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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Nous allons à la découverte de la ville de Dundee - Jour 27 -

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous. Sur le nez, les joues, le front. Chatouilles.
J'ouvre les yeux. Clémentine se serre contre moi. < Bonjour Julien ! > me fait elle. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >
Il est presque huit heures. Notre horloge biologique fonctionne parfaitement. Clémentine me chevauche en riant.
Nous nous offrons des papouilles, de la tendresse et des douceurs. L'envie de pisser nous impose d'y mettre fin.
Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. C'est le rituel des pissous du matin. Puis c'est le petit déjeuner...

Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que Clémentine fait griller. Beurre. Miel.
Confiture et yaourts. Nous savourons ce premier repas en bavardant. Nous évoquons la journée à venir. Il fait beau.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. J'expose mon programme. Cet après-midi, ce sera la visite de Dundee.
La ville distante d'à peine une vingtaine de kilomètres. Visite d'un ou deux châteaux. Jardin botanique. Découvertes.
Je sais que Clémentine éprouve une passion grandissante pour la botanique. Son prochain projet dans notre jardin.

Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenue. Il faut faire notre jogging avant les grosses chaleurs du jour.
Nous voilà à détaler à toute vitesse pour nous retrouver sur le parcours sportif. C'est très fréquenté. Des joggeurs.
Nous sommes de retour pour 10 h15. La douche. Ce matin il faut aller faire les courses pour remplir le réfrigérateur.
Nous nous habillons. Clémentine porte sa jupe kilt, un T-shirt et ses sandales. Je suis en short, chemisette, sandales.
Nous croisons tante Betty en remontant le chemin. J'arrête la voiture pour la saluer. Nous sommes invités demain soir.

Je gare la voiture sur le parking du supermarché. Il y a beaucoup de monde. C'est samedi. Je pousse le caddie. Bien.
Comme chez nous, c'est Clémentine qui marche à côté du chariot pour y déposer les articles de son choix. Entretien.
< On se fait un "plan" ? > me fait elle. Je lui fais remarquer qu'avec le monde qu'il y a dans le supermarché, difficile.
Ma compagne reste donc prudente et me fait : < Je me rattrape cet après-midi ! >. Nous rions de bon cœur. Courses.
Il est onze heures quarante cinq lorsque nous revenons à la maison. Nous rangeons les courses. Tout est en ordre...

Je dispose le nécessaire de notre repas sur le plan de travail. Clémentine allume l'ordinateur. Je prépare nos tartines.
< Viens, il y a le message d'Estelle et celui de Juliette ! > me fait Clémentine. Je m'essuie les mains et je viens voir.
Dans le Var la chaleur est telle que tout le monde semble vivre au ralenti, certains en léthargie. Estelle n'en peut plus.
Elle joint deux photos d'elle dans le jardin de sa mamie en compagnie des oies et des canards. Ses seuls amis là-bas.
Le message de Juliette est court. Une photo d'elle et de son cheval devant notre potager. Tout va bien au haras. Joie.

Clémentine vient préparer les salades. Je termine de beurrer les tranches de pain grillé sur lesquelles j'étale le frome.
Notre préférence va pour le Roquefort. Nous en faisons grande consommation. Nous en aurons jusqu'à la fin du séjour.
Nous mangeons avec appétit. Il fait lourd, chaud. Le ciel est tout bleu. Nous faisons notre vaisselle. On s'habille léger.
Clémentine porte sa jupette "tennis", son T-shirt et ses sandales. Je suis en short, en T-shirt et en sandales. Sympa.
Nous prenons la sortie de St Andrews en direction de Dundee. La climatisation fonctionne à plein régime dans l'auto...

Nous longeons la mer dont le bleu scintille de mille feux. Je gare la voiture dans une rue à dix minutes du centre ville.
C'est bien aussi de découvrir de nouveaux lieux et de ne pas être obligé de trouver des places de parking un samedi.
Nous adorons marcher en flânant. Il y a de plus en plus de monde. Nous arrivons près du centre. Rues pavées. Fleurs.
Dundee est la quatrième ville d'Ecosse. Elle doit son essor économique à l'industrie pharmaceutique. Ville étudiante.
C'est la ville réputée la plus chaude d'Ecosse car orientée vers le Sud. Et c'est vrai qu'il fait chaud. Il est à peine 14 h.

Parfois, toujours avec sa discrétion virtuose, Clémentine frôle ma braguette en me disant : < Attention, salope ! >.
Nous rions de bon cœur lorsque je lui attrape la main pour la maintenir sur mon sexe à travers le tissus. Ambiance.
Nous remontons jusqu'au château de Broughty. C'est la première attraction que nous voulons découvrir. Superbe.
Il y a du monde. Il y a le choix entre une visite guidée et une découverte libre. Nous choisissons la première formule.
Toujours désireux d'apprendre, notre choix se porte sur l'aspect culturel de cette nouvelle découverte. Groupe de dix.

Comme souvent pendant les vacances, c'est une jeune étudiante qui exerce en qualité de guide. Nous voilà en visite.
Il fait agréablement frais dans la grande bâtisse de pierres. Nous découvrons l'intérieur transformé en Musée. Beau.
La salle d'armes, la salle des archives, la salle des costumes. L'étage consacré au mobilier ancien et restauré. Bien.
Nous écoutons notre guide. A plusieurs reprises Clémentine effleure ma braguette. Personne ne remarque son manège.
Nous sommes au milieu d'un groupe de dix touristes. Les gens écoutent, rient parfois selon les plaisanteries du guide.

Cette visite est passionnante et nous permet de rester à l'abri de la chaleur. Il est quinze heures. Second château.
Nous marchons à l'ombre des maisons pour arriver à Mains Castle. Là, c'est une restauration magnifique. Superbe.
La cour du château est vaste. Il y a des canonnières, des boulets et autre trébuchets qui parsèment l'endroit. Gazon.
< Il y a de bons "plans" par là ! > me fait Clémentine en m'entraînant à l'écart. Nous montons quelques marches.
Nous sommes en haut d'un terre plein, une sorte de terrasse qui offre une vue sur toute la cour. Lieu stratégique...

De là, nous voyons bien les allées et venues des touristes, des promeneurs et des badauds. C'est également un parc.
Clémentine regarde partout autour de nous. Elle vérifie chaque angle de vue. La jeune fille ne laisse rien au hasard.
Elle me fait : < Là, je vais m'en payer une tranche. Nous irons visiter l'intérieur du château plus tard ! >. Je regarde.
Clémentine, derrière le socle d'une statue de bronze, retire rapidement sa culotte qu'elle met dans le petit sac à dos.
C'est moi qui le porte. Il s'y trouve nos pommes, nos barres de céréales et une grande bouteille d'eau gazeuse. Bien.

Conformément au "plan", je reste à l'écart. Je vais me placer derrière un muret d'où seul ma tête dépasse. L'idéal.
Je suis à l'ombre d'un bâtiment médiéval fermé et sans fenêtres. Clémentine est à l'ombre des remparts. Balade.
Je la vois scruter avec attention les environs tout en faisant mine d'étudier la brochure touristique du château. Bien.
Il y a des promeneurs solitaires, plus bas, dans la cour. Peu de gens montent ici car il n'y a pas grand chose à voir.
Un de ces promeneurs arrive jusqu'au bas des marches. Il regarde en l'air, prépare son appareil photo et monte...

C'est un quinquagénaire un peu enveloppé, vêtu d'un short kaki, d'une chemisette de la même couleur. Chapeau.
Il regarde soigneusement autour de lui pour prendre quelques clichés panoramiques. Il semble consciencieux. Bien.
C'est à ce moment qu'il découvre cette jeune fille qui marche doucement, lisant sa brochure, à quelques 20 mètres.
Le quidam n'y prête pas plus d'attention que ça. Il continue de chercher les tous meilleurs angles de prises de vue.
Clémentine se dirige entre le socle de la statue équestre et la charrette à foin reconstituée pour les touristes...

Notre inconnu s'avance. Il tient son appareil photo comme une arme, prêt à prendre les meilleurs clichés. Guerrier.
Depuis l'endroit où je me trouve, je peux assister à tout cela dans les toutes meilleures conditions. C'est surprenant.
Je vois Clémentine regarder partout autour d'elle, avec sa prudence habituelle. Le type se rapproche, lui tourne le dos.
La jeune fille s'accroupit. Sa position préférée. Elle pose son sac à main devant ses cuisses largement écartées. Show.
Clémentine, la tête penchée en avant, portant ses lunettes noires, fait mine de fouiller dans son sac. Le type arrive...

Bien évidemment, j'assiste à la même scène. Je vois la réaction de l'homme devant ce divin spectacle. Fantastique.
Il a cette même réaction que la plupart des messieurs qui découvrent la position ambiguë de ma compagne. Silence.
Voyeur discret, il fait mine de regarder dans une autre direction tout en louchant à s'en déboîter les globes oculaires.
Il passe. S'arrête, revient sur ses pas, repasse encore. Je bande comme un salaud. Clémentine fait ça aussi pour moi.
L'inconnu n'est qu'à quelques mètres de Clémentine. Il regarde dans toutes les directions. Il lui adresse quelques mots.

Clémentine relève la tête. Elle sait bien qu'à présent, c'est le type qui sécurise son exhibition. Il engage la conversation.
S'il devait y avoir du monde, l'attitude du quidam serait le signal d'alerte. Aussi Clémentine peut s'offrir sa petite peur.
Je regarde toujours tout cela avec beaucoup d'admiration et d'excitation. C'est tellement beau, charmant et bluffant.
L'homme bavarde. Clémentine rit à plusieurs reprises tout en restant dans cette position suggestive et équivoque. Belle.
Je ne comprends pas la nature des propos échangés. Ils doivent être amusants car je vois rire Clémentine plusieurs fois.

Il y a un couple qui vient de monter l'escalier. Ils viennent dans cette direction. Le quidam en informe Clémentine. Bien.
La jeune fille se redresse. L'espace de ce petit moment privilégié, elle fait du touriste son complice. C'est vraiment génial.
Le couple continue, fait le tour du terre plein et redescend. Clémentine, bien salope, reprend sa position devant le type.
Cette fois, elle a remis son sac à main en sac à dos. La jeune fille, les cuisses largement écartées fait face à cet inconnu.
Il s'avance. Il ouvre sa braguette en regardant avec attention partout autour de lui. Je ne vois pas à cause de la charrette.

Il y a peut-être deux mètres qui séparent Clémentine accroupit devant le mec qui semble se branler. J'imagine son plaisir.
La situation perdure ainsi un moment. Les deux protagonistes sont en pleine conversation. Clémentine rit plusieurs fois.
Le type se marre également à plusieurs reprises. J'aimerais bien savoir ce qui les fait tant rire. Clémentine me racontera.
Je ne vois que le buste de l'inconnu. Mais je distingue parfaitement son épaule qui bouge. Un mouvement de branlette.
Clémentine ne peut pas écarter ses cuisses davantage. Le type doit admirer cette invraisemblable touffe fournie. Poils...

Soudain, dans un spasme qui semble violent, l'inconnu s'immobilise. Ejaculation. Orgasme. Il se tient à la charrette. Joie.
Clémentine se redresse. Elle contourne le type pour le laisser remballer. La jeune fille, la main entre ses cuisses, le salue.
Je la vois, cambrée sur ses genoux fléchis, une main entre ses cuisses, l'autre en appui sur le socle de la statue. Salope.
Le type est certainement à la limite de l'apoplexie car il se tient d'une main à la poignée de la charrette. C'est délirant.
Clémentine doit s'offrir une masturbation délicieuse. Je sais qu'elle arrête toujours juste avant l'orgasme. Elle se préserve.

Le type reprend ses esprits. Clémentine s'en va en se réajustant. Elle regarde partout autour d'elle et s'accroupit à nouveau.
Juste devant le mec. Cuisses écartées. Elle lui fait un dernier coucou, se redresse et file à toute vitesse. Le type s'en va.
Clémentine vient me rejoindre. Nous regardons l'inconnu disparaître dans l'attroupement, là-bas, à la sortie du château.
Ma compagne me raconte dans le détail. C'était un touriste français dont la femme et la fille visitaient l'intérieur du château.
Journaliste pour une revue de pêche, le quidam avait la formule et le discours très drôle. Il s'est offert une éjaculation...

Clémentine m'entraîne entre la charrette et la statue. Elle me montre la flaque de foutre. Une quantité impressionnante.
Clémentine me montre également la tache de pisse qu'elle a laissé là. Je n'avais pas vu depuis ma cachette qu'elle pissait.
Elle se serre dans mes bras et me fait : < C'était génial ! Merci. Je t'aime comme une folle ! >. Je la fais tourner. Bisous.
Nous redescendons pour aller visiter Mains Castle. Il est déjà dix sept heures. La visite est une belle découverte. Histoire.
Il faut suivre le guide. Un jeune garçon cette fois. Un rouquin à lunettes qui sait amuser les visiteurs de ses facéties. Bien.

Il est dix huit heures lorsque nous nous dirigeons vers l'University of Dundee Botanic Garden. Un grand parc fleuri. Super.
L'endroit va fermer pour dix neuf heures. Nous n'avons donc qu'une trentaine de minutes. L'endroit est de toute beauté.
Il y a du monde. Beaucoup trop de monde pour tenter un "plan". Tant pis. Clémentine pas vraiment déçue en rigole un peu.
Nous flânons longuement dans les rues animées du centre de Dundee. Il y a une manifestation touristique ce soir. Théatre.
Tout cela nous a considérablement ouvert l'appétit. Nous découvrons le "Murray's Fisch & Chips Shop". Restaurant sympa.

Nous y prenons deux steacks de saumon fumés aux champignons. Des avocats aux crevettes en entrée. Un vrai délice.
Confortablement installés sur la terrasse, sous une tonnelle, nous savourons ce moment de plénitude. C'est le bonheur.
En Ecosse, il est interdit de fumer dans la plupart des lieux publics. Nous ne sommes donc jamais incommodés. Sympa.
Nous flânons jusqu'aux bords de la rivière Tay. Le crépuscule apporte un peu de fraîcheur. Enfin. Retour au centre ville.
Dans les rues, un peu partout, il y a de petits tréteaux sur lesquels des acteurs de théatre déclament de longues tirades.

Nous admirons le grand dragon en bronze. La fameuse "Dragon statue". La mythologie "dragon" est vivace en Ecosse.
Aussi, toutes les légendes reptiliennes sont soigneusement entretenues en Ecosse comme dans le reste de l'Angleterre.
Entre deux voitures, dans une ruelle, Clémentine s'offre une dernière petite frayeur avant de rentrer. Accroupie à pisser.
Un jeune gaillard tombe sur la scène qu'avait soigneusement préparée Clémentine. Je suis dissimulé en retrait. Caché.
Le jeune homme, troublé se confond en excuses comme s'il était responsable de ce qu'il découvrait là. Je me marre...

Clémentine se lâche dans un de ses longs jets abondants. Elle pisse devant le jeune gars qui s'est arrêté quand même.
C'est elle qui lui adresse la parole. Le jeune homme semble en bafouiller. Depuis ma cachette, dans une porte, je vois.
Je n'entends rien des propos qui s'échangent. Je vois Clémentine sortir un mouchoir en papier de son sac. Tranquillement.
En prenant tout son temps, pour bien faire durer, Clémentine se torche consciencieusement. Elle lui tend le mouchoir.
S'en est sans doute trop pour le jeune homme qui reprend son chemin à vive allure. Clémentine se redresse. Elle vient.

Elle me raconte dans le détail cette nouvelle petite rencontre. Nous rions comme des bossus. Il est minuit. Nous rentrons.
Avant la douche, je culbute Clémentine sur le lit. Je veux me régaler des saveurs de sa journée de fille. Et il y a de quoi.
Ses excitations nombreuses, ses épanchements de cyprines, tout cela participe d'un très agréable repas que je savoure.
Odeurs fortes, épanchements gluants, je me régale. Clémentine me repousse avant l'orgasme. Nous courons à la douche.
Une fois au lit, un "69" des plus gustatifs. Clémentine m'entraîne sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions...

Bonne découverte de Dundee et de ses châteaux à toutes les filles exhibitionniste aimant êtres vues. (Et aux autres).

Oncle Julien - (Heureux privilégié dont la compagne peut se livrer à toutes sortes d'expériences vicelardes) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Clémentine et Julien vont à la découverte de la ville de Dundee - Jour -

Hier matin, dimanche, j'ouvre les yeux le premier. Je suis réveillé par le léger ronflement de Clémentine, couchée sur le dos.
J'aime la regarder ainsi, la bouche entrouverte, dormant encore à poings fermés. Cela ne dure jamais très longtemps. Bien.
Clémentine, avertie par une sorte de sixième sens, ouvre les yeux à son tour. Elle me regarde et me fait un délicieux sourire.
Je lui fais plein de bisous. < Bonjour Clémentine ! > que je dis. La jeune fille me chevauche en disant : < Bonjour Julien ! >.
Nous nous offrons nos papouilles matinales. Il est déjà huit heures. C'est dimanche, jour sans entraînement. Farniente. Pipi.

Clémentine m'entraîne par la main. Le rituel des pissous du matin. Nous voilà aux toilettes à sacrifier à nos besoins naturels.
Je tiens Clémentine par ses cheveux. Elle se soulage dans un long jet sonore. Puis elle me tient la bite pour en diriger le jet.
Nous nous précipitons à la cuisine. Nous sommes animés d'une faim de loup. Je presse les oranges et je fais griller le pain.
Clémentine met la table, prépare la confiture, le miel, le beurre et les yaourts. Le café parfume rapidement l'atmosphère...
Nous mangeons d'un bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons nos aventures écossaises en riant beaucoup. Exhibes !

Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. < Chaque jour, je me sens plus salope ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur.
Je lui dis : < Aujourd'hui, tu vas encore pouvoir te surpasser ! >. La jeune fille me fait : < Cela devient une pathologie ! >.
Nous rigolons comme des bossus. Je rajoute : < Voilà une pathologie fort plaisante qui ne fait de mal à personne ! >. Rires.
< Aujourd'hui, je vais te sucer partout où c'est possible ! Je me sens comme une vraie ventouse ! > fait Clémentine. Joie.
Nous restons ainsi à plaisanter. Nous avons tout notre temps. Il est huit heures trente. Nous faisons notre vaisselle. Sympa.

Nous prenons notre douche. Nous retournons à la chambre pour nous vêtir de nos simples T-shirt. Clémentine saisit ma bite.
Me tenant fermement par la queue, prenant un air grave, la jeune fille me fait : < Je t'aime ! Je t'aime comme une folle ! >.
Elle m'embrasse en fouillant ma bouche de sa langue avide et exploratrice. Tout ça me fait toujours bander comme un salaud.
< Mais tu es un salaud ! Je me ferais drôlement chier si tu ne l'étais pas ! > me fait encore ma compagne en s'accroupissant.
Je suis entrain de me faire tailler une superbe pipe. Je tiens Clémentine par ses cheveux attachés en catogan. Je peux guider.

Nous restons ainsi un long moment. Clémentine s'est redressée pour s'asseoir sur le lit sans cesser de me sucer avec appétit.
J'expose le programme de la journée. Clémentine ponctue chacune de mes suggestions d'un gémissement et en déglutissant.
Je la laisse se régaler. La fellation est le rapport sexuel préféré de ma compagne. Elle pourrait y consacrer tout son temps...
Je tiens Clémentine par le menton et par la nuque. Je reste parfaitement immobile en exposant le détail de notre après-midi.
Nous partons pour la ville de Dundee. Quelques cinquante kilomètres de voiture. Visite. Nous adorons découvrir les châteaux.

Je force Clémentine à cesser sa pipe. Du foutre gluant relie sa bouche à mon prépuce par de longs filaments épais et baveux.
Je me penche pour lui déposer plein de bisous sur le front et les joues. < Je t'aime ma grande pompe à jute ! > que je lui dis.
Nous rions de bon cœur. Je rajoute : < On va en garder pour le restant de la journée ! >. Clémentine se pourlèche de la jute.
Je l'entraîne, la tenant par ses cheveux. Je la tire fermement. < Je veux que tu ais ce comportement aujourd'hui ! > dit elle.
Nous sommes assis devant l'ordinateur que Clémentine allume. Le message d'Estelle, plutôt alarmant. Le message de Juliette.

Estelle nous informe de son "ras-le-bol" quotidien. < Je pète un plomb tous les jours et plusieurs fois ! > nous écrit elle. Rires.
Il y a deux photos jointes. Estelle en short, en T-shirt, coiffée d'un large chapeau de paille, assise à une table de jardin. Ombre.
Nous répondons. Dehors, ici aussi, il fait chaud, beau et sous un soleil radieux. Nous découvrons le message de Juliette. Bien.
La jeune femme vient chaque soir, à cheval, arroser le potager, récupérer des légumes et cueillir quantité de fruits. Mirabelles.
Nous répondons en joignant quelques photos de nous deux durant nos virées. Clémentine visite rapidement le site de la fac...

Il est déjà dix heures trente. Je propose à Clémentine ne nous préparer pour partir. Nous nous préparons des sandwichs. Bien.
Ma compagne porte sa jupette "tennis", un T-shirt et ses sandales "Décathlon" qui s'ouvrent et se ferment d'un simple velcro.
Je porte mon short, un T-shirt et les mêmes sandales. Nous préparons des sandwichs au fromage, avocats et carottes crues.
Tout est dans la glacière qui sera branchée sur l'allume cigare dans la voiture. Je mets des fruits dans le petit sac à dos. Prêts.
Nous voilà en route pour Dundee. Il nous faudra être de retour pour vingt heures car nous sommes invités par tante Betty...

Nous roulons bien. Il y a peu de circulation. Clémentine joue avec ma bite qui n'arrête pas de secréter de la jute gluante. Bien.
A plusieurs reprises la jeune fille se penche pour en récupérer les coulées de foutre. Lorsque je suis excité je suis très juteux...
Nous longeons la rivière Tay sur les vingt derniers kilomètres. Il est onze heures quarante cinq lorsque je gare la voiture. Joie.
Comme toujours, je laisse la voiture garée à une dizaine de minutes de marche du centre ville. La découverte est plus agréable.
Clémentine, bien "allumée", me frôle discrètement la bite tout en marchant. Elle me montre l'intérieur de sa bouche en riant.

Nous arrivons au centre de la ville. Rues pavées et fenêtres fleuries. Il y a du monde. Nous commençons à avoir faim. Sympa.
Nous admirons l'architecture des lieux. Tout est charmant. Nous nous sentons si bien que nous décidons de trouver un parc.
Il y a "University of Dundee Botanic Garden" à quelques minutes. Nous nous y dirigeons d'un pas rapide, animés par la faim.
Nous découvrons un endroit de toute beauté. De nombreuses serres. Des variétés de fleurs époustouflantes. C'est magnifique.
Nous voilà installer sur un banc. Entre nous, deux grandes feuilles de papier sopalin. Nos sandwichs et nos carottes posés. Bien.

Nous mangeons d'un bon appétit en regardant l'admirable endroit où nous sommes. Il y a du monde. Beaucoup de touristes.
Il fait chaud. Il fait beau. Heureusement, parfois, quelques nuages viennent tempérer l'atmosphère lourde. C'est très agréable.
Au loin, au-dessus des maisons, nous sommes entourés de montagnes. La région du Perthshire mérite toute nos attentions.
Aussi nous décidons de revenir demain pour y randonner. Nous terminons notre repas. Nous flânons longuement dans le parc.
Clémentine me fait ! < On se fait un "plan" pipe quelque part ? >. Je lui propose de rester discrets en ce lieu très fréquenté...

Lorsque qu'une femme a une idée derrière la tête, nul ne peut l'empêcher d'aller au bout de son désir. J'en fais l'expérience.
Clémentine m'entraîne derrière un bosquet, entre une serre et des fourrés. Accroupie, elle me sort la queue. Elle joue avec.
Elle me regarde en riant : < Mon dessert ! > me fait elle avant de me sucer. Je la tiens fermement par les cheveux. Salaud.
Je la laisse se régaler un petit moment avant de la forcer à se redresser. Je l'entraîne pour revenir dans l'allée. Il y a des gens.
Ma compagne apprécie toujours lorsque j'ai un comportement directif. A son goût, je ne l'ai pas assez. Ce qui nous amuse.

Nous quittons le parc. Nous adorons visiter des châteaux. Avec ces chaleurs on y trouve la fraîcheur et les découvertes. Bien.
Nous voilà devant les grilles ouvertes du château de Scone. Il y a du monde. Le parc du château est absolument superbe. Joie.
Nous flânons un peu. Aucune possibilité pour Clémentine de satisfaire sa gourmandise. Nous rions de bon cœur en l'évoquant.
La visite est guidée. Le guide, une fois encore, est une jeune fille, étudiante dans son job d'été. Nous suivons donc le guide...
Au sein d'un groupe d'une quinzaine de touristes, nous écoutons et découvrons un musée magnifique. Des costumes et armes.

A plusieurs reprises, avec sa virtuosité coutumière, Clémentine frôle ma braguette. Elle me chuchote quantité de cochonneries.
< J'ai envie d'être salope ! Si tu savais ! > me fait elle plusieurs fois. Je fini par lui dire : < Je sais ! >. Nous rions de bon cœur.
La visite dure une petite heure. Nous croisons d'autres groupes de touristes qui suivent d'autres jeunes gens. C'est très sympa.
Le plus souvent nous fuyons toutes formes de promiscuités. Mais là, il y a un côté ludique et presque farceur qui nous amuse.
Nous voilà dehors. Il y a des séquences ensoleillées et d'autres plus couvertes. Cela tempère un peu les chaleurs. C'est bien...

Direction le musée Balhousie Castle. Le musée des costumes et des tissus précieux, anciens et rares par excellence. Réputation.
Nous suivons un groupe d'une dizaine de touristes. Toujours en écoutant un guide. Jeune homme plein d'humour et d'entrain.
Nous découvrons un nouvel endroit magnifique. La fraîcheur des vieilles pierres est des plus plaisantes. Nous en profitons bien.
Là encore, Clémentine me frôle la braguette en me chuchotant des cochonneries. Je la tiens parfois par la nuque. Discrètement.
Malgré notre prudence, il arrive parfois que quelqu'un surprenne nos agissements. Surtout lorsque je tiens la fille par la nuque.

Ma compagne adore mon comportement. Surtout lorsqu'elle se sait regardée. Cela me gêne toujours un peu. Mais je fais plaisir.
Nous restons tout le temps de la visite. Il y a un couple, quadragénaires alertes, qui semble avoir repéré notre petit jeu vicieux.
Le type, coiffé d'un curieux chapeau, porte une impressionnante moustache. Sa femme porte de grosses lunettes de myope.
J'en rajoute donc discrètement en tenant fermement Clémentine par la nuque pour la pousser légèrement devant moi. Vicelard.
Ma compagne, à la fois surprise et heureuse, se laisse guider ainsi derrière le groupe de touristes. Une jeune fille nous repère...

Sans doute une touristes solitaire, la jeune fille prend des photos. Elle a bien repéré notre petit jeu. Elle me lance un sourire.
J'en fais part à Clémentine qui me dit : < Oui, je sais, ça fait un moment que je l'ai repéré ! >. Je suis toujours étonné. Rires.
Nous quittons la bâtisse pour nous retrouver dans le parc. Clémentine me fait : < Viens, ne perdons pas la fille de vue ! >.
En fait, cette jeune touriste ne reste jamais trop loin. Un peu comme si elle voulait en savoir davantage. En voir encore un peu.
Aussi, au détour d'une statue équestre dans le parc, Clémentine se tourne et me palpe la braguette. La jeune touriste mâte...

C'est tellement rapide, discret, que la voyeuse est surprise. Elle prend des photos à une trentaine de mètres. Il y a d'autres gens.
Clémentine récidive une seconde fois. La jeune touriste paraît extrêmement gênée. Amusée certainement aussi. Petite voyeuse.
La jeune touriste est rejointe par un couple. Certainement ses parents. Ce qui met fin à son voyeurisme. Elle nous fait un sourire.
Nous les regardons s'éloigner. La jeune fille se retourne plusieurs fois. Sa frustration doit être à la mesure de son excitation. Rire.
Nous nous rendons au "Perth Museum and Gallery". Un nouvel enchantement. Ici, la visite est libre. Il y a de magnifiques toiles...

Il y a beaucoup de visiteurs. Nous nous offrons quelques frissons par des attitudes ambiguës. Clémentine est très excitée. Sympa.
Discrètement, à plusieurs reprises, c'est moi qui lui passe rapidement la main sous la jupe. La jeune fille glousse de plaisir. Joie.
Nous découvrons quelques peintres écossais du XVIIIème qui mériteraient la célébrité. Des tableaux de toute beauté. Paysages.
Nous traînons jusqu'à la fermeture exceptionnelle du dimanche. Il est 18 h45. Nous quittons les lieux. Un après-midi culturel. Bien.
Nous sommes à la voiture pour dix neuf heures. Le temps de rentrer. La circulation est fluide. Nous sommes de retour pour 20 h.

Nous sommes invités par tante Betty. Nous restons vêtus en touristes. Oncle John et tante Betty sont content nous avoir avec eux.
Nous mangeons avec appétit. Tarte au saumon. Salades avec thon. Un délice. Oncle John, malgré ses 80 ans, drague Clémentine.
Bien évidemment, oncle John utilise de grosses ficelles pour nous amuser. Ce n'est pas souvent qu'il y a une jeune fille chez lui.
Il est rapidement vingt trois heures. Nous prenons congé. Nous traversons le parc pour rentrer. La fraîcheur de soir est agréable.
Nous nous offrons un superbe "69" avant une douche. Puis, c'est la baise. Clémentine me chuchote plein de cochonneries. Dodo...

Bonne découverte de Dundee et de ses châteaux musées à toutes et à tous. Les couples coquins auront de quoi faire...

Julien - (Qui s'est encore retrouvé dans des situations extrêmes, excitantes, vicelardes, poussé aux couilles par Clémentine) -

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Nous partons randonner dans la magnifique région du Perthshire - Jour 29 -

Hier matin, lundi, je suis à nouveau réveillé de cette façon si agréable et qui devient de plus en plus régulière. Douceurs.
Clémentine qui ne supporte pas de rester seule bien longtemps, me couvre le visage de bises et me tient la queue. Fort.
Avant même d'ouvrir les yeux me voilà déjà à rire. Je l'attrape pour la serrer contre moi. < Bonjour Julien ! > fait elle.
< Bonjour ma coquine ! > que je lui fais juste avant qu'elle ne me chevauche en riant. Papouilles, tendresse et douceur.
Nos besoins naturels nous obligent rapidement à mettre un terme à nos effusions. Il faut se lever pour aller pisser. Rires.

Clémentine m'entraîne par la main. Je la tiens par ses cheveux. Elle se lâche dans un long jet sonore. Equilibre précaire.
Puis Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous sommes morts de faim.
Nous préparons un petit déjeuner que nous dégustons de bon appétit en prenant notre temps. Il est à peine huit heures.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. < Méfie toi, je me sens encore très salope aujourd'hui ! > fait la jeune fille.
Nous rions de bon cœur. J'expose le programme de la journée. Nous partons en fin de matinée pour retourner à Perth.

De là, nous allons prendre le chemin de randonnée au départ de la rivière Tay. Nous ferons un beau circuit de six heures.
Nous irons jusqu'au barrage du village de Pitlochry. Nous resterons sur la rive sud du loch Tay pour revenir par Kenmore.
Nous pourrons y découvrir Le Scottish Crannog Center pour y visiter un authentique village ancien et vieux de 2 600 ans.
Nous mangerons dans une auberge de montagne au col de Killiecrankie. Clémentine m'écoute avec attention. Contente...
Ma compagne s'amuse toujours de mon ton professoral. Elle imite mes mimiques, mes gestes et mes intonations. Rires !

Nous faisons notre vaisselle. Nous nous mettons en tenues. Il est huit heures trente. Nous nous offrons notre bon jogging.
Il fait beau. Il y a un léger vent. Nous courons une heure trente en profitant de cette douceur quotidienne. C'est superbe.
Nous sommes de retour pour dix heures. La douche. Nous préparons nos affaires. Pommes, barres de céréales et K-way.
Notre petit sac à dos est prêt. Clémentine est vêtue de sa jupette "tennis", d'un T-shirt et de ses baskets de randonnée.
Je porte mon short, mon T-shirt et mes baskets de randonnée. Il est dix heures trente. Nous voilà dans la voiture. Route.

Dans l'auto, pendant que je conduis, Clémentine joue avec ma bite. Nous parcourons les 50 km jusqu'à Perth. Il fait chaud.
Parfois, je passe ma main droite sous la jupe de la jeune fille qui me fait des bisous. Je roule doucement et avec prudence.
Nous arrivons à Perth. Je gare la voiture sur le parking juste après le pont métallique. Le départ du beau chemin de Pictish.
Il y a un vent qui permet de respirer un peu. Cela nous change bien de la chaleur des jours passés. L'idéal pour marcher.
Il y a du monde. L'Ecosse est le pays des randonnées et des découvertes pédestres. Nous sommes entourés de montagnes.

Nous marchons depuis un petit moment lorsque Clémentine s'arrête. Elle porte son sac à main en sac à dos. Elle l'enlève.
La jeune fille en sort le collier canin et la laisse. < Surprise ! > fait elle avant de me demander de lui fixer le collier au cou.
Je suis surpris par cette nouvelle initiative. Nous croisons quelques randonneurs. J'exige donc que nous soyons discrets.
< Bien sûr, tu me connais ! Il n'y a pas plus discrète que moi ! > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Je tiens Clémentine à la laisse. Parfois, je donne un à coup. Quand nous croisons des marcheurs, je laisse pendre la laisse.

Souvent, je m'arrête pour attirer la jeune fille en tirant sur la laisse. Je lui passe la main sous la jupette. Je palpe. Je tripote.
Clémentine apprécie mes initiatives. J'adore l'entendre pousser ses gloussements de vicelarde. Nous reprenons notre route.
Ce n'est que lorsque nous croisons des couples ou des marcheurs solitaires que je tiens Clémentine tenue à la laisse. Salope.
Rien n'excite davantage la jeune fille que d'être vue ainsi, soumise et dirigée. Nous nous en amusons beaucoup. C'est drôle.
Bien évidemment, ces opportunités sont rares. C'est toujours Clémentine qui fait : < Maintenant ! > ou < Pas ceux-là ! >...

Nous marchons d'un bon pas. Il est déjà 13 h30. J'ai réservé à l'auberge Welling au col de Killiecrankie. La faim se fait sentir.
Nous arrivons au-dessus du Loch Tay. L'altitude permet de voir au loin. Entre les sommets voisins, il y a la mer qui scintille.
Nous voilà enfin au col. Il est 14 h30 lorsque nous franchissons le seuil de l'auberge. C'est une exploitation agricole d'altitude.
Des oies, des canards, des poules, en parfaite liberté accueillent le marcheur. C'est très sympathique et terriblement bucolique.
Nous sommes morts de faim. Nous sommes accueillis avec la courtoisie écossaise. Il y a du monde. Notre table nous attend.

Nous prenons deux grandes omelettes accompagnées de légumes et de pommes de terre vapeur. C'est un vrai bonheur. Bon.
Nous traînons à table. Clémentine porte son collier canin. Par contre j'ai exigé de retirer la laisse. Cela me gêne beaucoup trop.
Seuls les "connaisseurs" peuvent identifier le collier autour du cou de cette belle et grande jeune fille. Il y en a quelques uns.
Ce couple, là-bas, semble avoir compris la nature de notre relation. Même si ce n'est qu'une activité ludique et sans réalité...
Il y a trop de monde assis dans la grande salle de l'auberge. Il y a même des gens debout qui attendent qu'une table se vide.

Clémentine me fait : < Je me sens salope ! J'ai envie de faire ma vicelarde ! C'est frustrant ! >. Nous rions de bon cœur. Joie.
Je tends la main. Je passe mon index dans l'anneau du collier. Je donne un à coup. Je suis discret. Seul le couple nous regarde.
Nous mangeons d'un bon appétit. Nous nous offrons deux grosses coupes glacées. Le couple s'en va. D'autres arrivent de suite.
Le succès doit être au rendez-vous quotidien pour les propriétaires du lieu. C'est une auberge typique de montagne. Superbe.
Nous reprenons notre route. Clémentine fait quelques photos de cet endroit. Nous croisons nombre de randonneurs. Du monde.

Je tiens Clémentine à la laisse. Nous descendons vers Loch Tay. La marche est donc simple. Que du plaisir. Superbe paysage.
Toute la région est boisée. Nous évoluons presque toujours à l'ombre des grands arbres. Chênes, hêtres ou encore des épicéas.
Je passe souvent ma main sous la jupette de Clémentine. Dans sa culotte les choses semblent humides et passionnantes. Bien.
Nous arrivons au Scottish Crannog Center. Il y a du monde car c'est un musée à ciel ouvert. La reproduction d'un village ancien.
Nous devons rester discrets. Nous visitons rapidement les lieux dont la découverte est libre. C'est beau et très bien reproduit...

Il est dix neuf heures trente lorsque nous sommes de retour à la voiture. Le vent est un peu plus fort. Une certaine fraîcheur.
< Enfin un peu d'air en soirée ! > fait Clémentine en passant un sweat shirt. Nous prenons la voiture pour retourner sur Perth.
Je gare la voiture dans la même rue que la dernière fois. Nous flânons jusqu'au centre. Nous avons une faim d'ogres. Balade.
Nous avisons un des restaurants découverts avant hier. " The Fish & Chip Company" est un établissement accueillant. Sympa.
Nous y prenons place à une table du fond, près de la grande baie vitrée. Des gens mangent sur la terrasse extérieure. Au frais !

Clémentine me fait : < Regarde, le couple là-bas, le mec mâte souvent par ici ! >. Je regarde dans l'écran de mon téléphone.
En effet, il y a un type qui mâte Clémentine. Aurait-il remarqué le collier canin que la jeune fille porte toujours encore au cou ?
Clémentine me fait encore : < Celui-là, il va en avoir pour son argent ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine me raconte tout.
Ses cuisses écartées sous la table. Sa main qui fouille sa culotte. Tout le spectacle habituel que la jeune fille aime à offrir. Belle...
Sur l'écran de mon téléphone je vois le comportement de l'inconnu. Tout en bavardant avec sa femme, il observe avec attention.

Je tends mon bras pour passer mon index dans l'anneau du collier. Je donne un à coup. Puis un second. Je reste discret. Prudent.
La situation dure un petit moment. Durant tout notre repas. Clémentine me commente ses agissements sous la table. Sympa !
Là, sur notre droite, il y a un autre couple accompagné de leur fille. Une jeune fille qui doit avoir l'âge de Clémentine. 20 ans...
Je suis certain qu'elle a repéré notre petit manège. Elle me regarde avec insistance pour finir par me fixer franchement. Curieuse.
J'en fais part à Clémentine qui me dit : < On peut s'éclater à deux ! Génial ! >. Je fixe la jeune fille qui soutient mon regard...

< Va aux chiottes ! Tu verras bien si elle te suit ! > me propose Clémentine. Je me lève. Je vais aux toilettes. C'est au sous-sol.
Je regarde partout dans les coins. Pas de caméras ou autres espions. J'entre dans le WC homme. Je me déboutonne. Bite à l'air.
Je ne suis pas debout devant l'urinoir depuis une minute que la porte s'ouvre. C'est la jeune fille qui fait : < Sorry, excuse me ! >.
Je lui fait un sourire. Elle reste à la porte un instant, hésitante. Je lui fait signe d'entrer en lui indiquant un des deux cabinets.
La jeune fille hésite encore un instant. Je me tourne pour lui montrer ma bite. Je pisse. Que fait-elle dans les chiottes homme ?

La jeune fille fait demi tour. Me fait un sourire en répétant : < Excuse me ! >. Elle quitte le lieu. Je termine de pisser. Tranquille.
Je rejoins Clémentine qui, déçue, me fait : < Ils sont partis ! >. Je regarde à l'extérieur. En effet, la table est vide. Je raconte le WC.
< J'en étais certaine ! > me fait ma compagne. Je mâte vers la jeune fille qui à présent évite mes regards. Tête baissée et gênée.
< Réaction normale ! > me fait Clémentine. Le couple s'en va. La jeune fille, juste avant de quitter le restaurant me fait un sourire.
< Bien salope, hein ! > fait Clémentine en me prenant la main. < J'adore ces petites aventures "croustillantes" ! > rajoute t-elle...

En fait, tout le monde apprécie ces petites surprises que propose l'existence. Du moins celles et ceux qui sont ouverts au monde.
Tous ces petits stimuli qui entretiennent nos plaisirs et émoustillent nos sens. < Triste vie sans cela ! > précise Clémentine. Rires.
Nous flânons dans les rues avant de prendre la route du retour. Nous arrivons à St Andrews pour minuit. Epuisés. Bien fatigués.
Avant la douche, je bascule Clémentine sur le lit. Je lui descends la culotte. Je savoure les sucs et parfums de sa journée de fille.
La douche. Nous tentons la baise. Nous sombrons rapidement dans un profond sommeil. Clémentine serrée contre moi. Ronflette...

Bonne randonnées dans les magnifiques paysages du Perthshire, à toutes les filles qui aiment être promenées à la laisse.

Julien - ("Maître" peu sérieux faisant de son mieux pour contenter Clémentine. Elle adore les situations gênantes qui l'excitent) -

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Sur l'insistance de Clémentine, nous retournons visiter Dundee - Jour 30 -

Hier matin, mardi, je me réveille le premier. Je regarde l'heure. Il est 7 H45. Je regarde Clémentine qui est entrain de s'étirer.
Je lui fais plein de bisous. < Bonjour Clémentine ! > que je dis. < Bonjour Julien ! > fait ma compagne avant de me chevaucher.
Nous rions de bon cœur. C'est le moment des papouilles, des tendresses et des douceurs. Le besoin du pissou devient très fort.
Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. C'est le rituel de nos pissous matinaux. Nous nous précipitons à la cuisine. Faim.
Nous préparons un petit déjeuner que nous dégustons en prenant tout notre temps. Nous traînons à table. Ce sont les vacances.

Dehors, le ciel est menaçant. Lourd et gris. Il y a eu de la pluie cette nuit. Le sol est humide. Enfin un tout petit peu de fraîcheur.
Clémentine est toute contente. < Marre de ce soleil depuis trente jours que nous sommes en Ecosse ! > me fait ma compagne.
La jeune fille vient s'asseoir sur mes genoux. < Tu voudrais qu'on retourne à Dundee ? > demande t-elle en me faisant des bises.
Je suis toujours ravi lorsque c'est ma compagne qui fait des propositions. Surtout en vacances. Je trouve l'idée excellente. Bien.
< C'est vraiment le temps idéal et j'ai tant aimé cette ville ! > fait encore Clémentine. Nous avons la brochure touristique. Visite.

Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenue pour aller courir. Notre jogging quotidien. Pour une fois qu'il fait frais. Joie.
Nous voilà à courir sur le parcours sportif voisin. La terre stabilisée permet d'éviter d'évoluer sur terrain mouillé. Bonne initiative.
Nous croisons de nombreux joggeurs qui, comme nous, sont heureux de courir dans un climat plus vivifiant. Beaucoup de femmes.
Il est 10 h et nous voilà de retour. La douche. Une fois habillés, nous allumons l'ordinateur. Le message d'Estelle se veut rassurant.
La jeune fille compte les jours. Avec ses parents ils quitteront le Var dans la nuit de samedi à dimanche. Elle en a plus que marre...

Nous répondons en la félicitant d'avoir tenu le coup. Nous découvrons le message de Juliette. Nous répondons également. Bien.
Clémentine visite le site de l'université. Moi je prépare nos affaires dans notre petit sac à dos. Fruits, céréales, eau et nos K-Way.
Clémentine porte sa jupe kilt à carreaux rouges. Un sweat-shirt et ses souliers fermés à talons plats. Look d'étudiante. Très sexy.
Sur sa demande, je porte mon pantalon clair à pinces et en lin, ma chemise claire, ma veste claire et mes mocassins marron clair.
Nous nous regardons dans le grand miroir de la chambre. < On est beaux tous les deux ! > fait Clémentine avant de m'embrasser.

Il est onze heures. Nous voilà en route pour Dundee. Quelques 55 km dans une circulation fluide. Clémentine joue avec ma queue.
Parfois, se penchant sur sa gauche, la jeune fille me suce un peu. Je roule doucement et avec une prudence de Sioux. 70 km/h...
Nous traversons le pont métallique de l'estuaire de la rivière Tay. Nous arrivons à Dundee pour midi. Le ciel est couvert et nuageux.
Pourtant, il n'y a pas une goutte de pluie. Par précaution, nous avons apporté des vêtements de change. Et notre grand parapluie.
Je gare la voiture dans la même ruelle que la dernière fois. Dix minutes de marche et nous voilà dans le centre. C'est magnifique...

Il y a plein de monde. Les rues pavées sont une invitation à la découverte. Il y a des fleurs à presque toutes les fenêtres. Beau.
Clémentine est heureuse de se retrouver là. Nous avons encore tant de choses à découvrir. Des lieux entrevus la dernière fois.
Il règne une certaine douceur malgré le ciel qui restera gris toute la journée. Nous flânons. La faim se fait doucement ressentir.
Nous lisons quelques menus affichés devant des restaurants. Notre choix se porte sur "The Ship Inn & Waterfront Restaurant".
Des spécialités en fruits de mer et en poissons. Hélas, toutes les tables sont occupées. Nous réservons pour 13 h30. Pas grave !

Nous en profitons pour nous asseoir sur un banc. Nous feuilletons la brochure touristique. Il y a un musicien là-bas sur la place.
Nous écoutons avec admiration ce guitariste qui interprète à la perfection "Sultan of swing" du groupe Dire Strait. C'est superbe.
Nous prenons nos marques et nos repaires tout en élaborant le programme de l'après-midi. Il y a de quoi faire. C'est très bien.
Nous retournons vers le restaurant. Il est presque l'heure prévue. Nous arrivons. Il y a des tables enfin libres. Nous voilà assis.
Notre choix se porte sur des brochettes de poisson accompagnées de légumes vapeur. Il y a la quantité et la qualité. Un délice...

Nous mangeons avec appétit. Nous traînons. < Je suis décidée, ma vie se fera ici, en Ecosse ! > me fait Clémentine. Air grave.
Clémentine m'explique son attirance pour ce pays. Je lui fais une proposition. Passer dix jours aux fêtes de fin d'année. Pour voir.
Clémentine est enchantée. Je suggère d'inclure Noël et nouvel an dans une période de dix jours. Pas de soucis d'hébergement.
Ma compagne est tellement heureuse à cette idée qu'elle me fait : < Le premier trimestre en fac va passer à une vitesse folle !>
< Je t'aime Julien ! > me dit elle d'un ton grave en prenant ma main. Nous nous fixons longuement, silencieux et méditatifs...

Une fois de retour à l'extérieur, nous prenons la direction de "Clepington Antiques". Une sorte de marché aux antiquaires. Bien.
C'est un lieu où s'enchaînent les boutiques de brocantes et d'antiquités. Un lieu prisé et réputé. Il y a foule. C'est très sympa.
Souvent, avec sa discrétion habituelle, devant une vitrine ou dans une boutique, Clémentine effleure ma braguette de la main.
< Attention, salope ! > me fait elle à chaque fois à l'oreille. Nous rions de bon cœur. Nous allons de découverte en découverte.
Il y a cette ambiance particulière des après-midi sans soleil ou toutes choses se présentent sans artifice. Une unité de teintes...

Nous déambulons en ce lieu. Nous devons nous faire violence pour le quitter. Nous allons vers "The Mc Manus Art Gallery".
Au milieu d'une place, l'édifice gothique Victorien propose des visites guidées par groupe de vingt personnes. Promiscuité. Dur.
Pourtant notre envie de découvrir ce musée est grande. C'est un lieu d'exposition permanente. Art et histoire s'y côtoient.
Il n'en faut pas plus pour susciter nos intérêts. Tant pis pour le monde et les visites en groupes. Il faut s'en faire une raison.
Une fois encore, notre guide est une jeune étudiante qui s'acquitte de son job de vacances avec zèle et en y prenant plaisir...

Heureusement, Clémentine et moi, toujours en queue de file, nous pouvons traîner devant les toiles qui nous plaisent. Belles.
Des toiles de Ramsay, de Burns ou encore de Thomson. Lorsque ce ne sont pas les originaux, ce sont d'habiles reproductions.
Clémentine me palpe la braguette à chaque occasion. Elle me chuchote plein de cochonneries à l'oreille. Des promesses. Rires.
Je regarde rapidement autour de moi. Je scrute les recoins. Je glisse ma main sous la jupe de ma compagne qui glousse de joie.
< J'aime quand tu es entreprenant mon salaud ! > me fait la jeune fille à chaque fois. Nous rions de bon cœur. Un peu farceurs.

Notre guide est une jeune fille. Vingt ans. Plutôt jolie. Vêtue d'un uniforme bleu nuit, elle entraîne les visiteurs en expliquant.
Nous suivons en queue de cortège. Nous regardons tout en écoutant soigneusement les explications de la jeune fille. Sympa.
Clémentine me fait : < On va lui faire un "plan", ça va la distraire ! >. Je me demande ce qu'elle peut bien nous préparer.
La visite se termine dans la salle où sont reconstitués les décors des temps passés. L'historique de la ville depuis ses origines.
C'est très intéressant. Clémentine et moi, nous sommes debout devant. Entourés de gens qui écoutent religieusement. Bien.

Discrètement, sous le regard de la jeune fille, Clémentine pose sa main sur ma braguette. Je suis soudain terriblement gêné.
La guide ne semble pas du tout déstabilisée, ni même troublée. Elle tente tout simplement de détacher son regard pour parler.
C'est certain que ce genre de choses ne doit pas arriver souvent durant un job d'été. Aussi la jeune fille louche discrètement.
Clémentine insiste évidemment en récidivant plusieurs fois, quelques secondes. Je bande fort. Comme le dernier des salauds...
La visite s'achève. Comme souvent, je prépare un billet de banque que je tends discrètement à notre guide en la félicitant.

La jeune fille me remercie pour ma délicate attention. Nous ne sommes pas nombreux à manifester ainsi notre satisfaction.
Un autre groupe attend derrière l'épaisse corde rouge. Nous n'avons que le temps de la remercier. Nous la laissons travailler.
Clémentine, coquine, m'entraîne près de l'escalier. Nous regardons le nouvel attroupement se constituer devant la guide.
La jeune fille nous regarde parfois, à la fois intriguée et amusée. Clémentine me palpe la braguette avec vulgarité. Très vite.
Ma compagne fait cela deux fois de suite. La guide entraîne son groupe en nous faisant un dernier sourire. Nous ressortons.

< J'aimerais pouvoir te la sortir et te la secouer devant des filles ! > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Nous quittons l'esplanade du musée pour prendre la direction de Baxter Park. Un quart d'heure de marche. C'est magnifique.
Au milieu du parc il y a ce curieux bâtiment bas qui évoque quelque manoir ancien. Tout est vert, la végétation est dense.
Il y a du monde. < Si je peux, je me fais un "plan" ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la main. L'endroit est plaisant.
Nous parcourons les allées en admirant les statues, les expositions florales et l'exposition temporaire d'une artiste de la ville.

C'est une jeune femme qui présente ses réalisations. Des œuvres contemporaines mais créés avec bon goût et esthétique.
La trentaine, plutôt élégante, style "bourgeoise", l'artiste est entourée de promeneurs curieux qui font quantité de photos.
Nous nous approchons. Au milieu d'un groupe d'une vingtaine de curieux, nous écoutons les explications de la jeune femme.
Travail à base de résine et de matériaux divers qu'elle recycle au gré de ses fantaisies créatrices. Nous écoutons avec soin.
Une nouvelle fois, discrètement, mais à la vue de la jeune femme, Clémentine me palpe la braguette. Avec insistance. Vice.

L'artiste ne tarde pas à se rendre compte du petit jeu de ma compagne. Personne autour de nous ne se doute de rien. Bien.
Il faut dire que Clémentine est passée maître dans l'art du vice dans la discrétion la plus totale. Une véritable virtuose. Belle.
La jeune femme semble avoir du mal à quitter du regard les agissements de Clémentine qui récidive à plusieurs reprises.
Clémentine descend la tirette de ma braguette et y fourre sa main. Je suis terriblement gêné, mal à l'aise. Grande salope.
Clémentine m'entraîne par la main. Nous nous mettons à l'écart du groupe en faisant le tour de l'exposition. Belles choses.

La jeune femme regarde souvent dans notre direction. Le groupe se défait. Les visiteurs continuent leurs découvertes.
Nous sommes tous deux entre deux grands moulages. Clémentine me tient par la braguette. Personne ne peut nous voir.
Personne, sauf la jeune femme qui nous observe d'un air amusé. Elle vient vers nous. Nous bavardons longuement. Bien.
L'artiste nous raconte son atelier, son travail et sa boutique de bijoux artisanaux dans le centre de Dundee. Invitation.
Lors d'une prochaine visite de Dundee, nous promettons de venir visiter sa boutique. Nous prenons congé. Voilà le soleil.

Nous contournons la grande fontaine rectangulaire. Debout entre deux statues, Clémentine regarde partout autour de nous.
Rapidement, d'une main sûre, elle me sort la bite qu'elle agite en direction de la jeune femme qui découvre la scène amusée.
< Mais tu es folle ! > que je fais à Clémentine qui me répond : < Oui, folle ! Mais de toi, de nous, de cette belle Ecosse ! >.
Je lui prends la main que je retire en rangeant ma queue. Là-bas, l'artiste lève le pouce de sa main droite en riant. Sympa.
C'est moi qui entraîne Clémentine hors du parc. < Tu vas me gronder ? Je suis vilaine ?> me fait elle, innocente et ingénue.

Nous éclatons de rire. Je demande à Clémentine de cesser ce genre de choses pour le reste de la journée. Je suis trop gêné.
< Monsieur fait sa chochotte ! > me fait Clémentine que je tire par la main pour retourner en ville. Nous rions de bon cœur.
Il est déjà 19 h. La faim fait doucement son apparition. Nous passons au restaurant où nous avons mangé à midi. Je réserve.
Nous avons une table pour 20 h30. Nous nous promenons en admirant les vitrines. Le soleil éclaire d'une lumière magique.
Enfin le ciel s'est dégagé, nous offrant cette lumière diaphane si particulière à l'Ecosse. Nous nous dirigeons vers le restau...

Deux plateaux de fruits de mer nous régalent. Nous faisons le bilan de cette nouvelle visite. Concluant et à refaire. Sympa.
Je demande à Clémentine de cesser ce genre de "plan exhibes bite" qui ne doivent pas devenir une nouvelle addiction. Salope !
< Je te promets, je choisis mes "victimes" et les endroits avec mon instinct infaillible ! > fait elle. Nous rions de bon cœur.
Il est vingt deux heures trente lorsque nous sortons de l'établissement. Nous flânons dans le crépuscule. C'est magnifique.
Nous prenons le chemin du retour. Nous arrivons à la maison pour minuit. Un "69", la douche et une tentative de baise. Dodo...

Bonne découverte culturelle à toutes les coquines qui aiment jouer avec la bite de leur coquin, partout et en tous lieux...

Julien - (Dont Clémentine ouvre la braguette pour en sortir la bite devant de ravissantes inconnues soudain "complices") -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Danser
Thursday 10 August 2017 08:08

Oncle-Julien
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Clémentine aimerait retourner visiter la ville de Perth - Jour 31 -

Hier matin, mercredi, nous sommes certainement réveillés en même temps. Nous nous étirons en nous disant < Bonjour ! >
Nous tirons le drap et la couverture car il y a de la fraîcheur. Je regarde l'heure, il est presque huit heures. Il fait sombre.
Nous nous nous faisons des papouilles. Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner aux toilettes. Les pissous.
Dehors le ciel est bas, gris et lourd. Nous préparons notre petit déjeuner. C'est la première journée aussi sombre. Curieux.
Nous mangeons d'un bon appétit. Nous évoquons nos aventures de la veille à Dundee. Nous rigolons comme des bossus...

Clémentine tout en terminant son yaourt au miel, vient s'asseoir sur mes genoux. C'est elle qui me fait part de ses désirs.
< On se refait Perth, rappelle toi, nous n'avons pas tout vu ! En plus, avec cette météo, ce serait bien ! > me confie t-elle.
Je trouve la proposition pleine de bon sens. Nos décidons de partir immédiatement après le repas de midi. Le programme.
Nous faisons notre vaisselle. < C'est le temps idéal pour visiter et pour traîner un peu ! > rajoute ma compagne. Contente.
La jeune fille n'apprécie pas particulièrement les grosses chaleurs. Elle est à se réjouir de ne pas en souffrir aujourd'hui...

Passant derrière moi, m'attrapant par les couilles d'une main et par la bite de l'autre, elle me fait : < Attention. Salope ! >.
Nous rions de bon cœur. Clémentine rajoute : < Tu vas te trimballer avec une sacrée salope aujourd'hui ! >. Je l'embrasse.
Je dis : < Si tu pouvais éviter de me sortir la bite pour l'exhiber à des filles inconnues, ce serait bien ! >. Un éclat de rire.
< Promis ! Je serais sage ! > me fait la jeune fille en s'accroupissant pour me sucer en gloussant. Je la laisse se régaler.
Je la force à se redresser pour éviter d'y passer la matinée. < Je vais te sucer tout le temps aujourd'hui ! > me fait elle...

Nous nous mettons en tenues. C'est le rituel fort plaisant de notre jogging quotidien. Nous voilà à courir dans la fraîcheur.
Il fait un climat presque automnale. Il faut donc accélérer la cadence dès le départ pour se réchauffer. Très bonne formule.
Nous courons une heure trente. Le sol est sec. Le ciel reste sombre. Presque sinistre. Un climat morose. De la fraîcheur.
Il est 10 h30 lorsque nous revenons pour prendre notre douche. Nous voilà habillés de nos jeans et sweats devant l'ordi.
Il y a les deux messages prévisibles. Celui d'Estelle qui nous raconte sa journée de hier et son soulagement. Moins chaud.

Juliette nous envoie son compte rendu habituel et quotidien. Pas besoin d'arroser le potager hier, la pluie s'en est chargée.
Nous répondons aux deux messages en y joignant les deux mêmes photographies de nous, hier à Dundee. Dans le centre.
Clémentine va aux nouvelles sur le site de l'université. Je la laisse pour aller au coin cuisine. Je fais l'inventaire des courses.
Nous avons du fromage jusqu'à la fin du séjour. Et même davantage. Il faudra acheter du pain. Des fruits et des légumes.
Je propose à Clémentine de faire nos courses à Perth cet après-midi. L'idée est accueillit avec enthousiasme. Sympathique.

< Viens voir ! > me fait Clémentine. Je la rejoins à table. Sur l'écran je découvre la classe des collègues étudiants. Cours.
Je découvre les visages des autres étudiants. Les photos ont été prises dans l'amphi juste avant les vacances, à la mi juin.
Il y a bien sûr Estelle aux côtés de Clémentine. Je vois à quoi ressemble Guillaume, ce garçon dont les filles me parlent.
C'est Guillaume qui organise les fêtes à la faculté. Il assiste également les professeurs pour organiser les sorties de classe.
C'est un gaillard plutôt costaud, jovial et souriant. < Une bonne tête de "Guillaume", hein ? > me fait Clémentine en riant.

Il y a une dizaine de clichés mis en ligne. Principalement lors des sorties. C'est amusant de voir Clémentine en faculté.
Je la découvre dans les situations de sa vie d'étudiante. C'est à la fois émouvant et surprenant. Elle est souriante. Belle.
Nous éteignons l'ordinateur. Nous libérons la table. Nous allons préparer notre repas. Nous partirons pour treize heures.
Je prépare des coquillettes. Clémentine s'occupe des salades. Il reste deux carottes, un navet et deux tomates. Courses.
Nous mangeons de bonne heure. Il est à peine midi. Nous faisons notre vaisselle. Nous nous préparons. Il fait sombre...

Clémentine porte sa jupe carmin, évasée au dessus du genoux, mais emmène un jean. Un sweat. Elle emmène une veste.
Je mets un jean, un sweat et mes baskets. Clémentine porte ses souliers à talons plats. Souples, fermés et très pratiques.
Il est treize heures quarante cinq lorsque nous roulons sur la route de Perth. Clémentine joue avec ma bite qu'elle a sorti.
La circulation est fluide. Nous roulons bien. Parfois la jeune fille se penche sur sa gauche pour me sucer. Gémissements.
Nous longeons la rivière Tay sur les derniers kilomètres. Nous arrivons au grand pont métallique. Il est impressionnant.

Je gare la voiture à une dizaine de minutes de marche du centre. Dans la même rue que la dernière fois. Il y a du monde.
Avec cette météo, les touristes n'ont d'autres alternatives que les visites et les découvertes. Nous marchons rapidement.
Il fait moins frais que ce matin. Le climat est agréable. Toutefois, nous supportons très bien de garder nos sweats shirt.
Clémentine a sorti la brochure touristique du petit sac à dos que je porte en permanence. Pommes, céréales, eau, K-way.
C'est ma compagne qui prend la direction des visites de l'après-midi. Je vais donc suivre mon guide comme un touriste...

Nous arrivons au Montrose Museum Art Gallery. La visite est guidée. Une fois encore c'est une étudiante qui fait le job.
C'est un groupe d'une quinzaine de touristes avec lequel nous découvrons le musée. Nous traînons en queue de cortège.
A plusieurs reprises Clémentine me palpe discrètement la braguette. < Tu évites de me la sortir ! > que je lui fais. Rire.
Nous découvrons des toiles magnifiques. Des sculptures étonnantes. La guide développe l'historique des choses. Bien.
< Je veux te tailler une pipe quelque part ! > me chuchote Clémentine à chaque fois qu'elle effleure ma braguette. Rire.

Il n'y a bien évidemment aucune possibilité pour me tailler une pipe. Nous passons un moment à découvrir ce musée.
Nous sortons du bâtiment pour nous rendre à la nouvelle destination. "Angus Folk Museum". A recommander. Superbe.
Là aussi, les visites sont encadrées et guidées. Des groupes de vingt personnes. Une fois encore la guide est étudiante.
Nous découvrons un enchaînement de salles. Dans chacune d'elles sont reproduits des intérieurs de diverses époques.
Des personnages vêtus de costumes folkloriques semblent occupés à des tâches de la vie quotidienne. C'est épatant...

En ce lieu aussi, Clémentine me palpe la braguette à chaque occasion. Nous nous faisons même surprendre par une fille.
Une jeune fille mêlée au groupe qui soudain se met à nous épier. C'est Clémentine qui me le fait remarquer. Je regarde.
Je lui chuchote : < Mais pas de bêtise, hein, tu ne me sors pas la bite ! Il y a certainement des caméras partout ! >. Jeu.
< Promis ! > me fait ma compagne en me tripotant la bosse qu'elle a encore provoqué. Nous rions de bon cœur. Sympa.
La jeune fille qui nous mâte discrètement est vêtue d'un jean, d'un pull, porte une petit sac à dos, cheveux en catogan.

Nous parcourons les différentes salles en découvrant différentes époques de la vie domestique et quotidienne écossaise.
Clémentine me chuchote à l'oreille : < Cette petite salope n'arrête pas de mâter ! J'aimerais lui montrer ta bite ! >. Rire.
Je m'empresse de préciser : < Pas question, tu déconnes pas ! Interdit ! >. Clémentine fait : < Tant pis ! Dommage ! >.
Ce qui ne l'empêche pas de donner dans la surenchère. Surtout avec des tripotages toujours discrets mais insistants. Jeu.
Je louche souvent en direction de la jeune fille. Elle n'en rate pas une. Je bande comme un salaud. Clémentine s'amuse...

La visite s'achève. Nous nous retrouvons dans le hall d'entrée. Nous regardons les dernières vitrines. Il y a du monde.
Dans le reflet d'une des vitrines, Clémentine me montre la jeune fille devant un tourniquet qui mâte des cartes postales.
Impossible de nous livrer à quoi que ce soit, l'endroit est trop exposé. Il faut se faire une raison. Nous quittons les lieux.
< Encore une belle occasion de manquée ! > me fait Clémentine une fois dehors. Je la félicite d'avoir su rester discrète.
Nous rions de bon cœur. Il est presque dix sept heures. Nous terminons nos découvertes par "Atholl Palace Museum".

C'est un grand château. Une fois encore, ce sont des visites guidées et soigneusement encadrées. Promiscuités difficiles.
Mais notre soif de découvertes est intense. Nous nous adaptons facilement aux nombreux touristes qui nous entourent.
Le musée propose une galerie consacrée aux peintre écossais. Connus ou inconnus. Burns et Thomas y ont bonne place.
Nous suivons un guide. Cette fois c'est un garçon. Certainement un étudiant faisant lui aussi son job de vacances. Bien.
< Regarde ! > me fait Clémentine. Quelle n'est pas ma surprise. La jeune fille de tout à l'heure ! Elle n'est plus seule...

Ce sont certainement ses parents qu'elle suit ainsi en prenant quelques photos. Nos regards se croisent. Discret sourire.
< Elle te plaît ? > me demande Clémentine à qui rien n'échappe. Je lui chuchote : < Pas autant que toi. Petite salope ! >.
Ma compagne effleure une nouvelle fois ma braguette. Nous sommes en fin de cortège. La visite est rapide. Du monde.
Nous sommes un peu frustrés de ne pouvoir admirer plus longuement quelques toiles qui mériteraient d'êtres observées.
La jeune fille semble beaucoup moins à l'aise. Accompagnée de ses parents, elle est beaucoup moins libre de s'amuser.

La visite se termine. Nous traversons le parc du château pour retourner en ville. Il est 18 h15. Il faut faire les courses.
Nous nous rendons au centre commercial St John. Il y a des boutiques, des magasins et un grand supermarché. Bien.
Je tire un grand panier sur roulettes. Il y a plein de monde. < Je suis trop excitée, viens ! > me fait soudain Clémentine.
Elle m'entraîne au rayon culturel. CD, bouquins, bandes dessinées et matériels d'arts. Je suis invité à rester à l'écart..
Je surveille et je mâte. Clémentine, debout devant des pinceaux et des tubes de peintures fait mine de les observer.

Une main entre ses cuisses, la jeune fille tiens un pack de tubes de peintures dans l'autre. Elle a repéré un homme seul.
Le quidam ne manque pas de regarder cette belle et grande jeune fille qui semble se toucher discrètement. Sur sa jupe !
Depuis le rayon des affaires scolaires, je reste en admiration. Clémentine, avec son culot habituel, s'offre une petite peur.
Le type est à quelques mètres. Il fait semblant de scruter des agendas. Bien évidemment il mâte surtout la jeune fille.
Il finit par se rapprocher. Ce genre de situation ne connaît pas de frontière ou de nationalité particulière. Exhibitionnisme.

J'attends ce moment fatidique et prévisible où l'inconnu se rapprochera encore pour tenter le contact. C'est inévitable.
Pourtant, curieusement, le type se contente de loucher. Clémentine est d'une extrême discrétion. Personne ne se doute.
Je comprends la retenue de l'homme. Une femme vient le rejoindre pour lui montrer une chemisier qu'elle agite. Cintre.
Le couple s'en va. Clémentine vient me rejoindre. < Tu imagines l'état de ma culotte ? > me demande t-elle. Rigolade.
Je dis : < Je ferais mon contrôle dans la voiture, au retour ! >. Nous rions de bon cœur. Il est 19 h30. L'endroit ferme...

Nous retournons à la voiture afin d'y mettre les achats. Légumes et yaourts dans la glacière. Nous sommes morts de faim.
Je propose de nous faire un bon seafood. De nous offrir un grand plateau de fruits de mer. Nous en avons une folle envie.
Notre choix se porte sur l'intérieur blanc, clean et presque clinique du "Parklands restaurant". Il y a du monde. Touristes.
Aucune opportunité qui pourrait permettre à Clémentine de donner libre cours à ses penchants exhibitionnistes. Frustrée.
Par contre notre repas est un nouveau délice. Des fruits de mer grillés qui ravissent le palais. Des sauces délicates. Régal.

Vers vingt deux heures, en sortant du restaurant, nous voilà sous la pluie. Clémentine sort les K-way du sac à dos. Bien.
Nous marchons vite. < Enfin de la pluie, ça va faire du bien ! > me fait Clémentine en me tenant par le bras. C'est sympa.
Nous sommes de retour à la maison pour vingt trois heures trente. Je bascule Clémentine sur le lit. Je lui retire la culotte.
Je hume les effluves enivrantes de sa journée de fille avant de me régaler de ses saveurs. Et il y a de quoi se sustenter.
Nous restons ainsi un long moment. Clémentine ne peut éviter l'orgasme. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Joie...

Bonnes découvertes culturelles à toutes les coquines qui aiment s'offrir de petites frayeurs, protégées par leur coquin...

Julien - (Qui adore bouffer la chatte de Clémentine qui mouille de nombreuses fois dans ses journées de fille. Un régal) -

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Sous une première journée de pluie, visite de St Andrews - Jour 32 -

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous. Sur le front, les joues et même le bout du nez. La bite.
J'ouvre les yeux, j'attrape ma coquine en riant pour la serrer contre moi. < Bonjour Julien ! > fait elle en me chevauchant.
< Bonjour Clémentine ! > que je lui fais en la faisant basculer à gauche puis à droite. Nous rigolons comme des bossus.
Nous nous faisons des papouilles. Nous luttons tant que nous le pouvons contre l'impérieux et prosaïque besoin de pisser.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. C'est le rituel des pissous du matin. Nous sommes morts de faim...

Nous nous précipitons à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner. Dehors il pleut. Le ciel est sombre et plutôt bas.
Nous mangeons de bon appétit. Il est à peine huit heures quinze. Nous traînons. Nous évoquons nos aventures passées.
Cette météo remet en question le programme de la journée. Il n'y aura pas de jogging. Ce sera la gymnastique intérieure.
Clémentine me propose de rester à St Andrews pour y découvrir ce que nous n'avons pas encore vu. Une excellente idée.
Ma compagne vient s'asseoir sur mes genoux. < Nous ne risquons pas de nous ennuyer ! > dit elle en prenant ma queue.

Je passe ma main entre ses cuisses, sous son T-shirt de nuit. Longuement. Je dis : < Non, impossible de s'ennuyer ! >.
Nous rions de bon cœur. Nous faisons notre vaisselle. Clémentine m'attrape à plusieurs reprises par la bite. Fermement.
Elle me fait faire le tour de la pièce, me tirant par la bite en riant aux éclats. Cette capacité à mettre à profit l'instant.
Je déroule nos deux tapis de sol en mousse. Ceux que nous utilisons en hiver pour notre gymnastique d'intérieure. Bien.
C'est l'entraînement. Stretching. Aérobic, pompes, abdominaux exercices au sol. Nous rions souvent de bon cœur. Joie.

Ces exercices ne durent toujours qu'un peu plus d'une heure. Ils sont ludiques, agréables et remplacent bien le jogging.
C'est donc la conscience tranquille que nous prenons notre douche. < La gym d'hiver, ça m'excite ! > me fait Clémentine.
Nous voilà habillés. Il y a une certaine fraîcheur qui remplace la lourdeur des jours précédents. C'est plutôt sympathique.
Clémentine qui déteste la chaleur est donc contente et comme un poisson dans l'eau. Nous allumons l'ordinateur. 10 h15.
Il y a deux messages d'Estelle et un message de Juliette. Estelle nous écrit son contentement d'être à la fin de son séjour.

Estelle et ses parents remontent dans la nuit de samedi à dimanche. Huit heures de route. La jeune fille est contente.
Dans son deuxième message Estelle insiste tout particulièrement sur son impatience de passer ses week-end avec nous.
Elle joint deux clichés. Des selfies pris hier. Il fait moins chaud dans le Var. C'est beaucoup plus supportable pour elle.
Nous répondons. Clémentine n'arrête pas de jouer avec ma queue sous la table. Nous découvrons le message de Juliette.
La jeune femme n'a pas besoin d'arroser notre potager, la pluie s'en charge. Elle vient chercher ses légumes et des fruits.

Juliette prendra une dizaine de jours de vacances du vendredi premier septembre au dimanche 10 septembre. Sympa.
Son entreprise ne lui laisse pas beaucoup de temps. Il faut la faire tourner et c'est madame Walter qui la remplacera.
Nous répondons. Nous joignons deux photos prises hier à Perth. Clémentine visite le site de l'université. Informations.
De nouvelles photographies son publiées. Intérieurs des locaux. Travaux réalisés cet été. Accès pour les handicapés, etc...
< Ils ont enfin repeint le restaurant universitaire ! Il était temps ! Et il y a des plantes vertes ! > fait encore Clémentine.

Il est à peine onze heures. Je propose à Clémentine d'aller manger en ville. La jeune fille m'attrape par la queue. Rires.
< Moi, je veux prendre mon apéritif d'abord ! > me fait la jeune fille en m'entraînant dans la chambre. Elle me pousse.
Je tombe sur le lit. Clémentine me saute dessus. Nous sommes tous deux vêtus de nos jeans et sweats. Elle m'embrasse.
Couchée en chien de fusil, sa tête sur mon ventre, la jeune fille joue avec ma bite. Elle me dit : < Un peu de plaisir ! >.
< Nous ne prenons jamais assez de temps pour nous amuser. Cette météo tombe à pic ! > rajoute encore la jeune fille.

Je peux sentir sa langue qui tente de pénétrer la peau de mon prépuce. Elle y parvient dès que je suis en érection. Bien.
L'indicible caresse me donne rapidement les plus délicieux vertiges. Je suis entrain de me faire tailler une pipe des familles.
On fait toujours la différence entre une fellation passionnée et une autre. Avec Clémentine, elles sont toujours passionnées.
La jeune fille se régale de mes montées de sève en poussant de légers gémissements lorsqu'elles sont plus abondantes.
Je lui caresse la tête, les joues et la nuque. Ma compagne est entrain de s'offrir un de ses moments préférés. La pipe !

De longs moments s'écoulent autant que mon liquide séminal. Je regarde l'heure entre chacun d'eux. Il est déjà 11 h45.
Je propose à Clémentine de cesser pour nous préparer. Je lui promets de rester hyper excité tout le reste de la journée.
Pour lui permettre de reposer et de relaxer un peu sa mâchoire de gourmande, je tire sur ses cheveux pour la redresser.
Je la tire à moi. Nous sommes allongés l'un à côté de l'autre. Clémentine me montre l'intérieur gluant de sa bouche. Rire.
< Je veux te sucer à chaque occasion. Et c'est moi qui vais organiser tout ça cet après-midi ! > me fait Clémentine. Joie...

< On se prépare la bouffe et on mange à la maison, tu veux ? > me fait Clémentine que j'empêche de retourner à la pipe.
Je trouve l'idée excellente. J'aime lorsque ma compagne prend l'initiative des opérations. Elle est toujours de bon conseil.
Nous nous levons. Je range ma bite gluante et nous passons dans l'autre pièce. Le coin cuisine. Nous avons un gros appétit.
Clémentine s'occupe des salades, je m'occupe du riz et la sauce au roquefort. Nous évoquons le programme de l'après-midi.
< Je dois te prévenir ! Cet après-midi tu es accompagné d'une hyper salope ! > me fait Clémentine en venant m'embrasser.

Sa bouche a le goût et l'odeur du foutre. Je la serre contre moi. Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Bonheur.
< Je t'aime ! J'aimerais rester tout le temps avec toi ! > me fait Clémentine entre deux éclats de rire. Je vais mettre la table.
Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Clémentine a la brochure touristique à côté de son assiette vide. Projets.
< Nous n'avons pas encore visité la "Frazer Gallery", ni Swilcan Bridge ! Et il y a la distillerie Eden Mill ! > fait ma compagne.
Je suis enchanté. Je dis : < Je vais suivre le guide tout l'après-midi ! >. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Bisous.

< Une guide suceuse et salope ! > me fait Clémentine en ouvrant une nouvelle fois ma braguette. Nous rions de bon cœur.
Ma bite est gluante et de la jute s'est écoulée depuis la pipe. Clémentine passe sous la table pour en recueillir les coulures.
Je la laisse se régaler. Ses gémissements donne une idée de son plaisir. Elle me pompe comme si sa vie en dépendait. Bien.
Je regarde l'heure. Il est déjà 13 h30. Les assiettes sèchent. Je force Clémentine à se redresser. Je la tire par ses cheveux.
<Aïe, aïe, aïe ! > fait ma compagne en se massant les genoux. Nous débarrassons la table et nous faisons notre vaisselle...

Dehors, il pleut de façon régulière. Une pluie fine qui n'est pas sans rappeler le crachin Breton. Il faudra prévoir le parapluie.
Nous restons vêtus de nos jeans, de nos sweats. Nous préparons nos affaires. Fruits, barres de céréales, eau. Petit sac à dos.
Il est 14 h. Nous voilà dans la voiture. Cinq minutes jusqu'à la ville. Clémentine m'a encore sorti la queue qu'elle suce souvent.
Je gare la voiture dans la petite rue habituelle. Nous prenons le parapluie. Tout est humide. Nous marchons vite. Centre ville.
Nous voilà devant la "Frazer Gallery". Les visites sont aux choix. Libres ou accompagnées. Nous préférons la liberté. Mieux...

Avec cette météo, les touristes sont plutôt nombreux. C'est après le 15 août que les choses changent. Une autre clientèle.
Nous avons de la chance. Il n'y a pas de ces familles bruyantes et pénibles. Ce ne sont principalement que des couples. Bien.
L'endroit est spacieux. Les vitrines présentent nombre d'objets en porcelaine, en faïence. Des poteries, couverts ou coffrets.
Clémentine fait quelques photos. Souvent, discrètement, la jeune fille effleure ma braguette. Je regarde partout et avec soin.
< J'ai envie de bouffer ta bite, si tu savais ! > me fait souvent Clémentine. Nous rions de bon cœur. La visite est intéressante.

Nous montons à l'étage. Il y a beaucoup de visiteurs. Clémentine est passée maître du tripotage discret. Une véritable virtuose.
J'admire l'aplomb dont elle fait preuve, de sa main sûre, dès que c'est possible. Je me fais palper la braguette. C'est superbe.
Tout cela nous excite évidemment considérablement. A l'étage, il y a de nombreuses toiles. Souvent de petits maîtres écossais.
Des tableaux du XVIIIème pour la plupart. Il y a des meubles anciens. De la marqueterie de toute beauté. Travaux d'artisans.
Le plancher craque sous les pas des nombreux visiteurs. Il y a un gardien qui fait les cent pas, répondant à quelques questions.

Dans ces anciennes bâtisses, la fraîcheur est plus prégnante. C'est très agréable après toutes ces journées de grosses chaleurs.
Nous terminons notre visite. C'était magnifique. Il est 16 h. Nous voilà devant Swilcan Bridge après 15 minutes de marche.
Il ne pleut plus. Le ciel est devenu plus lumineux. Nous restons sur la terre stabilisée des allées du grand parc du château.
Les visites sont guidées. Il y a foule. Nous suivons donc un groupe d'une quinzaine de touristes. Nous croisons d'autres groupes.
L'intérieur du château est magnifique. Il y a la reconstitution des époques passées. Principalement Victoriennes. Du gothique.

Durant la visite, Clémentine, toujours aussi discrète me palpe la braguette. C'est toujours plus facile au sein d'un groupe attentif.
Tout le monde focalise son attention sur les explications du jeune homme, étudiant qui fait son job d'été. A la perfection. Du zèle.
La visite est épatante. Quantité de mannequins vêtus de costumes d'époques révolues. Clémentine fait des photos. Nombreuses.
Il est dix huit heures lorsque nous quittons les lieux. Nous sommes émerveillés par ces visites. Le ciel s'est illuminé. Il fait doux.
< Trop tard pour aller visiter la distillerie ! > fait Clémentine, m'entraînant par la main. Elle se serre contre moi. Plusieurs fois...

Nous retournons au centre ville. Les rues pavées ont séché. Un timide soleil fait son apparition. Nous flânons longuement. Sympa.
Il y a une nuée de touristes. Par précaution, nous réservons une table dans un restaurant. Il n'est que 19 h30. Ce sera pour 21 h.
Il y a tant de choses à voir, de vitrines à admirer. Nombre de commerces sont encore ouverts. La manne touristique exerce sa loi.
Il est presque 21 h. C'est morts de faim que nous prenons place au "Seafood Ristorante". Décors typique. Lumière tamisée. Beau.
Nous nous régalons de crustacés grillés accompagnés de légumes vapeur. Les petits pois fumés sont un véritable régal. Délicieux.

Nous flânons encore dans les rues. Tout est sec. La fraîcheur du crépuscule est très supportable. Je me fais tripoter la braguette.
La terrible bosse qui déforme mon pantalon est presque douloureuse. Je n'ai pas cessé de bander comme un salaud cet après-midi.
J'ai toujours aimé la compagnie des salopes. Je m'ennuie tant avec celles qui ne le sont pas. Mais là, c'est la folie. Le délire. Bien.
Nous sommes de retour à la maison. Clémentine me tient la queue. Pressée d'en récupérer les épanchements de la journée. Bon.
Je me fais tailler une pipe des familles. Je propose à Clémentine de faire l'amour. Nous voilà rapidement l'un dans l'autre. Bonheur.

Bonne visite de vos musées préférés à toutes les filles bien salopes et qui aiment à le faire savoir. Tant pis pour les autres...

