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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2017 -



C'est le jour du départ

Hier matin, vendredi, je suis réveillé le premier. Je regarde le cadran du réveil. Il est presque sept heures. Je regarde à droite.
Clémentine dort encore. Du moins je le crois. Je reste bien immobile. < Bonjour mon Bitounet ! > me fait soudain la jeune fille.
Ma compagne monte sur moi pour me faire plein de bises. Je la serre très fort. < Bonjour ma Clitorette ! > que je lui murmure.
L'impérieux besoin naturel nous force à nous lever. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. Elle aime.
La jeune fille se lâche dans un long jet sonore. Je m'accroupis pour humer les parfums de sa nuit et récupérer la petite goutte.

Puis c'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en récupère les derniers épanchements.
Je la laisse se régaler un peu avant de la forcer à se redresser. Nous descendons à la cuisine. C'est le premier jour des vacances.
Nous préparons et prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous traînons. Nous nous offrons notre jogging quotidien. Super.
Retour vers 9 h. Nous prenons notre douche. Nous avons préparé nos valises hier après-midi. Nous sommes tout à fait sereins.
Nous allons au jardin. Nous prenons plaisir à voir pousser les légumes de notre jardin. Estelle viendra les arroser tous les soirs.

Nous flânons un peu. Clémentine porte sa robe de maison. J'aime la voir si détendue, dans sa robe transparente à contre jour.
Chaussée de ses ballerines je la regarde évoluer dans le jardin. Elle sait que j'aime la regarder ainsi. Aussi, elle tourne en rond.
< Je t'aime Bitounet ! > me fait Clémentine en me prenant la main. Nous longeons la haie de hauts cyprès. Les arbres fruitiers.
Estelle, durant notre absence, pourra se régaler de cerises. Je lui ai conseillé d'en cueillir un maximum pour les ramener. Bien.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie, la jeune fille vise.

Ma compagne en récupère les derniers reliquats. Je la laisse se régaler un petit moment. Puis je la force à se redresser. L'heure.
Le taxi viendra nous chercher à 11 h pour nous emmener à l'aéroport. Nous arriverons à l'aéroport de Carcassonne pour 16 h30.
Nous mettons tout en ordre. Nous nous changeons. Clémentine se met en short ample. T-shirt et baskets. Je m'habille pareil.
Nous voilà déguisés en touristes guettant l'arrivée du taxi au portillon de la propriété, en haut du chemin. Il arrive à l'heure.
Clémentine n'a jamais pris l'avion. C'est sa première fois. Il y a une légère et normale appréhension. Je la rassure. Nous rions.

Le voyage se déroule dans les toutes meilleures conditions. Clémentine est un peu anxieuse durant le vol tout en regardant tout.
Le hublot, à sa droite, lui permet de faire quelques photos d'altitude. Je l'amuse par de petites anecdotes pour la rassurer. Bien.
Nous arrivons à l'heure prévue. L'atterrissage se déroule à la perfection. Nous prenons la file de sortie. Clémentine est contente.
< A la simple idée de le reprendre pour le retour, ça me gâche les vacances ! > me fait elle en riant. C'est une plaisanterie. Rires.
Je connais très bien les lieux. J'entraîne Clémentine au bureau de location de voitures où nous attend la Golf que j'ai fait réserver.

Toutes les démarches ont été faites par courriels et par téléphone. Les dernières formalités et nous prenons possession de l'auto.
La bagnole est quasiment neuve. Je regarde le compteur. 14 000 km ! Voilà nos bagages dans le coffre. Je démarre. Rassurant !
Je prends la direction de la départementale 3. La petite route qui nous emmène dans la région du village de Lagrasse. A 35 km.
Il fait chaud. Le ciel est parfaitement bleu. Clémentine commente tout ce qu'elle regarde avec une grande attention. Etonnée.
< C'est plutôt rocailleux et presque aride par endroit ! > me fait elle en prenant quelques photographies. Je roule doucement...

J'écoute la voix féminine de mon GPS. Je prends scrupuleusement les directions indiquées. Nous arrivons devant une propriété.
De haut cyprès longent un chemin sur une trentaine de mètres. Le propriétaire nous voit arriver. Il est assis à l'ombre. Salutations.
Il est 18 h. Le soleil est haut dans le ciel. La chaleur n'est pas étouffante mais plutôt agréable. Nous faisons connaissance. Bien.
Monsieur Henry nous présente sa femme. Nous faisons un rapide tour de la grande maison de pierres. Typiquement méridionale.
Monsieur Henry nous montre l'endroit, sous un grand auvent, où nous pourrons garer la voiture. L'endroit est charmant. Beau...

La propriété est entourée de toute part de pins, de cyprès et d'épais bosquets fournis. Il y a un cour d'eau et une petite fontaine.
Monsieur Henry nous invite à le suivre. Nous passons derrière la maison. Nous montons un escalier étroit et plutôt raide. Sympa.
Nous prenons possession de l'appartement que nous allons occuper jusqu'à samedi prochain. Deux pièces spacieuses, lumineuses.
Un cuisine bien éclairée. Une salle de bain, des toilettes. Le sol est carrelé de larges tommettes typiques de la région. Terre cuite.
L'endroit est des plus plaisants. Clémentine me prend la main pour me témoigner sa satisfaction. Nous serons bien ici, ces 7 jours.

Madame Henry monte nous rejoindre. < Alors, ça vous plaît ? > nous demande t-elle. Nous lui témoignons de notre joie du lieu.
Le couple nous observe avec cette curiosité habituelle. Un homme mûr accompagné d'une jeune fille. De quoi être bien étonné.
Ces situations nous amusent toujours beaucoup. Clémentine en joue souvent. Elle prend alors plaisir à se serrer contre moi...
Je propose de régler immédiatement le solde afin que tout soit fait. Nous descendons. Nous entrons dans le bureau des Henry.
Je fais le chèque. Tout est ok ! Le couple nous souhaite un bon séjour. < N'hésitez pas, s'il y a un soucis ! > fait madame Henry.

Nous remontons dans nos appartements. Nous défaisons nos valises pour tout ranger sur les étagères de la vieille armoire. Bien.
< Tout est propre, c'est génial ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la main pour faire la visite des lieux. Il y a le silence.
De la fenêtre de la chambre à coucher la vue sur les collines rocheuses est magnifique. De la cuisine la vue sur la rivière. Bien.
Nous décidons d'aller visiter le village de Lagrasse. Nous reprenons la voiture. Quelques kilomètres sur la toute petite route.
Je gare le véhicule en dehors du bourg. Nous apprécions de tout découvrir depuis le début. Nous dégourdir un peu les jambes.

Lagrasse est une de ces petites cités de caractère aux charmes fous. Des maisons de pierres. Une ambiance médiévale. Beau !
Nous nous promenons. Nous croisons pas mal de monde. Il y a encore peu de touristes. Mais nous sommes identifiables. Bien.
Les gens que nous croisons ont ce regard interrogateur habituel. Est-ce le père de cette belle et grande jeune fille ? Son amant ?
Clémentine, le port de tête altier s'amuse toujours de ces situations en prenant ma main afin de bien renseigner les curieux...
Nous découvrons ce magnifique village. Nous avisons un restaurant fort attirant. Nous lisons les menus. Tout met en appétit.

Clémentine porte une jupe claire et légère qui lui arrive au-dessus du genoux. Un T-shirt et des sandalettes. Elle est élégante.
Je suis en short kaki, chemisette claire avec mes sandales. Mon petit sac à dos contient nos papiers, appareil photo, téléphone.
Il est déjà 20 h30. Nous entrons dans l'établissement. Un accueil agréable. Il y a quelques couples assis de ci de là. Tranquille.
Nous choisissons une table près de la fenêtre largement ouverte. Le lieu est décoré avec goût. C'est d'un raffinement discret.
La serveuse, souriante, nous apporte la carte. Notre choix se porte sur des crudités. Des steaks de thon accompagnés de riz.

Nous mangeons avec appétit. Nous réservons une table pour le petit déjeuner de demain matin. Nous ferons nos courses après.
Clémentine me parle de l'avion, de ses craintes et de l'impression qui en subsiste. Nous rions de bon cœur. Nous bavardons.
Le repas est délicieux. Il y a la qualité et la quantité. Pas de cette cuisine "nouvelle" où l'on reste sur sa faim. Non. Traditionnelle.
Le dessert sera nos coupes glacées habituelles. Nous traînons à table. Clémentine évoque ses études. Ses interrogations. Rires.
Je la rassure en lui précisant qu'avec moi, elle peut prendre son temps et rater autant de fois qu'elle le désire, son "Master". Joie.

Je sais bien que Clémentine est une étudiante brillante qui ne ratera jamais rien dans le cadre de ses études. Mais cela la rassure.
< Avec toi, tout est toujours si simple, Julien ! > me fait la jeune fille en posant sa main sur la mienne. Nos terminons nos glaces.
Après ce délicieux repas, nous flânons encore longuement dans les rues du bourg. Nous nous renseignons sur les commerces.
Il fait nuit. Ces cieux noirs et étoilés si caractéristiques du Sud. Il y a un odeur de végétation le longs des parterres fleuris. Beau.
A plusieurs reprises, discrètement, Clémentine pose sa main sur ma braguette. < Je la veux pour moi toute seule ! > fait elle...

Je l'entraîne dans un coin, sous un porche de pierres. L'endroit est désert et silencieux. J'ouvre ma braguette. Je sors ma queue.
Clémentine s'en saisit. Elle regarde longuement dans toutes les directions. Nous sommes parfaitement seuls. Presqu'invisibles.
La jeune fille me glisse à l'oreille : < Tu me mettras le collier tous les jours pour me promener ? >. Nous rions de bon cœur. Joie.
< Je veux être terriblement salope, contrainte et menée à la laisse ! S'il te plaît, Bitounet ! > fait Clémentine presque suppliante.
Je lui promets de faire au mieux en lui rappelant qu'il est difficile pour moi d'endosser le rôle du "Maître" avec la fille que j'aime.

Clémentine me tient la bite d'une main ferme. Elle la dirige vers le mur. Nous regardons dans toutes les directions. Je pisse. Bien.
La jeune s'accroupit pour en récupérer les dernières gouttes. Je la laisse sucer. C'est très excitant d'être ainsi, dans l'obscurité.
Clémentine ne peut s'empêcher de manifester son plaisir en poussant de petits gémissements. C'est adorable. Une superbe pipe.
Nous entendons des rires au loin. Je force Clémentine à se redresser. Deux couples arrivent dans la rue en bavardant doucement.
Nous nous saluons poliment. Dès qu'ils ont disparu au coin de la rue, Clémentine reprend sa pipe avec une gourmandise avide...

C'est absolument superbe de se faire tailler une pipe avec le risque d'être surpris à tout moment. Même si nous sommes à l'abri.
Je force tout de même Clémentine à se redresser. Ses jambes ankylosées la font rire. < Aïe, aïe, aïe ! > fait elle en se massant.
J'entraîne Clémentine par ses cheveux que je tiens en queue. La jeune fille apprécie tant lorsque j'ai ce comportement de "Maître".
Nous parcourons les ruelles désertes. Nous arrivons à proximité de la voiture. Nous croisons un couple de quinquagénaires. Polis.
Je tiens fermement Clémentine par ses cheveux la contraignant à avancer courbée en avant. Le couple nous observe consterné...

Je fais faire le tour de la voiture à la jeune fille. Je peux l'entendre glousser de plaisir. Le couple s'est retourné. Ils regardent.
Je force Clémentine à s'accroupir sur ma droite. Je la tiens toujours par ses cheveux. Je lui redresse la tête. Le couple mâte.
< Dis bonsoir aux gens ! > que j'ordonne avec fermeté à Clémentine. < Bonsoir ! > fait la jeune fille. Le couple répond. Poli.
< Ecarte un peu tes cuisses pour montrer au monsieur ! > que je fais encore. < Bonne soirée ! > nous font ils en nous laissant.
Clémentine se redresse. Elle m'embrasse. < Julien ! > me chuchote t-elle à l'oreille. Nous rentrons dans la voiture. En route.

Nous arrivons à l'appartement pour 23 h30. Il y a les grillons ou les cigales qui se font entendre. Je soulève Clémentine. Bises.
Je la fais tournoyer dans les airs. < Je t'aime, je t'aime ! > me répète la jeune fille. Je la dépose sur le lit. Je lui retire la culotte.
La tête entre ses jambes, je me régale des substances de son sexe trempé. La salope est tellement excitée par mes initiatives.
Je dois être vigilant. Clémentine déteste les orgasmes qui arrivent trop tôt. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec précaution.
Nous restons immobiles, l'un dans l'autre. Clémentine me confie ses ressentis, me suppliant de répéter mes initiatives souvent.

Nous restons longuement à nous chuchoter des cochonneries. Doucement Clémentine se met à bouger. Nous accélérons. Bien.
Clémentine connaît un orgasme puissant. Des spasmes secouent tous son corps. Ils sont suivis de nombreux frissons. Le plaisir.
La jeune fille m'interdit le plus souvent d'éjaculer en elle. Elle préfère me sucer et se régaler du jus de mes plaisirs. Gourmande.
Je lui propose de prendre notre douche d'abord. Une fois au lit, couchés, Clémentine et moi nous faisons le bilan de la journée.
La jeune fille me suce. Doucement la succion cesse. Tout en suçant, Clémentine vient de s'endormir. C'est merveilleux. Ronfle.

Bon séjour avec votre "Maître" de jeux à toutes. Même si ce n'est que pour de semblant. C'est tellement excitant...

Oncle Julien - (Qui n'a pas l'âme d'un véritable "Maître". Mais qui sait faire semblant. Par amour et sur demande !) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2017 -



C'est notre premier jour de vacances dans l'Aude

Hier matin, samedi, je me réveille doucement. Sans bouger je regarde ma montre posée sur la table de nuit. Il est 7 h30.
Je reste immobile pour ne pas réveiller Clémentine qui semble encore dormir à poings fermés. Je l'observe. Elle est belle.
Couchée sur le dos, la bouche légèrement ouverte, sa respiration régulière émet un léger ronflement. C'est magnifique.
Nous avons tous deux développé une forme de télépathie. Le plus souvent, lorsque l'un se réveille, l'autre ne tarde pas.
Les yeux encore fermés, la jeune fille me fait : < Bonjour Julien ! >. Je suis sur le côté. Je lui couvre le visage de bises.

Clémentine, comme à son habitude, me chevauche. Nous nous faisons plein de papouilles. < Mon Bitounet ! > fait elle.
L'envie pressante du pissou matinal ne nous permet pas de rester trop longtemps au lit. Clémentine se lève, m'entraîne.
Nous allons aux toilettes. C'est le rituel des jours de congé. Je tiens la jeune fille par ses cheveux. Tenue en équilibre.
Clémentine se lâche dans un long jet sonore. Cambrée, les jambes fléchies, debout au-dessus de la cuvette des WC. Bien.
Je m'accroupis pour humer les parfums de sa nuit de fille et pour lécher la dernière goutte. La jeune fille adore l'initiative.

Puis, c'est à mon tour. Clémentine me tient la bite. Elle vise juste. Après avoir secoué la dernière goutte, elle s'accroupit.
Je la laisse toujours se régaler un peu des reliquats dont elle raffole. Je la force à se redresser. Nous allons à la cuisine.
Nous avons emmené des gâteaux secs, des fruits et des sachets de thé. Cela nous permet de calmer notre faim de loups.
Nous bavardons. Nous traînons à table. La cuisine est spacieuse. Des liserés bleus soulignent le mobilier blanc. C'est beau.
Une grille de bois devant les vitres permet d'atténuer la lumière vive. Il fait beau. Il fait déjà très doux. C'est superbe...

Nous nous mettons en tenue. C'est notre jogging quotidien. Nous descendons l'escalier de notre entrée séparée. Silence.
Comme nous ne connaissons pas les lieux, nous décidons de remonter le chemin des cyprès jusqu'à la route. Découverte.
Nous détestons courir sur le macadam. Aussi, nous avisons un large chemin qui part à gauche, à une centaine de mètres.
La végétation est sèche. Nous courons dans un décors rocailleux. Le chemin est large. C'est une belle découverte. Joie.
Nous courons depuis un moment. Nous arrivons à d'anciennes ruines. Un construction de pierres. Pas du tout identifiable.

Comme nous ne connaissons pas, nous décidons de reprendre le même chemin pour le retour. Nous arrivons. Il est 9 h15.
Cet itinéraire dure un peu plus d'une heure. Ce sera celui de nos running quotidiens. On ne va pas s'emmerder. Le sport !
Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Dans le petit sac à dos que j'emporte partout, nous mettons nos papiers.
La petite paire de jumelles, des barres de céréales. Clémentine porte une de ses jupes légères, un T-shirt et ses sandales.
Je mets un short à pince, une chemisette légère et mes sandales. Nous voilà en route pour Carcassonne. Il y a 35 km. Joie.

Nous roulons sur la petite départementale. Nous croisons peu de voitures. La saison touristique n'a pas encore commencé.
Je roule toujours doucement. Nous apprécions tant de tout voir. Clémentine fait quelques photos. Rien ne lui échappe. Bien.
Clémentine me fait part de ses ressentis. Nous arrivons aux abords de la cité médiévale. Une des plus belles du monde.
Je gare la voiture sur le parking en bas de l'entrée principale. Il y a déjà du monde. Je trouve un endroit bien à l'ombre.
Nous montons la route jusqu'au pont. Clémentine est admirative. Voir ces fortifications dans leur réalité est phénoménal.

Nous passons sous l'immense porche de pierre. Nous voilà sur les pavés de la ruelle. Nous sommes en plein moyen-âge.
Les boutiques à souvenirs se suivent. Clémentine prend quantité de photographies. Nous sommes de vrais touristes.
Il y a du monde. Principalement des couples de retraités. Nous flânons dans les ruelles. Une ambiance estivale. Sympa.
J'emmène Clémentine saluer un couple d'amis qui tiennent une boutique. Nous bavardons longuement. Enchantés et ravis.
Ils manifestent toujours le même étonnement de me voir avec une jeune fille de 20 ans. C'est à la fois insolite et charmant.

Nous continuons notre promenade. Clémentine est absolument enchanté de ses découvertes. Il faut dire qu'il y a de quoi !
Être entouré de ces hautes murailles de pierres qui ont défié le temps et les siècles. C'est un grand moment. Réflexion.
Nous longeons les fortifications. Il y a une grande activité à l'endroit où se déroule les manifestations culturelles. Musique.
Des gens installent des projecteurs, du matériel de sonorisation sur la grande scène. Nous nous renseignons. Préparations.
Mercredi soir, 21 juin, il y aura la fête de la musique. Nous nous promettons de venir y passer la soirée. C'est super ! Joie.

Quelquefois, et discrètement, Clémentine me palpe la braguette. < Comment va mon petit ami ? > me fait elle en souriant.
Nous rions de bon cœur. < J'ai envie de faire un gros pipi ! > me fait la jeune fille. Nous nous mettons en quête de toilettes.
Le besoin est de plus en plus pressant. Clémentine n'est pas du genre à s'embarrasser de manières. L'urgence prédomine !
Là, dans la ruelle dont cette partie est déserte, entre les murailles et un grand bac à fleurs, la jeune fille s'accroupit. Pissou.
La culotte à mi-cuisses, Clémentine se libère en faisant : < Il était temps ! >. Je regarde le flot qui semble ne plus en finir.

< Quand ça urge, ça urge ! > fait une voix masculine au-dessus de nos têtes. Nous n'avons pas regardé en l'air. Urgence.
Sur une avancée de pierre, il y a un homme qui peint des volets. < Vous êtes la deuxième ce matin ! > fait il amusé. Rires.
Clémentine, la surprise passée, fait évidemment durer cet instant d'exhibition qu'offre le hasard qui fait si bien les choses.
Le type, son pinceau à la main, regarde la jeune fille, souriant, accroupie là, pas du tout farouche. Clémentine en profite.
L'homme doit rapidement se rendre compte du plaisir soudain dont témoigne la jeune fille qui reste immobile. Bien salope.

< Tu me donnes un mouchoir ! > me fait Clémentine alors qu'elle en tient déjà un dans sa main. Juste pour faire durer. Bien.
Je joue le jeu. Je retire mon sac à dos. Je l'ouvre. Je procède méthodiquement. Je prends du temps. Enfin je tends le paquet.
Nous sommes de parfaits complices. Nous nous comprenons immédiatement. Clémentine me fait un clin d'œil. Le type mâte.
Clémentine s'essuie longuement. Les cuisses écartées, tirant sur sa culotte au risque d'en faire craquer l'élastique. C'est fou.
< Elle est géniale ! > fait le type qui s'est accoudé sur la rampe de son balcon. Clémentine prend son temps. Un spectacle !

Finalement Clémentine se redresse. < Merci ! > fait elle en riant à l'adresse du mec. Elle retire sa culotte pour me la tendre.
Je la mets dans le petit sac à dos. < Comme ça, à la prochaine urgence, ça ira plus vite ! > fait Clémentine. Eclats de rires.
Nous saluons notre bonhomme avant de continuer notre visite. < Superbe opportunité ! > me chuchote Clémentine. Bisous.
Cette petite aventure imprévue a considérablement "allumé" ma compagne. L'idée d'une récidive apparaît rapidement. Joie.
Je regarde ma montre. Il est déjà treize heures trente. Nous avons faim. Nous avisons la terrasse d'un restaurant. Sympa.

Mon téléphone sonne. Clémentine le sort du sac à dos. Ce sont deux messages. Un d'Estelle. Un autre de Juliette. Pensées.
Estelle nous raconte ses moments dans la maison vide. L'arrosage du potager. Tout va bien. On lui manque. Tristounette.
Juliette nous souhaite de bonnes vacances et nous invite à une soirée à notre retour. Nous sommes assis à la terrasse. Bien.
Un serveur vient nous apporter la carte. Clémentine répond aux messages. Nous nous amusons à décrire nos découvertes.
Il fait chaud. L'air est sec mais respirable. Nous commandons des crudités en abondance. De la lotte aux petites patates...

Autour de nous, presque toutes les tables sont occupées. En cette période, il n'y a pas encore de familles bruyantes. Silence.
Nous dégustons nos salades. Cet après-midi nous irons visiter le haut des remparts et découvrir le Musée. De quoi se réjouir.
< Ce qui est étonnant, c'est cette lumière ! > fait Clémentine. Elle rajoute en riant : < On va voir que je n'ai pas de culotte !>.
Nous rions de bon cœur avant que la jeune fille ne me fasse part du regard insistant du monsieur derrière moi, avec sa femme.
< Il n'arrête pas de me mâter ! > me fait Clémentine en me donnant les détails. < Je vais lui faire un "plan" ! > rajoute t-elle.

Je sors mon téléphone. Sur l'écran noir, je peux voir comme dans un rétroviseur. Je le dispose pour bien observer le type.
C'est un couple. Quinquagénaire. Le monsieur porte une petite moustache. < Clark Gable ! > me fait Clémentine en riant.
< J'ai les cuisses légèrement écartées. Il vient de s'en rendre compte ! > me commente Clémentine pour me faire partager.
Dans mon "rétroviseur", je peux constater que le mec mâte tout en discutant avec sa femme. Il doit vivre un grand moment.
Clémentine passe sa main gauche sous la table tout en tenant sa fourchette à la main. La jeune fille regarde autour d'elle.

< Je me touche ! > commente ma compagne en me racontant par le menu tout ce qu'elle fait avec une grande discrétion.
Passée maître dans l'Art de l'exhibe depuis son adolescence, Clémentine mène les opérations avec un soin minutieux. Vice.
Je regarde le mec sur l'écran noir de mon téléphone. Il est d'un grand calme, pondéré, maître de ses émotions. Tant mieux.
Clémentine ne garde sa main sous la table que quelques instants, mais à plusieurs reprises. < C'est super ! > me fait elle.
Nous arrivons au dessert. Ce sont bien évidemment de grandes coupes glacées. La situation perdure pour notre seul plaisir.

< Tout à l'heure, je vais aux chiottes. Tu vas voir, il va y venir aussi ! > me fait Clémentine qui connaît très bien les réactions.
Elle me dit : < Sa femme vient de se lever pour aller aux toilettes ! >. Je regarde sur l'écran noir. Le type fixe Clémentine.
Ma compagne me fait encore : < Il tente de me fixer du regard ! >. Elle descend sa main, fixant l'homme droit dans les yeux.
Je fais semblant de consulter mon téléphone. J'observe l'inconnu. Il esquisse un léger sourire. Clémentine reste stoïque. Vice.
La femme revient. Clémentine me montre ses doigts mouillés. Nous rions de bon cœur. Tout cela est d'une discrétion absolue.

Clémentine se lève et me fait : < Je vais enfoncer le clou ! >. Je la regarde s'éloigner vers les toilettes. Je scrute l'écran noir.
Pas dix secondes. Le type se lève pour prendre la même direction. Un petit moment se passe. Clémentine revient la première.
< Devine ! > me fait elle en posant sa main sur la mienne. < Langue au chat ! > que je réponds. Clémentine fait un clin d'œil.
< Il m'a montré sa bite. Un vrai vicieux. No de téléphone ! >. Nous rigolons comme des bossus. Le type revient à son tour.
Je regarde mon téléphone. Il a l'air gêné. Clémentine me raconte l'insistance du mec pour la revoir quelque part. Un "boulet".

Nous demandons l'addition. Il est déjà 14 h45. Nous sommes un peu lourd de ce délicieux repas. Nous rions du "coup" des WC.
Nous montons aux remparts par le grand escalier. Il fait très chaud. Clémentine me fait part de son ressenti : < Trop chaud ! >.
En haut du large chemin de ronde, une brise rafraîchit agréablement l'atmosphère. Nous suivons plus ou moins une jeune guide.
< C'est beau, mais je ne pourrais pas vivre ici ! Trop chaud ! Trop sec ! > me fait encore Clémentine. Nous nous promenons.
Ma compagne me fait soudain : < Regarde en bas, là, le couple du restaurant ! >. En effet nous les voyons déambuler. Sympa.

Nous terminons la découverte des remparts. Nous redescendons. Ce sera la visite du Musée. Il y a du monde. Mais pas la foule.
Clémentine fait quantité de photos. Discrètement, souvent, la jeune fille met sa main sur ma braguette. Virtuose du "touché" !
Parfois, je la touche également. A chaque fois il y a cet adorable petit sursaut. Nous aimons tant jouer avec le risque calculé.
Je regarde ma montre. Il est déjà 17 h45. Nous décidons de quitter les fortifications pour nous rendre à Carcassonne "ville".
Il nous faut faire nos courses pour les jours à venir. Légumes, fruits, fromages, pain, miel, confitures, café. Logistique de base.

Comme chez nous, je pousse la caddie pendant que Clémentine y dépose les articles de son choix. Il y a l'air conditionné. Bien.
Nous traînons longuement dans le magasin pour profiter de la fraîcheur artificielle. Clémentine cherche une opportunité. Allumée.
Il y a du monde. Ne connaissant pas les lieux, je propose à Clémentine qu'il vaut mieux jouer la prudence. Il est déjà 19 h30.
Nous retournons à la voiture. Les aliments qui doivent rester au frais sont dans des sacs isothermes. Pour une durée limitée. Vite.
Nous prenons le chemin du retour. L'air est un peu plus respirable. Nous roulons avec la fenêtre côté passager ouverte. Fraîcheur.

Nous arrivons à l'appartement. Dans la cour, devant la propriété, il y a monsieur Henry, un couple et deux chevaux. Nous saluons.
Nous montons chez nous. Immédiatement nous mettons tout au frais. Légumes, beurre et fromages au réfrigérateur. Tranquilles.
Clémentine me fait : < Les chevaux me font penser au haras et à Juliette ! >. Je lui murmure : < Et pas à monsieur Gérard ? >.
Nous rigolons comme des bossus. < Ce vieux salaud doit être entrain de se branler à cette heure ! > me fait Clémentine. Rigolade.
Nous préparons notre repas du soir. Salades. Tranches de pain grillées. Il est déjà 21 h30. Nous décidons d'aller nous promener.

Nous marchons sur le chemin qui monte vers la route. Le crépuscule arrive doucement. Clémentine me tient par la main. Fort.
Nous faisons le bilan de cette première journée. Demain, nous irons à la découverte du château de Quéribus. Citadelle du vertige.
J'évoque le petit village de Cucugnan. Clémentine ne sait pas que ce village existe. < C'est comme Montcuq ! > dit-elle en riant.
Nous flânons en prenant nos repaires pour les soirées à venir. Nous traînons longuement. Clémentine m'a sorti la queue. Douce.
Au retour, derrière la cloison de l'abri voiture, elle me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, Clémentine savoure les restes.

Bonne balade en soirée, en vous faisant tripoter vos sexes par vos partenaires à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Guide touristique pour jeunes filles vicelardes, salopes, exhibitionnistes et de plus de 18 ans) -

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Ce second jour de vacances est des plus agréables (et très chaud)

Hier matin, dimanche, j'ouvre les yeux le premier. Je regarde l'heure à ma montre, sur la table de nuit. Il est sept heures.
Je regarde Clémentine qui semble encore dormir profondément. Je reste parfaitement immobile. Et même si je dois pisser.
Le léger ronflement de la jeune fille cesse soudain. < Bonjour Julien ! > me fait-elle en me chevauchant. Ce sont les bisous.
Nous nous offrons des papouilles en riant. Clémentine qui est poussée par le même pressant besoin que moi, m'entraîne.
Nous voilà aux toilettes pour notre rituel des jours de congé. Je tiens Clémentine par ses cheveux afin de tenir son équilibre.

La jeune fille se lâche dans un long jet sonore. Je m'accroupis pour humer les parfums de sa nuit de fille. Lécher la goutte.
< Miam ! > me fait Clémentine en me prenant la queue qu'elle tient afin d'en diriger le jet. Elle me la secoue bien. Calme.
Accroupie, la jeune fille en récupère les derniers reliquats. Je la laisse se régaler un peu avant de la forcer à se redresser.
Nous avons une faim de loups. Nous prenons notre petit déjeuner. < Regarde, il y a des torchons, un tablier ! > fait la fille.
Elle me montre l'intérieur du placard à côté du buffet. La cuisine est très lumineuse avec son mobilier blanc à liserés bleus.

Nous traînons à table. Le jus des oranges fraîchement pressées est un véritable délice. Le pain complet est savoureux. Bien.
Ce sont les vacances et les nouvelles saveurs. Clémentine est assise sur mes genoux. Nous évoquons le programme à venir.
Nous allons nous offrir notre jogging. Clémentine doit descendre à la voiture pour récupérer un sac de toilette oublié hier.
Je la regarde passer son short large et son sweat léger. Nous rions de bon cœur de cet oubli. Je commence la vaisselle. Joie.
Clémentine revient, passe le tablier et me fait : < Je plonge ! >. Elle se serre contre moi et rajoute : < Je suis si heureuse ! >

Nous faisons les clowns en riant. < J'ai envie de montrer mon cul, aujourd'hui encore ! > me fait ma compagne en riant.
Je passe derrière elle pendant qu'elle termine en faisant des imitations d'Estelle. Je lui descends le short. Je fais une photo.
< Tu n'as pas honte ! Espèce de voyou ! > me fait elle en posant le liquide vaisselle pour se précipiter dans mes bras. Bises.
Nous nous changeons. Nous voilà en tenues de sport. Nous descendons. Nous prenons le même itinéraire. Il fait très beau.
Nous revenons après une heure d'un running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons. Jupette, short, T-shirt...

Nous préparons nos affaires et des sandwichs. Nous prenons des fruits en quantité. Deux grandes bouteilles d'eau gazeuse.
Il est 10 h. Nous descendons. Monsieur Henry est dans la cour. Il nous salue. < Alors ? Vous êtes bien ? > demande t-il.
Nous bavardons un peu en lui souhaitant une bonne journée. Nous voilà en route pour le château de Quéribus. Cucugnan.
Il y a de la route. Près de cent bornes. Nous prenons les petites routes. Nous avons soif de découvertes. Fenêtres ouvertes.
Il est presque midi lorsque nous arrivons dans le petit village de Cucugnan. Tout est désert. Peu de voitures y sont garées.

Nous préparons notre petit sac à dos. Nous y mettons le nécessaire. Nous irons jusqu'au château à pied. Une heure de marche.
Après le petit bout de route, nous prenons le sentier pierreux. Le paysage est aride, rocailleux, vide. Ce qui effraie Clémentine.
Là haut, l'imposante silhouette du château. Un monstre de pierre et son donjon si particulier. C'est réellement impressionnant.
Nous arrivons dans les ruines désertes de la vieille bâtisse. L'intérieur est curieusement beaucoup plus petit que ce qu'on croit.
Nous lisons les panneaux touristiques qui expliquent l'histoire des lieux. A l'ombre des pierres il fait moins chaud. Car ça "tape".

Clémentine est incommodée par ces chaleurs qu'elle supporte difficilement. Nous mangeons nos fruit assis à l'ombre des murs.
< C'est un paysage lunaire ! Je ne pourrais pas vivre dans cette région ! > me fait Clémentine. Nous savourons nos pommes.
Le Château est situé au sommet d'une colline dont un côté donne sur une pente abrupte. Je suis sujet au vertige. Etrange.
Nous regardons le paysage spectaculaire et grandiose qui nous entoure. Le tout petit village de Cucugnan, tout en bas au loin.
< C'est réellement impressionnant ! > fait encore ma compagne en sortant l'appareil photo. Nous faisons quelques clichés.

En bas, sur le sentier, il y a la silhouette d'un marcheur. < Peut-être un "plan" ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Je sors la petite paire de jumelles pour les tendre à Clémentine. < C'est un mec avec un sac à dos. Il y a une meuf ! > dit-elle.
Clémentine commente tout ce qu'elle voit et ce qui se passe. L'homme porte un chapeau, un short kaki et un gros sac à dos.
Je regarde à mon tour. Quinquagénaire, filiforme, il avance d'un pas régulier. Il n'est plus qu'à une centaine de mètres. Silence.
< Planque-toi, on ne sait jamais ! > me fait la jeune fille. Je me lève pour me mettre à l'écart derrière un pan de mur. A l'ombre.

Le type arrive à l'entrée des ruines. Clémentine est en embuscade en haut du sentier. Elle guette derrière un autre pan de mur.
La jeune fille est vêtue d'une jupette légère. Un T-shirt et ses baskets. Je l'observe retirer sa culotte qu'elle tient dans sa main.
La situation est idéale. L'inconnu va arriver à l'endroit précis souhaité par la jeune fille accroupie, tête baissée. Lunettes noires.
Clémentine a noué ses cheveux en natte avant notre départ. Natte qu'elle tient d'une main sur son épaule. Se tenant de l'autre.
L'homme arrive à la hauteur de cet insolite spectacle en ces hauts lieux chargés d'histoire plusieurs fois centenaires. Surprise !

Le marcheur marque un temps d'arrêt. La jeune fille accroupie là, semble avoir soudain concentré toute son attention. Silence.
Debout, à une dizaine de mètres, une carte à la main, l'autre bras ballant, notre homme reste silencieusement à observer. Bien.
< Bonjour ! > lance t-il avec un fort accent allemand. Clémentine relève la tête sans bouger. Elle fait un sourire en répondant.
Le type ne sait quoi dire. Clémentine ne bouge pas. Cuisses écartées, le buste bien droit, la jeune fille se lance un nouveau défi.
De ma cachette, une fois de plus, j'admire cet aplomb et ce culot. Je sais les sensations et les émotions qui habitent Clémentine.

La femme monte le sentier. Elle n'est plus qu'à une centaine de mètres. L'homme semble très gêné par cette situation. Silence.
Le type sait bien qu'il ne peut entreprendre aucune tentative d'approche. C'est sa compagne qui arrive. Il tente un bon mot. Joie.
< C'est magnifique ! > se contente t-il de dire dans un français hésitant. < Merci ! > lui fait Clémentine en écartant ses cuisses.
La femme ne va pas tarder. Préventivement, le marcheur redescend quelques pas pour rejoindre sa compagne. Juste à temps.
Clémentine se redresse. Le couple entre dans le château. Clémentine vient me rejoindre. < Génial ! > me murmure t-elle. Rires.

Nous prenons le sentier pour redescendre. La chaleur est accablante. Clémentine fait : < Qu'est-ce que ça doit être en août ! >.
Nous arrivons à la voiture qui fort heureusement est restée à l'ombre. Il est quinze heures trente. Nous nous promenons un peu.
Il n'y a vraiment pas grand chose à voir à Cucugnan. Sur la brochure touristique il y a bien le moulin d'Omer. Nous en discutons.
Nous décidons d'y aller rapidement, par acquis de conscience et de reprendre le chemin du retour. Quelques minutes de route.
Il y a quelques visiteurs. Principalement des couples du troisième âge, voire même du quatrième. Le climat est caniculaire. Fou.

Il est seize heures trente. Nous voilà en route. Nous arrivons à Carcassonne vers dix huit heures. Nous roulons fenêtres ouvertes.
Nous nous promenons dans la cité médiévale. A l'ombre rafraîchissante des étroites ruelles pleine de monde. C'est sympathique.
Carcassonne respire une ambiance particulière. A la fois rassurante et protectrice. Nous y flânons longuement. C'est si agréable.
Il est rapidement vingt heures trente. Clémentine préfère rentrer. < On se fait à manger à la maison, tu veux bien ! > fait elle.
Accablée par la chaleur inhabituelle de ce mois de juin, ma compagne est fatiguée. Nous prenons la route du retour. Il est 21 h.

Nous arrivons. < Ouf ! Viens vite ! Je rêve d'une douche depuis des heures ! > me fait Clémentine. Nous montons à toute vitesse.
Nous traînons sous la douche en riant. Eau tiède, puis froide, puis tiède. < Comme ça fait du bien ! > me fait Clémentine. Joie.
Je fais remarquer à ma compagne que ce climat d'exception nous permettra de passer un séjour sans risques météorologiques.
Nous préparons nos crudités. Je fais griller des tranches de pain. Encore chaudes j'y étale du Roquefort. Rondelles de tomate. Bien.
Nous savourons ce repas en bavardant. Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. < Je t'aime Julien ! C'est super ! > me dit-elle.

Nous traînons à table. Le programme, demain, sera la visite des gorges de Galamus. < Tu veux encore rouler ? > fait Clémentine.
La jeune fille me propose de rester dans la région où nous sommes. Se balader à Lagrasse. Découvrir les endroits immédiats. Bien.
Nous faisons la vaisselle. Nous consultons nos messageries sur la tablette. Un long message d'Estelle qui nous raconte sa journée.
Le crépuscule arrive doucement. Enfin la fraîcheur du soir envahit l'atmosphère. Nous descendons pour notre promenade du soir.
Nous longeons le chemin des cyprès. Le chant des grillons ou des cigales, nous ne savons pas, est sonore. C'est vraiment magique.

Clémentine me tient la main. < Merci pour ces vacances mon Bitounet ! Si tu savais comme je suis heureuse ! > me fait elle. Joie.
< Malgré la chaleur ! > rajoute t-elle en mettant sa main sur ma braguette. < Ce soir je te fais une super pipe ! > rajoute t-elle.
Nous rions de bon cœur. Je lui chuchote : < Et si je te léchais le minou, là, au détour d'un chemin, dans la nuit ? >. Elle m'embrasse.
Nous cherchons un coin dans l'obscurité. Il y a une dalle de pierre, là, dans le petit amas rocheux en contre bas du sentier. Super.
Clémentine m'entraîne par la main. Elle s'assoit sur la table naturelle. Je me mets à genoux. Clémentine retire sa culotte. Soupirs.

Je me régale de sa chatte humide. Hélas, avec la douche de tout à l'heure, l'odeur du pain Dove prédomine. C'est un peu frustrant.
J'apprécie tant les odeurs corporelles, naturelles et fortes. Clémentine encore plus que moi. Mais, avec la chaleur de la journée !
Je suis vigilant. J'évite adroitement d'emmener ma compagne à un orgasme prématuré. Chose qu'elle déteste. C'est merveilleux.
Je cesse toujours au bon moment. Les gémissements de Clémentine deviennent de longs râles. Un long moment. L'orgasme arrive.
Nous restons assis un à côté de l'autre à nous murmurer des douceurs, des cochonneries et à rire comme des bossus. Il fait si bon.

Il est déjà 23 h30. Nous prenons le chemin du retour. La nuit est étoilée dans un ciel d'encre. Il fait frais. Nous avons presque froid.
Clémentine m'entraîne derrière la cloison en bois de l'abri voiture. Elle s'accroupit pour me sortir la queue. Humide par l'excitation.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet. J'en lâche plusieurs. Entre chacun d'eux, Clémentine suce en gémissant de bonheur. Joie.
Je la laisse se régaler. Mon envie de pisser est forte. Nous nous amusons ainsi un bon moment. Je force Clémentine à se relever.
Elle prend une rapide photo de notre Chef-d'œuvre du soir. Nous montons. Nous sommes épuisés de fatigue. Plus de pipe. Dodo...

Bonne visites de ruines de châteaux médiévaux en vous faisant surprendre accroupies à toutes...

Oncle Julien - (Qui souffre un peu de la chaleur mais moins que Clémentine) -

Classe


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Homme, 53 ans, France
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Le troisième jour de vacances a de quoi nous enchanter

Hier matin, lundi, nous sommes réveillés par un bruit extérieur. Je me lève pour aller regarder dehors. Il y a un camion.
Clémentine regarde l'heure. Il est 7 h. < C'est quoi ? > me demande t-elle. C'est un gros camion qui déverse du sable.
< Bonjour Julien ! > fait Clémentine en se levant pour me rejoindre. Nous observons ce curieux manège de bon matin.
< Ils font des travaux avant les grosses chaleurs de la journée ! > me fait encore ma compagne en m'entraînant au WC.
Je la tiens en équilibre au-dessus de la cuvette par ses cheveux. La jeune fille se lâche dans un long jet sonore. Sympa.

Puis c'est elle qui me tient la bite pour en diriger le jet. Nous tirons la chasse. Poussés par la faim nous allons à la cuisine.
Clémentine presse les oranges. Je fais griller les tranches de pain. Nous mettons la table. L'odeur du café et de la grillade.
Dehors le bruit a cessé. Par les fenêtres largement ouvertes, nous pouvons entendre des voix. Celle de monsieur Henry.
Je me lève pour aller voir. Deux hommes terminent d'étaler un gravier fin à l'aide de râteaux. Le camion est partit. Bien.
Nous traînons à table. Nous profiterons de la fraîcheur toute relative du matin pour aller faire notre jogging. La vaisselle.

Clémentine m'attrape la bite pour me chuchoter : < Attention salope ! >. Nous rions de bon cœur. Je la serre contre moi.
Nous nous mettons en tenue. Nos shorts, T-shirt et baskets. Nous descendons. Nous croisons monsieur Henry tout confus.
< Bonjour ! Excusez le bruit, ce n'était pas prévu ! Je fais stabiliser le sol de la cour ! > nous explique le propriétaire. Bien.
Nous sommes toujours contents d'êtres réveillés de bonne heure. Vacances. Aussi nous signifions à qu'il n'y a aucun mal.
Nous partons en rythme lent pour accélérer en haut du chemin des cyprès. Une heure d'un running revigorant et superbe.

Nous sommes de retour pour 9 h15. Nous prenons notre douche. Au programme de la matinée ce sera un saut à Lagrasse.
Clémentine est vêtue d'une de ses jupettes. Légère, courte et ample. Un simple T-shirt et ses sandalettes. Je suis en short.
Dans la cour, le revêtement "stabilisé" crisse sous nos pas. Madame Henry taille des fleurs. Elle nous salue. Bavardages.
< Si vous voulez profiter de nos bicyclettes, elle sont dans le cabanon, là-bas ! > nous propose la propriétaire. Bonne idée.
Nous voilà en route pour Lagrasse. Je gare la voiture à l'entrée du village. Nous flânons en regardant autour de nous. Bien.

Nous allons à l'office du tourisme afin de prendre quelques brochures. Surtout une carte des sentiers de randonnées. Joie.
< Regarde ! Mercredi matin il y a le marché à Lézignan Corbière ! > me montre Clémentine sur le prospectus. Nous irons.
Nous déambulons dans les rues du villages plutôt animées. Les autochtones procèdent à leurs activités avant les chaleurs.
Les gens sont souriants. Ils bavardent facilement. Nous allons à la supérette, place de l'Ancoule. Il y fait très agréable.
Nous achetons quelques barres de céréales. Le magasin d'antiquités et Brocante est ouvert. Nous y entrons. C'est beau.

L'accueil est chaleureux. C'est un beau village de caractère et les habitants y semblent heureux. Un environnement superbe.
Nous visitons l'église. La fraîcheur de l'intérieur de la bâtisse contraste avec l'arrivée de la chaleur. Il est déjà onze heures.
Cet après-midi, plutôt que de passer des heures à rouler, Clémentine me suggère la visite de l'abbaye de Fontfroide. Bien !
Nous sommes assis à l'ombre d'un vieux mur de pierres. Nous étudions la brochure. Itinéraire et historique de ce haut lieu.
Nous retournons à la voiture. Retour à l'appartement. Je roule en me faisant caresser le sexe. Nous rions de bon cœur. Joie.

Il est midi. Nous préparons nos salades. Carottes, concombre et tomates. Des avocats aux crevettes. Pain grillé. Un régal.
Clémentine, assise sur mes genoux me fait part de ses impressions. < Traînons un peu plutôt que l'hyper activité ! > dit-elle.
Et c'est vrai que nous avons tendance à nous déplacer tout le temps. Je trouve sa suggestion absolument parfaite. Vacances.
< Attention salope ! > me fait encore ma compagne en me sortant la queue pendant que je débarrasse la table. Rigolade.
Clémentine plonge. J'essuie. < Attention salaud ! > que je lui glisse à l'oreille en passant ma main sous sa jupette. Réflexe...

Dans l'appartement, toute fenêtres ouverts, nous maintenons un air respirable. Il y a un grenier au-dessus. Pas trop chaud.
Nous descendons. Je propose à Clémentine de prendre le volant. < Tu es fou ! Je déteste ça. Je me fais conduire ! > dit-elle.
Nous rions de bon cœur. Je roule avec la bite à l'air que tient fermement Clémentine. Parfois, elle se penche pour la sucer.
Nous arrivons à l'abbaye de Fontfroide. Ce haut lieu historique est situé dans une sorte de vallée en direction de Narbonne.
Entourée de massifs rocheux la bâtisse séculaire semble immense. Il y a plein de voitures stationnées sur le parking. Bien.

Nous prenons nos billets. Clémentine a toujours le réflexe de présenter sa carte d'étudiante. Cela me fait toujours sourire.
La visite est libre. Nous apprécions la fraîcheur toute relative qu'offrent les vieilles pierres. L'architecture y est magnifique.
Construction gothique presque millénaire l'abbaye offre quantité de recoins, de couloirs et de salles. De quoi déambuler.
Il est à peine 15 h30. La visite termine à 18 h. Nous avons bien l'intention de profiter de la fraîcheur jusqu'à cette heure.
Il y a du monde. Principalement des couples de "séniors" ou des étrangers. On y entend l'anglais ou encore l'allemand...

< Attention salope ! > me fait Clémentine à chaque fois qu'elle pose discrètement sa main sur ma braguette. Je fais pareil.
< Attention salaud ! > que je dis à chaque fois que je passe discrètement ma main sous sa jupe. Nous rions de bon cœur.
Nous visitons consciencieusement. C'est à la fois pour faire durer mais également parce que l'endroit mérite d'être vu. Beau.
Il y a une jeune femme très élégante qui prend des photos des arches gothiques d'un des ambulatoires. Elle semble seule.
Nous sommes un peu plus loin, assis sur le muret entre deux colonnades. Clémentine me tient la braguette. Discrètement.

La jeune femme prend conscience de notre présence. Elle découvre la main de Clémentine posée sur mon short. Sourire.
Nous la suivons des yeux. Clémentine regarde à gauche, à droite et passe sa main dans mon short. La jeune femme voit.
Je suis un peu gêné. La jeune femme est belle. Sans doute la trentaine elle louche sur notre petit jeu. Complice et secrète.
Elle passe devant nous à plusieurs reprises. A chaque fois qu'il y a d'autres visiteurs, Clémentine retire sa main. Coquine.
La jeune femme passe tout près de nous et nous salue. Elle s'arrête, se retourne et nous fait : < C'est génial ! >. Sourire.

Toutefois la jeune femme ne s'attarde pas. Sans doute peu désireuse d'entrer en contact. Elle quitte la salle. Nous rions.
< Tu es quand même gonflée ! > que je fais à Clémentine qui me tripote la bite. Je bande comme le dernier des salauds.
< Attention salope ! Tu étais prévenu ! Il ne fallait pas m'emmener ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Nous continuons par la visite des jardins du cloître. C'est majestueux. Malgré la chaleur caniculaire. Nous allons à l'ombre.
Dans la chapelle, nous croisons une nouvelle fois la jeune femme. < Blasphème ? > me fait Clémentine en me touchant.

Nous rions de bon cœur. La jeune femme surprend une nouvelle fois le geste de Clémentine. < Excommuniée ! > que je dis.
Nous rions de bon cœur. Je repousse doucement la main de Clémentine en lui chuchotant : < Un peu de respect que diable !>
< Tu l'écris comment "que" ? > me demande Clémentine en récidivant. Notre bonne humeur doit rayonner autour de nous.
La jeune femme nous lance quelques regards entendus. Il fait une agréable fraîcheur. C'est presque froid. Nous en profitons.
< Je t'aime Bitounet ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Je lui tiens les poignets pour qu'elle reste sage. Bien.

La visite s'achève. Un monsieur passe pour signifier aux visiteurs qu'il faut rejoindre les sorties. Nous voilà à l'extérieur.
Nous faisons le tour de la grande bâtisse. A l'ombre des hauts murs, nous sommes encore un peu à l'abri de la chaleur.
Nous avisons un des sentiers qui va vers les bosquets d'arbres. < Il n'y a pas de forêts dans la région ! > fait Clémentine.
Nous retournons au parking. La voiture est restée en plein cagnard. Nous ouvrons les portières une dizaine de minutes.
Nous reprenons la route du retour. Nous arrivons à Lagrasse. Nous décidons d'y passer la soirée. Nous mangerons après.

Nous avons des barres de céréales. Même si c'est chaud. La supérette est entrain de fermer. Nous prenons de l'eau. Fruits.
Les rues sont à l'ombre. Même si nous connaissons bien maintenant, c'est un nouveau plaisir. Assis sur un banc à manger.
Nous trainons là jusqu'à la tombée de la nuit. Nous rentrons à l'appartement. < Attention salaud ! > que je fais à la fille.
Je lui enlève sa culotte. Je l'entraîne sur le lit. < Arrête, j'ai transpiré toute la journée ! > fait Clémentine me repoussant.
Je lutte, je mets mon visage entre ses cuisses. Je me régale des effluves parfumées de sa journée de fille. Je déguste...

Clémentine, bien excitée, se laisse brouter en poussant de petits cris de ravissement. Je me régale de son sexe. Délicat.
Nous restons un long moment à nous occuper ainsi. Evitant l'orgasme de la jeune fille toujours juste à temps. Virtuosité.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Confidences.
Nous faisons l'amour longuement, presque sans bouger, dans une infinie tendresse, comme nous aimons. Orgasmes !
Nous décidons d'aller prendre l'air de la nuit. Il est 23 h30. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Photographie.

Bonne visite de l'abbaye de Fontfroide en vous tripotant discrètement à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui est prévenu : < Attention salope ! > par Clémentine. Il ne pourra pas dire qu'il ne le savait pas) -

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Nous partons visiter un nouveau château Cathare

Hier matin, mardi, je suis réveillé par des petits murmures à mon oreille. < Julien ! Je t'aime ! >. J'ouvre les yeux. Bisous.
Clémentine me chevauche en riant. Je la serre contre moi. Nous nous faisons plein de papouilles. Un petit moment. Tendre.
L'impérieux besoin naturel ne tarde pourtant pas à nous contraindre. Clémentine m'entraîne. Nous nous levons. Le pissou.
Je tiens Clémentine par ses cheveux. Ainsi maintenue en équilibre au-dessus de la cuvette des WC, la jeune fille se lâche.
C'est à elle de me tenir la bite pour en diriger le jet. Nous nous précipitons à la cuisine animés par une faim de loups. Joie.

Depuis trois jours, nous nous nourrissons de melons à profusion. Nous ne pouvons réfréner l'envie d'en manger maintenant.
Clémentine presse les oranges, je coupe un melon en deux pour en enlever les pépins. Je fais griller quatre tranches de pain.
Nous mangeons avec appétit. Il est sept heures trente. Après ce copieux repas, nous nous mettons en tenues. Le jogging.
Nous descendons. Il fait encore très agréable. La chaleur ne va pas tarder. Nous courons sur notre trajet habituel. Superbe.
Nous sommes de retour après un running d'une heure. Nous saluons madame Henry qui est déjà dans son jardin. La douche.

Nous nous habillons très légèrement. Nous préparons nos sandwichs aux fromages. Deux melons, deux bouteilles d'eau.
Je mets des glaçons dans le petit compartiment du sac isotherme. Nous descendons. Nous voilà en route pour notre virée.
Aujourd'hui, ce sera la visite du château de Peyrepertuse. Une heure de voiture et environ 60 km par la D611 et l'A61.
Nous avançons avec les fenêtres arrières ouvertes. Je roule doucement. Clémentine fait des photos du paysage rocailleux.
J'ai la bite à l'air. Ma compagne me la tient à plusieurs reprises. Parfois, elle se penche sur le côté pour me la sucer. Bien.

< Je trouve qu'en ce moment, je ne suce pas assez ! La chaleur sans doute ! > me fait la jeune fille. Nous rions de bon cœur.
Nous arrivons aux pieds des montagnes arides et inquiétantes. Tout là-haut, à peine discernables, il y a les murailles grises.
Ce sont les ruines du château de Peyrepertuse. Comme toujours, elles paraissent beaucoup plus grandes que dans la réalité.
Je gare la voiture à l'ombre d'un bosquet de rares arbres secs. Je prends le petit sac à dos. Nous voilà en route sur le sentier.
La pente devient rapidement raide sur un véritable pierrier. Clémentine marche d'un bon pas devant moi, imposant le rythme.

Nous marchons environ trente minutes. Il est déjà onze heures. La chaleur est à présent forte. Le soleil est haut dans le ciel.
Là-bas, au-dessus des Pyrénées, il y a bien quelques amas nuageux. Sinon le ciel est d'un bleu clair et lumineux. C'est super.
Nous arrivons dans les ruines. En fait, il y a deux châteaux. La construction de ces édifices défie la raison. C'est insensé. Fou !
Des deux côtés c'est le vide vertigineux. Il y a quelques visiteurs. Clémentine malgré sa légère indisposition découvre le tout.
< C'est grandiose. Au-delà de ce qui est imaginable ! > me fait ma compagne. Clémentine souffre un peu de cette chaleur.

A plusieurs reprises la jeune fille me tripote la braguette. < Comment va mon petit ami ? > me demande t-elle en riant. Joie.
Il y a deux couples armés de grosses caméras qui filment l'intérieur des ruines. Certainement pour un reportage. Emissions TV.
Nous nous tenons soigneusement hors champs. Nous trouvons un endroit à l'ombre des murailles imposantes. Horizon visible.
Sans doute une ancienne poterne donne sur le vide. Nous sommes assis à quelques mètres du vide. Il y a une barrière en fer.
Il est déjà midi trente. Notre appétit est à la mesure de ces ruines. Vertigineux. Je coupe les melons. Clémentine sort le pain.

Ce repas est des plus surréalistes. Au loin les Pyrénées, l'ancienne frontière de l'Aragon. Un spectacle grandiose. Inoubliable.
Nous sommes à plus de huit cent mètres d'altitude. Les sommets neigeux des Pyrénées sont un étonnement supplémentaire.
Nous savourons notre repas avec un rare plaisir. Il y a de quoi regarder. J'ai sorti la petite paire de jumelles. Nous observons.
Clémentine tient la brochure touristique qui évoque le château qui n'a de Cathare que le nom. Ils n'ont fait qu'y habiter. Loin.
Nous prenons nos aises. Il y a une légère brise. A l'ombre des murailles il fait plutôt agréable. Une façon de fuir les chaleurs.

Nous somme allongés au sol, entre les pierres, juste aux côtés du sentier qui longe l'intérieur des murailles de la forteresse.
Parfois, un couple de visiteurs passe en nous saluant. Le plus souvent des étrangers. Anglais, Allemands peut-être Hollandais.
Nous apprécions ces instants. Il est bien décidé de traîner longuement en ces lieux. Nous nous enivrons de tous ces paysages.
Nous évoquons Estelle qui nous envoie chaque jour un long message. Elle vient arroser notre jardin tous les soirs. Tout pousse.
Elle nous raconte les cerises qu'elle cueille tous les soirs par seaux entiers pour les emmener chez elle. Tartes et confitures.

Il est quinze heures trente. La bougeotte nous saisit. Il est temps de descendre. Clémentine me fait part de son besoin de pisser.
< Moi aussi ! > que je lui fais. A l'abri d'un pan de mur qui, depuis plus de 800 ans en a vu bien d'autres, clémentine me tient.
Elle dirige le jet de sa main experte et virtuose. Accroupie, la jeune fille se régale de mes derniers épanchements. Petite pipe !
Je regarde dans tous les sens. Je permets ainsi à ma compagne de pouvoir me sucer un peu. Je la force à se redresser. A elle.
Accroupie, Clémentine que je tiens par ses cheveux, se lâche dans un jet puissant qui s'écoule en un long ruisseau sur le sol.

La jeune fille se relève. Je m'accroupie pour lécher la dernière goutte. Je hume les parfums de sa journée de fille. Odeur forte.
Je m'enivre un petit moment des effluves puissantes de ma compagne. Elle me force à me redresser. Nous prenons le sentier.
La descente, prudente et lente, nous permet d'apprécier les environs sans faire d'efforts. La chaleur est caniculaire. Parking.
La voiture est toujours à l'ombre. Nous laissons toutefois les portières grandes ouvertes pendant que nous rangeons les affaires.
Clémentine se serre contre moi pour me chuchoter : < Merci Julien pour toutes ces découvertes ! Superbes vacances ! >. Bises.

Nous prenons la petite route qui mène à la portion d'autoroute que nous traversons pour prendre la direction de Narbonne.
< Tous ces kilomètres ! C'est immense cette région ! > me fait Clémentine. Il est dix sept heures. Nous arrivons à Narbonne.
Je gare la voiture dans une petite rue près du centre. Je connais cette ville pour y avoir passé jadis quelques séjours. Sympa.
La chaleur est intense. Le milieu urbain contribue à la rendre plus forte encore. Nous flânons en prenant tout notre temps.
L'architecture des grandes bâtisses historiques du centre rappelle celles de la Catalogne. C'est un foyer culturel commun. Beau.

Il y a du monde dans les rues animées. Nous traînons en prenant quelques photographies. Clémentine me propose de rentrer.
Nous retournons à la voiture. Direction Lézignan Corbière puis Lagrasse. La route est fréquentée mais ça circule plutôt bien.
Nous sommes de retour pour 21 h30. Clémentine m'entraîne derrière la cloison de l'abri voiture. Elle me tient la bite, dirige le jet.
Nous nous préparons le repas du soir. Crudités, melons et pain grillé avec un Roquefort que nous adorons. Nous traînons à table.
Après la vaisselle, nous décidons de flâner un peu dans les environs. La nuit tombe apportant enfin un peu de fraîcheur. Super...

Bonne découverte des châteaux Cathares à toutes et à tous, même si la canicule est accablante. Dur pour la baise...

Oncle Julien - (Heureux privilégié qui en fait profiter son adorable compagne) -

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Nous nous promenons dans les environs de Carcassonne

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par pleins de bisous. Sur le front, sur les joues et même sur le bout du nez. Sourires.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine dès que j'ouvre l'œil. La jeune fille ne supporte jamais la solitude très longtemps.
Elle me chevauche en riant. Je la serre contre moi. Nous nous faisons les papouilles matinales. Je regarde l'heure. 7 h15.
L'impérieuse envie de pisser nous impose de mettre fin à nos effusions matinales. Clémentine m'entraîne par la main. WC.
Je tiens la jeune fille par ses cheveux afin de maintenir son équilibre. Elle se lâche dans un long jet sonore. C'est à moi...

Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Nous avons faim. Nous nous précipitons à la cuisine pour le petit déjeuner.
Je fais griller les tranches de pain. Clémentine presse les oranges. Je coupe un melon en deux. Je retire les pépins. Délicieux.
Depuis notre arrivée dans l'Aude, nous faisons une véritable cure de melon. Ce qui commence à nous donner la "coulante".
Mais c'est tellement bon. Nous traînons à table. < Laxatif, le melon ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Ma compagne, assise sur mes genoux me fait : < Et aujourd'hui, quelle est la surprise que tu me réserves ? >. Montségur...

Nous faisons notre vaisselle. Nous nous mettons en tenues. Nous voilà à courir pour notre jogging quotidien. Retour à 9 h20.
Nous croisons monsieur Henry qui déballe le coffre de sa voiture. Nous nous saluons. Nous bavardons un peu. La douche.
Clémentine porte une de ses jupettes légères. Un T-shirt et ses sandalettes. Je suis en short, T-shirt et sandales. Préparation.
Dans le petit sac à dos nous disposons deux melons, des barres de céréales, deux bouteilles d'eau et des gâteaux secs. Bien.
Nous voilà en route pour le château de Montségur. Il n'y a pas encore les grosses chaleurs. Nous roulons fenêtres ouvertes.

Quatre vingt kilomètres sur la départementale 111. Une heure trente de route. Clémentine joue avec ma bite en bavardant.
Parfois la jeune fille se penche sur le côté pour me sucer de courts instants. < Aujourd'hui, je veux ma pipe ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur. Nous sommes à présent dans un paysage enchanteur. < Oh ! Il y a des forêts ! > fait Clémentine.
Le château de Montségur apparaît tout là-haut sur son pog. A plus de 1 200 mètres, ce vaisseau de pierre défie la raison.
Nous garons la voiture sur le parking. Montségur est un petit village typique et très accueillant. Nous nous y promenons...

Je porte le petit sac à dos. Il y a quelques touristes qui déambulent dans les rues. Nous prenons la direction du château.
Nous prenons le sentier balisé au "Prat dels Cramats". Cet endroit où furent brûlés 200 Cathares refusant d'abjurer leur foi.
Le sentier est très rapidement abrupte. Nous croisons des visiteurs qui redescendent. Trente minutes d'une marche lente.
Le sentier est périlleux par endroit. La végétation y est dense. Le paysage est bien verdoyant. Nous sommes dans l'Arriège.
Nous arrivons dans les ruines. Comme toujours, l'intérieur de la vieille bâtisse est beaucoup plus petit que ce qu'il paraît...

Il y a quelques touristes qui prennent des photos. Nous longeons les remparts. Clémentine lit la brochure et commente. Bien.
Ce château fut le dernier bastion occupé par les Cathares. La fin d'une époque. Simon de Montfort et ses soldats les harassaient.
Nous plongeons dans le passé. Presque 800 ans en arrière. Clémentine, discrètement me palpe la braguette. Coquine. Rires.
< J'ai peur ! > me fait ma compagne en me tripotant. Je regarde à gauche, à droite avant de mettre ma main sous sa Jupe.
Il est déjà midi trente. Nous nous installons tout près de la poterne. Nous déballons notre repas. Melon, gâteaux, cuillères...

La citadelle du vertige porte bien son nom. De toutes parts c'est l'abysse. Des parois verticales de plus de 900 mètres. Fou !
Comment des hommes, il y a un millénaire, ont-ils pu construire un tel monstre de pierres ! Nous évoquons ce mystère. Bien.
Le repas est délicieux. La chaleur est à nouveau caniculaire. Nous restons à l'ombre des murailles. Vautrés sur le sol pierreux.
Nous buvons beaucoup. Déjà une bouteille d'eau gazeuse de vide. Clémentine, discrètement, me sort la queue. Je bande mou.
Il n'y a plus personne. Juste un couple de retraités, là-bas, qui ne prête pas la moindre attention à notre présence au ras du sol.

Clémentine joue avec mon prépuce tout en me parlant d'Estelle dont nous avons reçu le message quotidien dans la matinée.
Nous y répondons toujours. Le plus souvent un petit mot le matin et un petit mot avant d'aller nous coucher. Tout va très bien.
Estelle arrose le jardin tous les soirs, aère la maison et cueille des seaux de cerises qu'elle ramène à la maison. Confitures.
Clémentine regarde à gauche, à droite, personne. Elle se penche pour me sucer. Je surveille. Je la laisse se régaler. Déguster.
Clémentine mâchouille la peau de mon prépuce en gémissant. < Miam, c'est bon ! > me fait elle en saisissant mes couilles...

Il y a un groupe d'Allemands qui pénètre dans les ruines. Je tire Clémentine par ses cheveux et je range ma queue. Très vite.
Personne n'a rien vu. Ce sont des touristes Allemands qui envahissent le lieu. Il est 15 h. Nous décidons de redescendre. Bien.
Nous faisons provision d'eau au commerce du bourg. La voiture est à l'ombre. Il fait une chaleur folle. Nous roulons doucement.
Clémentine me suce et me tripote presque sans arrêt. < Je me sens salope ! Si tu savais ! > fait elle. < Je sens ! > que je dis.
Nous rions de bon cœur. Nous arrivons à Carcassonne. Il est 17 h45. Je propose à Clémentine de découvrir le canal du midi...

Nous garons la voiture au port de plaisance. Il y a plein de bateaux. En face il y a le port de plaisance de Trèbes. Superbe lieu.
Nous flânons sur les quais. Il y a de l'animation. Il y a une partie de pétanque qui sembles attirer beaucoup de passionnés.
Nous traînons longuement. Entre deux camionnettes, Clémentine peut s'offrir la frayeur d'une petite exhibe en faisant son pipi.
C'est un monsieur très bien qui "tombe" sur le merveilleux spectacle. Je suis dissimulé un peu plus loin, derrière des bicyclettes.
Le type s'arrête et se met à bavarder avec la jeune fille. Je la vois de dos, cuisses largement écartées, sa culotte à la main. Joie.

Cette petite salope s'offre son petit plaisir du soir. Le type s'approche. Il est à quelques mètres de la fille. Il se touche. Discret.
De ma planque, accroupit derrière les vélos, je n'entends rien des propos qui s'échangent. Par contre je vois Clémentine rire.
Comme souvent, avec l'excitation, Clémentine éprouve toutes les difficultés pour pisser. C'est encore le cas ce soir. Attentes.
L'inconnu, un petit gros, s'accroupit carrément pour mieux regarder. Clémentine ne bouge absolument pas. Situation torride.
Il y a déjà une large flaque de pisse au sol, sous les fesses de la jeune fille. Le type mime une pipe, la main devant sa bouche.

Clémentine secoue la tête négativement en se lâchant enfin dans un jet libérateur. Le type mâte comme pour une "apparition".
Toutefois, l'homme ne tente rien. Il se contente de regarder. Il s'est redressé. Il regarde dans toutes les directions. Personne.
Il se tripote la braguette en discutant avec animation. A peine quelques éclats de voix incompréhensibles me parviennent. Rien.
Clémentine, les jambes certainement ankylosées, se redresse. L'inconnu doit lui arriver à l'épaule. Il semble en admiration. Béat.
Clémentine le dépasse en l'ignorant superbement. Le bonhomme se met à trottiner en suivant la jeune fille. Il dit des choses...

Ma compagne, sans doute excédée, suivie par le "boulet", me cherche du regard. Je sors de ma cachette pour la rejoindre.
Lorsqu'il me voit, immédiatement, l'homme tourne des talons et disparaît rapidement dans l'attroupement de la pétanque.
Nous nous amusons beaucoup du récit de Clémentine qui me décrit ses sensations, ses émotions et de sa forte excitation.
Il est 19 h30. Nous retournons à la voiture. Nous arrivons rapidement au parking devant les fortifications. Peu de places.
Ce soir, c'est la fête de la musique. Nous montons jusqu'au pont-levis, nous franchissons l'immense porche de pierres. Bien.

Il y a déjà des musiciens qui terminent de s'installer. Nous avisons une petite boutique de souvenirs juste derrière un groupe.
Nous y entrons pour acheter quelques cartes postales. Clémentine vient me rejoindre. Contre moi elle m'entraîne par la main.
< Regarde dans la vitrine ! > me fait elle en me montrant des objets insolites. Il y a une tétine en caoutchouc suspendue là.
C'est une petite bite en caoutchouc couleur chair. Nous rigolons comme des bossus devant cet objet étrange et incongru ici.
< On se la prend pour Estelle ! Tu en veux une aussi ? > que je dis. Clémentine me fait : < Non, moi j'ai la vraie ! >. Fou rire.

Nous achetons le curieux petit objet. C'est le premier cadeau pour Estelle. Nous avons l'intention de lui ramener une belle robe.
Estelle, le plus souvent en jean, en chemise à carreaux, en short et en baskets, ne porte que rarement des vêtements de filles.
Alors qu'elle est plutôt sexy. Grande comme Clémentine. Nous sommes agités de quelques fous rires à l'idée de notre blague.
Il y a u un groupe de trois jeunes. Une fille à la basse, un garçon à la guitare et un autre à la batterie. Ils jouent un super Blues.
Il y a de plus en plus de monde. Nous avons faim. Je propose à Clémentine de nous offrir un bon restaurant. Nous flânons. Joie.

Nous arrivons à la même terrasse que la dernière fois. Il reste quelques tables libres. Nous prenons place. C'est sympathique.
A l'ombre la fraîcheur est très agréable. Nous passons commande d'un plateau de fruits de mer. En face, un groupe folklorique.
La soirée est vraiment attrayante. Nous nous promenons encore un peu. Les gens nous regardent souvent avec curiosité.
Cet homme d'âge mur et cette jeune fille qui le tient par la main. Nos hautes tailles. Mon allure de dilettante anglais. Cool !
Nous nous amusons toujours beaucoup de ces situations, de ces regards et des interrogations que nous suscitons. C'est drôle.

Nous commençons à êtres gagnés par la fatigue. Il y a 30 bornes jusqu'à l'appartement. Nous décidons de prendre la route.
Il est déjà 23 h30. Nous arrivons vers minuit et demi. La douche. Nous nous couchons. Nous nous offrons un bon "69". Bien.
La fatigue ne contrarie pas nos orgasmes. Clémentine pousse de petits cris. J'adore l'entendre jouir. J'éjacule en vrai salaud.
Nous restons encore un petit moment à savourer nos épanchements. Clémentine se serre contre moi. Je la tiens bien fort.
Nous faisons le bilan de notre quatrième journée de vacances avant de nous endormir profondément. Clémentine ronfle...

Bonne visite des ruines du château de Montségur en goûtant la bite de votre chéri à toutes, (discrètement quand même !).

Oncle Julien - (Dont la bite est souvent suintante sous les caresses de Clémentine, vous salue toutes et tous) -

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Bjr je peux me joindre a vous je suis de carcassonne
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Nous passons la journée en Catalogne. Il fait très chaud

Hier matin, jeudi, je suis réveillé le premier. Je regarde l'heure. Il est 7 h. Je tourne la tête pour voir Clémentine se réveiller.
< Bonjour Clitorette ! > que je fais en lui déposant des bisous sur le visage. < Bonjour Bitounet ! > me fait Clémentine. Joie.
Nous nous faisons quelques papouilles avant d'aller satisfaire nos pressants besoins naturels. Je tiens la fille par ses cheveux.
Clémentine se lâche dans un long jet sonore. Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet. Nous filons à la cuisine. La faim.
Nous prenons notre copieux petit déjeuner. Nous nous mettons en tenues. C'est l'heure du jogging quotidien. Avant la chaleur.

Nous sommes de retour pour 8 h45. La douche. Nous préparons nos affaires dans le petit sac à dos. Clémentine est en jupe.
Je suis en short. Nous portons exactement les mêmes couleurs. Jupe et short crème, T-shirt blancs et sandalettes. Sympa.
Nous aurons plus de 150 km à faire pour nous rendre à Figueras. Aujourd'hui, nous irons visiter le Musée Dali et sa maison.
Nous voilà en route toutes fenêtres ouvertes. Nous roulons bien. Il ne fait pas encore trop chaud. Clémentine me raconte.
J'aime l'entendre parler des ses études, de ses projets professionnels et de ses passions. Elle joue avec ma queue. Coquine.

Nous arrivons à Figueras pour 11 h. Nous prenons nos billets pour la visite libre du Musée. Pas de guide obligatoire. Superbe.
Salvador Dali est notre peintre moderne préféré. Non pas tellement par ce que représente sa peinture, mais pour sa technique.
Aussi nous apprécions de découvrir dans leurs réalités quelques œuvres originales exposées en ce lieu surprenant. C'est du Dali.
Clémentine prend quantité de photographies. L'endroit est surréaliste, à l'image de son concepteur qui repose à côté des WC.
En effet, le caveau où repose le corps embaumé du peintre est situé juste à gauche de l'entrée des toilettes. Du grand Art ! ! !

Nous flânons longuement dans le Musée. Nous profitons de la fraîcheur toute relative du lieu. Il est 13 h30. Nous avons tout vu.
Nous avons faim. Nous avisons un banc pas loin du Musée. Nous y savourons nos melons, nos gâteaux secs et nous buvons bien.
Il est 14 h. Nous retournons à la voiture. Même garée à l'ombre, d'y rester sans rouler est une épreuve. Toutes fenêtres ouvertes.
35 km pour nous rendre à Port Lligat. Nous allons y visiter la maison Musée de Salvador Dali. Je l'ai visité plusieurs fois. Sympa.
Aussi, je me fais un véritable plaisir de faire découvrir l'endroit à Clémentine qui joue avec ma bite pendant que je roule. Rires...

