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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 337 -



Estelle réalise une fois encore son fantasme d'actrice porno...

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par un léger mouvement du lit et des couvertures. Je fais mine de dormir.
Je regarde discrètement sur ma gauche. Clémentine, couchée sur le ventre, se masturbe doucement. J'admire le spectacle.
Son sixième sens est infaillible et même dans les situations d'égarement. Elle redresse soudain la tête pour me surprendre.
< Bonjour mon amour ! > me fait elle en cessant pour venir se blottir contre moi. Je murmure : < Bonjour Clémentine ! >
< J'ai fait un rêve érotique ! > me chuchote t-elle avant de me chevaucher en riant. Nous filons aux toilettes pour le pissou.

Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il est 7 h50. Le thermomètre extérieur indique 3°. Froid.
Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve érotique.
Une fois encore elle est aux écuries. Cette fois avec la jeune serveuse du restaurant qui la tourmente. Et avec le palefrenier.
Nous rions de bon cœur à l'évocation de cette révélation. Je lui dis : < Il faudra faire basculer tout ça dans notre réalité ! >.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine me fait : < Je préfère vivre ces situations avec Estelle ! >

Dehors, il pleut à verse. C'est encore une de ces météos épouvantables que nous détestons tout particulièrement. Le froid.
Nous faisons la vaisselle avant de remonter pour nous livrer à notre gymnastique quotidienne. Il faut remplacer le jogging.
La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte son pantalon à plis et à pinces, très moulant. Ses fesses sont superbes.
Un chemisier sous un pull. Des souliers de villes à légers talons. Sur sa demande je porte un pantalon d'épais velours brun.
Une chemise sous un pull, mes souliers de "gentleman farmer". Nous faisons les clowns devant le miroir. Il est déjà 10 h15.

Sous notre immense parapluie, nous allons jusqu'au garage pour sortir l'auto. Clémentine porte une épaisse veste étanche.
Je porte une grosse veste de velours. Nous avons nos écharpes, nos bonnets et nos gants. Je roule doucement sous la pluie.
Nous passons devant le haras. < Plus qu'une semaine ! > dit Clémentine qui fait allusion à son stage en entreprise. Sympa.
Clémentine joue avec mon sexe. Nous arrivons au bourg. Il y a du monde. Sous le parapluie, nous y faisons notre marché.
Les légumes, fruits, fromages, œufs, beurre, crème et yaourts. Je porte les sacs. Clémentine nous abrite sous le parapluie.

C'est tellement désagréable de faire son marché sous la pluie, de rouler sous la pluie, que nous tentons d'occulter la météo.
Nous arrivons au supermarché. Je pousse le caddie. Clémentine nous abrite de l'immense parapluie jusqu'à l'entrée du lieu.
Il y a peu de monde. Il est bien réconfortant de se retrouver au sec, au chaud, à flâner dans le rayon des produits d'entretien.
Nous en rions de bon cœur. Nous traînons un peu dans les allées. Nous faisons nos provisions. Clémentine tient la liste. Bien.
A la poissonnerie Clémentine me fait du coude : < Regarde là-bas, madame Walter et son mari ! > me fait elle. Je regarde...

Ils ne nous ont pas vu. Clémentine m'entraîne au rayon culturel. Nous en faisons deux fois le tour. Peut-être une opportunité.
< Reste là ! > me fait Clémentine en me laissant devant les bandes dessinées. Je la regarde pousser le chariot dans l'allée.
Il y a un jeune type vêtu d'un anorak, d'un jean et coiffé d'un bonnet à pompon. Il feuillette un gros album de photographies.
Clémentine se place entre le chariot et l'inconnu debout à environ deux mètres. Elle fait mine de chercher un ouvrage précis.
Je mâte mieux pour découvrir qu'elle se touche discrètement de la main gauche tout en lisant une quatrième de couverture.

Le type repère très vite le manège de cette grande jeune fille à sa gauche qui le dépasse d'une demi tête. Elle est très discrète.
Je peux comprendre l'émoi du jeune homme, moi-même je bande déjà comme le dernier des salauds. Le type s'avance un peu.
Il engage la conversation. Je vois Clémentine répondre en souriant. Bien évidemment, trop heureuse, elle continue à se toucher.
Le jeune gaillard, 25 ans tout au plus, n'est pas du genre timide. Je vois Clémentine rire plusieurs fois. Nul doute. Un plaisantin.
J'admire l'aplomb avec lequel ma compagne bavarde effrontément avec l'inconnu sans cesser de se toucher entre les cuisses...

Je vois Clémentine sortir un stylo et un papier de son petit sac à main en bandoulière. Elle tend le tout au jeune gars qui écrit.
Le mec est un parfait gentleman. A aucun moment il n'a une attitude ambiguë. Lorsque Clémentine le salue, il ne tente rien.
L'inconnu se contente de la suivre du regard un instant avant de se replonger dans sa lecture. Je rejoins Clémentine aux CD.
Elle me montre la petite feuille de papier. < Et encore un numéro dans la collection ! > me fait elle. Nous en rions de bon cœur.
Nous passons à la caisse. Je propose à Clémentine de manger à la cafétéria du supermarché. < Beurk ! > me fait elle. Poilade.

< Viens, on rentre ! On a tout ce qu'il faut à la maison ! > me fait elle en m'entraînant rapidement jusqu'à la voiture. Parapluie.
Nous sommes de retour pour 12 h45. Nous rangeons nos courses. Je prépare la pâte à pain pour les pizzas de ce soir. Garniture.
Clémentine s'occupe de la salade. Nous nous sommes changés. Nous voilà en jeans et en chemises à carreaux sous nos tabliers.
Pour midi, je fais des haricots verts poêlés avec une omelette aux champignons. Ma compagne me raconte ses émotions. Rires.
< Il m'a gonflé ce con là, avec ses histoires de pêche à la ligne ! > me confie Clémentine à propos de l'inconnu du supermarché.

Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous mettons nos anoraks pour aller chercher Estelle. Il est presque 14 h. Il pleut.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel avec son sac de sport. Toute contente elle nous fait plein de bises. Heureuse.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée de hier et sa matinée. Nous sommes de retour.
Nous passons immédiatement à l'atelier. Les filles ont du travail Estelle a préparé un condensé des cours pour Clémentine. Bien.
Je suis assis à mon chevalet. Je commence la peinture de la seizième toile destinée à ma saison d'été. Le feu dans la cheminée...

Cette appréciable séance de travail se prolonge jusqu'aux environs de 18 h. La nuit ne va pas tarder. Et la pluie n'a pas cessé.
Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Estelle vient rapidement me rejoindre. Elle se blottit contre moi en me serrant très fort.
< Je suis contente d'être là. J'attends ça toute la semaine, le Week-end ensemble ! > me fait elle. Clémentine vient à son tour.
< Voilà ! J'ai le dos tourné deux minutes ! > fait elle en s'interposant. Nous rions de bon cœur. Estelle étale la pâte onctueuse.
Je fais réchauffer la garniture. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle insiste pour étaler la garniture. J'y mets du Parmesan.

Les pizzas sont au four. La table est mise. Nous passons au salon. Estelle découvre le montage des panneaux de contre plaqué.
Elle en fait le tour plusieurs fois. Elle vient se blottir contre moi. < C'est au-delà de mes rêves les plus fous ! > s'écrie t-elle.
Clémentine vient s'interposer en disant : < Oh là ! Et je te rappelle que c'est mon mec ! >. Nous en rigolons comme des bossus.
Je sors le trépieds de son carton d'emballage habituel. Clémentine y fixe la caméra qu'elle branche dans la prise avec la rallonge.
Nous faisons un rapide essai avec l'éclairage. Tout est parfait. Estelle se met en situation à genoux en disant : < Génial ! >. Joie.

Clémentine branche la caméra sur l'ordinateur qu'elle relie au téléviseur. Un câble HDMI. Ainsi le téléviseur servira de moniteur.
J'admire sa totale maîtrise de l'outil informatique et de ses possibilités. Je récupère l'épais coussin que je dépose devant le trou.
Clémentine vérifie l'angle de prise de vue. Je prends position derrière les panneaux. Sur l'écran télé, je vois tout ce qui se passe.
L'illusion est parfaite et totale. L'angle de prise de vue permet d'imaginer un mur, en "dur", où il y aurait un trou bien rond. Joie.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Je sors les pizzas. Nous mangeons de bon appétit. Et tout en bavardant.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Estelle m'entraîne au salon, impatiente et fébrile. Rires.
De la poche de sa chemise, elle sort la petite boîte en plastique contenant les cartes SD. Estelle choisi celle de 8 GO. 2 heures.
Clémentine introduit la carte SD dans la caméra. Sur le conseil de ma compagne, Estelle passe un pull noir. Mieux pour l'image.
Comme les panneaux sont blancs, la silhouette du buste d'Estelle se détachera d'autant mieux. J'écoute les recommandations.
Je suis toujours admiratif devant l'esprit d'initiative de ma compagne. Quel que soit le domaine. C'est l'efficacité et la réflexion.

Clémentine s'accroupit derrière la caméra. Estelle se tient en retrait, haletante et toute contente. Elle me tient la main très fort.
< Moteur ! > fait Clémentine juste avant d'appuyer sur le bouton. Estelle me lâche pour s'avancer dans le champs de l'objectif.
Je la regarde se pencher devant le trou parfaitement rond et noir. A dessein la jeune fille fait durer cette inspection. C'est super.
Estelle joue son rôle à la perfection, sans répétition. Je la regarde s'accroupir, ses mains en appui sur la cloison. Elle observe...
Le visage tout près du trou, la jeune fille regarde par l'orifice. Elle y passe un index. Clémentine me fait signe. Je passe derrière.

Je descends mon pantalon et mon slip. Je passe mon sexe dans le trou. Je regarde l'écran du téléviseur. Je vois ce qui se passe.
C'est absolument génial. J'ai l'impression de voir un film porno. Avec la différence que la bite que je vois à l'écran est la mienne.
C'est magique. Mon sexe pend du trou. Un peu pathétique, peut-être même pitoyable. Estelle qui approche son visage tout près.
Je la regarde humer longuement la chose qui dépasse sur la cloison claire, savamment éclairée d'une lumière indirecte. Ombres.
Une fois encore, je constate le remarquable travail de préparation de ma compagne. L'image est fixe. La caméra ne bouge pas.

Je me cambre contre le panneau afin de faire dépasser le maximum de ma queue molle et flasque. Je dois pisser. Et fortement.
J'hallucine en regardant les images sur le téléviseur. Je ne vais pas pouvoir regarder trop longtemps. Une position inconfortable.
Estelle, dont je ne vois que le buste et le profil de son visage, s'approche pour gober mon sexe. Clémentine fait un zoom. Super.
Je lâche une giclée de pisse. Estelle a le réflexe de tenter de l'éviter. Trop tard. Le visage ruisselant de pisse, elle revient pomper.
J'ai des vertiges. A chaque fois qu'une sensation nouvelle m'envahit, je regarde l'écran sur ma gauche. Je suis pris de vertiges...

Je me concentre. J'ai le privilège de pouvoir pisser en bandant. Même si je dois avouer que cela me demande de gros efforts.
Je bande encore très mou. Je lâche une seconde giclée dans la bouche d'Estelle. Filmée en gros plan, on voit la pisse dégouliner.
Il coule du trop plein de pisse le long de son menton. Estelle tente de déglutir. Et je peux l'entendre pousser des gémissements.
Je regarde l'écran du téléviseur. Je suis gagné par une excitation rarement vécue. J'assiste à un film porno. Ma bite est la "Star".
C'est délirant. Je bande à présent comme un priapique en phase terminale. Il est difficile de lâcher une nouvelle giclée de pisse.

La caméra filme tout cela en plan fixe. Clémentine vient me rejoindre derrière le décors. Elle se serre contre moi. Caresse. Bise.
< Tu es divin ! Si tu savais comme j'ai envie d'être à la place d'Estelle ! > me chuchote t-elle en observant l'écran du téléviseur.
Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. Contrairement aux films pornos, Estelle ne bouge pas. Elle reste immobile. Pipe.
Il n'y a que dans les films que les actrices remuent de la tête bêtement pour branler le mec de leur bouche en même temps...
Je suis couvert de sueur. L'indicible caresse me procure des sensations nouvelles. Par contre la position est douloureuse. Reins.

Comme si elle s'en doutait, Clémentine me masse le dos au niveau des lombaires. Ce qui me procure un réconfort délicieux.
Je suis entrain de me faire tailler une pipe dans une situation absolument délirante. < C'est pervers ! > chuchote Clémentine.
La situation perdure un long moment. Clémentine m'embrasse. Cela provoque des montées de liquide séminal abondantes.
Ma compagne me laisse après m'avoir chuchoté : < Il faut que j'assure, j'y retourne ! >. Je regarde l'écran. Estelle est si belle.
La caméra zoom encore. On voit avec une netteté chirurgicale chaque bouton autour de la bouche d'Estelle. C'est phénoménal.

Je contrôle toujours parfaitement mon sexe et mon excitation. Je peux faire durer autant que je veux. Mais là, c'est difficile.
J'éjacule comme le dernier des salauds. J'inonde littéralement la bouche d'Estelle qui tente de déglutir en gémissant de joie.
Je regarde l'écran. La jeune fille en a aux commissures des lèvres. Et pourtant elle n'en perd pas une goutte. J'ai mal au dos.
Je la laisse savourer. Je l'entends pousser des petits cris de ravissement. Je peux enfin lâcher une nouvelle giclée de pisse...
Je regarde l'écran en même temps. Il lui en dégouline partout. Estelle se détourne. Elle fixe l'objectif en ouvrant sa bouche !

Là, sur l'écran du téléviseur qui n'en demandait pas tant, je découvre le regard vicelard de cette jeune fille que je connais.
De savoir que c'est Estelle, que je crois connaître si bien, qui est là, à fixer l'objectif de la caméra me fait repartir d'un coup.
Estelle me suce avec une gourmandise raffinée. Je la vois savourer ma queue comme rarement. Evidemment hyper excitée.
Cette jeune fille peut vivre là, à nouveau, et avec une dimension nouvelle, son fantasme d'actrice porno. Actrice talentueuse.
Je bande presque jusqu'à la douleur. Nous repartons pour un second tour. Clémentine vient me rejoindre. Elle se masturbe.

Impossible de pisser. Je me fais sucer. Clémentine me masse à nouveau les lombaires. C'est comme si elle devinait le mal.
La douceur indicible de la pipe. La douceur indicible de la présence de Clémentine. Je ne vais pas tarder à m'évanouir. Fou !
Il y a le petit signal sonore qui retentit. Il reste exactement cinq minutes de film. Clémentine me laisse pour retourner. Joie.
J'éjacule. Estelle me pompe avec une telle avidité, me vidant les couilles jusqu'à les essorer, les retourner, que j'en ai mal !
Je pisse en me lâchant sans contrôle. Je regarde l'écran. C'est délirant. Le visage ruisselant de pisse, Estelle fixe l'objectif.

J'anticipe. Le signal sonore de la caméra annonce la fin de la capacité de la carte SD. Il y a une heure trente de saloperies.
Je m'écroule dans la chaise à bascule derrière moi. Clémentine vient me rejoindre. < Tu as été parfait ! > me confie t-elle.
Estelle arrive à son tour en s'essuyant avec la serviette préparée par Clémentine. Elle s'accroupit et me dit : < Je t'aime ! >
Je reprends mes esprits. J'ai l'appareil génital congestionné. La bite et les couilles en compote, endolories. C'est fabuleux.
J'ai rarement vécu une telle excitation. Je suis épuisé. Il est 23 h. Nous sommes tous les trois bien fatigués. Nous montons.

A la salle de bain, tout en maniant le sèche cheveux, Estelle me confie à quel point mes épanchement étaient abondants.
< Je veux refaire ! > me fait elle encore. < Aux écuries, avec le vieux, dans le box ? > lui demande Clémentine. Rigolade.
< M'en fous, mais je veux revivre ce truc, c'est trop "puissant" ! C'est super ! > répond Estelle. Nous nous lavons les dents.
Nous voilà couchés. Clémentine blottie contre moi. Nous entendons le léger ronflement d'Estelle qui s'endort la première.
Clémentine me chuchote le plaisir qu'elle a eu à assister et à réaliser tout cela. <Moi aussi j'ai envie > me confie t-elle. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui réalisent enfin leurs fantasmes d'actrices porno avec la complicité d'un couple...

Julien - (Qui a besoin d'une bonne "nouille" de sommeil afin de recharger ses couilles, flétries, vidées et toutes fripées) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 338 -



Estelle, Clémentine et moi...

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des murmures, des chuchotements, des rires étouffés. Il est 7 h50.
On me tient soudain fermement par mon érection matinale. J'ouvre l'œil et le bon. < Bonjour Julien ! > me font les filles.
Je me mets à quatre pattes entre les deux coquines. Je les chatouille en imitant les grognements de l'ours des cavernes.
Estelle parvient à s'enfuir jusqu'aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Douceur, tendresse et papouilles. Bises.
Estelle revient dans son pyjama de soie mauve. Elle nous dit : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Elle descend.

Clémentine lui répond : < On arrive ! > tout en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux. Humides.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse à la cuisine. La délicieuse odeur du café et du pain grillé embaume. Délice.
Estelle se précipite dans mes bras. Des bises. < Merci pour hier soir ! C'était génial ! > me fait elle. Clémentine s'interpose.
< Oh là ! On se calme la tailleuse ! > fait ma compagne en se serrant contre moi. Nous rions de bon cœur. Ambiance. Joie.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. Confiote. Miel...

Les filles évoquent leurs études. Encore une semaine de cours et ce sont les vacances de février. De quoi se réjouir. Bien.
Pour Clémentine c'est le timing parfait. C'est en même temps la fin de son stage en entreprise. < Il est temps ! > fait elle.
Même si tout le personnel est très sympathique, même si le lieu est plutôt agréable, le travail de bureau ennui Clémentine.
< Au moins tu peux t'amuser. Il y a le palefrenier ! > fait Estelle, se levant pour mimer une masturbation masculine. Rires.
< A ce propos, on se prépare un plan un de ces soirs ! > répond ma compagne en se levant pour faire la même imitation...

Il est décidé de mettre un truc au point pour jeudi soir. Je dois emmener l'auto de Clémentine en révision. Première année.
J'emmènerais ma compagne pour 14 h. J'irais chercher Estelle avant de revenir au haras pour 18 h. Une superbe stratégie.
Nous mettons rapidement tout au point. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Les filles passent au salon. Je range.
Le dimanche matin, c'est "Ménage". J'entends les filles rire au salon. Clémentine fait lire nos récits de la semaine à Estelle.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère partout sur les carrelages. Je n'entends plus rien. Estelle est toute seule.

Clémentine est montée faire la chambre. Je sors l'aspirateur du placard mural. Je vais au salon. Estelle me fait un sourire.
< Je lis vos écrits avec un vrai bonheur ! Tu racontes presque tout, Julien ! > me fait Estelle en se levant pour se blottir fort.
Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, ces situation me mettent un peu mal à l'aise. Estelle se blottit contre moi. Silence.
< J'ai vécu quelque chose de fort hier soir, tu sais. Sans vous deux, mes fantasmes resteraient du rêve ! > me confie t-elle.
Elle rajoute : < De plus, cette expérience me permet un entraînement pour la même chose aux écuries, ce printemps ! >.

Je caresse les cheveux d'Estelle qui me murmure tout cela de sa voix douce. Elle me laisse pour rejoindre le décors au fond.
Les panneaux de contre plaqué blancs sont toujours là. Estelle se met à genoux devant le trou et me dit : < On refait ? >.
J'agite mon index en signe de menace. Je branche l'aspirateur. Je passe le tuyau consciencieusement sous tous les meubles.
Estelle est assise derrière le bureau, devant l'écran de l'ordinateur. Elle me lance : < Viens voir ! >. Je passe derrière elle.
Il y a l'image fixe du film que nous avons fait hier soir. < Je fais le montage demain. On se le mâte samedi soir ! > dit elle.

Je monte rejoindre Clémentine qui termine de changer les draps. Je lui raconte l'attitude et les aveux d'Estelle. Elle écoute.
Se serrant dans mes bras, ma compagne me fait : < Le printemps sera "chaud" ! >. Nous rigolons comme des bossus. Joie.
Je ramasse les draps sales. Nous allons à la salle de bain. Je nettoie le bac à douche et le bidet. Clémentine fait les miroirs.
Nous bavardons. < C'est génial ce que nous avons vécu hier soir. J'en ai envie aussi ! > me fait Clémentine en m'embrassant.
Je lui chuchote : < Aux écuries ? >. Clémentine me serre fort. < Mais d'abord avec toi ! > me fait elle avant de m'embrasser.

Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut. Je passe la serpillère sur les sols.
Je descends. Les filles sont au salon. Silencieuses, elles scrutent l'écran de l'ordinateur. Elles surfent sur le site de l'université.
Clémentine m'explique ce que je découvre sur l'écran de l'ordinateur. C'est passionnant. Un secret que je ne peux révéler ici.
Estelle et Clémentine se destinent toutes deux à l'enseignement supérieur en tant que "Maîtres de conférence". Le professorat.
D'où la raison de leurs travaux acharnés, de la pugnacité dont elles font preuve et de cette incroyable énergie mise en œuvre.

Je vais à la cuisine. Les pavés de saumon achèvent de décongeler. J'épluche les patates, les carottes et les navets. Une potée.
Estelle est la première à me rejoindre. Elle passe derrière moi. J'ai les mains occupées. Elle en profite pour me tripoter la bite.
Elle me palpe à travers le tissus de mon jean. < J'aime te bouffer la queue ! > me chuchote t-elle. Je me retourne. Un sourire.
Clémentine arrive à son tour et découvre la scène. < J'ai le dos tourné 2 minutes et voilà ! > fait elle. Nous rions de bon cœur.
Estelle prépare les pavés de saumon en papillotes. Clémentine s'occupe de la salade. Il est déjà midi et la faim se fait sentir...

Le thermomètre extérieur indique 7°. Le ciel est gris et bas. Il ne pleut pas mais le sol paraît bien humide. Une météo triste.
Nous mangeons de bon appétit. Le sujet de conversation tourne principalement autour de notre projet de jeudi soir. Ecuries.
Clémentine évoque le trou dans la cloison qui sépare le box du local de monsieur Gérard. Le palefrenier vicelard. Nous rions.
Ma compagne précise que si nous voulons y tourner un film dans les meilleurs conditions, il faut mettre Juliette dans le coup.
< Ainsi nous pouvons utiliser et planquer une seconde caméra. Nous aurons deux angles de prise de vue ! > fait Clémentine.

Estelle glousse en écoutant les explications de ma compagne. < C'est génial ! Je crois que j'aurais le courage ! > fait Estelle.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine nous propose de sortir cet après-midi. Au bourg !
Il y a trois petits kilomètres jusqu'au bourg voisin. Il y a une animation dans la salle polyvalente. Les festivités pour Carnaval.
< C'est surtout pour tenter un "plan" exhibe ! Hein ! > fait Estelle à Clémentine qui répond : < Oui ! Et on ne sait jamais ! >
Nous rions de bon cœur. Nous ne sommes pas du tout du genre à fréquenter les fêtes de villages dans les salles polyvalentes.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous montons. Nous faisons les clowns à la salle de bain.
Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Nos chaussures montantes. Nous passons un pull.
Nous mettons nos anoraks. Nous partons pour le bourg. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière en évitant les flaques.
Nous marchons sur la piste cyclable déserte. Trente minutes de marche et nous arrivons au bourg. Il y a du monde. Un succès.
Dans la salle polyvalente, il y a un orchestre qui joue les musiques à la mode. Plein de monde déguisé assis aux tables. Bruits.

< C'est vraiment pas mon truc ! > fait Clémentine. < C'est au dessus de mes forces ! > rajoute Estelle. Je fais la grimace. Nul.
< Venez, on s'arrache ! > fait Clémentine en nous entraînant au dehors. < Ouf ! On l'a échappé belle ! > rajoute Estelle. Rires.
Nous préférons marcher. Il ne fait pas vraiment froid. Même si le ciel est gris, il n'y a aucune menace de pluie. La campagne...
Nous contournons le bourg par la petite route qui mène à la chapelle. Nous bavardons. J'écoute les filles évoquer leurs cours.
Sur le chemin du retour, Estelle et Clémentine font pipi l'une à côté de l'autre. Nous rions de bon cœur quand je fais une photo.

Bien évidemment, les films et les photos que nous réalisons resteront à tout jamais dans le domaine privé. Personne ne verra.
C'est un pacte entre nous. Estelle y veille tout particulièrement en ne laissant aucune image sur l'ordinateur. Tout sur carte SD.
Estelle se redresse, le pantalon et la culotte à mi cuisses. < Regarde ! > me lance t- elle en me montrant sa touffe qui a poussé.
Clémentine compare. Estelle laisse pousser la sienne à la "sauvage" pour qu'elle ressemble à celle de Clémentine. Depuis un an.
Je dis : < Il y a encore des progrès à faire ! Il faut mettre de l'engrais ! >. Nous rigolons comme des bossus. Elles se rhabillent.

Nous sommes de retour à la maison juste avant le crépuscule. Il est dix huit heures. La faim se fait sentir. Il suffit de réchauffer.
Nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé pendant que le repas chauffe à la cuisine. Potée dans la cocotte. A feu doux.
Estelle à ma gauche qui joue avec ma queue que j'ai sorti. Clémentine à ma droite. Nous observons les panneaux. Contre plaqué.
< C'était géant ! > fait Estelle en nous confiant les émotions que lui procurent les souvenirs qui vont la poursuivre longtemps.
< Je fais le montage demain soir. On se mâte le film samedi soir ! Qu'en pensez vous, ça vous tente ? > nous demande Estelle.

Estelle est plutôt douée pour faire les montages des films qui la mettent en scène. Surtout dans ses fantasmes d'actrice porno.
Il est certain que ce qu'elle nous réserve pour samedi prochain sera encore au delà de ses promesses. Je lui fait un gros bisou.
L'odeur de la bouffe arrive jusqu'au salon. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Estelle me regarde amoureusement à plusieurs reprises. Clémentine qui voit toujours tout me fait du pied sous la table. Sympa.
< C'est génial, tous les trois ! > fait Estelle. < Merveilleux ! > rajoute Clémentine. Je ne sais quoi dire. Je ne dis donc rien. Joie.

C'est la vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Les filles ont encore du boulot. Je les laisse aller à l'atelier. Je range la cuisine.
Je rejoins les filles qui sont assises à la table, entourées de leurs affaires devant l'ordinateur. Je m'installe en face. Ordinateur.
Pendant qu'elles travaillent, j'écris ces lignes. L'une d'entre elles me fait du pied sous la table. < Devine qui c'est ! > dit Estelle.
Nous rions de bon cœur. Il est rapidement 22 h. Il faut ramener Estelle qui vient s'assoir sur mes genoux, un peu tristounette.
< Je ne veux plus partir ! > fait elle avec ses bras autour de mon cou. < Je te rappelle que c'est mon mec ! > fait Clémentine.

Estelle assise sur ma cuisse gauche. Clémentine assise sur ma cuisse droite. Nous faisons le bilan de ce merveilleux Week-End.
< C'était encore super, hein ! > fait Estelle. < Et il y en aura plein d'autres ! > fait Clémentine. Je les serre très fort contre moi.
C'est un bonheur. Cette maison s'est mise à vivre depuis plus d'un an. Les filles ne peuvent pas imaginer ce qu'elles apportent.
Nous avons pourtant la conscience aiguë de nos privilèges. Tout cela n'est possible que par leurs 20 ans et leurs insouciances.
Il faut y aller. Nous voilà dans la voiture. Trois petits kilomètres pour ramener Estelle jusqu'à l'arrêt de bus. 100 m de chez elle.

La séparation est difficile. Nous sommes tous les trois assis devant. Je fais plein de bisous à Estelle dont je caresse les cheveux.
Clémentine lui fait : < On se revoit mardi soir ! Et puis tu as ton montage demain soir ! >. Estelle nous quitte bien tristounette.
Nous sommes de retour pour 23 h. Les toilettes. Nous nous régalons de nos dernières gouttes. La salle de bain. Laver les dents.
Enfin au lit. Nous nous offrons un "69". Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Bon.
Immobiles, comme nous aimons, Clémentine me chuchote les plus étonnantes révélations. Cunnilingus. Fellation. Et puis dodo...

Bon début de semaine à toutes les coquines obligées de se remettre de leurs émotions. Surtout celles qui ont "pratiqué"...

Julien - (Qui s'est surpassé. Surtout samedi soir malgré ses douleurs aux lombaires, sa bite enfoncée dans la bouche d'Estelle) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 339 -



La dernière semaine du stage de Clémentine qui en a marre

Hier matin, lundi, nous nous étirons en même temps dans un long gémissement que nous ponctuons par un cri : < Bonjour ! >
J'éteins notre cube réveil juste avant que ne résonne la musique. Il est 5 h55. Nous nous serrons très fort. Tendresse et bises.
Clémentine me chevauche en riant. Après les papouilles, elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Pour nos rituel pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un rapide bilan du Week-End passé. Et le programme de cette nouvelle journée.

C'est le premier jour de la troisième et dernière semaine du stage en entreprise de Clémentine qui me dit combien elle déteste.
< Plus jamais ! > dit elle à plusieurs reprises. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Bon une fois que j'y suis ça va ! >
Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine.
Il est 7 h45. Elle me rejoint chaudement vêtue. Le thermomètre extérieur indique moins 2°. C'est dur de se séparer ce matin.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse. Froid.

Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je commence aujourd'hui la peinture de la seizième toile de ma saison.
Je peins dans un enthousiasme dithyrambique. Poussé par une euphorie délirante, je pousse les cris les plus surréalistes. Joie.
Il doit être 10 h lorsque la musique de mon téléphone déchire cette séquence de profonde concentration silencieuse. Je prends.
C'est madame Leroy, la propriétaire de l'appartement que j'ai loué dans le Périgord. La dame me confirme la réservation. Bien.

Nous bavardons un petit moment. Nous prendrons possession des lieux dimanche 22 avril en fin d'après-midi, à notre arrivée.
Tout est entendu. Nous nous saluons. Je raccroche satisfait. Je retourne à ma peinture avec une impatience gloutonne. Super.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare une sorte de ratatouille "maison", à base de courgettes et d'aubergines.
Clémentine rentre. Il est 12 h15. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous.
Avec la ratatouille, je prépare des coquillettes. Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée et sa monotonie.

Je fais rissoler la préparation. L'ail, oignon, ciboulette, champignons, aubergines, tomates et courgettes. Une odeur délicieuse.
Nous mangeons d'un bon appétit. < Tu as le bonjour de Juliette ! > me fait Clémentine. Elle me confie son immense ras le bol.
< Juliette embauche une jeune fille pour trois mois. Elle me demande de la former à partir de mercredi ! > fait ma compagne.
Juliette a pris conscience, avec la présence de Clémentine, de la nécessité de répartir le travail. C'est une excellente initiative.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part de son immense soulagement. Le haras.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Elle retire son tablier. Nous passons au salon. Impatients.
Clémentine retire son pantalon et sa culotte avant de se vautrer dans le canapé. Je me mets à genoux sur l'épais coussin. Bien.
C'est le petit moment de plaisir. Clémentine va pouvoir oublier sa vie de bureau toute provisoire. Nous sommes installés. Voilà.
Je hume longuement les parfums intimes de sa matinée de fille. C'est déjà agréablement fort. Je m'enivre de ses odeurs. Joie.
Clémentine me tient par les oreilles. Nous avons 20 minutes devant nous. Je lèche les reliefs des lèvres charnues de son sexe.

J'évite de m'attarder sur le clitoris géant de Clémentine. C'est trop intense. Je me contente de nettoyer le sexe, la raie culière.
Les gémissements de contentement de ma compagne me rassurent quand à la qualité de mes caresses. J'aime la savoir ainsi.
Il faut cesser. Je lui fais : < On reprend ça ce soir, c'est trop bon ! >. Elle m'entraîne en riant jusqu'à l'étage. La salle de bain.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Je lui montre le poil qui me restait dans la bouche. Nous rions de bon cœur.
Je raccompagne Clémentine jusqu'à la voiture. Des bisous. Un dernier coucou de la main et je regarde la voiture disparaître...

Il est 13 h50. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans une allégresse glorieuse. C'est fantastique.
Je travaille à un paysage très "commercial" et bucolique. C'est toujours récréatif et me demande moins de concentration. Bien.
A nouveau, je remporte de nouvelles victoires de quart d'heure en quart d'heure. Je me lève pour une danse du Sioux. Super.
Je tourne autour de mon chevalet, envahi de satisfaction en poussant d'invraisemblables cris de contentement. Des réussites.
A ce rythme et loin des réalités prosaïques de l'existence, mon temps cesse d'exister. Le crépuscule m'averti. La nuit va tomber.

Du bruit. Il est 18 h15. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. < Bonsoir mon amour ! > s'écrie t-elle. Joie.
Assise sur mes genoux elle me raconte son après-midi. La visite du vétérinaire qu'elle a accompagné aux écuries. Mme Walter.
J'écoute les anecdotes amusantes concernant le palefrenier. Monsieur Gérard qui se touche discrètement devant ma compagne.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle me dit : < C'est toujours très rapide, lorsque nos regards se croisent. Le salaud ! >
Clémentine est assise à la table. Elle découvre les courriels d'Estelle qui lui a envoyé les cours de la journée. Tout est très clair.

Nous travaillons encore une heure. Clémentine me commente ce qu'elle fait. Elle découvre le programme. Les notes d'Estelle.
Il est très vite 19 h15. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer. Clémentine prépare la salade.
Je mets la table. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons le film que nous avons réalisé samedi soir.
< Estelle est probablement entrain de faire le montage ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur en imaginant la scène.
< Sur 1 h30 de film, elle en gardera trente minutes ! Elle excelle dans ce genre de montage ! > rajoute encore ma compagne.

Je dis : < Nous aurons la primeur de découvrir son travail samedi prochain. La soirée "Cinéma" ! >. Nous en rions de bon cœur.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine rajoute : < Si on fait ça aux écuries, c'est génial ! >
Nous évoquons notre plan de jeudi. Je passerais récupérer Estelle pour 18 h et nous viendrons ensemble aux écuries. Sympa.
Je dis : < Je fais un courriel à Juliette demain, pour la mettre dans la combine, tu veux ? >. < Super ! > me répond Clémentine.
Clémentine acceptera l'invitation du palefrenier. L'accompagner dans son petit local pour y prendre un café. Et discuter un peu.

Estelle et moi, nous serons secrètement cachés dans le box voisin à mâter à tour de rôle par le trou dans la cloison. Excitant.
Nous rigolons comme des bossus avec la certitude de vivre un superbe moment. Tout est réglé comme du papier à musique.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Il y a toujours encore le décors.
Clémentine m'entraîne par la main pour faire le tour de ce décors. Ces panneaux de contre plaqué qui évoquent une armoire.
< C'était hyper excitant de filmer Estelle. Tu verras les images samedi. Elle s'est éclatée comme jamais ! > me dit Clémentine.

Nous faisons le tour plusieurs fois. Clémentine se met en position. Collée contre la cloison, cambrée devant le trou. Nous rions.
< Plus c'est vulgaire et plus c'est excitant. Tu ne trouves pas ? > me fait elle. Je la regarde imiter mon attitude de samedi soir.
Clémentine vient se blottir dans mes bras. < J'ai plein de choses à te confier ! > me chuchote t-elle en m'entraînant au canapé.
Elle retire son pantalon et sa culotte. Je fais la même chose. Elle s'installe dans le canapé. Je me mets à genoux sur le coussin.
Je hume longuement les odeurs de son après-midi de fille. Je m'enivre des effluves parfumées qui me donnent le vertige. Joie.

Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe humide. Les première coulées de cyprine gluante m'enchantent.
Il en coule dans la raie culière lorsque Clémentine relève haut ses jambes qu'elle tient sous ses genoux. Je me régale de tout.
Il y a ce goût vinaigré, légèrement piquant et acidulé. Je lèche le clitoris géant fièrement dressé et décalotté. C'est magnifique.
Gémissant de plaisir, me tenant par les oreilles, Clémentine me guide. Il faut être vigilant. Tout orgasme prématuré interdit !
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Bien.

Je bande comme un vrai salaud. Je contracte mes muscles fessiers afin de faire bouger mon sexe dans celui de Clémentine.
Nous adorons tous deux rester ainsi, sans bouger. Juste en nous offrant des spasmes intimes. Des contractions très discrètes.
Je pose le coussin sous la nuque de ma compagne. Je reste en appui sur mes mains. Je déteste peser de tout mon poids. Joie.
Clémentine m'attire pour approcher sa bouche près de mon oreille. J'écoute les plus étonnantes révélations. C'est merveilleux.
Elle me confie les intenses excitations que lui procurent les attitudes vicieuses du palefrenier en fin d'après-midi aux écuries.

< Ce vieux dégueulasse me fait mouiller ! S'il savait l'effet qu'il me fait ce vieux cochon ! > me chuchote ma compagne. Joie.
Nous nous mettons à nous bercer doucement, en rythme, pour cesser très vite. Les aveux reprennent. J'écoute. C'est superbe.
Je lui chuchote mes suggestions habituelles. Mon fantasme de plus en plus évident de la voir sucer le palefrenier. Une fellation.
Clémentine bouge doucement. < Raconte moi encore. Comment tu vois ça ! > me murmure t-elle lorsque je confie mon désir.
Tout cela nous excite délicieusement. Nous accélérons. Nous ralentissons. Nous revenons à l'immobilité. Nous contrôlons tout.

Je dis : < Je veux être avec toi dans le box. Je veux te regarder sucer la bite molle de ce vieil impuissant qui pend du trou ! >
Clémentine se cambre contre moi en gloussant. < Mais c'est écœurant ! Tu as vu la bite minuscule qu'il a ! > fait elle encore.
Elle rajoute : < Il est incontinent en plus ! Il me raconte en détail lorsque nous bavardons dans les écuries. Un vrai salaud ! >
Je lui chuchote : < Je suis certain que tu vas t'éclater comme jamais dans une telle situation. De plus je suis là, et avec toi ! >
< Je t'aime Julien ! C'est au-delà de mes rêves les plus fous. Tu te rends compte de nos complicités. C'est géant ! > dit elle.

Nous nous mettons à faire l'amour. Lentement, en gardant le rythme. Clémentine déteste que j'éjacule en elle. Je fais gaffe.
Elle se cambre soudain. Il est très rare que ma compagne s'emmène à l'orgasme ainsi. Elle préfère le cunnilingus. Moi aussi.
Je la tiens. Ses spasmes, les frissons qui parcourent son corps, les cris qu'elle pousse, tout cela est presque inquiétant. Fou !
Nous restons à nouveau immobiles. Clémentine se serre contre moi. < Je t'aime Julien ! Si tu savais ! > me chuchote t-elle.
Je me retire doucement. J'ai la bite gluante. Clémentine se glisse sous moi pour me sucer. Récupérer nos substances mêlées.

Il est 22 h. Nous filons à l'atelier pour terminer. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Clémentine termine ses notes. Super.
Nous montons. Les toilettes. Clémentine adore sucer mon "mélange", les reliquats de foutre qui arrive avec les jets de pisse.
Je la laisse se régaler. Je la force à se redresser. Nous passons à la salle de bain. Lavage des dents. Grimaces devant la glace.
Au lit, Clémentine se serre contre moi. < Comme je suis heureuse avec toi ! > me chuchote t-elle. Je lui caresse les cheveux.
Sa tête sur mon ventre, Clémentine me taille une pipe folle. Je lui murmure des mises en scènes aux écuries. Un vrai bonheur.

Bonne soirée de révélations à toutes les coquines qui aiment se confier dans l'intimité d'une baise maîtrisée et contrôlée...

Julien - (Le plus heureux des hommes qui écoute avec ravissement les aveux de Clémentine en lui suggérant des "trucs") -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 340 -



Estelle est tellement contente d'être avec nous...

Hier matin, mardi, c'est le concerto pour violoncelle en Mi bémol K447, qui nous tire de notre sommeil. Il est déjà six heures.
< Ta gueule Momo ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus en nous serrant très fort.
< Bonjour mon amour ! > me fait Clémentine avant de me chevaucher en riant. < Bonjour mon amour ! > que je fais. Bisous.
L'impérieux besoin naturel met fin à nos effusions. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous descendons. Vite.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Le thermomètre extérieur indique moins 5°. L'intérieur indique 20°. Bien chaud.

Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Clémentine me fait part de son impatience d'être vendredi, à midi. Je la rassure. Tout va toujours si vite. Plus que trois jours !
Ensuite, ce seront les vacances de février. Deux semaines. Estelle viendra passer beaucoup de temps avec nous, à la maison.
Les filles vont mettre le dernier coup de collier afin de prendre un maximum d'avance pour la préparation du "Master". Boulot.
Ce diplôme qui sanctionne quatre années d'études. La conversation s'articule autour de cette échéance. Je reste très rassurant.

Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Gymnastique. Aérobic, abdos, charges additionnelles. Plaisir.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Le froid.
Plein de bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse.
Je monte faire la chambre. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. Il est 8 h15.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je me livre corps et âme à ma passion. Je peins avec un enthousiasme fantastique...

Je travaille à l'élaboration de la seizième toile destinée à ma saison d'été. Je n'ai jamais pris autant d'avance. Quatre toiles.
Avec la certitude de pouvoir lever le pied dès le début juin, je pousse des cris surréalistes qui me ravissent par leurs diversités.
Il est rapidement midi. Je file à la cuisine. Je fais éclater du riz complet à sec dans une casserole sans cesser de remuer en "8".
Je rajoute quatre volumes d'eau froide dans un nuage de vapeur. Clémentine arrive. Elle se précipite dans mes bras. Des bisous.
Je la soulève pour la faire tourner avant qu'elle ne mette son tablier pour s'occuper de la salade. Je prépare une belle Béchamel.

Je prépare la pâte à pain pour la Flamiche Picarde. Je coupe le poireau en petits morceaux. Une cuisson dans l'eau bouillante.
Comme tous les mardis soirs, c'est le rituel de la tarte aux poireaux. Un régal. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade.
Je mets la table. Nous accompagnons le riz complet avec un reliquat de Béchamel dans lequel j'ai mis du Roquefort. Délicieux.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. La routine. Saisie informatique des fiches de 75 chevaux.
< Juliette te passe le bonjour ! Elle nous invite à manger un soir de la semaine prochaine ! > me fait ma compagne. Sympa...

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie l'arrivée de ses "petits machins" de fille.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Je suis réglée comme une machine. Et c'est toujours le 20 de chaque mois ! >
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Il y a toujours encore le décors.
Les panneaux de contre plaqué sont toujours encore montés, là dans le salon, entre la bibliothèque et l'horloge Westminster.
< Tu me les gardes pour moi ? > me demande ma compagne en se serrant contre moi. Nous en rigolons comme des bossus.

< Mets là dans le trou, s'il te plaît ! > me fait ma compagne en cherchant l'épais coussin qu'elle dépose au sol devant le trou.
Je passe derrière les panneaux. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je bande mou. Je passe ma bite dans le trou. Rires.
C'est un peu frustrant car je ne peux pas voir ce qui se passe. Par contre je peux rapidement ressentir l'indicible caresse. Pipe.
Clémentine me suce un petit moment. Mes lombaires me rappellent rapidement l'épreuve de samedi soir. Clémentine s'arrête.
Elle me rejoint pour m'entraîner par la main jusqu'au canapé dans lequel elle me fait tomber. Elle pose l'épais coussin au sol.

Nous n'avons qu'une vingtaine de minutes devant nous. Lorsqu'elle a ses règles, Clémentine n'aime pas trop le cunnilingus.
Comme je ne m'occupe que de son clitoris géant, il y a toujours le risque d'un orgasme imminent, trop rapide, non souhaité.
Aussi, il faut composer. Le cunnilingus est réservé pour le lit, avant le sommeil. Clémentine est à genoux entre mes jambes.
Je suis vautré dans le canapé. J'ai la bite à l'air. Clémentine me la tient tout en me chuchotant des douceurs. Je bande mou.
Je lui caresse les cheveux, les joues, je la regarde humer les odeurs de ma matinée d'homme. Elle me fixe. C'est excitant...

Les joues creusées par l'effort de succion, les yeux fermés, concentrée sur sa fellation, Clémentine est plus belle que jamais.
Elles sont toujours si belles quand elles font "ça". Clémentine ne suce jamais pour me faire plaisir, mais toujours pour le sien.
Ce qui est préférable. Rien ne serait plus rédhibitoire, plus décevant et plus frustrant que d'être sucé par compassion. Beurk.
Aussi, chaque pipe de Clémentine me propulse dans une autre dimension. Je reste toutefois vigilant. Il va bientôt être l'heure.
Je la saisi par ses cheveux pour la repousser doucement. Dans un petit cri de dépit, elle cesse. J'essuie le coin de sa bouche.

Nous montons à la salle de bain. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Je la raccompagne jusqu'à sa petite auto.
Bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut de chemin. Je rentre à toute vitesse. Le froid.
Il est 13 h50. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans une exubérance délirante en modulant mes cris surréalistes.
Il est 14 h30. J'allume l'ordinateur. Je fais un rapide courriel à Juliette pour l'informer de notre visite avec Estelle jeudi soir.
Je suis à peine assis devant ma toile que mon téléphone sonne. Je décroche. C'est Juliette. Elle est toute contente. Heureuse.

Nous bavardons. Juliette me confie à quel point elle est satisfaite de la présence de Clémentine qui soulage les parts de boulot.
Nous mettons rapidement les choses en place pour jeudi soir. Le box adjacent au local du palefrenier sera vide. Tout sera prêt.
Juliette me propose de venir manger mercredi soir de la semaine prochaine. C'est une affaire entendue. Nous nous saluons...
Je retourne à ma peinture qui m'absorbe complètement dès les premiers instants. Tout en restant concentré, je pense à jeudi.
Le crépuscule qui précède l'arrivée de la nuit. Du bruit. Il est 18 h20. Clémentine entre à toute vitesse pour se précipiter. Bise.

Estelle arrive à son tour. Clémentine, assise sur mon genoux droit, nous raconte son après-midi. Estelle assise sur le gauche.
La visite aux écuries, en milieu d'après-midi, pour changer les fiches individuelles de chaque cheval et avec madame Walter.
L'attitude ambiguë habituelle mais amicale de monsieur Gérard, le palefrenier vicelard qui s'est encore touché discrètement.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Que me réserve donc ce vieux cochon pour ma visite de jeudi soir ! >
Estelle répond : < Nous deux avec Julien, on sera planqués dans le box à côté. On mâte par le trou. Fais nous du spectacle ! >

Les filles sont assises à la table entourées de leurs affaires. Estelle a ramené les notes prises en cours aujourd'hui. Les études.
Je peins. Nous adorons tous les trois ces séances de travail. Le crépitement du feu dans la cheminée. Les murmures. Superbe.
Il est 19 h. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. J'étale la pâte. Je fais chauffer la Béchamel contenant le poireau. Méthode.
Estelle est la première à me rejoindre. Elle passe derrière moi. Elle passe ses bras autour de moi pour me palper la braguette.
< J'ai fait le montage de notre film hier soir. J'ai vu ta bite en gros plan. Put-Hein j'ai passé un second bon moment ! > dit elle.

Estelle passe ses bras autour de mon cou pour venir se serrer contre moi. < On se fait une superbe soirée samedi ! > fait elle.
Clémentine arrive à son tour. < Mais j'ai le dos tourné deux minutes et voilà ces deux vicieux qui en profitent ! > nous dit elle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine s'interpose, se serrant fort dans mes bras. Nous nous mettons à notre préparation.
Estelle recouvre la tarte aux poireaux de ce fin couvercle de pâte qui en fait la caractéristique de la fameuse Flamiche Picarde.
Je mets au four. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà prête. Estelle met la table. Les filles parlent des cours.

Nous passons au salon. Estelle découvre que le montage est toujours dans le salon. Les panneaux de contre plaqué. Rigolade.
Estelle mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité qu'elle peut y mettre. < Tu veux te faire sucer ? > fait elle.
Nous rions de bon cœur lorsque je lui dis : < Non, pas comme ça, j'ai trop mal dans le dos avec la position ! >. Elle continue.
La main fermée devant sa bouche, tout en mimant une pipe avec vulgarité, Estelle rajoute : < Dans le canapé ! Aux WC ? >
Clémentine lui fait : < Toi, tu as envie de piper, hein ! >. Estelle, tout en riant, s'accroupit au milieu de la pièce, devant moi.

J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je bande mou. Je le frotte sur le visage d'Estelle qui glousse de plaisir. Je frotte fort.
Clémentine se serre contre ma hanche. Elle saisit mon sexe pour le frotter sur le visage d'Estelle qui me fixe effrontément.
Nous restons ainsi un petit moment. La sonnerie du four. Estelle se redresse. Nous nous précipitons à la cuisine. Morts de faim.
Je sors la Flamiche Picarde. La pâte du dessus est dorée grâce au mélange d'œuf, de gruyère et de moutarde. Le sésame grillé.
Nous mangeons de bon appétit. Je raconte le coup de téléphone de Juliette. < Tu es génial ! > me fait ma compagne. Rires...

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque les vacances de février. Les révisions. Cours.
Estelle viendra les après-midi. Nous pourrons avancer tous les jours pour nos longues et prolifiques séances de travail. La joie.
Durant les vacances, Estelle travaille dans l'entreprise familiale. Au bureau. Le suivi des commandes et celui de la comptabilité.
Aussi, pour ces vacances de février, ce sera le bureau le matin, et les études l'après-midi. Le tout mêlé d'un peu de gaudriole.
Nous rions de bon cœur à l'idée de ce qui nous attend encore durant ces vacances. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons.

Nous rangeons la cuisine avant de retourner au salon. Il faudra toutefois être sérieux. Les filles ont encore du travail. 20 h45.
Nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé. Estelle à ma gauche qui joue avec ma bite, Clémentine à droite. Des bises.
Tout en bavardant, comme elle prend un malin plaisir à le faire, Estelle me tord la bite dans tous les sens. Surtout vers le bas.
La coquine sait que c'est presque douloureux. Nous restons ainsi un petit moment. Nous passons à l'atelier. Il faut être sérieux.
Il est rapidement 22 h15. Il faut ramener Estelle. La séparation est difficile comme à chaque fois. Estelle revient jeudi. Ecuries.

Au retour, Clémentine me suce. Il fait froid. Nous sommes dans sa petite voiture qui commence enfin à chauffer correctement.
Nous montons à toute vitesse. Les toilettes. Je laisse Clémentine se régaler de mes derniers épanchements. Elle apprécie tant !
La salle de bain. Nous nous lavons les dents en nous faisant des grimaces. Nous adorons faire les clowns. Clémentine a 20 ans.
Nous voilà au lit. Je m'occupe du clitoris géant de Clémentine. Pour la taquiner, je tire sur la petite ficelle blanche dans la touffe.
< Arrête ! > me fait elle avant de gémir de plaisir sous ma caresse. Clémentine a un orgasme rapide. Démentiel. La pipe. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont leurs "petits machins" de fille et dont le coquin s'occupe correctement de leur clito...

Julien - (Passionné de langue vivante qui se fait un devoir d'en enseigner les rudiments à Clémentine, excellente élève) -

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Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 341 -



Déjà le milieu de la dernière semaine du stage de Clémentine

Hier matin, mercredi, c'est une valse de Frédéric Chopin qui nous tire de notre sommeil. Il est six heures. La tête dans le cul.
< Mais ta gueule Fredo ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rions de bon cœur en nous serrant très fort.
< Bonjour Julien ! > fait elle. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire juste avant qu'elle ne me chevauche en riant.
Douceur, tendresse, papouilles. Ma compagne m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Pour nous livrer aux rituels pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Méthode.

Nous prenons notre petit déjeuner dans la délicieuse odeur du pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
Le thermomètre extérieur indique moins 5°. Le thermomètre intérieur indique 20°. Nous faisons le bilan de la journée passée.
< Déjà mercredi ! Ouf ! > fait Clémentine. Je lui dis : < Tu vois, ça passe vite ! >. Elle me prend la main avec un beau sourire.
Nous remontons pour nous offrir cette heure d'entraînement censée remplacer ce jogging qui nous manque tant. Gymnastique.
La douche. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Il fait très froid.

Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute allure. Le froid.
Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une sorte d'extase, me livrant corps et âme à ma passion.
Je suis tellement emporté par mon enthousiasme que je me surprends à pousser les cris surréalistes les plus inattendus. Super.
Pourtant, je réalise une de ces toiles au paysage bucolique, exclusivement commerciale, qui ne nécessite que de la technique...

Il est un peu avant midi. Je téléphone au garage où j'ai acheté la voiture de Clémentine l'an dernier à la même date. En ville.
Demain, 22 février, cela fera un an. Je prends rendez-vous. C'est pour le contrôle qui va assurer la continuité de la garantie.
J'emmène la voiture pour 14 h. Je peux la récupérer une heure plus tard. Tout est réglé. Je vais à la cuisine pour tout préparer.
Je fais cuire des lentilles. Je coupe de l'ail, de l'oignon, de la ciboulette et des champignons. Clémentine arrive toute contente.
< Bonjour mon amour ! > me fait elle en se précipitant dans mes bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Joie.

Clémentine met son tablier. Elle s'occupe de la salade tout en me racontant sa matinée. La nouvelle employée qui est arrivée.
< Je suis là depuis un peu plus d'une semaine et je forme déjà ma remplaçante ! Elle a vingt cinq ans ! > me fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Elle va beaucoup plaire au palefrenier ! >. J'évide les grosses tomates.
Je réduis les lentilles en purée. J'y rajoute l'ail, l'oignon, la ciboulette, les champignons, le fromage pour en faire un pâté. Bien.
< Laisse moi farcir les tomates ! J'aime ! > me fait Clémentine en remplissant les tomates du pâté de lentilles. Je mets la table.

Clémentine met les quatre tomates au four. Je m'occupe des haricots verts et du millet doré de l'accompagnement. Roquefort.
Tout est prêt. Nous passons au salon. Nous découvrons le courriel d'Estelle qui s'affiche sur l'écran de l'ordinateur. Les cours.
Clémentine m'entraîne sur le canapé. Nous nous blottissons l'un contre l'autre. Je me retrouve rapidement la braguette ouverte.
< J'ai besoin d'être prise en main ! Chaque fois que j'ai mes "petits machins", le besoin s'en fait ressentir ! > me dit Clémentine.
Je lui promets de faire le nécessaire dès ce soir. Pour concrétiser ma promesse, je me lève, je la saisi fermement par la nuque.