Julien - (Qui a toujours soigneusement évité les chiantes, les emmerdeuses, les introverties ou encore les "tristounettes") -

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Clémentine manifeste son désir de retourner à Edimbourg - Jour 33 -

Hier matin, vendredi, je suis réveillé comme presque tous les matins. On me tient la queue en érection. On me fait des bises.
A peine ai-je ouvert les yeux que Clémentine se serre contre moi en me chuchotant : < Bonjour Julien ! >. Je la serre fort.
Ma compagne me chevauche en riant. Nous nous faisons plein de papouilles. Tendresse. Le besoin de pisser y met un terme.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Pissous communs. Nous nous précipitons à la cuisine pour y prendre nos petits déjeuners.
Je presse les oranges. Clémentine coupe les tranches de pain que je fais griller. Confiture. Miel, beurre et yaourts. Et le café...

Il est à peine huit heures quinze. Dehors, c'est exactement le même climat. Un ciel bas, couvert mais il ne pleut pas. Sinistre.
C'est la première fois, depuis toutes ces années que je viens en Ecosse, qu'il fait ce temps. Mais c'est général sur l'Europe Nord.
Nous traînons à table à faire mille projets tout en savourant notre petit déjeuner. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux.
< Tu serais chaud pour retourner à Edimbourg, aujourd'hui ? > me demande ma compagne. Je suis enchanté par sa question.
Je lui dis : < Superbe initiative. Avec cette météo, il vaut mieux rester en ville ! >. Clémentine attrape ma queue en rigolant.

< Et tu seras avec une vraie salope ! Génial, non ? > me fait la jeune fille. Nous rions de bon cœur. Clémentine me serre fort.
Nous faisons notre vaisselle. Plusieurs fois Clémentine passe derrière moi pour se saisir de mes couilles et de ma queue. Rires.
Je lui passe la main entre les cuisses. Il y fait bien chaud. Nous nous mettons en tenues pour notre jogging. Leggings, sweat.
Il fait plutôt frais. < Un vrai début octobre ! > me fait Clémentine. Nous voilà à courir sur un sol encore humide. Il fait frais.
Vêtus de nos leggings, de nos sweats, nous courrons d'un bon rythme. Il faut rapidement se réchauffer. C'est très agréable...

Nous sommes de retour pour 10 h. La douche. Nous nous habillons immédiatement pour pouvoir partir rapidement ce matin.
Clémentine m'entraîne à l'ordinateur qu'elle allume. Deux messages. Estelle joint une photo à son mot. Elle est contente. Fini.
Ses affaires sont déjà prêtes. Le départ pour rentrer est fixé à samedi 19 h. L'épisode caniculaire est fini. Son moral va mieux.
Nous découvrons sa photo, toute souriante, aux côté d'un âne dans un pré. Nous répondons en joignant deux photos de nous.
Dans son message Julien nous apprend qu'il pleut plusieurs fois par jour et que les légumes du potager sont de toute beauté.

Il est 10 h45. Nous voilà en route pour Edimbourg. Nous y arrivons pour 11 h45. Une circulation fluide. Un paysage superbe.
Dans la voiture, Clémentine qui n'a pas cessé de jouer avec ma bite. Manifestant son plaisir de retrouver la capitale écossaise.
Une fois arrivés Clémentine me serre contre elle. < Comme je suis contente ! C'est ici que je me sens le mieux ! > me dit elle.
Je propose à Clémentine de revenir passer les jours suivants chez oncle Steve. Quitter St Andrews pour revenir à Edimbourg.
< Oh oui, génial ! > me fait ma compagne. Immédiatement je téléphone à oncle Steve. Ce dernier est ravi. Il nous attend...

J'organise rapidement les choses à venir. Je téléphone à Tante Betty. Nous retournons à St Andrews ce soir. Pour le nuit. Fin.
Dès demain matin nous revenons nous installer dans l'appartement à l'étage de la grande demeure de mon oncle Steve. Bien.
Tout cela nous a ouvert l'appétit. < Comme tout semble toujours simple avec toi ! > me fait Clémentine ne cachant pas sa joie.
Nous déambulons dans les rues pavées du centre. Nous lisons les menus affichés devant les restaurants. Nous avons très faim.
Notre choix se porte sur l'élégant et très classe "The Ship On The Shore". Nous y avons déjà savouré de délicieux fruits de mer.

Il y a du monde. Avec cette météo, les touristes envahissent les villes. Il y a encore quelques tables de libres. Nous voilà assis.
Il est treize heures. Clémentine ne peut cacher l'immense joie qui la submerge. Elle me prend les deux mains toute heureuse.
Nous commandons deux énormes plateaux de fruits de mer. Comme toujours, l'addiction aux crustacés grillés est la plus forte.
La salicorne est assaisonnée de trois façons différentes dans trois saladiers. Nous sommes à nous régaler en gloussant de plaisir.
Dehors, le ciel devient lumineux. Nous voyons passer des touristes sans anoraks, juste en pull ou en sweat. C'est rassurant...

Nous traînons à table. Le programme de l'après-midi sera une pure improvisation. Nous rentrerons dans le premier lieu ouvert.
Clémentine insiste pour assurer l'improvisation de l'après-midi. Je suis toujours content de me laisser entraîner. C'est reposant.
Il est 14 h30 lorsque nous sortons du restaurant. C'était tellement bon que je réserve une table pour la soirée. Une certitude.
C'est donc l'esprit serein que nous flânons longuement dans ce centre ville qui enchante tant ma compagne. Elle m'embrasse.
A plusieurs reprises, ma compagne se serre contre moi, une main sur ma braguette en m'embrassant. Bouches au goût marin.

Clémentine m'entraîne dans l'office de tourisme devant lequel elle m'embrasse. Nous feuilletons les brochures et documents.
< On se fait ça, une cave ! > me fait elle en me montrant l'article concernant "Gilmerton Cove". C'est une excellente initiative.
Nous sommes à dix minutes de Drum street. Nous voilà en chemin. Il y a du monde dans les rues. Le ciel est lumineux. Blanc.
Je porte le petit sac à dos contenant nos fruits, nos barres de céréale et la bouteille d'eau. Clémentine y fourre nos K-way. Bien.
Il fait presque doux. Nous arrivons devant le bâtiment sous lequel sont les catacombes à visiter. Visite guidée et obligatoire...

Nous sommes en queue de cortège d'un groupe de vingt touristes. Comme à chaque fois Clémentine effleure ma braguette.
La jeune fille est discrète mais l'efficacité virtuose de ses palpations me fait rapidement bander comme un priapique. Sympa.
< Tu étais prévenu. Tu es en compagnie d'une vraie salope ! > me chuchote à chaque fois Clémentine. Nous écoutons le guide.
La visite et la découverte de ce lieu étonnant sont splendides. Nous avançons dans un dédale souterrain de couloirs, d'escaliers.
C'est impressionnant et ces souterrains semblent vastes. Personne ne sait qui a creusé ces catacombes. Ni quand. Un mystère.

Il y a des expositions différentes en fonction des salles assez vastes que nous parcourons. La découverte est passionnante. Joie.
Notre guide a un argumentaire qui rend la découverte des plus intéressantes. Dans des vitrines il y a des objets étranges. Bien.
Des crânes humains et d'animaux. Des outils, des sculptures. Différentes époques. Clémentine palpe régulièrement mon sexe.
< Défense d'ouvrir la braguette et de sortir la bite ! > que je lui glisse à l'oreille. < Dommage ! > me chuchote t-elle en riant.
Parfois, à mon tour, moi aussi, je passe ma main sur le tissu de son jean, entre ses cuisses chaudes. J'adore ses petits frissons...

Nous nous attardons tant que nous le pouvons tant cette visite nous passionne. C'est réellement stupéfiant. Secret et mystère.
Il est 16 h30 lorsque nous sommes de retour à la surface. Clémentine a pris quantité de photographies. Nous flânons un peu ici.
Nous retournons déambuler dans Royal Mile. Monuments gothiques et quartier médiéval. Il y a un monde fou. C'est un succès.
Nous voilà à "Real Mary King's Close". Un autre endroit étonnant et plein de mystère. Il y a le festival d'Edimbourg. Du monde.
Nous traînons longuement dans ce curieux quartier aux rues souvent couvertes. Discrètement, Clémentine me touche la bite...

Nous terminons nos découvertes par "Greyfriars Church". La visite est libre ou guidée, au choix. C'est un curieux monument.
Une architecture difficilement identifiable. Un mélange de gothique, de coupoles romanes. C'est un endroit étrange. Envoûtant.
Clémentine me tient par la main. < Il y a des fantômes, ici, je les sens ! > me fait Clémentine lorsque nous entrons. Sourires.
Ma compagne est une vraie médium. Elle ressent des choses. Elle a sympathisé avec le fantôme de mon ex compagne. Sereine.
Aussi, c'est toujours un peu curieuse et inquiète que Clémentine me décrit ce qu'elle ressent dans les hauts lieux. Les vibrations.

Tout cela n'empêche pas ma coquine de palper régulièrement et discrètement ma braguette. Nous rions de bon cœur. Visite.
Comme tout écossais qui se respecte, je suis superstitieux. Ma croyance aux fantômes est de traditions et c'est un atavisme.
Nous parcourons ce lieu à la décoration étonnante. Quels genres de différents cultes se déroulent donc ici. Un autre mystère.
Les vitraux sont de toute beauté. Les tuyaux de l'orgue sont impressionnants. Il y aura d'ailleurs un concert en soirée à 21 h.
Nous découvrons des sculptures étranges pour un lieu à caractère religieux. Des dragons, évidemment, symbole Anglo-saxon.

Nous flânons un peu dans le petit parc autour de la bâtisse. Il est déjà 19 h30. Il y a du monde. Clémentine fait plein de photos.
Nous retournons vers le centre. Sur une scène, il y a un groupe. Des joueurs de cornemuse vêtus de leurs tenues folklorique.
Il y a quatre jeunes filles qui dansent tout en jouant du tambour. Les spectateurs sont agglutinés devant cet étonnant spectacle.
< J'adore la musique et les sonorités de la cornemuse ! > me fait Clémentine avant de me palper discrètement la braguette.
Il y a de timides rayons de soleil. Il y a cette lumière diaphane propre à l'Ecosse. Doucement, la faim se fait ressentir. L'appétit.

Nous marchons lentement en regardant partout autour de nous. Avec le festival, il y a plein de petites animations dans les rues.
Comme nous allons revenir nous installer à Edimbourg, nous pourrons profiter des festivités. Nous arrivons au restaurant. Places.
Il est 20 h30. Notre table au "Ship on the Shore" nous attend. Cette fois nous prenons des brochettes de saumon fumé. Un régal.
Nous faisons le bilan de nos découvertes de l'après-midi. Nous faisons le programme des 24 h à venir. Nous savourons ce repas.
Il est vingt deux heures. Nous décidons de rentrer sur St Andrews afin de tout préparer pour pouvoir filer demain matin dès 10 h.

Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite qu'elle suce souvent. J'adore l'entendre chanter lorsqu'elle se redresse pour rire.
< J'adore l'Ecosse. J'adore Edimbourg. J'adore ta bite ! > me fait la jeune fille. Je la vois très souvent heureuse, mais comme ça !
Nous arrivons à St Andrews pour vingt trois heures quinze. Immédiatement nous préparons nos affaires. Méthodiques et efficaces.
Il est minuit. Tout est prêt. Je bascule Clémentine sur le lit. Je lui descends son jean et sa culotte. Je hume les parfums de son jour.
Je savoure ce nouveau fruit comme s'il était de la mer. Il en rappelle un peu le goût. Clémentine m'entraîne sur elle. Une baise...

Bonne découverte de lieux mystérieux et "hantés" à toutes les coquines que cela n'empêche pas d'êtres délicieusement salopes...

Julien - (Qui n'a aucune crainte des fantômes. Et certainement pas de celui qui accompagne sa vie depuis plus de dix ans) -

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Clémentine est contente d'être de retour à Edimbourg - Jour 34 -

Hier matin, je suis réveillé comme presque tous les matins. Plein de bisous. On me tient la queue. J'ouvre les yeux. 7 h45.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. < Bonjour Clémentine ! > que je lui fais en la serrant.
Clémentine me chevauche en riant. Quelques papouilles et voilà l'impérieuse envie de pisser qui nous oblige à nous lever.
Nous sacrifions à notre rituel pisseux puis nous nous précipitons à la cuisine, morts de faim. Notre petit déjeuner. Délicieux.
Nous mangeons en évoquant le programme élaboré hier. Nous partirons immédiatement après la douche, pour 10 h30...

Nous faisons notre vaisselle. Nous nous mettons en tenue et nous voilà à courir pour notre jogging quotidien. Il fait doux.
Le ciel est lumineux et le soleil fait son apparition par séquences plus ou moins longues. C'est une journée agréable. Sûr.
Nous revenons après une heure trente d'un superbe running. Nous prenons la douche. Il est à peine 10 h. Organisation.
Nous voilà habillés. Clémentine porte sa jupe kilt, son pull fin en coton et ses souliers fermés à talons plats. Plutôt belle.
Je porte un jean, une chemisette en liberté et mes mocassins. Clémentine allume l'ordi. Je descends les premières valises.

Je remonte. Clémentine est entrain de répondre au message d'Estelle. Cette dernière tient des propos dithyrambiques.
Estelle se réjouit comme jamais pour rentrer. Fini, le Var, fini la mamie, fini l'ennui. Elle reprend le boulot lundi matin.
Le message de Juliette est court, précis. Nous répondons. Nous descendons nos dernières affaires à la voiture. Glacière.
Nous saluons Tante Betty et Oncle John en les remerciant pout leur accueil. Je leur remets discrètement une enveloppe.
Nous voilà en route pour Edimbourg. Dans la voiture, folle de joie, Clémentine joue avec ma bite tout en chantant. Rires.

Nous arrivons chez oncle Steve pour midi. Mon oncle et sa femme, sont tellement contents de nous revoir. Effusions de joie.
Nous reprenons nos quartiers dans l'appartement à l'étage. Nous sommes invités à manger pour midi trente. Tout est rangé.
Nous descendons. Nous voilà installés à table dans le grand salon. Il y a oncle Steve, ma tante, mon cousin Philip et Sonia.
Sonia est la femme de mon cousin Philip. Nous nous revoyons avec plaisir presque chaque année. Ils sont surpris. Charmés.
La découverte de ma compagne, Clémentine, les surprend d'abords puis les enchante rapidement. Clémentine est diplomate.

Nous bavardons. Clémentine maîtrise l'Anglais à la perfection. Langue nécessaire à ses études. Notre séjour le perfectionne.
Souvent, lors de nos virées, ma compagne et moi, nous ne nous exprimons qu'en Anglais. Cela nous amuse. C'est le cas ici.
Philip louche assez souvent vers la jeune fille. La cinquantaine grisonnante, il doit beaucoup apprécier ce moment particulier.
Sonia, grande brune bourgeoise et un peu maniérée prend beaucoup de plaisir à bavarder avec Clémentine. Bonne ambiance.
Nous traînons à table jusqu'aux environs de 14 h30. Nous prenons congé. Nous remontons ranger nos dernières affaires...

Clémentine m'a sorti la queue. Elle est debout derrière moi. Je termine de préparer notre petit sac à dos. Fruits, eau, K-way.
Cet après-midi sera consacré à flâner. Nous irons au centre commercial pour y faire quelques courses. Il y a du soleil. Beau.
< Je peux faire ma salope cet après-midi ? > me demande Clémentine en me branlant doucement. Nous rions de bon cœur.
Nous voilà en route. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle à dix minutes du centre ville. Il fait à nouveau très agréable.
Clémentine me tient par la main. < On se fait le "Scottish National Portrait Gallery" ? J'ai envie d'un musée ! > me fait elle.

Le Musée est sur Queen Street à dix minutes. Nous partons dans cette direction. Il y a du monde dans les rues. C'est samedi.
La bâtisse est victorienne et d'inspiration gothique. Une grande construction en pierres . C'est magnifique depuis l'extérieur.
Les visites sont guidées. L'accueil à la réception est superbe. Nous traînons un peu dans le hall en attendant le début. Guide.
Clémentine choisi quelques cartes sur un des tourniquets. Accroupie, louchant bien dans toutes les directions. Une opportunité.
Lorsque Clémentine a ce genre d'attitude et d'initiative, nous avons développé un réflexe. Je me tiens discrètement à l'écart.

Il y a du monde dans la salle. Des gens attendent le départ de la prochaine visite. Ce sont à chaque fois des groupes de dix.
Voilà la jeune fille, sans doute encore une étudiante, qui va assurer notre visite. Le groupe se forme rapidement. Le départ.
Comme toujours nous restons en queue de cortège. Il y a une agréable odeur de jasmin qui flotte. C'est vraiment accueillant.
A plusieurs reprises Clémentine effleure ma braguette. Ce qui ne nous empêche nullement d'admirer les chefs-d'œuvre. Bien.
Ce sont principalement des tableaux de commandes. Des notables qui, dans les siècles passés, se sont fait tirer le portrait...

Nous écoutons les explications de la guide qui développe l'historique de quelques tableaux les plus représentatifs. Intéressant.
Clémentine me palpe discrètement et avec insistance la braguette. < J'aimerais te la sortir ! > me chuchote t-elle à l'oreille.
Je dis à chaque fois : < Pas question ! T'es dingue ! >. Nous rions de bon cœur. Si je la laissais faire, j'aurais la queue à l'air.
La visite est un enchantement. Les tableaux sont mis en valeur par une luminosité naturelle. Des verrières nous offrent le jour.
Clémentine m'entraîne doucement en tête de cortège. Je comprends rapidement ce qu'elle a encore derrière la tête. La guide !

Je ne m'étais pas trompé. La visite arrive à son terme. Nous sommes au bas de l'escalier. La jeune guide nous remercie. Bien.
Elle nous souhaite un bon séjour à Edimbourg et s'apprête à rejoindre le nouveau groupe qui se forme déjà là-bas dans le hall.
Clémentine profite de cet instant, regardant rapidement dans toutes les directions, elle me touche la braguette devant la guide.
Ma compagne adore ces instants. La guide ouvre de grands yeux et nous fait un sourire. Tout cela ne dure qu'un instant fugace.
Je suis toujours terriblement gêné dans ces situations. Clémentine le sait et s'en amuse. Nous voilà de retour dans la rue. Bien.

Nous flânons longuement, découvrant ce quartier de la ville plus en profondeur. Il fait beau. Je propose une coupe glacée. Bien.
Nous avisons un salon de thé au fond d'une impasse commerçante. L'endroit est charmant. Un antiquaire, une brocante. Sympa.
Le salon de thé est au fond de la ruelle. Nous y entrons. Il y a peu de monde. Les tables sont situées par deux sur des plateaux.
Ce sont des terrasses intérieures au nombre de quatre. Sur chacune il y a deux tables avec quatre chaises. Un décors médiéval.
Nous montons nous asseoir sur la dernière terrasse. De là, la vue sur la salle est parfaite. Tout en bas il y a le comptoir. Clients.

C'est un jeune homme et une jeune fille qui assurent un service impeccable. En bas, au comptoir, c'est sans doute la patronne.
Il y a quelques couples assis sur les différentes terrasses en contre bas. Il y a notamment ces deux dames accompagnées. Bien.
L'homme, quinquagénaire, très élégant, écoute les deux femmes qui bavardent en chuchotant. Le jeune serveur monte. Sourire.
C'est un garçon d'une vingtaine d'années, pantalon noir, chemise blanche et gilet rouge. Il prend notre commande. Des glaces...
< Je vais faire une "doublette" ! > fait Clémentine tout en me faisant discrètement savoir que le quinquagénaire mâte déjà ici...

Clémentine commente tout ce qui se passe. Je prends la brochure touristique pour faire semblant de la consulter. Mais j'écoute.
Ma compagne est dans une situation privilégiée. Assis en hauteur, pour les étages inférieurs, il est aisé de mâter sous les tables.
Le quinquagénaire assis deux terrasses plus bas en constate rapidement les avantages. Clémentine me raconte ce qui se passe.
Je constate que ma compagne a une main sous la table. Le serveur monte nous rejoindre en portant nos deux coupes glacées.
Elles sont énormes. A la mesure de nos gourmandises et surtout de notre addiction à la crème glacée. Vanille, pistache et pralin.

Il est 17 h15. Clémentine me chuchote ce qu'elle fait sous la table. Tout en mangeant ma glace, j'observe discrètement le type.
Je tâche de ne pas manifester la moindre complicité. Comme si je ne savais pas que ma compagne a les cuisses écartées. Bien.
< Je vais aux toilettes. Je vais retirer ma culotte ! > me fait Clémentine en se levant. < Ta glace va refroidir ! >. Que je fais. Rire.
Je regarde Clémentine descendre l'escalier au milieu des terrasses. La jeune serveuse monte pour me demander si tout va bien.
Je la rassure. J'en profite pour lui demander l'histoire de cette maison ancienne et de caractère. La jeune fille me raconte un peu.

Nous bavardons un petit moment. Clémentine revient enfin. La jeune serveuse me fait un délicieux sourire avant de redescendre.
Clémentine me raconte. < J'étais aux toilettes. Le jeune serveur est venu ! Il a remarqué mon petit jeu sous la table ! Vicieux ! >.
Je regarde en bas. Le jeune homme est d'une discrétion totale. Il va et vient, servant les clients de la pâtisserie au comptoir. Bien.
< Nous avons bavardé un peu. Très timide mais téméraire le petit vicieux ! > me fait Clémentine en me donnant des détails. Joie.
Le quinquagénaire, deux terrasses plus bas, vient certainement de découvrir que la jeune fille à ma droite ne porte plus de culotte.

Je mâte discrètement en faisant semblant de lire tout en savourant le reste de la glace. L'homme fait mine d'écouter les femmes.
Il louche en permanence par ici. Clémentine termine sa coupe glacée. Elle a une main sous la table. Il lui faut être très vigilante.
Là-bas, derrière son comptoir, le jeune homme mâte souvent par ici. Lui aussi est aux premières loges pour admirer cette salope.
< Je retourne aux chiottes. Il y a certainement un des deux voyeurs qui va m'y rejoindre ! > fait Clémentine en se levant. Super.
Comme toujours, son raisonnement est infaillible. C'est le quinquagénaire qui se lève pour descendre aux toilettes. Au sous-sol...

Il y a un moment qui passe. Je regarde le jeune homme, en bas, derrière son comptoir qu'il ne peut quitter à cause de l'affluence.
C'est la jeune serveuse qui vient débarrasser une des tables qui m'adresse une nouveau sourire. Sait-elle aussi ce qui se passe ?
Clémentine revient enfin. Elle me raconte. Le type qui arrive dans les toilettes "homme" et qui découvre cette jeune fille accroupit.
Comme à chaque fois, Clémentine s'est fait surprendre en fouillant dans son sac à main, s'excusant de s'être trompée de toilettes.
Cette fois le type a ouvert sa braguette immédiatement pour lui montrer sa queue. < Une trompe d'éléphant ! > fait Clémentine.

Nous rions de bon cœur lorsque ma compagne me donne les détails de cette nouvelle expérience. J'aurais donné cher pour voir.
Le type qui se branle à environ un mètre devant la jeune fille accroupit. Qui lui propose de le sucer en agitant vicieusement sa bite.
Une bite fripée, longue et rapidement suintante. < Tu aurais du la lui goûter ! > que je fais à Clémentine. < T'es fou ! > dit elle.
Je rajoute : < Tu sais à quel point j'aimerais te voir sucer un mec ! >. Clémentine grimaçante me fait : < Mais tu n'étais pas là ! >
< Et tu sais ce que j'en pense ! > me fait elle encore en prenant un air écœuré. L'homme et les deux femmes se lèvent. Il est 18 h.

Nous les regardons payer au comptoir. Le quinquagénaire regarde à plusieurs reprises dans notre direction. Il est même insistant.
Nous l'ignorons superbement. Nous descendons à notre tour. Le jeune garçon n'arrête pas de mâter Clémentine. Je suis discret.
Je fais mine d'observer les quelques pâtisseries qui restent encore derrière la vitre. Le salon de thé se vide doucement. Il ferme.
Nous voilà dans la rue. < Et je n'ai pas de culotte ! > me fait Clémentine en se précipitant dans mes bras. Elle m'embrasse. Fort.
Nous prenons la direction du centre. Il y a des petits groupes de musiciens partout. Sur des estrades ou à même le trottoir. Fête.

Nous parcourons les rues. Clémentine me fait part de ses ressentis quand aux émotions qu'elle s'est encore offertes. Bien salope.
Je prends mon courage à deux mains, pour lui glisser à l'oreille : < Offre moi ce cadeau. Sucer un inconnu ! >. Il y a un silence.
< Je ne pourrais jamais ! > me fait Clémentine en se serrant plus fort encore. Je chuchote : < Monsieur Gérard, le palefrenier ! >.
< Salaud ! > me fait elle en éclatant de rire. Nous rions de bon cœur en évoquant l'employé de Juliette. 65 ans, qui ne bande pas.
Clémentine me fait : < Sucer ce vieux vicelard qui montre sa petite bite aux filles ! T'es fou ! >. Nous rigolons comme des bossus.

Pourtant, l'idée doit faire son chemin car c'est la jeune fille qui revient sur le sujet lorsque nous lisons un menu devant un restau.
Il est 20 h45. Nous sommes morts de faim. Notre choix se porte sur le restaurant typique où le personnel est en kilt traditionnel.
Il reste une seule table. Une chance inouïe car elle vient de se libérer. Avec les festivités, les touristes sont dans les rues. Musique.
Nous savourons nos steaks de saumon accompagnés de légumes fumés. Les fumaisons sont une spécialité délicate et goûteuse.
C'est Clémentine qui évoque monsieur Gérard, le palefrenier. < Et tu vois ça comment, cette pipe à ce vieux salaud ? > fait elle...

Je reste un peu abasourdi devant cette question. Je ne sais quoi répondre. Clémentine rajoute : < Comme ça doit être dégueu ! >.
Je dis : < C'est à essayer ! >. Clémentine me regarde dubitative. Elle pose sa fourchette, prend ma main et dit : < Tu voudrais ?>
< Oui ! > que je réponds en soutenant le regard inquisiteur de la jeune fille. < Cet automne ! > fait elle en continuant son repas.
< C'est pour ton anniversaire, alors, ton cadeau ! > me fait elle encore. Nous rions de bon cœur. Je dis : < Oui, mon cadeau ! >...
Nous évoquons différentes stratégies. Avec ou sans Estelle que l'idée de sucer le palefrenier effleure de plus en plus souvent. Rires.

Nous bavardons ainsi durant tout le repas. Il est 22 h15 lorsque nous sommes à nous promener dans les rues animées. Musique.
Nous écoutons un couple. Une jeune fille qui joue de la harpe et un garçon qui l'accompagne à la guitare. C'est de toute beauté.
Clémentine me chuchote à l'oreille : < De toute façon, je ne risque rien. Monsieur Gérard ne bande pas ! >. Nous rions de bon cœur.
Ainsi l'idée de sucer ce vieux dégueulasse fait son chemin, insidieusement mais sûrement, dans la tête de Clémentine qui me palpe.
Voilà la voiture. Sur la route Clémentine me suce. Nous arrivons. < Je m'entraîne ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus.

Tout cela nous a évidemment follement excité. Je bascule Clémentine sur le lit. Comme elle ne porte pas de culotte, c'est facile.
Je fourre mon nez dans son invraisemblable touffe. Je hume les effluves parfumées de sa journée de fille. Il y a de quoi se régaler.
De la cyprine sèche colle dans les poils. De la fraîche s'écoule dans un flot presque continu. Je m'enivre de ce délicieux nectar.
Clémentine est à la limite de l'orgasme. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Douceurs.
Immobiles, comme nous aimons à le faire, Clémentine me chuchote des cochonneries. Il est même question d'un certain "Gérard".

Bonnes exhibitions à toutes les jeunes filles dont c'est la passion, loin de chez elles, durant leurs vacances, sécurisées par leur mec...

Julien - (Qui peut doucement développer un espoir de voir son fantasme se réaliser. Clémentine va peut-être sucer du vicelard) -

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Clémentine propose de randonner dans les montagnes - Jour 35 -

Hier matin, dimanche, nous nous réveillons certainement en même temps. Nous ouvrons les yeux en nous étirant. Gémissements.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en venant se blottir contre moi. < Bonjour Clémentine ! > que je lui fais en la serrant fort.
Nous nous offrons des papouilles. Cette tendresse et cette douceur si nécessaires à nos matinées et à notre existence en générale.
C'est toujours l'impérieux besoin de pisser qui nous oblige à interrompre nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main aux WC.
Nous avons rapidement retrouvé nos repaires avec le retour à l'appartement chez oncle Steve. Nous nous précipitons à la cuisine...

Nous préparons notre petit déjeuner que nous savourons avec bonheur. Aujourd'hui, dimanche, pas d'entraînement. Pas de jogging.
Dehors il fait beau. Le ciel est principalement bleu. Le soleil est déjà haut. Il est à peine huit heures. Clémentine sur mes genoux.
< On se fait une superbe randonnée, tu veux ? > me propose la jeune fille. Avec ce beau temps revenu, la proposition est excellente.
Nous faisons la vaisselle. Je suggère de partir le plus tôt possible pour nous rendre dans les monts Grampians près de Fort William.
Je connais bien toute cette magnifique région. Clémentine est enchantée de retourner dans les environs du Loch Ness. La douche...

Nous voilà rapidement habillés. Il y a 200 km à parcourir dont 50 environs sur l'autoroute. Deux heures et demi de voiture. Sympa.
Nous préparons toutes nos affaires. Nous sommes prévoyants. Même si l'idée est spontanée, nous ne laissons rien à l'improvisation.
Nous agissons avec méthode et avec réflexion. J'emmène cette petite tente ronde que j'ai acheté en promo chez Décathlon. Sympa.
Il est 9 h30. Nous voilà en route pour la petite ville de Fort William. Dans la voiture, Clémentine me sort la bite pour jouer avec. Joie.
Il fait très agréable. Clémentine porte sa jupe kilt, un T-shirt et ses souliers fermés à talons plats. J'aime son look d'étudiante. Sexy.

Je porte mon short, un T-shirt et mes baskets de marche. La circulation est fluide, ça roule plutôt bien. Nous faisons le bilan du séjour.
Trente cinquième jour écossais qui s'annonce magnifique et ensoleillé. < Je n'ai jamais été aussi bien de ma vie ! > fait Clémentine.
Elle continue : < J'ai découvert ce merveilleux pays par Edimbourg. C'est comme si j'avais toujours connu cette ville ! Chez moi ! >.
Je lui rappelle que nous reviendrons passer dix jours durant les vacances de fin d'année. Incluant Noël et Nouvel An. A Edimbourg !
< C'est merveilleux ! Depuis toi, ma vie est un enchantement ! > me fait Clémentine en posant sa tête sur mon épaule. Une émotion.

Nous arrivons à Fort William. C'est une petite ville encaissée entre de hautes montagnes rocheuses. C'est le paradis de la varappe.
Tous les amoureux de la grimpe, de l'escalade et des expéditions périlleuses connaissent cette région réputée pour ces rocheuses.
Nous garons la voiture à l'entrée de la ville, dans une petite rue près du "West Highland Museum ". Dix minutes du centre ville. Bien.
Il fait doux. Il est midi. Nous sommes morts de faim. Je propose un restaurant plutôt qu'un sandwich. Suggestion très bien acceptée.
Nous flânons dans les rues. Il y a du monde. C'est le "Crannog Seafood Restaurant" qui nous tente le plus. Produits de la mer. Sympa.

Il y a quelques tables de libres dans un endroit élégant, de caractère et plutôt stylé. Nous choisissons des crustacés fumés. Un délice.
Depuis que nous avons découvert cette cuisine, nous avons développé une véritable addiction aux produits de la mer fumés ou grillés.
Ici, ce sera du homard accompagné de salicornes assaisonnées de différentes façons. Jus de citron, crème ou encore à la vinaigrette.
Nous sommes installés devant une grande baie vitrée. La vue sur le lac est un enchantement supplémentaire. Nous nous régalons...
Il est treize heures trente lorsque nous retournons à la voiture. Nous faisons les quelques kilomètres qui nous séparent du départ.

Nous garons la voiture près des maisons du hameau de Wolling. C'est le départ du chemin qui va nous mener aux "Steall Waterfall".
Nous nous changeons discrètement. Clémentine passe sa jupette "tennis", enfile son T-shirt et chausse ses baskets de marche. Bien.
Je mets mon short de rando, un T-shirt et je garde mes baskets de marche. Je prends le petit sac à dos. Il fait beau. Presque chaud.
Nous voilà en chemin. Il y a de nombreux marcheurs. C'est une promenade familiale jusqu'aux fameuses chutes de "Steall Waterfall".
Environ une heure de marche dans un décors époustouflant. Souvent, passant devant moi, Clémentine me palpe la braguette. Sympa.

Nous marchons d'un bon pas. Nous sommes entourés des hautes montagnes des Grampians. Là-bas, il y a le sommet du Ben Nevis.
Le Ben Nevis est le plus haut sommet d'Ecosse. Il culmine à plus de 1 350 mètres. Clémentine s'arrête pour prendre des photos. Bien.
< C'est fantastique ! > fait elle à plusieurs reprises. Et c'est vrai que le paysage est sublime. Il a de quoi ravir l'amoureux de la nature.
Je propose à Clémentine de rester à Fort William pour la nuit et de nous offrir l'ascension du Ben Nevis demain. Une journée de marche.
Clémentine laisse éclater sa joie à cette suggestion. Elle me serre contre elle, me couvre le visage de bises en s'écriant : < Je t'aime ! >.

Nous arrivons aux chutes. C'est impressionnant. Sur plusieurs dizaine de mètres, dans un bruit de tonnerre, il y a des quantité d'eau.
Il y a beaucoup de monde. Il faut se frayer un passage jusqu'aux barrières qui protègent du gouffre. Nous regardons, le souffle coupé.
Nous sommes entourés d'épaisses forêts pentues. Depuis le départ, au parking de Glen Nevis, le paysage reste absolument superbe.
Nous restons comme hypnotisés, un long moment à admirer cette merveille de la nature. Le bruit est impressionnant. Il faut hurler...
Il est quinze heures lorsque nous décidons de reprendre notre randonnée. Jusqu'aux chutes la montée était facile, familiale, fréquentée.

A présent nous croisons moins de marcheurs. Le chemin est devenu un sentier escarpé. Il faut marcher avec prudence. Des précipices.
Nous sommes souvent au-dessus de profonds ravins. Sur notre gauche, fixées à la paroi, il y a une corde en métal ou des barres en fer.
Nous sommes tous deux sujets au vertige. Nous marchons en évitant de regarder sur notre droite. Il y a parfois de véritables ravins.
Nous marchons ainsi dans des paysages grandioses et souvent fantastiques. En bas, là-bas, au loin, il y a Fort William et ses clochers.
Nous faisons une boucle par le sentier Willing Stair. Il fait chaud. A plusieurs reprises Clémentine fourre sa main dans mon short. Rires.

J'entraîne Clémentine à l'écart du sentier. Juste à l'aire de repos où il redevient un chemin. Il y a un cabanon et un totem indicateur.
Il y a un amas rocheux. Personne. Une sorte de table de pierre, naturelle, évoquant quelque dolmen. Je soulève Clémentine. Rire.
Je l'assois sur la table de pierre. Je lui retire la culotte. La jeune fille, étonnée, me regarde faire. J'ai rarement ce genre d'initiatives.
Je sors ma queue. Je bande comme un salaud. Clémentine écarte ses cuisses pour poser ses chevilles sur mes épaules. Je la tiens.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. < Mais tu es un vrai salaud aujourd'hui ! > fait ma compagne toute contente.

Nous restons parfaitement immobiles. Nous sommes à une vingtaine de mètres du sentier. A l'abri des fourrés et de l'amas rocheux.
Nous regardons partout autour de nous. Prudents. < Si tu pouvais te comporter comme ça plus souvent mon salaud ! > me dit elle.
Nous rions de bon cœur. Ce qui a pour effet de secouer ma queue dans la fille. Cela nous fait rigoler comme des bossus. Pénétration.
Nous rions de bon cœur de rigoler comme des bossus. Décidément, la baise sauvage ne nous réussi pas vraiment. Crise de fou rire.
Je soulève Clémentine. Tout en restant profondément en elle, je lui fais faire le tour de l'endroit en faisant le guide touristique. Rires !

< Je t'aime comme une folle ! > s'écrie Clémentine en se serrant contre moi. Je retourne la déposer sur le rocher. Je la baise. Fort.
Je me secoue dans la fille qui se met à pousser de petits cris. Elle me tient par les épaules pour se mettre à se secouer avec moi. Joie.
Nous baisons très rarement de cette façon. C'est plutôt trivial, voire bestial, ce qui ne nous convient pas du tout. Nous voilà en sueur.
Il n'y aura pas d'orgasme avec cette manière de hussard. Nous cessons de nous secouer comme des déments. Retour à l'immobilisme.
< Baiser comme des cons, c'est ridicule, tu trouves pas ? > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Voilà des marcheurs.

Nous avons juste le temps de prendre une attitude "neutre". Nous saluons le groupe de quatre randonneurs. Nous voilà sur le sentier.
Nous prenons le chemin de la descente. Nous arrivons à la voiture pour dix neuf heures trente. Nous sommes morts de faim. Retour.
Prudents, nous avons réservé une table dans le même restaurant, en soirée, pour 20 h30. Nous nous changeons. Direction la ville.
Je gare la voiture sur le parking du restaurant. Nous faisons les hôtels du centre. S'il n'y a pas de chambres, il faudra rentrer. Stupide.
Fort heureusement nous trouvons un hôtel qui propose encore quelques chambres. C'est dimanche soir, des places se libèrent. Bien...

Nous retournons au restaurant. Nous dégustons du saumon fumé en brochettes accompagné de pâtes au fromage de brebis. Un régal.
Nous traînons à table. Il y a deux textos. Estelle nous envoie son message. Elle est bien rentrée. Elle est heureuse d'être de retour.
Elle passera à la maison dès lundi soir, après le boulot. Juliette nous envoie un petit coucou et une photo. Nous répondons aux deux.
Nous sommes épuisés. Nous flânons un peu dans les rues de Fort William. Nous sommes à l'hôtel pour 23 h30. Léchage de minou. Pipe.
Nous prenons la douche. Il est minuit passé lorsque nous sombrons dans un profond sommeil. Sans orgasme mais plein de bonheur...

Bonne randonnée dans le massif du Glen Nevis à toutes les coquines qui aiment baiser dans la nature en faisant gaffe aux moustiques...

Julien - (Qui a parfois des pulsions passionnées qui amusent beaucoup Clémentine. Ils en rient tous les deux de bon cœur) -

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Clémentine et Julien font l'ascension du Ben Nevis près de Fort William - Jour 36 -

Hier matin, lundi, j'ouvre les yeux le premier. Je découvre notre chambre d'hôtel. Il est 7 h45. Je regarde Clémentine s'étirer.
< Bonjour Julien ! > me fait elle dans un long gémissement. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant l'assaut !
Clémentine me chevauche en riant. Nous nous faisons un tas de papouilles. Dehors il fait beau. Le ciel est bleu. Il fait doux.
< Viens vite ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Espace minuscule où nous tenons à peine.
Nous sommes morts de faim. L'air écossais, ça creuse. Nous nous habillons rapidement pour descendre. Le petit déjeuner...

Nous descendons. Il y a déjà du monde dans la salle du restaurant de l'hôtel. Tout est disposé sur les tables. Pain, confiture.
Il suffit de se servir en café ou en thé au comptoir. C'est une jeune fille qui assure le service. Nous mangeons de bon appétit.
Le café n'est pas très bon. Peut-être même réchauffé. Le pain est blanc et n'est que de l'amidon sans réels apports nutritifs.
La confiture de fraise ne contient sans doute que du sucre, de la pectine et de la gélatine. Certainement aucune fraise. Hôtel.
Nous faisons contre mauvaise fortune bon cœur. Nous n'avions pas prévu de dormir à l'hôtel. Il faut assumer l'improvisation.

Nous remontons. Il n'y aura pas de jogging. Par contre il y aura une journée de randonnée. Nous préparons nos affaires. Sac.
Des pommes, deux grandes bouteilles d'eau gazeuse, barres de céréale, K-way. Je propose d'aller faire nos courses en ville.
Clémentine est vêtue de sa jupette "tennis", d'un sweat léger et de ses baskets. Je porte mon short, sweat et mes baskets.
Nous marchons très rapidement. Nous nous renseignons à l'office de tourisme qui vient d'ouvrir. Brochures touristiques. Info.
Dix minutes de marche. Le supermarché. Il est huit heures quarante cinq. Nous achetons du thon, du fromage, du pain. Fruits.

Nous revenons à la chambre. Nous préparons nos sandwichs. C'est du vrai pain, bio, complet. Quatre gros sandwichs. Sympa.
Nous voilà prêts. Avant de quitter l'hôtel, je réserve et je paie pour la nuit suivante. Nous resterons pour visiter Fort William.
Il y a sept kilomètres à faire pour arriver au pied du Ben Nevis. Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite. Toute contente.
Il y a du monde. La randonnée est un rituel que pratique tout amoureux de randonnée en Ecosse. Un "pèlerinage" obligatoire.
Il fait beau. Le ciel est bleu. Le soleil est haut dans le ciel. La météo a prévu une journée de chaleur sans le moindre risque...

Je porte le sac à dos. Nous nous chaussons de nos chaussures de marche. Nous emmenons deux épais sweats. Prudence.
Le Ben Nevis est le point culminant des monts Grampians. Il culmine à quelques 1 344 mètres. Le roi des Highlands. Beau.
Son voisin, le "Càrn Mòr Dearg", est impressionnant lui aussi. Nous prenons le sentier. Il y a nombre de marcheurs. Bien.
Le lieu est fréquenté tant par les randonneurs que par les grimpeurs amateurs d'escalade et de varappe. C'est magnifique.
Il est neuf heures trente. Nous voilà en chemin. Chaque année quelques cent mille personnes font l'ascension du Ben Nevis.

La montée est très encadrée. Avec le grand nombre de passage, l'équilibre écologique y est précaire et étroitement surveillé.
Nous avons choisi la voie la plus facile, le "Ben Path". Il n'est pas question de prendre d'autres risques que d'avoir froid là haut.
C'est la cinquième fois que je fais l'ascension. Je sais que même par beau temps, le climat sommital est surprenant. Fraîcheur.
Sur le sentier, après avoir regardé autour de nous, Clémentine effleure parfois ma braguette. Nous rigolons comme des bossus.
< La salope du Ben Nevis ! > me fait elle à chaque fois. Nous rions de bon cœur. Le paysage est grandiose. C'est magnifique...

L'aller et le retour représentent 16 km environs. Un dénivelé de 1 344 mètres. Nous allons en prendre plein la vue. Il fait beau.
Nous marchons depuis une heure. A présent nous avançons sur un pierrier. Il faut être prudent. Le sentier est très accidenté.
Nous restons sur le "Pony Track", le sentier construit en 1883. Appelé ainsi car il devait permettre la montée des poneys. Joie.
Nous arrivons au petit lac, à mi chemin. Lochan Meall est un petit lac alimenté par le Red Burn, ruisseau sauvage et capricieux.
La vue sur les alentours est fabuleuse. Elle s'étend à perte de vue sur la face Est. Clémentine me palpe discrètement la bite...

Il commence à faire frais. Il y a moins de marcheurs. Un bon tiers restera aux bords déserts du lac, dans un paysage lunaire.
Les autres vont continuer l'ascension. Je propose à Clémentine de passer nos K-way. De mettre nos jeans. Bonne initiative...
Nous gravissons à présent l'étroit sentier qui nous rapproche du sommet. Après une heure trente de marche, nous arrivons.
Même si le ciel est d'un bleu intense, il fait froid. Certainement pas plus de 10°. Mais quelle récompense. C'est majestueux.
Nous allons nous asseoir à l'abri d'un léger vent froid sous les murs des ruines de l'ancien observatoire. C'est spectaculaire.

Clémentine est admirative, silencieuse. Je la vois rarement aussi stupéfaite par ce qu'elle découvre. Nous mangeons nos fruits.
Puis nous passons à nos sandwichs. Ces trois heures de marches ont ouvert nos appétits. Nos estomacs sont de vrais gouffres.
Il y a du monde, là-haut. Nous entendons quantité de langues incompréhensibles. Beaucoup d'Allemands et de Hollandais. Joie.
Il est treize heures trente. Clémentine prend de nombreuses photos. Selfies pour Estelle et Juliette. Nous posons en déconnant.
Au loin, il y a la mer scintillante. Autour de nous le massif des Grampians. Nous savourons ces instants en affrontant le froid...

Il est quatorze heures. Nous prenons le même chemin pour redescendre. Il faut redoubler de prudence. Il y a des marcheurs.
La descente est souvent plus périlleuse et dangereuse que la montée. Nous nous arrêtons souvent pour admirer le paysage.
< Je n'ai jamais rien vu d'aussi beau ! > me fait Clémentine. Toutefois, malgré son enchantement, elle me palpe la braguette.
Nous rions de bon cœur de toutes nos aventures. Nous arrivons au bord du lac. Nous avons longé le ruisseau Red Burn. Beau.
Il y a à nouveau un flot touristique incroyable. Ce sentier est un vrai boulevard par cette merveilleuse journée d'été. Chance...

Il recommence à faire chaud. Il nous faut retirer nos vêtements chauds. Plein de marcheurs font comme nous. Gens en slips !
A présent le chemin est redevenu large. Nous y croisons les randonneurs qui montent. Nous évitons ceux qui descendent. Bien.
< Cette année, j'ai découvert le Jura, l'Aude et l'Ecosse ! Moi qui n'étais jamais allé nul part ! > me fait Clémentine. Heureuse.
Elle me prend la main, s'arrête, me bloque et se serre contre moi. Nous restons un petit moment comme ça. Des gens passent.
Nous arrivons à la voiture pour dix sept heures. Plus de six heures d'une marche exceptionnelle de beauté et d'émotion. Super.

Nous revenons à Fort William. Charmante petite ville aux nombreux clochers gothiques. Nous y flânons longuement. Sympa.
Il fait presque lourd. Nous réservons une table au "Crannog Seafood Restaurant". Le même établissement que hier. Pour 21 h.
Demain nous visiterons les Musées et monuments. Il serait dommage de rater ces nouvelles découvertes. Tourisme culturel.
Dans les rues, souvent arrêtés à regarder les vitrines, Clémentine me palpe la braguette. < Ce soir, c'est la pipe ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur. Nous retournons au "Crannog Seafood Restaurant". Nous sommes morts de faim. Il y a du monde...

Pas d'improvisation. Nous reprenons du homard fumé avec de la salicorne. Une valeur sûre qui ne pourra pas nous décevoir.
Nous ressentons la fatigue juste avant le dessert. Clémentine baille plusieurs fois. < Tu es sûre pour la pipe ? > que je dis.
Nous rigolons comme des bossus. Je rajoute : < Moi, je suis sûr, je vais te bouffer la chatte à l'hôtel ! Mon second dessert ! >
< Tu es un gourmand ! > me fait ma compagne en prenant mes mains. Elle rajoute : < Merci pour tous ces bonheurs ! >. Bises.
Nous traînons à table. Nous flânons dans les rues. Il est 23 h30. Nous voilà de retour à l'hôtel. Léchage de minou. Pipe. Dodo.

Bonne ascension du Ben Nevis à toutes les coquines désireuses de s'offrir des merveilles, tout en palpant le Zob de leur mec...

Julien - (Guide touristique privé de Clémentine. Clémentine qui lui palpe le Zob durant toutes leurs visites touristiques. Coquine) -

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Nous passons la journée dans la région de Fort William - Jour 37 -

Hier matin, mardi, comme souvent, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous sur le visage. On me tient bien la queue.
L'érection matinale, et tout à fait naturelle, s'en trouve quelque peu glorifiée. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine. Bises.
< Bonjour Clémentine ! > que je fais en me mettant à quatre pattes pour la couvrir de bisous à mon tour. Elle me fait tomber.
Clémentine me chevauche en riant et tout en s'écriant : < Gagné ! >. Nous rions de bon cœur avant d'être obliger de se lever.
Le besoin de pisser tempère quelque peu un certain romantisme un peu cucul la praline qui nous amuse toujours beaucoup...

Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. Dans un équilibre précaire, la jeune fille se soulage en riant.
Je m'accroupis pour humer sa nuit de fille avant de lécher la dernière goutte qui vient se perdre dans cette touffe dense. Poils.
Puis, c'est au tour de Clémentine de me tenir la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en savoure les derniers reliquats.
Nous sommes morts de faim. Hier, en faisant nos courses, nous avons tout prévu. Pain, le miel et les fruits. Deux nuits d'hôtel.
Il est à peine 7 h45. Nous nous préparons un rapide petit déjeuner. Jus d'oranges. Tartines de miel. Le café sera pour plus tard.

Clémentine me propose de faire notre jogging en short "ville". Pourquoi pas. Après tout, nous sommes en pleine improvisation.
Nous nous mettons en tenues. Nous descendons pour prendre un de ces cafés dégueulasses que propose l'hôtel. C'est amusant.
Nous voilà à courir. Nous avons repéré les lieux et je connais un peu Fort William. Nous prenons la direction de Nevis Range.
Rapidement nous courrons sur le chemin qui quitte la ville vers Old Inverlochy Castle. Il fait beau. Il fait presque déjà doux.
Un peu plus d'une heure trente d'un running très agréable et nous voilà de retour à l'hôtel. La douche. Nous nous habillons...

Il est 10 h15. Clémentine me propose la visite de "West Highlands Museum". Le seul musée de la ville vraiment digne d'intérêt.
Clémentine est vêtue de sa jupe kilt, d'un sweat léger et de ses souliers fermés à talons plats. Je n'ai que mon jean et sweat.
Dix minutes de marche et nous voilà au musée. Il y a du monde partout dans les rues. Fort William est une ville très touristique.
L'entrée du musée est gratuite et les visites sont au choix. Guidées ou libres. Toujours désireux de savoir, nous suivons le guide.
En queue de cortège d'un groupe d'une dizaine de visiteurs, nous écoutons les explications. Histoire géologique de l'Ecosse. Bien.

Comme toujours, Clémentine s'amuse de mon embarras lorsque qu'elle me palpe discrètement la braguette. Elle le fait souvent.
Tout en me chuchotant des cochonneries à l'oreille, ma compagne me tripote avec insistance mais avec une grande prudence...
La visite est passionnante. Clémentine attire mon attention sur la présence d'une jeune femme seule que nous croisons parfois.
A plusieurs reprises nous apercevons cette jeune femme, sans doute la trentaine, qui passe et repasse dans les salles voisines.
Elle fait des photographies avec un gros appareil noir. Elle est vêtue d'une jupe, d'une veste et de souliers à légers talons. Belle...

Clémentine et moi, nous avons développé une télépathie qui fonctionne à chaque fois qu'il nous faut communiquer. C'est efficace.
Une fois encore je comprends donc très rapidement où Clémentine veut en venir. < On va la surprendre ! > me glisse t-elle. Rire.
Clémentine m'entraîne à l'écart du groupe. Nous voilà entre deux vitrines qui contiennent des pierres et des débris de poteries.
Seules nos têtes doivent êtres visibles. Clémentine regarde avec soin partout autour de nous. Pas de système de surveillance.
Ma compagne pose sa main sur ma braguette et me palpe jusqu'à me faire bander. Je suis rapidement doté d'une grosse bosse.

< Laisse toi faire, sois salaud ! > me fait Clémentine en insistant. La jeune femme arrive dans ce coin de la salle. Mon cœur qui bat.
Il y a des visiteurs dans la salle mais personne ne nous prête la moindre attention. La jeune femme vient vers les vitrines. Sourire.
< Je suis certaine qu'elle a déjà repéré notre petit manège ! > me chuchote ma compagne en serrant ma queue à travers le tissus.
En effet, la jeune femme nous adresse un rapide sourire avant de contourner la vitrine où se trouvent les restes d'outils anciens.
La préhistoire écossaise est riche. La présence humaine est certaine depuis plus de 30 000 ans. Fouilles archéologiques riches...

Je suis terriblement gêné. Je regarde discrètement partout autour de moi. Je murmure : < Défense de me sortir la bite ! >. Rires.
La jeune femme a évidemment repéré notre petit jeu. C'est certain. Clémentine ne s'est pas trompée. Elle redouble de tripotages.
Ma compagne passe sa main sous mon sweat pour l'enfiler dans mon jean. Je sens sa main fouiller mon slip et m'attraper le Zob.
La jeune femme contourne la vitrine et découvre les activités de Clémentine. J'ose pas regarder dans la direction de la photographe.
Cette dernière reste ostensiblement à quelques mètres, faisant mine de scruter l'intérieur des cubes de verres contenant les cailloux.

Je suis terriblement gêné, mais tout aussi terriblement excité. Je bande comme un priapique en phase terminale. Un vrai salaud.
Nous avons affaire à une vicieuse. La jeune femme mâte ce que nous faisons mais dans le reflet des vitrines. J'ai le cœur qui bat.
Clémentine se livre donc à sa passion exhibitionniste avec toute sa virtuosité. Je ne suis plus que le jouet de ses pulsions. Salope.
J'ai soudain les jambes en coton. La jeune femme observe dans le reflet de la vitrine. Clémentine m'attrape la couilles par derrière.
A présent la jeune femme s'est tournée franchement vers nous. Elle nous lance un sourire avant de nous contourner. Je bande fort.

Il y a un couple de séniors qui s'approchent dangereusement. Clémentine retire ses mains. Je respire et je reprends mon souffle.
Je glisse à l'oreille de ma compagne : < T'es quand même une sacrée salope ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine m'embrasse.
Elle me fait : < C'est aujourd'hui que tu t'en rends compte ? >. Nous rigolons comme des bossus en quittant la salle pour une autre.
Il y a du monde. Il faut donc ruser considérablement. A ce jeu, Clémentine n'a pas sa pareille. Une véritable virtuose. Magicienne.
La jeune femme est là-bas à photographier des vitrines contenant quantité d'objets de fouilles archéologiques. Elle nous guette...

Je vis là de nouveaux instants absolument divins. Ma complice s'amuse et s'excite autant que moi de ce jeu qu'elle mène si bien.
Redoutablement efficace, Clémentine m'entraîne entre deux grandes tables recouvertes de verre. Elle contiennent des squelettes.
Ma compagne regarde bien partout autour de nous. Elle me palpe discrètement. La jeune femme a la confirmation de nos jeux.
Elle se rapproche. Je sais lire sur les traits d'un visage. Et tout particulièrement un visage féminin. Pas le moindre doute. Elle joue.
Je connais bien la psychologie féminine. Ce qui intrigue et excite la curiosité de la jeune femme c'est notre présence. Nos activités.

Clémentine lui en offre au-delà de ses interrogations, confirmant ainsi nos agissements ludiques. La jeune femme semble savourer.
Ce n'est pas un homme seul mais un couple qui est là, près d'elle, à se livrer à quelques comportements déviants mais si jouissifs.
C'est donc à la fois rassurant, intéressant et évidemment bien excitant. Je regarde partout autour de nous. Clémentine également.
La jeune femme a sans doute décidé d'entrer dans un jeu à trois. Nous échangeons de discrets sourires à plusieurs reprises. Sympa.
Il faut ruser. Il y a de plus en plus de visiteurs. Il faut donc se faire une raison. Il n'est pas possible de continuer sans risques. Dur.

Malgré toutes les ruses de Clémentine, il devient carrément impossible de continuer. Nous quittons la salle. Une autre possibilité.
Hélas, il faut se faire une raison. C'est évidemment terriblement frustrant. Clémentine me fait part d'une certaine contrariété. Dur.
Nous retournons dans le petit hall d'accueil. Nous regardons les cartes postales derrière un tourniquet. La jeune femme arrive.
Quelle n'est pas notre déception. Elle est accompagnée. Un homme lui montre un livre qu'il feuillette. La jeune femme nous ignore.
Visiblement, il n'y a pas de complicité coquine entre elle et ce qui paraît être son compagnon ou son mari. Le couple quitte le lieu.

Nous voilà au dehors. Il fait beau. Il est déjà midi. Il y a un monde fou. Nous prenons la direction du centre. Une très grosse faim.
Il reste des places au "Great Glen". Un établissement très classe. Les prix sont toujours raisonnables en Ecosse. C'est très sympa.
Nous choisissons des steaks de saumon accompagnés de petites pommes de terres sautées. Nous faisons le bilan de la matinée.
< Je lui aurais bien montré ta bite ! Te la secouer ! > me confie Clémentine lorsque nous évoquons la jeune femme du musée.
Nous rions de bon cœur à cette idée très singulière. Je dis : < Heureusement que je t'en empêche ! On aurait des emmerdes ! >.

Nous rigolons comme des bossus. Cet après-midi, nous irons au bord du Loch Ness, visiter "Castle Urqhuart", le château du lac.
Nous traînons à table devant d'énormes coupes glacées. Nous faisons le programme de l'après-midi. Retour en soirée. Edimbourg.
Il est 14 h15. Nous voilà un peu lourds. Nous allons à la voiture qui est toujours encore sur le parking de l'hôtel. Il fait chaud.
Dans la voiture, sur la route qui nous mène au Loch, Clémentine joue avec ma bite en admirant les splendides paysages. Superbes.
Une vingtaine de kilomètres et nous voilà sur le parking des visiteurs. Il y a encore quelques places. Hélas toutes au soleil. Tant pis.

Nous marchons jusqu'à l'entrée de l'aire des ruines. Comme souvent, tout est soigneusement entretenu. Jusqu'au gazon de golf.
Il y a un monde fou. Nous devons nous faire une raison. Des millions de gens apprécient l'Ecosse. Il y a du monde presque partout.
Nous montons les marches de l'escalier. Nous observons les eaux sombres du lac. Quelle est notre surprise. La femme du musée !
Elle est accompagnée du même homme. Elle nous lance un rapide et discret sourire. Secret. Je crois y déceler une certaine tristesse.
Clémentine me fait part de la même impression. Nous la croisons quelques autres fois. A présent elle nous ignore superbement...

Nous restons à traîner dans ces ruines. Depuis le haut du donjon, Clémentine fait quantité de photos du Loch Ness. Les bateaux.
Des croisières touristiques sont assurées sur le lac. De grands navires parcourent ses eaux en dénaturant beaucoup les mystères.
Nous redescendons. Nous prenons le chemin qui monte en face du parking, le long de la route touristique et détestable. Marche.
Nous nous promenons. Une petite randonnée où nous croisons un nombre invraisemblable de promeneurs. Des familles bruyantes.
Clémentine, qui voudrait bien me sortir la queue pour en sucer les jus qu'elle devine abondants se contente de l'effleurer. Discrète.

Il est dix sept heures trente. Il y a 250 km qui nous séparent d'Edimbourg. Je propose d'y aller doucement. L'idée est bien accueillit.
Nous voilà en route pour Edimbourg. Dans la voiture, Clémentine peut enfin me sucer à plusieurs reprises. Nous rions de bon cœur.
Avec l'excitation vécue depuis la visite du musée, mes épanchements de liquide séminal sont plutôt abondants. Régal de Clémentine.
Nous arrivons à Edimbourg pour 20 h30. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. Nous sommes morts de faim. Un restaurant...
C'est notre endroit préféré. Le Seafood où le personnel est vêtu de costumes folkloriques. Un repas de fruits de mer grillés et fumés.

Il est 10 h30 lorsque nous profitons de la douceur du crépuscule. Il fait doux. Il y a des musiciens dans les rues. Les festivités.
Le festival d'Edimbourg est un vaste spectacle permanent. Que ce soit des improvisations de rues ou de vraies programmations.
Nous flânons. Il y a beaucoup de monde. C'est le dernier jour de grosses affluence. Après le 15 août, la fréquence diminue. Bien.
Nous sommes enfin de retour à l'appartement. Heureux de retrouver nos repaires. Je bascule Clémentine sur le lit. Cunnilingus.
La jeune fille m'attire sur elle pour éviter l'orgasme. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Immobiles. Confessions coquines...

Bonne découverte de la région de Fort William à toutes les coquines qui aiment les situations délicieusement troublantes...

Julien - (Qui se fait tripoter la braguette par Clémentine devant de belles inconnues. Julien qui bande comme un bienheureux) -

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Clémentine fait de plus en plus souvent preuve d'initiatives heureuses - Jour 38 -

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par la formule qui devient habituelle. Des bisous. On me tient la queue. Joie.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. < Bonjour Clémentine ! > que je fais en la serrant très fort.
Nous nous faisons des papouilles. Tendresse, douceur et bonheur. Pourtant, une envie de pisser met fin à toutes ces effusions.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. C'est le rituel matinal de nos pissous. Nous nous précipitons à la cuisine. Et morts de faim.
Nous sommes contents de retrouver nos repaires. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Pain grillé, miel, yaourts, miam.

Il est huit heures. Nous traînons à table à manger de bon appétit. Nous faisons le bilan des jours précédents et le programme.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. < On reste sur Edimbourg aujourd'hui, tu veux bien, on traîne ! > propose t-elle.
Je trouve la suggestion pleine de bon sens. Il faut simplement que je réserve une chambre d'hôtel à Londres pour le retour.
Nous quitterons l'Ecosse vendredi 25 août au matin. Nous passerons deux jours à Londres. En descendant par la côte Ouest.
< C'est génial ! J'ai passé les plus belles vacances de ma vie ! > fait la jeune fille en me couvrant le visage de bisous. Superbe !

Nous faisons notre vaisselle. Clémentine prend de plus en plus souvent ma bite en passant derrière moi. Comme le fait Estelle.
Nous rions de bon cœur. < Je t'aime comme une folle, Julien ! > me fait alors la jeune fille avant de se blottir dans mes bras.
J'aime à la soulever, à la faire tournoyer dans les airs avant qu'elle ne m'embrasse avec fougue. C'est vrai. Nous sommes fous.
Dehors, il fait beau. Il fait déjà très doux. Nul doute, il va faire chaud aujourd'hui. Nous nous mettons en tenues. C'est le jogging.
Il est huit heures quarante cinq. Nous voilà de retour sur notre circuit habituel. Du haut de la colline la vue sur Edimbourg. Bien.

Nous sommes de retour pour dix heures trente après une heure trente d'un running des plus agréables. Le moment de la douche.
Clémentine me propose de louer des bicyclettes et de partir à la découverte des faubourg de la ville, la campagne environnante.
Tout en nous revêtant de nos T-shirt, je lui fais part de l'enchantement que suscite sa suggestion. Nous allumons l'ordinateur.
Je cherche des loueurs de vélos. Il y en a quelques uns. Nous téléphonons. Voilà deux bicyclettes réservées qui nous attendent.
Nous irons en prendre possession pour 14 h. < C'est absolument géant ! > fait Clémentine en utilisant une de mes expressions.

Nous découvrons les messages d'Estelle et celui de Juliette. Estelle a repris le boulot dans l'entreprise familiale dès lundi matin.
Elle est venue passer la nuit dans notre maison entre lundi et mardi 15 août férié. Estelle nous explique les choses étranges.
Le fantôme de mon ancienne compagne qui se languit de ma présence et qui manifeste son désarroi d'être seule dans la maison.
Estelle qui est allée faire du cheval avec Juliette mardi après-midi. Monsieur Gérard le palefrenier vicieux. Nous savons tout.
Nous rigolons comme des bossus en découvrant que monsieur Gérard lui a encore montré sa vilaine petite bite toute molle...

Nous répondons en joignant des photos de nous deux, à Castle Urquhart au bord du Loch Ness. Nous découvrons le mot de Juliette.
La jeune femme nous raconte l'excellente cavalière qu'est Estelle et de leurs agréables balades en soirée. Nous répondons. Photos.
Par acquis de conscience, Clémentine visite rapidement le site de l'université. Informations sur la prérentrée le jeudi 7 septembre.
Puis je vais à la découverte des hôtels de Londres. Malgré les prix prohibitifs de la capitale Britannique, nous trouvons un truc sympa.
C'est un établissement à dix minutes de Soho. pas loin de Piccadilly Circus. Je réserve une petite chambre pour deux nuits. Bien...

Deux nuits pour 120 euros, à Londres, en pleine période touristique ! Je suis fier de moi. Clémentine, folle de joie, m'embrasse.
Il est 11 h45. Je laisse Clémentine devant l'ordinateur pour aller à la cuisine. Je dispose les ingrédients de notre repas de midi.
Carottes, navets, pâtes, tomates, oignon, ail et petits champignons noirs. Parmesan. Clémentine vient me rejoindre. Heureuse.
La jeune fille m'attrape par la bite. < En vélo, cet après-midi, je vais avoir un comportement "choquant" ! > dit elle. Des bisous.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine me chuchote des cochonneries. En effet, ma compagne a quelques projets cochons.

Je fais bouillir l'eau salée. Je coupe l'ail et l'oignon. Clémentine s'occupe des salades. Nous bavardons. Mille projets pour l'avenir.
Je prépare une sauce aux champignons noirs avec des tomates fraîches. Je râpe grossièrement le parmesan. Gratin de coquillettes.
J'adore lorsque Clémentine passe derrière moi pour m'attraper la bite de sa main froide et mouillée. C'est une sensation étonnante.
Moi, vulgairement, je passe ma mains entre ses cuisses. Je joue avec les poils de son invraisemblable touffe. Clémentine adore.
< J'aime quand tu es vulgaire, vicieux et cochon avec moi ! > me fait la jeune fille avant de m'embrasser longuement. Grosse faim.

Nous mangeons d'un bon appétit. Il fait chaud. La journée s'annonce ensoleillée. Nous bavardons. Nous traînons à table. C'est bien.
< On s'est vraiment offert du bon temps durant ces vacances, ça fait du bien ! > fait ma compagne assise sur mes genoux. Bisous.
Et c'est vrai que nous avons consacré nos matinées au farniente. Ce qui est très rare. Nous sommes souvent dans l'action. Fébriles.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine se met à genoux sur le carrelage. Elle met ses mains sur la tête et ouvre en grand la bouche.
< Un aperçu de ce qui t'attend cet après-midi ! > me fait la jeune fille. Je lui passe la bite sur le visage. Longuement en vicelard...

Je tiens la jeune fille par ses cheveux en catogan et sous le menton. Je lui enfonce doucement la bite dans la bouche. Je la fais sucer.
Je la laisse se régaler un petit moment. Je la force à se redresser. < Aïe, aïe, aïe ! > fait elle en se massant les genoux. Je l'embrasse.
Nous nous préparons. Clémentine met sa jupette "tennis", son T-shirt et ses baskets. Je mets mon short, mon T-shirt, mes baskets.
Dans le petit sac à dos, nous mettons nos fruits, nos barres de céréale et nos K-ways. Il est 13 h45. Nous partons pour la ville. Bien.
Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite qu'elle suce de courts instants. Nous rions de bon cœur. J'ai ma main sous sa jupette.

Je gare la voiture dans la petite rue habituelle. C'est à deux pas du marchand de cycles qui va nous louer deux vélos de type VTC.
Nous prenons possessions de nos deux bicyclettes. Deux superbes machines toutes neuves en apparence. Nous voilà à flâner. Joie.
Nous nous promenons sur Princes Street, l'avenue principale d'Edimbourg. C'est absolument génial. Il y a plein de gens à bicyclette.
Un sentiment de liberté allié à une soif de découverte tout en faisant un peu d'exercice dans les rares côtes. Un véritable bonheur.
Nous sortons de la ville en direction de Shore, petit bourg à quelques kilomètres. Nous sommes sur la piste cyclable. C'est superbe.

Nous croisons quantité de cyclistes. < S'il y a une opportunité, je m'offre une frayeur ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
< Je me sens salope ! Si tu savais ! > rajoute encore la jeune fille en mimant une masturbation masculine. Vulgaire comme Estelle.
Nous roulons doucement en admirant le paysage merveilleux autour de nous. Tout est boisé, vert et enchanteur. Une invitation...
Il y a une vieille maison de pierre, sans doute abandonnée, en contre bas de la piste cyclable. < Viens ! > me fait ma compagne.
Nous mettons pieds à terre. Nous descendons l'étroit sentier, jusqu'à la bâtisse. Une vingtaine de mètres plus bas. C'est très sale.

Le lieu doit servir de toilettes publiques. En effet, au sol, de nombreux mouchoirs en papier ou carrément du papier cul. Faire gaffe.
Nous évitons de marcher n'importe où. Nous contournons la maison fermée de toute part. Il y a un muret. Clémentine m'y entraîne.
< Endroit parfait pour un "plan" ! > me fait la jeune fille. Depuis la piste cyclable, on a une vue parfaite sur l'endroit en contre bas.
Clémentine m'expose le "plan". Je remonte près de la piste cyclable. Dissimulé. Je lui fais signe s'il y a un cycliste seul qui arrive.
Je remonte me cacher entre les fourrés le long de la piste cyclable. De ma cachette, je peux voir Clémentine vingt mètres plus bas.

L'attente n'est pas très longue. Il y a un cycliste qui arrive en pédalant assez vite. Vélo de course. Je fais un signe à Clémentine.
Je regarde la jeune fille relever sa jupette, écarter ses cuisses au maximum, sa culotte à la main. Visible depuis la piste cyclable.
Le type découvre le spectacle. Il freine à mort. Il met pieds à terre. Il descend de son vélo pour le pousser sur le côté. Il mâte.
Encore un bienheureux qui ira brûler un cierge ce soir ! A cette simple idée, je ris en observant la suite de évènements. Intéressant.
Le type, un quadragénaire sportif, pousse son vélo vers le sentier qui descend. Je reste sur mes gardes, prêt à intervenir. Le "plan".

Le bougre pose sa bicyclette contre le mur de la maison. Il descend encore quelques mètres. Il adresse la parole à la jeune fille.
Cette dernière relève la tête. L'inconnu est à quelques mètres. Clémentine se redresse et va reprendre la même position plus loin.
A présent, accroupie entre le muret et l'arrière de la maison, Clémentine est invisible depuis la piste cyclable. Le type sort sa bite.
Je peux bien le comprendre. Devant un tel spectacle, on peut légitimement se sentir émoustillé. Le cycliste reste toutefois distant.
De ma cachette, une fois encore, j'admire l'aplomb dont fait preuve Clémentine. La jeune fille bavarde avec le type qui se branle...

La situation perdue ainsi un petit moment. L'inconnu se contente de se masturber en bavardant. C'est certainement un gentleman.
Rien n'est plus détestable pour Clémentine que d'avoir affaire à un tordu qui tente des approches non souhaitées et mal venues.
Clémentine s'est redressée. Elle sautille d'une jambe sur l'autre. Sans doute en proie à l'ankylose. Les "fourmis" dans les jambes.
Je la vois rire aux plaisanteries vicelardes que lui fait le quidam. J'entends quelques bribes. Je me marre. Le type est un marrant.
Enfin je peux apercevoir sa bite. Une petite bite toute fine mais superbement dure. Il se la teint entre le pouce et l'index. Branlette.

Clémentine, une main sous sa jupe, entre ses cuisses, se masturbe doucement tout en bavardant et tout en riant. Le mec rigole.
A peine si le bougre fait quelques propositions tout à fait normales en ces circonstances. Clémentine secoue la tête négativement.
Ce n'est encore pas cette fois-ci que j'aurais la possibilité de voir ma compagne sucer un inconnu. Par contre ils s'éclatent bien.
Le mec est tombé à genoux dans l'herbe. A quelques mètres de la jeune fille qui, cambrée sur ses genoux fléchis, se masturbe.
Le quidam doit avoir un orgasme prodigieux. Je vois son corps agité de soubresauts et animé de nombreux frissons. Il éjacule...

Clémentine s'accroupit à nouveau. Le buste droit, cuisses bien écartées devant le mec. Se tenant au muret derrière elle, elle pisse.
Je suis toujours impressionné par la quantité de pisse de ma compagne. Une véritable fontaine. Elle se soulage devant cet inconnu.
Ce sont ses situations préférées. Se masturber et pisser devant un inconnu qui n'entreprend rien. Je la regarde s'éclater. Plaisirs.
Le type s'est relevé. Il lève le pouce de sa main droite en lançant un sonore : < Congratulations ! >. Ils rigolent tous les deux. Rire.
Le gaillard remonte le sentier. Clémentine se torche longuement pour faire durer encore un peu ce délicieux moment d'exhibe folle.

Je regarde le cycliste remonter sur son vélo. Il se retourne plusieurs fois pour faire des signes de la main. Il crie : < Thank you ! >
Clémentine remonte me rejoindre. Nous rigolons comme des bossus. < J'ai failli avoir un orgasme ! > me confie ma compagne.
Nous continuons notre chemin pour arriver à Shore. Ravissante petite bourgade de bord de mer. Nous flânons sur les quais. Bien.
Nous nous offrons des cônes glacés. Il faudra ramener les vélos avant dix neuf heures. Il est déjà dix sept heures. Du bonheur.
Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons au même endroit. Nous regardons le lieu. < A refaire ! > me fait Clémentine. Bises...

Au retour, après avoir rendu nos bicyclettes, récupéré la caution, nous flânons dans les rues animées. Les festivités du festival.
Il est 20 h30. Nous voilà morts de faim. Ce sera notre restaurant préféré. Celui où le personnel est en costume folklorique. Joie.
Un plateau de fruits de mer. D'énormes coupes glacées. Il n'en faut pas plus pour nous combler. Clémentine me raconte des trucs.
Ma compagne évoque son exhibe de l'après-midi, les émotions et sensations vécues. Je la félicite pour tout mettre en application.
Nous flânons encore un peu dans le centre. Il fait très doux. Il est minuit lorsque nous revenons à l'appartement. Excités. Baise...

Bonne promenade à bicyclette à toutes les jeunes filles qui adorent s'exhiber discrètement sous la protection de leur complice.

Julien - (Qui tient son guidon des deux mains en écoutant Clémentine lui exposer son prochain plan exhibe. En se touchant) -

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Nous récidivons. Location de vélos. Découverte des environs d'Edimbourg - Jour 39 -

Hier matin, jeudi, c'est moi qui me réveille le premier. Je regarde l'heure. Il est presque huit heures. Je regarde sur ma gauche.
Clémentine est entrain de s'étirer en gémissant. Je lui fais des bisous en lui murmurant à l'oreille : < Bonjour Clémentine ! >
Ma compagne ouvre de grands yeux, se serre contre moi : < Bonjour Julien ! >me fait elle avant de me chevaucher en riant.
Nous nous offrons ces premiers instants de bonheur intense. Ce sont les papouilles matinales. Douceur, tendresse et bisous.
Nos vessies pleines, nous devons mettre un terme provisoire à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes...

Nous nous précipitons à la cuisine. Animés par une faim de loup, nous préparons nos petits déjeuners. Je mets la table. Sympa.
Rapidement, tout est prêt. Nous voilà à bavarder en savourant nos jus d'oranges, nos tartines de miel, nos yaourts et notre café.
Dehors, il fait beau. Il fait déjà très doux. Nul doute, la journée s'annonce radieuse. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux.
< On fait comme hier, tu veux ? J'ai envie de m'imprégner de cette ville. Je suis amoureuse d'Edimbourg ! > me fait Clémentine.
Il est décidé de louer des bicyclettes et de faire un remake de la virée de hier. Une récidive pour laquelle nous nous réjouissons.

Nous faisons le bilan de la journée de hier. Nous élaborons le programme de celle à venir. Je vais réserver deux bicyclettes. Bien.
Nous nous réservons la possibilité de partir dans une improvisation totale. Cela nous fait du bien de sortir de nos cadres rigides.
Clémentine se saisi de ma bite en passant sa main sous mon T-shirt. < Je te préviens. Tu passes la journée avec une salope ! >
Nous rions de bon cœur à ces mots que Clémentine me susurre à l'oreille tout en me tripotant la queue. Je bande de nouveau.
Je passe ma main entre les cuisses bouillantes de la jeune fille. J'adore ce spasme qui secoue toujours son corps à ce moment...

Nous faisons notre vaisselle. Nous nous mettons en tenues. C'est le départ pour notre jogging quotidien. Avant les chaleurs. Joie.
Nous courrons avec bonheur et à bonne foulée. Depuis le haut de la colline la vue sur Edimbourg est magnifique. Tout qui scintille.
Dans la lumière diaphane de cette superbe matinée nous admirons les clochers et, là-bas, au loin, le château de Holyrood Palace.
Il est 10 h15 lorsque nous revenons d'un running des plus agréables. La douche. Nous voilà vêtus pour la journée qui nous attend.
Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur qu'elle allume dès que nous sommes assis à table. Les messages d'Estelle et de Juliette.

Estelle nous raconte sa journée de travail, son impatience de nous revoir. Son impatience de reprendre sa vie d'étudiante. Pressée.
En soirée, Estelle revient arroser le potager, bavarde avec Juliette qui vient chercher ses légumes. Elles cueillent quelques mirabelles.
Puis Estelle va faire une heure trente de cheval. La jeune fille nous raconte les agissements vicelards de monsieur Gérard. Vulgaires.
Nous répondons en ajoutant deux photos de nous, hier, sur nos bicyclettes. Dans son message, Juliette nous parle de son entreprise.
Les travaux de son appartement à l'étage, au dessus du bureau de son haras, sont en voie d'achèvement. Nous répondons. Photos...

Je téléphone au loueur de cycles afin de réserver deux vélos. L'affaire est vite conclue. Nous viendrons les récupérer pour 14 h. Bien.
Clémentine me fait voir les informations sur le site de l'université. Il y a les programmes, le nom des professeurs. Dates d'examens.
Ma compagne est à se réjouir pour cette rentrée qu'elle affronte dans les toutes meilleures conditions. Quatrième année. Le "Master".
Clémentine me dit : < Je suis hyper motivée pour les trois années à venir. Après mon doctorat, direction Edimbourg pour y vivre ! >.
J'apprécie cette froide détermination qui anime la jeune fille. Je sais qu'elle va toujours au bout de ses rêves. Elle en fait ses réalités.

Il est 11 h45. Je vais commencer à préparer la bouffe. Clémentine, depuis la pièce de séjour, commente les actualités de l'université.
J'écoute avec beaucoup d'intérêt. Ce que me raconte la jeune fille est toujours passionnant. Sa façon d'organiser sa vie et ses études.
Clémentine vient me rejoindre pour préparer les salades. Je fais éclater les grains de riz complet, à sec, en remuant la spatule en "8".
Nous bavardons. A quelques reprises Clémentine passe derrière moi pour attraper ma queue qu'elle agite. Nous rions de bon cœur...
< Tu vas te retrouver en compagnie d'une vraie salope, encore, cet après-midi ! > fait ma compagne en se baissant pour me sucer.

Je la laisse se régaler un peu avant de la forcer à se redresser. Il faut râper le parmesan et terminer l'assaisonnement des salades.
Je mets la table. Nous voilà assis à savourer ce repas délicieux. Nous bavardons, mettant au point les derniers détails de notre virée.
J'ai eu d'excellentes nouvelles de mon oncle qui tient ma galerie d'Art. Il ne reste plus grand chose. La saison a été exceptionnelle.
Lorsqu'il reste peu de tableaux exposés, ce n'est jamais très bon. Par contre, j'ai sept commandes confirmées. C'est pénible. Boulot.
Pour dissuader les commanditaires, je pratique des prix prohibitifs. Rien à faire. Impossible de les décourager. Je hais les commandes.

Nous faisons la vaisselle. Clémentine est à genoux sur le carrelage, les mains posées sur la tête, bouche grande ouverte. Clins d'œil.
< Tu me la fais goûter un peu ! > me fait elle d'une voix implorante. Je m'approche pour lui passer ma bite sur le visage. Vicelard.
A chaque fois que la jeune fille tente de la prendre en bouche, je l'en empêche. < Salaud ! > me fait elle avant de l'attraper enfin.
Je la laisse sucer un peu avant de la forcer à se relever. < Aïe, ouille ! > fait elle en se massant les genoux. Nous rions de bon cœur.
Il est 13 h30. Nous voilà en route pour le centre. Clémentine joue avec ma queue pendant que je roule. elle se la goinfre parfois...

Je gare la voiture dans la rue habituelle. Nous voilà au magasin. Nous prenons possession des mêmes bicyclettes que hier. Bons VTC.
Clémentine porte sa jupette "tennis", son T-shirt et ses baskets. Je suis en short, en T-shirt et en baskets. Nous pédalons doucement.
Nous flânons dans les rues d'Edimbourg. Il y a du monde. La bicyclette est le mode de déplacement le plus apprécié dans tout le pays.
Comme dans tous les pays de l'Europe septentrionale, la bicyclette est reine. Il y en a partout. Cyclistes prioritaires et respectés. Bien.
Il y a bien d'autres jeune filles en jupettes sur leur bicyclette. Je le fais remarquer à Clémentine qui me fait : < D'autres coquines ! >.

Nous sortons d'Edimbourg pour prendre la direction du village portuaire de Cramond. Nous sommes sur la piste cyclable. Du monde.
Nous croisons quantité de cyclistes. Il fait chaud. Clémentine me fait : < On se fait une halte exhibe ? >. Nous rions de bon cœur.
Avec la fréquentation il sera difficile de se faire un "plan". Je le fais remarquer à la jeune fille qui me répond : < On va voir ça ! >...
Je sais bien que lorsque Clémentine a décidé quelque chose, rien ne pourra se mettre en travers de son chemin. C'est une femme !
Aussi, je me laisse emporter par ma joie sans me soucier de quoi que ce soit. Ma compagne saura saisir et provoquer l'opportunité.