Nous garons la voiture à environ 300 mètres de la grande et curieuse maison blanche. L'endroit est magnifique. La crique. Belle.
Cet endroit magique que le peintre a représenté sur nombre de ses toiles est ici, devant nos yeux, dans toute sa réalité. Super.
La visite se déroule par groupe de dix personnes. Il n'y a pas trop de monde. Nous attendons notre tour, les pieds dans l'eau.
Nous avons nos billets. Il est 15 h45 lorsque nous pouvons enfin suivre le guide. La maison est un labyrinthe. Plein de couloirs.
Les pièces s'enfilent d'une étrange façon les unes après les autres. Le grand moment reste la visite de l'atelier du peintre. Magie.

C'est ici, dans cette grande pièce que Salvador Dali a peint la majorité de ses chefs-d'œuvre. L'émotion est immense. Silence.
Nous traînons en fin de cortège. Nous nous laissons distancer. Je sors de la poche de mon short un petit morceau de bois. Noir.
Je le montre à Clémentine. Elle sait que je porte toujours ce petit morceau de bois sur moi. Je lui rappelle : < Il vient d'ici ! >.
Ce petit morceau de bois est dans toutes mes poches, tous les jours, depuis 1992, année de ma première visite en ce haut lieu.
La visite se termine par la piscine dans le jardin. Une longue piscine qui, vue d'en haut, a une forme de bite avec ses couilles !

Nous nous retrouvons sur la plage de Port Lligat. Nous marchons avec de l'eau jusqu'à mi cuisses. Clémentine est encore émue.
< C'était magique ! Merci Julien. C'est gravé dans ma mémoire à tout jamais. Comme le reste ! > me fait Clémentine. Des bises.
Je réponds : < Un jour, dans ton avenir, tu reviendras ici. Ton émotion sera intense ! >. Clémentine se serre contre moi. Silence.
Nous retournons à la voiture. Nous allons visiter Cadaquès, le village voisin et natal de Salvador Dali. Village typique et Catalan.
Les maisons blanches, les rues animées et ce restaurant qui offre une magnifique terrasse donnant sur le port. Nous y mangeons.

Nous bavardons devant un gigantesque plateau de fruits de mer. Il y a une légère brise de mer. Le cadre est majestueux. Beau.
Nous découvrons le dernier message d'Estelle. Tout va bien. Le potager est arrosé tous les soirs. Presque plus de cerises. Bien !
Estelle nous parle de ses journées de travail dans la petite entreprise familiale et de son impatience de nous revoir. Le manque.
Clémentine répond. Nous rions de bon cœur en donnant quelques détails croustillants mêlés aux anecdotes de nos vacances.
Il y a un petit message de Juliette qui souhaite que notre séjour se passe au mieux. Nous évoquons Juliette dans nos existences.

Nous évoquons cette rencontre, un soir de mars, au bord de l'étang Sondur, lorsque je promenais Clémentine attachée à la laisse.
L'irruption de Juliette sur son cheval et qui découvre la scène. La rencontre avec Juliette quelques jours suivant au supermarché.
< Si je n'existais pas, tu attaquerais avec elle ? > me demande Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Je ne sais que dire.
Je réponds : < Je ne crois pas, depuis le décès de ma compagne, il y a 15 ans, je n'ai pas "tapé" au-delà de trente ans ! >. Rires.
Je rajoute : < Et puis la question ne se pose pas ! Les rencontres sont souvent dans la loi des séries ! Impossibles ! >. Rigolades.

Clémentine me prend la main. Elle m'observe longuement avec ce sourie mystérieux qui m'enchante au delà du raisonnable.
Nous évoquons notre vie présente. Je lui propose de ne penser qu'à cette période privilégiée de nos existences. Un maximum.
Nous avons parfaitement conscience de vivre une relation qui sous bien des aspects est étrange, unique et surtout merveilleuse.
Il nous suffit d'observer les regards qui se posent souvent sur nous, interrogateurs, amusés et curieux, pour en savourer le goût.
Clémentine me le fait encore remarquer de façon prégnante en mimant discrètement une pipe. Nous rigolons comme des bossus.

Il est déjà 21 h45. Nous flânons encore un peu dans les ruelles. Nous prenons la route du retour. Celle qui longe la Costa Brava.
Nous passons à Portbou pour nous retrouver dans l'Aude. Nous rejoignons l'autoroute. Nous arrivons chez nous à 1 h du matin.
< Comme c'était bien ! Julien. Je t'aime ! > me fait Clémentine sous la douche. Nous nous couchons, épuisés, plein d'émotions.
Clémentine me dit : < J'ai mes "petits machins" qui viennent d'arriver ! >. Nous rions de bon cœur. Nous faisons le bilan du jour.
Clémentine joue un peu avec ma bite. Je bande mou et sans conviction. Nous ne tardons pas à sombrer dans un profond sommeil.

Bonne visite du Musée Dali à toutes et à tous. De Figueras à Port Lligat avec un arrêt à Cadaquès...

Oncle Julien - (Qui aime faire découvrir quelques trésors à Clémentine assoiffée de découvertes) -

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C'est notre dernier jour de vacances. Nous en profitons

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par des murmures et des chuchotements. < Je t'aime Julien ! Je t'aime ! >.
J'ouvre les yeux, Clémentine qui ne supporte pas d'être seule, a son visage tout près du mien. < Bonjour Bitounet ! > fait elle.
Je la serre dans mes bras. Nous faisons une roulade à gauche, une roulade à droite. Echanges de papouilles. Bonheur. Bisous.
Nous nous levons. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Elle adore lorsque je la tiens en équilibre par ses cheveux. Elle pisse.
Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner. Faim...

Nous bavardons. Aujourd'hui, nous resterons dans les environs de Lagrasse. Longer l'Orbieu, la rivière, flâner sous les remparts.
Ce soir nous retournerons dans la cité médiévale. Nous retournons manger à Carcassonne. Clémentine est toute contente. Bien.
Nous traînons à table. Il fait encore très agréable. Après la vaisselle, nous nous mettons en tenues. Nous partons pour courir.
Notre jogging quotidien est un véritable petit plaisir. Nous sommes de retour à 9 h15. Nous croisons monsieur Henry. Bavardage.
Nous montons prendre notre douche. Nous préparons nos affaires pour midi. Melons, eau, gâteaux secs et barres de céréales.

Clémentine m'entraîne derrière la cloison de l'abri voiture. Elle me tient la bite pour en diriger le jet. Virtuose elle secoue bien.
Je surveille à gauche, à droite, je la laisse sucer un peu et je la force à se redresser. Clémentine est en jupette, T-shirt, sandales.
Je suis en short, T-shirt et sandales. Nous voilà dans l'auto. Direction Lagrasse. Ce village médiéval nous enchante. Magnifique.
Je gare la bagnole à l'extérieur du bourg. Clémentine me lâche enfin la queue pour me dire : < Je suis salope aujourd'hui ! >.
Je réponds : < Oui ! C'est assez exceptionnel ! >. Nous rigolons comme des bossus. Il est 10 h30. Il y a du monde dans les rues.

En cette fin de mois de juin, l'affluence des touristes est plus importante chaque jour. Nous en croisons plusieurs. Sympathique.
Nous entrons dans l'église Saint-Michel. Magnifique construction gothique. Il y règne un peu de fraîcheur. Nous visitons le lieu.
Il y a cette odeur de vieilles pierres sèches et de parfum indéfinissable. Mélange d'effluves florales et d'encens sans doute. Bien.
Nous sortons pour longer l'Orbieu, cette belle rivière dont le ciel se reflète dans les eaux remuantes. Nous allons tout au bord.
Assis près de l'onde, nous y trempons nos pieds nus. Une sensation de fraîcheur est la bienvenue. Nous bavardons. Nous rions.

Il y a un homme qui marche sur l'autre rive. Une femme reste assise un peu plus loin. L'inconnu fait des photos. Il y a de quoi.
Le paysage est de toute beauté. Clémentine regarde partout autour d'elle. < Regarde ! > me fait elle en écartant ses cuisses.
L'inconnu est presque en face de nous, de l'autre côté de la rivière. Il s'aperçoit de notre présence et nous salue. Nous aussi.
Les cuisses ostensiblement écartées, plus que de raison, Clémentine s'exhibe discrètement. L'homme semble plutôt gêné. Bien.
Clémentine est assise à mes côtés. Tout en faisant son "show", elle est penchée contre moi et me tient. La main sur mon bras.

L'homme détourne son regard. Clémentine me fait : < On ne l'a pas vu venir celui-là ! Dommage, c'est un bon "plan" ! >. Rires.
L'inconnu retourne en direction de sa compagne qui semble téléphoner à quelques cent mètres, assise sur un rocher. Dommage.
Nous restons un petit moment à l'ombre de notre amas rocheux. Il commence à faire chaud. Nous commençons à avoir faim.
Nous nous levons. Nous continuons notre promenade. Nous traversons l'Orbieu par le Pont-Vieux. Impressionnante construction.
Nous allons vers les ruines du prieuré Saint-Michel. Imposants amas de pierres dont les vestiges suggèrent le mystère. Chaleur.

Nous trouvons un endroit bien à l'ombre. Assis à l'aise. Nous sortons nos fruits, nos gâteaux secs et la première bouteille d'eau.
J'évide les melons. Clémentine qui a ses "petits machins" connaît quelques congestions habituels du bas ventre. C'est gênant.
< Il faut que ça m'arrive en vacances. C'est en avance. Je suis sûre que c'est notre cure de melon ! > me fait elle. Eclat de rire.
En contre-bas, il y a un groupe de touristes. Six personnes qui montent le sentier. Sacs à dos. Je sors la paire de jumelles. Vue.
Je regarde. Ce sont trois couples. Des asiatiques en virée découverte dans la région. Le premier marcheur semble être le guide.

Je tends les jumelles à Clémentine qui me fait : < Peut-être un "plan" ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine scrute. Attention.
Nous sommes assis à l'écart des ruines. Sur une sorte de plateau rocheux. De notre point de vue nous avons le regard sur tout.
Les visiteurs arrivent dans les ruines. Immédiatement, ils se mettent à photographier dans toutes les directions. Vraies mitrailles.
Une discussion animée dont nous ne percevons que les éclats de voix les plus forts, semble constante dans le groupe de visiteurs.
Au bas du sentier, il y a soudain le promeneur du bord de la rivière. Il marche doucement, son appareil photo à la main. Sentier.

Je montre sa silhouette à Clémentine qui dirige les jumelles pour bien observer. < C'est le mec de tout à l'heure ! > me dit elle.
Le groupe d'asiatiques mitraille une invraisemblable quantité de photographies. Se prenant de face, de profil, de dos, d'en bas...
Ils semblent se diriger vers la sortie. Clémentine observe l'arrivée du touriste. Il monte seul. Sa femme doit l'attendre plus bas.
Clémentine me fait : < Celui-là, il va avoir droit à du spectacle ! Je dois pisser ! >. Nous rions de bon cœur. La jeune fille se lève.
< Viens, on se fait un "plan" ! Tu restes planqué ! Au moindre souci tu déboules ! > rajoute encore ma compagne. Je me lève...

Je réuni rapidement toutes nos affaires. Je mets le tout dans le sac un peu n'importe comment. Le groupe d'asiatiques est parti.
Je me dissimule en haut des restes d'un escalier de pierres. Derrière un muret qui surplombe la cour intérieure des ruines. Bien.
L'inconnu entre dans les ruines silencieuses. Clémentine est accroupit entre le mur en bas et un éboulement de gros cailloux.
Le type avance. Regardant sur sa gauche, tout en s'apprêtant à faire des photos, il découvre le spectacle enchanteur. La fille.
L'homme regarde dans toutes les directions. Il doit sans doute chercher ma présence. Il reconnaît bien la jeune fille de la rivière.

Il semble interrogateur. Il s'avance. Il prend quelques clichés des ruines. Je le vois se dissimuler derrière un mur pour mâter.
Clémentine est dans sa position fétiche. Tenant sa culotte dans sa main gauche elle se tient contre le mur de la main droite.
Je l'observe avec les jumelles. Elle est à une vingtaine de mètres, en contre bas. Le type la regarde. Il scrute autour de lui.
Il est un short, une chemisette ouverte, son sac sur le dos, un large chapeau. Il ouvre sa braguette. Il sort sa bite. Il bande.
Il sort de sa cachette et salue la jeune fille entrain de pisser par petits jets puissants. Clémentine relève la tête en souriant...

La jeune fille reste immobile. Le type se branle ouvertement, sans gêne, tout en se mettant à bavarder. Il reste très prudent.
De ma cachette je n'entends rien des propos qui s'échangent. L'inconnu se rapproche. Clémentine est sur ses gardes. Attention.
Je vois Clémentine lever sa main et faire plusieurs signes négatifs de la tête. Le mec accélère encore sa branlette. Un peu ridicule.
Visiblement, c'est un homme qui ne se maîtrise pas du tout. Emporté par sa pulsion primaire et plutôt sauvage, il s'approche.
Clémentine se redresse. Le type enlève son sac à dos. Clémentine le salue de la main et s'en va. Le type se met à la suivre.

Clémentine accélère son pas. Elle me cherche du regard. Un peu inquiète. L'inconnu accélère son pas pour tenter de la suivre.
Je décide que c'est le moment d'intervenir. Je descends les marches avec prudence. Le type me voit. Il s'arrête. Une stupeur.
Il se détourne pour ranger sa bite à toute vitesse. Clémentine vient contre moi. Le mec nous toise. Il semble presque fâché.
Il me fixe. Il prends conscience qu'il ne joue pas dans la même cour. Ma haute taille et ma stature doivent situer les choses !
Il récupère son sac. Il le remet sur le dos et s'en va sans demander son reste. Il disparaît. Nous rigolons comme des bossus.

< Tu te rends compte, tu te retrouves toute seule en présence de ce genre de mec ! > fait Clémentine en remettant sa culotte.
Je ne sais quoi répondre. Elle rajoute : < Ces types qui s'imaginent qu'on fait ça pour les allumer ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous prenons les jumelles pour regarder la toute petite silhouette de l'inconnu qui disparaît au bas du sentier. Nous partons.
Nous redescendons à notre tour. Il est déjà 13 h30. Nous prenons le sentier qui mène à l'abbaye Sainte Marie de Lagrasse.
Située à flanc de colline, juste devant le village, cette abbaye est impressionnante. Toute cette région regorge de mystères.

Nous nous promenons longuement. La chaleur est accablante. Aussi nous privilégions l'ombre des murailles. Retour au village.
Nous allons à la supérette sur la place de l'Ancoule. Il y règne une agréable fraîcheur. Nous bavardons un peu avec la gérante.
Quelle n'est pas notre surprise de voir entrer le type des ruines, suivit de sa femme. Il est mal à l'aise et il fuit nos regards.
Sa femme est charmante et est sans doute loin de se douter des penchants de son homme. Ils ressortent assez vite sans rien.
Il est seize heures. Nous retournons à la voiture. Direction Carcassonne. Clémentine se sent un peu fatiguée. Règles et chaleur.

Nous arrivons à Carcassonne vers 16 h45. Il y a de plus en plus de monde. Demain soir, ce seront les festivités de la Saint Jean.
Aussi, à l'endroit des spectacles, règne une grande animation, activités fébriles des préparatifs. Nous flânons dans la belle cité.
J'entraîne Clémentine dans une boutique de vêtements. Dans la vitrine il y a des mannequins féminins vêtus de robes légères.
Je dis : < Viens, on va choisir un cadeau pour Estelle ! >. Clémentine soudain ravie me suit, impatiente. < Super ! > me fait elle.
Nous choisissons une belle robe d'été. De couleur crème, en coton, le col échancré et les épaules légèrement bouffantes. Bien.

Clémentine qui a presque la même taille qu'Estelle s'empresse de l'essayer. Elle est magnifique. Je dis : < Tu veux la même ? >.
< Non Bitounet, j'ai tout ce qu'il me faut. S'il te plaît, j'ai déjà un camion de souvenirs à ramener ! > me répond t-elle. Rires.
Nous faisons emballer la robe dans un beau paquet cadeau. Je choisis une paire de ballerines qui iront à merveille avec la robe.
Nous traînons dans la cité médiévale en admirant le décors. < J'adore cette ville ! > me fait Clémentine en prenant des photos.
Nous achetons une de ces carafes en terre cuite recouverte de liège. < Elle fera bien avec les autres ! > me fait Clémentine...

C'est vrai que de chacun de mes séjours à Carcassonne j'ai ramené le même genre de carafe. Il y en a bien cinq à la maison !
Nous rions de bon cœur. Il est déjà 20 h30. Poussés par la faim, nous faisons le tour des restaurants, en étudiant les menus.
Ce sera le même restaurant que les fois précédentes. Du filet de lieu noir assaisonné à la "provençale" dans son lit de légumes.
La terrasse est pleine. Nous sommes à l'ombre. Nous faisons le bilan de cette dernière journée. Bilan positif. Plein de souvenirs.
< J'aurais préféré découvrir cette région en mars ou avril ! Sinon c'était magique quand même ! > me fait ma compagne. Joie.

Demain matin, à onze heures, nous prendrons l'avion du retour. Clémentine me fait part de son appréhension. Je la rassure.
Je dis : < Au moindre "pépin", on prend les parachutes et on saute ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine prend ma main.
< Merci pour tous ces bonheurs et pour tous ces plaisirs, Julien. Je t'aime ! > me fait Clémentine le regard plein de douceur.
Nous dégustons notre repas en évoquant les prochaines vacances. Départ le lundi 10 juillet pour l'Ecosse. Jusqu'au 20 août !
< J'espère qu'il fera moins chaud ! > me confie Clémentine. Je mens un peu en disant que le climat y est plus tempéré. Vilain.

Bon fin de séjour dans l'Aude à toutes et à tous devant un bon repas à la terrasse d'un restaurant...

Oncle Julien - (Protecteur et vigile privé de Clémentine qui peut profiter de la présence de son "garde du corps") -

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Clémentine est toute contente de retrouver la maison

Hier matin, samedi, je suis réveillé par plein de bises. J'ouvre les yeux. Clémentine me chevauche. < Bonjour Julien ! >
Je regarde l'heure, il est sept heures. < Bonjour Clémentine ! > que je lui fais en la faisant rouler sur le lit. Papouilles.
Nous nous levons rapidement. C'est le jour du départ. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Le rituel matinal du pissou.
Je tiens la jeune fille par ses cheveux dans un équilibre incertain. Elle se lâche généreusement dans un long jet sonore.
Puis, ma compagne me tient la bite pour en diriger le jet. Je la laisse sucer les derniers reliquats. Puis le petit déjeuner.

Nous bavardons. Mille projets. Mille détails. Nous savourons notre copieux repas. Nous traînons. Nous avons le temps.
Jus d'oranges fraîchement pressées, melon évidé, tranches de pain grillé. Il faut vider le frigo. Nous avons bien calculé.
Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenues. Nous voilà à courir pour notre jogging quotidien. Retour à 9 h.
Nous saluons monsieur Henry affairé dans son jardin. Nous bavardons un peu. Nous le remercions pour l'accueil. Bien.
Nous prenons la douche. Nous préparons nos valises. Comme toujours nous avons emmené quantité de choses inutiles.

Tout est en ordre. Il est 9 h30. Le temps de tout mettre dans la voiture. De saluer une dernière fois les propriétaires.
Nous voilà en route pour l'aéroport de Carcassonne. Clémentine joue avec ma bite. Nous bavardons. Elle est contente.
Nous arrivons largement dans les temps. Nous rendons la voiture à l'agence de location. Superbe bagnole. Fiable. Bien.
Clémentine manifeste son appréhension. Elle me fait part de sa phobie naissante pour l'avion. Je la rassure à nouveau.
Le départ se fait à l'horaire prévu. 11 h15. Durant le vol, ma compagne est agitée de frissons. A la moindre secousse.

Nous arrivons pour 14 h15 après un changement imprévu à Roissy. Le taxi nous dépose devant la maison à 15 h15. Joie.
Nous nous précipitons pour déposer nos valises dans le hall d'entrée. Une odeur parfumée et délicate nous submerge.
Il y a des fleurs partout. Sur la table de la cuisine, au salon. Tous les vases ou presque sont sollicités. C'est magnifique.
C'est une charmante attention d'Estelle qui nous a laissé un mot sur la table de la cuisine. Elle est venue tous les soirs.
Arroser le jardin, aérer la maison. A côté du mot, il y a quatre bocaux de confiture. Ce sont les cerises qu'elle a cueilli.

Clémentine se serre contre moi : < Je suis contente d'être de retour ! C'est mon nid, ma grotte ! > me fait elle émue.
Je la soulève. Je la fais tournoyer dans les airs. Elle me couvre le visage de bises. < Je t'aime Julien ! > me fait elle.
Je lui susurre à l'oreille : < Moi aussi ma princesse ! >. Nous nous embrassons longuement. Bises. Nous allons au jardin.
Tous les légumes ont poussé. < Plus besoin de les acheter au marché ! > fait Clémentine en me montrant leurs beautés.
Les tomates sont rouges et énormes. Les carottes sont grosses. Les choux grimpent encore. Les poireaux sont bien dressés.

Pas de temps à perdre. Il faut aller au supermarché. Nous restons vêtus comme nous le sommes. Jupette, short et T-shirt.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Chef-d'œuvre du retour.
Je laisse Clémentine se régaler un peu de mes derniers épanchements puis je la force à se redresser. Je sors la voiture...
Nous voilà en route pour la zone commerciale de la ville voisine. Il fait beau. Rien de comparable avec la canicule du sud.
Le téléphone de Clémentine sonne. C'est Estelle. Les deux filles bavardent. < Estelle arrive pour 19 h ! > fait Clémentine.

Nous faisons nos courses. Il reste encore du fromage au réfrigérateur et du poisson au congélateur. Ce seront des fruits.
Les fruits constituent un bon tiers de notre alimentation. Nous en raffolons. < Plus de melon ! > me fait Clémentine. Rires.
Nous avons la glacière dans la voiture. Branchée sur l'allume cigare. Nous prenons nos bacs de glaces préférées. Sympa.
Il y a peu de monde pour un samedi après-midi. Parfois, discrètement, comme elle aime le faire, Clémentine me touche.
< C'est bien aussi de retrouver nos repaires, hein, Bitounet ! > me fait ma compagne dans une forme épatante. Sourires.

Nous rentrons. Il est déjà 18 h. Nous rangeons les achats. Clémentine m'entraîne sous la douche. Nous prenons le temps.
Clémentine met une de ses jupettes. Pas de culotte. Elle me montre la ficelle blanche qui pend de son immense touffe.
< Mes petits machins ! Jusqu'à demain ! > fait elle. Nous rions de bon cœur. Je mets un de mes shorts ridicules. Hawaïen.
Nous découvrons un grand bouquet de fleurs sur la petite table dans notre chambre à coucher. C'est absolument sublime.
Décidément Estelle a préparé notre retour avec le bon goût qui la caractérise. Trois coups de sonnette. Nous descendons.

Estelle est devant la porte avec un panier à la main. Elle ne peut réfréner sa joie immense. Elle nous saute au cou. Silence.
Nous sommes tous les trois serrés les uns contre les autres. L'émotion est palpable. Nous restons ainsi un petit moment.
< Comme vous m'avez manqué tous les deux ! > fait soudain Estelle avec les yeux humides. Elle est toute bronzée. Belle.
Ces cheveux semblent plus clair. Châtain clair. < Vous êtes tout bronzés tous les deux ! > nous fait elle en nous caressant.
La jeune fille est vêtue d'un short kaki, d'un T-shirt et de sandalettes. Elle reprend la corbeille pour la poser sur la table.

< J'ai cueillis des cerises tous les jours. Il n'y en a plus. Avec maman on a fait des confitures tous les soirs ! > dit Estelle.
Elle rajoute : < Il y en a tant qu'on a cherché des bocaux chez mamie ! >. Estelle dépose encore quelques bocaux. Rires.
J'entraîne Estelle au salon. Je l'invite à ouvrir les paquets posés sur le bureau. La jeune fille se précipite toute curieuse.
Elle ouvre le petit paquet. Estelle découvre la tétine! Elle éclate de rire en l'accrochant autour du cou. C'est surréaliste !
Puis elle ouvre le grand paquet pour découvrir et déplier la robe que nous lui avons choisi. La gorge serrée Estelle admire.

< Essaie-la ! > lui fait Clémentine. Estelle ouvre le dernier paquet. Elle découvre la paire de ballerines assorties à la robe.
Estelle fait plusieurs bises à Clémentine avant de se précipiter contre moi. Je la soulève pour la faire tournoyer dans l'air.
< Oh merci ! Comme je suis contente. C'est ma première vraie robe ! >. Les filles montent à l'étage. Je les entends rire.
Elles ont quantité de choses à se raconter. J'en profite pour descendre avec le linge de nos vacances. Je fais une machine.
Il fait agréablement frais à la cave dans la buanderie. Il y a une petite araignée qui tisse sa toile contre le soupirail. Bien.

Je reste un petit moment. La machine tourne. Sous-vêtements, T-shirt, shorts et jupettes. J'apprécie aussi d'être de retour.
Je regarde par le soupirail. Clémentine et Estelle sont dans le jardin. Elles bavardent en riant aux éclats. C'est magnifique.
Cette maison, ce jardin, vides et silencieux depuis si longtemps, retrouvent depuis près d'un an, une vie intense et colorée.
Je suis pétri d'émotion. Une de ces émotions un peu stupides mais tellement délicieuses. Réconfortantes. Je remonte. Joie.
Je prépare le nécessaire pour le repas du soir. Je décongèle les pavés de saumon qui vont revenir à température très vite.

Clémentine et Estelle reviennent du jardin. Estelle est vêtue de sa nouvelle robe et chaussée de ses nouvelles ballerines.
Elle tourne sur elle-même en soulevant légèrement sa robe. < C'est comment ? > me demande t-elle, espiègle et mutine.
< Tu es belle ! Elle te va à ravir ! > que je lui dis en la faisant tourner encore. < Merci Julien ! Merci ! > répète t-elle.
Estelle rajoute : < Je vais me changer pour t'aider et ne pas la salir ! >. Les deux filles remontent. Je les entends rire.
Je suis le plus heureux des hommes ! Je prépare les feuilles de papier sulfuré. Les pavés de saumon fondent déjà. En eau.

Les filles reviennent me rejoindre. Clémentine prépare les salades. Carottes, tomates et persil qu'elle ramène du jardin.
< On va enfin goûter nos propres produits ! > fait ma compagne en passant une carotte sur les lèvres de sa bouche. Rires.
Estelle émince l'ail, l'oignon, (de notre jardin) et la ciboulette. Je dispose les pavés de saumon dans les feuilles de papier.
Estelle y dépose l'ail, l'oignon et la ciboulette. Un peu de sel de Guérande, de curcuma et j'emballe soigneusement. Bien.
Estelle découpe trois feuilles d'aluminium. J'y mets les emballages. On referme. Le tout sur le barbecue électrique. Véranda.

Clémentine nous propose de prendre notre repas dehors. Estelle met la table. Je l'aide. < Julien ! > me chuchote t-elle.
L'odeur de la grillade nous ouvre un appétit abyssale. Nous sommes réellement morts de faim. Le repas s'annonce délicieux.
Il est presque 21 h. Il règne une douceur étonnante qui contraste avec l'air étouffant de Carcassonne. C'est appréciable.
Nous bavardons. Nous racontons plein d'anecdotes de nos vacances à Estelle qui écoute, pose des questions et rit beaucoup.
Clémentine lui fait : < Et demain matin, on te fait tout lire sur le forum car Julien a tout raconté ! >. < Super ! > dit Estelle.

< On fait comme on a dit en haut ? > fait Clémentine, assise sur mes genoux, à l'attention d'Estelle. < Vaisselle ! > dit elle.
Nous débarrassons la table. Estelle insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. Estelle quitte la cuisine.
Clémentine me sort la bite. < Je t'aime mon Bitounet ! Tu n'es rien qu'à moi, hein, promis ! > me chuchote t-elle à l'oreille.
Je la rassure. Nous accrochons nos torchons. Clémentine m'entraîne par la bite au salon. Estelle est à genoux sur le coussin.
Les cheveux attachés en queue, bien au-dessus de la nuque, la jeune fille me fait un sourire amoureux. Je suis un peu confus.

< Regarde ! > me fait Estelle en me montrant sa bouche. < J'ai des boutons ! La pipe ça donne des boutons ! >. Rires. Joie.
Elle ouvre la bouche. J'y glisse ma bite en douceur. Clémentine me tient par les couilles tout en m'embrassant. C'est divin.
< Sois un véritable salaud ! > me glisse Clémentine à l'oreille avant d'aller se vautrer dans le fauteuil. Sa main sous sa jupe.
Estelle me suce avec une avidité que j'avais oublié. Elle me tient par le tissus de mon short, au niveau des hanches. Pompe.
Je lui prends les cheveux pour la guider. La jeune fille pousse de petits gémissements absolument adorables. Elle se régale.

Nous restons ainsi un long moment. Les gémissements de Clémentine qui nous observe en se masturbant, attirent mon regard.
Ma compagne se branle doucement. Elle aime tant me regarder faire des saloperies avec sa meilleure copine. Clins d'œil. Joie.
Je sors ma bite de la bouche de la gourmande. Je me penche pour scruter son visage. Effectivement il y a plein de boutons !
Des toutes petites pustules purulentes à peine visible et un plus gros cratère à côté du nez. Conséquences des premières fois.
J'entraîne Estelle par ses cheveux, sans ménagement, avec fermeté mais sans violence, à se coucher sur le côté. Sur le tapis.

Je descends mon short. Je me couche sur le dos. Estelle pose sa tête sur mon ventre. J'ai mis le coussin sous ma nuque. Bien.
Je peux observer Clémentine qui savoure mes initiatives en se branlant doucement. Nous nous faisons des sourires entendus.
Ma merveilleuse complice apprécie tant ces situations. Je lui offre un de ses "films" préférés. Estelle me pompe avec avidité.
Je reste parfaitement immobile. Estelle reste parfaitement immobile. J'entends les gémissements des deux filles. Excitant !
J'entends et je sens Estelle tenter de déglutir la quantité de liquide séminal qu'elle tire de mes couilles. Gargouillis bulleux...

Je me couche sur le côté, en appui sur mon coude. Estelle se met en chien de fusil. Position fœtale pour bien sucer à son aise.
Clémentine évite à plusieurs reprises de s'emmener au bout. Je la vois retirer sa main au dernier moment en soufflant. Joie.
Nous échangeons des sourires et des clins d'œil complices. Je dresse mon pouce comme pour faire "Bravo" ou encore "OK" !
Je regarde Estelle, les yeux fermés, mâchouillant la peau de mon prépuce qui dégouline. Comme un petit animal qui tête. Belle.
La jeune fille suce avec une incroyable concentration. Elle sait maintenant comment reposer sa mâchoire entre deux pompages.

C'est sa troisième véritable pipe. Estelle ne peut réfréner des gloussements de plaisir intense. Il y a de petits cris de ravissement.
Je lui tiens la nuque. Je lui caresse les joues. Je la prends par ses cheveux. Elle se laisse caresser dans les délices de sa fellation.
Soudain il y a un râle profond qui s'étire en un long gémissement. Clémentine n'a pu empêcher cet orgasme qui la submerge.
Estelle arrête de me sucer pour regarder. Elle me fait un délicieux sourire, me fait un clin d'œil et recommence à me tirer le jus.
Estelle passe une main dans son short. Elle aussi commence à se masturber. Je me penche pour lui dire : < Petite salope ! >...

< Petite ? > me fait elle en me faisant un nouveau clin d'œil. Clémentine se lève pour venir nous rejoindre. Assise à mes côtés.
Ma compagne s'empare de mes couilles. Elle m'embrasse avec son infinie douceur habituelle. Estelle me suce avec gourmandise.
J'apprécie longuement ce moment dans sa divine et sublime profondeur. Les indicibles caresses procurent une excitation folle.
Je peux sentir Estelle qui, pour reposer sa mâchoire, fouille de sa langue entre la peau de mon prépuce et le gland. Sensations !
Par surprise, sans bouger, sans pousser le moindre gémissement, mais dans un orgasme bouleversant, j'éjacule. Estelle pompe.

Clémentine me tient par les couilles qu'elle peut ainsi sentir se vider dans la bouche d'Estelle. Estelle avale avec difficulté. Dur.
Je me répands avec mon abondance habituelle. Mon foutre gluant et visqueux ne s'avale pas sans quelques difficultés. Sympa.
Estelle pousse soudain de petits cris. Comme un animal blessé. Elle connaît à son tour un orgasme fulgurant. Sa main bouge.
Je tente de retirer ma bite de la bouche de la jeune fille. Clémentine cesse de m'embrasser pour regarder. Estelle résiste. Fort.
Pas de doute. Nous repartons pour un second tour. Clémentine se vautre sur le canapé. Elle me montre son clito géant. Erection.

Ma compagne se touche à nouveau doucement. Juste le gros doigt qui bouge sur son bouton géant. C'est impressionnant. Bien.
Clémentine tient cet invraisemblable bouton de plaisir à sa base, entre son pouce et son index. Elle le caresse de son autre main.
Je me mets à quatre pattes devant le canapé. Estelle, à présent couchée sur le dos, a recommencé à me sucer. A se toucher.
Clémentine me tient par les oreilles. Je suce son clitoris. Il est dur, turgescent et je peux même sentir les battements de cœur.
Je sens l'indicible caresse que me prodigue Estelle. La douceur de cette nouvelle pipe me semble plus absolue encore. Plaisir...

Clémentine pousse des gémissements de plus en plus sonores. Estelle se met à l'imiter. C'est fou de les entendre toutes les deux.
J'éjacule dans d'incroyables giclées. Fou. J'éjacule en plusieurs saccades qui agitent mon corps de spasmes presque douloureux.
Clémentine connaît un second orgasme. Je peux sentir la bouche d'Estelle, une véritable ventouse, qui pompe avec force. Bon.
Estelle connaît à son tour un second orgasme. Nous sommes ivres de plaisirs, trempés de sueur. Clémentine nous rejoint au sol.
Nous restons longuement immobiles tous les trois. Silencieux. Nous n'allons pas tarder à nous endormir. Il nous faut lutter...

Clémentine se redresse la première. Elle m'attire à elle. Nous nous levons. Estelle semble avoir du mal à reprendre ses esprits.
Je la prends par ses cheveux pour la forcer à se relever. Je lui dis : < Et voilà de nouveaux boutons en perspective ! >. Rires.
< Arrête ! Ma mère pose des questions insidieuses à propos de ces soudaines éruptions cutanées ! >. Nous rions de bon cœur.
Il est presque minuit. Nous montons. Après les toilettes, nous voilà couchés. Nous faisons un rapide bilan de la soirée. Vice.
Nous entendons un léger ronflement. Estelle vient de s'endormir. Nous ne tardons pas à l'imiter. Epuisés, repus. Dodo...

Bon retour de vacances et bonnes retrouvailles de votre coquine intime à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Parfait vicelard pour jeune fille majeure désireuse de choper ses premiers boutons de "fièvre") -

Classe


Je clique sur les belles images pour bien lire ce qui est écrit dessus. J'arrête donc un instant de me toucher...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Clémentine, Estelle et moi, nous passons un superbe dimanche

Hier matin, dimanche, je suis réveillé d'une bien singulière façon. Une main s'empare de mon érection matinale et naturelle.
J'ouvre les paupières encore un peu collantes. Je regarde sur ma gauche. Estelle a passé son bras au-dessus de Clémentine.
< Bonjour Julien ! > me font les deux filles en cœur, un peu comme si elles avaient répété pour êtres synchrones. Rires.
Je leurs dis : < Bonjour les filles ! >. Clémentine me fait plein de bisous. Estelle me tient fermement la bite. Toute immobile.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Clémentine est d'une douceur infinie et me chuchote : < Je t'aime Julien ! > Bises.

Estelle me lâche la queue pour se lever. < Je descends préparer le petit déjeuner ! > nous fait elle en trottinant vers les WC.
Clémentine me chevauche en répondant : < On descend dans cinq minutes ! >. Nous nous faisons plein de papouilles. Joie.
L'envie de pisser nous oblige rapidement à nous lever. Nous courons aux toilettes. Je tiens Clémentine par ses cheveux. Bien.
Dans cet équilibre précaire, la jeune fille se lâche dans un long jet sonore. Je m'accroupis pour récupérer la dernière goutte.
Je hume les effluves parfumées de sa nuit de fille. Je tire un peu sur la ficelle blanche qui pend de l'épaisse touffe. Sourires.

< Demain, fini ! > me fait Clémentine en s'emparant de ma bite pour en diriger le jet. Accroupie, la jeune fille suce un peu.
Je la laisse récupérer les derniers reliquats. Je la force à se redresser. Nous descendons animés d'une faim de fauves en rut.
Estelle est vêtue de son long T-shirt de nuit. L'odeur du pain grillé et du café achève d'émoustiller nos appétits. C'est bien.
Nous prenons notre petit déjeuner dans la véranda. Estelle, debout devant la table, imite une masturbation masculine. Rires.
< C'était génial hier soir ! les retrouvailles ! > me fait elle. < Tu n'as pas arrêté toute la semaine ! > lui répond Clémentine.

Nous rions de bon cœur. < Oui ! Et je regardais même parfois des extraits de nos films ! > fait encore Estelle en continuant.
Nous bavardons en traînant à table. Il est à peine 8 h30. Ce dimanche matin, pas de ménage puisque tout est resté propre.
Les baies vitrées de la véranda sont grandes ouvertes. Il fait très agréable. Le ciel est légèrement voilé. Nuages d'altitude.
Je me lève. Je viens me mettre sur la gauche d'Estelle. Je passe ma main droite sous ses cheveux pour la tenir par la nuque.
J'appui sur sa tête. Estelle pousse un gloussement. Je la maintiens fermement. Son visage collé sur sa tartine. Elle se débat.

Je lui permets de se redresser en relâchant ma pression. Elle me regarde étonnée avec du beurre collé sur le nez et les joues.
Je me penche pour lui lécher le visage. Estelle passe sa main sous mon T-shirt et dans mon slip pour m'attraper par la bite.
< Tes petites habitudes de vicelard, hein ! > fait la jeune fille en se laissant faire. Clémentine dit : < Et ça commence fort ! >.
Je prends Estelle par ses cheveux. Elle m'a sorti la queue. Je bande mou. La jeune fille se met à la sucer. Des gémissements.
Clémentine me fait un clin d'œil. Je ne suis même plus obligé de forcer Estelle qui suce avec avidité. C'est le petit déjeuner...

Estelle cesse. Je retourne m'asseoir. < Petit déjeuner au foutre ! > lui fait Clémentine. Estelle répond : < J'en ai tant rêvé ! >.
Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Effectivement ce dimanche matin commence fort. Clémentine sur mes genoux.
Estelle débarrasse la table et commence la plonge. Clémentine me fait plein de bises et me chuchote des douceurs. C'est bon.
Nous nous levons pour essuyer. Les filles évoquent leurs études. Demain, lundi, elles reprennent leurs cours à la faculté. Bien.
C'est la dernière semaine. Il y aura des simulations pour le "Master" de l'an prochain. Sanctionnant quatre années d'études...

Clémentine et Estelle vont au bureau. Je termine de ranger et de balayer la véranda. Je rejoins les filles qui sont devant l'ordi.
< Nous n'aurons pas cours mardi après-midi, jeudi après-midi et vendredi ! > me fait Clémentine en me faisant signe de venir.
Je passe derrière le bureau. Sur l'écran de l'ordinateur s'affiche la page du site de l'université. Il y a les emplois de temps. Bon.
Je laisse les filles pour monter faire la chambre. Les fenêtres sont grandes ouvertes. Je peux voir jusqu'à la rivière là-bas. Bien.
Je redescends. Les filles sont studieuses et plutôt silencieuses. Le sérieux de leurs études a repris le dessus. J'admire tout cela.

Clémentine dit à Estelle : < Je te connecte sur le forum. Comme ça tu peux lire nos vacances à Carcassonne ! >. Clic et clic !
Je descends à la cave pour faire une machine avec le reste du linge de nos vacances. Le linge de couleur. J'entends les rires.
Je vais récupérer le linge qui a séché dans le jardin. J'ai oublié de le décrocher hier soir. Il est bien sec. Je vais au potager.
J'admire les légumes qui sont magnifiques. Je retourne à l'intérieur. J'entends les filles rire. Elles sont à lire mes petits récits.
< C'est comme un journal ! > fait Estelle. Clémentine rajoute : < Avec plein de fautes ! Vilain ! >. Nous rions de bon cœur.

< Tu dois t'éclater avec tes exhibes ! Moi je n'aurais jamais le courage de faire ça ! > fait Estelle à Clémentine. Nous rigolons.
< Avec Julien dans les environs, je ne risque strictement rien ! > répond Clémentine. Estelle lit en faisant : < C'est génial ! >.
Clémentine fait à l'attention d'Estelle, concentrée sur sa lecture : < Si ça te chante, on te propose de tenter une exhibe ! >.
Estelle reste silencieuse. Clémentine rajoute : < On sécurise les environs en restant planqués. Tu ne risques vraiment rien ! >.
Estelle est soudain rêveuse en lisant. Je fais : < Tu pourras t'offrir des frissons que tu ne soupçonnes même pas ! >. Silence.

Clémentine me regarde. Nous savons à présent tous les deux que l'idée va faire son chemin dans la psyché d'Estelle. Sympa.
Je sors ma bite que j'agite devant les deux filles et je rajoute à l'attention d'Estelle : < Et parfois, tu peux voir des queues ! >.
< Arrêtez tous les deux, ça m'excite et je ne sais pas si j'aurais le courage ! > fait Estelle un peu embarrassée. Clémentine rit.
Ma compagne lui fait : < Un mélange de courage, de honte, de sensations excitantes ! C'est génial ! Essaie juste une fois ! >.
< Je vais y penser tout le temps ! Stop ! On arrête d'en parler ! > fait Estelle qui visiblement veut quitter le sujet. Excitée...

Je retourne au jardin. Je regarde les arbres fruitiers. Clémentine et Estelle viennent me rejoindre. Il fait beau. Il fait très doux.
< Estelle, pendant notre absence, cet été, tu auras des pêches, des mirabelles et tous les légumes de ton choix ! > que je dis.
Estelle vient à mes côtés, passant sa main, elle m'attrape les couilles par derrière en me disant : < Ne parle pas d'absence ! >.
Elle rajoute : < Dix jours sans vous voir, sont une épreuve. Alors 40 jours ! >. Je la serre dans mes bras. Clémentine aussi.
Ma compagne lui fait : < N'y pense pas. Tu verras, ça passera comme tout le reste ! Et on reste en contact comme toujours ! >.

Estelle me tient par les couilles. Elle les tient fermement, enfermées dans sa main. Elle me dit : Elles vont me manquer ! >.
Nous rions de bon cœur. Nous faisons le tour de la propriété. Clémentine me sort la queue et nous entraîne derrière le garage.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle me tient par les couilles. Je pisse par petits jets puissants.
Clémentine me la secoue pour éclabousser toute cette partie du mur. Je bande mou. Estelle s'accroupit sans lâcher mes couilles.
Clémentine lui dirige ma queue encore ruisselante vers le visage. Estelle s'avance pour la prendre en bouche. Elle pompe fort.

Je lâche mes derniers épanchements avant de bander comme le dernier des salauds. Estelle s'est mise à genoux et me suce.
Clémentine tient ma bite et m'embrasse avec fougue. Nous restons longuement dans cette situation. J'entends Estelle gémir.
Cette petite salope ne lâche pas mes couilles en exerçant de fortes pressions. Elle les tient dans sa poigne et les serre très fort.
Je prends Estelle par les oreilles pour lui enfoncer ma queue. Elle a un haut le cœur. Je l'entends pousser un petit cri. Surprise.
Comme si elle devait vomir, la jeune fille tente de me repousser. Clémentine regarde par dessus mon épaule. J'en rajoute...

Estelle me serre les couilles. C'est presque douloureux. Je maintiens fermement sa tête. La bite enfoncée au fond de sa bouche.
La jeune fille tente à présent de me repousser de sa main libre. Elle me serre les couilles pour me faire mal. Self défense. Salope.
Je relâche enfin mon étreinte. Il y a du foutre gluant et visqueux qui dégouline. Un long filament relie ma bite à sa bouche. Bien.
Estelle tente de reprendre son souffle en poussant un cri. Je me penche pour lui cracher au visage. Estelle me regarde. Sévère.
Je lui passe la bite sur le visage, achevant de maculer ses joues, ses paupières et son front. < Salopard ! > me fait elle. Vicieuse.

Estelle se remet à me sucer en poussant des gémissements. Une expression d'extase sur le visage, elle déglutit avec peine. Vice.
Clémentine m'embrasse. Elle me chuchote à l'oreille : < Tu es génial ! Pourquoi tu ne me fais pas ça plus souvent ! >. Caresses.
Je force Estelle à se redresser en la tirant par ses cheveux. Elle a du foutre qui lui dégouline sur le menton. Pas le temps d'avaler.
Je l'entraîne, courbée en avant. Cette petite salope ne m'a toujours pas lâché les couilles. Clémentine me tient par la queue.
Nous rentrons. Je lâche enfin Estelle à qui je dois retirer la main avec force. Je lui mets une gifle. Elle me crache au visage.

Il est déjà 11 h45. Clémentine nous propose de préparer notre repas de midi. Salades, filets de lieu noir en papillotes. Dessert.
Je bande comme un salaud. J'ai la bite qui dégorge de jute épaisse. Clémentine s'accroupit pour me la nettoyer. Adorable pipe.
Estelle reste à distance en me regardant amoureusement. Elle mime une masturbation masculine et s'essuyant le visage mouillé.
< Tu es vraiment le dernier des salopards ! > me fait elle, continuant son geste vulgaire de branlette. Cambrée en avant. Salope.
Je force Clémentine à se redresser. Elle a du foutre qui s'échappe de sa bouche sans avoir eu le temps de l'avaler en entier...

Nous préparons à manger. Les filles avec cette étonnante faculté de passer directement à autre chose, évoquent leurs études.
Nous mangeons dehors. Le repas est délicieux. Nous traînons longuement à table. Nous apprécions cette journée à trois. Rires.
Nous terminons nos coupes glacées en dessert. Un léger vent s'est levé. Nous décidons de nous offrir une virée à bicyclette.
Estelle plonge. Nous essuyons. Il est déjà quinze heures. Nous nous mettons en tenues. Nous voilà à pédaler le long du canal.
Estelle devra être de retour pour 20 h. Nous apprécions cette première virée vélo depuis dix jours. Il y a peu de monde. Sympa.

Nous arrivons au port de plaisance. Il y a un vide grenier. Quelques particuliers exposent et proposent des vieilleries. Sympa.
Nous nous promenons. Il y a du monde, de l'animation. Nous montons jusqu'au vieux cimetière. Il n'y a personne. Nous flânons.
Entre le calvaire et le mur de la vieille chapelle, je sors ma bite que j'agite devant les filles. Je dis : < Qui veut du foutre ? >.
Nous rigolons comme des bossus. Estelle se précipite la première. A genoux, elle pompe comme si sa vie en dépendait. Salope.
Je bande comme un priapique en phase terminale. J'éjacule rapidement. Estelle, surprise, a un mal fou à avaler. Retour à 20 h.

Bonne promenade à bicyclette avec votre vicelard préféré à toutes. Bon appétit et n'en perdez pas une goutte...

Oncle Julien - (Toujours altruiste, généreux et partageur, se répand dans la bouche de petites salopes majeures et gourmandes) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
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Clémentine m'entraîne derrière les écuries pour s'exhiber devant le palefrenier

Hier matin, lundi, c'est le réveil qui nous tire du sommeil. C'est la première fois depuis plus de dix jours. Musique. Mozart.
< Ta gueule Momo ! > fait Clémentine en tapant sur le cube. Nous rigolons comme des bossus avec la tête dans le sac.
Deux bises et Clémentine m'entraîne par la main. Elle file aux toilettes. Je file à la salle de bain. Ma bite posée sur le lavabo.
Je pisse en me grattant les couilles. Je lâche deux merveilleuses salves de pets que je module en Fa #. Je monte en Sol.
< C'est sublime ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant à la cuisine. Faim.

Nous prenons un copieux petit déjeuner. Puis c'est notre jogging quotidien. Retour et douche. Je sors l'auto de Clémentine.
Quelques bises et voilà Clémentine qui part en cours. Elle va récupérer Estelle et rentrera en fin d'après-midi. Il est 7 h45.
Je vais à l'atelier. J'ai beaucoup de travail qui m'attend. Tout spécialement la préparation des cartons contenant mes toiles.
Clémentine revient vers 16 h30. Assise sur mes genoux, la jeune fille me raconte sa journée. Elle évoque la joie d'Estelle.
Ma compagne me propose une virée à bicyclette. Il fait beau, il fait doux. Nous nous mettons en tenues. Jupette, short...

Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle vise en secouant.
Accroupie, la jeune fille se régale de mes derniers épanchements. Je la laisse sucer un peu. Je la force à se redresser.
Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. Nous avançons contre une légère brise qui nous poussera au retour. C'est bien.
< On se fait un "plan", au retour, derrière les écuries ? > me fait ma compagne. Je trouve l'idée excellente. Soirée exhibe.
Clémentine continue : < J'ai envie de voir ce vieux cochon de palefrenier et surtout qu'il me regarde ! Être vue ! >. Jeu...

Nous croisons quelques cyclistes. Nous arrivons au port de plaisance. Tout est calme. Clémentine me fait part d'un fait.
< Tu as vu, le bateau des Hollandais est parti ! > dit elle en me montrant l'espace vide. Il y en a d'ailleurs plusieurs.
Nous sommes en plein dans la saison. Les plaisanciers ont commencé à se déplacer. Nous nous offrons nos cônes glacés.
Nous flânons. < Je suis excitée ! > me confie Clémentine. Je lui dis : < Tu veux t'offrir un "plan" ? Plus ici. Cessons ! >.
< Tu as raison ! Je me garde pour les écuries ! Si Juliette savait ce qu'on fait derrière son haras ! > me fait Clémentine.

Je dis : < A ce propos, n'oublie pas que mercredi soir nous sommes invités à manger chez Juliette, au haras ! >. Rires.
Clémentine et Estelle mangent ensemble au restaurant universitaire à midi. Les deux filles bavardent. Des confidences.
Ma compagne me fait part du désir d'Estelle de tenter une petite exhibe un de ces soirs, avant que nous repartions. Jeu.
< Elle compte sur nous pour organiser un "plan" ! > rajoute Clémentine. Je dis : < On peut l'emmener aux écuries ! >.
Clémentine s'arrête de marcher et me fait : < Ouai ! Super idée. Je peux l'emmener. Deux filles ! Le vieux va s'éclater ! >.

Il est déjà 18 h30. Nous prenons le chemin du retour. Clémentine se touche parfois tout en pédalant. Le vent nous pousse.
Nous quittons la piste cyclable pour prendre la petite route qui longe la rivière et passe devant le haras. Sentier à gauche.
Nous poussons nos bicyclettes je long du ruisseau. Nous arrivons derrière les fourrés à cent mètres des écuries. Discrets.
La caravane de monsieur Gérard, le barbecue qui fume, la chaise longue. tout indique sa présence. Même s'il est invisible.
Nous restons dissimulés derrière les fourrés. J'ai sorti la paire de jumelles de mon petit sac à dos. Je les tends à Clémentine.

Tout en observant avec attention, Clémentine me commente ce qu'elle voit. Nous restons ainsi un petit moment. Regards.
< Ah ! Le voilà ! Il vient faire quelque chose. Il porte un petit carton ! > me fait Clémentine. La jeune fille commente. Joie.
Elle me tend les jumelles et me dit : < J'y vais. Tu surveilles ! Je t'aime ! >. Je regarde Clémentine avancer. Bras croisés.
La jeune fille longe le sentier. Elle avance d'un pas lent. Je regarde sa silhouette. En jupette, T-shirt ses cheveux libres.
Je regarde avec les jumelles dans la direction des écuries. Monsieur Gérard vient d'apercevoir la jeune fille. Il regarde bien.

Clémentine arrive à la hauteur de la cabane en ruine. < Hello ! > fait la voix du palefrenier qui s'est approché de la clôture.
La jeune fille se tourne pour saluer monsieur Gérard. Elle s'approche de la seconde clôture. Environ 20 mètres les séparent.
Depuis ma cachette je n'entends rien des propos qui s'échangent. A peine quelques éclats de voix incompréhensibles. Bien.
Monsieur Gérard ne prend plus la peine de dissimuler ses penchants vicelards. Il se tripote la braguette tout en bavardant.
Clémentine s'est accroupie. La jeune fille se tient d'une main à un des poteaux de la clôture. Je la vois de dos. Trois quart.

Par contre je peux voir monsieur Gérard ouvrir lentement sa braguette. Faisant preuve d'une parfaite maîtrise de lui-même.
Clémentine a écarté légèrement ses cuisses. Le palefrenier sort sa queue. La situation est surréaliste mais très excitante.
Clémentine se redresse. Elle retire sa culotte devant le type qui tient sa bite entre le pouce et l'index. Il sort ses couilles.
Clémentine s'accroupit à nouveau. Les deux protagonistes de cette scène extraordinaire continuent de bavarder naturellement.
Monsieur Gérard a une toute petite bite. Il tire sur la peau de son prépuce. Par contre il a de grosses couilles. C'est étonnant.

La situation dure un long moment. Clémentine se redresse à plusieurs reprises. Sans doute pour éviter l'ankylose. Discussion.
Monsieur Gérard agite sa queue qu'il tient à sa base. De l'index de son autre main il montre bien sa bite. Il semble expliquer.
Clémentine mime à plusieurs reprises une masturbation masculine. Avec toute la vulgarité dont elle est capable. Bavardages.
J'ai sorti mon sexe. Je me masturbe doucement. De voir ma compagne s'offrir cette situation, m'excite beaucoup. Cadeau...
Monsieur Gérard descend son pantalon et son slip jusqu'aux genoux. Légèrement cambré en avant, il se met à pisser. Fort.

Les mains posées sur ses hanches, le palefrenier, tout en bavardant, lâche plusieurs giclées. Il secoue sa queue. Doucement.
Clémentine s'est redressée. Penchée en avant, légèrement sur le côté, en appui sur le poteau, la jeune fille mâte avec soin.
Je constate qu'elle a une main entre ses cuisses. Monsieur Gérard lui fait signe de le rejoindre, faisant le geste de manger.
Je vois Clémentine décliner l'offre. Monsieur Gérard se secoue la bite pour en faire tomber les dernières gouttes. Cambré.
Clémentine tourne des talons en saluant le palefrenier qui remonte son pantalon. Elle se retourne plusieurs fois en souriant.

Je regarde monsieur Gérard retourner à sa caravane. Clémentine me rejoint. Elle se serre contre moi, sa culotte dans la main.
< Quel vieux vicelard ! > me fait ma compagne en remettant sa culotte. Je passe ma main sous sa jupe. Son sexe est trempé.
Clémentine rajoute : < Il m'a expliqué le fonctionnement de sa bite. Il ne bande plus et a une méthode de branlette à lui ! >.
Nous rions de bon cœur. Nous poussons nos vélos jusqu'à la route. La jeune fille me fait : < Il m'invite à le regarder faire ! >.
Je lui dis : < Accepte ! Tu vas t'éclater ! >. Nous roulons à toute vitesse jusqu'à la maison. Nous sommes morts de faim.

Nous préparons notre rapide repas du soir. Il est déjà 21 h. Clémentine me fait : < On va mettre une stratégie au point ! >.
Elle fait évidemment référence à la proposition de monsieur Gérard. < Il a son anniversaire le premier juillet ! > fait elle.
Nous savourons ce repas en évoquant différentes possibilités. Clémentine exige que je sois planqué dans les environs. Jeu.
< En plus, c'est un samedi soir, et ça n'ira pas. Nous sommes avec Estelle ! > rajoute Clémentine qui réfléchit beaucoup.
Je lui dis : < On va se mettre un "plan" bien au point. Mercredi soir on mange au haras. On verra le mec ! Tu reportes ! >.

Nous faisons la vaisselle. Clémentine est hyper excitée. Elle m'entraîne au salon. Elle retire sa culotte pour la jeter au loin.
Je la renverse sur le canapé. Je tombe à genoux. Je fourre mon visage entre ses cuisses. Je m'enivre des parfums du jour.
L'odeur est forte, puissante et m'enivre totalement. Je me régale de toutes les saveurs du sexe de Clémentine. Un bonheur.
Je suce son clitoris géant. Je fouille tous les plis, tous les replis. Clémentine, au bord de l'orgasme, me repousse doucement.
Elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Superbe !

Nous adorons ces moments, l'un dans l'autre. Clémentine me fait alors toujours des confidences de filles. C'est hyper vicieux.
Ses révélations entretiennent mon érection avec force. < Ce vieux salaud m'attire ! Je ne comprends pas ! > fait Clémentine.
< Va s'y ! Il ne bande pas ! Tu ne risques pas de te faire sauter ! > que je lui répète plusieurs fois pendant ses confidences.
< J'ai quand même la trouille ! Je ne veux pas te tromper ! > me fait elle encore. Je dis : < Mais tu ne me trompes pas ! >.
Je la rassure : < Impossible de me tromper puisque je suis ton complice informé ! >. < Je t'aime ! > dit elle. Voilà l'orgasme.

Bonne exhibe à toutes derrière vos écuries préférées et avec votre palefrenier préféré...

Oncle Julien - (Qui aime l'idée que sa compagne pourrait se livrer au vice, au stupre et à la luxure avec un impuissant) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
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Estelle vient passer la soirée de mardi avec nous

Hier matin, mardi, nous sommes réveillés par un concerto pour violoncelle de Ludwig Van Bite-au-Vent. Il est six heures.
< Ta gueule Lulu ! > fait Clémentine en tapant sur le cube. Nous rigolons comme des bossus. Quelques papouilles. Bises.
Clémentine m'entraîne par la main. Nous nous levons. Elle trottine aux toilettes. Moi je vais à la salle de bain. En pétant.
La bite posée sur le lavabo, je pisse en lâchant de fantastiques salves de pets. Je maîtrise mal le flux en tonalité de Fa#.
< Je t'entends, Ludwig Van pétou ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant.

Nous prenons un copieux petit déjeuner. Puis, c'est notre jogging. Retour et douche. Je sors la petite auto de Clémentine.
La jeune fille me fait des bisous, il est 7 h45. Je la regarde partir en cours. J'ai du boulot qui m'attend. Je file à l'atelier.
Clémentine revient à midi vingt. Tout en m'aidant à terminer la préparation du repas, la jeune fille me raconte sa matinée.
< Estelle vient passer la soirée ! Elle arrive vers 19 h30 ! > m'apprend ma compagne. Clémentine se serre contre moi.
J'ai préparé nos délicieuses tartines grillées aux anchois. Salades du jardin. Laitues, tomates et carottes. C'est un délice.

Clémentine vient s'assoir sur mes genoux après le dessert. < Ce soir, on se fait un "plan" écuries avec Estelle ! > dit elle.
Elle rajoute : < On va la brancher exhibe. On va voir comment elle réagit ! >. Je réponds : < Une excellente initiative ! >.
Clémentine m'expose sa stratégie. Elle m'apprend qu'Estelle n'arrête pas d'évoquer son désir de vivre de nouveaux émois.
< Elle a hyper la trouille. C'est un fantasme qui est au fond d'elle depuis le début de son adolescence ! > fait Clémentine.
Je reste silencieux. J'écoute le développement stratégique de ma compagne, grande spécialiste en la matière. Passionnant.

Nous faisons la vaisselle. Le ciel alterne les séquences de grisaille et d'ensoleillement. Nous allons au jardin voir le potager.
Je propose à Clémentine de porter les cartons contenant mes toiles à mon tonton qui s'occupera de ma galerie d'Art cet été
Il écoule la presque totalité de ma production annuelle durant la saison d'été, en juillet et en août. Clémentine se réjouit.
< On se fait un "plan" sur le retour ? > me fait elle en me sautant dans les bras. Je la soulève pour la faire tournoyer. Bises.
Clémentine m'aide à mettre mes quatre cartons dans le coffre de la voiture. Trente toiles prêtes à trouver acquéreurs. Bien.

Nous montons nous changer. Le climat est très agréable. Il ne fait pas trop chaud. Le ciel n'est pas vraiment menaçant.
Clémentine met une jupe légère, évasée, qui lui arrive au-dessus du genoux. Un T-shirt et ses sandales à légers talons.
Je mets un short clair, une chemisette flottante et mes sandales. < Tu es élégant, mon Bitounet ! > me fait Clémentine.
C'est le plus souvent ma compagne qui me conseille pour me vêtir. Elle aime lorsque je porte des vêtements clairs. Bien.
Il est 14 h15. Nous voilà en route pour la petite cité de caractère où j'exploite ma galerie d'Art deux mois de l'année...

Mon oncle m'y attend. Je gare la voiture exceptionnellement sur la place. Le temps de décharger les quatre cartons. Vite.
Nous montons le tout à l'étage. Mon tonton, grand échalas de 82 ans, les cheveux longs en catogan, se réjouit pour l'été.
Tenir ma galerie lui permet de rester en contact social, de sortir de chez lui. Surtout de s'occuper. Il découvre Clémentine.
Cette belle et grande jeune fille ne laisse pas ce vieux coquin indifférent. Il me fait un clin d'œil. Il me fait du coude. Rire.
< Tu ne te refuses rien mon salaud ! > me glisse t-il discrètement à l'oreille avant de rajouter : < Elle est belle la fille ! >.

Nous prenons congé. Je fixe rendez-vous à mon oncle à jeudi, pour le vernissage. Clémentine et moi seront là dès 15 h.
Nous voilà dans la voiture que nous allons garer sur le parking. Nous flânons un peu dans la cité. Il fait toujours aussi gris.
Avec les pierres de granit, les tuiles en ardoise et la couleur du ciel, il y a une harmonie de couleur absolument parfaite.
Je le fais remarquer à Clémentine qui me tient par la main. Il y a des touristes. Principalement des retraités. Des "séniors".
Comme toujours, les regards interrogateurs se posent sur nous. Cet homme d'âge mûr que tient cette jeune fille. Insolite.

Il y a un tourniquet qui propose quantité de cartes postales devant la vitrine du Bar Tabac. Clémentine m'y entraîne. Bien.
< Mets toi à l'écart, là-bas, derrière le présentoir des journaux ! Je me fais une frayeur ! > me fait ma compagne amusée.
Je m'éloigne conformément à sa demande. Je fais mine de scruter les titres des magazines. Clémentine regarde les cartes.
Du moins en apparence car je la vois loucher discrètement autour d'elle. Il y a un touriste solitaire qui s'approche. Photos.
Le quidam prend quelques clichés de l'église gothique du XIIème siècle. Il se tourne vers le présentoir des cartes postales.

Je regarde l'inconnu. Je regarde Clémentine qui vient de s'accroupir derrière le tourniquet. Le type fait tourner le présentoir.
Il découvre rapidement la jeune fille accroupie qui semble absorbée par les cartes postales qu'elle tient à la main. Il mâte.
L'homme est discret. Il s'accroupit à son tour. A travers les espaces, entre les cartes, il découvre le "spectacle" de la fille.
J'admire le culot de ma compagne qui peut se livrer à sa passion en toute impunité, sans le moindre risque. En "calculant".
La jeune fille en rajoute discrètement. Aucun passant ne se douterait de ce qui se trame derrière ce tourniquet. Sympa...

L'homme scrute avec attention. Clémentine, les cuisses écartées, observe des cartes. Les retire, les remet en place. Choix.
Je bande. Depuis l'endroit où je me trouve je vois très bien les expressions sur le visage du touriste. Quadragénaire élégant.
La situation perdure un petit moment. Soudain, il y a une femme qui vient rejoindre l'homme. Il se redresse. Embarrassé.
Clémentine se redresse également. Le couple s'en va. Ma compagne vient me rejoindre. < C'était comment ? > fait elle.
Je réponds : < Tu as été parfaite ! Comme toujours ! >. Nous rions de bon cœur en continuant notre promenade. Superbe.

Nous passons une partie de l'après-midi à nous promener dans la petite cité. Il est déjà 17 h30. Nous décidons de rentrer.
Dans la voiture, Clémentine, tout en jouant avec ma queue, qu'elle suce parfois, me parle du "plan" exhibe de la soirée.
< Je suis à me réjouir de découvrir l'attitude d'Estelle, ce soir ! > me confie Clémentine. < Moi aussi ! > que je réponds.
Nous arrivons à la maison. Nous décrochons le linge que j'ai suspendu en fin de matinée. Tout est sec. Un léger vent. Bien.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. C'est notre rituel pisseux.

Il est 18 H30. Nous préparons le repas du soir. Ainsi, au retour de notre balade aux écuries avec Estelle, tout sera prêt.
Comme à son habitude, Estelle arrive en avance. Comme toujours son impatience de nous rejoindre est la plus forte. Joie.
< Bonsoir Julien ! > me fait la jeune fille en me serrant la main. Trois bises Bretonnes et voilà les filles devant l'ordinateur.
Clémentine et Estelle consultent le site de l'université. C'est la dernière semaine de cours. Il faut être vigilante. L'aléatoire.
L'emploi du temps est des plus chaotiques et est sujet à des changements incessants. Les filles font donc très attention...

Clémentine propose à Estelle de monter pour qu'elle s'habille d'une jupe. Les filles vont se mettre en tenues. J'entends rire.
Estelle redescend la première. Elle porte une des jupettes "tennis" de Clémentine. Elle est absolument ravissante. Craquante.
Elle vient vers moi. elle pose sa main sur ma braguette. Elle palpe et me chuchote : < J'ai un peu la trouille ! Première fois ! >
Je la rassure, tout ce passera bien. Je suis planqué dans les environs. Clémentine et moi ne laissons jamais rien au hasard.
Clémentine redescend à son tour. Elle est vêtue de la même manière. Deux sœurs jumelles. Elle se serre contre moi. Bisous.

Nous voilà à bicyclette. Nous longeons la rivière sur la petite route. Nous passons devant le haras. Nous prenons le sentier.
Nous poussons nos vélos le long du ruisseau. Nous arrivons derrière les fourrés. Nous sommes à une centaine de mètres.
Je sors la paire de jumelle de mon petit sac à dos. Je les tends à Clémentine. Estelle semble légèrement anxieuse. Fébrile.
Clémentine observe avec attention. Estelle est accroupit à ses côtés. Ma compagne commente ce qu'elle observe. Silence.
Derrière les écuries, il y a la caravane du palefrenier, sa chaise longue et un parasol. L'endroit est désert. Il est déjà 20 h30.

< Le voilà ! > fait soudain Clémentine. Elle passe les jumelles à Estelle qui s'écrie : < Mais c'est un vieux ! >. Nous rigolons.
Monsieur Gérard fêtera ses 65 ans le premier juillet. Trapu, les longs cheveux gris en catogan, il porte bien son âge. Silence.
Estelle regarde longuement. Clémentine se redresse. Elle me fait : < Tu surveilles, hein ! >. Je la rassure. Elle entraîne Estelle.
Je regarde les deux filles s'avancer doucement sur le sentier. Elles sont très rapidement visibles depuis la caravane. Belles.
Je scrute dans la paire de jumelles. Monsieur Gérard vient d'apercevoir les filles qui marchent à une centaine de mètres...

< Hello ! > fait le palefrenier lorsque les filles arrivent aux ruines du cabanon. Monsieur Gérard s'approche de la clôture.
Clémentine entraîne Estelle vers l'autre clôture qui les sépare du palefrenier. Il y a à peine une vingtaine de mètres. Bien.
Depuis ma cachette, je n'entends rien des propos qui s'échangent. Clémentine semble présenter Estelle à monsieur Gérard.
Je scrute. Je tente de percevoir les expressions sur le visage d'Estelle. Elle paraît terriblement gênée, tête souvent baissée.
Je découvre que Clémentine se touche, la main sous sa jupe, debout, tout en bavardant avec le palefrenier. Je bande. Fou !

Monsieur Gérard, son premier moment de surprise passé, se palpe sans gêne la braguette tout en bavardant avec les filles.
Estelle a souvent la main devant la bouche, l'air consterné, détournant à plusieurs reprises la tête. Elle regarde Clémentine.
Le palefrenier, tout en discutant, ouvre sa braguette et y fourre sa main. Estelle se tourne avec son visage dans les mains.
Elle est adorable dans cette situation de gêne. Estelle observe beaucoup plus les attitudes de Clémentine. Elle est excitée.
Monsieur Gérard sort doucement sa toute petite queue qu'il tient en direction des filles. Clémentine s'accroupit lentement.

Estelle, debout à côté de ma compagne semble perdue. Clémentine, les cuisses largement écartées, discute avec passion.
Le type ouvre son pantalon qu'il descend en même temps que son slip. Estelle lui tourne le dos, son visage dans ses mains.
Elle me cherche du regard. Je suis amusé par son attitude de jeune pucelle effarouchée. C'est absolument divin. Adorable.
Le palefrenier tient sa petite bite à sa base. Entre le pouce et l'index. Il l'agite doucement tout en racontant des choses.
Il doit avoir des propos à la fois salaces et amusants car je vois Clémentine éclater de rire. Estelle rit aussi mais très gênée.

Je regarde cet étonnant spectacle en me masturbant doucement. La situation dure un long moment. Estelle reste distante.
Clémentine s'est redressée. Sa main sous sa jupe elle bavarde avec son aplomb habituel. Estelle essaie de l'entraîner. Partir.
Pour Estelle, s'en est visiblement trop. Pas une seule attitude équivoque chez elle. Tout est sans doute trop neuf. Découverte.
Clémentine se laisse entraîner par Estelle. Ma compagne salue le palefrenier de la main. Estelle ne se retourne même pas.
Monsieur Gérard remonte son pantalon. Je l'entends dire d'une voix forte : < A demain soir pour la visite ! >. Signe de mains.

Les filles viennent me rejoindre. < Quel vieux salaud ! Je suis écœurée ! > fait Estelle. Clémentine et moi rions de bon cœur.
Je montre ma bite à Estelle en lui disant : < Tu vois, elles ne sont pas toutes pareilles ! >. Nous rigolons comme des bossus.
< Je préfère celle que je connais bien ! > rajoute Estelle en prenant ma queue dans la main. < Plus jamais ! > rajoute t-elle.
Nous rentrons. Nous avons une faim de loups affamés. Il est déjà 21 h30. Estelle devra rentrer pour 22 h30. Nous mangeons.
Nous bavardons. Estelle nous donne ses impressions. < Je pourrais pas faire ce que tu fais ! > dit elle à Clémentine. Rires...

Je secoue ma bite devant Estelle pour lui dire : < Et elles n'ont pas toute le même goût ! >. En riant elle fait : < Arrête ! >.
< Ni la même odeur ! > rajoute Clémentine. Estelle met son visage dans ses mains en nous faisant : < Vous me dégoûtez ! >.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Estelle insiste pour faire la plonge. Nous essuyons. Les filles vont réviser un peu. Salon.
Je termine de ranger la cuisine et je viens les rejoindre. Elles sont studieuses et tentent de se concentrer sur leurs cours. Bien.
Il est 22 h20. Estelle nous laisse et nous fait : < Merci pour la découverte ! >. Nous la raccompagnons jusqu'à sa bicyclette...

Bonne découverte d'une nouvelle bite appartenant à un vieux vicelard derrière vos écuries favorites à toutes...

Oncle Julien - (Guide spirituel pour jeune vicieuse désireuse de frissonner dans des situations excitantes) -

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Nous sommes invités à passer la soirée chez Juliette

Hier matin, mercredi, j'ouvre les yeux juste avant que la musique de notre réveil ne le fasse. Il est donc presque six heures.
Je n'ai que le temps de l'éteindre que Clémentine me fait des bisous. < Bonjour Julien ! > me fait elle en m'entraînant. Joie.
Clémentine file aux toilettes en chantonnant. Je file à la salle de bain en pétant. La bite posée sur le bord du lavabo. Pissou.
Tout en pissant, je me gratte les couilles en lâchant une véritable mitraille que je module en tonalité de Fa. Je monte en Sol.
< Je t'entends, mon Bitounet péteur ! > me fait Clémentine depuis les toilettes. Nous rigolons comme des bossus. Cuisine...

Nous prenons un copieux petit déjeuner. Puis c'est notre jogging. Retour et douche. Je sors la petite auto de Clémentine.
Il est déjà 7 h45. Je regarde Clémentine partir en cours. Je file à l'atelier. Il me faut tout ranger avant les vacances. Boulot.
Clémentine revient vers 17 h. Assise sur mes genoux dans la véranda, elle me raconte sa journée. Elle évoque Estelle. Rire.
Ma compagne me parle de la fête de fin d'année universitaire, cet après-midi. L'orchestre de Gérôme l'organisateur. Sympa.
< Estelle n'a pas arrêté d'évoquer le palefrenier ! Elle en est encore toute "secouée" ! > me raconte ma compagne. Sourires.

Il y a trois coups de sonnettes. < C'est Juliette ! > que je fais à Clémentine. Juliette m'a fait un message. Elle passera vite.
Clémentine se lève pour aller ouvrir. Elle revient suivie de Juliette. La météo est médiocre et il fait même plutôt frais. Bien.
Juliette est vêtue "ville". Une veste de cuir. Noire. Une jupe, des bas noirs et des souliers à talons. Elle nous serre la main.
C'est la première fois que nous découvrons la jeune femme vêtue en femme. Elle est plutôt sexy et attractive. Je la félicite.
Nous la faisons entrer au salon. < Je n'ai que quelques minutes, il faut que je file ! > fait Juliette visiblement très pressée.

Clémentine lui propose de visiter mon atelier, raison de la visite de Juliette. Je l'invite à mon vernissage vendredi 30 juin.
< C'est aéré ! C'est donc là que vous travaillez ! > me fait Juliette tout en déambulant dans le grand espace à présent vide.
Clémentine lui demande l'autorisation de prendre quelques photos. < Aucun soucis, je suis une "poseuse" ! > fait Juliette.
Nous rions de bon cœur et Juliette se prête de bonne grâce à la requête de ma compagne. < Autorisation de les utiliser ! >.
Cette précision est accueillit avec joie. Juliette précise : < Mais avec cache sur le visage si c'est sur Internet ! >. Rigolades.

