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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 239 -



Clémentine, Estelle et moi, nous passons encore du bon temps...

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil de la façon habituelle lorsque nous sommes tous les trois. Rires étouffés.
Chatouilles. L'une me tient par mon érection matinale, dure et solide. J'ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > me font elles.
Clémentine me fait plein de bisous sur le visage. C'est Estelle qui me tient le sexe de sa poigne ferme puissante. La main.
Je me redresse. Je suis à quatre pattes entre les deux coquines que je chatouille en poussant des grognements d'ours.
< Bonjour les coquines ! > que je fais entre deux grognements. Nous rigolons comme des bossus. Estelle parvient à fuir.

Il est 8 h. Estelle file aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Nous nous offrons plein de papouilles. Tendresses.
Estelle revient et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Nous l'entendons dévaler l'escalier en vitesse.
< On arrive ! > lui lance Clémentine qui m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous nous offrons notre rituel pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse. L'odeur du café et du pain grillé achève de nous mettre l'eau à la bouche.
Estelle est vêtue de son pyjama en soie mauve. Nous sommes vêtus de nos longs T-shirts de nuit. Il fait bien chaud. Joie.

Dehors, il fait gris et moche. Par contre le sol est sec. Nous pourrons nous offrir notre jogging. Tout est prêt. Table mise.
Je beurre les tranches de pain grillé que me tendent les filles. Tel le patriarche, j'étale confiture ou miel selon la demande.
Nous bavardons. Les filles évoquent notre petite aventure dans le hangar à fourrage, hier, avec madame Walter. Surprise.
Une fois encore, toutes les spéculations les plus folles sont passées en revue. Nous rions de bon cœur en les relatant. Joie.
Estelle est convaincue que ce qui se passe aux écuries n'est que la partie émergée de l'iceberg. Clémentine reste réservée.

Je ne sais quoi en penser. Cette analyse toute féminine, m'étonne et suscite mon intérêt. J'écoute toujours l'avis des filles.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Estelle plonge, j'essuie. Nous montons pour nous mettre en tenue de sport.
Leggings en lycra noir, baskets, sweat, K-ways, bonnets et gants. Il fait froid. A peine 6°. Nous prenons le circuit habituel.
Il est rare de croiser d'autres coureurs dans ce coin de campagne désert. Nous croisons un couple à la hauteur des écuries.
Nous sommes de retour vers 10 h30. Clémentine nous entraîne dans la roseraie. Quelle surprise. Tout a poussé. Et bien...

Les lys, les pivoines, les ancolies et les tulipes mesurent au moins dix centimètres. Le persil et la ciboulette on bien 20 cm.
Clémentine nous explique. Estelle, derrière moi, m'attrape par les couilles et me palpe le sexe au travers de mon legging.
Clémentine s'en aperçoit et fait : < On écoute le professeur de botanique, s'il vous plaît ! >. Nous rions de bon cœur. Joie.
Je me retourne pour saisir Estelle par ses cheveux attachés en catogan qui pendent sous son bonnet. Je la tire devant moi.
Je lui dis : < T'es encore bien salope ce matin, hein ! >. Elle met sa main dans mon legging pour me choper le sexe. Direct.

Clémentine nous entraîne pour rentrer. A peine sommes nous dans le hall à retirer nos K-ways, que je saisis les filles. Fort.
Les tenant par leurs cheveux, je les entraîne au salon. Je les pousse sur le canapé. J'ordonne : < On descend sa culotte ! >
Clémentine ne se fait pas prier. Estelle hésite et me fait : < C'est la fessée ? >. Je prends deux coussins que je pose au sol.
Estelle refuse de retirer son legging. Je vais au bureau. J'en reviens avec la paire de menottes. < Ah Non ! > s'écrie Estelle.
< Si ! > que je réponds fermement à la forçant à se relever. Je la tiens par ses cheveux. Je lui attrape les bras. Elle résiste.

Clémentine, cuisses écartées, vautrée dans le canapé, nous observe. Elle dit : < T'as encore le cul sale, hein, Estelle ? >.
J'ai un mal fou à maîtriser Estelle qui refuse obstinément de se laisser attacher les mains. Je n'insiste pas. Je la laisse seule.
Je tombe à genoux entre les cuisses de ma compagne pour humer sa nuit et son jogging de fille. Je m'enivre de ses odeurs.
Estelle s'est assise à côté de Clémentine et me regarde. Je lui dis : < Tu vois un peu à coté de quoi tu passes , >. Silence.
Je fourre mon visage dans la touffe dense de ma compagne qui est agitée d'un frisson qui secoue tout son corps. Je lèche.

La chatte d'une jeune fille de 20 ans, au matin, et après un jogging, est la collation la plus délicate qui soit. Un vrai régal.
J'en savoure une fois encore le nectar, les sucs et les jus de muqueuses secrètes. Il y a souvent de grumeleuses surprises.
Estelle se lève. Elle passe derrière moi pour se mettre à genoux. Elle passe sa main dans mon legging pour en sortir le Zob.
Je bande mou. Estelle se couche sur le côté, sa tête entre le canapé et mon sexe dont elle hume longuement les effluves.
La jeune fille préfère la pipe qu'elle se met à me tailler avec une douceur et un appétit étonnants. Clémentine est à gémir...

Je suce le sexe de ma compagne. Je me paye un véritable apéritif, goûteux et abondant. Estelle me suce la bite en silence.
C'est lorsque je m'occupe du clitoris géant de Clémentine qu'il me faut redoubler de prudence. Pas d'orgasme non souhaité.
Clémentine me repousse doucement. C'est le signe. Elle est proche de l'explosion. Il faut cesser. Je saisis la nuque d'Estelle.
J'appuie fortement. Elle a un haut le cœur, elle tousse, je la force à cesser en lui tirant les cheveux. Je me redresse. Silence.
Clémentine reprend ses esprits en me souriant. Estelle s'est relevée. Clémentine propose à Estelle de monter la première...

Estelle monte prendre sa douche. Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur qu'elle allume. Nous allons sur le site du haras.
Coïncidence. En même temps mon portable m'indique de la réception d'un message. C'est un texto de madame Walter. Fou.
Je tends l'appareil à Clémentine afin qu'elle puisse lire < Terminé >. Ce mot lapidaire et sans appel, signifie une chose simple.
Il n'y aura pas de suite à notre petit rendez-vous de hier. < C'est à cause de nos présences ! > m'explique Clémentine. Rire.
Par contre, cet après-midi, il y a une animation au haras. Juliette nous envoie un courriel pour nous le rappeler. Nous inviter.

Estelle redescend. Vêtue de son jean, de sa chemise à carreaux et d'espadrilles. Clémentine l'invite à lire nos aventures. Joie.
Nous montons prendre notre douche. Nous redescendons, vêtus comme Estelle. Le "trio" jeans et chemises à carreaux. Rires.
Estelle est entrain de lire nos derniers récits sur le forum : < Julien, t'es fou de révéler toutes nos exactions ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur. Je laisse les filles devant le site de l'université. Je vais à la cuisine. Il est déjà 11 h50. Préparations.
Les pavés de saumon achèvent de décongeler dans le plat. Je verse l'eau dans l'évier. J'épluche les patates, navets, carottes.

Clémentine vient me rejoindre. Elle se serre contre moi et me chuchote : < C'était génial sur le canapé ! >. Elle m'embrasse.
Je la soulève pour la faire tourner. Estelle arrive à son tour. Nous nous mettons à la préparation de notre repas. Morts de faim.
Les choses vont vite. Ce sera une potée avec des pavés de saumon en papillotes accompagnés d'une salade. Une belle laitue.
Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Il est décidé d'aller assister à l'animation proposée par Juliette au haras...
Il se met à pleuvoir. < Vous êtes sûrs qu'on va aller se mouiller là-bas ? > demande Estelle. < Parapluie ! > fait Clémentine.

Nous faisons la vaisselle. Estelle plonge, nous essuyons. Il est 13 h50. Nous avons tout notre temps. Dehors, la pluie a cessé.
Cette météo sinistre annonce un après-midi maussade. Autant aller au spectacle que propose Juliette. Manège intérieur. Bien.
Estelle, avec sa vulgarité habituelle, mime une masturbation masculine en me disant : < Tu montres ta bite à Mme Walter ? >
Clémentine lui montre le texto sur mon portable et explique à Estelle qu'il n'y aura certainement pas de suite à nos aventures.
< C'est parce qu'elle a découvert que nous étions là. Que nous sommes complices ! > fait Estelle, tout en haussant les épaules.

< Rien à foutre ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur de cette conclusion. Nous passons au salon pour prendre le thé.
Nous resterons vêtus ainsi. Nous passerons simplement nos anoraks et de bonnes godasses. Le climat demande du courage.
Je vais aux toilettes. Je n'y suis pas une minute que la porte s'ouvre derrière moi. < Je peux la tenir ? > me demande Estelle.
Elle n'attend pas ma réponse, se plaçant sur ma droite, de sa main droite, Estelle s'empare de mon sexe qu'elle dirige bien.
Je reste ainsi à me concentrer. C'est soudain difficile. Clémentine arrive à son tour. < Alors ! Les vicelards ! > nous fait elle.

Je lâche un premier jet. < C'est génial ! Je le sens passer ! > fait Estelle à chaque petit jet que je lâche. J'en lâche plusieurs.
Clémentine s'est accroupit pour regarder de tout près. Estelle dirige ma bite vers le visage de ma compagne. Bouche ouverte.
Estelle lui enfonce ma queue ruisselante. Je lâche ma toute dernière giclée. Estelle m'embrasse avec une incroyable douceur.
Clémentine me taille une superbe pipe. Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Nous restons ainsi un moment...
Je force Clémentine à se redresser. < Miam ! > me fait elle en me montrant l'intérieur de sa bouche. Estelle regarde, scrute.

Estelle ne m'a toujours pas lâché la bite qu'elle tient fermement. Je bande comme le dernier des salauds. Nous sortons des WC.
Il est 14 h30. Clémentine nous propose d'y aller. Nous voilà chaudement vêtus. Je sors la voiture. Nous voilà en route. Le haras.
Trois petits kilomètre et nous voilà arrivés. Il y a du monde. Je suis obligé de laisser la voiture au bord de la route. Il y a la file.
Clémentine insiste pour que je laisse ma braguette ouverte, invisible sous mon anorak fermé. Estelle y plonge la main en riant.
< J'ai envie de te la tenir tout le temps ! > me confie Estelle. Nous marchons. Clémentine lui fait : < C'est ton doudou ! >. Rire.

Nous entrons dans la cour. Il y a des barrières qui dirigent le visiteur vers le hangar ou se trouve le manège à chevaux. A l'abri.
Il y a beaucoup de monde. Bien une centaine de personnes assises sur les gradins et les chaises. Une réussite totale. Un succès.
Nous apercevons Juliette, là-bas, conversant avec un groupe de gens. Sans doute des propriétaires de chevaux. Nous voilà assis.
Nous assistons à des démonstrations de monte. Ce sont principalement des jeunes filles. C'est un spectacle plutôt agréable. Joie.
Par contre, il ne fait pas très chaud. Il est rapidement 17 h30. C'est la fin des festivités. Nous nous apprêtons à quitter les lieux.

Nous suivons la foule des spectateurs. Estelle, discrète mais hyper vicieuse, me palpe souvent rapidement la braguette. Salope.
Je lui dis : < Ce soir, je te la fais bouffer comme rarement, tu vas voir ! >. Estelle me fait : < C'est ce qu'on va voir. Salaud ! >.
Clémentine lui chuchote : < Et c'est moi qui vais m'en occuper ! >. Nous rions de bon cœur en arrivant dans la cour. Les autos.
Nous croisons madame Walter qui nous ignore et détourne même son regard. Elle nous croise sans même un mot de bienvenue.
< Put-Hein ! Elle est vraiment fâchée ! > fait Estelle. Nous allons sortir lorsque la voix de Juliette nous fait nous retourner. Bien.

< Bonsoir ! Merci d'êtres venus. J'espère que ça vous a plu ! > nous fait la jeune femme. Nous la saluons. La nuit tombe. Pluie.
Clémentine lui fait : < C'était superbe. On reviendra. >. Juliette nous apprend qu'il y aura la même chose dans deux semaines.
Nous promettons de revenir. Nous la laissons. Nous marchons vite sous nos parapluies jusqu'à la voiture à présent garée seule.
Nous sommes de retour pour 18 h30. Il fait nuit. Il pleut. Nous laissons les parapluies à sécher sous le porche. Nous rentrons.
Il fait bien chaud dans la maison. Ce soir, nous réchauffons la potée, avec une salade et une sauce au Roquefort. Programme !

Estelle se précipite aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine me fait : < Va s'y ! >. Je file rejoindre Estelle. La surprise.
Estelle, assise sur la cuvette, pantalon et culotte à mi-cuisses, ne s'attendait certainement pas à cette "première fois". Surprise.
J'ai la bite à la main que j'agite devant son visage. Estelle, tellement étonnée par mon initiative, reste silencieuse et étonnée.
Je lui pisse au visage sans prévenir. < Ah put-hein, t'es dégueu ! Salopard va ! > s'écrie t-elle. Clémentine vient nous rejoindre.
< Je t'avais prévenu ! > lui fait ma compagne en saisissant ma queue pour en diriger le jet sur Estelle qui termine de pisser...

< Put-Hein ! Je suis à nouveau trempée de pisse ! > s'écrie Estelle visiblement fâchée. < On a du sec ! > lui fait Clémentine.
Estelle se redresse. Elle me crache au visage, m'insultant. Je la saisis par ses cheveux dégoulinants. < Lâche moi ! > fait elle.
Sans ménagement je l'entraîne hors des chiottes. Estelle se débat et me met une gifle cinglante. Elle monte à l'étage, courant.
Clémentine se serre contre moi et me dit : < On va lui faire sa fête ce soir ! >. Je la soulève. On entend le sèche cheveux. Rire.
Clémentine prépare la salade. Je prépare la sauce. Estelle entre à la cuisine. < Tu refais ça, je te couvre de gifles ! > dit elle...

Estelle se rapproche et me fait une bise en me chuchotant : < Par plaisir ! >. Me voilà rassuré. Le jeu plaît à la jeune fille. Bien.
Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons le spectacle équestre de l'après-midi et le comportement de madame Walter.
< Elle fait la gueule ! > conclue Estelle. < On l'emmerde ! > rajoute Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Discrètement, Clémentine me montre la direction des WC. Je comprends. J'y vais.
Je n'y suis pas une minute que la porte s'ouvre. Estelle me chope la queue. Elle me la tort en faisant : < A genoux salopard ! >

Je suis complètement étonné par cet ordre. Je me mets à genoux. Clémentine vient nous rejoindre. Etonnée de me voir ainsi.
Estelle est penchée pour continuer à me tenir la queue. Elle me crache au visage. Elle me force à me coucher parterre. Je fais.
Se déboutonnant, enlevant son jean et sa culotte, Estelle se positionne, accroupie, se tenant à la cuvette, au dessus de moi.
Son sexe au dessus de mon visage. Clémentine s'est accroupit, son visage tout près du mien. Estelle se met à pisser. Salope.
Je suis complètement déstabilisé par les initiatives de la jeune fille. Elle me tient la bite en me la tordant jusqu'à la douleur...

Estelle n'arrête plus de se lâcher. Je baigne dans une flaque de pisse chaude. Estelle se redresse et dit : < Chacun son tour ! >.
Elle me prend par la nuque et me force à me relever. Elle me crache une nouvelle fois au visage avant de me mettre une gifle.
Je suis époustouflé par l'attitude nouvelle d'Estelle. Clémentine reste accroupit en essayant de prendre ma queue dans la bouche.
Estelle me fait : < Comme ça, tu vois ce que ça fait de devoir te sécher et te changer ! Salopard va ! >. Elle me met une gifle.
Elle m'entraîne en me tirant par la bite. Nous montons l'escalier pour entrer dans la salle de bain. Elle me tend le sèche cheveux.

Sans jamais me lâcher le sexe, Estelle me regarde faire. Clémentine, une main dans son jean, assiste à tout cela en silence.
< Je vais te dresser vieux saligaud ! > me fait Estelle en me tordant la queue. C'est douloureux. Je me sèche les cheveux.
Estelle m'entraîne dans la chambre. Je mets une chemise sèche. Un pantalon sec. Estelle est assise sur le lit à me regarder.
Clémentine, à genoux sur le pas de la porte, se masturbe en nous observant. Certainement encore plus consternée que moi.
< Ne ferme pas ta braguette, vicelard ! > me fait Estelle en reprenant ma queue pour m'entraîner devant le miroir. Armoire.

< Regarde à quoi ressemble un vicelard, exhibitionniste et branleur ! > me fait Estelle debout à mes côtés, me tenant la bite.
J'entends la respiration de Clémentine. Je saisis Estelle par sa nuque. < Tu touche pas ! > me fait elle en me giflant très fort.
< Viens là, toi, la salope ! > fait soudain Estelle en se tournant vers Clémentine qui se dépêche de venir à quatre pattes. Fou.
Décidément, où Estelle se révèle, où alors elle nous offre un jeu nouveau. Clémentine , sa main dans la culotte est à genoux.
Droite, devant moi. Estelle lui prend la tête pour l'appuyer sur ma bite douloureuse. < Deux vrais salopards ! > fait Estelle...

Je regarde Estelle avec un étonnement réel. Soudain, redevenant la jeune fille que je connais bien, elle se met à m'embrasser.
Clémentine me taille une pipe des familles. Je sens les montées de liquide séminal. Abondantes. Clémentine avale avec peine.
< Je t'aime Julien ! Je voulais te le faire savoir à ma manière ! > me chuchote Estelle entre deux baisers fougueux. Je la serre.
Elle me murmure : < Tu en prends toute la mesure ? J'avais besoin de sortir ma frustration ! Je t'aime ! >. Clémentine cesse.
Ma compagne se redresse. Elle s'interpose en disant : < Bon, Estelle, le jeu est terminé ! C'est mon mec ! Et tu arrêtes, ok ! >.

Estelle s'assoit sur le lit, la tête entre les mains à sangloter. Clémentine s'assoit à sa droite. Je m'assois à sa gauche. Silence.
< C'est parfois dur ! Pardonnez moi, il fallait que ça sorte ! > fait Estelle. Je lui dis < On s'aime à trois ! Il faut t'y faire ! >.
Clémentine rajoute : < On sait parfaitement ce que tu vis. On est là, tous les trois. et c'est parfois difficile pour nous aussi ! >
Nous restons ainsi un long moment. Tout cela nous a épuisé. Il est 22 h30. Nous rions de bon cœur pour nous soulager. Joie.
A la salle de bain, en nous lavant les dents, nous faisons nos grimaces en faisant les clowns. Tout est revenu à la normale...

Nous voilà au lit. Clémentine entre Estelle et moi. Nous faisons le bilan de cette soirée. < Tu m'en veux ? > demande Estelle.
Je lui dis : < Non ! Tu m'a drôlement étonné. Et peut-être même épaté ! >. Clémentine me pince discrètement les couilles.
Je rajoute : < A refaire ! Tu as été épatante ! >. Clémentine me mord l'oreille. Fort. Estelle me fait : < J'oserais plus jamais ! >
Je rassure Clémentine par de douces caresses sur ses tous petits seins. Estelle m'autorise à évoquer tout cela dans mon récit.
Elle s'endort. Nous l'entendons ronfler doucement. Clémentine me chuchote : < Il faut qu'on en parle ! >. Une pipe et dodo.

Bon dimanche à toutes les coquines qui se sont lâchées hier soir, samedi, dans d'invraisemblables moments de vice...

Julien - (Encore étonné de cet étrange et nouveau comportement d'Estelle qui surmonte ses sentiments dans les excès) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 240 -



Tout se passe au mieux dans un dimanche plutôt maussade...

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil comme tous les jours où nous sommes tous les trois. Des rires étouffés.
Des murmures. Des chatouillis. Des effleurements. On me tient par mon érection matinale d'une main ferme. C'est Estelle.
J'ouvre l'œil et le bon. < Bonjour Julien ! > me font les filles en même temps. Je me redresse. J'ai encore la tête dans le cul.
Je me mets à quatre pattes entre les deux filles pour les chatouiller en poussant des grognements d'ours des cavernes. Rut.
J'adore les entendre rire en tentant de se soustraire à mes guiliguilis. Estelle arrive à s'enfuir en riant. Sautillant vers les WC.

Clémentine me chevauche en me couvrant le visage de bisous. Estelle revient et dit : < Je descends pour tout préparer ! >
< On arrive ! > lui fait Clémentine qui m'entraîne par la main aux toilettes. Rituel pisseux. Nous descendons à la cuisine.
L'odeur du café et du pain grillé embaume depuis l'escalier. Estelle est vêtue de son pyjama en soie mauve. Nous en T-shirt.
Je me dirige vers Estelle que je prends dans mes bras pour lui dire : < Tout va bien ? >. La jeune fille se serre très fort..
Touchée de mon attention elle me fait plein de bisous avant de répondre : < Oui ! Pardonne moi pour hier soir ! >. Bisous.

< On en parle plus ! > fait Clémentine. Nous voilà assis à savourer nos jus d'oranges pressées avec soin par Estelle. Délice.
Tel le patriarche biblique, je beurre les tartines que me tendent les filles. J'y étale la confiture ou le miel selon les demandes.
Les filles bavardent. Elles évoquent leurs cours. Il faudra réviser un peu en soirée. Ce n'est jamais une corvée. Elles aiment.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Dehors il fait un temps épouvantable. Il y a des bourrasques de vent.
La pluie frappe contre les carreaux. Les radiateurs fonctionnent et il fait bien chaud dans la maison. La vie est très agréable.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque l'animation du haras, hier. C'était sympa.
Bien évidemment nous en arrivons rapidement à l'attitude de madame Walter qui nous a ignoré superbement. Nous croisant.
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle conclue par cette hypothèse : < Notre présence, vendredi, l'a certainement vexée ! >.
< Tant pis ! On ne lui "doigt" rien ! > fait Clémentine en levant son majeur dans un geste de vulgarité universelle. Rigolade.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Je dépose parfois une bise sur la joue droite d'Estelle. Clémentine sur l'autre...

Le dimanche matin, c'est le ménage. Il est à peine neuf heures du matin. Clémentine propose à Estelle de s'installer au salon.
Assises derrière le bureau, devant l'ordinateur, les filles consultent le site de l'université. Le programme de la semaine à venir.
Je reste à la cuisine pour terminer de ranger. Comme nous assurons un suivi, régulier et journalier du ménage, tout va vite.
Clémentine vient me rejoindre. < Je monte faire la chambre ! > me fait elle en se blottissant contre moi. Je la soulève. Bisous.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelage. Rapidement il y a une odeur de lavande et de javel. Bien.

Je sors l'aspirateur du placard mural. Je vais au salon pour le brancher. Estelle est assise derrière le bureau. Elle me sourit.
< Je m'amuse comme une folle à découvrir nos aventures sur le forum. Je nous reconnais dans tout ! > me fait la jeune fille.
Nous rions de bon cœur. Je passe l'aspirateur consciencieusement et en insistant dans les endroits difficilement accessibles.
Je suis penché en avant, essayant d'aller le plus loin possible sous le buffet. Estelle en profite pour m'attraper par les couilles.
J'éteins l'aspirateur. Je me redresse. Je prends Estelle contre moi pour lui dire : < Je te préfère comme ça que tristounette ! >

Estelle se serre fort et me confie :< Parfois c'est dur. Hier soir, c'était un peu comme une vengeance sur mes sentiments ! >
Je la berce doucement en écoutant. Je la prends doucement par le bras pour l'entraîner derrière le bureau. Je l'installe bien.
Je continue mon ménage. Estelle est silencieuse. Plus de manifestation tactile. Je passe le plumeau sur les meubles. Propre.
Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine lorsqu'Estelle se lève, la main dans son pyjama et me fait : < Aujourd'hui ! >.
< Quoi ? > que je demande. < Branle à trois et cochonneries ! Tu veux bien ? > fait Estelle. Je dis : < Ai-je le choix ? >.Rire.

Je monte. Je raconte tout à Clémentine qui est entrain de changer les draps du lit. < C'est bien ! > me répond t-elle. Bisous.
< Je préfère la savoir avec ses penchants vicelards qu'avec ses penchants tristounets ! > rajoute encore ma compagne. Rire.
Les fenêtres de la chambre sont ouvertes et coincées avec les chaises pour ne pas claquer à cause du vent. Il fait frais. Froid.
< Aujourd'hui, nous n'aurons pas d'autres choix que de rester à la maison. tu as vu ce temps horrible ! > me fait Clémentine.
Je regarde tourbillonner les toutes dernières feuilles emportées par de fortes rafales de vent. A la limite de la tempête. Folie.

Je ramasse les draps pour les emmener à la salle de bain. Panier à linge. Clémentine vient me rejoindre pour m'aider. Ménage.
Je nettoie le bac et les vitres de la douche. Le lavabo et le bidet. Clémentine s'occupe des miroirs et des carrelages muraux.
Nous bavardons. Clémentine descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes de l'étage. Je passe la serpillère aux sols.
J'entends les filles rires en descendant l'escalier. J'adore cette ambiance de fête permanente. Et surtout les dimanches matins.
Je les rejoins derrière le bureau. Elles sont entrain d'écrire les premières lignes de ce récit en imitant mon style à la perfection.

Clémentine et moi, nous sommes déjà vêtus de nos jeans, nos chemises à carreaux. Espadrilles de toiles bleue, semelles corde.
Estelle est encore en pyjama. Elle monte se changer. Clémentine s'assoit sur mes genoux en continuant d'écrire. Je lis en riant.
Je lui chuchote : < Après Oncle Julien, c'est Tante Clémentine ! >. Nous rions de bon cœur. < Une bien jeune tante ! > dit elle.
Estelle redescend. Quelle n'est pas notre surprise. La fille est vêtue de la jupe kilt que nous lui avons ramené d'Ecosse cet été.
Elle porte également le chemisier et est chaussée de souliers noirs, fermés et à légers talons. Uniforme d'étudiante Anglaise...

Estelle reste entre le bureau et le canapé. Elle tourne sur elle-même en nous souriant. < Surprise ! > nous fait la jeune fille.
Clémentine et moi, nous avons le même réflexe. Nous levons le pouce de la main droite en signe de félicitations. C'est super.
< Comme tu es belle, Estelle ! > que je fais. < Et très élégante ! > rajoute Clémentine. Je dis : < Tu es hyper bandante ! >
< Je demande à voir ! > s'écrie Estelle en venant s'appuyer sur le bureau. < Montre ! > fait Clémentine. Je me lève. Bosse.
J'ouvre ma braguette. Je suis moi-même étonné de la raideur de mon érection. Je ne m'attendais pas à la surprise d'Estelle.

Mais ce n'est pas tout. Estelle s'accroupit. Dans une parfaite imitation de Clémentine. Cuisses écartées, mains sur les genoux.
Estelle ne porte pas de culotte. Ce qui est d'une extrême rareté. Nous constatons que sa toison pubienne a très bien repoussé.
La jeune fille fait tous les efforts possibles pour posséder, un jour, la même touffe que ma compagne. Il y a encore du boulot.
Estelle reste ainsi. Elle me fixe. Je suis debout. Clémentine, assise, me tient la bite qu'elle dirige et agite vers Estelle. Insolite.
< Le petit apéritif du dimanche matin ? > fait Clémentine. Estelle ne bouge pas. Elle se contente d'ouvrir la bouche en grand.

Clémentine se lève et m'entraîne par la queue devant Estelle qui vient de se mettre à genoux. Une main sous sa jupe. Branle.
Estelle a de plus en plus souvent de nouvelles initiatives. Nous constatons qu'elle se masturbe de plus en plus fréquemment.
Clémentine lui frotte ma bite sur le visage. Estelle en présente tous les angles en gémissant. Nous restons ainsi un moment.
Dehors, le vent souffle en tempête. Clémentine enfonce mon sexe dans la bouche d'Estelle qui se met à sucer passionnément.
Clémentine m'embrasse avec fougue. Cette situation est génératrice de foutre. Des montées de liquide séminal abondantes...

J'entends Estelle déglutir avec difficulté. La jeune fille a posé ses mains sur mes hanches et me taille une pipe des familles.
Nous restons ainsi un long moment. Il est 11 h50. Je le fais remarquer aux filles qui font en même temps : < On a faim ! >
Nous rions de bon cœur. Je force Estelle à se relever. Elle s'écrie : < Aïe, ouille ! > Je m'accroupis pour lui masser les genoux.
Clémentine nous entraîne à la cuisine. Nous optons pour un gratin Dauphinois à notre manière. Estelle enfile un grand tablier.
Nous faisons pareil. Clémentine s'occupe des salades. Estelle s'occupe de la sauce. Elle râpe le gruyère. J'épluche les patates.

Nous bavardons. Les filles parlent de leur programme de la semaine. Anecdotes d'étudiantes passionnées de leurs cours. Bien.
Tout va très vite. Le gratin est au four. J'ai un petit "truc". Je coupe une feuille de choux blanc que je mélange aux patates.
Accompagnées d'ail, d'oignon et de ciboulette, recouvertes d'une épaisse couche de gruyère de Comté, c'est un vrai régal.
Je mets au four. Estelle me fait goûter la sauce qu'elle a concocté. Un délice. Elle connaît le secret de ma sauce au Roquefort.
Nous passons au salon. Estelle est assise dans le canapé. Clémentine est assise dans le fauteuil. Je suis assis sur l'accoudoir.

Estelle, décidément de plus en plus désinhibée, me fixe avec ses cuisses écartées. Immobile. Ambiguë. Si terriblement belle.
< Tu iras jusqu'où ? > lui demande Clémentine. < Je te prends en exemple pour tout ! > lui répond Estelle. Nous observons.
Je lui dis : < Tu m'autorises à goûter ta "sauce" cet après-midi ? >. Estelle a le reflexe de resserrer ses jambes. Silencieuse.
Après un petit moment où nous nous observons en souriant, la fille me fait : < Et toi, tu m'autorises à goûter la tienne ? >.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine se lève, se déboutonne, met sa main dans sa culotte et fait : < Il me reste ça ! >

C'est la sonnerie du four qui nous rappelle aux réalités prosaïques de l'existence. Morts de faim, nous nous précipitons. Cuisine.
Je sors le gratin. L'odeur est enivrante. Clémentine remue la salade. Estelle termine de mettre la table. Nous voila enfin assis.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent université, profs et études. J'écoute avec intérêt. La vaisselle. Estelle plonge.
Nous essuyons. Nous passons au salon. Estelle s'installe à nouveau dans le canapé. Ses cuisses largement écartées. Si belle.
Elle me fait : < Alors ? Tu veux la goûter cette sauce ? >. Décidément, nous allons de surprise en surprise. Nous restons cois.

Clémentine est vautré dans le fauteuil. Je m'approche du canapé. Estelle pose le coussin au sol, devant elle. elle connaît bien.
Elle m'a vu faire tant de fois. Je me mets à genoux. Estelle se saisit de ma tête comme pour un ultime réflexe de défiance.
Je la rassure en lui caressant les cuisses. Estelle s'installe le plus confortablement possible. Elle avance son bassin vers moi.
J'approche mon visage pour humer ses parfums de fille. < Mais pas le cul ! S'il te plaît ! > me fait Estelle. Je dis : < Promis ! >
Je me retourne pour regarder Clémentine qui a passé sa main entre ses cuisses, son jean et sa culotte aux chevilles. Si belle.

Le sexe d'Estelle a une odeur particulière. Une odeur forte et parfumée. Quoi qu'elle fasse, l'odeur est plus forte que le savon.
Elle le sait. Clémentine l'a rassuré à plusieurs reprises. C'est sa spécificité. Elle doit la mettre en avant, en évidence. C'est bon.
Je passe ma langue sur les lèvres de son sexe. Il y a ce goût âcre si particulier. Je n'ai pas le droit de toucher avec mes doigts.
Aussi, je passe ma langue. Les lèvres du sexe d'Estelle sont si fines, presque inexistantes. Son sexe, à 20 ans, reste une fente.
Il y a du jus qui suinte. Une petite goutte opaque et blanchâtre fait son apparition. Estelle m'observe, silencieuse, concentrée.

Je me pourlèche rapidement des sucs que m'offre la jeune fille qui n'arrête plus de gémir. Clémentine aussi gémit derrière moi.
Le goût des jus d'Estelle restent plus amers et plus âcres que ceux de ma compagne. J'ai toujours un peu de mal à surmonter.
Soudain, alors que je m'y attendais pas du tout, Estelle se met à pisser. Incapable de maîtriser le jet continu et très abondant.
Je suis trempé de pisse. Estelle connaît un orgasme démentiel. Elle m'attire par les oreilles, collant mon visage sur son sexe.
La jeune fille pousse un véritable cri qui se transforme en long râle pour terminer dans un gémissant. Estelle connaît l'orgasme.

Je récupère la giclée de cyprine qui jaillit soudain en coulant vers son trou du cul. Je récupère juste à temps. Goût âcre. Amer.
Clémentine se met à pousser de petits cris. A son tour ma compagne connaît l'orgasme. Nous restons ainsi un long moment.
Je monte pour me changer et sécher mes cheveux. Je dégouline de pisse. Estelle monte me rejoindre. < Ta sauce ! > fait elle.
Nous redescendons avec un seau et une serpillère. Estelle nettoie la flaque de pisse. Cette salope s'est vidée en quantité.
Estelle, accroupit, cuisses écartées, passe la serpillère en me montrant bien son sexe. Je constate qu'il dégouline. Bien baveux.

Je lui montre la petite coulure qui vient de tomber sur le plancher. < Oh pardon ! > fait elle en voulant l'essuyer. Je l'arrête.
Je récupère du bout de mon doigt pour le porter à ma bouche. < Tu en veux encore ? > me demande Estelle, ingénue. Mutine.
Je me couche sur le dos. Je passe ma tête sous sa jupe. Elle se met en position. Je récupère toute la jute qui dégouline encore.
Clémentine a recommencé à se toucher. S'en est trop, même pour elle. Estelle se frotte le sexe sur mon visage. Concentrée.
< Je vais te bouffer la bite mon salaud ! Comme jamais ! > me fait encore Estelle en terminant de s'épancher dans ma bouche.

Je m'installe dans le canapé. Estelle est couchée sur ma gauche. Elle me taille une pipe des familles. Clémentine se masturbe.
Nous restons ainsi un long moment. Parfois Clémentine se lève pour venir m'embrasser. Je force Estelle à reposer sa mâchoire.
Nous passons ainsi une grande partie de l'après-midi. Parfois je m'introduis dans Clémentine pendant qu'Estelle me fait le cul.
C'est la toute première fois qu'Estelle passe ainsi à la "vitesse supérieure". Il est déjà 17 h30. La première éjaculation. Juteuse.
Nous décidons de nous offrir une collation. Thé et petits gâteaux. Nous rions de bon cœur de toutes nos saloperies. Si bonnes.

La soirée se déroule dans un retour au calme. Il est 19 h lorsque j'éjacule une seconde fois dans la bouche fatiguée d'Estelle.
Cette salope a tant sucé qu'elle en a des crampes comme après avoir baillé trop fort. Je lui masse la mâchoire. Des bisous.
Clémentine se blottit contre moi en me faisant : < C'était dément cet après-midi ! >. Elle m'embrasse. J'ai le goût d'Estelle.
Après le repas du soir, nous passons à l'atelier. Deux heures de travail. Nous sommes épuisés. Il est 22 h15. Il pleut toujours.
Nous ramenons Estelle un peu tristounette. Au retour, après la salle de bain, nous tombons de sommeil dans notre lit douillet.

Bon début de semaine à toutes et à tous. Surtout si vous avez chopé des crampes à la mâchoire à force de sucer et de lécher...

Julien - (Qui étudie les langues vivantes avec la passion d'un linguiste diplômé. Docteur Honoris Causa du cunnilingus) -

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Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 241 -



Avec l'arrivée des grands froids, la vie s'apprête à devenir plus intérieure...

Hier matin, lundi, une fois encore, je suis réveillé le premier. Il est 5 h50. J'éteins le cube réveil. Clémentine dort encore.
Je profite de ces quelques instants pour la regarder dans le plus total abandon de son sommeil. Je regarde avec passion.
Avertie par son infaillible sixième sens, Clémentine ne tarde pas à s'étirer en gémissant. Je lui fais des bises sur le visage.
< Bonjour Julien ! > me fait elle dans un cri et juste avant de me chevaucher en riant. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >
Nous nous offrons nos petites papouilles. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Rituel pisseux du matin.

Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Confiture, miel et beurre.
Je coupe les tranches de pain complet que je fais griller. Nous mangeons de bon appétit. Dehors il fait nuit. Il fait très froid.
A peine 2°. A l'intérieur de la maison, il règne la douce chaleur distillée par les radiateurs. Bavardage et bilan du week-end.
Nous remontons pour aller pratiquer notre heure d'entraînement. Nous sommes frustrés par l'impossibilité d'un jogging...
Une heure d'entraînement intense. La douche. Je descends sortir la petite auto de Clémentine. Il est déjà 7 h45. Le départ.

Clémentine me fait plein de bisous en mitraille avant de filer. Un dernier coucou de la main et je la regarde partir en cours.
Le jour vient de se lever. Un ciel gris, bas et menaçant. Le sol est humide. Je rentre. Je fais la vaisselle. Je fais la chambre.
Je file à l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. Aujourd'hui, je commence la peinture de la quatrième toile de mon stock.
Rapidement il fait trop chaud. Avec la cheminée, je suis obligé d'éteindre le radiateur. Il est 10 h30. Un coup de sonnette...
Je vais voir. De la fenêtre, je vois un cheval attaché par sa longe au pied du lampadaire. J'ouvre. Quelle drôle de surprise.

Madame Walter, debout sur le perron me tend une boîte en me disant : < Bonjour. Je viens m'excuser pour mon attitude ! >
Je suis si étonné que je ne sais quoi dire. Je n'ai même pas le temps de répondre. La jeune femme dévale déjà les escaliers.
< Bonjour ! > ai je à peine la possibilité de lancer en la regardant monter sur son cheval pour repartir. Coucou de la main.
Je suis un peu stupide sur le perron, la boîte à la main, à regarder disparaître la monture et sa cavalière en haut du chemin.
Je retourne à l'atelier. Je suis dubitatif. Une curieuse impression. Je regarde la boîte. Une boîte de chocolat "Mon Chéri"...

Je continue à travailler en ressassant sans arrêt cette curieuse visite. Il est midi. Je prépare le repas. Des courgettes farcies.
J'en prépare six. Ainsi, ce soir, il n'y a qu'à réchauffer. Courgettes farcies au pâté de lentilles accompagnées de millet doré.
Je n'arrête pas de penser à madame Walter. Seule Clémentine pourra apporter quelques éclaircissements à cette attitude.
Je retourne à l'atelier. Il est 13 h30. Je travaille avec un rythme étonnant. Chaque nouveau quart d'heure est une victoire.
Il est presque dix sept heures lorsque Clémentine revient. Toute contente, elle se précipite pour me faire plein de bisous...

Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Le sujet de ses cours et d'amusantes anecdotes étudiantes. Joie.
< C'est quoi la boîte de "Mon Chéri" sur la table ? > me demande Clémentine en y déposant ses affaires. Je lui raconte tout.
Ma compagne, entourée de ses notes, devant l'ordinateur, reste aussi dubitative que moi devant cet étrange comportement.
< A mon avis, elle s'est sentie tellement stupide après son attitude de mépris, dimanche ! > me fait ma compagne. Réalité.
Clémentine continue le développement de son hypothèse la plus probable. Je peux toujours me fier à toutes ses déductions.

Rapidement nous plongeons dans nos activités silencieuses. Clémentine met ses notes de la journée au propre et sur Word.
Parfois, nos respirations reprennent après l'apnée de la concentration. Ce sont des moments de complicité intense. Bonheur.
Il est rapidement 19 h. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'à la cuisine. Morts de faim, nous préparons notre dîner. Joie.
Clémentine prépare la salade. Une belle et grosse laitue. Je réchauffe les courgettes farcies et je mets la table. Bavardages.
Nous évoquons une fois encore la visite éclair de la dame. < On mangera les "Mon Chéri" avec Estelle ! > fait Clémentine.

Tout va très vite. Clémentine vient se blottir contre moi. < J'ai les mains toutes froides à cause de l'eau ! > me fait elle.
Je les lui frotte. < Je peux les réchauffer ? > rajoute ma compagne en les fourrant dans mon pantalon. C'est merveilleux.
Nous rions de bon cœur lorsque je lui dis : < Tu vas me la refroidir. Et une fois froide elle va devenir toute petite ! > Joie.
< Toi ? Avec une petite, j'aimerais bien voir ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Elle me touche le Zob.
Rassurée par la rapide mise en forme de mon sexe, Clémentine me chuchote : < Après, je me la suce toute la soirée ! >
Je bande mou. Clémentine la tient des deux mains qui se réchauffent au fond de mon slip. < C'est bien chaud ! > dit elle.

Je lui glisse ma main dans son jean. Dans sa culotte. Il y fait bien chaud également. Clémentine a un léger spasme. Plaisir.
Je lui chuchote : < Après, je te bouffe la chatte comme un affamé ! >. Nous rions de bon cœur. La sonnerie du four. Faim.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation tourne évidemment autour de la visite éclair de madame Walter. Etrange.
< Elle veut sans doute se retrouver dans la situation de vendredi dernier. Revoir ta queue ! > me fait Clémentine. Rigolade.
Ma compagne continue : < Et on se passe difficilement de ces petits plaisirs de l'existence ! Elle a réfléchi la bougresse ! >.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me parle d'Estelle. Les filles mangent ensemble.
Cette petite heure, à midi, au restaurant universitaire, où elle peuvent échanger et mettre au point leurs stratégies. La vie.
J'écoute amusé. < C'est la semaine des repentirs ! Estelle reste très gênée de son attitude de samedi ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur de ce constat. < Je dois t'avertir. Estelle évoque de plus en plus la baise ! > rajoute ma compagne.
Elle rajoute : < Elle aimerait que tu sois son "premier" ! Et ça, il n'en est pas question. Je veux même pas l'imaginer ! >

Je rassure ma compagne. Je lui rappelle qu'il n'entre pas du tout dans le cadre de mes fantasmes de déflorer qui que ce soit.
Je précise : < L'idée même de dépuceler une meuf m'indiffère ! Tu n'as aucun souci à te faire. De ce côté, ou de l autre ! >
< Je sais ! Mais je tiens à t'informer que ses requêtes vont s'axer sur ce nouveau paramètre ! > rajoute Clémentine. Bises.
Nous mettons au point la stratégie à adopter. Clémentine fait : < A tant se branler, elle s'est peut-être déjà dépucelée ! >
Nous faisons la vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous passons au salon. Clémentine est blottit contre moi. Canapé.

Elle m'ouvre la braguette pour en extraire mon sexe. < Tu mouilles ! C'est la discussion ? > me demande Clémentine. Rire.
Je glisse ma main dans sa braguette ouverte. Je réponds : < Tu mouilles ! C'est la discussion ? >. Nous rions de bon cœur.
Clémentine me fait : < Tu as vu ce qui dégouline de la chatte à Estelle ? Tu comprends pourquoi elle garde ses culottes ! >
Elle rajoute : < Si tu voyais l'état de ses protèges slip ! >. Nous rigolons comme des bossus. Je dis : < Non merci, ça ira ! >
Je pose le coussin au sol. Clémentine retire son jean et sa culotte. Elle jette au loin. J'enlève les miens qui rejoignent le tas.

Mon visage entre les cuisses écartées de Clémentine je hume les parfums de sa journée de fille. Odeurs fortes mais suaves.
Je m'enivre des effluves parfumées de son intimité. Clémentine me chuchote des cochonneries. Son désir de s'exhiber. Joie.
Avec la mauvaise saison les opportunités extérieures sont rares, souvent impossibles ou alors difficiles. Il reste les intérieurs.
Nous évoquons la bibliothèque en ville, des salons de thé, des restaurants et autres halls d'immeubles résidentiels. Des trucs.
Je passe ma langue sur les lèvres du sexe de ma compagne. Je lèche les plis et les replis. Ce délicieux goût vinaigré. Doux.

C'est un peu piquant sur le bout de la langue. Je suce les poils autour de sa vulve. Là où restent tous les reliquats délicats.
Je fouille dans les recoins. Il y a toujours d'agréables et fondantes petites surprises étonnantes. Ce qui fait gémir la fille.
Clémentine avance son bassin, se vautre un peu mieux. Elle me tient par les oreilles. Elle me "guide" doucement. Un délice.
Je m'occupe de son clitoris géant. De la cyprine s'écoule. Une traînée blanchâtre qui glisse dans la raie culière. Je récupère.
La raie culière de Clémentine, emplie d'une touffe épaisse, est humide de sueur. Il y a là de quoi se pourlécher avec appétit.

Ma compagne adore lorsque je relate tout cela dans mes récits. C'est une sorte d'exhibition virtuelle. De quoi la contenter.
Chaque fois que je remonte sucer son bouton, Clémentine a un spasme qui secoue tout son corps de frissons. Un plaisir.
Il faut être prudent. Surtout pas d'orgasme. La jeune fille a toujours le désir absolu de rester excitée le plus longtemps. Joie.
Nous avons beaucoup de pratique. Nous sommes télépathes. Nous agissons de concert dans une parfaite symbiose. Plaisir.
Pourtant, malgré nos efforts, Clémentine aux dernières limites, me repousse doucement en murmurant : < Attention ! >

Il y a deux raisons. Clémentine aime à rester excitée. Et il lui est difficile d'avoir un orgasme sans devoir pisser. "Fontaine".
Cette tendance s'affirme de plus en plus. Ne pouvant pas se contrôler tant son plaisir est grand, la fille se lâche très souvent.
Ce qui est parfois rédhibitoire pour les draps, les coussins ou les tapis. Toutefois, cette particularité nous enchante. Sympa.
Je viens m'assoir à côte de ma compagne qui reprend ses esprits en soufflant. Blottie contre moi à me murmurer des choses.
Elle se lève pour venir se mettre à genoux à son tour, son visage tout près de mon sexe qui dégouline de liquide séminal.

Clémentine me suce afin de recueillir les épanchements abondants qui suintent. Je la regarde savourer en gémissant. Joie.
Comme elle est belle quand elle suce, les yeux fermés, concentrée sur ce qu'elle pompe. J'entends les gargouillis bulleux.
Lorsque je lui sors la bite de la bouche, pour lui permettre de reposer sa mâchoire, il y a des filaments gluants et visqueux.
La vision, les sensations, me procurent d'indicibles sensations. D'intraduisibles émotions. Je dis : < Je t'aime ma suceuse ! >
< Moi aussi mon lécheur ! > me fait Clémentine en ouvrant les yeux, me faisant un clin d'œil avant de reprendre sa fellation.

D'un commun accord, nous décidons de nous garder pour le lit, tout à l'heure. Il est déjà 21 h. Nous retournons à l'atelier.
Nous nous offrons une dernière heure de travail. Nous rangeons nos affaires. Nous sommes tous les deux vêtus de peignoirs.
Il est 22 h15. Nous montons à toute vitesse. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Nous nous régalons de nos reliquats. Jus.
La salle de bain. Le lit. Une fois couchés, nous nous offrons un "69" merveilleux. Nous en gémissons tous les deux de plaisir.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Confessions. Orgasmes. Dodo.

Bonne soirée de léchage, de pompage et de jus les plus divers à tous les hédonistes qui savent comment jouir au mieux.

Julien - (Qui se pose la même question que Clémentine à propos des petits chocolats "Mon Chéri" offert par madame Walter) -

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Une très agréable surprise, puisque c'est la semaine des surprises...

Hier matin, mardi, ce qui semble devenir une constante, je sors de mon sommeil avant la sonnerie du réveil. Il est 5 h50.
J'apprécie vraiment beaucoup. Je regarde Clémentine sans doute avertie par son sixième sens qui s'étire en gémissant.
Je lui chuchote : < Bonjour ma belle dormeuse ! >. Clémentine me chevauche en riant : < Bonjour Julien ! > me fait elle.
Quelques papouilles et Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Rituel pisseux du matin. Nous descendons.
Nous préparons et prenons notre petit déjeuner. Nous bavardons. Un rapide bilan de la veille. Programme de la journée.

Nous remontons afin de pratiquer notre entraînement. Nous nous donnons à fond avec une intensité continue. Une heure.
La douche. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint dans le froid. Il fait 3°. Le jour s'est levé.
Il est 7 h45. Des bisous, un dernier coucou de la main et je regarde ma compagne partir en cours. Je rentre. La vaisselle.
Je fais la chambre. Je file à l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. 8 h10. Je suis assis devant mon chevalet. Travail.
Il est un peu plus de midi. Je viens d'aller à la cuisine. Je fais bouillir de l'eau pour la cuisson des coquillettes. C'est bien.

Soudain, c'est Estelle qui jaillit dans la cuisine comme un diable de sa boîte. < Bonjour Julien ! > s'écrie t-elle. Des bises.
Clémentine arrive à son tour. Des bisous. < J'en avais trop envie ! > me fait Estelle. Les deux filles sont rentrés ensemble.
< Bonjour Estelle ! > que je lui fais en la prenant délicatement par ses épaules. Clémentine se précipite dans mes bras.
Immédiatement nous nous mettons à la préparation du repas. Gratin de coquillettes avec une sauce au Bleu d'Auvergne.
Clémentine prépare la salade. Estelle émince l'ail, l'oignon et la ciboulette. Ma compagne a déjà raconté le coup "Walter".

Estelle, tout en râpant le gruyère nous fait part de son ressenti. < Elle s'est sentie un peu nulle dimanche soir ! > dit elle.
< Les "Mon Chéri" c'est des chocolats qu'on offre sans ouvrir la boîte. On va la refiler à quelqu'un ! > nous fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle rajoute : < C'est le geste qui compte ! On les refile à monsieur Gérard, le vicelard ! >
Nous rigolons comme des bossus. < On va aux écuries jeudi en fin d'après-midi, ça vous tente ?> propose Clémentine.
Voilà une partie du programme de jeudi déjà établi. Estelle mime une masturbation masculine en faisant : < Oh ! Super ! >

Estelle est venue à la maison car les deux étudiantes ont un travail important à réaliser. Il leur faut réaliser un écrit. Texte.
Huit pages de description dans le cadre de leurs cours. Il faudra rendre le résultat, présenté sous forme de fascicule, lundi.
L'émulation et le dynamisme induits par le travail commun est non seulement stimulant mais également productif. Etudes.
J'écoute avec beaucoup d'intérêt les filles évoquer les stratégies à adopter pour mener ce projet à son terme. Passionnant.
Je mets la table. Clémentine remue la salade. Estelle sort le gratin de coquillettes du four. Nous sommes morts de faim...

La conversation reste axée sur les cours. Nous mangeons de bon appétit. Nous sommes contents de nous retrouver à trois.
Clémentine, assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, propose le programme de l'après-midi. Stratège.
Estelle, tout en débarrassant la table, propose la méthode à employer pour commence ce travail rédactionnel. C'est super.
J'admire leur capacité organisationnelle. Tout est toujours précis. Le sujet me semble ardu, mais Clémentine m'explique...
Estelle plonge, nous essuyons. Il est 13 h30. Je termine de ranger la cuisine. Les filles vont à l'atelier. Je vais les rejoindre.

Elles sont assises à la grande table de travail, déjà entourées de leurs affaires. Classeurs, documents, notes et l'ordinateur.
Je suis assis devant mon chevalet. Nous voilà à nouveau, tous les trois à vivre, une de ces situations qui nous ravi. Boulot.
Ces longues séquences de silence qui alternent avec des chuchotements, des souffles, des soupirs après des apnées. Bien.
Parfois, une des filles passe derrière moi. Ses bras autour de mon cou, elle contemple la progression de ma nature morte.
Parfois, c'est moi qui me lève pour passer derrière les filles pour voir ce qu'elles font. Ce sont des moments récréatifs. Joie.

Il est dix sept heures. Pour tout écossais, c'est le rituel du thé. Je vais à la cuisine pour préparer notre collation. Sympa.
Je mets les tasses la théière et quelques cookies aux pépites de chocolat sur le plateau. Je retourne à l'atelier. Le silence.
Les filles, studieuses sont toutes contentes de s'offrir une petite pause. Nous voilà vautrés dans le canapé de l'atelier. Thé.
Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Estelle passe sa main sous l'épais tissus de mon ample blouse en lin écru.
Elle me palpe la braguette. < On se calme, la nympho ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Estelle continue. Rire.

Nous retournons à nos occupations. Il est rapidement 19 h. < Ras le bol ! > s'écrie Estelle. < Stop ! > rajoute Clémentine.
Nous sommes morts de faim. Nous nous précipitons à la cuisine pour réchauffer le gratin, préparer la sauce et une salade.
Estelle mime à plusieurs reprises une masturbation masculine avec toute la vulgarité possible. < Jeudi, écuries ! > fait elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Tu vas sucer le vieux ? >. Estelle ne dit plus rien. Silence.
J'ouvre discrètement ma braguette. J'en sors ma bite. Je me tourne vers Estelle qui est accroupit devant la vitre du four...

La jeune fille a un sourire amusé. J'agite mon sexe en le faisant tournoyer comme un lasso. Je bande mou. Elle est longue.
< Wouah ! C'est pour moi ? > me fait Estelle en se redressant en recommençant son imitation vicieuse. Elle me sourit. Joie.
Clémentine se retourne pour découvrir mon activité. Elle éclate de rire et dit : < Et derrière mon dos, les deux vicieux ! >.
Nous rions de bon cœur. Cette ambiance ludique et récréative permet aux deux filles de décompresser. Reconnaissantes.
< Je t'aime ! > vient me chuchoter Clémentine en se blottissant contre moi. < Moi aussi ! > fait Estelle qui se serre aussi.

Je me retrouve comme une saucisse, en sandwich entre les deux coquines qui me serrent de toutes leurs forces. Rigolade.
< Comme ça fait du bien, la détente ! Tu devrais intervenir à la fac, en cours, dans l'amphi ! Massage ! > me fait Estelle.
Nous rigolons comme des bossus à nous imaginer la scène devant plus de 60 étudiants et leur professeur. Gratin de pâtes.
C'est la sonnerie du four qui met un terme à nos effusions ludiques. < Range pas ta bite, c'est mon dessert ! > fait Estelle.
< Tu t'emmerdes plus ! > lui fait Clémentine. Nous voilà assis à déguster notre repas du soir en évoquant le palefrenier.

C'est Estelle qui axe la conversation sur les écuries et monsieur Gérard. Elle y revient à chaque fois que les sujets dévient.
Nous fixons les choses. Nous quitterons l'atelier, jeudi en fin d'après-midi, vers dix sept heures. Au haras pour 17 h15.
Il faudra ruser et êtres prudents. Il y a du monde en fin d'après-midi. Des visiteurs et des gens qui montent les chevaux.
Nous faisons confiance à notre bonne étoile, il y aura forcément une opportunité de mettre le palefrenier dans l'embarras.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine fait : < On va pousser le bouchon un peu plus loin ! >.

Les filles passent en revue les possibilités pour placer la barre plus haut. < Question barre, il bande mou ! > fait Estelle.
< Au moins, on ne risque pas de se faire baiser ! > rajoute Clémentine. Estelle débarrasse. Nous nous levons. 19 h45...
Estelle plonge. Nous essuyons. Clémentine nous entraîne au salon. Elle s'installe dans le fauteuil. Estelle dans le canapé.
Je reste debout au milieu de la pièce. J'agite ma bite en direction d'Estelle qui m'observe avec un étonnant sérieux. Bien.
Clémentine m'observe en souriant. Elle mime une pipe avec la main fermée devant la bouche. Elle me fait un clin d'œil.

Estelle reste parfaitement immobile à me fixer avec son intérêt habituel. Clémentine ne peut s'empêcher de se toucher.
Je bande mou. Je tiens mon sexe entre le pouce et l'index à sa base. J'agite ma queue par petits à coups secs et précis.
Estelle mime une branlette en me faisant un clin d'œil. Je saisis ma bite à son extrémité. Je fais coulisser mon prépuce.
Clémentine a passé une main dans son jean déboutonné. Estelle reste bien droite avec les bras croisés. Je me masturbe.
Estelle n'est pas souvent démonstrative. Ce soir, elle reste encore plus réservée que la plupart des autre "séances". Bien.

Je presse la peau fripée de mon prépuce. Un peu comme pour l'essorer. Une goutte de liquide séminal perle à l'extrémité.
Je m'approche de Clémentine pour lui montrer. Je m'approche d'Estelle pour lui faire voir la goutte épaisse et visqueuse.
Elle lève le pouce de sa main droite comme pour me féliciter. Je commence à bander. Mains sur les hanches. Sexe en l'air.
Je reste ainsi un petit moment à montrer mon érection aux filles. Par contractions des muscles fessiers, je la fais bouger.
Clémentine commence à ouvrir de grands yeux tout en se mettant à respirer plus fort. Quelques souffles après l'apnée...

Je descends mon pantalon et mon slip aux genoux. Je me couche au sol sur le tapis. Je suis allongé sur le côté. Je bande.
Je suis en position fœtale, je me tiens les couilles de la main gauche, je me branle de la main droite. Estelle est penchée.
Les bras croisés, posés sur ses cuisses, la jeune fille s'est penchée pour bien observer. < Vicelard, va ! > me fait Estelle.
Clémentine ne peut plus réfréner les gémissements qui émanent de sa bouche ouverte. Elle se masturbe doucement. Joie.
Je me cabre aux limites de la crampe pour présenter mon sexe à Estelle. Ma bite commence à dégorger de jus de couilles.

Je vois Estelle être animée de quelques mouvements. De légers tressaillements qui trahissent son excitation grandissante.
Elle se lève soudain. Elle se couche, sa tête toute proche de mon sexe. Elle pousse un soupir. Clémentine gémit très fort.
Estelle avance son visage. Je donne un petit coup de rein et la voilà avec ma queue en bouche. Elle se met à me sucer.
Il y a encore du travail qui attend les filles à l'atelier. Ne serait-ce que de ranger leurs affaires. Il est déjà 20 h45. Tard.
J'éjacule sans bouger, par surprise. Trois saccades qui s'achèvent dans un long épanchement baveux et gluant. Orgasme.

Presque au même instant, Clémentine pousse de petits cris. Les mains entre ses cuisses, prostrée dans le fauteuil. Jouir.
Ma compagne est terrassée par un de ces orgasmes de plus en plus délirant. Je la regarde. Elle est si belle et attractive.
Estelle termine de déglutir avec peine. Elle s'apprête à partir pour un second tour. Je la force à cesser. Cri de frustration.
Je me lève. Je force Estelle à se relever. Clémentine reprend ses esprits. Nous retournons à l'atelier. Boulot jusqu'à 22 h.
Nous ramenons Estelle. Au retour, épuisés, après les toilettes et la salle de bain, nous tentons la baise. Confession. Dodo...

Bonne séance de travail à toutes les étudiantes qui préparent leur "Master" en sachant s'offrir quelques récréations...

Julien - (Qui se branle et qui se fait sucer par l'une d'entre elles qui aime particulièrement s'offrir des moments de détente) -

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Le froid s'installe au dehors. Il fait bien chaud dans la maison...

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons en même temps. Clémentine en gémissant longuement. Il est 5 h50. J'éteins le réveil.
Nous nous offrons quelques papouilles. < Bonjour Julien ! > me fait ma compagne avant de me chevaucher en riant. Des bisous.
< Bonjour Clémentine ! > que je fais en la faisant basculer à gauche, puis à droite. Clémentine m'entraîne par la main. Toilettes.
Notre rituel pisseux du matin et nous descendons à toute vitesse pour préparer et prendre notre petit déjeuner. Il fait bien chaud.
Dehors, il fait nuit et très froid. Je regarde le thermomètre extérieur. Il fait moins 3°. Voilà la première température sous glace...

< Brrrrr ! > me fait Clémentine en préparant le café. Je presse les oranges. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Bien.
Nous adorons cette odeur. Confiote, miel, beurre et yaourts. Clémentine met la table. Nous mangeons de bon appétit. Bavardage.
Nous faisons le bilan de la veille, la présence d'Estelle, le travail à réaliser pour ses études et le fascicule de 8 pages pour lundi...
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement intense. Aérobic, abdos et charges additionnelles. C'est la douche.
Il est déjà 7 h45. Je descends chaudement vêtu pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue d'un manteau.

Quelques bisous. Le jour vient de se lever. Il fait un froid cinglant qui pique les oreilles. Clémentine a son bonnet de laine. Bien.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin qui mène à la petite route. Je rentre bien vite.
Je fais la vaisselle. Je monte faire la chambre. Je redescends à l'atelier pour y allumer un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h10.
Me voilà assis devant mon chevalet. L'avancée de la quatrième toile de mon stock de l'an prochain est étonnante. Je bosse bien.
Dehors, le ciel est bleu. Il y a du soleil. Le froid reste intense. L'atelier, orienté Nord, Nord-Est, chauffe toutefois rapidement...

Il est midi. Je prépare de belles aubergines farcies au pâté de lentilles. J'en fais six afin de pouvoir en réchauffer quatre en soirée.
Accompagnées de millet doré, ces aubergines sont bien grasses. Tout est prêt pour le repas. Il est 13 h30. Je retourne travailler.
Clémentine revient un peu avant dix sept heures. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée tout en admirant mon travail.
J'écoute toujours avec beaucoup d'attention. Clémentine est un peu mon seul lien avec le monde extérieur. Surtout en automne.
Estelle et Clémentine mangent ensemble à midi au restaurant universitaire. C'est leur quarante cinq minutes de détente. Etudes.

Aussi, ma compagne me raconte la nature de leurs échanges et les préoccupations d'Estelle. Je m'amuse beaucoup de ce feuilleton.
< Je te préviens que ce week-end, Estelle va sans doute évoquer son désir que tu sois sa première fois ! > me fait ma compagne.
Nous rions de bon cœur. Je lui dis : < Pas le moindre risque. Je déteste jusqu'à l'idée même d'être une "première fois" ! >. Sympa.
< Je sais bien. C'est simplement une nouvelle doléance qu'il faudra gérer au mieux ! > rajoute Clémentine. Je la rasure. C'est bien.
Clémentine est assise à la grande table de travail, entourée de ses affaires de cours. Nous nous offrons une extraordinaire séance.

Nous adorons tous deux cette atmosphère studieuse. Ces longs silences. Ces concentrations en apnées. Ces souffles. Respirations.
C'est une complicité supplémentaire. Il est rapidement dix neuf heures. < J'ai faim ! > s'écrie soudain Clémentine. Nous arrêtons.
Se précipitant dans mes bras, elle me dit : < J'adore la surprise du repas du soir. Qu'as tu encore préparé ! >. Elle se blottit fort.
Je l'entraîne à la cuisine. Je réchauffe les aubergines et le millet doré au four. Thermostat sur 5, cuisson à 120°. Pour dix minutes.
Pendant ce temps je fais l'assaisonnement. Clémentine prépare la salade. Une belle scarole. Je mets la table. Nous bavardons...

Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons notre visite probable aux écuries demain, en fin d'après-midi, avec Estelle. Plaisir.
< Avec ce froid, terminées les jupes courtes et sans culotte ! > me fait ma compagne en m'expliquant la stratégie vestimentaire.
Elle rajoute : < Je vais mettre mon collant en coton, tu sais celui où j'ai pratiqué le trou entre les cuisses ! La seule solution ! >.
En effet, c'est la formule idéale pour une exhibe de qualité. Un bon pull, un anorak, une jupe épaisse, les collants "truqués". Rire.
< Il faut que je propose le truc à Estelle ! Quoi que l'exhibe ce n'est pas vraiment sa tasse de thé. Voyeuse ! > fait Clémentine.

Ma compagne est descriptive. Les images que suggèrent ces descriptions sont rapidement excitantes. Quelle imagination. Bien !
Je lui fais remarquer à quel point son imagination nourrit mes fantasmes et alimente mon intérêt pour nos petites expériences.
< Vivement le printemps. Nos premières virées à vélo ! Je vais me dépasser l'année prochaine ! > rajoute encore ma compagne.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part de ses fantasmes exhibitionnistes. Folies.
J'écoute. C'est tellement merveilleux. Ma première compagne, décédée il y a dix ans déjà, avait les mêmes penchants exhibes.

Pour un homme, quoi de plus merveilleux que d'avoir une compagne pleine d'imagination, capable de se dépasser pour réaliser.
C'est un vrai bonheur. Alors de partager sa vie avec une telle femme, une seconde fois, c'est comme gagner au loto deux fois !
Le privilège suprême. J'en fais part à Clémentine qui connaît tout cela après plusieurs lectures de mon Blog où je relate tout ça.
Nous faisons la vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous évoquons madame Walter et ses chocolats "Mon Chéri®". Rires.
Les boîtes de "Mon Chéri®" se refilent en état. Rarement ouvertes. On va les offrir à monsieur Gérard, le palefrenier, à Noël.

Nous rigolons comme des bossus. Ma compagne rajoute : < Il sera content, le vieux ! Des filles qui lui offrent des chocolats ! >
J'essuie mes mains. Clémentine se serre contre moi en passant ses bras autour de mon cou. < Tu veux une pipe ? > fait elle.
Je me retourne pour lui chuchoter : < Je suis le jouet de toutes tes envies ! Je t'aime ! >. < Moi aussi ! Si tu savais ! > dit elle.
Ma compagne m'entraîne au salon. Elle me fait tomber dans le canapé. Elle pose l'épais coussin de velours au sol. Elle me sourit.
J'aime l'éclat troublant dans le regard de la jeune fille lorsqu'elle s'apprête à se livrer à ses exactions sexuelles. C'est fabuleux...

Clémentine, à genoux sur le coussin, me déboutonne. Je veux l'aider. Elle dit : < Je préfère juste avec la braguette ouverte ! >
< Je trouve la bite qui sort d'une braguette déboutonnée beaucoup plus excitante et appétissante ! > fait encore Clémentine.
Nous avons en commun de détester la nudité dans le cadre de notre sexualité. Nos corps habillés nous semblent plus érotiques.
J'ai le sexe à l'air. Je bande mou. Clémentine approche son visage pour le renifler longuement. < Miam ! > fait elle en souriant.
Je l'admire. Elles sont si belles lorsqu'elles s'apprêtent à faire "ça". Elles n'en sont pas souvent bien conscientes. Un peu gênées.

Souvent, tout au début de notre relation, à l'automne de l'année dernière, je faisais sucer Clémentine devant le miroir. Sympa.
La jeune fille pouvait se voir, surmonter ses inhibitions et s'admirer dans ces moments fondamentaux d'un début de relation.
Clémentine avait déjà pratiqué quelquefois sur son petit copain de l'époque. Un D'jeune pas du tout conscient de la "perle".
Une relation frustrante qui n'avait duré que quelques mois. Son "premier", plus préoccupé de bagnoles à retaper que de filles !
Clémentine me parle parfois de ces samedis après-midi, assise dans un garage, à regarder son mec, tête dans le capot. Fou !

Nous en rions de bon cœur. Il faut bien quelques expériences dans l'existence. Il avait 24 ans. Ejaculateur précoce. Bricoleur.
Je regarde ma compagne respirer les parfums de mon sexe. Les odeurs de ma journée d'homme. Je me décalotte doucement.
Immédiatement l'odeur me monte aux narines. Il m'est interdit de me décalotter sous la douche. Clémentine l'exige. Par goût.
Je l'observe humer les effluves fortes qui émanent de la pâte grumeleuse qui macule mon gland, sous mon prépuce. Fromage.
La fermentation de cette substance délivre donc ses parfums suaves pour le plus grand plaisir de ma compagne qui s'en régale.

Ses mains posées sur mes cuisses. Dressée sur ses genoux, Clémentine se met à lécher afin d'en récupérer la totalité. Slurp.
Elle me fixe en me montrant l'intérieur de sa bouche. Ce qui collait autour de mon gland, colle à présent dans sa cavité buccale.
J'ai un frisson. Un haut le cœur. Comme j'aime me régaler de la même chose chez elle, je sais parfaitement ce qu'elle ressent.
Clémentine prend mon sexe en bouche. J'ai soudain cette délicieuse impression d'avoir le sexe dans un bol de purée bien tiède.
L'indicible caresse me donne le tournis. J'ai toujours un vertige. Un peu comme une baisse de tension artérielle. Une émotion...

Le spectacle de cette belle jeune fille de 20 ans, les yeux fermés, se livrant à cet acte, me procure toujours un profond émoi.
Son visage d'ange, ses traits fins, tout cela semble tellement aux antipodes de ce qu'elle fait à l'instant que j'en ai des vertiges.
Je dois surmonter une sorte de gêne, peut-être de honte, avant que l'excitation ne me gagne réellement. Je lui caresse la tête.
Clémentine paraît prendre un tel plaisir à se livrer à sa fellation, que j'en oublie rapidement mes inhibitions bien normales. Joie.
C'est lorsque la jeune fille se met à gémir, que j'entends les gargouillis bulleux, que je la vois déglutir, que je m'abandonne.

Parfois, tout en suçant, Clémentine serre ma main dans la sienne. Je lui murmure plein de douceurs et de promesses vicieuses.
Elle ponctue chacune de mes phrases cochonnes d'un petit cri de ravissement. Je retire ma queue par séquences régulières.
Afin de lui permettre de reposer sa mâchoire, je me retire. Il y a des filaments gluants et visqueux qui coulent sur son menton.
Clémentine les récupère toujours avec le doigt qu'elle me montre avant de le sucer. Quand la fille qu'on aime est vicieuse ! Joie.
Reconnaissante quand à mes attentions pour sa mâchoire, Clémentine me regarde, amoureuse et lascive. Je dis : < Je t'aime ! >

La soirée s'écoule ainsi. Clémentine et moi avons une telle préférence pour les rapports génitaux buccaux que le temps file vite.
Il est déjà 21 h. Je propose à Clémentine de cesser, de nous rendre à l'atelier pour travailler encore un peu. < Non ! > fait elle.
< On ira ranger après. On est tellement bien ! > rajoute t-elle avant de me pomper comme si sa vie en dépendait. Une merveille.
Je lui chuchote : < Et si je me mettais un peu en toi ? Doucement ? >. Clémentine est une profonde cérébrale. Autant que moi.
L'acte en lui-même ne procure aucune réelle sensation à Clémentine. C'est l'idée d'avoir une bite de mec en elle qui la motive...

Ma compagne se lève. Elle retire son jean et sa culote au loin. Je fais pareil. Elle se couche sur le canapé et m'attire sur elle.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles comme nous aimons tant. Super.
Clémentine adore me confesser d'invraisemblables cochonneries lorsque nous sommes ainsi. Je suis toujours étonné. J'écoute.
Tout ce qui passe dans sa tête est tout simplement prodigieux. C'est merveilleux de vivre avec une "cérébrale". Hyper bien...
Il est question d'exhibes, de vivre des situations improbables dans les lieux les plus divers. De bites, de vicelards, de voyeurs.

Toutes ces choses qui animent la libido d'une jeune fille de 20 ans qui a le désir de vivre loin de ses craintes, de ses inhibitions.
Nous restons ainsi un long moment. Doucement, nous commençons à nous bercer en rythme. Il est temps de cesser. Prudents.
Je me retire. Nous décidons de nous "garder" pour la chambre, après. Nous filons à l'atelier pour ranger nos affaires. Sympa...
Il est 22 h30. Les toilettes. La salle de bain et nous voilà au lit à nous régaler d'un "69" absolument juteux. Un véritable flot !
J'offre un orgasme à Clémentine avec un cunnilingus hyper juteux. Clémentine m'offre un orgasme avec une fellation juteuse...

Bonne soirée à toutes les étudiantes, (majeures), qui apprécie de se retrouver dans l'intimité juteuse de leur vicelard privé...

Julien - (Heureux homme qui sait apprécier, à leurs justes valeurs, toutes les opportunités de plaisirs. Dans le partage) -

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Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 244 -



Avec la présence d'Estelle, il fait encore plus "chaud" dans la maison...

Hier matin, jeudi, c'est encore moi qui suis tiré de mon sommeil le premier. Il est 5 h50. J'éteins le réveil. Clémentine dort.
J'ai tout juste quelques instants pour la regarder dormir avant que son sixième sens l'informe de la situation. Elle se réveille.
En s'étirant dans un long gémissement elle me fait : < Bonjour Julien ! >. < Bonjour Clémentine ! > que je lui fais. Des bises.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux. Nous avons faim.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous préparons et prenons notre petit déjeuner. Copieux. En bavardant.

Nous remontons pour nous offrir notre entraînement. Une heure d'exercices intenses qui nous mettent rapidement en forme.
La douche. Il est 7 h45. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine. Nous sommes tous deux chaudement vêtus.
Il fait froid. Le jour vient de se lever. Moins 2°. Seconde matinée de température sous glace. Pas de doute, c'est bien l'hiver.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je fais la vaisselle.
Je fais la chambre. Je file à l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. Il est 8 h15 lorsque je suis assis devant mon chevalet.

A midi, je suis à la cuisine. Je prépare la pâte pour la tarte aux poireaux de ce soir. Je coupe le poireaux que je fais cuire. Eau.
Je prépare une Béchamel. Ainsi, pour notre repas de la soirée, il n'y aura qu'à mettre la Flamiche Picarde au four. Rassurant.
Je me fais du riz, une salade et une sauce aux Roquefort. A 13 h30 je suis de retour à l'atelier. Je termine ma quatrième toile.
Il est presque dix sept heures. Comme souvent, la porte de l'atelier s'ouvre derrière moi. On me prend par le cou. Des bises.
Je crois que c'est ma compagne. Quelle surprise. C'est Estelle. < Bonjour Julien ! > me fait la jeune fille suivit de Clémentine.

Clémentine, assise sur mes genoux, me raconte sa journée. Je salue Estelle qui dépose ses affaires sur la grande table. Boulot.
J'écoute avec attention. Il va bientôt faire nuit. J'ai presque terminé la quatrième toile destinée à mon stock de l'an prochain.
Les filles montent à l'étage. Je les entends rire. Cette ambiance crée toujours au fond de moi une profonde émotion. Superbe.
Un petit moment et voilà Estelle qui descend la première. Jupe, pull, manteau, collants et souliers à légers talons. Hyper sexy.
Clémentine arrive à son tour. Jupe, pull, manteau, collants et bottes noires à talons hauts. Les filles tournent sur elles même...

< Comment tu trouves ? > me fait Estelle qui s'accroupit, cuisses largement écartées. < Culotte ! > rajoute encore t-elle. Rire.
Je lève le pouce de ma main libre en faisant : < Félicitations ! >. Clémentine fait pareil et dit : < Pas de culotte ! >. Je mâte.
Clémentine porte le collant qu'elle a tout spécialement transformé. Il y a l'ouverture béante qui permet de voir son sexe touffu.
Je fais pareil en disant : < Vous êtes parfaites toutes les deux. Je me prépare ! >. Je reste vêtu de mon jean. Je passe un pull.
Je mets mes bottes et mon épaisse veste d'automne. Une grande écharpe de laine et ma casquette de gentleman à carreaux.

< Tu fais délicieusement British ! > me fait Estelle en me palpant la braguette. < Scottish ! > corrige Clémentine. Il fait nuit.
Nous sortons dans le froid vif. Des nuages de vapeur devant la bouche nous voilà dans la petite auto de Clémentine. 17 h30.
Nous arrivons au haras quelques minutes plus tard. Il y a trois petits kilomètres. Il y a des voitures garées dans la cour. Bien.
Les ouvriers qui sont entrain de construire une quatrième écurie ont terminé leur journée. Ils rangent leurs affaires. Bruits.
Il y a un groupe de personnes dans la seconde écurie. Personne n'a encore remarqué notre arrivée et nos présences. Discrets.

Je vais dans la première écurie. Là où les choses se passent. Je suis seul. Je vais au dernier box à côté du bureau de Gérard.
Il y a le cheval. C'est certainement le même cheval car il me fait son accueil habituel. Des petits coups de tête insistants. Rire.
Je lui donne un croûton de vieux pain sec que j'ai dans ma poche. Content de son cadeau, il mâche en oubliant ma présence.
Il fait curieusement chaud dans l'écurie. La présence de quelques vingt cinq chevaux en est la cause évidente. Il y fait sombre.
La seule lumière provient des boîtiers "Issue de secours" et "Sortie". Mes yeux s'habituent rapidement. J'entends les filles venir.

Comme toujours, afin d'attirer l'attention sur leur présence, elles parlent fort, des éclats de rire sonores. Stratégie imparable.
Je les regarde par les interstices entre les planches de la cloison. Le volet du box est ouvert. Je reste soigneusement caché.
Les filles marchent doucement en s'arrêtant devant chaque box pour caresser les chevaux qui observent avec curiosité. Joie.
Il se passe un moment. Enfin il y a quelqu'un. C'est monsieur Gérard, le palefrenier, accompagné d'un monsieur très élégant.
Sans doute un propriétaire de chevaux. Les deux hommes voient les filles. Il y a des salutations polies. Echanges de banalités.

J'entends la conversation. Il est question de vétérinaire. De visites de contrôle la semaine prochaine. Et d'analyses régulières.
Les deux hommes restent à caresser un cheval. C'est certainement de cet animal dont il est question. La situation dure un peu.
Les filles sont devant le box où je me trouve. Nous nous faisons des signes et des grimaces. Enfin les deux hommes s'en vont.
Clémentine me fait des bisous penchée par l'ouverture supérieure du box. Estelle fait pareil. Elles filent à l'autre bout du lieu.
Un petit moment et voilà monsieur Gérard qui revient. Seul. < Bonsoir les filles ! On vient visiter le vieux Gérard ! > fait il.