Nous arrivons à Cramond. Charmant petit bourg. Nous nous arrêtons pour admirer le château. Lauriston Castle dans son parc. Bien.
Nous lisons les informations sur la pancarte à l'entrée du parc. Il y a plein de monde. Il n'y a qu'une seule visite par jour. Et à 14 h !
Il est déjà seize heures. Nous nous promettons de revenir demain pour visiter cette splendide bâtisse. Nous continuons pour le bourg.
C'est un village pittoresque de l'Ecosse. Petite cité médiévale semblant surgi d'un passé lointain. C'est absolument magnifique. Beau.
Une fois encore Clémentine me dit : < C'est ici que je ferais ma vie ! >. Je suis enchanté. Tout cela correspond tant à mes projets...

Il y a une longue jetée dans la mer qui relie l'île au village. Nous poussons nos bicyclettes pour nous rendre sur Cramond island.
Il faut faire vite car l'île n'est accessible qu'à marée basse. Il faut revenir avant la marée haute. Nous lisons les recommandations.
De grands panneaux préviennent les visiteurs en précisant l'heure des marées. Nous avons de la chance. Il y a plein de touristes.
Nous faisons un rapide tour de l'île. L'endroit est magnifique. Préservé avec grand soin. Une maison est transformée en éco musée.
Hélas, à cette heure, les visites sont impossibles. Ce sera au programme de la journée de demain. C'est un peu frustrant. Tant pis.

Il est 17 h30. Nous devons penser au retour. Nous prenons le chemin inverse. Demain nous reviendrons en voiture et pour 13 h30.
Nous sommes de retour à Edimbourg pour 18 h30. Une rapide balade et nous ramenons les bicyclettes pour 18 h50. Heure prévue.
Lorsque nous flânons dans les rues du centre médiéval de la ville, à quelques reprises, et discrètement, Clémentine touche ma bite.
< On va leur faire la fête ce soir, à ta bite et à ma chatte ! > me fait ma compagne. Nous rigolons comme des bossus. Les festivités.
Il y a du monde. Plein de musiciens de rues dans tous les coins. Des choses excellentes et d'autres moins passionnantes. Folklore...

Doucement, insidieusement, la faim commence à se faire sentir. Nous lisons avec attention les menus affichés devant des restaus.
Clémentine me montre un truc très alléchant. Un menu de crabes et de langoustes. Notre choix est donc dicté par cette évidence.
Il est 20 h30. Nous avons une table près d'un immense aquarium dans lequel les crustacés évoluent en liberté avant d'êtres cuisinés.
Il y a des crabes, des homards et autres araignées de mer de grandes tailles qui se baladent devant nos yeux. C'est impressionnant.
Nous mangeons en faisant le bilan de cette journée de découvertes. Clémentine me fait : < J'ai envie de baiser ! La frustration ! >...

Nous rions de bon cœur. Nous approchons également du 20 du mois. L'arrivée du cycle des 28 jours est toujours très "chaud".
Clémentine est réglée comme une horloge. Je commence à bien savoir. Je peux donc anticiper. Il est déjà 22 h30. Nous flânons.
Il est 23 h30 lorsque nous sommes de retour à l'appartement. Je bascule Clémentine sur le lit. Je retire sa culotte. Une délice !
Je hume les effluves parfumées de sa journée de fille avant d'en savourer les sucs. L'avantage des chattes poilues. Il y a de quoi !
Je me régale de tout ce qui colle dans cette invraisemblable touffe. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec précautions...

Bonne découverte de la région d'Edimbourg à toutes les coquines aimant pratiquer la bicyclette en jupette courte. Avec culotte...

Julien - (Qui apprécie de savourer tout ce qui colle dans les poils de Clémentine. De petits miasmes délicats et délicieux. Un régal) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 154 -



Clémentine et moi, nous retournons à Cramond. Mais en voiture - Jour 40 -

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par des bisous. On me tient fermement la bite. C'est devenu quotidien. Presque.
A peine ai-je ouvert les yeux que Clémentine se serre contre moi. < Bonjour Julien ! > me fait elle avant de me chevaucher. Rires.
< Bonjour Clémentine ! > que je fais en la faisant basculer à gauche puis à droite. Nous nous offrons notre moment de papouilles.
C'est l'impérieux besoin de pisser qui met un terme provisoire à nos effusions de tendresse et de douceur. Clémentine m'entraîne.
Nous sacrifions à nos rituels pisseux du matin. Puis nous nous précipitons à la cuisine, animés d'une faim de loup. Le petit déjeuner.

Nous mangeons d'un bon appétit. < Qu'est-ce qu'on bouffe en Ecosse ! > me fait Clémentine en venant s'asseoir sur mes genoux.
Je lui fais plein de bisous. Nous faisons le bilan de notre visite de la veille. Nous faisons le programme de la journée qui nous attend.
Nous retournerons à Cramond. Visiter le village médiéval et son château. Nous partirons à treize heures trente. Tout semble réglé.
Clémentine passe sa main sous mon T-shirt pour s'emparer de ma queue. < Encore une journée avec une salope ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur. Nous faisons notre vaisselle. Dehors il fait beau. Il fait doux. Nous nous mettons en tenues. Notre jogging.

Il est à peine huit heures trente lorsque nous nous mettons à courir. Le ciel est bleu et les chaleurs ne vont pas tarder. Il fait doux.
La ville d'Edimbourg, vue depuis la colline, scintille de mille feux. C'est à chaque fois un plaisir pour le regard. Tout en courant vite.
Nous sommes de retour pour dix heures après un running régénérateur. Nous prenons notre douche. Je fais une machine. Le linge.
Clémentine est assise devant l'ordinateur à visiter le site de l'Université. Je l'entends me commenter ce qu'elle y voit et y découvre.
Je viens la rejoindre. Nous découvrons le message d'Estelle et celui de Juliette. Estelle nous raconte sa journée et sa soirée. Super.

Juliette nous parle des travaux de son appartement. Leur épilogue c'est pour aujourd'hui. Nous répondons en joignant des photos.
Je vais à la cuisine pour préparer les ingrédients de notre repas de midi. Légumes que je pose sur la table. Clémentine me rejoint.
Ma compagne se serre contre moi. Je la berce longuement. Nous restons silencieux. Je peux sentir battre son cœur contre le mien.
Nous nous offrons de plus en plus souvent ces instants de communion silencieuse. Clémentine me murmure ses ressentis. Douceur.
Nous achevons d'élaborer le programme de la journée. Clémentine s'occupe des salades. Je prépare le millet et la sauce à la crème.

Nous bavardons. Clémentine, comme pour chasser ces instants de gravité, lorsque nous sommes blottis, se met à plaisanter. Rires.
A plusieurs reprises la jeune fille m'attrape par la queue. Elle le fait avec les mains mouillées et froides. Une curieuse sensation. Joie.
Je passe ma main sous son T-shirt, entre ses cuisses chaudes. Presque à chaque fois nous nous embrassons ou faisons des bisous.
Je mets la table. Tout est prêt. Nous dévorons notre repas avec appétit. Il est midi. Nous évoquons la prérentrée du sept septembre.
Je fais part de ma joie de retrouver mon atelier et ma passion de peintre. Nous sommes si heureux de ce que nous apporte la vie...

Nous faisons la vaisselle. < Je vais être salope cet après-midi, si tu savais ! > chuchote Clémentine. Je lui murmure : < Je sais ! >.
Nous rions de bon cœur. Je rajoute : < Défense de me sortir la bite au musée ou dans les lieux publics ! >. < Dommage ! > fait elle.
Nous rigolons comme des bossus. Nous allons nous mettre en tenue. Il fait chaud. Lourd. Clémentine porte sa jupe kilt et un T-shirt.
Je porte un short et un T-shirt. Nous sommes chaussés de nos baskets. Prêts. Dans le petit sac à dos, pommes, barres de céréale.
Prudents, nous y glissons nos K-ways et la grande bouteille d'eau gazeuse. Il est treize heures. Clémentine m'entraîne aux toilettes.

< C'est comme avant de partir en pique-nique, il faut faire pipi d'abord ! > fait Clémentine que je tiens par ses cheveux. Elle pisse.
La jeune fille aime lorsque je la tiens par ses cheveux, cambrée, les genoux fléchis au-dessus de la cuvette des WC. Le pipi debout.
J'apprécie de m'accroupir pour en récupérer les dernières gouttes. Il y a toujours ce gémissement de plaisir au-dessus de moi. Joie.
Puis Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie à mes côtés, elle guette la fin pour en sucer les derniers reliquats.
Je la laisse pomper un petit moment avant de la forcer à se redresser. < Miam ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur. En route...

Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite. Nous roulons dans une circulation fluide. Il fait chaud. La climatisation fonctionne.
Nous parcourons les dix kilomètres qui nous séparent de Cramond en roulant doucement. Nous arrivons au village pour 13 h30.
Je gare la voiture sur le parking, à l'ombre de grands arbres centenaires. Il y a du monde mais sans excès. J'ai le sac sur le dos.
Nous marchons rapidement jusqu'à Lauriston Castle. Ce château que nous voulons absolument visiter. Un château de conte de fée.
L'endroit est de toute beauté. De hautes grilles ouvertes sur un parc splendide. Nous prenons nos billets. La visite est guidée. Bien.

Il n'y a qu'une seule visite quotidienne. Et elle commence à 14 h. Nous sommes en queue de cortège d'un groupe de 15 touristes.
La guide est une belle jeune femme. Très stylée et élégante dans son uniforme bleu nuit. Jupe, et veste très classiques. Agréable.
Clémentine, discrètement, me palpe la braguette en me chuchotant : < Attention, salope à proximité ! >. Nous rions de bon cœur.
La visite commence. Les explications sont claires, nettes et précise. L'historique du lieu est développé avec un bon argumentaire.
Le château est une grande demeure bourgeoise construite au XVIème siècle par une riche famille qui en fait don à la commune...

Nous découvrons des salons meublés avec goût. Un enfilade de pièces décorées avec un souci d'une invraisemblable richesse. Luxe.
Nous regardons surtout les tableaux accrochés aux murs. Des portraits. Sans doute la succession des générations de propriétaires.
Clémentine attire mon attention sur cette jeune fille qui traîne comme nous en queue de cortège. Elle doit avoir 20 ans tout au plus.
Bien évidemment ma compagne redouble de tripotages. Ce qui fini par attirer l'attention de la jeune visiteuse. Elle est toute petite.
Menue, vêtue d'un jean et d'un T-shirt, elle fait quantité de photos. C'est certain, elle a repéré notre petit jeu. Clémentine en rajoute.

Je murmure à l'oreille de ma compagne : < Pas de connerie, hein, tu ne m'ouvres pas la braguette ! >. < Dommage ! > fait elle.
Par contre, Clémentine me tient par la braguette. Discrète, virtuose et adroite, personne ne regarde derrière. Elle me palpe. Joie.
La jeune visiteuse semble amusée par la situation. Pourtant, elle n'en montre rien. Nous commençons à avoir l'habitude de ce jeu.
Clémentine adore ce genre de chose devant d'autres jeunes filles. Par contre elle préfère s'exhiber devant des mecs. Branle et pisse.
Je suis terriblement gêné par ces situations induites par ma compagne qui s'en amuse au-delà du raisonnable. Je bande. Fort. Dur !

La visite dure une heure trente. Nous sommes invités à découvrir le parc du château. Il y a là plein de visiteurs. L'endroit est beau.
C'est un parc soigneusement entretenu. Nous y flânons longuement. Clémentine aux aguets est à l'affut d'un "plan" exhibe. Sympa.
Il y a quelques promeneurs isolés. Il faut juste élaborer la bonne stratégie, au bon endroit. Clémentine m'entraîne dans un bosquet.
De là, entre une grande statue et l'épais fourré, nous avons une vue parfaite sur les environs immédiats. Il suffit d'attendre un peu.
Clémentine a retiré sa culotte qu'elle range dans le petit sac à dos que je porte. Nous restons dans les environs, prêts à "l'action"...

C'est un vieux monsieur qui arrive vers l'endroit où nous sommes à jouer aux touristes photographes. Je vais me mettre à l'écart.
Dissimulé un peu plus loin, derrière un massif floral, je peux voir dans les toutes meilleures conditions. Le monsieur est élégant.
Clémentine vient de s'accroupir entre le socle de la statue et le bosquet. Personne ne peut la voir, sauf le monsieur qui arrive là.
Il "tombe" sur le spectacle insolite. Cette jeune fille, accroupit, les cuisses largement écartées, visage dissimulé par les cheveux.
Le monsieur s'arrête à quelques mètres. Il se penche pour observer ce curieux spectacle. Il adresse quelques mots à la jeune fille.

Cette dernière relève la tête. Je suis toujours saisi de vertige lorsque j'assiste à cet instant précis. J'admire ce culot, cet aplomb.
Depuis ma cachette, à une vingtaine de mètres, je discerne quelques bribes des phrases échangées. Le monsieur semble très poli.
Aucun geste qui pourrait trahir son trouble. Si trouble il y a. Car l'homme paraît garder une parfaite maîtrise de ses émotions. Bien.
Clémentine, un main en appui contre le socle de la statue, le buste bien droit, le port de tête altier, garde ses cuisses bien écartées.
Le monsieur demande poliment s'il peut prendre quelques photos. Clémentine accepte. Son visage caché par ses longs cheveux...

J'assiste à ce fabuleux moment. Le vieux monsieur très élégant est également un parfait gentleman qui n'a aucune initiative. Bien.
Pour Clémentine, s'exhiber devant des inconnus passifs reste le nec plus ultra. C'est encore le cas. Le monsieur salue la jeune fille.
Il continue sa promenade. Clémentine se redresse en se massant les cuisses ankylosées. Je vais la rejoindre en la félicitant. Rires.
< Mâte, là-bas, regarde ! > me fait Clémentine en pointant son doigt derrière moi. Je me retourne. Il y a la jeune fille du château.
La visiteuse arrive dans l'allée qui mène ici. < L'occasion est trop bonne ! Viens vite ! > me fait ma compagne en m'entraînant...

Clémentine m'entraîne entre la statue et le bosquet. Elle s'accroupit. Elle m'ouvre la braguette et me fait : < Laisse moi faire ! >
Je bande. J'ai la bite trempée d'excitation. La jeune fille arrive. Elle fait quelques photos. Elle "tombe" sur notre "spectacle". Pipe.
Je suis à la fois terriblement excité et terriblement gêné. Clémentine est entrain de me tailler une pipe. La jeune fille s'arrête...
La jeune inconnue paraît déstabilisée. Elle me fait un sourire gêné. Elle hésite un instant avant de continuer son chemin. Sourire.
Je voudrais que Clémentine cesse. Je tente bien de la forcer à se relever en la tirant par ses cheveux. Rien à faire, elle résiste fort.

Je suis dans un état de gêne incroyable. Comme si c'était la première fois que Clémentine m'impose une de ses situations préférées.
Quelle n'est pas ma stupeur qui achève de me mettre mal à l'aise. La jeune fille revient. Une nouvelle fois elle a la même attitude.
Elle s'arrête. Me fait un sourire gêné. Comme elle a affaire à un couple, il est beaucoup plus facile pour la jeune fille de jouer le jeu.
Je fais semblant d'être calme, comme si tout cela était naturel alors que je suis tout à fait déstabilisé. La jeune fille doit s'en douter.
Elle m'adresse un dernier sourire avant de disparaître derrière les buissons. Je force Clémentine à se redresser. < Miam ! > dit elle.

Je range ma bite. < Bon, stop, tu vois un peu dans quel état tu me mets ! > que je fais à ma compagne. < Superbe ! > dit elle.
Elle rajoute encore : < Quand tu es excité comme ça, tu es hyper juteux, un délice ! >. Nous rigolons comme des bossus. Salope.
Nous quittons le parc. Direction le village de Cramond pour la visite. Avec le secret espoir de revoir la jeune fille. Nous flânons. Joie.
Le village est magnifique. Une petite cité de caractère comme il y en a plein en Ecosse. Il est 19 h30. La faim se fait ressentir. Forte.
Nous avisons un restaurant. Nous réservons une table pour 20 h30. Toutes sont occupées. Il y a du monde. Le ciel s'est couvert...

Nous luttons contre la faim en grignotant nos deux dernières barres de céréale. Il est enfin l'heure. Nous nous précipitons au restau.
C'est devant deux énormes plateaux de fruits de mer que nous faisons le bilan de nos étonnantes aventures de l'après-midi. Il pleut.
Nous traînons à table. Dehors la pluie ne cesse pas. En partant, il nous faut mettre nos K-ways. Il pleut de façon continue. Fort. Dru.
Nous sommes de retour à l'appartement pour 23 h. Je bascule Clémentine sur le lit. Je hume les parfums de sa journée de fille. Bon.
Je me régale des sucs, secs ou humides qui collent dans les poils. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec précaution. Baise...

Bonne visite d'un château écossais à toutes les coquines qui aiment se faire surprendre à sucer leurs coquins dans les parcs...

Julien - (Que Clémentine place souvent dans des situations gênantes mais terriblement excitantes. Elle s'en régale. La coquine) -

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Sur l'insistance de Clémentine nous restons à proximité d'Edimbourg - Jour 41 -

Hier matin, samedi, c'est presque comme tous les autres matins. Je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous. Partout.
Sur le nez, sur les joues, sur le front et, ce qui est nouveau, dans le cou. J'ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > dit Clémentine.
Je la serre contre moi et je lui chuchote : < Bonjour Clémentine ! >. Toute contente de ne plus être seule, elle me chevauche.
Nous nous faisons plein de papouilles. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Le rituel matinal de nos pissous.
Puis nous nous précipitons à la cuisine pour y préparer et prendre notre petit déjeuner. Il est à peine huit heures. Il fait beau.

Nous faisons le bilan de la journée passée pour envisager le programme de la journée à venir. Clémentine voudrait randonner.
Je trouve l'idée excellent. Comme la jeune fille se sent tellement bien à Edimbourg, je lui propose une excursion aux faubourgs.
La balade qui part de la ville pour nous emmener à Water of Leith. Le chemin qui longe la rivière Leith. C'est de toute beauté.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. < Je désire m'imprégner de cette ville que j'aime tant ! > me fait ma compagne.
< Je veux me remplir la mémoire de souvenirs jusqu'à notre retour ici ! > me fait encore la jeune fille ravie de ma proposition.

Clémentine qui a pris l'habitude de jouer avec ma bite, souvent n'importe où et n'importe quand, me la tripote tout en parlant.
Nous rions souvent de bon cœur tout en bavardant et en évoquant notre séjour à Edimbourg. C'est encore le cas aujourd'hui.
Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenues pour aller faire notre jogging. Il est à peine 8 h45. Nous voilà dehors.
Le ciel est bleu, le soleil y règne déjà en maître absolu. Les chaleurs ne vont pas tarder. Nous courrons d'un bon rythme. Bien.
Comme chaque matin, nous ralentissons pour admirer la ville depuis la colline. Edimbourg scintille de mille feux. Magnifique...

Il est 10 h15 lorsque nous revenons. La douche. Nous voilà vêtus pour aller faire nos courses. Il faut sacrifier à la logistique.
Nous irons au centre commercial St John, le supermarché est très accueillant et très bien situé. Clémentine porte sa jupe kilt.
Elle a son T-shirt carmin et ses souliers fermés à talons plats. Je suis en short, en chemisette et en baskets. Tout deux à l'aise.
Nous voilà en route. Bien évidemment, dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite. J'ai ma main droite sous sa jupe. Sympa.
Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. Je tire le panier à roulette dans lequel Clémentine dépose nos achats. Choix.

Nous déambulons ainsi dans les allées du supermarché. Il y a un monde fou. Les caisses automatiques sont rapides, ça va vite.
Il est 11 h45 lorsque nous sommes à nouveau en voiture pour rentrer. Nous revenons à l'appartement pour midi passé. Faim.
Nous rangeons nos légumes, nos crudités et nos affaires. Clémentine s'occupe des salades. Je prépare des spaghettis natures.
Je râpe du parmesan. Je découpe deux belles tranches de Roquefort. Clémentine met la table. Nous mangeons d'un bon appétit.
Nous faisons la vaisselle. Nous désirons partir au plus tôt. Notre randonnée nous attend. Je prépare le petit sac à dos. Sympa...

Nous voilà prêts. Nous descendons la rue pour prendre le chemin de notre jogging matinal. Il fait chaud. Un léger vent, ça va.
Nous prenons le temps de tout regarder. Nous marchons d'un bon pas. Clémentine, à plusieurs reprises, sautille autour de moi.
< Comme je suis heureuse ! > me fait elle. Je lui dis : < Te voilà édimbourgeoise ! >. Nous rions de bon cœur. Elle m'embrasse.
< Bourgeoise, grâce à toi, c'est certain ! Edimbourgeoise seulement dans trois ans ! > me fait elle en éclatant de rire. Bonheur.
Je la prends dans mes bras, je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Un couple de marcheurs nous observe, amusé...

< Nous devons faire des envieux ! > me fait encore ma compagne en m'entraînant par la main, courant presque. C'est superbe.
Nous arrivons au bord de la rivière Leith. Nous longeons le chemin. Nous y croisons des marcheurs de plus en plus nombreux.
Parfois nous traversons un lotissement de maisons groupées sur le flanc de la colline qu'il faut contourner pour aller sur Balerno.
Balerno est un petit village au Nord Est d'Edimbourg. Notre virée tient beaucoup plus de la balade rapide que de la randonnée.
Nous apprécions de découvrir tout cela. Moi-même, qui connaît pourtant bien Edimbourg, je ne suis jamais venu dans ce coin...

Nous parcourons les rues étroites du bourg. Il y a du monde partout. L'Ecosse est un pays touristique. Mais là, tout de même !
La visite est rapide. Un tour dans l'église néo gothique. L'Ecosse est Calviniste. Pas de statues ou représentations religieuses.
Par contre l'intérieur des lieux de cultes est toujours richement fleuri, propre et entretenu. Ce sont plutôt des lieux d'échanges.
Nous quittons le village pour rester sur le bord de la rivière. Sur le chemin qui nous emmène vers Dean, un autre petit bourg.
Nous croisons quantité de marcheurs. Il y a une fête à Dean village, car nous rencontrons des gens en costumes folkloriques.

Deux dames habillées à la mode Victorienne, portant ombrelles et larges chapeaux nous saluent. C'est un saut dans le temps.
Clémentine m'entraîne à l'écart. Elle prend un ton grave et solennel. < Tu as changé ma vie. Comme je suis heureuse ici ! >.
Je reste silencieux. Nous sommes tous deux assis sur un banc de pierre à regarder passer les touristes et les gens déguisés.
Au loin, il y a la musique. De la cornemuse qui rivalise avec le cri des mouettes. Clémentine se serre contre moi. Silencieuse.
Je lui dis : < Un jour, tu reviendras ici, et tu penseras au passé. Tu n'auras pas le droit d'être triste ! Un autre bonheur ! >.

Clémentine comprend très bien ce que je sous entends. Elle me prend la main. Il y a de l'eau dans ses yeux. Je la serre fort.
< Je t'aime ! C'est si merveilleux ! > me fait elle encore. Je désire mettre un terme à ce moment un peu pénible. Je me lève.
C'est moi qui entraîne Clémentine par la main. Nous marchons vers Dean village dont nous apercevons les premières maisons.
Il y a des gens en costume folklorique partout. Le festival d'Edimbourg, c'est dans toute la région d'Edimbourg. C'est superbe.
Il y a une fête écossaise typique. Nous nous approchons de la place. Des hommes grands et forts, en kilt, soulèvent des poids.

Des hommes puissants, musclés se confrontent dans des lancés de troncs d'arbres impressionnant. Ils soulèvent des charges.
La foule applaudi. < Ils n'ont pas de slips, je vais peut-être distinguer quelques bites écossaises ! > me fait Clémentine. Rires.
Les pensées tristounettes semblent avoir quitté ma compagne qui retrouve son agilité d'esprit et toutes ses espiègleries. Joie.
Nous nous dirigeons vers les stands qui offrent souvenirs, artisanat local, fish and chips, boissons ou encore de belles glaces.
Evidemment, qui dit Clémentine et Julien ne peut éviter de penser glaces à la vanille, à la pistache et au pralin. N'est-ce pas !

Nous traînons dans le parc où se déroulent ces festivités attrayantes et fort intéressantes. Nous savourons nos grosses glaces.
Il y a plein de belles dames en beaux costumes folkloriques s'abritant du soleil sous des ombrelles. Malgré la chaleur présente.
Nous allons flâner du côté des manèges. Les familles y font tourner leurs progénitures souvent hurlantes et fort bruyantes. Joie.
Nous ne nous attardons pas dans ce florilège de cris et de hurlements divers. Nous retournons aux tournois des hommes forts.
A présent, c'est une course. Des messieurs beaucoup plus athlétiques et minces, toujours vêtus de kilt, s'affrontent à la course.

Tout cela sous les applaudissements et les encouragements de la foule. Discrètement, Clémentine effleure ma braguette. Rire.
< A la maison, cet automne, tu mettras ta tenue folklorique d'écossais ? > me demande Clémentine, espiègle et mutine. Joie.
Nous marchons au bord du petit lac en admirant les différentes expositions d'artistes locaux. Peintres, sculpteurs, poètes, etc...
Clémentine, passée maître dans la discrétion du tripotage de bite, me palpe souvent la braguette en se serrant bien contre moi.
La coquine ne se prive pas de ces petites manifestations de désir et de tendresse. Parfois, je fais pareil. Main sous sa jupe...

< On se fait un "plan" ? > me fait ma compagne en m'entraînant à l'écart, entre deux baraquements de vieux bois. Je la suis.
Je lui fais : < Tu es priée d'être d'une discrétion totale, tu as sans doute remarqué que nous ne sommes pas seuls ! >. Rires.
< Tu me connais ! Impossible de me prendre en flagrant délire ! > me répond t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Sympa.
Nous sommes entre des fourrés et les vieilles baraques en bois. Personne ne s'aventure jusque là. Il y a des toilettes publiques.
Clémentine me sort la bite. Malgré mes récriminations bien inutiles. La coquine ! Quand elle a une idée derrière la tête ! Foutu !

Nous sommes dissimulés. Depuis notre cachette nous voyons toutefois très bien les environs à travers le feuillage. Stratégie.
< Là, il y a quelqu'un qui arrive ! > me fait Clémentine. A une trentaine de mètres, venant depuis le lac, un homme avance.
Il semble chercher un endroit où s'isoler. Clémentine me fait : < Reste là, ne bouge pas, je vais m'offrir une petite frayeur ! >.
Le type regarde partout autour de lui, rapidement. Trop rapidement sans doute car à peine débraguetté, il voit la jeune fille.
Il n'a pas même le temps de commencer à pisser que Clémentine, les bras croisés, marchant doucement, feint la surprise...

Je reste estomaqué devant l'aplomb de ma compagne qui fait semblant de se balader tout en feignant la surprise en arrivant.
Je suis planqué derrière les fourrés. Je commence à être un véritable spécialiste des fourrés. Un entomologiste des feuillages.
Là, en l'occurrence, ce sont d'épais lauriers. Je regarde bien autour de moi. Je sécurise ainsi parfaitement le jeu de Clémentine.
L'homme, un quadragénaire svelte, en jean et en chemisette, se sent certainement ridicule, la bite à la main devant la fille.
Il se tourne légèrement pour cacher son sexe. Clémentine revient sur ses pas. Elle doit demander un renseignement. Je sais !

Sur l'insistance évidente de la promeneuse, le type se met à discuter. Pas le choix. Il regarde sa montre pour donner l'heure.
Il indique une direction de son index pointé. Il reste tourné afin de dissimuler son sexe. Je devine le jeu vicieux de Clémentine.
L'homme n'imagine pas un seul instant à quel genre de salope il a affaire. Pas encore ! Il doit se réajuster et remballer vite.
Tant pis, il pissera une fois seul, la fille partie. Ou un peu plus loin. Seulement voilà, la jeune fille ne fait pas mine de s'en aller.
Clémentine reste ostensiblement à bavarder avec cet inconnu qu'elle prend un plaisir raffiné à mettre dans l'embarras total...

Le type semble tout de même un peu pressé. Je regarde bien les alentours. Je remarque ce couple qui attend près de l'eau.
Pas de doute, ce sont des amis du bonhomme. Il a voulu s'isoler pour satisfaire un besoin naturel. Il repart sans l'avoir fait.
Clémentine vient me rejoindre en riant. Nous continuons notre découverte et la visite de cette fête champêtre. C'est sympa.
Sur l'insistance de Clémentine, nous revenons voir entre les baraquements à quatre reprises. Rien. Plus aucune opportunité.
Il faudra se faire une raison, ce sera une journée "sans" ! Il est déjà dix huit heures. Nous décidons de passer la soirée ici...

Je propose à ma compagne de retourner à Dean village pour y réserver deux places dans un restaurant. Pour vingt et une heures.
< Pourquoi ne pas manger ici, sur le pouce, des fish and chips, même si les écossais ne savent pas faire des frites ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur. C'est une excellente suggestion. Il y aura dans la soirée un concert philharmonique. Joie en perspective.
Nous décidons donc de partir dans une totale improvisation. Retour aux baraquements en savourant une nouvelle glace. Régal.
Nous sommes assis près de l'eau, sur nos deux K-way dépliés. Depuis l'endroit, nous pouvons voir qui vient et depuis où. Bien...

Sur le petit lac, il y a des petites embarcations. Une barque se dirige vers nous. Le rameur nous tourne le dos. Il ne voit pas.
Clémentine me fait : < Planque toi, je crois qu'il y a un super "plan" qui se pointe ! >. Je me lève. Je vais derrière les fourrés.
Le rameur est coiffé d'un canotier, vêtu d'un gilet et d'une chemise blanche aux manches bouffantes. Très "année 1900". Bien.
L'homme assis dans sa barque longe le bord. Il passe à quelques mètres de Clémentine assise près de l'eau. Cuisses écartées.
Je vois le type saluer la jeune fille en s'arrêtant de ramer. Une conversation s'engage. Le type apprécie le merveilleux spectacle.

Clémentine, bien évidemment ravie de l'aubaine, peut enfin donner libre cours à sa passion. Elle bavarde avec l'inconnu en riant.
L'homme doit être un marrant. Il a de grosses moustaches et semble tout droit sorti d'un tableau de Manet ou de Renoir. Sympa.
Notre gaillard a sans doute remarqué l'invraisemblable touffe qui dépasse de chaque côté de la culotte de Clémentine. Immense.
Aussi, tout en racontant des trucs sans doute rigolos, il ne cesse de mâter à s'en déboîter les globes oculaires. Je bande très fort.
Le type de la barque doit bander très fort également. De se trouver à bavarder avec une belle et jeune salope est un vrai plaisir.

La situation perdure un peit moment. L'homme doit certainement être passé dans le registre des propositions salaces. Normal !
Je vois Clémentine faire non de la tête à plusieurs reprises. Elle agite également son index de façon négative. Notre drôle insiste.
Finalement, ayant sans doute compris qu'il n'avait rien à espérer de la part de cette délicieuse jeune fille, notre homme s'éloigne.
Il se retourne plusieurs fois sans cesser de ramer. Clémentine, accroupit au bord de l'eau, sa culotte aux genoux, pisse tranquille.
L'homme s'est arrêté de ramer. Il est à une trentaine de mètres et savoure cet instant magique, divin et absolument merveilleux.

Clémentine, qui tire sa culotte vers le haut avec son index, pour ne pas risquer de la mouiller, reste ainsi un petit moment. Jets.
Ma compagne en lâche plusieurs qui viennent se briser à la surface de l'eau, loin devant elle. Cambrée, Clémentine vise juste.
Le type fait mine de revenir. Il est temps de mettre fin à toutes velléités d'approches non souhaitées. Clémentine se redresse.
Elle vient me rejoindre. Nous rigolons comme des bossus en regardant le type longer le bord de la rive en scrutant avec attention.
Il commence à faire faim. Il est déjà 20 h30. Nous retournons à la fête. Il y a un monde fou. Nous déambulons longuement. Bien.

Notre choix se porte sur d'énormes cornets de fish & chips emballés dans du papier kraft. Serviettes en papier à la main, on mange.
Nous sommes assis en bout de table, sur des bancs. Il y a d'autres gens qui mangent. Des langues incompréhensibles. Hollandais.
Le soleil se couche. Une certaine fraîcheur bien agréable fait lentement place à la chaleur. Il était temps. Nous avons nos sweats.
Nous nous rendons sous l'immense bâche afin de prendre place sur d'inconfortables chaises. C'est le début du concert. Musique.
C'est un grand orchestre philharmonique dont les musiciens sont tous vêtus du costume écossais. Hommes et femmes. tous en kilt.

Nous nous réservons la possibilité de partir à tout moment. La musique est belle, envoûtante dans ce crépuscule naissant. Magie.
Il est 22 h30, lorsque tout cesse. Nous reprenons le chemin du retour dans une nuit étoilée. Nous sommes nombreux à marcher.
Nous revenons à Edimbourg pour minuit. Epuisés. Excités. Clémentine me fait : < J'ai mes "petits machins". Mes trucs de filles ! >
Je dis : < Ce qui ne m'empêchera pas de te sucer le clito ! >. Nous rions de bon cœur. Pourtant, rapidement, après la douche, dodo.
J'ai à peine commencé à sucer le clitoris géant de Clémentine que la jeune fille connaît un orgasme fulgurant. Excitation de la journée.

Bonne découverte des fêtes écossaises, au bord des petits lacs à toutes les coquines aimant s'offrir des "frayeurs". Même aux autres...

Julien - (Qui sécurise toujours les exactions "pacifiques" amusantes, sexuelles et excitantes de Clémentine qui en profite un max) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 156 -



Clémentine, amoureuse d'Edimbourg, m'entraîne à sa découverte - Jour 42 -

Hier matin, dimanche, j'ouvre les yeux pour regarder l'heure. Il est 7 h45. Je regarde sur ma gauche. Clémentine s'étire.
Je m'approche doucement pour lui déposer plein de bisous sur le visage. Cette fois c'est moi qui suit réveillé le premier.
< Bonjour Clémentine ! > que je lui fais. < Bonjour Julien ! > me fait elle avant de me chevaucher en riant. Papouilles.
Un petit moment de tendresse et de douceur avant d'êtres obligés de nous lever. Clémentine m'entraîne aux toilettes.
Nous nous précipitons à la cuisine pour y préparer nos petits déjeuners. C'est rapide, méthodique, et dicté par la faim...

Dehors, il fait beau. Il fait doux. Nous traînons à table. Le dimanche est le jour sans entraînement. Nous prenons le temps.
Nous faisons le bilan de la journée précédente. Nous faisons le programme de la journée à venir. Ce sera une nouvelle virée.
Clémentine veut s'imprégner de la ville. Pour elle, de plus en plus, l'Ecosse, c'est d'abord Edimbourg. Un vrai coup de foudre.
Nous projetons donc de rester dans les environs pour une nouvelle randonnée. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux.
Nous mettons au point notre parcours de la journée. Nous partirons vers 11 h du matin pour la région de North Berwick Law.

Clémentine passe sa main sous mon T-shirt, se saisi de ma queue, me fait plein de bises. < Superbe idée ! > me fait elle.
Nous irons à la découverte de l'ancien volcan qui domine le village. Nous y monterons pour découvrir la vue sur les Lothians.
Nous reviendrons en soirée pour manger à Edimbourg. Nous passerons en ville afin de réserver dans un nouveau restau .
Voilà le programme bien arrêté. Il ne nous reste plus qu'à se laisser vibre. < J'ai mes trucs de filles ! > me fait Clémentine.
Je lui prends la tête entre mes mains pour lui dire : < Je vais donc m'occuper de toi avec beaucoup de délicatesse ! >. Rires.

Nous faisons notre vaisselle. J'entraîne Clémentine dans la chambre. Je la bascule sur le lit. Je lui retire la culotte. Surprise.
J'ai rarement de telles initiatives en matinée. < Non, j'ai mes "machins" ! > s'écrie Clémentine alors que je lèche son clito.
Ce clitoris géant qui me fascine par sa capacité à devenir dur, turgescent. Un véritable phénomène de la nature. Douceur.
Clémentine tente de me repousser sans réelle conviction. La jeune fille aime tant lorsque je m'occupe de son "gros bouton".
Il faut toutefois que je reste vigilant. Clémentine déteste les orgasmes prématurés. Le plaisir arrive toujours trop vite par là.

Ma compagne me repousse doucement en me murmurant : < Attention, arrête, sinon je vais venir ! >. Je cesse rapidement.
Clémentine adore restée excitée. Elle va le rester toute la journée. Je vais en assurer le suivi et la qualité. Nous nous levons.
La douche. Nous nous savonnons en rigolant comme des bossus. Il est dix heures. Nous voilà habillés pour partir. C'est bien.
Clémentine m'entraîne devant l'ordi qu'elle allume. Nous découvrons le message d'Estelle et celui de Juliette. C'est très sympa.
Estelle nous raconte son tout samedi. Elle est venue passer la nuit chez nous, dans la maison, impatiente de nous revoir enfin.

Nous répondons. Juliette nous raconte l'emménagement dans son nouvel appartement au-dessus du bureau de son haras.
Nous répondons également. Clémentine se rend rapidement sur le site de l'université. Pas de nouvelles informations. Bien.
Je prépare nos affaires dans le sac à dos. Pommes, barres de céréales, bouteille d'eau et les sandwichs au thon pour midi.
Clémentine est vêtue de sa jupette "tennis", d'un T-shirt et de ses baskets. Je suis en short, en T-shirt et en baskets. 11 h.
Nous voilà en route. Nous passons réserver dans un des restaurants à la sortie d'Edimbourg, à proximité du château. Bien.

Il y a du monde. La circulation est fluide. Nous parcourons les quelques kilomètres qui nous séparent du sentier John Muir.
Clémentine joue avec ma bite qu'elle a sorti de ma braguette. Nous arrivons au grand pont métallique sur la rivière Leith.
Il y a du monde. Je tente de trouver le meilleur endroit pour garer la voiture. Afin qu'elle puisse rester à l'ombre longtemps.
Nous voilà prêts. Il est onze heures quarante cinq. Nous prenons le chemin qui longe la rivière Leith. Le chemin John Muir.
Nous croisons beaucoup de marcheurs. C'est le chemin de grande randonnée le plus fréquenté. Il traverse l'Ecosse. Sympa.

Souvent, en se plaçant devant moi, Clémentine me touche discrètement la braguette. C'est toujours amusant. Très excitant.
Nous marchons ainsi pendant une heure trente. Le plus souvent à l'ombre de grands arbres dans un paysage bien verdoyant.
C'est dimanche. Le parcours est fréquenté. Tant par des autochtones que par des touristes. La faim vient à se faire ressentir.
Nous avisons une aire de repos où quelques tables sont encore libres. Nous détestons toute forme de promiscuité. C'est dur.
Je sors les sandwichs du sac à dos. Nous commençons notre repas par des fruits. Nous regardons passer les marcheurs...

Nous bavardons. Clémentine me fait part de ses ressentis quand à ses quarante jours déjà passés ici, en Ecosse. Bonheur.
Je propose de découvrir le côté Ouest de l'Ecosse l'an prochain. Il y fait souvent un climat "tropical" à cause du gulf Stream.
Ce courant marin qui apporte la chaleur. C'est l'Atlantique là-bas, avec les changements de climats beaucoup plus violents.
Nous ferons l'île de Skye et quelques autres hauts lieux . Je préviens Clémentine que la canicule y est fréquente. Difficile.
< S'il fait trop chaud, on revient sur Edimbourg ! > conclue t-elle. Nous parlons de l'avenir. L'an prochain c'est encore loin.

Nous reprenons notre route. Il fait chaud, presque moite. Nous voilà bien lourds après ce repas. Beaucoup de randonneurs.
Il est quatorze heures lorsque nous arrivons à Noth Berwick Law. Le village est en bord de mer. C'est magnifique. Superbe.
Nous flânons sur les quais. C'est marée haute. Des bateaux s'apprêtent à prendre la mer. Il y a de l'animation. Les marins.
Clémentine me palpe la braguette. J'ai posé le sac à dos sur mes genoux. La jeune fille peut donc me tripoter tranquillement.
Par contre, j'interdis formellement de me sortir la bite. < Vilain monsieur ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus.

Pourtant, malgré mon interdiction, j'ai la bite dans la main de ma compagne. Je bande comme un salaud assis sur ce muret.
Les nombreux promeneurs ne se doutent pas un seul instant que j'ai la queue à l'air. Clémentine s'en amuse. Moi aussi. Joie.
Nous décidons de nous offrir une glace avant de visiter le village. Il y a là-bas un vendeur dans sa camionnette. Cônes glacés.
Nous voilà à flâner en dégustant nos glaces. Il fait lourd. Le cri des mouettes est strident et omniprésent. Grande animation.
Nous parcourons les rues. Les maisons colorées sont fleuries. C'est de toute beauté. Clémentine prend de nombreuses photos.

Il est 15 h30 lorsque nous prenons l'étroit sentier qui monte vers le sommet de l'ancien volcan. Il n'y a pas d'arbres. Soleil.
La vue sur les environs est majestueuse. Tant de beautés nous font rapidement oublier la chaleur et le soleil plutôt agressif.
Là encore, il y a un monde fou. Nous ne nous attardons pas. Je propose à Clémentine de descendre par l'autre sentier. Bien.
Nous y trouvons des endroits à l'ombre d'amas rocheux. J'entraîne ma compagne vers les ruines d'une ancienne maison.
Nous sommes à l'ombre des murs de pierre. Assis sur une sorte de grande dalle naturelle. Il y a une brise rafraîchissante...

Je me lève. Je me mets à genoux entre les cuisses de Clémentine. Comme souvent, totalement surprise, elle fait : < Non ! >
< T'es fou, j'ai mes "machins" ! > répète t-elle encore comme pour trouver un prétexte. Trop tard, je tripote son clitoris...
La jeune fille me laisse m'amuser. Doucement le plaisir la submerge. Je l'entends gémir : < T'es fou ! > me fait elle. Rires.
J'écarte l'élastique de la culotte au risque de le casser. J'arrive à extraire le clitoris géant de ma compagne. Dur. Turgescent.
< Attends! > me fait Clémentine en se redressant pour enlever sa culotte. Je peux lui sucer le clito. La jeune fille se pâme...

Je suis vigilant. Je réagis immédiatement à toutes sollicitations. Clémentine me guide en me tenant par les oreilles. Superbe !
Au gré de ses pulsions, la jeune fille peut ainsi me repousser ou m'attirer. Elle veut absolument éviter tout orgasme. Habile.
Nous restons un moment à nous livrer à cette délicieuse occupation. < Je vais me venger tout à l'heure ! > fait Clémentine.
Il faut cesser. L'orgasme est imminent. Clémentine me repousse en gémissant. Je me redresse. La jeune fille m'embrasse.
< Je t'aime ! Tu me rends folle ! > fait elle en me serrant contre elle. Je joue avec la ficelle blanche qui dépasse de la touffe.

J'entraîne Clémentine. Nous retournons sur le chemin. Nous contournons la colline pour revenir au village. Il est déjà 18 h.
Nous dégustons nos barres de céréale assis sur un muret, en regardant les bateaux. Il y a un monde fou. C'est dimanche.
Nous restons ainsi un long moment à savourer cette fin d'après-midi. Il faut pourtant songer à prendre le chemin du retour.
Il fait enfin moins chaud. Nous apprécions de marcher d'un bon pas. Bientôt nous longeons la rivière Leith. C'est magnifique.
A chaque fois que Clémentine me palpe discrètement la braguette, je passe ma main sous sa jupette, entre ses cuisses. Joie.

Nous voilà de retour à la voiture. Le soleil a tourné. Elle est restée à l'ombre. Nous changeons de chaussures D'autres baskets.
Pendant que je roule, Clémentine me suce à plusieurs reprises. Je la force à se redresser en tirant sur ses cheveux. Paysages.
Nous rions de bon cœur. Nous arrivons au restaurant où nous avons réservé une table. Il est 21 h. Nous voilà morts de faim.
Le repas est un délice. Crabe grillé aux petits légumes. Nous traînons à table. Des coupes glacées. Nous rentrons pour 23 h30.
Je bascule Clémentine sur le lit pour lui sucer le clitoris. Stop ! La douche. Je recommence au lit. Un "69", orgasme et dodo...

Bonne découverte de North Berwick Law à toutes les coquines qui aiment se faire lécher et sucer le clitoris de façon "sauvage"...

Julien - (Qui adore sucer le clitoris géant de Clémentine. Clémentine qui adore se faire sucer son clitoris géant) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 157 -



Nous partons randonner dans les Lothians, autour d'Edimbourg - Jour 43 -

Hier matin, lundi, je suis réveillé par plein de bisous. Soudain, avant même que je n'ouvre les yeux, on me suce la bite.
Cette étonnante manière ne tarde pas à être délicieuse. Mon érection matinale, et parfaitement naturelle, en est sublimée.
Je saisi Clémentine par ses cheveux attachés en catogan pour la force à cesser. Elle me fait à nouveau quantité de bisous.
< Bonjour Julien ! > me fait elle avant de me chevaucher en riant. Je dis : < Bonjour Clémentine ! > en la serrant fort.
Papouilles, douceur et tendresse avant d'êtres obligés de se lever pour aller pisser. Clémentine m'entraîne aux toilettes.

Nous sommes morts de faim. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner. Il fait beau. Doux.
Il est à peine 7 h45 lorsque nous dégustons nos jus d'oranges, nos tranches de pain grillé au miel et à la confiture. Café.
Comme chaque matin, tout en mangeant, nous faisons le bilan des jours passés. Nous envisageons le programme du jour.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. < Le compte à rebours a commencé Julien, c'est dur ! > me fait ma compagne.
En effet, vendredi matin nous quitterons Edimbourg et l'Ecosse pour passer le week-end à Londres. Lundi matin, le retour.

< C'est la première fois de ma vie que je passe 24 h sur 24 avec quelqu'un ! Je suis si attachée à toi ! > fait Clémentine.
Je lui fais des bisous. La jeune fille termine son yaourt avant de rajouter : < Et c'est merveilleux ! >. Je la berce. Bisous.
< Nous avons surmonté, à notre insu, une nouvelle épreuve ! Pour moi c'est pareil ! > que je lui dis pour la rassurer. Joie.
Il y a une grande différence. D'âge et d'expérience. J'ai déjà vécu tout cela et pendant plus de vingt ans. Je connais bien.
Pour Clémentine, évidemment, tout cela est neuf, étonnant, insolite peut-être. < L'âge est un avantage ! > conclue t-elle.

J'évoque notre programme de la journée. Nous partirons du départ habituelle, à la rivière Leith, pour notre randonnée.
Cette fois, nous ferons une boucle d'une vingtaine de kilomètres en passant par le village de Gullane après Gullane point.
Nous passerons découvrir la construction au sommet de Calton Hill. Nous serons principalement sur les hauteurs de la ville.
Il y a sept collines autour d'Edimbourg. Avec la belle journée qui s'annonce, les réjouissances seront au rendez-vous. Joie.
< C'est génial, Julien, emmène-moi partout avec toi, je veux tout découvrir! Et tout voir ! > me fait encore la jeune Fille...

Nous faisons notre vaisselle. A quelques reprises ma compagne passe derrière moi pour m'attraper les couilles et la queue.
< Et je ne te dis pas la salope que tu vas encore te trimbaler toute la journée ! > me dit elle. Nous rions de bon cœur. Joie.
Je passe ma main sous son T-shirt. Je la glisse dans sa culotte. Clémentine a un réflexe et me fait : < J'ai mes trucs ! >.
J'adore la chaleur qui règne toujours entre ses cuisses. Je prends Clémentine contre moi. Je tire légèrement sur la ficelle.
< Arrête ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus. Nous nous mettons en tenues. C'est le rituel de notre jogging.

Il est 8 h45. Nous voilà à courir sur notre circuit quotidien. Nous ralentissons au sommet de la colline pour admirer la ville.
Une fois encore Edimbourg brille d'une étrange façon dans la lumière diaphane du ciel écossais. C'est une pure merveille.
Nous sommes de retour pour 10 h15. La douche. Nous voilà vêtus pour la randonnée qui s'annonce. Départ à onze heures.
Clémentine m'entraîne devant l'ordi. Je suis entrain de préparer nos affaires dans le sac à dos. Deux messages d'Estelle.
Elle nous raconte l'étrange expérience paranormale qu'elle a encore vécu dans notre maison, dans la nuit de samedi. Peur.

Les pleurs à l'étage puis lorsqu'elle était couchée, les mêmes impressions, mais venant d'en bas. Estelle sait pourtant tout.
Je réponds rapidement pour lui rappeler que le fantôme de mon ancienne compagne se languit de moi dans la maison vide.
Estelle nous raconte également les attitudes vicelardes de monsieur Gérard, le palefrenier, lorsqu'elle ramène le cheval.
Nous joignons deux photos à notre réponse. Clémentine va rapidement aux nouvelles sur le site de l'université. C'est bien.
Nous quittons l'appartement. Nous croisons Oncle Steve. Nous sommes invités à manger pour jeudi soir. Notre dernier soir.

Il fait beau. Il fait très agréable car un léger vent tempère un peu la chaleur. Nous voilà en route pour la rivière Leith. Bien.
Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite qu'elle suce parfois avant que je ne la force à se redresser. Il y a le paysage.
Nous arrivons au parking. C'est le départ du chemin de grande randonnée John Muir que nous commençons à connaître.
Il y a du monde. Clémentine est vêtue de sa jupette "tennis, d'un T-shirt et change de baskets. Je suis en short et T-shirt.
Je porte le petit sac à dos dans lequel nous avons nos fruits, notre bouteille d'eau, nos sandwichs et nos barres de céréale.

Comme toujours, nous croisons quantité de randonneurs. Nous longeons la rivière Leith que nous quittons à l'aire de repos.
Nous prenons le sentier de gauche qui monte sur Calton Hill. Il y a un peu moins de marcheurs. Clémentine en profite bien.
Combien de fois suis-je obligé de remballer ma queue à toute vitesse. Parfois même en catimini. Voire même en catastrophe.
Nous rions de bon cœur des coquineries de ma compagne. Je bande comme un salaud à plusieurs reprises. De la bandaison.
Nous montons le long du sentier qui serpente jusqu'au kiosque. Cette curieuse architecture à colonnades au sommet. Belle.

C'est une construction circulaire, rappelant le style Gréco Romain. Nous en faisons le tour. Clémentine prend des photos.
Je sors les K-ways du sac à dos. Ils nous servent souvent de plaids pour nous y asseoir. Nous dégustons nos sandwichs.
Il est treize heures trente. Le ciel est bleu. A peine si à l'horizon il y a quelque cumulus d'altitude. Il fait très agréable. Joie.
Heureusement qu'un léger vent nous évite de souffrir de la chaleur. Clémentine, discrètement, palpe ma braguette. Sympa.
Il y a du monde. Je veille donc soigneusement à éviter de me retrouver avec la bite à l'air. Nous rigolons comme des bossus.

Il est 14 h30 lorsque nous quittons le sommet de cette première colline. Nous préférons toujours monter que descendre.
En effet, sur les sentiers parfois escarpés, il est plus fatiguant de descendre. Il faut redoubler d'attention sur les cailloux.
Nous voilà de retour sur le chemin initial. Direction Salisbury Crags, la prochaine colline. Un sentier facile nous y mène.
La vue est époustouflante. La belle Edimbourg scintille de mille feux. Le gris des bâtiments gothiques est sublimée. Soleil.
Sur ce sentier encore, il me faut tempérer les ardeurs exploratrices de Clémentine qui fouille ma braguette tout le temps.

Au détour d'un amas rocheux, je sors ma queue pour montrer à Clémentine qu'à force de me faire bander, je mouille fort.
La jeune fille regarde partout autour de nous, comme je le fais durant presque toute notre randonnée. Elle mâte de près.
Je dégouline de liquide séminal épais et gluant. Bien évidemment la jeune fille ne peut s'empêcher de pomper les reliquats.
De me faire tailler une pipe, là, au risque de nous faire surprendre, est à la fois excitant et inquiétant. Je la force à cesser.
< J'aime quand tu mouilles ! > me fait Clémentine en se redressant tout en s'essuyant les lèvres. Nous rions de bon cœur.

Nous voilà au sommet de Salisbury Crags. Il y a du monde. Il est 16 h. Je sors les pommes du sac à dos. Dégustation. Eau.
Clémentine prend des photos. < Je totalise 280 photos depuis notre arrivée ! > m'apprend ma compagne. Je la félicite. Joie.
Nous sommes assis sur nos K-ways. Nous admirons la vue majestueuse. C'est grandiose, époustouflant et démesuré. Bien.
Nous traînons longuement sur le sommet avant de redescendre. La lumière dorée de cette fin d'après-midi est stupéfiante.
Il est 17 h30. Nous retournons sur le chemin John Muir. Il ne sera pas possible de parcourir les sept collines. Dommage...

< Quand je commence à biberonner du foutre, je n'ai qu'une envie, c'est d'en avoir encore ! > me fait Clémentine en riant.
Il est pourtant impossible de lui offrir mon jus, il y a trop de marcheurs qui peuvent débouler. Et à n'importe quel moment.
Nous arrivons à Gullane, petit village typique sur le trajet du retour. Nous visitons. Là encore, il y a des touristes partout.
J'avise une arrière cours, là, sous une porte cochère. C'est sans doute l'entrée d'un parc privé. Quelque chose de cet ordre.
J'y entraîne Clémentine. Tout en étant agréablement surprise par chacune de mes initiatives, elle glousse de plaisir. Joie...

Je regarde partout autour de nous. De hauts murs de pierres. Pas de fenêtres. De grands arbres sur la gauche. Personne.
C'est sans doute un local poubelle. L'espace est propre. Je sors ma queue. Elle est gluante et dégouline de foutre visqueux.
Clémentine s'accroupit avant même que je ne la saisisse. Elle se met à sucer comme si sa vie en dépendait. C'est sublime.
Sous l'effet de l'indicible caresse, je suis rapidement gagné de vertige. Je suis obligé de me tenir au mur. Je me laisse aller.
J'entends des voix. Des touristes sans doute. J'éjacule. Clémentine est surprise. Il est rare que je ne fasse par durer. Joie.

Avec l'excitation presque continue de l'après-midi, j'éjacule une quantité importante. Clémentine déglutit avec peine. Bien.
Je l'entends glousser de plaisir en avalant chaque giclée. J'ai à peine le temps de retirer ma bite qu'un groupe surgit là-bas.
Trois couples entrent à leur tour dans l'endroit pourtant à l'écart de tout circuit touristique. Je remballe en catastrophe. Ouf.
Clémentine se redresse. Elle a du foutre sur son menton et des coulures sur le haut du T-shirt. Je le lui fais remarquer. Joie.
Sans s'essuyer, avec son air de défi habituel, Clémentine croise les touristes qui regardent cette jeune fille maculée de jute.

Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine se rend compte des coulures qui maculent son T-shirt. Un fou rire.
< Il faut que tu m'apprennes à manger proprement ! > me fait elle en récupérant la jute pour la porter à sa bouche. Rires.
Nous reprenons le chemin du retour. Nous arrivons à Edimbourg pour 20 h30. Nous nous offrons un bon restaurant. Faim.
Le foutre a séché. Mais on distingue quand même très bien les auréoles de foutre sec sur le haut du T-shirt. C'est excitant.
Le jeune serveur doit bien se douter de ce que la jeune fille a fait avant de venir manger. Il a un sourire amusé. Sympa...

Nous trainons à table. Il est 22 h30 lorsque nous nous retrouvons à flâner dans les rues animées de la ville. C'est le festival.
Il y a des musiciens un peu partout. Depuis les bars devant lesquels nous passons, résonnent de belles musiques folkloriques.
Nous profitons de l'agréable douceur du soir. Nous mettons tout de même nos sweats. Des jeans seraient les bienvenus.
Il est minuit lorsque nous revenons à l'appartement. Avant la douche, je suce le clitoris géant de Clémentine. Frome du jour.
Nous filons à la douche juste avant l'orgasme. Nous nous couchons. Un superbe "69" avec la ficelle qui me chatouille. Dodo...

Bonne découverte des collines qui entourent Edimbourg à toutes les coquines qui aiment tripoter et sucer de la bonne bite...

Julien - (Qui s'est encore trimbalé toute la soirée avec la bite juteuse, gluante et collante au fond de son slip humide) -

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Clémentine et Julien à Edimbourg - Danser
Wednesday 23 August 2017 08:10

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 158 -



Nous profitons de ces journées ensoleillées pour randonner - Jour 44 -

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil exactement de la même manière. Je ne suis pas encore vraiment réveillé.
On me fait des bisous sur le visage, on me tient la queue puis on me la suce. Je saisi Clémentine par ses cheveux. Rires.
< Bonjour Julien ! > me fait elle avant de me chevaucher. < Bonjour Clémentine ! > que je fais en la serrant fort. Bisous.
Papouilles, tendresse et douceur avant d'être obligés de nous lever pour aller pisser. Clémentine m'entraîne par la main.
Après les chiottes, nous nous précipitons à la cuisine. Morts de faim, nous nous préparons notre petit déjeuner. Impatients.

Il est 7 h45. Dehors il fait beau. Le soleil achève de se lever. Nous savourons nos jus d'oranges, nos tartines, café, yaourts.
Nous bavardons en riant beaucoup car Clémentine évoque quelques exhibes rigolotes des jours précédents. De quoi rigoler.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Aujourd'hui encore son souhait serait de randonner en restant près d'Edimbourg.
Je lui propose de nous offrir une randonnée jusqu'à Arthur's Seat à partir du sentier John Muir. C'est à découvrir absolument.
Je suggère de partir vers onze heures ce matin afin d''être en virée dès 11 h30. La suggestion est accueillit avec joie. Bien.

Clémentine se saisi de ma bite qu'elle tient fort. Elle me chuchote : < Attention, randonnée en compagnie d'une salope ! >
Nous rions de bon cœur. Je lui passe la main entre les cuisses pour lui murmurer : < Et en compagnie d'un vrai salaud ! >.
Nous rigolons comme des bossus. Je tire par petits à coup sur la ficelle qui pend de la touffe de Clémentine. Ambiance. Joie.
Nous faisons notre vaisselle. Nous nous mettons en tenues. C'est le rituel de notre jogging quotidien. Avant les chaleurs.
Il est 8 h30 lorsque nous courons d'un bon rythme sur notre parcours habituel. Retour pour 10 h après le running. Douche.

Nous voilà habillés pour la rando. Clémentine porte sa jupette "tennis", son T-shirt et ses baskets. Je suis en short et T-shirt.
Je prépare nos affaires dans le sac à dos. Clémentine allume l'ordi. Elle m'appelle. Il y a deux messages. Estelle et Juliette.
Estelle nous raconte sa journée de travail et compte les jours qui la séparent de notre retour lundi prochain. Très impatiente.
Juliette nous raconte l'installation dans son nouvel appartement. Nous répondons aux deux messages en joignant des photos.
Clémentine s'informe rapidement des dernières nouvelles qu'il y aurait sur le site de l'université. Je termine de préparer. Bien.

Il est onze heures lorsque nous prenons la route habituelle qui nous mène au parking près de la rivière Leith, début du sentier.
Il fait chaud. Il y a du monde. Je gare la voiture à l'ombre des grands arbres. Nous changeons de chaussures pour marcher.
Clémentine, toute contente, sautille autour de moi. < C'est génial ! On est au paradis tous les jours ! > s'écrie t-elle en riant.
Je l'attrape pour la prendre contre moi, la soulever pour la faire tournoyer dans les airs. Ses cheveux noués en natte volent.
Nous voilà à longer la rivière en croisant nombre de marcheurs. Arthur's Seat est à quelques cinq kilomètres d'Edimbourg...

Souvent, se plaçant devant moi, stoppant notre marche, Clémentine se serre contre moi pour me palper la braguette. Discrète.
Je fais pareil. Discrètement je lui passe la main sous la jupette, entre ses cuisses. Nous avançons ainsi à notre rythme. Sympa.
Je regarde derrière nous. Il y a des marcheurs au loin. J'entraîne Clémentine vers un grand panneau indicateur. Il y a un plan.
Je la saisi par sa natte que je tire comme une laisse. Clémentine, surprise, pousse un petit gloussement. Je la tire fermement.
Clémentine adore ce genre d'initiatives. Surtout lorsqu'elles sont imprévisibles. Improvisées. Courbée en avant elle me regarde.

Nous sommes dissimulés derrière le grand panneau. Les marcheurs ne peuvent voir que nos jambes. Il y en a qui arrivent.
Ils s'arrêtent pour consulter le grand plan sur le panneau. J'embrasse Clémentine qui est ravie de mes initiatives. Elle glousse.
Les marcheurs, trois Anglais, continuent leur chemin. Je force Clémentine à s'accroupir. Je sors ma bite. Je me branle un peu.
Je passe mon sexe sur le visage de la jeune fille. Je le lui enfonce dans la bouche. Clémentine pousse un râle en pompant fort.
Je la tiens fermement par ses oreilles. Je me masturbe dans la bouche de la jeune fille. Il faut cesser. Il y a d'autres marcheurs.

Je force Clémentine à se redresser. Devant le couple de séniors je la tire par sa natte pour revenir sur le chemin. Stupéfaction.
Le couple nous croise, nous observe avec un curieux sourire. Je tire Clémentine sans ménagement. Elle est courbée en avant.
< J'aime ça, tu es prié de te comporter comme ça toute la journée ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Marche.
Nous quittons le grand chemin par le petit pont de bois qui enjambe un affluent de la rivière Leith. Le sentier est enchanteur.
Nous voilà à monter le long d'un sentier pentu. Nous avançons le plus souvent à l'ombre d'une végétation verdoyante, dense.

Une demi heure de marche et nous quittons la forêt pour nous retrouver à flanc de colline. Nous montons sur Arthur's Seat.
Clémentine me palpe la braguette souvent. Après avoir regardé devant et derrière nous, la jeune fille se serre contre moi.
A présent, à chaque fois que j'ai passé ma main entre ses cuisses, je la saisi par sa natte pour la tirer derrière moi. Sympa.
Clémentine qui est d'un naturel "soumise" apprécie chacune de mes initiatives vicelardes. < Encore ! > me fait-elle en riant.
Nous arrivons au sommet de Arthur's Seat. La vue sur le paysage est stupéfiante. Edimbourg scintille de mille feux. Superbe.

Il y a du monde là-haut. C'est une randonnée très prisée. Tant par les autochtones que par les touristes. Impossible de s'isoler.
Clémentine prend des photos. A plusieurs reprises, lorsque nous croisons des marcheurs, je saisi Clémentine par sa natte. Joie.
Ce sont surtout les couples qui observent nos agissements. Souvent avec un œil amusé, curieux et intéressé. Nous en rions bien.
Il est 13 h45. La faim se fait sentir cruellement. Nous avisons un endroit à l'écart, à l'ombre d'un amas rocheux et d'arbustes.
Je sors les K-ways sur lesquels nous nous asseyons pour manger nos fruits et nos sandwichs. Nous mangeons d'un bon appétit.

Nous restons un moment à regarder les étonnants paysages qui nous entourent. Magnifiques. Il y a beaucoup de marcheurs.
Nous prenons le sentier qui contourne la colline. Nous croisons un randonneur solitaire, lourdement chargé d'un gros sac à dos.
Il est debout au bord des rochers à observer l'horizon avec une paire de jumelles. Nous passons près de lui. Je tiens Clémentine.
Je tire la jeune fille par sa natte comme par une laisse. Elle avance courbée en avant. Le type nous regarde consterné. Surprise.
Je le salue. Il s'exprime certainement en Finlandais. < Dis bonjour au monsieur ! > que j'ordonne à Clémentine qui s'accroupit.

Accroupie sur ma droite, sa joue posée sur ma cuisses, me tenant par la jambe, Clémentine fait : < Hello ! >. Le type regarde.
Il a un air amusé en observant cette jeune fille docile, cuisses écartées, accroupie à ma gauche qui le salue poliment. Vicieuse.
L'homme semble toutefois gêné. Il se détourne pour continuer son observation. Je force Clémentine à se redresser. Salutations.
Nous continuons nos descentes. < Tu es génial quand tu me mets dans ces situations, ça m'excite ! > me fait Clémentine. Joie.
Nous rigolons comme des bossus. Le plus gêné dans ces situations, c'est toujours moi. Nous arrivons au bas de la colline. Bien.

Nous voilà de retour dans la forêt. Il est toujours difficile de quitter les sentiers balisés en Ecosse. C'est même souvent interdit.
Pourtant j'entraîne une fois encore ma compagne à l'écart des fourrés en contre bas. Je la tiens par sa natte. Fermement. Fort.
Je sors ma bite. Je force Clémentine à s'accroupir. Elle tombe à genoux dans l'herbe sèche. Je lui frotte mon sexe sur le visage.
A chaque fois qu'elle veut le prendre un bouche, je l'en empêche. Il y a des voix féminines en haut, sur le sentier. Je regarde.
Deux randonneuses, sans doute deux Allemandes, sont entrain de nous observer. Je n'avais pas pris conscience de la trouée.

En effet, à une vingtaine de mètres au-dessus de nous, il y a juste un espace entre les fourrés qui permet de regarder en bas.
Je me sens ridicule. Je tiens Clémentine par sa natte pour la forcer à se redresser. Les deux jeunes femmes nous observent.
Je leur fais un signe amical. Elles nous font un signe de salutation. Je remballe ma bite sous le regard des femmes amusées.
Elles doivent avoir la trentaine et semblent très intéressées par ce qu'elles viennent de voir. Nous remontons sur le sentier.
Les deux jeunes femmes étudient une cartes. Elles nous saluent. Elles engagent la conversations. Ce sont deux Allemandes...

Comme elles ont affaire à un couple, elles sont rassurées et sont rapidement bavardes. Elles nous demandent une direction.
Clémentine, ravie de cette opportunité, s'accroupit à ma gauche pour reprendre sa position de soumise. Je prends sa natte.
C'est terriblement excitant de nous retrouver ainsi, tous les quatre, à bavarder. Les deux touristes semblent excitées. Rires.
Je tiens Clémentine par sa natte tout en bavardant avec les deux jeunes femmes dont l'une a déposé son sac au sol. Boisson.
Les Allemandes, quelquefois, sans faire de généralité, peuvent s'avérer bien vicelardes. Ces deux-là en font peut-être partie.

Nous apprenons qu'elles parcourent l'Ecosse pour la seconde fois, faisant du tourisme itinérant. Enseignantes à Hambourg.
Nous bavardons ainsi un petit moment. Clémentine s'est relevée. Je la tiens toujours fermement par sa natte. Contrainte.
Son visage presque contre le mien, Clémentine reste plutôt silencieuse. Les deux jeunes femmes nous observent avec intérêt.
Pourtant, l'une d'entre elles pousse l'autre à reprendre leur route. Nous nous saluons. Nous les regardons s'éloigner. Sympa !
< C'est génial ! > me fait ma compagne. Nous croisons d'autres marcheurs. Nous parcourons la boucle qui contourne le lieu.

Nous prenons le chemin du "Royal Botanic Garden". Il est déjà 16 h30. Deux fois, j'ai trouvé un endroit discret et à l'écart.
Deux fois j'ai forcé Clémentine à me sucer. En fait, je ne suis pas du tout obligé de la "forcer". Bien au contraire. C'est le jeu.
Nous arrivons au parc. Le "Royal Botanic Garden" est un grand espace préservé où sont cultivées diverses espèces. La flore.
Il y a beaucoup de visiteurs. Nous entrons dans une des gigantesques serres. Les parfums sont enivrants. Les plantes belles.
Clémentine prend quantité de photos. Nous flânons longuement dans cet espace étonnant. Le parc est vraiment superbe...

Nous parcourons les allées parallèles au bâtiment à colonnades. Nous lisons les panneaux explicatifs. Cela nous passionne.
Quelle n'est pas notre surprise. Les deux Allemandes sont assises sur un banc. Elles nous voient arriver. Grands sourires !
Nous bavardons à nouveau un petit moment. Les deux touristes prennent le train pour Glasgow en soirée à Edimbourg. Joie.
Je prends une initiative bien vicelarde. Je pose ma main sur ma braguette pour me palper le sexe tout en bavardant. Sympa.
Les deux jeunes femmes semblent absolument épatées par mon attitude. Même Clémentine est enchantée par mon initiative.

Je regarde à gauche et à droite. Nous n'avons qu'un court instant. J'ouvre ma braguette et je sors ma bite. Je l'agite un peu.
Les deux jeunes femmes éclatent de rires. L'une d'entre elles me demande si elle peut prendre une photo. Je secoue ma bite.
Clémentine oppose un refus catégorique. Pas de risque et pas de ce genre de chose qui pourrait se retrouver sur le Web...
Les jeunes Allemandes semblent un peu déçues de l'attitude soudaine de Clémentine qui m'entraîne en saluant les touristes.
< Je suis jalouse ! C'est moi qui prend ce genre d'initiative. Je ne veux pas que tu montres ta bite sans mon avis ! > fait elle.

Je suis étonné. Cette attitude est plutôt rare chez ma compagne. Je comprends très bien. Nous rions de bon cœur. Il est 19 h.
Le parc va fermer ses portes. Nous commençons à avoir faim. Direction le centre d'Edimbourg. Nous y sommes pour 20 h15.
Clémentine me fait part de sa grande excitation : < Tu t'es surpassé, aujourd'hui. Le salaud que j'aime ! > me fait Clémentine.
Nous choisissons un restaurant un peu à l'écart du centre. Nous voilà à déguster des fruits de mer. Clémentine est très excitée.
Après le restaurant, nous flânons longuement dans les rues animées. Festivités. Des musiciens partout. Tripotages discrets...

Nous sommes de retour à l'appartement pour 23 h30. Clémentine se met à genoux dès notre arrivée, devant la porte. Rires.
< Ta bite, vite, espèce de salopard ! > me fait la jeune fille, les mains posées sur sa tête. Je lui mets une gifle. Je sors ma bite.
Clémentine me bouffe la queue en gémissant d'excitation. Je la saisi par sa natte pour la guider et la forcer à se redresser.
Je l'entraîne sur le lit. Je lui arrache la culotte. Je me mets à lui sucer le clitoris. Elle est tellement excitée qu'elle jouit. Salope.
Cette fois, elle n'a pas réussi à repousser l'orgasme. Je lui mets la bite dans la bouche. Je me fais sucer longuement. Vicelard.

Bonne découverte de Arthur's Seat à toutes les jeunes salopes qui aiment se faire tenir par leur natte pour la visite. Soumises.

Julien - (Qui redouble d'imagination pour satisfaire les pulsions d'une jeune fille de 20 ans. Clémentine adore ces situations) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 159 -



Nous mettons cette avant dernière journée écossaise à profit - Jour 45 -

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par plein de douceurs qu'on me murmure à l'oreille. J'ouvre les yeux. On me fait des bises.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. < Bonjour Clémentine ! > que je fais en lui faisant des bisous.
Nous nous offrons plein de papouilles avant que Clémentine ne me chevauche en riant. Douceur, tendresse et confessions. Joie.
Clémentine m'avoue être réveillée depuis un petit moment. Comme chaque matin. Elle a beaucoup de mal à rester toute seule.
L'impérieux besoin de pisser met un terme à nos effusions. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Nous sommes morts de faim...

Nous nous précipitons à la cuisine afin d'y préparer notre petit déjeuner. Il est à peine 7 h45. Tranches de pain grillé. Confiote.
Jus d'orange, miel, beurre et yaourts. Clémentine me fait remarquer que nous avons bien organisé les choses, peu de restes.
El effet, nous arrivons à la fin des fruits, des légumes. Il reste du fromage, des yaourts, du beurre. Et le frigo est presque vide.
Nous mangeons d'un bon appétit. Clémentine me fait part de son impression très favorable quand à mon comportement de hier.
Je suis prié de recommencer aujourd'hui. Nous rions de bon cœur. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Nous bavardons.

J'expose le programme de la journée. Nous resterons bien évidemment à proximité d'Edimbourg. Clémentine aime trop la ville.
Il fait beau. Nous profiterons de la journée ensoleillée qui s'annonce pour partir en randonnée. Nous irons en direction de Shore.
Ce petit bourg typique et de caractère que nous avions découvert à bicyclette. 12 km de marche, aller et retour. Superbe virée.
Clémentine, toute contente, me fait plein de bisous. Elle passe sa main sous mon T-shirt pour s'emparer de ma queue. Rigolade.
Je fais remarquer à Clémentine que lorsqu'elle est espiègle, elle me fait penser à Emma Peel, l'héroïne partenaire de John Steed.

Nous faisons notre vaisselle. A plusieurs reprises je pose ma main sur la nuque de la jeune fille dont j'aime les sursauts étonnés.
Je lui glisse à l'oreille : < Garde tes cheveux en natte, encore aujourd'hui ! >. Elle me dit : < Oh oui, comme hier, une laisse ! >
Nous rigolons comme des bossus à cette simple évocation. Nous nous mettons en tenues, c'est le rituel de notre jogging. Sympa.
Il est 8 h30 lorsque nous partons en courant pour notre itinéraire habituel. Depuis la colline, Edimbourg scintille de mille feux.
Nous sommes de retour pour 10 h. La douche. < J'adore te regarder te raser, c'est érotique ! > fait Clémentine, tenant ma bite.

Je prépare nos affaires dans le sac à dos. Nous partirons en fin de matinée. Clémentine allume l'ordi. Deux messages quotidiens.
Un mot d'Estelle. Un mot de Juliette. Nous répondons en joignant deux photos "selfies" prises hier tout spécialement à cet effet.
Estelle nous raconte son impatience. Elle est pressée de nous revoir. Elle arrive aux extrêmes limites du supportable. Amusant.
Juliette nous raconte les petits plats qu'elle se prépare avec les légumes de notre potager dans son nouvel appartement. Plaisir.
Clémentine, par acquis de conscience, se rend sur le site de l'université. Les informations sont principalement d'ordre matériels.

Il est onze heures trente. Nous voilà en route. Clémentine est vêtue de sa jupette "tennis", d'un T-shirt et de baskets. Belle, sexy.
Je suis en short, en T-shirt et baskets. Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite. Nous arrivons au parking. Voiture à l'ombre.
Il fait chaud. Fort heureusement une légère brise permet de respirer. Clémentine me prend la main pour m'entraîner. Les fourrés.
< Je t'aime ! Comme une folle. Je me réjoui pour cette nouvelle virée ! > me fait la jeune fille en se serrant contre moi. Bisous.
Je me saisi de sa natte pour la tirer vers le chemin. Il y a des marcheurs. Il faut donc être plutôt discret. Nous sommes virtuoses...

Nous marchons d'un bon pas. Là-bas, de l'autre côté de la voie ferrée, nous apercevons la piste cyclable. Très fréquentée aussi.
A plusieurs reprises, Clémentine se place devant moi, m'arrête et me palpe discrètement la braguette. Je la prends par la natte.
J'adore lorsque Clémentine m'embrasse. Elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Les mélanges de salives. C'est excitant.
Une fois encore, je me balade en bandant comme un salaud. Clémentine, dont c'est la fin des règles, porte sa petite ficelle. Rires.
Ce qui ne m'empêche absolument pas de passer ma main entre ses cuisses bouillantes. Chaque fois, la fille manifeste un sursaut.

Nous passons devant les ruines du château. Nous gravissons le sentier à flanc de colline. Depuis le sommet, là-bas, Edimbourg.
Clémentine prend des photos. D'autres touristes font la même chose, alignés au bord du fossé. Nous en rions de bon cœur. Joie.
Sur le sentier qui descend, nous croisons un marcheur solitaire. Je saisi Clémentine par sa natte. Je la tiens comme à la laisse.
< Dis bonjour au monsieur ! > que j'ordonne en Anglais à ma compagne. L'homme, quadragénaire, plutôt amusé, nous salue.
Clémentine s'accroupit immédiatement. Sa joue contre ma cuisse, ses bras autour de ma jambe, la jeune fille salue l'inconnu...

Le type se retourne pour s'arrêter un peu plus haut. Un tel spectacle ne laisse personne indifférent. Je tiens la natte de la fille.
L'homme, soudain très embarrassé, reprend sa route. Je force Clémentine à se redresser. Elle me palpe la braguette. La marche.
Là-bas, le village de Shore est éclairé de la lumière du soleil. Un léger vent du large rend l'air très respirable. Rien de très pénible.
Il est treize heures quarante cinq. Notre marche a ouvert nos appétits. Nous décidons d'aller manger sur le port. Trouver un coin.
Nous avisons un banc à l'ombre de grands arbres centenaire. Il y a de l'animation. La marée est montante. Bateaux prêts à partir.

Nous savourons nos fruits et nos sandwichs. Nous prenons tout notre temps. Clémentine évoque nos 45 jours en Ecosse. Ravie.
Nous reviendrons à Edimbourg pour les fêtes de fin d'année. Tout est déjà prévu avec oncle Steve. Nous aurons l'appartement.
Il y a un marin, là-bas, qui enroule un long filet bleu sur un treuil. Clémentine me fait : < Reste là, je m'offre une frayeur ! >.
Je regarde ma compagne contourner le kiosque à souvenirs, passer derrière la camionnette garée là et avancer vers le bateau.
Le marin n'a pas encore découvert cette grande jeune fille en jupette, sa natte flottant dans son dos, marchant les bras croisés.

J'observe la manœuvre d'approche de ma compagne. Elle marche doucement, les bras croisés, regardant au loin. Discrètement.
Elle passe. Elle repasse. Finissant bien évidemment par attirer l'attention de sa "cible". Le marin la découvre enfin. Il s'affaire.
C'est un quinquagénaire robuste, vêtu d'un bleu de chauffe et qui s'apprête à appareiller pour partir en mer. La marée monte.
J'admire toutes les ruses que met en application la jeune vicieuse. Elle passe tout près du marin qui lève la tête pour la saluer.
Depuis son bateau, en levant la tête, bien évidemment il a une vue magnifique sous la jupette de la jeune fille. Il reste affairé.

Clémentine revient sur ses pas. Le marin relève encore la tête. Il doit commencer à comprendre. La fille s'arrête à nouveau.
Elle regarde au loin. Clémentine reste ainsi, à quelques mètres, à consulter la brochure touristique qu'elle tient à la main. Jeu.
Le marin, soucieux de préparer son départ, reste concentré sur son travail. Ce qui ne l'empêche pas de regarder plusieurs fois.
Cette présence féminine, insistante, commence certainement à l'intriguer. Il est à environ deux mètres en contre bas du quai.
Là, au-dessus, à quelques mètres, il y a cette jeune fille qui vient de s'accroupir entre deux piles de cages, pièges à crustacés.

Cette fois, pas l'ombre d'un doute, le marin prend conscience d'être en présence d'une authentique salope. Une exhibitionniste.
Depuis le banc où je suis assis, je découvre cet étonnant spectacle. Je ne distingue que le haut de la tête du marin qui mâte.
Je me lève pour aller derrière la camionnette. Je veux voir ce que fait Clémentine. Cette salope est accroupit, cuisses écartées.
La brochure touristique posée au sol, devant elle, la jeune fille fait mine de la consulter en tournant les pages. Je bande. Super.
Le marin doit bander également. Il n'arrête plus de remonter la tête pour mâter la belle exhibitionniste. Il va falloir partir. Mer.

Le marin lève l'ancre. Le voilà qui s'éloigne. Il adresse un signe à Clémentine en levant le pouce de sa main droite. Salutations.
Clémentine fait exactement le même signe en écartant encore davantage ses cuisses. Le type détourne la tête. Concentré. Joie.
Je n'avais pas vu cet autre type, là-bas, qui a certainement tout vu depuis le banc où il est assit. Un jeune mec qui s'approche.
Clémentine s'est redressée. Elle se masse les genoux. Le jeune type arrive et lui adresse la parole. La fille semble surprise. Jeu.
Je regarde avec attention partout autour de moi. Je m'en veux de ne pas avoir été assez vigilant. Y en auraient-ils d'autres ?

Il y a du monde, mais personne dans les environs immédiats. Clémentine est entre la camionnette et les pièges à crustacés.
Le type est certainement un de ces vicelards qui cherche des "plans". Son attitude ne laisse aucun doute. Il se touche le sexe.
Tout en bavardant avec la jeune fille, le gaillard se palpe la braguette. Il regarde plusieurs fois partout autour de lui. Sécurité.
Clémentine, trop heureuse de se retrouver dans une telle situation, bavarde avec plaisir. Je suis planqué derrière le kiosque.
Je m'approche pour passer derrière l'amas de palettes et de cagettes. Le jeune mec vient de sortir sa bite tout en bavardant.

Pas l'ombre d'un doute, un exhibitionniste vient de faire la rencontre d'une exhibitionniste. Il a une superbe bite. Un vrai chibre.
Il l'agite en la faisant tournoyer devant la jeune fille. Le mec doit raconter des trucs marrants car je peux voir Clémentine rire.
J'observe la scène. Il me faut être d'une vigilance extrême. Je dois surveiller. En même temps ne pas être vu de l'exhibitionniste.
Le type se branle. Cambré sur ses genoux fléchis, le jeune homme se masturbe vulgairement. Un vrai vicelard. Quelques minutes.
Je ne sais pas s'il éjacule, je ne peux pas le distinguer. Mais toujours est-il qu'il cesse. Je comprends. Là, arrivent deux marins...