Juliette nous laisse. < A ce soir ! > nous fait elle en filant rapidement. Clémentine me fait : < Un peu curieuse, Juliette ! >.
Nous rions de bon cœur. J'entraîne Clémentine à la cuisine. < Miam, ça sent bon, c'est quoi ? > fait elle en regardant partout.
Je lui montre la tarte que j'ai préparé pour le dessert de ce soir. < Ouah ! Génial ! > fait encore ma compagne en la respirant.
Je lui dis : < Je l'ai préparé cet après-midi ! J'y ai consacré du temps. Avec la confiture d'Estelle ! >. Clémentine la renifle.
Il est déjà 18 h15. Nous allons à l'ordinateur afin de découvrir nos messages éventuels. Clémentine en à deux. Université.

Nous découvrons le message d'Estelle qu'elle m'envoie tous les jours. La jeune fille m'y donne ses impressions de la veille.
< La petite salope ! > fait Clémentine en lisant. Estelle me confie son profond trouble quand à l'attitude du palefrenier. Rire.
Elle me confirme sa présence vendredi soir au vernissage de mon exposition dans ma galerie. Clémentine m'embrasse. Bien.
< Je peux goûter ta queue, un peu ? > me demande ma compagne en ouvrant ma braguette. Je dis : < Un peu. Pas trop ! >.
Nous rions de bon cœur. Nous n'avons que peu de temps. < Je me sens salope et je te veux bien salaud ! > fait Clémentine.

Je me lève. Je m'installe sur le bureau. Clémentine reste assise. Elle tient ma bite. < Je ne la suce pas assez ! > me fait elle.
Je lui prends les cheveux. Sans ménagement, avec fermeté mais sans violence ni brusquerie, j'attire sa bouche sur ma bite.
Je sais que Clémentine aime bien ce genre d'attitude. J'ai du mal car il est difficile pour moi de me comporter ainsi avec elle.
Je la regarde renifler. La jeune fille goûte du bout de la langue. Elle tente de la glisser entre mon prépuce et le gland. Doux.
Je la tiens fermement par la nuque. J'enfonce doucement ma bite dans sa bouche chaude et humide. Indicible sensation...

Nous passons un long moment. Pour reposer sa mâchoire, Clémentine cesse pour lécher la jute qui dégouline abondamment.
Je lui caresse le visage. Je peux l'entendre gémir. C'est lorsqu'elle tente de déglutir que le gargouillis bulleux est le plus fort.
Je la force à cesser. Clémentine ouvre les yeux et me fait : < Pourquoi ? >. Je dis : < Nous devons nous préparer ! Viens ! >.
Je me lève. J'entraîne Clémentine par la main. Nous montons à l'étage. Clémentine ouvre l'armoire pour faire son choix. Bien.
Lorsqu'elle est en petite culotte, je la pousse sur le lit. Je la lui descends. Je fourre mon visage entre ses cuisses. Odeur de fille.

Je m'enivre des parfums de sa journée. Son sexe est mouillé. Je fouille les plis et les replis. Son clitoris géant est turgescent.
< Arrête, tu vas m'exciter encore plus ! > me fait Clémentine en tentant de me repousser. Peine perdue. Elle résiste très peu.
Nous nous offrons un moment de dégustation absolument goûteux. Je reste vigilant. Pas d'orgasme prématuré. Il faut cesser.
Clémentine se relève. < J'ai perdu la tête à cause de toi ! > me fait la jeune fille en se serrant contre moi. Je la soulève. Rires.
Il est déjà 19 h30. Nous sommes morts de faim. Clémentine met sa jupe kilt à carreaux rouges. Un chemisier et un pull noir.

Chaussée de souliers à légers talons, ma compagne est à la fois élégante, attractive et terriblement sexy. Elle fait deux tours.
< Je suis comment ? > me demande t-elle. < Sublime ! > que je lui dis. Sur la demande de Clémentine je m'habille en clair.
Pantalon à plis, chemise blanche et veste claire. Mocassins. < J'adore lorsque tu es vêtu comme ça ! > me chuchote t-elle.
Nous redescendons. Je récupère le grand Tupperware contenant la tarte et la corbeille. Confitures et bouteille de jus de fruits.
Nous prenons la petite voiture de Clémentine qui est encore dehors. Par contre c'est moi qui suis sollicité pour rouler. 19 h45...

Nous arrivons au haras. Il y a la voiture à Juliette. La voiture de madame Walter l'employée et la voiture de monsieur Gérard.
Juliette vient nous accueillir. Elle s'est remise en tenue de travail. C'est à dire en vêtements d'équitation. Elle nous invite. Joie.
Nous suivons la jeune femme jusqu'à son grand bureau loft. < Vous êtes absolument ravissante ! > fait elle à Clémentine. Bien.
La table est déjà mise. Il y les salades. < Ce soir, tarte au thon "maison" ! > fait Juliette en me débarrassant du Tupperware.
< Soirée tartes ! > fait Clémentine. < Entre tartes ? > demande Juliette, espiègle et mutine. Nous rigolons comme des bossus.

Le repas est des plus agréables. Nous mangeons de bon appétit. La tarte au thon contrairement aux apparences est légère.
Juliette nous parle de son entreprise. Il ne reste que sept chevaux pour l'été. Elle pourra partir en vacances deux semaines.
< Dès la mi septembre, les propriétaires rapportent les premiers chevaux ! > nous fait encore Juliette. Passionnée et inspirée.
Nous écoutons les anecdotes amusantes que nous raconte Juliette. < Promenades à la laisse en soirée ? > nous fait Juliette.
Cette soudaine question, hors sujet, nous étonne et nous fait rire. Clémentine répond : < Oh oui ! J'adore ! >. Nous rigolons.

Juliette nous dit qu'elle pense souvent à notre première rencontre. Lorsque je promenais Clémentine par sa laisse. Fin mars.
Lorsque, arrivant à cheval, Juliette nous a vu au bord de l'étang. < C'était tellement insolite et troublant ! > rajoute Juliette.
Nous restons volontairement évasif. Clémentine change adroitement de conversation. Nous passons au dessert. Ma tarte.
J'explique ma recette. Une pâte sablée. De la confiture, de la crème fraîche, un œuf et de la patience. Une recette allemande.
Nous nous régalons. Juliette revient sur le sujet. Le collier canin et la laisse. Nous rions de bon cœur. Juliette semble insister.

< C'est un fantasme ! > finit-elle par nous avouer. < Il faut tenter ! > fait Clémentine. Un silence. Nous reprenons du dessert.
Juliette nous propose d'aller aux écuries. Nous la suivons. Il y a quelques gouttes de pluie. Nous marchons vite dans la cour.
Nous arrivons aux écuries. Elles sont vides, propres. L'odeur est forte et très agréable. Juliette nous emmène au box du fond.
< C'est Oscar, le dernier étalon qui va partir demain matin ! > nous fait Juliette en ouvrant le box pour nous inviter à la suivre.
Nous caressons le cheval. La voix de monsieur Gérard résonne soudain. < Bonsoir ! > fait il en pénétrant dans le petit enclos.

Juliette évoque l'histoire de ce jeune cheval qui vient d'être "débourré" par madame Walter qui arrive également. Présentations.
< Bonsoir ! > nous fait la jeune femme. Madame Walter informe Juliette de quelques précisions professionnelles. Je regarde.
Je découvre le regard du palefrenier qui bavarde avec Clémentine. Je louche discrètement. Monsieur Gérard est entreprenant.
Je le vois faire un signe de tête et un clin d'œil à Clémentine en l'invitant discrètement à le suivre. < Et la jument ! > fait il.
J'écoute les recommandations que fait Juliette à madame Walter. Il est question de visite du vétérinaire et de prélèvements.

Je regarde vers le fond des écuries. Clémentine et monsieur Gérard sont dans le dernier box. La situation dure un petit moment.
Clémentine revient d'un pas rapide. Elle me rejoint. Monsieur Gérard ne tarde pas à revenir lui aussi. Nous bavardons un peu.
Il est déjà 22 h30. Madame Walter vient de partir. Demain sera son jour de congé. Monsieur Gérard nous salue avant de partir.
Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. < A vendredi soir alors ! Pour le vernissage ! > fait elle en nous serrant la main.
Nous voilà en route. Nuit. Clémentine, amusée, me raconte l'attitude du palefrenier, lorsqu'elle était seule avec lui dans le box.

Nous arrivons rapidement à la maison. Quelques minutes de voiture. < C'est un sacré vicieux ! > me confie Clémentine. Rires.
< Il n'arrête pas de se toucher, le salaud, et tout en discutant avec moi ! Il m'a encore proposé une pipe ! > me fait Clémentine.
Elle rajoute : < Tout en bavardant, il sort sa bite et pisse dans un seau en fer ! Il a même passé sa main dans mes cheveux ! >.
J'écoute amusé. < Ce vieux dégueulasse m'excite ! J'aimerais bien savoir pourquoi ! Je ne comprends pas ! > fait elle encore.
Ma compagne, en éclatant de rire me fait : < Je ne sais pas si c'est bite qui schlingue ou si c'est l'odeur des écuries ! >. Rires !

Sous la douche, je fais : < Tu devrais accepter son invitation ! Tu es attirée. Au moins tu sauras pourquoi ! >. Clémentine rit.
< Lui tailler une pipe ? > me fait elle en riant, espiègle et mutine. < Oui, tu te le suces un soir ! > que je lui fais. Le silence.
Nous allons nous coucher. Nous faisons l'amour, longuement immobiles. Nous aimons. Clémentine me fait ses confidences.
< Il faut trouver la bonne formule. Si je lui taille une pipe, il faut que tu sois planqué ! Et ça ne sera pas simple ! > me dit elle.
Nous nous promettons d'étudier la question. Clémentine, hyper excitée par l'idée, se met à bouger en rythme. L'orgasme...

Bonne stratégie à toutes pour trouver la formule idéale pour sucer un vieux salopard dans vos écuries préférées...

Oncle Julien - (Complice et garde du corps de Clémentine qui semble de plus en plus attirée par l'idée de faire une pipe à Gérard) -

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Clémentine et moi sommes ensemble pour accrocher mes toiles

Hier matin, jeudi, c'est Igor Stravinsky qui nous réveille à six heures. < Ta gueule Casse-Burnes-en-Ski ! > s'écrie Clémentine.
Tout en tapant sur le cube pour l'éteindre, elle me fait : < Bonjour Julien ! >. Nous rigolons comme des bossus. Bises. Debout.
Clémentine file aux toilettes en chantonnant. Moi, je file à la salle de bain en pétant. La bite posée sur le bord du lavabo. Pisse.
Je lâche de somptueuses rafales de pets que je module en Fa. < Je t'entends, Bitounet ! > me fait Clémentine depuis les WC.
Nous rigolons comme des bossus en descendant prendre notre petit déjeuner. Puis, c'est le jogging. Retour et douche. 7 h45.

Je sors la petite auto de Clémentine. Elle me fait des bises et me dit : < Dernier jour. Je suis de retour pour midi ! >. Vacances.
Je la regarde partir. La fraîcheur est presque automnale. Il faut se vêtir en conséquence. Un curieux contraste avec la canicule.
Il est midi vingt. Clémentine revient. Toute contente la jeune fille me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Bisous.
< Voilà, ça y est, c'est les vacances ! > s'écrie ma compagne. Elle m'aide à terminer la préparation de notre repas. Salade. Pain.
Je fais griller quatre grosses tranches de pain complet et "Bio" sur lesquelles j'étale généreusement du Roquefort. Olives noires.

Nous mangeons à la cuisine. Le thermomètre indique à peine un pénible 22°. Nous savourons nos salades du jardin. Un délice.
< Estelle nous rejoint ce soir vers 19 h30. Elle est très pressée d'être avec nous ! > me fait Clémentine assise sur mes genoux.
Nous bavardons. Ma compagne me fait part de son ressenti quand à cette fin de troisième année de faculté. Bonnes impressions.
< La quatrième année, il faudra mettre un coup de collier ! > me confie t-elle. < A propos de collier ! > fait encore Clémentine.
Elle se lève pour aller chercher le collier canin et la laisse. Elle revient et me les tend. < Tu me le mets ? > me fait elle. Clin d'œil.

Nous prenons notre dessert. Nous traînons à table. Clémentine me tend la laisse et me dit : < Vacances en Ecosse à la laisse ! >.
Nous rions de bon cœur. Je donne un à coup sur la laisse. < Je veux être dressée ! Stage de dressage en Ecosse ! > me fait elle.
Je lui promets de faire de mon mieux tout en lui rappelant qu'elle est la fille que j'aime et que cela me demande d'être bipolaire.
< On s'en fout ! On s'amuse. Bitounet, je t'aime ! > répond Clémentine en revenant s'assoir sur mes genoux. Nous rigolons bien.
Il est 13 h30. Nous faisons la vaisselle. Je rappelle à Clémentine que nous avons rendez-vous avec mon tonton à quinze heures.

Nous nous préparons. Il y a quarante cinq minutes de route. Clémentine porte un jean, un sweat-shirt et des baskets. Fraîcheur.
Je suis en jean, en sweat-shirt et en basket. Nous roulons sur la petite route. Nous passons devant le haras. Plein de voitures là.
< Juliette ne manque pas d'occupations ! > me fait Clémentine en ouvrant ma braguette pour en extraire difficilement ma bite.
Ma queue dans la main, ma compagne évoque nos vacances prochaines en Ecosse. Nous partons lundi 10 juillet. Avec la voiture.
< Je préfère en auto qu'en avion ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Je lui promets de lui faire découvrir Londres...

Nous arrivons dans la petite cité. Je gare la voiture sur le parking. Il y a une alternance de séquences ensoleillées et nuageuses.
Il y a déjà nombre de voitures garées là. Les premiers touristes se baladent. Souvent chaudement vêtus. Curieuse météorologie.
Nous traversons la place. Mon oncle est déjà là. Nous montons à la galerie. Il salue Clémentine de manière presque obséquieuse.
Nous bavardons un peu. Mon tonton est à se réjouir pour tenir ma galerie tout l'été. Il le fait depuis plusieurs années. Bonheur.
Dans le coin à côté de la fenêtre, nous installons la petite table ronde. Sur la nappe, nous déposons un jeu d'échec. Bois de buis.

J'ouvre les cartons que j'ai préparé avec soin mardi. Ils contiennent toutes les toiles produites depuis septembre de l'an dernier.
Trente toiles d'un format 6-F, (41 x 33 cm). C'est mon format de prédilection. Je peins avec une grande minutie et à la loupe.
Mon tonton regarde et admire chacune d'entre elles. Toiles sur bois que je dépose l'une à côté de l'autre au pied des murs blancs.
Je commence par vérifier la fixation des cimaises. Clémentine bavarde avec mon oncle, partageant des anecdotes sur mon travail.
Clémentine me conseille quand à l'accroche. Nous commençons l'accrochage. Discrètement, Clémentine me palpe la braguette...

Nous passons plus de deux heures à tout mettre en place. Clémentine me fait décrocher tel ou tel tableau pour une belle harmonie.
Son avis m'importe au plus haut point. C'est la première fois depuis longtemps qu'une femme me conseille pour cette opération...
Mon oncle écoute et regarde, avec admiration, Clémentine prendre la direction des opérations. J'adore la découvrir aussi impliquée.
Il est déjà 17 h30. Enfin tout semble convenir à Clémentine. Je suis absolument satisfait. Tout est en ordre. Tout est remarquable.
Je donne rendez-vous à mon tonton pour le vernissage, demain soir, vendredi, à 20 h. Nous nous serrons la main. Nous rentrons...

Nous voilà à la maison pour 19 h. Estelle est déjà là. Sa bicyclette est posée sous l'auvent du garage. Nous sommes morts de faim.
A peine sommes nous dans l'entrée qu'Estelle vient à nous pour nous faire des bises. Toute contente. < Bonsoir Julien ! > fait elle.
Nous nous serrons la main. C'est un rituel qui devient un peu ridicule et qui nous amuse beaucoup. Estelle prépare déjà le repas.
Nous l'aidons. Je mets la table. Salades du jardin. Je propose un gratin de coquillettes au parmesan. Avec cette météo, c'est au poil !
Je vais aux toilettes. A peine suis-je debout devant la cuvette que s'ouvre la porte derrière moi. Estelle vient se mettre à ma droite.

< Julien ! > me chuchote t-elle plusieurs fois. Je sais que Clémentine est derrière la porte entre baillée. Ecoutant en cachette. Bien.
Estelle s'accroupit pour se saisir de ma queue juste avant que je ne lâche le premier jet. < Génial ! > me fait elle en guidant le jet.
Estelle vise consciencieusement. Elle guide chaque giclée sans mettre la moindre goutte à côté ou sur le bord. Elle observe le fond.
Clémentine nous rejoint. Elle me saisit par les hanches, observant par dessus mon épaule. Je me tourne légèrement. Estelle aussi.
Sans que je ne fasse le moindre mouvement, Estelle se met à me sucer. Il est déjà loin le temps où elle restait distante et inquiète.

J'apprécie beaucoup sa succion. Je dois pisser depuis la fin de l'après-midi. Aussi, il m'est facile de lâcher plusieurs petites giclées.
A chaque fois, je retire ma bite de la bouche d'Estelle qui en dirige immédiatement le nouveau jet vers le fond de la cuvette. Bien.
Clémentine me chuchote des douceurs et des cochonneries à l'oreille. Je me fais essorer la bite après chaque giclée. Estelle suce.
Nous restons ainsi un long moment. Estelle s'est mise à genoux sur le carrelage. C'est la sonnerie du four qui nous sort de nos jeux.
Je force Estelle à se redresser. En se massant les genoux, la jeune fille lance plusieurs < Aïe ! Ouille ! >. Nous rions de bon cœur.

Je sors le gratin du four. Estelle, debout à côté de la table, mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité possible. Rires.
< J'exige mon dessert après le repas ! > fait Estelle en me faisant un clin d'œil. < Oh là ! C'est mon mec ! > fait Clémentine. Blague.
Je secoue ma bite qui gicle un peu en direction d'Estelle pour lui répondre : < Tu vas en avoir du dessert, petite salope ! >. Rigolade.
Notre repas est absolument délicieux. Simple mais nourrissant. Les filles bavardent. Elles évoquent leurs études le plus sérieusement.
Ce sont des bosseuses. Elles ont le désir fort de s'assurer une vie sans soucis. Professeurs en faculté. Froidement déterminées. Bien !

Nous faisons la vaisselle. Estelle insiste pour faire la plonge. Nous essuyons. Estelle évoque le palefrenier vicelard et ses exhibitions.
Je fais : < Estelle, tu ne connais que le goût de ma bite. Il te manque donc l'élément de comparaison ! >. Nous rions de bon cœur.
< Tu es fou ! Sucer ce vieux salaud, ça va pas non ! Ce vieux dégueulasse ! > s'écrie t-elle sous les éclats de rires de Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. < Elément de comparaison ! Et mon cul, c'est du poulet ! > fait encore Estelle avant de pouffer !
< Même pour faire plaisir à Julien ? > demande Clémentine. Silence. Estelle se concentre sur le nettoyage de l'évier qui se vidange.

Estelle me lance un regard interrogateur, presque inquiète, elle me demande : < Tu me demanderas jamais de faire ça, hein ? >. Rire.
Clémentine, soucieuse de ne pas aborder plus longtemps cette épineuse conversation, nous propose de passer au salon. Le "dessert".
Estelle s'y précipite la première. Clémentine se serre contre moi. Nous sommes encore à la cuisine. < Tu fais le salaud ? > me dit elle.
Elle m'embrasse et m'entraîne au salon. Quelle n'est pas notre surprise de découvrir Estelle à genoux sur le coussin devant le canapé.
Clémentine s'installe dans le canapé. Je passe entre Estelle et le canapé pour m'y installer. Estelle me fait : < Je veux mon dessert ! >.

Je sors ma queue encore dégoulinante de la séance des chiottes, avant le repas. Estelle lèche la peau fripée de mon prépuce. Joie.
Juste un instant avant d'offrir ma bite à Estelle, je regarde Clémentine qui vient d'ouvrir son pantalon. Sa main dans sa culotte.
Ma compagne mime des bisous et me fait des clins d'œil. Rien ne l'excite plus, dans ces situations, que de m'observer faire le salaud.
Estelle commence sa pipe. Avec sa langue elle fait des bosses à l'intérieur de sa bouche. < Regarde les boutons ! C'est toi ! > fait elle.
Je pose ma main sur sa tête pour la maintenir fermement. Mon autre main sous son menton, je lui enfonce la queue dans la bouche.

J'observe la peau étirée par sa pipe autour de la bouche d'Estelle. Effectivement, il y a des boutons dont certains semblent purulents.
Je les caresse du bout de mes doigts. Estelle se retire pour me faire : < Ma mère se doute certainement ! Elle fait des allusions ! >.
Nous rions de bon cœur. Estelle, 20 ans, suce qui elle veut, quand elle veut, sans avoir de comptes à rendre à qui que ce soit ! Bien.
Je laisse Estelle se régaler. Clémentine se masturbe doucement en nous fixant. Elle me fait de délicieux sourires. Petits gémissements.
J'entends Estelle tenter de déglutir mes quantités abondantes de liquide séminal. J'entends les gémissement de Clémentine. Superbe.

Nous restons ainsi un long moment. Estelle devra rentrer pour 22 h30. Il nous reste environ une demi heure. J'éjacule abondamment.
Clémentine, au bord de l'orgasme fou qu'elle réfrène avec peine depuis longtemps, se lève soudain pour me rejoindre sur le canapé.
Estelle avale avec beaucoup de difficultés. < Imagine que tu avales le foutre du palefrenier ! > fait elle à Estelle qui soudain se retire.
< Arrête ! Tu me dégoûtes ! > fait Estelle avant de revenir pomper. Je lui dis : < L'élément de comparaison ! >. Estelle glousse. Joie.
Je force Estelle à cesser sa pipe. Nous mettons au point notre rendez-vous de demain. Estelle viendra au vernissage. Avec nous deux.

Estelle travaille dans la petite entreprise familiale. Non seulement elle y gagne de l'argent, mais elle y a quelques responsabilités.
Il lui faut donc organiser son emploi du temps en fonction de ses études prioritaires. Rendez-vous demain, ici, chez nous, pour 18 h.
Les filles vont visiter rapidement le site de la faculté sur l'ordinateur. Estelle me montre sa bouche, fière de me montrer ses boutons.
Elle ouvre sa bouche pour me montrer qu'elle savoure encore un peu de mon foutre gluant et visqueux. Bien salope. C'est excitant.
Estelle nous laisse. Nous la raccompagnons jusqu'à sa bicyclette. Elle a un peu plus de 2 km à faire. Clémentine est pressée de baiser.

Bonne soirée de vice, de stupre et de luxure avec votre visiteuse bien salope à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Docteur Honoris Causa en pipe pour petites salopes assoiffées désireuses de se "boutonner" le tour de bouche) -

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Clémentine et Estelle profitent du début de leurs vacances

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des chuchotements et des rires étouffés. J'ouvre l'œil. Et le bon.
Clémentine se serre contre moi avant de me chevaucher. < Bonjour Bitounet ! > me fait elle en me couvrant de bisous.
< Bonjour Julien ! > me fait Estelle depuis l'autre bout du lit. < Bonjour Clitorette ! Bonjour Estelle ! > que je réponds. Bien.
< Je descends préparer le petit déjeuner ! > nous fait Estelle, se levant pour filer aux toilettes. Le moment des papouilles.
< On arrive dans cinq minutes ! > fait Clémentine que je fais basculer à droite puis à gauche. Il est à peine huit heures...

Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux, debout, jambes fléchies, dans un équilibre précaire. Rire.
Clémentine se lâche dans un long jet sonore et libérateur. Je m'accroupis pour humer sa nuit et récupérer la dernière goutte.
Puis, Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en récupère les derniers épanchements. Un moment.
Je la force à se redresser. Nous descendons à la cuisine rejoindre Estelle. Elle est vêtue de son long T-shirt de nuit. Belle.
L'odeur du café et du pain grillé achèvent d'ouvrir nos appétits abyssaux. Estelle me fait la bise et pose sa main sur mon sexe.

Nous bavardons. Nous évoquons le vernissage de vendredi soir où nous nous sommes beaucoup amusés tous les trois. Rires.
Nous évoquons la journée de samedi. Nous parlons évidemment de cette météo déplorable d'un début de juillet bien médiocre.
Clémentine, assise sur mes genoux, nous avoue son immense joie d'être enfin en vacances. Estelle l'est tout autant. Moi aussi.
Nous traînons à table. Le dimanche est toujours une journée sans entraînement. C'est notre journée de repos. Nous profitons.
Estelle commence la plonge. Nous essuyons. Après la vaisselle, Clémentine propose à Estelle de s'installer devant l'ordinateur.

Pendant ce temps nous pourrons nous livrer à notre rituel du dimanche matin. Faire le ménage. Nous apprécions cette activité.
Clémentine monte à l'étage. Je commence par nettoyer la cuisine. Je passe l'aspirateur. Tout le rez-de-chaussée. Proprement.
Au salon il y a Estelle qui lit nos aventures sur le forum, en riant. < Je lis ton "journal" intime que tu partages ! > fait Estelle. Joie.
< Tu es fou de tout raconter comme ça ! On va finir par nous reconnaître ! > fait la jeune fille. Nous rions de bon cœur. Sympa.
Je la rassure : < Aucun risque Estelle. L'anonymat de nos pseudos nous tient à l'abri des fouilles merde ! >. Rigolade. Poilade.

Estelle se lève. Avec toute la vulgarité dont elle est capable, elle mime une masturbation masculine. < Après ? > demande t-elle.
Je tiens l'aspirateur d'une main. Je sors ma bite de l'autre. Je l'agite en direction de la jeune fille qui mime une pipe. Bien vulgaire.
< Avant votre départ pour l'Ecosse, lundi prochain, je veux te la bouffer tous les jours ! > me fait Estelle en venant vers moi. Rires.
Je reprends rapidement mon activité. Clémentine étant à l'étage, il n'est pas question de faire des trucs en son absence. Honnêteté.
Estelle tente de m'attraper par la queue. Je l'en empêche en tournant sur moi-même m'emmêlant dans le câble de l'aspirateur.

Nous rigolons comme des bossus à nous poursuivre dans tout le salon. J'adore le rire d'Estelle qui me suit en me tripotant. Rires.
Tout notre vacarme finit par attirer Clémentine qui descend avec les draps dans les bras. < Mais c'est quoi ce bordel ? > fait elle.
< Il ne veut plus que je le suce, le salaud ! > fait Estelle, s'emparant enfin de ma bite. < Tu es tellement salope ! > fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine lance les draps sur le canapé et vient nous rejoindre. < C'est mon mec ! > fait elle.
Estelle me lâche pour retourner s'asseoir derrière le bureau. < Tu ne perds rien pour attendre ! > me fait Estelle avec un clin d'œil.

Je termine de passer l'aspirateur. Je nettoie les chiottes du rez-de-chaussée. Je passe la serpillère. J'entends les filles rigoler. Salon.
Je monte à l'étage. Je passe l'aspirateur dans la chambre à coucher et dans la chambre où nous nous entraînons en automne hiver.
Je nettoie les chiottes de l'étage et la salle de bain. Je passe la serpillère. Je récupère le linge dans le panier en osier. Je redescends.
Les deux filles sont studieuses. Je passe derrière le bureau pour les rejoindre. Elles sont devant le site de l'université. Leurs études.
Ces deux bosseuses sont déjà entrain d'évoquer la rentrée de septembre, anticipant les évènements inhérents à cette date inéluctable.

Il est déjà 10 h30. Je vais à la cuisine. Clémentine vient me rejoindre. Serrée contre moi, elle me fait : < Je t'aime Julien ! >. Des bises.
Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. La jeune fille me fait : < Interdiction de t'éloigner de moi plus de 5 mètres. 2 mois ! >.
Je la rassure. Je serais toujours présent tant que notre merveilleuse histoire durera. Clémentine m'embrasse avec sa fougue habituelle.
Estelle vient nous rejoindre. < Moi aussi, je veux un Julien ! J'en ai marre ! > nous fait elle. < Celui-là, il est à moi ! > fait Clémentine.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Clémentine nous propose une balade pour nous ouvrir l'appétit. L'idée est accueillit avec joie...

Nous nous habillons. Estelle a remis sa chemise à carreaux qu'elle porte hors de son jean, chaussée de ses baskets. Elle est belle. Sexy.
Clémentine est habillée de la même façon. Pour pousser le mimétisme qui nous unis souvent, je m'habille exactement de la même façon.
Le sol est humide mais pas boueux. Nous pouvons marcher au sec en évitant parfois de rares flaques. Nous descendons à la rivière. Bien.
Les filles bavardent en évoquant une fois encore leurs études. D'amusantes anecdotes ayant trait à leurs cours. Troisième année de fac.
Elles sont parfaitement conscientes que la prochaine année qui les attend sera celle de ce fameux "Master". Sanctionnant quatre années...

Nous longeons la rivière. Nous passons devant le haras. Il y a quelques voitures garées dans la cour. Il y a deux chevaux près des écuries.
< On passe derrière les écuries , Il y a peut-être ce vieux salaud de Gérard ! > fait Estelle. Clémentine fait : < Eh bien ! Te voilà bien salope ! >.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Estelle rajoute : < Avec tout ce que raconte Julien dans son "journal", sur le forum, ça m'intéresse ! >.
Nous traversons la route pour prendre le sentier qui longe le ruisseau. Nous arrivons derrière les bosquets. Nous sommes à cent mètres.
Je sors la paire de jumelles toujours dans la pochette avant du petit sac à dos qui nous accompagne presque toujours lors de nos balades.

Clémentine observe avec attention en commentant ce qu'elle voit. Estelle a passé sa main entre mes cuisses, par derrière, sur mes couilles.
J'ouvre ma braguette. Je sors ma bite. Estelle s'en saisi de la main droite tout en me tenant les couilles par derrière de l'autre. Nous écoutons.
Clémentine se retourne, se met à rire et nous fait : < Voilà ! Je vous tourne le dos cinq minutes et vous faites vos saloperies ! >. Nous rions.
Nous regardons en direction des écuries. Il y a la caravane du palefrenier mais l'endroit est désert. Estelle me tient toujours. Immobile. Silence.
Soudain, la voix de Clémentine : < Le voilà ! C'est monsieur Gérard ! >. Nous regardons. En effet, la silhouette trapue du palefrenier se profile.

Clémentine commente ce qu'elle scrute dans la paire de jumelles. < Il rentre dans sa caravane ! >. Estelle propose un "plan" bavardages.
< Julien, tu restes planqué là, et tu mâtes ? > me fait Clémentine en me passant les jumelles. Les deux filles longent le sentier. Lentement.
Je les vois arriver près des ruines du vieux cabanon. Elles sont tout près de la première clôture. Il y a un espace de 20 mètres entre l'autre.
Clémentine et Estelle sont parfaitement visibles depuis la caravane à environ cinquante mètres. Un petit moment passe dans le silence total.
Enfin le palefrenier sort de sa caravane. Il voit les deux filles. De ma cachette je n'entends rien des propos qui s'échangent. J'observe bien.

Avec de grands signes de la main, monsieur Gérard vient à la rencontre des deux filles. Il est debout devant la première clôture. Bavardages.
Clémentine, bien salope, a sa main droite entre ses cuisses, se touchant le sexe sur le tissus de son jean. Estelle, comme admirative, regarde.
Le type ne tarde pas à se palper la braguette tout en bavardant. Estelle, comme la dernière fois, détourne souvent sa tête comme consternée.
Lorsque monsieur Gérard sort sa toute petite bite pour l'agiter vers les filles, Estelle se détourne avec le visage dans ses mains. Joueuse ?
Je sais les capacités d'Estelle à jouer la pucelle effarouchée. Pucelle certes, mais effarouchée, j'ai de sérieux doutes. Une belle salope. Sûr.

Monsieur Gérard, comme il le fait à chaque fois, ouvre son pantalon pour le descendre avec son slip, jusqu'aux genoux. Tout en bavardant.
Le spectacle qui s'offre là, dans mes jumelles, à une centaine de mètres, est tout simplement surréaliste. Je me masturbe doucement. Joie.
< Eh bien ! Il y a de l'animation derrière chez moi ! > fait une voix derrière moi. Je me retourne. Juliette sur son cheval vient de nous surprendre.
Je remballe immédiatement. Je suis terriblement gêné. Je toussote comme un imbécile. Je dois être tout rouge. La sueur picote mon nez.
< Bonjour ! > me fait Juliette en descendant de cheval. Je la salue. Elle vient me rejoindre. Je lui tends la paire de jumelle. Je l'entends rire.

< Gérard, mon palefrenier, a déjà eu quelques problèmes pour exhibitionnisme ! Je constate qu'il est dans la récidive ! > me fait Juliette. Rires.
Nous nous passons les jumelles à tour de rôle. < Quel vicelard ! > me fait plusieurs fois Juliette en observant avec une grande attention. Plaisir.
Les deux filles saluent monsieur Gérard qui agite sa bite avant de remonter son slip et son pantalon. Elles reviennent vers nous. Quelle surprise.
Clémentine est étonnée de voir Juliette, les jumelles à la main. Estelle est confuse, terriblement gênée. Elles se serrent toutes les trois la main.
< Inutile de parler de tout ça avec votre employé ! > fait Clémentine à l'attention de Juliette. < Rassurez-vous ! Je le connais ! > répond Juliette.

La jeune femme nous raconte les déboires qu'à déjà connu monsieur Gérard pour des affaires de branlettes. Nous rigolons comme des bossus.
< C'est un coutumier du fait ! Mais avec moi et madame Walter, il a toujours été très correct ! > fait encore Juliette. Nous bavardons un moment.
Juliette remonte sur son cheval. Elle nous salue avant de prendre le chemin du haras. Elle se retourne et m'adresse un sourire. Puis un clin d'œil.
< Eh bien ! Tu as un ticket avec la vieille ! > me fait Estelle. Je fais : < Elle n'est pas "vieille", elle n'a que 43 ans ! >. Nous rions de très bon cœur.
Nous prenons le chemin du retour. Les filles me racontent la nature des cochonneries échangées avec le palefrenier. A la hauteur du personnage.

Nous sommes de retour à la maison. Il est 12 h45. Nous sommes morts de faim. Je raconte à Clémentine que Juliette m'a surpris en pleine branle.
< Pas grave ! Comme ça elle est fixée ! De toute façon, tu sais bien que c'est une belle salope également ! > me fait Clémentine. Je suis rassuré.
Je prépare des coquillettes que nous allons savourer en gratin. Clémentine prépare les salades. Estelle râpe le gruyère, émince l'ail et l'oignon.
< Tu sors ta queue, s'il te plaît ? > me fait Estelle en mimant une masturbation masculine. Clémentine lui fait : < Avec mon autorisation ! >. Rires.
A peine ai-je la bite à l'air qu'Estelle s'en saisit. Elle reste parfaitement immobile. Sa main chaude enserre mon sexe avec douceur et affection...

Le repas est délicieux. Clémentine nous suggère une visite au bourg voisin. Il y a une fête villageoise avec tombola et tout le bastringue habituel.
< Peut-être quelques opportunités pour initier Estelle ! > précise encore ma compagne qui vient s'assoir sur mes genoux. Estelle fait déjà la plonge.
Nous trouvons l'idée excellente. Nous essuyons la vaisselle. Le temps est maussade. Clémentine propose à Estelle de s'habiller en jeunes filles.
Estelle, plutôt frileuse, décline l'offre. Elle préfère rester en jean. Il est 14 h45. Nous voilà en route pour  la fête. Clémentine est vêtue d'une jupe.
Nous déambulons dans les rues du bourg plutôt animées. Sur la place, il y a un orchestre qui alterne le répertoire classique et moderne. Très mal...

Bon dimanche à la fête villageoise à toutes les filles exhibitionnistes qui aiment les opportunités de se faire surprendre en plein pissou...

Oncle Julien - (Surveillant et vigile de Clémentine qui veut donner les bonnes combines d'exhibes à Estelle, très bonne élève) -

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Clémentine est à se réjouir pour ces deux mois de vacances

Hier matin, lundi, j'ouvre les yeux. Je regarde à ma gauche. Clémentine dort encore. Couchée sur le dos, la bouche entrouverte.
Sa respiration rythmée par un léger ronflement. J'adore la découvrir dans cette absence. Je regarde à droite. Le réveil. Déjà 8 h.
Je reste immobile. Je regarde le ciel bleu par la fenêtre. Le soleil est sans doute déjà haut. Sur ma gauche, un léger frémissement.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Je lui fais plein de bisous. Elle ne tarde pas à me chevaucher.
< C'est les vacances, Bitounet ! > me fait elle en me couvrant le visage de bises. Nous nous faisons plein de papouilles. Douceur.

L'impérieux besoin naturel nous oblige à nous lever. Clémentine m'entraîne aux toilettes. < Tiens moi ! > me fait la jeune fille.
Je la tiens par ses cheveux, dans un équilibre instable. Elle est cambrée, debout au-dessus de la cuvette. Elle se soulage. Soupir.
Je m'accroupis pour humer les parfums de sa nuit de fille. Je lèche la petite goutte. Je me redresse. Clémentine me tient la bite.
Elle en dirige le jet. Accroupie, la jeune fille en savoure les derniers reliquats. Je la laisse se régaler un peu. Gémissements. Joie.
Je la force à se redresser. Nous descendons à toute vitesse. Notre petit déjeuner nous appelle. Je presse les oranges. Pain grillé.

Nous dégustons ce copieux repas en bavardant. Nous évoquons notre dimanche. Cette nouvelle expérience avec Estelle. Exhibe.
Je parle de Juliette qui m'a surpris en pleine branlette. Monsieur Gérard qui montre sa petite bite. Nous rions de bon cœur. Rires.
< C'est décidément un véritable lieu de stupre et de luxure, ce haras ! > me fait Clémentine en venant s'asseoir sur mes genoux.
J'abonde dans ce sens en précisant : < Le Club des vicelards ! >. Nous rigolons comme des bossus. Nous traînons à la cuisine.
Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous mettre en tenues. Nous nous offrons notre jogging quotidien. Mais version longue.

Il fait beau. Presque chaud. Nous descendons en échauffement jusqu'à la rivière. Puis nous la longeons en accélérant le rythme.
Nous passons devant le haras. Il y a tout le temps des voitures garées dans la cour. Nous remontons le long du ruisseau. Bien.
Nous montons jusqu'à l'ancienne voie ferrée que nous longeons jusqu'au cromlech. Nous redescendons. Une heure trente. Joie.
Nous sommes de retour pour 10 h30. La douche. Nous nous savonnons en riant et en faisant les clowns. Nous prenons le temps.
Une fois habillés, nous retournons au jardin pour admirer notre potager. < Regarde comme c'est beau ! > me fait Clémentine...

Pour que rien ne se gâche, Estelle viendra récupérer les légumes et les salades durant notre absence. Du 10 Juillet au 20 août.
Nous cueillons une grosse laitue. Quatre grosses tomates. Deux carottes. Un choux que je ferais cuire. Notre repas de ce midi.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. D'une main virtuose. Précise.
Accroupie, la jeune fille en savoure les derniers épanchements. Je la laisse se régaler un petit moment. C'est sont apéro préféré.
Je la force à se redresser pour éviter d'y passer le reste de la matinée. Nous rions de bon cœur. Je la tiens fermement. Retour...

Il est onze heures trente. Nous commençons à ressentir la faim. Nous préparons les légumes. Nous lavons la salade et le choux.
Je découpe les feuilles de choux en lamelles grossières. Je mets le tout dans une grande casserole d'eau. Je fais cuire à feu doux.
Je prépare l'assaisonnement des salades. Je fais griller deux grosses tranches de pain complet. J'y étale du Roquefort. Un délice.
Nous mangeons dans la véranda. Nous bavardons. < Cet après-midi, tu me mets le collier et la laisse ? > demande Clémentine.
< Pour partir à bicyclette ? Tu ne seras pas à l'aise avec la sueur ! > que je réponds. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux.

< Je veux des séances de dressage régulières en Ecosse ! Tu veux bien ? > me fait la jeune fille. Je lui promets de faire au mieux.
Cette tendance, cette attirance aux jeux de soumissions, deviennent de plus en plus fréquentes dans les demandes de Clémentine.
Nous restons longuement à traîner à table. Nous apprécions de pouvoir enfin jouir de ces journées de quiétudes qui s'annoncent.
Nous faisons la vaisselle. < Je suis tout le temps excitée ! C'est à cause de ce truc ! > fait Clémentine en soulevant sa jupette.
< Regarde un peu ! > fait elle encore, descendant sa culotte pour me montrer son clitoris géant qui dépasse de la touffe épaisse.

Je m'accroupis pour regarder de plus près. C'est prodigieux. Ce clitoris qui doit avoir la taille de deux phalanges est turgescent.
Je suis toujours impressionné par cette chose étonnante qui évoque une petite bite. Je passe le bout de mes doigts. Sursauts.
Clémentine me force à me redresser. Nous terminons la vaisselle. Nous décidons de nous offrir une randonnée à bicyclette. Bien.
Nous montons à l'étage pour nous mettre en tenue. < Regarde, il est tout dur ! > me fait Clémentine en me montrant son "truc".
< Tu vois un peu l'état dans lequel je suis encore cet après-midi pour aller faire du vélo ! > fait ma compagne un peu confuse.

Clémentine porte une de ses jupettes "tennis", un T-shirt et ses baskets. Je suis en short, T-shirt et baskets. Nous voilà en route.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest le long du canal. La piste cyclable est déserte. Nous y croisons très peu de cyclistes.
Nous arrivons au petit port de plaisance. Il est seize heures. Il fait beau. La chaleur du soleil est très agréable. Pas de canicule.
Nous nous offrons notre cône glacé que nous achetons à la supérette. Il y a un peu d'animation et beaucoup de bateaux amarrés.
La saison bât son plein. De nouveaux estivants sont arrivés. Nous pouvons entendre des conversations en Anglais, en Allemand.

< On se fait un "plan" ? Tu veux bien ? > me demande Clémentine en se serrant contre moi. J'essaie bien de la raisonner un peu.
Je lui propose de rester prudente et de ne pas trop se faire remarquer. < Mais il y a plein de nouveaux ! > me fait la jeune fille.
C'est vrai que les nouveaux plaisanciers ne restent souvent qu'un jour ou deux. Pas de risque de se faire une "réputation". Sympa.
Clémentine me fait : < S'il te plaît ! >. Elle m'entraîne vers le petit bâtiment des sanitaires des plaisanciers. Douches et toilettes.
Nous y entrons. L'endroit est désert. Je vais m'enfermer dans le dernier cabinet. Je monte sur le couvercle. Voir par dessus le mur.

Clémentine, une main sous sa jupe, entre ses cuisses, est penchée derrière la porte entrouverte. Elle commente ce qu'elle voit.
Nous restons ainsi un petit moment. Nous sommes dans les toilettes homme. < Il y a un mec ! > fait soudain Clémentine. Silence.
De ma cachette je vois presque toute la petite salle. Clémentine est accroupit entre les deux lavabos, fouillant le petit sac à dos.
Il y a un homme qui entre. Quadragénaire un peu enveloppé, vacancier nonchalant, il s'avance et ne remarque pas de suite la fille.
C'est lorsqu'il est debout devant un des deux urinoirs qu'il aperçoit la jeune fille accroupie. < Hello ! > fait il. Un accent anglais...

Clémentine redresse la tête pour saluer l'inconnu. Un léger et rapide sourire. La jeune fille fait semblant de fouiller dans le sac.
< French ? > fait le quidam en pissant. < Yes ! > répond Clémentine. L'homme prend conscience de la salope qui se trouve là.
J'admire l'aplomb et le courage dont fait preuve ma compagne dans ces situations qu'elle apprécie tout particulièrement. Vicieuse.
Le type se tourne de trois quart vers la jeune fille. Il me tourne le dos mais je devine ce qu'il est entrain de faire. Mouvement.
Clémentine redresse la tête et fixe le mouvement du bras de l'inconnu qui se masturbe doucement. Il engage la conversation...

Dans un français plutôt correct, le plaisancier se lance dans une diatribe amusante. Relatant sa traversée et son arrivée au port.
Clémentine, toujours accroupie, les cuisses écartées plus que de raison, écoute en ingénue innocente. J'adore la voir jouer ainsi.
Le type est un gentleman. Il reste à distance. Il se masturbe doucement tout en conversant. La situation dure un long moment.
Clémentine, les jambes sans doute ankylosées, se redresse. Le type n'est pas avare d'anecdotes maritimes, évoquant son bateau.
Clémentine est debout. Elle a posé le petit sac à dos sur le bord du lavabo. Un mouchoir en papier à la main. Les jambes écartées.

Je retiens ma respiration pour en contrôler le souffle dans un silence parfait. Pas question de se faire remarquer. Je fais le voyeur.
Soudain, là, sur le carrelage du sol, dans un bruit caractéristique, Clémentine pisse. Debout, les jambes écartées devant le type !
Je le vois cesser son mouvement masturbatoire pour regarder la jeune fille. < Absolutely stunning ! > s'écrie t-il dans sa langue.
L'anglais étant ma première langue, je comprends parfaitement tout ce qu'il se met à déblatérer. Il garde son flegme britannique.
Je vois le voile du tourment se dessiner doucement sur les traits du visage de ma compagne. Je sais qu'elle vit là un moment fou...

Le jet est continu. Clémentine pisse toujours abondamment. Elle est debout dans la flaque. La pisse lui éclabousse les chevilles.
Le type s'accroupit pour regarder, n'en croyant certainement pas ses yeux. Clémentine se tient aux lavabos. Prise de vertige. Bien.
Clémentine écarte un peu plus les jambes, elle fléchit ses genoux, se cambre en avant pour s'essuyer avec le mouchoir en papier.
Elle prend son temps. Elle profite encore un peu du merveilleux moment qu'elle vient de s'offrir. Le type reste accroupit. Il mâte.
Clémentine lui tend le mouchoir avant de le jeter au sol devant l'inconnu. Il se penche pour le ramasser. < Thanks You ! > fait il.

Je regarde cet étrange spectacle. Le type qui renifle le mouchoir en papier maculé de la pisse de ma compagne qui se réajuste.
Le type recommence à se masturber. Sans doute considérablement excité il éjacule dans une série de spasmes plutôt violents.
Il est obligé de se tenir au mur, la main posée contre le carrelage au-dessus de l'urinoir. Je le vois souffler. Reprendre ses esprits.
Clémentine se lave les mains en observant dans le miroir ce que fait le type derrière elle. Ce dernier quitte les lieux assez vite.
Je sors du cabinet pour rejoindre Clémentine. < Merci Bitounet, sans ta présence j'oserais jamais ! > fait elle serrée contre moi.

A ce moment le type revient et nous surprend ainsi. En toussotant, terriblement gêné, il repart en faisant : < Excuse-me please ! >.
Nous rions de bon cœur. Nous sortons des sanitaires. Nous voyons l'homme monter la passerelle qui mène aux bateaux. Il regarde.
Sur le pont de son bateau il y a une jeune femme qui suspend du linge. Nous passons devant le bateau. Il nous fait un signe discret.
< Ce soir, au retour, tu dois t'occuper de moi sérieusement ! > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Il est 18 h30.
Clémentine termine d'essuyer ses chevilles, ses baskets mouillés de pisse avec un autre mouchoir en papier. < Dégueu ! > dit elle.

Nous prenons la route du retour. Dès notre arrivée, je m'occupe très sérieusement de Clémentine. Et il y a de quoi m'occuper...

Bonnes exhibes dans vos endroits préférés à toutes les filles exhibitionnistes dons c'est la passion...

Oncle Julien - ( Scout du vice un jour, scout du vice toujours. Et toujours prêt à rendre serre VICE) -

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Estelle vient passer la soirée avec nous. Toute contente

Hier matin, mardi, je suis réveillé par plein de bisous. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine dès que j'ouvre les yeux. Bises.
Je la serre contre moi. Nous nous offrons quelques papouilles. Clémentine ne supporte pas longtemps d'être toute seule. Rires.
La pressante envie de pisser met rapidement fin à nos échanges de douceurs. Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes.
Sur sa demande je la tiens en équilibre instable par les cheveux, cambrée, debout, au-dessus de la cuvette. Elle peut pisser...
Accroupis, je hume les parfums de sa nuit de fille et je lèche la dernière goutte. Puis, c'est à mon tour. Clémentine me la tient.

Nous sommes morts de faim. Nous descendons à la cuisine pour nous préparer un copieux petit déjeuner. Je presse les oranges.
Clémentine s'occupe du café et coupe les tranches de pain complet que je fais griller. Miel, confiture et yaourt. Délices matinaux.
Il est huit heures. Nous sommes en vacances. Nous traînons à table en bavardant. Nous évoquons ma galerie d'Art. Mon oncle.
Cet après-midi nous nous rendons dans la petite cité de caractère pour aller voir si tout se passe bien. C'est le début de saison.
Ainsi, la conscience tranquille, je sais que tout est en place durant mon absence. Nous reviendrons à la fin du mois d'août...

Nous faisons notre vaisselle. Nous montons nous mettre en tenue. Nous partons pour notre jogging quotidien. La version longue.
Il fait beau. Le soleil est déjà haut dans un ciel principalement bleu. Quelques nuages d'altitudes flottent dans les airs. C'est beau.
Nous faisons notre circuit habituel. Nous alternons le petit trot et les pointes de vitesses. Nous apprécions tant nos entraînements.
Nous revenons pour 10 H30. Nous prenons notre douche. Nous nous savonnons en riant. Nous prenons tout notre temps. Sympa.
Clémentine reste simplement vêtue de son long T-shirt et de ses ballerines. Je porte un de mes shorts Hawaïen et très ridicule...

Nous allons au bureau pour découvrir nos mails. Sur l'écran de l'ordinateur apparaît la photo que nous avons mise en fond d'écran.
A l'intention d'Estelle qui viendra passer ses soirées ici, nous avons installé une photographie de nous trois lors d'une randonnée.
Clémentine a deux messages. Université. Dates de rentrée. Résultats de la simulation du "Master". Studieuse, elle m'explique bien.
J'ai deux messages. Estelle qui nous raconte sa journée de travail dans l'entreprise familiale. Juliette qui accepte notre invitation.
Juliette viendra manger avec nous vendredi soir. Je m'empresse de répondre. Je précise qu'elle devra venir avec les mains vides.

Nous commençons à ressentir la faim. Nous descendons au jardin pour y chercher les crudités. Il fait beau et chaud. C'est superbe.
Clémentine caresse les belles tomates et choisit les plus mûres, les plus rouges. Je sors deux grosses carottes de terre. Une laitue.
Nous admirons le potager. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Bien.
Accroupie, la jeune fille se régale de mes derniers épanchements. Je la laisse se régaler un peu avant de la forcer à se redresser.
Nous rentrons. Clémentine s'occupe des salades. Je prépare mes fameuses tartines aux anchois grillées sur le barbecue électrique.

Nous mangeons dehors, dans le jardin. Quelle n'est pas notre surprise de voir arriver Estelle. Elle pose son vélo et se précipite.
< J'ai juste cinq minutes ! J'avais trop envie de vous voir ! > nous fait la jeune fille. < Tu manges avec nous ! > fait Clémentine.
< J'ai déjà mangé, je reprends le boulot dans une demi heure ! > répond Estelle. Elle rajoute : < Je reviens ce soir pour 18 h30 ! >
Clémentine ouvre la braguette de mon short, me sort la bite avec quelques difficultés et l'agite en direction d'Estelle enchantée.
< C'est super ! > fait Estelle en la prenant dans la main. Elle me la serre très fort en me faisant des bises. Nous rions de bon cœur.

Nous regardons Estelle repartir à toute vitesse sur sa bicyclette. Clémentine me tient par la queue. < Elle est à moi ! > me fait elle.
< Je ne fais que la prêter ! > rajoute ma compagne en s'accroupissant pour me la sucer un peu. Je la laisse prendre son dessert.
Pour éviter d'y passer toute l'après-midi, je force Clémentine à se redresser. Nous faisons notre vaisselle. Nous allons nous changer.
Clémentine met sa belle robe en lin, claire et légère, serrée à la taille par une petite ceinture de cuir clair. Ses sandalettes brunes.
Je la fais tourner sur elle-même en lui murmurant : < Comme tu es belle Clitorette ! >. La jeune fille se serre contre moi. Très fort.

Sur sa demande, je porte mon pantalon clair, une chemise en liberté et mes mocassins. < Tu es beau Bitounet ! > me fait elle. Joie.
Il est 14 h30. Je sors la voiture. Nous voilà en route. Le ciel s'est légèrement voilé. Clémentine me sort la queue qu'elle tient fort.
Nous évoquons les jours prochains et tout ce qu'il faudra préparer pour notre départ lundi prochain. Je la rassure à plusieurs reprises.
Nous avons tous les deux une capacité organisationnelle qui nous assure de tout préparer dans une parfaite sérénité. C'est tranquille.
Un peu plus d'une heure de route et nous voilà arrivés. Je gare la voiture sur le parking à l'entrée du bourg. Il y a beaucoup de gens.

La saison touristique connaîtra son apogée entre le 14 juillet et le 15 août. L'affluence commence, se fait plus prégnante chaque jour.
Nous traversons la place. Le ciel s'est couvert. Nous entrons dans ma galerie. Mon oncle joue aux échecs avec un de ses amis. Sympa.
Il est tout heureux de nous revoir depuis le vernissage, vendredi soir. Il fait la bise à Clémentine. Mon oncle est un géant de 82 ans.
Les cheveux longs, tous blancs, attachés en catogan, lui donnent cet air aristocrate dont il joue adroitement. C'est un grand dragueur.
Nous bavardons. Lors du vernissage, huit toiles ont déjà été acquises. Les collectionneurs me les laissent jusqu'à la fin de la saison.

Rien n'est plus triste que des cimaises vides sur des murs vides. Aussi, mes collectionneurs ont la délicatesse de me laisser les toiles.
Mon oncle gère tout cela avec sa classe habituelle, tout heureux de fuir le domicile conjugale et son "dragon" femelle, comme il dit.
Nous bavardons. Clémentine regarde si tout est en ordre. Je découvre son souci du détail à chaque fois qu'elle s'implique. Manager !
Il est déjà 16 h30. Nous prenons congé. Mon oncle nous souhaite un excellent séjour en Ecosse. Me demandant de saluer la famille.
Clémentine me propose de nous promener un peu. De faire les touristes. Il est rapidement 17 h, il nous faut penser à rentrer. Bien...

Durant la route du retour, Clémentine joue avec ma bite qu'elle suce parfois. Elle me parle de la galerie et des "affaires" rassurantes.
Nous arrivons vers 18 h20. Estelle arrive presqu'en même temps que nous. Elle se précipite toute contente. Il fait à nouveau très beau.
Clémentine nous propose une balade à pieds. < On passe aux écuries ? > fait Estelle. Nous rigolons tous les trois comme des bossus.
< Toi, tu as envie de revoir le vieux salaud ! > lui fait Clémentine. Estelle s'écrie : < Et pas toi peut-être ! >. Nous rions de bon cœur.
Estelle est en short, en T-shirt et en baskets. Clémentine et moi nous montons nous changer. Jupette et short. Baskets. T-shirt. Prêts.

Nous descendons le long de la rivière. Nous la longeons pour arriver à la hauteur du haras que nous voyons là-bas, à 300 mètres.
Il y a toujours autant de voitures garées dans la cour. < Juliette ne chôme pas avec son business ! > fait Clémentine. Nous marchons.
Nous traversons la petite route pour longer le ruisseau, le long du sentier. Nous arrivons derrière les épais fourrés. Nous y restons.
Je sors la paire de jumelles du petit sac à dos pour les tendre à Clémentine. Estelle pose sa main sur ma braguette. Silence. On mâte.
Clémentine observe et commente ce qu'elle voit. < Il est là, dans sa caravane ! > fait ma compagne. Estelle veut regarder également.

Les filles se passent les jumelles pour scruter attentivement. < Ah ! Le voilà, il sort ! > fait Estelle, passant les jumelles à Clémentine.
< On va encore lui procurer quelques sensations, à ce vieux vicelard ! > fait Clémentine. Estelle me tient la braguette en riant. Joie.
Clémentine nous lance : < On va se faire un super "plan", venez ! >. Nous suivons ma compagne qui marche rapidement. Silencieux.
Monsieur Gérard, depuis la caravane, là-bas, à cent mètres, vient de nous voir. Comme je suis avec les filles, il reste discret. Silencieux.
Nous passons derrière les ruines du cabanon. Nous guettons. Clémentine nous explique son "plan". Il y a la palissade à moitié détruite.

Elle nous y entraîne. Le palefrenier est occupé à son barbecue. Parfois il tourne la tête pour regarder dans notre direction. Invisibles.
Clémentine nous entraîne derrière la palissade. Nous sommes à une cinquantaine de mètres de la caravane. Séparés par deux clôtures.
Clémentine me tient par la main. Estelle est sur ma droite. Le palefrenier nous salue. Il s'approche de la première clôture. Bavardages.
A quelques reprises il va tourner ses saucisses sur le barbecue. Monsieur Gérard nous propose de partager son repas de grillades.
Clémentine décline son offre. < Fais-toi sucer ! > me chuchote Clémentine. Je viens de comprendre le "plan". C'est hyper vicelard...

Je saisis Estelle par ses cheveux. Le palefrenier nous tourne le dos pour retourner ses saucisses. Je force Estelle à s'accroupir. Ferme.
La jeune fille ne comprend pas et est plutôt surprise. Je la tire fermement pour la faire tomber à genoux devant moi. Je la tiens bien.
Je sors ma bite que je passe sur le visage d'Estelle. Monsieur Gérard revient vers la clôture. Estelle est entrain de me tailler une pipe.
De là où il se trouve, à une vingtaine de mètres, monsieur Gérard ne peut voir que le sommet de la tête d'Estelle devant ma braguette.
Je la tiens par ses cheveux comme par une laisse. Estelle revenue de son étonnement, vient de comprendre le "plan" de Clémentine.

Clémentine bavarde avec le palefrenier. Moi, je me contente parfois de hocher la tête ou de prononcer quelques mots. C'est excitant.
Monsieur Gérard lève son pouce comme pour nous féliciter. Il comprend ce qui est entrain de se dérouler. Il en semble même amusé.
La situation dure un moment. < Vos saucisses vont brûler ! > fait Clémentine pour mettre un terme à tout cela. Estelle me suce. Bon.
Monsieur Gérard nous salue. Il s'en retourne à ses saucisses dont nous pouvons sentir l'odeur dans la fumée qui vient vers nous. Joie.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle juste avant que nous tournions les talons. Estelle, à genoux dans l'herbe, me tient aux hanches...

Clémentine comprend ce que je suis entrain de faire. Elle me prend par la main et nous fait : < Vous êtes vraiment deux salopards ! >.
Je force Estelle à se redresser. Elle termine d'avaler avec difficultés l'abondance de mon foutre gluant. Nous sommes morts de faim.
Nous retournons à la maison. Nous marchons vite. Estelle à ma droite me tient par la main. Clémentine sur ma gauche me tient aussi.
Nous arrivons. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous préparons notre repas en évoquant notre nouvelle expérience. Nous en rions.
< A refaire ! > nous fait Estelle. Nous mangeons dans la véranda. Estelle nous laisse pour 22 h30. Nous nous séparons dans la joie...

Bonne expériences vicelardes à toutes derrière vos écuries préférées. Avec votre vicelard préféré...

Oncle Julien - (Vicelard diplômé DPLE et qui ne consulte uniquement que sur rendez-vous) -

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Avant notre départ, Estelle vient passer toutes ses soirées avec nous

Hier matin, mercredi, j'ouvre les yeux le premier. Je regarde l'écran du réveil. Il est presque huit heures. Je regarde à gauche.
Clémentine semble encore dormir profondément. J'aime tant la voir ainsi. Couchée sur le dos, bouche entrouverte. Ronflant.
Ce spectacle ne dure qu'un court instant car son sixième sens l'alerte immédiatement. < Bonjour Julien ! > me fait elle. Rires.
Les yeux encore fermés, la jeune fille vient se blottir contre moi. < Bonjour Clitorette ! > que je fais en la serrant fort. Bisous.
Nous ne pouvons pas profiter très longtemps de ce moment de tendresse. Nos pissous nous obligent à nous lever. C'est fort !

Clémentine m'entraîne aux toilettes. < Tiens moi ! > fait elle en me tendant ses cheveux. Je la tiens au-dessus de la cuvette.
La jeune fille se soulage dans un jet qui paraît ne plus devoir cesser. Je m'accroupis pour humer les parfums de sa nuit de fille.
Je lèche la dernière goutte. Puis, c'est à son tour de me tenir la bite, de s'accroupir pour en récupérer les derniers reliquats.
Je la laisse se régaler un petit peu avant de la forcer à se redresser. Nous descendons à toute vitesse pour notre petit déjeuner.
Je presse les oranges. Clémentine coupe les tranches de pain. Je les fais griller. Clémentine met la table. Nous bavardons. Joie.

Nous nous régalons de miel, de yaourts à la confiture et d'un café fumant. Nous sommes dans la véranda. Il fait beau et doux.
Clémentine, assise sur mes genoux, me donne ses impressions quand à nos balades près des écuries. Tout cela est bien sympa.
Je lui propose de remettre ça ce soir, avec Estelle qui vient passer la soirée avec nous. Notre départ proche la rend tristounette.
Clémentine me suggère de trouver un "plan" qui change de la routine qui semble s'être installée derrière ces écuries. Un "truc".
< Je te fais confiance. Ton imagination va fonctionner avec sa célérité habituelle ! > que je lui dis. Nous rions de bon cœur. Joie.

Clémentine, assise sur mes genoux, comme elle fait souvent, mouille le bout de son index pour récupérer les miettes sur la nappe.
Cette occupation lui permet de faire fonctionner ses neurones. J'adore la voir ainsi, silencieuse, concentrée. Je lui fais des bisous.
Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous mettre en tenue. C'est notre jogging quotidien. Le circuit habituel. Version longue.
Nous apprécions le calme, la douceur du climat qui règne tous les matins dans cette campagne enchanteresse. Nous courrons bien.
Nous sommes de retour pour 10 h30. Nous prenons notre douche. < J'ai une idée ! > me fait Clémentine dont je savonne le dos.

< Je vais m'offrir un super "plan" ce soir ! > me fait elle. < Secret ! > que je réponds. < D'accord ! > dit elle. Nous nous lavons.
Nous voilà habillés. Clémentine porte sa robe légère de maison. Ses ballerines. Moi, je porte un de mes ridicules shorts Hawaïens.
Nous allons découvrir nos messages sur l'ordinateur. Il y a le long message d'Estelle qui nous annonce sa venue ce soir à 19 h30.
Il y a un message de Juliette qui nous joint une photographie de chevaux dans la cour de son haras. Nous répondons aux deux...
Il est 11 h20. Nous descendons au jardin pour chercher les salades dans notre potager. Il fait chaud. Nous cueillons le nécessaire.

Quatre belles tomates, deux belles carottes, une grosse laitue. Nous avons arrosé hier soir. La terre est déjà sèche avec la chaleur.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie, elle se régale un peu.
Je la laisse sucer un petit moment avant de la forcer à se relever. < Je t'aime Julien ! > me fait elle en se serrant contre moi. Fort.
< Regarde, il y a les premières mirabelles ! > fait ma compagne. Nous allons sous l'arbre pour les goûter. Certaines sont mûres.
Nous nous régalons de quelques unes d'entre elles. Sucrées, délicieuses et plutôt juteuses. Nous rentrons. Préparation du repas...

Nous mangeons au jardin. Il y a fort heureusement une légère brise qui apporte un peu d'air. La chaleur devient forte. Sympa.
Clémentine, assise sur mes genoux, évoque les résultats positifs de sa simulation du "Master". Elle est heureuse et rassurée. Bien.
Je la félicite. Nous rions de bon cœur. < Tu as bien mérité de superbes vacances ! > que je fais. < Avec toi ! > me répond t-elle.
Nous restons ainsi un long moment à bavarder, à rire et à échanger nos idées sur les programmes à venir. Il est déjà 14 h. Joie.
Nous faisons la vaisselle. Nous décidons de nous offrir une virée à bicyclette. Nous aimons tellement ce sentiment de liberté vélo.

Clémentine est vêtue d'une de ses jupettes "tennis", d'un T-shirt et de baskets. Je suis en short, en T-shirt et en baskets. A l'aise.
Je vérifie le gonflage des pneus des vélos. 4,5 bars. Devant et derrière. Nous voilà en route. Direction le port de plaisance. Sympa.
Nous croisons peu de cyclistes. Même si la chaleur n'est en rien caniculaire, elle est forte. Nous pédalons contre un léger vent. Bien.
Nous bavardons. Nous roulons côte à côte. Nous adorons ces moments de quiétude, d'efforts mesurés. Le paysage est magnifique.
25 km à une allure régulière et nous voilà au port de plaisance. Il y a un peu d'animation. Nous garons nos vélos à la capitainerie.

Nous nous offrons notre première récompense. Deux cônes glacés que nous savourons en flânant sur le quai. Plein de bateaux.
Comme la saison estivale a commencé, il y a tous les jours de nouvelles arrivées et de nouveaux départs. Plaisance et navigation.
Il y a donc de quoi regarder, de quoi découvrir. Nous nous mettons à l'ombre, assis sur un muret. Nous observons l'animation.
Des plaisanciers bavardent, font connaissance. Nous entendons parler Anglais, Allemand et sans doute Hollandais. Les vacances.
Clémentine m'entraîne aux sanitaires des plaisanciers. L'endroit est désert. Il le reste le petit moment où nous y sommes. Attente.

Un peu déçue qu'aucune opportunité ne se présente, Clémentine me propose de reprendre le chemin du retour. Poussés par le vent.
Nous pédalons sans faire le moindre effort. Nous faisons un crochet par le haras. Nous quittons la piste cyclable pour la petite route.
Comme souvent, il y a plusieurs voitures garées dans la cour. Nous arrivons à la maison. Il est 19 h15. Estelle est déjà arrivée.
Sa bicyclette est posée contre le muret du jardin. A peine sommes-nous dans l'entrée qu'Estelle se précipite à notre rencontre. Joie.
La jeune fille est si heureuse d'être avec nous. Il y a une grande émotion. Estelle veut profiter de chaque soir avant notre départ.

Nous sommes installés dans le jardin. Estelle, assise dans la balancelle, nous raconte sa journée de travail. Bureau, expédition, etc...
Je vais cueillir quelques mirabelles que je ramène aux deux filles qui bavardent avec animation. Nous nous régalons de ces fruits.
Je conseille à Estelle de venir chercher un maximum de fruits et de légumes durant notre absence. Que rien ne se gâte inutilement.
Il est rapidement 20 h. Clémentine propose un "plan" palefrenier. Nous descendons le chemin pour longer la rivière jusqu'au haras.
Nous traversons la petite route déserte. Nous prenons le sentier qui longe le ruisseau. Nous voilà derrière les écuries. Les fourrés.

Je sors la paire de jumelles du sac à dos. Je les tends à Clémentine. Estelle et moi restons légèrement en retrait. Clémentine mâte.
Ma compagne commente ce qu'elle voit. Comme d'habitude, il ne se passe pas grand chose. Monsieur Gérard est avec les chevaux.
Le palefrenier vaque à ses occupations de fin de journée. < Le voilà ! > fait soudain Clémentine. Estelle s'approche. Nous regardons.
Clémentine commente les faits et gestes de monsieur Gérard. < Il se prépare un barbecue ! > fait ma compagne. Il y a de la fumée.
< On se fait un "plan" salopes ? > demande Clémentine à Estelle. < Si tu veux, je te suis ! > répond Estelle. Je prends les jumelles.

Comme à chaque fois, les filles avancent doucement le long du sentier qui longe le ruisseau. Elles sont rapidement visibles. Belles.
Monsieur Gérard, depuis sa caravane, aperçoit les filles. < Hello ! > fait il avec un grand geste du bras. Les filles répondent. Sympa.
Arrivées à la hauteur des ruines du cabanon, Clémentine et Estelle sont debout derrière la première clôture. Le palefrenier arrive.
Entre les deux clôtures il y a une vingtaine de mètres. De ma cachette, je n'entends rien des échanges mais je peux voir les gestes.
Je peux voir les expressions. Estelle, les bras croisés, vêtue de son short kaki, d'un T-shirt et de ses baskets se tient à l'écart. Bien.

Clémentine vêtue de sa jupette, d'un T-shirt et de ses baskets, anime la conversation. Comme à chaque fois, le palefrenier se touche.
Tout en bavardant, monsieur Gérard se palpe la braguette qu'il ne tarde pas à ouvrir. Je peux constater que Clémentine se touche.
Une main entre ses cuisses, passée sous sa jupe, je peux la voir bavarder en toute innocence. J'adore son comportement de salope.
Estelle observe à la fois les agissements de Clémentine et ceux de monsieur Gérard. Comme à chaque fois, elle semble très gênée.
Mettant souvent sa main devant la bouche ou son visage entre ses mains, Estelle joue à la perfection son personnage d'effarouchée.

Bien évidemment, monsieur Gérard ouvre son pantalon, le descend en même temps que son slip. Il tient sa toute petite bite molle.
Tout en bavardant le palefrenier agite doucement sa queue en direction des deux filles. Je regarde autour de moi. Je sors ma bite.
Pas question de me faire surprendre de façon intempestive comme la dernière fois. Je mâte en me masturbant doucement. Sympa.
Clémentine s'accroupit lentement. De sa main libre elle se tient au poteau de la clôture. Son autre main entre ses cuisses. Branle.
Estelle, toujours à l'écart, observe tout en interprétant son rôle à la perfection. Parfois, elle regarde dans ma direction. Insistante.

Clémentine se redresse. Les jambes sans doute ankylosées, elle descend et retire sa culotte. Estelle à son visage entre ses mains.
Ma compagne, les jambes largement écartées, bavarde toujours avec monsieur Gérard qui secoue doucement sa queue toute molle.
Je sais ce que tente de faire Clémentine. Y arrivera t-elle ? Excitée comme elle l'est certainement qu'il lui est difficile de se lâcher.
Estelle salue le palefrenier et se détourne. Je la vois revenir vers moi. Je suis soigneusement caché derrière les fourrés. Invisible.
Je vois Clémentine, cambrée en avant sur ses jambes fléchies, se tenant sur le poteau de la clôture. Je scrute sans voir les détails.

Estelle vient me rejoindre. Elle me découvre entrain de me branler. Elle s'approche. < Fais voir ! > fait elle en prenant les jumelles.
Elle regarde avec attention. Elle me dit : < Si seulement j'avais le courage de faire comme Clémentine ! >. Nous rions de bon cœur.
Estelle me rend les jumelles. Elle se saisit de ma bite qu'elle tient fermement. J'observe les agissements de ma compagne à 100 m.
< Julien , si tu savais comme tout cela va me manquer cet été ! >. Je réponds : < Tu auras tous ces souvenirs et les films ! >. Rires.
Estelle se met à genoux devant moi. Doucement elle se met à me sucer. Je suis terriblement excité. Estelle a donc de quoi se régaler.

Dans les jumelles, je regarde avec attention à m'en déboîter les globes oculaires. Enfin, je vois le jet. Il brille dans le soleil couchant.
Clémentine, terriblement vicieuse et salope, est entrain de pisser devant le mec. Tout en bavardant avec lui. Estelle me fait une pipe.
Monsieur Gérard est entrain de pisser également. Ce que je vois dans la paire de jumelles est proprement surréaliste. Insolite. Fou !
Clémentine s'accroupit à nouveau. Elle se touche. Elle tombe à genoux. Elle se masturbe sans retenue. C'est trop fort. Un orgasme.
Je vois monsieur Gérard qui agite sa bite d'une main, se tenant à un poteau de la clôture. Il mâte ce spectacle comme un halluciné.

Je vois monsieur Gérard faire signe à Clémentine de le rejoindre. Ma compagne, le corps encore agité de spasmes reprend ses esprits.
Elle reste ainsi, prostrée, un petit moment avant de se redresser. Monsieur Gérard secoue sa queue. Clémentine le salue et s'en va.
Ma compagne se retourne à plusieurs reprises pour faire des signes de la main à monsieur Gérard qui reste là-bas, contre la clôture.
Clémentine vient nous rejoindre. Elle est toute rouge, couverte de sueur. < J'ai rarement joui autant ! > nous fait elle en soupirant.
< Eh bien ! On ne refuse rien pendant que j'ai le dos tourné ! > nous fait elle. Estelle cesse de me pomper pour faire : < Génial ! >.

Clémentine vient contre moi, sur ma droite. Elle regarde Estelle me tailler une pipe. Elle m'embrasse avec fougue. J'éjacule. Un jet.
Estelle a toutes les difficultés du monde à tout avaler. Je l'entends gémir, tenter de déglutir en suçant avec sa fougue habituelle.
Nous restons ainsi un long moment. Je force Estelle à se redresser. Nous prenons le chemin du retour. Nous sommes fatigués. Faim.
Nous nous préparons à manger. Nous prenons notre repas dans le jardin. Les filles échangent leurs impressions. Nous rions bien.
< Tu devrais vraiment t'offrir une situation comme ça ! > fait Clémentine à l'attention d'Estelle. < Je veux ! > répond la jeune fille.

Nous bavardons en riant beaucoup. Il est déjà 22 h30, Estelle est obligée de rentrer. Elle revient demain soir, jeudi. Nouvelle séance.
Nous la regardons partir sur sa bicyclette. Elle pédale très vite, lumières clignotantes. Elle a juste un peu plus de 2 km à parcourir.
Clémentine se serre contre moi et me chuchote : < Merci pour ce bonheur ! Tu es mon ange gardien ! Je peux tout faire avec toi ! >.
Je la serre contre moi en la berçant. Nous restons silencieux. J'entraîne ma compagne à l'intérieur. Sur le canapé, je la broute un peu.
Clémentine ne peut réfréner un nouvel orgasme qui achève de l'épuiser. Nous montons prendre la douche. Il est déjà 23 h. Dodo...

