >>. Julie me répond : << Je transmets toujours. C'est un cuisinier comblé par les éloges des nombreux clients ! >>.

Julie nous raconte son job de serveuse. Les anecdotes vécues samedi soir et dimanche soir. Elle dit à Clémentine : << Je me réjouis pour vendredi prochain. Nous allons beaucoup nous amuser ! >>. Clémentine répond : << Je me réjouis aussi. Ça va être une grande soirée ! >>. En effet, comme elle l'a déjà fait il y a plus de deux ans, Clémentine va faire la serveuse. C'est surtout dans un but ludique en espérant des situations "croustillantes" qu'elle saura créer. Ou dont elle pourra tirer profit pour sa libido. Nous rions beaucoup à cette évocation.

<< Anne-Marie aussi se réjouit ! Elle est même impatiente. Ça fait longtemps qu'elle ne vous a pas vu ! >> rajoute Julie. La tante de Julie, patronne du restaurant, est évidemment dans la combine. J'écoute Julie et Clémentine mettre au point quelques détails. Clémentine possède des vêtements qui permettront de se glisser dans le personnage. Bas noirs, jupette de velours noir, chemisier blanc. Julie fournira le petit tablier de dentelles blanches en demi lune. Moi aussi je me réjouis car je serai avec Estelle. Nous serons de simples clients. C'est fameux !

Au fur et à mesure de cette conversation de plus en plus surréaliste, je sens l'excitation me gagner. Je demande à Julie : << Faites-moi un petit plaisir particulier. Portez votre plug durant le service. Même si je pourrai pas le voir, la simple idée de le savoir me comblera de joie ! >>. Julie me fait un sourire mystérieux. Comme toujours elle n'ose pas soutenir mon regard. Elle répond : << Je l'ai porté samedi soir ! >>. Nous éclatons d'un rire sonore. Sous la table, je déboutonne ma braguette. Julie observe mes bras qui bougent, mes mains sous la table.

Elle sait bien ce que je suis entrain de faire. Clémentine aussi qui me lance un discret clin d'œil. Je sors ma bite. Je bande mou. Nous continuons à bavarder. Clémentine dit à Julie : << C'est pratique les nappes au restaurant. Julien peut sortir sa queue sous la table comme il le fait ici ! >>. Julie s'écrie : << Oh, parfois il n'y a pas que Julien. Il y a de sacrés vicieux qui viennent manger. Certains le font même à l'insu de leurs femmes. J'ai déjà assisté à de ses trucs ! >>. Nous rions. Julie nous a déjà raconté quantité d'aventures vécues là.

<< Je me réjouis, je veux absolument être confrontée à des situations burlesques ! >> lance Clémentine. Je me lève. Je tiens mon érection à sa base, entre le pouce et l'index. J'agite mon sexe vers Julie pour dire : << C'était un petit bonheur dans le placard vendredi. Savez-vous, chère Julie, que cela m'a beaucoup inspiré pour le lendemain ? >>. Julie ouvre de grands yeux. Clémentine lui raconte notre soirée "Bondage". << Génial ! Je regarde quelquefois le film que nous avons réalisé ensemble dans les ruines de l'ancienne tuilerie ! >> dit elle.

Nous nous souvenons bien de cette histoire. Julie attachée, livrée aux tourments d'un "Maître". Même s'il ne s'est pas passé grand chose, que cette scène était très soft, pour la jeune fille de dix neuf ans qu'elle était alors, Julie en garde un souvenir "éblouissant". Comme elle aime à la décrire. Clémentine propose une récidive aux premiers beaux jours. Le "Bondage" ce n'est pas vraiment son truc. Julie a essayé une fois, nous avons immortalisé l'évènement par un petit film de 30 minutes. Julie nous dit : << Je préfèrerais filmer le placard ! >>.

Nous rions aux éclats. Je me masturbe doucement dans la direction de Julie. Elle observe la scène avec l'attention d'une scientifique devant une expérience nouvelle. Alors qu'elle a déjà assisté à mes branlettes d'innombrables fois. C'est elle qui m'interpelle soudain en disant : << Je pense à votre proposition. Dans la voiture. Vous savez, celle que vous m'avez chuchoté à l'oreille dans le placard ! >>. Cela me revient subitement. Je l'ai raconté à Clémentine qui demande : << De te faire enculer dans la bagnole et de tailler une pipe à Julien ? >>.

Julie, subitement toute gênée, baisse les yeux avant de répondre d'une petite voix à peine audible : << La sodo ! >>. Clémentine, Estelle et moi, nous partageons la même répulsion pour l'idée même de sodomie. Comme le précise souvent Clémentine : << Le cul c'est à chier ! >>. Aussi, cette perspective n'est pas vraiment pour me réjouir. Mais, que ne ferais-je pas pour offrir un beau "cadeau" à Julie. Cette jeune fille de 20 ans qui aime tant la sodomie qu'elle se balade quelquefois avec un gode dans le cul. Un plug anal en palissandre. "Fait main".

Je débande. Julie reste silencieuse à observer ma queue baisser la garde, se ramollissant pour pendre vers le bas. << Ce sont les effets secondaires que provoque l'idée d'une enculade ! >> lance Clémentine. Nous éclatons de rire. Julie dit soudain : << Moi, j'adore ça ! >>. Clémentine lui demande : << Tu te fais enculer parfois par des mecs ? Combien te l'ont déjà enfoncé dans le cul ? >>. A ces questions, Julie reste silencieuse. Elle se contente d'un sourire mystérieux. Comme elle est belle derrière ses lunettes d'étudiante avec ce sourire équivoque.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. J'invite Julie à m'accompagner aux toilettes. Cela devient presque un rituel du lundi soir. Elle devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h45. Comme souvent, elle se précipite pour me suivre. Je suis debout devant la cuvette. Julie à ma gauche, penchée en avant, ses mains en appui sur ses genoux. Clémentine à ma droite, les bras croisés, appuyée contre le lavabo. Je me concentre. C'est une situation toujours tellement excitante que nous pouvons la reproduire des centaines de fois. C'est tellement intense.

J'arrive à lancer le premier jet. Julie s'approche encore davantage. Elle s'accroupit. Son visage à une cinquantaine de centimètres. Je l'invite à prendre les choses en mains. Clémentine glisse ses doigts dans sa culotte. Elle aussi est excitée par ce spectacle. Julie saisit mon sexe pour en diriger les jets. Comme en extase, elle murmure : << J'adore faire ça ! Je sens quand ça passe, quand ça s'arrête, quand ça revient ! >>. Clémentine s'accroupit. Elle approche son visage en ouvrant la bouche sans cesser de se toucher. Julie lui présente ma queue.

Les dernières giclées sont dans la bouche de Clémentine. Julie, tellement ravie de ce qui se passe encore ce soir, tombe à genoux. Sans lâcher mon sexe qu'elle dirige vers la bouche de Clémentine pour lui offrir les dernières lampées. Je bande. C'est du mélange que Clémentine se prend à présent. Je saisis la main de Julie qui tient ma queue pour la diriger vers sa bouche. Elle a un réflexe de recul. Comme sur la défensive. Elle se relève. J'aide Clémentine à se redresser. Il faut cesser. Nous raccompagnons Julie jusqu'à son auto.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que les situations pisseuses inspirent. Pour de bonnes baises une fois couchées dans un bon lit...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1769 -



Estelle est tellement heureuse

Hier matin, mardi, l'illusion de nous réveiller dans un port est parfaite. Il est presque six heures. La sirène d'un gros bateau dans le lointain, le cris des mouettes. C'est vraiment bluffant. Clémentine se serre contre moi en gémissant. << Je termine à midi ! >> me fait elle en saisissant mon érection naturelle. C'est de cette façon qu'elle m'entraîne aux toilettes. Quand elle termine à midi Clémentine est très déconneuse. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers en riant comme des fous. Il fait froid dans la cuisine.

Pendant que Clémentine fait le café, presse nos oranges et pèle les kiwis, j'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Le claquement sec du grille pain qui délivre les quatre tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la compagnie de Julie hier soir. << Elle adore te tenir la bite pour en diriger les jets ! >> lance Clémentine en mimant une masturbation masculine. Nous rions aux éclats. Pas de doute, Clémentine termine à midi. Nous mangeons de bon appétit en envisageant une petite promenade cet après-midi. C'est bien dans le froid.

Il est 6 h25. Nous remontons pour achever de nous réveiller complètement. Et pour ça, rien ne fonctionne mieux qu'une bonne heure d'entraînement. Aérobics, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos avant la redoutable séance de charges additionnelles. le retour au calme est à nouveau prétexte à la déconne. Nous pratiquons notre stretching pliés de rire. La douche. Je descends le premier pour aller préparer l'auto. Il est presque 7 h45. Le jour se lève. Clémentine vient me rejoindre dans le froid glacial. Elle sautille tout autour de moi.

Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. L'euphorie laissée par Clémentine m'amuse. Je fais la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. J'y allume une bonne flambée dans la cheminée. Les deux radiateurs pilotés par thermostat ont eu le temps de chauffer la grande pièce. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantant "Le pornographe" de Georges Brassens. La peinture de cette seconde scène de genre m'absorbe.

Je peins dans cette enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. La matinée passe tellement vite. Il est déjà 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je mets les deux quiches aux fruits de mer dans le four à bois. Sa puissance de chauffe est démentielle et ne se contrôle pas vraiment. On ouvre ou on ferme le tirage, c'est le seul réglage possible. Je prépare une laitue dont je lave les feuilles une à une. Il y en aura également pour ce soir. Il est 12 h 30. Clémentine rentre de cours.

Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Inutile de préparer la bouffe pour ce soir, Estelle veut nous faire une surprise. Elle ramène tout ! >> fait elle. Je dis : << On n'arrête plus de se faire livrer nos repas ! >>. Nous rions de bon cœur. Ces quiches aux fruits de mer sont délicates et savoureuses. Un vrai régal. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur les folies de notre week-end.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers à toute vitesse avec nos grosses godasses à la main. Nous les chaussons dans le hall d'entrée. Nos anoraks, nos bonnets, nos gants. C'est parti. Le thermomètre extérieur indique 5°. Il y a un léger vent de Nord Est qui accentue encore la sensation de froid. Ça pique les oreilles même à travers la laine des bonnets. Clémentine reste à mon bras pour me parler de ses cours.

Nous marchons d'un bon pas. Clémentine a encore du travail. C'est la petite bouche des deux heures. De quoi profiter de ces paysages hivernaux, silencieux, en noir et blanc. Il y a une légère brume qui nous enferme dans un univers clôt. Il est un peu plus de quinze heures quand nous revenons. << C'est bon d'êtres juste nous deux pour faire le bilan de notre amour et de nos folies ! >> lance Clémentine en ouvrant la porte. Nous retirons nos grosses chaussures, nos anoraks, nos bonnets, nos gants pour aller directement dans l'atelier.

Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je suis installé devant mon chevalet. Nous aimons ces séances de travail ensemble. Parfois Clémentine pousse une chansonnette ou commente ce qu'elle fait. Parfois elle se lève pour venir me chuchoter une douceur, une cochonnerie. Me faire une bise dans la nuque en soulevant mon catogan. Parfois c'est moi qui passe derrière elle pour soulever sa natte, déposer mes lèvres sur sa nuque sans bouger. << Mmmhhh, j'adore ! >> murmure t-elle.

Il est 18 h quand Estelle arrive. Nous l'entendons chanter. La porte s'ouvre. J'anticipe. Je pose ma palette, mes pinceaux. Elle se précipite pour me faire des bises. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle parle de son après-midi. Estelle et Clémentine se sont vues ce matin en cours. Elles comparent leurs travaux. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo. Estelle est derrière moi. Je la vois dans le miroir. Elle passe sa main entre mes cuisses pour palper mes couilles.

<< Ce que tu nous as infligé samedi soir, mérite vengeance ! >> dit elle à mon oreille. Elle se penche sur ma droite pour glisser sa main dans ma braguette. Elle en extrait le locataire qu'elle tient au-dessus du lavabo. << Il va faire pipi le monsieur ? Pour faire plaisir à la jeune fille qui lui tient la queue ? >> lance t-elle. Clémentine se dépêche de venir voir. Sur ma gauche, penchée en avant, elle observe. Je lâche un premier jet, consciencieusement dirigé par la main experte d'Estelle. Je lui dit : << Julie a fait exactement comme toi, pareil, hier soir ! >>.

Estelle secoue ma bite avant de me la tordre violemment. << Salaud, tu sais que je suis jalouse ! >> s'écrie t-elle sous le rire de Clémentine. Second jet. Parfaitement contrôlé par la dextérité d'Estelle qui me lèche la joue vulgairement en murmurant : << Vicieux ! >>. Je dis : << Gardes en un peu pour ton digestif, après le repas ! >>. Une fois encore Estelle me tord la queue. Heureusement que je bande mou. Elle secoue longuement afin de faire tomber les dernières gouttes. Elle se penche pour gober l'extrémité de mon sexe. Suçoter.

C'est par la queue qu'elle m'entraîne devant la cheminée. Clémentine me tient par la taille. Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd qui semble jaillir des profondeurs d'une caverne. << Bonsoir Christine ! >> lance les filles en même temps. Le fantôme de mon ancienne compagne erre à l'étage. Un pas traînant. Un claquement de porte. Cela ne dure que quelques minutes. Serrés tous les trois nous écoutons. Nous pouvons sentir nos cœur battre la chamade. Trouille. Il est 18 h45. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine.

Quelle belle surprise. Sur le coin de la cuisinière à bois il y a une grande tarte. << On dirait une tarte à la rhubarbe ! >> fait Clémentine. << C'est une tarte à l'oignon, façon mamie qui m'a donné la recette il y a longtemps ! >> corrige Estelle. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Je mets les assiettes et les couverts. Estelle découpe la grande tarte en quatre parts. C'est énorme. << Tu en auras encore pour ton repas de midi demain ! >> me fait Estelle en glissant sa main dans ma braguette. Je passe la mienne entre ses cuisses.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Les résultats des partiels qui sont la base des futurs travaux personnels. Il faudra en faire un compte rendu à présenter avant les vacances de Carnaval qui commencent le samedi 5 février. Très rapidement, la conversation dérive sur nos folies. << Tu nous fais quand ta prochaine surprise ? >> me demande Estelle. Elle se lève pour mimer une masturbation masculine. Une fois encore avec toute cette vulgarité dont elle est coutumière. Je réponds : << C'est une surprise ! >>.

Clémentine mime une fellation en tournant son poing fermé devant sa bouche. Avec sa langue elle fait une bosse à l'intérieur de sa joue. Elle me dit : << C'est moi qui t'en réserve de belles ! >>. La tarte à l'oignon est une merveille. Nous félicitons Estelle qui précise : << De la pâte feuilletée, une Béchamel et de l'oignon cuit. C'est simple, rapide et superbement bon. J'en fais souvent à papa et à maman. Ils en raffolent ! >>. Clémentine raconte le projet avec Julie. Elle va jouer à la serveuse vendredi soir, au restaurant de l'étang. Chez Anne-Marie.

<< Génial ! >> s'écrie Estelle avant de rajouter : << Ça, c'est une surprise ! >>. Je dis : << Et c'est notre prochaine surprise pour toi ! >>. Estelle ouvre de grand yeux, glisse sa main dans ma braguette. Je rajoute : << Nous deux, nous serons de simples clients car je t'invite au restaurant vendredi soir ! >>. Estelle soudain envahit d'une joie incontrôlable me dépose des bisous en mitraille. << C'est con, samedi matin je vais en ville avec maman. Il eut été bien de rester ensemble jusqu'à dimanche soir. Clémentine fait : << Tu vas rentrer tard ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle qui m'a sorti le Zob m'entraîne par la queue au salon. Elle me fait tomber dans le canapé. Elle jette un des épais coussins au sol pour s'y mettre à genoux entre mes jambes. Clémentine retire son jeans et sa culotte pour les balancer en l'air. Vautrée dans le fauteuil, elle se touche en regardant Estelle me tailler une pipe. Je lui caresse la tête. Clémentine me fait des sourires, des clins d'œil. Et pourquoi ne pas réserver une nouvelle surprise à Clémentine ? Je repousse délicatement Estelle.

Je la tiens par sa natte. Je me lève. Je l'entraîne comme par la laisse. Je suis devant Clémentine qui me regarde avec étonnement. Sans prévenir, alors qu'elle se masturbe en me fixant dans les yeux, je me mets à genoux sur le bord du fauteuil. Juste pour prendre appui un instant. Le temps de m'introduire en elle. << Julien ! >> fait elle dans un souffle. Je ne lâche pourtant pas la natte d'Estelle qui n'a d'autre choix que de tomber à genoux. Je pénètre Clémentine avec d'infinies précautions. Surprise par cette nouvelle initiative elle gémit de plaisir.

Je ne reste toutefois pas immobile comme nous aimons tant. Je fais rapidement la "machine à coudre". Clémentine se fait baiser à la hussarde. Je tiens Estelle par sa natte. Elle s'est redressée pour tenter de me rouler des pelles. Je fouille les deux bouches d'une langue exploratrice. Estelle a glissé une main dans son jeans, dans sa culotte, elle se touche en gémissant. C'est encore un concerto de gémissements, de petits cris de ravissements. << Décidément, ces derniers temps, tu as de l'inspiration. C'est Julie ? >> lance Estelle.

Je réponds : << Non, c'est toi ! Tu es ma muse ! >>. Nous éclatons de rire tous les trois en même temps. Je me retire pour fourrer ma queue dans la bouche d'Estelle. Je lui dis : << N'importe quel poète verrait son inspiration grandir avec une telle muse ! >>. Estelle tente de se soustraire à mon étreinte. Clémentine m'embrasse sans cesser de se masturber. Je retire ma bite de la bouche d'Estelle pour m'introduire dans Clémentine. Estelle déboutonne mon jeans pour le descendre avec le slip. À genoux sur ma droite, elle tient fermement mes couilles.

<< Tiens, salaud ! >< dit elle en m'enfonçant l'index dans le cul. Je déteste ça. Elle le sait. Autant qu'elle le déteste aussi. Elle rajoute : << Vengeance ! >>. Je me retire de Clémentine. Je choppe Estelle par sa natte et sous le menton. Elle se débat inutilement. Elle refuse ostensiblement d'ouvrir la bouche. Il n'y a qu'un seul moyen pour la forcer. Je lui pince le nez. Pour pouvoir respirer, elle sera bien obligée d'ouvrir sa bouche. C'est à cet instant que j'y fourre la queue. J'éjacule au fond de sa gorge. Elle tousse, elle se noie presque. Un cri !

Je dis : << Tu voulais une surprise. Que ne ferais-je pas pour te satisfaire ! >>. Estelle est là, rouge, en sueur, à suffoquer. Elle arrive enfin à déglutir. << T'es le dernier des salauds ! >> finit elle par pouvoir dire d'une voix éteinte, les yeux larmoyants. J'offre à Clémentine les derniers reliquats. Elle suce en gémissant de plaisir. Il faut cesser car il va être l'heure. Estelle doit nous laisser pour 22 h. Nous la raccompagnons à sa voiture. Il y a la pleine lune. C'est magnifique. Je dis à Estelle : << Bonne baise demain soir avec ton parrain ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire lécher le minou au lit, après s'être fait baiser à la hussarde dans le fauteuil...

Julien - (Salaud de ces dames)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1770 -



Juliette vient manger à la maison

Hier matin, mercredi, il est presque six heures. Fidèle, l'application "océan" nous réveille de ses habituelles illusions. C'est comme au bord de la mer. Le cri des mouettes, strident, obsédant. Les sirènes de ces bateaux dans le lointain. Clémentine vient se blottir en gémissant. Quelques papouilles, des bisous. Elle saisit mon érection naturelle en chuchotant : << Je t'aime. Merci pour cette divine surprise hier soir encore ! >>. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers. Il fait froid.

J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis. Le grille pain éjecte ses premières tranches dans un claquement sec. << Il est affreux ce bruit le matin ! >> lance Clémentine en me faisant un bisou. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les douces folies de hier soir. << Tu es très inspiré ces derniers jours. C'est divin ! >> me fait Clémentine en tendant la tartine beurrée afin que j'y étale un miel délicieusement crémeux. Nous mangeons de bon appétit en riant.

Il est 6 h25. Nous remontons. Notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, un peu de vélo d'intérieur, exercices au sol, abdos, charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching un peu hâtif et bâclé. La douche. Je descends pour aller préparer l'auto. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans l'aube naissante. Le froid est glacial. Polaire. À peine s'il fait 3°. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier.

J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette seconde scène de genres m'absorbe rapidement. Je peins dans cet enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. La matinée passe si vite. Il est 11 h45 quand je dépose la dernière touche de rouge vermillon sur la surface de la toile terminée. Les deux personnages féminins ont les traits de Clémentine et d'Estelle. Peintes à la loupe les ressemblances sont frappantes.

Je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Je prépare une salade de carottes. Je réchauffe la dernière grande part de tarte à l'oignon. Estelle est une excellente cuisinière et je me régale. J'écoute Sud Radio. Le débat enflammé mené par André Bercoff. J'aime ses emportements souvent bien légitimes. Je mange de bon appétit. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Je redescends pour enfiler mon anoraks. Il faut rentrer du bois, reconstituer le stock pour deux ou trois jours. Il fait encore rudement froid aujourd'hui. À peine 5°.

Je contourne la maison d'amis. Sous l'abri à bois je remplis la brouette d'une vingtaine de bûches. Je fais deux voyages. J'empile à côté de la cuisinière à bois, de la cheminée du salon et de la cheminée de l'atelier. Me voilà installé devant mon chevalet. J'attaque cet après-midi la troisième scène de genre destinée à ma saison d'été. À nouveau deux personnages féminins, un personnage masculin. Une scène que je situe au XVIIème siècle. Je peins selon les préceptes des anciens maîtres hollandais du siècle d'or. Avec une extrême minutie. Finesse.

L'après-midi passe à une vitesse folle. Il est 17 h30. J'entends Clémentine chanter. La porte de l'atelier s'ouvre. Elle jette son cartable dans le fauteuil à bascule pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Estelle t'embrasse. On a juste 45 minutes à midi. En mangeant, elle n'a cessé d'évoquer tes "performances" ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur. Clémentine a encore du travail. Elle s'installe devant son ordinateur avec ses fiches.

Il est 18 h15. << Mais là, j'en ai marre ! >> s'écrie Clémentine en rangeant ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous voilà assis sur les poufs devant la cheminée. Les dernières flammes projettent leurs ombres dansantes sur les murs. Soudain, au-dessus de nos têtes, une sorte de fracas lugubre. Le fantôme de mon ancienne compagne. Serrés très forts l'un contre l'autre, nous écoutons les errances de l'entité qui rôde à l'étage. Une porte qui grince longuement. C'est du moins ainsi que nous interprétons ce bruit. Un claquement sonore.

Tout cesse. C'est tout aussi soudain. Il est 18 h45. Il commence à faire faim Trois coups de sonnette. << Sors ta queue, je vais accueillir Juliette ! >> me fait Clémentine. Je suis entrain de mettre les assiettes et les couverts. Clémentine revient suivie de Juliette. Elle est magnifique encore ce soir. Nous nous touchons les poings. Juliette a ramené deux grands Tupperwares. L'un contient le gratin de choux fleurs, l'autre une belle salade frisée. << J'ai promis, j'ai fait ! >> dit-elle. Nous admirons les plats. Il faut mettre le gratin au four.

Bien évidemment, comme à chaque fois, Juliette fait mine de ne pas avoir remarqué ce qui pend de ma braguette. Cette attitude toute féminine m'enchante toujours. Elles font toutes semblant de ne pas voir. C'est merveilleux. Juliette est vêtue de son éternelle tenue d'écuyère. Ce pantalon beige, moulant comme un legging, ses bottes de cavalière, son chemisier blanc, son gilet de cuir à manches courtes. Mon dieu cette cambrure de reins ! Et ce physique d'athlète ! Cette bourgeoise de 48 ans exerce sur moi un véritable ensorcellement.

Clémentine, même si la jalousie l'a quitté depuis plusieurs mois, reste méfiante. Aussi, elle reste souvent tout contre moi, un bras autour de ma taille en bavardant. Juliette fixe enfin mon sexe. Je bande mou. Elle m'adresse un regard d'une sévérité extraordinaire. Même si ce n'est qu'un jeu, c'est très étonnant. Excitant en ce qui me concerne. Nous félicitons Juliette pour ce gratin de choux fleur. << Quand l'entreprise me laisse un peu de temps, j'adore cuisiner ! >> dit elle. La cuisson dans le four à bois ne se contrôle pas. Aussi il faut être très vigilant.

<< Ne va pas te brûler ! >> lance Clémentine qui enfile les maniques. C'est elle qui tire le gratin du four. Doré à souhait son parfum embaume toute la grande pièce. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Juliette nous raconte le quotidien de son haras. << Il n'y a jamais eu le moindre cas de Covid dans mon entreprise, ni dans mon tissu social ! >> précise t-elle encore. Elle rajoute : << Par contre je connais des gens qui connaissent des gens et patati et patata ! L'homme qui a vu l'homme qui a vu l'ours ! >>.

Juliette en arrive toutefois rapidement au sujet qui nous passionne. Le sexe. Enfin nos sexualités déviantes et tellement attractives. Elle revient sur notre soirée branle, il y a déjà presque deux semaines. << J'ai passé mon samedi soir devant un bon film ! >> dit elle avec un air de profond dépit. Clémentine décrit vaguement nos jeux de samedi dernier. << Wouah, vous avez de la chance d'entretenir cette merveilleuse relation à trois. C'est le fantasme ultime de beaucoup de gens. Je vous envie ! >> lance Juliette. Je me touche sous la table.

Juliette se doute bien de ce que je fais. Surtout lorsque mes deux mains disparaissent. J'ai besoin des deux pour sortir mon sexe. Cette conversation m'excite et me fait bander. Nous traînons à table. Juliette se fait évidement un plaisir d'être de plus en plus descriptive dans la narration de ses aventures. Elle entretient une relation trouble avec son vétérinaire. Robert qu'elle suce assez régulièrement. << Je me suis faite surprendre deux fois cette semaine par James, mon nouveau palefrenier. Rien ne peut m'exciter davantage ! >> lance t-elle.

<< Bienvenue au "Club" >> dit Clémentine. Je me lève. Je tiens ma queue à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite dans la direction de Juliette. Elle cesse de mâcher pour observer silencieusement. Elle murmure : << Ça aussi, c'est un privilège d'avoir de tels amis ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine m'adresse un clin d'œil. Elle adore mes attitudes de satyre devant d'autres femmes. Je dis : << Juliette, nous n'avons encore jamais joué à l'exhibitionniste et à la voyeuse dans vos écuries. Qu'en diriez vous dès les premiers beaux jours ? >>.

Juliette s'écrie : << Mais pourquoi attendre les premiers beaux jours ? >>. Nous éclatons de rire. Juliette rajoute : << Je veux du vice, du graveleux ! >>. C'est Clémentine qui répond : << Je peux vous garantir que vous en aurez ! >>. Je précise : << Vous serez comblée ! >>. Juliette est bisexuelle, terriblement voyeuse, vicieuse et d'une certaine façon plutôt perverse. Elle nous soumet rapidement quelques scénarios. << À partir de situations vécues durant mes promenades à cheval ! >> précise t-elle. C'est comme ça que nous l'avons connu.

Nous aimons revenir sur cet épisode. Notre rencontre dans les prés il y a plus de quatre ans. Juliette nous a surpris dans un de nos jeux de rôles. Le lecteur qui suit nos aventures depuis le début, se remémore bien cette histoire. J'invite les autres à la découvrir. Nous traînons à table. Je me lève plusieurs fois pour montrer mon érection à Juliette. << Avec celle de Pierre, c'est la plus impressionnante que je connaisse ! >> lance t-elle souvent. C'est vrai que Pierre, le mari de Madame Walter est doté d'un bon "20 cm" également. Plus épaisse peut-être.

<< Je peux ? >> demande Juliette en se levant sans vraiment attendre la réponse de Clémentine. Je suis debout, bite à la main. Elle contourne la table en se touchant pour se mettre à ma droite. Elle saisit mon sexe d'une poigne de fer. Clémentine, en appui sur ses coudes, la tête posée sur ses poings, observe la scène. Juliette me branle doucement. Elle dit : << C'est ce qui me manque le plus. Une queue à disposition le soir, chez moi ! >>. Clémentine répond : << Mais ce n'est pas très difficile ! >>. Juliette cesse de me masturber. Rire !

D'une voix presque sentencieuse, elle dit : << Mais c'est le propriétaire de la bite dont je me lasse très vite. Surtout quand je découvre son caractère ! J'ai quelques expériences assez décevantes ! >>. Nous rions de bon cœur quand elle rajoute : << Alors, j'emprunte celles des autres sans conséquences désastreuses pour le moral ! >>. Nous éclatons de rire. L'accent méridional de cette belle Corse, lorsqu'elle nous raconte de telles histoires; est un véritable bonheur. Elle le sait. Je lui dépose une bise sur la jour en disant : << Marcel Pignol ! >>. Rires !

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Clémentine propose de prendre le thé et les petits gâteaux au salon. Vautrée dans son fauteuil, en face de nous, Juliette revient sur ses escapades à cheval. Ses rencontres trop rares avec de "drôles" de zèbres". << Ils surgissent des fourrés comme des diablotins ! C'est tellement ridicule et surréaliste que j'ai toujours du mal à garder mon sérieux ! >> dit elle en pouffant de rire. Clémentine tient mon sexe dans sa main. Parfois elle me branle un peu. Juliette est tellement heureuse en notre compagnie.

J'adore lorsqu'elle passe son index sur la couture centrale de son pantalon d'écuyère. Cette couture qui sépare les lèvres de sa vulve en deux petites bosses parfaitement visibles. Je demande : << Juliette, portez-vous une culotte ? >>. Ma question la fait plier de rire. Elle répond : << Jamais quand je viens vous visiter ! >>. Nous comprenons à présent beaucoup mieux pourquoi son intimité est si visible. Je me lève. Je m'approche. Comme si elle savait ce que je m'apprête à faire, Juliette écarte ses cuisses. Posées de chaque côté sur les accoudoirs.

Je fais rouler les deux petites bosses sous mes doigts. Juliette m'observe avec un curieux sourire. J'appuie sur l'endroit de son clitoris. Elle a un petit réflexe. J'insiste. Juliette saisit mon sexe. << J'adore vos initiatives Julien ! >> lance t-elle. Je réponds : << J'adore les vôtres ! >>. Clémentine rajoute : << Les vôtres sont beaucoup plus "réfléchies". C'est une particularité qui nous enchante ! >>. Je dis : << Vous êtes une délicieuse personne Juliette ! >>. Juliette lâche ma queue pour se toucher des deux mains. Je retourne m'assoir au près de Clémentine.

Nous décidons d'un prochain "plan" aux écuries. Ce jeu de l'exhibitionniste et de la voyeuse a éveillé quelques nouvelles perspectives. C'est Clémentine qui insiste la première. Juliette, les coudes en appui sur ses genoux, penchée en avant, écoute. Les deux femmes échangent quelques idées. C'est hyper excitant de les entendre évoquer des déclinaisons différentes de situations scabreuses. << On se fait ça un samedi soir, ça vous tente ? >> s'écrie Juliette. << Ça nous tente ! >> lance Clémentine. Nous raccompagnons Juliette à sa voiture.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que la visite d'une amie intime excitent considérablement. Au lit, un bon cunnilingus de rigueur...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1771 -



Estelle se réjouis pour demain soir

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Le cri strident des mouettes nous arrache à nos profonds sommeils. Les sirènes des gros bateaux qui résonnent dans le lointain. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Une fois encore l'application "océan" nous réveille de ses illusions parfaites. Quelques papouilles. << C'est dur ce matin ! >> murmure Clémentine en saisissant mon érection naturelle. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings et de nos sweats en lycra noir, nous dévalons les escaliers.

J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Il fait froid dans la cuisine. Le thermostat des deux radiateurs vient de les mettre en fonction. Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner encore étourdis de sommeil. C'est vrai que c'est dur ce matin. Nous mangeons de bon appétit tout de même. En revenant sur notre soirée de hier avec Juliette. << Elle aimerait bien que je lève l'interdiction de baiser avec toi ! Queue nenni. La pipe ou rien ! >> dit Clémentine. Nous rigolons comme des fous.

Il est 6 h25. La méthode infaillible pour nous réveiller complètement c'est une bonne heure de gym. Nous montons dans notre salle d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles. Le retour au calme d'un stretching plus ou moins farfelu et nous voilà transformés en guerriers pour la journée. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la bagnole. Il est presque 7 h45. Le jour se lève dans un froid glacial. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak.

Comme tous les matins elle sautille sur place pour se réchauffer un peu. Il ne fait que 2°. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre. Un dernier coucou. Le portail se referme. Je me dépêche de rentrer au chaud. Le lecteur remarquera que comme les siennes nos journées se ressemblent. Je fais notre vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume une bonne flambée dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant du Brassens.

La peinture de cette troisième scène de genre destinée à ma saison d'été, me plonge rapidement dans ma passion dévorante. C'est étrange. De plus en plus souvent, juste avant le premier coup de pinceau, je n'ai pas envie de m'y mettre. Mais une fois au travail, cela me comble divinement. Je peins dans cet enthousiasme délirant. Je pousse des cris surréalistes. Je ne vois pas le temps passer. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il me suffit de réchauffer le reste du gratin de choux fleur de hier soir.

Je fait une rapide salade de tomates. J'écoute Sud Radio et les envolées lyriques d'André Bercoff. Je mange de bon appétit. Mon téléphone me prévient de l'arrivée d'un texto. "J'ai mes petits machins". C'est Clémentine, depuis le restaurant universitaire, qui m'envoie un petit mot. Je réponds "Je t'aime - Docteur Julien". "Moi aussi - Estelle". Je ris de ce SMS si plaisant. Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller prendre l'air, je descends à toute vitesse pour enfiler mon anoraks. Le froid est humide, désagréable.

Il y a eu de la pluie ce matin. Le sol est détrempé. Il s'en faut de quelques degrés pour que soit de la neige. Je vais jusqu'à l'étang qui s'est formé au bas du chemin. Un plan d'eau qui empêche l'accès à la rivière. Les poules d'eau, les canards et les colverts y dansent avec un bonheur certain. Il y a quelques gouttes. Je n'ai pas mon parapluie. Je remonte. Me voilà bien au chaud, dans l'atelier, installé devant mon chevalet. Je peins animé du même enthousiasme que ce matin. Une fois encore je ne vois pas défiler les heures. Il est déjà 17 h30.

Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table. Elle vient vers moi en disant : << Bobo ! >>. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Le repas au restaurant universitaire. Tout en l'écoutant, je pose mes lèvre sur ses petits seins douloureux. J'insuffle mon souffle chaud au travers la laine de son pullover. << Mmhh, c'est bon. J'ai attendu vos soins tout l'après-midi docteur Julien ! >> dit elle en me caressant la tête. Clémentine a encore du travail. Assise devant son ordinateur qu'elle allume.

Il est 18 h. Estelle arrive à son tour. En sautillant, elle vient me rejoindre. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle parle des cours avec Clémentine. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous sommes tous les trois vautrés dans le vieux canapé en velours carmin de l'atelier. Je suis entre mes deux anges. Dans l'obscurité nous regardons la danse des dernières flammes. J'ai passé une main dans le jeans déboutonné de Clémentine. Ma main sur son pubis pour tenter de soulager son mal de ventre. Le premier jour de ses règles. Dur. Bobo.

Estelle joue avec ma queue tout en bavardant quand soudain, au-dessus de nos têtes, un véritable vacarme. << Bonsoir Christine ! >> font les filles en même temps. L'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Nous écoutons le bruit des pas. Ce soir l'entité semble traîner une chaise. << Vous avez remarqué, ces phénomènes n'ont lieu que lorsque nous sommes ici, dans l'atelier ! >> murmure Estelle. Clémentine chuchote : << Et au-dessus de l'atelier c'est la salle d'entraînement ! >>. Les manifestations cessent aussi brusquement.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle prépare une pâte à crêpe. Je fais rissoler des crevettes et de petits calmars dans la poêle. Je rajoute de petits champignons juste avant de retirer la poêle. Estelle porte à ébullition l'huile de friture. Je verse le contenu de la poêle sur des feuilles de papier absorbant. Estelle verse le tout dans la pâte à crêpe. Avec une louche, elle retire chaque morceau pour le jeter dans l'huile bouillante. Ça monte à la surface pour y flotter une minute. C'est une cuisson rapide.

Avec un écumoire, Clémentine sort chaque beignet. Dans la poêle je ne cesse de remuer les fines tranches de pommes de terre. Les chips sont dorées et croustillantes à souhait. C'est un repas simple, facile à faire, mais tellement délicieux. Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent de leurs études. Du compte rendu des partiels qu'il faut préparer à la manière d'une dissertation. À rendre le vendredi 4 février avant les vacances. J'aime écouter leurs stratégies. Leurs ruses. Nous traînons à table car ce succulent repas est plutôt lourd et calorique.

Assises sur mes genoux, mes deux anges évoquent la soirée qui nous attend demain. Clémentine va jouer à la serveuse au restaurant de l'étang. Estelle et moi nous serons des clients comme les autres. Ce sont de belles réjouissances en perspective. Clémentine fait l'inventaire de ce qu'elle ne doit pas oublier. Nous rions de bon cœur de cette nouvelle aventure. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle, tout en essuyant, nous raconte la visite de Jean-Marc, hier soir. Son parrain vient récupérer des cartons tous les mercredis soirs. Un prétexte.

C'est donc dans le dépôt de l'entreprise familiale, sur les cartons pliés, que ce coquin baise Estelle comme elle aime. C'est à dire sans le moindre égard, comme une machine. << Put-Hein ! Qu'est-ce qu'il m'a mis le salaud ! >> lance Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Estelle rajoute : << J'en ai encore la chatte toute congestionnée ! Sans déconner, c'est vrai, je vous jure ! >>. Nous sommes pliés de rire. Je dis : << Je vais vérifier ça au salon ! >>. Estelle ne se le fait pas dire deux fois. C'est par la queue qu'elle m'y entraîne. Fermement.

Clémentine, assise dans le fauteuil, glisse une main dans son jeans déboutonné. C'est surtout pour tenter de soulager ses crampes. Cette fois, ses "petits machins" de fille sont douloureux. Elle a pris le complément alimentaire Inher. Malgré ce médicament homéopathique, c'est assez pénible. Estelle retire son jeans et sa culotte. Vautrée dans le canapé elle m'offre sa chatte. À genoux sur l'épais coussin, entre ses jambes, j'examine son sexe. Les lèvres fines de sa vulve apparaissent doucement. Au fur et à mesure que son plaisir augmente. C'est beau.

J'écarte les poils. J'écarte ses lèvres. Je hume longuement ses parfums intimes. Une journée de fille. Des odeurs de fille. J'en ai des vertiges. Je passe ma langue de l'orifice vaginale jusqu'au clitoris. Sans négliger le petit trou à pipi. Il y a là de quoi faire saliver tout honnête homme. Estelle m'observe en caressant ma tête. << Tu vois quelque chose d'anormal ? >> me demande t-elle. Nous éclatons de rire. Les premiers gémissements de Clémentine. Je me retourne pour la regarder. Quelle meilleure thérapie pour oublier la douleur que de se masturber.

C'est en tous cas la méthode préférée de Clémentine. Ce que nous faisons l'excite au plus haut point. Lorsque je lèche sa vulve, que je fouille chaque relief de son intimité du bout de ma langue, Estelle titille son clitoris. Elle se masturbe du bout de ses doigts, d'un régulier mouvement pendulaire. Lorsque je remonte pour sucer son clitoris, elle pousse un râle de plaisir en s'offrant encore plus lascivement. Totalement étourdie de jouissance, Estelle pousse des gémissements en harmonie avec ceux de Clémentine. C'est un véritable concerto.

J'évite d'enfoncer un doigt. Lorsque Estelle se fait baiser par son parrain, elle préfère laisser l'intérieur de son sexe au repos. Elle est hyper sensible, hyper étroite. Par contre, les stimuli externes sont la plus merveilleuse des thérapies de soins. << Docteur Julien, vous êtes un thérapeute hors pair ! >> murmure t-elle en se tortillant au fond du canapé. Je suce les jus comme un affamé. Je fouille les plis et les replis. C'est absolument délicieux. Le "yaourt" m'offre son velouté, son goût "nature". Estelle se trémousse, se tortille. Soudain elle se cambre.

Comme toujours, elle me repousse doucement pour se terminer aux doigts. Un orgasme qui la fait hurler de plaisir. Elle se tourne sur le côté, en haletant, les mains entre ses cuisses serrées. Elle reste ainsi, prostrée sur sa jouissance extrême. Une fois encore. Je me sens plutôt fier. Je me redresse pour me mettre à genoux entre les jambes de Clémentine. Elle a retiré son jeans, sa culotte. Je fouille dans les poils. Il y a la petite ficelle blanche. Le clitoris géant de Clémentine est une invitation à la luxure. C'est tellement impressionnant.

Elle le tient pincé entre ses doigts comme pour me le présenter. Je l'entoure de mes lèvres pour le suçoter. Clémentine le lâche pour me saisir par les oreilles. Comme pour me guider. Je suce. Je fouilles les peaux qui décalottent ce merveilleux organe à plaisir. Lorsqu'elle a ses règle, son clitoris paraît encore plus gros. De la taille de la phalange d'un pouce d'homme. Je suis toujours très impressionné. Ma caresse buccale est le meilleur antidote à la douleur. Clémentine s'en libère dans de continus gémissements lascifs. Estelle est venue me rejoindre.

À genoux derrière moi, elle me masturbe doucement pendant que je suce Clémentine. Elle pose ses lèvres dans ma nuque, sur les joues. Je ne connais aucune sensation plus merveilleuse. << Je vous aime Docteur Julien ! >> me chuchote t-elle à l'oreille. Clémentine se raidit soudain. Dans un cri elle se laisse envahir d'un orgasme qui la tétanise complètement. Estelle et moi nous la regardons s'effondrer, se recroqueviller au fond de son fauteuil. Je saisis la cuvette en plastique. Mais ce soir elle est bien inutile. L'orgasme n'est pas pisseux.

Estelle doit nous laisser pour 22 h. Demain il y a école. Il est déjà 21 h50. Clémentine reprend ses sens. Elle nous observe avec de grands yeux. Comme si elle sortait du sommeil. Elle vient se serrer contre nous. Tous les trois, couchés sur l'épais tapis, nous revenons à la "normale". << Comme c'est bon Julien ! >> dit Clémentine en se redressant la première. << Tu comprends pourquoi je suis tout le temps fourrée là ! >> rajoute Estelle. Nous éclatons de rire. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. Elle revient demain soir pour 19 h.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment les thérapies de groupe pour soulager leurs maux de ventre. Le cunni du Dr Julien...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1772 -



Le "grand soir" arrive enfin

Hier matin, vendredi, bluffés par l'illusion de l'application "océan", nous sommes littéralement arrachés du sommeil. C'est le cri strident des mouettes, les sirènes de ces gros bateaux qui se croisent dans le lointain. Comme si nous avions passé la nuit dans un port de pêche. Il est presque six heures. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. Ce matin encore de se lever reste une chose difficile. << On fait trop de folies le soir ! >> murmure Clémentine en saisissant mon érection matinale. C'est moi qui l'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers. Une fois encore la cuisine est froide. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Les quatre premières tranches sont éjectés dans le claquement sec du grille pain de plus en plus sonore. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. Ces fameuses folies en compagnie d'Estelle. Clémentine se plaint de crampes dans le bas ventre. C'est le second jour de ses "petits machins" de fille.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée qui nous attend. C'est ce soir que Clémentine va interpréter le rôle de la serveuse. Le vendredi Clémentine termine à midi. Ce qui la réjouit encore davantage. Malgré qu'elle soit incommodée par son cycle, Clémentine se met à lancer quelques bons mots dont elle a le secret. Je suis plié de rire. Il est 6 h25. Nous montons nous offrir notre séance de gymnastique. Aérobic, jogging sur tapis roulant. Exercices au sol. À cause de ses règles, Clémentine remplace les abdos par du vélo d'intérieur.

Les charges additionnelles. Ce matin le stretching est effectué correctement. Un retour au calme salvateur. La douche. Je descends immédiatement après pour aller préparer la voiture. Il est 7 h45. Le jour se lève. Toujours ce froid glacial et polaire. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak telle une esquimau. Un dernier bisou. Je regarde la voiture s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre très vite. Je fais la vaisselle, le lit, avant de passer dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Un superbe tirage.

Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. La peinture de cette troisième scène de genre est un pur plaisir. Je peins animé de cette douce euphorie laissée par Clémentine. La matinée passe extraordinairement vite. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier. Il faut alimenter la cuisinière à bois de la cuisine. Pendant que réchauffe le reste des beignets de crevettes et des pommes de terre chips, je prépare une salade d'endives. Il est 12 h30. Clémentine rentre de cours.

Elle me saute au cou en s'écriant << Bobo ! >>. Je pose mes lèvres sur chacun de ses seins pour insuffler mon souffle chaud à travers la laine de son pull. Comme soulagée, Clémentine gémit de plaisir. << Mmhh, docteur Julien. J'ai besoin de vos soins ! >> murmure t-elle en palpant ma braguette. Elle rajoute : << Je suis morte de faim ! >>. Nous nous régalons car les beignets sont encore plus délicieux lorsqu'ils sont réchauffés. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Me confie à quel point Estelle se réjouit pour ce soir.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine aussi se réjouit pour le rôle qui l'attend en soirée. J'écoute ses impressions, amusé et curieux. Elle met au point les détails les plus secondaires. Comme par exemple de bien charger les batteries de nos téléphones. Organisations féminines qui suscitent mon admiration. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Tête contre tête, en nous rinçant la bouche au-dessus du lavabo, Clémentine reste tout contre moi. Nous nous embrassons immédiatement après.

Le gout camomille de la crème dentifrice participe du plaisir. Je soulève Clémentine. Telle une jeune mariée que j'emmènerais dans la chambre nuptiale. Mais là, c'est pour descendre l'escalier avec une grande prudence. << Je vous aime docteur Julien ! >> murmure Clémentine en me faisant plein de bisous. Je l'emmène dans l'atelier. Clémentine a du travail. Moi aussi. Mais avant cela, je désire offrir à la fille que j'aime, un peu de ma thérapie de soins intensifs. Je la dépose. J'ouvre son jeans pour le descendre en même temps que la culotte.

Clémentine a le réflexe de toute femme incommodée par ses règles. Je l'assois dans le vieux canapé en velours carmin. Elle s'y installe en ouvrant ses grands yeux bleus. Je me mets à genoux entre ses jambes. Je joue un peu avec la petite ficelle blanche que je cherche dans dans les profondeurs de cette invraisemblable touffe. Je donne de petits à coup. << Arrête ! >> fait Clémentine en riant. Pour trouver son clitoris géant, c'est beaucoup plus simple. J'avance mon visage entre ses cuisses. Je dépose ma bouche sur cet organe extraordinaire.

Je me mets à sucer, à lécher tout autour. Je décalotte les peaux. Clémentine saisit mes oreilles comme pour me guider. Les gémissements ne tardent pas. Parfois je cesse. Je tiens son clitoris turgescent entre le pouce et l'index. Quand Clémentine a ses "petits machins", il semble encore plus impressionnant. C'est véritablement spectaculaire. Je suce. Je sens quand Clémentine lutte contre l'orgasme qui s'annonce. Nous aimons tous deux faire durer. Je cesse. Je recommence. La gradation du plaisir qui l'accable la conduit inexorablement vers l'ultime.

Clémentine me repousse soudant délicatement. Elle se termine aux doigts dans une série de cris, de râles, dans plusieurs spasmes qui secouent tout son corps. Elle m'attire contre elle. Je me lève pour m'assoir à ses côtés. << Comme c'est bon. Je n'ai plus mal ! >> dit elle dans un souffle en reprenant ses esprits. Clémentine glisse sa main dans ma braguette pour en extraire le locataire. << Il me faut un peu de votre potion à usage interne, cher docteur ! >> murmure t-elle à mon oreille. Nous éclatons de rire. Je me lève. Elle tient ma queue.

Debout, entre ses jambes, je regarde Clémentine humer longuement ma virilité. Avec l'excitation du cunnilingus que je viens de lui prodiguer, ma queue est raide. Il y a du liquide séminal qui dégorge. Du bout de sa langue, Clémentine tente de pénétrer entre la peau de mon prépuce et le gland. Tout en suçotant. Je caresse sa tête, ses cheveux. Je me penche pour chuchoter des douceurs. << Je vous aime docteur ! >> murmure t-elle avant de gober mon sexe. Je me fais tailler une pipe des familles. Mes couilles sont déjà en ébullition.

Je les tire péniblement du slip puis de la braguette qui fait garrot. Clémentine me les empoigne de la main gauche. Sa main droite me tient par les fesses. Je me fais sucer comme un bienheureux. Certes, mes lombaires me rappellent leurs existences, à cause de la position debout. Mais j'évite tout simplement de me cambrer en avant. Je murmure : << Je vous aime délicieuse patiente. Vous suivez le protocole de façon exemplaire. Vous respectez la posologie. Je suis admiratif ! >>. Sans cesser de pomper, Clémentine se met à glousser de rire.

Mes sécrétions de foutre sont d'une telle abondance qu'il en perle aux coins de ses lèvres. Clémentine cesse de sucer toutes les deux trois minutes. Afin de laisser reposer sa mâchoire elle lèche. Elle ne lâche pas mes couilles qu'elle tient fermement. J'adore les avoir dans sa main chaude. << Docteur Julien, votre médicamentation est d'une remarquable efficacité ! >> dit elle avant de se remettre à pomper. Quelquefois Clémentine ouvre les yeux, redresse sa tête pour me fixer. C'est extraordinaire. C'est toujours comme une première fois.

Je commence à ressentir les affres d'un orgasme qui se pointe. Je veux me garder pour ce soir. Je tente d'extraire ma bite de la bouche de ma merveilleuse suceuse. Lorsque j'y parviens Clémentine me l'attrape de sa main droite pour m'empêcher de fuir. Ma patiente veut sa dose de sirop pour la toux. Tant pis. Je me laisse aller. Je n'en peux plus, je tombe dans le canapé. Clémentine se couche sur ma gauche. Sa tête contre mon ventre, elle me taille une pipe "maison". Toutes les deux trois minutes elle cesse pour me donner ses impressions sur le goût.

Cela fait presque une heure que je me fais pomper le Zob. Que c'est bon ! Je n'en peux plus. Je me lâche. Mon orgasme remporte le combat. J'éjacule en hurlant de plaisir. Clémentine me bouffe la queue en gémissant de bonheur. Je lui emplis la bouche de mes substances. Avec peine, tant il y en a, Clémentine tente de déglutir. Je n'arrête plus mes << Je t'aime ! Je t'aime ! >>. Je vais m'évanouir tellement cet orgasme est libérateur, jouissif et intense. Clémentine repart pour un second tour si je ne l'empêche pas de continuer. Je dois être fort.

Je l'aide à s'installer à mes côtés. Je veux la fille que j'aime tout contre moi. Nous restons ainsi un long moment à nous chuchoter des douceurs. Il est 15 h30. << Docteur Julien, vous n'imaginez pas à quel point vos consultations sont des moments de sérénité ! >> fait Clémentine qui se lève. Elle remet sa culotte, son jeans. Je mets deux bûches dans la cheminée. Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je suis installé devant mon chevalet. Nous voilà plongés dans nos autres passions. C'est magique.

Parfois, l'un se lève pour aller rejoindre l'autre. Lui faire des bises, lui chuchoter des douceurs à l'oreille. Parfois, nous nous mettons à chanter tous les deux. Le crépitement des flammes, le ronronnement du feu dans la cheminée. Le craquement du bois. Nous aimons tant ces moments d'émulations créatives. C'est aussi jouissif que nos folies. Il est 18 h. << Put-Hein, j'en ai marre. J'ai bien avancé ! >> lance Clémentine. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je me lave les mains au-dessus du lavabo. << Comment va ta bite ? >> dit Clémentine.

Debout derrière moi, ses bras autour de ma taille, Clémentine se blottit en gémissant de bonheur. Je me retourne. Elle enfonce immédiatement sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons comme des déments. Les mentons maculés de nos salives glissent l'un contre l'autre. Nos passions nous enivrent. Nous restons vautrés dans le canapé, dans l'obscurité, pour admirer les dernières braises rougeoyantes. Ce soir, à l'étage, il n'y a aucun bruit. Nous avons beau écouter en dressant l'oreille. Aucune manifestations étranges.

Il est 18 h30. Nous montons. Clémentine prépare ses vêtements dans son sac de sport. Elle a tout le nécessaire pour se déguiser en serveuse du restaurant de l'étang. Je suis assis sur le lit. J'écoute Clémentine commenter ce qu'elle fait. Me confier que comme avant chaque nouvelle aventure, elle ressent une légère trouille très excitante. Nous redescendons. Je prépare deux tartines beurrées. Clémentine y étale du miel crémeux. Deux barres de céréales viennent parfaire ce repas du soir. Voilà Estelle qui arrive. Toute contente. Sautillante.

<< Ce soir, on m'invite au restaurant ! >> lance t-elle en nous faisant des bisous. Elle palpe ma braguette en rajoutant : << Si tu savais comme j'ai envie de faire ma salope, mon salaud ! >>. Nous éclatons de rire. Il est temps d'y aller. Clémentine commence son "service" pour 19 h30. Il y a une quinzaine de kilomètres. C'est dans la voiture de service d'Estelle que nous partons. C'est moi qui suis obligé de conduire le "Kangoo". Estelle et Clémentine serrées sur le siège passager. Au mépris des risques en cas d'un improbable contrôle.

La "serveuse"

Nous arrivons comme prévu pour 19 h30. Clémentine, son sac de sport à la main, me fait un dernier bisou. << N'oublie pas de garder ton téléphone allumé. Au moindre blême tu descends ! >> dit elle. Estelle rajoute : << Je descends avec Julien si ça craint ! >>. Clémentine contourne le côté cuisine du bâtiment. Julie l'accueille probablement déjà. Estelle m'entraîne par la main en murmurant : << C'est moi ton amoureuse ce soir. Je suis ta compagne ! Ils n'ont qu'à tous bien se tenir ! >>. Nous rions de bon cœur en montant les quatre marches.

À peine sommes nous dans l'entrée que Camille, l'autre serveuse, vient nous accueillir. Elle n'est pas du tout informée de nos véritables identités. Pour elle nous ne sommes qu'un couple de clients comme les autres. Suis-je le père de la sublime jeune fille qui me tient par le bras ? C'est la question que nous devinons dans le regard de la jeune serveuse. Nous avons réservé la table habituelle, entre le grand aquarium et le porte-manteaux. Anne-Marie vient immédiatement nous saluer. Elle est bien sûr informée. Sa complicité est agréable.

<< Je peux contrôler vos QR Codes s'il vous plaît ? >> nous demande Camille. Nous présentons nos téléphones. << Allez Camille, c'est moi qui prend la commande, ce sont des amis ! >> lance Anne-Marie à l'intention de la jeune fille. Il y aune banquette en angle. Estelle est à ma droite. Elle pose discrètement sa main sur ma braguette en chuchotant : << À nous deux, ce soir tu n'es rien qu'à moi ! >>. Elle se penche pour déposer une bise sur ma joue. La salle est pleine aux trois quart. Sur les vingt huit tables il y en a bien seize qui sont occupées.

Nous attirons bien évidemment quelques regards interrogateurs. Surtout que l'attitude d'Estelle ne laisse aucun doute sur la nature de notre relation. Non, je ne suis pas le papa de la superbe jeune fille assise à ma droite. Heureusement que la nappe dissimule complètement ce que fait Estelle. Nous consultons la carte. Ce soir, ce sera des queues de homards dans leurs panières de petits légumes confis. Quelle n'est pas notre surprise. C'est Clémentine qui vient vers nous, un petit clavier à la main. << Bonsoir. Vous avez choisi ? >> demande t-elle.

Nous jouons le jeu. Clémentine tourne le dos à la salle. Elle nous fait un clin d'œil. Elle prend notre commande en murmurant : << Heureusement que j'ai grignoté mes barres de céréales. J'ai hyper faim ! >>. Estelle chuchote : << Tu sais qu'on peut faire emballer les restes. On te garde du homard et des légumes ! >>. Anne-Marie vient nous rejoindre. << Tout se passe bien ? >> demande t-elle en parfaite maîtresse de maison. Julie nous fait un immense sourire. Camille, l'autre serveuse doit se poser bien des questions à nos sujets.

Nous observons Clémentine se rendre à une autre table. Deux couples et un homme viennent de s'y installer. Elle prend la commande. Comme elle est belle. Avec ses souliers à talons elle culmine à son mètre quatre vingt six. De quoi attirer bien des regards. Au point qu'elle est le centre d'intérêt d'une bonne partie de la clientèle. Son aisance nous laisse pantois. Estelle me dit : << Si elle rate son doctorat, elle pourra faire serveuse. On dirait qu'elle fait ça depuis toujours ! >>. Pourtant je sais que Clémentine est en plein numéro d'actrice.

Julie vient nous saluer. << Comme je suis contente que vous soyez là tous les trois. C'est une soirée merveilleuse. Merci ! >> dit elle avant de filer. D'autres gens arrivent. Le restaurant de l'étang est un établissement réputé, recommandé. Anne-Marie, la patronne, a refusé deux fois d'être "étoilée". La tante à Julie ne voit pas l'intérêt de vivre avec la menace permanente de perdre une étoile. Son restaurant fait certainement beaucoup plus de chiffre qu'un restaurant étoilé. Nous comprenons parfaitement ce profond désir de liberté. Il est 20 h15.

C'est Anne-Marie qui apporte nos plats. Il est inutile de faire prendre des risques à Clémentine qui se contente de prendre les commandes. Ce sont des plats majestueux, royaux. À quoi bon être étoilé quand on propose de telles choses ! Le Chef de cuisine vient nous rendre visite. Nous le félicitons pour la qualité de sa cuisine. J'en profite pour le congratuler pour les plats qu'il prépare pour nous les lundis soirs. Ces mets délicieux que nous apporte Julie. Cet homme charmant fait le tour des tables. Il a un bon mot pour chacun. Nous dégustons.

Estelle et moi nous savourons un repas absolument divin. Nous regardons Clémentine évoluer dans la salle, entre les tables. Le regard de certains messieurs est carrément impressionnant. Clémentine est dévorée du regard. Pour l'exhibitionniste authentique qu'elle est, cela doit flatter son égo et surtout la rassurer sur son charisme et sa capacité à charmer toute une salle. J'éprouve une certaine fierté. Estelle, qui n'a strictement rien à lui envier, me dit : << Je n'aurais pas le courage. Mais pour la voyeuse que je suis, le moment est vraiment divin ! >>.

Estelle rajoute : << Au restaurant universitaire c'est pareil. Il y a des mecs qui nous surnomment les "sœurs Hollywood" ! >> Nous rions de bon cœur. << Ça y est, ça "mord" ! >> chuchote Estelle. En effet, le type qui est avec les deux couples, semblent trouver tous les prétextes pour faire venir Clémentine à leur table. Elle joue le jeu. Elle est là pour jouer. Camille, l'autre jeune serveuse, semble toute petite quand elle passe à côté de Clémentine. Comme la plupart des clients qui se lèvent pour aller aux toilettes d'ailleurs. Estelle me fait des bisous.

<< J'en profite, ce soir tu es mon homme ! Je t'aime aussi moi ! >> dit elle. Je pose ma main sur la sienne pour murmurer : << Moi aussi je t'aime. Tu es la fille la plus épatante, la plus adorable ! >>. Je laisse un silence avant de rajouter : << Après Clémentine ! >>. Estelle pose sa fourchette pour passer sa main sous la table. Elle me palpe la braguette. Clémentine passe à proximité de notre table. Elle dit à voix basse : << Ça a mordu. J'ai un poisson. Allumez les téléphones, on filme ! >>. Un clin d'œil. Elle descends l'escalier assez rapidement.

Estelle allume mon téléphone en disant : << Filme ! On se le mâte demain soir ! >>. En effet, le "poisson" a mordu à l'hameçon. Le type se lève en s'essuyant la bouche. Il a repéré la serveuse qui vient de descendre. Il descend à son tour. Estelle et moi, tout en terminant nos assiettes, nous observons l'écran du téléphone. Clémentine est dans les toilettes hommes. L'image est nette. L'éclairage est parfait. Vive l'I-phone de dernière génération. Le 13 pro dont les 128 Go permettent de stocker plus deux heures d'images d'une qualité exceptionnelle.

C'est Estelle qui me met un des écouteurs dans l'oreille. Elle met l'autre dans la sienne. Pour bien entendre, nous devons boucher l'autre oreille. Clémentine est aux lavabos. elle se lave les main. Elle a posé discrètement son téléphone en hauteur. Sur le mur qui sépare un des cabinets de la salle. La porte s'ouvre. Nous voyons le mec marquer un temps d'hésitation. Il ne s'attendait probablement pas à trouver la serveuse dans les toilettes hommes. Tout en ouvrant sa braguette, il se dirige vers un des deux urinoirs. Il se ressaisit très vite le bougre.

<< Wouah ! Génial ! >> murmure Estelle. Malgré les écouteurs, il est tout à fait impossible de comprendre les propos échangés. La résonance des WC ne le permet pas. Nous voyons Clémentine tourner la tête deux fois. Sans doute répond t-elle au pisseur. Ce dernier se tourne carrément vers la jeune fille. Il nous tourne le dos. Mais à l'écran nous pouvons parfaitement deviner qu'il montre son sexe à la jeune fille. << Il se branle ! Regarde le mouvement de son bras ! >> murmure Estelle. Nous terminons nos assiettes en admirant.

Clémentine se dirige vers l'essuie mains. Le type s'avance vers les lavabos. Dans le miroir nous distinguons parfaitement son érection. << Put-Hein l'enfoiré ! Regarde la queue qu'il se trimballe ! >> chuchote Estelle. Je suis prêt à me lever, prêt à dévaler les escaliers à la moindre attitude menaçante. Estelle pose sa main sur mon bras en disant : << Laisse, ne t'inquiète pas. Regarde c'est juste un montreur de bite. En général ces mecs ne sont pas dangereux ! >>. Je reste malgré tout extrêmement vigilant. L'homme se lave les mains.

Nous voyons Clémentine éclater de rire deux fois. << Tu vois, c'est un marrant en plus ! >> murmure Estelle qui s'est rapprochée de moi. Julie passe à proximité pour nous demander : << Tout va bien ! >>. Estelle la rassure : << Super ! >>. À l'écran, nous assistons à une scène surréaliste. Clémentine est appuyée contre un des deux lavabos, les bras croisés. Le mec pisse dans l'autre tout en bavardant. C'est vraiment dommage de ne pouvoir entendre la nature de la conversation. Clémentine, tout en parlant, mime une masturbation masculine.

Cet homme prend t-il ce geste pour une invitation ? Toujours est-il qu'il se met à se masturber. << Regarde, il est tout rouge, comme subitement bouffi ! >> chuchote Estelle. Nous sommes là, les yeux rivés sur l'écran du téléphone. Là, il y a un autre type qui passe près de la table. Il descend l'escalier. Impossible de prévenir Clémentine. Nous assistons médusés à la suite. Ce client entre à son tour dans les toilettes. Le branleur cesse, soudain affolé, il remballe. L'autre type n'y prête pas vraiment attention. Il n'a de yeux que pour la serveuse.

Notre dragueur branleur quitte les toilettes avec un salut militaire à Clémentine. << Colonel branlette ! >> fait Estelle. Clémentine a repris son numéro. Elle se lave une nouvelle fois les mains. Le type, debout devant le dernier urinoir, ne cesse de tourner la tête. Ce que fait cette jeune fille ici doit le plonger dans un questionnement intérieur. Clémentine se retourne. De l'index de la main gauche, elle montre la porte. De sa main droite, elle mime une masturbation masculine. << Elle explique ce que faisait le mec qui vient de partir ! >> dit Estelle.

C'est probable. Ce pisseur est beaucoup moins exhibitionniste que l'autre. Aussi, avant de se diriger vers les lavabos, il remballe. Clémentine, les mains sous le séchoir électrique bavarde avec ce nouvel inconnu. Soudain, le type, avec un culot impressionnant, mime une pipe. Son poing fermé qu'il tourne devant sa bouche. Il montre sa braguette de son index avant de montrer la porte d'un des deux cabinets. Clémentine place son index sur sa poitrine. Nous devinons le mot qu'elle prononce : << Moi ? >>. Estelle me dit : << Va t-elle sucer ? >>.

Un autre client se lève. << Put-Hein le con ! On est abonné aux cons mais on n'a pas pris l'option "pisseur" ! >> fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Nous fixons l'écran du téléphone. La porte des toilettes s'ouvre. Le mec tombe sur le couple qui bavarde. Nous le voyons hésiter à son tour. Finalement, c'est Clémentine qui coupe court à la conversation. Mettant ainsi un terme à cette attente. << Oh merde ! Foutu ! >> lance Estelle qui me palpe la braguette. Nous voyons Clémentine qui remonte. Elle passe devant notre table avec un sourire.

Il est déjà 22 h. La salle commence à se vider. Je demande l'addition à Clémentine qui vient rapidement nous demander : << Vous avez vu ? Sympa non, ce qui se passe dans les toilettes hommes quand il y a une femme ! >>. Estelle répond : << On se mâte le film demain soir ! >>. C'est Anne-Marie qui nous apporte l'addition. Elle nous demande : << Alors, concluant ? >>. Estelle lui raconte en quelques mots. Anne-Marie conclue : << Une amorce. Le premier mec est un habitué. C'est un vicelard. Il vient le plus souvent à midi ! >>.

Clémentine vient nous rejoindre. << Je me change. On se casse ! >>. Elle s'en va pour contourner le comptoir derrière lequel Anne-Marie prépare les additions. Julie vient nous rejoindre. Il ne reste qu'une dizaine de clients. << C'était comment ? >> demande t-elle. Estelle répond : << La bite de Julien sous la table ou Clémentine dans les chiottes ? >>. Julie éclate de rire en contournant la table. J'écarte la nappe pour qu'elle puisse voir ma queue dans la main d'Estelle. Estelle qui dit : << Ça fait envie, non ? >>. Julie répond : << Oui ! >>.

Nous nous levons. Nous allons au comptoir pour remercier Anne-Marie, la féliciter pour la qualité du repas. Je dis : << Anne-Marie, quand donc aurons-nous la joie de vous avoir à table à la maison ! >>. La tante à Julie s'empresse de répondre : << Forcément un lundi soir. Avec Julie ! >>. Les deux femmes entretiennent une relation intime. Mais sa tante est bisexuelle. Elle aime à le préciser. Julie nous raccompagne jusqu'à la porte. Nous n'y sommes pas deux minutes que Clémentine vient nous rejoindre. << J'ai récupéré mon téléphone ! >> dit elle.

<< À demain matin, pour le ménage ! >> nous fait Julie. Estelle lui lance : << Reviens sur l'invitation de Julien au près de ta tante ! >>. Julie s'empresse de répondre : << Avec plaisir. Je vous tiens informés ! >>. Nous partons. Il y a quinze kilomètres par la petite départementale. Estelle et Clémentine sont assises devant. Je roule doucement. elles jouent avec ma queue. Il est presque 23 h quand nous arrivons à la maison. Estelle nous quitte immédiatement. Elle revient demain, samedi, pour 13 h30. Clémentine est hyper excitée.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se font offrir un délicieux cunnilingus avant de s'endormir dans les bras de leur homme...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1773 -



Un samedi à nous remettre de nos émotions

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Clémentine vient se blottir contre moi. Pas seulement par besoin de câlins mais parce que le troisième jour de ses "petits machins" est pénible. Je pose mes lèvres sur le tissu de son T-shirt. La bouche ouverte je souffle de l'air chaud sur la pointe de ses petits seins. << Mmhh, c'est bon déjà le matin ! >> murmure t-elle. L'impérieux besoin naturelle ne nous laisse aucun autre choix. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings, de nos sweats en lycra, nous dévalons les escaliers.

Il fait moins froid dans la cuisine car les radiateurs chauffent depuis deux heures. Pendant que Clémentine fait le café, presse nos dernières oranges, pèle nos derniers kiwis, j'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. L'horrible claquement sec et sonore du grille pain. Je propose d'en acheter un autre, plus récent. << Oh oui ! Sinon, celui-là, je le jette par la fenêtre ! >> lance Clémentine. Rire. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos aventures de hier soir. Clémentine dans son rôle de serveuse. Depuis l'interphone j'ouvre le portail.

Elle me raconte les propos échangés avec les mecs dans les toilettes du sous-sol du restaurant. Nous mangeons de bon appétit en riant aux éclats. Je lui raconte notre repas, Estelle et moi jouant le rôle de clients parfaitement anonymes. Il est 8 h25. Du bruit dans le hall d'entrée. C'est Julie. Enfin, elle entre comme chez elle. Il était temps. Elle se précipite vers nous toute heureuse. << C'était génial hier soir. De vous savoir dans la salle m'a fait tellement plaisir ! >> lance t-elle. Julie est vêtue d'un gros pull, de son jeans de ses bottines. Ses lunettes.

La vaisselle. Nous laissons Julie à ses occupations. Faire le ménage n'est qu'un prétexte pour venir passer la matinée dans cette maison qu'elle aime tant. Nous montons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Avec ce froid polaire qui persiste, nous n'avons pas le courage d'aller courir en extérieur. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol. Comme hier, à cause de son bobo ventral, Clémentine remplace les abdos par du vélo. Charges additionnelles.

Le retour au calme avec un bon stretching soulage considérablement Clémentine. Ce sont des mouvements lents, à profondes respirations. Un peu comme l'eurythmie. La douche. Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Nous entendons Julie passer l'aspirateur. Il est presque 10 h. Voilà Danièle au volant de sa camionnette. Grand sourire. Du hayon arrière elle tire nos deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes. De belles salades, des bottes de carottes, un choux fleur.

L'autre contient nos yaourts, nos fromages, le beurre, les œufs, les petits pots de crème fraîche. Même commande pour samedi prochain. Nous rendons les deux cageots consignés de la semaine dernière. Paiement par carte. Nous nous saluons. Danièle a encore beaucoup de clients à livrer. Voilà le tube Citroën de la boulangère. Madame Marthe aussi à de grands sourires en nous racontant quelques anecdotes du bourg. Nous récupérons nos deux miches, notre brioche au pudding, nos deux pâtes feuilletées. Madame Marthe nous offre deux croissants.

Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. Nous nous saluons. Clémentine propose de remplir la brouette d'une vingtaine de bûches. Nous contournons la maison pour descendre dans la cave. Sur les étagères du cellier, nous disposons les fruits, les légumes. Dans le congélateur, je mets une des deux grosses miches de pain, les deux pâtes feuilletées. J'en sors un paquet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous remontons pour ranger nos produits laitiers dans le réfrigérateur. Julie est entrain d'aspirer.

Avant de sortir de la cuisine pour passer au salon nous lui déposons chacun un bisou sur le front. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un message d'Édimbourg. Oncle Alan nous raconte les conditions météorologiques. Les mesures sanitaires qui sont levées. Un courriel de Juliette qui nous invite à faire un tour demain, au haras. Pendant que Clémentine répond, surfe sur le site de l'université, je glisse un billet de 50€ dans la petite enveloppe jaune. Avec nos commandes pour lundi soir. Clémentine y rajoute un petit mot gentil. Je signe.

Il est 11 h15. Julie vient nous rejoindre. << Vous avez une belle maison propre jusqu'à samedi prochain ! >> dit elle. Je lui tends la petite enveloppe. << Merci ! >>. Elle demande : << Ça vous a plu hier soir ? >>. C'est Clémentine qui répond : << J'ai filmé les "rencontres" dans les toilettes. On visionne le film lundi soir. Ça ne dure que dix minutes. Nous on se le regarde ce soir avec Estelle ! >>. Julie s'écrie : << Comme j'aimerais être avec vous ! Moi ce soir je bosse ! >>. Nous bavardons encore un peu. Clémentine donne des détails savoureux.

Julie, extrêmement voyeuse, dit à Clémentine : << Tu vois à quoi je m'amuse au restaurant, entre deux services ! >>. Nous rions de bon cœur. Julie rajoute : << J'ai vaguement parlé à ma tante de votre invitation. Anne-Marie est ravie. Ce sera sans doute pour lundi en huit. Je vous préviendrai avant ! >>. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Assise au volant, la vitre baissée, Julie fixe ma braguette. Un regard franc, direct. << Vivement lundi soir ! Je me réjouis ! >> fait-elle en démarrant. Un dernier coucou. Nous regardons l'auto partir.

Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Morts de faim, nous nous mettons à la préparation du repas. Clémentine s'occupe de la salade, de l'assaisonnement. Je fais le bouillon pour y jeter les moules encore congelées. Dans le wok, je vide le contenu des sachets. Les haricots verts et les petits pois sont encore congelés aussi. Pas grave. Ça part un peu en flotte durant la cuisson. Il me suffit d'égoutter avec l'écumoire. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la soirée. Clémentine a vécu un grand moment dans les chiottes.

Les situations ambiguës dans les endroits glauques lui procurent d'indicibles sensations. Clémentine fait le parallèle avec d'autres situations du même genre qu'elle a déjà vécu tant de fois. Elle me raconte ses premières fois. Même si je connais toutes ses histoires par cœur, c'est un bonheur de découvrir de nouveaux détails. Elles avaient quinze ans. Avec Estelle, elles s'amusaient déjà toutes les deux à ces jeux de voyeuses. Ces récits m'excitent toujours considérablement. << Il y a eu pas mal d'occasions ratées et d'actes manqués ! >> lance t-elle.

Nous en rions de bon cœur. Clémentine rajoute : << Si tu avais été là pour sécuriser mes "plans", j'aurais vécu des choses extraordinaires. Mais seule, le risque était trop grand ! >>. Je dis : << Depuis cinq ans de vie commune, tu as rattrapé le temps perdu ! >>. Nous éclatons de rire. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur des anecdotes précises. Des situations particulièrement fortes que nous avons vécu ensemble. << Tu sais qu'avec l'âge mes pulsions ne se calment pas. Bien au contraire ! >> lance t-elle en riant.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres. Lorsque Julie termine le ménage à l'étage ou en bas, elle allume toujours les diffuseurs d'arômes. En haut il y a les effluves parfumées du magnolia. En bas celles du jasmin. Nous descendons bras dessus, bras dessous. Voilà Estelle qui arrive. Son sac de sport à la main. Elle se précipite pour nous faire des bises. Nous restons tous les trois serrés forts. Comme si cela faisait des mois que nous ne nous étions vus. C'est tellement bon d'être ensemble.

Estelle monte à l'étage avec son sac. Nous l'attendons dans l'atelier. Elle vient nous y rejoindre. Même si les deux radiateurs chauffent la grande pièce, l'appoint d'un bon feu est un apport confortable. Estelle adore allumer la cheminée. Tout en froissant le papier, disposant le petit bois, Estelle revient sur notre soirée au restaurant. Elle raconte à Clémentine des détails que j'ai omis. Quand elle m'a sorti le Zob sous la table. Clémentine éclate de rire. C'est vrai que j'ai passé une bonne partie du repas avec la bite à l'air. Dissimulée par le nappe.

<< Il y a juste Julie qui est venue voir et qui savait ! >> rajoute Estelle. << Ah, c'est pour ça qu'elle regardait ta braguette avec tant d'insistance dans la voiture ! >> lance Clémentine. Estelle qui s'écrie : << Ça fait vingt minutes que je suis là et je n'ai pas encore vu ta queue ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine déboutonne ma braguette. Estelle craque une longue allumette. La flambée est immédiate. Vive et spectaculaire. Me voilà avec le sexe mou tenu à sa base entre le pouce et l'index de Clémentine. Estelle, les bras croisés, observe.

<< Moi aussi, je veux faire la serveuse un de ces jours ! La vraie voyeuse, c'est moi ! >> s'écrie t-elle soudain. << On en parle à Julie lundi soir, quand elle vient ! >> lance Clémentine. << Je suis beaucoup moins adroite que toi pour interpréter un rôle. Et devant des clients. Je crois que je serais morte de peur ! >> fait encore Estelle qui n'est pas vraiment exhibitionniste. << Je vais t'apprendre ! >> dit Clémentine. Nous rions. Je propose à Estelle d'interpréter ce rôle ici, mardi prochain par exemple : << Tu fais la serveuse ! >>. Estelle reste pensive.

Je bande mou. Clémentine agite ma queue en direction d'Estelle en disant : << Ça vaut le coup ! Tu en verras d'autres dans les chiottes ! >>. Nous sommes pliés de rire. Avec le froid glacial qu'il fait dehors, ce ciel gris et menaçant, nous préférons rester à la maison. Nous ferons notre randonnée demain. Clémentine propose d'avancer dans nos travaux respectifs. << Bonne idée ! >> lance Estelle qui vient me tripoter la bite. Elle dit : << Ce soir, on se mâte le petit film réalisé par Clémentine. Tu seras bien salaud ? >>. Je réponds : << Oui ! >>.

Estelle et Clémentine sont assises devant l'ordinateur, entourées de leurs fiches. La capacité féminine à passer d'une situation à une autre suscite toujours mon admiration. Debout derrière elles, mes mains autour de leurs épaules, je regarde l'écran. Je me penche pour écouter leurs explications. Je dépose des bisous sur leurs joues. Elles saisissent mes poignets comme pour m'empêcher de les laisser. Alors je lisse leurs cheveux. Je passe de l'une à l'autre. << J'adore ! >> lance Estelle. << J'adore encore plus ! >> fait Clémentine. Mes deux anges.

Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette troisième scène de genre destinée à ma saison d'été me plonge dans mon autre passion. Je peins en savourant chaque instants. J'aime entendre les filles commenter leurs travaux, échanger des façons de procéder, s'expliquer des formules. Mon plaisir est double. Triple même. Parfois, l'une ou l'autre se lève pour venir me faire un bisou dans la nuque. Parfois c'est moi qui vais les rejoindre pour faire pareil. C'est un enchantement paradisiaque.

L'après-midi se déroule ainsi. C'est magique. Les jours durent plus longtemps. C'est bien perceptible en ce 22 janvier. << Faim, manger ! >> lance Estelle. << Soif, boire ! >> rajoute Clémentine. Je dis : << Pipe, sucer ! >>. Nous sommes pliés de rire. Les filles rangent leurs affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous avons tous les trois bien avancé dans nos préparations. Il est 18 h30. Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit caverneux, sourd, qui résonne longuement. Nous sommes tous les trois assis sur les poufs devant la cheminée.

Les filles se serrent encore plus fort contre moi. Nous écoutons ces étranges manifestations paranormales. Ce soir, c'est un véritable vacarme qui dure trois à quatre minutes. << Put-hein, mais Christine a tout cassé là-haut ! >> lance Estelle. << Ça m'étonnerait. Au-dessus de l'atelier, c'est la salle d'entraînement. Il n'y a que des machines de musculations, des haltères, les tapis roulants et les vélos ! >> fait Clémentine. << Venez, on monte voir ! >> dit elle en se levant. Elle nous prend par la main. Nous quittons l'atelier pour les escaliers.

Bien évidemment, rien a bougé. Tout est en ordre. Nous sommes tous les trois assis sur les bancs de musculation à nous regarder, dubitatifs quand un souffle glacial passe dans la grande pièce. Cette salle est peu chauffée. Mais là, c'est vraiment un froid intense qui nous enveloppe quelques secondes. Plus rien. Nous redescendons l'escalier pour aller à la cuisine. Assis autour de la table, nous épluchons les pommes de terres, les carottes, les navets, le céleri. Nous parlons de tout à fait autre chose. Les filles évoquent leurs études, les cours de lundi.

Nous coupons les légumes après les avoir lavé. Des morceaux grossiers que Clémentine jette dans la vieille cocotte en fonte noire. Estelle remue sans arrêt avec la spatule en bois. Clémentine prépare la salade de tomates. Dans la poêle, je fais rissoler trois dos de cabillauds blancs. Avec des champignons, de l'ail, de l'oignon, du persil, de la ciboulette. En fin de cuisson, je rajoute un petit pot de crème fraîche. Dans la potée de légumes, Estelle rajoute quelques dés de Morbier, de Saint Nectaire. C'est un délice quand ça fond avec l'ensemble.

Nous mangeons de bon appétit. La potée de légumes nous fera l'accompagnement des deux repas de demain. Il en restera même pour celui de lundi. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le programme de demain. Si la météo le permet, nous irons randonner. Dans le froid vif, chaudement vêtus, c'est une vrai petit bonheur. Un excellent projet. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon par les mains. C'est dans une sorte de farandole que nous faisons le tour de la grande pièce en chantant.

Elles me font tomber dans le canapé. Estelle me détache les lacets, Clémentine déboutonne mon jeans. Toutes les deux m'arrachent littéralement mes vêtements. Me voilà en chaussettes et en chemise. Je ne m'attendais absolument pas à cette surprise. << Notre bon docteur s'occupe toujours tellement bien de nous que nous lui sommes redevables de tant d'attention ! >> me fait Estelle en saisissant ma bite à pleine main. Clémentine allume la télé pour y brancher son I-phone. << On se mâte "Toilets adventures ! >> dit-elle. Nous rions.

L'image est d'une précision inouïe. Même si la lumière des toilettes donne l'impression de filmer l'intérieur d'un laboratoire. Estelle est à ma droite. Elle tord déjà ma queue dans tous les sens. Clémentine à ma gauche qui manipule la télécommande. << C'est parti ! >> s'écrie t-elle. Nous découvrons sur grand écran les images vues sur le téléphone hier, en mangeant. J'invite le lecteur à relire le récit de hier pour bien comprendre le film que nous regardons. Clémentine qui se lave les mains devant le lavabo. La porte qui s'ouvre, le mec qui rentre.

C'est filmé depuis le haut du mur qui sépare les cabinets de la salle. La résonance est horrible. On ne comprend rien. Il faut baisser le son car c'est épouvantable. La scène est donc vue d'en haut. Les protagonistes en bas. Je bande dans la main d'Estelle. Clémentine commente les images. Elle nous raconte la nature des propos échangés. << Le mec me fait des compliments. Il me demande si je suis nouvelle. Si je suis étudiante comme Julie. C'est un habitué du restaurant mais il vient le plus souvent seul à midi ! >>. Nous écoutons, nous regardons.

Estelle me masturbe doucement. Puis elle se met à tordre mon sexe. Surtout vers le bas car elle sait que c'est presque douloureux. La coquine. Ce n'est pas pour me faire mal, mais pour provoquer des réactions qui la font rire. Le film ne dure qu'une dizaine de minutes. Nous voyons les trois mecs différents entrer successivement pour aller pisser. La présence de cette sublime jeune fille, hyper sexy dans les toilettes a de quoi les surprendre. Le dernier n'arrive même pas à faire pipi. Par contre il montre volontiers sa superbe queue à Clémentine.

<< Je n'ai jamais eu les mains aussi propres ! >> lance Clémentine en remettant le film au début. Nous sommes pliés de rire. Estelle a glissé une main dans son jeans déboutonné, dans sa culotte. Elle se masturbe de sa main gauche, me masturbe de sa main droite. Je glisse ma main gauche pour descendre le long de son poignet. Je prends le relais. Elle tient mon poignet pour que surtout je n'arrête pas. Clémentine se touche. Elle fait des arrêts sur images pour préciser quelques détails. << Génial de comparer des queues ! >> lance Estelle.