Clémentine en profite pour filer rapidement. Le jeune homme remballe. Il semble affolé et fébrile. S'est-il fait surprendre ? Voir ?
Clémentine m'entraîne par la main, me disant : < Génial ! Un coup double ! >. Nous rions de bon cœur. Nous visitons le bourg.
Il y a un monde fou. Nous nous offrons des cônes glacés. Nous flânons dans les boutiques de bord de mer. Il est déjà 15 h30.
Nous avisons l'une des terrasses qui donnent sur le port. Nous choisissons une table qui vient de se libérer. Là, à l'ombre. Bien.
Nous sommes assis à siroter des jus de mangue avec des glaçons. Clémentine me fait : < Regarde le mec du port. Le porc ! >

En effet, là, poussant une bicyclette, il y a le jeune exhibitionniste du port. Il ne nous a pas vu. < Le branleur ! > fait Clémentine.
< Tu as vu la bite qu'il a ? Tu as vu le machin ? > me fait ma compagne. Nous rigolons comme des bossus. Le jeune type repasse.
< Je suis certaine qu'il cherche un "plan" exhibe ! > fait encore Clémentine qui s'y connaît en trucs vicelards. Et depuis longtemps.
Nous traînons à table. Nous apprécions de ne rien faire et de savourer l'instant. Il y a du monde partout. Des touristes et visiteurs.
Il est 17 h lorsque nous retournons marcher un peu dans les rues du village. Profiter une dernière fois de l'ambiance de Shore...

Il est 18 h30 lorsque nous prenons le chemin du retour. Nous marchons en sens inverse. < Regarde là-bas ! > me fait Clémentine.
Je regarde dans la direction qu'elle m'indique. Là-bas, sur la piste cyclable, le jeune vicelard qui roule doucement en mâtant bien.
Je dis à Clémentine : < Encore une bite que tu aurais pu goûter ! >. La jeune fille me regarde, sévère pour me dire : < T'es fou ! >
Nous sommes de retour à Edimbourg pour 20 h. Notre choix se porte sur notre restaurant préféré. Personnel en costume écossais.
C'est devant deux énormes plateaux de fruits de mer que nous évoquons nos aventures de l'après-midi. Cela nous excite beaucoup.

Il est 22 h30 lorsque nous flânons dans les rues. Avec le festival d'Edimbourg, il y a de la musique et de l'animation partout. Sympa.
Plusieurs fois, discrètement, Clémentine palpe ma braguette. Je lui fais part de l'état probable de mon slip avec toutes ces émotions.
Nous rigolons comme des bossus. < Ce soir, on baise ! > me fait Clémentine dont c'est la fin des "petits machins" de fille. Promesse.
Nous sommes de retour à l'appartement pour 23 h30. Je bascule Clémentine sur le lit. Je lui suce le clito. Elle préfère éviter la moule.
Me repoussant doucement, elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Immobiles. Elle me raconte...

Bonne découverte d'un petit bourg typique de bord de mer dans la région d'Edimbourg à toutes les filles exhibitionnistes et vicieuses...

Julien - (Qui assure toujours la logistique nécessaire aux mises en scène et aux situations vicelardes qu'adore vivre Clémentine) -

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Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 160 -



Nous mettons à profit cette dernière journée écossaise pour faire des courses - Jour 46 -

Hier matin, jeudi, je suis le premier à sortir du sommeil. Je regarde l'heure. Il est 7 h30. Je regarde Clémentine qui s'étire.
Je fais comme elle. Je lui couvre le visage de bisous. Je lui mets la main entre les cuisses, juste sur son sexe. Un sursaut.
< Bonjour Clémentine ! > que je lui fais. < Bonjour Julien coquin ! > me fait la jeune fille en serrant ses cuisses très fort.
< Prisonnier ! > me fait elle encore avant de me chevaucher en riant. Papouilles, tendresse et douceur. C'est notre rituel.
Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. C'est notre autre rituel pisseux, avant le rituel de notre petit déjeuner...

Nous préparons ce premier repas de la journée avec une certaine fébrilité. Nous sommes morts de faim. Méthode efficace.
Jus d'orange, tranches de pain grillé, beurre, miel, confiture, café et yaourts. Je mets la table et Clémentine verse le café.
Nous mangeons d'un bon appétit en faisant le bilan de ces vacances. Clémentine en est ravie, enchantée et émerveillée.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Dehors, il fait gris, le ciel est couvert mais pas menaçant. Il fait encore lourd.
Nous mettons au point la stratégie et le programme de cette dernière journée écossaise. Dernière journée à Edimbourg...

< C'est le temps idéal pour traîner en ville ! > fait Clémentine en passant sa main dans mon slip afin d'attraper ma queue.
Je passe ma main dans sa culotte pour jouer avec sa touffe et tripoter les lèvres de son sexe. Son clitoris géant. C'est bon.
Je propose à Clémentine d'aller manger au restaurant à midi. Ce soir nous sommes invités à manger avec la famille. Joie.
Dans l'après-midi, nous irons faire les achats. Souvenirs à ramener pour Estelle et Juliette que nous voulons gâter un peu.
Nous faisons la vaisselle. C'est devenue une habitude. Clémentine passe derrière moi pour me saisir les couilles et la bite...

Je lui passe la main entre les cuisses. J'essaie de mettre toute la vulgarité possible dans mon geste. Clémentine en raffole.
Nous nous mettons en tenues. Nous sommes tous deux ritualisés. C'est notre fonctionnement naturel. Voila notre jogging.
Il est 8 h30 lorsque nous partons pour le circuit habituel. Il fait gris et très doux. Nous adorons ce climat. C'est magnifique.
Depuis le sommet de la colline, nous admirons une dernière fois les toits d'ardoises de la ville qui brillent sous la lumière.
< On dirait un grand morceau de Roquefort gothique ! > fait Clémentine. Je trouve la comparaison absolument pertinente.

Nous sommes de retour pour 10 h30 après une heure trente d'un running des plus agréables. Le rituel de la douche. Rires.
Nous voilà vêtus pour sortir tout à l'heure. Nous irons en ville pour midi. Clémentine allume l'ordi. Je réserve au restaurant.
Je fais une machine, les draps. Je rejoins Clémentine qui est allé en priorité sur le site de l'université. De nouvelles infos...
Nous découvrons les deux messages. Celui d'Estelle qui nous apprend qu'elle passera la nuit de samedi chez nous. Maison.
Juliette nous parle de ses vacances. Elle part le premier septembre pour la Vendée. Elle nous invite à manger le 30 août...

Nous répondons aux deux messages en joignant deux photos "selfies" prises hier au port de Shore, après nos aventures.
Clémentine me fait : < C'est génial ! Nous sommes déjà invités à manger mercredi prochain ! >. C'est une belle attention.
< Tu vas encore passer cette journée avec une sacrée salope ! > me fait Clémentine. Je réponds : < Ma salope sacrée ! >.
Nous rions de bon cœur. Je rajoute : < Ce soir, pas de gestes intimes ou ambiguës. Nous sommes en famille ! >. Rigolade.
Il est onze heures trente. Je suspends les draps sur l'étendoir de la cour derrière la maison. L'épouse de mon oncle vient.

Ma tante par alliance nous rappelle que si nous le voulons bien, le repas est prévu pour 20 h30. Il y aura Tante Betty aussi.
Oncle John également. Ils viendront de St Andrews pour manger avec nous. C'est un peu la conclusion du séjour écossais.
Nous voilà en route pour la ville. Clémentine est vêtue de sa jupe kilt, d'un pull en coton fin et de ses souliers à talons plats.
Sur sa demande, je porte mon pantalon clair en lin et à pinces. Une chemise claire en liberté. Mes mocassins clairs. Elégant.
Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite. Lorsqu'elle se penche sur sa gauche pour me sucer, je lui maintiens la tête.

Je la force à rester dans cette position. Je peux l'entendre glousser de surprise. < C'est le programme du jour ! > que je dis.
Je gare la voiture dans notre petite ruelle habituelle. Il y a dix minutes de marche jusqu'au centre ville. Nous marchons vite.
< J'aime quand tu te comportes comme un salaud ! > me fait ma compagne en me bloquant. Elle m'embrasse. Bonheur...
Discrètement, à chaque fois qu'elle se serre contre moi pour stopper notre marche, elle me palpe la braguette. Bien salope.
< J'aime quand tu te comportes comme une salope ! > que je rajoute. Clémentine répond : < C'est dans ma nature ! >. Joie.

Nous rigolons comme des bossus en arrivant à proximité de notre restaurant favori. Il y a du monde dans les rues. Touristes.
C'est cet établissement où le personnel exerce en costume folklorique écossais. Femmes et hommes en kilts et vestes noires.
Notre table, au fond, sur l'estrade, nous attend. Notre choix se porte sur du crabe grillé accompagné de petits légumes. Régal.
Les petits pois sont grillés et fumés selon une méthode que j'aimerais beaucoup connaître. <Secret ! > me répond la serveuse.
Nous savourons ce repas en traînant longuement à table. Clémentine a parfois un air de gravité en évoquant nos vacances...

< Je me suis attachée à toi. Je ne l'ai jamais été de personne et c'est une nouvelle découverte aussi ! > me fait Clémentine.
Elle rajoute : < Je t'aime comme une folle. Je m'étais déjà attachée à toi depuis plus d'un an, mais là, c'est obsessionnel ! >.
Je la rassure en disant : < C'est tout à fait pareil pour moi ! Tu es devenue "essentielle" ! >. Nous nous prenons les mains.
Nul doute que ce séjour écossais nous a encore rapproché davantage. Si cela était toutefois possible ! Parce que c'était déjà !
< Tu te rends compte, tout ce bonheur qui nous attend encore ! > fait Clémentine en me serrant les mains. Nous nous fixons.

Elle rajoute : < Tout ce bonheur et tous les plaisirs que nous pourrons nous offrir feront de nous de véritables privilégiés ! >.
J'appui ce propos en disant : < Et nous ne serons même pas obligés de nous forcer ! > Nous rions de bon cœur. Le dessert.
C'est devant d'énormes coupes glacées que nous mettons au point l'emploi du temps de l'après-midi. Nous resterons en ville.
Nous conversons en dégustant nos glaces, faisant mille projets pour la rentrée. Aménager un espace floral dans notre jardin.
Il est 14 h lorsque nous flânons dans les rues. Nous sommes un peu lourds. Il y a du monde. Le ciel restera sans doute gris...

J'entraîne Clémentine dans cette boutique devant laquelle nous avons souvent admiré les vitrines. Des vêtements écossais.
J'ai le désir d'offrir à Clémentine tout un véritable ensemble écossais. Mais pas folklorique. Un ensemble d'une élégance folle.
Nous entrons dans la boutique. Il y a un couple de vendeurs. Une jeune femme presque de la taille de Clémentine. Grande.
Le vendeur est un jeune homme trapu aux longs cheveux roux attachés en catogan. Nous regardons les mannequins. Beaux.
Je demande à la vendeuse s'il est possible d'essayer les vêtements. < Bien sûr ! > fait elle en nous montrant les cabines...

Clémentine regarde les magnifiques jupes en tweed. Ce sont des tissus de qualité, épais et confectionnés avec un soin fou.
Ma compagne observe les coutures, le fini, et fait son choix. J'adore la voir heureuse. J'adore les essayages en cabines. Bien.
Je suis assis dans un des deux confortables fauteuils au fond devant les quatre cabines fermées d'un épais rideau. J'attends.
Je suis d'une patience infinie. Je m'apprête à passer là un délicieux moment. Clémentine revient. Elle est absolument superbe.
Vêtue d'un véritable kilt qui lui arrive au-dessus du genoux. Un chemisier au col et aux manches de dentelle. Une veste noire.

Clémentine insiste pour porter les chaussettes typiques avec les souliers noirs. La jeune fille est absolument sublime. Belle.
Je l'admire. Elle marche devant moi, tourne à plusieurs reprises devant le grand miroir. Elle sait qu'elle est belle. J'adore !
Le choix est fait. Ce sera cet ensemble. Il y a le jeune vendeur qui mâte parfois discrètement. La vendeuse vient nous voir.
Clémentine, dans le miroir, a remarqué le jeune voyeur qui la mâte discrètement depuis le couloir. Je bavarde avec la fille.
La vendeuse va nous faire un superbe emballage. Je vois Clémentine, accroupit devant le miroir, cuisses écartées. Salope.

Je fais mine de ne pas m'en apercevoir, mais je vois le jeune vendeur comme halluciné derrière son comptoir. De quoi mâter.
Il n'en croit certainement pas ses yeux. Clémentine reste ainsi, ostensiblement accroupit, les mains posées sur ses cuisses.
Le buste bien droit, se fixant dans le miroir, ma compagne garde cette position. La jeune vendeuse me regarde en souriant.
Je lève le pouce de la main droite. La vendeuse me fait le même signe. Je lui fais un clin d'œil. Elle me fait un clin d'œil. Jeu.
Cette complicité, entre inconnus, doit exciter la vendeuse autant que moi. Clémentine retourne dans la cabine. Se changer...

Ma compagne revient et tend les vêtements à la vendeuse qui s'en saisit pour préparer l'emballage. Nous visitons les lieux.
Estelle a la même taille que Clémentine. Elles ont toutes les deux un "36". Je choisis un autre kilt que je fais emballer aussi.
Juliette est moins grande et certainement, c'est un "38" qu'il lui faut. Troisième emballage. J'aime faire des cadeaux. Joie.
Clémentine s'est bien rendue compte que le jeune vendeur ne la quitte plus des yeux. Moi aussi, dans les différents miroirs.
Ma compagne se positionne entre deux mannequins. Je fais semblant d'être absorbé par les emballages de la vendeuse...

Clémentine a passé une main sous sa jupe. Elle se touche discrètement. Le jeune vendeur a toujours son air halluciné. Discret.
La jeune vendeuse a bien compris le jeu de Clémentine. Nous sommes clients, de très bons clients. Et le client est roi. Sourires.
La jeune vendeuse, tout en faisant les paquets, me lance quelques regards complices pendant que Clémentine continue son jeu.
La jeune employée doit s'éclater un maximum. Elle a du mal à dissimuler son contentement. Je mime une masturbation. Vice...
J'agite ma main fermée de haut en bas, dans un geste sans équivoque devant la jeune vendeuse. Elle me fait un sourire gêné.

Les paquets sont faits. Trois emballages de papiers kraft décorés d'un sceau en cire qui scelle des cordelettes de toute beauté.
C'est très "classe". Clémentine vient me rejoindre. La jeune vendeuse la regarde avec admiration. Je fais mine de me branler.
La jeune vendeuse doit être dans un état qu'elle peut difficilement cacher. J'insiste dans mon comportement bien vicelard...
Je prend mon portefeuille. Clémentine fixe le jeune vendeur sans baisser son regard. Le jeune homme semble pris de vertige.
Je paie. La vendeuse veut me rendre un peu de monnaie. Je lui propose de la garder pour elle. Enchantée, elle me souri. Belle.

Juste avant de prendre les paquets, je mime une branlette. La vendeuse me fait un délicieux sourire. Je montre les cabines.
Je lui fais un clin d'œil. C'est une invitation. Je prétexte un oubli. Je désire aller aux cabines pour voir si nous n'avons rien laissé.
Clémentine a compris le "plan". La vendeuse nous précède. J'entre dans la cabine. J'ouvre ma braguette. Je sors ma queue.
Je ressors en restant à l'entrée. Je tiens le rideau d'une main. J'agite ma bite de l'autre. La vendeuse n'en croit pas ses yeux.
Clémentine s'avance et me prend la queue qu'elle agite devant la jeune fille. Elle nous fait le plus délicieux des sourires. Vice.

Nous n'insistons pas. Je remballe. Nous récupérons nos paquets dans deux grands sacs de papier glacé. Nous quittons les lieux.
< J'adore quand tu te comportes en vicelard avec d'autres filles. Je pourrais me branler à te regarder faire ! > fait Clémentine.
Nous allons à la voiture pour y déposer nos sacs contenant les paquets. Nous retournons au centre. Nous désirons des livres.
Quelques ouvrages documentés sur l'Ecosse que nous trouvons dans la grande librairie. Il y a du monde. Pas de "plans" ici !
Nous traînons longuement à feuilleter de nombreux ouvrages. Notre choix se porte sur quatre magnifiques albums de photos.

Nous faisons faire des emballages "cadeaux". Un livre pour Estelle. Un livre pour Juliette. Il est déjà dix sept heures. C'est fait.
Nous repassons devant la boutique. Discrètement nous regardons par la vitrine. Il y a des clients. Nous observons le personnel.
< Tu imagines les orgasmes qu'ils vont s'offrir ce soir, ces deux vicieux ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Nous retournons visiter une boutique de souvenirs. Nous choisissons des bols aux emblèmes écossais. Blason et armoirie. Bien.
Nous terminons notre virée dans un salon de thé. Le ciel s'éclaircit un peu. Nous faisons le bilan de notre après-midi vicelard...

Il est 20 h lorsque nous revenons à l'appartement. Nous nous changeons. Je lèche le clitoris géant de Clémentine, hyper excitée.
< Je vais te baiser tout à l'heure, petite salope, comme tu le mérites ! > que je fais. En disant ces mots, je provoque l'orgasme.
< Salaud ! Tu mériterais que je te branle en famille ! > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Il faut descendre.
Ma tante et mon oncle de St Andrews sont contents de nous revoir. Le repas se déroule dans une superbe ambiance. Enchanteur.
Clémentine se sent si bien, elle a été accueilli par ma famille comme ma compagne légitime. Pas une jeune fille que je me traîne.

Bonne exhibition à toutes les coquines qui aiment faire de l'essayage vicelard dans des boutiques "classes". Exhibes de qualité.

Julien - (Qui a montré sa bite à la vendeuse, jeune et belle complice. Après avoir bien "senti" l'ambiance bien évidemment) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 161 -



Nous avons quitté Edimbourg pour descendre sur Londres - Jour 47 -

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous. Sur les joues, le front, le nez. On me tient la queue.
J'ouvre l'œil, et le bon. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >
A peine ai-je prononcé ces mots que ma compagne me chevauche en riant. Il est 7 h45. Papouilles, tendresse et douceur.
Clémentine m'entraîne par la main en direction des toilettes. C'est le rituel des pissous. Nous nous précipitons à la cuisine.
Animés d'une faim de loup, nous nous préparons notre petit déjeuner. Le ciel est couvert mais lumineux. Il fait très doux.

Tout en mangeant, nous faisons un rapide bilan des jours passés. Nous élaborons le programme de la journée à venir.
Nous quitterons Edimbourg pour en fin de matinée. Il y a quelques sept cent kilomètres qui nous séparent de Londres.
Il faut compter environs huit heures de route en roulant prudemment. Je déteste dépasser le 90 km/h. C'est viscéral.
Nous nous réservons la possibilité de nous arrêter lorsqu'un endroit attire plus particulièrement notre attention. Temps.
Sans compter que nous irons manger dans un restaurant vers treize heures. Je prévois une arrivée à Londres vers 21 h.

Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. < C'est tristounet de quitter Edimbourg ! > me fait la jeune fille. Je la serre.
< Et puis Londres, c'est plutôt intéressant ! > rajoute t-elle en passant sa main dans mon slip pour se saisir de ma queue.
Nous faisons notre vaisselle. Nous faisons toute chose avec méthode, en étant rationnels et concentrés. De la réflexion.
Il y a cette ambiance particulière emprunt de la saveur élégiaque d'un départ imminent. C'est toujours un grand moment.
A plusieurs reprises, pour écarter toute tristesse, Clémentine passe derrière moi pour m'attraper par les couilles en riant.

Je passe ma main entre ses cuisses chaudes. Dans sa culotte c'est un peu moite. J'aimerais beaucoup y goûter. Un régal.
Aussi, soulevant la jeune fille, je l'entraîne sur le lit. Je lui retire cette culotte pour humer sa nuit de fille. C'est enivrant.
Je me régale quelques instants. Clémentine me repousse. < T'es fou ! Viens on se prépare ! > me fait elle en rigolant.
Nous nous mettons en tenues. C'est le rituel de notre jogging quotidien. Il est 8 h30. Nous voilà à courir d'un bon rythme.
Au sommet de la colline, nous regardons une dernière fois Edimbourg. Nous revenons pour 10 h. C'est la douche. Sympa.

Nous nous habillons pour le voyage. Clémentine met sa jupe la plus légère. Un T-shirt et des sandalettes. Je fais de même.
Je porte un short, un T-shirt et mes sandalettes. Nos affaires déjà plus ou moins prêtes depuis la vieille, nous attendent.
Nos trois valises et les grands sachets sont posés près de la porte. Dans la glacière, le reste de fromage, les yaourts. Beurre.
Clémentine allume l'ordi. Nous répondons rapidement aux deux messages. Estelle et Juliette nous souhaitent bon voyage.
Nous répondons en joignant deux dernières photos "selfies" prises hier, devant la boutique où nous nous sommes amusés.

Nous descendons nos affaires à la voiture. Nous allons saluer une dernière fois Oncle Steve et sa femme. Coup de sonnette.
Oncle Steve vient nous ouvrir pour nous faire entrer. Nous mettons au point notre retour le vendredi 22 décembre au soir.
Oncle Steve viendra nous chercher à l'aéroport. Nous resterons en contact étroit jusque là. Nous serons là jusqu'au 3 janvier.
Je tends discrètement une enveloppe. Nous autres, écossais, même si ce n'est jamais évoqué, connaissons les convenances.
Il est onze heures lorsque nous quittons la propriété. Oncle Steve et sa femme restent à nous faire signe. Haut de l'escalier.

Nous prenons la direction de l'autoroute A 702. Nous serons à Abington pour treize heures. Petit village sans réel intérêt.
J'y connais un bon petit restaurant où je m'arrête presque à chaque retour depuis plus de quinze ans. Je connais l'itinéraire.
Je roule doucement en quittant Edimbourg. < Au revoir charmante petite ville. I'll be back ! > fait Clémentine un peu triste.
Nous sommes rapidement sur l'autoroute. La circulation est fluide, et ça roule bien. Clémentine joue avec ma bite. Rires.
Nous bavardons. Clémentine évoque des moments, des jours précis de notre séjour. Elle a réalisé près de trois cent photos.

Il est presque treize heures lorsque nous arrivons à Abington. Après avoir quitté l'autoroute, nous prenons la petite route.
Quelques kilomètres et nous voilà dans ce petit bourg. Rues désertes. Maisons fleuries, mais sans caractère. Eglise moche.
Je gare la voiture sur la place. Le restaurant est ouvert. Il y a quelques tables libres. Nous voilà assis à consulter la carte.
Il y a bien du poisson, mais rien qui nous emballe vraiment. Nous prenons du thon à la crème accompagné de spaghettis.
Heureusement, la carte des desserts indique "Coupes Glacées". Nous mangeons toutefois d'un bon appétit. Il est 13 h45.

Nous sommes sur le parking. Il y a un poids lourd garé là-bas, près de l'hôtel de ville. Clémentine me fait : < Attends ! >.
Elle m'entraîne vers les toilettes publiques. Nous descendons l'escalier. Je reste à distance en laissant Clémentine seule.
J'entends une voix grave et masculine qui salue la jeune fille. C'est certainement le chauffeur du camion. Je m'avance.
Je regarde discrètement. Effectivement c'est un gros moustachu, vêtu d'un "marcel" bleu, qui se lave les mains. Je mâte.
Clémentine se lave les mains au-dessus du lavabo voisin. La présence de cette jeune fille ne laisse pas le type indifférent.

Voilà notre gaillard qui devient entreprenant. Il adresse la parole à Clémentine. Il ne tarde pas à avoir une attitude ambiguë.
Je ne vois pas ce qu'il fait de sa main, il me tourne le dos. Trop heureux de cette rencontre inattendue, il doit se tripoter.
Clémentine semble soudain très gênée. Joue t-elle la comédie ou est-elle réellement importunée ? Je regarde avec attention.
C'est certain, le gros type vient de sortir sa bite. L'odeur soudaine n'est pas sans rappeler nos spaghettis au thon. Puanteur.
Clémentine regarde ce que fait le type avec un air écœuré. Le gros moustachu s'avance. Je crois qu'il est temps d'intervenir.

Je descends les dernières marches. Le type se détourne rapidement pour entrer dans un des cabinets, refermant sa braguette.
Clémentine agite sa main droite sous son nez qu'elle serre des doigts de sa main gauche. L'odeur de la bite du mec ! Thon !
Nous remontons. < Put-hein ! Tu aurais vu sa bite ! Il n'y avait pas que l'odeur ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Nous voilà en route pour retourner sur l'autoroute. Nous roulons bien. Parfois Clémentine se penche à gauche pour me sucer.
Souvent, lorsqu'elle veut se redresser, je la maintiens fermement par la nuque. Je l'entends glousser de surprise et de plaisir.

Il n'y a pas grand chose à voir. Le paysage est plat. Nous roulons à proximité de l'océan que nous distinguons parfois là-bas.
Il est dix sept heures trente lorsque nous arrivons dans la région de Liverpool. Spectacle tristounet. Ruines d'industrialisation.
Nous apercevons toutes ces vieilles cheminées, tous ces terrils abandonnés, témoins d'un passé industriel déjà bien lointain.
C'est un peu pareil jusqu'aux environs de Manchester que nous dépassons vers dix huit heures. Un nouvel arrêt pipi s'impose.
Je m'arrête dans une station service. Il y a une supérette et des toilettes à l'arrière. Plein de camions et de voitures garés là.

Nous allons aux toilettes. Hygiène douteuse, odeurs épouvantables. Les regards qui se croisent en ces lieux, sont étranges.
C'est comme si les inconnus qui se croisent là ont tous des arrières pensées douteuses ou du moins suspicieuses. Le vice.
Comme toujours, sans même avoir le besoin de nous concerter, je reste à l'écart. Nous jouons aux parfais inconnus. Le jeu.
Clémentine fait évidemment semblant de se tromper de toilettes, entrant chez les hommes. Attirant des regards libidineux.
Rien n'excite davantage la jeune fille que ces ambiances glauques et poisseuses. Je fais semblant de ne pas la connaître...

Je me lave les mains. Dans le grand miroir, je regarde Clémentine entrer dans un des cabinets, tenant un mouchoir en papier.
Il n'est évidemment pas question d'avoir le moindre contact avec des poignées de porte ou autres ustensiles. Prudence. Bien.
Il y a un type qui a repéré la fille. Il se positionne au-dessus d'un des urinoirs. Je le mâte dans le miroir. Il semble attendre.
Et ça ne rate pas. A peine Clémentine sort elle du cabinet que l'individu se tourne légèrement pour lui montrer sa bite. Vice.
Les exhibitionnistes affectionnent ce genre d'endroit. Tout spécialement les rares fois, où il y a une jeune fille. Vrais vicelards.

Il faut y aller. Clémentine se lave les mains. Je pisse. J'entends le type murmurer des trucs. Il se lave les mains également.
Le salaud a la bite à l'air, juste à côté de la jeune fille. Il y a un autre mec qui vient de s'apercevoir. L'ambiance est torride.
Clémentine file à toute vitesse, s'en est trop, même pour elle. Je me dépêche de la rejoindre. Il y a déjà un mec qui la colle.
Ma compagne se précipite vers moi. Le type se détourne en me lançant un regard plein de haine. Nous voilà dans la voiture.
Nous roulons bien. La circulation devient plus dense. C'est vendredi, fin d'après-midi. Nous approchons de la capitale. Bien.

Dans la voiture, tout en jouant avec ma bite, Clémentine me raconte des aventures vécues lorsqu'elle était adolescente. Joie.
Les lieux glauques qu'elle découvrait lors de ses expéditions solitaires, à bicyclette ou à pieds. Les toilettes d'une vieille usine.
Le cabanon de jardin où elle aimait se planquer pour observer des pêcheurs vicelards au bord des étangs. Ses masturbations.
Clémentine a toujours été attirée par ce genre de chose. Je découvre toujours avec étonnement et enchantement ses récits.
Se masturber discrètement dans des situations à risques calculées et en s'entourant toujours d'élémentaires précautions...

Nous arrivons dans les faubourgs de Londres. Sur la droite, là-bas, nous pouvons apercevoir les sommets du pays de Galles.
Je promets à Clémentine de lui faire découvrir un jour cette région à la beauté fabuleuse. L'Angleterre aussi recèle de beauté.
Il est vingt heures quarante cinq. Nous sommes dans le flot d'une circulation très dense. Il y a six voies d'autoroute pourtant.
Il faut prendre notre mal en patience. Il est vingt et une heures trente lorsque nous arrivons sur le parking de l'hôtel. Ouf !
Nous prenons possession de la chambre réservée. Nous comprenons immédiatement pourquoi le prix est si bas. Un merdier.

Au-dessus de nous il doit y avoir un groupe de musiciens. Nous entendons de la guitare. L'hygiène est douteuse. Draps sales.
Nous descendons pour nous plaindre. Je montre les photos que je viens de prendre à la réceptionniste. Elle appelle le directeur.
C'est un indien en turban, élégant dans son costume, qui se confond en excuses. Il nous propose une autre chambre à l'étage.
< C'est une chambre à 350 euros ! > nous fait-il très gêné. Il rajoute : < Je vous la laisse au même prix ! >. Il est très gêné.
Je supprime les photos en lui montrant mon appareil. Voilà enfin une chambre digne de ce nom. Tout est propre. Hygiène...

Je connais bien la mentalité londonienne. Nous autres, écossais, nous savons à qui nous avons affaire. Nous sommes vigilants.
Nous rangeons nos affaires. Nous sommes morts de faim. Nous voilà dans les rues animées de Soho, quartier interlope. Lopes.
Il y a quantité de restaurants. Il faut êtres prudents. Nous étudions bien les menus affichés. Voilà un restaurant "seafood".
Un endroit plus cher, plus luxueux mais offrant une nourriture de qualité. Notre choix se fait sur des steaks de saumon haché.
Accompagné de petits légumes, c'est un véritable délice. Il est 23 h30. Nous flânons dans les rues animées. Morts de fatigue...

Bonne découverte des endroits glauques sur le bord de vos autoroutes préférées à toutes les petites coquines vicelardes...

Julien - (Toujours très vigilant à Londres où il faut rester méfiant tout en admirant cette ville cosmopolite à la vie intense) -

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Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 162 -



Nous partons à la découverte de la capitale Britannique - Jour 48 -

Hier matin, samedi, je suis réveillé par des bisous, des murmures et on me tient fermement par le sexe. Je bande très fort.
J'ouvre les yeux. Clémentine me murmure des tonnes de "je t'aime". < Bonjour Julien ! > fait elle dès que je suis réveillé.
Je la serre contre moi. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >. La jeune fille, comme souvent, est réveillée depuis un moment.
Elle me chevauche en riant. Nous sommes dans cette chambre d'hôtel plutôt impersonnelle et qui nous déstabilise un peu.
Il est 7 h45. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Nos rituels sont autant de repères qui nous permettent de bien "survivre".

Nous sommes morts de faim. Pour éviter la mauvaise bouffe du petit déjeuner des hôtels, nous avons tout prévu. Sympa.
Nous avons notre miche de pain complet "Bio" ramenée d'Edimbourg. Nos confitures, notre miel et même le beurre. Fruits.
Je sors le tout de la glacière. Il faudra la rebrancher sur l'allume cigare de la voiture dès ce matin. Nous nous régalons...
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux en terminant son yaourt. Nous faisons un rapide bilan des jours passés. Super.
J'expose le programme de la journée. Suggestions qui sont accueillit avec enthousiasme. Clémentine se saisit de ma bite.

Nous prenons la voiture ce matin pour aller courir à Wimbledon Common, ce magnifique circuit au Sud Ouest de Londres.
Notre entraînement quotidien est une activité bien trop importante pour que nous nous en privions. Nous nous habillons.
Clémentine m'attire par la queue jusqu'à la fenêtre. Il fait beau. Pas de doute, cette journée londonienne sera très belle.
Nous voilà en tenue. Nous descendons par l'ascenseur jusqu'au parking du sous-sol. Je branche la glacière. En voiture !
La circulation est dense. Samedi matin. Je connais bien la ville. Je passe par Marylebone Hight street. C'est plus direct...

A peine un quart d'heure plus tard, je gare l'auto sur le parking le long du grand parc. Il y a du monde. Plein de joggeurs.
Il est 8 h45. Il fait déjà chaud. Nous nous mettons à courir. Nous croisons un nombre invraisemblable de coureurs. Fou !
Nous nous offrons une heure trente d'un running très agréable dans les sous-bois et les frondaisons du parc. Magnifique.
C'est un peu pénible de reprendre la voiture en sueur. Retour à l'hôtel. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons.
La chambre a déjà été faite. Il est onze heures. Nous consultons rapidement nos messageries pour répondre aux mails...

Il est onze heures trente lorsque nous marchons dans les rues animées de Soho. Nuit et jour c'est vivant et très animé.
Nous nous rendons à l'office de tourisme. Clémentine choisi quelques brochures pendant que je réserve deux places. Bus.
Nous ferons un circuit dans Londres assis dans un bus à impérial. Ces autocars à deux étages, rouges et si typiques. Joie.
Dès 14 h, nous irons jouer aux touristes. Sur un court laps de temps, c'est la formule idéale pour découvrir Londres. Bien.
Nous flânons jusqu'à Picadilly Circus. C'est un quartier à la population mixte. Les commerces y sont abondants. Assez chers.

Cette promenade commence à nous ouvrir l'appétit. Nous lisons les menus affichés devant les restaurants que nous croisons.
Notre choix se fixe sur "Randall & Aubin Restaurant", spécialisé en fruits de mer. Il y a des tables de libres. Il est midi trente.
Clémentine est vêtue d'une jupe légère qui lui arrive au-dessus du genoux. Un T-shirt et ses sandales à légers talons. Belle.
Je suis en short, T-shirt et sandales. Il fait vraiment chaud. Nous n'avions plus l'habitude. < C'est le Sud ! > fait Clémentine.
En effet, c'est le Sud de l'Angleterre. Conjuguée à la chaleur urbaine, la température peut incommoder. Il y a la climatisation.

< Regarde les deux mecs derrière, des hommes d'affaires ! > me fait Clémentine. Je regarde. Deux types en costards. Assis.
La trentaine, les deux hommes évoquent ces traders que l'on voit dans quelques films américains. Des "businessmen". Rire.
Je comprends où Clémentine veut en venir. Je dispose mon téléphone de façon à pouvoir m'en servir comme d'un rétroviseur.
Sur l'écran noir, je peux parfaitement distinguer l'homme qui est tourné vers Clémentine, table derrière la notre. A 2 mètres.
C'est un homme sans doute d'origine indienne. Il est très beau. Cheveux noirs brillants. Vêtu d'un élégant costume. "Classe".

Clémentine, tout en mangeant, me raconte l'évolution de la situation. Je scrute sur l'écran de mon téléphone. Le type mâte.
Une fois encore, ma compagne vient d'attirer l'attention d'un inconnu, dans un restaurant, sur ses activités "dessous de table".
Nous rions de bon cœur à l'évocation de cette situation délirante, discrète mais hautement excitante. Le jeune homme mâte.
Tout en mangeant, tout en bavardant avec son collègue dont nous ne voyons pas le visage, le type louche avec attention...
A quelques reprises je vois Clémentine regarder discrètement partout autour de nous avant de glisser une main sous la table.

La jeune fille me raconte. C'est passionnant. Je regarde l'attitude du jeune homme qui reste stoïque et parfaitement calme.
Clémentine fait : < Je vais aux toilettes. Le test des chiottes. J'en profite pour enlever ma culotte ! >. Je la regarde se lever.
Il y a tout juste quelques instants qui se passent avant que le type ne se lève à son tour. Pas de doute. Il va aux toilettes.
Je donnerais cher pour être caché là-bas. Je sais pourtant bien ce qui s'y trame. J'ai assisté tant de fois aux show de la fille !
Clémentine revient assez rapidement. < Il y avait un autre mec, dommage ! Pas de "plan" chiotte ! > m'apprend t-elle déçue.

Nous rions de bon cœur. Le jeune homme est revenu s'asseoir à son tour. Clémentine a posé sa culotte à côté de son assiette.
Nous rigolons comme des bossus. Elle m'a déjà fait le coup plusieurs fois. Je regarde l'écran de mon téléphone. Le type mâte.
Pas le moindre doute, il vient de constater que la jeune fille ne porte plus de culotte. Il en est certain à présent, une salope !
Clémentine me raconte ce qu'elle fait. Masturbation discrète et rapide. Clitoris en érection, touffe humide. Coulures probables.
< Je vais encore laisser de la mouille sur la chaise en partant ! > me fait ma compagne. Nous rions de bon cœur. C'est super.

Nous terminons nos énormes coupes glacées. Il est bientôt l'heure de rejoindre le lieu de départ du bus, à deux cent mètres.
Clémentine me fait : < Regarde discrètement par terre ! >. Je regarde l'écran de mon téléphone. Le type mâte en bavardant.
Au sol, sous la table, il y a une flaque. Cette salope a réussi à pisser tout en bavardant avec moi et devant ce mec. Géant !
Nous n'allons certainement pas nous attarder. Le bus est dans dix minutes. Nous nous levons pour aller payer au comptoir.
Clémentine lance un sourire vicelard au jeune type qui lui rend un sourire plein de reconnaissance. Il regarde la flaque au sol...

Nous marchons rapidement jusqu'au bus. Il est là. Il y a du monde. Nos places son numérotées. 11 et 12. J'ai le 11. Toujours.
Nous rigolons comme des bossus à l'évocation de cette flaque de pisse que nous avons laissé sur le sol de ce restaurant. Vice.
Je dis : < Dans le bus, défense de m'ouvrir la braguette ! >. Rires. Clémentine me fait : < Oh, comme tu es vilain avec moi ! >
Nous voilà installés au premier étage de l'autocar, au second rang. Une vue parfaite pour faire les touristes "blaireaux". Rires.
Bien évidemment, à peine le bus dans la circulation, Clémentine, discrètement, a posé sa main sur ma braguette. Une poilade...

Clémentine prend des photos. Dans les hauts parleurs, une voix féminine commente le parcours. C'est superbe. Enchanteur.
Westminster cathédral, Buckingham Palace, la totale. Il y a une circulation dense mais, curieusement il n'y a aucun bouchon.
Sur notre droite, sur les deux autres sièges, il y a deux jeunes femmes. Deux touristes à lunettes et aux cheveux en chignons.
Bien évidemment, l'occasion faisant les larrons, Clémentine me palpe ostensiblement la braguette. C'est toujours très rapide.
Ce jeu ne tarde pas à attirer l'attention des deux jeunes femmes. Clémentine, faisant mine de photographier, me raconte...

Les deux jeunes femmes murmurent en riant. Lorsqu'on est en couple, les comportements ambigus sont bien plus simples.
Un homme seul passerait pour un pervers. Alors que de la part d'un couple, un comportement "déviant" suscite de l'intérêt.
Nous avons pu nous en rendre compte de nombreuses fois. En couple, on peut presque tout se permettre. C'est bien reçu.
Aussi, lorsque Clémentine reste à présent plus longuement à tenir ma gosse bosse, les deux jeunes femmes mâtent mieux.
Cet "exercice" de santé ne nous empêche nullement d'admirer la Tamise et d'écouter les explications en trois langues. Rires.

C'est hyper bandant, hyper excitant d'être dans ce genre de situation devant deux parfaites inconnues que cela semble amuser.
J'interdis toutefois formellement à Clémentine d'aller plus loin. Elle a déjà sa main dans ma braguette. Nous rions de bon cœur.
Je louche sur la vitre à ma gauche pour constater que les deux jeunes femmes sont de plus en plus concentrées sur notre jeu.
Clémentine me branle d'une main tout en me montrant des monuments du doigt. < Tu ne la sors pas hein ! > que je lui répète.
< Mais comme tu es vilain avec moi ! > me fait Clémentine en me tordant fermement la bite qu'elle tient dans ma braguette...

Nous sommes environ une cinquantaine de personnes à l'étage du bus. Personne ne se doute évidemment de notre activité.
Personne sauf les deux jeunes femmes de plus en plus intéressées. Excitées ? Plusieurs fois je dois "tempérer" Clémentine.
Je lui murmure : < Tu imagines un peu l'état de mon slibard ! >. Elle me répond : < Nous seulement j'imagine, mais je sens ! >
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine ouvre son petit sac à dos, sac à main pour en sortir un coin de sa petite culotte.
< En plus tu es à poil sous ta jupe, salope ! > que je lui fais. < Mais qu'est ce que tu crois donc ! > me répond Clémentine...

Nous arrivons au terme de cette visite absolument enchanteresse. La climatisation dans le bus a rendu tout cela très agréable.
Nous nous levons pour rejoindre l'escalier en colimaçon à l'arrière du bus. Je croise le regard d'une des deux jeunes femmes.
Je n'en crois pas mes yeux. Le sourire est si évocateur que j'en bande instantanément. Son look de maîtresse d'école en plus !
L'autre est plus distante. Air gêné, regard baissé. < C'est les plus salopes ! > me murmure Clémentine à l'oreille. Il est 18 h.
Il fait chaud. Nous en prenons conscience une fois à l'extérieur. Les deux jeunes femmes s'en vont en traversant la rue. Fini...

Nous flânons un petit moment en regardant les vitrines. Je propose à Clémentine d'aller traîner sur les bords de la Tamise. Joie.
Une demi heure de marche et nous voilà au bord du fleuve. De grands bateaux mouches plein de touristes le parcourent. Bien.
Je suggère que nous prenions notre repas du soir sur un de ces bateaux-restaurants si nombreux. < Idée géniale ! > fait la fille.
Nous allons à l'embarcadère, là-bas, à trois cent mètres. Nous réservons une table pour 21 h. Nous continuons notre promenade.
Il y a un monde fou. Pas seulement des touristes mais une majorité de Londoniens qui profitent de la douceur du soir. Tamise...

Il y a plein de jeunes gens assis sur les quais, au bord de l'eau et sur des aires aménagées à cet effet. Beaucoup de musiciens.
Nous écoutons les guitares, les chants tout en nous imprégnant de cette ambiance à nulle autre pareille. C'est magnifique. Bon.
< Merveilleuse fin de vacances ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Nous restons ainsi un long moment. Superbe.
Clémentine a la faculté de pouvoir passer du sentimentalisme le plus profond à la sexualité la plus dépravée en trente secondes.
J'apprécie évidemment cette particularité à sa très juste valeur. Comment s'ennuyer avec de telles personnes ? C'est impossible.

Nous flânons longuement sur les quais. La Tamise est plus large que la Seine. Ces eaux plus limoneuses, plus agitées. Le courant.
Il y a enfin une légère brise qui apporte un semblant de fraîcheur. Clémentine, plusieurs fois, me palpe en se serrant contre moi.
Nous rions de bon cœur lorsque je lui fais remarquer que ce n'est probablement que la cinquantième fois aujourd'hui. Bonheur.
< Ma chatte peut s'aérer et sécher en permanence, j'ai pas de culotte ! > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Nous prenons la direction du bateau restaurant. Il est presque 21 h et nous sommes morts de faim. Une table nous y attend là...

Nous sommes installés sur le pont arrière du navire qui lève l'ancre quelques minutes après notre arrivée. Il y a plein de monde.
La nuit tombe. Les lumières des quais est fabuleuse. Nous savourons un énorme plateau de fruits de mer. Une soirée de rêve...
Impossible de donner libre cours à nos penchants naturels pour le stupre et la luxure. Trop de monde. Même pour Clémentine.
Pourtant, même si ma compagne est une virtuose en exhibition de qualité, il lui est parfaitement impossible d'y sacrifier. Déçue.
Il faut se contenter de ce délicieux repas sur ce bateau qui avance doucement dans la nuit entouré des lumières de la ville. Beau.

Cette "croisière" dure deux heures trente. Après nos énormes coupes glacées, nous voilà de retour à quai. Il fait doux. Merveille.
Nous marchons doucement. Il nous faut trois quart d'heure pour revenir sur Soho. Il y a une animation permanente dans les rues.
A l'hôtel, il est minuit lorsque je bouffe la chatte de Clémentine en me régalant de toutes les saveurs de sa journée de salope.
C'est un régal. Puis, juste avant l'orgasme, Clémentine me bouffe la queue en savourant tout le trop plein de mes couilles pleines.
Epuisés, nous nous endormons ainsi, sans même prendre de douche, l'un dans l'autre, parfaitement immobiles, noyés de bonheur.

Bonne découverte de Londres à toutes les jeunes salopes désireuses de s'émoustiller et de s'encanailler discrètement, en public...

Julien - (Tour operator de haut niveau pour sa jeune salope délurée, vicelarde et exhibitionniste qui l'aime comme une dingue) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 163 -



Nous passons notre seconde journée londonienne sous une forte chaleur - Jour 49 -

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par un léger ronflement, doux et régulier. Je regarde sur ma gauche. Clémentine dort.
Je la regarde car il est rare qu'elle dorme encore lorsque j'ouvre l'œil. Il est à peine 7 h45. La situation ne dure pourtant pas.
Clémentine, dont le sixième sens fonctionne avec une acuité imparable ouvre soudain les yeux. Elle se sent observée. Rires.
Je m'approche pour lui chuchoter : < Bonjour Clémentine ! >. La jeune fille tout en s'étirant me fait : < Bonjour Julien ! >.
C'est moi qui lui fait quantité de bisous. Ma compagne me chevauche en riant. Je la bascule, à gauche, à droite. Papouilles...

A Londres comme partout ailleurs l'impérieux besoin naturel impose de mettre un terme provisoire à nos effusions. Le pissou.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Je tiens la jeune fille cambrée, les genoux fléchis, par ses cheveux...
Puis c'est au tour de Clémentine de me tenir le sexe pour en diriger le jet. Je la laisse se régaler quelques instants. Fellation.
Je force la jeune fille à se redresser pour l'entraîner vers la petite table où nous prenons notre petit déjeuner. Morts de faim.
Je prépare les tartines de confiture pendant que Clémentine épluche deux grosses oranges. Nous mangeons de bon appétit...

Tout en savourant notre petit déjeuner, nous faisons le bilan des journées passées. Nous élaborons le programme du jour.
Après la douche, nous irons flâner un peu. Le dimanche est toujours notre journée sans entraînement. Nous irons marcher.
Nous irons à la découverte de cette partie de la ville. Je propose de voir la célèbre relève de la garde devant le palais royal.
< Génial ! > s'écrie Clémentine en venant s'asseoir sur mes genoux. Il fait déjà chaud. L'air est lourd. Il est moite et épais.
< Je déteste les grosses chaleurs, ça me dégoûte ! > rajoute encore ma compagne en se saisissant de ma queue molle...

Nous rangeons la confiture, le miel dans la glacière que nous irons brancher sur l'allume cigare dans la voiture. La douche.
Nous voilà habillés. Clémentine entre le code wifi de l'hôtel dans l'ordi. Tout fonctionne, nous découvrons trois messages.
Deux courriels d'Estelle et un mot de Juliette. Estelle nous raconte sa nuit dans notre maison. Les manifestations étranges.
Son second courriel nous informe que la boîte aux lettres déborde de courriers. A tel point qu'elle s'est permis de la vider.
Juliette nous donne le menu du repas qui nous attend mercredi soir chez elle. Nous répondons aux deux messages. Photos.

Clémentine revêt une jupe légère qui lui arrive au-dessus du genoux. Un simple T-shirt et ses sandalettes. Elle est si belle !
Je suis en short, en T-shirt et en sandales. Nous voilà prêts à affronter nos explorations londoniennes. Nous descendons.
Je branche la glacière sur l'allume cigare de la voiture garée dans le parking sous terrain de l'hôtel. Il y fait vraiment frais.
Nous voilà à l'extérieur. Nous marchons d'un bon pas. Il est à peine 9 h. Il y a du monde. Une animation qui ne cesse pas.
Nous remontons l'avenue. La circulation est dense mais ça circule bien. J'avise un salon de thé. Je suggère un bon café...

A l'hôtel nous avons prévu le pain, le beurre, la confiture, le miel et les yaourts, mais impossible de nous préparer un café.
Ma suggestion est donc accueillit avec joie. Nous entrons dans un salon de thé tout en longueur. Il y a des escaliers au fond.
Nous gravissons les marches entre les terrasses. De chaque côté il y a des tables. Peu de monde. Nous choisissons le haut.
Nous prenons place sur la table de droite. Ce sont de petites tables carrées recouvertes de napperons de dentelles. Beaux.
Une jeune serveuse vient prendre notre commande. Ce sera deux grands cafés crème accompagnés de deux gros cookies...

Nous bavardons. Clémentine me montre les photos qui sont encore dans l'appareil et qu'elle n'a pas téléchargé sur l'ordi.
Il y a une jeune couple qui monte les escaliers pour prendre place à la terrasse en dessous de la notre. La serveuse arrive.
Clémentine me fait du coude : < Regarde, de là où il est assis, le mec a une vue parfaite ! > me fait elle. Je regarde discret.
En effet, le jeune homme a une vue parfaite sous notre table. La jeune fille également si elle regarde sur sa droite. Super.
< On s'offre un "plan", tu veux ? > me fait Clémentine. Nous faisons mine d'êtres abstraits dans la contemplation. Photos.

Clémentine commente ce qu'elle est déjà entrain de faire sous la table. Cuisses légèrement écartées. Prête à faire le show.
Le garçon doit avoir 25 ans tout au plus. Il est grand, mince, blond et plutôt élégant. La fille doit avoir 22 ans, au maximum.
Elle est aussi jeune que Clémentine. Elle est en jupe claire, un T-shirt clair et porte des mocassins blancs. Et très élégante.
L'occasion faisant le larron, nous apprécions cette ambiance feutrée. Tout à fait improvisée. Nous percevons des murmures.
Il n'en faut pas davantage pour émoustiller Clémentine qui me raconte le dessous de table. Je comprends ce qu'elle prépare.

Sur la table, j'ai posé la brochure publicitaire que je fais mine de consulter. Clémentine m'apprend que le garçon mâte déjà.
Le jeune homme vient de découvrir ce qui se passe juste au-dessus lorsqu'il regarde sur sa gauche. Tout en bavardant. Joie.
Clémentine fait son "numéro" habituel. Je peux voir sur les traits de son visage son immense satisfaction. Et son excitation.
Il y a une rambarde qui sépare chaque terrasse. Il est donc tout à fait impossible de voir depuis plus bas. C'est parfait. Bien.
Toutes les conditions d'une exhibe de grande qualité sont réunies. Clémentine saisit cette occasion avec toute sa virtuosité...

Sur l'écran de mon téléphone, qui me sert à nouveau de rétroviseur, je peux découvrir les expressions du jeune homme.
Ce dernier parle tout à fait calmement avec la jeune fille. Régulièrement, discrètement, il mâte vers Clémentine, au dessus.
Ma compagne, plusieurs fois, passe sa main sous la table. Elle se touche quelques instants avant de la remettre sur la table.
J'admire cet extraordinaire aplomb dont elle fait preuve en bandant comme le dernier des salauds. C'est vraiment superbe.
Le jeune homme a certainement informé la jeune fille de ce qui se passe au dessus, discrètement et vicieusement. Sympa.

Sur l'écran de mon téléphone, je constate que la fille mâte à son tour en tournant la tête sur sa droite. J'avale de travers.
J'en informe Clémentine qui me fait : Je sais, j'ai vu. Sors ta bite sous la table, on s'en paie une tranche ! >. J'en reste coi.
Je n'ai absolument pas la fibre exhibitionniste aussi développée que Clémentine. Je dois surmonter quantité de ressentis.
Pourtant, c'est vrai, l'occasion est vraiment trop belle. Surtout que je sens bien la complicité qui s'installe. Je suis troublé.
Le jeune homme adresse de discrets sourires à Clémentine qui les lui rend. Sa compagne semble s'amuser de la situation.

Je suis vraiment troublé. Clémentine me murmure encore : < Qu'est-ce que tu attends pour sortir ta bite sous la table ! >.
J'hésite un long moment. Je passe ma main sous la table. La fille mâte. Je suis un peu fébrile. Je dois me maîtriser. Dur.
Mon embarras amuse beaucoup Clémentine qui me fait : < Alors ? >. Je suis terriblement gêné. J'ouvre ma braguette.
Je sors ma queue avec difficulté. Je bande comme un priapique en phase terminale. J'ai la bite à l'air, là, sous la table.
La jeune fille tourne sa tête sur la droite. Sans doute vient elle de découvrir le "spectacle". Je dois être tout rouge. Sueur.

Je commente mes activités à Clémentine qui me commente les siennes. C'est hyper excitant. C'est la première fois. Super.
Le jeune couple bavarde en murmurant. A intervalles réguliers, l'un ou l'autre regarde en hauteur. Il y a de quoi regarder.
Leurs yeux sont exactement à la hauteur de nos sexes sous notre table. Je sens les battements affolés de mon cœur. Fou.
< Alors, c'est comment ? > me demande Clémentine en me faisant un clin d'œil. Je ne sais quoi répondre. Je ris bêtement.
Je tiens ma bite à sa base, entre le pouce et l'index. Contrairement à Clémentine qui est calme, je suis un peu inquiet. Dur.

La jeune fille tourne régulièrement sa tête pour regarder sous notre table. Je tord ma queue dans sa direction. Elle mâte.
< Tente le test des chiottes ! > me propose Clémentine. Je lui propose d'y aller la première. < OK ! > fait elle en se levant.
Je regarde Clémentine descendre les escaliers pour aller au comptoir, là-bas, tout en bas pour demander à la serveuse.
Elle se dirige vers un escalier qui descend au sous-sol. Je reste seul à table. Gêné, j'ai remballé ma bite. Je regarde partout.
Clémentine, toujours d'une logique imparable, avait vu juste. Le jeune garçon se lève pour descendre à son tour. Toilettes.

La jeune fille relève la tête et me fait un délicieux sourire. J'ai mon corps parcouru d'un délicieux frissons. Je suis en sueur.
Je sors ma bite. La fille le constate. Je bande comme un salaud. Je me masturbe doucement. La jeune fille baisse les yeux.
Certainement aussi excitée et embarrassée que moi, elle mâte discrètement à plusieurs reprises. Clémentine revient. Joie.
< Un jeune homme très bien, et très vicelard aussi ! > me fait Clémentine en me racontant dans le détail les toilettes. WC.
< Il m'a surpris, accroupie, ni une, ni deux, avec un aplomb remarquable, il m'a montré sa bite. Petite et raide ! > dit elle.

Le jeune garçon revient à son tour. Il s'assoit. Il doit certainement raconter son aventure à sa compagne qui nous mâte.
< A ton tour ! > me fait Clémentine. Je remballe avec difficulté ma bite bandante. Je me lève. Je descends aux toilettes.
C'est au sous-sol. Il y a deux portes. Femme. Homme. Je rentre évidemment chez les hommes. Je suis devant l'urinoir.
Tous mes sens aux aguets j'écoute. J'ai laissé la porte entre baillée. Impossible de ne pas m'apercevoir entrain de pisser.
Une fois encore ma compagne avait vu juste. Voilà la jeune fille qui descend. Elle me voit. Elle me regarde. Je lui souris.

Elle se lave les mains devant le lavabo. Dans le grand miroir elle m'observe. Je me tourne. J'agite ma bite dans sa direction.
Elle me fait un délicieux sourire. Je me branle. Cette situation est follement excitante. Autant par la complicité que sexuelle.
La jeune fille, certainement une vraie vicelarde, me regarde franchement. Elle me sourit. Elle se tourne. Elle est devant moi.
Je lui présente ma queue en cessant ma branlette. Elle m'observe. La tentation doit être grande. Quinquagénaire bandant.
Pourtant, après un petit moment, la jeune fille me fait un signe de la main avant de remonter les escaliers. Me voilà seul...

Je remonte à mon tour. Clémentine est sans doute entrain de faire son "numéro" devant le jeune homme. Je m'assois.
La compagne du jeune gars me fait un sourire discret mais complice. C'est absolument génial. Je raconte à Clémentine.
Ma compagne est émerveillée par mon aventure. Le jeune couple se lève. Ils nous adressent un signe de la main. Fini.
Nous les regardons descendre l'escalier pour aller payer leurs consommations. Nous sommes tous deux très excités.
Nous ne sommes absolument pas un couple échangiste. Les rencontres ne nous intéressent pas, mais là, c'était géant !

Ce genre de situations, extrêmement rares, ont cette particularité de laisser une douce et délicieuse impression. Thérapie.
Nous payons à notre tour. Bien sûr, nous avons raté la relève de la garde devant le palais royal. Nous rions de bon cœur.
< Rien à foutre ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Dehors, il fait une chaleurs caniculaire. C'est détestable.
Il est 11 h. Nous arrivons quand même devant Buckingham Palace. Il y a un monde fou à photographier le gros bâtiment.
Il y a le drapeau qui flotte. Cela indique que la Reine est là. Nous continuons notre promenade en évoquant le salon de thé.

Nous arrivons à proximité de Westminster et des Churchill War Rooms. Là aussi, il y a un monde fou. Il faut s'habituer !
Il commence à faire faim. Nous partons à la recherche d'un bon restaurant. Nous lisons quelques menus. Fruits de mer.
Nous découvrons rapidement l'établissement idéal. Un restaurant très "classe" qui propose quelques spécialités de l'océan.
Il reste quelques tables. Nous bavardons en dégustant un plateau géant de fruits de mer. Absolument goûteux. Fameux !
Nous traînons à table. Nous profitons de la climatisation du restaurant qui permet de pouvoir respirer. Dehors c'est dur...

Nous traînons à table jusqu'aux environs de 14 h. Dehors, la chaleur est étouffante. Je suggère la National Gallery. Musée.
La brochure touristique précise qu'en saison touristique le musée est ouvert le dimanche. Nous nous y précipitons très vite.
Un bon quart d'heure de marche rapide et nous voilà enfin à l'abri de la canicule. La fraîcheur toute relative des pierres.
Il y a des visites guidées, des visites libres. Nous choisissons la seconde formule. Nous sommes contents d'êtres au frais.
Le musée propose la collection royale. Nous y découvrons les fameux tableaux hollandais du siècle d'or. Le XVIIème. Beau.

Il y a là des œuvres majeures. Gérard Dou, qui reste notre peintre préféré. Pieter de Hook, Jan Steen, ou encore Metsu.
Devant la beauté de ces tableaux merveilleux, nous oublions la canicule extérieure. Il y a un monde fou. Pas d'opportunité.
Je précise à Clémentine qu'il y a des caméras partout et qu'il faut donc éviter toute manifestations exhibitionnistes. Gaffe.
Nous traînons dans ce musée jusqu'à la fermeture. Il est dix huit heures lorsque nous marchons vite vers St James parc.
Il fait légèrement moins chaud. Nous arrivons au parc qui fermera ses grilles pour vingt heures. Il y a du monde partout.

Nous flânons dans les allées du parc. L'endroit est de toute beauté. Les jardiniers font un travail extraordinaire. Magnifique.
Clémentine prend quantité de photos. Souvent, se serrant contre moi, la jeune fille me palpe discrètement la braguette.
< Comment va notre petit jouet ? > me demande t-elle à chaque fois. Nous rigolons comme des bossus. Il faut quitter.
Le parc est sillonné par une petite voiturette électrique. Le conducteur informe les promeneurs de la fermeture imminente.
Il y a enfin un semblant de fraîcheur. Direction les bords de la Tamise. Il est 20 h. Je propose un repas croisière en soirée.

Nous réservons une table sur un des bateaux mouche qui lève l'ancre pour 21 h. Balade en bateau jusqu'au retour à minuit.
Nous voilà avec la sécurité d'un repas du soir assuré. Nous nous promenons sur les quais en attendant l'heure. Il fait doux.
Nous arrivons au bateau à l'heure. Notre table nous attend. Nous mangeons en navigant sur le fleuve. C'est merveilleux.
Pas d'opportunité exhibitionniste possible. Clémentine, un peu frustrée, me fait part de l'excitation qui ne la quitte plus. Rire.
Nous sommes de retour à l'hôtel pour une heure du matin. C'est un taxi qui nous dépose. Nous sommes épuisés. Douche...

Bonne découverte de la cité londonienne à toutes les coquines qui aiment fréquenter les salons de thé. Pour s'y "éclater"...

Julien - (Tour Operator qui assure la visite guidée de Londres en bandant comme le dernier des salopards. Merveilleux) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 164 -



Nous quittons Londres, l'Angleterre pour revenir chez nous -

Hier matin, lundi, c'est notre réveil de voyage qui nous tire de nos sommeils profonds. Il est 7 h. Nous avons du mal. Rêves.
Nous nous étirons. < Bonjour Clémentine ! > que je lui dis en me mettant à quatre pattes pour lui couvrir le visage de bises.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en me faisant tomber sur le côté pour me chevaucher en riant. Papouilles. Tendresse.
Il faut se lever. Non pas seulement pour satisfaire l'impérieux besoin naturel, mais parce que nous avons notre ferry à 11 h.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Puis, morts de faim, la tête dans le sac, nous préparons notre repas...

Un petit déjeuner copieux où il ne manque que le café. Tant pis, c'est le dernier matin sans café fumant comme nous aimons.
Ce matin, il n'y aura pas de jogging. Nous allons le remplacer par nos exercices de la mauvaise saison. Abdo, aérobic. Cardio.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux en terminant son yaourt. Passant sa main dans mon slip, elle se saisit de ma bite.
Nous faisons le programme de la journée. Nous quittons l'hôtel pour neuf heures. Il y a 130 km jusqu'à Douvres. Tout va bien.
Trente minutes de traversée et nous seront à Calais. Nous prendrons notre repas dans un restaurant de Boulogne-sur-Mer...

Nous nous mettons à l'entraînement. Nous faisons court. A peine 30 minutes pour avoir la conscience tranquille. Joie du jour.
Nous prenons notre douche. Il est 8 h30. Nous préparons nos affaires. Nous descendons déposer la clef à la réception. La fin.
Il fait frais dans le parking souterrain. C'est très agréable car la journée s'annonce chaude. Il faut rouler pour quitter Londres.
La circulation est fluide. Nous sommes rapidement sur la l'A 2. Cette autoroute qui file directement sur Douvres, la portuaire.
Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite. J'ai branché la climatisation. Le soleil tape fort. Nul doute, ce sera la canicule.

Je bande mou. Comme toujours lorsqu'il faut me concentrer sur la conduite. < Bientôt on roule à droite ! > fait Clémentine.
Clémentine me confie quelques secrets de filles concernant son adolescence. C'est dans cette sorte d'exubérance du retour.
J'écoute toujours ses étonnantes révélations. Même s'il ne subsiste aucune zone d'ombre, les souvenirs précis sont amusants.
Nous rions souvent de bon cœur à l'évocation des premières et timides tentatives d'exhibes souvent improvisées. Prudentes.
J'aime toujours entendre les "aventures du mirador". Cet endroit où Clémentine montait se cacher pour mâter des inconnus.

J'aime entendre les histoires relatant les toilettes abandonnées de la vieille usine désaffectée. Tout cela est passionnant. Vice.
Adolescente, Clémentine aimait déjà beaucoup vivre des choses insolites, des situations vicelardes et vivre quelques frayeurs.
Nous arrivons à Douvres. Il est à peine 10 h40. Nous nous mettons dans la file. Nous avançons doucement sur le pont. Ferry.
Des employés nous indiquent les places. Ils mettent des cales pour bloquer les roues des véhicules. Départ pour onze heures.
Ma grosse bagnole prend toujours plus de place. Dans ces situations c'est souvent un casse-tête pour le personnel. Berline...

Pour la traversée, Clémentine me propose de me tailler une pipe. < Pour passer le temps ! > fait elle. Nous rions de bon cœur.
Je trouve l'idée original. Il faut dire qu'avec les petites histoires passionnantes de Clémentine, je bande comme un vrai salaud.
Ma petite salope adorée, (1,78 m quand même), extrait ma queue de ma braguette. Elle me la tient fermement en me fixant.
Soudain sérieuse, ma compagne me fait : < J'ai passé les plus merveilleuses vacances de ma vie. Merci mon amour ! >. Joie.
Je reste silencieux. C'est d'une extrême rareté quand Clémentine utilise cette formule "mon amour". Je suis troublé. Solennel.

Le bateau bouge. Nous voyons l'embarcadère s'éloigner sur notre droite. Plein de gens sont sortis de leur voiture pour voir.
Clémentine s'installe au sol, dans la voiture, entre le vide poche et le siège. Je lui présente ma queue humide. Elle respire.
< J'adore l'odeur de ta bite. Tu me la laissera "sale" un de ces jours ? > me demande la jeune fille en éclatant de rire. Bien.
Je remballe ma queue. Je sors de la voiture. Je change de place. Clémentine, à genoux dans la bagnole me taille une pipe.
Je regarde partout autour de nous. Personne ne passe entre les voitures car l'espace y est restreint. J'ai le froc descendu...

J'observe ce merveilleux spectacle. La fille que j'aime, les yeux fermés, est entrain de savourer les épanchements de ma bite.
Je la regarde sucer avec cette étonnante passion. C'est toujours comme si c'était la première fois. Une remarquable fellation.
Je caresse la tête de la jeune fille qui émet quelques gémissements de satisfaction. Je l'entends déglutir les montées de sève.
Parfois Clémentine ouvre les yeux, redresse légèrement sa tête pour me fixer. C'est toujours intense, presque gênant. Super.
Cela m'excite évidemment beaucoup. Clémentine le sait. Et lorsque cela m'excite, cela provoque des montées de foutre. Bien.

Nous arrivons en vue de l'embarcadère de Calais. Je force Clémentine à cesser. Elle a de longs filaments visqueux qui collent.
< Il faut que tu m'apprennes à manger proprement ! > fait la jeune fille en se redressant. Je change de siège. Il est 11 h 40.
Clémentine se regarde dans le miroir du pare soleil. < Belle gueule de salope, encore, aujourd'hui ! > fait elle en riant. Bien...
Nous rigolons comme des bossus. Je démarre la voiture. Je bande comme un salaud. Je sens la jute qui mouille mon slibard.
Nous avançons doucement. Nous voilà en terre de France. Il faut changer le côté de circulation. Deux minutes d'adaptation...

Je quitte Calais. Nous voilà sur la route qui nous mène à Boulogne-sur-Mer. Ravissante petite ville portuaire. Je connais bien.
Il y a une quarantaine de kilomètres et ça roule plutôt bien. Nous arrivons en vue de la ville. Il subsiste de belles fortifications.
C'est toujours un magnifique spectacle de découvrir cette charmante petite ville. J'y ai vécu une belle histoire, il y a cinq ans.
Je connais un superbe établissement, très "classe". On y mange de façon royale. Je gare la voiture. C'est l'Îlot Vert. Superbe.
Cela nous fait du bien de nous dégourdir un peu les jambes. Le restaurant est plein. Nous réservons pour treize heures. Bien.

Nous nous promenons sur les quais. Il fait vraiment très chaud. Pourtant le ciel est légèrement voilé. Il y a de l'animation.
< Lorsque j'ai goûté ton foutre, j'arrête plus d'en avoir envie ! > chuchote Clémentine en touchant discrètement mon Zob.
Serrée contre moi, la jeune fille passe sa main entre nous pour me palper la braguette. Nous rigolons comme des bossus.
Nous revenons au restaurant. Des tables se sont libérées. C'est devant un plateau de fruits de mer que nous bavardons.
Il est 14 h lorsque nous reprenons la route. Nous serons à la maison aux environs de 19 h. La circulation est fluide. Bien...

J'observe une règle d'or. Toutes les deux heures nous nous arrêtons pour nous dégourdir un peu les jambes. C'est salvateur.
Il est seize heures. Il fait chaud. Nous observons le scintillement de l'océan, là-bas. Nous marchons un peu sur un chemin.
Clémentine est vêtue de sa jupette "tennis", d'un T-shirt et de ses sandalettes. Je glisse ma main entre ses cuisses chaudes.
J'adore ce petit sursaut qu'a toujours la jeune fille lorsque je passe ma main sous sa jupe. Comme une première fois. Génial.
Nous voilà à rouler à nouveau. Plusieurs fois, Clémentine couchée sur sa gauche, me pompe la queue en gloussant. Plaisir...

Je la force souvent à se redresser en la tirant par ses cheveux. Chaque fois elle me montre le contenu gluant de sa bouche.
Mon foutre épais et visqueux laisse ses coulures filamenteuses. Jus épais que la jeune fille a toujours de la peine à déglutir.
Nouvelle halte à 18 h. Nous approchons. Le paysage nous est à présent familier. A nouveau je passe ma main sous sa jupe.
Nous marchons sur un chemin qui quitte la route. J'y ai garé la voiture. < Tu seras vicelard avec moi ce soir ? > fait la fille.
Nous rigolons comme des bossus lorsque je réponds : < Avec toi, je le suis du matin au soir ! >. < Ah bon ? > me dit elle...

Je regarde partout autour de nous. J'ouvre la braguette de mon short. Il y a des coulures de foutres en auréoles autour !
Mon slip est trempé de jute. Je sors ma bite gluante que j'agite devant la fille. Clémentine se met à genoux dans l'herbe.
Je lui passe ma queue trempée sur le visage. < Je t'aime ! > me fait la jeune fille avant de me sucer avec passion. Belle.
Je la laisse se régaler. Je la force à se redresser. Nous repartons. Clémentine me suce plusieurs fois, de courts instants.
Nous arrivons chez nous pour 19 h30. Les piles de la télécommande doivent êtres vides. Clémentine sort pour aller ouvrir.

Nous entrons lentement. Cela nous fait tout drôle d'êtres de retour. La végétation a poussé. Il y a des mauvaises herbes.
Je gare la voiture devant le garage. Clémentine se précipite dans mes bras en s'écriant : < Je suis contente d'être là ! >.
Nous entrons dans la maison. Il y a des fleurs partout. Il y a de la fraîcheur et l'odeur est enivrante, ça sent si bon. Joie !
Estelle, avec sa délicatesse habituelle, a préparé notre retour. Elle a mis des bouquets dans tous les vases disponibles.
Même en haut, dans la chambre, un énorme bouquet qui émane de parfums suaves et discrets. C'est un enchantement...

Sur la table de la cuisine, il y a un mot. Je lis. " Je vous laisse bien arriver et reprendre vos repères. Je passe demain soir".
Je fais immédiatement un texto à Estelle pour la remercier. Elle répond que c'est un effort énorme pour elle de ne pas venir.
Clémentine répond. " Rendez-vous demain soir. On est pressés de te voir. Bises". Nous allons chercher nos affaires à l'auto.
Une fois à l'intérieur, Clémentine se serre contre moi et me dit : < Je suis si contente d'être de retour. C'est bien aussi ! >.
Cette maison est devenu celle de Clémentine. Son "nid", son repère, sa sécurité. Je la soulève pour la faire tourner. Rires...

Je descends le linge à laver à la buanderie. Clémentine va voir le potager et ramène une grosse salade verte. Des carottes.
< Il n'y a plus grand chose. Le potager a été dévalisé ! Tant mieux. Rien ne s'est gâché ! > me fait ma compagne. Superbe.
Nous préparons notre repas du soir. Nous reprenons rapidement nos réflexes domestiques. La maison est pleine de vie...
Nous mangeons au jardin. Je retire la bâche coincée avec des pierres pour libérer la table et les chaises. Il fait très doux.
Notre petite vie tranquille, délicieusement routinière, nous ouvre ses bras sécurisants dans lesquels nous nous précipitons...

Bon retour de vacances à toutes les coquines qui vont pouvoir reprendre leurs coquineries dans la plus grande joie coquine...

Julien - (Dont la bite colle au fond de son slip et qui découvre la culotte humide de Clémentine en y glissant la main) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 165 -



Clémentine et moi nous retrouvons nos repères chez nous -

Hier matin, mardi, nous nous réveillons en même temps. Il est huit heures. Nous nous faisons plein de bisous. Papouilles.
Clémentine me chevauche en riant. < Comme je suis contente d'être de retour ! A la maison c'est bien aussi ! > dit elle.
Je la fais basculer à gauche puis à droite. Ma compagne semble radieuse. Le bonheur lui va bien. Je le lui fais remarquer.
Nous nous offrons de la tendresse, de la douceur avant d'être obligés de nous lever. Clémentine m'entraîne vers les WC.
C'est l'impérieuse nécessité du pissou matinal. Il faut y sacrifier. Puis, morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine.

Je fais griller les dernières tranches du pain que nous avons ramené d'Edimbourg. Confiture, miel et le reste du beurre.
Il reste juste deux yaourts. Clémentine prépare le café. Nous n'avons plus d'oranges. Il faudra aller faire des courses.
Je descends au jardin pour aller cueillir quelques belles prunes. Nous mangeons d'un bon appétit. Et il fait déjà chaud.
Nous évoquons nos vacances en ayant le sentiment que tout cela appartient déjà au passé. Ce sont déjà des souvenirs.
Nous élaborons le programme de la journée à venir. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux en terminant son yaourt.

Sa main dans mon slip, la jeune fille joue avec ma bite tout en faisant l'inventaire rapide des courses qu'il faudra faire.
Nous faisons notre vaisselle. C'est moi qui passe derrière Clémentine à plusieurs reprises pour lui mettre la main. Rire.
Je passe ma main entre ses cuisses chaudes. A chaque fois il y a ce merveilleux petit sursaut qui nous amuse beaucoup.
Nous nous mettons en tenues pour notre jogging. Nous retrouvons notre circuit avec plaisir. Avant les grosses chaleurs.
Courir le long de la rivière a quelque chose de magique. Nous passons près du haras, l'ancienne voie ferrée et retour...

Il est déjà 10 h. La douche. Nous nous habillons. Clémentine est vêtue d'une jupe légère, un T-shirt et de ses sandalettes.
Je suis en short, T-shirt et sandales. Nous découvrons les courriels. Le message d'Estelle et celui de Juliette. Sympathique.
Estelle nous annonce sa visite impatience ce soir, vers 19 h. Juliette nous rappelle que nous sommes invités mercredi soir.
Nous répondons rapidement. Nous voilà en voiture pour nous rendre au supermarché. 10 km avec la climatisation. Chaud.
Je constate que nous avons parcouru 4 000 km cet été, en Ecosse. Enfin un peu de kilométrage pour la bagnole ! Mieux.

Pendant que je roule, Clémentine joue avec ma bite. Nous rions de bon cœur. Je passe ma main sous sa jupe. C'est super.
Nous arrivons dans la zone commerciale. Il y a du monde. Je gare la voiture sur le parking. Je pousse le caddie. C'est bien.
Clémentine marche devant moi. Elle choisit soigneusement nos achats qu'elle dépose dans le chariot. Conserves et fruits.
Nous prenons notre temps. Nous traînons un peu dans les rayons. Plein de clients. Et ce sont principalement des familles.
Avec la rentrée prochaine, il y a un monde fou dans les rayons "culturels". Je demande à Clémentine d'éviter tous "plans".

Un peu frustrée, ma compagne me rassure. < On se fait une virée vélo, cet après-midi ? > me demande t-elle. Clin d'œil.
Il est midi trente lorsque nous revenons. Nous cherchons une belle salade au potager, des carottes et quelques radis. Joie.
Clémentine s'occupe des crudités. Je prépare mes fameuses tartines aux filets d'anchois. Nous mangeons dehors au jardin.
< C'est encore le cagnard ! Ras le bol ! > fait Clémentine en se passant un peu d'eau fraîche sur la nuque. Repas délicieux.
Nous prenons notre temps. Nous sommes installés à l'ombre du grand châtaigner. Je débarrasse pour chercher les glaces.

Clémentine évoque sa prérentrée, jeudi prochain. Elle en parle avec passion. Il faudra être à la faculté pour 8 h le matin.
< Je suis contente ! Cette année va être passionnante. La préparation du Master ! > me fait elle. J'écoute avec attention.
J'aime entendre la jeune fille me parler de ses passions, de ses études, de la faculté, des professeurs ou encore des cours.
Clémentine va se remettre à réviser dès demain. J'apprécie sa capacité d'organisation. Elle va y consacrer une heure.
Chaque jour une petite heure à tout revoir. Ces centres d'intérêts sont d'une importance capitale. C'est son avenir. Bien...

Nous faisons notre vaisselle. Clémentine me sort la bite pour s'amuser avec. Accroupie, la jeune fille me la renifle. Miam.
< J'adore lorsqu'elle sent fort, surtout en été ! > me fait elle avant de la décalotter en riant. Je lui caresse la tête. Rires.
Je lui promets de la laisser se garnir de frome en évitant de la décalotter lorsque je prendrais mes douches. Et ça va vite.
Je la laisse sucer un peu avant de la forcer à se redresser. < Aïe ! Je me fais vieille ! > fait elle. Nous rions de bon cœur.
Je descends à la buanderie pour vider la machine. Je vais suspendre le linge. Nos sous-vêtements, T-shirts et chaussettes.

Clémentine vient me rejoindre pour me montrer un message d'Estelle sur son téléphone. Estelle est folle d'impatience. Joie.
Je vais au garage pour contrôler le gonflage des pneus de nos bicyclettes. Je les sors pour les poser contre le mur du jardin.
Je rentre rejoindre Clémentine. Estelle a déposé tout notre courrier sur le bureau. Beaucoup d'inutiles et quelques factures.
Comme je ne laisse jamais rien en attente, je fais rapidement quelques chèques que je place dans des enveloppes. Timbre.
Clémentine vient de passer sous le bureau pour sortir ma queue une nouvelle fois. Nous rigolons comme des bossus. Bien...

Il est 14 h. Je prépare le petit sac à dos. Pommes, barres de céréale, bouteille d'eau. Nous voilà à pédaler dans la joie.
Nous retrouvons avec plaisir la piste cyclable. Il fait chaud, aussi, d'avancer contre un léger vent, apporte de la fraîcheur.
Il y a pas mal de cyclistes. Clémentine me fait : < Arrivée au port, je peux faire ma salope ? >. Nous rions de bon cœur.
Il est 15 h45 lorsque nous arrivons au petit port de plaisance. Il y a de l'animation. Quantité d'estivants et de bateaux.
Nous fermons les cadenas de nos vélos posés derrière la capitainerie. Je glisse les enveloppes dans la boîte aux lettres...

Il y a un léger souffle vent qui permet de respirer un peu. Nous flânons en savourant nos cônes glacés. C'est un plaisir.
Nous voilà assis sur le muret de la jetée. Nous bavardons. Il faudra passer à ma galerie d'Art pour la fin de saison d'été.
La saison a été exceptionnelle. Les messages de mon oncle m'ont tenu régulièrement informé de tout ce qui se passait.
La seule ombre aux tableaux futurs, ce sont les commandes. Je déteste les œuvres de commande. Manque de liberté.
Clémentine m'entraîne vers le bâtiment des sanitaires, là-bas, derrière la capitainerie. < J'ai vu un mec ! > me fait elle...

Nous entrons dans la partie toilette. Les WC homme. Nous entendons du bruit dans un des cabinets. Je reste en retrait.
J'entre dans le cabinet du fond. Je monte sur le couvercle fermé de la cuvette. De là, j'ai une vue parfaite sur la pièce.
Clémentine est accroupit entre les deux lavabos. Elle fouille dans le petit sac à dos posé au sol. Carrelage propre. Nickel.
Le type, un petit gros coiffé d'une casquette de marin, sort du cabinet. Il va vers les lavabos. Il tombe sur la jeune fille.
< Bonjour mademoiselle ! > fait il en s'approchant d'un des deux lavabos. Clémentine, cuisses écartées, lève la tête...

Une conversation s'engage. Ma compagne, délicieusement salope, et très entraînée, reste dans sa position préférée.
Le type, quinquagénaire jovial, semble plein d'humour et n'est pas déstabilisé le moins du monde. Calme et marrant.
Lorsque l'individu reste ainsi, stoïque, à déconner, c'est souvent Clémentine qui se retrouve déstabilisée. C'est drôle !
Malgré la situation hautement torride, le bonhomme ne s'attarde pas. < Il faut que j'y aille ! > fait il même. Pressé...
Je rejoins Clémentine qui éclate de rire. < Pourtant, regarde, j'étais sans culotte ! > fait elle en me montrant le tissus.

Nous rigolons comme des bossus. Il est temps de prendre le chemin du retour. Il fait un peu moins chaud. Léger vent.
Ce léger vent nous pousse durant notre périple. Nous arrivons à la maison pour 19 h. Estelle est déjà là. Sa bicyclette.
Son vélo est posé contre le muret du jardin. A peine avons nous rangé nos machines qu'Estelle arrive en courant. Joie.
Nous sommes tous les trois blottis les uns contre les autres à nous couvrir de bisous. Estelle a les larmes aux yeux.
Nous avons tous les trois les yeux embués. Nous sommes soudain envahis d'un bonheur sans nom. Oui ! Le bonheur...

< Enfin ! Vous m'avez tellement manqué ! > nous fait Estelle. < Et à nous donc ! > fait Clémentine. Je lui fais la bise.
Nous restons ainsi un long moment dans des effusions intenses et pleines d'émotions. Cela nous fait un bien fou. Joie.
Estelle nous entraîne tous les deux par la main. Nous entrons dans la maison. Je la remercie pour les fleurs partout.
Je la remercie pour s'être occupée si parfaitement du potager et de la maison. Estelle se serre contre moi. Silencieuse.
Je lui caresse la tête, les cheveux. Clémentine m'observe attendrie. Je lui fais un sourire rassurant. Elle me sourit...

Il est 20 h. Estelle nous raconte ses journées. Son travail dans l'entreprise familiale, la rentrée universitaire prochaine.
< J'ai cessé de lire vos aventures écossaise, j'étais trop triste en vous quittant le 31 juillet ! Dur ! > nous confie Estelle.
Clémentine lui fait : < Il y aura de quoi lire, parce qu'on s'est éclatés comme des bêtes ! >. Nous rions de bon cœur...
Je prépare les pavés de saumon pour le repas du soir. Clémentine s'occupe des salades. Estelle va de l'un à l'autre.
Je la trouve hyper belle. Je le lui fais remarquer. < Merci Julien ! > me fait elle en me déposant une bise sur la joue...