Bonne séances de masturbations follement jouissives à toutes celles qui aiment s'exhiber dans leurs coins favoris...

Oncle Julien - (Toujours prêt à rendre service et à défendre la veuve et l'orpheline, de plus de 18 ans) -

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Clémentine se plaint du retour de la canicule. Chose qu'elle déteste...

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par plein de bisous. Sur le front. Sur les joues et même sur le bout du nez. J'ouvre les yeux.
< Bonjour Bitounet ! > me fait Clémentine avant de me chevaucher. Nous nous faisons des papouilles. Il est à peine 7 h45.
< Bonjour Clitorette ! > que je lui fais en la faisant basculer à gauche puis à droite. Une forte envie de pisser y met un terme.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. C'est notre rituel pisseux. Je tiens Clémentine pas ses cheveux. Puis elle me tient la bite.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse. Nous prenons notre solide et copieux petit déjeuner. Nous traînons à table.

J'ai ouvert en grand les baies vitrées de la véranda où nous sommes assis. Il fait déjà chaud. Presque lourd. Nous bavardons.
Nous évoquons bien évidemment notre départ lundi prochain, le 10 juillet. Nous partirons avec la voiture. 900 km de route.
Clémentine est à se réjouir. J'emmène trois toiles que je vais remettre à leurs commanditaires. A Edimbourg et à St Andrew.
Nous prendrons le ferry à Calais pour arriver à Douvres une heure plus tard. Nous monterons en Ecosse par l'Est du pays.
Tout est réservé, organisé et réglé. < Tout paraît toujours si simple avec toi ! > me fait Clémentine assise sur mes genoux...

Nous visiterons Londres au retour. Nous y resterons deux jours. Nous projetons le retour vers le 20 août. Mais rien de formel.
Personne ne nous attend, nous pouvons très bien ne revenir que le 25 août. Le seul impératif étant la rentrée universitaire.
Clémentine écoute le programme que je propose en silence. Ponctuant chacune de mes affirmations par quantité de bisous.
Nous débarrassons la table. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous changer. Nous voilà en tenue pour notre jogging.
Il est déjà 8 h45. Nous descendons au petit trot jusqu'à la rivière. Nous la longeons. Nous passons devant le haras. C'est bon.

Nous sommes de retour de notre superbe running pour 10 h15. Nous prenons notre douche. Nous traînons. C'est très sympa.
Nous nous habillons. Clémentine est vêtue de sa robe légère, transparente et de ses ballerines. Je porte un short ridicule. Joie.
J'ai encore deux shorts Hawaïens d'un ridicule raffiné. Plutôt que de les jeter, Clémentine me propose de les user d'abord. Rires.
Nous descendons au jardin. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Accroupie, la jeune fille en suce les derniers reliquats. Je la laisse savourer un petit moment avant de la forcer à se redresser...

Nous allons goûter quelques mirabelles. Elles commencent à êtres succulentes, bien sucrées et bien mûres. Un vrai délice. Bon.
Nous passons sous les arbres fruitiers. Les pommes, bien qu'encore vertes, commencent à prendre forme. Il y aura des fruits.
< Pourvu que rien ne se gâte ! > me fait Clémentine. Je la rassure, Estelle viendra récupérer tout ce qui est possible. Confiotes.
Puis, lorsqu'elle sera absente du premier au quinze août, Juliette prendra le relai. Tout est entendu. Il y aura très peu de gâchis.
Nous allons au potager. Clémentine s''accroupit pour admirer les tomates, plus belles, plus rouges, les unes que les autres. Bien.

Ma compagne en cueille quatre grosses. Je sors deux grosses carottes de terre. Il y a à nouveau des radis. Je prends une laitue.
Nous retournons à l'intérieur. La chaleur devient forte. Nous préparons nos salades. Nous mangeons au jardin, à l'ombre. Sympa.
Ils est midi trente lorsque nous passons à table. J'ai préparé de délicieuses tartines grillées sur lesquelles j'ai étalé du Roquefort.
Sur le Roquefort, je dépose des olives noires à la Grecque, dénoyautés, deux cornichons coupés en lamelles et des radis coupés.
Nous bavardons. Le sujet de conversation reste bien évidemment l'Ecosse. Je parle de ma famille à Edimbourg et à St Andrew.

Nous resterons près d'Edimbourg pendant vingt jours, chez mon oncle. Puis nous passerons vingt jours chez ma tante à St Andrew.
Tout est prêt. Ma famille se réjouit toujours de ma venue. Nous y serons toutefois parfaitement indépendants. C'est rassurant. Bien.
Clémentine écoute avec enchantement toutes les réponses à ses questions. Il nous faudra faire le tour de mes cousins et cousines.
Comme tous les écossais, pour moi, la famille est sacrée et nous sommes toujours en étroit contact. Ce seront d'agréables vacances.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Nous traînons longuement à table. Nous bavardons. Nous rions. Nous avons le temps...

Il est rapidement 14 h. Nous faisons notre vaisselle. Il fait de plus en plus chaud. C'est un après-midi caniculaire qui s'annonce.
Clémentine me propose d'aller au lac pour nous y baigner. Nous préférons le lac plutôt que la plage et l'océan. L'eau y est chaude.
Je propose de nous y rendre en voiture plutôt qu'à bicyclette. C'est frustrant mais avec la canicule, ce sera plus rapide. Agréable.
Nous préparons nos affaires. Maillots de bain, serviettes, plaids, fruits, barres de céréales. Bouteilles d'eau dans la glacière. Bien.
Nous voilà en route. La climatisation de la voiture est une bénédiction. Nous culpabilisons un peu d'aller au lac en bagnole. Chaleur.

Je gare la voiture près des habitations. Nous marchons une dizaine de minutes pour retrouver notre crique "secrète". Peu de monde.
Nous nous installons. Clémentine m'entraîne dans l'eau. Elle est vraiment excellente. Les dernières journées de chaleur sans doute.
Nous sommes nus. Nous nageons doucement. Nous savourer l'enchantement paradisiaque de ce moment de bonheur intense. Bon.
Tout en nageant, nous bavardons. < Estelle vient pour 19 h ! > me rappelle ma compagne en effleurant ma main de la sienne. Bien.
Nous évoquons notre étrange relation avec Estelle. Cette étrange complicité qui s'est insidieusement installée entre nous. Sympa...

Il y a les cris d'une famille qui s'amuse au loin, là-bas, dans l'eau, dans des canots gonflés. C'est les vacances. Les bruits inévitables.
Nous nageons longuement. Clémentine déteste la chaleur caniculaire. < Il ne fera pas comme ça en Ecosse ? > me demande t-elle.
Je la rassure. Même s'il y fait souvent très chaud sur la côte Ouest, nous resterons principalement sur la côte Est. Plus tempérée.
Nous faisons le tour du lac. Plus de deux heures d'une nage lente, régulière et très agréable. Nous faisons ainsi un peu d'exercice.
Nous revenons à notre crique "secrète". Nous sommes vautrés sur nos plaids, à l'ombre des grands arbres. C'est absolument divin.

Nous dégustons nos deux melons. Ce qui nous rappelle notre récent séjour dans l'Aude. Nous savourons deux barres de céréales.
Clémentine, sa tête sur mon épaule, s'endort. Je l'entends respirer. Il y a même ce léger ronflement régulier qui m'enchante. Bien.
Je ne tarde pas à m'assoupir aussi. Je suis réveillé par plein de bisous. < Il est déjà 18 h ! > me fait Clémentine. Il faut y aller.
Nous préparons nos affaires. En voiture, il y a à peine une demi heure de route. Pas de précipitation inutile. Nous voilà à l'auto.
Je roule toujours doucement. Nous aimons apprécier le paysage. Rien ne nous répugne plus que la vitesse. Nous préférons le vélo.

Nous voilà de retour à la maison. Estelle est déjà là. Sa bicyclette est posée contre le muret du jardin. Elle vient à notre rencontre.
Nus nous faisons plein de bises. Estelle est vêtue de son short kaki, de son T-shirt et de ses sandalettes. Il fait encore très chaud.
Nous préparons notre repas du soir. Des pavés de saumon en papillotes. Accompagnés de salades. Ce repas s'annonce goûteux !
Nous mangeons dans le jardin. Il est 20 h. Nous décidons de nous promener afin de profiter de la soirée. Nous faisons la vaisselle.
Nous descendons jusqu'à la rivière. < Ce soir, évitons les écuries ! > propose Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Rires.

Estelle pose sa main sur ma braguette en faisant : < Ce sera la seule bite de la soirée ! >. Nous rions de bon cœur. Elle tripote.
< Oh la ! C'est mon mec et c'est ma bite ! > lance Clémentine en s'interposant entre Estelle et moi. Nous nous amusons bien.
< Tu me la montre un peu ! Je promets de ne pas la toucher ! > fait Estelle. Clémentine se serre contre moi et fait < Un peu ! >.
C'est dans cette ambiance habituelle que nous parcourons les chemins de la campagne. Il n'y a personne. Nous rions beaucoup.
Je sors ma bite à plusieurs reprises. Estelle s'en saisit toujours la première en s'écriant : < Gagné ! >. Nous rions de bon cœur.

Nous avons tous les trois conscience de vivre une de nos dernières soirées avant le départ. Aussi nous en savourons chaque instant.
Estelle ne montre pas son émotion. Elle cache habillement son émoi derrière des plaisanteries et une attitude désinvolte. Pas dupe.
Pourtant, plusieurs fois, nous entendons bien sa voix se serrer. A chaque fois, Clémentine a un geste affectueux. Je lui fais des bises.
Nous nous arrêtons au bord du ruisseau. Là-bas, au loin, il y a les bâtiments du haras. Nous évoquons le palefrenier et ses attitudes.
< Ce vieux salopard qui nous montre sa queue ! > fait Estelle. < Tu viendras t'y promener cet été ? > demande Clémentine. Rires.

< T'es folle ! Pendant votre absence, jamais je ne viendrais aux écuries toute seule ! > répond Estelle en tenant ma queue. Fort.
Clémentine lui fait : < Tu devrais en profiter. Tu auras du spectacle et une bite pour toi toute seule ! >. < Beurk ! > fait Estelle.
< Non, je viendrais passer mes soirées chez vous. J'aurais de quoi m'occuper ! > fait encore Estelle en serrant ma bite fermement.
Nous sommes assis au bord de l'eau, sur les fins galets du ruisseau. La fraîcheur toute relative apporte un peu de bien-être. Bien.
Nous décidons de prendre le chemin du retour. Je rappelle à Estelle que demain soir, vendredi, Juliette viendra manger avec nous.

< Nous pourrons évoquer monsieur Gérard ! > fait Clémentine en pouffant de rire. < Arrête ! > fait Estelle avant d'éclater de rire.
Je m'avance, je sors ma bite que j'agite devant les filles. Je dis à Estelle : < L'élément de comparaison ! La bi-bite à Gérard ! >.
< Arrête, t'es fou, jamais je ne pourrais sucer ce type ! >. Nous rigolons comme des bossus. Nous nous cachons près des écuries.
Nous distinguons monsieur Gérard vautré dans la chaise longue à côté de sa caravane. < Il bouquine ! > fait Clémentine en riant.
< Sans doute un bouquin de cul ! > répond Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Nous reprenons le chemin du retour. Rires.

Nous sommes de retour avec l'arrivée du crépuscule. Il est déjà 22 H45. Estelle est obligée de nous laisser. Elle est tristounette.
Je lui fais plein de bises. Clémentine la tient par ses épaules. Nous l'accompagnons jusqu'à la route en haut du chemin. Bicyclette.
Nous la regardons partir à toute vitesse. Clémentine m'entraîne par la main. Nous allons au salon. Je la broute sur le canapé. Bien.
Je me régale des parfums de sa soirée de fille. Juste avant l'orgasme, elle m'attire. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Bon.
Nous restons immobiles, comme nous aimons à le faire. Clémentine me chuchote des douceurs et des cochonneries. Orgasmes...

Bonne soirée de tendresses, de caresses, de plaisanteries et de baise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Heureux privilégié) -

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Juliette vient manger et passer la soirée avec nous...

Hier matin, vendredi, j'ouvre les yeux pour constater qu'il est déjà huit heures. Je regarde sur ma gauche. Clémentine dort.
Couchée sur le dos, la bouche entrouverte, elle émet un léger ronflement. J'adore la voir ainsi dans un abandon total. Belle.
Hélas, mon plaisir est toujours de courte durée. Son sixième sens l'averti. Elle ouvre les yeux à son tour pour me sourire. Joie.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en se serrant contre moi. < Bonjour Clémentine ! > que je lui réponds en la serrant très fort.
Ma compagne me chevauche en riant. Nous nous faisons des papouilles. L'envie de pisser nous impose d'y mettre un terme.

Clémentine m'entraîne aux toilettes. Elle me tend ses cheveux. Je m'en saisi pour la tenir dans un équilibre précaire. Fragile.
La jeune fille se lâche dans un long jet libérateur. Je m'accroupis pour humer les parfums de sa nuit de fille. Je lèche la goutte.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Je la laisse se régaler un peu des derniers épanchements. Je la force à cesser.
Nous descendons à la cuisine à toute vitesse. Notre petit déjeuner nous appelle. Je presse les oranges. Je fais griller le pain.
Clémentine met la table et prépare le café. Nous bavardons. Il fait déjà très doux. J'ouvre les baies vitrées de la véranda...

Nous traînons à table. Nous évoquons la soirée à venir. Nous établissons le menu. Ce seront des crudités et pavés de saumon.
< On va pas se prendre la tête ! C'est tellement bon ! > fait Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Derniers détails.
Il n'y aura aucune courses à faire. Nous avons déjà tout ce qu'il faut. < Estelle vient pour 19 h ! > rajoute encore Clémentine.
Nous prévoyons de passer l'après-midi au lac. Nous ferons comme la veille. Nous irons en voiture. Pour cause de canicule...
Il est rapidement neuf heures. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous mettre en tenue. C'est notre jogging quotidien.

Il faut aller courir avant l'arrivée des grosses chaleurs. Nous descendons au petit trot jusqu'à la rivière. Notre circuit habituel.
Nous sommes de retour vers 11 h. Une heure trente d'un running très agréable. Nous prenons notre douche. C'est superbe.
Nous voilà habillés. Nous allons au bureau pour allumer l'ordi. Il y a deux messages. Celui d'Estelle. Quotidien, long, amusant.
Il y a celui de Juliette toujours agrémenté d'une photo de ses chevaux. Clémentine fait une rapide réponse à chacune. Sympa.
Par acquis de conscience, Clémentine visite le site de l'université. Il n'y a la page d'accueil et aucune information. Vacances.

Il est midi. Clémentine prépare la salade. Je prépare les tartines grillées sur lesquelles j'étale du Roquefort. Nous adorons ça.
J'y dépose des rondelles d'olives noires à la Grecque, une fine tranche de tomates et des lamelles de cornichon. Un vrai délice.
Nous mangeons au jardin. Les salades de notre potager, tomates, carottes, radis et laitues sont un régal. Eau gazeuse. Froide.
Nous traînons longuement. Clémentine, assise sur mes genoux, évoque nos vacances à venir. Sont premier voyage à l'étranger.
Nous prendrons deux jours pour monter en Ecosse. Nous détestons l'autoroute et la vitesse. J'ai préparé un superbe itinéraire.

Nous faisons la vaisselle. Nous préparons nos affaires. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite. Virtuose.
Clémentine en dirige le jet contre le mur. Accroupie, elle en savoure les derniers reliquats. Je la force à se redresser. Le départ.
Dans la glacière, branchée sur l'allume cigare, nous avons un melon, deux pommes, deux bouteilles d'eau. Barres de céréales.
Nous roulons doucement. La climatisation dans la voiture fonctionne à plein régime. Une petite demi heure d'une route superbe.
Je gare la voiture près des habitations. Dix minutes de marche et nous voilà de retour dans notre crique "secrète". Silencieuse.

Il n'y a pas grand monde. De l'autre côté du lac, sur la grande plage, il y a quelques familles dont nous percevons les cris. Bien.
A peine arrivés, nous voilà nus dans les eaux agréablement chauffées par plusieurs jours de soleil. Nous nous en délectons. Joie.
Nous nageons doucement d'une brasse lente et régulière. Ce qui nous permet de converser. La conversation concerne la soirée.
Clémentine évoque Juliette, notre rencontre insolite, nos visites au haras et bien évidemment ce vieux cochon de palefrenier.
Nous faisons le tour du lac, passant tout près des canots gonflables dans lesquels s'ébattent les familles présentent en ces lieux.

Nous restons toutefois à bonne distance. Personne ne peut s'imaginer que nous nageons complètement nus. C'est très amusant.
Nous revenons dans notre petite crique. Il est déjà dix sept heures trente. Nous traînons un peu, allongés sur nos plaids. Sympa.
Nous nous laissons sécher à l'ombre des grands arbres. Clémentine, couchée sur le ventre, me raconte des choses de son passé.
Parfois, de pénibles souvenirs reviennent la hanter. Depuis que la jeune fille partage ma vie, c'est une nouvelle existence. Bien.
Je lui précise que cette nouvelle existence l'est autant pour elle que pour moi. Qu'il nous faut vivre avec ce passé qui nous a fait.

< C'est tellement sécurisant de vivre avec toi. Si tu savais comme je me sens forte ! Merci Julien ! > me fait la jeune fille. Rires.
Il est dix huit heures. Il est temps de reprendre le chemin du retour. Dans la voiture, Clémentine m'a sorti la bite pour jouer avec.
Parfois, la jeune fille se penche pour me sucer un peu. Je passe ma main droite entre ses cuisses. Nous roulons à faible allure.
Nous arrivons pour 18 h45. Estelle est déjà là. A peine avons-nous rangé la voiture qu'Estelle surgit pour se précipiter vers nous.
La jeune fille est toujours si heureuse d'être au près de nous. Echanges de bisous, de caresses et de bons mots. Nous rentrons...

Estelle a déjà cueilli les tomates, sorti les carottes de terre, tiré une laitue. Nous l'aidons à laver le tout. Je décongèle le saumon.
Il y a trois coups de sonnette. C'est Juliette. La jeune femme est vêtue d'une jupe légère, d'un simple T-shirt et de sandalettes.
C'est la toute première fois que nous la voyons ainsi habillée. Elle est svelte, mince et paraît beaucoup plus fragile qu'en écuyère.
Estelle émince l'ail, l'oignon et la ciboulette. Clémentine termine l'assaisonnement des salades. Juliette visite le rez-de-chaussée.
< Vous avez une belle et grande maison ! > nous fait Juliette. Je lui apprends que c'est un ancien héritage familiale et centenaire.

J'emballe les pavés de saumon dans du papier sulfuré. Avec l'ail, l'oignon, la ciboulette, une pointe de sel de Guérande. Curcuma.
J'enveloppe le tout dans des feuilles d'aluminium. < Bon cuisinier, je vois ! > fait Juliette. Je les dépose sur le barbecue électrique.
Nous passons à table. Clémentine et Estelle évoquent leurs études. Juliette écoute avec attention. Elle parle des siennes, passées.
J'écoute toujours silencieusement. Je suis passionné par ces échanges. Ce que racontent les filles est toujours si intéressant. Bien.
J'assure le suivi du repas. Je vais chercher les quatre pavés de saumon. L'odeur est un véritable plaisir olfactif. Elle ouvre l'appétit.

Juliette semble enchantée de découvrir la profonde complicité qui nous lie, Clémentine, Estelle et moi. C'est également une surprise.
Un homme d'âge mûr, à l'aube de la cinquantaine, avec deux jeunes filles de vingt ans a de quoi étonner, intéresser et passionner.
Clémentine évoque notre rencontre il y a un peu plus d'un an. Notre vie commune depuis Noël de l'an dernier. L'immense bonheur.
Juliette nous parle de sa séparation, il y a deux ans, et de son profond désir de rester seule encore quelques temps. Elle a 42 ans.
La jeune femme évoque tout cela avec un détachement amusé en insistant surtout sur son entreprise qu'elle mène depuis huit ans.

La soirée se déroule ainsi en bavardages. Estelle me fait quelquefois de discrets clins d'œil. Clémentine est assise sur mes genoux.
Nous invitons Juliette à découvrir mes récits sur le forum. Nous passons au salon. Je suis un peu gêné. Clémentine et Estelle rient.
Juliette ne lit que les trois derniers récits. Estelle, discrètement, me tient par la braguette et par les couilles. Sa main par derrière.
< C'est mignon ! Je trouve que les pseudos sont bien choisis. J'aimerais bien m'appeler Juliette ! > fait Juliette en riant aux éclats.
La jeune femme continue en précisant : < Et puis "Clémentine", ça vous va si bien ! "Estelle", c'est bien vu aussi ! >. Nous rions.

Clémentine rajoute : < Moi, je trouve que le pseudo "Julien" est bien senti ! >. Nous rigolons tous les quatre comme des bossus.
Nous dévoilons ainsi beaucoup de notre intimité à Juliette qui nous garantie de garder le secret le plus total sur tout cela. Rires.
Clémentine fait encore : < Un secret partagé est un secret trahi ! >. Nous rions de bon cœur. < Rassurez-vous ! > fait Juliette.
Estelle rajoute : < Un traître, c'est toujours forcément un ami ! >. Juliette insiste. Elle nous affirme garder tout cela pour elle.
Elle précise : < Je suis une des héroïnes de vos histoires, Julien, et j'en suis fière ! Une garantie sûre ! >. Nous rions de bon cœur.

Il est vingt trois heures. Juliette nous laisse un peu à regret. Elle nous souhaite un agréable séjour en Ecosse. Nous lui ferons signe.
Nous lui promettons de lui faire un mot souvent par mail. Estelle nous laisse également. Discrètement, elle me palpe la braguette.
Estelle adore m'attraper par les couilles en passant sa main derrière moi, penchée en avant et en riant. Ce qui amuse Clémentine.
Nous prenons notre douche. Au lit, nous nous offrons un "69" et une petite baise très sympathique. Immobiles, confidences. Rires.
L'orgasme est une dernière récompense. Nous plongeons dans un rapide et profond sommeil. Clémentine se serre contre moi...

Bonne soirée devant un bon repas d'été, dans le jardin, avec vos amies préférées à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Excellent cuisinier qui sait régaler ses invités avec tout l'honneur du à leur rang) -

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Estelle vient passer son dernier week-end avec nous avant les vacances...

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous qu'on dépose sur mon visage. J'ouvre les yeux. Enfarinés.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine avant de me chevaucher en riant. J'ai à peine le temps de regarder l'heure. Il est déjà 8 h.
Nous nous faisons plein de papouilles avant de nous lever pour aller satisfaire nos besoins naturels. Clémentine m'entraîne au WC.
Je la tiens par ses cheveux dans un équilibre précaire afin qu'elle se libère dans un long jet sonore. C'est toujours émouvant. Joie.
Puis Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Nous descendons à toute vitesse à la cuisine pour le petit déjeuner. Sympa.

Il fait agréable. J'ouvre en grand toutes les baies vitrées de la véranda. Il n'y a pas encore les grosses chaleurs. C'est respirable.
Nous traînons à table en savourant nos tartine grillées, beurrées et recouvertes de confiture de cerises d'Estelle. C'est délicieux.
Clémentine, assise sur mes genoux, m'entretient de toutes les affaires qu'il nous faudra préparer dimanche. Un rapide inventaire.
Comme nous irons faire des trekkings dans les montagnes écossaises, il nous faudra emmener l'équipement. Je la rassure. Joie.
< C'est pour ça que nous prendrons la voiture ! Pour tout emmener ! > que je lui fais. Nous y chargerons tout le nécessaire...

Je conclue : < Nous préparerons toutes nos affaires dès demain, dimanche. Tu verras, on sera équipés ! >. Clémentine est sereine.
< Avec toi, tout est toujours si simple ! > me fait ma compagne. Nous faisons notre vaisselle. Nous montons nous mettre en tenue.
Nous nous offrons notre jogging quotidien. Circuit habituel mais version longue. La chaleur n'est pas encore harassante. Fraîcheur.
Nous sommes de retour pour 10 H45. Nous prenons notre douche. Cet après-midi, nous irons chez Décathlon. Les derniers achats.
Il nous faut, à tous deux, de bonnes capes de pluie et je désire acheter une de ces petites tentes rondes qui se déplie facilement...

Dans les montagnes d'Ecosse, les conditions météorologiques peuvent changer rapidement. C'est un climat océanique. Aléatoire.
Et tout particulièrement dans le massif du Ben Nevis, le plus haut sommet d'Ecosse. Clémentine m'écoute avec un grand intérêt.
Il faudra aussi faire le plein de la glacière en fromages car en Ecosse il n'y a pas les mêmes choix, ni les mêmes qualités. Rires.
Nous voilà habillés. Clémentine porte sa robe d'été, transparente et légère. Pas de sous-vêtements. Chaussée de ses ballerines.
A travers le tissu on discerne parfaitement la tache noir que fait la touffe dense et fournie de la toison pubienne de la jeune fille.

Nous descendons au jardin pour y chercher nos légumes. Au passage nous nous arrêtons sous le mirabellier. Les fruits sont mûrs.
Nous nous régalons des mirabelles denses, charnues et sucrées. Nous allons au potager. Tomates, carottes, laitues et radis. Bien.
L'abondance des légumes qui poussent est de toute beauté. < Pourvu que rien ne se gâte ! Ce serait dommage ! > fait Clémentine.
Je lui rappelle qu'Estelle viendra récupérer tout ce qu'il faut durant notre absence. Que Juliette également viendra pour se servir.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie, elle vise bien et juste.

Je la laisse se régaler un petit moment des derniers épanchements avant de la forcer à se redresser. Sinon, on y passe la journée.
Nous rigolons comme des bossus en rentrant pour préparer notre repas de midi. Il est déjà 12 h15. Salades et filets de lieu noir.
Je prépare le poisson en papillotes comme nous aimons. Barbecue électrique. Tout est très rapide et organisé. Nous avons faim.
Nous avons tout notre temps. Nous mangeons au jardin. Au loin, l'horizon s'obscurci. Sans doute un orage qui se prépare. Bien.
< Estelle vient ce soir pour dix neuf heures ! > me rappelle ma compagne en venant s'asseoir sur mes genoux. Nous bavardons...

Clémentine me tripote un peu le zob en évoquant nos préparatif de demain. < Faut pas oublier notre petit ami ! > dit elle en riant.
Ma main sous sa robe, je joue avec ses poils. < Et elle aussi, il ne faudra pas l'oublier ! > que je fais. Nous rions de bon cœur. Joie.
Nous restons un petit moment à l'ombre de nos grands arbres. Le gazouilli des oiseaux est intense. Annonciateur d'orage. Pluie.
Et c'est vrai que des amas de nuages noirs et lourds font leurs apparitions. < Super ! Un peu de fraicheur ! > s'écrie Clémentine.
Nous débarrassons la table pour aller faire la vaisselle. Nous montons nous préparer. Il est déjà 14 h15. Départ à quinze heures.

Toute notre vie est régie par l'heure qui rythme nos emplois de temps. Nous y sommes sensibles. Cela nous permet d'apprécier.
Clémentine porte une de ses jupettes légères d'été. Claire. Un simple T-shirt clair et ses sandalettes. Je porte un short, T-shirt.
Nous sortons la voiture. Nous voilà en route pour la zone commerciale de la ville voisine. Clémentine joue avec ma bite. Rires.
Ma voiture, une grosse berline allemande, ne roule pas assez. Aussi, cet été, en Ecosse, je compte bien rajouter des kilomètres.
J'en fais part à ma compagne qui, parfois, se penche pour me sucer un peu. < Si tu le dis ! > me fait elle avant d'éclater de rire.

Je gare la bagnole sur le parking. Le grand magasin Décathlon est toujours très fréquenté. Mais là, avant les départs, c'est fou !
Il y a les soldes. Il y a un éventail de choix incroyable. Nous choisissons des capes sous lesquelles nous pourrions nous cacher.
Nous choisissons une de ces petites tentes rondes qui se déplient en un tourne main. Clémentine, discrète, me tripote un peu.
< Arrête ! On va se faire repérer ! > que je lui dis à chaque fois. Sa seule réponse est un bisou. < Silence, on tourne ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur dans l'effervescence de nos achats. Mais la coquine réussi quand même à me faire bander. Et très dur.

Nous traînons. Nous prenons notre temps. Au rayon des chaussures, Clémentine fait un essayage. Des godasses de randonnée.
Je l'admire, portant ces grosses chaussures de marche tout en étant en jupe courte. Cela lui donne une silhouette épatante.
Clémentine est sexy à se promener ainsi dans l'allée en essayant des grosses godasses. < Des écrase-merde ! > fait elle. Rires.
Je remarque au passage les regards libidineux des mâles accompagnés de leurs femmes qui observent cette grande jeune fille.
Nous sommes toujours amusés des réactions que nous suscitons. Clémentine, assise sur le banc d'essayage, fait un petit show.

Il y a toujours un mec un peu plus téméraire qui tente d'en voir davantage. C'est celui là qui nous amuse le plus. Pas très malin.
Je reste à l'écart, comme un parfait inconnu pour la jeune fille. Il y a un jeune type qui s'accroupit un peu plus loin pour mâter.
Le bougre fait semblant de regarder les godasses. Le drôle ne se rend même pas compte qu'il est devant le rayon "femmes".
Décidément, la bite à la place du cerveau est une constante chez beaucoup de nos contemporains mâles. Cela permet de rigoler.
Nous prenons la direction des caisses. Il y a de plus en plus de monde. Et, hélas, ces bruyantes familles qui envahissent tout...

Dehors, le ciel est couvert et chargé. Pourtant, pas encore la moindre goutte de pluie. Nous prenons la voiture. Climatisation.
Il est déjà 17 h30. Direction la maison. Clémentine n'a pas pris les chaussures puisqu'elle en a déjà une paire. Des meilleures.
Sur la route du retour, enfin quelques gouttes commencent à tomber sur le pare brise. <Il est temps ! > lance Clémentine.
Nous passons devant le haras. < Au revoir Juliette, au revoir Gérard ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. La maison.
Nous arrivons pour 18 h15. Le temps de décharger la voiture et voilà qu'arrive Estelle. Toujours très en avance. C'est bien...

Estelle nous aide à tout monter à l'étage. Il pleut un peu mais rien de très significatif. De quoi humidifier un peu la terre. Eau.
La jeune fille est vêtue de son short kaki, d'un T-shirt brun et de ses sandalettes. Elle est tellement contente d'être avec nous.
Nous redescendons. Clémentine entraîne Estelle au salon. Devant l'écran de l'ordinateur, elle lui fait des recommandations.
Je viens voir. Clémentine lui montre que le forum est dans nos favoris et que chaque jour, elle pourra y suivre nos aventures.
< Je vais suivre tout cela avec passion. J'aurais un peu l'impression d'être avec vous ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur.

Je vais à la cuisine. Je constate qu'enfin il pleut vraiment. J'entends les deux filles rire aux éclats. J'aime cette ambiance. Joie.
Estelle vient me rejoindre la première. Elle mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité possible. Elle insiste...
< Tu me la donne ce soir, hein, Julien. Après j'en aurai plus pendant 50 jours ! > me lance Estelle sans cesser son imitation.
Clémentine vient nous rejoindre : < Oh là ! On allume mon mec ! > fait elle. Nous rigolons comme des bossus. C'est sympa.
Un coup de tonnerre. Un éclair. < Vite ! Au jardin ! > s'écrie Clémentine. Nous voilà tous les trois à danser sous la pluie. Folie.

Nous allons cueillir de quoi préparer nos salades. < Ce soir, pas besoin de rentrer, tu dors avec nous ! > que je fais à Estelle.
Nous rentrons complètement trempés. < C'est génial ! > s'écrie Estelle. < Il était temps ! > répond Clémentine. Nous rions.
Nous montons mettre des vêtements secs. Estelle s'empare de ma bite en passant son autre main derrière moi. Les couilles.
La jeune fille adore me tenir par les couilles et par la bite. Clémentine nous observe. Estelle reste parfaitement immobile.
< C'est bien parce que c'est toi ! > lui fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Nous redescendons. Repas. Faim.

Clémentine prépare les salades. Estelle émince l'ail et l'oignon. Je prépare la mayonnaise pour les langoustines. Ambiance !
< Il faut vider les stocks du congélateur ! > que je fais à Estelle. < Ce soir, c'est notre repas de fête ! > rajoute Clémentine.
A plusieurs reprises, après s'être essuyée les mains, Estelle fouille ma braguette. Tout le temps avec sa main à mes couilles.
Je fini par bander comme un priapique en stade terminal. Je sors ma queue que j'agite en direction d'Estelle. Nous rigolons.
Clémentine lui fait : < Tu l'auras au dessert, après la glace ! >. Estelle répond : < Et je vais me goinfrer ! >. Eclats de rires.

Nous mangeons dans la véranda. La pluie a cessé. Toutes les baies vitrées sont ouvertes. La fraîcheur est une bénédiction.
Nous traînons à table. Nous avons tout notre temps. Nous bavardons en riant. Il est déjà 21 h30. C'est une soirée magique.
Estelle passe sous la table pour venir poser sa tête sur ma braguette. Clémentine s'accroupie à côté de moi pour regarder.
Nous restons un long moment ainsi. Je console Estelle en lui caressant doucement la tête. L'idée de notre départ l'affecte.
Nous la rassurons. Rapidement Estelle reprend le dessus. Clémentine ouvre ma braguette et sors péniblement ma queue...

< Avant la vaisselle ? > que je demande . < Tu as raison ! Faisons la vaisselle d'abord ! > fait Clémentine pleine de sagesse.
Je saisi Estelle par ses cheveux, sans ménagement, mais sans violence, pour la forcer à se redresser. Je la promène un peu.
Je lui fais faire le tour de la véranda puis de la cuisine en la maintenant fermement. Penchée en avant, Estelle suit son guide.
Clémentine que tout cela excite toujours beaucoup, a passé une main sous sa jupette. Elle me fait un clin d'œil. Début du jeu.
Estelle insiste pour faire la plonge. Je l'entraîne donc devant l'évier. Clémentine débarrasse la table. Je tiens bien Estelle.

Nous essuyons la vaisselle en évoquant nos soirées passées. < Tu vas pouvoir mâter les films qu'on a fait ! > fait Clémentine.
Estelle toute ravie lui répond : < Et comment ! Je ne m'en prive pas ! >. Nous rions de bon cœur. Puis nous passons au salon.
Estelle se met à genoux devant le canapé, sur le coussin en velours. Clémentine s'installe dans le fauteuil juste en face. Bien.
J'enlève mon short et mon slip. Je m'installe dans le canapé, devant Estelle. La jeune fille renifle longuement l'odeur du zob.
Je l'observe humer les effluves parfumées de ma journée d'homme. Je décalotte légèrement mon gland. L'odeur est forte.

Je regarde Clémentine. La main sous sa jupe, sa culotte juste encore attachée à la cheville gauche, ma compagne se branle.
Pour Clémentine, ce spectacle est divin. Voir son homme se comporter en salopard avec une autre reste sa préférence. Film.
Les interdictions sont simples : Pas de baise. Pas de secrets ! Pour le reste, c'est une autoroute ! Estelle renifle longuement.
Je lui passe la bite sur le visage. Je bande mou. C'est toujours plus juteux. Avec l'excitation, du liquide séminal s'écoule. Méat.
Je macule le beau visage de la jeune fille de filaments gluants et visqueux. Elle en a rapidement qui colle partout. Bout du nez.

Clémentine commence à gémir. Nul doute que le "film" auquel elle assiste lui procure les plus merveilleux émois. Clins d'œil.
Ma compagne se masturbe lentement. Cuisses écartées, une jambe sur chaque accoudoir du fauteuil. Comme elle est belle.
J'introduis doucement ma bite trempée dans la bouche d'Estelle. Un long râle de plaisir et voilà la jeune fille qui me pompe.
L'indicible caresse m'enivre de plaisir. C'est notre dernière soirée avant la fin août. Je me dois d'offrir le meilleur à Estelle.
Je maîtrise toujours parfaitement la situation. C'est moi qui décide du moment de mes orgasmes. J'éjacule une première fois.

Estelle déglutit avec difficultés. L'abondance de mon foutre épais rend toujours délicat cet instant d'intense gloutonnerie. Joie.
Clémentine sait ce que je suis entrain de faire. Même si je reste parfaitement immobile. Les traits de mon visage trahissent...
Je tiens Estelle par la nuque et sous le menton. Je me penche en avant pour lui chuchoter : < C'est à ton goût, salope ? >.
Estelle se contente de glousser tout en ouvrant les yeux pour me fixer de son regard plein de reconnaissance. Une petite gifle.
Clémentine doit refréner l'orgasme qui veut l'assaillir. Je la vois lutter, le visage couvert de sueur. J'entends ses gémissements.

Sans prévenir, en parfait vicelard, je lâche une petite giclée de pisse dans la bouche d'Estelle. Je la maintiens fortement.
En poussant de petits râles, la jeune fille tente de se dégager. Peine perdue. Je la tiens fermement. J'en lâche une seconde.
Il y a de la morve qui dégouline du nez d'Estelle. Elle tente de déglutir. Une expression de dégoût se lit sur son beau visage.
A chaque petite giclée il y a un petit cri. Enfin je la lâche. Elle reprend sa respiration en s'écriant : < Salopard ! Vicelard ! >.
Son visage et les cheveux qui y collent, sont maculés de pisse et de foutre. < C'est dégueulasse ! > fait Estelle. Je la tiens.

Je me penche. Je lui crache au visage. Je lui dis : < C'est pourtant ces choses là que tu viens chercher ici, petite salope ! >.
Sans même me répondre, Estelle prend ma bite en bouche pour la sucer avec une avidité encore plus grande. Une assoiffée.
Pour Clémentine, s'en est trop. Ma compagne se lâche dans un orgasme qui la terrasse de longs instants. Spasmes. Frissons.
Clémentine reprend doucement ses esprits. Elle me fait un délicieux sourire en levant le pouce de sa main gauche. Clin d'œil.
Estelle s'enivre des montées incessantes de mon liquide séminal. Substances abondantes dont elle se régale avec passion...

Clémentine se lève pour venir nous rejoindre. Elle s'assoit à ma gauche. Je force Estelle à cesser sa pipe. Elle gémit de dépit.
Je la force à se coucher sur le dos. Je me mets à quatre pattes. La tête d'Estelle sous mes couilles, ma bite dans la bouche.
Ainsi, je peux lécher et savourer le sexe dégoulinant de Clémentine qui repart pour un second tour. C'est absolument divin.
Nous restons un long moment dans cette situation fabuleuse. J'entends Estelle gémir de bonheur et Clémentine de plaisirs.
C'est un véritable concerto pour trois voix. J'y apporte une tonalité de baryton qui n'aurait pas déplu à Pavarotti, (de veau).

Clémentine connaît un nouvel orgasme. Un long râle qui se transforme en gémissement. Elle tente de me repousser. Forte.
Estelle que je surprends avec sa main dans sa culotte, doit connaître le sien. C'est dans un râle d'anthologie qu'elle se lâche.
J'éjacule au moment précis où tout le corps d'Estelle est animé d'un profond spasme. Un long frisson. Presque inquiétant...
Je me redresse. Je force Estelle à se redresser également. Clémentine vient nous rejoindre au sol où nous restons allongés.
Epuisés, nous risquons de sombrer dans le sommeil. Clémentine nous entraîne à l'étage. Nous nous couchons. Dodo...

Bonne soirée de stupre, de luxure, de vice et de dégustations diverses à toutes et à tous. Sans réserves. Ce serait trop con !

Oncle Julien - (Qui s'est encore vidé les couilles deux fois dans la bouche d'Estelle. Et devant Clémentine qui se masturbe) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
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Clémentine et Julien se consacrent à leurs préparatifs...

Hier matin, dimanche, je suis réveillé d'une bien étrange mais bien agréable façon. Quelqu'un tient ma bite fermement.
J'entends aussi des rires étouffés et des murmures. J'ouvre l'œil et le bon. Je tourne la tête, je regarde sur ma gauche.
Estelle a pris la place de Clémentine et me tient la queue. Mon érection naturelle, matinale, est forte et très puissante.
< Bonjour Julien ! > font les deux filles en cœur. Elles ont répété. C'était ça les chuchotements. Les deux coquines rient.
< Bonjour les coquines ! > que je fais en déposant un bisou sur le front d'Estelle. Clémentine se lève pour me rejoindre.

Contournant le lit, Clémentine vient s'allonger contre moi. Estelle me lâche pour se lever. Clémentine me chevauche.
< Je descends préparer le petit déjeuner ! > nous fait Estelle en se précipitant la première aux toilettes. Les papouilles.
< On arrive dans cinq minutes ! > lance Clémentine. Le besoin pressant du pissou nous impose sa loi. Nous nous levons.
Ma compagne m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux afin qu'elle puisse pisser debout au-dessus du WC.
Puis c'est à son tour de me tenir la bite pour en diriger le jet. Nous sommes morts de faim. Nous descendons très vite...

L'odeur du café qui se mêle à celle du pain grillé achève de nous mettre en appétit. Estelle presse les oranges. Sourires.
Nous prenons le petit déjeuner dans la véranda. Les baies vitrées sont largement ouvertes. Le ciel est bas, lourd et gris.
Pourtant malgré ce climat tristounet, il fait très doux. Les chaleurs de ces derniers jours laissent leur souvenir. Brioche.
Nous traînons à table. Nous bavardons en riant. Estelle occulte son émoi. C'est notre dernier jour ensemble tous les trois.
La brioche a un goût délicieux. Surtout avec la confiture de cerises. Les filles évoquent la rentrée universitaire. Sérieuses.

Estelle se lève pour commencer la plonge. Clémentine et moi nous essuyons la vaisselle. Nous sommes en T-shirt de nuit.
Je pose plusieurs fois ma main sur la nuque d'Estelle pour appuyer sur sa tête. A chaque fois la fille émet un gloussement.
Clémentine propose à Estelle de s'installer derrière le bureau, devant l'ordinateur pendant que nous faisons le ménage.
Estelle préfère nous aider. < Tout ira plus vite si nous le faisons à trois ! > nous fait la jeune fille. Clémentine accepte.
Estelle commence par nettoyer la cuisine. Je vais nettoyer les chiottes du bas. Clémentine monte faire la chambre. Bien !

Je passe l'aspirateur au salon, dans le hall d'entrée, les toilettes et la cuisine. Estelle mime une masturbation masculine.
Avec toute la vulgarité dont elle est capable, la jeune fille me fait : < 50 jours sans ta bite ! C'est énorme ! > me dit elle.
Je réponds : < Je t'envoie des flacons de foutre depuis l'Ecosse ! >. Nous rigolons comme des bossus. Je sors ma queue.
Je l'agite dans la direction de la jeune fille qui s'accroupit en ouvrant grand la bouche. Je m'approche. Clémentine arrive.
< Voilà ! J'ai le dos tourné cinq minutes et vos penchants se révèlent au grand jour ! > fait elle. Nous rions de bon cœur.

Je passe ma bite sur le visage d'Estelle. Je la saisi par ses oreilles pour bien frotter ma queue sur sa gueule. Gloussements.
Clémentine, debout derrière moi, regarde par dessus mon épaule. < Il va se faire tout seul le ménage ? > demande t-elle.
Je laisse Estelle me sucer quelques instants. Je la force à se redresser. Je passe la serpillère sur les carrelages du bas...
Les deux filles vont s'asseoir derrière le bureau, devant l'ordinateur. Je monte pour nettoyer les chiottes du haut. Sympa.
Tout en nettoyant la salle de bain, j'entends les filles rires depuis en bas. J'adore cette ambiance. La maison est vivante...

Je passe la serpillère. Je récupère le linge dans le panier et je prends les draps à laver pour descendre les bras chargés.
Je descends à la cave. Dans la buanderie, je m'apprête à tout mettre en machine. Les filles viennent me rejoindre. Rires.
Je mets le linge sale dans la machine. Estelle accroupie me tient la queue. Clémentine me tient par les hanches. Sympa.
Je ferme la porte et je mets en route. Je me retrouve à nouveau avec la bite dans la bouche d'Estelle. Je la laisse sucer.
Clémentine m'embrasse. Nous restons ainsi un petit moment. Je force Estelle à se redresser. Je la tiens par ses cheveux.

Nous remontons. Je ne lâche pas les cheveux d'Estelle que je tire dans l'escalier. Je lui fais faire le tour du bas. La maison.
Courbée en avant, contrainte, Estelle glousse de plaisir. Je l'entraîne au jardin. Derrière le garage. Je la force à s'accroupir.
Clémentine me tient par les hanches. Debout derrière moi, ma compagne observe par dessus mon épaule. Je sors ma bite.
Estelle s'en saisit. Elle en dirige le jet contre le mur. Toute aussi virtuose que Clémentine, elle réalise un dessin magnifique.
Entre deux dernières giclées, la jeune fille me suce avec avidité. Un peu comme si sa vie en dépendait. C'est délicieux. Bon.

Je la laisse sucer un petit moment. Clémentine m'embrasse. Je serre ma compagne contre ma gauche. Elle se frotte. Bien.
Je force Estelle à se redresser. J'entraîne les deux filles au potager. Je tiens toujours fermement Estelle par ses cheveux.
Clémentine récupère six grosses tomates. Je sors trois grosses carottes de terre. Estelle cueille une grosse laitue. Persil.
Je prends encore un de nos gros oignons. Magnifique. Nous retournons à l'intérieur. Il est déjà onze heures trente. Faim.
Il y a quelques gouttes de pluie. Rien de bien conséquent. Ce n'est même pas rafraîchissant. Nous préparons notre repas.

Je propose de terminer les pavés de saumon qui sont encore au congélateur. Nous adorons le saumon en papillotes. Bon.
< Je vais faire goûter cette formule à mes parents ! > me fait Estelle en m'aidant à préparer les feuilles d'aluminium. Bien.
Clémentine prépare les salades. Nous mangerons dans la véranda. La pluie s'est mise à tomber avec régularité. Non stop.
A plusieurs reprises, durant la préparation, Estelle me tient par la queue. Je tente une expérience. Je veux une explication.
Je passe ma main entre les cuisses d'Estelle. Je la pose sur son sexe. Elle pousse ma main en s'écriant : < Pas touche ! >.

Estelle ne désire toujours pas être touchée. Je respecte totalement cette volonté étrange au point où nous en sommes.
Estelle avance son visage contre le mien. Elle m'embrasse avec cette avidité toujours surprenante. Goulument. Assoiffée.
Clémentine en préparant la table nous fait : < Oh là ! On se calme là-bas ! Propriété privée ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous voilà assis à savourer notre repas. Les filles évoquent leurs chères études. J'écoute en silence. C'est intéressant...
Nous traînons à table. Nos gigantesques coupes glacées sont un véritable enchantement paradisiaque. Nous dégustons.

Je me lève. Je viens poser ma main sur la nuque à Estelle. J'appui sur sa tête. Son visage collé contre la coupe bien vide.
Estelle se saisit de ma queue qu'elle tient fermement. Je la lâche. Immédiatement, le visage plein de crème, elle me suce.
Clémentine que mes initiatives vicelardes excitent toujours, se touche en nous observant. Estelle me tient par les couilles.
Je la laisse sucer un peu. Clémentine se lève pour débarrasser la table. Elle me fait un clin d'œil. Je force Estelle à cesser.
Je rejoins Clémentine. Estelle commence la plonge. Nous bavardons en riant. Il est déjà 14 h30. Nous prenons le temps.

La pluie tombe, doucement, régulièrement. Dehors, tout est mouillé. < C'est excellent pour le jardin ! > fait Estelle. Bien.
Nous regardons la pluie tomber. Nous sommes tous les trois l'un contre l'autre. Estelle à ma gauche. Clémentine à droite.
Nous avons tous les trois bien conscience que cette situation cesse jusqu'à la fin du mois d'août. Nous restons silencieux.
< C'est beau notre histoire ! > fait Estelle. Nous ne savons quoi dire. Elle continue : < Il faut que ça dure toujours ! >.
Nous l'écoutons en silence nous faire part de ses ressentis. C'est émouvant. J'ai les yeux humides. Clémentine aussi...

Nous restons ainsi un long moment. Estelle se livre, se raconte. Nous ne disons rien. Il est bon d'être dans l'écoute. Bien.
Estelle pousse un grand soupir. Nous avons tous les trois les yeux mouillés. Nous lui faisons plein de bises. Emotion. Joie.
Estelle se secoue. < Et si on préparait vos affaires ? > nous fait elle en nous entraînant à l'étage. Nous rions de bon cœur.
Tous les jours passés, Clémentine et moi, nous avons fait l'inventaire de tout ce qu'il faut emmener. Quantité de choses.
Principalement des vêtements, des chaussures et affaires de toilettes. Nous ouvrons les valises en grand sur le lit. Rires.

Estelle et Clémentine sont devant l'armoire ouverte. Toutes les deux choisissent les habits à emmener. Je fais pareil.
Les filles jettent tous les vêtements choisis sur le grand lit. Je plie soigneusement mes habits. Nous prenons le temps.
Clémentine me conseille : < Non, n'emmène pas ça, prends plutôt ça ! >. Je trouve qu'elle a toujours bon goût. Rires.
Dans la grande armoire, quatre portes, j'occupe un petit quart du volume. Tout le reste est consacré à Clémentine.
Cela réduit considérablement d'éventuels embarras du choix. Chaussettes, slips, caleçons, selon les recommandations.

A plusieurs reprises Estelle m'attrape les couilles par derrière. Les deux filles ont étalé une quantité de vêtements.
Il y a un tas énorme sur le lit. Les valises sont au sol. Je prends conscience de l'énorme réserve de fringues d'une fille.
Nous passons ainsi une grande partie de l'après-midi. Enfin, tout est plié, rangé. Les valises sont fermées avec peine.
Je regarde les deux grosses valises de Clémentine. Le grand sachet qui contient les chaussures. Je regarde ma valise.
Je dis à Clémentine : < S'il nous faut quoi que ce soit, il y a des magasins en Ecosse ! >. Nous rions de bon cœur. Joie.

Nous descendons le tout. La pluie a cessé. Nous allons au garage en restant soigneusement sur les dalles du sentier.
Le coffre de la voiture est grand et spacieux. Heureusement. Malgré cela, avec les valises, il semble un peu "juste".
Nous retournons à l'intérieur. Nous descendons à la buanderie. Nous décrochons le linge sec. Nous vidons la machine.
< Je m'occupe de tout dès demain ! > nous fait Estelle. La jeune fille est à se réjouir d'être la "patronne" 50 jours !
Nous remontons avec la glacière dans laquelle, demain matin, nous mettrons nos fromages introuvables en Ecosse.

Il est déjà dix huit heures trente. Exceptionnellement, pour ce dernier soir, Estelle restera avec nous jusqu'à minuit.
Nous préparons notre repas du soir. Estelle, manifeste ses penchants vicelards par des attitudes absolument divines.
Elle se lâche un peu plus. La jeune fille se touche ouvertement. Ce qu'elle fait très rarement. C'est vraiment superbe.
Nous traînons à table. Nous mangeons dans la véranda. Clémentine donne les dernières recommandations à Estelle.
Ne pas oublier d'éteindre l'alarme en arrivant. De rallumer en partant. Estelle viendra passer des nuits dans la maison.

Clémentine évoque le fantôme qui vit avec nous. Elle rassure Estelle inquiète. < C'est l'ancienne compagne à Julien ! >.
Nous rigolons comme des bossus. < Même si c'est vrai, elle ne te chatouillera pas les pieds ! > rajoute Clémentine.
Nous faisons la vaisselle. Nous passons au salon. C'est notre dernière soirée de délires sexuelles, de folies et de bonheur.
Clémentine, installée dans le fauteuil, se masturbe en observant Estelle occupée à me tailler une pipe. Le "show" habituel.
Nous dépassons allégrement toutes les limites. Les orgasmes sont dithyrambiques. Au delà du racontable. Merveilleux...

Bonne dernière soirée de stupre, de luxure et de vice avec votre visiteuse. A toutes et à tous, avant vos vacances...

Oncle Julien - (L'homme le plus heureux de la création dans un rayon de plusieurs kilomètres) -

Classe


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Classe
Clémentine et Julien en Ecosse - Danser
Wednesday 19 July 2017 21:37

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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C'est le jour du départ pour l'Ecosse - Jour 1 -

Hier matin, lundi, nous sommes tirés de notre sommeil par Wolfgang Amadeus Mozart. Notre cube musical. Six heures.
< Ta gueule Wolfgang Bang ! > fait Clémentine en tapant sur le cube. Nous rigolons comme des bossus. Il faut se lever.
Nous nous faisons quelques papouilles. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens pas ses cheveux. C'est le pissou.
Puis c'est au tour de Clémentine de me tenir la bite pour en diriger le jet. Nous descendons à toute vitesse à la cuisine.
Nous sommes morts de faim. Nous préparons notre petit déjeuner. Puis c'est notre jogging quotidien. Retour à 7 h45.

Nous prenons notre douche. Tout ce que nous faisons depuis notre réveil se déroule dans une sorte de fébrilité. Départ.
Nous avons chargé le coffre de la voiture dimanche, en fin d'après-midi. Il ne reste qu'à remplir la glacière. Fromages.
Principalement du Roquefort, des bûchettes de Chèvre. Tout ce qui est difficile à trouver en Ecosse. Nos précautions.
Nous fermons les volets. Je mets l'alarme en route. La domotique sophistiquée qui équipe la maison est performante.
Nous faisons un dernier tour de la propriété, je prends quelques photos de l'état des lieux. Le sol est humide. La pluie.

Nous voilà en route. Il y a 600 km à faire jusqu'à Calais où nous prenons le ferry pour l'Angleterre. Il est 8 h15 du matin.
Nous partons sereins. Nous jetons un dernier regard en arrière. La maison est rapidement invisible derrière les arbres.
< Cette bagnole va enfin rouler un peu ! > que je fais. Depuis deux ans que je la possède, le compteur affiche 7 000 km.
J'explique à Clémentine que je change de voiture tous les quatre ans. Je déteste les soucis mécaniques et d'entretiens.
Depuis vingt ans ce sont toujours de grosses berlines Allemandes de la même marque. J'en suis très satisfait. Fiables...

Nous longeons souvent l'océan. Clémentine m'a sorti la bite avec laquelle elle joue. Elle me parle d'elle, de ses études.
J'aime lorsque la jeune fille évoque ses passions, ses intérêts et ses études. C'est souvent passionnant. J'écoute bien.
Parfois, se penchant sur le côté, Clémentine me suce quelques instants. Elle se redresse en riant. C'est sympathique.
Nous roulons bien. Je ne dépasse jamais les limitations de vitesse. J'ai même tendance à rouler en dessous. C'est bien.
Ainsi nous pouvons admirer le paysage. Nous ne sommes pas pressés. Nous avons tout notre temps. Peu de monde...

Toutes les deux heures, nous observons une règle d'or. Nous nous arrêtons quelques minutes. Dégourdir les jambes.
Nous faisons quelques pas. Nous observons le paysage alentour. Puis nous repartons. Départ du bateau pour 17 h15.
Nous voilà tout près de Deauville. Il est 11 h45. Je propose à Clémentine de nous prendre un bon repas. Restaurant.
La saison touristique connaît une affluence certaine en cette magnifique Normandie. Un plateau de fruits de mer. Bon.
Nous ne traînons pas. Il est midi quarante cinq et nous voilà en route. Puis c'est la baie de Somme, Boulogne-sur-Mer.

Nous arrivons à Calais pour seize heures trente. Nous avons tout notre temps. Nous aimons arriver en avance. Peinards.
Nous sommes garés dans la file du prochain départ. Ce sont toujours les moments les plus pénibles. Il fait gris et lourd.
Enfin un employé des ferrys fait signe aux voitures d'avancer au pas jusque sur le pont inférieur du bateau. Un tunnel.
Un employé fixe les voitures à l'aide d'une sangle. Nous voilà embarqués. Quarante minutes de traversée de la Manche.
Nous restons dans la voiture. Nous apprécions d'avoir un accès Internet grâce à la 4G. Formule imparable. C'est super.

Nous découvrons les messages d'Estelle. Elle a joint à ses mails deux photos de nous trois prises dimanche après-midi.
Nous découvrons le message de Juliette qui nous souhaite bonne route et bonne arrivée en Angleterre. Nous répondons.
Le ferry vogue sur une mer calme. Nous pouvons voir la mer grise sous un ciel gris. Clémentine regarde avec attention.
Nous allons aux toilettes. Il faut monter un escalier métallique. Des familles bruyantes font la queue. Le côté pénible.
Enfin Clémentine qui sautille d'une jambe sur l'autre peut se soulager. Elle ressort en me faisant : < WC dégoûtants ! >

Nous arrivons à Douvres. Les panneaux, les inscriptions, tout est à présent en langue Anglaise. Il faut rouler à gauche.
Nous décidons de nous exprimer en Anglais. C'est ma première langue. C'est facile pour moi. Clémentine est très douée.
Nous nous amusons follement à échanger dans la langue de Shakespeare. J'ai réservé dans un hôtel à Great Yarmouth.
C'est une de ces petites villes du bord de la mer. Une station balnéaire avec jetée dans l'eau, casino et aires de jeux.
Nous roulons bien. Il y a peu de circulation sur la route. Nous arrivons à Great Yarmouth vers 21 h30. A l'heure prévue.

Nous prenons possession de notre chambre au second étage. Restaurant. Le premier repas Anglais pour Clémentine.
Nous allons nous promener. Il y a quantité de touristes. Ce qui étonne Clémentine, c'est le silence malgré le monde.
La discrétion anglo-saxonne surprend toujours le visiteur latin. Point de cris et pas d'éclats de voix. Tout en réserve.
C'est fort appréciable. Et plus on monte vers le Nord et plus cette particularité se révèle. Nous nous baladons. Bien.
Il y a des manèges. Des familles. Nous allons au bout de la longue jetée. Je suis heureux d'entendre ma langue...

Souvent, et toujours avec cette amusante discrétion, Clémentine me tripote la braguette. Cela passe toujours inaperçu.
Paradoxalement, c'est plus facile lorsqu'il y a un attroupement. Aussi, ma compagne ne s'en prive pas. C'est rigolo. Joie.
Il est minuit. Nous décidons de retourner à l'hôtel. Il est temps de se reposer. La route fut agréable. Pas fatigante. Bien.
La douche. Quelques papouilles et nous sombrons rapidement dans un profond sommeil réparateur. Dodo et ronflette.
Le silence de la nuit permet la récupération. J'entends la respiration de Clémentine à mon oreille. Sur ma gauche. Bon...

Bonne découverte de la côte Est de l'Angleterre à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Content de se retrouver bientôt au pays) -

Classe



Je clique sur les belles images pour bien lire ce qui est écrit dessus...

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Clémentine et Julien en Ecosse - Danser
Wednesday 19 July 2017 21:41

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2017 -



En route pour Edimbourg sous un ciel de plomb - Jour 2 -

Hier matin, mardi, je suis réveillé le premier. Je regarde l'écran de notre petite montre de voyage. Il est sept heures.
A peine ai je ouvert les yeux que j'entends bouger à ma gauche. Clémentine se réveille à son tour. Elle me sourit.
< Bonjour Julien ! > me fait elle avant de se serrer contre moi. Nous nous offrons quelques papouilles. Tendresses.
Nous regardons partout autour de nous cette chambre que nous ne connaissons pas. Tout est silencieux. Caresses.
Comme à la maison, c'est un besoin naturel qui nous force à nous lever. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Pissou.

Je tiens Clémentine par ses cheveux, debout, elle peut se lâcher dans un jet long, sonore et abondant. C'est à moi.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Net. Nous sommes morts de faim. Nous nous habillons rapidement.
Nous descendons pour prendre notre petit déjeuner. Il y a déjà du monde dans la salle. Murmures et chuchotement.
Nous prenons place à une table. Marmelade, café, pain blanc et beurre. Premier petit déjeuner Anglais de Clémentine.
Nous ne consommons jamais de pain blanc. Nous avons tout prévu. Nous avons emmené du pain complet. Biologique.

< Tout a un drôle de goût ! La marmelade, beurk ! Le café semble réchauffé ! > me fait Clémentine avec une grimace.
Je réponds : < Je t'avais prévenu, ici, la nourriture, c'est Anglais ! >. Nous rions de bon cœur. Nous mangeons en riant.
Bien évidemment ce premier repas de la journée est apprécié à sa juste valeur. Même avec peu de valeurs nutritives.
Nous montons. Nous nous mettons en tenue. Nous nous sommes fixés pour règle de nous entraîner tous les jours. Bien.
Nous voilà à courir le long de la rue principale de Great Yarmouth. Un jogging d'une heure qui permet de visiter un peu.

Nous sommes de retour à l'hôtel pour huit heures trente. La douche. Il fait plutôt frais. La météo est menaçante. Sympa.
Nous nous habillons en conséquence. Jean, sweat-shirt et baskets. Nous quittons les lieux. Nous voilà sur la route. Bien.
Nous longeons la mer ou se reflète le gris lourd du ciel. < Les conditions idéales ! > me fait remarquer ma compagne.
< Je préfère ça à la canicule pour rouler ! > rajoute encore Clémentine en ouvrant ma braguette. Elle fouille longuement.
Enfin, après quelques mouvements délicats, virtuoses, la jeune fille arrive à en extraire ma bite. Nous rions de bon cœur.

Il y a environ 400 km qui nous séparent d'Edimbourg. Il est à peine neuf heures du matin. Nous avons tout notre temps.
Je respecte toujours les limitations de vitesse. Ce qui nous permet d'apprécier le paysage. Tout est gris et uniforme. Bof.
Monter en Ecosse par l'Est de l'Angleterre est une épreuve car tout y est plat, sans relief et sans réel caractère. Regards.
Clémentine joue avec ma bite tout en commentant l'environnement. < Je les ai attendu ces vacances ! > me confie t-elle.
Je réponds : < Si tout va bien, nous serons à Edimbourg pour le début de l'après-midi ! >. Nous voilà dans le Yorkshire.

Aux environs de Newcastle le paysage change. L'horizon devient plus accidenté. Il y a des collines de plus en plus hautes.
< C'est superbe ! > me fait Clémentine qui, parfois, se penche sur le côté pour me sucer un peu. C'est très agréable. Bon.
Nous passons dans la ville. Il est déjà midi trente. Je propose à Clémentine de nous sustenter. La faim se fait ressentir.
< On se fait des sandwichs, tu veux bien, comme ça on mange dehors en se baladant ! > fait ma compagne en s'étirant.
Je trouve la suggestion excellente. Nous garons la voiture dans une ruelle adjacente à l'avenue principale et unique. Ville.

Assis sur un muret, nous avons sorti du fromage de la glacière. Des tranches de pain complet que je tartine de Roquefort.
Clémentine prépare les fruits. Pommes et mirabelles de notre jardin. Nous savourons ce repas sur le pouce. Un vrai délice.
Nous marchons un peu. Clémentine observe les magasins. Tous les prix sont en livres sterling. C'est surprenant au début.
Nous savons bien que notre monnaie européenne est plus forte. C'est à la fois étonnant et rassurant. Nous flânons. Bien.
Cette petite pause se prolonge jusqu'aux environs de treize heures trente. Nous reprenons notre route très tranquille...

Nous sommes en pleine semaine. La circulation est fluide. Nous avons bien roulé. Le paysage change considérablement.
Il est seize heures lorsque nous arrivons à Edimbourg. L'arrivant est toujours impressionné par le château sur la colline.
Ce monument national, entièrement restauré, aujourd'hui un Musée, impose sa silhouette à la fois massive et découpée.
Un mélange d'architecture gothique et médiévale. C'est de toute beauté. Ce sera notre première visite demain. Sympa.
< C'est magnifique ! > me fait Clémentine en sortant l'appareil photo du vide poche. Des rayons de soleil éclairent bien.

Il y a une alternance de séquences ensoleillées et couvertes. Durant tout le voyage, il n'y a pas eut la moindre goutte.
Comme pour nous accueillir le soleil illumine la forteresse. Clémentine fait quelques clichés. J'ai garé la voiture. Bien.
Je lui dis : < C'est un château hanté ! Il y a plusieurs fantômes d'époques différentes ! >. Clémentine fait : < Super ! >.
Ma compagne rajoute encore : < Si ce sont des fantômes aussi sympathiques que le notre, à la maison ! >. Nous rions.
Nous reprenons la voiture. La circulation devient plus dense. Nous pénétrons dans la ville. Cette grande avenue droite.

< C'est magnifique ! Tout est gothique ! Sublime ! > me fait Clémentine qui regarde tout avec étonnement. Ravissement.
Je connais chaque recoin de cette ville pour y avoir passé les vacances lorsque j'étais petit, jusqu'à l'adolescence. Sympa.
Je propose à Clémentine de nous rendre directement dans le quartier de Great house, chez mon oncle Steve. A deux km.
Je prends sur la droite à hauteur de la National Gallery. Clémentine ne cesse de s'extasier devant les bâtisses médiévales.
< C'est de toute beauté ! > s'exclame t-elle à plusieurs reprises, en me tripotant la braguette que je garde boutonnée...

Il est dix sept heures. C'est ce que j'avais à peu près prévu. J'ai fait ce voyage et cette route tant de fois. Nous arrivons.
La maison de mon oncle et de ma tante est au bout d'une rue bordée de grands platanes centenaires. Quartier cossu.
La grande grille de l'entrée est ouverte. J'entre dans la propriété. < C'est génial ! > me fait Clémentine absolument ravie.
C'est une ancienne demeure du XIXème. Une maison de Maître. Entourée de grands arbres c'est une bâtisse de briques.
Oncle Steve arrive. Le bruit des crissements de pneus sur le gravier sans doute. Je gare la voiture. Ma tante arrive. Bien.

Ma famille est toujours si contente de me revoir. C'est un plaisir partagé. Ils sont étonnés par la présence de Clémentine.
Ils ne s'attendaient certainement pas de me voir accompagné de cette grande et belle jeune fille de vingt ans. Effusions.
Nous nous faisons la bise à la "française". Mon oncle salue Clémentine avec tout la délicatesse obséquieuse et écossaise.
Nous sommes invités à entrer dans la maison. Nous prendrons nos quartiers au premier étage dans un petit appartement.
C'est le petit deux pièces qu'occupaient les domestiques à l'époque où cela existait encore dans les familles bourgeoises.

Clémentine observe tout avec de grands yeux. L'intérieur victorien est meublé avec goût. Mon oncle est antiquaire retraité.
L'invitation au thé ne se refuse pas. Nous y sacrifions avec plaisir. Je vais à la voiture pour chercher les cadeaux ramenés.
Je reviens avec les paquets. Deux énormes Kouign Amann, gâteaux Bretons et des crêpes dentelles de Pont-Aven. Super.
Ma tante m'embrasse. Elle est tellement contente de me revoir. Les présentations avec Clémentine sont des plus agréables.
Le contact se fait rapidement. Clémentine parle très bien l'Anglais. Elle peut tenir la conversation avec une grande aisance.

Certes, certaines expressions, certaines tournures de phrases sont typiquement écossaises. Au début, cela surprend. Vite.
Nous restons à bavarder longuement. Nous retournons à la voiture pour récupérer nos valises, nos affaires. Il y a de quoi.
Nos trois valises, nos grands sachets et la glacière qui contient nos précieux fromages français. Il y en a pour ma famille.
Nous montons à l'étage. Nous prenons nos quartiers dans un petit deux pièces, cuisine, salle de bain. C'est petit et sympa.
La vue sur la propriété est superbe. Tout est meublé simplement avec du mobilier clair. Plancher en chêne. Carrelage. WC.

Nous voilà seuls. Il est déjà 19 h. Nous rangeons nos affaires. Nous défaisons les valises. Clémentine prend ses marques.
Je connais bien l'appartement. J'y ai passé de nombreux séjours. C'est toujours mon pied à terre écossais. Calme et serein.
Clémentine me confie à quel point elle se sent bien dans la maison. Nous aurons une entrée séparée par l'arrière. Escalier.
Nous traînons un peu. Nous sommes évidemment invités pour le repas du soir. Il est vingt heures. Nous descendons. Faim.
Le repas est fait de bavardages, de rires. Clémentine a été accueillie avec sympathie et convivialité. Nous traînons. Soir...

Il est vingt deux heures lorsque nous remontons dans nos appartements. Nous ressentons la fatigue du voyage. Epuisés.
Nous nous offrons quelques belles photographies depuis les fenêtres. L'une donne sur la rue calme et silencieuse. La nuit.
Les autres donnent sur le parc. La maison la plus proche est à une cinquantaine de mètres, derrière les hauts arbres.
< C'est comme dans un film ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Je la berce. Nous restons longuement ainsi.
Clémentine me pousse sur le lit. Nous nous offrons les préliminaires dans une tendresse infinie. Nous faisons l'amour...

Bonne arrivée et bonne découverte d'Edimbourg à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Guide touristique, chauffeur et amant de toute première catégorie) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Danser
Wednesday 19 July 2017 21:44

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2017 -



J'emmène Clémentine pour sa première visite d'Edimbourg - Jour 3 -

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par plein de bisous. Sur le front, sur les joues et même sur le bout du nez.
J'ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine. Je la serre contre moi. Elle me chevauche en riant.
< Bonjour Clémentine ! > que je fais en la faisant basculer sur la gauche puis sur la droite. Quelques papouilles.
L'impérieux besoin naturel devient rapidement si pressant que nous n'avons d'autres choix que de nous lever.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Il est déjà huit heures. Je tiens la jeune fille par ses cheveux. Elle pisse...

Je m'accroupi pour humer les parfums de sa nuit de fille. Je lèche la petite goutte. Puis, c'est à mon tour. Pipi.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, la jeune fille en récupère les derniers reliquats.
Je la laisse se régaler quelques instants avant de la forcer à se redresser. Nous allons à la cuisine. Morts de faim.
Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Je coupe les tranches de pain complet emmené avec nous.
Beurre et confiture de cerises d'Estelle. Nous savourons ce petit déjeuner. Nous traînons à table. Les vacances...

Nous bavardons. Clémentine se réjouit pour le programme de cette journée. Cet après-midi, visite d'Edimbourg.
La ville n'est pas énorme. C'est la capitale de l'Ecosse et donc à l'échelle de ce petit pays. Flâner dans ses rues.
Ma compagne, assise sur mes genoux me donne ses impressions. < Je me sens si bien ici, en Ecosse : >. Bien.
C'est vrai que lorsqu'on est sensible aux vibrations positives, l'Ecosse agit comme un vrai chargeur de batterie.
Nous regardons par la fenêtre. Il y a de rapides séquences ensoleillées. La luminosité particulière du Nord. Bien.

Il est 8 h45. Nous faisons notre vaisselle. Nous avons rapidement nos repaires dans ce nouveau lieu de vie. Joie.
Nous nous mettons en tenue. Nous descendons par l'ancien escalier de service. L'entrée est indépendante. Bien.
Nous voilà à courir pour notre jogging quotidien. Je connais parfaitement le quartier. J'entraîne Clémentine. Rue.
Nous remontons le trottoir. Nous prenons le sentier entre deux propriétés. Nous sommes rapidement en haut.
Nous gravissons la colline avec un bon rythme et pour une excellente mise en jambe. D'en haut, vue sur la ville.

Clémentine est absolument enchantée par cette découverte. Nous redescendons. Nous voilà de retour à 10 h30.
Une heure trente d'un running régénérateur. La douche. Nous prenons tout notre temps. Nous nous habillons.
Il y a la petite machine à laver dans la salle de bain. A côté, le panier à linge. Clémentine prend ses marques.
Nous allons dans la pièce de séjour. Nous avons emmené l'ordinateur portable et la tablette. Connection parfaite.
Nous sommes en Wifi. La 4G fonctionne superbement. Nous découvrons nos quatre messages. Estelle nous écrit.

Estelle nous informe en nous joignant à chacun de ses messages une photographie de nous trois. C'est délicat.
Elle nous apprend qu'elle vient tous les soirs. Tout se passe bien. Inutile d'arroser le jardin, la pluie s'en charge.
Il fait donc approximativement le même temps chez nous, à 800 km plus bas. Nous répondons à chaque mail.
Il y a un message de Juliette avec une photo de ses chevaux. La jeune femme nous souhaite d'être bien arrivé.
Par acquis de conscience Clémentine visite le site de la faculté. Pas d'informations. Pas de mise à jour. Vacances.

Il est midi. Nous avons l'estomac dans les talons. Du réfrigérateur je sors des carottes et des tomates du jardin.
Nous avons une réserve de légumes pour environ huit jours. Clémentine prépare les salades. Je fais des pâtes.
Clémentine me fait : < Regarde, cet après-midi nous aurons du beau temps ! >. Je constate le soleil généreux.
Je mets les coquillettes dans un plat à gratin. Je râpe du parmesan. Je mets le tout au four. Les salades faites.
Nous disposons la table. Dans l'appartement tout est d'une propreté clinique. C'est vraiment très agréable. Bien.

Clémentine ouvre ma braguette pour y fourrer sa main. < Je suis salope aujourd'hui. Tu es prévenu ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur. Je passe ma main dans son jean. L'accès est difficile. J'accède à sa touffe bien chaude.
Nous nous embrassons longuement. Je bande comme un vrai salaud. La sonnerie du four nous rappelle à l'ordre.
Nous sommes morts de faim. Nous nous précipitons. Le repas est délicieux. Nous le savourons. Nous bavardons.
Nous traînons à table. Clémentine, assise sur mes genoux, évoque le programme de l'après-midi. Découvertes...