Je me lève soudain. Debout entre les pieds d'Estelle je l'attrape par la nuque. << Salaud ! >> s'écrie t-elle. Pourtant, ces jeux la passionne tellement. Je tente de lui fourrer la queue dans la bouche. Comme toujours, dans ces situations, Estelle garde ostensiblement les lèvres serrées. Clémentine rapproche sa tête de celle d'Estelle pour apprécier chaque expression. Estelle a remis sa main dans sa culotte. Je lui frotte la bite sur la gueule. Elle tente une fois encore de se soustraire de cette étreinte tant souhaitée. Ce jeu nous enchante tous les trois.

Je passe à Clémentine. Ce ne sont pas les mêmes réactions. Clémentine ouvre la bouche pour m'y accueillir en poussant un gémissement d'émerveillement. Elle se touche. Estelle, son visage tout près de celui de Clémentine, observe cette pipe juteuse. Avec l'excitation du film, mes épanchements de liquide séminal sont d'une abondance folle. Les gargouillis, les bruits bulleux, trahissent cette fellation d'une qualité supérieure. Je me retire. Clémentine nous montre l'intérieur de sa bouche avant de m'attraper par les fesses pour que je revienne.

Estelle se lève. Son visage tout près du mien, elle en scrute chaque expression. Elle me murmure des choses salaces. << J'aime te voir en pleine séance de jouissance ! >> chuchote t-elle à plusieurs reprises. De sa main libre, elle empoigne mes couilles par derrière. J'imprime un léger mouvement du bassin pour me masturber dans la bouche de Clémentine. Estelle enfonce sa langue exploratrice dans ma bouche. Je suis enivré de plaisir. Si Estelle ne s'agrippait pas aussi fortement à moi, je perdais l'équilibre. Je vacille sous l'effet de tant de douceurs.

Estelle me tient les couilles. Quand elle cesse de se toucher c'est pour se frotter contre ma hanche. Clémentine cesse de pomper toutes les deux trois minutes. Elle nous regarde nous embrasser. Elle recommence à piper avec tant de passion. Nous pouvons l'entendre déglutir avec peine, reprendre son souffle, gémir de plaisir. Sa dégustation est savoureuse. Les petits cris de ravissements témoignent de son exaltation. Estelle se cambre un instant. La coquine est soudain possédé d'un orgasme. C'est elle qui s'accroche à moi. Comme une liane multiple.

J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui pousse un râle de satisfaction. Estelle tombe dans le canapé, ses mains entre ses cuisses. Elle ouvre ses yeux larmoyants en me fixant d'un regard plein de reconnaissance. Je retire ma queue gluante de la bouche de Clémentine pour l'offrir à Estelle. Le long filament de foutre épais et visqueux relie encore mon sexe aux lèvres de Clémentine. Estelle se précipite pour gober l'ensemble en poussant un cri de joie. Je la laisse me faire le "fond de cuve". Mes lombaires me rappellent leurs existences. Je me retire.

Il n'est que 22 h30. Je propose aux filles de leurs offrir un supplément au lit. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Mes deux anges m'entraînent à l'étage par les bras. Je suis à poil dans l'escalier. Nous nous lavons les dents en faisant les fous. Au lit, j'offre à Clémentine un suçage de clitoris qui la laisse exténuée. Estelle me taille une pipe des familles. Je lui éjacule au fond de la gorge. Elle manque de s'étouffer. Elle tousse. Clémentine à ma droite, Estelle à ma gauche, blotties toutes deux contre moi, nous nous endormons comme des enclumes.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines que les rapports génitaux buccaux comblent d'aises. Surtout au lit pour un dernier "tour"...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1774 -



Un dimanche très paresseux mais agréablement reposant

Hier matin, dimanche, il est 9 h30 quand nous émergeons tous les trois en même temps d'un profond sommeil. << Nous en avions besoin ! >> dit Clémentine en se blottissant contre moi. << C'est si bien les grasses matinées ! >> fait Estelle en se serrant fort. Je passe mes bras autour des épaules de mes deux anges. Estelle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection. Clémentine y glisse la sienne pour empoigner mes couilles. Toutes les deux se tournent sur le côté pour se frotter contre mes hanches. Nous restons ainsi. Réveil divin.

Hélas, cet enchantement ne dure pas. Estelle, tourmentée par les affres du pipi, se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. Clémentine me chevauche pour frotter son sexe sur le mien. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. << Je n'ai plus mal ! >> lance Clémentine. Elle fait allusion à ses "petits machins". Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café qui se mêle à celle du pain grillé. La brioche trône sur la table.

J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine presse nos oranges, Estelle pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. Le visionnage du petit film tourné vendredi soir dans les toilettes du restaurant. Encore un merveilleux prétexte pour nous offrir une séance de folies pures. << Tu m'as éjaculé dans la bouche, cochon ! >> me fait Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Clémentine mime une pipe en disant : << Et à moi aussi ! Dans le cochon tout est bon. Surtout la queue ! >>.

Nous rions de bon cœur. La conversation tourne autour de toutes les déclinaisons possibles du voyeurisme en toilettes publiques. Nous mangeons de bon appétit en riant souvent aux éclats. Le dimanche pas d'entraînement. Le ménage est fait. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent sur le programme de cet après-midi. Avec ce froid, une bonne randonnée, chaudement vêtus, saura agrémenter ce dimanche de janvier. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Estelle s'habille.

Nous faisons notre lit dans une chambre glaciale. Il faut fermer les fenêtres. Nous dévalons les escaliers. Pressés d'aller faire quelques pas au dehors. Le ciel est gris, bas mais pas menaçant. Le thermomètre extérieur indique 4°. Il est 10 h30. Vêtus de nos anoraks, sous nos bonnets, nous allons jusqu'à l'étang qui s'est formé empêchant l'accès à la rivière. Les filles restent serrées contre moi. Estelle et Clémentine se voient tous les jours, à l'université ou ici. Depuis l'âge de 12 ans. Elles ont 24 ans. << C'est un anniversaire qui se fête ! >> disent elles.

J'écoute la conversation. C'est admirable l'amitié qui lit ces deux filles depuis si longtemps. C'est le 25 janvier 2010 qu'elles ont scellé ce "pacte". Rester ensemble toute leurs vies, quoi qu'il arrive. Un serment de femme est sacré. Je suis arrivé dans la vie de Clémentine en aout 2016. Nous vivons ensemble depuis janvier 2017. Je narre nos aventures sous la forme d'un journal quotidien depuis mars 2017. Je les écoute évoquer tout cela avec un sens du détail, avec une mémoire infaillible. Par la force des choses, il s'est formée une relation à trois.

Ce qui n'est pas pour nous déplaire. Je propose de fêter cet anniversaire du 25 janvier comme il se doit. Cette année ce sera mardi. Le mardi après-midi, Estelle et Clémentine n'ont pas cours. Pourquoi ne pas êtres tous les trois dès 14 h. << Je mange avec mes parents puis j'arrive pour 13 h30 ! >> lance Estelle en sautillant autour de nous. Elle nous prend soudain la main avec un air grave. << Je ne pourrais plus vivre sans vous ! >>. Clémentine s'empresse de répondre : << Mon non plus ! >>. Je ne sais quoi dire. Alors je répète : << Mon non plus ! >>.

Nous faisons une farandole en remontant le chemin sur ses trois cent mètres. C'est ainsi que nous surprend monsieur Bertrand. Notre voisin va nourrir ses amis les canards. Il est enchanté par le spectacle. << On rentre de l'école avec papa, ou on y va ? >> demande t-il en riant. Estelle répond : << Il n'y a pas école le dimanche ! >>. Clémentine rajoute : << On revient de la messe ! >>. Nous rions aux éclats en bavardant un peu avec Louis. Nous le saluons pour rentrer au chaud avec une brouette emplit d'une vingtaine de bûches. Bois de hêtre.

Estelle se frotte contre moi en me déposant des bisous en mitraille. Clémentine revient des toilettes, toute souriante. << C'est fini pour presque un mois ! >> dit elle. Ses "petits machins" sont terminés. Elle vient se blottir. Nous restons tous les trois ainsi à savourer cet intense bonheur. Ce privilège indicible qui nous unit. Je murmure : << Mes sœurs jumelles ! >>. Elles se frottent en gémissant de plaisir. Il commence à faire faim. Clémentine s'occupe de la salade, de l'assaisonnement. Estelle prépare les pavés de saumon à la crème.

Je réchauffe la potée de légumes. Les filles parlent de leurs cours. Sereines car leurs préparations sont faites depuis hier. Je mets les assiettes et les couverts. Estelle s'accroupit devant moi pour déboutonner ma braguette. << Il faut que je vérifie si tout est en ordre. En ce moment règne une certaine anarchie dans le royaume ! >>. Clémentine s'approche pour regarder Estelle me sortir le Zob. Le dimanche, pas de douche. Estelle scrute attentivement l'extrémité du prépuce fripé qu'elle décalotte lentement. Comme si c'était un kinder surprise.

<< Beurk ! Monsieur Schlinguo ! Pouahhh ! >> lance t-elle en montrant à Clémentine les granules homéopathiques de Parmezob. C'est vrai. L'odeur de bite sale nous monte aux narines. Clémentine se penche. Leurs visages à quelques centimètres de ma queue, elles en hument les effluves fromagères. << On va te nettoyer ça après la bouffe ! >> fait Estelle en se redressant. Clémentine s'accroupit à son tour mais pour passer sa langue sur la peau, titiller le méat. << Si je commence, je n'arrête plus ! >> dit Clémentine en se redressant. Nous rions.

Je fais : << Ouf, je l'ai échappé belles ! Belles au pluriel ! >>. Estelle passe sa langue sur ma bouche en disant : << Ne te réjouis pas trop vite, le sort qui t'attend n'est pas enviable pour un honnête homme ! >>. Je réponds : << Aujourd'hui, je n'ai pas envie de me comporter en honnête homme ! >>. Je suis prié de garder la bite à l'air. J'ai beau prétendre que ce n'est pas très agréable une fois assis avec une braguette boutons. << Tu discutes pas ! >> lance Estelle. Nous voilà assis à savourer ce simple mais délicieux repas. C'est vraiment bon.

Nous ne traînons pas. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Notre besoin d'action revient à la charge. Nous montons nous laver les dents. Nos grosses godasses à la main, nous dévalons les escaliers. Nous nous habillons chaudement. Il est à peine 13 h30. Nous montons jusqu'au portail. Nous traversons la route pour nous engager dans la forêt. Le chemin est humide mais comme le sol est pierreux, sableux par endroits, la marche est relativement aisée. Les filles restent serrées contre moi en me tenant par le bras. Nous marchons d'un bon pas.

J'écoute beaucoup plus que je ne parle. Les échanges et les conversations de mes deux anges sont toujours si intéressantes. Il y a de nombreux arrêts où l'une fouille ma bouche pendant que l'autre palpe ma bosse. Je glisse alors mes mains entre leurs cuisses chaudes. Nous fonctionnons aux câlins. << Dix câlins au kilomètre ! >> comme aime à le dire Estelle. << Oh ! C'est souvent davantage ! >> surenchérit Clémentine. Nous faisons la boucle des quatre heures. C'est un bonheur de parcourir la campagne chaudement vêtus dans un froid polaire.

Il est 17 h30 quand nous arrivons au haras. Comme promis à Juliette nous venons faire un petit coucou. La nuit tombe. Il y a encore plein de voitures garées dans la cour. De jeunes cavalières rentrent de promenades. Il y a une sorte d'effervescence. Juliette bavarde avec des propriétaires de chevaux. Elle nous voit. Comme d'habitude, nous restons en retrait. Pour ne pas déranger mais aussi pour rester entre nous. Il y a madame Walter. Bernadette est l'assistante de direction. Elle marche d'un bon pas pour venir nous saluer. Tenue d'écuyère.

Nous sommes toujours contents de nous revoir. Bernadette est une femme très discrète. Passionnante avec ce mystère dont elle s'entoure. Même si jadis, il y a deux trois ans, nous avons partousé ensemble, il subsiste plein de zones d'ombre. Ce qui est formidable. Juliette arrive à son tour. << Ça me fait toujours tellement plaisir quand vous passez le dimanche soir ! >> nous confie t-elle. Mais à peine est-elle avec nous deux minutes que déjà la voilà sollicitée. Nous la saluons ainsi que madame Walter à qui je propose de venir manger un de ces soirs.

Soudain toute radieuse, Bernadette répond : << Oh, alors là, vraiment avec plaisir ! >>. Nous nous saluons. Nous rentrons en restant sur l'étroite route communale. Sur les trois kilomètres nous ne croisons pas une seule voiture. Clémentine porte la lampe frontale pour nous éclairer. Avec cette brume c'est une nuit sans lune. Il est presque 19 h quand nous revenons à la maison. Fourbus mais morts de faim. Clémentine fait la salade. Estelle concocte la belle et grosse omelette du dimanche soir. Je réchauffe la potée de légumes. C'est miam.

La préparation est rapide. Je passe derrière Estelle pour glisser mes bras autour d'elle. Les mains occupées elle murmure : << J'adore les coquins qui savent profiter des opportunités ! >>. Je glisse mes mains sur son sexe. << Mmhh ! Tu profites si bien ! >> rajoute t-elle. << Moi aussi j'adore les coquins profiteurs ! >> lance Clémentine. Je lui administre le même traitement. Nous voilà assis devant un simple mais si bon repas. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent sur notre visite au haras. Juliette, Bernadette...

Je dis : << Après la vaisselle, les filles, il faut que je procède au contrôle du dimanche soir ! >>. Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. Elles se lèvent d'un bond. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les coquines m'entrainent par les mains au salon. La fatigue se fait sentir. Nous sommes pressés de jeter nos dernières forces dans une soirée de folies. Estelle et Clémentine retirent leurs jeans et leurs culottes en un temps record. Je ris en les voyant balancer leurs fringues n'importe où. Elles sont juste en chaussettes, en chemises.

Vautrées dans le canapé,leurs jambes relevées et écartées en les tenant sous les genoux, elle m'offrent leurs sublimes croupions en riant aux éclats. Je suis impatient de fourrer mon visage dans ces invraisemblables touffes. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Je commence toujours par la chatte d'Estelle. L'odeur forte de fille négligée me fait frissonner. Un mélange d'excitation et de dégoût. C'est absolument divin. Il faut surmonter en sentant cet irrépressible envie de cunnilingus monter en moi. Je fourre mon visage là dedans.

Estelle et Clémentine se masturbent pendant que je fouille leurs intimités. Des filles qui ont marché plusieurs heures, qui n'ont pas vu de savon de la journée, offrent les substances les plus divines. C'est un second dessert. Le "yaourt" d'Estelle contient de petites choses non identifiables qui glissent sur la langue. Je suce son clitoris en écoutant ses petits cris d'animal blessé. Je passe au minou de Clémentine. Alors là, les amis, qu'est-ce que je me prends ! Des lampées de jus de fille qui m'enivrent jusqu'au vertige. Ça me fait frissonner.

Je suce son clitoris géant que je décalotte pour bien nettoyer autour. C'est là que se cache les petits granulats qui fondent sous la langue. Il y a ainsi plusieurs allése et venues de l'une à l'autre. Estelle jouit la première dans un hurlement. J'ai toujours peur de lui avoir fait mal quand elle me repousse pour se coucher sur le côté, les mains entre ses cuisses. L'orgasme de Clémentine n'a rien à lui envier. J'ai juste le temps de placer la cuvette en plastique toujours prête. C'est pisseux encore ce soir. Je me régale à sucer les derniers reliquats de mélange.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment la petites toilette intime du dimanche soir. Estelle obligée de nous laisser à 22 heures...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1775 -



La présence de Julie, en soirée, pour le repas

Hier matin, lundi, ce sont les cris des mouettes qui nous arrachent du sommeil. C'est qu'on dormait profondément. Il est presque six heures. La sirène d'un gros bateau vient parfaire l'illusion de nous réveiller dans un port. L'application "océan" parait si réelle. Clémentine se blottit contre moi. Nous restons quelques instants en tentant de plonger dans la réalité. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. J'allume le feu dans la cuisinière à bois.

Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis. Le claquement sec du grille pain qui éjecte les premières tranches nous met devant une certitude. Il faut un acheter un neuf. Qui fera moins de bruit. Plus rapide aussi. Le lundi matin il reste toujours de la brioche. Rapidement tout cela embaume la grande pièce. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ce week-end. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur ce qui n'est déjà plus qu'amusants souvenirs. Il est 6 h25. Nous remontons pour notre entraînement.

Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos, charges additionnelles. Le stretching de retour au calme. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il est 7 h45. Le jour se lève dans le froid toujours aussi glacial. À peine s'il fait 2°. Clémentine vient me rejoindre, emmitouflée dans son anorak. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre, qui se referme. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer. Je fais la vaisselle, le lit, avant d'aller dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée.

Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantant "Le grand café" de Charles Trenet. La peinture de cette troisième scène de genre destinée à ma saison d'été, me plonge dans ma passion. Je peins dans un enchantement de chaque instant. La matinée passe à une vitesse folle. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe le reste de potée de légumes en faisant rissoler un filet de flétan. Je prépare une belle salade de carottes.

Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. L'invité d'André Bercoff peut s'exprimer sur cette station sans risquer les foudres d'une censure. Je débarrasse pour faire la vaisselle avant de monter me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors, je redescends à toute vitesse pour enfiler mon anorak. Je ne me souviens pas d'un hiver où il a fait froid si longtemps. Trois mois que ça dure. Mais je me dis les mêmes choses chaque hiver. Le ciel est d'un gris lumineux. Je reste sur les dalles de grès car le sol est humide. Mouillé par endroits.

Il est 13 h30 quand je suis à nouveau devant ma toile. Je peins avec le même enchantement que ce matin. Une fois encore le temps m'échappe totalement. Avec les années j'ai la très nette impression que tout s'accélère. C'est à la fois détestable et inquiétant. Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa matinée, le repas du restaurant universitaire. Estelle qui me passe le bonjour. << Me masse le jonbour ! >>.

Clémentine a ses notes à mettre au propre. Elle est assise devant son ordinateur. Cette séquence d'émulation commune est un autre enchantement. Il est 18 h15. << Stop ! J'arrête ou je pète un câble ! >> s'écrie t-elle soudain. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Clémentine vient me rejoindre. Nous sommes dans l'obscurité, sur le vieux canapé de velours carmin. Seules les dernières flammes projettent des ombres sur les murs. Clémentine, couchée sur le dos, sa tête sur mes cuisses, me caresse la main en revenant sur ses cours.

Du bruit. Quelle surprise. Julie entre dans l'atelier. Elle est toute souriante. Ce soir, elle est un peu la seule manifestation "paranormale" de la maison. Clémentine se redresse. << Viens ! >> lance t-elle à Julie qui vient s'assoir à ses côtés. Julie nous raconte son week-end. Son samedi soir de serveuse. La présence de ses papys, de ses mamies. L'ambiance de fête permanente avec ses parents. Son impatience d'être de retour ici. << J'ai déjà rentré les repas ! >> précise t-elle. Par association d'idée, c'est vrai qu'il commence à faire faim.

Nous nous levons pour quitter l'atelier. Dans la cuisine, sur la chaise, la grande boîte isotherme contenant nos commandes. Les trois feuillantines au saumon, les deux tourtes au crabe pour demain. Dans le sachet de papier kraft, nos bacs à salades. Je mets les assiettes, les couverts. Je surprends le regard furtif de Julie sur ma braguette. Deux fois. Elle s'étonne probablement que rien n'en dépasse encore. Clémentine, à qui rien n'échappe, me fait un clin d'œil en retirant les opercules sur les bacs à salades. Nous voilà assis tous les trois.

Nous mangeons de bon appétit. Il est à peine 19 h. Julie évoque ses études littéraires. En Lettres Modernes elle aussi avait les partiels. J'écoute les filles échanger leurs façons de procéder. Quelles que soient les études, les fonctionnements universitaires se ressemblent beaucoup. D'une faculté à l'autre. Clémentine en arrive au sujet qui nous passionne tous les trois. Le sexe. Julie n'a rien vécu de particulier samedi soir. Son job de serveuse. Par contre elle pose une série de questions à Clémentine sur ses aventures dans les WC vendredi soir.

<< Après la vaisselle, on va au salon. On te met le film. Ça ne dure que dix minutes. Tu vas voir, c'était rigolo ! >> propose Clémentine. << Oh oui, génial ! >> lance Julie. Sous la table, en essayant d'être discret, je sors ma queue. Je bande. C'est toujours difficile d'extraire mon érection plus ou moins contrainte dans le fond de mon slip. Julie se rend bien compte de ce que je fais. Elle n'ose pas soutenir mes regards. Par contre elle me fait bien comprendre son intérêt en fixant mes bras. Clémentine me lance un clin d'œil. Elle aime quand je "prépare".

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous sentons Julie impatiente de voir le film. Clémentine l'entraîne par la main en disant : << Viens ! >>. Elle allume le téléviseur. Julie s'installe dans le canapé. Tout au bout. Trop timide pour s'assoir près de moi. C'est amusant car nous vivons d'agréables promiscuités dans le placard lorsque nous faisons les voyeurs. Le comportement de Julie est quelquefois déroutant. J'ai la queue raide qui pointe vers les poutres apparentes et les moulures du plafond. Je surprends Julie à loucher sur ma bite bien dure.

Je tiens le Zob à sa base entre le pouce et l'index. Clémentine branche son téléphone. Elle prend la télécommande pour venir s'assoir entre Julie et moi. Je me lève en tenant mon sexe. Je le présente à Julie. Elle ne sait quoi regarder. Le film ou ce que je fais. Clémentine commente ce que nous voyons à l'écran en faisant quelques arrêts sur images. Julie est captivée par ce qu'elle voit. Elle ponctue les scènes par des : << Ah oui, j'ai été confrontée à ça ! >>. Ou encore : << Waouh, j'aime ce que fait ce mec ! >>. Julie, authentique voyeuse.

Totalement subjuguée par le film, elle ne prête plus aucune attention à mes activités de satyre. J'adore. Par contre Clémentine m'observe. Nous connaissons ce film par cœur. Clémentine qui en est l'actrice se rappelle de chaque instant. Je m'approche. Elle donne la télécommande à Julie pour poser ses mains sur mes hanches. Je lui passe la bite sur le visage. Julie cesse rapidement de regarder la télévision. Elle n'a plus de yeux que pour ce que je fais. Je frotte ma queue sur la gueule à Clémentine. Je le fais si vulgairement.

Je dis à Julie : << Tu voudrais aussi ? >>. Julie ne répond pas à ce genre de question. Je lui tends ma bite en l'agitant. Clémentine tourne sa tête pour murmurer à Julie : << Ce sont d'étranges impressions, je te jure, tu devrais essayer ! >>. Julie ouvre de grands yeux. Je ne tente rien. Elle n'ose pas croiser mes regards. Par contre elle reste les yeux braqués sur ma turgescence. J'enfonce doucement mon Zob dans la bouche à Clémentine. Je me fais tailler une pipe sous le regard de Julie dont j'entends la respiration de plus en plus appuyée, forte.

Je retire ma bite en y laissant un long filament de jute visqueuse et épaisse. Un filament qui relie mon sexe aux lèvres de Clémentine. Je tends ma queue une fois encore à Julie. Je la sens dévorée d'envie. Nous ne savons pas si c'est sa timidité, sa réserve ou tout autre sentiment qui l'en empêche. Clémentine émet l'hypothèse que ce serait plutôt le désir de faire monter son envie davantage à chaque fois que ce genre de choses se produit. J'opte également pour cette idée. Je n'insiste pas. J'enfonce à nouveau mon Zob. Je me fais sucer.

Julie pose la télécommande. Elle s'approche de Clémentine pour scruter au plus près les expressions de son visage. Elle passe son index dans le creux de la joue de Clémentine. Clémentine glousse en riant. Je lâche les oreilles de Clémentine pour poser une main sur la tête à Julie. L'autre sur la tête à Clémentine qui cesse de sucer pour tourner la tête vers Julie. Elle montre l'intérieur de sa bouche. Julie a un réflexe de dégout. Elle fait une horrible grimace. Julie est amoureuse de Clémentine. Je sens bien qu'elle pourrait l'embrasser malgré tout.

Hélas pour elle, comme pour mes fantasmes, Clémentine n'a strictement aucun penchant homosexuel. Julie est souvent en apnée. Excitée par ce à quoi elle assiste là. Elle reprend son souffle dans de profondes respirations. Elle laisse quelquefois échapper un gémissement de ravissement. Quoi de plus merveilleux pour une voyeuse que d'assister à de telles scènes ! Je caresse ses cheveux. Je glisse ma main en dessous pour la poser sur sa nuque. Son plaisir est évidemment double. Je tiens Clémentine de la même façon. C'est prodigieux. Sublime.

Clémentine cesse de sucer toutes les deux trois minutes. Répondre aux questions de Julie permet de laisse reposer sa mâchoire. Julie demande des impressions, des ressentis. Elle revient sur des propositions qui lui ont été faites par des messieurs dans les toilettes du restaurant. Julie répond également aux questions très précises que pose Clémentine. Je bande comme un dément. La conversation, entre deux pompages, m'excite comme jamais. Quand Clémentine ne suce pas je présente ma queue dégoulinante en l'agitant devant Julie.

Je me masturbe. Clémentine reprend sa pipe. Le visage de Julie est à une vingtaine de centimètres de celui de ma suceuse. Lorsque je tente de lui passer la queue sur la tronche, elle a un mouvement de recul. Je n'insiste jamais. Rien ne m'excite davantage que la volonté délibérée d'un libre arbitre. Je n'ai pas l'âme à forcer la nature des autres. Cette fois, quand Clémentine cesse de sucer pour répondre à la question de Julie, je lui éjacule sur le visage. Clémentine ne s'y attendait pas du tout. Elle rit, les yeux fermés, en se faisant couvrir de sperme épais.

Julie ouvre de grands yeux. << Génial ! >> s'écrie t-elle. Je lui rappelle que je lui ai fait la même chose en juin 2020, lorsque nous avons tourné son film de "soumise". C'était dans les bâtiments abandonnés des anciennes tuileries. Le lecteur qui suit nos aventures se souvient certainement de cet épisode épique. Julie, du bout de son index, récupère de la jute sur le front de Clémentine. Elle le porte à sa bouche en faisant une horrible grimace. Pourtant, elle recommence. Elle avance son visage pour se mettre à lécher. J'hallucine. Clémentine aussi.

Bien évidemment, nous comprenons rapidement que ce n'est pas seulement le foutre qui intéresse Julie. Mais la tentative d'embrasser Clémentine. Elle y parvient enfin. Clémentine saisit ma main comme si elle avait besoin de prendre des forces en moi. C'est la toute première fois que je la vois rouler une pelle à une autre fille. Elle arrive enfin à se dégager de cette véritable étreinte qu'exerce Julie trop contente d'arriver enfin à ses fins. Clémentine dit : << Non Julie, s'il te plaît, pas ça ! >>. Julie, toute tristounette récupère du foutre.

Il est 21 h45. Je viens d'assister ce soir à une scène unique. Mon vieux fantasme d'homme des cavernes vient d'être nourrit par ce baiser fougueux échangé entre ma compagne et une autre fille. Clémentine s'essuie le visage avec un mouchoir en papier. Julie, dans un élan de sincérité, s'écrie : << Je t'aime Clémentine ! >>. Clémentine répond : << Moi aussi, je t'aime bien. Juste "bien" ! >>. Je dépose un bisou sur le front de Julie en rajoutant : << Moi aussi ! >>. Il faut la consoler un peu. Nous la raccompagnons jusqu'à son auto. Difficile.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment les surprises. De de faire juter à la gueule en est une belle. Surtout après la pipe...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1776 -



Estelle et Clémentine se connaissent depuis 12 ans

Hier matin, mardi, il est presque six heures. L'application "océan" nous donne l'illusion de nous réveiller dans quelques ports écossais. Le cri strident des mouettes, les sirènes des chalutiers qui se croisent. Le clapotis de l'eau tout près de nos oreilles. Une fois encore, totalement bluffés, nous sortons du sommeil. Tout cela ne dure que 45 secondes. Clémentine se blottit contre moi. << Comme c'était bon hier soir ! >> murmure t-elle. Quelques papouilles. Je l'entraîne par la main en disant : << Viens tu me racontes devant des tartines de miel ! >>.

Nous nous précipitons aux toilettes. Le mardi, Clémentine termine à midi. Une certaine euphorie s'installe. Morts de faim, en riant, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'y allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis. L'atroce claquement sec du grille pain que nous allons changer bientôt. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée en compagnie de Julie. << J'adore quand elle nous regarde ! C'est fabuleux ! >> dit Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant cet anniversaire particulier que nous fêterons cet après-midi en compagnie d'Estelle. Quand elles se sont connues, Estelle et Clémentine avaient 12 ans. Une amitié qui dure douze ans plus tard. Elles ont aujourd'hui 24 ans. << Je ne pourrais plus vivre sans elle. Je te suis infiniment reconnaissante de l'avoir accepté dans notre cercle ! >> rajoute Clémentine. Je réponds : << Je te suis infiniment reconnaissant d'exister dans ma vie. Sans toi l'existence serait bien fade. Je t'aime. J'aime Estelle ! C'est fou ! >>.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Exercices au sol, abdos avant de passer aux charges additionnelles. Manipuler des barres et des haltères exige une concentration de chaque instant. Nous y mettons toujours une intensité maximale. Le retour au calme d'un bon stretching permet à Clémentine de nous faire plier de rire. Le mardi matin elle est tellement déconneuse. La douche. Je descends le premier pour préparer la voiture. Il est 7 h45, le jour se lève dans le froid glacial.

Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Emmitouflée dans son anorak. Sa capuche à fourrure la fait ressembler à une esquimau. Une belle esquimau. << À tout à l'heure ! >> dit elle. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de retourner au chaud. Je fais la vaisselle, le lit, avant d'aller dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. Je suis habité de l'euphorie laissée par Clémentine.

La peinture de cette troisième scène de genre m'absorbe rapidement. Mon plaisir est multiple car je commence ce matin la réalisation des visages des deux personnages féminins. Les deux femmes auront les traits d'Estelle et de Clémentine. Depuis quatre ans ce sont elles qui habitent toutes mes scènes, ou presque. Je peins dans cet enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris totalement surréalistes.Je porte ma loupe frontale. Cet appareil oculaire m'offre la possibilité de réaliser les détails les plus fins. Tout ressemble à une photographie.

J'évite les formules de l'hyperréalisme. Je ne les mets en pratique que pour la réalisation du visage de mes personnages. C'est bluffant. La matinée passe tellement vite. Il est déjà 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Les deux pâtes feuilletées ont décongelé. Je prends les deux tiers de la première pour l'étaler dans un plat à tarte aux bords hauts. J'étale les deux tiers dans la seconde. Un autre plat identique. Je lave et je coupe deux beaux poireaux. Je les fais cuire dans la cocotte minute. Les ébouillanter.

Je prépare une belle Béchamel. Je râpe du gruyère de Comté finement pour l'incorporer à la sauce. J'égoutte le poireaux pour le rajouter à la Béchamel. Je touille. Je verse le mélange homogène sur la pâte feuilletée. Je recouvre le tout avec le dernier tiers de Pâte. Je badigeonne d'une garniture d'œuf, de lait de soja et de moutarde à l'ancienne. Je mets au four électrique. 180° pour une cuisson douce et lente. C'est tellement meilleur quand ça mijote. Il est 12 h35. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. << Je t'aime ! >>. Je la soulève.

Ses jambes autour de ma taille elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. J'égoutte les spaghettis. J'ai gardé un peu de Béchamel comme sauce. J'y rajoute du Parmesan. Je prépare immédiatement la frangipane pour la galette d'anniversaire. Ce sera pour ce soir. J'aurais aimé en faire la surprise. Je mélange 100 gr de beurre mou, 100 gr de sucre roux, 100 gr de poudre d'amandes et deux beaux œufs. Voilà ma frangipane. Je concocte une crème pâtissière. C'est tout aussi simple et rapide.

25 cl de lait de soja, 40 gr de sucre roux, 20 gr de farine, deux jaunes d'œufs, 15 gr de maïzena et une gousse de vanille. Clémentine après avoir fait la salade m'aide en portant le lait à ébullition. J'y rajoute la vanille. Nous rions beaucoup sans cesser de nous faire des bisous. Nous mangeons de bon appétit avant de continuer. Nous aimons tous deux préparer de bons petits plats. Ça nous excite. La vaisselle. Nous passons à la phase suivante. Le lecteur pourra réaliser ces recettes avec une facilité déconcertante. Un plaisir supplémentaire aux récits.

Je fouette les jaunes d'œufs et le sucre jusqu'à ce que le mélange s'éclaircisse. Sans que je ne cesse de fouetter, Clémentine rajoute la maïzena et la farine en pluie. Je verse la moitié du lait encore chaud. Clémentine verse le tout dans une casserole. À feux doux, sans cesser de remuer, le mélange épaissit rapidement. Ça colle au fouet. Il suffit de rajouter la crème pâtissière à la frangipane en mélangeant lentement pour rendre l'ensemble homogène. Clémentine verse la garniture sur la pâte. Elle y incorpore la petite bite en porcelaine de chine.

Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée. Clémentine badigeonne le dessus du mélange œuf, sucre et lait de soja. Au four, pour une cuisson lente et douce à 180° dès que la tourte aux poireaux sera cuite. Voilà notre repas et notre dessert pour ce soir. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir. Il est 13 h45. Estelle ne va pas tarder. Nous dévalons les escaliers. La sonnerie du four. Je retire la Flamiche Picarde pour la remplacer par la galette à la frangipane. Juste au moment où Estelle arrive en sautillant. Des bisous.

Elle me saute cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bises en mitraille. Estelle et Clémentine se sont vues ce matin en cours. << Mmhh ! Ça sent rudement bon dans cette cuisine ! >> lance Estelle en palpant ma braguette. Elle se serre soudain très fort contre moi pour rajouter : << Bobo ! J'ai mes "petits machins" ! >>. Réglée comme Clémentine, c'est le 25 de chaque mois qu'Estelle à ses "inconvénients" de fille. Clémentine nous entraîne dans l'atelier. << Docteur Julien ! >> me fait Estelle.

L'anniversaire

Je suis entre mes deux anges. Nous sommes vautrés dans le vieux canapé en velours carmin de l'atelier. De façon régulière, toutes les cinq minutes, je pose mes lèvres sur les seins d'Estelle. J'insuffle de l'air chaud. Ce qui la soulage. << Mmhh ! Comme c'est bon ! >> me dit elle à chaque fois en caressant ma tête. Je glisse ma main dans son jeans déboutonné pour caresser délicatement son bas ventre. Elle tient mon poignet pour que surtout je ne cesse pas. Clémentine reste serrée contre moi. << J'aime vos consultations docteur ! >> me dit Estelle.

Nous restons ainsi à regarder les flammes vives dans la cheminée. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Elle en tire le locataire non sans difficultés. Je bande encore mou. Mon sexe dans sa poigne ferme elle chuchote : << La potion miracle du docteur Julien ! Je peux dépasser la dose prescrite ? >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine m'embrasse lascivement. Je passe ma main entre ses cuisses qu'elle resserre. C'est au tour d'Estelle d'enfoncer sa langue exploratrice dans ma bouche. Je fais coulisser le ceinturon du jeans d'Estelle.

Elle me regarde avec de grands yeux lorsque je me lève en le tenant des deux mains. Je la saisis par sa natte pour la forcer à se lever à son tour. Totalement étonnée par mon initiative, elle se laisse entraîner ainsi, comme par une laisse, jusqu'au pilier central au milieu de la grande pièce. Je l'y adosse en positionnant ses bras le long de la pierre. J'immobilise ses chevilles à l'aide de sa ceinture de cuir noir. Clémentine se lève pour venir voir de près. Pour conserver son équilibre, Estelle n'a d'autre choix que de se tenir contre le pilier. Elle me fixe, étonnée.

Je glisse ma main dans son jeans, sa culotte. Je dénoue quelques poils. Je donne quelques à coups sur la petite ficelle blanche qui sort de sa vulve. J'adore le regard consterné qu'elle me lance. Elle tente de m'interroger en plongeant ses yeux dans les miens. Je titille son clitoris. J'adore le sursaut de son corps lorsque j'y touche. Clémentine glisse sa main gauche dans sa culotte. De sa main droite, elle saisit mon érection. En caressant Estelle, j'ai mon visage tout près du sien. J'aime tant scruter chaque expression, chaque trait, chaque plis.

Clémentine s'accroupit entre Estelle et moi. Je dois me pencher en avant pour l'embrasser. Le plaisir que ma caresse lui procure lui fait certainement oublier les tourments de ses "petits machins". Clémentine me suçote doucement. Juste le bout de mon prépuce qu'elle mâchouille entre ses lèvres. J'arrête d'embrasser Estelle. Je force Clémentine à cesser de sucer. Je l'aide à se redresser. Je m'accroupis pour détacher Estelle. Je prends les deux coquines par leur nuque. Je les entraîne vers la table. J'ordonne : << Mains sur la tête ! >>.

Elles restent toutes les deux l'une à côté de l'autre. Je descends leurs jeans et leurs culottes sur les chevilles. J'ordonne : << Enlevez-les ! >>. Pendant qu'elles s'exécutent je prends les deux chaises derrière la table pour les placer à quelques mètres de la cheminée. Je donne un nouvel ordre : << Assises, toutes les deux, le dossier entre les cuisses ! >>. Mes deux anges ne se le font pas répéter deux fois. Les voilà assises selon mes directives. Les bras croisés sur les dossiers. Juste vêtues de leurs pulls de coton, en chaussettes. Je m'éloigne pour voir.

Estelle et Clémentine m'observent comme si j'étais un inconnu. Je tiens ma bite à sa base. Entre le pouce et l'index, je l'agite dans leurs directions. Silencieuses, immobiles, curieuses de la suite que je leurs réserve. Je m'avance pour venir me placer devant Estelle que je saisis par la nuque. Je lui frotte la bite sur la gueule. Elle tente bien de se soustraire à mon étreinte. Je sais comment Estelle réagit. Il me suffit d'anticiper. Je cesse. Je me penche pour poser mon pouce sur son clitoris. << Mmhh ! >> fait-elle avec un sursaut de surprise. C'est si bon.

Je me positionne devant Clémentine pour lui infliger le même traitement. Contrairement à Estelle, Clémentine ne tente jamais de se dégager. Je m'accroupis pour saisir son clitoris géant entre le pouce et l'index. Je me place devant l'espace entre les chaises. Je titille le clitoris d'Estelle en même temps que celui de Clémentine. Je dis : << Bonne anniversaire de rencontre les filles. Ça fait douze ans aujourd'hui que vous êtes sœurs jumelles ! Je vous aime toutes les deux ! >>. Elles poussent le même gémissement de bonheur.

Je me redresse. Je présente mon érection à Estelle qui ouvre la bouche. J'enfonce lentement ma queue qui ramollit. J'ai l'impression de la glisser dans un bol de purée tiède. Je n'y reste que quelques instants pour l'enfoncer dans la bouche de Clémentine. Je passe de l'une à l'autre en leurs murmurant des douceurs. Clémentine me saisit le poignet pour m'empêcher de filer. Quand je suis dans la bouche d'Estelle, elle fait pareil. À présent, je reste dans chaque bouche une bonne minute. Je me fais tailler des pipes des familles. Et là, une famille unie.

Je passe derrière les filles. Elles tournent la tête pour me regarder d'un air interrogateur. Je fourre mon visage dans la raie d'Estelle. Pour lui faire le cul. Elle a un réflexe, un spasme. Il faut qu'elle s'habitue soudain à cette nouvelle caresse. Je passe au cul de Clémentine. Je suis obligé de retirer plein de poils de ma bouche. Je mouille mes doigts. D'un coup, sans les prévenir, leurs trous du culs trempés de salive, j'y enfonce mes deux index. Elles ont toutes les deux exactement le même sursaut. Je répète une nouvelle fois : << Happy Birthday ! >>.

Je les encule toutes les deux de la première phalange de mes doigts. Je les tourne. << Salaud ! Enculeur de filles ! >> fait Estelle. Clémentine me dit : << Je t'aime mon doigteur ! >>. Sans prévenir, après avoir retiré mon doigt, j'enfonce mon sexe dans le sien. Doucement, avec d'infinies précautions. << Julien ! >> s'écrie t-elle en jetant sa tête en arrière, totalement offerte à ma pénétration. Je garde mon doigt dans le cul d'Estelle qui scrute avec attention les expressions de jouissances de Clémentine. J'aimerais la baiser aussi.

Hélas, la place est prise. Estelle tourne sa tête pour me fixer de son regard perçant. << Vos thérapies sont les toutes meilleures au monde, docteur ! >> me dit elle. Je retire mon doigt de son trou du cul. Je fourre Clémentine en levrette. Elle est à genoux sur la chaise. Obligée de garder les cuisses serrées à cause de l'étroitesse du support. Je la tiens par ses hanches. Parfois je saisis sa natte. de mon autre main je stimule son clitoris aussi bandant que ma queue. Clémentine pousse des petits cris en s'accrochant à la chaise. Je la baise en sauvage.

Je me retire. Je la force à s'assoir mais dans le bon sens. Estelle se redresse pour s'assoir de la même manière. Toutes les deux en appui contre les dossiers. Je suis à genoux. Je fais glisser Clémentine afin que son sexe soit accessible. Mon visage entre ses cuisses, je lui bouffe la chatte dans de véritables cris de jouissances. Je cesse pour dire : << Tu peux pisser autant que tu veux. Le carrelage se nettoie facilement ! >>. Estelle se masturbe en m'observant. Elle attend son tour. Je viens entre ses cuisses pour sucer son clitoris.

Clémentine se masturbe. Elle ne peut réfréner l'orgasme qui l'assaille soudain, alors que je m'occupe d'Estelle. Nous la regardons pisser en se tortillant de plaisir. L'atelier est une grande pièce d'une dizaine de mètres de long sur une quinzaine de large. Elle pisse. Il y a bien l'équivalent d'une bouteille d'eau de 1,25 l. Il y a toujours de la cyprine qui est éjectée de sa vulve en même temps. Comme une véritable éjaculation. Je me précipite parce que c'est ce que j'adore. Je m'en régale comme d'une pâtisserie. Estelle jouit à son tour. En hurlant.

Je soulève Clémentine pour éviter qu'elle ne marche en chaussettes dans la pisse. Je l'emmène pour la déposer dans le canapé. Je retourne récupérer Estelle pour l'assoir dans le canapé. Je retire mes baskets dont la semelle dégouline de pisse. Je suis entre mes deux anges. Elles sont blotties contre moi. Leurs têtes sur mes épaules. << Et toi ? >> me demande Estelle juste avant de s'endormir. Clémentine plonge à son tour. Je recouvre leurs jambes nues du plaid. Je tente de ne plus bouger pour m'endormir à mon tour dans un bonheur sans nom.

Il est presque 18 h quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Un peu courbaturés par la position dans le canapé. Je pose immédiatement mes lèvres sur le pull en coton d'Estelle qui a un peu froid. J'insuffle mon souffle chaud sur la pointe de ses petits seins douloureux. Comme Clémentine, Estelle ne porte de soutien gorge que lorsqu'elle a ses "petits machins". Leurs tous petits seins n'en n'ont nul besoin. << Docteur Julien, vos thérapies ont de quoi surprendre mais sont rudement efficaces ! >> me fait Estelle avec plein de bises.

<< Tu es notre professeur Didier Raoult à nous. Thérapie parallèle ! >> rajoute encore Estelle que je soulève comme une jeune mariée. Clémentine revient avec le balai brosse, la serpillère et le seau. << Je nettoie mes cochonneries. J'ai honte ! >> dit elle en essorant. Nous la regardons faire en riant. << Je n'ai jamais su jouir proprement. Les affres de l'orgasme pisseux ! >> rajoute t-elle en éclatant de rire. Estelle et Clémentine ont remis leurs culottes, leurs jeans. Je glisse la ceinture dans les passants du jeans d'Estelle qui me tient la nuque.

<< Excellent le coup de la ceinture ! >> lance t-elle en glissant sa main dans ma braguette. << Oh put-hein, mais c'est gluant de foutre là dedans ! >> s'écrie t-elle. La résultante de mes multiples excitations de l'après-midi laisse des traces. Estelle me sort le Zob pour constater que mon sexe dégorge de liquide séminal. << Mais toi, je vais te sucer la queue comme jamais ce soir ! >> lance t-elle. Nous éclatons de rire en accompagnant Clémentine. Elle vide le seau dans les toilettes. C'est à son tour de faire pipi. Je la tiens par la nuque. Elle pisse.

Accroupis, je lèche une nouvelle fois les reliquats. Estelle, accroupie à mes côtés, ne lâche pas mon érection naissante. C'est à son tour. Je la tiens par la nuque. Elle lâche plein de jets en riant. Estelle adore jouer. Dommage que sa vulve soit inaccessible. Je me contente de lécher le trou à pipi en titillant son clitoris. C'est à mon tour. Elles me descendent le jeans et le slip sur les chevilles. Je me sens d'un ridicule délirant. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine me tient les couilles par derrière. Toutes les deux penchées pour bien voir.

Je n'ai pas lâché les dernières giclées que Clémentine s'accroupit pour me sucer. Estelle en veut aussi. Le mélange pisse foutre les enchante. D'entendre leurs gloussements de filles gourmandes est hyper excitant. Elles cessent pour se redresser. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Une odeur de vieil urinoir. Pareil pour Estelle. Nous quittons les toilettes pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade, une belle laitue. Estelle met les assiettes et les couverts. Je réchauffe la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui va nous régaler ce soir.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la "surprise" que j'ai réservé à mes deux coquines cet après-midi. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles échangent leurs impressions, parlent de ces douze années d'une amitié et d'une complicité totale. Depuis presque cinq ans nous partageons cette complicité intime à trois. C'est Estelle qui découpe les parts de la galette. Tout en mimant des masturbations masculines avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. Cette galette est un pur bonheur. Nous sommes repus. Miam !

C'est Estelle qui trouve la fève. Cette petite bite garnie de ses couilles, en porcelaine, mesure environs quatre centimètres. Nous l'avons ramené d'Amsterdam il y a trois ans. C'est une réplique très détaillée. << J'ai un gage ? >> demande Estelle. Je ne réponds pas. Je me lève pour lui tendre ma queue. Je bande mou. C'est dans la cuisine qu'Estelle tombe à genoux pour me la bouffer avec gloutonnerie. Clémentine débarrasse la table. Je force Estelle à se redresser. Nous faisons la vaisselle en riant comme des fous. Estelle devra nous laisser à 22 h.

Bonn fin de soirée à toutes les coquines qui fêtent une merveilleuse amitié en compagnie de leur complice de stupre, d'amour et de vice...

Julien (Docteur Honoris Causa es cunnilingus)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1777 -



Juliette vient passer la soirée avec nous

Hier matin, mercredi, ce sont les sirènes de ces bateaux qui nous arrachent de nos profonds sommeils. L'application "océan" nous offre une fois encore ses illusions. Le cris des mouettes par exemple. Ou encore le clapotis de l'eau, le ressac des vagues. Clémentine se serre contre moi en gémissant. << Tu nous as fait une belle surprise hier, je t'aime ! >> chuchote t-elle avant de m'entraîner par mon érection jusqu'aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings, de nos sweats de lycra noir et jaune, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine presse nos oranges, fait le café, pèle nos kiwis en me racontant son rêve. Interrompue par le claquement sec du vieux grille pain qui expulse ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos douces folies de hier après-midi. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celles de ce soir. << Sois bien salaud en présence de Juliette. J'adore ces expressions lorsque tu fais le satyre ! >> lance Clémentine. Je promets de faire au mieux. Rires.

Il est 6 h25. Nous remontons car il nous faut nous réveiller complètement. Rien de tel qu'une bonne séance de gymnastique. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Les charges additionnelles nous remettent les idées bien en place. Le retour au calme avec un stretching assez surréaliste où Clémentine nous fait rire. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. Le jour se lève. Le froid est toujours aussi polaire. Clémentine vient me rejoindre chaudement emmitouflée dans son anorak.

Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je rentre au chaud pour faire notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette troisième scène de genre m'accapare très vite. Destinée à ma saison d'été cette toile sera terminée ce soir. Je peins dans une sérénité apaisante. Je suis dans les clous, le timing est parfait. J'aurai mes 24 tableaux pour la fin juin. Je chantonne.

Il est déjà 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe la dernière part de tourte aux poireaux. Je prépare l'assaisonnement d'une salade d'endives. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Épaté par la verve d'un André Bercoff dans tous ses états. La vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas, je descends précipitamment. J'enfile mon anorak, mon bonnet, mes gants. Le froid est vif, sec et pique les joues. Je charge la brouette d'une vingtaine de bûches.

Je me dépêche de revenir au chaud pour empiler des bûches à côté de la cheminée du salon, de la cuisinière à bois et de la cheminée de l'atelier. Je retourne à la cuisine. Je lave et coupe des aubergines, des courgettes. Je fais gonfler du riz complet. J'ébouillante les courgettes et les aubergines avant de les verser dans un grand plat à tarte. Je concocte une sauce au Roquefort que je verse sur les légumes. J'y rajoute le riz complet. Je mélange délicatement le tout en y incorporant de l'ail, de l'oignon, du persil et de la ciboulette. Je tasse un peu.

Je dépose des rondelles de calmars sur le dessus avant de recouvrir d'un bonne couche de gruyère de Comté râpé. De la chapelure. Onze cerneaux de noix. Je mets au four électrique pour une cuisson douce et lente à 180°. C'est tellement meilleur quand sa mijote longuement. Thermostat sur une heure. Je quitte la cuisine serein. Notre repas de ce soir est prêt. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins animé des mêmes sentiments que ce matin. L'après-midi passe encore à une vitesse folle. 17 h30. Clémentine rentre de cours.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Le port du masque obligatoire dans l'amphithéâtre. Clémentine a encore du travail. Elle est assise devant son ordinateur entourée de ses notes. Nous apprécions tant ces moments d'émulations créatives. 18 h15. << Oh que j'en ai marre ! >> s'écrie Clémentine en rangeant ses affaires. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous sommes vautrés dans le vieux canapé de velours carmin de l'atelier. Dans l'obscurité. Le silence.

La lueur des flammes projettent des ombres vacillantes sur les murs. C'est toujours un spectacle captivant. Clémentine, serrée dans mes bras, revient sur ma "surprise" de hier lorsque soudain, au-dessus de nos têtes, le bruit sourd et caverneux. Ce bruit qui annonce le début des manifestations paranormales. << Bonsoir Christine ! >> lance Clémentine pour saluer l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Tous nos sens aux aguets nous écoutons ce nouveau phénomène de hantise. Des bruits de pas, une porte qui grince avant de claquer.

Tout cesse aussi brusquement au bout de quelques minutes. Nous nous levons. Clémentine glisse sa main dans ma braguette en disant : << Mon doudou, vite, je dois me rassurer ! >>. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle extrait mon sexe mou de mon slip. << Garde ta bite à l'air. Juliette aime ça autant que moi ! >> rajoute mon ange avant d'enfoncer sa langue exploratrice dans ma bouche. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Je bande mou en allumant le four pour réchauffer le gratin de légumes.

Clémentine revient suivie de Juliette. Comme elle est belle encore ce soir. Juliette porte ses vêtements d'écuyère. << Ses habits de travail ! >> comme elle aime à le préciser. Ses cheveux noirs en une longue natte qui pend sur une de ses épaules. Et toujours ce corps athlétique qui ne cache rien de ses formes sculpturales sous ses vêtements moulants. Nous nous touchons le poing. << Comme c'est con ! >> lance t-elle une fois encore en faisant semblant de ne pas avoir vu mon sexe pendre honteusement de ma braguette. Comportement féminin.

Clémentine s'occupe de la salade de tomates. J'ai préparé l'assaisonnement à midi. Juliette ouvre le grand Tupperware rond contenant la tarte aux pommes qu'elle a confectionné. Dorée à souhait, luisante et fort désirable. Autant que sa personne d'ailleurs. Je le lui fais remarquer. Les flatteries ne sont pas pour déplaire à cette sublime bourgeoise Corse de 48 ans. Son accent méridional rajoute encore au charme de sa personnalité. Je mets les assiettes, les couverts. Juliette fait mine de découvrir enfin ce qui pend de ma braguette béante.

Elle reste avec les yeux braqués sur mon sexe tout en racontant la visite de la commission de contrôle sanitaire. << Ils viennent au moins une fois par mois pour procéder aux contrôles. Il y a mon vétérinaire. Il faut avoir les documents concernant chacun des 87 chevaux en pensions. Tenir un haras est devenu un terrassant travail administratif. Pauline, ma secrétaire est noyée sous les papiers ! >> explique t-elle en soupirant de dépit. << C'est l'Europe ! Changeons de sujet ! >> conclue t-elle. La sonnerie du four. Juliette se précipite pour ouvrir.

<< N'allez pas risquer de vous brûler ! >> lance t-elle en désignant la bite que je tiens à sa base, entre le pouce et l'index pour l'agiter dans sa direction. Juliette met les maniques avant de s'accroupir devant la porte vitrée du four. << Wouah ! C'est beau. Et l'odeur me donne une faim de loup. C'est quoi ? >> dit elle. J'admire sa position. Avant d'ouvrir la porte du four, elle se tourne vers moi, accroupie, cuisses écartées. Un regard terriblement vicieux et par en-dessous. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine me fait un clin d'œil.

Juliette tire le plat fumant du four. << Wouah ! Quelle bonne surprise ! >> lance Clémentine qui découvre elle aussi ma préparation. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant, en riant aux éclats de nos frasques. Juliette nous raconte son week-end. << J'ai passé la soirée de samedi avec Bernadette et Pierre. Rien de tel qu'un triolisme pour oublier les tracas administratifs ! >> lance t-elle. Clémentine raconte son aventure de vendredi soir dans les toilettes du restaurant de l'étang. Notre soirée visionnage du film cochon le samedi. Des rires.

Je me lève à plusieurs reprises pour agiter mon sexe vers Juliette, vers Clémentine. À chaque fois Juliette cesse de manger pour me lancer un regard d'une incroyable sévérité. Comme si c'était la toute première fois que je m'exhibais ainsi. J'adore ce comportement faussement outré. Je demande : << Et Robert, votre vétérinaire, il a eu droit à sa pipe depuis mercredi dernier ? >>. Juliette, avec un soudain sourire espiègle qui éclaire son visage, répond : << Pas qu'une. J'adore son jus ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine dit : << Moi aussi ! >>.

Nous nous souvenons de cette soirée Gloryhole où Clémentine, parmi quatre bites différentes, a pu apprécier celle du véto. Quatre queues. Cinq avec la mienne bien évidemment. Clémentine adore les comparaisons. Je les écoute toutes les deux échanger leurs impressions. << Chaque queue a un goût légèrement différent ! Mais je serais bien incapable de dire, les yeux bandés, à qui elle appartient ! >> lance Juliette. << Ah, totalement impossible ! >> s'écrie Clémentine. Je suis debout, j'écoute. Je me branle cambré sur mes genoux fléchis.

Juliette m'observe tout en parlant. Je demande des nouvelles du vieux Gérard. << Oh, il passe de temps en temps. Il ne va pas très bien ! >> nous informe Juliette. Clémentine dit : << Il lui faudrait une bonne pipe, le pauvre ! >>. Juliette répond : << Non, en ce qui me concerne, ma préférence va pour celle de Robert à présent ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine propose de prendre le dessert au salon. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Clémentine plonge. Juliette et moi nous essuyons. Elle me frôle quand nous nous croisons.

Sans prévenir, en revenant du buffet, je passe ma main entre les cuisses bouillantes de Juliette. Elle s'arrête pour me lancer un regard de défi. Elle saisit mon sexe d'une poigne ferme. Clémentine, tout en rinçant l'évier nous observe. J'ai envie de rouler une pelle à Juliette. Elle doit le sentir. Elle avance même son visage comme pour m'y inviter. Je jette un regard vers Clémentine qui fronce les sourcils. Interdiction d'aller plus loin. Nous passons au salon. Juliette coupe les parts de tarte aux pommes. Avec le thé fumant, au jasmin, c'est un vrai délice.

Vautrée dans le fauteuil qui nous fait face, Juliette a la jambe droite posée sur l'accoudoir. La vue sur son sexe dont on devine les lèvres charnues au travers le tissu de son pantalon d'écuyère, est parfaite. La couture les divise en deux bosses. Clémentine, tout contre moi, tient mon sexe dur comme un bout de bois. Tout en bavardant, Juliette passe son index sur la couture, ou palpe les bosses de son doigt. C'est hyper excitant ce soir encore. << On se fait une soirée un de ces samedis ? Ça vous tente ? >> propose Juliette. Elle fixe ma queue.

<< Volontiers. On se fait un truc. Mais juste à quelques uns. Je ne suis plus trop "partouzes" ! >> lance Clémentine. << De la pipe ou de la baise ? >> demande Juliette. << Les deux. Mais j'ai une préférence pour la pipe ! >> répond Clémentine. J'écoute les différentes possibilités qu'évoque Juliette. Une soirée Gloryhole ne serait pas pour nous déplaire. << Je nous prépare un "plan" ! >> lance Juliette sans cesser de se toucher. Je me lève. Du bout de mes doigts, j'appuie sur les petites bosses. Juliette me dit : << Bien salaud ce soir ! >>.

Je réponds : << Mais pour vous servir chère madame ! >>. Clémentine se lève pour reprendre ma queue en main. Elle me masturbe un peu pendant que je palpe vulgairement les lèvres du sexe de Juliette. Elle se laisse toucher effrontément. C'est plutôt rare car Juliette aime jouer les femmes offusquées. Il est 22 h. Nous la raccompagnons dans la nuit glaciale jusqu'à sa voiture. Assise au volant, la vitre baissée, elle dit : << Je vous tiens informés par mail. Ce serait sympa de nous retrouver tous les trois. Juste nous trois, pour un plan "mystère" ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment que leur mec ait des comportements vicelards avec d'autres femmes...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1778 -



Estelle, Clémentine et moi

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'application "océan" nous réveille dans l'illusion habituelle. Celle de sortir du sommeil dans un port, peut-être quelque part en Écosse. Les sirènes de bateaux dans le lointain, le clapotis du ressac, le cri des oiseaux de mer. C'est réellement bluffant. Clémentine vient se blottir tout contre moi en gémissant de ce premier plaisir. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de sport, morts de faim, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il y fait froid.

Pendant que Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis, j'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Le claquement sec du grille pain qui expulse ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Juliette, hier soir. Nous mangeons de bon appétit en évoquant sa proposition de "triolisme". << Depuis le temps qu'elle veut faire l'amour avec moi, que n'irait-elle pas imaginer ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. << Pas de partie à trois chère madame ! >> rajoute Clémentine. Soupir...

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, un peu de vélo d'intérieur, exercices au sol, abdos. La manipulation des charges additionnelles demande un peu plus de concentration. Le retour au calme avec un stretching assez bâclé. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Ce matin encore, le jour se lève dans un froid polaire. Clémentine vient me rejoindre dans son anorak. En sautillant sur place elle me fait des derniers bisous.

<< J'ai envie d'une pizza ce soir ! >> dit-elle en s'asseyant au volant. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer pour faire notre vaisselle, notre lit, avant d'aller dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Pressé de me plonger dans ma passion je m'installe confortablement devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant. Je termine probablement ce matin cette troisième scène de genre destinée à ma saison d'été. Je peins dans un enthousiasme furieux.

Il est 11 h40 quand je dépose la dernière touche d'ocre jaune sur la surface de la toile achevée. Je la place sur un second support afin qu'elle y sèche plusieurs jours. Voilà la quatrième scène de genre en appui sur le chevalet. Je m'y attèle après le repas. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Il suffit de réchauffer le reste du gratin d'aubergines et de courgette. Je fais une salade de carottes. À la poêle je rissole un dos de cabillaud blanc avec ail, échalote et champignons. J'écoute Sud Radio, André Bercoff.

Je mange de bon appétit en faisant l'inventaire de ce qu'il faut pour concocter de belles et bonnes pizzas. Selon le souhait de Clémentine. Ça fait longtemps que nous n'en avons plus mangé. Je débarrasse. Dans un grand saladier je verse de la farine complète. Je verse un verre d'eau tiède contenant la levure boulangère qui s'y dissous rapidement. Je touille avec une cuillère à café. Je rajoute le jus de deux gousses d'ail que je presse. Du Parmesan finement râpé, sel, poivre et curcuma. Je travaille longuement la pâte pour la pétrir. Elle est onctueuse.

La pâte à pain ainsi réalisée repose sous un linge dans l'endroit le plus chaud de la cuisine. Je lave et je coupe quatre belles et grosses tomates. Je les fais revenir à la poêle avec l'ail, l'oignon, les champignons, persil, ciboulette. Ce sera la garniture. J'y rajoute quelques crevettes, des rondelles de calmars. La sauce repose sous un couvercle. Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. C'est serein que je retourne dans l'atelier. Le repas de ce soir est prêt. Je commence ma quatrième scène de genre. Je peins en bavant de plaisir.

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour sautiller tout autour de moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, me couvrant le visage de bisous, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. << Tu ne devineras jamais. On avait de la pizza ! >>. Nous éclatons de rire. Je dis : << Eh bien, tu vas pouvoir comparer ! >>. Clémentine a encore ses notes à mettre au propre. La voilà assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Elle chantonne, commente ce qu'elle fait. J'adore l'entendre.

<< Là, ras-le-bol ! Tout simplement ! Si ! >> fait elle soudain en rangeant ses affaires. Il est 18 h15. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Nous entendons Estelle chanter. La porte s'ouvre. Elle se précipite vers moi. Assise à califourchon sur mes cuisses elle dit : << Docteur Julien, je n'ai plus bobo, mais vous pouvez me soigner quand même. Je suis hypocondriaque ! >>. Nous rions. Assis tous les trois sur les poufs, dans l'obscurité, nous admirons l'éclat des dernières flammes, des braises qui lancent quelques étincelles. Les derniers crépitements.

Ce soir, curieusement, il n'y a aucun phénomène de hantise. Pas un bruit. << Christine est partie aux sports d'hiver ! >> lance Estelle en glissant sa main dans ma braguette. << Ou elle est en partouze au haras ! >> rajoute Clémentine. Nous rions aux éclats. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Estelle travaille la pâte à pain. Clémentine prépare la salade d'endives. Je réchauffe la garniture. << Tu te rappelles quand j'enduisais ta bite de farine ? >> me demande Estelle en venant vers moi tout en agitant ses mains.

Clémentine nous rejoint pour me sortir le Zob. Estelle m'enduit la queue de farine humide. << Je te la nettoie après ! >> dit elle toute contente de me pétrir le sexe. Elle étale la pâte sur la nappe pour en faire trois grands carrés. Elle les place sur les plaques. J'y verse la garniture. Je fais très attention de ne pas me brûler la biroute. Estelle râpe le gruyère de Comté. Elle en dépose une copieuse couche sur chaque préparation. Elle met les pizzas dans le four à bois. Il y règne une chaleur d'enfer. La cuisson sera rapide. Il faut bien surveiller.

Clémentine met les assiettes et les couverts. Estelle s'accroupit devant moi : << J'adore ! Ça fait kékette antique ! >> lance t-elle. Clémentine vient s'accroupir à son tour. C'est vrai. Ma bite, couverte de farine sèche, présente un aspect craquelé. << C'est les mêmes craquelures que sur la Joconde ! >> fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Je commence à bander. À cause de la farine sèche, il y a une sensation de tiraillement. Ça picote. J'ai une méchante envie de gratter. Estelle se met à lécher. Elle récupère la farine fondante.

Estelle et Clémentine me nettoient le Zob de leurs langues agiles. Elles rient toutes les deux en se refilant ma queue. Estelle se met même à suçoter. Je les force à se redresser en les tirant par leurs nattes. Il faut surveiller les pizzas. La cuisson d'un four à bois est aléatoire et ne se contrôle pas. Estelle se précipite. Elle enfile les maniques pour sortir les trois pizzas. Elles sont fumantes, dorées, absolument superbes. << C'est autre chose que celles du restaurant universitaire, à midi ! >> lance Estelle alors que Clémentine me tient par la queue. Miam !

Nous mangeons de bon appétit. << À cause de mes "petits machins" je n'ai pas baisé hier soir ! >> nous raconte Estelle. Elle rajoute : << Parrain est passé tout de même. Dommage qu'il déteste la pipe ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine revient sur la proposition de trio que nous a faite Juliette hier soir. << Elle aura tout essayé pour coucher avec toi ! >> lui lance Estelle. << Elle peut toujours se brosser ! >> s'écrie Clémentine. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine en disant : << Ça plairait beaucoup à docteur Julien ! >>.

C'est vrai que mes vieux fantasmes d'homme préhistorique se nourriraient bien de quelques scènes lesbiennes. Hélas, tout ça restera un fantasme. Je me lève à mon tour pour agiter mon sexe à présent propre et luisant. << Je te le suce après le dessert mon cochon ! >> lance Estelle en mimant une pipe, son poing fermé qu'elle tourne devant sa bouche. Nous traînons à table. Ces pizzas sont de véritables délices. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges font des "plans" pour le week-end. C'est déjà demain.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle me choppe la bite. En me tenant comme par une laisse, elle m'entraîne au salon. Clémentine me tient la main. << J'ai encore mes "petits machins". C'est le dernier jour. Mais samedi, "je me te fais" ! >> lance Estelle en s'accroupissant devant moi. Clémentine, derrière moi, ses bras autour de ma taille, se frotte. Estelle fait un examen approfondi de mon anatomie génitale. Elle me sort les couilles. << J'adore quand le tout est garroté par la braguette trop serrée ! >> dit elle en soupesant.

D'un mouvement de tête gracieux, elle gobe mon sexe pour en suçoter juste le bout. La peau fripée du prépuce qu'elle mâchouille entre ses lèvres. Clémentine se met à ma droite. À la fois pour observer ce que fait Estelle mais aussi pour se frotter contre ma cuisse. Estelle se rapproche. Maintenant son équilibre en se tenant fermement par les passants de mon jeans, elle frotte son sexe contre ma cheville gauche. Elle me taille une pipe goulue en se masturbant contre ma jambe. Tout comme Clémentine qui m'embrasse en se frottant sur ma cuisse.

Nous sommes une fois encore éperdus de jouissance, tous les trois, livrés aux plaisirs de nos sens. Pour Estelle, la situation devient critique. À la limite de la crampe, gagnée par l'ankylose, je l'aide à se relever. Elle se touche avant de glisser une main dans son jeans. << Mmhh, ta bite ! >> s'écrie t-elle en ouvrant sa bouche pour m'en montrer l'intérieur. Clémentine prend le relai. En faisant exactement la même chose qu'Estelle. Accroupie, se masturbant contre ma cheville tout en pompant comme si sa vie en dépendait. Je caresse le visage d'Estelle.

C'est toujours un spectacle de la voir tenter de déglutir mon foutre épais et gluant. C'est persistant en bouche. Elle me montre une nouvelle fois avant de fourrer sa langue dans ma bouche. Elle ne cesse de se masturber. Je peux ressentir les petits spasmes qui agitent son corps contre ma hanche. J'aide Clémentine à se redresser. Elle aussi garde une main dans sa culotte. Elle nous montre l'intérieur de sa bouche. Estelle n'a pas le réflexe de Julie. Pas le moindre espoir de voir Estelle et Clémentine s'embrasser pour échanger mon foutre gluant.

Je dis à Clémentine : << Si tu retires ton jeans et ta culotte, je t'installe sur le bureau et je te pénètre ! >>. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Je soulève Clémentine pour l'assoir sur le bureau. En appui sur ses coudes, les cuisses écartées, elle m'offre sa chatte poilue. D'abord je me mets à la bouffer comme un dément. Estelle, à genoux entre le bureau et moi, me suce comme une affamée. Je me redresse pour frotter mon sexe contre celui de Clémentine. Elle s'en saisit pour se l'enfoncer doucement. Estelle s'est relevée, serrée contre moi.

Elle scrute les expressions de mon visage pendant que je baise. Elle me tient les couilles par derrière. Elle devra nous laisser pour 22 h. Elle se masturbe en gémissant, parfois en m'embrassant. L'orgasme de Clémentine est étrangement rapide et foudroyant. Je me retire juste à temps pour éviter les giclées de pisse qu'elle ne peut réfréner. Estelle tombe à genoux pour me bouffer la queue. Elle aussi connait un orgasme délirant. Je lui éjacule au fond de la gorge. Elle manque de s'étouffer, en toussant. Je l'empêche de se retirer pour déglutir.

Je la tiens fermement en appuyant sur sa nuque. Toute ma bite enfoncée dans la bouche elle tente de se soustraire à mon étreinte. Ce qui se passe, ce qui lui arrive est encore totalement délirant. Son corps secoué des spasmes de l'orgasme, manquant de se noyer par l'abondance de mes giclées de sperme, elle pousse d'extraordinaires et profonds râles. Je la lâche enfin. Dans un cri, elle reprend sa respiration. << Salaud ! >> s'écrie t-elle. Clémentine revient avec le seau, la serpillère. Nous reprenons nos esprits. Il est presque 22 h.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont encore offert des moments d'une intensité jouissive. Surprises par tant de plaisirs...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1779 -



Julie vient prendre son cours de peinture

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. L'application "océan" nous tire de nos profond sommeil. Une fois encore l'impression bluffante de nous réveiller au bord de la mer. Clémentine vient se serrer contre moi. << Il manque juste l'odeur du large ! >> murmure t-elle en saisissant mon érection naturelle. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Le vendredi Clémentine termine à midi. C'est donc animée d'une douce euphorie qu'elle m'entraîne. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers.

Il fait froid dans la cuisine car les deux radiateurs ne viennent de se mettre en fonction qu'il y a dix minutes. J'allume immédiatement un feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis. Le grille pain expulse ses premières tranches de plus en plus loin dans un claquement sec. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos douces folies de hier soir, avec Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant celles à venir. << Sois mon vicieux adoré cet après-midi en présence de Julie ! >> dit Clémentine.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. C'est en déconnant que nous pratiquons. L'aérobic, le jogging sur les tapis roulants. Les exercices au sol et abdominaux. Avec les charges additionnelles ça ne rigole plus. Le retour au calme se fait ce matin dans un stretching totalement surréaliste. Je suis plié de rire. La douche. Je redescends à toute vitesse pour aller faire chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. Le jour se lève dans le froid glacial qui n'arrête plus. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak.

Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je rentre pour retrouver la douce chaleur de la maison. Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Je suis installé devant mon chevalet à préparer les couleurs sur la palette. En chantonnant. La peinture de cette quatrième scène de genre destinée à ma saison d'été m'accapare totalement. Je peins dans l'euphorie laissée par Clémentine. La matinée passe encore à une vitesse folle. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Là aussi je mets une bûche sur les braises ardentes dans la cuisinière à bois. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Je prépare une salade de tomates. Je concocte une sauce au Roquefort tout en faisant revenir dans la poêle deux filets de flétan. J'égoutte les spaghettis quand Clémentine rentre de cours. Il est 12 h35. Elle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, elle me couvre le visage de bisous. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Le bonjour d'Estelle.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le vague programme du week-end qui commence à l'instant. Nous débarrassons pour faire notre vaisselle. Il reste des spaghettis pour ce soir. Nous montons nous laver les dents. Pressés d'aller faire quelques pas au dehors, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Le ciel est couvert, bas et menaçant. << Il s'en faut de quelques degrés pour qu'il neige ! >> lance Clémentine en s'accrochant à mon bras. Il y a un vent froid.

Nous allons jusqu'à la rivière. L'étang qui en empêchait l'accès à cause des pluies incessantes de décembre a presque disparu. Laissant place à une vase bourbeuse. Nous revenons sur nos pas pour contourner la dépendance. Clémentine m'entraîne dans la maison d'amis. Avec le hors gel des panneaux photovoltaïques la température y est de 6°. C'est peu agréable. Mais c'est juste question de nous remémorer les choses vécues là. Clémentine me palpe la braguette en disant : << Je t'offrirai d'autres beaux spectacles ici ! >>. Elle m'embrasse.

Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches que nous empilons à côté de la cheminée du salon et de la cuisinière à bois. Une autre brouette exclusivement destinée à la cheminée de l'atelier. Il y a les premières gouttes de pluie. << Week-end pourri ! >> lance Clémentine. Je dis : << J'ai un superbe prétexte de virée demain. Nous allons faire l'achat d'un nouveau grille pain ! >>. Clémentine se précipite dans mes bras en s'écriant : << Darty ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine glisse sa main dans ma braguette.

Elle en extrait le locataire en chuchotant : << Julie est comme moi, elle adore voir des queues. Surtout la tienne quand elle vient ici ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine m'entraîne par la queue comme par une laisse. Nous faisons ainsi le tour de l'atelier. Elle joue au guide de musée en commentant chaque endroit. Je suis plié de rire car elle prend l'accent méridional de Juliette, ou l'accent belge de Bernadette Walter, la collaboratrice de Juliette. Nous rions aux éclats. Clémentine se blottit dans mes bras pour se frotter contre mon érection.

Nous mettons à profit cette météo déplorable pour avancer un peu dans nos travaux. Assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine fait ses préparations pour lundi. Il y aura un oral. Je peins en savourant ce moment commun. Il est 14 h45. Clémentine tourne autour de moi, une feuille à la main. Elle déclame le texte pour son oral de lundi, comme le ferait une actrice de théâtre. C'est formidable. Je pose la palette, les pinceaux pour applaudir. Assise sur mes genoux, elle fait une seconde lecture. Je dis : << Tu vas encore gagner ! >>.

15 h20. Du bruit. La porte de l'atelier s'ouvre. Julie arrive toute souriante. << Bonjour ! >> fait elle en venant nous faire des bises. Chacun trois bisous. Cet après-midi, elle a ses longs cheveux presque noirs qui flottent sur ses épaules. Un sweat bleu, son jeans, ses bottines. Ses lunettes d'étudiante sur le nez. Julie paraît encore d'une fragilité extrême. Petite et menue. Elle s'installe sur le tabouret qu'elle pose à ma gauche. Clémentine est derrière moi, ses mains sur mes épaules. J'explique ce que je peins. Julie se penche en avant pour scruter la toile.

Sous ma blouse, j'ai la bite à l'air. Clémentine me la déboutonne méthodiquement. C'est toujours à la fois gênant et excitant en présence de Julie. Elle fait semblant de ne se rendre compte de rien. Alors que je surprends ses coups d'œil furtifs pour loucher sur ma bite molle et flasque. Clémentine pose ses mains sur les épaules à Julie qui saisit ses poignets. << Tu es prête pour ton cours de peinture ? >> demande t-elle à Julie qui répond : << Je me réjouis depuis lundi soir ! >>. Il n'est pourtant pas encore l'heure du cours que Julie s'y plonge déjà.

Elle me pose quantité de questions sur les mélanges, le calibre des pinceaux que j'utilise. Clémentine retourne à ses préparations. Julie se lève pour aller observer le tableau achevé hier matin. Elle s'empare de la loupe posée sur la desserte pour scruter de près le moindre détail. << C'est délirant ! On reconnaît immédiatement Estelle et Clémentine. C'est encore plus précis qu'une photo ! >> dit elle dans un souffle. Elle rajoute : << Les mains aussi. C'est prodigieusement diabolique ! >>. Clémentine lance : << Le diable est un vieil ami à Julien ! >>.

Julie va rejoindre Clémentine qui lui explique la préparation de son oral pour lundi. << Moi j'ai une série d'oraux pour mercredi. Vivement les vacances de février ! >> fait Julie. Les vacances commencent le vendredi 4 février à midi. Clémentine dit : << Tu viens passer quelques jours avec nous ? Il y aura Estelle aussi ! >>. Julie s'écrie : << Oh oui ! Je m'organise un planning. Génial ! >>. Je me lève. Je vais me laver les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Julie fait semblant de découvrir enfin ce qui pend de ma braguette. Elle m'observe.

J'adore quand elle reste ainsi, les bras le long du corps, immobile, la bouche ouverte, une expression d'hébétude sur le visage, à fixer ostensiblement mon sexe. Je me tourne franchement vers Clémentine assise et Julie debout. Mes mains sur les hanches. Je sens mon sexe durcir jusqu'à pointer vers les poutres du plafond. Par contractions des muscles fessiers, je fais bouger ma queue. Julie est concentrée sur ce mouvement rythmique. Clémentine en est comme subjuguée alors qu'elle assiste à ça presque tous les jours. Surtout aux toilettes.

Je sors mes couilles. Me voilà avec mes organes génitaux à l'air. Les filles restent silencieuses à regarder. Clémentine se lève. Elle prend Julie par la main pour l'entraîner vers moi. Elle s'accroupit pour enserrer mes couilles en faisant un anneau autour avec ses doigts. Julie observe mes expressions en évitant de croiser mon regard. Clémentine gobe l'extrémité de mon prépuce. Cette peau fripée qu'elle serre entre ses lèvres en fixant Julie. Julie, en apnée à plusieurs reprises, reprend à chaque fois sa respiration dans un souffle animal. Son excitation forte.

Clémentine se redresse en saisissant ma queue pour m'entraîner comme par une laisse. Julie s'appuie contre le pilier central, comme pour ne pas être prise de vertige. Elle nous regarde faire ainsi le tour de la grande pièce. Même si je me sens légèrement ridicule dans cette situation, je suis très excité. Julie glisse une main entre ses cuisses. La voyeuse qui sommeille en elle trouve une fois encore de quoi nourrir ses penchants. Clémentine tient mon sexe à sa base, le pouce et l'index en appui sur mes couilles. Elle agite ma bite en direction de Julie.

<< Quand iras-tu faire un tour en auto avec Julien ? Je reste assise à l'arrière ! >> lance Clémentine. Julie a soudain une expression de gourmandise. Un sourire qui illumine son visage. Lorsqu'elle observe de telles scènes, Julie est toujours si sérieuse. Je rajoute : << On fait des arrêts dans les chemins. Je satisfais toutes ces envies secrètes qui t'animent, tu veux ? >>. Julie reste silencieuse. Elle se touche. Clémentine me masturbe. Nous restons ainsi un long moment à nous observer. Julie lâche enfin : << On le fait pendant les vacances ! >>.

Clémentine me lâche pour se diriger vers la cheminée. Elle y dépose deux bûches qui s'enflamment presque de suite. Je m'approche de Julie en agitant ma queue. Je lui dépose une bise sur le front. << Comme je suis bien ici. C'est merveilleux d'être détendue comme ça ! >> dit elle. Je rejoins Clémentine qui se serre dans mes bras pour murmurer : << Nous aussi, on adore tes présences ! >>. Julie, les mains entre ses cuisses, nous observe silencieusement. Nous nous dirigeons vers elle. Nous lui déposons plein de bisous. Elle en frissonne de plaisir.

Il est 17 h. C'est l'heure du cours de peinture. Clémentine est assise devant son ordinateur. Julie est installée devant son chevalet de table. Elle prépare les couleurs sur sa palette. C'est son troisième paysage qu'elle réalise. Je la regarde peindre. Je refuse de donner des conseils. Par contre je fais des suggestions sur telle ou telle façon de procéder. Sous la table, je tiens ma queue toute molle. La passion de la peinture est plus forte que celle du sexe. Parfois Julie s'adosse contre le dossier de sa chaise pour observer son travail. Pour loucher sous la table.

Il est presque dix huit heures. Julie fait son job de serveuse ce soir. La mise en place dès 18 h30. Elle revient demain matin pour le ménage. La séparation est difficile. Elle nettoie sa palette, ses pinceaux en nous confiant cette tristesse qui l'envahit trop souvent lorsqu'elle nous quitte. << Je suis d'une nature sensible, parfois tristounette alors les séparations sont si pénibles ! >> se justifie t-elle. << Tu verras, les vacances arriveront vite. On sera ensemble ! >> lui fait Clémentine. Nous la tenons tous deux par les épaules en lui faisant des bisous.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Sous le parapluie car il pleut. Assise au volant elle fixe ma bite qui pend dans l'habitacle de son auto. À quelques vingt centimètres de son visage. Une bite molle car avec ce froid glacial, c'est une prouesse de la garder à l'air. Je me dépêche d'ailleurs de la remballer. En démarrant, Julie nous fait : << J'espère vivre des trucs sympas ce soir au restau ! >>. Un dernier bisou. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. << J'adore l'idée d'être seule avec toi ce soir ! >> me fait Clémentine en rentrant.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont pouvoir s'offrir la queue de leur mec sans avoir à la partager. Rien que pour elles...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1780 -



C'est samedi. Peinards et tranquilles...

Hier matin, samedi, Clémentine vient se frotter contre ma hanche. Une cuisse sous mes fesses, l'autre sur mon érection naturelle qu'elle saisit à pleine main. Il est presque huit heures. Hier soir, nous avons fait l'amour. En amoureux. << Comme c'était bon ! >> murmure Clémentine en gémissant. L'envie de pisser est bien trop forte pour permettre quelques effusions de tendresse supplémentaires. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il y fait déjà chaud.

Les deux radiateurs fonctionnent depuis deux heures. J'allume tout de même le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis. Je vais ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Le pénible claquement sec du grille pain qui expulse les premières tranches. C'est certain ce vieil appareil est entrain d'agoniser. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre après-midi de hier. La présence de Julie. Son attitude, la mienne. << J'aime quand tu fais ton vicieux ! >> me confie Clémentine.

Il est huit heures trente. Voilà Julie qui arrive pour faire le ménage. Prétexte pour nous revoir et être présente dans cette maison qu'elle aime tant. Nous sommes entrain de faire la vaisselle. Julie nous fait trois bises à chacun. Je passe ma main sur sa joue en évitant ses lunettes pour dire : << Comme c'est agréable de vous voir le matin ! >>. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. Dehors il pleut. << C'est foutu pour le jogging ! >> lance Clémentine. Nous laissons Julie à son ménage pour remonter. C'est notre heure d'entraînement.

Aérobic. Nous entendons Julie passer l'aspirateur. C'est sur les tapis roulants que nous faisons notre jogging. Un peu de vélo d'intérieur aussi. En riant comme des fous. Exercices au sol et abdos. Les charges additionnelles. Ce matin sur les machines. Le stretching qui permet un retour au calme d'une extraordinaire douceur. La douche. Julie vient de laver la salle de bain. Il y a déjà cette délicate odeur de magnolia. Les diffuseurs d'arôme émettent la vapeur des effluves parfumées d'huiles essentielles. Nous nous habillons de nos jeans, de nos sweats.

Nous dévalons les escaliers car les livraisons ne vont pas tarder. Julie est entrain de passer la serpillère à la cuisine. Nous lui déposons un rapide bisou sur le front avant d'enfiler nos anoraks, nos bonnets, nos gants. C'est sous l'immense parapluie noir que nous sortons. Il faut rester sur les dalles de grès pour traverser la pelouse. Tout est détrempé. Il tombe des cordes. Voilà la camionnette des fruits et légumes qui descend pour se garer derrière la Clio rouge de Julie. Danièle nous offre son beau sourire en tirant nos deux cageots du hayon arrière.