< Bonsoir monsieur Gérard ! > font les filles en cœur. Rire. Le palefrenier rajoute : < Ce soir, il faut redoubler de prudence ! >
Il fait : < Il y a du passage ! On prépare l'animation de dimanche ! Vous venez dimanche ? >. Les filles restent silencieuses.
Monsieur Gérard, tout en bavardant, se palpe la braguette en regardant sans arrêt dans toutes les directions. Bien vicelard.
Clémentine s'accroupit en se tenant au montant d'un des box. Monsieur Gérard se penche pour mâter. Il découvre la touffe.
Estelle mime une masturbation masculine avec une incroyable vulgarité en demandant : < Vous serez là dimanche, alors ? >

Le palefrenier s'accroupit à son tour pour regarder sous la jupe de Clémentine. Il répond : < Mais je n'aurais pas le temps ! >.
Estelle, cambrée sur ses jambes fléchies, légèrement écartées, fait encore : < Dommage ! > tout en continuant son imitation.
Je bande comme le dernier des salauds. Je m'imagine à la place du palefrenier que j'admire pour sa parfaite maîtrise de lui.
Clémentine, grâce à l'ouverture pratiquée dans son collant, ne portant pas de culotte, peut se lâcher sans risque de se mouiller.
Je la vois pisser. Ce jet magnifique qui vient se briser loin devant elle. Monsieur Gérard à juste le temps d'éviter le jet puissant.

< Il faut cesser mademoiselle Clémentine ! S'il vous plaît, il peut arriver quelqu'un à n'importe quel moment ! > fait Gérard.
Il y a une longue flaque luisante sur le béton du sol. Clémentine attend un instant, se secoue et se redresse. Le type mâte.
Estelle, effrontément, continue son imitation d'une masturbation masculine. Monsieur Gérard paraît très embarrassé. Gêné.
Pas de doute, tout cela ne se passe pas au bon moment. < Si vous revenez demain, à 18 h, nous serons tranquilles ! > dit il.
< On pourra voir votre bite ? > demande Estelle, espiègle et hyper vicelarde. < Promis ! Rien que pour toi ! > répond Gérard.

Il y a des voix. Clémentine s'éloigne de la flaque. Estelle cesse son mouvement incroyablement vulgaire. Gérard s'éloigne.
Il y a un couple de séniors qui entrent dans les écuries. Il y a Juliette accompagnée d'une autre femme. Des propriétaires.
Juliette voit les deux filles. Elle comprend immédiatement. Elle salue Estelle et Clémentine avec un sourire entendu. Visites.
Juliette sait certainement ma présence dans le dernier box. Le groupe de quatre personnes s'arrête devant un box. Cheval.
Monsieur Gérard quitte l'écurie. Il a du travail. Clémentine et Estelle s'approchent de mon box. Ce qui confirme ma présence.

Les quatre personnes bavardent un petit moment. Il est question de l'animation de dimanche. Il faut monter leurs chevaux.
En effet, les chevaux mis en pension pour la mauvaise saison, exigent d'êtres montés régulièrement. Il leur faut de l'exercice.
Le groupe quitte les lieux. Je peux enfin quitter le box et mon copain cheval qui n'a pas cessé de me taquiner. Le bougre !
Nous sortons par la porte arrière. Nous contournons le bâtiment pour revenir à la voiture. Des gens bavardent dans le froid.
Personne ne fait véritablement attention à nous. Nous quittons le haras. Tout en conduisant, je félicite les filles. Vicelardes !

Nous sommes de retour à la maison pour 18 h50. Morts de faim, nous mettons nos tabliers pour préparer le repas du soir.
Estelle étale la pâte. Je mets le poireau cuit dans la Béchamel que je réchauffe. Clémentine s'occupe de la salade. Une frisée.
< Put-hein ! On y retourne demain soir ! Vous êtes d'accords ? > nous fait Estelle. < Et comment ! > répond Clémentine. Joie.
Clémentine a une suggestion. < Et si on se fait un "plan" exhibe au chantier avant de nous rendre au haras ? >. Idée géniale.
Nous mettons notre programme très rapidement au point. Estelle et Clémentine rentrent pour midi. Boulot jusqu'à 17 h. Bien.

Nous quitterons la maison à 17 h pour nous rendre aux abords du chantier. Clémentine veut faire découvrir le lieu à Estelle.
Si la situation le permet, ma compagne pourra se livrer à une exhibe de très grande qualité près du chantier devant l'ouvrier.
Puis nous reviendrons au haras pour honorer le semblant de rendez-vous fixé par monsieur Gérard, le palefrenier vicelard.
La tarte aux poireaux est au four. La salade est prête. Nous passons au salon. Les filles retirent leurs tabliers. Vêtues sexy.
Estelle se met à mimer une masturbation masculine en me demandant : < J'étais comment là-bas ? Tu as bandé . Dis moi ! >.

Clémentine s'accroupit dans la même position qu'aux écuries et me fait : < Et moi ? C'était comment ? >. Je félicite les filles.
Je dis : < Vos prestations étaient parfaites. Au-delà de toutes considérations, comme toujours ! >. Nous rions de bon cœur.
Je regarde l'ouverture béante dans le collant de Clémentine. On distingue bien son invraisemblable touffe qui dépasse. Super.
Les filles élaborent les stratégies de demain. Elles veulent mettre le brave palefrenier dans un embarras jamais atteint. Rires.
Je dis : < Le pauvre homme ! Avec tout ce que vous avez déjà fait ! Que peut-il bien encore lui arriver ? Une apoplexie ? >...

Nous rigolons comme des bossus. La sonnerie du four nous tire de nos amusantes spéculations sur le programme de demain.
Nous nous précipitons à la cuisine. Le repas est délicieux. A la hauteur de nos appétits d'ogres. Les filles parlent de leurs cours.
J'admire cette capacité toute féminine de passer d'une préoccupation à l'autre sans jamais perdre le fil de la précédente. Filles !
Il faut qu'elles restent concentrées sur cet écrit qu'il faudra présenter lundi prochain. C'est en bonne voie. Tout se passe bien.
Nous mangeons de bon appétit. Assise sur mes genoux, pendant qu'Estelle débarrasse la table, Clémentine évoque la faculté.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Il est vingt heures. Nous passons dans l'atelier. Les filles doivent travailler un peu.
J'en profite pour commencer le dessin préparatoire de ma cinquième toile. Séance de travail très agréable. Nous apprécions.
Ces séquences qui alternent concentrations, souffles, apnées, respirations et concentrations. C'est curieusement très excitant.
Il est 22 h30. Nous ramenons Estelle qui revient demain, à midi. Le "programme". Nous revenons, plutôt excités. Il est 22 h45.
Les toilettes. La salle de bain. Nous nous offrons un super "69". La petite baise. Cunnilingus et fellation pour l'orgasme. Dodo...

Bonne visite dans vos écuries préférées à toutes les passionnées d'activités équestres. Et attirées par les lieux très excitants...

Julien - (Qui s'apprête à tenir son rôle S.S.S.S. - Service Sécurité Spécial Salopes - pour la journée à venir. Il faut assurer) -

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Le vendredi, à midi, pour Clémentine et Estelle, c'est le début du week-end...

Hier matin, vendredi, c'est la 5ème de Wolfgang Amadeus Mozart qui nous tire de nos sommeils profonds et insondables.
< Ta gueule Momo ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus, la tête dans le cul.
< Bonjour Julien !> me fait Clémentine avant de me chevaucher en riant. < Bonjour Clémentine ! >que je fais. Papouilles.
Nous devons pisser. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Rituel pisseux. Nous descendons à la cuisine.
Morts de faim, nous préparons et prenons notre petit déjeuner. Il fait nuit. Il est 6 h10. Il fait 2°. C'est le froid de l'hiver.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de la soirée précédente. Nous rions de bon cœur à l'évocation du haras.
Nous passons toujours de bons moments aux écuries et monsieur Gérard, le palefrenier vicelard, sait bien amuser les filles.
Nous avons un exemple supplémentaire en pensant à notre visite de hier soir. Aussi, nous décidons d'y retourner ce soir.
Il est temps de remonter pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos, charges additionnelles. Superbe.
C'est toujours un entraînement d'une intensité maximale. Il s'agit de remplacer notre jogging par de l'exercice physique.

La douche. Il est déjà 7 h45. Je descends chaudement vêtu pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint.
Des bisous. Un dernier coucou de la main et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre en vitesse.
Je fais la vaisselle. Je fais la chambre. Je file à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Chaleur.
Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de la cinquième toile du stock 2018.
Il est 12 h15. Je suis entrain de préparer le repas. Je fais des pommes de terre farcies. Thon, champignons et fromages.

C'est Estelle qui arrive la première en se précipitant dans mes bras. < Bonjour Julien ! > fait elle. Clémentine arrive aussi.
< C'est week-end ! > s'écrient les filles presque en même temps. < Bonjour Estelle ! > que je fais. Une chaude ambiance.
Clémentine se blottit à son tour contre moi pendant qu'Estelle sautille autour de la table en poussant des petits cris de joie.
Rapidement, nous nous mettons tous les trois à la préparation de nos repas. Celui de midi et celui du soir. Patates farcies.
Clémentine fait la salade. Estelle ouvre une boîte de thon. Je coupe l'ail, l'oignon, les champignons et la ciboulette. Sympa.

Les filles évoquent leur matinée de cours et le programme de l'après-midi. Elle vont tâcher de terminer l'écrit pour ce soir.
Il leur faudra mettre au propre et tirer huit pages sur l'imprimante. J'écoute la stratégie qu'elles vont appliquer. Superbe.
< Si nous ne finissons pas ce soir, on termine dimanche en fin d'après-midi ! > conclue Estelle d'un ton rassurant. Bien.
< On aura fini, pas de soucis ! > fait Clémentine. Estelle mime une masturbation masculine et dit : < Ce soir, écuries ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < C'est comme si on allait au théâtre, au spectacle !>. C'est vrai...

Estelle aime remplir les tubercules de leur farce. Avec une petite cuillère, elle remplit les pommes de terre bien évidées.
Je verse le reliquat de sauce et de purée autour des six patates. Estelle recouvre de gruyère grossièrement râpé. Au four.
Thermostat sur 7, cuisson à 350° pour une durée de 40 minutes. Ce soir, nous n'aurons qu'à réchauffer. Assaisonnement.
Les filles évoquent notre visite de hier soir aux écuries. Estelle me donne des détails sur des choses que je ne vois pas.
En effet, caché dans mon box, en compagnie du cheval, je ne perçois pas toujours bien ce qui se passe. C'est intéressant.

Tout est prêt. Nous filons dans l'atelier en laissant la porte ouverte pour entendre la sonnerie du four. Nous travaillons.
Les filles sont assises à la grande table de travail entourées de leurs affaires. < Viens voir Julien ! > me fait Clémentine.
Je me lève. Ma compagne me montre l'écran de l'ordi. Nous avons un courriel de Juliette. La propriétaire du haras. Je lis.
La jeune femme nous fait savoir que si nous la prévenons de notre arrivée, elle sort le cheval pour nous laisser le box.
Elle s'excuse de ne pas participer à nos petits jeux, trop occupée et pas réellement intéressée. Nous répondons très vite.

< C'est vraiment sympa de sa part et cette complicité est plus qu'appréciable ! C'est vraiment génial ! > conclue Estelle.
< Et qu'elle ne participe pas est très bien aussi. Parfois, cela me gênait un peu ! > rajoute Clémentine. Nous travaillons.
Une nouvelle séance de labeur silencieux, dans une profonde concentration. Juste le souffle de nos respirations. Apnées.
C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos activités. < J'ai faim ! > s'écrie Estelle en se levant la première. C'est terminé.
Nous nous précipitons à la cuisine. L'odeur est une vraie provocation. Nous voilà assis. Le repas est délicieux. Un vrai régal.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent de leurs cours et du programme de l'après-midi. J'écoute en silence. Bien.
Il est décidé de tout arrêter pour dix sept heures, de se changer et de filer au haras pour 17 h15 et d'y êtres pour 17 h30.
Comme nous avons prévenu Juliette de notre visite, le box où je me cache sera vide. Nous savons que Gérard a du travail.
Nous serons de retour à la maison pour dix neuf heures. Les filles reprendront leur travail. Nous ramèneront Estelle à 22 h.
Tout est réglé comme du papier à musique. Nous tenons toutefois compte d'un impondérable toujours possible. Prévoir...

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Fébriles, pressés d'avancer, nous nous nous précipitons à l'atelier. Le travail.
Nous voilà à nouveau immergés dans ces séquences de silences. Parfois l'un d'entre nous vient voir ce que font les autres.
Les bras autour de mon cou, penchées derrière moi, Estelle ou Clémentine viennent faire une courte pause. C'est reposant.
Quelquefois c'est moi qui passe derrière les filles pour voir ce qu'elles font. Il est rapidement dix sept heures. Nous cessons.
Les filles montent à l'étage. Je les entends rire. Estelle redescend la première. Vêtue comme hier. Puis Clémentine. Pareille.

Toutes les deux s'accroupissent. Estelle fait : Culotte ! >. Clémentine fait : < Sans culotte ! >. Nous rions de bon cœur.
Je lève le pouce de la main droite en disant : < Félicitations ! >. Nous sortons de l'atelier. Je garde mon épais pantalon.
Je chausse mes bottes. Je mets un pull, j'enfile mon épaisse veste d'automne. Je me coiffe de ma casquette à carreaux.
< Gentleman British ! > me fait Estelle en déposant une bise sur ma joue. < Scottish gentleman ! > lui fait Clémentine.
Nous voilà en route. Nous suivons le programme. Nous arrivons pour 17 h35. Je gare la voiture dans la cour. Du monde.

Il y a d'autres voitures garées. Il y a un groupe de cavaliers tenant des chevaux par leur longe. Il y a même madame Walter.
Nous sortons de l'auto en faisant un signe de la main à madame Walter qui discute avec tous les cavaliers chaudement vêtus.
Il y a la voiture de Juliette mais nous ne la voyons pas. Certainement dans son bureau. La nuit est tombée. La cour éclairée.
Nous entrons dans la première écurie. La lumière y est faible. Les chevaux, dans leur box, nous observent avec attention. Bien.
Nous nous dirigeons vers le dernier box à côté du petit bureau de monsieur Gérard. Le palefrenier n'est pas là. Le box est vide.

Juliette a donc fait le nécessaire. Nous y pénétrons tous les trois. Il y a du fourrage. De la paille sur le béton du sol. Propre.
Estelle s'accroupit devant le trou parfaitement rond d'environ 6 cm dans la cloison qui sépare le box du bureau du palefrenier.
A peine un centimètre d'épaisseur. < Tu te souviens lorsqu'il y avait passé sa queue ? > fait la jeune fille à Clémentine. Rires.
Clémentine s'accroupit à son tour pour bien regarder . < Il y a personne de l'autre côté, il fait tout noir ! > fait ma compagne.
Les filles se redressent. < A tout à l'heure ! > me font elles en me faisant une bise sur chaque joue. Je reste seul dans le box.

Clémentine et Estelle retournent à l'entrée des écuries faiblement éclairées d'un simple plafonnier et des boîtiers de sécurité.
Comme à chaque fois elles parlent fort. Elles se mettent à rires. Elle parcourent l'allée centrale en faisant deux allés et retours.
Je reste soigneusement dissimulé dans l'obscurité de mon box. Je regarde par les interstices entre les planches. C'est discret.
Soudain, les néons s'allument, illuminant l'endroit. C'est monsieur Gérard, le palefrenier. Il fait plutôt doux dans les écuries.
< Bonsoir les filles ! Alors ? On vient au rendez-vous du vieux Gérard ? > fait il aux filles qui font : < Bonsoir Gérard ! >. Rire.

Monsieur Gérard pousse un chariot sur lequel il y a une grosse botte de fourrage. C'est très certainement un simple prétexte.
Lorsqu'il a entendu les rires et les éclats de voix des filles, il a trouvé cette formule pour arriver. Il pousse le chariot au fond.
Tout en se palpant la braguette, le palefrenier bavarde avec les filles. Toutes les deux, bras croisés, debout, bavardent. Joie.
Monsieur Gérard est vigilant. Tout en bavardant il regarde fréquemment vers la grande porte. Au loin, des voix. Prudence.
Monsieur Gérard parle de son travail avec passion et pose quelques questions quand aux études des filles. Une conversation.

Soudain, un bruit de pas. C'est madame Walter. < Bonsoir ! > fait elle aux jeunes filles en venant leur serrer la main. Politesse.
Madame Walter donne quelques directives à monsieur Gérard qui écoute soigneusement en donnant quelques précisions. Boulot.
Clémentine et Estelle vont caresser quelques chevaux en laissant les deux employés bavarder. Madame Walter fini par partir.
< Au revoir et bonne soirée. Le bonjour à Julien ! > fait elle avant de franchir la porte et de disparaître. Les filles la saluent.
Monsieur Gérard entre dans son bureau avec le classeur que lui a remis madame Walter. < Venez ! > fait il invitant les filles.

Je m'accroupis pour regarder par le trou. La lumière s'allume. Monsieur Gérard s'assoit derrière son bureau. Les filles sont là.
Toutes les deux sont assises sur la banquette devant le bureau. Silencieuses. Clémentine a écartée légèrement ses cuisses.
Estelle constate rapidement l'attitude qu'adopte Clémentine. elle fait pareil. Monsieur Gérard reste d'un calme impérial. Bien.
Il me tourne le dos. Je vois juste les jambes des filles sous le bureau. J'entends par contre très bien. Monsieur Gérard gère.
Il explique aux filles ce qu'il fait en se levant pour ranger le classeur sur une étagère. Les filles écoutent, cuisses bien écartées.

J'entends Estelle dire : < On peut passer derrière la cloison pour voir le trou ? >. J'entends rire monsieur Gérard. Un silence.
< Mais très certainement mademoiselle ! venez ! > fait il en se déboutonnant. Estelle se lève la première. Elle sort du bureau.
Estelle vient me rejoindre pour s'accroupir à mes côtés. < Quel vieux vicelard ! > me chuchote t-elle avant de m'embrasser.
La bite de monsieur Gérard apparaît soudain par le trou. Elle est toute petite, elle passe à peine et pend là lamentablement.
Immédiatement l'odeur nous monte aux narines. Estelle se rapproche pour renifler. Elle agite la main en se pinçant le nez...

Je me demande ce que peut bien faire Clémentine. Je ne peux plus regarder par le trou. Je tiens Estelle par ses hanches.
Son visage tout près de la queue fripée. Elle hume en faisant d'horribles grimaces. Mais que peut bien faire Clémentine ?
Je pose ma main sur la nuque d'Estelle, sous ses cheveux, j'appuie. Estelle résiste avec force en détournant son visage.
Elle me lance de sévères regards. Pas question de la forcer. Elle prend soudain la queue entre son pouce et son index.
J'ai le cœur qui bat la chamade. C'est la première fois. Estelle tente de décalotter la bite de monsieur Gérard. Elle colle.

Impossible de décalotter car le prépuce, contrarié par le bord du trou, refuse de coulisser. Elle hume à quelques centimètres.
J'appuie sur sa nuque. Rien à faire. La jeune fille se tient d'une main contre la cloison pour m'empêcher de la pousser plus.
Il y a une goutte transparente qui apparaît. Une goutte opalescente et légèrement laiteuse. Estelle essore le prépuce. Apnée.
J'ai mon visage tout près du sien. Je regarde chacune de ses expressions. C'est une situation intense, vicelarde et excitante.
La goutte s'allonge sans tomber. Elle se transforme en une coulure visqueuse qui pend sur une dizaine de centimètres. Vice.

Nous n'entendons rien derrière la cloison. Mais que fait donc Clémentine. Je fais des bises sur la joue d'Estelle qui scrute.
La coulure va finir par se détacher par son propre poids. Ce qui arrive rapidement. Elle tombe au sol. Estelle se redresse.
Elle me fait une bise et file rejoindre Gérard et Clémentine. La bite du palefrenier reste encore quelques instants. Terminé.
J'entends la conversation reprendre. Je regarde par le trou. Clémentine est invisible. J'ai beau me contorsionner. Rien.
Enfin je la voir revenir se mettre aux côtés d'Estelle. < Alors, ça vous a plu les filles ? > leur fait le palefrenier. Eclat de rire.

Les filles quittent le bureau. Je les vois filer à toute vitesse. < Bonsoir Gérard, à bientôt ! C'était super ! > lui fait Estelle.
Elles sortent. Monsieur Gérard s'assoit à son bureau. Je file discrètement pour rejoindre les filles qui attendent à la voiture.
Une voix derrière moi. Madame Walter. < C'était bien ? Je demande qui est le plus vicelard ! Gérard ou vous ! > me fait elle.
Je ne sais quoi répondre. Madame Walter n'attend d'ailleurs aucune réponse, elle file à toute vitesse des documents en main.
Sur le chemin du retour, Clémentine nous raconte. < Je suis restée à mâter ce que faisait ce vicelard ! C'était génial ! >

Nous arrivons à la maison pour dix neuf heures. Morts de faim, nous réchauffons nos patates farcies. Nous faisons la salade.
Clémentine vient se blottir contre moi. < Je suis restée accroupit tout près. Il m'a caressé la tête pendant que je mâtais ! >
< Tu es fâché ? > rajoute encore ma compagne que je rassure en lui disant : < Mais c'est toi qui était géniale ! >. Rires...
Nous mangeons de bon appétit. Les filles échangent leurs impressions. Pour toutes les deux c'était intense. Prodigieux. Joie.
La vaisselle. Retour à l'atelier. Travail. Nous ramenons Estelle pour 22 h30. Au retour, Clémentine me fait une pipe délirante.

Bonne visite dans vos écuries préférées à toutes les coquines désireuses de vivre des choses étonnantes et excitantes...

Julien - (Très heureux de constater une certaine évolution de la situation. Enfin les filles ont des initiatives "Gérardesques") -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 246 -



C'est toujours très sympathique quand Estelle vient passer le week-end à la maison...

Hier matin, samedi, à nouveau, c'est moi qui sort de mon sommeil le premier. Il est 7 h45. Je regarde Clémentine dormir.
Pourtant, malgré ma totale discrétion, son sixième sens l'averti de la situation. Elle s'étire dans un très long gémissement.
< Bonjour Julien ! > fait elle soudain dans un cri. < Bonjour Clémentine ! > que je lui dis. Clémentine se blottit contre moi.
Nous nous offrons quelques papouilles. En lutant contre nos besoins de pisser, Clémentine me chevauche en riant. Bisous.
Elle m'entraîne rapidement par la main jusqu'aux toilettes afin d'y pratiquer nos rituel pisseux. Nous descendons très vite.

Morts de faim, nous préparons notre petit déjeuner. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Je coupe le pain.
J'en fais griller les tranches. Confitures, miel, beurre et yaourts. C'est samedi, Nous avons tout notre temps. Nous traînons.
Il fait jour. Il fait un peu moins froid que les autres matins. 6° à l'extérieur. Il fait bien chaud à l'intérieur. Les radiateurs...
Nous mangeons de bon appétit. Assise sur mes genoux, Clémentine me fait part de sa satisfaction. Travaux d'écriture finis.
Il n'y aura qu'à tirer les documents sur l'imprimante, de les relier en les agrafant. Lundi, ma compagne pourra les remettre.

Une fois encore l'étudiante se sera acquittée de son devoir. Sa joie est grande. Elle m'en parle avec passion. J'écoute bien.
Nous faisons la vaisselle. Nous sommes déjà en tenues. Il suffit de passer nos sweats et nos K-ways. Le plaisir du jogging.
Nous nous offrons un running des plus agréables. Il faut courir avec un rythme soutenu pour se réchauffer. C'est superbe.
Il est 10 h lorsque nous sommes de retour. La douche. Nous nous habillons chaudement pour aller faire nos courses. Joie.
Les courses, au marché, puis au supermarché, constituent un de nos grands rituels du samedi matin. C'est un vrai plaisir.

Clémentine porte une jupe d'épais velours carmin évasée au dessus du genoux, un pull sur un chemisier, son manteau noir.
Elle porte ses collants "truqués" dont elle me fait voir l'ouverture juste entre ses cuisses en s'accroupissant dans la cuisine.
Chaussées de ses bottes noires à talons, la jeune fille est attractive, élégante et sexy. Je porte un costume en velours brun.
Mon manteau noir, une écharpe et une casquette en velours brun. Clémentine adore me voir ainsi vêtu. Surtout en hiver...
Nous voilà en route. Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite qu'elle a sorti de ma braguette largement ouverte. Joie.

Il n'y a que quelques kilomètres jusqu'au bourg. Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. Nous voilà au marché.
Sur la demande de ma compagne, je garde toujours ma braguette discrètement ouverte. Tirette descendue. C'est sympa.
Comme souvent, les regards se posent sur ce quinquagénaire que tient une jeune fille de 20 ans. Cela suscite la curiosité.
Nos hautes tailles rajoutent encore à l'intérêt que nous porte certains passants. Nous nous en amusons toujours beaucoup.
Surtout Clémentine, très droite, du haut de son mètre quatre vingt cinq avec ses talons, qui toise tout cela avec distance.

Nous achetons nos fromages chez l'artisan habituel. Roquefort, Bleu d'Auvergne, Morbier, gruyère de Comté, beurre, œufs.
Pour nos légumes c'est pareil. Idem pour les fruits. Le tout toujours "Bio" ou issu de l'agriculture raisonnée. C'est meilleurs.
De retour, je mets les produits laitiers dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Nous voilà en route pour la ville voisine.
Il y a du monde au supermarché aussi. Je gare l'auto. J'ai toujours ma braguette discrètement ouverte. Je pousse le caddie.
Nous déambulons dans les allées de la grande surface. D'abords les produits d'entretien, savon, pâte dentifrice et autres...

Comme nous approchons de la date fatidique du 20 du mois, Clémentine fait son stock de tampons. Et toujours des "mini".
Ma compagne est étroite et le déplore souvent. Ce qui explique que je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.
Par acquis de conscience, à l'affut d'une opportunité d'exhibe éventuelle, Clémentine m'entraîne au rayon culturel. Lecture.
Il y a là, au rayon des livres de poche, quelques lecteurs. Il n'y a pourtant pas de réelle occasion pour Clémentine. Rien.
Je reste au rayon des bandes dessinées à observer ma compagne qui pousse le caddie doucement en observant partout...

Clémentine descend et remonte l'allée doucement. Elle mâte avec une grande et discrète attention. Il y a bien ce jeune type.
Un quidam en anorak, coiffé d'un bonnet en laine qui doit avoir 25 ans au grand maximum. Il feuillette un magazine sportif.
Clémentine s'approche. Elle serre le caddie contre le rayon. Ainsi, le chariot fait écran depuis ce côté. Elle peut s'accroupir.
De trois quart vers le jeune homme, Clémentine tire un magazine du bas. Le gaillard ne tarde pas à découvrir la jeune fille.
Là, à environ deux mètres devant lui, il y a cette jeune fille accroupit, cuisses légèrement écartées qui semble si "innocente".

Clémentine présente un "show" bien réglé. Une prestation de haute qualité soigneusement rôdée. Un contrôle total. Artiste.
Le quidam a la réaction habituelle. Il s'accroupit à son tour en faisant semblant de s'intéresser à un magazine du bas. Rires.
En louchant sous la jupe de la jeune fille jusqu'à s'en déboîter les globes oculaires, le type mâte avec une grande discrétion.
Bien évidemment, en changeant parfois de position, Clémentine exagère légèrement son mouvement. On voit bien sa culotte.
L'ouverture pratiquée dans son collant noir, permet de voir sa culotte. Le type semble en apprécier la vue. Discret et secret...

La situation perdure un petit moment. Une fois encore, animé d'un intérêt bien compréhensible, le jeune gars se rapproche.
Il se met à converser. Depuis l'endroit où je me trouve je n'entends rien des propos échangés. Je vois juste remuer les têtes.
Rapidement, je vois Clémentine secouer la tête négativement. Le gaillard paraît être du style à insister. Sûrement le "boulet".
Lorsqu'elle a affaire à des casses pieds, Clémentine a toujours le même réflexe. Elle se redresse d'un coup et s'en va. Ferme.
C'est le cas ici. Le jeune homme est vraiment du style emmerdeur car il se redresse. Il se met à marcher à côté de la fille...

Il n'est pas seulement un redoutable "boulet", il est aussi "collant". Un dragueur de première. Ce qui peut arriver de pire.
Ces individus sont tellement chiants qu'il me faut intervenir. Clémentine se dirige vers moi. Il me voit. Il tourne les talons.
Nous rions de bon cœur en regardant le "tube de colle" s'éloigner sans se retourner. < Il a tenté sa chance ! > que je fais.
< Ce genre de mecs n'en a strictement aucune ! Et le pire c'est qu'ils ne le comprennent pas ! > me répond ma compagne.
Nous passons à la caisse. Nous voilà sur le chemin du retour. Il est 12 h30 lorsque nous sommes de retour à la maison...

Clémentine m'entraîne dans la roseraie. Les pivoines, les lys, les tulipes et les ancolies ont commencé leur pousse. 20 cm.
Le basilic, la ciboulette, la menthe et les laitues ne vont pas tarder à êtres consommables. Je regarde le thermomètre. 16°.
Avec le double vitrage, les plants sont préservés des grands froids. Nous rentrons nous mettre au chaud. Il fait si agréable.
Nous rangeons nos courses. Je prépare la pâte et la garniture pour les pizzas de ce soir. Clémentine s'occupe de la salade.
Je fais des spaghettis avec une sauce au Roquefort. Tout va très vite. Il est treize heures, nous passons à table. Grosse faim.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, terminant son yaourt, Clémentine se confie.
La fille me fait part de son ressenti quand à notre visite aux écuries, hier soir. Ma compagne me raconte la situation vécue.
J'écoute, à la fois amusé et intéressé. Légèrement excité aussi. Clémentine était accroupit à côté de Gérard, le palefrenier.
Sa tête contre la cloison de bois pour tenter de voir son sexe qu'il avait passé dans le trou. Le palefrenier lui caressait la tête.
Clémentine me fait part de l'émotion suscitée dans cette situation. Elle avait particulièrement apprécié cette belle attention.

< Tu n'es pas jaloux, mon amour ? > fait ma compagne en se blottissant contre moi. Je la rassure. < Bien au contraire ! >
Rassurée, elle continue son récit. < C'était excitant de le voir cambré contre la cloison, sa bite dans le trou ! > me fait elle.
< Je me suis touchée pendant qu'il me passait sa main dans les cheveux. Il est resté très respectueux ! > me dit elle encore.
Je dis : < Tu vois, je te l'avais dit, ce vieux vicelard est tout de même un gentleman dans son genre ! C'est à refaire ! >.
Nous rions de bon cœur de cette histoire. La vaisselle. Clémentine plonge. J'essuie. Nous passons à l'atelier. Le téléphone.

C'est Estelle. Elle me fait part de la profonde émotion qui l'habite depuis ce matin en pensant à notre aventure aux écuries.
J'écoute, à la fois amusé et intéressé. Je passe mon téléphone à Clémentine. Je suis assis devant mon chevalet. J'entends.
Clémentine est assise à la grande table de travail. Je l'entends parler ce qu'elle m'a déjà dit à la cuisine à propos de Gérard.
Je suis très satisfait de découvrir les ressentis de ma compagne quant à l'attitude du palefrenier. Cela dure une demi-heure.
J'entends Clémentine conclure en disant : < On vient te chercher ! >. Ma compagne vient s'assoir sur mes genoux. Bisous.

J'ai bien compris. Nous nous levons pour aller chercher Estelle. < Elle est dévorée d'excitation ! > me fait ma compagne.
Nous rions de bon cœur de cet impérieux besoin d'Estelle de se retrouver avec nous. Nous arrivons au lieu habituel. 15 h.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus à une centaine de mètres de chez elle. Son grand sac de sport à la main. Coucou.
Elle monte dans la voiture. Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle me fait des bisous. < Bonjour les gens ! >
< Tu veux qu'on aille aux écuries ? > lui demande Clémentine. < Non, ne brusquons pas les choses ! > lui répond Estelle.

Je trouve cette attitude d'une grande sagesse. Je fais : < D'ici quelques jours, le plaisir sera encore meilleur. Décuplé ! >.
< Vous avez raison ! Attendons notre prochaine visite ! > conclue Estelle. Clémentine rajoute : < Mardi fin d'après-midi. ! >
Nous arrivons à la maison. Le programme de mardi est établi. Nous irons au haras, mardi, en fin d'après-midi vers 17 h30.
< Il faudra prévenir Juliette pour qu'on soit cool ! > fait Clémentine en fermant la porte derrière nous. Estelle est contente.
Elle sautille dans le hall d'entrée en s'écriant : < Ensemble ! Ensemble ! Et jusqu'à demain ! >. Nous rions de bon cœur...

Il faut pourtant être sérieux quelques heures. Clémentine débranche l'imprimante sur le tabouret à côté du bureau du salon.
Elle emmène l'appareil dans l'atelier. Les filles vont terminer l'élaboration de leurs fascicules de huit pages. Dernière étape.
Encore une des ces sublimes séances de travail silencieux, concentré et délicieusement excitant. Un bonheur bien partagé.
Clémentine vient me montrer le résultat final. < Regarde ! > me fait elle. Je regarde le résultat. C'est absolument superbe.
Il y a une photographie en page de couverture. Un prologue sur la seconde. Puis le développement illustré de photographies.

Estelle vient me montrer le sien. Je félicite les filles pour leurs superbes réalisations. Elles peuvent être sereines pour lundi.
Il est 18 h30. Nous nous proposons de mettre un terme à notre présence ici. Moi aussi je suis en avance mon mon travail.
Avant de quitter l'atelier, nous allons nous accroupir devant la cheminée crépitante pour y admirer les flammes. C'est beau.
Clémentine a éteint les lumières. Il n'y a que le feu. Nous restons silencieux, tous les trois assis à même le sol. Le plancher.
Nous savourons l'instant en partageant ce sentiment du devoir accompli. Clémentine me tient la main. Tête sur mon épaule.

Il est dix neuf heures. Nous avons une faim d'ogres. Nous nous levons pour nous précipiter à la cuisine. Tout va très vite.
Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue. Estelle étale la pâte pour les pizzas. Je réchauffe la garniture. Gruyère.
Nous sommes méthodiques, efficaces et méticuleux. Sur la garniture, je dispose de fines tranches d'avocat, champignons.
Estelle avant d'y mettre une épaisse couche de gruyère de Comté, y dépose de petits cubes de Morbier. Une gourmandise.
Les pizzas sont au four. La table est mise. La salade dans son saladier. Nous passons au salon. Estelle s'assoit au bureau.

Clémentine et moi sommes vautrés dans le canapé. Estelle évoque les écuries une nouvelle fois. Gérard, le palefrenier !
< Décidément ! C'est une obsession ! > lui fait Clémentine. Estelle se lève. Elle mime une masturbation masculine. Vice.
< Exactement ! > fait la jeune fille en exagérant encore la vulgarité de son imitation. Elle passe sa main dans son jean.
Chose rare mais qui a tendance à se passer de plus en plus souvent. Je lui fais : < Branle toi ! Fais nous du spectacle ! >
Quelle n'est pas notre surprise de la voir déboutonner son jean et de passer sa main droite au fond de sa culotte. Branle.

Debout, se tenant de sa main gauche au bureau, Estelle, se touche. Une jambe passée devant l'autre, cambrée en avant.
Tout en se masturbant, la jeune fille, très maître d'elle même, parle de son expérience de hier soir. Le sexe du palefrenier.
La jeune fille en parle avec tant de passion que nous l'écoutons amusés plutôt qu'excités. Estelle est descriptive. Images.
Nous revivons tous les trois la situation telle que nous l'avons chacun vécu. C'est la sonnerie du four qui y met un terme.
Nous nous précipitons à la cuisine. L'odeur de la pizza achève de nous affamer. Nous mangeons de bon appétit. Superbe.

La conversation reste axée sur les écuries. Je dis : < Si tu fais une pipe à Gérard, je te filme ! >. Nous rions de bon cœur.
< Chiche ! Mais avec mon appareil ! > fait Estelle. Doucement, l'idée fait son chemin pour devenir un projet bien réalisable.
Clémentine, toujours très créative, nous explique rapidement comment nous y prendre. Mais elle veut être avec nous deux.
< Pas question d'être de l'autre côté avec le vieux ! Je veux mâter ! > rajoute ma compagne. Le projet devient certitude.
< Peut-être pas mardi, toutefois ! > fait encore Estelle toujours à se défiler. Ce qui est bien normal. Il faut se "préparer".

C'est une vraie préparation mentale. Comme nous sommes tous les trois des cérébraux, il faut envisager un acte cérébral !
Pas question de se lancer dans une aventure non préparée. Aucune place ne doit être laissée aux impondérables. Maîtrise.
La part d'improvisation, forcément inhérente à ce genre de chose, doit faire partie intégrante d'une réalisation maîtrisée.
Estelle exige évidemment que si cela se fait, ce sera filmé avec son appareil et qu'il n'est pas question d'en faire un double.
Aucune diffusion nul part. Ce sera un excellent prétexte pour passer une belle soirée à visionner sa performance. Superbe.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine précise quelques détails auxquels il faut réfléchir.
La logistique. La mise en place. Qui va tenir l'appareil pour filmer ? Tout cela demande de la réflexion. Gens pragmatiques.
Estelle débarrasse. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous passons au salon. Sur le bureau sont les fascicules.
Tous les trois nous admirons le travail très professionnel des filles dans le cadre de leurs cours. Je suis bluffé par la qualité.
Estelle se blottit contre moi. < Tu me mets en situation ? > me chuchote t-elle. Je dis < On a aucun trou dans les murs ! >

< Tu voudrais pas qu'on fasse des trous dans les murs, chez nous ! > lui fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Estelle va vers le canapé. Elle saisit l'épais coussin pour le poser au milieu du salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil.
< Je dois pratiquer afin de bénéficier d'un bon entraînement ! > me fait Estelle en se mettant à genoux, mains sur la tête.
Je regarde, amusé, cette coquine se mettre en situation "Pipe". Clémentine lève le pouce et me fait un clin d'œil. Le silence.
Je me mets debout devant Estelle. Je suis bien campé sur mes jambes légèrement écartées. J'ouvre ma braguette. Queue...

J'agite mon sexe qui pend mollement devant le visage de la jeune fille. Elle approche sa tête. Elle m'en présente les joues.
Je passe longuement ma queue sur son visage d'ange que je macule rapidement de mes montées de liquide séminal. Joie.
Estelle ouvre sa bouche en grand avec un regard suppliant. J'y enfonce lentement mon sexe. Je le frotte un peu au fond.
Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. J'ai à nouveau la sensation d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. Doux.
Je tourne la tête pour voir Clémentine qui a descendu son jean et sa culotte aux chevilles. Elle se touche en nous regardant.

Je me fais tailler une pipe des familles. Toutes ses conversations ont fini par nous exciter considérablement tous les trois.
Nous restons ainsi un long moment. J'éjacule dans la bouche de la jeune fille. Je reste immobile. Trois belles saccades. Jus.
Je force Estelle à se redresser. Je m'accroupis pour lui masser les genoux. < Aïe, ouille ! > fait elle en me caressant la tête.
Estelle se couche sur le tapis. Elle écarte largement ses cuisses et me fait : < Baise moi ! >. Je reste un peu surpris. Rires.
Il n'est évidemment pas question de faire une chose pareil. Estelle est habillée. Il est question de mimer la chose. Sur elle.

Clémentine secoue son index d'un signe négatif. < Pas question ! Même pas pour du semblant ! > fait elle, plutôt sévère.
Elle rajoute à l'attention d'Estelle : < Et tu le sais ! Alors pourquoi tu demandes ? >. Estelle s'assoit en tailleur, boudeuse.
Je m'accroupis à ses côtés pour lui déposer des bises. Clémentine dit : < Tu as une bite à sucer, et ça suffit. Salope ! >
Nous rions tous les trois de bon cœur. Je force Estelle à se relever. Nous allons sur le canapé. Clémentine nous rejoint.
Je suis assis entre les deux filles. Clémentine a toujours ses vêtements sur les chevilles et se touche doucement. On mâte.

Estelle me tient la queue qui suinte légèrement des derniers épanchements de foutre. Clémentine me suce. Estelle mâte.
Estelle m'embrasse avec sa fougue amoureuse habituelle. Elle a passé une main dans son jean déboutonné. On se branle.
Tous les trois, en soufflant, assis l'un à côté de l'autre, nous nous masturbons doucement, têtes rejetées en arrières. Joie.
Estelle a un de ses orgasmes discrets qui la font délirer en gémissant de bonheur. Clémentine se masturbe toujours encore.
Je me lève. Je lui mets ma bite dans la bouche. Estelle se lève pour continuer à m'embrasser. Nous en bavons de bonheur.

Nous restons ainsi longuement. Clémentine est terrassée par un de ses orgasmes qui la font pisser. Elle me pisse dessus.
J'ai le bas du pantalon et mes espadrilles trempés de pisse. Clémentine pousse de véritables râles sonores et bruyants.
J'éjacule. La position est presque douloureuse pour mes lombaires. Je suis cambré. Estelle fouille ma bouche de sa langue.
Je m'écroule à côté de Clémentine qui se blottit contre moi en me murmurant : < Excuse moi, tu sais que c'est trop fort ! >
Je l'embrasse. Estelle est tombée à genoux entre mes cuisses sur le coussin. Elle me suce. Sans prévenir, je pisse. Jet.

Poussant un râle de dégoût, un cri d'écœurement, Estelle recrache. Elle se met toutefois à me pomper avec fougue. Vicieuse.
Entre chaque petit jet que je maîtrise parfaitement Estelle me pompe comme une affamée. Clémentine observe ce qui jailli.
Je la tiens par la nuque. Ma compagne est penchée en avant, ses coudes sur les cuisses à regarder Estelle sucer. Je pisse.
J'ai éjaculé deux fois dans la soirée. Pourtant cette vicieuse arrive à me faire bander comme un damné une nouvelle fois.
C'est Clémentine qui la force à cesser en disant : < Tu as assez bouffé de foutre pour ce soir ! Stop ! >. Elle tire Estelle.

Je me redresse. J'ai mal dans les reins. Clémentine remonte ses vêtements. Estelle s'essuie le visage avec un mouchoir.
Il est 23 h30. Nous sommes épuisés. Nous montons en titubant de fatigue. Toilettes, salle de bain et nous voilà couchés.
Clémentine entre Estelle et moi se serre fort en me caressant le sexe. J'ai ma main entre ses cuisses encore bouillantes.
Nous faisons le bilan de cette journée. Les écuries reviennent dans les propos d'Estelle qui fini par s'endormir rapidement.
Nous l'entendons ronfler doucement. Nous nous caressons encore un peu avec des tonnes de "Je t'aime". Voilà le dodo...

Bon week-end à toutes les coquines qui peuvent se régaler de foutre et de pisse tout en évoquant leurs fantasmes vicelards...

Julien - (Qui a besoin de se faire masser le dos autant que la turbe pour pouvoir affronter les situations à venir. Serpillère) -

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Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 247 -



Avec la présence d'Estelle, les dimanches sont souvent "chauds". Et même en hiver...

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des murmures, des chuchotements et des rires étouffés. Des chatouillis.
On me tient par mon érection matinale avec fermeté. Je finis rapidement par ouvrir l'œil. Et le bon. C'est Estelle qui me la tient.
< Bonjour Julien ! > me font les filles en même temps. J'ai encore la tête dans le cul lorsque je me mets à quatre pattes. Rires.
En poussant des grognements d'ours des cavernes, je les chatouille. Rires. < Bonjour les coquines ! > que je fais. Guiliguilis.
Estelle arrive à se sauver en riant. Elle file aux toilette. Clémentine me chevauche en me couvrant le visage de bises. Papouilles.

Estelle ressort et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. < On arrive ! > fait Clémentine en m'entraînant au WC.
C'est nos rituels pisseux. Ce scénario est identique tous les matins où nous nous retrouvons tous les trois. Emanation de bonheur.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il est à peine huit heures. L'odeur du café et du pain grillé embaume l'escalier.
Estelle est vêtue de son pyjama mauve. Nous sommes vêtus de nos longs T-shirts de nuit. Les radiateurs chauffent. Il fait chaud.
Dehors, tout est gris. Le jour s'est levé sur un paysage d'hiver. Il fait à peine 3°. Nous voilà assis. Nous sommes morts de faim...

Tel un patriarche, je beurre les tranches de pain grillé que me tendent les filles. J'y dépose miel ou confiture selon les demandes.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les travaux qu'elles présenterons demain, en cours. La reliure de huit pages.
J'écoute en silence car c'est toujours très intéressant. Elles ont bien travaillé pour réaliser ces fascicules très professionnels. Joie.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son jus d'orange fraîchement pressées, Clémentine évoque les prochains cours à venir.
C'est Estelle qui, tout en débarrassant la table se met à parler des écuries. < Evidemment ! Monsieur Gérard ! > fait Clémentine.

Nous rions de bon cœur. Estelle fait la plonge. Nous essuyons. Puis Clémentine entraîne Estelle au salon. Je termine de ranger.
Comme tous les dimanches, une partie de la matinée sera consacrée au ménage. Je nettoie la cuisine. J'entends les filles rire.
Clémentine revient. Elle me fait plein de bisous avant de monter pour faire la chambre. Je nettoie les chiottes du bas. Serpillère.
Je sors l'aspirateur du placard. Je vais au salon. Estelle me fait un délicieux sourire. Elle est assise au bureau devant l'ordinateur.
< Je lis tes écris de la semaine. C'est un vrai roman. Quand on aime lire, c'est réellement passionnant ! > me fait la jeune fille.

Je passe derrière elle pour regarder le forum sur lequel Estelle lit mes récits relatant notre petit monde, notre vie, nos aventures.
< C'est génial. En lisant tout me revient en mémoire ! > rajoute encore Estelle. Je branche l'aspirateur. Je suis concentré. Bien.
Je suis penché en avant. Je tente de passer le tuyau le plus loin possible sous le buffet. L'occasion faisant le larron, voilà Estelle.
Comme chaque fois, la jeune fille m'attrape les couilles par derrière. Je me redresse. Elle passe l'autre main dans mon slip. Bite.
Elle me tient fermement la queue et me fait : < Je t'aime Julien ! J'aime quand tu racontes nos aventures ! >. Elle m'embrasse.

J'éteins l'aspirateur. Je saisis fermement Estelle par ses cheveux. Je l'entraîne derrière le bureau pour la forcer à s'assoir. Ferme.
Je dis : < Tu sais que je ne supporte pas que tu ais ce comportement en l'absence de Clémentine ! >. < Punis moi ! > fait elle.
Je retourne à mon ménage. Estelle, debout derrière le bureau me regarde en mimant une masturbation masculine. Un clin d'œil.
< Petite vicieuse ! > que je lui fais. < Petite ? > me répond t-elle. Nous rions de bon cœur. Je passe le plumeau sur les meubles.
Je m'apprête à monter pour rejoindre Clémentine lorsque j'entends : < Hé ! >. Je regarde. Estelle mime une pipe et se touche...

Je rejoins Clémentine qui est entrain de terminer de changer les draps. Je l'aide. Je lui raconte ce qui s'est encore passé en bas.
< Il est grand temps de la reprendre en main. Et avec fermeté ! > fait Clémentine avant de m'embrasser. Tendresse et douceur.
Les fenêtres de la chambre sont ouvertes. Il fait frais. < On se fait une balade cet après-midi ! > me dit Clémentine. Bonne idée.
Nous nous habillons. Nous fermons les fenêtres. Je ramasse les draps et les taies d'oreiller. Nous passons à la salle de bain. Joie.
Je lave le lavabo, le bidet, le bac à douche. Clémentine fait les miroirs et les carrelages muraux. Nous nous faisons plein de bises.

Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes. Je passe la serpillère sur les carrelages. Bien.
Je descends à mon tour. Les filles sont concentrées devant l'ordi. Je viens les rejoindre. Elles sont sur le site de l'université. Joie.
Clémentine m'explique le graphique que je vois sur l'écran. L'abscisse et l'ordonné présentent des chiffres et des lettres. Mystère.
Tout s'éclaircit toutefois rapidement avec les explications de ma compagne. C'est passionnant. J'écoute avec un très grand intérêt.
Il est déjà onze heures trente. Je vais à la cuisine. Les pavés de saumon achèvent de décongeler. Je vide la flotte dans l'assiette.

J'épluche les patates, le navet et les carottes. Clémentine vient me rejoindre pour préparer une grosse laitue bien charnue. Belle.
Estelle arrive à son tour. Elle émince l'ail, l'oignons, la ciboulette et les champignons. Elle prépare les feuilles de papier sulfuré.
Nous adorons les pavés de saumon en papillote que nous faisons griller sur le barbecue électrique de la véranda. Pas de fumée.
Les filles parlent de leurs études. Elle mettent au point le programme de la semaine à venir. Estelle reviendra mardi après-midi.
Par association d'idée, rapidement, le fait d'évoquer le mardi après-midi, la conversation dévie sur les écuries. Et leur palefrenier.

La potée est entrain de cuire. Les papillotes sont entrain de griller. La salade n'attend plus que d'être remuée dans son saladier.
Je mets la table. Estelle monte s'habiller. Juste avant de quitter la cuisine, elle me fait : < Hé ! > en mimant une branlette. Rire.
< Décidément, les écuries, ça devient une idée fixe ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Je la soulève. Plein de bises.
Elle me chuchote : < On va s'éclater mardi. On y va pour dix sept heures. Il faudra faire un mail à Juliette ! Pour la prévenir ! >.
Je dis : < Je m'en occupe dès la fin du repas ! >. < Viens, on le fait maintenant ! > fait ma compagne en m'entraînant au salon.

Je fais le courriel. Ainsi Juliette pourra vider le box et nous laisser la place. Nous joignons une photo de nous trois en Ecosse. Eté.
Estelle vient nous rejoindre. Elle est vêtue comme nous. Les trois mousquetaires en jeans, en chemises à carreaux, en espadrilles.
Nous sommes morts de faim. De plus l'odeur de la potée est une torture supplémentaire. Nous filons à la cuisine. Tout est prêt...
Le repas est évidemment délicieux. Un vrai régal. Nous mangeons de bon appétit. La conversation s'articule sur les études. Cours.
Nous sommes tous les trois devant un constat rassurant. Nous maintenons depuis la rentrée une avance appréciable. Qui grandit.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine nous propose une balade cet après-midi. Tout est sec.
Estelle débarrasse la table. Nous trouvons la suggestion des plus plaisantes. Même si le temps est sinistre et le ciel couvert. Gris.
Estelle fait la plonge. Nous essuyons. Les dimanches d'automne se suivent et se ressembles. Nous en faisons également le constat.
Il est 14 h. Estelle nous fait : < On passe par le haras pour assister à l'animation équestre, ça vous tente ? >. Suggestion reçue.
Nous mettons nos anoraks, nos écharpes et nos bonnets. Nous voilà emmitouflés. < C'est inouï, les Inuits ! > nous fait Estelle...

Nous passons voir les pousses dans la roseraie. Nous pourrons manger nos laitues dès la fin de la semaine prochaine. C'est bien.
Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière que nous longeons jusqu'au haras. Il y a trois petits kilomètres sur un sol humide.
Nous traversons le pont et la petite route. Il y a plein de voitures garées dans la cour. Il y a du monde. Et des cavaliers partout.
Surtout des cavalières. Il y a des groupes de visiteurs qui discutent. Juliette est là-bas et nous fait un coucou de la main levée.
Nous répondons d'un signe amical. Nous entrons dans le manège couvert pour prendre place sur une des banquettes autour...

Nous regardons évoluer les cavaliers sur leur monture. Principalement des jeunes filles dont les activités équestres sont prisées.
Nous ne nous attardons pas. Nous préférons profiter de l'après-midi pour marcher, faire de l'exercice. Estelle propose l'écurie.
Avant de quitter le haras, nous allons dans l'écurie habituelle. Il y a des propriétaires qui bavardent. Madame Walter. Salut poli.
Nous ne nous attardons pas. Nous croisons monsieur Gérard, le palefrenier accompagné d'un couple de propriétaires. Salut poli.
Nous longeons le ruisseau par le sentier qui monte à l'ancienne voie ferrée. Nous croisons de rares promeneurs. Il fait bien frais.

A plusieurs reprises, Estelle me palpe la braguette. A chaque fois Clémentine fait : < On se calme la nympho ! > Eclats de rire.
Parfois, malgré le froid, j'ouvre ma braguette pour en sortir ma bite que j'agite devant les filles. < Ce soir je suce ! > fait Estelle.
< Avec ma permission, s'il te plaît ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Nous sommes de retour pour 17 h. La nuit tombe.
Nous apprécions la douce chaleur qui règne dans la maison. Je propose une collation. Thé et petits gâteaux. Suggestion reçue...
Estelle est vautrée dans le canapé à mes côtés. Clémentine est vautrée dans le fauteuil. Nous évoquons notre visite aux écuries.

Les animations qu'organise Juliette semblent êtres de francs succès. Il faut dire qu'il n'y a pas grand chose dans les environs.
Les passionnés de chevaux ont donc un lieu de rendez-vous. Ils peuvent monter et participer à des promenades en groupes.
Estelle me palpe la braguette. Je fini par l'ouvrir pour en extraire mon sexe. Je bande mou. Estelle se penche pour voir. Humer.
< Wouah l'odeur ! > fait elle. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Odeur du dimanche ! >. Blague.
Estelle prend ma queue dans la main pour la tenir fermement. Elle dit : < C'est génial, je sens les battements de ton cœur ! >

Je ne tarde pas à bander comme un priapique en phase terminale. Tout en bavardant, Estelle me tord le sexe dans tous les sens.
Elle sait qu'en la tordant vers le bas, c'est à la limite de la douleur. Aussi c'est ainsi qu'elle me la maintient fermement. Vicieuse.
Clémentine, toujours amusée par ces situations, m'observe avec attention. Ce sont mes réactions, mes expressions qui l'excitent.
Estelle parle des écuries. Elle évoque notre projet encore très flou de réaliser un film dans le box. L'éventualité d'une pipe à Gégé.
Sucer la bite molle et minuscule de monsieur Gérard devient un véritable fantasme pour la jeune fille. Une vraie préoccupation...

Nous rions de bon cœur des ressentis d'Estelle qui nous explique tout ce qu'il lui faudra surmonter d'inhibitions pour le réaliser.
< Tailler une pipe à un vieux salaud de 65 ans ! J'en ai des frissons de dégoût ! > fait Clémentine. < Pas moi ! > répond Estelle.
Je lui dis : < Tu me suces et j'ai 52 ans ! >. < Et c'est délicieux ! > répond la jeune fille en me masturbant soudain. Très vite.
Clémentine fait encore : < En plus, de sucer le vieux palefrenier qui ne bande plus, tu ne risques pas de te faire baiser ! >. Rire.
< C'est un des paramètres qui m'encourage à y penser ! > fait Estelle en cessant de me branler pour me la tordre vers le bas...

Clémentine, toujours très pragmatique, explique la meilleure manière de procéder. Emmener la petite caméra. Filmer. Discrets.
< Tu emmènes ta carte SD comme ça tu conserves soigneusement le film ! > rajoute ma compagne. < Certain ! > fait Estelle.
Je rajoute. < Tu fais le montage. Le samedi suivant on s'organise un soirée visionnage ! >. < Génial ! > fait encore Estelle ravie.
Clémentine nous fait remarquer que pour le moment tout cela n'est que pure spéculation. C'est à Estelle de décider du moment.
< Et ça, c'est pas gagné ! Si je le fais, j'oserais plus regarder ce vieux salopard de Gérard dans les yeux ! > fait Estelle. Rigolade.

Il est rapidement dix neuf heures. Animés par un appétit féroce et aiguisé par les cookies, nous nous précipitons à la cuisine.
Je réchauffe la potée. Estelle, tout le temps derrière moi, ne me lâche pas la queue. J'en dégouline à cause de l'excitation. Vice.
Clémentine prépare la salade. Estelle s'occupe de mon sexe. Je dois souvent me dégager pour pouvoir m'affairer. Mettre la table.
< Pipi ? > me demande Estelle. Elle m'entraîne aux toilettes. Je dois pisser depuis notre retour. Je suis trop excité. Je bande dur.
Estelle me masturbe avec une vulgarité rare. < Je vais te branler jusqu'à la pipe, saligaud ! > me fait elle. Clémentine appelle...

< A table les vicieux, c'est prêt ! > s'écrie ma compagne depuis la cuisine. Nous nous précipitons. Nous mangeons de bon appétit.
Le repas se déroule dans la convivialité habituelle. Les filles évoquent leurs cours. Estelle me fait plusieurs clins d'œil bien vicieux.
La vaisselle. Nous passons au salon. Clémentine se masturbe vautrée dans son fauteuil en regardant Estelle me tailler une pipe.
La soirée se déroule ainsi dans le stupre et la luxure habituelle dans laquelle nous nous prélassons en parfaits vicelards. Fabuleux.
Nous ramenons Estelle pour 22 h30. Au retour, épuisés, Clémentine et moi, nous nous offrons un "69". Nous sombrons vite. Dodo.

Bon début de semaine à toutes et à tous. Surtout à celles et à ceux qui ont encore passé un week-end vautrés dans le vice.

Julien - (Qui se fait tailler des pipes d'anthologie avec une régularité métronomique digne d'une étude scientifique. Le salaud) -

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Un début de semaine très normal mais des plus agréables...

Hier matin, lundi, je suis réveillé le premier. Il est 5 h50. A ma droite Clémentine se réveille doucement. Horloge biologique.
Nous nous étirons avant de nous serrer très fort. < Bonjour ! > que nous nous faisons en même temps. Ce qui nous fait rire.
Clémentine me chevauche pour me couvrir le visage de bisous. Des papouilles. Elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.
Dès la fin de notre rituel pisseux, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Le petit déjeuner. Je presse les oranges.
Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Ces premières odeurs sont déjà un vrai plaisir. Faim.

Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine se confie.
< Parfois, j'aimerais que toutes ces histoires cessent. Qu'il n'y ait plus que nous deux. Juste toi et moi ! > fait ma compagne.
J'écoute. Je lui dis : < Tu sais, si nous étions seuls ici, rapidement, tout se dessécherait. Plus de nourriture "spirituelle" ! >
C'est sur ce constat que nous remontons pour nous livrer à notre entraînement quotidien. Intense, il remplace nos joggings.
Une heure de gym qui nous permet non seulement de garder les formes mais d'affronter la vie dans les meilleures conditions.

La douche. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint dans le froid matinal. Il est 7 h45. Il fait jour.
Nous sommes chaudement vêtus. Il fait 2°. Quelques bises et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre.
Je fais la vaisselle. Je fais la chambre et je file à l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je suis devant mon chevalet.
Je travaille avec passion à l'élaboration de la cinquième toile destinée à mon stock de l'an prochain. J'y prends un plaisir fou.
Il est rapidement midi. Je prépare mon repas. Du riz que je cuis à l'eau en grande quantité pour pouvoir réchauffer en soirée.

Une sauce au Roquefort copieusement garnie en champignons. Une salade verte. J'écoute les informations. Je suis loin de tout.
Ma vie privilégiée, loin des turbulences de ce monde, m'apparaît alors toujours dans toute sa sublime plénitude. Magnifique.
L'enchantement paradisiaque de l'hiver va me permettre de peindre mes toiles pour l'enchantement paradisiaque de mon été.
C'est sur ces considérations que je retourne travailler. Il est 13 h30. Dehors, le ciel reste gris, bas et sinistre. Le froid perdure.
Clémentine revient un peu avant dix sept heures. Toute contente elle se précipite dans l'atelier en jetant son sac sur la table...

Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Et la satisfaction d'avoir rendu son travail de la semaine dernière.
Estelle et Clémentine mangent ensemble à midi. Une quarantaine de minutes dans l'animation de ce restaurant universitaire.
Elle me raconte le sujet principal de leur conversation de ce lundi. < Les écuries ! >. Nous rigolons comme des bossus. Joie.
< Estelle fait une fixation sur nos petites aventures ! > rajoute ma compagne, me racontant dans le détail ce qui se prépare.
Je lui dis : < Tu vois, toutes nos aventures nous offrent des situations uniques, rares et font de nous des privilégiés. Bien ! >

Nous en débattons longuement. Tout cela nous amuse. Elle dit : < Tout cela n'est possible que par nos différences d'âge ! >
Nous en avons déjà parlé. Clémentine et Estelle ont 20 ans. C'est à cet âge que les filles sont les plus curieuses et éveillées.
D'ici quelques années, elles passeront à autre chose. Et le sexe aura certainement cessé d'être une source d'enchantement.
< Cette idée m'attriste un peu ! > me fait Clémentine. Je la rassure en disant : < Mais le sexe restera toujours un plaisir ! >
En riant, Clémentine fait : < Comme le dit Juliette, après 30 ans les femmes préfèrent un bon restau à une bonne baise ! >.

Nous rions de bon cœur de cette boutade qui se vérifie quand même souvent. Nous nous remettons à notre travail. 17 h15.
Encore une de ces séances qui nous permet de partager des séquences alternant concentrations, satisfaction et réalisations.
Parfois ma compagne vient derrière moi. Ses bras autour de mon cou, elle observe ma peinture. Je lui explique l'avancée.
Parfois c'est moi qui passe derrière elle à la table pour regarder l'avancée de son travail. Clémentine met ses notes au propre.
Ma compagne utilise l'outil informatique avec une totale maîtrise. Tout en m'expliquant ce qu'elle fait, je regarde, admiratif.

< J'ai mes petits machins de fille ! > me fait Clémentine lorsque nous quittons l'atelier. Il est 19 h. Nous sommes morts de faim.
Nous nous précipitons à la cuisine. Il n'y a qu'à assaisonner les feuilles de laitue déjà lavées à midi. Je réchauffe le riz, la sauce.
< Quand j'ai mes petits machins, je suis toujours un peu tristounette et j'ai mal aux bouts des seins ! > me fait Clémentine.
Même si je sais bien tout cela, je la prends doucement contre moi en lui chuchotant : < Docteur Julien va s'occuper de vous ! >
Nous rions de bon cœur. Clémentine me serre fort en me disant : < Je t'aime. Heureusement que tu es arrivé dans ma vie ! >.

Je mets la table. Clémentine remue la salade. Nous voilà à savourer un repas simple, frugal, mais si généreux. Un vrai délice.
Nous bavardons. Nous faisons le bilan du week-end. Nous évoquons la présence d'Estelle dans notre existence. Nos aventures.
Notre petit monde. Le haras. Juliette, madame Walter, monsieur Gérard, autant de gens bien réels cachés sous leurs pseudos.
J'ai vécu ici depuis des décennies. Je connaissais l'existence du haras. Il a fallu l'arrivée de Clémentine pour que je le découvre.
Je fais souvent part de ce curieux paradoxe à ma compagne. Toutes ces choses étonnantes qui sont arrivées ici depuis "Elle"...

Nous en apprécions le déroulement avec une acuité rare. Comme je consigne tout cela par écrit, nous pouvons le partager.
Je ne dévoile évidemment pas tout. Mais ce qui est raconté sur le forum suffit amplement à se faire une idée bien précise.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part de ses ressentis quand à tout cela.
Nous avons une conscience aiguë de cette période de nos vies. Nous savons en apprécier chaque instant à sa juste valeur.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine avant de passer au salon. Nous voilà dans le canapé.

< Je peux te sucer un peu ? > me chuchote Clémentine en posant sa main sur ma braguette. Je la serre fort contre moi. Rire.
Je réponds : < Je peux m'occuper de ton petit bouton de plaisir ? > posant ma main sur sa braguette. Nous rions de bon cœur.
Lorsqu'elle a ses règles, Clémentine est toujours un peu hésitante. Je la rassure en lui disant que je ne m'occupe que du clito.
Je lui chuchote : < Et je commence le premier ! >. < Non c'est moi ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus. Bonheur.
Finalement c'est moi qui vais commencer. Clémentine m'aide à ouvrir et à enlever son jean et sa culotte. Il fait bien chaud...

Même si je fais ça souvent, le début est toujours un instant émouvant. Je pose l'épais coussin au sol. Clémentine s'installe.
Vautrée au fond du canapé, son bassin près du bord, les cuisses largement écartées, Clémentine me tient par les oreilles.
Comme animée d'une certaine crainte, Clémentine me guide doucement. Je tire un peu sur la ficelle blanche qui pend. Rire.
< Arrête ! > me fait ma compagne en riant. J'approche mon visage. Je m'enivre des parfums de sa journée de fille. C'est fort.
J'adore les effluves parfumées qui montent à mes narines. J'en devine déjà les goûts et les saveurs. J'en ai un doux vertige.

Même si je dois me limiter à son clitoris géant pour cause de "petits machins", notre partage s'annonce déjà intense. Douceur.
La toison pubienne de ma compagne est une véritable broussaille. Les poils me chatouillent, me gratouillent le nez, les joues.
C'est la première épreuve qu'il me faut surmonter. Une vraie exploration. Je passe ma langue sur son clitoris turgescent. Gros.
Rapidement je suce ce clitoris géant. Il est comme la dernière phalange du gros doigt. Lors des règles, il est plus gros encore.
Rapidement je savoure le "frome" collé dans les plis et le replis des peaux. Ce clitoris se décalotte comme une bite. Formidable.

Evidemment, cette partie est un véritable centre des plaisirs. Je dois rester d'une vigilance absolue. Clémentine me guide.
Régulièrement, pour retarder le plaisir, elle me repousse en murmurant : < Attention ! >. Je me laisse faire. C'est parfait.
Comme toujours, il faut éviter tout orgasme prématuré. Clémentine préfère se garder pour le lit, avant de s'endormir. Joie.
Mais, tout en jouant à flirter avec les limites, Clémentine ne cesse de gémir, de pousser des petits râles et des petits cris.
< Je me fais de ces films quand tu me fais ça ! Si tu savais ! > me chuchote t-elle. Ces aveux me comblent d'aise. Merveille.

Nous restons ainsi longuement. Je récupère souvent la sueur qui dégouline dans la broussaille de la raie culière. Goût vinaigre.
Clémentine, agitée par des spasmes qui la font frissonner, me repousse délicatement de plus en plus souvent. Il faut faire gaffe.
Je me relève pour venir m'assoir à ses côtés. < Tu vas me rendre folle ! > me chuchote ma compagne en reprenant ses esprits.
< Je vais me venger ! > me fait elle en se mettant à genoux sur l'épais coussin toujours au sol. Nous rions de bon cœur. Joie.
Je retire mon jean et mon slip que je jette sur ceux de Clémentine, là bas, sur le fauteuil. J'ai la bite molle et dégoulinante...

Clémentine hume longuement les parfums de ma journée d'homme. Elle recommence à gémir en me décalottant légèrement.
Immédiatement l'odeur forte nous monte aux narines. J'imagine celles de Clémentine à quelques centimètres de mon sexe mou.
Doucement, l'érection redresse mon sexe. Clémentine le tient à sa base, entre son pouce et son index pour bien le renifler. Joie.
Je la regarde humer, les yeux fermés, en gémissant de bonheur. Je lui caresse les cheveux, la tête et les joues. Elle me regarde.
< Tu seras mon "Maître", de nouveau un de ces jours, s'il te plaît, j'en ai envie ! > me chuchote Clémentine avant de me sucer.

Je lui promets de faire de mon mieux très prochainement. Je fais comme elle, je lui chuchote plein de cochonneries. Un "film".
Parfaitement immobiles, tous les deux, nous apprécions cette fellation avec toute l'acuité de nos sens. Nous ne bougeons pas.
Les joues creusées par l'effort, poussant de petits râles d'étonnement et d'émerveillement, Clémentine me taille une super pipe.
Nous restons ainsi un long moment. Pour lui permettre de reposer sa mâchoire, je sors souvent ma bite gluante de sa bouche.
Je me penche en avant pour lui couvrir le visage de bises. < Je t'aime ! > me fait elle à chaque fois. Je réponds : < Moi aussi ! >

Il est 21 h30. Je propose à Clémentine d'en rester là. Nous nous "terminerons" tout à l'heure, au lit, avant de dormir. Bien reçu.
Nous retournons à l'atelier. Nous avons nos goûts intimes en bouche. Nous nous en amusons en nous embrassant. Le bonheur.
Nous travaillons encore un peu. < Je suis morte de fatigue ! > me fait Clémentine e terminant de ranger ses affaires. 22 h15.
Nous montons à toute vitesse. Nous nous régalons de nos épanchements aux toilettes. La salle de bain. Et nos tenues de nuit.
Nous voilà couchés à nous offrir un "69" des familles. J'ai la ficelle qui chatouille mon nez. Orgasmes délirants. Nous sombrons...

Bonne soirée de dégustations à toutes et à tous. Huitres, moules, fruits de mer et autre produits de nos terroirs de France...

Julien - (Qui vient encore de s'offrir un somptueux repas. Tout en offrant ses "spécialités" à Clémentine qui s'en régale) -

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Ce mardi, Estelle rentre avec Clémentine, vers midi quinze. C'est exceptionnel...

Hier matin, mardi, nous sommes tirés de nos sommeil par la 5ème de Ludwig Van Beethoven. Il est 6 h. Tête dans le cul. Dur.
< Ta gueule Lulu ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus. Nous nous étirons. Rires.
< Bonjour Julien ! > me fait ma compagne avant de me chevaucher en riant. < Bonjour Clémentine ! > que je fais. Papouilles.
Quelques bisous et Clémentine m'entraîne jusqu'aux toilettes pour notre rituel pisseux. Puis nous descendons à toute vitesse.
Morts de faim nous préparons et prenons notre petit déjeuner. Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Confitures.

Nous mangeons de bon appétit. Dehors il fait nuit. Le thermomètre extérieur indique 3°. Nous bavardons un peu en dégustant.
Les radiateurs à thermostat automatique assurent une douce chaleur dans la maison. Nous remontons pour notre entraînement.
Une heure de gym, intense et gratifiante. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Le jour se lève.
Il est 7 h45. Clémentine me rejoint. Nous sommes tous deux chaudement vêtus. Des bisous. Je regarde la voiture disparaître.
Je rentre. Je fais la vaisselle. Je fais la chambre. Je vais à l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.

8 h15. Je travaille avec passion sur la cinquième toile de mon stock 2018. Il est midi. Je vais à la cuisine. Préparation du repas.
Il est 12 h10 lorsqu'Estelle jaillit dans la cuisine comme un diable de sa boîte. Elle se précipite : < Bonjour Julien ! > fait elle.
Elle se serre contre moi et me couvre le visage de bisous. Clémentine arrive à son tour. Elle s'interpose et dit : < Calmos ! >.
Je prends ma compagne dans mes bras. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. La tendresse.
Rapidement nous voilà tous les trois à la préparation du repas. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle émince l'ail et l'oignon.

Je prépare la pâte pour la tarte aux poireaux de ce soir. Pour midi, ce sera un gratin de coquillettes avec une sauce au Roquefort.
Les filles parlent de leurs cours de la matinée. Estelle nous apprend qu'elle ne pourra pas venir tous les mardis et jeudis dès midi.
Ses parents ont besoin de sa présence au bureau pour les aider à l'entreprise. < Et je prépare la bouffe ! > rajoute la jeune fille.
Je lui rappelle que cela ne me dérange pas du tout de la chercher en fin d'après-midi et de la ramener en fin de soirée. C'est bien.
Je conclue : < Au moins, ça me fait sortir et prendre l'air ! >. Estelle me fait une bise en me disant : < Tu es un amour ! >. Rires.

< Je vous ai à l'œil tous les deux, et le bon ! > fait Clémentine. Nous rions tous les trois de bon cœur. Animés d'appétits d'ogres.
Pendant que le gratin de coquillettes est au four. Nous coupons les poireaux en petits bouts que nous faisons bouillir. L'eau salée.
Nous l'avons tous les trois sur le bord des lèvres, mais aucun d'entre nous n'ose aborder le sujet des écuries. Nous nous sourions.
Nous devinons tous les trois, en nous souriant malicieusement, ce que nous avons en tête. < Qui va craquer ? > fait Clémentine.
C'est Estelle qui prononce ces mots : < On a une visite à faire ce soir, les chéris ! >. < Et tu as un gage ! > s'écrie Clémentine...

Nous rigolons comme des bossus. J'ouvre ma braguette, je sors mon sexe que j'agite devant Estelle. Je dis : < Gage ! La pipe ! >
< Oh mais je veux un gage tous les jours ! > me fait elle en faisant le tour de la table pour venir s'accroupir devant moi. Rigolade.
< Oh là ! On se calme la nympho ! > s'écrie Clémentine qui l'attrape par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Une ambiance.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < En fin d'après-midi, 17 h15, départ pour les écuries ! Activité vicelarde ! >
Je rajoute : < On emmène la caméra ? >. < Ah non ! Je n'ai pas ma carte SD et je ne suis pas prête ! >. Nous rions de bon cœur.

C'est dans cette ambiance que je mets la table, que Clémentine remue la salade et qu'Estelle sort le gratin de coquillettes du four.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation s'articule autour du programme des cours de la semaine. J'écoute les filles parler.
En janvier, Estelle devra réaliser un stage en entreprise de trois semaines dans le cadre de ses études. L'entreprise familiale. Bien.
Nous savons donc que cela ne changera strictement rien à nos petits emplois du temps et à nos existences. C'est plutôt rassurant.
Quand à Clémentine, elle devra le réaliser en février. Les négociations avec Juliette sont en bonnes voies. Stage au haras en vue.

J'écoute tout cela avec beaucoup d'intérêt. Le temps passe si vite que je peux facilement me projeter dans cet avenir proche. Joie.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine envisage l'avenir avec sérénité. Elle nous en fait part.
< Tout se passe très bien et nous appliquons le programme avec une précision horlogère ! > fait ma compagne. C'est parfait. Bien.
Estelle est un peu plus hésitante. Elle n'a pas l'insolente confiance en elle qu'affiche ma compagne toujours "gagnante". J'admire.
< Si j'avais un Julien, je pourrais être beaucoup plus cool ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur. Clémentine dit : < Le mien ! >

< Je te le prête si souvent ! > rajoute encore Clémentine à l'attention d'Estelle qui répond : < Et je t'en suis reconnaissante ! >.
Je dis : < Je n'ai même pas mon mot à dire ? >. < Non ! > font les filles en cœur. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous passons à l'atelier. Nous avons tous les trois du travail. Dehors, il y fait beau.
Il fait un peu moins froid que les jours précédents même si le thermomètre extérieur n'affiche que 14°. Nous voilà bien installés.
Les filles sont assises à la table de travail entourées de leurs affaires devant l'ordinateur. Je suis assis devant mon chevalet. Joie.

Ces séances de travail resteront à jamais gravées dans nos mémoires. C'est d'une telle intensité. La saveur élégiaque du passé.
Le silence est parfois rompu par des chuchotements, des murmures comme si les filles avaient peur de déranger un rituel secret.
Il y a ces souffles profonds après de longues apnées causées par de profondes concentrations. Le crépitement du feu. La magie.
Parfois, une des filles passe derrière moi. Ses bras autour de mon cou, elle observe mon travail. Parfois c'est moi qui les rejoint.
Debout derrière elles, je regarde leurs travaux. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. C'est passionnant. Comme tout.

Il est rapidement 17 h. < Stop ! > s'écrie Clémentine. Les filles montent à l'étage pour se changer. Je les entends rire en haut.
Je termine mon travail. Je vais dans le hall d'entrée. Du placard, je sors mes bottes, ma veste épaisse, ma casquette, l'écharpe.
Me voilà vêtu en gentleman fermier. Les filles redescendent. Vêtues de jupes, de collants noirs, de pulls et de manteaux noirs.
Estelle prend visiblement beaucoup de plaisir, et depuis peu, à quitter ses chemises à carreaux, ses jeans et ses baskets. Bien.
Estelle s'accroupit devant moi en écartant ses cuisses. < Culotte ! > dit elle. Clémentine fait pareil en disant : < Sans culotte ! >

Nous rions de bon cœur lorsque j'ouvre ma braguette, que je sors mon sexe et que je dis : < Slip ! Et j'emmène ma bite ! >.
Nous voilà en route. Nous arrivons au haras. Il y a plein de voitures garées dans la cour. La nuit est tombée. Il est 17 h30.
Nous voyons arriver les cavaliers qui rentrent de balade. Ce sont principalement des jeunes filles que leur parents cherchent.
Nous restons discrets. Nous saluons d'un coucou de la main madame Walter qui traverse la cour avec un couple. Affairée...
Il y a de la lumière dans le bureau d'accueil. Juliette sans doute. Je file le premier dans la première écurie. Il n'y a personne.

Comme convenu, Juliette a vidé le box qui juxtapose le bureau du palefrenier. Le cheval est ailleurs pour un petit moment.
J'y entre. L'endroit est faiblement éclairé. Juste deux plafonniers, des ampoules dans leur grillage et les boîtiers de sécurité.
Rapidement j'entends les filles arriver. Comme à chaque fois, pour attirer l'attention sur leur présence, elles bavardent fort.
Estelle et Clémentine marchent doucement, bras croisés. Parfois elles caressent un des chevaux qui passe sa tête pour voir.
Les éclats de rire et les échanges sonores ne tardent pas à attirer Gérard, le palefrenier. < Bonsoir les filles ! > dit l'homme.

Monsieur Gérard semble très affairé. Il tire un chariot sur lequel il y une grosse meule ronde de fourrage. Il salue les filles.
< Bonsoir Gérard ! > font elles presque en même temps. Tout cela devient très convenu. Le palefrenier à très bien compris.
Le petit manège des visites régulières de Clémentine et d'Estelle ne lui échappe plus. Aussi il dit : < Je vous attendais ! >.
< On passe dans mon bureau, les filles ? > fait l'homme en ouvrant la porte pour inviter les filles à y pénétrer les premières.
Je suis accroupis devant le trou dans la cloison pour mâter. Les filles sont assises sur la banquette devant le bureau en bois.

Monsieur Gérard explique aux filles son emploi du temps de cette fin d'après-midi. Il y a l'écriture de son rapport à rédiger.
< On passe autant de temps avec ces put-hein d'écritures qu'au boulot sur le terrain ! > fait le palefrenier. Il faut consigner.
De ma cachette, je vois les cuisses des filles sous le bureau. Et le haut de leurs visages. Gérard me tourne le dos. Je mâte...
Clémentine sous son collant "prédécoupé" ne porte pas de culotte. Par la découpe on distingue l'invraisemblable touffe noire.
Ma compagne, cuisses écartées, en fait profiter le palefrenier. Estelle imite Clémentine mais avec un collant "normal". Noir...