Nous faisons la vaisselle. Tout est clean. < Avec cette météo, je mets une jupe ! > me fait Clémentine. Change.
La jeune fille met une de ses jupes kilt. Un pull fin en coton. Des souliers fermés à talons plats. Elle est belle.
Sur sa demande, je mets mon pantalon clair à pince, une chemise et ma veste de lin clair. Mes mocassins bruns.
< Je t'adore dans cette tenue ! Tu es sexy et tu m'excites ! > me fait clémentine en palpant ma braguette. Rires.
Nous voilà prêts. Il est déjà 14 h. Nous descendons. La voiture est garée sous un grand auvent. Bien à l'abri...

Il y a dix minutes jusqu'à la ville. Je gare la voiture dans une petite ruelle. Nous marchons. Dix minutes. Centre.
Nous sommes rapidement dans l'artère centrale de la ville. Des deux côtés l'avenue s'étend à perte de vue. Bien.
Clémentine m'entraîne à droite. Nous flânons doucement. Il fait doux. De nombreuses séquences ensoleillées.
Nous arrivons au grand parc à côté de la National Gallery. Ce Musée qui fera l'objet de notre prochaine visite.
Nous entrons dans le parc. Je montre à Clémentine une des nombreuses particularités du libéralisme anglo-saxon.

Sur chaque banc, il y a une plaque avec le nom des donateurs qui ont offert le mobilier urbain. Impressionnant.
< C'est incroyable ! > fait Clémentine en lisant à haute voix les noms des familles qui ont offert chaque banc.
Nous déambulons dans cet extraordinaire endroit. Il y a une roseraie. Des roses magnifiques poussent ici. Belles.
Nous allons de surprise en surprise. Il y a plein de promeneurs. Des jeunes gens assis sur le gazon. Ambiance.
Et toujours ce sentiment de profonde quiétude et d'étrange sérénité. Clémentine m'en fait part. C'est étonnant.

< Je m'offre mon premier "plan" écossais ! > me glisse ma compagne à l'oreille. Nous rigolons comme des bossus.
J'attends avec impatience de découvrir le "plan" de Clémentine. < Reste là ! > me fait elle en s'éloignant. Je mâte.
Là-bas, il y a un attroupement. Un groupe de gens regarde et écoute un guitariste assis sur un banc. Il joue. Bien.
Clémentine reste légèrement en retrait. Accroupie, la jeune fille fait mine de fouiller dans son sac à main. Musique.
Le guitariste lève quelquefois la tête en chantant. Il vient sans doute de remarquer la jeune fille accroupie à droite.

Le jeune homme regarde à plusieurs reprises sans cesser de jouer et de chanter. Personne d'autre ne regarde là.
Le musicien découvre certainement le merveilleux spectacle que lui offre cette jeune fille à une dizaine de mètres.
Il faut souligner son extraordinaire capacité à rester concentré sur sa chanson car pas une fausse note. Très "pro".
Je suis près du groupe d'auditeurs. Je suis sous le charme du talent du chanteur. Et sous celui de ma compagne.
Accroupie, les cuisses légèrement écartées, Clémentine offre discrètement son "show". Je suis bluffé par son culot.

Le jeune artiste termine sa chanson sous les applaudissements du petit groupe de spectateurs. Il attaque une autre.
Tout en chantant il regarde avec une insistance discrète vers la jeune fille. Il doit comprendre ce qu'elle fait. Salope.
Evidemment, avec toute la virtuosité d'une authentique exhibitionniste, Clémentine savoure ces instants. Intenses.
Clémentine fouille dans le petit sac à dos en cuir qui lui sert de sac à main. Elle donne le change. Personne ne voit.
De rapides coups d'œil à gauche, à droite, rassurent la jeune fille dans son occupation ludique. C'est vraiment cool.

La situation perdure ainsi le temps d'une nouvelle chanson. Clémentine se redresse. Les jambes ankylosée. Fourmis.
Elle me fait un signe discret en s'éloignant. J'attends quelques instants et je vais dans sa direction. Je la rejoins là.
Nous sommes derrière les bosquets. < C'était génial ! En plus, le gars chante vraiment bien ! > me fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Nous continuons notre promenade. Il fait beau. Clémentine me fait part de son excitation.
Nous flânons longuement dans le parc. Nous revenons à l'endroit où il y avait le chanteur. Le spectacle est terminé.

Nous revenons sur l'avenue. Je propose à Clémentine de nous offrir une glace. L'idée est accueillie avec plaisir. Joie.
Je suggère de nous asseoir à la terrasse d'un des nombreux salons de thé typiquement écossais. Il y en a beaucoup.
Nous voilà confortablement installés entre deux gigantesques youkas. Devant d'énormes coupes glacées. Parfumées.
Nous bavardons. Il y a du monde. Nous regardons la circulation clairsemée. Soudain Clémentine me tapote le bras.
< Regarde, il y a le chanteur qui vient ! > me fait ma compagne. Je regarde. Effectivement le jeune homme arrive.

Debout entre les tables, le garçon chante. C'est vraiment superbe. Clémentine, discrètement offre son "show". Vice.
Le chanteur a bien vu la jeune fille. Il a bien remarqué ses cuisses légèrement écartées sous la table. Il assure bien.
Les gens applaudissent. Le garçon passe entre les tables avec un chapeau. Je sors la monnaie. Je me lève très vite.
Je laisse Clémentine seule. Je me mets à l'écart. Je veux voir les réactions du jeune homme. Il arrive chez la fille.
Clémentine lui met les pièces dans le chapeau. Le jeune gars se penche pour lui glisser quelques mots. Un instant...

Je vois Clémentine faire un signe de négation. Le garçon n'insiste pas et continue de faire la manche. Plein de sous !
J'attends que le chanteur se soit éloigné. Je reviens m'asseoir. < Il m'a félicité ! > me fait Clémentine en riant. Joie.
Elle rajoute : < Il sera au parc ce soir ! Il m'a proposé d'y faire un tour ! >. Nous rions de bon cœur. Impossible.
Ce soir nous serons au bas du château pour y faire des clichés de la bâtisse dans le crépuscule naissant. Projet...
Nous continuons nos découvertes. Nous parcourons une grande partie de l'avenue. Trottoirs de droite. De gauche.

Nous nous offrons un repas au restaurant. Un petit endroit typique que je connais bien. Un décors médiéval. Super.
Clémentine est absolument enchantée de tout ce qu'elle découvre à chaque instant. Un repas de steaks de poissons.
En Ecosse, le saumon est le poisson roi. Aussi, préparé à la poêle, accompagné de légumes, c'est un met délicat.
Nous traînons longuement. Aux murs de pierres, des cornemuses accrochées. Aux poutres, des parties d'armures.
Des arbalètes, des bout de lances, des sabres. Tout ce décorum médiéval est proposé avec bon goût. Admirable...

Nous allons faire des clichés du château à la nuit tombante. Nous avons toujours notre petit trépieds dans le sac.
Un de ces tout petits supports télescopiques qui permettent de fixer l'appareil photo. Les clichés sont parfaits. Bien.
Nous flânons encore un peu avant de retourner à la voiture. Nous sommes de retour à l'appartement pour minuit.
Nous nous offrons une succulent "69" qui achève de nous épuiser. Nous faisons l'amour en nous endormant. Rires.
< Je t'aime Julien, merci pour toutes ces découvertes ! > me fait Clémentine. Ce sont ces derniers mots. Ronflette...

Bonne découverte d'Edimbourg à toutes et à tous. Bonnes exhibitions à toutes celles qui aiment êtres vues...

Oncle Julien - (Guide touristique, lécheur de minou, amant et chauffeur pour Clémentine ravie) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Danser
Wednesday 19 July 2017 21:47

Oncle-Julien
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Clémentine adore découvrir la ville d'Edimbourg - Jour 4 -

Hier matin, jeudi, j'ouvre les yeux le premier. Je tourne la tête sur ma droite. Je regarde l'écran du réveil. 8 h.
Je tourne la tête à gauche. Clémentine est entrain de se réveiller à son tour. Nous développons une télépathie.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en s'étirant avant de se serrer contre moi. Je fais : < Bonjour Clémentine ! >.
Nous nous offrons quelques papouilles. Douceurs, tendresses. Clémentine me chevauche en riant. Des bisous.
C'est l'obligation des pissous du matin qui met un terme à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main.

Je tiens la jeune fille par ses cheveux. Elle se soulage dans un jet long et sonore. Puis, c'est à mon tour. Sympa.
Ma compagne me tient la bite pour en diriger le jet. Nous nous précipitons à la cuisine. Le petit déjeuner. Faim.
Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Je fais griller les tranches de pain complet. Odeurs agréables.
Nous traînons longuement à table. Dehors c'est toujours ce temps incertain mais principalement ensoleillé. Doux.
Nous bavardons. Clémentine assise sur mes genoux, termine son yaourt. Je lui révèle le programme du jour. Joie.

En début d'après-midi nous partirons pour South Queenferry, beau et petit village à quinze minutes d'Edimbourg.
Ce petit bourg typique est situé au bord de la rivière Forth. Nous pourrons partir à la découverte de la petite île.
Cette magnifique petite île de Inchcolm abrite une colonie de phoques. Il s'y trouve aussi une très belle abbaye.
Clémentine m'écoute avec ravissement. J'explique que c'est là que je vais "livrer" une des deux toiles emmenées.
Un ami collectionneur qui, chaque année agrandit son patrimoine artistique d'une de mes toiles. Ami de la famille.

Je précise à Clémentine que cette toile couvrira l'intégralité des frais de notre séjour en Ecosse. Et bien plus encore.
< Et il y a une seconde ! > me fait clémentine. Je dis : < Oui. La seconde ira à un commanditaire de St Andrew ! >.
Clémentine rajoute, avec un clin d'œil : < Et il y en a trente autres dans ta galerie ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous faisons notre vaisselle. Clémentine met sa main dans mon slip et me chuchote : < Attention à toi ! >. Bisous.
Je la serre contre moi. Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Nous restons ainsi un long moment. Joie.

Nous nous mettons en tenue. C'est un nouveau plaisir de notre journée. Nous nous offrons notre jogging quotidien.
Nous descendons par l'escalier de service de notre entrée séparée. Il fait très agréable. Le soleil reste maître du ciel.
Nous prenons le même itinéraire que hier. Au bout de la rue calme et silencieuse, nous prenons le sentier à droite.
Nous sommes rapidement sur le chemin à flanc de colline. Une heure trente d'un running absolument superbe. Joie.
Nous sommes de retour pour dix heures trente. Nous prenons notre douche. Nous nous savonnons en rigolant. Bien.

Nous apprécions de traîner le matin. Ce n'est pas dans nos habitudes. Nous aimons l'action. Nous avons la bougeotte.
Nous voilà habillés très sommairement. Nous allons nous installer à la table du séjour. Devant l'ordinateur en Wifi.
Deux messages. Un premier courriel d'Estelle qui nous raconte sa journée de travail et sa soirée chez nous. La maison.
Il fait beau. Estelle joint une photo "selfie" devant notre potager. Nous sommes amusés de voir nos légumes. Sympa.
Estelle nous raconte la cueillette des mirabelles. Avec sa mère, elles font des confitures en grandes quantité. Bien...

Nous répondons avec quelques détails. Nous joignons une photo en "selfie" de nous devant le château au crépuscule.
Nous découvrons le courriel de Juliette. La jeune femme y joint une photographie d'elle avec son cheval personnel.
< Comme elle est sexy cette femme ! > me fait Clémentine. C'est vrai que Juliette porte sa quarantaine avec grâce.
Nous répondons en joignant la même photographie qu'à Estelle. Clémentine clique sur le site de la faculté. Rien. Cool.
Je fais un courriel à mon oncle qui tient ma galerie pour lui passer le bonjour de son frère chez qui nous sommes...

Il est rapidement midi trente. La faim se fait sentir. L'inactivité est propice à la boulimie. Nous préparons notre repas.
Clémentine s'occupe des salades. Tomates et carottes du jardin. Je prépare le riz complet et la sauce à l'oignon frit.
Je râpe le parmesan. Nous bavardons. A plusieurs reprises Clémentine met sa main dans mon short. C'est très bon.
< Je te préviens, aujourd'hui encore, je serais hyper salope ! > fait la jeune fille. Nous rigolons comme des bossus.
Je mets la table. Clémentine va sortir le linge de notre première machine des vacances. Elle le suspend. Elle revient.

Nous mangeons avec appétit. Nous bavardons. Je raconte quelques anecdotes écossaises à ma compagne intéressée.
Nous aurons tant de choses à voir durant ce séjour. Nous y restons jusqu'au 20 août au minimum. Sans doute plus.
Nous traînons. Clémentine est assise sur mes genoux. Je lui parle de la visite de South Queenferry cet après-midi.
< Tu mets tes habits clairs ? > me demande Clémentine qui adore lorsque je porte mon pantalon et ma veste de lin.
< Moi, je mets ma jupe kilt ! On est en Ecosse quand même ! > fait encore ma compagne. Nous rions de bon cœur.

Nous faisons notre vaisselle. Nous nous habillons. Selon le souhait de Clémentine, je porte les vêtements demandés.
< Je t'aime comme ça, Julien ! Tu es beau ! > me fait ma compagne que je fais tourner. < Toi aussi ! > que je fais.
Nous voilà prêts. Je prends le grand sachet qui contient la toile de format 6F, (41 x 33 cm). Nous descendons. Auto.
Clémentine porte les mêmes vêtements que hier. Jupe kilt, pull en coton fin. Souliers fermés à talon plats. Si belle.
Nous sortons de la ville. Direction South Queenferry. Quinze minutes de route. Nous passons sur le pont de la Forth.

Je prends la direction de St Andrew à la sortie du fameux pont de Forth Bridge, classé au patrimoine de l'humanité.
C'est le long d'un chemin entouré de vieux arbres centenaires qu'il y a la grande propriété de mon commanditaire.
< C'est magnifique ! > me fait Clémentine. Nous arrivons devant une grande maison de maître. C'est là. Le silence.
A peine sommes nous sortis de la voiture que mon collectionneur vient à notre rencontre. Il est content de me voir.
Nous nous rencontrons chaque année lorsque je viens "livrer" ma toile. Il est étonnée par la présence de Clémentine.

Nous entrons dans le hall. La compagne de mon commanditaire vient nous saluer. Nous allons au grand salon. Bien.
Aux murs, il y a déjà trois de mes œuvres. Je les retrouve avec plaisir. Je vais scruter leur aspect. J'aime les revoir.
Clémentine les regarde avec admiration. Nous sommes invités à prendre place dans les fauteuils. Nous bavardons.
Le couple déballe leur nouvelle acquisition. La femme tourne la toile dans tous les sens. < Wonderful ! > fait elle.
< Very great job ! > me fait mon commanditaire. J'aime savoir mes collectionneurs heureux de leurs découvertes.

Tous les deux se promènent avec ma toile à la main pour la placer contre différentes partie des murs de la pièce.
Clémentine me fait un sourire et un clin d'œil. Elle assiste pour la première fois au déroulement de mon business.
Nous sommes invités à prendre le thé et des petits cookies confectionnés par madame. Un moment délicieux. Bon.
Nous restons longuement à bavarder. L'accent écossais est parfois plus guttural que l'Anglais. D'autres expressions.
Clémentine se familiarise avec ces mots typiquement gaëliques et d'origine Celtes. Nous sommes en pays Celtique...

Il est dix sept heures lorsque nous prenons congés de nos hôtes. Nous nous promettons de nous revoir l'an prochain.
Une nouvelle œuvre est déjà commandée. Ainsi vont les affaires. Nous prenons la direction du village pour la visite.
Clémentine découvre un endroit magnifique. Je lui montre le début du chemin John Muir qui traverse toute l'Ecosse.
Ce chemin est un peu l'équivalant de nos chemins GR, (grandes randonnées). Il traverse le pays d'Est en Ouest...
Nous adorons randonner. Nous décidons tout naturellement de nous offrir une virée pédestre en ce lieu magique.

Il est rapidement dix neuf heures. Nous reviendrons ici dès demain. Clémentine désire tout voir. Prendre des photos.
Nous sommes de retour à l'appartement pour vingt heures. Nous nous réchauffons le reste du riz de midi. Salades.
Nous traînons à table. Nous faisons notre vaisselle. Nous décidons d'aller marcher. Clémentine veut voir le quartier.
Nous flânons dans les rues. C'est le quartier résidentiel d'Edimbourg. Tout y est calme, cossu, et respire la sérénité.
Très souvent, ma compagne me tripote la braguette. Nous sommes très excités. Il est 23 h. Nous rentrons. Baise...

Bonne découverte de la magnifique région d'Edimbourg à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Heureux privilégié qui fait découvrir son pays d'origine à Clémentine émerveillée) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Danser
Wednesday 19 July 2017 21:49

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Notre première randonnée dans les environs d'Edimbourg - Jour 5 -

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil comme souvent. Des bisous sur tout le visage. Sur le nez.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine qui ne supporte pas de rester toute seule trop longtemps. Sourires.
< Bonjour Clémentine ! > que j'ai à peine le temps de dire avant que ma compagne ne me chevauche en riant.
Nous nous offrons des papouilles. Clémentine se lève et m'entraîne aux toilettes. Le rituel matinal du pissou.
Clémentine me tend ses cheveux que je tiens. La jeune fille se soulage longuement. Je lui fais plein de bises.

Puis ma compagne me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en savoure les derniers épanchements.
Je la laisse se régaler quelques instants avant de la forcer à se redresser. Nous sommes morts de faim. Joie.
Nous nous précipitons à la cuisine. Dehors il fait si beau. Le ciel est principalement bleu. Il fait très agréable.
Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Je coupe les tranches de pain complet. Confiture et miel.
Nous prenons tout notre temps. Nous traînons à table. Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Tendresse.

J'expose le programme de la journée. Cet après-midi, nous retournons au petit bourg de South Queenferry.
De là nous prendrons le chemin John Muir qui longe la rivière Forth. Retour en soirée pour un bon restaurant.
< C'est superbe ! On va se faire une belle randonnée, c'est tellement beau par là-bas ! > me fait Clémentine.
Je fais : < Surtout que la journée s'annonce ensoleillée et chaude ! >. Nous faisons notre vaisselle. Il est 9 h.
Nous nous mettons en tenue. C'est le plaisir de notre jogging quotidien. Nous descendons l'escalier. Silence.

Dehors, juste avant de nous mettre à courir, nous rencontrons mon oncle. Nous nous saluons pour bavarder.
Il nous demande si nous sommes bien installés, un peu inquiet car il n'entend jamais rien. Nous le rassurons.
Oncle Steve nous invite à un repas dimanche en soirée. Nous acceptons avec joie. Nous partons pour courir.
Nous prenons notre itinéraire qui devient habituel. Nous apprécions la vue sur la ville depuis la colline. Belle.
Nous sommes de retour pour 10 h45. Nous prenons notre douche. Il fait chaud au dehors. La journée promet.

Après la douche, c'est un autre rituel. La découverte de nos courriels. Assis devant l'ordinateur nous observons.
Il y a le message d'Estelle. Elle nous raconte sa journée de travail. Il fait beau et chaud. Elle arrose le jardin.
Elle passe ses soirées chez nous, dans notre maison vide. Notre absence lui pèse. Il y a eu la visite de Juliette.
Juliette vient chercher des légumes au potager. Estelle et Juliette ont donc bavardé un peu. Des liens se nouent.
Estelle joint une photographie "selfie" de Juliette et d'elle devant le potager. Juliette tend une carotte en riant.

Nous découvrons ce courriel avec plaisir. Estelle nous fait part de sa découverte de nos aventures par le forum.
Chaque soir, avant de rentrer, la jeune fille se connecte sur le site pour découvrir mon récit posté en matinée.
Récit que j'écris souvent le soir. Nous joignons une photo "selfie" de nous deux assis devant l'écran de l'ordinateur.
Clémentine fait un cliché de chaque pièce. Nous les mettons en pièces jointes et nous envoyons notre message.
Par acquis de conscience, Clémentine visite rapidement le site de la faculté. Aucune information. Les vacances.

L'appétit nous gagne. Il est déjà midi. Clémentine prépare les salades. Je m'occupe du millet. Je fais bouillir l'eau.
A plusieurs reprises je passe derrière Clémentine. Je lui glisse à l'oreille : < Aujourd'hui, je me sens bien salaud !>
< Il serait grand temps que tu m'imites un peu ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur. Elle me prend la queue.
Clémentine a la main mouillée et froide. Elle me serre la bite avant de se tourner pour m'embrasser avec fougue.
< Tu me mets le collier et la laisse, cet après-midi, pour la randonnée ? > fait Clémentine en se frottant contre moi.

Nous rigolons comme des bossus. L'eau bouillante déborde. J'ai juste le temps de retirer la casserole. Millet doré.
Je râpe le parmesan. Je mets la table. Clémentine remue les salades. Nous voilà assis à savourer notre repas.
Le millet doré est une céréale délicieuse. Tout particulièrement accompagnée d'oignons et d'ail confis à la poêle.
Nous traînons à table. Nous bavardons. Nous rions. Nous faisons notre vaisselle. Nous préparons nos affaires.
Dans le petit sac à dos, je mets nos deux K-ways. Deux grosses pommes, des barres de céréales. Eau gazeuse.

Clémentine porte une de ses jupettes "tennis". Un T-shirt et ses baskets. Nous prenons des vêtements chauds.
Ils seront sans doute inutiles pour la randonnée mais seront bien à propos pour notre soirée au restaurant. Joie.
Je mets mon short kaki, un T-shirt et des baskets. Nous voilà prêts. Il est treize heures quarante cinq. En route.
Dans la voiture, Clémentine me sort la queue avec laquelle elle joue jusqu'à notre arrivée au village. C'est bien.
Il y a du monde. Je propose à Clémentine de nous rendre au restaurant que nous avons repéré hier. Réservation.

Je réserve une table pour 20 h30. Je laisse un petit "pourboire" selon la coutume pour confirmer la réservation.
Nous retournons à la voiture. Il nous faut changer de chaussures. Nous avons nos godasses de trekking. Bien.
J'adore la tenue de Clémentine. En jupette, en T-shirt, chaussettes et grosses godasses. Nous rions de bon cœur.
Nous voilà en route sur le chemin. Nous croisons quantité de marcheurs. Rapidement toutefois nous voilà seuls.
Nous marchons dans une nature verdoyante. Tout autour de nous de grands chênes centenaires et des hêtres.

Les résineux, principalement des épicéas, diffusent cette indéfinissable effluve de bonbons à la sève de pin. Bon.
Le chemin devient sentier au bout de quelques miles. A plusieurs reprises, Clémentine me touche la braguette.
Parfois, en regardant bien autour de nous, je m'arrête. Je sors ma bite que j'agite en direction de la jeune fille.
< Je t'aime encore plus quand tu es cochon ! > me fait Clémentine en s'accroupissant pour me la sucer un peu.
Nous marchons deux bonnes heures. Il fait chaud. Heureusement nous sommes le plus souvent à l'ombre. Bien.

Nous arrivons au sommet d'une colline. Au loin, la ville d'Edimbourg s'étale dans la lumière diaphane. Magnifique.
Clémentine prend quelques photos. Plus bas, sur notre droite, il y a un grand totem avec les différentes directions.
Nous descendons pour lire les panonceaux. Clémentine me montre le cabanon un peu plus bas. Un abri en rondins.
Ma compagne m'y entraîne. < Je veux faire ma salope ! > me fait elle en me sortant la queue. Elle me la tient fort.
Nous pénétrons dans le cabanon. Il y a un foyer de pierre plein de bois carbonisé. Une table et deux bancs. Propre.

Clémentine enlève sa culotte. Elle inspecte bien la surface de la table avant de s'y asseoir. Je m'assois sur le banc.
Le visage entre les cuisses de ma compagne, je hume longuement les effluves parfumées de sa journée de fille.
Clémentine me saisit par les oreilles. Elle m'attire contre sa touffe. Je me mets à savourer son sexe humide. Bon.
Je lèche les plis et les replis des lèvres de sa chatte qui suinte de cyprine fluide. J'entends gémir ma compagne.
Les mains en appui derrière elle, Clémentine écarte généreusement ses cuisses pour m'offrir mon quatre heure.

Je me régale de cette moule. Je suis vigilant. Clémentine déteste les orgasmes prématurés. Elle veut rester excitée.
Ma compagne est très juteuse. Lorsqu'elle se met à mouiller, ça coule, encore et encore. J'ai de quoi me sustenter.
Au loin, nous discernons une conversation. Nous avons juste le temps de nous réajuster. Il arrive des marcheurs.
Nous les saluons poliment. Deux couples de séniors en virée. Nous remontons au sommet de la colline. Edimbourg.
Nous reprenons notre marche. J'ai ma vieille carte détaillée de la région. J'indique les directions à prendre. Super.

Nous faisons ainsi une grande boucle. Il y a quelques arrêts où je lèche Clémentine assise sur des rochers. Bien.
Ma compagne adore se retrouver dans un état d'excitation permanente. Lorsque nous marchons, elle se touche.
Souvent, accroupie, elle me suce la bite. Je surveille les alentours. Parfois, c'est de justesse, il y a des marcheurs.
Nous sommes de retour au village pour vingt heures trente. Nous sommes animés d'un appétit d'ogre. Et excités.
Clémentine reste en jupette. Elle met des sandalettes à légers talons. Elle change de T-shirt. Vers le restaurant.

La table réservée nous attend au fond, devant la grande baie vitrée. La salle est pleine. C'est la saison touristique.
Clémentine, considérablement "allumée" et excitée de toutes nos caresses, me fait : < Il y a couple en face ! >.
Je sors mon téléphone que je dispose sur la table. Ainsi, sur l'écran, je peux voir comme dans un rétroviseur.
Clémentine me raconte tout ce qu'elle fait. Cuisses discrètement écartées sous la table. Parfois la main à son sexe.
L'homme bavarde avec sa femme tout en mâtant discrètement ce que fait cette jeune et belle salope en face de lui.

Je scrute sur l'écran de mon téléphone. Le type regarde avec insistance à chaque fois que sa femme baisse la tête.
C'est étonnant. < Je crois que le serveur vient de repérer mon petit manège ! > me fait soudain Clémentine. Rires.
Elle pose sa main à côté de son assiette. Elle me montre ses doigts mouillés. Elle me fait un clin d'œil. Nous rions.
En effet, il semble que le serveur, là-bas, derrière le comptoir, regarde discrètement mais souvent vers notre table.
< Attends, je vais en avoir le cœur net ! > me fait Clémentine en se levant pour aller vers les toilettes. Je mâte...

Pas l'ombre d'un doute. Le serveur, un trentenaire séduisant, se dirige à son tour vers les toilettes. Je verse de l'eau.
Un petit moment se passe avant que Clémentine ne revienne s'asseoir. < Le petit vicieux ! > me fait ma compagne.
Elle me raconte le mec, aux chiottes, la bite à l'air devant la jeune fille tout en engageant la conversation. L'exhibo.
Nous rions de bon cœur. Le serveur est d'une extrême discrétion. Tout en faisant son service, il nous observe bien.
Clémentine retourne aux toilettes une seconde fois. < J'enfonce le clou ! > me fait elle avec un clin d'œil. Je mâte...

Bien évidemment, le serveur, toute affaire cessante, se dépêche de rejoindre la jeune fille. Un nouveau moment.
Clémentine revient s'asseoir. En riant elle me fait : < J'ai assisté à une éjaculation ! Il a failli me juter dessus ! >.
Ma compagne me raconte le détail de sa nouvelle aventure. < Je l'ai allumé, accroupie, bien salope ! > fait elle.
J'écoute, amusé et intéressé. < Tu aurais du le sucer ! > que je lui fais. < T'es fou ! > me répond t-elle en riant.
Nous terminons nos énormes coupes glacées. Je demande l'addition. Il est déjà 23 h. L'établissement va fermer.

Nous quittons les lieux. Il reste encore quelques clients. Nous passons à l'extérieur. Derrière la baie vitrée. Parking.
Clémentine me fait : < Attends ! >. Je m'arrête. Elle est droite, les jambes légèrement écartées, les genoux fléchis.
Là, derrière la baie vitrée, le serveur débarrasse notre table. Clémentine passe sa main sous sa jupe. Le type mâte.
Clémentine, la main droite entre ses cuisses, lève la main gauche pour faire un dernier signe au serveur. Superbe.
Je fais semblant de ne m'apercevoir de rien en entrant dans la voiture. Clémentine reste dans cette position. Vice.

Dans la voiture, Clémentine se masturbe doucement en me confiant ses ressentis, ses émotions et ses sensations.
< Il va falloir t'occuper sérieusement de moi, à l'appartement ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus.
Nous arrivons. Nous garons la voiture sous l'abri. Nous montons à toute vitesse. Je jette Clémentine sur le lit. Joie.
Comme un sac de linge. Je me mets à genoux. Je ne la lèche pas depuis quelques instants que Clémentine gémit.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Confidences étonnantes. La baise...

Bonne randonnée vicelarde à toutes et à tous. Bon restaurent vicelard à celles qui aiment allumer les serveurs...

Oncle Julien - (Bandeur fou pour jeune salope désireuse de s'exhiber partout ou c'est possible) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Danser
Wednesday 19 July 2017 21:52

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Clémentine est tombée amoureuse de la région d'Edimbourg - Jour 6 -

Hier matin, samedi, j'ouvre les yeux le premier. Je regarde l'écran de notre réveil de voyage. Il est huit heures.
Je regarde sur ma gauche. Clémentine est entrain de s'étirer. Elle tourne sa tête vers moi et me fait un sourire.
< Bonjour Julien ! > me fait elle. < Bonjour Clémentine ! > que je réponds. Nous nous serrons très fort. Bisous.
< Je suis tombée amoureuse de ce pays ! > me fait Clémentine en me chevauchant. Je fais : < Il te va bien ! >
Et c'est vrai que la jeune fille est radieuse. Elle me fait : < Espérons des vacances sans canicule ! >. Papouilles.

L'impérieux besoin du pissou matinal nous impose sa loi inéluctable. Clémentine se lève et m'entraîne par la main.
Elle me tend ses cheveux afin que je m'en saisisse. Je tiens la jeune fille en équilibre au-dessus de la cuvette. WC.
Clémentine se lâche dans un long jet sonore et puissant. Accroupi, je hume les parfums de sa nuit de fille. Délicats.
Je lèche la petite goutte. C'est légèrement acide. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Adroite, précise.
Accroupie, elle récupère les derniers épanchements. Je la laisse se régaler un peu. Je la force à se redresser. Faim.

Nous nous précipitons à la cuisine. Nos appétits sont à la mesure de cette nouvelle journée ensoleillée. Immenses.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain. Clémentine les passe au grille pain.
Je sors le miel, la confiture. Clémentine sort le beurre et les yaourts. Nous voilà assis à disserter sur le programme.
Nous avons ramené des légumes de notre jardin. Carottes, tomates, radis. Mais il faudra songer à faire les courses.
Ici, en Ecosse, il n'y a pas de jour chômé. A part les fêtes nationales, les commerces sont ouverts tous les jours...

Nous traînons à table. Nous avons tout notre temps. Clémentine vient s'installer sur mes genoux. Nous bavardons.
Je propose le programme de ce jour. Après-midi découverte culturelle. Visite de la fameuse National Gallery. Musée.
Il y a là quelques merveilles et quelques chefs-d'œuvre de la peinture Hollandaise du XVIIème. Notre préférence.
Il y a notamment deux petits tableaux merveilleux de mon peintre préféré, Gerard Dou, (1613 - 1675). Sublime.
Clémentine qui a découvert cet univers pictural assez tôt dans son adolescence connaît bien cet artiste virtuose...

En fin d'après-midi, à la fermeture, nous irons parcourir les ruelles enchanteresses du vieil Edimbourg. Typiques.
En soirée nous irons manger dans un petit restaurant que je connais bien. Puis nous irons à la fête du Jazz. Bien.
Même si nous détestons copieusement le jazz comme toute la musique contemporaine, ce sera bien sympathique.
Clémentine se lève toute contente. Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenue. Nous prenons le temps.
Nous nous offrons notre jogging quotidien. Il fait beau. Il commence à faire légèrement chaud. C'est très agréable.

Arrivés au sommet de la colline nous regardons Edimbourg en bas. C'est superbe. Clémentine fait : < Je t'aime !>
Nous courrons d'un bon rythme. C'est notre itinéraire habituel. Nous voilà de retour pour 10 h45. C'est la douche.
Nous nous savonnons en riant. Tous contents de ce qui nous attend encore aujourd'hui. Nous traînons sous l'eau.
Nous voilà habillés de nos T-shirt de maison. Sans rien d'autre. Nous allons allumer l'ordinateur. Voir nos messages.
Il y a celui d'Estelle. Elle nous raconte sa journée. Les courses avec sa mère. Son impatience de venir à la maison.

Estelle joint une photographie "selfie" d'elle devant le potager. Elle tient deux grosses tomates et une carotte. Rire.
La jeune fille nous avoue à quel point nous lui manquons. Notre grande maison lui semble plus grande encore. Vide.
Elle y passe la nuit et y reste toute seule jusqu'au dimanche en début d'après-midi. Elle invite Juliette à manger.
J'apprécie les initiatives d'Estelle. Clémentine écrit notre réponse. Je propose à Clémentine un "plan" d'enfer. Bien.
Et si on invitait Estelle à venir nous rejoindre en Ecosse, un week-end ? Il suffit de prendre l'avion. Je m'en occupe.

Clémentine trouve l'idée folle mais parfaitement réalisable. Dans notre message, nous proposons deux week-end.
Celui du 22 et 23 juillet ou celui du 29 et 30 juillet. Dès la réponse, je m'occupe de la réservation et des billets !
Nous joignons deux photographies de nous prises hier, durant notre randonnée sur le chemin John Muir. Clic d'envoi.
Par acquis de conscience, Clémentine surfe sur le site de la faculté. Rien. Aucune information. Juste des publicités.
Il est midi. La faim se fait sentir. < Ce serait génial qu'Estelle vienne nous rejoindre un week-end ! > fait Clémentine.

Je fais bouillir de l'eau pour les coquillettes complètes. Clémentine prépare la salade. Nous bavardons. Mille projets.
Comme hier, je m'approche plusieurs fois de Clémentine pour passer ma main sous son T-shirt. J'aime ses frissons.
Je fais cela beaucoup trop rarement au goût de la jeune fille qui me le fait remarquer une fois de plus. Je l'embrasse.
< J'aime tes initiatives ! > me fait encore ma compagne en se saisissant de ma queue bien bandante. Main mouillée.
Nous rions de bon cœur. Je lui murmure à l'oreille : < Cet après-midi, je vais me comporter en vrai salaud avec toi ! >

< Je vais voir ça ! Je suis impatiente d'être avec ce salaud ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus. Salades.
Je mets les coquillettes dans l'eau bouillante et salée. Je râpe le parmesan. Clémentine prépare l'assaisonnement.
Nous n'arrêtons pas de nous faire des papouilles sans les mains. Elles sont soient mouillées soient occupées. Rigolade.
Je mets la table. Nous mangeons d'un bon appétit. L'air vif d'Edimbourg, à proximité de la mer, ouvre les appétits.
Nous prenons notre temps. Nous traînons. C'est un peu une découverte pour nous. Soudain, la musique du téléphone.

Il y a un texto d'Estelle sur mon téléphone. Clémentine me le montre. Nous lisons : < OK pour le 29 et 30 juillet ! >.
Clémentine est folle de joie. Elle se met à danser autour de la table en imitant un chamane qui invoquerait un esprit.
Je la regarde. Je suis fou amoureux de ces moments de folie. Elle vient s'asseoir sur mes genoux. Elle m'embrasse.
< C'est génial ! On lui prépare un superbe séjour ! > me fait Clémentine en me tenant par le cou. Elle est heureuse.
Je lui fais : < Elle n'a pas traîné ! Dès qu'elle a lu le courriel, elle a fait le texto ! >. < Je réponds ! > fait Clémentine.

Les deux filles bavardent au téléphone. Je commence la vaisselle. En fait, je fais toute la vaisselle que j'essuie aussi !
Je vais à la chambre pour commencer à m'habiller. Clémentine vient me rejoindre. < Merci Julien ! > me fait elle ravie.
Je lui fais : < Je m'occupe de tout dès lundi. Réservation des billets d'avion. Nous irons la chercher à l'aéroport ! >.
Clémentine est folle de joie. < Tout va très bien se passer ! Tu me connais ! > que je lui fais. < Je sais ! > me dit elle.
Clémentine met sa jupe kilt à carreaux rouges. Son léger pull de coton noir. Ses souliers noirs fermés à légers talons.

Ma compagne insiste pour que je mette mon ensemble clair. Pantalon à pinces en lin, chemise et veste claire en lin.
Il fait chaud. Aussi je prends la veste sur le bras. Nous préparons quelques affaires dans un sachet plastique. C'est OK.
Clémentine prend son petit sac à main en cuir noir qu'elle peut porter comme un sac à dos. Nous descendons à l'auto.
Il fait très agréable. Parfois, un nuage minuscule masque un court instant le soleil. Nous adorons ce climat. Superbe.
Nous voilà en route. Clémentine a sa main gauche dans ma braguette ouverte. Sa main gauche dans sa culotte. Rire.

Nous n'arrêtons évidemment pas d'évoquer la venue d'Estelle dans deux semaines. Je gare la voiture dans une ruelle.
Nous marchons une dizaine de minutes pour arriver sur l'avenue centrale d'Edimbourg. Dunedin en gaélique originel.
Nous voilà sur Princes Street. Baptisée ainsi en l'honneur de Walter Scott, héros, auteur du célèbre roman Waverley.
Clémentine adore lorsque je prends mon ton doctoral pour faire un peu d'histoire. Elle se moque de moi en riant...
Nous arrivons devant la National Gallery. Une grande et imposante bâtisse d'inspiration gréco-romaine. Insolite. Bien.

Il y a du monde. Je glisse à l'oreille de ma compagne : < Pas d'exhibe s'il te plaît ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Nous sommes dans la file. L'attente est de courte durée. Nous prenons nos billets. Nous flânons dans le hall d'entrée.
Nous admirons les nombreuses sculptures. Marbre, bronze, granit, des choses d'une beauté et d'une finesses inouïes.
Clémentine prend quantité de photographies. Nous demandons à un couple de nous prendre en photo tous les deux.
Nous leur rendons la pareille en les photographiant également. Nous continuons notre visite. Je connais bien les lieux.

Parfois, au plus grand étonnement de Clémentine, je pose ma main sur le tissu de sa jupe, juste sur son sexe. J'appui.
Je fais cela discrètement, adroitement et très rapidement. < Salaud ! > me fait Clémentine tout contente de mes trucs.
Nous voilà enfin dans la salle des collections Hollandaises. J'entraîne Clémentine devant les tableaux de Gerard Dou.
Ce sont le plus souvent de tous petits tableaux mais d'une beauté, d'une virtuosité et d'une minutie sans équivalents.
Clémentine découvre ces merveilles bouche bée. < Ils font penser à celui du Musée Dali à Figueras ! > me fait elle...

Et c'est vrai que Salvador Dali, dont c'était le peintre préféré, possédait un véritable Gérard Dou. Exposé à Figueras.
Nous restons longuement devant ce personnage assis à une table sur laquelle est posé un violon sur une nappe bleue.
< Il faudrait une loupe ! > fait Clémentine à qui je viens de passer ma main sur le bas ventre. < J'aime ! > dit elle.
Je récidive à plusieurs reprises. Nous continuons notre visite. En extase devant un Pieter de Hook et un Jan Steen.
Je regarde partout autour de moi. Je sais qu'il y a des caméras de surveillance. Je me serre contre Clémentine. Fort.

Je passe ma main entre ses cuisses. Je lui touche le sexe. La culotte est chaude. Serait elle humide ? Je cesse vite.
< J'adore tes initiatives ! Encore s'il te plaît ! > me fait ma compagne. Je réponds : < Discrétion et cônes glacés ! >.
< Oh oui, une glace ! > me fait Clémentine soudain animée par la réalité de cette gourmandise à venir. Nous flânons.
Il est déjà dix sept heures. Nous allons déguster une glace à une des nombreuses terrasses. Plein de salons de thé.
Clémentine, bien excitée par mes nombreuses caresses fugaces au Musée, regarde partout autour d'elle. Opportunités.

La jeune fille passe une main sous la table. < Devine ce que je fais ? > demande t-elle. Je dis : < Langue au chat ! >
< A la chatte ! > corrige t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Il y a un type assis tout seul à une autre table. Il lit.
Clémentine bouge sa chaise pour se positionner. L'inconnu se rend compte. Cette jeune fille qui se touche. Discrète.
Il n'en croit pas ses yeux. Je regarde ses attitudes dans le reflet de la vitre de mon téléphone. C'est absolument fou.
Clémentine me raconte à voix basse ce qu'elle fait. Une fois encore j'admire son culot, le cran dont elle fait preuve.

L'homme est entrain de lire une brochure touristique. La situation dure depuis un petit moment. C'est prodigieux. Fou.
Clémentine me fait : < Il faut que j'arrête ! Fais quelque chose ! >. Nous rions de bon cœur. Je mâte dans le reflet.
Une femme arrive. Elle s'assoit devant le type qui, du coup, ne voit plus rien. < Dommage ! > fait Clémentine. Rires.
Elle me montre ses doigts mouillés. < T'es quand même une sacrée salope ! > que je lui fais. < Tu crois ? > dit elle.
Nos grosses coupes de glaces vidées, nous nous levons. Je vais faire visiter les ruelles du vieil Edimbourg à Clémentine.

C'est un dédale de petites rues inaccessibles à tous véhicules. Il y a de nombreuses marches, de petits escaliers. Bien.
Un labyrinthe ou nous pouvons admirer les galeries marchandes encore ouvertes. Les vitrines de magasins de modes.
Il y a ce fameux magasin d'articles pour peintures d'Arts. Les fameuses couleurs de chez Blockx et son ambre dissous.
Les couleurs Old Holland qui sont également de réputation mondiale. Clémentine sait que j'utilise ces deux marques.
Elle m'invite à entrer pour respirer les odeurs typiques. < Comme dans ton atelier ! > me fait elle en entrant. Super.

Nous admirons les flacons d'huiles précieuses, les flacons contenant les pigments, les flacons d'ambre dissous. Mystère.
Les palettes de différentes tailles, les pinceaux à la finesse affolante, les chevalets de différentes tailles. C'est émouvant.
Clémentine me confie souvent qu'un jour, elle aussi, elle se mettra à la peinture. A force de me voir faire. Par désir fort.
Nous ressortons. Il est presque 19 h. Les magasins ferment. Nous déambulons dans le dédale des ruelles. Conte de fée.
< Je veux venir vivre ici ! > me fait soudain Clémentine en se serrant contre moi. Elle m'embrasse avec fougue. Sympa.

Nous continuons notre promenade. Nous voilà de retour sur Princes Street. J'entraîne Clémentine. Une nouvelle surprise.
C'est un petit restaurant typique où le personnel est en kilt. Bien sûr, c'est touristique, mais c'est également insolite.
Nous prenons place à une table. Il est 20 h30. Il y a déjà beaucoup de monde. Des couples. Nous prenons du saumon.
Un plat typique dans cet endroit très "couleur locale". < C'est vrai qu'ils sont à poil sous le kilt ? > me fait Clémentine.
Je lui confirme que c'est la tradition ! < Comme moi alors ! > fait Clémentine qui me montre sa culotte dans sa main...

Nous rions de bon cœur. Je dis : < C'est donc ça la raison des contorsions sous la table ! >. < Woui ! > fait Clémentine.
Le serveur apporte nos plats. Du saumon grillé avec des légumes. Petits pois, haricots verts, sauce à la crème persillée.
Nous mangeons avec appétit. Trop de monde. Pas d'opportunités exhibitionnistes pour Clémentine un peu frustrée. Rire.
Nous traînons à table. L'endroit est charmant. Murs de vieilles pierres. Petits tableaux accrochés. Lumière douce. Bougies.
Il est 22 h. Je demande l'addition. Nous voilà dans l'agréable fraîcheur du crépuscule. Il fait doux. C'est merveilleux...

J'entraîne Clémentine vers la petite place de la vieille ville où se tient une scène ouverte. Il y plein de monde. Musique.
Un groupe joue du Blues. Seul forme musicale associée au Jazz que nous supportons plus de quelques minutes. Sympa.
< C'est fort ! > me fait Clémentine à l'oreille. Nous décidons d'aller nous promener au calme. Dans les rues à l'entour.
Nous préférons tous deux la musique "classique". Nous marchons en évoquant la venue d'Estelle. Dans deux semaines.
Nous sommes de retour à l'appartement pour minuit. Nous nous offrons un sublime "69". Puis une baise merveilleuse...

Bonne découverte d'Edimbourg à toutes et à tous. C'est un haut lieu historique fort remarquable. Excitant...

Oncle Julien - (Qui n'a jamais été l'oncle de personne mais dont Clémentine pourrait être la nièce. Une nièce bien salope) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Danser
Wednesday 19 July 2017 21:55

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2017 -




Clémentine manifeste son désir d'aller randonner - Jour 7 -

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil d'une bien agréable façon. On me tient par la queue.
En même temps on me couvre le visage de bisous. Je suis encore entre le rêve et la réalité. Sympathique.
J'ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine avant de me chevaucher en riant. Il est 7 h45.
< Bonjour Clémentine ! > que je fais en la faisant basculer à gauche puis à droite. Tendresse et câlins.
Nous nous offrons plein de papouilles. Hélas, l'envie forte et naturelle nous impose sa dure loi. Toilettes.

Clémentine m'entraîne par la main. Elle me tend ses cheveux dont je me saisi pour la tenir en équilibre.
La jeune fille peut ainsi se lâcher dans un jet puissant. Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet. Net.
Nous nous précipitons à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Confiture, miel et beurre.
Nous prenons notre petit déjeuner. Le dimanche est toujours la journée sans entraînement. Détente. Repos.
Nous prenons tout notre temps. Nous traînons à table. Dehors il fait beau. Le ciel est d'un bleu clair et pur.

< On se fait un trekking aujourd'hui ? > fait Clémentine en venant s'asseoir sur mes genoux. Bonne idée.
Nous faisons notre vaisselle. Nous préparons nos affaires. J'emmène Clémentine visiter la région de Stirling.
Nous arrivons au bout de notre réserve de pain complet. Nous avons repéré une boulangerie à Edimbourg.
Une boulangerie qui propose quantité de pains biologiques, grands et appétissants. Nous irons ce matin.
Nous arrivons au bout des légumes de notre jardin. Nous irons au grand supermarché Tesco, à Edimbourg.

Il fait déjà très doux. Les chaleurs ne vont pas tarder. Il est déjà 9 h. Nous voilà prêts à partir. C'est bien.
Clémentine porte une de ses jupettes "tennis", un T-shirt et ses baskets. Je suis en short, T-shirt. Baskets.
Nous prenons la direction du centre d'Edimbourg. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. Cinq minutes.
Nous voilà à la boulangerie repérée. Nous y prenons deux gros pains complets et biologiques. Et petits pains.
Nous mettons le tout dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Direction le supermarché. C'est ouvert...

Il y a peu de monde. Nous prenons un chariot. Je le pousse. Rayon des fruits et légumes. Nous choisissons.
Belles tomates. Grosses carottes. Avocats. Oignons. Ail. Navets. Pommes. Poires. Abricots. Pêches. Brugnons.
Nous avons tout ce qu'il nous faut. Retour à l'appartement. Nous y rangeons nos achats. Nous voilà prêts.
Il est 10 h30. Nous prenons enfin la direction de Stirling. Une heure d'une petite route absolument superbe.
La région d'Edimbourg, en partant vers le Nord, est montagneuse. Il y a de profondes forêts. De toute beauté.

Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite dans sa main gauche. Sa main droite sous sa jupe. Masturbation.
Nous évoquons la venue d'Estelle qui viendra nous rejoindre en Ecosse le jeudi 27 juillet, pour quinze heures.
Estelle restera avec nous jusqu'au dimanche 30 juillet pour reprendre son avion à dix sept heures. Superbe !
Nous irons la chercher à l'aéroport et nous la ramènerons. La prévision des choses à venir nous enchante. Bien.
Nous arrivons en vue du château de Stirling. Grande bâtisse médiévale au sommet d'une colline. C'est fabuleux.

Je gare la voiture dans une ruelle de la petite ville. Stirling est une cité médiévale préservée. C'est magnifique.
Nous voilà prêts. Il fait chaud. Nous prenons la direction du château. Nous quittons le bourg pour le sentier.
Il faut environ deux heures pour faire la boucle qui mène à la forteresse. Il y a pas mal de marcheurs. Sympa.
Nous prenons nos billets. Il y a nombre de visiteurs. < Pas d'exhibe, s'il te plaît ! > que je fais à Clémentine.
Nous rions de bon cœur. < Dommage, je me sens hypra salope encore aujourd'hui ! > me fait ma compagne.

Nous suivons le guide. Une jeune femme qui nous entraîne à sa suite. La visite guidée est obligatoire. Tant pis.
Nous suivons le troupeau de touristes. Nous nous comportons donc en touristes. Bouches ouvertes à écouter.
La visite dure environ une heure. Nous commençons à ressentir la faim. Nous voilà de retour à l'extérieur. Bien.
La chaleur est limite. Nous avisons un endroit à l'ombre des grands arbres sur le sentier du retour. Il est temps.
En Ecosse, le concept d'écologie est prédominant. Il est strictement interdit de quitter les chemins ou sentiers.

Il y a un lieu prévu à cet usage. Deux bancs de chaque côté de tables disposées sur une aire de pique nique.
Il y a une table de libre. Nous nous y installons. Il y a là une vingtaine de personnes qui mangent, bavardent.
Nous regrettons un peu de ne pouvoir nous isoler. Nous avons horreur de toute forme de promiscuité. Dur !
Nous mangeons toutefois d'un bon appétit. Nous partons rapidement. Juste avant l'arrivée de latins bruyants.
Nous marchons d'un pas rapide. Nous arrivons au totem où sont fixés les pancartes indiquant les directions.

J'ai ma vieille carte. Nous étudions rapidement notre itinéraire. Nous prenons le sentier "Castle Moor". A droite.
Rapidement le paysage devient plus aride. Il y a moins d'arbres. Au loin, nous pouvons voir scintiller la mer.
Clémentine qui déteste les fortes chaleurs est heureuse à chaque fois que nous traversons des coins ombragées.
Tout autour de nous il y ces montagnes typiques. L'Ecosse dans toute sa majestueuse beauté. Sous le soleil.
Il nous faudra êtres de retour à Edimbourg pour dix neuf heures trente. Nous sommes invités à manger ce soir.

Il est 15 h30. Nous avons pris la boucle qui nous ramène à Stirling. Il est 18 h lorsque nous arrivons à la voiture.
Nous avons vidé nos deux bouteilles d'eau et pourtant nous avons encore soif. Nous prenons des fruits. Délice.
Sur la route du retour, il y a une forte circulation. Mais fluide. C'est dimanche soir. C'est donc tout à fait normal.
Nous arrivons à Edimbourg vers 19 h30. Nous prenons une longue douche. C'est un bonheur. Rafraîchissant...
Clémentine se sèche les cheveux pendant que j'écris quelques lignes que je posterais demain matin sur le forum.

Il est 20 h30. Nous descendons chez oncle Steve. Il vient nous ouvrir pour nous faire entrer. Nous voilà au salon.
Ma tante, une excellente cuisinière, a préparé de délicieuses tartelettes au saumon. Pâte feuilletée. Fromage. Bon.
Nous bavardons. La grande porte vitrée est ouverte sur le parc. La douceur de l'air extérieur fait beaucoup de bien.
Oncle Steve était antiquaire. Il nous raconte quantité d'anecdotes. Des souvenirs. Les clients prestigieux. Et riches.
Des "stars" du cinéma ou encore du show business qui se précipitaient dans son grand magasin sur Princes Street.

Ma tante nous montre l'album photo. En effet, nous y découvrons des gens célèbres aux côtés de mon oncle. Bien.
C'est impressionnant de voir des gens très connus tout heureux d'acquérir des antiquités, posant dans la boutique.
Nous écoutons tout cela avec grand intérêt. Aujourd'hui à la retraite, mon oncle a conservé de nombreux contacts.
Nous prenons le dessert. De grandes coupes glacées. Puis nous allons flâner dans le parc. La roseraie de ma tante.
Il fait nuit. Il n'y a pas un bruit. Nous restons longuement à bavarder. Nous sommes assis près du bassin. Poissons.

Il est minuit lorsque nous prenons congés pour remonter à notre appartement. Nous nous offrons un superbe "69".
Lorsque je m'introduis avec d'infinies précautions dans la fille, elle me chuchote plein de cochonneries à l'oreille.
< Demain, je veux me dépasser ! > me confie ma compagne. Je lui promets de nous offrir de grands moments.
Clémentine connaît un de ses orgasmes qui la font gémir de plaisir. Puis elle me suce longuement. Je jute. Super.
Nous ne tardons pas à sombrer dans un profond sommeil. La nuit est agréablement fraîche. Sous les couvertures...

Bonne découverte du château médiéval de Stirling, haut lieu historique, à toutes et à tous. Mais pas le dimanche...

Oncle Julien - (Qui aime faire l'amour à Clémentine, lui lécher le minou et se faire sucer comme un salaud) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Danser
Wednesday 19 July 2017 21:57

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - 2017 -



Clémentine évoque son envie de vivre en Ecosse - Jour 8 -

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par de curieux gémissements. Je regarde là, sur ma gauche.
Je vois Clémentine, couchée sur le ventre, cambrée, les mains entre ses cuisses écartées. Les fesses en l'air.
Je dis : < Mais qu'est-ce que tu fais ? >. Clémentine retombe sur le ventre et me fait : < Rêve érotique ! >.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en me chevauchant. < Bonjour Clémentine ! > que je réponds en la serrant.
Je lui murmure : < Tu étais entrain de te masturber, hein ! >. Clémentine me fait : < Oui, j'ai fait un rêve ! >.

Serrée contre moi, Clémentine me raconte son rêve. Nous rions de bon cœur. Il est huit heures. Il fait beau.
L'impérieux besoin naturel nous presse. Clémentine m'entraîne vers les toilettes. Je la tiens par ses cheveux.
Ma compagne se libère dans un jet long et sonore. Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet. Précis. Net.
Nous sommes morts de faim. Nous préparons notre petit déjeuner à toute vitesse. Et je presse les oranges.
Miel, confiture, yaourts. Nous goûtons notre nouveau pain complet acheté hier à Edimbourg. Un vrai délice...

Clémentine, assise sur mes genoux, me confie quelques secrets de filles. Elle me parle de son rêve érotique.
J'écoute plutôt amusé. < Je me masturbe rarement le matin ! Mais là c'était trop fort ! > me confie t-elle.
Elle me raconte la branleuse qu'elle était depuis le début de son adolescence. < J'ai toujours adoré ! > dit elle.
Je lui passe la main entre les cuisses. < C'est chaud, hein ! > me fait elle encore en riant. Je la caresse un peu.
< Je me sens en sécurité et protégée avec toi ! Depuis toi, depuis un an de ma vie ! > précise t-elle souvent.

Nous restons ainsi un long moment. Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenue. Pour notre Jogging.
Il ne fait pas encore trop chaud. Il est neuf heures. Aussi, nous nous dépêchons de partir courir. C'est superbe.
Nous revenons pour dix heures trente. Nous prenons notre douche. Nous nous savonnons longuement en riant.
Nous voilà habillés. Nous allons dans la pièce de séjour pour allumer l'ordinateur. Messages d'Estelle. De Juliette.
Estelle nous raconte sa journée de hier et sa soirée chez nous. Elle joint une photo "selfie" d'elle dans le salon...

Juliette nous remercie pour les légumes qu'elle vient cueillir dans notre potager. Elle joint une photo d'elle riant.
Nous répondons aux deux courriels. Clémentine visite rapidement le site de la Faculté. Aucune information. Rien.
Il va déjà être midi. Clémentine m'entraîne à la cuisine. < Je suis de nouveau excitée ! > me fait elle. Rires.
Je lui dis : < Je m'occupe de ton cas après le repas ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine prépare la salade.
Je prépare le riz complet que je fais griller à sec avant d'y rajouter l'eau bouillante et de couper le feu. Cuisson...

Nous bavardons. Cet après-midi nous irons au bord de la mer. Nous allons découvrir le port de South Queenferry.
De là nous prendrons le bateau pour faire le tour de l'île principale. L'air marin apportera un peu de sa fraîcheur.
Il fait chaud. Clémentine redoute les grosses chaleurs qui l'incommodent toujours beaucoup. La mer la rassure.
La petite île de Inchcolm abrite une colonie de phoques. < Tu veux aller les voir ? > que je demande à la fille.
< Oh ! Tu sais, toute l'année je vois des phoques à la fac ! > me répond t-elle. Nous rigolons comme des bossus.

Nous retournerons manger dans le petit restaurant au retour. Mon programme enchante Clémentine. Heureuse.
Je mets la table. Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons en riant. Le repas est un véritable délice. Bon.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Je sens bien dans son attitude qu'elle a besoin de se sentir soumise.
J'ai toujours beaucoup de mal à me comporter en vrai "Maître". Les demandes de ma compagne sont pressantes.
Combien de fois, lorsque nous faisons l'amour, ne me confie t-elle pas ce besoin qui devient de plus en plus fort.

Nous faisons la vaisselle. Nous nous habillons pour notre virée de cet après-midi. Jupette, short, T-shirt. Baskets.
Nous préparons des fruits, deux grandes bouteilles d'eau, des barres de céréales. Le tout dans le petit sac à dos.
Il est treize heures trente. Nous descendons. Nous voilà dans la voiture. La circulation est fluide. 15 mn de route.
Dans la voiture, Clémentine joue un peu avec ma bite qu'elle a sorti de ma braguette. Parfois, elle me la pompe.
A chaque fois, j'appui sur sa nuque pour la forcer à en prendre un maximum en bouche. La jeune fille adore ça...

Clémentine a attaché ses cheveux en catogan. Je peux donc la tenir comme par une laisse. Elle en gémit de joie.
< J'adore lorsque tu as ce comportement avec moi. Je t'aime Julien ! > me fait elle à plusieurs reprises. PLaisirs.
Nous arrivons à South Queenferry. Je gare la voiture sur le parking du port. Il fait chaud. Il y a un léger vent.
Cette brise est rafraîchissante. Nous flânons sur le quai. Le port de South Queenferry est encore un port de pêche.
L'activité y est donc intense. Il y a quelques bateaux de plaisance. Il y a l'odeur de la mer, de poisson. Marée haute.

A quelques reprises, après avoir regardé partout autour de nous, je saisi Clémentine par ses cheveux. Fermement.
Je la tiens. Je la promène en la forçant à marcher courbée en avant. La jeune fille se laisse faire en gloussant. Joie.
Je l'entraîne derrière de grands paniers d'osier. Je regarde partout autour de nous. Personne. Je sors ma queue.
Je force Clémentine à s'accroupir. Je la tiens par les cheveux. La jeune fille me suce en gémissant de plaisir. Bon.
Il y a des voix. Il y a des promeneurs. Je la force à se redresser. Un couple de séniors nous croise. L'air amusé...

A plusieurs reprises, lorsque nous croisons des touristes, je tiens Clémentine comme si je la promenais. Soumise.
< Tu n'imagines pas ce que ça me procure ! > me confie ma compagne en me touchant la braguette. Le bonheur.
Ces situations nous excitent tous deux considérablement. Aussi, nous cherchons chaque recoin pour nous isoler.
Entre deux camionnettes, je sors à nouveau ma bite. Je tiens Clémentine par le menton et la nuque. Elle me suce.
Je la prends pas les cheveux, je tire fermement. Je lui mets une gifle. Je passe ma queue sur son visage. Petits cris.

Clémentine est accroupit. Elle ne peut réfréner de petits cris de plaisirs. Je me comporte enfin de la façon attendue.
Il y a un type, un employé du port ou un pêcheur qui nous surprend. Il reste pantois devant ce spectacle. Silencieux.
Clémentine me tient par la jambe, son visage contre ma cuisse. Elle regarde le type. Je l'observe se pavaner de joie.
< A very slut ! > fait l'homme en se détournant pour continuer ses occupations. < A very slut ! > me fait Clémentine.
Je lui mets une nouvelle gifle. Je la force à se redresser. < Je t'aime ! > me fait elle en se blottissant contre moi. Fort.

Je demande à ma compagne de retrouver son calme. Nous nous dirigeons vers l'embarcadère. Il y a une file d'attente.
Les choses vont très vite. L'organisation est efficace. Nous sommes une vingtaine de touristes sur un vieux rafiot noir.
L'ancre est levé. Nous découvrons les environs du port depuis la mer. Le vent ramène une fraîcheur bien agréable.
Clémentine reste contre moi. Nous sommes debout contre le bastingage. Ma compagne fait des photos. C'est superbe.
< Après mes études, on vient s'installer ici, tu veux ? Tu en parles si souvent ! > me fait Clémentine en me serrant...

Je reste silencieux. C'est vrai que mon désir de venir m'installer dans ma patrie d'origine habite souvent mon esprit.
Nous faisons le tour de l'île Inchcolm. Le bruit régulier du diesel du bateau rythme cette magnifique promenade. Bien.
Nous revenons au ponton. Nous descendons du bateau. Il est déjà dix huit heures. Nous flânons encore un peu. Beau.
Nous allons vers le bourg. Nous nous promenons dans les ruelles. L'odeur de la mer est constante. Une brise agréable.
< Je dois faire pipi ! > me fait Clémentine en m'entraînant entre deux camionnettes. Je fais le guet. Il n'y a personne.

< Merde ! J'ai mes "petits machins" ! > me fait ma compagne. Je lui tends le petit sac à dos. Elle sort le nécessaire.
Nous continuons à nous promener. Il est vingt heures lorsque nous revenons à la voiture. Direction le petit restaurant.
Cette virée en mer nous a ouvert l'appétit. Ce sera un plateau de fruits de mer. Il y a du monde. Nous avons une table.
Nous bavardons. Nous rions beaucoup. Nous évoquons l'éventualité de nous faire une superbe randonnée demain. Ici.
Partir d'Edimbourg, longer la rivière Forth jusqu'ici, puis revenir. Une petite randonnée d'environ 15 km. 3 h de marche.

Nous traînons longuement à table. Il est déjà 22 h30. Nous retournons flâner dans les rues animées du petit bourg.
< J'ai adoré ton comportement cet après-midi, merci mon amour ! > fait Clémentine en se blottissant dans mes bras.
Je suis toujours très confus devant ses manifestations d'intenses tendresses. J'ai la sensation de ne pas savoir que faire.
Dans la voiture, Clémentine n'arrête pas de me sucer. Je lui appui sur la nuque jusqu'à manquer de l'étouffer. Fellation.
Les gémissements et les gloussements trahissent l'immense plaisir de ma compagne. Je me comporte selon ses désirs.

Nous arrivons à l'appartement. Nous sommes tous deux considérablement excités. Je bascule Clémentine sur notre lit.
Il y a la petite ficelle blanche qui pend en dépassant de la touffe dense et fournie de la jeune fille. Il y a son clitoris.
Ce clitoris géant qui m'impressionne toujours par sa turgescence. Semblable à une érection. Je me le lèche, je le suce.
Je m'enivre des odeurs de sa journée de fille. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la tétanise. Elle en crie. Fort.
Je pars pour un second tour. < Tu vas me rendre folle ! > me fait elle en tentant de me repousser. Peine perdue...

Bonne découverte du port de South Queenferry, de l'île Inchcolm et des recoins glauques à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui éprouve les plus grandes difficultés à se comporter selon les fantasmes de soumise à Clémentine) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Danser
Wednesday 19 July 2017 22:00

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Une nouvelle randonnée dans la région d'Edimbourg - Jour 9 -

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous. On me tient la bite bien bandante.
A peine ai-je ouvert les yeux que Clémentine me chevauche en riant : < Bonjour Julien ! > me fait elle.
Je regarde l'heure. Il est huit heures. < Bonjour Clémentine ! > que je fais en la faisant basculer à droite.
Nous nous offrons nos papouilles en riant. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux.
La jeune fille se soulage dans un long jet sonore. Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet. Adroite...

Nous nous précipitons à la cuisine pour y prendre notre petit déjeuner. Nous sommes animés d'appétits d'ogres.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain. Confiture. Miel. Yaourts. Le beurre.
Nous dégustons ce premier repas de la journée avec délice. Nous bavardons. Nous traînons. Nous avons le temps.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Je lui expose le programme de la journée. Randonnée. Quatre heures.
Nous partirons en début d'après-midi d'Edimbourg pour suivre le chemin John Muir. Et jusqu'à South Queenferry.

Nous reviendrons en soirée pour aller manger dans le petit restaurant typique où le personnel est vêtu de kilts.
< Superbe ! Espérons juste qu'il ne fasse pas trop chaud ! > me fait Clémentine toute heureuse du programme.
Nous faisons notre vaisselle. Nous nous mettons en tenue. C'est le moment de notre second plaisir. Le jogging.
Nous nous offrons un running d'une heure trente. Il fait déjà chaud dès neuf heures. Mais c'est très supportable.
Nous sommes de retour pour 10 h45. Nous prenons notre douche. Nous voilà vêtus de nos simples T-shirt. Joie.

Nous passons dans la pièce de séjour pour allumer l'ordinateur. Deux messages. Estelle et Juliette. Nous lisons.
Estelle nous révèle que la perspective de nous rejoindre la semaine prochaine lui a retiré toute tristesse. Espoir.
Elle a bavardé longuement avec Juliette venue chercher des légumes au jardin. Juliette et Estelle sympathisent.
Estelle nous joint une photo d'elle et de Juliette. En arrière fond, notre maison. Nous répondons. Avec photos.
Juliette nous remercie une fois encore pour l'excellence des légumes qu'elle prépare avec appétit chaque jour...

Je m'occupe de la réservation des billets d'avion pour Estelle. Tout est très simple d'accès. Achat et réservation.
En même temps que s'affiche le site de la compagnie, je téléphone. Mon interlocutrice guide mes démarches.
Il est relativement simple de faire une réservation en ligne. Une vingtaine de minutes et l'opération est réglée.
Clémentine est toute contente. J'envoie le message à Estelle. Je l'informe de la marche à suivre pour les billets.
La jeune fille prendra l'avion jeudi 27 juillet à quatorze heures. Nous irons la chercher à Inverness pour 16 h30.

Tout est fait. Clémentine, folle de joie, me prend par la queue pour me tirer en riant autour de la table du séjour.
Nous rions comme des petits fous. Nous allons à la cuisine. Nos appétits sont à la mesure de nos contentements.
Clémentine s'occupe des salades. Ce ne sont plus les légumes de notre potager. Ils ont bien moins de saveur.
Je fais bouillir l'eau pour les coquillettes que je vais préparer au gratin. Mon téléphone sonne. C'est Estelle. Bien.
Clémentine s'en empare. Les filles bavardent. Je termine l'assaisonnement des salades. Je mets le gratin au four.

Je mets la table. Clémentine me tend le téléphone. C'est la voix d'Estelle qui me remercie mille fois pour l'avion.
C'est son baptême de l'air. La première fois qu'elle prendra l'avion. Appréhension tempérée par sa joie de venir.
Je lui explique la marche à suivre. Nous serons à l'aéroport d'Inverness pour 16 h30. Tout près du Loch Ness.
Je l'embrasse très fort. Tout est réglé. Nous voilà à manger. Les légumes du supermarché n'ont aucune saveur.
Toutefois, nous faisons honneur à ce repas en bavardant. Clémentine manifeste sa joie par plein de bisous...

Nous faisons notre vaisselle. Dehors le ciel est bleu. Il y a bien quelques cumulus nuageux. Le soleil est maître.
Nous nous habillons. Nous préparons notre petit sac à dos. Fruits, barres de céréales, bouteilles d'eau gazeuse.
Clémentine porte sa jupette "tennis", son T-shirt et ses baskets. Je porte mon short et un T-shirt. Des baskets.
Nous voilà prêts. Nous descendons à la voiture. Il y a une dizaine de minutes jusqu'à la sortie de la ville. Bien.
Je gare l'auto dans une ruelle. Une annexe du chemin John Muir commence de l'autre côté de la rivière Forth.

Clémentine sort le collier canin et la laisse de son petit sac à dos en cuir noir qui est également son sac à main.
< Tu me le mets, s'il te plaît ! Je veux ma séance ! > me fait ma compagne en me tendant son cou. Nous rions.
< Avec cette chaleur, cela risque de te charger inutilement et même de te gêner ! > que je lui fais en le fixant.
Clémentine se contente de glousser en me tripotant la braguette. J'ai garé la voiture à l'ombre. Elle y est bien.
Nous traversons le pont. Bien évidemment il y a quantité de promeneurs. Clémentine n'est pas tenue à la laisse.

Par contre, quelques personnes avisées regardent le collier canin que porte la jeune fille en nous croisant. Bien.
C'est la boucle scintillante qui attire l'attention sur le "bijoux" que porte la jeune fille très fière de l'arborer. Joie.
Nous voilà en chemin. Nous longeons la large rivière. Nous marchons à l'ombre des grands arbres centenaires.
Il fait chaud. La proximité de l'eau remuante et l'ombre des arbres rendent tout cela très agréable. Supportable.
Nous croisons nombre de marcheurs. Il sera difficile de passer la laisse pour promener la jeune fille. Dommage.

Nous marchons depuis une bonne heure. Malgré les cumulus nuageux partout autour de nous, c'est le soleil.
Fort heureusement nous avançons presque tout le temps à l'ombre. La forêt est très dense. C'est enchanteur.
< Je veux venir vivre ici ! > me fait ma compagne. Clémentine est tombée amoureuse de la région. De l'Ecosse.
Je lui rappelle que nous sommes à la belle saison et que comme partout en Europe septentrionale il y a l'hiver.
< L'hiver doit être magnifique ici ! > me fait elle. Je lui fais remarquer que le climat ici n'est pas très rigoureux.

Il y a moins de marcheurs. Nous arrivons en vue de South Queenferry. Le bourg se profile là-bas, dans le vallon.
Le chemin s'écarte souvent de la rivière pour se dérouler à flanc de colline. Je fixe la laisse au cou de Clémentine.
Je la tire en donnant quelques à coup. Je le fais sur les parcours où nous sommes seuls. La jeune fille en glousse.
Je sors ma bite. J'entraîne la jeune fille à l'écart. A l'ombre d'un épais fourré derrière lequel je l'ai tiré par la laisse.
Je la force à se mettre à genoux dans l'herbe. Je lui passe mon sexe sur le visage. Ses cheveux en catogan. Belle.

Je me branle doucement. Clémentine manifeste son contentement par d'incessants gémissements. Son plaisir.
Elle apprécie tellement lorsque j'ai ces comportements bien vicelards. Je m'applique. Je me donne de la peine.
Il m'est toujours difficile d'avoir ce genre d'attitudes avec la fille que j'aime. Clémentine le sait. Elle m'encourage.
Ma compagne tente de se saisir de ma bite en ouvrant la bouche. Elle a ses mains posées sur sa tête. A genoux.
Je lui mets une gifle. Ce ne sont jamais des gifles violentes. Elles font simplement partie du jeu demandé. Bien.

Je continue de frotter mon sexe humide sur le visage de ma compagne. Je le lui enfonce dans la bouche. Pipe.
Les mains sur la tête, à genoux dans l'herbe, le buste bien droit, Clémentine me suce avec son avidité habituelle.
Je la tiens par le menton. Je la saisi par ses oreilles, je lui mets une nouvelle gifle. Je lui enfonce la queue. Joie.
Clémentine est en pamoison. Ravie de mes initiatives, elle ne peut réfréner ses petits cris de plaisir. De bonheur.
Je sors ma queue de sa bouche gourmande. Du foutre épais et visqueux en dégouline. Je me détourne. Je pisse.

Entre chaque jet, court, net et précis, je mets ma bite dans la bouche de la jeune fille. Elle pompe en gémissant.
Rien ne l'excite autant que mes initiatives vicelardes. Nous restons ainsi un petit moment. Je me vide les couilles.
Je n'éjacule pas. Je me garde pour les séquences de pompages que je lui réserve pour le reste de la journée...
Je force Clémentine à se redresser en tirant sur la laisse. La jeune fille se masse les genoux : < Aïe ! > dit elle.
Nous reprenons notre marche. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Cette salope aime tant le foutre.

Nous arrivons à South Queenferry. Il y a du monde. Nous y flânons un peu. Nous avons bien marché. Il est 16 h.
Il fait chaud. L'ombre des ruelles est la bienvenue. Nous nous offrons des cônes glacés. C'est un grand plaisir.
Clémentine évoque nos saloperies de tout à l'heure. < Encore ! Au retour ! > me fait elle avant de m'embrasser.
Je passe mon index dans la boucle de son collier canin. Je donne quelques à coups. Je lui crache au visage. Joie.
Clémentine est toute contente. La randonnée est sublime. La glace est délicieuse. Je me comporte en salopard !

Il est dix huit heures. Nous nous sommes promenés sur le port. Nous prenons le chemin du retour. Superbe.
Il m'est impossible d'avoir le comportement de "Maître" plus de quelques moments. Mon naturel revient vite.
Aussi, je m'applique à avoir les attitudes souhaitées par ma compagne. Nous faisons un arrêt au même endroit.
J'attire à nouveau Clémentine derrière les fourrés. Je la fais mettre à genoux, les mains sur la tête. Bien salaud.
Je frotte ma bite sur son visage. Je dis : < Ce soir, je t'emmène au restaurant avec du foutre sur la gueule ! >
< Tu n'es pas chiche ! > me fait la jeune fille entre deux pompages. < Tu vas voir petite salope ! > que je fais.

Je suis hyper vicelard pendant un long moment. Clémentine se régale de l'abondance de mes montées de jute.
Je me détourne plusieurs fois pour pisser par petits jets. Entre chacun d'eux, j'enfonce ma bite dans sa bouche.
Je force Clémentine à se relever. Se massant les genoux, elle fait < Aïe, aïe, aïe ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous sommes de retour pour vingt heures trente. Nous nous changeons. Nous retournons en ville. Restau...
Clémentine porte sa jupe kilt, son fin pull en coton. Des souliers noirs à légers talons. Nous nous promenons.