L'un contient nos fruits, nos légumes. L'autre contient nos fromages, nos yaourts, nos œufs, le beurre, les petits pots de crème fraîche. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. Nous n'attendons pas très longtemps. Voilà madame Marthe, notre boulangère adorée. Elle aussi gare son tube Citroën rénové et magnifique derrière l'auto de Julie. C'est en nous comptant d'amusantes anecdotes sur la vie du bourg que Mme Marthe nous tend la cagette en plastique contenant nos deux grosses miches, deux pâtes feuilletées, la brioche.

<< C'est cadeau ! >> lance t-elle en nous offrant les deux croissants aux amandes habituels. Même commande pour samedi prochain. Paiement par carte. Nous nous dépêchons de descendre à la cave par derrière. Nous rangeons les fruits et les légumes sur les étagères du cellier. Une miche, les deux pâtes feuilletées dans le congélateur. C'est samedi, j'en tire le dernier paquet de moules, le dernier sachet de haricots verts, le dernier sachet de petits pois. << Mardi après-midi, les courses. C'est impératif ! Obligatoire ! >> lance Clémentine.

Elle rajoute : << On en profitera pour acheter un nouveau grille pain ! >>. Nous montons pour ranger les produits frais dans le réfrigérateur. Les diffuseurs d'arômes du ré de chaussée distribuent leurs senteurs de jasmin. Tout est déjà propre. Julie est entrain de faire les toilettes. Nous passons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Un message de mon oncle d'Édimbourg. Tout va bien. Au Royaume Unis quasiment toutes les restrictions sont levées. Le port du masque dans les magasins est à l'appréciation de chacun. Liberté !

Par contre il fait très froid aussi. Il pleut souvent. Comme il gèle durant la nuit, le sol est couvert de glace. Nous sommes attendus avec impatience pour la fin du mois de juin. Nous aussi nous sommes impatients. Dans la petite enveloppe jaune habituelle je glisse un billet de 50€, la liste de nos commandes pour lundi soir. Clémentine y rajoute le rituel petit mot gentil que je signe avec un cœur rouge. Il est onze heures quinze. Julie vient nous rejoindre. Je lui tends l'enveloppe. << Merci. Vous avez une belle maison jusqu'à samedi ! >> dit elle.

Je me lève pour contourner le bureau. Je pose mes mains sur ses frêles épaules en disant : << Avant samedi prochain, il y a lundi soir et vendredi après-midi ! >>. Clémentine rajoute : << Et après, ce sont deux semaines de vacances. Viens passer quelques jours avec nous. Tu emmènes tes affaires ! >>. Le visage de Julie s'illumine. Elle s'écrie : << Oh oui, j'ai déjà tout prévu. Je vous donnerai les jours lundi soir ! Comme je me réjouis ! >>. Clémentine contourne le bureau pour nous rejoindre. Elle rajoute : << On se prépare des "plans", tu veux ? >>.

<< Bien sûr que je veux ! >> répond Julie. Je glisse ma main entre ses cuisses. Julie a ce réflexe féminin qui la fait sursauter. Clémentine dit : << On se donne des gages tous les jours. Chacun à son tour devra proposer un "plan". Et nous le réalisons dans la journée ! >>. Julie saisit mon poignet. Pas pour retirer ma main mais pour se dégager. Elle fait : << Génial comme projet ! Mais je manque cruellement d'imagination. ! >>. Nous rions de bon cœur quand Clémentine lance : << Tu verras, on se chargera de te donner de l'inspiration ! >>.

Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Sous le parapluie. Il tombe des hallebardes. Assise au volant, la vitre baissée, elle nous dit : << Ce week-end je suis en famille, ce soir je bosse, on sera vite lundi ! Je viendrais peut-être avec Anne-Marie ! Ma tante est pressée de passer une soirée ensemble ! >>. Je palpe ma braguette. Elle fixe ma main en démarrant. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au sec, au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais le bouillon pour les moules encore congelées.

Les haricots verts, les petits pois dans le wok. Le repas de midi du samedi, c'est du congelé. C'est bon quand même. Dans la bouche. C'est une préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Julie. Elle viendra peut-être avec sa tante lundi soir. Une belle bourgeoise de 43 ans que nous apprécions beaucoup pour sa classe, son raffinement et son humour très british. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine remémore nos souvenirs communs avec Anne-Marie. Le film dans les WC du restau.

C'était il y a deux ans et demi. Nous en gardons un excellent souvenir. Estelle a d'ailleurs ce film dans ses archives secrètes. Anne-Marie n'avait pas vraiment participé. Elle s'est contentée de rester à côté de Clémentine qui filmait. Estelle me taillait une pipe devant un des urinoirs sous le regard de Julie. Grand moment de vice immortalisé par Clémentine. << On devrait se faire une soirée cinéma un des jours des vacances. Ça te dit ? >> propose Clémentine. Je réponds : << On en parle à Estelle tout à l'heure, quand elle arrive ! >>. Des bisous.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Il est 13 h30. Voilà justement Estelle. En avance comme toujours. Elle pose son sac de sport mouillé sur le tapis pour se précipiter. Une bise à Clémentine avant de me sauter au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille pour me couvrir le visage de bisous. J'administre toujours le même traitement à Clémentine. C'est trop bien. Nous restons serrés tous les trois à nous caresser le dos. << Enfin tous les trois ! C'est de plus en plus dur. Vivement les vacances ! >> lance Estelle en palpant ma braguette.

Elle nous explique sa stratégie. Pour pouvoir profiter de ses parents qu'elle aime autant que nous, Estelle propose de les inviter à manger le premier dimanche des vacances, 6 février. D'aller manger chez eux le second dimanche, 13 février. << J'irai passer une ou deux journées avec eux ! >> précise t-elle. La coquine a déjà tout manigancé dans sa tête. Nous montons. Je prends le sac de sport d'Estelle. Clémentine et moi nous nous lavons les dents. Estelle, assise sur le bidet tire le pyjama en soie de son sac. << Je le mets sur le radiateur ! >> dit elle.

Nous allons dans la chambre. Estelle tire ses vêtements de change du sac de sport pour les étaler sur le lit. << Ça, je le laisse là pour les vacances ! >> lance t-elle en dépliant sa jupe kilt à carreaux rouges, son porte-jarretelles, son chemisier crème. Elle pose ses escarpins noirs à talons hauts sur le tabouret. << Excellente initiative parce qu'on commence à avoir des idées pour les vacances. Il y aura Julie ! >> dit Clémentine. << Génial ! >> rajoute Estelle. Il ne fait pas très chaud dans la chambre aussi nous nous dépêchons de redescendre.

Nous allons dans l'atelier. Que faire avec cette météo sinon avancer dans nos travaux. Les filles ont un mémoire à préparer et à rendre pour vendredi prochain. Dernier jour de cours. << Tournons cette météo pitoyable à notre avantage ! >> lance Clémentine. Estelle allume la cheminée. Elle adore ça et s'y prend plutôt bien. Chacun a sa méthode. Clémentine, sa main dans ma braguette, reste serrée contre moi. Nous observons les faits et gestes d'Estelle. Il y a rapidement une belle flambée. Il fait tellement sombre qu'il faut allumer les halogènes.

Mes deux anges sont assises devant leurs ordinateurs. Estelle possède un MacBook Air. Clémentine un MacBook Pro. Elles comparent toujours les très légères différences. Je suis confortablement installé devant mon chevalet. Je prépare les couleurs sur la palette. J'aime entendre les filles rires, commenter ce qu'elles font, chantonner parfois en se donnant la réplique. La peinture de cette quatrième scène de genre destinée à ma saison d'été est un bonheur. Je peins dans un enchantement paradisiaque. Nous sommes si merveilleusement bien.

Parfois, l'une se lève pour venir me faire un bisou dans le cou, dans la nuque, poser ses mains derrière moi, sur mes épaules. Me chuchoter une douceur, une cochonnerie. Parfois c'est moi qui me lève. Debout derrière elle, les tenant par les épaules, mon visage entre les leurs, je distribue des bises. Ce qu'elles adore tout particulièrement dans ces moments, c'est lorsque je lisse leurs cheveux. Mes doigts qui les coiffent. Elles me saisissent toujours le poignet quand je veux repartir. << Tu ne t'en tireras pas à si bon compte, toi ! >> me fait Estelle.

L'après-midi ce passe ainsi, dans l'extraordinaire béatitude d'une émulation créatrice. Il est 18 h. Estelle et Clémentine, une feuille à la main, parcourent la grande pièce. Chacune lit un paragraphe de ses écrits. J'écoute en nettoyant ma palette, mes pinceaux. Au fur et à mesure de leurs lectures, mes deux anges se mettent à chanter leurs textes. Nous sommes pliés de rire. Estelle y rajoute des phrases inventées et totalement surréalistes du style : << J'ai envie de te rouler une pelle ! >>. Des choses qui n'ont strictement rien à voir avec les sciences.

Nous sommes rapidement tous les trois vautrés dans le vieux canapé de velours carmin. Je suis entre mes deux anges. Je les écoute évoquer les différentes stratégies pour le mémoire à rendre vendredi prochain. Estelle me sort la bite tout en parlant. Clémentine se penche en avant pour regarder. Estelle, avec le plus grand sérieux, parle de chimie des minéraux composants les roches du tertiaire sans cesser de me tordre la queue dans tous les sens. Heureusement que je bande mou. << Et le fantôme ? >> demande Estelle. C'est vrai, il est 18 h30.

<< C'est son heure, elle devrait venir faire son vacarme habituel ! >> rajoute Clémentine. Hors, ce soir encore, rien. Aucune manifestation paranormale. C'est le troisième soir sans phénomènes de hantises. Estelle se lève pour aller touiller les braises avec le tisonnier. Clémentine a pris le relai. C'est elle qui me tient le sexe. Nous regardons Estelle remuer les braises et réunir les derniers morceaux ardents. L'obscurité se fait presque total. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Assis à la table, tous les trois nous épluchons les légumes de la potée.

Les pommes de terre, les carottes, les navets, le gros céleri, deux gros oignons, quatre gousses d'ail. Nous bavardons. Clémentine propose une soirée cinéma durant les vacances. De préférence en compagnie de Julie. << Mais en voilà une excellente idée. Vous savez quoi ? Je fais faire un "Best-off" des meilleures scènes. Un florilège des meilleurs moments ! >>. Nous posons les éplucheurs pour applaudir. Estelle rajoute : << Je fais ça lundi soir, je connais les douze films par cœur. Je sais quelles scènes garder. On va beaucoup s'amuser ! >>.

Clémentine fait la salade. Une belle laitue avec un assaisonnement vinaigrette. Estelle touille les légumes dans la vieille cocotte en fonte noire. Sur la cuisinière à bois dont le dessus est d'une chaleur intense. Le métal en est rougeoyant. Avec la spatule en bois, il faut détacher sans arrêt ce qui colle au fond. C'est le meilleur. Dans une poêle, je fais revenir trois dos de cabillauds blancs. Je concocte une sauce au Roquefort avec de petits champignons noirs. J'y rajoute de fines tranches d'un avocat bien mûr. Les filles évoquent la soirée cinéma.

<< Je veux les vacances les plus vicelardes de ma vie ! >> lance Estelle à deux reprises quand Clémentine suggère quelques "plans" bien salaces. Comment impliquer Julie dans nos jeux à trois ? Mes deux anges ne manquent pas d'imagination. Julie est amoureuse de Clémentine, mais Estelle ne la laisse absolument pas indifférente. La ruse consiste à mêler les penchants bisexuels de Julie dans nos jeux sans céder à sa passion pour les filles. Estelle et Clémentine n'ont strictement aucun penchant lesbiens. Mais alors absolument aucun.

Dommage pour moi et mes vieux fantasmes d'homme des cavernes. Nous rions beaucoup de mes fantasmes inassouvis. Clémentine met les assiettes et les couverts. Nous mangeons de bon appétit. C'est tellement délicieux. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, les filles préparent méthodiquement le programme de certains "jeux" des vacances de février. J'écoute. Je suis en érection. Tout ce qui se prépare là encore est si excitant. Je propose une soirée léchage de minous après la vaisselle.

Nous débarrassons. Clémentine fait la plonge, Estelle et moi nous essuyons. Sous mon tablier j'ai la bite à l'air. Ça fait une grosse bosse que me palpe Estelle en disant : << J'avais mes "petits machins". Ça fait une semaine que je n'ai plus baisé ! Tu m'arranges "ça" ce soir ? >>. Clémentine s'écrie : << Oh oui ! Faites moi du spectacle ! Génial ! >>. Mes deux anges m'entraînent au salon. Tous les trois, dans le même élan, nous retirons nos jeans, nos slips. Clémentine s'installe dans le fauteuil. Les jambes écartées, posées sur les accoudoirs. Sublime.

Il y a juste la lueur des deux grosses bougies du chandelier. Estelle adore allumer la cheminée. Nous la laissons faire. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Mon visage enfui dans la touffe dense de Clémentine. Elle tient son clitoris géant entre le pouce et l'index pendant que je le suçote. Elle se masturbe lorsque je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe déjà baveux. Du bout de la langue j'explore avec passion. J'adore ça. Estelle vient nous rejoindre en disant : << Regardez un peu cette belle flambée ! >>. Nous regardons.

Estelle s'accroupit pour passer sa main entre mes cuisses, par derrière. C'est comme ça qu'elle me choppe la queue après avoir malaxé mes couilles. Je me bouffe de la chatte sous les premiers gémissements de Clémentine. Estelle me tient les couilles par derrière de sa main gauche. Elle me branle par devant de sa main droite. Je cesse mon cunnilingus juteux pour saisir Estelle par la nuque. Je dis : << Toi, je vais te baiser jusqu'à te faire hurler. Viens ! >>. Je me lève. Estelle, tenue fermement par sa tignasse, se redresse. Ses yeux m'implorent.

Je la soulève. Je l'installe sur le bureau. Clémentine se lève pour orienter son fauteuil afin de ne rien perdre du show qui se prépare. Je tiens Estelle par ses chevilles. Elle a juste ses chaussettes, son sweat. En appui sur ses coudes, le regard étonné, elle me fixe par en-dessous. Curieuse de tout ce que j'entreprends. Je tourne la tête pour regarder ce que fait Clémentine. Sa jambe droite posée sur l'accoudoir de droite, sa jambe gauche posée sur l'accoudoir de gauche, elle se masturbe d'un geste pendulaire. Parfois rapide. Parfois plus lent.

Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle. Il y a de la mouille. Je ne sais pas si c'est la sienne ou la mienne. Toujours est-il que lorsque je retire ma queue, il y a un long filament laiteux qui nous relie. Je m'introduis doucement, avec d'infinies précautions, centimètre par centimètre. En se mordillant la lèvre inférieure, Estelle ferme les yeux, renverse sa tête en arrière avant de s'allonger sur le bureau. Je suis enfoncé jusqu'aux couilles qui ballotent sur ses fesses. Je reste immobile. Je regarde Clémentine déjà en sueur, bouche ouverte, qui mâte.

Estelle se met à bouger. De plus en plus vite pour cesser en gémissant de bonheur. Elle recommence. Elle ne cesse de se masturber toute en étant pénétrée jusqu'à la garde. Son fourreau est accueillant ce soir encore. Je l'honore comme elle aime. C'est à dire avec la délicatesse d'un lutteur ukrainien, avec les égards d'un équarrisseur de l'époque soviétique. Je la baise à la hussarde en poussant des beuglements bovins. J'alterne les séquences plus calmes avec des bravades plus mouvementés. Estelle, en véritable cantatrice, module ses hurlements.

Clémentine vient nous rejoindre. Tout en se masturbant d'une main, elle passe l'autre par derrière pour me chopper les couilles. Son visage tout près du mien, elle scrute la moindre de mes expressions. De sa langue elle lèche la sueur qui coule. C'est qu'il fait hyper chaud avec la cheminée, les radiateurs et nos exercices aérobics. Estelle, sans cesser de se masturber, me repousse soudain délicatement. Je me retire alors que Clémentine tombe à genoux pour pomper mon sexe dégoulinant de mélange. Estelle se tourne sur le côté, mains entre les cuisses.

J'adore la voir tenter de revenir à la réalité. Lorsqu'elle ouvre les yeux ils sont comme révulsés. Elle donne l'impression de souffrir le martyr alors qu'elle est en proie à une véritable série d'orgasmes. J'éjacule au fond de la gorge de Clémentine. L'abondance des giclées de sperme la fait tousser. Elle est entrain de s'étouffer pourtant elle continue à sucer comme si sa vie en dépendait. C'est comme ça, à genoux sur le parquet, que Clémentine est terrassée à son tour par un orgasme qui la fait gémir de bonheur. Elle me tient les fesses pour me garder.

Estelle se redresse. Assise sur le bord du bureau, elle contemple ce spectacle surréaliste. Clémentine à genoux dans une flaque de pisse ou je suis debout en chaussettes. J'arrive enfin à extraire mon sexe presque douloureux de la bouche de Clémentine. J'embrasse Estelle en me penchant en avant, les mains en appui sur le bureau. Clémentine se lève, les yeux mouillés de larmes tellement elle a joui. Tout comme ceux d'Estelle. C'est magnifique de lécher leurs joues pour en récupérer la sueur. Je m'en régale autant que de leurs jus de filles. Un nectar.

Clémentine revient avec le seau, la serpillère. Combien de fois ne l'avons nous pas vu nettoyer les conséquences de ses orgasmes pisseux. << Tu devrais penser à aller pisser avant de te livrer à tes branles sauvages ! >> lui lance Estelle qui reste blottit dans mes bras, jouant avec ma queue toute molle. Il est presque 23 h. Totalement épuisés, nous montons nous laver les dents à la salle de bain. Retirer nos chaussette trempées. Au lit, entre mes deux anges, nous faisons le bilan de cette soirée de folies. Estelle s'endort la première. Ronfle.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment chacune s'offrir le plaisir à leur manière. Préparant ainsi les jeux des vacances à venir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1781 -



Un dimanche tout aussi peinard et tranquille

Hier matin, dimanche, il est neuf heures trente quand je suis réveillé par des murmures, des rires étouffés. Dès qu'elles me savent conscient, mes deux anges me couvrent le visage de bisous. En mitrailles. Estelle glisse sa main dans mon slip pour saisir mon érection naturelle et matinale. Clémentine empoigne mes couilles. << Bonjour monsieur ! >> font elles en même temps. Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer contre moi. Nous restons ainsi en luttant contre l'impérieux besoin naturel. Distribution de câlins.

<< Ça va être comme ça tous les matins des vacances ! >> dit Estelle. << Autant t'y habituer une semaine avant ! >> rajoute Clémentine. Je glisse mes mains dans les culottes pour répondre : << Moi, je vous prépare de belles surprises ! >>. Estelle, n'en pouvant plus, se lève d'un bond pour se précipiter aux toilettes. Clémentine me chevauche, frotte son sexe sur le mien en murmurant : << Je t'aime Julien. C'était encore merveilleux hier soir ! >>. Nous filons au WC. Morts de faim, vêtus de nos jeans et sweats, nous dévalons les escaliers.

Nous rejoignons Estelle dans une cuisine bien chaude qui sent bon le café, le pain grillé. La brioche au pudding qui trône au milieu de la table. J'aide Estelle à allumer le feu dans la cuisinière à bois. Elle est encore en pyjama. J'aime le contact doux de la soie. Surtout entre ses cuisses bouillantes. << J'aime quand tu fais ça ! >> dit elle lorsque je passe ma main entre ses jambes pour palper son sexe. Clémentine presse les oranges, pèle nos kiwis en nous observant. << Déjà de bon matin j'ai du spectacle ! >> lance t-elle avant de nous rejoindre.

Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. << C'est assez génial de se faire prendre sur le bureau. On le fait souvent mais à chaque fois c'est neuf ! >> confie Estelle. << Moi, dans mon fauteuil, j'adore vous voir faire. C'est divin. Je ne m'en lasse pas ! >> rajoute Clémentine. Je dis : << On s'offre des trucs sympas tous les jours des vacances ! >>. Nous mangeons de bon appétit en comptant les jours qui nous séparent des vacances. Très exactement cinq. << J'ai plein d'idées ! >> lance Estelle. Nous rions.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges reviennent sur ce mémoire qu'il faudra rendre vendredi matin. Il y a un sérieux travail à fournir durant ces cinq jours de cours restants. Le dimanche, pas d'entraînement, le ménage est fait. Nous avons tout notre temps. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous faisons le lit pendant qu'Estelle s'habille. Malgré la fraîcheur dans la chambre, elle fait une danse du ventre devant le miroir.

Nous dévalons les escaliers pour redescendre. Nous enfilons nos anoraks. Il fait légèrement moins froid ce matin. Il est 10 h30. Il ne pleut pas. Le ciel est gris, bas et menaçant. Tout est détrempé. Nous restons sur les dalles de grès jusqu'au chemin qui mène à la rivière. Je suis entre mes deux anges accrochées à mon bras. Nous faisons mille projets pour les vacances. Je propose même de partir quelques jours. Il y a toujours des locations possibles. Clémentine s'écrie : << Oh non, on profite de notre chez nous ! >>. Estelle dit pareil : << Ici ! >>.

<< Nous avons besoin de poser nos valises quelques temps, beaucoup de repos. Nous sommes tout le temps dans l'action ! >> fait encore Clémentine. << Et puis on devient casanières ! On vieillit. On a bientôt vingt cinq ans ! >> rajoute Estelle. Nous rions de bon cœur. Je dis : << Ça aussi, ça va se fêter, vos 25 ans ! >>. Les filles se serrent contre moi pour me déposer plein de bisous sur les joues. Estelle glisse sa main dégantée sous mon anorak pour me palper la braguette. Je passe ma main entre ses cuisses. Clémentine s'en rend compte en riant.

Nous remontons doucement sans cesser de rire, de nous arrêter pour nous embrasser. Il y a encore le goût persistant de la brioche au pudding. Voilà monsieur Bertrand. Notre voisin descend nourrir les canards. Louis est toujours ravi de nous voir ainsi. Nous bavardons un peu. Ce rusé retraité ne sait pas que je suis parfaitement informé de ses perversités. Son hypocrisie ne connaît pas de limite. Il joue parfaitement son rôle de voisin. Estelle ne cesse de me faire du coude pendant que nous discutons. Elle aussi connaît son bonhomme.

<< Vous venez boire le café un de ces après-midi. Il y a les vacances de février dans huit jours ! >> demande Clémentine. << Avec plaisir ! >> répond le vieux fourbe. Il rajoute : << Il suffit de prévoir quelques jours à l'avance. Comme tous les retraités, je suis débordé de travail ! >>. Nous le saluons pour le laisser à ses occupations nourricières. Estelle nous fait : << Ce vieux salaud ! Je me le suce aussi un de ces jours ! >>. Nous éclatons de rire. Clémentine propose d'organiser un "plan" à trois. Je dis : << Moi, je serai dans le placard à balais ! >>.

Nous rentrons au chaud. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle réchauffe la potée de légumes. Il en restera pour ce soir et pour mon repas de midi demain. Je fais dorer à la poêle trois beaux pavés de saumon. Les filles évoquent quelques stratégies concernant monsieur Bertrand. Depuis le temps que Clémentine vante les qualités gustatives du sperme de ce vieux pervers, Estelle rêve d'y gouter. J'écoute plutôt amusé les ruses dont elles font encore preuve. Je commence même à bander. Une grosse bosse déforme ma braguette ouverte.

Estelle passe derrière moi pour y glisser une main. << Oh mais il s'en passe de belles là-dedans ! >> dit elle. << Fais voir un peu ! >> dit Clémentine qui s'essuie les mains pour venir constater. Estelle me sort le sexe qu'elle tient fièrement, comme un trophée. Clémentine s'accroupit devant moi en disant : << Parler pipe, ça me met en appétit ! Ça donne envie ! >>. Elle gobe l'extrémité de la peau fripée de mon prépuce. Estelle, penchée en avant, observe. Clémentine se redresse en murmurant : << Je prends mon apéro après le dessert ! >>.

Nous voilà assis devant un bon repas. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève plusieurs fois pour mimer des masturbations masculines. Elle nous raconte son vendredi soir avec ses parents. Son samedi matin avec sa maman à faire les courses à l'hypermarché. Les filles parlent des soldes. << C'est bien tristounet les soldes cette année ! >> lance Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mes épaules, Estelle et Clémentine passe en revue les différentes options de l'après-midi.

Je propose de prendre la voiture pour aller jusqu'au bourg. De prendre le chemin à partir de la chapelle. La terre stabilisée du parcours sportif permet de marcher sans trop saloper les godasses jusqu'aux collines. << Et ce soir, léchages de minous ? >> demande Estelle. << Oh oui ! >> lance Clémentine. Je réponds : << Mais ça tombe sous le sens ! Je veux savourer de la chatte négligée des dimanches ! >>. Le dimanche, nous ne prenons pas de douche. C'est une vieille habitude. J'adore me bouffer de la moule ayant marinée dans son jus.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents avec nos habituelles pitreries. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers avec nos godasses de marche à la main. Dans le petit sac à dos, la thermos avec du thé bouillant, des barres de céréales. Nous enfilons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. Estelle propose de prendre le Kangoo, sa voiture d'entreprise. Il n'y a pas de siège arrière. Il faut donc prendre le risque d'êtres tous les trois devant. Sur environs quatre kilomètres d'une route communale déserte et sinueuse.

Je suis prié de conduire. Estelle assise sur les genoux de Clémentine. Nous rions comme des fous de ma conduite hasardeuse. Un kangoo cela ne se "pilote" pas comme une Mercedes de classe S. J'ai du mal. Il faut passer dans le bourg. Il n'y a pas grand monde. Je gare l'auto devant le muret de l'enclos paroissial. Il y a quelques autres voitures. Je mets le sac sur le dos. Nous changeons de chaussures. C'est parti. Nous traversons la route pour prendre le chemin forestier. La marche est facile sur ce terrain sableux, souvent rocailleux. Pas de boue.

Le chemin est assez large pour y évoluer de front tous les trois. Nous croisons parfois quelques marcheurs. Ces deux filles tenant par la main un homme d'âge mûr. Est-il le papa, l'ami, l'amant ? Autant de questions que nous devinons dans les regards interrogateurs des gens que nous rencontrons. Il y a une heure de marche pour arriver aux anciennes carrières. De là ont été extraites les pierres des anciennes maisons du village, de l'église, des bâtiments abandonnés des anciennes tuileries. Nous faisons quelques haltes pour prendre un thé chaud.

Comme le chemin monte légèrement, ça réchauffe. Nous pouvons garder nos anoraks ouverts. Un excellent prétexte pour nous tripoter. Les mains des filles qui fouillent ma braguette ouverte. Mes mains qui glissent dans les culottes. Quand j'embrasse Estelle, Clémentine me sort la queue. Quand j'embrasse Clémentine, Estelle me branle. << C'est pour que tu n'attrapes pas un rhume de bite ! >> dit elle. << Regarde, tu as déjà le nez qui coule ! >> rajoute Clémentine en montrant la goute de liquide séminal qui perle à l'extrémité du méat. De la jute.

Il fait tout de même bien trop froid pour garder la bite à l'air. Mes deux anges, protectrices, en sont bien conscientes. C'est un peu frustrées qu'elles remballent mes attributs virils. Nous avons d'ailleurs failli nous faire surprendre à deux reprises par des groupes de randonneurs. Nous faisons la boucle par les bâtiments abandonnés des anciennes tuileries. Nous y avons vécu là des choses très amusantes. Notamment un film "bondage" dont la "star" était Julie. Nous en gardons un souvenir très précis. << On se fera un film à nous ici ! >> lance Estelle.

Il est 18 h quand nous revenons à la voiture. Il fait nuit. Les premières gouttes de pluie. << On l'a échappé belle ! >> lance Estelle. << C'est génial, on a bien profité du répit pluvieux de l'après-midi ! >> rajoute Clémentine. Cette fois c'est Estelle qui roule. Clémentine est assise sur mes genoux. Comme c'est inconfortable une voiture d'entreprise à trois devant !. Il est 18 h30 quand nous sommes de retour à la maison. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle nous prépare sa spécialité du dimanche soir. Une omelette aux quatre fromages.

Je réchauffe la potée. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur le projet de film aux bâtiments des anciennes tuileries. Nous adorons tous les trois ces endroits abandonnés, un peu glauques. L'ambiance nous excite considérablement. Nous réaliserons ce film aux premiers beaux jours. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles m'entraînent au salon. Elles retirent leurs jeans, leurs culottes. Vautrées dans le canapé, leurs jambes relevées, largement écartées qu'elles tiennent sous les genoux, mes anges me présentent leurs chattes.

Je commence toujours par celle d'Estelle. L'odeur forte où se mêlent toutes les effluves de ses intimités. Il y a eu des arrêts pipi durant la promenade. Les touffes poilues en gardent les parfums. Lorsque je fouille leurs vulves du bout de ma langue, Estelle et Clémentine se masturbent. Lorsque je suce leurs clitoris, c'est un concerto de gémissements. L'orgasme d'Estelle la fait crier de plaisir. Elle devra nous laisser pour 22 h. Dans quinze minutes. L'orgasme de Clémentine la fait hurler de jouissance. Je me fais encore sucer un peu par Estelle.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui ont passé un agréable dimanche. Qui s'apprêtent à passer une bonne nuit de sommeil...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1782 -



Les délicieux repas que nous livre Julie

Hier matin, lundi, il est presque six heures. L'application "océan" nous offre l'illusion de nous réveiller dans un port de pêche. Peut-être même quelque part en Écosse. Le cri strident des oiseaux de mer. La sirène de ce gros bateau dans le lointain. Le clapotis de l'eau. Tout cela est si réellement bluffant. Clémentine se blottit contre moi en gémissant. << Bientôt les vacances ! >> murmure t-elle. Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Pipi. Morts de faim, vêtus de nos leggings, de nos sweats en lycra noir, nous dévalons les escaliers.

Pendant que Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis, j'allume une bonne flambée dans la cuisinière à bois. Le claquement sec et sinistre du grille pain qui éjecte les premières tranches. Le lundi matin il reste toujours encore un peu de brioche. Il suffit de la mettre au four à micros ondes quelques instants. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan du week-end. Nous attendons les beaux jours avec impatience. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur nos exactions sexuelles du samedi soir et de ce dimanche soir. Rires.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Bien nécessaire ce matin pour nous réveiller complètement. Comme le dit Clémentine : << Vivement les vacances ! >>. Elles commencent ce vendredi. C'est avec une intensité maximale que nous pratiquons. Aérobic, jogging sur tapis roulants, un peu de vélo d'intérieur, les exercices au sol, les abdos avant de passer aux charges additionnelles. Le retour au calme avec un stretching un peu bâclé. La douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture.

Il est presque 7 h45. Le jour se lève de plus en plus tôt. Aujourd'hui encore dans le froid glacial d'un hiver qui semble interminable. Clémentine me rejoint emmitouflée dans son anorak, son bonnet, ses gants. C'est sautillant sur place pour se réchauffer qu'elle me fait les derniers bisous. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier cou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit avant d'aller dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. Excellent tirage.

Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette quatrième toile destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement et totalement. Je peins en me livrant à ma passion. Lorsqu'un trait de pinceau est plus sublime que le précédent je pousse un cri surréaliste suivi d'un : << Olé ! >>. La matinée passe encore à une vitesse ahurissante. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je mets une grosse bûche dans la cuisinière à bois. Il reste des braises.

Il me suffit de réchauffer le reste de la potée de légumes. De faire revenir un filet de colin dans la poêle. D'y rajouter quelques champignons, de l'ail, de l'échalote, du persil et de la ciboulette. Pendant que je prépare une salade d'endives. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff est dans tous ses états. Son invité également. Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents. Pressé d'aller faire quelques pas au dehors, je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak, mon bonnet, mes gants.

La température extérieure n'excède pas 4°. Il y a un vent qui participe de ce froid vif. Le sol est détrempé. Je reste sur les dalles de grès pour traverser la pelouse. Je remplis la brouette d'une vingtaine de bûches. Le ciel est gris, bas. Il pleut par intermittences. Je me dépêche de rentrer en poussant la brouette. Quelques bûches que j'empile à côté de la cheminée du salon, d'autres à côté de la cuisinière à bois. Le reste à côté de la cheminée de l'atelier où je me retrouve confronté à ma passion dévorante. Je peins dans le même esprit que ce matin.

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table de travail pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le menu du restaurant universitaire. Clémentine a encore du travail. Installée devant son ordinateur, entourée de ses fiches, elle met ses notes au propre. J'aime peindre en l'écoutant commenter, chantonner ou pousser des cris très semblables aux miens. Nous rions alors aux éclats. Une feuille de papier à la main, Clémentine parcourt la grande pièce.

Telle une actrice de théâtre déclamant son texte, Clémentine lit ses écrits. Ce sont les premières versions du mémoire qu'elle devra rendre vendredi matin. J'écoute avec attention. C'est tellement bien écrit. Je nettoie ma palette, mes pinceaux, j'applaudis. << Vivement les vacances ! >> s'écrie une fois encore Clémentine en rangeant ses affaires. Il est 18 h30. Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd, caverneux, qui résonne longuement, un peu à la manière d'un gong. Nous restons serrés l'un contre l'autre, debout devant la cheminée.

Le fantôme de mon ancienne compagne est de retour. Après une accalmie de quelques jours voilà que les phénomènes étranges reprennent de plus belle. Nous écoutons les bruits de pas. Ce qui ressemble à une longue errance. Des portes qui grincent avant de claquer. Une chaise qui semble riper sur le parquet à l'étage. Il est impossible de localiser les endroits où se déroulent les manifestations de l'entité. Ce vacarme ne dure que quelques minutes pour cesser aussi brusquement. À peine quelques instants et voilà Julie qui arrive. Elle entre dans l'atelier.

Toute contente, radieuse, elle se précipite pour nous faire la bise. << Enfin ! >> fait elle dans un soupir. Je pose mes mains sur ses épaules pour demander : << Vous avez passé un bon week-end ? >>. Julie s'empresse de répondre sans oser soutenir mon regard : << Oh oui ! À part le service au restaurant le soir, c'était très bien ! >>. Clémentine demande à son tour : << Pas de bons "plans" en soirées, dans les toilettes du sous-sol ? >> Julie éclate de rire avant de s'écrier : << Si, juste un client habituel qui commence à connaître mon rituel ! >>.

Julie nous raconte. Une fois encore elle est entrée dans les toilettes hommes avec un seau et un balai pour faire semblant d'y vaquer à ses occupations d'employée du restaurant de sa tante. << Et alors ? Un belle vision ? >> demande Clémentine. << J'ai déjà vu sa queue plusieurs fois à celui-là ! Un authentique exhibitionniste ! >> répond Julie. Nous rions de bon cœur aux descriptions qu'elle nous en fait. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. La grande boîte isotherme posée sur une des chaises. Le grand sac contenant les bacs à salades.

Ce soir, avec les feuillantines au saumon, il y a de petits légumes confis. Clémentine tire de la boîte les deux tourtes aux fruits de mer pour demain. Elle retire les opercules sur les bacs contenant nos salades de salicornes. Julie met les assiettes et les couverts. Ce soir, elle a sa longue tresse qui pend jusqu'au milieu de son dos. Ses lunettes d'étudiante qui rajoutent cette touche d'attractivité supplémentaire. Un pull bleu nuit, son jeans, ses bottines. Sur ses épaules une élégante écharpe de soie fine. Nous voilà confortablement installés à table.

Le repas est succulent. Une fois encore je prie Julie de remercier son Chef de cuisine. C'est un virtuose, un Maître. Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles parler de leurs études. Julie, en Lettres Modernes, prépare son Deug. Elle aussi a un mémoire à rendre pour vendredi matin. Sa seconde année d'études littéraires la passionne. Son job de serveuse les vendredis et samedis soirs, presque autant. Pour l'incorrigible voyeuse qu'elle est, Julie trouve à y satisfaire son autre passion. "Voir" ! Elle nous raconte quelques autres anecdotes.

Ces conversations nous excitent considérablement. Je tente d'être discret, voulant réserver ma "surprise" d'une façon originale. Je déboutonne ma braguette pour en extraire le locataire. Mon érection ne rend pas les choses faciles. Julie et Clémentine comprennent rapidement ce que je bricole sous la table. Julie fixe d'ailleurs le mouvement de mes bras. Elle sait très bien ce que je fais. Clémentine m'adresse un clin d'œil. Rien ne la passionne autant dans ces moments là que mon comportement devant une autre fille. C'est excitant.

Nous traînons à table. Clémentine ne cesse de poser des questions très détaillées sur les activités voyeuses de Julie. Julie qui répond de manière toute aussi détaillée. Julie viendra passer quelques jours ici durant les vacances de février. Du lundi 7 février au mercredi 9 février la première semaine. Du lundi 14 février au mercredi 16 février la seconde semaine. Cette perspective l'emplit d'une joie qu'elle ne peut dissimuler. J'écoute Clémentine évoquer quelques "plans. Notamment la possibilité de faire une pipe au voisin en sachant Julie cachée.

Je dis : << Un petit séminaire à deux, dans le placard n'est pas pour nous déplaire, n'est-ce pas ? >>. Julie s'empresse de me répondre avant de rire aux éclats : << Absolument pas, bien au contraire ! >>. Avec le temps, Julie prend de l'assurance. Après presque quatre années elle ose enfin se laisser aller, dévoiler ses émotions, confier ses ressentis. C'est plaisant. Je me lève. Je tiens mon sexe à la base, entre le pouce et l'index. Je l'agite en direction de Julie en disant : << Je vous réserve de bien belles surprises pour ces vacances ! >>.

Julie fixe mon sexe avec l'attention d'une entomologiste. Je me masturbe d'un geste lent et contrôlé. Juste l'extrémité de la peau fripée de mon prépuce que je bouge entre le pouce et l'index. Clémentine observe avec la même attention. Je devine la main qu'elle a dans sa culotte car son avant bras droit est sous la table. Le bras qui bouge doucement. Je dis : << Julie, faites nous plaisir durant ces vacances, portez votre Plug ! >>. Julie éclate de rire avant de lancer : << Je l'ai porté samedi soir, durant mon service ! >>. Julie me fait un beau sourire.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous prenons le dessert au salon. Julie installée dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine à ma gauche qui joue avec ma queue tout en bavardant. Julie ne cesse d'observer sans perdre un seul instant le fil de la conversation. Capacité toute féminine de faire deux choses à la fois. Et de façon parfaite. Je prends la coupe vide en me levant. Clémentine ne me lâche pas la queue. Julie se penche en avant, les bras croisés sur ses cuisses. Elle regarde la coupe que je tiens sous mon sexe molasse.

Je bande mou. Depuis plus de trois heures que je dois pisser. Je me garde souvent pour réserver quelques surprises. Surtout lorsque ces "surprises" sont réservées à nos visiteuses. Clémentine contraint ma bite vers le bas. Elle la tient des deux mains. La coupe vide entre mon pouce et mon index, je me concentre. Julie se lève pour venir s'assoir sur la table basse. Son visage à une cinquantaine de centimètres de ma queue. Si je ne pisse pas immédiatement, mon érection galopante va m'en empêcher. Je lâche une première giclée. C'est adroit.

Pas une goutte à côté. Julie, en apnée, concentrée sur ce qui se passe, terriblement excitée, reprend sa respiration dans un profond soupir. Je lâche un second jet. Il y a une perle de liquide séminal qui apparaît. Elle se dilue avec la petite giclée suivante. Le regard de Julie, braqué sur ce qui se passe, participe de mon excitation grandissante. Un dernier jet que dirige Clémentine en maintenant avec force ma queue vers le bas. Il se forme de la buée sur la paroi interne de la coupe. Il reste de la crème qui flotte sur le liquide jaune. Où est-ce mon foutre ?

Julie devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h45. Aussi, conscients de ce court laps de temps restant, nous mettons toutes nos énergies à vivre ces derniers instants avec un maximum d'intensité. << C'est génial ! Vraiment génial ! >> lâche Julie dans le souffle qui lui permet de reprendre sa respiration. Clémentine, considérablement excitée, avance son visage. Du bout des lèvres elle suçote ma queue dégoulinante qui lui mouille la main. Julie ouvre de grands yeux. Elle respire à présent la bouche grande ouverte. Trop excitée, elle mâte.

Clémentine cesse de sucer pour lui tendre mon sexe. Une proposition sans paroles. Julie a toujours ce léger mouvement de recul. Pour la rassurer, je pose ma main sur sa tête en disant : << Pas d'inquiétude ! >>. Clémentine rajoute : << Tu devrais goûter ! C'est excellent après les coupes glacées ! >>. Julie, avec cet air un peu perdu qu'elle a toujours dans ces moments là, ne sait quoi dire. Probablement pour se soustraire à la tentation, elle se lève. Je remballe. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Séparation difficile dans la nuit glaciale.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment les situations ambiguës et terriblement excitantes avant d'aller se coucher...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1783 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, ce sont les sirènes de ces gros bateaux qui se croisent au loin qui nous tirent de nos profonds sommeils. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Le cri des mouettes vient parfaire l'illusion de nous réveiller au bord de la mer. Il est presque six heures. L'application "océan" nous réveille. << Dur ! >> murmure Clémentine. Quelques papouilles. Je l'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Le mardi Clémentine termine à midi. Doucement une certaine euphorie la gagne. Une euphorie communicative. Ça sent même déjà la déconne.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Le sinistre bruit du grille pain qui expulse ses tranches n'importe comment. Le vieil appareil est entrain de rendre l'âme. Dans un geste virtuose j'arrive à empêcher deux tranches de pain de tomber sur les tomettes du sol. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la présence de Julie hier soir. Ses attitudes, les miennes. Nos comportements.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. La logistique impose d'aller faire des courses conséquentes. Nous partirons pour 14 h pour la zone commerciale à une quinzaine de bornes. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à l'entraînement. L'aérobic est prétexte à la déconnade. Les facéties de Clémentine nous font rire aux éclats. Jogging sur tapis roulants. Exercices au sol et abdos. Puis viennent les charges additionnelles qui exigent le plus grand sérieux. De la concentration. Le retour au calme d'un stretching.

La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture dans le froid glacial du jour naissant. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je regarde l'auto s'en aller. Un dernier coucou. Je rentre au chaud pour faire la vaisselle, le lit. Je vais dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. Installé confortablement devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le grand chêne" de Georges Brassens. Je me sens moi aussi d'humeur déconneuse. Cadeau de Clémentine ce matin.

La peinture de cette quatrième scène de genre destinée à ma saison d'été me plonge dans ma passion. Je peins dans une exubérance qui me fait pousser des cris totalement surréalistes. Comme le temps passe vite ! Il est 11 h45. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je lave une belle laitue pendant que les deux tourtes aux fruits de mer réchauffent dans le four à bois. Sa chaleur ne se contrôle pas. Il faut donc veiller au bon déroulement de l'opération. Sinon, ça brûle.

Il est 12 h30. Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou en enserrant ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. J'ai le bonjour d'Estelle qui nous rejoint ce soir. Nous traînons un peu à table. Assise sur mes genoux, Clémentine fait la liste des courses. Elle rajoute les éléments à ceux figurant déjà sur la liste fixée avec un aimant sur la porte du frigo. Sûrs de n'avoir rien oublié, nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents.

Clémentine revêt une de ses jupes kilt, un chemisier crème sous un pull bleu nuit. Ses bas noirs fixés à son porte-jarretelles. Ses bottes en cuir noir à talons hauts. Sur sa demande, je porte un pantalon noir à pinces et à plis, une chemise blanche sous un pull noir au col en "V". Mes souliers de ville. Nous enfilons nos manteaux, nos écharpes blanches. << Regarde comme on est beaux tous les deux ! >> lance Clémentine en nous entraînant devant le grand miroir de l'armoire. Elle s'accroupit pour poser sa tête contre ma hanche. Cuisses écartées.

Se tenant à ma jambee, elle rajoute : << J'espère que mon bon "Maître" saura me recentrer sur l'essentiel durant ces vacances ! >>. Je pose ma main sur sa tête pour répondre : << Délicieuse "Soumise", je vous promets de grands moments d'extases. Une séance d'éducation qui vous remettra dans le droit chemin ! >>. Clémentine, tout en restant accroupie, passe entre moi et le miroir. Elle frotte son visage contre ma braguette. Je l'ouvre pour en extraire la bite. Je la passe sur ses lèvres, ses joues, son nez, son front. Elle en gémit de plaisir.

Je laisse Clémentine sucer un peu avant de l'aider à se redresser. Nous descendons prudemment. Il ne pleut pas. Le ciel reste pourtant extrêmement menaçant. Clémentine propose de prendre sa voiture mais me prie de conduire. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Nous passons devant le haras. Il y a plein d'autos garées dans la cour. Une petite pensée pour Juliette qui viendra manger à la maison demain soir. Voilà la zone commerciale. Je gare la voiture sur le parking à moitié désert. Nous sommes mardi après-midi.

Je passe du gel hydroalcoolique sur la poignée du caddie. Nous mettons nos masques sanitaires, nous enfilons nos gants Mappa. Il n'y a pas grand monde dans l'hypermarché. Tenant la liste des courses, Clémentine nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. Je pousse le chariot. Ça fait longtemps que nous n'étions pas venus. Au moins trois semaines. Tout en choisissant les articles de la liste qu'elle jette dans le caddie, Clémentine me dit : << Tu te rappelles de l'exhibitionniste du parking ? Tu sais que j'ai toujours encore ses coordonnées ? >>.

Je réponds : << Toi qui aimes les pervers, tu devrais songer à l'appeler, en numéro masqué ! >>. Clémentine me dépose une bise sur la bouche en murmurant : << J'y pense ! On pourrait se faire un "plan" pour les vacances ! >>. Tout ce que nous avons en projet pour ces deux semaines de vacances laisse augurer de grands moments. Le chariot se remplit inexorablement. Papier cul, Sopalin, crème dentifrice, lessive, tampons minis. Un nouveau grille pain. Même si nous ne connaissons pas les problèmes de budget, Clémentine compare les prix.

<< Une vieille habitude de quand j'étais pauvre ! >> dit elle en s'accrochant à mon bras. Un dernier inventaire de ce qu'il y a dans le caddie. Nous passons dans le rayon Bio. Des lentilles, des pâtes, des flocons d'avoine, la levure diététique en paillettes dont nous raffolons sur les crudités. Du café, des galettes de maïs, des barres de céréales. Puis c'est le rayon des conserves. Nous avons la glacière dans la voiture. Nous passerons dans le rayon des produits congelés en fin d'achats. Clémentine nous entraîne au rayon des vêtements hommes.

Une petite exhibe serait la bienvenue. Hélas, avec le peu de clientèle de ce mardi après-midi, les opportunités sont plutôt rares. Que cela ne tienne. Clémentine sait les provoquer. Il y a un type seul au rayon culturel. Il feuillette un magazine. Clémentine prend le chariot. Je reste au rayon des bandes dessinées. De là, je peux l'observer pousser le caddie et passer deux fois derrière le mec. Elle étudie consciencieusement la configuration des lieux. Combien de fois n'ai-je pas assisté à ce manège. Clémentine évalue la situation. Anticipe les choses à venir.

Elle place le chariot à sa gauche. Il fait écran. À deux mètres, il y a l'inconnu qui vient de remarquer la présence de cette superbe jeune fille. Clémentine, de son mètre quatre vingt huit, avec ses 6 cm de talons, dépasse l'inconnu d'une bonne demi tête. De là, je ne peux pas distinguer les expressions de son visage que je ne vois pas. Il est vêtu d'un anorak rouge, d'un jeans et de baskets. Clémentine s'accroupit. Elle consulte quelques magazines du bas. Imperceptiblement, elle écarte ses cuisses. De l'endroit où je me trouve, la vue est idyllique.

La culotte de Clémentine étant restée dans la voiture, elle peut exposer son invraisemblable touffe à la vue de ses "victimes". En voilà une qui doit avoir l'impression d'avoir gagné au Loto. À chaque fois que Clémentine pose un magazine pour en prendre un autre, elle écarte davantage ses cuisses. Au-delà du raisonnable et avec une indécence folle. Le type a certainement compris que la sublime exhibitionniste adresse sa remarquable prestation à son regard. Personne ne peut se douter de ce qui se passe là. De rares clients passent sans voir.

À chaque passage, Clémentine resserre ses cuisses en se plaçant face au rayon. Je suis certain que l'homme se touche. Il m'est impossible de voir ce qu'il fait car il me tourne le dos. Je ne veux pas me déplacer. J'adore le spectacle que nous offre Clémentine. Je bande comme le dernier des salauds. J'ai l'envie folle de me masturber. C'est tellement intense. Clémentine fait autant ce genre de show pour elle que pour moi. L'inconnu n'est qu'un simple prétexte. Comme tous les autres il doit s'imaginer que c'est un "manque" ou encore une "invitation".

Que nenni, c'est exclusivement pour son plaisir égoïste que Clémentine se livre à sa passion. Authentique exhibitionniste qui s'amuse là avec ses raffinements habituels. Le type vient de s'accroupir. Lui aussi fait semblant d'être intéressé par les magazines de modes féminines. Ce n'est évidemment que pour mieux contempler la merveilleuse chatte poilues offerte à son regard de "victime". Comme je le comprends le bougre. Comme la plupart des messieurs confrontés à ces situations irrationnelles, il cherche le moyen d'entrer en conversation.

Clémentine, à la limite de l'ankylose, pour éviter la crampe, se redresse. Le mec fait pareil et tente le dialogue. Clémentine déteste se faire draguer. Les manœuvres d'approches l'indisposent toujours. Même si, par politesse, elle entre en conversation minimale. Je donnerais cher pour savoir ce que l'individu raconte. Certainement une des propositions habituelles. Je vois Clémentine faire un signe négatif de la tête. Le type semble insister. Clémentine le laisse pour s'éloigner en poussant le chariot. C'est un emmerdeur. Le voilà qui la suit pour l'aborder.

Il marche à ses côtés en renouvelant probablement ses demandes. Il se montre si insistant que Clémentine s'arrête brusquement pour l'invectiver fermement. Il y a de véritables "boulets", des casses pieds que cela ne dérangent pas d'importuner ainsi les femmes. Je n'ai plus qu'à intervenir pour tirer Clémentine de ce guêpier. Quand le mec me voit arriver, il s'éloigne. Clémentine s'accroche à mon bras. Le type détale pour disparaître dans le rayon des ordinateurs. << Put-Hein l'emmerdeur ! Je te jure, il y a de ces cons ! >> me dit elle en riant.

Nous passons au rayon des surgelés pour y faire provision de haricots verts, de petits pois, de paquets de moules, de crevettes et de calmars. Nous passons en caisse. Nous allons directement à la voiture pour ranger les achats dans le coffre. Les produits congelés dans la glacière. Nous revenons pour flâner un peu dans la galerie commerciale. C'est la période des soldes. Comme le fait remarquer Clémentine, cette année encore, il n'y a pas grand chose d'intéressant. Ce qui est soldé est souvent moche, démodé si pas quasiment ringard. Laid.

Nous prenons un chocolat chaud dans le salon de thé. Là aussi une opportunité d'exhibe serait la bienvenue. Hélas, à par quelques couples de séniors, il n'y a aucune présence masculine solitaire. Il y a bien ce jeune employé derrière le comptoir. << À défaut de manger des grives, on mange des merles ! >> chuchote Clémentine. Elle me confie ce qu'elle fait sous la table. Le jeune garçon s'en est rendu compte. Il louche effrontément à plusieurs reprises vers notre table. Clémentine a une fois encore les cuisses largement écartées. Vision surréaliste.

Je bande certainement autant que ce jeune homme. Ce n'est pas souvent qu'il doit avoir affaire à de telles clientes. Si nous avions anticipé, nous serions venus ici séparément. Le jeu en vaut toujours la peine lorsqu'il y a de telles occasions de se délurer. Nous repartons. Je roule doucement. Ma main droite sous la jupe de Clémentine dont je stimule le clitoris géant. Il est 18 h15 quand nous arrivons à la maison. Estelle est déjà là. Sa voiture d'entreprise garée devant la dépendance. Elle vient à notre rencontre pour nous aider à rentrer les courses.

Estelle est entrain de faire bouillir des coquillettes. Ce sera pour un bon gratin. Nous montons nous changer. C'est en jeans et en sweats que nous rejoignons Estelle à la cuisine. Elle ne cesse de glisser sa main dans ma braguette ouverte. Surtout lorsque j'ai les mains occupées à poêler les trois filets de colin. Clémentine prépare la salade en racontant son aventure de l'après-midi. Elle évoque l'exhibitionniste du parking dont elle a conservé les coordonnées. << Le pauvre, les flics ont mis fin à ses agissements ! >> lance Estelle. Nous rions aux éclats.

Nous mangeons de bon appétit en envisageant différents "plans" pour les vacances. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles font mille projets. Il est question de contacter l'exhibitionniste du parking pour une exhibe privée. Il est question d'entraîner notre voisin dans un "plan" pipe habituel. Il est question de nous offrir de grands moments avec Julie si désireuse de s'encanailler avec nous. La vaisselle. Mes deux anges m'entraînent au salon. Léchages de minous, fellations délirantes, pénétrations. Estelle doit nous laisser à 22 h.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les orgasmes après des après-midi à s'amuser avec des inconnus dans les grands magasins...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1784 -



Les crêpes de la Chandeleur avec Juliette

Hier matin, mercredi, ce sont les cris des mouettes qui nous arrachent de nos profonds sommeils. L'illusion de se réveiller au bord de la mer. L'application "océan" est tellement bluffante. C'est dans le clapotis de l'eau que Clémentine vient se blottir contre moi. << Je t'aime ! >> murmure t-elle à mon oreille tout en se frottant contre ma cuisse. Il est presque six heures. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues d'entraînement, morts de faim, nous dévalons dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il y fait frais.

Il fait toujours aussi froid car les deux radiateurs viennent de s'enclencher. J'allume un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, pèle nos kiwis, presse nos oranges en me racontant son rêve. Nous inaugurons ce matin le nouveau grille pain. Comme c'est agréable d'entendre juste un léger déclic lorsqu'il éjecte les premières tranches. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur l'aventure de Clémentine hier après-midi dans l'hypermarché. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre soirée en compagnie d'Estelle.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Aérobics en échauffement. Jogging sur tapis roulants. Avec accélérations sévères ce matin. Exercices au sol, abdos. Le travail avec charges additionnelles. Le retour au calme légèrement bâclé de notre stretching. La douche. Je descends le premier afin d'aller faire chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. Le jour achève de se lever dans un froid humide et des plus désagréables. Clémentine vient me rejoindre. Un dernier bisou. Je la regarde partir. Un dernier coucou de loin.

Je m'empresse de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Je suis confortablement installé devant mon chevalet à préparer les couleurs sur la palette. Je termine probablement en soirée cette quatrième scène de genre destinée à ma saison d'été. Je peins dans une véritable extase en pensant à l'exhibition discrète de Clémentine, hier, dans l'hypermarché. J'ai assisté à cela tant de fois depuis presque cinq années de vie commune. C'est pourtant toujours une grande première.

La matinée passe rapidement. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Une bûche sur les braises ardentes de la cuisinière à bois. Je réchauffe le reste de coquillettes de hier soir. Je fais une salade d'endives. Je poêle un filet de lieu noir préalablement pané. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. Aujourd'hui encore André Bercoff est bien remonté. Des vérités sur les deux années passées commencent à se révéler. C'est passionnant. Je débarrasse pour faire la vaisselle. Je monte me laver les dents.

Je dévale les escaliers. Dans deux saladiers distincts je prépare deux pâtes à crêpes. Une salée, une sucrée. C'est rapide. Même si ce n'est pas nécessaire il est toujours préférable de laisser la pâte reposer quelques heures, recouverte d'un linge. C'est la Chandeleur. Nous sacrifions nous aussi à la tradition même s'il nous arrive de faire des crêpes à bien d'autres occasions. J'enfile mon anorak pour aller faire quelques pas au dehors. Il fait froid. À peine si le thermomètre extérieur indique 6°. Il y a une pluie fine, comme une bruine désagréable.

Je remplis la brouette d'une vingtaine de bûches avant de traverser la pelouse à toute vitesse en restant sur les dalles de grès. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins dans cette même sorte d'extase que ce matin. Il est 17 h15. Je dépose la dernière touche de bleu de cobalt sur la surface du tableau terminé. Je le place sur son support afin qu'il y sèche tranquillement. Je me remercie toujours d'avoir déjà fait le dessin préparatoire et passer la couche d'impression de la prochaine réalisation. Je pose la nouvelle toile sur le chevalet en chantant.

Il est 17 h30. Clémentine rentre de cours. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Clémentine a encore du travail. Le mémoire qu'il lui faut remettre vendredi matin requiert un écrit qu'elle aime à remanier, à peaufiner, encore et encore. La voilà assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je commencerai la cinquième scène de genre demain matin. J'en profite pour ranger un peu, trier mes tubes de peintures Blockx. C'est parfait.

Clémentine se lève : << Écoute, dis-moi comment tu trouves ! >> me fait elle. Je la regarde parcourir la grande pièce, faire le tour du pilier central, tout en lisant la dernière version de son écrit. C'est superbe. << Alors ? >> demande t-elle. Je réponds : << Au delà du contenu dont je ne comprends pas grand chose le style est parfait. Ce sont des études littéraires que tu aurais dû entreprendre ! >>. Elle vient se blottir contre moi pour me déposer plein de bisous. Il est 18 h30. Au-dessus de nous, ce bruit sourd et profond que nous connaissons bien.

Serrés l'un contre l'autre nous écoutons le fantôme de mon ancienne compagne errer à l'étage. Le phénomène ne dure ce soir qu'une petite minute pour cesser tout aussi brutalement. Clémentine glisse sa main dans ma braguette ouverte. Elle en extrait le locataire en disant : << Sois bien vicelard avec Juliette ! >>. Au moment précis où Clémentine prononce ces mots résonne la musique imbécile de mon téléphone. << La voilà ! >> lance Clémentine sans même décrocher. Elle m'entraîne par la main. Nous quittons l'atelier pour aller dans le hall d'entrée.

Il pleut. Juliette s'empresse d'entrer en pliant son parapluie. Je la débarrasse de son manteau. Nous nous touchons les poignets en nous saluant. Même si elle a déjà remarqué ce qui pend de ma braguette, Juliette fait mine de rien en nous suivant à la cuisine. Elle dépose le grand Tupperware contenant la tarte aux noix pour le dessert sur la table. Clémentine me fait un discret clin d'œil. Cette fois encore Juliette porte sa tenue de travail. Son pantalon moulant d'écuyère, un sweat tout aussi moulant, ses hautes bottes de cavalière en cuir noir.

Ses cheveux noirs noués en natte qui pendent dans son dos. Une fois encore j'admire la silhouette athlétique, la cambrure et la taille de guêpe de cette sublime bourgeoise de 48 ans. Elle sait parfaitement l'effet qu'elle produit sur n'importe quelle assistance. Plus petite d'une demi tête que Clémentine, Juliette avec 24 ans de plus est aussi attractive que ma compagne. << Wouah ! Des crêpes ! >> lance t-elle en découvrant les deux saladiers. Clémentine s'occupe de la laitue dont elle lave les feuilles avant de préparer l'assaisonnement. Il est 18 h45.

Juliette met les assiettes et les couverts. Elle fait enfin semblant de découvrir ce qui pend de ma braguette. Elle a ce regard sévère, lourd de reproche comme à chaque fois. Nous savons très bien que ce n'est qu'une attitude, un jeu. J'étale la pâte sur le billig avec une louche en bois d'olivier. Avec la raclette platte je l'étale sur la plaque d'une quarantaine de centimètres de diamètre. Ce sont des crêpes dentelles, à la "bretonne". Nos préférées. Je remplace toujours le rhum ou la bière par un concentré de noix sans sucre. C'est tellement plus savoureux.

Juliette râpe finement le gruyère de Comté, le Parmesan. Elle tranche finement des tranches de Morbier, de Saint-Nectaire. Ce sera pour les crêpes salées que je concocte en premier. Je bande mou sous mon tablier. La grosse bosse en déforme le tissu. Juliette ne cesse de la fixer. Son regard allant de mes yeux à la boursouflure de mon tablier. Clémentine me lance de discrets clins d'œil. Voilà une dizaine de crêpes qui nous attendent sur le plat en terre cuite posé sur le bord de la cuisinière à bois. Il n'y a plus qu'à passer à table. C'est un vrai régal.

Accompagnées d'une délicieuse salade, les crêpes salées sont savoureuses. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Juliette nous raconte la vie au haras. Ses responsabilités de chef d'entreprise. L'administratif, le suivi vétérinaire. C'est Clémentine qui axe la conversation sur nos centres d'intérêts communs : << Combien de pipes à Robert ? >> demande t-elle. Juliette réponds : << Mon vétérinaire m'offre d'indicibles saveurs au fond des écuries ! >>. Nous rions de bon cœur. Surtout que Juliette entre dans de croustillants détails bien salaces.

<< On se fait un Gloryhole un de ces soirs ? >> rajoute encore Juliette. Clémentine me consulte du regard. Juliette insiste : << Durant les vacances de février par exemple ! >>. Clémentine répond : << C'est à étudier. Nous avons déjà tant de "plans" en projet. Pourquoi pas celui-là aussi ! >>. Je me touche sous la table. Il est temps de passer aux crêpes sucrées. Il faut les faire. Je me lève avec une érection phénoménale. Les mains sur les hanches, par contractions des muscles fessiers, je fait bouger ma queue d'une mouvement rythmique.

Juliette et Clémentine, soudain silencieuses, observent. Je cesse pour aller faire les crêpes. Clémentine se lève pour se diriger vers le buffet. Elle en tire les pots de miel, de confiture d'églantines sauvages, de crème d'amande et des carreaux de chocolat noir. Juliette se lève à son tour pour venir voir ma façon de procéder. << Je fais les crêpes dans une poêle à crêpes. Mais je vais acheter un billig. C'est tellement plus sympa ! >> dit elle en glissant sa main sous mon tablier. Une telle initiative est rare chez cette femme vicieuse mais réservée.

Je propose à Juliette de tenter une crêpe sur la plaque électrique. Je tiens ses poignets afin de bien guider ses mouvements. Son discret parfum flatte mes narines. Clémentine vient nous rejoindre pour regarder. Juliette se débrouille plutôt bien. Elle suggère même de faire les crêpes restantes toute seule. << Oui, il me faut un billig, je ne ferai plus les crêpes à la poêle ! >> lance t-elle. C'est moi qui glisse ma main entre ses cuisses, par derrière. J'ai un frisson. Un vertige lorsque Juliette est secoué d'un spasme de surprise. C'est vraiment surprenant.

Clémentine glisse sa main sous mon tablier en restant serrée contre mon dos. Je garde ma main entre les cuisses de Juliette. Je peux faire glisser sous mes doigts ces deux petites bosses séparées par la couture centrale de son pantalon d'écuyère. Je demande : << Il n'y a pas de culotte n'est-ce pas ? >>. Juliette en déposant la dernière crêpe sur le plateau, répond : << Jamais quand je viens vous voir ! >>. Nous rions aux éclats. Nous passons à table. Clémentine étale du miel sur sa crêpe. Juliette de la crème d'amande. Moi de la confiture d'églantine.

C'est divin. Tellement bon. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, dégustant sa dernière crêpe dans mon assiette, Clémentine raconte son exhibition, hier, dans l'Hypermarché. << Venez donc vous amuser un de ces prochains jours aux écuries. Il y a des visiteurs qui sauront apprécier vos prestations ! >> propose Juliette. << Excellente idée. Ça, il faut absolument le faire ! >> lance Clémentine. Ce sera le sujet d'un de nos après-midi de vacances. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Impossible de prendre un dessert, nous sommes repus.

Nous passons toutefois quand même au salon pour y prendre le thé. Juliette devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h40. J'écoute les femmes évoquer différentes stratégies pour d'éventuelles exhibes. Clémentine prête une oreille attentive aux suggestions de Juliette. Bien plus vicieuse encore Juliette est perverse. Clémentine, ma bite dans la main, écoute avec attention. Il y a souvent des propriétaires de chevaux qui viennent en visite au haras. Il y a donc de quoi s'amuser. Juliette me fait : << Il y a des femmes propriétaires aussi ! >>.

J'entends ces suggestions en bandant comme le dernier des salauds. Juliette n'est pas seulement étonnamment perverse, elle est également très inspirée. Elle me propose quelques joies rares en m'expliquant à quel point elle pourrait être complice de situations m'impliquant. Juliette me suggère même d'interpréter le rôle d'un palefrenier exhibitionniste. Clémentine et moi nous écoutons ce flots d'idées avec une certaine consternation. Nous savons Juliette extrêmement vicieuse. Mais là, elle semble donner dans une surenchère totalement délirante.

Nous nous contentons de répondre : << À tenter ! >>. << À essayer ! >>. J'observe les deux petites bosses que font les lèvres charnues de la vulve de Juliette de chaque côté de la couture de son pantalon hyper moulant. Clémentine me branle doucement. Parfois elle agite ma queue en direction de Juliette. Juliette qui passe lascivement son index sur la couture, en insistant bien. Tout en bavardant. Nous nous promettons d'exploiter une des possibilités suggérées durant les vacances. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Il pleut. Froid.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment baiser au lit en évoquant les différentes propositions d'une amie hyper vicelarde...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1785 -



Le jeudi soir en compagnie d'Estelle

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. Une fois encore c'est difficile d'émerger de nos profonds sommeils. L'application "océan" a beau nous offrir l'illusion de nous réveiller dans un port de pêche quelque part en Écosse, c'est dur. Le cri des mouettes, les sirènes des bateaux dans le lointain, tout cela y participe. Clémentine se serre contre moi comme pour chercher à échapper à l'inéluctable. Il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos leggings, de nos sweats, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine.

Cet hiver n'en finit plus. Il fait vraiment froid. J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café en me racontant son rêve. Elle presse nos oranges, pèle nos kiwis. Je récupère les tranches qu'éjecte notre tout nouveau grille pain. Silencieux par rapport à l'ancien dont le bruit dramatisait nos levés. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur la soirée de hier. Les crêpes de la Chandeleur en compagnie de Juliette. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ses propositions de nous encanailler aux haras.

Il est 6 h25. Il faut remonter pour nous livrer à notre entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Charges additionnelles. Un stretching assez surréaliste qui permet le retour au calme. La douche. Je m'empresse de descendre le premier. Il est déjà 7 h45. Je fais chauffer la voiture quand Clémentine me rejoint dans le jour naissant. Dans le froid glacial et persistant. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre vaisselle, notre lit.

Dans l'atelier j'allume un bon feu dans la cheminée. Installé confortablement devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La peinture de cette cinquième scène de genre destinée à ma saison d'été m'emplit de joie. Je peins dans un enthousiasme rapidement délirant. Le crépitement du feu. Parfois il y a une petite explosion dans une gerbe d'étincelles. Le silence est total. La félicité. Il est 11 h55. Je mets deux bûches sur les braises avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je fais gonfler du riz complet. Je prépare la salade verte.

J'écoute Sud Radio en faisant rissoler mon filet de flétan avec des champignons. André Bercoff reçoit une fois encore des journalistes invités nulle part ailleurs. La pâte feuilletée a décongelé. Je coupe un beau choux fleur avant de le laisser tremper dans l'eau légèrement vinaigrée. Je mange de bon appétit. J'entends cet interview avec beaucoup d'intérêt. Un nouveau virus vient de faire son apparition. Il va s'abattre sur le monde avec sa virulence. Ce virus a pour nom "la vérité". Je fais la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je redescends très vite.

J'étale les deux tiers de la pâte dans un plat à tarte aux bords hauts. Je fais cuire le choux-fleurs dans l'auto cuiseur. Pendant ce temps je concocte une belle Béchamel, je râpe finement du gruyère de Comté. J'égoutte le choux-fleurs pour le rajouter à la Béchamel avec le gruyère, l'ail, l'oignon. De la noix de muscade, du gingembre, du curcuma, du persil et de la ciboulette. Je remue avant de verser le tout sur la pâte. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée en jointant consciencieusement les bords. Je badigeonne le dessus avec un spalter.

Ce mélange œuf, moutarde, lait de soja qui présentera cet aspect doré en fin de cuisson. J'enfourne la Flamiche Picarde dans la cuisinière électrique. Cuisson à feu doux. 180°. C'est tellement meilleur quand ça mijote longuement. Cette tourte au choux-fleurs sera notre repas du soir. Elles vont êtres contentes les filles. Je quitte la cuisine pour l'atelier. Je peins dans une totale sérénité. Il est 17 h30. Je remarque que les journées rallongent considérablement. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite pour sautiller autour de moi. << Je t'aime ! >>.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. << Demain c'est les vacances Julien. Je les attends celles-là ! >> dit elle en se relevant. Clémentine a encore du travail. La voilà installée devant son ordinateur. J'adore l'entendre chantonner avant un moment de silence. Puis elle se met à commenter ce qu'elle fait. << Écoute ! >> fait elle en me rejoignant, une feuille de papier à la main. C'est l'ultime mouture du mémoire qu'elle doit rendre demain matin. J'écoute avec attention.

Tout en nettoyant la palette, les pinceaux, je suis attentif. << Alors ? Dis-moi ! >> lance Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Je dis : << C'est absolument parfait. Si j'étais ton professeur, je t'offrirais un séjour aux Caraïbes et le Zob ! >>. Nous éclatons de rire quand la porte s'ouvre. C'est Estelle qui se précipite pour nous faire la bise. Les filles se sont vues en cours. Estelle aussi veut faire la lecture de son écrit. Elle sort deux feuilles pliées de la poche de son jeans. Nous écoutons. Elle déclame son texte à la façon d'une actrice de théâtre.

Nous applaudissons. Clémentine refait pareil, Estelle assise sur mes genoux, une main dans ma braguette. << Bravo ! >> faisons nous en même temps. Clémentine nous entraîne dans une danse tribale. Nous poussons tous les trois des cris d'animaux qui n'existent pas tout en sautant comme des bonobos déments. Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit sourd et caverneux que nous connaissons bien. Nous nous serrons tous les trois pour écouter l'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Ce soir, c'est un véritable vacarme. C'est infernal.

Fort heureusement ces manifestations paranormales ne durent que deux minutes. Il est 18 h40. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée à midi. Estelle met les assiettes et les couverts. Mes deux anges découvrent la surprise que je sors du four électrique pour la placer dans le four hyper chaud de la cuisinière à bois. << Mmmhhh ! Génial ! >> lance Estelle en me sautant au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle enserre ma taille de ses jambes pour couvrir mon visage de bisous.

J'administre toujours le même traitement à Clémentine. La cuisson dans le four à bois ne se contrôle pas. Il faut donc rester vigilant. Il n'y a qu'à réchauffer. Estelle glisse sa main dans ma braguette pour en extraire le locataire. << J'ai baisé comme une dingue hier soir. Parrain avait une faim de loup ! >> dit elle en s'accroupissant devant moi pour inspecter ma queue toute molle. Clémentine demande : << Longtemps ? >>. Estelle répond tout en humant ma bite : << Une bonne heure, comme d'hab, sur les cartons, au dépôt. Super ! >>.

Nous rions aux éclats. << Ne va pas risquer de brûler ton Zob, je m'occupe de tout ! >> fait Estelle en enfilant les maniques. Clémentine prend le relai en saisissant mon sexe. Estelle sort la tourte du four. Magnifiquement dorée, son parfum embaume toute la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs dernière matinée de cours demain. Ce mémoire dont elles vont enfin se débarrasser. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges parlent des vacances.

Estelle devra nous laisser pour 22 h. Elle reviendra samedi à 14 h pour rester toute la semaine et la semaine suivante. Ça nous excite considérablement. Nous avons mille folies en projets. Estelle et Clémentine en énumèrent un inventaire succin. Je bande comme le dernier des salauds à l'évocation de certains programmes. << On va dévergonder Julie ! >> lance Estelle. << Oh, je crois qu'elle n'a pas vraiment besoin de nous ! >> s'écrie Clémentine. Estelle se lève. En mimant une masturbation masculine, elle me dit : << Dévergonde moi ! >>.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Je saisis Estelle par sa natte. Comme par une laisse. Je l'entraîne ainsi jusqu'au salon. Clémentine assiste toujours à ces scènes avec un grand intérêt. Rien ne l'excite davantage que mes initiatives. Estelle n'est pas "soumise" de nature. La dominatrice qui sommeille en elle s'affirme avec les années. Aussi, lorsque je veux la forcer à se mettre à genoux, mains sur la tête, elle oppose une résistance de principe. Tout cela n'est évidemment qu'un jeu. Je n'ai strictement pas l'âme d'un "Maître". Ce n'est qu'un rôle.

Je la tire par sa natte pour parcourir toute la grande pièce. Elle marche derrière moi, courbée en avant. Il n'y a que la lueur des deux grosses bougies sur le chandelier. Clémentine, une main dans son jeans, nous observe en se touchant. Je m'arrête. Je tiens Estelle fermement par sa nuque. Je passe une main entre ses cuisses. Je masse son sexe au travers l'épais tissu de son 501. << C'est encore tout irrité de hier soir ! >> dit elle dans un souffle. Ma caresse met fin à sa délicieuse attitude rebelle. Elle s'accroupit devant moi. En extase.

Je n'ai plus qu'à lui passer la bite sur le visage. Elle m'en présente chaque relief en gémissant. Clémentine vient derrière moi. Elle passe ses bras autour de ma taille pour se frotter contre mes fesses. Je tente de glisser mon sexe dans la bouche d'Estelle qui garde ostensiblement ses lèvres serrées. Ça aussi c'est une constante qui participe de nos excitations. Je l'attrape par ses oreilles. Elle tente de me repousser de ses mains. Rien à faire, je la maintiens fermement. Je me penche pour murmurer : << Je vais vous bouffer la chatte mademoiselle ! >>.

Au moment où je prononce ce "sésame ouvre toi", Estelle ouvre grand la bouche pour me permettre d'y enfourner ma queue molle et gluante. Dans un râle d'enchantement elle se met à pomper comme si sa vie en dépendait. Clémentine change de position. À ma droite, cambrée sur ses genoux fléchis, s'accrochant à mes épaules, elle frotte son sexe contre ma cuisse en gémissant. Elle chuchote à mon oreille : << Je deviens une vraie frotteuse ! J'aime ça Julien ! >>. Elle se redresse pour enfoncer sa langue exploratrice dans ma bouche.

Je tiens Estelle sous son menton d'une main. Elle me suce avec tant de passion. Je glisse l'autre main dans la braguette déboutonnée de Clémentine. Nous restons ainsi quelques minutes. La crampe guette Estelle. Sa position devient critique. L'ankylose la gagne. Elle cesse pour se redresser. Je la retiens dans son élan vacillant. Les filles restent blotties contre moi. Je les serre fort. Elles me couvrent les joues de bisous. << Ça va être comme ça toutes les vacances ! >> murmure Estelle. << C'est génial ! >> chuchote Clémentine. C'est le vertige.

Je les entraîne toutes les deux pour les faire tomber dans le canapé. Je dis : << Je commence par quelle chatte ce soir ? >>. Sans répondre, toutes les deux arrachent carrément leurs jeans, leurs culottes. À genoux sur les épais coussins, mon visage entre leurs cuisses douces et chaudes, je passe de l'une à l'autre en savourant les jus de filles. Lorsque je fouille leurs vulves de ma langue, elles se masturbent dans un concert de gémissements. Lorsque je suce leurs clitoris, elles se tortillent en poussant des râles de bonheur. Je me régale.

Ce festin de roi m'offre le nectar des dieux. L'orgasme d'Estelle fait trembler toute la structure de ce canapé pourtant "blindé". L'orgasme de Clémentine la fait pisser dans la cuvette. Je n'arrête pas de lécher, de sucer, de m'enivrer. Estelle, reprenant ses esprits, vient se coucher entre moi et le canapé. Elle me suce pendant que j'offre son deuxième orgasme à Clémentine. J'éjacule dans la bouche d'Estelle sans chercher à me contrôler. Elle tousse, elle s'étouffe et pourtant elle déglutit sans en perdre la moindre goutte. Les vacances seront folles.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment s'endormir dans les bras de leur homme en lui murmurant les dernières douceurs...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1786 -



C'est vendredi à midi que commencent les vacances

Hier matin, vendredi, il est presque six heures. L'application "océan" nous réveille pour la dernière fois. Le cri des oiseaux de mer est strident. La sirène de ce gros bateau dans le lointain résonne longuement. Clémentine se serre contre moi en gémissant. Quelques papouilles. Quelques bises. Elle s'empare de mon érection naturelle en murmurant : << Je t'aime ! >>. L'envie de pisser est trop forte. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers. Il fait bien froid dans la cuisine.

Les deux radiateurs viennent de se mettre à fonctionner. J'allume le feu de la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, glisse des tranches dans le grille pain, presse nos oranges, pèle nos kiwis. J'aime lorsqu'elle me raconte ses rêves. Nous prenons un solide petit déjeuner en revenant sur notre soirée de folie, hier soir avec Estelle. Nous mangeons de bon appétit en évoquant les vacances qui commencent à midi. Une certaine exubérance habite Clémentine. Une exubérance qui tend vers l'euphorie. Elle me fait rire de ses bons mots, de ses imitations.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir l'allégresse de l'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Nous sommes pliés de rire des plaisanteries subtiles de Clémentine. Les exercices au sol, les abdos. Avec les charges additionnelles il faut le maximum de sérieux. Puis vient le stretching du retour au calme. Dans la déconnade la plus totale. La douche. Je descends pour aller faire chauffer l'auto. Il est 7 h45. Le jour est presque complètement levé. Le ciel est bas, gris, menaçant. Il fait froid. Peut-être un peu moins que les derniers autres matins.

Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Sa capuche à fourrure la fait ressembler à une esquimau. Une esquimau qui sautille autour de moi en me faisant des bisous. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou et je m'empresse de retourner au chaud. Je fais la vaisselle, le lit avant de passer dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Assis devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Le crépitement des bûches de bois bien sec.

Je peins animé de cette exubérance laissée par Clémentine. La peinture de cette cinquième toile destinée à ma saison d'été m'accapare totalement. La matinée passe encore si vite. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je réchauffe les restes de la tourte au choux-fleurs de hier soir. Je prépare une salade de carottes. Dans la poêle je fais revenir deux dos de cabillaud blanc. Il est 12 h35 quand Clémentine rentre de cours. En sautillant elle se précipite vers moi, s'écriant ! << Les vacances ! >>.

Je la soulève pour la faire tournoyer. Enserrant ma taille de ses jambes, Clémentine me couvre le visage de bisous. Je l'emmène ainsi pour faire le tour de la cuisine. Elle m'entraîne aux toilettes pour le rituel pipi. Nous voilà installés à table. Nous mangeons de bon appétit. << J'ai pris de l'essence avant de rentrer. Plus besoin d'y penser jusqu'à la rentrée dans deux semaines ! >> dit elle en mimant une fellation, le poing fermé qu'elle tourne devant sa bouche. Elle rajoute : << Ça me fait toujours penser à "ça" ! >>. Nous en rigolons comme des bossus.

Clémentine me raconte ses cours. << Un oral de présentation du mémoire de deux minutes. Ça s'est super bien passé. Nous aurons les résultats au début de la seconde semaine de vacances ! >>. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine fait le très vague programme de l'après-midi. Elle doit mettre un peu d'ordre dans ses documents en prévision de la rentrée. Comme elle n'est pas du style à repousser les impératifs, autant les faire le plutôt possible. Pas de procrastinations en ce qui nous concerne.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Pressés de filer, nous descendons les escaliers à toute vitesse. Nous enfilons nos anoraks. Il y a quelques gouttes de pluie. Nous restons sur les dalles de grès pour traverser la pelouse jusqu'au chemin qui va vers la rivière. Sous le parapluie que je tiens, Clémentine accrochée à mon bras. Nous regardons virevolter les poules d'eau, les canards, les colverts qui ont colonisé l'étang qui s'est reformé en cet endroit.

Nous reprenons le sens inverse pour contourner la maison d'amis. Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. Du stock pour le week-end car j'en ai déjà rentré hier. Entre deux bûches de hêtre, de chêne, Clémentine m'embrasse avec fougue. << Je me sens salope, si tu savais ! >> lance t-elle en chantonnant. Je réponds : << Si, si, je sais ! >>. C'est en riant que nous poussons la brouette pour traverser le jardin. Nous empilons le bois à côté de la cheminée du salon, à côté de la cuisinière, le reste dans l'atelier où il fait si bon. Du stock !

Assise devant ses classeurs, Clémentine s'occupe à ses classifications. Je peins dans une totale sérénité. Il est 15 h. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je rejoins Clémentine absorbée dans ses documents qu'elle annote soigneusement en collant des post it sur certains. Debout derrière elle, je passe mes doigts dans ses cheveux. Comme des peignes. << J'adore quand tu fais ça. Ça me détend ! >> dit elle dans un souffle. Du bruit. Quelqu'un toque discrètement à la porte. << Julie ! >> murmure Clémentine. Je dis : << Entrez ! >>. Oui, c'est Julie.

Elle se précipite. Trois bises à Clémentine. Trois bises pour moi. Cet après-midi elle laisse ses longs cheveux presque noirs flotter sur ses frêles épaules. Vêtue d'un sweat bleu nuit, d'un jeans, chaussée de ses bottines. Julie porte ses lunettes d'étudiante. Tout comme Clémentine lorsqu'elle travaille. << C'est les vacances. Comme je suis contente ! >> lance Julie en s'asseyant devant le chevalet pour contempler ma scène de genre à trois personnages. Je reste à lisser les cheveux de Clémentine. Il y a juste le crépitement des flammes.

Julie reste silencieuse. Avec la loupe elle scrute chaque détail de la peinture. Je vais la rejoindre. Debout derrière elle, mes mains sur ses épaules, j'attends ses conclusions. << C'est magnifique jusque dans les plus infimes détails. C'est diabolique ! >> dit elle dans un souffle. Clémentine depuis son poste de travail, répond : << Le diable est un vieil ami de Julien ! >>. Je me penche, mon visage tout près de celui de Julie. Mes initiatives suscitent toujours une émotion chez Julie. Un frisson d'aise parcourt tout son corps. La voilà en apnée. Silence.

<< Il faudra me raconter cette amitié avec le diable ! >> fait Julie en reprenant sa respiration. Je me contente de répondre : << Ce pauvre diable n'a pas beaucoup d'amis ! >>. Je me redresse pour aller remuer les braises dans la cheminée. Clémentine me fait un clin d'œil tout en mimant une discrète masturbation masculine de son poignet. Elle se lève pour ranger ses classeurs sur les étagères. Julie reste comme hypnotisée devant le tableau inachevé. J'ouvre discrètement ma braguette pour en tirer mon Zob. Je bande mou. Il pend lourdement.

Julie se lève enfin. Elle contourne le chevalet, la desserte, pour s'installer dans le fauteuil à bascule. Je prépare le thé sur la petite plaque électrique. Clémentine vient me rejoindre pour mettre les tasses sur le plateau. Avec quelques petits gâteaux sec d'Écosse. Julie est absorbée par la danse des flammes. Clémentine saisit mon sexe à sa base entre son pouce et son index. Je surprends le regard de Julie qui louche dans notre direction par dessus ses lunettes, pour mieux voir. Dès qu'elle se sait surprise, elle détourne les yeux. Timide, réservée.

Clémentine et moi sommes vautrés dans le vieux canapé de velours carmin de l'atelier. Julie tire le fauteuil à bascule pour s'installe face à nous. Il y a juste la petite table basse qui nous sépare. Elle évoque ses études de Lettres Modernes. Le mémoire qu'elle a remis ce matin. J'écoute Julie et Clémentine comparer leurs cours. Julie prépare un DEUG, Clémentine prépare son MASTER 2. Je tiens ma queue bien raide à sa base entre mon pouce et mon index. Julie fait semblant de ne pas s'en apercevoir. Il lui est impossible de soutenir mes regards.