Monsieur Gérard, toujours maître de ses émotions, comprend le message. Le mec doit certainement déjà avoir sorti son sexe.
Je regarde les yeux des filles braqués sur la braguette certainement ouverte de monsieur Gérard. Estelle se lève. Un silence.
< Je passe à côté. Le trou, s'il vous plaît ! > fait la jeune fille en quittant le bureau pour me rejoindre dans mon box. Discret.
Elle me fait des bises, accroupit à mes côtés. Je la laisse regarder par le trou. Un instant et voilà le sexe du type qui jaillit là.
Estelle a juste le temps de repousser sa tête pour éviter le sexe du palefrenier. Estelle scrute avec l'attention d'un scientifique.

C'est surréaliste. J'observe cette scène incroyable. Estelle qui mâte la petite bite molle et fripée qui pend par le trou. Elle hume.
Saisissant le sexe au bord du trou, entre le pouce et l'index elle rapproche son nez en tentant de le décalotter. C'est impossible.
Par contre l'odeur est aussi ignoble que la dernière fois. Monsieur Gérard reste parfaitement immobile. Nous aussi. C'est intense.
Rapidement il y a une goutte de liquide opalescent, laiteux et visqueux qui perle à l'extrémité du sexe. L'excitation évidemment.
Je fais une bise à Estelle. C'est impressionnant. Je l'observe. Son visage tout près du mien, tout près de la bite du palefrenier...

La goutte se transforme en coulure épaisse qui pend sur une bonne dizaine de centimètres. Je chuchote : < Goûte ! >. Silence.
Estelle, de son autre main me regarde en tournant son index sur sa tempe. Elle se contente de mâter et de renifler. C'est irréel.
Je bande comme le dernier des salauds. Que peut bien faire Clémentine pendant ce temps ? Estelle lâche la queue pour se lever.
Elle me quitte après m'avoir embrassé. Je regarde par le trou. Clémentine est invisible. Certainement près de la porte. J'écoute.
Estelle revient dans le bureau. Monsieur Gérard agite sa bite en direction de la porte. Je ne vois que le type se secouant la bite.

La porte s'ouvre. Les filles marchent à toute vitesse en s'écriant : < Au revoir Gérard ! A bientôt ! > font elles encore en filant.
< A jeudi soir sans doute ! > fait le palefrenier en refermant la porte. Je le vois s'assoir et se saisir d'un stylo, cahier ouvert.
Je sors sans faire le moindre bruit. Je rejoins les filles qui bavardent avec Juliette qui me salue, toute contente de nous voir.
Nous lui racontons nos aventures dans les écuries. Juliette nous écoute amusée. Elle dit aux filles : < Ah, si j'avais votre âge ! >
Dans ses messages, Juliette nous a fait part de son désintérêt pour ce qui se passe avec son palefrenier. Elle connaît. A 42 ans !

Nous sommes de retour à la maison. Clémentine se serre contre moi en me disant : < Cette fois, je suis restée à distance ! >
< Je ne veux pas que ce vieux salaud me touche ! > rajoute t-elle encore avec une grimace. Je lui dis : < Je comprends ! >.
Estelle nous fait : < Moi, il ne me touchera pas non plus ! >. Nous rions de bon cœur en préparant notre repas du soir. Tarte.
Tout va très vite. Nous sommes méthodiques. Estelle raconte à Clémentine ce à quoi nous avons assisté dans le box. Coulure.
Clémentine fait : < La prochaine fois, c'est moi qui vais regarder ça de près ! >. < Jeudi ? > conclue Estelle avec un clin d'œil.

Nous mangeons de bon appétit. La conversation reste axée sur nos aventures aux écuries. Ce jeu passionne les filles. Rigolade.
Ma proximité, secrète, rassure les deux étudiantes que tout cela passionne. Cette situation leur permet des expériences uniques.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous passons à l'atelier. Nous avons encore du travail. Estelle se lève souvent. Bise.
Il est rapidement 22 h15. Nous ramenons Estelle un peu tristounette. Elle insiste pour me sucer un peu avant de sortir de l'auto.
Sur le retour, Clémentine me suce. Les toilettes. La salle de bain. Un "69" sublime. Des confessions étonnantes. Et c'est le dodo.

Bonne visite dans vos écuries préférées à toutes les coquines vicelardes qui savent bien à quel point ces lieux sont excitants...

Julien - (Qui assure le S.S.S.S. - Service Sécurité Spécial Salopes - avec sa diligence et son efficacité habituelles) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 250 -



Bonheur, joie, plaisir, jouissance, orgasme, cunnilingus, fellation et bonne diététique...

Hier matin, mercredi, je suis réveillé le premier. Il est 5 h50. Je regarde Clémentine s'étirer en gémissant longuement.
< Bonjour Julien ! > fait elle dans un cri. Elle se serre contre moi. < Bonjour Clémentine ! > que je dis avec des bises.
Clémentine me chevauche en riant. Ce sont les papouilles obligatoires. Clémentine m'entraîne par la main. Les toilettes.
Nos rituels pisseux nous amusent toujours autant avant que nous descendions à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Faim.
Nous préparons et prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons avec appétit. Nous avons de l'avance. Nous bavardons.

< J'en ai parfois ras-le-bol de nos petites visites aux écuries. Je trouve que c'est répétitif ! > me fait ma compagne.
J'écoute en silence. Elle rajoute : < Il ne s'y passe pas grand chose et je me lasse ! >. Je ne peux qu'adhérer à cela.
Je dis : < Estelle fait un peu durer les choses ! Vicieuse ! >. Clémentine, assise sur mes genoux, termine son yaourt.
Aussi, d'un commun accord, nous décidons de mettre notre prochaine visite au delà d'une petite période de relâche.
< Attendons une ou deux semaines ! > conclue Clémentine. Nous montons pour procéder à notre entraînement. Gym.

Une heure avec une intensité soutenue. La gymnastique remplace notre jogging. La douche. Le jour se lève doucement.
Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait froid. A peine 8°. Frais.
Quelques bisous. Un dernier coucou de la main et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est déjà 7 h45.
Je rentre. Je fais la vaisselle. Je fais la chambre. Je passe à l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h15.
Je suis assis devant mon chevalet. Je peins animé d'une passion intense. Je termine cette cinquième toile demain à midi.

Il est 12 h. Je vais préparer mon repas. Du pilpil de blé avec une sauce au Bleu d'Auvergne. Je vais voir mes courriels.
Il y a un message de Juliette. Elle fait part de son désir de nous inviter prochainement pour partager un dîner en soirée.
Juliette nous propose deux dates. C'est lundi prochain ou mercredi prochain. Je préfère attendre l'avis de ma compagne.
Je retourne à la cuisine. Pour notre repas du soir, je prépare des courgettes farcies au pâté de lentilles. Du riz complet.
Il est 13 h30. Me voilà assis devant mon chevalet dans l'atelier lumineux. Dehors il y a du soleil. Température de 16°...

Clémentine rentre un peu avant dix sept heures. Elle dépose son sac sur la table pour venir s'assoir sur mes genoux. Bises.
Elle me raconte sa journée. J'écoute toujours avec beaucoup d'attention. C'est un peu mon lien avec le monde extérieur.
Clémentine et Estelle mangent ensemble à midi au restaurant universitaire. Elles échangent leurs impressions. Le ressenti.
Ma compagne lui a fait part de son désir de lever le pied quand à nos visites aux écuries. Estelle la comprend parfaitement.
Aussi elle évoque la possibilité de s'y rendre seule, un soir, pour faire une expérience. Clémentine le lui déconseille plutôt...

J'écoute tout cela en ne sachant quoi dire. Même si c'est une histoire de filles, depuis le début, j'y suis intimement impliqué.
Je promets à Clémentine d'y penser et de lui donner mon avis très prochainement. Je trouve ce revirement un peu étrange.
< Je ne sais pas si tout cela se terminera très bien ! > me fait encore Clémentine en se levant pour aller à la table de travail.
Nous voilà rapidement plongés dans nos activités. Clémentine met au propre, sur Word, ses notes de la journée. Je peins...
Il est rapidement dix neuf heures. < Stop ! > s'écrie Clémentine. Nous sommes morts de faim. Nous nous précipitons. Bouffe.

Clémentine aime découvrir la surprise du repas du soir. Elle ne sait pas encore. Les courgettes farcies. Un des grands favoris.
Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Nous adorons cela.
< Tu sais, lorsque j'ai mes "petits machins" de filles, j'ai tendance à voir les choses sous un angle défavorable ! > me fait elle.
Je la rassure : < Je sais, tout cela est parfaitement normal ! Ne t'inquiète donc pas ! >. Clémentine se blottit. Je la serre fort.
Nous préparons notre repas. Je lui fais part de la proposition de Juliette. < Mercredi soir ! Tu veux ? > s'écrie Clémentine...

Clémentine prépare la salade. Je réchauffe les courgettes farcies. Rapidement l'odeur devient une torture supplémentaire.
Je mets la table. Nous passons au salon pour répondre au message de Juliette et lui confirmer notre présence mercredi soir.
Il y a un message d'Estelle qui nous propose de remettre notre prochaine visite aux écuries d'ici deux semaines. Du recul.
< Parfois, Estelle fait quand même preuve de bon sens ! > fait Clémentine en répondant. La sonnerie du four nous appelle.
Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Ma compagne évoque ces cours. Bien.

< J'ai besoin de m'offrir quelques "plans". Juste toi et moi ! Avec la mauvaise saison je suis frustrée ! > me fait Clémentine.
Je lui propose de passer rapidement à l'action. Samedi après-midi, par exemple, nous nous offrons un après-midi en ville.
J'avance une possibilité. < Nous faisons nos courses le matin. On mange au restau et l'après-midi, Musée, salons de thé ! >
< Oui ! Super ! J'ai vraiment besoin de "m'extérioriser" un peu ! > me fait ma compagne. Nous rigolons comme des bossus.
C'est vrai que nos balades à bicyclette, nos randonnées et nos "expéditions" exhibes nous manquent beaucoup. C'est l'hiver.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me raconte ses envies, ses désirs et ses besoins.
Il est impératif de lui offrir le plus tôt possible quelques opportunités de frissons, de frayeurs et de petites peurs contrôlées.
Clémentine me dit encore, en riant : < Je suis une incorrigible exhibitionniste ! Merci pour ta complicité. C'est un bonheur ! >
Je lui propose quelques scénarios. Une visite au Musée des Beaux-Arts. Une collation dans un salon de thé. Un supermarché.
Ce ne sont pas les lieux qui manquent pour se livrer à son "sport" favori. < La bibliothèque municipale ! > s'écrie t-elle. Rire.

< Il faut vraiment que je me défoule samedi après-midi ! On peut déjà s'en payer une tranche vendredi ! > me dit elle. Joie.
Nous avons une confortable avance sur nos programmes, il est tout à fait possible de partir en expédition vendredi après-midi.
Nous mettons au point l'expédition de vendredi après-midi. Visite à la bibliothèque, salon de thé et puis retour par le chantier.
Trois destinations qui vont permettre à ma compagne de s'offrir les frayeurs nécessaires à sa libido de jeune fille de 20 ans.
< C'est merveilleux de vivre une telle complicité ! Merci Julien ! > me fait ma compagne en me couvrant le visage de bisous.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Je lui propose un léchage de clito en second dessert, au salon, tout à l'heure. Rire.
Nous rangeons la cuisine. Tout est propre. Nous passons au salon. Clémentine adore le contact du cuir sur sa peau. Canapé.
Elle retire son jean et sa culotte qu'elle jette sur le fauteuil. Vautrée dans le canapé, Clémentine m'observe en souriant. Belle.
Je pose l'épais coussin au sol, entre ses jambes. < Je t'aime ! > me fait Clémentine en s'installant confortablement. Vautrée.
Cuisses largement écartées elle mime une pipe en me faisant : < Mais après, c'est à moi ! >. Nous rions de bon cœur. Plaisir.

Je reste debout à quelque distance du canapé. Je regarde ma compagne qui m'observe amusée et dubitative. C'est intense.
< Quoi ? > me fait elle en se caressant la touffe. < Touche toi un peu ! > que je lui demande en ouvrant ma baguette. Joie.
Je sors ma bite. Je bande mou. Mains sur les hanches, je la laisse pendre, longue et molle. Clémentine s'installe encore mieux.
Elle se touche. Je vois la petite ficelle blanche qui pend de la broussaille. Clémentine fait gonfler son clitoris géant. Merveille.
Elle écarte les lèvres de son sexe pour me montrer son bouton de plaisir. Tout cela apparaît en clair dans l'obscurité des poils.

J'admire ce spectacle en agitant doucement mon sexe que je tiens à sa base entre le pouce et l'index. Nous restons ainsi.
< J'ai besoin que tu te comportes en "Maître", ça fait quelques jours que ça me démange ! > me confie Clémentine excitée.
Je lui promets de faire de mon mieux. Tout en lui rappelant que c'est difficile de le faire avec la fille que j'aime. Cela l'amuse.
Je m'approche. Je retire mon jean et mon slip que je jette sur ceux de Clémentine. Je me mets à genoux sur le coussin. Joie.
Clémentine écarte ses cuisses. Je hume les parfums suaves de sa journée de fille. Je m'enivre de ses odeurs fortes. Bonheur.

Clémentine écarte les lèvres de son sexe pour me présenter son clitoris géant. Je viens nettoyer les plis et replis de ses peaux.
Je passe ma langue dans tous les recoins que la jeune fille m'offre en gémissant. Le goût légèrement acidulé est un vrai régal.
Je me pourlèche des saveurs intimes de ma compagne qui bouge ses hanches pour chercher le meilleur angle aux sensations.
Je déguste avec passion. Il faut être vigilant. L'excitation de Clémentine est grande. Pas d'orgasme prématuré. Ce sera au lit.
Aussi, à plusieurs reprises, juste avant l'instant critique, Clémentine me repousse doucement en chuchotant : < Attention ! >

Je suce, je lèche et je déguste avec précaution. < Si j'ai un orgasme, je pisse, fais gaffe ! > me fait encore ma compagne.
Je lui murmure : < Tu veux ? >. Clémentine pousse une série de gémissements. Elle lutte. Et finalement elle me repousse.
Clémentine préfère attendre que nous soyons au lit après les toilettes. Elle préfère restée excitée le plus longtemps possible.
Je comprends car j'ai le même fonctionnement. Nous sommes des cérébraux. Ce ne sont pas nos sexes qui commandent...
< Je veux te sucer ! > me fait Clémentine en m'attirant à ses côtés sur le canapé. J'ai la bite dégoulinante de foutre. Excité.

Allongée à mes côtés, sur ma gauche, couchée, sa tête contre mes abdominaux saillants, Clémentine renifle ma queue molle.
Tenant mon sexe à sa base, entre son pouce et son index, elle le redresse pour en humer les odeurs de ma journée d'homme.
Je lui caresse la nuque. Elle en glousse d'aise. Clémentine se met à me sucer avec passion. Nous restons immobiles. Plaisir.
J'entends les gargouillis caractéristiques d'une pipe de qualité. J'entends les petits râles d'émerveillement aux montées de jus.
Clémentine me tient les couilles serrées entre son pouce et son index fermés en cercle. L'indicible caresse me donne le tournis.

Comme toujours j'ai cette sensation d'avoir ma bite dans un bol de purée tiède. Cette métaphore amuse toujours Clémentine.
Lorsque nous rédigeons nos récits sur le forum, le "bol de purée tiède" la fait sourire. < C'est si bon ? > me fait elle alors. Rire.
< Moi, quand tu me lèches et que tu me suces, c'est indéfinissable. Je ne peux le comparer à rien d'autre ! > me confie t-elle.
Nous rions de bon cœur. Nous restons ainsi un long moment à nous offrir une fellation des familles. Parfaitement immobiles.
D'un commun accord, nous nous proposons de nous garder pour le lit, tout à l'heure. Nous reprenons nos esprits. Difficile. Dur.

Nous retournons à l'atelier juste vêtus de nos chemises à carreaux. Nous rangeons nos affaires après un peu de travail. 22 h15.
Tout est en ordre. Nous montons à toute vitesse. Aux toilettes, nous savourons les reliquats de nos épanchements. C'est bon.
Clémentine se régale de mes mélanges. Je dois la forcer à cesser pour passer à la salle de bain. J'ai la bite dégoulinante de jus.
Une fois couchés, nous nous offrons un merveilleux "69". Puis je m'occupe du clitoris bouillant et raide de Clémentine. Orgasme.
Ma compagne me taille une pipe vertigineuse. Puis ce sont ses étonnantes petites confessions. Nous sombrons dans le sommeil.

Bonne soirée de léchage, de pompage et de suçage à toutes les coquines qui aiment se faire brouter et bouffer de la queue...

Julien - (Expert en langue vivante, Docteur Honoris Causa du cunnilingus de haute qualité et vicelard de toute première bourre ) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 251 -



Présence d'Estelle en soirée, plaisirs et coquineries assurés...

Hier matin, jeudi, nous sommes tirés de nos sommeils par la "Nocturne" de Frédéric Chopin. Il est six heures. La tête dans le cul.
< Ta gueule Frédo ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus. Des papouilles. Tendresses.
< Bonjour mon amour ! > me fait Clémentine avant de me chevaucher en riant. < Bonjour mon amour ! > que je lui fais. Bisous.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous accomplissons notre rituel pisseux dans la joie et la bonne humeur.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous y préparons et nous y prenons notre petit déjeuner. Morts de faim. Joie.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. < Cette semaine, j'en ai marre, vivement ce week-end ! > me fait ma compagne.
Elle me parle de ses cours, de l'intensité d'un rythme soutenu, de la fatigue qui en découle. Encore quatre semaines et vacances.
Nous remontons afin d'accomplir notre salvatrice heure d'entraînement. Gymnastique qui permet à Clémentine de décompresser.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il ne fait pas très froid. 8°.
Quelques bisous. Un dernier coucou de la main et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Le jour s'est levé.

Je fais la vaisselle. Je fais la chambre. Je vais à l'atelier. J'allume tout de même un bon feu de cheminée. Il est 8 h10. Je travaille.
Je vais terminer la cinquième toile destinée à ma saison 2018 pour midi. Je peins dans la passion et l'allégresse les plus délirantes.
Il est midi. Voilà ma toile terminée. Je vais à la cuisine. Pour le repas du soir, je prépare trois boules. Pâte à pizza et les garnitures.
Pour mon repas de l'instant je me fais du millet doré accompagné d'une bonne laitue. Il est 13 h30. Retour dans l'atelier. Le boulot.
Je commence le dessin préparatoire de ma sixième toile. Une scène de genre à trois personnages. Manière hollandaise du XVIIème.

Il est 16 h50. J'entends des rires. Ce sont les filles qui rentrent. Estelle entre dans l'atelier la première suivie de Clémentine. Bises.
< Bonsoir Julien ! > me fait Estelle en me couvrant le visage de bisous. Clémentine s'assoit sur mes genoux. Douceur et tendresse.
Estelle déballe ses affaires sur la table de travail. Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. J'écoute avec intérêt.
D'amusantes anecdotes étudiantes que ponctue Estelle avec quelques bons mots qui nous font beaucoup rire. Et de bon cœur. Joie.
Nous voilà à nouveau tous les trois dans une de ces séances de travail qui nous ravissent et nous enchantent. Nous la savourons...

Estelle est la première à se lever, à passer derrière moi, à passer ses bras autour de mon cou pour observer le dessin préparatoire.
< Tu me donneras des cours de dessin ? > me demande Estelle. < Tu as déjà des cours d'éducation sexuelle ! > lui fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine ne tarde pas, un petit moment plus tard, à venir faire de même. Bras autour de moi.
< Tu me donneras des cours "Maître" à "Soumise" ? > me fait ma compagne. < Je fais assistante "Soumise " ! > lui répond Estelle.
C'est dans cette ambiance que se termine cette séance. Il est déjà 18 h55. Nous sommes morts de faim. Je vais voir les filles. Bien.

Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. J'observe et j'écoute avec intérêt. C'est passionnant. Il y est question de minéraux.
Nous filons à la cuisine à toute vitesse. Estelle étale la pâte qui a gonflé comme rarement. Clémentine s'occupe de la salade. Carotte.
Je réchauffe la garniture de base. J'émince finement des champignons et de fines tranches d'avocat. Estelle râpe du Parmesan. Bien.
Les filles bavardent. Il est question de leur programme de la semaine prochaine. Voilà les pizzas prêtes à passer au four. Magnifique.
Je mets la table. Je rejoins Estelle et Clémentine qui sont déjà au salon. Elles sont devant l'ordinateur. Sur le site universitaire. Bien.

Je m'installe dans le canapé. Clémentine vient me rejoindre. Elle me chuchote : < Demain, c'est la fin de mes "petits machins" ! >.
Estelle qui entend tout fait : < Et les miens vont commencer ! >. Nous rions de bon cœur. Je dis : < Moi ! J'ai arrêté ! >. Rigolades.
Estelle, debout devant le bureau mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité qu'elle peut y mettre. Nous la regardons.
Elle insiste, restant ainsi un petit moment. < Combien de branlette cette semaine ? > que je lui demande. < Plein ! > répond t-elle.
Nous rions de bon cœur. < Et toi ? > me fait Estelle. Clémentine répond : < C'est moi qui m'en occupe ! >. Estelle vient s'assoir...

Clémentine ouvre ma braguette, je sors ma bite. Je me lève. Je suis debout devant les filles assises l'une à côté de l'autre. Silence.
Je reste avec les mains sur les hanches. Je bande mou. C'est la photographie de mon avatar. C'est toujours un moment solennel.
Les filles regardent avec concentration. Je saisis mon sexe à sa base entre le pouce et l'index pour l'agiter doucement. Des à coups.
Je fais tourner ma queue longue et molle à la manière d'un lasso. Estelle se rapproche en ouvrant grand la bouche. Je reste distant.
Je dis : < Pour le dessert, tout à l'heure ! >. < Put-hein, j'ai faim ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Bonne ambiance.

C'est la sonnerie du four qui achève de nous ouvrir des appétits d'ogres. Un gouffre à la place de l'estomac, nous nous précipitons.
Estelle sort les pizzas du four. L'odeur est une torture supplémentaire. Une réussite parfaite. Clémentine remue la salade. Carottes.
Nous mangeons de bon appétit. Cette fois la conversation s'articule autour du haras. Les écuries, Mr Gérard le palefrenier vicelard.
< On lève le pied quelques temps. Au moins deux semaines ! > fait ma compagne. < Ce sera plus marrant après ! > lui dit Estelle.
Je dis : < La pipe à monsieur Gérard avant les fêtes, pour son petit Noël. Noël des vieux ! >. < Bonne idée ! > rajoute Clémentine.

Nous rigolons comme des bossus. < Je vais finir par vous prendre au mot, tous les deux, bande de vicelards ! > rajoute Estelle.
< Depuis le temps que tu devrais comparer avec la bite de Julien ! > fait encore ma compagne. < Dégueu ! > s'écrie Estelle. Rire.
< Je peux y goûter tout à l'heure ? > demande Estelle, espiègle, ingénue et mutine. < Petite salope ! > dit Clémentine. Nous rions.
Nous mangeons de bon appétit tout en nous amusant de nos plaisanteries habituelles. Estelle mime une pipe avec vulgarité. Joie.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque notre invitation chez Juliette, mercredi prochain.

< Et toi, Julien, la pipe avec Juliette, c'est pour quand ? C'est au programme ? > me demande Estelle en débarrassant la table.
< Ce n'est absolument pas d'actualité ! Il n'en est même pas question ! > répond Clémentine. < Dommage ! > fait Estelle. Rire.
La vaisselle. Estelle plonge, nous essuyons. Je termine de ranger la cuisine. J'entends les filles rire au salon. Devant l'ordi. Forum.
Je les rejoins. Estelle est assise derrière le bureau à lire mes récits. < Comme c'est bien de lire nos aventures ! > précise t- elle.
< Et tu n'as pas encore lu les messages privés que nous recevons parfois ! C'est pas triste ! > fait Clémentine assise près de moi.

< Oh put-hein ! > fait Estelle, la main devant la bouche, éclatant de rire, en découvrant les messages privés de la semaine. Joie.
Je me lève. Je m'approche du bureau pour y déposer ma bite. Je suis cambré sur mes jambes fléchies. Ma haute taille l'impose.
Clémentine passe derrière moi pour la saisir à sa base. C'est elle qui l'agite devant Estelle qui cesse de lire pour observer. Scruter.
< Tu as une super bite, Julien, je ne me lasse pas de la voir, espèce de vicelard ! > me fait Estelle en se levant, penchée en avant.
Les coudes posés sur le bureau, Estelle regarde mon sexe qu'agite la main de ma compagne. L'extrémité commence à en suinter.

Clémentine m'entraîne vers le canapé. Estelle contourne le bureau. Elle nous rejoint. Ma compagne s'installe dans le fauteuil.
C'est toujours le "signal" du début des festivités. Clémentine déboutonne son jean et sa culotte pour les descendre à mi-cuisses.
Je pose l'épais coussin au sol entre mes pieds écartés. Estelle ne se fait pas prier. La jeune fille s'y met rapidement à genoux.
Ses mains posées sur mes cuisses, Estelle dit : < Je vais faire un contrôle pour pouvoir comparer bientôt. Noël des vieux ! >.
Nous rigolons comme des bossus. Je m'avance pour lui déposer une bise sur le front. < Prends des notes ! > fait Clémentine.

Estelle hume longuement les effluves parfumées de ma journée d'homme. Je lui présente ma queue sous les narines. Je la tourne.
La jeune fille hume en silence. Clémentine me fait un clin d'œil en levant le pouce de sa main gauche. Sa droite entre ses cuisses.
Je me décalotte légèrement. Immédiatement l'odeur forte nous monte aux nez. Estelle à un mouvement de recul. Compréhensible.
Je déteste sentir la fraîcheur sur mon gland décalotté. La sensation est désagréable. Mais il faut bien lui montrer l'immonde frome.
La jeune fille a une grimace de dégoût en détournant son nez. Ce qui ne dure qu'un instant. L'envie de goûter est bien trop forte.

Je frotte mon sexe sur les lèvres de la bouche d'Estelle qui sort sa langue. J'y essuie le frome. La fille pousse un râle. Ecœurée.
Comme elle me l'a déjà expliqué tant de fois, c'est ce mélange de dégoût et d'attirance qui participent de son excitation si forte.
Clémentine, après s'être contorsionnée pour mieux regarder ce que je fais, se lève pour venir s'assoir à ma gauche. Des bisous.
J'enfonce doucement mon sexe dans la bouche lascive d'Estelle. < Le bol de purée tiède ? > me chuchote Clémentine. Rigolade.
Et c'est vrai que cette sensation apparaît presque de suite. Estelle me suce avec une telle sensualité. L'émotion est indicible. Fou !

Clémentine, tout en se masturbant doucement, m'embrasse avec une sensualité identique à celle d'Estelle. C'est merveilleux.
Je me fais tailler une pipe des familles dans la plus parfaite sérénité. Je regarde Estelle, les yeux fermés, qui se régale. Si belle.
Parfois, la jeune fille pousse un gémissement qui vient se confondre à ceux de Clémentine qui se masturbe, poussant des râles.
Cette musique est sans doute la plus belle symphonie du monde. Surtout écoutée en stéréophonie. "Live". Je suis au concert !
Nous restons ainsi un long moment. Pour lui permettre de reposer sa mâchoire, je sors souvent ma bite de la bouche d'Estelle.

Je me penche pour lui faire plein de bisous sur le visage. Il y a des filaments de jus visqueux qui relient sa bouche à mon sexe.
Pour éviter d'en mettre sur mon jean, je le récupère du doigt pour le mettre dans la bouche d'Estelle qui s'en pourlèche. Belle.
C'est dans cet intense plaisir paradisiaque que Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Le canapé en tremble.
Son corps, agité de frissons, secoué de spasmes, semble se recroqueviller sur lui même. Clémentine pousse un long râle. Jouie.
Cela excite considérablement Estelle que je vois glisser sa main droite sans son jean. Elle me suce comme si sa vie en dépendait.

J'éjacule. Immobile. Sans prévenir. Trois saccades et des épanchements qui semblent ne plus devoir cesser. J'ai un orgasme fou.
Clémentine se serre contre moi comme si elle éprouvait quelque crainte à me voir ainsi, tête basculée en arrière, souffle court.
Chose très rare. Estelle doit connaître un orgasme. C'est discret. Et secret. Il est 22 h. Nous allons ranger nos affaires à l'atelier.
Nous nous promettons de nous offrir une superbe soirée "Maître" et "Soumises" samedi soir. Nous ramenons Estelle. Il est 22 h30.
Au retour, toilettes et salle de bain. Un petit "69" qui n'aboutit à rien. Confessions étonnantes. Nous sombrons dans le sommeil...

Bonne soirée de masturbation et de pompage de queue dure et juteuse à toutes les coquines passionnées par la philharmonie...

Julien - (Qui se prépare mentalement à endosser le personnage sulfureux du "Maître" pour satisfaire les deux "soumises") -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 252 -



Clémentine attendait avec impatience ce week-end pour pouvoir se reposer...

Hier matin, vendredi, je suis réveillé le premier. J'éteins la petite horloge sur la table de nuit. Il est 5 h50. Il fait nuit.
Je regarde Clémentine que mes mouvements légers tirent de son sommeil. La fille s'étire longuement en gémissant.
< Bonjour Julien ! > fait elle dans un dernier cri qui ponctue son réveil. < Bonjour Clémentine ! > que je lui dis. Bise.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux. Amusant.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour y préparer et y prendre nos petits déjeuners. Morts de faim...

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous faisons le bilan de la veille, de la présence d'Estelle, de la semaine.
Nous sommes en avance. Nous mettons cela à profit. Il fait bien trop chaud dans la maison car dehors il ne fait que 10°.
Il est temps de monter pour nous offrir notre heure d'entraînement intense. C'est toujours un rituel des plus agréables.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est déjà 7 h45.
Quelque bises. Un dernier coucou de la main et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le jour s'est levé...

Je rentre en vitesse pour faire la vaisselle et la chambre. Je file à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Il est 8 h15.
Je suis assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de la sixième toile destinée à ma saison prochaine.
Je peins avec un enthousiasme débridé, remportant une nouvelle victoire à chaque quart d'heure qui s'écoule. Prodigieux.
Il est midi. Je vais à la cuisine. Je prépare le riz complet que je fais griller à sec tout en remuant en huit avec une spatule.
Clémentine arrive. Me sautant dans les bras, elle s'écrie : < Week-End ! >. Je la soulève pour la faire tournoyer en l'air...

Clémentine, toute contente, me couvre le visage de bisous. J'aime la voir heureuse. Et elle l'est quasiment tout le temps.
Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare une sauce au Bleu d'Auvergne. Le riz gonfle hors du feu dans l'eau bouillante.
Elle me raconte sa matinée. J'écoute. < Et il faudra que je mette rapidement les notes au propre sur Word ! > me fait elle.
Le repas est prêt. Nous voilà assis à le savourer en bavardant. Nous parlons de notre Week-End à venir. De nos nécessités.
Les courses. Ce qu'il ne faut pas oublier. La liste est fixée sur la porte du réfrigérateur avec quatre aimants. Tout est noté.

Nous peaufinons notre programme de l'après-midi. Nous partons pour la ville dès que possible. La vaisselle. Je débarrasse.
Clémentine plonge. J'essuie. Dehors le ciel est lumineux. Il n'y a pas de soleil. Le thermomètre extérieur affiche 17°. Doux.
Il sera donc tout à fait inutile de nous emmitoufler dans d'épais vêtements. Clémentine m'entraîne par la main à l'étage...
Il est à peine 13 h15. Sur la demande de ma compagne je mets mon costume en velours brun. Mon écharpe. Souliers bruns.
Clémentine met une de ses jupes en velours carmin. Un pull fin sur son chemisier blanc. Des collants légers. Souliers noirs.

Nous nous observons dans le miroir de l'armoire. < Regarde un peu comme on est beaux tous les deux ! > me fait elle. Joie.
Clémentine met sa veste cintrée noir et nous descendons à toute vitesse. Elle m'entraîne jusqu'à la roseraie. C'est superbe.
Les pivoines, les lys, les ancolies et les tulipes sont entrain de fleurir. Par contre les laitues restent plutôt moyennes. Petites.
Un rapide arrosage. Avec la douceur de ces derniers jours, ce sont les conditions idéales. Dans une serre au double vitrage.
Nous prenons la petite auto de Clémentine qu'elle a laissé dehors. Nous voilà en route. Il fait étrangement doux. Novembre.

Clémentine joue avec ma bite. Je roule doucement. Nous passons devant le haras. Il y a quantité de voitures garées. Cour.
Il y a 12 km jusqu'à la ville où nous arrivons pour 14 h20. Je gare la voiture dans une petite rue adjacente à la Bibliothèque.
Dans son petit sac à dos en cuir noir, qui fait également office de sac à main, Clémentine fourre son collant qu'elle a retiré...
Elle y rajoute sa culotte. < Regarde ! Fini les "petits machins" ! > en prenant ma main pour la passer sur sa touffe épaisse.
Nous sortons de l'auto pour marcher sur un trottoir désert. Nous arrivons à la Bibliothèque Municipale qui ouvre ses portes.

Nous montons à l'étage. Nous flânons un peu dans la grade salle déserte. Nous parcourons les rayonnages. Odeur de livres.
Je raconte quelquefois les aventures que j'ai vécu là, il y a presque huit ans avec "Nathalie", une étudiante que j'avais connu.
Cette étonnante histoire que je relate sur mon Blog ici [historiettes.youmebob.com] et qui ravit toujours Clémentine.
< Une belle histoire qui me procure une légère jalousie ! > me fait ma compagne à chaque lecture. Nous rions de bon cœur.
Nous prenons chacun un ouvrage dans le rayon "Arts". Nous voilà installés dans deux des quatre fauteuils du coin lecture...

Pour n'importe quel observateur, nous pourrions êtres deux parfaits inconnus. Un quinquagénaire. Une étudiante de 20 ans.
Il y a quelques arrivants. Deux jeunes filles, certainement des étudiantes. Un jeune homme qui tient une liste dans sa main.
Clémentine observe les lieux avec une grande attention. Là-bas, un monsieur élégant, vêtu d'un manteau, monte l'escalier.
Nous faisons semblant d'êtres concentrés dans nos grands livres. Le monsieur est seul. Un sexagénaire plutôt grand. Mince.
Il se dirige dans le rayon "Histoire". Clémentine met son index sur la bouche, me fait un clin d'œil, me fait signe de la suivre.

Elle se lève la première. < Va par là ! > me chuchote rapidement ma compagne tout en me montrant le rayonnage du fond.
J'y vais. Entre les livres, bien rangés sur leurs étagères, en regardant bien, on distingue se qui se passe dans l'allée voisine.
J'observe Clémentine qui me tourne le dos, scrutant elle aussi ce qui se passe dans l'autre allée. Elle mâte ce que fait le type.
Un petit moment se déroule ainsi sans qu'il ne se passe rien. Je perçois les légers murmures du couple de séniors qui arrive.
Ils vont là-bas, au rayon des magazines et des journaux. Je peux mâter tranquillement ce que fait ma compagne. Tranquille.

C'est vendredi après-midi. A part quelques étudiants libres, il n'y aura pas grand monde. Clémentine me l'a assuré. Certain.
Je suis penché en avant. N'importe quel visiteur en me voyant ainsi, serait convaincu que je cherche un titre parmi les livres.
Je mâte. Clémentine vient de s'accroupir devant les étagères du bas. Il va certainement se passer quelque chose. Le silence.
Je vois le monsieur élégant qui arrive dans l'allée où se trouve la jeune fille. Il reste à l'entrée du rayonnage "Géographie"...
Clémentine fait mine d'être absorbée par la lecture du livre qu'elle feuillette, accroupit, légèrement tournée vers cet inconnu.

Je me déplace un peu pour pouvoir observer les réactions du type. Je peux également voir le petit manège de ma compagne.
Le type a évidemment aperçu la jeune fille, là, à quelque cinq ou six mètres de lui. Il louche discrètement. Et il reste stoïque.
Clémentine exagère légèrement sa position. Un genoux vers le sol, l'autre relevé, elle joue à la perfection son rôle de lectrice.
J'admire cette capacité à maîtriser la situation induite par son attitude. Clémentine a beaucoup de "pratique". Une virtuose...
L'homme montre tous les signes d'un évident contentement. Il doit être une sorte de virtuose aussi. Il se touche discrètement.

L'homme regarde autour de lui tout en feuilletant le grand livre qu'il vient de tirer de son étagère. Il le tient d'une seule main.
Clémentine change de position en prenant un autre livre. Cette fois, c'est la position "classique". Cuisses légèrement écartées.
Il est certain que sous l'obscurité de sa jupe, l'homme ne doit pas voir grand chose. Suffisamment pour se rendre à l'évidence.
La jeune fille qu'il voit là ne porte aucun sous-vêtement. Je bande comme le dernier des salauds. C'est un spectacle sublime...
L'inconnu écarte son manteau. Il observe avec grande attention partout autour de lui. Il ne se doute pas de ma présence. Bien.

Le type se rapproche imperceptiblement de la jeune fille. Je ne peux pas bien voir ce qu'il fait. Il doit se toucher la braguette.
Il tient un livre ouvert. Je suis certain qu'il se touche de son autre main. Pas de doute, c'est un vieux vicelard. Un satyre. Vice.
Clémentine a certainement affaire à un exhibitionniste. Un de ces rôdeurs qui hantent les lieux publics à l'affût d'opportunités.
Ma compagne a donc à ses côtés un homologue au masculin. Je bande comme un priapique en phase terminale. Je mâte. Bien.
Je crois halluciner. Lors d'un de ses mouvements pour écarter son manteau, j'aperçois le sexe du type. Une longue bite molle.

Clémentine s'en est certainement rendue compte bien avant moi. Elle lève la tête. Le type s'est encore rapproché. Il se branle.
Il n'y a plus que quelque deux mètres à peine entre l'homme et l'étudiante. Il est tourné de trois quart vers la jeune fille. Fou.
Je me déplace pour mieux regarder. Je vois sa bite qu'il agite doucement comme je le fais parfois. Clémentine regarde bien.
L'homme se rapproche encore. Clémentine reste accroupit. J'ai le cœur qui bat la chamade. La situation est devenue torride...
Clémentine n'aurait qu'à approcher son buste, à avancer son visage pour se retrouver avec cette belle queue dans la bouche.

Le sexagénaire se met à parler. Clémentine reste accroupit et lève les yeux pour fixer l'homme tout en se mettant à bavarder.
Le type est carrément tourné face à la jeune fille. C'est tellement surréaliste, en ce lieu, que je pourrais me masturber. Dingue.
La situation perdure ainsi un bon moment. Je me déplace encore sur ma gauche. Le type a une érection. Un gros sexe dressé.
Aucun des deux protagonistes ne perd ses moyens. Deux "experts" en exhibitionnisme "académique" font connaissance. Bien.
Clémentine, cuisses écartées, s'est tournée bien devant l'inconnu. Ils se font face. Clémentine, la tête relevée fixe bien le type.

Elle pourrait s'avancer d'un petit mètre pour lui tailler une pipe. Je me projette dans ce fantasme qui, sur l'instant, me dévore.
Voir Clémentine sucer un inconnu. C'est un fantasme récurrent dont je lui fais part assez fréquemment. Voilà une opportunité.
Le type se branle ouvertement devant l'étudiante. Il reste toutefois très maître de lui. Il ne cesse de regarder partout. Prudent.
Clémentine écarte ses cuisses un peu plus, presque assise sur ses talons. J'ai mal aux couilles. Je bande. Je me touche. Discret.
Le type a posé son livre. De sa main gauche il se tient les couilles. De sa main droite il se masturbe. Il s'avance encore un peu.

Clémentine reste parfaitement immobile. Elle se tient à un des montants métallique de l'étagère sur sa gauche. Elle se touche.
Je n'en peux plus. Je suis couvert de sueur. Il m'en coule dans le dos et ça me pique le visage humide. C'est affolant. Le délire.
C'est à cet instant qu'il y a des éclats de voix. Je vois les deux jeunes filles de tout à l'heure arriver près de l'allée où je suis...
Cela met un terme à ce qui se passe dans l'allée voisine. Clémentine se redresse à toute vitesse. Le type se tourne rapidement.
Il était temps. Clémentine et le sexagénaire allaient se faire surprendre. La fin. Clémentine quitte le rayon pour me rejoindre.

Elle souffle. Il lui faut reprendre sa respiration. Elle me prend la main pour la poser sur sa poitrine. Son cœur bat la chamade.
< Je crois que ça n'a jamais été aussi fort ! > me murmure t-elle. Je lui dis : < Tu as été géniale ! >. Clémentine m'embrasse.
< Merci Julien ! Je t'aime. Je me suis éclatée comme jamais ! > me fait elle. Nous regardons le type s'éloigner vers l'escalier.
Je connais la configuration des toilettes de la bibliothèque. Il faut le code pour ouvrir la porte à l'aide du clavier du digicode...
Un groupe de jeunes gens, certainement des étudiants, arrivent. < Je les connais ! Viens, on s'en va ! > me fait Clémentine...

Nous sommes pressés de rentrer. Clémentine est excitée à un point rare. Dans la voiture, elle ne cesse pas de se masturber.
< J'ai vécu la plus belle expérience de ma vie, je crois ! > me fait elle en me couvrant la joue de bisous passionnés. Douceur.
Nous arrivons à la maison. Clémentine m'entraîne au salon. Elle se vautre sur le canapé en écartant ses cuisses. Très excitée.
Je suis à genoux, le visage fourré dans sa touffe humide. Je me régale des arrivées incessantes de cyprine. De vraies coulures.
Impossible de réfréner l'orgasme qui la terrasse rapidement, Clémentine jouit dans un long cri. Elle me caresse en gémissant.

Nous restons ainsi un long moment. < Merci mon amour ! C'était fantastique ! > me fait ma compagne avant de s'endormir.
Il est à peine dix huit heures. Je me relève. Je la laisse dormir un peu. Elle l'a bien mérité. Je vais à la cuisine. Il fait bien nuit.
Je prépare notre repas du soir. Des tomates farcies au pâté de lentille. Il est rapidement 19 h. Clémentine vient me rejoindre.
< Pourquoi tu m'as laissé dormir ? > me fait elle en se précipitant dans mes bras. Je la soulève pour la faire tournoyer en l'air.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous passons à l'atelier. Un peu de boulot. Il est 22 h. Nous montons. La baise...

Bonne expérience exhibitionniste à toutes les coquines qui apprécient de se retrouver dans des situations torrides et folles...

Julien - (Qui s'est encore vu offrir le plus enchanteur des spectacles. Qui a encore sécurisé un "show" de Clémentine) -

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L'arrivée d'Estelle, en fin d'après-midi, pour passer le Week-End avec nous, est toujours joyeuse.

Hier matin, samedi, je suis réveillé par d'étranges gémissements. Je peux même sentir le lit bouger doucement. Je regarde.
Là, sur ma gauche, Clémentine, couchée sur le ventre, se mordillant la lèvre inférieure, est entrain de se masturber. Belle.
Je reste à faire semblant de dormir encore un peu pour observer cet étonnant spectacle matinal. Les gémissements discrets.
Je chuchote : < Bonjour ma belle masturbatrice ! >. Clémentine cesse immédiatement pour retomber sur le ventre. Gênée.
< Bonjour Julien ! > fait elle en se blottissant contre moi. Elle rajoute : < J'ai rêvé de notre visite à la bibliothèque hier ! >

Je la serre contre moi. Nous nous offrons des papouilles. < Tu veux que je te "termine" ? Broutage ? > que je lui demande.
Clémentine me chevauche en riant. Elle dit : < Non ! Je ne me serais pas emmenée au bout de toute façon ! Je t'aime ! >.
L'impérieux besoin de pisser met un terme à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Le pissou.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il n'est même pas encore huit heures. Le jour est levé. Il fait plus froid.
Le thermomètre extérieur indique 2°. C'est le retour des fraîcheurs matinales et de saison. A l'intérieur il fait très agréable.

Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Confitures, miel, beurre.
Nous mangeons de bon appétit. Dehors il fait gris. Le ciel est lourd et bas. Le sol est sec. Nous pourrons aller jogger. Bien.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque notre visite, hier, à la bibliothèque. Joie.
Elle me parle de l'inconnu, de ses propos et de ses attitudes. Clémentine le fait avec tant de passion que je reste silencieux.
Je dis : < A midi, après les courses, on va au restaurant et on y retourne, tu veux ? >. Clémentine, folle de joie, se serre...

< Je t'aime Julien ! Jamais je n'aurais imaginé pouvoir un jour partager mes secrets avec quelqu'un ! > fait elle encore.
Le programme que je soumets est évidemment reçu avec un enthousiasme évident. Clémentine m'embrasse. La vaisselle.
Je plonge, Clémentine essuie. Nous sommes déjà en tenues. Leggings, sweats et baskets. Il n'y a qu'à enfiler nos k-ways.
Nous voilà à courir sur le chemin qui descend à la rivière. Nous gardons un rythme soutenu. Il faut se réchauffer très vite.
Nous sommes de retour pour 10 h. La douche. Nous nous habillons. Clémentine met une jupe, des collants en coton noir.

Ma compagne met un pull en épais coton sur un chemisier blanc. Des souliers fermés, noirs, à légers talons. Elle est belle.
Sur sa demande je mets le même costume de velours brun que hier. Souliers bruns. Nous mettons nos manteaux. Chaud.
Je récupère la liste des courses fixée sur la porte du réfrigérateur. Je mets mon chapeau, nous voilà au jardin. Il fait froid.
Dans un sachet, Clémentine a mis ses hautes bottes en cuir et à talons haut. < Pour faire ma pute ! > me fait en elle. Rire.
Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite qu'elle a extrait de ma braguette. Nous arrivons au bourg. Il y a du monde.

Je gare la voiture. Sur la demande de ma compagne, je garde ma braguette discrètement ouverte. Nous voilà au marché.
Nous faisons nos achats chez les artisans habituels. Fromages, œufs, beurre et la crème fraîche. Les fruits et les légumes.
De retour à l'auto nous plaçons les produits qui le nécessite dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Par précaution.
Direction la zone commerciale dans la banlieue de la ville voisine. < Je fais cette route tous les jours ! > fait Clémentine.
En effet, après le fameux chantier, au rond point, il y a l'université à droite, la zone commerciale à gauche. Supermarché.

Je pousse le caddie. Clémentine m'entraîne dans les allées qui nous concernent. Produits d'entretiens, savon et lessive.
Nous flânons. Il y a du monde. Ce fameux "Black Friday", qui dure jusqu'au Saturday, semble être un succès commercial.
Par acquis de conscience Clémentine m'entraîne au rayon culturel. En quête d'une éventuelle opportunité exhibitionniste.
Trop de monde. Trop risqué. Elle m'entraîne au rayon des vêtements homme. Trop de monde. Trop risqué. "Black Friday".
Nous passons à la caisse 11. < Regarde ! > me fait Clémentine en me poussant du coude. Là-bas, il y a madame Walter.

Madame Walter et son mari. Ils ne nous ont pas vu. C'est un couple très élégant. Nous la voyons rarement en jupe. Belle.
Nous voilà à ranger nos courses dans le coffre de la voiture. Je demande : < Un petit restaurant ? Toujours d'accord ? >.
< C'est con, on a tellement de bonnes choses à manger à la maison, mais suivons le programme ! > fait ma compagne.
Nous portons notre choix sur ce restaurant typique que nous connaissons bien au centre ville. Dix petites minutes d'auto.
Je gare la voiture dans une rue adjacente. Il y a quelques minutes jusqu'au restaurant. 5 minutes jusqu'à la bibliothèque.

Il y a peu de monde dans l'établissement. Nous choisissons une table légèrement en hauteur avec vue sur la petite salle.
Le serveur vient nous apporter la carte. Notre choix se porte sur un plateau de fruits de mer. C'est comme en vacances.
Il y a bien un couple à une table voisine. Mais Clémentine me fait remarquer que l'homme ne lui prête aucune attention.
Pourtant ma compagne n'a pas de concurrence dans la salle pour attirer l'attention sur ses cuisses écartées sous la table.
Nous mangeons toutefois de bon appétit ce repas qui nous rappelle l'Ecosse et les vacances de cet été déjà lointain. Joie.

Le serveur, un jeune homme d'environ trente ans, tout au plus, semble manifester un certain intérêt pour ma compagne.
A t-il remarqué son petit manège discret sous la table ? Pour en avoir le cœur net, Clémentine me fait : < Les chiottes ! >
Je regarde ma compagne descendre les quatre marches pour aller vers l'escalier qui mène au sous-sol où sont les toilettes.
Elle a vu juste. A peine a t-elle disparu que le serveur contourne le comptoir pour descendre à son tour. Quelques minutes.
Clémentine revient en souriant. < "Gagné" ! > me fait elle en me racontant ce qui s'est passé aux toilettes. Exhibe rapide.

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me fait : < Serveur à petite bite frétillante ! >. Le serveur mâte discrètement.
Je demande l'addition. Le jeune homme paraît terriblement gêné lorsqu'il vient nous apporter la note. Je lui fais un sourire.
Cela le rassure certainement. Nous l'avons en quelque sorte invité dans une complicité évidente. Je paie. Nous repartons.
Il est 13 h50. Nous retournons à la voiture. Clémentine enlève son collant qu'elle remet après avoir retiré sa culotte. Belle.
Elle se chausse de ses bottes noires à talons hauts. Hyper sexy, hyper élégante, Clémentine tourne autour de la voiture...

< Comment tu trouves ? > me demande ma compagne en écartant son manteau pour jouer au mannequin. Défilé de mode.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Je vais faire ma pute ! >. Je lui fais remarquer à quel point elle est attractive.
Nous voilà en chemin pour nous rendre à la bibliothèque. Clémentine me tient par le bras. Nous marchons doucement. Bien.
Les gens qui nous croisent louchent. Cette belle jeune fille de 20 ans au bras d'un élégant quinquagénaire, attire les regards.
Nous en jouons toujours avec plaisir. Clémentine m'a appris à jouir de ces regards étonnés, interrogateurs. Souvent curieux.

Nous arrivons à la bibliothèque. Nous montons l'escalier. La dame de l'accueil nous fait un délicieux sourire. Il y a du monde.
La grande salle est beaucoup plus fréquentée que hier. Là aussi, nos hautes tailles et nos élégances attirent quelques regards.
Clémentine me propose de nous choisir, chacun, un rayon différent. Je me dirige vers celui du fond, comme hier. Personne.
Je me penche pour regarder entre les livres. Je tente de discerner ce que fait Clémentine. Elle vient de s'assoir à une table.
Elle allume l'ordinateur qui s'y trouve, faisant mine de chercher un ouvrage particulier. En face, des fauteuils. Le coin lecture.

Son petit sac à dos en cuir, qui fait office de sac à main posé au sol à côté de sa chaise, Clémentine est concentrée sur l'écran.
Il y a un couple, sans doute des étudiants, qui lisent. Personne ne prête attention à cette belle jeune fille assise devant l'ordi.
Je scrute avec une grande attention. Là-bas, du haut de l'escalier, il y a le type vicieux de hier. Il se dirige vers les rayonnages.
Il a repéré Clémentine. Il prend un bouquin sur une table pour venir s'assoir dans le fauteuil qui fait face à Clémentine. A 3 m.
Je ne peux pas voir si ma compagne a repéré le mec. Toujours est-il que je peux constater que l'homme, lui, l'a bien repéré...

Il fait semblant d'être dans la lecture de ce livre qu'il feuillette. Il ne sait peut-être même pas de quoi traite le livre ! C'est sûr.
Clémentine regarde partout autour d'elle. Faisant mine de feuilleter le calepin posé à côté du clavier. Elle a remarqué le type.
Je la vois se pencher vers son sac au sol. Puis elle se lève pour s'accroupir. Comme si elle cherchait quelque chose. Concentrée.
Je ne peux pas voir grand chose. La situation perdure un petit moment. Le type se lève pour venir saluer la jeune fille. Vicieux.
Comme la plupart des mecs, il s'imagine que parce qu'il a discuté avec la fille hier, c'est déjà une "amie". Une grossière erreur.

Clémentine se redresse. Dans son attitude il n'est évidemment pas question d'entamer une conversation. Elle reste concentrée.
Assise devant l'écran qu'elle fixe avec insistance, la jeune fille ne lève pas les yeux pour répondre au type. Il doit comprendre.
Il n'insiste pas et s'éloigne. Cette attitude pleine d'élégance et de tact, ne peut que ravir ma compagne qui déteste les "boulets".
Le type est retourné s'assoir. Un moment passe ainsi. Parfois, dans le rayon où je reste, il y a du passage. Je regarde un livre.
Du moins, je fais semblant. Clémentine éteint l'ordinateur, se lève, ramasse son sac et se dirige vers le rayon voisin du miens.

Quelques minutes et voilà notre homme qui se lève pour venir à son tour dans les rayonnages. Clémentine mâte ce qu'il fait.
Je la vois s'accroupir pour regarder les livres sur le rayon du bas. Comme hier, le type arrive aussi. Il y a toutefois du passage.
Le danger est évident. Il faudra être le plus rusé virtuose pour s'exhiber dans de telles situations. J'observe son petit manège.
C'est un rusé virtuose. Clémentine est accroupit. Je m'avance sur la droite. Je peux voir ses cuisses écartées. Je suis excité...
L'inconnu a son manteau ouvert. Je distingue rapidement sa longue bite qu'il tente de montrer à la jeune fille. Le vrai vicelard.

A chaque passage de quelqu'un, Clémentine reprend une position "normale". Rapide, discrète et virtuose. Le type fait pareil.
Pas de doute. Deux exhibitionnistes de très haut niveau, plein de ruse et de pratique, sont entrain de confronter leurs savoirs.
Je bande comme le dernier des salauds. Mon cœur bat la chamade. L'homme se rapproche. Comme hier. A quelques mètres.
A chaque fois que quelqu'un passe, le type se positionne droit devant le rayon. Personne ne se douterait qu'il à la bite à l'air.
Clémentine fait de même. Le type s'est encore rapproché. A peine un mètre les sépare. C'est comme hier. Le type bavarde...

Cette fois Clémentine se montre moins loquace que hier. Elle n'a certainement pas envie de converser. Juste voir et être vue.
L'inconnu se montre aussi adroit en approche psychologique qu'en approche physique. Il n'insiste pas. Il reste silencieux. Jeu.
Je me déplace une fois à gauche, une fois à droite pour voir. Le mec bande comme un salaud. Il se branle discrètement. Joie.
Il faut avoir un sacré culot pour avoir sa queue dans la main dans cet endroit aujourd'hui si fréquenté. C'est très dangereux.
Pourtant notre gaillard louvoie comme une anguille dans un panier de crabes. J'admire la virtuosité de l'exhibitionniste. Fou !

Clémentine met un terme à la situation en se redressant. Le type sort une carte de sa poche pour la tendre à la fille debout.
Ma compagne s'en saisit et, sans un mot tourne les talons pour s'éloigner. L'individu est un vrai gentleman. Il ne tente rien.
Pas le genre à suivre l'étudiante pour la harceler d'une drague lourde, pénible et ridicule. Non, il se réajuste et s'en retourne.
Clémentine vient me rejoindre. Nous regardons le type s'éloigner rapidement. Un peu comme un voleur après son coup fait.
Nous attendons un moment. Clémentine se serre contre moi. < Merci Julien ! Si tu savais ! >. Elle m'entraîne par la main.

Clémentine me montre l'endroit où elle se trouvait pendant l'exhibe. J'ai un choc dans la poitrine. Il y a une flaque parterre.
Je dis : < Tu as pissé ? >. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine me fait : < Et je me serais gênée tu crois ! >
Je rajoute : < Décidément tu es incorrigible ! Je t'aime ! >. Clémentine se serre très fort et m'embrasse malgré des passages.
Nous quittons les lieux. Dans la voiture Clémentine me montre la carte que lui a remis le satyre. Elle lit à haute voix. Rires.
Nom, prénom, adresse et qualité du monsieur se trouve clairement écrits. < Pour la collection ! > me fait Clémentine. Sympa.

Nous passons récupérer Estelle près de chez elle. Retour à la maison pour 18 heures. Nous rangeons nos courses. Au frigo.
Clémentine raconte notre aventure à la bibliothèque. Estelle écoute. Elle dit : < Put-hein, ça devait être génial ! Superbe ! >
< Tu veux venir avec la prochaine fois ? > lui demande ma compagne. Estelle est serrée contre moi et me palpe la braguette.
Elle répond en rigolant : < Vous m'excitez tout le temps avec vos saloperies ! Vous avez fait de moi une obsédée de sexe ! >.
< Tu nous en vois bouleversés ! > lui fait Clémentine. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Préparation du repas...

Nous optons pour une potée accompagnée d'une sauce au Roquefort. J'épluche les patates, les navets et les carottes. Sympa.
Estelle émince l'ail, l'oignon, les champignons et la ciboulette. Clémentine prépare la salade. Les filles évoquent leurs études.
La semaine prochaine sera intense. Il faudra y mettre un coup. J'écoute en silence. Cela remet les idées de chacun en place.
Le repas est délicieux. Il est 19 h15 lorsque nous sommes assis à le savourer en bavardant. Anecdotes étudiantes amusantes.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine fait : < Vendredi prochain, bibliothèque ! > Rires...

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous passons au salon. < Tu te sens "Maître" ce soir ? > me demande Estelle.
Clémentine répond immédiatement : < Je suis excitée comme une folle ! >. Je ne sais quoi dire. Je suis un peu stupide, là.
Estelle va chercher deux chaises à la cuisine qu'elle ramène pour les disposer l'une à côté de l'autre au milieu de la pièce.
Clémentine passe derrière le bureau pour y récupérer les cordelettes de coton blanc et les menottes du dernier tiroir du bas.
Ma compagne propose à Estelle de monter se changer, de se mettre en jupe. Estelle a emmené le nécessaire dans son sac.

Estelle monte à toute vitesse. Clémentine retire ses collants. Elle est restée en jupe, bottes à talons hauts qu'elle rechausse.
Ma compagne me chuchote : < Sois salaud ce soir, comme jamais ! >. Nous nous embrassons longuement et avec fougue.
Estelle revient. Elle est vêtue de sa jupe kilt, d'un simple sweat et chaussé de souliers à talons haut fermés aux chevilles.
Comme toujours, lorsqu'elle marche en talons hauts, Estelle est maladroite. Je la trouve adorable. Si innocente. Apparence.
Sans prévenir, essayant d'être à la hauteur de ce qui m'est demandé ce soir, je saisis fermement les filles par leurs cheveux.

Je les force à s'assoir à l'envers sur les deux chaises, dossiers entre leurs cuisses écartées. Estelle a gardé sa culotte. Cordes.
J'attache leurs chevilles aux pieds des chaises. J'attache leurs poignets à l'aide des paires de menottes. Les voilà ligotées.
Je vais me vautrer dans le canapé pour regarder ce spectacle insolite et excitant. Les filles m'observent en silence. Superbe.
Je reste ainsi un long moment à les fixer dans les yeux, l'une après l'autre. Je me lève. Je viens m'accroupir devant Estelle.
Je scrute sous sa jupe. Sa culotte blanche illumine l'obscurité. < J'ai mes "petits machins" ! > chuchote t-elle comme gênée.

Je passe ma main entre ses cuisses. < Non ! On ne touche pas ! > s'écrie Estelle qui tente de resserrer ses jambes écartées.
J'obéis. Je me redresse pour ouvrir ma baguette. Je sors mon sexe. Je suis debout devant la jeune fille qui reste méfiante.
Je bande mou. Je dirige mon sexe contre son visage. Estelle se détourne. Elle me connaît. Elle anticipe. Elle sait mes vices.
Je l'attrape par ses cheveux noués en une longue natte. Je la tiens comme à la laisse. Je lui mets une gifle. Je me rapproche.
< Salopard ! > s'écrie Estelle lorsque je lui pisse au visage. Un petit jet, net, précis qui lui dégouline sur le haut du sweat...

Je me déplace pour faire la même chose à Clémentine qui ouvre grand la bouche. C'est ma compagne. C'est mon amour.
Je suis toujours un peu gêné d'avoir ce comportement avec la fille que j'aime. Elle le sait. Elle m'encourage avec un clin d'œil.
Je passe de l'une à l'autre. Je me vide sur leurs visages. Estelle me tend le sien en copiant toutes les attitudes de Clémentine.
Je lui passe longuement mon sexe sur le visage trempé. Elle m'en présente tous les angles en gémissant. Clémentine glousse.
Je glisse ma bite molle dans la bouche d'Estelle qui se met à sucer comme si sa vie en dépendait. Je caresse Clémentine. Joie.

Je passe de l'une à l'autre dans un concert de gémissements lascifs qui m'enchante. J'ai du foutre gluant qui dégouline. Fou !
De longs filaments épais et visqueux lient ma queue aux bouches des deux filles en s'écoulant sur leurs mentons, les sweats.
Je distribue quelques gifles. Les visages trempés, quelques cheveux leurs collent sur les joues, le front, il y a éclaboussures.
Ce ne sont jamais des actes violents. J'en serais bien incapable, mais ces gifles font parties du jeux qu'exigent les deux filles.
Et les deux coquines s'agitent de plaisir sur leur chaise. Je vais toucher le sexe de Clémentine. Il en dégouline de partout. Jus.

J'ai l'envie folle de lécher le sexe de Clémentine. J'adore ça. J'adore ses goûts, ses sécrétions. L'idée même m'enivre. Vertige.
Pourtant, ce n'est pas ça que désire ma compagne pour l'instant. Clémentine est une authentique "soumise" en devenir. Vice.
Souvent, lors de ses "confessions", ma compagne me fait part de cet étrange état d'âme qui l'envahit de plus en plus souvent.
Je me dois donc d'être à la hauteur de ce désir si fort, si prégnant et dont la demande est de plus en plus récurrente. Frayeur.
Pour Estelle, tout cela n'est qu'un jeu qui nourrit sa libido de masturbatrice. Elle m'avoue ne penser qu'à "ça". De se branler...

J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Je la laisse me vider en poussant des râles de ravissement. Elle me fait le "fond de cuve".
Je retire enfin mon sexe de sa bouche. A cause de mes positions, mes lombaires sont endolories, presque douloureuses. Rire.
Je lui pisse au visage. Cette fois Estelle ne tente pas de s'y soustraire. Elle déglutit tout ce qu'elle peut en gloussant de joie.
Nous restons ainsi un petit moment. Je détache les filles. Elles dégoulinent toutes les deux de pisse et de foutre abondant.
Je prends deux grandes serviettes posées sur le bureau par Clémentine qui sait de quoi il en retourne. Je les tends aux filles.

Elles s'essuient consciencieusement. < Le sèche-cheveux ! > s'écrie Estelle. Nous rions de bon cœur. Je monte le chercher.
Je redescends. Clémentine est vautrée dans le canapé. Cuisses écartées. Elle me montre son sexe et me fait signe de venir.
Estelle est vautrée dans le fauteuil. Chose assez rare, elle se touche. Elle qui passe tant de temps à se masturber en solitaire.
Je suis à genoux sur le coussin. Je pompe, je lèche, je suce le sexe incroyablement dégoulinant de Clémentine qui gémit. Joie.
Les deux filles gémissent à nouveaux en cœur. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. De vrais cris de bonheur.

Estelle est beaucoup plus discrète dans ses orgasmes. Je me retourne pour la regarde frissonner, ses mains entre les cuisses.
Il est 23 h. Nous sommes tous les trois épuisés. Nous montons à toute vitesse. Estelle va aux toilettes la première. Le pissou.
Clémentine et moi nous y allons à notre tour. Nous voilà couchés. Clémentine entre Estelle et moi. Estelle se "confesse". Bien.
Nous l'écoutons nous donner son ressenti. Elle ne tarde pas à s'endormir la première. Nous rions de l'entendre ronfler. Sympa.
Nous ne tardons pas à sombrer à notre tour. Serrés l'un contre l'autre. Clémentine m'a encore murmuré quantité de "secrets".

Bonne soirée de stupre, de luxure et de vice à toutes les coquines qui se sont offertes quelques frayeurs dans l'après-midi...

Julien - (Qui dort du sommeil du juste avec le sentiment du devoir accompli) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 254 -



Un dimanche froid, humide, avec Estelle qui fait comme chez elle...

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil de l'agréable mais surprenante façon habituelle lorsque nous sommes trois.
J'entends des chuchotements, des murmures et des rires étouffés. On me tient fermement par mon érection matinale. Sympa.
J'ouvre l'œil, et le bon. < Bonjour Julien ! > me font les deux coquines en même temps. C'est Estelle qui me tient par la queue.
Je me redresse soudain pour me mettre à quatre pattes entre les filles que je chatouille en poussant des grognements d'ours...
Estelle arrive à fuir jusqu'aux toilettes en riant. Clémentine me fait retomber pour me chevaucher en riant. Papouilles. Bonheur.

Estelle revient et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Nous l'entendons dévaler les escaliers à toute vitesse.
< On arrive ! > a juste le temps de lui lancer Clémentine qui m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. C'est le rituel pisseux.
Morts de faim, nous nous dépêchons de rejoindre Estelle à la cuisine. Déjà dans l'escalier l'odeur du café et du pain grillé. Bien.
Estelle porte son pyjama mauve. Nous sommes vêtus de nos T-shirt de nuit. Il est à peine huit heures. La météo épouvantable.
Je regarde le thermomètre extérieur. Il affiche exactement 0°. Le ciel est sinistre. Le sol est détrempé. Les branches luisantes.

Tout cela ne nous empêche pas de manger avec appétit. Nous bavardons. Nous échangeons nos ressentis. La soirée de hier.
< A refaire ! > fait Estelle en mimant une pipe. Elle me fait un clin d'œil. < Et dès que possible ! > rajoute encore Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsque Estelle dit : < Vous êtes un bon maître, "Maître" Julien ! >. En me tendant son pain à tartiner.
< C'est la météo idéale pour les occupations d'intérieur ! > fait ma compagne. Je propose de remettre ça pour cet après-midi.
< Bonne idée ! > font les filles presque en même temps. < En plus vicieux encore ! > conclue Estelle avec un autre clin d'œil.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine propose une séance vicelarde dès quatorze heures.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Comme tous les dimanches matins, c'est le ménage. Nous rangeons la cuisine.
Clémentine entraîne Estelle au salon. Je commence à faire la poussière et à laver. Tout est toujours très propre, et ça va vite.
J'entends les filles rires. Une fois encore l'animation dans la maison m'émeut et me ravi. Je lave les chiottes du bas. Serpillère.
Je sors l'aspirateur du placard. Je vais au salon. Clémentine est montée faire la chambre. Estelle est seule. Assise devant l'ordi.

< Julien, je m'éclate comme une folle à découvrir tes récits sur le forum ! Je nous reconnais bien ! T'es fou ! > me fait Estelle.
Je passe derrière elle pour constater qu'elle est entrain de lire mes histoires, ici, sur le forum. < C'est passionnant ! > dit elle.
Je passe l'aspirateur. < Hé ! > fait Estelle. Je me redresse, je me retourne. La jeune fille est debout, avec le pyjama descendu.
Elle mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité possible, sa culotte à mi-cuisses. J'agite mon index. Elle sourit.
< Tu vas me punir ? > me demande t-elle, ingénue. Je réponds : < Oui ! Cet après-midi, punie ! >. Nous rions de bon cœur.

Je continue mon occupation en passant soigneusement le tuyau de l'aspirateur sous les meubles. Je suis concentré. Poussière.
Soudain, on m'attrape par les couilles. Comme elle le fait très souvent, Estelle me tient fermement par les couilles. Douleurs.
Elle passe son autre main dans mon slip pour m'attraper par la queue. Estelle approche son visage pour dire : < Je t'aime ! >
Je la repousse doucement en lui disant : < Quand Clémentine n'est pas avec nous, tu dois rester bien sage ! Petite coquine ! >
< Tu vas me punir "grave", alors "Maître" Julien ! >. Nous rions de bon cœur. Elle serre mes couilles encore plus fort. Salope.

Elle arrive à me contourner pour m'embrasser d'une langue fougueuse et exploratrice. Plus besoin de me laver les dents. Rire.
Je la repousse délicatement. Je la saisis par ses cheveux pour l'entraîner derrière le bureau. Je la force à s'assoir sur la chaise.
Estelle a toujours son pantalon de pyjama et sa culotte descendu. Je constate que sa toison pubienne a super bien repoussé.
Je termine de faire la poussière. Je passe le plumeau. Je regarde Estelle. Elle se touche en me regardant avec gravité. Branle.
J'agite mon index. Je dis : < Il faut vous calmer mademoiselle ! >. < Je risque la surdité ? > dit elle. Nous rions de bon cœur.

Je monte rejoindre Clémentine qui est entrain de changer les draps. Les fenêtres ouvertes. Il fait plutôt froid dans la chambre.
Je raconte à ma compagne ce qui s'est encore passé au salon. < On va s'en occuper sérieusement cet aprème ! > me fait elle.
Je ramasse le tas de draps et de taies d'oreillers pour emmener le tout à la salle bain. Clémentine vient me rejoindre. Bisous.
Nous faisons la salle de bain ensemble. Je nettoie le lavabo, le bac à douche. Clémentine fait les carrelages muraux. Le bidet.
A plusieurs reprises ma compagne se serre contre moi pour me chuchoter : < Je t'aime ! >. Nous nous embrassons beaucoup.

Clémentine descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes de l'étage. Je passe la serpillère sur les sols. Tout est propre.
Je descends à mon tour. Les filles sont au salon. Elles sont derrière le bureau. Je les rejoins. Silencieuses sur le site de la Fac.
Elles étudient le programme plutôt chargé de la semaine prochaine. Clémentine et moi sommes vêtus de nos jeans, chemises.
Estelle est encore en pyjama. Elle nous laisse pour monter se changer. Clémentine est assise sur mes genoux. Elle me montre.
Sur l'écran je vois les sujets, le nom des profs et les horaires. Pas de doute, la semaine à venir sera bien remplie. Les études.

Estelle redescend. Quelle n'est pas notre surprise. Elle est vêtue comme hier soir. Jupe kilt, sweat, collants et souliers fermés.
< Qu'est ce qui te prend ? > lui demande ma compagne aussi étonnée que moi. < Je suis prête pour cet aprème ! > fait elle.
Les chemisiers et les pulls en coton portés par les filles hier soir sont à la machine. Nous l'évoquons en riant de bon cœur. Joie.
Il est onze heures trente. Je laisse les filles, studieuses et préoccupées par leurs cours pour aller à la cuisine. Les préparations.
Pour midi, je prépare une tarte aux champignons et à la purée de courgettes. Je prépare la pâte en premier. Avec du fromage.

Estelle arrive la première. Elle mime une masturbation masculine de sa main droite et une pipe de sa main gauche. Vulgaire.
< Je suis pressée de me retrouver avec ta queue dans la bouche ! > me fait elle. Je reste sidéré par tant de spontanéité. Vice.
Je dis : < Estelle, je te trouve de plus en plus entreprenante ! >. Elle s'approche : < Tu voudrais que je cesse ? Vraiment ? >.
Je ne sais quoi dire lorsque la jeune fille rajoute : < C'est de votre faute à tous les deux. Vous avez fait de moi une salope ! >
Clémentine arrive à son tour. C'est elle qui répond : < Nous n'avons fait que de te révéler à toi-même. Une vraie vicelarde ! >

Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Estelle émince l'ail et l'oignon. Clémentine s'occupe de la salade. Belle laitue.
La pâte repose sous son torchon dans un saladier dans l'endroit le plus chaud de la cuisine. Je lave et coupe les champignons.
Je coupe deux grosses courgettes en petits dés. Estelle a passé un tablier. Vêtue de sa jupe elle paraît insolite dans la cuisine.
J'adore la regarder maladroite dans ses soulier à talons. < Tu te moques ! C'est vilain ! > me fait elle. Je lui fais plein de bises.
Clémentine lui fait : < Quelle idée que de te mettre en jupe pour préparer la bouffe ! >. Nous rions de bon cœur. L'ambiance...

Estelle étale la pâte. Je coupe le feu sous la garniture. Clémentine termine l'assaisonnement des salades. Méthode. Efficacité.
Voilà la tarte au four. Nous passons au salon. Je suis vautré dans le canapé à côté de Clémentine serrée très fort contre moi.
Estelle a enlevé son tablier. Elle est assise dans le fauteuil. Pour la première fois je la vois cuisses largement écartées. Exhibe.
La jambe gauche sur l'accoudoir de gauche. La jambe droite sur l'accoudoir de droite. On voit sa culotte sous son collant clair.
Une parfaite imitation de Clémentine qui dit : < T'es une vraie salope aujourd'hui. C'est tes "petits machins" qui font ça ? >

Nous rions de bon cœur. Estelle répond : < Les écuries, vos histoires d'exhibes, "Maître" Julien, tout ça va me rendre folle ! >
< Moi je le suis déjà ! > lui fait ma compagne. Nous éclatons de rire. Je dis à Estelle : < Je veux te voir te branler après ! >
< J'ai ma serviette hygiénique ! > fait Estelle en me montrant la bosse dans sa culotte. < Mes "petits machins" ! > dit elle.
Estelle est encore vierge. Les tampons lui sont déconseillés. Ce qui ne l'empêche pas de s'adonner à d'incessantes branles.
< Je me touche même parfois discrètement en cours ou aux toilettes ! A la Fac ! > fait elle. Nous rigolons comme des bossus.

< C'est pour ça que tu vas aux chiottes dix fois par jour ! > fait encore Clémentine. < Woui ! > fait Estelle en éclatant de rire.
La sonnerie du four nous tire de nos amusantes conversations. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. Odeur. Bien.
Je mets la table. Estelle sort la tarte. Clémentine remue la salade. Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent études.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque le programme. Cours.
Estelle débarrasse. Elle plonge. Nous essuyons. Clémentine me montre discrètement les toilettes. Je comprends de suite. Bien.

Je vais au WC. Je me mets en position. Il n'est pas question de pisser. Je me garde pour la séance de l'après-midi. J'attends.
Je n'y suis que quelques instants qu'Estelle arrive. A peine est elle entrée que je la saisis par ses cheveux. Fermement. Fort.
La jeune fille ne s'y attendait certainement pas. Elle pousse un petit cri. Je la tiens par ses cheveux noués en queue. "Maître".
Je l'entraîne au salon pour lui faire faire le tour de la grande pièce. Nous contournons le bureau, la table. Trois tours. Ferme.
Clémentine est montée se changer. Je serre Estelle contre moi pour lui chuchoter : < Tu vas en baver, petite salope ! >. Joie.

Estelle m'embrasse avec sa fougue habituelle. Elle se frotte contre moi. Cambrée sur ses genoux fléchis elle se masturbe fort.
Clémentine redescend. Elle est vêtue de la même manière mais sans collants. Elle nous surprend dans cette situation. Branle.
Ma compagne se vautre dans le fauteuil. Elle dit : < J'arrive au bon moment ! >. Je force Estelle à refaire deux tours du salon.
Je lui soulève la jupe. Je lui attache les poignets derrière le dos. Je la force à se coucher sur le tapis. Sur le côté. Je l'attache.
Les chevilles entravées, les poignets menottés, la jeune fille me fixe, interrogative. Je lui mets un foulard de soie en bâillon...

A peine est elle bâillonnée que je passe ma main entre ses cuisses. Estelle déteste qu'on la touche. Elle se met à se débattre.
Je ne m'en laisse pas compter. Clémentine se masturbe en observant la scène. Estelle se met sur le ventre pour m'empêcher.
Je lui passe la main dans la culotte, je lui enfonce un doigt dans le cul. Elle s'agite comme une hystérique. Je la maintiens.
Estelle se retourne pour me lancer un regard fulminant de colère. Je me redresse. J'ouvre ma braguette. Je sors ma queue.
Je me mets à genoux. Je lui remets la main entre les cuisses qu'elle a beau serrer très fort. Je palpe la bosse dans sa culotte.

Je l'entends pousser des gémissements tout en cherchant à se dégager. Je lui pisse au visage. Elle ne s'y attendait pas du tout.
Je lui choppe les cheveux trempés pour la forcer à se redresser. Je lui frotte mon sexe sur le visage. Clémentine se masturbe.
Je dis : < Je vais m'occuper de ton cas cet après-midi, grande salope ! >. Estelle me lance de lourds regard sévères. Haineux.
Je lui mets une gifle. Comme elle a le visage trempé, ça éclabousse contre la paroi du bureau juste derrière. Je pisse encore.
Je lui ai vidé ma vessie sur le visage. Sa tête est trempée et dégouline partout. J'entends Clémentine gémir. Je mâte. Branle.

Je force Estelle à se relever en même temps que moi. Je lui retire le bâillon. Elle me crache immédiatement au visage. Mollard.
Estelle m'insulte avec force. < Espèce de salopard, salaud, vicelard, ordure ! > et d'autres joyeusetés. Elle aime tant vivre ça.
La jeune fille a attendu toute la matinée que tout cela lui arrive enfin. Je fais de mon mieux. Clémentine connaît un orgasme.
< Je ne veux plus que tu me touches entre les cuisses ! > me fait Estelle en serrant les dents de colère. Je lui mets une gifle.
Ce ne sont évidemment pas des actes de violence. Ces gifles font partie du jeu qui m'est demandé. C'est très difficile pour moi.

Estelle se laisse tomber à genoux sur l'épais coussin. Elle me regarde avec la même sévérité tout en ouvrant grand la bouche.
J'y enfonce mon sexe. Je reste immobile. Estelle se met à gémir. Tout en dégoulinant de pisse, la jeune fille pompe, gloussant.
Clémentine après avoir repris ses esprits se lève pour nous rejoindre. Elle m'embrasse en se frottant contre ma hanche. Douce.
< Merci pour le spectacle ! > me chuchote ma compagne. Cela n'échappe pas à Estelle qui pousse un petit cri de ravissement.
Nous restons ainsi un long moment. J'éjacule. Immobile. Sans prévenir. Estelle déglutit avec peine la quantité de foutre. Jouir.