< N'oublie pas ce que tu m'a promis ! > me rappelle Clémentine en mettant discrètement sa main sur ma bite.
Je regarde partout autour de nous. Nous sommes dans la ruelle qui mène au restaurant. Presque déserte. Bien.
Il n'y a personne sur cette partie. Toutefois il n'y a aucun endroit pour réaliser notre projet. Tant pis. Rires.
Nous voilà au restaurant. Il y a un peu de monde. Nous avons la chance d'avoir la même table du fond. Bien.
Nous sommes assis. Nous passons notre commande. Des filets de saumon grillés avec des légumes. Régal.

Clémentine prend ma main. Elle s'avance et me fait : < On va aux chiottes, tu me jutes à la gueule ! Viens ! >
Je n'ai pas le temps de répondre que ma compagne m'entraîne par la main. Un couple amusé nous observe.
Nous voilà aux toilettes. Clémentine est accroupit à même le carrelage. Elle me suce. J'ai la bite trempée.
Avec l'excitation vécue dans l'après-midi, mes sécrétions séminales sont conséquentes. Abondantes. Pleines.
Clémentine se frotte ma bite sur le visage. Elle se macule soigneusement de foutre visqueux, gluant. Collant.

J'éjacule. Mon orgasme est délirant. Cette salope se fait juter sur la gueule. Elle en a jusque dans les cheveux.
Elle se redresse. Clémentine se regarde dans le miroir et m'entraîne par la main. Son visage maculé de jute.
C'est le serveur qui se rend compte de l'état de la fille. Mon foutre est épais. Il ne coule pas. Figé et épais.
Je suis extrêmement gêné. La jeune femme du couple voisin se rend également compte. C'est vraiment fou.
Clémentine a de la jute sur le haut de son front, jusque dans les cheveux. < Et ça me chatouille ! > dit elle.

Le serveur revient pour nous apporter les entrées. Thon en salade. Il regarde comme halluciné. Consterné.
La jeune femme de la table voisine m'observe d'une étrange façon. Elle a du en parler à son mari. Il mâte.
Clémentine mange sans paraître incommodée par quoi que ce soit. Je suis bluffé par son aplomb incroyable.
La jute commence à sécher. Collée par paquets, elle se fige sur le visage de cette invraisemblable salope.
< Tu m'aimes ? > me demande Clémentine espiègle, mutine avec cette innocence qui m'excite à la folie...

Le serveur vient débarrasser. A présent mon foutre est presque sec. < Et ça me gratte ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Toute contente de son coup pendable, ma compagne me fait : < Va aux chiottes ! >
Je me lève. Je la regarde interrogateur. Je m'y rend. Je me lave les mains. La porte s'ouvre. Jeune femme.
C'est notre voisine de table. Je n'en crois pas mes yeux. Elle me fait un sourire vicelard. Je reste sans voix.
Clémentine le savait certainement. Décidément ma compagne a un sixième sens et un flair infaillibles. Joie.

La jeune femme sort des cabinets. Nous sommes dans les toilettes hommes. Visiblement une belle salope.
Je suis entrain de m'essuyer les mains. Elle me lance un nouveau regard. Encore plus explicite que l'autre.
Je ne sais que faire. Je préfère me tirer d'embarras en rejoignant Clémentine. < Alors ? > me fait elle.
Je lui raconte. < J'aurais pu te le dire ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine s'est enfin essuyée le visage.
Je demande l'addition. Nous nous promenons dans l'agréable fraîcheur de la nuit. Nous faisons le bilan...

< A refaire absolument ! > me fait Clémentine. Je ne sais quoi dire. Ce sont des situations hyper gênantes.
< Tu me le refais avant une visite au supermarché ! Tu veux bien ? > me fait encore ma compagne. Rires.
Nous sommes de retour à l'appartement pour minuit. Clémentine a ses règles. Je lui suce le clitoris. Bon.
Il faudra se contenter de cette caresse qui a toutes les préférences de ma compagne. Je me régale. Délice.
J'offre deux orgasmes délirant à ma compagne. Nous sombrons rapidement dans un profond sommeil...

Bonne soirée au restaurant avec le visage plein de foutre à toutes celles qui aimeraient tenter cette expérience.

Oncle Julien - (Juteur fou, vicelard et toujours étonné par les initiatives vicelardes de Clémentine) -

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Clémentine est absolument enchantée de toutes ses découvertes - Jour 10 -

Hier matin, mercredi, j'ouvre les yeux. Je regarde l'écran de notre réveil de voyage. Il est huit heures. Je regarde à droite.
Clémentine est entrain de s'étirer. Elle se serre contre moi pour me chuchoter : < Bonjour Julien ! >. Je lui fais des bisous.
< Bonjour Clémentine ! > que j'ai le temps de lui chuchoter avant qu'elle ne me chevauche. L'instant des papouilles. Joie.
Rapidement, toutefois, il faut céder à l'impérieux besoin naturel du matin. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Les pissous.
Je la tiens par ses cheveux en équilibre précaire au-dessus de la cuvette où la jeune fille se lâche dans un long jet sonore.

Puis Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en savoure les derniers reliquats. Je la laisse pomper.
Je la force à se redresser. Je l'entraîne par ses cheveux que je tiens comme une laisse jusqu'à la cuisine. Le petit déjeuner.
< J'adore quand la journée commence comme ça ! > me fait ma compagne en gloussant de plaisir. Je presse les oranges.
Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Dehors il fait beau. Le ciel est bleu. Le soleil brille.
Nous voilà assis à déguster notre premier repas de la journée. Nous bavardons. J'expose le programme de notre journée...

Nous partirons en début d'après-midi pour Linlithgow, petit village médiéval à environs 30 km d'Edimbourg. Bourg typique.
Il y a le château du Moyen Age. Marie Stuart y est née. A côté du château, il y a le lac. Et c'est une très belle promenade.
Clémentine, assise sur mes genoux m'écoute. Nous mettons au point notre virée de l'après-midi. Le temps est magnifique.
Nous traînons un peu à bavarder. Nous faisons notre vaisselle. Puis, nous nous mettons en tenue. Notre second plaisir...
Nous partons faire notre jogging quotidien avant les premières grosses chaleurs. Notre circuit devenu habituel. Un rituel !

Nous sommes de retour pour 10 h45. Nous prenons notre douche. Simplement vêtus de nos T-shirt, nous allons au séjour.
Clémentine allume l'ordinateur. Deux messages. Estelle nous raconte sa journée. Elle nous fait part de sa joie immense.
Toute tristesse l'a quitté. Elle n'a plus qu'une idée, nous rejoindre. Estelle compte les jours. La jeune fille est à se réjouir.
Estelle nous explique. Elle arrivera à Inverness pour 16 h30, jeudi 27 juillet. Elle restera jusqu'à lundi 31 juillet. Bonheur.
Il lui faudra reprendre l'avion de onze heures, le matin. Elle part dans le Var avec ses parents le lundi soir. Planing serré.

Nous répondons. Nous découvrons le message de Juliette. Les légumes de notre potager semblent l'inspirer et la régaler.
Nous répondons. Je vais à la salle de bain vider la machine. Je descends suspendre les draps et nos sous-vêtements. Bien.
Je remonte. Clémentine est toute nue. Elle se précipite contre moi. < Je t'aime Julien ! Si tu savais ! > me chuchote t-elle.
Je la soulève pour la faire tourner dans les airs. Je l'installe sur la table. Je m'assois. J'ai la tête entre ses cuisses. Je hume.
Il n'y a que l'odeur parfumée et caractéristique du pain Dove que nous utilisons en guise de savon, sous la douche. Sympa.

Je tire un peu sur la ficelle blanche qui dépasse de la touffe dense et fournie de la jeune fille. Nous rions de bon cœur. Joie.
Je lèche le clitoris géant de ma compagne. Il ne tarde pas à devenir turgescent. Je fouille les plis et les replis. C'est si bon.
Nous restons ainsi un petit moment. Clémentine gémit de plus en plus fort. Parfois un frisson parcourt son corps. Le plaisir.
Je reste toutefois très vigilant. Clémentine déteste les orgasmes prématurés. Je cesse pour ne pas risquer l'instant ultime.
Nous sommes morts de faim. Nous allons à la cuisine. Clémentine est en demande de tendresse. Elle prépare les salades.

A plusieurs reprises, je viens la serrer contre moi. Juste derrière elle, je lui fais des bises dans la nuque, sur les joues. Bien.
Je prépare mes fameuses tartines grillées aux anchois. Nous avons du mal à nous concentrer sur nos préparatifs. Excités.
Lorsque Clémentine à ses règles elle est toujours très excitée. Il faut dire que je m'occupe de son clitoris avec entrain. Joie.
Je mets la table. Clémentine, cambrée, les genoux fléchis, debout devant moi, se masturbe en se tenant à la table. Salope.
< Je te préviens, cet après-midi, je ne vais pas faire dans la dentelle. Je me sens hyper salope ! > me fait la jeune fille...

Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons la vaisselle. Nous sommes pressés de partir en virée.
Il est à peine treize heures lorsque nous nous habillons. Nous préparons nos affaires dans le petit sac à dos. Fruits et eau.
Clémentine porte sa jupette "Tennis", un T-shirt et ses baskets. Je suis en short, en T-shirt et en baskets. Il fait très chaud.
Nous voilà à rouler. Direction le petit village médiéval de Linlithgow. Je connais bien la route et l'endroit. Ce sera superbe.
Clémentine joue avec ma bite pendant que je roule doucement. De son autre main, elle n'arrête pas de se toucher. Branle.

Nous bavardons. Demain, nous irons sur Glasgow, l'autre grande cité écossaise. Il faudra passer à l'agence Thomas cook.
Le paysage est fantastique. Il y a les premières montagnes nues si typiques de l'Ecosse. C'est de toute beauté. Fabuleux.
Clémentine regarde avec de grands yeux. Nous roulons avec la climatisation. Le ciel est bleu, limpide, teinte du lapis lazuli.
Nous arrivons à Linlithgow. Comme souvent en Ecosse, la proximité des villages présente une végétation verdoyante. Forêt.
Nous garons la voiture à l'entrée du bourg. Pas question d'y entrer en voiture. Tout est prévu. Barrières et chicanes. Bien...

Nous flânons longuement dans les ruelles, n'hésitant pas à passer et à repasser dans ce lieu majestueux et si intemporel.
Nous entrons dans l'église gothique aux dentelles de pierre sculptée. La flèche est métallique, insolite et contemporaine.
La fraîcheur des lieux procure un sentiment de réconfort. Nous voilà à l'abri de la chaleur presque caniculaire. Soulagés.
Il y a des visiteurs. Le lieu est hautement touristique. Nous sommes assis sur de vieilles chaises. A manger nos pommes.
Il y a un vieux monsieur assis derrière un petit orgue. Il se met à jouer. Merveilleusement bien. C'est absolument géant !

Les visiteurs s'installent pour écouter l'organiste virtuose. Certainement le maître de chapelle qui vient s'entraîner un peu.
Nous profitons de ce concert impromptu pour rester au frais. Je regarde l'heure. Il est déjà quinze heures trente. C'est bien.
Nous nous levons. Nous voilà dehors. Le soleil est chaud. Nous restons à l'ombre des maisons. Direction le château. Sentier.
Nous montons la petite centaine de mètres jusqu'à l'entrée de la forteresse. Il y a des dîners thématisés au château. Le soir.
Je propose à Clémentine d'y réserver notre repas et d'y participer. < Génial ! > me fait ma compagne. Nous admirons tout.

La visite du château n'est pas libre. Il faut suivre le guide. Une jeune étudiante qui fait son job d'été avec conscience. Zèle.
Nous sommes dans un groupe de dix personnes. Une promiscuité qu'il nous faut subir. Nous traînons en queue de cortège.
Souvent, discrètement, Clémentine pose sa main sur ma braguette. < J'aimerais te la sortir et te la branler ! > me dit elle.
Nous rions de bon cœur en écoutant les explications historiques de notre guide. Marie Stuart est née dans le château. Bien.
Parfois, discrètement, je passe ma main sous la jupette de ma compagne. Entre ses cuisses. J'adore ses petits frissons.

Nous faisons quelques photographies. Clémentine, comme la plupart des femmes, peut faire deux choses à la fois. Et bien.
Elle peut parfaitement me toucher la braguette, adroite et délicate, tout en faisant une photo de sa main libre. J'apprécie.
Nous rions souvent de bon cœur de nos initiatives hardies et vicieuses. Clémentine parvient même à fouiller ma braguette.
Il faut dire que ma compagne commence à avoir beaucoup de pratique. Elle me chuchote : < Dès que je peux, je te suce ! >
Nous suivons le guide. Escaliers en colimaçon, salles d'armes, bibliothèque historique, archives, appartements des seigneurs.

A chaque fois que l'occasion se présente, Clémentine me tripote la braguette. Elle introduit même parfois la main. Vicieuse.
A chaque fois que c'est possible, je passe ma main sous sa jupette, entre ses cuisses. Je caresse ses petits seins. Vicieux.
Nous finissons la visite. Il est dix sept heures trente. Nous sommes informés que le repas est organisé pour 20 h30 précises.
Il y aura un petit spectacle animé par un trio folklorique. Le tout dans le prix forfaitaire. Visite du château, repas, spectacle.
Nous descendons au bord du lac, juste à côté du château. Il y a du monde. L'endroit est touristique. Ce qui gêne Clémentine.

Nous marchons sur le chemin au bord du lac. Nous croisons quantité de promeneurs. L'endroit est magnifique. Végétation.
Nous évoluons à l'ombre de grands arbres centenaires qui bordent tout le tour du lac. Nous sommes tous deux très excités.
Toujours soucieux de préserver l'équilibre écologique de ce magnifique pays, les autorités interdisent de quitter le chemin.
Malgré tout, il y a de nombreux espaces prévus pour s'installer. Des bancs, des abris ou encore l'enclos de la petite chapelle.
Nous pouvons donc nous tripoter discrètement. J'ai l'envie folle de brouter Clémentine dont je devine l'état de son clitoris...

Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine arrive même souvent à fouiller mon short. Nous sommes très discrets.
Je sors même rapidement ma bite. Clémentine s'en empare immédiatement pour me la serrer de toutes ses forces. Sympa.
Ma main sous sa jupette, entre ses cuisses, je peux sentir la bosse que fait le clitoris géant de la jeune fille. C'est formidable.
C'est dans cet état d'excitation permanente et délicieuse que nous faisons le tour du lac. Deux heures trente de marche. Bien.
Nous sommes de retour au château pour l'heure prévue. Il y a du monde. C'est dans la grande salle du restaurant. Sympa.

Nous prenons place à notre table réservée. Ce sont des tables longues de six places. Nous ne sommes hélas pas seuls. Gens.
Il y a un couple de séniors à ma droite. Deux femmes à côté de Clémentine. Tout le monde discute en chuchotant. Discrets.
Nous sommes dans un pays de culture Anglo-saxonne. Les gens bavardent donc avec cette discrétion caractéristique. Sympa.
Nous commandons des filets de truites soi-disant pêchées dans le lac. Argument purement publicitaire et commercial. Bon.
Nous savourons ce repas goûteux. Petites pommes de terre sautées, haricots verts et truites grillées. Un véritable régal. Bien.

Le spectacle commence au dessert. Des tranches de tarte aux myrtilles. Nous nous régalons. La musique est médiévale. Belle.
C'est le répertoire typique joué avec des instruments d'époque. Harpes, mandoles et viole de gambe, ancêtre du violoncelle.
Nous passons une soirée de grande qualité. Applaudissement chaleureux pour ce trio de trois femmes en robes longues. Bien.
Il est 23 h lorsque nous reprenons la route du retour. Clémentine n'arrête pas de me sucer presque tout le long du chemin.
Il fait nuit. Je lui montre le ciel noir et incroyablement étoilé. Nous sommes de retour vers minuit. "69" et profond sommeil...

Bonne découverte de Linlithgow et de son château à toutes et à tous. Tout en vous tripotant discrètement...

Oncle Julien - (Qui n'a pas cessé de bander comme un priapique en phase terminale durant tout l'après-midi) -

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Après Edimbourg, Clémentine découvre Glasgow - Jour 11 -

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon sommeil de cette singulière manière qui semble devenir une nouvelle constante.
Clémentine me tient bien la bite. Le matin je bande toujours avec un sexe dur comme la branche d'un chêne écossais.
< Bonjour Julien ! > me fait la jeune fille en me faisant plein de bisous. < Bonjour Clémentine ! > que je fais. Bisous.
Nous nous offrons des papouilles, de la tendresse et de la douceur. Clémentine me chevauche avant de m'entraîner.
Elle m'emmène aux toilettes, me tend ses cheveux que je saisi pour la maintenir en équilibre au-dessus de la cuvette.

La jeune fille se soulage dans un long jet sonore. C'est toujours impressionnant. Je m'accroupi pour humer et lécher.
Puis, c'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, ma compagne suce les reliquats.
Je la laisse toujours sucer un peu avant de la forcer à se redresser. Nous sommes morts de faim. Le petit déjeuner.
Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Dehors, les séquences ensoleillées alternent avec les nuages gris.
Il fait doux. Nous mangeons avec appétit. Clémentine, assise sur mes genoux, écoute le programme que je propose.

Nous partirons immédiatement après le repas de midi. Nous roulerons les 90 km jusqu'à Glasgow. 1 h30 de route.
Arrivés à Glasgow nous irons dans une agence Thomas Cook pour y retirer de l'argent liquide. Puis la découverte.
Nous irons visiter le musée Kelvingrove afin d'y voir le fameux Chef-d'œuvre de Salvador Dali "Le Christ en Croix".
Nous irons flâner au magnifique jardin botanique, nous irons voir la cathédrale Saint Mungo à l'architecture folle.
En soirée nous traînerons dans le centre ville avant de nous offrir un bon restaurant typique que je connais bien.

Clémentine est enchantée par mes suggestions. < Tu as tout organisé ! C'est génial ! Je t'aime ! > me fait elle. Joie.
Nous faisons notre vaisselle. Nous nous mettons en tenue. C'est le rituel de notre jogging quotidien. Nous voilà prêts.
Le ciel est nuageux. Toutefois, le soleil fait de fréquentes apparitions. Il fait déjà lourd. Nous courrons d'un bon rythme.
Nous faisons notre circuit habituel. Nous sommes de retour pour 10 h30. La douche. Nous passons dans le séjour.
Nous découvrons le message d'Estelle. Elle nous raconte sa promenade à cheval, en soirée, au haras et avec Juliette.

Estelle nous raconte le comportement vicelard du palefrenier à son retour. Monsieur Gérard est un véritable vicieux.
Il n'arrêtait pas de se toucher la braguette tout en bavardant avec la jeune fille. Juliette étant au téléphone au bureau.
Nous découvrons que monsieur Gérard a le même comportement avec toutes les jeunes filles qui ramènent leur cheval.
Estelle joint une photographie. Elle a commencé à cueillir les premières pêches et les premiers abricots. Confitures...
Nous répondons. Il est déjà onze heures trente. Nous préparons notre repas. Salade et millet doré au Roquefort. Bien.

Nous mangeons tôt. Sans nous précipiter toutefois, nous faisons rapidement la vaisselle. Tout est rangé et en ordre.
Il est midi quarante cinq lorsque nous quittons l'appartement. Il fait lourd, presque moite. Soleil ou nuages. Sympa.
Clémentine est vêtue de sa jupe kilt à carreaux rouges, d'un T-shirt noir et de ses souliers fermés à talons plats.
Moi je porte mon short, un T-shirt et mes sandales. Nous voilà en route. La circulation est fluide mais constante.
Nous roulons bien. Clémentine se touche un peu, la main sous sa jupe, tout en me tenant la queue. Nous bavardons.

Nous arrivons à Glasgow vers 14 h20. Je gare la voiture dans une ruelle que je connais bien. 10 minutes du centre.
Nous marcherons beaucoup cet après-midi. Ce qui nous réjouit. Les paysages pour venir étaient époustouflants. Fou.
Clémentine va d'enchantements en émerveillements. Elle prend quantité de photographies. J'aime la voir ainsi exaltée.
La jeune fille n'a pas assez de tous ses sens pour percevoir cet environnement étonnant et magique. La belle Ecosse.
Glasgow a toujours été une ville industrielle. Beaucoup moins bourgeoise qu'Edimbourg. Les choses ont bien changé.

Les urbanistes ont transformé la ville en un dédale architectural moderne, contemporain qui respecte le caractère.
A chacune de mes visites ici je constate de réels et rapides changements. Nous marchons en direction du musée.
Nous arrivons à Kelvingrove vers 14 h45. Il y a du monde. En face, il y a l'ancienne maison prison de Marie Stuart.
Le bas du musée Kelvingrove est entièrement consacré à l'Art des différentes religions humaines. C'est étonnant.
Nous arrivons dans la salle où est exposé le fameux tableau du maître Catalan. Salvador Dali dans sa splendeur...

"Le Christ de Saint Jean de la Croix" n'a rien d'une icône religieuse. Le personnage y est représenté sans souffrance.
La toile est grande, toute en longueur. Cette toile a été vandalisée dans les années 50. Elle est accrochée en hauteur.
Nous montons sur le balcon en face. Nous sommes assis. Je sors la paire de jumelles de notre petit sac à dos. Super.
Nous nous passons les jumelles pour scruter chaque partie de ce tableau sublime. La technique est fantastique. Belle.
Le peintre a toujours utilisé les techniques des anciens maîtres hollandais du XVIIème. Le fameux "siècle d'Or". Beau.

Clémentine prend de nombreuses photos avec l'appareil fixé sur le petit trépieds télescopique. Posé sur la rambarde.
Il y a des visiteurs qui circulent. Nous sommes venus ici pour ce tableau. Salvador Dali étant notre peintre préféré.
Le reste, même si c'est admirable, ne nous interpelle pas vraiment. Nous quittons le musée vers seize heures. Eblouis.
Le ciel s'est couvert. Il n'est pas menaçant. Il fait lourd. L'air est pesant. Un orage qui n'éclatera pas. Hélas. Balade.
Nous retournons vers le centre. Vingt minutes d'une marche rapide. Nous nous remettons de l'émotion du tableau...

Nous voilà à la cathédrale Saint Mungo. Une architecture de sciences fiction. Tout ce que nous détestons copieusement.
Toutefois, pour ne pas mourir idiots, nous pénétrons dans l'édifice. L'architecture nous paraît d'une laideur affligeante.
Nous la quittons rapidement pour nous rendre à l'agence Thomas Cook. Nous arrivons à temps. Il est dix sept heures.
Je récupère de l'argent liquide. Nous partons en direction du jardin botanique. Ouvert jusqu'à vingt heures. Superbe.
Il y a là une des plus belles roseraies d'Europe. Les plus belles roses sont présentées dans un superbe environnement.

Clémentine prend quantité de clichés. Il nous faudra revenir à Glasgow pour voir tout ce que la ville propose. Stupéfiant.
Nous retournons flâner un peu dans le centre ville. Nous sommes un peu fatigués par les kilomètres parcourus. Sympa.
Nous faisons les vitrines. Les commerces sont entrain de fermer. Il est déjà 19 h30. Nous sommes morts de faim. Bien.
Nous nous promenons encore un peu avant de nous rendre au restaurant où j'ai réservé une table. Le "Gamba Seafood".
Cet établissement propose en spécialités les produits de la mer. Les recettes traditionnelles et la cuisine dite "moderne".

Il est vingt heures trente. Nous prenons un énorme plateau de langoustes, de homards préparés de façon traditionnelle.
Il y a différentes sauces qui accompagnent des crustacés grillés. C'est un délice absolu. Nous dévorons avec bon appétit.
Nous faisons le bilan de cette journée extraordinaire. Il nous faudra revenir pour en découvrir encore. Semaine prochaine.
Nous terminons notre repas par d'énormes coupes glacées. Clémentine guette une opportunité exhibitionniste. Aucune.
Il y a bien du monde dans le restaurant mais la configuration des lieux ne permet pas de s'amuser comme elle voudrait...

Nous voilà dans la rue. Nous nous promenons encore un peu. A plusieurs reprises Clémentine me palpe la braguette.
Elle le fait toujours discrètement. Je passe ma main sous sa jupe pour la mettre entre ses cuisses bouillantes. Sympa.
Clémentine regarde partout autour de nous. Il y a un type qui marche seul, là-bas, au bout de la rue. Personne d'autre.
Clémentine me fait : < Reste à l'écart ! >. J'entre dans la voiture. Je regarde ma compagne se placer sous un porche.
Elle est juste à une dizaine de mètres, sous l'arche d'une porte. L'inconnu arrive. Un quadragénaire plutôt élégant. Seul.

Clémentine est accroupie. Elle fait mine de fouiller dans son sac à main. Le type arrive à sa hauteur. Il voit la jeune fille.
L'homme regarde partout autour de lui. Immédiatement il ouvre sa braguette. Un exhibitionniste. Il sort sa grosse bite.
Elle est énorme. Longue et épaisse. Il adresse quelques mots à la jeune fille. De la voiture, je n'entends rien des propos.
Clémentine relève la tête. Elle découvre ce que fait l'inconnu. Je la vois regarder cette queue impressionnante. Admirative.
Le type agite son sexe devant la jeune fille qui reste ostensiblement dans sa position. Accroupie, cuisses écartées. Salope.

L'homme se rapproche. Il doit être à environ un mètre devant la jeune fille qui me cherche du regard. Le type bavarde.
Depuis la voiture, dans l'obscurité, je ne vois plus l'énorme sexe du mec. Il me tourne le dos. Clémentine sur ses gardes.
Nul doute, la jeune fille a affaire à un véritable salopard. Un exhibitionniste entreprenant et qui n'a pas froid aux yeux.
Le type regarde plusieurs fois dans toutes les directions. Il semble animé d'un désir précis. Un couple arrive dans la rue.
Le type se réajuste. Il se détourne. Clémentine en profite pour se relever et filer à toute vitesse pour me rejoindre. Ouf !

Nous démarrons rapidement. Le type nous regarde passer devant lui. Il semble étonné de voir Clémentine accompagnée.
Nous prenons la route du retour. Clémentine n'arrête pas de se toucher et de s'amuser avec ma bite. Nous roulons bien.
A plusieurs reprises Clémentine me suce longuement pendant que je roule. C'est absolument divin. Ma salope suceuse.
Nous arrivons à l'appartement vers une heure du matin. Epuisés. Douche rapide. Tentative d'un "69". Trop fatigués. Dodo.
Nous sombrons rapidement dans un profond sommeil après avoir échangé les impressions de la soirée. L'exhibitionniste...

Bonne découverte de Glasgow à toutes et à tous. Les plus salopes pourrons s'offrir quelques frayeurs sympathiques.

Oncle Julien - (Guide touristique, vigile et garde du corps de Clémentine qui peut s'offrir de délicieuses frayeurs) -

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Nous continuons la découverte des environs d'Edimbourg - Jour 12 -

Hier matin, vendredi, une fois encore, je suis tiré de mon sommeil de la même manière. Clémentine me tient la bite. Erection.
Dès que j'ouvre les yeux ma compagne me couvre le visage de bises. < Bonjour Julien ! > me fait elle alors en se serrant fort.
< Bonjour Clémentine ! > que je fais invariablement juste avant qu'elle ne me chevauche en riant. Ce sont les papouilles. Joie.
Hélas, ces effusions de tendresse ne durent toujours qu'un trop petit moment. L'impérieux besoin du pissou s'impose soudain.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. Elle est debout, genoux fléchis au dessus de la cuvette. W.C.

C'est au tour de Clémentine de me tenir la bite pour en diriger le jet. Je la laisse se régaler un peu des dernières gouttes. Joie.
Nous nous précipitons à la cuisine pour y prendre notre petit déjeuner. Nous prenons tout notre temps. Il est huit heures. Bien.
Nous aimons traîner à table. Ces périodes de relâchement sont si rares que nous en profitons au maximum. C'est les vacances.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Je lui expose le programme de la journée. Ma compagne m'écoute toujours amusée.
Pour la faire rire, je prends un ton docte et professoral. Nous rions de bon cœur. Aujourd'hui, nous visitons la Chapelle Rosslyn.

Nous partirons de la sortie d'Edimbourg pour une randonnée d'environ une heure trente. Le long de la rivière Forth. Promenade.
L’architecture et l’histoire de cette chapelle du 15ème siècle méritent une découverte qui ne manquera pas de nous enchanter.
Puis nous prendrons le sentier à la sortie du village pour voir les restes du château de Roslin perchés aussi dessus de la rivière.
Le petit village de Roslin est un bourg de caractère et typique de cette région riche en architectures médiévales. Découvertes.
Clémentine est ravie de mes propositions. Nous faisons notre vaisselle. Nous nous mettons en tenue pour notre jogging. Sympa.

Clémentine me montre la petite ficelle blanche qui dépasse de sa touffe en me disant : < Dernier jour ! Ce soir c'est la baise ! >.
Nous rigolons comme des bossus. Il fait beau. Il est déjà neuf heures. Nous allons courir avant l'arrivée des grosses chaleurs.
Notre circuit habituel et quotidien nous offre un running d'une heure trente. Nous revenons pour 10 h30. La douche et rigolades.
Nous passons dans la pièce de séjour pour découvrir nos messages sur l'ordinateur. Deux courriels. Estelle et Juliette. Amusant.
Estelle nous raconte sa journée de travail et ses soirées chez nous où elle arrose le potager. L'arrivée de Juliette tous les soirs...

Juliette et Estelle sympathisent. Estelle est invitée à faire du cheval au haras. Elle voit donc le palefrenier vicieux tous les soirs.
La jeune fille nous raconte à quel point monsieur Gérard peut se révéler vicelard. Un vrai salopard qui lui montre sa queue. Vice.
Estelle nous révèle y prendre un certain plaisir. La jeune fille ressent à la fois une profonde excitation et une forme de flatterie.
Clémentine répond à cet amusante révélation en précisant < Profite bien ! >. Juliette n'est évidemment aucunement informée.
Nous découvrons le message de Juliette qui, une fois encore nous remercie pour les légumes qu'elle vient chercher au potager.

Après ces découvertes et nos réponses, nous voilà avec une faim de loup. Nous préparons notre repas de midi. Il fait très lourd.
Il y a bien des cumulus gris dans le ciel, mais ils ne donnent jamais rien. Un peu comme si l'orage était constamment contrarié.
Clémentine prépare les salades. Carottes, tomates. Je prépare le riz complet en le faisant éclater à sec avant d'y rajouter l'eau.
Nous bavardons en nous faisant des bises. Clémentine fait : < Je peux faire ma salope cet après-midi, je suis hyper excitée ! >.
Je réponds : < Ce sera donc une journée comme les autres ! >. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine m'embrasse...

Nous savourons notre repas avec appétit. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Nous faisons l'inventaire de nos affaires.
Tout ce qu'il faudra emmener avec nous cet après-midi. Pommes, barres de céréales, bouteilles d'eau et petits gâteaux. Bien.
Nous reviendrons prendre notre repas du soir à l'appartement. Puis ensuite nous irons à un concert dans le centre d'Edimbourg.
Un concert donné par l'orchestre philharmonique au St Paul's Scottish Theatre. Tout cela enchante ma compagne. La vaisselle.
Il est treize heures. Nous nous préparons. Dans un sac nous mettons des vêtements de change. Précaution inutile. Rassurante.

Clémentine porte une de ses jupettes "tennis", un T-shirt et ses baskets. Je suis en short, en T-shirt et en baskets. C'est l'idéal.
Ainsi vêtus nous marchons facilement et sans trop souffrir de la chaleur. Nous descendons. Nous prenons la voiture. Chaleurs.
Nous garons l'auto à l'endroit habituel et à l'ombre des grands arbres. Nous traversons le pont de la rivière Forth. C'est sympa.
Nous voilà sur le chemin ombragé qui mène au village de Roslin. Un peu plus d'une heure d'une marche tranquille. Agréable.
Nous croisons du monde. Il fait lourd. Il fait chaud. Nous sommes à la limite de la canicule en journée. Le paysage est superbe.

Sur le chemin, à plusieurs reprises, Clémentine me palpe la braguette. Discrètement. A chaque fois je l'attrape par ses cheveux.
Je la force à marcher courbée en avant. Je l'entraîne ainsi sur quelques mètres. Ma compagne en glousse de plaisir. De bonheur.
Souvent je passe ma main sous sa jupette, entre ses cuisses. Nous sommes vigilants. Les gens nous croisent sans se douter.
Nous arrivons à la chapelle Rosslyn. Enfin de gros nuages nous offrent un peu d'ombre. L'endroit est magique. Un haut lieu.
Nous sommes tous deux très sensibles aux "vibrations" qui émanent de certains endroits. Energie tellurique ou encore vortex.

L'architecture de la chapelle remonte au gothique flamboyant. Les dentelles des pierres sculptées sont étonnantes. Magnifiques.
Nous en faisons le tour deux fois. Clémentine fait quelques photographies. Nous entrons dans la chapelle. Elle est plutôt grande.
Presque de la taille d'une petite église traditionnelle. Nous visitons. L'intérieur offre une fraîcheur qui s'apprécie à sa juste valeur.
Il y a quelques promeneurs. Des touristes discrets. Nous admirons l'intérieur aussi richement décoré que l'extérieur. Superbe.
Au sol, quantité de dalles de pierres sous lesquelles reposent des personnalités de l'époque médiévale. C'est impressionnant...

Nous sortons enchantés de notre visite. Le ciel est couvert. Pourtant il fait lourd. Nous prenons le sentier qui monte aux ruines.
Les ruines du château de Roslin offrent un panorama unique sur les paysages alentours. Comme toujours en Ecosse, grandioses.
Nous parcourons le dédale du labyrinthe de murs écroulés. Il y a des panneaux qui jalonnent le parcours. L'histoire du château.
Il y a des promeneurs. Le plus souvent des couples de séniors. Clémentine est aux aguets. Elle guette une opportunité d'exhibe.
Je regarde avec elle. Nous parcourons les ruines en repassant plusieurs fois aux mêmes endroits. Dans les restes du donjon...

Il y a là un escalier en spirale qui ne monte que sur quelques mètres. Mais d'en haut on a une vue sur une partie des ruines.
C'est le lieu idéal pour faire le guet. Je sors ma bite que j'agite en direction de Clémentine qui me regarde toute surprise. Joie.
Je lui fais : < Tu vas peut-être pouvoir en voir une autre ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine s'approche pour me la saisir.
Je bande mou. Ma compagne adore se tenir derrière moi en me tenant le sexe pour le faire tournoyer comme un lasso. Rires.
Nous nous amusons ainsi un petit moment. J'ai la main derrière moi, entre les cuisses de ma délicieuse salope. Le soleil revient.

Soudain, là-bas, au bas du sentier de la poterne, il y a un marcheur. Un homme portant un sac à dos. Il fait des photographies.
Il s'arrête à plusieurs reprises pour faire quantité de clichés. Clémentine me fait : < Attends moi là ! Je m'offre une frayeur ! >.
Je regarde ma compagne descendre l'escalier. Prudente, elle vient se positionner à l'entrée du donjon. Elle observe le quidam.
Ce dernier s'avance doucement vers le donjon. Le ciel se couvre à nouveau. Clémentine retire sa culotte qu'elle à dans la main.
Je la regarde s'accroupir, se mettre en situation. Je la vois depuis le haut de l'escalier. Sa pose est excitante. Superbe salope...

Clémentine a détaché ses cheveux. Elle porte ses lunettes noires. Elle est accroupie au bas de l'escalier. Elle observe son sexe.
Je la devine à se concentrer. Depuis un moment elle me fait part de sa forte envie de pisser. Le promeneur arrive doucement.
L'homme ne se rend pas compte immédiatement de la présence de la jeune fille. C'est lorsqu'il s'approche qu'il la découvre là.
Le promeneur reste un instant comme figé. Il découvre cet étonnant et sublime spectacle dans un parfais silence. Je bande fort.
L'homme est à une dizaine de mètres de la jeune fille. Elle lâche un jet de pisse qui vient se briser loin devant elle. Cambrée...

De ma cachette j'entends la conversation qui s'engage. L'inconnu parle Anglais avec un accent. Sans doute Allemand. Hollandais.
Il fait part de son agréable étonnement. Clémentine reste immobile, trop heureuse de vivre une nouvelle fois cette émotion folle.
La jeune fille avec la forte envie de pisser depuis plus d'une heure n'éprouve aucune difficulté à se soulager. Malgré l'excitation.
Le type propose à la jeune fille de faire quelques photographies. Clémentine lève le pouce de sa main droite en baissant la tête.
Les cheveux cachant son visage cette belle salope est entrain de se faire photographier. Je me branle doucement. Merveilleuse.

Les mains posées sur ses genoux, les cuisses largement écartées, Clémentine lâche ses derniers jets de pisse. C'est fabuleux.
L'homme la remercie plusieurs fois tout en l'encourageant à continuer et à garder la pose. Clémentine se touche. Masturbation.
Le type a posé un genoux au sol et mitraille en continu. Clémentine est tombée à genoux. Elle se touche, se branle. Bonheur.
Pas un seul instant l'homme ne présente une attitude inquiétante. La situation rêvée pour la jeune fille qui peut ainsi se lâcher.
Je sais que Clémentine ne simule pas. Heureuse de s'offrir un orgasme bien réel devant un inconnu. Ma présence est rassurante.

Le corps de Clémentine, à genoux sur une dalle de pierre, est agité de spasmes qui ne laissent aucun doute quand à se qui arrive.
Cette merveilleuse salope s'offre un orgasme d'une puissance folle. Le type reste étonnement distant, poli et réservé. Gentleman.
Clémentine, en frissonnant, se redresse. Je suis à quelques mètres. Caché. J'ai entendu tous les gémissements, tous les râles.
L'inconnu propose à la jeune fille de lui montrer les photographies réalisées. Clémentine s'approche. Le type lui montre l'écran.
Je suis un peu frustré. Moi aussi j'aimerais bien voir ces étonnants clichés. Le type s'assoit sur une grosse pierre, enlève son sac.

D'une poche de son sac à dos, il tire un calepin et un stylo. Il explique à Clémentine qu'il est photographe professionnel. Sympa.
Il est ici car il fait des photos pour un magazine. Il propose à Clémentine de lui faire un courriel. Il pourra lui envoyer les clichés.
L'homme griffonne ses coordonnées. Il arrache la feuille de papier et la tend à Clémentine accroupie devant lui. Cuisses écartées.
Le type se redresse. Il déboutonne sa braguette pour en extraire une bite molle et flasque. Il doit avoir la cinquantaine. Mince...
Il agite sa queue devant la jeune fille qui reste dans sa position, le visage à environ un mètre du type. Un petit moment. Silence.

Clémentine me tourne le dos. Pour la première fois, je la découvre hésitante. Ce mec qui lui tend une bite plutôt appétissante.
L'homme s'approche encore un peu plus. Il tient sa bite. Il la tend à la jeune fille. Mon sang ne fait qu'un tour. Mais quel tour !
Il y a un long moment qui passe ainsi. Finalement Clémentine se redresse. Elle se détourne en saluant le promeneur. Sympa.
Le type ne demande rien. Il remballe sa queue tranquillement. Il est passé très près d'une pipe. Il le sait. Il reprend son sac.
L'homme reprend sa promenade. Il descend le sentier. Clémentine revient me rejoindre. < C'était fou ! Génial ! > me fait elle.

Ma compagne se serre contre moi et me dit : < Je vis des moments fous grâce à toi ! J'ai joui comme une folle ! Je t'aime ! >.
Je lui murmure à l'oreille : < Pourquoi tu ne l'as pas sucé ? C'était l'occasion rêvée ! >. < J'en avais envie ! > me répond t-elle.
Je lui fais part de ma déception et certainement de celle du type. < J'ai vraiment eu envie de lui tailler une pipe ! > me dit elle.
< Il était si gentil et adorable. Sa bite toute molle m'attirait. Une bite molle c'est tellement plus rassurant ! > rajoute Clémentine.
Je lui dis : < Tu sais que j'aimerais bien te voir sucer un inconnu rencontré dans ce genre de situation ! >. < Je sais ! > dit elle...

Nous reprenons le sentier. Nous descendons au village. < Si on revoit ce mec, tu lui fais une pipe ! > que je fais à Clémentine.
< D'accord ! > me fait elle en éclatant de rire. Hélas, durant notre visite de ce magnifique petit bourg, nous ne l'avons pas revu.
Je lui avoue ma profonde frustration. < Tu es vraiment le dernier des salauds ! J'adore ! > me fait Clémentine. Il est 18 h30.
Nous reprenons le chemin du retour. Nous n'arrêtons pas d'évoquer notre étonnante aventure de l'après-midi. Superbe moment.
Nous arrivons à l'appartement vers 20 h30. Nous nous préparons notre repas. Salade d'avocats, crevettes et pain grillé. Glaces.

Nous faisons la vaisselle. J'attrape Clémentine par ses cheveux. Je la force à se mettre à genoux. Je sors ma queue. Je l'agite.
Je frotte ma queue sur le visage de ma compagne juste avant de lui mettre une gifle. < Tu vas sucer petite salope ! > que je dis.
Je ne suis pas obligé de la forcer. Je ne suis pas entrain de me faire pomper plus d'un instant que je jute a fond dans sa bouche.
Clémentine déglutit en gémissant de plaisir. Je la force à se redresser. < Je t'aime ! C'est merveilleux ! > me fait la jeune fille.
Nous nous préparons pour aller au concert, en ville. Le ciel est enfin couvert et menaçant. Clémentine met une belle robe bleue.

Bonne découverte des ruines du château de Roslin, cadre idéal pour toutes les filles exhibitionnistes et pisseuse...

Oncle Julien - (Qui vit une nouvelle partie de sa vie dans un état d'émerveillement continu. Merci Clémentine) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Une journée à flâner à Edimbourg sous les nuages - Jour 13 -

Hier matin, j'ouvre les yeux le premier. Je regarde l'écran de notre réveil de voyage. Il est huit heures. Dehors, il fait gris.
Je regarde sur ma gauche. Clémentine est entrain de s'étirer. < Bonjour Julien ! > me fait elle avant même d'ouvrir l'œil.
Je lui dépose plein de bisous sur le visage. < Bonjour Clémentine ! > que je fais avant qu'elle ne me chevauche en riant.
Nous nous faisons plein de papouilles. Nous tentons de surmonter nos fortes envies de pisser. Clémentine m'entraîne. WC.
Je la tiens par ses cheveux. La jeune fille se soulage dans un long jet sonore. Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet.

Nous nous précipitons à la cuisine. Petit déjeuner. Nous bavardons. Nous rions. Clémentine évoque le photographe de hier.
Le type qui avait pris des photos dans les ruines du château de Roslin. Ma compagne ne désire pas donner une suite à cela.
< De toute façon, sur aucune photo, on ne voit mon visage ! > conclue t-elle. Et c'est vrai que ma compagne est prudente.
Nous faisons notre vaisselle. Le temps est gris. Le ciel est lourd et bas. Parfois un timide rayon de soleil parvient à percer.
Nous nous mettons en tenue. Notre jogging quotidien. Il fait un temps agréable. Plutôt doux. C'est sympa de courir ainsi...

Nous sommes de retour pour dix heures. La douche. Nous allons découvrir nos courriels sur l'ordinateur. Un seul message.
Estelle nous raconte une de ses journées. Boulot jusqu'à 17 h30. Puis elle vient à la maison pour arroser notre potager.
Puis avec Juliette toutes les deux retournent au haras. Estelle fait une virée à cheval jusqu'aux environs de 21 h30. Bien.
Elle nous fait part du comportement toujours plus entreprenant de monsieur Gérard, le palefrenier vicelard. Un vrai salaud.
A chaque fois, tout en bavardant, il se palpe la braguette, fini par sortir sa queue pour pisser dans un seau en fer. Un rituel.

Nous rions de bon cœur. Nous répondons à ce message. Clémentine lui souhaite de bien s'amuser de ces situations sympas.
Il est onze heures trente. Je propose à Clémentine de nous offrir une journée d'improvisations totales à Edimbourg. En ville.
< De toutes manières, nous devons impérativement faire des courses ! Il n'y a plus rien au frigo ! > me fait ma compagne.
Clémentine porte sa jupe kilt à carreaux rouges, son pull noir en coton fin et ses souliers fermés à talons plats. Elle est belle.
Moi, sur sa demande, je porte mon pantalon en lin fin, clair et à pinces. Chemise en liberté et mes mocassins marrons clairs.

Nous prenons la voiture. Je la gare à l'endroit habituel, à dix minutes de Princes Street, l'artère principale de la ville. Bien.
Il fait un temps doux. Clémentine apprécie cette absence de soleil et de chaleur. Lorsqu'il pointe, elle s'écrie : < Non ! >.
Nous rions de bon cœur. Nous flânons sur l'avenue. Nous prenons la direction de la forteresse. Il y a du monde. Samedi.
Nous avisons un fast food. Nous nous prenons un grand cornet de Fish and Chips que nous mangeons en marchant. Sympa.
Les doigts poisseux et les mains grasses, nous savourons nos poissons panés, grillés ainsi que nos pommes de terre frites.

Nous marchons depuis un moment. Il y a enfin une petite fontaine. Nous pouvons y rincer nos mains sous le fin filet d'eau.
De mon petit sac à dos, je sors la bouteille d'eau gazeuse. Nous buvons à tour de rôle. Nous sommes au bas du château.
Nous montons doucement. Il y a du monde. Nous passons devant les bancs où sont assis de nombreux touristes. Ambiance.
La visite du château recommence à 14 h. Il est 13 h45, nous nous promenons un peu près de l'entrée. Le ciel reste couvert.
< J'adore cette ambiance, on se croirait dans un film d'Harry Potter ! > me fait Clémentine. Et c'est vrai qu'il y a ce mystère.

Nous allons prendre nos billets. Il y a une courte file et les choses vont très vite. La visite est guidée. Dommage. C'est chiant.
Nous qui détestons toute forme de promiscuité, il nous faudra faire avec. Ce sont à chaque fois des groupes de dix personnes.
Notre guide est une jeune étudiante qui sait rendre ses explications intéressantes et attractives. C'est donc un plaisir. Visite...
Clémentine me glisse à l'oreille : < On se fait un "plan" dès que possible ! Tu veux ? >. Nous rions de bon cœur. Propositions.
Je préconise toutefois de rester d'une prudence de sioux. Il y a des caméras de surveillance un peu partout. Epoque moderne.

< Un jour il y aura des drones partout et on ne pourra même plus s'exhiber tranquillement ! > me fait encore Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Pourtant cette réalité arrive à grande vitesse. Et ce monde terrifiant s'annonce à l'horizon.
Nous suivons le guide en restant en fin de file. Nous écoutons les explications, les anecdotes et les histoires de notre guide.
Discrètement, dissimulés dans l'attroupement, Clémentine touche furtivement ma braguette. Je fais pareil sur sa jupe kilt.
Nous ne pouvons pas nous empêcher de manifester nos perpétuelles envies de cochonneries amoureuses et si excitantes...

La visite dure une heure. Nous remercions notre guide pour son talent d'oratrice et ses parfaites connaissances historiques.
Je lui glisse discrètement un petit billet de banque. La jeune fille me remercie, plutôt confuse et souriante. Une récompense.
Clémentine me glisse à l'oreille : < Elle te plaît ? >. Nous rions de bon cœur. Nous redescendons la colline. Le ciel est couvert.
Nous adorons cette atmosphère où toutes les teintes s'unifient. A Edimbourg, priorité est donnée à la verdure. A la nature.
Toute l'Ecosse est d'ailleurs soigneusement entretenue comme un énorme jardin. L'écologie y est le souci prioritaire. Réserve.

Nous remontons Princes Street jusqu'à la place de William Wallace. La statue de bronze du héros écossais y trône fièrement.
Il y a quantité de touristes. C'est la période d'affluence maximale qui durera jusqu'aux environs du 15 août. Tous les ans. Joie.
Il est déjà seize heures. Clémentine me fait remarquer à quel point le temps passe vite. Surtout ici en vacances. Vertigineux.
Nous suivons la rue étroite qui monte légèrement pour passer derrière la National Gallery. Nous explorons cette partie de ville.
Nous marchons un moment. Nous voilà devant les grilles d'un petit parc. C'est Regent Road Park. Un endroit fort accueillant...

Nous y pénétrons. C'est un endroit évidemment superbement entretenu. La nature y est verdoyante, fournie et magnifique.
Une allée centrale et des petits chemins adjacents qui partent dans tous les sens. Ce qui a toutes nos préférences, bien sûr.
Clémentine me fait : < A la moindre opportunité, je me fais un "plan", tu veux ? >. Je lui conseille la prudence la plus absolue.
< Rassure toi, tu me connais ! > me fait elle encore en se serrant contre moi. Nous prenons un sentier sur notre gauche.
C'est une petite sente entourée de bosquets taillés, de buissons de fleurs odorantes. Il y a des statues mythologiques partout.

Il y a de nombreux bancs dans des anfractuosités végétales. < Ce sont de vraies invitations à la débauche ! > fait Clémentine.
Et c'est vrai qu'avec un esprit aventureux, téméraire et imaginatif, la déclinaison des possibilités semble illimitée. Expériences.
Il y a parfois un couple assis sur un des bancs. Le sentier rejoint l'allée centrale devant une grande fontaine aux eaux domptées.
Nous contournons l'ensemble pour prendre le sentier qui part en face. C'est le même environnement. Clémentine scrute bien.
< Il n'y a aucune caméra, rien, j'en suis certaine ! > me fait elle en me palpant la braguette. < Je suis excitée ! > rajoute t-elle.

Nous marchons doucement. Clémentine ne lâche plus ma braguette que lorsque nous croisons de rares promeneurs. C'est bon.
Moi, parfois, je passe ma main sous sa jupe, entre ses cuisses bouillantes. Clémentine s'arrête, monte sa jupe, retire sa culotte.
< Comme ça, s'il y a une opportunité, c'est déjà ça de fait ! >. Nous rions de bon cœur. Nous décidons d'investir un des bancs.
Nous sommes assis. Clémentine me fait : < Viens on joue. Tu fais le promeneur. Je fais l'exhibitionniste ! >. Une bonne idée !
Je me lève. Je m'éloigne jusqu'à disparaître derrière le virage du sentier. Je reviens doucement sur mes pas. Je fais le touriste.

Une jeune fille est assise là, sur le banc, feuilletant une brochure touristique. Elle a les cuisses légèrement écartées. Liseuse.
Je m'installe sur le banc un peu plus loin. J'observe. Clémentine est étourdissante dans son jeu d'actrice. C'est étonnant. Bien.
J'imagine facilement ce que doit ressentir le quidam qui découvre une telle situation. Merveilleux. De quoi brûler un cierge...
Clémentine me fait signe de la rejoindre. < Alors, c'est comment ? > me demande t-elle. Je lui fais part de mes émotions.
< Je vais nous offrir un "plan" comme ça dès que possible. Tu te planques. Tu veux bien ? J'en ai trop envie ! > me fait elle...

Je lui propose d'aller faire le guet un peu plus loin, dans les fourrés. Je pourrais voir qui s'engage dans le sentier à la fontaine.
Je pourrais également sécuriser le périmètre. Les agissements de la jeune fille. Clémentine est toujours ravie de ma complicité.
Depuis le temps que nous faisons ces choses ensemble nous connaissons parfaitement les précautions et les réflexes. Prudents.
Nous mettons rapidement la stratégie en place. S'il y a un promeneur solitaire, je fais sonner le téléphone de Clémentine. Bien.
Ainsi, elle aura le temps nécessaire pour sa mise en scène. Je me lève. Je passe derrière le banc presque en face du notre...

Je pénètre sous les frondaisons parfaitement entretenues. Pas de ronces, pas d'épines. Une terre grumeleuse et bien sèche.
Je parcours une vingtaine de mètres. Je suis parfaitement dissimulé derrière une statue antique et un épais bosquet d'épicéa.
Je distingue Clémentine derrière les branchages et je vois l'entrée du sentier, là-bas à une centaine de mètres. Le lieu idéal.
Je fais le guet. Clémentine me fait des signes de la main, mime des bisous ou me fait des grimaces. Je surveille et je scrute.
Un moment passe ainsi. C'est samedi, la plupart des gens sont en ville. Peu de monde dans les parcs un jour sans soleil...

Enfin, là-bas, un homme fait le tour de la fontaine. Plusieurs fois. Il fait des photos. Il doit avoir la cinquantaine bedonnante.
Il est vêtu d'un short kaki d'une chemisette et de baskets. Il porte un chapeau large et un gros sac en bandoulière. Touriste.
L'homme ne semble nullement pressé. Il est en vacances. Il prend plusieurs clichés. Sous des angles différents. La fontaine.
Enfin, après quelques hésitations, il marche vers le sentier. Il y pénètre en flânant. Je fais le numéro de téléphone. J'avertis.
L'homme disparaît à ma vue. Je regarde Clémentine, là-bas, qui se saisit de son téléphone. Elle a reçu le signal. Tout est OK.

Je la vois détacher ses cheveux, mettre ses lunettes noires, s'installer sur le banc, prendre la brochure touristique. Salope.
Les jambes parallèles, les cuisses légèrement écartées, la jeune fille est absorbée dans sa lecture. C'est le silence. Sympa.
Le touriste arrive. Il découvre la jeune fille assise là. Il passe doucement. Il prononce quelques mots que je n'entends pas.
Clémentine relève la tête, souriante et répond. L'homme l'a sans doute salué et Clémentine y a répondu. Politesse. Civilités.
L'homme n'est certainement pas insensible au charme de cette délicieuse rencontre. Il y a la position suggestive de la fille...

Le quidam s'installe sur le banc décalé de quelques mètres en face de celui où est assise la jeune fille plongée dans sa lecture.
Le type me tourne le dos. Il ne sait évidemment pas que je suis planqué à une vingtaine de mètres. Je surveille avec attention.
Le touriste fouille dans son sac qu'il a posé à côté de lui, sur le banc. Il scrute l'écran de son appareil photo. Tout semble OK.
Clémentine, derrière ses lunettes noires, surveille évidemment les agissements du personnage. Je devine toutes ses émotions.
Doucement, sans rien exagérer, Clémentine écarte un peu plus ses cuisses. Elle ne porte pas de culotte. Je l'ai dans mon sac.

Je peux voir l'inconnu qui tourne légèrement la tête en direction de la jeune fille à plusieurs reprises. Il mâte. Un petit bonheur.
Clémentine ne relève pas la tête une seule fois. Elle sait bien que s'il devait y avoir du monde, son téléphone sonnerait de suite.
J'assure ma partie en scrutant avec attention. De l'endroit où je me trouve je distingue parfaitement les deux accès au sentier.
Ma compagne peut donc s'offrir une frayeur dans la plus parfaite sérénité. Elle est là, bien droite, contre le dossier de son banc.
Le type est à environ cinq mètres, légèrement décalé. Lui aussi peut admirer cet étonnant spectacle. C'est insolite et si excitant.

La situation dure depuis un moment. Il y a un couple qui pénètre dans le sentier. Je fais sonner le téléphone pour prévenir.
Clémentine comprend immédiatement et croise ses jambes. Le couple passe. Il disparaît rapidement. La voie est libre. Ok !
Je regarde bien partout, dans toutes les directions. Rien. Je découvre Clémentine, une jambe relevée, son pied sur le banc.
Depuis l'endroit où je me trouve je distingue sa toison pubienne dense et fournie. Le touriste certainement aussi. Superbe.
J'admire une fois encore l'aplomb avec lequel Clémentine surmonte ses inhibitions naturelles. Des inhibitions de jeune fille.

Même si elle est coutumière du fait, Clémentine m'avoue ne jamais vivre une émotion semblable. A chaque fois plus forte !
Elle me dit souvent que c'est comme une première fois. Le touriste mâte. Il doit loucher à s'en déboîter les orbites oculaires.
Je bande. Je surveille les environs avec soin. Je veux permettre à Clémentine de s'offrir des instants d'une intensité folle.
Un pied posé sur le banc, la cuisse écartée de l'autre jambe, la vue sur sa toison pubienne est vertigineuse, fabuleuse. Super.
Le type regarde dans tous les sens. Il vient certainement de comprendre à quel genre de fille il avait affaire. Il se touche...

Si le bougre savait que je surveille les lieux, il pourrait ouvrir sa braguette sans être obligé de le faire aussi discrètement.
Le touriste tourne la tête à gauche, à droite, plusieurs fois. Enfin il sort sa bite. Depuis ma cachette je sa queue qui dépasse.
Clémentine est toujours absorbée dans sa lecture. En apparence. Elle écarte encore un peu plus les cuisses. Indécente. Vice.
Le type se branle doucement en regardant toujours attentivement partout. J'aimerais pouvoir le rassurer. Je sécurise le lieu.
Clémentine relève la tête pour regarder en direction du masturbateur. Elle le fixe derrière ses lunettes noires. Sourire discret.

La situation perdure ainsi un long moment. Clémentine à plusieurs reprises relève la tête pour observer le touriste. Vicieuse.
La jeune fille est adossée contre le dossier du banc. Elle vient de lever sa seconde jambe. Les deux pieds posés sur le banc.
Les cuisses largement écartées elle continue sa lecture. Imperturbable. En apparence. Le type se masturbe d'un geste lent.
J'imagine son état. Une situation qui n'arrivera certainement plus une seconde fois dans sa vie. Il ira brûler un cierge. Vice.
La rencontre avec une exhibitionniste laisse un impérissable souvenir à tout homme normalement constitué. C'est le cas...

Comment manifester son contentement, son admiration devant un tel spectacle ? C'est toujours l'insoluble question. Normal.
La situation perdure. Il y a un vieux bonhomme qui pénètre dans le sentier. Je fais sonner le téléphone de Clémentine. Bien.
La jeune fille se saisit de l'appareil et croise ses jambes. Elle fait mine de répondre à un message. Le vieil homme passe...
Il disparaît derrière le virage et les fourrés. Clémentine reprend sa position. Le touriste ressort sa bite qu'il planque si vite.
Je n'en crois pas mes yeux. Mon érection est soudain douloureuse. Clémentine lâche un jet de pisse qui s'écrase loin devant.

Le mec cesse son mouvement masturbatoire pour mâter. Il est certainement consterné, à la limite de l'apoplexie. Immobile.
Clémentine lâche plusieurs jets. Sa position, adossée contre le dossier, pieds posés sur le banc, permet cette prouesse. Fou.
J'ai envie de me branler. Mais je dois surveiller avec plus d'attention encore. Ne pas risquer de gâcher le plaisir de la fille.
Le type accélère sa branlette. Clémentine lâche un dernier et long jet en fixant l'inconnu. Le jet s'amenuise pour cesser. Tari.
Clémentine sort un mouchoir en papier de son sac à main. Comme si c'était un acte parfaitement naturel elle s'essuie bien.

Je ne suis pas au bout de mes surprises. Clémentine agite le mouchoir en papier en direction du type. Elle le lance vers lui.
Le touriste se lève, le ramasse et le renifle. Il dit quelques mots que je n'entends pas. Trop loin. Clémentine se met à lire.
L'inconnu est à nouveau assis. Il vient de ranger le mouchoir dans son sac. Il se branle à nouveau. Clémentine se touche.
La jeune fille se masturbe doucement. Parfois elle relève la tête pour sourire au type. Elle s'offre là son fantasme ultime.
Se masturber devant un parfait inconnu, sans rien prévoir, sans autre stratégie que le hasard d'une situation. Son plaisir...

Evidemment, dans une telle situation Clémentine manque de pratique. Maîtriser l'orgasme qui accourt au galop est dur.
Je la vois tenter de s'y soustraire. Son corps se raidi. C'est comme le matin lorsqu'elle s'étire. Une tentative désespérée.
Elle cesse de se toucher. Elle descend ses jambes, garde une main entre ses cuisses qu'elle serre. Trop tard. Orgasme.
Le type doit halluciner. Il s'est levé. Il se branle à toute vitesse. Il se tient au dossier de son banc. Lui aussi il va jouir !
Je regarde cet étonnant spectacle. C'est absolument délirant. Je n'oublie pas de bien surveiller quand même. C'est fou.

Le type doit éjaculer n'importe où et n'importe comment. D'ailleurs, comment pourrait-il faire autrement ? Impossible.
Il semble reprendre ses esprits et se ressaisir. Il s'assoit. Il reprend son souffle. J'ai envie de le féliciter, le bougre.
Il se met à bavarder. Clémentine semble terriblement gênée. Elle se réajuste tout en bavardant. Le touriste se lève.
Je le vois ouvrir sa braguette une nouvelle fois. Il vient se placer devant le banc. A un mètre de Clémentine. Surprise.
L'inconnu me tourne le dos. Pourtant je vois le jet. Il est entrain de pisser devant la jeune fille qui regarde en souriant.

Clémentine se lève à son tour. Trop gênée pour supporter plus longtemps cette situation après son orgasme délirant.
Le type retourne à son banc. De son sac il sort une carte pour la tendre à la jeune fille. Clémentine s'en saisi en riant.
Le touriste, de son autre main fermée devant la bouche, mime une pipe. Je vois Clémentine ranger la carte en rigolant.
Il y a un couple qui arrive dans le sentier. Je fais sonner le téléphone à Clémentine. Le signal. Elle en profite pour filer.
Nous nous rejoignons à la fontaine. Là-bas, le touriste se dirige vers la sortie en marchant vite. Sans se retourner...

< C'était génial ! Merci Julien ! > me fait ma compagne en se précipitant dans mes bras. Elle m'embrasse longuement.
Nous quittons le parc à notre tour. Il est déjà presque 19 h. Nous sommes animés d'une faim de loup. Direction la ville.
Je propose à Clémentine de nous offrir le restaurant avec le personnel en kilt. On y mange bien et c'est sympathique.
Nous prenons des moules accompagnées de petites pommes de terre rissolées et de haricots verts. Un repas délicieux.
Clémentine me raconte les émotions vécues au parc. < A refaire, c'est trop bon ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur.

Bonne découverte de Regent road park à toutes les filles exhibitionnistes qui rêvent de l'endroit idéal...

Oncle Julien - (Guide spirituel pour jeunes salope exhibitionniste désireuse d'être vue dans des lieux insolites) -

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Un dimanche gris. Une journée en train dans les Borders - Jour 14 -

Hier matin, dimanche, une fois encore Clémentine me tire de mon sommeil avec son infinie douceur habituelle. Il est 8 h.
Quelque chose chatouille ma joue gauche et j'entends murmurer plusieurs fois < Papillon ! >. Ce sont les cils de la fille.
En faisant bouger ses paupières elle me chatouille de ses cils. Je la serre contre moi pour frotter mon nez contre le sien.
< Esquimau ! > que je fais en passant plusieurs fois mon nez sur le sien. Le fameux baiser esquimau selon la légende.
Nous rions comme des petit fous avant que Clémentine ne me chevauche. < Bonjour Julien ! >< Bonjour Clémentine ! >.

Nous nous offrons des papouilles. Clémentine m'entraîne par la main pour me tirer jusqu'aux toilettes. Je la tiens bien.
La jeune fille se lâche dans un long jet libérateur. Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet. Nous avons très faim.
Nous nous précipitons à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe de grosses tranches de pain.
Clémentine met la table. Je fais griller le pain. Miel, confiture, beurre et yaourts. Nous mangeons d'un très bon appétit.
Nous bavardons. Le dimanche est toujours la journée sans entraînement, sans jogging. A peine une petite randonnée...

Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Elle me fait : < C'est moi qui ai une idée de programme ! >. J'écoute. Super.
< Hier, sur le banc, pendant mon exhib, j'ai étudié la brochure touristique ! > me fait ma compagne. Cela nous amuse.
Elle rajoute : < On se prend le petit train touristique pour les Borders. Départ à 10 h à la gare d'Edimbourg ! >. Génial !
Je trouve l'idée remarquable. Je fais plein de bisous à la jeune fille qui se pâme de plaisir sous mes assauts pacifiques.
Nous faisons la vaisselle. Dehors il y a quelques rares percées de soleil mais le ciel est le plus souvent gris et très lourd.

C'est la journée idéale pour nous offrir une excursion dans cette magnifique région au sud d'Edimbourg. Une riche idée.
Nous prenons une douche. Clémentine porte sa jupe kilt à carreaux rouges. Son pull en coton, ses souliers à talons plats.
Sur sa demande je mets mon pantalon à pinces, en lin clair et ma chemise claire flottant en liberté. Souliers marrons.
Nous voilà prêts. Il est à peine neuf heures quinze. Direction la gare. Je gare la voiture à proximité, dans une ruelle.
C'est un petit train ancien et à vapeur qui nous attend sur le quai de la gare victorienne d'Edimbourg. Il y a du monde.

Je porte notre petit sac à dos. Il s'y trouve des fruits, des barres de céréales, une bouteille d'eau gazeuse et nos K-way.
Nous prenons place dans un des compartiments de style rétro. Nous y sommes huit personnes sur des banquettes. Cuir.
Nous sommes assis l'un en face de l'autre, à la fenêtre. Il est dix heures précises. Le train s'ébranle en sifflant. Sympa.
Rapidement, sous nos yeux se déroulent de merveilleux paysages.< On se dirait dans Harry Potter ! > fait Clémentine.
Les Borders sont riches de l'agriculture de céréales, de l'élevage des chevaux et des moutons. Il y en a partout. Beau...

Clémentine est assise devant moi. Sur ma droite il y a un couple de séniors. A la droite de Clémentine deux femmes.
Tout le monde est principalement silencieux à observer le spectacle splendide qui s'offre sous un ciel uniforme et gris.
Ma compagne, parfois, écarte un peu ses cuisses. Clémentine, en aspirante soumise, ne croise jamais ses jambes. Bien.
Avec ses jupes courtes, Clémentine est donc toujours bien droite et vigilante. Ce qui la maintient en état d'excitation.
Je n'ai absolument pas l'âme d'un "Maître", je m'y applique avec diligence et célérité. Clémentine me le rappelle. Soin.

Nous arrivons en gare de Tweedbank, petit village typique des Borders, au bord de la rivière Tweed. Un peu de soleil.
< Pourvu qu'il ne fasse pas à nouveau aussi chaud ! > fait Clémentine. Nous voilà dans l'artère principale du bourg.
Il y a ces étonnantes maisons colorées. Il y a des fleurs partout. Il y a plein de touristes descendus du train. Sympa.
Nous détestons toutes formes de promiscuité, aussi nous nous dépêchons de nous isoler. Nous flânons dans la rue.
Il y a une animation sur la place, dans le centre, devant la petite église néo gothique. Collection de vieilles voitures.

< C'est génial ! Regarde, il y a des Rolls, des Bentley ou encore des Jaguars ! > me fait Clémentine sortant l'appareil.
Ma compagne fait quelques photos. Les propriétaires des véhicules sont habillés à l'ancienne. Redingotes, Chapeaux.
C'est absolument superbe. Il y a du monde. Discrètement, comme à son habitude, Clémentine palpe ma braguette.
Nous nous promenons entre ses étonnantes voitures de prestige, témoins d'une époque révolue. Elles sont grandes.
Clémentine, à plusieurs reprises, s'accroupie, pose un genoux au sol et prend une photographie. Elle attire le regard.

Des messieurs ne manquent pas de remarquer cette belle jeune fille, souvent accroupie, qui fait des photographies.
Je reste toujours un peu en retrait. Je me régale de ces instants insolites et plutôt excitants. Une très belle salope.
Il y a même un monsieur très élégant, en chapeau haut de forme et en redingote, qui s'approche pour bavarder. Joie.
Les écossais sont de haute taille. Je ne me sens plus trop isolé "là-haut". Clémentine non plus. C'est très sympathique.
Le monsieur bavarde avec Clémentine. Il lui fait le tour de la grosse Rolls Royce noire et grise. "Phantom V". 1960.

Je reste à l'écart. J'observe la façon de draguer du personnage. Clémentine, à plusieurs reprises, s'accroupie. Photos.
J'admire le cran dont fait encore preuve ma compagne. Discrète mais efficace. Exhibitions discrètes. Sublimes. Le vice.
Il y a plein de gens agglutinés autour de ces magnifiques voitures. Elle sont beaucoup plus grandes que l'on s'imagine.
De vraies camionnettes. Il y a là une vingtaines de voitures anciennes et de collection. Voilà l'arrivée des "officiels".
Il y a un homme qui parle dans un micro. Il présente les festivités. Les voitures vont partir pour le tour de la région.

Le gentleman prend congé de Clémentine en lui laissant évidemment sa carte. Clémentine les jette toujours après.
Nous regardons le départ des voitures en convoi sous les applaudissement de la foule qui s'est formée sur la place.
Nous reprenons notre promenade. Nous suivons la rivière Tweed. Nous suivons le chemin absolument magnifique.
Nous arrivons devant la maison de Walter Scott, l'écrivain et héros écossais, auteur du célèbre Ivanhoé. Superbe.
C'est une grande bâtisse du XVIIIème siècle au milieu d'un grand parc. Clémentine nous entraîne. Visite guidée...

L'intérieur de la grande maison de maître est luxueusement décoré avec du mobilier de l'époque victorienne. Beau.
Nous traînons en queue de file en écoutant les explications de notre guide. Un vieil homme plein d'humour. Sympa.
Nous descendons le grand escalier pour nous rendre dans le parc. Clémentine est pressée. Une opportunité. Exhibe.
Nous quittons l'allée principale qui fait le tour du parc sans quitter les frondaisons soigneusement entretenues. Bien.
Toute l'Angleterre est un grand jardin, mais l'Ecosse est un jardin d'Eden. On évolue en permanence dans l'irréel...

Parfois, le soleil fait son apparition. A chaque fois Clémentine fait : < Couché le soleil ! >. Nous rions de bon cœur.
Il fait doux, le climat est des plus agréables. Nous croisons quelques promeneurs. Clémentine fait quantité de photos.
Le plus souvent lorsqu'il y a un promeneur isolé. La jeune fille s'accroupie alors pour fait semblant de se concentrer.
Je reste un peu à l'écart. En fait, le plus passionné, le plus étonné des attitudes de la jeune fille, c'est moi. Privilégié.
Les hommes dont les compagnes ont des penchants exhibitionnistes, savent les plaisirs procurés. Le bonheur intense...

Nous quittons la propriété de Walter Scott pour continuer la promenade le long de la rivière Tweed. C'est majestueux.
Nous arrivons aux abords du village de Melrose. Nous allons visiter l'abbaye. Clémentine consulte la brochure. Soin.
C'est ma compagne qui prend toutes les initiatives aujourd'hui. J'adore ça. Je lui fais part de mon intense satisfaction.
Le village de Melrose est également une bourgade typique. Les commerces du centre sont tous ouverts. Nous visitons.
Il est déjà 14 h. Nous nous rendons compte que nous sommes morts de faim. Nous avisons le fast food sur la place...

Nous avons chacun notre grand cornet de fish and chips. Nous allons nous asseoir sur un banc pour savourer le repas.
Le soleil fait parfois de timides apparitions. Il y a une animation à la sortie du bourg. Jeux écossais. Musique écossaise.
Nous mangeons avec appétit. Nous allons nous rincer les mains à la petite fontaine devant l'église néo gothique. Bien.
Nous allons assister à la fête. Sur une scène il y a des joueurs de cornemuses accompagnés de musiciens modernes.
C'est le stade de foot ball qui accueille ces familles, ces touristes et ces visiteurs. Nous nous offrons des cônes glacés.

Là aussi, Clémentine ne rate pas une occasion de faire mine de photographier. Accroupie. Souvent un genoux à terre.
Les messieurs qui font l'objet de ses "show" admirent en silence. Aussi discrets que les exhibitions de la jeune fille.
Ce sont toujours des instantanés. De rapides et fugaces exhibitions. J'admire en bandant souvent comme un salaud.
Mon âge me permet d'apprécier et de savourer mon privilège avec une acuité et un recul à nul autre pareil. Salope.
J'aime tant la compagnie des salopes. Celles qui ne le sont pas sont d'un tel ennui. J'ai toujours été un privilégié...

Nous traînons dans les environs en flânant. Clémentine est si heureuse, contente, qu'elle se serre souvent contre moi.
Il est déjà seize heures. Il nous faut prendre le chemin du retour. Une heure de marche jusqu'à Tweedbank. La gare.
Nous longeons la rivière Tweed dans l'autre sens. Nous croisons quantité de promeneurs. Nous voilà arrivés à Tweedbank.
Le petit train noir est à quai. Dans une incessante vapeur qui l'entoure, il y a quelques coups de sifflets. C'est un film.
Clémentine me fait : < Je suis Hermione Granger et tu es Harry Potter ! >. Je lui fais : < Harry Plotteur ! >. Nous rions.

Nous voilà dans le train. Une fois encore, en petits malins, nous sommes montés les premiers aux meilleures places.
Nous admirons le paysage enchanteur qui défile devant la fenêtre. Clémentine m'offre quelques frayeurs. Exhibitions.
Je fronce à chaque fois les sourcils pour lui faire comprendre d'être discrète. Nous sommes huit personnes. Murmures.
Nous arrivons en gare d'Edimbourg. Il est dix neuf heures. Nous sommes morts de faim. Je propose un restaurant...
Nous nous promenons un peu sur Princes Street. Nous prenons les ruelles du centre commercial. Nous avons faim.

Clémentine avise un petit restaurant. La soirée est douce. Même si le ciel reste gris. Nous choisissons la terrasse. Bien.
Il y a plusieurs tables de libres. Clémentine, avec son œil exercé, choisit le meilleur angle. Une petite opportunité. OK.
Nous choisissons un plat de moules grillées accompagnés de petits légumes verts. Les moules grillées sont un délice.
Clémentine tente quelques "plans". Hélas, la configuration des lieux rend les tentatives d'exhibition plutôt délicates.
Tant pis. Il faudra se faire une raison. Ce sera une journée sans réelles émotions transcendantes. Nous nous amusons.