Je la tiens par ses cheveux noués. Cette longue natte qui lui tombe au milieu du dos. Je l'entraîne comme par la laisse. Ferme.
Je lui fais faire deux fois le tour de la grande pièce. Clémentine, gloussant de bonheur, me suit, penchée en avant, maladroite.
Je la force à s'accroupir. Je lui passe mon sexe sur le visage. Clémentine, les yeux pleins de reconnaissance, me fixe. Le sourire.
Ma compagne, dont les penchants de soumise s'affirment de plus en plus, a besoin de ces mises au point régulières. C'est dur.
Je n'ai pas l'âme d'un "Maître" mais je sais me comporter selon les demandes de plus en plus fréquentes de ma compagne. Bien.

La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. < Je t'aime Julien ! > s'écrie Clémentine en se serrant fort contre moi.
Je lui chuchote à quel point c'est réciproque pour moi. Je sors les tomates farcies du four. L'odeur nous met l'eau à la bouche.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Ce repas est une vraie délicatesse. Un régal. Ce soir, il n'y a qu'à réchauffer.
Nous évoquons les vacances prochaines, à cheval sur deux mois, du samedi 24 février au dimanche 11 mars. De quoi se réjouir.
Nous nous promettons de nous offrir quelques "plans". Plans dont Clémentine me confie avoir un besoin crucial. Des exhibes...

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie son impatience d'être demain, aux écuries.
Monsieur Gérard, le palefrenier vicelard, a invité Clémentine à venir prendre un café, en fin d'après-midi, dans son petit bureau.
Avec Estelle nous viendrons chercher Clémentine. Nous serons préalablement cachés dans le box voisin pour mâter par le trou.
Tout cela excite considérablement ma compagne. Elle prend ma main pour la mettre sur son cœur. < Tu sens ? > me fait elle.
Ma main sur ses tous petits seins, je peux sentir battre son cœur. Pas de doute, cette impatience a quelques effets sur sa libido.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Je saisi Clémentine par sa natte pour l'entraîner au salon.
Je la tire derrière moi sans le moindre ménagement. A nouveau, je lui fais faire le tour de la pièce. Nous avons quinze minutes.
Je la force à se mettre à genoux sur l'épais coussin que je place au sol. Les mains sur la tête, le buste bien droit. Elle me fixe.
Je lui passe longuement mon sexe sur le visage. < Je vous aime "Maître" ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur. Plaisanterie.
Je me penche pour lui couvrir le visage de bisous. Rien de l'attitude d'un "Maître". C'est justement ce paradoxe qui nous amuse.

Je la force à se redresser. Je l'entraîne à l'étage. je lui dis : < Tu vas sentir la bite au bureau ! >. Nous en rions de bon cœur.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Je raccompagne Clémentine jusqu'à la voiture. Des bises. Le dernier coucou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 13 h50. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans la joie.
Mon exubérance heureuse est telle que je me lève de nombreuses fois pour exécuter une danse du Sioux autour du chevalet.
C'est fantastique. Je vais terminer cette seizième toile vendredi en matinée. Tout cela participe d'un enthousiasme démentiel.

Hors du temps, concentré sur mon travail, le crépuscule arrive déjà. J'allume la lampe halogène. Il va faire rapidement nuit.
Du bruit. Il est 18 h15. Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier pour se précipiter vers moi. < Bonsoir Julien ! > dit elle.
Assise sur mes genoux, elle me raconte son après-midi. < J'ai accepté l'invitation de monsieur Gérard, demain ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me confie ses interrogations, son impatience et son excitation. Ce sera un grand moment.
Je la rassure encore une fois. Il ne peut rien arriver puisque je serais avec Estelle, caché dans le box voisin. Tout est déjà prêt.

Assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, elle met à jour les cours que lui envoie Estelle très prévenante.
Dans ses courriels, Estelle joint des photos des notes qu'elle prend parfois à toute vitesse pendant les exposés des professeurs.
Clémentine n'a qu'à mettre le tout au propre. J'admire cette énergie et cette volonté. Joindre son stage à ses études. C'est dur.
Nous travaillons ainsi une bonne heure. < Ras le bol ! J'ai la dalle ! > s'écrie soudain Clémentine en venant me rejoindre. Joie.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Tout va vite. Il n'y a qu'à réchauffer et à faire l'assaisonnement de la salade.

Il est 19 h30. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous mettons rapidement au point la stratégie de demain soir.
J'emmène Clémentine à son travail pour 14 h. Je file au garage pour la révision, je reviens avec Estelle pour 18 h. Tout est ok !
Je lui dis : < En un an, tu totalises à peine 2 900 km ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine fait : < Je vais juste en cours ! >
Et c'est vrai qu'elle ne parcourt que 24 km par jour, cinq fois par semaine. La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Efficace.
Je saisi fermement Clémentine par sa natte. Je la tire comme par une laisse jusqu'au salon. Je lui fais faire le tour de la pièce...

A nouveau je la fais mettre à genoux sur l'épais coussin qui est resté au milieu de la pièce. Mains sur la tête, bien droite. Fière.
J'aime voir cette belle et grande jeune fille offerte. Douce. Même si c'est dur de me comporter ainsi avec la fille que j'aime tant.
Je lui passe la bite sur le visage dont elle me présente chaque détail en gémissant de bonheur. Je me comporte selon son désir.
J'ai l'envie folle de la prendre dans mes bras, de l'embrasser mais je me domine. Je dois interpréter le rôle du "Maître". Difficile.
Je lui enfonce la bite dans la bouche. Je bande mou. Je dois pisser. J'en profite pour lâcher une toute petite giclée. Elle glousse.

Nous restons ainsi un long moment. Clémentine déglutit mes épanchements en poussant de petits cris de ravissement. Plaisir.
Je suis considérablement excité. Malgré cette position verticale, légèrement cambré, j'éprouve tous les bonheurs d'une fellation.
Il est déjà 21 h30. Je force Clémentine à se redresser. Je m'accroupis pour lui masser les genoux. < Je t'aime ! > me fait elle.
Nous restons serrés l'un contre l'autre. Il faut retourner à l'atelier. Il y a encore du travail. Il est rapidement 22 h30. La fatigue.
Nous montons. Aux toilettes, je reprends mon rôle de "Maître". Clémentine, accroupie, déguste mes derniers épanchements...

A la salle de bain, en nous lavant les dents, nous passons en revue tout l'éventail de nos grimaces habituelles. Même les pires.
Nous adorons faire les clowns. C'est à Clémentine de m'entraîner jusqu'au lit. Lorsqu'elle a ses "petits machins", pas de baise.
Par contre, rien ne m'empêche de m'occuper de son clitoris géant qui me paraît encore plus gros. C'est impressionnant. Beau.
Nous savons comment faire durer. Quand je m'occupe de sa turgescence, Clémentine doit repousser l'orgasme imminent. Joie.
Son orgasme est à la hauteur de nos efforts pour le retarder au maximum. Une pipe. Epuisés, nous plongeons rapidement...

Bonne soirée de "dressage" à toutes les coquines qui aiment êtres prises en main par leur "Maître" habile et exigeant...

Julien - (Qui interprète son rôle de "Maître" avec toute la virtuosité requise et exigée par Clémentine, véritable "soumise") -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 342 -



Un jeudi soir aux écuries. Cela faisait longtemps.

Hier matin, jeudi, nous nous étirons en même temps dans un long gémissement que nous modulons rapidement en riant.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine dans un cri. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant les papouilles.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Il est 5 h55. Nos rituels pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute allure jusqu'à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner. Et tout va très vite.
Nous mangeons de bon appétit dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous faisons le bilan de la journée passée. C'est bien.

Nous faisons une nouvelle fois le programme de cette journée qui nous tend les bras. La stratégie est parfaite et imparable.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gymnastique. Intensité maximale. Le thermomètre extérieur indique -5°.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto à Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Toute contente. Bises.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse. Il fait très froid.
Je monte faire le lit. Je redescends pour faire la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. J'allume du feu dans la cheminée. Bien.

Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme délirant qui frise l'indécence. Super.
Comme toujours, lorsque je me livre corps et âme à ma passion, le temps n'a plus aucune signification. Je suis hors de tout.
Pourtant, mon horloge biologique m'avertit. Il est presque midi. Je me précipite à la cuisine. Je fais une pâte à pain. Pizzas.
Il est 12 h15. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. < Bonjour Julien ! > fait elle en me faisant des bisous.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais la garniture des pizzas de ce soir. Pour midi, ce sera une ratatouille "maison". Joie.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Solène la nouvelle employée qu'elle forme à son travail.
< Elle a déjà tapé dans l'œil du palefrenier. Il ne va pas tarder à sortir son 'jeu" ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Ma compagne rajoute encore : < Son "jeu" mou et minuscule ! >. Nous rigolons comme des bossus à cette métaphore. Joie.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part de son impatience d'être en vacances.
< Je suis vraiment fatiguée ! Je n'en peu plus ! > me confie t-elle. J'assiste à ce rythme soutenu. Le contraire serait étonnant.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. < Le dessert ! > fait Clémentine.
Je suis vautré dans le canapé. Clémentine à genoux sur l'épais coussin entre mes jambes écartées m'ouvre la braguette. Rire.
Je la regarde humer longuement les effluves odorantes de ma matinée d'homme. Les yeux fermés, elle renifle très concentrée.
Nous n'avons que vingt petites minutes. Je la laisse se régaler un peu de cette pipe qu'elle apprécie comme une première fois.
Parfois, ouvrant les yeux, de son regard plein de reconnaissance, elle me regarde avec insistance tout en déglutissant. Plaisir.

Il faut cesser. Nous montons à la salle de bain pour nous laver les dents en faisant les clowns. Nous nous vêtons chaudement.
J'emmène Clémentine à son travail. Presque 14 h lorsque je la dépose dans la cour du haras. Des bisous et un dernier coucou.
Je roule vers la ville. Douze petits kilomètres jusqu'à la zone commerciale. J'emmène la voiture de Clémentine au garage. Bien.
La révision annuelle ne durera pas plus d'une heure. Elle permettra l'extension de la garantie. La voiture a exactement un an.
Malgré le froid, je vais marcher un peu jusqu'à la jardinerie distante de quelques centaines de mètres. Mon téléphone sonne...

C'est Estelle. < Je termine à 16 h. Tu viens me récupérer à la fac ! > me propose la jeune fille. Je trouve l'idée excellente. Joie.
Une fois encore je trouve que l'enchaînement des évènements s'articule dans une sorte de perfection qui m'enchante. Superbe.
Je me promène dans le grand magasin. Le matériel de jardinage, les graines. Je rends visite au rayon animalerie. Les mainates.
Il est rapidement 15 h30. Je retourne au garage. Tout est ok. L'employé m'apprend que tout est parfait. Un faible kilométrage.
En une année, Clémentine n'a pas parcouru plus de 2 970 km. Je prends la direction de l'université. J'arrive pour 15 h55. Froid.

Estelle arrive à toute vitesse. Elle repère rapidement l'auto. Elle entre dans la voiture. < Démarre ! > me fait elle très pressée.
Dès que nous avons quitté le parking de l'université, loin des étudiants présents, Estelle me fait plein de bisous. Toute contente.
< C'est génial ! C'est la première fois que tu me cherches ! > me fait elle en s'asseyant au sol pour poser sa tête sur ma cuisse.
Je roule doucement. Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, je reste toujours un peu distant. Estelle s'en amuse et en abuse.
Nous arrivons à la maison pour 16 h20. Estelle me tient par le bras. Elle a son cartable contenant ses cours. Elle m'embrasse.

Je la repousse délicatement. Nous allons dans l'atelier. Estelle, assise à la table, entourée de ses affaires, prépare les notes.
Elle me raconte sa journée, son impatience de nous voir. Elle se lève pour venir s'assoir en tailleur à côté de moi. Assise au sol.
Elle pose sa tête sur ma cuisse pour me regarder peindre. Chaque fois qu'elle me palpe la braguette, je repousse sa main. Rire.
La coquine sait mon embarras. Aussi, elle refait encore et encore. Je lui caresse les cheveux. < Je t'aime Julien ! > me fait elle.
Je lui murmure à chaque fois : < Silence ! Je ne veux rien entendre ! >. Elle me répond : < Clémentine le sait ! Aucun secret !>

Nous bavardons. Nous échangeons nos impressions. Il est rapidement l'heure d'aller au haras pour y rejoindre Clémentine. Joie.
Nous mettons nos anoraks. Dans la voiture, Estelle me dit : < J'ai fait le montage du film. Samedi, c'est soirée masturbation ! >.
Nous arrivons au haras pour 17 h50. Je gare la voiture. Estelle me quitte un peu à regret pour entrer dans le bâtiment bureau.
Moi, je vais directement dans l'écurie de droite. Personne. Je vais jusqu'au box. Juliette l'a vidé de son cheval. Sur ma demande.
J'entends du bruit à l'extérieur. Malgré la présence de plus de 20 chevaux, il fait plutôt froid dans le bâtiment. J'ai mon bonnet.

J'attends un peu. Le bruit que j'entends depuis mon arrivée s'accentue encore. Je regarde au dessus de la porte du box. Discret.
C'est monsieur Gérard qui passe un soufflet au sol. Le moteur fixé sur son dos, il pousse la paille du sol devant lui en avançant.
Il est consciencieux. Occupé à nettoyer l'allée centrale. Il y a le bruit des voix de Clémentine et d'Estelle qui entrent dans l'écurie.
Afin d'attirer l'attention sur leur présence, les filles parlent et rient toujours très fort. Ce qui finit par attirer l'attention de Gérard.
Le palefrenier les voit arriver. Il coupe son moteur. Il se débarrasse de l'engin pour venir serrer les mains des filles. Salutations.

De ma cachette, silencieux, retenant ma respiration, j'assiste aux politesses et j'écoute les échanges. Tous les trois bavardent.
Estelle propose à Clémentine de la laisser seule avec monsieur Gérard en prétextant qu'elle va rejoindre Juliette et Mme Walter.
Monsieur Gérard invite Clémentine à le suivre dans son petit local. Estelle fait mine de quitter le bâtiment. Il y a un long silence.
Je regarde par le trou dans la cloison qui sépare le box du bureau du palefrenier. Je vois Clémentine assise et toute souriante.
Estelle vient me rejoindre dans le plus grand silence. Nous entendons distinctement les propos qui s'échangent dans le bureau.

Monsieur Gérard s'affaire à la machine à café . Il y a un chauffage électrique. Nous l'entendons évoquer la visite du vétérinaire.
Estelle et moi, nous nous relayons pour observer comme de véritables voyeurs. Elle me montre les coulures sèches sous le trou.
Elle me palpe la braguette en me chuchotant ses ressentis. < C'est génial d'être là tous les deux ! Hein ! > me murmure t-elle.
A peine audible, sa bouche tout près de mon oreille, pendant que je mâte, elle me chuchote de nombreux < Je t'aime ! >. Joie.
Je ne vois pas le palefrenier. Par contre Clémentine, assise sur la chaise semble regarder fixement tout en éclatant de rire. Bien.

Estelle mâte. Je lui caresse la nuque en passant ma main sous ses cheveux. < Regarde un peu ! > me murmure t-elle soudain.
Je regarde. Le palefrenier est debout devant Clémentine, son pantalon et son slip baissés. Il agite sa bite minuscule et mollasse.
J'ai le souffle coupé. Clémentine observe avec l'attention d'une entomologiste. Le palefrenier lui propose une pipe, se touchant.
J'entends Clémentine lui répondre : < Un soir, par le trou, comme a fait Estelle, ça me tente bien ! >. Estelle veut mâter aussi.
Le palefrenier continue : < C'est toi qui m'intéresse. Je suis sûr que tu dois aimer ça ! >. Il insiste presque lourdement. Salaud.

Clémentine lui répond : < C'est vrai, j'adore "ça", mais je préfère le faire quand il fait un peu moins froid ! >. Estelle veut voir.
Je colle mon oreille contre la cloison pour écouter pendant qu'Estelle regarde par le trou. Nous sommes tous deux très excités.
< Regarde ! > me fait Estelle. Le palefrenier caresse la tête de Clémentine qui se laisse faire, la tête à proximité de sa queue.
C'est réellement très excitant. De voir ma compagne dans cette situation ambiguë me propulse dans un réel état de confusion.
Monsieur Gérard, cambré en avant, tient Clémentine par la nuque. Il s'en faut de peu qu'il la lui mette dans la bouche. Salaud.

Estelle veut regarder. Nous sommes tous les deux en apnées. Le souffle court, nous mâtons à tour de rôle. C'est à mon tour.
Clémentine s'est levée. Sans doute pour se soustraite à la poigne de plus en plus pressante du salaud. Elle s'apprête à sortir.
< Il faut que j'y aille. Estelle et Julien sont chez la patronne ! > fait Clémentine, repoussant la main de Gérard qui la maintient.
Le type n'insiste pas. Clémentine sort du local. Nous nous précipitons à sa suite pour sortir de l'écurie. Il fait nuit. Déjà 18 h45.
Nous filons à toute vitesse. Trois kilomètres. Clémentine me tient la main. Je la sens trembler un peu. De multiples frissons...

A la maison, morts de faim, nous préparons les pizzas du soir. Clémentine, blottie dans mes bras, m'entraîne à part. Salon.
< J'ai eu une de ces trouilles. Heureusement je te savais là ! Mais qu'est-ce que ça m'a excité ! Merci Julien ! > me fait elle.
Estelle vient nous rejoindre. < Les pizzas sont au four ! > nous dit elle avant de dire à Clémentine : < Tu étais géniale ! >.
Nous restons vautrés dans le canapé à nous donner nos ressentis. Ce fut réellement un grand moment. Et pour tous les trois.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Ce soir, C'est Estelle qui a assuré. C'est elle qui a tout fait. La salade.

Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Clémentine me prend souvent la main. Comme pour chercher du réconfort.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons à l'atelier. Les filles ont du travail. Cours.
Il est rapidement 22 h15. Il faut ramener Estelle. La séparation est difficile. Au retour, Clémentine a sa tête sur mon épaule.
Nous montons. Toilettes. Salle de bain. Au lit, je suce le clito géant de ma compagne qui me confie d'étonnantes révélations.
Lorsque c'est à son tour de me sucer, je la félicite pour son courage. Je l'encourage à sucer le vieux salaud. Orgasmes. Dodo...

Bonne soirée de découvertes dans votre écurie préférée à toutes les coquines désireuses de vivre de nouvelles émotions...

Julien - (En totale admiration devant le courage de Clémentine qui s'est surpassée ce soir, dans une situation ambiguë) -

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Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 343 -



Pour Clémentine, ce vendredi, c'est le début du Week-End et des vacances

Hier matin, vendredi, nous nous étirons en même temps dans un très long gémissement que nous ponctuons du même cri.
< Bonjour mon amour ! > faisons nous quasiment en même temps et avant de nous serrer très fort en riant de bon cœur.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nous nous livrons au rituel pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute allure jusqu'à la cuisine afin d'y préparer et d'y prendre notre petit déjeuner. Joie.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant dans l'agréable odeur du pain grillé. Clémentine est toute contente. Rires.

< A midi, c'est le début du Week-End et des vacances ! > me fait elle. Elle se saisit de ma main et s'assoit sur mes genoux.
Tout en terminant son yaourt au miel, ma compagne me fait part de l'immense joie qui l'habite à l'idée de ce repos mérité.
Nous montons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Une heure d'aérobic, d'abdos et de charges additionnelles...
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. L'air est glacial. Fou.
Plein de bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse.

Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans le cheminée. J'éteins le radiateur.
Le thermomètre extérieur indique moins 6°. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans l'allégresse.
Je termine ce matin la peinture de cette seizième toile destinée à ma saison d'été. Il est 10 h. Je dépose mon œuvre terminée.
Sur le chevalet je pose une toile vierge. Je commence le dessin préparatoire de ma dix septième réalisation. Une nature morte.
Je dessine dans un enthousiasme délirant que me fait pousser les cris surréalistes les plus étonnants. C'est fantastique. Beau.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare les deux dernières énormes courgettes que je farcie. Un pâté de lentilles.
Il est 12 h15. Clémentine arrive. < Vacances ! > s'écrie t-elle en se précipitant dans mes bras. Je la soulève. Plein de bisous.
Ma compagne prépare la salade en me racontant sa dernière matinée. C'est la fin de son stage en entreprise. Elle est contente.
Je fais les haricots verts. Je mets les courgettes farcies au four. Nous passons au salon. < Plus rien, fini ! > fait ma compagne.
Elle retire son pantalon et sa culotte. Elle se vautre dans le canapé. Cuisses largement écartées, elle me montre sa foufoune.

Il n'y a plus la petite ficelle blanche qui dépasse de son invraisemblable touffe noire. Je me mets à genoux sur l'épais coussin.
Je hume longuement les effluves parfumées de sa matinée de fille. L'odeur m'enivre jusqu'au vertige. J'y fourre mon visage.
Du bout de la langue je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe humide. Goût vinaigré, acidulé et piquant.
Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Les poils me chatouillent, le bout du nez, les joues et le menton.
Je me régale des petits miasmes indéfinissables qui fondent dans ma bouche. Clémentine pousse de profonds soupirs de plaisir.

La sonnerie du four met un terme à nos effusons. Clémentine se redresse. Elle m'entraîne à la cuisine en s'écriant : < Faim ! >
Elle met la table. Je sors les courgettes farcies du four. Nous mangeons de bon appétit. Ce repas est un véritable délice. Régal.
Clémentine me raconte sa matinée. Rapidement elle évoque notre soirée de hier, aux écuries et de son expérience "Mr Gérard".
< J'y ai pensé ce matin. Je dois surmonter un certain malaise vis à vis de toi ! Je ne veux pas te tromper ! > m'explique t-elle.
Je la rassure : < Tu ne peux pas me tromper puisque nous sommes complices. Et puis c'est moi qui t'encourage à ces trucs ! >

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me parle de la difficulté de surmonter son ressenti.
< La situation est excitante, tu penses bien, mais de là à sucer ce vieux salaud de 65 ans, il y a de la marge ! > me fait elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < C'est un bon plan pour Estelle que ça ne rebute et ne dégoûte pas ! >
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Mon téléphone posé sur le buffet m'avertit de l'arrivée d'un message. La musique.
Clémentine s'en saisit. < La serveuse du restau ! > me fait ma compagne en me faisant lire. "Ok pour une table en soirée"...

Je consulte Clémentine qui répond "Ok". Nous réservons la table habituelle au restaurant de l'étang pour ce soir 19 h45. Joie.
< Tu vas être le dernier des salauds ce soir, j'insiste ! A mon tour de t'observer dans le stupre et la luxure ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur à cette suggestion. Ma compagne rajoute : < Si elle nous contacte, c'est qu'elle veut voir ta queue ! >
Je lui dis : < Je vais tâcher de monter d'un cran ! >. Nous en rigolons comme des bossus. Nous rangeons la cuisine. Propre...
Nous repassons au salon. Clémentine m'ouvre la braguette, me sort le sexe et me fait tomber dans le canapé. Je bande mou !

A genoux sur l'épais coussin, elle hume mes odeurs. < A mon tour ! > me fait elle avant de se mettre à sucer en gloussant.
Je la regarde. Parfois elle ouvre les yeux pour me fixer de son regard plein de reconnaissance. Je lui caresse les cheveux.
Nous restons ainsi un long moment. Afin de lui permettre de reposer sa mâchoire, je la force à cesser pour lui faire des bises.
Je me redresse. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles.
Nous adorons rester ainsi, l'un dans l'autre, sans bouger. Clémentine me murmure les plus étonnantes révélations. Bonheur.

Ma compagne évoque à nouveau son expérience de hier soir, aux écuries. Elle me confie l'excitation intense qu'elle a vécu là.
D'être en présence d'un vicelard qui lui raconte des cochonneries en lui proposant la bite qu'il lui agite sous le nez. Intense !
< Je veux revivre. Mais je ne sais pas si je vais aller jusqu'à la pipe, ça me dégoûte même si ça m'attire ! > fait ma compagne.
Nous nous mettons à nous bercer. Nous cessons. Nous recommençons. C'est notre façon de baiser et c'est absolument génial.
Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Nous aimons tous deux rester excités le plus longtemps possible. C'est de la virtuosité.

Il est quinze heures lorsque nous cessons. Nous nous offrons un "69" afin de nous régaler du mélange de nos substances.
Et il y a de quoi se régaler ! Je propose à Clémentine ne monter nous changer et de partir pour la ville. Suggestion applaudit.
Nous voilà dans la chambre. Avec ce froid glacial, la morosité de ce ciel gris, il n'est évidemment pas question d'être en jupe.
Clémentine porte des collants sous son pantalon à pinces et à plis. Cela moule ses formes affolantes. On devine son sexe.
Ma compagne est dotée d'épaisses lèvres charnues. Un cadeau. La couture du tissus qui les divise en deux bosses. Superbe.

Sur sa demande, je porte mon costume de velours marron. Nous faisons les clowns devant le miroir avant de redescendre.
Couverts de nos épais manteaux, de nos écharpes, de nos bonnets et de nos gants, nous pouvons affronter le froid intense.
Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Nous passons devant le haras. Il y a plein de voitures garées. 16 h45.
Nous arrivons en ville. Je gare l'auto dans la ruelle habituelle à dix minutes du centre. Nous marchons vite et blottis. Joyeux.
Clémentine m'entraîne dans quelques grands magasins. Nous déambulons en évoquant notre baise du début d'après-midi...

Nous faisons un tour dans la grande librairie. Clémentine s'offre une petite frayeur en se touchant discrètement. Un inconnu.
Au rayon des livres de géographie, il y a un monsieur seul. Ma compagne, debout à faible distance se touche en feuilletant.
Le type, genre professeur quinquagénaire se rend rapidement compte du manège de la grande jeune fille à environ 2 mètres.
Je reste à l'écart. Admiratif, je regarde l'incroyable culot de ma compagne. Sa main entre ses cuisses, manteau ouvert. Belle.
Il y a une femme qui vient rejoindre l'homme. Cela met un terme au jeu de Clémentine qui vient me retrouver. Nous partons.

Il est 19 h30 lorsque je gare la voiture sur le parking du restaurant. Il y a juste trois autres véhicules. Avec ce froid, normal.
Nous faisons le tour de l'étang dans la nuit glaciale. Blottis l'un contre l'autre, nous nous chuchotons nos ressentis. Douceur.
La jeune serveuse vient nous accueillir. Elle est radieuse et souriante. Visiblement heureuse de nous revoir. Plaisirs partagés.
Nous prenons place à la table habituelle. Il y a trois couples disséminés dans la salle. La jeune fille a le temps de bavarder.
Elle prend notre commande en nous racontant sa semaine. Ses cours. Ses études. Et surtout les vacances qui s'annoncent...

Devant notre plateau géant de fruits de mer, nous mangeons de bon appétit. Depuis le comptoir, la serveuse me sourit. Belle.
Lors d'un échange de regard plus appuyé, discrètement, je mime une branlette. La jeune fille me fait un sourire désarmant.
Clémentine me chuchote ses directives. J'écoute chacune de ses recommandations. < Descends aux chiottes après ! > dit elle.
Sur la demande de ma compagne, depuis notre arrivée, j'ai la bite à l'air sous la table. Je me lève. Je passe devant le comptoir.
Je soulève mon pull pour montrer ma bite à la jeune fille qui me fait un clin d'œil entendu. Je montre l'escalier de mon doigt...

Je descends. Je laisse la porte des toilettes homme entrebâillée. Je me masturbe bien droit devant cette porte. Un bruit de pas.
C'est la jeune fille qui vient me rejoindre à toute vitesse. Elle pousse la porte pour me dire : < J'attends ça toute la semaine ! >
Je réponds : < Tu n'as pas envie de me tailler une pipe depuis tout ce temps ! >. Elle fixe mon sexe. Je l'agite comme un lasso.
< Si, mais je n'aurais jamais le courage ! > me fait elle avant de filer à toute allure. Je remonte. Je raconte à Clémentine. Rire.
Nous prenons le dessert. Je demande l'addition. Lorsque la jeune arrive, je lui dis : < Rejoins-moi, je redescends ! >. Elle rit...

Clémentine tout en mimant discrètement une pipe, lui fait : < Juste goûter un peu ! >. La jeune fille est toute rouge. Confuse.
Il y a sa tante derrière le comptoir qui nous salue de la main. Je me lève pour descendre. Je n'y suis pas une minute. La fille.
Je pisse dans le lavabo. Elle est debout dans l'encadrement de la porte. Je lui dis : < Viens, goûte un peu ! >. Elle me sourit.
< J'ai pas le courage ! > me fait elle. Je réponds : < Tu veux que je t'aide ? >. Elle me dit : < Comment ? >. Je la vois excitée.
< Vous voulez m'apprendre ? > me demande t-elle avant de remonter à toute vitesse. Je rejoins Clémentine pour lui raconter.

La serveuse nous raccompagne jusqu'à la porte. Elle semble terriblement gênée. Je lui serre la main en la remerciant pour tout.
Clémentine lève mon pull pour se saisir de ma bite qu'elle agite vers la jeune fille en disant : < Elle est pour vous, profitez ! >
Dans une profonde confusion, bien légitime, la jeune fille ne répond pas. Je serre sa main dans la mienne. Elle nous regarde.
Il fait un froid glacial. La jeune fille nous fait : < A la semaine prochaine, ok ? >. Nous la saluons en lui promettant de revenir.
Dans la voiture, au retour, entre deux succions, Clémentine me donne son ressenti quand à la jeune serveuse de 20 ans. Vice.

Nous arrivons à la maison pour 23 h. Les toilettes. J'ai la bite qui ne cesse pas de dégouliner de jute visqueuse. C'est goûteux.
Clémentine s'en régale longuement. Salle de bain. Lavage de dents. Nous filons au lit. Nous nous offrons un superbe "69". Bon.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec précaution. Nous restons sans bouger. Clémentine me confesse des choses.
J'écoute, enchanté, toutes les révélations étonnantes de ma compagne qui se berce. Elle me repousse doucement. Je la suce.
Son orgasme est terrifiant. Elle me suce. Mon orgasme est démentiel. Serrés l'un contre l'autre, nous plongeons rapidement...

Bonne soirée au restaurant à toutes les coquines qui encouragent leurs coquins à se comporter en véritables vicelards...

Julien - (Qui assure un maximum pour réaliser tous les fantasmes de Clémentine. En faisant de son mieux. Avec sa queue) -

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Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 344 -



La "soirée cinéma" du premier samedi des vacances

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bises déposées sur mon visage. C'est doux, c'est tendre.
J'ouvre les yeux. Au dessus de moi il y a le visage bienveillant et plein d'amour de Clémentine. Je lui caresse les cheveux.
< Bonjour mon amour ! > me fait elle sans cesser de me couvrir de bisous. Je murmure : < Bonjour mon amour ! >. Joie.
Nous nous serrons très fort. < Les vacances ! > me chuchote t-elle avant de me chevaucher en riant. Douceur, papouilles.
L'impérieux et prosaïque besoin naturel met fin à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Pipi.

Morts de faim, nous descendons à toute allure jusqu'à la cuisine. Il est 7 h45. Le thermomètre extérieur indique moins 6°.
Le jour est entièrement levé sur une campagne figée dans l'air glacial. Il y a du givre un peu partout. Mais tout est bien sec.
Nous prenons notre petit déjeuner en traînant à table. Nous faisons un rapide bilan de cette semaine. Le programme du jour.
Clémentine me propose de nous offrir enfin ce jogging tant attendu. Nous remontons nous mettre en tenue. Et chaudement.
Leggings, sweats, K-way, écharpe devant la bouche, bonnets et gants. Nous voilà à courir sur le chemin vers la rivière. Froid.

Nous avons rapidement chaud grâce au rythme soutenu et plutôt rapide de nos pas. C'est un réel bonheur. Cela nous ravi.
Nous sommes de retour pour 9 h45 après une heure et quart d'un running des plus agréables. A en oublier la froidure. Bien.
La douche. Nous nous habillons chaudement. Jeans, chemises à carreaux, pulls, nos chaussures montantes et nos anoraks.
Nous voilà en route pour aller faire notre marché au bourg. Trois petits kilomètres et nous y arrivons. Il y a déjà du monde.
Nous faisons provisions de nos légumes, de nos fruits, fromages, œufs, beurre, crème fraîche et yaourts. Retour à la voiture.

Douze kilomètres sur la petite route jusqu'à la zone commerciale. Clémentine joue avec mon sexe. Je roule doucement. Sec.
Je gare l'auto sur le parking du supermarché. Il y a un monde fou malgré le froid. Je pousse le caddie. Nous voilà au chaud.
Le supermarché connaît une affluence rare. Nous déambulons dans les allées. Clémentine tient la liste des courses. Pratique.
Elle dépose au fur et à mesure les articles choisis au fond du chariot. Nous prenons notre temps. Il n'y a rien à faire d'autre.
Nous attendons notre tour devant la poissonnerie. < Bonjour ! > fait une voix sur notre gauche. C'est Clémence, la serveuse.

< Je suis avec maman, on fait les courses ! > nous dit elle visiblement enchantée de nous rencontrer. Et chaudement vêtue.
Nous bavardons un peu. Rapidement les filles évoquent les vacances qui commencent aujourd'hui. Toutes deux étudiantes.
< Il faut que je file, il y a ma mère là-bas ! > nous fait la jeune fille. Clémentine lui répond : < Et vous êtes la bienvenue ! >
< J'y pense ! > fait elle en nous laissant. C'est à notre tour. Nous faisons provision de fruits de mer et de pavés de saumon.
Clémentine m'entraîne au rayon culturel. Il y a du monde. Il serait vain d'y tenter une petite "frayeur". Pas de mise en scène.

Un peu frustrée, Clémentine m'entraîne au rayon des vêtements homme. Là non plus, il reste préférable de ne rien tenter.
Je propose à Clémentine de nous offrir le plat du jour qui semble tentant à la cafétéria du supermarché. Des langoustines.
< Non ! Viens on rentre ! On a tout ce qu'il faut à la maison ! Viens ! > me répond Clémentine en m'entraînant aux caisses.
Je trouve que c'est le meilleur choix. Nous voilà sur le retour. Clémentine joue avec mon sexe pendant que je roule. Rires.
Nous arrivons à la maison. Il est déjà 12 h45. Nous rangeons nos courses. Clémentine prépare la salade, je fais les pâtes...

Pendant la cuisson des lumaconi, ces pâtes italiennes gigantesques, je concocte une sauce à la crème. Gruyère et crevettes.
A plusieurs reprises Clémentine se blottit contre moi. Nous sommes si bien ensemble, là, à la maison. C'est un vrai bonheur.
Nous voilà assis à table. Nous savourons ce repas en évoquant déjà le futur séjour dans le Périgord, aux vacances de Pâques.
Assise sur mes genoux, en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part de son immense joie de découvrir Périgueux.
Je lui en ai déjà tant parlé. A la fin avril, aucun risque de souffrir d'un excès de chaleur. Je connais pour y être allé deux fois.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Le décors est toujours encore là.
Les panneaux de contre plaqué commencent à prendre la poussière. Nous en rions de bon cœur. Nous allumons l'ordinateur.
Deux courriels. Celui de Juliette qui remercie Clémentine pour son travail durant son stage de trois semaines au haras. Super.
Juliette nous rappelle que nous sommes invités à manger mercredi prochain, en soirée. Clémentine répond avec deux photos.
Le message d'Estelle qui nous rappelle que nous avons "Soirée cinéma" ce soir, pour 20 h. < Soyez à l'heure ! > écrit elle...

Clémentine répond sur le même ton humoristique. Nous joignons toujours des photos de nous deux aux messages de réponse.
Le plus souvent il y a ce cliché de nos deux ombres sur l'herbe, pris en automne lors d'une de nos promenades. C'est superbe.
Clémentine retire son jean et sa culotte en m'invitant à faire de même. Elle m'entraîne sur le canapé. Je pose le coussin au sol.
A genoux, je hume les effluves parfumées de son sexe. Hélas, il n'y a encore que l'odeur du pain Dove qui sert sous la douche.
Ce qui ne m'empêche nullement de fouiller du bout de ma langue les plis et les replis des lèvres du sexe de ma compagne. Bon.

Il y a rapidement les premières coulées de cyprine. Il y a également les premiers gémissements. Tout cela m'enchante. Super.
Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Je me régale de ses épanchements. C'est réellement savoureux.
Le jus de moule fraîche, un délice pour tout amateur de fruits de mer. Je me mets à sucer le clitoris géant de ma compagne...
Là, il faut devenir prudent et agir plus délicatement encore. Hors de question d'imposer un orgasme non souhaité. Vigilance.
A plusieurs reprises nous l'évitons de justesse. Clémentine me repoussant juste à temps. Il faut cesser. C'est bien plus prudent.

< Je veux sentir ta bite me fouiller ! > me fait Clémentine en m'attirant sur elle. Je m'introduis dans la fille avec précaution.
Nous restons parfaitement immobiles. C'est toujours dans ces moments intenses et quasi solennels, que clémentine confesse.
J'aime tant entendre ses révélations les plus secrètes. Il m'est interdit de tout rapporter, mais c'est un enchantement. Super.
Il est question des écuries, du palefrenier exhibitionniste, de la jeune serveuse du restaurant, de notre complicité avec Estelle.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Je contracte mes muscles fessiers pour faire bouger mon sexe dans le sien.

Le temps nous échappe toujours dans ces moments d'une profondeur inouïe. Nous nous berçons pour cesser et recommencer.
Nous sommes passés virtuoses dans l'art d'esquiver l'orgasme qui guette toujours au détour d'une accélération intempestive.
Cela nous amuse beaucoup et c'est cette joie qui participe au parfait contrôle de nos pulsions. C'est absolument gigantesque.
La musique de mon téléphone se met à résonner. Il est posé sur le canapé. Clémentine s'en empare. < Estelle ! > me dit elle.
Nous restons sans bouger. Clémentine discute. Il est question de la "Soirée cinéma" de tout à l'heure. C'est amusant. Sympa.

< Tu sais ce qu'on est entrain de faire ? > demande Clémentine à Estelle en plaquant l'appareil contre mon oreille. Rigolade.
< Bonjour Estelle ! > que je fais. < Langue à la chatte ! > fait Estelle. Je lui murmure : < Je suis dans Clémentine ! >. Rire.
Clémentine reprend la conversation. Tout en bougeant doucement, excitée par la situation, ma compagne évoque la soirée.
Elle raccroche. Tout est réglé. Nous cherchons Estelle pour 18 h. Il est déjà 16 h. Je propose de nous garder pour la soirée.
Je me retire doucement. Nos sexes sont gluants de foutrine mélangée. Nous nous en délectons avec un savoureux "69". Bon.

Nous voilà propres et secs ! Nous nous habillons en soupirant de plaisir. Clémentine m'entraîne à l'atelier. Il y fait bien chaud.
Il est hors de question de bosser avant lundi. Ce qui ne nous empêche pas de mettre de l'ordre dans nos affaires. Préparation.
Le dessin préparatoire de ma dix septième toile est terminé. Clémentine met une nouvelle cartouche d'encre dans l'imprimante.
Nous bavardons. Nous nous faisons quantité de bisous, de papouilles. Il est rapidement l'heure d'aller chercher notre complice.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel, à cent mètres de chez elle. Sont grand sac de sport posé à ses côtés. Bonheur.

Assise sur le siège arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte son vendredi et sa journée. Les cours, le bureau.
Nous voilà de retour. Il est 18 h15. Nous nous mettons à la préparation du repas de ce soir. Un gratin Dauphinois. Petits pois.
Les filles mettent au point la stratégie pour la semaine prochaine. Estelle travaille dans l'entreprise familiale tous les matins.
L'après-midi sera consacré aux études. Elle viendra le passer avec nous, à la maison. Déterminées à préparer leur "Master".
Estelle coupe les pommes de terre que j'ai épluché en fines lamelles. Clémentine prépare la salade d'avocat aux fruits de mer.

Je mets les petits pois encore congelés directement à la poêle. Je concocte une sauce. Béchamel aux champignons. Superbe.
Cette occupation, des plus plaisantes, est toujours l'occasion d'organiser toutes sortes de stratégies. J'aime écouter les filles.
Le gratin est au four. Les petits pois rissolent à feux doux. La sauce est prête. Nous passons au salon. Estelle sort la clef USB.
Elle tend l'objet à Clémentine. < Le film ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur. < C'est du sévère ! > rajoute encore Estelle.
Clémentine introduit la clef dans l'ordinateur. Avec la prise HDMI branchée de l'ordinateur au téléviseur. Méthode et efficacité.

Estelle et moi, vautrés dans le canapé, nous fixons le grand écran du téléviseur. L'image fixe apparaît. Estelle et moi souriants.
C'est la photo habituelle qui date du printemps 2017. Estelle, le visage dégoulinant de foutre et de pisse qui regarde l'objectif.
Je suis penché à ses côtés, mon visage près du sien à pointer la caméra de mon doigt. < Stop ! Tout fonctionne ! > fait Estelle.
La sonnerie du four nous rappelle à la cuisine. Je sors le gratin Dauphinois. Il est doré à point, moelleux. La sauce onctueuse.
Nous mangeons de bon appétit en nous régalant. < Un véritable festin ! > fait Clémentine qui vient s'assoir sur mes genoux...

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Impatients et fébriles, nous nous précipitons au salon.
Clémentine à ma droite, Estelle à ma gauche, nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé, devant le téléviseur. Bien.
Clémentine tient la télécommande. Il est 30 h30. Le film commence. A l'image, on découvre Estelle devant le trou dans le mur.
Penchée en avant, avant de s'accroupir, elle observe attentivement l'orifice parfaitement rond. Sa silhouette se détache bien.
La lumière, dans le film, est tamisée. Clémentine a fait de l'excellent travail. On voit ma bite toute molle qui jaillit de l'orifice.

Lorsque j'étais plaqué contre la cloison, à l'arrière, dans cette position très inconfortable, je ne savais pas ce qui se passait.
A présent tout s'éclaire. C'est magnifique. De voir Estelle à l'écran, de la savoir à côté de moi, me fait bander. Un vrai salaud.
A l'image, nous voyons Estelle scruter avec attention mon sexe avant de le humer longuement. Il y a une goutte qui perle déjà.
Clémentine fait les premiers arrêts sur image, une main dans sa braguette largement ouverte. J'ouvre ma braguette moi aussi.
Estelle y glisse sa main pour tenter d'en extraire mon sexe. Je bande comme le dernier des salauds. Elle a quelques difficultés.

Le film est passionnant. Nous y voyons Estelle savourer ma bite qui devient de plus en plus dur en se raidissant vers le haut.
De la jute aux coins des lèvres, ne pouvant déglutir la totalité de mes épanchements généreux, abondants de liquide séminal.
C'est majestueux. Une réussite totale. Je félicite Estelle qui me tord la bite dans tous les sens. Et surtout vers le bas. Coquine.
Clémentine se masturbe doucement en manipulant la télécommande. Le film ne dure que 30 minutes. Mais quelles minutes !
Estelle n'a gardé que les meilleurs moments, supprimant d'inutiles longueurs. On entend distinctement les gargouillis juteux...

Clémentine fait revenir le film en arrière pour certains passages particulièrement humides. Lorsque je lâche de petites giclées.
Les gros plans permettent de voir le trop plein de pisse jaunâtre qui dégouline le long de ma queue et sur le menton d'Estelle.
C'est fabuleux. L'émotion que suscite la présence en "vraie" d'Estelle à ma gauche et sa présence à l'image est intense. Fou !
Le film s'achève sur la seconde éjaculation après plusieurs giclées de pisse. C'est fantastique. Le meilleur film du genre. Privé.
Bien évidemment avec l'évident souci de se préserver, Estelle ne laissera aucune image nul part. Personne ne verra jamais ça.

Nous sommes tellement excités que nous visionnons le film une seconde fois. Même Estelle, pourtant réservée, se masturbe.
Nous regardons ce film merveilleux en nous masturbant tous les trois. C'est prodigieux. Ce n'est pas la première fois. Mais là !
Le film s'achève sur un gros plan. Estelle le menton et les joues trempés sur lequel collent quelques cheveux sourit à l'objectif.
< Comme tu es belle ! > que je lui murmure. < Merci Julien ! > me fait elle en cessant de se masturber. Clémentine continue.
Il est déjà 23 h. Nous sommes épuisés. Nous montons en laissant tout. A la salle de bain, nous faisons les clowns. Rigolades...

< Je peux me la sucer au lit ? > demande Estelle à Clémentine. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle répond : < Et à deux ! >
Au lit, Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche, nous bavardons. Nous évoquons cette superbe soirée, la qualité du film.
Estelle ne tarde pas à bâiller de plus en plus longuement. Le sommeil fait doucement place à nos excitations. Inutile de lutter.
Estelle passe de l'autre côté, entre Clémentine et le bord du lit. Nous l'entendons ronfler légèrement. Clémentine se blottit fort.
Nous nous murmurons des douceurs, quelques secrets. Nous ne tardons pas à plonger pour un sommeil réparateur, nécessaire.

Bonne soirée "cinéma" à toutes les coquines qui aiment immortaliser leurs fantasmes sur des films privés et secrets...

Julien - (Le plus heureux des hommes dans une relation à trois qui frise l'enchantement paradisiaque et divin) -

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Le dimanche permet de se remettre du samedi...

Hier matin, dimanche, je suis réveillé de la plus agréable des façons. On me couvre le visage de bisous. Des rires étouffés.
On me tient par mon érection matinale. J'ouvre l'œil et le bon. < Bonjour Julien ! > font les deux coquines en même temps.
Je me redresse, à quatre pattes entre les deux filles que je chatouille en poussant de vrais grognements d'ours des cavernes.
Estelle, qui a passé son bras par dessus Clémentine pour me tenir le sexe, parvient à s'enfuir la première en criant : < Pipi ! >
Clémentine me chevauche en riant. Les papouilles. Bises. Estelle revient et nous dit : < Je vais préparer le petit déjeuner ! >.

Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Dès la fin de notre rituel pisseux, nous descendons à toute vitesse.
Nous rejoignons Estelle dans son pyjama de soie mauve. Elle achève de mettre la table dans l'odeur de café, de pain grillé.
Estelle se précipite dans mes bras. Je la cajole un peu avant que Clémentine ne vienne s'interposer pour prendre sa place.
Nous rions de bon cœur. Je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. Confitures ou miel. Comme le patriarche.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous mettons les derniers détails au point. Ce qui concerne les vacances.

Il est 8 h15. Le thermomètre extérieur indique moins 6°. Le ciel est ensoleillé et bleu. Le thermomètre intérieur indique 20°.
Nous traînons à table. Les filles évoquent les cours et leurs études. Assise sur mes genoux, Clémentine termine son yaourt.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Clémentine entraîne Estelle jusqu'au salon. Je nettoie.
J'entends les filles rires. Clémentine fait découvrir nos récits sur le forum. J'aime cette ambiance dans la maison. C'est bien.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère parterre. Je n'entends plus rien. Clémentine est montée faire la chambre.

En tirant l'aspirateur je rejoins Estelle au salon. Elle est assise derrière le bureau concentrée à lire sur l'écran de l'ordinateur.
< Julien, je m'éclate à lire tes histoires ! Je peux suivre toutes nos aventures et tu racontes presque tout ! > me fait Estelle.
Je dis : < Les choses que je ne raconte pas me sont interdites par Clémentine. Tu as vu que je ne dis pas tout à ton sujet ! >
< Et je t'en suis reconnaissante. Merci ! > me fait Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine bien vulgaire.
Je passe consciencieusement l'aspirateur sous tous les meubles. Estelle pose ses pieds sur le bureau. Je passe sous la chaise.

Estelle en profite pour se saisir de mes couilles en me disant : < Tu as les boules mon salaud, je te ferais bien une pipe ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me montre le trou dans le panneaux du décors toujours encore debout à quelques mètres.
< Tu vas m'aider à le mettre dans l'atelier ! > que je lui dis en repoussant doucement ses deux mains qui me tripotent. Rires.
Estelle se lève pour se précipiter dans mes bras. Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, je reste distant. Elle m'embrasse.
Nous saisissons le décors, les quatre panneaux de contre plaqué formant une sorte d'armoire pour le soulever. Tout est léger.

< Je t'aime Julien ! > me chuchote Estelle en m'entraînant par la main jusqu'au salon. Je la force à s'assoir derrière le bureau.
Je termine le ménage. Chiffon et plumeau. Estelle n'arrête pas ses imitations vicieuses. Main devant la bouche mimant la pipe.
J'agite un index menaçant pour lui dire : < Toi, je vais te punir ! >. Elle se lève et s'écrie : < Oh oui. Et je suis très vilaine ! >.
Je monte rejoindre Clémentine qui termine de changer les draps. Je lui raconte l'attitude d'Estelle. Nous en rions de bon cœur.
Je ramasse les draps sales. Nous fuyons la chambre dont les fenêtres sont ouvertes pour aérer. Le froid est vif. Salle de bain.

Je nettoie le bac à douche. Clémentine fait les miroirs et le bidet. Nous bavardons. Nous nous faisons plein de bisous. Bonheur.
< Comme je suis contente d'être en vacances ! > me murmure Clémentine en se blottissant contre moi. Nous sentons la javel.
Se saisissant du panier à linge plein à ras bord, Clémentine me laisse pour descendre. Je nettoie les chiottes de l'étage. Propre.
Je passe la serpillère sur les sols carrelés. Je vais fermer les fenêtres dans la chambre. Je passe dans la pièce d'entraînement.
Je passe le balai entre nos appareils de musculation. Un rapide coup de plumeau sur les câbles, les chaînes, les poulies, poids.

Je descends rejoindre les filles qui sont assises, silencieuses, concentrées, derrière le bureau, devant l'écran de l'ordinateur.
Clémentine m'explique les graphiques qui s'affichent. C'est le site universitaire. Quelques nouvelles applications et fonctions.
Je les laisse pour me rendre à la cuisine. Les pavés de saumon achèvent de décongeler. Je vide la flotte de l'assiette. Super.
J'épluche les patates, les carottes et les navets pour la potée. Ce plat délicieux qui fait la joie des repas de midi du dimanche.
Clémentine vient me rejoindre. Serrée derrière moi, ses bras autour de ma taille, elle me chuchote quantité de < Je t'aime ! >

Estelle arrive à son tour. Elle fait la même chose profitant du fait que Clémentine lave les feuilles de salade dans le bac d'évier.
< Tu arrêtes de perturber mon mec s'il te plaît ! > lui fait Clémentine qui s'essuie les mains pour venir s'interposer. La poilade.
Estelle s'occupe du saumon qu'elle prépare en papillotes. Je termine de couper les tubercules en petits dés réguliers. Cocotte.
C'est dans la vieille cocotte en fonte noire que je fais cuire la potée. Ail, oignon, ciboulette et persil rajoutés. Le couvercle. Bon.
Estelle est dans la véranda à faire cuire les papillotes sur le barbecue électrique. Elle revient en faisant : < Brrr, il fait froid ! >

Je ne chauffe pas la véranda à la mauvaise saison. Comme elle est adjacente à la cuisine, elle reste simplement tempérée.
Estelle monte s'habiller. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux. Trois mousquetaires.
Nous en rions toujours de bon cœur. Je mets la table. La potée répand sa délicieuse odeur ancestrale. Ouvrant nos appétits.
Nous voilà assis à manger. Nous bavardons. Les papillotes avec la potée sont un véritable régal. Accompagnés d'une scarole.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre soirée "cinéma" de hier soir. Je félicite Estelle pour son montage. Joie.

Tout en me montrant la clef USB qu'elle tire de sa poche, elle me fait : < Et je peux rajouter un autre film ! Il y a la place ! >
Le message est clair. Clémentine lui fait : < Et on refait le même genre de film aux écuries dès les premiers beaux jours ! >.
< C'est certain ! > répond Estelle en mimant une pipe, tournant sa main gauche devant sa bouche. Une bosse dans sa joue.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Oui, mais la taille de la bite ne sera pas du tout la même ! >
Monsieur Gérard, le palefrenier, est possesseur d'un sexe minuscule. Impuissant et incontinent son contact n'est pas risqué.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque notre projet de film aux écuries. Printemps.
Estelle pose tout un tas de questions juste pour le plaisir d'échanger des cochonneries. Nous en rigolons comme des bossus...
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Clémentine nous propose une bonne randonnée dehors.
C'est une suggestion qui est applaudit. Il est 13 h50. Nous mettons nos pulls, anoraks, bonnets écharpes et gants. C'est ok...
Le froid est vif. Nous portons nos chaussures montantes pour marcher sur un sol gelé et sec. L'absence de vent est agréable.

Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Estelle me tient par le bras gauche. Clémentine me tient par le bras droit. Bien.
Nous apprécions notre complicité intime même par grand froid. Nous longeons la rivière gelée. Tout est couvert de givre blanc.
Nous nous adaptons rapidement aux conditions en admirant le paysage. Nous passons derrière le haras. L'endroit est désert.
La caravane de monsieur Gérard sous les branches vides des arbres. Nous longeons le ruisseau jusqu'à l'ancienne voie ferrée.
Nous marchons sur la piste cyclable jusqu'au cromlech. Nous descendons par la chapelle. Nous croisons de rares promeneurs.

Les filles font toujours pipi au même endroit. Il faut faire vite. Le froid pèle les culs les plus chauds. J'ai la bite toute petite.
Avec ce froid, de pisser dehors, provoque des nuages de vapeurs. Nous rions de bon cœur de ce phénomène un peu absurde.
< Elle est plus petite dans le froid qu'au chaud ! Tu frimes moins, hein, mon salaud ! > me fait Estelle, accroupie pour voir.
Nous rions de bon cœur en nous réajustant. Nous sommes de retour pour 17 h. Nous apprécions d'êtres au chaud. Superbe.
Je propose une bonne tisane avec des petits gâteaux. Nous voilà au salon, vautrés tous les trois dans le confort du canapé...

< On se mâte le film ? > propose Estelle. Clémentine s'empare de la télécommande. Je branche l'ordinateur sur le téléviseur.
Estelle introduit la clef USB dans l'ordi. Le souffle court, en apnée, nous attendons le début du film. Clémentine met en route.
< C'est encore mieux que hier soir ! > fait Estelle en mettant sa main sur ma braguette. Clémentine lui fait : < Keep cool ! >
C'est vrai que la seconde vision de ces images est pleine d'émotions nouvelles. < Je connais par cœur ! > nous fait Estelle.
Clémentine fait les premiers arrêts sur image. Et sur les séquences les plus suggestives. Estelle me déboutonne la braguette.