Estelle est vêtue de son short kaki, un peu trop grand, de son T-shirt et de ses baskets. Je vais chercher ses cadeaux.
Je pose les trois paquets sur le bureau du salon. J'appelle Estelle. Je lui demande de découvrir ce que je lui ai ramené.
Estelle déballe le plus gros. Elle découvre le véritable kilt écossais. Un tweed magnifique accompagné d'un chemisier.
Un chemisier portant l'écusson aux armoiries d'Ecosse. La jeune fille est émerveillée. Elle me couvre le visage de bises.
Puis Estelle découvre le gros livre sur Edimbourg et sa région. Enfin le livre ramené de Londres. Elle est si contente !

Clémentine invite Estelle a essayer ses vêtements. Nous retournons à la cuisine. Les pavés de saumons sentent bon.
Je les prépare sur le barbecue électrique. Clémentine met la table au jardin. Enfin un peu de fraîcheur qui arrive. Bien.
Estelle revient vêtue de ses nouveaux habits. Tout cela lui va à merveille. Bonne taille, bon choix, elle est élégante.
< Jamais de culotte sous un kilt ! > fait Clémentine. Estelle relève son kilt pour faire : < Je respecte la tradition ! >.
Nous rigolons tous les trois comme des bossus. J'en profite pour féliciter Estelle pour la repousse de ses poils. Super.

< Je veux la même touffe que Clémentine ! > rajoute Estelle, espiègle et mutine. Nous rions de bon cœur. Ambiance.
Le repas est délicieux. Nous bavardons. Nous parlons de l'Ecosse, de nos étonnantes découvertes, de nos aventures.
Nous traînons à table. Estelle est invitée chez Juliette tout comme nous, pour le repas de mercredi soir. C'est super.
< Nous avons sympathisé ! > fait Estelle en nous racontant ses balades à cheval et ce vicelard de palefrenier. Gérard !
Nous reverrons tout ce beau monde demain soir. Il est 23h 30. Estelle est obligée de nous laisser. C'est la douche...

Bonne soirée de retrouvaille à toutes et à tous pour le retour de vos vacances. Surtout si c'est avec votre "soumise".

Julien - (Toujours heureux de faire des cadeaux et de gâter les gens qu'il aime. Surtout les jeunes filles vicieuses) -

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Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 166 -



Clémentine me fait remarquer à quel point c'est bien d'être de retour chez nous -

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous. Sur les joues, le front, le nez. On me tient la bite.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine toute contente que je la rejoigne dans le réveil. < Bonjour Clémentine ! > je fais.
La jeune fille me chevauche en riant. Nous nous faisons des papouilles. Nous nous offrons de la tendresse et de la douceur.
Il est huit heures. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Il faut pisser. Impossible de s'y soustraire. Rires.
Je tiens Clémentine par ses cheveux. Dans cet équilibre incertain, la jeune fille se soulage d'un long jet sonore. Je goûte...

Puis c'est à son tour de me tenir la bite pour en diriger le jet. Je la laisse goûter un peu avant de la forcer à se redresser.
Nous sommes morts de faim. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il fait beau. Il y a du soleil. Il fait doux.
J'ouvre immédiatement les fenêtres en grand. Je presse les oranges. Clémentine coupe les tranches de pain. Confiture.
Je fais griller les tranches de pain, je sors le beurre et les yaourts du frigo. Clémentine met la table. Le café fume. Bien.
Nous prenons notre petit déjeuner dans la véranda avec les baies vitrées grandes ouvertes. Un peu de fraîcheur arrive...

Nous évoquons l'Ecosse. Clémentine va commencer à classer les photos et à faire des album virtuels. C'est déjà du souvenir.
Je suggère le programme de la journée. Il sera toutefois laissé une large part à l'improvisation. Nous sommes en vacances.
Clémentine vient terminer son yaourt sur mes genoux. Nous traînons à table. Nous avons tout notre temps. Du bon temps.
Demain, il nous faudra passer à ma galerie d'Art pour finaliser la saison. Il n'y a plus rien. Tout est parti. C'est formidable.
Clémentine passe sa main sous mon T-shirt pour la glisser dans mon slip. Elle joue avec ma queue tout en bavardant. Joie.

Nous évoquons la première visite d'Estelle hier soir. Il ne s'est rien passé. Tout est resté dans le registre des émotions.
Nous rions de bon cœur en faisant le bilan de cette soirée sans le moindre élan sexuel. Ce soir nous irons chez Juliette.
Estelle vient nous rejoindre pour 19 h. Nous serons chez Juliette pour 20 h. Nous nous réjouissons pour cette soirée.
Pour le dessert, nous emmènerons une tarte que je vais confectionner en fin de matinée. Avec nos pommes et nos poires.
Nous faisons notre vaisselle. Clémentine passe derrière moi plusieurs fois pour m'attraper par les couilles et par la queue.

Je passe ma main entre ses cuisses chaudes. Le petit sursaut merveilleux qui nous amuse toujours tant. Dans la culotte.
< Je t'aime Julien ! > me fait ma compagne avant de serrer contre moi pour m'embrasser. Délicieux élan de tendresse.
Je la soulève pour la faire tourner dans mes bras. Elle me couvre le visage de bisous. Nous restons ainsi un long moment.
J'entraîne Clémentine à l'étage. Nous nous mettons en tenues. C'est le rituel de notre jogging. Avant les grosses chaleurs.
Je murmure à l'oreille de ma compagne : < En revenant, laisse moi me régaler de ta chatte, j'ai envie de la bouffer ! >...

< Monsieur sait ce qui est bon, je vois ! > me répond Clémentine en serrant ma bite. Nous rigolons comme des bossus.
Nous courons d'un bon rythme. Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons jusqu'au haras. Il y a des voitures.
Nous remontons le ruisseau. Là-bas il y a la caravane de monsieur Gérard, le palefrenier. Nous revenons par la voie ferrée.
Il est 10 h15 lorsque nous sommes de retour. Dans le ciel, il y a des cumulus de nuages. Nul doute, la météo va changer.
J'entraîne Clémentine sur le canapé du salon. Je la tire par ses cheveux. Clémentine glousse de plaisir. Elle adore tant ça.

Je lui retire son short et sa culotte. Je fourre mon visage entre ses cuisses. Cette odeur forte m'enivre immédiatement.
Je hume longuement les effluves parfumées de sa nuit et de sa matinée de fille. Je goûte ses lèvres humides en sueur.
Il y a rapidement des coulures indéfinissables. Miasmes issus de ses muqueuses de fille. C'est un peu acide et piquant.
Je fouille les plis et les replis de ma langue exploratrice. Clémentine gémit de plaisir tout en me tenant par les oreilles.
La jeune fille me guide. Il est exclu de lui imposer un orgasme prématuré. Clémentine préfère rester excitée longtemps.

Nous restons ainsi un long moment. Régulièrement, juste avant l'instant critique, je cesse. Ou Clémentine me repousse.
Nous contrôlons donc parfaitement la situation. Le plaisir est intense. De plus en plus. Il faut cesser sous peine de jouir.
Je termine de bien nettoyer le clitoris géant de ma compagne qui respire de plus en plus fort en gémissant. Attention !
Je me redresse. Clémentine reprend ses esprits. Elle me tend la main. Je la tire pour lui permettre de se relever. Bien.
Nous montons prendre notre douche. Il est déjà 10 h30. Nous voilà vêtus légèrement, assis devant l'ordinateur. Mails...

Nous découvrons le message d'Estelle qui nous témoigne de son immense joie de nous savoir tout prêts et de retour.
Nous répondons. Il y a le message de Juliette. Le menu de la soirée. Nous répondons. Nous ouvrons le site de la fac.
Je laisse Clémentine devant les informations universitaires pour me rendre à la cuisine. J'y prépare les ingrédients.
Farine, levure, sucre. Je vais au jardin cueillir quelques pommes et quelques poires déjà mûres. Je reviens. C'est ok.
Je prépare une pâte traditionnelle que je laisse reposer une demi heure. Clémentine vient me rejoindre pour m'aider...

Nous bavardons. Le ciel se couvre. < Enfin cette saloperie de soleil dégage. Put-hein ras le bol ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Je coupe les pommes et les poires lavées en lamelles. J'étale la pâte. Elle est à point. Belle.
Nous y déposons les lamelles de fruits. J'y verse deux jaunes d'œufs mélangés à du miel, des grains de sésame grillé.
Sur le tout je saupoudre un peu de sucre roux en poudre. J'y dépose des d'amandes, des noisettes et je mets au four.
Thermostat sur 7 pour une cuisson de trente minutes. Il est midi trente. Nous préparons notre repas. Nous avons faim.

Clémentine s'occupe des salades cherchées au potager. Je prépare du riz complet que je fais éclater à sec. En remuant.
Il y a toujours cette odeur rappelant le pop-corn. Je rajoute quatre fois le volume d'eau dans un nuage de vapeur. Bien.
L'odeur de la tarte envahit toute la cuisine. Je la sors du four. C'est une merveille. Nous mangeons dans la véranda. Bon.
Dehors, le ciel est entrain de devenir gris. Il y a un léger souffle de vent. Pourtant l'air est lourd. Les grosses chaleurs.
Nous traînons longuement à table. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Elle me chuchote plein de cochonneries.

Nous faisons notre vaisselle. Je propose à Clémentine un léchage de minou au salon. Question d'entretenir la machine.
< Bonne idée ! > me fait elle en m'entraînant par la main. Elle descends sa culotte, se vautre sur le canapé. Coussins.
Je suis rapidement à genoux sur un coussin pour me remettre à savourer son fruit. Très vite la cyprine est abondante.
Une fois encore, je dois renouveler de vigilance. Pas question de provoquer l'orgasme. Clémentine veut rester excitée.
Nous redoublons donc d'attention. Je me régale des sucs de la fille qui mouille et qui coule de façon presque continue.

Il faut cesser car, malgré tous nos efforts, l'orgasme guette. Je me redresse. Clémentine me tend les mains en riant.
Je les prends pour les tirer afin de l'aider à se relever en retrouvant ses esprits. Il est déjà 14 h30. Le ciel s'est couvert.
Nous allons au jardin pour constater un souffle de vent plus appuyé. Nous en profitons. Nous faisons le tour du jardin.
Dans deux semaines l'entreprise paysagiste viendra mettre la propriété en bon état pour la mauvaise saison. Elagage.
Nous cueillons des pommes, des poires. Il n'y a plus de mirabelles mais quelques prunes. La plupart son véreuses...

Nous passons l'après-midi a faire quelques machines et à suspendre le linge avant les pluies éventuelles de la soirée.
Il est dix neuf heures lorsqu'Estelle arrive. La jeune fille est toute contente. Elle se précipite pour nous faire des bises.
Nous restons un petit moment blottis tous les trois. C'est si bon. Estelle est vêtue de son short kaki et trop grand.
Elle a emmené un sachet dans lequel il y a le kilt et le chemisier. Clémentine l'entraîne à l'étage. Les filles se changent.
Je les entends rires depuis le salon où je termine de ranger quelques documents administratifs relatifs à mon activité.

Les deux filles redescendent. Elles sont vêtues à l'identique, comme des sœurs jumelles. Kilts, chemisiers, souliers noirs.
Je me lève pour les regarder. < Vous êtes radieuses toutes les deux. Magnifiques ! > que je fais en leur tournant autour.
Les filles tournent sur elles même en jouant aux mannequins. Estelle et Clémentine lèvent leur jupes : < Tradition ! >.
Nous rigolos tous les trois comme des bossus. Les filles ne portent aucune culotte comme il se doit dans la tradition.
Je pousse un sifflement admiratif. Estelle, reprenant ses habitudes, mime une masturbation masculine. Et bien vulgaire.

Il est temps d'y aller. Dans un grand Tupperware il y a la tarte. J'emmène les sachets pour Juliette. Nous voilà en route.
Cinq minutes de voiture et nous entrons dans la cour du haras. Il y a la voiture de madame Walter et celle de Juliette.
Juliette vient à notre rencontre. Toute heureuse de nous revoir, elle nous serre la main et nous fait à chacun trois bises.
La jeune femme nous invite à la suivre dans ses nouveaux appartements. Nous montons à l'étage. C'est très grand...
C'est un grand loft que la jeune femme a fait aménager avec des cloisons qu'elle peut moduler selon ses désirs. Super.

Juliette nous fait faire le tour du propriétaire. C'est grand, c'est lumineux, c'est absolument magnifique. 150 m² au sol.
Nous mangerons dans le salon. Tout est meublé avec goût. Sans ostentation mais avec un souci de rationalité évident.
Ce sont quatre énormes plateaux de fruits de mer. Nous sommes morts de faim. Juliette découvre notre tarte. Super.
Je lui offre les trois paquets. Juliette, toute fébrile, déballe le plus gros. Elle découvre son kilt écossais et authentique.
Le chemisier aux armoiries de l'Ecosse. Comment faire davantage plaisir à une femme qu'en lui offrant des vêtements !

Juliette, impatiente, nous laisse pour se rendre à la salle de bain. Nous attendons au salon. Estelle est plutôt vulgaire.
Elle mime une masturbation masculine en nous chuchotant : < Gardera t-elle une culotte ? >. Nous rions de bon cœur.
Juliette revient. Vêtue du kilt et du chemisier. < C'est absolument parfait ! Comme sur mesure ! > nous lance t-elle.
Juliette nous fait la bise. Aucun d'entre nous n'ose aborder la question de la "tradition" écossaise. Pudeur et mystère.
Juliette déballe les deux autres paquets. Le gros livre sur Edimbourg et le gros livre sur Londres. Elle nous fait la bise.

Visiblement la jeune femme ne peut cacher son ravissement. Nous passons à table. Les trois filles sont vêtues pareils.
Je porte mon pantalon clair, en lin et à pinces. Une chemise claire que je laisse flotter et mes mocassins clairs. Bien.
La discussion est principalement axée sur les activités équestres de Juliette qui vont reprendre dès la fin septembre.
Les propriétaires laissent leurs chevaux en pension durant les mois d'hiver. Un excellent business. Un superbe plan.
Juliette partira en vacances le premier septembre. Elle reviendra dimanche 10 septembre. Dix jours en Vendée. Bien.

Ce sera madame Walter, son assistante, qui prendra le relai durant son absence. Nous pourrons venir quand on veut.
Madame Walter est informée. Nous pourrons disposer de chevaux tous les soirs. La propriété nous est ouverte. Bien.
Nous remercions Juliette pour sa gentillesse et nous la félicitons pour ce repas. L'ambiance est feutrée et très sympa.
Il n'est évidemment pas question de sexe. Juste quelques allusions lorsque nous évoquons monsieur Gérard. Vicelard.
Monsieur Gérard a pris quelques jours de vacances mais sa vie est ici, au haras, dans son univers avec les chevaux...

Il est vingt trois heures lorsque nous prenons congé. Nous remercions Juliette qui nous raccompagne à la voiture.
Il pluviote et une certaine fraîcheur se fait enfin ressentir. Nous sommes de retour à la maison. Estelle me sourit.
Je lui propose de la ramener. Nous mettons son vélo dans le coffre arrière en retirant la roue avant. Cinq minutes.
Estelle revient demain soir jeudi pour passer la soirée avec nous. Je l'invite à venir tous les soirs jusqu'à la rentrée.
La proposition est évidemment reçue dans un éclat de joie. Nous la déposons devant chez elle avec sa bicyclette.

Bonne soirée de retrouvaille avec vos amis à toutes et à tous à vos retour de vacances. Bouffe, sexe et dessert...

Julien - (Qui découvre avec bonheur que tout se met doucement en place pour cette fin d'été qui s'annonce) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 167 -



Nous prenons beaucoup de bon temps. Ce sont toujours encore les vacances -

Hier matin, jeudi, je suis tiré de mon sommeil par des gémissements discrets. J'ouvre un œil. Et le bon. Je regarde à gauche.
Clémentine, couchée sur le ventre, est entrain de se masturber doucement. < Bonjour Clémentine coquine ! > que je fais.
La jeune fille, surprise dans son intimité, un peu gênée, retombe sur le ventre. < Bonjour Julien coquin ! > me fait elle. Rire.
Je la prends dans mes bras. < J'ai fait un rêve érotique, si tu savais ! > fait encore ma compagne en se serrant contre moi.
Nous rions de bon cœur. Clémentine me chevauche en riant. Je lui chuchote : < Tu me raconteras au petit déjeuner, viens ! >

La jeune fille m'entraîne vers les toilettes. Je la tiens par ses cheveux, debout, cambrée, genoux fléchis, au-dessus des WC.
Clémentine se soulage dans un long jet sonore. Je m'accroupis pour découvrir la cyprine qui s'égoutte derrière la pisse. Beau.
Je lèche la dernière goutte. Le mélange est légèrement acide, piquant sur la langue. Clémentine est déjà bien excitée. Salope.
La jeune fille me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en récupère les derniers épanchements en se régalant. Joie.
Je la laisse savourer quelques instants avant de la forcer à se redresser. Nous descendons à la cuisine en riant de bon cœur...

Le ciel est couvert. Il a du pleuvoir car le sol est mouillé. Le changement de climat est surprenant. Il fait beaucoup plus frais.
Clémentine, toute heureuse, ouvre en grand les baies vitrées de la véranda. Le contraste est saisissant avec les chaleurs.
< Enfin, c'est fini ! J'espère que la canicule, pour cette année, c'est terminé ! > me fait elle en se serrant contre moi. Bises.
Je presse des oranges. Clémentine prépare le café. Je coupe des tranches de pain que je fais griller. Beurre, confiote et miel.
Nous mangeons d'un bon appétit. Nous bavardons. Nous évoquons la soirée chez Juliette, le délicieux repas et l'invitation...

Clémentine et moi, nous avons pratiqué l'équitation. Suite à une mauvaise chute, adolescente, Clémentine a totalement cessé.
Moi, je pratiquais assidument jusqu'au décès de mon ex compagne, il y a dix ans. Après, mon attrait pour le cheval a disparu.
Néanmoins, l'invitation de Juliette nous touche beaucoup. Nous irons certainement traîner au haras, mais pour d'autres raison.
Clémentine évoque parfois le palefrenier, monsieur Gérard, le sexagénaire exhibitionniste et bien vicelard. C'est un prétexte...
Tout en terminant son yaourt, Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux pour me raconter son rêve érotique. Exhibitionnisme.

Je passe ma main entre ses cuisses chaudes. Le petit sursaut merveilleux et je glisse ma main dans sa culotte. C'est mouillé.
< Je suis hyper excitée, si tu savais ! > me fait la jeune fille en se saisissant de ma bite semi molle. Je réponds : < Je sais ! >
Nous rions de bon cœur. Clémentine et moi, nous ne sommes pas "du matin". Par contre nous apprécions d'êtres excités. Bien.
Il est 8 h45. Nous faisons notre vaisselle. Je lui murmure : < Au retour du jogging, avant la douche, je te bouffe la chatte ! >
< Oh oui ! Viens ! >. Nous montons à l'étage pour nous mettre en tenues. Il ne pleut pas. Nous courrons sur un sol mouillé...

Nous sommes de retour pour 10 h15. Clémentine m'entraîne directement sur le canapé du salon. Le cuir est plutôt très froid.
Elle retire son short et sa culotte qu'elle jette au loin. Vautrée sur le canapé, cuisses largement écartées, la jeune fille attend.
Je pose le coussin de velours carmin au sol pour m'y mettre à genoux. Je hume longuement les effluves parfumées de la fille.
Odeurs fortes, acides, un bonheur. Je fouille les plis et les replis de ma langue exploratrice. Clémentine gémit fortement. Folle.
Ma compagne me tient par les oreilles afin de me guider. De me repousser lorsque l'orgasme menace. Nous sommes vigilants.

Je me régale des coulures, des sécrétions qu'émettent les muqueuses de la jeune fille. Entre le dégoût excitant et le plaisir.
Clémentine, n'en pouvant plus, aux extrêmes limites, me repousse. La jeune fille déteste les orgasmes prématurés. Attente.
Elle préfère maintenir son état d'excitation toute la journée. Cela éveille chez ma compagne une libido perpétuellement vive.
Je me relève. Clémentine me tend les mains. Je les saisis pour l'aider à se redresser. < Je t'aime ! > me fait elle, contre moi.
Nous montons prendre notre douche. Une fois vêtus de nos T-shirt de maison, Clémentine m'entraîne devant l'ordinateur...

Nous découvrons le message d'Estelle qui nous annonce sa venue pour 19 h. Elle insiste pour emmener le dessert. Une tarte.
Nous répondons. Nous faisons un courriel à Juliette pour lui souhaiter de bonne vacances. Elle part le premier septembre.
Clémentine se rend sur le site de la faculté pour y découvrir les dernières informations. Je vais à la cuisine pour préparer.
Depuis le salon, Clémentine commente ce qu'elle découvre sur le site. < Ils font chier ! > lance t-elle. Pré rentrée le huit.
< Il faut être à la fac à huit heures du matin, vendredi huit septembre pour la rencontre avec les profs ! > rajoute t-elle...

Clémentine vient me rejoindre pour dire : < Ils nous font venir le matin. Ils pouvaient pas le faire l'après-midi ! Les cons ! >
Nous rions de bon cœur. Clémentine retourne à l'ordi pour créer des albums relatifs à l'Ecosse. Téléchargement des photos.
Nous avons ramené plus de 300 photos. Clémentine a une parfaite maîtrise de l'outil informatique. Les choses iront très vite.
Je vais au potager pour aller chercher une belle salade verte, quelques carottes et de gros radis blancs. il pleut légèrement.
Je reviens pour tout laver. Je prépare les doses de millet doré que je vais préparer avec une sauce au basilic du jardin. Bien.

Clémentine vient me rejoindre. Il est presque midi. La faim commence à se faire sentir. La jeune fille se serre contre moi.
< Toues les photos sont déjà dans l'ordi. Il n'y a plus qu'à les classer ! > m'apprend t-elle. Je la soulève pour la serrer.
Je la fais tournoyer en l'air pendant qu'elle me couvre le visage de bisous. Nous commençons la préparation du repas. Faim.
Cet après-midi nous irons à ma galerie d'Art. Mon oncle nous attend pour 14 h30. Le programme de la journée est au point.
Clémentine s'occupe de la salade. Comme elle aime le faire, avec ses mains froides et mouillées, elle me tripote la queue...

Il y a une agréable fraîcheur dans la maison. C'est un véritable soulagement. Nous mangeons à la cuisine. C'est un régal.
Nous évoquons les vacances passées. Nous faisons des prévisions pour notre séjour écossais à venir, aux fêtes de Noël.
Je précise : < Il faut absolument que tu prennes la température écossaise en hiver ! >. Clémentine est enchantée. Ravie.
Je rajoute encore : < Rien à voir avec la belle saison, comme partout en Europe septentrionale ! >. Il faut prévenir. Bien.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Je constate que sa chatte est toujours aussi humide. C'est absolument divin.

Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous habiller. Clémentine met sa jupe carmin, évasée au-dessus du genoux. Belle.
Un pull de coton noir et fin. Sa veste noire cintrée et des souliers noirs, fermés à légers talons. Je la trouve très sexy. Bien.
Je mets un jean, un pull de coton noir et fin. Des souliers noirs de ville. Clémentine nous entraîne devant le miroir. Armoire.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait elle. Elle m'embrasse longuement. Mélange de salive. Et mouille.
Nous restons un long moment ainsi. Nous sommes bien excités. L'après-midi s'annonce torride. Nous descendons. Il pleut.

Dans la voiture, Clémentine joue avec ma queue pendant que je roule en redoublant de prudence. Quelques kilomètres.
Nous arrivons un peu avant l'heure. J'ai les clefs de la galerie. Nous y entrons. Il n'y a plus que les tableaux déjà réservés.
Leurs propriétaires viendront les chercher demain. Il faudra en expédier trois aux commanditaire. Mon oncle s'en charge.
Ce dernier arrive. Il est tout heureux de nous revoir. Il nous raconte la saison, l'affluence touristique et les rencontres.
Nous écoutons tout cela avec attention. Je récupère tout ce qu'il faut. Nous réglons les affaires courantes. C'est superbe.

Nous viendront tout mettre en ordre lundi prochain, le 4 septembre. La galerie ferme le 31 août jusqu'au 30 juin 2018.
Nous prenons congé. Clémentine et moi, sous notre grand parapluie, nous nous promenons dans la petite cité de caractère.
Nous allons saluer quelques commerçants qui nous racontent leur saison. Tout le monde semble très satisfait. C'est bien.
Nous revenons pour 18 h30. Clémentine me propose d'aller chercher Estelle pour lui éviter de venir en vélo sous la pluie.
Ma compagne lui fait un texto pour lui annoncer notre venue. Nous retournons chercher la jeune fille toute heureuse...

A la maison, Estelle nous montre la tarte qu'elle a concocté. Avec les pommes du jardin. La jeune fille est toute contente.
Nos habitudes reprennent pour notre plus grand plaisir. Estelle viendra passer le week-end avec nous dès vendredi soir.
Il y a mille projets. Pour la première fois depuis l'Ecosse, Estelle pose sa main sur ma braguette. Clémentine mâte sévère.
< Je te rappelle que Julien, c'est "propriété privé" ! > lance ma compagne. Nous rigolons tous les trois comme des bossus.
Je sors ma bite que j'agite devant Estelle qui fait : < Je peux y goûter ! S'il vous plaît, j'en rêve depuis trois semaines ! >

< Si tu es sage, après le repas ! > fait Clémentine en passant derrière moi, se serrant très fort. Nous rions de bon cœur.
Je propose des tomates farcies au pâté de lentilles. C'est rapide et toujours si délicieux. Clémentine prépare les salades.
Estelle vient aider l'un et l'autre. Elle met la table. Elle nous raconte ses petites aventures. Monsieur Gérard le palefrenier.
Décidément ce vieux vicelard ne laisse pas les deux filles indifférentes. Elles n'arrêtent pas d'évoquer ce vieux salopard.
Nous rions de bon cœur. Les filles lui réservent quelques futures émotions qui seront bien cruelles pour son vieux cœur.

< Et pour sa vieille queue toute molle, dégueulasse et puante ! > rajoute Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Joie.
Le repas est délicieux. Je ne l'ai plus fait depuis longtemps. Je me lève pour me mettre aux côtés d'Estelle. Elle observe.
Je pose ma main sur sa nuque. J'appui pour approcher son visage de son assiette. Il y a un réflexe de résistance. Silence.
Clémentine que cela excite toujours beaucoup, me fait un clin d'œil. Pas de doute, nos petits jeux vont reprendre. Super !
Je sors ma queue que je passe sur le visage d'Estelle qui tente de se soustraire à mon étreinte. Je la tiens fermement...

< T'es toujours aussi vicelard, hein, salopard ! > fait Estelle juste avant que j'arrive enfin à lui enfoncer la bite en bouche.
Elle se débat en posant ses mains sur mes hanches pour tenter de me repousser. < Tu veux de la bite, non ! > que je dis.
Estelle arrive à s'arracher à mon étreinte. Elle détourne son visage et se lève. Son regard est sévère, lourd de reproches.
Je ne sais toujours pas si la jeune fille joue ou si elle est sérieuse. Je reviens m'asseoir. Clémentine passe sous la table.
Ma compagne, trop heureuse de l'aubaine, me suce la queue. Estelle est retournée à son repas. Elle me fixe étrangement.

Je force Clémentine à se relever en la tirant fermement par ses cheveux. Nous continuons notre repas qui refroidit un peu.
Nos conversations, entrecoupées de rires, reprennent. Nous faisons la vaisselle. Estelle se montre très salope. Vicelarde.
A plusieurs reprises, tout en faisant la plonge, en s'essuyant les mains, Estelle mime une masturbation masculine. Salope.
Clémentine et moi nous essuyons la vaisselle. Nous sommes tous les trois si heureux de reprendre nos attitudes. Vicieux.
Clémentine m'entraîne au salon et me chuchote : < Sois très vicelard avec elle, je veux me branler en vous regardant ! >

Je promets. Je sais que rien n'excite davantage ma compagne que de me voir me comporter en salopard avec Estelle.
Estelle vient nous rejoindre. Clémentine se vautre dans le fauteuil à gauche du canapé. Estelle s'installe à mes côtés.
Je sors ma bite gluante et dégoulinante de foutre. Estelle la prend dans la main. La jeune fille reste immobile. Bavardage.
Comme si tout cela était parfaitement normale, Estelle évoque son court séjour avec nous en Ecosse. Jeune vicelarde.
Clémentine, excitée depuis ce matin, a passé sa main sous sa jupe, sa culotte juste encore accrochée à sa cheville droite.

Je saisis plusieurs fois Estelle par sa nuque. J'appui fortement. A chaque fois la jeune fille oppose une résistance. Vice.
Je bande comme le dernier des salauds. Tout en bavardant, Estelle me tord la bite. A gauche, à droite, tordue vers le bas.
En fait, nous devons nous rendre à l'évidence, tout cela est devenu notre "normalité". Clémentine se masturbe doucement.
J'arrive enfin à forcer Estelle. Sa bouche dont je sens le souffle chaud, est à quelques centimètres de ma queue. Superbe.
Soudain, en poussant un long gémissement de plaisir, la jeune fille prend ma bite en bouche. Elle n'arrête plus de gémir...

Je lui chuchote : < Te voilà à ton activité préférée, hein, petite salope, ça faisait longtemps ! >. Estelle glousse de plaisir.
Je la tiens par la nuque. Clémentine, bouche ouverte, haletante, me fixe avec une attention presque inquiétante. Branle.
Estelle me suce avec une incroyable douceur malgré qu'elle pompe comme si sa vie en dépendait. J'éjacule sans prévenir.
Après cette première éjaculation, je ne suis même pas obligé de maintenir la tête de la jeune fille qui continue sa fellation.
Clémentine, le corps secoué de plusieurs spasmes, pousse une sorte de rugissement. L'orgasme qui la submerge est fort.

Je passe ma main gauche entre les cuisses d'Estelle qui la repousse fermement. Immédiatement. < Pas touche ! > dit elle.
Décidément, son comportement reste un mystère. Clémentine reprend ses esprits en soufflant et en respirant fortement.
Je me fais tailler une pipe fantastique. C'est le "second tour", celui des connaisseuses et des connaisseurs. Un vrai bonheur.
Clémentine est venue s'asseoir à ma droite. Nous nous embrassons. L'excitation la gagne à nouveau. Estelle taille sa pipe.
Il est vingt trois heures. J'éjacule une seconde fois. Clémentine s'offre un second orgasme. Nous ramenons Estelle chez elle.

Bonne retrouvaille à toutes et à tous avec votre environnement habituel et avec votre soumise adorée.

Julien - (Qui ne sait plus où donner de la queue. Mais se faisant vider les couilles avec passion) -

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Estelle revient passer le week-end avec nous - Plaisirs -

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par des chuchotements, des murmures, des bisous. On me tient la queue.
J'ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. < Bonjour Clémentine ! > que je fais.
Ma compagne ne tarde pas à me chevaucher en riant. Il est huit heures. Clémentine m'avoue être réveillée depuis 7 h45.
Elle ne supporte pas de rester seule très longtemps. C'était trop souvent le cas dans son passé. Les échanges de papouilles.
Tendresse, douceur avant d'êtres obligés de nous rendre aux toilettes. Clémentine m'entraîne par la main. Le rituel pisseux...

Morts de faim, nous descendons à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner. Je presse les oranges. Je coupe le pain.
Clémentine s'occupe du café avant de faire griller les tranches de pain. Confiture, miel et yaourts composent notre repas.
Nous mangeons d'un bon appétit. Dehors il fait gris. Le ciel est couvert, bas mais pas réellement menaçant. Il fait doux.
Nous bavardons. Ma compagne évoque la soirée de la veille et la visite d'Estelle. Il est bien sûr question de la fellation. Joie.
< J'adore te voir être un vrai salopard avec Estelle. Tu as vu comme je me suis encore éclatée hier soir ? > fait Clémentine.

Nous rions de bon cœur à l'évocation de cette double pipe vécue hier soir sous les yeux de ma compagne se masturbant. Bien.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux en terminant son yaourt. Je la rassure quand à ses légitimes inquiétudes. Je l'aime.
Clémentine passe sa main sous mon T-shirt pour la glisser dans mon slip. Jouant avec ma queue, elle me fait part de son avis.
< Hors du contexte de jouissance que cela me procure, il serait impossible de te voir avec une autre ! > me confie t-elle. Joie.
Je passe ma main sous son T-shirt pour la glisser dans sa culotte. C'est chaud, peut-être humide. C'est absolument superbe...

Nous faisons notre vaisselle. Nous montons nous mettre en tenues pour notre jogging. Je prends Clémentine dans mes bras.
Je lui murmure : < Au retour, je peux te brouter un peu ? Je suis entrain de développer une nouvelle addiction ! >. Rigolade.
< Je vois que tu te comportes en fin gourmet ! Oh oui, broute moi ! > me répond ma compagne avant de m'entraîner. Jogging.
Nous courons dans un air vivifiant. Il en est terminé de ces grosses chaleurs insupportables. Il faut même courir vite. Bien.
Nous longeons la rivière, nous passons devant le haras, nous remontons le ruisseau jusqu'à l'ancienne voie ferrée. C'est super.

Il est 10 h15 lorsque nous revenons. < N'oublie pas ta promesse ! > me fait Clémentine en m'entraînant sur le canapé du salon.
Pendant que la jeune fille retire son short et sa culotte, je pose le coussin de velours carmin au sol. Clémentine se vautre. Rires.
Immédiatement, à genoux entre ses cuisses largement écartées, je hume longuement les odeurs de sa nuit et de l'entraînement.
L'odeur forte m'enivre jusqu'au vertige. Je fouille les plis et les replis de ses peaux avec ma langue. Le goût est légèrement acide.
Clémentine me guide en me tenant par les oreilles en gémissant de plaisir. Son clitoris géant recèle de petits miasmes. Du frome.

Il nous faut cesser sous peine d'orgasme imminent. Chose que Clémentine déteste par dessus tout. Ce sera pour la soirée.
Je me redresse. Clémentine me tend ses mains que je saisis pour l'aider à se redresser. Nous montons prendre notre douche.
Nous redescendons. Clémentine allume l'ordinateur. Le message de Juliette qui nous informe qu'elle est bien arrivée en Vendée.
Nous répondons en la remerciant encore pour le délicieux repas d'avant hier. Puis nous découvrons le message d'Estelle. Bien.
Estelle viendra nous rejoindre ce soir, pour 19 h. Elle restera jusqu'à dimanche soir. Nous répondons. Un super week-end. Joie.

Clémentine se rend sur le site de la Faculté. En quête d'informations, la jeune fille consulte les différentes rubriques. Sympa.
Je la laisse pour aller préparer les ingrédients du repas de midi. Nous rêvons depuis l'Ecosse d'un excellent gratin de patates.
Depuis le salon, Clémentine me commente le programme des cours à venir pour ce premier trimestre. C'est assez complexe.
Je sors. Je chausse mes sabots de jardin, en caoutchouc vert. Clémentine vient me rejoindre en mettant les siens. Rigolade.
Nous allons au potager. Nous cueillons une belle salade, quelques carottes, du persil et de la ciboulette. Un bel oignon blond.

Nous rentrons. Clémentine lave les légumes. J'épluche les pommes de terre. Nous bavardons. Dehors, quelques gouttes. Pluie.
La jeune fille aime bien me taquiner en mettant sa main mouillée dans mon slip. Sa main froide et humide. C'est surprenant.
Nous rions de bon cœur de ce qui devient un nouveau rituel. A plusieurs reprises ma compagne se serre dans mes bras. Joie.
< Je t'aime comme une folle ! > me chuchote t-elle presqu'à chaque fois. < Moi aussi ! > que je lui murmure à l'oreille. Bien.
Je coupe les pommes de terre en lamelles que je dispose dans un plat. Je recouvre d'une couche de gruyère, d'un œuf battu...

Je verse une sauce à l'oignon, à l'ail et au persil sur le tout avant de disposer le plat au four pour une cuisson de 40 minutes.
Thermostat sur 7. Nous terminons de râper les carottes. Préparation des assaisonnements. Huile d'olive, jus de citron. Poivre.
Nous mettons au point le programme de l'après-midi. Préparation de la rentrée. Nous serons dans l'atelier. C'est superbe. Joie.
Nous sommes assis sur le canapé du salon à nous embrasser, à nous caresser lorsque la sonnerie du four nous interrompt. 13 h.
Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine met la table. Je sors le gratin du four. L'odeur en soi est déjà un véritable délice.

Le repas est un véritable régal. Nous traînons à table. Clémentine est assise sur mes genoux, terminant sa coupe glacée. Joie.
Nous faisons la vaisselle. Nous allons dans l'atelier. Tout est en ordre, comme je l'avais laissé au début du mois de juillet. Bien.
Il y a cette odeur particulière caractéristique de tous les ateliers de peintre. Les huiles précieuses. Huiles de lin et d'œillette.
Clémentine fait le tour de la grande pièce en humant. Elle adore passer du temps ici, le soir, avec moi, pour ses préparations.
Assise à la grande table, pendant que je peins, la jeune fille travaille alors à ses cours. Tout cela recommence très bientôt...

Je prépare mes chevalets que je débarrasse des draps qui les recouvre. Clémentine se revêt d'un drap et fait : < Fantôme ! >.
Nous rions de bon cœur. Elle rajoute : < Voilà deux fantômes dans la maison ! >. Je prends le "fantôme" contre moi. Fort !
Il est 15 h. Clémentine a sorti tout ses bouquins, ses cahiers, ses feuilles de papier. Comme moi, elle est méthodique. Bien.
Assise à la table, elle fait le tri de ce qu'il faudra pour la rentrée du lundi 11 septembre. Je sors quelques toiles vierges. En lin.
Vêtu de ma blouse, je recouvre deux d'entre elles d'une préparation acrylique. Un "Gesso" épais qui permet une enduction...

Nous adorons êtres ensemble à travailler. C'est dans le silence total que nous sommes tous deux concentrés sur nos activités.
Parfois, l'un où l'autre vient faire des bisous à l'autre. Voir ce qu'il fait. L'après-midi se passe ainsi. Nous voilà bien de retour.
Il est 18 h30 lorsque nous entendons marcher dans le couloir. La porte de l'atelier s'ouvre. C'est Estelle. Elle se précipite. Joie.
Nous nous faisons plein de bises. Estelle a l'autorisation express de pénétrer dans l'atelier, endroit secret et impénétrable.
Elle aussi adore humer les parfums secrets de l'atelier. Odeurs suaves, indéfinissables et fort plaisantes. Estelle regarde tout.

Nous restons encore un petit moment dans mon antre de créations. Clémentine nous entraîne à la cuisine. Nous avons faim.
Il est prévu de réchauffer le reste du gratin de pommes de terre. J'en ai préparé en conséquence. Il y a juste la salade à faire.
Clémentine s'y applique. Estelle met la table. elle me fait d'étranges et équivoques sourires. Clémentine fait des clins d'œil.
Nous mangeons d'un bon appétit. Nous bavardons. Les filles parlent de la rentrée prochaine, des professeurs, de leurs cours.
J'adore les entendre échanger leurs impressions. C'est hautement intéressant. Nous traînons à table. C'est passionnant. Bien.

Il est 20 h30 lorsque nous faisons la vaisselle. Estelle, plusieurs fois, mime une masturbation masculine. Vulgairement. Salope.
La jeune fille nous fait part d'un ressenti qui nous amuse. < J'aimerais bien refaire un film ! > nous fait elle. Nous écoutons.
< Je connais les précédents par cœur, je me suis tellement touchée en les regardant quand vous étiez loin ! > rajoute t-elle.
Clémentine lui demande : < Tu aimerais quel sujet, quel "plan" ? >. Estelle semble gênée et répond : < On fait demain ? >.
Je demande : < Un "plan" soumise ? Humiliation, esclave ? >. Estelle ne répond pas. Elle se contente de secouer la tête. Oui.

Nous faisons donc le programme pour demain soir, samedi. Clémentine s'occupera des prises de vue. Réalisatrice. Cadreuse.
< Je vais te dresser, petite salope, tu vas voir ! > que je fais à Estelle. < Je veux vraiment en baver ! > répond la jeune fille.
Je lui promets d'être à la hauteur de ses attentes. Clémentine nous entraîne au salon. Je sors ma bite que j'agite devant Estelle.
Estelle s'en saisi immédiatement pour la tenir fermement. Clémentine s'assoit dans le fauteuil. Estelle est debout devant moi.
Tout en évoquant l'Ecosse, Estelle me tient la queue, parfaitement immobile mais en la serrant fortement. Je bande. Salope...

Estelle me tire par la queue pour me faire faire le tour de la grande pièce. Clémentine nous observe avec attention. Excitée.
Ma compagne vient d'ouvrir son jean, elle a passé une main dans sa culotte. Rien ne lui fait plus plaisir que de nous regarder.
Estelle passe derrière moi sans me lâcher la bite. Elle se met soudain à me branler à toute vitesse. Tout en parlant faculté.
Cette petite salope passe à la vitesse supérieure. Elle applique certainement ce qui lui est passé par la tête, seule, cet été.
La jeune fille cesse. Tout en me tirant pour continuer à faire le tour du salon pour la troisième fois, elle me tient par la bite.

A plusieurs reprises, tout en parlant d'autres choses, études, travail ou équitation, Estelle passe derrière moi pour me branler.
Je bande comme un salaud. Surtout que la jeune fille évoque à présent les situations vicelardes avec monsieur Gérard. Haras.
Le palefrenier de Juliette qui discute avec les jeunes filles au fond de l'écurie en pissant dans un seau en métal qui résonne.
Clémentine se masturbe doucement en regardant cet insolite spectacle et en écoutant les histoires vicelardes d'Estelle. Salope.
La situation perdure ainsi une grande partie de la soirée. Estelle m'entraîne aux toilettes en disant : < Il va faire son pipi ! >.

Clémentine vient nous rejoindre aux WC. Debout à ma gauche, ma compagne regarde Estelle debout à ma droite. Silence.
Estelle force ma bite à pointer vers le bas. C'est presque douloureux. Impossible de pisser tellement je suis excité. Superbe.
Clémentine a sa main dans sa culotte. Estelle me fait : < Alors ? Tu vas pisser salopard ! >. Clémentine m'embrasse. Joie.
Estelle s'accroupit. Elle décalotte mon gland pour le renifler. Sur la demande de Clémentine, je ne le lave pas depuis 3 jours.
< Oh put-hein, ça schlingue comme aux écuries. Monsieur Gérard No 2 ! > fait Estelle en reniflant longuement. Je bande...

C'est vrai que l'odeur du fromage de bite nous monte aux narines. C'est écœurant. Odeurs très fortes, âcres rappelant le thon.
Clémentine ne cesse plus de m'embrasser en se touchant. Nous savourons le mélange de nos salives. Estelle se met à sucer.
L'indicible caresse me fait vaciller. Clémentine me tient fermement. Elle sait les vertiges qui pourraient me faire défaillir. Bien.
Estelle pousse des petits râles d'écœurement mêlés aux gémissements de son plaisir évident. Nous restons là un long moment.
Je force Estelle à se relever. Je regarde les lèvres de sa bouche. Il y a du frome grumeleux qui lui collent jusque sur le menton.

Nous retournons au salon. Soudain, derrière nous, Clémentine, penchée en avant, mains entre ses cuisses à un spasme. Râle.
Le jean et la culotte à mi cuisses, les deux mains sur son sexe, ma compagne ne peut réfréner un orgasme qui la terrasse.
Estelle me branle en me disant : < Regarde un peu cette salope ! Elle va en pisser de plaisir ! >. Je regarde mon amour jouir.
Estelle se met à genoux pour continuer sa pipe. Clémentine, épuisée par son orgasme, se vautre dans le fauteuil en soufflant.
Je force Estelle à se redresser. Je lui crache au visage en la tirant par ses cheveux. Elle me met une gifle en criant : Salaud ! >

Pas de doute. Les choses reprennent là où nous les avons laissé au début juillet. Estelle ne me lâche pas la bite un seul instant.
Elle me tire comme par une laisse n'hésitant pas à me faire mal, me la tordant dans tous les sens. Cette petite salope s'éclate.
Je lui dis : < Demain soir, devant l'objectif de la caméra, je vais te faire payer tout ça très cher ! >. < Des mots ! > fait elle...
Estelle me pousse sans ménagement sur le canapé. A genoux entre mes cuisses, la jeune fille me taille un invraisemblable pipe.
Clémentine recommence à se toucher. Son jean et sa culotte aux chevilles, ma compagne me fait des clins d'œil. Des sourires...

Bon début de saison à toutes et à tous. Surtout celles et ceux qui ont le privilège d'avoir une jeune visiteuse hyper vicelarde...

Julien - (Qui peut se comporter en toute quiétude comme le dernier des salauds avec une authentique petite salope délurée) -

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Estelle, Clémentine et moi, nous renouons avec une certaine "tradition"

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par des chuchotements, des murmures et des rires étouffés. Je fais mine de dormir.
J'entends les filles rire. Soudain, je ne sais pas laquelle, l'une passe sous les draps pour me sucer. La surprise est évidemment totale.
Je peux même préciser que mon étonnement est proportionnel à la taille de mon sexe toujours dans une terrible érection le matin.
J'ouvre un œil. Et le bon. Je n'en crois pas mes yeux. Clémentine, là, sur ma gauche me fait un grand sourire. Elle vient contre moi.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en me couvrant le visage de bisous. < Bonjour Clémentine ! > que je lui réponds en la caressant...

C'est donc Estelle qui me tire de mon sommeil avec une pipe tant matinale que douce et étonnante. Je la prends pas ses cheveux.
Je la force à cesser. Clémentine en profite pour me chevaucher. < Bonjour Julien ! > me fait Estelle en me faisant quantité de bises.
Je fais : < Bonjour Estelle ! >. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Estelle rajoute : < Comme tout ça m'a manqué ! >
Nous restons ainsi un petit moment à nous faire des papouilles, nous offrir de la tendresse et de la douceur. Estelle se lève. Les WC.
< Je descends préparer le petit déjeuner ! > nous fait elle en sortant des toilettes pour trottiner vers l'escalier qu'elle descend vite.

Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. C'est à notre tour. Il était grand temps. Mon érection organique a disparu.
Nous descendons à toute vitesse. Nous sommes morts de faim. Estelle a déjà tout préparé. L'odeur du café et du pain grillé. Bon !
Je mets la table. Dehors, le ciel est morcelé de gros nuages. Il règne une certaine fraîcheur automnale. C'est un peu étrange. Eté.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent de la rentrée prochaine. J'écoute leurs plaisanteries et leurs échanges. Amusant.
Bien sûr, Estelle évoque avec une certaine tristesse, ce mois et demi sans nous. Sa peine souvent profonde durant cette épreuve...

Je me lève. Je viens lui faire une bise sur le front. Je me place derrière elle. Mes mains sur ses épaules. Je la rassure. Tout est bien.
Je lui dis : < Pour les fêtes de fin d'année, on t'emmène avec nous en Ecosse ! >. Que n'ai je pas dis là. Ce sont des cris de joie...
Très vite pourtant, Estelle revient aux réalités. Elle précise : < Je ne peux pas laisser mes parents pour Noël ! C'est impossible ! >.
Je rajoute : < Tu nous rejoins en avion le 26 décembre à Edimbourg. Je m'occupe de tout ! Nous revenons le 3 ou le 4 janvier ! >.
Il y a un long silence. Clémentine me fait un délicieux sourire. Estelle lève la tête pour me dire : < C'est tout à fait jouable ! >. Bien.

Je reviens m'assoir. Clémentine se lève pour venir s'asseoir sur mes genoux. Nous terminons nos yaourts. Nous nous observons.
Il est à peine 8 h30. Nous débarrassons pour faire la vaisselle. Estelle insiste pour faire la plonge. Nous montons nous changer.
Estelle a ramené son sac de sport qui contient différents vêtements pour le week-end. Notamment sa tenue de jogging. L'heure.
Nous courons relativement vite. La fraîcheur matinale impose de se réchauffer par une bonne foulée et un rythme soutenu. Joie.
C'est le parcours habituel. Le long de la rivière jusqu'au haras. Le long du ruisseau jusqu'à la voie ferrée. Retour par le cromlech.

Il est dix heures quinze lorsque nous revenons. Il y a quelques gouttes de pluie. Estelle prend sa douche la première. Rapidement.
Puis, pendant qu'elle est devant l'ordi, c'est à notre tour. Clémentine et moi, nous nous savonnons en faisant le programme. Bien.
Nous voilà habillés. Nous rejoignons Estelle qui lit quelques uns de nos récits sur le forum. < Je découvre enfin ! > nous fait elle...
Nous proposons à Estelle de nous accompagner faire les courses. < Pas question de rester seule ! > nous fait la jeune fille. Départ.
Nous roulons en bavardant. Je constate avec plaisir que mon tachymètre affiche 12 750 km. Enfin du kilométrage. Il était temps...

Je gare la bagnole sur le parking. Il y a du monde. Je pousse le caddie. Nous déambulons dans les allées du grand supermarché.
Estelle se rapproche pour me chuchoter à l'oreille : < C'est ici que vous faites vos saloperies, lorsque Clémentine s'exhibe ? >.
Nous rions de bon cœur. Je réponds : < Oui ! C'est ici, mais jamais au rayon boucherie-charcuterie ! >. C'est le fou rire. Poilade.
Clémentine se retourne pour nous demander : < Pourquoi vous riez ? >. Estelle lui raconte notre boutade. Eclat de rire. Rigolade.
Nous emmenons Estelle dans les rayons où nous sévissons pour les exhibes discrètes de Clémentine. Rayon culturel et vêtements.

Estelle observe les lieux et écoute les explications de Clémentine. Clémentine lui fait : < Aujourd'hui, non. Il y a trop de monde ! >
Estelle se lâche en répondant : < Si seulement j'avais le courage, ça doit être génial ! >. < C'est génial ! > fait Clémentine. Rire.
Ma compagne précise encore : < C'est le fantasme de plein de filles. Il faut juste un Julien pour le réaliser en sécurité ! >. Rires...
< Je veux un Julien ! > s'écrie Estelle en me prenant le bras. < Oui, mais celui-là, c'est le mien ! > fait Clémentine en arrivant.
Ma compagne se serre contre moi et dit encore : < Propriété privée, chasse gardée ! >. Nous rigolons comme des bossus. Super !

Nous sommes de retour à la maison pour midi trente. Le temps de ranger nos courses en riant de nos aventures qu'il est 13 h.
Estelle va au potager chercher une grosse salade verte et trois grosses carottes. Clémentine s'occupe des assaisonnements.
Je fais bouillir de l'eau pour faire des coquillettes. La préparation se fait dans une ambiance festive pleine de joie et d'humour.
A quelques reprises, avec toute la vulgarité qu'elle peut y mettre, Estelle mime une masturbation masculine. C'est très bien fait.
Je lève à chaque fois le pouce de la main droite en signe de félicitation. Clémentine me fait des clins d'œil. Les filles bavardent...

Il est 13 h45 lorsque nous passons à table. Dehors, la pluie a cessé. Il y a même de timides rayons de soleil. Un repas délicieux.
Les coquillettes complètes, et "Bio", gratinées au parmesan, avec une sauce aux champignons noirs, sont toujours un vrai festin.
Le dessert est composé de coupes glacées géantes avec nos parfums préférés. Vanille, pistache et pralin. Elle est belle notre vie.
Clémentine, assise sur mes genoux, nous écoutons Estelle nous raconter ses vacances ennuyeuses dans le Var. C'est assez hard.
< Plus jamais je n'irai me faire chier là-bas ! C'était la dernière fois ! > conclue t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Sympa.

L'après-midi sera consacré à d'évidentes priorités. Les filles vont travailler à leurs cours, commencer leurs préparations. Rentrée.
Nous serons tous les trois dans l'atelier. Moi, pendant ce temps, je vais commencer à préparer mes enductions de toiles. Gesso.
Nous faisons la vaisselle. A nouveau, après sa plonge, Estelle mime plusieurs fois une masturbation masculine. Je sors ma queue.
J'agite ma bite en direction des deux filles. < Si tu ne la ranges pas tout de suite, je te la suce ! > me fait Clémentine. Rigolades.
Estelle après s'être soigneusement séchées les mains passe derrière moi pendant que je range la dernière assiette essuyée. Rires.

La jeune fille me tient la bite d'une main, tout en me palpant les couilles de l'autre. A travers le tissus de mon pantalon. Salope.
Clémentine vient me faire plein de bisous. Estelle me tord la bite dans tous les sens en parlant de l'université et de ses cours...
Estelle me tire par la queue pour me faire faire deux fois le tour de la cuisine. Autour de la table. Tout en parlant d'autre chose.
Finalement nous montons tous les trois pour nous laver les dents. Nous faisons tout un tas de grimaces devant le miroir. Rires.
Il est déjà 15 h lorsque nous sommes enfin à l'atelier. Les filles sont assises à la grande table, plein de classeurs devant elles...

Nous sommes tous les trois affairés à nos activités. Il y a souvent de longues séquences de silence studieux. C'est très agréable.
Nous travaillons ainsi jusqu'aux environs de 18 h30. J'ai enduit deux toiles de format 6F (41 x 33 cm). J'en ai quatre de prêtes.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux lorsque je viens rejoindre les filles au salon. Nous évoquons le travail de la journée.
Clémentine prépare la caméra qu'elle fixe sur son trépieds. Elle fait plusieurs essais de cadrage. Estelle se met dans le champs.
< Tout semble ok ! Il y a une carte de 8 G. Une heure trente de film ! Je fais pareil pour l'appareil photo ! > nous précise t-elle.

Tout est prêt. Il est dix neuf heures. Nous préparons notre repas du soir. Je réchauffe les coquillettes. Préparation des salades.
Plusieurs fois encore, Estelle se montre très vicelarde. < Tu te mets en condition ? > lui demande Clémentine en l'observant...
Je reste silencieux. Je me contente de fixer Estelle à chacune de ses attitudes vicieuses. Elle baisse souvent les yeux. Salope.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles sont toutes contentes de se savoir prêtes dans leurs préparations. Devoir accompli.
Comme chaque fois, Estelle insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. Je les laisse pour aller au salon...

Du tiroir du bas, au bureau, je sors le collier canin, des cordelettes d'épais coton blanc que je dépose au sol. Proprement posés.
Je prends la chaise entre la bibliothèque et la pendule. Je la place au milieu de la pièce. Je cherche une cuvette en plastique.
Je mets le grand coussin de velours carmin au sol, devant le canapé. Tout me semble prêt. J'entends les filles rire à la cuisine.
Estelle arrive la première. Elle découvre ma petite installation. Elle dit : < C'est pour moi, tout ça ? >. Nous rions de bon cœur.
Clémentine arrive à son tour en disant : < Génial ! >. Clémentine propose à Estelle de monter se changer. S'habiller en filles...

J'entends les filles rire à l'étage. Estelle redescend la première. Elle est absolument superbe. Jupe kilt, pull fin, souliers à talons.
Comme toujours je m'amuse de regarder Estelle marcher maladroitement sur ses hauts talons. Clémentine descend à son tour.
Ma compagne a passé une jupe, un pull fin et porte ses souliers à talons. Comme elle est belle. Comme elles sont belles. Joie !
Clémentine s'accroupit derrière la caméra. Estelle est debout devant la bibliothèque. Silence ! < Moteur ! > fait Clémentine...
Je m'approche d'Estelle. Je lui fixe doucement le collier canin autour du cou. Clémentine filme en étant très concentrée. "Pro" !

Je fixe la laisse au collier. Je saisis Estelle par ses cheveux et par son menton. Je la force à fixer l'objectif de la caméra. Silence.
Je lui serre les joues pour bien la maintenir car la jeune fille, extrêmement gênée, tente de baisser la tête. Je la tiens fortement.
Je la lâche pour donner quelques à coups sur la laisse. Je la tire jusqu'au milieu de la pièce. Clémentine guide l'objectif avec soin.
Je force Estelle à se mettre à genoux. Je suis obligé d'insister car la jeune fille semble rebelle et plutôt revêche. Le "personnage".
Tout cela n'est évidemment qu'un jeu. Mais ce film va encore procurer d'indicibles plaisirs futurs à Estelle qui adore se voir ainsi.

Une fois encore je la force à bien regarder l'objectif de la caméra. Je la tiens par la nuque, fermement, de façon autoritaire. Jeu.
Clémentine filme avec sa concentration habituelle. J'entends toutefois s'accélérer sa respiration. Tout cela commence à l'exciter.
J'ouvre lentement ma braguette à proximité du visage d'Estelle qui tente de s'éloigner. Pas question, je la tiens d'une main. Fort.
Je sors ma bite. Je bande mou. Il suffit d'observer la photo de mon avatar pour bien comprendre ce que je lui frotte sur le visage.
La jeune salope se débat, détournant la tête en faisant la grimace et en poussant un petit cri d'animal effrayé. Du plus bel effet.

Clémentine vient de passer sa main gauche sous sa jupe. Ma compagne adore me voir me comporter en vrai salopard. Elle aime.
Je tiens Estelle par les oreilles pour bien lui frotter ma queue sur la gueule. Elle me tient par les hanches pour me repousser. Cris.
Je la force à se relever. Sans ménagement mais sans violence. Je lui mets une bonne gifle. Sans violence. Pour parfaire le jeu...
Je force Estelle à s'asseoir sur la chaise. Le dossier entre ses cuisses qu'elle doit ainsi garder écartées. Je lui attache les mains.
J'attache ses chevilles aux pieds de la chaise. J'entends de petits gémissements plaintifs. Je regarde. Clémentine se masturbe...

Ma compagne, tout en filmant, se touche. Plusieurs fois, tout en se touchant, Clémentine se penche pour regarder la caméra.
Je suis accroupis. Je regarde avec attention entre les cuisses d'Estelle, sous sa jupe remontée. Elle est très gênée. C'est super.
Je mets ma main sur sa culotte. < Non ! Pas ça ! > s'écrie la jeune fille. Malgré l'interdiction, je palpe la bosse de son clitoris.
< Je ne veux pas qu'on me touche là ! > fait encore la jeune fille. Je me redresse. Je prends un foulard en soie à Clémentine.
Je passe derrière Estelle pour la bâillonner. Elle tente de se débattre pour m'en empêcher, allant jusqu'à bouger la chaise. Bien.

Je reviens m'accroupir. J'entends Clémentine gémir tout en filmant et en se touchant. Je passe ma main entre les cuisses d'Estelle.
Cette dernière tente de s'y soustraire en agitant son bassin. J'ai passé mon index entre l'élastique de sa culotte et la cuisse. Bien.
Estelle, malgré son bâillon, pousse de profonds mugissements de rage. Je caresse les poils de sa toison pubienne qui poussent.
J'observe les yeux de la jeune fille qui me lance des regards furieux. Son visage est couvert de sueur. Je renifle mon index. Odeur.
L'odeur est forte, je goûte, le goût est âcre. Chaque fille à un goût différent. Celui d'Estelle est fort. Je remets mon doigt. Mouille.

Estelle mouille. Je peux sentir la viscosité de la cyprine qui s'écoule. Bien évidemment la jeune fille est envahit de plaisir. Bonheur.
Clémentine est assise sur l'accoudoir du fauteuil. Elle se masturbe. Son visage est couvert de sueur. La caméra filme automatique.
Je me relève. Je saisis Estelle par le menton. Je lui mets une nouvelle gifle. Je frotte ma bite sur sa bouche qu'elle garde fermée.
J'insiste. Clémentine ne peut réfréner un orgasme qui la tétanise. Elle pousse une série de râles qui se terminent en gémissements.
J'arrive à glisser ma queue dans la bouche d'Estelle. Je lui appui sur la nuque. Elle gémit de plaisir elle aussi. Je reste immobile...

Clémentine reprend ses esprits. Elle vient me faire quantité de bises. Elle retourne derrière la caméra. Elle pointe son pouce en haut.
Tout fonctionne. Il reste à peine vingt minutes. Je me retire de la bouche d'Estelle. Je lui mets une nouvelle gifle. Gémissements.
Je prends la cuvette en plastique que je pose au sol, juste sous le visage d'Estelle qui comprend immédiatement. Un mugissement.
Je bande mou. Depuis la préparation du repas, il y a presque trois heures, j'ai une méchante envie de pisser. Tout est donc facile.
Je tiens fermement Estelle par ses cheveux. Je lui lâche un premier jet en l'empêchant de détourner le visage. Je lui frotte ma bite.

Je lâche plusieurs jets que je contrôle parfaitement. Estelle a le visage, les cheveux et tout le haut du corps trempés de pisse. Salope.
Les vêtements passeront tout simplement à la machine, pourquoi se gêner ? Clémentine, trop excitée, recommence à se masturber.
Entre chaque jet, je frotte ma bite sur le visage d'Estelle. J'arrive enfin à lui glisser mon sexe dans la bouche. Deux minutes. Je jute.
Clémentine ouvre sa main, doigts bien écartés pour me faire comprendre qu'il reste 5 minutes de film. Je fini de vider mes burnes...
Je m'accroupis. Je passe mon doigt entre l'élastique de la culotte et la cuisse. Estelle pousse un mugissement. Elle se cambre. Débat.

Je comprends que cette petite salope est terrassé par un orgasme. Enfin ! C'est rare que la jeune fille arrive à cette extrémité. Bien.
Il faut dire que n'importe quel individu "normal", mâle ou femelle, dans de telles situations, ne saurait réfréner un orgasme. C'est fou.
Il y a le petit déclic sonore qui indique que la carte SD est pleine. Je débâillonne Estelle qui est dégoulinante de pisse. Elle me sourit.
Clémentine, qui a fait de nombreuses photos, en prend encore quelques unes. Je détache Estelle. Elle semble enchantée de sa soirée.
Elle file à la douche. Clémentine, serrée dans mes bras, me fait : < Tu as été génial ! Je me suis éclatée comme une bête ! >. Rires.

Estelle redescend coiffée d'une serviette comme un indou. Elle a passé un peignoir à Clémentine. Elle est en grosse chaussettes. Joie.
Immédiatement, pour tout contrôler, Estelle s'empare de la carte SD qu'elle introduit dans son ordinateur. Elle télécharge les images.
Pas question de laisser quoi que ce soit se perdre et risquer un jour d'apparaître quelque part. Nous observons la méthode. Dextérité.
Tout est rapide. Estelle charge le film et les photos. Les cartes sont vidées de leurs contenus. Nous sommes épuisés. Il est déjà minuit.
Sans même prendre de douche, Clémentine et moi nous montons nous coucher. Estelle va à la salle de bain sécher ses cheveux. Dodo.

Bonne soirée à réaliser votre film privé et personnel que personne ne verra jamais. Avec votre "soumise". A toutes et à tous...

Julien - (Qui n'a pas l'âme d'un vrai "Maître", mais qui se débrouille plutôt bien avec une fausse "soumise". Mais vraie vicieuse) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 170 -



Estelle est tellement heureuse de passer le week-end avec nous...

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil exactement de la même manière que samedi. Rires étouffés. Murmures.
On me suce soudain le sexe qui est toujours en érection naturelle le matin. C'est une sensation étrange. J'ouvre les yeux.
Clémentine vient se serrer contre moi en me chuchotant : < Bonjour Julien ! >. Je lui réponds : < Bonjour Clémentine ! >.
Je saisis Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser, remontant sa tête de sous les draps. Je dis : < Bonjour Estelle ! >.
< Bonjour Julien ! > me fait elle à son tour en me faisant plein de bisous. Quelques papouilles et Estelle se lève très vite.

Nous la regardons trottiner jusqu'aux toilettes. Clémentine et moi continuons nos effusions de tendresses et de douceurs.
Estelle revient des WC, descend les escaliers en nous lançant : < Je vais préparer le petit déjeuner ! >. Nous nous levons.
Clémentine m'entraîne par la main. C'est à notre tour. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Morts de faim.
L'odeur du café et du pain grillé achève d'ouvrir nos appétits. Estelle me fait un délicieux sourire. Je le lui rend. Clin d'œil.
Nous dégustons nos jus d'oranges, nos tartines beurrées à la confiture et au miel. Estelle met du miel dans son yaourt...

J'écoute les filles évoquer leurs études, la rentrée prochaine et tout ce qu'elles doivent encore préparer pour ce grand jour.
Elles se réjouissent toutes deux pour cette nouvelle échéance. La quatrième année de faculté sanctionnée par le "Master".
J'admire leurs déterminations. J'observe amusé les stratégies et les "plans" que les deux jeunes filles mettent en place.
Nous traînons à table. Dehors, le ciel est blanc et lumineux. Il est 8 h30. Il fait beaucoup plus doux que ces derniers jours.
C'est dimanche. Journée sans entraînement. Nous avons tout notre temps. Les filles évitent d'évoquer la soirée de hier...

Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Estelle débarrasse la table. Elle insiste pour faire la vaisselle. Nous regardons.
Nous sommes vêtus tous les trois de nos longs T-shirt de nuit. Clémentine, discrètement, glisse sa main dans mon slip.
Je passe ma main sous son T-shirt pour la glisser dans sa culotte. Estelle, se retourne tout en plongeant et en discutant.
Elle se rend compte de nos agissements. Nous rions tous les trois de bon cœur lorsque qu'elle dit : <Vous m'écoutez ? >
< Certes ! > répond Clémentine. L'ambiance de la journée se définie déjà. C'est absolument superbe. Nous nous levons.

Armés de torchons, nous nous mettons à essuyer la vaisselle. Estelle s'essuie les mains. Nous bavardons. en riant bien.
Estelle, à l'autre bout de la cuisine, range le pain dans la hotte, se tourne vers moi et mime une masturbation masculine.
La jeune fille le fait à chaque fois en y mettant toute la vulgarité possible. C'est toujours un étonnant spectacle. Amusant.
Cette belle jeune fille de 20 ans, se livrant à des gestes d'une vulgarité évidente, est un des spectacles les plus insolites.
Clémentine se retourne pour découvrir les agissements qu'Estelle fait durer. < Déjà ! > lui fait ma compagne. Rigolade...

Estelle ne cesse toujours pas son imitation qu'elle fait durer plus longtemps que d'habitude. Elle me fixe dans les yeux.
Cette insistance est certainement un appel. Clémentine suspend nos deux torchons et se serre contre moi. Je bande fort.
Nous passons au salon. Les filles vont s'installer derrière le bureau, devant l'ordinateur. Le site de l'université. Etudes.
Je descends à la buanderie avec le panier à linge. Je fais une machine. Les vêtement trempés de pisse portés hier soir.
Je remonte. Les filles sont en pleine discussion concernant leur quatrième année de faculté. Je vais nettoyer la cuisine.

Tout en passant la serpillère sur le carrelage, je peux entendre les filles rire. Anecdotes étudiantes. J'adore les entendre.
Cette grande maison était silencieuse si longtemps. A présent qu'elle est revenue à la vie, son ambiance m'enchante. Joie.
Clémentine vient me rejoindre. Je suis entrain de nettoyer les chiottes du ré-de-chaussée. Elle se serre contre moi. Fort.
< Je monte faire la chambre. Tu es sage, hein ! > me fait la jeune fille après m'avoir embrassé longuement. Je promets.
Je m'apprête à descendre à la buanderie pour vider la machine lorsqu'Estelle m'appelle : < Tu peux venir voir Julien ! >.

Je vais au salon. Je passe derrière le bureau. Je regarde l'écran de l'ordinateur d'Estelle posé à côté du notre. Surprise.
Il y a la dernière photographie prise par Clémentine hier soir. Estelle assise sur la chaise, le visage trempé de pisse.
Moi, penché à ses côtés la tenant par ses épaules, mon visage tout près du sien. Nous fixons tous deux l'objectif. Joie.
Je peux découvrir l'expression vicieuse de la jeune fille dont les cheveux mouillés de pisse lui collent sur les joues. Vice.
< On est beaux tous les deux, non ? > me demande Estelle. Elle rajoute : <Je vais me faire un superbe montage ! >...

Nous rions de bon cœur. Estelle me propose de faire une soirée "cinématographique" samedi prochain. Découvrir le film.
Je trouve l'idée absolument géniale. Estelle m'attrape par le bras, m'attire à elle pour me déposer une bise sur la joue.
< Merci pour tous ces merveilleux moments, Julien, sans toi, tout cela serait difficilement possible ! >. Un second bisou.
Je laisse la jeune fille à ses photos pour rejoindre Clémentine à l'étage. Je lui raconte l'élan d'Estelle. Elle m'embrasse.
< Tu imagines un peu le privilège ! Notre complicité permet quantité de variantes et de déclinaisons ! > me fait elle...

Je nettoie la salle de bain et les chiottes de l'étage. Clémentine descend les draps et me fait : < Je t'aime ! >. Des bises.
Je termine le ménage. Je descends rejoindre les filles. Elle sons silencieuses et studieuses. Les voilà dans leurs études.
Je passe l'aspirateur au salon. Je passe à proximité du bureau. Les filles sont absorbées par le site de l'université. Bien.
J'admire cette capacité toute féminine de ne jamais faire de mélange des genres. Un temps pour chaque chose. Super !
Il est déjà onze heures trente. Je vais à la cuisine. Clémentine vient me rejoindre. Nous allons au jardin. Il y a le soleil.

Nous choisissons une des dernières belles salades "frisées". Quelques carottes. Il fait très doux. Presque chaud. Bien.
Juliette, lorsqu'elle venait chercher des légumes, a pris grand soin d'arracher les mauvaises herbes. Tout est propre.
Nous revenons à la cuisine. Clémentine s'occupe de laver la salade et les légumes. Je prépare du riz complet. Sympa.
Estelle vient nous rejoindre. Elle passe derrière moi. Elle saisi mes couilles à travers le tissus de mon short hawaïen.
Un de ces shorts ridicules que Clémentine me défend de jeter afin de les user. Et surtout d'avoir de quoi se marrer !

De son autre main, Estelle me tient la braguette. < Alors, comment se porte le matos de mon vicelard ? > fait elle. Rire.
Clémentine répond : < Mais dis donc toi, tu ne t'emmerdes plus, grande vicelarde ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Je prépare une sauce béchamel. Estelle, toujours soucieuse de découvrir une nouvelle recette, m'aide et m'observe. Joie.
< C'est Marmiton ou "Top Chef ? > fait la jeune fille en me palpant la braguette. L'ambiance est à son comble. Cul-Inaire.
Nous rions tous les trois de bon cœur en évoquant ces émissions ridicules que nous n'avons jamais regardé. Ambiance...

Je fais gratiner le riz que j'ai recouvert d'une copieuse couche de gruyère de Comté. La sauce est parfumée au Roquefort.
Rapidement l'odeur achève de nous mettre en appétit. Estelle termine de faire les assaisonnements. Préparation efficace.
Clémentine met la table. Nous mangeons dans la véranda. Le ciel est principalement bleu. Voilà un beau dimanche. Bien.
Nous mangeons en bavardant et en riant beaucoup. Clémentine propose une randonnée pour cet après-midi. C'est génial.
La suggestion est évidemment reçue avec joie et enthousiasme. Nous bavardons lorsqu'Estelle se lève soudain. Silence.

La jeune fille passe derrière moi. Elle pose sa main sur ma nuque. La jeune fille appui fortement. Le silence est total.
< Alors ? Quel effet ça fait, salaud ? > me demande Estelle en reproduisant à la perfection ce que je lui fais souvent.
J'ai la gueule dans ma bouffe. Cette petite salope appui fermement. Clémentine s'est levée pour me palper la braguette.
Je ne m'attendais pas du tout à cette séquence que les filles ont certainement scénarisé et prémédité. Ces salopes.
J'éprouve beaucoup de difficulté pour respirer. J'ai de la bouffe jusque dans les narines. Estelle me lâche enfin. Ouf !

Estelle retourne s'asseoir. Elle me fixe d'un étrange regard. Je m'essuie la gueule avec une serviette. Il y a un silence.
Clémentine me lâche la braguette et s'assoit à son tour. < C'était comment ? > me demande Estelle sérieuse. Sévère.
Elle rajoute : < Tu me fais ça si souvent que je voulais te faire connaître les sensations que ça procure ! Salopard ! >.
Estelle se lève à nouveau. Je reste sur mes gardes. Je m'attends à une nouvelle démonstration. Elle me fait des bisous.
< Et c'est tellement génial ! > fait elle en me couvrant le front de bises avant de retourner s'asseoir. Je reste enchanté.

Nous faisons la vaisselle. Il est déjà treize heures trente. Nous montons nous mettre en tenues. Shorts et T-shirt. Joie.
Comme souvent nous nous faisons des grimaces dans le miroir de la salle de bain en nous brossant les dents. Rires...
Nous voilà prêts. Je mets des pommes, des barres de céréale et une bouteille d'eau dans le petit sac à dos. Le départ.
Il fait chaud. Même si par endroit le sol est encore humide il n'est pas du tout détrempé. C'est une marche agréable.
Il faut se rendre à l'évidence. Nous sommes encore en été. Pour trois semaines selon le calendrier. Il faut en profiter.

Plusieurs fois, durant notre randonnée, Estelle vient près de moi pour me palper rapidement la braguette. Par surprise.
Nous croisons quelquefois des promeneurs qui, comme nous, parcourent la campagne ensoleillée et enchanteresse.
Plusieurs fois, lorsque nous sommes seuls tous les trois, j'ouvre ma braguette. Je sors ma queue molle et longue. Joie.
Je cours devant les filles. Je me retourne. Je l'agite en la faisant tournoyer comme un lasso. Nous rions de bon cœur.
Le plus souvent c'est Estelle qui se précipite pour me l'attraper. < Gagné ! > fait elle à chaque fois en éclatant de rire.

Clémentine me tient par la main. Elle ne me lâche presque plus. Je ne peux plus faire le clown. Il y a du monde là-bas.
Estelle me tient par le bras. Parfois elle va tenir celui de Clémentine. Nous sommes si bien tous les trois. La complicité.
Nous prenons de plus en plus souvent conscience, tous les trois, du privilège qui nous est offert. C'est une symbiose.
Il est dix neuf heures trente lorsque nous revenons à la maison. Cette randonnée nous a ouvert l'appétit. On prépare.
Ce soir, je fais mes fameuses tartines aux filets d'anchois. Estelle fait : < J'ai fait goûter à mes parents. Ils adorent ! >.

Clémentine s'occupe des salades. Nous bavardons. Estelle met la table. Elle mime une masturbation masculine en riant.
Je sors ma bite que j'agite dans sa direction. < Vous êtes de vrais cochons, tous les deux ! > fait Clémentine en riant.
Nous mangeons d'un bon appétit. Clémentine rappelle à Estelle qu'elle vient passer toutes les soirées avec nous. Joie.
En effet, il est conclu que la jeune fille vienne nous rejoindre chaque soir jusqu'à la rentrée. Et même après ! Super.
Nous faisons la vaisselle. Il est 21 h30. Nous mettons le vélo à Estelle dans le coffre de la voiture pour la ramener...

Bon week-end sympathique, coquin et très excitant à toutes et à tous. Avec votre visiteuse, belle, jeune et vicieuse...

Julien - (Maître Queue, cuisinier "hors paire de couilles" comme le surnomme affectueusement Estelle en les palpant) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 171 -



Nous réglons quelques affaires courantes en prenant du plaisir

Hier matin, lundi, j'ouvre les yeux le premier. Je suis réveillé par un léger ronflement doux et régulier. Je regarde à gauche.
Clémentine dort encore. Comme elle est belle. J'adore la voir ainsi, encore dans son profond sommeil. C'est tellement rare.
Pourtant, une fois encore, le sixième sens de la jeune fille fonctionne avec cette efficacité imparable. Elle se met à s'étirer.
C'est moi qui lui dépose plein de bises sur les joues, le front et le bout du nez. Je lui murmure : < Bonjour Clémentine ! >.
En poussant un gémissement elle se serre contre moi en me chuchotant : < Bonjour Julien ! >. Elle me chevauche en riant.

Nous nous livrons à nos effusions de douceurs et de tendresse. Des papouilles. L'impérieuse nécessité de pisser y met fin.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. C'est notre rituel pisseux. Puis, morts de faim, nous descendons vite.
Je presse les oranges pendant que Clémentine s'occupe du café. Je coupe des tranches de pain que je passe au grille pain.
Beurre, confiture, miel et yaourts. Nous mangeons d'un très bon appétit. Il est huit heures. Nous traînons à table. Un régal.
Nous bavardons en évoquant le programme de la journée. Cet après-midi nous irons dans la petite cité de caractère. Visite.

Clémentine termine son yaourt. Assise sur mes genoux, elle fait un rapide bilan de ce week-end passé avec Estelle. Sympa.
< C'est toujours après que j'ai une curieuse sensation ! J'aime te voir bien salaud avec une autre. Estelle ou non ! > dit elle.
Je lui demande de développer. Clémentine rajoute : < Ce qui m'excite c'est ton comportement. Et peu importe avec qui ! >.
Ma compagne me fait encore : < Je crois que ce serait pareil avec n'importe qu'elle autre meuf ! >. Je suis un peu dubitatif.
< Je t'aime. Mais c'est toi et ton comportement qui suscitent mes émois, mes émotions et mes sensations ! > conclue t-elle.

Nous en débattons encore un peu avant de faire la vaisselle et de débarrasser la table. Clémentine me palpe le slip en riant.
Je la prends dans mes bras pour la soulever et la faire tourner. J'adore ces instants de bonheur intense. Clémentine aussi.
Nous montons nous mettre en tenues. Il est huit heures quarante cinq. C'est le plaisir quotidien de notre jogging. Une joie.
Le ciel est blanc et lumineux. Il fait doux. Nous courons sur un terrain sec. Le parcours habituel. Une heure trente. Running.
Nous sommes de retour pour 10 h15. J'entraîne Clémentine au salon. Je la bascule sur le cuir froid du canapé. Elle soupire.

Je lui enlève son short et sa culotte en même temps. < T'es fou ! > me fait la jeune fille en s'installant, cuisses écartées.
Je suis à genoux à humer ses parfums de filles. Odeurs de la nuit et des efforts du jogging. Odeurs fortes, diverses. Miam.
Clémentine me tient par les oreilles. Je fouille les plis et les replis pour en savourer les reliquats de frome et de miasmes.
C'est lorsque je nettoie les plis de son clitoris géant que Clémentine se met à gémir. Il faut éviter l'orgasme. Je suis vigilant.
Juste avant que la situation ne devienne critique, Clémentine me repousse en s'écriant : < Attention ! >. Je me redresse...

Nous montons prendre notre douche. Nous redescendons vêtus légèrement. Clémentine m'entraîne au salon devant l'ordi.
Nous découvrons le message d'Estelle qui nous raconte ses impressions. La jeune fille nous remercie pour tout. Le bonheur.
Elle vient nous rejoindre en fin d'après-midi, vers 19 h. Nous répondons. Nous découvrons le message de Juliette. Vacances.
La jeune femme nous raconte son séjour en Vendée. Elle sera de retour dimanche 10 septembre en soirée. Nous répondons.
Clémentine, par réflexe et par acquis de conscience, se rend sur le site de l'université. Informations et confirmations. Bien.

Je la laisse à son travail pour sortir. Je vais au garage. Je sors la voiture de Clémentine. C'est une petite auto. Un contrôle.
Le véhicule démarre immédiatement. J'ouvre le capot. Je vérifie les niveaux. Huile, eau, liquide de freins. Tout est bien. Ok.
J'ai acheté cette voiture un peu avant les fêtes de fin d'année, l'an dernier, comme cadeau de Noël. Fini la mobylette bleue.
Clémentine déteste conduire. Elle ne se sert de la voiture que pour aller en cours. 12 km pour l'aller. 12 km pour le retour.
Le kilométrage est donc faible. Le premier contrôle technique sera dans trois ans. Je déteste les soucis matériaux. Chiants.

Clémentine vient me rejoindre. < Oh ! Ma petite auto ! > fait elle en s'asseyant au volant. Je m'assois à ses côtés. Rires.
Je dis : < Tu m'emmènes en ballade ? Tu me fais le coup de la panne ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine démarre.
Nous roulons un peu. Nous passons devant le haras. Il y a des voitures. Clémentine roule doucement. Très attentive. Bien.
Je passe ma main sous sa jupe. J'adore ce petit sursaut. < Arrête ! Je n'arrive pas à rester calme comme toi ! > dit elle.
Je continue. Nous rigolons comme des bossus. Le constat est concluant. Tout fonctionne. Freins, volant, moteur, clitoris...

Nous sommes de retour pour midi. Clémentine laisse la voiture dans le jardin, le temps que je sorte la mienne. Rapide. Bien.
Nous allons chercher une salade et des carottes au potager. La faim commence à se faire sentir. Il y a un timide soleil. Léger.
Clémentine s'occupe des salades. Je prépare le millet doré et la sauce. Dans l'eau, je rajoute un oignon et de l'ail émincés.
Je concocte une sauce au Roquefort, notre fromage préféré. Nous mangeons dans le jardin. Il fait si doux. C'est sympa. Bon.
Clémentine, assise sur mes genoux, termine sa coupe glacée en me parlant de l'Ecosse. Ce sont déjà des souvenirs. Sympa.