Nous traînons dans les rues de cette ville étonnante et magnifique. Nous retournons à la voiture. Il fait nuit. 23 h30.
Dans l'auto, Clémentine joue avec ma queue qu'elle m'a sorti. < Ce soir, on baise façon vicelards ! > me confie t-elle.
Nous rions de bon cœur. Nous prenons notre douche. Nous voilà au lit. Nous nous offrons notre préférence. Un "69".
Clémentine m'entraîne sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Super.
Sans bouger, nous nous murmurons des cochonneries, des douceurs. Nous nous oublions dans le sommeil qui arrive.

Bonne découverte de la merveilleuse région des Borders à toutes les jeunes filles exhibitionnistes. (Et les autres).

Oncle Julien - (Qui aime les initiatives les plus variées de Clémentine. Même les initiatives les plus vicelardes) -

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Une nouvelle excursion dans la région d'Edimbourg - Jour 15 -

Hier matin, lundi, une fois encore je suis tiré de mon sommeil d'une façon singulière mais si agréable. On me tient la bite.
J'ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi pour me couvrir le visage de bisous.
< Bonjour Clémentine ! > que je fais juste avant que ma compagne ne me chevauche en riant. Cs sont les papouilles.
Hélas, l'impérieux besoin naturel ne tarde pas à nous renvoyer à une réalité beaucoup plus prosaïque. Il faut faire pipi.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux. Nous sommes morts de faim. Nous allons à la cuisine...

Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Miel, beurre, confiture.
Dehors, c'est la même météo. Il y a des alternances de séquences ensoleillées et de périodes beaucoup plus couvertes.
Il fait doux. Le climat est agréable. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Clémentine me fait part d'un souhait.
Aujourd'hui encore c'est elle qui me propose une excursion. La jeune fille lit les brochures touristiques avec soin. Superbe.
Assise sur mes genoux, ma compagne me fait le programme de la journée. J'aime tellement ses initiatives. Toujours bien.

Nous partons pour North Berwick. C'est une station balnéaire très prisée des Edimbourgeois. A trente minutes de voiture.
Nous irons randonner sur le sentier côtier au-dessus des falaises. Nous irons à la découverte des deux plages sur le littoral.
Nous prendrons un des bateaux qui fait le tour des îles. Nous irons visiter le centre des oiseaux de mer. Visiter Bass Rock.
Bass Rock est la seule île autorisée à la visite. Le climat de la journée qui nous attend se prête donc à merveille au projet.
Je suis enchanté du programme élaboré par Clémentine. Nous faisons notre vaisselle. Nous nous habillons. Jogging. Joie.

Nous voilà à courir sur notre parcours habituel. Le soleil fait de fréquentes apparitions. Une lumière dorée et magnifique.
Nous courons d'un bon rythme. Nous sommes de retour pour 10 h15 après un running d'une heure trente. La douche.
Nous allons dans la pièce de séjour. Nous découvrons nos deux messages sur l'ordinateur. Estelle nous fait un long mot.
Comme prévu, elle a bien reçu mon chèque. Elle nous ramènera quantité de fromages car notre stock s'épuise assez vite.
Puis il y a le message de Juliette qui nous joint à chaque fois une photo des plats qu'elle cuisine avec les légumes du jardin.

Nous répondons en joignant des photos que prend Clémentine de nos découvertes. Il est onze heures. Les préparatifs.
Dans le petit sac à dos, je mets deux pommes, des barres de céréales, une grande bouteille d'eau gazeuse et nos K-way.
Dans un sac que nous laissons dans la voiture, il y a des pantalons longs et des sweat-shirt. Il vaut mieux prévoir. Climat.
Nous voilà en route. Clémentine joue avec ma bite qu'elle suce parfois pendant que je roule dans un paysage magnifique.
L'odeur de la mer devient de plus en plus forte jusqu'à ce qu'elle apparaisse au détour des collines. Le soleil est bien là...

North Berwick est un petit village au bord de la mer. Le bourg est illuminé d'un soleil qui offre des rayons dorés. Etonnant.
Nous garons la voiture à l'entrée du bourg. Il y a du monde. Clémentine est vêtue d'une jupe en velours carmin. T-shirt.
Je suis vêtu d'un short kaki, T-shirt. Nous portons tous les deux les baskets que nous n'utilisons que pour nos randonnées.
Je porte le petit sac à dos. Clémentine porte son sac à main qui fait également sac à dos. Nous voilà équipés. Touristes.
Nous parcourons les rues de North Berwick en flânant. Nous avisons un des restaurant sur le petit port. Nous avons faim.

Il est déjà midi trente. Nous voilà assis dans un restaurant charmant. Une décoration marine faite de filets et de flotteurs.
Notre choix se porte sur du homard grillé accompagné de légumes. Clémentine guette une possibilité exhibitionniste. Joie.
La configuration des lieux et l'endroit où nous sommes assis, ne permet pas à la jeune fille d'exercer son art discrètement.
Un peu frustrés nous savourons notre délicieux repas malgré tout. Nous prenons nos coupes glacées habituelles. Dessert.
Nous voilà sur le port. Le ciel est gris mais reste lumineux. < C'est magnifique ! Pas de canicule ! > me fait ma compagne.

Nous longeons le quai pour aller à l'embarcadère. Il y a un départ pour les îles toutes les heures. Je prends les billets. Bien.
Nous avons trois quart d'heure devant nous. Nous marchons jusqu'au phare au bout de la jetée. La mer est calme. Plate.
Les séquences ensoleillées alternent avec les périodes couvertes. Pourtant pas un seul instant le ciel n'est menaçant. Joie.
En contrebas de la jetée, sur le côté terre, il y a des amas rocheux et du sable. Clémentine m'entraîne sur l'escalier. Rires.
Nous marchons sur les gros galets au bas de la jetée. Les vagues viennent se briser à quelques mètres. Impressionnantes.

Nous croisons quelques quidams armés de seaux qui fouillent les anfractuosités. Ils ramassent des crustacés. Marée basse.
Clémentine me prend le bras et me fait : < Mets toi à l'écart, il y a un "plan" ! >. Je regarde. Oui. Il y a un type seul là-bas.
Je reste en retrait derrière un rocher. Je regarde la jetée au-dessus de nous. On pourrait nous voir en se penchant. Discret.
Je fais part de mon inquiétude à Clémentine qui me fait : < Il y a quoi que ce soit, tu siffles ! >. Nous rions de bon cœur.
Clémentine s'avance avec précaution sur les gros galets entre les rocs. Le bruit de la mer. Le cri incessant des mouettes...

Je regarde ma compagne élaborer une stratégie. Elle est accroupit derrière un rocher. Elle envisage et anticipe. Prudente.
Il n'est pas question d'improviser et d'aller à la facilité de situations inconsidérées, donc forcément dangereuses. Le "plan".
J'admire cette capacité de mettre à profit toutes possibilité dont fait preuve ma compagne. Toujours désireuse d'émotions.
Le type porte un seau dans la main droite et un petit râteau dans la main gauche. Chaussé de bottes en caoutchouc. Pull.
Coiffé d'une casquette de marin, le quidam est concentré sur sa recherche. Clémentine regarde partout autour d'elle. Guet.

Je scrute avec une grande attention. Ce qui m'inquiète plus particulièrement c'est la jetée à quelques mètres au dessus.
Clémentine regarde à plusieurs reprises derrière elle, en hauteur. Elle sait que le "danger" peut venir de la haut. Prudente.
Le type ne sait pas que là, à quelques mètres, il y a une fille accroupie, tenant sa culotte dans la main, cuisses écartées.
Clémentine est accroupit entre deux rochers. Au bas d'un plus gros qui la dissimule de la vue depuis la jetée. Rassurée.
Le ramasseur de crustacés arrive enfin. Là, sur ls droite, il découvre la jeune fille. Ses cheveux qui cachent son visage...

Dans la perspective d'une éventualité exhibitionniste, Clémentine s'est retenue. Je sais que son envie de pisser est forte.
Depuis ma cachette, je n'entends rien des propos qui s'échangent. Mais je vois Clémentine bavarder avec l'inconnu. Pipi.
Le type tient son râteau et son seau. Il reste immobile. Sans doute consterné par ce qu'il découvre là. Une fille qui pisse.
Je suis à une vingtaine de mètres. Au-dessus de moi j'entends des rires et des conversations. Les touristes se baladent.
Là-bas, Clémentine se redresse très rapidement. Elle se torche avec un mouchoir en papier. Le type observe sans bouger.

La situation est à haut risque. La jeune fille préfère ne pas s'attarder. Elle salue le type et revient dans ma direction. Rires.
< Encore un "spectateur" qui ira brûler un cierge ! > me fait ma compagne. Nous rions de bon cœur. Il est temps d'y aller.
Nous remontons sur la jetée. Clémentine me fait part de l'intensité de son excitation. Je compatis en soupirant. Rigolades.
Nous voilà sur le bateau. Ce sont souvent de vieux rafiots sommairement aménagés pour trimballer les touristes en été.
Nous sommes assis sur de simples bancs de bois vissés au sol. Un peu secoué par la houle dans le bruit du moteur diesel.

Nous faisons le tour des îlots. Ils semblent tous couverts de givre. Ce sont les déjections des milliers d'oiseaux qui vivent là.
Les macareux et les fous de bassan ont colonisés les lieux depuis des siècles. Le cris des oiseaux est strident. Sonore. Fou.
Nous arrivons à l'embarcadère de l'île de Bass Rock. Nous recevons les consignes. Interdiction de quitter le sentier balisé.
Nous sommes une trentaine de touristes à marcher sur des rondins de bois sur pilotis. Ce chemin fait le tour de l'île. Bien.
Aucune opportunité d'exhibe pour Clémentine qui me touche discrètement la braguette. Je la touche discrètement aussi...

Le tour de Bass Rock dure environ une heure. L'air du large nous enivre. C'est de toute beauté. Le soleil éclaire parfois.
Nous voilà de retour sur le bateau. Une vingtaine de minutes et nous voilà de retour à North Berwick. Il est déjà 17 h.
Nous flânons longuement pour nous imprégner de toutes ces images qui deviendront autant de souvenirs. C'est superbe.
A présent la mer est haute. Il serait impossible de retourner au bas de la jetée. Nous mangeons nos pommes avec joie.
Nous sommes assis sur un muret. La vue porte sur les îlots que nous avons visité. Le cris des mouettes est incessant...

Il est rapidement dix neuf heures. Il n'y aura pas de couché de soleil car le ciel est devenu désespérément gris et lourd.
Nous décidons de prendre la route du retour. Nous sommes à Edimbourg pour vingt heures. Clémentine préfère rentrer.
Nous nous préparons un repas goûteux. Avocats aux crevettes accompagnés de crudités. Clémentine est toute contente.
Nous traînons à table. Nous faisons notre vaisselle. Nous décidons d'aller flâner un peu dans le quartier. C'est bien aussi.
Clémentine me fait : < Tu me mets le collier et la laisse ? >. Je fais selon les désirs de ma compagne. C'est sympathique.

Nous prenons la ruelle où nous passons le matin pour nos joggings. La nuit tombe doucement. Les rues sont désertes.
Je tiens Clémentine à la laisse. Parfois, je donne un à coup. Ce qui fait glousser ma compagne ravie et enchantée. Joie.
A plusieurs reprises je passe ma main sous sa jupe, entre ses cuisses. Elle ne porte pas de culotte pour la circonstance.
J'aime son sexe qui est toujours rapidement trempé de sa mouille. Je m'en lèche souvent les doigts. Acide et crémeux.
Nous croisons un promeneur de chien. Clémentine très fière, la tête haute, tenue à la laisse salue poliment l'inconnu...

Nous rions de bon cœur en nous retournant. Le type est debout là-bas, à nous observer, pantois et sans doute consterné.
Clémentine me touche la braguette et s'accroupit à plusieurs reprises. Nous croisons un autre quidam solitaire. Il mâte.
Clémentine s'arrête. Accroupie sur ma droite, me tenant par les hanches, son visage contre ma cuisse elle salue le type.
Je suis toujours terriblement gêné. C'est la seule situation qui me fait encore rougir comme un adolescent. Quelle salope.
Le promeneur est certainement très gêné aussi car il ne s'attarde pas. Poliment il répond au < Good night ! > de la fille.

Nous sommes de retour pour vingt trois heures. Nous sommes évidemment considérablement excités. Clémentine surtout.
Je l'entraîne par la laisse. Je la bascule sans ménagement sur le lit. < Et la douche ? > me demande t-elle un peu inquiète.
< Pas tout de suite ! Je veux goûter ta journée de salope ! > que je lui fais en fourrant mon visage entre ces cuisses. Joie.
Quel régal. Tous les sucs les plus étonnants ne sont pas sans évoquer les fruits de mer dont nous raffolons. Jus de salope.
Clémentine m'entraîne sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Immobiles, nous nous aimons fort...

Bonne découverte de la région d'Edimbourg à toutes les filles exhibitionnistes désireuses de s'éclater comme des bêtes.

Oncle Julien - (Qui se régale du "fruit de mer" de Clémentine dont il déguste les saveurs avec bonheur. Un vrai gourmet) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Danser
Wednesday 26 July 2017 07:40

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Clémentine continue de prendre des initiatives de découvertes écossaises - Jour 16 -

Hier matin, mardi, c'est moi qui suis réveillé le premier. Je regarde l'heure, il est presque huit heures. Je regarde à gauche.
Clémentine est entrain de s'étirer en gémissant. < Bonjour Julien ! > me fait elle dans un long gémissement. Nous rions.
< Bonjour Clémentine ! > que je lui fais avant qu'elle ne me chevauche en riant. Nous nous offrons des papouilles. Joie.
Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'aux toilettes. < Attention ! Je suis salope aujourd'hui ! > me fait elle. Rigolades.
Ma compagne se soulage dans un long jet sonore avant de me tenir la bite pour en diriger le jet. Nous sommes mort de faim.

Nous préparons notre petit déjeuner. Nous prenons notre temps en bavardant. Dehors, c'est toujours le même climat. Gris.
Le soleil fait de timides apparitions dans un ciel principalement nuageux. Par contre la douceur est des plus agréables. Bien.
< Je veux venir vivre ici ! > me fait une nouvelle fois la jeune fille avec le plus grand sérieux appuyé d'un air grave. Sympa.
Nous prenons notre petit déjeuner en traînant. Nous sommes en vacances et nous consacrons nos matinées au farniente.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Pour le troisième jour consécutif c'est elle qui me propose le programme du jour.

< Aujourd'hui, nous partons pour La réserve naturelle de Aberlady ! Trente minutes de voiture d'Edimbourg !> fait la fille.
Elle continue : < Une randonnée sur le littoral. Visiter la réserve ornithologique. Puis le village historique d'Aberlady ! >
J'écoute. Je suis enchanté par les initiatives de ma compagne. C'est bien de me laisser guider un peu à mon tour. Sympa.
Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenue. C'est le rituel quotidien de notre jogging. Il ne fait pas encore chaud.
Nous courons une heure trente le long de notre parcours habituel. Une alternance de séquences ensoleillées et couvertes...

Nous sommes de retour pour dix heures trente. La douche. Nous allons dans la pièce de séjour. Nous allumons l'ordinateur.
Deux messages. Le premier d'Estelle qui nous raconte ses journées de travail et ses soirées à faire du cheval chez Juliette.
Avec quelques détails croustillants Estelle nous raconte les attitudes salaces de monsieur Gérard, le palefrenier. Un salaud.
A présent, lorsqu'elle revient de sa promenade à cheval, monsieur Gérard l'attend avec la bite à l'air. Il la drague vraiment.
Estelle nous fait part des émotions que cela suscite. Elle nous décrit les situations et son jeu de pucelle effarouchée. Rires.

Nous répondons. Nous découvrons le message de Juliette qui nous confirme les balades à cheval d'Estelle. Photo de chevaux.
Nous répondons également. Par acquis de conscience Clémentine surfe sur le site de la Faculté. Je vais faire une machine.
Clémentine vient me rejoindre. Elle passe derrière moi, m'attrape par les couilles. < Tu es prévenu, je suis hyper salope ! >.
Je la prend dans mes bras. Je la soulève. Je la fais tournoyer dans les airs. < Je t'aime comme une folle ! > s'écrie t-elle.
Nous nous offrons plein de tendresse et de douceur. Clémentine me chuchote des merveilles. Je lui murmure des secrets...

Nous préparons nos affaires pour notre virée de l'après-midi. Dans le petit sac à dos. Fruits, eau, K-way, barres de céréales.
Nous retournons vider la machine et suspendre notre linge sur l'étendoir de la salle de bain. Dehors, il y aurait des risques.
Nous nous préparons un copieux repas. Clémentine fait les salades. Je prépare les coquillettes. Nous bavardons. C'est bien.
Je fais les coquillettes au gratin avec du parmesan râpé. Accompagnées d'une légère sauce à la crème, ce sera parfait. Joie.
Nous mangeons de bon appétit. Il est treize heures. La vaisselle est faite. Nous voilà en route pour Aberlady. Soleil. Sympa.

Clémentine qui aime tenir ma queue fermement pendant que je roule me fait : < J'espère m'offrir quelques frissons ! >.
Je passe ma main sous sa jupe, entre ses cuisses chaudes. < Attention, danger, tu es avec une sacrée salope ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur. Nous arrivons en bord de mer. Il y a pas mal de voitures garées là. L'endroit est prisé et visité.
Clémentine porte sa jupe en velours carmin, un sweat-shirt léger et ses baskets de marche. Je suis en short, sweat-shirt.
Le soleil fait de fréquentes percées. Il fait doux. Il y a un léger vent du large. L'odeur de la mer est forte. La marée basse.

Nous voilà a parcourir le sentier côtier. Nous croisons des randonneurs. Au détour d'une dune, nous découvrons la plage.
C'est une longue plage de sable blanc qui s'étend jusqu'au lointain. Au loin, nous percevons des habitations. Mer calme.
Il y a quelques familles sous des parasols sur la plage. Peu de baigneurs toutefois. L'eau n'est peut-être pas très chaude.
Nous descendons fouler le sable. Nous retirons nos baskets pour marcher dans l'eau. Les vagues caressent nos mollets.
En effet, la température de l'eau n'invite pas à la baignade. Il faudrait quelques jours de fortes chaleurs. Nous marchons.

Nous sortons de l'écume pour avancer pieds nus. Le cri des mouettes est strident. Pas de doute, il y a un port là-bas.
Nous remontons sur le sentier entre les dunes et la plage. Il y a quelques bunkers en ruines qui datent de la guerre.
< L'endroit rêvé pour une petite exhibe, ces bunkers ! > me fait Clémentine. Nous rions de bunker. Il y a des marcheurs.
Clémentine m'entraîne derrière les constructions en béton. Comme partout, l'endroit sert de toilettes sauvages. Dégueu.
Aussi, vu tout ce qui jonche le sol, nous ne nous attardons pas. < Tant pis ! > me fait Clémentine en m'entraînant. Rire.

Une bonne heure de marche et nous arrivons au village de Aberlady. Un bourg aux relents médiévaux. Un port de pêche.
< J'ai une méchante envie de pisser ! Viens, on commence par le port, il y a peut-être un "plan" ! > me fait ma compagne.
Nous flânons sur les quais. L'animation y est constante. Il y a des bateaux de pêche qui attendent la marée haute. Bien.
Là, entre deux camionnettes, Clémentine me fait : < Va un peu plus loin, tu sécurises. Je dois pisser ! >. Je m'éloigne.
Clémentine guette. Elle va d'un côté à l'autre entre les deux véhicules. Je suis planqué derrière une pile de paniers d'osier.

Clémentine me fait des signes. Une main sous sa jupe, entre ses cuisses serrées, la jeune fille se tortille. Il y a urgence.
L'attente n'est pas longue. Il y a un homme qui vient dans la direction des camionnettes. Peut-être un employé du port.
Il téléphone et paraît absorbé par sa conversation. Il arrive à la hauteur des camionnettes. Il découvre la fille accroupie.
Clémentine n'en peut plus. La culotte descendue aux genoux, qu'elle tire vers le haut avec l'index, la jeune fille pisse !
Le gars, tout en continuant de téléphoner, s'est arrêté. Il se dirige vers une des camionnettes pour en ouvrir la porte...

L'homme tient la portière du véhicule d'une main et le téléphone contre son oreille de l'autre. Le bienheureux mâte. "Show".
Il faut imaginer cette scène hautement évocatrice. Dans le cri strident et permanent des mouettes, cette fille accroupie là.
Le ciel est dans une séquence nuageuse. La situation dure le temps qu'il faut à Clémentine pour se soulager. Il était temps.
Bien évidemment la jeune fille en rajoute. Le type me tourne le dos. Depuis ma cachette je ne peux que bien regarder.
Le type téléphone toujours. Clémentine se redresse, se torche avec un mouchoir en papier et remonte sa culotte. Sympa...

La jeune fille fait un signe de salut à l'inconnu, contourne la camionnette et vient dans ma direction. Flaque de pisse au sol.
Nous continuons notre balade. Là, en remontant les quelques marches de l'escalier pour arriver sur la route, la camionnette.
Le type passe au ralenti. Deux coups de klaxon. Malgré ma présence, sans le moindre tact, le type lève le pouce de la main.
Nous rigolons comme des bossus en regardant disparaître la camionnette au bout de la rue. < Sympa ! > lance Clémentine.
Nous visitons le bourg. Clémentine tient la brochure touristique et joue à la guide en lisant à haute voix. Bourg historique...

La visite est des plus agréables. Il y a pas mal de touristes. Nous visitons l'église néo gothique. Il y fait agréablement frais.
Il est déjà quinze heures trente. Nous sortons du bourg pour nous rendre dans la réserve ou vivent différentes espèces.
La visite est encadrée. Deux guides expliquent l'origine et la raison d'être de cet endroit destiné à préserver faune et flore.
Le souci écologique est un dogme appliqué partout en Ecosse. Les autorité sont soucieuses de préserver ce pays unique.
Nous retournons dans le village. Nous nous offrons des cônes glacés. Nous déambulons dans les quelques rues. C'est beau.

Nous prenons le chemin du retour. Nous quittons le sentier. Un panneau. Le café ferme Gosford propose des produits locaux.
Nous nous y rendons. < J'ai à nouveau envie de pisser ! > me fait Clémentine en arrivant aux bâtiments. Il y a du monde.
Nous rions de bon cœur. Nous entrons dans les boutiques. La cour intérieure de la ferme est aménagée pour le tourisme. Bien.
Magasin de souvenirs, tourniquets de cartes postales, boutiques d'artisanat, épicerie de produits locaux. L'entrée du restaurant.
Clémentine avise les toilettes et me fait : < Viens ! >. Nous entrons dans un lieu propre à la forte odeur de javel ou de chlore.

Il n'y a personne. Clémentine nous entraîne dans la partie "homme". La configuration des lieux n'invite pas aux exhibitions.
Nous ressortons rapidement. Nous allons nous asseoir dans le café restaurant. Presque toutes les tables sont occupées. Succès.
Clémentine est un peu frustrée car il n'y a pas de réelles possibilités de s'offrir quelques frissons. Nous dégustons nos cafés.
Nous restons un moment. Nous repartons. Il est déjà dix sept heures. Nous arrivons aux environs des bunkers. Il y a du monde.
Clémentine scrute, cherche du regard. Rien à faire, ce sera un retour sans opportunités. Nous arrivons à la voiture. 18 h30...

Nous prenons la route du retour. Nous nous offrons la découverte d'une nouveau restaurant dans le centre d'Edimbourg. Faim.
Il est vingt heures. Nous voilà assis dans un de ses seafood typiques. Ces restaurants qui proposent des spécialités de la mer.
Nous bavardons. Nous évoquons la venue prochaine d'Estelle qui viendra passer quatre jours avec nous. Elaborer le programme.
Nous traînons à table jusqu'aux environs de vingt deux heures. Nous flânons dans les rues animées. Retour pour 23 h30. Bien.
Nous baisons comme des bienheureux que nous sommes. Après un délicieux "69", c'es la pénétration immobile habituelle...

Bonne découvert de la réserve ornithologique du village historique de Aberlady à toutes les filles exhibitionnistes. (Et aux autres).

Oncle Julien - (Qui s'introduit toujours dans la fille avec d'infinies précautions. Clémentine apprécie cette délicate attention) -

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Clémentine et moi, nous allons d'enchantements en enchantements - Jour 17 -

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil avec cette façon très particulière qui m'amuse toujours beaucoup.
Clémentine me tient la bite. Mon érection matinale, et naturelle, offre quelques tentations bien légitimes à la fille.
< Bonjour Julien ! > me fait ma compagne en me couvrant le visage de bises. Je l'attrape pour l'attirer à moi. Bises.
< Bonjour Clémentine ! Qui rime avec coquine ! > que je lui fais juste avant qu'elle ne me chevauche en riant. Câlin.
Ce sont nos papouilles. Hélas, l'envie de pisser, forte et sans pitié, nous oblige à mettre un terme à nos effusions...

Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Elle se soulage d'un long jet sonore. Je la tiens fermement.
Puis c'est à son tour de me tenir la bite pour en diriger le jet. Nous nous précipitons à la cuisine. Le petit déjeuner.
Nous préparons rapidement ce premier repas. C'est toujours méthodique. Rien n'est laissé au hasard. Tout est ok.
Nous voilà à déguster nos tartines grillées au miel ou à la confiture. Nous bavardons. Nous évoquons le programme.
La venue d'Estelle jeudi que nous irons chercher à l'aéroport d'Inverness pour seize heures trente. Réjouissances...

Clémentine, assise sur mes genoux, me confie la fin de son inspiration pour organiser les journées à venir. Nous rions.
Je rassure ma compagne. Je prends les choses en main. < Comme moi ? > me demande t-elle en saisissant ma bite.
Nous rions de bon cœur. Aujourd'hui, nous irons découvrir la campagne luxuriante et le littoral accueillant des Lothians.
Le mélange parfait d'histoire et de paysages magnifiques, de culture et d'aventure. Clémentine m'écoute en silence.
Je prends mon ton docte et professoral qui fait tant rire la jeune fille qui me tient toujours fermement la queue. Bien...

Nous retournerons à North Berwick pour y visiter les fortifications impressionnantes du château de Tantallon. Mystère.
Puis ce sera l'imposant château de Blackness, près de Linlithgow, petit bourg typique qui a préservé son air médiéval.
Nous prendrons notre repas du soir à Edimbourg, au retour. Clémentine est enchantée de toutes mes suggestions.
Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenue. C'est le second rituel. Notre jogging quotidien. Il est 8 h45.
Nous voilà à courir sous un ciel couvert, nuageux mais pas menaçant. Un running d'une heure trente. Retour. Douche.

Vêtus de nos T-shirt, nous allons dans la pièce de séjour pour découvrir nos messages sur l'ordinateur. Deux courriels.
Estelle nous informe. Son père l'emmène à l'aéroport pour treize heures. Elle apporte quantité de fromages. Confiture.
Elle se réjouit follement pour nous revoir. Elle joint deux photos. Elle pose devant notre potager Et sur un cheval. Haras.
Nous répondons en joignant quelques clichés pris par Clémentine hier. Puis nous découvrons le message de Juliette.
La jeune femme joint également une photographie d'elle tenant le cheval sur lequel est assise Estelle souriante. Sympa.

Il est rapidement onze heures trente. La faim, insidieuse et sournoise, commence à nous gagner. Nous voilà à la cuisine.
Clémentine prépare les salades. Je prépare mes fameuses tartines aux anchois que je couvre de gruyère, d'olives noires.
Je mets le tout au four. Clémentine m'attrape plusieurs fois par la bite ou, en passant derrière moi, par les couilles. Joie.
< Répétition des choses à venir ! > me fait Clémentine, faisant référence aux attitudes d'Estelle qui m'attrape ainsi. Rire.
Je mets la table. Nous mangeons d'un bon appétit. Nous faisons la vaisselle. Nous préparons notre petit sac à dos. Bien.

Il est midi trente. Nous décidons de partir immédiatement. Ainsi nous pourrons profiter au maximum de notre après-midi.
Clémentine porte sa jupe en velours carmin, un sweat-shirt bleu nuit et ses baskets d'expédition. Je suis en short. Sweat.
Nous voilà sur la route. Il y a peu de circulation. Trente minutes de voiture. Clémentine joue avec mon sexe qu'elle tient.
Tout en bandant, tout en roulant doucement, nous arrivons à North Berwick, le village en bord de mer. Il fait plutôt doux.
Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. Clémentine me fait : < Attention, salope ! >. Nous rions de bon cœur.

Pour arriver au château de Tantallon, il y a une heure d'une marche facile sur un chemin étroit. C'est de toute beauté.
Nous croisons des visiteurs qui redescendent. Derrière nous, à une centaine de mètres, il y a un groupe de six touristes.
Nous arrivons devant les restes d'un pont Levis. Un pont en métal permet de franchir le ravin qui barre l'accès au lieu.
Le château se dresse sur un promontoire donnant sur le Firth of Forth, à environ cinq kilomètres de Noth Berwick. Bien.
C'est une forteresse du milieu du XIVᵉ siècle. Les ruines sont imposantes. Nous y pénétrons. Séduits par tant de beauté.

Clémentine tient l'appareil photo. La jeune fille excelle dans la prise de vue. Elle sent intuitivement le meilleur angle.
Il y a pas mal de visiteurs. Quelques timides rayons de soleil illuminent la citadelle d'une lumière irréelle. Dorée. Bien.
L'endroit respire un passé tourmenté. Tout y est mystère. Nous apprécions chaque instant de notre découverte. Beau.
Il y a des panonceaux qui relatent l'histoire de la forteresse. Les seigneurs du lieu confrontés à d'incessantes guerres.
Clémentine, tout en lisant, discrètement, me palpe la braguette. < Attention, salope ! > me fait t-elle à chaque fois...

Je regarde partout autour de moi, dans toutes les directions. Je passe rapidement ma main sous la jupe de Clémentine.
< Attention, salaud à cinquante centimètres ! > que je lui fais. Nous rions de bon cœur. Nous continuons la visite. Joie.
Bien évidemment, la jeune fille est habitée d'un fort désir exhibitionniste. Elle m'en fait part à plusieurs reprises. Rires.
Aussi, c'est animée de cette envie de plus en plus pressante que la jeune fille m'entraîne dans chaque recoin. Escalade.
Nous gravissons quelques éboulis pour bien fouiller chaque recoin. Il y a là quelques endroits qui se prêtent aux exhibes.

Nous sommes derrière un muret dont les pierres éboulées offrent un lieu isolé et dissimulé aux regards. Un lieu discret.
< Mets toi derrière le rocher, là-bas, tu sécurises ! S'il y a un blème tu rappliques ! > me fait la jeune fille impatiente.
Elle rajoute encore : < Je dois faire pipi, j'espère qu'il y a un "plan" ! >. Elle se serre contre moi. Elle m'embrasse. Joie.
Je vais me poster derrière l'amas rocheux contre lequel la base d'un mur a été construit jadis. Le lieu est parfait. Voyeur.
Clémentine est à une vingtaine de mètres. De ma cachette, j'ai une vue parfaite sur la cour du château et sur la fille...

Personne ne semble intéressé par ce côté ci. Clémentine est appuyée contre le montant en pierre d'une ancienne poterne.
Elle me tourne le dos. Elle scrute le sentier qui monte jusqu'ici. Le cri des mouettes alterne avec des moments de silence.
Un temps indéfinissable s'écoule ainsi. Clémentine se retourne souvent pour me faire des grimaces. < Pipi ! > crie t-elle.
Il y a enfin des gens qui se dirigent vers notre cachette. Un homme qui marche en tête et deux femmes qui bavardent.
Les femmes s'arrêtent pour s'asseoir sur une table de pierre. L'une d'entre elles fait des photos. L'homme continue. Bien.

Voilà encore une de ces opportunités dont raffole Clémentine. Je la regarde descendre sa culotte jusqu'aux genoux.
Elle s'accroupit. Se faire surprendre dans sa position préférée. Délicieuse salope qui s'apprête à se donner en spectacle.
La tête baissée, les cheveux devant le visage, la culotte tirée en l'air avec l'index, cuisses écartées, la voilà en position.
Je bande comme un salaud. J'ai le cœur qui bat. L'inconnu, quinquagénaire athlétique, arrive aux pieds du haut mur.
Là, sur sa droite, il découvre la jeune fille. Une fois encore j'admire l'aplomb avec lequel la jeune fille fait son "show".

Depuis ma cachette je n'entends pas les propos qui s'échangent. Toujours est-il que l'inconnu engage une conversation.
Clémentine relève la tête. Elle tient ses cheveux de sa main gauche. Elle tient sa culotte vers le haut de sa main droite.
Il n'est pas toujours évident pour Clémentine de pouvoir pisser dans ces situations. Si son excitation est forte, impossible.
Et là, ça doit être le cas. Je la vois sourire et bavarder tout en restant dans sa position. L'inconnu regarde autour de lui.
Les deux femmes qui l'accompagnent bavardent un peu plus bas, à une cinquantaine de mètres. Le type semble rassuré.

Le type ouvre rapidement la braguette de son pantalon. Il en extrait une grosse bite. Il bande. Il l'agite vers la fille.
Je contemple le sexe impressionnant du mec. Il le secoue en direction de la jeune fille tout en bavardant. C'est insolite.
Clémentine, toujours dans sa position préférée n'arrête pas de rire tout en bavardant avec l'inconnu. Je sors ma queue.
Je me masturbe doucement en observant ma compagne se livrer à son vice avec cette virtuosité exhibitionniste folle.
Quel culot. Elle va encore revenir hyper excitée. Le type se masturbe. Il est debout à quelques mètres de Clémentine.

La situation, à la fois cocasse et torride, perdure ainsi un petit moment. Les deux protagonistes s'observent. Exhibes.
Deux exhibitionnistes qui se rencontrent, se livrent à leurs vices dans le plus grand plaisir. Clémentine se concentre.
Lâchant ses cheveux qu'elle tenait sur le côté, la jeune fille prend appui sur une grosse pierre derrière elle. Cambrée.
Clémentine pisse enfin. Elle lâche un jet continu. Un jet puissant qui vient s'écraser presque aux pieds de l'inconnu.
Ce dernier accélère son mouvement masturbatoire. La situation est hyper torride. Là, en bas, les femmes se lèvent...

Le type a juste le temps de ranger sa bite, il n'a pas fermé sa braguette que les deux femmes arrivent en bavardant.
Clémentine se fait surprendre juste entrain de remonter sa culotte. Les deux femmes viennent elles de comprendre ?
Clémentine file à toute vitesse. Les deux femmes contemplent la flaque de pisse que la roche n'a pas encore absorbé.
< C'était dément ! > me fait Clémentine en me remerciant d'avoir sécurisé son exhibe. Je la fais tournoyer en l'air.
Nous rigolons comme des bossus. Je dépose Clémentine au sol. < Je me suis payé une tranche excitante ! > dit elle.

Nous terminons notre visite pour redescendre. Il est déjà seize heures. Direction le château de Blackness. Autre site.
Nous arrivons au près d'une citadelle qui n'est pas sans évoquer un vaisseau de pierre. Comme un paquebot posé.
Cette forteresse est en cour de restauration. Nous pouvons toutefois suivre un guide pour la visite. Une jeune fille.
Nous sommes en queue d'un groupe d'une quinzaine de visiteurs. Clémentine me chuchote plein de cochonneries.
Souvent, discrètement, elle me palpe rapidement la braguette. Nous sommes tous deux terriblement excités. Sympa.

Nous sommes en arc de cercle devant notre guide qui nous relate une partie de l'historique du château. Concentrés.
Discrètement, certaine de n'être vue que de la guide, Clémentine pose sa main sur ma braguette. La jeune fille voit.
Sans perdre son flegme, la guide continue ses explications. Nous continuons la visite. Clémentine récidive encore.
La guide nous surprend ainsi à quelques reprises. Elle doit comprendre à quel genre de vicelards elle a affaire. Vice.
Rapidement, après une période d'étonnement bien légitime, la jeune fille semble entrer dans notre jeu. Je bande fort.

Lorsque je bande, ça se voit. La forme de ma queue dans le pantalon présente une grosse bosse oblongue. Sympa.
Aussi, lorsque Clémentine me la tient discrètement, derrière les touristes agglutinés devant la guide, c'est superbe.
La guide semble à présent très impatiente de nous voir faire les salopards encore. Clémentine lui en offre et bien.
Il nous faut ruser. Clémentine est une virtuose de la discrétion. Elle n'a pas sa pareille pour faire des trucs en douce.
La guide nous fixe de plus en plus souvent tout en parlant à l'ensemble du groupe. La visite se termine. Superbe...

Comme toujours, discrètement, en saluant chacun de nos guides, je lui tend discrètement un billet de banque. Bien.
Nous ne sommes pas nombreux à manifester ainsi notre satisfaction. Aussi, comme à chaque fois, je suis remercié.
La jeune fille est confuse mais heureuse de se voir félicitée pour ses compétences. Clémentine se rapproche encore.
Discrètement, devant la jeune fille, elle palpe ma braguette. La guide ne peut cacher son émotion et son amusement.
Pourtant, il lui faut rejoindre la porte où attend le prochain groupe de visiteurs. Nous la saluons avant de repartir...

< Tout cela te fait des entraînements pour l'arrivée d'Estelle demain ! > me fait Clémentine une fois à l'extérieur.
Nous rigolons comme des bossus. Il est dix huit heures. Nous retournons à la voiture. Direction Edimbourg. Faim.
Nous nous promenons dans le centre. Clémentine est tombée amoureuse folle de cette ville. Il est déjà 20 h30.
Nous choisissons un de nos seafood préférés. Nous sommes tombés en amour du homard grillé. Un vrai régal. Joie.
Après le repas, nous flânons encore un peu. Nous sommes de retour à l'appartement pour 23 h30. On baise. Plaisir...

Bonne découverte des châteaux de la région d'Edimbourg à toutes les jeunes filles exhibitionnistes. (Et même aux autres).

Oncle Julien - (Qui se prête aux fantaisies folles de Clémentine qui ne manque jamais une occasion de le faire bander) -

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Nous sommes contents, nous allons chercher Estelle à l'aéroport - Jour 18 -

Hier matin, jeudi, nous sommes tirés de notre sommeil à six heures. Clémentine s'écrie : < Je n'ai pas cours ! >. Rires.
En effet, dans notre vie, lorsque sonne le réveil, c'est pour permettre à Clémentine d'être à l'heure en cours, à la faculté.
Cette, fois, et en vacances, le réveil nous permet de partir de bonne heure. Nous partons visiter Inverness. Le Loch Ness.
Clémentine me fait plein de bisous, me chevauche en riant. J'émerge lentement. Je l'attrape pour la basculer. Nous rions.
L'envie de pisser nous pousse aux toilettes. Clémentine m'y entraîne par la main. Je la tiens. Elle se soulage. Jet sonore.

Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Nous sommes morts de faim. Nous nous précipitons à la cuisine. Joie.
Nous préparons notre petit déjeuner que nous dégustons en évoquant le programme de cette journée toute particulière.
Nous faisons notre vaisselle. Nous nous mettons en tenue. Le jour est entrain de se lever. Le ciel semble gris et couvert.
Nous partons courir pour notre jogging quotidien. Nous sommes de retour à 8 h45. La douche. Nous préparons le sac.
Le petit sac à dos dans lequel nous mettons des fruits, des barres de céréales, des gâteaux, de l'eau et nos deux K-way.

Dans un sac, nous emmenons des vêtements de change. Il fait plutôt doux, mais il est préférable d'êtres précautionneux.
Nous voilà en route. Il y a 250 km à faire. La route est dégagée, la circulation est fluide. Nous roulons vraiment très bien.
Nous ne tardons pas à nous retrouver dans ces paysages si caractéristiques. De toute part, il y a ces hautes montagnes.
Clémentine me tient la bite qu'elle a extrait de ma braguette. Elle joue avec tout en admirant toutes ces merveilles. Bien.
Clémentine porte sa jupe en velours carmin. Un T-shirt noir. Ses baskets de promenade. Je suis en short , T-shirt. Baskets.

Nous voilà à Perth. La première ville des Highlands. Il y a de timides percées du soleil. Les paysages sont époustouflants.
Clémentine découvre cette région avec un enchantement silencieux. La jeune fille n'a pas assez de ses yeux pour tout voir.
Nous traversons cette ville. < Je veux venir vivre dans ce pays, c'est décidé ! > me fait Clémentine avec une voix grave.
< Je vais me préparer à cela. Avec mon Doctorat en poche. J'ai trois ans pour tout organiser ! > rajoute la jeune fille...
Je la rassure. Je serais présent pour l'y aider. < Et certainement pas sans toi ! > me fait elle encore en serrant ma queue.

Nous voilà à présent sur l'autoroute A9. Nous passons à Aberfeldy, puis c'est Pitlochry et ses monuments Gothiques. Beaux.
Clémentine prend plein de photos. Les montagnes semblent de plus en plus hautes. Le paysage de plus en plus accidenté.
J'explique à Clémentine que jadis toute l'Ecosse était couverte de profondes forêts de hêtres, de chênes et autres résineux.
Au début du XIXème siècle, avec l'essort économique, les Anglais sont venus piller les richesses naturelles de l'Ecosse. Mal.
Créant ainsi un des premiers bouleversements écologiques de l'époque moderne. Clémentine rit de mon ton professoral.

C'est le Cairngorms National Park. L'Ecosse préserve ses paysages qui sont sa richesse naturelle. Tout y est fantastique.
Nous traversons Kingussie puis Aviemore, villages typiques. Nous sommes frustrés de ne pouvoir nous y arrêter. Pressés.
Nous prenons la route qui rejoint l'A82 pour aller sur Fort Augustus. Nous traversons des paysages fabuleux. Majestueux.
Nous arrivons à Fort Augustus. Je connais bien la région. Je sais comment rejoindre la petite route à droite du Loch Ness.
Il faut être rusé pour éviter la route touristique qui monte sur Inverness sur la gauche du lac. Clémentine est émerveillée.

Nous voilà sur la toute petite route étroite qui monte sur Knockie Lodge. Le loch Ness mesure plus de 35 km. En longueur.
Le lac ne mesure que 900 mètres dans sa partie la plus large. < Voilà enfin cet endroit de légende ! > me fait Clémentine.
< Tu as déjà vu le monstre ? > me demande t-elle en riant. < Non, et personne ne la jamais vu ! > que je réponds en riant.
< En tous cas c'est la formule publicitaire la plus originale ! > fait encore Clémentine en me serrant la bite fermement.
Nous rions de bon cœur. Sur la droite, les Black Mount couverts de forêts noires. Principalement des épicéas et résineux.

L'étroite route qui longe le lac se déroule dans un paysage irréel. Nous arrivons à Foyers. Nous devons faire pipi. Urgence.
A la sortie de Foyers, petit bourg, il y a un chemin qui part sur la droite, juste en face du parking du restaurant. C'est bien.
Je gare la voiture. Nous sommes au-dessus de l'ancien manoir d'Aleyster Crowley, le célèbre mage. C'est Boleskine House.
Clémentine, accroupie, entrain de pisser, me tient la bite pour en diriger le jet. Nous prenons consciencieusement le temps.
Nous redescendons à la voiture. Clémentine prend quelques photos de Boleskine House et des chevaux blancs dans le parc.

Nous reprenons la route. Après Inverfaringaig sur le promontoire, de l'autre côté du lac, il y a les ruines de Castle Urquart.
Château dont la silhouette inquiétante défie les siècles et les eaux noires du Loch Ness. C'est féérique. Paysages de rêve.
Nous parcourons presque quarante kilomètres sur cette petite route où nous croisons quelques rares véhicules. Tranquille.
Nous arrivons en vue d'Inverness. Le grand pont en fer qui enjambe la rivière Ness. Il est midi trente. Nous avons faim.
Nous garons la voiture dans une ruelle. Je connais bien cette ville. Il y a toujours de nombreux musiciens de rue. Sympa.

Inverness a toujours été une ville d'accueil et de clivages. Elle attire depuis très longtemps tous les marginaux du pays.
Il y a donc toute une faune qui hante cette cité cosmopolite. J'entraîne Clémentine émerveillée dans le centre commercial.
Il y a là quantités de venelles couvertes de verrières. Un centre commercial couvert de millier de carreaux. C'est insolite.
Nous avisons un restaurant à la décoration très rétro. Nous entrons dans un lieu typiquement écossais. Accueil chaleureux.
Assis à une table près de la vitrine, nous dégustons des steaks de saumons en regardant passer les promeneurs. Galerie.

Nous traînons à table. Devant nos coupes glacées nous évoquons le programme. Visite de la ville. Peut-être un musée.
Clémentine me montre les photos qu'elle a prise du Greig Street Bridge le grand pont que nous avons traversé. Sympa.
Nous voilà à flâner un peu dans cette grande galerie commerciale couverte. J'emmène Clémentine à Inverness Cathedral.
Ce monument présente la particularité d'une architecture Romane et Gothique. Différentes époques de constructions.
Souvent, discrètement, Clémentine me palpe la braguette. Nous allons visiter l'Inverness Botanic Garden. Extraordinaire.

Il est rapidement seize heures. Il est temps de retourner à la voiture pour nous rendre à l'aéroport. A côté de la ville.
Nous arrivons pour seize heures vingt. Je gare la voiture sur le parking. Nous allons dans le hall. Il y a plein de monde.
L'annonce est précise et audible, l'avion arrive. Nous nous pressons contre la baie vitrée. Voilà l'avion qui se pose.
Nous reconnaissons la haute silhouette filiforme d'Estelle qui tire une grande valise à roulette. Elle porte un sac à dos.
Lorsqu'elle nous voit, elle accélère le pas. Lâchant sa valise, Estelle se précipite vers nous. Nous la serrons fort. Joie...

Nous restons ainsi un long moment. Estelle a des larmes de joie. Elle se serre fort contre moi, puis contre Clémentine.
Estelle nous raconte son voyage, sa phobie naissante pour l'avion. Ses craintes inutiles et ses frayeurs au décollage.
Je peux sentir battre son cœur contre le mien. Je suis pétri d'émotion. Tout comme Clémentine. Tout comme Estelle.
Je prends sa valise et Clémentine prend son sac à dos. Estelle est vêtue d'un jean, d'une veste cintrée noire. Baskets.
Nous retournons à la voiture. Pour sa découverte de l'Ecosse, nous allons faire la route inverse. Un voyage unique...

Estelle est assise à l'arrière. Parfois elle est assise derrière Clémentine qu'elle tient par le cou. Parfois derrière moi.
Elle nous raconte ces 18 jours sans nous voir. Cette escapade écossaise lui a permis de gérer son immense chagrin.
Ce qui lui cause de la peine, ce sont les vacances dans le Var, chez sa mamie. Elle aussi déteste les grosses chaleurs.
< Tu restes avec nous en Ecosse ! > lui fait Clémentine. C'est impossible. Estelle, fille unique, se doit d'être présente.
< Quinze jours là-bas ! Je vais m'emmerder comme tous les ans ! > fait Estelle en me serrant les épaules. Je roule...

< C'est donc ce fameux Loch Ness ! > fait Estelle en découvrant, émerveillée, les paysages que nous traversons. Joie.
Il y a souvent un profond silence. Nous avons repris la route en sens inverse. Estelle regarde cet enchantement. Beau.
< C'est merveilleux ! J'ai l'impression d'être dans un film ! > fait plusieurs fois Estelle. La jeune fille prend des photos.
Nous arrivons à Edimbourg pour 21 h30. Estelle émerveillée, découvre notre appartement. Nous l'aidons à s'installer.
Je laisse les filles bavarder pour aller préparer notre repas du soir. Estelle est épuisée. Je fais les salades. Le poisson.

J'entends les filles rires dans la chambre à coucher. Cette ambiance rassurante me rappelle la maison. C'est superbe.
Clémentine et Estelle sont assises devant l'ordinateur. Ma compagne lui montre plein de photos prises depuis 18 jours.
< J'ai lu vos histoires tous les soirs sur le forum ! C'est passionnant ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus.
L'odeur des grillades attire les filles. Nous sommes tous les trois morts de faim. Estelle apporte un grand sac étanche.
Elle déballe quantité de morceaux de fromages emballés séparément. Roquefort. Morbier, tout ce que nous aimons...

Six petits bocaux de confitures faites avec les fruits de notre jardin. Nous la remercions. Je lui fais plein de bisous. Joie.
Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons. Estelle baille à s'en décrocher la mâchoire. Rires.
Il est presque minuit lorsque nous terminons la vaisselle. Estelle prend sa douche la première. Puis c'est à nous. Bien.
Lorsque nous arrivons dans la chambre, Estelle dort à poings fermés comme une bienheureuse. C'est merveilleux. Beau.
Clémentine se serre contre moi. < Merci pour toutes ces émotions et ce bonheur ! > me chuchote t-elle. C'est dodo...

Bonne découverte des Highlands à toutes et à tous. Même sans faire de cochonneries autres que des tripotages de sexes...

Oncle Julien - (Ecossais et fier de faire découvrir son pays à sa visiteuse enchantée et émerveillée) -

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Clémentine et Julien font découvrir Edimbourg à Estelle émerveillée - Jour 19 -

Hier matin, vendredi, je suis réveillé comme à la maison. Pareil. Sur ma gauche il y a des rires étouffés et des murmures.
J'ouvre l'œil, et le bon. < Bonjour Julien ! > me font les filles en cœur. < Bonjour les filles ! > que je réponds. Nous rions.
Clémentine se serre contre moi. Estelle se lève, sort du lit et le contourne. Elle revient s'allonger à côté de moi. Des bises.
Je tiens les deux filles contre moi. Chacune me couvre les joues de bisous. Je suis pétri d'émotion. Il n'y a rien de sexuel...
< Merci pour tout Julien, je te suis reconnaissante ! > me fait Estelle. < Mais le plaisir est partagé en trois ! > que je fais.

Nous restons ainsi un petit moment à nous murmurer nos ressentis, à évoquer nos émotions. Estelle va aux toilettes. Pipi.
Clémentine me chevauche en riant. < C'est génial ! > me fait elle. Je la fais tomber sur le côté. Nous rions de bon cœur.
< Je fais le petit déjeuner, je prends mes marques, vous ne faites rien ! > nous fait Estelle vêtue de son T-shirt de nuit.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux dans un équilibre instable au dessus de la cuvette. Pissou.
Je m'accroupis pour humer les parfums de sa nuit de fille et je lèche la petite goutte dorée qui perle. Légèrement acide.

Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle lape les derniers épanchements. Je la laisse sucer un peu.
Je la force à se redresser sous peine d'y passer la matinée. Nous sommes morts de faim. Il est presque huit heures. Bien.
Estelle termine de mettre la table. L'odeur du café et du pain grillé achèvent d'ouvrir nos appétits. Quelques bisous. Assis.
Nous voilà à déguster notre premier repas. Nous bavardons. Les filles évoquent leurs études, la rentrée universitaire. Joie.
< Je veux m'installer en Ecosse. Je suis hyper motivée pour le Doctorat ! > fait Clémentine. Ce sont des bosseuses. Sympa.

J'écoute les deux filles qui mettent quelques stratégies en place pour leur quatrième année de faculté qui pointe. Septembre.
Je suis toujours admiratif devant leurs résolutions, les fonctions de leurs "plans" et les stratégies qu'elles mettent en œuvre.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Estelle débarrasse la table et insiste pour tout faire. Vaisselle et rangements.
Bien évidemment, nous avons grand plaisir à essuyer. Aussi nous nous levons pour aider Estelle. Tout va donc très vite. Bien.
Nous nous mettons en tenues. Estelle observe la même hygiène de vie que nous. Jogging chaque jour. Nous voilà prêts. Joie.

Nous faisons découvrir le circuit de notre running quotidien à Estelle qui coure d'un bon rythme. Nous revenons pour 10 h15.
Estelle prend sa douche la première. Pendant ce temps Clémentine et moi, nous préparons nos affaires dans le petit sac à dos.
Il fait beau. Il y a du soleil et il fait déjà chaud. Estelle nous rejoint. Nous allons prendre notre douche. Estelle devant l'ordi.
Nous voilà vêtus pour partir sur Edimbourg. Estelle porte un short kaki, un T-shirt et des sandales. Clémentine est en jupe.
Je suis en short, chemisette en liberté et sandales. Nous descendons. Nous croisons mon oncle. Je lui présente Estelle. Bien.

Dans la voiture, Estelle nous raconte le comportement de monsieur Gérard, le palefrenier. La description n'est plus à faire.
Nous rions de bon cœur. Clémentine me sort la bite et fait à Estelle : < La quelle a ta préférence ? >. Eclats de rires. Sympa.
Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. Il est onze heures quinze. Dix minutes de marche et voilà Prince Street.
Estelle est émerveillée. < C'est magnifique ! On se croit dans un décors de film ! Génial ! > fait la jeune fille en admiration.
< Tu comprends pourquoi je veux venir vivre ici ! > fait Clémentine. Nous flânons tous les trois. C'est un réel bonheur. Joie.

Estelle fait des photos. Avec le retour d'une journée ensoleillée, il y a du monde. L'ambiance est toujours si particulière. Bien.
< Les gens sont grands, ici, en Ecosse ! On se sent moins seuls là haut ! > fait Estelle. Et c'est vrai que nous sommes grands.
Clémentine et Estelle ont quasiment la même taille 1,78m. Lorsqu'elles portent des talons de 6 cm, elles font soudain 1,84 m.
Cela attire souvent les regards. Mais pas ici en Ecosse où c'est très fréquent, sinon "normal". D'où l'aisance d'Estelle. Sympa.
Nous flânons sur Princess Street. < J'ai lu toutes vos aventures sur le forum. Je reconnais les lieux ! > nous fait Estelle. Joie.

Il est rapidement midi et demi. Je propose aux filles de nous offrir un bon repas dans le restaurant typique. Personnel en kilt.
Nous sommes assis à une table du fond. Il y a du monde. < Ce qui est étonnant, c'est la réserve des gens ! > fait Estelle.
Pourtant, autour de nous, il y a principalement des touristes. Notre choix se porte sur du homard grillé. Nouvelle addiction.
Estelle découvre ce plat. < C'est absolument génial ! > fait elle en dégustant. < Nous on n'en est dingues ! > dit Clémentine.
Je développe le programme de cet après-midi. Visite du château sur la colline. Holyrood castle. Puis le Botanic Royal Garden.

Nous traînons à table. Nous sommes tellement contents de nous retrouver tous les trois. Et loin de la maison, c'est insolite.
< Il y a un fantôme dans la maison ! Je croyais que tu disais ça comme ça ! > me fait Estelle. < Ma compagne ! > que je fais.
Je rajoute encore : < Nous y avons vécu près de vingt ans ! Elle vient voir si tout va bien ! >. < Ecossais ! > conclue Estelle.
Nous rions de bon cœur. Estelle me fait plein de bises. < Merci Julien ! C'était délicieux ! Quelle découverte ! > me fait elle.
Nous retournons sur Princess Street. Il faut remonter l'artère principale jusqu'à Holyrood, le château à l'entrée de la ville...

A plusieurs reprises, discrètement, Clémentine se place devant moi pour poser sa main sur ma braguette. Rires. Plaisanterie.
Nous montons au château. Le parc que nous traversons est plein de monde. Il y a un attroupement. Il y a là deux musiciens.
Nous nous arrêtons pour écouter un peu. Un guitariste et une fille qui joue de la mandoline. Musique écossaise et folklorique.
C'est très agréable. Dans l'attroupement, Clémentine me palpe souvent discrètement la braguette. Elle saisit la main d'Estelle.
Ma compagne pose la main d'Estelle sur ma braguette. Personne autour de nous ne peut se douter de se qui se passe. Sexe.

Estelle me fait : < Elle m'a manqué. Ce soir, si j'ai l'autorisation, je me la goinfre ! >. Nous rions de bon cœur. Nous montons.
Il faut suivre le guide. C'est une jeune étudiante. Nous sommes dans un groupe d'une quinzaine de touristes. Visite sympa.
Estelle, devenue virtuose, elle aussi, passe discrètement sa main sur ma braguette. Clémentine dit souvent : < C'est privé ! >.
Pour bien marquer son territoire, Clémentine se serre souvent contre moi lorsqu'Estelle a des élans tripoteurs. Rires et blagues.
La visite est passionnante. J'y suis venu plusieurs fois. Clémentine apprécie cette seconde visite comme si c'était la première.

Nous redescendons. Il est déjà seize heures. Je propose aux filles de prendre un de ces autobus à Impérial. Avec un étage.
Nous nous installons à l'étage du bus typique. Nous remontons l'avenue. Nous descendons près du Royal Botanic Garden.
Il y a une dizaine de minutes de marche pour arriver au jardin botanique. Un endroit à visiter absolument. Un grand parc.
Il y a là les variétés de fleurs les plus étonnantes. Des orchidées uniques. Des résultats d'expériences de croisements. Beau.
Estelle adore les fleurs. Aussi elle s'accroupit souvent pour en respirer les odeurs. Les parfums sont enivrants. C'est superbe.

Nous traînons là jusqu'à la fin de l'après-midi. Nous retournons flâner dans la vieille ville. Tout y est pavé, fleuri. Magnifique.
Bientôt il y aura les festivités. Le fameux festival d'Edimbourg. Les préparatifs sont visibles. Décorations et couleurs. Belles.
Il est rapidement vingt heures. Nous emmenons Estelle dans l'autre restaurant. Un seafood comme toujours. Découvertes.
Cette fois-ci, notre choix se porte sur des tartes aux crevettes. C'est un délice absolu. Avec de la salade de salicorne. Algue.
Nous nous en mettons plein la panse. Nous voilà bien lourds à déambuler dans les ruelles qui mènent à la voiture. Crépuscule.

Nous arrivons à l'appartement pour vingt trois heures. < Je peux avoir mon dessert ? > demande Estelle à Clémentine. Rire.
< Je te rappelle que c'est mon mec ! > fait Clémentine, sortant ma bite qu'elle agite devant Estelle. Nous rions de bon cœur.
Estelle tombe à genoux à même le plancher. Elle approche son visage pour humer longuement ma queue tout en gémissant.
Clémentine m'embrasse avec sa douceur habituelle. Sa bouche est tellement délicieuse. Je la fouille de ma langue. Sublime.
Estelle ne tarde pas à prendre ma bite en bouche. L'indicible caresse me procure quelques vertiges. Clémentine me tient bien.

Nous restons ainsi un long moment. Je saisi Estelle par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Elle se masse les genoux.
< Ouille, ouille, ouille ! Il est dur le parquet écossais ! > fait elle en riant. Clémentine nous entraîne aux toilettes. Pissous.
Estelle s'accroupit à mes côtés. Clémentine me tient la bite, la contraignant vers le bas. Je bande. C'est presque douloureux.
Je dois pisser. Pourtant l'excitation rend la chose impossible. Estelle se met à sucer à chaque fois que Clémentine la lui tend.
Ma compagne, délicieusement vicieuse, savoure cette situation avec des gloussements. Elle n'arrête plus de m'embrasser...

Nous restons un moment dans les chiottes. Je force Estelle à se redresser. Je la tiens par la nuque. Elle gémit de bonheur.
Clémentine prend toutes les initiatives. Elle nous entraîne dans la chambre. Elle éloigne Estelle du bras et m'attire sur elle.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons sans bouger. Estelle couchée à côté, tient mes couilles.
Nous évoquons toutes nos saloperies passées depuis quelques mois. Les confidences d'Estelle sont étonnantes. Excitation.
Estelle nous confie ses longues masturbations solitaires devant les films que nous avons réalisé il y a quelques mois. Bien.

Clémentine se met à bouger doucement. C'est imperceptible. Puis, lentement, le rythme s'accélère. Estelle m'embrasse. Joie.
Il m'est interdit d'éjaculer. Clémentine, après son orgasme, préfère se faire juter dans la bouche. C'est son petit plaisir. Bien.
Je me retire doucement. Je m'allonge à côté de Clémentine qui reprend doucement ses esprits et son souffle. Je l'embrasse.
J'agite ma bite vers Estelle qui se précipite pour me la sucer. Je suis une vraie fontaine à jute. Je suis terriblement excité.
Je laisse Estelle se régaler de tout ce foutre qui lui a tant manqué. Clémentine me couvre de bises et me chuchote des trucs.

Nous restons ainsi longuement. Je serre Clémentine contre moi. Elle me chuchote quantité de cochonneries. Je me fais sucer.
Estelle savoure ma queue en pompant comme si sa vie en dépendait. Je peux sentir ses efforts, sa langue. Un aspirateur à jus.
J'éjacule sans bouger. Parfaitement immobile. J'ai enfoncé un doigt dans l'intimité de Clémentine qui bouge à nouveau un peu.
Estelle glousse de plaisir en tentant d'avaler mon sperme abondant, épais et visqueux. Elle n'arrête pas de pomper. Salope...
Nous sommes tous les trois épuisés. Estelle s'offre un orgasme aux doigts qui secoue son corps de spasmes violent. Génial !

Sans même nous en rendre vraiment compte, nous plongeons tous les trois dans un profond sommeil. Je tire les draps...

Bonne retrouvaille avec votre visiteuse vicelarde et suceuse à toutes et à tous.

Oncle Julien - (Qui vient encore de se faire essorer le nœud et vider les couilles jusqu'à les assécher. C'est fabuleux) -

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Tout comme Clémentine, Estelle tombe amoureuse de l'Ecosse - Jour 20 -

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par une main qui s'empare de mon sexe turgescent. C'est toujours surprenant.
Il y a des rires étouffés et des murmures. J'ouvre les yeux. Les deux coquines sont entrain de me chatouiller tout en rigolant.
Je me redresse. Je passe par dessus Clémentine. A quatre pattes dans le lit, je me mets à chatouiller les deux filles à mon tour.
Elles ne s'attendaient pas du tout à ma réaction. Je passe rapidement de l'une à l'autre en poussant des grognements d'ours.
Ce sont des éclats de rires à n'en plus finir. Ce qui n'empêche nullement Estelle de me tenir la bite fermement, sans la lâcher...

Nous nous amusons ainsi un petit moment. Il est presque huit heures. Estelle se lève pour se précipiter aux toilettes. Le pissou.
Clémentine me chevauche en riant. < Vengeance ! > s'écrie t-elle. Je la fais basculer sur le côté. < Je t'aime ! > me fait elle.
Estelle revient des toilettes. < Bonjour Julien ! > me dit elle en mimant une masturbation masculine avec une grande vulgarité.
< Je vais préparer le petit déjeuner. Défense de venir avant que tout ne soit prêt. J'appelle ! > fait encore Estelle en partant.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. Debout au dessus de la cuvette, elle se lâche d'un jet puissant.

Puis c'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Je la laisse sucer un peu avant de la forcer à se relever.
< C'est prêt ! > fait Estelle depuis la cuisine. Nous sommes morts de faim. Nous nous précipitons pour rejoindre Estelle. Sympa.
Nous bavardons. Estelle nous raconte ses soirées chez nous, à la maison. Les visites de Juliette avec qui elle a sympathisé. Bien.
Les balades à cheval après avoir arrosé le potager. Les retour vers 21 h45 et les exhibitions sexuelles de monsieur Gérard. Rires.
Nous traînons. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. J'expose le programme de la journée. Retour sur South Queenferry...

Estelle nous raconte sa découverte de chacune de nos aventures postées sur le forum. Elle manifeste son désir de découvrir. Joie.
< C'est comme un feuilleton de l'été. "Les feux de l'amour" mais avec du cul ! > dit elle. Nous rigolons comme des bossus. Bien.
Nous partirons immédiatement après le jogging. Clémentine propose de préparer les sandwichs et de faire le chemin John Muir.
Je trouve l'idée excellente. < Oui, parce que le restaurant tous les jours, et deux fois ça coûte ! > fait Estelle en débarrassant.
< Julien ne connaît pas vraiment les problèmes de budget ! > fait Clémentine. Je rappelle à Estelle que l'hébergement est gratuit.

De plus, les nouvelles de ma galerie d'Art sont plutôt rassurantes. Il ne reste déjà plus qu'une quinzaine de toiles en exposition.
Mon oncle me tient régulièrement informé par téléphone. Tout se passe vraiment au mieux. Je déteste évoquer l'argent. Horreur.
Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenues. Nous partons tous les trois pour notre jogging. Il fait déjà chaud et beau.
Nous nous offrons une heure trente d'un running des plus agréables. La douche. Nous voilà à nous habiller pour cette randonnée.
Estelle porte une jupe de Clémentine. Cela l'amuse toujours car elle ne se sent pas vraiment à l'aise en jupe. T-shirt et baskets.

Dans la voiture qui nous emmène à South Queenferry, nous bavardons. Clémentine m'a sorti la queue. Estelle est assise à l'arrière.
Parfois, en passant son bras par dessus le siège, et de mon épaule, penchée en avant, Estelle m'attrape le Zob en éclatant de rire.
Nous arrivons sur le parking du port. < C'est comme dans les récits de Julien ! > fait Estelle en découvrant ce lieu enchanteur. Joie.
Nous flânons un peu sur le quai avant de remonter vers le village. < C'est superbe ! > fait Estelle à plusieurs reprises. Promenade.
Quelques fois, et toujours discrètement, Clémentine me palpe la braguette. Estelle l'imite souvent. Il faut être prudents, discrets...

Nous prenons le chemin de grande randonnée qui part le long de la rivière Forth. En fait, presqu'un fleuve à cet endroit. Immense.
Le chemin John Muir traverse toute l'Ecosse. < Lorsque nous vivrons ici, on se fera tout le chemin ! > me fait Clémentine. Superbe.
Estelle va d'enchantements en enchantements. < Comment peut-on vivre sans découvrir ce merveilleux pays ! > fait la jeune fille.
Elle rajoute : < Et je vais aller me faire chier deux semaines dans le Var, comme tous les ans, en été ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous arrivons devant Midhope Castle, petit château typique comme il y en a tant en Ecosse. Estelle fait quantité de photos. Sympa.

Elle nous fait poser devant les murailles. Clémentine me tient par la bite sur certains clichés. Elle qui déteste ce genre de photos.
Puis c'est au tour de Clémentine de nous photographier Estelle et moi. Estelle accroupit à mes côtés, genre soumise. Amusant.
Je refuse toutefois d'être photographié devant le château avec la bite à l'air. Estelle est un peu déçue. Nous rions de bon cœur.
Nous commençons à avoir faim. Nous avisons quelques tables et bancs sur une aire touristique. Il est treize heures trente. Bien.
Il y a peu de monde. La chaleur est forte. Nous sommes installés à l'ombre de grands arbres centenaires. Nous allons manger...

Nos sandwichs aux fromages et au thon sont savoureux. En entrée nous avons dégusté de bonnes et grosses pommes écossaises.
Nous prenons des petits gâteaux en dessert. Nous voilà un peu lourds. Nous restons un petit moment en ce lieu enchanteur. Beau.
Nous reprenons notre chemin. Nous croisons des marcheurs. Il est quinze heures lorsque nous arrivons devant Dundas Castle.
C'est un autre château. Nous visitons. Comme toujours, en cachette, je me fais tripoter par Clémentine. Estelle l'imite souvent.
Je passe ma main sous la jupe de Clémentine plusieurs fois. Au risque de me faire surprendre. Je ne le fais pas à Estelle. Interdit.

Nous prenons le chemin du retour. Il est dix sept heures trente lorsque nous arrivons au port. Clémentine me fait : < Surveille ! >.
Ma compagne entraîne Estelle entre deux piles de grands paniers de pêche. Toutes les deux, accroupies, se mettent à pisser. Bien.
Il est très rare qu'Estelle se donne ainsi en spectacle. Pourtant, là, elle semble prendre autant de plaisir que Clémentine. Je mâte.
Je regarde dans toutes les directions. Personne. Les filles peuvent se lâcher dans une véritable volupté qui fait plaisir à voir. Super.
Je sors ma bite que j'agite dans leur direction. Estelle se cambre pour diriger son jet vers moi. Nous rigolons comme des bossus.

Nous voilà dans la voiture. Retour sur Edimbourg. Estelle nous fait part de son bonheur d'être ici avec nous, à découvrir ce pays.
Clémentine me tient la bite. < J'ai envie de me la bouffer ! > fait Estelle. Clémentine me propose de m'arrêter. Bord de la route.
Je m'arrête. < Viens ! > fait elle à Estelle qui passe devant. Clémentine la force à se mettre au sol, dans la voiture, à ses pieds.
< Roule ! > me fait ma compagne, toujours si directive. J'adore. Estelle, parterre, devant les pieds de Clémentine me touche. Zob.
Passant son visage entre le levier de vitesse et la jambe de Clémentine, Estelle me suce. La position est totalement inconfortable.

Cela ne dure pas. Trop difficile. Je m'arrête. J'invite Estelle à retourner s'asseoir à l'arrière. < Profite de la vue ! > que je lui fais.
Nous arrivons à Edimbourg. Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle, à dix minutes de Princes Street. Nous déambulons.
Estelle regarde partout autour d'elle avec de grands yeux. < C'est prodigieux, irréel, on dirait des décors ! > dit elle plusieurs fois.
Nous traînons dans les petites rues commerçantes du centre. Les rues pavées évoquent une époque médiévale toujours vivante.
Il y a des fleurs partout. Les habitants fleurissent leurs portes, leurs fenêtres en prévisions du festival d'Edimbourg. Grande fête.

< Si je craque dans le Var, je lâche tout, je prends l'avion et je viens vous rejoindre, c'est trop beau ! > nous lance soudain Estelle.
Nous rions de bon cœur. Je lui fais : < Nous serons chez ma tante à Saint Andrew à partir du mardi premier août ! >. Rigolades...
Clémentine tente de raisonner Estelle en lui disant : < C'est ta mamie, là-bas, il faut faire un effort ! >. Nous flânons dans les rues.
Il est déjà vingt heures trente. Insidieusement nos appétits s'ouvrent. Nous lisons les menus affichés. Quelques restaurants. Bien.
Nous sommes de grands consommateurs de produits de la mer. C'est notre seul nourriture carnée. Aussi, nous sommes difficiles.

Nous jetons notre dévolu sur un établissement très classe et dont les menus sont attractifs. Peu onéreux. The ship of the Shore.
Nous voilà assis à une table dans un grand espace lumineux. Tous prêts d'une des grandes baies vitrées. Il y a du monde. Bien.
Nous étudions la carte avec une grande attention. On veut s'offrir un superbe repas du soir. Trois grands plateaux de crustacés.
L'endroit est luxueux et la cuisine est en parfaite adéquation avec le lieu. Nous savourons à la fois le repas et ce moment divin.
Estelle nous raconte les exhibes de monsieur Gérard, le palefrenier. Une association d'idée. Il y a là-bas un type qui ressemble.

Nous rions de bon cœur à écouter Estelle nous raconter les frasques du vieux vicelard. Clémentine en est toujours passionnée.
< Tous les soirs, lorsque je revenais de balade, en ramenant le cheval, ce vieux cochon donnait dans la surenchère ! > dit elle.
Clémentine demande à Estelle des détails croustillants. Estelle se fait un plaisir à nous décrire des anecdotes bien salaces. Vice.
Le vieux salaud semble avoir pour spécialité de bavarder avec les filles tout en pissant dans un seau en fer au fond des écuries.
Nous rigolons comme des bossus. < Et il a une toute petite bite qui pue ! > fait encore Estelle. Nous éclatons de rire. Discrets...

< Evidemment, Juliette n'est pas informée, je n'ai rien dit. Je fais semblant d'être offusquée ! > fait encore Estelle en riant. Joie.
< Si, si, Juliette connaît les penchants exhibitionnistes de son employé. Il a déjà eu des emmerdes ! > fait Clémentine. Poilades.
< Tu m'étonnes, s'il a ce genre de comportement avec toutes les filles ! > rajoute Estelle. J'écoute tout cela avec délice. Sympa.
Le repas est somptueux. Il y a la quantité et la qualité. Pas de cette cuisine "moderne", trois petits pois au milieu de l'assiette.
Nous nous régalons. Les filles n'arrêtent pas de parler cul. Et lorsque les filles parlent cul, c'est diantrement plus croustillant...

< Tu vas lui sucer sa vieille queue, un de ces jours, alors ! > fait Clémentine à Estelle. < Figure toi que j'y pense ! > fait elle.
< C'est même devenu un fantasme assez récurrent ! > rajoute encore Estelle. Je dis : < Tu vas enfin pouvoir comparer ! >.
< Un mec qui ne bande pas, c'est toujours plus rassurant quand on est pucelle ! > fait Clémentine. Estelle s'effondre de rire.
Nous savourons d'énormes coupes glacées. Il est déjà vingt deux heures trente. Nous flânons dans les rues encore animées.
Nous profitons de ce crépuscule si doux. Il fait encore chaud. Nous faisons les vitrines des magasins. Boutiques de mode...

Nous rentrons à l'appartement pour minuit. < Je peux tailler une pipe à Julien ? > demande Estelle à Clémentine qui baille.
Nous sommes épuisés. Je regarde Clémentine qui lève les yeux au ciel en disant : < Si tu as encore la force ! >. Nous rions.
Estelle prend sa douche la première. Clémentine est contre moi sur le lit. < Je commence à être un peu jalouse ! > dit elle.
< Tu veux qu'on cesse les trucs avec Estelle ? > que je demande. < Je sais pas, mais je t'aime comme une folle ! > dit elle.
Je sais par expérience que lorsque ce genre de pensées arrivent, nous sommes à la veille d'un bouleversement. Silence...

Nous allons prendre notre douche. A notre retour, Estelle dort déjà à poings fermés sous les draps. < Ouf ! > fait Clémentine.
Je la serre dans mes bras. < Pas d'inquiétude, jamais, c'est toi, et uniquement toi ! > que je lui chuchote à l'oreille. Silence.
< Je te veux de plus en plus pour moi. Je suis égoïste, mais je t'aime comme une dingue ! > me fait encore ma compagne.
Ce brusque revirement de situation m'inquiète quand même un peu. Je rassure Clémentine une nouvelle fois. Je la serre fort.
Nous nous couchons doucement pour ne pas réveiller Estelle. Clémentine est serrée contre moi comme un petit animal. Dodo.