A la vue de ces images, la bite dans la main d'Estelle, je ne tarde pas à bander comme un priapique en phase terminale. Dur.
Estelle se laisse glisser. Assise sur ma gauche, la voilà avec sa tête sur mon ventre. < Miam ! > fait elle avant de me pomper.
Clémentine a passé sa main dans son jean largement ouvert. Assise à ma droite, elle pose la télécommande pour m'embrasser.
Ma compagne et moi, nous regardons ce film étonnant. On y voit Estelle, le visage en gros plan, entrain de me sucer la queue.
Ma queue qui dépasse du trou parfaitement rond dans la cloison. Cette vision, hautement excitante nous comble de bonheur...

Clémentine se masturbe doucement. Nous nous embrassons parfois. Estelle est entrain de me tailler une pipe des familles.
C'est passionnant. La même fille que je vois dans le film est entrain de faire la même chose dans la réalité. C'est fabuleux.
Terriblement excité, je sens mon liquide séminal monter le long de mon sexe. Il se répand dans la bouche de ma suceuse.
Les sécrétions sont abondantes. Je dois me maîtriser. Pas question de me laisser aller à un orgasme non contrôlé. Superbe.
La fin du film. Je force Estelle à se redresser. Elle a du foutre visqueux et gluant, avec sa salive, qui lui dégouline partout...

De l'index, je récupère la jute gluante. Je le lui mets dans la bouche. Estelle lèche en gémissant. Clémentine cesse sa branle.
< C'est encore meilleur devant un bon porno ! > fait Estelle en me montrant l'intérieur de sa bouche. Des filaments visqueux.
Nous reprenons nos esprits en regardant l'écran noir du téléviseur. < A refaire, et très vite ! > rajoute encore Estelle. Rires...
Il est presque dix neuf heures. Tout cela a ouvert nos appétits. Nous nous précipitons à la cuisine. Il suffit de réchauffer. Bon.
La potée réchauffée, avec une bonne Béchamel au Roquefort, est un délice que nous apprécions à sa juste valeur nutritive...

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons à l'atelier. Les filles préparent leurs cours.
Dès demain après-midi, les choses sérieuses reprennent. Clémentine et Estelle mettent la dernière main. Tout ce qu'il leur faut.
Il est rapidement 22 h15. Il faut ramener Estelle. La séparation dans le froid glacial de la nuit est difficile. Je la rassure. Bises.
< On revient te chercher demain, à 14 h ! > lui fait Clémentine. Nous rentrons. Trois petits kilomètres. Retour pour 22 h 45.
Toilettes. Salle de bain. Le lit. Un "69" et nous faisons l'amour. Clémentine me révèle les plus étonnants secrets. Pipe et dodo...

Bon début de semaine à toutes les coquines qui se sont offertes des séances de cinéma "Art et Essai", genre Fesse Tival...

Julien - (Qui ne sait pas toujours où donner de la queue. Qui laisse donc les filles décider pour lui. Somptueux) -

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Le début des vacances et les après-midi avec Estelle

Hier matin, lundi, j'ouvre l'œil le premier. Je regarde l'heure, il n'est que 7 h30. Le jour se lève. Clémentine s'étire déjà.
Je me penche sur son visage pour lui murmurer : < Bonjour Clémentine ! >. Elle m'attrape, me dit : < Bonjour Julien ! >
Ses bras autour de mon cou elle me serre contre elle. Douceur, tendresse et papouille. Ce qui est un besoin important.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. < Les vacances ! > s'écrie t-elle.
Dès la fin de nos rituels pisseux, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Tout va vite.

Clémentine s'occupe du café. Le thermomètre extérieur indique moins 7°. Le ciel est de plus en plus lumineux. Le froid.
Le thermomètre intérieur indique 21°. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous pouvons traîner à table.
Nous faisons le bilan de ce Week-End, la présence d'Estelle, notre promenade et les visionnages de ce film remarquable.
Clémentine me propose de nous offrir un bon jogging, chaudement vêtus. Je trouve la suggestion absolument exquise.
Nous faisons la vaisselle. Nous remontons nous mettre en tenues. Leggings, sweats, K-way, bonnets, écharpes et gants.

Nous imprimons un rythme soutenu en accélérant rapidement. Nous ne tardons pas à nous réchauffer. C'est très agréable.
Nous faisons notre circuit habituel mais beaucoup plus vite dans une campagne figée dans le froid et la blancheur du givre.
Il est neuf heures quinze lorsque nous revenons. Nous montons prendre notre douche. Nous nous savonnons en rigolant.
Vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux, nous allons dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Super.
Clémentine est assise à la table, entourée de ses affaires devant l'ordinateur. Je suis assis devant mon chevalet. Fabuleux.

Je peins dans une véritable volupté. C'est la dix septième toile destinée à ma saison d'été. il m'en faut encore treize autres.
Nous adorons ces longues séances de concentration ponctuées pas quelques uns de mes cris surréalistes courts et modulés.
Souvent Clémentine vient me rejoindre. Debout derrière moi, ses bras autour de mon cou à me chuchoter : < Je t'aime ! >
Mon comportement inspiré l'enchante et la ravi. Parfois, en riant de bon cœur, Clémentine imite mes cris et mugissements.
Nous sommes le couple le plus heureux du monde, dans l'environnement le plus privilégié à nous aimer de manière sublime.

Lorsque je me lève pour rejoindre Clémentine à mon tour, debout derrière elle, mes bras sur ses épaules, elle m'explique.
Je regarde ce qui s'affiche sur l'écran. Moi qui suis animé en permanence d'une soif de connaissances, cela me passionne.
J'écoute les démonstrations de ma compagne avec une admiration sans limite. Et mon intérêt pour son travail l'émerveille.
J'en sais tellement que je pourrais presque reprendre mes études avec elle. Nous en rions de bon cœur. C'est merveilleux.
Il est rapidement 12 h15. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement...

Je coupe l'aubergine, la courgette, j'épluche l'ail, l'oignon, les champignons. Je coupe de belles tomates fraîches et rouges.
Je fais revenir le tout dans un wok. En accompagnement ce seront de délicieuses coquillettes complètes et "Bio". Superbes.
J'en prépare en quantité afin de pouvoir réchauffer en soirée. Nous bavardons. Clémentine vient souvent se serrer très fort.
< Je suis si heureuse. Chaque instant avec toi me comble de bonheur, Julien ! > me chuchote t-elle. Je lui caresse la tête.
Je lui murmure à quel point tout cela est réciproque pour moi. L'odeur de la bouffe est une torture tellement elle est bonne.

Je mets la table, Clémentine remue la salade. Je termine de râper du Parmesan et du gruyère. Nous sommes morts de faim.
Les coquillettes gratinées, commencent à dorer. Nous les observons à travers la vitre du four dont la sonnerie nous enchante.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous savourons à la fois ce repas et d'avoir tout ce temps rien qu'à nous.
J'écoute Clémentine évoquer sa stratégie de vie. Dans trois ans, ce sera son Doctorat, la recherche et l'enseignement en fac.
< Six heures de cours à donner chaque semaine et seize heures consacrées à la recherche. 4 mois de vacances ! > fait elle.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me propose le programme de l'après-midi à venir.
J'écoute l'organisation qui s'articule toujours avec une logique imparable. Clémentine suscite toujours toute mon admiration.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Il est déjà 13 h45. Nous nous habillons chaudement...
Emmitouflés dans nos anoraks, sous nos bonnets et nos écharpes nous sortons la voiture pour aller chercher Estelle. 14 h05.
Trois petits kilomètres. Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel à cent mètres de chez elle dans le lotissement voisin.

Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa matinée, au bureau, dans l'entreprise familiale. Bien.
Nous sommes rapidement de retour. Les filles sont assises à la table. Je suis assis devant mon chevalet. La séance de travail.
Le crépitement du feu dans la cheminée et les murmures derrière moi, tout cela est un véritable enchantement paradisiaque.
Estelle a la même ambition carriériste que Clémentine. La même motivation les anime toutes les deux. Une saine émulation.
D'être enseignante en troisième cycle, de se consacrer à la recherche, est l'assurance d'une vie loin des tourments matériels.

Le crépuscule précède l'arrivée de la nuit qui tombe doucement. Il est alors rapidement dix neuf heures. La faim se fait sentir.
< Ras le cul ! > s'écrie Estelle. < Jamais dans le cul, c'est un endroit à chier ! > répond Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Nous nous précipitons à la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà toute prête.
Estelle met la table. Les filles parlent de leurs cours. Tout va très vite. Nous sommes méthodiques. Efficacité et rigueur. Bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle évoque le visionnage du film, ce Week-End. C'était excitant. Super.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque les écuries, le palefrenier vicieux, Juliette.
Nous rigolons comme des bossus lorsque la conversation dérape sur la bite ridiculement petite de monsieur Gérard. Rigolade.
< Son "truc mou" ! > comme aime à la qualifier Estelle. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine.
Nous passons au salon. < Je peux avoir mon dessert ? > fait Estelle, sa main fermée devant la bouche en mimant une pipe.
Clémentine lui fait : < Tu es une gourmande ! Tu n'en as jamais assez ! >. Nous rions de bon cœur à cette boutade. Poilade.

Clémentine se vautre dans le fauteuil. Estelle pose l'épais coussin au sol pour s'y mettre à genoux, mains sur la tête. Droite.
Je suis assis sur l'accoudoir du fauteuil, aux côtés de ma compagne qui me tient par la taille. Estelle nous observe silencieuse.
< Tu me fais du spectacle ? > chuchote Clémentine tout en me montrant Estelle qui nous fixe avec la bouche grande ouverte.
Je me lève. J'ouvre ma braguette. Je m'approche d'Estelle qui reste bien droite, mains sur la tête, à genoux sur l'épais coussin.
Je sors mon sexe que je fais tournoyer comme un lasso en direction de Clémentine qui déboutonne son pantalon. Un silence.

Je frotte mon sexe mou sur le visage d'Estelle qui m'en présente chaque relief en gloussant de bonheur. J'insiste sur la bouche.
Les lèvres serrées, faisant durer ces instants d'une profondeur extraordinaire, Estelle me fixe de son regard fier, son air de défi.
Je regarde Clémentine qui a passé sa main dans sa culotte. < Show must go on ! > me fait elle avec un clin d'œil. Un sourire...
Rien n'excite davantage ma compagne que de me voir dans mes comportements vicelards. Ce spectacle la comble d'aise. Bien.
Je saisi Estelle par sa natte comme par une laisse. Je la tiens au plus court, près de la nuque. Je lui frotte ma bite sur la gueule.

J'insiste. Estelle reste immobile. Parfaitement droite, ses mains sur la tête m'offrant son visage. Je bande mou et ça coule déjà.
L'excitation fait monter les premières coulures de liquide séminal. Estelle ouvre la bouche. J'y enfonce mon sexe mou. Douceur.
Clémentine pousse son premier gémissement. Presque en même temps que le râle de plaisir que lâche Estelle en suçant déjà.
Je tâche de rester bien droit. De ne pas ressentir de contractions désagréables au niveau de mes lombaires. Je contrôle le tout.
Je bande mou. Cette délicieuse impression d'avoir ma bite dans un bol de purée tiède. Je me fais tailler une pipe des familles...

Comme toujours, Clémentine m'observe tout en se masturbant. Elle me fait de nombreux sourires. Parfois un clin d'œil vicieux.
Notre complicité me donne les plus indicibles vertiges. Cette excitation intense provoque d'abondantes montées de jus visqueux.
J'admire les efforts que fait Estelle pour en déglutir la totalité non sans quelques difficultés. Elle le fait en gémissant de plaisir.
Je lui chuchote : < Bon appétit Estelle ! >. Elle ouvre les yeux pour me fixer de son regard plein de reconnaissance. Heureuse.
Je la tiens par sa natte pour guider sa pipe. Parfois je m'introduis en maintenant sa tête. Parfois je me retire. Je recommence.

Lorsque je me retire pour lui permettre de reposer sa mâchoire, je me penche pour lui couvrir le visage de bises. Elle glousse.
Clémentine commence à devoir lutter contre un orgasme qui guette au fond de sa culotte. Comme elle est belle à se toucher.
Je lui fais signe de l'index de me rejoindre. Elle se lève. Je force Estelle à se relever. Je la tiens fermement à cause du vertige.
Je saisi Clémentine par ses cheveux pour la faire mettre à genoux à la place d'Estelle qui m'embrasse, la bouche pleine de jus.
Clémentine, tout en continuant à se masturber d'une main, me tenant par les fesses de l'autre, se met à me sucer. Ventouse.

Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice avec son avidité habituelle. Elle me roule une véritable pelle d'enfer ! Joie.
J'offre à Clémentine le fruit de mon immense bonheur. J'éjacule. Trois saccades aux giclées abondantes. Une longue coulée.
Clémentine, tout en déglutissant avec peine, pousse de petits cris de ravissement. Estelle se frotte contre ma hanche. Excitée.
Il est rare qu'Estelle manifeste des velléités masturbatoires. En vraie cérébrale, son plaisir est d'abord intellectuel. Mais là !
Clémentine me vide les couilles. Elle me fait le "fond de cuve" avec passion. Estelle me chuchote : < Je t'aime Julien. Merci ! >

Il est 22 h15. Il faut ramener Estelle. La séparation est difficile. Pénible. Estelle a toujours beaucoup de mal à nous quitter.
Nous la ramenons. Je la console en lui disant : < On te cherche demain pour 14 h ! >. Clémentine lui fait < Du courage ! >
Au retour, nous montons à toute vitesse aux toilettes. Clémentine se régale de mes derniers épanchements. Foutre et pisse.
Le lit. Nous nous offrons un "69" juteux. J'en ai presque mal aux couilles. Clémentine m'attire sur elle. Les confessions. Joie.
Le cunnilingus que je lui offre la terrasse d'un orgasme démentiel. Nous nous serrons. Derniers mots avant de plonger. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se masturber en regardant leur coquin se faire tailler une pipe par la copine...

Julien - (Qui s'apprête à se faire vider les couilles durant les deux semaines de vacances à venir. En travaillant toutefois) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 347 -



Qu'il est bon d'être tous les trois, Clémentine, Estelle et moi...

Hier matin, mardi, je suis à nouveau réveillé le premier. Il est 7 h45. Je ne fais aucun bruit, je regarde Clémentine dormir.
Le spectacle ne dure hélas pas très longtemps. Inspirée par un sixième sens infaillible, elle s'étire en gémissant. Réveillée.
Dans le cri qui ponctue son long gémissement elle fait : < Bonjour Julien ! >. Je lui chuchote : < Bonjour Clémentine ! >
Elle se serre contre moi avant de me chevaucher en riant. Douceur et papouilles. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Pipi.
Dès la fin du rituel pisseux, morts de faim, nous descendons à toute vitesse à la cuisine pour y préparer le petit déjeuner.

Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Régal.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le thermomètre extérieur indique moins 8°. Le jour est clair et lumineux.
Nous faisons le programme du jour. Et sensiblement identique à celui de hier. Nous traînons à table. C'est très sympathique.
Clémentine est en vacances. J'ai quatre semaines d'avance sur ma production. Pourquoi s'inquiéter inutilement. C'est super.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie en me proposant de nous offrir un bon jogging, chaudement vêtus. Nous montons.

Nous voilà en tenues. Leggings, sweats, K-way, bonnets, gants et nos écharpes devant la bouche. Il fait vraiment très froid.
Nous courons rapidement. C'est le circuit habituel. Nous nous réchauffons très vite grâce à notre rythme soutenu. Superbe.
Nous parcourons la campagne figée dans un froid sibérien. Le givre fin recouvre végétaux et minéraux. Le sol est bien sec.
Nous sommes de retour pour 9 h15. La douche. Vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux nous descendons contents.
Nous voilà dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Je suis assis devant mon chevalet. Prêt.

Assise sur mes genoux, Clémentine observe mon travail. < Un jour, je me mettrais à la peinture ! > me confie t-elle sérieuse.
Elle rajoute : < A force de te voir peindre, j'apprends plein de choses ! >. Ses bras autour de mon cou elle me regarde faire.
Je prépare ma palette. A l'aide d'un fin couteau à peindre, je sors de toutes petites quantités de quelques tubes qu'il me faut.
Jaune de Cadmium, rouge de Mars, et de la Terre de Sienne dont je fais grand usage. Clémentine m'explique leurs origines.
Les couleurs de "Mars" sont faites à base de terre brulées et à haute température. Les Cadmium sont des sulfates de métaux.

Je sais tout cela mais le plaisir d'entendre ses explications participe de ma joie de tout préparer. Clémentine se lève. Des bises.
Elle est assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'écran de l'ordinateur. Nous sommes rapidement absorbés. Abstraits.
Le crépitement du feu dans la cheminée, les petites explosions du bois qui craque, le souffle de nos concentrations. Un plaisir.
Lorsque je peins les détails les plus infimes, de mes pinceaux les plus fins, ma concentration est telle que je cesse de respirer.
Le soupir qui suit ces apnées se prolonge dans un cri surréaliste, parfois longuement modulé. Clémentine éclate de rire. Imite.

Il est rapidement midi. Animés par une faim de loups, nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade.
Je prépare la pâte à pain pour la Flamiche Picarde de ce soir. Cette tarte aux poireaux du mardi. Je coupe le poireau en dés.
Je fais cuire dans l'eau bouillante pendant que je concocte une Béchamel. Pour midi, ce seront des coquillettes bio gratinées.
Tout va très vite. Pendant que le plat de coquillettes gratine au four, nous passons au salon. Vautrés tous deux sur le canapé.
Clémentine me déboutonne le pantalon pour glisser sa main dans mon slip ! < C'est bien chaud par là ! > me fait elle en riant.

Je lui propose de m'occuper de son minou en disant : < Je prendrais volontiers un petit "encas" et un apéritif ! >. Des bisous.
Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Clémentine se lève, ouvre son jean, le descend en même temps que sa culotte.
Je suis rapidement à genoux sur l'épais coussin, le visage entre ses cuisses écartées, à savourer son sexe. La douce habitude.
Clémentine me guide en me tenant par les oreilles. Elle me chuchote des douceurs. < Je suis dingue de "ça" ! > me fait elle.
Avec mes aptitudes, cette addiction se développe encore un peu plus, jour après jour. < Je vais finir en psychiatrie ! > dit elle.

Nous rions de bon cœur de cette plaisanterie. Clémentine, entre deux gémissements, rajoute : < Je suis déjà folle de toi ! >
La sonnerie du four nous rappelle aux réalités prosaïques de l'existence. Je cesse. Clémentine me tend ses mains. Excitée.
Je l'aide à se redresser. Nous nous précipitons à la cuisine. Vite. Je sors le gratin odorant du four. Clémentine remue la salade.
Nous mangeons de bon appétit. Pour accompagner les coquillettes, nous rajoutons le reliquat de la Béchamel aux poireaux.
Nous bavardons en nous régalant. La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Il est déjà 13 h45.

Nous nous habillons chaudement pour aller chercher Estelle qui nous attend dans l'abri du bus habituel, tout près de chez elle.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa matinée au bureau de l'entreprise familiale. C'est bien.
Nous sommes de retour pour 14 h15. Nous filons immédiatement dans l'atelier. Les filles sont assises à la table pour travailler.
Je suis assis devant mon chevalet. Le crépitement du feu, les murmures derrière moi, tout cela participe de mon enchantement.
A plusieurs reprises, l'une où l'autre vient me rejoindre. On me fait des bises pendant que je peins. Je regarde qui c'est. Rires.

Une fois c'est Estelle, une fois c'est Clémentine. Elles sont adorables. Parfois c'est moi qui me lève pour passer derrière elles.
Je regarde ce qu'elles font et en distribuant des bisous à mon tour. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordi.
Les filles préparent les cours à venir. Ce sera la fin de ce second trimestre. Elles anticipent afin de gagner du temps. Super !
Il est rapidement 18 h45. Je laisse les filles pour me rendre à la cuisine. J'étale la pâte merveilleusement onctueuse. Farine.
Estelle me rejoint la première. < Laisse moi préparer ! J'adore toucher la pâte ! > me fait elle en se serrant contre moi. Fort.

Je réchauffe la garniture. La Béchamel contenant le poireau est figée. Clémentine arrive à son tour. Elle se serre contre moi.
Nous sommes si bien tous les trois que nous nous regardons souvent, comme étonnés de ce bonheur. De tout notre privilège.
Estelle dépose doucement le couvercle de pâte fine sur la tarte. Clémentine s'occupe de la salade. Je râpe du parmesan. Bien.
Dans un bol je mélange du gruyère râpé finement avec de la chapelure et un œuf. Estelle badigeonne le tout avec le spalter.
Un dernier saupoudrage de graines de sésame grillé et voilà la Flamiche Picarde au four pour trente minutes de cuisson. 300°.

Nous passons au salon. Vautrés tous les trois dans le canapé, nous rions de bon cœur de nos aventures passées. Les écuries.
Estelle a passé sa main dans ma braguette. Elle aussi me fait : < C'est bien chaud ! >. Nous rigolons comme des bossus. Joie.
J'ai les mains posées sur les épaules de Clémentine à ma droite et d'Estelle à ma gauche. Estelle me fait des bises. C'est bon.
Clémentine me chuchote plein de douceur alors qu'Estelle tente d'extraire mon Zob. Je bande mou. Elle n'a pas de difficultés.
Je me retrouve rapidement la bite à l'air. < Je peux sentir ? > fait Estelle en se penchant pour humer mes odeurs d'homme.

Clémentine se penche pour renifler à son tour. Les filles observent ma queue en échangeant leurs impressions olfactives.
Nous rions de bon cœur de leurs constatations et de leurs conclusions. J'ai la bite qui pue et il y a du fromage sous la peau.
C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos introspections analytiques. Nous nous précipitons à la cuisine. Autres odeurs.
Nous mangeons de très bon appétit. Estelle nous confie à quel point ses parents apprécient les recettes qu'elle a apprise ici.
A tel point que c'est elle qui est souvent sollicitée pour préparer la bouffe. La Flamiche Picarde remporte la palme. Préférée.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, terminant son yaourt au miel, Clémentine propose de ne rien "foutre" ce soir.
< Oh si ! J'en veux du foutre ! > lance Estelle. Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Accompagné de fromage ! >
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Sans prévenir, je saisi Estelle.
Je l'assois sur la chaise du bureau, mais avec le dossier entre ses jambes écartées. Je sors les menottes et les cordelettes.
Clémentine que cela excite considérablement, a passé une main dans son pantalon ouvert. Elle observe comme consternée.

Estelle, surprise également, se laisse faire avec le ravissement qu'elle cache difficilement. Je lui passe les menottes. Poignets.
Je fixe ses chevilles aux pieds de la chaise. Je fixe ses bras au dossier de la chaise. La voilà ligotée, assise et toute contente.
Je saisis Clémentine à qui je retire le pantalon et la culotte. Elle se laisse faire sans dissimuler l'immense bonheur qui l'envahit.
Je la soulève. Je l'installe sur le bureau. Estelle, sur sa chaise, assise tout prêt, me regarde avec grand intérêt. Une surprise.
Je m'accroupi pour brouter le minou de Clémentine. L'excitation provoque des épanchements de cyprine gluante et visqueuse.

Je me redresse. J'ouvre ma braguette. Je sors ma queue que je frotte sur le visage d'Estelle. Je bande rapidement. Le salaud.
Je m'introduis dans Clémentine avec d'infinies précautions. Cette dernière, en appui sur ses coudes, m'observe avec surprise.
J'ai rarement ce genre d'initiative et ce comportement. De quoi ravir n'importe quelle coquine. Je reste immobile. Le silence.
Je caresse la tête d'Estelle. Je suis bien enfoncé dans Clémentine. De mon autre main je lui caresse son clitoris géant. Humide.
Nous restons ainsi un long moment. < Tu me fais ça quand ? > me demande Estelle. < Jamais ! > répond Clémentine. Rires...

Tous les trois, dans cette étrange situation, nous bavardons. Nous évoquons les écuries, le palefrenier vicelard. Cochonneries.
A plusieurs reprises, excitée, Clémentine se met à bouger doucement pour cesser rapidement. Je bande comme un vrai salaud.
Parfois, je sors ma bite pour la mettre dans la bouche d'Estelle qui se régale en gémissant de plaisir et de bonheur. C'est géant.
Je retourne dans Clémentine. Je reviens dans la bouche d'Estelle. Nous ne comptons plus le nombre d'allées et de venues. Zob.
J'éprouve quelques inconforts au niveau des lombaires. C'est la position. Il est déjà 21 h50. Il faudra bientôt ramener Estelle.

Je me retire. J'ai la bite gluante de nos substances que nettoie Estelle en me suçant comme si sa vie en dépendait. Bonheur.
Je détache Estelle qui s'écrie : < A refaire et même à filmer ! >. Nous rions de bon cœur en nous réajustant tous les trois.
Chaudement vêtus, nous voilà sur la route dans la nuit glaciale. La séparation est très difficile. Estelle revient demain. 14 h.
Sur le chemin du retour, Clémentine me suce. A la maison, nous montons à toute vitesse. Toilettes. Salle de bain puis au lit.
Nous baisons en bienheureux. Clémentine connaît un orgasme délirant après le cunnilingus. La fellation me rend dingue. Dodo.

Bonne soirée à trois, à toutes les coquines qui aiment se faire ramoner devant la copine attachée qui a droit de sucer un peu...

Julien - (Roi des salauds qui sait ravir Clémentine et Estelle de quelques surprises qui les enchantent et les font mouiller) -

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Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 348 -



Un mercredi soir en compagnie de Juliette, patronne du haras

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par un léger mouvement régulier des draps, la couette et le lit bougent tout doucement.
J'ouvre l'œil pour découvrir Clémentine couchée sur le ventre. Elle se masturbe discrètement. Moi je fais semblant de dormir.
Bien évidemment, Clémentine même occupée, n'est pas dupe. Elle se rend rapidement compte de mon voyeurisme. Elle cesse.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en serrant contre moi. Je chuchote : < Bonjour ma petite masturbatrice adorée, effrénée ! >.
Ma compagne me chevauche en riant. < J'ai fais un rêve érotique ! > me confie t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Joie.

Il est 7 h45. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim nous descendons à toute vitesse à la cuisine.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Le thermomètre extérieur indique moins 7°. Le jour s'est levé. Un ciel lumineux.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette délicieuse odeur de pain grillé qui accompagne toutes nos matinées. C'est sympa.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte son rêve érotique. Prise sur le bureau devant Estelle.
Approximativement la situation vécue dans la réalité hier soir. Assise sur mes genoux, Clémentine m'en raconte le déroulement.

Je lui dis : < Tu as de la chance, je ne me souviens jamais de mes rêves érotiques ! >. Nous rions de bon cœur de cet aveux.
Je rajoute : < C'est à refaire et vite ! >. Clémentine, ses bras autour de mon cou me fait < Oh oui, c'était trop bon, encore ! >
Nous décidons de nous offrir un bon jogging. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons pour nous mettre en tenues.
Leggings, sweats, K-way, bonnets, gants et écharpes devant la bouche, nous voilà à dévaler le chemin qui mène à la rivière.
Nous courons vite afin de nous réchauffer rapidement. Nous évoluons à un rythme soutenu dans un paysage glacial, lumineux.

Il est 9 h15 lorsque nous revenons. La douche. Nous voilà vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux. Direction l'atelier.
J'allume du feu dans la cheminée. Clémentine est assise à la table, entourée de ses affaires devant l'ordinateur. Quelques bises.
Me voilà assis devant mon chevalet. Le crépitement du feu, le craquement des bûches de hêtre dans l'âtre et nos respirations.
C'est dans cette ambiance de concentration, où résonnent quelques fois mes cris surréalistes, que nous travaillons tous deux.
Il est rapidement midi. Clémentine, toute contente d'avancer dans ses préparations, m'entraîne par la main jusqu'à la cuisine.

Je fais cuire des lentilles avec de l'ail, de l'oignon et du persil. Clémentine s'occupe de la salade. Je lave et j'évide les tomates.
Je fais revenir des haricots verts dans le wok. Les lentilles cuites, je les réduis en purée dans un mortier avec le pilon. Sympa.
J'y rajoute de la chapelure, du parmesan, du gruyère et une pointe de Roquefort. Un œuf. Je mélange. Je remplis les tomates.
Je mets le couvercle sur les tomates sur lesquelles je dispose de fines tranches de Gouda. Je les bloque avec les haricots verts.
Je mets le plat au four. Nous passons au salon. Je déboutonne le jean à Clémentine qui m'aide en retirant sa culotte. Superbe.

Je suis à genoux sur l'épais coussin à humer le fion de Clémentine vautrée dans le canapé, cuisses largement écartées. Belle.
Hélas, il n'y a que l'odeur du pain Dove que nous utilisons sous la douche. Je lèche les plis et les replis des lèvres de son sexe.
Ses lèvres charnues presque disproportionnées, tout comme le clitoris géant. Le sexe de Clémentine m'impressionne toujours.
Les poils me chatouillent le bout du nez, les joues et le menton. J'en ai toujours un qui reste obstinément sur la langue. Joie.
Clémentine me guide en me tenant par les oreilles. Je peux l'entendre gémir légèrement. Les premières coulées de cyprine...

La sonnerie du four. Je me redresse. Clémentine me tend les mains. Je l'aide à se lever. Elle reprend ses esprits. Rapidement.
Nous nous précipitons à la cuisine. Je sors les tomates farcies du four. Clémentine remue la salade. L'odeur est une "tuerie" !
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le bilan de la matinée, le programme de l'après-midi et surtout de la soirée.
Nous sommes invités au haras, pour manger chez Juliette à 20 h. A cet effet j'emmène une de mes tartes aux noix décongelée.
Ces tartes aux noix que j'ai préparé en grand nombre l'automne dernier. Elles remportent toujours un succès . Juliette adore.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Il va être l'heure d'aller chercher Estelle. Il est 13 h45.
Nous mettons nos anoraks, je sors la voiture. Nous voilà en route. Trois petits kilomètres. Estelle nous attend dans l'abri bus.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa matinée au bureau. Il est 14 h10. Nous voilà de retour.
Nous passons immédiatement dans l'atelier. Les filles sont assises à la table. Je suis assis devant mon chevalet. Sympathique.
Nous travaillons tous les trois dans une de ces séances dont nous raffolons. Estelle se lève souvent pour me rejoindre. Bisous.

Assise sur mes genoux, Estelle me fait : < C'était super hier soir, sur le bureau, on refait devant la caméra ? >. J'écoute. Rire.
Clémentine se lève pour venir s'assoir sur mon autre jambe. < J'en ai même rêvé cette nuit ! > fait elle. Estelle éclate de rire.
< Moi aussi ! > nous confie t-elle. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Sujet d'inspiration pour un film ! >
Les filles retournent à leur travail. Parfois je me lève pour voir ce qu'elles font. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'ordi.
C'est un fastidieux travail de recherche qui me rend admiratif. Même si j'ai une soif de connaissance, c'est plutôt ardu. J'écoute.

Il est rapidement dix neuf heures. Nous cessons. < J'ai les yeux qui piquent ! > fait Estelle. < Moi aussi ! > rajoute Clémentine.
Nous montons à l'étage. Estelle préfère rester en jean et en chemises à carreaux. Clémentine met un pantalon à plis et à pinces.
Un chemisier sous un pull. Des souliers à légers talons. Je la fais tourner devant le miroir. Estelle nous regarde assise sur le lit.
< Vous êtes beaux tous les deux ! > nous lance t-elle. Sur la demande de Clémentine, je porte mon costume de velours marron.
Nous faisons les clowns devant le miroir. Estelle, accroupie entre nous deux, nous tient par les hanches. J'ouvre ma braguette...

Je sors mon sexe que je tends à Estelle qui observe la scène dans le miroir. Clémentine se saisit de ma bite à sa base. Ferme.
Elle la passe sur le visage d'Estelle qui en présente tous les reliefs. < Notre petit animal de compagnie ! > lui fait Clémentine.
Estelle ouvre la bouche pour gober mon sexe afin de le sucer. Nous n'avons pas trop de temps. Je la force à cesser. Avec force.
Je la tiens par ses cheveux pour l'obliger à se redresser. < Miam ! > fait elle. Clémentine dit : < Tu vas avoir l'odeur de bite ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle répond : < Juliette pourra apprécier ! Je suis sûre qu'elle se parfume au Chanel No 5 ! >

Clémentine lui fait : < Là, ce sera surtout Chanel Numéro bite ! >. Nous rigolons comme des bossus en descendant. Ambiance.
Estelle passe son anorak, nous mettons nos manteaux. Nous voilà dans la voiture. Trois petits kilomètres dans la nuit glaciale.
Nous arrivons pour 19 h50. Il y a encore deux voitures. Celle de monsieur Gérard, le palefrenier vicieux et celle de Mme Walter.
Nous ne croisons toutefois personne. Juliette descend nous accueillir. Elle semble visiblement heureuse de nous revoir. Super.
Juliette est vêtue de la même élégante façon que Clémentine. Nous montons l'escalier jusqu'à son appartement. Il y fait chaud.

Je dépose la tarte aux noix sur la table. Il suffira de la réchauffer un peu. Nous passons à table. Il y a de délicieuses tartelettes.
Tartes au thon, tartes au crabe. Tarte aux crevettes. Accompagnées de salades, salicornes, avocats. De quoi se régaler. Super.
Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous confie sa joie. Les travaux de constructions de la nouvelle écurie sont terminés.
L'hiver prochain, elle pourra accueillir 25 chevaux supplémentaires car la demande de pension est forte. Nous écoutons ravis.
Juliette évoque sa nouvelle employée de bureau, Solène, que Clémentine a formé avant son départ. Il fallait quelqu'un. Bien !

La conversation s'oriente sur nos activités lorsque nous venons aux écuries. Quelques anecdotes sur le palefrenier vicieux. Rire.
< Monsieur Gérard me fait un boulot incroyable ! Je ne sais pas ce que je ferais sans ses compétences ! > nous confie Juliette.
< Cela mérite bien quelques "compensations" ! > rajoute t-elle. Clémentine me fait du pied sous la table. Invitation à écouter.
Que veut bien dire Juliette par "compensation" ? Nous n'en saurons pas davantage car Juliette débarrasse la table. Le dessert.
C'est Estelle qui revient sur le sujet en sortant son téléphone pour montrer des photos du trou dans le mur aux écuries. Rires.

< C'est qui ? > insiste Estelle en agrandissant les clichés pris en décembre dernier. Gros plans sur les coulures de sperme frais.
Juliette éclate de rire. Elle répond : < C'est génial, non ? >. Nous sommes tous les quatre braqués sur ces 3 photos explicites.
On y voit distinctement des coulures de sperme juste sous le trou parfaitement rond dans la cloison de bois. Des flaques au sol.
< Tout était déjà comme ça lorsque j'ai repris l'entreprise il y a huit ans ! Une œuvre de Gérard sans doute ! > fait Juliette. Rire.
Estelle, décidemment espiègle, mutine et curieuse rajoute : < Mais il y a bien quelqu'un qui participe ! >. Juliette éclate de rire.

Tout en dégustant la tarte aux noix, esquivant habilement le sujet, Juliette nous invite à l'animation qu'elle organise dimanche.
Un spectacle à thème médiéval. Les cavaliers seront déguisés en ménestrels, en chevaliers ou encore en troubadours. Superbe.
Nous promettons de venir. Il est rapidement 22 h. Nous prenons congé. J'invite Juliette à venir manger à la maison mercredi.
L'invitation est acceptée avec joie. L'affaire est entendue. Juliette met son manteau, nous invite à visiter les nouvelles écuries.
Nous descendons dans le froid. Nous contournons le bâtiment du manège pour découvrir la quatrième écurie. Odeur de ciment.

Estelle, plutôt gonflée, demande : < Tu as prévu un trou quelque part ? >. Juliette, étonnée d'être tutoyée, éclate d'un long rire.
< C'est une surprise ! > se contente de répondre Juliette. Nous retournons à la voiture. Nous nous serrons la main. Déjà 22 h30.
Sur le chemin du retour, Estelle n'arrête pas de nous donner ses impressions quand à l'attitude de Juliette au sujet du trou rond.
Nous sommes de retour pour 22 h 50. Epuisés. Toilettes. Salle de bain. Au lit, nous nous offrons un "69" des plus savoureux.
Une baise immobile où Clémentine me confie d'étonnantes réflexions. Un cunnilingus délirant. Une fellation démentielle. Dodo.

Bonne soirée au haras à déguster un bon repas avec la patronne à toutes les coquines ayant ce genre de privilège...

Julien - (Toujours soucieux d'en apprendre de belles, écoute avec soin les analyses et suppositions d'Estelle et de Clémentine) -

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Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 349 -



Estelle aime nous regarder faire l'amour tout en se masturbant...

Hier matin, jeudi, nous nous étirons en même temps. Nos horloges biologiques fonctionnent le plus souvent en symbiose.
< Bonjour Julien ! > s'écrie Clémentine ponctuant ainsi son long gémissement crescendo. Elle se serre très fort contre moi.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Il est 7 h45. Douceurs, papouilles.
L'impérieux besoin naturel met fin à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Le rituel pisseux.
nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Faim.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de la soirée de hier, chez Juliette. Ma compagne en tire un constat.
Juliette est parfaitement informée de ce qui se passe dans les écuries. Le trou dans la cloison qui sépare le box du bureau.
Les agissements de monsieur Gérard, le palefrenier vicelard. Mais nous ne savons pas qui vient pour lui tailler des pipes...
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine émet une supposition saugrenue et légitime. Mme Walter et Juliette.
< Je suis certaine qu'elles viennent à tour de rôle, gardant le parfait anonymat, pour sucer par le trou ! > fait Clémentine.

Le thermomètre extérieur indique moins 4°. Le jour est lumineux. Le ciel reste d'un gris clair. Nous faisons notre vaisselle.
Nous remontons pour nous mettre en tenues. Leggings, sweats, K-ways, bonnets gants et nos écharpes. Il fait très froid.
Puis nous voilà à courir le long du chemin qui descend à la rivière. Nous nous offrons ce jogging que nous apprécions tant.
Nous courons d'un rythme soutenu dans la campagne glaciale couverte de givre. Le sol est sec et gelé. Conditions idéales.
Pratiquer de l'exercice physique dans le froid développe l'immunité et décuple les capacités cardio vasculaires. Que du bon.

Il est neuf heures trente lorsque nous revenons de notre running régénérateur et des plus agréables. Une bonne douche.
Nous descendons vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux jusqu'à l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée.
Clémentine est assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur. Je suis assis devant mon chevalet. Le travail.
Je peins dans un enthousiasme délirant. La présence de ma compagne démultiplie encore cette euphorie productive. Super.
Je termine probablement cette dix septième toile destinée à ma saison d'été pour demain matin. C'est à peu près certain...

Il est rapidement midi. Là aussi, réglés par nos horloges biologiques, nous nous rejoignons derrière la table. Bonne séance.
Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordinateur. Des graphiques et développements de formules chimiques.
Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare la pâte à pain pour les pizzas de la soirée.
En même temps je prépare une ratatouille "maison" à base de courgettes, de tomates et d'aubergines. Avec des spaghettis.
Je fais la garniture des pizzas. Tomates fraîches, oignon, ail, champignons et purée d'avocat. Avec une pointe de Roquefort.

Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons en plaisantant. Bien évidemment la conversation s'articule sur les écuries.
< C'est une véritable source d'inspiration ! Tu devrais y consacrer quelques toiles ! Les chevaux ! > me suggère Clémentine.
Même si j'y ai déjà pensé, je trouve la suggestion très intéressante. Il me faut juste trouver l'anecdote pour situer la scène.
Le thème du cheval est une prétexte commercial à exploiter. Ce qui m'importe c'est de vendre. Il faut garder cela à l'esprit.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie le besoin d'exhibe qui devient très fort.

En hiver, les situations qui permettent quelques opportunités exhibitionnistes sont plutôt rares. C'est souvent à l'intérieur.
Il faut se faire une raison. Il faut s'armer de patience. Nous ne sommes que le premier mars et le printemps arrive bientôt.
Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est l'heure d'aller chercher Estelle. Nous passons nos anoraks. Bien.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel, à cent mètres de chez elle. Nous sommes de retour pour 14 h10. Superbe.
Nous passons immédiatement dans l'atelier. Les filles sont assises à la table entourées de leurs affaires devant l'ordinateur.

Je suis assis devant mon chevalet. Derrière moi j'entends les murmures des filles qui travaillent à leurs cours avec pugnacité.
Cette volonté, cet acharnement à la réussite, m'enchantent. J'aime être entouré de gagnants. Je trouve la volonté gratifiante.
C'est dans l'émulation que l'on trouve l'énergie pour se dépasser. Clémentine m'en fait souvent part. Notre fonctionnement.
Ce qui n'empêche pas quelques séquences ludiques. Estelle vient me rejoindre quelques instants. Ou c'est Clémentine. Bises.
Parfois c'est moi qui vais les rejoindre. Ces extraordinaires séances de travail nous permettent d'avancer. Et c'est rassurant.

Il est rapidement dix neuf heures. Le crépuscule qui précède l'arrivée de la nuit intervient plus tard dans l'après-midi. Bien.
< Ras le cul ! > s'écrie Estelle en venant me rejoindre. < Put-Hein ! Jamais dans le cul, c'est à chier ! > répond Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus en nous précipitant à la cuisine. Estelle étale la pâte qui a reposé six heures. Onctueuse.
J'introduis toujours du gruyère ou du Parmesan lorsque je fais la pâte. Cela rajoute à sa délicatesse et à sa finesse. Délice.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà prête depuis midi. Une magnifique scarole bien verte et bien grasse.

Il suffit de réchauffer la garniture qui est figée dans la casserole. Estelle vient souvent se frotter contre moi, bien vicelarde.
< Toi, t'es encore bien allumée ! > lui fait Clémentine. < Je pense à nos déductions quand au trou dans le mur ! > fait elle.
Estelle nous expose ses supputations. Elle aussi émet l'hypothèse que le palefrenier se fait sucer sans trop savoir par qui...
Nous rions de bon cœur en nous imaginant la situation. Juliette, la patronne du haras, Mme Walter, l'employée. C'est drôle.
< Elles viennent à tour de rôle tailler des pipes à ce vieux salaud qui ne sait pas qui est derrière la cloison ! > fait Estelle...

Je fais confiance aux conclusions des filles. Elles sont certainement dans le vrai. Et nous n'en saurons sans doute jamais rien.
Je mets les pizzas au four. Nous passons au salon. Estelle, debout au milieu de la pièce mime une masturbation masculine.
< Tu m'attaches sur la chaise samedi soir ? > me fait elle en mimant une pipe de sa main fermée devant la bouche. Coquine.
Clémentine lui propose de faire un autre film. < On met la caméra en automatique braquée sur toi, ça te tente ? > fait elle.
< Super "plan" ! > répond Estelle. Notre programme de samedi soir est donc rapidement arrêté. Nous en rions de bon cœur.

Le fantasme d'actrice porno d'Estelle trouve dans nos jeux son plein épanouissement. De réaliser des petits films y participe.
< Si j'avais le cran et le courage, j'aimerais bien tourner. Juste dans un film ! > nous confie t-elle parfois sans être sérieuse.
< C'est un fantasme fréquent chez pas mal de filles ! > fait Clémentine en rajoutant : < Moi aussi ! J'ai même déjà hésité ! >
J'écoute cette étonnante conversation avec beaucoup d'intérêt. Je sais que c'est un gros fantasme de ma compagne exhibe.
Aussi, de réaliser nos petites "productions" privées emplit parfaitement les fantasmes des deux filles. Et elles s'y retrouvent.

La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Rire.
Les filles évoquent leurs études, l'avance qu'elles prennent et la préparation de leur "Master" pour le troisième trimestre. Bien.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Estelle se frotte à plusieurs reprises contre moi. Coquine.
Cette attitude nouvelle et de plus en plus fréquente n'échappe évidemment pas à ma compagne qui s'interpose fréquemment...
Nous passons au salon. < Je peux vous regarder baiser ? > fait Estelle, s'asseyant sur la chaise qu'elle place au milieu du salon.

Clémentine me regarde. Nous éclatons de rire. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je l'agite devant Estelle qui me sourit.
< Fais gaffe, si tu ne baises pas, je te la suce ! > me fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine dans mes bras.
Je dis à Estelle : < Mais que je baise où non, je vais te la faire sucer ! >. Elle mime une pipe en répondant : < Du spectacle ! >
Clémentine s'accroupit pour frotter son visage contre ma bite. Je bande mou. Estelle me fait un clin d'œil. Elle mime une pipe.
Je passe mon sexe sur le visage de Clémentine. Je la force à se redresser. Je lui déboutonne le pantalon. Elle retire ses habits.

Je mets les deux épais coussins sur le bureau. Je soulève Clémentine pour la déposer dessus. Elle prend appui sur ses coudes.
Je m'accroupis pour humer sa journée de fille. Clémentine, les cuisses largement écartées se met rapidement à respirer fort.
Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Clémentine se met rapidement à gémir. Minou. Je me redresse.
Debout entre les jambes de Clémentine, je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Je regarde Estelle qui me sourit.
Quelle n'est pas ma surprise de découvrir qu'Estelle a passé une main dans son jean ouvert. C'est extrêmement rare. Branlette.

Clémentine et moi, nous restons parfaitement immobiles. Nous observons avec étonnement Estelle se lever pour se masturber.
< Qu'est ce qui te prend ? Tu t'y mets enfin ! > lui fait Clémentine. Je dis : < Tu es priée de ne pas cesser avant l'orgasme ! >
Estelle, debout, cambrée sur ses genoux fléchis, se touche. Imprimant un mouvement régulier de son poignet droit. Superbe.
< C'est toi qui nous offre du spectacle ! > lui fait Clémentine. Estelle se tient au dossier de la chaise de sa main libre. Branlette.
Toute rouge, des perles de sueur sur le bout du nez et sur les joues, Estelle s'est rapprochée pour me scruter. Presque gênant.

Clémentine se met à bouger doucement. Estelle se masturbe en poussant de profonds soupirs. Je la saisi fort par ses cheveux.
Je la force à se pencher. Je me retire de Clémentine pour enfoncer mon sexe dans la bouche grande ouverte d'Estelle. Plaisirs.
Estelle pousse un petit cri de ravissement. Et puis un petit cri de dépit lorsque je me retire pour m'introduire dans Clémentine.
Nous récidivons ainsi à plusieurs reprises. Nous passons la soirée à nous amuser de cette façon. Nous sommes hyper excités.
Estelle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. C'est si rare que Clémentine et moi la félicitons pour cette prouesse. Rires...

Nous nous gardons pour le lit, au retour. Je me retire. Mes lombaires sont congestionnées. A la limite de la douleur. 22 h15.
Nous ramenons Estelle. La séparation est difficile. Je la rassure. Nous revenons la chercher demain pour 14 h. Elle se réjouit.
Au retour, excitée comme moi, Clémentine n'arrête pas de me branler et de me sucer sur les trois petits kilomètres. Superbe.
Toilettes. Salle de bain. Au lit, après un bon "69", Clémentine m'attire sur elle. Immobiles. Elle me confie d'étonnants secrets.
Le cunnilingus la terrasse d'un orgasme fou. La fellation me terrasse d'un orgasme fulgurant. Derniers aveux. Douceur. Dodo.

Bonne soirée à baiser, à toutes les coquines qui découvrent les joies de l'exhibitionnisme devant leur amie intime.

Julien - (Qui éprouve quelques difficultés à rester cambré, debout, entre les cuisses de Clémentine. Les lombaires) -

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/03/18 07:58 par Condor.
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Estelle aime nous observer en faisant sa voyeuse

Hier matin, vendredi, je suis réveillé le premier. Il est 7 h45. Très rapidement Clémentine sort à son tour de son sommeil.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en s'étirant dans un long gémissement. Je lui chuchote < Bonjour Clémentine ! >. Bises.
Serrée contre moi, ma compagne ne tarde pas à me chevaucher en riant avant de m'entraîner jusqu'aux toilettes. Pissous.
Et, morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant...

Le thermomètre extérieur indique moins 4°. Le jour s'est levé sous un ciel gris et bas. Il y a même quelques flocons. Neige.
< Put-Hein ! L'horreur absolue ! > me fait Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux pour terminer son yaourt au miel.
Nous décidons de faire notre jogging pendant qu'il est encore temps. Avant que la couche neigeuse prenne de l'épaisseur.
La vaisselle. Nous montons nous mettre en tenues. Leggings, sweats, K-ways, bonnets, gants et nos écharpes autour du cou.
Nous courons avec un rythme soutenu le long de la rivière. Nous passons derrière le haras. La campagne est blanche. Glacée.

Il est 9 h30 lorsque nous revenons, heureux et satisfait. Il ne cesse pas de neiger. La douche. Nous voilà vêtus de nos jeans.
Chemises à carreaux, et espadrilles catalanes en toile aux pieds, nous descendons à l'atelier. Je fais du feu dans la cheminée.
Assise à la table, entourée de ses affaires devant l'ordinateur, Clémentine me fait un sourire. Je suis assis devant le chevalet.
Je termine ce matin cette dix septième toile destinée à ma saison d'été. Je peins avec un enthousiasme plein de satisfaction.
Parfois, Clémentine vient me faire des bisous, debout derrière moi. Parfois, c'est moi qui vais derrière elle lui faire des bises.

Il est rapidement midi précise. Je dépose la dernière touche de jaune de cadmium sur la toile pour rehausser un léger reflet.
Nous nous précipitons à la cuisine. Je prépare des aubergines farcies au pâté de lentilles en faisant décongeler la purée. Bien.
Clémentine s'occupe de la salade. Avec les cinq grosses aubergines il y aura du millet doré ainsi qu'une sauce au Roquefort.
Aussi, pour le repas de ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer. Dehors, tout est recouvert d'un fin manteau blanc. Il neige toujours.
< Nous sommes le 2 mars, c'est ignoble ! Je déteste l'hiver ! > fait Clémentine en se serrant contre moi. Nous nous consolons.

Je remplis les aubergines de la purée de lentilles à laquelle j'ai rajouté du Parmesan, du Gruyère, des champignons et du thon.
Je mets dans le plat en terre cuite en calant les quatre aubergines avec le millet gonflé. Et de la levure diététique en paillettes.
Je place au four. Tout est prêt. Clémentine m'entraîne au salon. < Tu me fais oublier la météo ! > fait elle en se déboutonnant.
Elle retire son jean, sa culotte qu'elle jette au loin. Je me mets à genoux sur l'épais coussin. La tête entre ses cuisses écartées.
Je hume son intimité qui ne sent encore, hélas, que le savon Roger Cavaillès que nous avons utilisé ce matin sous la douche...

Du bout de la langue, je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Clémentine me tient par les oreilles. Guide.
L'épaisse fourrure de sa toison pubienne me chatouille le bout du nez, les joues et le menton. Les premières coulées de cyprine.
J'aime entendre les gémissements de ma compagne quand je m'égare dans les plis qui enveloppent son clitoris géant. Sympa.
Il me faut être vigilant. Ce bouton de plaisir est tellement sensible qu'elle doit rapidement lutter contre tout orgasme prématuré.
La sonnerie du four. Je cesse pour me relever. Clémentine me tend les mains. Je l'aide à se redresser. Elle reprend ses esprits.

Nous nous précipitons à la cuisine. Je sors le plat du four. L'odeur est enivrante. Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un texto.
Clémentine s'en saisit. < C'est la serveuse du restau ! > fait elle tout en me faisant lire le message qui dit "Ok pour ce soir ?".
Nous nous regardons dubitatifs. < Tu as envie de sortir, toi, avec ce temps ? > me demande Clémentine en faisant la grimace.
Je réponds immédiatement : < Non ! Pas vraiment ! >. Clémentine écrit en déclinant la proposition. Nous voilà assis à table.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine fait : < Tu vas voir, comme nous ne venons pas ce soir, elle va nous contacter ! >

Les aubergines farcies au pâté de lentilles sont un véritable régal. Accompagnées de millet doré et d'une laitue, c'est un délice.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine fait : < Encore une semaine de vacances ! Super ! >
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Il est l'heure d'aller chercher Estelle. Les anoraks. Gants.
Nous sortons la voiture. Nous roulons prudemment. Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel à cent mètres de chez elle.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa matinée. Nous sommes de retour pour 14 h15. Il neige.

Nous passons dans l'atelier. Les filles sont assises à la table, entourées de leurs affaires devant l'ordinateur. Séance de travail.
Je suis assis devant mon chevalet. Je commence cet après-midi le dessin préparatoire de ma dix huitième toile. La satisfaction.
Le crépitement du feu. Le craquement du bois dans l'âtre, les murmures des filles, je travaille dans une véritable euphorie. Joie.
L'une ou l'autre passe quelquefois derrière moi pour me faire des bises. Parfois, je me lève pour aller regarder ce qu'elles font.
Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran, les notes qu'elles prennent. C'est passionnant. Encore une séance studieuse.

Le crépuscule qui précède la tombée de la nuit reste clair. La neige présente un aspect fluorescent. Il est rapidement 18 h30.
J'ai terminé mon dessin préparatoire. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Je prépare l'assaisonnement de la salade. Laitue.
Je rajoute un peu de bouillon que je prépare en faisant revenir de l'ail, de l'oignon et de la ciboulette préalablement rissolés.
Estelle vient me rejoindre la première. Elle se blottit contre moi. Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, je reste plutôt distant.
< Je t'aime Julien ! > me chuchote Estelle en se frottant contre moi tout en se cambrant pour coller son sexe contre le miens.

Clémentine arrive à son tour. < Voilà, j'ai le dos tourné et ces deux vicieux en profitent ! > fait elle. Nous en rions de bon cœur.
Depuis le four se répand l'odeur des aubergines. < Miam ! > fait Estelle en découvrant la surprise de ce repas du soir. Contente.
< Depuis que tu m'as appris à faire la cuisine, mes parents me demandent tout le temps de leur faire à manger ! > dit Estelle.
Elle rajoute encore : < Ils ont cessé les plats cuisinés, tout prêts, industriels et souvent surgelés ! >. Nous en rions de bon cœur.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs cours. Ce soir sera consacré à nos jeux. Pas question de bosser encore.