L'après-midi tire déjà à sa fin. Estelle est entrain de se sécher les cheveux. Nous sommes tous les trois dans la salle de bain.
Il est 17 h. Clémentine propose de prendre une collation. La nuit est tombée. Estelle s'est changée. La voilà à nouveau sèche.
Nous descendons. Estelle vient se serrer contre moi et me dit : < Si tu savais ! Tout ce que tu me fais ! Je vais me branler ! >
Clémentine lui fait : < Tu as de nouveau de quoi te faire un film jusqu'au Week-End prochain ! >. Nous rions de bon cœur.
< Seulement jusqu'à mardi soir ! > corrige Estelle. Le dimanche s'achève dans l'atelier. Préparation pour la semaine à venir...

Bon début de semaine à toutes et à tous. Surtout si votre Week-End était "mouillant", juteux et hautement jouissif...

Julien - (Qui n'a de "Maître" que l'imitation qu'il en fait pour faire plaisir. Altruiste, partageur, bon et à l'écoute des demandes) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 255 -



Un début de semaine des plus agréables et des plus plaisants...

Hier matin, lundi, il est 5 h50 lorsque je suis tiré de mon sommeil par une horloge biologique qui me semble bien capricieuse.
Je regarde sur ma gauche. Clémentine commence à s'étirer longuement, gémissante. < Bonjour Julien ! > fait elle dans un cri.
< Bonjour Clémentine ! > que je fais en lui déposant plein de bisous sur le visage. Elle se serre contre moi. Douces papouilles.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner aux toilettes pour nos rituels pisseux. Nous descendons à la cuisine.
Morts de faim, nous y préparons et nous y prenons nos petits déjeuners. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant...

Nous faisons un rapide bilan de ce Week-End. L'inconnu de la bibliothèque, le serveur du restaurant. Et la présence d'Estelle.
< Cette période de ma vie est tout simplement géniale ! > fait Clémentine, assise sur mes genoux avec son yaourt au miel.
Je ne peux qu'abonder dans ce sens puisqu'il en va de même pour moi. C'est sur cette conclusion que nous remontons. Gym.
Nous nous offrons une heure d'entraînement intense. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine.
Le jour se lève. Il est 7 h45. Des bises. Un dernier coucou de la main et je regarde disparaître la voiture en haut du chemin...

Je rentre. Je fais la vaisselle. Je fais la chambre. Je redescends à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Il est 8 h15. Ouf.
Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins avec une passion qui m'enchante à chaque instant de lucidité. Dehors il fait froid.
Le thermomètre extérieur affichait 0° à huit heures du matin. Le ciel est lumineux mais gris. Les conditions de travail idéales.
Toute la matinée je remporte de nouvelles victoires de quart d'heure en quart d'heure. La sixième toile de la saison prochaine.
Il est midi. Je me prépare des coquillettes en grande quantité pour réchauffer ce soir. Une sauce au Roquefort et une laitue...

Je suis de retour à l'atelier dès 13 h pour continuer l'enchantement paradisiaque de ma séance de l'après-midi. J'avance bien.
Clémentine rentre un peu avant dix sept heures. Comme souvent, elle jette son sac sur la table et se précipite dans mes bras.
Assise sur mes genoux ma compagne me raconte sa journée. D'amusantes anecdotes étudiantes et les cours qu'il faut revoir.
Rapidement nous nous retrouvons dans le silence de l'atelier. Clémentine assise à la table entourée de ses affaires. Ordinateur.
Nous savourons chaque instant de ces moments privilégiés. Nos concentrations, nos souffles, nos soupirs et nos apnées. Bien...

Il est rapidement dix neuf heures. < J'ai faim ! > s'écrie Clémentine en se levant pour venir me rejoindre. Je cesse le travail.
Nous nous précipitons à la cuisine. Je mets les coquillettes dans un grand plat de terre cuite. Je recouvre de Parmesan. Epais.
Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Je prépare une sauce aux champignons. Nous bavardons tout en préparant. Joie.
A plusieurs reprises Clémentine se serre contre moi pour me chuchoter des douceurs. < C'était bien ce Week-End ! > fait elle.
Je lui propose de retourner à la bibliothèque dès vendredi après-midi. < Génial ! > s'écrie t-elle en sautillant autour de la table.

J'aime tant la voir heureuse. < Le premier janvier, dans un mois, ça fera un an qu'on vit ensemble ! > me rappelle t-elle. Joie.
Je lui promets que nous allons marquer ce premier anniversaire d'une fête qui restera gravée à tout jamais dans nos mémoires.
Nous serons probablement en Ecosse. Il sera beaucoup plus facile de fêter cet évènement d'une marque indélébile. Edimbourg.
Les coquillettes sont au four. Nous regardons la nuit noire au dehors. < Ma vie ici est merveilleuse ! > rajoute ma compagne.
Je lui dis : < Tu es une fille de 20 ans et tu apprécies tant cette vie loin de tout. Parfois, je trouve tout cela étrange ! >. Bises.

< Mais je n'aspire qu'à ça. Je me sens à l'abri ici, avec l'homme que j'aime ! > fait elle. Je dis : < Et un homme de 52 ans ! >
< Et alors ? C'est génial, non ? > rajoute t-elle encore. Elle se serre contre moi. Je la soulève pour la faire tournoyer en l'air.
Clémentine me couvre le visage de bises. Que pourrais-je bien rajouter à tant de détermination, de certitude et d'évidence ?
C'est la sonnerie du four qui nous rappelle que nous avons nos estomacs dans les talons. Clémentine met la table en chantant.
Je sors le gratin de coquillettes du four. Nous voilà assis à déguster un repas simple, frugal mais tellement délicieux. Pâtes.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte la nature de ses échanges avec Estelle au restau universitaire, à midi.
< Elle en veut encore. Elle n'en a jamais assez ! > me raconte ma compagne à propos de nos "séances de "dressages". Rires.
Estelle désire vivre tous les fantasmes qui animent ces masturbations solitaires, chez elle, dans sa chambre de fille de 20 ans.
Je dis : < C'est étrange aussi, ça, cette jeune fille qui n'a pas de petit copain, qui ne sort pas et qui passe ses Week-End ici ! >
< Oh, il y a bien Gauvin, le mec de Math physique qui lui tourne autour ! Mais elle ne veut rien savoir ! > confie Clémentine.

Nous rions de bon cœur des petites histoires que me confie Clémentine. Des choses intimes que je ne peux révéler ici. Privé.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie quantité de secrets concernant Estelle.
Je reste silencieux à écouter des révélations insolites, amusantes ou encore très excitantes. Je ne sais pas tout. Je découvre.
Je promets évidemment de garder tout cela pour moi et de continuer comme si de rien n'était. C'est un de nos petits secrets.
La vaisselle. Clémentine plonge. J'essuie. Comme souvent nos petites histoires nous ont considérablement excité. Superbe...

Nous passons au salon. Clémentine est serrée contre moi. Nous voilà vautrés dans le canapé. Elle m'a ouvert la braguette.
Je sors mon sexe. Je bande mou. Comme à chaque fois, Clémentine se penche pour l'observer. Je l'entends humer l'odeur.
C'est comme si c'était la première fois. Nous nous embrassons comme des fous. Comme une première fois. Passionnés. Joie.
Je propose un "broutage" de minou dans les règles de l'Art. Sans même répondre Clémentine retire son jean et sa culotte.
Elle jette le tout au loin en me chevauchant. < Je t'aime comme une folle ! > s'écrie t-elle ne pouvant contenir son bonheur.

Je pose l'épais coussin de velours carmin au sol. Je soulève Clémentine pour la déposer sur le canapé. Cuisses écartées. Belle.
Je suis à genoux entre ses cuisses. Je m'enivre des effluves parfumées de sa journée de fille. Le plus merveilleux parfum. Joie.
Je hume longuement. Je suis en proie à quelques vertiges. Odeurs fortes, intimes. De véritables phéromones. C'est sublime.
Clémentine m'observe en me tenant par les oreilles. Comme pour me guider. Presque craintive. Que va t-il encore se passer !
J'avance mon visage. La touffe dense et fournie me chatouille les joues, le nez et le menton. Je renifle comme un animal fou.

Je ne l'ai pas encore touché que Clémentine pousse un soupir sonore. Animée d'un frisson, elle avance son bassin. Humide.
Je passe ma langue sur les lèvres charnues de son sexe. Je fouille chaque pli, chaque repli avec passion. C'est un vrai régal.
Il y a là tous les petits miasmes de sa journée de fille. Un goût vinaigré, légèrement acide avec des substances fondantes.
Clémentine pousse des gémissements de plus en plus débridés. Je dois être vigilant. Pas d'orgasme prématuré. Je fais gaffe.
J'ai bien nettoyé cette zone. Je monte sur le clitoris géant dont la turgescence m'étonne toujours beaucoup. Une particularité.

Là aussi, je nettoie consciencieusement. < Attention ! > me fait Clémentine plusieurs fois en me repoussant délicatement.
Je cesse. Je retire mon jean et mon slip qui vont rejoindre ceux de ma compagne. Elle m'attire doucement sur elle. Un cri.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Comme toujours, nous restons parfaitement immobiles à nous fixer.
C'est intense, indéfinissable. Terriblement excitant. Nous en raffolons. C'est l'instant attendu par Clémentine. Confidences.
C'est dans ces moments que Clémentine me chuchote les choses les plus secrètes, les plus divines. Cela l'excite à la folie.

Je reste silencieux. J'écoute. Je me sens le plus heureux, le plus privilégié des hommes. Mon érection est toujours intense.
Nous n'avons pas besoin de nous secouer l'un dans l'autre comme des animaux pour nous offrir des sensations délirantes.
Nous nous sommes si bien trouvés. Deux parfaits cérébraux se livrant à la débauche en se jouant de leurs sexes. Géant !
Clémentine m'autorise à révéler là quelques uns de ses secrets d'alcôve. Il y est question de l'inconnu de la bibliothèque.
Ma compagne m'apprend à quel point ces situations lui procurent les plus folles émotions intellectuelles et sexuelles. Liées.

Aussi, l'idée même de retourner là-bas, vendredi prochain, anime ma compagne d'une réjouissance à nulle autre pareille.
Je dis : < Tu as conservé la carte de visite de ce mec ? Contacte le pour un rendez-vous ! >. Clémentine se met à bouger.
< Tu es fou ! > me fait elle en bougeant son bassin tout doucement. Je lui dis : < Tente ce "plan", ça peut être génial ! >.
Il y a un long silence. Seuls les gémissements de plaisir de ma compagne emplissent le silence. < Tu veux ? > me dit elle.
< Oui ! > que je lui fais d'un ton presque péremptoire. Je rajoute encore : < Et je te mets le collier canin avant d'y aller ! >

Que n'ai-je pas dis là. Clémentine accélère doucement pour cesser aussitôt. Elle veut mettre la barre encore plus haut.
Et la "barre" est d'une rigidité métallique. Je l'enfonce bien au fond sans bouger. Clémentine pousse de petits cris. Ravie.
Je lui chuchote des détails salaces. Elle portera le collier canin. Je propose même d'y attacher la laisse sous son sweat.
Clémentine glousse de plaisir. Elle me demande des détails, de raconter l'histoire. Nous sommes en pleine fiction. Joie.
La fille se remet à bouger. Je fais pareil. Nos mouvements sont en parfaite symbiose. Nous bougeons en rythme. Beau.

Là aussi, il faut cesser rapidement. Clémentine tient par dessus tout à se faire éjaculer dans la bouche. Je me retire. Bien.
Je m'installe confortablement. Clémentine, les mains entre ses cuisses, reprend ses esprits. Nous nous gardons pour le lit.
Nous restons un petit moment à nous serrer l'un contre l'autre comme les bienheureux que nous sommes. Retour au réel.
Clémentine m'entraîne à l'atelier. Elle doit terminer la mise au propre de ses notes. Je termine de ranger mes peintures.
Il est 22 h30. Nous montons. Les toilettes. La salle de bain. J'offre un cunnilingus à Clémentine. Elle me taille une pipe...

Bonne soirée de confessions intimes à toutes celles qui aiment se révéler à leur compagnon, à leur amant, à leur queutard...

Julien - (Qui aurait pu faire moine confesseur dans quelque monastère où les nones auraient avoué leurs "déviances") -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 256 -



La visite et la présence d'Estelle, le mardi soir...

Hier matin, mardi, ce qui semble devenir une constante se confirme. J'ouvre les yeux. Il est 5 h50. J'éteins le cube-Réveil.
Clémentine, avertie par son sixième sens, s'étire déjà dans un long gémissement qui s'achève dans un cri. Cela m'amuse.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en se serrant contre moi. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >. Elle me chevauche en riant.
Papouilles, douceur et tendresse interrompues par l'impérieux besoin de pisser. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Pipi.
Dès la fin de notre rituel pisseux, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Le petit déjeuner. Tout va très vite.

Je regarde le thermomètre extérieur. A nouveau une température sous glace. Il fait moins 2°. Pas de doute, c'est l'hiver.
Les radiateurs, contrôlés par thermostat, chauffent agréablement la maison. Il fait nuit. Dehors, tout est luisant. Humide.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Clémentine termine à midi. Nous chercherons Estelle pour 18 h. C'est bien.
Nous profitons de notre appréciable avance. Nous pouvons même évoquer notre projet de vendredi après-midi. Superbe.
Nous retournerons à la bibliothèque. Clémentine fera un message à l'inconnu dont elle a conservé la carte. L'expérience.

Nous remontons afin de procéder à notre entraînement. L'heure de gym intense. Aérobic, abdos et charges additionnelles.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue, sous son parapluie.
Bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h45. Je rentre en vitesse.
Le jour achève de se lever sous une météo épouvantable. Je fais la vaisselle. Je fais la chambre. Je descends dans l'atelier.
J'allume un feu dans la cheminée. Je suis assis devant mon chevalet. La sixième toile destinée à mon stock 2018. Bonheur.

Clémentine rentre. Toute contente. Bises. Il est 12 h15. Je suis entrain de faire la pâte pour la tarte aux poireaux du soir.
Je coupe les poireaux pour les mettre dans l'eau bouillante. Je prépare une Béchamel. Clémentine s'occupe de la salade.
Elle me raconte sa matinée. Les notes prises à toute vitesse qu'il lui faudra revoir et mettre au propre cet après-midi. Dur.
Je fais du pilpil de blé. Dans le reliquat de Béchamel, je rajoute du Roquefort. Voilà notre repas de midi qui est déjà prêt.
Nous mangeons de bon appétit. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me parle cours.

< Vivement les vacances de Noël que je puisse lever le pied ! > fait ma compagne. C'est vrai que le rythme est soutenu.
Les cours prennent fin le vendredi 22 décembre à midi. Nous avons notre avion pour Edimbourg samedi à 15 h. L'Ecosse.
Nous y passerons les fêtes de fin d'année, dans ma famille. Estelle nous rejoint le 26 décembre. C'est son cadeau de Noël.
Je suis entrain de tout organiser. < Tout est toujours si simple avec toi ! > me fait Clémentine. Nous faisons la vaisselle.
Je plonge. Clémentine essuie. Nous passons à l'atelier. Il y fait cette chaleur caractéristique du feu de bois. Et les odeurs.

Clémentine, serrée contre moi, m'embrasse longuement. < Je t'aime. Je suis si bien avec toi ! > me chuchote t-elle. Bises.
Je la soulève pour la faire tournoyer. Il est 13 h45. Clémentine est à la grande table de travail. Entourée de ses affaires.
Je suis assis devant mon chevalet. Il fait tellement sombre que nous travaillons avec les lumières artificielles. C'est l'hiver.
Nous travaillons dans ce silence que rien ne perturbe. Seuls nos respirations, nos souffles et nos soupirs habillent l'atelier.
Souvent en apnée, à cause de la concentration, nous nous soulageons dans de longues expirations. Cela nous amuse. Joie.

Parfois Clémentine se lève pour se tenir derrière moi. Elle passe ses bras autour de mon cou pour observer ma peinture.
Parfois c'est moi qui me lève pour aller voir l'avancée de son travail. Elle m'explique ce que je regarde sur l'écran de l'ordi.
L'après-midi de déroule ainsi, dans un recueillement qui nous permet de conserver nos confortables avances. Rassurant.
Il est 17 h45. Nous mettons nos anoraks, nos bonnets et nos gants pour aller chercher Estelle qui vient de faire un SMS.
Trois petits kilomètres que nous parcourons avec la petite auto de Clémentine. C'est agréable de nous changer les idées.

Estelle nous attend dans l'arrêt de bus, à une centaine de mètres de chez elle. Son sac à la main. Elle monte dans l'auto.
Toute contente d'être à nouveau avec nous, Estelle nous raconte son après-midi de travail dans l'entreprise familiale. Dur.
Nous sommes de retour pour 18 h10. Nous revenons dans l'atelier. Estelle se met au boulot immédiatement. Etudiante.
Il est 19 h. < Ras le cul ! J'ai hyper faim ! Fait chier ! > fait Estelle, déchirant le silence. Nous rigolons comme des bossus.
Morts de faim nous nous précipitons tous les trois à la cuisine. Estelle étale la pâte. J'y répand la garniture. Sauce figée.

Clémentine s'occupe de la salade. Les filles évoquent leurs cours. J'écoute en silence. C'est toujours si intéressant. Cours.
Estelle a beaucoup de mal à conserver son rythme. Elle doit aider sa mère au bureau lorsqu'elle n'a pas cours. Difficile.
Clémentine lui rappelle que dans quelques quatre semaines, c'est les vacances. L'Ecosse. Le dépaysement. L'aventure.
Estelle vient se blottir contre moi en me disant : < Merci Julien pour ce merveilleux cadeau ! >. Je suis ému. C'est beau.
Je dis : < Je m'occupe des réservations et des billets d'avion la semaine prochaine ! >. Estelle me couvre de bisous. Joie.

La Flamiche Picarde est au four. Thermostat sur 7 pour une cuisson à 350° sur une durée de 30 minutes. La table est mise.
Nous passons au salon. Clémentine est vautrée dans le fauteuil. Estelle est assise à ma gauche sur le canapé. Bavardages.
La jeune fille pose sa main sur ma braguette. Je l'ouvre. Elle y fourre Sa main tout en conversant. Nous rions de bon cœur.
Estelle me sort la bite tout en parlant des cours de demain. Clémentine évoque le prof de math qui semble être exigeant.
Tout en bavardant, Estelle me tient fermement le sexe. Je bande mou. C'est comme un tuyau qui dépasserait de sa main.

Doucement, mais sûrement, je me mets à bander. Un vrai démonte-pneu de camion. Estelle me le tient fermement. Fort.
Tout en discutant avec sérieux, la jeune fille me la tord dans tous les sens. Et comme elle sait que ça fait mal, vers le bas.
J'écoute en silence la conversation animée. Clémentine propose à Estelle de lui mettre les notes au propre sur la clef USB.
Un appréciable gain de temps qui ne demande aucun supplément de travail. Estelle pourra réviser sans recopier sur Word.
Je regarde souvent Estelle. Les expressions de son visage tout en parlant. Les mouvements de sa bouche et de ses lèvres.

C'est passionnant. Parfois elle tourne la tête, amusée de mes attentions d'entomologiste. < Quoi ? > demande t-elle. Rire.
Je dis à chaque fois : < Rien ! >. Sourire. Comme toujours lorsque je bande cinq minutes une goutte de jus perle au bout.
Estelle regarde et me fait : < On jute, le salaud ? >. Nous rions de bon cœur. L'écoulement du liquide séminal augmente.
Je suis très juteux, aussi, avec l'excitation, les épanchements de jus deviennent constants. Il en coule sur la main d'Estelle.
Tout en bavardant, Estelle se lèche le côté de sa main pour en récupérer le foutre. Clémentine que tout cela excite, sourit.

Estelle se penche pour sucer. Elle récupère tout ce qu'elle peut. Clémentine me fait un clin d'œil en levant son pouce. Joie.
La sonnerie du four nous rappelle aux réalités prosaïques de l'existence humaine. Nous nous précipitons à la cuisine. Faim.
Estelle sort la tarte aux poireaux du four. Une magnifique et odorante Flamiche Picarde. Clémentine remue la salade. Bien.
Nous voilà assis à savourer ce repas. La conversation continue. Toujours axée sur les cours, la fac, le programme. J'écoute.
Estelle me fait plusieurs clins d'œil. Parfois, de sa main droite, après avoir posé son couteau, elle mime une pipe. Vulgaire.

Nous mangeons de bon appétit. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque la soirée.
Estelle débarrasse. Elle fait la plonge. Nous essuyons. Avant de retourner à l'atelier, nous nous offrons une séance au salon.
Estelle manifeste une telle envie de sucer qu'il serait malvenu de la priver de son dessert. Nous reprenons les mêmes places.
Clémentine, que tout cela excite toujours considérablement, a passé sa main droite dans son jean déboutonné. Elle regarde.
Estelle a posé l'épais coussin de velours carmin au sol, entre mes jambes, devant le canapé. Ce sont des moments intenses.

Je retire mon jean et mon slip. J'ai la bite qui dégouline de foutre épais, visqueux et gluant. Une longue coulure y est collée.
Estelle me la tient entre le pouce et l'index de la main droite. De la main gauche, elle me maintient les couilles. Fermement.
Clémentine se penche souvent en avant. Elle se déplace sur sa gauche pour mieux observer ce que fait Estelle qui s'affaire.
Dans ces situations, rien n'excite davantage ma compagne que d'observer mon comportement. C'est un peu son film préféré.
Estelle ne tarde pas à s'engouffrer mon chibre gluant. Je la regarde sucer, les yeux fermés, passionnée par sa pipe juteuse.

Nous nous retrouvons souvent dans cette situation tous les trois. Et pourtant ce n'est jamais répétitif. C'est impossible. Joie.
Clémentine commence à souffler de plus en plus fort. Et après de longues apnées. Le plaisir de la masturbation est évident.
J'entends les gargouillis bulleux dans la bouche de ma suceuse qui déglutit avec peine en poussant de petits gémissements.
Ce concerto en gémissements majeurs est la plus merveilleuse musique qui soit. Et en stéréophonie elle est sublime. Belle.
Je caresse la tête à Estelle qui pousse à présent de petits cris de ravissements en déglutissant l'abondance des secrétions.

Je lui demande : < Tu t'es masturbée hier soir en rentrant ? >. Elle cesse de sucer pour me répondre : < Tous les soirs ! >
Clémentine est obligée de cesser sa masturbation. Et de plus en plus souvent. L'orgasme la guette. Elle se garde pour le lit.
Il est 21 h. Je propose aux filles de remettre tout ça à jeudi soir et de retourner travailler un peu à l'atelier. Excellente idée.
< Heureusement que tu es sérieux pour trois ! > me fait Estelle en se séchant les coins de la bouche. Clémentine se lève.
J'entraîne les filles en les tenant par leur nuque. Toutes les deux en gloussent de plaisir. Nous voilà aux choses sérieuses...

Nous travaillons dans un silence monacale. Je sens ma bite trempée qui colle au fond de mon slip. Il est rapidement 22 h15.
Il faut ramener Estelle qui est ravie d'avoir pu terminer ses révisions. La séparation est difficile dans le froid de la nuit. Pluie.
Sur le chemin du retour, Clémentine joue avec ma queue. Nous sommes pressés de nous livrer à nos sexes. Excités. La folie.
Les toilettes. La salle de bain. Nous voilà au lit. Un "69" et Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec précautions. Joie.
Tous deux immobiles, Clémentine se "confesse". J'écoute. C'est merveilleux. Cunnilingus, orgasme. Puis la pipe. C'est dodo...

Bonne soirée de révisions à toutes les étudiantes qui savent s'offrir des pauses fellation entre deux séances de travail...

Julien - (Qui assure son rôle de "moniteur" pour jeunes filles délurées. Jeunes filles vicelardes, goûteuses mais majeures) -

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Les jours se suivent dans une douce quiétude et dans la sérénité...

Hier matin, mercredi, ce qui semble devenir une certitude se déroule une fois encore. J'ouvre les yeux à 5 h50. Il fait nuit.
Clémentine qui me sait déjà réveillé s'étire en gémissant. Elle ponctue dans un cri : < Bonjour Julien ! >. Elle se serre fort.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je à peine le temps de dire qu'elle me chevauche en riant. Les papouilles avant les toilettes.
Dès nos rituels pisseux achevés, nous descendons à toute vitesse à la cuisine. Nous y préparons notre petit déjeuner. Faim.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe des tranches de pain que je fais griller. Premières odeurs matinales.

Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le bilan de la veille. Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Il fait froid.
Nous profitons de notre légère avance pour prendre un peu plus de temps. Nous montons pour notre entraînement. Gym.
Une heure d''exercice en intensité maximale. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Froid.
Elle me rejoint chaudement vêtue. Des bises. Il est 7 h45. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre.
Je fais la vaisselle. Je fais la chambre. Je vais à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Le jour s'est levé. Déjà 8 h15.

Je peins dans l'allégresse animé d'un enthousiasme indécent. Je termine aujourd'hui la sixième toile de mon stock 2018.
Je travaille avec une fougue constante, remportant de nouvelles victoires de quart d'heure en quart d'heure. Formidable.
Il est rapidement midi. Je prépare des aubergines farcies au pâté de lentilles. Six. Pour pouvoir en réchauffer quatre ce soir.
Du millet doré en accompagnement. Je suis de retour à l'atelier pour 13 h15. Je suis tellement pressé de travailler. Plaisir.
Clémentine rentre un peu avant dix sept heures. Après avoir jeté son sac sur la table elle se précipite vers moi. Des bisous.

Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. J'écoute les amusantes anecdotes de sa vie d'étudiante. Bien.
< Je ne contacte pas l'inconnu de la bibliothèque ! Je ne veux rien commencer ! Le hasard c'est mieux ! > me confie t-elle.
J'écoute en souriant. Clémentine rajoute encore : < S'il doit y avoir une suite ce sera pure coïncidence ! Pas de plan ! >.
Nous rions de bon cœur de cette évidence absolue. Je la rassure en disant : < C'est une excellente décision ! J'adhère ! >.
Nous retournerons à la bibliothèque vendredi après-midi pour 14 h. < S'il est là tant mieux pour lui ! > fait ma compagne.

Je termine ma sixième toile pour 18 h45. Clémentine est à la table de travail entourée de ses affaires, devant l'ordinateur.
< Je suis morte de faim ! > s'écrie t-elle soudain. Ma compagne vient de mettre ses notes de la journée au propre. Word.
Nous filons à la cuisine à toute vitesse. Il n'y a qu'à réchauffer les aubergines farcies bien calées dans le millet doré. Four.
Clémentine prépare la salade, je fais l'assaisonnement. Je rappelle à Clémentine que nous devions manger chez Juliette.
C'est remis à demain soir. Nous y serons avec Estelle. Pour vingt heures. Je mets la table. Clémentine remue la salade...

Nous mangeons de bon appétit. Le repas est un vrai délice. C'est souvent meilleur lorsque c'est réchauffé. Plus savoureux.
Nous bavardons. Nous pouvons prendre notre temps. Ma compagne me raconte la conversation de midi avec Estelle. Rire.
< Ta bite est devenue son Doudou ! Elle n'arrête pas d'en faire l'éloge ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Joie.
Ma compagne rajoute en venant s'assoir sur mes genoux : < Mais ta bite est avant tout ma meilleure amie à moi ! >. Rire.
Tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me raconte l'impatience d'Estelle de refaire un tour aux écuries. Gérard.

Estelle manifeste également le désir fort de nous accompagner à la bibliothèque. Si elle peut se libérer vendredi après-midi.
Nous évoquons cette possibilité en imaginant la situation et son bon déroulement. Clémentine a déjà pensé à tout cela. Bien.
< Estelle pourrait "naviguer" de l'un à l'autre ! Mais je ne pense pas qu'elle pratiquera l'exhibe ! Voyeuse ! > fait Clémentine.
Tout cela nous enchante. Ces petits plans en prévision vont encore pimenter les jours à venir. Le Week-End s'annonce bien.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine conclue : < Avec de tels trucs, pas de déprime, pas de dépression ! >.

Nous faisons la vaisselle. Je plonge, Clémentine essuie. < Tu me mets le collier et la laisse, vendredi ? > me demande t-elle.
< Je crois que j'en ressens le besoin et l'envie. Tu veux bien Julien ? > rajoute ma compagne en m'entraînant au salon. Joie.
J'ouvre le jean de Clémentine pour lui glisser la main dans la culotte. Je lui murmure : < Je te propose un broutage ! >. Rire.
Clémentine retire son jean et sa culotte qu'elle jette au loin. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre de bisous.
Je la fais tomber dans le canapé dans lequel elle se vautre, les cuisses largement écartées. Je dépose l'épais coussin au sol.

A genoux entre les jambes de ma compagne, j'approche mon visage de la touffe pour en humer les effluves parfumées. Bon.
Les odeurs sont fortes et annoncent déjà les saveurs qui m'attendent là. Les parfums m'enivrent rapidement. Je renifle. Joie.
Clémentine, comme sur la défensive, me tient par les oreilles. J'enfonce mon visage dans l'épaisse toison pubienne. Sympa.
Les poils me chatouillent, me grattent le nez, les joues, le menton. J'adore cette petite lutte pour accéder aux lèvres du sexe.
C'est mouillé. Il y a déjà de la cyprine qui perle. Je lèche pour ne pas la laisser s'écouler dans la raie culière. C'est savoureux.

Je passe ma langue dans l'épaisse touffe de la raie culière. Un mélange de sueur et de foutrine me picote la langue. Délices.
Clémentine est déjà à gémir doucement. Je viens fouiller du bout de la langue chaque pli et repli des lèvres de son sexe. Bon.
Il y a ce goût vinaigré, légèrement acidulé et ces petites substances fondantes. Je savoure sa journée de fille. Odeurs, goûts.
Clémentine me guide, adroite, prudente, afin de bien contrôler son plaisir. Et le mien. Je prends mon dessert en dégustant.
Je fini par nettoyer consciencieusement le sexe de Clémentine qui suinte de cyprine gluante et visqueuse. Dégoulinante. Jute.

Le jus d'une fille de 20 ans est tout simplement l'extraordinaire élixir de jouvence tant chanté par les alchimistes. Les poètes.
Je m'en prends une superbe dose. Tant que je ne m'occupe pas de son clitoris géant, Clémentine maîtrise parfaitement. Bien.
C'est lorsque je monte nettoyer les plis et les replis de son étonnant bouton que la situation devient beaucoup plus critique.
Il faut faire gaffe. Le clitoris de Clémentine est d'une taille exceptionnelle. Semblable à la dernière phalange d'un gros doigt.
Il y a comme un petit gland décalotté lorsque la fille est excitée. Il y a là d'étonnantes petites choses à goûter. Fondantes...

Clémentine et moi, nous avons une préférence pour les rapports génitaux buccaux. Rien ne nous enchante davantage. Bien.
Le cunnilingus constitue l'absolue félicité de ma compagne. Comme elle me le précise souvent, c'est sa source d'inspiration.
A la fois récréative, son plaisir et son aboutissement, la jouissance provoquée par le cunnilingus est pour elle incomparable.
Nous ne sommes pas des baiseurs et la pénétration ne nous préoccupe jamais. Comme elle, je n'en ressens nul besoin. Fou.
Lorsque nous sommes l'un dans l'autre, c'est un acte purement cérébral. L'idée d'avoir ma bite en elle est un acte cérébral...

Lorsque je m'occupe de son clitoris géant, il me faut le faire avec une grande prudence. Tout orgasme prématuré est interdit.
Aussi, lorsque Clémentine me repousse délicatement, le corps agité de frissons, en disant : < Attention ! > il me faut cesser.
< C'est à moi ! > me fait elle soudain en me forçant à me relever pour venir m'assoir à ses côtés. Elle reprend ses esprits.
J'aime l'entendre retrouver une respiration normale. Elle me prend la main pour que je puisse sentir son cœur qui bat si fort.
< Je t'aime ! > me fait elle avant de m'embrasser avec fougue et passion. Nos langues font l'amour à nos bouches en extase.

Clémentine ouvre ma braguette. Je veux retirer mon jean. < Non ! Garde le, s'il te plaît. Juste ta bite à l'air ! > me fait elle.
Je bande. Les cunnilingus me provoquent des érections démentielles et d'abondants épanchements de liquide séminal. Jute.
Clémentine se met à genoux sur le coussin. < Juste ta bite qui sort de ta braguette, ça m'excite, si tu savais ! > me dit elle.
Me tenant par les hanches, elle me force à me lever. Je la regarde humer longuement les odeurs de ma journée d'homme.
Les yeux fermés, se régalant déjà des effluves parfumées qui montent à nos narines, Clémentine pousse des gémissements.

Je tiens ma queue à sa base pour lui caresser le visage avec. Je la passe consciencieusement partout, la maculant de foutre.
Je passe une main sous son menton, l'autre sur sa nuque. Je m'introduis doucement, avec précaution. Clémentine glousse.
Je regarde cette jeune fille de 20 ans qui partage ma vie depuis près d'un an. Je prends conscience que c'est toujours neuf.
Je n'en reviens toujours pas de ce privilège si rare. Mais c'est dans ses situations que j'en ai toujours une conscience aiguë...
Ses joues creusées par l'effort de succion, Clémentine déglutit avec peine en poussant de petits cris de ravissement. Plaisir.

Je me fais tailler une pipe des familles. Clémentine se régale. La passion. Parfois elle ouvre les yeux. Regard reconnaissant.
Je lui caresse la tête. Je lui murmure des douceurs. Je lui décris mes sensations, mes émotions, la progression du plaisir...
Gémissant d'aise, ponctuant mes descriptions de gloussements amusés, Clémentine me suce comme si sa vie en dépendait.
Nous restons ainsi in long moment. Il est 21 h. Je propose à Clémentine de nous garder pour le lit et de retourner à l'atelier.
Elle se redresse avec un air tristounet. Je me masse le bas du dos. Elle m'entraîne à l'atelier. Nous terminons de tout ranger.

Il est rapidement 22 h15. J'ai posé la septième toile sur mon chevalet. Je commence le dessin préparatoire demain matin.
Clémentine a terminé de mettre ses notes au propre sur Word. Tout le cours. Elle en fait une copie. Clef USB pour Estelle.
Nous montons à toute vitesse. J'ai gardé ma bite à l'air. Clémentine me fait pisser en savourant les derniers reliquats. Jute.
Je me régale de ses derniers reliquats. Salle de bain. Nous voilà au lit. "69" juteux. Petite baise de circonstance pour l'esprit.
Je termine Clémentine avec un cunnilingus. Orgasme délirant. Elle me termine par une pipe d'anthologie. Orgasme et dodo...

Bonne soirée à savourer vos sexes juteux à toutes et à tous. Sans omettre de bien vous maîtriser afin de faire durer...

Julien - (Docteur Honoris Causa du léchage de minou. Diplômé en cunnilingus. Spécialiste de l'orgasme par broutage) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 258 -



Une soirée chez Juliette, devant un bon repas, ça faisait longtemps...

Hier matin, jeudi, j'ouvre l'œil le premier. J'entends Clémentine s'étirer. J'allume la lampe de chevet. Il est 5 h50. Nuit.
J'éteins le cube réveil afin d'éviter de l'entendre sonner inutilement. < Bonjour Julien ! > fait Clémentine en gémissant.
< Bonjour Clémentine ! > que je dis lorsqu'elle se serre contre moi avant de me chevaucher en riant. Douce papouille.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Dès la fin de nos rituel pisseux, nous descendons à toute vitesse.
Le petit déjeuner. Le thermomètre extérieur affiche moins 2°. A l'intérieur il fait 20°. Radiateurs à thermostat. Sympa.

Depuis quelques jours, avec cette nouvelle horloge biologique qui semble s'installer, nous avons 10 minutes d'avance.
Cela nous permet de prendre un peu plus de temps pour manger de bon appétit tout en bavardant. Nous en profitons.
Nous faisons le bilan de la journée passée et le programme de celle qui nous attend aujourd'hui. La soirée chez Juliette.
Tout cela est réjouissant. Je vais préparer le dessert. Une tarte aux noix qui remporte toujours son petit succès le soir.
Clémentine rentrera de cours avec Estelle pour 16 h50. Elles travailleront un peu jusqu'à 19 h. Le timing parfait. Bien.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Gym. Aérobic, abdos, charges additionnelles. L'intensité.
La douche. Je descends pour sortir la petite voiture de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le jour s'est levé.
Il est déjà 7 h45. Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde l'auto disparaître en haut du chemin. Je rentre.
Je fais la vaisselle. Je fais la chambre. Je redescends à l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.
Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je commence le dessin préparatoire de la septième toile. Saison 2018.

Je travaille dans l'allégresse glorieuse. Jamais auparavant je n'avais accumulé tant d'avance à cette période de l'année.
Décidément, l'arrivée et la présence dans mon existence de Clémentine est bénéfique à tous points de vue. Onze mois.
Il est rapidement midi. Je me prépare du riz complet que je fais éclater à sec en remuant en "8" avec une spatule. Bois.
Je rajoute quatre volumes d'eau bouillante. Immédiatement, dans un bruit explosif, un nuage de vapeur se dégage. Bien.
Je mets un couvercle, j'éteins le feu et je laisse gonfler. Je prépare une sauce au Roquefort. Béchamel. Une belle laitue.

Dès la fin de mon délicieux repas, vaisselle terminée et cuisine rangée, je retourne dans l'atelier. Il est à peine 13 h15.
Je profite de cette nouvelle avance pour terminer le dessin de ma nature morte. Je vais pouvoir commencer à peindre.
Il est 16 h50. Je n'ai pas vu les heures défiler. J'entends du bruit. C'est Estelle qui entre la première en se précipitant.
< Bonsoir Julien ! > me fait elle, toute contente en s'asseyant sur ma jambe gauche pour me couvrir le visage de bises.
Clémentine arrive à son tour pour s'assoir sur ma jambe droite afin de me couvrir le visage de bisous. Douce tendresse.

Les filles me racontent leur journée d'étudiante. Les cours, les profs, Gauvin qui drague Estelle dans l'amphi, au restau U.
J'écoute les amusantes anecdotes en souriant. Gauvin, ce jeune étudiant de 22 ans qui tourne autour d'Estelle. Insistant.
Nous rions de bon cœur lorsque la jeune fille dit : < Je veux un Julien. Je ne veux pas d'un D'jeune ! Aucune chance ! >.
Je dis à Estelle : < C'est peut-être un Julien en devenir et c'est de ton âge ! >. Elle me répond : < Pas question ! Rien ! >
Clémentine et Estelle sont assises à la table de travail, entourées de leurs affaires, devant l'ordinateur. Séance de travail.

Nous apprécions tout particulièrement de nous retrouver tous les trois dans le silence. Studieux. Concentrés. Productifs.
Parfois, l'une des filles vient derrière moi, ses bras autour de mon cou, pour regarder ce que je peins. Souffle dans le cou.
Parfois, c'est moi qui passe derrière les filles pour leur caresser la nuque en regardant ce qu'elles font. Elles m'expliquent.
Clémentine et Estelle mettent au propre les notes prises, souvent à toute vitesse, pendant les cours dans l'amphi. La Fac.
Il est rapidement dix neuf heures. < Stop ! Plein le cul ! > fait Estelle. < Dans le cul ! Jamais ! > fait Clémentine. Rires...

Nous montons pour nous changer. Dehors il fait nuit. Le thermomètre extérieur donne à peine 6°. Il faut en tenir compte.
Clémentine porte son choix sur une jupe noire, presque droite. Un chemisier blanc sous un pull de laine épaisse et noire.
Des collants d'épais coton noir. Ses bottes noires à talons hauts. Je la trouve sublime. A la fois élégante et sexy. Si belle.
Estelle a la même taille que Clémentine, flirtant avec le mètre quatre vingt. Elles peuvent porter les mêmes vêtements.
Aussi Estelle met une jupe carmin, un chemisier crème sous un pull brun. Des collants d'épais coton noir. Souliers noirs.

Sur la demande de Clémentine, je mets mon costume de velours marron. Mes souliers bruns. Nous serons en manteaux.
Nous nous regardons dans le miroir. < Wouah les gens ! On va casser la baraque ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur.
Estelle me palpe la braguette et me fait : < Tu nous fais voir comment c'est lorsque tu es en costard ! >. Nous rigolons.
J'ouvre ma braguette. Je sors ma bite que je laisse pendre, longue et molle en tenant les filles par les hanches. Rigolade.
< C'est génial ! > fait Estelle en s'accroupissant à ma gauche. Clémentine s'accroupit à ma droite. < Porno ! > fait elle.

Nous restons ainsi devant le miroir dans ces positions en rigolant comme des bossus. < Je fais une photo ! > fait Estelle.
Je suis debout entre les deux filles accroupit de chaque côté. J'ai les mains posées sur leurs têtes. Elle me tiennent fort.
Chacune m'enlace, les bras autour de mes jambes, la tête posée contre mes cuisses. < On fait ça ce soir ! > fait Estelle.
< Aux écuries ? > demande Clémentine. < Oui et déjà chez Juliette ! > répond Estelle. Nous rigolons comme des bossus.
Estelle me tend son téléphone pour que je prenne quelques photos dans cette situation. Je bande mou. Les filles sourient.

Il est 19 h45. Il est grand temps d'y aller. Nous partons avec la petite auto à Clémentine. Il fait de plus en plus froid. Nuit.
Nous arrivons au haras pour 20 h. Il y a encore deux voitures et la cour est déserte. Juliette nous attend devant la porte.
Nous nous serrons la main. Nous sommes contents de nous revoir. Juliette s'est revêtue de la jupe kilt ramenée d'Ecosse.
Elle est élégante et nous félicite de l'être aussi. Juliette a préparé deux tartes. Une aux champignons. Une au thon. Miam.
Accompagnées de salade de crevettes, c'est absolument délicieux. Nous bavardons. Juliette nous parle des travaux. Haras.

La construction de la quatrième écurie sera terminée pour la fin du mois de janvier. Elle pourra accueillir 25 chevaux. Bien.
Tout cela demande de transformer les infrastructures. < Vous n'imaginez pas les tracas administratifs ! > nous fait Juliette.
< Entre les mesures de sécurité, les contrôles vétérinaires obligatoires, les aménagements imposées ! Le délire ! > dit elle.
Nous écoutons. C'est impressionnant. Nous comprenons mieux le peu de disponibilité de Juliette. Et ses longs silences. Dur.
La conversation devient plus légère lorsque nous évoquons aux écuries. Et monsieur Gérard, le palefrenier vicelard. Rires.

C'est surtout Estelle qui se met à décrire, avec enthousiasme les petites aventures vécues il y a deux semaines. Exhibitions.
Clémentine me fait du pied. Estelle décrit les situations vécues là avec un luxe de détails qui nous enchante. Même Juliette.
< Ah ! Si j'avais votre âge les filles, je prendrais un plaisir fou à venir m'encanailler avec vous ! Et le temps ! > fait Juliette.
La jeune femme me lance un étrange regard en biais. Clémentine ne cesse de me faire du pied discrètement sous la table.
Tout cela nous excite considérablement tous les quatre. Juliette pose quelques questions précises et surtout bien vicelardes.

Juliette connaît bien son palefrenier et sait les frasques dont il entoure sa réputation sulfureuse de vieux vicelard de 65 ans.
Pourtant elle est toujours étonnée et amusée des anecdotes que lui raconte Estelle décidément passionnée de descriptions.
Nous écoutons avec ravissement Estelle raconter les plus croustillants détails de nos aventures aux écuries. Nous rions bien.
< Et vous Julien, vous êtes bien installé dans le box, sans le cheval ? > demande Juliette. Je la remercie pour son attention.
En effet, il me suffit de faire un courriel annonçant notre venue pour que Juliette déplace le cheval afin de me laisser le box.

< On va y faire un tour, si vous voulez, après ! > dit Juliette. Les filles s'écrient presque en même temps : < Oh génial ! >.
Nous savourons la tarte aux noix que j'ai ramené. N'ayant pas eu le temps de préparer, j'en ai pris une du congélateur.
Je l'ai laissé décongeler toute la soirée sur un linge. Un délice avec une infusion de verveine. Nous bavardons beaucoup.
Il est rapidement 21 h15. Juliette nous propose d'aller aux écuries. < Monsieur Gérard n'est plus là ! > nous précise t-elle.
Nous descendons. Nous traversons la cour. Juliette nous emmène devant l'écurie en construction. C'est encore un chantier.

Nous sommes vêtus chaudement. Nous entrons dans l'écurie habituelle. Avec la chaleur animale c'est bien plus supportable.
Nous allons au fameux box où je suis caché pendant les frasques des filles et du palefrenier. Juliette écoute nos explications.
Estelle, une fois de plus, se plaît à donner quantité de détails sur la fois où monsieur Gérard a passé son sexe dans le trou.
Juliette écoute en riant. < Et vous Julien ? Vous êtes confortablement là à observer en cachette ! Voyeur ? > me fait Juliette.
Je précise que je ne suis pas vraiment voyeur. C'est surtout la meilleure manière de sécuriser les deux filles dans leurs jeux.

Je dis à Juliette : < Je vous remercie d'ailleurs pour votre complicité ! >. Clémentine rajoute : < Oui, c'est génial, merci ! >
< Si je peux rendre service ! > fait Juliette. Nous rions de bon cœur. Estelle mime une masturbation masculine. Vulgaire.
< Pendant ce temps, Julien s'occupe ! > fait encore Estelle. Juliette me lance un regard en biais avec un étrange sourire.
La jeune femme rajoute : < Il faut que je prenne le temps de venir dans ce box avec Julien ! >. Nous rions de bon cœur.
Je lui fais : < Avec plaisir. Et quand vous voulez ! >. Juliette répond : < Quand je peux, surtout ! Et ça, c'est pas gagné ! >.

Nous remontons dans l'appartement de Juliette. Une dernière tisane. Il est 22 h lorsque nous prenons congé. Il faut y aller.
Je propose à Juliette de venir manger à la maison. Qu'elle me fasse un courriel pour me donner une date où elle est libre.
Nous revenons à la maison. Nous nous changeons rapidement. Nous ramenons Estelle. Il est déjà 22 h30. Il fait hyper froid.
Estelle va faire le nécessaire pour nous accompagner à la bibliothèque vendredi. Elle nous fait un courriel pour confirmer.
Au retour. Les toilettes. La salle de bain. Au lit, un "69" appétissant. Petite baise. Confessions. Cunnilingus. Fellation. Dodo.

Bonne visite dans vos écuries préférées à toutes les coquines qui aiment à vivre là, d'étonnantes situations vicelardes...

Julien - (Qui, discrètement, sur la demande de Clémentine et d'Estelle, a passé toute la soirée avec la braguette ouverte) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 259 -



Pour Clémentine, le vendredi, dès midi, commence le Week-End...

Hier matin, vendredi, sans doute inconsciemment, pour éviter la sonnerie du réveil, j'ouvre l'œil bien avant. Il est 5 h50.
Clémentine est certainement animée de ce même réflexe car je l'entends s'étirer longuement en gémissant. Je regarde.
J'allume la lampe de chevet. J'éteins le réveil. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine. Je dis : < Bonjour Clémentine !>
Nous nous serrons très fort l'un contre l'autre avant que Clémentine ne me chevauche en riant. Tendresse et papouilles.
Elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux terminés, nous descendons à toute vitesse. La cuisine.

Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Les premières odeurs.
Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Nous faisons un rapide bilan de notre soirée de hier chez Juliette. Joie.
Nous établissons le programme de la journée à venir. Ma compagne revient en fin de matinée pour midi dix. Très sympa.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos, charges additionnelles. Intensité maximale.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le jour se lève.

Il est 7 h45. Bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il fait très froid.
Je rentre. Je fais la vaisselle. Je fais la chambre. Je redescends à l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. C'est sympa.
La thermomètre extérieur affiche moins 2°. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins avec un enthousiasme délirant.
La peinture de la septième toile destinée à ma saison 2018. Il faut m'entendre pousser des cris de joie passionnée. Fou.
Il est midi. Je vais à la cuisine. J'épluche les patates, les navets et les carottes pour une bonne potée. Clémentine arrive.

< C'est Week-End ! > s'écrie ma compagne en se précipitant dans mes bras. Je la soulève. Elle me fait plein de bisous.
< Cette semaine c'était dur ! Ouf !C'est fini ! > fait elle encore. Clémentine s'occupe de la salade. La potée est sur le feu.
Ce soir, nous n'aurons qu'à réchauffer. Ma compagne me raconte sa matinée. J'écoute les amusantes anecdotes. Sympa.
Pendant la cuisson, nous passons au salon pour allumer l'ordinateur. Il y a le courriel d'Estelle. Elle est libre l'après-midi.
Nous passerons la prendre pour 13 h45 avant d'aller en ville, à la bibliothèque. Nous répondons, enthousiastes et amusés.

Il y a un message de Juliette qui nous remercie pour la soirée de hier. Elle nous donnera une date où elle pourra venir.
Nous répondons. Dans nos réponses, nous mettons toujours une ou deux photos de nous deux en pièce jointe. Attractif.
Nous retournons à la cuisine. Tout est prêt. Je mets la table. Clémentine remue la salade. Nous mangeons de bon appétit.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Fébrile à l'idée de notre après-midi, elle m'entraîne à l'étage, dans la chambre.
Nous nous mettons en tenues. Sur la demande de ma compagne, j'ai mon costume de velours marron. Mes souliers bruns.

Clémentine porte une jupe d'épais velours frappé, bleue nuit. Un épais pull de laine bleue nuit sur un fin chemisier blanc.
Ses épais collants noirs. Ses collants "trafiqués" dont elle a soigneusement pratiqué une ouverture à l'entre jambes. Vice.
Accroupie, ma compagne me montre. L'ouverture permet de découvrir sa toison pubienne. Une ouverture d'environ 15 cm.
On ne s'en rend pas compte immédiatement mais rapidement on découvre que c'est son sexe et non pas une culotte noire.
C'est fabuleux. Une fois encore je la félicite pour son imagination, sa mise en pratique et son invraisemblable culot. Rires.

Ses bottes noires à talons hauts achèvent de donner à Clémentine une silhouette terriblement attractive et sexy. Superbe.
Ma compagne m'entraîne devant le miroir. < Regarde un peu comme on est beaux tous les deux ! Génial ! > me fait elle.
Clémentine m'entraîne à toute vitesse. Nous descendons. Nous prenons ma voiture. Plus confortable et bien plus chaude.
Nous arrivons à l'arrêt de bus où nous attend Estelle. Une centaine de mètres de chez elle. Elle a son grand sac de sport.
Estelle, assise sur la banquette arrière, ses bras autour de mon cou, nous fait part de sa joie d'être avec nous jusqu'au soir.

A peine neuf kilomètres et nous voilà en ville. Je gare la voiture dans la petite rue habituelle. 5 minutes de la bibliothèque.
Il fait froid. Estelle est vêtue d'un jean, d'un gros pull et de hautes chaussures sous son épais anorak et l'écharpe de laine.
Clémentine et moi portons nos manteaux. Nous marchons vite. Nous montons le grand escalier qui mène à la grande salle.
Le vendredi après-midi, la bibliothèque est très peu fréquentée. Nous nous séparons. Estelle et moi nous restons ensemble.
Clémentine se dirige vers le coin des fauteuils de lecture. Estelle et moi nous allons dans le dernier rayonnage. "Histoire".

Il y a deux jeunes filles qui chuchotent dans l'allée voisine. Il y a un couple de séniors qui choisissent des magasines. Bien.
Il est à peine 14 h15. Estelle et moi, nous regardons Clémentine parcourir les allées entre les rayons. Très peu d'animation.
Estelle, en chuchotant, me fait part de son ressenti. Il y a deux jeunes étudiants qui arrivent. Ils s'installent devant un ordi.
Il ne se passe pas grand chose. Même la dame, là-bas, assise derrière son bureau, à l'accueil, semble s'ennuyer. Bâillant...
Clémentine vient nous rejoindre. Il y a un type qui arrive. La trentaine un peu bedonnante. Vêtu d'un anorak et d'un jean.

Coiffé d'un bonnet, il tient ses gants à la main. L'inconnu semble chercher quelqu'un du regard. Il avance plutôt lentement.
Il s'arrête un instant devant le présentoir des journaux. Il feuillette un magasine. Il louche vers les deux jeunes filles assises.
< Celui-là ! C'est sûr ! > fait Clémentine en nous laissant pour passer dans l'autre allée, parallèle à celle où nous sommes.
Estelle me chuchote : < J'ai des frissons, tu sens ? >. Elle me donne sa main. Je constate. Nous regardons entre les livres.
Le type porte un anorak bleu. Il vient de retirer son bonnet. Il s'avance vers les rayons du fond où nous sommes planqués.

Il passe tout près de nous. Estelle et moi faisons mine de feuilleter des livres. L'homme ne prête aucune attention à nous.
Il nous dépasse pour mâter des bouquins au bout du rayonnage. Estelle me pousse du coude pour me montrer Clémentine.
Ma compagne qui a anticipé l'arrivée probable du quidam dans le rayon où elle est seule, s'est mise en positions. Accroupie.
Le type quitte notre allée pour entrer dans celle de Clémentine. Nous scrutons en retenant nos respirations. Le type mâte.
Estelle me chuchote : < Je n'aurais jamais le courage de faire ça ! >. Je lui dis : < Pourtant tu l'as fais cet été en vélo ! >...

Clémentine est accroupit en feuilletant un livre dont elle tourne les pages délicatement. Ses cheveux dissimulent ses traits.
Le type reste à distance. Il louche vers la jeune fille à s'en déboîter les globes oculaires. Estelle me fait : < Il se touche ! >
Je regarde. Effectivement le mec se tripote la braguette en faisant semblant de regarder des bouquins. Clémentine insiste.
Tournée de trois quart vers le mec, ma compagne offre à sa vue le dessous de sa jupe, cuisses écartées. Une exhibitionniste.
< Put-Hein ! C'est fou ! > me chuchote Estelle. Le type se rapproche. Il regarde partout autour de lui. Prudence de Sioux !

Estelle a pris ma main. Je peux sentir les battements de son cœur. Nous sommes tous deux très excités par ce qui se passe.
Le mec s'est accroupit à son tour. Lui aussi veut en admirer encore davantage. Clémentine, prudente, écarte au maximum.
< Put-Hein, mais comment elle fait pour reste calme ! > me chuchote Estelle de plus en plus fébrile. Je lui dis : < Chut ! >.
L'inconnu, se redressant soudain très rapidement, ouvre sa braguette. Il en sort un sexe tout petit, luisant mais en érection.
< C'est fou ! Regarde, elle ne bouge pas ! > me chuchote Estelle. En effet Clémentine reste stoïque à feuilleter son bouquin.

Le type se tourne bien droit vers la jeune fille. Cambré sur ses jambes fléchies il agite son sexe dans la direction de la fille.
Clémentine lève la tête. < Put-Hein ! Mais comment elle fait, je partirais en courant ! > me chuchote Estelle en tremblant.
Nous sommes tous deux accroupis à tenter de discerner le mieux possible ce qui se passe de l'autre côté. Estelle me tient.
Nous avons tous deux le cœur qui bat la chamade. Clémentine fait face à l'inconnu. Accroupie, cuisses écartées. Immobile.
Le type n'en est certainement pas à son coup d'essai. Les bibliothèques sont le terrain de chasse de mecs parfois louches.

Le mec se rapproche. Il est à environ deux mètres de la fille. Clémentine garde la tête relevée pour bien observer le mec.
Ce dernier agite son sexe. < Put-Hein ! Un vrai vicelard ! > me chuchote Estelle. Nous nous déplaçons pour mieux voir.
Le mec se rapproche encore. D'une incroyable vulgarité il se cambre. Nous l'entendons dire à voix basse : < Une pipe ? >
Estelle est en apnée. Elle tente de souffler en silence. Je sens sa main frissonner. L'inconnu se rapproche encore. C'est fou.
Clémentine n'aurait qu'à s'avancer légèrement pour sucer le salaud. Elle se redresse pour éviter que tout cela dégénère.

Clémentine, chaussée de ses bottes à talons hauts, dépasse le type d'une bonne tête. Ce qui impressionne le salopard.
Il remballe son sexe à toute vitesse. La crainte d'être dénoncé sans doute. Il se détourne en disant : < Excusez-moi ! >
< Tu fais ça souvent ? > lui lance Clémentine avant qu'il ne s'en aille. L'homme reste silencieux, consterné sans doute.
Clémentine mime une masturbation masculine en rajoutant : < Tu viens souvent ? Vendredi prochain ? >. Long silence.
Le type, après un moment de surprise bien compréhensible, répond : < Je peux revenir si vous le souhaitez ! >. Silence.

< Je serais là vendredi prochain, ok ? > fait Clémentine en s'accroupissant rapidement, cuisses largement écartées. Fou !
Elle se redresse immédiatement sans écouter ce que pourrait bien répondre le type qui s'en va rapidement vers l'escalier.
Clémentine vient nous rejoindre. < T'es folle ! > fait elle à Clémentine qui répond : < Oui et c'est une délicieuse folie ! >
Nous rions de bon cœur. Peut-être davantage pour reprendre nos esprits que par amusement. Je félicite Clémentine. Bien.
Nous quittons les lieux. L'élégant sexagénaire exhibitionniste de vendredi dernier n'est pas venu. Nous voilà dans le froid.

Nous rentrons. Clémentine n'arrête pas de se toucher dans la voiture. Estelle, sur la banquette arrière, tient mon sexe.
Nous sommes considérablement excités. Il est 17 h30 lorsque nous sommes de retour à la maison. La nuit est tombée.
Les filles ont du travail. Mettre au propre leurs notes de la matinée. Aussi je leur propose de passer à l'atelier. Boulot.
De plus, cela nous permet de revenir à la réalité. Nous nous gardons pour ce Week-End. Il sera "chaud" malgré le froid.
Nous voilà rapidement absorbés dans nos labeurs. C'est fort plaisant. < J'ai faim ! > s'écrie Estelle. Il est déjà 19 h15.

Nous nous précipitons à la cuisine. Il suffit de réchauffer la potée. Estelle fait l'assaisonnement. Clémentine fait la salade.
Je mets la table. Les filles évoquent leurs cours. comme si elles évitaient pudiquement d'aborder le sujet "Bibliothèque".
Nous mangeons de bon appétit. C'est Estelle qui évoque notre aventure de l'après-midi. < Tu as fait fort ! > fait elle. Joie.
Nous rions de bon cœur. < Tu reviens avec nous, vendredi prochain ? > lui demande Clémentine. < Oh oui ! > dit Estelle.
La vaisselle. Nous retournons travailler. Nous ramenons Estelle pour 22 h. Au retour, cunnilingus, fellation, baise et dodo.

Bonne visite à la bibliothèque à toutes les étudiantes coquines qui savent ce qu'elle peuvent quelquefois y rencontrer...

Julien - (Qui est souvent impressionné par les situations créées par Clémentine qui s'exhibe avec classe et plaisir) -

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Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 260 -



Les premières décorations des fêtes de fin d'année un peu partout...

Hier matin, samedi, je suis réveillé par plein de bisous sur le visage. J'ouvre l'œil. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine.
Je la serre contre moi en disant : < Bonjour clémentine ! >. Nous nous offrons un florilège de papouilles. Douces et tendres.
Après m'avoir chevauché en riant, Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes pour nos amusants rituels pisseux.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il est à peine huit heures. Nous préparons notre petit déjeuner. Sympa.
Tout va très vite. Nous sommes méthodiques. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de la semaine. Plutôt bien.

Ma compagne évoque évidemment notre petite aventure de hier, vendredi après-midi, et ses situations hyper excitantes.
Je raconte à Clémentine les attitudes d'Estelle lorsque nous étions, elle et moi, entrain de mâter l'exhibe de ma compagne.
Clémentine écoute, amusée et avec beaucoup d'intérêt. < Elle adore voir ! > fait ma compagne. Nous rions de bon cœur.
Nous faisons notre vaisselle. Dehors il fait gris. Le thermomètre extérieur indique moins 3°. Il est à peine 8 h30. Il fait froid.
Nous décidons d'éviter d'aller courir dans le froid glacial. Nous préférons remonter pour nous entraîner à l'étage. Gym. Joie.

Une heure d'entraînement avec intensité maximale. Aérobic, abdos, charges additionnelles. Nous aurions préféré le jogging.
La douche. Nous avons une confortable avance. Il est 9 h45. Nous voilà bien chaudement vêtus pour aller faire nos courses.
Clémentine porte les mêmes vêtements que hier. Avec son fameux collant "bricolé". Je porte le même costume en velours.
Nous voilà en route. Nous arrivons au bourg. Je gare l'auto. Il y a du monde au marché. Nous faisons nos achats très vite.
Nos fromages, les œufs, le beurre et la crème. Nos fruits et nos légumes. Il fait froid. Même chaudement vêtus. Détestable.

Nous prenons la direction de la zone commerciale près de la ville. Déjà sur le parking du supermarché, plein de décorations.
< Je déteste cette période de fêtes. Les décorations partout, ça me fout la gerbe ! > me fait Clémentine. Je pousse le caddie.
Il y a du monde. Des démonstrateurs dans tous les rayons alimentaires. Des annonces incessantes pour les promos de fêtes.
En générale toutes ces choses me laissent d'une indifférence abyssale. Cela ne représente strictement rien pour moi. Sapins.
Par acquis de conscience, au cas où il se présentait quelques opportunités exhibes, Clémentine m'entraîne au rayon culturel.

Il y a du monde. Il y a les rayonnages qui présentent les articles des fêtes. Il est impossible de s'offrir quelques frayeurs.
Frustrée, Clémentine nous entraîne au rayon des vêtements homme. Là aussi, il faudrait être folle pour montrer sa chatte.
< Put-Hein, je déteste de plus en plus la mauvaise saison. Le printemps, vite ! > fait Clémentine. Nous passons à la caisse.
Je propose à ma compagne que je vois un peu agacée de traîner un peu dans le centre commercial. Le salon de thé est plein.
Il faut donc se faire une raison. Pas de petites situations sulfureuses à créer ici aujourd'hui. Je propose un restaurant en ville.

< On a tellement de bonnes choses à manger à la maison. Viens, on rentre. Tant pis ! > fait Clémentine en nous entraînant.
Nous voilà en route pour rentrer. Nous passons devant le chantier désert. Nous passons devant le haras. Quelques voitures.
Il est midi trente lorsque nous garons la voiture devant le garage. Le froid persiste et il y a même un vent glacial. L'horreur.
Nous rangeons nos courses. Nous préparons notre repas. Clémentine s'occupe des salades. Je fais bouillir l'eau. Coquillettes.
Je prépare une sauce au Bleu d'Auvergne. Clémentine met la table. A plusieurs reprises nous nous serrons très fort. Bisous.

Clémentine, avec son optimisme et sa bonne humeur naturelle n'est pas du genre à être tristounette. Le rire à le dessus.
< Je me vengerais d'une façon ou d'une autre de cette fatalité ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur. Nous voilà à table.
Je propose à Clémentine de retourner en ville cet après-midi. Nous pouvons nous faire quelques salons de thé. Explorations.
Ma compagne m'écoute silencieusement. < Tu as envie de ressortir avec ce temps ? > demande t-elle. Nous réfléchissons.
Je dis : < C'est comme tu veux ! C'est une question de volonté. Le tout est de s'y mettre ! S'y mettre, en voiture et hop ! >.

< Le tout est de six mètres ! Jusqu'au dehors ! > dit Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Nous faisons la vaisselle.
Il fait bien chaud dans la maison. Nous manquons certainement du courage nécessaire pour ressortir. Un peu lâches. Rires.
Clémentine m'entraîne à l'atelier. Nous allumons le feu dans la cheminée. Rapidement l'envie de bosser un peu nous anime.
Je suis assis devant mon chevalet. Clémentine est assise à la table, entourée de ses affaires devant l'ordinateur. Concentrée.
Nous voilà à travailler en silence. C'est un réel plaisir que de vivre cette nouvelle séance. Nous l'apprécions à sa juste valeur.

Parfois, l'un d'entre nous se lève pour venir se placer derrière l'autre. Pour voir. Clémentine m'explique ce que je vois. Ecran.
< Je suis entrain de chercher toutes les informations pour prendre de l'avance sur les cours à venir ! > me confie t-elle. Ordi.
Nous avons une confortable avance par rapport aux années passées. Nous en déduisons que c'est notre vie commune. Bien.
C'est une sorte d'émulation bénéfique qui nous permet d'avancer dans nos activités avec une assurance réjouissante. Super.
Nous mettons tout cela sur le compte de notre besoin d'êtres toujours rassurés. Un fonctionnement commun. Mêmes élans...

Il est rapidement 17 h30. Mon téléphone m'averti d'un message. C'est un texto d'Estelle. Nous allons la chercher. Il fait nuit.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus, emmitouflée dans son anorak, sa grosses écharpe, son bonnet, ses jeans et bottes.
La jeune fille se précipite dans la voiture, tout heureuse de se retrouver à nouveau avec nous. Elle a juste son petit sac à dos.
Son sac de sport contenant des vêtements de change est déjà à la maison. Estelle nous raconte son après-midi au bureau.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle nous dit : < Ma mère est contente que je l'aide à la compta ! Super ! >

Nous sommes de retour à la maison pour 17 h45. Nous rentrons à toute vitesse. Il y a quelques flocons de neige. L'horreur.
Nous nous mettons à la préparation de notre repas du soir que nous voulons savoureux. Des pizzas "maison" à notre façon.
Estelle prépare la pâte. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare les garnitures. Les filles évoquent la bibliothèque, hier.
< J'aime bien les mecs qui montrent leur bite dans les endroits les plus insensés ! > fait Estelle, mimant une masturbation.
J'ouvre ma braguette, je sors ma bite et je lui fais : < Comme ça, dans le style ? >. Nous rigolons comme des bossus. Joie.

Estelle, en s'essuyant les mains, se précipite en contournant la table. Elle s'accroupit devant moi. J'agite mon sexe en riant.
< J'aime les vicelards. C'est un privilège d'en connaître un dans l'intimité ! > rajoute Estelle en me présentant son visage.
< Oh là ! On se calme les vicieux ! > fait ma compagne en venant s'interposer. < Debout, vicieuse ! > dit elle à Estelle. Rire.
Nous continuons nos préparatifs. Il faut laisser la pâte lever au moins 30 minutes sous un linge, dans un saladier au chaud.
Je prépare de grandes coupes glacées que je remets au frigo. Estelle met la table. Clémentine prépare l'assaisonnement...

Nous passons au salon. < J'ai une envie de bite ! > fait Estelle en se vautrant à côté de moi dans le canapé. La pâte monte.
Clémentine est vautrée dans le fauteuil. Nous bavardons. J'écoute surtout. Les filles parlent du programme des cours à venir.
J'ai ma braguette ouverte. Je sors ma bite. Estelle s'en saisit immédiatement. Fermement. Elle me la tord tout en bavardant.
A plusieurs reprises, lorsque la jeune fille me la tord vers le bas, je m'écrie : < Ouïe ! >. Elle fait : < Il a mal le vicieux ? >.
Il est temps d'aller préparer les pizzas et de les mettre au four. Nous allons à la cuisine. Estelle ne me lâche pas la queue.

Estelle étale la pâte. J'y mets la garniture. Clémentine, debout derrière moi, a pris le relai et me tient le sexe. Fermement.
Les pizzas sont au four. Nous retournons au salon. Nous avons trente minutes. Nous reprenons nos places. Les bavardages.
Je bande comme le dernier des salauds. Estelle me tient le sexe. Elle continue à me torturer en le maintenant vers le bas.
Parfois, en tenant l'extrémité de ma bite entre son pouce et son index, elle me branle, accélère, cesse, recommence. Vice.
Clémentine a passé sa main droite dans sa culotte, jean déboutonné. Les filles évoquent les écuries, la bibliothèque. Sexe.

La sonnerie du four retentit enfin. Nous nous levons. Estelle m'entraîne sans me lâcher la queue. Nous nous précipitons.
Je sors les pizzas. Clémentine remue la salade. Estelle me tient la bite. Nous voilà assis à savourer notre délicieux repas.
Nous faisons le programme de la semaine à venir. Je propose aux filles d'aller au marché de Noël, demain, premier jour.
Je précise qu'il se pourrait bien que nous trouvions l'occasion d'un "plan" exhibe. < Excellent ! > s'écrie Clémentine. Joie.
< Génial ! > rajoute Estelle. Nous irons en ville dès la fin du repas, demain. Nous nous promettons de belles émotions...

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Les filles vont au salon pendant que je termine de ranger la cuisine. Serpillère.
Je les entends rire. Je les rejoins. Clémentine fait lire nos récits à Estelle qui me fait : < Julien, tu en dis beaucoup trop ! >
Elle dit : < Je fais un dédoublement de la personnalité. Je deviens bipolaire. J'aimerais m'appeler Estelle pour de vrai ! >.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Le pseudo Clémentine me va bien ! C'est moi ! Tu es Estelle ! >
Estelle rajoute encore : < C'est vrai que nous nous reconnaissons bien derrière nos pseudonymes ! C'est bien descriptif ! >

Je me cambre, fléchi sur mes jambes pour déposer ma bite sur le bureau. < Pas besoin de pseudo, elle ! > rajoute Estelle.
Nous rigolons comme des bossus. Je me redresse. J'agite ma queue devant les filles. Estelle fait : < Je vais écrire aussi ! >
Clémentine lui fait : < Tu vas enfin prendre un pseudo et t'inscrire sur le forum ? >. Estelle dit : < Sous pseudo de mec ! >
Nous rions de bon cœur en évoquant des pseudos plus ridicules les uns que les autres. Estelle mâte ma bite avec envie.
Clémentine me fait un clin d'œil en mimant une pipe et en pointant discrètement son pouce en direction d'Estelle. Compris.

Je fais à l'attention d'Estelle : < Je dois pisser fort, tu viens avec moi aux chiottes ? >. Estelle se lève immédiatement. Rire.
Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Elle me prend par la queue pour m'entraîner aux toilettes. Clémentine nous suit.
< J'ai des vêtements de change ! > me fait Estelle en me faisant un clin d'œil avant de s'accroupir à ma droite. Vicelarde.
Clémentine se serre contre moi, sur ma gauche, en se frottant doucement contre ma hanche. Nous nous embrassons. Fou.
Estelle, son visage à quelques centimètres de mon sexe qu'elle pointe vers le bas. Je bande comme le dernier des salauds.

Souvent animé d'une arrière pensée bien vicelarde quand je sais qu'Estelle est avec nous, je me retiens de pisser. Difficile.
Là, je dois pisser depuis au moins quatre heures. Il est vingt heures trente. Je laisse le lecteur se faire une idée précise.
Je n'ai pas à me concentrer longtemps. Je présente la particularité de pouvoir pisser en état d'érection. Pas toujours. Hélas.
Aussi, je lâche un premier jet. C'est brûlant tellement je dois pisser. Estelle la tient et fait : < C'est génial, je sens le jet ! >
Clémentine cesse de m'embrasser afin que nous puissions tous deux regarder ce que fait Estelle qui se met à genoux. Joie.

Dès que je cesse de pisser, Estelle prend mon sexe en bouche pour le sucer comme si sa vie en dépendait. Un second jet.
Ce sont de tous petits jets afin de permettre à la jeune fille de déglutir sans en perdre la moindre goutte. Je maîtrise bien.
A chaque jet, Estelle pousse un râle de dégoût. Du moins, c'est comme ça qu'il nous faut l'interpréter. Une vraie suceuse.
Clémentine se frotte contre ma hanche, fléchie sur ses jambes qu'elle serre autour des miennes. Je lâche des petits jets.
Estelle pousse des gémissements, de petits cris et ne cesse de glousser. Je caresse sa tête. Clémentine et moi regardons.

Il est difficile de continuer à contrôler les multiples jets. Dur. Car chacun d'eux me presse à me soulager complètement.
Aussi, à présent, le besoin de me vider devient incontrôlable. Je bande mou. C'est parfait. Estelle ne peu plus tout avaler.
Nous la voyons risquer de se noyer, de la pisse lui coulant sur le menton, toussant, manquant de s'étouffer. L'abondance.
Lorsque j'ai la bite molle, que je suis excité, il y a quantité de liquide séminal qui se mélange aux urines. Estelle apprécie.
A présent, ce qui dégorge aux coins des lèvres de sa bouche pleine est opalescent, gluant, visqueux, jaunâtre. Dégueu...

Clémentine que tout cela excite toujours terriblement s'est penchée pour voir de près tout ce que tente d'avaler Estelle.
J'ai fini de pisser. Il y en a parterre, Estelle est à genoux dans une flaque. Sa chemise et son jean mouillés. Dégueulasse.
Quelques mèches de ses cheveux, pourtant attachés en queue, lui collent sur les joues, le front, ruisselant dans son cou.
Clémentine, de plus en plus excitée, souffle comme un animal. J'adore sentir son souffle dans mon cou. C'est si excitant.
Je bande mou. Je sens pourtant que mon sexe, congestionné par la succion d'Estelle, ne va pas tarder à se raidir. Grossir.

Je profite de cet état pour lâcher mon sperme dans une longue coulée. Ce sont des éjaculations particulières. Hyper bien.
D'éjaculer ainsi, sans bander, après la pisse, me procure d'indicibles sensations. Estelle s'en régale comme une démente.
Cela ne semble plus cesser. Heureusement que Clémentine me tient à la verticale. Je suis inondé de vertiges délirants.
Je sors ma queue dégoulinante de mélange de la bouche d'Estelle qui tente de m'en empêcher. Je la force à se relever.
< Aïe, ouille ! > fait la jeune fille en se massant les genoux. Clémentine connaît un orgasme. C'est à moi de la retenir...

Estelle a le visage maculé de mélange. Elle me fait un sourire désarmant. Comment fait-elle pour ne pas se masturber ?
Nous sommes tous les trois dans un tel état d'excitation ! Nous nous traînons lamentablement jusqu'à la salle de bain.
Estelle se change. Le sèche-cheveux à la main elle ne cesse de me fixer d'un regard à la fois reconnaissant et amoureux.
Clémentine et moi, assis sur le rebord de la baignoire, nous l'observons. Clémentine tient mon sexe long et tout mou.
Estelle termine de sécher ses cheveux. Il est 22 h30. Nous sommes épuisés. Le lit. Nous nous endormons rapidement...

Bonne soirée de jute pisseuse à toutes les jeunes filles, (majeures), qui aiment se régaler dans le dégoût bien excitant...

Julien - (Pisseur et juteur fou pour jeunes filles, (majeures), qui aiment à siroter du jus épais, visqueux et jaunâtre) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 261 -



Promenade au marché de Noël du bourg...

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des chuchotements et des rires étouffés. Une habitude à trois.
Une des deux coquines tient fermement mon érection matinale et physiologique. On me couvre le visage de doux bisous.
J'ouvre l'œil et le bon. < Bonjour Julien bandeur ! > me font les filles en même temps. Elles ont préparé leur coup. Rires.
< Bonjour ! > que je fais en me redressant pour me mettre entre les deux filles tout en poussant des grognements d'ours.
Je les chatouille. C'est devenu le rituel des dimanches matins. J'adore les voir rire toutes les deux. C'est un tel bonheur.

Estelle parvient à s'enfuir jusqu'aux toilettes tout en riant. Clémentine me chevauche en riant aussi. Je n'ai plus qu'à rire.
Nous nous offrons des papouilles. De douces tendresses. Estelle revient et nous fait : < Je descends préparer la bouffe ! >
< On arrive ! > lui dit Clémentine qui m'entraîne aux toilettes. Dès nos rituels pisseux terminés, nous descendons. Faim.
Déjà dans l'escalier, l'odeur du pain grillé et du café embaume l'espace de ses effluves parfumées. Nous rejoignons Estelle.
La jeune fille est vêtue de son pyjama en soie mauve. Clémentine et moi nous sommes vêtus de nos longs T-shirts de nuit.

Il est à peine huit heures. Le jour s'est levé. Le ciel est gris mais lumineux. Le thermomètre extérieur indique moins 3°.
Il fait bien chaud à l'intérieur, 20°. Les radiateurs à thermostat fonctionnent dès 5h30. Estelle me fait plein de bisous.
Nous voilà assis. Tel le patriarche biblique, je beurre les tranches de pain grillé que me tendent les filles. Confiote. Miel.
Nous bavardons. Les filles évoquent leurs cours et le programme de leur semaine. J'écoute religieusement. Intéressant.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine nous rappelle notre projet de cet après-midi...

Nous irons au marché de Noël qui ouvre les festivités pour son premier jour. Le bourg est distant de trois petits kilomètres.
Nous partirons pour 14 h. Peut-être irons nous également à celui de la ville voisine à quelques douze kilomètres. Pas sûr !
C'est dimanche. Jour sans entraînement, sans jogging et sans exercice. Nous traînons à table. Le dimanche matin, ménage.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Je termine de ranger la cuisine. Les filles vont au salon. Je les entends rigoler.
Je lave. Nous maintenons toujours une grande propreté partout dans la maison. Les choses vont donc très vite. Le ménage.

Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les sol carrelés. Cuisine, toilettes et le hall d'entrée. Tout est propre.
Je sors l'aspirateur du placard mural pour l'emmener au salon. Estelle est toute seule derrière le bureau devant l'ordinateur.
< Je suis entrain de lire les récits sur ton Blog. J'adore l'aventure à la Bibliothèque avec Nathalie ! > me fait Estelle. Rires.
Elle rajoute : < T'es abonné aux étudiantes, toi ! Elle était aussi belle que Clémentine, cette Nathalie très exhibitionniste ? >
Nous rions de bon cœur lorsque je dis que toutes les filles un peu salopes me semblent belles. Je rajoute : < Comme toi ! >

Je branche l'aspirateur. Clémentine est à l'étage à faire la chambre. Je passe l'aspirateur consciencieusement. Bien partout.
C'est lorsque je m'y attends le moins qu'Estelle, qui s'est glissée silencieusement derrière moi, m'attrape par les couilles.
Je me redresse. Elle glisse son autre main dans mon slip. < Je t'aime Julien ! > me fait la jeune fille que je saisi fermement.
Je l'entraîne derrière le bureau et je la force à s'assoir en disant : < Quand Clémentine n'est pas avec nous, c'est interdit ! >
< Tu vas me punir, alors ? > me fait elle d'un air innocent. Je continue mon ménage. Chiffon et plumeau sur les meubles...