Ce comportement tout féminin m'enchante et me ravit. Par contre, elle louche discrètement lorsque je fais semblant d'être occupé à remuer le sucre dans mon thé. Julie confirme les dates, les jours qu'elle viendra passer avec nous. Elle vient lundi en fin d'après-midi pour rester jusqu'à mercredi en fin de matinée. << On te prépare ton lit. Tu seras bien ! >> lance Clémentine . Julie ne peut cacher sa joie. << J'y pense depuis des mois ! >> répond t-elle. Cette fois, c'est avec un regard franc et fixe qu'elle observe ma lente masturbation. Concentrée.

Clémentine demande : << Julie, tu fais preuve d'imagination, tu as un "plan" pour ces vacances ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Oui ! Deux ! >>. Nous restons suspendus à ses lèvres. Elle ménage son effet quelques longs instants avant de rajouter : << Deux petits films persos ! >>. Un nouveau silence. C'est presque dans un murmure que Julie précise : << Je vous raconte tout en détail lundi soir ! >>. Nous respectons ce délai car nous savons à quel point il est difficile à cette jeune fille de 20 ans de se révéler. C'est tellement adorable.

Julie devra nous laisser pour 18 h. Le vendredi soir tout comme le samedi soir, elle est serveuse dans le restaurant de sa tante. Il est presque 17 h. Julie est venue prendre son cours de peinture. La voilà installée devant son chevalet de table. Je suis assis à sa gauche. C'est le troisième paysage qu'elle réalise ici. Clémentine est en pleine lecture dans le canapé, ses jambes relevées sous le plaid dont elle les a recouverte. Je ne donne pas de conseils à Julie. Je me contente de suggérer des solutions. C'est une fille très douée. Une "peintre".

Elle nettoie sa palette, ses pinceaux. Je la félicite pour sa réalisation. Cette toute petite toile sera achevée lors du prochain cours, vendredi prochain. La séparation est difficile. Julie revient demain matin pour le ménage. C'est sous le parapluie que nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Malgré le froid, j'ai la bite à l'air qui pend dans l'habitacle. Assise au volant, la vitre baissée, Julie garde son visage à une vingtaine de centimètres de mon Zob. Clémentine le saisit à sa base pour l'agiter en disant : << On va beaucoup s'amuser ! >>.

Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Je ferme le portail depuis l'interphone. << J'adore tes attitudes ! >> me fait Clémentine en saisissant ma queue pour m'embrasser avec fougue. << On se fait des crêpes ? >> lance t-elle en m'entraînant à la cuisine. Excellente idée. Clémentine s'occupe de la salade d'avocat. Je prépare la pâte. De quoi faire quelques crêpes salées, quelques crêpes sucrées. Sur le billig, à la bretonne, afin qu'elles soient fines, en "dentelles". C'est très rapide. Je mets les couverts.

Clémentine aussi aime étendre la pâte avec la raclette plate. C'est toujours inquiétant quand la pâte se répand jusqu'au bord de la plaque électrique ronde. Nous mangeons de bon appétit. Sur les crêpes salées de fines tranches de Morbier, de Saint Nectaire ou de gruyère de Comté. Sur les crêpes sucrées du dessert de la crème d'amande , du miel ou encore une fine couche de confitures d'églantines sauvages. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie à quel point la présence de Julie est excitante. Elle me touche.

La vaisselle. Il reste six crêpes. Je les place sur l'étagère tout près de la cuisinière à bois. Elle dessècherons là très vite. Ce sera délicieux avec le thé demain après-midi. Nous passons au salon. Je murmure à Clémentine qui frotte sa braguette contre mon sexe : << Ce soir, on fait l'amour. Je t'aime mais je suis également fou amoureux de toi ! >>. Elle me tire par la queue. Il est 20 h30. << Viens, on monte, on fait tout ça dans un bon lit ! >>. Après la salle de bain, les toilettes, nous nous aimons comme des fous au fond de notre grand lit bien chaud.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire aimer, se faire lécher, se faire sucer, se faire embrasser jusqu'à l'orgasme...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1787 -



Le premier samedi des vacances

Hier matin, samedi, il est presque huit heures quand Clémentine vient se serrer très fort. Cet instant est toujours un enchantement paradisiaque. Surtout lorsqu'elle passe une jambe sous mes fesses, l'autre sur mon érection naturelle. Elle se frotte alors lascivement à moi en blottissant sa tête dans mon cou. Je ne connais pas de réveil plus merveilleux. Hélas, l'impérieux besoin de pisser met un terme à nos effusions de tendresse horizontale. C'est dans la tendresse verticale que nous nous précipitons aux toilette. Plein de bisous en pissant.

Morts de faim, habillés de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Ce matin il y fait bien chaud car les deux radiateurs fonctionnent depuis deux heures. J'ouvre le portail depuis l'interphone. Julie arrive dans une demi heure. Clémentine fait le café, je presse nos dernières oranges, je pèle nos derniers kiwis. J'allume le feu dans la cuisinière à bois. C'est tellement plus sympathique avec ce ciel gris, bas et maussade. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. << C'est sublime ! >> me fait Clémentine.

<< J'aime être seule avec toi. C'est tellement rare. Faire l'amour et me faire aimer comme tu l'as fait hier soir ! >> rajoute t-elle. Nous mangeons de bon appétit, évoquant cette première réelle journée de vacances. Il est 8 h25. Voilà Julie qui arrive. << Bonjour ! >> dit elle en entrant dans la cuisine. Clémentine demande : << Tu as déjà mangé ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Oh oui ! Je suis debout depuis sept heures ce matin. Je ne suis pas une grande dormeuse. Sauf quand je dors chez vous ! >>. Je dis : << Bientôt. Dès lundi ! >>.

Nous laissons Julie à son ménage pour débarrasser et faire la vaisselle. Le thermomètre extérieur indique 5°. Le ciel est menaçant. Le sol détrempé. Nous hésitons quelques instants. Finalement il est préférable de remplacer une fois encore le jogging par l'entraînement en salle. Nous remontons. Nous entendons déjà Julie passer l'aspirateur quelque part à l'étage. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdominaux, charges additionnelles s'enchaînent durant une heure avant quelques minutes d'un bon stretching. La douche tant attendue.

Vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous descendons pour enfiler nos anoraks. Nous sortons dans le froid humide et désagréable. Cet hiver paraît long, interminable et nous n'en sommes même pas au milieu, en ce 5 février. Il y a de la bruine. La camionnette descend lentement le chemin pour se garer derrière la voiture de Julie. Danièle sort du véhicule avec un grand sourire. Du hayon arrière elle tire les deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes. L'autre contient nos fromages, nos œufs, le beurre, les yaourts, les petits pots de crème fraîche.

Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. À peine la camionnette repartie voilà le tube Citroën rénovée de notre boulangère adorée. Madame Marthe nous tend la cagette plastique contenant nos deux grosses miches de pain complet, les deux pâtes feuilletées, la grande brioche au pudding. Nous lui rendons la cagette de la semaine passée. << Cadeau de la maison ! >> fait la brave dame en nous offrant deux gros croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons.

Nous passons par derrière pour descendre directement à la cave. C'est dans le cellier, sur les étagères, que nous disposons les légumes, les fruits. Du congélateur où je mets une des deux miches et les pâtes feuilletées, je tire un sachet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Le lecteur qui suit nos aventures connait parfaitement nos habitudes. Le rituel de chaque jour de nos semaines. Nous remontons par l'escalier intérieur afin de ranger les produits frais dans le réfrigérateur. La cuisine est déjà propre et le carrelage nettoyé.

Nous entendons d'ailleurs l'aspirateur depuis le salon. Julie chantonne en faisant le ménage. Il y a cette odeur d'huile essentielle de jasmin qui flotte dans l'air. Les diffuseurs d'arômes fonctionnent à plein régime. Il y en a un dans chaque pièce. Nous rejoignons Julie au salon. Nous lui déposons un délicat bisou sur le front. << J'ai encore les toilettes à faire ! Je reviens vite ! >> dit elle. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur de bureau. C'est un MSI qui fête bientôt ses dix ans. La tour met de plus en plus longtemps à fonctionner.

Il faudra bientôt le remplacer. Excellent prétexte pour aller en ville pour quelques nouvelles aventures. Nous avons deux messages. Le premier de mon oncle d'Édimbourg. Quelques appréciables nouvelles. Toutes les mesures sanitaires ont été le levées au Royaume Unis. Il n'y a jamais existé de QR Code en Grande Bretagne. La population n'est donc pas victime d'un humiliant flicage. Par contre il fait un peu la même météo qu'en France. Un message de Juliette qui nous remercie pour les crêpes de la Chandeleur ce mercredi soir. Bons souvenirs.

Juliette nous invite à faire un tour au haras dimanche. Elle y organise une animation. Clémentine répond. Je mets un billet de 50 € dans la petite enveloppe jaune, accompagné de la commande de nos repas pour lundi soir. Clémentine y rajoute un mot gentil que je signe en dessinant des lèvres pulpeuses. Dans son courriel, Juliette nous indique qu'elle nous fera quelques propositions écrites la semaine prochaine. Elle tient à organiser un "plan" aux écuries. Ce qui nous ravis. Julie vient nous rejoindre. Il est déjà 11 h20. Elle devra nous laisser à 11 h30.

Je lui tends la petite enveloppe jaune. << Merci. C'est génial. Lorsque je viendrai lundi soir ce sera pour rester jusqu'à mercredi matin ! >> lance t-elle. Clémentine se lève pour contourner le bureau, poser ses mains sur les épaules de Julie. << Nous aussi nous sommes impatients de pouvoir t'avoir avec nous quelques jours ! >>. Je contourne le bureau pour passer derrière Julie serrée entre nous deux. Je murmure à son oreille : << Nous allons nous créer des souvenirs pour la vie entière ! >>. Julie se pâme d'aise. Si contente d'être tant appréciée.

Nous la raccompagnons jusqu'à son auto. Assise au volant, la vitre baissée, elle regarde ma main qui palpe ma braguette. << Je me réjouis, vous n'imaginez pas ! >> lance t-elle encore en démarrant. Un dernier bisou. Nous regardons la voiture monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud, au sec. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Je prépare le bouillon pour y jeter les moules encore congelées. Dans le wok, je verse le contenu des sachets de haricots verts et de petits pois. Préparation rapide.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant la personnalité de Julie. C'est vrai que nous nous réjouissons. Nous avons la conviction intime que de grands moments nous attendent durant ces vacances. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie à quel point nos projets l'excitent. << Je me sens vicieuse, j'ai envie de faire ma salope, si tu savais ! >> dit elle. Nous rions de bon cœur lorsque je murmure à son oreille : << Mais je sais. Il en va de même pour moi ! >>. Nous nous embrassons.

La vaisselle. Nous montons pour aller nous laver les dents. Depuis quelques temps Clémentine adore frotter sa braguette conte moi, contre ma cuisse, ma hanche. Selon la situation, contre n'importe quelle partie de mon corps. << Tu aimes mon comportement animal ? >> demande t-elle, cambrée sur ses genoux fléchis en se frottant le sexe sur le devant de ma cuisse. Je réponds : << J'aime tout ce que tu entreprends, tout ce que tu fais. Je suis l'homme le plus heureux du monde ! >>. Nous nous embrassons comme des fous. En bavant.

<< Tiens, Estelle n'est pas encore là ! >> dit Clémentine en nous entraînant dans l'escalier. Il est 13 h45. C'est en prononçant ces mots que nous entendons chantonner Estelle depuis le hall d'entrée. Nous allons à sa rencontre. Elle nous saute au cou. Nous restons tous les trois serrés fort. << Enfin les vacances. Enfin tous les trois. On ne se quitte plus, d'accord hein ? >> lance Estelle. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Je fais pareil avec Clémentine. Estelle nous entraîne dans une farandole folle.

Elle a emmené son grand sac de sport. Cette fois il contient des vêtements pour la semaine. << Comme pour partir en Écosse ! >> dit elle. Estelle adore allumer les feux dans les cheminées. Je suis derrière Clémentine, mes bras autour de sa taille. Nous regardons Estelle froisser du papier, disposer le petit bois. Elle dit : << Demain, à midi, nous sommes invités chez mes parents. Ça vous tente ? >>. Nous nous surprenons à répondre en même temps : << Et comment ! >>. Cette perspective nous enchante. C'est tellement agréable, sympathique.

Estelle craque une longue allumette pour allumer le feu. Presque aussitôt, dans un bruit sourd, une flambée illumine tout l'intérieur de la cheminée. Estelle ajuste les premiers tisons avec le tisonnier. Clémentine, ses mains derrière le dos, déboutonne adroitement ma braguette. Elle se tourne pour s'accroupir afin d'en extraire mon sexe. Estelle, accroupie devant l'âtre, une grosse bûche à la main, nous observe. << Ça commence fort. J'aime quand ça commence fort ! >> dit elle. Clémentine se redresse. Elle tient ma queue toute molle dans la main.

Nous quittons le salon pour l'atelier. Même scénario pour Estelle qui allume la cheminée. Clémentine tente de la déconcentrer en agitant mon sexe dans sa direction. Clémentine, une fois encore, s'accroche à mes épaules pour se frotter contre ma hanche. Cette fois sur la pointe des pieds elle imprime un mouvement masturbatoire à son bassin. << Il y a de la place pour deux ? >> lance Estelle en allumant le feu dans une magnifique flambée. Elle vient nous rejoindre pour s'accrocher comme Clémentine. C'est monstrueusement bon de les sentir ainsi.

Toutes les deux se frottent lascivement. << C'est bon, put-hein ! >> murmure Estelle. << Je n'arrête pas de le faire depuis quelque semaines ! >> chuchote Clémentine. Je dis : << Personnellement j'adore ! >>. Les filles cessent en même temps pour m'entraîner dans une ronde tout autour de la grande pièce. Je suis pris d'un vertige, envahis d'une émotion profonde. C'est tellement émouvant d'être immergé dans un tel bonheur. Je m'arrête. Je dis d'un ton solennel : << Je ne peux même plus imaginer ma vie sans vous ! Ce serait un drame ! >>.

<< Pareil pour moi ! >> lance Estelle qui se blottit contre moi. << Moi, je refuse d'y penser ! >> rajoute Clémentine serrée contre moi. Je tiens mes deux anges par leurs tailles. Je leurs dépose des bises en mitrailles, de l'une à l'autre. Tout cela va bien au-delà du sexe, des sentiments et de la raison très certainement. << C'est fusionnel ! >> conclue Clémentine. << C'est vrai ! Des siamois ! >> dit encore Estelle. Nous nous tenons par la main. Nous nous regardons tous les trois. J'ai la bite qui pend lamentablement de ma braguette béante.

Je me sens d'un ridicule en cet instant où prime le divin. << Tu es prié de garder ta bite à l'air toutes les vacances. Sauf demain chez mes parents ! >> lance Estelle pour désamorcer la gravité de la situation. << Et je m'en charge ! >> s'écrie Clémentine. Elles s'accrochent à moi pour recommencer à se frotter. Nous rions comme des fous. Nous voilà vautrés tous les trois dans le vieux canapé de velours carmin de l'atelier. Je suis entre mes deux anges. Elles évoquent leurs mémoires rendus hier, l'oral de deux minutes pour le présenter. Leurs études.

Tout en parlant Estelle tord mon sexe dans tous les sens. J'ai mes bras autour de leurs épaules, leurs têtes dans mon cou. Une belle flambée dans une cheminée est un spectacle dont on ne se lasse pas. Surtout dans ces moments d'intense bonheur. Nous en savourons chaque instant. Les filles passent en revue l'état de nos connaissances. Julie qui nous rejoint lundi soir. Juliette dont nous percevons également le besoin de se retrouver en notre compagnie. << Nous somme un peu l'axe autour duquel tout cela tourne ! >> fait Clémentine. C'est vrai.

<< Nous sommes devenus le noyau central du "Club" des dépravés ! >> rajoute Estelle. Je bande mou dans sa main. Clémentine se lève. Elle jette un des épais coussins entre mes pieds. Elle s'y met à genoux. Estelle lui présente ma queue. Clémentine introduit son doigt sous mon sexe pour tenter d'extraire les couilles du slip. Exercice ardu dont elle sort toujours vainqueur. Même au prix d'une patience infinie. << Gagné ! >> lance Estelle quand Clémentine arrive enfin à me les sortir. C'est un peu douloureux, étant assis, à cause de l'élastique du slip.

Les filles aiment tant lorsque j'ai la bite et les couilles garrotées par l'étroitesse de la braguette boutons de mon vieux 501. Clémentine passe son doigt délicat sur mes roubignoles. Estelle tient fermement ma queue. Nous restons ainsi un long moment à converser. Les filles reviennent sur des souvenirs d'Écosse. Les rencontres et les situations insolites. Nous avons vécu tant d'aventures tous les trois qu'un livre entier ne suffirait pas à les narrer. << Il faudrait tous les volumes d'une véritable encyclopédie ! >> lance Estelle, facétieuse. Nous rions.

Clémentine, assise sur l'épais coussin, la tête sur ses bras posés sur ma cuisse gauche évoque des situations précises. Estelle, couchée sur le côté, la tête sur ma cuisse droite revient sur des moments hautement torrides. J'écoute les filles échanger leurs impressions quand à telle ou telle aventure. Le lecteur qui suit nos récits depuis le début sait de quoi il en retourne. << Un jour, j'écrirai mes mémoires ! >> dit Estelle. << On les écrit ensemble ! >> fait Clémentine. << Ça commencera comme ça. Il était une fois... >> murmure Estelle.

<< Deux princesses endormies au fond d'une forêt sont réveillées ! >> chuchote Clémentine. Je demande : << Par un homme des bois ? >>. Les filles se redressent pour se blottir contre moi, en même temps. << Oui ! >> s'écrie Estelle. << Surtout pas un "Prince" ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. L'après-midi se passe ainsi. La collation de 17 h. Le thé, les petits gâteaux secs. << Comme c'est bon de traîner ! >> dit Estelle. << Ne rien faire ! >> rajoute Clémentine. C'est vrai que nous sommes tout le temps dans l'action.

Il est dix huit heures. Clémentine et Estelle sont devant une des étagères. Clémentine montre quelques classeurs à Estelle. Je rajoute deux bûches sur les braises. << Ne va pas te brûler la queue, elle doit beaucoup servir dans les prochains jours ! >> lance Estelle. << Dès ce soir d'ailleurs ! >> s'écrie Clémentine. Je saisis mon sexe mou à sa base, au-dessus des couilles dodues, pour l'agiter en directions de mes deux anges. Mes couilles endolories par le garrot de la braguette sont devenues indolores. Par contre elles sont magnifiques, peau bien tendue.

Estelle vient s'accroupir. Elle me tient par les hanches. Clémentine vient voir. << Demain, je te les épile. Plus un poil. J'aime ! >> dit Estelle. << Ça ressemble à de la peau de poulet déplumé ! >> fait Clémentine. Je rajoute : << Ça me démange et ça me picote durant des jours ! >>. Estelle se redresse en précisant : << Je te les enduits de crème à l'avocat. C'est miam quand on les lèche ! >>. Nous éclatons de rire. Il commence à faire faim. << Ne rien foutre, ça ouvre l'appétit ! >> lance Clémentine. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. 18 H50.

Nous sommes tous les trois assis à table. Nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri. Comme tous les samedis nous en faisons en grande quantité afin d'assurer les trois repas du week-end. Avec différentes préparations de poissons, de crustacés, c'est l'accompagnement parfait. Nous revenons sur nos souvenirs. Ce n'est jamais dans un cadre nostalgique mais exclusivement pour l'excitation que tout cela éveille en nous. Clémentine prépare une belle laitue avec son assaisonnement. Estelle touille les légumes dans la cocotte.

Je fais revenir trois filets de limandes avec des champignons, de l'ail, de l'échalote, persil et ciboulette. Juste avant la fin de la cuisson, je rajoute un petit pot de crème fraîche. Des cubes de Roquefort qui fondent instantanément. Nous mangeons de bon appétit. C'est un repas si simple, si facile et pourtant tellement savoureux. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges font le programme de la journée de demain, dimanche. D'êtres invités chez les parents d'Estelle à midi est un bonheur.

<< Tu nous niques comment ce soir ? >> me demande Estelle qui fait la plonge. Clémentine tout en essuyant l'assiette quelle tient à la main répond : << Comme l'homme des bois évoqué dans l'atelier ! >>. Tout en essuyant la fourchette je m'écrie : << Voilà une bonne idée ! >>. Les filles m'entraînent au salon en me tenant par les bras. Comme souvent, nous arrachons carrément nos fringues pour rester en chaussettes et en sweats. Estelle remet deux bûches sur les braises dans la cheminée. Clémentine allume les deux grosses bougies.

Toutes les deux, couchées sur le bureau, en appuies sur leurs coudes, m'observent. Je suis à trois mètres à les mâter en me masturbant. << Cher "homme des bois" sur laquelle votre choix se portera t-il en premier ? >> lance Estelle. J'hésite. Clémentine se tourne pour saisir la reproduction d'une grosse pièce de monnaie médiévale qui sert à bloquer des feuilles de papier. << Pile c'est moi ! >> dit elle en la posant sur son poignet. << Fais voir ! >> lance Estelle. Clémentine retire la main qui la cache en disant : << C'est moi ! Mais j'ai triché ! >>.

Je me place entre les cuisses de Clémentine. Estelle se redresse pour s'assoir sur le bord du bureau. Une main entre ses cuisses elle se touche. Je frotte mon sexe sur celui de Clémentine. Elle se couche complètement sur le bureau. Je tiens ses jambes écartées sous ses genoux. Je m'introduis doucement, centimètre par centimètre. Estelle s'avance pour me faire des bises tout en se masturbant. Je suis complètement enfoncé dans Clémentine. Les yeux fermés, elle se masturbe également tout en étant pénétrée jusqu'à la garde.

Mes couilles ballotent contre ses fesses. Il fait presque trop chaud. Sans bouger, nous sommes déjà en sueur. Dans Clémentine, je reste quasiment immobile. Nous adorons baiser comme ça. J'y reste une bonne dizaine de minutes. Estelle se couche à son tour à côté de Clémentine. Elle attend son tour en se masturbant. Je me retire de Clémentine avec précaution pour m'introduire dans Estelle. Là, c'est une autre chanson. Estelle adore baiser à la hussarde. À peine suis je enfoncé dans son sexe qu'elle se met à bouger, donnant le rythme.

Je passe de l'une à l'autre. Mes lombaires douloureuses ne me permettent pas de faire trop de prouesses. Lorsque je suis dans Clémentine je peux rester sans bouger, ce qui soulage le bas de mon dos. Je peux repartir à l'assaut d'Estelle. << Mon homme des bois ! >> murmure t-elle à chaque fois que je la pénètre. Les filles sont assises dans une marre de jute. Nos mélanges maculent la surface du bureau. Pauvre meuble victorien qui en a probablement vu d'autres depuis presque deux cent ans. Estelle me repousse soudain en hurlant. L'orgasme.

Une fois encore, les mains entre ses cuisses serrées, Estelle semble souffrir alors qu'elle ne fait qu'affronter cet orgasme qui la tétanise complètement. Une série d'orgasmes devrais-je dire car elle a des hoquets qui accompagnent les tressautements de son corps. Clémentine ne tarde pas à subir le même sort. Elle me repousse sans cesser de se masturber. Je m'écarte juste à temps pour ne pas être aspergé de l'incroyable jet de pisse qu'elle ne contrôle pas du tout. Estelle se redresse pour s'accrocher à moi. Nous regardons. C'est spectaculaire.

Clémentine hurle de plaisir. Tout son corps est animé de spasmes. Elle est couchée sur le côté. Elle aussi garde ses cuisses serrées sur ses mains. Je passe ma main sur ses fesses. << Comme c'est bon ! >> dit elle dans un souffle. << Monstrueusement bon ! >> rajoute Estelle blottie contre moi. Nous reprenons nos esprits. << Et toi ? >> me demande Estelle en saisissant ma bite molle et dégoulinante. Je réponds : << Je propose qu'on s'en occupe tout spécialement demain ! >>. Je ne sais pas. J'ai éprouvé tant de plaisir. Ai-je éjaculé dans Clémentine ?

Estelle, dans mes bras, à califourchon sur ma cuisse gauche, se frotte doucement. Nous regardons Clémentine passer la serpillère. Elle a pissé à plus de quatre mètres. Le salon est une grande pièce. Le parquet vitrifié en a vu bien d'autres. << J'ai honte ! Julie a si bien nettoyé ce matin ! >> lance Clémentine en essorant la serpillère. << Depuis douze ans que je te connais, tu as toujours joui en pissant ! >> s'écrie Estelle. << J'y peux rien, je jouis tellement fort ! >> rajoute Clémentine en venant se mettre à califourchon sur ma cuisse droite.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines serrées contre leur "homme des bois" après des orgasmes démentiels. Dans de bons draps frais...

Julien (Homme des bois)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1788 -



Dimanche après-midi avec les parents d'Estelle

Hier matin, dimanche, il est presque neuf heures lorsque nous nous réveillons tous les trois. Quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges. Serrées contre moi, à se frotter doucement contre mes hanches. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. << Ça va être comme ça tous les jours ! >> murmure Estelle en me déposant des bisous en mitraille sur la joue. Elle saisit mon érection matinale pour rajouter : << Comme c'était bon hier soir ! >>. Clémentine chuchote : << Ça devrait même être obligatoire tellement c'est bien ! >>.

Je glisse mes mains dans les culottes. Je défais quelques nœuds en savourant le délice de cet instant divin. << Pipi ! Au secours ! >> s'écrie Estelle en se levant d'un bond pour courir vers la porte. Clémentine me chevauche pour frotter son sexe sur le mien. << J'aime quand tu m'aimes. Surtout comme hier soir ! >> chuchote t-elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous dévalons les escaliers. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine. Il y a déjà cette agréable odeur de café, de pain grillé.

La brioche trône au milieu de la table. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Je l'entraîne pour faire le tour de la grande pièce. Ses jambes autour de ma taille. Je fais pareil avec Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée à baiser comme des malades. Nous rions de nos folies. << On va terminer dans un asile ! Nous avons développé une telle addiction au sexe ! >> dit Estelle en posant sa main sur la mienne. Clémentine rajoute : << Ça ne se soigne plus. Soit on en meurt, soit ça s'arrête comme c'est venu ! >>.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le programme très simple de la journée. Nous sommes attendus pour midi chez les parents d'Estelle. Des réjouissances en perspectives. Comme elle le précise à chaque fois, Estelle me dit : << Et si tu dragues ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >>. Nous en rions de bon cœur. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. << Embrasse-moi, j'adore le gout de la brioche au pudding dans ta bouche ! >> me fait Clémentine en se blottissant dans mes bras. Elle se frotte.

<< Moi aussi ! >> lance Estelle qui palpe ma braguette. << On devient des "frotteuses" ! >> dit elle encore en attendant son tour. C'est absolument délicieux de s'embrasser avec le goût du pudding à la pâte d'amandes. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Pendant qu'Estelle s'habille, nous faisons notre lit. Clémentine propose de préparer celui qu'occupera Julie lundi soir. Nous ouvrons le canapé. C'est vite fait. Estelle prend mon poignet pour glisser ma main dans sa braguette béante.

<< Tu sais que c'est bien congestionné là-dedans ! >> dit elle en se frottant sur ma main qui palpe sa culotte. Je réponds : << Je m'en occupe ce soir. Comme tu ne seras pas obligée de rentrer pour 22 h, j'aurai toute la soirée pour te "soigner" ! >>. Clémentine saisit mon autre poignet pour faire pareil. << C'est vrai, il y a des choses qui ne peuvent rester en l'état ! >>. Elles se serrent contre moi en se faisant palper. C'est si chaud là dedans, si bon ! Nous sommes vêtus de nos jeans propres, de nos chemises à carreaux, identiques tous les trois.

Nous redescendons pour enfiler nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 8°. C'est sous l'immense parapluie que nous allons jusqu'à l'étang qui s'est reformé. Les filles accrochées à mon bras évoquent leurs cours. Ce qu'il ne faudra pas oublier pour la rentrée du lundi 21 février. Nous regardons virevolter les colverts, les poules d'eau et les canards. Il y a deux couples de hérons cendrés à présent. << Ça va devenir un zoo ! >> lance Estelle. << Ces animaux se sentent bien ici, ils ont colonisé l'endroit ! >> rajoute Clémentine. C'est magnifique.

Nous remontons pour contourner la maison d'amis. Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. C'est devenu un réflexe. Estelle tient le parapluie. Clémentine tire la brouette que je pousse sur les dalles de grès. Nous empilons le bois à côté de la cheminée du salon, de la cuisinière à bois et de la cheminée de l'atelier. Nous nous lavons les mains au-dessus du lavabo des toilettes du bas. Nous faisons notre habituel concours de grimace. Je suis toujours étonné des capacités qu'ont les belles jeunes filles à faire les plus horribles grimaces.

Il est 11 h30. Estelle palpe ma braguette en s'accroupissant. << Contrôle. Que je ne te vois pas avec la braguette ouverte chez mes parents ! >> dit elle tenant mes couilles à travers le tissus. Clémentine, serrée contre mon dos, se frotte à mes fesses. Ses bras autour de ma taille, sur la pointe des pieds pour me déposer des bises dans la nuque. << Anoraks ou manteaux ? >> demande Estelle en se redressant. << Anoraks ! >> répond Clémentine. << Je nous aime ! >> fait Estelle. Je dis : << Moi aussi ! >>. Clémentine conclue : << Et moi donc ! >>.

Notre "couple à trois" comme le précise souvent Estelle. Nous remettons nos anoraks. Debout tous les trois devant le grand miroir du hall d'entrée, nous prenons des poses. Je suis entre mes deux anges. << Comme on est beaux tous les trois ! >> lance Clémentine. << Les trois mousquetaires ! >> fait Estelle. Elles posent leurs tête contre mes épaules pour se blottir. Je les tiens par les hanches. Notre bonheur est si visible ! Estelle propose de prendre sa voiture. C'est le Kangoo de l'entreprise familiale. Il n'y a pas de siège à l'arrière. J'hésite.

<< On s'en fout. Il n'y a pas de contrôle ! Venez ! >> fait Estelle en nous prenant par la main. Nous quittons la maison. C'est Estelle qui conduit. Clémentine est assise sur mes genoux, la tête penchée en avant à cause de l'étroitesse du véhicule. Les essuies glaces fonctionnent à plein rendement. Quelle météo de merde. Il y a trois kilomètres jusqu'à la sortie du lotissement avant le bourg. C'est là qu'il y a la maison et l'entreprise familiale des parents d'Estelle. Nous y arrivons pile pour midi. C'est son papa qui nous accueille sous un grand parapluie.

Nous nous touchons les poings. Yvan nous invite à le suivre, nous passons par le garage, par la cave pour monter. Michèle nous accueille à son tour. << On a fait simple ! >> s'empresse t-elle de dire. Je réponds : << On adore la simplicité ! >>. Michèle et Yvan sont vêtus comme nous. Jeans, chemises à carreaux. << Le Club du carreaux ! >> lance Estelle. C'est probablement Estelle qui a demander à ses parents de s'habiller ainsi. Michèle nous invite à prendre place au salon. Clémentine propose d'aider au service. Michèle accepte volontiers.

Nous sommes assis. Tous les cinq à déguster ce gratin dauphinois. Nous bavardons avec animation. Les parents d'Estelle ont déjà réservé leur cottage dans la région de Inverness. Ils y resteront un mois. Du premier au 31 août. Nous faisons mille projets pour passer quelques journées de découvertes ensemble. Nous rions beaucoup des actualités et des élections présidentielles à venir. << Avec tous les docteurs qui sont venus faire leurs publicités sur les plateaux de télévisions depuis deux ans, on va payer la redevance avec la carte vitale ! >> fait Yvan.

Nous rigolons comme des bossus car les plaisanteries fusent. Je surprends quelquefois le regard de Michèle. Un regard par en-dessous, terriblement suggestif. Clémentine à qui rien n'échappe me fait du pied. Estelle, lorsqu'elle s'en rend compte, préfère me donner un coup de pied dans le tibia. Ça fait mal. Michèle et Yvan sont loin de s'imaginer le calvaire que je vis sous la table. Les fruits de mer en fricassé sont un délices dont je veux la recette. J'aide Michèle à débarrasser. Nous allons à la cuisine. Je vide le plateau pour tout mettre dans l'évier.

La proximité de Michèle, lorsqu'elle passe furtivement près de moi, me trouble. Elle le sait. Elle en joue. Elle fixe d'ailleurs ostensiblement ma braguette pour dire : << Allez donc rejoindre les autres, je prépare les coupes glacées ! >>. Je réponds : << Mais votre compagnie m'est très agréable. Je reste avec vous ! >> Je suis soudain comme un écolier devant une "grande". Quelle merveilleuse sensation. Tant que ces émotions existent chez un être humain c'est la certitude de vivre. D'avoir les capacité d'en savourer les plaisirs, de jouir des surprises.

J'ai une bosse indécente qui déforme ma braguette en sortant les coupes en verre du buffet. Michèle tire les bacs de glaces du haut du réfrigérateur. Je regarde son cul à la dérobé. Moulée comme une adolescente Michèle est aussi sexy que sa fille. Une fois encore j'ai l'impression d'être en présence de sa grande sœur. C'est troublant de ressemblance. Estelle qui est arrivée silencieusement, sur la pointe des pieds, reste derrière l'encadrement de la porte. Je l'aperçois par l'effet miroir du carrelage au-dessus de l'évier. Michèle vient de la voir.

<< Tu nous surveilles ? >> lui fait Michèle. << Non je viens voir si je peux aider ! >> répond Estelle en entrant dans la cuisine. Je n'ose pas affronter son regard tellement j'ai honte d'être troublé par sa maman autant que par elle. Michèle quitte la cuisine un instant. << Salaud, tu dragues encore ma mère ! >> murmure Estelle en empoignant mon sexe au travers le tissu de mon jeans. C'est douloureux. Elle a juste attrapé l'endroit des couilles. << Tu devrais avoir honte, c'est une femme mariée. Et à mon père en plus ! >> rajoute ma tortionnaire.

Estelle me lâche juste au moment où Michèle revient avec une boîte de gâteaux en métal. << Clémentine demande où tu es ! >> me fait Estelle pour me faire comprendre de quitter la cuisine. Elle a probablement des choses à dire à sa mère. Je rejoins Clémentine. Pas le moindre doute, elle se fait ouvertement draguer par Yvan. Elle me fait un discret clin d'œil. Ça fait douze ans que Clémentine fréquente cette maison. Ce n'est que depuis deux ou trois ans qu'elle m'avoue exercer un ascendant sur le papa d'Estelle. C'est curieux. C'est naturel.

Nous savourons nos coupes glacées et les petites gaufres triangulaires qui les accompagnent. Cette fois, j'ai reculé mes pieds au maximum. Presque sous la chaise de Clémentine. J'évite de croiser les regards de Michèle. Je ne veux plus risquer des coups de pieds dans les tibias. Ce soir j'aurai des ecchymoses, c'est sûr. Des "bleus". Nous traînons à table. Estelle se lève pour rajouter des bûches dans la cheminée. Dehors il pleut. Je propose d'aider à la vaisselle. << Maman, il y a le lave-vaisselle ! >> lance Estelle en me jetant un regard glacial.

<< C'est tellement plus convivial de la faire à l'ancienne ! >> répond Michèle. Aussitôt, je débarrasse pour mettre les coupes vides sur le plateau. << Donne-moi ça, salaud ! >> me murmure Estelle en me prenant le plateau des mains. Je suis comme un gosse, j'ai envie de dire : << Mais j'ai rien fait ! >>. Clémentine qui se doute bien de ce qui se passe me fait un discret sourire entendu. Elle s'amuse bien. Yvan nous propose une petite balade digestive sous les parapluies. Estelle a mis les coupes, les cuillères dans le lave-vaisselle. La vilaine !

Lorsque nous enfilons nos anoraks, Estelle me glisse à l'oreille : << Je te surveille. Tu ne montreras pas ta bite à ma mère cet après-midi. Je t'ai à l'œil, salaud ! >>. Je surprends le sourire amusé de Clémentine qui se doute bien de ce qui se passe. Estelle, au bras de son papa qui tient le parapluie. Michèle contre son mari. Clémentine accrochée à mon bras, je tiens le parapluie. Nous parcourons les rues du lotissement. Avec cette météo il n'y a personne. Il faut affronter quelques coups de vents qui jettent des paquets d'eau. Nous rusons avec les parapluies.

Il est 17 h quand nous revenons pour la collation. Le thé. Estelle est vigilante. Elle ne me quitte pas d'une semelle. Elle me surveille. J'aimerais bien montrer ma queue à Michèle. J'ai même l'impression qu'elle n'attend qu'une opportunité. Estelle semble surveiller sa maman autant que moi. Yvan, royalement indifférent à tout cela, évoque l'Écosse. Les parents à Estelle n'arrêtent d'ailleurs pas d'en parler. Un simple séjour de deux semaines l'été dernier et les voilà fous amoureux de mon pays. Yvan nous montre des photos tirées sur papier.

Il est dix huit heures trente quand nous prenons congé. Je rappelle à Michèle et à Yvan qu'ils sont invités dimanche prochain. Estelle viendra passer la journée de vendredi chez ses parents. Je roule doucement. Estelle, assise à côté de Clémentine, sur le siège passager me serre les organes génitaux à travers le tissu de mon jeans. << Salaud va ! Ce soir je vais te torturer pour t'apprendre à draguer ma mère ! >> dit elle. Clémentine est pliée de rire. Il est dix neuf heures. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle nous concocte l'omelette du soir.

Je remue la potée de légumes avec la spatule en bois. Ce qui attache est tellement bon. Dans les vieilles cocottes en fonte noire, ça colle toujours beaucoup au fond. La préparation est rapide. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. Clémentine mime à chaque fois une fellation, son poing fermé qu'elle tourne devant sa bouche. Sa langue faisant une bosse contre l'intérieur de sa joue. Sous la table, j'ouvre ma braguette. Je bande.

Je me lève pour agiter ma queue en direction des filles. << Félicitations Julien, tu t'es retenu tout l'après-midi ! >> lance Estelle. Nous éclatons de rire lorsque Clémentine s'écrie : << Il était temps de rentrer ! >>. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, les filles reviennent sur les moments forts de ce dimanche. Je propose un bon léchage de minous après la vaisselle. Après ce qu'elles ont subit hier soir, leurs chattes ont besoin de douceurs, de tendresses et de câlins. Elles me font des bisous.

Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Dès la vaisselle terminée mes deux anges m'entraînent au salon. << C'est génial ! Je ne suis pas obligée de partir après ! >> s'écrie Estelle qui se serre contre moi. Les filles m'entraînent devant le bureau. << Regardez ! >> fait Clémentine en pointant son doigt sur les taches qui ont séché. << Les séquelles de hier soir ! >> dit Estelle. << Ça ne partira plus ! >> précise Clémentine. Nous rions aux éclats. Je propose aux filles de les lécher sur le bureau, là où je les ai baisé hier soir. Un silence.

Elles se consultent du regard. Sans répondre, elles retirent toutes les deux leurs jeans, leurs culottes. Le contact du bois est froid. Aussi je dispose les coussins du canapé sur la surface du bureau. Elles s'y installent toutes les deux. Impatientes. Le dimanche, pas de douche, pas de toilettes intimes. Elles me présentent toutes les deux leurs sexes, en appui sur leurs coudes, les yeux grands ouverts. Je reste à quelques mètres à savourer cet instant magique. Je me masturbe doucement en contemplant ce divin spectacle. J'en salive déjà. C'est magnifique.

Je saisis le tabouret à côté de l'escabeau contre la bibliothèque. Je le place contre le bureau. Il me suffit de m'y assoir. Je commence par la chatte d'Estelle. Mon visage contre son sexe. Je hume à plein nez cette merveilleuse odeur de fille négligée. Clémentine se redresse pour me regarder. Elle se touche. Je passe le bout de ma langue dans la fente d'Estelle. Ses fines lèvres apparaissent lorsqu'elle contracte ses muscles fessiers. Elle se masturbe en se couchant sur le dos. Je fouille cette délicieuse moule qui baigne rapidement dans son jus. Miam.

Clémentine demande à Estelle : << Tu sais quelle est la différence entre une huitre et une moule ? >>. Estelle répond : << Non ! >>. Clémentine dit : << Essaie d'ouvrir une huitre avec la langue ! >>. Nous rions aux éclats. Très rapidement mes explorations linguales ne permettent plus que la jouissance. Lorsque je fouille son intimité, Estelle stimule son clitoris du léger mouvement pendulaire de ses doigts. Je cesse, je place le tabouret devant Clémentine. Du jus de fille dégouline déjà dans la raie culière. Je m'en pourlèche. C'est succulent.

Je ne cesse de retirer quantité de poils de ma bouche. Finalement, au bout d'un quart d'heure de lèches, il s'avère que ce n'est pas pratique pour le cunnilingus. Je soulève d'abord Clémentine pour l'emmener dans le canapé. Je reviens chercher Estelle trop heureuse que je m'occupe aussi bien d'elle. À présent je suis à genoux sur les épais coussins. C'est bien plus pratique pour passer de l'une à l'autre. Je me régale des sucs que m'offrent mes deux anges. Légèrement vinaigrés chez Estelle, plus acidulés chez Clémentine. De délicieux yaourts.

L'orgasme d'Estelle est une fois encore nucléaire. Tout le canapé, dans sa structure la plus intime, en tremble. Couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses, dans de profonds halètements, Estelle jouit dans la plus totale plénitude. Je reviens m'occuper du croupions juteux de Clémentine. J'ai le bas du visage mouillé de bave et de cyprine. Je saisis la cuvette en plastique. Je sais ce qui va se passer. Clémentine est agitée de soubresauts de plus en plus violents. Elle pousse de petits cris d'animal blessé, elle se cambre, se raidit, elle se met à hurler.

J'ai juste le temps de me retirer. Un jet de pisse impressionnant emplit la moitié de la cuvette en éclaboussant mes mains. Estelle, à genoux à côté de moi, me tenant le sexe, observe ce spectacle insolite et toujours si impressionnant. Il y a de la jute expulsée de la vulve de Clémentine. C'est à chaque fois comme une véritable éjaculation. Je reviens m'en régaler pour lui nettoyer le sexe. Estelle, couchée entre le canapé et moi, me suce avec fougue et passion. Sans chercher à me contrôler, j'éjacule. Elle en tousse de surprise en gémissant. Râles !

Surprise une fois encore par l'abondance de sperme qui manque de l'étouffer, elle change de position pour avaler le mieux possible. Je me pourlèche de tout ce que je pompe encore du sexe de Clémentine qui me caresse la tête en gémissant de bonheur. Je lui fais le cul en soulevant ses cuisses. Moi aussi je manque de m'étouffer, ma bouche collée comme une ventouse partout où je peux la mettre. Clémentine me repousse doucement pour reprendre ses esprits. Nous restons un long moment serrés tous les trois. Comme hébétés. Épuisés aussi.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver blotties sous les draps, tout contre leur lécheur, à s'endormir sereines...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1789 - (Prise de la "Pastille")



Julie vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, lundi, il est aux environs de neuf heures quand je suis tiré de mon sommeil. C'est Estelle. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi comme une naufragée à son radeau. Aux mouvements réguliers de ses pieds contre les miens, se rajoutent ceux de l'ondulation masturbatoire de ses hanches contre les miennes. Tout cela réveille Clémentine qui vient se blottir en gémissant. Je suis entre mes deux anges, dans l'enchantement paradisiaque de notre premier lundi de vacances. Nous nous étirons en modulant nos gémissements.

Modulations poussées jusqu'à l'absurde. Estelle se lève d'un bond en disant : << Pipi ! Je n'en peux plus ! >>. Nous la regardons courir vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine se frotte contre moi en murmurant : << Mon "Maître" lécheur, je vous aime. Comme c'était bon hier soir encore ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Dans l'odeur du café, du pain grillé. Elle presse les oranges, pèle les kiwis. Sa méthode.

Même si les deux radiateurs chauffent déjà bien la grande pièce depuis trois heures, j'allume une bonne flambée dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur "le léchage de minous" de hier soir. << C'est exquis Julien ! >> me fait Estelle. << C'est divin ! >> me fait Clémentine. Je dis : << Rien que d'y penser j'ai vos goûts en bouche et j'en ai des frissons ! >>. Nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup de nos frasques. Dehors le ciel est gris mais lumineux. Le thermomètre extérieur indique 6°. C'est l'hiver.

<< On se tente le jogging ? >> demande Estelle. Nous applaudissons la suggestion. Nous faisons la vaisselle pendant qu'Estelle monte se mettre en tenue. Il est 9 h35. Nous enfilons nos K-ways, bonnets, gants. Il faut du courage mais nous en mourrons d'envie depuis si longtemps. Quelques mouvements d'échauffement. Intensité maximale avec de la vapeur devant nos bouches. Le sol est mouillé. Nous montons jusqu'au portail pour courir sur le bord de l'étroite route. C'est Estelle qui impulse un rythme rapide et plutôt soutenu. Superbe.

Nous passons devant le haras. Il y a déjà plein de voitures garées dans la cour. Nous voilà aux bancs de la clairière. Ils sont en pierre. Nous pouvons faire nos abdominaux, nous ciseaux arrières, avants, nos exercices de gainages et nos pompes sans nous mouiller. C'est parfait et tellement agréable au grand air. Nous revenons d'une course aussi rapide qu'à l'aller. Il est 10 h40 quand nous sommes de retour. Estelle prend sa douche la première. Assise sur mes genoux, au salon, Clémentine allume l'ordinateur. Trois messages. C'est très sympathique.

Un mail de mon oncle d'Édimbourg, un courriel de Juliette qui confirme sa venue mercredi soir. C'est à son tour d'apporter le repas. Un message de Julie qui nous confirme sa venue vers 18 h30 ce soir. Estelle vient nous rejoindre vêtue de son jeans, de son épaisse chemise à carreaux en flanelle. C'est à notre tour d'aller sous la douche. Habillés comme elle nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle qui surfe sur le site universitaire. Aucune nouvelle information. Il est 11 h15. Estelle allume une belle flambée dans la cheminée. Nous la regardons.

Les filles parlent de leurs cours, des probables résultats du mémoire rendu vendredi dernier. Clémentine m'entraîne par la main. Nous allons devant une des deux portes fenêtres. La campagne hivernale se déroule sous un ciel gris mais lumineux. Estelle vient nous rejoindre. Je suis entre mes deux anges. Je les tiens par la taille, leurs têtes contre ma poitrine. Il y a des centaines de corneilles qui volent de groupe d'arbres à d'autres. Ces oiseaux souvent confondus avec les corbeaux pullulent dans le paysage. Ils sont les seuls à y insuffler de la vie.

Estelle me tripote les fesses en me chuchotant : << P'tit cul ! >>. Clémentine murmure : << Grosse queue ! >>. Je passe mes mains dans leurs jeans en disant : << Superbes chattes ! >>. Nous rions en nous tripotant. << Cet après-midi, je te fais une pipe ! >> lance Estelle. Clémentine suggère d'aller faire chauffer la maison d'amis après le repas. Nous quittons le salon pour la cuisine car il commence à faire faim. 11 h45. Clémentine prépare une belle scarole avec un assaisonnement aux avocats. Estelle fait revenir des calmars encore tout congelés.

Je réchauffe le reste de potée de légumes. Nous n'arrêtons pas d'aller l'un vers l'autre pour nous déposer des bisous. Sans nous toucher car nos mains sont grasses. Nous portons nos tablier. La préparation est rapide. Nous voilà confortablement installés pour savourer ce repas simple mais si délicieux. << J'ai les coordonnées de l'exhibitionniste du parking ! >> lance Clémentine. << Il est peut-être en taule ! >> fait Estelle. Nous rions de bon cœur de la mésaventure de ce pervers qui montrait sa bite aux femmes depuis les fourrés de l'hypermarché.

La police a mis fin à ses agissements. << Il était plutôt sympa ! >> lance Estelle. << Il avait une belle bite ! >> fait Clémentine. Clémentine suggère de le contacter par "appel masqué" pour lui proposer une exhibe "privée". << Génial ! Excellent ! >> s'écrie Estelle. << On se fait ce plan mercredi après-midi. Ça vous tente ? >> dit encore Clémentine. << Mais tu n'as que de bonnes idées ! >> conclue Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges passent en revue les différentes possibilités de réaliser ce "plan".

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles. Un concours de grimaces avec brosses à dents enfoncées dans les bouches. Estelle arrive à loucher en poussant des râles sonores, de la mousse dentifrice partout. Nous sommes pliés de rire. Tête contre tête, penchée au-dessus du lavabo, nous nous rinçons la bouche en faisant des jets. << Ça m'excite ! >> lance Estelle en s'essuyant la bouche. Je passe ma main entre ses cuisses chaudes pour dire : << Il faut que je contrôle ça ! >>.

Nous dévalons les escaliers en riant. Nous enfilons nos anoraks. Nous traversons la pelouse pour aller dans la dépendance. Il fait froid dans la maison d'amis. Seul le hors gel maintient une température constante de 6°. Estelle allume immédiatement un bon feu dans la cheminée. Clémentine vérifie la charges des batteries. Les panneaux photovoltaïques en assurent la pleine mesure. Les convecteurs électriques chauffent rapidement. Nous sautillons sur place en regardant les flammes lécher le cul du gros chaudron de fonte noire. C'est un spectacle.

Je vérifie le niveau d'eau des six tubulures de cuivre dans le chaudron. Cette eau une fois bouillante montera dans les radiateurs. La chaleur augmentera alors rapidement. Clémentine suggère que nous fassions chauffer cette maison tous les jours. Excellente idée. C'est toujours préférable avec le froid humide qui règne depuis des mois. Estelle me déboutonne la braguette. Clémentine remue les premières braises avec le tisonnier. Trois coups frappés à la porte. Estelle se précipite. C'est monsieur Bertrand. Notre voisin a vu la fumée monter au ciel.

Nous invitons Louis à entrer. Nous nous saluons. << Vous avez raison de faire chauffer la maison de temps en temps. C'est meilleur ! >> dit il en nous montrant l'intérieur du sachet qu'il tient à la main. Il contient du vieux pain et ces boules de graisse avec des graines. Louis va nourrir ses amis les canards. Il dispose des boules qu'il accroche aux branches. Ce qui explique que toute une bande d'emplumés s'est installé au bord de la rivière. << Hier, j'ai surpris deux renards qui tentaient d'attraper une poule d'eau ! >> raconte monsieur Bertrand.

Louis n'a que peu de temps. Il nous laisse. << Vous venez prendre le café avec moi un de ces après-midi ? >> lui demande Clémentine. << Mais avec plaisir ! >> répond le vieux salaud. Il sait très bien l'invitation que cela sous entend. Mais il ne sait pas qu'Estelle et moi sommes parfaitement informés de ses turpitudes de retraité pervers et salace. Nous le saluons. << Je me suce ce vieux salaud un de ces jours ! >> lance Clémentine dès que Louis est partit. << C'est moi qui serais planqué avec Julien dans le placard ! >> rajoute Estelle en me palpant.

Il commence doucement à faire plus chaud. Le thermomètre indique déjà 12°. Estelle fourre sa main dans ma braguette pour fouiller dans mon slip. Elle en extrait le locataire en l'agitant vers Clémentine. Je bande mou. Il y a le crépitement des flammes dans la cheminée. L'eau dans le chaudron se met à chanter en arrivant à ébullition. Estelle s'accroupit. Elle se cale contre ma jambe qu'elle enserre de ses cuisses serrées sur mon mollet. Sa tête posée contre ma hanche. Clémentine s'écrie : << Ça m'excite ! >>. Elle vient nous rejoindre en sautillant.

C'est assez désagréable d'avoir la bite à l'air dans la fraîcheur. Clémentine saisit ma queue avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Nous adorons ces baisers lascifs et baveux. Estelle glisse sa tête entre le bassin de Clémentine et le mien. Prise en sandwich entre nos deux corps, elle tente de gober mon sexe. Je bande comme le dernier des salauds dans la main de Clémentine. Tout en fouillant ma bouche elle comprend ce que fait Estelle. Elle lui introduit la bite dans la bouche. Je me fais sucer. L'indicible caresse m'enivre soudainement.

Clémentine m'embrasse avec tant de passion. Je la tiens par les fesses. Nous nous frottons contre la tête d'Estelle. Nous l'entendons gémir de contentement. Je passe une main sous son menton pour caresser sa gorge, son cou. Clémentine et moi bavons de plaisir. Nos mentons trempés de salives qui glissent. << Le salaud ! >> murmure soudain Clémentine. Nous cessons de nous embrasser. << Le vieux pervers était entrain de nous mâter depuis la fenêtre ! >> rajoute Clémentine. Estelle se redresse. Nous regardons. Il n'y a plus personne.

Nous rions aux éclats quand Estelle dit : << Ça le mettra en appétit pour la pipe ! >>. Elle nous entraîne vers la fenêtre. Nous voyons monsieur Bertrand descendre le chemin qui mène à sa propriété, plus bas, à trois cent mètres. << Vieux voyeur ! >> lance Estelle. << Vieux vicelard ! >> rajoute Clémentine. Il fait bien meilleur à présent. Il y a 16°. Probablement davantage à l'étage car la chaleur monte. Clémentine nous y entraîne. << 20° ! >> lance t-elle depuis la salle de bain. Nous faisons fonctionner les robinets. Cuisine, salle de bain.

Tout fonctionne parfaitement. Estelle glisse sa main dans ma braguette en disant : << Mais pourquoi que tu la remballes ! >>. Elle me tire par la queue comme par la laisse pour m'entraîner dans la chambre. Le grand lit à baldaquins de métal forgé nous reçoit lorsqu'elle m'y fait tomber. Clémentine vient nous rejoindre. La bâche synthétique qui recouvre et protège le matelas est froide. << Tu me niques un peu ! >> s'écrie Estelle qui, malgré tout, descend son jeans et sa culotte. Clémentine glisse sa main dans son jeans qu'elle déboutonne.

Estelle retire ses baskets, ses fringues. Je les dispose sur la table. Je la soulève pour l'assoir sur ses vêtements chauds. Je frotte mon sexe contre le sien. Clémentine reste debout sur ma droite. Elle observe en se touchant. Estelle saisit mon érection pour se l'introduire doucement, en se mordillant la lèvre inférieure. Je ne tarde pas à la pénétrer comme elle aime. << On baise encore ! >> s'écrie t-elle avant de rejeter sa tête en arrière, de se laisser glisser sur le dos pour donner le rythme. Je la baise comme elle aime. À la hussarde !

Je propose à Clémentine de lui infliger le même traitement. Il fait à présent bien chaud. C'est étrange de faire l'amour dans cette chambre impersonnelle que nous occupons si rarement. Estelle et Clémentine se masturbent tout en se faisant niquer. C'est encore un concert de gémissements, de petits cris. De gloussements parfois quand l'un ou l'autre lance un bon mot. L'orgasme d'Estelle l'a fait crier de plaisir. Elle nous accompagne à la salle de bain où je baise Clémentine sur la desserte à côté du lavabo. Il y a le bidet. Elle pourra jouir en pissant.

J'adore le bruit que font les prodigieux jets de pisse en se brisant au fond du bidet. Dans l'eau stagnante. Clémentine jouit en tremblant de tout son corps. En poussant des cris. Estelle me tient par la queue. Nous observons ce spectacle. Nous retournons dans la chambre. Je suis couché sur le lit, entre mes deux anges qui se refilent ma bite. Je me fais sucer comme un bienheureux. Première éjaculation au bout d'une bonne demi heure de pompage. C'est Estelle qui se ramasse la première tournée. Nous repartons pour un second tour. C'est à Clémentine.

Il est 18 h15 quand nous revenons en poussant la brouette pleine d'une vingtaine de bûches. Il fait nuit. Il fait froid. Mais il fait si bon dans la maison. Nous empilons les bûches. La consommation de bois est conséquente avec ce froid glacial. Estelle allume une belle flambée dans la cheminée de l'atelier. Soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd. L'arrivée du fantôme de mon ancienne compagne. Nous nous serrons pour écouter. Tous les trois debout à regarder monter les premières flammes. Ce soir, le phénomène ne dure que deux minutes.

À peine les phénomènes paranormaux terminés, il y a un autre bruit. Trois petits coups timides sont frappés contre la porte de l'atelier. Clémentine se précipite. C'est Julie. Aussi rayonnante qu'à son habitude. Elle découvre la présence d'Estelle. C'est vers elle que Julie se précipite. Les filles se font la bise. Julie vient vers moi toute souriante. Je pose mes mains sur ses épaules pour dire : << Bonsoir Julie. Quel plaisir ! >>. Julie saisit mes poignets pour les serrer fort. Estelle et Clémentine viennent nous rejoindre. Nous nous tenons les mains.

<< Qu'est-ce que tu nous as emmené de bon ce soir ? >> demande Estelle. << Venez, j'ai tout posé sur la table de la cuisine ! >> répond Julie qui entraîne Estelle par la main. Clémentine prend la mienne. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Sur la table, les quatre feuillantines au saumon. Les trois tourtes aux fruits de mer pour le repas de midi, demain. Les quatre bacs de salades dont Clémentine retire les opercules. Estelle met les assiettes, les couverts. Julie me montre son sac de sport : << J'ai emmené des vêtements pour deux jours ! >>.

<< Tu veux le monter tout de suite ? >> lui demande Clémentine. << On a préparé ton lit ! Tu vas être bien ! >> lance Estelle. Julie ne peut cacher son immense joie devant tant d'attention dit . << Je suis déjà la reine à la maison ! >>. Estelle s'empresse de répondre : << C'est pareil chez moi ! >>. Clémentine se serre contre moi pour rajouter : << Et ici, c'est moi la reine ! >>. Nous rions de bon cœur lorsque je rajoute : << L'impératrice ! >>. Il y a encore la couronne de la galette des rois sur le buffet. Je la pose sur la tête de Clémentine.

<< Vive l'impératrice ! >> font Julie et Estelle tout en applaudissant. Quel bonheur de voir Julie perdre de sa réserve pour se laisser aller un peu. Nous sommes morts de faim. Les feuillantines sont encore hyper chaudes. C'est un délice. Une fois encore je demande à Julie de présenter toutes nos félicitations au Chef cuisinier du restaurant de l'étang. << Je n'y manque jamais. Croyez moi, ça le flatte beaucoup ! >> répond Julie. << Il n'y aurait pas un truc entre le cuistot et toi ? >> demande Estelle. Julie baisse les yeux et reste silencieuse.

Estelle, en éclatant de rire, fait encore : << C'est lui qui t'encule ? >>. Julie garde les yeux baissés dans son assiette en gardant obstinément le silence. << Qui ne dit rien consent ! >> rajoute Estelle. << C'est donc ça ! >> lance Clémentine en me faisant un clin d'œil. Nous n'en saurons pas davantage. << On a mis le doigt là où ça fait mal ! >> dit encore Estelle en posant sa main sur celle de Julie qui répond enfin : << Non, chez moi, "là", ça ne me fait pas mal ! >>. Nous rigolons tous les quatre comme des bossus. Nous avons compris.

Nous traînons à table. Les filles parlent de leurs études. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine posent plein de questions à Julie. Des questions concernant ses deux soirées à faire la serveuse dans le restaurant de sa tante. << Des trucs sympas dans les toilettes hommes ? >> demande Clémentine. << Non, pas vraiment, juste un pisseur timide qui ne s'attendait pas du tout à voir la serveuse dans les toilettes ! >> répond Julie. << Et ce soir, quand tu es allée chercher la commande ? >> demande Estelle. << Le lundi c'est fermé ! >> fait Julie.

Elle continue : << Mais quand c'est les vacances je vais aux cuisines vers 16 h ! >>. Clémentine demande : << Tu baises avec le Chef ? >>. Julie répond enfin, timidement, en baissant les yeux : << Oui, il adore la sodomie, moi aussi ! >>. Nous restons silencieux. Nous regardons Julie toute timide qui touille dans son assiette. << Il t'a cassé le cul avant que tu viennes, alors ! >> s'écrie Estelle. << Oui ! >> murmure Julie qui aimerait disparaître dans un trou de souris. Clémentine pose sa main sur la sienne en chuchotant : << Raconte ! >>.

Nous écoutons Julie nous conter dans le détail comment les choses se passent. C'est dans le réduit, à côté des cuisines. Il y a un vieux fauteuil. << Ça a commencé quand ? >> demande Estelle. << Il y a quatre ans, quelques jours après mes débuts de serveuse. Ma tante est informée. Elle adore ça aussi ! >> répond Julie. Je demande : << Et tu lui fais des pipes ? >>. Julie redresse la tête, me lance un regard furtif pour me dire : << Non ! Ce n'est pas son truc ! >>. Nous rions de bon cœur ce qui remet Julie à l'aise. Elle rit enfin avec nous.

Cette conversation m'excite. Tout comme elle excite Estelle et Clémentine. Même si la sodomie n'est absolument pas notre tasse de thé, que cette simple idée nous révulse, nous sommes passionnés par les descriptions détaillées que nous en fait Julie. << Chacune son "truc" ! >> conclue Estelle. Je sors ma bite. Les filles sont soudain silencieuses. Elles comprennent ce que je suis entrain de bricoler sous la table. << Fais voir ! >> lance Estelle en mimant une masturbation masculine. Je me lève, je tiens mon érection à sa base entre le pouce et l'index.

Estelle demande à Julie : << Elle est comment la bite du Chef ? >>. Julie éclate de rire en pointant son doigt vers mon sexe. << Comme ça ? >> demande Clémentine. << Un peu plus grosse mais moins longue. Il est circoncis ! >> répond Julie. << Et ça rentre ? >> s'écrie Estelle. << Il met toujours de l'huile d'olive. Il s'enduit la queue avant de me l'enfoncer. Ça rentre tout seul depuis le temps ! >>. Julie est toute rouge, comme honteuse de narrer ces détails. Pourtant je discerne une certaine excitation lorsqu'elle en parle. Elle se répète parfois.

<< Et il t'encule longtemps ? >> demande Estelle. Julie répond : << Oh oui, c'est un sacré bonhomme. Parfois il m'emmène dans sa voiture. Je suis assise sur lui, il est enfoncé en moi et je conduis la Toyota ! >>. Nous rigolons comme des fous. << Mais c'est génial ! >> s'écrie Clémentine. << Il ne t'a jamais baisé "normalement" ? >> demande Estelle. << Non, jamais. Il dit que pour "ça" il a sa femme ! >>. Nous sommes pliés de rire. Clémentine conclue : << En tous cas cet enculeur de fille fait de la super bouffe. Il a quel âge ce saligaud ? >>.

Julie s'amuse de nos fous rires. Elle précise : << Jean-Louis a 40 ans, une fille et un garçon. Avec sa femme ils viennent parfois manger quand il est en congé ! >>. Nous sommes éclatés de rire. Estelle s'écrie : << Mais c'est un enculé ce mec ! >> Nous rions comme des fous. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Julie fixe ostensiblement mon sexe que j'agite dans sa direction. Estelle plonge, nous essuyons. Sous mon tablier, la bosse énorme suscite l'intérêt de Clémentine autant que celui de Julie. Nous passons au salon. Le café.

Julie est confortablement installée dans le fauteuil qui nous fait face. Je suis entre Estelle et Clémentine dans le canapé. Estelle joue avec ma queue. Mes deux anges exposent quelques fantasmes que nous aimerions bien réaliser durant ces vacances. << Tu as un fantasme, Julie, c'est le bon moment, tu es là jusqu'à mercredi ! >> lance Estelle. Julie s'écrie : << Oui ! Mais j'ai honte ! >>. Clémentine précise : << La honte participe des plaisirs les plus raffinés ! >>. Julie s'empresse de dire : << Oui, je sais, ça me plaît énormément d'avoir honte ! >>.

<< Raconte ! >> lance Estelle en agitant ma bite dans sa direction. Julie déglutit. Elle réunit probablement tout son courage pour dire : << Faire un film où je me fais sodomiser ! >>. Il y a un long silence. Julie garde la tête baissée. Elle regarde ses doigts. Estelle demande : << Par ton Chef ? >>. Julie lève la tête, comme dans un soudain élan de défi, elle s'écrie : << Par Julien ! >>. Nous restons silencieux. Je me penche pour regarder la réaction de Clémentine. Elle me fait un clin d'œil avant de dire : << Je m'occupe de la caméra. Quand tu veux ! >>.

<< Je fais l'assistante ! Tu as un scénario ? >> lance Estelle. Julie répond : << Oui ! Mais je compte sur vous pour le développer. Je manque cruellement d'imagination. J'aime être guidée ! Comme la dernière fois, dans les bâtiments abandonnés des anciennes tuileries ! >>. Le lecteur qui suit nos aventures se souvient du film "Bondage" que nous avons réalisé là-bas en juin 2020. Julie attachée. Tourmentée. Pour finir le visage maculé de mon sperme. Clémentine propose de mettre ce projet à exécution le plus rapidement possible. Bien le préparer.

Il est presque 23 h. La fatigue nous gagne. << Une bonne nuit de sommeil. Le premier ou la première qui a une idée la rajoute au panier demain matin, au petit déjeuner ! >> propose Clémentine. << Génial ! >> lance Estelle. Julie applaudit des deux mains en s'écriant : << Super ! >>. Je dis : << Il y a un petit détail. Je déteste pratiquer la sodomie. Ça me fout la gerbe ! >>. Estelle me tord la bite vers le bas en s'écriant : << Monsieur fera un effort. Il est question de satisfaire le fantasme d'une douce et agréable jeune fille ! >>. Nous rigolons.

Nous montons nous laver les dents. Julie s'amuse follement de nous voir faire les clowns devant le miroir. Contrairement à nous trois qui allons sacrifier ensemble à nos rituels pisseux, Julie préfère aller aux toilettes toute seule. Elle revient dans la chambre alors que nous sommes déjà tous les trois sous les draps. Je suis entre mes deux anges. Julie est en pyjama bleu. Elle se couche. << Bonne nuit ! >> lui fait Estelle en nous découvrant pour lui montrer mon érection. << Bonne nuit ! >> nous fait Julie. Nous nous levons pour lui faire la bise.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se réjouissent pour ce nouveau projet. Un nouveau petit film porno, privé, destiné à notre invitée...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1790 -



Une bien agréable improvisation "cinématographique"

Hier matin, mardi, il est huit heures trente quand je suis tiré de mon sommeil. La main baladeuse d'Estelle saisit mon érection naturelle. Elle est serrée contre moi. Je suis entre mes deux anges. Clémentine qui se réveille à son tour vient se blottir. Instinctivement elle glisse sa main sous celle d'Estelle pour empoigner mes couilles. C'est un réveil cocasse et surréaliste. Je glisse mes mains dans les culottes pour démêler des poils entremêlés. C'est tout doux. Nous regardons Julie s'étirer, là-bas, dans son canapé lit. << Bonjour ! >> nous fait elle empâtée.

<< Bonjour ! >> lui répondons nous en cœur. Estelle retire la couette pour montrer ce qu'elle tient à la main. Un peu comme un trophée. Julie éclate de rire en disant : << Déjà ! >>. Nous rions. Estelle me lâche pour se lever. Pour se précipiter vers la porte dans son pyjama de soie mauve. En passant elle dépose une bise sur le front de Julie. Nous laissons Julie aller aux WC d'abord, dans son pyjama de fin coton bleu. Puis c'est à notre tour de nous rendre aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers.

Il fait bien chaud dans la cuisine. Il y a déjà l'odeur du café et du pain grillé. Julie presse les oranges, pèle les kiwis. J'allume malgré tout une bon feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur les conversations de hier soir. Je coupe les deux croissants aux amandes offerts par notre boulangère samedi. Chacun avec une moitié. Nous mangeons de bon appétit. Non pas seulement nos délicieuses tartines de miel, de confiture mais également la joie et le plaisir d'avoir Julie au près de nous. Elle est tellement heureuse.

Le thermomètre extérieur indique 6°. Le ciel est comme hier, gris mais lumineux. << On se fait un jogging ? >> propose Estelle. << Allez vous préparer, je m'occupe de la vaisselle ! >> lance Julie qui ne court pas avec nous. Clémentine et moi sommes déjà en tenue. Estelle monte à toute vitesse pour se changer. Nous en profitons pour essuyer les bols que lave Julie. Estelle vient nous rejoindre. Nous déposons tous les trois un délicat bisou sur le front de Julie avant d'enfiler nos K-ways, nos bonnets, nos gants. Nous sortons dans le froid matinal.

Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Comme hier matin nous courrons sur le bord de la route. Sur les quatre kilomètres qui nous séparent de la clairière aux bancs. Nous y faisons nos exercices au sol, nos abdos, nos pompes. C'est Estelle qui impose un rythme soutenu avec une intensité souvent maximale. Il est 10 h15 quand nous revenons après un très agréable running. Estelle prend sa douche la première. Quelle surprise. Julie est entrain d'égoutter les poireaux. Elle même déjà préparé une Béchamel selon une recette écrite.

Son téléphone posé sur la table de la cuisine, elle suit scrupuleusement une des nombreuses recettes de "Marmiton". Une pâte feuilletée décongèle près de la cuisinière à bois qui turbine à plein régime. << Je m'occupe ! >> nous dit elle. C'est la recette de la Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux dont nous vantons si souvent les qualités. Ce sera pour le repas de ce soir. À midi nous avons les quatre quiches aux fruits de mer concocté par Jean-Louis, le Chef cuisinier, accessoirement enculeur de jeune fille. Estelle revient en jeans, sweat.

C'est à notre tour de monter prendre notre douche. Même quand nous ne sommes qu'à deux dans cette demeure l'ambiance y est souvent festive. Là, quand nous sommes quatre, c'est un bonheur de chaque instant. Nous nous habillons pareils, jeans, sweats avant de redescendre. << C'est activité cuisine ce matin ! >> lance Estelle qui lave les feuilles d'une belle laitue. Je passe derrière elle. Mes mains sur ses hanches, je murmure : << Tu es sexy quand tu laves la salade devant l'évier ! >>. Je lui fais des bisous dans la nuque, dans le cou.

J'administre toujours les mêmes traitements à Clémentine qui remue la Béchamel contenant le gruyère de Comté finement râpé. << C'est génial tout ce qui se passe ici. Je suis tellement bien avec vous ! >> dit Estelle en beurrant légèrement le grand plat à tarte à bord haut. L'activité cuisine comme la nomme Estelle est fort plaisante. J'épluche de l'ail, de l'échalote. Dans le grand saladier, Clémentine verse deux cuillères à soupe d'huile d'olive, une cuillère à soupe d'huile de noix. Elle mélange avec de la moutarde à l'ancienne, du gingembre, sel.

J'y rajoute l'ail, l'échalote finement émincés. Nous allons de l'un à l'autre pour nous déposer des bisous sur les joues. Sur le front de Julie. Sa petite taille rend son front plus accessible. << Tu mesures combien ? >> demande Estelle. << 1,68 m ! >> répond Julie. C'est vrai qu'à côté du mètre quatre vingt deux de Clémentine, du mètre quatre vingt un d'Estelle, de mon mètre quatre vingt huit, Julie est toute petite. Ce qui participe à la rendre encore plus adorable, de développer une sorte d'élan protecteur à son encontre. Il est 11 h40. Tout est prêt.

La pâte feuilletée a décongelé. Julie en étale soigneusement les deux tiers dans le plat à tarte. Estelle y verse la Béchamel contenant gruyère et poireaux, noix de muscades et petits champignons crus. Julie recouvre du dernier tiers de pâte qu'elle jointe consciencieusement du pouce et de l'index. Clémentine badigeonne avec le mélange œuf, lait de soja et moutarde à l'ancienne. Quelques grains de sésame grillé. Julie enfourne. Cuisson à feu très doux. 180° afin que la Flamiche Picarde mijote longuement dans le four électrique à thermostat.

Nous nous félicitons. Nous remercions Julie pour cette initiative. C'est une jeune fille serviable qui éprouve toujours le besoin de se rendre utile. Même en vacances chez nous. Alors que nous l'encourageons au farniente. Mais nous sommes également des hypers actifs. Les quatre quiches aux fruits de mer réchauffent dans le four de la cuisinière à bois. Il y règne une chaleur d'enfer et la cuisson ne s'y contrôle pas vraiment. Je reste à proximité pour éviter que ça brûle. Nous portons tous les quatre des tabliers de "ménagère" noués sur les reins.

Julie met les assiettes, Estelle met les couverts, Clémentine remplit la carafe d'eau. Je remue la salade. Nous voilà tous les quatre confortablement installés. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ces journées d'insouciance. Estelle demande : << Tu es obligée de rentrer demain ? >>. Julie répond : << Oui, parce que je vais faire les courses avec Anne-Marie. Ma tante est toujours en quête de produits frais pour son restaurant ! >>. Julie entretient une relation amoureuse avec sa tante. Il lui faut donc être présente sur tous les fronts.

<< Et puis le soir je suis avec mes parents. Je suis leurs petite fille chérie ! Je leurs dois bien ça. On s'aime beaucoup ! >> rajoute Julie comme pour s'excuser. Elle précise encore : << Mais je reviens vendredi à 14 h jusqu'à 18 h. Puis samedi matin pour le ménage ! >>. Estelle et Clémentine posent leurs mains sur celles de Julie. C'est affectueux. << Bienvenue au "Club" ! >> dit Estelle. << Membre d'honneur ! >> fait Clémentine. Estelle se tourne vers moi pour rajouter : << À propos de "membre", comment va le tient ? >>. Rires.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, Estelle et Clémentine parlent de leurs études. Julie, installée sur sa chaise en face de nous parle des siennes. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons tous les quatre pour nous laver les dents. Julie adore nous voir faire les pitres devant le miroir de la salle de bain. Beaucoup moins extravertie qu'Estelle et que Clémentine, Julie se brosse les dents méthodiquement. Toute petite au milieu de nous. Nous descendons pour nous rendre au salon.

Julie est aussi voyeuse qu'Estelle. Elles partagent toutes les deux ce penchants. La différence la plus notoire c'est qu'Estelle est beaucoup plus extravertie. Alors que Julie est plus introspective. Plus discrète. Très réservée Julie préfère être en retrait. Elles sont toutes les deux assises dans le même fauteuil. L'une contre l'autre, n'ayant d'autres choix que de se tenir serrées. Clémentine et moi sommes vautrés dans le canapé. Sur la table basse qui nous sépare, les tasses de thé. Il y a le crépitement de la cheminée. Il fait bien chaud dans le salon

Clémentine joue avec mon sexe tout en bavardant. Julie ouvre souvent de grands yeux pour fixer l'érection que tient si fermement Clémentine. J'écoute les filles échanger leurs impressions, leurs ressentis quand à toutes ces aventures qu'elles ont toutes les trois vécu. Les filles vicieuses aiment les situations vicieuses. Elles apprécient même souvent de les créer. C'est un réel bonheur de les entendre raconter des histoires déjà entendues souvent. Mais apparaissent toujours des détails nouveaux, surgis de souvenirs qui reviennent si soudainement.

Je bande. Estelle me fait de délicieux sourires. Comme si c'était la toute première fois qu'elle assistait à cette scène. Comme si j'étais un inconnu qu'elle surprend dans ses déviances. Lorsque Clémentine éclate de rire, elle met sa tête contre la mienne. Julie ne peut soutenir mes regards. Je respecte sa timidité, sa réserve car elle ne feint pas. J'évite donc de risquer de l'importuner. C'est Estelle qui évoque ce film qu'aimerait réaliser Julie. Ce projet m'indispose. Je ne dis encore rien. Je préfère prendre connaissance de tous les désirs de Julie. Détails.

Lorsque Julie m'interroge enfin, je me contente de répéter la même formule. Je déteste l'idée même de sodomie. Je précise : << Je crois bien qu'il me serait impossible de vous pénétrer par "là" Julie. L'idée même me révulse et mon érection serait une ruine ! Excusez-moi ! >>. Estelle rajoute : << Clémentine, Julien et moi, nous avons la sodomie en horreur. Le cul, c'est à chier ! >>. Nous rions de bon cœur. Julie comprend parfaitement nos attitudes. Peut-être moins la mienne car dans sa psyché de jeune fille, un homme ne pourrait que la désirer.

Je précise : << Faire l'amour avec vous serait probablement un immense plaisir. Vous sodomiser serait un immense gâchis ! >>. Clémentine me dépose plein de bisous sur la joue pendant que je développe mon argumentaire. Estelle lève discrètement son pouce comme pour me féliciter. Clémentine fait toutefois une suggestion : << On peut organiser un "plan" avec Jean-Louis, le cuisinier. Je vous filme en secret. Tu auras le film rien que pour toi ! >>. Julie s'écrie : << Oh non ! Je ne pourrais jamais faire une chose pareil ! >>. Nous restons silencieux.

<< C'est vrai, ce ne serait pas très honnête ! Excuse-moi ! >> dit Clémentine. << Ce ne serait pas chic envers Jean-Louis, je l'aime bien ! >> fait Julie. Estelle s'écrie : << Parce que c'est chic de tromper sa femme en t'enculant en cachette ! >>. Nous éclatons d'un fou rire qui désamorce d'éventuels quiproquos. << J'ai une idée ! >> lance Clémentine. Nous ouvrons de grands yeux en écoutant religieusement. Clémentine propose de faire semblant, de mimer ces scènes : << Pourquoi pas te faire introduire des trucs dans le cul par Julien ? >>.

<< J'y ai pensé ! >> répond immédiatement Julie. << Ça risque même d'être beaucoup plus excitant ! Tu as un scénario ? >> demande Estelle. Julie se lève en prenant la main d'Estelle pour l'entraîner vers la cheminée. Clémentine me masturbe doucement en restant serrée contre moi. Julie se retourne pour nous dire : << J'ai un scénario qui permet la parfaite osmose entre mes deux passions. La peinture et la sodomie. Nous pourrions imaginer une séance de peinture très particulière ! >>. Estelle dépose une bise sur le front de Julie. Douceur.

Julie n'aime pas seulement la sodomie, elle aime également les femmes. Curieux paradoxe qui nous interroge. << Toute sa personnalité est un paradoxe vivant ! >> comme le précise souvent Clémentine lorsque nous évoquons Julie. << Mais c'est génial ! >> lance Clémentine en cessant de me branler. << C'est absolument génial ! >> rajoute Estelle. << On se fait ça ? >> demande Julie presque implorante. Je dis : << Et comment ! Savez-vous chère Julie que de mimer cet acte dans une mise en scène d'une telle nature m'excite au plus haut point ! >>.

<< Il est 15 h30 ! On passe aux actes ? >> lance Clémentine. << Je monte me changer ! >> s'écrie Julie avant de saisir Estelle par son poignet en rajoutant : << Tu montes avec moi ? >>. Estelle nous fait un clin d'œil. Elles quittent le salon. Clémentine m'entraîne par la main. Nous contournons le bureau. Du second tiroir Clémentine tire la caméra numérique, le trépieds et une des deux batteries de change. << Il y a une heure d'image ! C'est OK, ça fonctionne. Viens, on va dans l'atelier ! >> dit elle en introduisant la batterie dans la caméra.

J'allume immédiatement la cheminée. Malgré qu'il fasse déjà bien chaud dans l'atelier. Je prépare un chevalet pliable au milieu de la grande pièce, à côté du pilier central. J'y place un tabouret sur lequel je dépose un des épais coussins. Je m'assois. C'est confortable. Clémentine fait des repérages et des essais. << C'est parfait. Il faut rester à cet endroit parce que la lumière va baisser. Il faudra allumer une des lampes à halogène d'ici une demi heure ! >> dit elle. Julie entre la première suivie d'Estelle. Elles sont toutes les deux en jupes.

Julie porte sa tenue de serveuse. Sa jupette noire, son chemisier blanc, le petit tablier de dentelles en demi lune noué sur ses reins. Ses bas noirs. Elle est chaussée de ses souliers noirs, fermés, à talons. Ce petit brin de femme est merveilleusement sexy. Elle fait le tour de la grande pièce en gardant les yeux baissés. Sa timidité rajoute encore à l'attractivité qu'exerce sa présence. Estelle est vêtue de sa jupe kilt à carreaux rouges, de son chemisier blanc, ses jambes nues, chaussée de ses escarpins à talons hauts. Elles sont toutes les deux sublimes !

<< J'improvise tout. Je reste convaincue que la spontanéité sera un gage de réussite. Si c'est trop con, on arrête tout mais on ne recommence pas la prise ! D'accord ? >> fait Julie à Clémentine. Je trouve cette suggestion absolument parfaite. << Génial ! >> s'écrie Estelle qui vient se serrer contre moi. Clémentine fixe la caméra sur le trépieds. Elle précise : << Je m'occupe de tout ! >>. Estelle me chuchote à l'oreille : << Si tu l'encules pour de vrai, je ne te suce plus jamais ! Beurk ! >>. Je murmure : << Pas d'inquiétudes ! >>.

Julie me regarde enfin. Dans ce regard se mêle l'inquiétude et l'interrogation. << Moteur ! >> lance Clémentine. Il faut improviser. J'ai le premier élan. Je m'assois sur le tabouret. Je fais semblant de peindre. Julie, les mains derrière le dos, entre dans le champs de la caméra. Elle tourne autour de moi, penchée en avant, pour regarder la toile. J'ai la bite à l'air, je bande mou. J'ai des frissons en pensant à ce qui va se passer. J'ai improvisé. C'est au tour de Julie. Estelle entre dans le champs. Elle pointe son doigt vers mon sexe pour le montrer à Julie.

Toutes les deux, actrices consommées, mettent leurs mains sur leurs bouches comme consternées. Elle jouent à la perfection les filles surprises, étonnées par ce peintre qui peint avec le sexe hors de la braguette. Je bande doucement. Ma queue se dresse. Les filles ne regardent plus la toile mais mon sexe. Clémentine déplace délicatement la caméra pour ne rien perdre des expressions, de la situation et des évènements. Estelle s'accroupit devant moi, passant entre mes genoux et le chevalet. Elle ne cesse de pointer son doigt sur le Zob.

Julie tourne autour de moi, penchée en avant. Mais cette fois pour regarder mon érection. Je bande comme un patient atteint de priapisme et en phase terminale. Estelle se redresse. Elle cède sa place à Julie qui passe entre moi et le chevalet. Mais en me tournant le dos. Elle fait semblant de scruter la surface du tableau. La vue sur son porte-jarretelles est parfaite. Elle se penche encore davantage pour nous montrer ses fesses. Merveilleux cul qu'elle dévoile là à l'objectif de la caméra. Estelle ne peut s'empêcher de saisir mon érection. À sa base.

Julie s'assoit subitement doucement, d'un mouvement lent et parfaitement contrôlé, sur mes cuisses. Je sens ma queue entre ses cuisses. C'est une indicible sensation. Surtout qu'elle serre les jambes. Je vis là un merveilleux moment. Nous le vivons d'ailleurs tous les quatre d'une façon différente. Il est tout à fait impossible de savoir dans quel orifice de cette jeune fille je suis enfoncé. Alors qu'en fait je ne suis enfoncé dans rien. Julie mime l'acte d'amour à la perfection. Elle y prend un tel plaisir qu'elle ne mime pas. Elle vit l'instant pleinement.