Nous traînons à table. Estelle nous expose sa stratégie pour demain soir. Nous tournons un nouveau film privé et bien vicelard.
Estelle, que son fantasme d'actrice porno pousse aux plus audacieuses réalisations, nous propose un nouveau scénario vicieux.
Clémentine l'assure de faire le nécessaire à la caméra. Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle rajoute : < Voyeuse ! >
En effet, cette fois, Estelle interprète la voyeuse qui observe un couple entrain de baiser. Nous ! Réjouissance en perspective.
< Il n'est pas question d'être filmée entrain de me faire baiser ! Je mets un loup ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.

Je dis : < Moi, je m'en fous ! >. Estelle me fait un clin d'œil, tournant sa main fermée devant la bouche en mimant une fellation.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Nous voilà vautrés dans le canapé.
Clémentine à ma droite. Estelle à ma gauche. Je les tiens par les épaules. < A cette heure, on est au restau ! > fait Clémentine.
Et c'est vrai que depuis quatre semaines, nous passons nos vendredis soirs au restaurant. Estelle me fait : < Tu lui montres ? >
Elle fait allusion aux toilettes homme du sous-sol du restaurant où vient me rejoindre la jeune serveuse. Je lui raconte. Détails.

< J'aimerais bien être cachée pour vous mâter quand tu lui montres ta bite ! > fait Estelle. < Moi aussi ! > rajoute Clémentine.
Je dis : < Il y a certainement un moyen de réaliser ça ! >. Clémentine fait : < Tu vas voir, elle va se manifester, c'est sûr ! >
Estelle me déboutonne. Je me retrouve rapidement avec sa main qui fouille ma braguette. Clémentine échafaude une stratégie.
< Si on arrive à inviter la serveuse, un jour, on va s'éclater ! On te tient informée ! > fait encore Clémentine à Estelle. Sympa.
Estelle arrive à extraire mon sexe. Je bande mou. Elle me tient la queue fermement. Tout en bavardant elle me la tord très fort.

Je me retrouve rapidement avec la bite dans la bouche d'Estelle. Clémentine m'embrasse. Estelle se redresse pour bavarder.
Nous passons une grande partie de la soirée ainsi, à faire le bilan de notre merveilleuse histoire. Souvenirs d'Ecosse, les films.
Estelle nous montre l'intérieur de sa bouche à plusieurs reprises. en agitant la main, pour témoigner de sa difficulté, elle avale.
C'est gluant, visqueux et plein de filaments laiteux. Clémentine goûte à son tour. En se redressant elle nous montre sa bouche.
< C'est dégueulassement bon, un bite, hein ! > fait Estelle avant d'y retourner. Je me fais tailler une pipe des familles. Sympa.

Il est 22 h15. Il va falloir ramener Estelle qui travaille au bureau de l'entreprise familiale demain matin. Je la force à cesser.
La séparation est souvent difficile, voire pénible. Nous restons dans la voiture près de l'arrêt de bus à consoler Estelle. Rires.
Nous la cherchons demain pour 18 h. Je roule avec prudence. La route est couverte de verglas. Retour à la maison pour 23 h.
Toilettes. Salle de bain. Au lit nous nous offrons notre "69" juteux. Clémentine m'attire sur elle. Elle me confie plein de secrets.
Le cunnilingus lui procure un orgasme divin, sonore, fabuleux. La fellation me procure d'indicibles émotions. Douceur. Dodo...

Bonne soirée à la maison, bien au chaud, à goûter une bonne bite, pour toutes les coquines qui partagent avec la copine.

Julien - (Qui s'apprête à interpréter son rôle de baiseur pour le nouveau projet "cinématographique" d'Estelle. "La Voyeuse") -

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Samedi soir, Estelle toute contente de jouer l'actrice porno

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 7 h30. Il fait déjà bien jour. Le ciel est couvert.
< Bonjour mon amour ! > nous faisons nous en même temps comme si tout cela était orchestré. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine me chevauche en riant pour me couvrir le visage de bisous. Je la fais basculer doucement. Et de gauche à droite.
L'impérieux besoin naturel met rapidement fin à nos effusions de tendresse. Clémentine m'entraîne jusqu'aux toilettes. Pipi.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Bien.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de la semaine écoulée, revenant sur les points les plus gratifiants, insolites.
Les écuries y occupent évidemment une place prépondérante. Le palefrenier vicelard devient une inépuisable source de rires.
Le thermomètre extérieur indique 0°. En regardant attentivement il y a même un fin crachin. Il est désagréable d'aller jogger.
La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos et charges additionnelles. Intensité.
La douche. Nous nous habillons. Dehors il s'est mis à pleuvoir. Ce qui était prévisible avec le redoux. Une météo pitoyable...

Nous sortons sous le grand parapluie jusqu'au garage pour sortir la voiture. Je roule avec prudence sur une route glissante.
Nous passons devant le haras. Il est à peine 10 h et il y a déjà des voitures garées dans la cour. Trois kilomètres. Le bourg.
Je gare la voiture. Il y a plein de monde. Tout le monde fait ses courses sous son parapluie. Le marché est animé. Superbe.
Clémentine porte un de ses pantalons à pinces et à plis, brun. Ce qui moule agréablement toutes ses formes distinctement.
Sur sa demande, je porte mon costume de velours brun. La braguette ouverte. Sous nos manteaux nous avons bien chaud.

Nous faisons provisions de légumes, de fruits, de fromages, d'œufs, de yaourts, de crème, chez tous nos artisans habituels.
Un petit mot gentil avec chacun et nous retournons à la voiture. La pluie tombe à présent franchement. C'est ignoble. Beurk.
Rien ne nous semble plus écœurant que cette neige qui part en boue dégoûtante aux bords de la route. C'est très médiocre.
Clémentine joue avec mon sexe pendant que je roule doucement en direction de la zone commerciale de la ville voisine. Joie.
Il y a du monde sur le parking du supermarché. A l'abri sous notre immense parapluie, je pousse le caddie. Tout va très vite.

Nous déambulons dans les allées. Au fur et à mesure de nos errances, Clémentine dépose les achats au fond du chariot. Bien.
Produits d'entretien. Crème dentifrice. Papier cul et autres Sopalin rejoignent les conserves au fond du caddie que je pousse.
Il faut faire la queue à la poissonnerie. Pavé de saumon, filet de lieu noir, haddock iront composer nos menus de la semaine.
< Regarde ! > me fait Clémentine. Je porte mon regard, et discrètement, dans la direction indiquée. < La jeune serveuse ! >
Elle nous a vu. Décidément la loi des séries est un principe universel qui s'applique surtout dans les supermarchés fréquentés.

Nous nous serrons la main pour bavarder un peu. < C'est triste le vendredi soir sans vous ! > nous fait la jeune fille en riant.
Clémentine lui rappelle qu'elle est toujours invitée et qu'elle serait la bienvenue pour venir partager un repas. Plutôt sympa !
< J'y pense. Surtout qu'avec les vacances, j'ai un peu de temps ! > nous fait la serveuse. Nous bavardons un petit moment.
< Je vais rejoindre maman. Elle doit être au rayon boucherie, il y a toujours plein de monde ! > fait la jeune fille en partant.
< Sur qui va t-on encore tomber ? > dit Clémentine en m'entraînant par le bras. Nous en rions de bon cœur au rayon culturel.

Il y a bien trop de mnode pour s'offrir une petite "frayeur". Clémentine que cette impossibilité frustre un peu m'entraîne ailleurs.
Nous parcourons le rayon des vêtements homme. Là non plus il est tout à fait impossible de se faire une petite exhibe discrète.
< Put-Hein ! Vivement les premiers beaux jours ! J'en ai vraiment marre de l'hiver ! >me fait Clémentine. Je lui fais des bises.
Par acquis de conscience, pour être certains de ne rater aucune opportunité, nous parcourons la galerie commerciale. Des gens.
Le supermarché, prosaïsme nécessaire, semble être l'occupation préféré de nos contemporains. Spécialement le samedi matin.

Une fois encore, je propose à ma compagne de nous offrir un bon repas à la cafétéria du supermarché. Des moules à la crème.
Hésitante, un peu dépitée, Clémentine s'arrête devant la grande porte. Dehors la pluie tombe sous un ciel bas, gris, maussade.
< Viens, on met les courses dans la voiture et on revient ! > me fait elle en ouvrant notre immense parapluie. Nous courons...
Une fois tout rangé, nous revenons. Armés de nos plateaux, nous choisissons nos crudités, boissons. Menu du jour. Les moules.
Nous voilà confortablement installés à une table en retrait derrière une immense plante verte. Il y a peu de monde. C'est bien.

Nous mangeons de bon appétit dans cet endroit un peu particulier, sans réelle personnalité mais propre et décoré avec goût.
Là aussi, malgré la vigilance de ma compagne, aucune opportunité. Il faut se faire une raison. Nous regardons tomber la pluie.
Il est 14 h30 lorsque nous revenons à la maison. Nous rangeons les courses. Nous montons nous changer. Dehors il pleut fort.
Clémentine m'entraîne sur le lit pour m'y faire tomber. Tristounette elle se blottit dans mes bras. Je la cajole et je la console.
Rapidement je me retrouve avec le visage entre ses cuisses à humer les lèvres charnues de son sexe. Odeur de savon. Hélas.

Du bout de la langue je fouille les plis et les replis des lèvres de sa vulve. Clémentine semble oublier très vite sa tristesse. Bien.
Je peux l'entendre gémir lorsque je viens fouiller les peaux de son clitoris géant que je décalotte du bout de mes lèvres. Sympa.
Il faut être vigilant. Surtout pas d'orgasme prématuré et non souhaité. Il faut se garder pour ce soir. Le projet du film à venir.
Je cesse avant le danger. Clémentine pose sa tête sur son ventre pour me sucer en poussant de petits cris de ravissement. Pipe.
Je la laisse se régaler longuement. Je contrôle toujours parfaitement mon sexe. C'est donc un plaisir pour ma compagne excitée.

< Prêt pour ce soir ? > me demande Clémentine lorsque je l'attire contre moi, sa tête sur mon épaule pour reposer sa mâchoire.
Nous rions de bon cœur à l'évocation du projet de notre soirée. Un film intitulé "La voyeuse" par Estelle, la principale intéressée.
Estelle dont le fantasme d'actrice porno pousse à de nouvelles expérimentations. Nous nous habillons. Il est déjà presque 17 h.
Nous descendons pour nous rendre dans l'atelier. Nous voilà assis dans le vieux canapé de cuir entre la bibliothèque et l'armoire.
Clémentine feuillette un des livres empruntés à la bibliothèque de l'université et concernant ses études. Elle m'explique le tout...

Mon téléphone m'avertit de l'arrivée d'un message. Clémentine s'en empare. C'est Estelle. Il va être l'heure d'aller la chercher.
Il est 17 h45. Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel à cent mètres de chez elle. Avec son sac de sport. Souriante. Joie.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée. Nous sommes de retour à la maison à 18 h10.
Nous passons à la cuisine pour y préparer notre repas du soir. Filets de lieu noir panés accompagnés de haricots verts et laitue.
Les filles bavardent en évoquant leurs études. Je prépare la panure. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle fait les haricots...

Dans une assiette j'ai mélangé deux œufs avec du curcuma, du Parmesan, du poivre, du sel et des graines de sésame grillées.
Dans une autre assiette j'ai préparé des biscottes pilées mélangées à de la levure diététique en paillettes et des germes de blé.
< Laisse moi faire, j'adore ça ! > fait Estelle en passant les filets de lieu noir d'abord dans l'œuf puis dans la panure. Superbe !
Clémentine s'approche pour regarder. Estelle pose chaque tranche correctement enrobée dans la poêle préalablement beurrée.
Il faut les saisir rapidement puis les retourner plusieurs fois afin de les faire dorer tout en assurant leur cuisson en profondeur.

J'admire la prouesse d'Estelle qui se comporte en véritable "cordon bleu". < Lorsque je vais faire ça à mes parents ! > dit elle.
Je mets la table. Les haricots vert achèvent de rissoler au fond du wok. Clémentine mélange et remue la salade. Morts de faim.
Nous voilà assis à table. Nous savourons évidemment ce repas avec tous les honneurs qui lui sont du. C'est un véritable régal.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. J'écoute les filles parler de leurs cours, du programme de la semaine à venir.
Cette seconde semaine de vacances qui sera consacrée aux études et aux préparations. Nous traînons à table. Il est déjà 20 h.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Clémentine prépare la caméra.
Estelle sort la petite boîte en plastique contenant plusieurs cartes SD. Excellente organisation. Estelle monte se changer. Bien.
Clémentine fixe la caméra sur son trépieds. Elle fait quelques essais. Je me mets dans le champs. Tout semble bien fonctionner.
Estelle redescend. Elle est vêtue de la jupe kilt que nous lui avons ramené d'Ecosse. Chemisier sous un pull. Souliers à talons.
Je suis toujours amusé de la voir évoluer, maladroite et un peu gauche, sur ses hauts talons. Elle est super belle et élégante...

Clémentine que tout cela excite déjà, se frotte contre moi. Estelle nous fait part de son impatience de se retrouver en situation.
Rien ne l'excite davantage que de jouer son rôle, "La voyeuse". C'est ainsi qu'elle intitulera ce nouveau film privé et personnel.
Clémentine passe derrière le bureau. Du tiroir du bas elle sort un loup noir, ce masque destiné à dissimuler son visage. Sympa.
Elle monte à l'étage pour se changer. Estelle s'accroupit devant moi, cuisses largement écartées, mains posées sur ses genoux.
Elle est absolument radieuse. Je la félicite. Je cherche la paire de menottes et les cordelettes de coton blanc dans le même tiroir.

Clémentine redescend. Elle est vêtue comme Estelle. Jupe kilt, chemisier, pull noir . Elle porte ses bottes noires à talons hauts.
Elle est absolument sublime. Estelle s'accroupit à nouveau. Clémentine fait tout pareil. Clémentine na pas de culotte. Estelle si !
Clémentine se redresse. Elle passe derrière la caméra. Dans le champs de l'objectif, le bureau et cette partie de la grande pièce.
< Moteur ! > fait elle. Estelle entre dans le champs. Je la rejoins. Je la saisi fermement par ses longs cheveux noués en catogan.
Je la force à s'accroupir. Je lui montre l'objectif de la caméra. Mon visage tout près du sien. Et nous sourions un peu bêtement.

Les présentations faites. Je tiens Estelle par sa tignasse pour l'assoir sur la chaise à l'envers, dossier entre ses cuisses écartées.
Je l'entends glousser de plaisir. Je fixe ses poignets avec les menottes. J'attache ses chevilles aux pieds de la chaise. Ligotée.
Je la tiens par la nuque et sous le menton, je la fais regarder l'objectif de la caméra. Je passe ma main sous sa jupe relevée.
< Non ! > fait elle de ce ton sincère habituel lorsque je tente ce genre de chose. Interdiction absolue de la toucher. Je récidive.
Estelle ne peut m'en empêcher. Je tripote sa culotte. Je renifle ma main. Je m'accroupis pour mâter les poils qui débordent...

Clémentine vient nous rejoindre. La caméra tourne en automatique. Elle me caresse la tête et s'accroupit à mes côté. On mâte.
Estelle se laisse pousser une touffe "sauvage" afin de tenter d'avoir la même que celle de Clémentine. Et ça commence bien !
Je me redresse. Je saisi Clémentine par le bassin pour la soulever. Je la dépose sur le bureau. Elle relève ses jambes très haut.
En appui sur ses coudes sous lesquels sont disposés des coussins, elle écarte largement les cuisses. Je lui lèche le minou. Joie.
Je me redresse. Je me penche vers Estelle pour entendre son souffle fort et lui déposer des bises sur le visage. Elle en glousse.

Je viens me placer entre les cuisses de Clémentine. Elle porte son loup. Elle est merveilleusement excitante. Sublime de beauté.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles comme nous aimons tant à le faire.
Je saisi Estelle par ses cheveux. Elle nous observe, haletante. J'attire sa tête. Je me retire de Clémentine pour frotter mon sexe.
Je lui passe ma bite sur le visage dont elle me présente tous les reliefs en gloussant de bonheur. Je reviens dans Clémentine.
Je me retire à nouveau pour enfoncer mon sexe dans la bouche d'Estelle. Nous reproduisons cela de nombreuses fois. Humides.

Clémentine pousse de véritables mugissements. Je la sais tellement excitée. Il faut éviter un orgasme prématuré. Elle se touche.
Je suis profondément enfoncé en Clémentine ou dans la bouche d'Estelle qui se régale de nos épanchements en gémissant. Joie.
Clémentine se masturbe. Un double plaisir qu'elle s'offre, enivrée de jouissance. Je me penche vers Estelle tout en baisant. Bien.
Je lui crache au visage. Je lui mets une gifle. Ce ne sont jamais des actes de violences. Cela fait tout simplement partie du jeu.
Et Estelle exige ce genre de comportement. Je n'ai pas l'âme d'un "Maître", mais je joue mon rôle à la perfection. Bien entraîné !

Clémentine ne peut plus réfréner l'orgasme qui la terrasse soudain. S'étant mise à bouger, elle n'a pas pu s'arrêter à temps.
Je reste immobile. J'admire les convulsions et les spasmes qui agitent le corps de ma compagne couverte de frissons. Super.
J'ai même tendance à en oublier la présence d'Estelle qui pousse de petits cris comme si c'était elle qui jouissait. Remarquable.
Je sors mon sexe de Clémentine. Je l'enfonce dans la bouche d'Estelle qui pousse un cri de ravissement. Je tiens ses oreilles.
Je m'agite dans sa bouche d'un mouvement masturbatoire. Elle en a de la bave qui dégouline de sa bouche. C'est gigantesque.

Clémentine qui reprend ses esprits nous observe. J'alterne la branlette en bouche et l'immobilité. Estelle peut alors déglutir.
Clémentine se touche à nouveau. Elle passe derrière la caméra. Elle lève son pouce tout en retirant son masque. Un clin d'œil.
Ma compagne est certainement entrain de zoomer sur le visage d'Estelle bouffant ma bite et l'abondance de liquide séminal.
J'éjacule. Trois saccades qui me projettent dans un émoi tel que je suis obligé de me retenir à Estelle. Enivré de vertiges fous.
Clémentine, accroupit derrière la caméra, se masturbe à nouveau tout en s'occupant de la prise de vue. J'ai la tête qui tourne.

Je me retire de la bouche d'Estelle qui tente de déglutir avec peine. Je me masse les lombaires presque douloureuses. Position.
Je me penche. Je passe ma main entre les cuisses d'Estelle qui crie une nouvelle fois : < Non ! On ne touche pas ! Salaud ! >
Cette fois, ignorant l'interdiction, je glisse mon index sous sa culotte. C'est trempé. Je n'y suis pas une minute. Un orgasme.
Décidément, le fonctionnement d'Estelle reste un mystère. Je la vois se cambrer sur la chaise, gémissant de plaisir, de bonheur.
Son corps est parcouru de frissons. Un spasme. C'est étonnant. Je lui couvre le visage de bisous. < Je t'aime ! > me fait elle.

Nous reprenons nos esprits. La caméra est éteinte. J'ai détaché Estelle qui reste blottit contre moi, vautré dans le canapé. Joie.
Nous sommes tous les trois épuisés. Une fois encore, nous sommes allés au-delà de ce que nous pouvions imaginer. Fabuleux.
Nous montons. Toilettes. Salle de bain. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Estelle fait d'incroyables grimaces. Fou.
Nous sommes couchés. Estelle s'endort rapidement la première. Clémentine serrée contre moi me chuchote d'étonnants secrets.
< Tu as été génial ! Elle va en vouloir encore de ton doigt ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur avant de plonger...

Bonne réalisation de votre film privé, personnel et secret à toutes le coquines dont le fantasme de faire l'actrice est vif et fort...

Julien - (Qui s'est encore acquitté de son rôle de "Maître" de cérémonie avec toute la conscience "professionnelle" exigée) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 352 -



Un dimanche après-midi au haras

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par les murmures et les rires étouffés de Clémentine et d'Estelle. Coquines.
On me tient soudain fermement par mon érection matinale. C'est Estelle qui a passé son bras par dessus Clémentine. Ma bite.
< Bonjour Julien ! > me font les filles presqu'en même temps. Je me redresse et à quatre pattes je les chatouille en grognant.
J'imite le comportement de l'ours des cavernes en poussant des mugissements. J'adore les faire rire et Estelle parvient à fuir.
Elle file aux toilettes à toute vitesse en s'écriant : < Pipi ! > Clémentine me chevauche en riant. Ce sont les papouilles et bises.

Estelle revient. Elle nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! > Elle descend à toute vitesse. On l'entend dévaler.
Clémentine lui répond : < On arrive ! > tout en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes pour notre amusant rituel pisseux.
Morts de faim nous descendons à toute allure pour rejoindre Estelle dans son pyjama de soie mauve. Une odeur de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons notre soirée et le film que nous avons réalisé. Passionnant.
< Je ferais le montage demain soir et on se le mâte samedi prochain ! > fait Estelle en mimant une masturbation masculine.

Le thermomètre extérieur indique 3°. Il est à peine huit heures. Le ciel est lumineux. Nous traînons à table en discutant. Joie.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Clémentine entraîne Estelle au salon. Je range la cuisine. J'entends les filles rire.
Ma compagne fait lire nos récits sur le forum à Estelle que tout cela amuse. J'adore cette ambiance. Tout devient silencieux.
Clémentine est montée pour faire la chambre. Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages des sols.
Je sors l'aspirateur du placard mural pour le traîner au salon où je le branche dans une des prises murales. Estelle me sourit.

< C'est mon petit bonheur du dimanche matin. Lire vos récits de la semaine. Et qu'est-ce que je m'amuse ! > me fait Estelle.
Je passe consciencieusement l'aspirateur sous les meubles. Estelle, silencieusement, s'est levée pour se glisser derrière moi.
Elle m'attrape par les couilles et me chope la bite. Comme je suis en T-shirt et en slip, tout cela est d'une très grande facilité.
Lorsque Clémentine n'est pas présente, cela me gêne toujours terriblement. Je me redresse pour tenter de repousser Estelle.
< Je t'aime Julien. Merci pour ce que tu m'as fait hier soir. Tu peux me refaires quand tu veux, je crois ! > fait encore Estelle.

De ma main libre je passe entre ses cuisses pour palper son sexe avec vulgarité comme elle le fait avec mes parties génitales.
Estelle a un réflexe. Pourtant, et pour la toute première fois, elle me laisse faire. Je la palpe grossièrement comme elle le fait.
Je cesse pour la saisir par ses cheveux et l'entraîner jusqu'à la chaise. Je peux continuer le ménage. Chiffon sur les meubles.
Je monte rejoindre Clémentine qui termine de changer les draps. Je lui raconte ce qui vient de se passer en bas avec Estelle.
< Cette petite salope en voudra toujours davantage ! Défense de baiser avec elle ! > me fait Clémentine, se serrant très fort.

Je la rassure. Ma compagne sait pouvoir me faire une totale confiance. Ce qui se passe entre nous trois est assumé, consenti.
Je ramasse le tas de draps sales pour aller à la salle de bain. Clémentine vient me rejoindre. Nous nettoyons ensemble. Bise.
< Moi par contre, tu me baises quand tu veux ! > me fait ma compagne en se blottissant contre moi. Nous rions de bon cœur.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut et je passe la serpillère sur les sols.
Je descends. Je vais rejoindre les filles au salon. Elles surfent sur le site de l'université, silencieuses et concentrées. Les cours.

Il est déjà onze heures trente. Je les laisse pour aller à la cuisine. Les pavés de saumon achèvent de décongeler. Je vire l'eau.
J'épluche les pommes de terre, les carottes et les navets pour la potée du dimanche. Estelle est la première à me rejoindre.
Elle s'occupe de l'ail, de l'oignon et de la ciboulette. Je passe derrière elle. Je glisse ma main entre ses cuisses. Des réflexes.
< Salaud ! Maintenant tu vas en profiter, hein ! > s'écrie t-elle en tournant la tête pour me faire une bise. Clémentine arrive.
< Et voilà ! La chatte n'est pas là et les souris vicieuses se tripotent ! > fait ma compagne. Nous rigolons comme des bossus.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare les pavés de saumon en papillotes sur le barbecue électrique de la véranda.
Nous bavardons. Nous parlons de notre programme de l'après-midi. Nous irons voir l'animation médiévale organisée au haras.
La météo est beaucoup plus clémente que ces derniers jours. Le ciel est bleu. Il y a du soleil et le thermomètre indique 12°.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent cette seconde semaine de vacances qui les attend. La possibilité d'étudier.
Elles ont pris beaucoup d'avance sur les cours à venir. Elles se prétendent biens affutées pour l'épreuve redoutée du "Master".

A plusieurs reprises, lorsque l'une d'entre elles émet le moindre doute, je la rassure. Je dis : < Vous l'aurez. Pas de souci ! >
< J'en suis certaine ! > répond Clémentine. < Moi aussi ! Mais il y a toujours un impondérable possible ! > fait Estelle. Rires.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous montons pour nous laver les dents dans la joie.
Nous faisons les clowns. Concours de grimaces. Nous décidons de rester habillés de nos jeans et de nos chemises à carreaux.
Il suffit de passer un pull et nos anoraks. Il est 13 h45. Même si la météo est plutôt sympathique, tout est trempé et boueux.

Dans le hall, Estelle, debout, écarte largement les pieds et me montre sa braguette. Je comprends immédiatement. Clin d'œil.
Je pose ma main entre ses cuisses. Je palpe l'emplacement de son sexe. Clémentine nous fait : < Et deux vicelards ! Deux ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle lui dit : < Il t'a fallu une année pour découvrir à quel point c'est bon ! Tu es bizarre toi ! >
Le sol est détrempé. Aussi, je propose de prendre la voiture. < Non, venez, on passe par la route ! > propose ma compagne.
Bien évidemment, même si c'est un peu plus long, nous applaudissons cette suggestion. Nous préférons toujours nous bouger.

Nous marchons sur le bord de la petite route. Nous contournons la ruine du vieux moulin. Il y a un kilomètre supplémentaire.
Quatre petites bornes. Il fait enfin plus doux. Nous ne portons ni bonnets, ni gants et ni écharpes. Anoraks ouverts. Superbe.
Nous arrivons au haras pour 14 h30. Il y a un monde fou. Les propriétaires de chevaux, ceux qui les montent et leurs familles.
Beaucoup de gens sont vêtus à la manière du moyen-âge. Il y a Juliette qui nous fait un coucou de la main. Nous faisons signe.
Nous prenons place sur les gradins du haut dans le bâtiment du manège. Ce n'est plus une animation mais un spectacle. Bien.

C'est toujours un vrai plaisir de regarder et d'admirer l'évolution des chevaux et de leurs cavaliers. Principalement des filles.
Clémentine a beaucoup pratiqué lorsqu'elle était adolescente. Estelle un peu. Moi j'étais longtemps un pratiquant passionné.
Avec ma compagne disparue, nous avons même envisagé d'avoir nos chevaux. Avant la fatalité. A présent histoire ancienne.
Comme toujours, assis entre les deux filles, je me fais discrètement palper la braguette par Estelle. Clémentine retire sa main.
Cette fois, c'est moi qui prend l'initiative de la toucher entre ses cuisses. Maintenant que j'ai l'autorisation, je vais en profiter.

< Vous êtes vraiment deux vicelards ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle Estelle corrige : < Non ! Trois ! >
Il est dix sept heures lorsque l'animation arrive à son terme. Nous avons admiré de faux tournois et des ballets de chevaux.
Encore une réussite indéniable. Encore un succès. Un tonnerre d'applaudissements résonne dans le grand bâtiment. Superbe.
Nous attendons que l'endroit commence à se vider pour descendre l'escalier jusqu'à la sortie. Nous croisons madame Walter.
Nous la saluons. Nous n'avons pas le temps de bavarder. Madame Walter est au travail et occupée avec un groupe de gens.

Il y a monsieur Gérard, le palefrenier. Il ne nous voit pas parmi les nombreux groupes. Juliette nous fait un coucou de la main.
Nous restons un peu à observer les chevaux qui sont ramenés à leur box respectif dans les écuries. C'est une autre animation.
Nous traînons encore un peu avant de prendre le chemin du retour. A nouveau par la petite route déserte. Le crépuscule. Joie.
Nous sommes de retour à la maison juste avec l'arrivée de la nuit. Il est dix huit heures trente. Nous sommes ravis, contents.
Ces dimanches après-midi au haras sont toujours des occasions de passer de superbes moments dans un bel environnement.

Morts de faim, nous préparons notre repas du soir. Il suffit de réchauffer la potée. Clémentine prépare le reste de la salade.
Estelle émince de l'ail et de l'oignon. En accompagnement ce sera une gigantesque omelette. Parmesan, gruyère, ciboulette.
En mimant une masturbation masculine, avec toute sa vulgarité habituelle, Estelle nous fait : < On a même vu Mr Gérard ! >
Nous en rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Mais pas sa bite ! Ce qui devient de plus en plus rare ! >
Nous mangeons de bon appétit en traînant à table. J'écoute les conversations des filles qui s'articulent autour de leurs cours.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine propose de ne rien foutre ce soir. Pas de révisions.
< Nous avons encore toute une semaine de vacances ! > précise t-elle. Applaudissements d'Estelle qui rajoute : < Super ! >
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Tous les trois dans le canapé.
Estelle à ma droite qui tripote ma braguette. Clémentine à ma gauche qui me fait plein de bisous en me chuchotant des trucs.
C'est Clémentine qui m'ouvre la braguette en repoussant la main d'Estelle. A genoux sur l'épais coussin, Clémentine renifle...

Estelle m'embrasse tendrement. Clémentine me suce avec une douceur infinie. Je bande rapidement comme un vrai salaud.
Estelle ouvre son jean et m'invite à y passer ma main. Je n'en reviens pas. Je lui propose de retirer son pantalon, sa culotte.
Clémentine glousse et rit en nous écoutant. Estelle se lève et descend son jean à mi cuisse. Par contre elle garde sa culotte.
Je lui palpe le sexe. J'essaie d'y mettre toute la vulgarité possible puisque c'est ce qui m'est suggéré. Clémentine me suce.
Estelle reste debout à côté de Clémentine à genoux. Je passe mon index entre l'élastique de la culotte et la cuisse d'Estelle.

C'est la première fois qu'Estelle se laisse faire de manière aussi ostentatoire. Elle me tient même le poignet pour me guider.
Je veux lui descendre la culotte. < Non ! > s'écrie t-elle. Estelle a toujours besoin d'imposer une limite ou encore un interdit.
Je connais son fonctionnement et sa psychologie n'a plus trop de secrets pour moi. Je me contente de fouiller sa touffe. Joie.
Je joue de mon doigt le long de la fente de son sexe. Contrairement à celui de Clémentine, le fion d'Estelle a peu de lèvres.
Impossible de sentir son clitoris. Il y a bien un point plus dur mais c'est presque imperceptible. Estelle se laisse tripoter. Joie.

La soirée se déroule ainsi. Parfois Estelle se laisse toucher assis à mes côtés. Parfois c'est debout, cambrée sur ses jambes.
Clémentine ouvre souvent les yeux pour regarder ce que je fais à Estelle. Je viens de lui enfoncer le doigt. Je le tourne. Doux.
Quelle n'est pas surprise. Je ne fouille pas la fille depuis deux minutes qu'elle se cabre soudain dans un orgasme terrifiant.
Peu humide, il y a peu de coulées de cyprine. Estelle retire mon doigt en tombant haletante à côté de moi. Elle m'embrasse.
< Put-Hein ! Comme c'est bon ! > me chuchote t-elle. Je force Clémentine à me rejoindre. Elle vient s'assoir à côté de moi.

Nous restons ainsi un petit moment. Il est déjà 22 h15. Il faut penser à ramener Estelle qui travaille demain matin. Le bureau.
Je murmure à Clémentine : < Au retour, je vais te baiser comme une vraie salope ! >. Ma compagne se serre contre moi. Bise.
Nous ramenons Estelle et son sac de sport. Je la rassure. < On revient te chercher demain, 14 h ! >. La séparation est difficile.
Au retour, Clémentine et moi, nous précipitons à l'étage. Toilettes. Salle de bain. Le lit. "69". Clémentine m'attire sur elle. Vite.
Nous restons immobiles. Clémentine me fait les plus étonnantes révélations. Un cunnilingus délirant. Une fellation folle. Dodo...

Bon début de semaine à toutes les coquines qui aiment se faire toucher avec une certaine vulgarité complice...

Julien - (Qui tripote Estelle en découvrant à quel point la jeune fille découvre un nouveau plaisir. Cérébrale mais coquine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 353 -



Estelle me fait quelques confidences étonnantes et amusantes

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par le souffle chaud sur mon visage. Juste avant de doux bisous qui pleuvent.
J'ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en se lovant contre moi. Je la serre bien fort en caressant sa tête.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Ma compagne déteste rester seule.
Douceurs, tendresses et papouilles. Le besoin de pisser met un terme à nos effusions. Clémentine m'entraîne aux toilettes.
Dès la fin de nos rituels pisseux, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous y préparons notre petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant dans la délicieuse odeur de pain grillé. Il est 7 h45. Le jour est lumineux.
Le thermomètre extérieur indique 2°. Clémentine me propose de nous offrir un bon jogging plutôt que l'entraînement. Joie.
La vaisselle. Nous remontons nous mettre en tenues. Leggings, sweats, K-ways, bonnets, gants et écharpes. C'est superbe.
Même si le sol est humide il est facile d'éviter les endroit boueux. Nous courons de bonne allure pour nous réchauffer. Bien.
C'est notre circuit habituel. Une heure quinze d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. Il est 9 h45. Douche.

Vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux, nous passons dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Super.
Clémentine est assise à table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur. Je suis assis devant mon chevalet. C'est sublime.
Je commence ce matin la peinture de la dix huitième toile destinée à ma saison d'été. Je prépare ma palette et mes pinceaux.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Se succèdent très vite les cris les plus surréalistes et les mugissements les plus fins.
Clémentine m'imite parfois en riant. Je ne la perturbe en aucune manière. Nous travaillons dans une sorte d'exubérance folle.

Il est rapidement midi. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je fais éclater du riz complet à sec.
Sans cesser de remuer en "8" dans une casserole à l'aide d'une spatule en bois, je rajoute quatre volumes d'eau froide. Vapeur.
Dans le wok, je fais cuire du poivron, de la courgette, des tomates, de l'ail, de l'oignon, la ciboulette et des champignons. Bien.
Les légumes finement émincés cuisent avec une odeur qui achèvent d'ouvrir nos appétits. Clémentine achève l'assaisonnement.
Je mets la table. Je râpe grossièrement du gruyère. Tout est prêt. Le riz a gonflé. Les légumes sont cuits. Morts de faim ! Rires.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. J'ai coupé de fines tranches de Roquefort, notre fromage préféré. Un délice.
Dehors il y a du soleil dans un ciel principalement bleu. Il y a une luminosité printanière qui donne envie de s'évader. Superbe.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque l'université qu'elle retrouvera lundi prochain.
Elle me confie son désir d'en découdre. < Je suis un peu comme un boxeur qui est pressé de monter sur le ring ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur devant cette métaphore amusante. Clémentine est pressée de terminer cette étape. Passer sa maîtrise.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est l'heure d'aller chercher Estelle. Nous passons nos anoraks. Nous sortons la voiture.
Il fait presque agréable. Nous découvrons avec plaisir la douceur qui contraste beaucoup avec les froids de la semaine dernière.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel à cent mètres de chez elle. Elle est toute contente et nous fait plein de bisous.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa matinée. Trois kilomètres et nous voilà de retour. 14 h10.
Nous passons directement dans l'atelier. L'odeur du feu de bois et des châtaignes ravit toujours Estelle qui se blottit contre moi.

Les filles sont assises à la table, entourées de leurs affaires, devant l'ordinateur. Je suis installé devant mon chevalet. Le travail.
Nous avons appris à savourer ces séances de concentrations où résonnent nos soupirs, nos respirations concentrées et apnées.
Le crépitement du feu et le craquement des bûches rajoutent encore à ces moments de grandes intensité. C'est un vrai bonheur.
Parfois l'une ou l'autre passe silencieuse derrière moi pour me déposer un bisou délicat sur la joue. C'est une profonde émotion.
Parfois c'est moi qui passe derrière elles pour observer leurs travaux. Un bisou à chacune. Gravé à jamais dans nos souvenirs...

Le crépuscule qui précède la tombée de la nuit arrive chaque jour un peu plus tard. C'est à présent bien perceptible. Il est temps.
< Ras le cul ! > s'écrie Estelle en se levant la première . < Jamais dans le cul ! C'est un endroit de merde ! > répond Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus en nous précipitant à la cuisine. Il est dix heures quinze. Il n'y a qu'à réchauffer. C'est sympa.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà prête. Estelle met la table. je réchauffe les légumes et le riz. Bavardages.
Estelle, tout en mimant une masturbation masculine nous lance : < Et si on ne bossait pas ce soir ? Nous avons de l'avance ! >

< Mais il n'est absolument pas question de retourner bosser. Après la bouffe on passe au salon ! Le plaisir ! > répond Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle conclue : < Il faut savoir prendre du bon temps ! >. Elle mime une fellation. Bien vulgaire.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs cours. J'aime les écouter disserter sur leurs stratégies.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine parle de son stage en entreprise au haras déjà lointain.
La conversation s'articule très vite sur nos aventures vicelardes aux écuries avec la complicité de la patronne, Juliette. Nous rions.

Nous traînons à table. Vacances. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon.
Vautrés tous les trois dans le canapé nous évoquons le film que nous avons réalisé samedi soir. Estelle en prépare le montage.
< Le matin, au bureau, quand je suis seule, je mâte un peu ! Je commence le montage ! > fait elle. Nous en rions de bon cœur.
Estelle est assise à ma gauche, sa main sur ma braguette. Clémentine est assise sur ma droite, un bras autour de mon cou. Joie.
Nous bavardons. Je me retrouve rapidement avec la braguette ouverte dans laquelle fouille la main droite d'Estelle. La coquine.

Je lui chuchote : < Attends, je te la sors ! >. J'extrais mon sexe. Je bande mou. Clémentine repousse la main d'Estelle. Rires.
C'est ma compagne qui saisit ma queue tout en disant à Estelle : < Je te rappelle que c'est mon mec, et la bite de mon mec ! >
< Egoïste ! > lui répond Estelle. Nous en rions de bon cœur. Je glisse ma main entre les cuisses d'Estelle qui un léger réflexe.
Même si à présent l'autorisation m'est donnée de la toucher, cela provoque toujours un réflexe bien légitime et compréhensible.
Clémentine s'est penchée pour me sucer. Estelle ouvre son jean. J'y passe ma main. Je caresse sa touffe. Estelle est en apnée.

J'insiste un peu sur l'endroit où je devine son clitoris minuscule. Il m'est impossible de sentir son relief. Estelle gémit très vite.
Ce gémissement m'informe. Je suis au bon endroit. < Salaud ! > me chuchote t-elle en s'installant plus confortablement. Joie.
Je saisi Clémentine par ses cheveux pour la faire cesser sa pipe. Elle pose sa tête sur ma poitrine. J'ai ma main dans son jean.
Je tripote le sexe à Estelle. Je tripote le sexe de Clémentine. J'ai des gémissements en stéréophonie parfaite. Superbe musique.
Je bande comme le dernier des salauds. Je fais bouger ma bite ce qui amuse beaucoup les deux coquines qui mâtent. Mouille.

Nous restons ainsi un long moment à reprendre nos bavardages. Estelle me fait : < Arrête ! Je ne vais pas pouvoir l'éviter ! >.
Je lui chuchote : < Mais éviter quoi donc ? >. Clémentine lui fait : < Mais lévite, lévite ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Ces amusantes réparties permettent aux filles de garder leur présence d'esprit. Cela permet également de retarder les choses.
Estelle, n'en pouvant plus, se penche pour prendre mon sexe en bouche. Il dégouline de liquide séminal. La pipe de Clémentine.
Je contracte mes muscles fessiers ce qui a pour conséquence de faire monter du jus de couilles en abondance. C'est formidable.

La position est rapidement inconfortable. J'ai des crampes dans les bras. Je force Estelle à se redresser en tirant sur sa natte.
Je me lève. Debout devant les filles j'agite ma bite en disant : < On se branle les coquines ! C'est un ordre ! >. Eclat de rires.
Estelle glisse sa main dans son jean largement déboutonné. Clémentine fait de même. Je passe de l'une à l'autre, bite à l'air.
Je l'enfonce dans la bouche de chacune à tour de rôle. Je me fais sucer comme si leurs vies en dépendaient. La concentration.
Le concert de gémissements s'inscrit dans la parfaite continuité de cette symphonie dont je suis le chef d'orchestre. Concerto.

Nous ne voyons pas passer le temps. Estelle se masturbe doucement, bougeant à peine. Clémentine est plus démonstrative.
J'ai la bite qui dégouline de jus d'une bouche à l'autre. Je commence à ressentir une congestion au niveau de mes lombaires.
Je dois m'assoir pour éviter que la position cambrée ne provoque une douleur inutile. Il est 22 h15. Il faut ramener Estelle.
Cette dernière, se cabrant soudain, dans un spasme, s'offre un orgasme. Un petit cri longuement modulé se termine en râle.
Je la félicite. Clémentine se blottit contre moi. Nous regardons Estelle reprendre ses esprits. < Put-Hein, c'est bon ! > fait elle.

Nous passons nos anoraks. Nous ramenons Estelle. La séparation est difficile. Je la console. Je la rassure. Elle revient demain.
< J'adore m'endormir avec le goût de ton foutre ! > me fait Estelle avant de sortir de la voiture. Nous rions de bon cœur. Bise.
Au retour, Clémentine m'entraîne à toute vitesse à l'étage. Toilettes. Salle bain. Le lit. Un "69". Elle m'attire en elle. Immobile.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons sans bouger. Clémentine me confesse d'étonnants secrets.
Cunnilingus pour un orgasme démentiel. Fellation pour un orgasme délirant. Derniers aveux avant de plonger. Epuisés. Dodo.

Bonne soirée à trois avec la copine à toutes les coquines qui aiment se faire toucher et qui aiment sucer...

Julien - (Qui sait que les jeux de mains sont des jeux de vilains. Tel un chef d'orchestre qui agite sa baguette pour diriger) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 354 -



Les petites habitudes du mardi et qui nous ravissent...

Hier matin, mardi, je suis réveillé le premier. Il est 7 h40. Avertie par son sixième sens, Clémentine s'étire en gémissant.
J'aime la regarder se réveiller autant que j'aime la voir dormir. < Bonjour Julien ! > me fait elle dans un cri en se tournant.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Douceur, tendresse et papouilles.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous nous y livrons à nos rituels pisseux en riant de bon cœur. Joie.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Bien.

Le thermomètre extérieur indique 4°. Le jour est levé. Le ciel est gris mais lumineux. Tout est sec. Parfait pour un jogging.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il y a cette agréable odeur de pain grillé. Nous faisons notre programme.
Nous remontons pour aller nous mettre en tenues. Leggings, sweats, K-way, bonnets, gants et écharpes. Nous voilà prêts.
Nous courons d'un pas soutenu et plutôt rapide afin de nous réchauffer. Il fait froid mais bien moins que la semaine passée.
Nous faisons notre parcours habituel pour revenir vers 9 h30 après un running des plus agréables. La douche. Appréciable.

Nous descendons pour passer à l'atelier. Clémentine est assise à la table entourée de ses affaires devant l'ordinateur. Bien.
Je suis assis devant mon chevalet. La peinture de la dix huitième toile destinée à ma saison d'été, m'absorbe rapidement.
Nous travaillons tous deux en alternant les séquences de silence, de concentrations, de respirations qui suivent nos apnées.
En arrière fond le crépitement du feu dans la cheminée. Le craquement des bûches dans l'âtre. Parfois un de mes cris. Rires.
Nous sommes tous deux réglés sur nos horloges biologiques. C'est donc souvent en même temps que nous réagissons. Joie.

Il est déjà midi. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare la pâte pour la tarte du soir.
Le rituel du mardi qui consiste à la confection de la tarte aux poireaux, cette Flamiche Picarde qui nous régale de ses délices.
Je fais bouillir de l'eau. Sel. Je coupe le poireau en petits morceaux que je verse dans la casserole. Je prépare une Béchamel.
Pour midi ce sera des coquillettes complètes et "Bio" au gratin accompagnées d'un reliquat de Béchamel. Parmesan. Gruyère.
Clémentine fait l'assaisonnement. Nous bavardons. Nous nous faisons plein de bisous. Le gratin est au four. La pâte repose...

Nous passons au salon. Clémentine déboutonne son jean, le descend avec sa culotte et se vautre dans le canapé. Clin d'œil.
Je pose l'épais coussin au sol pour m'y mettre à genoux entre les jambes de Clémentine qui vient de retirer ses vêtements.
Je hume les odeurs de sa matinée de fille. Hélas il n'y a que celle du savon Roger Cavaillès que nous utilisons sous la douche.
Du bout de ma langue, le visage enfoncé dans l'épaisse toison pubienne, je fouille les plis et les replis des lèvres de son sexe.
Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Je peux l'entendre retenir sa respiration, lâcher des soupirs. Joie.

Ces petites séquences de plaisirs que nous savons nous offrir sont autant d'instants récréatifs, ludiques et nécessaires. Bien.
Je décalotte le clitoris géant de Clémentine du bout de mes lèvres. Clémentine a un spasme. Il me faut être vigilant. Sensible.
Je peux entendre les gémissements de Clémentine. A leur intensité, je devine qu'elle joue déjà avec ses limites. L'orgasme.
La sonnerie du four. Elle tinte bien à propos. Je cesse. Je me redresse. Clémentine me tend les mains. Je l'aide à se relever.
Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine remet sa culotte et son jean. Je sors le gratin de coquillettes. Dorées à point.

Nous mangeons de bon appétit. Avec la Béchamel au poireau, dans laquelle j'ai délayé du Roquefort. Ce gratin est un festin.
Nous bavardons. Nous évoquons la venue de Juliette, demain soir, que nous avons invité à partager un bon repas. Sympa.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me parle de nos vacances à venir au Périgord noir.
Les dates, soulignées au marqueur fluorescent jaune sur le calendrier, nous apparaissent comme un trophée à décrocher.
Nous en rions de bon cœur lorsque ma compagne me chuchote : < Je vais m'éclater ! Tu n'imagines pas ! Après cet hiver ! >

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il va être l'heure d'aller chercher Estelle. Nous mettons nos anoraks. La pluie tombe.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel à cent mètres de chez elle. Elle est toute contente de nous revoir. Des bises.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa matinée. Le bureau dans l'entreprise familiale. Rires.
Nous sommes de retour pour 14 h10 après les trois petits kilomètres. Nous filons directement à l'atelier. Le travail attend là.
Les filles sont assises à la table entourées de leurs affaires devant l'ordinateur. Je suis assis devant mon chevalet. Bonheur.

Je peins avec un enthousiasme qui frise l'impudeur. Animé d'extases successives, je pousse des cris surréalistes. Rigolade.
Estelle m'imite souvent en riant avant de me rejoindre pour me faire un rapide bisou et retourner s'assoir près de Clémentine.
C'est dans l'enchantement paradisiaque de cette ambiance que se déroule ce nouvel après-midi. Il est rapidement 19 h. Faim.
< Ras le cul ! > s'écrie Estelle. < Jamais dans le cul, c'est à chier ! > rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous nous précipitons à la cuisine. Estelle étale la pâte. Elle est onctueuse. Molle. J'y ai incorporé du Parmesan finement râpé.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà prête. Je réchauffe la Béchamel contenant le poireaux. Une sauce figée.
J'y rajoute quelques queues de crevettes congelées. Je verse sur la pâte. Estelle dépose le fin couvercle de pâte. Délicatement.
Elle badigeonne du mélange d'œuf, de Parmesan, de curcuma et de graines de sésame grillé. Je mets au four. Thermostat 7.
Nous passons au salon. Estelle, debout au milieu de la pièce, tout en mimant une masturbation masculine fait : < Le film ! >
Elle rajoute : < Tous les matins, et dès que j'ai un instant, au bureau, je m'occupe du montage ! On se le mâte samedi soir ! >

< Soirée branlette ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle rajoute : < Je me touche en mâtant au bureau ! >
Clémentine et moi sommes vautrés dans le canapé. Estelle reste debout en continuant ses imitations vulgaires et vicelardes.
Nous applaudissons en riant. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je l'agite en le faisant tournoyer comme un lasso. Rires.
< Cow-Boy ! > fait Estelle en m'imitant. Je me lève pour venir la rejoindre. Elle s'échappe en sautillant. < Raté ! > s'écrie t-elle.
Je passe sur le bureau pour l'attraper enfin. < Gagné ! > fait Clémentine. Je saisi Estelle par ses cheveux. Fermement. Silence.

Estelle me regarde de son air sévère. Je la tiens debout par ses cheveux. Je glisse ma main libre entre ses cuisses. Un réflexe.
< Salaud ! > dit elle en serrant ses cuisses sur ma main sans tenter de me repousser. Quelques jours et un changement radical.
Estelle se saisit de ma bite. Je bande mou. C'est elle qui me tire à présent comme par une laisse. Elle m'entraîne. Tour du salon.
Je suis souvent émerveillé par les attitudes surprenantes d'Estelle. Là encore je suis totalement bluffé. Elle me crache au visage.
Je ne m'y attendais pas. Elle me met une gifle. < C'est moi qui vais t'apprendre les bonnes manières avec les filles ! > fait elle.

Clémentine que tout cela excite toujours nous observe avec une main dans son pantalon ouvert. La sonnerie du four. C'est prêt.
Nous nous précipitons à la cuisine. Estelle se blottit contre moi en nous disant : < Je vis des trucs géniaux avec vous deux ! >.
Je sors la Flamiche Picarde du four. Elle est dorée à souhait. Fumante. Nous nous régalons de ce plat hautement gastronomique.
Les filles évoquent les cours, les études et la rentrée à la fac lundi prochain. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous traînons à table. C'est les vacances. Il n'y aura pas de retour à l'atelier. Pas de boulot ce soir. Nous avons tout notre temps.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. J'essuie la dernière assiette. Estelle, qui passe derrière moi, m'attrape par les couilles.
Clémentine lui fait : < Je te rappelle que c'est les couilles de mon mec ! >. Nous rions de bon cœur. Estelle me sort la queue.
Me tirant par la bite comme par une laisse, elle m'entraîne au salon. Clémentine suit, étonnée comme moi par cette situation.
L'attitude d'Estelle est à la fois surprenant et terriblement excitante. La jeune fille n'a pas le caractère d'une "soumise". Super.
Depuis quelques temps nous constatons des initiatives nouvelles de la part d'Estelle. Fini le rôle de la jeune vierge effarouchée.

Estelle me fait faire le tour du salon plusieurs fois en me tirant par la bite. < C'est un avant goût de ce qui t'attend ! > dit elle.
Clémentine nous observe en se touchant. Une fois encore nous lui offrons un de ces spectacles qu'elle apprécie tant. Esthète.
Estelle se retourne soudain. elle me crache une nouvelle fois au visage. Un vrai mollard qu'elle a pris le temps de bien préparer.
J'ai la gueule dégoulinante de salive. Elle ne me laisse pas vraiment la possibilité de m'en rendre compte. Elle me met une gifle.
Je trouve la situation assez surréaliste et délirante. J'ai les joues qui brûlent à cause des gifles qu'elle m'assène. Un mollard...

Soudain, se blottissant contre moi, toujours aussi surprenante et imprévisible, Estelle me chuchote : < J'exige d'être punie ! >
Je ne sais quoi faire. Je suis là, serré dans les bras de cette jeune fille de 20 ans, comme un vrai con, vidé de toute initiative.
Elle me lèche le visage comme pour récupérer la salive qui en dégouline. Je bande comme un priapique au stade terminal. Fou.
J'entends les gémissements de Clémentine. Elle se masturbe en nous observant, le visage perlant de sueur. C'est son "film"...
Comme elle me le confie souvent, de m'observer faire le vicelard avec Estelle, c'est un peu comme de regarder un film porno.

Estelle se laisse doucement descendre pour s'accroupir devant moi. Son regard implorant contraste avec ce qui a précédé.
Cette capacité toute féminine de passer d'un comportement à un autre d'un instant à l'autre. Je suis admiratif, très excité.
Je passe mon sexe sur le visage d'Estelle qui m'en présente chaque relief en soupirant de bonheur. Cela dure un moment.
J'entends Clémentine gémir de plus en plus fort. Nul doute, elle joue avec les extrêmes, poussant un peu plus ses limites.
J'enfonce doucement mon sexe dans la bouche d'Estelle qui pousse un long râle de plaisir en saisissant mes hanches. Pipe.

Je la laisse se régaler de mes abondantes montées de liquide séminal. Je suis tellement excité que je sens bien monter le jus.
Le bruit bulleux, les gargouillis caractéristiques d'une fellation prodiguée avec passion, tout cela m'enivre, me donne le vertige.
Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse soudain. Nous l'entendons crier de plaisir en se cabrant dans le canapé.
J'éjacule en trois longues saccades. Estelle en poussant des cris de ravissement déglutit avec peine. Je lui caresse les cheveux.
Nous restons encore un petit moment. Je force Estelle à se relever. Je m'accroupis pour lui masser les genoux ! La douceur.

Il est 22 h15. Il faut penser à ramener Estelle. Nous passons nos anoraks pour affronter le froid de la nuit. Estelle est triste.
Je la console un peu. Je la rassure. Nous revenons la chercher demain à 14 h et nous passerons notre soirée avec Juliette.
Des bises. Nous la regardons filer dans la nuit pour rentrer chez elle. Au retour, Clémentine garde sa tête sur mon épaule.
Nous montons à toute vitesse. Les toilettes. La salle de bain. Nous sommes tous deux épuisés. Nous voilà couchés. Bisous.
Nous ne tentons plus rien. < C'était génial ce soir ! Vous vous êtes surpassés ! > me fait Clémentine. Je la caresse. Dodo...

Bonne soirée de surprises et d'initiatives étonnantes à toutes les coquines désireuses de sortir de la routine ennuyeuse...

Julien - (Qui applique le principe : " Si vous avez peur de l'aventure, essayez la routine, vous verrez, c'est mortel") -

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Juliette vient passer la soirée avec nous...

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par un léger mouvement régulier. Les draps et la couette en tremblent.
J'ouvre l'œil discrètement car je devine immédiatement ce qui se passe. Avertie par son sixième sens, Clémentine cesse.
< Bonjour Julien ! J'ai fait un rêve érotique ! > fait elle, restant couchée sur le ventre. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >
Je lui couvre le visage de bisous en rajoutant : < Ma masturbatrice préférée ! >. Nous rions de bon cœur. Elle se tourne.
Clémentine me chevauche en riant. Douceurs, tendresses, papouilles. Nous filons à toute vitesse jusqu'aux toilettes. Pipi.