Tout cela est devenu une telle habitude que je sais précisément tout ce qui va se passer. Je monte rejoindre Clémentine.
Ma compagne est entrain de changer les draps. Il fait froid car les fenêtres sont ouvertes pour aérer. Je lui raconte tout.
< On va lui infliger quelques petites punitions ! On va lui apprendre à se comporter ! > me fait ma compagne. Rigolades.
Je ramasse les draps et les taies d'oreillers. Nous passons à la salle bain. Clémentine m'aide à nettoyer. Nous nous vêtons.
Nous nettoyons en nous offrant plein d'instants de douceurs. Bisous, câlins et aveux secrets. Tout est rapidement propre...

Clémentine descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes de l'étage. Je passe la serpillère sur tous les sols carrelés.
Je descends pour rejoindre les filles au salon. Elles sont studieuses à surfer sur le site de l'université. Elles m'expliquent.
Je découvre les sujets qui seront abordés cette semaine durant leurs cours, à la faculté. C'est passionnant. Je comprends.
Je suis devenu, au fil du temps, l'étudiant et Clémentine le professeur. Je pourrais presque reprendre mes études à la Fac.
Nous rions de bon cœur à cette idée. < Tu imagines les trois mousquetaires du vice ! > lance Estelle. C'est très amusant...

Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Il est déjà onze heures trente. Clémentine vient rapidement me rejoindre. Bisous.
Les pavés de saumon terminent de décongeler dans la grande assiette creuse dont je vide la flotte. Je prépare les patates.
Le repas de midi sera composé d'un bon gratin de pommes de terre avec des pavés de saumon en papillotes. Estelle arrive.
< Put-Hein, j'ai relu l'histoire "Nathalie" sur ton Blog. C'est hyper vicelard ! Un régal ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur.
Je précise : < C'était un peu le brouillon de la merveilleuse histoire que je vis aujourd'hui ! >. Clémentine m'embrasse. Joie.

< Votre premier rendez-vous avec "Nathalie", à la Bibliothèque, c'était le même endroit ? > me demande Estelle, curieuse.
Je réponds : < Oui, oui. Rien à changé. Toutes les aventures se passent ici, dans la région ! >. < Génial ! > me fait Estelle.
Estelle rajoute : < J'adore la description que tu fais de vos soirées branlettes. Put-Hein, ça donne envie. Les huit récits ! >.
Estelle émince l'ail, l'oignon et la ciboulette. Clémentine s'occupe de la salade. Je sors les patates de l'eau bouillante. Prêt.
Estelle emballe les pavés de saumon dans les feuilles de papier sulfuré. Elle y rajoute l'ail, l'oignon, ciboulette, sel, poivre.

Après avoir emballé le tout dans des feuilles d'aluminium, Estelle s'en va déposer les papillotes sur le barbecue électrique.
< Brrr, il fait frais dans la véranda ! > fait elle en revenant à toute vitesse. Le gratin de patates est au four. Tout est prêt.
Dehors, le ciel s'est encore obscurci. Il fait 3°. Il faudra s'habiller chaudement cet après-midi. Je mets la table. Tout va vite.
Il est rapidement midi. Nous passons au salon. Les filles évoquent leurs vêtements chauds de l'après-midi. Prévoyantes.
Nous serons en jeans, pulls, anoraks, bonnets, gants et bonnes chaussures fourrées. Pas de tenues sexy pour les filles...

< Tu nous offres une soirée branlette un de ces jours ? Comme avec "Nathalie" dans ton Blog ? > me demande Estelle.
Clémentine lui répond : < On s'en fait de bonnes parfois ! En tous cas, moi je m'en offre de bonnes à vous regarder ! >
Nous rions de bon cœur. Estelle, debout devant le bureau, mime une masturbation masculine avec une grande vulgarité.
< J'y pense tout le temps ! Vous avez fait de moi une vraie branleuse ! A cause de vous j'ai des cernes ! > fait elle encore.
< Parce que tu avais certainement besoin de nous pour te masturber à chaque fois que tu le peux ! > rajoute Clémentine.

Nous rigolons comme des bossus sur ce constat. La sonnerie du four nous rappelle aux réalités prosaïques de l'existence.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Estelle sort le gratin du four. Clémentine remue la salade. C'est super.
Nous voilà à déguster un repas délicieux. Les pavés de saumon offrent une véritable caresse à nos papilles gustatives.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque notre programme de l'après-midi. Bien.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous montons pour nous préparer. Il est déjà 13 h45. Le choix est vite fait.

Nous voilà tous les trois en jeans, chemises à carreaux. Gros pulls en laine. Grosses godasses montantes. Des écharpes.
Nous mettons nos anoraks, nos bonnets, nos gants. < Pas très sexy, tout ça ! > fait Estelle devant le miroir de l'armoire.
Nous faisons les clowns devant la glace. C'est vrai que nous ressemblons tous les trois à des esquimaux égarés. Rires.
Nous voilà dans la voiture. Nous passons devant le haras. Il y a plein de voiture dans la cour. Des décorations de Noël.
Trois kilomètres et nous voilà au bourg. Je gare la bagnole sur le parking habituel comme lorsque nous allons au marché.

Il y a plein de monde. Malgré le froid. Nous voilà à déambuler entre les petits chalets décorés de boules et de guirlandes.
Toutes les versions de "Petit Papa Noël" sont diffusées dans les hauts parleurs. Il faut se frayer un passage. Du populos.
Ce sont surtout les familles, poussant des landaus, qui obstruent les passages. Il y a même un saint Nicolas qui se balade.
Evidemment, il n'y a aucune possibilités exhibitionnistes en ce lieu. Avec le froid et l'animation, cela reste un fantasme...
Je glisse à l'oreille de Clémentine : < Pas trop frustrée ? >. Ma compagne qui reste serrée contre moi, fait : < Brrrrr ! >.

Nous nous offrons des gobelets de vin chaud en goûtant des Pères Noël en pain d'épice. Il y a quelques flocons de neige.
Discrètement, avec souvent une témérité folle, Estelle me palpe la braguette. C'est facile lorsque nous sommes groupés.
Tous les trois, groupés l'un contre l'autre, plutôt indifférents à ce qui se passe autour, nous sommes dans notre monde.
La nuit tombe. Il est dix sept heures. Malgré nos vêtements chauds, il commence à vraiment faire froid. Nous rentrons.
Nous passons devant le haras. Il y a plein d'illuminations dans la cour. < Juliette a sacrifié à la tradition ! > fait Estelle.

Il est 18 h. Nous nous précipitons bien au chaud. Nous nous dévêtons. < Il fait rudement bon ici ! > me fait Clémentine.
Pour le repas du soir, il nous suffira de réchauffer le gratin de patates avec une sauce, une salade. Nous nous y mettons.
Nous mangeons de bon appétit. Il est 19h. La vaisselle. Estelle plonge, nous essuyons. Dehors la neige tombe. L'horreur.
Nous passons au salon. Les filles sont vautrées au fond du canapé. Je revient avec des tisanes biens chaudes. Fumantes.
A la cuisine, j'ai ouvert ma braguette. J'ai sorti ma bite. Elle pend, longue et molle. Estelle s'en rend compte la première.

< Génial ! > fait elle alors que Clémentine s'écrie : < Miam ! Un Père Noël façon Julien ! >. Nous rions de bon cœur. Joie.
Je reste debout devant les filles. J'agite lascivement ma queue que je tiens à sa base entre le pouce et l'index. Nous rions.
Il faut toutefois penser à rester sérieux car les filles ont leurs préparations pour les cours de demain. Il est déjà 20 h15.
Nous passons à l'atelier. Nous travaillons un peu. Sans le feu de la cheminée, il manque un peu de ce lyrisme romantique.
Nous ramenons Estelle pour 22 h30. Dans un froid glacial. Au retour, baisouille, cunnilingus, fellation, orgasmes. Dodo...

Bonne balade au marché de Noël à toutes et à tous en sachant qu'avec le froid et le monde, impossible de "sexualiser".

Julien - (Qui s'adapte à toutes les situations. Même dans l'adversité d'un marché de Noël où il se fait tripoter en douce) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 262 -



Un début de semaine très serein, dans le calme et la routine...

Hier matin, lundi, à nouveau, je suis le premier à ouvrir l'œil. Il est 5 h50. Clémentine ne tarde pas à s'étirer en gémissant.
< Bonjour Julien ! > s'écrie t-elle en se serrant fort contre moi. Je lui fais des bises en disant : < Bonjour Clémentine ! >.
Ma compagne me chevauche en riant. Quelques tendres papouilles et la voilà qui m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.
Dès nos rituels pisseux terminés, nous descendons à toute vitesse à la cuisine. Nous y préparons notre petit déjeuner. Faim.
Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Confiture, miel, yaourt.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan du Week-End passé. Notre aventure à la Bibliothèque vendredi après-midi.
Notre balade au Marché de Noël, hier après-midi. Nous faisons le programme de la semaine à venir. Si ce froid persiste. Bof.
< J'attends le printemps avec une impatience ! Je déteste l'hiver et cette existence confinée à l'intérieur ! > fait Clémentine.
Je partage cette impression. Et surtout depuis le printemps dernier. Le partage de nos vies communes et pleines d'aventures.
Nous montons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Il fait nuit. Le thermomètre extérieur indique moins 3°. Le froid.

Une heure d'entraînement en intensité maximale. Aérobic, abdos, charges additionnelles. Vivement les prochains joggings.
La douche. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est déjà 7 h45. Bien.
Quelques bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le jour s'est enfin levé.
Je rentre pour faire la vaisselle. Je monte faire la chambre. Je redescends à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. 20°.
Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans une allégresse glorieuse. C'est le début de la septième toile de l'été 2018.

Je travaille à grande vitesse. Jamais je n'ai eu autant de toiles en stock à cette période. Trois au maximum. Là il y en a six.
J'explique ce phénomène extraordinaire par la présence, depuis le premier janvier, de Clémentine dans la maison et ma vie.
D'ailleurs, ma compagne fait le même constat. Ce qui est un moteur drôlement motivant. Et malgré nos amusantes frasques.
Je peins animé d'une passion folle. Je remporte autant de victoires de quart d'heure en quart d'heure en poussant des cris !
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare des tomates farcies au pâté de lentilles accompagnées de riz complet.

J'en prépare six. Pour le repas du soir, il en restera quatre qu'il n'y aura qu'à réchauffer. Appréciable gain de temps. Bien.
Il est 13 h15. Je suis enfin assis devant mon chevalet à reprendre mon passionnant labeur. C'est extraordinaire. Rapide.
Je commence les détails des bijoux du premier plan. Ma loupe frontale et le pinceau le plus fin. Je peins ces reflets bluffant.
Il faut me voir tomber à genoux, me signer lorsque je réussi le trait sublime. Moi qui n'est aucune croyance autre qu'en moi.
Il est presque 17 h lorsque j'entends Clémentine arriver. Je l'entends chanter en allant aux toilettes. Mon cœur s'effondre...

Clémentine entre dans l'atelier, jette son sac dans le vieux canapé et se précipite vers moi pour me faire plein de bisous.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée de cours. Son repas de midi au restaurant universitaire et avec Estelle.
< Elle recommence à faire une fixation sur les écuries et le vieux palefrenier vicieux ! > me raconte ma compagne. Rires.
Ma compagne rajoute : < Il faut vraiment qu'on y retourne un de ces soirs, ça urge ! >. Nous rigolons comme des bossus.
< Et moi, ça ne me déplairait pas. Avec ce froid, ces nuits dès 17 h et cet hiver, il n'y a pas grand chose ! > dit elle encore.

Assise à la table de travail, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, Clémentine met au propre ses notes de la journée.
Le profond silence qui règne dans l'atelier est encore plus intense dans la nuit froide de l'hiver. Nous apprécions beaucoup.
Seuls les longs soupirs qui ponctuent les apnées de nos concentrations viennent habiller ce silence presque surnaturel. Joie.
Il est rapidement dix neuf heures ! < Stop ! Je crève de faim ! > s'écrie Clémentine derrière moi. Nous cessons nos travaux.
Nous nous précipitons à la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer les quatre grosses tomates farcies calées avec le riz dans le plat.

Clémentine prépare la belle laitue en passant chaque feuille sous l'eau. Je prépare l'assaisonnement. Nous bavardons. Faim.
A plusieurs reprises ma compagne vient se blottir contre moi après s'être essuyée les mains. < Je t'aime ! > murmure t-elle.
Je la soulève. Je la fais tourner dans les airs. Elle me couvre le visage de bises. < J'attends ça toute la journée ! > dit elle.
Je lui murmure : < Après, je te broute le minou, tu veux ? >. Elle me palpe la braguette et me fait : < Oh que oui ! Miam ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle dit : < Et ça aussi, je l'attends toute la journée ! >. La sonnerie du four. Je mets la table.

Nous mangeons de bon appétit. Nous programmons une visite éventuelle aux écuries jeudi soir. Avec cette coquine d'Estelle.
< Il faudra y aller dès notre arrivée, à 17 h. Comme ça on est de retour pour le repas du soir ! > précise Clémentine. Bien.
< De plus, monsieur Gérard, le palefrenier, quitte les écuries pour 20 h ! > rajoute ma compagne. Nous rions de bon cœur.
Notre dernière visite aux écuries remonte à deux semaines. Cette expédition à venir est donc une perspective sympathique.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque quelques détails. La chaleur des écuries...

La vaisselle. Clémentine plonge, j'essuie. Nous rangeons la cuisine. Tout est toujours d'une propreté irréprochable. Hygiène.
Nous passons au salon. Nous nous offrons un moment récréatif d'une extraordinaire intensité. Nous le savons déjà si bien.
Nous allumons l'ordinateur pour découvrir d'éventuels courriels. Un message d'Estelle qui nous souhaite une bonne soirée.
Une réponse de la compagnie aérienne que j'ai contacté pour réserver trois places. Les billets seront envoyés pour le jeudi 7.
< C'est génial ! Avec toi, tout est toujours si simple ! > me fait Clémentine. Je dis : < C'est si simple de réserver l'avion ! >

Nous partons pour l'Ecosse le samedi 23 décembre à 15 h. Estelle nous rejoindra le mardi 26 décembre. Retour le 3 janvier.
< C'est merveilleux. Si tu savais comme je suis contente ! > me fait Clémentine. Je dis : < Attention, l'Ecosse en hiver ! >
< Il fait plus froid qu'ici ? > me demande t-elle. Je la rassure : < Non, c'est souvent pareil. Mais il y a parfois de la neige ! >
Je vais sur le site touristique pour lui montrer des photos d'Edimbourg à la période des fêtes. < C'est magique ! > dit elle.
Et c'est vrai que le Marché de Noël à Edimbourg est une attraction extraordinaire. < Comme dans Harry Potter ! > dit elle.

Nous admirons longuement les clichés qui défilent en mode diaporama. Epoustouflants de beauté. Edimbourg est magique.
Une des plus belles villes d'Europe. Et, à la période des fêtes, c'est un endroit unique. Nous serons dans ma famille 11 jours.
Tout est organisé, réglé comme du papier à musique. Clémentine m'entraîne sur le canapé dans lequel elle se vautre. Joie.
Je lui déboutonne le jean. Elle se lève pour le retirer avec sa culotte et jeter le tout sur le fauteuil. Je pose le coussin au sol.
Je dis : < Je vais te bouffer la chatte comme jamais ! >. < Miam ! > fait ma compagne, s'installant confortablement. Bien.

< En Ecosse, on va se sucer comme des fous ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Je dis : < Entraînons nous ! >.
Je suis à genoux sur l'épais coussin de velours, entre les cuisses écartées de ma compagne. Je hume longuement. Super.
Je respire les effluves parfumées de sa journée de fille. C'est immense. Les odeurs fortes m'enivrent. J'en ai des vertiges.
Il y a là des senteurs qui montent à mes narines en me faisant frissonner. J'aime le négligé d'une fin de journée. Sublime.
Clémentine me regarde, admirative. Elle me tient par les oreilles comme pour me guider. Doucement j'avance mon visage.

Les poils me chatouillent le nez, les joues et le menton. C'est toujours la première merveilleuse épreuve de notre plaisir.
Clémentine lève ses jambes écartées qu'elle tient sous ses genoux. elle m'offre l'accès parfait à sa raie culière humide.
Je nettoie consciencieusement cet endroit toujours humide de sueur lorsque Clémentine est en début d'excitation. Délice.
Je retire les poils dans ma bouche. Cela nous amuse toujours beaucoup. < Un cheveux sur la langue ? > fait elle. Rires.
Je colle ma bouche sur sa vulve bouillante et déjà suintante. Fini de rire. Clémentine a un frisson. Elle tombe en arrière.

Je fouille du bout de ma langue chaque pli et repli des lèvres de son sexe. Clémentine se met à gémir doucement. Beau !
J'insiste dans les recoins qui semblent lui procurer le plus de sensations. Il y déjà une coulure de cyprine laiteuse. Bien !
Les miasmes de sa journée de fille achèvent de fondre dans ma bouche. J'apprécie ce goût vinaigré, légèrement acidulé.
Je récupère la mouille qui coule dans la raie culière. Clémentine se contorsionne pour m'offrir les meilleurs angles. Super.
Elle avance ses fesses sur le bord du canapé. Elle me lâche un jet de pisse en plein visage. Maîtrise totale. Juste un jet.

Je suis émerveillé. La pisse est chaude. Il procure une arrivée abondante de cyprine. C'est l'excitation. Elle recommence.
Un second jet. J'ai le visage trempé. Il en coule dans mon cou mouillant le haut de mon sweat. Un troisième jet contrôlé.
Je suis admiratif. J'adore lorsque ma compagne a des attitudes vicelardes. Je fini de nettoyer son sexe. Je suce la pisse.
Je monte sur le clitoris géant que Clémentine caresse du bout de ses doigts. Elle a plusieurs frissons. Un spasme. Super.
Clémentine me repousse délicatement à plusieurs reprises en murmurant : < Attention ! >. Je reste vigilant. Prudence...

Il est hors de question d'imposer un orgasme prématuré à Clémentine qui adore restée excitée le plus longtemps possible.
Tous deux nous aimons défier nos orgasmes en les maîtrisant et en les repoussant le plus longtemps possibles. Jouisseurs.
Nous voulons nous garder pour le lit, tout à l'heure, lorsque nous monterons nous coucher. Clémentine râle de plaisir. Bon.
Elle pousse de petits cris, de profonds soupirs. Lutte. Elle va tout au fond d'elle même. Je l'y aide. Elle me tient très fort.
Plusieurs petits jets de pisse achèvent de tremper mon sweat. Soudain, se recroquevillant sur elle-même elle me repousse.

< Attention ! Je deviens folle ! > me fait ma compagne en serrant ses cuisses sur ses deux mains. Il est temps de cesser.
< Donne moi ta bite ! Vite ! > me fait elle en tapant sur le canapé pour m'inviter à m'y asseoir. Il y a de la pisse partout.
Clémentine se lève pour se mettre à genoux sur le coussin. Je retire mon pantalon et mon slip que je jette sur le fauteuil.
Clémentine hume longuement les odeurs de ma journée d'homme. Tout en gémissant elle prend mon sexe mou en bouche.
L'indicible caresse me procure les plus suaves vertiges. A mon tour de frissonner. Plaisir. Je suis trempé. C'est un peu froid.

Nous restons ainsi un long moment. Parfois, pour lui permettre de reposer sa mâchoire, je tire Clémentine par ses cheveux.
Doucement. Je m'avance pour lui déposer des bises sur le visage. < Je t'aime comme une folle ! > me fait elle. Le bonheur.
Clémentine me taille une véritable pipe des familles tout en se touchant. Nous gémissons de concert. C'est magnifique. Bon.
Il est déjà 21 h30. Il faut penser à redevenir sérieux au moins une demi heure. Nous maîtrisons parfaitement la situation.
Clémentine se redresse. Elle m'entraîne à l'atelier. Je retire mon sweat tout trempé pour m'essuyer à la serviette du lavabo.

Nous rions de bon cœur de notre aventure de ce soir. Nous faisons les clowns devant le miroir du lavabo de l'atelier. Rires.
Je dis : < Regarde, j'ai de la pisse partout ! >. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine m'essuie même le dos.
Nous travaillons encore un peu. Il est 22 h15. Nous sommes pressés d'aller nous achever au lit. Nous retournons au salon.
Clémentine passe la serpillère pour éponger la flaque de pisse. Je sèche celle qui mouille le cuir du canapé. Nous rigolons.
Toilettes. Salle de bain. Nous voilà couchés. Un "69", une petite baisouille de principe, des confidences. Les orgasmes. Dodo.

Bon début de semaine à toutes et à tous. Tout spécialement lorsqu'elle commence par un cunnilingus et une fellation...

Julien - (Qui prend sa douche de pisse tout en broutant Clémentine qui peut se lâcher dans d'invraisemblables jouissances) -

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Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 263 -



Comme tous les mardis, Estelle vient passer la soirée avec nous...

Hier matin, mardi, nous sommes tirés de nos sommeils par la 5ème de Ludwig Van Beethoven. Il est six heures. Il fait nuit.
< Ta gueule Ludwig Van Bite-au-Vent ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en se serrant contre moi. Je lui murmure : < Bonjour Clémentine ! >. Plein de papouilles.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux. Rires.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour y préparer et y prendre nos petits déjeuners. Il fait bien chaud...

Le thermomètre extérieur indique 1°. Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre soirée de hier soir. C'était super.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos et charges additionnelles. Intensité maximale.
Nous ne pouvons nous empêcher de souligner à quel point notre jogging quotidien nous manque. Nous en parlons le matin.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le jour s'est levé.
7 h45. Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. La vaisselle.

Je monte faire la chambre. Je redescends à l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Il fait bien clair.
Je suis assis devant mon chevalet. Je peins avec un bonheur indicible. Animé par une passion débordante, j'avance. Super.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine pour préparer une pâte. Ce soir, la tarte aux poireaux du mardi. Un autre rituel.
Clémentine qui n'a pas cours le mardi après-midi, arrive. 12 h10. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner.
Ma compagne me couvre le visage de bisous. < Je t'aime ! Je suis tellement contente ! > me fait elle. Je la serre très fort.

Clémentine prépare la salade. Je fais bouillir de l'eau pour faire cuire les spaghettis. Je coupe les poireaux. Une Béchamel.
Ma compagne me raconte sa matinée. Les notes qu'il faut prendre à toute vitesse pendant les cours. L'ambiance de la Fac.
J'écoute toujours silencieusement. C'est intéressant et c'est un peu mon lien avec le monde extérieur. Elle y prend plaisir.
Il est presque treize heures. Tout est prêt pour ce soir. La pâte, la Béchamel contenant les dés de poireaux cuit. Peinard.
Nous mangeons nos spaghettis avec une délicieuse sauce au Roquefort et aux champignons. Accompagnés d'une scarole.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me parle du programme de l'après-midi. Boulot.
Il lui faudra mettre ses notes au propre. Faire des recherches sur Google concernant un prochain cours. C'est sympathique.
Estelle passera la soirée avec nous. Nous irons la chercher pour 17 h45. Tout cela nous permet de maintenir nos avances.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine que nous quittons pour nous rendre à l'atelier. Chaud.
Clémentine est assise à la table de travail, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur. Je suis assis devant mon chevalet.

Le profond silence dans lequel nous travaillons ne résonne quelquefois que de nos profonds soupirs et de nos respirations.
Parfois, je me lève pour venir voir ce que fait Clémentine. Elle m'explique ce que je vois sur l'écran. J'écoute. C'est bien.
Parfois, Clémentine se lève pour venir derrière moi. Ses bras autour de mon cou, elle observe ma peinture. Je lui explique.
L'après-midi se déroule ainsi, dans une ambiance studieuse et productive. Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un texto.
Clémentine se précipite pour le découvrir avec moi. Nous lisons. C'est Estelle. Ok ! Nous nous habillons pour la chercher.

Il fait nuit. Il fait froid. Il est 17 h50. Trois petits kilomètres. Estelle nous attend dans l'arrêt de bus à 100 m de chez elle.
Elle se précipite dans la voiture chaude. Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte son après-midi.
Le travail, avec sa mère, dans le bureau de l'entreprise familiale, lorsque sa vie d'étudiante lui en laisse le temps. Argent.
Nous rentrons à toute vitesse. Grâce à la clef USB sur laquelle Clémentine télécharge son travail, Estelle gagne du temps.
Nous sommes immédiatement dans l'atelier. Les filles travaillent. Je peins. J'écoute les propos qui concernent leurs cours.

< Stop ! Ras le cul ! J'ai faim ! > s'écrie Estelle. < Jamais dans le cul ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
< Moi non plus ! Quand j'ai un truc dans le cul, c'est comme si j'avais envie de chier sans y parvenir ! > dit encore Estelle.
Nous rions de bon cœur en nous précipitant à la cuisine. Estelle étale la pâte, j'y verse la Béchamel figée. Tout va très vite.
Clémentine prépare une belle laitue. Estelle dépose le fin couvercle de pâte sur la tarte avant de la mettre au four. Sympa.
Thermostat sur 7, cuisson à 350° pour une durée de trente minutes. Nous passons au salon. Il faut patienter. Difficile. Dur.

Estelle est vautrée à côté de moi dans le canapé. Clémentine est vautrée dans le fauteuil. Les filles évoquent les écuries.
Monsieur Gérard, le palefrenier vicelard que nous irons visiter au haras jeudi soir. Estelle nous fait part de ses fantasmes.
Nous rions de bon cœur en écoutant le projet qu'elle a envie de réaliser. Il est question d'emmener la caméra numérique.
Nous serions dans le box voisin du petit bureau de monsieur Gérard. Le saligaud passe sa bite dans le trou de la cloison.
Il nous reste à filmer la scène. Une bite anonyme qui pend du trou. Nous rigolons comme des bossus à cette idée dingue.

< T'es une vraie vicelarde ! > lui fait Clémentine. < Je suis à la bonne école avec vous deux ! > répond Estelle. Rigolades.
Estelle palpe ma braguette tout en bavardant. Estelle me demande mon avis quand à ce fantasme "cinématographique" !
Je précise : < Bien sûr ! C'est d'une facilité déconcertante ! Mais pourquoi donc filmer la bite ridicule du vieux salopard ? >
Clémentine éclate de rire en disant : < Tu veux commencer une collection ? Réaliser un documentaire ? Un reportage ? >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle nous fait encore : < Je veux préparer un "truc", il me faut des images ! >

C'est la sonnerie du four qui nous sort de notre conversation cinématographique. Nous nous précipitons à la cuisine. Faim.
L'odeur achève de nous ouvrir un appétit d'ogre. Estelle sort la Flamiche Picarde du four. Clémentine remue la salade. Joie.
Je mets la table. Nous voilà assis à savourer ce délicieux repas. La tarte aux poireaux, façon Flamiche Picarde, est un must.
La conversation s'articule toujours encore sur notre visite au haras, prévue pour jeudi soir. Je préviendrais Juliette demain.
Je ferais un courriel à Juliette afin qu'elle puisse mettre le cheval ailleurs et nous laisser le box. Une belle complicité géniale.

Estelle, à deux reprises, posant ses couverts, se lève pour mimer une masturbation masculine avec sa vulgarité habituelle.
Je me lève. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je le tiens à sa base pour le faire tournoyer comme un lasso. Rigolade.
< C'est génial quand tu fais le Cow-Boy ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur. Clémentine rajoute : < La bite à Zorro ! >
< Tu me la prête ce soir, Zorro ? > me demande Estelle en continuant son imitation branlatoire. Nous terminons le repas.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons parfaitement la cuisine avant de passer au salon. Pressés. Joie.

A nouveau voilà Estelle assise à mes côtés dans le canapé. Clémentine assise dans le fauteuil. J'ai la braguette ouverte.
Estelle y glisse la main. < Je me la réchauffe, je peux ? > me fait elle. Je dis : < Tu peux y mettre les deux si tu veux ! >
Clémentine, que tout cela excite toujours beaucoup, surtout avec la conversation de la soirée, se touche en me souriant.
Estelle ne se fait pas prier. Elle me sort la bite. Je bande mou. Mon sexe long pend de ma braguette. Estelle me le tient.
Une fois encore, comme elle en a pris l'habitude, tout en bavardant, Estelle me tort la bite dans tous les sens. Vicelarde.

Nous restons ainsi un long moment à mettre au point la stratégie à appliquer jeudi soir pour filmer la bite du vieux salaud.
Estelle glousse de plaisir. Nous rions de bon cœur. Clémentine a passé sa main droite dans son jean déboutonné. Sympa.
Je pose ma main sur la nuque d'Estelle, sous ses cheveux en liberté. Je l'attire à moi. Elle m'embrasse immédiatement.
Cette situation nous excite. J'entends Clémentine lâcher un souffle après une courte apnée. Estelle tord ma bite vers le bas.
Cette petite salope sait que lorsque je bande, me tordre la queue vers le bas, est à la limite de la douleur. Elle insiste. Vice.

J'appui sur sa nuque. Je la force à approcher son visage de ma queue turgescente. Je bande comme le dernier des salauds.
Estelle oppose une résistance de principe. En fait, c'est surtout pour renifler mon Zob. Je l'entends humer longuement. Zob.
Clémentine me sourit. Un clin d'œil en mimant une pipe. Elle lève le pouce de sa main libre, se masturbant de l'autre. Joie.
Je pousse un peu plus. Voilà Estelle qui pompe mon chibre comme si sa vie en dépendait. C'est absolument divin. Magistral.
< Pipe du soir, c'est bonard ! Pipe du matin, c'est vilain ! > que je dis à Estelle qui glousse, amusée de cette belle connerie.

L'indicible caresse devient rapidement merveilleuse. Nous voilà tous les trois à gémir. Concerto pour gémissements majeurs.
Clémentine mime des bisous tout en s'offrant une de ces masturbations qu'elle adore pratiquer depuis l'adolescence. Belle.
Estelle se livre là à son activité préférée. Tailler une pipe en y mettant toute son énergie. Passionnée de foutre et de jutes.
Parfois, j'appui un peu plus pour la lui enfoncer bien au fond. Estelle, après un haut le cœur, déglutit avec difficulté. Foutre.
Mes sécrétions de liquide séminal sont toujours très abondantes. Estelle a donc de quoi se régaler d'une véritable soupe. Jus.

Il est 21 h45. J'invite les filles à retourner à l'atelier afin de terminer leur boulot et de ranger leurs affaires pour demain.
Clémentine se lève en soupirant. A plusieurs reprises elle est passée tout près de l'orgasme qu'elle a évité avec soin. Bien.
Nous nous gardons pour le lit, après. Nous filons à l'atelier. Estelle s'essuie la bouche, un peu frustrée. Pas d'éjaculation.
Nous ramenons Estelle pour 22 h30. Au retour, toilettes, salle de bain et au lit. Nous nous offrons un sublime "69". Super.
Une petite baise sympa afin que Clémentine puisse me confesser des cochonneries. Cunnilingus. Fellation. Orgasmes. Dodo.

Bonne soirée à préparer la stratégie d'une de vos prochaines élucubrations à toutes les délicieuses coquines vicelardes...

Julien - (Qui va assurer son rôle de caméraman, assisté par Clémentine, pour quelques prises de vue exceptionnelles) -

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Le petit train-train quotidien de Clémentine et de Julien

Hier matin, mercredi, j'ouvre l'œil juste avant que le réveil ne diffuse les informations. Johnny Halliday nous a quitté.
< J'hallucine. Mourru ! > s'écrie Clémentine qui rajoute : < J'en jaunis à l'idée ! >. Nous rigolons comme des bossus.
< Bonjour Julien ! > fait ma compagne en se serrant contre moi. < Bonjour Clémentine ! > que je fais. Les papouilles.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner aux toilettes. Nos rituels pisseux. Nous descendons très vite.
Animés d'une faim de loup, nous préparons notre petit déjeuner. Exceptionnellement nous allumons la radio. Johnny.

Nous entendons les informations en savourant notre petit déjeuner. Nous n'écoutons que de la musique "Classique".
Aussi nous sommes un peu surpris de cette nouvelle en écoutant quelques extraits des chansons du rocker. Sympa.
Nous faisons le bilan de la soirée passée. Nous faisons le programme de la journée à venir. Clémentine éteint la radio.
Nous montons pour notre heure d'entraînement. La douche. Je redescends pour sortir la petite auto de Clémentine.
Il fait froid. Le jour se lève. Il fait à peine 2°. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Des bises. Un coucou. 7h45.

Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je fais la vaisselle. Je monte faire la chambre. Et le lit.
Je redescends. J'allume le feu dans la cheminée de l'atelier. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Le travail.
Je peins dans une glorieuse allégresse, remportant quantité de victoires, de vingt minutes en vingt minutes. J'avance.
Trois coups de sonnette. Contrarié d'être tiré de mon univers paradisiaque, je me lève pour aller voir qui me dérange.
Il est 10 h. C'est Juliette. Son cheval attaché au lampadaire du jardin. < Bonjour Julien ! Je passais ! > me fait elle...

Je lui propose d'entrer. < Non, c'est gentil, je n'ai pas le temps. Je peux venir ce soir, si ça va ! > fait la jeune femme.
Je trouve la suggestion parfaite. Juliette vient manger pour 19 h, ce soir. Je la regarde s'éloigner, belle sur sa monture.
Je retourne peindre. Je fais un rapide SMS à Clémentine pour l'informer. Elle découvrira le message après ses cours.
Me voilà à nouveau concentré sur mon labeur. Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare mon repas. Faim.
Je prépare également le repas de ce soir. Courgettes farcies au pâté de lentilles accompagnées de patates rissolées...

Je reçois le SMS de retour de Clémentine qui m'écrit : < Super ! Je t'aime. Un bisou d'Estelle ! >. Je lui donne le menu.
La réponse est rapide : < Génial ! >. Tout va très vite. Ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer. En hiver, c'est bien meilleur.
Il est 13 h30. Me voilà de retour dans l'atelier. J'estime pouvoir terminer cette septième toile pour jeudi soir. Superbe.
Il est presque dix sept heures lorsque Clémentine revient. Elle jette son sac sur le vieux canapé de l'atelier. Des bisous.
Assise sur mes genoux, ma compagne me raconte sa journée de cours. Son repas de midi au restaurant universitaire.

Nous rions de bon cœur lorsque ma compagne me raconte l'obsession que développe Estelle pour les écuries. Le haras.
< Je crois qu'elle va faire fort, demain soir ! Un nouveau film ! > me fait Clémentine. Je dis : < C'est toi qui filme ? >.
< Oh oui ! Génial ! Nous allons encore réaliser un délire à Estelle ! > me fait ma compagne. Et nous rions de bon cœur.
Clémentine est assise à la table de travail, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur. Elle met au propre ses notes.
Se servant parfois de son téléphone comme d'un dictaphone pour enregistrer ses cours, il lui faut décrypter au casque.

Il est rapidement 18 h45. Nous cessons pour aller à la cuisine. Il suffit de réchauffer et de mettre la table. Tout va vite.
Clémentine fait l'assaisonnement de la laitue que j'ai lavé à midi. Voilà que tout sera prêt pour dix neuf heures quinze.
Juste lorsque résonnent les trois coup de sonnette, résonne celle du four. Synchrone. Clémentine se précipite. La porte.
Suivie de Juliette, Clémentine revient à la cuisine. Juliette est vêtue d'un pantalon à plis et à pinces. Talons hauts. Belle.
Une veste cintrée sur un fin pull sous son manteau que Clémentine accroche au porte manteau de l'entrée. Elégante...

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Juliette nous raconte les derniers évènements qui se déroulent au haras.
L'avancée de la construction de l'écurie No 4. Les animations prévues pour les deux dimanches précédent les fêtes. Noël.
< Vous avez une vie passionnante ! > fait Clémentine à plusieurs reprises. Juliette est une bonne dirigeante d'entreprise.
Nous restons admiratifs devant tant d'activités menées de front. Je la félicite pour cette réussite incontestable. Huit ans.
Depuis huit ans Juliette fait tourner ce haras pour en faire une entreprise florissante. < C'était pas évident ! > fait elle...

Bien évidemment, la conversation s'oriente vers le personnel fiable et efficace. Madame Walter et monsieur Gérard. Joie.
A ce propos, je fais savoir à Juliette que nous viendrons nous amuser demain soir, vers 17 h30, aux écuries. Eclat de rire.
< Pas de soucis, je vous libère le box ! > fait Juliette. Nous évitons d'entrer dans les détails. Aucune allusion à nos projets.
Juliette nous révèle quelques autres anecdotes croustillantes à propos de monsieur Gérard, son fidèle palefrenier. Vicieux.
< Il me fait tous les jours le boulot de deux personnes ! Je peux vraiment compter sur ce type !> conclue la jeune femme.

Nous écoutons en riant les histoires concernant monsieur Gérard. La fois où les gendarmes sont venus pour exhibitions !
Le vieux vicelard a des tendances très marquées pour ce "sport" qu'il aime pratiquer devant des cavalières effarouchées.
Cela ne s'est pas toujours passé au mieux. < Bon, à 65 ans, il s'est calmé ! Moi, je n'ai jamais rien vu ! > précise Juliette.
< Nous si ! > dit Clémentine. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. < Vous remettez ça demain ! > fait Juliette.
Nous rions de bon cœur de toutes ces petites histoires. Nous passons au salon pour y prendre le café. Petits gâteaux fins.

La conversation continue curieusement de s'articuler autour de la personnalité du palefrenier vicelard et de ses frasques.
Juliette prend un plaisir tout particulier à nous raconter les anecdotes qui lui ont été rapportées concernant Mr Gérard.
Lorsqu'il se masturbait derrière les écuries devant une jeune fille qui venait monter son cheval le mercredi après-midi.
Les fois où il se faisait surprendre en pleine branle devant cette jeune femme propriétaire de quatre chevaux. Ce salaud.
Toutes ces histoires que venaient lui signaler ces pratiquantes importunées. Juliette a convoqué son palefrenier un jour.

Juliette, directrice de ce haras, soucieuse d'en faire une entreprise florissante a réagi en capitaine d'entreprise. Vertement.
Son employé vicelard devait cesser ses frasques . Nous rions de bon cœur lorsque Juliette fait : < La branle ou la porte ! >
Clémentine demande : < Et madame Walter, a t-elle déjà assisté à des "trucs" ? >. < Non, jamais ! > lui répond Juliette.
< Mais nous sommes toutes les deux au courant des penchants de notre homme ! > fait Juliette. Nous rions de bon cœur.
La soirée se déroule ainsi, sur d'amusantes anecdotes concernant la vie au haras. Il est rapidement 22 h30. Il faut cesser.

Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. < Je vous vois peut-être demain soir ! > nous fait la jeune femme. Bien.
Il fait un froid glacial. Nous regardons la voiture disparaître en haut du chemin. < Quelle salope ! > me fait Clémentine.
< Tu as vu, toute la soirée elle n'a pas arrêté de nous raconter des cochonneries. Un luxe de détails ! > fait Clémentine.
Je lui fais part du même constat. < Elle cache bien son jeu. Il y a quelque chose de louche là-dessous ! > rajoute t-elle.
Je sais pouvoir faire confiance à l'instinct de ma compagne que son sixième sens ne trompe jamais. Toujours très lucide.

Nous faisons la vaisselle. Je plonge, Clémentine essuie. Nous filons à l'atelier afin de ranger nos affaires. Nous remontons.
Il est 23 h. Toilettes. < Toutes ces confidences m'ont excité ! > me fait Clémentine, accroupit pour me tenir le sexe. Pipi.
Ma compagne me tient la bite pour en diriger le jet. Elle vise l'eau dormante du fond de la cuvette. Virtuose et adroite. Joie.
Approchant son visage, Clémentine ouvre la bouche pour s'envoyer la dernière giclée. Je lui tiens la tête en la caressant.
Je suis toujours admiratif lorsque je la regarde savourer mes derniers épanchements en gémissant de plaisir. Dernier jet.

Moi aussi, toute cette conversation m'a quelque peu excité. Il y a rapidement des montées de liquide séminal. De la jute.
C'est ce mélange dont raffole Clémentine. Je me fais sucer. Je me tiens au mur. Je suis pris de vertige par tant de douceur.
L'indicible caresse m'enivre d'un plaisir indescriptible. Je force Clémentine à se redresser. < Aïe ! > fait elle en se massant.
Je m'accroupi à mon tour. Clémentine enlève son jean et sa culotte. Debout, cambrée sur ses jambes fléchies, elle pisse.
Cuisses bien écartées, malgré ses précautions, ça gicle un peu n'importe où. Impossible de diriger le jet dans la situation.

Combien de fois, lors de ses exhibes, en jupette, à la belle saison, Clémentine, tout en pissant, ne se mouille t-elle pas !
L'intérieur de ses cuisses dégoulinantes de pisse, elle est obligée de s'essuyer avec soin. Devant des inconnus qui mâtent.
Je pense à tout cela, léchant les dernières gouttes qui s'écoulent. Je prends du P.Q. pour essuyer l'intérieur de ses cuisses.
Clémentine apprécie chacune de mes attentions. Surtout celles de ce genre. Nous filons à la salle de bain en riant. Bises.
Comme presque tous les soirs, nous faisons les clowns devant la glace en nous lavant les dents. C'est merveilleux. Grand !

Nous voilà enfin au lit. Epuisés mais désireux d'assouvir nos impérieux besoins. J'offre un cunnilingus à Clémentine. Bien.
Juste avant l'orgasme, elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles.
Nous adorons cet intense moment de confessions où Clémentine me révèle les secrets les plus intimes. Des cochonneries.
Là aussi, lorsque nous commençons à nous bercer doucement, il faut éviter l'orgasme de ma compagne. Un cunnilingus.
Elle se lâche dans un cri. Puis, c'est la fellation. Nous sommes tellement épuisés que les choses cessent toutes seules. Dodo.

Bonne soirée avec la visite de votre belle bourgeoise quadragénaire, élégante "Classe" et vicieuse. A toutes et à tous...

Julien - (Qui s'apprête à vivre une nouvelle aventure émouvante et vicelarde aux écuries. Avec deux filles de 20 ans)-

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Visite et réalisation du projet d'Estelle au haras...

Hier matin, jeudi, nous sommes tirés de notre sommeil par une valse de Frédéric Chopin. Il fait encore nuit. Il est six heures.
Nous nous étirons longuement. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine dans un cri qui conclu son gémissement. Papouilles.
< Bonjour Clémentine ! > que je fais en la serrant fort contre moi. Elle me chevauche en riant avant de m'entraîner au WC.
Nous terminons nos rituels pisseux pour descendre à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous y préparons notre petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de la veille et surtout en faisant le programme de la soirée qui nous attend.

Nous remontons pour nous livrer à l'entraînement qui remplace notre jogging quotidien. La gym avec une intensité maximale.
Aérobic, abdos et charges additionnelles. Un véritable plaisir. La douche. Je descends pour sortir la petite auto à Clémentine.
Ma compagne me rejoint chaudement vêtue. Le jour s'est levé. Il est 7 h45. Bises. Un dernier coucou de la main. Il fait froid.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je fais notre petite vaisselle. Je monte faire la chambre et le lit.
Je redescends jusqu'à l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Le thermomètre extérieur indique 1°...

Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans un bel enthousiasme qui me fait pousser des cris passionnés.
Je pense terminer la septième toile destinée à ma saison 2018, cet après-midi. Le timing parfait. C'est une vraie allégresse.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte et la garniture pour les pizzas de ce soir. A midi, ce sera du riz.
Une sauce au Roquefort et une scarole. Il est 13 h15 lorsque je retourne dans l'atelier. Mon téléphone m'averti d'un message.
C'est un message de Juliette qui précise < Tout est Ok pour ce soir. Le box sera vide >. Je réponds pour la remercier. Sympa.

Il est presque 17 h. J'entends des bruits, des rires. Estelle est la première à entrer dans l'atelier pour se précipiter vers moi.
< Bonsoir Julien ! > me fait la jeune fille en me faisant plein de bises. J'ai à peine le temps de déposer ma palette. Pinceaux.
Clémentine arrive à son tour. Elle se serre contre moi. Des bisous. < On est prêtes ! > s'écrie Estelle visiblement impatiente.
Nous rions de bon cœur. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Il n'y a plus qu'à partir.
Clémentine nous entraîne au salon. Elle s'empare de la caméra numérique. Estelle sort la petite boîte contenant sa clef USB.

Nous faisons un rapide essai. La batterie est chargée. Nous disposons d'une réserve permettant une heure trente d'images.
Je mets mes chaussures montantes. Nous passons nos épais pulls de laines, nos anoraks, nos écharpes, nos bonnets. Gants.
Il fait nuit. Il fait moins froid que les jours précédents. Nous prenons la petite auto de Clémentine qui est restée dehors. Joie.
Estelle paraît fébrile. Une impatience. Clémentine me fait des sourires entendus et quelques clins d'œil. Je conduis lentement.
Nous arrivons au haras pour 17 h15. Il y a des voitures garées dans la cour. Il y a un groupe de gens dans la dernière écurie.

Je sors le premier de la voiture pour me rendre précipitamment dans la première écurie déserte. La lumière y est très faible.
Comme convenu, Juliette a placé le cheval ailleurs. Le box est libre. Vide. J'entends des éclats de voix au loin. Des cavaliers.
En effet, les habitués qui pratiquent l'équitation, ramènent leurs montures. C'est monsieur Gérard qui les récupère. Boulot.
Souvent aidé par madame Walter, le palefrenier ramène les chevaux dans leur box respectif. Juliette reste invisible. La nuit.
Il fait presque doux dans l'écurie où je me trouve. Le phénomène de la chaleur animale. Je reste silencieux au fond du box...

Il se passe quelques instants avant que je n'entende les voix d'Estelle et Clémentine. Comme toujours elles parlent très fort.
Riant et bavardant, les deux filles attirent ainsi l'attention sur leur présence. Je passe la tête par le portillon supérieur. Rire.
Les filles caressent la tête des chevaux qui les regardent marcher dans l'allée centrale. Faible lumière des boîtiers de secours.
Estelle vient près de mon box pour me dire : < Tu te tiens prêt à toute éventualité, hein, Julien ! Il faut réussir notre coup ! >
Je la rassure. Clémentine me fait une rapide bise. Je me planque à nouveau en refermant le portillon. Je vois entre les lattes.

Soudain, les néons illuminent toute chose d'une lumière impudique et dérangeante. < Bonsoir les filles ! > fait le palefrenier.
Monsieur Gérard, portant une caisse qu'il dépose dans la brouette, vient saluer les deux visiteuses. De ma cachette, je mâte.
Trapu, de petite taille, ses longs cheveux blancs attachés en catogan, monsieur Gérard est vêtu l'hiver comme l'été. Bonnet.
< Bonsoir monsieur Gérard ! > font les filles presque en même temps. Je garde ma respiration que je contrôle et maîtrise.
< On est venu visiter le vieux Gérard , comme c'est gentil ! Je vous manque ! > fait le palefrenier tout en ouvrant la caisse.

< Mais vous aussi vous nous manquez. C'est pour ça qu'on vous fait une petite visite ! > lui répond Estelle soudain loquace.
Je regarde entre les interstices du portillon. Clémentine, debout, glisse une main entre ses cuisses, une jambe devant l'autre.
Estelle s'accroupit tout en bavardant. Monsieur Gérard, sort des ampoules décoratives et des guirlandes de la caisse en bois.
< Vous allez m'aider à faire la décoration pour l'animation de dimanche ! > fait monsieur Gérard d'un ton péremptoire. Rires.
Je regarde monsieur Gérard s'emparer d'une échelle d'alu double sur laquelle il monte. < Passez moi les ampoules, ! > fait il.

Je regarde, plutôt amusé, les filles tendre les guirlandes et les ampoules colorées à monsieur Gérard qui les fixe avec soin.
Quelquefois, entre deux coups d'agrafeuse, le palefrenier se palpe la braguette du haut de son échelle. Il se déboutonne.
A présent, la braguette ouverte, il redescend en changeant l'échelle d'endroit. Clémentine reste souvent dans sa position.
La main entre ses cuisses, une jambe serrée devant l'autre. Estelle s'accroupit à plusieurs reprises en fixant la braguette.
< Bon ! On va ranger tout ça dans mon local ! > fait monsieur Gérard en invitant les filles à le suivre dans son petit bureau.

Je m'accroupi pour regarder par l'étroit trou rond de la cloison qui sépare mon box du bureau. Gérard contourne la table.
Je le regarde ranger ses outils sur l'étagère de l'armoire. Les filles sont assises sur la banquette tout en bavardant. Sympa.
< On peut regarder par le trou, à côté ? > demande Estelle espiègle. Le palefrenier éclate de rire en faisant : < Le trou ! >
< Tu restes avec moi, toi ? > fait Gérard à Clémentine qui a toujours la main entre ses cuisses. Je retiens ma respiration.
J'ai la petite caméra serrée dans la main. Estelle vient me rejoindre. Je lui chuchote : < Où elle est donc Clémentine ? >.

En mettant l'index sur sa bouche, Estelle s'accroupit près de moi pour me chuchoter : < Elle se touche à côté du vieux ! >.
Il est impossible de regarder par le trou. Monsieur Gérard vient d'y passer son sexe fripé, ridicule, tout petit et mollasson.
Je mets la caméra en route. Je filme avec soin. Estelle mâte le sexe qui dépasse avec peine de l'orifice du trou. Elle hume.
Se bouchant le nez de la main gauche elle agite sa main droite dans une épouvantable grimace. Je filme avec attention.
Je me cale contre la cloison pour filmer au plus près. Estelle renifle longuement cette bite fripée. C'est impressionnant...

L'odeur de la bite à monsieur Gérard me donne la nausée. Je suis tout près pour filmer le visage d'Estelle en plan serré.
Je suis concentré. Je me demande ce que peut bien faire Clémentine. C'est le silence absolu. Je filme consciencieusement.
< Tu bandes jamais ! > fait Estelle en élevant la voix. On entend le palefrenier dire : < Il y a 10 ans la dernière fois ! >.
J'entends le rire de Clémentine. Estelle saisi la bite entre son pouce et son index. Elle arrive à peine à la maintenir. Petite.
Elle tente de décalotter le gland. Il y a une goutte de liquide opalescent qui vient d'apparaître à l'extrémité. C'est luisant.

Impossible de décalotter la queue de monsieur Gérard. Bien trop petite, elle dépasse à peine de l'orifice parfaitement rond.
Estelle se renifle les doigts en faisant la grimace. A plusieurs reprises, elle tourne son visage pour fixer la caméra. Sourire.
Je pose ma main sur la nuque à Estelle en la passant sous ses cheveux. Elle me fait un délicieux sourire. Elle est belle, là.
J'appui sur sa nuque pour tenter de plaquer son visage sur la bite qui dépasse. Estelle, surprise, résiste avec force. J'insiste.
Estelle se tourne vers moi, lève sa main d'un geste menaçant. Je m'attends à me ramasser une gifle. Elle me fixe. Sévère.

Je n'insiste pas. Elle me crache au visage. La bite disparaît. Nous pouvons regarder par le trou. Estelle me fait : < Mâte ! >
Je regarde. Monsieur Gérard tient Clémentine par ses cheveux. Je regarde comme halluciné la fille tenter de se débattre.
Estelle se redresse à toute vitesse. Elle quitte le box. Elle entre dans le petit local en s'écriant : < Stop, ça suffit, salaud ! >
Monsieur Gérard, surpris mais très maître de lui, répond : < Pas d'inquiétude ! >. Il vient de lâcher Clémentine qui se lève.
Elle se précipite à toute vitesse pour me rejoindre. < Le salaud ! > me chuchote t-elle. Estelle sort à son tour du bureau...

Nous nous enfuyons comme des voleurs pendant que le palefrenier remonte son slip et son pantalon. Nous voilà dehors.
Dans la voiture, Clémentine nous raconte. < Il a commencé à me caresser la tête, puis il m'a tenu par les cheveux ! >.
Elle rajoute : < Pendant qu'il avait sa bite dans le trou, il m'a maintenu contre sa hanche en me tenant par les cheveux ! >
Nous arrivons à la maison. Nous préparons notre repas. Il est presque 19 h. Estelle étale la pâte. J'y dépose la garniture.
Les filles évoquent ce qui vient de se passer. Estelle mime une masturbation masculine en disant : < Une soirée géniale ! >

Clémentine, à plusieurs reprises, vient se blottir contre moi. Les pizzas sont au four. Nous passons au salon. Il fait doux.
Estelle est vautrée à mes côtés dans le canapé. Clémentine est vautrée dans le fauteuil. Nous repassons les évènements.
Estelle récupère sa carte SD et nous fait : < On se mâte le film samedi, soir, ça vous dit ! > < Super ! > fait Clémentine.
La sonnerie du four nous tire de notre conversation. Tout cela nous a terriblement chamboulé. Nous mangeons en riant.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine pour filer à l'atelier. Les filles ont du travail à faire.

Je commence le dessin préparatoire de ma huitième toile. Il y a un profond silence. C'est presque surnaturel. C'est intense.
C'est un peu comme si aucun de nous ne voulait plus parler de ce que nous avons vécu ce soir, aux écuries. C'est étrange.
Il est rapidement 22 h 15. Nous ramenons Estelle. Au retour, Clémentine me chuchote : < Quel vieux salaud ce type ! >.
Les toilettes. La salle de bain. Au lit, nous nous offrons un "69". Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis très lentement.
Immobiles, comme nous aimons, Clémentine me confesse enfin ses ressentis. Je suis merveilleusement étonné. Puis dodo...

Bonne soirée de stupre, de vice et de luxure à toutes les délicieuses coquines qui pratiquent l'équitation vicelarde...

Julien - (Excellent caméraman qui filme en plan serré, en travelling ou encore en plan large selon l'intensité du moment) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 266 -



Pour Clémentine, le Week-End commence le vendredi à midi...

Hier matin, vendredi, je suis le premier à ouvrir l'œil. En fait je suis réveillé par Clémentine qui s'étire en gémissant. 5 H50.
< Bonjour Julien ! > s'écrie Clémentine pour ponctuer son long gémissement. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >. Des bises.
Ma compagne me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux. Rire.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour y préparer et y prendre notre petit déjeuner. Une ambiance de fête.
En effet, pour Clémentine, le vendredi, à midi, lorsqu'elle rentre de cours, c'est le début du Week-End. Le début du miens...

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Dehors, il fait encore nuit. Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Froid.
Tout est luisant dans le noir. Nous faisons le bilan de la veille, notre soirée aux écuries. Nous faisons le programme du jour.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Intensité maximale pour tenter de remplacer nos joggings.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint chaudement vêtue. Le jour s'est levé.
Des bisous. Un dernier coucou de la main et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer.

Je fais la vaisselle. Je monte faire la chambre. Je redescends à l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h15.
Je suis assis devant mon chevalet. Je termine certainement le dessin préparatoire de ma huitième toile pour midi. Sympa.
Il est rapidement midi. Je prépare des courgettes farcies au pâté de lentilles. Il est 12 h10 lorsque Clémentine revient. Joie.
Elle se précipite dans mes bras en s'écriant : < Week-End ! >. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Heureuse.
Clémentine s'occupe de la salade. Une très belle scarole. Elle me raconte sa matinée. Les notes qu'il faut mettre au propre.

Très rapidement, la conversation s'articule sur les confidences faites hier soir, en faisant l'amour avant de dormir. Bonheur.
Clémentine revient sur cette étrange impression. Cette sensation ressentie lorsque le palefrenier la tenait fermement. Fort.
Tenue par ses cheveux contre la hanche de monsieur Gérard qui, le corps plaqué contre le mur, avait son sexe dans le trou.
Pendant qu'Estelle et moi étions de l'autre côté. < J'avais ma joue contre sa peau nue ! > fait encore Clémentine. Excitée.
Je la rassure quand à ses inquiétudes. Je ne sais pas ce que le mot jalousie signifie. Je lui rappelle mon fantasme de la voir.

< Alors ça, je crois que je pourrais pas le faire ! Ne me le demande plus, hein, mon amour ! > me fait elle en se blottissant.
Ce fantasme de voir ma compagne sucer un autre en étant caché pour la regarder faire. Je n'en parlerais plus. Je l'ai promis.
Je montre la grosse enveloppe posée sur le buffet. Elle contient nos billets d'avion pour l'Ecosse. Clémentine sautille en riant.
< Génial ! Je t'aime ! > me fait ma compagne en ouvrant l'enveloppe pour en sortir les trois fins carnets. Tout est réglé. Joie.
Je lui murmure, doux : < Ce soir, je t'invite au restaurant. Je te raconterais le programme qui nous attend à Edimbourg ! >

Toute contente Clémentine n'arrive plus à quitter son étreinte, me serrant fortement dans ses bras. < Je t'aime ! > fait elle.
Je rajoute : < D'une pierre deux coups ! Tu pourras sans doute t'offrir une frayeur et nous parlerons de nos vacances ! >.
En chantonnant une valse de Vienne, Clémentine m'entraîne dans une danse autour de la table de la cuisine. Le vrai bonheur.
< J'en ai vraiment besoin de ces vacances. C'était difficile ce trimestre. Je n'ai pas cesser de bosser ! > me fait Clémentine.
Je rajoute : < C'est vrai, je t'ai vu travailler. Je peux en témoigner ! >. Nous rions de bon cœur. La sonnerie du four résonne.

Je mets la table. Clémentine remue la salade. Je sors les courgettes farcies du four. Nous mangeons de bon appétit. Délice.
La conversation revient sur notre aventure aux écuries, hier au soir. Clémentine me fait part des ressentis d'Estelle, ce matin.
< Elle a apprécié. Elle fait certainement un petit montage du film pour la projection prévue demain soir ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Surtout que je ne pensais plus du tout à ça. J'ai filmé la scène. Nous verrons tout cela demain soir.
Clémentine revient sur son expérience. Dans cette situation, chacune des deux filles a vécu quelque chose de fort. Emotions.

Nous faisons la vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Il est 13 h30. Nous filons à l'atelier. Dehors il fait gris. Ciel sinistre.
Le thermomètre extérieur indique 4°. Il y a même quelques gouttes de pluie balayées par des bourrasques fortes. Le vent.
Assise à la table de travail, entourée de ses affaires, Clémentine met ses notes de la matinée au propre. Révision des cours.
J'ai terminé ce matin le dessin préparatoire de ma huitième toile. Et je commence la peinture des fonds de la nature morte.
J'aime entendre la respiration concentrée de ma compagne qui souffle après les apnées de ses concentrations. C'est beau...

Il est rapidement 18 h. < Stop ! > J'ai fini. Je suis peinarde pour tout le Week-end ! > me fait Clémentine en me rejoignant.
Assise sur mes genoux, tout en observant mon travail de l'après-midi, Clémentine revient sur nos aventures aux écuries...
J'invite évidemment le lecteur à découvrir, ou à redécouvrir, le récit de hier pour bien comprendre l'intensité de l'aventure.
Le besoin d'en parler à nouveau est si fort que Clémentine revient sur les détails émotionnels de ce qu'elle a vécu au haras.
Ma compagne me fait part de cette immense plaisir qui l'envahi de plus en plus dans des situations de "soumise" volontaire.

J'écoute avec attention, et intérêt, tout ce que développe ma compagne à propos de ses étranges sensations de "soumise".
Je lui promets d'être plus attentif quand à cette demande, rappelant qu'il m'est difficile d'être "Maître" de la fille que j'aime.
Je veux bien faire des efforts si c'est pour assouvir ce besoin viscérale qui anime tant ma compagne. Je promets de le faire.
< J'en ai vraiment besoin, parfois ! > me confie t-elle encore. Je le sais. Il me faudra en tenir compte. Je vais m'y appliquer.
Nous quittons l'atelier. J'éteins les lumières. Nous montons pour nous changer. J'ai réservé dans notre restaurant préféré...

Clémentine porte une jupe en épais velours bleu nuit. Elle porte ses collants "trafiqués", avec l'ouverture à l'entre jambes.
Un chemisier blanc sous un épais pull de laine bleu nuit. Chaussée de ses bottes noires à talons haut. Ses cheveux libres.
Sur la demande de ma compagne, je porte mon costume noir, strict, chemise cravate. Nous nous regardons dans le miroir.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Je me trouve un peu noir.
Nous rions de bon cœur lorsque je lui dis que je ressemble à un représentant en assurance. Employé de pompes funèbres.

Il est dix neuf heures. Nous prenons ma voiture. Il faut faire tourner un peu la grosse berline Allemande. Son kilométrage.
Il y a quelques gouttes de pluie que balaient les essuies glaces. Clémentine joue avec mon sexe extrait de ma braguette.
Ma compagne adore sortir ma queue pendant que je roule. Moi aussi. Nous arrivons aux abords de la ville voisine. 12 km.
C'est ce petit restaurant romantique, au bord de l'étang, que nous apprécions tant. Eclairé aux bougies. Ambiance feutrée.
Il y a quelques voitures garées sur le parking. Nous entrons. Nous sommes reçus par une jeune serveuse très élégante...

Notre choix se porte sur la table du fond. Il y a quelques couples assis. Comme toujours nous attirons tous les regards.
Cette jeune fille de 20 ans, accompagnée d'un quinquagénaire. Nos hautes tailles athlétiques. Et notre élégance naturelle.
Nous aimons jouer de l'intérêt que nous suscitons. Surtout Clémentine que cela amuse toujours beaucoup. Une exhibition.
Nous prenons place. Clémentine n'a pas sa pareille pour trouver rapidement le meilleur angle où s'installer. Elle est belle.
Nous nous tenons les mains. Je regarde cette élégante jeune fille qui partage ma vie. Je me sens privilégié. Très heureux.

Ses longs cheveux presque noirs qui entourent son visage d'ange. Ses sourires timides. Sublimée par la lumière tamisée.
Clémentine me tend son téléphone. Il est plus grand que le miens. Je peux m'en servir comme d'un miroir. Un rétroviseur.
Sur l'écran, je peux regarder ce qui se passe derrière moi. Clémentine me fait remarquer ce couple installé derrière nous.
L'homme doit avoir la quarantaine. Il a remarqué la belle jeune fille qui me fait face. Sa femme me tourne le dos. Je mâte.
Nous dégustons un immense plateau de fruits de mer. Je presse les citrons sur les huitres en faisant très attention. Délice.

Clémentine me raconte ce qu'elle s'amuse à faire. Ses cuisses qu'elle écarte un peu plus que la normale. Pas de culotte.
Ses collants sombres, dont l'ouverture de 15 cm soigneusement pratiquée, permet d'admirer son invraisemblable touffe.
Je remarque, sur l'écran noir du téléphone, que le type, tout en bavardant avec sa femme, ne rate rien de ce spectacle.
Clémentine évite de regarder l'homme afin de ne pas exagérer son jeu. Ses longs cheveux libres permettent de loucher.
Nous parlons toutefois de notre séjour à Edimbourg. Samedi 23 décembre au mercredi 3 janvier. Ces vacances à venir.

J'ai réservé une voiture de location. Ce qui permet une parfaite indépendance. Nous serons hébergés chez mon oncle.
Cet appartement à l'étage de la grande maison que nous avons déjà occupé cet été. Clémentine écoute. Radieuse. Joie.
Nous arriverons à l'aéroport d'Edimbourg pour 17 h30. J'ai réservé les billets pour différentes manifestations prévues.
Je ne dis pas tout car je veux garder les surprises pour ma compagne qui tente de me soutirer des informations. Rien.
Je lui réserve quelques belles surprises car les fêtes de fin d'année à Edimbourg sont tout à fait exceptionnelles. Folies.

J'ai tout organisé. Et les moindres détails. Je suis déjà en possession de tous les billets envoyés par l'office de tourisme.
Tout en bavardant je mâte l'écran du téléphone. Rétroviseur parfait qui me permet de constater l'intérêt de l'inconnu.
< Le test des toilettes ! > me fait Clémentine en se levant pour se diriger vers l'escalier qui descend au sous-sol. Les WC.
Comme toujours, Clémentine a suscité un tel intérêt chez sa "victime" que celle-ci se lève pour prendre la même direction.
Je regarde l'homme descendre les escaliers. J'ai le réflexe de regarder derrière le comptoir. La jeune serveuse me sourit.

A t-elle remarqué quelque chose ? Je connais bien la psychologie féminine. Rien n'échappe à une femme. Elles voient tout.
Je croise le regard de la jeune fille une seconde fois. Je suis certain qu'elle se doute de quelque chose. Clémentine revient.
< Gagné ! > me fait elle en me racontant ce qui vient de se passer. Le type qui découvre la jeune fille dans les WC homme.
Faisant semblant de s'être trompée, la jeune fille qui s'excuse en se redressant. Surprise accroupie à fouiller son sac à main.
Le type, sa bite à l'air en se lavant les mains qui propose à Clémentine de la revoir. < Vicieux ! > conclue ma compagne...

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me montre la carte de visite que lui a laissé l'inconnu. < Collection ! > fait elle.
La "collection" de cartes de visite que laissent des inconnus à Clémentine, et dans ce genre de situation, est considérable.
Nous demandons l'addition. Nous sommes de retour pour 23 h. Epuisés. Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Tendresse.
J'offre à Clémentine un Cunnilingus qui la fait hurler de plaisir. Clémentine m'offre une fellation que me fait crier de plaisir.
Je m'introduis avec d'infinies précautions dans la fille. Nous restons immobiles. Les confidences. Nous nous endormons ainsi.

Bonne soirée au restaurant à toutes les coquines qui aiment à créer des situations hyper excitantes tout en se régalant...

Julien - (Toujours étonné et admiratif devant les agissement libidineux de Clémentine qui adore les fruits de mer) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 267 -



Estelle vient passer ce nouveau Week-End avec nous...

Hier matin, samedi, nous nous étirons en même temps. Clémentine me chevauche en riant. Il est presque huit heures.
< Bonjour Julien ! > me fait ma compagne en me couvrant le visage de bisous. < Bonjour Clémentine ! > que je fais.
Nous nous offrons de la tendresse, des papouilles avant qu'elle ne m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Le pissou.
Dès nos rituels pisseux terminés, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Le jour vient de se lever. Le froid.
Le thermomètre extérieur indique 0°. A l'intérieur, il fait bien chaud. 20° à la cuisine. Dehors tout semble sec et figé...

Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Confiture, miel et yaourt.
Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Nous évoquons notre soirée au restaurant, hier soir, et notre aventure.
La carte de visite qu'a laissé l'inconnu, aux toilettes, à Clémentine, est posée sur le buffet. Elle ira rejoindre la collection.
Nous rions de bon cœur lorsque ma compagne me fait : < La plupart des hommes s'imaginent qu'on va les contacter ! >
Elle rajoute : < De doux rêveurs. S'il fallait répondre à toutes les sollicitations ! >. Nous en rigolons comme des bossus.

Nous faisons notre vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Gym qui remplace le jogging.
La douche. Nous nous habillons chaudement pour aller faire nos courses. Clémentine donne sa préférence à un pantalon.
Un pantalon à plis et à pinces très serré aux hanches. Ce qui moule parfaitement le haut de ses cuisses. Elle est superbe.
Un chemisier, un pull noir. Des souliers à légers talons. Sur sa demande, je porte mon costumes en velours marron. Bien.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait ma compagne en m'attirant devant le miroir de l'armoire. Rires.

Nous descendons. Dans le jardin, l'air est vif et froid. Je sors la voiture qui chauffe rapidement. Nous voilà en route. Bien.
Nous passons devant le haras. Il y a des voitures garées dans la cour. Clémentine joue avec mon sexe, braguette ouverte.
Trois kilomètres et nous arrivons au bourg. Je gare l'auto. Nous parcourons l'allée centrale au chaud sous nos manteaux.
Nous faisons nos achats chez les artisans habituels. Fromages, fruits et légumes à profusion. Nous revenons à la voiture.
Sur la demande de ma compagne, sous mon manteau, j'ai la braguette largement ouverte. Nous arrivons près de la ville.

Je gare l'auto sur le parking du supermarché. Je pousse le caddie. Nous parcourons les rayons qui concernent nos achats.
Produits d'entretien. Conserves. La poissonnerie. Tout le nécessaire à la parfaite logistique d'un ménage. Il y a du monde.
Clémentine m'entraîne au rayon culturel. < Reste là ! S'il y a un blême tu rappliques ! > me fait elle aux bandes dessinées.
Je fais mine de feuilleter le dernier Black et Mortimer tout en observant ma compagne se diriger vers les livres de poche...
Elle pousse le caddie qu'elle range au plus près des rayons. Le chariot fait écran d'un côté. Parfait pour une petite exhibe.

Debout, son manteau ouvert, Clémentine feuillette un livre. Son accoutrement de bourgeoise attire quelques regards. Bien.
Il y a un quadragénaire qui semble très intéressé par la présence de cette grande jeune fille très élégante tout près de lui.
Je le vois loucher. Lui aussi à un chariot contre les étagères. Il y a du passage. Je regarde avec une grande attention. Bien.
Clémentine se touche discrètement de sa main gauche tout en faisant semblant de lire. C'est ça que le type à vu avant moi.
Le pantalon clair de Clémentine est moulant. Les formes du triangle de son sexe sont bien apparentes. Sa main s'y glisse.

J'ai le cœur qui bat la chamade. Je découvre, en même temps que l'inconnu, l'initiative vicelarde de la jeune fille. Superbe.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Mon sexe, contrarié dans son érection douloureuse par mes vêtements.
Je vois l'inconnu se rapprocher pour engager une conversation avec la jeune fille qui ne cesse pas de se toucher. Discrète.
J'admire le culot dont fait preuve ma compagne pour s'offrir de quoi nourrir sa libido de jeune fille de 20 ans. Si désirable.
De l'endroit où je suis, à une dizaine de mètres, je ne peux rien entendre des propos qui s'échangent. Le type drague. Fort.

Je peux juste voir le mouvement négatif de la tête de Clémentine. Elle doit certainement s'entendre faire des propositions.
C'est souvent la conséquence logique des situations créées. C'est souvent inévitable. Ce qui l'agace, ce sont les casses pied.
Là, il semblerait que le type ne se comporte pas en boulet. Il s'écarte et continue sa lecture. Clémentine vient me rejoindre.
Nous allons au rayon des vêtements homme. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me raconte la drague de l'inconnu.
< Un original qui se prétend photographe et qui me propose une séance ! Il affirme même être "généreux" ! > me dit elle...

Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine dit : < On va en parler à Estelle ! >. Il y a du monde aux vêtements.
Clémentine me propose de rester en tête de gondole où il y a des promotions sur d'hideuses cravates. Je joue le jeu. Rires.
Ma compagne s'engage dans l'allée. Il y a un jeune homme blond, anorak, bonnet, jean et baskets qui mâte des chemises.
Ma compagne, virtuose et discrète, range le caddie afin qu'il serve d'écran protecteur de ce côté ci. A nouveau, elle observe.
Faisant semblant de comparer des vestons, la jeune fille recommence à se toucher discrète. Le jeune homme s'en aperçoit.

Encore une fois j'assiste à une manœuvre d'approche. Je vois Clémentine rire à plusieurs reprises. Le type a de l'humour.
Clémentine, tournée de trois quart vers le jeune homme, a sa main entre ses cuisses. Tout en bavardant. Immobile. Vice.
Son manteau ouvert, Clémentine peut donc s'offrir cette petite émotion qui manque un peu à nos soirées hivernales. Bien.
Je vois le jeune se saisir de son sac dans le caddie. Il en sort un calepin. Il griffonne quelque chose. Il en arrache la feuille.
Le gaillard tend la feuille de papier à Clémentine qui s'en saisit en remerciant. Le type n'insiste pas et s'éloigne très amusé.

Dans la voiture, ma compagne me raconte la nature des échanges avec le jeune homme et me lit ce qu'il y a sur la feuille.
<Alors celui-là se prétend moniteur de kayak et de canoë. Il me propose de venir visiter le bassin couvert ! > me fait elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute encore : < Et pourquoi pas de faire de la pagaie à poil ! >
Nous sommes de retour pour midi trente. Nous rangeons nos courses. Nous montons nous changer. Clémentine se serre.
< Merci Julien ! Avec toi, c'est génial ! > me fait elle en prenant ma main pour la passer dans sa culotte. Elle est trempée.

Nous descendons préparer notre repas de midi. Je prépare des pommes de terre au gratin. En m'inspirant d'une tartiflette.
Clémentine prépare la salade. Nous sommes méthodiques et efficaces. Tout va très vite. Ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer.
En hiver, les repas consistants y gagnent encore en saveur à être réchauffer. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.
Nous évoquons nos aventures au supermarché. < C'est génial aussi, comme plan, de se toucher ! Tu aimes . > me fait elle.
Je la rassure. Ce sont des "créations" aussi intenses que d'être accroupie en jupe. Je lui avoue à quel point c'est bandant...

Nous faisons la vaisselle. Nous sommes vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux et de nos espadrilles à cordelettes.
Nous filons à l'atelier. Nous allumons un bon feu dans la cheminée. Dehors, le ciel est gris, sinistre. Il y a peu de luminosité.
Clémentine est assise à la table de travail entourée de ses affaires et devant l'ordinateur. Je suis assis devant mon chevalet.
Nous travaillons animés d'une grande concentration en nous offrant de courtes pauses papouilles. Il est rapidement 17 h30.
Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un SMS. C'est Estelle. Nous nous levons. Nous mettons nos anoraks. Et nos bonnets...

Nous filons chercher Estelle qui nous attend dans l'arrêt de bus à une centaine de mètres de chez elle. Avec son sac de sport.
La jeune fille semble folle de joie de se retrouver avec nous pour le Week-End. Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou.
Nous voilà de retour à la maison. Il fait nuit noire. Il est presque 18 h. Les filles sont rapidement assises à la table. Le travail.
Clémentine met toujours ses notes mises au propre sur une clef USB qu'elle donne à Estelle. Cela permet un gain de temps.
Il est 19 h. < Stop ! On crève la dalle ! > s'écrie Estelle. Nous nous levons pour nous précipiter à la cuisine. Tout va très vite.

Il n'y a qu'à réchauffer le gratin de patates. Clémentine prépare la salade. Estelle s'occupe de l'assaisonnement. Méthodique.
Je mets la table. Nous mangeons de bon appétit. La conversation tourne autour de notre aventure de jeudi soir aux écuries.
Estelle sort de la poche de sa chemise la petite boîte en plastique transparent qui contient la carte SD. < Le film ! > fait elle.
Ce soir, nous allons tous les trois visionner la vingtaine de minutes que j'ai filmé dans le box, avec Estelle. Trou dans le mur.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine nous expose le programme de la soirée visionnage.

Nous faisons la vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous sommes assez fébriles à l'idée de ce qui nous attend au salon.
Clémentine y va la première pendant que je termine de ranger la cuisine. Estelle mime une masturbation masculine en riant.
Elle me dit : < On y retourne jeudi prochain ! Je te réserve une surprise ! >. Je la regarde étonné. Elle me fait un clin d'œil.
< Vous venez les vicieux ! > nous fait Clémentine depuis le salon. Estelle me prend par la main pour m'y entraîner. Sourire.
Clémentine a branché l'ordinateur sur le téléviseur par la prise HDMI. Estelle sort la carte SD de sa petite boîte. Clin d'œil...

Prudente, Estelle garde le contrôle total des images que nous tournons. Des images qui resteront à tout jamais entre nous.
La jeune fille introduit la carte SD dans l'ordinateur. Le grand écran du téléviseur s'illumine. Nous sommes dans le canapé.
Tous les trois, vautrés l'un à côté de l'autre, une fille à ma gauche, une fille à ma droite, nous nous apprêtons à découvrir.
Clémentine tient la télécommande pour augmenter le son. Estelle a fait un montage avec générique. C'est hyper bien fait.
Il y a une ancienne photo que nous avons prise au mois de juin sur laquelle défile le générique. "Le trou dans le mur". Joie.

Une photo fixe. Estelle, le visage inondé de foutre et de pisse qui sourit à l'objectif. Je suis penché en souriant à ses côtés.
< Tu te rappelles ce que tu m'as mis ce soir là ? Salaud ! > me fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus en regardant.
Soudain, là, à l'image, apparaît le trou dans la cloison qui sépare le box du bureau de monsieur Gérard. Un silence lourd.
Je me souviens d'avoir bien filmé cette ouverture parfaitement ronde d'environ six centimètres de diamètre. Cloison 5mm.
La caméra glisse doucement sur le visage d'Estelle qui se tourne pour sourire à l'objectif. Elle est hyper belle et craquante.

C'est merveilleusement excitant de voir cette jeune fille à l'écran en l'ayant dans sa réalité assise là, à ma droite. Canapé.
Clémentine partage cette émotion car je perçois de légers frissons qui parcourent son corps serré contre le mien. Silence.
A l'écran, on voit Estelle, le visage près de la cloison, l'œil rivé au trou par lequel elle mâte en racontant ce qu'elle regarde.
< J'ai une voix comme ça ? > demande Estelle en posant sa main sur ma braguette. Clémentine a une main dans son jean.
Nous rions de bon cœur en écoutant le monologue de la jeune fille relatant ce qu'elle mâte. Soudain, elle se retire du trou.