Estelle, comme pour vérifier, lève la jupette de Julie. L'angle de prise de vue, mon corps, dissimulent la réalité. Je murmure à l'oreille de Julie : << C'est fabuleux. Vous devriez faire du cinéma ! >>. Estelle se redresse, rassurée par ce qui se passe réellement, elle met ses bras autour de mon cou. Elle peut me chuchoter des cochonneries à l'oreille. Julie bouge, remue des hanches. N'importe qui serait convaincu que je la pénètre. Que je l'encule peut-être. Estelle se redresse. Elle quitte le champs de la caméra pour aller allumer la lampe à halogène.

Julie joue à la perfection. Même la joie intense qu'elle vit sur l'instant n'a strictement rien à voir avec le plaisir sexuel, elle pousse d'authentiques gémissements de bonheur. Je passe ma main sous sa jupette pour caresse son clitoris. Il est turgescent. Comme un petit pois. À présent, Julie ne simule plus ses mouvements rythmés. Non. Elle bouge sous le mouvement masturbatoire que j'imprime sur son clitoris. Elle saisit mon poignet. Quel que soit l'angle de prise de vue, l'illusion reste parfaite. Cette jeune fille de 20 ans se fait baiser.

Estelle revient dans le champs, une main sous sa jupe. Elle se masturbe. De sa main libre qu'elle passe sous les cheveux de Julie, elle lui caresse la nuque. Penchée en avant, elle glisse quelques mots à l'oreille de Julie. Julie qui tourne soudain la tête. Estelle a juste le temps de retirer sa bouche pour éviter celle de Julie. Pas de doute, Julie voulait embrasser Estelle. Dommage qu'Estelle n'ait absolument aucun penchant homosexuel. Mon vieux fantasme d'homme des cavernes reste une fois encore inassouvi. Le bip de la caméra. Elle va s'arrêter.

Nous avons juste le temps de regarder l'objectif tous les trois, avec un grand sourire, que la caméra s'éteint. Plus de batterie. << Quarante minutes de vice ! >> lance Clémentine. Il fait presque nuit. 17 h50. << On se le regarde au salon ? >> lance Estelle. << Après la bouffe alors ! >> propose Clémentine. << Viens, on monte se changer, j'ai un peu froid en jupe ! >> dit Estelle en entraînant Julie par la main. Avant de quitter l'atelier, Julie se retourne pour nous dire : << Merci Julien. Merci Clémentine ! >>. Clémentine saisit ma queue molle.

<< Je t'aime Julien. Tu as été parfait. Si tu savais comme tu m'excites quand je te vois faire des saloperies avec une autre ! >> murmure t-elle à mon oreille avant d'enfoncer sa langue dans ma bouche. Un baiser passionné, passionnant et fougueux qui nous donne le vertige. Clémentine s'accroupit pour scruter mon sexe dégoulinant. << Je t'aime comme une folle ! >> lance t-elle avant de se mettre à sucer comme si sa vie en dépendait. Je l'aide à se redresser au bout de quelques minutes. Avant la crampe, avant l'ankylose. Avant l'éjaculation.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine regarde la surface de la toile. Une des natures mortes que j'ai peins au mois de novembre. << Je n'ai jamais vu une fille aussi excitée devant une de tes toiles ! >> lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Julie et Estelle reviennent. Vêtues toutes les deux de leurs jeans, chemise à carreaux pour Estelle, sweat brun pour Julie. Je demande : << Alors ? Contentes ? >>. C'est Julie qui répond la première : << Au-delà de mes espérances les plus folles. Superbe ! >>.

Estelle rajoute : << C'était mieux qu'en vrai ! >>. Julie s'écrie : << Peut-être pas ! >>. Nous éclatons de rire. Julie est soudain redevenue la jeune fille réservée, presque timide. Le contraste entre la "comédie" que nous avons joué devant la caméra il y a une vingtaine de minutes et maintenant est totalement surréaliste. Était-ce bien la même fille ? Soudain, au-dessus de nos têtes, provenant de l'étage, ce bruit sourd et caverneux que nous connaissons bien. Julie se serre contre Estelle qui la rassure : << Pas de panique, c'est Christine ! >>.

Nous écoutons l'errance du fantôme. Un porte qui grince longuement avant un claquement sec. Clémentine, Estelle, Julie et moi, nous nous tenons par la main. C'est psychologique. Il suffit que l'un ait peur et voilà que cette peur gagne les autres. Tout cela ne dure que deux trois minutes pour cesser aussi brusquement. Il est 18 h40. Il commence à faire faim. Une bonne Flamiche Picarde nous attend à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Il suffit de réchauffer la tourte aux poireaux. Nous mettons les assiettes, les couverts. Morts de faim.

Nous mangeons de bon appétit tout en évitant d'évoquer ce qui s'est passé. Une fois encore la conversation tourne autour des études, de la seconde partie du deuxième trimestre qui attend les filles. << On est en vacances et on parle cours. En cours on parle vacances ! >> lance Estelle. << Nous sommes des êtres paradoxaux ! >> dit Clémentine. Je surprends à plusieurs reprises le regard furtif de Julie. Je la devine reconnaissante. Je lui ai offert un superbe moment. Nous traînons à table. La tourte aux poireaux est un délice. Mais c'est bien "lourd".

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. << C'est comme à la maison. Nous avons un lave vaisselle. Mais de la faire ensemble, manuellement, est tellement plus convivial ! >> dit Julie. Notre lave vaisselle ne sert quasiment jamais. Nous y entreposons même deux grands moules à gâteaux. Nous quittons la cuisine pour le salon. Clémentine tire la carte SD de la caméra numérique. Elle l'a place dans l'ordinateur. Nous la laissons faire les branchements. Elle adore ça. L'informatique n'a aucun secret pour Clémentine. C'est admirable.

Julie est assise à l'extrémité du canapé, à côté de Clémentine qui tient la télécommande à ma gauche. À ma droite Estelle qui a sa main fourrée dans ma braguette. Le grand écran du téléviseur s'illumine. À l'image nous découvrons l'atelier. C'est toujours insolite de voir un film personnel. Ce qui rajoute une dimension irréelle, surréaliste, c'est d'être assis aux côtés des actrices de ce film. Je ne connais rien de plus excitant au monde. Estelle me sort d'ailleurs la queue avant qu'elle ne soit totalement dure. Julie se penche pour regarder mon sexe.

Nous assistons en spectateurs à ce que nous avons réalisé en acteurs. Je félicite Clémentine pour son immense savoir faire et ce don inné de faire les toutes meilleures prises de vues. Ce que nous voyons à l'écran est d'une netteté absolue. En 4K. Clémentine aime faire des arrêts sur images. Dans les moments les plus éloquents. Il est impossible de voir que nous simulons. Dans le film l'illusion d'une pénétration est parfaite et totale. Estelle, sa main droite dans sa culotte, se touche. Sa main gauche tient fermement mon érection délirante.

Clémentine, tout en manipulant la télécommande se touche. Julie ne regarde pas seulement le film, elle nous observe également à plusieurs reprises. Elle finit enfin par déboutonner son jeans pour y fourrer sa main. Nous assistons à ce spectacle en nous masturbant. << Le "Club" est en réunion et ses membres débattent du programme ! >> lance Estelle. Nous éclatons de rire. Le film dure exactement quarante minutes. C'est hyper excitant. Je félicite Julie pour son "jeu" d'actrice. Elle me félicite pour le mien. Je remercie Estelle pour sa participation.

Il est 22 h30. Nous sommes curieusement épuisés. << On se termine au lit ? >> propose Estelle. Nous montons. Un passage à la salle de bain, aux toilettes et nous voilà sous les draps. Julie, là-bas, dans son canapé lit nous regarde. Estelle et Clémentine se goinfrent ma queue. Estelle demande à Julie : << Tu ne veux pas venir te régaler avec nous ? >>. Nous savons bien que Julie en meurt d'envie. Je propose aux filles de continuer demain. Estelle s'endort déjà contre moi. Julie ferme les yeux. Clémentine se blottit pour me chuchoter des secrets.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se sont beaucoup amusées. À faire l'actrice et à filmer. De beaux rêves les attendent...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1791 -



Une expérience "urbex" très insolite

Hier matin, il est presque neuf heures quand nous sortons tous les trois du sommeil. Quasiment en même temps. Je suis entre mes deux anges qui se blottissent contre moi. Nous regardons Julie, là-bas, dans son canapé lit qui s'étire. Tout comme hier Estelle nous découvre pour montrer ce qu'elle tient dans sa main. << Bonjour ! >> nous fait Julie qui ouvre déjà de grands yeux en découvrant mon érection matinale. << Bonjour ! >> répondons nous. Elle rajoute : << Tu as vu ce que j'ai trouvé au fond du lit ce matin ? >>. Nous rions.

Estelle se lève la première en s'écriant : << Ça urge ! >>. Elle se précipite vers la porte. En passant près de Julie, Estelle lui dépose une bise sur le front. << Tu as bien dormi ? >> demande Clémentine. Julie répond : << Oh oui. Ici, impossible de ne pas bien dormir ! >>. C'est à son tour de se précipiter aux WC. Clémentine se frotte contre moi en me couvrant le visage de bisous. C'est à nous d'aller aux toilettes. Morts de faim, déjà vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Estelle et Julie en pyjama rient.

Il y a l'odeur du café, du pain grillé. J'allume une bonne flambée dans la cuisinière à bois. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur nos réalisations de hier. Ce film amusant qu'Estelle appelle "Sodome". Julie nous remercie une fois encore d'avoir réalisé ce fantasme. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le vague programme du jour. << J'ai une petite idée ! >> lance Clémentine. Nous la regardons, pendus à ses lèvres. Clémentine, amusée, espiègle, fait durer le suspense. << Je contacte l'exhibitionniste pour un rencard ! >>.

<< Génial ! >> s'écrie Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine. Julie, comme interloquée, regarde ce spectacle. Clémentine en rajoute une louche en mimant une fellation, son poing fermé qu'elle tourne devant la bouche. Sa langue faisant une bosse à l'intérieur de sa joue. Julie me regarde avec des yeux consternés. Je dis : << Il faut vous y faire Julie. C'est notre quotidien ! >>. Nous rions aux éclats. Julie devra nous laisser en fin de matinée. Elle nous fait part de sa profonde tristesse. D'une certaine frustration également.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. Julie assiste à nos pitreries devant le miroir de la salle de bain. Estelle et Julie s'habillent. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos K-ways, bonnets, gants. Il y a du soleil. Depuis des semaines nous ne savions même plus qu'il existait. Julie reste à la maison. << J'ai de l'occupation ! >> lance t-elle. Nous sortons. Quelques mouvements d'échauffement. Il fait moins froid que les autres jours. 8° et il n'est que 9 h45. C'est parti. Running sur le bord de la route.

Estelle impose son rythme soutenu. Pas un seul véhicule sur les quatre kilomètres qui nous séparent de la clairière aux bancs. Nous y faisons nos exercices avant de revenir. Il est 10 h45 quand nous sommes de retour. Julie est affairée à la cuisine. << Je vous ai préparé quelque chose de bon pour midi ! >> dit elle en nous montrant le gratin de coquillettes qu'elle s'apprête à enfourner. Julie a même préparé trois dos de cabillaud blanc qu'elle a préalablement pané. C'est exquis. Nous lui déposons des bises sur les joues, le front. C'est superbe.

Estelle prend sa douche la première. Nous restons à la cuisine avec Julie. Clémentine prend son téléphone. C'est en appel masqué qu'elle contacte l'exhibitionniste du parking. La dernière fois, lorsqu'elle a bavardé avec lui, ce dernier lui a laissé ses coordonnées. Un mec très sympa, bien vicelard, doté d'une belle queue. Julie m'observe, elle se rapproche pour me chuchoter : << Vous n'êtes pas jaloux ? >>. Je murmure : << Si ! Jaloux de vous savoir sans nous d'ici trente minutes ! >>. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. Je fais un bisou.

Clémentine téléphone. Nous entendons une conversation rapide. Quelques mots qui se terminent ainsi : << À cet après-midi, alors ? 15 h30 au canal ! >>. Clémentine vient se serrer contre moi pour me poser la même question que Julie : << Tu n'es pas jaloux ? Je suis salope avec toi ! >>. Je la soulève pour la faire tourner. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Je réponds : << J'aime les salopes. Je m'ennuie tant avec celles qui ne le sont pas ! >>. Estelle nous rejoint vêtue de son jeans et de son sweat épais.

C'est à notre tour de monter prendre notre douche. Nous dévalons une fois encore les escaliers pour rejoindre Estelle et Julie au salon. Elles sont assises devant l'ordinateur. Julie assise sur les genoux d'Estelle. Estelle se montre également très affectueuse avec Julie. Nous sommes tous les trois très protecteurs avec elle. Julie est si émotive, si sensible. Ses yeux se mouillent aussi facilement des larmes du bonheur que de celles de la tristesse. << Aucune info ! >> lance Estelle qui surfe sur le site de l'université. Par contre, nous avons deux messages.

Un courriel de mon oncle d'Édimbourg. Un mail de Juliette qui confirme sa visite ce soir. Elle précise qu'elle emmène le repas. Il est 11 h40. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Bien évidemment, de cacher sa peine est au-dessus de ses forces. << Toi, quand tu seras amoureuse d'un garçon, il ne faut pas qu'il te déçoive. Sinon ta vie seras un enfer ! >> lance Clémentine. << Il faut que tu deviennes plus forte ! >> rajoute Estelle. Assise au volant, la vitre baissée, Julie regarde la main d'Estelle qui palpe ma braguette. Elle démarre son auto.

<< Je reviens vendredi pour 14 h ! >> dit Julie. Nous nous penchons un après l'autre pour lui donner un dernier bisou. Je passe le bout de mes doigts sur sa joue en disant : << On t'attend ! >>. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous restons un peu sous les rayons de ce soleil enfin généreux. Le ciel est bleu pâle. Il ne fait pourtant que 10°. Nous rentrons car la faim nous gagne. Julie a même préparé l'assaisonnement d'une salade dont les tomates lavées n'attendent que d'êtres coupées. Je mets les assiettes, les couverts. Tout est prêt.

Estelle sort le gratin de coquillettes du four électrique. Doré à souhait. Une bonne couche de gruyère de Comté, comme on aime. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Julie, sa gentillesse, sa sensibilité exacerbée, sa présence. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font mentalement le trajet pour nous rendre cet après-midi sur le lieu du rendez-vous fixé par Clémentine. << Sans déconner, tu vas sucer ce mec ? >> demande Estelle. << Je ne sais pas encore mais j'adore les bites de pervers ! >> dit Clémentine.

Nous rions de bon cœur. Estelle aussi a eu affaire à lui sur le parking de l'hypermarché. Lorsqu'il a jailli des fourrés, sa bite à la main, pour engager la conversation. << Mais de là à le revoir ! >> s'écrie t-elle. Clémentine conclue : << Tu me connais, j'aime aller au fond des choses ! >>. Rires. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons pour nous laver les dents. Julie a oublié le tube en plastique transparent contenant sa brosse à dents. << Relique ! >> fait Estelle en tournant religieusement l'objet devant le miroir tout en riant.

Nous restons vêtus de nos jeans, de nos sweats. Pressés de filer, nous descendons à toute vitesse pour chausser nos bottines. Anoraks, bonnets, gants. Le ciel a tendance à s'opacifier. Le soleil n'est déjà plus qu'un souvenir. Nous voilà en route. Il y a environs vingt kilomètres jusqu'à la friche industrielle abandonnée. C'est à la sortie de la ville. L'ancienne gare, l'ancienne voie ferrée le long d'un tronçon du canal de frets. Il y a là des péniches abandonnées. Témoins d'un passé industrieux pas si lointain. Je roule doucement. Clémentine tient mon Zob.

Il est 14 h45 quand nous arrivons dans la friche industrielle. Ce sont des bâtiments à l'abandon, des hangars, des ateliers. Bien évidement les murs de ces endroits glauques sont recouverts de graffitis, de tags plus laids les uns que les autres. Je gare la voiture de l'autre côté des quais. Entre le canal et la voie ferrée. Il n'y a personne. Je décide de laisser l'auto bien en vue afin de prévenir tout problème. Ces lieux sont parfois mal fréquentés. Estelle et Clémentine me prennent les mains. Nous traversons la voie ferrée pour monter l'escalier en métal.

Nous longeons les hautes portes dont les volets de fer sont presque tous baissés. C'est l'ancien quai contre lequel les camion se plaçaient en marche arrière pour charger ou décharger. Nous entrons dans le grand hangar. C'est immense. Le sol est jonché de toutes sortes de détritus. Il y a même des matelas défoncés, des valises sans doute volées et éventrées de leurs contenus. Le silence est total. Malgré tout nous chuchotons. Comme si nous avions peur d'êtres entendus par quelques rats, quelques souris ou encore quelques rongeurs vivant ici.

Il y a les anciens bureaux. Des locaux vitrés en haut d'une plate forme. << Venez, on monte voir ! >> murmure Estelle. Nous montons l'escalier métallique. Il y a une rambarde à une dizaine de mètres au-dessus du sol bétonné. Les portes vitrées ainsi que les larges fenêtres intérieures sont intactes. Il y a même du mobilier de bureau. Tout est à l'abandon. Un peu comme si les derniers occupants s'étaient sauvés. C'est lugubre, sinistre. Clémentine prend des photos. << Nous donnons dans l'urbex ! >> chuchote Estelle faisant allusion à Youtube.

Ces vidéos que postent des "explorateurs urbains" en visitant des grottes, des ruines, des endroits comme celui-ci ou encore des maisons hantées. Clémentine filme nos progressions. Nous redescendons. Nous sortons par une étroite ouverture dont la porte est arrachée de ses gonds. << C'est là-bas ! Le bâtiment rond ! >> dit Clémentine. Il reste une vingtaine de minutes. Nous nous dépêchons d'aller voir. Il faut qu'Estelle et moi trouvions une cachette. C'est une sorte de silo de béton d'une vingtaine de mètres de diamètre sur autant de haut.

Il y a des fenêtres qui en font tout le tour à une dizaine de mètres du sol. L'ensemble évoque une construction militaire. Il y a une ouverture sans porte. Nous pénétrons dans l'étrange construction. Il y a des tubulures métalliques rouillées. Comme les tuyaux d'un orgue dément. << Là, regardez, c'est les chiottes ! >> lance Estelle. << Les vestiaires et les douches ! >> rajoute Clémentine. Le sol et les murs sont bétonnés. L'endroit est lumineux car c'est une verrière qui fait office de toit. Il y a une dizaine de cabinets. Une dizaine de cabines douches.

Tout est pourri. Les cuvettes des WC ont toutes été arrachées. Les bacs des douches semblent avoir été défoncés à la hache. Il y a des graffitis partout. Clémentine ne cesse de filmer. Un escalier en métal monte sur une plateforme. Nous montons voir. Il y a de grosses barriques en plastiques. Impossible de regarder l'intérieur car elles sont hautes. Je tape dessus avec le poing. Ça sonne vide et creux. Il y a des lucarnes qui donnent sur l'extérieur. Par endroit il manque des dalles de béton. Ce n'est que la carcasse de métal. On voit en bas.

Soudain, venant de dehors, le bruit d'un moteur. Nous regardons par une des lucarnes. C'est une Dacia grise qui se gare devant le cabanon en ruine. << C'est lui ! L'exhibo du parking ! >> murmure Estelle. << Restez là. Au moindre problème vous venez à mon secours ! >> lance Clémentine en dévalant l'escalier. Estelle m'entraîne par la main. Nous restons serrés l'un contre l'autre. Il fait froid. Il y a des courants d'air là-haut. Nous sommes chaudement vêtus. Malgré nos anoraks, c'est vraiment limite. Nous entendons Clémentine parler au téléphone.

Contact avec son rendez-vous. Depuis notre cachette nous avons un angle de vue à 360° sur l'ensemble de la salle. C'est effectivement le type que nous avions vu sur le parking de l'hypermarché. Il est de la taille de Clémentine. Il est habillé d'un anorak rouge, d'un jeans et de baskets. Malgré la résonance désagréable, nous comprenons chaque mot. Il salue Clémentine en la remerciant de lui avoir fixé un rendez-vous. Ils avaient déjà bavardé ensemble sur le parking. Clémentine pose immédiatement des questions sur ses mésaventures. Les flics.

<< Je me suis fait toper. C'est une meuf qui m'a dénoncé ! >> explique t-il. << Vous faites ça souvent sur les parkings ? Ce ne sont peut-être pas les meilleurs endroits ! >> lance Clémentine. Le type répond : << Je sais, j'ai fait le con. Je passe en correctionnel fin février. J'ai la trouille ! >>. Estelle s'accroupit. Elle me fait m'accroupir à ses côtés. Nous regardons à travers les barres métalliques sans dalles de béton. Clémentine dit : << Personnellement, j'ai beaucoup aimé vos prestations. C'est pour ça que j'avais envie de vous revoir. Merci ! >>.

Estelle me fait une bise. Je place mon index sur mes lèvres en murmurant : << Chut ! >>. Nous regardons et nous écoutons Clémentine rajouter : << Ici, avec moi, vous ne risquez pas d'être dénoncé ! Vous me faites une démonstration ? Rien que pour moi ? >>. L'inconnu hésite. Il regarde partout autour de lui. Il est bien normal qu'il redoute le piège. Il ne regarde pourtant pas vers le haut. Il ouvre son anorak pour descendre la tirette de sa braguette. Il en extrait son sexe. Ce type possède une véritable lance à incendie. Plutôt fine et longue.

Il reste silencieux. Son attitude reste affable. Il n'y a aucun danger. C'est un authentique exhibitionniste. Son seul plaisir consiste à montrer son sexe. << Put-hein le machin ! >> chuchote Estelle à mon oreille. Je fais : << Chut ! >>. Tout résonne d'une curieuse façon ici. Autant ne pas faire le moindre bruit. La crampe nous gagne. Estelle s'assoit contre moi sur son bonnet. Je fais pareil. Dérisoire protection de laine qui nous isole du béton froid un court moment. L'inconnu est à quelques mètres de Clémentine. Il tient son sexe à sa base, immobile.

Clémentine mime une masturbation masculine de sa main droite dont elle a retiré le gant. Le type comprend immédiatement. Il saisit son sexe à pleine main pour se branler doucement. << C'est génial, non ? Juste pour moi ! >> lance Clémentine. Le mec, soudain timide répond : << Oui ! >> comme s'il culpabilisait. L'exhibitionniste reste en retrait. C'est comme s'il craignait une réaction inattendue de la part de cette sublime voyeuse. L'homme se masturbe à présent avec un rythme régulier. De la vapeur sort de son nez, de sa bouche. Il fait froid.

Clémentine s'avance vers lui. Il recule comme pris de peur. << Ne craignez rien, la seule chose que j'aimerais manger c'est "ça" ! >> lance Clémentine en pointant son index vers la queue du mec. << Sans déconner ? >> s'écrie t-il avant de rajouter : << C'est vrai ? >>. Clémentine se penche en avant, mains en appui sur ses genoux pour répondre : << Oui, c'est vrai ! J'aime sucer ! >>. Le type cesse. Il regarde à nouveau partout autour de lui. Tout ça doit lui paraître trop beau pour être réel. Nous savons que Clémentine ne déconne pas.

Lui ne le sait pas encore. Il va voir par la porte. Personne. Il revient pour demander : << Là, ici ? Vous ne préférez pas dans ma voiture ? >>. Clémentine s'approche. L'homme paraît soudain nerveux. Il a visiblement peur. Clémentine le rassure en disant : << C'est la bagnole là-bas ? >>. Le type répond : << Oui ! Et elle est probablement encore chaude ! >>. Clémentine s'approche de la porte en s'écriant : << Mais alors allons-y ! >>. Estelle et moi nous nous levons pour nous précipiter à la lucarne. Tête contre tête, nous voyons le couple s'éloigner.

Du petits sac à dos, je tire la paire de jumelles. Estelle me les arrache des mains en disant : << Moi d'abord ! >>. L'homme entre dans la voiture. De l'intérieur il ouvre la portière. Nous voyons Clémentine prendre les clefs de l'auto que lui tend le mec. Elle les pose sur le muret à une dizaine de mètres. Sage précaution qui, en cas de problème, me permet d'intervenir. << Pas folle la guêpe ! >> dit Estelle en me passant les jumelles. Nous sommes à une cinquantaine de mètres de la bagnole. La vue est parfaite pour voir ce qui s'y passe. Superbe.

Le type a probablement sorti sa bite une nouvelle fois. Nous voyons Clémentine se pencher sur sa gauche. << Put-hein ! Elle fait une pipe à ce mec ! >>. Nous nous battons presque pour avoir la paire de jumelles. Même s'il ne se passe rien de remarquable. Cet homme est un parfait gentleman. Pas un seul geste inquiétant. Nous voyons sa main caresser la tête de sa suceuse. Estelle et moi, gagnés par un froid de plus en plus intense, restons serrés l'un contre l'autre. Je lui frotte le dos énergiquement quand elle observe avec les jumelles.

Elle m'administre le même traitement quand c'est moi qui regarde. C'est long une demi heure dans un courant d'air glacial, sans bouger. Nous avons les pieds gelés. Clémentine se redresse enfin. Nous la voyons s'essuyer la bouche avec un mouchoir. Ils doivent probablement bavarder. Clémentine croque la pomme qu'elle tire de la poche de son anorak. Après avoir déglutit le sperme d'un inconnu, elle adore en faire passer le goût avec un fruit ou un chewing-gum. Elle sort de la voiture. << Oh oui, reviens ! On caille ! >> murmure Estelle.

Le type sort à son tour de l'automobile. Nous l'entendons dire : << J'aimerais vous revoir. Pas seulement pour une pipe mais pour votre présence ! >>. Il contourne la voiture pour rejoindre Clémentine. << Il va lui faire une déclaration d'amour le con ! >> murmure Estelle. Clémentine accélère le pas. Comme à chaque fois, lorsqu'elle vient de terminer une fellation à un inconnu, elle n'a qu'une envie, se sauver. Là, le type se montre insistant. Nous l'entendons dire : << Je vous en prie, appelez-moi, j'aimerais vous revoir ! Juste une fois encore ! >>

Clémentine contourne le bâtiment rond. Le mec est un vrai pot de colle. Je dis à Estelle : << Viens, on descend, il faut la tirer de là ! >>. En effet, le type devient suppliant. Il dit à plusieurs reprises : << J'ai tellement rêvé de rencontrer un jour une fille comme vous ! >>. Il marche aux côtés de Clémentine qui accélère le pas. Elle regarde dans toutes les directions. L'affolement la gagne. Elle s'arrête net pour dire d'une voix forte et autoritaire : << Mais vous gâchez tout ! Retourner à votre voiture, laissez moi tranquille ! >>. Le type reste pétrifié.

Estelle me retient. Nous somme à une vingtaine de mètres, juste cachés par l'angle de la porte. Nous voyons le type faire demi tour. Tête basse, il s'en retourne. << C'est qu'il va chialer le pauvre ! >> me fait Estelle. Il contourne sa voiture pour s'y installer sans démarrer. Nous rejoignons Clémentine qui se serre dans mes bras. << Le malheureux ! Il attend son procès pour exhibitionnisme et a peur de faire de la taule ! >> nous confie t-elle avant de rajouter : << Il n'a pas cessé d'en parler dans la bagnole ! >>. Nous repassons par le hangar.

Je roule doucement. Clémentine prend un chewing-gum. Estelle, assise à l'arrière, demande : << C'était comment ? >>. Clémentine répond en mâchant : << Miam ! J'adore les bites de pervers, elles sont juteuses et ils savent s'en servir ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine rajoute : << Je vais lui téléphoner dans quelques jours pour lui remonter le moral ! >>. Elle fait une grosse bulle avec son chewing-gum qui éclate sur son nez, son menton. << Du sperme ! >> lance t-elle en nous montrant son visage. Nous rions aux éclats.

Il est 18 h15 quand nous sommes de retour à la maison. Clémentine, à peine son anorak enlevé, monte à la salle de bain pour se laver les dents. << Bain de bouche, ça urge ! >> lance t-elle en gravissant les marches quatre à quatre. Estelle se blottit contre moi, sa main dans ma braguette. << J'ai envie de te sucer ! Je t'aime Julien ! >> murmure t-elle. Trois coups de sonnette. Voilà Juliette. Nous l'accueillons. Elle aussi est toute contente de nous revoir. << Estelle ! Quel plaisir ! >> s'écrie Juliette. Je la débarrasse de ses deux Tupperwares. La bouffe.

Juliette est vêtue de son habituelle tenue de travail. C'est à dire de sa tenue d'écuyère. Clémentine redescend pour nous rejoindre. Elle ouvre grand la bouche pour me faire humer son haleine. Aucune odeur suspecte autre que celle d'Hextril. Nous allons à la cuisine. Juliette a préparé un bon repas du soir. C'est une tarte à la courgette et à l'aubergine. Une salade de carottes en accompagnement. Nous la remercions. Il y a cette ambiance de fête. Juliette est un membre éminent de notre "Club" des dépravés. Elle nous raconte sa journée.

Nous sommes confortablement installés autour d'un délicieux repas. Nous félicitons Juliette pour cette tarte succulente. Clémentine évoque notre aventure de l'après-midi. << C'est une façon originale de céder à cette curieuse tendance "urbex" ! >> lance Juliette. << Oui, mais, à la clef de l'énigme, il y a le sperme d'un inconnu ! >> s'écrie Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. << La prochaine fois je viens avec vous ! >> rajoute Juliette pliée de rire. Je sors ma queue sous la table car les descriptions de Clémentine m'excite considérablement.

<< Fais voir à la dame avec quoi tu t'amuses sous la table ! >> me dit Estelle. Je me lève. Je tiens mon érection à sa base, entre le pouce et l'index. Je la présente à chacune en l'agitant. Juliette me regarde avec cette sévérité habituelle. Une sévérité surjouée ce soir car elle a beaucoup de mal à garder son sérieux. Nous ne parlons pas de la présence de Julie. Les deux femmes ont entretenu une relation amoureuse il y a trois ans. Ça ne s'est pas très bien terminé. Je me lève plusieurs fois durant le repas. Je me branle sous les applaudissements.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon pour y prendre le dessert. Des coupes glacées que je prépare avec Estelle. J'ai la bite à l'air mais je ne bande plus. << J'adore quand elle est molle. Elle est beaucoup plus juteuse ! >> me dit elle en passant l'index dessous pour la faire rebondir. Nous rejoignons Juliette et Clémentine. Juliette est vautrée dans le fauteuil qui nous fait face. Je suis entre mes deux anges dans le canapé. Nous savourons nos glaces en bavardant. Juliette propose une soirée branlette pour samedi. Bonne idée !

Une fois encore Juliette est installée avec la cuisse droite posée sur l'accoudoir du fauteuil. On distingue parfaitement les deux bosses que font les lèvres charnues de son sexe. Juste séparées par la couture de son pantalon d'écuyère. Aussi moulant qu'un leggings. Estelle, tout en parlant, joue avec ma queue. Juliette passe son doigt le long de la couture, palpant les deux bosses. D'une indécence follement excitante Juliette suggère un samedi soir de masturbation. Nous avons vécu une telle expérience il y a un peu plus d'un mois. Un grand souvenir.

Nous commençons d'ailleurs déjà à nous toucher tous les quatre en revenant sur cette soirée. Juliette nous raconte ses petites aventures de la semaine. << J'ai sucé mon vétérinaire deux fois. Pierre m'a baisé comme il sait si bien le faire samedi dernier. Bernadette s'occupait de la bite de Léon, mon ancien palefrenier black ! >>. Nous écoutons cette sublime bourgeoise de 48 ans nous conter ses frasques. Elle prend autant de plaisir à entrer dans les détails qu'à stimuler son clitoris, une main dans son pantalon. Clémentine se masturbe. Estelle aussi.

Je me fais branler par Estelle qui sait adroitement s'occuper de deux choses à la fois. Elle suggère : << Et si samedi soir il y avait Pierre et Bernadette ? >>. Juliette ouvre de grands yeux avant de répondre : << En voilà une bonne idée. Vous voulez baiser avec lui ? >>. Estelle s'empresse de répondre : << Non, pas du tout, c'est jusque que plus on est de fous, plus on ri ! >>. Juliette rajoute : << Je m'en occupe ! Soyez là pour 20 h ! >>. Rendez-vous est pris. Il est 22 h. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. << À samedi alors ! >> dit elle.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui ont encore vécu d'extraordinaires moments d'extase, en fréquentant d'étranges endroits...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1792 -



Nous retournons sur les lieux du rendez-vous "URBEX"

Hier matin, jeudi, il n'est pas loin de neuf heures. Je suis tiré de mon sommeil par les incessants mouvements des pieds d'Estelle. Accrochée à moi toute la nuit, elle se serre encore plus fort en saisissant mon érection naturelle. Je sens ses lèvres se refermer comme une ventouse sur la peau de mon cou. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges dans un nouvel instant paradisiaque. Je glisse mes mains dans les culottes pour y démêler quelques poils. Dans de telles touffes, il y a vraiment de quoi faire.

Estelle se lève la première pour se précipiter vers la porte. Clémentine me chevauche. Frottant son sexe sur le mien, elle chuchote : << Merci pour hier. Tu es tellement généreux avec moi, avec mes fantasmes ! >>. Je passe ma main dans sa nuque, dans ses cheveux pour murmurer : << Merci d'exister, de parfumer et de colorer nos existences ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Dans l'odeur du café et du pain grillé.

Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Je l'emmène ainsi pour faire tout le tour de la grande pièce. Je fais la même chose avec Clémentine qui termine de presser nos oranges, de peler nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre aventure "urbex" de hier après-midi. Nous rions beaucoup de cette nouvelle expérience. Nous mangeons de bon appétit en envisageant l'éventualité d'y retourner cet après-midi avec la caméra. Estelle à une petite idée saugrenue.

<< On se tourne un petit film à nous là-bas. Un truc tout simple. L'endroit est hyper excitant. On improvise ! >> propose t-elle. Nous passons en revue quelques déclinaisons possibles. Clémentine, toute contente, se propose de tenir la caméra. Estelle et moi sommes priés d'inventer des situations. Je m'écrie : << J'ai une idée ! Une surprise ! >>. Estelle pose sa main sur la mienne pour dire : << J'adore tes surprises ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Estelle revêt sa tenue de jogging.

Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos K-ways, bonnets, gants. Nous sortons dans la fraîcheur matinale. Il fait légèrement moins froid. Le thermomètre extérieur indique 10° alors qu'il n'est que 9 h45. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti. Même circuit que hier en restant à courir sur le bord de l'étroite route communale. Il est 10 h45 quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons notre lit. Nous préparons nos vêtements pour les emmener à la salle de bain. C'est à notre tour. La douche.

Habillés de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux, nous redescendons rejoindre Estelle au salon. Assise devant l'ordinateur, elle surfe sur le site universitaire. Aucune information. Ce sont les vacances. Nous avons un courriel de Julie qui nous remercie pour notre accueil, pour le petit film qu'elle a regardé hier soir dans sa chambre. Elle revient demain vendredi pour 14 h. Nous répondons en joignant deux clichés pris hier dans les bâtiments abandonnés. Un selfie pris à l'instant où je suis debout entre mes deux anges, bite à l'air.

Il est 11 h20. Nous mettons nos anoraks pour aller faire quelques pas au dehors. Clémentine suggère de faire chauffer la maison d'amis. Estelle allume le feu de la cheminée. Clémentine allume les convecteurs électriques. C'est judicieux car bien meilleur pour une maison inhabitée. Comme à chaque visite nous nous promettons mille facéties ici aux premiers beaux jours. La dépendance commence à se tiédir. C'est perceptible dès que les flammes lèchent le cul du gros chaudron de fonte noire. Je vérifie le niveau d'eau des tubulures. Parfait.

Il fait faim. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Estelle fait gonfler du riz complet. Je fais rissoler trois filets de flétan. Dans une autre poêle je fais revenir des crevettes. Estelle prépare une pâte à crêpe. Ce soir il y aura des beignets de crevettes accompagnées de pommes de terre chips. Nous les épluchons rapidement pour les laver et les couper en fines tranches. Dans un saladier, couvertes d'un linge, direct au frigo. La pâte à crêpe repose dans un récipient sous un linge. Les crevettes sous un couvercle.

Notre repas de la soirée est prêt. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges reviennent sur la découverte faite hier. Cette friche industrielle abandonnée à la sortie de la zone d'activités. Il y a quantité de "plans" possibles là-bas. Sur les péniches à l'abandon, dans les hangars délabrés. On se promets des "trucs" insensés en ces lieux pour le printemps. Nous débarrassons pour faire la vaisselle.

Nous montons nous laver les dents en faisant nos clowneries habituelles devant le miroir de la salle de bain. Nous restons habillés de nos jeans, chemises à carreaux. Il suffit de rajouter un pull. Nous dévalons les escaliers. Je prends le petit sac à dos en disant : << Je prépare le nécessaire pour la "surprise" ! >>. Je vais au salon pendant que les filles chaussent leurs bottines. Du tiroir du bas du bureau, je tire le foulard de soie, le collier canin, la laisse et la paire de menottes. Le tout dans le petit sac à dos avec la thermos, les barres de céréales.

C'est parti. Le ciel est gris mais lumineux. La température est de 13°. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, caresse mes joues, mon cou en évoquant des possibilités de film porno au printemps. Nous en avons tourné treize en presque cinq ans. Il y a un peu plus de vingt kilomètres jusqu'à la la friche industrielle abandonnée. Il faut contourner la ville en direction de la zone d'activités. La circulation est fluide malgré le nombre grandissant de camions. Je gare la voiture au même endroit désert que hier.

Personne. Des nuées de corbeaux virevoltent au-dessus des toits en poussant leurs cris lugubres. Effrayants. Nous traversons la voie ferrée désaffectée. Estelle et Clémentine me tiennent par la main. Il fait moins froid que hier à l'extérieur. Par contre une fois dans le grand hangar, ça caille tout autant. Je retire le petit sac que je porte sur le dos. J'en tire la laisse, le collier canin et la paire de menottes. Estelle me tend ses poignets, son cou. << Génial ! >> lance t-elle pendant que Clémentine fait un essai caméra. << Ça fonctionne ! >> dit elle.

Je passe le foulard de soie autour du cou d'Estelle. Elle a retiré son écharpe. Je la mets dans le sac. Sur le foulard je mets le collier canin. J'y fixe la laisse. Estelle retire son anorak en faisant : << Brrr ! >>. Je lui passe les menottes aux poignets, derrière son dos. Clémentine fait une dizaine de mètres. Je tiens Estelle par la laisse. Moi aussi je retire mon anorak. Il faut fournir un effort pour tenter de lutter contre le froid. Je sors ma queue, toute molle. C'est désagréable. Mais juste pour nous amuser un peu. << Se donner des idées ! >> dit Estelle.

<< Ça tourne ! >> lance Clémentine qui filme le fond du hangar. J'entraîne Estelle par la laisse. Nous entrons dans le champs de la caméra. Je donne quelques à coups. Estelle marche derrière moi, les mains fixées derrière le dos. Clémentine lève le pouce pour signifier que tout va bien. J'entraîne Estelle, nous nous dirigeons vers le fond du hangar. Il fait bien une centaine de mètres. Il faut contourner des caisses éventrées, des palettes disséquées, des épaves de machines désossées. C'est vraiment très insolite. Un endroit d'une profonde laideur.

Clémentine ne nous suit pas seulement, elle nous précède, nous contourne, sans jamais trébucher sur un objet au sol. J'ordonne : << À genoux ! >>. Estelle hésite un instant. Là, sur le béton, entre un baril de plastique gris et une carcasse de machine, elle obéit. Je m'approche en même temps que Clémentine. Je frotte mon sexe sur le visage d'Estelle. C'est un endroit épatant pour des scènes de ce genre. Clémentine filme consciencieusement. Aucune crainte car le système de stabilisation de l'image fonctionne à merveille. Merci Sony.

Je me penche pour déposer une bise sur le front d'Estelle. Je ne suis pas un vrai "Maître". Je ne peux pas empêcher la tendresse qui m'anime même dans les situations les plus glauques. Estelle n'est pas une authentique "Soumise". Mais ici, le jeu en vaut vraiment la peine. Je tente à présent d'enfoncer mon sexe dans la bouche d'Estelle. Elle garde les lèvres ostensiblement serrées en détournant son visage. Je la tiens par la nuque. Je lui pince le nez. Pour pouvoir respirer elle n'a d'autre alternative que d'ouvrir la bouche. C'est là que je place mon Zob.

Avec le froid, je bande mou. Clémentine tourne autour de nous. Autant pour ne rien perdre de ce qui se passe que pour bien situer le décors qui nous entoure. C'est totalement surréaliste de se livrer à de telles choses dans cet immense hangar. Le moindre mot, le moindre bruit résonnent comme dans une cathédrale d'acier. Estelle, à genoux, bien droite, les mains dans le dos, maintenue par la nuque et sous le menton, suce. Les joues creusées par l'effort de pompage, les yeux fermés. Je retire ma queue pour la tapoter sur son visage, ses joues.

Je la frotte partout. J'ordonne : << Debout ! >>. Je me rends compte qu'Estelle, en se levant, est couverte de frissons. Ce n'est pas seulement l'excitation, c'est le froid frigorifique qui règne ici. Je l'entraîne en donnant quelques à coups sur la laisse. J'ordonne : << On lève les genoux ! >>. Estelle, bien droite, tenue à la laisse, marche en majorette. Relevant chaque genoux le plus haut possible. Je suis obligé de la tenir au plus court afin qu'elle puisse avancer ainsi sans perdre l'équilibre. Un avantage de ce jeu, c'est un exercice qui réchauffe un peu.

J'ordonne : << Accroupie ! >>. Estelle s'exécute en s'accroupissant, cuisses largement écartées. Je continue à la tenir au plus court pour éviter le déséquilibre. Je me penche pour placer mon visage contre le sien. Nous sourions à la caméra. Clémentine, que tout cela excite, emmitouflée dans son anorak, filme et se touche. Estelle est absolument exquise et sexy. Dans son jeans Levi's 501 moulant, ses bottines à talons, sa silhouette fine et élancée, Estelle est hyper excitante. Tellement belle. Tenue à la laisse, les mains menottées, c'est hallucinant.

Tout cela dure depuis une trentaine de minutes. Estelle et moi sommes morts de froid. Clémentine qui voit les efforts que nous produisons pour lutter contre la température, nous fait signe de la main. Elle montre une des sorties du hangar. La seule qui n'est pas fermée d'un rideau de métal. J'entraîne Estelle dans cette direction. Nous nous éloignons. Clémentine nous crie : << Fini ! >>. Elle vient nous rejoindre en nous tendant nos anoraks. Je retire les menottes des poignets d'Estelle. Qu'il est agréable de les mettre. Je sors la thermos du sac.

Qu'il est bon de boire du thé chaud en dégustant une barre de céréales. Nous nous apprêtons à quitter les lieux lorsqu'une voix masculine résonne : << C'était super ! >>. Complètement hallucinés nous regardons la silhouette de ce type, debout là-bas, au fond du hangar. D'une voix avinée il rajoute : << Belles salopes mon gars ! >>. C'est probablement un clodo qui squatte l'endroit. C'est certainement une boîte de bière qu'il tient dans sa main. Nous nous dépêchons de filer. Nous rigolons comme des bossus à l'idée que ce mec ait assisté à nos jeux.

Je roule doucement. Clémentine regarde le film sur le petit écran de la caméra. Il ne reste pas suffisamment de batterie pour tout voir. Estelle, penchée par dessus le siège avant, scrute les images elle aussi. << En regardant le film sur grand écran on va peut-être avoir quelques surprises ! >> dit Clémentine. << Put-Hein, ce mec a sans doute tout vu, l'enfoiré ! >>. Nous rions aux éclats quand elle rajoute : << Il aura de quoi se branler pour longtemps en repensant à ça ! >>. Clémentine rajoute : << Bourré comme il était, il va oublier ! >>.

Il est 18 h30 quand nous sommes de retour. Il fait nuit. Le froid s'accentue à nouveau. << J'adore tes surprises ! >> me fait Estelle en glissant sa main dans ma braguette une fois au salon. Clémentine fait les branchements. Pour la soirée cinéma qui nous attend après le repas. L'écran géant du téléviseur, la carte SD dans l'ordinateur. Tout est prêt. Elle fait même un essai. Morts de faim, nous passons à la cuisine. Clémentine fait la salade de tomate. Estelle fait bouillir l'huile de friture. Je verse les crevettes dans la pâte à crêpe. Parfait.

Estelle s'occupe des beignets. Je fais frire les pommes de terre chips dans une grande poêle. Sans cesser de les retourner. Estelle récupère chaque beignet qui flotte sur l'huile bouillante. Avec un écumoire. Elle les dépose sur des feuilles de papier absorbant. Je fais de même avec les chips. C'est un repas délicieux. Nous mangeons de bon appétit en revivant notre aventure de l'après-midi. Pressés de voir le résultat de nos "efforts" nous faisons la vaisselle avant de nous précipiter au salon. Nous voilà vautrés dans le canapé. Je suis entre mes deux anges.

Clémentine à ma gauche qui manipule la télécommande. Estelle à ma droite qui manipule ma queue. Le film commence. Les images en 4K sont d'une telles nettetés. La qualité donne cette curieuse impression que tout est plus vrai que la réalité. Nous reconnaissons l'endroit. Il règne vraiment dans le film la même ambiance. Tout est fidèle à ce que nous avons vécu dans la réalité. On me voit promener Estelle à la laisse. La faire se mettre à genoux. Clémentine a filmé en gros plans avec sa virtuosité habituelle. Aux images on devine qu'il fait froid.

<< Il faut absolument refaire aux premiers beaux jours ! >> lance Estelle. Clémentine fait de nombreux arrêts sur images. Elle zoome sur les ombres étranges dans le fond. Avec la qualité 4K il est possible d'agrandir sans risquer de pixeliser les images. C'est fameux. << Là ! >> s'écrie soudain Estelle. Nous nous penchons en avant pour scruter l'écran. C'est comme un fantôme. Une ombre qui se glisse entre les palettes démembrées entassées contre une des cloisons. << C'est le mec ! Il mâtait depuis là-bas ! >> suggère Clémentine. C'est probable.

Il n'y a aucune autre "apparition". << C'est vraiment de l'authentique "urbex" ! >> lance Estelle. En effet, si ce n'était pas un film porno, il pourrait devenir une de ces nombreuses vidéos insolites qui pullulent sur Youtube. Je félicite Clémentine pour la qualité de son travail. Je félicite Estelle pour son "jeu" d'actrice. Elle me félicite pour la "surprise". Nous nous masturbons tous les trois en visionnant le film une seconde fois. Exactement 27 minutes d'images à couper le souffle. Film totalement privé évidemment. Il est 22 h. Nous sommes épuisés.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font offrir un merveilleux cunnilingus sous les draps avant de plonger dans les rêves...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1793 -



Estelle passe la journée chez ses parents

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil aux environs de neuf heures. Accrochée à moi toute la nuit, Estelle pose ses lèvres dans mon cou. Elle empoigne mon érection matinale en me chuchotant : << Comme c'était bien hier ! >>. Clémentine se réveille à son tour. Venant se blottir elle murmure : << J'aime tes initiatives ! >>. Je suis entre mes deux anges qui se frottent toutes les deux contre mes cuisses. C'est chaud, c'est doux. Je glisse mes mains dans les culottes pour lisser les invraisemblables touffes. Mes doigts en peignes.

Estelle s'extirpe du lit en s'écriant : << Si je ne vais pas faire pipi, je mouille le lit ! >>. Nous la regardons se précipiter vers la porte dans son pyjama de soie mauve. Clémentine se frotte à moi en murmurant des quantités de : << Je t'aime ! >>. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons les escaliers vêtus de nos tenues de jogging. Nous rejoignons Estelle dans la cuisine ou règnent déjà les parfums du café, du pain grillé. J'allume immédiatement une bonne flambée dans la cuisinière à bois. Même s'il fait déjà bien chaud.

Nous prenons notre copieux petit déjeuner en revenant sur notre expédition "urbex" de hier après-midi. Ce petit film improvisé que nous avons réalisé. Estelle a déjà plein d'idées pour un projet "cinématographique" plus conséquent et plus abouti. Dès les premiers beaux jours. Au même endroit. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de l'après-midi. Estelle nous quittera ce matin pour aller passer la journée avec ses parents. << Le protocole ! >> précise t-elle. Avec sa maman elles ont l'habitude d'aller en ville le vendredi.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. Estelle quitte son pyjama pour sa tenue de jogging. Nous faisons le lit. Pressés d'aller courir nous dévalons les escaliers pour enfiler nos K-ways. Le thermomètre extérieur indique 10° alors qu'il n'est encore que 9 h45. Le ciel propose de belles séquences d'ensoleillement. Quelques mouvements d'échauffement. C'est parti pour notre running d'une heure. Comme les matins précédents nous courons sur le bord de l'étroite route communale. Car le sol est détrempé.

Il est 10 h50 quand nous sommes de retour. Estelle prend sa douche la première. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine consulte nos boîtes mails. Un courriel de Juliette qui nous réserve une surprise pour demain soir, samedi. Un message de Julie qui nous confirme sa venue cet après-midi pour 14 h. Estelle vient nous rejoindre habillée de son jeans, de sa chemise à carreaux. << Je m'en vais. Vous pensez à moi très fort, hein ! Je reviens ce soir pour 18 h30 au maximum ! >> dit elle en venant nous faire des bises. Estelle semble bien tristounette.

C'est à notre tour de monter prendre notre douche. Sur sa demande, je fais une longue natte à Clémentine. Elle adore quand je m'occupe de ses cheveux. Nous nous habillons de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Nous redescendons. Il faut songer à rentrer du bois pour le week-end. Nous mettons nos anoraks. Nous traversons la pelouse en restant sur les dalles de grès. L'humidité du sol reste constante. Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. Deux voyages. Il faut refaire le stock de bois au salon, à l'atelier et à la cuisine.

Avec le froid de cet hiver qui n'en finit pas, la consommation de bois est importante. << Tant que les écologistes de salons parisiens n'interdisent pas de se chauffer, profitons-en ! >> lance Clémentine en m'entraînant par la main. Il est 11 h40. Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe le reste des beignets de crevettes et des pommes de terre chips de hier soir. C'est très bon après une seconde cuisson à feux doux. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine propose des spaghettis pour ce soir.

Je trouve la suggestion excellente. Avec une sauce au Roquefort et des calmars. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Clémentine, de la mousse autour des lèvres, mime une fellation lascive avec sa brosse à dents. Tête contre tête nous nous rinçons la bouche en riant. Je demande : << Tu as sucé qui ? >>. Clémentine en s'essuyant répond : << Oh ! Un inconnu, quelques part dans un endroit glauque ! >>. Nous dévalons les escaliers en riant.

Il n'est que 13 h45. Nous sommes au salon, j'allume un bon feu dans la cheminée. Clémentine assise devant l'ordinateur. Du bruit. C'est Julie qui vient nous rejoindre. Comme elle est radieuse et souriante. Elle se précipite d'abord vers Clémentine pour lui faire des bises. Puis vers moi pour me prendre les mains. << Merci Julien pour mardi dernier ! >> dit elle avant de me faire trois bises. Julie fait évidemment allusion au film que nous avons réalisé. Cette sodomie mimée qui nous a beaucoup amusé, excité aussi. Je la prends tout contre moi.

Je dis : << Julie, on récidive quand vous voulez. Tant que ce ne sont pas de vraies sodomies ! >>. Julie éclate de rire. Clémentine se lève pour venir nous rejoindre. Nous tenons tous les deux Julie par ses frêles épaules. Cet après-midi elle porte un pantalon noir, un pull noir. Elle n'a pas ses lunettes d'étudiante sur son nez. Des bottines noires. Elle aussi à noué ses cheveux en une longue natte. Malgré ses talons Julie est toute petite entre nous. Nous quittons le salon pour l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Clémentine prépare le thé.

Julie est assise devant le chevalet. Penchée en avant elle scrute la toile en chantier. Une scène de genre à trois personnages. Je viens me positionner debout, derrière elle, mes mains sur ses épaules. Clémentine est assise dans le canapé. Elle jouit déjà du spectacle. En mimant une masturbation masculine, avec un clin d'œil, elle dit à Julie : << On a plein de choses à te raconter ! >>. Julie répond : << Oh, oui, j'adore vos histoires ! >>. Je déboutonne mon jeans. Je sors ma queue toute molle en lançant : << Même les histoires de bites ? >>.

<< Surtout les histoires de bites ! >> s'écrie Julie avant d'éclater de rire. Je mets les deux premières bûches sur les braises incandescentes. Julie jette de furtifs regards sur ce qui pend de ma braguette. Elle se lève pour aller s'assoir aux côtés de Clémentine. Avec le tisonnier je réuni les tisons sous les buches qui s'enflamment. Je me tourne vers les filles. Les mains sur les hanches, je reste à les observer toutes les deux. Clémentine me fait un clin d'œil. Julie me fait un sourire. Comme elle n'ose pas soutenir mes regards, elle fixe ma queue mollasse.

Je saisis mon sexe à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter vers les deux spectatrices. Clémentine relate nos aventures de mercredi après-midi. La fellation qu'elle a prodigué à l'exhibitionniste du parking. Je commence à bander. Clémentine n'a pas sa pareille pour narrer de belles histoires. Surtout lorsque ces dernières sont plutôt graveleuses. Julie, sans cesser de fixer mon sexe grossissant, écoute avec attention. Lors des silences de Clémentine qui aime à ménager les effets de ses récits, Julie pose des questions. Tout ça est très excitant.

Je bande à présent en présentant une érection "glorieuse". Clémentine répond aux questions de Julie en rajoutant des détails "croustillants". Le goût de la bite du mec. La pipe dans la voiture. Les appréhensions du type concernant son procès pour exhibitionnisme sur le parking de l'hypermarché. Nous rions de bon cœur. Je suis à cinq ou six mètres des filles. Debout devant la cheminée. Par contractions de mes muscles fessiers, je fais bouger mon érection. Un rythme soutenu qui semble inspirer Clémentine dans sa narration. Qui excite aussi beaucoup Julie.

C'est trop bon. Je me masturbe doucement. La peau fripée de mon prépuce entre le pouce et l'index. Clémentine raconte à présent le film totalement improvisé que nous avons réalisé hier au même endroit. << C'est où cette friche industrielle abandonnée ? >> demande Julie à deux reprises. Clémentine explique l'endroit, par où il faut passer. Julie rajoute : << Jamais je n'irai dans un tel endroit toute seule ! Vous m'y emmenez la semaine prochaine ? Je viens lundi à 14 h jusqu'à mercredi midi ! >>. Clémentine, toute contente, s'écrie : << Oui ! >>.

Je me déplace à présent dans la grande pièce. Tout en me masturbant je m'immobilise dans différents endroits. Les filles bavardent en riant. Julie se réjouit pour cette prochaine expédition "urbex". Elle aime découvrir les vidéos de certains youtubeurs qui pratiquent cette passion des lieux abandonnés. << Je vous recommande les vidéos d'un mec dont le pseudo est "Indiana Fraise". C'est vraiment bien, instructif et le type a de l'humour ! >> dit elle. << On va s'y mettre aussi mais sur des sites spécialisés ! >> lance Clémentine. Nous rions aux éclats.

<< De l'urbex porno ! >> s'écrie Julie en éclatant de rire. << Exactement ! Un nouveau concept ! >> précise Clémentine. Lorsque je me marre ainsi, j'ai tendance à débander assez rapidement. Et quand je débande, il y a les premiers épanchements de liquide séminal. Dans le cas présent c'est encore un long filament de foutre épais et gluant qui pend à l'extrémité de mon sexe. Julie se lève. Elle se précipite pour venir scruter en s'accroupissant devant moi. Avec d'élégants et gracieux mouvements de tête, Julie scrute avec attention la coulée.

La stalactite visqueuse ne semble pas vouloir se détacher et mesure une bonne vingtaine de centimètres. Clémentine se précipite pour venir voir. << C'est génial ! >> murmure Julie. Terriblement voyeuse, curieuse de tout, et spécialement de ce qui concerne la queue des hommes, Julie regarde avec l'attention d'une entomologiste. D'un tout aussi gracieux mouvement de tête, Clémentine lape la coulée. D'un coup de langue adroit elle gobe la coulure. Elle remonte sa bouche jusqu'à mon sexe qu'elle prend en bouche. Tombant à genoux Clémentine suce.

Julie, son visage tout près de celui de Clémentine, observe cette pipe. Je pose mes mains sur leurs têtes. Julie m'adresse quelques rapides sourires. Clémentine me taille une pipe des familles en me tenant par les hanches. Ses doigts dans les passants de mon jeans. La respiration de Julie change. Souvent en apnée, concentrée sur ce qu'elle observe, elle reprend sa respiration dans des soupirs qui trahissent l'excitation qui la gagne. Clémentine cesse de sucer pour lui tendre ma turgescence trempée. Julie a toujours ce réflexe féminin d'un recul de défiance.

Nous savons qu'elle en meurt d'envie. Pourtant, une fois encore, son inhibition de jeune fille l'empêche de sacrifier à la tentation. Les genoux de Clémentine deviennent probablement douloureux en contact avec les tommettes du sol. Je l'aide à se redresser. Julie reste assise parterre. Je me penche pour masser les genoux de Clémentine. À la dérobée, je dépose un bisou sur le front de Julie. Clémentine et moi lui tendons nos mains. Nous la relevons ainsi. Elle semble si légère. Il va être l'heure du cours de peinture. Prétexte pour Julie à être là.

Clémentine s'installe confortablement dans le canapé avec un livre. Julie est assise devant son chevalet de table. Elle termine aujourd'hui son troisième paysage. Encore une toile de toutes petites dimensions. Je suis assis à ses côtés. Je regarde. Julie me pose des questions quand à la façon de procéder à tel ou tel mélange. Je réponds à ses interrogations sans jamais interférer dans son style. Julie est terriblement douée pour la peinture. Elle devra nous laisser à 18 h. Julie reprend son service ce soir pour 18 h30 au restaurant de sa tante.

Nous la raccompagnons jusqu'à son auto dans la nuit froide. Un peu tristounette, assise au volant, vitre baissée, elle dit : << Je suis là demain matin pour 8 h30 ! >>. Nous lui faisons des bises. Nous la regardons partir. À peine sommes-nous bien au chaud qu'arrive Estelle. Elle aussi, toute contente, sautille autour de nous. Nous nous serrons tous les trois. Nous allons dans l'atelier car Estelle veut découvrir le tableau achevé de Julie. Il sèche sur son support. Elle pourra le récupérer la semaine prochaine. Estelle, glisse sa main dans ma braguette.

<< Contrôle ! >> lance t-elle en s'accroupissant pour me sortir une bite dégoulinante. << Salaud ! C'était Julie ? >> demande t-elle. << Non c'était moi ! Julie s'est contentée de regarder comme d'habitude ! >>. Estelle suce l'extrémité suintante de ma queue avant de se redresser. << Tu as de la chance ! Je suis jalouse ! > lance t-elle sans grand sérieux. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Morts de faim, nous préparons notre repas du soir. Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle fait bouillir l'eau des spaghettis. C'est parfait.

Je prépare la sauce au Roquefort. Dans la poêle je fais rissoler les calmars décongelés. Avec des champignons. Préparation rapide. Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte son après-midi shopping avec sa maman. << Cette année, les soldes c'est pas terrible ! >> précise t-elle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font le vague programme du week-end. << Demain soir nous fêtons la Saint Valentouze chez Juliette ! Dimanche tes parents viennent manger à midi ! >> dit Clémentine. << Génial ! >> fait Estelle.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se refiler de la queue juteuse, se faire lécher les minous avant une bonne nuit de sommeil...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1794 -



Une soirée très particulière

Hier matin, samedi, il est presque huit heures. Estelle, accrochée à moi comme une naufragée à sa branche, me chuchote à l'oreille : << C'était délicieux hier soir ! >>. Elle fait allusion au cunnilingus avant de nous endormir. Clémentine se réveille à son tour. Je suis entre mes deux anges qui me tiennent par la bite et les couilles. Elles me couvrent le visage de bisous. Pleines de reconnaissance pour mes léchages de minous hier soir. << De s'endormir comme ça, c'est divin ! >> lance Clémentine. Je glisse mes mains dans les culottes. C'est si doux.

Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Dans son pyjama de soie mauve, elle se précipite jusqu'à la porte où elle dit : << Je vais préparer le petit déj, venez vite ! >>. Clémentine frotte son sexe contre le mien en murmurant : << Je t'aime Julien. Tu es le plus merveilleux somnifère ! >>. Nous rions en nous précipitant aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Les effluves parfumées du café, du pain grillé. Estelle qui me saute au cou. Que je soulève.

C'est presque un rituel quand nous sommes ensemble tous les trois. Ses jambes enserrent ma taille. Nous faisons ainsi le tour de la grande pièce. C'est au tour de Clémentine. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée. Comme souvent, lorsque mes deux anges ont joui, nous nous endormons comme des masses inertes. Je remets mon orgasme au lendemain sans la moindre frustration. Estelle et Clémentine me demandent alors souvent le lendemain comment j'explique ce curieux phénomène. Tout simplement par altruisme. Rires.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme du jour. Nous débarrassons pour faire la vaisselle lorsque Julie arrive. Toute souriante, heureuse d'être de retour, elle nous fait des bises. Julie utilise le prétexte de venir faire le ménage pour être dans cette demeure qu'elle adore. Pour rester avec nous quelques heures. Nous la laissons pour monter laver nos dents. Estelle se change. Nous voilà tous les trois vêtus pareils. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos K-ways. Nous sortons dans le froid vif. La température est de 2°.

Ce matin, il faut vraiment se faire violence. Quelques mouvements d'échauffement. Soudain, le courage nous manque. << Venez, on remonte, on s'entraîne au chaud ! >> lance Clémentine. << Oh oui, c'est trop dur car on n'arrivera pas à se réchauffer ! >> s'écrie Estelle. Nous rentrons pour gravir les marches quatre à quatre. Entraînement en salle. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles. Le retour au calme d'un stretching bâclé ou nous rions beaucoup de nos facéties. Estelle qui est très déconneuse.

Elle prend sa douche la première pendant que Clémentine et moi nous changeons les draps. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Habillés de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux nous descendons pour rejoindre Estelle dans le hall d'entrée. Elle guette l'arrivée de nos livraisons. Nous entendons Julie passer l'aspirateur quelque part au ré de chaussée. Nous mettons nos anoraks. Nous traversons la pelouse en restant sur les dalles de grès. Le sol est humide. Le ciel est nuageux. Il règne à nouveau un froid polaire. C'est détestable.

Voilà la première camionnette qui descend lentement le chemin depuis le portail pour venir se garer derrière l'auto de Julie. Danièle, toute souriante, nous fait un grand coucou. De l'arrière du véhicule, elle sort les deux cageots. L'un contient nos fruits, nos légumes pour la semaine. L'autre contient nos fromages, le beurre, les œufs, les petits pots de crème fraîche, les yaourts. Paiement par carte bancaire. Même commande pour samedi prochain. Nous saluons Danièle qui ne parle jamais beaucoup mais qui est tellement sympathique.

Avec ce froid, rien ne risque de se gâter. Nous laissons les cageots sur la table de pierre à côté de l'évier de grès. Nous allons directement dans la maison d'amis. Clémentine allume les convecteurs électriques. C'est bien de faire chauffer cette espace vide. Il faut guetter l'arrivée de la boulangère. Voilà d'ailleurs son tube Citroën rénové qui descend lentement. Nous laissons Estelle allumer le feu dans la cheminée. Madame Marthe nous tend la petite cagette en plastique bleu qui contient nos deux miches, la brioche au pudding, les pâtes feuilletées.

Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Notre boulangère adorée nous offre deux gros croissants aux amandes. C'est le cadeau qu'elle nous fait tous les samedis. Nous la saluons. Nous rejoignons Estelle qui réuni les premiers tisons avec le tisonnier. C'est une belle flambée. Nous récupérons les cageots pour contourner la maison, descendre à la cave par derrière. Nous disposons nos légumes, nos fruits sur les étagères du cellier. Dans le congélateur, une des deux grosses miches de pain, les pâtes feuilletées. Il y a là un bon stock.

Estelle en tire un paquet de moules, un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous remontons par l'escalier intérieur. Julie vient de passer la serpillère à la cuisine. Nous l'entendons faire la même chose aux toilettes. Nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur avant d'aller au salon. Dans toutes les pièces nettoyées, flotte le délicieux parfum du jasmin. Les diffuseurs d'arômes fonctionnent à plein. Assises sur mes genoux, devant l'ordinateur, mes deux anges surfent sur le site de l'université. Il n'y a encore aucun résultat. Pas d'infos.

Par contre nous avons le message de Juliette qui nous rappelle son invitation pour ce soir, 20 h. Le message presque quotidien de mon oncle d'Édimbourg. Dans la petite enveloppe jaune, je glisse un billet de 50 €. La liste de nos commandes de repas pour lundi soir. Clémentine griffonne un petit mot gentil qu'Estelle et moi signons d'un petit dessin. Il est 11 h15. Julie vient nous rejoindre. << Vous voilà avec une maison bien propre ! >> dit elle. Nous la remercions. Je lui tend l'enveloppe. Clémentine se lève pour aller la prendre par ses épaules.

<< Merci ! >> fait Julie en mettant l'enveloppe dans la poche arrière de son jeans. << Tu manges avec nous ! >> lance Estelle qui se lève à son tour. << J'aimerais tellement, mais j'ai mes papys et mes mamies qui viennent passer le week-end ! >>. Estelle et Clémentine tiennent Julie par les mains. C'est beau de voir à quel point l'affection que nous lui portons comble Julie. Pas de doute, nous sommes sa seconde famille. Je me lève à mon tour. Je pose mes mains sur ses épaules. Je dis : << Nous sommes impatients d'êtres la semaine prochaine ! >>.

Julie viendra passer trois jours avec nous. Les réjouissances de part et d'autre. << On se fait un film ? >> lance Estelle. << Si tu as une idée ! >> rajoute Clémentine. Julie répond par une question : << Mardi après-midi alors ? >>. Je rajoute : << Mardi après-midi ! >>. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Le ciel se couvre pour devenir menaçant. << Un ciel de neige ! >> fait Clémentine. Un dernier bisou. Nous regardons l'auto monter jusqu'au portail. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Préparer le repas.

Le repas du samedi midi est toujours d'une simplicité extrême. Aujourd'hui, à trois, sa préparation est encore plus rapide. Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue dont elle lave chaque feuille. Il y en aura pour ce soir. Estelle prépare le bouillon pour y jeter les moules encore congelées. Dans le wok je fais chauffer les haricots verts, les petits pois. Nous parlons de Julie, de sa présence, de ce charisme naissant que nous percevons de plus en plus. << C'est à mesure qu'elle prend confiance en elle ! >> précise Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de ma taille, de mon cou, mes deux anges reviennent sur nos deux films réalisés cette semaine. La fausse sodomie de mardi après-midi, mettant en scène Julie sur mes cuisses. La séance du "Maître" et de sa "Soumise" dans les bâtiments désaffectés de la friche industrielle jeudi après-midi. Estelle promenée à la laisse dans le froid glacial du hangar. << On se refait un film là-bas aux printemps. J'insiste, l'endroit est trop excitant ! C'est top ! >> dit elle.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. À l'étage les diffuseurs d'arômes offrent les parfums du magnolia. Tout est propre. << On se fait une rando ? >> propose Estelle. << On se fait une rando ! >> répond Clémentine. Je dis : << Mais c'est une superbe idée ! >>. Nous adorons parcourir les chemins de campagne chaudement vêtus dans le froid polaire. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers avec nos grosses godasses à la main. Dans le petit sac à dos, la thermos, les barres de céréales, les pommes.

Il faut mettre les bonnets, les gants, une bonne écharpe autour du cou. Emmitouflés dans nos anoraks nous montons jusqu'au portail pour traverser la route. Nous prenons le chemin de la forêt. Il y a une légère brume qui tombe. Les branches nues sont autant de silhouettes fantomatiques. Nous marchons d'un bon pas. Les filles me tiennent par les mains. C'est notre circuit des quatre heures. Nous sommes équipés de nos lampes frontales. Aussi, lorsque nous revenons pour 18 h dans la nuit noire, nous pouvons bien éclairer notre marche.

Assis tous les trois à table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le céleri pour notre potée de légumes. Nous en faisons en grande quantité afin d'assurer l'accompagnement de nos repas du week-end. Même de lundi à midi. Les filles évoquent les résultats de leurs écrits remis avant les vacances. Elles auront probablement les information ce mardi. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue. Estelle remue les légumes avec la spatule de bois dans la vieille cocotte en fonte noire. Je prépare trois dos de cabillaud blanc.

En fin de cuisson il suffit de rajouter un petit pot de crème fraîche. C'est simple, rapide et délicieux. Surtout avec du gruyère de Comté finement râpé. Pour déposer sur les légumes dans nos assiettes, Estelle coupe de très fines tranches de Morbier. Ça fond sur les patates. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée. Nous sommes attendus au haras pour vingt heures. Il est dix neuf heures. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents, mettre des jeans propres, des sweats. Tout en déconnant bien !

Pressés d'aller vers une nouvelle aventure dont nous ne connaissons rien, nous descendons à toute vitesse. Nous portons nos bottines. Les anoraks. Estelle propose de prendre le Kangoo. La voiture d'entreprise n'a pas de siège à l'arrière. Je préfère prendre la Mercedes. Il suffit de faire tourner le moteur quelques minutes pendant que nous apprécions la chaleur dans la maison d'amis. Il y a encore des braises dans la cheminée. Estelle y rajoute deux grosses bûches. C'est parti. Il y a trois kilomètres jusqu'au haras. Je roule doucement, avec prudence.

Clémentine tripote ma braguette. Estelle, à l'arrière, caresse mon cou. Il est presque vingt heures quand je gare l'auto dans la cour. Il y a deux autres voitures. Il y a de la lumière dans la nouvelle écurie. Nous y entrons. Les chevaux passent leurs têtes au-dessus des portillons de leurs box pour nous observer. Nous caressons quelques encolures. Nous entendons des voix, des rires depuis la petite salle du fond. Clémentine frappe à la porte. Trois petits coups discrets. C'est Bernadette qui nous ouvre. Ce soir madame Walter est en jeans, pull. Rare.

Il y a Pierre, son mari, Léon l'ancien palefrenier à la retraite. Juliette qui vient nous recevoir. C'est une petite fête comme nous en avons connu plusieurs en ces lieux. Ce soir, tout le monde est en jeans. Pas de chichi, pas de manière. Les deux convecteurs électriques chauffent bien la grande pièce. Nous retirons nos anoraks pour nous installer dans un des deux canapés. Je suis entre mes deux anges. En face, Bernadette entre Pierre et Léon. Juliette, en parfaite maîtresse de maison assure le service en servant les jus de fruits dans des gobelets.

Nous bavardons tous les sept avec animation. Estelle ne lâche pas ma main. Clémentine me tient le bras. Juliette, assise dans un des deux fauteuils évoquent quelques anecdotes vécues la semaine passée. Les visites des services sanitaires qui font du zèle. Les visites de Robert, le vétérinaire. << Combien de pipes ? >> lui demande Pierre. Juliette, en riant, répond : << À chaque visite, pourquoi ? >>. Nous rions aux éclats. C'est là que je surprend Léon entrain de se palper discrètement la braguette toutes les dix secondes. Faisant de l'œil à Clémentine.

Ce vieux salaud est coutumier de ce genre de choses. Clémentine n'est d'ailleurs pas la seule à s'en apercevoir. Estelle me chuchote à l'oreille : << Tu as vu le vicelard ? >>. Juliette aussi a vu. Bernadette se lève pour aller prendre un petit gâteau sur la table. Nous la voyons habituellement dans sa tenue de cavalière. Tout comme Juliette. De porter un jeans, un pull plutôt moulant, lui va magnifiquement. Quel cul dans ce jeans. Pierre qui se lève à son tour pose sa main sur la fesse de sa femme. Juliette mime une masturbation masculine. Vicelarde.

Léon, sans le moindre scrupule propose à Clémentine de l'accompagner aux toilettes. << Début des festivités ! >> murmure Estelle à mes oreilles. Elle rajoute en serrant ma main : << Moi, je reste avec toi ! >>. Je lui dépose un bisou sur la joue. Clémentine me prend le bras pour me demander à voix basse : << Je peux aller avec Léon ? >>. Je dis : << Mais bien sûr ! Amuse toi bien. Tu me raconteras ! >>. Clémentine se lève. Elle dépasse Léon d'une tête. Le vieux salaud se lève pour se diriger vers la porte, suivi de Clémentine hyper sexy.

Juliette vient prendre sa place à côté de moi. Pierre se retourne. Sa femme tient sa queue à pleine main en se retournant juste après lui. Pierre me dit : << Tu sais que ta meuf est entrain de sucer aux chiottes ! >>. Je réponds : << Oui, elle adore ça tu sais bien ! >>. J'aimerais bien pouvoir y assister. Estelle ne me lâche pas. Comme si elle était jalouse de la proximité de Juliette. Je sors ma queue. Je bande mou. Estelle s'en saisit de suite. De peur que ce ne soit Juliette. Je trouve ce réflexe amusant. Estelle réagit souvent comme ça.

Pierre vient se mettre debout devant Juliette qu'il saisit fermement par ses cheveux. Je n'oserais jamais me comporter de cette manière avec cette femme. Mais je sais qu'elle baise avec lui presque tous les week-end. Le plus souvent sous les yeux de sa femme menottée sur une chaise. D'ailleurs madame Walter s'assoit sur la seule chaise de la pièce, le dossier entre ses cuisses, bras croisés en appui. Elle mâte. Pierre reste immobile, son sexe à quelques centimètres du visage de Juliette qui reste impassible. Je glisse ma main entre ses cuisses.

J'adore ce petit spasme typiquement féminin lorsque je pose ma main à cet endroit. Je fais de même à Estelle qui a le même réflexe. Pierre frotte sa queue sur la gueule de Juliette. Je palpe son entrejambes à travers l'épais tissus de son jeans. Elle écarte les cuisses pour s'installer à son aise. La voilà avec la bite à Pierre dans la bouche. Estelle me masturbe doucement tout en observant avec attention cette pipe. Penchée en avant elle regarde. Pour la voyeuse qu'elle est, ce spectacle la comble. La porte s'ouvre. Clémentine revient avec Léon.

Léon qu'elle tient par la queue. Elle me fait le plus vicieux des sourires, par en-dessous. Elle fait tomber Léon dans le canapé pour se mettre à quatre pattes à ses côtés. Madame Walter, tout comme Estelle, observe Juliette tailler une pipe à son mari. J'adore voir Juliette la bouche pleine. Cette sublime bourgeoise de 48 ans est une véritable attraction. De regarder les expressions de son visage de femme mûre est un spectacle extraordinaire. Je n'arrête pas de la tripoter. À présent je touche ses seins. C'est la toute première fois. Seins menus mais fermes.

En face, Clémentine vient de s'allonger sur le canapé, sa tête posée contre le ventre de Léon. Léon, d'origine guadeloupéenne, présente une queue à la peau ambrée. Il y a une sorte de verrue sur le côté droit. Comme une excroissance. Je l'avais déjà remarqué à plusieurs reprises. Comme pour me défier Clémentine me fixe pour gober ce sexe. Estelle murmure : << Salope ! >>. Nous regardons. Juliette à ma gauche qui suce en silence. Clémentine en face qui suce. Estelle qui me masturbe doucement. Bernadette sur sa chaise, immobile qui mâte aussi.

Clémentine se régale. Les yeux à présent fermés, ses expressions de félicité, d'extase parfois, ne laissent aucun doute sur l'intensité de ce qu'elle vit. C'est la deuxième pipe qu'elle fait à autre mec cette semaine. Rien ne m'excite davantage que de la voir avec une autre queue dans la bouche. Celle de Léon reste molle. Clémentine raffole de ces petites bites molles de vieux pervers. C'est merveilleux de la regarder déguster. Parfois, elle ouvre les yeux. Elle me fixe avec cet air de défi qui me projette au comble de l'excitation. Estelle me branle.

Je glisse une main dans son jeans qu'elle vient de déboutonner. Je suis dans sa culotte. C'est un peu étroit. Mais elle ne veut pas retirer ses vêtements ici, ce soir. Je parviens tout de même à caresser son clitoris. Je lui chuchote : << J'aimerais te bouffer la chatte ! >>. Elle murmure : << Je vais te bouffer la queue ! >>. Elle s'installe plus à son aise pour poser sa tête sur ma cuisse droite. Ses jambes dépassant sur l'accoudoir du canapé. Elle gobe mon sexe. Sous l'effet de l'indicible caresse, dans cette ambiance de fellation, je suis pris de vertige.

Je me fais tailler une superbe pipe. Je regarde sur ma gauche. Juliette qui taille la sienne. En face, Clémentine qui savoure en gémissant. Elle est la seule à émettre des gloussements de plaisir. Le vieux salaud est hyper juteux. Je distingue le trop plein de foutre qui s'épanche quelquefois de la bouche de Clémentine. Elle cesse alors de sucer pour lécher ce qui coule. Pendant qu'elle récupère la jute de sa langue, il en dégorge de l'extrémité du sexe de Léon. Le vieux saligaud a un total contrôle. Il jouit en connaisseur. Il sait à quelle fille il a affaire.

Ce n'est pas la première fois que Clémentine se suce ce vieux pervers. Il la tient par la nuque pour appuyer sur sa tête. Sa bouche et son menton collés contre la braguette de Léon, Clémentine se laisse guider ainsi. Je fais de même avec Estelle qui me pompe comme si sa vie en dépendait. Bernadette m'adresse de merveilleux sourires. Je lui adresse un clin d'œil. Je mime une pipe en faisant tourner mon poing devant ma bouche. Je fais une bosse à l'intérieur de ma joue avec la langue. Je me fais surprendre à faire ça par Clémentine qui ouvre les yeux.

Je saisis Estelle par sa tignasse. Je me lève pour l'entraîner en la tenant par les cheveux. Je présente ma bite dégoulinante à madame Walter. << Merci ! >> murmure t-elle dans un souffle en gobant mon sexe. Je me suis déjà fais sucer par cette femme. Je n'en connais pas de plus lascives, de plus offertes. Vraie "Soumise", Bernadette est d'une incroyable docilité. Je sais par expérience que je pourrais tout lui faire. Car tout lui plaît. À partir du moment où l'on s'occupe d'elle cette femme est l'incarnation du plaisir charnel le plus exceptionnel.

Il n'y a que Clémentine pour la surpasser. Je ne suis peut-être pas objectif car Clémentine est la fille que j'aime, ma compagne. Estelle s'accroupit pour regarder madame Walter se livrer à cette fellation qu'elle attendait sans trop y croire. Elle qui se contente le plus souvent de sa condamnation à regarder sans participer. Son mari étant plutôt "Maître". Je tiens Bernadette par ses oreilles. Je me masturbe dans sa bouche. Je retire mon Zob pour le frotter sur son visage. Je la "bastonne" tendrement de mon gourdin. Ce qui fait gicler du jus de couilles.

Derrière moi, j'entends du bruit. Je me retourne en même temps qu'Estelle se redresse. Elle s'accroche à moi. Pierre vient de quitter la bouche de Juliette. Il tient Clémentine par sa tignasse. Sans ménagement il tente de lui enfoncer sa queue dans la bouche. Léon observe en se marrant. Il dit : << C'est une vraie ventouse cette meuf ! >>. Juliette se lève. Clémentine, tenue par la cheveux, est assise par Pierre. Il est debout devant elle. Il lui pince le nez. Pour pouvoir respirer, Clémentine n'a d'autres choix que d'ouvrir la bouche. Le salaud en profite.

Juliette est à genoux entre les jambes de Léon. Elle prend le relai. Ce soir, nous participons à une authentique et véritable "soirée pipe". J'enfonce la mienne dans la bouche de madame Walter. Bernadette suce avec cette incroyable douceur. Je suis obligé de me tenir à Estelle. Estelle qui fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Lorsqu'elle cesse je lui murmure : << Tu n'as pas envie de te bouffer les bites qui traînent là, ce soir ! >>. Elle chuchote : << T'es fou. J'attends que tu me donnes la tienne ! Je t'aime ! >>. Bernadette glousse en riant.

Je retire ma queue pour l'offrir à Estelle. Je propose à mes deux suceuses de nous installer sur le canapé libre. Sur l'autre Clémentine se régale du sexe de Pierre. Il lui met de petites gifles sonores en disant à chaque fois : << Grande salope ! >>. Clémentine répond par un petit cri de ravissement. Juliette, parfaitement immobile, assise sur une fesse, pompe le dard de Léon. Je regarde cette pipe méthodique. Je suis entre Bernadette et Estelle qui se refilent ma queue en gémissant de plaisir. Je leurs palpes les seins, les fesses. Elles se trémoussent.

C'est Léon qui pousse un cri. Je vois Juliette de dos. C'est une vision étonnamment excitante car tout est suggéré. Le vieux salopard est probablement entrain d'éjaculer. Juliette, totalement silencieuse, déglutit probablement. Dommage que je ne puisse voir. Pierre fait certainement pareil car je le vois se raidir. Debout, tenant fermement Clémentine par ses cheveux, sa bite complètement enfoncé ce salaud éjacule dans la bouche de ma compagne. Je sais de quoi ce vicelard est capable. Clémentine, pour pouvoir reprendre son souffle, se débat.

L'enfoiré l'en empêche. Pierre est de ma taille. Fort comme un bœuf, il maintient sa captive sans lui laisser la moindre chance de pouvoir se soustraire à son étreinte. Quand Pierre relâche enfin son emprise pour s'effondrer dans le canapé, vidé, épuisé. Je vois Clémentine, du foutre qui ruisselle aux coins de ses lèvres, agiter ses mains comme affolée. Elle qui adore la fellation plus que tout le reste en a eu pour son grade. Je saisis mes deux suceuses par leurs cheveux pour me lever prestement. Je me dirige vers Clémentine qui ouvre de grands yeux.

Je l'empoigne par sa tignasse pour lui enfoncer ma bite dans la bouche. Sous les regards étonnées des autres convives. Clémentine, n'en pouvant plus, tente de me repousser comme si j'étais un inconnu. Je la tiens aussi fermement que Pierre. Je lui éjacule à mon tour au fond de la gorge. Je l'empêche de se retirer. Elle tousse, manque de s'étouffer, les larmes lui coulent sur les joues. Je me retire enfin. Penchée en avant, une main sur son cœur, l'autre tenant son cou, elle tente de reprendre une respiration normale. Sous les applaudissements.

Juliette s'essuie la bouche avec un mouchoir dans lequel elle vient de recracher le foutre de Léon. Elle en montre le contenu à Bernadette qui s'en empare pour récupérer le mollard avec la bouche. J'ai un frisson de dégout. Estelle reste serrée contre moi. Clémentine essuie les larmes qui inondent ses joues. Elle me fait un merveilleux sourire. << On s'en va ? >> me dit elle. C'est la réaction habituelle de Clémentine. Dès que les choses sont finies, elle ressent l'impérieux besoin de fuir. Nous enfilons nos anoraks. Nous saluons tout le monde.

Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. << Belle surprise pour une Saint Valentouze, non ? >> lance t-elle. C'est Clémentine qui répond : << Au-delà de mes espérances les plus festives ! >>. Nous rions. << À mercredi prochain ! >> fait Encore Juliette. Je roule doucement. Clémentine ne cesse de s'essuyer la bouche. Estelle, assise à l'arrière lui dit : << Tu as pris un sacré pied ce soir ! Félicitation ! Toi qui aime les queues ! >>. Clémentine répond : << C'était fameux ! Merci Julien pour la dernière "salve". J'adore quand t'es salaud ! >>.

Il est presque minuit quand nous sommes de retour à la maison. Clémentine ressent toujours le besoin de manger une pomme après les pipes multiples. << J'ai l'impression que le foutre reste collé au fond de ma gorge ! >> dit elle. << Il t'a pissé dans la bouche, Léon, lorsque tu étais aux chiottes avec lui ? >> demande Estelle une fois que nous sommes au lit. << Évidemment ! Ce vieux saligaud n'allait pas rater une telle occasion ! Quelques giclées c'est tout ! >>. Estelle s'endort. J'offre un cunnilingus bien mérité à Clémentine. Un orgasme fou.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment les fellations multiples en compagnie de messieurs bien juteux et bien vicelards...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1795 -



Les parents d'Estelle viennent manger à la maison

Hier matin, dimanche, il est neuf heures trente quand nous nous réveillons. Tous les trois quasiment en même temps. C'est une véritable grasse matinée. Je suis entre Estelle et Clémentine qui se lovent contre moi. Nous aimons ces réveils lascifs, un peu fainéants. Estelle s'empare de mon érection matinale qu'elle tient fermement. Clémentine empoigne mes couilles. Distribution de bisous à tous les étages. Je fourre ma tête sous les draps pour faire des bruits de lèvres contre la peau de leurs ventres. J'adore les entendre rire de mes papouilles.

Estelle s'arrache de mes caresses pour se précipiter vers la porte en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine passe elle aussi sa tête sous le drap pour sucer ma raideur naturelle. << Je t'aime Julien. Je suis passionnée par tout ce que tu me fais. Hier soir, tu a été divin ! >> murmure t-elle en revenant se blottir contre moi. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle. La cuisine embaume déjà des effluves parfumées du café, du pain grillé, de la brioche.

Estelle, encore en pyjama est entrain de tenter d'allumer la cuisinière à bois. Je l'aide. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier, chez Juliette. Clémentine, un peu gênée, fuyant même parfois mes regards, répond aux inquisitions d'Estelle. Pour faciliter les choses, je pose souvent ma main sur celle de Clémentine. << Tu avais trois bites différentes en bouche ! >> lance Estelle. Nous rions de bon cœur. Clémentine répond : << C'est très loin d'être mon record en une soirée. Et tu oublies l'exhibitionniste mardi dernier ! >>.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce qui nous attend aujourd'hui. Les parents d'Estelle viennent manger à midi. Il faut tout préparer. On va faire simple mais délicieux. Nous serons efficaces. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, les filles parlent des résultats qu'elles attendent. Estelle consulte le site universitaire sur son téléphone. Le dimanche, pas de sport, pas d'entraînement, pas de jogging. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons pour nous laver les dents. Estelle quitte son pyjama pour son jeans, sweat.

Nous faisons le lit avant de redescendre. La pâte feuillée, sorti du réfrigérateur il y a trois quart d'heure, est prête à l'emploi. Estelle l'étale délicatement dans le grand plat à tarte. Je lave et j'évide cinq grosses tomates à farcir. Nous coupons et lavons deux courgettes, une énorme aubergine, de l'ail, de l'oignon. Une cuisson rapide de quelques minutes dans l'eau bouillante. Clémentine égoutte le tout avant de l'étaler sur la pâte. Estelle recouvre d'une épaisse couche de Gruyère de Comté qu'elle vient de râper. Au four électrique, cuisson à 180°.

C'est toujours meilleur de laisser mijoter longuement à moindre température. Tout en préparant, nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, de nous tripoter. C'est souvent par derrière qu'Estelle glisse une main entre mes cuisses. Me palper les couilles ainsi la ravi. Me positionnant derrière elle, je pose mes deux mains sur ses tous petits seins pour lui déposer une bise dans la nuque. Je fais la même chose à Clémentine qui en frissonne. Dans une casserole Estelle concocte une belle Béchamel. Je fais revenir des pavés de saumon émincé très fin.

Clémentine lave les feuilles d'une magnifique scarole. Je rajoute les petits morceaux de saumon à la Béchamel. Avec du Parmesan finement râpé. Avec une petite cuillère nous garnissons l'intérieur des tomates de ce mélange onctueux. Estelle recouvre délicatement de fines rondelles de tomates comme des couvercles. Il suffit de les mettre au four. ll est 11 h40. Tout est en route. Dans la cuisine flotte une délicieuse odeur qui ouvre un appétit d'ogre. Nous mettons les assiettes et les couverts. Serrés tous les trois nous observons notre travail.

Depuis l'interphone dans le hall d'entrée, j'ouvre le portail. Je remballe ma bite. << Dommage ! >> lance Clémentine. << Si tu montres ta bite à ma mère, je t'arrache les couilles avec les dents ! >> rajoute une fois encore Estelle. Je dis : << Juste un peu ! Allez quoi ! >>. En guise de réponse Estelle empoigne mes organes génitaux à travers le tissus tout en me roulant une pelle d'enfer. L'image s'allume dans un petit bip sonore. Sur l'écran nous voyons la grosse Mercedes descendre lentement. << Les voilà ! >> fait Estelle en me lâchant la grappe.

Le ciel est gris mais lumineux. Le thermomètre extérieur indique 12°. Nous sortons sur le perron pour accueillir Michèle et Yvan. C'est toujours une telle joie de nous revoir. Estelle se précipite pour s'accrocher au cou de son papa. Nous nous touchons les poings. Nous rentrons au chaud. Michèle et Yvan de débarrassent de leurs anoraks. << Mmhh ! Ça sent très bon par ici ! >> lance Michèle. << On est aux fourneaux depuis ce matin ! >> lance Estelle en tenant sa maman par le bras. Une fois encore Michèle paraît la grande sœur d'Estelle.

Cette ressemblance est frappante. Surtout que Michèle est en jeans et en sweat également. Il est midi. Clémentine propose de passer à table. Cette idée de tarte aux courgettes et à l'aubergine permet aux convives de se régaler autant que nous. Nous mangeons de bon appétit. Je surprends le regard parfois insistants de Michèle. Ce regard par en dessous, terriblement suggestif des femmes séduisantes quand elles sont séduites. Clémentine me fait du pied sous la table. Estelle me surveille du coin de l'œil. En fait, tout cela l'amuse beaucoup.

Nous traînons à table. La conversation tourne à présent autour des projets d'Yvan et de Michèle. Ils ont loué un cottage dans la région d'Inverness. Ils ont la ferme intention de visiter un maximum d'endroits en Écosse à partir de ce point stratégique. La location d'un van n'est pas exclue. Nous donnons quelques indications quand aux choses qu'il faut absolument voir. L'ascension du Ben Névis, le plus haut sommet d'Écosse est au programme. Nous l'avons fait il y a quatre ans, quand j'ai fait découvrir mon pays à Clémentine tombée sous le charme.

Je propose de prendre le dessert au salon. Michèle exige de participer à la vaisselle. Elle se lève d'ailleurs la première pour décrocher un des tabliers suspendus à côté du buffet. Estelle me lance un regard sévère. Je comprends ce que cela sous entend. Je dis : << Je plonge ! >>. Michèle s'écrie : << J'essuie ! >>. Clémentine et Estelle préparent les coupes glacées. Sur un grand plateau que tient Estelle, Yvan et Clémentine la suivent au salon. Je suis contre l'évier. Je peux frotter ma queue tout en plongeant. Michèle commence à essuyer.

Nous bavardons. Depuis le salon nous parviennent des éclats de voix, des rires. Je murmure : << Michèle, j'ai une méchante envie de te montrer ma queue. Ça fait trop longtemps ! >>. Michèle s'approche pour chuchoter : << Ça fait trop longtemps même ! >>. Nous rions. Estelle vient à plusieurs reprises. Des prétextes futiles qui lui permettent de contrôler mon comportement. Une fois elle récupère une petite cuillère. Une autre fois elle cherche des petits biscuits triangulaires très appréciés avec la glace au pralin, aux noisettes et au nougat.

Nous sommes seuls à la cuisine. J'essuie mes mains. J'ai presque terminé la vaisselle. Je déboutonne rapidement ma braguette. Je sors ma queue. Je bande. J'écarte le tablier noué sur mes reins. J'offre aux regards de Michèle une magnifique turgescence. << Oh mon Dieu ! Que me montrez-vous là cher monsieur ! >> dit-elle avant de se mettre à rire discrètement. Elle rajoute : << Il était temps. Moi aussi j'avais envie de la voir ! >>. Ces situations, bien trop rares, sont devenues un jeu au quel nous aimons beaucoup jouer. Toujours en cachette.

Le tablier que je rabat tout simplement permet de cacher ma bite quand Estelle vient faire son "inspection". << Fais gaffe Julien Estelle voit toujours tout ! >> murmure Michèle. C'est la toute première fois que nous nous tutoyons. Juste pour la circonstance. Michèle ne cache jamais rien à son mari. Tous les deux, quand Estelle était encore petite, fréquentaient des clubs échangistes. Ils continuent à sacrifier à quelques occasions lorsqu'elles se présentent. Nous en avons déjà vaguement parlé. Estelle est très vaguement informée. C'est parfait.

Toutefois Estelle occulte toujours cette partie privée qui ne concerne que ses parents. Elle n'en parle jamais avec eux. Comme si tout cela n'avait jamais existé. Attitude pleine de respect et surtout d'intelligence. J'écarte une dernière fois mon tablier pour montrer ma raideur épatante à Michèle qui murmure en me vouvoyant à nouveau : << C'est monstrueusement tentant. Elle me met en appétit ! >>. J'ai envie de l'embrasser. Elle ressemble tant à Estelle avec ses expressions mutines. Présentement cachotière et espiègle. Que la vie est belle !

Je remballe. Je referme ma braguette. Nous rejoignons le trio de rieurs. << Qu'est-ce qui vous fait donc rire comme ça ? >> demande Michèle. C'est Yvan, installé dans un des fauteuils, Estelle sur ses genoux, Clémentine assise sur l'accoudoir, qui montre des photos sur son téléphone. << C'est des photos quand on avait 14 ans ! Tu te rappelles avec mamie en 2012 ! >> lance Estelle. Yvan m'invite à regarder. Je vois Estelle et Clémentine, adolescentes, qui se tiennent par les épaules en faisant les clowns. Elles étaient déjà terriblement belles.

<< Je les ai mise sur le téléphone depuis l'ordi. C'est mes préférées ! >> dit encore Yvan en les faisant défiler. Ce sont des photos que je n'avais encore jamais vu. C'est passionnant. Je vais aux toilettes. C'est étrange de m'y retrouver seul, sans Clémentine pour me la tenir. Je pisse tranquillement lorsque la porte s'ouvre. C'est Michèle. Elle entre rapidement pour se mettre sur ma droite. La surprise est telle que mon jet s'arrête net. << Je ne fais que passer ! >> dit elle en se dépêchant de filer. Je la retrouve à la cuisine à laver les coupes vides.

Nous sommes à nouveau seuls. Je dis : << J'adore les surprises Michèle ! >>. Elle me lance ce regard par en dessous, terriblement vicelard, pour répondre : << Surtout celles-là, non ? >>. Je reste sans voix. Michèle rajoute : << Et ces surprises, j'adore les faire. Elles sont un peu ma "spécialité" ! >>. Je suis incapable de trouver des mots. Que répondre à de telles affirmations. Je suis encore sous le merveilleux choc de cette "surprise". De toute façon voilà Estelle qui revient à la cuisine avec les tasses vides. << Je vous ai à l'œil ! >> lance t-elle.

Il est 15 h30. Clémentine suggère une promenade digestive. Nous enfilons les anoraks. Il fait presque agréable au soleil. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route, nous engager dans la forêt. Estelle reste accrochée au bras de son papa. Clémentine reste accrochée au mien. Michèle tient la main libre de son mari. Nous bavardons. Il est 17 h40 quand nous revenons avec l'arrivée du crépuscule. Michèle et Yvan prennent congés. Nous sommes tous les cinq enchantés de ce dimanche. Nous nous promettons de multiples récidives avant Pâques.

Une fois seuls, Estelle m'empoigne par la bite et les couilles au travers le tissu de mon jeans. << Dis-moi tout vieux salaud. Quand j'avais le dos tournée, tu as encore fait ton exhibitionniste, hein ! >> s'écrie t-elle. Je réponds : << Oui, mais juste quelques fois, c'est tout ! >>. Estelle me tord les organes génitaux jusqu'à la douleurs en disant : << Vieux salaud ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche pour m'embrasser sans lâcher ma braguette. Clémentine serré contre mon dos qui dit : << Tu les aimes autant que moi, les vieux salauds ! >>

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui après le repas du soir se font lécher le minou et sucent de la queue. Avant et après la baise...

Julen



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1796 -



Julie vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, lundi, il est presque neuf heures. Je suis tiré de mon sommeil par le mouvement des pieds d'Estelle contre les miens. Ses "impatiences" qui donnent l'impression qu'elle pédale. Encore à demi endormie, elle se serre encore plus fort contre moi. Ce sont des moments passionnants. Elle saisit mon érection matinale à pleine poigne en gémissant d'aise. Ce qui réveille Clémentine. Elle vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous, de papouilles avant qu'Estelle ne se lève d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>.

En se précipitant vers la porte elle fait encore : << Je descends préparer le petit déjeuner, venez vite ! >>. Clémentine se frotte sur ma hanche. Une cuisse sous mes fesses, l'autre sur mon ventre. << Mmhh ! J'adore faire ça le matin. Avant que tu n'existes, je faisais ça avec les oreillers ! >> murmure t-elle. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. J'y emmène Clémentine en la portant comme une jeune mariée. Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Odeur de café, de pain grillé.

Estelle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ses jambes autour de ma taille pour me couvrir le visages de bises. J'administre le même traitement à Clémentine. Je félicite Estelle pour le feu qui prend déjà bien dans la cuisinière à bois. Nous la remercions pour la préparation de ce petit déjeuner que nous prenons en revenant sur la soirée de hier. Une soirée de léchage de minous. De caresses, de tendresse et d'un peu de baise au salon. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le très vague programme de la journée. C'est si bon les vacances.

Nous évaluons la situation extérieure. Le thermomètre indique 8°. Le ciel est menaçant, le sol détrempé. Pas de jogging ce matin. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. Estelle quitte son pyjama pour son legging et son sweat en lycra noir. Même tenues tous les trois. Nous quittons la chambre pour la salle d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, un peu de vélo d'intérieur. Exercices au sol, abdos. Les charges additionnelles. Le retour au calme d'un agréable stretching. Prétexte à déconner.

Estelle prend sa douche la première pendant que nous faisons le lit. Nous ouvrons le canapé pour préparer celui qu'occupera Julie jusqu'à mercredi. Clémentine se frotte contre ma cuisse, cambrée sur ses genoux fléchis pour murmurer : << Sois hyper vicelard ce soir avec elle ! >>. Je chuchote : << Mais pourquoi attendre ce soir ? >>. Clémentine m'embrasse avec fougue. Estelle vient nous rejoindre en s'écriant : << Déjà ! >>. Elle en veut aussi. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Habillés comme Estelle, jeans et sweats, nous redescendons.

Estelle est au salon. Assise devant l'ordinateur. << Génial, on a les résultats ! >> lance t-elle. Elle se lève pour me permettre de m'assoir. Installées sur mes genoux, mes deux anges compulsent les appréciations de leurs professeurs d'université. Elles sont toutes contentes. << Génial ! >>. << Super ! >> sont les adjectifs qui fusent à plusieurs reprises. Je les tiens par la taille. J'aime remonter jusque sous les aisselles, passer mes mains sur leurs tous petits seins. << N'arrête pas c'est trop bon ! >> fait Estelle. << Oh oui ! >> dit Clémentine.

Nous consultons nos messageries. Orange.fr pour Estelle également. Un courriel de Julie qui nous confirme sa venue, son impatience d'être au près de nous. Estelle se lève pour allumer une belle flambée dans la cheminée. Clémentine change de position pour se mettre à califourchon. << Je deviens la vraie "frotteuse". Comme quand j'étais adolescente ! >> se justifie t-elle en me déposant des bisous en mitraille, ses bras autour de mon cou. Estelle excelle dans l'allumage des cheminées. Rapidement se font entendre de beaux crépitements.

Nous nous levons pour la rejoindre alors qu'elle réunit les premiers tisons avec le tisonnier. Il fait sombre. Nous allons devant l'une des deux portes fenêtres qui donnent sur le perron en demi lune. Il pleut. Le ciel est incroyable sombre. Comme pour un orage d'été. Mes deux anges serrées contre moi, nous observons la campagne. Inutile de sortir. Nous avons stocké suffisamment de bois. Au moins jusqu'à mercredi. Clémentine nous entraîne dans l'atelier. Estelle y allume immédiatement la cheminée. Clémentine blottie dans mes bras, nous la regardons.

C'est un réflexe d'étudiante. Clémentine m'entraîne par la main devant les étagères derrière la table. Elle en retire un gros classeur. Estelle vient nous rejoindre. Penchées toutes les deux sur le classeur ouvert elles évoquent les résultats arrivés ce matin. Cet écrit qu'il a fallu remettre avant les vacances et dont la copie est là. Depuis l'âge de douze ans, il y a douze ans, Estelle et Clémentine sont dans les mêmes classes, suivent le même cursus universitaire. Elles font tout ensemble. Elles doivent ruser pour remettre leurs devoirs, leurs écrits.

Il ne faut pas trop de ressemblances, trop de similitudes dans les textes. C'est très amusant de les voir user de stratégies variées pour changer des phrases, des groupes de mots, la place des compléments d'objet direct, les conjugaisons ou encore changer des formules de sémantique. Ma langue natale étant l'anglais, cela me donne l'occasion de revoir mon français, de l'améliorer sans cesse. Je l'écris beaucoup plus facilement aujourd'hui que je ne le parle. Pour masquer mon accent écossais, j'imite souvent un accent méridional qui les fait rire.

Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Estelle réchauffe le reste de la potée de légumes. Dans une poêle je fais revenir trois filets de limandes. De l'ail, de l'échalote. En fin de cuisson je verse un petit pot de crème fraîche sur le tout. Du persil, de la ciboulette finement émincés. Tout en concoctant notre repas, je vais de l'une à l'autre pour distribuer des bises dans les nuques, sur les joues. Les filles parlent de leurs études. Moi je leurs offre quelques doux frissons "surprises".

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la venue de Julie ce soir. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges font l'inventaire des activités possibles cet après-midi. Avec cette météo, pas de randonnée. Nous aimons bouger, êtres actifs, c'est donc assez frustrant. Je propose d'aller en ville. Il faut penser à acheter un nouvel ordinateur de salon. L'ancien à presque dix ans. Il a parfaitement fonctionné. Mais, depuis quelques mois, il est lent, il rame un peu, bloque souvent, chauffe.

<< Oh non, cette météo est trop désespérante pour mettre le cul dehors ! >> lance Estelle. << On se les garde au chaud ! >> s'écrie Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les pitres devant le miroir de la salle de bain. Les filles miment des fellations lascives avec leurs brosses à dents. Je ri à risquer d'en avaler de la crème dentifrice. Tête contre tête, au-dessus du lavabo, nous nous rinçons la bouche en poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. Nous nous essuyons en continuant.

Estelle prend nos mains pour une farandole. En sautant comme des bonobos nous en imitons les cris. << Ça m'excite de faire la singe ! >> lance Estelle qui pose sa main sur ma braguette. << Moi aussi ! >> s'écrie Clémentine qui enfonce sa langue dans ma bouche. Je glisse mes mains sous les sweats pour les enfiler dans les jeans. Comme elles contractent toutes les deux leurs abdominaux, j'ai un accès parfait dans les culottes. Quelle douceur soyeuse que de passer mes doigts comme des peignes dans ces touffes abondantes. Ces douces broussailles.

Toutes les deux, cambrées sur leurs genoux fléchis, se frottent sur mes mains. Je passe mes doigts entre les lèvres de leurs vulves. C'est chaud, c'est doux, c'est exquis. Quand ce n'est pas Estelle qui fouille ma bouche de sa langue exploratrice, c'est Clémentine. Je titille leurs clitoris. Elles se pâment de plaisir. Petites masturbations qui les fait gémir. Je dis : << Quelle que soient les conditions climatiques nous avons toujours de l'inspiration ! >>. Dans un souffle Clémentine dit : << Je t'aime ! >>. Dans un soupir Estelle fait : << Moi aussi ! >>.

Nous dévalons les escaliers pour aller dans l'atelier. Comme pour nos rares visiteurs, l'atelier reste notre pièce préférée. Il est à peine 14 h30. Nous sommes vautrés dans le vieux canapé de velours carmin. Tous les trois, un livre à la main, nous nous offrons une séance de lecture. Parfois, quand l'une trouve un passage remarquable, elle nous en fait part à voix haute. Estelle et Clémentine lisent un ouvrage ayant trait à leurs études. Il sera l'un des sujets de la seconde partie du second trimestre. Moi, c'est un livre d'Art sur la Renaissance.

Il y a des mains baladeuses durant cette agréable séance d'éruditions littéraires. Surtout celle d'Estelle qui me palpe. Le scénario est souvent le même. La main d'abord posée sur mon genoux, qui remonte doucement à l'intérieur de ma cuisse pour se caler dans mon entrejambes. Clémentine fait la même chose. Nous rions de nos explorations. Je fais de même. Comme je suis installé entre mes deux anges, mes jeux de mains sont synchrones. Je pose mon livre sur mes genoux, les mains libres, je peux partir en explorations. Fameux.

Clémentine me fait un bisou en murmurant : << Coquin ! >>. Estelle me fait un bisou en chuchotant : << Encore ! >>. Il est déjà 16 h30. Je me lève pour faire bouillir l'eau du thé sur la petite plaque électrique. Je rejoins les filles avec la théière, les tasses, le sucre et les crêpes dentelles sèches, roulées en cigares. Je pose le plateau sur la table basse. Nous prenons notre collation. Les filles échangent leurs impressions quand à leurs lectures. J'écoute silencieusement. J'en apprends toujours tellement sur la géomorphologie. C'est super.

Estelle rajoute deux bûches dans l'âtre. Le crépitement est entrecoupé de petites explosions d'étincelles. Il fait tellement sombre qu'il y a une lampe à halogène qui éclaire le canapé. Clémentine se lève pour s'accroupir devant ma jambe droite. Elle me tient par les mains. Son entre jambes serré contre mon tibia, elle se frotte. << J'aime trop ça ! Surtout après le travail ! On a quand même fait de la lecture pour les cours ! >> lance t-elle. Estelle glisse sa main dans ma braguette béante en rajoutant : << On a mérité un peu de récréation ! >>.

Je me retrouve rapidement avec la bite dans la main d'Estelle. Nous admirons les expressions de jouissances sur le visage de Clémentine. Elle ne cesse de se frotter contre ma jambe. Elle la tient dans un mouvement masturbatoire, à genoux, parfois haletante. Estelle, tout en jouant avec ma queue revient sur des souvenirs d'adolescence. << Tu te souviens quand tu faisais ça avec l'édredon entre tes cuisses pendant que je te faisais la lecture ? >> dit elle à Clémentine qui répond : << Et comment. Ça me reprend depuis quelques mois ! >>.

Clémentine est une grande masturbatrice. Elle en raffole. Elle me confie souvent le soir en rentrant qu'elle conduit en se touchant. Sur la quinzaine de kilomètres qui séparent l'université de la maison. Clémentine, à genoux, cesse pour évoquer d'autres souvenirs. Elle se redresse. Debout devant moi, elle prend ma main pour la passer sous sa braguette. Je palpe son sexe que je sens bouillant. Elle se déboutonne, descend son jeans et sa culotte à mi cuisses. Je n'ai plus qu'à passer mes doigts sur les lèvres charnues de son sexe. Humides.

Clémentine se frotte à nouveau. Je me lève. Estelle ne lâche pas ma queue. Je fais tomber Clémentine dans le canapé. Elle descend ses vêtements sur ses chevilles. Me voilà à nouveau à genoux, mon visage entre ses cuisses. Estelle couchée sur le côté entre moi et les jambes de Clémentine. Elle tente de gober ma bite. Je me régale des jus de Clémentine. Je suce son clitoris géant. Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. << Gardons-nous pour ce soir. Quand nous serons avec Julie ! >> lance Estelle. << Tu as raison ! >> rajoute Clémentine.

Il est 18 h quand Julie arrive. Trois petits coups timides contre la porte. Mais sans attendre de réponse, elle entre dans l'atelier en se précipitant vers Clémentine. Trois bises. Elle passe à Estelle. Trois bises. Quand elle vient vers moi c'est avec les bras ouverts. Je la prends contre moi pour la bercer doucement. Estelle et Clémentine observent la scène avec compassion. << J'ai tout posé sur la table de la cuisine ! >> dit elle. Julie fait évidemment allusion aux repas commandés samedi. Elle rajoute : << Vous allez vous régaler. C'est très spécial ! >>.

Je dis : << Julie, si vous aviez un chéri, c'est avec lui que vous fêteriez la Saint-Valentin ce soir ! >>. Julie s'éloigne pour observer les flammes dans la cheminée. Elle répond : << Mais c'est avec vous que je suis ce soir. Je m'en moque éperdument. C'est la seule chose qui m'importe ! >>. Estelle la prend par la main pour rajouter : << Je suis comme toi. Je suis tellement mieux avec Clémentine et Julien ! Et on vit ici des trucs tellement plus délirants ! >>. Julie s'écrie : << Ça, c'est bien vrai ! >>. Clémentine me fait un clin d'œil avec un sourire.

Elle mime une masturbation masculine. Ma braguette déjà ouverte, je n'ai qu'à sortir une nouvelle fois mon sexe. Estelle me voit faire. Elle dit à Julie : << Des trucs dans ce genre ! >>. Julie se retourne. À chaque fois, comme si c'était une première fois, Julie pose ses mains sur ses joues en ouvrant la bouche. Comme choquée. C'est absolument merveilleux. En fait, ce qui la surprend le plus c'est cette coulure de foutre qui pend. Une stalactite d'une dizaine de centimètres. Cette coulure visqueuse et gluante. Clémentine se précipite pour s'accroupir.

Estelle, sans lâcher la main de Julie, l'entraîne avec elle. Elles s'accroupissent de part et d'autre de Clémentine. Cette dernière, d'un mouvement gracieux, récupère la coulure du bout de la langue pour remonter jusqu'à la bite. Elle suce un peu sous les regards de Julie et d'Estelle. Clémentine cesse. Elle se tourne vers Julie pour lui montrer l'intérieur de sa bouche. Julie ouvre la bouche dans un véritable étonnement. Elle observe. Estelle, son visage presque contre celui de Julie, scrute également. Je passe mes mains sur leurs têtes.

C'est comme un miaulement que lâche Julie quand Estelle pose sa main sur sa nuque. Elle appui. Julie, amoureuse de Clémentine, s'apprête à l'embrasser. Clémentine a un mouvement de recul en déglutissant. Estelle me consulte du regard. Julie prend un air déçue. Clémentine saisit ma queue pour la tendre à Julie. Nous sentons ce désir fou qui l'anime. Pourtant, une fois encore, elle contrôle sa tentation. Elle se redresse. Estelle attrape les passants de mon jeans. Les cuisses écartées, elle se serre contre mes chevilles. Elle se frotte tout en suçant.

Julie prend le bras de Clémentine pour observer la fellation gloutonne d'Estelle. Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit sourd que nous connaissons bien. Julie sursaute pour se serrer contre Clémentine. Estelle se redresse pour se serrer contre moi. Nous écoutons le fantôme de mon ancienne compagne errer à l'étage. Julie semble paniquée. Ce n'est pourtant pas la première fois qu'elle assiste à ce phénomène. Quelqu'un marche à l'étage. L'entité semble tirer une chaise ou un tabouret. Deux minutes. Tout cesse. Nous reprenons nos respirations.

Estelle tient ma bite à présent molle. Un nouvel épanchement apparaît à l'extrémité de mon sexe. Estelle la présente à Julie. Une fois encore Clémentine s'accroupit pour récupérer la coulée de jute. Je passe ma main sur la joue de Julie en disant : << Comme nous sommes heureux de vous savoir avec nous ! >>. Julie répond : << J'ai attendu tout le week-end ! >>. Clémentine se redresse en nous montrant le contenu de sa bouche. Elle avale avec un mouvement de tête et une légère grimace. << J'ai fait ça tout le samedi soir ! >> lance t-elle.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Dans la grande boîte isotherme, nos quatre feuillantines de saumons Nos quatre "vol au vent" aux fruits de mer. Ils sont énormes. De sous leurs "chapeaux" dépasse une crème opulente. Dans un grand bac il y a des légumes confis. Ce sera notre repas de demain midi. Tout est encore hyper chaud. Clémentine retire les opercules sur les autres bacs contenant nos salades de salicornes avec avocat, petites tomates ou feuilles de mâche. Estelle met les assiettes et les couverts. Julie commente les aliments chauds.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Julie nous raconte son service au restaurant. Vendredi et samedi soir. << Des petites anecdotes coquines ? >> demande Estelle. << Non, rien de remarquable ! Hélas ! >> répond Julie en riant. << Tu as passé un peu de temps avec le Chef cuisinier avant de venir ? >> demande Clémentine. Julie baisse les yeux et garde un silence révélateur. << Tu as baisé hein ! >> lance Estelle. << Oui ! >> répond timidement Julie. << Il t'a enculé ? >> fait encore Estelle. << Oui, que ça ! >> répond Julie.

Nous rions de bon cœur. Jean-Louis encule Julie à chacune de ses visites lorsqu'elle est en vacances. Nous apprenons ce soir que Julie va parfois le rejoindre aux cuisines le dimanche soir. << J'aime trop ça ! >> s'écrie t-elle comme pour s'excuser. << Tu as une petite idée de film pour demain après-midi ? >> demande encore Estelle. << Oui ! >> fait Julie timidement. Je sors ma queue sous la table. Cette conversation me fait bander comme le dernier des salauds. Je me lève en agitant mon sexe vers Julie en disant : << Racontez-nous ! >>.

Julie n'ose pas soutenir mon regard. Par contre elle garde les yeux braqués sur ma queue. Je me masturbe doucement. Estelle se penche pour glisser son index sur mon Zob. Julie se tourne vers Clémentine : << Raconte-moi ce que tu as fait samedi soir ! >> lance t-elle. Clémentine, avec une foultitude de détails relate notre soirée. Julie pose tout un tas de questions. Estelle donne parfois sa version. J'écoute en me masturbant. C'est hyper excitant. J'observe les expressions des visages des trois filles quand elles évoquent toutes ces saloperies.

C'est tout simplement merveilleux. Soudain, Julie s'écrie : << Quand je sortais avec Juliette, il y a presque trois ans, elle m'a entraîné dans des plans glauques. Pierre m'enculait souvent pendant que sa femme et Juliette mâtaient en se touchant ! >>. Nous écoutons complètement consternés les confidences de Julie. Jamais nous n'aurions imaginé toutes ces situations où Juliette mêlait Julie. << Elles me léchaient toutes les deux la chatte pendant que Pierre m'enculait ! Il me faisait parfois mal ce salaud. Je le trouvais parfois méchant ! >> nous raconte Julie.

<< C'est bien son genre ! >> lance Clémentine. << Il t'a forcé à sucer ? >> demande encore Estelle. << Oui, mais je ne voulais pas ! Il n'a jamais insisté. Par contre j'ai sucé le vieux palefrenier. Un vrai pervers ! >> rajoute encore Julie. << Monsieur Gérard ? >> s'écrie Estelle. << Oui ! >> répond Julie. << J'adorais sucer ce vieux dégueulasse ! J'adore les bites de pervers. La sienne était hyper juteuse ! >> confie Clémentine. Julie précise : << Il était dégueulasse ce mec, il m'a pissé dans la bouche. Je n'ai pas compris tout de suite ce qu'il faisait ! >>.

Cette conversation nous excite considérablement tous les quatre. Nous en apprenons tous les jours. J'observe Julie, ses expressions, l'incroyable air innocent qu'elle a en racontant les anecdotes les plus vicieuses. Nous étions très loin d'imaginer toutes ses aventures intimes. Ce soir Julie semble prendre un plaisir particulier à nous faire ses aveux. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine racontent quelques une de nos aventures, des situations similaires vécues avec les vicelards qui fréquentent Juliette au haras.

Julie, assise en face de nous, donne des détails extrêmement précis. << Combien de fois ne suis-je pas rentrer les mercredis soirs avec le cul défoncé ! Pierre m'attendait avec sa femme et Juliette. Elles le suçaient pour le "préparer" ! >> fait Julie. << Et tu continuais à y aller ! C'est ça qui est fou ! >> lance Estelle. << Je crois que j'aimais bien ça ! Mais au bout de quelques mois, j'en ai eu marre ! >> rajoute Julie. Nous savions que Juliette et Julie entretenaient une relation amoureuse mais nous étions loin d'imaginer ce que cela sous entendait en vrai !

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Julie aime bien faire la plonge. Clémentine, Estelle et moi, nous essuyons. Nous passons au salon. Il est presque 21 h. Je suis entre Estelle et Clémentine dans le canapé. Julie installée dans le fauteuil face à nous. Estelle me branle vulgairement. Julie n'arrête pas de regarder avec attention. Clémentine est tout contre moi, une main dans sa culotte. Julie ne tarde pas à glisser la sienne dans son jeans. C'est moi qui masturbe Estelle. Elle demande : << Dis-nous pour le film, demain ? Ton fantasme ? >>.

Julie baisse les yeux. Silencieuse. Sa main qui bouge dans sa culotte. Sa masturbation lui procure le courage de répondre : << Que Julien me fasse des "trucs" devant la caméra ! >>. Il y a un long silence. Clémentine dit : << Je m'occupe de la caméra ! >>. Estelle rajoute : << Je fais l'assistante. Tu veux que je participe ? >>. Julie reste silencieuse. D'une voix mesurée, je fais : << Julie, mise à part l'enculade qu'il m'est impossible de vous offrir, je peux vous faire tout le reste ? >>. Julie essaie de soutenir mon regard. C'est merveilleux de la voir lutter.

<< Oui ! >> finit elle par répondre. Clémentine précise : << Même la pipe ? Parce que Julien fonctionne surtout à la pipe ! >> Julie s'écrie sans pouvoir se contenir : << Oui, je sais ! Je vous vois faire ! >>. Nous rions de bon cœur. Clémentine se lève. Elle pose un des épais coussins entre mes pieds. Elle s'y met à genoux en tapotant sa place pour inviter Julie à venir s'y installer. Julie s'empresse de nous rejoindre. Assise à ma gauche, elle cesse de se toucher. Penchée en avant, les bras en appui sur ses cuisses, elle regarde cette fellation.

Clémentine me suce passionnément. Son plaisir est double. Exhibitionniste, de se savoir observée, la place dans son élément. Savourer ma queue en gémissant de tant de bonheur. Je passe ma main sous les cheveux de Julie pour la tenir par sa nuque. Je murmure : << Ça vous plaît ? >>. Julie, aussi voyeuse qu'Estelle me répond : << C'est génial ! >>. Estelle qui guide ma bite dans la bouche de Clémentine lance : << Demain, c'est toi qui a Julien dans ta bouche ! >>. Un frisson secoue soudain tout le corps de Julie. Elle glisse sa main dans son jeans.

Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Clémentine me pompe comme si rien n'existait plus autour de nous. Quand Estelle cesse de m'embrasser, nous avons tous deux les mentons trempés de salive. Julie lui demande : << Je peux t'embrasser aussi ? >>. Estelle, totalement décontenancée, reste silencieuse. J'attends cette réponse. Mes vieux fantasmes d'homme des cavernes vont-ils enfin se réaliser ? Clémentine glousse de plaisir. Nos conversations l'amusent. Sans cesser de sucer elle rit. Estelle finit par dire : << Je ne peux pas ! >>.

Elle s'empresse de rajouter : << Ne m'en veut pas Julie. Mais avec les filles je ne peux pas. C'est au-dessus de mes possibilités, de mes penchants ! >>. Je tiens toujours Julie par la nuque. Soudain, la surprenant complètement, j'enfonce ma langue dans sa bouche. Totalement surprise, lascive, complètement déstabilisée par mon initiative, elle passe son bras autour de ma taille pour se laisser faire, couverte de frissons. Estelle m'observe avec attention. J'ouvre les yeux tout en fouillant la bouche de Julie. Elle me fait un clin d'œil hyper vicelard.

Julie ne semble plus vouloir cesser. Sa surprise devient fougue. C'est comme quand nous sommes tous les deux cachés dans le placard. Je retire ma langue pour l'enfoncer dans la bouche d'Estelle. Il y a quelque chose de profondément animal dans l'attitude des deux filles qui attendent que je les embrasse à tour de rôle. Elles sont en sueur. Excitées comme des puces. Je dis : << Demain, devant la caméra, il faut établir l'exacte réplique de ce soir ! >> Clémentine cesse de sucer pour répondre : << Puissance 10 ! >>. Je lui éjacule au fond de la gorge.

Estelle et Julie se penchent toutes les deux pour regarder cet étonnant spectacle. Clémentine, qui tousse, manque de s'étouffer, qui déglutit avec peine. Je tiens Julie et Estelle par leurs nuques. Elles se masturbent toutes les deux. Je suis pris de vertige. J'ai la tête qui tourne. J'ai peur de perdre connaissance. Aucun homme normalement constitué ne peut affronter de telles situations sans risquer un accident cardio-vasculaire. Surtout lorsque cet homme a 54 ans et que tout cela se passe avec des jeunes filles d'un peu plus de vingt ans. C'est dingue !

Estelle s'offre un orgasme soudain. Julie probablement aussi. Sans doute trop timide pour le montrer, c'est son secret. Nous sommes épuisés. Nous quittons le salon pour monter. Julie va aux toilettes seule. Clémentine, Estelle et moi, nous y allons ensemble. Satisfaire nos rituels pisseux est un des derniers plaisirs avant le lit. Julie retrouve son canapé lit avec joie. Je suis entre Estelle qui s'endort doucement et Clémentine qui échangent encore quelques impressions avec Julie. Nous nous endormons rapidement pour rejoindre Estelle et Morphée.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines épuisées après de véritables déluges de plaisirs, de jus, de jouissances, de confidences, de vices...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1797 -



Une journée entière en compagnie de Julie

Hier matin, lundi, il est presque neuf heures. Ce sont les éternuements discrets de Julie, sous ses draps, qui nous réveillent. << Bonjour Julie ! >> lance Estelle. << Bonjour ! >> rajoutons-nous.<< Bonjour ! Je vous ai réveillé ! >> s'écrie Julie comme pour s'excuser. Estelle s'empare de mon érection matinale. Je suis entre mes deux anges. Nous regardons Julie là-bas, assise dans son lit entrain de se moucher. << J'ai souvent des crises d'éternuement le matin ! >> se justifie t-elle encore. Estelle et Clémentine serrées contre moi, nous rions.

Estelle découvre la couette pour montrer à Julie ce qu'elle tient fièrement en main. Julie détourne pudiquement le regard en riant à son tour. Estelle se lève d'un bond en s'écriant : << Pissou ! >>. Elle se précipite vers la porte. En passant tout près de Julie elle dépose une bise sur son front. Clémentine me chevauche en frottant son sexe contre le mien. Julie, extrêmement voyeuse ouvre de grands yeux. Clémentine lui fait : << On n'est pas du matin, c'est meilleur l'après-midi ! >>. Nouvel éclat de rire de Julie qui se lève pour aller aux WC à son tour.

<< Je t'aime mon amour ! Je t'aime ! >> chuchote Clémentine en déposant des bisous en mitraille sur mes joues, mon front, le bout de mon nez. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Estelle et Julie encore en pyjama sont prises de fou rire. Il y a les délicats parfums du café, du pain grillé et des deux croissants dans le four à micro ondes. J'allume une flambée dans la cuisinière à bois. Estelle, comme pour montrer sa "propriété", palpe mes couilles par derrière.

Julie observe avec de grands yeux. << C'est d'abord à moi ! >> lance Clémentine qui palpe mon "paquet" mais par devant. Nous rions de bon cœur quand je prends mes deux anges par leurs tailles pour les serrer contre moi en disant : << Je suis la "chose" de ces demoiselles ! >>. Julie répond : << Elles en ont de la chance ! >>. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. Julie n'ose pas soutenir mes regards. Nous nous régalons chacun de ce quart de croissant aux amandes. Je beurre les tranches de pain grillé des filles.

Dehors il pleut. << Marre de ce temps de merde ! >> lance Estelle. Pas de jogging avec ce temps pourri. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. Avec cette météo, par de balade. << Allez vous entraîner. Je m'occupe de la vaisselle puis je vais encore me coucher un peu ! >> dit Julie en se levant pour débarrasser. Julie n'est pas une adepte de l'entraînement comme nous. Il faut dire qu'elle frôle l'anorexie par sa minceur. Avant de quitter la cuisine nous lui déposons chacun une bise sur le front. Son beau sourire !

Nous montons nous laver les dents en faisant nos habituelles clowneries devant le miroir de la salle de bain. Estelle retire son pyjama pour enfiler son legging en lycra noir, son sweat en lycra jaune. Habillés tous les trois à l'identique nous filons dans notre salle d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants. Un peu de vélo d'intérieur. Exercices au sol, abdos. Les charges additionnelles. Nous privilégions ce matin les barres et les haltères. Retour au calme avec un stretching totalement surréaliste, prétexte à la pure déconne. Estelle prend sa douche.

Nous avons le réflexe de vouloir faire notre lit. Il est déjà fait. Julie est couchée Elle nous fait un sourire toute surprise. Nous la remercions d'avoir fait notre lit. C'est à notre tour d'aller à la salle de bain. Sous la douche Clémentine me dit : << Tu as vu Julie ? Je suis sûre qu'elle était entrain de se masturber quand nous l'avons surprise ! >>. Cela me paraît soudain évident. Ce réflexe quand elle nous a vu entrer dans la chambre. Nous nous habillons comme Estelle. Nos jeans, nos sweats avant de dévaler les escaliers pour la rejoindre au salon. Bisous.

Estelle, devant l'ordi, se lève. << Viens ! >> me fait elle. Assises sur mes genoux, mes deux anges consultent les différentes rubriques sur le site universitaire. Nouvelles informations. Plutôt sympathiques. Les masques sanitaires ne seront plus obligatoires en cours. Chacun sera libre de le porter ou non. << Ce sont de pures mesures démagogiques. Vous verrez, dès les élections présidentielles passées, ils vont nous inventer un nouveau variant, une nouvelle et humiliante de leurs saloperies ! >> lance Clémentine. << Complotiste ! >> s'écrie Estelle.

Nous en rigolons comme des bossus. Nous consultons nos messageries. Estelle a un petit mail de ses parents. Elle ira passer la journée de vendredi avec eux. << C'est le protocole. Je ménage la chèvre et le choux ! >> précise t-elle. Nous avons un courriel de Juliette qui confirme sa venue mercredi soir. C'est à son tour d'emmener le repas. Ce sera une surprise. Il est 11 h. Voilà Julie qui vient nous rejoindre, vêtue comme nous. Elle est radieuse. Ses cheveux noués comme les nôtres, en catogan. Estelle se lève pour la prendre pas ses épaules.

<< Tu es reposée ? >> demande t-elle. Julie répond : << Ici, je dors comme une enclume tombée au fond de l'océan ! >>. Clémentine invite Julie à consulter ses mails. Nous nous levons. Estelle allume le feu dans la cheminée. Le vieil ordinateur rame un peu. Chaque jour il est plus lent. Nous avons en projet d'en acheter un neuf. Un ordinateur de bureau avec la tour. << Le prochain ne durera probablement plus dix ans ! >> dit Clémentine. << Même si vous reprenez un Mac ! >> rajoute Estelle en craquant une longue allumette. Ça flambe direct.

Clémentine reste serrée contre moi. Elle est encore plus caressante que d'habitude. Nous adorons nous faire des papouilles. Cela amuse beaucoup Julie qui surfe sur le site de la Faculté de Lettres Modernes. Elle est toute contente. Elle aussi vient de découvrir les résultats de ses écrits. Estelle nous entraîne dans une de nos farandoles folles. Julie se lève pour venir nous rejoindre. Elle découvre à chacune de ses visites d'autres facettes de notre façon de vivre. Elle est émerveillée. Estelle improvise des paroles. Nous répétons sur un air de comptines.

Nous rions aux éclats. Estelle s'arrête. Elle prend un air grave. Lève l'index vers le ciel d'une manière sentencieuse. Elle martèle ses syllabes en disant : << L'heure est grave. Julien n'a pas encore sorti son Zob ! >>. Nous sommes écroulés de rire. Julie est toute gênée en riant. << Si ce n'est que ça, nous allons l'aider ! >> lance Clémentine en s'accroupissant pour déboutonner ma braguette. Julie me demande : << Vous n'avez toujours que des braguettes boutons ? >>. Je ri. Je réponds : << Toujours. Je ne porte que des Levi's 501. C'est mieux ! >>.

Clémentine et Estelle en portent également. Elles montrent les boutons à Julie qui montre sa tirette. Me voilà devant les trois coquines avec la bite à l'air. Une bite molle qui pend lascivement. Estelle passe son doigt dessous pour la faire rebondir en disant : << Belle bête n'est-ce pas ? >>. Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : << Brave bête ! >>. Elle se serre contre moi pour la tenir entre le pouce et l'index. Elle l'agite vers Julie, vers Clémentine en disant : << Qui qu'en veut ! >>. Nous rions aux éclats. Tout cela nous donne faim.

Nous quittons le salon pour la cuisine. Il suffit de mettre dans le four à bois les quatre gros "vol au vent". Accompagnés de légumes de saison confis. Une préparation de Jean-Louis, le Chef cuisinier du restaurant de l'étang. << Elle vient manger avec nous quand Anne-Marie ? >> demande Estelle qui met les assiettes et les couverts. << Elle est toujours très occupée. La comptabilité, les commandes, les factures, les salaires des employés ! >> répond Julie. Clémentine prépare une belle salade de tomates et de carottes avec un avocat bien mûr.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant les menus possibles pour le repas de ce soir. << Le sexe, la bouffe et le sport ! >> lance Estelle. Nous rigolons. << Julie aussi ! >> rajoute Clémentine. << Merci ! >> dit Julie en cachant son visage dans ses mains. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine parlent de leurs études avec Julie installée sur sa chaise de l'autre côté de la table. J'écoute car c'est toujours très intéressant. J'ai la bite à l'air. Tout en bavardant, Estelle me la tord dans tous les sens. Je bande mou. Ouf !

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous aimerions bien faire une balade mais il pleut des cordes. Estelle nous entraîne dans l'atelier. Julie s'assoit devant le chevalet pour scruter la toile en chantier. Estelle allume le feu dans la cheminée. Clémentine me prend la bite pour m'emmener vers la table de travail. Elle retire son jeans et sa culotte. Estelle et Julie regardent comme ahuries. << J'ai trop envie. Viens ! >> me fait Clémentine en se couchant sur la table. Je frotte mon sexe contre le sien. Il y a un silence total. Clémentine ferme les yeux.

Estelle et Julie viennent nous rejoindre. Penchées toutes les deux en avant, leurs mains en appui sur les genoux, elles observent ma lente et précautionneuse pénétration. Elles retiennent toutes les deux leurs respirations. Concentrées , en apnées. Estelle à ma gauche, Julie à ma droite. Je m'enfonce doucement dans Clémentine. Elle ouvre les yeux pour nous regarder en souriant. Lorsque nous faisons l'amour, nous adorons rester immobiles. << C'est comment mademoiselle ? >> demande Estelle. << C'est parfait. C'est doux ! >> répond Clémentine.

<< C'est génial aussi ! >> rajoute Julie qui a une main entre ses cuisses. Elle s'est redressée pour contourner la table. En appui sur ses coudes, son visage tout près de celui de Clémentine elle scrute ses expressions. Estelle se touche. De sa main libre elle me tient par la taille. Clémentine se redresse pour se mettre en appui sur ses coudes. Les filles se mettent à échanger leurs impressions. Clémentine répond à quelques questions de Julie. Elle raconte des anecdotes passées, des souvenirs. Julie veut surtout en savoir plus sur la "première fois".

Je reste sans bouger. Profondément enfoncé. Clémentine raconte et discute le plus naturellement du monde, pénétrée jusqu'aux couilles. Estelle, n'en pouvant plus, s'écrie : << Et moi ? Je sens le pâté ? >>. Elle retire son jeans, sa culotte, pour s'allonger à côté de Clémentine. Je passe de l'une à l'autre. La présence de Julie offre une ambiance très particulière. Toutes en étant pénétrées tour à tour, mes deux anges bavardent avec le plus grand naturel. Je commence à sentir mon lombaires. Clémentine se redresse. << Je prépare la caméra ! >> dit elle.

<< Oh oui ! >> s'écrie Julie. Estelle se lève à son tour en disant : << Venez ! On monte se changer ! >>. Elle me prend la main. Je prends celle de Julie. Clémentine nous accompagne pour nous laisser devant la porte du salon. Nous montons les escaliers à toute vitesse. Julie, pudique, emmène son sac de sport à la salle de bain. Estelle et moi restons dans la chambre. << Comme j'aime baiser avec toi. Et la manière dont ça s'est passé cet après-midi a toute ma préférence ! >>. Nous nous embrassons passionnément. << Je t'aime ! >> dit elle.

Le film

Clémentine fait un essai caméra. Je suis le premier à être revenu dans l'atelier. Tout fonctionne parfaitement. Clémentine se serre contre moi, sa main sur ma braguette qu'elle palpe en murmurant : << Soit salaud. Il n'y a pas que Julie qui aime ça ! >>. Sans me laisser le temps de répondre Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande presque instantanément. Je passe mes mains dans son cou, je caresse ses joues. Nous sommes tous deux à frissonner. Je dis : << Je suis fou amoureux de toi ! >>. Clémentine se frotte contre moi.

Estelle revient la première. Elle nous découvre dans un baiser passionné. << Et moi ! >> s'écrie t-elle ! Nous n'avons pas le temps de répondre, voilà Julie. Il fait délicieusement chaud dans l'atelier. Estelle est vêtue de sa jupe kilt à carreaux rouges, de son chemisier crème sous un pull bleu nuit au col en "V". Ses escarpins noirs à talons hauts. Ses bas noirs. Terriblement sexy. Ses long cheveux qui flottent en liberté. Julie est habillée de sa tenue de serveuse. Jupette noire, chemisier blanc, bas noirs, ses souliers noirs à légers talons. Sublime.

Estelle vient se blottir contre moi. Elle aussi fourre sa langue dans ma bouche. Elle palpe la grosse bosse qui déforme ma braguette. Mon pantalon de cuir noir et moulant offre aux regard tous les détails de mon anatomie intime. Ma chemise blanche aux manches bouffantes. Mes cuissardes. J'ai trop chaud dans cet accoutrement. << Mon mousquetaire ! >> s'écrie Estelle en m'entraînant par la main pour me faire tourner. Je me sens un peu ridicule. Julie me dévore des yeux. << On dirait un personnage d'un roman d'Alexandre Dumas ! >> dit elle.

C'est surtout cette énorme bosse qui déforme le cuir de ma braguette qui attire son regard. Julie pose sa main sur sa bouche dans un étonnement non feint. << Superbe, non ? >> lance Clémentine. << Ça m'excite grave quand tu es habillé comme ça ! >> s'écrie Estelle en passant sa main sous sa jupe. Elle s'accroupit en écartant ses cuisses. Estelle porte toujours une culotte. Blanche, étroite, qui laisse dépasser des deux côtés son invraisemblable broussaille. Julie s'accroupit pour regarder en lançant : << Tu laisses tout pousser ? >>.

<< Oui ! Tout ! >> répond Estelle. << On tourne ? >> demande Clémentine qui s'impatiente en se touchant. Comme la dernière fois, la chaise est disposée à côté du pilier central de la grande pièce. Il fait tellement sombre que deux lampes à halogène éclairent l'endroit d'un halo légèrement mystérieux. C'est Julie qui est debout. Elle tient le dossier de la chaise. << Moteur ! >> lance Clémentine. Il est curieux de voir les expressions de Julie changer. Une soudaine sérénité, une soudaine confiance en elle. C'est un étrange paradoxe de plus chez Julie.

J'entre dans le champs de la caméra. Je tourne lentement autour de Julie et de la chaise. J'approche mon visage du sien pour en scruter chaque trait. Elle me regarde du coin de l'œil. Cette jeune fille a un véritable don pour la comédie. Je ne joue pas aussi bien. Je suis censé être le "Maître" de cérémonie. J'improvise. Je saisis Julie par les épaules. Délicatement. Je la fais s'assoir sur la chaise. Sans que je ne fasse quoi que soit d'autre, Julie s'y installe à l'envers, le dossier entre ses cuisses largement écartées. Juste son porte-jarretelles, pas de culotte.

Mon sang ne fait qu'un tour. Je dois garder le contrôle et interpréter mon personnage. Je me penche. J'essaie de me présenter de face devant l'objectif autant que possible. Je m'accroupis pour regarder sous sa jupette. Estelle entre dans le champs de la caméra. Elle reste debout pour se saisir de mon catogan. Je glisse doucement ma main sur le genoux droit de Julie. Je monte lentement l'intérieur de sa cuisse jusqu'à son sexe. Elle est couverte de frissons. Ce sont même des tremblements. C'est merveilleux. Je glisse mon doigt entre ses lèvres.

Je fais comme lorsque nous sommes tous deux enfermés dans le placard. Estelle s'accroupit derrière moi. Elle palpe ma turgescence. Je bande tellement fort que c'est douloureux. Je ne porte pas de slip pour l'occasion. Estelle, avec beaucoup d'attention, descend la tirette de ma braguette. Prudemment. Pour ne pas risquer de me blesser. J'apprécie cette attention. Je vais d'étonnement en étonnement. Quand je passe mon doigt vers le trou du cul de Julie, je découvre qu'elle porte son plug anal. J'appuie un peu dessus. Elle en sursaute de plaisir.

Estelle vient d'extraire mon sexe qu'elle tient d'une poigne de fer. Je caresse le minou de Julie. Elle garde les yeux fermés, la tête légèrement renversée en arrière, les coudes en appui sur le dossier de la chaise. J'enfonce mon doigt dans son sexe. Elle a un spasme en poussant un petit cri indéfinissable. Je le tourne doucement. La position n'est pas très confortable. Ni pour Julie, ni pour Estelle, ni pour moi. Je me redresse. Estelle tombe à genoux. Elle enserre ma jambe de ses bras comme une naufragée à sa branche, sa tête contre ma hanche.

Je saisis Julie sous le menton, par la nuque. J'approche mon sexe de son visage. Elle a ce réflexe féminin de crainte mêlé d'étonnement. Je la maintiens plus fermement d'une seule main, par sa nuque fine et si fragile. Je tiens ma queue sur la main d'Estelle qui ne la lâche pas. Je frotte mon sexe sur le visage de Julie. Elle garde ostensiblement la bouche fermée. Je n'ose pas utiliser mon stratagème habituelle. Il serait pourtant tellement facile de lui pincer le nez. Pour pouvoir respirer, Julie n'aurait d'autre alternative que d'ouvrir la bouche. Je n'y arrive pas.

Tout comme Estelle qui m'a appris à surmonter toutes formes d'appréhension, ce merveilleux visage d'ange me fascine autant qu'il m'excite. Je bande pourtant comme un patient atteint d'un priapisme en phase terminale. Je me contente de passer mon sexe sur sa bouche, d'en faire le tour plusieurs fois. Je le passe sur ses joues, sur ses paupières closes. Je lui bloque ma bite sous chaque narine afin qu'elle puisse en humer les parfums les plus intimes. Cette odeur de bite dont raffolent les "connaisseuses". Peut-être certaines autres également aussi !

Estelle, penchée pour observer, ne perd pas une miette de cet étonnant spectacle. Je cesse car je n'ai pas le courage d'aller vers d'autres extrémités. Je prend Julie sous les aisselles après avoir palpé ses petits seins fermes et pulpeux sous son chemisier. Je le déboutonne. Julie ne porte pas de soutien-gorge pour les besoins du film. Quel délice de caresser ces deux bulbes de chair. Depuis plus de cinq ans, je n'ai plus l'habitude de tenir une poitrine aussi généreuse. Julie en gémit de plaisir. Estelle se redresse à son tour. Serrée tout contre moi.

Ma bite dans la main, qu'elle agite vers la caméra, elle regarde la mienne caresser les seins de Julie. << Comme c'est bon. Comme vous êtes doux et délicat ! >> ne peut s'empêcher de murmurer Julie. Je sens ce soudain réflexe de jalousie qui anime la poigne d'Estelle. Elle me tord la queue comme pour me punir. Je me penche pour enfoncer ma langue dans la bouche de Julie. Lascive, offerte, juste tenue par mon bras autour de sa taille, Julie s'offre complètement. Estelle se penche pour gober ma raideur. Je bande comme le dernier des salauds.

Je passe ma main libre sous la jupette de Julie. Elle se cambre, sur la pointe des pieds, cuisses écartées pour me permettre le meilleur accès. Je lui enfonce un doigt. Deux doigts. Je la fouille. Elle en bave. Nous avons rapidement les mentons trempés de salive. Estelle s'accroupit devant moi, tournant le dos à la caméra pour me tailler une pipe des familles. J'embrasse Julie jusqu'au vertige. Je la doigte. Elle se masturbe sur ma main en tenant mon poignet. Pas seulement pour me guider mais pour que surtout je ne cesse pas. C'est merveilleux.

Comme lorsque nous sommes tous deux enfermés dans le placard, j'offre à Julie un orgasme qui la fait vaciller. Je suis obligé de la retenir. Elle risque de s'effondrer. Elle pèse de tous son poids sur mon bras. Estelle qui me pompe comme une affamée. Julie se reprends doucement en haletant. Je murmure à son oreille : << Tu es merveilleuse, comme un diamant qui se révèle dans l'obscurité ! >>. Je ne sais pas pourquoi je prononce ces mots stupides. Je m'écoute les prononcer. Estelle qui vient d'entendre marque son courroux d'un coup de dents.

Je me penche pour lui chuchoter : << Ne soit pas jalouse, tu restes ma pépite d'or massif ! >>. Julie me chuchote : << Je n'ai jamais rien vécu d'aussi fort ! >>. Je tourne la tête pour regarder Clémentine. Toute rouge, en sueur, elle se masturbe des deux mains. La caméra, sur son trépieds, filme en mode automatique. Il y a d'ailleurs la diode jaune qui clignote. Il doit rester deux minutes de batterie tout au plus. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. En sournois. Sans prévenir mais en l'attrapant par les oreilles pour bloquer sa tête contre mon bassin.

Je vide mes couilles dans un hurlement de sauvage. Julie reste pendue à mon cou, sa tête sur ma poitrine pour regarder ce qui se passe. Estelle en tousse. Elle subit là une véritable explosion de sperme. Il en coule de ses narines. Des larmes coulent sur ses joues. Elle manque de suffoquer. Elle a des hauts le cœur, des hoquets. Elle tousse encore en poussant des râles profonds et sonores. Je la lâche enfin. Elle reprend son souffle dans un cri libérateur. Les bips sonores de la caméra. << On a tout ! C'est dans la boîte ! >> s'écrie Clémentine.

J'aide Estelle à se redresser. Elle me lance un regard de reconnaissance. C'est comme si elle avait pleuré. Des larmes coulent encore de ses yeux. Je la serre contre moi. Julie s'assoit sur la chaise, comme épuisée, vidée de ses forces. Clémentine vient nous rejoindre. Nous restons tous les trois serrés dans nos bras. Julie nous observe avec tant d'amour. Je murmure à Clémentine : << Ce soir, après le repas, je t'offre un sublime cunnilingus, tu l'as bien mérité ! >>. Estelle s'adresse à Julie pour dire : << Nous aurons du spectacle ! >>. Elle s'essuie le visage.

Il est 18 h30. La nuit est tombée. Clémentine vérifie la camera. Tout a parfaitement fonctionné. Le film dure très exactement 48 minutes. << On se le regarde ce soir, après le repas ? >> lance t-elle. << Je vais devenir folle de plaisir dans cette maison ! >> s'écrie Julie. << Bienvenue dans l'asile d'aliénés ! >> répond Estelle qui termine de déglutir avec peine. Je lui dépose un bisou sur le front en chuchotant : << Tu es une divine suceuse. Demain, pour te récompenser, je te baise tout l'après-midi ! >>. Estelle s'écrie : << C'est promis hein ! >>.

Nous sommes vraiment épuisés. Curieusement, ce soir, il n'y a aucun phénomène de hantise. Il ne se passe rien à l'étage. Pas le moindre bruit à part le crépitement des dernières braises dans la cheminée. Nous quittons l'atelier. Clémentine nous attend à la cuisine. Estelle, Julie et moi, nous montons nous changer. Comme c'est agréable de nous retrouver en jeans, en sweats et avec nos esprits à nouveau lucides. Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Clémentine. Elle prépare la salade. Estelle surveille le gratin de coquillettes dans le four à bois.

Julie met les assiettes et les couverts. Je fais revenir les calmars dans la poêle. Avec des bolets, de l'ail, de l'oignon. Je procède à un déglaçage en rajoutant un peu de lait de soja avec des petits cubes de Roquefort. Tout est près. Quand Estelle sort le gratin de coquillettes merveilleusement doré, c'est un autre vertige qui nous saisit. Nous mangeons de bon appétit. Comme terriblement gênée, Julie évite de croiser mes regards. Je la félicite quand même pour ses qualités d'actrice. Lorsqu'elle interprète un rôle, elle change de personnalité.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, Estelle et Clémentine reviennent sur notre projet de ce soir. Nous sommes si fatigués qu'il est décidé de remettre cette soirée cinéma. Ce serait dommage de ne pas pouvoir profiter pleinement de tous les savoureux plaisirs qu'une telle soirée peut nous offrir. De toute façon ce film totalement privé est la propriété de Julie. C'est à elle de décider des suites. << Si on se le mâte lundi prochain, Estelle ne sera pas avec nous ! >> fait Julie. << Oui, je veux être avec, je joue dedans tout de même ! >> dit Estelle.

Nous nous promettons de revoir tout cela. << Je vous jure solennellement que personne ne verra jamais ce film ! >> lance Julie assise en face de nous. Je m'empresse de dire : << Mais nous avons une totale confiance en vous. Ce n'est même pas la peine d'en parler. Et moi, personnellement, je m'en contre fout complètement d'être vu ! >>. Estelle s'écrie : << Moi aussi, rien à foutre ! >>. Julie rajoute : << Moi, je n'aimerais pas ! Je suis voyeuse pas exhibitionniste ! >>. Elle a du mal à garder son sérieux. Nous éclatons de rire comme des fous.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous passons au salon. << Comment va mon doudou ? >> demande Estelle en s'emparant de ma bite toute molle. Je réponds : << Ton doudou a tellement servi qu'il en est tout rabougri, tout congestionné ! >>. Julie s'écrie soudain : << Je reviens jeudi soir, on se fait une soirée cinoche ! Ça vous dit ? >>. Nous la regardons tout surpris. Nous disons presque en même temps : << Et comment ! >>. Nous restons vautrés dans le canapé. Julie dans le fauteuil. Tous les quatre très "vaseux". Nous faisons un "plan".

Nous mettons au point l'emploi du temps de chacun jeudi soir. Julie propose de venir pour 18 h. Nous lui ferons la surprise d'un bon repas. Elle ramènera la clef USB sur laquelle Clémentine est entrain de télécharger la carte SD. Nous regarderons le film réalisé cet après-midi sur l'écran géant. Des réjouissances en perspective. << Mais je ne dormirai pas là ! >> précise Julie. Nous réglons les derniers détails. La soirée cinéma s'annonce déjà sous son meilleur angle. << Je ramène le dessert ! >> lance encore Julie en baillant. Nous montons nous coucher.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment se faire niquer à tour de rôle, sur la table et sous les yeux d'une autre luronne...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1798 -



Un après-midi de baise, une soirée avec Juliette

Hier matin, mercredi, il est neuf heures. Estelle se serre encore plus fort contre moi en gémissant à mon oreille. Toute la nuit elle est restée accrochée à moi. Clémentine se réveille à son tour pour venir se blottir. Je suis entre mes deux anges. Ce matin, il est difficile d'émerger. Distribution de bisous. Estelle saisit mon érection matinale. Clémentine empoigne mes couilles. Nous regardons Julie, là-bas, dans son canapé lit qui s'étire. Elle nous lance un timide : << Bonjour ! >>. Nous répondons << Bonjour Julie ! >> quasiment en même temps.

Comme tous les matins Estelle découvre la couette pour montrer le trophée qu'elle tient dans la main. D'un tout aussi timide sourire, Julie lance un petit cri d'amusement. Estelle se lève d'un bond pour se précipiter vers la porte. En passant tout près de Julie elle dépose un bisou sur son front. << Clémentine se couche sur moi en disant : << C'était sublime, hier, non ? >>. Julie répond : << Je vis ici les évènements les plus extraordinaires ! >>. Elle se lève pour aller vers la porte. Clémentine se frotte sur mon sexe, murmurant : << Extraordinaire ! >>.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, habillés de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle et Julie dans la cuisine. Les douces effluves du café, du pain grillé qui flottent dans les airs. Estelle et Julie, encore en pyjama sont entrain de rire. Estelle mime une masturbation masculine avant de se pendre à mon cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, c'est ainsi que je la promène dans toute la grande pièce. Julie nous observe, amusée. C'est au tour de Clémentine. C'est un de nos rituels matinal.

Je viens vers Julie. Je lui tends mes bras. Elle s'y jette comme si elle se jetait dans la mer. Je la soulève. C'est la toute première fois. Elle a le même réflexe d'enserrer ma taille. Je la dépose toute heureuse. J'aide Estelle à allumer le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur le film réalisé hier. Nos folies de l'après-midi. Julie est fermement décidée à revenir demain pour la "soirée cinéma". Nous mangeons de bon appétit. J'écoute les filles échanger leurs impressions. Cela nous excite déjà considérablement.

Julie se propose de faire la vaisselle. Elle ne s'entraîne pas avec nous. Elle pratique parfois le jogging quand la météo le permet. Et là, en constatant ce qui se passe au dehors, pas question d'aller courir. Il pleut. Il y a des bourrasques de vent qui jettent des paquets d'eau contre les vitres. Nous laissons Julie pour remonter. Nous nous lavons les dents. Estelle se change. Nous faisons notre lit, celui de Julie. Nous filons dans la salle d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles, un bon stretching.

Estelle prend sa douche la première. Assis sur le bord de la baignoire, Clémentine et moi nous restons serrés à nous embrasser, à écouter Estelle chanter. C'est à notre tour. Je coiffe les filles qui adorent ça. Vêtus tous les trois à l'identique de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux. Julie arrive dans la salle de bain. Nous la laissons à sa toilette en déposant sur son front une bise avant de dévaler les escaliers. Au salon, assises sur mes genoux, mes deux anges consultent le site universitaire, nos boîtes mails. Juste le message de Juliette.

Julie vient nous rejoindre. Il est presque onze heures. Elle devra nous quitter dans une demi heure. Tristounette elle nous dit : << C'est tellement bien ici, d'être avec vous. Je dois me faire violence, me raisonner ! >>. Clémentine se lève pour la prendre par les épaules. Elle fait : << Il y a toujours un grand vide quand tu t'en vas ! C'est dur ! >>. Estelle se lève à son tour pour les rejoindre. Elles sont pleines d'affections pour notre douce amie. Je rajoute : << Tu nous manques autant que nous te manquons ! >>. Je rejoins le trio. Je saisis Julie.

Je la soulève comme une jeune mariée pour l'emmener faire le tour de la grande pièce. Elle rit, ses bras autour de mon cou. Estelle et Clémentine appuyées contre le bureau assistent à ce manège en souriant de compassion. Estelle allume le feu dans la cheminée. Julie est accroupie à ses côtés pour regarder. Clémentine est tout contre moi. Nous sommes au spectacle. Je murmure à l'oreille de Clémentine : << J'aimerais faire l'amour avec vous mademoiselle ! >>. Clémentine chuchote : << Mais faites donc cher monsieur, faites donc ! >>.

<< Pas de messes basses sans curé ! >> lance Estelle qui vient nous rejoindre. Julie assiste toujours à ces scènes avec grand intérêt. Les minutes passent inexorablement. Estelle déboutonne ma braguette. Elle en sort le locataire pour l'agiter en direction de Julie qui baisse les yeux, soudainement aussi timide qu'une première fois. Nous raccompagnons Julie dans le hall d'entrée. Nous enfilons nos anoraks. Je prends le sac de sport qui contient les vêtements et le pyjama de Julie. C'est sous l'immense parapluie que nous la raccompagnons à sa voiture.

Il faut ruser contre les rafales d'un vent tempétueux. Derniers bisous. Nous regardons l'auto monter jusqu'au portail ouvert. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer au sec, au chaud. Nous nous serrons forts tous les trois. C'est vrai que Julie laisse un vide. Un vide qui ne dure toutefois que le temps de préparer notre repas. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Estelle fait gonfler du riz complet. Dans la poêle je fais rissoler trois gros pavés de saumon. Je retourne sans arrêt pour bien les saisir. De l'ail, de l'oignon. Persil, ciboulette.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de nos vacances. << On s'est hyper éclatés ! >> lance Estelle. << Et ce n'est pas fini ! >> s'écrie Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes anges font le vague programme de l'après-midi. Avec cette météo pitoyable les possibilités sont extrêmement restreintes. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nos clowneries habituelles. Les filles m'entraînent par les mains pour dévaler les escaliers.

Nous allons dans l'atelier. L'atelier qui est le cadre d'activités intenses qui n'ont rien à voir avec la peinture. Nous nous y sentons tellement bien. Estelle allume une belle flambée dans la cheminée. Il fait sombre. Les deux grandes baies vitrées, l'une orientée à l'Est, l'autre au Nord, sont ruisselantes d'eau de pluie. Je sors ma queue en disant : << J'ai comme une vague idée ! >>. Estelle demande : << Est-elle vraiment aussi vague que ça ? >>. Clémentine s'accroupit immédiatement pour me la saisir. << Mmhh ! >> gémit elle en la humant.

Je dis : << Si tu enlèves ton jeans, ta culotte, je te prends partout dans l'atelier ! >>. Je ne suis pas obligé de réitérer ma proposition. Clémentine se redresse pour retirer ses vêtements. Je fais de même. Nous voilà en chemises et en chaussettes. Clémentine se jette dans mes bras. Je la soulève pour l'emmener vers la table sur laquelle je l'installe. Estelle, toujours occupée à réunir les buchettes incandescentes avec le tisonnier nous observe. Je tiens Clémentine par ses chevilles. Elle est couchée sur la table. Je frotte mon sexe contre le sien.

Clémentine saisit ma bite pour se l'enfoncer doucement. Centimètre par centimètre. Je caresse son clitoris géant avec mon pouce. Je le prends entre les doigts. Je presse un peu, de multiples fois. Me voilà complètement enfoncé dans Clémentine. << Il est 14 h30 et vous baisez déjà ! >> lance Estelle qui déboutonne son jeans pour y glisser sa main. Elle tourne autour de la table en se touchant. Pour une telle voyeuse quelle plus belle attractivité ? Elle vient quelquefois tout près de moi pour palper mes couilles par derrière. Se frotter à mes fesses.

Elle glisse un doigt dans ma raie pour titiller mon trou de balle. Clémentine et moi restons le plus souvent parfaitement immobiles l'un dans l'autre. Par petites contractions de nos muscles fessiers nous communiquons ainsi. Parfois en appui sur ses coudes, Clémentine me fixe. Nous adorons faire l'amour de cette façon. Lorsque je suis en elle Clémentine se masturbe toujours. Estelle me chuchote des cochonneries qui nous font rire. Elle passe les doigts de sa main libre de mes couilles à mon trou du cul. Sans jamais y enfoncer l'index. Heureusement.

J'embrasse Estelle. Des baiser fougueux et passionnés. Autant de stimuli visuels qui font monter l'excitation de Clémentine. Je la soulève pour l'emmener ainsi. Assise sur ma queue, je la promène dans toute la grande pièce. Estelle nous suit sans jamais me lâcher les roubignoles. Elle profite de chaque arrêt pour se serrer contre mes fesses. Je dépose Clémentine dans le canapé pour me coucher sur elle. Estelle retire enfin son jeans et sa culotte. Elle s'enfonce les doigts avant de me les montrer, complètement trempés et luisants. Je les suce.

Estelle s'installe inconfortablement sur l'accoudoir du canapé. Elle se tient au dossier d'une main en écartant les lèvres de sa chatte. J'ai mon visage entre ses cuisses. Ses fesses au-dessus de celui de Clémentine. Tout est baisant doucement, je me bouffe de la chatte juteuse. C'est enivrant. J'en ai des vertiges. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la surprend soudain. Je devrais préciser, la série d'orgasmes qui s'enchaînent. Elle pousse de petits cris d'animal blessé en me repoussant délicatement. Estelle jouit presque en même temps. En hurlant.

Tout cela dure depuis plus d'une heure et demi. Nous sommes tous les trois avachis dans le canapé. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. J'ai débandé. J'ai la bite et les couilles comme congestionnées. Nous nous endormons sans même nous en rendre compte. Ce sont les petites explosions successives dans le crépitement de la cheminée qui nous arrachent de nos profonds sommeils. Nous en avions réellement besoin. On n'arrête pas de s'abstraire dans les étourdissements d'une sexualité délirante, jour après jour. Nous prenons une bonne collation.

Il est 18 h. Clémentine nous entraîne par la main. Il faut s'habiller. Je mets deux bûches dans l'âtre. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. La tarte aux noix pour le dessert a décongelé. Nous mettons les assiettes et les couverts. << C'était merveilleux Julien ! >> me fait Estelle en se frottant contre moi. << C'était divin ! >> rajoute Clémentine qui fait pareil. Je suis entre mes deux anges que je tiens par la taille. Deux anges qui se frottent contre mes hanches en me couvrant les joues de bisous. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite.

Elle revient suivie de Juliette. Comme toujours, dans sa tenue de travail. C'est à dire dans sa tenue d'écuyère. Ce soir Juliette porte sa natte. Elle est contente de revoir Estelle. Je débarrasse la jeune femme de ses deux Tupperwares. L'un contient la salade. L'autre contient une splendide tarte doré. << Une tarte aux champignons. C'est une recette de ma sœur ! >> lance Juliette. Morts de faim, nous sommes pressés de goûter. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la "soirée pipe" de samedi dernier. Nous en gardons un super souvenir.

Surtout Clémentine qui avait trois bites pour elle. Celle de Léon le vieux retraité pervers, celle de Pierre, la mienne. Juliette aime beaucoup poser les questions les plus insidieuses. Clémentine adore y répondre avec un luxe de détails. << Je vous propose une récidive samedi prochain. Ça vous tente ? >> demande Juliette. << On se contacte par mails vendredi, OK ? >> répond Clémentine. << Moi, je reste exclusivement avec Julien ! >> s'écrie Estelle en prenant ma main. Juliette nous fait un merveilleux sourire en lui disant : << Égoïste ! >>.

Nous rions de bon cœur. Juliette nous raconte ses journées de chef d'entreprise. Tenir une pension pour chevaux représente une somme de travail insoupçonnée. Je me lève pour agiter ma bite en direction des filles. La soirée se passe ainsi. Après la vaisselle nous passons au salon. Juliette se touche effrontément à travers son pantalon hyper moulant. Estelle me branle. Je suis entre mes deux anges. Nous écoutons et regardons Juliette. Il est 22 h quand nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Peut-être à samedi chère madame.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment à se savourer une bonne queue juteuse dans un bon lit avant de s'endormir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1799 -



Julie nous fait une belle surprise

Hier matin, jeudi, une fois encore Estelle me tire de mon profond sommeil. Il est neuf heures quand elle glisse sa main dans mon slip. D'un mouvement précis elle empoigne mon érection matinale en se serrant contre moi. Un mouvement masturbatoire contre ma hanche. Ce qui réveille Clémentine. Elle aussi vient se blottir en se frottant. Je suis entre mes deux anges "frotteuses", dans un véritable enchantement paradisiaque. Je les entoure de mes bras. Distribution de bisous, de papouilles dans la confusion d'un éveil encore très hésitant.

Estelle se lève pourtant rapidement, torturée par l'impérieux besoin naturel. Elle se précipite vers la porte. Clémentine appuie son mouvement masturbatoire en chuchotant. << J'aime quand tu m'aimes. Surtout comme hier après-midi ! >>. Elle dépose des bises en mitrailles sur mes joues, mon front , mon nez. C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra jaune, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle dans la cuisine. Il y a déjà ces suaves parfums de café, de pain grillé.

Comme tous les matins, les rituels sont les mêmes. Je soulève Estelle pour la promener dans toute la grande pièce. Je soulève Clémentine pour faire pareil. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier, sur la visite de Juliette. La proposition qu'elle nous a faite pour samedi soir. Nous mangeons de bon appétit en faisant le très vague programme de la journée. Il faut débarrasser pour faire la vaisselle avant de remonter nous laver les dents. Estelle quitte son pyjama pour s'habiller comme nous. Ce matin, ce sera un jogging.

Nous enfilons nos K-ways. Les gants, les bonnets. Le thermomètre extérieur indique 10° alors qu'il n'est encore que 9 h30. Quelques mouvements d'échauffement dans la fraîcheur humide. Nous courons le long de la route car le sol est détrempé. C'est Estelle qui donne le rythme soutenu et rapide que nous affectionnons. Quel bonheur de pouvoir pratiquer ce running. Ça nous manque. Il est 10 h35 quand nous sommes de retour. J'ai laissé le portail ouvert. Estelle prend sa douche la première. Nous allons au salon. Clémentine allume l'ordinateur.

Assise sur mes genoux elle fait une petite visite sur le site de l'université. Aucune nouvelle information. Nous avons deux courriels. Celui de Juliette qui réitère sa proposition de "soirée à plusieurs" et celui de Julie qui nous confirme sa venue pour 14 h cet après-midi. Elle a réussi à se dégager de ses impératifs surtout psychologiques. Clémentine se réserve vingt quatre heures de réflexion avant de répondre à Juliette. Nous envoyons un petit message de bienvenue à Julie. Estelle vient nous rejoindre habillée de son jeans, de sa chemise à carreaux.

C'est à notre tour de monter à la salle de bain. Clémentine adore quand je la savonne des pieds à la tête. C'est à la fois amusant et délicieux de s'embrasser sous le filet d'eau. Habillés comme Estelle nous descendons la rejoindre au salon. Elle est entrain d'allumer la cheminée après avoir allumé la cuisinière à bois. << Tu sais que je me sens très amoureuse ce matin ! >> dit elle en palpant ma braguette. << Moi aussi ! >> lance Clémentine en se serrant contre ma hanche. << Très frotteuse aussi ! >> rajoute t-elle pendant qu'Estelle me déboutonne.

Dehors le ciel reste gris mais lumineux. Il fait très nettement moins froid. Il n'est que 11 h15 et il fait déjà 14°. Nous mettons nos anoraks. << Corvée de bois ! >> fait Estelle. Nous traversons la pelouse en restant sur les dalles de grès. Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches que nous disposons à côté de la cuisinière à bois. À côté de la cheminée du salon. À côté de la cheminée de l'atelier. Deux voyages. Clémentine nous entraîne dans la maison d'amis. Estelle, qui adore allumer le feu, s'occupe de celui de la cheminée.

Il est bon de faire chauffer cette maison inhabitée. Clémentine enclenche les convecteurs électriques. Je vérifie le niveau d'eau dans les tubulures de cuivre du chaudron de fonte noire. Une fois bouillante cette eau alimentera les radiateurs de l'étage. Quand ce n'est pas Estelle qui glisse sa main dans ma braguette, c'est Clémentine. Distribution de bises. Il commence à faire faim. Nous quittons la dépendance pour traverser le jardin. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une pâte à crêpe. Je fais rissoler des crevettes, des ronds de calmars.

Ce sont les préparations pour les beignets de crevettes de ce soir. Nous épluchons, nous lavons et nous coupons de fines tranches de pommes de terre. Estelle les fait frire à la poêle sans cesser de les retourner. Des chips qu'elle dépose méthodiquement sur des feuilles de papier absorbant. J'égoutte les spaghettis pour midi. Dans une autre poêle je fais rissoler trois dos de cabillaud blanc. Un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Clémentine râpe du Parmesan. La pâte à crêpe repose dans un saladier, sous un linge, sur le réfrigérateur.

Les crevettes et les ronds de calmars sous un couvercle sur la desserte. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Même lorsque la conversation n'a rien de tendancieuse, Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Clémentine mime une fellation. Moi, comme j'ai sorti ma bite, je me lève pour l'agiter vers les filles. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges font déjà mille projets pour les prochaines vacances. Des vacances qui commenceront le samedi 9 avril. J'écoute très amusé.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents. << Garde ta bite à l'air, Julie aime ça autant que nous ! >> lance Estelle lorsque nous nous essuyons la bouche. Nous dévalons les escaliers. Julie est là. Quelle belle surprise. Elle nous montre le petit gâteau à la mousse de framboise posé sur la table de la cuisine. << Le dessert pour ce soir, devant le film ! >>. Nous lui faisons des bises. Nous la remercions d'être de retour. Nous avons prévu d'aller en ville cet après-midi. Acheter un nouvel ordinateur à la FNAC.

<< Génial ! >> lance Julie toute contente, radieuse. Elle reste serrée contre Estelle qui la tient affectueusement par les épaules. Pas de chichis, pas de manières. Nous restons vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Nous enfilons nos blousons de cuir. Une écharpe autour du cou, nos bottines. Tout comme Julie dont la joie illumine son visage. Elle porte ses lunettes d'étudiante. Je propose de prendre la Mercedes. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Julie et Estelle, assises à l'arrière racontent d'amusants souvenirs.

Il y a une quinzaine de kilomètres. Julie se penche souvent par dessus les sièges pour regarder ma bite raide dans la main de Clémentine. Julie est toujours impressionnée quand elle est dans le "porte-avion" comme Estelle appelle ma voiture. Je dis : << Je la vends l'an prochain. Si tes parents sont intéressés ! >>. Estelle s'empresse de répondre : << Mais l'ancienne qu'ils t'ont acheté fonctionne encore très bien ! Mes parents n'ont pas tes moyens ! >>. Nous rions de bon cœur. Je rajoute : << Oh mais l'an prochain elle sera moins chère ! >>.

Nous arrivons en ville. Je gare l'auto dans la ruelle habituelle à une dizaine de minutes de la FNAC. Clémentine me tient par la main. Estelle tient la main de Julie. C'est ainsi que nous marchons d'un bon pas. Nous attirons encore bien des regards. Julie est toute petite entre nous. C'est amusant d'en prendre conscience dans cet environnement urbain. Nous ne prenons jamais les escalators. Nous aimons l'exercice. Stimuler nos systèmes cardio-vasculaires est une priorité de sportifs. Voilà le rayon informatique du premier étage. Peu de monde.

Il y a un vendeur qui vient à notre rencontre dans les allées. Clémentine le remercie. Nous allons choisir et nous le rappellerons plus tard. Clémentine reste tout contre moi. Estelle et Julie nous suivent. Nous regardons les différents ordinateurs. Cette fois ce sera un portable. << De toutes manières, il ne tiendra plus dix ans, quel qu'en soit le prix ! >> précise Clémentine en lisant les caractéristiques de chaque appareil. Clémentine maîtrise parfaitement l'outil informatique. C'est sa génération. Je peux me fier à ses connaissances, ses compétences.