Il est treize heures trente. Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous changer. Nous partons vers 14 h. Quinze bornes.
Clémentine est vêtue d'une jupe légère, en lin clair. Un T-shirt de ville. Des sandales à légers talons. Belle et très élégante.
Je porte un bermuda clair, en lin et à pinces. Un T-shirt de ville. Des sandales. Nous sommes habillés à l'identique. Jumeaux.
Dans la voiture, ma compagne joue avec ma bite qu'elle suce parfois quelques instants. J'ai ma main sous sa jupe. Très bien.
Nous arrivons à l'heure prévue. Il est presque 14 h30. Mon oncle est déjà là. La galerie est vide. Il n'y a plus rien. Murs vides.

C'est toujours un peu tristounet, ma galerie d'art sans art ! Clémentine m'en fait part également. Le local restera vide 10 mois.
Nous réglons nos dernières tractations. Mon oncle nous invite à boire un café dans le salon de thé sur la place. Tout à l'heure.
Rendez-vous pour seize heures. Nous voilà seuls dans le local. < Tu me baise ici, un jour ? > me fait Clémentine contre moi.
Nous rions de bon cœur. J'ai emmené des produits d'entretien. Dans le placard il y a les balais, serpillères et seau en plastique.
Nous nettoyons le sol. Je fais les carreaux. Comme tout est maintenu en parfait état de propreté, les choses sont très rapides.

Il est seize heures lorsque nous rejoignons le salon de thé. Mon oncle, 84 ans, grand gaillard costaud, est en pleine drague !
Il est entrain de baratiner la patronne qui est pourtant une bonne amie. Nous nous asseyons. Il continue avec Clémentine.
Alan nous raconte sa saison et l'immense joie que lui procure son activité de "galeriste", grâce à moi. Cela va lui manquer.
Tenir ma galerie lui permet de rencontrer des gens, de se sociabiliser et surtout de fuir son "dragon". Nous rions de bon cœur.
Le bougre est un baratineur de première. Il n'arrête pas de flatter Clémentine. Ce vieux salaud attaque fort. Obséquieux...

Nous prenons congé. Il est déjà 17 h. Nous nous promenons dans le bourg. < Encore bien vert ton tonton ! > fait Clémentine.
Je réponds : < C'est de famille ! >. Nous rions de bon cœur. Oncle Alan et moi, nous sommes écossais, vivant en France. Joie.
Il y a encore de nombreux touristes. Principalement des séniors. Il y a déjà cette lumière diaphane de fin de saison. Etrange.
A plusieurs reprises, discrètement, Clémentine me palpe la braguette lorsqu'elle se place devant moi pour me faire des bises.
Et des bises, ma compagne m'en fait plein. Autant de prétextes pour me peloter le nœud à travers le tissus de mon bermuda.

Nous arrivons à la maison pour dix neuf heures. Estelle est déjà là. Son vélo est posé contre le muret du jardin. Je range l'auto.
Estelle arrive en courant. Elle nous saute au cou, nous faisant plein de bises. Nous faisons un rapide tour de la propriété. Soirée.
Nous rentrons. Clémentine est vêtue d'une chemise à carreaux légère, qu'elle laisse flotter hors de son jean. Avec ses baskets.
Je lui fais remarquer que ça fait quelques mois que nous ne l'avons plus vu vêtue de cette manière. Et que cela lui va super bien.
Nous montons nous changer. Clémentine met un jean et un sweat. La fraîcheur du soir. Je mets un jean et un sweat. Jumeaux.

Nous redescendons. Estelle est entrain de laver les crudités. Radis blancs, navets et carottes. Il est prévu de faire une potée.
Enfin, quelque chose d'approchant. Clémentine s'occupe de la salade. J'épluche les patates, les carottes et les navets. Sympa.
Estelle, qui va de l'un à l'autre, tout en évoquant sa journée de travail dans l'entreprise familial, effleure souvent ma braguette.
La jeune fille me lance des regards lourds de sens. Ce qui n'échappe pas à Clémentine qui lance à chaque fois : < Interdit ! >.
Estelle, tout en mettant la table, mime à plusieurs reprises une masturbation masculine. En y mettant beaucoup de vulgarité.

Nous passons à table. Les filles parlent évidemment beaucoup de la rentrée universitaire. J'écoute en silence. C'est intéressant.
Nous traînons à table. La conversation s'oriente sur le haras. Et par association d'idées, vers monsieur Gérard, le palefrenier.
Ce dernier revient de congé demain, mardi. Clémentine propose d'aller y faire les salopes demain soir. Visite aux chevaux. Rires.
Estelle nous raconte les attitudes du vieux salopard à chaque fois qu'elle ramenait le cheval en soirée, après ses balades. Vice.
Nous mettons au point le programme de la soirée de demain soir. Visite au haras. Mise en situation des filles. Stratégies. Bien...

Nous faisons la vaisselle. Nous passons au salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil. Estelle à côté de moi dans le canapé.
C'est toujours entendu entre ma compagne et moi. Lorsqu'elle s'installe dans le fauteuil, c'est pour m'observer. C'est le code.
Nous bavardons. Evoquer le palefrenier et ses comportements grossiers, nous excite quelque peu. Estelle nous raconte des trucs.
Estelle pose une main sur ma cuisse. Je comprends. J'ouvre doucement ma braguette. Tout en bavardant, elle y glisse la main.
Je me retrouve rapidement avec le sexe hors de son étui. Comme si tout cela était parfaitement naturel, Estelle bavarde. Bien.

Clémentine a passé une main dans son jean ouvert. Estelle me tord la bite dans tous les sens tout en discutant études, cours.
Je bande comme le dernier des salauds. Lorsque la jeune fille me tord la queue vers le bas, c'est presque douloureux. Elle le sait.
Cette petite salope me tord donc souvent le sexe vers le bas. Nous passons la soirée à bavarder ainsi. C'est hyper vicelard. Joie.
Je me lève. Je saisi Estelle par ses cheveux, sans ménagement. Je lui frotte la bite sur le visage. Elle tente de me repousser.
Je lui mets une gifle. Elle pousse un petit cri. C'est un jeu. J'arrive à lui enfoncer la queue dans la bouche. J'entends gémir...

Je regarde derrière moi. Clémentine est entrain de se masturber, penchée sur sa gauche pour regarder ce que je fais à Estelle.
Estelle me taille une pipe. Je l'entends respirer fortement, puis se mettre en apnée. Et recommencer. Je la tiens par la nuque.
Une main sous son menton, je bouge doucement. Ce soir, je resterais sans éjaculer. Juste pour frustrer un peu cette salope.
Je me retire. Je viens m'accroupir à côté de Clémentine. Estelle est adossée contre le dossier du canapé. Elle regarde étonnée.
< Je fais pas bien ? > demande t-elle, un peu inquiète. Nous rigolons comme des bossus. Il est déjà 22 h45. Le temps passe.

Je propose à Estelle de mettre son vélo dans le coffre de la bagnole et de la ramener. Cela gêne toujours un peu la jeune fille.
Clémentine, tout en se réajustant, insiste. < C'est génial de te ramener, ça nous fait prendre l'air ! > précise t-elle. C'est bien.
Je propose même à Estelle de passer la prendre cet automne, plutôt que de sortir en bicyclette. Il suffit de m'envoyer un texto.
La suggestion ravit évidemment Estelle qui a ainsi un peu moins peur de "déranger". Nous rions de bon cœur en nous préparant.
Nous sommes de retour pour 23 h15. Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons. Nous baisons comme des déments...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment bavarder en jouant avec la bite de leur coquin. (Sans trop la tordre vers le bas)...

Julien - (Homme rationnel, toujours vigilant quand aux impondérables et aux éventualités imprévisibles. Souvent en bandant) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 172 -



Nous aimons faire des projets tout en faisant de la bicyclstte

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous. Je sens le souffle chaud de Clémentine à mon oreille.
< Bonjour Julien ! > me susurre t-elle. J'ouvre les yeux. < Bonjour Clémentine ! > que je lui fais en la serrant contre moi.
Nous nous offrons des papouilles, des douceurs et de la tendresse. Clémentine me chevauche en riant. C'est le bonheur.
Pourtant, l'impérieux besoin naturel du matin met un terme à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main aux WC.
Nous sommes morts de faim. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour y préparer nos petits déjeuners...

C'est le rituel habituel. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe des tranches de pain pour les faire griller.
Confiture, beurre, miel et yaourt. Je mets la table. Dehors, il fait plutôt beau. Des séquences nuageuses se succèdent.
Il fait doux et il n'est que huit heures. Nous mangeons d'un bon appétit tout en faisant le bilan des journées écoulées.
Clémentine termine son yaourt assise sur mes genoux. Nous élaborons notre programme du jour. Du bon temps. Bien.
Cet après-midi nous partirons à bicyclette. Nous aimons tant cette activité qu'il faut mettre à profit cette belle journée.

Clémentine passe sa main sous mon T-shirt pour la glisser dans mon slip. Je passe ma main sous son T-shirt. Sa culotte.
Nous mettons au point les derniers détails. Nous faisons notre vaisselle. Nous montons nous mettre en tenues. Jogging.
Cette activité aussi a toutes nos préférences. Surtout lorsqu'il fait beau. Il est rapidement 8 h45 lorsque nous courons.
C'est le circuit habituel. Il est dix heures quinze quand nous revenons à la maison. Clémentine m'entraîne au salon. Joie.
Pour satisfaire notre nouvelle addiction, ma compagne enlève son short et sa culotte. Je suis à genoux entre ses cuisses.

Nous nous offrons un petit plaisir qui ne dure qu'un court moment. Il faut éviter l'orgasme. C'est une superbe addiction.
Nous montons prendre notre douche. < Comme c'est bon de se faire lécher après un bon jogging ! > me fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur en redescendant. Clémentine m'entraîne au salon, derrière le bureau, devant l'ordi qu'elle allume.
Il y a le message d'Estelle qui nous confirme sa venue ce soir pour 19 h. Nous répondons. Il y a le message de Juliette.
Cette dernière nous raconte ses vacances en Vendée. Il y a deux photos prises devant les ruines du château de Tiffauges.

Nous répondons. Par acquis de conscience, Clémentine visite rapidement le site de l'université. Je la laisse. Je vais dehors.
Clémentine ne tarde pas à me rejoindre. Nous évoquons la roseraie que je désire faire installer dans le jardin. Des fleurs.
Depuis l'Ecosse, ma compagne me parle beaucoup de son désir de cultiver des fleurs. Je lui ai proposé de faire une serre.
Nous choisissons bien le lieu. Ce sera dans le prolongement du potager, le long de la haie qui nous sépare du grand pré.
Je vais faire un premier projet vendredi. Un dessin et un plan qui nous permettrons de nous faire une idée de ce projet...

Ce sera une petite maison de verre, aux toits pentus et aux croisillons d'aluminium. D'environ six mètres sur quatre mètres.
Nous évaluons bien le volume et les dimensions. Clémentine, toute contente, me saute au cou. Sa passion va prendre forme.
Je me réjouis de voir des fleurs ici dès l'année prochaine. La jeune fille me palpe la braguette et me fait : < Je t'aime ! >.
< Cet après-midi, on se fait un "plan", j'ai envie d'être "vue" ! > rajoute ma compagne. Nous rions de bon cœur. Bonne idée.
Il est onze heures trente. J'entraîne Clémentine à l'intérieur. Nous allons dans l'atelier. Je prends une grande feuille. Crayon...

Assis à la table de travail, je fais une rapide esquisse pour représenter sur papier notre projet. Clémentine observe, ravie.
< Oh oui ! Comme ça ! C'est exactement comme ça que je voie la roseraie ! > me fait elle en s'asseyant sur mes genoux.
Je lui promets de faire un superbe dessin accompagné d'un plan pour son retour de prérentrée, vendredi à midi. Heureuse !
Ainsi, je pourrais faire faire un devis par l'entreprise paysagiste qui s'occupe de l'entretient de la propriété. Depuis 20 ans.
< Avec toi, tout semble toujours si simple ! > me fait Clémentine. Nous restons un long moment à observer mon dessin...

Il est midi. La faim commence à se faire sentir. Nous filons au jardin chercher une belle scarole, des carottes et un radis blanc.
Je propose de nous concocter un gratin d'aubergines. Farcies au pâté de lentilles. C'est rapide. Deux grosses aubergines. Bien.
Clémentine s'occupe des salades pendant que je fais cuire les lentilles. A plusieurs reprises Clémentine m'attrape par derrière.
Une main qui me palpe les couilles et l'autre qui me palpe la queue à travers le tissus de mon ridicule short hawaïen. Superbe.
Pourtant, malgré nos mains baladeuses, nous sommes méthodiques. La préparation de notre repas ne saurait en souffrir. Joie.

Les deux aubergines sont énormes. Notre potager nous offre chaque jours de véritables trésors. Gratin au gruyère de Comté.
Il est treize heures lorsque nous savourons un de nos habituels et délicieux repas. C'est un régal. Nous faisons notre vaisselle.
Nous montons nous mettre en tenues. Clémentine est un jupette "tennis", T-shirt et baskets. Je suis en short, T-shirt. Baskets.
Je vérifie le parfait gonflage des pneumatiques. 4,5 bars, devant et derrière. Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. Super.
Nous croisons quelques cyclistes, quelques marcheurs et quelques joggeurs. Clémentine me fait : < J'ai envie de faire pipi ! >.

Nous arrivons à l'écluse du cabanon. C'est toujours l'endroit idéal pour une petite exhibe de qualité. Nous prenons nos positions.
Je reste planqué à l'écart, derrière les fourrés à côté du cabanon. Clémentine est l'autre côté du canal, entre deux bosquets.
De là, elle peut voir arriver quelques cyclistes solitaires. L'endroit stratégique idéal pour être vue sans être accessible. Salope.
Nous nous faisons des signes, des grimaces. Une trentaine de mètres nous séparent. < Il y a un mec ! > s'écrie Clémentine.
Je me planque. Il y a un cycliste qui arrive. Il pédale nonchalamment. Pas du tout un sportif. Plutôt un promeneur. C'est bien.

Sans doute un quinquagénaire, il est vêtu d'une chemisette à carreaux, d'un short large, des chaussettes ridicules et sandales.
Portant d'épaisses lunettes, dégarni, le type avance le nez en l'air. Clémentine est accroupit. Jupe relevée, culotte dans la main.
Cuisses écartées, la jeune fille est bien droite. Comme toujours ma compagne porte ses larges lunettes noires. Cheveux libres.
La tête penchée, la jeune fille se fait surprendre dans sa position et dans sa situation préférées. Toujours un très grand moment.
Le cycliste arrive à la hauteur de la jeune fille. Il s'arrête. Pose un pied à terre et observe en silence. Je regarde partout. Rien...

Le type descend de son vélo. Je l'entends dire : < Bonjour mademoiselle ! >. Clémentine redresse la tête en tenant ses cheveux.
J'ai beau connaître ces situations par cœur, elles me font toujours bander comme un vrai salaud. C'est à moi qu'elle les offre.
Le type pousse son vélo doucement, le long du canal. Il longe l'étroite écluse sans cesser de regarder. Situation torride. Vicieuse.
Je vois bien que l'inconnu est d'entrain d'évaluer les lieux. Va t-il poser sa bicyclette pour traverser l'étroite passerelle ? Silence.
Clémentine, malgré ses efforts, trop excitée, n'arrive pas à pisser. Pourtant elle m'a confié son impérieux besoin depuis la maison.

Il y a des nuages. Il fait chaud. Le type revient sur ses pas. Il pose son vélo. Pas de doute, il va vouloir traverser la passerelle.
Danger ! Je sors de ma cachette. Je toussote. Le type se retourne et me voit. Il redescends l'escalier métallique. Il se dépêche.
L'homme semble soudain paniqué. Il s'empare de sa bicyclette sur laquelle il remonte. Il vient certainement de comprendre...
Clémentine vient me rejoindre. Elle remet sa culotte en me disant : < Merci Julien, c'était super ! >. Elle m'embrasse. La joie.
Nous reprenons notre virée. Nous arrivons au petit port de plaisance. Le type est là. Il nous reconnaît. Il semble hyper gêné...

Nous nous offrons deux cônes glacés que nous dégustons assis sur le muret de la jetée. Il y a de l'animation. Des plaisanciers.
Nous prenons le chemin du retour. Le vent nous pousse. C'est donc sans aucune difficulté que nous arrivons à la maison. 19 h.
Estelle est déjà là. La jeune fille nous fait plein de bises, toute contente d'être de retour avec nous. Nous rentrons. Appétit. Faim.
Nous nous préparons des sandwichs au fromage. Des fruits. Estelle nous fait rire en nous racontant des anecdotes de sa journée.
Toute seule au bureau, dans l'entreprise familiale, elle s'amuse à faire le montage du film que nous avons réalisé samedi soir...

< Si mes parents savaient ! > nous fait elle en riant. Nous filons sur nos bicyclettes jusqu'au haras. Dix petites minutes de vélo.
C'est madame Walter, l'employée de Juliette, qui vient nous recevoir. C'est une femme très gentille, plutôt réservée. Agréable.
Très efficace la jeune femme seconde Juliette et s'occupe de l'entreprise pendant son absence. Nous nous saluons. Bavardages.
Nous apprenons que monsieur Gérard, le palefrenier, ne sera de retour que demain. Madame Walter nous propose les écuries.
Il n'est pas question de faire du cheval. Par contre c'est toujours un plaisir d'aller les admirer dans leurs box respectifs. Beaux !

Madame Walter nous laisse. Estelle nous entraîne en nous disant : < Venez voir, je vais vous montrer des choses étonnantes ! >
Clémentine me prend la main. Nous suivons Estelle qui connaît mieux les lieux que nous. Elle venait y faire du cheval en août...
Estelle nous emmène dans un local, au fond de l'écurie. Une porte en bois qu'elle ouvre avec précaution. Une sorte de bureau.
< C'est le bureau de monsieur Gérard. C'est là qu'il consigne les affaires courantes ! > nous explique Estelle. Nous regardons.
C'est une petite pièce aux cloisons de bois. Il y a une armoire, une table sous la fenêtre, deux chaises, une commode. Un frigo.

Estelle nous fait : < J'étais souvent seule le soir, ici, alors je "visitais" un peu. Regardez ! >. Estelle ouvre l'armoire. Grincements.
De sous une pile de classeurs, elle tire une boîte en carton. Elle la pose sur la table. Elle l'ouvre. Des magazines pornographiques.
< Regardez un peu la collection de ce vieux vicelard ! > fait Estelle en tenant un magazine entre le pouce et l'index. Dégoûtée.
La jeune fille tourne les pages. Il y a des taches sèches. < Du sperme sec ! Il y a des pages qui collent ! > rajoute encore Estelle.
Nous rions de bon cœur à la découverte des "trésors" de monsieur Gérard. < Le vieux salaud ! > fait Clémentine en reniflant...

< Un nostalgique des années 70 ! > fait Estelle en nous détaillant les couleurs délavées, les vêtements et coupes de cheveux.
Nous observons les photos pour nous rendre compte à quel point elle a raison. Ce sont des magazines "bondage". Spécialisés.
Des photos qui mettent en scène des jeunes filles attachées, menottées, à genoux, debout, des trucs enfoncés dans les trous.
C'est consternant. Nous sommes pliés de rire. < Quel vieux vicelard ! > fait encore Clémentine. < Un vrai ! > précise Estelle.
Nous découvrons quelques autres magazines tout aussi maculés de foutre sec. < Et il ne bande pas le mec ! > rajoute Estelle...

< J'aimerais bien le mâter, planquée quelque part ! > fait Clémentine. < Moi, je l'ai mâté en douce ! > fait Estelle. Elle raconte.
Estelle nous montre le trou qu'il y a dans la cloison, à côté de l'armoire. < On voit bien depuis le box ! > précise t-elle. Rires.
< Alors comme ça tu faisais ta voyeuse ici ! > lui fait Clémentine en allant se pencher pour regarder avec attention par l'orifice.
Cette situation me fait bander. C'est comme si les filles avaient un sixième sens commun. Estelle me fait : < T'as une trique ? >
Je sors ma queue avec grand peine, entravée par les tissus de mon slip et de mon short. Je tiens ma bite bandante. Superbe...

Clémentine, accroupit pour regarder par le trou qui doit faire cinq ou six centimètres de diamètre, nous fait : < Gloryhole ! >.
Nous rions de bon cœur. Estelle fait : < Tu crois qu'il se fait sucer par madame Walter, de l'autre côté ? >. Clémentine regarde.
< En tous cas, c'est un truc formidable ! > fait Clémentine. Estelle s'approche pour se saisir de ma queue. D'une main ferme.
Comme elle s'en amuse de plus en plus lorsqu'elle me la tient, Estelle me la tord vers le bas. C'est presque douloureux. Salope.
Nous entendons des bruits de voix au dehors. Estelle range précipitamment les magazines et remet tout en place. Nous sortons.

Nous nous promenons entre les box dont la plupart sont encore vides. Madame Walter entre accompagnée d'un vieux monsieur.
Sans doute un propriétaire de chevaux. Nous les laissons après les avoir salué. Nous prenons le chemin du retour. Il est 21 h30.
Il fait déjà bien nuit. Nous sommes très excités par cette visite. Estelle nous fait : < Je ne me suis pas ennuyée les soirs ! >.
Nous rigolons comme des bossus. Estelle me tient par la braguette. Clémentine propose de faire un thé. Nous voilà au salon.
Estelle, assise à mes côtés dans le canapé, me tient la bite tout en bavardant. Clémentine est assise en face, dans le fauteuil...

Comme à son habitude, Estelle, tout en bavardant, me tord la bite dans tous les sens. Cette salope prend plaisir à me la tordre.
Et le plus souvent vers le bas. Il est 22 h30. Je propose à Estelle de la ramener. Nous mettons son vélo dans le coffre de l'auto.
En revenant, dans la voiture, Clémentine me suce. Je roule doucement. L'indicible caresse m'enivre de plaisir. Nous arrivons.
< Je t'aime ! Nous vivons des choses tellement étonnantes et excitantes ! > me fait ma compagne en se serrant contre moi.
Nous faisons l'amour dans une extase totale. Notre "69 " avant la douche, nous permet de savourer les sucs de notre journée...

Bonne visite dans votre haras préféré à toutes les coquines pratiquant l'équitation. N'oubliez pas le local du palefrenier...

Julien - (Qui vit des situations merveilleuses, privilégiées, en compagnie de Clémentine. Et d'Estelle jeune et vraie salope) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 173 -



Clémentine met la dernière main à ses préparations pour lundi prochain

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil exactement de la même façon que la plupart des matins précédents. Bises.
J'ouvre les yeux. Clémentine se serre contre moi. < Bonjour Julien ! > me fait elle. < Bonjour Clémentine ! > que je réponds.
La jeune fille me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. C'est le rituel des pissous matinaux.
Puis, animés par une faim d'ogres, nous descendons à toute vitesse à la cuisine pour y préparer et y prendre le petit déjeuner.
Cet l'autre rituel fait de jus d'oranges, de pain grillé, de beurre, de confiture, de miel et de yaourts. Nous nous régalons. Bien.

Nous bavardons. Nous faisons un rapide bilan de la journée précédente. Nous sommes très satisfaits. Aucun problème latent.
Tout comme moi, ma compagne déteste laisser le moindre souci en latence. Tout doit être réglé immédiatement. C'est mieux.
Nous faisons le programme de la journée qui nous attend. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux, terminant son yaourt.
La matinée, après notre jogging, sera consacrée aux affaires courantes. L'après-midi sera mis à profit pour les préparatifs.
Clémentine passe une main sous mon T-shirt, dans mon slip, pour jouer avec ma queue. Je passe ma main dans sa culotte.

Le matin, nos sexes semblent toujours très chauds. Il y a même cette impression toute relative de moiteur. Nous explorons.
Nous rions en reniflant nos doigts. Il y a l'odeur de l'autre. Phéromones qui nous excitent certainement à nos insu. Poilades.
Nous faisons la vaisselle. Parfois Clémentine se serre contre moi pour me chuchoter des douceurs. Tout en se frottant un peu.
J'aime beaucoup ces manifestations de tendresse mêlées à des invitations au plaisir. Nous montons nous mettre en tenues.
Il est 8 h30. Dehors, le ciel est couvert, gris, mais pas menaçant. Il règne une certaine douceur. Nous voilà dans le jardin...

Nous courons le long de notre circuit habituel. Ce rituel est une nécessité qui enchante. La campagne est magnifique. Belle.
Cette curieuse fin d'été est un peu comme un premier essai de l'automne à venir. C'est dommage. Nous espérons l'été Indien.
Nous sommes de retour pour 10 h15. Je rappelle à Clémentine que j'adore lui bouffer la chatte après sa nuit, après ses efforts.
< Monsieur sait ce qui est bon ! > fait ma compagne en m'entraînant sur le canapé du salon. Elle retire son short et sa culotte.
Je suis à genoux entre ses cuisses écartées à humer ses effluves parfumées de fille. A vingt ans, elles sentent délicieusement.

Je fouille les plis et les replis pour en recueillir les miasmes, le suc de ses muqueuses et le fromage qui garni l'ensemble. Bon.
C'est surtout lorsque je vais nettoyer le clitoris géant de la jeune fille que cette dernière se met à pousser des gémissements.
Il nous alors êtres d'une grande vigilance. Clémentine déteste les orgasmes prématurés. Nous ne sommes pas "du matin".
Ma compagne me guide en me tenant par les oreilles. Elle me repousse au bon moment. Juste avant l'extrême échéance. Joie.
Nous montons prendre notre douche. Clémentine adore m'embrasser après le cunnilingus. Cela lui permet de se "goûter" aussi.

Nous voilà vêtus de nos habits de maison. Assis derrière le bureau du salon, devant l'ordinateur. Deux messages dans la boîte.
Le premier est le mot habituel d'Estelle qui nous rejoint en soirée. Nous répondons. Le second message vient de Juliette. Bien.
Nous répondons. Clémentine se rend sur le site de l'université. Je descends à la buanderie pour faire une machine. Slip. Culottes.
J'apprécie de procéder ainsi à la logistique. Je vais au jardin pour y chercher une laitue. De petits pouces de scarole arrivent...
Deux grosses carottes, un radis blanc, un navet et huit grosses pommes de terre. Je reviens à la cuisine. Je dépose sur la table.

Clémentine, depuis le salon, commente les dernières informations pour la rentrée de lundi prochain. L'emploi du temps est là.
La jeune fille aura cours tous les matins du lundi au vendredi de huit heures dix jusqu'à midi. L'après-midi de 14 h à 16 h30.
Clémentine n'aura pas cours le mardi après-midi et le vendredi après-midi. Ma compagne vient me rejoindre à la cuisine. Joie.
Nous préparons notre repas. J'épluche les pommes de terre. Clémentine s'occupe des salades tout en évoquant ses horaires.
< Je me réjouis pour cette rentrée. Tout est déjà clair, net et précis ! J'adore ! > me fait ma compagne en palpant ma queue.

Comme elle aime à le faire, Clémentine me tient la bite de sa main froide et humide. Taquine, espiègle et mutine, cela l'amuse.
Je prépare un gratin de patates en grande quantité. Ainsi, pour le repas du soir, il n'y aura qu'à réchauffer. Nous serons trois.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons longuement à table. Clémentine, assise sur mes genoux, termine sa coupe glacée.
J'aime l'entendre faire des projets et mettre des détails au point. D'un esprit rationnel et pragmatique, elle développe avec soin.
Nous faisons notre vaisselle. Il est déjà 13 H45. Nous filons à l'atelier. La table de travail, pourtant grande, est très encombrée.

Clémentine est déjà assise à s'affairer. Il y a des piles de classeurs, de feuilles et de bouquins. Méthodique, elle se met à trier.
De mon côté, je tends une grande feuille de papier Canson, format "raisin" sur sa planche. Eponge mouillée, papier collant.
Cette opération permet d'étendre à la perfection la feuille de papier qui, en séchant, reste parfaitement tendue. C'est super.
Nous travaillons tous deux en silence. Il y a juste les bruits de nos activités respectives. Ces moments sont intenses. Excitants.
Parfois, l'un où l'autre se lève pour venir déposer quelques bisous sur le visage de l'autre. C'est absolument sublime. Délicat...

Je vais préparer le thé. Il est dix sept heures. Je reviens avec le thé fumant. Thé au jasmin et deux carreaux de chocolat noir.
Clémentine, assise sur mes genoux, m'explique quelques détails concernant l'organisation de son emploi du temps. Les astuces.
Il est dix huit heures trente. Nous entendons du bruit. C'est Estelle qui arrive. Elle entre dans l'atelier sur la pointe des pieds.
Nous nous faisons plein de bisous. Estelle va de l'un à l'autre, toute contente. Elle est vêtue d'un jean, de sa chemise à carreaux.
La jeune fille nous raconte sa journée de travail. < Vivement la rentrée ! J'en ai marre de la comptabilité ! > nous fait elle. Rire.

Nous cessons nos activités. J'ai commencé le dessin préparatoire de ma première toile de commande. Estelle admire silencieuse.
< Comme c'est beau ! C'est superbe ! > me fait elle en posant sa main sur mon épaule. < Pas touche ! > fait Clémentine. Rires.
Nous décidons de manger de bonne heure. Dehors il fait doux. Le ciel est gris mais lumineux. Nous irons en "expédition" après.
Le gratin réchauffé, accompagné d'une sauce au Roquefort et d'une salade de radis blancs, sont un délice. Nous nous régalons.
Il est 19 h30. Nous faisons la vaisselle. Nous n'avons tous les trois qu'une hâte. Nous rendre derrière le haras. Monsieur Gérard.

Clémentine, Estelle et moi, nous sommes habillés tous les trois de la même manière. Chemises à carreaux, jean et baskets.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous longeons le chemin jusqu'au haras. Quinze minutes de marche. J'ai le petit sac à dos.
Il contient deux lampes de poche, des K-way et la paire de jumelles. Nous traversons la petite route pour longer le ruisseau.
Nous arrivons derrière les écuries du haras. Il y a là-bas la caravane de monsieur Gérard, le palefrenier. Pas de doute, il est là.
Nous sommes cachés derrière les fourrés à nous passer les jumelles pour mâter. < Le voilà ! > fait Estelle. Nous regardons...

Monsieur Gérard, 65 ans, est un homme de petite taille, trapu et portant ses longs cheveux blancs en catogan. Il semble affairé.
Le barbecue fume. Il est certainement entrain de se préparer quelques grillades. Estelle fait : < Je vais faire la promeneuse ! >
Nous la regardons avancer le long du sentier pour rapidement se retrouver à découvert. Elle avance vers la ruine du cabanon.
Il y a deux clôtures barbelées qui séparent le haras des restes de la cabane. A peine une vingtaine de mètres. L'herbe est haute.
Monsieur Gérard, sortant de sa caravane, aperçoit la jeune fille qui marche lentement avec les bras croisés. Il l'interpelle. Signe.

Clémentine observe dans les jumelles. Depuis notre cachette ma compagne me commente le déroulement de ce qui se passe.
Nous ne pouvons pas entendre la nature des propos qui s'échangent entre Estelle et le palefrenier. Il n'y a que la gestuelle. Bien.
Monsieur Gérard s'approche de la clôture de son côté. Estelle s'approche de la clôture du pré. Ils se saluent. Ils bavardent. Rires.
< Voilà, ça y est, il se touche la braguette ! > me fait Clémentine en me tendant les jumelles. Je mâte. C'est étourdissant de vice.
Estelle pointe son index en direction de la braguette de monsieur Gérard. < Il sort sa bite le salaud ! > me chuchote Clémentine.

Non seulement il sort sa bite mais il descend son éternel même pantalon de velours et son slip. Il discute ainsi avec la jeune fille.
Clémentine me tend les jumelles en me disant : < Regarde, sa bite est si petite, on dirait mon clito ! >. Nous rions de bon cœur.
En effet, nous ne sommes qu'à environ 50 mètres, je distingue à peine son petit appendice sexuel qui pend assez lamentablement.
Estelle, tout en parlant, mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité dont elle est capable. Comme elle fait avec moi.
Monsieur Gérard, pas du tout déstabilisé, se tient la bite entre le pouce et l'index. Le spectacle est insolite et surréaliste. Vicelard.

Estelle qui connaît à présent bien le vieux saligaud, bavarde comme si tout cela était parfaitement normal. La situation perdure.
Nous nous passons les jumelles à tour de rôle. Nous commentons les évènements. C'est consternant. C'est hyper vicelard. Fou.
Estelle, à plusieurs reprises, mime une masturbation masculine tout en bavardant le plus sérieusement du monde. Le type aussi.
La nuit est entrain de tomber. Monsieur Gérard invite certainement Estelle qui secoue la tête négativement à plusieurs reprises.
Finalement, ne voyant plus grand chose, et dans une fraîcheur plus vive, Estelle vient nous rejoindre après avoir salué le vicieux.

Nous voilà à marcher le long de la rivière en tenant nos lampes de poche. Il fait nuit noire. Estelle nous raconte ses échanges.
< Ce vieux salaud insiste pour que je vienne passer une soirée avec lui pour le regarder se branler ! > nous fait elle en riant.
< Tu devrais accepter ! C'est certainement un branleur fou ! > lui fait Clémentine. Nous rigolons tous les trois comme des bossus.
Il est 22 h lorsque nous sommes de retour à la maison. Estelle grelotte presque. Je propose une tisane avant de la ramener. Bien.
Nous faisons le bilan de cette étonnante soirée. Les filles élaborent une stratégie. Estelle aimerait beaucoup vivre une "situation".

Le filles mettent au point un "plan". La proposition du palefrenier pourrait trouver son épilogue en extérieur. Avec nous planqués.
Clémentine propose à Estelle de bien réfléchir à cette éventualité. Nous serions cachés, Clémentine et moi, à "sécuriser" le "plan".
< Excellente idée en effet ! > fait Estelle à plusieurs reprises tout en tenant ma bite, la main parfaitement immobile. A mes côtés.
Il est 22 h30. Nous sortons. Je mets la bicyclette d'Estelle dans le coffre de la bagnole. Nous la ramenons. Au retour nous rions.
Clémentine fait : < Ces deux salauds vont vivre un superbe moment ! On va s'en occuper ! >. Nous rigolons comme des bossus.

Bon "plan" à toutes les petites vicieuses qui adorent se retrouver dans des situations hyper vicelardes et hyper excitantes...

Julien - (Heureux privilégié qui assiste à toutes ces choses avec un ravissement et un enchantement superbement divins) -

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Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 174 -



Nous continuons à passer du bon temps. Du très bon temps

Hier matin, jeudi, je suis réveillé le premier. Et j'aime regarder dormir Clémentine qui émet un léger ronflement régulier. Belle.
Le sixième sens aigu de ma compagne ne tarde pas à l'avertir de la situation. Clémentine ouvre les yeux, me regarde et s'étire.
Je lui murmure : < Bonjour Clémentine ! >. Je lui prodigue quelques bises. < Bonjour Julien ! > me fait elle dans un petit cri.
La jeune fille me chevauche soudain en riant. Papouilles. Tendresse. Douceur. Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes.
Après le rituel pisseux, nous descendons à toute vitesse à la cuisine. C'est le rituel du petit déjeuner. Un rituel plutôt délicieux.

Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Confiture. Miel. Beurre. Yaourts.
Il est 7 h45. Dehors le ciel est lumineux. Il y a une certaine fraîcheur. Toujours cette persistance d'une impression d'automne.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine vient terminer son yaourt en s'asseyant sur mes genoux. Nous procédons au bilan.
Bilan de la journée passée et élaboration du programme de la journée à venir. Tout en bavardant, Clémentine joue avec ma bite.
Moi, j'ai passé ma main dans sa culotte. Comme souvent, nous rigolons comme des bossus en reniflant nos doigts. C'est drôle...

< Tu sens un peu le "Chaussée-aux-Moines" ce matin ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur à cette évocation. Souvenir.
Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous mettre en tenues. C'est le rituel du jogging. Nous descendons au jardin. Ciel bas.
La course sur notre circuit habituel est une source de plaisir. La campagne est magnifique. Nous nous réchauffons rapidement.
Il est 10 h15 lorsque nous revenons après un running d'une heure trente. J'entraîne Clémentine jusqu'au salon. Sur le canapé.
Je lui retire son short et sa culotte que je jette au loin sous les rires de ma compagne. A genoux, je hume ses parfums de filles.

Je fouille les plis et les replis de ma langue exploratrice. C'est lorsque je goûte son clitoris géant que Clémentine gémit très fort.
Elle me repousse juste avant l'orgasme. Elle m'entraîne à l'étage pour prendre notre douche. Nous nous savonnons en rigolant.
Vêtus de nos habits de maison, nous sommes assis derrière le bureau, devant l'ordi. Deux messages. Estelle et Juliette. Sympa.
Estelle nous annonce sa venue en fin d'après-midi. Juliette nous raconte ses agréables journées de vacances. Nous répondons.
Toujours avec cette conscience admirable, Clémentine se rend sur le site de l'université. Liste du matériel, heures de cours. Etc.

Je laisse toujours la jeune fille à ce moment là pour aller procéder aux affaires courantes. Je descends à la buanderie. Lessive.
Je vais au jardin pour chercher les légumes de midi. Clémentine me rejoint. Nous faisons le tour de la propriété. Il fait agréable.
Ma compagne me parle de sa rentrée, lundi prochain. Je lui dis : < Tu fais une liste ? On fait les courses demain après-midi ! >
Je rajoute encore : < Tu as tout ce qu'il faut en vêtements ? >. Clémentine me rassure. Elle a vraiment tout ce qu'il lui faut.
Et c'est vrai que depuis huit mois qu'elle vit avec moi, je n'ai plus qu'un tiers de l'armoire et un seul placard mural sur quatre !

Nous rions de bon cœur à l'évocation de cet inventaire amusant. < Sans parler de toutes les paires de chaussures ! > fait elle.
La jeune fille rajoute : < C'est de ta faute aussi, tu n'arrêtes pas de me gâter ! >. Elle se précipite contre moi < Je t'aime ! >.
Clémentine m'entraîne. Je récupère le panier qui contient les légumes. Nous voilà à la cuisine. Je vais faire des tomates farcies.
Ce sont d'énormes tomates qui poussent en abondance dans le potager. C'est même surprenant. Une farce aux champignons.
Clémentine s'occupe des salades. Je prépare en quantité. Ainsi, avec l'arrivée d'Estelle en soirée, il n'y aura qu'à réchauffer...

Nous mangeons de bon appétit. Il y a quelques séquences ensoleillées. Enfin. Cet après-midi, nous partons pour une virée vélo.
Il faut bien en profiter. Si cette météo automnale persiste, les occasions se feront de plus en plus rares. Nous faisons la vaisselle.
Il est 13 h45. Nous nous mettons en tenues. Dans le petit sac à dos, je mets nos leggings et nos sweats. Il peut encore fraîchir.
Même s'il y a du soleil, que le ciel s'est dégagé, la température est limite. Clémentine, en jupette "tennis" me le fait remarquer.
Je suis en short et c'est vrai qu'il faut pédaler plus vite pour se réchauffer un peu. Pourtant nous croisons beaucoup de cyclistes.

Nous traînons un peu au port de plaisance en dégustant nos cônes glacés. Clémentine regarde partout avec grande attention.
< On se fait un "plan" ? > me fait la jeune fille en me poussant du coude pour me montrer le bâtiment des sanitaires du port.
Il y a du monde. Il y a de l'animation. Les plaisanciers ne sont plus que des séniors ou des retraités. L'ambiance est paisible.
Je demande à Clémentine de faire preuve d'un peu plus de retenue car elle pourrait être reconnue par quelques "habitués".
Clémentine me répond : < Tu veux parler des "abonnés" des chiottes du port ! >. Nous rigolons comme des bossus. Il est 16 h.

Ma compagne m'entraîne. Nous passons derrière la capitainerie du port. Là, entre les bosquets, nous restons un moment. Guet.
Pourtant, malgré nos attentes et notre patience, personne n'éprouve le besoin de se rendre aux toilettes. Pas le moindre quidam.
Un peu frustrée, Clémentine doit se faire une raison. Ce sera un après-midi sans petite exhibition. Nous nous apprêtons à repartir.
Lorsque soudain Clémentine attire mon attention sur le type assis là-bas, sur le banc derrière les voitures. Le parking du port.
< Attends, je vais me faire une frayeur ! > me fait ma compagne. Je reste dissimulé derrière les bosquets soigneusement taillés.

J'observe le manège de Clémentine. Ses manœuvres d'approche sont souvent étonnantes. Le type doit avoir la quarantaine.
L'homme semble absorbé dans la lecture d'un dépliant. Sans doute un touriste qui consulte une carte. Il ne voit pas encore.
La jeune fille marche doucement, les bras croisés, elle regarde partout autour d'elle. Elle porte ses lunettes de soleil noires.
Clémentine, derrière ses verres fumés peut donc loucher à son aise. Personne ne peut voir où elle regarde. Elle en profite bien.
Je l'observe. Elle passe entre deux grosses voitures. La jeune fille doit se trouver à une vingtaine de mètres de l'inconnu assis.

L'homme a relevé la tête. Sans doute a t-il vu la jeune fille qui passe entre les voitures, là-bas, derrière le mur de la jetée. Oui.
Clémentine, toujours adroite et rusée, sait attirer l'attention sur elle. Cette grande et belle jeune fille en jupette et en T-shirt.
Plusieurs fois, tout en étudiant sa carte, l'inconnu lève la tête. Il doit se demander ce que fait cette fille là-bas. Un peu insolite.
C'est là que Clémentine choisi le bon moment. Elle s'accroupit entre deux bagnoles. Sa culotte à la main. Cuisses écartées. Bien.
L'homme regarde avec attention. Le spectacle merveilleux qui se présente à ses yeux mérite d'ailleurs toute son acuité. Super.

J'ai vu tant de fois Clémentine se livrer à ses passions exhibitionnistes. Pourtant, à chaque fois, je suis étonné et plutôt admiratif.
Ma compagne procède toujours avec une grande attention. Aucun de ces gestes est inconsidéré. Elle est toujours pondérée. Bien.
Méthodique dans le vice comme ailleurs, Clémentine ne laisse que peu de place à l'improvisation. Son plaisir en est décuplé. Joie.
Le type mâte. C'est un homme élégant. Il semble passionné par ce qu'il découvre. Comme souvent ce sont des hommes calmes.
Paradoxalement, dans ces situations, la plupart des hommes "victimes" des petits jeux de Clémentine, sont de vrais gentlemen.

Clémentine est accroupit. Je ne vois plus que le haut de sa tête. Mon imagination fait le reste. Je bande comme un vrai salaud.
Certainement autant que le quidam qui observe Clémentine avec une grande acuité. La situation dure un petit moment. Crampe.
Deux femmes rejoignent l'inconnu. Sans doute sa femme et sa fille. Clémentine a juste le temps de se redresser. Il était temps.
Ma compagne vient me rejoindre. En remettant sa culotte, elle me fait : < Il y a toujours des emmerdeurs pour faire chier ! >.
Nous rions de bon cœur en prenant le chemin du retour. Nous sommes de retour pour 18 h45. Estelle est déjà là. Elle accourt...

Estelle est toute contente de nous revoir depuis hier soir. Nous nous faisons plein de bises tous les trois. Nous rentrons. Fraîcheur.
Nous nous changeons rapidement. Estelle est heureuse. < Finis la comptabilité et le bureau ! > s'écrie t-elle en sautillant. Rigolade.
Je réchauffe les trois tomates farcies avec les spaghettis que je fais revenir à la poêle. Clémentine prépare une belle salade verte.
Estelle passe derrière moi. Elle m'attrape par les couilles à travers le tissus de mon jean. < Comment vont les choses ? > dit elle.
Nous rions de bon cœur. Surtout lorsque Clémentine fait : < Propriété privée ! >. Nous passons à table. Le repas est délicieux...

Bien évidemment, les filles parlent de leurs études et de cette pré rentrée un peu absurde de ce vendredi matin. Pas obligatoire.
Malgré tout les étudiants sont invités à êtres présents. Clémentine et Estelle s'y prêtent volontiers. Consciencieuses et curieuses.
J'écoute. C'est toujours intéressant et souvent passionnant. Après le repas, nous faisons la vaisselle. Nous bavardons en riant.
Clémentine nous entraîne à l'atelier. Les filles s'installent à la grande table de travail. Studieuses, elles consultent des classeurs.
J'en profite pour mettre un peu d'ordre dans mes affaires. A plusieurs reprises Estelle me lance un clin d'œil bien vicelard. Joie.

Les filles restent ainsi une grande partie de la soirée. Estelle adore l'ambiance de mon atelier. L'odeurs des huiles précieuses.
Lorsqu'elle se lève, elle mime une masturbation masculine avec la vulgarité dont elle est coutumière. Clémentine fait pareil.
Je me lève de ma chaise. J'ouvre ma braguette. Je sors ma queue que j'agite devant les filles. Clémentine descend son jean.
Nous rions de bon cœur de cette situation un peu ridicule. Estelle se précipite pour m'attraper la bite. < Gagné ! > s'écrie t-elle.
< Pas du tout ! > fait Clémentine sans la moindre conviction dans la voix. Estelle m'entraîne par la bite. Trois tours de l'atelier.

Il est déjà 22 h30. Estelle est obligée de nous laisser. Pas question de la laisser rentrer à bicyclette. Je lui propose de la ramener.
Nous mettons son vélo dans le coffre de la voiture. Trois kilomètres. Estelle nous rappelle que nous avons le "film" samedi soir.
En effet, la jeune fille veut nous faire découvrir le montage du film que nous avons réalisé samedi dernier. Du "bondage" porno.
Sur le chemin du retour, Clémentine me suce un peu. Arrivés à la maison nous nous précipitons à l'étage, dans la chambre. Joie.
Après un "69" délicieux, nous baisons comme des fous. Clémentine préfère se faire éjaculer dans la bouche. La douche et dodo...

Bonne soirée studieuse avec votre jeune visiteuse délicieusement vicelarde à toutes et à tous. Bite ou chatte à l'air...

Julien - (Attentionné, à l'écoute et qui sait parfaitement anticiper les "situations" que lui impose Clémentine) -

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Et voilà. C'est la pré-rentrée. Les étudiants sont invités à venir à la faculté

Hier matin, vendredi, c'est Wolfgang Amadeus Mozart qui nous tire de notre sommeil. < Ta gueule Momo ! > fait Clémentine.
En prononçant ces mots, Clémentine tape sur le cube musical qui nous sert de réveil matin. Nous rigolons comme des bossus.
< Bonjour Clémentine ! > que je lui fais en même tenps que la jeune fille me chevauche en riant. Papouilles rapides. Douceur.
< Bonjour Julien ! > me fait ma compagne en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Nous descendons à toute vitesse.
Il est 6 h. Il faudra être à la faculté pour 9 h. Avec cet écart de temps devant nous, il y a de la marge. Petit déjeuner. Faim...

Nous mangeons d'un bon appétit. Clémentine est toute fébrile. Voilà. Cette échéance du vendredi de pré-rentrée est arrivée.
Tout est prêt. Prévoyante et méthodique, la jeune fille n'a rien oublié. J'admire cette capacité à anticiper. C'est une qualité.
Clémentine, assise sur mes genoux, termine son yaourt. Puis, une main dans mon slip, elle m'expose le programme du jour
Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous mettre en tenues de jogging. Il fait encore nuit. Il fait plutôt frais. Prudence.
Vêtus de nos leggings et de nos sweats, nous voilà à l'extérieur, dans le jardin. Nous courons assez vite pour nous réchauffer.

Il est six heures quarante cinq. Le jour se lève doucement. C'est vraiment un climat d'automne avec un mois d'avance. Fou.
Il est huit heures quinze lorsque nous revenons. C'est la douche. Clémentine se sèche les cheveux, je me rase. Bavardages.
Il est huit heures cinquante. Je sors la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint avec son grand"cartable". Toute prête à filer.
Ma compagne me fait plein de bisous. < Je reviens pour midi ! Je t'aime ! > me fait elle. Je regarde la voiture s'éloigner. Bien
Me voilà seul pour la première fois depuis presque deux mois et demi. C'est une très étrange sensation. Je savoure et je subis.

Je monte faire la chambre. Je descends à la buanderie pour faire une machine. Il est neuf heures quinze lorsque j'ai terminé.
Je me rends à l'atelier. J'ai le dessin de la roseraie à faire. Je m'y applique avec zèle. La situation de solitude me pèse un peu.
Dehors, il y a quelques timides apparitions du soleil. Le silence est total et est difficilement supportable. Il me faut surmonter.
Il est midi passé de quelques minutes lorsque Clémentine revient. Je la vois arriver. Elle traverse le jardin à toute vitesse. Joie.
Je suis à la cuisine entrain de préparer un gratin de riz avec une sauce aux champignons. Les salades sont déjà faites. Bien...

Clémentine se précipite dans mes bras sans même se débarrasser de sa veste légère, noire et cintrée. En jean, en chemisier.
Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. < Alors ? Raconte moi ! > que je lui fais. Plein de bises.
< C'était ennuyeux à en mourir. Nous avons deux nouveaux profs. C'était une conférence de présentation ! > raconte t-elle.
Je l'emmène à l'atelier pendant que le gratin de riz achève sa cuisson dans le four. Thermostat sur 7, à quelques 300°. Bien.
Là, sur la table, il y a la maquette de la roseraie. < Wouah ! Comme c'est beau. On dirait une photo ! > me fait Clémentine...

J'ai dessiné la future serre. C'est une maison de verre à la forme très classique. Toits à deux pentes. Croisillons d'aluminium.
Clémentine reste un petit moment, silencieuse et admirative. < C'est exactement comme ça que je l'imagine ! > me dit elle.
Depuis la cuisine, nous entendons la sonnerie du four. Animés d'une faim de loups, nous nous précipitons à la cuisine. Odeur.
< Merci Julien ! Comme je suis contente ! > rajoute encore Clémentine. Nous mettons la table. Je sors le gratin. Magnifique.
Nous mangeons d'un bon appétit. Ma compagne me raconte sa matinée dans le détail. Je lui raconte un peu de la mienne...

Assise sur mes genoux, terminant sa coupe glacée, Clémentine joue avec ma bite qu'elle a sorti de ma braguette. Habitude.
Nous mettons au point l'emploi du temps de l'après-midi. Estelle viendra nous rejoindre pour dix neuf heures. C'est sympa.
Nous faisons la vaisselle. Il est treize heures quinze. Clémentine m'entraîne au salon. Elle me bascule sur le canapé. Rigolade.
< Il faut que je vérifie et que je goûte ! Contrôle ! > me fait elle en descendant mon pantalon. Nous rions de bon cœur. Joie.
Clémentine, à genoux entre mes cuisses, renifle longuement ma queue. Depuis quelques jours, il m'est interdit de la laver...

Aussi, lorsque Clémentine me décalotte, l'odeur caractéristique rappelant un peu le thon mayonnaise nous monte aux narines.
< C'est dégueu ! > que je lui fais en lui caressant là tête. < C'est même gerbeux ! > fait Clémentine en humant longuement.
< Regarde ça ! > me fait la jeune fille en décalottant un peu plus. Il y a ces petits miasmes grumeleux et gluants qui collent.
J'observe, comme halluciné, la jeune fille lécher consciencieusement, décalottant complètement pour y passer sa langue.
Clémentine fait le tour du gland pour bien récupérer le "Chaussée-aux-Moines". Elle pousse de petits gémissements. Ravie...

Je la laisse se régaler longuement. Je regarde cette belle jeune fille de 20 ans qui partage ma vie, entrain de nettoyer mon Zob.
C'est à la fois passionnant, émouvant et très gênant. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Et ça ressemble au gland.
Ma compagne rapproche sa bouche de mon visage afin que je puisse sentir l'odeur de ce qu'elle a dans la bouche. Grumeleux.
Puis, doucement, Clémentine redescend pour se mettre à me sucer. L'indicible caresse achève de me faire vaciller de bonheur.
Comme souvent, pris de vertige, je me vautre un peu plus sur le cuir du canapé. Clémentine pousse de petits gloussements...

Je la laisse sucer pendant un long moment. Pour lui permettre de laisser reposer sa mâchoire, je la redresse par ses cheveux.
Doucement, fermement, je tire sur ses cheveux que je tiens en catogan. Je lui fais plein de bises. elle me montre sa bouche.
Sa cavité buccale est pleine de filaments gluants qu'elle a toujours beaucoup de mal à déglutir. J'ai le foutre épais et visqueux.
Il est déjà 13 h50. Je propose à Clémentine de nous préparer pour aller en ville. Il faut faire les courses pour la rentrée, lundi.
Comme à contre cœur, Clémentine se redresse pour venir s'asseoir à mes côtés. < Tu as vu ! Elle est propre ! > lance t-elle...

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me décalotte une dernière fois pour me montrer mon gland brillant et reluisant !
< Félicitations ! > que je lui fais en la regardant tenter avec difficulté d'avaler ce qui lui collent encore dans la bouche. Efforts.
Je me lève. Dehors il fait beau. Nous allons au jardin pour prendre la température. < Je me mets en jupe ! > fait Clémentine.
Nous montons nous changer. Clémentine met une de ses jupes légèrement évasée au-dessus du genoux. Très élégante. Belle.
Elle passe un pull fin en coton. Des souliers fermés à légers talons. Jupe bleue "nuit", pull noir. Souliers noirs. Hyper craquante.

Sur la demande de Clémentine, je porte un de mes pantalons de lin, à pinces. Une chemise claire, veste légère et mocassins.
Clémentine se serre contre moi devant le miroir de l'armoire : < Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait elle.
Nous voilà en route pour la ville. Dans la voiture, Clémentine joue avec ma bite gluante. Je la prie de ne pas maculer le tissus.
En effet, les coulures du trop plein de foutre pourraient s'écouler sur le tissus de mon pantalon. Clémentine l'évite en suçant.
Nous arrivons dans la zone commerciale. Je gare l'auto sur le parking de l'hypermarché. Il y a du monde. Je pousse le caddie.

< J'ai le goût de ton foutre ! > me fait Clémentine. < Tu veux manger quelque chose pour faire passer ? > que je lui réponds.
< Non, non, j'adore. Si je mange quelque chose, c'est ta bite ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus. Les courses.
Nous déambulons dans les allées du magasin. Il y a du monde. Aussi, les opportunités d'un "plan" exhibitionniste sont rares.
Clémentine insiste malgré tout pour s'offrir une petite "frayeur" aux rayons des vêtements homme. Il faut faire très attention.
Il y a un jeune homme, très élégant, là-bas, qui regarde avec concentration les chemises sur les cintres. Une "proie" idéale !

< Reste là, surveille ! > me fait Clémentine en prenant le caddie. Elle avance doucement dans l'allée. Il faut ruser. Vigilance.
Je reste en tête de gondole, faisant semblant d'observer une veste que j'ai décroché. Je regarde les agissements de la fille.
Comme toujours, Clémentine évalue à la perfection la situation. Il y a des clients qui passent, s'arrêtant parfois. Des caddies.
Clémentine s'arrête à quelques mètres du jeune homme. Ce dernier est toujours absorbé par son étude des chemises. Choix.
Ma compagne serre le caddie tout contre le rayonnage. Elle s'accroupit pour regarder avec attention les paires de chaussettes.

Le jeune homme a remarqué cette belle et grande jeune fille en jupe qui tient dans chaque main des paires de chaussettes.
Mais c'est lorsqu'elle se tourne discrètement, de trois quart, dans sa direction, que le gaillard découvre le merveilleux show.
Clémentine, à l'abri des regards non désirés, grâce au chariot qui fait écran sur sa droite, peut se livrer à sa discrète passion.
Depuis l'endroit où je me trouve, j'observe cette scène étonnante. Je bande comme le dernier des salauds. C'est superbe !
Je ne vois pas les expressions du visage du jeune gars lorsqu'il le tourne pour observer la jeune fille. Il mâte discrètement.

Il lui vient à l'esprit ce réflexe naturel et logique. Le jeune homme s'accroupit à son tour pour bien voir sous la jupe de la fille.
Clémentine ne regarde pas une seule fois dans la direction du jeune homme. Sa culotte est restée dans le vide poche de l'auto.
Il y a donc de quoi regarder. Même si sous la jupe de Clémentine règne une obscurité encore accentuée par l'immense touffe.
Il faut toutefois mettre un terme au spectacle. Il y a un autre mec qui vient de se rendre compte de ce qui se trame ici. Voyeur.
Sans gêne, l'individu, la quarantaine bedonnante, s'accroupit aux côtés de Clémentine, carrément devant le jeune homme...

Ce genre d'individu, aux attitudes fortement déplaisantes, ne se gêne pas pour tenter l'approche verbale. Il se met à draguer.
Nous avons affaire au plus détestable des "boulets", l'emmerdeur, le casse-pied. Clémentine ne va pas le rater. Se le "payer".
Je m'approche en jouant au client. Le jeune homme, plutôt dépité, s'est redressé pour retourner à l'étude de ses chemises.
Clémentine se redresse. Je l'entends lancer à l'emmerdeur : < Crétin va ! >. Le type, faisant preuve d'une belle bêtise continue.
Il faut que Clémentine vienne me rejoindre pour que l'enfoiré comprenne enfin. Nous le regardons s'éloigner à toute vitesse.

Nous faisons un tour à la Halle aux chaussures. Clémentine s'offre une petite "frayeur" en essayant quelques essais de godasses.
Là aussi, il y a un client qui est accroupit à loucher vers la jeune fille assise, cuisses écartées à essayer une paire d'escarpins noirs.
Le bonhomme fait semblant de regarder les cartons de chaussures qu'il ouvre pour en sortir de temps en temps une godasse...
Je reste au bout du rayon avec une paire de chaussures que je fais mine d'observer. Le type se rapproche doucement de la fille.
Encore un emmerdeur. Visiblement le type ne comprend pas qu'il se comporte lui aussi en vrai casse-pied. Incapable d'être discret.

Clémentine se lève. Remet ses souliers et s'éloigne en lançant un regard cinglant au "boulet". Le type continue sa drague pénible.
Je suis obligé d'intervenir. Le type comprend que je suis avec la fille. Il s'éloigne. Nous décidons de mettre un terme à tout ça.
< Décidemment, ils se sont tous donnés le mot, les cons, cet après-midi ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Nous sommes de retour à la maison pour 18 h45. Estelle est déjà là. Elle se précipite pour nous faire la bise. Contente. Heureuse.
Il nous reste à réchauffer le gratin de riz accompagné d'une salade verte. Estelle nous raconte son après-midi. Les préparations.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte ce que nous avons vécu cet après-midi avec deux emmerdeurs de première.
Nous rions tous les trois de bon cœur. < Tu es quand même sévère avec les cons ! > rajoute Estelle. Nous sommes écroulés. Rire.
Nous faisons la vaisselle. Nous passons au salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil. C'est le "code". Elle veut du "spectacle".
Estelle, assise à mes côtés, dans le canapé, me tient la braguette tout en racontant sa matinée à la faculté. Je sors ma queue.
Tout en bavardant, Estelle me tient le sexe qu'elle tord à droite, à gauche et surtout vers le bas. Elle sait que c'est douloureux...

Clémentine a passé une main sous sa jupe. Elle a posé sa cuisse droite sur l'accoudoir du fauteuil. Les filles discutent. Amusées.
Clémentine, bien excitée par ses exhibes de l'après-midi, se masturbe en nous observant. Elle adore me voir faire le vicelard. Joie.
Je saisi Estelle par la nuque pour la forcer à approcher son visage de ma bite. La jeune fille oppose une résistance ferme. Forte.
Cette petite salope joue son rôle préféré. Celui de la jeune vierge effarouchée. Vierge, c'est certain. Effarouchée beaucoup moins !
Clémentine pousse de petits gémissements à peine perceptibles. Elle me fait des sourires vicieux. De la sueur coule sur son visage.

J'arrive enfin à enfoncer ma bite dans la bouche d'Estelle qui se met immédiatement à sucer comme si sa vie en dépendait. Bien.
Je reste parfaitement immobile pour éjaculer une première fois. Je maintiens fermement la tête d'Estelle en la tenant par la nuque.
Avec mon excitation considérable, depuis la pipe de Clémentine en début d'après-midi, la quantité de foutre doit être conséquente.
Nous partons pour un second tour. Clémentine sait ce qui vient d'arriver. Elle ne peut réfréner l'orgasme qui s'empare de son corps.
J'observe les spasmes qui secouent Clémentine. Je regarde les frissons qui s'en suivent. Elle me fait un clin d'œil en levant le pouce.

Clémentine vient s'asseoir sur ma droite. Estelle est à genoux entre mes cuisses. Elle est entrain de me tailler une pipe des familles.
Clémentine m'embrasse. Je caresse la tête à Estelle. Clémentine se penche pour murmurer à l'oreille de la suceuse : < C'est bon ? >
Estelle se contente de lâcher un gémissement amusé en guise de réponse. Il est déjà 22 h30. Je propose à Estelle de la ramener.
< Il faut en laisser pour Clémentine ! > que je lui fais en la tenant par ses cheveux pour la redresser. Des filaments de foutre coulent.
Estelle me montre tout ce qui colle dans sa bouche. Je lui mets une gifle. Elle avale avec peine avant de m'embrasser goulument...

Nous restons un petit moment. Clémentine s'est interposée entre Estelle et moi. Comme toujours gentiment mais fermement. Rires.
Nous sortons au jardin. Je mets la bicyclette à Estelle dans le coffre de la voiture. Nous la ramenons chez elle. Trois petits kilomètres.
Près de chez elle, je lui permets de me sucer quelques instant. < Miam ! Vivement demain. Je suis là pour 18 h ! > nous fait elle. Bon.
Clémentine me suce sur la route du retour. Nous sommes pressés de nous offrir nos tendresses habituelles. Nous montons en vitesse.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine me chuchote de divines cochonneries. "69"

Bonne pipe à toutes les coquines qui aiment s'exhiber afin d'être excitées. Bien salopes. Bonnes pipes juteuses et baises pulpeuses...

Julien - (Qui se comporte en véritable vicelard pour le plus grand plaisir de Clémentine. Et accessoirement celui d'Estelle) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 176 -



Il faut composer avec cette fin d'été épouvantable

Hier matin, samedi, je me réveille en premier. Ce n'est pas fréquent. Je regarde sur ma gauche. Clémentine dort encore.
Je la regarde toujours avec plaisir. Ce léger ronflement régulier m'amuse et participe à rendre l'ensemble adorable. Joie.
Pourtant, mon plaisir est une fois encore de courte durée. Ce fameux sixième sens féminin. La jeune fille se sent observée.
Jusque dans son sommeil. Même si les penchants exhibitionnistes de ma compagne ne m'étonnent plus, elle aime à être vue.
< Bonjour Julien ! > fait elle en s'étirant. J'ai à peine le temps de dire : < Bonjour Clémentine ! > qu'elle me chevauche...

Nous nous noyons de papouilles, de douceurs et de tendresses. C'est toujours merveilleux. Aucune habitude qui gâcherait.
L'impérieux besoin naturel du matin met un terme momentané à nos effusions. Clémentine m'entraîne jusqu'aux toilettes.
Après l'amusant rituel pisseux du main, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. C'est le rituel du petit déjeuner.
Et ce rituel là aussi à droit à toutes nos dévotions. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je fais griller le pain. Bien.
Miel, confiture, beurre et yaourts composent ce premier repas. D'un point de vue nutritif, il est le plus important des trois.

Nous faisons un rapide bilan de la veille, des faits les plus marquants et de nos épiques aventures à l'hypermarché. Rires.
Clémentine, tout en terminant son yaourt, vient s'asseoir sur mes genoux. Nous élaborons le programme de cette journée.
Une main dans mon slip, à me palper la queue, Clémentine me propose d'aller au marché du bourg voisin. Depuis le temps.
Et c'est vrai que cela fait plus de deux mois que nous n'y sommes plus allés. Je joue avec sa touffe en précisant "Fromages".
Il nous faut faire l'approvisionnement du réfrigérateur en fromages. Par association d'idée, nous reniflons nos doigts en riant.

Nous faisons notre vaisselle. Nous montons à l'étage pour nous mettre en tenues de jogging. Le ciel est nuageux. Lumineux.
Il est à peine 8 h30 lorsque nous courons sur le chemin qui descend à la rivière. Il y a une légère fraîcheur. C'est agréable.
Une fois encore il faut constater cette étrange atmosphère automnale alors que la nature a encore les belles couleurs de l'été.
Il est 9 h45 quand nous revenons. Nous avons du temps devant nous. Je propose à Clémentine de la brouter avant la douche.
Sans se faire prier ma compagne m'entraîne sur le canapé du salon. Elle retire son short en même temps que sa culotte. Vite.

Me voilà avec le visage entre ses cuisses à humer sa nuit de fille, son jogging de fille. Lorsqu'elles ont 20 ans c'est un bonheur.
De ma langue experte, véloce et agile, j'explore chaque pli et replis des lèvres de son sexe. Je recueille quantité de miasmes.
Mais c'est lorsque je nettoie les plis de son clitoris géant que Clémentine se met à gémir. De légers mouvements du bassin.
La jeune fille me saisit par les oreilles pour me repousser délicatement. Il faut absolument éviter un orgasme prématuré. Non !
Clémentine aime tant se retrouver dans un état d'excitation permanent tout au long de sa journée. Moi aussi. C'est commun...

Nous montons prendre notre douche, faire la chambre et nous habiller. Clémentine porte sa jupe préférée. Evasée et carmin.
Un pull en coton noir et ses souliers fermés à légers talons. Moi, sur la demande de la fille, je porte mon ensemble clair en lin.
Une fois encore Clémentine m'attire contre elle devant le miroir de l'armoire. < On est beaux, hein ! > me confie t-elle. Joie.
Nous voilà en voiture. Je roule toujours doucement. Clémentine joue avec ma queue. Nous arrivons au bourg. Il y a du monde.
Je gare la voiture. < Garde ta braguette ouverte. Personne ne verra rien. C'est discret ! > me demande Clémentine. Rigolades.

Nous déambulons dans l'allée principale. Il y a beaucoup de monde et plus de stands que d'habitude. Il fait un peu plus doux.
C'est vrai ! Personne ne voit ma braguette ouverte. La tirette est descendue. Je dis : < Interdit de me sortir le Zob ! >. Rires.
Pourtant, avec sa ruse et sa discrétion habituelles, lorsque Clémentine se place devant moi, elle me palpe la braguette. Salope.
Nous faisons provision de nos fromages préférés. Surtout du Roquefort et du Bleu d'Auvergne. J'en mets partout. C'est si bon.
Nous nous promenons encore un peu pour apprendre que demain, dimanche, il y aura ici le second vide-grenier annuel. Super.

Il est midi lorsque nous sommes de retour à la maison. Nous récupérons des légumes au potager. La terre est assez humide.
Sans doute la pluie de cette nuit. Clémentine s'occupe des salades. Je prépare deux gros pavés de saumon. Avec des pâtes.
Ce sont de petites nouilles vietnamiennes absolument délicieuses accompagnées d'une sauce au Roquefort de mon invention.
Nous profitons de la douceur toute relative du climat pour manger dans la véranda. Le barbecue électrique délivre ses proies.
Les pavés de saumon répandent leurs douces odeurs. Ce repas est évidemment délicieux. Nous traînons longuement à table.

Nous évoquons la roseraie. Cette serre dont rêve Clémentine depuis nos visites à Edimbourg et à Glasgow il y a peu de temps.
La jeune fille se réjouit pour ce projet qui verra sa concrétisation dès cet automne. J'aime tant la savoir heureuse. La "gâter".
L'entreprise paysagiste qui s'occupe de l'entretien de la propriété intervient les 27 et 28 septembre. Et j'aurais déjà le devis.
Il ne restera plus qu'à conclure une date pour le début des travaux. Clémentine exulte de joie à m'entendre lui raconter ça.
< Tout est toujours si simple avec toi ! > me fait la jeune fille en venant s'asseoir sur mes genoux. Nous savourons les glaces.

Nous faisons notre vaisselle. Clémentine, toute contente, m'entraîne à l'étage. Salle de bain. Nous nous lavons les dents. Joie.
Nous faisons toujours des grimaces devant le miroir tous les deux. C'est à celui qui fera la plus vilaine. Le privilège des 20 ans.
< Tu me fais "l'éléphant à trompe rose" ! > me fait Clémentine en s'asseyant sur le tabouret entre la baignoire et la douche.
Je mets les mains dans mes poches pour en retourner l'intérieur qui pend de chaque côté. J'ouvre ma braguette. Je sors le Zob.
< Génial ! > me fait la jeune fille en voyant son "éléphant à trompe rose". Nous rigolons comme des bossus. Comme c'est bien !

Nous descendons au salon. < Interdiction de ranger "l'éléphant à trompe rose" ! > me fait ma compagne en m'entraînant. Joie.
Nous voilà assis derrière le bureau devant l'ordi. Nous découvrons le message d'Estelle et le message de Juliette. Avec photos.
Estelle nous confirme sa venue pour 18 h. Elle apporte une tarte aux poires qu'elle aura confectionné. Des poires du jardin. Ici.
Juliette nous envoie deux belles photographies de Saint Jean de Mont, en Vendée pour nous signifier son retour dimanche soir.
Nous répondons. Clémentine me propose d'inviter Juliette pour mercredi soir. Excellente initiative. Je pourrais jouer au cuistot.

Il est 14 h. Nous avons prévu d'aller faire quelques achats dans une librairie spécialisée en matériel universitaire. Bouquins.
Tout ce que doit encore acquérir Clémentine et qu'elle a commandé. Le courriel nous apprend que tout est bien arrivé. Super.
Ma compagne reste vêtue comme ce matin. Moi aussi. Je range "l'éléphant à trompe rose". Nous voilà en route pour la ville.
C'est samedi et ça circule. Comme toujours, je gare la voiture à un quart d'heure du centre. Gratuité et tranquillité d'esprit...
J'oublie volontairement de fermer ma braguette dont la tirette reste discrètement descendue. Sur la demande de Clémentine.

Nous voilà à flâner dans les rues que nous connaissons bien. Il y a beaucoup de monde. Tout le centre est réservé aux piétons.
En passant devant l'église néo Gothique, Clémentine évoque Edimbourg. Ce souvenir qui reste vif dans sa mémoire. Prégnant.
Nous entrons dans la grande librairie. En effet, tous les bouquins commandés par ma compagne sont là, prêts, emballés. Bien.
Nous nous promenons un peu dans les rayons. Clémentine me fait soudain : < Reste là. Tu mâtes ! >. Je la regarde s'avancer.
Il y a un type, genre prof de lycée "baba cool", barbiche et lunettes façon John Lennon qui feuillette un gros livre. Une "proie".

Clémentine s'avance doucement. Une cliente tout à fait "normale". Elle est debout à environ deux mètres du quadragénaire.
Elle feuillette un gros livre. Je suis debout au bout du rayon. Je fais semblant d'être absorbé dans la contemplation d'un Atlas.
Le bonhomme regarde à plusieurs reprises sur sa droite. Cette belle jeune fille bien plus grande que lui. Il en a un strabisme.
Avec ses légers talons, Clémentine avoisine le mètre quatre vingt deux. Ses longs cheveux en liberté sur ses épaules. Superbe.
Le type louche à s'en déboîter les globes oculaires. Je vois bien qu'il tente une manœuvre d'approche. Il étudie sa stratégie...

C'est là que se passe l'impensable. Clémentine, discrètement, de sa main droite, se touche le sexe à travers le tissus de sa jupe.
De son autre main la jeune fille tourne tranquillement les pages du gros livre. Panique chez notre babouze à poils longs et drus.
Il mâte stupidement, perdant toute notion de discrétion. Je bande comme un véritable salaud. La situation est cocasse. Super.
Clémentine, bien évidemment consciente de l'émoi et du trouble qu'elle suscite chez notre John Lennon, en rajoute une louche.
Le type semble soudain fébrile. Il regarde partout autour de lui. Il m'a remarqué. Je mâte mon Atlas routier consciencieusement.

La situation perdure ainsi un petit moment. Personne ne vient dans ce rayon. Le type entreprend enfin sa manœuvre d'approche.
Il se tourne franchement vers la jeune fille pour lui adresser la parole. Clémentine relève la tête et observe le bonhomme. Rien.
Le type se rapproche. Depuis l'endroit où je me trouve, je n'entends rien des propos qui s'échangent. J'observe Clémentine. Bien.
C'est sur le visage de Clémentine, ses expressions, ses traits, que je peux deviner la nature de la conversation. Psychologie. Joie.
Clémentine, sans être déstabilisée le moins du monde, en apparence, continue de se toucher tout en regardant le type parler...

Je sais bien, et elle me le raconte toujours, Clémentine, dans ces instants, doit faire d'énormes efforts pour se contrôler. Excitée.
La jeune fille ne laisse absolument rien paraître de ses émois. Pourtant tout cela la perturbe aux confins du vice. Ce qu'elle veut !
John Lennon doit avoir des arguments et un humour peu convaincants. Pas le moindre sourire sur son visage. Elle reste stoïque.
Rapidement je vois ma compagne faire un signe négatif de la main et secouer sa tête. Je devine le < Non merci ! > qu'elle dit.
Le baba cool insiste. Il devient sans doute bien lourd. Pénible. Il s'approche encore. Il insiste le bougre. Il en veut, c'est certain.

Clémentine paraît agacée. La jeune fille sait parfaitement remettre en place les importuns, les emmerdeurs et les casses pieds.
Pourtant, celui-là encore, semble être une véritable "pointure" dans le genre. A tel point que Clémentine s'en va, le plantant là.
John Lennon, est vraiment une "flèche". Il se met à suivre ma compagne jusqu'à ce qu'il découvre la raison de ma présence ici.
Il me lance un curieux regard, un peu gêné, tourne rapidement les talons et retourne à son bouquin. Nous rions de bon cœur.
Il est déjà 17 h15. Il est temps de rentrer. Dans la voiture Clémentine me raconte les propos échangés. Un prof de littérature.

Il est 18 h lorsque nous arrivons à la maison. Estelle est déjà là. Elle vient nous accueillir sur le pas de la porte. Toute contente.
La jeune fille est vêtue d'un jean, de sa chemise à carreaux et de ses baskets. Elle porte un tablier. Elle nous entraîne. Cuisine.
Il règne une délicieuse odeur de pâtisserie. Estelle est entrain de cuire la tarte aux poires. Elle est venue chez nous vers 16 h30.
Nous la félicitons pour son initiative et pour la préparation pâtissière qui régale déjà nos narines. Je lui fais plein de bises. Joie.
Clémentine évoque la roseraie et le projet de serre florale. < Tu en as de la chance. Je veux un Julien moi aussi ! > fait Estelle.

Les filles bavardent en évoquant la rentrée universitaire de lundi matin, à 8 h10. J'écoute religieusement. C'est intéressant. Bien.
Puis, doucement, la conversation glisse vers les loisirs, en soirée, pour décompresser. Ce sera une année déterminante. "Master".
Estelle divulgue son "plan" d'approche. Il est question de monsieur Gérard, le palefrenier. Estelle désire vivre une "situation".
Clémentine écoute avec soin, sinon avec passion. Estelle veut pousser ce vieux Gérard dans ses derniers retranchements. Vice.
Nous rigolons comme des bossus lorsque la jeune fille nous fait part de ses intentions. < Un excellent passe temps ! > dit elle...

En effet, parfois, en fin d'après-midi, après les cours, pourquoi ne pas traîner un peu dans les écuries ? Juliette sera contente.
Les filles évoquent différentes stratégies pour emmener le vieux saligaud à se corrompre encore davantage. Ce sera difficile !
Le vieux salaud est déjà tellement vicelard qu'il sera très dur de l'emmener encore plus loin. Nous rigolons comme des bossus.
< Tu vas comparer les bites, alors ? > conclue Clémentine en mimant une pipe. Estelle éclate de rire en disant : < On va voir ! >
< A mon avis c'est tout vu ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. La sonnerie du four annonce la fin de la cuisson. Tarte.

Estelle munie d'une manique épaisse sort la tarte du four. C'est absolument superbe. Et l'odeur ! Une merveille. On va se régaler.
Estelle dépose la tarte sur le plan de travail à côté du barbecue électrique dans la véranda. Notre appétit s'aiguise. Faire la bouffe.
Je propose de profiter du four encore chaud pour faire une pizza. L'idée est évidemment accueillit avec une joie dithyrambique.
Je prépare la pâte. Estelle nous aide. Clémentine prépare les crudités. Je rajoute du gruyère de Comté à la farine. Un délice...
Je coupe des tomates du jardin en fines lamelles. Je les fais revenir dans une goutte d'huile d'olive. Ail, oignons, ciboulette. Persil.

Estelle mime à plusieurs reprises une masturbation masculine en me fixant avec insistance. L'annonce des choses à venir au salon.
< On se fait une soirée "Film Porno", j'ai emmené le montage que j'ai fait ! > nous rappelle Estelle en mimant une pipe. Vicelarde.
Nous mettons la table. J'étale la pâte. Je relève un peu les bords dans un grand plat à tarte. J'y verse la préparation. Un pizzaiolo.
J'y rajoute du parmesan finement râpé. Quelques petits cubes de Roquefort. Je mets au four. Thermostat sur 7. Cuisson à 350°.
Clémentine nous entraîne au salon. Elle dispose le grand téléviseur, qui ne sert quasiment jamais, devant le canapé. Elle allume.

Miracle, le téléviseur fonctionne encore. Cela doit bien faire trois mois qu'il n'a pas servi. Nous ne regardons jamais la télévision.
Estelle a ramené son ordinateur. Une prise HDMI. Et voilà la carte SD contenant les images de notre film prêtes à êtres visionnées.
La sonnerie du four nous rappelle que nous sommes morts de faim. Le repas est évidemment délicieux. Les filles bavardent. Rires.
Nous faisons la vaisselle. Nous sommes tous les trois fébriles et impatients. Ce qui nous attend au salon a de quoi nous affoler...
Nous mangerons la tarte aux poires devant le générique du début. Nous sommes tous les trois installés dans le canapé. Vautrés !

Clémentine prend la télécommande en même temps que nous prenons nos petites cuillères et nos petites assiettes à dessert.
Estelle maîtrise parfaitement l'outil informatique. Sur un vieil ordi, elle se sert de Windows Movie Maker pour faire ses montages.
Nous découvrons donc les premières images. Une photo fixe où l'on me voit, aux côtés d'Estelle, en gros plan. Nous sourions.
Estelle a le visage maculé de mon foutre gluant. Les cheveux collés sur le front et les joues par la pisse. Je la tiens par la nuque.
La musique est discrète. Des valses de Vienne qui donnent un côté surréaliste à ces images pornographiques sidérantes. Privées.

La tarte est un délice. Je suis assis entre Clémentine à ma droite et Estelle à ma gauche. Nous nous régalons. Images. Dessert.
Je bande comme un priapique en phase terminale. J'en fais part aux filles. Estelle dit : < Moi, je suis mouillée tout le temps ! >.
Nous rions de bon cœur. Je sais, à mon âge, que tout cela est le privilège de leurs 20 ans. Un jour, elles passeront à autre chose.
L'intérêt pour le sexe, à 20 ans, est prépondérant chez les jeunes filles un peu "éveillées". Un vieux salaud comme moi, apprécie.
Clémentine me chuchote à l'oreille : < J'ai envie de baiser avec toi, ce soir. Une envie folle ! >. Je la serre contre moi. Des bises.

Nous reprenons chacun une seconde tranche de tarte. Je félicite Estelle pour sa double réussite. Le film et le dessert. Des bisous.
Nous admirons les images du film. Ce sont les prises de vue réalisées par Clémentine samedi dernier. Du grand Art. Vraiment.
De plus, Estelle a fait du super boulot. Luminosité, gros plans. Le montage est très "pro". On me voit passer la laisse à son cou.
On me voit tirer Estelle par la laisse pour la forcer à s'asseoir sur la chaise. On me voit lui nouer les poignets et les chevilles...
On me voit lui frotter la bite sur le visage. Il suffit d'observer mon avatar pour comprendre ce que je lui passe sur la gueule !

< Ce n'était pas simple. Je n'arrêtais pas de me toucher en faisant le montage ! > nous confie Estelle en posant sa main. Queue.
< Moi, je n'aurais pas pu mener ce travail à son terme, je me serais trop branler ! > rajoute Clémentine en posant son assiette.
Nous rigolons comme des bossus. Là, à l'écran, on voit Estelle en gros plan entrain de me tailler une pipe en gémissant. Vicieuse.
La situation n'est pas seulement géniale en soi, mais le fait d'avoir la même fille assise à côté de moi, en vrai, est un paradis...
C'est divin. Je recommande à toutes et à tous de réaliser de telles choses. Il n'y a rien de supérieur. Absolument rien. Je le sais !

J'ai sorti ma bite turgescente avec d'infinies difficultés. Tordu au fond de mon slip par une érection douloureuse et contraignante.
Estelle me la tient de sa main délicate et parfaitement immobile. J'ai ma main sous la jupe de Clémentine qui est trempée. Fou.
Nous regardons ces splendides images. On me voit éjaculer au visage d'Estelle qui glousse. On me voit lui pisser à la gueule.
Estelle se penche sur sa gauche. Clémentine me fait un clin d'œil. Me voilà entrain de me faire sucer devant le film. C'est énorme !
Clémentine me tient le poignet. Elle est tellement excitée. Elle veut éviter un orgasme qui arriverait trop tôt. Elle m'embrasse.

Je me fais sucer à l'écran par la même jeune fille qui est entrain de me sucer dans la réalité. Que peut-il bien m'arriver encore ?
Quoi de plus divin dans mon existence de vrai salopard ? Pourtant, avec mon ex compagne décédée, nous avions "tout fait" !
Et bien non ! Pas tout ! Ces deux jeunes salopes sont arrivées dans ma vie pour la corrompre encore un peu plus. Je suis damné !
L'une d'entre elles est ma merveilleuse compagne. L'autre est un véritable cadeau de la vie. A l'écran, je jute une seconde fois.
Ici, dans la réalité, je jute une première fois. Estelle pousse de petits cris de ravissements en tentant de déglutir. C'est parfait...