Dès la fin de notre rituel pisseux, morts de faim, nous dévalons l'escalier pour descendre à la cuisine. Je presse les oranges.
Clémentine s'occupe du café. Il est 7 h45. Le thermomètre extérieur indique 4°. Le ciel est lumineux, bleu, clair, ensoleillé.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette délicieuse odeur de pain grillé dont nous raffolons. Confitures, miel et yaourt.
Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le bilan de la journée passée et le programme de celle qui nous attend. Super.
La vaisselle. Nous montons nous changer. Leggings, sweats, K-way, bonnets, gants et écharpes. C'est le rituel du jogging.

Nous courons en accélérant rapidement afin de nous réchauffer. Il fait froid. C'est notre circuit habituel. Retour pour 9 h45.
La douche. Nous descendons vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux pour passer dans l'atelier. J'allume un feu.
Nous aimons voir danser les flammes dans la cheminée. Clémentine est assise à table entourée de ses affaires devant l'ordi.
Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans un enchantement paradisiaque. Voilà une de ces séances de travail à deux.
Clémentine, encore plus heureuse que moi vient souvent me déposer un rapide bisou sur la joue avant de retourner bosser.

Il est très rapidement midi. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare du millet doré.
Je concocte une sauce aux Roquefort et une belle omelette. Clémentine fait l'assaisonnement. Je mets la table. Tout va vite.
Nous mangeons de bon appétit. J'émets quelques propositions de repas pour ce soir. Clémentine suggère des fruits de mer.
Nous mettons au point les recettes que nous allons appliquer. Ce sera une tarte au thon, Béchamel, champignons, gruyère.
L'entrée sera constituée d'avocats aux crevettes accompagnés d'une salade de salicorne. Tout est réglé. C'est la vaisselle...

Je prépare la pâte. J'y incorpore du Parmesan finement râpé. Ce sont toujours des farines complètes et d'origine biologiques.
Je la laisse gonfler dans un grand saladier, recouverte d'un linge dans l'endroit le plus chaud de la cuisine. Tout est donc prêt.
Nous filons au salon. Clémentine me fait tomber dans le canapé. A genoux sur l'épais coussin, entre mes jambes, elle sourit.
< Tout ça m'a mis en appétit ! > me fait elle en déboutonnant ma braguette. Nous rions de bon cœur. Je lui caresse la tête.
Il va être l'heure d'aller chercher Estelle. < Garde ta braguette ouverte, s'il te plaît ! > me demande Clémentine. Déjà 13 h45.

Nous passons nos anoraks. Il fait presque doux. 13°. Par contre le ciel s'est couvert pour devenir menaçant. Trois kilomètres.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel. Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa matinée.
Il est 14 h10. Nous voilà de retour. Estelle découvre ma braguette béante. < C'est pour moi ? Comme c'est gentil ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur en passant dans l'atelier. Les filles sont assises à la table, entourées de leurs affaires et devant l'ordi.
Je suis assis devant mon chevalet. Pour l'occasion, je n'ai pas enfilé ma blouse d'atelier, bouffante et en lin écru. Braguette.

Je peins dans un enthousiasme délirant. Parfois, l'une ou l'autre passe derrière moi, silencieuse, pour me faire quelques bises.
Parfois c'est moi qui passe derrière elles pour voir ce qu'elles font. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordi.
Je peins le reflet d'une perle de la pointe d'un de mes plus fins pinceaux lorsqu'Estelle vient se mettre à genoux à mes côtés.
En prenant garde de ne pas me perturber, ni de me déranger, elle approche son visage de ma braguette ouverte et qui bâille.
Je l'entends renifler. Je relève la pointe de mon pinceau. Je remonte ma loupe frontale, je la regarde entrain de humer. Rire.

Il est déjà 18 h. Clémentine vient nous rejoindre pour assister à ce spectacle insolite. Accroupie à ma gauche elle mâte Estelle.
Je sors ma bite. Je bande mou. Estelle pousse un gloussement de contentement. Clémentine saisit mon sexe. Pouce et index.
Le tenant à sa base, elle l'agite sous le nez d'Estelle qui tente de le gober. Je pose ma palette et mes pinceaux. C'est amusant.
Je propose : < Il faut que nous pensions aux choses sérieuses. Juliette arrive pour 20 h. Et nous avons le repas à préparer ! >
Estelle attrape mon sexe du bout de ses lèvres pour le suçoter un peu. Clémentine se redresse pour m'embrasser. C'est doux.

Je force Estelle à se relever. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Les filles rangent leurs affaires et nous filons à la cuisine.
Estelle étale la pâte. Elle est onctueuse. Clémentine s'occupe des avocats et de l'assaisonnement de la salicorne. Tout va vite.
Je prépare une Béchamel. J'y rajoute les queues de crevettes encore congelées. Il est préférable de les cuire ainsi. Fondantes.
Nous bavardons. A plusieurs reprises, lorsque j'ai les mains occupées, Estelle passe la sienne dans ma braguette. Elle palpe.
< Ce soir, tu as un gage ! Tu dois rester avec la braguette ouverte toute la soirée ! > me fait Estelle. Nous rions de bon cœur.

Dans la Béchamel, je rajoute du filet de thon émincé, fin et saisit à la poêle. Estelle verse cette garniture sur la pâte. Super.
Nous recouvrons de gruyère de Comté grossièrement râpé. Clémentine emplit les avocats du mélange mayonnaise crevettes.
Ce sont toujours des mayonnaises que j'allège en remplaçant la moutarde par la purée d'amande et en rajoutant de la crème.
Il est 19 h15. La tarte est au four. Je réchauffe le reste de millet doré en boulettes que je pane avant de les saisir à la poêle.
Nous montons à l'étage pour nous changer. Estelle préfère rester en jean et en chemise à carreaux. Elle est assise sur le lit...

Clémentine porte un de ses pantalons à plis et à pinces. J'adore voir sa haute silhouette filiforme moulée dans ces pantalons.
Un chemisier blanc aux manches bouffantes, des souliers fermés à légers talons. Sur sa demande, je porte un pantalon noir.
Je porte une chemise au col ouvert. Nous faisons les clowns devant le miroir. Estelle vient s'accroupir entre nous. La coquine.
Nous tenant par les hanches, elle nous fait : < Vous êtes beaux tous les deux ! >. Je lui caresse la tête. Elle palpe mon sexe.
Mon pantalon noir, à plis, très strict, plaît beaucoup à Estelle qui rajoute : < J'aime vous voir élégants tous les deux ! >. Joie.

< Tu es prié de garder la tirette de ta braguette vers le bas. C'est discret et ça ne se remarque pas ! > me fait Estelle. Rires.
Je me tourne dans tous les sens. C'est vrai. On ne peut voir ma braguette ouverte qu'en braquant le regard dessus. Superbe.
La sonnerie du four parvient jusqu'à la chambre. Nous descendons à toute vitesse. A peine sommes nous en bas, la sonnette.
Trois coups. Il est presque 20 h. C'est Juliette. La table est mise au salon. Clémentine invite Juliette à retirer son manteau.
La jeune femme est vêtue de la même manière que Clémentine. Très élégante. Estelle m'aide à tout préparer à la cuisine...

La tarte aux fruits de mer est une réussite. L'odeur est enivrante. Nous apportons le tout au salon sur de grands plateaux.
Clémentine et Juliette sont assises à bavarder. Nous avons préparé la grande table "monastère". C'est toujours très sympa.
Le chemin de table en lin, les petites bougies et les assiettes de grès. Nous mangeons de bon appétit. Le repas est délicieux.
Dans le four, à la cuisine, réchauffe le dessert. Une des tartes aux noix que j'ai préparé et congelé à l'automne de l'an passé.
La tarte aux noix est le dessert préféré de Juliette qui se régale de ce repas en nous félicitant pour cette réussite. Un délice.

Juliette évoque son haras. La saison des pensions va bientôt toucher à sa fin. Les propriétaires vont récupérer leurs chevaux.
Bien évidemment la conversation dévie rapidement sur monsieur Gérard, le palefrenier vicelard comme l'a surnommé Estelle.
Nous rions de bon cœur à quelques anecdotes croustillantes. Le trou dans la cloison qui sépare le box du local du palefrenier.
C'est surtout Estelle qui dirige les réflexions les plus amusantes. Estelle qui se lève pour aller chercher la tarte aux noix. Bien.
Elle me propose de l'accompagner. Je me lève. Ce mouvement dévoile ma braguette largement ouverte. Juliette s'en aperçoit.

A la cuisine, pendant que je sors la tarte aux noix à peine tiède du four, Estelle glisse sa main dans ma braguette. Elle palpe.
< Sors là ! > me murmure t-elle avant de rajouter : < T'es pas chiche ! >. Nous rions de bon cœur. Je lui retire sa main. Joie.
Nous retournons au salon. Je porte la tarte sur son plateau. Estelle montre ma braguette de son doigt pointé. Il y a le silence.
Cette coquine aime me mettre dans l'embarras. Juliette qui a déjà remarqué observe à nouveau. Je dépose le plateau. Tarte.
Juliette me lance un curieux regard. Elle sait bien que nous faisons partie, tous les quatre, du même "Club". C'est amusant...

Clémentine me fait du pied sous la table. La conversation reprend pour s'articuler cette fois autour des études et des cours.
Juliette me félicite pour la tarte aux noix absolument goûteuse. Estelle débarrasse la table. Elle me fait un discret clin d'œil.
Je me lève pour l'aider. A nouveau Juliette braque son regard avec insistance, là, sur ma braguette qui bâille de plus en plus.
A la cuisine, Estelle me fait : < Sors ta bite, tu vas voir, elle va apprécier. De plus elle l'a déjà vu ! Mais de trop rares fois ! >
Bien évidemment, je n'en fais rien. Nous faisons tous les deux la vaisselle lorsque Juliette et Clémentine nous rejoignent.

Estelle plonge. Juliette, Clémentine et moi nous essuyons en bavardant. Nous sommes invités au haras dimanche après-midi.
Juliette observe ma braguette avec insistance. Tout en parlant et souvent avant de me fixer d'un étrange regard très sérieux.
Je suis terriblement gêné. Nous retournons au salon pour le café. Il est déjà 22 h30. La soirée s'achève sur des bavardages.
Juliette nous laisse en nous remerciant pour cette superbe soirée. Elle nous invite à son tour pour mercredi prochain. Repas.
Il est temps de ramener Estelle. La séparation est difficile. Je la console un peu en la rassurant. Nous la recherchons demain.

Au retour, Clémentine joue avec mon sexe qu'elle a sorti de ma braguette toujours ouverte. Elle me fait part de ses ressentis.
< Tu as vu comme elle mâtait ta braguette ? Il faut qu'on lui fasse un "plan" ! > me fait ma compagne lorsque nous arrivons.
Les toilettes. La salle de bain. Au lit. Un "69" pour nous chauffer. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Joie.
Immobiles, comme nous aimons à le rester, Clémentine me chuchote les plus étonnants secrets. Ses impressions. Et Juliette.
< Je vais nous préparer un truc ! > fait elle. Cunnilingus avec orgasme délirant. Fellation avec orgasme démentiel. Puis dodo.

Bonne soirée avec votre invitée à toutes les coquines qui apprécient les situations ambiguës, vicelardes et excitantes...

Julien - (Qui s'est encore retrouvé dans une situation embarrassante sur la demande d'Estelle et la complicité de clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 356 -



Estelle, Clémentine et moi, ne cessons de passer du bon temps

Hier matin, jeudi, nous nous étirons. Avec ce cri qui ponctue nos longs gémissements < Bonjour mon amour ! >. Il est 7 h45.
Nous nous serrons très fort tout en riant de bon cœur. Je couvre de bisous le visage de Clémentine qui me chevauche en riant.
L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions de tendresse. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.
Dès nos rituels pisseux terminés, morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Le jour est bien lumineux.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Le thermomètre extérieur indique 4°. Nous apprécions cette odeur de pain grillé.

Nous prenons notre petit déjeuner en faisant le bilan de la journée passée. La soirée avec Juliette. Ce que m'a demandé Estelle.
La coquine avait exigé que je garde discrètement ma braguette ouverte durant toute la durée du repas. Nous rions de bon cœur.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme du jour. Sensiblement identique à celui des jours précédents. Bien.
La vaisselle. Nous remontons pour nous mettre en tenues. Leggings, sweats, K-ways, bonnets, gants écharpes. Notre Jogging !
Nous courons dans une fraîcheur matinale régénératrice. Le sol est humide par endroit. Mais il suffit d'éviter les endroits boueux.

Nous voilà de retour pour 9 h45 après un running des plus agréables. La douche. Nous redescendons pour aller à l'atelier. Bien.
J'allume un bon feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Clémentine est assise à table entourée de ses affaires devant l'ordi.
Je suis assis devant mon chevalet. La peinture de la dix huitième toile destinée à ma saison d'été est en voie d'achèvement.
Je peins dans une allégresse glorieuse en soulignant mes coups de pinceaux les plus sublimes par de superbes cris surréalistes.
Parfois, venant me rejoindre, Clémentine répond par un cri bien à elle. Nous en rigolons comme des bossus. C'est merveilleux.

En quelque sorte et d'une certaine façon, nous appliquons la théorie du "Cri primal" du docteur Arthur Janov. Le cri libérateur.
Il est rapidement midi. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la laitue dont elle lave chaque feuille. Bien.
Je fais bouillir de l'eau pour les spaghettis. Je prépare la pâte à pain pour les pizzas de ce soir. Nous bavardons. Sympathique.
Je mets les spaghettis dans l'eau. Je prépare la garniture de la pizza. Son reliquat servira d'accompagnement aux spaghettis.
Oignon, ail, champignons, dés d'avocats, ciboulette, persil et des tomates fraîches. Le tout finement émincé et bien mélangé.

Je mets la table. Clémentine remue la salade dans son assaisonnement. Je coupe de fines tranches de Roquefort. J'égoutte.
Sur les spaghettis je saupoudre du Parmesan finement râpé. Nous mangeons de bon appétit. Nous avons tendance aux rires.
Nos optimismes et notre bonne humeur naturels nous rendent aujourd'hui très facétieux. Sans doute la venue du printemps.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie son désir fort de s'offrir quelques exhibes.
< Bientôt nous pourrons filer sur nos bicyclettes, le long du canal, sur la piste cyclable ! J'attends ce jour ! > fait Clémentine.

Le lecteur qui suit nos aventures depuis le début, sait parfaitement de quoi il en retourne. Nous rigolons comme des bossus.
C'est vrai qu'à l'évocation de ces joies futures, nous ne pouvons réfréner notre joie. Elle serre ses bras fort autour de mon cou.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine tout en déboutonnant son jean, m'entraîne jusqu'au salon. Elle m'embrasse.
Retirant son pantalon et sa culotte, se vautrant dans le canapé, Clémentine m'entraîne contre elle. Je mets le coussin au sol.
A genoux entre les cuisses largement écartées de ma compagne, je fourre mon visage dans l'épaisse toison pubienne. Parfum.

Nous n'avons que peu de temps. Aussi, je vais directement à l'essentiel. Clémentine me guide en me tenant par les oreilles.
Je suce son clitoris géant après l'avoir décalotté du bout de mes lèvres. Les gémissements de ma compagne sont significatifs.
Pas l'ombre d'un doute, excitée par notre conversation quand aux exhibes prochaines et par mes caresses, Clémentine jouit.
Il faut toutefois éviter l'orgasme prématuré. Clémentine déteste les choses précipitées. Je cesse. Et il va bientôt être l'heure.
Il faut reprendre nos esprits. Clémentine me tend les mains. Je l'aide à se relever. Elle remet ses vêtements. Nos anoraks...

Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel, à cent mètres de chez elle. Toute contente, elle nous fait plein de bisous. Joie.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa matinée. Quelques amusantes anecdotes de bureau...
Nous sommes de retour pour 14 h10. Nous filons directement dans l'atelier. Les filles sont assises à la table. Début du boulot.
Je suis assis devant mon chevalet à peindre dans un enthousiasme délirant. Nous savourons cette nouvelle séance de travail.
Le crépitement du feu. Le craquement des bûches dans l'âtre. Un après-midi ensoleillé. Il n'en faut pas plus pour nous motiver.

Parfois, l'une ou l'autre vient me rejoindre pour me déposer une rapide bise sur la joue. Parfois, je vais les rejoindre. Bisous.
L'après-midi se déroule ainsi jusqu'à l'arrivée du crépuscule. Il est déjà 18 h30. La faim commence à se faire sentir. Superbe.
Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Je suis très satisfait de l'avancée de mon travail. Je termine cette toile demain matin.
Les filles rangent leurs affaires. Ce Week-End sera consacré à toute autre chose. Elles ont accumulé de l'avance. Leurs cours.
C'est donc dans la sérénité que nous nous précipitons à la cuisine. Estelle me palpe la braguette. Clémentine lui retire la main.

C'est dans cette ambiance que nous nous mettons à la préparation des pizzas. Estelle étale la grosse boule de pâte onctueuse.
J'utilise toujours de la farine complète et "Bio" à laquelle j'incorpore du jus d'ail pressé et du Parmesan finement râpé. Poudre.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Je réchauffe la garniture qui est froide et figée. Nous bavardons en riant.
J'étale la garniture sur les trois plateaux de pâte. Estelle étale soigneusement et avec la spatule en bois jusqu'aux bords. Bien.
Je saupoudre de Parmesan et de gruyère râpé. Estelle qui en raffole autant que nous, y dépose de fines lamelles de Roquefort.

Les pizzas sont au four. Nous passons au salon. Estelle mime une masturbation masculine en disant : < Samedi soir, film ! >
Clémentine et moi, vautrés dans le canapé, nous regardons Estelle dans son imitation vicelarde qui nous raconte son montage.
< J'ai sélectionné les meilleurs moments. Et j'ai failli me faire surprendre par ma mère, au bureau, ce matin ! > nous fait elle.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Je n'arrête pas de me toucher tout en faisant le montage. 30 minutes de film ! >
Le programme de samedi soir est donc bien arrêté. Ce sera une soirée masturbation à découvrir le montage d'Estelle. Sympa.

Estelle se met à genoux sur le coussin qu'elle a déposé au sol au milieu du salon. Bien droite, les mains sur la tête. Clin d'œil.
< Un Week-End bien vicelard, ça vous tente ? > nous fait elle. Clémentine répond : < Oui, ça va nous changer ! >. Rigolade.
Depuis que nous nous connaissons, tous nos week-End sont hyper vicelards. Ce qui déclenche évidemment notre hilarité. Joie.
Je me lève. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je suis debout devant Estelle qui ouvre la bouche. Je lui enfonce la bite.
Clémentine nous lance : < J'adore vous voir ! Vous êtes les deux plus grands vicelards à plusieurs kilomètres à la ronde ! >.

La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Je sors les pizzas du four. Chacune cuit sur un étage différent. Odeurs.
Nous nous régalons d'un repas goûteux. C'est un véritable délice. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Superbe.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine évoque déjà notre Week-End à venir. Projets et stratégies.
Je propose d'aller tous les trois en ville vendredi après-midi. Nous pouvons profiter de la confortable avance dans notre travail.
La suggestion est applaudit. Nous mettons au point le timing. < Surtout si la météo est sympa ! > rajoute encore Clémentine.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Le coussin est toujours au sol.
Estelle s'y remet à genoux en me disant : < Tu veux profiter de ton "Kit mains libres" ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Lundi prochain, 12 mars, c'est l'anniversaire d'Estelle. Elle aura 21 ans. < Je vais devenir vieille ! > fait elle en riant. Bonheur.
< Oui, tu vas avoir des rides et porter des bas à varices ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Je sors mon sexe. Joie.
Debout devant Estelle à genoux sur le coussin avec ses mains sur la tête, je lui passe la bite sur le visage. Elle en glousse...

Je lui promets un anniversaire inoubliable. Nous y consacrerons tout le dimanche et avec un jour d'avance. Estelle me sourit.
Je lui enfonce doucement la bite dans la bouche. Clémentine vient se frotter contre ma hanche en m'embrassant. La douceur.
Cette situation nous excite considérablement tous les trois. Ce qui provoque chez moi des montées de jus incessantes. Bien.
Estelle déglutit avec difficulté en poussant de petits cris de ravissement. Clémentine frotte son sexe contre ma hanche. Joie.
L'épais coussin de velours préserve les genoux d'Estelle. Pour lui permette de reposer sa mâchoire je me retire plusieurs fois.

Je regarde, comme halluciné, ce long filament de jute épaisse, visqueuse et gluante qui relie mon sexe à la bouche d'Estelle.
Clémentine se penche pour mieux observer. Cela l'excite toujours beaucoup. A tel point qu'elle glisse une main dans son jean.
Je frotte mon sexe trempé sur le visage d'Estelle qui m'en présente chaque relief en gémissant de bonheur. Elle est trempée.
J'aime voir quelques cheveux collés par mon foutre un peu partout sur ses joues, son menton. Comme elle est belle. Excitante.
Nous passons une grande partie de la soirée à nous occuper ainsi. Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. C'est beau.

Il est 22 h15. Il faut cesser. Il faut ramener Estelle qui bosse demain matin. Je l'aide à se relever. J'ai de la jute qui dégouline.
Je m'accroupis pour lui masser les genoux. < Aïe, ouille ! > fait elle pendant que Clémentine se met à genoux pour me sucer.
J'ai les couilles en ébullition. Je garde leur contenu pour Clémentine, au retour. Nous passons nos anoraks. Nous voilà en route.
La séparation est difficile. Nous sommes de retour pour 22 h45. Toilettes. Salle de bain. Le lit. Un "69" extrêmement juteux.
Nous baisons comme nous aimons. Immobiles. Clémentine me confie ses secrets. Cunnilingus et fellation délirants. Orgasmes...

Bon début de Week-End à toutes les coquines dont c'est l'anniversaire et qui s'apprêtent à fêter dans le stupre et la luxure...

Julien - (Qui va offrir un superbe anniversaire à Estelle pour ses 21 ans ! Un anniversaire humide, mouillé, juteux, jouissif) -

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Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 357 -



Un Week-End pour fêter l'anniversaire d'Estelle

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par un souffle chaud sur mon visage. Rapidement suivit de plein de bises.
J'ouvre les yeux. Quel bonheur. J'ai au dessus de moi le visage bienveillant de Clémentine qui me fait : < Bonjour Julien ! >
Je la serre contre moi pour lui murmurer : < Bonjour Clémentine ! >. Elle me chevauche en riant. Douceur et papouilles. Joie.
L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions de tendresse. Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. Pipi.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Il est 7 h45.

Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous élaborons notre programme du jour. C'est le premier d'un Week-end que nous aimerions marquer d'une pierre blanche.
Le thermomètre extérieur indique 6°. Le climat s'améliore enfin. Le ciel est gris mais lumineux. Le sol parfaitement sec. Bien.
La vaisselle. Nous remontons pour nous mettre en tenue. Leggings, sweats, K-ways, bonnets, gants, écharpes. Notre jogging.
Nous courons dans une campagne calme. L'absence de tout vent rajoute encore à cette impression de douceur. C'est sympa.

Il est 9 h45 lorsque nous sommes de retour pour une bonne douche régénératrice. 10 h lorsque nous sommes dans l'atelier.
J'allume un bon feu dans la cheminée. Assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, Clémentine travaille.
Je suis assis devant mon chevalet. Je termine ce matin la dix huitième toile destinée à ma saison d'été. C'est très rassurant.
Il est rapidement midi. Nous avons tous deux terminé. Clémentine se blottit contre moi. Je la soulève pour la faire tourner.
Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade. J'évide deux grosses tomates à farcir. Haricots verts.

Le pâté de lentilles décongèle dans la poêle à feux doux. Je fais revenir les haricots verts dans le wok. Ail, oignons et persil.
Je farci les tomates en rajoutant du gruyère, du parmesan et de la chapelure au pâté de lentilles. Je mets au four. Et à 300°.
Nous passons au salon. Clémentine me fait tomber dans le canapé. A genoux sur l'épais coussin, parterre entre mes jambes.
Tout en déboutonnant mon pantalon elle me fait : < On se surpasse ce Week-End pour l'anniversaire d'Estelle, tu veux ! >.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle agite mon sexe qu'elle tient entre le pouce et l'index à sa base. Je bande mou. C'est bien.

Je caresse la tête de ma compagne que je regarde sucer doucement, immobile et concentrée. Comme elle est belle. Superbe.
Elles sont si belles lorsqu'elles font ça. Et avec passion. Doucement, mais sûrement, je commence à bander comme un salaud.
Nous restons ainsi. Parfois elle ouvre les yeux. Amusée de me découvrir à l'observer avec l'attention d'un entomologiste. Joie.
La sonnerie du four met un terme à cette sublime fellation. Nous cessons. Je range ma bite dégoulinante de jus épais. Bises.
Nous nous précipitons à la cuisine. Tout est prêt. Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons en riant. Evoquant la pipe.

Nous traînons à table. Clémentine assise sur mes genoux. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il va être l'heure. 13 h30.
Nous montons pour nous changer. Mon téléphone sonne. Clémentine s'en empare. < Le restau ! > me fait elle en répondant.
C'est la jeune serveuse qui nous demande si elle nous réserve une table pour ce soir. Je prends le téléphone pour répondre.
Je commande un gâteau pour l'anniversaire d'Estelle. Un vacherin glacé avec 21 bougies et le prénom de la jeune fille. Bien.
Tout est réglé. Clémentine porte une de ses jupes kilt à carreaux rouges. Un chemisier blanc sous un pull bleu nuit. Superbe.

Sur sa demande je porte un de mes costumes de velours gris. Très strict. Chemise blanche, cravate. Nous sommes élégants.
Clémentine porte des souliers à léger talons. Des collants légèrement moirés. Nous faisons les clowns devant le miroir. Joie.
< Regarde un peu comme on est beaux tous les deux ! > me fait ma compagne en me tenant par la taille. Nous nous serrons.
Nous passons nos manteaux. Dehors le climat est presque doux. Nous pourrions rester sans manteaux. Nous voilà en route.
Trois petits kilomètres et nous récupérons Estelle dans l'arrêt de bus habituel à cent mètres de chez elle. Elle est si heureuse.

Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa matinée. Je roule doucement et à un train de sénateur.
Nous arrivons en ville pour 14 h30. Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle à dix minutes du centre. Il y a de la place.
Clémentine porte un pantalon noir, un chemisier crème sous un pull noir. Une veste épaisse. Des souliers à très légers talons.
Elle est rarement vêtue ainsi. Je la félicite pour son élégance. Je la fais tourner en prenant ses mains. Elle est vraiment belle.
Clémentine à ma gauche me tient par le bras, Estelle à ma droite me tient par le bras, nous marchons doucement en flânant.

Nous profitons de cette douceur pour errer un peu dans les rues piétonnes du centre. Nos hautes tailles attirent les regards.
Ce quinquagénaire entouré de ces deux jeunes filles serrées contre lui ne laisse pas les passants indifférents. Trio de choc !
Cela nous amuse toujours beaucoup. Nous en jouons. Nous entrons dans la grande librairie. Il y un peu de monde. Vendredi.
Estelle entraîne Clémentine au rayon des livres consacrés aux universités. Je feuillette quelques livres d'Arts un peu plus loin.
Clémentine qui n'aime pas me savoir loin, vient rapidement me rejoindre pour regarder le gros album que je tiens en main.

Nous traînons. C'est les vacances. C'est le début du Week-End. Nous sommes insouciants. Nos comportements de dilettantes.
Nous faisons quelques magasins. Je demande à Clémentine si elle n'a besoin de rien pour la rentrée, lundi, retour à la faculté.
J'entraîne les filles dans un magasin de vêtements. Je propose à Estelle de choisir le vêtement de son choix. Elle est étonnée.
< Cadeau d'anniversaire ! > que je lui fais. < T'es fou Julien, avec vous c'est mon anniversaire tous les jours ! > répond t-elle.
J'insiste. Finalement Estelle procède à quelques essayages. J'adore les essayages. Je suis d'une patience infinie. C'est superbe.

Rapidement Clémentine se prend au jeu. Elles sont toutes les deux derrière le rideau d'une cabine. Je suis assis sur une chaise.
A tour de rôle les filles sortent pour me faire un défilé de mode. C'est génial. Il y a d'autres clientes qui admirent le spectacle.
Finalement Estelle opte pour un magnifique pantalon à pinces et à plis marron. Une veste assortie, cintrée à la taille. Superbe.
J'encourage Clémentine à prendre la même. Leurs silhouettes filiformes en sont encore sublimées. Je m'amuse comme un fou.
La jeune vendeuse qui s'occupe de nous s'amuse nos jeux. C'est magnifique. L'affaire est entendue et rapidement conclue...

Nous voilà dans la rue. Les filles portent leurs grands sacs en papier portant la griffe du magasin. J'aime les voir heureuse. Joie.
< Merci Julien ! > me fait Estelle en se serrant contre moi pour me faire plein de bisous. Clémentine fait pareil. Le vrai bonheur.
Bien évidemment, là, debout en pleine rue, nous livrant à nos effusions, nous attirons une fois de plus tous les regards. Sympa.
Nous rions de bon cœur de cette farce que nous faisons à la vie et au monde entier. Personne ne peut comprendre le privilège.
Nous traînons. Je dis : < Il vous faut des chaussures avec ces nouveaux vêtements ! >. < Ah non ! J'en ai ! > s'écrie Estelle...

Clémentine, en riant, me lance : < Julien, tout le bas du placard est plein de mes godasses ! Il faut arrêter de déconner ! >.
Je propose notre salon de thé préféré. Nous y passons la fin de l'après-midi. Aucune opportunités d'exhibes pour Clémentine.
Il est 18 h30. L'endroit va fermer. Nous déambulons encore un peu dans les rues, faisant un détour pour retourner à l'auto.
Dans la voiture les filles regardent leurs achats. Toutes contentes elles déplient, comparent et admirent. C'est merveilleux !
Je roule doucement. Nous sortons de la ville. Nous arrivons au restaurant de l'étang pour 19 h30. Un tour de l'étang à pieds.

La jeune serveuse vient nous accueillir. Toute contente de nous revoir, elle nous conduit à notre table habituelle. Du monde.
Tout en prenant notre commande, nous bavardons avec la jeune fille. Elle aussi, étudiante, prépare sa rentrée lundi prochain.
Les filles échangent leurs impressions. Nous choisissons un énorme plateau de fruits de mer accompagné de crudité. Super.
< Tu as ta bite à l'air sous la table ? > me demande Estelle. Nous éclatons de rire. Clémentine répond : < Attends un peu ! >
Ma compagne relève discrètement le coin de la nappe qu'elle coince sous le panier à pain en disant : < Voilà, vas-y ! >. Rires.

Discrètement, certain que personne dans la salle ne peut imaginer ni voir ce qui se passe, j'ouvre ma braguette. Je bande.
Je sors mon sexe. < Put-Hein, je veux passer sous la table ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur. La serveuse me regarde.
Elle vient de se rendre compte. Elle nous observe tous les trois. Admirative de cette étonnante complicité fort enviable. Joie.
Estelle se lève. < Je vais aux toilettes. Tu me rejoins. Je me planque, je veux voir ! > me fait elle avant de descendre. WC !
La jeune serveuse s'occupe d'autres clients sans perdre de vue nos agissements. Je me lève à mon tour. Je vais descendre.

Estelle dans le cabinet. Elle m'entend arriver. < C'est toi ? > demande t-elle. Je réponds : < Oui ! >. Elle sort me rejoindre.
J'ai laissé la porte entrebâillée. Il y a un bruit de pas rapides dans l'escalier. Estelle tient ma queue. Je mâte. C'est la serveuse.
Elle entre dans les toilettes. Comme consternée, elle nous découvre, debout, l'un à côté de l'autre, Estelle agitant ma queue !
< Put-Hein ! C'est génial ! > fait la jeune fille. < N'est-ce pas ! > lui fait Estelle en s'accroupissant pour me sucer. Fantastique.
La jeune fille n'a que peu de temps, il y a du monde au restaurant et elle est seule en salle. Elle est toute rouge et en apnée...

Elle fille à toute vitesse. Nous remontons. Nous racontons à Clémentine qui fait : < Si là elle n'est pas allumée ! >. Rigolade.
Derrière son comptoir, la jeune serveuse ose à peine nous regarder. C'est l'heure du dessert. C'est l'heure de la surprise. Joie.
En découvrant son gâteau, Estelle est à la limite des larmes. < Julien, t'es fou ! Tu es tellement gentil ! > me fait elle. Gênée.
Nous applaudissons discrètement lorsqu'elle souffle ses 21 bougies en lui disant : < Bon anniversaire Estelle ! >. Le bonheur.
Nous dégustons ce vacherin glacé composé de vanille, de pralin, de pistache meringuées. Nous voilà repus. L'addition. 23 h.

La jeune serveuse nous accompagne jusqu'à la porte. Elle ne m'a jamais semblé aussi gênée. C'est amusant. C'est ravissant.
Nous nous serrons la main. Clémentine lui fait : < A vous de jouer ! >. Nous voilà en auto. Nous rigolons comme des bossus.
Nous déposons Estelle près de chez elle. Nous revenons la chercher demain pour 18 h. La soirée masturbation devant le film.
Au retour, Clémentine m'entraîne à l'étage à toute vitesse. Toilettes. Salle de bain. Le lit. Un "69" des plus goûteux et juteux.
Notre baise immobile. Clémentine me confie ses ressentis secrets. Un cunnilingus orgasmique. Une fellation orgasmique. Dodo.

Bonne soirée au restaurant à toutes les coquines qui apprécient les situations bien vicelardes et excitantes...

Julien - (Qui devine un Week-End tout à fait exceptionnel. Trois jours consacrés aux vingt et un an d'Estelle) -

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Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 358 -



C'est l'inoubliable Week-End d'anniversaire d'Estelle qui continue

Hier matin, samedi, nous nous réveillons en même temps. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi.
Je murmure : < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Tendresse, papouilles.
Il est 7 h30. Le ciel est couvert mais lumineux. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. C'est le rituel pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour y préparer notre copieux petit déjeuner. Tout va vite.
Nous mangeons de bon appétit dans l'agréable odeur de pain grillé. Le thermomètre extérieur indique 7°. De l'amélioration...

Tout en savourant nos tartines de miel et de confitures, nous faisons le bilan de la journée de hier, en ville et au restaurant.
Nous faisons le programme de cette nouvelle journée qui nous tend les bras. Les samedis sont toujours chargés. Agréables.
La vaisselle. Nous montons nous mettre en tenues. Leggings, sweats, K-ways. C'est le rituel du jogging. Dehors tout est sec.
Nous voilà à courir d'un bon rythme le long de notre parcours habituel. C'est fantastique. Un vrai bonheur. Il y a la douceur.
Une heure trente d'un running des plus régénérateurs et nous voilà de retour pour 9 h30. La douche. Vivifiante et agréable.

Nous sommes tous deux vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux sous un sweat. Baskets. Nous enfilons nos vestes.
C'est la première fois que nous pouvons sortir sans bonnets, sans écharpes et sans gants. Il fait 14°. Nous apprécions tant.
Nous voilà en route pour le bourg voisin. Dans la voiture Clémentine joue avec mon sexe. Nous bavardons. Il y a du monde.
Je gare l'auto. Je porte les sacs. Nous faisons notre marché. Légumes, fruits, fromages et œufs chez nos artisans habituels.
Un petit mot gentil avec chacun et nous revenons à la voiture. La glacière branchée sur l'allume cigare, préserve les achats.

Nous voilà en route pour la zone commerciale de la ville voisine. Clémentine joue avec mon sexe. Je conduis avec prudence.
Nous rions de bon cœur à l'évocation d'une possible opportunité exhibe au supermarché. < J'en ai besoin ! > dit Clémentine.
Je pousse le caddie. Nous déambulons dans les allées. Clémentine dépose les achats au fond du chariot. Produits d'entretien.
Nous faisons la queue devant la poissonnerie lorsque nous croisons madame Walter et son mari. Nous nous saluons. Sympa.
Nous bavardons un peu. Bien évidemment la conversation s'axe sur le haras. Le curieux regard du mari sur ma compagne.

Nous faisons provisions de fruits de mer. Des pavés de saumon, crabe et filets de lieu noir. Nous continuons notre périple.
< Tu as vu comme il mâte, monsieur Walter ? > me demande Clémentine avant de rajouter : < Un chaud de la pointe ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Par acquis de conscience Clémentine nous entraîne au rayon culturel. Il y là du monde.
Il serait vain de tenter un "plan" ici. Soucieuse de ne manquer aucune opportunité, Clémentine nous entraîne aux vêtements.
Nous parcourons les deux allées des fringues homme. Il faut se faire une raison. A part un petit vieux seul, que des couples.

Légèrement frustrée, ma compagne me fait : < A la moindre occasion, dehors, je me fais un doigt pour me venger ! >. Rires.
< Je n'en peux plus de cet hiver ! Ras le bol ! J'ai besoin d'air, de virées, de m'éclater ! > me fait elle encore en se serrant fort.
Je la rassure. Nous sommes déjà le 10 mars. Tout cela va prendre fin. Bientôt les virées à bicyclette et nos petites aventures !
< Si tu savais comme je suis impatiente ! > me fait encore ma compagne en rangeant nos courses dans le coffre de la voiture.
Il est midi trente. Nous voilà de retour à la maison. Nous rangeons nos achats. Le temps est couvert. Le ciel devient menaçant.

Nous préparons notre repas. Clémentine s'occupe de la salade. Je passe les filets de lieu noir dans l'œuf puis dans la panure.
Dans une poêle je fais revenir à feu doux en retournant souvent. Les haricots verts cuisent dans le wok. Je fais griller du pain.
A plusieurs reprises Clémentine vient se serrer dans mes bras. < Je t'aime Julien, je suis si bien avec toi ! > chuchote t-elle.
Ces effusions de tendresse ne nous empêchent nullement de mener la préparation de notre repas à son terme. C'est superbe.
Je mets la table. Clémentine remue la salade. Nos appétits aiguisés comme jamais, nous voilà à déguster ces mets délicieux.

Nous traînons à table. C'est samedi. Avant dernier jour avant la rentrée. Nous en profitons. Un dessert fait de coupes glacées.
Même si dehors, il fait moche, ces coupes glacées ont un goût de printemps. Vanille, pistache et pralin, nos parfums préférés.
Assise sur mes genoux, tout en léchant l'intérieur de sa coupe vide, Clémentine me fait part de son ressenti quand à la météo.
Je lèche le petit reliquat de pralin sur le bout de son nez. Nous rions de bon cœur à l'évocation de nos futures "expéditions".
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous passons à l'atelier. Nous allons bosser un peu. Bien.

Je commence cet après-midi le dessin préparatoire de la dix neuvième toile destinée à ma saison d'été. C'est vraiment super.
J'ai maintenu mon avance. Quatre toiles. A ce train là j'aurais tout le mois de juin à consacrer au farniente et à ma compagne.
Clémentine est assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur. Elle fait part de sa joie d'être en avance aussi.
Je peux en témoigner, Clémentine aura travaillé dur pour l'obtention de son "Master". J'aime la pugnacité dont elle fait preuve.
Nous travaillons ainsi tous deux dans cette joie que nous procurent ces séances de concentrations et d'un certain recueillement.

Il est rapidement dix sept heures. Nous cessons. Assise sur mes genoux, Clémentine observe mon dessin terminé. Un paysage.
La musique de mon téléphone m'avertit de l'arrivée d'un message. Clémentine s'en saisit. C'est Estelle. Elle nous attend au bus.
Nous passons nos anoraks. Il y a une pluie fine. Trois petits kilomètres et nous arrivons aux abords du lotissement. Elle est là.
Toute contente d'être à nouveau avec nous, Estelle nous fait plein de bises. Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou. Joie.
Nous sommes de retour à la maison pour dix huit heures. Nous revenons dans l'atelier. Clémentine montre son travail à Estelle.

Je les laisse autour de leurs cours pour me rendre à la cuisine. Je lave les tomates, les aubergines, les courgettes. Ratatouille.
Clémentine vient me rejoindre. Elle s'occupe de la salade. Une belle laitue dont elle lave chaque feuille dans l'évier et avec soin.
Nous bavardons. Estelle arrive à son tour. Elle épluche et émince l'ail, l'oignon, le persil. Les filles évoquent la rentrée de lundi.
Je verse les légumes coupés en dés dans le wok. Estelle prend la spatule en bois. < Laisse moi touiller ! J'aime ça ! > fait elle.
Je passe ma main entre ses cuisses. Depuis que j'ai l'autorisation de la toucher, j'aime lui faire des surprises. Elle a un sursaut.

< Salaud ! Profiteur ! > me fait elle en se tournant pour me faire une bise. < On se calme les vicieux ! > nous fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Je mets la table. Clémentine remue la salade dans son assaisonnement. Et Estelle touille la ratatouille.
Il est dix neuf heures. Je prépare l'omelette. C'est rapide. J'y rajoute du gruyère. Estelle dépose de fines tranches de Roquefort.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Estelle sort la petite boîte en plastique de sa poche.
Elle contient les cartes SD, une clef USB. Estelle l'agite pendant que je prépare les coupes glacées. < Film ! > fait elle en riant.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Estelle, toute impatiente, nous entraîne jusqu'au salon.
Clémentine branche l'ordinateur au téléviseur avec le câble HDMI. Je suis vautré dans le canapé aux côtés d'Estelle. Le silence.
Tout va très vite. Clémentine s'empare de la clef USB et l'introduit. Elle s'empare de la télécommande. Un essai, ça fonctionne.
Ma compagne vient nous rejoindre sur le canapé. Je suis assis entre les deux filles. Nous regardons l'écran, retenant le souffle.
Le générique. Estelle utilise toujours le même cliché en début de montage. Nos deux visages souriants et regardant l'objectif...

Le film commence. A l'écran on me voit saisir Estelle par ses cheveux pour la forcer à s'assoir sur la chaise. Fermement. Poigne.
Assise, le dossier entre ses cuisses écartées, on voit le visage en gros plan d'Estelle pendant que je lui fixe les menottes. Super.
Clémentine a filmé en zoomant avec sa virtuosité habituelle. Voilà Estelle ligotée aux chevilles et aux poignets. Belle luminosité.
Je suis pétri d'émotion. La même fille que je vois à l'écran, ficelée, est assise à ma droite, en "vraie", sa main sur ma braguette.
A l'écran, on voit arriver Clémentine vêtue de sa jupe kilt, chaussée de ses bottes à talons hauts et portant un masque. Un loup.

Nous sommes tous les trois en apnée à regarder l'écran. Les souvenirs nous reviennent. Nous avons vécu tout cela en réalité.
A l'écran on me voit soulever Clémentine pour l'installer sur le bureau, en appui sur les coudes sur les coussins. Estelle ligotée.
Dans le film on voit Clémentine écarter ses cuisses en levant ses jambes qu'elle tient sous ses genoux. Je m'approche. Debout.
A l'image on me voit brouter la chatte de la fille avant de me redresser pour la pénétrer avec d'infinies précautions. C'est beau.
Estelle, assise à ma droite, me fait : < Tu es toujours d'une exquise douceur, même dans le porno ! >. Nous rions de bon cœur.

Clémentine fait quelques arrêts sur images, revient en arrière, recommence. Ma compagne commente les émotions vécues là.
Les filles que je vois à l'écran sont toutes les deux assises à mes côtés. Nous ressentons tous les trois des frissons à cette idée.
Nous prenons à nouveau conscience du privilège exquis de notre complicité. Une complicité qui s'est construite en plus d'un an.
Je sors mon sexe. Je bande comme un véritable salaud. Estelle me tient fermement en le tordant dans tous les sens. Coquine.
A l'écran, on me voit me retirer de Clémentine pour enfoncer mon sexe dans la bouche d'Estelle qui suce dans une vraie extase.

C'est prodigieux. Clémentine a passé sa main dans son pantalon. Branle. Elle commente les émotions et les sensations vécues.
Le film ne dure que 23 minutes. Les meilleurs moments sélectionnés par Estelle durant son montage. L'image est nette, claire.
Je découvre notre soirée de samedi dernier, là, dans ce film excitant jusqu'à la démence. C'est nous à l'écran. C'est nous assis.
Malgré l'état où nous mettent ces images hautement suggestives, nous échangeons les émotions vécues durant leur tournage.
Estelle me tord la bite. Surtout vers le bas. Dans l'état d'érection où je suis c'est presque douloureux. Elle le sait bien la coquine.

< C'est notre septième réalisation cinématographique ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur. Clémentine propose de revoir.
Ma compagne se masturbe. D'êtres tous les trois ainsi, à la fois dans le réel et le virtuel, l'excite au plus haut degré. Elle jouit.
Nous découvrons le film une seconde fois. Avec les multiples arrêts sur images que fait Clémentine, la projection dure 2 h30 !
J'ai la bite qui dégouline de son trop plein de liquide séminal. Résultat de mon excitation. J'ai ma main dans la culotte d'Estelle.
< Tu me baises, demain, pour mon anniversaire ? > demande t-elle. Clémentine cesse de se toucher et se redresse vivement.

< Estelle, ne revient pas avec ça ! Tu sais bien que c'est hors de question ! Pas de baise avec mon mec ! > fait ma compagne.
Ce brusque retour à la réalité nous fait éclater de rire. Estelle répond : < Mais c'était juste pour mon anniversaire ! >. Rigolade.
< Anniversaire où pas, Julien ne te baisera pas ! Mais il peut te doigter ! > fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
< Et je peux sucer ! > dit Estelle en se mettant à sucer ma bite devenue légèrement flasque et aux épanchements abondants.
Clémentine recommence le mouvement lent et régulier de sa main gauche. Sa main droite occupée à faire défiler les images...

Je me lève. Je me mets debout devant Estelle qui me pompe la bite comme si sa vie en dépendait. Clémentine se masturbe.
Le film est terminé. Nous sommes tous les trois dans une sorte d'extase. Estelle, chose rare, a une main dans sa culotte. Joie.
< Bon anniversaire ! > que je fais à Estelle en éjaculant. Trois saccades libératrices. J'ai un vertige. Je n'ai rien pour me tenir.
Aussi, tout en me vidant les couilles, je n'ai d'autre choix que de me tenir à la tête d'Estelle. Clémentine connaît un orgasme.
Estelle continue à me faire le "fond de cuve" comme si sa vie en dépendait. Elle aussi, soudain de cabre dans un orgasme fou.

Je tombe dans le canapé, dans les bras de Clémentine. Estelle pose sa tête contre mon épaule. Nous restons un long moment.
Cette fois, nous reprenons nos esprits difficilement. Nous sommes épuisés. Il est 23 h15. Au risque de nous endormir au salon.
Clémentine nous entraîne à l'étage. Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Nous faisons le bilan de cette soirée. Le même constat.
Ce qui nous excite peut-être davantage que les images en elles même, c'est de nous retrouver à la fois acteurs et spectateurs.
Estelle s'endort la première. Clémentine me chuchote des secrets. Nous ne tardons pas à sombrer dans un profond sommeil.

Bon visionnage de vos films privés, personnels et que personne ne verra jamais, à toutes les coquines dont c'est le fantasme.

Julien - (Qui passe à côté du malaise vagale à chaque éjaculation démentielle dans les bouches d'Estelle ou de Clémentine) -

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Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 359 -



Estelle nous est infiniment reconnaissante. Un anniversaire inoubliable...

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des chuchotements, des murmures et des rires étouffés. Les filles.
L'une d'entre elles, et je sais laquelle, me tient fermement par mon érection matinale. J'ouvre l'œil. Et le bon. C'est Estelle.
< Bonjour Julien ! > me font elles en même temps. Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre les deux coquines.
Tout en imitant les grognements d'un ours des cavernes, je les chatouille. J'adore les voir rire. Estelle parvient à s'enfuir.
Clémentine me chevauche en riant. Papouilles. Estelle revient des toilettes. < Je descends faire le petit déjeuner ! > dit elle.

< On arrive ! > répond Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux. Nous descendons vite.
Morts de faim, nous rejoignons Estelle dans son pyjama de soie mauve à la cuisine. Il y a cette délicieuse odeur de pain grillé.
Tel le patriarche biblique, je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. Confiotes ou miel. Il est 8 h. Le ciel est gris.
Le thermomètre extérieur indique 11°. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bilan de la soirée de hier et le film.
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle précise : < Nous avons réalisé sept films ! Le prochain sera fait aux écuries ! Certain ! >

Le dimanche matin est consacré au ménage et reste sans exercices physiques. Aussi, nous traînons à table en riant beaucoup.
Cet après-midi nous irons au haras pour répondre à l'invitation de Juliette. Ce sera l'inauguration de la nouvelle écurie. Super.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Clémentine entraîne Estelle au salon. Je nettoie la cuisine. Je les entends rigoler.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages du sol. Cuisine, WC, couloir et dans tout le hall d'entrée.
Je n'entends plus rien. Clémentine est montée pour faire la chambre. Je sors l'aspirateur du placard pour me rendre au salon.

Estelle est assise derrière le bureau plongée dans la lecture de nos récits sur le forum. Je branche l'aspirateur dans une prise.
< Julien ! Je m'éclate comme une folle à lire. J'aimerais bien m'appeler Estelle ! Et tu ne racontes pas tout ! > me fait Estelle.
Je lui dis : < Tu sais bien que Clémentine ne veut pas tout révéler ! >. Concentré, je passe l'aspirateur sous tous les meubles.
Silencieuse, Estelle s'est levée. Elle est derrière moi. Mon sixième sens m'en avertit. Soudain, la coquine me chope les couilles.
De son autre main qu'elle passe dans mon slip, elle m'attrape la bite. < T'as les boules, hein, mon salaud ! > fait Estelle. Rire.

< Je vais t'aider ! > me fait Estelle que j'ai saisi par ses cheveux pour la forcer à retourner s'assoir. Elle ne lâche pas mon sexe.
Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, ces comportements me dérangent quelque peu. Estelle le sait et s'en amuse beaucoup.
Mon embarras fait toujours partie de son petit jeu du dimanche matin. Elle se précipite dans mes bras pour se blottir très fort.
< Merci d'exister ! > me fait elle. Mon cœur d'artichaut s'effondre. Je dis : < Bon anniversaire Estelle ! >. Estelle m'embrasse.
Je termine de passer le chiffon sur les meubles. Estelle roule le grand tapis qu'elle traîne sur le perron. Portes fenêtres ouvertes.

Je monte rejoindre Clémentine qui termine de changer les draps. Je lui raconte ce qui s'est passé. Ma compagne me serre fort.
< On va s'occuper de son éducation. C'est une grande fille maintenant. Elle a 21 ans ! > me fait ma compagne en se blottissant.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Et nous allons même passer à la vitesse supérieure ! >. Je prends les draps sales.
Nous allons à la salle de bain. Je lave le bac de la douche. Clémentine fait les miroirs et le bidet. Nous nous faisons des bisous.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut, puis je passe la serpillère sur les sols.

Je descends à mon tour. Je rejoins les filles assises derrière le bureau devant l'écran de l'ordinateur. C'est le site de l'université.
C'est demain qu'elles retournent en faculté. Clémentine m'explique ce que je vois à l'image. C'est le programme des cours. Joie.
Je les laisse pour passer à la cuisine. Les pavés de saumon achèvent de décongeler. J'épluche les patates, carottes et les navets.
Estelle vient me rejoindre. Comme j'ai les mains occupées, elle passe derrière moi pour me tripoter la braguette. Bien vulgaire.
Clémentine arrive à son tour et découvre la scène. < Tu es encore entrain de peloter mon mec ! Deux vicieux ! > nous fait elle.

< Trois vicieux ! > répond Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle des papillotes.
Dehors, le ciel reste couvert et menaçant. Le sol est humide mais pas détrempé. Nous pourrons aller au haras à pieds. A 3 km.
Estelle s'occupe des pavés de saumon préparés en papillotes sur le barbecue électrique dans la véranda. Clémentine m'embrasse.
< Je t'aime Julien ! Demain à midi nous serons l'un sans l'autre, ça va être dur ! >. me fait elle. Je la serre fort pour la rassurer.
Je lui murmure : < Dans six semaines nous partons en vacances ! Tu verras, ça passera très vite ! >. Nous restons blottis fort...

Je mets la table. Clémentine remue la salade. Je m'occupe de la potée dans la vieille cocote en fonte. Odeurs diverses. L'appétit.
Il est midi. Nous voilà assis à table. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études. Normal.
J'écoute les ruses et les stratégies qui seront mises en œuvre dès demain. Elles sont animées d'une froide détermination. Cours.
< On ne fait pas tout ça pour rater notre "Master" ! > conclue Clémentine. La conversation s'oriente à présent sur les écuries.
Monsieur Gérard, le palefrenier vicelard qui revient s'installer dans sa caravane dès le premier avril. Anniversaire de Clémentine.

Nous traînons à table. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Il fait soudain si sombre qu'il faut allumer les lumières. Néon.
Il est 13 h30. Nous décidons de rester en jeans, chemises à carreaux sous nos sweats. Chaussures montantes. Et nos anoraks.
Par mesure de précaution, nous prenons deux parapluies. Nous voilà en route. Nous marchons jusqu'à la rivière, pour la longer.
Le sol est humide. Il suffit d'éviter les endroits boueux ou les flaques. Il fait presque doux. Nous avons nos anoraks bien ouverts.
Nous traversons le petit pont, la route étroite et nous voilà arrivés au haras. Il y a un monde fou. Des voitures garées partout...

Dans la cour nous croisons madame Walter qui nous salue. Il y a quelques groupes. Principalement des propriétaires de chevaux.
Nous passons dans le nouveau bâtiment. Ce sont les nouvelles écuries. Il y a une longue table sur laquelle il y a des victuailles.
Plein de gens, élégamment vêtus pour la plupart, le verre à la main, qui discutent. Nous ne connaissons personne. Bavardages.
Ce sont certainement nos hautes tailles, nos accoutrements qui attirent l'attention. Nous nous amusons évidemment beaucoup.
Clémentine, toujours désireuse de se payer du bon temps, se serre contre moi. Estelle fait pareil. Nous prenons des gobelets...