Il y a le tout petit sexe ridicule et mou qui apparaît dans le trou. < Dommage ! Il n'y a pas l'odeur ! > fait Estelle. Rigolade.
Nous observons l'attitude de la jeune fille qui approche son visage pour scruter. J'ai bien capté les expressions de ses traits.
C'est à la fois émouvant et excitant. Je demande : < Tu as joué sur les contrastes en faisant ton montage ? Les couleurs ? >
< Oui, j'ai utilisé le même logiciel. Parce qu'avec la lumière vive des néons, le contraste est trop violent ! > me fait Estelle.
Elle rajoute : < Ce sont des filtres qui permettent de contraster au plus près d'une lumière naturelle. Sombre toutefois ! >

Le résultat est remarquable. Les ombres contrastent parfaitement les traits du visage d'Estelle. Jusqu'à les rendre anguleux.
Là, sur l'écran, nous voyons Estelle humer longuement la bite qui dépasse à peine de l'orifice. On entend bien sa respiration.
Lorsque je filmais tout cela, j'étais concentré. Les détail qui m'échappaient m'apparaissent ici dans toutes leurs majestés.
< Regardez ! Là, il y a des coulures luisantes ! > fait Clémentine. Elle fait un arrêt sur image. Pas de doute. Du foutre frais.
< Je n'avais pas fait gaffe ! > nous fait Estelle. La caméra balaie l'espace pour descendre sur l'angle de la cloison et du sol.

Nouvel arrêt sur image. Il y a une flaque de foutre épais mais luisant qui achève de s'écouler sur le ciment. C'est délirant.
< Put-Hein, je n'avais pas fait gaffe ! > rajoute une nouvelle fois Estelle. < Il s'est passé un truc ici ! > fait Clémentine.
< Le salaud a déjà fait un truc ici avant qu'on y vienne ! Je ne vois pas d'autre explication ! > rajoute encore Clémentine.
Toutes les spéculations les plus folle nous apparaissent. Nous continuons à regarder. Estelle qui se saisit du sexe de Gérard.
Nous la voyons tenter de décalotter ce tout petit sexe. Elle n'y parvient pas à cause de l'étroitesse du trou. Elle renifle fort.

< Il y avait quelqu'un ici, dans le box, peut avant que tu y viennes. J'en suis sûre ! > fait Clémentine entre deux soupirs.
Ma compagne, haletante, est entrain de se toucher tout en émettant les plus folles hypothèses. Nous scrutons les images.
Clémentine fait encore plusieurs arrêts sur images lorsque les coulures sont luisantes. C'est selon l'angle de la caméra.
Moi non plus je n'avais pas vu ça. Nous étions si fébriles Estelle et moi que nous avons manqué de vigilance. La situation.
La fin du film est un peu saccadée. On y voit Estelle faisant mine de vouloir me gifler lorsque j'appuyais sur sa nuque...

Clémentine découvre tout cela pour la première fois puisque lorsque je filmais Estelle, elle était avec le palefrenier. Tenue.
Nous regardons le film une seconde fois. Clémentine augmente le son. Nous percevons des gémissements dans le lointain.
< C'est moi qu'on entend. Ce salaud me tenait par les cheveux, mon visage collé à sa cuisse ! > nous explique Clémentine.
Nous rions de bon cœur à cette révélation. Ma compagne refait des arrêts sur images. < C'est de la jute ! > s'écrie Estelle.
Nous regardons les images au ralenti. Pas de doute. Il s'est passé quelque chose avant notre arrivée. Il est déjà 21 h30...

Clémentine est à la limite de l'orgasme. Je l'entends souffler après de nombreuses apnées. Estelle m'a ouvert la braguette.
Je sors mon sexe. Nous sommes tous les trois considérablement excités. De regarder des images aussi vicelardes. C'est sûr.
< C'est génial d'analyser des images aussi vicelardes ! > fait Clémentine en se levant pour se mettre à genoux devant moi.
Estelle me tient le sexe fermement. Il dépasse de moitié de sa main fine. Il y a du liquide séminale qui s'en écoule du bout.
Clémentine, à genoux sur l'épais coussin de velours se met à me sucer avec passion. Estelle prend la télécommande. Bien.

Rien n'excite davantage Estelle que de se découvrir à l'écran. Nous avons tourné quelques films au printemps. Superbes.
Estelle adore se voir dans des situations que la moral réprouve mais pas elle. Bien au contraire. Je me fais sucer. Le film.
Estelle me montre du doigt des choses nouvelles. < Regarde, là, on voit bien la jute ! > en observant. Arrêts sur images.
Je lui dis : < Tu as raté une vocation d'actrice ! >. Elle me fait : < Je n'aurais pas le courage de faire de la pornographie ! >
Je dis : < La pornographie n'est rien d'autre qu'un acte de prostitution filmé. Ce qui n'est la cas avec nos réalisations ! >

La soirée se passe ainsi. Estelle et moi nous scrutons les images les plus significatives. Encore et encore. Clémentine suce.
Il est déjà 23 h. Nous sommes épuisés. Je force Clémentine à se relever. Elle dit à Estelle : < Tu ne te branle pas, toi ? >.
Estelle se livre beaucoup moins à des masturbations "publiques". Plus réservée mais pas moins excitée. Elle explique. Rire.
Je me lève. Je me place bien droit entre les jambes d'Estelle qui me saisit par les hanches. Elle se met à me pomper la bite.
J'éjacule rapidement. Estelle pousse un cri de ravissement. Elle poursuit en modulant longuement ses gémissements. Joie.

Bonne soirée de visionnage de vos exploits à toutes les jeunes coquines, (mais majeures), qui se font filmer aux écuries...

Julien - (Très bon spectateur et qui se fait expliquer les choses inattendues qui apparaissent sur l'écran du téléviseur) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 268 -



Un dimanche de décembre parfaitement "normal"...

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des chuchotements, des murmures et des rires étouffés. On me tient le sexe.
J'ouvre l'œil et le bon. < Bonjour Julien ! > me font les deux fille en même temps. Comme tous les dimanches matins.
Je me redresse. Je me mets à quatre pattes entre les deux filles. Je pousse des grognements d'ours des cavernes. Rut.
Je les chatouille. Estelle arrive à s'enfuir en riant pour se rendre aux toilette. Clémentine me chevauche en riant. Bises.
Nous nous offrons quelques papouilles. Estelle revient. Avant de descendre, elle fait : < Je vais préparer la bouffe ! >.

< On arrive ! > lui lance Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. C'est nos rituels pisseux habituels.
Nous descendons rejoindre Estelle qui est vêtue de son pyjama en soie mauve. Nous avons nos longs T-shirts de nuit.
L'odeur du café et du pain grillé enchante nos narines. Tout est déjà prêt. Je fais des bises à Estelle pour la remercier.
Il est presque huit heures. Le jour vient de se lever. Le thermomètre extérieur indique 2°. A l'intérieur il fait doux. 20°.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Les filles évoquent leurs cours, la faculté et la fin proche de ce trimestre.

J'écoute toujours avec beaucoup d'intérêt. Les anecdotes échangées sont un peu comme un feuilleton à suites. Sympa.
Il n'y a plus que deux semaines de cours. Elles vont en mettre un dernier coup avant des vacances bien méritées. Joie.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine parle de notre séjour futur en Ecosse. Plaisir.
Estelle nous confie : < Je ne peux pas laisser mes parents seuls pour Noël. Je vous rejoins le 26 décembre pour ça ! >
< Mais on avait bien compris. Julien et moi n'avons plus nos parents. Une liberté pour les fêtes ! >précise Clémentine.

Le dimanche matin c'est ménage. Pas d'entraînement. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Dehors le ciel est gris.
Tout est trempé. Il y a eut de la pluie cette nuit. Une météo véritablement détestable. Je termine de ranger la cuisine.
Clémentine entraîne Estelle au salon. Je les entends rire devant l'ordinateur. Estelle découvre nos histoires sur le forum.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages du sol en insistant sur ceux du hall d'entrée. Bien.
Je sors l'aspirateur du placard pour l'emmener au salon. Estelle est seule. Elle est assise derrière le bureau devant l'ordi.

Clémentine est montée faire la chambre. < Julien, je lis vos récits. Je nous reconnais partout ! > me fait Estelle en riant.
< J'aimerais bien m'appeler Estelle pour de vrai ! > rajoute encore Estelle en se levant pour venir me rejoindre amusée.
La jeune fille se serre contre moi. Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, cela me met dans l'embarras. Cela me gêne.
< J'adore tout particulièrement lorsque tu parle de moi dans tes récits ! > me fait elle en me couvrant le visage de bises.
Je la repousse doucement pour l'entraîner derrière le bureau afin qu'elle continue de lire. < Je t'aime ! > me fait Estelle.

Je passe l'aspirateur. Son ronronnement me permet toutefois d'écouter Estelle lire certains passages à haute voix. Rires.
< Je veux retourner aux écuries le plus tôt possible. Jeudi soir, ça te dit ? > me fait Estelle. Je dis : < Pas de soucis ! >.
Lorsque je m'y attends le moins, Estelle qui est venue silencieusement derrière moi, m'attrape par les couilles. Douleurs.
La coquine me les tient fermement. Je me redresse, sans défense, tenant le tuyau de l'aspirateur. Elle m'attrape la bite.
< Je te réserve une surprise lors de notre prochaine visite aux écuries ! > me fait elle en tentant de m'embrasser. Rires.

Je la saisi par ses cheveux. Je l'entraîne derrière le bureau. Je la force à s'assoir. Je dois lui retirer les mains de mon slip.
Nous rions de bon cœur. Je passe le plumeau et le chiffon sec sur les meubles. Estelle imite une masturbation masculine.
< J'ai envie de te tailler une pipe ! Maintenant ! > me fait la jeune fille. Je me dépêche de monter, rejoindre Clémentine.
Ma compagne est entrain de changer les draps. Je lui raconte tout ce qui s'est encore passé en bas avec Estelle. Rigolade.
< On va lui en donner de la pipe à cette petite salope, elle va déguster ! > répond Clémentine. Nous rions de bon cœur.

Je ramasse les draps à laver pour les mettre dans le panier à linge de la salle de bain que je commence à nettoyer. Bien.
Clémentine vient me rejoindre. Elle se serre contre moi. < Moi aussi, j'ai envie de te tailler une pipe ! > chuchote t-elle.
Elle m'embrasse en fouillant ma bouche de sa langue avide, fougueuse et exploratrice. Je la soulève pour la faire tourner.
Je lave le lavabo, le bac à douche. Clémentine fait les miroirs. Nous évoquons nos vacances à venir. Plein d'arrêts bisous.
Ma compagne descends avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes du haut et je passe la serpillères sur les carrelages.

Je redescends à mon tour. Les filles sont assises derrière le bureau, devant l'ordinateur. Silencieuses et plutôt studieuses.
Je les rejoins. Clémentine m'explique le graphique que je vois sur l'écran. Elles sont sur le site de l'université. Leurs cours.
Tout cela est passionnant. Les explications de Clémentine sont toujours si claires. Tout y est parfaitement compréhensible.
Il est déjà onze heures trente. Je les laisse pour me rendre à la cuisine. Dehors, il s'est mis à pleuvoir. C'est épouvantable.
Je vide l'eau des pavés de saumon qui achèvent de décongeler. J'épluche les patates, le navet et les carottes de la potée.

Clémentine vient me rejoindre. Serrée contre moi, elle me confie quelques tendres secrets. Elle s'occupe de la salade. Joie.
Estelle vient nous rejoindre. Elle émince l'ail, l'oignon, la ciboulette. Estelle s'occupe de la préparations des papillotes. Bien.
J'écoute la conversation qui s'articule autour des études et des cours. Ce sont des bosseuses acharnées. Je suis admiratif.
Animées du désirs de réussir leurs "Master" en juin de l'année prochaine, les filles se montrent pugnaces et déterminées.
J'aime cette attitude de gagnante. Il y a cette émulation menée par Clémentine qui détermine déjà les succès à venir. Joie.

La potée est sur le feu, rissolant dans la vieille cocotte en fonte. Les pavés de saumon sont sur le barbecue électrique. Bien.
Je mets la table. Estelle termine l'assaisonnement de la salade. Clémentine passe les feuilles de salade à l'essoreuse. Faim.
Il est 12 h30. Nous mangeons de bon appétit. A présent, la conversation s'articule autour de nos aventures aux écuries. Jeu.
Estelle montre un enthousiasme étonnant à chaque fois que Clémentine évoque notre prochaine visite aux écuries jeudi soir.
< Tu t'occupes de la caméra, Julien ? > me demande Estelle. < Pourquoi ? Tu veux refaire un film ? > demande Clémentine.

< Oui ! J'ai envie de faire un truc plus consistant ! Un peu plus "juteux" ! > répond Estelle en me faisant un clin d'œil. Rires.
Estelle refuse de nous en dire davantage. Que nous prépare t-elle encore ? La jeune fille sait parfois se montrer imprévisible.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine fait : < Jeudi, je reste avec vous dans le box ! >.
< Tu n'a pas envie de te faire tripoter par le vieux salaud ? > lui fait Estelle. < Non, pas vraiment ! > lui répond Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Je dis à Clémentine : < Je suis certain qu'il pourrait se comporter en vrai "Maître" ! >. Le silence...

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. < Vous êtes d'accord, on mâte encore une fois le film ! > nous propose Estelle.
Elle rajoute : < Je voudrais bien voir encore une fois certains détails ! >. Clémentine lui fait : < Les coulures de foutre ? >
Je termine de ranger la cuisine pendant que les filles vont au salon. Je les entends bavarder. Toujours à propos des écuries.
Je les rejoins. Estelle tapote sur le canapé pour m'inviter à m'assoir à ses côtés. Clémentine à genoux devant le téléviseur.
La télécommande à la main, ma compagne allume l'écran. Silencieux. Retenant nos respirations, nous regardons à nouveau.

Le générique. A l'écran à nouveau les images filmées dans le box jeudi dernier. Clémentine est très vigilante. Nous scrutons.
A chaque fois que la caméra balaie la cloison, ma compagne fait un arrêt sur image. Estelle commente les coulures luisantes.
Pas de doute. Avant notre arrivée, il s'est passé un truc car les coulures ne peuvent êtres luisantes que parce que fraîches.
Clémentine avance quelques déductions avec sa logique habituelle. <Juliette ? Madame Walter ? > demande Estelle. Silence.
< Ou une des jeunes cavalière qu'on rencontre parfois au haras ! > répond Clémentine. J'écoute les supputations probables.

Clémentine fait des retours et des arrêts sur images. Il y a ce plan rapide ou la caméra montre l'angle de la cloison et du sol.
C'est lorsqu'Estelle voulait me gifler quand je tentais d'appuyer sur sa nuque afin de rapprocher son visage près de la queue.
C'est un plan qui ne dure que deux secondes. Arrêt sur image. < C'est du sperme, sûr, regardez bien ! > fait Estelle. Silence.
Nous sommes tous les trois braqués sur cette image. Il y a de fortes probabilités. Sinon que serait-ce d'autre ? Un mystère.
< Jeudi prochain, on va faire gaffe. On va bien regarder ! > fait Estelle. < On peut aller voir mardi déjà ! > fait Clémentine.

< Ce vieux salopard se fait sucer dans ce box, mais par qui ? > fait Clémentine. < Madame Walter ! Certain ! > dit Estelle.
Les spéculations les plus fantaisistes sont avancées par les deux filles. J'écoute en silence et très amusé. Le sixième sens.
Nous rions souvent de bon cœur aux éventualités plus fantaisistes les unes que les autres. Des développement étonnants.
Estelle palpe ma braguette depuis un moment. Je l'ouvre. Elle y glisse sa main pour me sortir la queue. Je bande mou. Joie.
Clémentine se lève pour venir s'assoir à ma droite. Estelle se lève pour se mettre à genoux sur l'épais coussin posé au sol...

Il est déjà quinze heures. Nous avons tout notre temps. Les filles travailleront à la préparations de leurs cours en soirée.
Estelle hume longuement les effluves parfumées de mon sexe pas lavé depuis hier. Elle renifle et dit : < Mr Schlingo ! >.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle rajoute : < Tu auras du mal à puer de la bite autant que le palefrenier ! >
Estelle me décalotte un peu. Immédiatement l'odeur nous monte aux narines. < L'odeur est chevaline ! > fait la jeune fille.
C'est vrai que l'odeur qui s'en dégage n'est pas sans évoquer celle que nous pouvons sentir aux écuries. Nous rions bien...

Clémentine a passé sa main droite dans son jean. Estelle a son visage contre mon sexe. Elle se le frotte tout en gémissant.
Je sors mes couilles. Estelle y frotte chaque angle de son visage. Je la regarde. Cette belle jeune fille de 20 ans si vicelarde.
C'est un bonheur. Rapidement Estelle se met à me tailler une bonne pipe des familles. Clémentine se masturbe doucement.
Parfois, ma compagne m'embrasse avec fougue. J'adore cette situation car mon excitation provoque des montées de foutre.
Sous l'abondance de mes montées de liquide séminal, Estelle déglutit avec difficulté en poussant des gémissements. Le jus.

Nous restons ainsi de longs moments. Régulièrement, pour lui permettre de reposer sa mâchoires, je force Estelle à cesser.
Des filaments gluants et laiteux relient sa bouche à ma bite avant de s'écouler sur son menton. Estelle se régale. Heureuse.
Clémentine, que tout cela excite et enchante, repousse encore ses limites, maîtrisant parfois difficilement l'arrivée du plaisir.
Clémentine arrive à éviter l'orgasme juste au dernier moment. Se propulsant ainsi encore plus haut. Son corps en frissonne.
Il est dix sept heures trente lorsque j'éjacule enfin dans la bouche d'Estelle. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme ultime.

Nous restons tous les trois épuisés, silencieux pour nous rendre compte que sur l'écran du téléviseur, ill y a la même image.
Nous rigolons comme des bossus en découvrant cet arrêt sur image qui a duré des heures. Nous remettons le film en riant.
Nous passons à la cuisine pour réchauffer la potée. Je fais une sauce au Roquefort. Clémentine prépare la salade. Ambiance.
Après le repas, nous passons à l'atelier pour travailler un peu. Nous ramenons Estelle pour 22 h30. Un retour sous la pluie...
Toilettes. Salle de bain. "69". Une petite baise prétexte aux confessions de Clémentine. Cunnilingus. Fellation. Et puis dodo.

Bon début de semaine à toutes et à tous...

Julien - (Qui s'apprête à vivre quelques nouvelles surprises) -

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Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 269 -



Il n'est pas rare que le lundi soit le premier jour de la semaine...

Hier matin, lundi, nous sommes à nous étirer en même temps. C'est notre horloge biologique. Il est 5 h50. Il fait nuit.
< Bonjour Julien ! > fait Clémentine dans le cri qui ponctue son long gémissement. Je fais : < Bonjour Clémentine ! >
Nous nous serrons bien fort l'un contre l'autre pour nous blottir avant que Clémentine ne me chevauche en riant. Joie.
J'éteins le réveil avant qu'il ne sonne à six heures. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Rituel pisseux.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Confiture, miel, pain.

Nous mangeons de bon appétit. L'odeur du pain grillé est agréablement persistante. Il fait 20°. La température idéale.
Le thermomètre extérieur, lui, indique 1°. Il pleut car tout est luisant. Nous bavardons en faisant le bilan du Week-End.
Nous rions de bon cœur en évoquant le visionnage du film réalisé aux écuries jeudi soir. Vu samedi soir et le dimanche.
< Estelle et son obsession pour les coulures de sperme le long des planches de bois, sous les trous ! > fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus à cette réplique. < Et il faut dire que c'est troublant ! > rajoute encore ma compagne.

Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement quotidien. Une heure de gymnastique avec intensité maximale.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son large parapluie. Il pleut.
Le jour achève de se lever. Il est 7 h45. Des bisous. Un dernier coucou de la main. La voiture disparaît. Haut du chemin.
Je rentre. Je fais la vaisselle. Je monte faire la chambre et le lit. Je redescends pour allumer un feu dans la cheminée.
Je suis assis devant mon chevalet dans le silence monacale de mon atelier. Je peins la huitième toile de ma saison 2018.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare des aubergines farcies au pâté de lentilles. Accompagnées de riz.
J'en fais six. Ainsi, ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer les quatre restantes. Tout va vite. C'est une distraction récréative.
Je suis de retour dans l'atelier pour 13 h15. Je peins dans une glorieuse allégresse en poussant de vrais cris surréalistes.
Moi qui ne crois en rien d'autre qu'en moi, il faut me voir tomber à genoux, me signant lorsque je réussi un trait sublime.
C'est dans cette exaltation démesurée que je travaille animé d'une passion qui me dépasse. Les choses avancent. Super.

Il est presque dix sept heures lorsque Clémentine rentre de cours. Elle jette son sac dans le vieux canapé de l'atelier. Joie.
Ma compagne se précipite en me faisant plein de bisous. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée de cours. Bien.
Lorsqu'elles mangent ensemble, à midi, au restaurant universitaire, Clémentine et Estelle bavardent. 40 minutes de repos.
< Estelle fait une fixation délirante sur notre prochaine visite aux écuries ! > fait ma compagne. Nous en rions de bon cœur.
< Elle veut filmer une "exception" m'a t-elle dit, sans en révéler davantage ! Et tu filmes ! > rajoute encore ma compagne.

Clémentine dit encore, tout en se levant pour aller à la table de travail : < Je reste avec vous deux dans le box, tu veux ! >
Je dis : < Pourquoi ne pas profiter de la situation pour vivre un truc que tu apprécies en compagnie du vieux palefrenier ! >
Clémentine assise à la table de travail, entourée de ses affaires devant l'ordi, reste silencieuse. L'idée fait son chemin. Joie.
Je rajoute : < Maintenue dans une situation de soumission, par le vieux vicelard ! Moi je suis à côté ! Tu ne risques rien ! >
Il y a un long silence. Nous travaillons dans le recueillement habituel. La concentration. Le souffle de nos respirations. Bien.

Clémentine se lève pour venir se placer derrière moi. Ses bras autour de mon cou. Elle me chuchote : < L'idée m'excite ! >
Elle fait évidemment allusion à ma suggestion. Je dis : < Avant d'y aller, je te passe le collier canin et la laisse ! Tu veux ! >
J'entends le profond soupir de Clémentine à mon oreille. Ce souffle chaud dans mon cou. Elle me contourne et s'accroupit.
< Je ne pourrais vivre cette situation que si tu es caché à me regarder ! > fait Clémentine en posant sa tête sur ma cuisse.
Nous restons silencieux. J'ai posé ma palette et mes pinceaux. Je caresse la tête de clémentine accroupit entre mes cuisses.

Je lui explique mon point de vue. < Dans cette situation, Estelle s'éclate et toi tu t'éclates. Pourquoi ne pas en profiter ! >
< J'y ai pensé, tu me connais, mais je suis à la fois morte de trouille et hyper excitée ! Dingue ! > explique ma compagne.
Je rajoute : < Il ne peut rien t'arriver, Mr Gérard aura sa bite dans le trou ! > < Je sais ! Mais c'est la situation ! > fait elle.
Je lui propose d'y penser. Après tout, nous n'y retournerons que dans trois jours. < Mais j'y pense déjà ! > fait Clémentine.
Ma compagne s'assoit sur mes genoux. Blottie contre moi, elle reste silencieuse. Je tente de peindre d'une seule main. Rire.

Clémentine retourne à son travail. A nouveau le silence s'emplit parfois du souffle et des soupirs qui suivent nos apnées.
Il est rapidement 19 h. < Ras-le-bol ! > s'écrie Clémentine. Nous sommes morts de faim. Nous nous précipitons à la cuisine.
Il n'y a qu'à réchauffer les aubergines bien callées sur le riz, dans le plat en terre cuite que je mets au four. Tout va très vite.
Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue. Je fais l'assaisonnement. Je mets la table. Clémentine me parle des cours.
Les notes qu'elle prend sont mises au propre, le soir, sur Word. Elle en fait une copie sur clef USB à l'attention d'Estelle. Bien.

A plusieurs reprises Clémentine vient se blottir contre moi. Je devine le profond embarras que suscite l'idée qui la taraude.
Je lui chuchote : < Tu verras, tu vas vivre un truc hyper excitant. Un truc qui va te bouleverser pendant quelques temps ! >
< Je sais ! > murmure Clémentine avant de rajouter : < Je t'aime Julien. Tu m'aides toujours si bien à tout surmonter ! >
La sonnerie du four nous tire de nos introspections. Cela détend l'atmosphère. Je rajoute : < C'est déjà si excitant, non ! >
Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit. La conversation reste axée sur notre projet de jeudi soir. Ecuries.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie ses ressentis. Et je l'écoute en silence.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Je saisi Clémentine par ses cheveux, fermement. Fort.
Je l'entraîne sans ménagement au salon. Je lui fais faire le tour de la grande pièce trois fois. Nous contournons les meubles.
Ma compagne apprécie tant lorsque j'ai ce comportement que je peux l'entendre glousser de plaisir. Je la tiens pas la nuque.
Je la force à se mettre à genoux, mains sur la tête, sur l'épais coussin de velours que je pose parterre au milieu de la pièce.

Je me place devant elle. Bien campé sur mes jambes légèrement écartées. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe humide.
Je bande mou. Je lui passe la bite sur le visage. Clémentine, en gémissant, me présente chaque angle de son visage d'ange.
Je lui chuchote : < C'est tout ce que tu risques aux écuries ! >. < Arrête, il n'en est pas question ! > me répond Clémentine.
Je lui mets une gifle en lui disant : < Ton "Maître" te l'ordonne ! >. Clémentine saisit mes hanches. < Oui Maître ! > fait elle.
Je dis : < Mains sur la tête et suce ! >. < Oui Maître ! > fait ma compagne. Je regarde cette belle jeune fille de 20 ans sucer.

Je n'ai absolument pas l'âme d'un "Maître". C'est sur les demandes pressantes et régulières de Clémentine que je joue ce rôle.
Je dois le jouer à la perfection car il me suffit d'exiger pour que Clémentine exécute le moindre de mes ordres avec célérité.
J'en suis profondément troublé. C'est difficile d'avoir ce comportement avec la fille que j'aime. Même si sa demande est forte.
Aussi, saisi d'une profonde émotion, je la force à se relever en la tirant par les cheveux. Je l'entraîne sur le canapé. Une gifle.
Je déboutonne son jean que je retire en même temps que la culotte. Je me mets à genoux entre ses cuisses écartées. Minou.

Je hume longuement les effluves parfumées de sa journée de fille. Une odeur forte qui m'enivre. Clémentine gémit de plaisir.
Je fouille chaque pli et chaque repli des lèvres charnues de son sexe trempé. Il coule de la cyprine en abondance. Merveilleux.
Je me régale. Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Parfois, elle me repousse délicatement. Prudence.
Ma compagne m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles.
Nous adorons rester l'un dans l'autre sans bouger. Clémentine se met à me chuchoter les secrets les plus étonnants. Si belle.

< Aides moi pour jeudi. Parles-en souvent pour me rassurer. J'en ai tellement envie ! > me confie Clémentine. J'écoute.
Elle rajoute : < Dans nos rapports, j'ai le besoin impérieux d'être "soumise", je t'en prie, juste entre nous deux, parfois ! >.
Je comprends parfaitement sa demande. Je dis : < Tu vois, parfois, j'arrive à jouer le rôle que tu veux que j'interprète ! >
Elle me murmure : < Je sais. Je t'aime Julien ! Tu comprends toujours tout ! >. Doucement, ma compagne se met à bouger.
Nous commençons à nous bercer d'un mouvement lent et régulier. Je peux sentir les contorsions du bassin de Clémentine.

Elle cherche le meilleur angle pour ressentir au mieux. Le plaisir. Ma queue qui habite la totalité de son sexe étroit. Fragile.
J'écoute toutes les confessions étonnantes que me fait Clémentine en accélérant encore. Il faut cesser. Se garder pour le lit.
Clémentine déteste les orgasmes prématurés. Je suis toujours aux ordres. Le "soumis" n'est pas celui qu'on croit. Superbe !
Nous retournons à l'atelier pour terminer de ranger. Il est déjà 22 h. Nous montons à toute vitesse. Toilettes. Salle de bain.
Au lit. Un "69". Une petite baise et nouvelles révélations. Cunnilingus. Orgasme délirant. Fellation. Orgasme délirant. Dodo...

Bonne soirée de confessions et de révélations à toutes les coquines qui ont le désir fou de tout raconter à leur complice...

Julien - (Qui n'est certainement pas au bout d'étonnantes et fantastiques découvertes. Les filles sont imprévisibles) -

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Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 270 -



L'obsession d'Estelle pour les écuries et les tâches suspectes...

Hier matin, mardi, une fois encore, nous nous réveillons juste avant que ne sonne le réveil. C'est notre horloge biologique.
Il est 5 h45. Nous nous étirons longuement en gémissant. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine dans un cri final. Bises.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je te temps de dire juste avant qu'elle ne me chevauche en riant. Quelques douces papouilles.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. C'est l'instant de nos rituels pisseux. Nous descendons à la cuisine.
Nous préparons et prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme du jour.

Il fait bien chaud dans la maison. Il y règne 20°. Par contre le thermomètre extérieur indique moins 3°. Il fait donc froid.
Nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. Une heure d'entraînement intense qui remplace le jogging.
La douche. Je redescends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint dans le froid et chaudement vêtue.
Il est 7 h45. Quelques bisous. Un dernier coucou de la main et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Froid.
Le jour achève de se lever. Je rentre. Je fais la vaisselle. Je monte faire le lit et la chambre. Je redescends dans l'atelier.

J'allume un bon feu dans la cheminée. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins avec un enthousiasme débridé. Super.
Je pense terminer cette huitième toile destinée à ma saison 2018 pour jeudi soir. Vendredi midi au plus tard. La certitude.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Dehors le ciel est bas, sinistre et le thermomètre extérieur indique à peine 5°.
Je prépare la pâte pour la tarte aux poireaux du mardi soir. Clémentine rentre pour 12 h15, n'ayant jamais cours le mardi.
Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève pour la faire tournoyer. < Je t'aime Julien ! Enfin ensemble ! > s'écrie t-elle.

Clémentine prépare la salade en me racontant sa matinée. Les notes qu'il faut prendre à toute vitesse sans pouvoir cesser.
< J'en ai des crampes au poignet ! > me fait ma compagne en mimant une masturbation masculine. Comme le fait Estelle.
Nous rions de bon cœur. Cet après-midi encore il lui faudra mettre toutes ces notes prises à la hâte au propre et sur Word.
Je prépare une Béchamel. Je coupe le poireau pour le faire bouillir. Le repas du soir est prêt. Pour midi, ce sera spaghettis.
Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le bilan de la veille et le programme de cet après-midi. Tout cela nous amuse.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me rappelle qu'il faudra chercher Estelle à 17 h30.
Nous passerons aux écuries en vitesse avant de revenir à la maison. Nous rions de bon cœur à la perspective de ces écuries.
C'est devenu l'obsession d'Estelle. Elle veut en avoir le cœur net à propos de ces étranges coulures le long des murs du box.
< Elle m'en a encore parlé rapidement ce matin ! > fait ma compagne. < C'est devenu une vraie idée fixe ! > rajoute t-elle.
La vaisselle. Clémentine plonge. J'essuie. Il est rapidement 13 h30. Nous filons à l'atelier. Il y a du travail qui nous y attend.

Clémentine, assise à la table, entourée de ces affaires, est rapidement concentrée sur l'écran de l'ordinateur. Très studieuse.
Nous voilà à vivre une de ces nouvelles séances silencieuses. Nous apprécions tant ces longs moments de concentration. Joie.
Comme à chaque fois; l'un va s'offrir une pause chez l'autre. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordinateur.
J'écoute avec intérêt. C'est réellement passionnant. Tout comme Clémentine qui observe avec intérêt ma peinture. Passion.
Il est 17 h15. Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un SMS. Je regarde. C'est Estelle. Nous cessons pour nous habiller. Froid.

Il fait nuit. Nous prenons la petite auto de Clémentine. Estelle nous attend dans l'arrêt du bus. A peine à 100 m de chez elle.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte son après-midi de travail dans l'entreprise familiale. Dur.
Nous poussons jusqu'au haras. Nous garons la voiture dans la cour. Il y en a quatre autres. De la lumière dans les écuries.
Il y a Juliette qui bavarde avec un couple. Elle nous fait un petit signe de la main. Etonnée de nous voir arriver sans prévenir.
Nous nous dirigeons vers la première écurie. Estelle marche très vite, nous entraînant. La jeune fille semble fébrile, pressée.

Juste à l'entrée, en franchissant les battants, nous tombons sur madame Walter. Elle semble toute contente de nous revoir.
La jeune femme, vêtue d'un pantalon et de bottes d'équitation, porte un épais anorak matelassé. Un classeur sous le bras.
< Bonsoir ! > fait elle avec un grand sourire. < En visite ? Je vous accompagne ? > dit elle encore. Nous bavardons un peu.
L'endroit est faiblement éclairé. Il fait moins froid dans les écuries. Le phénomène de la chaleur animal. Il y a là 25 chevaux.
Nous sommes un peu confus. C'est Estelle qui dit : < On aime bien venir se changer un peu les idées ici après les cours ! >

Madame Walter nous fait un grand sourire avant de nous saluer. Nous la regardons quitter le bâtiment, marchant très vite.
Il n'y a personne. Estelle nous arrête et fait : < Regardez, là-bas, il y a de la lumière dans le local de monsieur Gérard ! >
En effet, il y a une raie de lumière sous la porte. Nous entendons un poste de radio qui diffuse des informations. Prudence.
Estelle met son index sur la bouche en nous faisant : < Chut ! >. Nous pénétrons dans le box voisin du local du palefrenier.
La jeune fille sort son téléphone de la poche de son anorak. Elle l'allume tel une lampe, elle s'en sert pour scruter la cloison.

Par le trou rond dans la cloison, nous voyons bien la lumière. Monsieur Gérard nous tourne le dos. Il est assis à son bureau.
Tout en écoutant la radio, le palefrenier s'occupe aux travaux d'écriture dont il nous a déjà raconté les pénibles obligations.
Estelle dirige le rayon de sa lampe sous le trou rond. < Regardez ! > chuchote t-elle tout doucement. Nous voilà accroupis.
< C'est de la jute qui dégouline. Sans déconner, regardez ! > fait Estelle. Nous devons nous rendre à l'évidence. Tout frais.
Au sol, dans l'angle que fait la cloison avec le ciment, il y a une flaque. Estelle éclaire parterre. Il y a des taches humides...

< Put-Hein, mais c'est quoi ? > nous chuchote t-elle. Nous nous sentons tous les trois très mal à l'aise dans cette écurie.
Le cheval, dans le box, nous renifle. Il faut le repousser à plusieurs reprises. Nous avons peur qu'il n'attire ainsi l'attention.
Estelle fait : < Qui a son téléphone. Faites des photos, j'éclaire ! > Clémentine sort le sien et fait plusieurs photographies.
Nous quittons rapidement les lieux. Nous croisons à nouveau madame Walter qui monte dans sa voiture. Signe de la main.
Nous rentrons. Pendant que je roule, Clémentine et Estelle scrutent l'écran du téléphone. Je trouve cette situation cocasse.

Nous arrivons à la maison. Il est 18 h30. Nous déposons les affaires d'Estelle sur la table de travail de l'atelier. Le boulot.
Clémentine dit à Estelle : < Je te mets tout sur la clef USB tout à l'heure ! >. Estelle remercie Clémentine, toute contente.
Pour la jeune fille, qui est obligée d'aider sa mère au bureau de l'entreprise familiale, cette clef USB est un gain de temps.
Les voilà toutes les deux devant l'ordinateur. Clémentine explique à Estelle ce qu'elle a fait cet après-midi. Je peins un peu.
Il est rapidement dix neuf heures. La faim nous tenaille. Clémentine nous entraîne à la cuisine. Nous préparons la tarte...

La tarte aux poireaux, cette fameuse Flamiche Picarde, est devenue notre joie culinaire et gastronomique des mardis soirs.
Il faut préciser que c'est un véritable délice. Accompagné d'une bonne salade, ce plat est un véritable festin. Un vrai régal.
Pendant que la tarte est au four, nous allons au salon. Clémentine télécharge les photos prises aux écuries sur l'ordinateur.
Nous sommes tous les trois à scruter ce qui apparaît sur l'écran. Les clichés sont d'excellente qualité. Téléphone dernier cri.
Cette fois, les choses apparaissent clairement. Clémentine zoome sur les images qui ne pixellisent pas à l'agrandissement.

Nous sommes tous les trois à retenir nos respirations. Les huit photographies défilent. Nous scrutons chacune d'entre elles.
Il serait bien impossible de préciser avec exactitude la nature des coulures et des tâches humides qui maculent le parterre.
< A ton avis ? > demande Estelle à Clémentine. < Je pense comme toi ! Même chose ! Et toi Julien ? > fait ma compagne.
Je reste dubitatif. Je réponds : < De quoi pourrait-il bien s'agir sinon de foutre ! > < Et de pisse peut-être ! > fait Estelle.
Nous regardons attentivement, perplexes et interrogateurs. Clémentine fait : < Rappelez vous, madame Walter qui sort ! >

< Tu crois ? Ce serait donc elle ? > demande Estelle. Clémentine répond : < Nous avons aussi vu Juliette dans la cour ! >
J'écoute les supputations des deux filles qui tentent de trouver un fil conducteur. Je suis amusé pas cette petite enquête.
Je me dis qu'il n'y a que des filles de 20 ans pour êtres ainsi passionnées de choses aussi insignifiantes. C'est de leur âge.
Pourtant, en regardant bien certaines photos agrandies à leur maximum, force est de constater que c'est probablement ça.
< Je suis sûre que c'est de la jute ! > fait encore Estelle. La sonnerie du four nous tire de nos amusantes introspections.

Nous nous précipitons à la cuisine. Je mets la table. Estelle sort la tarte du four. Clémentine remue la salade. Faim de loup.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs cours et le programme chargé des jours à venir. Derniers efforts.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Je range la cuisine. Les filles sont retournées scruter les photos sur l'ordinateur.
Je les entends spéculer sur différentes versions possibles. Ce qui intrigue Estelle, ce ne sont pas seulement les coulures...
Ce qui la taraude c'est "Qui" ! Madame Walter où Juliette ? Je vais les rejoindre. < On finira par le savoir ! > conclue Estelle.

Il faut penser à être sérieux. Nous retournons à l'atelier. Les filles ont du travail de recherches pour leurs prochains cours.
Nous vivons cette nouvelle séance dans une sorte de fébrilité productive. Une émulation constante et positive. C'est super.
Il est rapidement 22 h15. Nous ramenons Estelle. Au retour, Clémentine joue avec ma queue. Les toilettes. La salle de bain.
Au lit, excités comme des malades, nous nous offrons un "69", une baise. Un cunnilingus, une fellation. Orgasmes et dodo.

Bonne soirée à scruter des tâches suspectes le longs des cloisons de vos écuries préférées à toutes les coquines vicieuses...

Julien - (Toujours étonné et amusé des préoccupations d'Estelle qui montre un intérêt sans limite pour les trucs glauques)-

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Clémentine et moi, nous nous amusons beaucoup de toutes ces histoires...

Hier matin, mercredi, c'est la "Marche Nuptiale" de Felix Mendelssohn qui nous tire de nos sommeils. Il est déjà six heures.
< Quand Felix Mendelssohn, on lui ouvre ! > s'écrie Clémentine en éteignant le réveil. Nous rigolons comme des bossus.
< Bonjour Julien ! > rajoute Clémentine avant de me chevaucher en riant. < Bonjour Clémentine ! > que je fais. Des bises.
Elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes afin de nous livrer à nos rituels pisseux. Puis nous descendons à la cuisine.
Nous y préparons et nous y prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Sympathique.

Nous faisons le bilan de la veille et de notre nouvelle visite aux écuries. Clémentine me fait part de ses suppositions. Rires.
Moi qui n'y pensais pas ce matin, me voilà avec cette idée en tête. Nous rions de bon cœur. Nous y retournerons jeudi soir.
Je dis : < Vivement qu'Estelle se découvre une nouvelle obsession, je commence à saturer ! > Cela nous amuse beaucoup.
< La prochaine fois, je reste avec vous dans le box. Je m'occupe de filmer. Tu veux bien ! > me fait encore ma compagne.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour sortir l'auto de Clémentine.

Il fait froid. Le jour achève de se lever. Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Clémentine arrive chaudement vêtue.
Des bisous. Un dernier coucou de la main et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h50. Je rentre.
Je fais la vaisselle. Je monte faire la chambre. Je redescends à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Il est déjà 8 h15.
Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans une véritable allégresse. Mon esprit vagabonde. Je pousse même des cris.
Je pense à tout sauf à ce que je suis entrain de faire. Pourtant devant mes yeux se dessine une nouvelle toile magnifique...

Il est rapidement midi. Je me prépare des coquillettes, une sauce au Roquefort accompagnées d'une bonne salade. Laitue.
Pour ce soir, je prépare des tomates farcies au pâté de lentilles et aux champignons. Il restera des coquillettes à réchauffer.
Il est 13 h15. Je me précipite, fébrile et impatient à l'atelier. Me voilà de retour à ma peinture. Je travail avec passion. Bien.
Il est presque dix sept heures lorsque Clémentine revient de cours. Il fait nuit. Elle jette son sac sur le vieux canapé. Rires.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Le repas de midi avec Estelle au restaurant universitaire. Joie.

J'écoute en silence et avec beaucoup d'intérêt. Ces anecdotes sont amusantes et constituent mon petit feuilleton quotidien.
< Devine quelle était encore la préoccupation d'Estelle en mangeant à midi ? > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Je dis : < Langue au chat ! Dis moi ! >. Ma compagne me fait : < Les écuries ! > Je réponds : < Je l'aurais parié ! > Rires.
Voilà Clémentine assise à la table de travail, entourée de ses affaires devant son ordinateur. Elle met ses notes au propre.
Nous plongeons tous deux dans l'abstraction de nos concentrations. Le crépitement du feu dans la cheminée pour musique.

< Stop ! Je suis morte de faim ! > s'écrie soudain Clémentine en se levant pour venir me rejoindre. Je regarde l'heure. 19 h.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'à la cuisine. Le repas du soir est toujours une petite surprise qui l'enchante. Sympa.
< Miam ! > fait ma compagne en allumant la lumière du four pour voir ce qui y réchauffe. Elle prépare la salade. Une laitue.
Je m'occupe de l'assaisonnement. Je mets la table. Ma compagne me parle de ses cours. Les préparations et les recherches.
Les tomates farcies se réchauffent toujours très vite. Nous filons au salon pour voir si nous avons d'éventuels courriels. Bien.

Il y a un courriel de Juliette qui répond à ma demande. Le box sera libéré pour notre visite de jeudi en fin d'après-midi. Joie.
Estelle me fait un petit message amusant. Une fois encore elle conclue souvent par cette amusante formule "Merci d'exister".
C'est souvent Clémentine qui répond pour moi. Désireuse de garder le contrôle sur tout ce qui concerne notre relation à trois.
La sonnerie du réveil retentit. Nous nous précipitons à toute vitesse. Il est 19 h30. Nous mangeons de bon appétit. Un délice.
Tout en dégustant nos tomates farcies nous bavardons. Clémentine attire mon attention sur certains détails à ne pas négliger.

< Cette fois, je vais bien scruter partout dans le box. Imagine un peu qu'on soit filmé à notre insu ! > me fait Clémentine.
J'avais pensé à une telle éventualité. Pourtant je tente de la rassurer. C'est une des premières choses que j'ai bien étudié.
En effet, à plusieurs reprises, dans le box, j'ai regardé partout. Avec soin. Avec une grande attention. Je n'ai rien remarqué.
S'il devait y avoir quelques caméras cachées, j'aurais fini par la découvrir. Je suis certain qu'il n'y a aucun dispositif secret.
< On ne sait jamais. Avec Estelle on se dit que rien n'est impossible. Et parfois trop beau pour être vrai ! > fait Clémentine.

Nous méditons un moment sur cette constatation pleine du bon sens dont fait toujours preuve ma compagne, hyper lucide.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait remarquer à quel point tout cela curieux.
Je dis : < Laissons les choses se faire. Soyons à la fois les acteurs et les spectateurs des évènements que nous créons ! >
< Je n'aurais pas mieux conclu ! >me fait Clémentine. La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine.
< En tous cas, tout ça m'excite, et toi ? > me fait Clémentine en se blottissant dans mes bras. Je la soulève. Plein de bises.

Je l'entraîne au salon. Je déboutonne son jean. Clémentine retire ses vêtements qu'elle jette dans le fauteuil. Je fais pareil.
Je la fais basculer dans le canapé. Clémentine adore le contact du cuir froid sur sa peau. Je tombe à genoux sur le coussin.
Je hume longuement les effluves parfumées de sa journée de fille. Les odeurs de son sexe m'enivrent rapidement. Vertige.
Je constate encore une fois à quel point les conversations ayant trait aux écuries excitent considérablement ma compagne.
Cette petite coulure de cyprine qui perle au bas de sa vulve et qui ne va pas tarder à s'écouler dans la raie culière. Je lèche.

Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Rapidement je l'entends gémir. Je me régale de ses saveurs.
Ce goût vinaigré, légèrement acide, constitue mon digestif préféré. Je fouille les plis et le replis des lèvres de son sexe. Bon.
Il y a là de quoi se régaler. Je nettoie parfaitement les lieux. Clémentine en gémit de plaisir. Je m'occupe de son clitoris.
Ce bouton géant et turgescent dont la nature à doté ma compagne m'étonne toujours par sa taille. Il semble même grandir.
Là, je dois être prudent. Hors de question d'avoir un orgasme prématuré. Pour l'éviter, je propose à Clémentine de cesser...

Nous nous gardons pour le lit. Nous filons à l'atelier. Clémentine me remercie d'être lucide pour deux dans ces moments là.
Nous travaillons encore un peu. Il est rapidement 22 h. < Stop ! > s'écrie Clémentine en venant me rejoindre. J'arrête tout.
Nous montons. Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Nous nous offrons un "69" et je m'introduis avec d'infinies précautions.
Nous restons immobiles. Clémentine me chuchote d'étonnantes confessions. Je suis toujours étonné par ses révélations. Joie.
Une cunnilingus qui lui offre un orgasme fou. Une fellation qui me terrasse d'un orgasme fou. Dernières douceurs et le dodo.

Bonne soirée à élaborer vos prochaines expéditions vicelardes à toutes les coquines cérébrales qui aiment les trucs sympas...

Julien - (Toujours enchanté et ravi des révélations de Clémentine assoiffée de situations terriblement excitantes) -

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Serait-ce un cadeau de fêtes de fin d'année que nous ferait Estelle ?

Hier matin, jeudi, nous nous étirons ensemble en gémissant longuement. J'éteins le réveil avant qu'il ne sonne. Il est 5 h50.
< Bonjour Julien ! > fait Clémentine en ponctuant son gémissement par un cri. < Bonjour Clémentine ! > que je fais. Bisous.
Nous nous serrons très fort quelques instants avant que Clémentine ne me chevauche en riant. C'est le rituel des papouilles.
Ces effusions de tendresse sont devenues une douce addiction à laquelle nous sacrifions avec bonheur. C'est un vrai plaisir.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Le rituel pisseux. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine.

Nous préparons et prenons notre petit déjeuner avec une légère avance. Ce qui nous permet de manger en bavardant. Bien.
Nous faisons le bilan de la veille et nous passons en revue les affaires courantes. Puis nous faisons notre programme du jour.
Ce qui nous rend légèrement fébrile c'est le projet de notre fin d'après-midi. Avec Estelle, nous retournons aux écuries. Joie.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. La gymnastique avec laquelle nous remplaçons nos joggings.
La douche. Il est 7 h45. Le thermomètre extérieur indique 2°. A l'intérieur il fait 20° Le jour achève de se lever. Il fait froid.

Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le temps est plutôt menaçant.
Plein de bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse.
Je fais la vaisselle. Je monte faire la chambre. Je descends à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.
Je suis assis devant cette huitième toile destinée à ma saison 2018. Je termine certainement cette œuvre en fin d'après-midi.
Je peins avec un enthousiasme insolent qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Ma passion n'a d'égal que ma joie.

Je ne vois pas le temps passer. Mon esprit vagabonde. Tout en étant concentré je pense à tout sauf à ce que je fais. Super.
Il est rapidement midi. Je file à la cuisine. Je me prépare du riz avec une sauce au Roquefort accompagnés du belle scarole.
Pendant la cuisson je fais une pâte pour les pizzas de ce soir. Je concocte une garniture avec des tomates fraîches. Pizzaiolo.
Je suis de retour devant mon chevalet dès 13 h15. A nouveau je m'abstrais dans une sublime introspection picturale. Plaisir.
J'entends du bruit. Des voix. Des rires. Je regarde l'heure. Il est 16 h50. Estelle entre dans l'atelier la première. Souriante...

< Bonsoir Julien ! > s'écrie t-elle en se précipitant pour me faire des bises. Clémentine arrive à son tour toute contente. Joie.
Estelle est assise sur ma jambe gauche. Clémentine est assise sur ma jambe droite. Elles me racontent leur journée de cours.
J'écoute en souriant les amusantes anecdotes de la faculté. Les filles préparent leurs affaires sur la table de travail. Le retour.
Je me lève. Nous sommes tous les trois animés d'une sorte de fébrilité. Aucun d'entre nous n'ose prononcer le mot "écuries".
C'est Estelle qui craque la première. < On y va ? > fait elle. Clémentine nous entraîne à la cuisine. On se prend des gâteaux.

Je mets mes hautes chaussures bien chaudes. Il fait nuit. Il pleut. C'est une météo épouvantable. Nous mettons nos anoraks.
Clémentine récupère la caméra numérique dans sa sacoche rigide noire. Estelle y place la petite boîte contenant ses cartes SD.
Nous prenons la voiture de Clémentine. Assise sur le siège arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle évoque nos aventures.
Trois kilomètres. Nous arrivons au haras. Malgré la pluie il y a des voitures garées dans la cour. Il y a certainement du monde.
Je me gare tout près de la première écurie. Pas besoin du parapluie pour faire les dix mètres en courant. Personne sur le lieu.

L'endroit est faiblement éclairé. Seul les lumières des boîtiers de sécurité et les guirlandes suspendues pour la durée des fêtes.
Nous allons directement dans le dernier box voisin du petit local de monsieur Gérard le palefrenier. Le cheval a été retiré. Bien.
Nous avons vu les lumières dans la troisième écurie. C'est sans doute là-bas qu'il y a du monde. Estelle allume son téléphone.
Elle éclaire la cloison. Penchée en avant elle scrute la cloison. < Regardez ! > fait elle en nous montrant les coulures sèches.
Estelle éclaire le ciment du sol, elle écarte la paille pour nous montrer les taches sèches. < Il n'y a rien aujourd'hui ! > dit elle.

Clémentine fait : < Oui, visiblement, aujourd'hui, il ne s'est rien passé ! > Nous rions de bon cœur à cette inspection ridicule.
Nous mettons rapidement les choses au point. Les filles me laissent seul. J'ai la caméra. Estelle y a glissé sa carte SD. 8 GO.
Estelle et Clémentine sont retournées à l'entrée de l'écurie. Comme toujours, afin d'attirer l'attention, elle bavardent très fort.
Tout en riant, Les filles caressent les têtes des chevaux qui les observent depuis leur box. Elles font plusieurs allers et retours.
Il se passe un petit moment. Soudain, les lumières s'allument. C'est madame Walter accompagnée de monsieur Gérard. Joie.

Je reste dissimulé. J'entends les salutations. Madame Walter ne semble pas du tout étonnée de voir les filles. Gérard non plus.
J'entends les échanges de banalités. La météo, la pluie, l'hiver et la proximité des fêtes de fin d'année. L'animation au haras.
Tout cela dure un petit moment. Madame Walter propose à monsieur Gérard d'aller dans son local. Il est question de papiers.
Les travaux d'écriture imposent des documents. J'entends madame Walter et le palefrenier évoquer les visites du vétérinaire.
Les filles restent à caresser les chevaux. Je suis planqué dans mon box. J'ai toujours le cœur qui bat la chamade dans ce lieu.

Il se passe un moment avant que madame Walter quitte monsieur Gérard. Avant de sortir de l'écurie, elle salue les deux filles.
Monsieur Gérard sort de son local. < Vous venez ! > fait il. Le palefrenier invite Clémentine et Estelle à le rejoindre au bureau.
Je regarde par le trou dans la cloison. Les filles sont assises sur la banquette devant le bureau de Gérard qui termine d'écrire.
Il y a un peu de temps qui passe. Des silences entrecoupés des paroles de monsieur Gérard qui explique ce qu'il fait. Boulot.
Estelle demande : < On peut mâter par le trou après ? > Monsieur Gérard, riant, répond : < Mais bien sûr mademoiselle ! >

< Toi, tu restes avec moi ? > fait le palefrenier à Clémentine. < Non ! > lui fait ma compagne en restant à distance du type.
Estelle me rejoint la première. Elle s'attache les cheveux en queue tout en me chuchotant : < C'est bon pour la caméra ? >.
Je lève le pouce de la main gauche. Estelle s'accroupit pour regarder par le trou. Elle m'invite à mâter aussi. Je m'approche.
Monsieur Gérard a descendu son pantalon et son slip sur ses genoux. Il est devant la porte pour bavarder avec Clémentine.
Il l'empêche évidemment de pouvoir sortir. Je ne vois pas Clémentine. Estelle me fait : < Attends, j'y retourne ! >. Silence.

Je regarde. Estelle entre dans le local. Ce qui permet à Clémentine de pouvoir filer. Elle me rejoint pour s'accroupir. Bisous.
Elle me chuchote : < C'est une vrai salaud ! > Je murmure : < Depuis le temps, on le sait ! >. Estelle vient nous rejoindre.
Nous sommes tous les trois accroupis devant la cloison. Nous regardons à tour de rôle par le trou retenant nos respirations.
Il ne se passe pas longtemps avant que le sexe mou, petit et ridicule ne ferme l'orifice. Je filme depuis une minute. Bien.
Estelle est devant le trou. Clémentine sur sa droite. Moi sur sa gauche. Je filme. Nous entendons la voix de Gérard derrière.

< Alors, les filles, ça vous plaît ! > fait le vieux vicelard. < Super ! > fait Estelle en mettant sa main devant la bouche. Rire.
Le sexe de monsieur Gérard dépasse à peine de l'orifice. Fripé. Mou. Estelle avance le visage pour humer avec une grimace.
Se pinçant le nez de la main gauche elle agite sa main droite. Estelle invite Clémentine à se rapprocher pour renifler un peu.
Je vois ma compagne avoir la même réaction. Je suis à environ un mètre. Pourtant je suis incommodé par l'odeur puissante.
Ce type est un porc. C'est d'une puanteur immonde. Dans une écurie les odeurs sont toujours fortes. Je ne suis pas objectif.

Estelle reste ainsi à humer longuement. Se contorsionnant pour renifler sous tous les angles, Estelle se rapproche encore.
Sur la paille qu'elle a disposé sur le sol, Estelle se met à genoux. Ses mains en appuies sur les planches de la cloison. Bois.
Clémentine lui retire les quelques cheveux qui pendent sur sa joue pour les passer derrière son oreille. Je filme avec soin.
Estelle se saisi du sexe de Gérard entre son pouce et son index. Elle tire un peu. Il n'en passe pas plus, la bite est si courte.
Clémentine pose sa main sur sa bouche, comme consternée par ce qu'elle observe. Elle se rapproche également d'Estelle.

Je n'en crois pas mes yeux. J'hallucine. Estelle rapproche son visage, ouvre sa bouche pour gober ce qui dépasse. Silence.
Clémentine me regarde comme avec effroi. Nous avons tous les deux un haut le cœur. Je suis carrément écœuré. C'est fou.
Je filme. Je tente de rester parfaitement concentré. La caméra fonctionne en mode sans tremblement. Mais je fais attention.
Estelle, les joues creusées est entrain de sucer la bite dégueulasse. On entend la voix du palefrenier : < C'est laquelle ? >
< Devine ! > lance Clémentine afin que le palefrenier comprenne bien qui est celle qui le suce. < Génial ! > fait le salaud.

Je prends appui du coude sur la cloison afin de pouvoir filmer la scène au plus près sans risquer de trembler malgré tout.
Estelle cesse et se retire. Il y a du foutre qui dégouline de la bite. Elle montre l'intérieur de sa bouche à l'objectif. Je filme.
Estelle fait une épouvantable grimace. Elle a un haut le cœur. Elle a des remontées qu'elle crache avec difficultés au sol.
Estelle invite Clémentine à y goûter. Ma compagne s'éloigne avec un air dégoûté. Elle me consulte du regard. Je lui souri.
De la tête je lui fais signe d'y aller aussi. Elle me fait une grimace avec un signe négatif de la tête. Estelle y retourne. Pipe.

Nous pouvons entendre Estelle déglutir, tousser. Il y a des gouttes laiteuses qui lui coulent de la bouche. Elle est à gémir.
Est-ce par dégoût, par écœurement, est-ce par plaisir ? Toujours est-il que ses gémissements sont de plus en plus forts.
Il y a du jus qui dégouline. Visiblement Estelle ne peut déglutir la quantité de ce qui lui inonde la bouche. Elle tousse fort.
A chaque fois qu'elle se retire il y a de la jute jaunâtre qui dégouline partout. C'est réellement dégueulasse. Une vraie pipe.
Une fois encore, Estelle invite Clémentine à y aller à son tour. Je lui fais signe d'y aller aussi. Je vois ma compagne hésiter.

Estelle saisi la nuque de Clémentine. Elle appuie sur sa tête. Clémentine se retire tout juste à temps. Estelle se met à vomir.
Elle dégueule contre la cloison. Il y a de la jute qui dégouline sans arrêt de la bite. Je regarde les réactions de ma compagne.
Je la devine partagée entre le désir de goûter et son dégoût. Estelle n'arrête plus de tousser en vomissant au sol. C'est fou.
Je fais signe à Clémentine qui me regarde à plusieurs reprises. Je mime une pipe. Clémentine regarde la bite avec envie.
Pourtant elle reste à distance. Estelle se redresse. Avec un mouchoir en papier, elle s'essuie. Il y a du vomis parterre. Jute.

Clémentine se redresse à son tour. Je fais pareil. Je filme soigneusement le sol, la cloison et les réactions des deux filles.
Clémentine m'entraîne par le bras. La bite du vicelard continue de dégorger. C'est de la pisse et du liquide séminal. Dingue.
Nous nous enfuyons à toute vitesse. Je démarre la voiture. Estelle nous fait : < Je dois dégueuler ! > J'arrête la voiture.
De retour à la maison, Estelle monte à toute vitesse à la salle de bain. Dentifrice, brosse à dents. Il faut supprimer le goût.
Clémentine reste étrangement silencieuse, blottit contre moi. Estelle redescend. < Ouf ! L'horreur est passée ! > fait elle.

Nous préparons le repas. Nous sommes tous les trois étrangement silencieux. Clémentine me lance des regards étranges.
Me regardant par en dessous avec un air interrogateur. Un peu comme si elle culpabilisait. Estelle me fait des sourires aussi.
Nous sommes au salon en attendant la cuisson des pizzas. Clémentine est blottit contre moi dans le canapé. Estelle au sol.
< Put-Hein, l'horreur, mais je ne regrette pas un seul instant ! > fait soudain Estelle. Nous rions de bon cœur. Enfin le rire.
< Tu aurais du goûter, tu aurais apprécié ! Goûteux !> fait encore Estelle à Clémentine qui répond : < Non merci, ça ira ! >.

La sonnerie du four. Nous mangeons de bon appétit. Je regarde Estelle parler. J'ai un sentiment curieux en l'observant.
Les filles évitent soigneusement d'évoquer ce que nous avons vécu ce soir. La vaisselle. Nous passons à l'atelier. Boulot.
Nous ramenons Estelle pour 22 h15. Au retour, Clémentine reste blottit contre moi, silencieuse. Je ne dis rien. A l'écoute.
Au lit, je découvre le degré d'excitation qui l'anime. Un cunnilingus. Je n'arrête pas d'avaler de sa cyprine abondante. Bon.
C'est lorsque je suis en elle que j'entends ses étonnantes confessions. Un cunnilingus. Une fellation. Orgasmes fous. Dodo...

Bonnes expériences vicelardes à toutes les jeunes coquines qui aiment l'ambiance des écuries et les palefreniers vicieux...

Julien - (Qui reste le témoin privilégié de situations exceptionnelles, délirantes et terriblement excitantes. Merci les filles) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 273 -



Comme toutes les semaines, le Week-End commence le vendredi à midi...

Hier matin, vendredi, nous sortons de nos sommeils un peu avant que ne sonne le réveil. Nous nous étirons longuement.
< Bonjour Julien ! > s'écrie Clémentine en se serrant contre moi. < Bonjour Clémentine ! > que je fais en la serrant fort.
Quelques papouilles et Clémentine me chevauche en riant. Rapidement elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.
Ce sont nos rituels pisseux. Il est 5 h50. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Le petit déjeuner. La faim.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le vendredi matin a déjà cette atmosphère festive du Week-End. Joie.

Le thermomètre extérieur indique 2°. Il fait nuit et froid. Clémentine est toute contente. Elle reviendra pour midi. Super.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. La douche. Je descends sortir la petite auto de Clémentine.
Il est 7 h45. Le jour se lève. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Quelques bisous et un dernier coucou de la main.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je fais la vaisselle. Je monte faire le lit. Je redescends vite.
J'allume du feu dans la cheminée de l'atelier. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans l'effervescence.

Je termine ce matin la huitième toile destinée à ma saison 2018. J'ai pris une avance considérable cette année. Rassurant.
Il est midi. Je file à la cuisine avec le sentiment du devoir accompli. Je prépare du riz complet Bio que je fais éclater à sec.
Clémentine arrive. Elle se précipite dans mes bras. < C'est Week-End ! > s'écrie t-elle. Je la soulève pour la faire tourner.
Ma compagne me couvre le visages de bises. < Ensemble jusqu'à lundi, mon amour ! > me fait elle encore toute contente.
Clémentine m'aide à préparer la salade. Je fais cuire le riz à feu très doux après y avoir rajouté quatre volumes d'eau froide.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Je fais : < Ce soir, je t'emmène au restaurant. Tu veux ? >. Cri de joie.
< Oh oui ! Cela conclue bien la semaine. Peut-être un "plan" ! > s'écrie Clémentine. J'aime la voir si heureuse et souriante.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque notre aventure aux écuries hier au soir.
< Estelle m'en a parlé très rapidement ce matin entre deux cours. Elle est ravie de son expérience ! > fait ma compagne.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Malgré le profond dégoût et la révulsion, elle en est enchantée ! >

< Décidément, Estelle nous étonnera toujours. Imprévisible et coquine ! > que je fais. < Et bien salope ! > fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Hier soir, au retour, en récupérant la carte SD contenant le film, Estelle semblait dégoûtée.
< Elle va faire un montage. Nous nous offrons une soirée "cinéma" samedi soir ! Réjouissons nous ! > rajoute Clémentine.
Comme toujours, après la réalisation d'un nouveau film, quelques jours plus tard, Estelle nous propose de le visionner. Rires.
Nous nous réjouissons de ce qui nous attend encore samedi soir. La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons.

Nous filons à l'atelier. Clémentine est assise à la table de travail, entourée de ses affaires, de ses notes. Devant l'ordinateur.
Je suis assis devant mon chevalet. Je commence le dessin préparatoire de la neuvième toile destinée à la saison prochaine.
Nous travaillons dans ce silence monacale que nous apprécions tant. Le crépitement du feu dans la cheminée en est le fond.
Parfois je me lève pour passer derrière Clémentine que je tiens par la nuque. Elle m'explique ce qu'elle fait. Ce que je vois.
Parfois Clémentine se lève pour passer derrière moi, ses bras autour de mon cou pour voir ce que je fais. Ce qu'elle voit là.

Il est rapidement 18 h. < Terminé ! > s'écrie Clémentine qui se lève pour me rejoindre. Assise sur mes genoux elle regarde.
< C'est beau ce que tu fais ! > me dit elle en observant le dessin de ma prochaine scène de genre à trois personnages. Bien.
Je lui dis : < J'ai trois toiles d'avance par rapport aux autres années à la même époque. C'est un peu grâce à toi ! Merci ! >
< Moi aussi, c'est la première année où j'arrive à suivre le programme sans accumuler de retard ! > me confie Clémentine.
C'est sur ce constat que nous quittons l'atelier pour aller au salon. Nous consultons nos boîtes mail. Deux messages sympas.

Le premier courriel est celui d'Estelle qui nous fait part de son ressenti quand à notre aventure aux écuries. Nous découvrons.
La jeune fille nous propose effectivement de visionner le film tourné là-bas. Inutile d'en faire un montage. Brut de décoffrage.
Estelle me remercie pour mon travail de "cameraman" et me félicite pour la qualité de l'ensemble. Nous en rions de bon cœur.
C'est Clémentine qui répond. Elle donne le menu du repas du soir. Gratin Dauphinois. Coupes glacées en dessert. Puis le film.
Le second message est envoyé par Juliette qui nous invite, tous les trois. Un repas le soir de notre choix la semaine prochaine.

Comme nous partons en Ecosse pour les fêtes de fin d'année, Juliette nous propose une soirée pour "marquer le coup". Bien.
Après avoir convenu du mardi soir, Clémentine répond vite. Nous montons pour nous changer. J'ai réservé pour vingt heures.
Nous apprécions beaucoup l'ambiance et le cadre de ce petit restaurant éclairé à la bougie au bord de son petit étang. Super.
C'est là que j'ai réservé deux places. Clémentine porte son choix vestimentaire sur une de ses jupes évasées, en velours noir.
Elle porte son collant "trafiqué" avec cette ouverture de 15 cm qui permet d'admirer son impressionnante toison pubienne...

Un chemisier blanc sous un pull de laine noire. Chaussée de ses bottes à talons hauts, Clémentine est absolument exquise.
Sur sa demande, je porte mon costume de velours marron. Une chemise et cravate. Mes souliers bruns. C'est sa préférence.
Clémentine m'entraîne devant le miroir. < Regarde un peu comme on est beaux tous les deux ! > fait elle blottit contre moi.
Nous mettons nos manteaux. Je porte un chapeau. Clémentine porte un élégant bonnet. Nos écharpes. Nous voilà dans l'auto.
Douze kilomètres jusqu'aux abords de la ville. Clémentine joue avec mon sexe qu'elle a extrait de ma braguette ouverte. Joie.

Juste avant d'arriver en banlieue, je tourne à gauche. La petite route. 500 mètres et nous voilà arrivés. Il y a quelques autos.
Il fait nuit noire. Il fait froid. Nous sommes chaudement vêtus. Nous portons nos gants en cuir. Equipés. Nous voilà arrivés là.
La jeune serveuse de la dernière fois nous reconnaît et nous accueille avec le sourire. Nous choisissons une table isolée. Bien.
Il y a trois couples disséminés dans la petite salle. Nous voilà assis à lire la carte des menus. Clémentine me tient par la main.
Tout en lisant, elle me fait : < J'aime ma double vie. Etudiante bohême la journée, bourgeoise en soirée ! Je t'aime. Génial ! >

Et c'est vrai que Clémentine reste toujours très simple pour aller en cours à la faculté. Jamais de signe extérieur "Bourgeois".
Je trouve ça du meilleur goût. Et depuis que la jeune fille vit avec moi, sa vie a changé du tout au tout. J'ai pris les mesures.
Je lui dis souvent que tant qu'elle vivra avec moi, elle peut prendre vingt ans pour préparer son Doctorat. Et à l'abri de tout !
Elle s'empresse toujours de préciser que c'est cette situation rassurante qui la motive plus que toute autre. Gage de réussite.
Nous choisissons un énorme plateau de fruits de mer. Je précise que cela nous donne un avant goût pour l'Ecosse prochaine.

Nous bavardons. Il y a un couple qui arrive. La quarantaine élégante. Ce lieu est très bien fréquenté. La femme est très belle.
L'homme est élégant. Un peu Georges Clooney. Tempes grisonnantes. Certainement ma taille. Assis à la table derrière nous.
Clémentine sort son téléphone dont l'écran noir est plus grand que le miens. Elle me le tend. Il peut servir de rétroviseur noir.
Je le prends. Je le cale sur le paquet de mouchoirs en papier. Correctement orienté, je vois parfaitement derrière nous. Bien.
Rapidement je peux constater que l'homme a remarqué ma compagne. Tout en bavardant, il semble lui porter de l' intérêt...

Il faut préciser que Clémentine a commencé son "show" sous la table. Tout en bavardant, ma compagne me raconte le détail.
Je constate que l'inconnu, assis derrière nous, a bien remarqué ce qui se passe. Nous savourons nos fruits de mer. Délicieux.
< Je ne suis pas encore vraiment remise de ce que nous avons vécu hier soir, aux écuries ! > me confie Clémentine. Trouble.
Elle rajoute : < J'étais envahie d'une folle envie de goûter ! Mais je crois que je ne le pourrais jamais ! Trop dégueulasse ! >
J'écoute les arguments de Clémentine. Je comprends parfaitement le développement très clair de son raisonnement. Etonnant.

< C'est stupide, je sais, mais lorsque j'ai des envies de ce genre, je culpabilise par rapport à toi, à notre histoire ! > fait elle.
Comme à chaque fois, je la rassure. Je précise toujours que de la voir sucer un inconnu est un de mes plus grands fantasmes.
< Je sais ! Mais j'ai beaucoup de mal à me faire à cette idée. Pus tard peut-être. mais là, je bloque ! > précise t-elle encore.
J'écoute. Je la rassure. Son refus ne provoque aucune frustration. même si je trouve cette attitude très normale et féminine.
Je constate l'attention de l'inconnu derrière moi. Il mâte sans vergogne sous notre table. Clémentine me raconte ce qu'elle fait.

< Le test des chiottes ! > me fait elle en se levant pour se diriger vers l'escalier qui mène au sous-sol, aux toilettes du restau.
Une fois encore, ma compagne a vu juste. Le type se lève. Je le regarde prendre le même chemin. La serveuse me regarde.
La jeune fille me fait un sourire depuis le comptoir derrière lequel elle s'affaire à essuyer des verres ballons. Etrange sourire.
Se douterait elle de quelques chose ? J'en suis convaincu tant son sourire me semble entendu et révélateur. Deux sourires.
Clémentine revient. < Put-hein la queue du mec ! > me fait elle avec la main devant la bouche. Elle me raconte les toilettes.

< T'as jamais vu ça, il a un de ces "engins" ! Put-hein il me l'a montré devant le lavabo ! > fait Clémentine. Le type revient.
Ma compagne, une fois encore, a prétexté s'être trompée de toilettes, surprise accroupie dans les toilettes homme. Salope.
Bien évidemment, avec le spectacle offert sous la table durant le repas, puis la surprise de découvrir la fille, la bandaison !
C'est parfaitement normal et légitime. Quel mec aurait une autre attitude que de témoigner de son émoi dès l'occasion ?
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me montre la carte de visite reçue aux toilettes. < La collection ! > fait elle.

Le petit jeu de Clémentine a repris. Je regarde dans l'écran noir du téléphone. L'inconnu continue de mâter en discutant.
Clémentine évite soigneusement de croiser le regard du type. Inutile de jouer une provocation parfaitement inutile. Rien.
Ce qui se passe sous la table est suffisamment évocateur. Je regarde l'homme bavarder avec sa femme. Virtuose et voyeur.
Je fais part de mon ressenti quand à l'attitude de la jeune serveuse qui vient de me lancer un nouveau sourire. Et discrète.
< Va aux chiottes ! Tu verras bien si elle te rejoint ! > me propose Clémentine. Je trouve l'idée excellente. Exquise. Sympa.

Le couple derrière nous demande l'addition. Je propose à Clémentine de revenir vendredi prochain pour tenter la serveuse.
Le couple paie et s'en va. Je demande l'addition. Lorsque la jeune serveuse arrive, j'en profite pour réserver la même table.
Je paie. Nous partons. Clémentine, terriblement excitée, me suce. Je roule doucement. Je lui explique mon plan "serveuse".
< J'ai bien compris ! > me fait ma compagne. Nous arrivons à la maison. Toilettes. Salle de bain. Le lit. Un cunnilingus fou.
Une petite baise prétexte aux révélations de Clémentine. Une fellation folle. Nos orgasmes à la hauteur de nos folies. Dodo.

Bonne soirée restaurant à toutes les coquines qui adorent provoquer des situations Sextraordinaires avec des inconnus...

Julien -(Qui prépare un plan "toilettes". La jeune serveuse toute contente de prendre la réservation de vendredi prochain) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 274 -



C'est notre dernier Week-End avant les vacances des fêtes de "Faim Damné"...

Hier matin, samedi, je suis réveillé par un léger mouvement sur la gauche. J'ouvre un œil. Clémentine est sur le ventre.
Je peux percevoir un gémissement discret. J'entends ses souffles courts. Je fais semblant de dormir. Je reste immobile.
Clémentine se masturbe. Je reste sans bouger. Je regarde discrètement plusieurs fois en refermant rapidement les yeux.
Rien n'échappe jamais à Clémentine. Je me suis certainement trahi d'une manière ou d'une autre. < J'ai rêvé ! > dit elle.
J'ouvre les yeux franchement. Clémentine cesse et vient se blottir contre moi en murmurant : < Bonjour mon amour ! >

Je chuchote : < Bonjour mon amour ! > Nous restons serrés l'un contre l'autre. Clémentine me raconte son rêve érotique.
J'écoute amusé. Il est presque huit heures. Ma compagne me chevauche en riant avant de m'entraîner jusqu'aux toilettes.
Nos rituels pisseux et nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Morts de faim, nous préparons le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table en bavardant. Le jour achève de se lever. Le ciel est gris et sinistre.
Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Il fait froid. Le thermomètre intérieur indique 20°. Nous sommes en t-shirts.

Le sol est sec. Clémentine me propose de nous offrir un bon jogging, ça fait si longtemps. Superbe idée et habits chauds.
Nous faisons la vaisselle. Nous remontons pour nous mettre en tenues. Leggings, sweats, K-ways, chaussettes et baskets.
Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière en accélérant rapidement afin de nous réchauffer. Le jogging nous manquait.
Nous sommes de retour pour 10 h05. La douche. Nous nous habillons chaudement pour aller faire nos courses. Il fait froid.
Clémentine porte une de ses jupes d'épais velours évasée au-dessus du genoux. Ses collants "truqués", chemisier et pull.

Chaussée de ses hautes bottes à talons, Clémentine est tout simplement superbe sous son manteau ouvert et son écharpe.
Sur sa demande, je suis vêtu de mon pantalon d'épais velours noir, d'une chemise sous mon gros pull noir. Et mes bottes.
Je porte mon épaisse veste de velours noir qui me fait ressembler à un gentleman farmer. Ma casquette et mon écharpe.
Nous voilà en route pour nous rendre au marché du bourg. Clémentine joue avec mon sexe qu'elle extrait de ma braguette.
Nous arrivons. Il y a du monde. Je range ma queue mais, sur la demande de ma compagne, je garde ma braguette ouverte.

Nous avons nos préférences et ce sont chez nos artisans habituels chez qui nous faisons nos achats. Agriculture raisonnée.
Fromages, œufs, crème et beurre. Légumes et fruits. Nous retournons à la voiture sans flâner à cause de ce froid pénible.
Nous roulons jusqu'à la zone commerciale près de la ville voisine. J'ai toujours ma braguette ouverte en poussant le caddie.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me suggère : < Sors ta grosse queue discrètement sous ta grosse veste ! >.
Bien évidemment, ce n'est qu'une plaisanterie. Hors de question de me balader avec le chibre à l'air dans un supermarché.

Je pousse le chariot dans lequel Clémentine dépose au fur et à mesure ce qu'elle choisit sur les rayons. Produits d'entretien.
Il y a du monde à la poissonnerie. Nous faisons provision de pavés de saumon, de crevettes et de langoustines en quantité.
Toute cette semaine à venir verra des repas à base de fruits de la mer. C'est de saison. Une mise en bouche pour l'Ecosse.
Par acquis de conscience et toujours soucieuse de ne pas rater un "plan", ma compagne m'entraîne au rayon des bouquins.
Il y a trop de monde. Impossible de s'offrir quelques petites frayeurs exhibitionnistes. Clémentine semble un peu frustrée...

Nous allons rôder un peu au rayon des vêtements homme. Là aussi, il serait vain de tenter un "plan". Même discrètement.
C'est rageant car ma compagne, avec son rêve érotique, son réveil masturbatoire, est bien "allumée". Je la console un peu.
Je propose : < On va manger au restaurant, à midi, et on se fait un "plan" > Clémentine reste silencieuse un long moment.
Nous passons en caisse. < C'est con, on a tellement de bonnes choses à manger à la maison ! Viens, on rentre ! > fait elle.
Nous déambulons un peu dans la galerie commerciale pour regarder les boutiques. Il y a le salon de thé. Une opportunité ?

Il faut se faire une raison. Il n'y a pas de réelles situations car la fréquentation est importante. Il y a vraiment du monde.
Nous sommes de retour pour midi trente. Nous rangeons nos courses. Clémentine me propose de faire une bonne potée.
En quantité afin de n'avoir qu'à réchauffer en soirée. Nous nous changeons car ma compagne ne désire plus sortir. Froid.
J'épluche les patates, les carottes et les navets. Clémentine prépare les salades. Ce soir, avec la potée, des langoustines.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son impatience de se retrouver en vacances. Trimestre épuisant.

Assise sur mes genoux, en terminant son yaourt au miel, Clémentine me raconte son rêve érotique avec un luxe de détails.
J'écoute avec intérêt et beaucoup d'attention. Nous rigolons comme des bossus car les situations se rapportent aux écuries.
< Décidemment ! On n'en sortira jamais de ce damné haras ! > fait Clémentine. Je fais : < Une obsession chevaline ! >.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous passons au salon pour interroger nos boîtes mail. Deux messages. Estelle.
Estelle qui nous fait savoir qu'elle nous attend dans l'arrêt de bus habituel pour 17 h30. Clémentine répond. D'un bon mot.