Le film s'achève aux chiottes ou on admire Estelle, mains attachées sur la tête, me pomper goulument entre deux jets de pisse.
Clémentine ne peut réfréner un orgasme qui semble terrifiant. 9,5 sur l'échelle de Richter ! Un tremblement de terre. Vraiment.
Estelle a enfin réussi à tout avaler. La voilà qui repart pour un second tour en me faisant le fond de cuve. Le générique de fin.
Clémentine prend les cheveux d'Estelle qu'elle tire fermement en lui disant : < Maintenant, mon mec, je le veux pour moi ! >.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Estelle a ouvert son jean et nous regarde en se masturbant. Merveille...

Bon visionnage de vos réalisations pornographiques privées à toutes les jeunes et belle salopes dont c'est le fantasme. C'est super...

Julen - (Maître Queue, acteur pornographique amateur, "Maître-dresseur" de filles et accessoirement baiseur de sa compagne) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 177 -



Nous passons un dimanche paisible, Clémentine, Estelle et moi

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des rires étouffés, des chuchotement et des murmures. Des bisous.
J'ouvre l'œil, et le bon. C'est Estelle qui me tient la queue fermement, sans bouger. Elle me fait plein de bisous. Coquine.
C'est Clémentine qui me chevauche en riant. Les deux filles ont répété leur surprise. < Bonjour Julien !> font elle. Rires !
< Bonjour les filles ! > que je lance tout en faisant basculer Clémentine. Je me mets à quatre pattes entre les deux filles.
Je les chatouille toutes les deux en poussant des cris d'ours. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Il est 8 h15.

Estelle parvient à fuir. Nous la regardons filer aux toilettes. Clémentine se serre contre moi. < Je t'aime ! > chuchote t-elle.
Nous nous faisons quelques papouilles. Estelle revient et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner !>. C'est bien.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux WC. C'est notre rituel pisseux. Nous descendons à toute vitesse à la cuisine.
L'odeur du pain grillé et du café, achève d'ouvrir nos appétits. Je presse les oranges. Clémentine met la table. Ambiance...
Dehors, le ciel est clair. Il y a un timide soleil. Nous sommes vêtus tous les trois de nos T-shirt de nuit. Il fait plutôt frais.

Nous mangeons en bavardant. Bien évidement la conversation tourne principalement autour de la rentrée de lundi matin.
Les filles sont toutes contentes, heureuses de retrouver les bancs de la faculté. Je les écoute plaisanter à propos des profs.
C'est dimanche. Jour sans entraînement. Nous traînons à table. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Il est déjà 9 h.
Estelle fait la plonge. Nous essuyons la vaisselle. Nous évoquons la soirée de hier. Le film porno que nous avons réalisé...
< J'ai une superbe idée pour le prochain ! Mais il faut que je scénarise et que je développe. C'est secret ! > nous fait Estelle.

Nous rions de bon cœur. Clémentine entraîne Estelle au salon. Les filles sont assises derrière le bureau devant l'ordinateur.
Je les entends commenter les images. Elles sont sur le site de l'université. Emploi du temps, noms des profs, des élèves. Etc.
Le dimanche matin, c'est le rituel du ménage. Je commence par la cuisine. J'entends les filles rire ou bavarder. Studieuses.
Je nettoie la cuisine et les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. J'insiste dans le hall d'entrée. J'apprécie.
Je passe l'aspirateur au salon. Clémentine est montée faire la chambre. Estelle se lève et vient me rejoindre. Je suis occupé.

< Julien ! > me fait la jeune fille. Je me redresse pour regarder et écouter. Estelle continue. < Merci pour ces merveilles ! >.
Je lui dis : < Mais de quelles merveilles parles-tu ? >. Estelle me dépose une bise et précise : < D'être ici, avec vous deux ! >
Je lui fais une bise à mon tour. La jeune fille retourne derrière le bureau. Debout, elle mime une masturbation masculine...
Comme à son habitude, la jeune fille y met toute la vulgarité dont elle est coutumière. Estelle me fait un clin d'œil. Salope.
Je relève mon T-shirt, je descends mon slip aux genoux. J'agite ma longue bite que je fais tournoyer comme un lasso. Rires.

Nous restons ainsi quelques instants. Je reprends mon activité. Je m'apprête à rejoindre Clémentine à l'étage. Estelle se lève.
< Je t'aime Julien ! > me lance t-elle. Je file à toute vitesse. Clémentine est entrain de changer les draps. Je lui raconte tout.
< Je sais ! Elle m'en a parlé depuis le mois de juin. Nous sommes deux à t'aimer mais c'est avec moi que tu vis ! > dit elle.
Je la prends dans mes bras pour la rassurer. Clémentine m'avoue ne pas être inquiète. C'est dans la logique des choses. Joie.
Je nettoie la salle de bain. Clémentine est assise sur le tabouret entre la baignoire et la douche. Nous parlons d'Estelle. Bien.

Je précise : < Il faut que tu sois toujours présente et que tu m'aides à bien gérer cette situation ! >. Clémentine éclate de rire.
Elle me répond : < Il n'y a aucun soucis. Nous continuons exactement comme avant ses aveux. Tu veux bien ? >. Je l'observe.
Clémentine se lève et se précipite contre moi. Je tiens l'éponge mouillée et une cuvette. Nous rigolons comme des bossus. Joie.
C'est Clémentine qui me serre dans ses bras, qui me couvre de bisous et qui me rassure. < Je t'aime ! > dit elle plusieurs fois.
Je n'ai pas le temps de répondre que la langue de ma compagne fouille ma bouche avec avidité. Je suis saisi de vertige. Bon...

Clémentine reste avec moi. Elle m'aide à terminer. Je passe la serpillère. Clémentine est debout sur le tabouret près de la porte.
Nous rions de bon cœur lorsque qu'elle descend sa culotte pour me montrer sa touffe. < Tu me la bouffe après ? > me dit elle.
Nous terminons. J'étends la serpillère et je vide le seau dans les toilettes avant de les laver. Clémentine me fait des bisous. Joie.
Ma compagne descend rejoindre Estelle. Je les entends rire. J'adore cette ambiance. Cette grande maison n'est plus silencieuse.
Je redescends à mon tour. Les filles sont entrain de lire nos aventures sur le forum. < T'es fou de tout raconter ! > fait Estelle.

La jeune fille découvre quelques derniers récits en riant ou en poussant des petits cris d'étonnements. Nous rions de bon cœur.
< Ce sont de vrais romans tous les jours ! Comment tu fais ? > me demande Estelle. Clémentine rajoute : < Des romans vrais ! >
Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Il est déjà 11 h45. Je prépare le nécessaire pour notre repas de midi. Estelle me rejoint.
Elle passe derrière. Elle m'attrape par les couilles qu'elle serre fort de sa main gauche. De sa main droite, elle me choppe la bite.
< Mes sentiments ne changeront rien ! > me fait la jeune fille. J'ai les mains pleines de légumes. Je ne peux pas me "défendre".

Clémentine nous rejoint et nous fait : < J'arrive au bon moment encore, bande de vicieux ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Ma compagne vient m'embrasser. Estelle me tient la queue sans bouger. Je bande comme un vrai salaud. J'ai les mains de libres.
Clémentine s'occupe des salades. Je prépare un gratin de pommes de terres. Estelle aide en allant de l'un à l'autre. Très efficace.
Nous nous amusons beaucoup lors de ces préparations. A plusieurs reprises, Estelle profite de la situation. Me touchant. Salope.
< Je vous aime, tous les deux ! > fait elle soudain, debout sur une des chaises. Nous la regardons en riant. Etonnés et surpris...

Dehors, le soleil règne en maître. Le ciel est bleu. Nous mangeons dans la véranda. Le gratin de pommes de terre est un régal.
Accompagné d'une sauce au Roquefort, c'est tout simplement délicieux. Et bourratif. Nous traînons à table. Il est à peine 13 h45.
Nous faisons notre vaisselle. Estelle plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. C'est encore un de nos rituels. C'est superbe...
Nous montons nous changer. Cet après-midi, nous irons traîner un peu au bourg voisin pour découvrir le vide-grenier annuel.
Nous irons à bicyclette. Dans le sac à dos je mets des vêtements de change. Il fait plutôt agréable au dehors. C'est très sympa.

Nous pédalons sur la piste cyclable. Nous croisons quantité de cyclistes, de promeneurs et de familles poussant des landaus.
Il faut quitter la piste cyclable pour faire un peu de route. C'est dangereux. Il faut rouler prudemment et l'un derrière l'autre.
Nous arrivons sans encombre. Ce qui est normal. Nous ne l'avions pas emmené avec nous. Il y a du monde. Il fait beau. Bien.
Nous nous félicitons d'êtres venus à vélo. Surtout en découvrant l'invraisemblable quantité de bagnoles partout. Un succès...
Nous poussons nos bicyclettes. Il y a foule. Il y a là quantité de stands souvent plus hétéroclites les uns que les autres. Joie.

Il y a une famille qui vend une vingtaine de grandes jardinières en terre cuite. Longues, rectangulaires, pour un prix dérisoire.
Clémentine trouve que c'est une excellente occasion pour la future serre. Nous sommes en vélo. Je les fais mettre de côté.
Je paie. Nous mettons au point le soir de la semaine où nous pourrons venir les récupérer. Ce sera jeudi soir. Rendez-vous.
Ces gens habitent à la sortie du bourg. Il sera donc simple et rapide de venir récupérer notre bonne affaire jeudi vers 18 h30.
Nous nous offrons des cônes glacés. Nous les dégustons assis sur le muret de la fontaine devant la mairie. Nous regardons...

Il est 17 H30 lorsque nous prenons le chemin du retour. Estelle mange avec nous. Il lui faudra partir vers 20 h. Le programme.
Il est 18 h15 lorsque nous arrivons. Juste à temps avant la fraîcheur de cette fin d'après-midi. Il suffit de réchauffer le gratin.
A la cuisine, Estelle palpe souvent ma braguette. Clémentine me fait : < Donne lui son petit jus ! >. Nous rions de bon cœur.
Je sors ma bite. J'attrape fermement Estelle par ses cheveux attachés en catogan. Je la force à s'accroupir. Elle est à genoux.
Je passe mon Zob sur son visage. Clémentine est derrière moi pour la tenir. Estelle se met à sucer comme si vie en dépendait.

Nous restons ainsi un petit moment. La sonnerie du four nous rappelle aux réalités de nos faims de loups. Je me retire. Ferme.
Je force Estelle à se redresser. J'ai la bite dégoulinante de foutre gluant. Clémentine se penche pour le récupérer en pompant.
Estelle me montre l'intérieur de sa bouche. Je bande comme un cinglé. Je force à son tour Clémentine à redresser son buste.
Estelle met la table. Je sors le gratin du four. Nous mangeons d'un bon appétit. En mangeant, je me lève. Je vais chez Estelle.
Debout à ses côtés, je la saisi par ses cheveux. Elle tient sa fourchette. Elle oppose une résistance de circonstance. C'est le jeu.

Je lui fourre la bite dans la bouche. La jeune fille pousse un petit cri de surprise. Clémentine me fait un clin d'œil. Le spectacle.
Estelle, avale la bouffe avec peine et se met à me sucer. Sans prévenir, j'éjacule. La jeune fille tente de s'arracher à l'étreinte.
Je la tiens fermement. Elle arrive pourtant à se retirer. < Salopard ! Pendant que je bouffe ! > s'écrie la jeune fille. Ecœurée...
Je retourne m'asseoir. < T'es décidément un vrai salaud ! > me fait Estelle en continuant son repas. Nous rions de bon cœur.
C'est la vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Il est 19 h45. Je suspend mon torchon, lorsque soudain Estelle s'approche...

Sans prévenir, sans rien qui laisse présager son geste, Estelle me met une gifle en disant : < Tiens, c'est pour ta jute, salaud ! >
Clémentine lui fait : < C'est comme ça que tu remercies le monsieur pour sa gentille "attention" ! >. Estelle m'embrasse. Rires.
Bien évidemment, tout cela est entendu et fait partie des relations qui se sont établies entre nous trois. Estelle se serre très fort.
< C'était une délicieuse surprise ! > me fait elle en glissant sa main dans ma braguette encore ouverte. Je la tiens contre moi.
Nous mettons son vélo dans le coffre et nous ramenons Estelle. Au retour, Clémentine veut absolument me sucer à son tour...

Bonne journée à vous éclater comme des petits fous avec votre jeune visiteuse vicelarde et pleine d'initiatives étonnantes...

Julien - (Qui vient encore de se faire vider les couilles en éjaculant sa purée pendant le gratin de pommes de terre) -

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Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 178 -



C'est la rentrée universitaire. C'est la fin des vacances d'été. Le grand jour

Hier matin, lundi, c'est la Symphonie No 3 en Ré majeur de Franz Schubert qui nous tire de notre sommeil. Il est six heures.
< Ta gueule Franz ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rions de bon cœur avant de nous faire des bisous.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la main. < Bonjour Clémentine ! > que je lui fais en la suivant.
Je file à la salle de bain pour déposer ma bite sur le rebord froid du lavabo. Clémentine est aux toilettes. Le rituel reprend.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour y préparer et prendre le petit déjeuner. Nous sommes morts de faim.

Tout va très vite. Nous sommes méthodiques. Pas question de laisser filer la moindre seconde sans qu'elle ne soit utilisée.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Beurre. Confiote, miel. Yaourt.
Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons notre vaisselle. Nous voilà à nous entraîner. Aérobic, abdo et exercices au sol.
Il est rapidement sept heures trente. Nous filons à la douche. Je descends le premier pour aller sortir la voiture de Clémentine.
Ma compagne me rejoint avec ses affaires. Elle est vêtue des vêtements ramenés d'Ecosse. La jupe kilt, le chemisier, la veste.

Clémentine me fait plein de bisous. Je lui souhaite une bonne journée. Je la regarde monter le chemin et disparaître en haut.
Je monte faire la chambre et je file directement à l'atelier. Il y a beaucoup de travail qui m'attend. Pour moi aussi, la rentrée.
A midi, je prépare un gratin de courgettes farcies qu'il suffira de réchauffer ce soir. Courgettes farcies au pâté de lentilles.
La journée passe à une vitesse folle. C'est une sensation étrange de me retrouver seul. Je m'abstrais dans un travail acharné.
Il est dix sept heures lorsque Clémentine revient. Elle entre dans l'atelier à toute vitesse. Elle vient s'asseoir sur mes genoux.

Je suis entrain de peindre. Je pose mes pinceaux et ma palette. Clémentine, toute contente, me raconte sa première journée.
< C'était super ! Tout commence bien. Je suis vraiment heureuse de retrouver la fac ! > me fait elle en parlant très vite. Joie.
La jeune fille découvre mon travail de la journée. J'ai commencé le fond de ma première œuvre de commande. Teintes sépias.
Dehors, il y a eu quelques séquences pluvieuses. Rien qui ne puisse toutefois détremper le sol. Nous montons à l'étage. Bien.
Nous nous mettons en tenues pour un jogging d'une heure. < Pour décompresser ! > précise Clémentine. Il y a de la fraîcheur.

Il est dix huit heures trente lorsque nous revenons. La douche. Nous avons l'estomac dans les talons. Tout va très vite. Faim.
Il n'y a qu'à réchauffer en préparant les salades. Scarole et carottes. Tout en nous affairons aux crudités, nous évoquons Estelle.
Estelle reprendra ses habitudes à partir de demain soir. La jeune fille viendra passer les mardis et jeudis soirs avec nous. Bien.
Elle viendra tous les samedis soirs pour passer une partie du week-end jusqu'au dimanche soir. Elle est à se réjouir pour cela.
Clémentine met la table. Je sors le gratin de courgettes. J'ai préparé une farce au pâté de lentilles, gruyère et champignons.

Nous mangeons d'un bon appétit. Nous bavardons. Clémentine me parle de sa journée de cours, le restaurant universitaire.
Elle partage son repas avec Estelle. Toutes les deux assises à une table où elle peuvent bavarder, échanger leurs ressentis.
Je suis souvent le sujet de conversation des filles. Dans des domaines variés. Cela me touche. Nous rions de bon cœur. Joie.
Nous faisons notre vaisselle. Nous retournons à l'atelier. Clémentine a du travail. Je retourne à ma peinture. Soirée boulot.
Il est vingt heures, la nuit se met à tomber. Ce ne sont que les petits bruits de nos occupations qui résonnent dans le silence.

Parfois, l'un ou l'autre se lève pour venir faire une bise à l'autre. Clémentine a étalé toutes ses affaires sur la table de travail.
Nous adorons tous deux ces ambiances studieuses. Une fraîcheur automnale nous impose de porter nos sweat et nos jeans.
< Tu ne m'as pas encore montré ta bite aujourd'hui ! > me lance soudain Clémentine alors que je suis concentré sur la toile.
Nous rigolons comme des bossus. Je pose ma palette et mes pinceaux. Je me lève. Je repousse la lampe à halogène. Rires...
J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. J'ai les mains posées sur mes hanches. Je me sens profondément ridicule. Poilade !

Clémentine est assise à la table. Son stylo aux coins des lèvres de sa bouche, elle m'observe amusée et souriante. Le silence.
< J'aime quand tu es salaud ! > me fait ma compagne au bout d'un long moment d'observation silencieuse. Je me sens bête.
Je fais tournoyer mon Zob comme un lasso. < Mon cow-boy adoré ! > me lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
< Tu tires un coup avec ton pistolet ? > rajoute t-elle encore en se levant pour me rejoindre. Elle tient le coussin de la chaise.
La jeune fille s'approche. Elle jette le coussin au sol. Elle s'y met à genoux pour renifler longuement ma queue molle et longue.

Je lui caresse la tête. Je passe ma main droite sur ses cheveux, ses joues. Clémentine relève parfois ses yeux pour me sourire.
Nous restons ainsi un long moment. Silencieux. Nous n'entendons que le souffle de nos respirations. Peut-être la pluie dehors.
Parfois, je m'accroupis pour déposer des bises sur le visage de la jeune fille. A genoux, assise sur ses talons, elle m'embrasse.
< Je t'aime Julien ! Tu m'as manqué aujourd'hui. Et je pensais souvent à toi. A nous deux ! > me fait elle avec un air grave...
Je lui dis : < Pareil pour moi. Et cela m'oblige à me concentrer encore davantage sur mon travail : >. Nous rions de bon cœur.

Par le passé, jadis, j'ai déjà vécu tout cela. Pour Clémentine et ses 20 ans, ces situations sont toutes neuves. Des découvertes.
Clémentine hume les parfums de mon sexe. < J'aime quand elle sent fort ! > me confie t-elle en y passant la langue. Délicate.
Sur la demande de la jeune fille, depuis quelques jours, je ne décalotte plus mon gland sous la douche pour le laver. Fantasme.
Clémentine veut du "goût" et des "parfums". Je comprends d'autant plus qu'elle fait pareil pour moi. Nous aimons les saveurs.
J'observe la jeune fille qui s'est redressée bien droite sur ses genoux. De sa main gauche elle prends mon sexe. Pouce et index.

De sa main droite, entre le pouce et l'index également, elle tient mon prépuce fripé. Je bande mou. Une très agréable sensation.
Doucement, lentement, en approchant ses narines, Clémentine renifle longuement. L'odeur rappelle le thon mayonnaise. Beurk.
La jeune fille, avec de multiples contorsions du cou, penche sa tête à gauche, à droite, pour bien respirer les effluves parfumées.
Cette situation m'excite considérablement. La jeune fille également. J'ai le gland complètement décalotté. Sensation de fraîcheur.
Je déteste avoir le gland à l'air. Pourtant, là, dans ces circonstances "d'examen", je trouve ça plutôt sympathique. Odeurs fortes.

Clémentine lèche consciencieusement tout le tour du gland, à sa base, méthodiquement, en insistant sur les plis inaccessibles.
Je regarde cette belle jeune fille, les yeux fermés, concentrée sur sa délectation. Je suis pris de vertige. J'ai du mal à réaliser.
Clémentine prend délicatement ma bite en bouche tout en poussant un gémissement de ravissement. Je me tiens à la lampe.
Ma compagne suce avec sa douceur habituelle. J'ai l'impression d'avoir mon sexe dans un bol de purée chaude. C'est si doux !
L'indicible caresse me fait vaciller. C'est autant la vue que la sensation. Clémentine glousse. Je l'entends tenter de déglutir...

Je me mets à lui murmurer des douceurs. Parfois Clémentine ouvre les yeux, relève légèrement la tête sans cesser sa fellation.
Elle a des expressions étonnées, puis souriantes, me fait quelques clins d'œil avant de fermer les yeux pour se concentrer. Joie.
Je lui chuchote quelques cochonneries. Je lui rappelle des situations vicelardes que nous avons vécu lors de ses exhibitions.
A certaines évocations précises, et particulièrement vicelardes, Clémentine pousse des gémissements de contentement. Ravie.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Clémentine alterne les suçotements du bout et les prises en bouche. Plaisir.

< Tout à l'heure, je te la mets profond ! > que je lui chuchote. Clémentine pousse un gémissement plus appuyé. Approbation.
Je la laisse savourer mon foutre épais, gluant, visqueux et abondant. La jeune fille se pâme et commence à tortiller du bassin.
Pour lui permettre de reposer sa mâchoire, régulièrement, je me retire pour m'accroupir, lui faire des bises et chuchoter. Bon.
Nous restons ainsi un très long moment. La pipe étant la relation sexuelle préférée de Clémentine. Je suis couché sur le sol.
Clémentine, couchée à mes côtés, en chien de fusil, sa tête sur mon ventre, me taille une pipe. Immobile. Gémissante. Jute...

Je prends Clémentine par ses cheveux attachés en queue. Je la force à se redresser. Du foutre lui dégouline des lèvres. Menton.
Nous nous levons. Je la tiens fermement, comme elle aime. Je l'entraîne à la table de travail. Nous rangeons nos affaires. 22 h.
Clémentine se précipite contre moi. < Comme je suis bien avec toi, c'est fou ! > me murmure t-elle en me montrant sa bouche.
Sa cavité buccale est encore emplie de filaments gluants qu'il est sans doute difficile de déglutir. C'est surtout un acte volontaire.
Nous montons à la chambre. Je bascule Clémentine sur le lit. Elle m'aide à retirer son jean et sa culotte. Odeurs de fille. Génial !

Je fourre mon nez entre ses cuisses pour humer les effluves parfumées de sa foufoune. Les poils me chatouillent le nez, les joues.
Je fouille les plis et les replis des lèvres de son sexe. Je suis toujours émerveillé par tout ce que j'y trouve. Ce soir, un goût acide.
Clémentine est considérablement excitée. Certainement encore davantage que moi. Je suis donc très vigilant. Pas d'orgasme. Bon.
Je nettoie soigneusement les peaux de son clitoris géant. Clémentine connaît les voluptés habituelles du plaisir que je lui prodigue.
L'orgasme risque de poindre. La jeune fille m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Sans bouger...

Nous adorons rester immobile, l'un dans l'autre, à nous fixer dans les yeux. Clémentine adore me chuchoter des cochonneries.
Ce soir, la jeune fille évoque les films pornos que nous réalisons avec Estelle. Ma compagne me confie les excitations procurées.
Clémentine me raconte à quel point Estelle s'éclate de ce que nous faisons . < Encore plus salope que moi ! > me confie t-elle.
Doucement, imperceptiblement, nous commençons à bouger. Un rythme régulier, en parfaite symbiose. en harmonie totale.
L'orgasme qui terrasse alors la jeune fille est impressionnant. Il m'est défendu d'éjaculer en elle. Je dois le faire dans sa bouche !

Ma compagne me repousse doucement. Elle me bascule sur le dos. Couchée à mes côtés, sa tête sur mon ventre, elle me suce.
Mes couilles dégorgent de foutre. A l'entendre déglutir en gémissant, presque sans arrêt, je devine la quantité qu'elle s'avale. Joie.
Je la laisse se régaler en lui caressant la raie des fesses. C'est trempé. Je renifle mes doigts. Odeurs fortes. Muqueuses humides.
Je force Clémentine à cesser sa pipe. Il est presque 23 h. Nous allons aux toilettes. Nous revenons très vite pour nous coucher.
Clémentine termine sa pipe. J'éjacule dans un déluge de foutre qui semble ne plus finir. Nous nous endormons blottis. Douceurs...

Bonne reprise à toutes les étudiantes en quatrième année de faculté. Bonne pipe. Bon cunnilingus. Et bonne baise à toutes...

Julien - (Le bienheureux. Qui a toujours préféré la compagnie des salopes, évitant de s'ennuyer avec celles qui ne le sont pas) -

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Tout se passe très bien. Nous nous installons dans une délicieuse routine

Hier matin, mardi, c'est La 5ème de Ludwig Van Bite-au-Vent qui nous tire de notre sommeil. Avec une certaine violence.
< Ta gueule Lulu ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rions de bon cœur en nous faisant de rapides bises.
Quelques papouilles et Clémentine m'entraîne par la main. Elle va aux toilettes. Je vais à la salle bain. Pipo dans le lavabi.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour y préparer et y prendre nos petits déjeuners. Habités par la faim...
Tout va très vite. Avec méthode. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Pain grillé, confiote, miel, beurre et yaourt.

Nous bavardons. Clémentine me raconte quelques anecdotes universitaires et très amusantes. Nous faisons notre vaisselle.
Nous remontons nous consacrer à notre nécessaire heure d'entraînement. Aérobic, abdos, exercices au sol. Charges. Bien.
La douche. Il est déjà 7 h45. Je vais dehors ou le ciel est plutôt gris, bas, lumineux. Je sors la petite auto de Clémentine.
Ma compagne vient me rejoindre. Plein de bisous. Je la regarde partir. Dernier coucou de la main. Je vais faire la chambre.
Je file à l'atelier. J'ai du boulot. A midi je prépare la pâte à pain. Pour ce soir, je vais préparer des pizzas aux champignons.

Clémentine revient pour dix sept heures. Se précipitant pour me faire des bisous, elle entre dans l'atelier à toute vitesse.
Assise sur mes genoux, nous faisons le bilan de nos journées. Estelle vient nous rejoindre pour 19 h. Il y a du soleil. Joie.
Je dépose ma palette et mes pinceaux. Nous montons nous mettre en tenues pour notre jogging. Une heure de running.
L'exercice physique est une des composantes très importante de nos existences. Aussi, c'est toujours un grand bonheur.
Le sol est humide. Malgré les séquences pluvieuses de la journée, le sol n'est pas détrempé. Nous apprécions la douceur.

Nous voilà de retour pour 18 h45. Une douche rapide. Sans se mouiller les cheveux. Nous descendons. Estelle est déjà là.
Nous nous faisons la bise. Estelle me raconte sa journée. Elle me fait part, tout comme Clémentine, de son immense joie.
Cette quatrième année de faculté s'annonce sous les meilleures facettes. La pâte à pain a très bel aspect. Bien gonflée.
Clémentine revient du jardin où elle a cherché une belle et grande laitue. Estelle émince l'ail, l'oignons, les champignons.
J'étale la pâte sur la nappe préalablement farinée. Estelle vient se mettre derrière moi tout en bavardant avec Clémentine.

Soudain, fermement, d'un geste sûr, Estelle m'attrape par les couilles. Tout en observant par dessus mon épaule. Salope.
Elle insiste. De son autre main que la jeune fille passe devant moi, elle me palpe la braguette. Je tiens le rouleau en bois.
Nous rions de bon cœur alors que je tente de bien étaler la pâte au rouleau. Clémentine vient m'embrasser. Ambiance !
Je fais revenir un peu d'ail et d'oignon afin de les saisir légèrement. Juste les faire blondir avant d'y mettre de la tomate.
Estelle me suit partout sans me lâcher les parties génitales à travers le tissus de mon pantalon. La fille est très insistante.

Je mets les trois pâtes sur trois plaques. J'y dépose la préparation que j'étale avec une spatule. Rondelles de tomates.
Gruyère de Comté râpé. Des petits cubes de Roquefort. Ciboulettes, olives noires à la Grecque dénoyautées par Estelle.
Je mets au four. Thermostat sur 7. Cuisson à 300° pour une durée de trente minutes. Estelle met la table. Tout va vite.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Les filles échangent des impressions quand aux nouveaux professeurs.
J'écoute plutôt amusé. Ces descriptions précises, souvent caricaturales mais bien senties, sont des plus rigolotes. Drôles.

Je m'approche d'Estelle qui est accroupit devant le frigo ouvert. Je pose ma main sur sa nuque, sous ses cheveux en natte.
La jeune fille porte ses lunettes à monture noire. Sa chemise à carreaux, son jean et ses baskets. Elle a un sursaut. Bien !
Estelle reste immobile. Je saisi sa natte qui lui arrive presque à mi dos. Je l'entraîne comme par une laisse. A quatre pattes.
Cette petite salope comprend très rapidement. Docile, elle se laisse "promener". Je lui fais faire le tour de la cuisine. Joie.
Clémentine, toujours excitée lorsque j'ai ce genre de comportement, passe sa main dans son jean. Elle me fait un clin d'œil.

Estelle, vicelarde, s'arrête soudain. Là, devant le frigo, elle lève une jambe comme le ferait un chien s'apprêtant à pisser.
La jeune fille lève la tête pour me fixer avec un air de défi, fière et presque sévère. J'ouvre ma braguette. Je sors mon Zob.
Clémentine, une main derrière elle pour se tenir sur le bord de l'évier, se masturbe doucement, son jean ouvert. Ambiance.
Je passe mon sexe sur le visage d'Estelle que je tiens toujours par sa natte, au plus court, près de sa nuque. Fermement.
La jeune fille, par jeu, tente de se soustraire à mon étreinte. Peine perdue. Je la tiens avec fermeté. Elle relève la jambe...

C'est la sonnerie du four qui nous ramène aux réalités. Nous sommes tous les trois morts de faim. Je force Estelle à se lever.
La jeune fille se précipite contre moi pour m'embrasser avec une fougue rare, presque violente. Tout en me tenant la bite.
Clémentine s'écrie en refermant son jean : < Pose bouffe, les vicieux ! Je te rappelle que le mec que tu pelotes est le mien ! >
Nous rigolons comme des bossus. Je sors les pizzas fumantes. Clémentine remue la salade. Estelle prépare les planches.
Nous voilà tous les trois à savourer un repas délicieux. Les filles sont retournées à leur discussion universitaire. C'est normal.

Je me lève. Je viens me mettre debout à côté d'Estelle que je saisi à nouveau par sa natte. La jeune fille reste sur ses gardes.
Elle a même un mouvement de recul. Je sors ma bite que je tente de lui frotter sur le visage. Estelle oppose une résistance.
Rien à faire. La jeune fille fait preuve d'une force étonnante. Je dois me résoudre à cesser. Je retourne m'asseoir. La pizza.
Estelle, tout en bavardant, me regarde d'un air sévère. Nous passons au dessert. Nos coupes glacées. Un autre délice. Bon.
Nous faisons la vaisselle. Estelle plonge. Clémentine et moi essuyons. Ma compagne me fait plein de bises. Des clins d'œil...

Clémentine nous entraîne à l'atelier. Avec ce second jour de rentrée universitaire, les filles ont fort à faire. Il y a du travail.
Elles sont toutes les deux assises à la grande table de travail. Estelle a emmené ses affaires dans son sac à dos. Studieuse.
Je suis assis devant mon chevalet. J'ai mes commandes à réaliser en priorité. Le plus tôt sera le mieux. Je déteste ce truc.
Parfois, Estelle se lève pour venir regarder. Personne n'a le droit de pénétrer mon atelier et de regarder mon travail en cours.
Il n'y a que Clémentine et, depuis peu, Estelle qui saura garder le secret le plus absolu. < C'est super ! > me chuchote t-elle.

< Tu t'es déjà fait sucer en peignant ? > me demande Estelle. Clémentine éclate de rire en disant : < Ma tête sert de table ! >
Nous rigolons comme des bossus. La soirée se déroule ainsi, dans cette ambiance heureuse, studieuse et passionnée. Bien...
Estelle nous fait part de son projet de prochain film. Nous sommés étonnés. Ce sera plutôt délicat à réaliser. Elle développe.
La caméra cachée derrière les bosquets, tant qu'ils ont encore des feuilles. Estelle bavardant avec monsieur Gérard. Salope.
Monsieur Gérard, le palefrenier, évidemment filmé à son insu. Clémentine lui fait remarquer que c'est une chose interdite !

Filmer quelqu'un à son insu, même dans le cadre strictement privé, est une violation grave au droit à l'image. Déception !
< C'est dommage, j'aurais bien allumé ce vieux salaud ! > nous confie t-elle. Nous prévoyons d'aller aux écuries jeudi soir.
Les deux filles mettent au point une stratégie pour mettre le palefrenier dans une de leurs situations ambiguës et vicieuses.
Estelle se dévoile de plus en plus inspirée. Nul doute, le vice l'habite beaucoup plus encore que je ne le sait déjà. Salope...
Il est 22 h30. Nous proposons à Estelle de la ramener. Terminés les retours à bicyclettes et de nuit. Elle est toute contente.

Je mets son vélo dans le coffre de la bagnole. Trois kilomètres. Nous la déposons à une vingtaine de mètres de chez elle.
Sur le retour, Clémentine, joue avec mon Zob. Nous sommes pressés de nous retrouver à nous sucer à nous lécher, à baiser.
Nous nous offrons un sublime "69". Nous faisons durer cette activité "Cul-Inaire" en en savourant les délices longuement.
Puis Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. C'est une jeune fille délicate. 20 ans.
Parfaitement immobiles, comme toujours, Clémentine me chuchote plein de cochonneries. Ejaculation dans sa bouche. Dodo...

Bonne soirée de travail studieux et sympathique avec votre jeune visiteuse vicelarde à toutes et à tous.

Julien - (Toujours prêt à rendre service, toujours à l'écoute, toujours fidèle, toujours vicelard et toujours bandeur fou) -

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Un mercredi soir où Juliette vient manger à la maison.

Hier matin, mercredi, c'est le concerto pour violoncelle en Mi majeur de Wolfgang Amadeus Mozart qui nous tire de nos sommeils.
< Ta gueule Wolfgang Bang ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus avant les bises.
Nous nous levons très vite. Il est 6h. C'est le rituel pisseux du matin. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. La faim.
Méthodiques, efficaces, nous préparons notre petit déjeuner. Dehors il fait encore nuit. Je regarde par la fenêtre. Tout est mouillé.
Pas de doute, cette fin d'été reste pourrie. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous procédons à notre entraînement...

La douche. Il est déjà 7 h45. Je sors la voiture de Clémentine. La jeune fille me fait plein de bisous avant de filer en cours. 12 km.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Dernier coucou de la main. Je monte faire la chambre. Je redescends à l'atelier.
A midi, je prépare du riz complet que je fais gonfler dans un bouillon végétal afin de le parfumer durant sa cuisson. Pour la soirée.
Clémentine revient pour 17 h. Elle vient s'asseoir sur mes genoux pour me raconter sa journée. D'amusantes anecdotes étudiantes.
Ma compagne me propose un jogging. Pour "décompresser". J'ai besoin de me dégourdir les jambes moi aussi. Nous montons vite.

Nous nous mettons en tenue. Nous voilà à courir sur le circuit habituel. Le sol des chemins est humide. Un bon running d'une heure.
Nous sommes de retour pour 18 h30. La douche. Juliette vient manger ce soir. Elle sera là pour 20 h. Nous avons tout notre temps.
Je vais préparer des aubergines farcies accompagnées de boulettes de riz qu'il n'y a plus qu'à préparer. Nous retournons au salon.
Nous découvrons le message d'Estelle qui nous apprend à quel point elle a le désir de se retrouver avec nous demain soir. Réponse.
Je laisse Clémentine sur le site de la faculté. Ses cours. Je vais m'occuper de la préparation du repas du soir. Tout ira très vite. Joie.

Clémentine vient me rejoindre. Elle s'occupe de la salade verte. Je termine la cuisson des lentilles que je mélange aux champignons.
Je prépare le pâté de lentilles. J'y rajoute de l'ail, de l'oignon, du gruyère de Comté. L'odeur est délicieuse. J'évide les aubergines.
Il est dix neuf heures trente lorsque les aubergines sont au four. Thermostat sur 6. Et une cuisson à 300°. Pour quarante minutes.
Je termine en concoctant une sauce au Roquefort dont j'ai le secret. Clémentine met la table. Il est 20 h. Trois coups de sonnette.
Clémentine va ouvrir. Elle revient avec Juliette. La jeune femme est vêtue de la jupe kilt et du chemisier que nous avons ramené...

Une veste de style "blazer", des souliers noirs, fermés, à talons. Juliette est magnifique. Nous nous serrons la main. Et trois bises.
< Comme ça sent bon ! > nous fait la jeune femme que Clémentine débarrasse de sa veste. Nous sommes au salon. Bavardages.
La sonnerie du four nous avertit. Le repas est prêt. Nous voilà assis à déguster le gratin d'aubergines farcies qui connaît le succès.
J'ai mélangé le riz avec de l'œuf, de la farine pour en faire des boulettes que j'ai fait revenir à la poêle. Une découverte délicieuse.
Nous bavardons. Juliette nous raconte ses vacances en Vendée. Son nouvel appartement. Et la reprise de ses activités équestres...

Avec le début de l'automne, et surtout avec cette météo, les propriétaires sont nombreux à ramener leurs chevaux en pension. Bien.
Le travail reprend donc de plus belle et un peu plus tôt que prévu. Madame Walter, sa collaboratrice est débordée. Ainsi que Gérard.
L'entreprise est florissante et Juliette envisage l'agrandissement des écuries dès le printemps prochain. Les "affaires" fonctionnent...
Clémentine, adroite et rusée, évoque d'abord madame Walter puis monsieur Gérard, le palefrenier. Ma compagne me fait du pied.
Juliette nous parle de madame Walter qui est son employée depuis le début, il y a huit ans. Monsieur Gérard, lui, était déjà là aussi.

Clémentine évoque les compétences de monsieur Gérard avant de glisser sur ses attitudes et son comportement "amusants". Rires.
Juliette nous raconte quelques anecdotes bien "croustillantes" à propos de son palefrenier. Elle sait que c'est un véritable vicelard.
Pourtant, avec sa patronne, le palefrenier est toujours d'une correction exemplaire. Madame Walter l'a déjà surpris plusieurs fois.
La jeune femme l'a surpris à quelques reprises entrain de se masturber dans quelques box vides ou dans son petit bureau au fond.
Monsieur Gérard est très discret. < C'est un vrai vicieux, un exhibitionniste récidiviste. Il a eu quelques problèmes ! > fait Juliette.

< Je l'ai convoqué un matin pour bien lui expliquer ! > continue Juliette. < Une jeune cavalière m'a appris les exhibes! > fait elle.
Nous rions de bon cœur. Juliette semble très amusée à nous raconter ces anecdotes amusantes. Clémentine en profite. Insistante.
Juliette prend visiblement beaucoup de plaisir à glisser sur ce terrain. Elle nous raconte quelques détails "croustillants". Nous rions.
< Monsieur Gérard me fait un boulot fabuleux ! Pourtant je lui ai demandé de laisser les jeunes cavalières tranquilles ! > fait elle.
Juliette continue : < Il a montré sa bite à des jeunes filles dans les écuries. Toujours en se faisant "surprendre" ! > rajoute t-elle.

Mettant son doigt sous son œil, Juliette tire sur la peau en disant : < Se faire "surprendre" ! Mon œil ! > nous rions de bon cœur.
C'est étrange d'écouter Juliette prononcer des mots comme "bite", "branle". Mots qu'elle prononce à plusieurs reprises. Etrange.
Clémentine me fait du pied sous la table. Nous sommes tous les deux télépathes. Nous nous comprenons. Et nous comprenons.
Juliette semble prendre beaucoup de plaisir à développer ce sujet épineux. Elle n'hésite pas à devenir vulgaire. C'est surprenant.
Clémentine lance soudain : < J'aimerais bien le voir se branler un soir ! >. Juliette répond du tac au tac. < Venez demain soir ! >

Juliette lui fait : < On peut organiser une soirée. Je vous prépare le "coup" ! >. Clémentine est très rarement déstabilisée. Mais là !
Il y a un moment de silence. < J'ai dis une bêtise ? > demande Juliette. < Pas du tout, je réfléchi ! > répond Clémentine. Silence.
Nous mettons notre visite au point. Ce sera vendredi soir. Clémentine ira visiter les écuries. Je resterais avec Juliette. Discrets.
Juliette nous fait : < Je connais quelques "ponts de vue", qui permettent de voir en toute discrétion. Je veux voir ça ! >. Rigolade.
La jeune femme se révèle un peu. < Je vais mâter quelquefois ! > nous confie t-elle en ponctuant son propos d'un clin d'œil. Joie.

Je bande comme un vrai salaud. Cette conversation devient de plus en plus excitante. Clémentine est dans le même état. Certain.
Juliette prend visiblement beaucoup de plaisir à rester sur ce terrain. Elle parle à présent de Gérard en disant : < Mon branleur ! >
< Mon branleur reçoit le vétérinaire lundi prochain ! >. < Mon branleur s'occupe de l'arrivée des chevaux ! >. Et c'est ainsi. Rires.
< Si je n'avais pas mon branleur pour s'occuper des écuries, je serais bien ennuyée ! > nous fait Juliette. Nous rions de bon cœur.
Bien évidemment, Clémentine en rajoute. < Je viendrais volontiers faire un stage en entreprise chez vous ! > fait elle en rigolant.

< Mais c'est quand vous voulez ! > fait Juliette en éclatant de rire. < J'adore les vicieux et les branleurs ! > rajoute Clémentine.
< Vous aussi ! > rajoute Juliette. Nous rigolons comme des bossus. Elle me regarde et me dit : < Et il y a un pratiquant ici ! >.
Juliette fait évidemment allusion au soir où elle m'a surpris, derrière les bosquets, quand j'observais Clémentine s'exhiber. Rire.
Clémentine lui fait : < Oui ! Moi aussi j'ai mon branleur ! >. Nous ne cessons plus de rire. < Quel chance ! > lui répond Juliette.
La soirée se déroule ainsi, dans les révélations, la joie et la bonne humeur. Il est vingt trois heures lorsque Juliette nous laisse...

< A vendredi soir alors ? Vous venez pour 20 h, je vous organise tout "ça". La mise en scène ! > nous fait plusieurs fois Juliette.
Clémentine mime une masturbation masculine en répondant : < Nous serons là à l'heure ! >. Juliette éclate d'un rire sonore. Joie.
Quelle n'est pas ma surprise de voir cette belle et élégante jeune femme entrain d'imiter Clémentine. Mimant une vraie branlette.
Je n'en crois pas mes yeux. Faisant preuve d'une incroyable vulgarité, Juliette cambrée sur ses jambes, mime une masturbation.
Elle le fait plusieurs fois. Nous la raccompagnons jusqu'au jardin où elle a garé sa voiture devant le garage. La soirée se termine.

Assise au volant, portière ouverte, en mimant une masturbation masculine, Juliette nous fait : < A vendredi soir alors ! >. Rire.
Une fois seuls, Clémentine se serre contre moi en me disant : < Elle fait partie du "Club", pas de doute ! On ne sait pas tout ! >.
< Une belle salope, c'est certain ! Je sens qu'on va vers de drôles de surprises ! > rajoute encore ma compagne très excitée...
Elle m'entraîne au salon. Je lui propose un léchage de minou. < Oh oui ! > s'écrie t-elle en relevant sa jupe. Je suis à genoux.
Clémentine est vautrée dans le canapé, cuisses largement écartées. Je suis à genoux sur le coussin de velours carmin. Surprise.

Je découvre à quel point cette soirée et les sujets de discussion ont excité Clémentine. Elle est mouillée. Du jus de fille qui suinte.
Je fouille les plis er replis des lèvres de son sexe. Il y a des épanchements de cyprine en grande quantité. Elle gémit de bonheur.
Nous restons ainsi un long moment. Il faut éviter l'orgasme. Nous montons à toute vitesse. Les toilettes et nous nous couchons.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Comme nous aimons à le faire, nous restons parfaitement immobiles. Bien.
Clémentine me confesse quantité de cochonneries. Elle se réjouit comme une folle pour vendredi soir. Nous nous mettons à baiser...

Bonne soirée de découverte avec votre invitée à toutes et à tous. Surtout si elle évoque une sexualité déviante et débridée.

Julien - (Témoin une fois de plus, en bandant, de quelques stratégies dont sont capables les filles, quel que soit leur âge) -

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Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 181 -



Nous mettons à profit ce climat détestable pour nous occuper de nos projets

Hier matin, jeudi, c'est la symphonie No 104, en Ré Majeur de Joseph Haydn qui nous tire de notre sommeil. Langoureuse.
< Mais tu vas la fermer ta gueule Joseph ! > s'écrie Clémentine, tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus.
Nous nous faisons de rapides papouilles. Clémentine m'entraîne par la main. Les toilettes. Nous descendons à toute vitesse.
A la cuisine, nous préparons notre petit déjeuner. Dehors il fait encore nuit. Le sol est humide et les feuilles luisantes. Pluie.
Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le bilan de la soirée avec Juliette. Excellente impression. C'est une coquine...

Une rapide vaisselle et nous remontons pour nous entraîner. La gymnastique matinale qui remplace un peu notre jogging.
La douche. Il est déjà 7 h45. Je descends au jardin pour sortir la petite auto de Clémentine. La fille me fait plein de bisous.
Je la regarde partir jusqu'en haut du chemin. Un dernier coucou de la main et la voiture disparaît derrière les grands arbres.
Je rentre pour faire la chambre et filer dans mon atelier. Il y a du travail qui m'y attend. Le jour se lève enfin franchement.
Mon atelier est orienté Nord et Est. Deux fenêtres. Ainsi la luminosité reste presque la même toute la journée. C'est mieux.

A midi, je prépare une potée de légumes du jardin qu'il me suffira de réchauffer ce soir. Estelle viendra passer la soirée.
Clémentine rentre pour 17 h. Dehors, il y a des séquences pluvieuses, des giboulées de mars en plein septembre. Moche.
Assise sur mes genoux, dégustant l'infusion que j'ai préparé, ma compagne me raconte sa journée. Anecdotes amusantes.
Tout à l'heure nous irons au bourg voisin afin de récupérer les jardinières de terre cuite que nous avons acheté dimanche.
Je nettoie mes pinceaux et ma palette. J'ai encore bien bossé aujourd'hui. Ma première œuvre de commande prend forme.

Nous n'irons pas courir en cette fin d'après-midi. Avec cette météo déplorable, l'envie n'est à pas à l'enthousiasme. Dingue.
Je laisse Clémentine s'affairer à ses cours, assise à la grande table de travail. Je vais à la cave pour contrôler la chaudière.
Parce que si cette météo persiste, il va falloir allumer le chauffage. Tout semble parfait et fonctionnel. Je vide la machine.
Il faut suspendre le linge dans la buanderie. Il sèche moins vite et, surtout, il n'offre pas la bonne odeur du grand air. Mal.
Je remonte pour rejoindre Clémentine qui me montre le sujet de ses cours de l'après-midi. Interdit d'en révéler la nature.

Clémentine me propose d'aller récupérer les jardinières avec sa voiture. Il suffit d'emmener une bâche. De rabattre le siège.
Je sors pour préparer le tout. Heureusement il a cessé de pleuvoir. Je peux réaliser tout ça à l'abri de la flotte. C'est mieux.
Je rentre me laver les mains et me changer. Il est dix huit heures. Nous voilà sur la petite route qui passe devant le haras.
En passant nous remarquons le grand nombre de remorques pour trimbaler des chevaux qui sont garées dans la cour. Bien.
< Les "affaires" reprennent ! C'est un bon business ! > me fait Clémentine en évoquant l'entreprise de Juliette. Tout marche.

Tout en roulant, Clémentine joue avec ma bite qu'elle a sorti de ma braguette avant que je ne bande. C'est plus facile. Joie.
Nous arrivons au bourg. Je prends la petite route qui nous mène à la propriété des gens chez qui nous nous rendons. Bien.
Nous arrivons à l'heure. Le monsieur est chaussé de bottes en caoutchouc, d'un gros tablier bleu de chauffe. Une casquette.
Le portail est ouvert. Nous nous saluons. Les jardinières sont empilées sous l'auvent du garage. Il y en a bien une trentaine.
Je me place en marche arrière. J'ouvre le hayon arrière. Clémentine et moi, nous mettons nos épais gants de protection.

Nous voilà à ranger consciencieusement chacune d'entre elles dans le coffre. Elles mesurent 8O cm de long, 20 cm de large.
D'une hauteur de 25 cm chacune, leur structure très bien pensée permet de les empiler avec stabilité sans courir de risque.
La voiture est chargée. Le poids est conséquent. Nous remercions le monsieur. Nous voilà sur la route du retour. Déserte.
Nous sommes de retour pour 19 h. Je gare la voiture. Estelle est déjà là. Elle se précipite pour nous faire plein de bisous.
Estelle est arrivée vers 18 h30 et a commencé à s'occuper du repas. Nous rangeons les jardinières dans le fond du garage...

Il ne pleut plus depuis une bonne heure. Il y a même de timides apparitions du soleil dans de grands coins de ciel bleu.
Ces apparitions du soleil font un bien fou au moral. < J'en suis à regretter les canicules de l'été ! > me fait Clémentine.
Dans la cuisine, l'odeur de la potée achève d'ouvrir nos appétits d'ogres. Je remercie Estelle pour sa prestation culinaire.
Même la table est déjà prête. Nous n'avons plus qu'à nous laver les mains et à nous asseoir. Salade verte. Sauce blanche.
Les filles bavardent. Bien évidemment elles évoquent leurs cours. Un nouveau professeur semble beaucoup les amuser...

Clémentine raconte notre soirée "Juliette". Ma compagne révèle notre visite au haras prévue pour vendredi en soirée.
Estelle écoute avec la même concentration qu'elle manifeste pour ses études. < Wouah ! J'aimerais bien venir ! > dit elle.
< On prépare le terrain ! On te raconte samedi ! > lui fait Clémentine qui raconte la teneur de nos conversations mercredi.
< Décidément, c'est le "Club" des vicelards ce haras ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance détendue.
C'est vrai que nous nous réjouissons. A la fois pour découvrir la stratégie mise au point par Juliette, et la "situation Gérard".

Monsieur Gérard, le vieux palefrenier vicieux, va encore pouvoir se donner quelques émotions au fond de ses écuries. Vice.
Clémentine me prend la main pour me dire : < On va s'éclater comme rarement ! >. Nous rions de bon cœur. C'est super.
Estelle se lève. Elle se propose pour faire la plonge, comme à chaque fois. Debout, elle mime une masturbation masculine.
Comme elle le fait de plus en plus souvent, elle y met toute la vulgarité possible. < Vous me raconterez ! > nous fait elle.
< Promis ! > fait Clémentine. Je rajoute : < Et on te racontera dans le moindre détail ! >. Estelle vient me faire une bise...

Nous faisons la vaisselle. A quelques reprises, je vais derrière Estelle qui lave la vaisselle. Je lui pose la main sur la nuque.
Clémentine et moi nous essuyons. Je tiens fermement la nuque de la jeune fille pour lui chuchoter : < Petite salope ! >.
< Petite ? Tu es sûr ? > me demande t-elle sans cesser de laver. Clémentine répond : < Quand même 1,79 m de vice ! >
Nous rions tous les trois de bon cœur. Nous retournons dans l'atelier. Les filles ont du boulot. Révisions des cours. Etudes.
Je me remets à ma peinture. Cette situation studieuse me permet d'avancer très vite dans mon travail. Tant mieux. Bien.

Il y a de longues séquences de silence. Seul les bruits diffus de nos activités résonnent dans la grande pièce. C'est super.
Estelle adore l'ambiance de mon atelier. Bientôt je ferais des flambées dans la cheminée. Clémentine y est au "paradis".
Estelle passe derrière moi. Elle a sa tête par dessus mon épaule. Je sens son souffle chaud. Elle observe avec concentration.
< C'est beau ! J'aimerais bien savoir peindre comme toi ! > me fait elle. < Il donne des cours privés ! > lui fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Estelle rajoute : < Je connais déjà bien ton pinceau préféré ! > passant sa main sous ma blouse.

< Hé ! C'est mon peintre à moi ! > fait Clémentine qui nous regarde depuis la table. Estelle se met à quatre pattes. Rires.
A quatre pattes, devant moi, la tête sous le chevalet, Estelle me fait un sourire espiègle. Un clin d'œil. Un geste branleur.
J'ouvre ma braguette. Je soulève ma blouse en lin épais de couleur sépia. Estelle se contorsionne pour ne rien heurter...
Je sors ma bite. Clémentine se lève pour venir nous rejoindre. J'ai posé ma palette et mes pinceaux sur la petite table.
Estelle se rapproche encore. Je bande mou. Ma bite molle pend de mon pantalon. Clémentine est accroupit à ma droite.

Estelle se redresse rapidement en faisant très attention. Elle revient se mettre à genoux entre moi et mon chevalet. Joie.
Une main posée sur chacune de mes cuisses, Estelle renifle longuement ma bite. Clémentine se redresse et m'embrasse.
Depuis quelques temps Clémentine m'impose de garder mon gland dans son "élément". Je n'ai pas le droit de le nettoyer.
Comme je ne décalotte plus ma queue, il s'y trouve des fermentations fromagères pas très ragoutantes. Odeurs de frome.
Clémentine se saisit de la base de mon sexe entre le pouce et l'index de la main droite. De la gauche elle me décalotte...

Immédiatement la puanteur qui rappelle un peu le thon mayonnaise, nous monte aux narines. Estelle fait une grimace.
La jeune fille a même un sursaut d'écœurement qui la repousse. < Beurk ! > fait elle tout en faisant une horrible grimace.
< Appétissant, non ? > dit Clémentine en agitant doucement ma queue devant le visage d'Estelle qui a rapproché la tête.
La jeune fille renifle longuement. Elle me dit : < C'est dégueu ! >. Nous rions de bon cœur. < Goûte ! > fait Clémentine.
Estelle, malgré l'odeur assez fétide et repoussante, ne se fait pas prier. Elle passe sa langue bien sous la peau. Le gland.

Estelle nous montre l'intérieur de sa bouche. Les miasmes grumeleux qui étaient sur mon gland sont sur sa langue. Frome.
Clémentine approche son visage pour bien scruter. < Alors ? c'est comment ? > demande ma compagne à la jeune fille.
< Miam ! > répond cette dernière avant de s'engouffrer ma bite en poussant un râle d'écœurement assumé. Petite salope.
Estelle suce comme si sa vie en dépendait. Clémentine m'embrasse en se touchant. Sa main dans son jean déboutonné...
Je subis l'indicible caresse assis sur ma chaise. Ce qui n'est pas très confortable. Estelle cesse et me fait : < Nettoyée ! >

Tout en me disant cela, Estelle me montre ma queue décalottée, le gland luisant avec du liquide séminal qui en dégouline.
La jeune fille me montre l'intérieur de sa bouche. C'est gluant, visqueux et laiteux. Clémentine regarde bien également.
La situation perdure un long moment. Il est 22 h. Je propose à Estelle de mettre son vélo dans le coffre et de la ramener.
Ma suggestion rassure la jeune fille qui n'a pas à affronter la pluie éventuelle et le froid certain. Nous cessons. Je remballe.
< Tu as de la chance Clémentine, le contenu du paquet sera pour toi ! > fait Estelle à ma compagne. Nous éclatons de rire.

Nous ramenons Estelle. Je lui propose de me faire un texto avant de venir et de ne plus venir à bicyclette. Surtout la nuit.
La suggestion est favorablement reçue. Il faut simplement qu'Estelle s'organise. Nous la laissons. Il est 22 h30. La pluie.
Au retour, Clémentine m'entraîne à l'étage, dans la chambre. Elle me bascule sur le lit. Me descend le pantalon et le slip.
Comme assoiffée, gourmande, Clémentine se met à me sucer comme si sa vie en dépendait. La jute est conséquente. Jus.
Je propose à ma compagne de baiser un peu. Toilettes. Retour au lit. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.

Bonne soirée automnale à savourer une bonne bite au fromage à toutes les jeunes gourmandes qui raffolent de "parfums".

Julien - (Qui garde soigneusement les sécrétions fromagères autour se son gland, sous les plis fripés de son prépuce) -

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Comme nous l'avions prévu, nous passons la soirée chez Juliette, au haras

Hier matin, vendredi, c'est la symphonie No 4 en Sol Majeur de Gustav Mahler qui nous tire du sommeil. Il est six heures.
< Ta gueule Gustav ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus. Quelques bisous.
Quelques rapides papouilles et Clémentine m'entraîne par la main. Toilettes. Puis nous descendons à toute vitesse. Cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner dans la bonne humeur mais avec la tête dans le sac. Dehors il fait encore nuit noire.
Nous mangeons en faisant le bilan de la semaine de rentrée et en élaborant le programme de cette journée à venir. Bien.

Après la vaisselle nous remontons pour notre heure d'entraînement. La chose la plus difficile doit être faite en premier. Joie.
La douche. Il est 7 h45. Je descends au jardin pour sortir la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint. Toute contente. Bises.
Je la regarde partir et disparaître en haut du chemin. Je monte faire la chambre et je file à l'atelier. C'est la dernière journée.
Aujourd'hui, je termine ma première œuvre de commande pour commencer la seconde. Je déteste les commandes. Chiant...
A midi, je prépare un gratin de courgettes farcies qu'il suffira de réchauffer pour le repas du soir. Accompagnées de nouilles.

Clémentine rentre pour 12 h15. Elle se précipite dans mes bras en s'écriant : < C'est week-end ! >. Elle est toute contente.
Ma compagne m'aide à terminer les préparations. Elle s'occupe des salades, carottes et scarole en me racontant sa matinée.
Le bilan de cette première semaine de cours est plutôt concluant. Tout le trimestre s'annonce très sympathique et studieux.
Nous mangeons d'un bon appétit. Dehors il fait beau. Le soleil brille depuis ce matin. Il fait même très agréable. Enfin l'été.
Clémentine me propose une virée à bicyclette pour profiter de cette météo clémente. La suggestion est favorable. Superbe.

Nous faisons la vaisselle. Toutefois, prudents, dans le petit sac à dos, nous emmenons nos leggings et nos sweat-shirts. Bien.
Je contrôle la pression des pneus de nos vélos. Je rétabli la bonne pression. 4,5 bars devant et derrière. Nous voilà en route.
Clémentine porte une de ses jupettes "tennis", un T-shirt et ses baskets. Je suis en short, en T-shirt et en baskets. Douceur.
Nous croisons quantité de cyclistes qui, comme nous, profitent de cette journée ensoleillée. Curieuse fin d'été. C'est sympa.
Il faut toutefois pédaler assez rapidement parce que le climat est quand même "limite". Nous nous réchauffons très vite. Joie.

Nous arrivons au petit port de plaisance. 25 km dans un sens. 25 km dans l'autre. C'est toujours une agréable virée bicyclette.
Notre récompense, une fois les vélos attachés derrière la capitainerie, c'est de nous offrir deux bons cônes glacés à la supérette.
Il y a de l'animation. Beaucoup de plaisanciers commencent à recouvrir leurs bateaux de grandes bâches ou font le rangement.
Il y a une ambiance de fin de saison. Il est 15 h45. Une certaine fraîcheur va nous imposer de nous vêtir chaudement. Retour.
Clémentine m'entraîne près des sanitaires du port. Personne. Nous passons derrière. Le parking du port. Nous rôdons un peu.

Il faut se faire une raison. Aucune opportunité ne semble se présenter. Ma compagne, légèrement frustrée m'entraîne aux vélos.
Soudain, là-bas, il y a un jeune type qui tire un chariot en se dirigeant vers une fourgonnette. < Attends là ! > fait Clémentine.
Je reste dissimulé entre la haie de laurier et l'angle du mur des sanitaires. La jeune fille contourne lentement les voitures garées.
Elle a pris le petit sac à dos. Le jeune type s'affaire. Il range des cartons à l'arrière de la camionnette. Il remarque la jeune fille.
Il n'y fait pas plus attention que ça, soucieux de ranger les colis. Clémentine est accroupit entre deux voitures. Je ne vois pas...

Je m'avance discrètement jusqu'au bout de la haie. Entre les branchages, je distingue la jeune fille de dos, cuisses écartées.
Elle fouille dans le petit sac à dos posé au sol entre ses cuisses. Le jeune type regarde à plusieurs reprises. Superbe spectacle.
Les cheveux dissimulant son visage, portant ses larges lunettes noires, Clémentine préserve son anonymat en vivant son vice.
J'entends battre mon cœur. Je me demande toujours qui est le plus excité. L'inconnu qui découvre l'attitude de la fille ou moi ?
Le jeune gars doit être pressé, en plein boulot. Sans doute un livreur qui a des colis à transporter. Il regarde tout en s'affairant.

Clémentine, qui manifeste son envie de faire pipi depuis l'arrivée au port, concentrée, se lâche en écartant le sac à dos. Pisse.
Elle me tourne le dos. Je ne vois pas bien. Je sais pourtant, en la voyant cambrée, que le jet vient se briser loin devant elle.
Le jeune type, toute activité cessante, se tenant aux portières de son véhicule, découvre la scène comme halluciné. Grandiose.
Il est à une vingtaine de mètres de la fille. Je n'entends pas ce qu'il lui dit en levant le pouce de sa main droite. Félicitations !
Il monte dans sa camionnette, démarre et sort doucement du parking sans lâcher la jeune fille de son regard amusé. Super...

Clémentine vient me rejoindre. Toute contente d'avoir pu s'offrir une "frayeur". Nous rions de bon cœur en nous changeant.
Nous sommes à nous vêtir de nos leggings et de nos sweat-shirt derrière la haie. Nous prenons le chemin du retour. Soleil.
Il est 18 H15 lorsque nous arrivons à la maison. La fraîcheur de cette fin d'après-midi est beaucoup plus marquée. Automne.
Morts de faim, nous préparons notre repas du soir. Nous montons nous changer pendant que le gratin de courgettes chauffe.
Nous redescendons. Clémentine porte un jean, une chemise à carreaux comme Estelle. Je le lui fais remarquer. Mimétisme.

Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons la soirée chez Juliette. Nous sommes excités à l'idée de ce qui nous attend.
Par prudence, ma compagne préfère porter un jean. Elle sait qu'elle va se retrouver seule en présence du palefrenier. Vice.
Nous faisons la vaisselle. Nous allons découvrir le message d'Estelle sur l'ordinateur. Nous répondons à son petit mot. Joie.
Estelle nous souhaite une excellente soirée bien vicelarde et riche en excitations diverses. Elle vient demain samedi à 18 h.
Il est 19 h45. Nous voilà en route pour nous rendre au haras. Clémentine est fébrile et déjà toute excitée. Elle est belle...

Ce soir, elle porte ses lunettes cerclées de montures noires. Ses cheveux attachés en une longue natte. Et très "étudiante".
Nous arrivons à l'heure. Il y a un attroupement autour d'une remorque. Un propriétaire est entrain de ramener son cheval.
Madame Walter nous fait un coucou de la main. Nous restons un petit moment à l'écart pour observer la scène de plus loin.
Monsieur Gérard, le palefrenier, tient l'animal par sa longe pour le faire descendre lentement. Le cheval marche en arrière.
Juliette nous voit et nous fait un coucou à son tour. Nous avançons pour rejoindre et saluer le groupe de quatre personnes.

Le cheval va passer la mauvaise saison ici, dans cette belle pension pour chevaux. Tout est réglé. Le propriétaire s'en va.
Juliette nous invite à monter dans ses appartements. < Ouf ! La journée est finie, ça n'arrête plus ! > nous apprend t-elle.
Avec cette météo, nombreux sont les propriétaires à ramener leurs chevaux. Nous sommes assis dans le canapé. Tisanes.
Juliette nous expose le "plan", raison de notre présence de ce soir. Nous écoutons avec ravissement la stratégie proposée.
Nous sommes également étonnés en découvrant la finesse des situations que nous explique la jeune femme. Bien vicelarde.

Juliette nous invite à descendre pour aller aux écuries. Nous traversons la cour. Beaucoup de box sont déjà occupés. Bêtes.
< Je vais enfin voir mon "branleur" dans une situation ! > nous fait Juliette. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance !
Il est entendu que Clémentine ira à la découverte des lieux toute seule. Juliette et moi nous serons dissimulés dans un box.
Je regarde Clémentine qui s'éloigne en marchant doucement, les bras croisés, en longeant les box. S'arrêtant plusieurs fois.
Juliette m'entraîne dans le dernier box. Celui qui est immédiatement à côté du petit bureau de monsieur Gérard. Je connais.

Estelle nous a emmené ici à notre retour d'Ecosse pour nous faire découvrir l'endroit où elle venait mâter le palefrenier. Joie.
Ainsi, Juliette fréquente le même endroit pour se livrer à la même "activité". Nous restons silencieux. Nous chuchotons. Bien.
Il y a le volet du box qui est tiré. Entre les planches nous avons une vue parfaite sur l'ensemble du couloir qui longe les box.
Nous distinguons Clémentine qui fait des allées et venues en s'arrêtant pour admirer les chevaux qui la regardent également.
Juliette est vêtue d'une culotte d'équitation, de bottes et d'une veste noire cintrée sur un chemisier blanc. Elle est magnifique.

Clémentine fini par attirer l'attention de monsieur Gérard qui revient dans les écuries. Il porte deux vieux seaux métalliques.
Il aperçoit la jeune fille toute seule. Elle caresse la tête d'un cheval qui semble en apprécier la douceur. Le type s'approche.
De notre cachette, Juliette et moi, retenant notre souffle, nous entendons distinctement les propos qui s'échangent. Voyeurs.
< C'est excitant ! > fait Juliette dans un chuchotement à peine audible. Monsieur Gérard ouvre le box. Le cheval le regarde.
< Il apporte de l'avoine aux nouveaux chevaux. C'est une friandise ! > me chuchote Juliette. Nous observons avec attention.

< Viens voir ! > fait monsieur Gérard à Clémentine en la tutoyant pour la première fois. Clémentine reste à l'extérieur du box.
Les bras croisés, la jeune fille observe le palefrenier vider un des seaux dans la mangeoire du cheval. < Regarde ! > lance t-il.
< Tu as déjà vu la bite d'un cheval de près ? > demande le palefrenier à Clémentine. < Tu veux le voir bander ? > fait il encore.
Nous restons le souffle coupé. < Quel salaud ! Avec une jeune fille en plus ! > chuchote Juliette. Clémentine se penche en avant.
< Je cherche une branleuse de chevaux pour les inséminations ! > rajoute encore le vieux salace. < Sérieux ! > fait il encore !

Je connais bien les réflexes et les attitudes de Clémentine. En général, elle n'a pas froid aux yeux. Je la vois très embarrassée.
La jeune fille tout en étant penchée en avant pour observer le sexe de l'animal, reste à bonne distance. Prudente. Elle anticipe.
< Quel vicelard ! > chuchote Juliette. Monsieur Gérard sort du box. Il s'empare du second seau. < Viens ! > fait il à Clémentine.
La jeune fille suit le palefrenier au second box. < Celui là aussi il est arrivé aujourd'hui ! Il a une belle bite ! > fait le vicelard.
Clémentine s'approche. Comme la fois précédente, penchée en avant, elle observe ce que lui montre le palefrenier. Silencieuse.

< Une fille comme toi, ça aime la bite, non ? > fait monsieur Gérard en sortant avec le seau vide qu'il pose au sol. Il ferme le box.
Le type se touche la braguette en se palpant le sexe tout en expliquant à la jeune fille que les chevaux sont sécurisés par la bouffe.
< C'est incroyable ! > chuchote Juliette. Je bande comme un salaud. Monsieur Gérard, tout en bavardant, ouvre sa braguette.
Clémentine s'écarte. Le type sort sa bite. Elle est toute petite. Nous l'avons déjà vu plusieurs fois. < Salaud ! > murmure Juliette.
Le palefrenier vise le seau et se met à pisser tout en discutant. Clémentine regarde, comme hallucinée. C'est vraiment surréaliste.

Le palefrenier secoue bien sa bite pour en faire tomber les dernières gouttes. < Ta copine aimait voir ça ! > fait il. Evoquant Estelle.
Il continue : < Elle venait souvent faire du cheval. Au retour c'était son petit cadeau ! >. Il agite sa bite en direction de Clémentine.
< Et toi, tu apprécies aussi ? > demande monsieur Gérard. Clémentine reste silencieuse. Je la devine dans un embarras total. Sûr.
Juliette me pousse du coude et me chuchote : < On ne s'attendait pas à ça ! >. Le type est là, avec sa petite bite entre les doigts.
< Viens, je te fais visiter. Tu connais pas mon bureau ! > fait il à la jeune fille qui hésite à le suivre. Clémentine reste immobile...

< Allez viens, je ne vais pas te manger ! > rajoute t-il en s'approchant pour saisir le bras de la jeune fille qui se dérobe. Embarras.
Clémentine se met à suivre le type qui entre dans le bureau. Nous sommes juste à côté. Juliette met son index sur ses lèvres. Chut.
Accroupie près de la cloison, Juliette me fait signe de la rejoindre. Elle me montre le trou parfaitement rond dans la cloison. Tuyau.
Je m'approche. Nous entendons monsieur Gérard inviter Clémentine à s'asseoir sur la chaise devant la table. Il se tient la queue.
Clémentine montre le trou dans les planches et parle pour la première fois. < C'est quoi ? > demande t-elle en pointant son doigt.

< Je passe ma bite par là, lorsqu'il y a des jeunes filles comme toi dans le box à côté. Et ça les surprend ! > fait le vicelard. Silence.
< Tu veux voir l'effet que ça fait ? > rajoute le drôle. Clémentine sait que Juliette et moi, nous sommes à coté. Elle décline l'invite.
< Mais quel salaud ! Je ne regarderais plus jamais ce type de la même façon ! > me chuchote Juliette à l'oreille. Je regarde. Dingue.
< Tu as déjà vu un mec se branler ? > demande le palefrenier. Clémentine se contente de secouer la tête de haut en bas. Silence.
< Tu aimerais, là, maintenant ? > fait encore le salopard. Clémentine, assise sur la chaise, reste silencieuse. Le palefrenier debout.

Sa bite est petite. Il descend son pantalon et son slip. Il agite son sexe devant la jeune fille qui ne manifeste aucune expression.
Le palefrenier tient son sexe entre le pouce et l'index de sa main droite. Nous le voyons à peine. Il se tient les couilles de l'autre.
< Tu as déjà taillé une pipe ? > rajoute encore le salaud. Clémentine reste silencieuse. Les yeux fixes derrière ses lunettes. Rien.
< Tu aimerais goûter du vieux vicieux ? > demande monsieur Gérard qui reste d'un calme étonnant. Comme si tout était normal.
Le palefrenier se penche en avant pour dire : < Moi j'aimerais beaucoup que tu me tailles une pipe ! Tu ne veux pas !>. Silence.

La situation doit être torride pour Clémentine. Même si elle adore se retrouver dans des "plans" vicelards, là, s'en est de trop. Sûr.
La jeune fille se lève précipitamment. < J'ai dit une connerie ? > fait monsieur Gérard qui semble soudain inquiet. Il s'approche.
Clémentine se précipite vers la porte. Monsieur Gérard la suit et lui dit : < Tu m'excuses, hein, je ne suis qu'un mec ! >. Silence.
Clémentine fait simplement : < Bonsoir monsieur ! >. Elle tourne les talons et s'éloigne rapidement. Nous observons, souffle court.
Monsieur Gérard sort de son bureau, ferme la porte derrière lui et quitte les écuries par la porte arrière. Nous quittons la cachette.

Clémentine nous attend dans la cour. Juliette et moi nous la rejoignons rapidement. Ma compagne me prend le bras. Secouée.
Clémentine me fait : < J'étais morte de peur. Heureusement que je te savais à côté ! >. Juliette et moi, nous rions de bon cœur.
Nous remontons à l'appartement de Juliette. Nous échangeons nos ressentis. Nous venons de vivre là, une situation hyper rare.
Clémentine reste contre moi. Comme pour être rassurée. Parfois, en évoquant son aventure, elle a des frissons. Je la tiens fort.
Il est vingt deux heures trente. Juliette nous invite à manger mercredi prochain, en soirée. < Nous en reparlerons ! > fait elle...

Dans la voiture, Clémentine m'avoue avoir vécu une situation assez déstabilisatrice. Même pour elle. C'est la toute première fois.
< Et sa bite sent fort ! Estelle avait raison lorsqu'elle disait que ça rappelle l'odeur des chevaux ! > me confie ma compagne. Rire.
Nous arrivons à la maison. Je suis aux toilettes. Clémentine vient me rejoindre. Accroupie, elle se saisit de ma bite. Je pisse fort.
Je cesse. Clémentine s'engouffre ma queue dans la bouche pour me la sucer. elle pousse de curieux gémissements. Assoiffée. Fou.
La jeune fille m'a rarement pompé de cette façon. Nul doute, son excitation est démultipliée par ce qu'elle vient de vivre. Ecuries.

Bonne visite de vos écuries préférés à toutes les jeunes vicieuses qui aiment se retrouver en compagnie de vicelards. Exhibes...

Julien - (Qui vient de vivre une situation rare, étonnante et terriblement excitante. Un partage émouvant avec Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 183 -



Nous nous apprêtons à passer un week-end de relâchement des mœurs

Hier matin, samedi, nous nous étirons ensemble et longuement. Nous venons de nous réveiller probablement en même temps.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine. < Bonjour Clémentine ! >que je lui fais. Nous sommes entrain de nous offrir des bisous.
Quelques papouilles pleines de douceur et de tendresse. Il est 7 h45. L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Je la tiens bien au-dessus de la cuvette où elle se lâche dans un long jet.
Je m'accroupi pour lécher la dernière goutte. Je hume les effluves parfumées de sa nuit de fille. Clémentine gémit de bonheur.

Puis, accroupie à ma droite, la jeune fille me tient la bite pour en diriger le jet. Elle en récupère les derniers reliquats. Pipe.
Je la laisse se régaler quelques instants avant de la forcer à se redresser au risque d'y passer une bonne partie de la matinée.
Nous descendons à toute vitesse à la cuisine. Morts de faim, nous y préparons notre petit déjeuner. Dehors il fait beau. Soleil.
Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Confiote, miel, le beurre.
Nous mangeons de très bon appétit. Ce ciel immensément bleu, la lumière du soleil, tout cela participe d'un optimisme joyeux.

Tout en terminant son yaourt, Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Nous faisons le bilan de cette première semaine.
Clémentine est toute contente de savourer ce premier week-end du trimestre. Sa main dans mon slip elle m'en fait part. Joie.
Tout en jouant avec mon sexe, la jeune fille évoque la soirée de vendredi, au haras, en compagnie de Juliette. Avec passion.
< C'était génial ! Surtout maintenant que j'y repense ! > me confie ma compagne. J'ai ma main dans sa culotte. C'est chaud.
Nous rions de bon cœur à l'évocation du palefrenier, ce vieux vicelard de monsieur Gérard. < A refaire ! > me fait Clémentine.

Nous faisons notre vaisselle. Nous remontons nous mettre en tenues. C'est notre jogging qui nous attend. Il fait très agréable.
Nous voilà à courir le long de notre circuit habituel pour un running d'une heure trente. Il est 10 h lorsque nous revenons.
La douche. Nous redescendons pour allumer l'ordi. Clémentine porte sa jupe carmin, évasée au-dessus du genoux. Pull fin.
Ses souliers noirs, fermés et à légers talons. Je suis en pantalon de lin clair, chemise claire et mocassins. Assis devant l'ordi.
Un message d'Estelle qui nous informe qu'elle viendra nous rejoindre vers 18 h. Le mail de Juliette qui nous invite mercredi.

Nous répondons rapidement. Nous voilà dans la voiture pour nous rendre au marché du bourg voisin. C'est une matinée d'été.
Clémentine joue avec ma bite pendant que je roule avec précaution. Ma compagne n'arrête pas d'évoquer Gérard le vicelard.
< Gérard le vicelard ! C'est comme ça que je vais l'appeler ! > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus à l'idée.
Sur la demande de Clémentine, je garde la tirette de ma braguette discrètement descendue. Nous déambulons dans les allées.
Il y a du monde. Beaucoup de gens font comme nous. Profiter de cette agréable matinée ensoleillée et chaude. C'est superbe.

Nous faisons provisions de nos fromages préférés. Roquefort, Bleu d'Auvergne. Morbier. Et toujours chez les mêmes artisans.
Nous traînons un peu avant de partir pour la zone commerciale de la ville voisine. Je gare la voiture sur la parking. Du monde.
Il n'y a presque pas de place. Il y a un monde fou. Je pousse le caddie. Clémentine me fait remarquer qu'il n'y a pas de "plan".
En effet, il serait d'une extrême difficulté de s'offrir un "plan" exhibe avec tout ce monde. Ce sont les courses de la rentrée...
Il faudra donc se faire une raison. Ma compagne, un peu frustrée, me fait : < J'ai une méchante envie de faire ma salope ! >.

Nous rions de bon cœur sur ce constat un peu décevant. Je lui glisse à l'oreille : < Si tu veux on s'en fait un cet après-midi ! >
Clémentine me fait un sourire et me répond : < Oui, bonne idée, je vais nous trouver un "plan" ! >. Je lui fais confiance. Joie.
Nous sommes de retour pour 12 h45. Nous rangeons nos courses. Nous prenons notre temps. Pas de précipitation. Week-end.
Je fais bouillir de l'eau pour les spaghettis. Clémentine s'occupe de la dernière laitue du potager et des carottes. Les salades.
J'émince de l'ail et de l'oignon. Je coupe des champignons et les dernières tomates du potager en rondelles. Nous bavardons.

< Regarde ! Viens voir ! > me fait ma compagne dans la véranda, debout devant une des grandes baies vitrées. Je la rejoins.
Clémentine me montre l'accumulation des gros nuages menaçants qui s'amoncellent tout prêts. < Oh non ! > fait la jeune fille.
< Put-Hein, mais ça ne va pas recommencer ce temps pourri ! > s'écrie Clémentine en se serrant contre moi. Je la tiens fort.
Nous retournons à la cuisine. Je prépare la sauce. Les spaghettis gratinent au four recouvert de parmesan râpé. Odeurs. Bien.
Clémentine me fait :< Ce sont les journées du patrimoine, ce week-end, on peut se faire un musée cet après-midi ! >. Table.

Nous mangeons de bon appétit. Les spaghettis gratinés accompagnés d'une sauce aux champignons sont une vraie délicatesse.
Nous savourons ce repas avec tout le plaisir qu'il mérite. < J'ai envie d'un "plan". Je suis excitée par hier ! > fait Clémentine.
Nous étudions la possibilité de visiter un musée de la ville. Le musée des Beaux-Arts est toujours un excellent lieu d'occases.
Nous faisons notre vaisselle. Il se met à pleuvoir. Tout l'enthousiasme de la matinée disparaît avec la pluie sous un ciel sinistre.
C'est rageant. Ce mois de septembre ressemble à un mois de mars. Il est 14 h15. Sous notre parapluie géant dans le jardin...

Nous décidons d'annuler notre périple culturel. Tant pis pour les journées du patrimoine. Nous resterons à la maison. Bien aussi.
Nous rentrons nous mettre à l'abri des rafales de vent qui nous ont rapidement trempé. C'est détestable. Le téléphone sonne.
Clémentine décroche. C'est Estelle. J'entends Clémentine rire. Je descends à la buanderie pour faire une machine. Le linge sale.
Clémentine vient me rejoindre et me fait : < Je vais chercher Estelle. Avec ce temps, on va bosser un peu ! >. Une bonne idée.
Je propose que nous y allions tous les deux. < Tu es un amour ! > me fait ma compagne en m'embrassant. Affrontons la pluie.

De la maison jusqu'au garage nous sommes déjà mouillés. Nous filons chercher Estelle sous une pluie battante. C'est immonde.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus tout près de chez elle. Elle monte dans la voiture à toute vitesse. Joie. Retrouvailles. Bises.
Le ballet incessant des essuies glace rythme la conversation des deux filles qui parlent évidemment de leurs cours à la faculté.
Nous sommes rapidement de retour. Je prends une grande bâche. Je nous en recouvre. Nous voilà à courir jusqu'à la maison.
Nous rigolons comme des bossus en arrivant à l'intérieur sans êtres trempés. La bâche reste dehors, sous la verrière de la porte.

Il est quinze heures. Estelle a des affaires de change dans son petit sac de sport habituelle. Les filles montent se changer. Jeans.
Je vais à l'atelier. Je prépare de quoi faire une flambée dans la cheminée. La première de la saison. Papier journal et le petit bois.
Clémentine et Estelle redescendent. Elles ne sont pas en jeans. Toutes les deux portent les kilts ramenés d'Ecosse. Chemisiers.
Elles sont sublimes. Deux sœurs jumelles. Toutes les deux sont au milieu de la grande pièce. Elles tournent sur elle-même. Belles.
Je rajoute deux grosses bûches. Rapidement le spectacle est magnifique. Le bruit caractéristique du bois qui brûle. Craquements.