Ce quinquagénaire que tiennent ces deux jeunes filles ne laisse personne indifférent. Cela nous amuse. J'ai cessé d'en être gêné.
Voilà Juliette qui arrive avec une autre jeune femme. Il y a d'autres gens qui sont en jeans et en anoraks. Et c'est sympathique.
Juliette nos salue en nous remerciant d'être venue. Elle souhaite un bon anniversaire à Estelle. Juliette nous présente sa sœur.
Nous bavardons un peu. Juliette, patronne du haras, est rapidement sollicitée de toute part. Nous lui rappelons le mercredi soir.
Nous traînons un peu dans les lieux en passant entre les groupes de gens. < Bonjour ! >. Nous nous retournons. Mr Gérard. Joie.

Le palefrenier nous présente son ami Bruno, un monsieur très souriant, sexagénaire, noir et plein d'humour. Nous bavardons.
Bruno semble impressionné par les deux jeunes filles qui m'entourent. Leurs hautes tailles, leurs classe naturelle, leur beauté.
Bruno est un cavalier émérite. Un très vieil ami de monsieur Gérard. Madame Walter vient nous rejoindre. Ils sont au travail.
Bruno nous salue et s'en va rejoindre une dame. Sans doute sa compagne. Monsieur Gérard nous prie de l'excuser. Il bosse !
Juste avant qu'il ne parte, m'étant assuré que personne ne pouvait nous voir, je pose ma main sur la braguette d'Estelle. Vice.

Mon geste n'échappe pas à monsieur Gérard. Estelle a un réflexe de gêne. Elle veut repousser ma main. Je reste bien agrippé.
Le palefrenier a un sourire vicelard. Il mâte. Je palpe le sexe d'Estelle à travers le tissus de son jean. Elle parvient à se dégager.
Le palefrenier s'en va. < Mais t'es fou ! Qu'est-ce qui te prend ! J'étais gênée comme jamais ! > me fait Estelle avec sévérité.
Je dis : < Ce n'est qu'un début ! >. < Salaud ! > rajoute t-elle. Je l'entraîne dans un des box vide. Clémentine nous suit. Rire.
Je saisi Estelle par ses cheveux. Je passe mon autre main entre ses cuisses. Elle tente de se dégager. Je l'en empêche. Ferme.

Nous risquons à tout instant de nous faire surprendre. Aussi, Clémentine reste à l'entrée du box. Estelle tente de me repousser.
Je lui murmure : < Je vais te dresser ! Je vais t'apprendre les bonnes manières ! >. Estelle se débat sans réelle conviction. Joie.
< Tu es un vrai salaud ! > me chuchote t-elle. Estelle ne tente plus de me repousser. Cambrée sur ses genoux fléchis. Attente.
Je lui palpe l'entre jambes avec la plus grande vulgarité. Clémentine, debout tout près de la porte, nous observe en se touchant.
Il faut cesser. La proximité de tous les invités reste tout de même un risque permanent. Avant de quitter le box Estelle me serre.

< C'était génial. Surprenant ! > me fait elle lorsque nous sommes debout devant la table, à grignoter des noix de cajou. Rires.
< Tu refais quand tu veux, espèce de vicelard ! > me chuchote Estelle. Il y a du monde partout autour de nous. Une ambiance.
Discrètement, je m'approche d'Estelle pour lui passer la main entre les cuisses. Elle a le même réflexe. Elle ne dit plus rien. Vice.
< Je pourrais me branler ! > me chuchote Clémentine. Juliette revient bavarder un peu avec nous. Elle vient manger mercredi.
Je récidive plusieurs fois, avec une discrétion totale, en posant ma main sur le sexe d'Estelle qui me dit chaque fois < Salaud >.

Il est 18 h15. Nous prenons congé. Nous remercions Juliette pour cette invitation. Inauguration réussie. Comme toujours. Bien.
Sur le chemin du retour, Estelle me palpe la braguette. Clémentine lui fait : < C'est un super anniversaire, non ? >. Un silence.
Estelle s'arrête. Elle me crache au visage avant de me mettre une gifle. < Salopard va ! > me fait elle avant de m'ouvrir le jean.
Accroupie, tenant ma bite dans la main, elle me fait : < Tu m'as excité espèce de vicieux ! Devant monsieur Gérard en plus ! >.
Elle se redresse. Elle me tord la queue sans le moindre ménagement en m'entraînant comme par une laisse. Jusqu'à la maison.

Nous réchauffons la potée. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une belle omelette. Gruyère, tranches de Roquefort.
Nous évoquons l'inauguration, la foule et le succès de cette inauguration. Des festivités réussies. Une constante avec Juliette.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous n'avons pas le choix. Les filles ont du boulot. Les cours.
Nous passons à l'atelier. Clémentine et Estelle mettent la main aux derniers préparatifs pour la rentrée de demain. Il est 22 h30.
Nous ramenons Estelle. Au retour Clémentine me fait pars de son excitation. "69". Baise. Cunnilingus. Fellation. Orgasme. Dodo.

Bonne visite dans vos écuries préférées à toutes les coquines qui aiment se faire toucher discrètement en se jouant des risques...

Julien - (Qui se comporte selon les préceptes exigés par Estelle et Clémentine. Quitte à les surprendre en étant salaud) -

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C'est le retour à l'université, après cinq semaines, pour Clémentine

Hier matin, lundi, c'est le concerto pour violoncelle No 1 de Joseph Haydn qui nous tire de notre sommeil. Il est déjà 5 h55.
< Mais ta gueule Jojo ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus en nous serrant.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en me chevauchant. < Bonjour Clémentine ! > que je dis avant les papouilles. Bises.
Nous nous précipitons aux toilettes pour nous livrer à nos rituels pisseux avant de descendre à toute allure à la cuisine. Faim.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain. Le grille-pain. Confitures, beurre, miel, yaourt.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un rapide bilan de notre Week-End. Nous faisons le programme de la journée.
Clémentine est à se réjouir de retrouver les bancs de l'université. Avec le stage en entreprise et les vacances, cinq semaines.
Le thermomètre extérieur indique 5°. Nous montons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Intensité maximale. Joie.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le ciel est lumineux.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse. Bien.

Je monte faire la chambre. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de la dix neuvième toile pour ma saison.
Je peins dans un enthousiasme délirant qui me fait rapidement pousser des cris surréalistes, longuement modulés, nouveaux.
C'est dans un état d'extase que se déroule cette séance de peinture. Je ne vois pas passer le temps. Il est rapidement midi.
Je vais à la cuisine. Je fais décongeler du pâté de lentilles dans une poêle. J'évide soigneusement trois très grosses tomates.

Je fais bouillir de l'eau pour les coquillettes. Je lave les feuilles d'une belle laitue. Je prépare l'assaisonnement. Je suis efficace.
J'écoute la chronique de Guy Carlier en riant et avant d'éteindre la radio. J'empli les tomates avec la farce. Le pâté de lentilles.
J'y ai rajouté du Parmesan, des petits champignons noirs et du gruyère de Comté. J'égoutte les coquillettes que je mets avec.
Les tomates bien calées dans les coquillettes, je saupoudre encore le tout de Parmesan finement râpé. Tranches de Roquefort.
Je mets au four. Thermostat sur 7 pour une cuisson de trente minutes à 300°. Je vais au salon pour écrire le début de ce récit.

La sonnerie du four. En même temps c'est la sonnerie de mon téléphone. Estelle. Depuis le restaurant universitaire. Un texto.
< Merci pour ce Week-End. C'était super ! >. Je réponds simplement "Idem". Je mange de bon appétit. Dehors il y a du soleil.
Pour ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer les deux tomates restantes dans leurs coquillettes gratinées. Faire un assaisonnement.
La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h30. Me voilà enfin assis devant mon chevalet pour me livrer à ma passion. Je peins.
A présent les journées deviennent lumineuses. J'ai mis mes huiles précieuses au soleil. Le mois de mars est riche en UV. Bien.

Du bruit. Je n'en reviens pas, il est déjà 16 h55. Clémentine se précipite dans l'atelier. < Bonsoir Julien ! > s'écrie t-elle. Bises.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. D'amusantes anecdotes étudiantes qui nous font beaucoup rigoler.
< Estelle ne sait comment te remercier pour ce Week-End. Elle dit que c'était son plus bel anniversaire ! > fait ma compagne.
Je dis : < Vingt et un an, ça se fête ! >. Je suis heureux de découvrir que cette journée de rentrée a enchanté ma compagne.
< On est mieux en faculté que dans un bureau. Et je resterais en faculté toute ma vie ! C'est trop bien ! > rajoute Clémentine.

Assise à la table, entourée de ses affaires devant l'ordinateur, Clémentine met ses notes de la journée au propre. Et sur Word.
Ma compagne est si heureuse de retrouver sa vie d'étudiante qu'elle commente ce qu'elle fait à haute voix. C'est merveilleux.
< Terminé ! > s'écrie t-elle soudain derrière moi en venant me rejoindre. < Moi aussi ! > ai-je le temps de dire. Les papouilles.
Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Clémentine range ses affaires. Son sac prêt pour demain matin, déjà posé sur le banc.
Nous nous précipitons à la cuisine. Il est déjà 19 h15. < Miam ! > s'écrie Clémentine en découvrant la surprise des tomates...

Je réchauffe le gratin. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Je mets la table. Nous bavardons. Joie.
A plusieurs reprises Clémentine vient se serrer contre moi. < Je t'aime Julien ! Si tu savais ! > me chuchote t-elle avec gravité.
< Moi aussi, et je sais ! > que je lui chuchote. < J'ai besoin d'être prise en main ! > rajoute Clémentine en s'accroupissant. Rire.
J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je le passe longuement sur son visage dont elle me présente tous les reliefs. Si belle.
Clémentine éprouve souvent des pulsons de "soumise". Elle m'en fait part surtout lorsque nous faisons l'amour. Les confessions.

Je la saisi par ses cheveux pour l'entraîner au salon. Je prends l'épais coussin que je pose parterre au milieu de la grande pièce.
Je la fais mettre à genoux, bien droite, les mains sur la tête. < Je vous aime "Maître" ! > fait elle. Nous en rions de bon cœur.
Même si je n'ai absolument pas l'âme d'un "Maître", je m'acquitte du rôle qui m'est demandé avec la parfaite illusion nécessaire.
Je passe derrière le bureau. Je récupère le collier canin et la laisse du tiroir du bas. Je fixe le collier au cou de Clémentine. Joie.
Je fixe le mousqueton de la laisse à l'anneau métallique du collier. Je donne un à coup. J'entraîne Clémentine. A quatre pattes.

Je lui fais faire le tour du salon trois fois en contournant le bureau, la table monastère, la chaise à bascule. Je la fais se relever.
Je lui fais lever la patte devant la chaise. Clémentine ne peut dissimuler son enchantement devant mes initiatives. Gloussements.
La sonnerie du four. Je tire sur la laisse pour l'entraîner, toujours à quatre pattes, jusqu'à la cuisine. Je la fais s'assoir à la table.
Je sors le gratin du four. Je remue la salade dans son assaisonnement. Je viens couvrir le visage de Clémentine de plein de bises.
< On est si bien tous les deux ! > me chuchote t-elle avant de rajouter : < Et j'ai besoin que tu ais ce comportement parfois ! >

Même s'il m'ait difficile d'avoir ce comportement avec la fille que j'aime, je pense très bien donner le change. Et jouer mon rôle.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque les écuries, le haras, le palefrenier vicieux, Juliette. Bien.
Je reviens avec mon fantasme. Voir Clémentine sucer le palefrenier. Je serais dissimulé pour admirer sa performance. Rigolade.
< Tu es mon salaud préféré ! > me fait Clémentine en esquivant soigneusement le sujet. J'insiste. < Je t'aime ! > s'écrie t- elle.
Nous rions de bon cœur de ce jeu. Je me lève. Je saisi l'assiette presque vide de Clémentine pour la poser au sol. Je la fais lever.

Clémentine, tenue à la laisse, à quatre pattes, termine son repas ainsi. Sans les mains. Je suis accroupi tout près pour regarder.
Le menton, les joues plein du reliquat de bouffe, elle lève la tête pour me lancer un regard plein de reconnaissance. Etrange.
Je me mets à genoux. Je sors mon sexe. Je vise l'assiette. Je tiens Clémentine au plus court par sa laisse. Je lâche un petit jet.
Avec la fourchette je mélange le reste de coquillettes avec la pisse. < La sauce ? > fait Clémentine avant de se mettre à laper.
Je regarde cette étonnante jeune fille de 20 ans qui partage ma vie depuis un peu plus d'un an. Elle m'impressionne. Je l'aime.

Clémentine nettoie l'assiette avec un soin minutieux. Je bande comme le dernier des salauds. Je suis presque gêné. La situation.
Clémentine se redresse pour prendre ma bite en bouche. A quatre pattes, me suçant avec avidité tout en gémissant de bonheur.
Je la saisi par ses cheveux attachés en queue. Je la force à se redresser. Je lui dis : < Tu veux prendre ton dessert comme ça ? >
Son regard implorant, son expression de profonde reconnaissance ne laissent aucun doute. Je vide un yaourt dans son assiette.
Je lâche un petit jet de pisse. Je mélange. Je pose l'assiette au sol. Je fais mettre Clémentine à quatre pattes. Une dégustation.

Je suis à la fois excité et écœuré. Je regarde ma compagne bouffer le contenu de son assiette, sans les mains, visage maculé.
Clémentine a du mélange plein le visage qu'elle doit tremper dans son assiette pour pouvoir laper. Le nez, les joues. Menton.
J'ai un haut le cœur. Je suis à quatre pattes à ses côtés pour la regarder manger. Je chuchote : < Je t'aime comme un fou ! >.
< Moi aussi ! J'aime quand tu es comme ça ! > me murmure t-elle en nettoyant consciencieusement son assiette. Stupéfiant.
Je tire sur la laisse pour la forcer à se lever. De sa main Clémentine récupère les reliquats de yaourt. Elle les porte en bouche.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine se serre contre moi très souvent. < Merci Julien ! Je t'aime ! > me fait elle.
< Toi au moins tu me comprends. Je suis bien avec toi ! > rajoute t-elle en m'entraînant au salon. Elle tombe dans le canapé.
Je pose l'épais coussin au sol. Je m'y mets à genoux entre les cuisses de Clémentine qui retire très vite son jean et sa culotte.
Je hume longuement les odeurs de sa journée de fille. L'excitation provoquée à la cuisine, a participé à tremper tout son sexe.
J'enfonce mon visage dans la touffe épaisse pour me régaler de tout ce que je peux y lécher, sucer et avaler. C'est prodigieux.

Clémentine me guide en me tenant par les oreilles. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.
Nous restons parfaitement immobiles, comme nous aimons tant. Clémentine me chuchote d'étonnantes révélations. Bonheur.
J'écoute ses confidences avec un intérêt qui me fait bander comme un priapique en phase terminale. Je fais bouger mon sexe.
< J'aime quand tu te comportes comme ce soir. Si tu savais comme j'en ai besoin parfois ! Cela m'est nécessaire ! > fait elle.
Bien évidemment, je le sais. J'en suis conscient. Je lui avoue la difficulté psychologique que je dois surmonter. Et cela l'amuse.

< Je crois que ton attitude de respect m'excite encore davantage. Je sais te mettre au défi ! > me confie t-elle, amusée. Rires.
Nous restons ainsi une grande partie de la soirée, alternant nos bercements et nos séquences d'immobilité. C'est une merveille.
Il est déjà 22 h15. Je propose à Clémentine de nous terminer au lit. Je me retire. Clémentine me suce. Je l'entraîne par la main.
Les toilettes. La salle de bain. Nous nous dégustons dans un "69" démentiel. Je reviens un peu dans la fille. Nous restons ainsi.
Nouvelles révélations. Un cunnilingus orgasmique. Une fellation orgasmique. Inondés de plaisir, l'un contre l'autre, le plongeon.

Bonne séance de plaisirs déviants à toutes les coquines qui aiment vivre les émotions de "soumises" avec leur "Maître"...

Julien - (Qui s'est encore acquitté de son rôle de "Maître" avec virtuosité, diligence, célérité et concentration. "Maître Julien") -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 361 -



Estelle est toute contente de revenir passer la soirée avec nous

Hier matin, mardi, j'ouvre les yeux en premier. Il est déjà 5 h50. J'éteins le cube réveil avant que ne résonne la musique.
Sur ma gauche Clémentine s'étire en poussant un long gémissement avant de s'écrier < Bonjour Julien ! > se serrant fort.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Douceur, tendresse et papouilles.
Nous filons rapidement aux toilettes avant de descendre à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Le petit déjeuner. Tout va vite.
Le thermomètre extérieur indique 5°. Tout paraît sec. Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le programme du jour.

Comme tous les mardis, Clémentine rentre pour midi. Elle est à se réjouir. Nous remontons pour notre entraînement. Gym.
Une heure avec intensité maximale. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Il est déjà 7 h45.
Elle me rejoint chaudement vêtue. Le ciel est gris mais lumineux. Le climat plutôt venteux est assez désagréable. Des bises.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit.
Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Il est déjà 8 h15. Joie.

Assis devant mon chevalet, je peins dans un enthousiasme démesuré. La dix neuvième toile destinée à ma saison de cet été.
C'est une scène de genre avec trois personnages dans un intérieur Hollandais du XVIIème. Je m'amuse tant à ces réalisations.
Une fois encore, totalement absorbé dans ma peinture, je ne vois pas le temps passer. Il est rapidement midi. Je dois cesser.
Je vais à la cuisine. Je fais bouillir de l'eau pour le millet doré. Je fais la pâte pour la tarte aux poireaux de ce soir. Le mardi.
Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. La douceur.

Clémentine s'occupe de la salade. Je coupe le poireaux en petits morceaux que je fais cuire dans l'eau bouillante. Béchamel.
Nous bavardons. Clémentine me raconte sa matinée. Même si le rythme reste soutenu, les choses sont plus simples. Cours.
Dans le cadre de ses études il lui faudra fournir un travail de recherche et présenter un mémoire de six pages avant Pâques.
Ce qui implique un travail personnel. C'est une préférence pour ma compagne qui m'expose la stratégie qu'elle va appliquer.
J'écoute, admiratif, découvrant de nouvelles ruses pour gagner du temps. Le millet doré gonfle, poireaux dans la Béchamel.

Pour le rituel de la Flamiche Picarde du mardi soir, tout est prêt. Il n'y aura qu'à réchauffer. Je mets la table. Sympathique.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Comme Clémentine n'a pas cours, nous pouvons traîner un peu à table.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, ma compagne me fait part de son ressenti quand à hier soir.
< J'ai besoin d'entrer dans ce fonctionnement mental. La soumission. Ce n'est qu'un jeu, mais il me le faut ! > me fait elle.
Je lui promets de toujours faire au mieux. < Je sais. Et tu débrouilles bien. Avec un autre, ce serait impossible ! > dit elle.

Je rappelle à ma compagne que monsieur Gérard, le palefrenier, impuissant mais hyper vicelard, ferait un bon "Maître" idéal.
< Pas question ! Je veux bien vivre quelques frayeurs au haras comme la dernière fois, mais rien de plus ! > fait Clémentine.
Je n'insiste plus. Ses désirs sont des ordres. Et que ne ferais-je pas pour qu'elle soit pleinement satisfaite et épanouie. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon. Elle se déboutonne pour retirer son jean et sa culotte.
Vautrée dans le canapé elle me montre sa touffe en écartant largement ses cuisses. Je me mets à genoux sur l'épais coussin.

Je hume longuement les odeurs de sa matinée de fille. Je m'enivre des effluves parfumées de son intimité rayonnante. Joie.
Clémentine me tient par les oreilles pour me guider. Le visage enfuit dans sa dense toison pubienne, je lutte contre les poils.
Ils me chatouillent le nez, les joues et le menton. Du bout de ma langue je fouille les replis des lèvres charnues de son sexe.
Je décalotte son clitoris géant du bout de mes lèvres. Il y un spasme. Un frisson qui parcourt tout son corps. Un gémissement.
Il faut être prudent. Surtout pas d'orgasme prématuré. Clémentine veut se garder pour ce soir. Il faut donc être très vigilant.

Je cesse. Je me redresse. Clémentine me tend les mains. Je l'aide à se relever. Elle reprend ses esprits dans mes bras. Bises.
Je l'entraîne par la main jusqu'à l'atelier. Dehors, le ciel s'est couvert pour devenir menaçant. Nous ne manquons donc rien.
Assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, Clémentine met au propre les notes prises ce matin, en cours.
Je suis assis devant mon chevalet. Le crépitement du feu. Le craquement des bûches dans l'âtre, de vrais moments magiques.
Parfois, l'un rejoint l'autre pour voir ce qu'il fait. Prétexte à autant de bises. Il est rapidement 17 h30. Sonnerie du téléphone.

Clémentine s'en empare. C'est Estelle. Elle nous attend dans l'arrêt de bus habituel pour 17 h50. Nous mettons nos anoraks.
Estelle, toute contente nous fait des bisous. Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte son après-midi.
Trois petits kilomètres et nous voilà de retour pour 18 h05. Nous passons dans l'atelier. Les filles y comparent leurs travaux.
< La soirée est à nous ! Moi, j'ai tout fini ! > fait Estelle. < Moi aussi, je suis à jour pour demain ! > répond Clémentine. Joie.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux pendant que les filles surfent sur le site de l'université. Tout est donc réglé. C'est bien.

Nous allons à la cuisine. Estelle étale la pâte. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Je réchauffe la Béchamel.
Je rajoute toujours du Parmesan et le jus d'un ail pressé à la farine complète, "Bio" pour faire mes pâtes. Très onctueuses.
Estelle imite à plusieurs reprises une masturbation masculine et me faisant des clins d'œil. Je comprends le message. Joie.
Clémentine lui fait : < Tu mérites d'être rééduquer un peu toi ! >. < Oh oui ! > lui répond Estelle. Nous rions de bon cœur.
Maintenant qu'il m'est permis de la toucher, je passe ma main entre ses cuisses. Estelle a un réflexe. Et je suis derrière elle.

Estelle tourne la tête pour déposer un baiser sur le bout de mon nez en disant : < Salaud ! Profiteur, va ! >. Je la tripote fort.
Je monte mes mains sur ses seins. Ils sont aussi petits que ceux de Clémentine. Je les sens à peine sous le bout des doigts.
Clémentine passe derrière moi pour me tripoter la braguette. Je verse la Béchamel contenant le poireau sur la pâte étalée.
Estelle saupoudre de gruyère de Comté finement râpé. Elle recouvre du fin couvercle de pâte. Elle badigeonne avec de l'œuf.
Je saupoudre de grains de sésame grillé, de curcuma. Estelle met le tout au four. Tout est prêt. Nous passons au salon. Joie.

Estelle reprend son imitation vulgaire comme pour me provoquer. Elle se met à genoux sur le coussin au milieu de la pièce.
Mains croisées sur la tête, le buste bien droit, elle me fixe. Je passe derrière le bureau. Je prends le collier canin et la laisse.
Je fixe le collier au cou d'Estelle qui glousse. J'y fixe la laisse. Je donne un à coup. Clémentine que cela excite nous observe.
Je force Estelle à marcher à quatre pattes. Nous tournons autour des meubles. Je lui fais faire plusieurs tours. Doucement...
Clémentine a passé sa main droite dans son jean déboutonné. Elle nous suit ou nous précède pour nous observer. Le plaisir.

C'est la sonnerie du four. Estelle veut se relever. Je la maintiens au plus court par la laisse pour la forcer à marcher courbée.
Je lâche la laisse. La fin du jeu. Estelle se précipite dans mes bras en me disant : < J'aime ! >. Nous rions de bon cœur. Bise.
Je sors la tarte aux poireaux du four. Clémentine remue la salade. Estelle reprend son attitude vulgaire en mimant la branle.
J'agite mon index en disant : < Toi ! Tu vas voir tout à l'heure ! >. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Rires.
Les filles évoquent leurs études, le mémoire de dix pages à faire pour le 16 avril, dernière semaine avant les congés. Pâques.

Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je saisi la laisse pour entraîner Estelle aux toilettes. Surprise.
Je la force à s'accroupir à ma droite. Clémentine reste debout à ma gauche, penchée en avant pour observer ce qui se passe.
J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Clémentine fait : < Il y a de quoi se changer en haut ! >. < Non ! > s'écrie Estelle.
Je lui mets une gifle en posant mon doigt sur mes lèvres. Je dis : < Chut ! >. < Vous êtes salauds ! > nous fait Estelle. Jeu.
Je passe ma bite sur le visage d'Estelle qui m'en présente tous les reliefs. Clémentine se saisit de mon sexe pour le frotter.

Je passe ma main dans la culotte de Clémentine qui a un réflexe. Je bande mou. J'ai rapidement la bite gluante et visqueuse.
Clémentine me la tient à la base. Immobile. Visant le visage d'Estelle qui s'attend à se faire pisser à la gueule. Concentration.
Impossible de me lâcher. Clémentine recommence à la frotter sur le visage d'Estelle. Elle joue en gémissant de plaisir. Bien.
Je tire sur la laisse. Je l'entraîne au salon. Clémentine ne me lâche pas la queue. Je force Estelle à se mettre sur le coussin.
A genoux au milieu de la pièce, mains sur la tête. Je lui enfonce la bite dans la bouche. Estelle me taille une pipe des familles.

Clémentine m'embrasse en se frottant contre ma hanche sans me lâcher le Zob. Estelle suce comme si sa vie en dépendait.
Je me retire à plusieurs reprises pour lui permettre de reposer sa mâchoire. Je m'accroupis pour la toucher entre les cuisses.
Estelle a un réflexe. Clémentine s'est accroupit pour continuer à me tenir le sexe. Elle se met à quatre pattes pour me sucer.
J'ouvre le jean à Estelle qui tente de m'en empêcher. Je mets ma main dans sa culotte. Une bonne gifle. Elle se laisse faire.
Ces gifles ne sont jamais des actes de violence, j'en serais bien incapable. Mais elles font partie du jeu qui m'est demandé.

Estelle ne peut lutter longtemps. Contrairement à Clémentine qui développe une maîtrise parfaite, Estelle connaît l'orgasme.
Elle tombe sur le côté en poussant un long râle. Elle repousse ma main en me disant : < T'es fou ! C'est tellement bon ! >
Je suis allongé près d'Estelle qui est couchée sur le parquet se tenant le sexe de ses deux mains, en reprenant ses esprits.
Clémentine, couchée sur le côté, me taille une pipe délirante. J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. Joie.
Estelle approche son visage pour me tendre sa bouche. Je l'embrasse. Nous avons le bas du visage inondé de salive. Délice.

Je montre l'heure de mon doigt pointé vers l'horloge. Il est 22 h30. Il faut ramener Estelle. Nous reprenons nos esprits. Joie.
Nous passons nos anoraks. Devant l'arrêt de bus, la séparation est difficile. < On refait jeudi soir ? > nous demande Estelle.
Au retour, Clémentine se touche en me suçant. Les toilettes. La salle bain. Au lit nous nous offrons un "69" des plus délirants.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine me chuchote d'étonnants secrets.
Le cunnilingus la propulse au firmament de l'orgasme. La fellation me procure les plus extraordinaires vertiges. C'est le dodo.

Bonne soirée à trois à toutes les coquines qui aiment à revisiter leurs fondamentaux dans le stupre, la luxure et le vice...

Julien - (Qui tâche d'emmener doucement Estelle vers de nouvelles émotions. Maintenant qu'il a droit de la tripoter) -

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Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 362 -



Juliette vient passer la soirée avec nous devant un bon repas

Hier matin, mercredi, nous sommes tirés de notre sommeil par la 5ème de Ludwig van Beethoven. Il est déjà 5 h55. La nuit.
< Mais ta gueule Lulu ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus en nous serrant fort.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de lui dire avant qu'elle ne me chevauche.
Douceur, tendresse et les papouilles avant de filer aux toilettes. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse à la cuisine.
Je presse les oranges et Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans cette délicieuse odeur de pain grillé.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le bilan de la soirée de hier. L'attitude d'Estelle devant mon comportement.
< Elle aime bien ce genre de situation. Même si elle n'a pas l'âme de la "soumise", elle apprécie ! > me fait Clémentine. Rires.
Le thermomètre extérieur indique 7°. Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement quotidien qui remplace le jogging.
Une heure avec intensité maximale. De quoi garder les formes et de nous mettre dans d'excellentes conditions pour la journée.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Le timing.

Bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le ciel est clair et ensoleillé. Super.
Je rentre. Je monte faire le lit. Je redescends. Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet pour me livrer à ma passion dévorante. Je peins dans l'allégresse. Bien.
Je remporte d'éminentes victoires picturales de quart d'heure en quart d'heure. Je pousse les plus étonnants cris surréalistes.
Lorsque mon trait de pinceau vient d'être sublime, je me lève pour entamer une danse du Sioux autour du chevalet. C'est fou.

Bien évidemment, lorsque je suis habité d'un tel enthousiasme, je n'ai plus aucune perception du temps. Et il passe très vite.
Mon horloge biologique reste toutefois parfaitement réglée. Il est midi. Je me précipite à la cuisine. Je prépare de suite la pâte.
C'est une pâte feuilleté que j'ai fait décongeler avant de peindre. Il faut la déplier. Elle est onctueuse, bien ferme et très belle.
Je prépare la Béchamel qui va contenir le saumon décongelé que j'émince finement. Ail, oignons, champignons et la ciboulette.
J'écoute la chronique de Guy Carlier en riant avant d'éteindre la radio. Je me prépare du riz complet. Je suis très méthodique.

Je prépare la salade, l'assaisonnement. Après le peintre voilà le cuisinier. Une autre activité passionnante. Cela m'amuse bien.
Avec le riz, je me sers un peu de Béchamel. Je mange de bon appétit. Le feuilleté de saumon est au four. Avec trois fromages.
Roquefort, Morbier et Comté. L'odeur est affolante. Le repas de ce soir s'annonce déjà sous les meilleures augures. Rassurant.
La vaisselle. Je sors le feuilleté du four. Ce soir, il suffira de le réchauffer afin d'achever sa cuisson. Il me parait énorme. Bien.
La salade est déjà lavée. Je la mets dans le grand Tupperware au bas du réfrigérateur. Ainsi, tout sera très rapide. Méthodique.

Il est 13 h50. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins avec la sérénité du bienheureux sachant le travail accomplit.
Une fois encore, cette séance de peinture me plonge dans l'enchantement paradisiaque d'un bel après-midi de mars ensoleillé.
Du bruit. Il est 16 h55. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac sur le vieux canapé pour se précipiter dans mes bras.
< Bonsoir Julien ! > me fait elle toute heureuse. Assise sur mes genoux, ma compagne me raconte sa journée. J'écoute. Joie.
Ce sont d'amusantes anecdotes étudiantes. Le repas de midi au restaurant universitaire avec Estelle. Les cours qui sont cools.

Assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, Clémentine met au propre les notes prises aujourd'hui. Cours.
< A partir de demain, j'entame le travail personnel de recherche pour mon mémoire. Il compte pour mon "Master" ! > dit elle.
Nous travaillons encore une petite heure. Il est 18 h30. < Terminé ! > s'écrie Clémentine en venant me rejoindre. Des bisous.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Nous filons à la cuisine. < Miam ! > fait Clémentine en découvrant la surprise du repas.
< Put-Hein ! C'est génial ! Comme il est beau ! > fait ma compagne en admirant le feuilleté de saumon. La fine grille de pâte.

La salade étant déjà prête, il suffit à Clémentine de préparer l'assaisonnement. C'est son domaine réservé. Et elle y excelle.
Je casse un œuf dans un bol. J'y rajoute du Parmesan finement râpé en poudre. Du curcuma et des graines de sésame grillé.
Je mélange soigneusement avec un peu de sel de Guérande et de poivre gris. Clémentine badigeonne le tout sur le feuilleté.
Il suffit d'achever sa cuisson avec une vingtaine de minutes à feu doux, au four. Nous avons tout notre temps. Il est 19 h10.
Juliette arrive pour 20 h. Nous préparons la table monastère du salon. Clémentine aime s'occuper de ça, décoratrice de talent.

Elle déplie le chemin de table en lin écru sur lequel elle pose les assiettes en grès, les fourchettes et les couteaux laitonnés.
Le chandelier à quatre branches posé au milieu de la table. Clémentine allume les bougies, éteint la lumière. Elle me rejoint.
Serrée contre moi Clémentine me fait tomber dans le canapé. A genoux sur l'épais coussin, entre mes cuisses écartées. Joie.
J'ouvre ma braguette. Clémentine, d'une main leste et précise, en extrait mon Zob. Elle observe mon chibre. Je bande mou.
Clémentine a cette préférence particulière. Juste la braguette ouverte et la bite qui dépasse. Même si cela est inconfortable.

< Si je n'existais pas, tu te mettrais avec Juliette ? > me demande t-elle soudain en humant l'odeur de ma journée d'homme.
Je suis surpris par cette question dans cet instant. Je réponds : < Tu existes ! >. Nous en rigolons comme des bossus. Bien.
Il est 19 h30. Il faut allumer le four pour terminer la cuisson du feuilleté de saumon. < Attends, j'y vais ! > fait Clémentine.
Je me branle doucement. Je commence à bander comme un vrai salaud. Clémentine, tout en revenant, découvre le spectacle.
< Super ! > s'écrie t-elle en restant dans l'encadrement de la porte. Elle mime une masturbation masculine, m'imitant. Rires.

< J'aime te voir faire ça ! > me chuchote Clémentine e s'approchant pour se remettre à genoux. Je me masturbe lentement.
Du bout de ses lèvres, elle suçote l'extrémité de mon sexe. La peau fripée de mon prépuce dépasse de sa bouche. C'est beau.
Je ne cesse pas ma branlette. Clémentine suçote en riant. Je lui caresse la tête, les cheveux et ses joues creusées par la pipe.
Comme elle est belle. Ses longs cheveux en libertés, détachés pour la circonstance et les expressions d'extase sur son visage.
Je lui murmure plusieurs fois : < Je t'aime ! >. A chaque fois elle me répond par un gloussement amusé. C'est si merveilleux.

La sonnerie du four. Nous nous relevons pour aller à la cuisine. Trois coups de sonnette. C'est Juliette. Et il est presque 20 h.
Clémentine se précipite pour aller ouvrir. Juliette est vêtue avec son élégance habituelle. Ce soir elle est en jupe, tailleur strict.
Un chemisier, une veste cintrée, des souliers noirs, fermés et à talons hauts. Nous nous serrons la main. Elle paraît contente.
Clémentine la débarrasse de son manteau pour la conduire au salon. < C'est beau ! > fait Juliette en découvrant la décoration.
Elles sont assises a bavarder. Je ramène le feuilleté de saumon, la salade, le panier de pain et le riz complet que j'ai fait griller.

Le repas est succulent. Juliette nous félicite pour cette réussite en insistant pour avoir la recette. Clémentine se régale. Super.
J'explique à Juliette que j'extrapole mes préparations à partir de recettes existantes mais que j'éprouve le besoin d'improviser.
La conversation s'articule rapidement sur le haras. Solène, la nouvelle employée de bureau, madame Walter, monsieur Gérard.
Avec la nouvelle écurie, dès l'hiver prochain, Juliette pourra accueillir 25 chevaux supplémentaires en pension. Développement.
Clémentine parle de ses études. La préparation de son "Master". Ses projets pour son Doctorat. Devenir Maître de conférence.

Doucement, la conversation glisse vers nos petits jeux aux écuries. Nous informons Juliette de notre projet d'un nouveau film.
Juliette est très complice de nos "activités". Aussi, elle nous conseille d'attendre les premiers beaux jours. Elle veut nous aider.
Le box à côté du petit local du palefrenier sera libre, sans cheval. Juliette nous propose de venir visiter les lieux pour bien voir.
Par contre, Juliette ne désire pas participer d'une manière ou d'une autre. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle nous en fait part.
< J'ai un peu passé l'âge de mâter. A 42 ans, je préfère "agir" ! > nous confie t-elle. < Et bien venez agir ! > fait Clémentine.

Ma compagne évoque le trou rond dans la cloison , d'environ 5 cm de diamètre, à 80 cm du sol qui sépare le box du petit local.
< Je sais ! Je connais ! Il était déjà creusé lorsque j'ai repris l'entreprise il y a huit ans ! C'est Gérard ! > nous raconte Juliette.
Le palefrenier travaille au haras depuis près de 30 ans. C'est donc lui qui s'est amusé à creuser cette ouverture parfaite. Ronde.
< Vous "pratiquez" ? > demande Clémentine. Comme à chacune des allusions à cette "pratique", Juliette esquive la question.
Elle se contente de sourire, énigmatique et silencieuse. < Et vous ? > demande Juliette à Clémentine. Nous gardons le silence.

La soirée se déroule ainsi, dans la joie de conversations qui deviennent délicieusement scabreuses. Des aveux et confidences.
Juliette qui nous confie aimer voir autant que d'aimer être vue. Surtout en extérieur, durant ses sorties équestres fréquentes.
Elle nous promet de nous raconter de belles histoires lui étant déjà arrivées durant ses virées à cheval. Mercredi soir prochain.
Nous promettons de venir à l'animation équestre organisée dimanche. Il est presque 22 h30. Juliette prend congé. C'est tard.
Nous la raccompagnons dans la nuit jusqu'à sa voiture garée dans la descente du chemin. Nous nous serrons la main. Super.

Juste avant qu'elle ne disparaisse en haut du chemin, Juliette arrête sa voiture pour nous faire un dernier coucou de la main.
Clémentine me tient par la braguette. Nous agitons nos mains. Nous nous observons amusés quelques instants. Le silence.
Nous débarrassons la table. La vaisselle. Nous rangeons. Fatigués nous montons. Toilettes, la salle de bain. Et enfin couchés.
Un "69" puis je m'introduis avec d'infinies précautions dans Clémentine qui m'attire sur elle. Immobiles. Comme nous aimons.
Clémentine me confie d'étonnantes réflexion sur ce qu'elle devine chez Juliette. Cunnilingus. Fellation. Trop fatigués. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient le feuilleté de saumon tout en évoquant des histoires bien vicelardes...

Julien - (Qui devine le potentiel de Juliette et qui se promet, avec Clémentine, de tenter d'en savoir plus au printemps) -

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Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 363 -



Un agréable jeudi soir en compagnie d'Estelle

Hier matin, jeudi, c'est le Boléro de Ravel qui nous tire de notre sommeil. Clémentine tape immédiatement sur le cube réveil.
< Put-Hein ! J'ai jamais supporté ce truc ! > s'écrie t-elle. Nous rigolons comme des bossu en nous serrant l'un contre l'autre.
Il est 5 h55. < Bonjour ! > nous chuchotons nous en même temps. Clémentine me chevauche en riant. Les papouilles. Bisous.
Elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le bilan de la soirée de hier avec Juliette. Le programme de la journée. Bien.

Nous montons pour nous offrir l'heure d'entraînement qui remplace nos joggings. Intensité maximale. Aérobic, abdos, charges.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 H45. Ciel gris.
Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse. Le froid.
Je monte faire le lit. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je fais un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h15.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Avec cette météo maussade et sinistre, je peins avec la lampe halogène. Pitoyable...

La matinée passe si vite que je n'en ai pas réellement conscience. Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte.
Le jeudi soir, c'est pizza "maison". Je coupe une aubergine, une courgette, des tomates, de l'ail, de l'oignon et les champignons.
Je fais revenir le tout dans un wok. Ce sera la garniture des pizzas. J'en récupère un peu. L'accompagnement des restes de hier.
J'écoute la chronique de Guy Carlier en riant juste avant d'éteindre la radio. Je lave des feuilles de la laitue. Un assaisonnement.
La pâte repose dans un grand saladier sous un torchon et dans l'endroit le plus chaud de la cuisine. Ce soir, elle sera onctueuse.

Je mange de bon appétit. Les restes du feuilleté de saumon de hier soir sont encore meilleurs réchauffés. J'apprécie. Un délice.
La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h30. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans un grand enthousiasme.
Exalté, séduit par mes coups de pinceaux qui sont autant de victoires, je pousse les plus beaux cris de la semaine. Somptueux.
Lorsque j'arrive au terme d'une nouvelle toile, m'appliquant aux plus infimes détails, mes manifestations de joie sont immenses.
Mon après-midi passe aussi vite que la matinée. Du bruit. Il est déjà 16 h55. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter.

< Bonsoir Julien ! > s'écrie t-elle en me couvrant le visage de bisous. Je suis toujours prudent, je pose ma palette et pinceaux.
Assise sur mes genoux elle me raconte sa journée. Le repas de midi avec Estelle au restaurant universitaire. Les cours sympas.
J'écoute les amusantes anecdotes en souriant. Assise à la table, entourée de ses affaires, Clémentine met ses notes au propre.
Ma compagne commence ce Week-End le travail de recherche pour son mémoire. Dix pages qu'il faudra remettre lundi 16 avril.
< Les choses sérieuses ne commencent toutefois que lundi. Nous terminons les cours à 15 h toute la semaine ! > me fait elle.

Je me lève pour passer derrière Clémentine qui m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordinateur. C'est passionnant. Super.
Mon téléphone m'avertit de l'arrivée d'un texto. Clémentine s'en empare. C'est Estelle. Nous mettons nos anoraks. 17 h45.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel à cent mètres de chez elle. Elle est toute contente d'être de retour avec nous.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle nous confie à quel point elle se réjouit pour cette soirée. Et si heureuse.
Il est 18 h10. Nous sommes de retour. Les filles se mettent immédiatement au travail. Je peins dans une allégresse glorieuse.

< Put-Hein, ras le cul ! > s'écrie Estelle. Je regarde l'heure. Il est 19 h. Clémentine nous entraîne à la cuisine. La faim de loups.
Estelle étale la pâte qui est superbement onctueuse. Je réchauffe la garniture. Clémentine prépare l'assaisonnement. La salade.
Je râpe du gruyère de Comté. Je le mélange à la garniture. Estelle coupe de fine tranches de Roquefort. Je râpe du Parmesan.
Je verse la garniture sur les trois pizzas. Estelle saupoudre du Parmesan et dépose les tranches de Roquefort. Je mets au four.
Nous retournons dans l'atelier afin de terminer nos travaux. Ainsi, dès la fin du repas, nous pourrons nous livrer au vice. Joie.

La sonnerie du four se fait entendre jusque dans l'atelier dont nous avons laissé la porte entrebâillée. Je nettoie mes pinceaux.
Les filles rangent soigneusement leurs affaires. Tout est prêt pour demain matin. Nous nous précipitons à la cuisine. L'odeur !
Nous mangeons de bon appétit. Estelle insiste pour découvrir le feuilleté de saumon. Je lui promets d'en préparer pour samedi.
La conversation s'articule sur les stratégies que les filles vont mettre en œuvre pour leur mémoire. Elles vont le faire ensemble.
Cette méthode leur réussit fort bien. L'émulation favorisant l'efficacité et la rapidité. J'écoute avec beaucoup d'intérêt. Superbe.

Assise sur mes genoux, en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part de sa joie de rentrer à 15 H30, tous les jours.
Estelle rentrera avec elle. Elles vont encore se livrer à un travail acharné et avec leur détermination habituelle. Je suis admiratif.
Nous traînons à table. Bavardages, rires et plaisanteries. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine.
Juste avant de quitter la cuisine pour rejoindre Clémentine au salon, Estelle imite une masturbation masculine. Et bien vulgaire.
< Tu me touches ce soir ? > me fait elle, tournant sa main fermée devant sa bouche pour mimer une fellation. Elle est si belle.

Je m'avance juste avant de sortir de la cuisine pour lui peloter la chatte à travers le tissus de son jean. < Salaud ! > fait elle.
Clémentine, nous voyant pas arriver, revient à la cuisine. Elle me voit avec la main entre les cuisses d'Estelle cambrée. Rires.
< J'ai le dos tourné deux minutes et voilà nos deux vicelards qui se touchent ! > fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
Je saisi Estelle par ses cheveux attachés en queue. Je l'entraîne aux toilettes. J'ordonne : < Pisse ! Petite salope ! >. Silence.
Estelle, soudain très gênée, hésite un instant. Elle regarde Clémentine qui rajoute : < Vas y, fais nous un superbe pissou ! >.

Je déboutonne son jean, je le lui descends. Elle m'empêche de descendre sa culotte. < La culotte sale ? > fait ma compagne.
Estelle toute rouge, m'empêche de lui baisser sa culotte. Elle se contente de tirer sur l'élastique afin de l'écarter de sa cuisse.
Fléchie sur ses genoux, le visage couvert de sueur, Estelle se concentre pour tenter de pisser. Elle n'y parvient pas. Le silence.
Je m'accroupi auprès de Clémentine qui me montre le tissus légèrement jaune, comme une tache. L'entre jambes de la culotte.
< Fille négligée ! C'est ça qui te gêne, hein ! > lui fait Clémentine. Estelle, malgré tous ses efforts, ne parvient pas à se lâcher.

Je me redresse pour la saisir par ses cheveux. Je l'entraîne avec son jean aux genoux qu'elle tente de remonter. Si maladroite.
< Tu veux que je te prête une culotte propre ? > lui demande Clémentine pendant que je force Estelle à se mettre à genoux.
< Vous êtes salauds tous les deux ! > répond Estelle. Clémentine passe derrière le bureau. Elle en revient avec les cordelettes.
Je comprends immédiatement. Estelle que tout cela excite malgré tout se laisse ficeler les poignets, les chevilles. Bien ligotée.
Je la fais coucher au sol, sur le côté. Je m'allonge près d'elle. J'ouvre ma braguette à la hauteur de son visage. Je sors le Zob.

Clémentine est accroupit pour m'observer. Je passe mon sexe sur le visage d'Estelle qui m'en présente tous les reliefs. Plaisir.
Je lui enfonce la bite dans la bouche. Nous sommes tous les deux couchés au sol, sur le côté. Clémentine nous observe. Excitée.
Je sors mon sexe de la bouche d'Estelle qui glousse de bonheur. Elle a toujours son jean aux genoux. Je lui descends la culotte.
< Non ! > s'écrie t-elle en tentant de se soustraire à mon étreinte. Je la tiens fermement. Sans un égard je lui tripote la chatte.
Estelle serre ses cuisses. Clémentine me montre l'intérieur de la culotte. Traces crémeuses d'apparence pâteuse. Dégueulasse.

Clémentine déboutonne son jean pour passer sa main dans sa culotte. Je tente d'écarter les cuisses d'Estelle qui lutte, se débat.
Je lui mets une gifle. < Salopard ! > me fait elle en me crachant au visage. Je profite de la distraction pour écarter ses cuisses.
J'arrive à mettre ma tête entre ses cuisses. Elle crie plusieurs fois : < Non ! >. Je hume les odeurs de sa journée. Fille négligée.
Chaque fille a une odeur différente. Celle d'Estelle est forte, âcre. Des effluves puissantes d'urines mélangées aux pertes. Sale.
Le goût d'Estelle me répugne un peu. C'est dégoûtant. Estelle mouille peu. Son sexe n'est qu'une fente et presque sans lèvres...

Clémentine, son visage tout près du mien, penchée en avant, se tenant à Estelle d'une main et se touchant de l'autre, mâte.
Je suce le sexe d'Estelle pour faire arriver un peu de cyprine. Estelle bouge de son bassin en rythme en gémissant. Le plaisir.
Elle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse soudain. Dans un long râle, Estelle se cabre, se crispe pour finir par se détendre.
Je viens lui mettre le sexe en bouche. Clémentine me montre. Là, une flaque de pisse sur le parquet entre les cuisses d'Estelle.
Cette salope se lâche. Je lui éjacule dans la bouche. Elle semble connaître un nouvel orgasme. Estelle suce avec délectation...

Clémentine lutte contre l'orgasme qui guette. Je sais qu'elle se garde pour le lit, tout à l'heure, lorsque nous reviendrons. Joie.
Il est 22 h15. Il faut ramener Estelle. Dans la voiture, elle reste étrangement silencieuse. La séparation est toutefois difficile.
< Je t'aime Julien ! C'était géant ! > m'avoue t-elle avant de quitter la voiture en se faisant violence. Nous la regardons partir.
Au retour, nous montons vite. Toilettes. Salle de bain. Le lit. Je m'introduis dans Clémentine qui m'attire sur elle. Doucement.
< T'as vu sa culotte ? > me chuchote Clémentine parmi d'étonnantes révélations. Cunnilingus, fellation, orgasme et puis dodo...

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire surprendre, culotte un peu sale, après une journée de fille...

Julien - (Qui, avant de monter, a essuyé la petite flaque de pisse qu'à laissé Estelle au sol. Serpillère bien rincée) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 364 -



Un nouveau Week-End qui s'annonce des plus "croustillants"...

Hier matin, vendredi, je sors de mon sommeil le premier. J'ai à peine le temps d'éteindre le cube réveil avant qu'il ne sonne.
Il est 5 h55. Clémentine s'étire à son tour. Je lui dépose un délicat bisou sur le front. < Bonjour Julien ! > fait elle. Des bises.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Il faut se lever. Les toilettes. Pissous.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Méthode.
Le thermomètre extérieur indique 2°. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. C'est un plaisir.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Pour Clémentine, le Week-End commence dès midi. Pas cours l'après-midi.
Nous montons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. L'intensité maximale. Aérobic, abdos et charges additionnelles.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le ciel est lumineux.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse. Froid.
Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.

Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je termine ce matin la dix neuvième toile destinée à ma saison d'été.
Je peins animé d'une véritable exaltation. Je pousse les cris les plus surréalistes et les plus longuement modulés. Superbes.
Comme souvent, le bout de mon nez commence à me chatouiller. Je joue longuement avec cette envie folle de me gratter.
Cela participe de l'enchantement paradisiaque de mes séances de travail. Je me soulage quand cela devient insupportable.
La récompense pour le trait de pinceau le plus sublime. C'est après de multiples victoires que je termine cette nouvelle toile.

Il est onze heures trente. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Je déplace le tableaux fini contre le mur, à côté des autres.
Je dépose une toile vierge sur le chevalet. Je vais à la cuisine. J'évide deux grosses aubergines. Je fais prépare du riz complet.
Je fais cuire du pâté de lentilles encore congelé dans la poêle, à feux doux. Je lave les feuilles d'une petite laitue. La méthode.
Il est 12 h15. Clémentine arrive pour se précipiter dans mes bras. Je la soulève pour la faire tourner. < Week-End ! > dit elle.
Elle me couvre le visage de bisous avant de préparer l'assaisonnement de la salade. Je remplis les aubergines de leur farce.

Au pâté de lentilles j'ai rajouté du Parmesan, de la chapelure, un œuf battu, du gruyère de Comté et des champignons noirs.
Je mets au four. J'ai calé les aubergines dans le riz que j'ai saupoudré de parmesan et de levure diététique en paillettes. Bon.
Je mets le plat au four. Clémentine m'entraîne au salon. < Je me sens très salope aujourd'hui ! > me fait ma compagne. Bise.
Nous rions de bon cœur. Après avoir retiré son pantalon et sa culotte, Clémentine se vautre dans le canapé, cuisses écartées.
Je suis à genoux entre ses jambes, droit sur l'épais coussin de velours. Je hume longuement les odeurs de sa matinée de fille.

Clémentine me tient par les oreilles. J'enfonce mon visage dans l'épaisse touffe de son abondante toison pubienne. Chatouilles.
Du bout de la langue, je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe humide. J'adore ce goût vinaigré. Piquant.
Je décalotte son clitoris géant du bout de mes lèvres. Là, les choses deviennent sérieuses. Clémentine est animée de frissons.
Heureusement la sonnerie met un terme aux délicieux tourments contre lesquels Clémentine doit lutter. Je cesse pour me lever.
Ma compagne me tend les mains. Je l'aide à se redresser. Elle se serre dans mes bras. < Comme c'est bon ! > murmure t-elle.

Nous nous précipitons à la cuisine. Je sors les aubergines farcies du four. Clémentine remue la salade. Je mets la table. Sympa.
Nous mangeons de bon appétit. Assise sur mes genoux, le bas du corps nu, en terminant son yaourt, Clémentine me raconte.
Elle évoque sa matinée de cours et le début d'une nouvelle étape dans le déroulement de ses études. Le mémoire de dix pages.
A partir de lundi, ma compagne rentre pour 15 h30. Elle est à se réjouir. Elle rentrera avec Estelle. Elles travaillerons ensemble.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Mon téléphone m'avertit de l'arrivée d'un message. Clémentine s'en empare très vite.

< C'est la serveuse ! > me fait Clémentine en me faisant lire le message qui dit "Une table pour ce soir ?". Nous nous regardons.
< Une excellente commerciale cette fille ! Est-ce que ça te tente ? > me fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
Je réponds : < Ok ! Si tu l'es également ! >. Clémentine tape la réponse "ok" et l'envoie en se serrant contre moi. C'est superbe.
< Tu seras bien vicelard ce soir, hein ! > me chuchote Clémentine en ouvrant ma braguette pour en extraire le Zob tout humide.
Accroupie, scrutant avec l'attention d'une entomologiste, Clémentine tient mon sexe à sa base pour le renifler longuement. Pue.

Je la force à se redresser en la soulevant par ses cheveux attachés en catogan. Je l'entraîne au salon. Je la fais mettre à genoux.
Bien droite sur le coussin, les mains croisées sur la tête, je m'éloigne pour aller m'assoir dans le canapé. Et j'observe Clémentine.
Elle me fixe d'un regard implorant. Belle. Silencieuse. Concentrée. Je peux entendre le souffle de sa respiration. C'est magnifique.
Je me lève. Je m'accroupis pour lui passer la main entre les cuisses. Je m'attarde longuement sur son sexe trempé. Et je tripote.
< Je t'aime, Julien ! > me chuchote t-elle. Je me couche sur le dos, la tête entre ses jambes. Elle s'assoit sur mon visage. Miam.

La cyprine abondante de Clémentine me coule dans la bouche. C'est une coulée presque continue. Le corps est agité de frissons.
Je palpe ses fesses. Clémentine est assise sur mon visage, les mains en appui sur le bord du canapé. < Fait attention ! > dit elle.
Il faut cesser avant l'orgasme. Je me retire. Je me redresse pour passer mes mains autour des épaules de Clémentine. Bonheur.
Je l'aide à se redresser. Il est presque 15 h. Il faut penser à bosser un peu. Clémentine remet ses vêtements en soupirant. Dur.
Nous passons à l'atelier. Clémentine, assise à la table, prépare les choses à venir. Le travail de recherche sur l'ordinateur. Bien.

Je commence le dessin préparatoire de la vingtième toile destinée à ma saison d'été. Le crépitement du feu dans la cheminée.
Dehors, le ciel est bas. L'après-midi s'étire ainsi dans le charme de cette nouvelle séance de travail commun. C'est le bonheur.
Il est rapidement 18 h30. Mon dessin est terminé. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordinateur. Passionnant.
Nous montons à l'étage pour nous changer. Sur la demande de Clémentine, je porte mon costume de velours marron. Cravate.
Clémentine porte un pantalon à plis et à pinces. Chemisier, pull. D'une élégance folle. Nous nous regardons dans le miroir. Bien.