Un message de mon oncle Steve à Edimbourg. Tout est prêt pour nous accueillir. Nous sommes attendus avec impatience.
Nous arriverons à Edimbourg pour 17 h30, samedi 23 décembre. Le temps de récupérer la voiture de location, il sera 19h.
Je réponds pour confirmer que nous serons trois à partir du mardi 26 décembre. Nous irons chercher Estelle à l'aéroport.
Tout cela nous rassure et conforte Clémentine dans son désir fort de décompresser de ce trimestre pénible et très épuisant.
Je l'entraîne sur le canapé. Je lui dis : < Viens, je te broute un peu la chatte ! > Elle fait : < Pas d'orgasme, fais gaffe ! >

Clémentine a le profond désir de rester excitée toute la journée. A genoux entre ses cuisses écartées, je m'applique bien.
Je suis d'une vigilance extrême. Clémentine me guide en me tenant par les oreilles. Il faut cesser aux moments critiques.
Il est 14 h30. Il faut êtres sérieux. Il y a du travail qui nous attend. Nous filons à l'atelier. Nous faisons un feu. Cheminée.
Le crépitement et les flammes sont un spectacle sonore et visuel. Nous sommes assis en tailleur devant la cheminée. Joie.
Clémentine est assise à la table, entourée de ses affaires devant l'ordi. Je suis assis devant mon chevalet. Neuvième toile.

Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un SMS. Il est 17 h15. C'est Estelle. Clémentine fait : < Tu vas la chercher seul ? >
Je suis étonné. Ma compagne rajoute : < Je dois terminer ce truc pour être peinarde pour le Week-End ! >. Je me lève.
Je suis à l'arrêt de bus pour 17 30. Estelle se précipite dans la voiture en jetant son sac de sport sur le siège arrière. Bises.
< Tu es tout seul ? Elle est où Clémentine ? > demande Estelle en se serrant contre moi. Je lui explique. Je veux démarrer.
Estelle m'embrasse soudain avec une fougue démesurée. < Je t'aime ! J'ai envie que tu sois ma première fois ! > fait elle.

Je roule. Je garde le silence. Estelle a posé sa tête sur ma braguette. Nous arrivons. Estelle m'embrasse une nouvelle fois.
Je la repousse fermement pour l'entraîner à l'intérieur. Je la laisse retirer son anorak pour filer à l'atelier. Clémentine bosse.
Je lui raconte rapidement ce que m'a encore proposé Estelle. < Tu crois que je t'ai laissé aller seul, pourquoi ? > me dit elle.
Estelle arrive à son tour. Clémentine lui fait : < Alors ? Tu fais des propositions à mon mec ? > Nous rions de bon cœur.
Tout cela était encore convenu. Ces deux coquines m'ont tendu un piège. Estelle me fait : < La proposition est sérieuse ! >

Les filles sont assises devant l'ordinateur. Clémentine achève de télécharger les cours au propre sur la clef USB d'Estelle.
J'ai commencé la peinture de la neuvième toile destinée à ma saison 2018. Il est rapidement 18 h. Nous cessons. Pressés.
Nous passons au salon. Estelle sort la petite boîte contenant ses cartes SD de la poche de sa chemise. Elle l'agite en riant.
Clémentine, soudain fébrile, allume le téléviseur. Elle ramène l'ordinateur sur la table basse. Elle branche la prise HDMI.
Estelle lui tend la carte SD. Clémentine l'introduit dans l'ordinateur. Elle prend la télécommande. Nous restons silencieux.

Vautrés tous les trois dans le canapé, Clémentine à ma droite, Estelle à ma gauche, nous regardons l'écran qui s'illumine.
A l'image, la cloison qui sépare le petit local de monsieur Gérard le palefrenier du box où nous nous trouvons tous les trois.
La caméra balaie toute la surface en bois. Les coulures sèches sont bien apparentes. Les taches sèches au sol également.
J'ai filmé avec soin. Images en haute définition qui permet les zooms les plus audacieux et les plus parfaits. On voit bien.
Nous observons l'écran en retenant nos respirations. Soudain, sur la droite de l'écran, le profil du visage d'Estelle. Belle.

On voit la main de Clémentine qui retire les quelques cheveux qui pendent sur les joues d'Estelle. Coincés derrière l'oreille.
La caméra filme en gros plan le petit sexe de monsieur Gérard qui apparaît soudain dans l'orifice. Estelle qui se rapproche.
La jeune fille qui hume longuement l'odeur. Clémentine passe une main dans son jean déboutonné. Estelle fait de même.
J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Clémentine se penche pour mieux regarder ce qui se passe à l'écran. Fabuleux !
Je regarde Estelle dans le film. Je tourne la tête pour la regarder là, en vraie, sur ma droite. Une sensation surréaliste.

Nous voyons Estelle se rapprocher encore pour gober le sexe qui dépasse à peine du trou. Le visage de Clémentine apparaît.
Je regarde les expressions de Clémentine, là, dans le film. Je tourne la tête pour la voir en vraie sur ma gauche. C'est fou !
D'être en présence réelle des deux "actrices" que je vois dans le film me donne des vertiges. C'est pareil pour tous les trois.
Estelle se masturbe doucement en se regardant sucer. Clémentine se masturbe en se regardant entrain d'observer tout près.
Je me masturbe en savourant à la fois la situation et ce que je vois à l'écran. < Du bon boulot ! > me fait Clémentine. Rires.

Nous restons à observer avec le souffle coupé. Nos apnées, entre deux respirations, sont presque douloureuses. C'est fou !
Nous voyons Estelle sucer. Il y a du jus qui lui dégouline de la bouche. Elle ne peut déglutir tout ce qu'elle pompe. La jute.
Nous découvrons tous les hauts le cœur et tous les toussotements d'Estelle. Tous les écoulements du trop plein de foutre.
De la voir se retirer, la bouche dégoulinante de foutre jaunâtre épais, gluant et visqueux avec des hauts le cœur est excitant.
Nous admirons les regards parfois étonnés, parfois craintifs que lance Estelle à l'objectif de la caméra. J'ai fait du bon boulot.

Estelle saisit mon sexe et nous dit : < Il n'arrêtait pas de juter. C'était comme une éjaculation en continue ! Dégueulasse ! >
Estelle commente ce que nous la voyons faire dans le film. < Là, ce salaud me pissait dans la bouche ! > s'écrie t-elle. Rire.
Elle pointe son doigt pour nous montrer la longue coulure qui dégouline en s'écriant : < Mélange ! >. Elle me masturbe. Joie.
Clémentine fait à chaque fois un arrêt sur image. Parfois elle fait revenir en arrière. Parfois les images au ralenti. C'est géant.
Nous en oublions la faim qui nous tenaille. Nous sommes complètement dans l'émotion que suscitent ces images folles. Joie.

Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse soudain. Elle n'a pas réussi à l'éviter. Trop tard. Elle en hurle de plaisir.
Estelle qui se masturbe doucement reste beaucoup plus pondérée, très maître de ce qui se passe. C'est une caractéristique.
Je fais remarquer aux filles qu'il est 20 h45. Je dis : < On va se faire la bouffe ? >. < Oui ! > s'écrie Clémentine en se levant.
Estelle me tend les mains afin que je l'aide à se relever. < Tu es mon cameraman préféré ! > fait elle en me serrant la bite.
Clémentine s'interpose, nous entraîne à la cuisine. Je fais bouillir de l'eau pour faire cuire les langoustines. Nous avons faim.

Estelle fait une mayonnaise. A plusieurs reprises elle pose la fourchette pour mimer une masturbation masculine. Nous rions.
< C'est le même mouvement et ça fait monter l'émulsion ! > fait elle. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance géniale.
Clémentine prépare la salade. A plusieurs reprises elle vient se blottir contre moi. Il est déjà 21 h30. Tout est enfin prêt. Bon.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation reste axée sur le film, les écuries, le sperme à monsieur Gérard. La fellation.
< Je suis tellement écœurée sur l'instant ou ça se passe. J'ai tellement envie de refaire toute seule chez moi ! > fait Estelle.

Clémentine lui demande : < Tu veux refaire avant l'Ecosse, ou tu préfères laisser passer les vacances ? > Estelle réfléchit.
< Je préfère laisser passer les vacances. c'est trop si je refais avant ! > répond Estelle. Nous rions de bon cœur. Grimace.
Estelle rajoute encore : < Et puis j'ai le film ! De quoi me payer du bon temps à Noël ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Nous traînons longuement à table. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons soigneusement la cuisine.
Estelle nous entraîne au salon. L'image fixe est restée sur l'écran du téléviseur. La coulure qui pend de la bouche d'Estelle.

Je sors ma queue. Je me campe bien entre le téléviseur et le canapé. Je me branle doucement en regardant l'écran. Rires.
Estelle vient se mettre à genoux devant loi en disant : < Maintenant, j'ai un élément de comparaison ! > Je la regarde sucer.
Clémentine se serre fort contre moi pour m'embrasser. Nous restons ainsi un long moment. Estelle gémit de bonheur. Pipe.
Ma compagne met le film en route. Nous regardons. A nouveau elle a glissé sa main dans son jean. Estelle me fait une pipe.
J'éjacule sans prévenir. Estelle me tient par les hanches en poussant des cris de ravissements. Je la regarde déglutir. Belle.

< Je ne voudrais pas te vexer, Julien, mais je préfère la bite de ce vieux dégueulasse de Gérard ! Si ! > me fait Estelle.
Je la félicite en précisant : < Il te manquait un élément de comparaison. Maintenant il t'en faut un troisième. Arbitrage ! >
Je force Estelle à se relever. < Aïe, ouïlle ! > fait elle en se massant les genoux. Elle demande à Clémentine : < Et toi ? >
< Quoi, moi ? > fait ma compagne < Tu n'as pas envie de comparer ? Je t'assure que tu seras pas déçue ! > fait Estelle.
Clémentine reste silencieuse et me regarde par en-dessous. Je rajoute : < Elle a raison ! Un élément de comparaison ! >

Il est presque 23 h. Nous sommes épuisés. Clémentine éteint le téléviseur en disant : < On remet ça demain après-midi ! >
Estelle revient à la charge en disant : < Clémentine, tu goûtes la bite à Gérard avec moi, la prochaine fois, s'il te plaît ! >
Ma compagne hausse les épaules et nous entraîne à l'étage. Les toilettes. La salle de bain. Nous faisons les clowns. Miroir.
Au lit. Estelle s'endort toujours très vite. Clémentine me chuchote : < Un élément de comparaison ! > Je lui dis : < oui ! >
< J'en suis folle d'envie, mais il faut que tu m'aides, je n'en ai pas le courage ! > murmure Clémentine. Plongeon et dodo...

Bon visionnage des cochonneries réalisées en HD à toutes les coquines dont le fantasme est de se faire filmer...

Julien - (Qui espère que Clémentine franchisse ses inhibitions et ses appréhensions bien légitimes. Une pipe à Gérard) -

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Classe -38 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 275 -



Un dimanche de quiétude et de calme avec la compagnie d'Estelle...

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil de la même façon que tous les autres dimanches depuis près d'une année.
On me tient par mon érection matinale. Il y a des murmures, des chuchotements et des rires étouffés. J'ouvre l'œil et le bon.
< Bonjour Julien ! > me font les filles en même temps. C'est bien évidemment Estelle qui me tient le sexe aussi fermement.
Je me redresse. A quatre pattes entre Clémentine et Estelle, je les chatouille tout en poussant des grognements d'ours en rut.
Estelle arrive à se sauver pour aller aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Nous nous offrons de douces papouilles.

Estelle revient pour nous dire : < Je descends préparer le petit déjeuner ! > Clémentine répond : < On arrive ! > Douceurs.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Nous y procédons à nos rituels pisseux avant de descendre rejoindre Estelle à la cuisine.
Estelle porte son pyjama mauve en soie. Nous sommes vêtus de nos T-shirts de nuit. Le jour se lève. Il est déjà huit heures.
Le thermomètre extérieur indique moins 3°. Le ciel est gris, lourd et bas. Le thermomètre intérieur indique 20°. Thermostat.
Tout est prêt. L'odeur du pain grillé et du café embaume la cuisine. Estelle me fait des bises en me disant : < Je t'aime ! >.

< Mais on se calme la nympho ! > lui fait Clémentine avant de rajouter : < Je te signale à tout hasard que c'est mon mec ! >
Nous rions de bon cœur avant de nous asseoir tous les trois. Tel le patriarche, je beurre les tranches que me tendent les filles.
Confiture, miel et yaourts. Nous mangeons de bon appétit. C'est dimanche et nous pouvons traîner à table. Nous bavardons.
Estelle me fait : < Regarde, j'ai des boutons autour de la bouche ! A ton avis ? > Elle se lève pour venir me montrer ses joues.
Je scrute. Il y a effectivement une petite pustule purulente. < C'est de l'acné ! > dit Clémentine. < Non, la pipe ! > dit Estelle.

Nous rigolons comme des bossus. Je dis : < Pourtant, depuis sept mois, tu as de la pratique ! > Estelle retourne s'assoir. Rire.
Elle me répond : < Oui, mais la bite du palefrenier, c'est une grande première ! > Nous rions de bon cœur à cette fulgurance.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Je termine de ranger la cuisine. Clémentine entraîne Estelle au salon. Ordinateur.
Je les entends rire. C'est toujours une émotion. Je vais voir. Clémentine fait lire nos récits sur le forum à Estelle qui en rigole.
< Julien ! T'es dingue ! T'as tout raconté des écuries ! > me fait elle. Clémentine dit : < Pas d'inquiétude. Tu as un pseudo ! >

Je retourne à la cuisine pour continuer à nettoyer. C'est le ménage du dimanche matin. Clémentine monte faire la chambre.
Je nettoie les chiottes du bas. Le hall d'entrée. Je passe la serpillère sur le carrelage des sols. Je sors l'aspirateur du placard.
Je vais au salon. Estelle est entrain de lire avec un sourire. < Je lis toutes les cochonneries que tu racontes ! > fait elle. Rire.
Je passe l'aspirateur. Estelle, silencieuse, est passée derrière moi. Elle m'attrape par les couilles qu'elle serre fortement. Mal.
De son autre main qu'elle glisse sous mon T-shirt, dans mon slip, elle me chope la bite. < Je veux te la bouffer ! > fait elle...

Je dis : < Si tu n'es pas sage, je te passe le collier, la laisse, les menottes et je t'emmène chez le vilain monsieur du haras ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle me montre les boutons autour de sa bouche en répondant : < Soin. Crème ! >
Je la prends par ses cheveux pour l'entraîner derrière le bureau, assise devant l'ordinateur. < Je veux comparer ! > fait elle.
< Maintenant que j'ai l'élément de comparaison, il est normal que je veuille des certitudes ! > rajoute encore Estelle en riant.
Je passe le plumeau et le chiffon sur les meubles pour faire la poussière. Estelle se lève plusieurs fois pour me faire des bises.

Je me sauve. Je monte rejoindre Clémentine qui est entrain de terminer le lit. Je lui raconte encore l'attitude d'Estelle. Rire.
< Mademoiselle boutons veut sa pipe du matin ! > me fait ma compagne. Nous rions de bon cœur. Je prends les draps sales.
Il fait froid dans la chambre car Clémentine a ouvert les fenêtres pour aérer. Elle me rejoint à la salle de bain pour m'aider.
Je lave le bac à douche, le lavabo pendant que Clémentine lave les miroirs. Nous bavardons. Plein d'arrêts bisous obligatoires.
< Moi aussi, j'ai envie de sucer ! > me fait Clémentine en passant sa main dans mon slip. Je dis : < Le palefrenier ? > Rires.

< Arrête, j'y pense et c'est une impression désagréable à chaque fois ! > me confie ma compagne en se serrant contre moi.
Je la rassure en précisant : < Ce sera comme ça jusqu'à ce que tu essaies ! > Ma compagne fait : < Brrrr ! C'est dégueu ! >
Clémentine descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes du haut. Je passe la serpillère sur les carrelages des sols.
Je descends. Je n'entends rien. Je vais voir au salon. Les filles sont concentrées sur l'écran de l'ordi. Sur le site de l'université.
< Encore une semaine chargée avant les vacances ! > me fait Clémentine en me serrant contre elle. Nous sommes en jeans.

Estelle monte pour se changer. Clémentine est assise sur mes genoux. Elle m'explique le graphique mystérieux sur l'écran.
J'écoute. C'est passionnant. Estelle redescend. Nous sommes tous les trois en jeans, chemises à carreaux et en espadrilles.
Il est déjà onze heures trente. Je me rends à la cuisine. Les pavés de saumon achèvent de décongeler dans le grand plat.
Je prépare le parmesan pour le gratin de coquillettes. Estelle vient me rejoindre la première. Elle m'attrape par les couilles.
< Je me sens vicelarde aujourd'hui, si tu savais ! > fait la jeune fille. Je réponds : < Tiens donc, c'est la première fois ! >

Nous rions de bon cœur. Clémentine arrive à son tour. < Voilà ! J'ai le dos tourné deux minutes ! > fait elle en s'interposant.
Estelle émince l'ail, l'oignon, la ciboulette. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau. Les filles parlent "études".
Je prépare une Béchamel dans laquelle je fais fondre des dés de Roquefort. C'est une sauce délicieuse avec des champignons.
Estelle coupe les feuilles de papier sulfuré et y dépose les pavés de saumon. Sel, poivre, ail, oignon et elle emballe les pavés.
Elle place le tout dans les feuilles d'aluminium. Je l'accompagne dans la véranda froide. Grillade sur le barbecue électrique...

< J'ai envie de sucer ! > me chuchote t-elle. Je la saisis par ses cheveux pour la ramener à la cuisine. Clémentine m'observe.
< Déjà ! > fait ma compagne. Nous rions de bon cœur. Estelle, incorrigible, mime une masturbation masculine, très vulgaire.
< J'ai envie de bouffer du vicieux ! > fait la jeune fille. Clémentine dit : < On va t'emmener chez le monsieur des écuries ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle nous lance : < J'ai dis "bouffer" du vicieux et pas "bouffer" de l'incontinent ! >
J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe que je fais tournoyer comme un lasso. Je l'agite vers Estelle qui fait : < Cow-boy ! >

Je verse les coquillettes égouttées dans un grand plat de terre cuite. Estelle y dépose le Parmesan. Un peu d'ail et ciboulette.
Je mets au four. Clémentine prépare l'assaisonnement de la laitue. Estelle met la table. Nous bavardons. C'est sympathique.
Je demande : < C'est le dernier dimanche avant les fêtes. Les magasins sont ouverts, ça vous tente ? > Les filles regardent.
< Oh oui ! > font elles en même temps. Cette spontanéité m'amuse. Clémentine me fait : < Peut-être qu'il y a un "plan" ! >
Estelle répond : < Il risque d'y avoir du monde dans les magasins ! > Et c'est vrai que les opportunités exhibes seront short.

La sonnerie du four. Estelle va chercher les papillotes. Clémentine remue la salade. Nous voilà assis à table et morts de faim.
Nous mangeons de bon appétit. Nous mettons au point le programme de l'après-midi. Nous irons nous balader en ville. Joie.
< On se refait un tour au marché de Noël ? > demande Estelle. < On va peut-être rester au chaud ! > lui répond Clémentine.
Je dis : < On peut même se faire un salon de thé avec petits pains au chocolat ! > Les filles applaudissent à ma proposition.
Nous mangeons de bon appétit. Le programme de l'après-midi est établi. Retour pour 18 h30. Repas et révisions des cours.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous montons pour nous habiller. Estelle porte son choix sur un pantalon noir.
Chemisier sous un épais pull de laine noire. Clémentine porte une de ses jupes de velours épais. Collants, chemisier, pull.
Sur la demande de ma compagne, je porte un pantalon de velours gris, chemise et pull gris. Bottes de styles "équitation".
Nous faisons les clowns devant le miroir de l'armoire avant de redescendre. Il est 13 h45. Nous voilà prêt. Je sors la voiture.
Je porte ma casquette à carreaux, mon écharpe. Estelle porte son anorak, Clémentine porte son manteau. En route. Froid.

Il y a 12 kilomètres jusqu'à la ville. Je gare la voiture à dix minutes du centre. Du monde. Nous marchons d'un pas rapide.
Nous décidons de passer par le marché de Noël. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite, nous nous tenons par le bras.
Comme souvent, les regards des passants se posent sur nous. Ces deux jeunes filles de 20 ans au bras d'un quinquagénaire.
Nos hautes silhouettes, nos élégances, font un peu de nous des "extras terrestres". Nous en rions toujours de bon cœur. Joie.
Et, lorsque quelques regards se font insistants, les deux coquines me font des bisous en même temps ou à tour de rôle. Bien.

Nous tentons d'avancer dans la foule entre les chalets décorés. Ce sont surtout les landaus qui font véritablement chier. Fort.
Cela fait enrager Estelle qui n'arrête pas de maugréer en disant : < Quelle idée stupide que de se reproduire ! > Nous rions.
Nous arrivons à traverser le marché de Noël pour nous retrouver sur l'avenue des grands magasins. Il y a partout du monde.
Inutile de préciser que toute opportunité exhibitionniste est à oublier. Et même à proscrire. Cela frustre un peu ma compagne.
Nous n'avons rien à acheter. Aussi, nous pouvons nous contenter d'admirer. Nos cadeaux, nous nous les ferons à Edimbourg.

Il est 17 h. Je propose aux deux filles de nous choisir un salon de thé. Notre choix se porte sur celui de la rue piétonne. Bien.
Situé derrière la cathédrale, ce petit établissement est luxueux et très bien fréquenté. Les prix étant ici la meilleure sélection.
Il y a quelques tables encore libres. Nous montons les quatre marches pour nous installer à côté d'un grand aquarium bleu.
Clémentine me fait un clin d'œil en me montrant la salle plus bas. < Place stratégique ! > me glisse t-elle à l'oreille. Rigolade.
La serveuse apporte nos commandes. De grands chocolats chauds et des petites brioches aux grosses pépites de chocolat...

Nous sommes de retour pour 19 h. Il suffit de réchauffer le reste de gratin de coquillettes et la sauce au Roquefort. La salade.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'Ecosse qui nous attend pour les fêtes. Nous sommes tous les trois à nous réjouir.
La vaisselle. Nous passons à l'atelier. Il est 20 h30. Les filles doivent préparer leurs cours de demain. Dernière semaine. Dure.
Nous ramenons Estelle pour 22 h30. La séparation est un peu difficile. Nous nous revoyons mardi soir. Le repas chez Juliette.
Toilettes. Salle de bain. Le lit. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec précaution. Confessions. un "69 " et c'est dodo.

Bon début de semaine à toutes et à tous. Surtout si se profile à l'horizon d'agréables séjours dans des lieux de vacances...

Julien - (Qui écoute Clémentine lui confier le fantasme de plus en plus fort de tailler une pipe au palefrenier vicieux. Patience) -

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Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 276 -



Un début de semaine confortable, serein et plutôt sympathique...

Hier matin, lundi, nous sortons de nos sommeils juste avant que le réveil ne délivre sa musique. Il est 5 h55. C'est parfait.
Nos horloges biologiques semblent se régler sur cet horaire. Cela nous évite ainsi d'êtres réveillés par Beethoven. Mozart.
Nous nous étirons longuement dans un gémissement qui se termine par un véritable mugissement. Ponctué par un cri fort.
< Bonjour Julien ! > fait Clémentine avant de me chevaucher en riant. < Bonjour Clémentine ! > que je lui fais. Papouilles.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux. Nous descendons à toute vitesse, morts de faim.

A la cuisine, il fait bien chaud. 20°. Le thermomètre extérieur indique mois 3°. Il fait nuit noire et froid. Le petit déjeuner.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Confitures, miel et yaourts.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est la dernière semaine avant les vacances. Clémentine est impatiente.
Ce trimestre a été éprouvant. Ma compagne me confie l'impérieux besoin de ces deux semaines de repos qui se profilent.
La perspective de notre séjour en Ecosse est donc attendue avec une certaine fébrilité. Il y a encore deux trimestres. 2018.

Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Gymnastique avec intensité maximale. Toujours si agréable.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le bonnet, l'anorak.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je fais la vaisselle.
Je monte faire le lit. Je redescends à l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Il est déjà 8 h15.
Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans une véritable allégresse. C'est la neuvième toile destinée à ma saison 2018.

Il est rapidement midi. Je file à la cuisine pour y préparer du millet doré, une omelette et une bonne laitue. Tout va très vite.
Pour le repas du soir, je prépare des courgettes farcies au pâté de lentilles. Il suffira de préparer une salade et de réchauffer.
Je retourne dans l'atelier. Il est 13 h15. Me voilà à nouveau à me livrer corps et âme à ma passion picturale. Tout est parfait.
Il est 16 h50. J'entends du bruit. C'est Clémentine qui rentre de cours. La porte s'ouvre. Elle jette son sac sur le canapé. Joie.
Clémentine se précipite pour me faire plein de bises. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. J'écoute en silence.

< Estelle est à nouveau revenue sur son expérience aux écuries ! > me fait ma compagne. Elles mangent ensemble à midi.
Ces 40 minutes de pause, au restaurant universitaire, permettent aux filles de bavarder. J'écoute amusé les anecdotes. Rire.
Clémentine rajoute encore : < Avec le recul, elle regrette un peu. Elle a trouvé ça tellement dégueulasse. Elle se dégoûte ! >
Je ne sais quoi dire. Clémentine développe encore le ressenti d'Estelle. Je fais : < Et après tout, cela ne concerne qu'elle ! >
C'est sur ce constat que nous nous remettons à nos activités. Clémentine est assise à la table entourée de ses affaires. Ordi.

Le silence monacale résonne des crépitements du feu dans la cheminée. Le souffle de nos respirations après la concentration.
Dehors il fait nuit. Parfois je me lève pour rejoindre Clémentine qui m'explique ce qu'elle fait. La mise au propre de ces notes.
Recherches sur l'ordinateur. Parfois Clémentine vient me rejoindre pour découvrir l'avancée de ma toile. Je lui explique aussi.
Il est rapidement 19 h. < Put-Hein ras-le-bol ! J'ai faim ! > s'écrie Clémentine en se levant. Je cesse ma peinture. Terminé...
Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine prépare la salade. Je réchauffe les courgettes farcies et le reste de millet doré.

Après l'assaisonnement je mets la table. < Tu te souviens l'hiver dernier quand tu me prenais sur la table ? > dit Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me montre le côté de la table devant le buffet. < C'était toujours là ! > rajoute t-elle. Rire.
Je dis : < Tu veux refaire ? >. Clémentine s'essuie les main. Elle vient se serrer contre moi pour me murmurer : < Après ! >
Nous restons un petit moment à nous offrir de la tendresse, des douceurs et des caresses. La sonnerie du four. Morts de faim.
Clémentine découvre toujours la surprise du repas du soir avec enchantement. < Miam ! > s'écrie t-elle. J'aime la voir ainsi...

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La conversation s'articule autour de notre séjour à venir en Ecosse. Plaisir.
Je réserve quelques surprises à ma compagne. Je reste secret. Je garde le silence lorsqu'elle tente d'en savoir le programme.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine se montre rusée pour me soutirer des révélations.
Nous rions de bon cœur à chaque fois que j'esquive l'information souhaitée. < Je t'aime ! Dis moi tout ! > me fait Clémentine.
Je refuse en lui déposant à chaque fois un bisou sur la bouche. Je dis : < Chut, tout ça fait partie de ton cadeau de Noël ! >

Noël, pour nous, n'a pas d'autre signification qu'une occasion de buller un peu grâce aux jours de congé. Ce qui sera le cas.
< Avant toi, je détestais ces périodes de fêtes ! > me fait Clémentine en se blottissant très fort contre moi. Je sais pourquoi.
Je dis : < Tout ça c'est du passé, c'était dans une autre vie ! > < Je t'aime Julien ! > me fait Clémentine les yeux humides.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous passons au salon pour découvrir nos éventuels courriels sur l'ordinateur...
Il y a un message d'Estelle qui nous raconte sa soirée. Elle nous fait part de son impatience d'être à nouveau tous les trois.

Clémentine répond en joignant une photo de nous trois prise l'été dernier, à bicyclette sur la piste cyclable au bord du canal.
Il y a un message de Juliette qui nous rappelle que nous sommes attendus, Clémentine, Estelle et moi, pour le repas, mardi.
Clémentine répond en joignant une photo prise au début de l'automne où nous sommes tous les quatre entre deux chevaux.
J'entraîne Clémentine sur le canapé. Je lui chuchote : < Je vais te faire des choses que la morale réprouve, mais pas toi ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me chuchote : < Oh oui ! Fais moi des choses pas morales et très vilaines ! >

Je déboutonne le jean à Clémentine qui se redresse pour l'enlever en même temps que sa culotte qu'elle jette au loin. Rire.
Je fais de même. Ma compagne adore le contact du cuir froid sur sa peau. Je la fais basculer au fond du canapé. Vautrée !
Je pose l'épais coussin de velours au sol, entre ses jambes écartées. Je me mets à genoux pour humer sa journée de fille.
Je respire longuement les effluves parfumées de son sexe. L'odeur est forte et laisse augurer du dessert qui m'attend. Joie.
Je m'enivre de ses senteurs fortes. J'en éprouve quelques vertiges. Je devine déjà les goûts, les saveurs qui m'attendent là.

J'avance mon visage. Il me faut affronter l'abondante toison pubienne qui me chatouille déjà le nez, les joues et le menton.
J'aime cette première épreuve. Je m'y engage, bouche ouverte et langue pointée. L'exploration commence. C'est fabuleux.
Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. J'y retrouve ce goût légèrement vinaigré, piquant et acidulé.
Je lèche la raie culière toujours étonnante d'humidité et de sueur. La touffe y est dense et fournie. Il faut lutter. Et fouiner.
Je reviens sur le sexe humide. Clémentine gémit doucement en m'observant. Elle me tient par les oreilles pour me guider.

Je remonte lentement sur le clitoris géant de ma compagne. Elle a ce reflexe étonnant qui m'enchante toujours beaucoup.
Un premier spasme qui me prévient. Je dois être vigilant. Pas d'orgasme prématuré. Tout doit être contrôlé et maîtrisé.
A plusieurs reprises Clémentine me repousse. Son corps agité de frissons. Elle m'attire sur elle. Je me relève. Douceurs.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Nous adorons rester ainsi.
Je bande comme un priapique en phase terminal. Clémentine chuchote plein de choses étonnantes. J'écoute en silence.

Je ne peux tout révéler, mais il est beaucoup question des écuries, du palefrenier, du trou dans le mur et de la fellation.
J'écoute religieusement toutes ces révélations. Lorsque nous faisons l'amour ainsi, ma compagne se révèle avec bonheur.
Nous aimons tant cette situation que nous la faisons perdurer. Nous nous mettons à nous bercer doucement. Lentement.
Nous accélérons pour cesser dans une harmonie parfaite. Je suis toujours très vigilant. J'accompagne chaque mouvement.
Tout cela excite tant ma compagne qu'elle a tendance à en rajouter, faisant intervenir quelques fantasmes irréalisables...

Nous sommes hors du temps. C'est un moment extatique. Soudain, à bout de ressources, Clémentine accélère le rythme.
Je reste plus pondéré, plus maître de mon excitation pourtant folle. Nous cessons juste avant l'orgasme de Clémentine.
Je me retire doucement. Je reviens embrasser son intimité avec appétit. A nouveau, la situation devient critique. Attention.
D'un commun accord, nous nous gardons pour le lit, tout à l'heure. 21 h30. Nous retournons à l'atelier pour bosser un peu.
22 h30. Nous montons. Toilettes. Salle de bain. Le lit. Une pette baise. Un cunnilingus. Orgasme fou. Une fellation et dodo.

Bonne soirée délicieusement érotique et amoureuse à toutes et à tous. Léchage de minou et pipe de rigueur. Obligatoires...

Julien - (Qui lèche jusqu'à en avoir des crampes à la langue, à la mâchoire , à la bite et même aux couilles) -

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Un repas chez Juliette, en compagnie d'Estelle et de Clémentine...

Hier matin, mardi, nous ouvrons l'œil juste avant que ne sonne le réveil. Il est 5 h55. Nous nous étirons longuement.
C'est dans un cri que Clémentine me fait : < Bonjour Julien ! > Je lui dis : < Bonjour Clémentine ! >. Des papouilles.
Ma compagne, après m'avoir chevauché en riant, m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. C'est nos rituels pisseux.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Pour nous préparer notre petit déjeuner. Il y fait bien chaud. 20°.
Le thermomètre extérieur indique moins 2°. La nuit est noire. Il fait froid dehors. Nous prenons notre petit déjeuner.

Nous bavardons. Nous faisons un rapide bilan de la veille. Nous faisons le programme du jour. Ce soir repas "Juliette".
Juliette nous attend pour 19 h30. Nous sommes invités pour un dîner de fête. Nous anticipons. Nous nous réjouissons.
< C'est le premier repas pour ces fêtes ! > me fait remarquer Clémentine. Je n'y avais pas pensé. Et c'est un peu vrai.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Mais nous sommes tous les deux à la fête et tous les jours ! >.
Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement quotidien. Cette gymnastique intense qui remplace nos joggings.

Une heure d'exercices et c'est notre douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Le jour se lève.
Il est 7 h45. Ma compagne est chaudement vêtue. Des bisous. Un dernier coucou et la voiture disparaît. Il fait très froid.
Je rentre à toute vitesse. Je fais la vaisselle. Je monte faire le lit. Je redescends à l'atelier. J'allume un feu de cheminée.
J'éteins le radiateur. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme qui frise la démence délirante.
Mais, comme tout ce qui frise, il y a encore un univers qui me sépare de la démence délirante. Une séance merveilleuse.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je me prépare du pilpil de blé avec une sauce au Roquefort. Et une scarole.
J'aime cet intermède culinaire qui permet de prendre du recul sur ma peinture. Même si je suis impatient d'y retourner.
Comme nous ne sommes pas à la maison ce soir, je n'ai pas besoin de préparer de quoi réchauffer. C'est sympathique.
Je suis de retour à l'atelier dès 13 h. Je peins dans une frénésie enchanteresse. J'en pousse des cris, des grognements.
Il faut me voir tomber à genoux tout en me signant à chaque coup de pinceau plus sublime. Moi qui ne croit qu'en moi.

J'entends des voix, des rires. Il est 17 h. Estelle entre dans l'atelier à toute vitesse. < Bonsoir Julien ! > s'écrie t-elle.
J'ai juste le temps de poser ma palette et mes pinceaux que la jeune fille me couvre le visage de bisous. Si heureuse.
Clémentine arrive à son tour. Clémentine est assise sur mon genoux gauche. Estelle est assise sur mon genoux droit.
Les filles me racontent leur journée. Il y a ce jeune étudiant, Gauvin, qui drague Estelle comme un vrai malade. Rires.
Pendant le repas de midi, au restaurant universitaire, il vient s'assoir quelques minutes à la table des deux filles. Jeu.

Estelle me montre les boutons qu'elle a autour de la bouche. Une pustule purulente sous le plis de sa lèvre inférieure.
< Si Gauvin savait que tu tailles de supers pipes, il changerait d'attitude ! > fait Clémentine. Estelle dit : < Salope ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Tout le monde te prend pour une sainte ni touche ! >
Estelle répond : < Et bien surtout, que ça continue ! >. Nous rions de bon cœur. Les filles se lèvent pour leur travail.
Assises à la table, entourées de leurs notes, les filles mettent au propre leurs cours de la journée. C'est une révision...

Nous travaillons dans la concentration. J'entends le chuchotement des filles. Il y a le crépitement du feu. La cheminée.
Parfois, une des filles vient passer ses bras autour de mon cou pour regarder mon travail et pour s'accorder une pause.
Parfois je viens regarder ce que font les filles. De mettre leurs notes au propre leur permet de réviser les cours du jour.
Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordinateur. C'est passionnant. J'apprends toujours plein de choses.
Je suis penché, tenant les filles par leurs épaules, mon visage entre le leur. Je dépose des bises sur la joue de chacune.

Il est rapidement 19 h. Nous cessons pour nous préparer. Il fait nuit noire au dehors. Le thermomètre indique à peine 6°.
Estelle préfère rester en jean, avec sa chemise à carreaux habituelle. Clémentine décide de rester vêtue pareille. Super.
Clémentine me propose de m'habiller de la même manière. < Les trois mousquetaires ! > fait Estelle. Je monte à l'étage.
Les filles montent me rejoindre. Je suis en slip. L'occasion est trop belle pour Estelle qui m'attrape par les couilles. Rires.
< T'as les boules mon salaud ! > fait elle. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine dit : < C'est les boules de Noël ! >

Nous sommes tous les trois devant le miroir de l'armoire à faire les clowns. Estelle nous montre ses boutons. Toute fière.
< Les pipes ça donne des boutons ! > dit elle. < Surtout les pipes dégoûtantes à un vieux cochon ! > rajoute Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle précise : < Alors je n'ai pas fini d'en choper ! > Elle se serre contre moi.
Je scrute le tour de sa bouche. Je lui dis : < Et ça fait adolescente qui a de l'acné ! > < C'est exactement ça ! > fait elle.
Clémentine s'approche pour me montrer le tour de sa bouche en me demandant : < Et moi, j'en ai aussi ? > Ambiance.

Estelle lui répond : < Si tu suces le vieux salaud, tu verras, tu risques d'en choper également ! > Nous rions de bon cœur.
Nous descendons. Les filles enfilent leurs anoraks. Je mets ma grosse veste. Nous mettons nos écharpes, bonnets, gants.
Nous prenons la voiture de Clémentine. Je dois conduire. Nous voilà en route pour le haras. Trois petits kilomètres. 5 mn.
Nous arrivons pour 19 h30. Il y a encore quelques voitures garées dans la cour. Il y a de la lumière dans les écuries. Nuit.
Je gare la voiture. Nous ne voulons croiser personne. Surtout Estelle qui ne veut pas voir monsieur Gérard, le palefrenier.

Juliette vient sur le pas de la porte juste au moment où nous y arrivons. < Bonsoir ! > nous fait elle visiblement contente.
Nous nous serrons la main. Juliette est vêtue de façon élégante, comme à son habitude. Pantalon à plis, talon, un pull fin.
Ses longs cheveux noués en natte, elle est hyper sexy. Nous montons dans son appartement en la suivant dans l'escalier.
J'ai ramené une tarte aux noix que j'ai fait décongeler. Il suffit de la mettre au chaud. Il y a une odeur de fruits de mer.
Juliette nous fait découvrir trois belles tartelettes aux crevettes. Un plateau avec du crabe. Différentes sauces mayonnaise.

Nous sommes morts de faim. Nous sommes invités à nous asseoir. Nous commençons par le crabe. Un véritable délice.
Nous bavardons en savourant notre entrée. Juliette, toujours très intéressée par les études des filles pose des questions.
Rapidement, les filles évoquent le second trimestre qui les attend début janvier. Les stages en entreprises obligatoires.
Estelle fera son stage dans l'entreprise familiale. Clémentine fera son stage dans l'entreprise de Juliette. Tout est réglé.
Tout cela aura lieu en février. Trois semaines loin de la faculté. Juliette évoque ce qu'elle attend de Clémentine. Bureau.

Juliette fait un bilan de ses activités de l'automne. Les animations organisées ont été de véritables succès. Elle récidive.
Le printemps sera le prétexte à tout un tas d'évènements. Des courses au trésors, des promenades équestres à thème.
Nous écoutons avec beaucoup d'intérêt. Le repas se déroule ainsi dans les échanges les plus divertissants. C'est super.
Clémentine, si adroite et rusée, pose quelquefois des questions relatives aux écuries, à monsieur Gérard, le palefrenier.
Elle me fait souvent du pied sous la table. Evidemment ma compagne tente d'avoir des réponses à ses interrogations.

Pourtant, jamais, dans les réponses de Juliette, il n'est possible de déceler quoi que ce soit d'insolite ou encore d'étrange.
Dans l'attitude de la jeune femme, il n'y a rien qui pourrait éveiller ou confirmer quelques supputations quand à nos jeux.
Visiblement Juliette ne sait pas ce qui s'est passé jeudi dernier, lors de notre visite en soirée. La pipe d'Estelle à Gérard.
Je ne suis pas aussi perspicace et ni aussi psychologue que Clémentine, aussi je me contente d'écouter et de regarder.
Nous en arrivons au dessert. Juliette évoque nos vacances à venir en Ecosse. < C'est un pays que je veux voir ! > dit elle.

La conversation s'articule donc sur l'Ecosse, Edimbourg, ma famille. C'est Clémentine qui en parle le mieux avec passion.
Estelle, discrètement, me fait des clins d'œil ou encore d'amusantes grimaces. Des bosses dans sa joue avec sa langue.
N'hésitant pas, très vite, à tourner sa main fermée devant sa bouche. Bien vicelarde elle mime de rapides pipes. Salope.
Clémentine fait mine de ne pas s'en apercevoir. Juliette ne s'en aperçoit pas du tout. La tarte au noix est délicieuse. Thé.
J'admire la plastique de Juliette lorsqu'elle se lève. Une superbe bourgeoise. Le pantalon qu'elle porte moule ses formes.

Je me demande si elle porte une culotte car tout est merveilleusement suggéré. Pas de doute, Juliette est exhibitionniste.
Bien plus discrète que Clémentine, cette jeune femme de 42 ans doit aimer être regardée. Peut-être même être "vue".
Il est rapidement 22 h30. Il est temps de prendre congé. Juliette nous raccompagne jusqu'au bas de l'escalier. Il fait froid.
Nous nous serrons la main. Rapidement, d'un geste calculé, juste lorsque je me retourne, Juliette se touche. J'hallucine...
Dans la voiture, au retour, j'en fais part à Clémentine. Estelle nous fait : < Cette salope cache toujours si bien son jeu ! >

Nous ramenons Estelle. Un peu tristounette la jeune fille nous fait plein de bisous. Nous la regardons s'éloigner dans le noir.
Clémentine, au retour, me donne ses impressions. < Je n'arrive pas à trouver la faille, elle est balaise la Juliette ! > dit elle.
Nous sommes de retour. 23 h. Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Nous nous offrons un "69". Clémentine m'attire sur elle.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine me fait des révélations secrètes.
Nous sommes épuisés. Clémentine me chuchote les dernières cochonneries, les dernières douceurs. Nous plongeons. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment être invitées pour de délicieux, mais sages repas, chez quelques amis...

Julien - (Qui a encore passé une excellente soirée en compagnie de Juliette qui se montre parfois une discrète vicelarde) -

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Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 278 -



Doucement, mais sûrement, la semaine se tire...

Hier matin, mercredi, c'est moi qui ouvre l'œil le premier. Il est 5 h50. Sur ma gauche, Clémentine s'étire longuement.
J'éteins le réveil. Après un gémissement, Clémentine s'écrie : < Bonjour Julien ! > Je fais : < Bonjour Clémentine ! >
Ma compagne me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. C'est notre rituel pisseux.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Morts de faim, nous nous préparons notre copieux petit déjeuner.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Confiotes, miel, yaourts.

Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Clémentine évoque ce trimestre qui s'achève vendredi à midi. Bien.
C'est donc le dernier virage avant la ligne droite pour ma compagne qui ressent le besoin de décompresser enfin. Joie.
Je peux en témoigner, Clémentine a soutenu un rythme de travail intense et continu. Je l'ai vu travailler tous les jours.
Il fait nuit. Le thermomètre extérieur indique moins 3°. A l'intérieur il fait bien chaud. 20°. Nous remontons à l'étage.
Nous nous offrons notre séance d'entraînement. Avec intensité maximale pour remplacer le jogging qui nous manque.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Bonnet et gants.
Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer.
Je fais la vaisselle. Je monte faire le lit. Je redescends à l'atelier pour allumer un feu dans la cheminée. Il est déjà 8 h15.
Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins avec un enthousiasme qui me dépasse. Je vais terminer ma toile vendredi.
C'est le timing parfais. Neuf toiles prêtes pour ma saison 2018. Et trois toiles d'avance. Du jamais vu. Merci Clémentine.

Il est rapidement midi. Je n'ai pas vu le temps passer. J'en suis presque effrayé. Je vais à la cuisine préparer mon repas.
Je me fais du riz complet que je fais éclater à sec avec une spatule de bois. Je remue en huit. J'en aime l'odeur et le bruit.
Je rajoute quatre volumes d'eau avant de couper le feu, de mettre un couvercle. Je me concocte une sauce au Roquefort.
Accompagné d'une laitue. Pour le repas du soir, je fais des tomates farcies au pâté de lentilles. Il n'y aura qu'à réchauffer.
Je retourne dans l'atelier. L'impatience d'y retourner est à la hauteur de la satisfaction que me procure l'acte de peindre...

A nouveau, le temps passe hors de ma perception. Je suis tellement passionné par ma création que je suis si loin de tout.
J'entends du bruit. Des voix, des rires. Il est 17 h. Estelle entre dans l'atelier < Bonsoir Julien, surprise ! > me fait la fille.
Elle jette son sac sur le canapé pour se précipiter vers moi. Des bises. < C'était trop dur, j'avais envie d'être là ! > dit elle.
Clémentine arrive à son tour. Elle jette son sac à côté de celui d'Estelle sur le vieux canapé en velours de l'atelier. Bisous.
J'ai juste le temps de poser ma palette et mes pinceaux. Estelle assise sur mon genoux gauche et Clémentine sur le droit.

Les filles me racontent leur journée de cours, la faculté, les profs et Gauvin, le jeune étudiant qui drague Estelle. Rigolade.
J'écoute plutôt amusé par toutes ces anecdotes qui me connectent avec le monde réel. Je les tiens par leurs épaules. Joie.
< Vous partez samedi. Je serais sans vous jusqu'à mardi. Un Week-End sans vous ! C'est trop long ! > nous confie Estelle.
Je lui fais plein de bises tout en précisant : < Tu as bien fait ! Il faut venir chaque fois que tu en as le besoin ou l'envie ! >
Il fait nuit. Dehors il fait froid. Demain sera le véritable premier jour de l'hiver. Pourtant il a commencé depuis un moment.

Les filles sont assises à la table, entourées de leurs affaires, devant l'ordinateur à mettre au propre les notes prises ce jour.
Je peins dans mon allégresse habituelle. Le crépitement du feu et le chuchotement des filles accompagnent mes créations.
Estelle vient quelquefois derrière moi. Ses bras autour de mon cou, elle observe le ballet de mon pinceau. Elle est heureuse.
Parfois c'est Clémentine qui vient derrière moi pour m'enserrer de la même manière. Elle me chuchote plein de douceurs.
Parfois c'est moi qui passe derrière les filles pour observer leurs travaux. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran.

C'est dans cette atmosphère, à la fois studieuse et ludique, que nous vivons une de nos extraordinaires soirées de travail.
Il est rapidement dix neuf heures. < Stop ! J'en ai plein le cul ! > s'écrie Estelle. < Jamais dans le cul ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Estelle vient me rejoindre. < On arrête monsieur l'artiste ! > me fait elle. Clémentine arrive aussi.
Nous nous précipitons à la cuisine. Il suffit de réchauffer les tomates farcies, de préparer les langoustines, une belle salade.
Clémentine s'occupe de la salade. Une scarole. Estelle prépare l'assaisonnement. Je n'avais pas prévu la présence d'Estelle.

Les langoustines cuisent dans le bouillon en parfumant toute la cuisine de cette odeur caractéristique des fruits de mer. Bon.
Je mets la table. A plusieurs reprises Estelle passe derrière moi pour se serrer. < Je suis contente d'être là ! > nous fait elle.
Elle rajoute : < J'ai peur de prendre l'avion mardi à midi pour vous rejoindre. Rassure moi Julien ! > Je la serre contre moi.
Je la rassure. C'est le moyen de transport le plus sûr qui soit. < C'est mon plus beau Noël ! > rajoute t-elle encore. Bisous.
Clémentine s'interpose. Elle dit : < C'est mon Père Noël à moi, propriété privée, chasse gardée ! > Nous rions de bon cœur.

< Même pas peur ! > lui répond Estelle. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Je te le prête ! >
< Je me le suce ce soir, après la bouffe ! > fait encore Estelle. < On a encore du boulot, je te signale ! > fait Clémentine.
La sonnerie du four. Je sors le plat en terre cuite. Les quatre tomates farcies sont bien dorées. Estelle fait une mayonnaise.
Les langoustines sont bien cuites. Nous voilà assis à nous régaler de ce délicieux repas. < C'est déjà la fête ! > dit Estelle.
Je lui dis : < Tu reviens demain et vendredi ! Obligatoire ! > Clémentine lui fait : < Tu viens m'aider à faire les bagages ! >

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine fait le programme des jours prochains. Vacances.
Estelle viendra faire les bagages avec nous vendredi après-midi. Nous nous offrons un repas de Noël au restaurant en soirée.
Tout cela annonce les réjouissances à venir. Estelle se lève pour débarrasser la table. Elle mime une masturbation masculine.
Toujours aussi vulgaire, Estelle me fait : < Je peux sucer le Père Noël ce soir ? > Nous rigolons comme des bossus. Vaisselle.
Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Clémentine nous entraîne au salon. Nous voilà vautrés. Le canapé.

Estelle est assise à ma gauche. Clémentine est assise dans le fauteuil. Nous évoquons l'Ecosse qui nous attend très bientôt.
< Je me sens redevable, Julien, ça me gêne lorsque je pense au coût ! > me fait Estelle. Je réponds : < Ne me vexe pas ! >
Je rajoute : < Cette année, vous êtes toutes les deux le plus beau cadeau de Noël que j'ai jamais eu ! Alors on se calme ! >
Je continue : < Ce merveilleux Noël n'a pas de prix. Et je n'ai ni le temps et ni l'occasion de dépenser mon argent. Alors ! >
C'est sur ce constat qu'Estelle est obligée de se rendre à l'évidence. < Ce privilège est partagé ! > précise Clémentine. Joie.

Estelle, rassurée, pose sa main sur ma braguette. Clémentine sait que les réjouissances commencent. C'est son vrai plaisir.
Ma compagne adore me regarder dans mes comportements d'homme avec Estelle. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe.
Estelle s'en saisi immédiatement. Elle me le tient fermement. Je bande mou. Il en dépasse la moitié molle de sa main. Bien.
Clémentine déboutonne son jean qu'elle descend à mi-cuisses avec sa culotte. Elle me montre la petite ficelle blanche. Rire.
Ma compagne est réglée comme une horloge. Nous sommes le 20 du mois. Ses "petits machins". Elle me fait un clin d'œil...

Tout en bavardant, Estelle agite et secoue ma bite. Je ne tarde pas à bander comme le dernier des salauds. Un tube de bois.
Comme elle le fait souvent, en sachant que c'est presque douloureux, Estelle me la tord principalement vers le bas. Salope.
Clémentine se masturbe doucement en nous observant. Ce spectacle la ravit plus que tout autre dans ces situations. Le vice.
Estelle se lève. Elle pose l'épais coussin de velours au sol. A genoux entre mes cuisses, elle hume ma journée d'homme. Joie.
Je la regarde renifler longuement mon sexe qui évoque un démonte-pneu de camion. Je lui caresse la tête. Sous le menton.

Je regarde Estelle humer. Elle ouvre les yeux. Elle approche encore son visage. Elle me fixe. Elle ouvre la bouche. Clin d'œil.
< Je vais te faire ça tous les jours en Ecosse, et déjà avant ! > me fait Estelle avant de prendre mon sexe en bouche. Bien.
Clémentine pousse son premier gémissement. Elle me sourit. Je suis entrain de me faire tailler une vraie pipe des familles.
Estelle, luttant contre sa passion, ouvre parfois les yeux, repousse sa tête sans cesser de me sucer pour me fixer longuement.
Je lui tiens le menton et la nuque. Parfois, j'enfonce un peu plus ma queue. A chaque fois, avec un haut le cœur, elle déglutit.

La peau de ses joues, autour de sa bouche, est tendue. Je vois donc bien ses fameux boutons. Conséquence de ses pipes.
Clémentine m'observe avec une grande attention. Je la vois lutter pour repousser l'orgasme qui la guette. Elle souffle fort.
Ses gémissements résonnent en harmonie parfaite avec ceux d'Estelle qui me pompe comme si sa vie en dépendait. Super.
Nous restons ainsi un très long moment. Il est déjà 21 h30. Je chuchote à l'intention d'Estelle : < Je vais juter, salope ! >
Estelle cesse un instant pour me répondre : < Merci, mais je préfère les surprises ! > J'éjacule sans bouger. Longuement...

Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Je laisse Estelle me vider le "fond de cuve". Elle veut son second tour.
Je la force à cesser. Elle me montre l'intérieur encore gluant de sa bouche. Elle a du mal à avaler mon foutre épais et gluant.
Clémentine reprend doucement ses esprits. Je me lève. Je tire Estelle par ses cheveux pour la forcer à se relever également.
Nous passons à l'atelier. Il faut bosser un peu. Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle. La séparation est difficile. Des bisous.
Nous voilà de retour. Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Epuisés, Clémentine moi, tentons un "69". Nous plongeons. Dodo...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment sucer le mec de leur copine qui observe la scène en se masturbant. Voyeuses...

Julien - (Qui va se faire vider les couilles, avec des pipes d'anthologie, pour toute cette période de fêtes de fin d'année) -

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Estelle vient nous rejoindre tous les soirs avant notre départ...

Hier matin, jeudi, c'est la Valse de l'Empereur de Johann Strauss qui nous tire du sommeil. Il est six heures. Il fait nuit.
< Ta gueule , Levi's ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le réveil. Nous rigolons comme des bossus. Nous nous étirons.
< Bonjour Julien ! > fait ma compagne en se serrant contre moi. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >. Quelques papouilles.
Clémentine me chevauche en riant juste avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux.
Nous descendons à toutes vitesse jusqu'à la cuisine pour y préparer et y prendre notre petit déjeuner. Un appétit d'ours.

Nous mangeons de bon appétit en faisant un rapide bilan de notre journée de hier tout en faisant le programme du jour.
En fin d'après-midi, Clémentine revient avec Estelle. Cette dernière exige d'être avec nous jusqu'à notre départ, samedi.
Il est même question qu'elle passe la nuit de vendredi à samedi avec nous. < Elle nous aime tant ! > fait ma compagne.
Cela nous enchante. Cette curieuse relation à trois n'est pas pour nous déplaire. Les filles sont parfaitement hétéros.
Point d'effusions saphiques. En ce qui nous concerne, Clémentine et moi, c'est tant mieux. On n'aimerait pas du tout.

C'est sur ce constat que nous remontons pour nous livrer à nos entraînements. Cette heure de gym si nécessaire. Joie.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est déjà 7 h45.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer.
La vaisselle. Je monte faire le lit. Je redescends à l'atelier. Je fais un bon feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. 20°.
Le thermomètre extérieur indique moins 2°. C'est le premier jour officiel de l'hiver. Il est 8h15. Je suis devant ma toile...

Je peins avec la certitude rassurante de terminer cette neuvième toile destinée à ma saison 2018 ce vendredi vers midi.
Je pourrais donc rester parfaitement serein durant cette dizaine de jours en Ecosse. Je n'éprouve aucun besoin de repos.
Pourtant je suis conscient que ces quelques jours avec Clémentine, dans ma famille, seront riches d'un recul nécessaire.
C'est sur ces considérations qu'il est rapidement 12 h10. Je vais à la cuisine. Je prépare des coquillettes avec une sauce.
Pour ce soir, je prépare de la pâte à pain. La garniture des pizzas aux crevettes. Il n'y aura qu'à étaler et mettre au four.

Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau assis devant mon chevalet. Je suis totalement absorbé par ma passion. Boulot.
Trois coups de sonnette. Je me lève. J'enrage d'être tiré de l'abstraction de mon travail. Je vais voir et j'ouvre la porte.
Quelle n'est pas ma surprise. C'est Juliette en tenue d'équitation mais chaudement vêtue. Son cheval attaché plus loin.
< Bonjour Julien ! Je viens vous faire un coucou ! Je passais tout près ! > me fait la jeune femme que j'invite à entrer.
Juliette accepte pour quelques minutes. Je l'invite à me suivre au salon pour y prendre un rapide chocolat bien chaud...

Assise dans le canapé, la jeune femme évoque son occupation de l'après-midi. Il faut donner de l'exercice à 5 chevaux.
Nous bavardons un petit moment. Juliette ne s'attarde pas. Je suis pressé de retourner à ma peinture. Je l'accompagne.
Nous nous serrons la main. Je la regarde remonter sur son cheval. Il fait froid, il y a un brouillard persistant. Humide.
Je la regarde s'éloigner. Juliette me fait un dernier signe de la main. Elle se retourne une dernière fois. Elle se touche.
Je n'hallucine pas. La jeune femme a sa main gauche entre ses cuisses, assise sur sa selle. Cette vision est très fugace.

Je retourne à mon travail. J'ai soudain une curieuse impression. Je suis certain d'avoir bien vu. C'était tellement rapide.
Cette vision n'a duré qu'un instant. Peut-être même pas une seconde et lorsque je détournais le regard. C'est étrange.
Nullement perturbé, pas du tout troublé, je pense à cette visite jusqu'au retour de Clémentine. Il est presque 16 h50.
Du bruit. Des voix. Des rires. C'est Estelle qui entre la première dans l'atelier. Jetant son sac sur le vieux canapé. Bises.
< Bonsoir Julien ! Ouf ! > s'écrie la jeune fille en s'asseyant sur mes genoux. A peine le temps de poser mes pinceaux.

Clémentine arrive à son tour. Elle s'assoit sur mon genoux gauche. Les filles me racontent leur dure journée de cours.
< C'était encore bien chiant aujourd'hui ! > précise Estelle. < Il faut écrire tout le temps ! > rajoute Clémentine. Rires.
Je raconte la visite éclair de Juliette. Le chocolat chaud. Je dis : < Elle est venue nous souhaiter de bonnes vacances ! >
Je raconte son attitude. Sa main que j'entrevois, glissée sous son sexe, l'espace d'un instant avant, qu'elle ne s'en aille.
< Quelle salope ! > fait Estelle. Je rajoute : < J'ai peut-être mal vu ! > Clémentine me fait : < Non, tu as bien vu ! >

Nous rions de bon cœur des quelques suppositions que font Estelle et Clémentine que tout cela amuse. C'est récréatif.
< Tu aurais du lui montrer ta queue ! > me fait Estelle. Je lui précise que je n'en aurais pas eu le temps. Trop rapide.
< En tous cas, le message est clair. C'est la deuxième fois cette semaine ! Bienvenue au "Club" ! > rajoute Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Les filles sont déjà assises à la table. Entourées de leurs affaires, devant l'ordinateur.
Nous travaillons dans un silence entrecoupé du crépitement du feu et des chuchotements d'Estelle et de Clémentine...

< Put-Hein, mais j'en ai vraiment plein le cul ! > s'écrie soudain Estelle. < Jamais dans le cul ! > fait Clémentine. Rires.
Je regarde l'heure. Il est dix neuf heures. Nous nous précipitons à la cuisine. Estelle étale la pâte. J'y verse la garniture.
Clémentine prépare la salade. Nous évoquons la visite de Juliette. Les spéculations vont bon train. Nous nous amusons.
< Décidément, ce haras et les gens qui y travaillent, sont une source intarissable d'anecdotes ! > conclue Estelle. Rires.
J'habite dans cette maison depuis si longtemps. Avant l'arrivée de Clémentine, jamais je ne m'étais intéressé au haras.

J'en fais part aux filles en soulignant cet aspect insolite des choses. < Une superbe histoire de cul ! > fait Estelle. Rires.
< Tu es bien entouré ! > rajoute Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Ces évènements ont de quoi surprendre.
Les pizzas sont au four. La salade est prête. La table est mise. Nous passons au salon. Il y a encore le bol vide. Juliette.
Estelle est assise à ma gauche, sa main posée sur ma braguette. Clémentine est assise dans le fauteuil. Nous bavardons.
Bien évidemment, l'évènement de l'après-midi revient dans la conversation. Le palefrenier, la pipe, les écuries. Rigolade.

Estelle m'ouvre la braguette. Elle y glisse sa main. Tout en bavardant, la jeune fille m'en extrait le chibre. Je bande mou.
Comme hier soir, je me retrouve avec la bite dans la main d'Estelle qui me la tord dans tous les sens. Surtout vers le bas.
Elle sait que vers le bas, lorsque je bande, c'est à la limite de la douleur. Aussi, elle insiste la salope. Et cela nous amuse.
C'est la sonnerie du four qui me soulage enfin. Estelle ne me lâche pas la queue. Nous nous levons. Il est presque 20 h.
Nous filons à la cuisine. Morts de faim. Estelle me tient toujours la bite comme une laisse. Nous rions de bon cœur. Joie.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs cours, la fin du trimestre, leur soulagement devant les vacances.
Il est question du stage en entreprise au second trimestre. Etudes. Tout naturellement la conversation glisse sur le haras.
< Je vais y passer trois semaines en février et à bosser au bureau ! C'est sympa de la part de Juliette ! > fait Clémentine.
< Tu vas voir tout ça en temps réel et en situation ! > dit Estelle. Nous rions de bon cœur. Il y aura quelques anecdotes.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque le séjour en Ecosse qui nous attend...

Estelle débarrasse la table. A quelques reprises, tout en bavardant, elle mime une masturbation masculine. Bien vulgaire.
< La prochaine fois qu'on voit Juliette, tu lui montres direct ta bite ! > me fait elle. Je dis : < Elle l'a déjà vue cet été ! >
Nous évoquons la première rencontre, lorsque je promenais Clémentine à la laisse et que Juliette découvrait le spectacle.
< J'aurais bien voulu être là ! > fait Estelle en commençant la plonge. Nous essuyons. Il y a déjà cette ambiance de fête.
Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé. Lourds, bien repus.

Comme une obsession, la conversation reste axée sur les écuries et tout ce que nous y avons déjà vécu. La pipe d'Estelle.
< C'est la seule ombre au tableau, j'aurais pas du faire ça ! > fait Estelle. Clémentine lui dit : < Tu en as eu le courage ! >
Je me lève. Bien campé sur mes jambes légèrement écartées, je suis debout devant Estelle. Elle fixe ma braguette ouverte.
Je sors mon sexe. Je bande mou. Je le tiens à sa base, entre le pouce et l'index. Je l'agite devant le visage d'Estelle. Rires.
Clémentine me fait un clin d'œil. Je m'avance encore un peu. Je passe mon sexe sur le visage d'Estelle. Elle gémit de joie.

Je chuchote : < L'élément de comparaison, chère Estelle, l'élément de comparaison ! > < Important ! > me répond t-elle.
Je glisse mon sexe dans sa bouche ouverte. Immédiatement Estelle me suce avec avidité. Clémentine se touche. Sourire.
Je laisse Estelle se régaler des montées de mon liquide séminal abondant et gluant. Je me retire pour l'offrir à Clémentine.
Ma compagne pousse un cri de ravissement et se met à me pomper comme si sa vie en dépendait. Comme elle est belle.
Je me retire pour l'offrir à Estelle. Je dis : < Il y en aura pour tout le monde ! > Clémentine demande : < Double dose ? >

Nous passons ainsi un long moment. Je découvre une chose rare. Estelle a une main glissée dans son jean. Masturbation.
J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui pousse un gémissement de contentement en tombant à genoux pour déglutir.
Je la laisse se régaler. Je la prends par ses cheveux pour la forcer à se relever. Je mets mon sexe dans la bouche d'Estelle.
Clémentine se masturbe en m'observant. J'aime la voir en apnée entre deux profonds soupirs. Elle lutte contre l'orgasme.
Estelle se touche beaucoup plus discrètement. Son poignet bouge à peine. Experte du jeu de doigts elle se masturbe ainsi.

Un long moment passe. J'ai le bas du dos, toute la région des lombaires, comme congestionnés par ma position cambrée.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Estelle probablement aussi. Pipe.
Je regarde Estelle tenter d'avaler avec difficulté l'abondance gluante de ma seconde éjaculation. J'en ai les couilles vidées.
Il est 21 h45. Nous retournons à l'atelier pour ranger. Nous ramenons Estelle pour 22 h15. Elle revient demain pour midi.
Au retour, Clémentine me fait part du plaisir que lui procure nos soirées à trois. Toilettes. Salle de bain. Le lit et puis dodo.

Bonne soirée à trois, à toutes les coquines qui aiment tailler des pipes au mec de leur copine. Situations bien vicelarde...

Julien - (Qui se retrouve une fois de plus les couilles vidées de toute la jute qu'elles contiennent en abondance. Le salaud) -

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Et voilà enfin ces vacances tant attendues...

Hier matin, vendredi, nous ouvrons l'œil juste avant que ne sonne notre réveil. Il est 5 h55. Nous nous étirons longuement.
Clémentine ponctue son long gémissement en s'écriant : < Bonjour Julien ! > Je la serre. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >
Elle me chevauche en riant. Quelques papouilles et voilà qu'elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Rituels pisseux.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous préparons et nous prenons notre petit déjeuner. Il fait chaud. 20°.
Par contre le thermomètre extérieur indique moins 2°. Pas de doute, l'hiver commence aussi fort que ne termine l'automne.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine est contente. Les vacances commencent aujourd'hui à midi.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Intensité maximale pour cette gym qui remplace le jogging.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le jour qui se lève.
Quelques bises, un dernier coucou de la main et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre en vitesse.
Je fais la vaisselle. Je monte faire le lit. Je descends à l'atelier. Je fais du feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. 8 h15.

Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans une réelle effervescence. Je pousse des cris formidables. C'est prodigieux.
Je termine la neuvième toile destinée à ma saison 2018, vers onze heures. Je range mes affaires et l'atelier. Les vacances.
Je vais chercher le courrier dans la boîte aux lettres. Le froid pique les oreilles. Le colis que j'attends est bien arrivé à temps.
Je l'ouvre. C'est le pendentif en or blanc représentant la carte de l'Ecosse. Gravé à l'arrière du prénom de Clémentine. 2017.
Sur sa demande, cette date de 2017 est importante. C'est l'année où ma compagne a découvert l'Ecosse. Pour l'aimer si fort.

Il est 12 h10. Clémentine arrive. Elle jette son sac pour se précipiter dans mes bras en s'écriant : < C'est les vacances ! >
Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bises. < Je t'aime Julien ! > s'écrie t-elle à plusieurs reprises.
Estelle arrive à son tour. Elle se précipite pour me faire plein de bises. < Bonjour Julien ! > fait elle. Je la serre contre moi.
Les filles sont si contentes. Ce premier trimestre vient enfin de se terminer. Elles ont bien bossé. C'était un rythme soutenu.
Nous sommes tous les trois morts de faim. Clémentine prépare la salade. Estelle émince l'ail et l'oignon. Moi, les spaghettis.

Tout va très vite. Je prépare les dernières langoustines en les plongeant congelées dans un bouillon bouillant. Champignons.
Estelle râpe le Parmesan. Elle me fait : < Tu ne trouves pas que c'est le même mouvement ? > mimant une masturbation.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lui fait remarquer : < Si tu te branles comme ça, tu vas en mettre partout ! >
Je mets la table. Nous voilà assis à déguster ce rapide et délicieux repas. Nous bavardons en riant beaucoup. C'est déjà fête.
Les filles me racontent leur matinée de cours. Ce qu'il faudra encore mettre au propre pour conclure en beauté. Sympa...

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine donne quelques consignes à Estelle. La logistique.
Estelle possède le double des clefs de la maison. Elle a l'envie d'y venir durant notre absence avant de nous rejoindre mardi.
Aussi, ma compagne lui fait quelques recommandations d'usage. Estelle est une jeune fille sérieuse. D'une confiance totale.
La maison est isolée. La domotique est de pointe. Il faut donc veiller à ne pas déclencher les alarmes et les caméras. Police.
Estelle sait bien tout ce qu'il faut faire. Elle a passé tant de temps ici, seule, cet été. Elle nous rassure. Elle se souvient bien.

Je termine en lui précisant qu'en cas de soucis, il y a les "Bertrand" à 300 mètres, dans la propriété voisine. No de téléphone.
La vaisselle. Estelle plonge, nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Les filles passent au salon. Je les entends rire. L'ordi.
Clémentine fait découvrir nos récits sur le forum. Estelle pourra suivre la suite en cliquant sur le lien dans les favoris. Rires.
Ma compagne vient me rejoindre. Elle se blottit contre moi. < C'est Génial Julien ! Comme je suis heureuse ! > me dit elle.
Nous nettoyons. Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages, WC, hall d'entrée et cuisine. Propre.

Nous rejoignons Estelle au salon qui est concentrée devant l'ordinateur. < C'est génial ! Tu racontes presque tout > dit elle.
< Presque ! Et ce qui n'est pas raconté n'est tout simplement pas racontable ! > lui fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Nous montons faire la chambre. Clémentine passe l'aspirateur. Je nettoie les chiottes du haut. Nous faisons propre partout.
Ainsi, à notre retour, le 3 ou 4 janvier, nous retrouverons une maison accueillante. Clémentine m'aide à faire la salle de bain.
Estelle monte nous rejoindre. Les filles commencent à préparer les bagages. Je descends les valises du haut du placard mural.

Je termine de passer la serpillère. Je rejoins les filles. Les deux valises sont ouvertes en grand sur le lit. L'armoire ouverte.
Clémentine et Estelle font de l'essayage devant le miroir. Elles me demandent mon avis. Je suis bien confortablement assis.
J'aime les observer à se prêter les vêtements de Clémentine en riant. Je suis installé dans la chaise à bascule. Sympathique.
Je regarde Estelle porter des jupes de Clémentine. Elles ont toutes les deux la même taille. Tout est interchangeable. Super.
Au fur et à mesure, Clémentine choisit une jupe, un pantalon, un chemisier, un pull. Des culottes. Il ne faut rien oublier...

Estelle fera la même chose chez elle, lundi, pour préparer sa valise. Clémentine termine de faire sa grande valise à roulettes.
Je m'apprête à préparer la mienne. C'est Clémentine qui choisit les vêtements que je dois emmener. Elle a toujours bon goût.
Deux pantalons en épais velours. Deux jeans. Mon costume noir. Chemises, pulls, chaussettes, slips, sweats. Très bon choix.
En plus de nos valises, nous porterons nos sacs à dos. Godasses, et cadeaux pour la famille. Nous voilà équipés pour 11 jours.
Et, comme le souligne Clémentine, si nous avons besoin de quoi que ce soit, nous achetons sur place, à Edimbourg. Peinards.

Voilà nos bagages terminés. Clémentine prépare les vêtements que nous porterons pour le voyage. Efficacité toute féminine.
J'admire les capacités organisationnelles étonnantes dont fait toujours preuve Clémentine. Estelle est admirative aussi. Rires.
< Tu viens me préparer mes bagages ? > fait Estelle. Nous rions de bon cœur. Une bonne partie de l'après-midi se passe ainsi.
Nous redescendons à l'atelier. Les filles sont assises à la table, entourées de leurs affaires. Elles mettent leurs notes au propre.
< Plus besoin d'y penser ! > précise Clémentine. Nous nous réservons la possibilité de ne revenir que le 4 janvier. Si possible.

J'en profite pour faire l'enduction de quatre toiles de format F6, (42 x 33 cm). Il est rapidement dix neuf heures. Nous cessons.
Nos consciences tranquilles, nous quittons l'atelier pour monter nous changer. J'ai réservé trois places au restaurant de l'étang.
Estelle et Clémentine portent chacune une jupe kilt, un chemisier et un pull. Manteau noir pour Clémentine, brun pour Estelle.
Clémentine est chaussée de ses bottes à talons. Elle prête ses bottines à talons à Estelle qui marche maladroitement. Sourire.
Toutes les deux laissent leurs longs cheveux en liberté. Sur la demande de Clémentine, je porte mon costume de velours brun.

Nous voilà en route. 12 km et nous arrivons dans la nuit noire sur le parking du restaurant. Il y a peu de monde. Il fait froid.
Nous sommes accueillis par la jeune serveuse de la dernière fois. Nous attirons immédiatement le regard des gens présents.
Nos hautes tailles, nos élégances, ces deux superbes jeunes filles de 20 ans avec cet homme d'âge mûr. Des extra terrestres.
Notre choix se porte sur la table de la dernière fois. La jeune serveuse nous apporte la carte. Notre choix sera "fruits de mer".
Clémentine scrute discrètement tous les angles de la salle et les possibilités d'exhibes éventuelles. Pour le moment, c'est nul.

Lorsque la serveuse nous apporte l'énorme plateau de fruits de mer, elle me lance un étrange regard avant de me sourire.
Clémentine, à qui rien n'échappe, me fait : < Tu as un "ticket" ! > Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle fait : < Bravo ! >
< J'ai lu vos récits sur votre dernière visite ici, vendredi dernier. C'est donc elle cette fameuse serveuse ! > rajoute Estelle.
Clémentine me fait : < Fais lui donc notre test des chiottes ! Si elle te rejoint, nous aurons une idée tout à fait précise ! >
Nous mangeons de bon appétit. A quelques reprises, malgré que je sois si bien accompagné, la jeune serveuse me mâte.

Je me lève. Je me dirige vers l'escalier qui descend au sous-sol. Je profite que la serveuse soit derrière son comptoir. Seule.
Je montre l'escalier du doigt. Nous échangeons un sourire. J'ai fais ce geste comme une invitation. Je descends doucement.
J'entre dans les toilettes homme. J'ouvre ma braguette. Je peux parfaitement entendre quelqu'un descendre et arriver. Bien.
Je sors mon sexe. Je me masturbe doucement juste du pouce et de l'index. Je reste ainsi, vigilant, à écouter. Que le silence.
J'entre bâille la porte pour pouvoir regarder l'angle de l'escalier. Je bande bien. Soudain, un bruit de pas. Souliers féminins.

Une fois encore, Clémentine a vu juste. C'est la jeune serveuse. Elle reste un instant hésitante à observer la porte des WC.
Je me campe sur mes jambes légèrement écartées. Je prends une grande inspiration et tout mon courage. Je bande fort.
Un vrai démonte pneu de camion bien dressé vers le haut qui dépasse de ses presque 20 cm de ma braguette ouverte. Joie.
Je suis debout entre l'urinoir et le lavabo. La jeune serveuse entre. Elle me découvre ainsi. Elle porte sa main sur sa bouche.
< Oh pardon, excusez moi ! > fait elle en faisant mine de ressortir. Je lui dis : < Mais vous ne me dérangez pas du tout ! >

Il y a un nouveau moment d'hésitation. La jeune fille ne peut s'empêcher de loucher vers mon sexe fièrement dressé là.
Je lui fais : < C'est pour vous, un petit cadeau pour les fêtes ! > La jeune fille éclate de rire : < Il ne fallait pas ! > dit elle.
Je découvre une jeune personne pleine d'humour. La porte s'ouvre soudain. C'est Estelle. Elle me lance un regard étonnant.
La jeune serveuse quitte les toilettes à toute vitesse. Estelle m'attrape par la queue en me faisant : < J'aime les vicieux ! >
Nous rions de bon cœur en remontant. Nous racontons à Clémentine ce qui s'est passé. La jeune serveuse semble gênée...

Clémentine, que tout cela excite toujours énormément me demande tous les détails. < J'aurais du filmer ! > rajoute Estelle.
La jeune serveuse semble à présent éviter de croiser mes regards. Il est 22 h15. Nous sommes presque seuls dans la salle.
Il reste deux couples et un groupe de six personnes qui doivent fêter un évènement. Je demande l'addition. C'était délicieux.
Nous sommes plutôt fatigués. Nous rentrons en riant beaucoup. Je roule doucement. Clémentine me taille une pipe. La nuit.
Estelle, assise sur le siège arrière, ses bras autour de mon cou, me chuchote des cochonneries. Nous arrivons. Il est 22 h45.

Nous montons. Les toilettes. La salle de bain. La maison sent bon le propre comme un dimanche matin. Nous voilà couchés.
Je suis entre les deux filles qui me sucent à tour de rôle. Clémentine a ses "petits machins" de fille. Estelle ne baise jamais.
Il m'est totalement interdit de toucher Estelle. Par contre je caresse le clitoris géant de Clémentine. Nous évoquons les WC.
Estelle, lorsqu'elle passe ma queue à Clémentine, nous raconte ses impressions. Lorsqu'elle m'a surpris avec la bite à l'air.
Nous restons ainsi un long moment. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Seconde pipe. Puis dans celle de Clémentine. Dodo.

Bonne préparation de vos valises avant votre départ. Bonne soirée à surprendre une bite à l'air à toutes les coquines...

Julien - (Qui vient encore de se faire vider les couilles deux fois, risquant une nouvelle fois l'apoplexie) -

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Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 281 -



Et voilà ce départ pour l'Ecosse tant attendu par Clémentine...

Hier matin, samedi, je suis réveillé par des chuchotements, des murmures et des rires étouffés. J'ouvre l'œil et le bon. 7 h55.
< Bonjour Julien ! > me font Clémentine et Estelle en même temps. Je réponds : < Bonjour les filles ! > Nous nous serrons.
Il est rare d'êtres à trois un autre jour que le dimanche. Il est encore plus rare que nous ayons de telles effusions. Tendresse.
La situation est particulière. C'est enfin le jour de notre départ pour Edimbourg. Estelle se retrouvera sans nous jusqu'à mardi.
Estelle se lève la première pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! > Clémentine me chevauche en riant. Bisous.

Estelle revient et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! > Nous la voyons filer. < On vient ! > dit Clémentine.
Ma compagne m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux. Nous descendons à toute vitesse. Faim.
L'odeur du pain grillé et du café embaume depuis l'escalier. Dehors, il fait gris. Le thermomètre extérieur indique 2°. Le froid.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent ce premier trimestre de cours et leur satisfaction devant le travail réalisé.
Il est 8 h20. Nous n'avons pas de courses à faire ce matin. Le taxi viendra nous chercher pour 12 h30. Direction l'aéroport...

La vaisselle. Clémentine nous propose un jogging. Nous essuyons. Nous trouvons la suggestion excellente. Nous remontons.
Nous nous mettons en tenues. Leggings, sweats, baskets et K-ways. Nous voilà à courir dans la fraîcheur hivernale. Sympa.
Le sol est humide mais n'est jamais boueux. Nous courons tous les trois d'un bon rythme. Il faut se réchauffer. De la brume.
Nous sommes tellement heureux de nous offrir ce jogging que nous en oublions le froid sous nos bonnets et avec nos gants.
Il est 10 h lorsque nous revenons. Estelle prend sa douche la première. Nous en profitons pour descendre nos bagages. Joie.