Bonne dégustation d'un énorme plateau de crustacés grillés au Ship of the shore à toutes et à tous. En évoquant des cochonneries.

Oncle Julien - (Qui comprend parfaitement la réaction de Clémentine. Il est d'ailleurs étonnant que cela n'arrive que maintenant) -

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Estelle veut rester avec nous en Ecosse - Jour 21 -

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil comme à la maison, le week-end. Quelqu'un me tient la queue. L'érection.
Il y a des rires étouffés. Des murmures. J'ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > me font les filles. Je fais : < Bonjour les filles ! >
< Devine qui la tient ? > me font elles en cœur. < Je vois que ça commence fort ! > que je dis en me mettant à quatre pattes.
Je chatouille les deux coquines en poussant des grognements d'animal en rut. Nous rigolons comme des bossus. Plein de bises.
Estelle se lève et nous fait : < Je vais préparer le petit déjeuner ! >. Nous la regardons trottiner jusqu'aux toilettes. Sympa...

< Devine qui te tenait la bite ? > me demande Clémentine en me chevauchant. Je reste silencieux en faisant du sourcil. Rire.
Je lui dis : < Je suis certain que c'était toi ! > < Gagné ! > fait Clémentine en me déposant plein de bisous sur le visage. Joie.
Estelle sort des toilettes en mimant une masturbation masculine avant de filer à la cuisine. Clémentine se lève et m'entraîne.
Je la tiens par ses cheveux, debout, genoux fléchis au dessus de la cuvette des toilettes. Clémentine se lâche dans un long jet.
Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet. Je la laisse sucer un peu avant de la forcer à se redresser. Nous avons très faim.

Il fait beau. Il y a du soleil. Il est à peine huit heures. Le dimanche, c'est toujours le jour sans entraînement. Le jour de repos.
Nous bavardons. Nous savourons nos tartines. Les filles évoquent la rentrée universitaire. Ce sera le lundi 11 septembre. Bien.
Estelle nous fait part de ce qui devient un véritable drame. Son obligation de passer deux semaines chez sa mamie dans le Var.
Je lui dis : < Si tu pètes un câble, que tu n'en peux plus, tu me contacte. Je fais le nécessaire. Tu prends l'avion. Tu reviens ! >
< Mais oui, ce n'est pas plus difficile que ça ! > fait Clémentine en venant s'asseoir sur mes genoux. Nous évaluons la situation.

Estelle, plutôt rassurée par cette possibilité, garde le silence en nous souriant. J'expose le programme de la journée. Sympa.
Nous allons sortir d'Edimbourg par le chemin qui longe la rivière Forth pour le parc régional de Pentland Hills dans les Lothians.
Nous marcherons sur le chemin John Muir jusqu'au Polkemmet Country Park. Marcher le long des jolies plages de Portobello.
Nous serons de retour à Edimbourg pour dix neuf heures. Si nous partons vers 10 h ce matin, nous serons à Linlithgow à 12 h.
Ma suggestion est accueillit avec joie. Je précise que nous mangerons dans un restaurant de Linlithgow où je réserve déjà...

Nous faisons la vaisselle. Clémentine fait : < Dis donc Estelle, Julien attendait sa pipe hier soir ! >. Nous rions de bon cœur.
< Je vais la lui faire maintenant alors ! > fait Estelle en se saisissant de ma queue. Nous rigolons comme des bossus. Sympa.
Il est neuf heures. Je propose de d'abord préparer nos affaires. Des fruits, des barres de céréales et de l'eau. Petit sac à dos.
Je vais sur Google afin de trouver le numéro du The Four Marys, le restaurant que je connais bien à Linlithgow. Je réserve.
Clémentine qui apprécie toujours énormément ma façon de tout organiser en avance vient se blottir contre moi. Des bisous.

Estelle prend sa douche. Clémentine et moi nous sommes assis devant l'ordinateur. Un message de Juliette. Nous répondons.
Juliette qui vient chercher les légumes dans notre potager tous les soirs nous rassure. Elle a pris le relai d'Estelle et arrose.
Nous lui envoyons une photo de nous trois à Edimbourg. Ainsi Juliette sait qu'Estelle est bien arrivée. Tout se déroule au mieux.
Estelle revient de sa douche. Clémentine m'entraîne par la main. A notre tour. Nous nous savonnons en riant. Ambiance. Joie.
Nous rejoignons Estelle qui s'est déjà habillée. La jupe à Clémentine qu'elle portait déjà hier, un T-shirt et ses baskets. Belle.

Clémentine met une jupe, un T-shirt et ses baskets. Les deux filles sont pareilles à deux jumelles. Je porte un short. T-shirt.
Nous sommes tous les trois tellement fébriles à l'idée de ce qui nous attend encore aujourd'hui que le sexe passe en second.
Clémentine me sort la queue qu'elle agite devant Estelle : < Et la pipe ? > fait ma compagne. Estelle s'accroupit directement.
Ma compagne passe ma bite molle sur le visage d'Estelle. A chaque fois qu'Estelle tente de la prendre en bouche, elle l'enlève.
< Donne la moi ! > fini par supplier Estelle. Clémentine fait : < Juste une petite minute ! >. Nous rigolons comme des bossus.

Estelle suce comme si sa vie en dépendait. < Tu y auras droit plein de fois aujourd'hui. A chaque occasion ! > fait Clémentine.
Je saisi ma compagne par la nuque. Je l'attire contre moi. Je l'embrasse avec fougue. Clémentine, surprise, glousse de bonheur.
Je lui fouille la bouche de ma langue exploratrice. Estelle me pompe comme une assoiffée. Nous voilà donc bien excités. Bien.
< Nous voilà dans d'excellentes conditions pour attaquer cette journée ! > fait Estelle en se redressant, tirée par Clémentine.
Ma compagne tient fermement Estelle par ses cheveux. J'arrête de l'embrasser. Elle reprend son souffle et fait : < Superbe ! >.

Nos voilà en route. Dans la voiture, je me fais masser la turbe par Clémentine. Estelle passe parfois sa main pour me toucher.
Je gare l'auto sur le parking au début du chemin John Muir. Il y a du monde. Il fait beau, chaud et c'est dimanche. C'est bien.
A plusieurs reprises je saisi Clémentine par sa nuque pour l'attirer contre moi. Surprise par mes attitudes, elle glousse. Plaisir.
Je veux lui témoigner tout l'amour et toute l'attirance que j'ai pour elle. Je veux la rassurer. Je pense à ces inquiétudes. Bien.
Estelle nous observe et fait : < Je veux un Julien, et vite ! >. > celui-là il est prit ! > fait Clémentine en se serrant contre moi.

Nous rions de bon cœur. Je porte le petit sac à dos. Clémentine ne lâche plus ma main. Mes élans amoureux la ravissent. Joie.
Nous croisons nombre de marcheurs et de promeneurs. Il est 10 h15. Nous marchons d'un bon pas. Le plus souvent à l'ombre.
La rivière Forth est large et ses eaux lumineuses. Il y a plein d'embarcations. Voiliers, barques et plaisanciers. C'est bucolique.
A plusieurs reprises, lorsque nous sommes seuls au détour du chemin, Clémentine me sort la queue pour la tendre à Estelle.
Rapidement, en regardant dans toutes les directions, Estelle se penche en avant ou s'accroupit pour la prendre en bouche...

Nous arrivons à l'entrée de Polkemmet Country Park. Il y a plein de monde. La visite de la réserve naturelle est guidée. Zut !
Clémentine nous fait : < Vous avez vraiment envie de vous coltiner un guide et des explications aujourd'hui ? >. Nous rions.
< Non ! Rien à foutre ! > rajoute Estelle rarement si explicite ! Nous rigolons comme des bossus en continuant notre chemin.
Il est déjà onze heures trente. Nous marchons le long de la plage de Portobello. Le village de Linlithgow se profile déjà là-bas.
Il y a plein de familles et de parasols sur la plage. C'est la destination ludique des Edimbourgeois qui aiment la mer. Sympa.

Clémentine avise une partie boisée, au-dessus des rochers. Elle nous y entraîne en faisant : < On va se mettre en appétit ! >.
A peine sommes nous sous les arbres, dissimulés dans les épais fourrés, que ma compagne me déboutonne le short. Rires.
Mon short et mon slip sur les chevilles, Clémentine derrière moi agite ma queue vers Estelle : < La bouffe ! > fait elle. Rires.
Estelle tombe à genoux sur l'herbe pour attraper ma bite entre ses lèvres. J'attrape Clémentine par ses cheveux. Fermement.
Je la fais passer devant moi. Je l'embrasse à nouveau avec fougue. Je lui murmure plein de douceurs. Clémentine en glousse.

Nous restons ainsi un petit moment. Clémentine me tient fermement la queue dans la bouche d'Estelle qui suce. Bienheureuse.
Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine et moi, nous avons le bas de nos visage mouillés de nos salives. Délicieux.
Je prends Estelle par ses cheveux attachés en catogan. Je la force à se redresser. Je cesse d'embrasser Clémentine. En route.
< Ton sperme n'a pas le même goût en Ecosse qu'à la maison ! > me fait Estelle en me montrant l'intérieur de sa bouche. Glue.
Nous rions de bon cœur. Clémentine rajoute : < C'est la bouffe et l'air d'Ecosse ! >. Estelle passe sa main dans mon short. Rire.

Nous arrivons à Linlithgow par le port. Il y a du monde. Il nous faut donc rester prudents. Nous nous sentons très cochons.
Dès que possible, après avoir regardé dans tous les sens, je mets ma main sous la jupe de Clémentine. C'est très rapide.
< J'aime quand tu es salaud, comme ça ! > me fait presque à chaque fois ma compagne en me faisant un bisou. C'est super.
Nous sommes morts de faim. Nous nous rendons au restaurant où j'ai réservé trois places. The Four Marys est typique. Bien.
Un intérieur chaleureux. Un personnel souriant. Ce restaurant est réputé pour les délices proposés. Fruits de mers. Poissons.

Nous sommes assis près de la grande fenêtre aux croisillons de bois. Depuis la table nous pouvons voir l'activité portuaire.
Nos choix se portent sur des crustacés grillé. Nous développons une véritable addiction à cette forme de préparation. Un régal.
Cette fois, ce seront des langoustes grillées avec des crudités et une salade de salicorne. Cette algue si riche en nutriments.
Nous bavardons. Il faut souvent dévier la conversation pour éviter à Estelle de penser à son séjour dans le Var. Traumatisme.
Clémentine évite à chaque fois le propos qui dévie sur le Var en parlant des études, de la rentrée ou encore de sexe. Sympa.

Nous traînons à table. Nous savourons le repas, le dessert et ce moment divin. Il est déjà 14 h15. Et le restaurant se vide.
Nous flânons dans les rues du bourg. Beaucoup de commerces sont ouverts. Nous entrons dans un magasin de vêtements.
J'insiste pour offrir une vraie jupe kilt à Estelle en lui demandant de la porter souvent cet automne lorsqu'elle viendra. Joie.
Clémentine insiste également. Estelle fait de l'essayage. Ce n'est pas vraiment sa tasse de thé. Plutôt "garçon manqué'.
Nous trouvons la bonne taille. Estelle est ravie de ce cadeau. Nous repartons en direction des Pentland Hills. Randonnée.

A plusieurs reprises, nous nous arrêtons dans des coins isolés. Il faut ruser car il y a beaucoup de randonneurs. Sympa.
Clémentine me descend à chaque fois le short et le slip. J'ai le sentiment de paraître ridicule. Estelle tombe à genoux. Pipe.
L'indicible caresse que me prodigue Estelle me donne des vertiges. Clémentine qui me sent vaciller me tient fermement.
Les pipes d'Estelle sont toujours gourmandes. La jeune fille est avide et adore se régaler de foutre. Depuis sa découverte.
La pipe est sa seule relation sexuelle. Et pour le moment, Estelle n'a encore goûter que la mienne. Une bite de vicelard.

< La pipe est une spécialité écossaise ! > fait souvent Clémentine. < C'est comme ça qu'on appelle la cornemuse ! >.
A chaque fois, j'attrape Clémentine par sa nuque. Fermement. Ma compagne adore ce comportement. Je l'embrasse. Fou.
Je passe ma main sous sa jupe, entre ses cuisses. Je passe mes doigts sur son clitoris géant. Elle ne porte pas de culotte.
Sa culotte est dans le petit sac à dos que je porte. Estelle, à genoux, suce comme si sa vie en dépendait. Il faut y aller.
Nous faisons ainsi de nombreuses haltes dans cette campagne magnifique. Il fait chaud. Le soleil est haut dans le ciel bleu.

Nous achevons la boucle qui nous ramène sur les bords de la rivière Forth. Là-bas, les faubourgs scintillants d'Edimbourg.
Il est plus tard que prévu. Presque dix neuf heures trente lorsque nous flânons dans les ruelles pavées du centre de la ville.
Demain matin, il faudra se lever de bonne heure. Estelle a son avion à l'aéroport d'Inverness pour onze heures. Déjà fini.
A cette simple idée Estelle ne peut cacher l'humidité de ses yeux. Nous la serrons contre nous pour la consoler. Restaurant.
Je dis : < Tu sais, Estelle, il y a des gens qui ne partent jamais en vacances. Tu devrais te réjouir ! >. Je lui fais des bisous.

< Oui, mais dans le Var ! Tu imagines un peu ? > me fait Estelle. Je dis : < Mais c'est joli le Var ! >. Voilà un bon restaurant.
Il y a peu de monde. C'est dimanche soir. Nous sommes assis à une table du Eddie's Seafood Market. Un bel endroit. Bien.
Bien évidemment, c'est devant trois plateaux de fruits de mer que nous passons une soirée inoubliable. Comme les autres...
Il faut ruser pour éviter à Estelle d'entrer dans ses considérations Varoises. Clémentine excelle dans les esquives verbales.
< Ce soir tu auras même double dose de jus de bite ! > fait Clémentine à Estelle que nous arrivons à faire rire de bon cœur.

Nous traînons à table. Nous flânons un peu dans les rues. Il est minuit lorsque nous arrivons à l'appartement. Epuisés. Ravis.
Avant la douche, Clémentine me descend le short et le slip. Elle fait à Estelle : < Viens, il y a le fromage de la journée ! >.
Estelle ne se fait pas prier. Je me couche sur le côté, à même le sol. Estelle en position fœtale me suce immédiatement.
Clémentine se touche en m'observant. Je bouge doucement le bassin en me masturbant dans la bouche d'Estelle. Il y a du jus.
Clémentine se masturbe. Nous nous fixons tous les deux dans les yeux. Je tiens Estelle par la nuque. J'éjacule. Vrai salopard.

Estelle avale en poussant de petits cris de ravissement. Clémentine s'offre un orgasme assise au sol devant nous. Cris. Plaisirs.
Je force Estelle à lâcher ma queue. Il est trop tard. Il faut penser à la douche et à se coucher. Demain matin, réveil à 5 heures.
Estelle file à la douche. Clémentine se blottit contre moi. < Tu étais génial aujourd'hui ! Je t'aime ! >. < Toi aussi ! > que je dis.
Estelle revient en baillant à s'arracher la mâchoire. Clémentine et moi, nous nous précipitons sous la douche. Douche rapide.
Nous revenons. Estelle est déjà sous les draps dormant à poings fermés. Nous nous couchons sans faire bouger le lit. Puis dodo.

Bonnes pipes multiples dans le pays de la "Scotland Pipe" à toutes les filles qui apprécient les découvertes touristiques...

Oncle Julien - (Qui ne joue pas de cornemuse. Mais qui joue de la queue en virtuose) -

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Nous ramenons Estelle à l'aéroport d'Inverness - Jour 22 -

Hier matin, lundi, c'est le réveil qui nous tire de nos profonds sommeils. Il est six heures. Clémentine s'est trompée d'un heure.
Nous nous levons à toute vitesse. Tout est méthodique. Même si nous avons encore tous les trois la tête dans le sac. Sympa.
Estelle va aux toilettes la première. Je presse les oranges. Clémentine coupe les tranches de pain pour les faire griller. Si vite.
Estelle revient des toilettes pour mettre la table. Clémentine et moi filons aux toilettes à notre tour. Nous revenons rapidement.
Nous mangeons d'un bon appétit. Le réveil aurait du sonner à cinq heures. Ce n'est pas grave. Mais il y a trois heures de route.

J'aime avoir de la marge et me ménager des possibilités de toujours arriver avant l'heure. Nous serons à Inverness pour 10 h30.
La douche est rapide. Estelle est vêtue de son jean, d'un T-shirt, de sa veste légère, noire et cintrée. Ses baskets. Il fait doux.
Je prépare rapidement notre petit sac à dos. Pommes, barres de céréales et bouteille d'eau. Nous voilà dans la voiture. 6 h45.
Nous prenons l'autoroute A9 dès la sortie d'Edimbourg. Dans l'automobile, chacun est silencieux. Je regarde dans le rétroviseur.
Assise à l'arrière Estelle me fait des sourires. Elle semble bien triste. Clémentine qui voit toujours tout se retourne vers Estelle.

< Si vous saviez comme j'ai le cœur gros de vous quitter ! > fait Estelle en réprimant un sanglot qui étrangle ses derniers mots.
Clémentine lui prend la main. < Si ça ne va pas tu reviens. On s'occupe du rapatriement ! > fait Clémentine. Estelle se mouche.
< Put-hein, mais c'est au-dessus de mes forces ! Deux semaines dans le Var ! > fait encore Estelle en essuyant ses larmes. Dur.
Je roule. La route est facile. Le soleil monte dans le ciel bleu. Les deux filles bavardent. Clémentine a consolé Estelle. C'est bien.
Je regarde l'heure. Nous serons à Inverness au maximum pour 10 h30. Nous aurons donc très largement le temps pour tout...

Il faut prendre la direction de l'A89 pour arriver à Fort Augustus. Cette fois, je prends la route sur la gauche du Loch Ness. Libre.
A cette heure, il n'y a pas encore trop de touristes. Nous arrivons à l'aéroport d'Inverness pour 10 h20. Rassurés. Dans les temps.
Nous allons dans le hall. Il y a du monde. Estelle, Clémentine et moi, nous sommes serrés les uns contre les autres. On s'en fout.
Le père à Estelle viendra la chercher dès son arrivée en France vers 12 H30. Ils partiront en soirée pour rouler de nuit. Le Var.
Nous restons ainsi tous les trois à nous consoler. La tristesse d'Estelle nous a quelque peu gagné. Nous sommes si bien ensemble.

Ce court séjour à trois a révélé la nature de notre relation. Nous nous aimons à trois. Cette perception nous en est bien plus aiguë.
Nous vivons une relation à trois, il faut s'y faire. Les choses ne sont pas simples. Nous évoquons notre vie à venir cet automne. Bien.
Nous nous faisons plein de projets pour nous rassurer. L'annonce du départ nous tire de nos introspections. Estelle essuie ses yeux.
Clémentine et moi les nôtres. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à la limite autorisée sur le tarmac. Nous la regardons s'éloigner.
Elle monte la passerelle en nous faisant un signe. L'hôtesse de l'air presse les passagers d'entrer dans la carlingue. Nos cœurs gros.

Nous regardons l'avion décoller, s'éloigner et disparaître au dessus des montagnes. Clémentine me tient la main puis se blottit fort.
Je la serre fort contre moi. Nous avons tous les deux le besoin de récupérer nos forces. Nous sommes submergés d'émotion. Dur.
Nous nous dépêchons de quitter cet endroit qui est devenu insupportable. Nous prenons la voiture. Clémentine essuie ses yeux.
Nous nous mettons tous deux à rire. C'est nerveux. Il nous faut juguler cette émotion un peu stupide qui nous étreint. Plaisanterie.
Le programme de la journée sera fait d'une randonnée dans Glen Afric, la vallée préservée après Drumnadrochit. Killmartin Hall.

Nous sommes morts de faim. Toutes ces émotions nous ont ouvert l'appétit. C'est bon signe. Nous roulons vers Drumnadrochit.
C'est un village typique des Highlands. Porte vers Glen Afric, réserve naturelle de toute beauté connue pour ses randonnées.
Je gare la voiture sur la place à côté de la magnifique petite église gothique. Je connais Fiddlers Highland Restaurant. C'est bon.
Cet établissement est réputé. On y mange très bien pour une somme très raisonnable. Il y a de la place. Nous avons très faim.
Nous choisissons des steaks de saumon préparés aux oignons confits avec des petits légumes. C'est un régal. Cela console bien.

Nous parlons bien évidemment d'Estelle et de notre relation. Pour Clémentine, je suis la seule famille. Estelle a ses parents. Bien.
Ma compagne comprend les obligations filiales d'Estelle même si elle s'est affranchie de toutes les siennes. C'est bien plus simple.
Nous bavardons. La tristesse nous quitte peu à peu, la vie continue et nous avons encore plus de vingt jours de vacances. Rires.
Nous resterons en Ecosse jusqu'aux environs du 20 août. Nous avons toutes les options. Nous passerons deux jours à Londres.
Demain, mardi premier août, nous irons à Saint Andrew chez ma tante et mon oncle. Ils ont une grande propriété. C'est sympa...

J'évoque le programme de nos vacances dans ses grandes lignes. Clémentine m'écoute enchantée et ravie. Tout s'annonce bien.
Notre bonne humeur naturelle est revenue. Nous tournons la page du séjour d'Estelle. Nous traînons à table. C'est le dessert.
Nous quittons le restaurant pour treize heures trente. Direction l'entrée du parc de Glen Afric. Quelques kilomètres. Collines.
Nous passons devant le magnifique manoir de Killmartin Hall. Il y a quelques somptueuses propriétés alentour. C'est superbe.
Je gare la voiture à l'ombre des grands épicéas. Il y a du monde. Tous les amoureux de la randonnée connaissent ce lieu. Super.

Il fait Chaud. Le ciel est bleu et limpide. Clémentine met sa jupette, son T-shirt et ses baskets de marche. Je mets mon short.
Nous sommes entre les portières ouvertes de la voiture. Nous pouvons nous habiller à l'abri des rares regards. Nous voilà prêts.
Il ne faut surtout pas quitter le sentier. C'est une interdiction absolue. Nous passons les barrières de l'entrée du parc. Superbe.
Le sentier évolue rapidement à flanc de colline. Nous sommes entourés de montagnes. Nous croisons quantité de promeneurs.
Le naturel de Clémentine a repris son cours. Discrètement, à plusieurs reprises, ma compagne me palpe la braguette. Rigolades.

Plusieurs fois, m'étant assuré d'êtres seuls sur le sentier, j'ouvre ma braguette. Je sors mon Zob que j'agite vers Clémentine.
A chaque fois Clémentine s'avance, se précipite pour me l'attraper. Parfois, penchée en avant, debout, ma compagne me suce.
Cette fois-ci, à la sortie du sentier pour prendre le chemin qui monte, elle me dit : < Celle-là c'est pour Estelle ! >. Elle pompe.
Nous rions de bon cœur. Nous longeons un petit lac aux eaux miroitantes. Il y a de grands sapins partout. La terre est sèche.
Le paysage évoque les Alpes. Des pics rocheux autour de nous. De la rocaille. C'est un décors aride et desséché. Surprenant.

< On pourrait se croire dans le Var ! > fait Clémentine en prenant des photos. Et c'est vrai que le décors évoque bien le Sud.
Nous marchons ainsi jusqu'aux environs de dix huit heures. Une boucle qui nous ramène à la voiture toujours restée à l'ombre.
Nous décidons de rentrer sur Edimbourg et de manger là-bas. Nous voilà en route. Clémentine joue avec ma bite en bavardant.
Parfois, se penchant sur sa gauche, la jeune fille me suce. Je suis obligé de la forcer à se redresser pour admirer les paysages.
Nous sommes morts de faim. Clémentine sort les pommes et les barres de céréales du sac. Bonne initiative qui permet de tenir.

Nous arrivons à Edimbourg pour 21 h30. Il y a quantité de restaurants ouverts jusqu'à tard. Ce sera le "Mussel and Steak Bar".
Nous y savourons des moules grillées. Ce plat est absolument divin. Surtout avec de la salicorne et des avocats aux crevettes.
L'eau gazeuse écossaise que nous choisissons toujours avec nos repas est légèrement salée. C'est un complément délicieux.
Nous bavardons. Nous faisons le bilan de cette journée et de la vingtaine de jours déjà passés en Ecosse. Bilan plutôt positif.
Clémentine est de plus en plus décidée à venir s'installer en Ecosse à la fin de ses études. Un poste d'enseignante en faculté.

Nous flânons longuement dans les rues pavées. Il y a du monde. Les festivités s'annoncent. Le festival d'Edimbourg bientôt.
Nous avons quelques pincements de cœur en marchant dans les venelles que nous avons parcouru, hier encore, avec Estelle.
Nous sommes de retour à l'appartement pour minuit. Epuisés. Pourtant Clémentine manifeste une demande d'affection forte.
Je la bascule sur le lit. Je lui retire la culotte. Je hume les parfums de sa journée de fille. Je suce, je lèche, je me régale. Sucs.
Je cesse juste avant l'orgasme. Nous filons prendre notre douche. Au lit, Clémentine m'entraîne sur elle. Nous nous endormons.

Bonne découverte des Highlands à toutes et à tous. Et bonnes découvertes des spécialités marines écossaises.

Oncle Julien - (Qui s'endort en même temps que Clémentine après s'être introduit en elle avec d'infinies précautions) -

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Je clique sur la merveilleuse tache de pisse contre le mur, à droite, pour bien lire ce qui est écrit dessus. (Mur écossais)

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Clémentine et Julien à Saint Andrew
Wednesday 2 August 2017 07:40

Oncle-Julien
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Nous quittons Edimbourg pour aller à Saint Andrews - Jour 23 -

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous déposés délicatement sur mon visage. On me tient la bite.
J'ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine qui se serre contre moi. < Bonjour Clémentine ! > que je lui réponds.
La jeune fille me chevauche en riant. Je la fais basculer de gauche à droite. Nous nous offrons des papouilles. Tendresse. Joie.
L'impérieux besoin naturel exerce sa loi inéluctable. Clémentine m'entraîne par la main. Nous voilà aux toilettes. C'est le pissou.
Je tiens Clémentine par ses cheveux. Elle se lâche dans un long jet sonore. Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet. Net...

Nous sommes morts de faim. Il est presque huit heures. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Je coupe le pain.
Miel, confiture, beurre, yaourts. Nous dégustons notre premier repas de la journée. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux.
A onze heures nous partons pour St Andrews. Il y aura 85 km par la route qui longe la mer. Nous restons à l'Est de l'Ecosse.
Nous resterons chez Tante Betty et chez Oncle John jusqu'au 20 août. Nous serons hébergés dans leur petite maison d'amis.
Nous nous réservons la possibilité de revenir à Edimbourg quelques jours et avant de descendre sur Londres pour deux jours.

Clémentine m'écoute avec beaucoup d'intérêt. Pour elle, chaque changement est souvent la source d'une certaine déstabilisation.
Cela remonte à son passé. Mais, à présent, et avec moi, ce sentiment a tendance à s'estomper. Aussi, je la rassure. Ce sera bien.
Tante Betty et Oncle John sont des gens très accueillants chez qui je passe presque chaque année quelques jours. Sympathique.
Oncle John possédait une entreprise. Aujourd'hui, retraité, il se consacre surtout à la pêche et à la restauration de vieilles autos.
Nous faisons notre vaisselle. Nous nous mettons en tenue. Nous nous offrons notre jogging quotidien. Il nous a bien manqué hier.

Il fait beau. Il fait chaud. Nous courons d'un bon rythme. Nous sommes de retour après une heure trente d'un superbe running.
La douche. Il est à peine dix heures. Nous préparons nos affaires. C'est rapide. Il n'y a que nos trois valises et ma toile. Un sac.
Nous descendons nos affaires à la voiture. Nous retournons sonner chez Oncle Steve. Ma tante et mon oncle d'Edimbourg. Fini.
Discrètement, je remets une enveloppe à ma tante. Ils sont tous les deux un peu tristes de se retrouver seuls dans la propriété.
J'annonce que nous reviendrons peut-être passer une semaine après le 20 août. Ma tante et mon oncle sont tous contents. Bien.

Il est onze heures lorsque nous partons. Nous voilà en route. Nous quittons Edimbourg par le pont qui enjambe la rivière Forth.
Nous y sommes passés à plusieurs reprises. < Au revoir Edimbourg ! > fait Clémentine en ouvrant ma baguette. Je roule bien.
La circulation est fluide. < Je ne pourrais par rouler à gauche. Le volant du côté du fossé ! > fait Clémentine me sortant la bite.
Nous rions de bon cœur. Nous passons les petites villes portuaires de Largo, d'Anstruther et de Crail. Crail connue pour ses Golfs.
Il y a quelques ruines de châteaux en bord de mer. C'était les citadelles qui assuraient la surveillance des côtes au moyen-âge.

Clémentine n'a pas assez de ses deux yeux pour admirer ces paysages. Il fait beau. Le ciel est bleu. Des nuages à l'horizon. Bien.
Nous arrivons à St Andrews vers midi trente. Je propose à ma compagne de nous offrir un bon restaurant. Nous avons faim. Bon.
Je connais bien la ville. Il y a un restaurant qui propose des choses exceptionnelles. Le "Cromars Chippay", un seafood de qualité.
Je gare la voiture dans une petite rue à dix minutes du centre. St Andrews est une ville qui a conservé un centre ville médiéval.
C'est une véritable cité de caractère. Ville universitaire, elle connaît depuis vingt ans un grand essor industriel et économique...

Nous marchons rapidement. Nous sommes morts de faim. Clémentine porte sa jupe kilt, un T-shirt et ses souliers à talons plats.
Je lui fais remarquer qu'elle fait très "couleur locale", étudiante dont c'est un peu l'uniforme ici, dans cette cité universitaire.
Nous arrivons au "Cromars Chippay". Il y a du monde mais il y a des tables libres. Nous voilà installés près de la grande fenêtre.
Nous goûtons des pommes de terre de terre farcies au saumon haché. Un régal. Petits légumes et brocolis grillés en sauce. Bon.
Tante Betty et Oncle John habitent à la sortie de la ville sur la petite route du village de Fife. Un petit village de pêcheurs. Beau.

Ils nous attendent pour quinze heures. Nous pourrons nous installer dans la toute petite maison d'amis au fond du jardin. Bien.
Nous reviendrons à St Andrews pour y faire nos courses au supermarché Tesco. Il faudra emmener la glacière. Balade en ville.
Clémentine approuve le programme que je suggère avec tout son enthousiasme habituel. La jeune fille apprécie les découvertes.
Nous traînons un peu à table en dégustant nos coupes glacées. Il est déjà 14 h15. Le restaurant se vide. Il devient salon de thé.
Nous voilà un peu lourds. Nous retournons à la voiture. Nous flânons. Clémentine est pressée de découvrir cette ville magnifique.

Nous arrivons chez tante Betty et chez oncle John un peu avant 15 h. J'entre dans la propriété par les grilles ouvertes. Chemin.
Il faut passer entre une haie de hauts platanes centenaires sur une centaine de mètres. Nous voilà devant la grande maison.
C'est une maison de maître du XIXème siècle. Ma tante et mon oncle sont sur le perron. Ils descendent le grand escalier. Bien.
Nous sortons de la voiture. Ils viennent à notre rencontre. Comme toujours, ils sont étonnés par la présence de cette jeune fille.
Les 20 ans de Clémentine étonnent toujours les gens qui nous reçoivent. Nous nous en amusons beaucoup. Surtout Clémentine.

Ma tante, jamais avare d'effusions, manifeste son immense joie de me revoir en me serrant contre elle. Mon oncle salue la fille.
Nous sommes invités à les suivre à l'intérieur. Le grand salon est meublé dans le style Victorien. Une énorme cheminée. Pierre.
Nous prenons place dans les fauteuils. Je tends les paquets contenant les cadeaux que j'ai ramené de France. C'est sympa. Joie.
Nous bavardons devant des thé et des cookies. Ma tante découvre le Kouign Amann encore congelé et conservé dans la glacière.
Pour mon oncle j'ai ramené une pipe achetée durant notre séjour dans le Jura, en avril. Il ne fume pas mais les collectionne...

Nous restons à bavarder pendant un moment. Puis mon oncle nous invite à le suivre jusqu'à la maison d'amis au fond du jardin.
C'est une toute petite maison. Une chambre à coucher. Une pièce de séjour. Une petite salle de bain et des toilettes. Sympa.
Le ciel s'est couvert. Il fait lourd. Nous retournons à la voiture que nous garons devant la petite maisonnette. Nous voilà seuls.
< Ils sont hyper sympas dans ta famille, c'est génial ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Nous sortons les valises.
Nous prenons possession des lieux que je connais bien. Nous vidons nos valises pour tout ranger dans l'armoire. Meubles clairs.

Clémentine fait une tentative de connexion Internet. Tout fonctionne parfaitement. Mon oncle m'a donné le code Wifi. Superbe.
< Je veux te faire une pipe ! > me fait Clémentine toute contente de se sentir si bien en ce nouveau lieu. Je l'entraîne dehors.
< Il faut aller faire nos courses ! Il est déjà 18 h ! > que je lui fais. Clémentine me palpe la braguette. Nous voilà dans l'auto.
Ce soir nous sommes invités à manger chez tante Betty et chez oncle John. Il faudra êtres de retour pour 20 h. Supermarché.
Je prends la petite route qui mène à St Andrews. Deux petits kilomètres et nous voilà dans la zone commerciale. Du monde...

Nous faisons nos courses. Légumes, fruits, eau et quelques conserves. Papier cul et sopalin. Clémentine semble bien excitée.
Nous voilà de retour. Il est 19 h45. Notre petite maison est située tout au fond de la propriété. Blottie entre de hauts épicéas.
< C'est le rêve ! > fait Clémentine en rangeant les légumes dans le bac du bas du réfrigérateur. Je mets le pain dans la huche.
Les meubles sont clairs, de style Ikea, simples et fonctionnels. Pas de chichis, pas de manières. C'est vraiment sympathique.
Nous nous préparons pour rejoindre ma famille. Clémentine reste vêtue de sa jupe kilt. Elle passe un simple chemisier blanc...

Juste avant de sortir, elle me palpe la braguette. < Tu me la donne, hein, ce soir ! > fait elle. Nous rigolons comme des bossus.
Nous traversons cette partie du parc qui mène derrière la grande maison. Surprise. Il y a ma cousine et son mari qui sont là...
Je présente Anna et William à Clémentine. Ma cousine, Anna, la quarantaine, belle, regarde Clémentine avec un étonnement.
Anna et William, eux aussi, sont surpris de me voir en compagnie d'une si jeune fille. Les vingt ans de Clémentine surprennent.
Nous passons dans la grande salle à manger. Un repas de crevettes, de langoustines avec différentes sauces. Petits légumes...

Nous bavardons. Anna est enseignante en faculté. Clémentine est évidemment immédiatement intéressée. Elles bavardent.
William, mon cousin, est directeur commercial d'une grande boîte qui fait de l'import export. Il me raconte ses activités. Bien.
Le repas se passe ainsi dans une ambiance faite de bavardages, de rires et de bonne humeur. Il est rapidement près de minuit.
Nous prenons congé. Enfin, il y a quelques gouttes de pluie. Un orage se prépare car il y a des éclairs au loin. Il fait nuit noire.
Nous traversons rapidement le parc. Nous voilà enfin seuls, chez nous et épuisés. Dehors, un violent coup de tonnerre. Eclairs.

Nous nous offrons un second dessert. Un de ces "69" que nous apprécions tant lorsque nous sommes excités. Ce qui est le cas.
Je savoure les goûts de sa journée de fille. Clémentine savoure les goûts de ma journée d'homme. Concert de gémissements.
Nous nous dégustons un long moment. Juste avant l'orgasme, nous courrons à la douche. Nous retournons nous coucher. Bien.
Dans les draps frais, qui sentent le jasmin, nous tentons des préliminaires. Hélas, rapidement, le sommeil nous gagne. Fatigue.
Cela nous arrive souvent. Clémentine se serre contre moi. Dehors l'orage gronde. Le bruit de la pluie. Nous plongeons. Dodo...

Bonne retrouvailles familiales à toutes et à tous durant vos séjours, en vacances ou partout ailleurs....

Oncle Julien - ( Qui adore entendre les petits ronflements de Clémentine qui dort bouche ouverte, sur le dos) -

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Nous allons rendre visite à mon commanditaire - Jour 24 -

Hier matin, mercredi, j'ouvre les yeux pour me rendre compte que Clémentine dort encore à poings fermés. Il est presque 8 H.
Je regarde ma compagne dormir, couchée sur le dos, la bouche entre ouverte, émettant un léger et régulier ronflement. Belle.
Il est rare que Clémentine dorme encore si fort. J'adore la regarder ainsi. Son sixième sens ne tarde pas à se manifester. Bises.
< Bonjour Clémentine ! > que je fais en lui couvrant le visage de bisous. < Bonjour Julien ! > me fait elle en émergeant vite.
Cette capacité d'être immédiatement lucide suscite toujours mon admiration. Clémentine me chevauche en riant. Papouilles...

Dehors, il fait beau. Il y a du soleil. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. Elle pisse en gémissant.
Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet. Nous sommes morts de faim. Nous nous précipitons à la cuisine. Petit déjeuner.
Dans notre nouvelle résidence, c'est la pièce de séjour qui comporte un coin cuisine. C'est très pratique. Je presse les oranges.
Clémentine coupe les tranches de pain qu'elle fait griller. Je sors la confiture, le miel, le beurre et les yaourts. Je mets la table.
Nous mangeons d'un bon appétit. Je suis venu ici à plusieurs reprises. J'apprécie d'y être avec Clémentine. Je lui en fais part...

Si j'avais su, les fois précédentes, et souvent solitaires, qu'un jour je serais là avec cette jeune fille qui partage ma vie. Sympa.
< Je te trouve bien introspectif, ce matin ! > me fait Clémentine en venant s'asseoir sur mes genoux. Nous rions de bon cœur.
Nous bavardons un peu. Nous traînons à table. J'expose le programme de l'après-midi. Pour 14 H30 j'ai mon rendez-vous. Bien.
Nous irons livrer ma seconde toile chez son commanditaire. C'est à la sortie de St Andrews, sur la route de Crail. Promenade.
Nous retournerons ensuite à St Andrews pour y découvrir le centre. Le soir nous irons au restaurant puis nous flânerons en ville.

Clémentine est toute contente. < Je vais me laisser flotter au gré des évènements ! > me fait elle en s'emparant de ma queue.
< Mais, je te préviens, aujourd'hui, tu es avec une véritable salope ! > rajoute t-elle. < Comme hier alors ! > que je réponds...
Nous rions de bon cœur. Je passe ma main entre ses cuisses, sous son long T-shirt de nuit. Nous nous amusons un peu. Bises.
Nous faisons notre vaisselle. Clémentine prend ses marques dans cet environnement nouveau. Nous nous mettons en tenues.
C'est le plaisir intense de notre jogging quotidien. Je connais bien l'itinéraire. Il y a un parcours sportif à proximité. 5 minutes.

Malgré l'orage de la nuit, le sol n'est pas détrempé. L'évaporation a permis au sol de redevenir rapidement sec. Nous courrons.
Nous voilà sur le parcours sportif. Nous croisons nombre de joggeurs. Principalement des jeunes femmes. Il fait déjà bien chaud.
Nous faisons l'itinéraire deux fois afin d'êtres certains d'assurer une heure trente de running. Retour pour 10 h30. C'est la douche.
Nous nous savonnons en riant. Puis, une fois vêtus de nos T-shirt, nous allumons l'ordinateur. Deux messages. Estelle et Juliette.
Estelle nous raconte son voyage, son arrivée et ses deux premières journées chez sa mamie dans le Var. Deux photos jointes...

Estelle nous raconte la fournaise de la canicule qui règne dans le Var. Son ennui déjà profond dans un environnement de roches.
La maison de sa mamie est à la sortie de la commune de Cotignac. Nous répondons en joignant deux photos de nous ici, selfies.
Nous découvrons le message de Juliette. La jeune femme vient arroser le potager en soirée, cueille des pommes, des brugnons.
Elle joint une photo d'elle et son cheval avec lequel elle se déplace pour venir dans notre propriété. Nous répondons avec selfies.
Clémentine, par acquis de conscience, va sur le site de l'université. Les premières informations sur la rentrée le 11 septembre...

Il est onze heures trente. Je la laisse toute seule devant l'ordinateur. Je vais au coin cuisine pour préparer le nécessaire du repas.
< Je me sens bien dans cette toute petite maison ! C'est superbe ! > me fait Clémentine en me commentant les infos de la fac.
Les étudiants de quatrième année, "Master", sont priés d'être présent pour la journée de pré rentrée du vendredi huit septembre.
< Ils nous font chier ! C'est encore pour que les profs puissent justifier d'une journée de travail ! > fait Clémentine. Eclat de rire.
En fait, la jeune fille est à se réjouir pour reprendre ses cours. Elle adore sa vie d'étudiante et y prend beaucoup de plaisir. Joie...

Je prépare le riz complet que je fais griller à sec au fond d'une casserole, sans cesser de remuer en "8" avec une spatule en bois.
Rapidement l'odeur caractéristique rappelant celle du pop corn se répand dans la pièce. < Miam, ça sent bon ! > fait Clémentine.
Lorsque les grains ont éclaté, je rajoute trois fois le volume d'eau. Immédiatement un nuage de vapeur s'élève. Couvercle dessus.
Clémentine vient me rejoindre. Nous préparons les salades. Je fais une rapide sauce béchamel dans laquelle je mets du Roquefort.
Nous bavardons. A plusieurs reprises Clémentine m'attrape par la queue en me faisant : < Attention, danger, salope en vue ! >.

< Tu me promènes à la laisse un de ces jours, j'aimerais bien, j'ai besoin d'être prise en main ! > me fait encore ma compagne.
Nous rions de bon cœur. Je lui promets une séance de dressage dans les tous prochains jours. < Emmène le collier ! > que je dis.
< J'emmène le collier et la laisse dans le sac à dos, dès cet après-midi ! > me fait elle encore en s'accroupissant pour me sucer.
Je la laisse s'amuser un peu avant de la forcer à se redresser. Le repas est prêt. Je mets la table. Nous avons des faims de loups.
Nous traînons à table en savourant notre repas. < La sauce au Roquefort est un délice. Il faut recommander !> fait la jeune fille.

Nous faisons la vaisselle. Nous avons tout notre temps. Nous nous habillons. Clémentine met sa jupe kilt, T-shirt et sandalettes.
Je mets un short, une chemisette en liberté et mes sandales. Je prépare la toile enveloppée dans son papier kraft. Tout est ok.
< Tu vois, cette toile peut nous permettre de rester en Ecosse jusqu'à la Toussaint ! > que je fais à Clémentine pour la rassurer.
< C'est génial ! > me fait ma compagne en la soupesant. Je rajoute : < Et les nouvelles de ma galerie sont bien réjouissantes ! >.
Nous rions de bon cœur en nous regardant tous les deux dans le grand miroir de l'armoire de la chambre à coucher. Prêts. Beaux.

Il est 13 h45. Il y a à peine un quart d'heure de voiture jusqu'à la sortie de St Andrews. Mon commanditaire est prévenu par texto.
Nous voilà en route. Dans la voiture, Clémentine joue avec ma queue. Nous prenons la petite route qui contourne la ville. Sympa.
Nous apercevons le château de la ville, The Score" que nous irons visiter très prochainement. Nous arrivons près de Troywood.
La propriété de mon commanditaire est blottie contre une colline boisée. Nous y entrons par l'étroite route entourée d'arbres.
La grande maison de maître apparaît soudain là-bas, à côté d'un étang. Des saules pleureurs trempent leurs branches dans l'eau.

L'endroit est de toute beauté. Je gare la voiture. Je prends la toile soigneusement enveloppée. Nous montons le grand escalier.
C'est madame qui vient nous recevoir pour nous faire entrer. Chaque année j'apporte une nouvelle création. Je connais le lieu.
Nous entrons dans le grand salon. Tout est meublé avec goût et à l'ancienne. Typiquement écossais. Mon commanditaire arrive.
Nous nous serrons la main. Je présente Clémentine. Nous voilà installés dans de profonds fauteuils et devant un thé. Gâteaux.
Mon commanditaire, pressé de découvrir sa nouvelle acquisition, déballe la toile. Une splendide nature morte. Huiles. Format 6F.

Sa femme vient le rejoindre derrière son gigantesque bureau. Tous deux semblent émerveillés, observant dans un long silence.
Mon commanditaire, qui dirige son cabinet d'avocats, est un collectionneur avisé qui me commande un tableau chaque année.
Il dépose l'œuvre sur un chevalet vide préparé à cet effet aux côtés de la cheminée. Nous observons mon travail en silence. Bien.
Un petit moment passe ainsi. Silence. Commande est passée pour une nouvelle toile à remettre l'année prochaine. Affaire conclue.
Clémentine me fait de discrets clins d'œil. La jeune fille découvre toujours avec plaisir ma façon de mener mon business. Sympa.

Nous passons ici une bonne partie de l'après-midi. Mon commanditaire me fait visiter la grande pièce qui est son musée personnel.
A côté de mes anciennes toiles, il y a quelques autres peintres que collectionne le propriétaire. Des choses plus modernes. Insolites.
Il est seize heures trente lorsque nous prenons congés. Nous resteront en contact régulier jusqu'à l'année prochaine. Par courriels.
Nous voilà de retour à la voiture. < Supers ces gens ! > me fait Clémentine en extrayant ma queue de ma braguette ouverte. Rire.
Nos arrivons à St Andrews. Je gare la voiture dans la même rue que hier. A dix minutes du centre historique de la ville. Il est 17 h.

L'Ecosse frappe sa propre monnaie depuis 1998, date à laquelle le pays a institué un parlement écossais. Reconnu depuis 2014.
Dire à un Ecossais qu'il est Anglais a toujours été une insulte. Depuis le 18 septembre 2014 c'est même devenu une grave erreur.
Clémentine écoute mes explications en s'amusant de mon ton docte et professoral. Discrètement, elle me palpe la braguette. Rire.
Nous arrivons dans le centre ville dont les rues pavées participent à cette ambiance d'un autre temps. Clémentine est admirative.
Nous flânons longuement dans les rues. Nous regardons les vitrines des commerces nombreux. Boutiques de mode. De souvenirs.

J'insiste pour offrir à Clémentine une véritable tenue écossaise avant la fin de notre séjour. < Une panoplie ? > me fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Nous poussons notre première visite jusqu'à St Andrews Castle que nous découvrirons demain.
Il est déjà 18 h30. Les musées et autres lieux à visiter sont bien évidemment déjà fermés. Mais il y a tant de choses à voir encore.
Nous poussons jusqu'à St Andrews Cathedral. L'accès y est fermé par de hautes grilles. Ce sont les ruines d'une grande Cathédrale.
Il nous faudra prendre notre mal en patience jusqu'à demain. Clémentine, impatiente, me fait : < On se fera un "plan" parc ? >...

Doucement, la faim se fait sentir. Il est vingt heures. Nous avisons un restaurant légèrement en retrait du centre. Il y a du monde.
St Andrews est une ville très touristique. Les amateurs du Golf du monde entier se donnent rendez-vous ici, capitale de ce sport.
Nous voilà assis devant deux énormes plateaux de fruits de mer. Nous mangeons d'un bon appétit. Clémentine tente une exhibe.
Derrière moi il y a un couple. Mon téléphone posé sur la table me sert de rétroviseur. Clémentine commente ses agissements. Vice.
Je constate que le quinquagénaire assis derrière moi vient de découvrir ce que fait discrètement Clémentine sous la table. Salope...

Ces quelques jours passés, les opportunités ne se sont pas vraiment présentées. La présence d'Estelle. Notre déplacement. Joie.
Aussi ma compagne est toute heureuse de mettre en application ses tendances naturelles. Personne ne se rend compte de rien.
La jeune fille s'amuse bien. Je peux découvrir d'étonnantes expressions sur son visage. De petites perles de sueur sur son nez.
Bien évidemment, l'excitation grandissante qui gagne Clémentine lui donne quelques couleurs. Je m'amuse à la voir "pratiquer".
Malgré que la jeune fille se rende aux toilettes deux fois, le type derrière moi, discutant avec sa femme, ne se lève pas. Etrange.

Nous traînons à table devant nos énormes glaces. Le couple derrière nous s'en va. Clémentine me fait part de ses impressions.
Nous retournons flâner dans les rues. Il y a du monde. Il fait lourd. Orageux. Nous nous promenons longuement. C'est superbe.
A plusieurs reprises Clémentine palpe discrètement ma braguette. Tout aussi discrètement je passe ma main sous sa jupe. Bien.
< J'ai envie de baiser ! Si tu savais ! > me fait la jeune fille. Nous décidons de rentrer. Nous sommes de retour pour onze heures.
Je bascule ma compagne sur le lit pour lui enlever sa culotte. Je renifle les enivrants parfums de sa journée de fille. Je lèche...

Avec ces chaleurs, les muqueuses de ma compagne délivrent une saveur acidulée qui picote un peu sur le bout de la langue. Bon.
J'adore ce "bonbon" qui fond doucement. Evidemment, Clémentine se pâme en gémissant de plaisir. Tout ça nous donne le vertige.
Je suce le clitoris géant de Clémentine qui me repousse doucement. Elle veut absolument éviter l'orgasme qui pointe rapidement.
Elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Comme toujours, nous restons parfaitement immobiles.
Clémentine me chuchote d'invraisemblables cochonneries. Elle confesse ses prochains fantasmes exhibitionnistes. Je la berce...

Bonne découverte de la magnifique petite ville de St Andrews à toutes les filles désireuses de s'exhiber dans les prochains jours.

Oncle Julien - (Privilégié, passionné par les agissements, les attitudes et les fantasmes délirants de Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Nous partons à la découverte de la région de St Andrews - Jour 25 -

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous sur le visage. En même temps on me tient la bite.
J'ouvre les yeux, Clémentine me fait un magnifique sourire. < Bonjour Julien ! > me fait elle. Je lui fais des bisous.
< Bonjour Clémentine ! > que j'ai le temps de dire avant que la jeune fille ne me chevauche. Papouilles. Tendresse.
L'impérieux et prosaïque besoin naturel nous oblige à nous lever. Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes.
Je la tiens par ses cheveux. Elle se lâche dans un long jet sonore. Puis la fille me tient la bite pour en diriger le jet.

Nous nous précipitons à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine coupe les tranches de pain qu'elle fait griller.
Nous prenons un copieux petit déjeuner. Dehors, il fait beau et chaud. Le ciel est bleu. Le soleil règne en maître.
Nous bavardons. Nous prenons notre temps. Il est à peine huit heures. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux.
Je lui soumets le programme du jour. Cet après-midi nous irons à Fife. Un des plus beaux villages d'Ecosse. La mer.
C'est un très beau petit bourg portuaire. S'il ne fait pas trop chaud, nous irons marcher dans la campagne alentour.

Clémentine m'écoute avec attention. Souvent elle me fait des bisous sur les joues. Elle m'attrape par la queue. Rire.
Nous faisons notre vaisselle. En soirée, nous irons flâner dans les rues de St Andrews. Clémentine me tient la bite.
< Attention, salope à proximité ! > me fait ma compagne. Nous rions de bon cœur. Nous nous mettons en tenues.
C'est le rituel quotidien de notre jogging. Il est à peine 8 h45. Nous sortons. nous traversons la propriété en courant.
Une centaine de mètres sur la route. Le chemin à droite. Cent mètres. Nous voilà à courir sur le parcours sportif...

Le circuit est principalement à l'ombre de grands arbres. Bouleaux, acacias, épicéas, chênes ou encore hêtres. Bien.
Nous sommes de retour pour 10 h15. Juste avant les grosses chaleurs qui s'annoncent. Nous prenons notre douche.
Une fois vêtus de nos T-shirt, nous allumons l'ordinateur. Un message d'Estelle. Un message de Juliette. Découverte.
Estelle nous fait part de son profond ennui. Il fait une chaleur épouvantable dans le Var. Tout fonctionne au ralenti.
La jeune fille nous avoue être au bord de la déprime. Elle pète un plomb. C'est la toute dernière fois qu'elle ira là-bas.

Nous répondons. Pour la rassurer, nous précisons qu'ici, en Ecosse, il fait très chaud également. Que c'est difficile.
Le message de Juliette est plus long que d'habitude. Elle vient à cheval jusqu'à notre propriété pour arroser le potager.
Le robinet du jardin ne délivre plus d'eau. Elle joint une photo d'elle tenant son cheval dans notre jardin. Tout est sec.
Je réponds. Il suffit d'ouvrir le robinet rond dans le garage. Il arrive que les vibrations du tuyau ferme l'arrivée d'eau.
Nous joignons deux photos de nous prises hier soir devant les célèbres ruines de la cathédrale de St Andrews. Le clic.

Il est à peine onze heures trente. Nous sortons dans le parc pour nous asseoir à l'ombre, sur le banc à côté du puit.
Il n'y a pas un souffle de vent. Le silence est aussi lourd que l'atmosphère. Clémentine joue avec ma queue. Chaud.
La faim commence à se faire sentir. Nous rentrons pour préparer notre repas. Clémentine s'occupe des salades. Bien.
Moi je coupe quatre grosses tranches de pain que je fais griller. Je beurre. Je dispose des filets d'anchois. Roquefort.
Je termine en déposant des olives noires à la Grecque et des rondelles de tomate sur le tout. Voilà que c'est prêt...

Nous savourons ce repas. Nous bavardons. Nous évoquons Estelle et son ressenti quand à ses vacances dans le Var.
C'est la toute dernière fois qu'elle part avec ses parents chez sa mamie. Elle n'en peut plus. Dix huit ans que ça dure.
Nous comprenons bien son ras-le-bol bien légitime. Estelle est une jeune fille solitaire. Et plutôt dans l'introspection.
Clémentine me raconte son attitude lorsqu'elles sont toutes les deux en cours ou au restaurant universitaire. Secrète.
En fait, la source principale de ses joies c'est d'être en notre compagnie. Nous sommes un peu son centre d'intérêt...

Il est treize heures. Nous faisons notre vaisselle. Nous nous habillons. Clémentine porte une jupette "tennis", T-shirt.
Je suis en short, T-shirt. Nous préparons deux pommes, des barres de céréales et une bouteille d'eau. Le sac à dos.
Nous quittons la petite maison. Je roule lentement sur la petite route en direction de Fife. Sept petits kilomètres.
La climatisation fonctionne à plein régime. < Tu es en compagnie d'une vraie salope ! > me fait Clémentine en riant.
Elle joue avec ma bite. Nous rions de bon cœur. Je passe ma main sous sa jupe pour dire : < Culotte interdite ! >...

Nous arrivons à Fife. Je gare la voiture comme d'habitude, à l'entrée du village. Ainsi c'est la découverte dès le début.
La rue principale est descendante. Le bourg est situé dans un creux entre des collines accidentées. En bord de mer.
Les maisons colorées, constructions typiques du littoral écossais de l'Est, sont d'un seul étage. Les fenêtres fleuries.
Il y a de l'animation. Ce bourg est prisé. Tourisme. De belles visites du littoral depuis des bateaux y sont proposées.
Nous descendons sur le quai en bord de mer. C'est magnifique. Nous restons à l'ombre des maisons Tout près du port.

Clémentine a enlevé sa culotte avant de quitter la voiture. < Je dois faire pipi ! > dit elle en se touchant. Discrète.
Nous nous mettons en quête de l'endroit idéal. Il y a du monde. Ce n'est pas simple. Je propose un salon de thé.
Il y a quelques terrasses. Clémentine préfère rôder un peu dans les environs du port. < Un "plan" ! > me fait elle.
Il y a un homme dans une embarcation, juste au bas du quai. Clémentine me fait : < Reste là ! Regarde un peu ! >.
Je reste devant un grand panneau à faire semblant de lire la carte. Clémentine s'approche du bord. Le type bosse.

Sans doute que l'homme s'apprête à partir en mer. C'est certainement un autochtone qui part à la pêche. Tenue bleue.
Clémentine marche doucement. Elle s'arrête au dessus de la barque. Sa main entre ses cuisses, elle s'adresse au mec.
L'homme lève la tête. Il ne semble pas particulièrement impressionné par ce qu'il voit. Encore une touriste de plus !
Je n'entends rien des propos qui s'échangent mais je vois le marin montrer une direction de son doigt pointé à droite.
Je comprends que Clémentine demande où sont les toilettes publiques. Elle reste ainsi avec sa main entre les cuisses.

J'admire une fois encore son invraisemblable culot. Belle salope. Je suis vraiment un privilégié. Une telle compagne.
Clémentine reste ainsi à bavarder un moment. L'homme ne cesse pas de s'affairer tout en relevant la tête souvent.
J'admire son tact et sa grande maîtrise de lui. A moins que tout cela le laisse parfaitement indifférent. C'est amusant.
Moi, je bande comme un salaud. Je suis à l'ombre du panneau. Clémentine s'est même accroupit au dessus du type.
Pourtant, l'inconnu bavarde tout en s'occupant. Il range et prépare des corbeilles en osier. Pièges à crustacés. Bien...

Il y a un autre homme qui arrive en s'adressant au type de la barque. Clémentine ne l'a pas vu venir. Elle se redresse.
Les deux hommes se mettent à bavarder. Clémentine quitte les lieux. Elle vient me rejoindre un peu plus loin. Sourire.
< Avec tout ça, je n'ai toujours pas pissé. Mais le mec m'a indiqué où sont les chiottes ! > me fait Clémentine. Pissou.
Nous nous dirigeons vers la maisonnette en bout de quai. Ce sont les toilettes publiques. Il y a du monde. Pas de "plan".
Il serait impossible à Clémentine de s'offrir une "frayeur" ici. Avec tout ce monde qui entre et qui sort de la maisonnette.

< Viens, je vais pisser en public ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la main. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons une petite jetée pavée. Il y a deux barques hors de l'eau. Clémentine me fait : < Reste là. Mâte ! >.
Je reste près de la cabane contre laquelle il y a une montagne de cagettes en bois. Il y a un type là-bas sur l'eau. Marin.
Clémentine s'accroupit face au type qui est occupé dans sa barque. Il découvre rapidement le spectacle. A vingt mètres.
Clémentine se tient d'une main à une des deux embarcations. Elle me tourne le dos. Mais je vois le jet de pisse puissant.

La pisseuse fait face à l'homme qui s'est redressé pour l'observer. Il comprend rapidement que c'est un acte délibéré.
Il adresse quelques mots à la jeune fille. D'une voix forte. Les cuisses largement écartées, Clémentine termine de pisser.
Ma compagne vit là une de ses situations exhibitionnistes préférées et tant recherchées. Elle lève la tête pour bavarder.
Il y a du monde. Il faut donc ruser et rester vigilant en permanence. Clémentine excelle dans cet exercice. Une virtuose.
Il y a un chien qui s'approche pour renifler la coulure de pisse qui s'écoule vers la mer. Il vient renifler le cul de la fille.

Clémentine se redresse. Elle salue l'homme debout dans sa barque. Elle remonte pour disparaître derrière la cabane.
Des groupes de touristes arrivent. Il y a un mec seul qui a sans doute tout vu depuis le quai. Il s'approche de la fille.
Je reste à distance. Je fais semblant d'être absorbé dans la lecture de mon téléphone. Le type commence à discuter.
Il doit avoir la quarantaine. Comme souvent, un gros appareil photo qui pend sur son ventre. Une autre opportunité.
Clémentine, une main entre ses cuisses se met à bavarder avec l'inconnu. Elle doit ruser car il y a des promeneurs...

Le type semble perdre un peu de son self contrôle. Discuter avec une jeune fille qui se touche, c'est plutôt très rare.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Cette salope s'offre un moment d'exhibe absolument génial. Bien.
L'homme ne peut évidemment rien entreprendre. Il doit se contenter de subir ce discret mais sublime spectacle. Show.
Clémentine est adroite dans ses comportements vicelards. Elle contrôle parfaitement la situation. Et ce qu'elle fait. Joie.
Elle mène toujours les heureux privilégiés là où elle le désire. Il y a une femme qui s'approche. Le type est accompagné.

C'est un couple. L'homme doit retourner à sa vie. Il s'éloigne pour rejoindre sa compagne. Clémentine me cherche.
Je me fais voir. La jeune fille me rejoint. < C'était génial ! Merci ! > me fait elle en se serrant contre moi. Des bisous.
Je passe ma main entre ses cuisses. C'est trempé. J'aimerais bien lui bouffer la chatte. Il y a de plus en plus de monde.
Il faut donc se faire une raison et continuer notre promenade. Nous nous offrons une coupe glacée à une terrasse. Bon.
Nous restons assis là, à l'ombre un très long moment. La mer scintille de mille feux. L'animation semble augmenter...

Il est déjà dix sept heures trente. Nous flânons encore un peu en nous promettant de revenir pour tout découvrir. Bien.
Nous prenons la route pour St Andrews vers dix huit heures trente. Nous arrivons rapidement. Nous y flânons un peu.
La faim commence à nous titiller. Clémentine me fait part de son désir de s'offrir une nouvelle frayeur avant de rentrer.
L'exhibition est une addiction comme une autre. Clémentine en est friande. Nous cherchons un bon restaurant sympa.
Malgré nos tentatives, il est impossible de trouver une table bien située qui permettrait à Clémentine de se faire peur...

Nous nous offrons un délicieux repas. Du saumon grillé accompagné de petites pommes de terres fumées. Un vrai régal.
Nous traînons à table. Il est vingt deux heures lorsque nous flânons à nouveau dans le centre de St Andrews. Du monde.
Il est 23 h30 quand nous revenons à la maison. Je bascule Clémentine sur le lit. Je peux enfin savourer son sexe humide.
Avec l'excitation, la sueur et les sucs de sa journée de fille, il y a de quoi me régaler. L'orgasme guette. Elle me repousse.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons longuement immobiles...

Bonne découverte de ce ravissant petit village portuaire de Fife a toutes les filles exhibitionniste. (Et même aux autres).

Oncle Julien - (Qui a encore assuré son rôle de vigile, de surveillant en sécurisant les exhibes de Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
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Nous voilà à la fin de cette troisième page.

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette" ne sont qu'autant de pseudonymes.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteurs toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. "Classe". Toute la place est disponible pour les épisodes qui se suivent.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique quatrième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

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Homme, 53 ans, France
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Nous partons randonner à bicyclette dans les Falkland - Jour 26 -

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil de la manière qui devient habituelle. On me tient la bite. Bises.
J'ouvre les yeux. Il est presque huit heures. Clémentine ne supporte pas de rester seule très longtemps. Sourire.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en se serrant contre moi. < Bonjour Clémentine ! > que je fais. Je la serre très fort.
Comme tous les matins, ma compagne me chevauche en riant. Je la fais basculer de gauche à droite. Papouilles.
Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. C'est le rituel des pissous matinaux. Nous sommes morts de faim.

Animés de nos appétits d'ogres, nous préparons notre petit déjeuner. Jus d'orange, café, pain grillé, yaourts. Bien.
Confiture, beurre et miel. Nous traînons à table. Il fait doux. Dehors il y a une alternance de séquences ensoleillées.
Les nuages sont nombreux mais clairs et lumineux. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Nous bavardons...
J'expose le programme de l'après-midi. Nous allons louer des bicyclettes à St Andrews et nous serons en randonnée.
Nous adorons les promenades à vélo. Aussi, c'est une chose qui depuis quelques jours commence à nous manquer.

Nous reviendrons en soirée pour flâner dans Leuchars, petit bourg au nord de St Andrews. Je connais un restaurant.
< Super ! De la bicyclette ! > fait Clémentine en me couvrant les joues de bises. Si le climat persiste, c'est parfait.
Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenues. C'est le plaisir de notre jogging quotidien. Nous voilà prêts.
Il est 8 h45. Nous partons courir avant d'éventuelles grosses chaleurs. Il fait doux. Soleil et nuages dans le ciel bleu.
Nous voilà à courir d'un bon rythme sur le parcours sportif où nous croisons nombre de joggers. C'est sympathique.

Nous sommes de retour pour 10 h15. Nous prenons notre douche. Nous nous savonnons en riant. Nous adorons.
Une fois vêtus de nos simples T-shirt, nous allumons l'ordinateur. Deux messages. Estelle et Juliette. Nous ouvrons.
Estelle nous décrit la fournaise caniculaire qui règne dans le Var. Son moral qui fond comme un glaçon. C'est dur.
Elle joint deux photos. Des selfies où on la découvre sous un grand chapeau de paille, vautrée dans un grand hamac.
Nous répondons en joignant deux photos prises hier, sur le port de Fife. Estelle pourra constater le même climat ici.

Juliette nous fait son rapport habituel. Tout va bien. Elle commence à cueillir les premières mirabelles. Les pommes.
La jeune femme nous envoie une photo d'elle tenant son cheval dans notre jardin. Nous répondons. Mêmes photos.
Clémentine visite le site de l'université. Informations concernant les inscriptions. Programmes de quatrième année...
Je la laisse découvrir tout cela pour me rendre au coin cuisine. Je prépare le nécessaire pour notre repas de midi.
Ma compagne commente à haute voix sa visite du site de la faculté. J'écoute avec attention. Le ciel qui se couvre.

Clémentine vient s'occuper des salades. Je prépare nos fameuses tartines aux anchois. Avec la météo, c'est très bien.
Nous évoquons Estelle et son séjour chez sa mamie. < Déjà presque une semaine, ça passe vite ! > fait Clémentine.
Ma compagne vient derrière moi. Elle passe sa main sous mon T-shirt pour m'attraper par la queue. Immobile. Bon.
< C'est comme ça qu'elle te tient, Estelle, non ? Et sans bouger ! > me fait elle encore. Je me retourne. Je l'embrasse.
< Oui, mais c'est avec toi que c'est le meilleur ! > que je lui fais en la soulevant pour la faire tournoyer dans les airs.

Le repas est prêt. Je mets la table. Nous mangeons d'un bon appétit. Nous faisons notre vaisselle. Nous nous habillons.
Clémentine met sa jupette "tennis", un T-shirt et ses baskets de virée. Je suis en short, T-shirt et baskets. Il est 13 h30.
Nous voilà en route pour St Andrews. Je gare la voiture dans la même ruelle. Nous marchons jusqu'au centre. Sympa.
Il y a du monde. Nous nous rendons au magasin de cycles et des locations. J'ai réservé en fin de matinée. Deux vélos.
Nous prenons possessions de nos deux bicyclettes qu'il faudra ramener au plus tard pour dix neuf heures. Je règle...

Je porte le petit sac à dos dans lequel nous avons nos pommes, nos barres de céréales, une bouteille d'eau. K-ways.
Le ciel est couvert. La lumière diaphane d'un ciel nuageux mais lumineux. Il fait moins chaud. Enfin de la fraîcheur.
Nous quittons St Andrews sur la piste cyclable qui longe le littoral. Il nous faut nous habituer à ces bicyclettes. V.T.C.
Nous croisons quantité de cyclistes. A peine une petite brise. Nous apercevons les îles des phoques de Tentsmuir Point.
Le terrain est plat. Ce qui permet de pédaler sans faire d'effort. Nous bavardons. Nous sommes heureux d'êtres à vélo.

Nous longeons un magnifique paysage immaculé, fait de dunes forestières à gauche et de plages de sable fin à droite.
Une fois encore nous apprécions ce pays qui donne une priorité absolue à son environnement exceptionnel. C'est beau.
Nous arrivons à Newport-On-Tay. La piste cyclable longe la rivière Tay. Le paysage est magnifique. Petite ville sympa.
Nous nous arrêtons à la fin de la piste cyclable. Il y a un parc. Le ciel est couvert mais lumineux. Il est déjà 16 h. Bien.
Nous sommes assis sur un banc à grignoter nos pommes et nos barres de céréales. Devant nous il y a un petit étang.

< Je m'offre un "plan", tu veux ? > me fait Clémentine. Je regarde partout autour de nous. Il n'y a pas grand monde.
Je me demande ce que la jeune fille va encore inventer. Nous flânons un peu dans le parc. Découverte de l'endroit.
Clémentine me montre les bancs à l'abri des regards, autour d'une fontaine. Le tout entouré de haies d'épais lauriers.
Un endroit circulaire et désert. < Planque-toi là, on attend cinq minutes, s'il n'y a rien, on se casse ! > fait la jeune fille.
Clémentine me montre les fourrés à l'entrée de l'aire circulaire. Je m'y glisse. De là, j'ai une vue parfaite. Invisible.

Ma compagne s'est assise sur un des quatre bancs. Elle tient une brochure touristique. Absorbée dans sa lecture. Bien.
Je regarde partout autour de nous. Il y a bien quelques rares promeneurs. Nous sommes à l'extérieur de la petite ville.
Un petit moment passe ainsi. Clémentine regarde partout autour d'elle. Parfois la jeune fille se lève pour mieux guetter.
Elle me fait des signes et des grimaces, mimant une masturbation masculine. Imitant la vulgarité qu'y met Estelle. Joie.
Il faut se faire une raison. Il n'y aura aucune opportunité ici cet après-midi. Clémentine vient me rejoindre. Dépitée. Déçue.

Je regarde partout. Je sors ma bite. Je la secoue devant la jeune fille en disant : < Il ne reste plus que la mienne ! >.
Nous rions de bon cœur. Clémentine s'accroupit pour me la sucer un peu. Je la laisse se régaler un petit moment. Bon.
Soudain, là, venant dans l'aire circulaire, il y a une femme. Sans doute une touriste. Seule. Elle fait des photographies.
Je ne dis rien à Clémentine. L'inconnue contourne la fontaine, faisant des photos. Elle tombe sur le "spectacle". Silence.
Je fais semblant de ne pas avoir aperçu son arrivée. Je tiens Clémentine pas sa tresse. La tête baissée. Je me fais sucer.

Cette jeune femme doit avoir la trentaine, blonde, les cheveux attachés en queue, plutôt grande et mince. Short. Baskets.
Je porte mes lunettes noires. Ce qui me permet de loucher dans la direction de la jeune femme. Elle s'arrête. Hésitation.
Elle continue son tour. Elle s'arrête une nouvelle fois. Elle louche dans notre direction. Nous sommes derrière les fourrés.
La jeune femme fait le tour de la fontaine. Clémentine vient de se rendre compte de sa présence. Elle me suce. Délicate.
La jeune femme ne doit pas être insensible à cette découverte insolite. Dissimulée derrière la fontaine, elle mâte. Voyeuse.

La touriste reste un petit moment à mâter discrètement. Elle regarde partout autour d'elle et revient dans notre direction.
Cette fois, je redresse la tête. Je retire mes lunettes. Nous échangeons un sourire. Je tiens Clémentine par la nuque. Pipe.
La jeune femme fait un nouveau tour de la fontaine. Elle semble hésiter. Elle revient à nouveau dans notre direction. Bien.
Cette fois, je sors ma queue de la bouche de Clémentine pour l'agiter vers la jeune femme. Elle me fait un délicieux sourire.
Clémentine se retourne pour regarder à son tour. Elle se déplace tout en restant accroupit. Sa tête contre ma cuisse. Belle.

La jeune femme semble s'amuser beaucoup de la situation. Pas du tout farouche elle s'arrête pour admirer le "spectacle".
Je secoue ma bite dans sa direction. Clémentine me tient par les hanches, sa tête appuyée contre le haut de ma cuisse.
La jeune femme me regarde me branler en riant. < Absolutely stunning ! > fait elle à haute voix. Nous rions de bon cœur.
Je fixe la jeune femme. Je saisis Clémentine par sa tresse. Je lui passe ma bite sur le visage. La jeune femme observe.
Je mets ma bite dans la bouche de Clémentine. Je bouge doucement les hanches en tenant ma compagne par ses oreilles.

Je mets ma main fermée devant ma bouche. Je fais une bosse dans l'intérieur de ma joue avec la langue. Un clin d'œil.
La jeune femme semble un peu gênée par mon invitation. Je sors ma bite de la bouche de Clémentine. Je la lui tend. Bien.
La jeune femme semble hésiter. Finalement, après m'avoir adressé un dernier sourire, elle quitte l'aire circulaire. Fini !
Je force Clémentine à se redresser. < Cette fois, c'est moi qui m'en suis payé une tranche ! > que je lui fais. Elle sourit.
< C'était génial ! J'aime quand tu es vicelard ! > me fait ma compagne avant de m'embrasser. Il est temps de repartir...

Nous voilà sur nos bicyclettes dans le sens inverse. Nous évoquons évidement notre aventure dans le parc. Nous en rions.
Nous sommes de retour à St Andrews pour 18 h50. Juste à temps pour remettre nos vélos et récupérer la caution. Faim !
Nous prenons la voiture pour retourner sur Leuchars. Je veux faire découvrir le "Dali's Fish & Pizza Bar" à Clémentine.
Dix minutes de voiture et nous voilà dans ce petit bourg portuaire. Nous sommes morts de faim. Il y a peu de monde.
Nous sommes assis devant des crustacés grillés accompagnés de petits légumes grillés absolument exquis. Un vrai régal.

Aux murs, il y a des reproductions de toiles de Salvador Dali. Ce qui nous enchante. Ce sont des reproductions peintes.
Des artistes qui ont peint tout cela avec une admiration évidente pour le maître. Allant jusqu'à l'imitation parfaite. Super.
Nous flânons sur le quai. Toujours ces maisons colorées et fleuries. C'est de toute beauté. Nous apprécions la douceur.
Discrètement, à chaque fois que c'est possible, je sors ma bite pour l'agiter vulgairement devant Clémentine. Elle adore.
< J'adore quand tu as ces comportements, si tu savais ! > me confie la jeune fille. Nous rentrons pour 23 h30. Baise...

Bonne balade à bicyclette à toutes et à tous. Bonne découverte de couples vicelards dans les fourrés à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui apprécie lui aussi d'être vue par de belles inconnues entrain de se faire sucer. Grands moments) -

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