Tout comme Estelle et Julie qui scrutent les étiquettes. Estelle qui me palpe discrètement la braguette à plusieurs reprises. Julie, comme admirative, est beaucoup plus intéressée par cette activité que par les ordinateurs. Nous portons notre choix sur un MSI. Superbe machine. Le critère prioritaire choisi par Clémentine. Carte SSD, lettres creusées sur le clavier plutôt qu'imprimées. Une garantie de deux ans, un indice de réparabilité de 9 sur 10. Mille huit cent euros. C'est parfait. Clémentine fait revenir le vendeur qui la drague un peu. Normal.

Estelle, Julie et moi, nous restons à l'écart. Le jeune homme est certainement convaincu que je suis le père d'au moins une de ces superbes jeunes filles. Je laisse Clémentine poser toutes les questions. Le vendeur comprend qu'il a affaire à quelqu'un qui s'y connait. Certainement autant qui lui sinon davantage. J'adore voir Clémentine jouer de ses charmes, exercer son charisme sur cette pauvre "victime". Il semble d'ailleurs très impressionné. Non pas seulement par les connaissances de Clémentine mais par son physique, sa haute taille, sa prestance.

L'affaire est conclue. Estelle palpe ma braguette. Dans un réflexe complice, Julie se place devant nous pour masquer cette activité qui me gêne considérablement. Je murmure : << Je te signale qu'il y a des caméras dans tous les coins ! >>. Estelle se contente de répondre : << S'il y a un vigile devant l'écran il a de quoi se rincer l'œil. Et autre chose ! >>. Nous rions de bon cœur. Julie est totalement sous l'étonnement qui la ravit. Le vendeur revient avec un carton qui contient notre nouvelle acquisition. Nous montons à la librairie.

Je porte le carton. Estelle profite de chaque recoin pour me tripoter. << Tu sais que Julien n'est pas chiche de sortir sa queue ici ! >> dit elle à Julie qui ouvre de grands yeux, consternée. Je réponds : << Non ! Je ne suis pas chiche. Je n'ai pas envie de terminer au commissariat ! >>. Estelle rajoute : << Allez, fais-le, on te cache ! >>. Les trois coquines m'entourent. Il serait totalement impossible à qui que ce soit, même à une caméra hautement sophistiquée, de voir ma bite. Julie est toute rouge. Couverte de sueur. Tremblante pour moi. Je remballe.

Je dis à Estelle : << Voilà, tu es contente ! Tu m'as encore fait prendre des risques inutiles ! >>. Nous nous promenons dans les rayons. Julie nous entraîne dans la partie littérature. Estelle et Clémentine nous entraine dans la partie sciences. Nous quittons la FNAC pour errer un peu dans les rues piétonnes du centre. Avec ce redoux, il y a plein de monde. C'est sympathique de faire les vitrines. Nous retournons à la voiture pour 18 h. Il est dix huit heures trente quand nous sommes de retour à la maison. Clémentine déballe l'ordinateur. Branchements.

Il faut le configurer. Elle va s'en occuper demain. Superbe machine. Estelle n'arrête pas de me tripoter sous les regards de Julie que cela excite considérablement. Elle dit à Julie : << Julien adore ça ! Ne te gêne pas. Si tu as envie de toucher tu n'es pas obligée de demander ! >>. Julie baisse les yeux, timidement. Clémentine rajoute : << Ce n'est peut-être pas dans l'immédiat ! >>. Nous en rions aux éclats. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle porte à ébullition l'huile de friture. Je remue la pâte à crêpe.

Julie met les assiettes et les couverts. Les filles parlent des choses que nous avons vu en ville cet après-midi. Le défi que m'a lancé Estelle à la FNAC. Ma bite à l'air dans le rayon des livres de cuisine. Julie, avec un écumoire, récupère les beignets qui flottent à la surface de l'huile bouillante. Je réchauffe les chips dans le four à bois. Dans un grand plat à tarte. Clémentine trempe les crevettes et les ronds de calmar dans la pâte à crêpe avant de les mettre dans l'huile. Nous savourons ce repas délicieux en bavardant. Les filles parlent de leurs études.

Après la vaisselle, vautrés tous les quatre dans le canapé, nous regardons le film tourné dans l'atelier mardi après-midi. J'invite le lecteur à relire l'épisode 1796 pour bien comprendre pourquoi nous nous masturbons tous les quatre devant l'écran géant du téléviseur. Clémentine manipule la télécommande en faisant de nombreux arrêts sur image. Julie est incroyablement gênée de se revoir dans les situations où je l'ai mise. Estelle joue avec ma queue tout en se masturbant. Il est 22 h. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Elle revient demain.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se faire brouter la chatte sous les draps, sucer de la queue et s'offrir du plaisir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1800 -



Julie revient prendre son cours de peinture

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Estelle à ma droite qui est restée serrée contre moi toute la nuit. Clémentine à ma gauche qui vient se blottir. Distribution de bisous, de papouilles. Nous modulons longuement nos gémissements. Jusqu'à l'absurde en riant déjà beaucoup. Nécessité fait loi. L'impérieux besoin naturel nous rappelle la sienne. Estelle se lève pour se précipiter vers la porte. Clémentine me chevauche en frottant son sexe sur le mien. << Je t'aime. De superbes vacances que elles-ci ! >> dit elle.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Vêtus de nos tenues de jogging, animés d'une faim de loups, nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Dans les délicieuses odeurs de café, de pain grillé. J'aide Estelle à allumer le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine presse nos oranges, pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant un premier bilan de ces deux semaines de vacances. << C'était un concentré de tous nos penchants ! >> lance Estelle. << Un condensé de nos libidos ! >> rajoute Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la présence de Julie. Depuis lundi Julie est venue partager d'intenses moments avec nous. Tous les jours. C'était superbe. Il est 9 h30. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Estelle se change. Pressés d'aller courir, nous descendons les escaliers à toute vitesse pour enfiler nos K-ways. Le thermomètre extérieur indique 10°. Quelques mouvements d'échauffement dans le froid humide. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail que nous laissons grand ouvert.

C'est Estelle qui imprime le rythme soutenu de ce jogging sur le bord de l'étroite route communale. Une heure d'un superbe running et nous voilà de retour. Il est 10 h45 quand nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Elle nous quitte ce matin pour aller passer la journée auprès de ses parents. Elle reviendra ce soir pour 18 h30. Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Une visite rapide sur le site de l'université. Nous avons un courriel de mon oncle d'Édimbourg. Un autre de Julie qui vient en début d'après-midi.

Estelle nous rejoint vêtue de son jeans, de sa chemise à carreaux sous son anorak. Prête à nous laisser. Même si ce n'est que pour quelques heures, la séparation reste difficile. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Un dernier bisou, un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine me saute au cou. << C‘est tellement rare d'êtres juste nous deux. Laisse-moi apprécier ces moments ! >> dit elle avant de m'embrasser avec passion. << Je t'aime ! >> ne cesse t-elle de répéter en m'entraînant par la main pour retourner au salon.

Il faut donner notre réponse à Juliette quand à son invitation de samedi soir. Il est décidé de rester entre nous trois pour le week-end. Ni Estelle, Ni Clémentine, ni moi ne désirons vraiment d'une nouvelle partouze au haras. C'est Clémentine qui rédige le message. Nous souhaitons à Juliette un bon week-end en compagnie des autres membres du "Club". Clic sur envoi. La réponse est partie dans les limbes de la messagerie. Nous quittons le salon pour la cuisine. Je soulève Clémentine. Elle enserre ma taille de ses jambes. Je la promène ainsi.

Clémentine s'occupe de la salade. Je réchauffe les beignets de crevettes les pommes de terre chips. Il en reste beaucoup. La pâte feuilletée a décongelé. J'étale les deux tiers dans le grand plat à tarte aux bords hauts. Je lave et je coupe un beau choux fleurs. Je le fais cuire à l'autocuiseur. Nous mangeons de bon appétit. C'est bon les beignets réchauffés. Dès la fin du repas, je concocte une belle Béchamel pendant que Clémentine égoutte le choux fleurs, râpe du gruyère de Comté. On mélange la garniture que je verse sur la pâte. Clémentine étale.

Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée. Je jointe parfaitement les bords. Clémentine fait tourner la Flamiche Picarde avant d'en badigeonner le dessus du mélange œuf, lait de soja, moutarde à l'ancienne. Au four électrique pour une cuisson douce et lente à 180°. Plus longtemps ça cuit, meilleur ce sera. Nous faisons la vaisselle avant de monter nous laver les dents. C'est curieux cette propension à l'extrême tendresse que nous ressentons lorsque nous sommes seuls tous les deux. Un peu comme pour se consoler de cette solitude.

Une solitude qui devient très rapidement des plus agréables. Nous redescendons pour aller au salon. Clémentine veut configurer notre nouvel ordinateur. Elle travaille sur son MacBook Pro mais elle a gardé tous les réflexes PC. J'allume une belle flambée dans la cheminée quand arrive Julie. Elle reste un instant dans l'encadrement de la porte. Un peu comme si elle voulait prendre pleinement conscience de la réalité d'être à nouveau au près de nous. << Viens ! >> dit Clémentine. Julie se précipite pour me faire trois bises, me tenant par le cou.

Elle rejoint Clémentine pour s'installer à ses côtés sur le tabouret. J'écoute Clémentine commenter ce qu'elle fait. Je viens me placer derrière les filles. Je pose mes mains sur leurs épaules. Les première icônes apparaissent déjà sur l'écran. Le "bureau" se remplit de dossiers. Contrairement au Mac il est impossible de mettre une image personnelle sur un dossier. << Tu as un Facebook ? >> demande Clémentine à Julie. << Oui, mais je crois que ça fait bien six mois que je n'y suis plus allée ! >> répond Julie. << J'en ai pas ! >> précise Clémentine.

<< Je trouve ça très con de se faire des "amis" virtuels, d'exposer la couleur de ses culottes et de mettre des photos en tenant un chat sur ses genoux ! >> fait encore Clémentine. Nous rions de bon cœur de cette absolue vérité. En un peu plus de trente minutes Clémentine a configuré le PC. L'antivirus microsoft defender finalise l'opération. Contrairement au Mac, sur un PC une protection reste obligatoire. Clémentine a tout de même l'antivirus Mac Internet Security X9 sur son MacBook. Julie compare à son PC personnel. Un Samsung Galaxy.

Penché en avant, mon visage entre celui de Julie et de Clémentine j'assiste aux premières visites sur différents sites. Pour venir sur ce forum par exemple. Le mot de passe et c'est OK. Clémentine fait un essai du disque dur externe Samsung. Cette nouvelle génération de disques durs fonctionne sans moteur. SSD également, la vitesse est fulgurante. Lorsqu'elle se retourne Julie regarde à chaque fois ma braguette béante. Clémentine surfe sur le site de l'université. Elle propose à Julie de surfer sur le site de la sienne. La faculté de Lettres Modernes.

Tout fonctionne à la perfection. Nous voilà doté d'un nouvel outil bien plus performant que l'ancienne machine. Nous la gardons encore quelques temps. << Au cas où... ! >> précise Clémentine. Nous quittons le bureau pour passer dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Julie est assise devant le chevalet. Elle scrute la toile inachevée dont je reprendrai la réalisation dès lundi. Clémentine s'installe devant sa table de travail. La rentrée de lundi impose de faire quelques préparations. Je viens m'assoir aux côtés de Julie.

Tout en me posant des questions techniques, elle louche sur ma braguette qui baille. En effet, en position assise, elle s'ouvre totalement. Tout en répondant à Julie, je sors mon sexe d'un geste lent, mesuré. Je vois l'attitude de Julie qui comme prise d'effroi, détourne la tête. Ce n'est jamais une simulation, ces réflexes font partie de la nature de la jeune fille. Même si nous avons vécu des choses extraordinaires ces deux semaines, sa réserve, sa timidité reprennent le dessus. Tout en parlant, j'agite ma bite. Clémentine me fait : << Fais moi voir ! >>.

Julie, la main devant la bouche, se met à rire. Je me lève pour me tourner vers Clémentine. Je bande mou. Je fais tournoyer mon Zob. "L'hélicoptère". Julie observe à présent franchement ce que je fais. J'agite mon sexe dans sa direction. Peut-être à un mètre de son visage. Elle m'adresse un furtif sourire sans oser affronter mon regard. Je dis : << Julie, j'ai beaucoup apprécié de faire l'acteur dans vos films ! >>. Julie garde un silence amusé. Clémentine rajoute : << Et nous sommes impatients de réaliser ton prochain fantasme "Hollywood" ! >>.

Julie éclate de rire. Son poing fermé qu'elle fait tourner devant sa bouche pour mimer une fellation semble rester sa seule réponse. Je dis : << Mais ce serait avec un plaisir indicible, avec une insondable joie ! >>. Julie me fait : << J'ai déjà quelques scénarios ! >>. Je parcours la grande pièce en agitant ma queue. Clémentine, depuis sa table de travail m'observe. Elle me fait un clin d'œil. Elle adore quand je fais le vicelard devant une autre fille. Julie me regarde avec attention. Elle a perdu toute crainte, toute inhibition. Elle retrouve son plaisir de voir.

Je me tourne vers l'une, vers l'autre pour me masturber. Parfois frénétiquement, cambré sur mes jambes fléchies. Parfois plus calmement. Ce qui est particulièrement apprécié c'est quand je reste immobile. Les mains sur les hanches. Par contractions répétées des muscles fessiers, je fais bouger mon sexe. Petites saccades qui passionnent mes spectatrices. Je m'approche de Julie. Je me penche pour lui dire : << C'est un réel plaisir de me branler devant vous. De vous savoir voyeuse rajoute encore à mon bonheur ! >>. Elle fait : << Merci ! >>.

Il est l'heure de passer au cours de peinture. Ce n'est pas seulement un prétexte pour être avec nous c'est également une passion de Julie. Elle va pouvoir emmener son tableau bien sec. Ce paysage qu'elle a terminé la semaine dernière. Je suis assis à ses côtés. Julie prépare les couleurs sur sa palette. Devant le chevalet de table. En face de nous Clémentine qui me fait de discrets clins d'œil, des sourires complices. Julie commence cet après-midi sa première nature morte. À partir d'une photo qu'elle a prise chez elle. Des objets personnels bien disposés.

Je me refuse toujours à donner d'autres conseils que techniques. Julie est suffisamment douée pour s'en tirer parfaitement. Je me contente de recommander tel ou tel mélange, tel ou tel calibre de pinceau. Lorsqu'elle prend du recul pour observer son travail Julie louche toujours sur mon activité masturbatoire sous la table. Lorsque je regarde Clémentine, qu'elle lève les yeux de ses préparations, elle mime une branlette masculine. Julie fait mine de ne pas s'en apercevoir. Concentrée sur sa peinture. Il est 18 h. Nous raccompagnons Julie à son auto.

Assise au volant, la vitre baissée malgré la nuit froide, Julie nous dit : << Je suis là demain matin, pour le ménage, dès 8 h30 ! >>. Nous lui souhaitons une bonne soirée. Elle s'en va faire la serveuse dans le restaurant de sa tante. Un dernier coucou. À peine sommes nous rentrés qu'arrive Estelle. Elle nous saute au cou. Serrés tous les trois, dans la joie de nous retrouver, nous nous berçons. Évidemment Estelle glisse sa main dans cette braguette largement ouverte. Une véritable invitation. << Je contrôle ! >> lance t-elle en s'accroupissant dans le salon.

Clémentine fait une démonstration du nouvel ordinateur. Assises sur mes genoux, mes deux anges font quelques visites. << Va sur Gloryhole ! >> lance Estelle. Immédiatement, sur l'écran, s'affiche les liens pour aller découvrir des images explicites. Nous rions de bon cœur. Pour nous, pas besoin d'aller perdre notre temps sur de tels sites, nous préférons vivre ces choses dans leurs réalités. Réaliser nos propres films. Il fait faim. Nous quittons le salon pour la cuisine. Estelle découvre la Flamiche Picarde, la tourte au choux fleur déjà au four.

Clémentine fait la salade. Estelle met les assiettes et les couverts. Je surveille la cuisson dans le four à bois. C'est rapide car la température est infernale dans la cuisinière à bois. Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte les courses à l'hypermarché avec sa maman cet après-midi. Je raconte mes branlettes devant Julie et Clémentine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges parlent de la rentrée ce lundi. Je propose un bon léchage de minous après la vaisselle. Pas besoin de le suggérer deux fois. On s'éclate au salon.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font brouter le minou, sucer le clitoris, fouiller la chatte après un bon repas...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1801 -



Un samedi paisible

Hier matin, samedi, il est aux environs de huit heures quand Estelle s'accroche soudain à moi en poussant un gémissement. C'est la seconde fois. Cette nuit déjà. << Je fais des rêves à la con ! >> murmure t-elle à mon oreille tout en se saisissant de mon érection matinale. Clémentine que cela réveille également vient se blottir. Je suis entre mes deux anges. Distribution de bisous, de papouilles. Estelle se précipite vers la porte. Clémentine se frotte contre moi en chuchotant : << Je t'aime Julien. Comme c'était bien toutes ces vacances ! >>.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. << Non ! Mes "petits machins" ! >> s'écrie t-elle alors que je m'apprête à lui lécher les dernières gouttes. Nos rituels pisseux s'en retrouvent perturbés. << Mais je n'ai pas mal au ventre ! >> précise Clémentine. Morts de faim, vêtus de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. L'odeur de café, de pain grillé, Estelle qui me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille, je l'entraîne ainsi pour faire le tour de la cuisine. J'inflige les mêmes douceurs à Clémentine. Estelle presse nos oranges.

Clémentine pèle nos kiwis. J'aide Estelle à faire le feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons un solide petit déjeuner en revenant sur nos folies de ces vacances. Clémentine rappelle qu'elle a donné notre réponse à l'invitation de Juliette. Ce soir nous n'irons pas au bal des queues. Nous ressentons le profond besoin de nous recentrer. Lundi, c'est la rentrée. << Oh oui, on reste tous les trois. On se suffit amplement à nous-même ! >> rajoute Estelle. Nous mangeons de bon appétit en faisant le vague programme de cette nouvelle journée.

Il est 8 h25. Nous débarrassons pour faire la vaisselle quand arrive Julie. Souriante, radieuse, elle nous fait plein de bises. Julie adore passer dans nos bras. << Allez vous entraîner, je m'occupe de tout ! >> fait elle. C'est vrai que nous oublions souvent que le samedi matin Estelle vient pour faire le ménage. Nous montons nous laver les dents. Estelle change son pyjama contre sa tenue sport. Même si la température extérieure n'est que de 8°, le ciel reste d'un gris lumineux. Pressés d'aller courir nous descendons les escaliers à toute vitesse. K-ways.

Bonnets, gants, nous voilà dehors. Quelques mouvements d'échauffement dans le froid. C'est parti. Il faut se faire violence et faire preuve de tout notre courage. C'est tellement bien de s'entraîner au dehors. Comme le sol est détrempé, nous courons sur le bord de l'étroite route communale. Nous ne croisons quasiment jamais de véhicules. Si ce n'est agricoles. Une heure d'un agréable running mené dans un rythme soutenu par Estelle et nous sommes de retour. Estelle prend sa douche la première. Clémentine se plaint de quelques contractions ventrales.

Au salon, assise sur mes genoux, Clémentine allume notre nouvel ordinateur. Enfin ça ne rame plus. Tout est immédiat. Julie passe l'aspirateur quelque part dans la maison. Elle chantonne. Nous n'avons qu'un seul message. Juliette. Elle est déçue de ne pas nous avoir à sa soirée queues. Mais elle nous souhaite tout de même bonne reprise lundi. Juliette nous invite également à faire un tour au haras demain, dimanche. Elle organise une animation équestre. Nous répondons par l'évasive. Nous n'avons encore rien programmé pour demain.

Estelle vient nous rejoindre en jeans, chemises à carreaux. C'est à notre tour de monter à la salle de bain. Il y a les effluves parfumées du mimosa. Les diffuseurs d'arômes fonctionnent à plein rendement. Julie a déjà nettoyé tout le haut. Nous nous habillons comme Estelle avant de dévaler les escaliers. L'extrémité des tous petits seins de Clémentine la font un peu souffrir. J'administre la thérapie du docteur Julien. Mes lèvres posées sur chacun d'eux, j'insuffle de l'air chaud au travers de l'épais tissu de sa chemise. Excellent traitement qui soulage bien.

Julie et Estelle bavardent à la cuisine. Julie s'apprête à y passer la serpillère. Nous mettons nos anoraks car nos livraisons sont imminentes. En effet, à peine sortis, voilà l'arrivée de la première camionnette. De l'arrière du véhicule, Danièle, toute souriante, tire les deux cageots. L'un contient nos légumes, nos fruits, l'autre contient nos fromages, nos petits pots de crème fraîche, les yaourts, les œufs. Nous rendons les deux cageots consignés de la semaine dernière. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Nous nous saluons.

Voilà le tube Citroën de notre boulangère. Madame Marthe ce matin encore est hilare. Elle narre toujours d'amusantes anecdotes de la vie du bourg voisin. Nous récupérons nos deux grosses miches de pain complet, nos deux pâtes feuilletées, la brioche au pudding. << Cadeau de la maison ! >> lance madame Marthe en nous offrant deux énormes croissants aux amandes. Paiement par carte. Même commande pour samedi prochain. Tout comme Danièle, madame Marthe ne s'attarde pas. Elles ont bien d'autres clients à livrer jusqu'en début d'après-midi.

Nous passons par derrière pour descendre à la cave. Nous disposons les fruits et les légumes sur les étagères dans le cellier. Un pain et les deux pâtes feuilletées dans le congélateur d'où je tire un paquet de moules. Un sachet de haricots verts, un sachet de petits pois. Nous montons par l'escalier intérieur. Les effluves parfumées du jasmin. En bas aussi les diffuseurs d'arômes fonctionnent à plein régime. Nous entendons Julie passer l'aspirateur au salon. Nous rangeons nos produits frais dans le réfrigérateur. Estelle se blottit très fort contre moi.

<< Ça va être dur de se quitter demain soir ! >> dit elle. Clémentine se serre contre nous pour faire : << Mais pourquoi tu penses à ça maintenant ! >>. Estelle précise : << C'est à cause de mes rêves à la con ! >>. Je la soulève une nouvelle fois. Les filles m'entraînent au salon. Nous déposons chacun une bise sur le front de Julie. Elle a encore la serpillère à passer dans les toilettes, dans le hall d'entrée. Estelle et Clémentine restent devant l'ordinateur. Dans la petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 €, nos commandes de repas de lundi soir.

Lorsque Julie vient nous rejoindre en s'écriant : << Voilà ! Vous avez une maison bien propre ! >>, je lui tends la petite enveloppe. Elle contourne le bureau pour me faire une bise. << Viens voir ! >> lui fait Estelle. Julie s'assoit sur ses genoux. Elles lisent quelques textes sur le forum. << C'est naze ! >> lance Julie. << C'est pour ça qu'on y va que pour publier nos aventures ! >> répond Clémentine. Je suis entrain d'insuffler mon souffle chaud au travers le tissu de sa chemise. Tout en caressant délicatement son bas ventre. Docteur Julien.

<< Mmhh, c'est bon ! >> gémit elle en me caressant la nuque. Julie va être obligée de nous laisser. Il est déjà 11 h35. Nous la remercions pour sa prestation en la raccompagnant jusqu'à sa voiture. Elle revient nous livrer lundi, passer la soirée avec nous. Assise au volant de son auto, la vitre baissée, elle fixe ma braguette. Je me penche pour lui faire un dernier bisou sur le front en disant : << Je vous la montre lundi soir ! >>. Elle a un sourire gêné. Estelle lui passe la main sur la joue. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. Nous rentrons vite.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle porte à ébullition le bouillon avant d'y jeter les moules encore congelées. Je vide les sachets de haricots verts, de petits pois dans le wok. Le repas du samedi midi est toujours le même. C'est une préparation rapide. C'est miam. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la personnalité de Julie. << Si j'étais gouine je me la ferais ! >> lance Estelle. << Moi aussi ! >> rajoute Clémentine. Poussé par le dépit que ce ne soit pas le cas, je m'écrie : << Oui ! Dommage que vous ne soyez pas lesbiennes ! >>.

Nous rions aux éclats de ces paroles que Clémentine et Estelle entendent si souvent. Mon vieux fantasme de mâle qui revient à la charge. Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Elle dit : << Moi, mon truc, c'est les mecs. Et tout particulièrement celui qui est assis là ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine rajoute : << Moi, mon truc, c'est surtout leurs queues ! >>. Elle mime une pipe. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges parlent de leurs études, la rentrée.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Il est prévu de profiter de cette météo pour aller randonner. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Dans le petit sac à dos, la thermos, des barres de céréales, des pommes. Nos bonnets, nos gants. C'est parti. Nous montons jusqu'au portail pour traversons la route pour nous engager dans le chemin forestier. C'est notre circuit habituel chaussés de nos grosses godasses de marche. Le chemin est large. Je suis entre mes deux anges.

Même si nous connaissons les différentes déclinaisons de ces parcours, c'est toujours un réel bonheur que de s'y promener. Nous prenons le circuit des quatre heures. Il y a évidemment de nombreux arrêts bisous. De nombreux arrêts plein d'affection. De cette tendresse dont nous aimons nourrir nos élans passionnés. Notre "couple à trois" comme l'appelle Estelle fonctionne ainsi depuis près de cinq ans. Pour chacun d'entre nous cette période restera certainement la plus belle de nos existences. Il y a les arrêts pipi. Nous nous amusons toujours beaucoup.

Je tiens le plus souvent Clémentine par la nuque. Je passe mon doigt dans raie culière pendant qu'elle pisse. Comme la place est prise, je me contente de la torcher soigneusement. Quand à Estelle, accroupis à ses côtés, je lui enfonce l'index dans le cul. Ça rend le jet plus puissant. J'adore l'entendre dire : << Enculeur de fille. Tu devrais avoir honte ! >>. La place est libre. J'enfonce mon autre doigt dans la chatte. Pénétrée par deux doigts elle s'écrie toujours : << Quel salaud ! >>. Je la torche consciencieusement. Plein de bisous. Douceur.

Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Elle adore ressentir dans sa main la pisse qui passe "dans le tuyau d'arrosage". Je lâche plusieurs jets. << Mais j'adore ! >> lance t-elle à chacun d'eux. Clémentine, accroupie, accrochée à ma jambe, dépose ses lèvres juste à l'extrémité. Ainsi, à la fin de chaque jet, il lui suffit d'un petit mouvement de tête pour suçoter. Estelle ne tarde jamais à s'accroupir à la fin pour sucer franchement. Je les tiens par la nuque, leurs cheveux, je caresse leurs têtes avant de les aider à se redresser. Nos rituels pisseux.

Qu'il est agréable de boire un bon gobelet de thé bouillant. De grignoter une barre de céréales, de croquer dans nos pommes. Nous avons nos endroits précis. Il fait bien trop froid pour niquer dans le cabanon derrière la maison abandonnée du garde barrière. Dommage. Nous aimons bien nous amuser à l'intérieur. La voie ferrée est devenue une piste cyclable. Nous y marchons au sec. Nous croisons quelques groupes de promeneurs. Parfois de ces randonneurs qui pratiquent la marche norvégienne. Les bâtons qui font un bruit d'enfer sur le sol.

J'ai la lampe frontale fixée sur mon bonnet. Il fait nuit quand nous revenons aux environs de 18 h30. Qu'il est agréable de retrouver une maison chaude. J'administre le traitement du docteur Julien à Clémentine dont l'extrémité des seins est douloureux. Par contre, à part une légère congestion, elle ne souffre d'aucune douleur ventrale. << J'espère que ça va durer ! >> précise t-elle. Ce désagrément de fille dure trois jours. << Mais docteur Julien est là ! >> s'écrie Estelle dont ce sera le tour d'ici cinq jours. Nous sommes dans la cuisine, attablés.

Chacun est armé d'un éplucheur. Un économe avec lequel nous épluchons les pommes de terres, les carottes, les navets, le céleri. Il suffit de laver les légumes, de les couper en petits morceaux pour les faire revenir dans la vieille cocotte en fonte noir. Cuisson sur la cuisinière à bois. "À l'ancienne". C'est Estelle qui remue avec la spatule en bois. Clémentine prépare une belle laitue dont elle lave chaque feuille. Dans une poêle je fais rissoler des filets de limandes que j'ai préalablement pané. Trempés dans l'œuf, puis dans chapelure. Ça croustille. Miam.

Estelle coupe de fines tranches de morbier. Nous adorons les faire fondre sur les légumes dans nos assiettes. Cette potée de légumes sera l'accompagnement des repas de notre week-end. C'est un régal. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée pipe de samedi dernier, chez Juliette. << Juliette et Bernadette s'apprêtent très certainement à bouffer de la queue ! >> lance Estelle. << À se faire tringler dans les écuries aussi ! >> rajoute Clémentine. Je dis : << Nous, après la vaisselle, nous allons nous offrir du bonheur. Que du plaisir ! >>.

<< Oh oui ! >> s'écrient mes deux anges en même temps. Je précise : << Je suce le clitoris de Clémentine. Je pénètre Estelle. Voilà le programme qui nous attend ! >>. Les filles m'entraînent dans une de nos farandoles folles dans toute la cuisine. << Et moi je me suce le docteur Julien ! >> lance Clémentine. << Ah mais moi aussi. Un traitement préventif n'est pas à négliger ! >> rajoute Estelle. Nous rions aux éclats en débarrassant pour faire la vaisselle. Pressés de nous livrer à nos exactions sexuelles, nous nous précipitons au salon.

Nous retirons nos jeans et nos slips pour les jeter en l'air, n'importe comment, en rigolant comme des bossus. Nous voilà juste en chemises et en chaussettes. Clémentine s'installe dans le fauteuil. La cuisse gauche sur l'accoudoir de gauche, la cuisse droite sur l'accoudoir de droite. Deux doigts qui extraient sont clitoris géant de sa touffe fournie. << Faites moi du spectacle. Ça fait partie du traitement dont j'ai besoin ! >> dit Clémentine. Estelle, serrée contre moi, me tient la queue. Je jette un des épais coussins au sol, devant Clémentine.

À genoux, Estelle accroupie derrière moi qui se frotte contre mes reins, je suce le clitoris de Clémentine. Estelle me masturbe doucement en regardant. Clémentine se pâme. Elle se tortille déjà dans son fauteuil. M'offrant quelques angles différents, cherchant la meilleure posture. Elle pousse de petits gémissement en caressant ma tête, en saisissant mes oreilles. << Mmmhh, comme c'est bon ! >> gémit t-elle en s'offrant totalement à ma succion. La petite ficelle blanche que je trouve dans l'invraisemblable broussaille. J'adore y donner des à coups.

Estelle se couche sur le dos. C'est de cette manière qu'elle passe son visage sous mes couilles. Je suis obligé d'écarter mes cuisses. Je n'ai pas d'autre alternative que de m'assoir sans peser sur son ventre. Elle peut ainsi prendre mon sexe dans la bouche en le martyrisant quelque peu. La position est inconfortable. J'ai la queue tordue vers le bas. Estelle a la tête coincée entre le fauteuil et moi. D'une main derrière moi, je caresse son sexe. J'y enfonce un doigt. Elle en glousse, mêlant ses gémissements à ceux de Clémentine. Je cesse.

Je me retourne. Je soulève Estelle en me levant. Je la porte comme une jeune mariée pour la déposer sur le bureau. Elle se met en appui sur ses coudes pour me voir faire. Je saisis ses chevilles pour la renverser complètement. À présent allongée sur le dos, Estelle stimule son clitoris. Tout comme Clémentine, Estelle se masturbe toujours quand je suis en elle. Elles sont toutes les deux clitoridiennes. Je frotte mon sexe contre celui d'Estelle avant de la pénétrer avec d'infinies précautions. Là-bas, dans son fauteuil, Clémentine qui se branle en mâtant.

Estelle adore se faire prendre à la hussarde. Donc très rapidement me voilà à faire "la machine à coudre". Je la tringle avec la délicatesse d'un lutteur ukrainien. Elle pousse des hurlements de plaisir en se tortillant sur le bureau. Notre nouvel ordinateur découvre là un peu de ce qui l'attend dans sa vie future ici. Cette pensée m'amuse tout en poussant des grognements d'homme des bois. Je baise avec la vigueur du taureau. Je nique avec l'énergie du queutard fou. Je m'arrête de nombreuses fois. Estelle se fait tringler comme une bienheureuse.

Clémentine vient nous rejoindre. Tout en se touchant, elle scrute mes expressions. Elle adore me voir à l'ouvrage. Nous sentons la fatigue nous gagner. Aussi, il faut ralentir les assauts. Nous assagir pour faire durer nos exercices aérobics. Clémentine se frotte contre mes cuisses, s'accroupit pour se frotter contre mes mollets, mes chevilles. Ses gémissements sont au moins aussi mélodieux que ceux d'Estelle. J'ai les couilles en ébullition. La mayonnaise monte. Estelle me repousse soudain délicatement en poussant un hurlement de jouissance. Merveille.

Saisie par un orgasme qui la tétanise Estelle se tourne sur le côté comme en proie à une terrible douleur. Les mains entre ses cuisses, elle pousse de petits cris d'animal blessé. Ses orgasmes sont de plus en plus puissants. Celui-là semble la tourmenter longuement. Clémentine se frotte contre un coin du bureau. Elle veut observer ces merveilleux spasmes qui agitent tout le corps d'Estelle. Je viens vers elle pour la soulever. Je l'assois sur le bureau aux côtés d'Estelle qui reprend ses esprits. Je me penche. Je pose ma bouche sur le clitoris de Clémentine.

Je n'y suis pas deux minutes qu'elle aussi se dégage pour hurler de plaisir. J'ai juste le temps de m'écarter. Un puissant jet de pisse gicle à plus de deux mètres. Estelle pousse un formidable cri ou se mêlent l'admiration et l'étonnement. Ce n'est pas la première fois que nous assistons à ce phénomène mais c'est toujours surprenant. Cette fois encore Clémentine est victime d'une véritable éjaculation de pisse. Estelle saute du bureau pour s'accrocher à mon cou. Nous admirons l'orgasme pisseux de Clémentine. Les yeux larmoyants elle nous sourit.

Pendant que Clémentine passe la serpillère, Estelle, à genoux entre mes jambes, se régale de mes épanchements. Je fais durer cette pipe. Je retire ma queue gluante de sa bouche pour la remplacer par un doigt. Je me penche pour lui déposer des bisous en mitraille sur le front. Elle croise ses doigts entre les miens pour reprendre sa fellation. Je propose de terminer la besogne au lit, sous les draps. Clémentine nous entraîne par les mains. Nous montons à toute vitesse. Salle de bain, dernier pipi, au lit. Évidement Estelle s'endort. Le jus pour Clémentine.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment tant êtres aimées sur le bureau, êtres ramonées, êtres baisées à la hussarde...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1802 -



Un dimanche de quiétude

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des murmures, des rires étouffés. Il est aux environs de neuf heures trente. Les coquines savent quand je ne dors plus car ma respiration change. J'ai beau faire semblant. Elles ne sont pas dupes. Estelle est restée accrochée à moi toute la nuit. C'est elle qui glisse sa main dans mon slip. C'est Clémentine qui passe sa tête sous les draps pour la poser sur mon ventre. C'est une sensation étrange que d'être sucé dès le réveil. Pas vraiment agréable. Pas vraiment désagréable. Très bizarre.

C'est donc ça que mes deux anges ont préparé. C'étaient ça les chuchotements. Mon érection matinale dans la bouche de Clémentine, je glisse ma main dans la culotte d'Estelle. Je démêle les poils de cette incroyable touffe. Je passe mon index entre les fines lèvres de son sexe. Elle couvre mon visage de bisous avant de se lever d'un bond en s'écriant : << Pipi ! >>. Clémentine cesse sa fellation pour blottir sa tête contre mon épaule. << Ça n'a aucun goût le matin ! >> dit elle avant de se coucher sur moi. Elle frotte doucement son sexe sur le mien.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. J'y laisse Clémentine seule pour changer son tampon. Je m'habille. Elle vient me rejoindre. << Un peu bobo ! >> dit elle. Je pose ma bouche sur chacun de ses petits seins tous durs. À travers le tissu de sa chemise j'insuffle de l'air chaud. << Mmhh ! Merci docteur Julien ! >> fait elle en serrant ma tête contre sa poitrine. Je peux sentir battre son cœur. Nous dévalons les escaliers pour rejoindre Estelle à la cuisine. Il y a la brioche au pudding qui trône au milieu de la table. L'odeur du café, du pain grillé. Merveilles !

Estelle a déjà allumé le feu dans la cuisinière à bois. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour se laisser promener ainsi dans toute la grande pièce. Même traitement à Clémentine. Dehors, ce sont des bourrasques de vent. Comme une véritable tempête. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de ces deux semaines de vacances. C'était intense. Nous mangeons de bon appétit en revenant sur des moments clefs. << Il faut que je téléphone à Tristan, l'exhibitionniste ! >> lance Clémentine. Nous rions.

Tristan est cet exhibitionniste rencontré sur le parking de l'hypermarché au début janvier. La police a mis fin à ses agissements. Il a probablement été dénoncé par une des femmes à qui il montrait ses organes génitaux. Le con. Clémentine lui a fixé rendez-vous la semaine dernière dans les bâtiments industriels abandonnés en périphérie de la ville. Elle lui a fait une pipe dans sa bagnole. C'est là que Tristan lui a fait part de ses angoisses. Il passe en correctionnel pour exhibition sexuelle sur la voie publique ce jeudi 24 février. Elle a promis d'appeler.

Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent la rentrée de demain. Il y a trois zones de vacances en France. Pour la nôtre, elles prennent fin ce soir. Estelle et Clémentine adorent aller en cours, passionnées par leurs études. Elles préparent leurs Doctorats. C'est d'ici trois ans. Elles sont ensembles depuis l'âge de douze ans, depuis le collège. Elles ont toujours tant d'anecdotes. Des histoires accumulées depuis bientôt treize ans. J'écoute toujours avec intérêt et en étant très amusé.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Faire le lit, refermer les fenêtres. Heureusement que nous les avions bloqué car le vent est violent. Nous regardons dehors. C'est une véritable tempête. << Ça soufflait déjà cette nuit quand je suis allée faire pipi ! >> précise Estelle. Nous dévalons les escaliers pour aller au salon. Estelle adore faire une flambée dans la cheminée. Assise sur mes genoux, Clémentine allume notre nouvel ordinateur. Deux messages. Celui de Julie qui nous raconte sa soirée de serveuse, hier.

Avec son style littéraire elle narre une petite aventure arrivée durant son service hier soir. Un vicieux qu'elle a surpris dans les toilettes du sous-sol. Estelle vient nous rejoindre pour lire aussi. Il y a le courriel personnel de l'université destiné à clémentine. << Enfin ! >> s'écrie t-elle. Estelle découvre le même dans sa boîte mails. Ce programme tant attendu qui concerne la seconde partie du trimestre. << Put-Hein, on va de nouveau choper la crampe de l'écrivain ! >> lance Estelle. En effet, ce seront plusieurs écrits à rendre tous les quinze jours.

<< Téléphone à Thomas ! >> fait Estelle en tendant son smartphone à Clémentine. << Attends, je prends le mien. Je téléphone en "secret d'appel" ! >>. Le numéro masqué permet à Clémentine de préserver son anonymat. Surtout de ne jamais être dérangée. Elle met sur "haut parleur". << Allo ! >> fait une voix masculine. << C'est Clémentine ! >> fait ma coquine. Elle utilise le même pseudo que sur les forums où nous publions nos aventures. Mes deux anges assises sur mes genoux, Estelle et moi nous écoutons la conversation en restant silencieux.

Tristan semble appréhender son procès. Il devra être au tribunal pour 9 h jeudi 24 février. La conversation assez surréaliste dure une bonne dizaine de minutes. Clémentine tente de rassurer l'exhibitionniste. << Je vous appelle vendredi prochain. Vous me raconterez ! >> dit elle avant de raccrocher. Les derniers mots de Tristan : << Merci. Votre appel me donne du courage ! >>. Estelle, sa main dans ma braguette dit : << Sinon tu lui apporteras des oranges en prison ! >>. Nous rigolons comme des bossus. Nous quittons le salon pour mettre les anoraks.

<< Défions les éléments ! >> lance Estelle, bravache, dans une position allégorique en haut des escaliers du perron. Nos cheveux balayés par la véritable tornade qui s'abat sur nous. Des tourbillons de vent. C'est la tempête annoncée pour cette nuit qui perdure encore ce matin. Le ciel est sinistre mais il ne pleut pas. Nous traversons la pelouse en restant sur les dalles de grès. Nous entrons dans la maison d'amis. Estelle s'occupe immédiatement de faire un bon feu dans la cheminée. J'administre le traitement du docteur Julien à Clémentine.

Nous allumons les convecteurs électriques. Nous faisons chauffer la dépendance presque tous les jours. En hiver c'est mieux de ne pas laisser une maison vide sans la chauffer régulièrement. << Sors ta bite ! >> me fait Estelle en mimant une masturbation masculine de sa main libre. De l'autre elle réunit les premières braises avec le tisonnier. C'est Clémentine qui me l'extrait du pantalon. Elle tient ma queue à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter en direction d'Estelle. << Ahhh ! C'est mieux ! >> lance t-elle. Clémentine me branle un peu.

Je bande mou. Elle me la range soigneusement dans le slip. Il faut affronter les bourrasques en quittant la dépendance pour courir jusqu'à l'escalier du perron. Nous voilà bien au chaud. Il commence à faire faim. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle remue sans arrêt la potée de légumes. Afin de détacher le meilleur qui colle au fond de la vieille cocote en fonte noire. Sur la cuisinière à bois. Je fais cuire trois gros pavés de saumon dans une poêle. Je les tourne et les retourne pour bien les saisir. Estelle concocte une sauce au Roquefort. Bonnes odeurs.

Nous mangeons de bon appétit en élaborant un très vague programme pour l'après-midi. Ce sera une randonnée. S'il ne se met évidemment pas à pleuvoir. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges reviennent sur leurs études. J'admire les stratégies qu'elles mettent en œuvre. Ces ruses dont elles sont coutumières depuis tant d'années. Tout faire ensemble pour changer les tournures de phrases au dernier moment. Les professeurs, également correcteurs, n'aiment pas les copies conformes. J'écoute amusé les "plans" prévus.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Le vent semble enfin retomber. Nous redescendons pour nous préparer. Ce soir Estelle devra nous laisser pour 22 h. C'est la fin des vacances. Elle reviendra mardi soir. << J'en ai marre. Je veux rester là ! >> dit elle à chaque fois. << Merde ! Il pleut ! >> fait Clémentine. Cela met évidemment fin à notre projet de randonnée. Je propose de prendre la voiture et nous balader ainsi. << Les écolos, on les emmerde n'est-ce pas ? >> demande Estelle. Nous en éclatons de rire.

<< Et ils n'imaginent pas à quel point ! >> répond Clémentine. Nous mettons nos anoraks. Il faut s'abriter sous le grand parapluie pour traverser le jardin jusqu'au garage. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. << Je veux venir devant ! >> lance Estelle assise à l'arrière, ses mains qui caressent mon cou. Nous prenons l'étroite route communale jusqu'au bourg. Trois petits kilomètres. Nous prenons la direction de la vieille chapelle. Il y a quelquefois des manifestations culturelles, des expositions, des concerts. Aujourd'hui rien du tout.

Il pleut. Clémentine se penche souvent sur la gauche pour gober mon sexe. Estelle caresse mes joues. Je gare l'auto sur le bord de la route. Je dis à Estelle : << Viens devant ! >>. Avec quelques adroites contorsions elle enjambe les dossiers pour venir s'assoir au sol, entre les pieds de Clémentine qui me suce depuis cinq minutes. Je caresse la tête à Estelle qui me fixe. Elle me fait de merveilleux sourire. Elle nous fait part de la tristesse qui commence à l'envahir à cause de la fin des vacances. Clémentine cesse alors de sucer pour la consoler.

<< Mais pense aux prochaines vacances. C'est dans huit semaines. Ça passe tellement vite ! >> dit elle à Estelle qui se redresse pour se mettre à genoux. Par dessus le levier de vitesse elle tente de gober ma queue dégoulinante. Je propose de nous assoir tous les trois à l'arrière. Les filles pourront se refiler ma bite. Je ne suis pas obligé de le suggérer deux fois. Je sors de l'auto. Estelle et clémentine pareil. Nous voilà vautrés à l'arrière comme sur le canapé à la maison. La grosse berline allemande est spacieuse. Les filles se refilent ma queue.

Je me fais sucer comme un bienheureux. Nous rions de cette situation. Là, dans la campagne pluvieuse, au bord d'une route déserte, nous nous adonnons à nos passions. Je caresse les nuques de mes pompeuses. Je suis d'une douceur attentionnée. Elles bavardent en riant. En suçant. J'écoute. C'est merveilleux. Quand l'une répond à l'autre, cela lui permet de laisser reposer sa mâchoire. Je fais durer. C'est beaucoup plus facile dans ces circonstances. Pour le plus grand bonheur de mes anges. Je me fais tailler une véritable pipe des familles.

J'ai mon doigt dans la chatte d'Estelle dont la bouche ruisselante de foutre sent la bite sale. Le dimanche, pas de douche. Ni pour l'un ni pour l'autre. Elles me montrent toujours le contenu de leurs bouches quand elles cessent de sucer. Comme pour s'acquitter d'un devoir. Je couvre leurs visages de bisous. Estelle se contorsionne de plaisir, mon doigt qui fouille sa chatte. Je le suce régulièrement. Ça sent la fille négligée. J'adore. Nous cessons bien avant l'éjaculation. Je me garde pour ce soir. C'est beaucoup plus simple de se contrôler dans cette situation.

En effet, il faut tout de même rester aux aguets. Il y a parfois des groupes de promeneurs sous leurs parapluies, dans leurs capes de pluie. Certains mâtent dans la bagnole. Nous rigolons comme des bossus. Je me remets au volant. Mes deux anges assis devant. Il est 17 h30 quand nous revenons à la maison. Direct dans l'atelier. Estelle y allume le feu dans la cheminée. << J'ai le goût de ta bite ! >> me fait elle alors que je la tiens par la taille. Clémentine serrée contre mon dos qui se frotte doucement. << Ça m'a excité dehors ! >> fait elle.

Les filles sont devant l'ordinateur. Elles font l'inventaire des dernières nécessités pour demain matin. Je fais de même en ce qui concerne mes tubes de peintures, mes pinceaux. Tout est disposé sur la desserte à côté du chevalet. Je sors ma bite pour l'agiter vers mes deux anges en disant : << Ce soir, les filles, c'est léchage de minous pour Estelle, suçage de clitoris pour Clémentine ! >>. Elles m'observent amusées. Estelle s'écrie : << Tu me la mets un peu avant que je parte ! >>. Nous rions de bon cœur. Je dis : << Juste un peu alors ! >>.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Ces dimanches soirs un peu tristes où nous préparons le repas en allant de l'un à l'autre pour nous faire des bisous, nous prodiguer de l'affection, nous murmurer des douceurs. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle nous prépare sa spécialité du dimanche soir. Une superbe omelette aux trois fromages. Je réchauffe la potée de légumes. Il en restera encore pour demain midi. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Je montre mon Zob.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines un peu tristounettes qui vont se faire lécher, se faire sucer, se faire pénétrer un peu...

Docteur Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1803 -



Les cours ont repris ce lundi

Hier matin, lundi, il est presque six heures. Ce sont les cris des oiseaux de mer qui nous arrachent de nos profonds sommeils. Les sirènes de ces gros bateaux dans le lointain. Le ressac de la marée. L'illusion de se réveiller dans un port est totale. L'application "océan" a repris du service. Clémentine se serre contre moi. Quelques bisous, quelques papouilles. Il faut se lever. La tête encore dans le sac nous allons aux toilettes. Je laisse Clémentine changer son tampon en allant ouvrir le lit, aérer la chambre. Je la rejoins à la salle de bain avec les fringues.

Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il y fait froid car le thermostat des radiateurs vient de s'enclencher. Pendant que Clémentine fait le café j'allume une bonne flambée dans la cuisinière à bois. << C'est dur ce matin ! >> fait Clémentine en pressant nos oranges, en pelant les kiwis. Le lundi matin il reste toujours encore de la brioche. J'ai l'idée d'en mettre quelques tranches dans le grille pain. Mauvaise idée sous les rires de Clémentine. Des miettes. Nous prenons notre petit déjeuner en riant.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur quelques moments clefs de ces vacances. L'après-midi surréaliste de hier ou nous avons passé deux heures sur le siège arrière de la voiture. Garé en rase campagne sous une pluie battante. Nous en rigolons comme des bossus. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Il faut vraiment de la volonté ce matin. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, charges additionnelles. Ce qui nous réveille complètement. Le stretching qui permet le retour au calme.

La douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture. Il pleut. Le jour s'est complètement levé. Il fait froid et humide. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak, sous son parapluie. Un dernier bisou. Je regarde l'auto monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je me dépêche de rentrer au chaud, au sec. Je fais la vaisselle, le lit avant d'aller dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette tout en chantonnant.

Je reviens ce matin sur la peinture de cette cinquième scène de genre destinée à ma saison d'été. Je commence aujourd'hui les visages des trois personnages. Les deux femmes auront les traits d'Estelle et de Clémentine. Le personnage masculin aura les miens. Ma loupe frontale fixée sur le pourtour de ma tête, je peins dans un enthousiasme délirant. À chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent, je pousse un cri surréaliste ponctué d'un << Olé ! >>. La matinée passe tellement vite. S'en est presque inquiétant. Chaque jour davantage.

Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans le feu. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Cette soudaine sensation de solitude m'étreint complètement. Je prépare une salade d'endives. Je réchauffe le reste de potée de légumes. Dans une poêle je fais revenir un filet de flétan avec des champignons. Cette cuisine qui connait des ambiances de joies folles me parait là d'une effroyable tristesse. Je mange toutefois de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff dans tous ses états reçoit un de ses invités plein de bon sens, de verve et très intéressant.

Je fais la vaisselle avant de monter me laver les dents. Cette solitude, ces silences, me sont presque insupportables. Angoissants. Je dévale les escaliers pour mettre la cape de pluie. Chausser les bottes en caoutchouc. Je dois reconstituer le stock de bois. Je remplis la brouette d'une vingtaine de bûches. Je fais deux voyages. J'empile à côté de la cuisinière à bois, à côté de la cheminée du salon, à côté de la cheminée de l'atelier. Il est 13 h30. Me voilà à nouveau installé devant mon chevalet. L'enthousiasme revenu, je peins en chantonnant.

Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table avant de se précipiter vers moi. << Tu m'as manqué. C'était effroyable ! >> s'écrie t-elle en s'asseyant sur mes genoux. Clémentine me raconte sa journée, le repas du restaurant universitaire. Les impressions partagées avec Estelle. Clémentine a encore du travail. Elle est assise devant son ordinateur entourée de ses fiches. Je termine les derniers détails d'un des visages de mes personnages. Comme c'est bon d'être à nouveau ensemble. Clémentine chantonne.

Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je rejoins Clémentine qui remballe ses affaires. Je suis debout derrière elle, mes mains sur ses épaules à lui confier à quel point son absence était difficile aujourd'hui. << Viens ! >> me fait elle en m'entraînant vers le canapé. Serrés tous les deux, nous regardons la danse des dernières flammes. L'obscurité s'épaissit. Du bruit. Trois petits coups timides contre la porte. Julie entre dans l'atelier. Toute timide elle chuchote : << Bonsoir. Je vous dérange hein ! >>. Nous l'invitons à nous rejoindre.

Trois bises chacun. Julie s'assoit aux côtés de Clémentine. Elle nous raconte sa première journée de cours. Clémentine raconte la sienne lorsque soudain, au-dessus de nos têtes, un bruit sourd. Depuis quelques jours il n'y avait plus aucune manifestations paranormales. Julie se serre contre Clémentine. Nous écoutons le fantôme de mon ancienne compagne. Ce soir encore il se dégage de ce phénomène l'impression que l'entité erre sans but réel. Des bruits de pas. Une porte qui claque. Plus rien. Tout cesse au bout de quelques minutes. Le silence.

<< Même quand on a l'habitude, c'est toujours impressionnant ! >> lance Clémentine. << Je suis morte de peur ! >> rajoute Julie. Nous nous levons pour quitter l'atelier. C'est qu'il commence à faire faim. Ce soir Julie porte un pantalon noir, ses bottines, un pull noir, une écharpe de soie mauve. Ses cheveux noués en catogan. Ses lunettes d'étudiante. Sur la table de la cuisine, la grande boîte isotherme contenant nos commandes. Un sachet contenant les bacs à salades. Je dépose une bise sur le front de Julie pour la remercier. Douceur.

Elle met les assiettes, les couverts. Clémentine sort les bacs pour en retirer les opercules. De magnifiques assortiments de salades à la salicorne. De la grande boîte je tire nos trois feuillantines au saumon encore bouillantes. Nos deux quiches aux fruits de mer pour demain. Nous mangeons de bon appétit. Julie raconte son dimanche en compagnie de ses parents, de ses grands parents. Clémentine revient sur notre après-midi loufoque. << J'aurais voulu voir ça ! >> lance Julie. Clémentine mime une fellation. Nous rions. Julie est soudain gênée.

Son attitude m'amuse tout autant que la narration de Clémentine. Julie répond aux questions de Clémentine. Elle a encore vécu des choses insolites dans les toilettes du restaurant. Un des clients y est descendu deux fois. Bien évidemment Julie, un seau et un balai à la main, est allée voir. << Tu as déjà compté le nombre de bites que tu as vu dans ces chiottes ? >> demande Clémentine. Julie, en riant, répond : << Je ne les compte plus ! >>. Nous écoutons quelques anecdotes concernant des "spécimens" rares. Nous les connaissons toutes très bien.

De les entendre une nouvelle fois, avec des détails revenant à l'esprit de Julie, est un réel petit plaisir. Ça me fait bander. Sous la table, avec peine, j'extrais ma bite tordue du fond de mon slip. Julie et Clémentine ne voient que le mouvement de mes bras mais elles devinent ce que je "bricole". Je me lève pour leurs montrer le trophée que j'ai enfin attrapé. Julie ouvre de grands yeux. C'est comme si c'était la première fois. J'agite mon sexe dans sa direction. Elle n'ose pas soutenir mes regards insistants. Par contre la vue de ma queue polarise son attention.

Clémentine me fait un clin d'œil. Elle demande : << Tu as regardé les deux films que nous avons tourné durant les vacances ? >>. Julie s'écrie sans pouvoir dissimuler son enthousiasme : << Oh oui ! Hier soir encore avant d'aller au lit, toute seule dans ma chambre ! >>. Je demande : << Petite masturbation ? >>. D'une voix à peine audible, Julie murmure : << Oui ! >>. Nous traînons à table. Julie revient sur les émotions que lui procure la vision de ces films. Nous en avons réalisé trois qui la mettent en scène dans des situations torrides.

Clémentine demande : << Tu as des idées pour le prochain ? >>. Julie s'écrie : << Oui ! Je vous donne le scénario dans un prochain mail ! >>. Je me lève de temps en temps pour me masturber. À chaque fois Julie s'arrête de parler pour observer, concentrée. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Julie n'a de yeux que pour ce qui dépasse de ma braguette. Elle essuie avec moi pendant que Clémentine plonge. << On a un lave vaisselle à la maison, mais mes parents sont comme vous, ils préfèrent la faire comme ça, c'est plus convivial ! >> dit Julie.

Nous passons au salon. Julie et Clémentine sont vautrées dans le canapé. Affectueusement Clémentine tient la main de Julie. Je reste debout en face à quelques mètres. Je me branle. Parfois je cesse. Les mains sur les hanches je contracte les muscles fessiers pour faire bouger ma bite. Je m'adresse à Julie pour expliquer : << Vous savez, lorsque je me fais sucer, je fais pareil !. Ça tire du jus ! >>. Julie, toute rouge, baisse les yeux. Je rajoute : << Il faudra quand même que vous y goûtiez ! >>. Clémentine rajoute : << C'est sirupeux ! >>.

Je me rapproche. Je suis debout devant les filles. Clémentine m'attire à elle en saisissant les passants de mon jeans. << Regarde ce qu'il y a déjà au bout ! >> fait elle à Julie qui se penche pour scruter. Une goutte de liquide séminal perle à l'extrémité de la peau fripée de mon prépuce. Comme une perle opalescente. Je pose mes mains sur leurs têtes. Julie a toujours ce réflexe de recul. Comme si elle avait soudain peur que je ne la force à quelques égarements. Clémentine me décalotte légèrement. Juste le méat apparaît. La goutte s'épaissit. Grossit.

Clémentine tend ma queue vers Julie qui reste en recul. Du bout de sa langue Clémentine récupère la perle de substance visqueuse. Elle suçote juste le méat. Je peux sentir sa langue en titiller l'ouverture. Elle tient mon sexe juste entre le pouce et l'index. Julie rapproche son visage pour regarder de plus près. La voyeuse en éveil permanent au fond de cette délicieuse jeune fille trouve ici l'exutoire parfait. Elle nourrit sa passion en scrutant avec l'attention d'une scientifique. C'est merveilleux. Clémentine gobe un peu plus de queue. En suçant.

Elle cesse pour montrer le contenu de sa bouche à Julie. Julie qui, comme en extase, regarde avec une expression d'admiration non feinte. Ce qui se passe là la passionne au plus haut point. À chaque fois Clémentine lui tend mon sexe comme pour une invitation à participer à la dégustation. C'est remarquable car c'est véritablement une dégustation à laquelle s'adonne Clémentine. Je retire mon sexe pour me masturber doucement. Clémentine me tient par la taille. Elle ouvre sa bouche en me fixant d'un regard complice. Un nouveau clin d'œil.

J'éjacule. Trois saccades d'un sperme épais, gluant, qui se répand lourdement sur la langue en cuillère de Clémentine. Je m'épanche dans un cri de jouissance. Julie aussi pousse un cri plein d'admiration. Elle approche son visage tout près de celui de Clémentine. Elle regarde l'intérieur de sa bouche en respirant de plus en plus fort. Soudain, sans la prévenir, Clémentine la prend par l'épaule. Julie se blottit contre elle. Clémentine l'embrasse alors en crachant mon sperme dans sa bouche. J'entends le râle de bonheur qu'émet a Julie. Folle de joie.

Son plaisir est probablement double. Julie est amoureuse de Clémentine. Ce baiser la fait fondre d'un plaisir amoureux. Mais il lui permet également, une nouvelle fois, de savourer ce jus de couilles dont elle n'ose pas se servir à la source. C'est la seconde fois que j'assiste à ce spectacle divin. Mon vieux fantasme d'homme des cavernes trouve là une réalité. Hélas pour Clémentine ce n'est pas de l'homosexualité, c'est un élan de pur vice. Elle cesse pour cracher dans la bouche de Julie. Je vois Julie frissonner de bonheur en déglutissant ce "crachat".

Il est 21 h45. Julie devra nous laisser pour 22 h. Elle s'essuie la bouche. << Tu aimes ? >> lui demande Clémentine. << Mmhh ! >> répond Julie en déglutissant avec peine. Mon sperme est gluant, visqueux et épais. Je comprends sa difficulté. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Sous le parapluie, dans la nuit glaciale. Julie revient vendredi. Un dernier bisou. Nous la regardons partir toute tristounette. Un dernier coucou. Nous nous dépêchons de rentrer. Clémentine me tient la queue en disant : << Génial ! Tu as vu comme elle avalait ? >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font sucer le clitoris sous les draps pour un orgasme bien mérité. Avant de s'endormir...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1804 -



Estelle revient. Trop contente de nous retrouver...

Hier matin, mardi, ce sont les cris des mouettes qui nous arrachent du sommeil. Il est presque six heures. L'application "océan" est bluffante. On se croirait dans un port quelque part en Écosse. Clémentine se blottit contre moi pour écouter la sirène de ce gros bateau dans le lointain. Même si tout cela n'est qu'illusion c'est un réveil des plus agréables. Une illusion qui ne dure que 45 secondes. Quelques bisous, quelques papouilles. Nous nous levons précipitamment pour aller aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenus sport, nous descendons.

Il fait froid dans la cuisine. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume le feu dans la cuisinière à bois. Les deux croissants offerts samedi par notre boulangère, participent à envahir la grande pièce des effluves parfumées. Café, pain grillé et cette délicieuse odeur qui provient du four à micro ondes. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur l'agréable soirée de hier, en compagnie de Julie. Nous mangeons de bon appétit en analysant quelques uns des messages subliminaux qu'elle place dans ses phrases.

Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol. Charges additionnelles. Le retour au calme d'un bon stretching. Ses "petits machins" de fille sont finis. Ce qui participe de cette euphorie qui gagne Clémentine car le mardi elle termine à midi. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le jour est levé sous un ciel bas et gris. Le froid humide est des plus désagréables. Clémentine vient me rejoindre chaudement vêtue, en sautillant.

Sur la pointe des pieds elle me fait un dernier bisou. << Tu n'oublies pas que je t'aime, hein ! >> dit elle en s'asseyant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit. Je suis encore sous l'emprise de cette exubérance laissée là par Clémentine. Je vais dans l'atelier. J'y allume une bonne flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant le chevalet je prépare les couleurs sur la palette. Je termine ce matin cette cinquième scène de genre destinée à ma saison d'été.

Je peins dans cet enthousiasme délirant qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Il est 11 h45 quand je dépose la dernière touche de rouge de cadmium sur la surface de la toile achevée. Il y a quelques séquences ensoleillées au dehors. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je quitte l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffent les deux quiches aux fruits de mer, je lave les feuilles d'une belle et grosse laitue. Il y en aura pour la salade de ce soir. Je fais l'assaisonnement. Deux cuillères à soupe d'huile d'olive, une cuillère à soupe d'huile de noix.

Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou pour me couvrir le visage de bisous. Je la soulève. Ses jambes autour de ma taille je la promène dans toute la grande pièce. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. << Tu as le bonjour d'Estelle. Elle me charge de te dire que ce soir ça va être un feu d'artifesses ! >> dit elle. Nous rions aux éclats. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux Clémentine me parle de ses études. << Ça va être assez cool jusqu'aux vacances de Pâques ! >> fait elle.

Ce seront des écrits à remettre toutes les deux semaines. Un peu à la façon de dissertations continues. Le sujet en sera chaque fois différent. Le plus important sera l'expression orale qui permettra à chaque étudiant de développer ses affirmations écrites. << Je n'ai pas fini de te faire la lecture en soirée ! >> lance Clémentine. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous dévalons les escaliers pour enfiler nos anoraks. Quelques pas dans la propriété.

Clémentine me tient par le bras. Nous montons jusqu'au portail pour traverser la route, entrer dans la forêt. La température extérieure est de 12°. C'est bien de deviser en restant serrés. << J'aime quand tu m'éjacules dans la bouche par surprise comme hier soir. Tu as vu les réactions de Julie ? >> me fait Clémentine. Je m'arrête pour la prendre dans mes bras en disant : << Je t'aime Clémentine. Je vais te le faire souvent. J'ai d'ailleurs envie d'être très vicelard avec toi cet après-midi ! >>. Clémentine enfonce sa langue dans ma bouche.

C'est un baiser passionné. Lorsqu'elle cesse elle rajoute : << J'aime tes aveux. J'aime quand tu es vicelard ! Je t'aime comme une folle ! >>. Nous traversons la forêt pour longer les clôtures. Il faut rester sur le chemin pierreux car le sol est détrempé. Nous prenons le sens inverse. Une petite heure de marche qui nous fait le plus grand bien. << Viens ! On va faire du feu dans la maison d'amis ! >> dit Clémentine en m'entraînant par la main. Nous allumons le feu dans la cheminée. Les flammes lèchent rapidement le cul du chaudron.

Nous quittons la dépendance pour remplir la brouette d'une vingtaine de bûches. << Bonjour ! >>. C'est monsieur Bertrand, de l'autre côté de la clôture qui monte le chemin. Comme chaque jour notre voisin va nourrir les canards. Nous bavardons un peu. << Vous venez boire le café un de ces jours. Vendredi par exemple ? >> propose Clémentine. Je m'empresse de rajouter : << Une fois encore mon travail m'empêchera de me joindre à vous ! >>. Cette formule permet à ce salaud de se réjouir secrètement de se retrouver seul avec Clémentine.

Nous le saluons pour rentrer le bois. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. << Je me suce peut-être ce vieux salaud vendredi après-midi ! >> s'écrie t-elle. Nous rions de bon cœur. Je commence à l'instant la sixième scène de genre destinée à ma saison d'été. Nous apprécions ces moments de promiscuité. J'adore entendre Clémentine chantonner en travaillant. J'aime entendre les commentaires qu'elle fait en se relisant. Je me lève parfois pour la rejoindre. Debout derrière elle à lisser ses cheveux.

Je me penche, je relève ses cheveux pour lui déposer un bisou dans la nuque. Elle en frissonne. J'adore. Pour m'empêcher de retourner à ma peinture elle m'attrape par le poignet. C'est elle qui vient me rejoindre. Sur la pointe des pieds je ne l'entends pas venir. Je frissonne à mon tour quand ses lèvres se posent sur ma nuque. << Je vous aime monsieur ! >> chuchote t-elle à mon oreille. Il est dix huit heures. << Là, j'en ai marre ! >> s'écrie Clémentine. Moi aussi. Je nettoie la palette, les pinceaux. Je retire ma blouse. Je me lave les mains.

Je sors ma queue. Je me tourne vers Clémentine qui ouvre de grands yeux. << Mais quelle magnifique idée ! >> lance t-elle en rangeant son classeur sur l'étagère. Elle contourne la table pour venir s'accroupir devant moi. Préservant son équilibre, bien droite, elle se tient aux passants de mon jeans. Je lui frotte la bite sur la gueule. << Mmhh ! Je vous aime monsieur ! >> murmure t-elle en tentant de gober mon sexe. J'esquive au dernier moment. Elle tombe à genoux sur les tomettes du sol. Je passe mon sexe sur chaque relief de son visage.

Du bruit. Estelle, en ouvrant la porte, découvre le spectacle. Elle se précipite pour me faire des bisous. Je perds évidemment le contrôle de la situation. Clémentine en profite pour prendre ma queue à pleine bouche. Estelle me roule une pelle. Je suis appuyé contre le petit lavabo de l'atelier. Le baiser passionné d'Estelle macule nos mentons de salive. J'aide Clémentine à se relever. Je m'accroupis à mon tour pour masser ses genoux endoloris. << On n'a rien préparé pour ce soir ! >> lance Clémentine. << Super ! On improvise ! >> s'écrie Estelle.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà lavée. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes. Dans une poêle je fais dorer trois dos de cabillaud blanc. Estelle concocte une sauce au Roquefort. Je laisse au lecteur le plaisir d'imaginer cette odeur qui ouvre des appétits d'ogres. Estelle n'arrête pas de passer sa main sous mon tablier. De tripoter la bite molle. Je n'arrête pas de passer ma main entre ses cuisses. Clémentine s'amuse de nos jeux de mains. << Jeux de vilains ! >> dit elle en me faisant un clin d'œil.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle raconte son après-midi de travail personnel chez elle. Clémentine raconte le sien. Puis elle répond aux questions très détaillées d'Estelle quand à la présence de Julie hier soir. << Toi, tu deviens gouine ! >> lance Estelle lorsque Clémentine décrit la scène ou elle crache mon sperme dans la bouche de Julie. Nous rions de bon cœur. << Je veux toujours vivre la même chose ! Sinon je fais une jalousie ! >> lance Estelle. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux mes deux anges préparent notre soirée.

Quand Clémentine n'a plus ses règles, nous aimons baiser un peu. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Les filles, impatientes de passer aux actes, m'entraînent par les mains au salon. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il n'est que 20 h. << Deux heures de pures folies ! Ça vous tente ! >> s'écrie Estelle en retirant son jeans, sa culotte. Nous l'imitons immédiatement. Ce soir, c'est Estelle qui s'installe dans le fauteuil. Sa cuisse droite sur l'accoudoir de droite, sa cuisse gauche sur l'accoudoir de gauche. Elle se touche déjà en nous souriant.

Clémentine s'accroupit. Son sexe contre ma cheville, accrochée à mes jambes, elle se frotte. Je lui passe la bite sur la gueule. Elle gobe mon sexe. Je la tiens par les oreilles. Je bouge un peu du bassin dans un léger mouvement masturbatoire. C'est un merveilleux spectacle de voir Estelle se branler. Le geste pendulaire de plus en plus rapide que font ses doigts sur son clitoris. Elle enfonce un ou deux doigts de son autre main dans son sexe. J'aide Clémentine à se redresser. Je la soulève. Je l'emmène sur le bureau. En appui sur ses coudes elle me fixe.

Nous avons fait ça tant de fois. Et pourtant ce soir encore c'est comme une première. Je frotte mon sexe sur celui de Clémentine. De l'extrémité de ma turgescence j'écarte les lèvres charnues de sa vulve trempée. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Clémentine se laisse tomber sur le dos. Je suis complètement enfoncé. Clémentine se masturbe. Elle tient son clitoris géant entre le pouce et l'index. Trop curieuse d'assister une fois encore de plus près à cet évènement, Estelle vient nous rejoindre. Elle passe une main entre mes cuisses.

Par derrière elle choppe mes couilles de sa main libre. Elle aussi adore se frotter contre moi. Je berce Clémentine de délicats coups de queues alors qu'Estelle fourre sa langue dans ma bouche. Quand elle cesse enfin, tout en gémissant, elle s'assoit sur le bureau. Elle s'allonge pour m'offrir sa chatte. Je m'extrais du chaud fourreau de Clémentine pour m'enfoncer dans celui d'Estelle. Nous pratiquons ce genre de pénétrations doubles très souvent. Et pourtant ce soir encore c'est comme une première fois. Il est totalement impossible de s'en lasser.

Je sors ma queue gluante de l'une pour l'introduire dans l'autre. Elles sont toutes les deux couchées sur le dos. Ce pauvre bureau en a vu bien d'autres. Sa robustesse est encore mise à dure épreuve avec les spasmes, les mouvements frénétiques d'Estelle. Je la baise comme elle aime. Un hussard fou qui se secoue comme un dément dans une fille totalement hystérique. Quand j'entre dans Clémentine c'est un havre de paix. Je peux reprendre mon souffle car nous adorons rester l'un dans l'autre en restant immobiles. Je passe de l'une à l'autre.

Je sais de quoi sera fait l'orgasme pisseux de Clémentine. Je me retire pour aller récupérer la cuvette en plastique sous le guéridon, à côté du canapé. Les filles, comme sortant du sommeil, l'œil hagard me regardent, redressées, en appui sur leurs coudes. Je pénètre Estelle en saisissant ses chevilles en m'écriant : << Je vais te baiser petite salope ! >>. Elle se met à crier : << Oh oui ! Oh oui ! Baise-moi ! >>. Son orgasme est évidemment nucléaire. Sans jamais cesser de se masturber elle pousse un cri démentiel avant de me repousser délicatement.

Je m'introduis dans Clémentine haletante. Elle se masturbe également en s'adaptant à mon rythme soudain effréné. C'est un merveilleux spectacle de voir Estelle, couchée sur le côté, haletante, les mains entre ses cuisses entrain de revenir de son orgasme. Celui de Clémentine est un cataclysme. Elle me repousse doucement. J'attrape la cuvette posée sur le bureau. C'est un incroyable jet de pisse qui la remplit aux deux tiers. C'est magique car il y a toujours ce filet de cyprine qui s'écoule du vagin derrière le jet de pisse. J'admire mes deux anges.

Nous reprenons nos esprits. Clémentine et Estelle sont assises sur le bureau, les yeux larmoyants de plaisir. Je caresse leurs visages. Elles me saisissent les poignets en même temps. Je distribue des bisous à chacune. Équitablement. Comme c'est bon de les voir si heureuses, de les entendre soupirer de bonheur. << Et toi ? >> me demande Estelle. Comme toujours, je me veux rassurant. Je réponds : << Moi, ça a été un orgasme continu et permanent ! >>. C'est vrai. C'est tellement bon que j'en oublie d'éjaculer. Et ce sera pour Clémentine au lit.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui ont encore vécu un orgasme délirant avant de monter se coucher. De sucer une queue...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1805 -



Juliette vient passer la soirée avec nous

Hier matin, mercredi, l'application "océan" nous bluffe. Il est presque six heures. Nous avons vraiment l'impression de nous réveiller au bord de la mer. Le cri strident des mouettes. Des sirènes de gros bateaux dans le lointain. L'illusion est parfaite. Clémentine vient se blottir quelques instants contre moi en gémissant. Quelques papouilles, des bisous. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos leggings de lycra noir, de nos sweats de lycra jaune, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Je fais le feu dans la cuisinière à bois.

Clémentine s'occupe du café, presse nos oranges, pèle nos kiwis en me racontant ses rêves. Le grille pain éjecte ses premières tranches. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur nos folies de hier soir. Cette sublime partie de baise au salon, les filles couchées sur le bureau. Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine précise : << C'est ça qui rend nos réveils de plus en plus difficiles ! >>. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la visite de Juliette ce soir. Je propose de préparer une Flamiche Picarde. La tourte aux poireaux.

Il est 6 h25. Nous remontons. Pour nous réveiller complètement rien de tel qu'une bonne heure d'entraînement. Second plaisir de cette nouvelle journée commençante. Aérobic, jogging sur tapis roulants, abdos, exercices au sol, charges additionnelles. Le retour au calme est prétexte à une certaine déconnade avec un stretching bâclé. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre dans le froid sous un ciel gris mais lumineux. Un dernier bisou, je la regarde partir. Dernier coucou.

Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire, la vaisselle, le lit. Je sors une des pâtes feuilletées du congélateur. Je vais dans l'atelier, impatient de me livrer à mon troisième plaisir. J'allume un bon feu dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet je prépare les couleurs sur la palette. J'attaque ce matin la sixième scène de genre à trois personnages de ma saison d'été. Je peins en chantant. Je pense à notre soirée de hier. Comme c'était bon. Clémentine a raison de dire que ces baises rendent nos levés difficiles. Rires.

La matinée file à une vitesse phénoménale. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier pour la cuisine. La pâte feuilletée a décongelé. Je lave les feuilles d'une belle et grasse laitue. Je réchauffe le reste de coquillettes de hier soir. Je fais rissoler un filet de lieu noir avec des champignons. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit encore aujourd'hui un invité remarquable. Je lave et je coupe deux gros poireaux. Je râpe du gruyère de Comté. Je concocte une belle Béchamel. Bien onctueuse.

J'étale les deux tiers de la pâte feuilletée dans le grand plat à tarte aux bords hauts. Je fais cuire les poireaux quelques minutes avant de les égoutter, de les rajouter à la Béchamel avec le gruyère. Je mélange délicatement avant de verser le tout sur la pâte. Je recouvre du dernier tiers de pâte feuilletée en jointant les bords. Je badigeonne ce "couvercle" avec le mélange œuf, moutarde, lait de soja. Quelques grains de sésame grillé. Au four électrique pour une cuisson douce et lente à 180°. Il faut que ça mijote longuement. C'est tellement meilleur.

La vaisselle. Je monte me laver les dents. Le repas de ce soir est prêt. Habité par la douce sérénité du 'vainqueur" je redescends pour enfiler mon anorak. Je fais quelques pas dans la propriété. Il fait moins froid. Je surprends même quelques gazouillis d'oiseaux. Dans le lointain de ce fond d'air humide je crois discerner une atmosphère printanière. Il est 13 h30. Je retourne dans l'atelier. Installé devant mon chevalet je reprends ma peinture. Je me livre à ma passion. Animé des même sentiments que ce main. L'après-midi passe encore si rapidement !

Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle pose son sac sur la table pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée, le repas de midi au restaurant universitaire. << Tu as plein de bisous d'Estelle qui a beaucoup apprécié ta prestation hier ! >> me dit elle. Nous en rions de bon cœur. Clémentine a encore du travail. << En ce moment c'est très cool en cours ! >> rajoute t-elle assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je peins encore un peu en l'écoutant chantonner.

<< Mais alors là, j'en ai plein les bottes ! >> s'écrie Clémentine en rangeant ses affaires. Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. À nouveau assise sur mes genoux, Clémentine revient sur nos exactions sexuelles. << J'aime être regardée. Même quand c'est par une meuf comme lundi soir, lorsque Julie mâtait ! >> confie t-elle en changeant de position pour se mettre à califourchon. << Tu sais que je me touche tous les jours en rentrant de cours, dans la voiture ? Mais je te promets je suis très prudente ! >> rajoute t-elle. Nous rions.

Soudain, au-dessus de nos têtes, provenant de l'étage, un bruit sourd et caverneux. Comme un gong. Nous nous serrons fort. Tout en se frottant Clémentine pose sa joue contre la mienne. Nous écoutons une fois encore le fantôme de mon ancienne compagne. Les errances de l'entité sont toujours surprenantes. Une porte qui grince longuement avant de claquer. Tout s'arrête aussi brusquement. << Exactement une minutes et quarante cinq secondes ! >> lance Clémentine. C'est une estimation fantaisiste qui nous fait rire. Nous quittons l'atelier.

Clémentine découvre ce qu'il y a dans le four. << Mmhh ! Comme j'ai faim ! >> dit elle en se blottissant contre moi. À nouveau elle se frotte en demandant : << Tu l'aimes ta frotteuse ? >>. Je la soulève. Elle enserre mes hanches de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Je l'emmène ainsi faire le tour de toute la grande pièce. Trois coups de sonnette. << C'est Juliette ! >> lance Clémentine que je garde dans mes bras. C'est comme ça que nous allons accueillir Juliette. Elle rit de nous voir ainsi. Je dépose enfin Clémentine au sol.

Je débarrasse Juliette de son épais manteau noir, de son écharpe. Ce soir encore elle est vêtue de sa tenue d'écuyère. Son pantalon beige de cavalière hyper moulant. Un pull tout aussi serré sur ses formes. Ses hautes bottes de cuir noir et luisant. Ses longs cheveux noirs en natte. Nous nous touchons les poings. Nous revenons à la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer dans le four à bois dont la chaleur est infernale. Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue déjà prête. Juliette met les assiettes et les couverts en nous racontant sa journée au haras.

J'ai la braguette béante. Je porte un slip blanc. Ce qui attire donc le regard de cette magnifique bourgeoise à plusieurs reprises. Cette fois, elle ne fait pas semblant de ne s'apercevoir de rien. Clémentine demande : << Et cette partouze, samedi soir, c'était comment ? >>. Juliette éclate de rire. Avec son accent méridionale elle s'écrie : << Oh, pas de partouze. Juste une soirée à trois avec Bernadette et Pierre ! >>. Nous rions aux éclats quand Clémentine rajoute : << Nous c'était pareil. Juste Estelle, Julien et moi ! >>. Je sors la tourte du four.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Juliette partage ses impressions avec les nôtres quand à nos triolismes. Une formule qu'elle apprécie autant que nous. << C'est bien de se retrouver au calme ! >> lance t-elle avec un clin d'œil amusé. Je sors ma bite sous la table. Juliette et Clémentine, en voyant bouger mes deux bras, savent très bien ce que je suis entrain de "bricoler" sous la table. << C'est prêt ? >> me demande Juliette avec ce regard par en-dessous, terriblement suggestif. Je me lève en présentant ma queue. Je bande mou.

Tenant mon sexe à sa base entre le pouce et l'index je l'agite dans sa direction. << Vous savez, c'est la "sœur jumelle" de celle de Pierre ! >> lance Juliette. Clémentine s'écrie : << Je raffole des phénomènes de gémellités ! Et pas seulement d'un point de vue scientifique ! >>. Nous rions aux éclats. Cette Flamiche Picarde est un véritable délice. Nous savourons cette tourte aux poireaux en évoquant quelques souvenirs communs. Clémentine connait parfaitement la bite à Pierre. Elle se l'est prise dans la chatte autant que dans la bouche. Souvent.

Ces conversations nous excitent toujours considérablement. Je suis debout entre deux bouchées, pour me masturber devant Juliette et Clémentine. << On ne s'en lasse pas ! >> lance Juliette. Je m'approche de Juliette qui a un mouvement de recul. Je dis : << Pas d'inquiétudes. C'est juste pour une mise en bouche ! >>. Elle éclate de rire. Clémentine me fait signe de l'index. Je la rejoins pour lui frotter la bite sur la gueule. Nous n'avons pas terminé le repas. Aussi je retourne m'assoir. Clémentine propose de prendre le dessert au salon.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Juliette a ramené une petite tarte aux poires "maison". C'est elle qui prépare ces délicates pâtisseries. Nous voilà confortablement installés. Clémentine et moi dans le canapé, Juliette dans le fauteuil qui nous fait face. Nous dégustons les tranches de tarte tout en évoquant les soirées sexes vécues aux écuries. Clémentine n'est pas contre une nouvelle expérience Gloryhole. Mais c'est préférable d'attendre les premiers beaux jours. << Moi, je m'en offre parfois. Radiateur électrique ! >> dit Juliette.

<< Les bites à qui ? >> demande Clémentine en saisissant la mienne. << Oh, ce sont souvent les mêmes. Celle de mon vétérinaire, celle de Pierre ! C'est juste pour le fun. Le frisson que cela procure d'imaginer qu'elle pourrait être celle d'un inconnu ! >> répond Juliette. Je bande comme le dernier des salauds. Je regarde le doigt de Juliette parcourir la couture de son pantalon. Cette couture qui sépare les lèvres de sa vulve en deux petites bosses. Sa cuisse droite sur l'accoudoir de droite. Je scrute. Il semble qu'il y ait une auréole plus sombre. Humide.

Clémentine se couche sur le côté, sa tête contre mon ventre. Mon sexe contre sa joue. Juliette cesse de se toucher. Penchée en avant, les coudes sur ses genoux, la tête en appui sur ses mains, elle observe. Clémentine se met à sucer. Je suis couvert d'un délicieux frisson. C'est hyper excitant de me faire tailler une pipe sous le regard de Juliette. Je lui adresse un clin d'œil. Elle fait de même. Clémentine qui adore être regardée, gémit déjà de ses premières émotions. Juliette se lève pour venir s'assoir au sol, en tailleur, entre mes pieds écartés.

Je n'ai qu'à allonger le bras pour passer le bout de mes doigts sur ses joues. Elle me fait le plus merveilleux des sourires. Elle prend une fine tranches de tarte qu'elle grignote tout en observant le pompage de Clémentine. Clémentine qui ouvre les yeux pour constater la proximité de Juliette. Elle cesse de sucer pour lui tendre ma queue soudain dégoulinante de jus de couilles. Juliette frotte son petit bout de tarte juste sous la coulée afin que cette dernière s'étale sur la demi lune de poire luisante et caramélisée. Je la regarde porter le tout à sa bouche.

Je ne peux plus bander plus fort. Je me suis déjà fait sucer par Juliette à de nombreuses reprises. Ce soir elle se contente de regarder. Malgré les invitations manuelles de Clémentine qui lui présente ma bite plusieurs fois, Juliette reste à une cinquantaine de centimètres. << J'adore voir, vous le savez bien ! >> murmure t-elle. Clémentine chuchote : << J'adore qu'on me regarde ! >>. De ma main gauche j'appuie sur la nuque à Clémentine pour lui enfoncer davantage de queue. De ma main droite je caresse le visage de Juliette. Douceur.