Les filles sont enchantées par mon initiative. Il règne une obscurité sinistre. Cette météo maussade est démoralisante. L'horreur.
Je mets ma blouse de peintre. Après tout, avec tout le travail qui m'attend, c'est l'idéal pour bosser. Les filles sont déjà au boulot.
Toutes les deux assises, à la table de travail, discutent de leurs révisions. Elles organisent l'avancée de leurs travaux. Studieuses.
Je suis assis devant mon chevalet à préparer ma palette. Tubes de couleurs, pinceaux et repose main. C'est rapidement le silence.
Ces ambiances particulières sont en enchantement qui nous fait rapidement oublier les conditions du monde extérieur. C'est bien.

Il est dix sept heures. Je vais à la cuisine pour préparer le thé. Petits gâteaux. Je reviens avec le tout sur un grand plateau. Joie.
Nous prenons le thé toutes affaires cessantes. Tous les trois vautrés dans le vieux canapé de l'atelier. La cheminée crépite. Bien.
Il fait presque trop chaud. Dehors, la pluie a cessé. Le ciel s'est éclaircit. Estelle demande : < Alors, c'était comment au haras ? >
Nous éclatons de rire. Clémentine met sa main devant la bouche avant de répondre : < Si tu savais ! Attends, je te raconte ! >...
Ma compagne relate dans le détail tout ce qui s'est déroulé dans les écuries. Le bureau du palefrenier, Juliette et moi planqués...

< Il m'a fait ce coup là chaque fois que je ramenais le cheval, le soir ! > fait Estelle en rajoutant encore des détails bien salaces.
< Il a pissé dans le seau ? > demande Estelle. < Tu penses bien que ce vieux salaud m'a fait la totale ! > fait Clémentine. Joie.
Nous rions de bon cœur. Estelle se lève, me regarde avec insistance. Elle mime une masturbation masculine. < Et toi ? > dit elle.
Je lui raconte que depuis notre cachette, dans le box voisin, Juliette et moi, nous avons assisté à toute la scène. C'était excitant.
< Tu t'es branlé devant la vieille ? > me demande Estelle. Je réponds : < Juliette n'est pas "vieille", elle a 42 ans ! >. Rigolades...

C'est vrai que pour des jeunes filles de vingt ans, l'âge de 42 ans semble plutôt "canonique". < J'en ai 52 ! > que je lui rappelle !
Nous rigolons comme des bossus lorsque la jeune fille me fait : < Oui, mais tu es un mec et super bien "conservé" ! >. Salope !
Clémentine conclue et dit : < En tous cas, cette situation est autant déstabilisatrice qu'excitante. Je refais dès que possible ! >.
Estelle rajoute : < Et si on allait toutes les deux pour le pousser dans ses derniers retranchements ce vieux saligaud ? >. Rires.
Je dis aux filles : < On peut aller au haras après la bouffe ! >. Silence. Les filles se regardent. < Super ! > s'écrient elles. Joie.

Nous rangeons nos affaires. Il est 18 h. Je propose de nous préparer le repas du soir. Clémentine suggère de prévenir Juliette.
Tout s'organise rapidement avec notre efficacité habituelle. Méthode. Estelle semble assez fébrile à l'idée de se retrouver là-bas.
J'épluche les pommes de terre que je coupe en fines lamelles. Je les fais cuire à l'eau bouillante. Clémentine prépare la salade.
Estelle va de l'un à l'autre. < Super ! > n'arrête t-elle pas de répéter. Clémentine téléphone à Juliette qui est enchantée. Bien.
Les filles montent se changer. Je les entends rire à l'étage. Elles redescendent vêtues de leurs jeans, chemises à carreaux...

Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons la vaisselle. Dehors, il y a de timides apparitions du soleil. Le ciel reste nuageux.
Nous voilà en voiture pour nous rendre au haras. Je me gare dans la cour. Juliette est au balcon et nous fait signe de monter.
Juliette est toute contente de notre initiative. Nous mettons rapidement au point le "plan" de ce soir. Même scénario. Cachés.
Estelle et Clémentine ont du mal à cacher leur impatience. Estelle semble toutefois la plus pressée de se retrouver en situation.
Juliette me fait : < Et nous deux, nous allons nous planquer comme la dernière fois. Mais il y a un cheval dans le box ! >. Rire.

Nous descendons. Le sol est détrempé mais il ne pleut pas. Le ciel reste dégagé. Juliette m'entraîne par le bras. Nous entrons
Nous pénétrons tous deux dans les écuries les premiers. Nous allons directement dans le dernier box. Il y a un cheval. Surpris.
De notre planque, nous regardons Estelle et Clémentine marcher le long du couloir qui longe la dizaine de box de deux côtés.
Les filles rient, parlent fort. Il est question d'attirer l'attention du palefrenier qui vit dans sa caravane derrière les écuries. Bien.
Monsieur Gérard est souvent dans son bureau jusqu'à tard le soir. Surtout lorsque la fraîcheur rend la vie en caravane pénible.

Juliette nous a précisé tout cela depuis longtemps. Gérard reste dans sa caravane chaque année jusqu'à la fin septembre. Froid.
Estelle et Clémentine en rajoutent dans les bavardages, les rires sonores. La pénombre se précise chaque minute un peu plus.
Soudain la lumière des néons illumine les écuries. C'est monsieur Gérard. < Bonsoir les filles ! > fait il enchanté de les voir ici.
Les deux filles saluent le palefrenier. < Vous tombez bien, j'ai encore de l'avoine à donner aux nouveaux arrivants ! > fait il.
Monsieur Gérard est vêtu de son éternel pantalon d'épais velours aux couleurs indéfinissables. Son gros pull sur sa chemise...

Des bottes en caoutchouc achèvent de donner à sa silhouette lourde et trapue cet aspect un peu caricatural de cinéma. Porno.
Il s'empare de deux des seaux préparés dans le fond de l'allée. < Bonsoir monsieur Gérard ! > font les filles en même temps.
< Si je m'attendais à vous voir, ce soir ! Il est pas là Julien ? > lance t-il aux filles en s'avançant dans l'allée, portant les seaux.
Juliette me fait du coude. < Pourvu qu'il ne vienne pas nourrir celui-ci, parce que là, on est mal ! >. Nous restons silencieux.
Le cœur battant, nous suivons les allées et venues du palefrenier qui vident les seaux d'avoine dans les mangeoires des bêtes.

Clémentine qui a certainement une perception aiguë de la situation, attire l'attention de monsieur Gérard pour le distraire. Bien.
Monsieur Gérard a bien évidemment commencé à se toucher la braguette en discutant avec les filles. Calme et très maître de lui.
Clémentine s'est accroupit contre un des montants d'une porte. Elle fixe la main du vieux salace. Monsieur Gérard se tripote fort.
Estelle lui fait du charme. Je l'admire. La jeune fille est dans le registre de la séduction. Juliette me chuchote : < Les salopes ! >
Monsieur Gérard n'est pas fou. Il sait bien que ces deux salopes sont venues pour s'amuser un peu. Il ouvre sa braguette. Sale.

Tout en bavardant avec les deux filles, monsieur Gérard tient sa toute petite bite que nous ne voyons pas entre ses deux doigts.
< C'est ça que vous êtes venues voir toutes les deux ? > demande le palefrenier. Les filles éclatent de rire. Il descend son froc.
Son slip et son pantalon aux genoux, bloqués par ses bottes, le palefrenier se cambre pour présenter son sexe aux deux filles.
Clémentine reste accroupit. Estelle est debout, les bras croisés. < C'est la quelle qui goûte au vieux Gérard ? > demande le gars.
Les filles éclatent de rire une nouvelle fois. Monsieur Gérard place un seau vide devant lui. Sans vergogne, le vieux salaud pisse.

< Je ne m'y ferais jamais ! > me chuchote Juliette. Depuis notre planque, nous assistons à ce spectacle surréaliste, souffle court.
Monsieur Gérard pisse dans le seau d'un jet puissant qui résonne étrangement avec un bruit métallique et dans l'immense salle.
< Vous n'avez pas envie qu'on se fasse un peu plaisir, les filles ? > demande le palefrenier. Il s'adresse à Clémentine accroupit.
Clémentine détourne le visage en faisant une horrible grimace en disant : < Elle fait pas vraiment envie ! >. Estelle éclate de rire.
< Elle pue ! > rajoute Estelle en se penchant en avant pour regarder de plus près. Monsieur Gérard pisse par petits jets précis...

< Vous aimez ça toutes les deux, hein, c'est pour ça que vous êtes venues, pas la peine de mentir ! > fait monsieur Gérard. Rire.
Estelle semble très intéressé par ce qu'elle observe avec une grande attention. Même Clémentine paraît à présent étonnée. Super.
Juliette et moi, nous retenons nos respirations. Que va faire Estelle ? Clémentine s'est mise à genoux à deux mètres du pisseur.
Estelle vient de s'accroupir à un mètre à peine. Monsieur Gérard, très maître de lui, continue de s'épancher par petits jets. Pisse.
Il n'est pas dupe le vieux salaud. Il sait à quel point les filles peuvent s'avérer de redoutables vicelardes. Il ne tente rien. Il attend.

La situation perdure un moment. Monsieur Gérard a lâché ses dernières gouttes. Le silence est total. Un cheval hennit parfois.
Monsieur Gérard regarde ces deux magnifiques salopes qui observent avec leurs visages à hauteur de sa bite minuscule et molle.
Le palefrenier insiste en se rapprochant. Il agite doucement sa petite queue ridicule. Les filles ne bougent absolument pas. Rien.
Clémentine a glissé sa main dans son jean ouvert. Je sais que pour elle ce genre de situation est assez perturbante. Et excitante.
Monsieur Gérard lui fait : < Tu veux pas sucer en te branlant ? >. Clémentine le fixe de son air de défi habituel. Elle ne dit rien.

< Et toi, tu n'as pas envie de tailler une bonne pipe ? > fait le palefrenier en s'adressant à Estelle. Je la vois très hésitante. Joie.
Nul doute qu'Estelle n'est pas loin de se laisser tenter là. Le type pointe d'ailleurs son sexe plus précisément dans sa direction.
La situation perdure un moment. Le silence est pesant. Juliette et moi, nous sommes souvent en apnée. L'air paraît étouffant.
Tout le monde dans ces écuries doit avoir le cœur qui bât la chamade. Le type s'avance encore un peu, la queue pointée. Filles.
Estelle, sentant le "danger", se redresse au dernier moment avant de se retrouver avec une bite contre son visage. Salope.

Clémentine se relève également. < Trouillardes, hein, toutes les deux ! > lance le vieux salaud. Les filles ne répondent pas.
Estelle lui fait : < Pas cette fois, vieux vicieux, va ! >. Estelle tutoie monsieur Gérard en le fixant avec sévérité. C'est étrange.
Je connais le fonctionnement d'Estelle. Je sais à quel point elle a poussé l'art de la séduction, du jeu et des approches. Vicieuse.
Les deux filles s'éloignent rapidement. < Au revoir monsieur Gérard ! A un de ces soirs ! > font elles presqu'en même temps.
Monsieur Gérard remonte son slip et son pantalon, ramasse le seau et s'éloigne. Il laisse la lumière et sort quelques instants.

Juliette et moi, nous en profitons pour filer à toute vitesse. Nous rejoignons les filles à l'abri de la pluie sous le porche. Porte.
Nous courons pour traverser la cour. Juliette nous fait monter. Nous enlevons nos chaussures. En chaussettes dans le canapé.
Juliette prépare des tisanes. Il est 22 h. Nous rions tous les quatre de cette aventure follement excitante. Une superbe soirée.
< Tu vas te le sucer un de ces soirs ? > demande Juliette à Estelle qui reste silencieuse avec un étrange sourire. Elle hésite.
< Je sais pas, ça me fait envie et en même temps, ça me dégoûte ! > répond Estelle. Clémentine, à mes côtés, prend ma main.

Je savoure cette situation avec toute la pertinence de sa rareté. C'est un véritable privilège pour tous les quatre. Nous le savons.
Cette perception aiguë de vivre des choses exceptionnelles est commune. Nous nous lançons souvent des sourires entendus.
Nous prenons également conscience que Juliette vit maintenant en parfaite communion avec nous. Une nouvelle complicité...
Nous bavardons. Comme pour apaiser la tension induite par cette sexualité déviante, Juliette évoque les études des deux filles.
C'est un terrain d'échange qui permet d'évacuer l'extraordinaire tension nerveuse qui nous quitte doucement. Plus de frissons.

Nous quittons Juliette vers 23 h. Nous l'assurons de notre présence pour mercredi soir. Nous emmènerons le dessert. Bises.
De retour à la maison, Estelle me tombe dans les bras pour me faire : < Merci Julien ! C'était génial ! >. Clémentine l'éloigne.
Ma compagne lui fait : < Tu comprends à quel point la présence de Julien peut me sécuriser ! >. Estelle fait : < C'est super ! >
Nous montons à l'étage. La tension de cette soirée nous a tous les trois épuisés. Je vais aux toilettes avec Clémentine. Pissous.
Estelle y va à son tour. Clémentine me chuchote : < Tu me baises s'il te plaîs, je suis folle d'excitation !>. Je la caresse. Doux.

Estelle vient nous rejoindre. Elle se glisse sous les draps et fait semblant de ne pas s'apercevoir de nos caresses. Je lui souri.
Elle me fait un clin d'œil. Clémentine lui tend ma queue. < Régale toi un peu, tu l'as bien mérité ! >. Nous rions de bon cœur.
Estelle ne se fait pas prier. Juste avant que je ne le lui dise, Clémentine me devance en faisant : < Tu vas le sucer Gérard ? >
Estelle ne dit rien et, tout en me suçant, pousse un gémissement amusé. Est-ce un "Oui", est-ce un "Non" ? Mystère et sperme !
Clémentine lui retire ma bite de la bouche et me fait : < Mets là moi vite ! >. Je m'exécute. Estelle m'embrasse. Nous baisons.

Bonne récidive à toutes les jeunes vicelardes qui aiment vivre des émotions délirantes au fond des leurs écuries favorites.

Julien - (Qui assure la "sécurité" jusque dans les écuries. Avec la conscience professionnelle du vigile "spécial salopes") -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 184 -



Nous nous offrons un dimanche très relaxant, Clémentine, Estelle et moi

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil d'une bien merveilleuse manière. On me fait des bises. On me suce la bite.
J'ouvre l'œil, et le bon. Clémentine est penchée sur moi. C'est elle qui me prodigue tous ces délicieux bisous. Elle me sourit.
C'est Estelle qui est entrain de me pomper la queue avec une puissance étonnante. Mon érection du matin est physiologique.
C'est donc une sensation curieuse et pas forcément jouissive. < Bonjour mon amour ! > me fait Clémentine. Je la serre fort.
< Bonjour mon amour ! > que je réponds. Je force Estelle à cesser en la tirant par ses cheveux. < Bonjour Julien ! > dit elle.

< Bonjour ma petite vicieuse ! > que je fais à Estelle qui, à son tour, me fait plein de bisous. Toute heureuse d'être avec nous.
Estelle se lève à toute vitesse pour filer aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant tout en frottant son sexe sur le mien.
Nous nous offrons des papouilles. Nous ne sommes pas "du matin". Estelle revient des WC et se précipite dans les escaliers.
< Je descends préparer le petit déjeuner ! > nous fait elle avant de disparaître. Clémentine m'entraîne par la main. Toilettes.
Après notre amusant rituel pisseux du matin, (et que le lecteur connaît bien), nous rejoignons Estelle à la cuisine. Temps clair.

Il est huit heures. Nous sommes tous les trois vêtus de nos pyjamas. Il règne dans la maison une fraîcheur automnale. Dingue.
Nous ne sommes encore que le 18 septembre et il règne déjà un climat de fin octobre. L'odeur du pain grillé ouvre nos appétits.
Je mets la table. Estelle porte le pyjama japonais de Clémentine qui porte un pyjama ample. Je porte mon pyjama bleu clair.
Nous rions de bon cœur, tous les trois de nous voir ainsi. Clémentine nous propose de faire le "petit train" pour nous réchauffer.
Nous sommes tous les trois l'un derrière l'autre, à nous tenir par les hanches, à trottiner autour de la table de la cuisine. Rires.

Le café est fumant. Le grille pain éjecte ses dernières tranches de pain. Nous sommes morts de faim. Nous voilà assis à table.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant et en riant beaucoup. Les filles évoquent évidemment leurs chères études. La fac.
J'écoute leurs amusantes anecdotes d'étudiantes. J'adore. Je laisse les filles pour descendre à la cave. Allumer la chaudière...
Tout fonctionne à la perfection. Tout se déclenche et s'enclenche comme il faut. Les radiateurs seront chauds dans une heure.
Je remonte terminer ma tartine de miel. Doucement, la conversation glisse sur le palefrenier et la soirée vicelarde de hier. Joie.

Les filles évoquent à présent ce vieux salaud de monsieur Gérard. Elles se moquent de sa toute petite queue. Et toujours molle.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle, debout, mime une masturbation masculine. < Gérard ! > lance t-elle en riant.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux pour terminer son yaourt. Estelle continue avec toute sa vulgarité habituelle. Rigolade.
Nous traînons ainsi à table un long moment avant de faire la vaisselle. Estelle passe derrière moi pour m'attraper par les couilles.
< Comme vont les boules ! > me fait elle vulgairement. Clémentine répond : < Ce sont aussi les miennes, je te rappelle ! > Rire.

Les filles redeviennent toutefois rapidement sérieuses. Elles vont au salon pour s'installer derrière le bureau, devant l'ordinateur.
Les voilà à consulter le site de la Faculté. Informations universitaires et cours de la semaine à venir. Je commence le ménage.
Je nettoie la cuisine. J'entends parler les filles. Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. Le hall.
Les radiateurs commencent à chauffer avec cette odeur caractéristique due à la poussière qui s'est déposée à l'arrière. Sympa.
Je sors l'aspirateur pour faire le salon. J'adore passer l'aspirateur. Estelle seule. Clémentine est montée pour faire la chambre.

La jeune fille me fait plusieurs sourires. Plusieurs clins d'œil. Elle se lève pour recommencer son imitation de branle masculine.
Je sors ma bite de la braguette de mon pyjama. De ma main libre, j'agite mon sexe dans la direction de la jeune fille. Salope.
Elle se précipite pour se mettre à genoux au milieu de la pièce. Elle me fixe en posant ses mains sur sa tête. Bouche ouverte.
J'éteins l'aspirateur. Je m'approche. Estelle ne s'y attend absolument pas. Je lui lâche un jet de pisse dans la bouche ouverte.
La jeune fille a juste le temps de détourner la tête en s'écriant : < Salaud ! >. Elle crache en toussant avec des hauts le cœur.

Je rallume l'aspirateur en lui disant : < Tu ne t'y attendais pas, hein, petite salope ! >. La jeune fille file aux toilettes. Mouillée.
Elle revient en s'essuyant le visage avec du papier cul. < T'es vraiment aussi salopard que le vieux des écuries ! > me fait elle.
< Pire ! > que je lui réponds. Nous éclatons de rire. Estelle a le haut de l'épaule gauche de son pyjama trempé de pisse. Rires.
Je la laisse pour monter rejoindre Clémentine qui termine de faire le lit. Je lui raconte ce qui s'est passé en bas, au salon. Joie.
< Tu es mon salaud préféré ! > me fait ma compagne en mettant sa main dans mon pyjama. Nous allons à la salle de bain...

Clémentine m'aide à nettoyer la salle de bain. Je mets les draps sales dans le panier à linge que je dépose en haut de l'escalier.
Clémentine se serre dans mes bras à plusieurs reprises. < Je t'aime ! Et en plus, je suis tout le temps amoureuse ! > fait elle.
< Je veux te voir hyper salaud avec Estelle aujourd'hui, tu veux bien ! > me chuchote la jeune fille avant de s'accroupir. Pipe.
Je la laisse se régaler un petit moment. Pour terminer le ménage, il me faut toutefois la faire cesser. Je la tire par ses cheveux.
< Je veux te savoir hyper salaud avec moi aussi ! > conclue ma compagne en me montrant l'intérieur de sa bouche. Gluante...

Je nettoie les chiottes de l'étage. Clémentine me rejoint et me fait des bisous avant de descendre avec le grand panier à linge.
Je passe la serpillère sur les carrelages. Je descends rejoindre les filles qui sont studieuses devant l'écran de l'ordinateur. Bien.
Clémentine a revêtu un jean et un sweat. J'ai fait pareil. Seule Estelle est encore en pyjama. Les cheveux, à gauche, mouillés.
Estelle monte à son tour pour aller s'habiller. Clémentine est assise sur mes genoux. Nous faisons le programme de la journée.
Estelle redescend. Vêtue de son jean et de son éternelle chemise à carreaux. Elle a séché la pisse sur ses cheveux, à gauche...

Nous faisons le menu de notre repas de midi. Il y a maintenant une agréable douceur dans la maison. Et ça sent le propre.
Il est déjà 11 h30. Je me rends à la cuisine. Clémentine vient me rejoindre. Nous allons nous préparer une tarte aux poireaux.
Ce sont les derniers poireaux du potager. Estelle vient nous rejoindre. < Et question poireaux, tu t'y connais ! > nous fait elle.
Nous rigolons tous les trois comme des bossus. < Espèce de salopard ! > me fait encore Estelle en me palpant la braguette.
Nous commençons nos préparations. Il y a deux boules de pâte au réfrigérateur. Estelle lave les poireaux. Je coupe l'oignon.

Clémentine s'occupe de la salade. Une des dernières belles scaroles du jardin. Dehors, le ciel est gris mais lumineux. Sympa.
Nous bavardons. Clémentine nous propose une randonnée pour l'après-midi. L'idée est accueillit avec une joie débordante.
< Si la pluie arrive, on se fait un musée, ce sont les journées du patrimoine ! > rajoute encore ma compagne. J'étale la pâte.
< On peut se faire une halte au haras sur le retour ! > fait Estelle en mimant une masturbation masculine. Nous l'observons.
Nous trouvons l'idée excellente. < N'abusons pas des bonnes choses ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Boutade.

La tarte est au four. Les salades sont prêtes. La table est mise. Nous regardons par les fenêtres. Le temps se maintient. Ouf.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation est orientée vers les cours. Estelle revient sur le sujet amusant des écuries.
Je constate la passion qui l'anime lorsqu'elle évoque les situations qu'elle vit là-bas. Elle nous raconte ses aventures de l'été.
Nous y retournerons la semaine prochaine. Ma compagne insiste pour ne pas systématiser nos visites là-bas. Elle a raison...
< Il est préférable d'habituer ce vieux saligaud avec une seule visite par semaine ! > fait encore Clémentine. C'est mieux ainsi.

Nous faisons notre vaisselle. Il est déjà 13 h45. Nous nous préparons. Je mets nos affaires dans le petit sac à dos qui s'use.
Nous sortons tous les trois au jardin pour prendre la température. Il ne fait pas froid. Mais il ne fait pas chaud. Curieux climat.
Le sol est sec. Nous n'aurons pas à redouter quelques chemins détrempés. Estelle devra être de retour chez elle pour 20 h30.
Nous voilà en route. Nous marchons d'un bon pas en descendant jusqu'à la rivière. Il y a même quelques apparitions du soleil.
Je suis entrain de marcher entre les deux filles. Clémentine me tient par la main et me fait souvent une rapide bise. Moi aussi.

Nous passons derrière les écuries. Là, à quelques 200 mètres, il y a la caravane de monsieur Gérard. L'endroit semble désert.
Nous remontons le sentier qui longe le ruisseaux. La nature est belle. Il y a quelques feuilles qui commencent à joncher le sol.
Estelle pose sa main sur ma nuque qu'elle tient fermement en appuyant. Je la regarde. Elle me regarde d'une étrange façon.
La jeune fille reproduit cet acte à plusieurs reprises durant notre randonnée. Nous arrivons au cromlech. Il y a des promeneurs.
Je passe derrière l'amas rocheux, je descends en contre bas du sentier. J'ouvre ma braguette. Je sors ma queue toute molle.

Je m'apprête à pisser. Clémentine est en haut et me regarde. Estelle vient me rejoindre. Elle se met à mes côtés, me la tient.
< Je te rappelle que c'est mon pisseur à moi ! > fait Clémentine depuis le sentier. < Tu me le prête un peu ! > répond Estelle.
Je me tourne vers Estelle pour lui dire : < Tu veux te faire pisser à la gueule ? >. Elle fait : < Pas de fringues de rechange ! >
Estelle me tient fermement la queue. Je lâche plusieurs jets. < C'est génial, on quand ça passe à l'intérieur ! > me fait elle.
Je lui dépose une bise sur la joue. Estelle m'embrasse soudain en fouillant ma bouche de sa langue exploratrice. Fougueuse...

< Oh là ! On se calme là en bas ! > fait Clémentine. Estelle cesse et secoue les dernières gouttes. Elle s'accroupit. Elle mâte.
Estelle s'enfile rapidement ma bite en bouche pour récupérer les derniers épanchements. Je contracte mes muscles fessiers.
Ce qui a pour effet de déclencher une dernière petite giclée. Estelle pousse un rugissement de plaisir en pompant fortement.
Clémentine est venue nous rejoindre. < Faites gaffe, il y a du monde là-haut ! > nous fait elle. En effet, j'entends des voix.
Les familles du dimanche qui parcourent les chemins de campagne. Je force Estelle à se redresser. Il y a du jus qui dégouline.

J'ai juste le temps de ranger mon sexe lorsque deux femmes âgées apparaissent en haut du sentier. Nous remontons vite.
Nous continuons notre randonnée. Nous dégustons chacun une barre de céréales. Délicieuses. Nous nous passons la bouteille.
Nous prenons le chemin du retour. Estelle évoque souvent le palefrenier . < Décidément, t'es "accro" ! > lui lance Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Les filles évoquent plusieurs stratégies d'approches. Pour le moment ce n'est encore que de la fiction.
< Tu finiras par lui sucer sa bite dégueulasse ! > fait Clémentine à Estelle plusieurs fois. < Juste pour goûter ! > fait Estelle...

Nous arrivons à la maison pour dix neuf heures. Juste avant les premières gouttes de pluie. Nous apprécions la chaleur. Bien.
< Je te ramène tout à l'heure ! Terminée la bicyclette ! Quand tu viens, tu me fais un texto ou un mail ! > que je fais à Estelle.
Clémentine rajoute : < Où alors ton week-end chez nous commence dès le lundi soir ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Je prépare un rapide gratin de coquillettes. Clémentine prépare une salade de carottes. Estelle va de l'un à l'autre pour aider.
Je concocte une de mes délicieuses sauces au Roquefort. Recette dont je révèlerais ici le secret bientôt. Accord de Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit. Curieusement, tous les trois, nous ressentons une certaine fatigue. Pas de doute, l'automne !
Nous bavardons en riant. Estelle revient mardi soir pour 18 h30. Nous mettons tout au point. Rendez-vous dans l'arrêt de bus.
< Je peux tailler une pipe à Julien après ? > demande soudain Estelle pendant que nous débarrassons la table. Rigolades. Joie.
< Si tu es sage ! > répond ma compagne. Nous rigolons comme des bossus. Estelle fait la plonge. Clémentine et moi essuyons.
Nous passons au salon. Je saisi le coussin en velours carmin. Je le dépose au sol, devant le canapé. J'attrape Estelle. Cheveux.

< A genoux, c'est l'heure ! > lance Clémentine. J'ouvre mon pantalon. Je le descends jusqu'aux chevilles avec mon slip. Bien.
Estelle, maintenue par ses cheveux, à genoux entre mes cuisses, est entrain de me tailler une pipe des familles. Avec passion.
Clémentine, qui adore regarder mes comportements de vicelard, est assise dans le fauteuil. Une main dans son jean ouvert...
Je suis terriblement vicieux avec Estelle. Souvent, je lui passe la bite sur le visage. Je lui pince le nez. Je lui mets une gifle.
Estelle suce comme si sa vie en dépendait. Ses gémissements sont révélateurs du bon moment qu'elle s'offre là. Vicelarde...

Clémentine respire de plus en plus fort. Les effets de sa masturbation. Elle lève plusieurs fois le pouce de sa main libre. Belle.
Appuyant ses sourires par des clins d'œil, ma compagne manifeste son intense plaisir. J'éjacule sans prévenir. Et sans bouger.
Cette façon de faire surprend toujours Estelle qui déglutit avec peine en poussant de véritables rugissements. Bonheur total.
Il est déjà 20 h30. < Tu vas être en retard ! > que je fais à Estelle qui s'apprête à partir pour un second tour. Le fond de cuve.
Je la tire par ses cheveux. Il y a des filaments de foutre gluant, épais et visqueux qui s'échappent de sa bouche. Elle avale...

< Debout ! > que je lui fais en la forçant à se redresser en même temps que moi. Estelle semble soudain prendre conscience.
Elle va être en retard. C'est une jeune fille très organisée. Il n'y a aucune autre réelle obligation que celle qu'elle s'est fixée !
Consciencieuse, Estelle a besoin de se ménager du temps pour ses études, ses rangements et son intimité. Nous nous habillons.
Dans la voiture. Estelle assise à l'arrière, nous fait part de l'immense satisfaction après ce merveilleux week-end. C'est superbe.
Au retour. Clémentine me suce un peu. Il pleut. Arrivée à la maison, nous n'avons qu'une envie. Je suce Clémentine. Et baise.

Bonne semaine à toutes et à tous. Surtout si vous avez le privilège d'avoir les visites d'une belle et jeune étudiante. (Majeure).

Julien - (Qui s'est encore comporté comme un véritable salopard pour le plus grand bonheur de Clémentine. Et d'Estelle) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 185 -



Clémentine et moi, nous apprécions ce lundi soir automnale

Hier matin, lundi, c'est une des fameuses Polkas de Johan Strauss qui nous tire du sommeil. Il est 6 h. Réveil symphonique.
< Ta gueule Jojo ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus. La tête dans le cul !
Nous nous faisons quelques rapides papouilles. < Bonjour Julien ! > me fait la jeune fille en m'entraînant jusqu'aux toilettes.
< Bonjour Clémentine ! > que je lui fais. Nous procédons à nos rituels pisseux du matin. Nous descendons à toute vitesse.
Morts de faim, nous préparons notre petit déjeuner. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Pain grillé. Odeurs.

Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le rapide bilan du week-end, très satisfaits de nos petites aventures salaces.
Nous rions de bon cœur en évoquant ce vieux salaud de palefrenier. La vaisselle. Nous remontons pour nous entraîner.
Gym, abdos et aérobic. Un grand plaisir matinal. Douche. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine. Il est 7 h45.
Le sol est humide. Il y a quelques gouttes. Le jour achève de se lever sous un ciel gris, bas et plutôt sinistre. Plein de bises.
Je regarde la voiture monter jusqu'à la route. Un dernier coucou de la main. Je rentre faire la chambre. Puis je file à l'atelier.

Ma première œuvre de commande est terminée. Elle est entrain de sécher. La seconde est en bonne voie d'exécution. Bien
A midi, je prépare la pâte à pain pour les pizzas de ce soir. Je prépare la garniture sous forme d'une sauce épaisse. Sympa.
Clémentine rentre pour 17 h. Assise sur mes genoux, ma compagne me raconte sa journée. D'amusantes anecdotes. Rires.
< Estelle devient de plus en plus salope ! > me fait ma compagne. Les deux filles mangent ensemble à midi, au restau U.
< Elle n'arrête plus de faire des projets bien vicelards. Les écuries l'inspirent ! Les palefreniers aussi ! > fait Clémentine...

Nous rions de bon cœur de cette boutade. Dehors, il y a des séquences ensoleillées. Clémentine me propose un jogging.
Nous montons nous mettre en tenues. J'ai besoin de me dégourdir les jambes. Clémentine a besoin de décompresser. Joie.
Le sol est humide. Pourtant nous ne courons jamais sur des chemins boueux ou détrempés. Il y a une très légère fraîcheur.
Nous sommes de retour pour 18 h45 après une heure d'un running des plus agréables. Nous sommes morts de faim. Bien.
Nous récupérons la dernière scarole et les dernières carottes du potager. Clémentine s'occupe des salades. Moi, des pizzas.

Nous bavardons. J'étale la pâte. Avec la farine, la levure boulangère et le sel de Guérande, je mets toujours du gruyère râpé.
C'est un mélange onctueux qui donne un goût particulier. Je dépose la pâte dans deux énormes plats à tarte et en fer blanc.
J'y verse la garniture "maison" que j'ai concocté à midi. Oignon, ail, champignons, tomates, basilic et surtout du Roquefort.
Nous aimons tant le Roquefort que nous en mettons partout. Je saupoudre le tout d'un peu de parmesan grossièrement râpé.
J'enfourne. Thermostat sur 7, pour une cuisson de trente minute à 350°. Je mets la table. Assaisonnement des salades. Bien.

Nous allons au salon. Nous découvrons les messages d'Estelle et de Juliette. Estelle viendra passer la soirée demain. Sympa.
Juliette nous invite à manger mercredi soir. Sympa. Nous répondons. C'est la sonnerie du four qui nous tire de l'ordinateur.
Nous nous précipitons à toute vitesse à la cuisine. Il fait très agréable dans la maison. Les radiateurs chauffent bien. Efficaces.
Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons nos vacances écossaises de cet été. < C'est déjà si loin ! > fait Clémentine.
C'est vrai que pour la jeune fille de vingt ans la perception du temps est un peu plus relative que pour moi. E=mc². Einstein.

Nous rions de bon cœur de cette boutade. Clémentine, assise sur mes genoux, termine de déguster sa coupe glacée. Sympa.
Sa main dans mon legging en lycra noir, la jeune fille me raconte le thème des cours de demain. Une autre passion. Superbe.
Ma main dans son legging, j'écoute en jouant avec les lèvres humides de son sexe. Nous faisons notre vaisselle. Il est 20 h.
Nous filons à l'atelier pour bosser. Là, assise à la grande table de travail, Clémentine me montre ses cours du jour et à venir.
Je vais m'installer devant mon chevalet. Il y ces séquences de silence ou seul résonne le bruit de nos activités. C'est génial.

Parfois, l'un de nous se lève pour aller déposer quelques bisous sur le visage de l'autre. Le souffle chaud dans la nuque. Bon.
Il est rapidement 22 h. La fatigue fait doucement son apparition. Nous rangeons nos affaires. J'avance bien dans mon boulot.
Nous allons au salon. Clémentine, serrée contre moi, me tripote la grosse bosse que fait mon sexe dans mon legging. Rires.
Je passe ma main entre les cuisses de la fille. Elle a cet adorable petit sursaut qui m'émeut. Elle m'entraîne vers le canapé.
Je lui descends le legging en même temps que sa culotte. Clémentine retire le tout. Vautrée dans le canapé, cuisses écartées.

Je suis à genoux sur le gros coussin de velours carmin. Mon visage entre ses cuisses, je hume les odeurs de sa journée de fille.
C'est enivrant. Le jogging a encore rajouté des "épices". Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe humide.
Clémentine me tient par les oreilles. Elle me "guide" doucement. Adroite, la jeune fille me dirige avec soin. En gémissant. Bien.
De ma langue exploratrice, je recueille quantité de petites choses indéfinissables. Miasmes, fromages, reliquats des plus divers.
C'est un festin. Une sorte de mélange de dégoût et de délectation qui excitent au plus haut point. Clémentine glousse de plaisir.

Il me faut être particulièrement vigilant lorsque je passe au "nettoyage" de son clitoris géant. L'orgasme interdit guette déjà.
Clémentine déteste les orgasmes trop rapides. La jeune fille adore rester dans un état d'excitation permanent. Je fais gaffe...
Les plis des peaux de son clitoris recèlent également de petites choses délicates, onctueuses et étonnantes. Comment fait elle !
Nous restons ainsi un long moment. Clémentine rugit de plaisir. Elle bouge son bassin pour trouver le meilleur angle. Jouir...
J'aime l'entendre. J'aime lorsqu'elle bouge doucement dans un mouvement masturbatoire. J'aime ses retours au calme. Joie.

Clémentine me repousse. L'orgasme pointe. Il faut donc cesser. Je me redresse. Ma compagne m'attire doucement contre elle.
< Comme c'est bon, ce que tu me fais ! Je t'aime ! > me chuchote la jeune fille. Nous montons prendre notre douche. Toilettes.
Il est presque 23 h. Nous voilà couchés. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.
Comme nous adorons le faire, nous restons parfaitement immobiles. Clémentine me chuchote plein de cochonneries. Douceur.
Je suis toujours étonné par les "confessions" de la jeune fille. Cela nous excite. Le rythme s'accélère. Orgasmes et puis dodo...

Bonne soirée de début de semaine à toutes les coquines qui retrouvent leur coquin avec joie. Et avec des idées libidineuses...

Julien - (Pizzaiolo, Maître Queue, Cordon Bleu, lécheur de minou, baiseur sur mesure et accessoirement peintre d'Art) -

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Un mardi soir avec Clémentine et Estelle, tout ce qu'il y a de plus "classique"

Hier matin, mardi, c'est le concerto pour piano "Wanderder" de Franz Schubert qui nous sort de nos sommeils. Il est six heures.
< Ta gueule Franz ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus avec la tête dans le cul.
< Bonjour Julien ! > me fait ma compagne en me faisant plein de bisous. < Bonjour Clémentine ! > que je fais en la serrant fort.
La jeune fille m'entraîne par la main. Ce sont nos rituels pisseux du matin. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner. Efficaces et méthodiques. Nous mangeons de bon appétit. Vaisselle. Et puis c'est la gym...

Une heure d'entraînement avec intensité maximale. Aérobic, abdos, charges et exercices au sol. Puis la douche. Il est déjà 7 h45.
Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine. Bisous. Je la regarde filer. La voiture disparaît en haut du chemin. Coucou.
Je rentre faire la chambre et je me dépêche de me rendre dans mon atelier. Dehors le sol est mouillé. Il fait presque froid. Fou.
Nous ne sommes que le 19 septembre et il règne un climat de fin octobre. Les radiateurs de la maison fonctionnent. Il y fait bon.
A midi, je prépare la pâte pour la tarte aux poireaux que je vais concocter. Mais d'après la recette de la flamiche Picarde. Délice.

Il est 17 h. Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier. Toute contente d'être de retour, elle s'assoit sur mes genoux. Bises.
Ma compagne me raconte sa journée de cours. Les conversations avec Estelle, à midi, au restaurant universitaire. J'écoute. Bien.
< J'irais chercher Estelle pour 18 h30 ! J'ai laissé la voiture dehors ! > me fait Clémentine. Il pleut. Nous n'irons pas courir. Déçus.
Nous mettons donc à profit cette impossibilité d'aller faire notre jogging. Clémentine déballe ses affaires sur la table de travail.
Nous bavardons. Clémentine me parle des vacances. Les souvenirs rémanents de l'Ecosse qui envahissent souvent son imaginaire.

Il est déjà 18 h15. Je propose à Clémentine que nous allions chercher Estelle ensemble. Trois petits kilomètres en auto. Rapide.
< Oh oui, tu es un amour. Je déteste rouler ! >me fait ma compagne. Je quitte ma blouse. Nous nous habillons en conséquence.
Nous voilà dans la voiture. Estelle nous attend à l'abri dans l'arrêt de bus tout près de chez elle. Son sac à dos et son parapluie.
La jeune fille monte dans l'auto à toute vitesse. Bisous. < Bonsoir Julien ! > s'écrie t-elle, passant ses mains autour de mon cou.
Les filles bavardent. Avec cette météo déplorable, nous resterons à la maison. Les filles ont beaucoup de boulot pour leurs cours.

A peine un quart d'heure et nous voilà de retour, bien au chaud. Estelle est vêtue de son jean, de sa chemise à carreaux. Baskets.
Elle suspend son anorak au porte manteau de l'entrée. Elle se précipite en sautillant vers le salon. J'adore la voir toute contente.
Clémentine nous entraîne à la cuisine. Nous avons de sérieux appétits d'ogres. Estelle passe derrière moi et m'attrape les couilles.
< Comment vont les boules ! > fait elle. Nous rions de bon cœur. Clémentine lave la salade. J'étale la pâte. Farine sur la table...
Les poireaux sont prêts dans leur sauce béchamel. Tout ira vite. Estelle va de l'un à l'autre pour aider à faire les assaisonnements.

Les filles évoquent la faculté, leurs cours, les profs. J'écoute amusé les boutades et les anecdotes qu'échangent les filles en riant.
Je verse la préparation sur la pâte disposée dans l'énorme plat à tarte en fer blanc. Il en reste pour l'autre, plus petit. C'est bien.
J'y rajoute de fines tranches de Roquefort. Je recouvre le tout d'un fin couvercle de pâte. Je badigeonne un œuf. Je mets au four.
Estelle me tripote souvent la braguette. Placée derrière moi, par surprise, elle me tient les couilles d'une main, la bite de l'autre.
< Chasse gardée, propriété privée ! > fait souvent Clémentine sans réelle conviction. Nous rigolons comme des bossus. Sympa...

Nous sommes tous les trois dans l'atelier. Estelle déballe ses affaires de son sac à dos. Les filles sont assises à la grande table.
J'avance bien dans mon travail. Ma seconde œuvre de commande va rapidement trouver son épilogue. Sans doute demain soir.
C'est donc serein que je peins en écoutant les filles commenter leurs préparations. Elles sont studieuses, concentrées, efficaces.
Derrière moi, dans ma nuque, je sens le souffle chaud de quelqu'un qui m'observe. Je ne sais pas qui. Clémentine ou Estelle ?
J'adore cette sensation. Nous entendons la sonnerie du four, depuis la cuisine. Je pose mes pinceaux et ma palette. Je me lève.

Je découvre Estelle debout derrière moi, les mains derrière le dos. C'est elle qui m'observait. < C'est beau ! > fait la jeune fille.
Clémentine vient nous rejoindre, nous prend les mains et nous entraîne jusqu'à la cuisine en disant : < La santé d'abord ! >.
Nous rions de bon cœur. La table est déjà mise. Il est 19 h45. L'odeur achève d'ouvrir nos appétits proprement monstrueux.
Je sors les flamiches Picardes du four. Dorées à point, d'un aspect onctueux, elles nous font immédiatement saliver. Saveurs.
Nous mangeons d'un bon appétit. Ce repas est évidemment un véritable délice. Estelle développe une addiction au Roquefort.

La conversation est principalement axée sur les études. J'écoute parce que c'est très intéressant. C'est comme si j'étais en fac.
Cela me rappelle mes jeunes années, lorsque j'étais étudiant moi aussi. Rien n'a véritablement changé en vingt cinq ans. Bien.
C'est Estelle qui parle des écuries la première. Une association d'idée suite à l'expression "bourrin" désignant un jeune prof.
< On va aux écuries samedi soir ? On va faire délirer le vieux salaud, ça vous tente ? > fait Estelle. Nous rions de bon cœur...
Clémentine rajoute : < Nous finirons peut-être par le faire bander ! >. Nous rigolons comme des bossus. La salade est bonne.

La conversation est maintenant principalement centrée sur monsieur Gérard, le palefrenier vicieux et son comportement. Joie.
Les filles évoquent différentes stratégies pour pousser le vieux salace dans ses derniers retranchements. Scénarios délirants.
Clémentine s'avère la plus raisonnable en tempérant souvent les propositions plus folles les unes que les autres d'Estelle. Rire.
Nous faisons la vaisselle. Nous sommes légèrement émoustillés par cette conversation tendancieuse. C'est plutôt très excitant.
Estelle fait la plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. Les filles continuent d'évoquer les écuries et divers mises en scène...

Je passe plusieurs fois derrière Estelle pour lui murmurer : < Petite salope ! >. A chaque fois Estelle me répond : < Petite ? >.
Nous rions de bon cœur. Clémentine m'embrasse à plusieurs reprises. La vaisselle est terminée. Tout est propre et rangé. Bien.
Nous retournons à l'atelier. La nuit est tombée. Il pleut. Les filles sont assises à la grande table. Je suis assis à mon chevalet.
A nouveau cette ambiance studieuse, silencieuse, entrecoupée des bruits de nos activités consciencieuses. C'est appréciable.
Nous savourons tous les trois ces moments intenses. Estelle se lève pour venir se mettre debout à côté du chevalet. Silence...

Ce chevalet d'atelier est immense. En chêne, sans doute centenaire, il fait partie d'un lot que j'ai acquis il y a vingt cinq ans.
Il possède une crémaillère actionnée par une manivelle. Estelle me fait : < Tu m'attaches un jour sur ton chevalet ? >. Rires.
Je réponds ! < Je n'avais jamais fait le lien entre mon chevalet et un instrument de tourment pour jeune salope délurée ! >.
Nous rigolons comme des bossus à cette boutade. Estelle mime une masturbation masculine. Toujours si vulgaire. Délicieuse.
Elle rajoute : < On pourrait même se faire un film avec un scénario "peinture" ! >. Clémentine trouve la suggestion superbe.

Tout en peignant, je lève souvent les yeux sur Estelle qui continue son comportement salace tout en développant l'idée. Rires.
< On se fait ça un samedi soir, ou un dimanche après-midi pluvieux, ça vous tente ? > demande Estelle, espiègle et mutine.
C'est Clémentine qui répond. < Tu vas te faire juter et pisser à la gueule dans l'atelier, par un peintre, petite salope ! >. Rires.
< C'est le but ! Et si c'est filmé pour ma petite collection cinématographique privée, c'est génial ! > fait Estelle en se touchant.
Estelle se touche rarement. Depuis la cuisine, avec toutes ces conversations salaces, la jeune fille est certainement perturbée.

Je la regarde. Elle est debout à côté de mon chevalet. Elle s'y tient de sa main gauche. Sa main droite entre ses cuisses serrées.
Penchée en avant, une jambe devant l'autre, la jeune fille soulage son excitation. Je lui fais un clin d'œil appuyé d'un sourire.
< Tu vas t'en payer une tranche ? > demande Clémentine qui observe la scène depuis la table où elle reste assise. Spectacle.
Estelle semble soudain très gênée. Elle se redresse et cesse de se toucher. < Excusez-moi ! > fait elle. Nous rions de bon cœur.
Les filles sont retournées à leurs études. Je pose mes pinceaux et ma palette sur la petite table à roulettes placée à ma gauche.

Je retire ma blouse. J'ouvre ma braguette. Je sors ma bite. Estelle et Clémentine m'observent, souriantes et silencieuses. Joie.
J'agite ma queue à la manière d'un lasso en la faisant tournoyer. Eclats de rires chez les filles qui applaudissent à tout rompre.
< Soirée cow-boy ! > fait Clémentine. < Zorro ! > rajoute Estelle. Nous sommes tous les trois pliés de rire. J'agite ma bite molle.
Si l'on regarde attentivement la photographie de mon avatar, on s'imagine facilement ce "lasso" entrain de tournoyer en l'air.
Il est 22 h. Il nous faut redevenir sérieux. Nous rangeons consciencieusement nos affaires pour passer au salon. Une infusion.

Nous ramenons Estelle pour 22 h 30. La jeune fille, assise à l'arrière, a passé ses mains autour de mon cou. Je conduis doucement.
Clémentine à ma droite, me palpe la bite fièrement dressée hors de ma braguette ouverte. Nous déposons Estelle. Il est 22 h45.
La jeune fille me fait plein de bisous et me fait : < Pense au film "L'atelier du peintre" ! >. Nous rions de bon cœur. Estelle s'en va.
Sur le retour, Clémentine me suce passionnément. Nous arrivons à la maison. Au lit, nous nous offrons un "69" goûteux et juteux.
Clémentine m'attire sur elle. Je la pénètre doucement. Nous restons immobiles. Clémentine me confesse plein de cochonneries....

Bonne soirée avec votre jeune visiteuse vicelarde à toutes et à tous. Ce sont toujours de passionnantes soirées de stupre...

Julien - (Qui a la conscience aiguë de vivre des situations privilégiées dans sa vie de privilégié. Tout en bandant souvent) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 187 -



Un mercredi soir que nous passons chez Juliette, au haras

Hier matin, mercredi, c'est la 5ème de Ludwig Van Beethoven qui nous tire de nos sommeils. Il est six heures. C'est difficile.
< Ta gueule Lulu ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus. La tête dans le cul.
< Bonjour Julien ! > me fait ma compagne en me faisant plein de bisous en mitraille. < Bonjour clémentine ! > que je fais.
Clémentine m'entraîne par la main. C'est notre rituel pisseux du matin. Puis nous descendons à toute vitesse à la cuisine.
Morts de faim, nous préparons notre petit déjeuner. Jus d'orange, pain grillé, confiture, miel, beurre et yaourt. Café fumant.

Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons notre soirée chez Juliette chez qui nous sommes invités à manger. Sympa.
Nous faisons la vaisselle. Nous remontons pour nous entraîner. La "salle d'entraînement" est la grande pièce à l'étage. Bien.
Située à côté de notre chambre à coucher, c'est la seule pièce de la maison qui n'est pas chauffée. Il y fait toujours bien frais.
Une heure de gymnastique avec intensité maximale et c'est la douche. Il est 7 h45. Je vais sortir la voiture de Clémentine.
Plein de bisous et je la regarde partir. Je monte faire la chambre et je file à l'atelier. J'ai beaucoup de travail qui m'y attend.

Clémentine revient pour dix sept heures. Le ciel est souvent dégagé et il y a du soleil. Pas la moindre goutte de pluie ce jour.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Ce sont d'amusantes anecdotes de la faculté et de ses cours. Joie.
Nous nous préparons pour notre jogging. Clémentine a besoin de décompresser. Moi, j'ai besoin de me dégourdir les jambes.
Nous voilà en tenue. Nous courons d'un bon rythme pour un rapide échauffement. Nous sommes de retour pour 17 h15. Bien.
La douche. Nous prenons notre temps. Enfin un véritable retour au calme. < J'ai mes "petits machins" ! > me fait Clémentine.

Nous sommes le 20 du mois. Ma compagne est réglée comme une horloge. < Mes trucs de filles ! > précise ma compagne.
Nous allumons l'ordinateur pour découvrir le message d'Estelle. La coquine nous souhaite bonne soirée aux écuries. Rires.
Nous répondons en joignant une photo de nous deux assis devant l'ordi. Il est rapidement 19 h15. Il est temps d'y aller.
Clémentine est vêtue du kilt, du chemisier et de la veste que nous avons ramené d'Ecosse. Souliers noirs, fermés à talons.
< Je déteste les collants, ça finit toujours par me gratter ! > me fait Clémentine en tournant sur elle même. Elle est belle...

Moi, sur sa demande, je porte un pantalon beige, à pinces et à plis, une chemise claire et une veste beige. Mes mocassins.
Devant le miroir, Clémentine se serre contre moi pour me dire : < Regarde un peu comme on est beaux tous les deux ! >.
Nous voilà dans la voiture. Il y a quelques trois kilomètres sur la petite route. Nous y sommes passés tout à l'heure. Jogging.
Il est 20 h lorsque nous arrivons au haras. Il y a de l'animation dans la cour. Juliette bavarde avec deux couples. Voitures.
Nous restons à l'écart. Madame Walter, l'assistante de Juliette, nous fait un coucou de la main. Nous faisons le tour du lieu.

Juliette vient à notre rencontre. < Pas un jour sans l'arrivée de chevaux ! > fait la jeune femme en nous faisant la bise.
Elle nous entraîne vers le bâtiment du bureau. Nous montons dans son appartement. < Enfin tranquille ! > s'écrie t-elle.
A midi, j'ai préparé une tarte aux noix. J'y dépose toujours des rondelles de banane. Des noix du jardin. Il y a 3 noyers.
Avec ces pluies incessantes de septembre, la plupart des noix sont véreuses ou pourries. Il faut trier. C'est du travail.
Juliette est toute heureuse de découvrir ma tarte. Elle nous entraîne à la cuisine. Une délicieuse odeur. Gratin Dauphinois.

La table est mise. Juliette félicite Clémentine pour sa tenue. Le costume écossais, sur la jeune fille, est d'une élégance folle.
< Attendez-moi, je reviens ! > fait la jeune femme en nous laissant. Juliette revient rapidement. Vêtue comme Clémentine.
Elle porte le kilt et le chemisier que nous lui avons ramené d'Ecosse. Elle le porte plutôt bien. La jeune femme est magnifique.
Le gratin Dauphinois est un véritable délice. Accompagné d'une sauce aux champignons c'est un vrai régal. Nous bavardons.
Bien évidemment la conversation glisse rapidement sur l'aventure l'autre soir, aux écuries. Ce vieux salaud de palefrenier.

Nous rions de bon cœur en évoquant le box où Juliette et moi étions planqués pendant que Clémentine subissait Mr Gérard.
Clémentine nous raconte ses impressions quand à se retrouver en présence de ce vieux vicelard exhibitionniste et branleur.
< Il me fait un super boulot, ici, aux écuries. Je peux vraiment me reposer sur lui ! Et il y a du travail ! > souligne Juliette.
Nous écoutons quelques anecdotes que nous révèle la jeune femme sur les activités équestres de son palefrenier. Superbe.
< Il n'a jamais rien tenté avec moi, sa patronne. Je n'ai jamais eu affaire à un comportement équivoque ! > nous fait Juliette.

< Par contre, madame Walter, ma collaboratrice, m'a confié quelques petites histoires "croustillantes" ! > rajoute Juliette.
Nous écoutons la jeune femme. < Un soir, madame Walter l'a surpris entrain de se branler, couché parterre ! > dit elle...
Juliette nous confie : < Et j'aurais bien aimé avoir affaire à ce genre de chose, mais avec moi, il n'ose pas ! Le bougre ! >.
Nous rions de bon cœur. La tarte aux noix est une véritable réussite. Nous nous régalons tout en bavardant. Bonne soirée.
< Décidément, monsieur Gérard sait faire parler de lui, et à son insu ! > fait Clémentine en me prenant la main. Le café...

< Vous venez quand vous voulez, vous êtes aux écuries chez vous ! Ne vous gênez pas ! > nous fait encore la jeune femme.
Nous lui avouons êtres déjà venus à quelques reprises. Clémentine et moi ou avec Estelle. < C'est super ! > s'écrie Juliette.
Juliette fait : < Cet homme de 65 ans apprécie par dessus tout la proximité des jeunes filles ! >. Nous rions de bon cœur.
< Vous voulez aller y faire un tour, ce soir ? > demande la jeune femme à ma compagne. < Pourquoi pas ! > répond t-elle.
Il n'en faut pas plus. Nous nous levons à toute vitesse. Fébriles. Impatients. Nous mettons nos vestes. Nous descendons.

Juliette m'entraîne par le bras en disant : < Nous, on va se planquer dans le box ! >. La jeune femme allume les lumières.
Clémentine, les bras croisés, marche doucement dans l'allée centrale, entre les box. Les chevaux la regardent avec intérêt.
Juliette et moi, nous sommes en compagnie d'une jument qui porte. Par le trou dans la cloison, on voit le bureau de Gérard.
Nous observons ma compagne caresser les têtes des chevaux qui semblent apprécier. Il est 21 h30. Chaleur animale. Doux.
Il se passe un petit moment. Monsieur Gérard, sans doute étonné par les lumières allumées, entre dans les écuries. Il mâte.

< Bonsoir mademoiselle ! > fait le palefrenier en découvrant la jeune fille. Il reste un instant à la contempler. Admiratif.
Monsieur Gérard émet un sifflement et fait : < Elle est belle ce soir, la jeune fille ! >. < Bonsoir. Merci ! > fait Clémentine.
< Il est où Julien ? > demande encore le palefrenier. < Il est avec la patronne ! > répond Clémentine. Il y a un long silence.
Cette affirmation permet de sécuriser un peu la situation. Monsieur Gérard sait donc que je ne suis jamais très loin. Bien !
Juliette et moi, nous restons parfaitement silencieux. Nous observons entre les interstices de la cloison du box. On voit tout.

Pour faire diversion, Clémentine pose quelques questions quand au cheval qu'elle caresse. Il a un pansement sur l'oreille.
< Le vétérinaire passe demain matin. Rien de grave. C'est sans doute un frelon ! > fait monsieur Gérard en se rapprochant.
Tout en bavardant et en expliquant ce qui s'est sans doute passé, monsieur Gérard palpe le tissus de sa braguette fermée.
< Le vicelard ! > me chuchote Juliette. Clémentine fait mine de ne pas encore s'être rendue compte de ce que fait le salaud.
La situation perdure ainsi un petit moment. Bien évidemment, le palefrenier devient de plus en plus démonstratif. Branleur.

Clémentine, pas très à l'aise, pose quantité de questions auxquelles monsieur Gérard se fait un plaisir de répondre. Adroit.
A présent ma compagne regarde de plus en plus souvent la main du palefrenier qui s'agite sur le tissus de sa braguette.
Cela semble donner plus de témérité à notre gaillard qui ouvre doucement sa braguette tout en discutant. Il sort son sexe.
De l'endroit où nous sommes cachés, Juliette et moi, nous ne pouvons pas voir le sexe minuscule de monsieur Gérard. Petit.
Par contre les expressions du visage de Clémentine permettent de se faire une idée très exacte de ce qui se déroule ce soir.

< Toujours pas de pipe pour la demoiselle ? > demande le palefrenier. < Toujours pas ! > répond Clémentine du tac au tac.
Par contre ma compagne prend un malin plaisir à observer la main du mec. Monsieur Gérard ouvre son pantalon. Immobile.
Son pantalon tombe sur ses genoux, bloqué par ses bottes en caoutchouc. Il descend son slip. Il tient sa queue sans bouger.
La situation est surréaliste. Cette jeune fille élégante, là, dans ces écuries, bavardant avec un sexagénaire qui se touche. Fou.
Monsieur Gérard tient sa bite à sa base, entre le pouce et l'index de sa main droite en imprimant un léger mouvement. Branle.

L'homme est à environ deux mètres de Clémentine qui se recule un peu plus sans cesser de regarder et de bavarder. Salope.
Le palefrenier se dirige maladroitement, à cause de son pantalon descendu, jusqu'aux six seaux posés au sol, contre une porte.
Il se saisit de l'un d'entre eux. Il le pose devant lui. Tout en bavardant, voilà notre vieux salopard entrain de pisser. Vicelard.
Clémentine, penchée en avant, tout en bavardant, observe les multiples petits jets jaunâtres qui résonnent dans le seau en fer.
Juliette et moi, nous sommes en apnée. Ce qui se passe encore là, sous nos yeux, est proprement surréaliste. Un film porno !

Le palefrenier ne perd jamais son calme. En parfait exhibitionniste, il semble anticiper et maîtriser chacun de ses gestes. Vice.
<Alors, ça plaît à la demoiselle ? > lance le bougre en secouant les dernières gouttes. Clémentine reste silencieuse. Un sourire.
Un sourire qui en dit beaucoup plus long que n'importe quelle phrase. Le type se tient le sexe. Il reste minuscule. Et tout mou...
Soudain nous entendons Clémentine demander : < Vous ne bandez jamais ? >. Monsieur Gérard fait : < Curieuse en plus ! >.
Il s'empresse de rajouter : < Non, ça fait bien quinze ans que c'est fini ! Mais c'est toujours ma bonne machine à plaisir ! >.

Clémentine donne dans une sorte de surenchère verbale et provocante. < Des plaisirs tous personnels ! > lance t-elle. Mutine.
< Non, non, les filles qui aiment sucer, y trouvent bien des plaisirs ! Tu veux essayer ? > fait encore notre vieux salopard. Rire.
< Non merci, pas ce soir ! < répond Clémentine pour créer un espoir chez le palefrenier. Il agite sa toute petite queue en riant.
Juliette me chuchote : < Elle a du cran cette jeune fille. A son âge, j'aurais pris mes jambes à mon cou pour m'enfuir d'ici ! >.
Je mets mon doigts sur les lèvres pour chuchoter un < Chut ! >. Nous mâtons comme de véritables voyeurs. Un grand moment.

Clémentine s'est accroupit devant le mec. A environ trois mètres de lui, cuisses légèrement écartées, elle observe le branleur.
Monsieur Gérard, aussi vicelard qu'il est, reste toutefois un parfait gentleman. Courtois et distant. Respectueux des convenances.
Le bougre reste d'un calme et d'une maîtrise absolus. < Chapeau ! > chuchote Juliette en me poussant du coude. Et c'est vrai !
Clémentine se redresse. < Je vais être obligée de vous laisser, monsieur. A un de ces soirs ! > fait la jeune fille en s'éloignant.
Monsieur Gérard, tout en remontant son slip, lance : < Tu reviens quand tu veux. Seule ou avec ta copine ! >. Pas de réponse.

Clémentine marche rapidement. Juste avant de sortir, elle se retourne pour dire : < A bientôt ! >. Elle fait un coucou de la main.
< Adorable petite salope ! > fait monsieur Gérard en terminant de reboutonner son pantalon. Il s'éloigne en éteignant les néons.
Nous attendons quelques instants. Juliette me prend par le bras. < Venez, on file en vitesse ! > me fait elle en m'entraînant...
Nous rejoignons Clémentine qui nous attend sous le porche de la porte. Elle agite sa main gauche. Sa main droite sur sa bouche.
< Le salaud ! > fait ma compagne à plusieurs reprises. Nous rions de bon cœur en remontant dans l'appartement Infusions. Thé.

Installés confortablement dans le canapé, nous faisons le bilan de cette nouvelle expérience fort concluante. Le mec est vicieux.
Clémentine nous raconte ses émotions. Ses sensations et les ressentis qui en découlent. < C'est hyper excitant ! > conclue t-elle.
< Je n'aurais pas votre culot, vous êtes courageuse ! > fait Juliette. < Oh, c'est juste une question d'habitude ! > fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Il est déjà 22 h45. Nous prenons congé. Nous remercions Juliette pour l'extraordinaire soirée.
De retour à la maison, je m'occupe du clitoris géant de Clémentine qui connaît une série d'orgasmes terrifiants. Pipe et dodo....

Bonne soirée aux écuries à toutes les jeunes coquines qui adorent vivre des émotions fortes en compagnie de palefreniers vicieux.

Julien - (Qui aime assurer de sa présence discrète et secrète les exactions vicelardes de Clémentine que cela excite. Dingue) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 188 -



Estelle, toute contente, vient passer la soirée avec nous. Une douce habitude

Hier matin, jeudi, c'est le concerto No 3 pour violoncelle de Wolfgang Amadeus Mozart qui nous tire du sommeil. Il est 6 h.
< Mais tu vas la fermer ta gueule, Momo ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus.
< Bonjour Julien ! > me fait ma compagne en me faisant plein de bisous. < Bonjour Clémentine ! > que je lui fais en la serrant.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes pour notre rituel pisseux. Puis nous descendons à toute vitesse. Cuisine.
Nous préparons un solide et copieux petit déjeuner. Je presse les oranges, Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain.

Rapidement, dans la cuisine, règne une appétissante odeur de pain grillé et de café fumant. Nous mangeons en bavardant. Joie.
La vaisselle. Nous remontons à la "salle d'entraînement" pour notre heure de gymnastique intense. Un vrai bonheur. C'est bien.
La douche. Il est 7 h45. Je sors la petite auto de Clémentine. Bises. Je la regarde disparaître en haut du chemin. Il fait frais.
Je remonte faire la chambre puis je file dans mon atelier. J'ai du boulot. Je termine ma seconde œuvre de commande ce matin.
A midi, je prépare un gratin avec les dernière courgettes du potager. Farcies au pâté de lentilles, champignons, ail et oignon...

Il est dix sept heures lorsque j'entends les rires des filles. Clémentine revient accompagnée d'Estelle. Elles me font plein de bises.
Estelle est toute contente et sautille autour de moi. J'arrête mon travail. Le dessin préparatoire de ma troisième commande.
< On est revenue avec le vélo ! Tu viens, on profite de cette fin d'après-midi ensoleillée ! > me fait Clémentine en m'entraînant.
Nous montons nous mettre en tenue. Dehors il fait beau, le ciel est tout bleu et il fait presque chaud. Enfin ! Tenues de cycliste.
Nous voilà rapidement tous les trois à pédaler sur la piste cyclable le long du canal. C'est absolument superbe. Nous bavardons.

Clémentine, qui a déjà raconté notre aventure de la veille, aux écuries, répond à quelques questions vicelardes d'Estelle. Coquine.
Les deux filles mangent ensemble au restaurant universitaire, à midi. Elles ont donc l'occasion de se raconter plein de trucs. Bien.
J'écoute amusé. Souvent Estelle me demande de lui raconter mon ressenti de voyeur, lorsque je suis planqué pour "sécuriser"...
Je lui décris les situations vues depuis mes cachettes. Je surveille afin que Clémentine puisse se livrer à sa passion exhibitionniste.
Estelle écoute toujours avec beaucoup d'intérêt. Elle fait : < Je veux absolument vivre ça avec toi ! Vous m'emmenez un soir ! >.

Nous arrivons au petit port de plaisance. La plupart des bateaux sont déjà recouverts de bâches. Sur les autres, rangements.
Il y a une ambiance de fin de saison. C'est un peu tristounet. Nous ne traînons pas. Il est déjà 18 h30. Il nous faut retourner.
Si nous voulons êtres de retour avant la nuit, il nous faut y aller. Le vent nous pousse. C'est très facile et plutôt sympathique.
La conversation tourne autour du même sujet. Estelle se montre, ce soir, d'une extrême curiosité sur nos agissements vicieux.
Nous arrivons pour 20 h. La nuit se met à tomber doucement. Je mets le vélo d'Estelle dans le coffre se la voiture. Tout est ok.

Nous rentrons pour nous changer. Il n'y a qu'à réchauffer le gratin de courgettes farcies que j'ai préparé à midi. Le four allumé.
Nous redescendons juste pour entendre la sonnerie du four. Clémentine prépare la dernière salade frisée du potager. Rapide.
Je mets la table. Estelle fait l'assaisonnement. Tout va très vite. Nous sommes méthodiques. Nous voilà assis à savourer. Bon !
La conversation tourne maintenant autour des cours et de la faculté. Les deux étudiantes évoquent quelques sujets d'études.
Nous mangeons d'un bon appétit. La vaisselle. C'est Estelle qui plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. Je reste silencieux.

Estelle s'essuie les mains. Je termine de ranger la dernière assiette. Je suis devant le buffet. La jeune fille se rapproche de moi.
Par derrière, au travers le tissus de mon jean, elle m'attrape par les couilles. < Tu as les boules, hein, mon salaud ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur lorsque de son autre main, Estelle palpe le tissus de ma braguette. Clémentine fait : < Chasse gardée ! >.
Nous rigolons tous les trois comme des bossus. J'attrape Estelle par ses cheveux pour l'entraîner fermement dans mon atelier.
Clémentine nous suit. Estelle glousse de plaisir devant mon initiative. Je l'entraîne jusque devant le vieux canapé. Je la bascule.

Estelle, fermement maintenue par ses cheveux que je tiens en queue, me regarde avec son air de défi habituel. Bien salope.
J'ouvre ma braguette. Clémentine a passé une main dans son jean ouvert. Ma compagne adore mes comportements vicieux.
Estelle tente de se débattre. Je sors ma bite que je lui passe sur le visage. Estelle pousse de véritables rugissements. Débats.
Je lui mets une gifle. Ce sont toujours des gifles sans la moindre intention violente. Elles font parties du jeu qu'aime Estelle.
Je la force à se mettre à genoux sur le vieux plancher de chêne ciré. < Non ! Espèce d'ordure ! > s'écrie Estelle. Un jeu parfait.

Ni Clémentine, ni Estelle ne s'attendaient à mon comportement. Les deux filles aiment tant êtres surprises. Les voilà servies.
J'essaie d'enfoncer mon sexe dans la bouche d'Estelle qui reste obstinément avec les lèvres serrées. Une nouvelle gifle. Bien.
Estelle ne cesse plus de rugir en tentant de se libérer de mon étreinte. Elle détourne la tête avec force. A gauche puis à droite.
Clémentine, debout à quelques mètres, cambrée sur ses genoux fléchis, une main dans son jean, observe mes agissements.
Elle me fait un sourire. Je peux découvrir des gouttelettes de sueurs qui suintent sur ses joues. Elles brillent sous le plafonnier.

Malgré tous mes efforts, je n'arrive pas à enfoncer ma bite dans la bouche d'Estelle qui a réussi à se redresser. Grande force.
Je la tiens toujours fermement pas ses cheveux. Penchée en avant, aves ses mains, la jeune fille tente de me repousser. Rien.
Je l'entraîne aux toilettes. < Non ! Je n'ai pas de fringues de change ! > s'écrie Estelle en opposant une résistance incroyable.
La jeune fille sait ce que je lui réserve aux chiottes. < Je t'en prête ! > fait Clémentine en nous suivant sans cesser sa branle.
Estelle se débat avec une incroyable vigueur. Elle arrive à se redresser complètement pour me cracher au visage. Une gifle...

Clémentine, que tout cela excite toujours considérablement, se masturbe doucement, debout à côté de la cuvette des toilettes.
Je réussi, avec peine, à remettre Estelle à genoux. < Non ! > s'écrie t-elle avec rage. Je ne sais jamais si elle "joue" ou pas.
Je bande mou. J'ai une méchante envie de pisser. Avec l'agitation de la jeune fille à genoux, il m'est impossible de viser juste !
Cette salope comprend qu'en restant mobile et agitée, elle ne risque pas de se faire pisser au visage. Ce que je lui réserve...
Clémentine accélère son mouvement. Ma compagne se tient de sa main libre contre le mur. De l'autre elle se masturbe. Souffle.

Il faut se faire une raison, ce soir, il sera impossible de pisser au visage d'Estelle. Je la laisse se redresser. Elle est agitée. Bien.
Je l'entraîne à l'atelier en la maintenant par les cheveux. La jeune fille avance penchée en avant essayant de me saisir en criant.
Clémentine nous précède en nous observant. Il fait chaud. Nous sommes tous les trois en sueur. Je bascule Estelle sur le canapé.
Je la lâche enfin. < Espèce de salopard, va ! > me lance t-elle en me lançant un regard d'une extrême sévérité. Je m'approche.
Estelle anticipe la nouvelle gifle que je veux lui administrer. Elle se lève et me gifle fortement. < Tiens, ordure ! > s'écrie t-elle.

Les gémissements de Clémentine s'accélèrent. Elle est debout en se tenant à la table de travail. L'orgasme la terrasse soudain.
Estelle s'accroupit. Sans prévenir, la jeune fille se met à me sucer. Elle tombe à genoux, poussant un râle. Je ne comprends pas.
Autant Estelle se débattait encore il y a quelques instants pour éviter la bite dans la bouche et la voilà maintenant à faire une pipe.
Je sais bien que le comportement féminin est toujours plein de surprise, souvent étonnant. Une fois de plus j'ai affaire à tout ça.
Estelle me taille une véritable pipe des familles. Clémentine se vautre dans le canapé en poussant de profonds soupirs. Orgasme.

Estelle cesse aussi soudainement qu'elle a commencé. Se redresse. Elle se serre contre moi avant de m'embrasser avec fougue.
< Oh là, on se calme, c'est mon mec ! > lance Clémentine qui reprend ses esprits. Ma compagne se lève pour s'interposer. Rires.
< C'était génial ! On aurait du filmer ! > lance Estelle en passant les mains dans ses cheveux pour les lisser. Elle me fait un sourire.
Il est déjà 22 h30. Je le lui fais remarquer. Il est temps de la ramener. Estelle, un peu tristounette se prépare. < Super ! > dit elle.

< Tu me refais ça quand tu veux ! > me fait Estelle en mettant sa veste. < Tu as été génial ! > fait Clémentine, serrée contre moi.
Dans la voiture, Estelle assise sur le siège arrière, me tient par le cou. Elle me caresse un peu. Nous la déposons près de chez elle.
Je sors son vélo du coffre. Elle m'embrasse. Clémentine une fois encore s'interpose. Au retour, je crois nécessaire de la rassurer.
< Ne t'inquiète pas ! Je ne me fais aucun souci en ce qui te concerne. Mais Estelle me semble un peu trop amoureuse ! > dit elle.
Arrivés à la maison, nous montons rapidement. Clémentine a ses "petits machins" de fille. Je m'occupe de son clito. Elle me suce...

Bonne soirée à toutes et à tous avec votre visiteuse préférée. Surtout si cette visiteuse est une jeune fille de 20 ans. Le must...

Julien - (Qui sait se montrer plein d'initiative pour le plus grand bonheur de Clémentine et pour le plus grand plaisir d'Estelle) -

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Classe
La fin de la quatrième page - Déjà -
Saturday 23 September 2017 05:59

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe

Nous voilà à la fin de cette quatrième page.

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette" ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteurs toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. "Classe". Toute la place est disponible pour les épisodes qui se suivent.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique cinquième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 189 -



C'est la dernière matinée de cours de cette seconde semaine. Déjà...

Hier matin, vendredi, comme tous les jours, c'est la station "France Musique" qui nous tire de nos sommeil. Valse de Chopin.
< Mais tu vas la fermer ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus. Plein de bises.
< Bonjour Julien ! > me fait ma compagne en m'entraînant par la main. < Bonjour Clémentine ! > que je fais en la suivant.
Après nos rituels pisseux nous descendons à la cuisine à toute vitesse. Morts de faim, nous préparons notre petit déjeuner.
Tout en mangeant avec bon appétit, nous faisons un rapide bilan de cette seconde semaine de cours. Un bilan plutôt positif.

Nous faisons notre vaisselle. Nous remontons pour nous offrir le second plaisir de la journée. Un entraînement d'une heure.
La douche. Il est déjà 7 h45. Je vais sortir la petite auto de Clémentine. Bises. Je la regarde s'éloigner. Un coucou de la main.
Je monte faire la chambre avant de me rendre à l'atelier. J'ai du travail qui m'attend. Il fait déjà beau. Il y a du soleil. Bien.
Clémentine revient pour midi quinze. < Week-end ! > s'écrie t-elle en se précipitant dans mes bras. Je la soulève. Des bises.
Je la fais tourner en l'air. Clémentine m'aide à la préparation du repas. Elle s'occupe de la salade de carottes. Je fais les pâtes.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte sa matinée. Cet après-midi, nous irons faire du vélo.
Avec cette magnifique journée, il serait bien dommage de nous priver de ce nouveau plaisir. Nous évoquons le week-end à venir.
Si cette météo se maintien nous pourrons récidiver demain après-midi et dimanche nous pourrons partir en randonnée. Superbe.
Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous mettre en tenues. Shorts et T-shirt, baskets. Vêtements chauds dans le sac à dos.
Je vérifie le gonflage des pneus de nos bicyclettes. 4,5 bars, devant et derrière. C'est bon. Nous voilà sur la piste cyclable. Bien.

Il est à peine 14 h et nous croisons quantité de cyclistes. Des joggeurs et des promeneurs. Un léger vent de face. Des efforts.
Nous bavardons. C'est presque une journée d'été alors que nous sommes le premier jour de l'automne. Contraste saisissant.
< Je m'offrirais bien un "plan" ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur car ça fait longtemps qu'elle ne s'est pas "amusée".
Nous nous arrêtons à l'écluse du vieux cabanon. C'est un lieu d'exhibe assez génial. Clémentine prend le petit sac à dos. Fouille.
Elle en retire une de ses jupettes "tennis". Elle retire sa culotte. Nous sommes dissimulés derrière les fourrés à côté du cabanon.

Clémentine est rapidement prête. Je reste là avec les deux bicyclettes. Je regarde la jeune fille traverser la piste cyclable. Rien.
Elle traverse la passerelle métallique au-dessus du canal. La voilà de l'autre côté de l'écluse. Clémentine me fait des coucous.
La jeune fille reste discrètement à guetter entre deux bosquets. Endroit stratégique qui permet de voir sans être vu. C'est bien.
L'attente n'est pas très longue. Il y a un cycliste qui arrive. Rapide, il ne se rend compte du "spectacle" qu'au dernier moment.
Il voit cette jeune fille, accroupit, cuisses écartées, cheveux qui pendent sur son visage baissé. Elle porte ses lunettes noires...

Le cycliste freine à en rompre les câbles de ses freins, faisant patiner son pneu arrière sur quelques mètres. Il s'arrête pour voir.
Il descend de son vélo pour revenir sur ses pas. Clémentine ne bouge pas. Le type regarde autour de lui. Il n'y a personne. Seul.
Depuis ma cachette je n'entends pas ce qu'il dit à plusieurs reprises à la jeune fille qui reste immobile. Aucune réponse. "Show".
L'individu, sans doute quadragénaire, grand et mince, évalue certainement la configuration des lieux. La passerelle sur sa droite.
Va t-il traverser ? Je reste concentré, toujours prêt à intervenir. Il pose sa bicyclette contre le panneau. El regarde partout. Soin.

Clémentine relève enfin la tête. Le type se met à bavarder. Je vois ma compagne sourire à plusieurs reprises. Polie, elle répond.
Une conversation s'engage. Il y a parfois un groupe de cyclistes qui passe. L'attitude du quidam lui permet de se relever. Bien.
Aucun passant ne se douterait de ce qui se déroule ici. Et c'est tant mieux. Le type met la main dans son short. Il se tripote. Joie.
Il me tourne le dos. Il est à environ une trentaine de mètres. Il ne se doute pas que je suis là. Je ne vois que son short descendu.
Pas l'ombre d'un doute, l'homme se masturbe devant la jeune fille. Je le comprends parfaitement. Le spectacle est si merveilleux.

Il est certainement entrain de faire quelques propositions à la jeune fille. Je la vois faire des signes négatifs de la tête, des mains.
Le type se dirige pourtant vers la passerelle. Clémentine s'est redressée. Le quidam semble hésiter. Finalement il reste de ce côté.
Clémentine est un peu "bloquée" sur l'autre rive. Le cycliste prend certainement conscience du "piège" qui se tend. De l'imprévu.
Finalement, animé d'une pulsion incontrôlable, l'inconnu traverse la passerelle. Je suis prêt à assurer mon rôle. Je sécurise. Vigile.
Je vois Clémentine avoir une attitude défensive. Elle est prête elle aussi à remettre le type à sa place. Le cycliste arrive. Sérieux.

J'arrive. Je m'approche de la passerelle et tenant les deux bicyclettes. Le type comprend que la situation devient critique. Il cesse.
Extrêmement gêné par ma présence soudaine, il remballe et remonte son short. Il est bien emmerdé maintenant. Et à son tour.
Clémentine vient me rejoindre. Le type reste penaud derrière les bosquets. Nous montons sur nos vélos pour repartir. Balade...
< Tu te rends compte ? Seule en présence de ce genre de mec ! Merci Julien ! > me fait Clémentine en prenant ma main. Attention.
Nous arrivons au petit port de plaisance. Il y a de l'animation. Les estivants sont affairés sur les ponts de leurs bateaux. Ambiance.

Nous nous offrons des cônes glacés avant de flâner sur les quais. < Regarde, l'emmerdeur , là-bas ! > me fait Clémentine. Le mec.
C'est le cycliste de tout à l'heure qui arrive à son tour. Il ne nous voit pas parmi tous les gens occupés sur les quais. Nous mâtons.
Le gaillard pousse sa bicyclette le long des quais. Il arrive à notre hauteur. Dès qu'il nous voit, il fait demi tour. Le bougre est mal.
Nous rions de bon cœur de son attitude. Il est déjà 17 h30. Nous prenons le chemin du retour. Le vent nous pousse. C'est facile.
Clémentine me propose de nous arrêter au même endroit. < Peut-être un autre "plan" ! > me fait elle. Je lui conseille de cesser.

J'évoque cette fameuse loi des séries. Cette loi qui impose une possibilité de la rencontre avec un second enfoiré du même style.
< Tu as raison ! > me fait Clémentine un peu déçue. Nous nous remettons toutefois en situation pour notre seul plaisir. Excitant.
Nous sommes de retour pour 20 h. Clémentine est terriblement excitée par cette petite aventure. Je propose de m'en occuper !
La jeune fille, lorsqu'elle a ses "petites affaires" de fille apprécie lorsque je m'occupe de son clitoris géant. Je l'emmène au salon.
A genoux entre ses cuisses largement écartées, je fouille les plis et les replis des peaux de son clitoris. Elle en gémit de bonheur.

Il me faut être vigilant. Cette caresse sublime déclenche rapidement un orgasme. Clémentine me tient par les oreilles. Elle "guide".
A chaque fois qu'elle me repousse avant l'instant fatidique, pour calmer le jeu, je tire un peu sur la ficelle qui pend de sa touffe.
Nous rions de bon cœur. La situation perdure un long moment. Nous sommes morts de faim. Je propose de préparer la bouffe.
Nous trottinons jusqu'à la cuisine. Clémentine se serre contre moi. < Je t'aime comme une folle ! > me chuchote t-elle. Bisous.
Je prépare mes fameuses tartines aux filets d'anchois que je passe au four. Avec une salade de tomates. Les dernières du jardin...

Nous traînons à table. Nous faisons le programme de la matinée de demain. Il faudra faire des courses. Légumes et fromages.
Nous irons au marché puis au supermarché. Clémentine, assise sur mes genoux, me fait part de ses ressentis de l'après-midi.
< Tout à l'heure, je vais te sucer ! Tu vas voir un peu ! >. Nous rigolons comme des bossus. < C'est une menace ! > fait elle.
Nous faisons la vaisselle. Je la surprends par un comportement de vrai salopard. Comme j'ai fait hier soir avec Estelle. Super.
< J'adore quand tu me traites comme ça ! > me fait ma compagne que je tire sans ménagement jusqu'aux toilettes. Pipe. Jus.

Bonne balade à bicyclette à toutes les jeunes filles exhibitionnistes, (et majeures), qui aiment saisir les bonnes occasions.

Julien - (Qui sécurise toujours les exactions vicelardes de Clémentine qui peut s'exhiber en toute quiétude. Avec son "vigile") -

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