La nuit est tombée. Fraîche et désagréable. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Il y a douze petits kilomètres.
Nous arrivons au restaurant de l'étang pour dix neuf heures trente. Je gare la voiture. Nous marchons un peu. Le tour de l'étang.
Il y a quelques autos garées sur le parking. < Passe moi ton téléphone ! J'ai un "plan" ! > me fait soudain Clémentine. Surprise.
Je le lui tends. Elle rédige un message à l'attention de la jeune serveuse. Clémentine me fait lire. C'est étonnant et très amusant.
Le message précise la proposition suivante : < Venez donc mâter la bite à Julien, nous sommes dehors ! Pisse et branlette ! >.

Clémentine m'entraîne entre la camionnette garée et le mur du petit bâtiment annexe. Une bâtisse de briques rouges et nues.
Soudain mon téléphone sonne. Clémentine répond. Je l'entends expliquer où nous nous trouvons. < La serveuse ! > fait elle.
< Sors ta bite ! Elle arrive ! > me fait Clémentine. Je me déboutonne. Je sors mon sexe. Il fait un froid vif qui me fait pisser.
Là, sur la droite, le bruit d'un pas rapide sur le gravier. C'est la jeune serveuse. Elle nous voit. < Bonsoir ! > nous lance t-elle.
Clémentine lui serre la main. Je tiens ma bite de la main gauche pour en diriger le jet contre le mur. Je tend ma main droite.

La jeune fille semble réellement contente de nous revoir. < Il y a des clients, je n'ai pas trop de temps ! > fait la serveuse.
Je lui dis : < Viens ! Tiens moi la queue, je termine de pisser ! >. La jeune fille observe la scène sans oser me saisir la bite.
< Allez y, elle ne mord pas ! > rajoute Clémentine. Le trouble est évident et tellement fort que la jeune fille tourne les talons.
< Il faut que je rentre ! > dit elle en filant à toute vitesse. Clémentine s'accroupit pour se régaler des derniers épanchements.
Nous entrons dans le restaurant. J'ai le pull qui cache ma bite. Sur la demande de Clémentine, je la laisse pendre, dissimulée.

Terriblement gênée, la jeune serveuse nous propose la table habituelle. En prenant notre commande, nous bavardons un peu.
Les filles évoquent leurs études. Il y a quelques couples dans la salle. Il faut être discret. Nous excellons dans la discrétion.
Je tutoie volontairement la jeune serveuse. Je la sais délicieusement embarrassée par ces situations qu'elle créée avec joie.
Après tout, comme le précise Clémentine, c'est la serveuse qui provoque nos visites les vendredis soirs. Et nous sommes là.
Avant qu'elle ne retourne derrière le comptoir, je lui dis : < Tu me rejoins aux chiottes après ! >. Elle file sans répondre. Rire.

Clémentine me fait : < C'est génial, monte encore d'un cran. Et elle en veut ! >. La jeune serveuse apporte nos fruits de mer.
Je laisse tomber ma serviette parterre et je dis : < J'ai la bite à l'air sous la table, tu veux bien me ramasser ma serviette ? >
Quelle n'est pas ma surprise. La jeune fille se baisse pour la ramasser. J'agite le Zob dans sa direction. Elle mâte, insistante.
Je rajoute : < Je descends aux chiottes, tu viens ? >. La jeune fille se redresse, elle dépose ma serviette sur la table, s'en va.
< Attends ! C'est à elle de faire le signal ! Testons un peu son intérêt ! > me fait Clémentine. Je regarde plusieurs fois la fille.

Nos regards se croisent plusieurs fois. Entre les additions, les commandes, la jeune fille me fait soudain un clin d'œil. Super.
Tout en pointant son doigt vers l'escalier qui descend aux toilettes. < Tu vois ! Tu as le feu vert ! > fait Clémentine. Génial !
Je me lève. Je descends. J'entre dans les WC homme. La porte entre bâillée. Je me branle doucement. Le bruit de pas. Bien.
La jeune serveuse entre. Debout dans l'encadrement de la porte elle m'observe ave le plus délicieux des sourires. Je pisse.
Je dis : < Tu me téléphones quand ? Viens donc à la maison. On t'invite à bouffer ! >. Elle me répond : < Bouffer ta bite ? >.

En disant ces mots, la jeune fille se sauve à toute vitesse. Je n'en reviens pas. Je remonte pour tout raconter à Clémentine.
< Armons nous de patience ! > fait ma compagne. Nous payons. La jeune serveuse nous raccompagne jusqu'à la sortie. 23 h.
Nous nous serrons la main. Clémentine remonte mon pull, saisit mon sexe, le présente à la jeune fille qui regarde consternée.
< Vous venez "bouffer" quand vous voulez ! > fait Clémentine à la jeune serveuse qui nous fait un sourire terriblement gêné.
Nous rentrons. Une fois couchés, nous baisons comme des fous. Clémentine me propose la stratégie à suivre. Nous plongeons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les plans bien vicelards dans leurs restaurants préférés...

Julien - (Qui va finir par attraper froid, avec la bite à l'air, sur le parking du restaurant de l'étang, en cette fin d'hiver) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 365 -



Un Week-End avec notre petit animal de compagnie...

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous que l'on me dépose sur les joues, sur le nez et le front.
J'ouvre les yeux. Juste au dessus de moi, le visage bienveillant de Clémentine qui me chuchote : < Bonjour Julien ! >. Si belle.
Me voilà pétri d'émotion dès mon réveil aussi je l'attire affectueusement vers moi en lui murmurant : < Bonjour Clémentine ! >
Nous voilà blottis l'un contre l'autre. Douceur, tendresse, papouilles. Clémentine me chevauche en riant. Je suis un bienheureux.
L'impérieux mais prosaïque besoin naturel met un terme à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.

Il est 7 h40. Animés d'une faim de loups nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous préparons le petit déjeuner.
Dehors le ciel est lourd, gris et bas. < Il n'en finira jamais ce maudit hiver ! > fait Clémentine rêveuse devant la fenêtre. Froid.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un rapide bilan de la semaine écoulée. Nous établissons le programme du jour.
Même si le sol est légèrement humide nous décidons de nous offrir un jogging. La vaisselle. Nous montons pour nous changer.
Nous voilà vêtus de nos leggings, de nos sweats, de nos K-ways, de nos bonnets, de nos gants et de nos écharpes, à cavaler...

Il est 9 h30 lorsque nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Nous sommes chaudement vêtus. Anoraks.
Nous voilà en route pour aller faire notre marché au bourg voisin. Il y a du monde. Nous sommes en jeans et grosses godasses.
Je porte les sacs. Nous faisons provisions de nos fruits et de nos légumes chez nos petits agriculteurs locaux habituels. Sympa.
Nous faisons provisions de nos fromages, œufs, beurre, crème, yaourts chez nos petits artisans habituels. Bavardages et rires.
De retour à la voiture, nous mettons les produits laitiers dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Direction le supermarché.

Je roule toujours doucement. Dans la voiture, Clémentine joue avec mon sexe en me faisant part de son ras le bol de l'hiver.
Nous arrivons sur le grand parking. Là aussi il y a du monde. Quelques gouttes de pluie commencent à tomber. C'est dégueu.
Je pousse le caddie. Nous voilà au sec. Nous déambulons dans les allées qui nous intéressent pour assurer la logistique de vie.
Produits d'entretien, savons et autres pâtes dentifrices. Clémentine choisit, me montre et dépose le tout au fond du chariot.
Nous traînons. Nous prenons notre temps. C'est une façon comme une autre de s'occuper afin d'occulter cette météo pourrie.

Nous faisons la queue à la poissonnerie. < Bonjour ! > fait une voix familière derrière nous. C'est la jeune fille du restaurant.
Nous nous serrons la main. Elle semble réellement très contente de nous voir. Nous bavardons. Sa mère fait les courses. Joie.
Je constate que la jeune fille regarde à plusieurs reprises ma braguette pourtant bien fermée sous mon anorak ouvert. Super.
Son regard se fait même insistant. Le message est clair. < C'était bien hier ça me change quand vous venez ! > nous fait elle.
Clémentine répond : < Vous êtes la bienvenue. Notre invitation tient toujours et ça fait longtemps ! > La fille est embarrassée.

La jeune fille nous laisse pour aller rejoindre sa mère quelque part dans le magasin. < Je vous contacte ! > nous lance t-elle.
Nous la regardons s'éloigner en se retournant plusieurs fois. Dernier sourire, un dernier coucou de la main. C'est à notre tour.
Pavés de saumon, filets de lieu noir, haddock et crevettes. Pour ce soir, des moules. Clémentine m'entraîne au rayon bouquins.
< Regarde ! > me fait elle en me montrant discrètement le couple, là-bas, qui est arrêté devant les chaussures. Nous mâtons.
C'est madame Walter et son mari. Ils ne nous ont pas vu. Nous entrons dans le rayon des livres. Il y a là pas mal de monde...

Pas de réelles opportunités exhibes pour Clémentine qui en est légèrement froissée. < Put-Hein le printemps, vite ! > fait elle.
Par acquis de conscience elle m'entraîne jeter un coup d'œil au rayon des vêtements homme. Là non plus, aucune possibilités.
Il faut se faire une raison. Nous nous dirigeons aux caisses. Je propose le plat du jour à la Cafétéria. Langoustines et spaghettis.
Nous déambulons encore un peu dans la galerie commerciale. Les boutiques, le petit salon de thé. Là non plus, pas d'occasions.
Un peu tristounette devant la fatalité, Clémentine me propose d'aller ranger les courses à la voiture et de revenir à la Cafétéria.

Dans cet espace impersonnel, il n'y a pas trop de monde. Nous avons l'embarras du choix. Plein de tables sont libres. Personne.
Nous prenons des plateaux pour aller choisir nos crudités, le plat de langoustines et de spaghettis. Nous payons. C'est amusant.
Nous mangeons de bon appétit. Même si ce genre d'endroit est dépourvu de charme, de tout romantisme, on y mange très bien.
Nous traînons à table après avoir dégusté des coupes glacées. Il est 14 h15. Je propose la hall aux chaussures ou la jardinerie.
La pluie ne cesse pas de tomber derrière les immenses baies vitrées. < Quel temps de merde là dehors ! > me fait Clémentine.

Un dernier petit café. Un dernier prétexte pour traîner encore un peu. Mon téléphone sonne. Clémentine s'en empare aussitôt.
< Estelle ! > me fait ma compagne. A ses mots je comprends qu'Estelle est pressée d'être avec nous. Clémentine me la passe.
J'entends Estelle qui me dit : < Tu as vu cette météo de merde ! Il faut qu'on oublie tout ça à notre façon ! Tu est ok, prêt ? >
Nous rions de bon cœur. Nous la récupérons au retour à l'arrêt de bus habituel pour 15 h30. Le temps de flâner encore un peu.
La pluie a cessé. Clémentine joue avec ma bite pendant que je roule doucement. Nous arrivons au lieu de rendez-vous. Bisous.

Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa matinée. Son travail au bureau de l'entreprise familiale.
< Tu avais la bite à l'air en faisant les courses ou à la Cafétéria ? > me demande Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous voilà à la maison. 16 h. La pluie n'a pas cessé. Estelle nous aide à ranger les courses. Nous échangeons quelques bisous.
Ce matin, avant de partir, j'ai sorti une pâte feuilleté du congélateur. Elle est au milieu de la table. Décongelée et bien sympa.
Ce sont des pâtes que j'ai faites un peu avant Noël. Il y en a encore deux au congélateur. J'aime prévoir et ne pas manquer...

Nous passons dans l'atelier. Les filles consultent le site de l'université. Le programme qui s'affiche sur l'écran de l'ordinateur.
Clémentine m'explique ce que j'y vois. Chaque étudiant peut soumettre son travail en temps réel pour le mémoire à rendre.
Plutôt rassurées les filles surfent sur les différentes rubriques. Le nom des professeurs qui suivent le parcourt des étudiants.
Je suis assis devant mon chevalet à observer le dessin préparatoire de la vingtième toile destinée à ma saison d'été. Sympa.
Estelle vient s'assoir sur mes genoux. < C'est beau ! J'aimerais savoir dessiner comme ça ! > me fait elle en se serrant fort.

Clémentine vient nous rejoindre. Elle est assise sur mon autre jambe. Elles ne sont pas lourdes les coquines. Nous bavardons.
Je les tiens par les épaules. Nous évoquons notre prochain séjour dans le Périgord. < Vous allez me manquer ! > fait Estelle.
Je la console en lui disant : < On part une dizaine de jours ! >. Clémentine rajoute : < Et toi tu vas nous manquer aussi ! >.
Estelle adore lorsque l'un d'entre nous lui chuchote : < Tu es notre "petit animal de compagnie" ! >. Nous rions de bon cœur.
< Tu me montre ta queue après ? > me fait Estelle. Clémentine lui dit : < Toi, tu veux ton "nonos" à ronger, hein ? >. Rires.

Il est dix huit heures trente. Je propose aux filles de passer aux choses sérieuses d'abord. Clémentine nous entraîne. Cuisine.
Estelle s'occupe du bouillon pour y cuire les moules. Je prépare la Béchamel. Clémentine découpe le saumon en fines lamelles.
< Je vais enfin goûter à ce fameux feuilleté de saumon ! > nous fait Estelle tout en éminçant de l'ail et de l'oignon. Le persil.
Je déplie la pâte que je coupe en deux. Je fais de fines tresses. La Béchamel et le saumon sont rapidement prêts. C'est bien.
Estelle étale la pâte. Clémentine s'occupe de la salade. Je verse la garniture. Estelle y dépose les croisillons de pâte feuilletée.

Délicatement "grillagé" de tresses de pâte, le feuilleté est de toute beauté. Je mets au four. Cuisson 30 minute à 300°. Bien.
Nous passons au salon. Estelle, debout au milieu de la pièce, mime une masturbation masculine avec sa vulgarité habituelle.
Clémentine et moi, vautrés dans le canapé, nous observons cet amusant spectacle en applaudissant. Je dis : < Une autre ! >
Estelle plutôt voyeuse qu'exhibitionniste semble inverser là ses préférences car tout en bavardant elle ne cesse son imitation.
Je lui dis : < Ce soir, après la bouffe, je vais m'occuper très soigneusement de ton cas ! >. Nous rions de bon cœur. Superbe.

Estelle termine son show, couchée sur le bureau, en appui sur ses coudes, les jambes relevées et largement écartées. Succès !
Nous applaudissons à tout rompre. Clémentine lui fait : < En jupe ce serait beaucoup mieux ! >. La sonnerie du four. La faim.
Nous nous précipitons à la cuisine. Nous laissons le feuilleté dans le four dont la porte est entrebâillée. Estelle prépare la table.
Nous commençons par les moules cuites au bouillon. Ail, oignons et persil. C'est un véritable régal. Je félicite Estelle. Délicieux.
Nous mangeons de bon appétit. Le feuilleté de saumon est un véritable festin. Accompagné d'une bonne laitue. Et de crème...

Nous traînons à table en bavardant. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous allons au salon.
Estelle se remet à ses imitations masturbatoires avec toute la vulgarité qu'elle peut y mettre. Je passe derrière le bureau. Bien.
Du tiroir du bas je tire les cordelettes de coton blanc, les menottes. Sans prévenir, je saisi Estelle fermement par ses cheveux.
Je ligote ses poignets derrière son dos. Elle se laisse faire en me lançant un regard plein de reconnaissance. Je lui met une gifle.
Ce ne sont jamais des actes de violence mais ces petites gifles font partie du rôle que les filles me demandent d'endosser. Joie.

Clémentine que tout cela excite toujours considérablement a passé une main dans son pantalon déboutonné. Vautrée. Canapé.
Je tiens Estelle fermement par ses cheveux noués en catogan. J'ouvre son jean. Elle tente de m'en empêcher. Des contorsions.
Je parviens à lui enlever son jean malgré ses tentatives de se soustraire à mon étreinte. Je la soulève. Je l'assoie sur le bureau.
Je me place debout entre ses cuisses écartées. Elle est en appui sur ses coudes, le regard apeuré, à me scruter. Passionnante...
Je lui ai laissé sa culotte. Il n'est pas question de la pénétrer. Par contre, je frotte ma braguette contre sa culotte. Sur son sexe.

Estelle, que tout cela excite considérablement, se met déjà à bouger en rythme, à se frotter en gémissant. Je me recule. Cri.
Estelle me fait : < Reviens s'il te plaît, c'est trop bon ! >. Bien évidemment je ne reviens pas. Clémentine vient nous rejoindre.
Elle tient fermement Estelle couchée sur le bureau. Je m'accroupi pour scruter la tache de la culotte entre les cuisses d'Estelle.
Nous savons qu'elle ne supporte pas les protèges slip, ça l'irrite. Elle n'apprécie que la douceur du coton de ses culottes fines.
Sans prévenir, alors qu'elle tente de se débattre pour m'en empêcher, je lui arrache la culotte. Clémentine la maintient. Fort.

Il est très rare que ma compagne participe de façon active à nos jeux. Aussi de la voir m'aider à dompter Estelle m'enchante.
< Non ! Vous êtes salauds tous les deux ! > s'écrie Estelle. Est-elle sincère. Joue t-elle. Cela reste toujours assez mystérieux.
Je hume l'odeur de sa journée de fille. Sa toison pubienne a repoussé depuis le printemps de l'année dernière. Dense, touffue.
Même si sa broussaille est loin d'égaler celle de Clémentine, c'est sublime malgré tout. Le sexe d'Estelle a une odeur très forte.
Âcre et pestilente. C'est un mélange indéfinissable d'urine et de sécrétions. Le sexe d'Estelle est dépourvu de lèvres. Curieux.

Clémentine, tient toujours fermement Estelle qui se plaint de douleurs à ses poignets ligotés dans cette position inconfortable.
Ma compagne l'aide à se redresser. Je la soulève pour l'emmener sur le canapé où je la jette sans ménagement. Petite coquine.
Je lui détache les poignets mais Clémentine continue de la tenir fermement. Je me mets à genoux entre les cuisses d'Estelle.
Clémentine me regarde. En reniflant la chatte d'Estelle, je ne peux m'empêcher de faire la grimace. L'odeur me révulse un peu.
< Fille négligée, hein ! Tu te laves pas la chatte le matin ? > fait Clémentine en tenant le visage d'Estelle par le menton. Super.

En luttant contre mon profond dégoût, je passe le bout de ma langue le long de la fente de son sexe pour tenter de l'ouvrir.
Rien à faire. Estelle reste aussi sèche que fermée malgré son excitation qu'elle ne cherche même plus à dissimuler. Bonheur.
Je passe mon index pour essayer de trouver son clitoris. Je l'enfonce doucement. Je dis : < Mais tu es pucelle de quel trou ? >
< Salaud va ! T'es vraiment une ordure ! > me répond Estelle en refermant ses cuisses sur mon visage. Elle serre très fort.
J'ai mon index totalement enfoncé. C'est à peine humide. Clémentine tient fermement Estelle par la tête et le cou. Le menton.

Je tourne mon doigt. Estelle ne peut s'empêcher de gémir. Son plaisir est si évident qu'elle ne tente même plus de jouer. Joie.
Je retire mon doigt pour le renifler. Clémentine se penche pour le sentir aussi. il n'y a pas de réelle odeur. C'est un peu gluant.
Je scrute avec attention. J'écarte les poils. Enfin une petite goutte laiteuse perle au bas de la fente. Je la recueille pour la voir.
Je la montre aux deux filles avant de sucer mon doigt. Estelle se met à bouger doucement. Il sera difficile d'éviter un orgasme.
Et toujours cette odeur âcre et puissante. Soudain, sans prévenir, Estelle me pisse au visage. En m'inondant d'un flot de pisse.

Elle m'a chopé par les oreilles pour m'empêcher de m'écarter à temps. < Tiens ! Salopard ! > s'écrie t'elle avant de crier fort.
Estelle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Elle n'a ni le talent, ni la pratique de Clémentine pour faire durer son plaisir.
Je trouve ça un peu dommage. Je suis trempé de pisse, comme sous la douche. Je ruisselle de pisse chaude. Petite coquine !
Estelle essaie de retrouver ses esprits, ses mains entre ses cuisses. Elle termine son râle dans un long gémissement. Elle jouit.
Je me redresse. Clémentine revient des toilettes avec une des serviettes propres rangées au dessus du lavabo. Je m'essuie...

J'essuie la chatte d'Estelle qui se laisse faire comme enchantée de ma prévenance. C'est un instant merveilleux. Encore un !
Je lui dis : < A partir de ce soir, je vais t'apprendre à contrôler ton plaisir. A retarder tes orgasmes ! Tu entres en cours ! >
Nous rigolons comme des bossus à l'évocation des "études" particulières que je propose à notre "petit animal de compagnie".
< Oh oui monsieur le professeur. Et je vous promets d'avoir une chatte propre au début de chaque cours ! > rajoute Estelle.
Nous en rions de bon cœur lorsque je précise : < Non ! J'exige de la chatte sale, proprement dégueulasse et puante ! Ok ? >

Clémentine n'arrête pas de se toucher en nous observant et en nous écoutant préparer les cours d'orgasmes à venir. Sympa.
Je sors ma bite dégoulinante de foutre. L'excitation causée par ce premier cours d'orgasme ne m'a pas laissé indifférent. Jus.
Je me redresse, je saisi Estelle par la nuque, je lui dis : < Tu as bien mérité ta récompense ! >. Elle me la suce en gémissant.
Je suis entrain de me faire tailler une pipe des familles sous le regard scrutateur de Clémentine qui se masturbe en gloussant.
J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. Je peux sentir monter mes coulées abondantes de liquide séminal.

Sans prévenir, par surprise, je me penche pour saisir Clémentine par ses cheveux. Je me retire de la bouche d'Estelle surprise.
J'enfonce ma queue dans la bouche de ma compagne qui pousse un cri de ravissement absolument merveilleux. Une chanson.
J'éjacule. Clémentine, comme éperdue de reconnaissance cesse de se branler pour m'attirer à elle en me tenant les hanches.
C'est un instant sublime pour tous les deux. Sans doute même pour tous les trois car Estelle a glissé une main sur son sexe.
Je laisse Clémentine se régaler longuement du "fond de couilles" dont elle savoure la vidange en gémissant de contentement.

Cette position debout, cambrée, n'est pas sans m'être rapidement inconfortable et presque douloureuse. Lombaires de 52 ans.
Estelle, les yeux fermés, semble commencer à s'endormir. Je suis assis à côté de Clémentine. Il est déjà 23 h. Une vraie folie.
Je lui chuchote : < Viens, on monte, je te termine au lit ! >. Clémentine m'entraîne par la main. Estelle se réveille. Etonnée.
Nous montons tous les trois. Les toilettes. Clémentine me sèche avec le sèche cheveux. Ivres de fatigue nous voilà enfin au lit.
Estelle ne tarde pas à ronfler. J'offre un superbe cunnilingus à Clémentine qui jouit dans un bonheur sans nom. Nous plongeons.

Bonne soirée de stupre, de luxure et de vice à toutes les coquines dont c'est la passion lorsqu'arrive enfin le samedi soir...

Julien - (Qui entame une nouvelle carrière de professeur d'orgasme pour jeunes filles majeures dans un cadre strict et privé) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 366 -



Notre "petit animal de compagnie" se complaît tant avec nous

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des chuchotements, des murmures et des rires étouffés. On me touche.
L'une des deux coquines me tient fermement par mon érection matinale. J'ouvre l'œil. < Bonjour Julien ! > font les filles. Rire.
Je me mets à quatre pattes entre Clémentine et Estelle pour les chatouiller en imitant les grognements d'un ours des cavernes.
C'est Estelle qui me tenait la queue. Elle parvient à s'échapper en riant jusqu'aux toilettes. J'adore les faire rire. C'est superbe.
Clémentine me chevauche en me couvrant le visage de bisous. Estelle revient. < Je descends faire le petit déjeuner ! > dit elle.

< On arrive ! > répond Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux. Nous avons hyper faim.
Nous descendons à toute vitesse pour aller rejoindre Estelle. Il y a déjà cette délicieuse odeur de café et de pain grillé. Sympa.
Il est seulement 7 h45. Le ciel est toujours aussi gris, bas et menaçant. Nous mangeons toutefois de bon appétit en bavardant.
< C'était génial hier soir ! > fait Estelle en développant le détail des situations les plus torrides. Nous rions de bon cœur. Super.
< A refaire ! > dit Clémentine. < Et le plus tôt possible ! > conclue Estelle. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Propre.

Les filles passent au salon. Je les entends rire. Mon ambiance préférée. Je range la cuisine. Le dimanche matin, c'est "ménage".
Je nettoie les chiottes du bas. Le silence est revenue. Clémentine est montée faire la chambre. Je passe la serpillère aux sols.
Je sors l'aspirateur du placard mural. Je rejoins Estelle au salon. Elle est concentrée sur l'écran de l'ordinateur, à lire. Silence.
< Julien, je lis vos récits de la semaine sur le forum ! Tout le monde sait maintenant que je porte des culottes sales ! > dit elle.
Nous rigolons comme bossus lorsque je lui rappelle que sous l'anonymat de son pseudo, personne ne pourra l'identifier. Sympa.

Je passe l'aspirateur sous les meubles. Estelle, silencieuse, passe derrière moi pour me choper par les couilles. Elle serre fort.
Je me redresse. Comme je suis encore en slip et en T-shirt avec les bras occupés, il lui est très facile de me chopper la queue.
Avant que je n'ai le temps de quoi que ce soit, Estelle se colle contre moi. < Je t'aime Julien ! > dit elle avant de m'embrasser.
Je tente de la repousser. Et sans réelle conviction. Lorsque Clémentine n'est pas présente, ces moments d'intimité me gênent.
Estelle le sait et s'en joue avec malice et espièglerie. Je la serre contre moi. Je lui passe la main entre les cuisses. C'est chaud.

Je palpe son sexe au travers de la soie de son pyjama. < Et tu as toutes les autorisations nécessaires ! > me chuchote Estelle.
Incroyablement lascive, Estelle se cambre pour appuyer son sexe contre le mien. < Je veux baiser avec toi ! > rajoute t-elle.
Je fais : < Tu sais bien qu'il n'en est pas question et Clémentine ne veut même pas en entendre parler ! >. Estelle m'embrasse.
< Je vais t'aider pour le ménage, viens ! > fait encore Estelle en s'écartant comme à regret. Elle s'empare du chiffon, plumeau.
Je la laisse pour rejoindre Clémentine à l'étage. Elle est entrain de changer les draps. Je lui raconte ce qui s'est passé en bas...

Serrée contre moi, ma compagne dit : < Non, pas la baise. Je pense que c'est surtout symbolique. Un peu bête peut-être ! >
Elle rajoute encore : < Tu me trouve stupide, non ? Et tu aimerais baiser avec elle ? > Je dis : < Je n'aime ça qu'avec toi ! >
Je ramasse les draps sales. Nous laissons les fenêtres ouvertes pour aérer. Il fait froid. A peine 5°. Nous nous embrassons.
Nous passons à la salle de bain. Je nettoie le bac à douche et le bidet. Clémentine fait le lavabo et les miroirs. Le bavardage.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut. Je passe la serpillère sur les sols.

Je descends pour rejoindre les filles qui sont concentrées sur l'écran de l'ordinateur. Elles surfent sur le site de l'université.
Le programme des jours à venir. Les recherches et l'élaboration du mémoire pour le 16 avril. Clémentine m'explique le tout.
Il est onze heures trente. Je les laisse pour aller à la cuisine. Les pavés de saumon achèvent de décongeler dans l'assiette.
J'épluche les patates, les carottes et les navets pour notre potée du dimanche. Estelle vient me rejoindre la première. Riant.
< Tu veux renifler ma chatte ? > me chuchote t-elle à l'oreille. Estelle est encore en pyjama, sa main dans sa culotte. Rire.

Debout à ma droite, elle écarte le tissus de soie mauve du pantalon de son pyjama. Immédiatement l'odeur me monte au nez.
Cette odeur forte qui lui est particulière. < Tu vas t'y faire ! > fait elle. Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine arrive.
< Qu'est-ce que tu fais encore comme saloperie ! > s'écrie ma compagne en découvrant Estelle avec sa culotte à mi cuisses.
Clémentine et moi nous sommes déjà vêtus de nos jeans et de chemises à carreaux. < Monte t'habiller ! > fait ma compagne.
Estelle mime une masturbation masculine dans l'encadrement de la porte. Je me lève pour lui passer la main entre les cuisses.

Je lui dis : < Tu montes où je te mets le doigt ! >. < Oh oui les deux ! > s'écrie Estelle en se cambrant sur ses genoux fléchis.
Elle file pour monter à toute vitesse. Clémentine me palpe la braguette. < Elle te fait bander cette salope ? > demande t-elle.
J'ouvre ma braguette. Je sors ma bite. Je bande mou. Clémentine s'en saisit à la base pour la faire tournoyer comme un lasso.
Nous rions de bon cœur. Clémentine s'occupe de la salade. Je coupe les légumes en tranches. Estelle redescend enfin habillée.
Je reste avec la bite à l'air. J'empêche Estelle de s'accroupir devant moi. Clémentine lui montre l'ail et l'oignon qu'il faut couper.

Estelle s'occupe des pavés de saumon qu'elle prépare en papillotes sur le barbecue électrique dans la véranda. Rituel dominical.
Clémentine me fait : < Quand je vois ta bite, j'ai envie de la sucer ! >. Nous rions de bon cœur. J'agite ma bite en la secouant.
Estelle depuis la véranda nous observe. Elle mime une pipe avec sa main fermée devant la bouche. Je lui fais un clin d'œil. Joie.
Je touille la potée dans la vieille cocotte en fonte. Estelle revient et me fait : < Ne te brûle pas la bite ! J'ai envie de la sucer ! >
Nous rions de bon cœur. Je mets la table. Clémentine remue la salade. Estelle retourne chercher les papillotes. Tout est prêt...

Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le programme des jours à venir. Estelle sera avec nous tous les après midi. Cours.
Les filles vont préparer leur mémoire ensemble. Cette saine émulation porte toujours ses fruits. Cela permet du superbe travail.
< Tu n'as pas fini de renifler ma chatte ! > me fait Estelle. Clémentine lui dit : < Et toi tu n'as pas fini de bouffer de la bite ! >.
Nous rions de bon cœur. La potée et les papillotes sont un véritable régal. Il en reste pour ce soir. Avec une énorme omelette.
Nous traînons à table. C'est dimanche. Cet après-midi nous irons au haras pour assister à l'animation équestre. Le programme.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous décidons d'aller au haras à pieds. Une promenade digestive toujours sympa.
< Tu as l'obligation de garder ta bite à l'air ! > me fait Estelle en se séchant les mains. Nous rangeons la cuisine. Tout est ok !
Il est 13 h45. Nous passons nos anoraks. Le ciel est bas mais pas menaçant. Et bien évidemment je garde ma queue au chaud.
Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons jusqu'au petit pont. Nous traversons la route. Il y a du monde au haras.
Il fait froid. Nous portons nos bonnets, nos gants et nos écharpes. Un 18 mars glacial, comme en plein hiver. C'est lamentable.

Dans la cour, il y a des groupes de gens qui bavardent. Principalement des propriétaires de chevaux, leurs familles. Cavaliers.
Juliette nous voit et nous fait un coucou de la main. Nous entrons directement dans le bâtiment du manège. Il y a de la place.
Depuis le haut des gradins où nous sommes assis, nous assistons à une animation qui remporte son succès habituel. Qualité.
C'est très simple. Ce sont principalement des cavalières, des jeunes filles qui participent à ce défilé de virtuosités et de classe.
Nous applaudissons à plusieurs reprises. Estelle à ma gauche, me tripote souvent discrètement. Clémentine à ma droite qui rit.

Il est dix sept heures. Tout se termine. Nous apercevons madame Walter qui discute avec un groupe de gens. Il y a Mr Gérard.
Ils sont au travail. Nous ne désirons pas nous imposer. Avant de quitter le haras, nous décidons d'aller dans l'écurie habituelle.
Il y a des gens. Les cavalières qui ramènent leur monture. Il y a de l'animation partout. Et dans les écuries il y fait bien chaud.
Nous allons au dernier box, celui où il y a le trou dans la cloison. Estelle nous entraîne à l'intérieur. Elle nous montre l'orifice.
Nous nous penchons. Estelle, du bout du doigt nous montre les coulures qui s'accumulent juste sous l'ouverture. Taches au sol.

Estelle prend quelques photos. < Il y a de la pipe ici, je vais comparer avec les anciennes photos ! > fait elle. Nous observons.
Effectivement il semble bien que le dessin des coulures qui se superposent a encore évolué. Il y a du monde. Il faut s'arrêter.
Nous sortons du box au moment où une jeune fille y emmène son cheval. Estelle lui montre le trou. La jeune fille a un sourire.
Nous quittons les lieux. Dans la cour il y a Juliette entourée de tout un tas de gens. Un rapide coucou de la main. Nous partons.
Nous sommes de retour pour 18 h30. La nuit ne va pas tarder à tomber. Nous sommes morts de faim. Les préparatifs. Bouffe.

Estelle casse des œufs qu'elle mélange à de la crème fraîche. Je râpe du gruyère de Comté. Clémentine fait l'assaisonnement.
Nous bavardons. Estelle sort son téléphone pour nous montrer les photos. C'est assez dégueulasse. Pas de doute, foutre sec !
Je m'occupe de la potée. Tout va très vite. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Nous rions beaucoup. Joie.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Il est déjà 20 h45. Nous passons à l'atelier. Préparation.
Je suis assis devant mon chevalet à mettre la dernière main au dessin préparatoire de la vingtième toile de ma saison d'été...

Les filles sont assises à la table, entourées de leurs affaires qu'elles préparent pour les cours de demain et des jours à venir.
Il est rapidement 22 h15. Il faut ramener Estelle. La séparation est plutôt difficile. Estelle est assise devant avec Clémentine.
J'ai sorti ma bite pour que notre "petit animal de compagnie" puisse se consoler en la suçant un peu. Les tous derniers bisous.
Au retour, Clémentine m'entraîne à toute vitesse à l'étage. Toilettes. Salle de bain et le lit. Nous nous offrons un "69" juteux.
Nous baisons comme nous aimons, sans bouger. Clémentine me confie des secrets. Cunnilingus. Fellation. Orgasmes. Dodo...

Bon début de semaine à toutes les coquines qui aiment les complicités bien vicelardes avec leur copain et leur "visiteuse"...

Julien - (Qui n'est pas au bout de ses surprises maintenant qu'Estelle écarte ses cuisses pour se faire toucher et renifler) -

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Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 367 -



Une nouvelle phase dans le cursus universitaire de Clémentine

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous. Au-dessus du mien, le visage bienveillant de Clémentine.
< Bonjour mon amour ! > me fait elle. Je la serre contre moi. J'ouvre les yeux pour lui murmurer : < Bonjour mon amour ! >
Clémentine me chevauche en riant juste avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Il est 5 h55. Le rituel pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Super.
Nous prenons notre petit déjeuner dans la délicieuse odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Ma compagne est heureuse d'entrer dans une nouvelle phase de son cursus universitaire. J'aime la voir ainsi, optimiste. Joie.
Ses études déjà passionnantes vont prendre une dimension nouvelle. Un travail de recherches personnelles. C'est gratifiant.
J'écoute avec beaucoup d'admiration ses stratégies, ses projets immédiats et les ruses mises en application pour y parvenir.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Le thermomètre extérieur indique 2°. Le froid reste intense.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Bisous.

Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le jour est levé sur un ciel gris et sinistre.
Je rentre à toute vitesse. Le monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier, j'allume le feu. Cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de la vingtième toile de ma saison.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Je commence rapidement les vocalises habituelles qui accompagnent mon exaltation.
Je module longuement les cris les plus surréalistes qui ponctuent la concentration de mes coups de pinceaux. C'est superbe.

Il est rapidement midi. Je file à la cuisine. J'épluche les pommes de terre pour le gratin de ce soir. Gratin style "Dauphinois".
Je prépare une sauce aux champignons en écoutant la chronique de Guy Carlier qui me fait encore beaucoup rire. La radio.
Je fais rissoler un reliquat de patates dans une poêle. Dans la sauce je rajoute un reste de crème et du Roquefort. Un délice.
Je mange de bon appétit. La vaisselle. Dans le grand plat en terre cuite, je dispose mes fines rondelles de pommes de terre.
J'y verse le mélange d'œuf, de crème, de gruyère râpé. Je saupoudre de chapelure, de levure diététique en paillettes. Bien.

Avant de mettre au four je répands des graines de sésame grillé, de l'ail finement émincé et une feuille de choux haché. Bon.
Une cuisson à 300° pour une durée de 40 minutes. Je retourne à l'atelier. Je laisse la porte entre bâillée pour bien entendre.
Je peins dans cette rassurante impression du travail accompli. C'est fabuleux. Je ne vois pas le temps passer. Le four sonne.
Je vais à la cuisine. Je sors le gratin. Il est doré à point. Absolument magnifique. Notre repas de ce soir est déjà assuré. Bien.
Il n'y aura qu'à réchauffer. Ce sera encore meilleur. Avec la sauce aux champignons, nous allons encore nous régaler. Sympa.

Du bruit. Des voix. Il est déjà 15 h30. Clémentine entre dans l'atelier en se précipitant vers moi. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle.
Je pose ma palette et mes pinceaux. Estelle arrive à son tour. Les filles me couvrent le visage de bisous. Passion. Merveilles.
Assise sur mes genoux, pendant qu'Estelle déballe ses affaires sur la table, Clémentine me raconte leur journée. C'est super.
< On a un avant goût de ce qui nous attend pour le Doctorat, après le "Master" ! > m'explique ma compagne, exaltée. Joie.
J'écoute avec intérêt tout ce que me racontent les filles à présent assises à la table, entourée de leurs affaires, devant l'ordi.

Nous travaillons tous les trois avec cette passion qui nous anime. Le crépitement du feu, le craquement des bûches dans l'âtre.
Le souffle de nos respirations qui suivent nos apnées concentrées. Parfois l'une ou l'autre vient me rejoindre quelques instants.
Parfois c'est moi qui passe derrière elles pour regarder ce qu'elles font. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. Bien.
Tout cela est passionnant. Il est rapidement 18 h45. Je me lève pour aller à la cuisine. < Attends, on arrive ! > me fait Estelle.
Clémentine est la première à me rejoindre. < On a fini. Avec ce nouveau but, on travaille à notre rythme ! > me confie t-elle...

Lorsque les filles découvrent la surprise du repas, elles me sautent au cou. < Miam ! > s'écrient -elles en même temps. Bises.
La salade est déjà lavée, prête. Clémentine prépare l'assaisonnement. Estelle met la table. Le gratin réchauffe au four. Super.
Estelle passe derrière moi pour me palper le sexe au travers du tissus de mon jean. Elle me fait des bises dans le cou. La joie.
< Je te rappelle que c'est mon mec ! > lui fait Clémentine en s'interposant. Nous rions de bon cœur. Ma compagne se blottit.
Nous passons au salon. Estelle imite une masturbation masculine avec sa vulgarité habituelle. J'agite mon index avec sévérité.

< Après le travail, le réconfort ! > fait Estelle en se mettant à genoux sur le tapis. Bien droite, les mains croisées sur la tête.
Clémentine reste serrée contre moi. Nous observons Estelle qui nous regarde avec des yeux implorants. Un jeu de coquine !
Clémentine passe derrière elle pour l'attraper par ses cheveux attachés. Elle la tient fermement en me faisant signe de venir.
J'ouvre ma braguette. Je viens me mettre debout devant Estelle. Je sors mon sexe que j'agite devant le visage de la coquine.
Elle ouvre la bouche en me fixant de son air de défi habituel. Clémentine donne un à coup en disant : < Un bon dressage ! >

Je passe longuement mon sexe sur le visage d'Estelle qui m'en présente tous les reliefs en soufflant, concentrée sur mon acte.
Clémentine lui tient la tête d'une main en m'attirant par le cou de l'autre. Penchée l'un vers l'autre, nous nous embrassons.
Estelle en profite pour gober ma bite qu'elle suce avec avidité. Je bande mou. Et lorsque je bande mou, je mouille beaucoup.
Je tiens le visage de Clémentine qui fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Je commence à bander. Et comme un salaud.
Nous entendons la respiration concentrée d'Estelle qui me taille une pipe des familles en me tenant par les hanches. Coquine.

La sonnerie du four. J'aide Estelle à se relever. Je m'accroupi pour lui masser les genoux. < Aïe, ouille ! > fait elle en rigolant.
Nous nous précipitons à la cuisine. Je sors le gratin du four. Magnifique. L'odeur achève de nous mettre à la torture. Affamés.
Nous mangeons de bon appétit. < J'ai le goût du foutre avec le gratin ! > me fait Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.
Les filles évoquent leurs études. Avec ce nouveau programme, beaucoup plus allégé, nous pourrons nous amuser en soirée.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine nous rappelle que nous sommes invités mercredi. Juliette.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine avant de retourner au salon. Je saisi Estelle par la nuque.
Je l'entraîne sur le canapé. Clémentine vient m'aider à la tenir pendant que je lui déboutonne le jean. < Non ! > s'écrie Estelle.
< T'as encore une culotte bien sale, hein, c'est ça ! > lui fait Clémentine pendant que je lui descends le pantalon. Elle se débat.
< Vous êtes deux salauds ! > nous fait Estelle en tentant de se dégager. Je lui mets la main entre les cuisses. C'est bouillant.
Estelle garde ses cuisses serrées sur ma main, son jean aux genoux. Clémentine lui tient les poignets avec force. Je la palpe.

Je tiens Estelle par la nuque de ma main gauche. Je la pelote de ma main droite. Clémentine la maintient fermement. Plaisir.
Estelle, heureuse d'être le jouet de nos ardeurs, se débat sans réelle conviction. Je renifle ma main. L'odeur forte habituelle.
< Tu n'as pas honte ? > me demande Estelle. < Et toi, tu n'as pas honte d'avoir la chatte qui pue ! > lui répond Clémentine.
Je passe ma main dans la culotte d'Estelle qui écarte enfin un peu ses cuisses. Je passe mon index le long de sa fente serrée.
Estelle a un spasme. Je me mets à genoux. Je descends son jean aux chevilles. Je mets mon visage entre ses cuisses. Odeur.

Je regarde l'état de la culotte. Pas de protège slip. Tache plus sombre à l'endroit de son sexe. Estelle me tient par les oreilles.
Clémentine se lève pour se mettre à genoux à côté de moi. A quatre pattes elle passe sa tête entre mon bassin et le canapé.
Estelle écarte l'élastique de sa culotte. Je hume longuement les odeurs de sa journée de fille. Odeurs fortes, âcres, dégueu !
Clémentine me taille une pipe. Je lèche le sexe d'Estelle qui gémit de plus en plus fort. Elle n'a pas l'expérience de Clémentine.
Il lui est impossible de réfréner l'orgasme qui pointe. Heureusement j'anticipe. Je cesse. Estelle me tient pour me maintenir.

Clémentine se redresse pour regarder les expressions d'Estelle. Elle a les yeux fermés, la tête rejetée en arrière. Concentrée.
Inondée de plaisir, Estelle tente de diriger les choses. Clémentine se redresse pour lui dire : < Petite vicelarde, jouisseuse ! >
Estelle ouvre les yeux pour nous découvrir entrain de l'observer. Cela participe encore à son excitation. Elle me tient la tête.
Bougeant son bassin en rythme, Estelle nous fait : < Vous êtes tellement salauds tous les deux ! >. Je lui broute la chatte.
Elle a un spasme. Elle pousse un cri. Se cabre. Me repousse. Son râle se prolonge dans un gémissement. Elle a son orgasme.

Clémentine se rapproche de ma bouche pour me dire : < Tu pues la chatte sale ! >. Ce qui ne l'empêche pas de m'embrasser.
Estelle reste étourdie, vautrée dans le canapé. Je me relève. Je m'assois à ses côtés. Clémentine sur mes genoux. On attend.
Estelle ouvre les yeux, nous regarde, éclate de rire et passe ses mains entre ses cuisses resserrées. Elle nous sourit. Bonheur.
Il est déjà 22 h. Il faut revenir aux choses sérieuses. Estelle se lève pour remonter son jean, l'ajuster et le reboutonner. Rires.
< C'était comment ? > lui demande Clémentine en me tenant le sexe. Je bande très mou, du liquide séminal qui en dégouline.

Je veux me garder pour Clémentine et le lit. Nous ramenons Estelle. Dans la voiture, la séparation est plutôt difficile. Bisous.
Je console Estelle en lui disant que nous sommes à nouveau ensemble dès demain soir. Nous la regardons partir dans la nuit.
Au retour Clémentine me suce. Il est 22 h45. Les toilettes et la salle de bain. Nous voilà enfin couchés. Les délices d'un "69".
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Et nous restons immobiles. Clémentine se "confesse".
Ce qui se passe avec Estelle l'amuse. Ma compagne adore me voir être vicelard avec elle. Cunnilingus. Fellation. Puis le dodo.

Bonne soirée à vous faire déguster la chatte à toutes les coquines qui aiment traîner avec un couple bien vicelard...

Julien - (Qui s'occupe de la chatte d'Estelle maintenant que cela lui est permis. Sous le regard scrutateur de Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 368 -



La Flamiche Picarde, (tarte aux poireaux), du mardi soir

Hier matin, mardi, nous sommes tirés du sommeil par la Cantate No 147 de Jean Sébastien Bach. Il est déjà 6 h. C'est dur.
< Mais tu vas la fermer Jeannot ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil pour l'éteindre. Nous en rions de bon cœur.
< Bonjour Julien ! > me fait ma compagne avant de me chevaucher en riant. Je lui dis : < Bonjour Clémentine ! >. Bisous.
Douceur, tendresse et papouilles avant de nous lever pour nous précipiter aux toilettes. Voilà notre impérieux rituel pisseux.
Morts de faim nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous y prenons notre petit déjeuner. Odeur de pain grillé.

Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Programme de cette journée.
Clémentine rentrera pour midi. Il n'y a jamais cours le mardi après-midi. Ce qui est source de réjouissances compréhensibles.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos et charges additionnelles. Intensité maximale.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est déjà 7 h45. Bise.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse. Il fait un froid vif.

Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.
Il est 8 h15. Le ciel est bleu et lumineux. Il y a un fin manteau neigeux par endroit. Me voilà enfin assis devant mon chevalet.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Je pousse les cris surréalistes les plus extraordinaires. Cris que je module longuement.
Comme toujours, lorsque je suis abstrait dans mon labeur, je ne vois pas le temps s'écouler. Un enchantement paradisiaque.
Mon horloge biologique fonctionne. Il est midi. Je me lève pour me rendre à la cuisine. Je prépare immédiatement une pâte.

Clémentine rentre pour 12 h15. Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre de bisous.
< Comme je suis contente d'être à la maison ! > me fait elle. Nous préparons notre repas de midi mais aussi celui de ce soir.
Comme tous les mardis soirs ce sera notre fameuse Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux que nous concoctons avec joie.
Pour midi, ce sera une ratatouille "maison". Tomates, aubergines, courgettes, ail, oignons, champignons, ciboulette. Le persil.
Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. < Comme c'est cool en ce moment. Sympa ! > me confie t-elle.

Avec la ratatouille je fais des coquillettes. Tout va très vite. Cette occupation culinaire est une véritable source de satisfaction.
Je mets la table. Clémentine remue la salade. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous évoquons déjà les vacances.
Les dix jours prévus en Périgord. Départ dimanche 22 avril. < Je me réjouie. De nouvelles découvertes ! > me fait Clémentine.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, ma compagne me fait part de son plaisir devant cette nouvelle échéance.
Nous traînons à table. La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous avons du temps devant nous.

Ma compagne m'entraîne au salon. Blottie contre moi, entre deux baisers, elle me murmure : < J'ai envie de faire l'amour ! >
Je déboutonne son jean. Elle m'aide en enlevant son pantalon et sa culotte. Je retire les miens. Elle se vautre dans le canapé.
A genoux sur l'épais coussin, ma tête entre ses cuisses écartées, je hume longuement les odeurs de sa matinée de fille. Délice.
Clémentine me tient par les oreilles. J'avance mon visage dans l'épaisse broussaille. Les poils me chatouillent le nez, les joues.
Du bout de la langue je fouille les plis et les replis des lèvres charnues du sexe de ma compagne qui se pâme de plaisir. Joie.

J'ai juste le temps de décalotter son clitoris géant du bout des lèvres que Clémentine m'entraîne sur elle en gémissant. Plaisir.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles comme nous aimons le faire. Joie.
Clémentine me chuchote les plus étonnants secrets. Ces communions intimes sont toujours la source d'une profonde émotion.
Elle me parle d'Estelle, de notre relation à trois, de sa découverte du plaisir éprouvé à participer à nos jeux de rôle. Maîtresse.
Clémentine a un tempérament de "soumise". Estelle a plutôt un tempérament de dominatrice. Et moi en "Maître" de pacotille.

Nous bougeons quelquefois doucement. Nous nous berçons. Nous retournons à l'immobilité. Cela nous excite considérablement.
Nous alternons ces séquences en fonctions des excitations que nous procurent les confessions de ma compagne. C'est sublime.
Nous sommes tous deux de parfaits cérébraux. Nous ressentons l'impérieux besoin d'intellectualiser notre sexualité. Merveilleux.
Avec la complicité intime d'Estelle, nous vivons une relation privilégié, intense, rare, vraie. Nous en avons pleinement conscience.
Cela n'aura évidemment qu'un temps. Le temps de leurs vingt ans. Et nous avons la ferme intention d'en profiter un maximum.

Nous restons ainsi un long moment. Je bande comme un priapique en phase terminale. Clémentine lutte contre son orgasme.
Ce dernier guette. Toutes ces confidences nous propulsent à des niveaux d'excitation délirante. Nous savons dominer tout ça.
Il est hors de question de se "gâcher" par un orgasme prématuré. Nous nous gardons pour les éventualités du soir avec Estelle.
Je me retire avec autant de précautions. Clémentine est si étroite, si fragile qu'il me faut redoubler de douceur et de tendresse.
Nous nous rinçons les sexes avec un "69" qui nous emmène à nouveau aux extrêmes limites. C'est tout simplement prodigieux.

Nous remettons nos vêtements. Il est déjà 15 h30. Nous avons baisé en oubliant l'heure, le temps et la vie. C'est si magique.
Clémentine m'entraîne à l'atelier. Nous nous mettons à nos labeurs respectifs. Je peins dans l'allégresse la plus glorieuse. Bien.
Clémentine est assise à la table, entourée de ses affaires, concentrée sur l'écran de l'ordinateur. Parfois l'un vient voir l'autre.
Ma compagne m'explique ce que je vois sur l'écran. C'est passionnant. Dehors, le ciel s'est couvert pour redevenir sinistre. Gris.
Mon téléphone m'avertit de l'arrivée d'un texto. Clémentine s'en empare. C'est Estelle. Il est déjà 17 h40. Nous nous habillons.

Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel à cent mètres de chez elle. Elle se précipite dans la voiture toute contente. Bise.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte son après-midi. Boulot au bureau de l'entreprise familiale.
Il est 18 h10. Trois petits kilomètres et nous voilà de retour. Nous passons directement dans l'atelier. Les filles y ont du travail.
Il est rapidement 19 h. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. La pâte est onctueuse. Je réchauffe la Béchamel avec le poireau.
Clémentine est la première à me rejoindre. Elle se serre contre moi en me chuchotant : < Comme c'était bon cet après-midi ! >

Estelle vient nous rejoindre. Elle étale la pâte. La Béchamel est à nouveau liquide. Clémentine prépare l'assaisonnement. Laitue.
Nous bavardons. Les filles évoquent leurs cours. Je verse la Béchamel sur la pâte, j'étale soigneusement. C'est de toute beauté.
Estelle dépose délicatement le fin couvercle de pâte sur la tarte. Elle badigeonne du mélange œuf, crème et Parmesan râpé, fin.
Je mets au four. Nous passons au salon. < Vous avez baisé, ça sent la baise ! > nous fait Estelle en reniflant le cuir du canapé.
Nous rigolons comme des bossus à la voir ainsi, à quatre pattes, entrain d'inspecter le canapé. Elle nous montre la tache. Jute.

< Mais tu ne t'emmerdes plus, toi ! > lui fait Clémentine qui prend goût à la saisir par les cheveux pour la maintenir fermement.
J'ouvre ma braguette. Je sors ma bite. Elle est encore gluante de mélange juteux. Les couilles évidemment bien pleine de foutre.
Estelle, à genoux sur l'épais coussin, maintenue fermement par ma compagne, regarde comme hallucinée ma queue juteuse.
J'agite mon sexe devant son visage. il y a du jus qui gicle. Clémentine se penche en avant pour m'embrasser. Estelle me suce.
Clémentine et moi, nos mentons trempés de salives, nous nous embrassons avec une passion folle. Je lui caresse les cheveux.

Estelle gémit de plaisir en tentant de déglutir mes abondantes montées de liquide séminal. Je suis tellement excité. Il y en a !
Nous restons ainsi, tous les trois, à nous offrir ce que nous aimons. Hors du temps. Hors de tout. La sonnerie soudaine du four.
Clémentine qui n'a pas lâché le catogan d'Estelle l'oblige à se redresser pour l'entraîner fermement jusqu'à la cuisine. Bonheur.
Estelle, de la jute gluante autour des lèvres, me fait un délicieux sourire avant de me montrer le contenu gluant de sa bouche.
Clémentine la lâche enfin pour remuer la salade. < Vous êtes tellement salauds tous les deux ! > fait Estelle ouvrant le four.

Nous mangeons de bon appétit. A nouveau la conversation s'articule autour des études des filles. J'écoute en silence. Superbe.
< Demain, je ne peux pas venir avec vous chez Juliette, ma marraine a son anniversaire. Elle mange chez nous ! > fait Estelle.
< On te racontera ! > lui fait Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux pour terminer son yaourt au miel. Nous bavardons.
Nous traînons à table. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous allons au salon. 30 minutes.
Nous décidons de nous accorder 30 minutes de stupre et de luxure avant de retourner bosser à l'atelier. Il est déjà 20 h30. Joie.