Juliette saisit mon poignet. Pour que surtout je ne cesse pas. Je lui fais des clins d'œil. Elle mime des bisous qu'elle m'adresse du bout des lèvres. << On se fait une soirée samedi soir ? >> lance t-elle soudain. << Estelle, Julien et moi ? Juste avec vous ? >> demande Clémentine. << On s'invite un vicelard de votre choix ! >> répond Juliette. << Intéressant ! >> lance Clémentine avant de retourner à son pompage de Zob. Je pose mon index sur la bouche de Juliette qui le gobe pour le sucer. Elle me fixe de ses yeux perçants. C'est magnifique.

Cette femme est magnifique. Elle porte ses 48 ans avec une classe extraordinaire. Je la sais amoureuse. Tout comme Clémentine. Mais il n'y a plus à avoir peur. Clémentine sait que ce n'est qu'elle que j'aime. En me faisant sucer le doigt et la queue, j'éjacule dans la bouche de Clémentine. J'ai plusieurs spasmes qui me font hurler de plaisir. Cet orgasme est presque douloureux. Sous le regard de Juliette qui me fixe pour me faire comprendre mille choses. Je les comprends parfaitement. Clémentine déglutit avec peine en poussant de petits râles.

Elle cesse pour montrer l'intérieur de sa bouche à Juliette. Je découvre les yeux plein de gourmandise de Juliette. Avide. Comme en attente d'un éventuel partage. Pour Clémentine, pas question de faire comme avec Julie. Car avec Juliette ce n'est pas elle qui aurait le contrôle de la situation. Juliette est bisexuelle et fantasme beaucoup sur Clémentine. Elle ne manque jamais une occasion de le lui faire savoir. Je dis : << La prochaine fois que nous nous offrons une soirée "surprise" chez vous, dans les écuries, c'est dans votre bouche que j'éjacule ! >>.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment se retrouver au lit, sous les draps, dans les bras de leur éjaculateur buccal et vicelard...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 49 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1806 -



Estelle est tellement contente d'être de retour

Hier matin, jeudi, il est presque six heures. L'illusion de nous réveiller dans quelques ports de pêche est encore parfaite. Clémentine vient se blottir contre moi. Il y a les sirènes de ces gros bateaux qui se croisent dans le lointain. Les cris des oiseaux de mer. Le bruit du ressac et même les clapotis qui paraissent tout proches. Quelques bisous, quelques papouilles. C'est dur mais il faut se lever. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos ensembles de sport, nous dévalons les escaliers jusque dans la cuisine. Une cuisine bien froide.

J'allume immédiatement un bon feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. En compagnie de Juliette. << J'adore ce qui s'est encore passé. J'adore quand tu m'éjacules dans la bouche par surprise. Surtout quand quelqu'un me regarde sucer ! >> me confie Clémentine en posant sa main quelques instants sur la mienne. Nous mangeons de bon appétit en évoquant Estelle qui nous rejoint ce soir. Clémentine la voit en cours ce matin.

<< Elle a probablement baisé avec Jean-Marc hier soir ! >> lance Clémentine. Nous rions de bon cœur en imaginant son parrain la prendre sur les piles de cartons, au dépôt. Il est 6 h25. Nous remontons pour achever de nous réveiller complètement. Et pour ça rien de mieux qu'une heure d'entraînement avec une intensité maximale. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos, les charges additionnelles. Le retour au calme devrait normalement se faire dans un bon stretching. Mais le nôtre est souvent bâclé. En déconnant.

La douche. Je descends le premier pour aller préparer la voiture. Il est presque 7 h45. Clémentine vient me rejoindre emmitouflée dans son anorak. Le ciel est gris et bas. Le froid humide est désagréable. Un dernier bisou. << J'aimerais des crêpes ce soir ! >> me fait Clémentine en s'asseyant au volant. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je m'empresse de rentrer au chaud. Je fais la vaisselle, le lit avant d'aller dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette.

La peinture de cette sixième scène de genre destinée à ma saison d'été me plonge totalement dans ma passion. Je peins en chantonnant. Le crépitement des bûches que le feu entame est la plus agréable des musiques. La matinée passe toujours si vite. Il est déjà 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Là aussi, une grosse bûche de chêne dans la cuisinière à bois. Je réchauffe la dernière part de Flamiche Picarde. Cette tourte aux poireaux qui a enchanté notre soirée de hier. Il reste même de la tarte aux poires.

Je fais rissoler un filet de flétan avec des champignons. J'y rajoute un petit pot de crème fraîche en fin de cuisson. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff reçoit des invitées. J'apprends l'impensable. Cette déclaration de guerre en Ukraine. L'impensable auquel tous les dirigeants européens depuis 20 ans pensaient en glissant la poussière sous le tapis. Ce jeudi 24 février 2022, il n'y a plus de place sous le tapis. J'écoute totalement atterré ces informations terrifiantes. Je ne traîne pas. Je débarrasse pour préparer le repas du soir.

Je prépare une pâte à crêpe sans cesser d'écouter la radio. Consterné par ces actualités sidérantes. Dans la poêle je fais rissoler les crevettes et les ronds de calmars. La pâte à crêpe repose dans un saladier sous un linge. Les crevettes, les calmars reposent dans la poêle sous un couvercle. Je termine par la vaisselle avant d'éteindre la radio. Je monte me laver les dents. J'essaie d'évaluer la situation. Il y a la guerre aux portes de l'Europe. À 2 500 km de Paris. Cette fois ce n'est pas à l'autre bout du monde. Non, cette fois elle nous concerne.

Je dévale les escaliers pour enfiler l'anorak. Il faut reconstituer le stock de bois. J'emplis la brouette d'une vingtaine de bûches. Je procède à deux voyages. J'empile à côté de la cheminée du salon, à côte de la cuisinière à bois, à côté de la cheminée de l'atelier. Confortablement installé devant mon chevalet je peins hanté par toutes sortes de pensées effrayantes. Ainsi, dans notre XXIème siècle, il existe encore de véritables psychopathes prêts à plonger le monde dans un déluge de feu, de sang et d'effrois. L'après-midi passe vite. Il est déjà 17 h30.

Clémentine rentre de cours. Elle pose son cartable sur la table pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le menu du restaurant universitaire. Bien évidemment elle a entendu les informations. Les étudiants en ont parlé entre eux. Les premières inquiétudes. Personne n'échappera aux conséquences économiques de ce désastre. C'est la fin d'un monde. Une page se tourne sur le nouveau. Clémentine a encore du travail. C'est sur ces considérations qu'elle s'assoit devant son ordinateur.

Il est impossible de se concentrer sur nos travaux respectifs. Nous émettons les hypothèses les plus farfelues. Il est dix huit heures. Voilà Estelle qui entre dans l'atelier. J'anticipe toujours. Je dépose la palette et les pinceaux sur la desserte à ma droite. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle donne sa perception des choses. << Si vous quittez l'Europe pour l'Amérique, je viens avec vous ! >> lance t-elle pour conclure ses phrases. Nous rions un peu nerveusement. C'est vrai qu'en cas de crise grave cela reste une option réaliste.

Estelle et Clémentine mettent au point la stratégie des cours de demain matin. Elles terminent à midi le vendredi. Je nettoie la palette, les pinceaux. Même avec toute la volonté possible, la conflit ukrainien revient insidieusement se glisser dans la conversation. << Ils nous ont fait chier avec la pandémie, maintenant il nous font chier avec une autre merde ! Faut-il vraiment exister dans la peur ? Est-ce une volonté délibérée ? Est-ce la fatalité ? >> s'écrie Estelle. Soudain, au-dessus de nos têtes, ce bruit sourd et profond qui annonce le fantôme.

Serrés tous les trois nous écoutons les errances de l'entité à l'étage. Une fois encore Estelle nous fait remarquer que c'est toujours quand nous sommes dans l'atelier. Jamais dans une autre partie de la maison. Le phénomène ne dure que quelques minutes. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. << On ne parle que de ce qu'on aime. Le premier qui évoque autre chose a un gage ! >> lance Estelle. Il fait bon à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Estelle fait bouillir l'huile de friture sur la cuisinière à bois. Avec cette chaleur infernale.

Je mets les assiettes, les couverts. Nous allons de l'un à l'autre pour nous faire des bises. Sur le bout de nos lèvres se devinent nos préoccupations. Nous suivons scrupuleusement le précepte d'Estelle. Ne parler que de ce qu'on aime. Je demande à Estelle : << Raconte-nous la visite de ton parrain hier soir ! >>. Estelle s'accroche à mon cou : << Il m'a niqué. Pire que toi ! Jean-Marc est un "performer" ! >>. Nous éclatons de rire. Elle nous donne un luxe de détails avant de conclure : << Il m'a totalement défoncé la chatte le salaud ! >>.

Il suffit de verser les crevettes et les ronds de calmars réchauffés dans la pâte à crêpe. Avec une louche de les récupérer enduits de pâte. De les mettre dans l'huile bouillante pour que le tout se transforme en beignets. Lorsqu'ils flottent à la surface, Clémentine les récupère avec l'écumoire. Elle les pose sur les feuilles de papier absorbant. Je fais rissoler les fines tranches de pommes de terre pour en faire des chips. Disposées elles aussi sur des feuilles de papier absorbant. Nous mangeons de bon appétit. Un repas d'une simplicité déconcertante. Si bon.

C'est un délice. Je propose de faire trois crêpes en dessert avec la pâte restante. L'une avec du sucre, les autres avec du miel, de la confiture. Estelle les roule avant de les couper en trois parties. Assises sur mes genoux, mes deux anges dégustent en évoquant le très vague programme du week-end qui s'annonce. << S'il n'y a pas de chars russes dans la cour ! >> lance Estelle. << Ah ! Tu as un gage ! >> s'écrie Clémentine. Je dis : << La bite dans la bouche ! >> nous rions aux éclats pour conjurer les pensées néfastes qui nous envahissent.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Pressés d'aller nous oublier dans nos folies nous quittons la cuisine pour le salon. Nous restons serrés tous les trois. Il faut absolument chasser les mauvaises pensées. Estelle glisse sa main dans ma braguette ouverte. En fouillant dans mon slip, d'un mouvement virtuose, elle en extrait le locataire. Clémentine s'accroupit. Estelle passe mon sexe sur son visage. Je glisse ma main entre les cuisses d'Estelle. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Délicieux goût de crêpe au miel. Clémentine gobe ma queue.

Se mettant à genoux à même le parquet, Clémentine enserre ma cheville droite de ses cuisses. Elle adore se frotter. Un fois encore, en gémissant de plaisir, elle se masturbe contre ma jambe en se tenant à mes fesses. Estelle cesse de m'embrasser pour dire : << Ce soir, juste une douce caresse, j'ai la chatte complètement congestionnée ! >>. Clémentine, tout en suçant, glousse en riant. Je couvre le visage d'Estelle de bisous en répondant : << Je vais te faire un broute minou qui va soulager ta peine ! >>. Clémentine se redresse rapidement.

Estelle retire son jeans, sa culotte pour s'affaler dans le canapé. Je demande à Clémentine : << Tu ne veux pas de la thérapie du docteur Julien ? >>. Clémentine me tient par la queue pour répondre : << Moi, je veux juste la crème du docteur. Son tube est plein ! >>. Nous rions. Clémentine m'embrasse avec fougue. Le goût de la bite se mêle à celui de la crêpe au sucre. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Le visage entre les cuisses d'Estelle. Je hume les odeurs fortes de son sexe. Clémentine est accroupie derrière moi à se frotter.

Elle me tient fermement le sexe. Je passe ma langue le long de l'étroite fente d'Estelle. C'est toujours surprenant car je la sens s'écarter. J'ai alors accès à ses fines lèvres qui jaillissent comme par enchantement. Estelle stimule son clitoris. Elle se masturbe toujours lorsque je lèche. Les premières coulées de yaourt dont je me régale. Clémentine se couche sur le côté, sa tête entre le canapé en mes cuisses. C'est une position inconfortable pour me tailler une pipe pendant que je suce le clitoris d'Estelle. Je glisse délicatement mon index sur les lèvres.

Je tiens Clémentine par la nuque pour l'aider à garder un équilibre précaire. En appui sur son coude qui devient rapidement douloureux. Il faut changer de position. Ce soir encore Clémentine est animée d'un désir irrépressible de fellation. Nous avons beau varier les positions, aucune n'est satisfaisante. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est déjà 21 h30. Son orgasme est un long spasme qui secoue tout son corps. Elle pousse de petits cris en haletant. Je peux enfin me consacrer à Clémentine qui suce avec un appétit extraordinaire. Je jute.

Estelle, couchée sur le côté, les mains entre ses cuisses, comme en proie à la douleur, observe la scène en reprenant ses esprits. Clémentine pousse des râles de plaisir en déglutissant l'abondance de mes trois saccades. Elle cesse pour me montrer le contenu de sa bouche. Bien évidemment, durant ces moments merveilleux, nous occultons totalement le monde extérieur. Estelle s'assoit en se massant doucement le bas du ventre. << Mmhh, c'est bon ! Je ne sais pas ce que préfère le plus, la baise ou la lèche ! >> lance t-elle. Nous éclatons de rire.

<< Moi, c'est toujours la pipe ! Mais je ne suis pas contre une petite pénétration pour bien situer les choses ! >> dit Clémentine avant de se remettre à sucer. Je chuchote : << Je sens la séquence numéro deux ! Tu ne veux pas attendre d'être au lit ? >>. Clémentine cesse. Je me penche pour déposer une bise sur son front. Elle est à genoux entre mes jambes. Estelle se blottit contre moi pour me faire des bisous en mitraille. Il faut revenir aux réalités. C'est l'heure. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Séparation difficile. Elle revient samedi.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui se font offrir un broute minou avant de s'endormir sous les draps dans les bras de leur lécheur.

Julien (Docteur Honoris Causa es cunnilingus)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe

Le petit monde de Clémentine et de Julien

Après plus de 1800 épisodes le plaisir de partager nos aventures reste intact. De sacrés moments.
C'est une véritable joie de publier nos récits quotidiennement. C'est même devenu une nécessité.

Bien évidement, les noms, les prénoms, les lieux ne sont qu'autant de pseudonymes sans réalités.
Il est préférable de préserver son anonymat. Sur Internet mais également sur les forums "sexes".

Je remercie nos lectrices, nos lecteurs pour leurs fidélités, pour l'intérêt qu'ils nous portent.
Tout particulièrement celles et ceux qui entretiennent avec nous un contact en messagerie privée.

Nous avons autant de joie à pratiquer les échanges en messagerie privée qu'à narrer nos aventures.
C'est très intéressant, souvent amusant et parfois passionnant. Certains "amis" depuis quatre ans.

Je vous souhaite d'excellentes lectures, de belles découvertes et de passer du bon temps avec nous.

Cordialement.

Clémentine et Julien

Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1807 -



Le vendredi Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, les sirènes de ces gros bateaux qui se croisent dans le lointain nous réveillent. Il est presque six heures. Le cri des mouettes, strident et obsédant, parfait l'illusion d'être quelque part en Écosse dans un port. Clémentine vient se serrer contre moi. << Je t'aime. Comme c'était bien hier soir ! >> murmure t-elle à mon oreille. Distribution de bisous, de papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues sports, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Il y a fait encore bien froid.

Le thermostat des radiateurs vient de s'enclencher. J'allume immédiatement une flambée dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre trio de hier soir. Le vendredi Clémentine termine à midi. Ce qui la rend plutôt déconneuse. Nous rions donc déjà beaucoup de ses facéties. Nous mangeons de bon appétit en évoquant ce week-end qui débutera dès son retour. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Ça réveille bien !

Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Le tout dans la déconne et plusieurs franches rigolades. Avec le travail aux charges additionnelles, fini de rire. Le retour au calme est un nouveau prétexte à la déconnade. Un stretching encore plus bâclé que les autres matins. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Le ciel est gris, sinistre, le froid glacial et humide. Clémentine vient me rejoindre en sautillant dans son anorak. Un dernier bisou. Je la regarde s'en aller. Un dernier coucou de loin. 7 h45.

Je me dépêche de rentrer pour faire la vaisselle et notre lit avant de passer dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Installé confortablement devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. La sixième scène de genre destinée à ma saison d'été m'accapare rapidement. Je peins dans cette douce euphorie offerte par Clémentine depuis le levé. À chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent je pousse un cri surréaliste. La matinée passe à une vitesse folle. Il est 11 h55. Je mets deux bûches dans la cheminée.

Je quitte l'atelier pour la cuisine. Il reste quantité de beignets et de pommes de terre chips. Il suffit de réchauffer tout ça pendant que je prépare une salade de tomates. J'écoute Sud Radio. Avec les événements ukrainiens André Bercoff est encore dans tous ses états. Il est 12 h35. Clémentine rentre de cours. En sautillant elle vient se jeter à mon cou. Je la soulève. Elle enserre ma taille de ses jambes pour me couvrir le visage de bisous. Toujours aussi exubérante elle éteint la radio en disant : << Pas de ça entre nous ! >>. Nous éclatons de rire.

Nous mangeons de bon appétit. Les beignets de crevettes et de calmars réchauffés, c'est top. Les pommes de terre sont doublement chips. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa matinée. << Je dois te faire une bise sur la queue de la part d'Estelle. Elle a ses "petits machins" de filles. Elle va devoir attendre demain pour le traitement du docteur Julien ! >> dit elle. Nous rigolons comme des bossus. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents en déconnant.

Après s'être essuyée la bouche, Clémentine s'accroupit devant moi. Dans le miroir de la salle de bain, je la vois de dos. C'est pour moi une des images les plus affolantes. Une fille accroupie, de dos, devant une braguette. L'imagination prend le pas sur la réalité. C'est à la fois émouvant et terriblement excitant. Clémentine me déboutonne pour extraire le zob de mon jeans. D'un index virtuose qu'elle passe sous les couilles, elle me les sort. Elle les tient fermement dans sa poigne. D'un mouvement de tête gracieux elle gobe l'extrémité de mon sexe.

Si je baisse les yeux, je la vois sucer. Si je regarde dans le miroir, je la vois de dos. J'ai le choix. C'est absolument merveilleux. Je chuchote : << Je t'aime Clémentine mais je suis également amoureux de toi ! >>. Elle cesse. Je l'aide à se redresser. << Moi, je suis folle de toi. Et de "ça" ! >> dit elle en se blottissant dans mes bras. Elle rajoute : << Garde soigneusement tes "outils" dehors, Julie apprécie autant que moi ! >>. Julie arrive pour 15 h30. Nous avons deux heures devant nous. Clémentine saisit ma queue molle pour m'entraîner dans l'escalier.

Nous allons dans l'atelier car elle a encore du travail. Mettre au propre les notes prises cette semaine. Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée de ses fiches. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins en écoutant Clémentine chantonner, inventer des paroles loufoques, commenter ses notes. << C'est quoi ce merdier ? Mais pourquoi j'ai écris ça ? >> sont les mots qui reviennent le plus souvent. J'adore ces moments. Ils marquent mon esprit d'une façon particulière. Je sais qu'un jour ils feront partie de mes souvenirs heureux.

Sous ma blouse il y a ma bite et mes couilles. C'est très désagréable car la braguette bouton a tendance à faire "garrot". Aussi je me lève souvent. J'écarte alors les pans de ma blouse pour offrir l'insolite spectacle à la fille que j'aime. Un crayon sur les lèvres, elle observe aussi concentrée que sur l'écran de l'ordinateur. << J'aime ! >> lance t-elle. Trois coups frappés contre la porte. C'est Julie qui entre dans l'atelier. Depuis quelques temps elle ose enfin s'affranchir des coups de sonnette, des textos en arrivant dans la propriété. Elle entre directement.

Julie se précipite vers Clémentine pour lui faire des bises. Puis elle vient vers moi pour faire pareil. Cet après-midi Julie porte un pantalon beige, un pull carmin, ses bottines, ses cheveux en liberté sur ses épaules. Ses lunettes d'étudiante. Elle tire le tabouret pour s'y installer à ma gauche. Me regarder peindre constitue pour elle le summum de ses intérêts pour l'Art pictural. J'entends sa respiration. Aussi concentrée que moi, comme si c'était elle qui peignait, elle scrute la danse du pinceau sur la surface de la toile. Ces instants aussi sont très émouvants.

Je réponds aux diverses questions de Julie. Son cours de peinture a déjà commencé avant même qu'elle ne s'y mette. Clémentine vient nous rejoindre. Debout derrière moi, ses mains posées sur mes épaules elle regarde, elle écoute. Cette situation se reproduit à plusieurs reprises avant que Clémentine ne retourne à ses notes. Julie, assise bien droite sur son tabouret, immobile, les mains entre ses cuisses serrées observe avec attention. Lorsque je peins il m'est difficile de connecter mon esprit à la sexualité. Je sublime la libido dans la création.

Pourtant j'aimerais beaucoup créer un "évènement" déclencheur. Je me creuse la tête sans cesser d'appliquer les couleurs. Les filles sentent ce genre de choses. Pas de doute. Il y a comme une télépathie latente qui connecte deux êtres dans ces instants d'intimité. J'en suis d'autant plus convaincu que je surprend pour la seconde fois le regard de Julie. J'ouvre ma blouse. Elle fait semblant de ne se rendre compte de rien. Cette attitude toute féminine participe de l'enchantement le plus divin que je puisse ressentir. Il est impossible de na pas "voir".

Je bande mou. Ma tige recourbée au-dessus de ma paire de roubignoles. Avec l'effet "garrot" de la braguette, mes couilles sont dodues à souhait. Julie n'est qu'à quelques centimètres de moi. Sur ma gauche. Je cherche un reflet, un effet rétroviseur pour surprendre ses regards furtifs sur mon "matos". Rien. C'est à prévoir pour les prochaines fois. Je cesse de peindre pour me lever. Julie se saisit de la palette, de mes pinceaux que je veux poser sur la desserte. Elle fixe mon appareil génital comme si c'était la toute première fois. C'est merveilleux.

Je dis : << S'il vous plaît Julie, la poutre apparente que je m'apprête à peindre, là, ces quelques millimètres carrés de brun, réalisez les ! >>. Julie, soudain comme affolée, regarde cette partie de la toile comme si elle était un danger. Je m'amuse beaucoup des attitudes de cette adorable jeune fille de vingt ans. Surtout lorsque je la mets ainsi dans l'embarras. Julie est prête à relever les défis que je lui soumets. Elle prend ma place. Sa main gauche tient la palette. La main droite posée sur l'appui poignet, elle pose délicatement la couleur au bon endroit.

Je suis debout derrière elle. Mes mains sur ses épaules. Ma tête penchée, mon visage tout près du sien. Elle peut sentir mon souffle, je peux sentir le sien. Cet instant d'une intimité artistique et terriblement sensuel est un partage qui n'échappe pas à Clémentine. Elle vient nous rejoindre. Elle veut absolument vivre à ce partage. Rien ne l'excite davantage que d'assister à mes approches, à mes initiatives. Elle glisse sa main sous les pans de ma blouse pour caresser mes couilles. Julie finalise ces quelques millimètres carrés de couleurs brunes. Parfait.

Julie tourne la tête. Elle regarde à présent la poigne de Clémentine, mes couilles qu'elle tient fermement dans sa main. Ma bite molle qui pend dessus. Cela l'intéresse à présent bien davantage que Rembrandt. Je passe délicatement ma main sous ses cheveux pour la poser sur sa nuque. À chaque fois que je caresse ainsi la peau de son cou délicat, je peux sentir le frisson qui anime tout son corps. Elle semble encore si fragile assise sur son tabouret. Comme dans l'attente d'un nouvel évènement. Comme le dit souvent Clémentine, Julie vient pour "ça".

Je nettoie la palette, les pinceaux. Julie est debout aux côtés de Clémentine, là-bas, derrière la table de travail. Je me lave les mains au-dessus du petit lavabo de l'atelier. Dans le miroir j'observe les deux filles. Clémentine est encore tellement belle avec sa longue natte, ses lunettes d'étudiante sur le nez. Julie à ses côtés qui écoute ses explications. Je me retourne en essuyant mes mains. La serviette cache mes attributs virils. Les filles lèvent les yeux en même temps. Je leurs montre ce qui est "garrotté" par la braguette boutons de mon Levi's 501.

Julie se redresse. Les yeux écarquillés, comme si je faisais mon exhibitionniste pour la première fois. Elle regarde consternée. Je dis : << Julie, ça va être l'heure de votre cours de peinture. Le passage à la pratique après la théorie ! >>. Julie contourne la table pour déplier le petit chevalet qu'elle installe. Sa boîte de peinture. Je saisis sa toile de format miniature. Cette nature morte minuscule qu'elle a commencé la semaine dernière. C'est moi qui suis assis sur sa gauche. Silencieux, je la regarde préparer sa palette. Clémentine me fait un clin d'œil.

Comme pour chacun de ses cours, Julie est immédiatement captivée par sa peinture. D'après une photo qu'elle a prise chez elle, dans sa chambre. Un vase bleu, une rose rouge, un livre ouvert. C'est simple mais superbement cadré. Magnifiquement présenté. Ce sera sa toute première nature morte. Je tiens ma queue sous la table. Lorsqu'elle prend un peu de recul pour observer son travail, je surprends son regard furtif. Ce que je fais la passionne certainement autant que sa peinture. Cela dure un peu plus d'une heure. Julie devra nous laisser à 18 h.

<< Je reviens demain matin pour le ménage ! Offrez-moi les mêmes "émotions" ! >> dit-elle en montrant mon appareil génital de son index. << Wouah ! C'est une proposition sympa ! >> lance Clémentine qui range ses affaires. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Avec le froid vif, j'ai évidemment remballé mes "outils". Un dernier bisou, un dernier coucou, nous regardons la voiture monter jusqu'au portail. Clémentine m'entraîne par la main. << Comme je suis contente de t'avoir rien que pour moi ce soir ! >> lance t-elle. Nous rentrons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui vont s'offrir un bon repas, faire l'amour, passer une soirée entre amoureux avec leur chéri...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1808 -



Un week-end dans l'intimité et le plaisir

Hier matin, samedi, il est huit heures quand nous nous réveillons quasiment en même temps. Clémentine pose ses lèvres dans mon cou. Je la serre contre moi. Elle me chevauche pour frotter son sexe sur mon érection matinale. Plein de bisous. Je passe mes mains sur ses tous petits seins. << Je vous aime cher monsieur ! >> chuchote t-elle à mon oreille. Je murmure : << Je vous aime mademoiselle ! >>. L'impérieux besoin naturel met fin à nos effusions de tendresse. Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. Les rituels pisseux.

Morts de faim, habillés de nos tenues de jogging, nous dévalons les escaliers. Les radiateurs fonctionnent depuis deux heures. C'est agréable de trouver une cuisine bien chaude. J'allume tout de même le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine place les tranches dans le grille pain. Elle fait le café en me racontant ses rêves. Me confiant à quel point elle apprécie les moments où nous sommes seuls. Je presse les dernières oranges, Clémentine pèle les derniers kiwis. Nous prenons un copieux petit déjeuner en revenant sur notre soirée à deux, hier.

Nous mangeons de bon appétit en faisant l'inventaire des choses à faire ce matin. Je me lève pour aller ouvrir le portail depuis l'interphone dans le hall d'entrée. Je viens rejoindre Clémentine qui me saute au cou. Ce baiser passionné nous offre les délices des gouts de nos bouches. Nous faisons la vaisselle. Julie qui arrive. << Bonjour ! >> dit elle en faisant la bise à Clémentine puis à moi. Julie revient faire notre ménage. C'est surtout le doux prétexte pour nous retrouver. Pour retrouver cette maison qu'elle adore. Nous la laissons à son labeur.

Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets, nos gants avant de sortir. Il faut réunir tout notre courage car il fait froid. Un froid vif qui picote les oreilles. Le ciel est clair et lumineux. Il n'est que 8 h35. Quelques mouvements d'échauffement son vraiment nécessaires. C'est parti. Nous montons à petites foulées jusqu'au portail. Nous courons sur le bord de l'étroite route communale. Sur les quatre kilomètres dans un sens puis dans l'autre. Nous ne rencontrons qu'une seule voiture. Il est 9 h35 quand nous revenons après une heure d'un agréable running.

La douche. Nous entendons Julie passer l'aspirateur quelque part à l'étage. Vêtus de nos jeans, de nos épaisses chemises à carreaux nous dévalons les escaliers pour mettre nos anoraks. Les livraisons ne vont pas tarder. Voilà d'ailleurs la première camionnette qui descend lentement le chemin. Avec son grand sourire Danièle en sort pour ouvrir le hayon arrière. Nos deux cageots. L'un contient nos légumes, nos fruits. L'autre contient les fromages, les œufs, les petits pots de crème fraîche, les yaourts, le beurre. Le paiement par carte bancaire.

Même commande pour samedi prochain. Nous saluons la jeune femme qui s'en va vers d'autres livraisons. Quelques minutes seulement et voilà madame Marthe au volant de son tube Citroën rénové. Notre boulangère a toujours quelques amusantes anecdotes. Cette fois pourtant elles son matinées de réflexions sur les évènements guerriers en Ukraine. << Ils gouttent à mon bon pain, et tout s'arrête ! >> lance t-elle en nous donnant la cagette. Elle contient nos deux grosses miches de pain complet et bio, la brioche au pudding. Deux croissants "cadeau".

Deux pâtes feuilletées. Nous nous saluons. Paiement par carte bancaire. Même commande pour samedi prochain. Madame Marthe s'en va vers d'autres clients. Nous contournons la maison pour descendre à la cave par derrière. Nous rangeons les fruits et les légumes sur les étagères dans le cellier. Une des miches de pain et les deux pâtes feuilletées dans le congélateur. J'en tire le paquet de moules, le sachet de haricots verts, le sachet de petits pois. Nous remontons. Julie vient de passer la serpillère dans la cuisine. Nous l'entendons dans les WC.

C'est sur la pointe des pieds que nous rangeons les produits frais dans le réfrigérateur. Nous allons au salon. Assise sur mes genoux, Clémentine allume l'ordinateur. Nous avons trois messages. Celui de mon oncle d'Édimbourg, celui d'Estelle qui annonce sa venue pour 13 h45. Le courriel de Juliette qui nous invite à une soirée au haras. << Je n'ai aucune envie d'y aller. Et toi ? >> me demande Clémentine. Je réponds : << Ici ou là-bas, ce qui m'importe c'est que tu sois là ! >>. Une réponse de normand qui satisfait pleinement la fille que j'aime.

Elle répond aux mails. Dans la petite enveloppe jaune je glisse un billet de 50 €, la liste de nos commandes pour lundi prochain. Clémentine y rajoute un petit mot gentil que je signe d'un cœur au marqueur rouge. Nous surfons un peu sur les différents sites d'informations. Ce qui se passe à 2 500 km de Paris est très inquiétant. La guerre fait rage. << C'est épouvantable ! >> s'écrie Clémentine devant des images insoutenables. Julie vient nous rejoindre. << Vous voilà dans une maison bien propre ! >> dit elle. Je lui tends la petite enveloppe jaune.

Clémentine se lève pour contourner le bureau. Elle pose ses mains sur les épaules de Julie en disant : << Tu vas nous manquer jusqu'à lundi soir, tu sais ! >>. Julie s'empresse de répondre : << Moi aussi vous allez me manquer ! >>. Je me lève pour les rejoindre. Je passe ma main délicatement le long de son bras pour rajouter : << Un manque cruel ! >>. Je me penche pour déposer une bise sur son front. Nous la prenons par les mains pour la raccompagner jusque dans le hall d'entrée. Il est déjà 11 h30. Nous mettons nos anoraks pour sortir.

Assise au volant de sa Clio rouge, la vitre baissée, Julie nous confie à quel point c'est toujours plus difficile de devoir partir. Clémentine pose sa main sur ma braguette pour rajouter : << On aimerait bien te garder tout le week-end ! >>. Je me penche pour lui faire les trois derniers bisous. Clémentine fait pareil. Nous la regardons partir. Un dernier coucou. On se dépêche de rentrer au chaud. Clémentine fait la salade en évoquant la personnalité de Julie. C'est vrai qu'elle est attachante. C'est devenue une amie intime après plus de quatre ans. Une complice.

Dans le bouillon en ébullition je verse le paquet de moules encore congelées. Dans le wok je vide le sachet de haricots verts, le sachet de petits pois. C'est une préparation rapide et tellement simple. Même si sous un angle diététique c'est une totale aberration c'est notre rituel du samedi midi. Nous mangeons d'ailleurs de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine parle des vacances de Pâques. << Je nous réserve une petite surprise pour une semaine. Tu veux ? >> s'écrie t-elle. Bisous.

Je m'empresse de répondre : << Oh oui ! Prépare-nous un truc dont tu as le secret ! >>. Clémentine change de position pour s'assoir à califourchon sur mes cuisses. Elle se frotte en rajoutant : << Je vais nous mitonner une semaine dont tu me diras des nouvelles ! >>. Ce nouveau baiser passionné nous fait saliver, frissonner. Le goût des yaourts au miel dont nous faisons un de nos desserts préférés. Nous débarrassons pour faire la vaisselle avant de monter nous laver les dents. Un autre prétexte pour faire les zèbres devant le miroir. Rires.

Tête contre tête, au-dessus du lavabo, tout en nous rinçant la bouche, nous poussons des cris d'animaux n'existant pas. << Mais qu'ils sont où les gens que j'aime ! >>. C'est la voix d'Estelle qui entre dans la salle de bain. Nous n'avons par terminé de nous essuyer qu'Estelle nous tient par les hanches. Distribution de bisous. Nous restons serrés tous les trois à savourer cet instant de retrouvailles. << Docteur Julien c'est le dernier jour de mes "petits machins". Auriez-vous l'amabilité de m'examiner ! >> fait Estelle en posant sa main sur ma braguette.

Tout en glissant ma main entre ses cuisses, je pose mes lèvres sur les siennes. Elle enfonce immédiatement sa langue dans ma bouche. Clémentine passe derrière moi pour se serrer contre mon dos. Sur la pointe des pieds se frotter contre mes fesses. Bien évidement cela ne va pas sans entraîner une réaction dans le fond de mon slip. Estelle déboutonne ma braguette pour y introduire une main exploratrice. Nous éclatons soudain de rire lorsqu'elle dit : << Ça fait même pas cinq minutes et nous voilà en immersion totale dans nos égarements ! >>.

<< Des égarements festifs qui augurent d'un week-end très sympa ! >> rajoute Clémentine. J'ai le sexe dans la main d'Estelle qui dit : << Il m'a manqué mon doudou ! Je vais m'en occuper jusqu'à demain soir ! >>. Nous rions de bon cœur en sortant de la salle de bain. Estelle emmène toujours son sac de sport. Il contient ses vêtements de change. Posé sur le tabouret, dans la chambre, elle en sort son pyjama quelle étale sur le lit. Une culotte blanche, d'épaisses chaussettes et ses grosses chaussures de marche achetées en Écosse l'an dernier.

Avec cette météo nous adorons randonner. Le ciel est clair, lumineux. Le thermomètre extérieur indique 12°. Très sympathique. Pressés de filer, nous dévalons les escaliers avec nos grosses godasses à la main. Dans le petit sac à dos la thermos contenant le thé au jasmin, des barres de céréales, trois pommes. Nous enfilons nos anoraks sans cesser de nos caresser, de nous faire des bises, de rire aux éclats de quelques facéties. C'est que la perspective d'une promenade nous euphorise considérablement. Je rajoute une bûche dans la cuisinière.

Il n'est que 14 h15. Nous voilà à marcher de front sur le chemin qui traverse la forêt. Mes deux anges sont accrochées à mes bras. Elles parlent de leurs études. Ces écrits qu'il faudra rendre chaque vendredi matin. Un peu à la manière d'une dissertation. Jusqu'aux vacances de Pâques dans six semaines. << C'est très cool ! >> lance Estelle qui s'arrête pour empoigner ma braguette. Elle me roule une pelle d'enfer. Clémentine reste serrée contre mon dos, ses bras autour de ma taille. Dès qu'Estelle a terminé, Clémentine prend sa place. Savoureux !

Il fait trop froid pour se balader bite à l'air. Nous le déplorons car c'est tellement agréable. Nous croisons quelques marcheurs que nous saluons. Deux couples. Un groupe de randonneurs armés de leurs bâtons de marche norvégienne. On les entend venir de loin avec le raffut que font les pointes sur la rocaille. Je glisse mes mains entre les cuisses de mes deux anges qui me couvrent les joues de bises. Le premier arrêt pipi près de la maison abandonnée du garde barrière. Je tiens chacune des deux pisseuses par la nuque afin de parfaire son équilibre.

Il faut faire vite à cause du froid. Je les torche tout de même avec le plus grand soin. Nous rions aux éclats de mes maladresses. C'est Estelle qui me tient la bite pour en diriger les jets contre le muret du jardinet. Elle dessine un personnage. Nous rigolons comme des bossus. Et quand je ris en pissant ça gicle un peu n'importe comment. Clémentine s'accroupit. Son visage à quelques centimètres de la dernière giclée. Estelle lui tend ma queue afin qu'elle puisse en savourer les reliquats. Comme c'est doux d'avoir la bite soudain bien au chaud.

Estelle s'accroupit à son tour. Elles aiment se partager ce qu'elles pompent. Je caresse leurs têtes, mains sur les bonnets. Je les aide à se redresser. << Bonjour ! >>. Complètement interloqués nous tournons la tête pour regarder. C'est une jeune cavalière qui passe, droite sur sa monture en nous adressant un signe de la main. Un sourire. Cette jeune fille a t-elle vu ce que nous faisions ? D'après les suppositions de mes deux anges : << Oui ! >>. Estelle rajoute : << Pas l'ombre d'une goutte ! >>. Nous rions en regardant la cavalière s'éloigner.

Ça nous excite toujours beaucoup ces rencontres intempestives. << Vous avez remarqué, c'est toujours dans ces moments que nous nous faisons surprendre ! Curieux non ? >> lance Clémentine. << Les lois de notre fatalité ! >> s'écrie Estelle. Je rajoute : << Le karma des vicelards ! >>. C'est en rigolant comme des bossus que nous continuons notre randonnée. Nous suivons l'ancienne voie ferrée. C'est une piste cyclable ou il n'y a jamais aucun cycliste. Surtout en hiver. Nous traversons la forêt pour arriver aux dolmens. Le crépuscule s'annonce.

Du petit sac à dos je tire une des lampes frontales. Nous voilà équipés pour le chemin du retour. Nous longeons le ruisseau. Là-bas, à trois cent mètres, les bâtiments du haras. Il y a toujours encore la vieille caravane de Gérard. << Tu te rappelles ? >> lance Estelle. << Oh oui ! >> s'écrie Clémentine. Nous voilà sur le bord de la route où nous courions ce matin. Il y a des voitures garées dans la cour. Des cavaliers de retour de balade qui s'apprêtent à partir. Nous marchons d'un bon pas car la nuit est tombée. Il est 18 h30 quand nous revenons.

Morts de faim, nous préparons notre repas. Assis tous les trois autour de la table, nous épluchons les pommes de terre, les carottes, les navets, le gros céleri. Ce sera pour la potée de légumes. L'accompagnement des trois repas du week-end. Nous en faisons en grande quantité. Il en restera même pour lundi à midi. Clémentine prépare la salade d'endives. Estelle touille les légumes dans la vieille cocotte en fonte. Je fais rissoler trois dos de cabillaud blanc. Je concocte une sauce au Roquefort. Avec de petits champignons noirs. Ail, échalote.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur notre après-midi. Nous adorons ces balades dans le froid vif. C'est revigorant. Nous apprécions les saines fatigues que ses promenades procurent. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges évoquent le vague programme de demain. Si la météo est pareille je propose une randonnée dans les collines du lac. << Oh oui ! Ça fait longtemps ! >> lance Estelle. << On fait le circuit du vieux couvent ! >> rajoute Clémentine. C'est superbe.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. << Docteur Julien j'ai besoin d'un examen approfondi ! >> me fait Estelle en déboutonnant ma braguette. << Je suis l'assistante du docteur ! >> lance Clémentine. C'est par les mains que mes deux anges m'entraînent au salon. Estelle adore allumer un bon feu dans la cheminée. Pendant qu'elle s'y emploi Clémentine me sort la queue. Sans la lâcher elle m'embrasse avec fougue. Estelle nous observe sans cesser de réunir les premières braises avec le tisonnier. Je glisse ma main dans le jeans de Clémentine.

J'aime lorsqu'elle contracte ses abdominaux pour permettre le meilleur accès. Elle se déboutonne. Je peux aller fouiller dans sa culotte. En se frottant sur ma main, Clémentine gémit de plaisir, sa tête dans mon cou. Estelle vient nous rejoindre. Nous n'avons pas prêté grande attention au derniers instants où elle était devant la cheminée. Mais c'est sans jeans, sans culotte, juste en chaussettes et en chemise qu'elle nous rejoint. Sans cesser de caresser le sexe à Clémentine, je glisse mon autre main entre les cuisses d'Estelle. C'est bien chaud.

Je démêle quelques nœuds de poils avant de passer délicatement mon index. Afin d'écarter les fines lèvres de sa vulve. C'est humide. Une véritable invitation à la luxure. Je joue un peu avec le bout de la ficelle blanche qui dépasse. Je titille le clitoris d'Estelle qui frissonne soudain en se blottissant contre moi. J'ai mes mains bien occupées. Je vais de la bouche de l'une à la bouche de l'autre. Je les entraîne ainsi tenues par les poils de chattes jusqu'au canapé. Pendant que Clémentine retire son jeans, sa culotte, je suis déjà à genoux sur un des coussins.

Mes bras en appui sur les jambes d'Estelle, mon visage entre ses cuisses, je fouille son intimité du bout de la langue. Elle se touche en gémissant d'aise. Il y a ce petit gout vinaigré. Les résidus olfactifs et gustatifs de ses pissous de l'après-midi. Un véritable régal. Clémentine, à présent vautrée elle aussi aux côtés d'Estelle m'offre son sexe. Je passe entre ses jambes. Les lèvres charnues de sa vulve, comme palpitantes d'une vie qui leurs est propre, m'offrent les plus suaves saveurs. J'adore fouiller les plis et les replis. C'est absolument génial.

Je savoure le "yaourt" de Clémentine. Elle aussi offre ce gout acidulé qu'ont laissé les pissous de la promenade. Je ne connais pas de meilleurs desserts. Je passe de l'une à l'autre. Je suis un peu frustré de ne pouvoir gouter au "yaourt" d'Estelle. Son tampon en empêche encore l'accès jusqu'à demain. Par contre, lorsque je suce son clitoris, c'est une cantatrice que j'entends interpréter la Traviata ! Ses petits cris, en harmonie parfaite avec ses gémissements, entrecoupés de râles de plaisir, ne tardent pas à l'emmener vers un orgasme délirant.

Couchée sur le côté, reprenant son souffle, les mains entre ses cuisses comme en proie à une douleur vive, Estelle reste prostrée. Je suce le clitoris géant de Clémentine. Je prévois le coup. Je prépare la cuvette en plastique bleue toujours sous le guéridon à côté du canapé. Je fais bien d'anticiper. Je commence à bien connaître les orgasmes pisseux de Clémentine. Estelle est couchée. Sa tête sur un coussin. Elle aussi assiste à ce prodige. Ce phénomène extraordinaire d'une véritable éjaculation de pisse. Clémentine se tord, hurle, terrassée par l'orgasme.

Combien de fois n'avons-nous pas vécu ces instants de "gloire" ! Pourtant chacun d'eux reste unique. J'adore fourrer mon visage entre ses cuisses lorsque Clémentine s'est asséchée. Je me régale des mélanges. Je n'en connais pas de plus subtils. Un filet de cyprine s'écoule toujours dans sa raie culière pendant qu'elle pisse. C'est le nec plus ultra. Je savoure ce nectar. C'est pour moi un véritable orgasme cérébral. Clémentine me tient la tête. Sa respiration revient doucement à la normale. Estelle me choppe par la queue. Je bande mou.

Il est presque 23 heures. Nous sommes épuisés. Anéantis de plaisir, de bonheur. Nous montons les escaliers comme des automates en nous tenant. Nos dernières forces dans le lavage des dents. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine suce encore un peu entre chacun d'eux. Je lèche Estelle après son dernier pipi. Je propose à mes deux anges de remettre mon éjaculation à demain. Au lit, entre Estelle qui s'endort déjà et Clémentine qui me confie ses derniers secrets, je savoure nos privilèges. Que c'est bon de les vivre à trois.

Bonne nuit à toutes les coquines qui se sont fait nettoyer les minous. Qui se sont fait offrir un orgasme cataclysmique avant un bon dodo...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1809 -



Un dimanche à récupérer du samedi

Hier matin, dimanche il est plus de neuf heures quand Estelle saisit mon érection matinale. Toute la nuit elle est restée serrée contre moi. Toute la nuit elle a épousé le moindre de mes mouvements. Par la force des choses, toute la nuit j'ai fait de même. << Je vous aime docteur Julien ! >> chuchote t-elle à mon oreille. Clémentine se réveille à son tour pour se blottir. << Moi aussi je vous aime docteur ! >> murmure t-elle. Nous rions. Je suis entre mes deux anges que je tiens fort contre moi par leurs épaules. Quel enchantement que d'êtres tous les trois.

Des bisous, des papouilles. Je glisse mes mains dans les culottes pour démêler quelques poils. Je passe les doigts sur les fentes. Les lèvres charnues de la vulve de Clémentine. Les lèvres toutes fines qui dépassent à peine d'Estelle. << Pipi ! >> fait Estelle en tentant de résister encore un peu. De guerroyer contre l'impérieuse nécessité. Elle finit par se lever pour se précipiter dans son pyjama de soie mauve vers la porte. Clémentine se met à califourchon, frottant son sexe sur le mien. << C'était encore monstrueusement bon hier soir ! >> me dit elle.

C'est à notre tour d'aller aux toilettes. Morts de faim, déjà vêtus de nos jeans, de nos sweats, nous dévalons les escaliers jusqu'à la cuisine. Les radiateurs y fonctionnent depuis trois heures. Les effluves parfumées où se mêlent celles du café, du pain grillé et de la brioche au pudding. Estelle me saute au cou. Je la soulève. Enserrant ma taille de ses jambes, je l'emmène à travers toute la grande pièce. J'administre le même traitement à Clémentine avant d'allumer un bon feu dans la cuisinière à bois. Nous prenons notre copieux petit déjeuner. Miam.

Nous mangeons de bon appétit en revenant sur la soirée léchouilles de hier. << Finis mes "petits machins". La place est libre. Il vous faudra faire un contrôle docteur Julien ! >> lance Estelle. Elle se lève pour mimer une masturbation masculine. Nous traînons à table. Assises sur mes genoux, mes deux anges émettent différentes options de balades pour l'après-midi. Au dehors le ciel est entièrement bleu. Le soleil règne en maître. Le thermomètre extérieur indique 12° alors qu'il n'est encore que 9 h45. Nous partirons pour 13 h cet après-midi.

La vaisselle. Nous remontons pour nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir de la salle de bain. Estelle se change. Nous faisons notre lit. Pressés d'aller prendre la température nous dévalons les escaliers à toute vitesse pour mettre nos anoraks. Il fait bien frais là dehors. On s'habitue vite. Il y a le gazouillis des oiseaux. << Il y a comme une odeur de printemps ! >> s'écrie Estelle qui me tient la main. << C'est pour bientôt ! >> lance Clémentine qui reste serrée contre moi. Nous traversons la pelouse en restant sur les dalles de grès.

Nous remplissons la brouette d'une vingtaine de bûches. Deux voyages pour reconstituer le stock. Cet hiver la consommation de bois a battu tous les records. Quinze stères sont parties. Une commande est en cours pour la fin du mois de mars. J'aime à prévoir pour au moins trois hivers. Nous faisons chauffer la maison d'amis. Estelle qui adore allumer les cheminées se charge du feu. Nous allumons les convecteurs électriques. Clémentine vérifie la robinetterie. C'est parfait. Nous descendons jusqu'à la rivière. Les eaux sont revenues à la normale.

Le petit étang qui s'était formé tout l'hiver a disparu. À sa place subsiste une vase dans laquelle il vaut mieux ne pas s'enfoncer. Là aussi il faudra prévoir des travaux pour éviter que cela ne se reproduise. Notre voisin, monsieur Bertrand propose d'en partager le coût. C'est notre propriété, le chemin est privé mais utilisé par ses soins. C'est sympathique. Nous remontons en marchant doucement. Mes deux anges me tiennent par le bras en parlant de leurs études. Il est 11 h. Il commence à faire faim. Nous allons au salon pour allumer l'ordinateur.

Assises sur mes genoux, les filles surfent sur le site de l'université. Nous consultons nos boîtes mails. Juste un courriel de Julie qui nous raconte sa soirée de serveuse. Son style littéraire est un réel plaisir de lecture. Nous répondons en joignant un selfie pris à l'instant. Je suis debout entre Estelle qui tient ma braguette et Clémentine qui me tient par la taille. Nous sourions. Clic sur "envoi". Un petit tour sur les forums où nous avons publié dès ce matin. C'est Estelle le dimanche, lors de son premier passage au WC, qui se charge des clics d'envois.

Estelle allume une belle flambée dans la cheminée. Clémentine, assise à califourchon, se frotte en me couvrant le visage de bisous. Nous regardons s'élever les premières flammes. Je murmure à l'oreille de Clémentine : << J'ai envie de faire l'amour avec vous délicieuse demoiselle ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Estelle vient nous rejoindre. Debout derrière moi, ses mains sur mes épaules, elle me fait plein de bises dans la nuque. Nous quittons le salon pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Une belle et grasse laitue.

Estelle fait revenir trois beaux pavés de saumon avec des champignons, de l'ail, de l'oignon. Je réchauffe la potée de légumes sur la cuisinière à bois. Il faut bien touiller. Décoller sans cesse ce qui attache dans les vieilles cocottes en fonte. C'est évidemment le meilleur. Comme c'est moi qui ai les mains les plus libres, je passe derrière Clémentine pour caresser ses tous petits seins. Glisser mes doigts entre ses cuisses. Je passe derrière Estelle pour faire la même chose. Je leurs dépose plein de bisous dans les nuques, soulevant leurs cheveux.

Nous mangeons de bon appétit tout en définissant l'itinéraire de notre randonnée. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Nous dévalons les escaliers une fois encore. Pressés de filer. Il n'est que 13 h. Dans le petit sac à dos la thermos contenant du thé au jasmin, des barres de céréales, les pommes. Nous enfilons nos anoraks. Nos grosses godasses à la main nous allons récupérer la voiture au garage. Le thermomètre extérieur indique 15°. Je roule prudemment. Il y a une vingtaine de kilomètres. Peu de circulation.

Clémentine joue avec ma queue tout en bavardant. Estelle, assise à l'arrière, caresse mon cou, mes joues. Les filles évoquent les cours de demain matin. Je gare l'auto sur le parking du restaurant. Il y en a plein d'autres. Nous entendons des rires. Des marcheurs s'apprêtent eux aussi à partir. Nous mettons nos chaussures de rando. J'ai le petit sac sur le dos. Nous prenons le sentier qui monte à droite du restaurant. Cela fait bien quatre mois que nous ne sommes plus passés par là. C'est vraiment un plaisir sous un ciel totalement bleu, sous le soleil.

Comme les arbres sont encore nus, nous sommes constamment en pleine lumière. Estelle marche devant moi. Clémentine derrière. Quand Estelle se retourne pour tendre ses lèvres j'y dépose un baiser. C'est alors à mon tour de me retourner pour l'offrir à Clémentine. Il y a toutefois de nombreux arrêts où nous nous embrassons à tour de rôle. Je me fais tripoter la braguette par l'une, par l'autre. Je glisse mes mains entre les cuisses chaudes. Nous manquons souvent de nous faire surprendre par des randonneurs. C'est hyper excitant et rigolo.

Une heure de marche. Nous voyons le lac en contrebas. Ses eaux pures reflètent l'azur d'un ciel sans nuages. Le sentier reste étroit. Nous sommes entourés de collines. Pas un souffle de vent. C'est véritablement la première journée de douceur. Les arrêts pipis en quittant le sentier pour aller s'isoler. C'est difficile car les branches sont sans feuillages. Nous rusons. Je tiens les filles par la nuque pour parfaire leurs équilibres. Sur terrain accidenté c'est préférable. J'en profite pour passer mon doigt dans les raies avant de l'enfoncer dans les culs.

<< Salaud, enculeur de filles ! >> me lance Estelle qui est obligée de tirer sur sa culotte et son jeans à mi-cuisses. Quand j'enfonce mon doigt le jet devient beaucoup plus puissant. Chez Clémentine c'est carrément prodigieux. Elle prend appui sur ses mains au sol, se cambre et dirige le jet à plus de trois mètres devant elle. Je fais le contorsionniste pour leurs lécher les minous. J'adore les jus de filles. Estelle me tient la bite pour en diriger les jets. Clémentine, accroupie, me tenant par la cuisse, suce entre chacun d'eux. C'est au tour d'Estelle. Pompages.

Cette situation se répète toute les heures. Le thé bouillant que nous buvons produit des effets diurétiques. À chaque fois nous manquons de nous faire surprendre. Avec cette météo tous les amoureux de la nature sont de sortie. Nous attirons bien des regards. Nous devinons les interrogations. Suis-je le père de ces deux sublimes jeunes filles qui me tiennent par le bras, la main, qui me font des bises ? Voilà le château fort en rénovation. Depuis trois ans les travaux entrepris par le Conseil Général sont presque terminés. C'est de toute beauté.

Un véritable saut dans le temps. La cour de la forteresse médiévale est à nouveau accessible. Des gradins de pierres ont été installés. Transformant tout le fond en véritable salle de spectacle à ciel ouvert. Il y aura un restaurant, une boutique de souvenir et même un petit musée. Il y a évidemment un monde fou dans l'enceinte du château. Par contre le donjon et le chemin de ronde en haut des murailles restent inaccessibles. L'inauguration se fera au début du mois de juin. Nous lisons le grand panneau d'informations. Tout y est expliqué.

Nous prenons le sentier qui descend. Nous longeons le lac sur son autre rive. C'est insolite. Les arbres nus sont encore un environnement hivernal alors que le ciel bleu et le soleil sont déjà printaniers. Un nouvel arrêt pipi. Cette fois mes deux coquines prennent leurs positions "concours de jets". Je les tiens, debout derrière elles. Leurs jeans et culottes descendus sur les chevilles. Face à l'eau du lac, à l'abri des regards derrière les roches, en appui sur leurs mains. J'enfonce mes doigts dans les trous de cul en même temps après les avoir mouillé.

À ce jeu c'est évidemment Clémentine qui gagne. Elles rigolent comme des folles toutes les deux. C'est merveilleux. Je suis pétri d'émotions. J'aimerais pouvoir me bouffer de la chatte. Ce sera pour ce soir. Le dimanche nous restons toujours sans nous laver. Avec quatre heures de randonnée, de multiples pissous, je laisse le lecteur imaginer la succulence du dessert qui m'attend après le repas. Il est 18 hh15 quand nous revenons à la voiture. Cette fois encore, au plus grand mépris des interdictions, Estelle insiste pour être assise devant. C'est risqué.

Il est 19 h quand nous revenons dans la nuit sans lune. Morts de faim nous préparons la bouffe. Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Estelle concocte sa spécialité du dimanche soir. Une omelette aux trois fromages. Je réchauffe la potée de légumes. Nous mangeons de non appétit tout en revenant sur les moments clefs de notre après-midi. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Il est 20 h quand nous terminons la vaisselle. Pressés d'aller nous offrir nos folies, nous nous précipitons au salon. Les filles arrachent leurs vêtements.

Toutes les deux, vautrées dans le canapé, tenant leurs jambes relevées, écartées sous les genoux, me présentent leurs sexes. Je suis à genoux. Je ne sais plus ou donner de la bouche tellement je me régale de "yaourt", de jus baveux et sirupeux. J'en ai des vertiges. Bercé par les incessants gémissements de mes deux jouisseuses je me bouffe de la chatte comme un bienheureux. Estelle m'attire sur elle. Je la pénètre sans qu'elle ne cesse de se masturber. Je la nique avec les dernières forces qui me restent. Je passe à Clémentine. Immobile.

Je passe de l'une à l'autre. Nous sommes épuisés. C'est donc avec la dernière énergie que mes deux anges s'offrent un orgasme émouvant. C'est dans un concert de gémissements, de petits cris d'animal blessé, presque en même temps, qu'Estelle et Clémentine "déchargent". C'est une véritable éjaculation de foutrine chez Clémentine qui a pris le soin de pisser avant. Je plonge littéralement entre ses cuisses pour aller bouffer, lécher, ne pas en perdre la moindre coulée. Il est très rare qu'Estelle éjacule. Depuis quelques temps c'est plus fréquent.

Une fois encore je peux comparer les deux goûts différents. La douceur mielleuse et onctueuse de la cyprine de Clémentine. La fluidité plus âcre de celle d'Estelle. Nous reprenons nos esprits. << Et toi ? >> me font les filles en même temps. Je réponds : << Moi ce sera pour plus tard. Comment voulez-vous que je trouve encore la force de juter ! J'ai tellement jouis ce soir ! >>. Nous restons serrés très fort. C'est si bon. Il faut s'habiller. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son auto. La nuit est à nouveau glaciale. La séparation difficile. Derniers bisous.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui vont se blottir dans les bras de leur lécheur, sous les draps, pour une bonne nuit de sommeil...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1810 -



Le lundi, Clémentine rentre à 17 h30

Hier matin, lundi, l'application "océan" nous arrache de nos profonds sommeils. Il est presque six heures quand résonnent les sirènes de ces gros bateaux qui se croisent dans le lointain. Le cri strident des oiseaux de mer parfait encore l'illusion de nous réveiller dans un port de pêche. Clémentine vient se blottir contre moi en murmurant : << Comme c'était bon hier soir encore ! >> distribution de bisous. Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons les escaliers. Il fait froid.

Le thermostat des radiateurs vient de s'enclencher. Pendant que Clémentine fait le café, presse les oranges, pèle les kiwis, j'allume une bonne flambée dans la cuisinière à bois. Je récupère les tranches éjectées par le grille pain pour les beurrer. Clémentine me raconte ses rêves. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre belle randonnée de hier après-midi. De beaux souvenirs. Nous mangeons de bon appétit en évoquant le château fort dont les travaux de rénovations sont terminés. Nous comptons bien nous rendre à l'inauguration.

Il est 6 h25 quand nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. Le réveil est total avec la manipulation des charges additionnelles. À tel point que Clémentine nous amuse de ses premières facéties durant le stretching. Ce retour au calme qui précède la douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer l'auto. Il est presque 7 h45. La météo promet d'être la même que hier. Soleil et ciel bleu. Par contre le froid est vif. Clémentine me rejoint emmitouflée dans son anorak noir.

Un dernier bisou. Je regarde la voiture monter jusqu'au portail qui s'ouvre et se referme automatiquement. Un dernier coucou. Je m'empresse de retourner au chaud, faire la vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier pour y allumer un bon feu dans la cheminée. Confortablement installé devant le chevalet je prépare les couleurs sur la palette en chantonnant "Le grand café" de Charles Trenet. La peinture de cette sixième scène de genre destinée à ma saison d'été m'accapare pourtant rapidement. Je peins animé de ma douce passion.

Les heures de mes matinées solitaires semblent s'écouler de plus en plus vite. 11 h55. Je mets deux bûches dans l'âtre avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Pendant que réchauffe le reste de la potée de légumes, je fais rissoler un filet de lieu noir à l'ail, ciboulette, échalote et persil. Accompagnés d'une salade de tomates. Je mange de bon appétit en écoutant Sud Radio. André Bercoff n'est pas très rassurant en revenant sur les menaces nucléaires de Vladimir Poutine. Ainsi il faudra se réveiller chaque matin en le remerciant d'être encore en vie !

Je débarrasse pour faire la vaisselle, monter me laver les dents. Pressé d'aller prendre la température "pour de vrai" je dévale les escaliers pour enfiler mon anorak. Le ciel d'azur est magnifique. Le soleil majestueux. Pourtant la fraîcheur reste vive. À peine s'il fait 12°. Le gazouillis des oiseaux permet de se faire une idée du printemps. Ce sera dans trois semaines. Nous l'attendons avec impatience. Je fais quelques pas dans la propriété. Je descends jusqu'à la rivière. Il n'y a pas de vent. Nos amis les canards qui jouent sur les eaux claires.

Il est 13 h30 quand je suis installé devant mon chevalet. Je peins dans les mêmes conditions que ce matin. Et bien sûr le temps passe à une vitesse folle. Il est 17 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle se précipite vers moi en sautillant. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa journée. Le repas du restaurant universitaire. Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant son ordinateur entourée de ses fiches. J'aime l'entendre commenter à haute voix les rectifications des écrits qu'elle prépare pour vendredi.

<< Là, j'arrête sinon je pète une durite ! >> lance t-elle soudain. Il est 18 h15. Je nettoie la palette, les pinceaux. Nous n'avons pas terminé de ranger que trois petits coups sont frappés contre la porte qui s'ouvre. Julie se précipite vers nous. Trois bises à Clémentine. Trois bises sur mes joues. Julie est vêtue d'un jeans, d'un gros pull bleu nuit, une écharpe de soie mauve, ses bottines. Elle porte ses lunettes d'étudiante tout comme Clémentine. Ce soir ses cheveux sont noués en catogan. Nous restons assis sur les poufs à regarder les flammes.

Ce sont les dernières qui dansent dans l'obscurité. La nuit tombe totalement vers 18 h30. Julie contre Clémentine qui me tient la main. Julie nous raconte son week-end. La présence de ses papys, de ses mamies. Son job de serveuse samedi soir. << Des trucs sympas ? >> demande Clémentine. << Un dragueur effronté avec un groupe de huit personnes. Un club sportif je crois ! >> répond Julie. Nous rions de bon cœur à la narration de cette aventure. Il n'y a pas la moindre manifestation paranormale ce soir. Clémentine nous le fait remarquer.

Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Julie a ramené nos commandes. Lorsque j'ouvre la grande boîte isotherme posée sur la table, la délicieuse odeur qui en sort nous met soudain dans un appétit d'ogres. Nos trois habituelles feuillantines. Cette fois au calmar. Elles sont encore hyper chaudes. Deux tourtes au saumon pour demain midi. Je pose mes mains sur les épaules à Julie pour dire : << Il faudra remercier le Chef ! >>. Julie toute émue répond : << Je le fais à chaque fois ! >>. Clémentine retire les opercules des bacs à salades.

Nous mettons les assiettes, les couverts. << Il t'a enculé le Chef depuis les vacances ? >> demande Clémentine. Julie éclate de rire en disant : << Non ! >>. Je rajoute : << Et ça vous manque ? >>. Julie, sans oser affronter mon regard, baisse la tête sans répondre. Nous rions de bon cœur. Clémentine dit encore : << Tu avais ton plug samedi soir pour bosser ? >>. Julie s'écrie sans une seconde d'hésitation : << Oui ! >>. Nous éclatons de rire une nouvelle fois. Confortablement installés à table, nous mangeons de bon appétit en riant beaucoup.

J'écoute la conversation des deux filles qui évoquent leurs études. Pourtant, rapidement la discussion s'oriente sur nos préoccupations préférées. Le sexe. Sous la table, j'ouvre ma braguette. Il y a toujours ces instants de silence. Julie et Clémentine observent les légers mouvements que font mes bras lorsque je me déboutonne. Elles savent parfaitement ce que je fais. Ça participe d'ailleurs à l'excitation commune qui nous gagne. Cette fois je me lève. Il est beaucoup plus aisé d'extraire une queue semi molle du slip en étant debout.

Julie n'ose pas soutenir mon regard lorsque j'agite mon sexe dans sa direction. Par contre elle fixe ma bite comme si c'était la première fois. Je demande : << Vous en avez vu une ce week-end, au restaurant ? >>. Julie s'empresse de répondre : << Non ! >>. Il y a un silence. Je m'assois pour continuer à manger lorsque Julie rajoute : << Mais deux aujourd'hui. Celle de Jean-Louis lorsque je suis passée au restaurant récupérer vos commandes, et la vôtre ce soir ! >>. Je me lève à nouveau en l'agitant pour demander : << Une préférence ? >>.

Julie, un sourire, l'œil espiègle lance : << Non ! Elles sont très semblables ! >>. Nous rions aux éclats. Clémentine pose quelques questions quand à la bite du Chef. Cela nous fait tant rire. Julie répond avec un luxe de détails. Bien évidemment les descriptions que fait Julie excitent considérablement Clémentine. Julie lui propose d'ailleurs d'organiser une rencontre. << Il est hors de question de me faire enculer par contre je sucerais bien sa queue ! >> lance Clémentine. << Je t'organise un "plan" ! Tu veux ? >> rajoute Julie. Clémentine me regarde.

Je m'empresse de la rassurer : << Super ! Déguster la saucisse d'un Chef cuisinier ! N'est-ce pas le désir de tout gourmet ? >>. Nous rigolons comme des bossus. Je suis à nouveau debout. Je me masturbe doucement en écoutant les filles envisager différentes stratégies. << Il faudrait que tu viennes en cuisine avant les premiers "coups de feux". Les mardis soir sont les plus calmes. Jean-Louis est seul en cuisine à partir de 17 h jusqu'aux environs de 18 h ! >> précise Julie. Clémentine ne cesse de me consulter du regard. Je lui fais des clins d'œil.

<< Je peux ? >> me demande Clémentine. Je réponds : << C'est obligatoire ! >>. Julie regarde ma masturbation, pensive et inexpressive. Elle s'écrie soudain : << Si je me remets un jour avec un mec, je veux qu'il devienne mon complice, comme vous l'êtes tous les deux. C'est trop bien ! Mais je suis tellement possessive que le problème viendra de moi ! >>. Clémentine pose sa main sur celle de Julie en disant : << Ça se soigne. Ça se guéris. Je vais t'encadrer ! >>. Julie saisis la main de Clémentine pour la serrer fort. Elle en est follement amoureuse.

Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Sous mon tablier ma bite fait une bosse énorme. Julie qui essuie avec moi ne cesse de la regarder avec intérêt. C'est toujours comme si c'était la première fois. Ce qui participe de mon excitation. Nous passons au salon. Julie devra nous laisser pour 22 h. Il n'est que 20 h30. Elle est confortablement installée dans le fauteuil qui nous fait face. Clémentine et moi, dans le canapé nous l'écoutons nous confier quelques anecdotes concernant Jean-Louis, le Chef cuisinier. Clémentine adore poser des questions.

Tout en discutant, Clémentine joue avec ma queue. Julie n'a de yeux que pour cette manipulation. Je lis dans ses yeux le désir fou qui les anime. Clémentine glisse sa main libre dans son jeans déboutonné. Julie fait de même. C'est en nous touchant que nous conversons. Je ne dis pas grand chose. Je préfère écouter. Je préfère admirer les expressions du visage de Julie quand elle décrie les situations les plus vicelardes. Quand Jean-Louis l'encule entre les fourneaux, sur un des plans de travail. Elle adore se faire enculer assise sur le Chef.

Je bande comme le dernier des salauds dans la main de Clémentine. Julie se touche. Elle n'ose pas soutenir mes regards insistants. Ce jeu est à la fois excitant et frustrant. Elle le sait. La conversation reste axée sur les possibilités très restreintes d'organiser une rencontre entre Clémentine et Jean-Louis. Ils se sont déjà vu à plusieurs reprises puisque le Chef vient saluer les clients du restaurant. Clémentine ayant déjà interprété le rôle de la serveuse deux fois n'est pas une inconnue pour le Chef. << Je veux me sucer ce pervers ! >> lance Clémentine.

<< Tu ne seras pas déçue. Ce type n'éjacule que quand on lui demande ! Il me fourre le cul sans jamais y juter ! >> précise Julie. J'écoute cette conversation surréaliste avec les couilles en ébullition. << Et il fait quoi alors ? >> demande Clémentine. << Je le soupçonne d'éjaculer dans la bouche d'Anne-Marie. Ma tante adore se faire enculer elle aussi ! Où alors il lui jute dans le cul ! >> répond Julie. Nous rigolons comme des bossus. Je dis : << Julie, vous êtes adorable. Vous racontez tout cela avec un air d'innocence juvénile. C'est fou ! >>.

Enfin Julie me fixe quelques secondes avant de m'adresser le plus merveilleux des sourires. Clémentine demande : << Julie, tu seras avec Julien pendant que je suce le cuistot ? >>. Julie reste silencieuse. Je dis : << Y a t-il un endroit où rester planqués tous les deux ? >>. Julie s'écrie : << Justement, il faut que j'organise un "plan" qui le permette ! Laissez-moi bien préparer le "truc" ! Je vous donnerai toutes les informations vendredi après-midi ! >>. Je me lève. Toujours avec la bite dans la main de Clémentine qui me masturbe doucement.

Je dis : << Julie, le placard me manque. D'être caché avec vous me manque ! >>. Julie me fait un délicieux sourire avant de répondre : << Moi aussi, c'est pareil ! >>. Comme si elle venait de dire une énormité, elle baisse la tête, les mains devant son visage. Cette attitude la rend encore plus adorable. Je saisis Clémentine par la nuque. Elle ne s'y attendait pas du tout. Je la fais tomber à genoux sur un des épais coussins. Sous le regard attentif de Julie je frotte ma queue sur le visage de Clémentine. Julie, les coudes en appui sur ses genoux, mâte.

Sans cesser de se masturber d'une main, Clémentine s'accroche à mon jeans pour se mettre à sucer. Elle adore être regardée. Je lui offre donc un double plaisir. Le mien est double aussi. Je me fais tailler une pipe sous le regard de Julie. Lorsque Clémentine cesse pour laisser reposer sa mâchoire, je tends ma queue vers Julie, comme une invitation. Ses yeux sont brillants d'envie. Elle se touche. Elle se lève pour venir s'accroupir tout près. Son visage à quelques centimètres de celui de Clémentine elle me regarde lui éjaculer au fond de la gorge.

C'est en toussant, les yeux larmoyants, que Clémentine pousse de profonds râles. Julie lève les yeux pour observer mes expressions. Je pousse des halètements de jouissance. Je lui fais un clin d'œil. Elle m'observe comme si j'étais un étranger entrain de commettre un délit. Je passe ma main sur sa joue. Elle a un mouvement de recul. Elle scrute à présent les expressions de Clémentine. Ses tentatives de déglutir l'abondance de mon sperme. Je sors ma bite dégoulinante de sa bouche pour la présenter à Julie. Elle se redresse d'un bond. Craintive.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui aiment êtres regardées. À toutes les coquines qui se réjouissent d'un nouveau "plan" pipe...

Julien



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2022 - Épisode 1811 -



Le mardi, Clémentine termine à midi

Hier matin, mardi, il est presque six heures. L'illusion de nous réveiller dans quelque port Écossais est bluffante. C'est l'application "océan". Clémentine se serre contre moi en murmurant : << On est encore en vie ! >>. Elle fait évidemment allusion aux menaces russes. Le cri strident des mouettes. Le clapotis du ressac. Quelques bisous, des papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Clémentine termine à midi ce qui a tendance à la rendre très déconneuse dès le levé. Morts de faim, vêtus de nos tenues sport, nous dévalons les escaliers.

J'allume immédiatement le feu dans la cuisinière à bois. Clémentine fait le café, presse nos oranges, pèle nos kiwis en me racontant ses rêves. Elle récupère les tranches qu'éjecte le grille pain. Je les beurre. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur notre soirée de hier. La présence de Julie. Sa proposition d'organiser une "rencontre" entre clémentine et Jean-Louis, le Chef de cuisine. << Il faut que je surveille mes arrières ! >> lance Clémentine. Une autre facétie pour faire allusion aux passions sodomites du Chef. Nous rions de bon cœur.

Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant une fois encore la personnalité de Julie. << En tous cas, ton attitude de hier soir m'a enchanté ! >> rajoute Clémentine. Il est 6 h25. Nous remontons pour nous adonner à notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulants, exercices au sol, abdos. L'épreuve des charges additionnelles avant le retour au calme d'un bon stretching assez déconnant. La douche. Je descends le premier pour aller faire chauffer la voiture. Il est presque 7 h45. Le froid est glacial sous un ciel gris et lumineux.

Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Sautillant sur place elle me fait les derniers bisous. Je la regarde partir. Un dernier coucou. Je me dépêche de retourner au chaud pour faire la vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'y allume une belle flambée dans la cheminée. Confortablement installé devant mon chevalet, je prépare les couleurs sur la palette. Je termine probablement cette sixième scène de genre demain. Cette toile destinée à ma saison d'été. Je peins dans cette exubérance assez gratifiante laissée par Clémentine depuis ce matin.

La loupe frontale fixée sur la tête, je procède aux plus infimes détails des visages. Les personnages féminins auront les traits d'Estelle et de Clémentine. Le personnage masculin a déjà les miens. Quand je travail ainsi je ne vois pas le temps passer. Il est 11 h55 quand je mets deux bûches dans la cheminée avant de quitter l'atelier pour la cuisine. Je prépare une salade de carottes pendant que réchauffent les deux quiches au saumon. J'écoute Sud Radio. André Bercoff, dans tous ses états revient évidemment sur le conflit Ukrainien. C'est inquiétant.

Il est 12 h30 quand Clémentine rentre de cours. Elle me saute au cou. Je la soulève. Ses jambes enserrent ma taille. Nous parcourons ainsi toute la grande pièce. En passant à proximité, Clémentine éteint la radio. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous envisageons une balade cet après-midi. Même si le ciel est à nouveau couvert mais lumineux, la température est de 12°. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine revient sur les évènements ukrainiens. Inquiète.

Certains étudiants en parlent. Ils ont des échanges d'impressions. J'écoute avec attention les propos de Clémentine. << L'immense majorité continue à penser que tout cela est loin ! La bêtise de mes contemporains me consterne une fois encore ! >> lance t-elle avant de conclure d'une note positive : << Pour le moment encore, tout va bien ! >>. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Nous montons nous laver les dents. Comme une catharsis à ce climat angoissant, nous faisons les clowns devant le miroir de la salle de bain. Nous rions comme des fous.

Nous dévalons les escaliers, pressés d'aller nous promener un peu. Clémentine a encore beaucoup de travaux d'écritures. Il faudra être de retour pour 16 h. Nous enfilons nos anoraks. Le thermomètre extérieur indique 14°. Pas besoin de bonnets, de gants. Dans le petit sac à dos que je porte, la thermos de thé, des barres de céréales, des pommes. Nous descendons vers la rivière. Il faut éviter tant que possible la zone encore vaseuse pour prendre le sentier de gauche. Depuis la fin de l'automne nous ne l'avons plus emprunté. C'est assez magique.

Il est impossible d'y évoluer de front. Clémentine marche devant moi pour s'arrêter à de multiples reprises. Nous nous faisons quantité de bisous. Nous bavardons en évitant de revenir sur la menace qui guette l'Europe. Il y a trois kilomètres jusqu'au vieux lavoir. C'est si sympa de retrouver l'endroit. Assis sur le muret du bassin vide nous apercevons les toits des bâtiments du haras, là-bas, de l'autre côté de la route communale. Clémentine déboutonne ma braguette pour y fourrer sa main. << Mmhh, il fait toujours bien chaud là dedans ! >> dit elle.

Je ne tarde pas à "durcir". Ma main entre les cuisses chaudes de Clémentine je l'écoute évoquer les préparations de ses écrits. << Je t'en ferai une première lecture ce soir ! >> lance t-elle en se levant pour se pencher devant moi. Elle me sort le sexe. << Bonjour trésor ! >> murmure t-elle avant d'y déposer un bisou. Je caresse sa tête en chuchotant : << Il me parle souvent de vous mademoiselle, quand nous sommes seuls lui et moi ! >>. Juste avant de le prendre en bouche elle demande : << Racontez-moi la nature de vos échanges ! >>. Rire.

Qu'il est bon d'avoir la bite au chaud, demi molle, comme dans un bol de purée tiède. Cette sensation extraordinaire et indescriptible. Clémentine se redresse pour me montrer l'intérieur de sa bouche. << Je n'ai encore rien tiré de conséquent ! >> précise t-elle en se penchant à nouveau pour scruter le méat qu'elle décalotte à peine. J'ai un frisson. C'est le froid. Clémentine remballe ma queue comme si c'était un objet précieux, fragile, qu'il faut manipuler avec précaution. Nous rions de bon cœur en reprenant le sentier dans le sens inverse.

Il est pile 16 h quand nous sommes de retour. Clémentine est assise devant son ordinateur, entourée des notes prises ce matin en cours. Je suis installé devant mon chevalet. Je peins en l'écoutant commenter ses activités. Parfois elle se met à chantonner avant de s'exclamer : << C'est quoi ce truc ? Pourquoi j'ai écris ça ? >>. Ces moments bénis des dieux que nous passons ensemble sont les plus productifs que je connaisse. Il est 18 h quand arrive Estelle. Elle se précipite vers moi en sautillant. Assise sur mes genoux, elle raconte son après-midi.

<< Clémentine m'a tout raconté en cours ce matin. Tu as encore fait ton vicieux devant Julie hier soir ! >> lance t-elle. Nous rions de bon cœur lorsque je réponds : << Je t'en donne un aperçu ce soir ! >>. Estelle et Clémentine comparent leurs écrits. Toutes les deux, une feuille à la main, parcourent la grande pièce en lisant à haute voix. Comme si elles avaient répété, chacune déclame une phrase un peu à la manière d'une actrice de théâtre. Je nettoie ma palette, mes pinceaux en écoutant attentivement. C'est remarquable de cohésion.

<< Alors ? Votre avis monsieur belle queue ? >> me demande Estelle. Je réponds : << C'est magnifique mademoiselle belle chatte ! >>. Les filles m'entraînent dans une farandole. Nous sautillons tout autour de la grande pièce en poussant des cris d'animaux qui n'existent pas. Soudain, au-dessus de nos têtes, le bruit sourd et caverneux. Ce soir encore il résonne longuement comme le ferait un gong. Nous nous serrons tous les trois pour écouter. Le cœur battant. Même si nous sommes habitués, les visites du fantôme sont toujours effrayantes.

<< Bonsoir Christine ! >> font Estelle et Clémentine en même temps. Comme pour leurs répondre l'entité fait un second bruit tout aussi spectral que le premier. Le fantôme de mon ancienne compagne peut se montrer quelquefois très facétieux. Tout cela ne dure que quelques minutes. Tout cesse. Le silence. Juste le crépitement des dernières braises. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade, de son assaisonnement. Estelle fait bouillir l'eau des coquillettes, râpe du Parmesan bien dur. Je fais rissoler trois filets de flétan.

C'est bien d'improviser. Nous nous en tirons toujours parfaitement. C'est rapide et nous nous régalons. Estelle devra nous laisser pour 22 h. Nous avons toute la soirée devant nous. En préparant Estelle passe souvent derrière moi pour glisser sa main entre mes cuisses. Me faire un bisou dans la nuque. Me chuchoter une coquinerie. Je fais pareil. Même traitement à mes deux anges qui parlent de leurs écrits. J'écoute les stratégies des deux coquines pour éviter une trop grande ressemblance dans la rédaction des textes à rendre pour vendredi matin.

Nous mangeons de bon appétit. Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. Surtout que la conversation n'a strictement rien de sexuelle. Je suis plié de rire. Clémentine mime une fellation. Elle en arrive à la proposition de Julie quand au Chef de cuisine. Mes deux coquines en ont parlé ce matin en cours. Là, elles développent le thème sans êtres pressées par un horaire. J'écoute. C'est soudainement hyper excitant. Estelle tient absolument à être présente pour regarder.

Julie nous a rassuré hier soir. Elle va préparer un "plan" qui nous permettra de rester cachés pour mâter. Faisons-lui confiance, c'est une femme. Donc redoutablement efficace pour organiser des trucs secrets. Assises sur mes genoux, leurs bras autour de mon cou, de ma taille, mes deux anges passent en revue toutes les possibilités. Nous connaissons bien la configuration des cuisines du restaurant de l'étang. Estelle veut absolument que nous reproduisions pour elle ce qui s'est passé hier soir avec Julie. Nous faisons d'abord la vaisselle.

Au salon, déboutonnant son jeans, glissant sa main dans sa culotte, Estelle se jette dans le fauteuil. Clémentine se frotte contre moi. Elle déboutonne ma braguette. Toutes les deux adorent cette vision. Juste la bite qui dépasse entre les boutons du Levi's. Une fois la queue à l'air, bien molle, qui pend, Clémentine prend du recul pour s'assoir sur l'accoudoir du fauteuil, à côté d'Estelle. Toutes les deux m'observent. J'ai les mains posées sur les hanches. Je me sens quelque peu ridicule. Surtout qu'elles restent toutes les deux sérieuses. Impassibles.

C'est un moment très fort. Il est impossible de s'y habituer. Une bonne dizaine de minutes passent ainsi. Dans un silence lourd et pesant. Les yeux de mes deux anges me fixent. Quand l'une regarde mon érection, l'autre me regarde dans les yeux. C'est fou de se faire observer de cette façon. Depuis presque cinq années nous avons beau êtres les plus grands complices, il y a toujours une émotion nouvelle. Une découverte. Une sensation. C'est magique. Clémentine se lève pour venir vers moi. Elle me saisit par la queue pour m'attirer vers Estelle.

À genoux sur l'un des épais coussins, elle gobe mon sexe. Estelle, penchée en avant, son bras libre autour de ma taille, son visage à quelques centimètres de celui de Clémentine, se touche en observant cette sublime pipe. Je dis : << C'était exactement comme ça hier soir ! >>. Estelle lève les yeux pour me fixer. Elle susurre : << Vicelard, tu te fais sucer devant des meufs ! >>. Je passe ma main libre sous sa natte pour caresser sa nuque. Je murmure : << Seulement devant les voyeuses ! >>. Clémentine, tout en suçant, glousse d'un rire vicieux.

Comme elle le faisait hier, elle montre l'intérieur de sa bouche à Estelle qui accélère le mouvement masturbatoire de sa main. Elle se branle une fois encore en s'adonnant à sa passion. Je chuchote : << Ça te donne des idées pour demain soir. Ton parrain va venir te niquer comme tu aimes ! >>. Un nouveau gloussement de rire de Clémentine quand Estelle murmure : << Il va me baiser comme le salaud qu'il est. Parce que Jean-Marc est un baiseur fou ! >>. Clémentine cesse de sucer pour préciser : << Oui, j'en sais quelque chose ! >>. Nous rions.

Il est hélas déjà 21 h45. Mes lombaires sont douloureuses. Depuis une bonne demi heure Clémentine est assise dans le fauteuil, serrée contre Estelle qui se branle. Je suis debout, souvent cambré sur mes genoux fléchis pour tenter d'occulter la douleur. Je saisis Clémentine sous le menton, par sa natte pour lui éjaculer au fond de la gorge. Elle tousse, tente de reprendre son souffle, tousse encore en tentant de tout déglutir sans en perdre la moindre goutte. Estelle s'offre un orgasme qui la fait crier de plaisir. Clémentine lui montre sa bouche.

Bonne fin de soirée à toutes les coquines qui adorent s'endormir avec le gout de la jute, blottie contre leur éjaculateur pas précoce du tout...

Julien (Juteur fou)



Classe

NOTE
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés nous enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquez ici pour vous connecter