Nous disposons le tout près de la porte d'entrée. Estelle redescends. Elle est vêtue de son jean et de sa chemise à carreaux.
Nous montons à notre tour pour prendre notre douche. Nous la prenons presque toujours ensemble. Nous nous y amusons.
Nous faisons le lit. Nous descendons. Nous sommes vêtus de nos jeans et chemises à carreaux. Prêt à enfiler nos anoraks.
Estelle est au salon. Assise derrière le bureau, devant l'écran de l'ordinateur. < Je lis vos récits sur le forum ! > nous dit elle.
Nous la rejoignons. < Ce qui est écrit sur le panonceau que tient la fille, c'est Clémentine qui l'écrit ? > me demande Estelle.

Je confirme que c'est bien la participation de Clémentine. < Je vais suivre vos aventures écossaises tous les jours ! > dit-elle.
Elle fait : < En souhaitant qu'il n'y ait pas de problèmes de connexion ! Que le forum ne pas soit fermé pour les vacances ! >
Je m'installe dans le canapé pendant que les filles vont sur le site de la faculté. L 'ambiance élégiaque d'un départ imminent.
Estelle vient s'assoir à ma gauche. Elle pose sa tête sur mon épaule. < J'ai peur de prendre l'avion mardi ! > me confie t-elle.
Elle rajoute toutefois très vite : < Mais c'est pour vous rejoindre, alors je surmonte ! > Je lui dis : < Et il y aura le retour ! >

Clémentine vient s'assoir également. Elle a du mal à cacher l'effervescence qui monte au fur et à mesure que le temps passe.
Je me lève pour aller au bureau. Du premier tiroir du haut, je sors deux enveloppes. Je reviens vite m'assoir entre les filles.
Je tends la première enveloppe à Estelle. Ce sont les billets d'avion. Estelle s'en saisit et se serre fort contre moi. Silencieuse.
Je lui chuchote : < Joyeux Noël Estelle ! > Estelle réfrène difficilement un soupir d'émotion. < Merci Père Noël ! > fait -elle.
Nous rions de bon cœur. Je lui tends la seconde enveloppe en précisant : < Celle-ci, tu l'ouvres sous le sapin, à Noël ! >

Nous restons ainsi un long moment savourer la situation en bavardant. Il n'y a que trois jours qui nous séparent de mardi.
Estelle nous raconte ce qui l'attend pour Noël. < Je vais faire le sapin avec maman cet après-midi ! Comme tous les ans ! >
< Demain, il y a mon oncle et ma tante qui viendront nous rejoindre pour passer le réveillon avec nous ! > rajoute t-elle.
Il est déjà onze heures. Je propose de préparer à manger un peu plus tôt afin d'êtres prêts pour l'arrivée du taxi à 12 h30.
Du riz avec une rapide sauce au Roquefort accompagnés d'une salade de carottes. Suggestion bien accueillie. Je me lève...

Estelle vient me rejoindre la première à la cuisine. Elle se serre contre moi avant de m'embrasser avec fougue en gémissant.
Clémentine arrive et fait : < Oh là, on se calme là ! > Elle s'interpose et dit : < Je te rappelle que c'est mon mec ! Hein ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle répond : < Oui, mais tu me le prête si souvent ! > Clémentine se blottit dans mes bras.
Estelle passe derrière moi pour se serrer contre moi. Notre étrange relation à trois prend ici toute sa dimension si révélatrice.
Comme me l'explique souvent Clémentine. Je suis l'homme de sa vie, Estelle est devenue l'amie intime. Nous sommes trois.

Nous préparons notre repas. Tout va très vite. Nous sommes à table pour 11 h30. Nous mangeons de bon appétit. Sympa.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. < Je peux te sucer un peu ! > me demande Estelle. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine m'ouvre la braguette et me sort la bite en disant : < Viens vite prendre ta douceur, tu as cinq minutes ! > Rires.
Estelle s'accroupit devant moi. Ses mains sur mes hanches, elle prend mon sexe en bouche avec un cri de ravissement. Joie.
Il est 12 h15. Il faut penser à se préparer. Clémentine saisit Estelle fermement par ses cheveux pour la forcer à cesser. Rire.

< Dès que j'arrive à Edimbourg, je termine ce que j'ai commencé ! > me fait Estelle en me montrant l'intérieur de sa bouche.
Nous faisons un rapide tour de la maison. Tout est en ordre. Estelle viendra peut-être y faire un tour lundi de Noël, en soirée.
Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un SMS. C'est le taxi. Nous sortons avec nos bagages. Nous y montons tous les trois.
La maison d'Estelle étant sur la route, le taxi la dépose devant chez elle. Un dernier bisou, un coucou de la main. C'est parti !
Nous arrivons à l'aéroport distant de quelques 20 km bien avant l'heure de départ. Il est 13 h15. Nous prenons l'avion. Bien.

Il y a un changement à Londres avec 30 minutes de battement. Le vol se passe dans les toutes meilleures conditions. Sympa.
Clémentine manifeste quand même une légère anxiété. Surtout au décollage. C'est sa troisième fois. Je la rassure en riant.
Nous arrivons à Edimbourg. Il y a une ambiance crépusculaire alors qu'il n'est que seize heures. Un fin tapis de neige au sol.
L'atterrissage se fait en douceur. Il y a du monde. Nous voyageons toujours en première classe. Pourtant tout est occupé.
Il fait froid. Nous avons tout prévu. J'explique à Clémentine que cette luminosité est tout à fait normale sous cette latitude.

Nous allons directement au bureau des locations de voiture afin d'y récupérer la Golf que j'y ai réservé. Elle est toute noire.
Comme souvent, les voitures de location ont un faible kilométrage et sont d'une fiabilité absolue. Nous voilà à Edimbourg.
Nous roulons en prenant la direction de la ville. Clémentine regarde admirative. < C'est différent en hiver. Génial ! > fait elle.
Nous remontons Princess street pour passer devant le château. Il y a plein de monde partout. Clémentine est radieuse. Joie.
Nous arrivons à proximité de la grande maison de maître de mon oncle. Nous évoquons nos joggings de l'été dernier. Sympa.

Je rentre dans la propriété dont les grilles de la porte sont grandes ouvertes. Immédiatement Oncle Steve apparaît à la porte.
Ma tante arrive à son tour. Ils sont tous deux heureux de nous revoir. Nous allons passer notre séjour chez eux. C'est super.
Ce sont les effusions de joie. Clémentine fait à présent partie de la famille. Elle est reçue avec tous les égards. Somptueux !
Nous montons nos bagages à l'étage. Dans ce petit appartement que je connais bien et que nous avons occupés l'été dernier.
Clémentine se sent comme chez elle. Nous restons longuement serrés l'un contre l'autre. Le bonheur absolu. Nous savourons.

Le repas du soir est prévu pour dix neuf heures. Cela nous laisse tout le temps de ranger nos affaires dans l'armoire. Super.
Nous nous changeons. Clémentine porte sa jupe kilt, un chemisier blanc sous un pull. Ses souliers noirs fermés à talons hauts.
Ses longs cheveux noués en une natte qui lui tombe au milieu du dos. Elle est merveilleuse. Je suis totalement subjugué. Joie.
Je porte un pantalon de velours, à plis et à pinces, une chemise blanche, col ouvert, son mon pull à col en "V". Très "British".
Nous descendons. En Ecosse, en cette période de l'année, il règne une luminosité particulière. La nuit dure très longtemps...

Le repas du soir est délicieux. Ces fameuses queues de homards grillées accompagnées de salicornes et de crudités océanes.
Nous bavardons. Oncle Steve, antiquaire à la retraite, nous raconte quelques anecdotes de sa vie passée et de ses rencontres.
Ma tante évoque ses activités dans les différents clubs dont elle fait partie. Clémentine parle de ses études et de ses projets.
Je parle de ma peinture, de ma saison prochaine. La soirée se déroule ainsi, dans la joie des retrouvailles. De la bonne humeur.
L'Ecosse étant un pays Calviniste, Noël n'y a pas grande importance. Pour le réveillon il y aura ma famille de saint Andrews.

Il est 22 h30. Nous sommes épuisés. Mon oncle et ma tante nous proposent de prendre une bonne nuit de repos. Un besoin.
Nous prenons congé pour remonter à nos appartements. Clémentine me fait : < Mes "petits machins" terminent demain ! >
Nous rions de bon cœur. Clémentine se serre contre moi en chuchotant : < Merci d'exister Julien, je suis heureuse avec toi ! >
Je dis : < Merci d'exister Clémentine, je suis heureux avec toi ! > Nous voilà enfin couchés. Nous tentons un "69". Difficile.
Nous sommes tellement épuisés que nous nous retrouvons rapidement dans les bras, l'un de l'autre. Des confidences. Dodo.

Bon début de vacances à toutes et à tous. Surtout si vous avez le privilège de vous retrouver dans un endroit magique...

Julien - (Qui va porter le kilt selon la tradition, avec la bite et les couilles en libertés, pour fêter le réveillon de Noël) -

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Le réveillon de Noël à Edimbourg, et en famille...

Hier matin, dimanche, c'est la toute première fois que nous dormons jusqu'aux environs de neuf heures. Une grande rareté.
J'entends Clémentine s'étirer longuement, ponctuant son gémissement par un < Bonjour Julien ! > presque crié. Papouilles.
Je dis : < Bonjour Clémentine ! > tout en la prenant contre moi. Nous échangeons de la tendresse. Nous regardons l'heure.
Le dimanche, c'est toujours repos. Pas de jogging, pas de gymnastique et pas d'entraînement. Nous nous levons doucement.
Dehors, c'est cette luminosité crépusculaire propre à ses latitudes. Comme si le jour ne se levait jamais. La mauvaise saison.

Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Elle me tient la bite pour en diriger le jet bien au fond de la cuvette.
Accroupie pour en secouer les dernières gouttes, Clémentine se régale des derniers épanchements. Je l'entends gémir. Joie.
Je la laisse se régaler un peu avant de la forcer à se redresser. C'est à mon tour. Je la tiens par les hanches. Je suis accroupi.
Cambrée sur ses genoux fléchis, se tenant d'une main contre le mur de gauche, Clémentine se soulage d'un long jet sonore.
Je me régale de ses derniers épanchements. Elle me tient fort par les cheveux. Je me redresse. Nous sommes morts de faim.

Nous avons ramené du pain, du miel et un peu de café en poudre. De quoi nous faire un rapide petit déjeuner. C'est sympa.
Nous mangeons d'un bon appétit en nous promettant de faire des courses pour avoir des petits déjeuners plus conséquents.
Le jour ne semble jamais se lever vraiment. Ce phénomène interpelle beaucoup Clémentine. Il est 9 h30. Une bonne douche.
Nous nous habillons chaudement. Clémentine porte un jean, une chemise sous son gros pull. Grosses chaussures et l'anorak.
Je porte un pantalon d'épais velours, une chemise sous mon gros pull, l'anorak. Nous avons nos bonnets, gants et écharpes.

Nous descendons par l'escalier de service. La maison est silencieuse. Nous n'entendons personne, aucun bruit. De la brume.
Nous voilà dans la voiture que je laisse chauffer un peu. Clémentine se blottit contre moi. < C'est génial d'être là ! > dit elle.
Je lui fais plein de bisous sur le visage. J'aime la voir heureuse. Nous voilà en route. Il y a un très fin tapis de neige partout.
Les arbres sont nus. Tout a un aspect fantomatique. < On est dans un film d'Harry Potter ! > me fait remarquer Clémentine.
Dix minutes et nous voilà sur Princess Street que nous remontons doucement jusqu'au centre. Clémentine reste silencieuse.

Elle observe toute chose avec une grande attention. < Le contraste avec l'été est saisissant, mais merveilleux ! > me fait elle.
Je lui dis : < Tu vois, c'est différent en hiver ! > Clémentine semble ravie de tout ce qu'elle découvre. Il y a de quoi regarder.
Les décorations sont magnifiques. Je gare la voiture dans la même petite rue que cet été. Il faut marcher dix petites minutes.
Il est 10 h45. Le marché de Noël vient d'ouvrir ses portes. C'est un enchantement. Plein de petits cabanons, de petits chalets.
Clémentine est émerveillée. < C'est magique ! C'est ce que j'ai vu de plus beau dans le genre ! > fait elle. Des photographies.

Il y a du monde. Principalement des gens de la ville. Les touristes seront majoritaires dans l'après-midi. Le tourisme est fort.
Hiver comme été, Edimbourg exerce une fascination inexplicable. Lorsqu'on a découvert la ville, on y revient toujours. Magie.
Nous sommes chaudement vêtus. Mon téléphone m'annonce l'arrivée d'un message. C'est Estelle qui nous fait un SMS. Joie.
Nous lisons : "Bonne fête. Soyez gâtés par le Père Noël. Je suis pressée d'être avec vous. Bises". C'est Clémentine qui répond.
Nous flânons dans le marché de Noël. Il est rapidement midi. Je propose à Clémentine de nous offrir notre restaurant préféré.

Nous voilà devant cet établissement si typique où le personnel exerce en tenue écossaise. Kilt pour les femmes et les hommes.
Il y a du monde mais quelques tables libres. Nous sommes morts de faim. Nous nous installons à une de nos tables de cet été.
< C'est tout drôle d'être ici en hiver ! > me fait ma compagne. Les décorations sont discrètes et de très bon goût. Formidables.
Les boules, les guirlandes, comme à l'extérieur, sont de teintes sépia. Toutes les décorations de la ville sont dans ces teintes.
< Nous sommes vraiment dans Harry Potter ! > fait ma compagne. C'est vrai que c'est tellement évident qu'il l y a de la féérie.

Edimbourg, surtout en hiver, est comme un gigantesque parc d'attraction. Un parc axé sur la mythologie médiévale. Mystère.
Notre choix se porte sur des plateaux de fruits de mer. Nous nous promettons d'en faire une véritable cure durant dix jours.
Nous savourons ce repas en bavardant. Nous faisons le bilan de cet automne, de tout ce que nous avons vécu depuis cet été.
Clémentine me fait part du même désir de venir vivre ici, en Ecosse, dès l'obtention de son Doctorat, dans trois ans. J'écoute.
Elle évoque déjà notre été prochain. Nous reviendrons à Edimbourg dès le début juillet jusqu'à la fin août. Tout est déjà défini.

Je lui dis : < Tu sais, aux vacances de Pâques, j'aimerais te faire découvrir le Périgord noir, c'est magnifique aussi. Sarlat ! >
Clémentine écoute mes récits concernant cette superbe région. La gentillesse et l'accueil légendaires des Périgourdins. Bien.
Je conseille de découvrir cette région au printemps. Les vacances de Pâques s'y prêtent à merveille. Le projet prend forme.
Nous dégustons nos énormes coupes glacées. Nous traînons à table. Cet après-midi, nous irons flâner dans la vielle ville. Joie.
Nous irons également faire nos achats au centre commercial où nous allions cet été. La logistique pour les dix jours à venir.

Il est 14 h30 lorsque nous retournons déambuler dans le vieux Edimbourg. Toujours cette luminosité magique. Plein de gens.
Il y a un monde fou. L'affluence est forte. Les fêtes de Noël connaissent un succès déconcertant. Une bien agréable ambiance.
Il y a toutes ces boutiques si typiques qui sont de vraies invitations à y dépenser son argent. Je propose d'y sacrifier un peu.
J'aime lorsque Clémentine fait de l'essayage. Nous entrons dans la très belle boutique où nous avons déjà acheté l'été dernier.
J'ai bien vu Clémentine admirer cette jupe et ce pantalon absolument magnifiques. Je l'invite à les essayer. C'est la fête. Bien.

Assis dans un des trois confortables fauteuils, juste devant les cabines d'essayage, j'admire le "show" que m'offre Clémentine.
A ma droite, il y a un autre monsieur qui, comme moi, s'apprête à découvrir le spectacle que va lui offrir sa compagne. Joie.
Clémentine sort de la cabine vêtue du pantalon à pinces, à plis. Carmin. Sa couleur préférée. Elle est absolument magnifique.
Il y a des sabots à semelle de bois et au dessus de cuir noir. Ainsi, les femmes peuvent essayer avec de légers talons. Facile.
Je conseille Clémentine qui parcourt l'allée sous le regard rapidement libidineux de l'inconnu assis à ma droite. Je le vois bien.

Je vois bien ses expressions dans un des miroirs. Sa femme sort à son tour. Clémentine revient avec le même modèle, noir.
Sa haute taille, son corps fin et athlétique, tout cela est encore sublimé par la coupe des vêtements d'une élégance parfaite.
Le couple a porté son choix sur le manteau essayé par la dame. Ils s'en vont. Nous voilà seuls. Clémentine essaie la jupe.
C'est une de ces jupes légèrement évasée au-dessus du genoux qu'apprécie beaucoup ma compagne. Des pinces à la taille.
Là aussi, cette jupe semble taillée pour elle. Je dis : < Pas d'hésitation, il faut prendre les trois ! > < T'es fou ! > me dit elle.

< On a pas de place pour ramener tout ça ! > s'écrie Clémentine. Pas de soucis. Je paie. Je laisse notre adresse pour le colis.
Nous nous faisons expédier le tout par colis pour notre retour. < Avec toi, tout est toujours si simple ! > me fait Clémentine.
Clémentine, folle de joie, me tenant par le bras, m'entraîne dans le labyrinthe des ruelles du centre ville. Nous flânons encore.
Il est déjà 16 h. Je propose d'aller au centre commercial. Saint James Shopping Center. Nous pourrons y faire tous nos achats.
Nous retournons à la voiture. Dix minutes de route dans une circulation dense. Je gare l'auto dans le parking souterrain. Bien.

Sur la demande de Clémentine, sous l'anorak, discrètement, je garde ma braguette ouverte. J'ai le droit de rentrer ma bite.
Nous faisons nos courses. Il y a un monde fou. Saint James est un vaste centre commercial. Décoré de toute beauté. Beau.
Nous aimons y traîner. Il y a quantité de boutiques. Là aussi, il y aurait de quoi dévaliser les vitrines. Nous admirons. Super.
Clémentine m'invite à la raison. J'ai envie de tout lui offrir. Nous voilà au supermarché. Nous faisons nos achats. Nécessaire.
Pain complet, confitures, fruits, légumes, yaourts, œufs et surtout du fromage dont nous raffolons. Il est rapidement 18 h30.

Il faut songer à rentrer. Dans la voiture, Clémentine joue avec mon sexe qu'elle suce parfois avec gourmandise. C'est sympa.
Pourtant, la tirant par ses cheveux, je la force à se redresser pour admirer la ville. Voir l'illumination du château sur la colline.
Nous sommes de retour pour 19 h. Il y a des voitures garées dans la cour de la propriété. Nous montons par l'escalier arrière.
Nous rangeons nos courses. Nous nous habillons pour le réveillon. Les festivités son prévues pour 20 h. Nous voilà prêts. Joie.
Nous descendons. Clémentine porte sa jupe kilt, chemisier blanc, escarpins noirs à talons hauts. Hyper sexy et très élégante.

Je porte mon costume noir, chemise blanche, cravate. Oncle Alan et Tante Maggie de Saint Andrews sont là. Effusions de joie.
Il y a mon cousin James et sa femme. Nous sommes tellement heureux de nous revoir. Clémentine est la "star" de la soirée.
Le repas est délicieux. Les décorations du grand salon sont dans le même esprit sépia. Un feu dans la grande cheminée. Joie.
Clémentine est un peu le centre d'intérêt. Elle fait à présent partie de la famille. Il est 22 h. Le moment des cadeaux. Super !
Je distribue les paquets contenant les Kouing Amann. Nous sommes tous debout devant la cheminée. J'entraîne Clémentine.

Nous sommes tous deux près de la grande fenêtre. Je sors le petit paquet de ma poche. Je le lui tend. Clémentine s'en saisit.
Je la regarde ouvrir avec précaution. Elle découvre le bijoux en or blanc dont l'arrière est gravé à son prénom et à l'an 2017.
C'est la miniature de la carte de l'Ecosse dont Edimbourg est marqué d'un diamant qui brille là de mille feux. Je la regarde.
Clémentine, les yeux humides d'émotion, me fait plein de bises. < Merci Julien, c'est merveilleux ! > me fait elle. Le bonheur.
Je passe le bijoux autour de son cou, pendu à sa chaînette d'or blanc au fins maillons. Clémentine m'entraîne devant le miroir.

La soirée s'achève avec le grand gâteau traditionnel. Riche en crème et en sucre caramélisé. Un peu lourd et hyper calorique.
Il est minuit lorsque nous voilà enfin seuls. Les "petits machins" de fille sont passés. Clémentine me fait : < Viens en moi ! >
Les toilettes et les préliminaires pisseux dont nous raffolons beaucoup. J'entraîne Clémentine dans la chambre. Je la déshabille.
Je le fais comme si c'était la première fois. Hésitant, maladroit. Nous rigolons comme des bossus. < Timide ? > dit Clémentine.
Un "69". Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. J'écoute ses secrets de fille. Epuisés, nous plongeons. Le dodo...

Bonne découverte d'Edimbourg à tous les amoureux de romantisme exacerbé, délicat et à nul autre pareil. Un peu de cul...

Julien - (Qui aime tant couvrir sa Clémentine de tous les cadeaux possibles. Reconnaissant de tant de bonheur) -

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Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 283 -



Les festivités des fêtes de fin d'année à Edimbourg...

Hier matin, lundi, je suis le premier à ouvrir l'œil. Je regarde ma montre posée sur la table de nuit. Il est huit heures.
Soudain, sur ma gauche, Clémentine, avertie par son sixième sens, s'étire longuement en gémissant. J'aime la voir.
< Bonjour Julien ! > s'écrie t-elle soudain en se serrant contre moi. Je dis < Bonjour Clémentine ! > Plein de bisous.
Clémentine, tout comme à la maison, me chevauche en riant. Nous nous offrons des papouilles. Douceurs, tendresse.
L'impérieux besoin naturel nous tire de nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Pissous.

Dehors, il fait sombre, pourtant le jour achève de se lever. Il n'y a plus ce fin tapis de neige. Le ciel est lourd, sinistre.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Très agréables odeurs.
Clémentine met la table. Confitures, miel, beurre et yaourts. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bien.
Nous faisons le bilan de ce réveillon de Noël écossais. < C'est le plus merveilleux Noël de ma vie ! > fait Clémentine.
< Tu me gâtes, Julien, je t'aime ! > rajoute t-elle encore en venant s'assoir sur mes genoux. Je dis : < Je t'aime ! >.

La vaisselle. Nous faisons notre lit. Clémentine me suggère de tenter le jogging. Je trouve la proposition très judicieuse.
Nous nous mettons en tenue. Nous descendons par l'escalier de service, derrière la maison. Le sol est humide. Il y a 7°.
Nous voilà à courir. Nous sommes vêtus de nos leggings, de nos sweats et de nos K-ways. Nos Baskets, bonnets, gants.
Nous remontons la rue jusqu'à la venelle qui part à droite. Nous sommes à flanc de colline. Le sol détrempé par endroit.
La vue sur Edimbourg est parfaite. Les arbres sont nus. Rien n'empêche une excellente vision sur les lumières de la ville.

Il est 10 h lorsque nous revenons. Derrière la maison, nous rencontrons mon oncle qui pousse une grande poubelle grise.
Nous nous saluons. Une bruine est entrain de se changer en pluie fine rappelant le crachin Breton. Nous bavardons. Joie.
Nous nous voyons pour le repas de midi. C'est Noël. Pour sacrifier à la tradition, nous mangeons en famille midi et ce soir.
Nous montons à nos appartements. Clémentine se blottit contre moi, chuchotant. < Je t'aime Julien ! > pleine d'émotion.
Je la soulève pour la faire tourner dans les airs. Elle me couvre le visages de bises. Je lui dis : < Plus de petite ficelle ? >

< Non, depuis hier ! > me répond t-elle. Je l'entraîne sur le lit. Je lui retire son leggings. < T'es fou !> s'écrie t-elle. Joie.
< Je veux te goûter avant la douche ! > que je chuchote en descendant mon visage sur son ventre. < Attend ! > dit elle.
Clémentine se redresse et s'installe sur le bord du lit. Je me mets à genoux entre ses cuisses écartées. Elle me caresse.
Je hume longuement sa nuit et son jogging de fille. Je suis enivré, pris de vertige. L'odeur est forte et puissante. Superbe.
Je renifle longuement les effluves parfumées qui montent à mes narines. Clémentine se redresse sur ses coudes pour voir.

J'avance mon visage. La touffe dense constitue cette première épreuve qui me fascine toujours. Les poils me chatouillent.
De ma langue exploratrice, je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. C'est délicieux. Le goût vinaigré.
C'est un peu acidulé. Il y a d'étonnantes choses fondantes qui égaient mes papilles gustatives. Je suis parcouru de frissons.
Clémentine s'est laissée retomber sur le dos. Elle me tient par les oreilles. Il y a la première coulure de cyprine. Visqueuse.
Je descends pour lécher la raie culière afin que rien ne se perde. Clémentine commence à gémir doucement. C'est superbe.

Une fille de 20 ans, le matin, après une bonne nuit, après un jogging, offre les plus délicieuses surprises gastronomiques.
Rien n'est meilleur pour le fin gourmet, pour l'esthète et le connaisseur. Je me régale. Je me surprends à gémir de plaisir.
Clémentine est très juteuse. < Je dois pisser ! Fais gaffe ! > me fait elle soudain en me repoussant, en serrant les cuisses.
Clémentine, lorsqu'elle perd ses moyens, pisse très facilement pendant l'orgasme, ne pouvant plus se retenir. Elle hésite.
Nous ne sommes pas chez nous. le plancher de bois vitrifié le permet pourtant. Je le lui fais remarquer en me déshabillant.

Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Clémentine écarte largement ses cuisses. Un spasme secoue tout son corps. Bien.
Je me précipite pour sucer son clitoris géant. Il est turgescent. Dingue. J'ai l'impression de sucer le bout de mon gros doigt.
Dans un cri, Clémentine se lâche. Je descends mon visage. Je suis soudain inondé de pisse. Nous nous tenons par la main.
Je suis nu. Il en dégouline sur ma poitrine, mon ventre. Il en coule sur mon sexe, mes cuisses. A genoux dans une flaque.
Je pompe à nouveau son clitoris. S'en est trop. Clémentine veut me repousser. Elle veut éviter l'orgasme qui la submerge.

Une nouvelle giclée de pisse qui achève de me tremper complètement. Clémentine pousse un cri, la main devant la bouche.
L'orgasme qui la terrasse semble si intense. Je peux sentir tout son corps frissonner. Il y a plusieurs spasmes. C'est délirant.
Clémentine me repousse pour se redresser. < Regarde, j'en ai mis partout ! > fait elle me regardant dans la flaque de pisse.
Elle se masse le ventre, le bas du dos et m'entraîne par la main jusqu'à la douche. Nous n'avons pas mouillé les couvertures.
Nous rigolons comme des bossus sous la douche. Nous nous séchons. Armés de serpillères, nous allons nettoyer nos folies...

Il est déjà onze heures trente. Dehors il pleut sans arrêt sous un ciel sinistre qui rend le paysage encore plus sombre. Hiver.
Clémentine sèche ses cheveux. Assise sur le bord du lit, elle me conseille. Je m'habille selon ses recommandations. Fringues.
Je mets mon costume noir. Une chemise blanche. Une cravate. Mes souliers noirs. < Tu es beau et si élégant ! > me fait elle.
< Tu fais James Bond ! > me fait-elle. Nous rions de bon cœur lorsque ma compagne rajoute : < James Bande ! > Poilade.
Clémentine s'habille d'une de ses jupes noires, d'un chemisier blanc sous un pull fin. Ses souliers noirs à talons. Splendide...

Il est presque midi lorsque nous descendons. Tout le monde semble arriver en même temps. Mes oncles, mes tantes. Cousin.
C'est l'apéritif. Nous sommes au salon. Mes tantes bavardent en regardant les grandes plantes devant la fenêtre du balcon.
Mes oncles regardent les toiles accrochées aux cimaises. Mon cousin et sa femme semblent tout content de nous voir arriver.
Clémentine et moi ne buvons pas d'alcool. Aussi, c'est avec des verres de jus de fruit à la main que nous trinquons en riant.
Par contre, les petits toats sont exquis. C'est un traiteur réputé d'Edimbourg qui a livré les crustacés du repas de midi. Bien.

Il est 12 h15. Nous passons à table. Clémentine qui maîtrise l'Anglais à la perfection peut participer pleinement aux discutions.
Une fois encore, cette belle jeune fille de 20 ans, fait l'objet de toutes les attentions. Mon cousin me félicite discrètement. Joie.
Je suis souvent venu en Ecosse accompagné de belles jeunes femmes. Mais jamais avec une compagne de 20 ans. L'insolite.
Mon oncle Steve, raconte ses inépuisables anecdotes qui concernent les célébrités qui venaient acquérir des antiquités chez lui.
Nous en apprenons de belles sur des gens connus. Stars de la musique, vedettes de cinéma ou encore personnalités politiques.

C'est le repas de Noël. Dehors la pluie tombe, fine et régulière. Nous traînons à table jusqu'aux environs de seize heures.
Mon oncle Steve nous propose de passer dans sa grande bibliothèque. Nous voilà installée devant des thé et des gâteaux.
L'après-midi se déroule ainsi, en famille. Clémentine révise son Anglais. Discrètement, elle me fait des clins d'œil. Sourires.
A chaque fois que l'occasion s'en présente, pour éviter les effusions en public, ma compagne me serre la main, des bisous.
Nous sommes tous sous de grands parapluies à tourner autour de la grande maison de maître d'oncle Steve. Prendre l'air.

Mes oncles évoquent les performances de leurs grosses cylindrées. Mes tantes évoquent leurs roseraies. C'est très amusant.
Mon cousin, sa femme, Clémentine et moi, parlons de choses plus légères. Activités professionnelles et nos centres d'intérêt.
Il fait nuit. L'humidité rend rapidement notre balade désagréable. Il pleut toujours. Cette pluie fine, écossaise et si régulière.
Nous rentrons. Oncle Steve nous fait voir, une fois de plus, sa collection d'armes de chasses. Des œuvres d'art du XIXème.
Parfois, discrètement et rapidement, Clémentine me palpe la braguette. Elle me chuchote : < Après, je te taille une pipe ! >

Il est presque vingt heures. Nous repassons à table. De grands plateaux de fruits de mer apportés par le traiteur ce matin.
La conversation varie d'un sujet à un autre et avec cette désinvolture propre aux repas de fête. Nous nous sentons lourds.
Sous la table, Clémentine me fait du pied. Assise à côté de moi, discrètement, toujours très vite, elle me palpe la braguette.
Cette prise de risque nous permet de prolonger cette merveilleuse complicité qui nous accompagne partout. C'est amusant.
Il est enfin 22 h30. Nous n'avons pas fait grand chose de la journée, pourtant nous sommes fatigués. Nous prenons congé.

Nous montons. Aux toilettes, Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet au fond de la cuvette. Accroupie pour mâter.
Je la laisse se régaler de mes derniers épanchements. Puis c'est à moi de me régaler des siens. Clémentine me déshabille.
Avec passion, elle déboutonne ma chemise, mon pantalon, pour me faire basculer sur le lit. Couchée à côté de moi. Bisous.
Rapidement, sa tête posée sur mon ventre, Clémentine me taille la pipe promise. Elle m'entraîne sur elle. Elle m'embrasse.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Sans bouger, comme nous aimons, elle me confie des secrets. Dodo.

Bons repas de famille ou entre amis, à toutes et à tous sans oublier de vous peloter discrètement sous la table...

Julien - (Qui adore déguster du bon jus de Clémentine. Il en dégouline tant et tant. Et dans Clémentine pas de pépins) -

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Un peu lourds, après ces repas de fête, nous reprenons nos petites habitudes...

Hier matin, mardi, une fois encore, j'ouvre l'œil le premier. Rapidement, j'entends Clémentine s'étirer en gémissant. 7 h45.
Je la regarde. Elle s'écrie : < Bonjour Julien ! > en se serrant contre moi. Je dis : < Bonjour Clémentine ! > la serrant fort.
Clémentine me chevauche en riant. C'est ce moment de tendresse, de douceurs, de papouilles qui débute chaque journée.
C'est l'impérieux besoin naturel qui met un terme à nos effusions amoureuses. Clémentine m'entraîne jusqu'aux toilettes.
Elle tient ma bite pour en diriger le jet bien au fond de la cuvette. Accroupie, elle en récupère les dernières épanchements.

Je la laisse se régaler un peu avant de la forcer à se redresser. A mon tour, je la tiens par ses hanches. Elle peut se lâcher.
Cambrée sur ses genoux fléchis, se tenant à moi, jambes écartées au-dessus de la cuvette, elle peut se lâcher d'un jet net.
Je m'accroupis pour venir me régaler de ses dernières gouttes. Cela excite toujours beaucoup Clémentine qui me repousse.
Nous nous précipitons à la cuisine. Dehors, le jour se lève. Le ciel est d'un gris lumineux et c'est sec. Je presse les oranges.
Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Cette douce odeur embaume toutes nos matinées.

Je mets la table. Confitures, miel, beurre et yaourts. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le bilan de la veille.
Ces repas de fêtes étaient délicieux. Par contre, les desserts nous laissent une impression de lourdeur persistante. La bouffe.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part d'une préoccupation récurrente. Rire.
< J'ai la méchante envie d'un "plan". C'est beaucoup trop calme depuis quelques jours ! > dit elle. Nous rions de bon cœur.
Je lui propose de nous en offrir un cet après-midi. Nous pouvons par exemple retourner dans notre petit salon de thé ! Bien.

< Oh oui, celui avec les deux tables tout en haut de l'escalier ! C'est superbe ! > me fait elle enchantée par ma suggestion.
Nous y avons vécu l'été dernier quelques opportunités qui nous laissent d'agréables souvenirs. Quelques belles exhibitions.
Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenues. Leggings, sweats, K-ways, baskets, bonnets et gants. Le jogging.
En cette saison, en Ecosse, c'est comme si le jour ne se levait jamais vraiment. Nous descendons par l'escalier de service.
Le sol est humide. Il a sans doute cesser de pleuvoir dans la nuit. Nous prenons cet itinéraire devenu habituel depuis l'été.

Nous courons d'un bon rythme afin de bien nous réchauffer. Une écharpe devant la bouche pour ne pas respirer de l'air froid.
La vue sur Edimbourg, dont beaucoup de lumières vont scintiller toute la journée, est magnifique. Légère brume sur la ville.
Nous sommes de retour pour dix heures. Comme hier, je propose à Clémentine de lui offrir un peu de plaisir. Elle se blottit.
La simple idée de ce que je lui suggère suffit à mettre ma compagne dans un état de légère excitation. Je l'entraîne sur le lit.
Clémentine retire son leggings et sa culotte en même temps tout en se laissant tomber sur le lit. Elle s'installe sur le bord...

Je suis là, à genoux entre ses jambes. Clémentine me tient par les oreilles. J'avance mon visage entre ses cuisses écartées.
Je hume longuement les parfums de sa nuit de fille auxquels s'ajoutent les effluves de son jogging. C'est tout à fait enivrant.
J'en ai des vertiges. Ces odeurs intimes me procurent toujours de curieuses sensations. Un mélange de dégoût, d'excitation.
Juste avant que je ne m'enfonce dans sa toison pubienne, Clémentine se redresse pour m'observer, retenant sa respiration.
Les poils me chatouillent le nez, les joues et le menton. Je fouille les plis et le replis des lèvres charnues de son sexe. Régal.

Clémentine cherche à contrôler la situation, c'est à dire l'arrivée des plaisirs. Il y a ce goût vinaigré, légèrement acidulé. Bon.
Je me régale des premiers épanchements de cyprine. J'en récupère qui coulent dans la raie culière. C'est délicieux. Visqueux.
< Je dois pisser ! > s'écrie Clémentine en s'avançant sur le bord du lit. J'ai anticipé, je suis nu. Je me fais pisser à la gueule.
Clémentine pousse des petits cris d'excitation, la main gauche sur sa bouche, en appui sur son coude droit. Prise de vertige.
Il faut cesser car l'orgasme pointe. Clémentine préfère rester excitée le plus longtemps possible. Nous nous relevons. Pisse.

Un peu pitoyables, tout en rigolant comme des bossus, nous nettoyons la flaque de pisse. Nous n'avons pas mouillé le lit.
Nous prenons notre douche. Nous traînons un peu en T-shirt. Nous allumons l'ordinateur. Quatre messages. Estelle. Juliette.
Trois courriels d'Estelle qui se réjouit de nous retrouver cet après-midi. Un message de Juliette qui nous souhaite le meilleur.
Clémentine répond. Puis elle va sur le site de l'université. Aucune information nouvelle. La connexion Wifi est parfaite. Fiable.
Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau pour les pâtes. Clémentine vient me rejoindre pour préparer une salade de carottes.

Nous mangeons de bon appétit. Dehors, le temps reste sec et légèrement venteux. Le soleil reste bas au-dessus de l'horizon.
Il y a cette luminosité particulière à ces latitudes. La vaisselle. Nous nous vêtons. 12 h45. Clémentine choisit nos vêtements.
Ma compagne porte une des deux jupes en épais velours qu'elle a emmené. Ses collants en coton, avec la petite ouverture.
Une chemise sous son pull noir. Ses souliers de villes à talons plats. Son anorak. Echarpe, bonnet et gants. J'aime beaucoup.
Je porte un pantalon d'épais velours, la chemise sous mon pull. Bonnes chaussures. Anorak, écharpe, bonnet et gants. Prêts.

Il y a 15 km jusqu'à l'aéroport d'Edimbourg. Nous voilà en route. La circulation est fluide. Nous arrivons un peu avant l'heure.
Estelle arrive pour 14 h20. Il est 13 h50. Nous attendons dans le hall. Il y a de quoi regarder. Les départs, les arrivées. Bien.
Clémentine, désireuse de s'offrir un "plan", observe avec soin tout autour de nous. Je l'entraîne à la boutique Thomas Cook.
Je peux y retirer des liquidités. Il y a très peu de monde. Deux jeunes filles avec des sacs à dos styles "routardes". Un couple.
Nous retournons dans le hall. L'annonce résonne. L'avion se pose sur le tarmac. Nous attendons derrière la barrière vitrée...

Dans le flot des passagers, nous pouvons voir la haute silhouette d'Estelle. La jeune fille marche en tirant sa valise à roulettes.
Dès qu'elle nous aperçoit son visage s'illumine. Elle accélère son pas. Elle passe le portique, pour se précipiter dans nos bras.
Nous nous faisons plein de bises, serrés tous les trois dans nos bras. < Ouf ! > s'écrie Estelle. Nous sommes pétris d'émotion.
Je prends sa valise. Nous traversons le hall pour nous diriger vers le parking. Nous voilà tous les trois à nouveau ensemble.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte son Noël. Le sapin, son oncle, sa tante et les cadeaux...

< Julien, t'es fou ! Merci pour l'enveloppe ! > me fait Estelle. Je lui réponds : <Je ne veux surtout pas en entendre parler ! >
Estelle est vêtue chaudement. Jean, grosses chaussures, anorak, écharpe, bonnet et gants. De quoi affronter le climat. Bien.
J'ai organisé le programme. Nous commençons par la visite du Château d'Edimbourg qui ferme à 17 h. J'ai les trois billets.
J'ai tout organisé les trois semaines précédent notre départ. C'est mes cadeaux, les surprises que je réserve aux filles. Joie.
Il y a du monde. Hiver comme été, Edimbourg exerce son attractivité mystérieuse. Nous nous nous faisons plein de bisous.

Les regards parfois étonnés, dubitatifs ou encore amusés des visiteurs nous font sourire. Nous sommes tellement heureux.
Visite de la salle contenant les bijoux de la Couronne. Visite de Prisons of War et Great Hall. C'est magnifique. Enchanteur.
Malgré le froid venteux, nous admirons le point de vue sur Argyle depuis les remparts. Estelle fait plein de photographies.
Nous redescendons. < Même en hiver, c'est de toute beauté ! > fait Estelle qui ne sait plus où regarder. La visite se termine.
Nous descendons Royal Mile, la rue qui part du château vers Holyroodhouse. Il y a cinq tronçons bien distincts. Du monde.

Castle Esplanade, Castlehill, Lawmarket, High Street et Canongate. Je propose de prendre High Street puis St Mary's Street.
Cette rue est véritablement le cœur de l'âme de la vieille ville. Nous flânons. Avec les décorations sépias, c'est merveilleux.
< On se croit en plein moyen-âge ! C'est magnifique. Gothique à blinde ! > fait Estelle à plusieurs reprises. L'enchantement.
Estelle me tient par le bras gauche. Clémentine me tient par le bras droit. Nous admirons les vitrines, les décorations. Fou !
Edimbourg est une des plus belles villes d'Europe, mais là, en cette période de l'année, c'est tout simplement époustouflant.

Nous nous offrons un bon chocolat chaud dans le fameux salon de thé. Hélas, les deux tables du haut sont occupées. Gens.
Estelle nous fait part de sa grande fatigue. < J'étais morte de trouille au départ, dans l'avion, et ça épuise ! > nous fait elle.
Il est dix neuf heures. Je propose de nous offrir le premier restaurant qui se présente. Il faut en faire trois à cause du monde.
C'est devant des plateaux de fruits de mer que nous bavardons. Les filles évoquent leurs études, le second trimestre. Rires.
Rapidement la conversation s'oriente vers nos petites aventures aux écuries, monsieur Gérard, le palefrenier vicieux. La pipe.

Après le dessert, nous flânons encore un peu. Il y a toujours du monde. Estelle bâille à s'en décrocher la mâchoire. Rires.
Nous sommes de retour pour 23 h30. Sans même prendre de douche, nous nous mettons au lit. Nous bavardons encore.
Je suis couché entre Clémentine et Estelle qui me tient la queue. < Elle m'a manqué ! > dit elle. Nous rions de bon cœur.
Rapidement, Clémentine me chevauche pour s'interposer entre Estelle et moi en disant : < Les festivités pour demain ! >
Clémentine me suce un peu. Nous entendons Estelle ronfler doucement. Nous ne tardons pas à plonger. Des bises. Dodo.

Bonne découverte d'Edimbourg en hiver à toutes et à tous. Bonnes retrouvailles avec votre coquine préférée...

Julien - (Tour operator pour jeunes filles de 20 ans, désireuses de s'encanailler loin de leurs quotidiens) -

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Une nouvelle journée écossaise avec Estelle toute contente...

Hier matin, mercredi, j'ouvre l'œil le premier. Il est 7 h50. J'entends les doux ronflements de Clémentine et d'Estelle.
Je regarde Clémentine couchée sur le dos, la bouche légèrement ouverte. J'aime la voir dans ce total abandon. Belle.
Je dois pisser. C'est irrépressible. Je me lève tout doucement. Au moment où je veux quitter le lit, on m'attrape fort.
Clémentine, me tenant par le poignet, chuchote : < Tu vas où ? >. Je lui fais une bise sur le front. Je dis : < Pipi ! >
< Et tu imagines que je t'y laisse aller seul ! > me fait elle en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Pissous.

Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. En parfaite virtuose, elle en secoue les dernières gouttes en visant.
Accroupie, Clémentine en récupère les derniers reliquats. Je la laisse se régaler un peu avant de la forcer à se relever.
C'est à mon tour. Debout, cambrée au dessus de la cuvette, ma compagne se lâche dans un long jet sonore. Le pissou.
Accroupi, j'en récupère la petite goutte. C'est à ce moment qu'arrive Estelle : < Qu'est-ce que vous faites ? > dit elle.
< Et déjà le matin ! > rajoute t-elle. Nous lui laissons la place pour filer à la cuisine. Nous rigolons comme des bossus.

Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Estelle vient nous rejoindre. < Bonjour les pisseurs ! > nous lance t-elle.
< Bonjour la pisseuse ! > répond Clémentine. < Bonjour la jeune fille ! > que je fais. Nous nous faisons plein de bisous.
Estelle met la table. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Confitures, miel, beurre et yaourts. Morts de faim.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle découvre cette luminosité particulière à ces latitudes de l'Europe septentrionale.
Je lui dis : < Si tu montes encore de mille kilomètres, il fera presque nuit trois mois de l'année, 24 h sur 24. Le silence.

Nous bavardons. Nous avons tout notre temps. Dehors il fait froid, à peine 1°. Tout est pourtant bien sec. Pas de pluie.
La vaisselle. Nous nous mettons en tenue. Leggings, sweats, K-ways, baskets, bonnet et gants. C'est la joie du jogging.
Nous prenons tous les trois la précaution de mettre une écharpe devant la bouche afin d'éviter de respirer de l'air froid.
Estelle découvre notre itinéraire. < Mais le jour ne se lève jamais vraiment ici ! On se croit déjà en soirée ! > fait elle.
Nous courons d'un bon rythme pour nous réchauffer rapidement. Depuis la colline, la vue sur Edimbourg est magnifique.

Nous voilà de retour pour dix heures. Je chuchote à Clémentine : < J'ai envie de te goûter ! >. Elle se serre contre moi.
< T'es fou, je vais encore devenir folle ! > me fait elle. Je réponds : < C'est le but ! > Je l'entraîne dans la chambre. Joie.
< Je peux venir avec ! J'veux pas rester toute seule ! > nous fait Estelle. Sans attendre notre réponse, Estelle nous suit.
Clémentine retire son legging et sa culotte en même temps. Estelle comprend. Elle fait pareil. Les filles assises sur le lit.
Je me déshabille. Je me mets à genoux entre les jambes de Clémentine qui me tient par les oreilles, comme par crainte.

J'avance mon visage pour humer les odeurs de sa nuit et de son jogging de fille. C'est enivrant. J'en ai de vrais vertiges.
Les poils me chatouillent le nez, les joues et le menton. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe.
J'adore ce goût vinaigré, légèrement acidulé. Estelle se lève pour venir s'accroupir derrière moi, m'attrapant les couilles.
Sa main entre mes fesses, elle me tient par les couilles qu'elle serre fermement. De son autre main, elle me tient la bite.
Je me régale des saveurs intimes de Clémentine. Je l'entends gémir. Estelle me branle doucement, serrant mes couilles.

Clémentine s'écrie : < Faites gaffe, je dois pisser ! > Estelle a le temps de s'écarter. Je me fais pisser à la gueule. Trempé.
Tout cela excite tant ma compagne qu'elle doit lutter contre l'orgasme qui la guette. Je suis dégoulinant de pisse chaude.
Estelle est assise en tailleur, une main sur sa bouche, comme consternée par ce qu'elle voit. Je suis dans la flaque de pisse.
Le corps de Clémentine est couvert de frissons. Elle se redresse, une main entre ses cuisses. < Je deviens folle ! > dit elle.
Je me lève. Nous filons tous deux chercher le seau et la serpillère. Un peu ridicules, nous nettoyons nos saloperies. Rires...

Estelle, une main entre ses cuisses passées l'une devant l'autre, nous observe. < Génial ! > dit elle. Nous rions de bon cœur.
Estelle prend sa douche la première. Clémentine me suce en gémissant de plaisir. Nous n'avons pas mouillé les couvertures.
Estelle revient, vêtue de son jean, de sa chemise à carreaux, comme à la maison. Elle nous découvre dans cette situation.
Je force Clémentine à cesser en l'entraînant par ses cheveux à la salle de bain. Nous prenons notre douche, nous embrassant.
< Je veux restée excitée toute la journée, Julien ! > me fait elle. Je dis : < Je te promets d'y veiller avec le plus grand soin ! >

Nous revenons rejoindre Estelle qui est assise devant l'ordinateur. Le site de l'université. Il n'y a aucune information nouvelle.
Il y a un message de Juliette qui nous raconte son Noël avec sa sœur, son beau frère et deux amies. Clémentine répond. Bien.
Nous joignons une photo de nous trois prise à Edimbourg hier soir. Il est onze heures trente. Je vais à la cuisine. Il fait faim.
Clémentine vient me rejoindre. Je fais du riz et une rapide sauce aux champignons. Clémentine s'occupe de la salade. Laitue.
Estelle émince l'ail et l'oignon. Tout va très vite. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Le programme de l'après-midi.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous reproduisons nos habitudes à mille kilomètres au Nord de chez nous. Sympa.
Nous sommes pressés de partir en virée à Edimbourg. Il est treize heures. Nous voilà chaudement vêtus. Nous descendons.
Nous passons par l'escalier intérieur. Je veux présenter Estelle à mon oncle et à ma tante. Ils sont bien évidemment enchantés.
Surtout mon oncle qui, bien qu'octogénaire, observe la jeune fille d'un œil libidineux. Ma tante me lance un bien curieux regard.
Pas de doute, je dois passer pour un fin coquin. Nous promettons de venir prendre le thé demain après le repas. Présentations.

Nous voilà dans la voiture. Clémentine joue avec ma bite qu'elle a sortit de ma braguette. Estelle a ses bras autour de mon cou.
Je roule doucement. La circulation est fluide. Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. A vingt minutes du centre ville.
L'été dernier, j'ai promis à Estelle de lui faire découvrir le National Gallery Museum. Nous remontons Princess Street. Du monde.
Malgré la fraîcheur, avides de tout voir, nous ne marchons pas vite. < Edimbourg est un grand Roquefort Gothique en hiver ! >
C'est la constatation que fait Estelle. Nous rions de bon cœur de cette curieuse comparaison. Nous arrivons devant le bâtiment.

Il y a du monde. Nous prenons nos billets. Clémentine nous entraîne vers la salle des maîtres hollandais du XVIIème. Sympa.
Estelle, émerveillée, ne sait plus où donner du regard. < On dirait des tableaux à toi ! > me lance t- elle devant un Gerard Dou.
Nous admirons longuement ces deux petites peintures sur bois. A une chaînette pend une loupe. Ainsi le visiteur peut scruter.
Les œuvres sont sous verre. Aucun risque. C'est la première fois que je vois Estelle observer un tableau avec tant d'attention.
Clémentine me fait du coude, étonnée comme moi. < C'est génial ! > fait Estelle à plusieurs reprises. Nous continuons la visite.

La National Gallery est un musée extraordinaire. Il y a là des œuvres majeures. Et beaucoup de tableaux de Maîtres écossais.
Parfois, discrètement, Clémentine effleure ma braguette. Nous savons qu'il y a des caméras vidéo. La prudence s'impose. Joie.
Estelle est beaucoup plus téméraire. Je suis parfois obligé de lui rappeler qu'on pourrait nous voir. < M'en fout ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur. Le musée ferme à 17 h en hiver. Il nous faut nous résoudre à quitter ce lieu enchanteur. Il fait nuit.
Nous nous dépêchons de retourner dans St Mary's street. La magie du labyrinthe de la vieille ville. C'est absolument superbe.

Il est dix huit heures. Je propose aux filles d'aller dans notre restaurant typique afin d'y réserver une table pour 19 h30. Bien.
Cela est rapidement fait. Nous continuons nos flâneries. A plusieurs reprises, discrètement, Estelle me palpe la braguette. Joie.
< Je n'y ai pas encore goûté depuis mon arrivée ! > me fait Estelle. < On se calme la nympho ! > lui répond Clémentine. Rires.
Le regard des passants se braque souvent sur notre trio. Ces deux jeunes filles de 20 ans avec un homme d'âge mûr. Insolite.
Par contre, en Ecosse, les gens sont souvent plutôt grands. Nos hautes tailles n'attirent donc ici pas une attention particulière.

Nous admirons les vitrines des boutiques. Estelle est moins attirée par les beaux vêtements que Clémentine. Nous flânons.
Il est rapidement 19 h30. C'est la faim. Nous voilà au restaurant. Le personnel en kilt est une attraction fréquente en Ecosse.
Nous prenons place à la table qui nous ait réservé. Estelle me montre la porte des toilettes. Elle fait : < Je t'y emmène ? >
Nous rions de bon cœur. Clémentine lui répond : < Toi, tu veux ta pipe ! Ce soir, en rentrant, si tu es sage ! > La commande.
La jeune serveuse note nos souhaits. Ce sera du homard grillé accompagné de légumes. Des crevettes en entrées. Délicieux...

Nous mangeons de bon appétit. Toutes les tables sont occupés. Comme dans tous les pays du Nord, il règne un grand calme.
Les gens chuchotent, murmurent et sont d'une discrétion totale. Clémentine me dit parfois : < J'ai besoin d'un "plan" ! > Rire.
Pas d'exhibes possibles avec tout ce monde. Ma compagne n'en n'est pas vraiment frustrée même si cette envie devient forte.
< Demain, je mets une jupe et mes collants "truqués" ! > rajoute Clémentine. Estelle dit : < Tu vas faire ta salope en ville ? >
Nous rigolons comme des bossus. Du coup, et pas association d'idées, nous en arrivons à nos aventures de l'été dernier. Vice.

La soirée se déroule ainsi. Les filles sont en vacances. Elles profitent. Chaque fois que l'une parle étude, l'autre l'en empêche.
Ce reflexe nous amuse beaucoup. < Défense de parler des cours ! > fait Clémentine lorsqu'Estelle glisse une aparté. Rigolade.
Il est 23 h lorsque nous sommes de retour. Le quartier résidentiel est d'un calme campagnard. La maison est silencieuse. Joie.
A peine dans l'appartement, Estelle me palpe la braguette. < Tu as promis ! > me fait elle alors que je n'ai rien promis. Rires.
J'ouvre ma braguette. Je sors ma bite. Estelle s'accroupit. Je me fais tailler une pipe. Clémentine m'embrasse. Je la serre fort.

Estelle se met à genoux à même le sol. Elle me suce comme si sa vie en dépendait. Clémentine se frotte contre ma hanche.
Nous restons ainsi un long moment. Je saisi Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser et à se relever. Je dois insister.
< Aïe, ouille ! > fait elle en se massant les genoux. < Va faire ton pissou ! > que je lui dis. Clémentine s'accroupit pour sucer.
Je lui éjacule dans la bouche. Se faire éjaculer dans la bouche est la préférence de Clémentine. Estelle revient toute souriante.
Epuisés, nous allons nous coucher. Clémentine est serrée contre moi, Estelle à ses côtés qui s'endort vite. Secrets et dodo...

Bonne soirée dans votre restaurant préféré à toutes les coquines qui s'apprêtent à sucer le mec de leur copine...

Julien - (Qui s'est encore fait vider les couilles comme le dernier des salauds) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 286 -



Notre séjour écossais, pour les fêtes à Edimbourg, se passe au mieux...

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon sommeil comme à la maison, lorsque nous sommes tous les trois. Des murmures.
Des chuchotements et des rires étouffés. On me tient fermement par ma splendide érection matinale. J'ouvre les yeux.
< Bonjour Julien ! > me font les filles en même temps. C'est encore Estelle qui me tient le sexe. Je me redresse. Rires.
< Bonjour les coquines ! > que je dis en me mettant à quatre pates entre les deux filles pour les chatouiller, grognant.
Je pousse des mugissement d'ours des cavernes. Estelle arrive à se sauver jusqu'aux toilettes. < Pipi ! > s'écrie t-elle.

Clémentine me chevauche en riant. Je la fais basculer à gauche puis à droite. < Je t'aime ! > me fait elle. Des papouilles.
Estelle revient et nous fait : < Je vais préparer le petit déjeuner ! >< On arrive ! > dit Clémentine en m'entraînant. WC.
Nous nous amusons à nos rituels pisseux habituels. Nous nous précipitons à la cuisine pour rejoindre Estelle en pyjama.
L'odeur du pain grillé et du café. C'est comme à la maison. Il est à peine 8 h. Dehors il fait 2°. Pas de pluie, tout est sec.
Nous sommes en T-shirts de nuit. Nous nous faisons tous les trois plein de bisous tellement contents dans nos privilèges.

Assis à la table, tel le patriarche, Je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. Confiture ou miel et bavardages.
Nous faisons le bilan du jour passé et le programme de cette journée à venir. Nous traînons à table. Ce sont les vacances.
< J'ai fait comme tu m'as dit pour soigner mes boutons ! Des compresses d'argile, une heure, le matin ! > me dit Estelle.
La jeune fille me montre le tour de sa bouche. C'est vrai que la peau est à nouveau nette et lisse. Nous rions de bon cœur.
< C'est le prix à payer quand on suce un vieux palefrenier vicieux ! > lui fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.

La vaisselle. Nous nous mettons en tenues. Leggings, sweats, K-ways, baskets, bonnets, gants, écharpe. C'est le jogging.
Ce sont nos seconde réjouissances de la matinée. Nous courons d'un bon rythme sur notre circuit habituel. Se réchauffer.
Du haut de la colline, dans une légère brume, les lumières scintillantes d'Edimbourg offrent un panorama de toute beauté.
Nous sommes de retour pour 10 h15 après une heure trente d'un running des plus gratifiants. Nous tombons sur ma tante.
Il fait froid. Ma tante et mon oncle reviennent des courses. Nous bavardons un peu dans le couloir. Nous remontons vite.

Estelle prend sa douche la première. J'entraîne Clémentine dans la chambre. Je la fais basculer sur le lit. Elle m'embrasse.
Clémentine retire son legging et sa culotte en même temps. C'est l'invitation à la goûter un peu. Une délicieuse habitude.
Elle sait que j'adore la lécher. Clémentine adore se faire lécher. Je suis à genoux entre ses jambes écartées. Chaussettes.
Je hume longuement les effluves parfumées de sa nuit et de son jogging de fille. Ces senteurs qui m'enivrent. Le vertige.
J'avance mon visage dans l'épaisse broussaille. Le poils me piquent le bout du nez, les joues et le menton. C'est fabuleux.

Estelle vient nous rejoindre. Elle découvre le spectacle. Elle vient se placer derrière moi pour m'attraper par les couilles.
Sa main gauche entre mes fesses, de sa main droite elle m'attrape la bite pour me chuchoter : < Bon appétit monsieur ! >
Clémentine se redresse pour nous observer. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe humide. Doux.
Estelle me chuchote plein de cochonneries tout en me masturbant, serrant mes couilles avec fermeté. Je me régale. Bon.
Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Je l'entends gémir. < Elle va pisser ! > me murmure Estelle.

Je reste sur mes gardes. Pourtant Clémentine ne me pisse pas dessus. Elle me repousse doucement en poussant un cri.
< Il faut arrêter avant le "drame" ! > fait-elle en m'attirant sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.
Estelle vient s'assoir sur le lit. Elle me tient toujours fermement par les couilles, son visage tout près des nôtres. Silence.
Comme toujours, Clémentine et moi, nous restons parfaitement immobiles. Estelle scrute toutes nos expressions. Apnée.
Estelle me fait des bises. Elle me serre les couilles de sa main gauche, sa tête en appui sur le coude à côté de nous deux.

Nous restons ainsi un long moment. < Vous me faites découvrir "ça", j'aimerais baiser moi aussi ! > nous fait Estelle. Rires.
< Tu n'as qu'à te trouver un mec ! > lui répond Clémentine. < Vous êtes salauds tous les deux ! Egoïstes va ! > fait Estelle.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Je me retire. J'entraîne Clémentine par les cheveux jusqu'à la salle de bain. Douche.
Nous revenons rejoindre Estelle qui est assise devant l'ordinateur. Sur le site de l'université. Aucune nouvelles informations.
Pas de courriels. Il est déjà onze heures trente. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir de l'eau pour les nouilles Chinoises. Bien.

Clémentine vient me rejoindre. Elle m'embrasse avec fougue avant de préparer la salade. Douceur. Estelle arrive à son tour.
Elle émince l'ail et l'oignon. Je prépare une rapide sauce aux champignons. Nous bavardons. Nous parlons de cet après-midi.
< Défense d'évoquer la fac, les cours et les études ! > précise Clémentine. < A vos ordres mon capitaine ! > répond Estelle.
Nous rions de bon cœur. Je mets la table. Estelle égoutte les nouilles Chinoises. Clémentine remue la salade. Morts de faim.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les aventures vécues en Ecosse l'été dernier. Les exhibes de Clémentine.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Il est 12 h50. Nous rangeons. Clémentine m'entraîne dans la chambre. Bisous.
Ma compagne est vêtue d'une de ses jupes en épais velours, ses collants de coton noir, une chemise sous son gros pull noir.
Accroupie, Clémentine me montre l'ouverture d'environ quinze centimètres dans son collant. Ce qui permet de voir sa culotte.
Estelle vient nous rejoindre et lui fait : < Sans culotte c'est mieux ! > Clémentine répond : < Oui, mais pas par ce froid ! >
Nous rions de bon cœur. Estelle et moi, nous sommes vêtus de nos jeans, chemises à carreaux sous nos épais pulls. Anoraks.

Nous voilà en voiture. Direction Edimbourg à trois kilomètres. La circulation est fluide. Je gare la voiture à l'endroit habituel.
Il est 13 h 45. Nous avons l'envie de retourner dans le centre. Il fait froid, à peine 5°. De plus il y a un léger vent de la mer.
Nous retournons sur Royal Mile. La rue est exceptionnellement piétonne. Des pancartes annoncent la journée princière. Bien.
Nous sommes chaudement vêtus. Nous pouvons affronter notre désir de flâner en toute quiétude. Il y a tant de choses à voir.
Nous faisons un détour par Real Mary King's Close. Nous voulons visiter St Giles Cathedrale. Il y a du monde. Des touristes.

Nous parcourons l'intérieur de cet édifice magnifique. C'est une cathédrale Gothique. Il se prépare des festivités pour le soir.
Clémentine feuillette un programme qu'elle a ramassé sur une table à l'entrée. Ce soir il y aura effectivement un concert ici.
L'orchestre philharmonique d'Edimbourg donnera une représentation pour vingt heures. Nous n'y serons pas. Peu de temps.
Real Mary King's Close est un sombre dédale souterrain. La visite y est guidée. Il fait beaucoup plus agréable sous la terre...
C'est une visite insolite qui exploite le potentiel lugubre des lieux avec des histoires de fantômes dans un tableau macabre.

Nous frissonnons en écoutant les histoires de spectres que raconte le guide. Nous sommes une vingtaine de visiteurs. Super.
Je traduis en chuchotant. Estelle ne maîtrise pas l'Anglais aussi bien que Clémentine. L'endroit évoque les catacombes. Paris.
Clémentine me chuchote : < Regarde, un "plan" ! > Je regarde discrètement dans la direction qu'elle m'indique. Un solitaire.
C'est certainement un employé qui fixe des affichettes sur un panneau. Clémentine me fait une bise et quitte notre groupe.
Accroupie entre un pilier sculpté dans la pierre et une vitrine contenant des ossements, elle fait mine de fouiller dans son sac.

Estelle et moi, nous observons discrètement. Ce que raconte le guide nous intéresse soudain beaucoup moins. Du spectacle.
L'employé vient de remarquer cette jeune fille accroupit à quelques mètres, cuisses légèrement écartées dans la pénombre.
< Quelle salope ! J'aimerais pouvoir me comporter comme elle si j'avais un peu plus de courage ! > me chuchote Estelle...
L'employé cherche visiblement un prétexte pour entrer en contact avec la fille. Le groupe avance doucement. Nous traînons.
Estelle et moi, nous nous laissons distancer. Nous faisons semblant d'étudier la brochure que je tiens en main. Rusés larrons.

L'employé s'approche enfin de Clémentine qui garde sa position équivoque et plutôt ambiguë. Nous sommes excités à voir.
Je chuchote à l'oreille d'Estelle : < Elle me fait toujours bander lorsqu'elle s'exhibe. C'est chaque fois hyper excitant ! Fou ! >
< Put-Hein ! J'envie votre complicité. Je veux un Julien moi aussi ! > me fait Estelle. Je dis : < Tu es notre complice aussi ! >
L'employé doit devenir insistant. Clémentine se redresse pour venir nous rejoindre. Le type retourne à ses occupations. Bien.
Clémentine me montre la carte griffonnée à la hâte par le type. < Et encore un Numéro de téléphone pour la "collection" ! >

Clémentine fait : < Comment les mecs peuvent-ils êtres assez stupides pour croire qu'on va les contacter un jour ! > Rires.
Nous continuons la visite. Nous voilà de retour à l'extérieur. Je propose aux filles de nous trouver un bon restaurant du soir.
Nous flânons longuement pour découvrir un petit établissement sympathique au fond d'une venelle pleine d'escaliers. Bien.
Il est 18 h. Nous y réservons trois places pour 20 h. L'esprit tranquille, certains d'avoir une table, nous continuons le périple.
Il fait nuit. La fraîcheur s'est encore accentuée. Nous visitons quelques magasins. Un antiquaire. Une librairie occulte. Joie...

Il est rapidement vingt heures. Nous voilà assis dans la salle d'un restaurant fort accueillant. Une nouvelle découverte. Bien.
Nous commandons de belles langoustes fumées accompagnées de légumes à l'étuvée. Une entrée de crevettes et de moules.
Nous bavardons en riant de nos aventures de l'après-midi. Il y a du monde. Impossible à Clémentine de s'offrir un petit plan.
Il est 23 h lorsque nous sommes de retour à la maison. Les toilettes. La salle de bain. Nous voilà couchés et plutôt fatigués.
Estelle s'endort rapidement. J'offre un cunnilingus à Clémentine. Une bonne pipe et nous ne tardons pas à rejoindre Estelle.

Bonne découverte des mystères et des secrets d'Edimbourg à toutes les coquines exhibitionnistes et bien vicelardes...

Julien - (Tour operator pour jeune filles de 20 ans, délurées et désireuses de s'offrir de délicieux frissons. Le salaud) -

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Nous voilà à la fin de cette sixième page.

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette" ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique sixième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

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Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 287 -



Le séjour écossais à Edimbourg est un réel enchantement...

Hier matin, vendredi, je suis réveillé de la même manière, comme à chaque fois que nous sommes tous les trois ensemble.
Des murmures, des chuchotements, des rires étouffés et on me tient fermement par ma splendide érection matinale. Joie.
J'ouvre l'œil et le bon. C'est Estelle qui me tient la bite en passant son bras par dessus Clémentine qui est entre nous. Bien.
< Bonjour Julien ! > me font les deux coquines. Je me redresse vite pour me retrouver à quatre pates entre les deux filles.
En poussant de vifs grognements d'ours des cavernes je les chatouille. Estelle parvient à s'enfuir en riant pour aller au WC.

Clémentine me chevauche en riant. Nous nous offrons des papouilles. Tendresse et douceur. Nous nous faisons des bisous.
Estelle revient des toilettes et nous fait : < Je vais préparer le petit déjeuner ! > Clémentine répond : < On arrive ! > Faim.
Ma compagne m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous nous amusons à notre rituel pisseux quotidien et si habituel.
Nous rejoignons Estelle dans une délicieuse odeur de pain grillé et de café. Estelle vient se serrer contre moi avec des bises.
< Merci Julien pour ces merveilleuses vacances ! > me fait elle. Clémentine vient s'interposer en disant : < On se calme ! >

Nous rions tous les trois de bon cœur. Assis à la table, tel un patriarche, je beurre les tranches que me tendent les filles.
Confiture, miel selon le désir de chacune. Nous bavardons. < Interdit de parler des cours ! > précise Clémentine. Rigolade.
La conversation s'articule donc tout naturellement autour de notre séjour à Edimbourg. Il est à peine 8 h15. Le jour se lève.
Nous faisons le bilan de la journée de hier. La visite de ces curieuses et mystérieuses catacombes hantées. Les fantômes.
< Tu as encore fait fort avec le mec qui te mâtait ! > fait Estelle à Clémentine qui répond : < Dès qu'il y a une occasion ! >

Nous rigolons comme des bossus lorsque ma compagne rajoute encore : < J'en ai fait des "victimes" bien consentantes ! >
< J'aimerais bien avoir ton culot mais de mâter c'est bien aussi ! > fait encore Estelle. Les filles évoquent les écuries. Haras.
C'est encore le prétexte à de nombreux éclats de rire. Dehors, le ciel est couvert et menaçant. Il fait très froid et à peine 2°.
Nous faisons la vaisselle. < Si on veut faire notre jogging, on a plutôt intérêt à y aller tout de suite ! > nous dit Clémentine.
Nous nous mettons en tenue en vitesse. Leggings, sweats, K-ways, baskets, bonnets, gants et écharpes devant la bouche.

Nous courons d'un bon rythme afin de nous réchauffer rapidement. La luminosité rappelle celle d'une fin d'après-midi d'hiver.
< Et c'est comme ça toute la journée ! > nous fait Estelle sans cesser sa foulée. Elle court souvent devant nous, la première.
Le ciel est bas. Tout en courant, nous admirons les lumières scintillantes de la ville depuis le haut de la colline. C'est superbe.
Il y a les premières gouttes. La pluie. C'était prévisible. Nous sommes équipés. Il ne reste que vingt minutes avant le retour.
Nous arrivons mouillés mais contents de notre "performance". Une heure trente d'un running des plus agréables. On monte.

Estelle prend sa douche la première. Clémentine et moi nous sommes nus. Nous avons pendu nos vêtements. Salle de bain.
J'entraîne Clémentine sur le lit. Je lui chuchote : < C'est le broutage de chatte obligatoire ! > Nous rions de bon cœur. Joie.
Clémentine est assise sur le bord du lit, ses jambes écartées. Je suis à genoux à humer les parfums de sa nuit de fille. Miam.
Il s'y rajoute les effluves de son jogging. De quoi m'enivrer et me prodiguer les plus suaves vertiges. Je hume longuement.
Estelle revient de la douche et, une fois de plus, nous surprend dans cette situation. Elle vient nous rejoindre pour regarder.

Je savoure les étonnantes choses fondantes qui parsèment les lèvres charnues du sexe de Clémentine. C'est un vrai délice.
Estelle se penche tout près de moi pour me demander : < C'est bon ? > Je me contente d'émettre un gémissement. Miam.
Je cesse un instant pour répondre : < Tu veux goûter ? > Estelle se lève pour aller s'habiller. Les filles sont hétérosexuelles.
Point d'effusions saphiques chez Clémentine et Estelle que cette simple idée révulse. Je lèche la cyprine dans la raie culière.
Clémentine gémit. Elle me tient par les oreilles, comme par crainte et pour me guider. Estelle revient et saisit mes couilles.

< Arrête, je vais devenir folle et je vais pisser partout ! Julien, s'il te plaît ! > s'écrie Clémentine en se redressant. Je cesse.
Clémentine tente de reprendre ses esprits. Estelle me tient par les couilles. Par la bite. Je me lève. Nous filons à la douche.
Nous nous habillons. Dehors, la pluie tombe. Une pluie fine et régulière qui va très certainement perdurer toute la journée.
Estelle est assise devant l'écran de l'ordinateur. Nous la rejoignons. La pénombre oblige à garder les lumières allumées. Fou.
Il y a enfin des informations sur le site de l'université. Le programme du trimestre à venir. Les conseils de prudence. Infos.

Il est onze heures quarante cinq. Je vais à la cuisine pour y préparer du riz complet que je fais éclater à sec et en remuant.
Estelle vient me rejoindre la première. Elle se blottit contre moi. < Comme on est bien ! > me fait elle. Clémentine arrive.
< On se calme là, la nympho ! > fait ma compagne. Nous en rions de bon cœur. Estelle mime une masturbation masculine.
< Tu me la donne à sucer un peu après ? > me demande Estelle. < Si tu es sage ! > lui fait Clémentine en me serrant fort.
Clémentine prépare la salade. Estelle émince l'ail et l'oignon. Tout va très vite. Nous sommes méthodiques, plutôt efficaces.

Je mets la table. Clémentine remue la salade. Estelle me montre la sauce qu'elle a concocté. Je la félicite. Bonne élève. Rire.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous élaborons le programme de cet après-midi. Et ce sera sous la pluie.
Il serait vain de vouloir quitter la ville pour parcourir une campagne environnante bien tristounette sous la pluie. La grisaille.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous reproduisons nos habitudes et nos rituels bien au-delà de la maison. Rires.
Nous rangeons. Il est 13 h15. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux sous le gros pull.

Estelle mime une masturbation masculine. Clémentine lui lance : < Vicieuse ! > Estelle fait : < Je suis à la bonne école ! >
J'ouvre ma braguette, je sors mon sexe que je fais tournoyer comme un lasso en direction d'Estelle qui continue l'imitation.
Elle se précipite pour venir s'accroupir devant moi. Clémentine vient se serrer contre moi, en se frottant contre ma hanche.
Ma compagne m'embrasse avec fougue. Estelle me suce avec gourmandise. Nous restons ainsi un petit moment. Délices.
< Stop ! > s'écrie Clémentine qui sort ma bite de la bouche d'Estelle. Ce qui fait gicler un peu de jute partout. C'est trempé.

< Je vous fais remarquer que nous avons un programme et que nous sommes en Ecosse ! > fait ma compagne. Rigolades.
< Oui mon capitaine ! > fait Estelle en se redressant tout en s'essuyant la bouche humide de mon liquide séminal. Coquine.
Nous mettons nos anoraks, nos bonnets, nos écharpes et nos gants. Nous prenons nos grands parapluies. Nous descendons.
Nous voilà en route sous une pluie incessante. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. Vingt minutes de marche rapide.
Nous voilà sur Princess Street. C'est certainement la rue la plus commerçante et la plus spectaculaire du monde. Nul doute.

Clémentine, Estelle et moi, nous sommes serrés sous le même grand parapluie. Clémentine à ma droite. Estelle à ma gauche.
Clémentine nous fait remarquer à quel point le clocher de St John's Church, au loin, se détache sur le ciel gris, couvert et bas.
Estelle prend deux photos. Là-bas, au loin, il y a la masse de grès rouge du Caledonian Hilton Hôtel. Masse impressionnante.
< Il y a tout le temps de nouvelles choses à voir ! > fait Estelle en prenant plusieurs photos. Malgré la pluie, il y a du monde.
Nous marchons. Chaudement vêtus nous affrontons sereinement nos flâneries. Nous passons devant la grande tour crénelée.

C'est la tour de guet du cimetière de la St Cuthbert's Parish Church. Elle assurait la protection contre les pilleurs de tombes.
Estelle n'arrête pas de prendre des clichés. Elle nous montre ses photos. Elles reflètent avec fidélité cette ambiance secrète.
< Il y a du mystère partout, et avec ce temps, c'est génial ! > fait Estelle en me palpant discrètement la braguette. Rigolade.
Nous longeons les Princess Street Gardens. Avec cette pluie, il serait peu sympathique de s'y promener. C'est bien dommage.
Nous admirons Scott Monument dont la flèche Gothique, massive et impériale, domine les jardins. Estelle mitraille sans arrêt.

Nous arrivons à la Scottish National Gallery. Une imposante construction de style classique. Nous désirons la visiter. A l'abri.
Il y a du monde. Il y a toujours du monde partout dans cette ville. Hiver comme été. C'est impressionnant. Des vrais succès.
Nous découvrons les salles octogonales éclairées de lucarnes aux énormes lustres victoriens qui pendent de toute la hauteur.
La moquette vert foncé et les murs rouges sombres participent de cette ambiance de mystère. < Harry Potter ! > fait Estelle.
Ce musée présente un authentique Vermeer et un autre Gérard Dou, ces deux Maîtres Hollandais du XVIIème. Le siècle d'Or.

Je fais remarquer à Estelle qui me palpe discrètement la braguette qu'il y a des caméras vidéos partout. Trésor de l'Ecosse.
Nous admirons longuement les toiles surprenantes et éclatantes de beauté. C'est la salle des Hollandais et des Flamands.
Au sous-sol, il y a les Maîtres écossais. Nous découvrons les œuvres de David Wilkie ou encore de William MacTaggart. Bien.
Estelle prend nombre de clichés. Sans flash évidemment. Nous admirons ces créations majeures de la peinture écossaise.
A l'étage nous admirons Van Dyck, Rembrandt, Monet, Gauguin, Turner ou encore Cézanne. Nous en sommes émerveillés.

Il est dix sept heures. Il faut quitter. Le musée ferme ses portes. Nous voilà au dehors sous la pluie incessante. Parapluie.
Nous retournons flâner dans le dédale de la vieille ville. Il y a des employés municipaux qui préparent les festivités du 31.
Je propose aux filles de nous réserver une table dans un restaurant afin de continuer nos errances en toute sérénité. Joie.
Il y a cet établissement très chic à l'étage du grand hôtel "International". Nous prenons l'ascenseur qui monte lentement.
Estelle palpe ma braguette. Clémentine lui fait : < Mais tu as bientôt fini de tripoter mon mec ! > Nous rions de bon cœur.

Nous réservons une table dans ce restaurant qui est sans doute un des plus luxueux de la ville. Nous reviendrons pour 20 h.
Dans l'ascenseur, Estelle appuie sur le bouton 16. La cabine monte lentement. < Balade en ascenseur ! > fait elle en riant.
Nous redescendons après dix minutes d'un "voyage" vertical où Clémentine m'a embrassé avec fougue. Estelle me tripotant.
Nous nous promenons dans le vieux Edimbourg en visitant quelques magasins et boutiques. La pluie cesse enfin. C'est bien.
Il est 20 h lorsque nous revenons au restaurant. C'est devant d'énormes plateaux de fruits de mer que nous faisons le bilan.

Ce que nous avons vu à la Scottish National Gallery nous laisse encore sous le charme de ses merveilles. Nous en parlons.
Nous mangeons de bon appétit. La salle est pleine de monde. Impossible pour Clémentine de s'offrir des frayeurs exhibes.
Nous sommes de retour pour 23 h. Les toilettes. La salle de bain. Nous sommes fatigués. Nous voilà au lit. Nous bavardons.
Clémentine autorise Estelle à me sucer un peu pendant qu'elle m'embrasse. Cunnilingus délicieux. Clémentine me termine.
Nous entendons le doux ronflement d'Estelle. Cela nous amuse toujours beaucoup. Clémentine me confie des secrets. Dodo.

Bonne visite du plus extraordinaire des musées d'Ecosse en tripotant le mec de votre copine à toutes les coquines...

Julien - (Tour operator pour jeunes filles de 20 ans qui découvrent les merveilles culturelles d'une ville magnifique) -

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