Clémentine saisit une nouvelle fois Estelle par ses cheveux pour la faire s'assoir sur la chaise, le dossier entre les cuisses. Bien.
Je découvre, admiratif, ce nouveau comportement de Clémentine. Un comportement autoritaire. Ce qui semble ravir Estelle !
Je reviens me placer debout, braguette à hauteur du visage d'Estelle. Je passe ma bite sur son visage que je macule de jute.
Des coulures visqueuses dans lesquelles collent quelques cheveux. Clémentine se penche pour bien observer mes agissements.
Ma compagne raffole me voir me comporter en vicelard avec Estelle. Elle m'avoue que cela pourrait même être avec une autre.

A nouveau, nous nous embrassons amoureusement pendant qu'Estelle me taille une pipe des familles. J'ai les couilles en feu.
Les roubignoles en ébullition sont pleine de jute. Je dois me maîtriser. Je veux garder mon sperme pour Clémentine au retour.
Je le lui chuchote à l'oreille. < Je t'aime ! > me murmure t-elle. Nous avons de la salive qui nous dégouline jusque dans le cou.
C'est la dernière limite. Je me retire de la bouche d'Estelle qui pousse un cri de dépit. < Quoi ! > s'écrie t-elle en me regardant.
Son air malheureuse de jeune fille déçue nous amuse. Nous rions tous les trois de bon cœur. Nous nous précipitons à l'atelier.

Il est rapidement 22 h15. Il faut ramener Estelle. La séparation est difficile. Assise devant avec Clémentine, je la laisse sucer.
Nous nous revoyons après-demain. Je lui promets un samedi soir hautement "croustillant". Nous la regardons partir. La nuit.
Nous voilà de retour. Toilettes. Clémentine me fait : < Merde ! Nous sommes le 20 du mois et voilà mes petits machins ! >.
Nous rions de bon cœur. Nous faisons les clowns devant le miroir de la salle de bain. < Tant pis, je te vais te pomper la bite ! >
Je lui rappelle que j'aime m'occuper de son clitoris géant. Le lit. J'offre un orgasme démentiel à Clémentine. Pipe folle. Dodo...

Bonne soirée à vous offrir des instants de stupre et de luxure à toutes les coquines gourmandes aimant la vie et le sexe...

Julien - (Qui adore sucer le clitoris géant de Clémentine. En y mettant toute la passion qui la fait délicieusement frissonner) -

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Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 369 -



Un mercredi soir chez Juliette devant un délicieux repas

Hier matin, mercredi, je sors doucement de mon sommeil le premier. Immédiatement j'éteins le cube réveil. Il est déjà 5 h55.
Clémentine, avertie par son infaillible sixième sens, s'étire longuement en gémissant. Je lui fais des bisous sur le visage. Joie.
Je lui murmure : < Bonjour Clémentine ! >. Elle me chevauche en riant et s'écriant < Bonjour Julien ! >. Douceur, papouilles.
L'irrépressible besoin de pisser nous oblige à nous précipiter aux toilettes. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'enivrante odeur de pain grillé. Délice.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme du jour. Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Froid.
Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. Gymnastique avec l'intensité maximale que nous appliquons. Superbe.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le froid est vif. Glacial.
Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Bien.
Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.

Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Dehors le ciel est bleu et lumineux. Même avec le froid glacial c'est beau.
Je peins dans un enthousiasme déluré, indécent et totalement impudique. Je me livre à ma passion jouissive corps et âme. Joie.
Cette vingtième toile destinée à ma saison d'été occupe mon esprit de façon particulière. Une scène de genre à 3 personnages.
L'un d'entre eux aura les traits d'Estelle. Avec son accord et sa plus grande joie d'être ainsi immortalisée. Un peu une première.
Il est rapidement midi. Je me lève pour me rendre à la cuisine. Le filet de lieu noir a décongelé et dans le bas du réfrigérateur.

J'émince de l'ail, de l'oignon, des champignons, de la ciboulette et du persil que je fais revenir en premier dans le wok. Odeurs.
J'y rajoute les haricots verts. J'écoute la chronique de Guy Carlier en riant. Je prépare une laitue et son assaisonnement. Bien.
Dans une assiette je casse un œuf. Une pincée de sel, de poivre de curcuma et du Parmesan finement râpé. J'y mets le poisson.
Dans une autre assiette je verse de la chapelure et de la levure diététique en paillettes. J'y mets le poisson enduit du mélange.
Je fais cuire à la poêle. Je rajoute le reste d'œuf. Je mange de bon appétit. La vaisselle. Je range la cuisine. Je retourne bosser.

Il est 13 h. Me voilà assis devant mon chevalet. Inondé d'une soif de peindre qui me dépasse totalement. Je suis "habité". Joie.
Du bruit. Il est déjà 15 h30. Clémentine entre dans l'atelier en s'écriant : < Bonjour mon amour ! >. En se précipitant vers moi.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. La petite contraction dans son ventre le premier jour de ses règles.
< J'ai toujours les seins un peu douloureux le premier jour ! > me confie t-elle et comme tous les mois depuis plus d'une année.
Nous rions de bon cœur de ces inévitables inconvénients féminins. < C'est hyper cool en cours, tranquille ! > rajoute t-elle. Joie.

Assise à la table, entourée de ses affaires, concentrée sur l'écran de l'ordinateur, ma compagne est au travail. C'est le bonheur.
Le crépitement du feu. Le craquement des bûches dans l'âtre. Parfois l'un se lève pour aller voir ce que fait l'autre. Passionnant.
< Fini pour aujourd'hui ! Oh ! On reconnaît bien Estelle, c'est génial ! > fait Clémentine qui est venue me rejoindre au chevalet.
Il est 18 h45. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Clémentine range ses affaires prêtes pour demain après-midi. C'est bien.
Nous traînons encore un peu dans l'atelier. Nous sommes attendus chez Juliette pour 20 h. Nous avons donc tout notre temps.

Assise sur le coussin, la tête posée sur ma cuisse, Clémentine me fait part de son ressenti quand à nos prochaines vacances.
Ce séjour dans le Périgord que nous attendons avec impatience. Elle ouvre ma braguette. De sa main elle en extrait mon sexe.
Je bande mou. Clémentine observe avec l'attention d'une entomologiste, scrutant la peau fripée de mon prépuce. C'est sympa.
J'aime voir ma compagne qui hume les odeurs de ma journée d'homme. Elle décalotte légèrement mon gland. Puanteur. Rires.
< J'adore quand ça sent fort ! Défense de la laver jusqu'au Week-End ! > me chuchote t-elle avant d'en récupérer le fromage.

Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me tire la langue pour me montrer la substance crémeuse et grumeleuse qui colle au bout.
Je lui caresse la tête. < Je t'aime Julien, si tu savais ! > me fait elle encore avant de prendre mon sexe en bouche pour sucer.
Je la laisse se régaler un peu en gardant un œil sur l'horloge. Je lui caresse les cheveux et les joues. Je la tiens par la nuque.
Je commence à bander. J'adore sentir mon sexe se raidir doucement dans la bouche de Clémentine. L'indicible caresse. Fou !
Une fois encore j'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. Je lui murmure des douceurs et mes impressions...

Il faut songer à monter pour nous changer. Je tire doucement Clémentine par ses cheveux pour la forcer à cesser sa fellation.
Elle me montre le contenu de sa bouche. Ma compagne adore sucer en gardant tout ce qu'elle peut avant de devoir déglutir.
Je lui dépose un bisou sur le front. Elle avale avec une moue de contentement, secoue la tête avant de s'écrier : < Miam ! >.
Nous nous précipitons à l'étage. Il est déjà 19 h30. J'ai les couilles en ébullition. J'imagine le fond de mon slip et les coulées.
Clémentine porte sa jupe kilt, collants, chemisier, pull et ses bottes noires à talons hauts. Hyper sexy, attractive et désirable.

Sur sa demande je porte mon costume de velours noir, chemise et cravate. Nous sommes tous deux d'une élégance discrète.
< Regarde un peu comme on est beaux ! > me fait Clémentine tout en m'entraînant devant le miroir. Nous faisons les clowns.
Il y a trois petits kilomètres jusqu'au haras. Nous voilà dans la voiture. Je roule doucement. Clémentine s'est remise à sucer.
Nous arrivons pour 19 h55. Je gare l'auto dans la cour déserte. Il fait un froid glacial. Nous avons nos manteaux, nos écharpes.
Juliette qui devait guetter notre arrivée descend pour venir nous ouvrir. Nous nous serrons la main. Juliette semble heureuse.

Nous montons l'escalier jusqu'aux appartements. Juliette est vêtue de la jupe kilt que nous lui avons ramené d'Ecosse. Belle.
J'admire ses jambes nues, sans collants. Comme pour Clémentine, sa peau mate donne l'impression d'un perpétuel bronzage.
Juliette nous débarrasse de nos manteaux. L'odeur des tartes achève de nous faire mourir de faim. Tartes aux fruits de mers.
Nous sommes assis tous les trois sur le canapé à siroter un jus de mangue. Apéritif. Juliette nous raconte les derniers potins.
Madame Walter, Solène la nouvelle employée de bureau et monsieur Gérard le palefrenier. Ce sont d'amusantes anecdotes...

Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant avec animation. Ce sont de délicieuses tartelettes.
La conversation dévie rapidement sur quelques évènements récents, plutôt "croustillants", concernant Solène et Mr Gérard.
< Je pense qu'il se passe quelque chose qui m'échappe encore ! C'est une jeune fille de 24 ans ! > nous confie Juliette. Rire.
< Et avec ce vieux vicelard de palefrenier, il y a de quoi s'y intéresser de plus près ! Et en soirée ! > rajoute encore Juliette.
C'est la première fois que la jeune femme aborde ces sujets de manière aussi directe. Aussi rapidement en début de repas.

Je tente une expérience. De la main gauche je mime un geste masturbatoire tout en demandant : < Il lui fait son numéro ? >
Juliette, avec un sourire entendu, me regardant par en dessous, me répond : < Je crois bien qu'il en est déjà là le salaud ! >
Quelle n'est pas ma surprise de voir Juliette faire le même geste. Nous éclatons tous les trois de rire en faisant pareil. Sympa.
Nous nous observons à mimer une masturbation tout en faisant durer. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Super.
Le repas se déroule dans cette ambiance particulière. Juliette nous révèle quelques anecdotes "croustillantes". Sans réserve.

Depuis presqu'une année, avec Juliette, s'est établie une vraie complicité qui nous permet d'aborder ces choses sans complexe.
Aussi, pour la toute première fois, la jeune femme nous révèle des histoires amusantes. Il y est question d'exhibes et de mâter.
Nous écoutons, plutôt étonnés. Clémentine, adroite et rusée, entraîne Juliette sur le terrain des confidences. C'est magnifique.
Juliette, jeune femme de 42 ans, n'est évidemment pas dupe et entre dans le jeu sans même chercher à dissimuler son plaisir.
J'écoute Clémentine et Juliette évoquer leurs petites histoires d'exhibition et de voyeurisme. Juliette nous avoue être voyeuse.

Après le dessert, désireux de faire durer cette soirée exceptionnelle, nous proposons à Juliette de faire la vaisselle tous les trois.
C'est une opportunité supplémentaire pour continuer dans ce registre qui semble passionner Juliette autant que nous ! Génial !
Nous sommes invités à l'animation de dimanche, au haras. Nous promettons de venir. Il est déjà 22 h30. Nous allons repartir.
Clémentine, soudain, sans que je m'y attende, pose sa main sur ma braguette devant Juliette qui nous a raccompagné en bas.
Juliette me fixe d'un regard étrange. Son regard se porte sur la main de Clémentine qui me palpe le plus vulgairement possible.

< Vous en avez de la chance tous les deux ! Profitez en bien ! > nous fait Juliette. < Profitez en avec nous ! > fait Clémentine.
Cette réponse surprend Juliette qui a un sursaut amusé. < C'est une invitation ? > demande t-elle. < Oui ! > dit ma compagne.
Nullement déstabilisée par tant d'aplomb et sans doute désireuse de donner dans une surenchère ludique, Juliette nous sourit.
Je mime une masturbation masculine en lui faisant un clin d'œil. Nous échangeons un curieux sourire. Je bande comme un fou.
Nous nous serrons la main. Juliette nous regarde partir. Un dernier signe de la main. Clémentine me suce. Je roule doucement.

Nous voilà de retour. Nous nous précipitons à l'étage. Les toilettes. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Je bande.
La salle de bain. Nous voilà couchés. Les règles de Clémentine ne m'empêche pas de m'occuper de son clitoris géant. Délicieux.
Clémentine me confie ses ressentis. < On va l'entraîner dans notre toile d'araignée ! > me fait elle en luttant contre l'orgasme.
Elle continue : < Elle te suce avant le printemps ! >. Je dis : < A moins que ce ne soit elle qui nous ait attiré dans sa toile ! >.
Clémentine ne peut refréner l'orgasme qui la submerge. Elle me taille une pipe. Parfois elle me donne ses impressions. Dodo...

Bonne soirée de conversations vicelardes avec la patronne de votre haras préféré à toutes les coquines bien vicieuses...

Julien - (Qui s'apprête à entrer dans une nouvelle phase de nos relations avec Juliette. < Il serait temps ! > Fait Clémentine) -

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Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 370 -



Les pizzas du jeudi soir avec la présence d'Estelle

Hier matin, jeudi, nous nous étirons tous deux en même temps dans un long gémissement que nous ponctuons d'un même cri.
< Bonjour ! > faisons nous en nous serrant l'un contre l'autre pour nous offrir de la douceur, de la tendresse et des papouilles.
Hélas, l'impérieux besoin de pisser nous impose son prosaïsme. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Pissous.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il est 5 h55. Je presse les oranges. Clémentine fait le café.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Bon.

Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Intensité maximale.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il règne un froid glacial.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Il est 7 h45. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre au chaud.
Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est déjà 8 h15.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Mon exultation est rapidement à son comble. Je peins dans un enthousiasme sublime.

Un des trois personnages de ma scène de genre a les traits d'Estelle que j'ai réalisé d'après une photo récente. Une réussite.
J'y ai mis toute ma virtuosité et toute ma technique. Une réalisation faite avec son accord et qu'elle va découvrir à sa venue.
Pour récompenser mes coups de pinceaux plus sublimes les uns que les autres, j'entame une danse autour de mon chevalet.
Je pousse les cris les plus surréalistes, longuement modulés, comme le ferait un guerrier Sioux revenant d'une victoire. Joie.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte à pain pour les pizzas de ce soir. Pendant ce temps l'eau bout.

Je fais la garniture en écoutant la chronique de Guy Carlier qui me fait encore beaucoup rire. J'émince l'ail, l'oignon, tomates.
Je mets le millet doré à gonfler dans l'eau bouillante sous laquelle je coupe le feu. Je fais cuire la garniture dans le wok. Bien.
Je râpe du gruyère. Je prépare une grosse laitue dont je lave chaque feuille. Il y en aura également pour le repas de ce soir.
Je fais la pâte à pain avec de la farine complète et "Bio" dans laquelle j'introduis du Parmesan, de l'ail pressé et du curcuma.
Je vais la laisser gonfler jusqu'au soir dans un saladier recouvert d'un linge, placée dans l'endroit le plus chaud de la cuisine.

Je remue la garniture dans le wok à l'aide d'une spatule en bois. J'y rajoute des champignons noirs et des tranches d'avocat.
J'éteins. Je récupère un peu de cette garniture pour les pizzas en accompagnement de mon millet doré. Voilà. Tous est prêt.
Je mange de bon appétit. La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h. Je suis à nouveau assis devant mon chevalet. Superbe.
Cette vingtième toile, destinée à ma saison d'été, sera terminée pour demain matin. Façon "Ecole Hollandaise" du XVIIème.
Les amateurs de cette peinture, ne pouvant s'offrir des toiles du XVIIème, se rabattent sur des productions contemporaines.

Du bruit. Des voix. Il est 15 h30. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi en s'écriant < Bonjour Julien ! >
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa matinée. Estelle revient des toilettes et entre dans l'atelier à son tour. Des bises.
J'écoute les amusantes anecdotes étudiantes que me racontent les filles. L'insistance de Gauvin qui drague Estelle. Rigolade.
Assise à la table, entourées de leurs affaires, concentrées devant l'écran de l'ordinateur, les voilà plongées dans leur travail.
Parfois, l'un vient voir ce que fait l'autre. Estelle se découvre représentée sur le tableau, vêtue à la façon XVIIème hollandais.

Assise sur mes genoux elle contemple l'image. < C'est génial ! > fait Estelle en se voyant en robe assise devant un clavecin.
C'est une robe longue, bleue, moirée. On peut deviner la tessiture de la soie. < Si j'avais les sous, je l'achèterais ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur lorsque je lui dis : < Quand tu seras riche, je ferais ton portrait en habits du XVIIème. Et seule ! >.
L'après-midi se termine dans une ambiance de travail. Les filles ont déjà terminé les deux pages définitives du mémoire exigé.
Nul doute, pour le 16 avril, elles remettrons les dix pages demandées. Je les laisse pour aller à la cuisine. Il est déjà 18 h45...

Estelle est la première à me rejoindre. < Terminé pour aujourd'hui ! > me fait elle en me palpant la braguette. Coquine. Rires.
Estelle étale la pâte en trois larges plateaux. Je réchauffe la garniture. Clémentine vient nous rejoindre. Elle se serre contre moi.
La salade étant déjà lavée, elle n'a plus qu'à faire l'assaisonnement. Je verse la garniture chaude sur la pâte onctueuse. Super.
Estelle y dépose le contenu d'une boîte de crevettes. J'y rajoute du Parmesan grossièrement râpé. Des grains de sésame grillé.
Nous mettons au four. Clémentine a mis la table. Nous allons au salon. Estelle, très entreprenante, n'arrête pas de me tripoter.

Clémentine s'interpose à plusieurs reprises pour empêcher Estelle de se frotter contre moi. Elle la saisit par ses cheveux noués.
Tenant fermement Estelle par sa tignasse, Clémentine l'entraîne sur le canapé pour l'y faire tomber sans ménagement. Ferme.
Estelle, d'une nature plutôt autoritaire apprécie ce renversement des rôles, découvrant avec moi, les initiatives de Clémentine.
Maintenue fermement par les cheveux, le cou, Estelle me fixe de son air de défi habituel. J'approche en ouvrant ma braguette.
Je sors mon sexe que j'agite devant le visage d'Estelle toujours fermement maintenue par la poigne puissante de Clémentine...

Sur la demande de ma compagne, je ne décalotte pas mon gland pour le laver sous la douche. Je le décalotte là devant Estelle.
L'odeur forte, pestilentielle, nous monte aux narines à tous les trois. C'est immonde. Estelle fait une grimace en se détournant.
J'avance pour lui mettre l'objet du délire bien sous le nez. < C'est ignoble ! > s'écrie t-elle alors que Clémentine bloque sa tête.
< Tu me fous pas ça dans la bouche, hein, salaud va ! > rajoute Estelle en regardant l'abjecte fromage collé à la base du gland.
Clémentine se penche. De l'ongle de son index, elle racle un peu de substance gluante pour le faire renifler à Estelle. Grimace.

La sonnerie du four. Clémentine suce son doigt. Je remballe. Nous nous précipitons à la cuisine. Estelle sort les pizzas du four.
Elles sont magnifiques. Nous les faisons dorer. En fait, ce sont plutôt des tartes à la tomate, aux champignons, aux crevettes.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle me fait des clins d'œil mimant souvent une pipe avec sa main gauche devant la bouche.
Nous bavardons. Clémentine évoque notre soirée de hier, chez Juliette. La nature de nos préoccupations durant le repas. Soir.
< Génial ! Je pense que c'est Juliette qui mène le jeu, plutôt que vous ! > nous confie Estelle. Clémentine dit : < Pas dupe ! >.

< Vous en savez plus quand à ce qui se passe dans le box, le trou dans le mur ? Qui suce qui ? > nous demande encore Estelle.
< Non ! Juliette esquive avec habileté. Sans dire quoi que ce soit. Par contre elle donne des indications ! > précise Clémentine.
Nous rions de bon cœur de toutes les hypothèses que nous proposons. Estelle rajoute : < Je suis certaine que c'est Juliette ! >
< Moi aussi ! Et nous sommes certainement loin de nous douter de la réalité ! > fait encore Clémentine. < Génial ! > dit Estelle.
Nous traînons à table. La conversation est passionnante et nous excite tous les trois considérablement. Spéculations vicieuses.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Clémentine saisit Estelle par ses cheveux. Fermement.
Elle l'entraîne au salon. Ma compagne force Estelle à se mettre à genoux sur le coussin posé au sol devant le bureau. Silence.
Estelle, bien droite, les mains croisées sur la tête, m'observe avec son air de défi habituel. Clémentine la tient par les oreilles.
Je m'approche. J'ai la braguette ouverte. Je sors mon sexe. Je me décalotte une nouvelle fois. C'est immonde. Gluant. Puant.
Clémentine, debout, tout en maintenant la tête d'Estelle me tend sa bouche. Nous nous embrassons. Tendre complicité à trois.

Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle que je macule . Même Clémentine qui aime les trucs bien dégueulasse fait la grimace.
Je dis : < S l'occasion se présente, c'est le sort que je réserve à Juliette ! >. < T'es tellement vicelard, salaud ! > fait Estelle.
< Quelques chose me dit qu'elle risque fort d'apprécier ! Surtout si elle suce du palefrenier vicieux et sale ! > fait Clémentine.
Je bande mou. J'ai une méchante envie de pisser. Sans prévenir, je lâche un petit jet. Estelle n'a pas le temps de l'éviter. Cri.
< On a des fringues de rechanges ! > lui fait Clémentine qui est obligé de la maintenir avec une incroyable fermeté. Superbe.

< Je peux faire une photo ? > nous demande Estelle en sortant son téléphone de la poche de sa chemise. Le visage trempé.
Estelle se fait quelques selfies. Souriant à l'objectif avec le visage trempé de pisse et maculé de fromage de bite. Je bande !
Je lâche un second jet. Je dois maintenir ma queue vers le bas. Lorsque je bande, le jet est plus fin, et bien moins puissant.
Estelle, prise au jeu, bien évidemment excitée par la situation, se met à me sucer en gloussant de plaisir. Une avidité folle.
Je me décalotte dans sa bouche. Elle en pousse un râle de dégout se doutant bien de ce que je suis entrain de faire. Vice.

Je me fais encore tailler une pipe des familles. Clémentine m'embrasse de sa bouche avide. De la salive nous dégouline partout.
Je me concentre. J'ai le privilège de pouvoir pisser en bandant. Ce n'est pourtant pas simple et me demande beaucoup d'effort.
L'idéal étant de me retirer quelques instants pour réunir la concentration nécessaire. J'y parviens à trois reprises. C'est pisseux.
Estelle, tout en poussant de petits cris de dégout, de surprise et de ravissement, déglutit sans en perdre une goutte. Coquine.
La position verticale, cambré sur mes jambes, inconfortable, provoque quelques douleurs aux lombaires. Clémentine me masse.

La soirée se déroule ainsi. Il est rapidement 22 h. Il faut cesser. Nous montons afin qu'Estelle puisse changer de chemise. Joie.
En passant le sèche cheveux sur la tête, Estelle nous fait des grimaces. Nous faisons les clowns devant le miroir. Il est 22 h15.
Nous ramenons Estelle. La séparation est difficile. Je lui promet de belles saloperies samedi soir. Nous la regardons partir. Nuit.
Au retour nous montons à toute vitesse. Toilettes. Clémentine me suce. Je l'entraîne au lit. Je m'occupe de son clitoris géant.
Lorsqu'elle a ses règles, je trouve son clitoris encore plus grand et dur. Orgasme. Pipe juteuse. Nous tombons dans le sommeil.

Bonne soirée avec votre complice suceuse à toutes les coquines qui aiment voir leur mec se comporter en vicelard...

Julien - (Maître Queue, Cordon Bleu, vicelard, pisseur, juteur, avec du fromage autour du gland, vous souhaite bonne baise) -

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Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 371 -



Un début de Week-End des plus sympathiques

Hier matin, vendredi, nous sommes tirés de notre sommeil par la symphonie No 3 pour orgue de Camille Saint Saëns. Superbe.
< Mais ta gueule Camille ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus. Bon début de jour.
< Bonjour mon amour ! > fait Clémentine avant de me chevaucher en riant. Je réponds : < Bonjour mon amour ! >. Des bises.
Il est 5 h55. Nous nous précipitons rapidement aux toilettes puis nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Ambiance.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans une délicieuse odeur de pain grillé. Bien.

Le thermomètre extérieur indique 2°. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous faisons le programme du Week-End.
Clémentine me fait remarquer que l'an dernier, aux mêmes dates, nous partions déjà à bicyclette sur la piste cyclable. Sympa.
Nous montons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Clémentine me confie à quel point elle aura besoin de tendresse.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Elle se serre fort. Bise.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Il fait très froid.

Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je termine ce matin la vingtième toile destinée à la saison d'été. Super.
Je peins dans un enthousiasme démentiel. Je pousse les cris les plus surréalistes en les modulant longuement. Il y a du soleil.
Il est presque onze heures lorsque je mets le dernier coup de mon plus fin pinceau. Le trait sublime qui achève cette aventure.
Chaque nouvelle toile est une véritable histoire. Il me suffit de la contempler pour que me reviennent quantité d'images. Joie.

Je dépose cette nouvelle œuvre sur le petit chevalet. Ainsi Estelle pourra s'admirer vêtue façon XVIIème et jouant du clavecin.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je dépose une toile vierge sur le grand chevalet. Il y a soudain trois coups de sonnette.
Je retire ma blouse pour aller voir. Quelle surprise. Devant la porte il y a Juliette. Son cheval attaché au réverbère du jardin.
< Bonjour ! Je passais tout près. Je vous fais un coucou rapide ! > me fait la jeune femme que j'invite à entrer. Boire un café.
Juliette décline mon offre. Elle doit retourner au haras pour midi. Nous nous serrons la main. Elle semble vraiment contente...

Je suis debout en haut des escaliers, sous le porche. Je regarde Juliette monter sur son cheval. Un dernier coucou de la main.
Soudain, d'un geste rapide, ambigu, juste avant de donner l'impulsion de départ à sa monture, elle a un geste masturbatoire.
Je n'ai pas le temps de réagir, Juliette est déjà entrain de descendre vers la rivière en quittant le sentier dallé de la roseraie.
Je reste un instant à regarder la jeune femme descendre le chemin. Là-bas, avant de disparaître, elle se retourne. Un coucou.
Je rentre. Je me rends compte que j'ai une grosse bosse dans mon slip. Il est onze heures quarante cinq. Je vais à la cuisine.

Je lave les feuilles d'une belle scarole pendant que les haricots verts cuisent avec de l'ail et de l'oignon dans le wok. Ciboulette.
Je casse un œuf dans une assiette. Une pincée de sel, de poivre et de curcuma. Dans l'autre assiette je verse de la chapelure.
Je mets les deux filets de lieu noir à peine décongelés à la poêle dans l'œuf battu. Clémentine arrive. < Bonjour mon amour ! >
Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. < Week-End ! > dit elle.
Je lui raconte la visite surprise de Juliette et son attitude. Le geste surprenant avant son départ. Nous rions de bon cœur. Joie.

Pendant que je passe les filets de lieu noir dans la chapelure, Clémentine me palpe la braguette. < Tu as bandé ? > fait elle.
Je lui dis : < Et j'en bande encore ! >. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade.
Nous bavardons. Ma compagne développe son ressenti censé quand à cette rapide visite de Juliette. J'écoute avec attention.
< Je crois bien que nos conversations de jeudi soir ne l'ont pas laissé indifférente ! D'où son geste ! > me confie Clémentine.
Je fais revenir les filets de lieux noir dans la poêle en les retournant sans arrêt. La panure prend une apparence dorée. Bien.

Je mets la table. Notre repas est délicieux. Nous mangeons de très bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Faculté.
Le déroulement des cours se situe dans un timing parfait. Tout cela rassure ma compagne qui me confie toutes ses certitudes.
< Mes petits machins, c'est fini ! > me fait elle, assise sur mes genoux tout en terminant son yaourt au miel. Bonne nouvelle.
< Tu t'occupes de moi un peu après ? > me chuchote ma compagne avant de me faire plein de bisous dans le cou. Papouilles.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Impatiente, Clémentine m'entraîne au salon. Elle retire son jean et sa culotte très vite.

Cette précipitation m'amuse. Je retire mon jean et mon slip. Nous sommes tous les deux en chaussettes et en chemises. Rires.
J'entraîne Clémentine dans une ronde autour des meubles de la grande pièce. Nous sommes fous l'un de l'autre. C'est délirant.
Clémentine s'assoit sur le bureau. En appui sur ses coudes, elle relève son bassin en écartant largement ses cuisses. Superbe.
Sa touffe merveilleuse, en plein jour, est étonnante de densité. Des poils qui poussent à l'intérieur de ses cuisses. Au nombril.
Je reste un petit moment à observer cette superbe jeune fille de 20 ans. Il me faut prendre conscience qu'elle partage ma vie.

Elle me fait signe de l'index. Je me masturbe doucement. Je bande comme un véritable salaud. Je reste encore un peu à voir.
Clémentine se masturbe doucement. Nous nous observons. C'est passionnant. Je m'approche. Je veux m'accroupir pour gouter.
Clémentine m'en empêche en me présentant son sexe. Je m'y introduis avec d'infinies précautions. Nous restons sans bouger.
Nous apprécions tant de rester immobiles l'un dans l'autre. Clémentine se masturbe doucement. Nous nous fixons avec sérieux.
Ce sont toujours d'intenses moment de plaisir. Nous nous scrutons en contractant nos muscles fessiers. Cela bouge nos sexes.

Clémentine me confie ses étonnants secrets. < Tu ne baises pas avec Juliette, hein, même si elle t'en supplie ! > me fait elle.
Je la rassure. Et c'est devenu un jeu. Ma compagne sait bien que je ne la trahirais jamais. Il faudrait être le dernier des cons.
Je n'ai pas une bite à la place du cerveau et ce n'est jamais mon sexe qui décide. Clémentine le sait très bien. Nous en jouons.
Nous sommes tous les deux des cérébraux. Toutes ces choses que nous vivons, tous les deux, sont bien largement suffisantes.
Pourquoi prendrions nous le moindre risque de briser cette merveilleuse et passionnante existence avec des attitudes de con ?

Bien évidemment, je reviens avec mon vieux fantasme. Clémentine m'écoute avec compassion évoquer la pipe au palefrenier.
Avec un profond soupir, elle me répond : < Je te promets d'y réfléchir. Je vais te le sucer un de ces jours ton vieux salaud ! >.
Nous en rions de bon cœur. Je sais bien que cela est devenu une plaisanterie entre nous. Pour Clémentine c'est insurmontable.
Parfois, nous nous mettons à nous bercer doucement. Nous cessons. Nous recommençons. C'est délicieusement excitant. Bon.
Mon téléphone sonne. Musique ridicule. Il est posé là sur le bureau. Clémentine cesse de se masturber pour s'en saisir. Silence.

C'est la jeune serveuse du restaurant. J'écoute la conversation tout en bougeant doucement. Clémentine m'interroge du regard.
< On fait quoi ? > me demande t-elle. Je réponds : < On réserve la table habituelle ! >. J'écoute le bavardage. C'est amusant.
Les filles discutent un peu de leurs études. < Je suis entrain de me faire baiser et c'est génial ! > fait Clémentine au téléphone.
Elle me tend le téléphone en me disant : < Donne lui tes impressions ! >. J'écoute la jeune fille rire en confirmant la réservation.
Je lui dis : < Ce soir, aux chiottes, je te montre ma bite ! Si tu veux y goûter, ne te prive pas ! Plein de jus ! >. Je l'entends rire.

Je repasse le téléphone à Clémentine qui continue la conversation. < Je vous verrais bien sucer mon mec ! > lui fait elle encore.
Je dis < Salut ! > avant que Clémentine ne raccroche. Nous nous remettons à notre baise passionnée, en bougeant doucement.
Bien évidemment tout cela sublime encore notre excitation. Tout en décuplant ce plaisir intellectuel qui a toutes nos préférences.
Clémentine commence à jouer avec ses dernières limites. Je suis vigilant. Mes couilles sont en ébullition. Nous avons très chaud.
Je me retire avec beaucoup de précautions. Nos sexes dégoulinent. Clémentine me fait doucement tomber sur l'épais tapis. Sol.

Nous nous régalons de nos jus avec un "69" absolument goûteux. Nous voulons éviter l'orgasme et nous garder pour la soirée.
C'est de justesse car Clémentine évite le spasme fatal. Je l'entraîne par ses cheveux jusqu'au canapé pour nous rhabiller. Rire.
Je la tiens fermement par ses cheveux pour l'entraîner à l'atelier. Gloussant de plaisir, marchant penchée en avant, elle me suit.
Assise à la table, entourée de ses affaires, il lui faut reprendre ses esprits. Je reste au près d'elle pour tenter de faire de même.
Nous avons l'habitude de refréner ainsi nos désirs. C'est la plus sublime façon de les faire monter encore. Il est 16 h15. Boulot.

Il est rapidement 19 h. J'ai presque terminé le dessin préparatoire de ma vingt et unième toile. Clémentine a terminé ses notes.
Nous montons nous mettre en tenues. Clémentine porte un de ses pantalons à pinces terriblement moulant à la taille. Superbe.
Un chemisier sous un pull moulant. Des souliers à légers talons. Ma compagne est magnifique. Je porte un costume de velours.
Sous nos manteaux, nous gardons nos braguettes ouvertes. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Des bisous...
Nous arrivons au restaurant de l'étang pour 19 h45. La jeune serveuse vient nous accueillir avec une joie sincère. Si heureuse.

Il y a très peu de monde dans la salle. Nous faisons nos commandes. La serveuse nous raconte quelques anecdotes de fac.
Les filles évoquent leurs cours, les professeurs et l'ambiance de la faculté. La jeune serveuse est étudiante en lettres. Sympa.
Discrètement, je mime une branlette de la main droite en laissant tomber ma serviette de la main gauche. Bite sous la table.
La jeune fille s'accroupit pour me la ramasser. Elle découvre mon stratagème et me fait un délicieux sourire. J'ai la bite à l'air.
Elle se redresse. Je lui fais un clin d'œil. Elle nous laisse. Clémentine me tient les mains. Nous évoquons notre baise. Superbe.

Nous mangeons de bon appétit. C'est notre énorme plateau de fruits de mer habituel. Accompagné de crudités. C'est un régal.
Clémentine coince le coin de la nappe sous la corbeille à pain. Ainsi, depuis son comptoir, la serveuse peut voir ma queue dure.
Je contracte mes muscles fessiers pour agiter ma bite qui bouge doucement de façon régulière. Je raconte à Clémentine. Rires.
Ma surprise est totale. La jeune fille, derrière son comptoir, me fait un clin d'œil en me montrant l'escalier qui descend au WC.
Je me lève. Je relève discrètement mon pull pour montrer mon érection à la jeune fille qui me fait un délicieux sourire. Super.

Tout cela n'est évidemment possible qu'en étant en couple. Un homme seul serait inquiété depuis longtemps. Pas de complicité.
Nous en avons tous les trois bien conscience même si nous n'avons évoquer tout cela que très superficiellement. Sympathique.
Je suis debout devant la porte entrebâillée. Je reconnais le bruit de pas rapide de la fille qui descend à son tour aux toilettes.
Elle me découvre, pantalon et slip aux genoux. Elle reste debout dans l'encadrement de la porte. Silencieuse et souriante. Joie.
J'agite mon sexe gluant et dégoulinant de foutre dans sa direction. < C'est génial ! > fait la jeune fille. Je lâche un jet de pisse.

Je lui dis : < Tu vas te décider quand à venir manger à la maison ? >. Elle me regarde gênée et me répond : < Compliqué ! >
Elle m'explique qu'il est difficile d'aménager une soirée. Ses études et son ex petit copain qui joue les prolongations. Chiant.
Elle doit remonter. Je me réajuste pour rejoindre Clémentine à qui je raconte ce qui s'est passé et dit. Elle me prend les mains.
La note. Il est 22 h30. Nous sommes les avant derniers à quitter le restaurant. La serveuse nous raccompagne sur l'escalier.
Clémentine saisit ma bite qu'elle agite devant la jeune fille en disant : < Vous devriez prendre le temps de goûter ! >. Rires.

Au retour, Clémentine me suce. Je roule doucement. Nous passons devant le haras. Aucune lumière allumée. Il est déjà 23 h.
Les toilettes. La salle de bain. Nous faisons les clowns devant le miroir. Clémentine me fait sentir sa bouche, le dentifrice. Rire.
< Tu sens, malgré le dentifrice, l'odeur de ton foutre ? > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus en nous précipitant. Lit.
Nous nous offrons un rapide "69". Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Immobiles, ce sont les confidences.
Le cunnilingus achève littéralement Clémentine d'un orgasme délirant. La fellation qu'elle me prodigue me rend dingue. Dodo.

Bon après-midi de baise et bonne soirée au restaurant à toutes les coquines que ces aventures excitent prodigieusement...

Julien - (Qui va finir par s'enrhumer, prendre froid, avec la bite à l'air, dans le froid de la nuit, sur le perron du restaurant) -

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Le changement d'heure n'est pas le changement de nos habitudes...

Hier matin, samedi, nous nous étirons longuement en même temps tout en poussant des gémissements longuement modulés.
Dans le cri final qui ponctue ce qui devient un mugissement, nous nous serrons très fort en faisant : < Bonjour mon amour ! >.
Il est 7 h45 et nous voilà déjà à rigoler comme des bossus. Clémentine me chevauche en riant. Douceur, tendresse, papouilles.
Poussés par l'impérieux besoin de pisser nous nous précipitons aux toilettes. Puis nous dévalons l'escalier jusqu'à à la cuisine.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Il est 8 h.

Le thermomètre extérieur indique 3°. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors le ciel est bleu. Il y a du soleil.
Ce froid certainement vif nous invite tout de même à nous offrir ce jogging que nous remplaçons tous les matins par de la gym.
Nous remontons pour nous mettre en tenues. Leggings, sweats, K-ways, bonnets, gants et écharpes. Il fait effectivement froid.
Nous courons d'une foulée rapide afin de nous réchauffer le plus vite possible. Le plaisir est rapidement compagnon de route.
Nous courons le long de notre circuit habituel pour revenir vers 9 h45 après un running des plus agréables. Temps sec. Sol sec.

La douche. Nous nous habillons. Clémentine tente la bravoure en portant une jupe kilt, un chemisier sous son pull. Des collants.
Ses bottes noires à talons hauts. Sur sa demande, je porte un de mes costumes en velours. Cette fois, c'est le marron. Cravate.
< Regarde comme on est beau tous les deux ! > me fait Clémentine tout en m'attirant devant le miroir. Nous faisons les clowns.
Sous nos manteaux, le climat est tout à fait supportable. Nous voilà en route pour le bourg voisin. Je roule doucement. Sympa.
Clémentine joue avec mon sexe. Nous arrivons sur le parking. Il y a du monde. Je prends les sacs. Nous faisons notre marché.

Nous faisons provision de nos légumes et de nos fruits chez nos artisans agriculteurs habituels. De petits échanges avec chacun.
Nous faisons provision de fromages, d'œufs, de beurre, de crème et de yaourts chez notre artisan fromager habituel. Si sympa.
J'insiste toujours pour porter les sacs. Ainsi Clémentine peut se promener librement près de moi. Pour me toucher discrètement.
Ce qu'elle ne se prive pas de faire en glissant sa main sous les pans de mon manteau. A la voiture nous mettons le tout au frais.
La glacière, branchée sur l'allume cigare, nous permet toute latitude dans n'importe quelle situation. En route pour la ville. Joie.

Nous arrivons dans la zone commerciale. Je gare la voiture sur le parking du supermarché. Je pousse le caddie. Il y a du monde.
Nous voilà bien au chaud à déambuler entre les allées pour y faire provision de nos produits d'entretien. Conserves, pâtes, etc...
Nous faisons la queue devant la poissonnerie. C'est notre tour. Des moules pour ce soir. Filets de lieu noir et pavés de saumon.
Clémentine m'entraîne au rayon des bouquins. < Regarde là-bas ! C'est pour moi ! Tout spécialement ! > me fait ma compagne.
Je reste au rayon des bandes dessinées pour la regarder s'approcher des livres de poche devant lesquels se trouve un solitaire.

C'est un homme élégant, de taille moyenne, vêtu d'un manteau. Il feuillette un bouquin. Clémentine s'est approchée à son tour.
Accroupie à environ deux mètres de l'inconnu, protégée des regards derrière elle par une palette, Clémentine regarde les livres.
Faisant mine de chercher un titre particulier, elle sort plusieurs ouvrages. Je regarde avec attention. Son "show" me fait bander.
L'inconnu vient de remarquer la belle, élégante et grande jeune fille dont il peut apercevoir la culotte entre les cuisses écartées.
Clémentine, les cheveux masquant son visage, feuillette à présent un livre avec cette attention feinte qui me procure des émois.

Tournée de trois quart vers le type, Clémentine exagère à peine la position. Les pans écartés du manteau permettent une vue.
Depuis l'endroit où je me trouve, je peux découvrir cette situation avec l'envie folle de me masturber. Cela faisait si longtemps.
Clémentine semble beaucoup apprécier l'instant. Enfin une petite exhibe d'assez bonne qualité. Surtout que le type joue le jeu.
Il s'accroupit à son tour en faisant semblant de chercher un titre précis alors qu'il louche à s'en déboîter les globes oculaires.
Clémentine en rajoute bien évidemment une touche. Elle écarte un peu plus avec le mouvement de ranger un livre. Un autre.

L'homme est très certainement un gentleman. Il ne tente rien. Par contre il se redresse, fouille dans la poche de son manteau.
Il en sort une carte de visite en se mettant à converser. Clémentine reste ostensiblement dans sa position. C'est bien bandant.
Je la vois sourire à plusieurs reprises, répondre, se tenir les cheveux de la main droite. Cela dure un petit moment. Superbe !
Ma compagne se redresse. Elle prend la carte de visite que lui tend l'homme. Quelques derniers mots. Puis elle quitte le rayon.
Nous nous rejoignons un peu plus loin. < C'est un photographe amateur qui me propose un "shooting" ! > me fait Clémentine.

Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Décidément, ils sont tous photographes amateurs ! Encore une carte de plus ! >
A la maison, dans un des tiroirs du bureau, il y a une petite boîte pleine de toutes les cartes de visite offertes ainsi. C'est drôle.
Nous passons en caisse. Je propose à Clémentine d'aller mettre les produits à risque dans la glacière de manger à la Cafétéria.
Le plat du jour est plutôt alléchant pour nous. "Coquilles Saint Jacques avec légumes du jardin". Pourquoi ne pas nous amuser.
Nous voilà installés à une table derrière un énorme ficus. Pas d'opportunité d'exhibe pour Clémentine qui s'en trouve frustrée...

Il est 14 h30 lorsque nous récupérons Estelle dans l'arrêt de bus habituel à quelques cent mètres de chez elle. Toute contente.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa matinée. Nous sommes de retour pour 14 h45. Super.
Estelle nous aide à ranger nos courses. Je suis à la cave, dans la buanderie entrain de mettre du linge dans la machine. Bien.
Estelle sur la pointe des pieds, silencieuse, passe derrière moi pour me palper la braguette. < Je t'aime Julien ! > me fait elle.
Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, cette attitude me gêne toujours beaucoup. Elle le sait et s'en amuse. Elle en profite.

< Moi, mes petits machins de fille, c'est toujours le 25 de chaque mois et ça me met dans tous mes états ! > me confie t-elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute < Tu veux voir ? >. Je lui réponds : < Non non merci, ça ira comme ça ! >
Je la saisi par ses cheveux noués en queue pour l'entraîner dans l'escalier. Clémentine soudain amusée nous voit monter ainsi.
Je lâche Estelle en la poussant dans le canapé. Nous ne restons pas au salon très longtemps car les filles ont du travail. Cours.
Clémentine m'informe que nous avons deux courriels. Un de madame Leroy de Périgueux et un autre de Juliette. Je viens voir.

Madame Leroy, la propriétaire du petit appartement que j'ai réservé à Périgueux nous envoie quelques photographies du lieu.
< C'est superbe ! Regarde, ils ont déjà des fleurs qui poussent dans les jardins, là-bas ! > s'écrie Clémentine. C'est très beau.
< Et moi, vous allez encore m'abandonner ici, toute seule ! > nous fait Estelle en venant nous rejoindre pour me palper le Zob.
J'ouvre ma braguette, je sors mon sexe. Estelle s'accroupit pour s'en saisir immédiatement. < Fais moi sentir ! > s'écrie t-elle.
Clémentine me décalotte pour passer ma bite sous le nez d'Estelle qui fait une horrible grimace. Je lui dis : < Ton dessert ! >

Clémentine nous entraîne à l'atelier. Il faut êtres sérieux. Un minimum quoi ! Les filles sont assises devant leurs affaires. Ordi.
Je suis assis devant ma vingt et unième toile dont je termine le dessin préparatoire. Une nature morte avec des bijoux. Perles.
Estelle se lève pour venir se mettre en tailleur à même le sol pour admirer la toile où je l'ai représenté vêtue façon XVIIème.
< Je me reconnais bien ! C'est super ! Tu vas en tirer un bon prix parce que je suis belle ! > fait elle. Nous rions de bon cœur.
Clémentine vient la rejoindre en disant : < Mais Julien en tire toujours un bon prix ! Avec toi ou sans toi peinte sur la toile ! >.

Nous rigolons comme des bossus lorsque je rajoute : < Estelle, tu auras un pourcentage. Ce fameux droit à l'image ! >. Rires.
L'après midi se passe ainsi. < Et de trois ! > s'écrie Clémentine derrière moi. Les filles ont déjà trois pages du mémoire. Bien.
Il est 19 h. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir de l'eau pour les moules. Estelle est la première à me rejoindre. Elle me palpe.
< Je suis folle de ta bite aujourd'hui ! J'en ai même rêvé cette nuit ! Et t'es encore plus vicieux dans mes rêves ! > me fait elle.
Clémentine arrive pour découvrir Estelle accroupie entre ma braguette et la table sur laquelle je déballe les moules. Rigolades.

< Décidément ! J'ai le dos tourné cinq minutes et vous voilà à vous livrer à la débauche ! > fait ma compagne. Elle m'embrasse.
Je force Estelle à se redresser. Elle se met à la préparation du bouillon et de la sauce. Je fais cuire les haricots verts dans le wok.
Clémentine s'occupe de la salade. Nous guettons les premiers pissenlits dans le jardin. Ce soir ce sera une belle, grasse scarole.
La cuisson des moules est rapide. Estelle les a plongé dans un bouillon. Ail, oignons, persil, sel, poivre gris. Elle touille souvent.
Je fais tourner les haricots verts à l'aide d'une spatule plate. Clémentine prépare l'assaisonnement. Les filles évoquent les cours.

Ce repas est délicieux. Nous traînons longuement à table. Nous faisons le programme. Nous sommes invités au haras demain.
< On se fait un plan vicelard aux écuries, sympathique non ? > nous demande Estelle. < Bonne idée ! > répond Clémentine.
Je dis : < Au lieu d'assister à l'animation dans le manège à chevaux, on va assister à celle du palefrenier ! > Un grand silence.
< Mais en voilà une excellente initiative mon salaud ! > me fait Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine !
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Oui, ça fait longtemps qu'on ne la pas vu se branler et se la secouer ! >

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Estelle se couche sur le bureau.
< Qu'est-ce qui te prend ? > lui demande Clémentine. < Je veux de la bite ! Je ne quitterais pas ce meuble avant ! > fait Estelle.
Clémentine s'accroupit pour me sortir la queue qu'elle agite en direction d'Estelle vautrée sur le bureau et couchée sur le ventre.
Ma compagne me tire jusqu'au bureau pour offrir ma queue à Estelle qui se remet à renifler longuement. < Elle pue ! > dit elle.
< C'est ton dessert ma chère, tu es priée d'être polie ! > lui fait Clémentine en décalottant mon sexe. Odeur immonde. Frome.

< C'est comme tes histoires de saucisses que tu racontais dans le temps, avant que Clémentine te l'interdise ! > me dit Estelle.
Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Saucisses au fromage, bien entendu ! >. Je bande mou. C'est sympa.
Clémentine se saisit fermement de la tête d'Estelle pour tenter de lui enfoncer ma bite dans la bouche. Du frome plein la gueule.
Estelle se débat. Nous savons bien tous les trois que tout cela n'est plus qu'un jeu. Et nous prenons un plaisir fou à y jouer. Joie.
J'ai envie de pisser. Je reste immobile. Je me concentre. Je dirige mon sexe en tenant le pouce et l'index de Clémentine. Silence.

Juste avant de la placer dans la bouche grande ouverte d'Estelle, je lâche mon petit jet vicelard, bien dégueu, sournois et jaune.
< Put-Hein, encore ! Ah ! > s'écrie Estelle en détournant le visage que lui tient pourtant fermement Clémentine par ses cheveux.
Me voilà avec la queue dans la bouche d'Estelle qui lâche un long râle mêlant dégout et plaisir. Clémentine se frotte contre moi.
Ma compagne m'embrasse avec cette extraordinaire douceur dont elle est coutumière. Je bande comme le dernier des salopards.
< Mais tu es un salopard ! > me fait Estelle entre deux pompage de foutre. Clémentine me masse les lombaires. C'est préventif.

Estelle change de position. Elle est à présent couchée sur le dos, la tête renversée au bord du bureau. Elle me pompe fortement.
Je suis d'une extrême prudence. Cette position de la nuque peut s'avérer dangereuse. Je bande ma bite vers le bas. Douloureux.
Estelle a passé sa main droite dans son jean. Il est très rare qu'elle se touche ainsi, surtout en pratiquant une fellation gloutonne.
Clémentine et moi nous nous embrassons avec passion. De la salive nous dégouline partout. J'ai des montées de liquide séminal.
Ma compagne a également une main dans son jean. Les deux filles se masturbent d'un même mouvement et presque synchrone.

C'est passionnant. Malgré les massages de Clémentine mes lombaires deviennent douloureuses. Je me retire. De la jute coule.
Estelle pousse un cri de déception. Je la force à se redresser. Là, debout, sa main droite dans son jean, Estelle a un orgasme !
Je lui dépose un bisou sur le front. Elle s'assoit à même le sol les deux mains entre ses cuisses, les yeux fermés sans respirer.
Comme elle est belle ! Elle a de la jute qui macule ses joues dans laquelle collent des mèches de cheveux. Je lui pisse dessus.
Estelle se laisse inonder de pisse chaude. Clémentine tient ma bite pour en diriger le jet. C'est à la fois surréaliste et sublime.

Trempée de pisse, Estelle ouvre les yeux. Elle nous faire le plus délicieux des sourires. Il est déjà 22 h45. Nous sommes épuisés.
Je vais aux toilettes pour chercher la serpillère et le seau. Estelle enlève ses vêtements trempés pendant que j'essuie le parquet.
Clémentine ne cesse pas de se masturber, une main dans sa culotte, se tenant dans l'encadrement de la porte, cuisses serrées.
Nous montons tous les trois. Estelle se sèche les cheveux. Je lui touche le sexe. Elle se laisse faire en me faisant des clins d'œil.
Nous voilà au lit. Estelle dort déjà. J'offre un cunnilingus délirant à Clémentine qui me jouit dans la bouche. Une pipe et le dodo...

Bonne soirée à vous pourlécher de foutre et de pisse à toutes les coquines qui aiment se masturber en même temps...

Julien - (Que Clémentine surnomme "Mon pisseur fou", s'attend à une visite bien vicelarde aux écuries, demain. Patience) -

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Classe - 38 - Tous droits réservés - © - Episode 373 -



Pendant l'animation au haras, nous visitons les écuries. Aventures...

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des chuchotements et des rires étouffés. On me tient par la queue.
Mon érection matinale, maintenue fermement, achève de me tirer de mon sommeil. J'ouvre les yeux. Je comprends qui c'est.
C'est Estelle, son bras par dessus Clémentine, qui me serre la bite aussi fort. < Bonjour Julien ! > me font les deux coquines.
Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre les deux filles que je chatouille en imitant les grognements d'un ours.
J'adore les faire rire. Estelle parvient à s'enfuir aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Il est 7 h45. Les papouilles.

Estelle revient pour nous dire : < Je descends préparer le petit déjeuner ! > < On arrive ! > lui fait Clémentine en me tirant.
Nous nous précipitons aux toilettes à notre tour. Morts de faim nous descendons à toute vitesse pour rejoindre Estelle. Rires.
L'odeur du café et de pain grillé est un véritable bonheur. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le ciel est bleu.
Même si le thermomètre extérieur n'indique encore que 5°, cette journée ensoleillée permet l'illusion d'un matin printanier.
Tel un patriarche, je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. Confitures, miel. Nous rions déjà beaucoup. Joie.

La vaisselle. Clémentine entraîne Estelle au salon. Depuis la cuisine que je commence à ranger, je les entends rire. Superbe.
Ces ambiances du dimanche matin ont quelque chose de l'ordre du merveilleux. J'apprécie ces instants en enregistrant tout.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur le carrelage des sols, cuisine, toilettes et hall d'entrée. C'est propre.
Je sors l'aspirateur du placard mural pour me rendre au salon. C'est le silence. Clémentine est montée faire la chambre. Lit.
< Tu racontes presque tout Julien ! C'est super !> me fait Estelle qui est entrain de lire nos récits de la semaine sur le forum.

Je m'applique à passer l'aspirateur sous les meubles. Estelle qui est passée derrière moi, me chope par les couilles. Très fort.
De son autre main, alors que je suis encore en slip et en T-shirt, elle me chope la bite. Fort. Je me redresse. Elle m'embrasse.
Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, tout cela me dérange. Je le lui remarquer une fois encore. Elle s'en amuse. Coquine.
Je lui passe ma main droite entre les cuisses. Elle a un réflexe et me fait : < En voilà une initiative plaisante, mon salaud ! >
Je la saisi par ses cheveux pour l'entraîner derrière le bureau et la forcer à se rassoir devant l'écran de l'ordinateur. Une bise.

< Non, je veux t'aider au ménage ! > me fait Estelle en s'emparant du chiffon et du plumeau. Je termine d'aspirer le parquet.
Je monte rejoindre Clémentine qui finit de changer les draps pour lui raconter ce qui s'est encore passé au salon. Un silence.
< On va encore devoir sévir ! > me fait ma compagne en se serrant contre moi. Je ramasse les draps sales. La salle de bain.
Je lave le bac à douche. Clémentine nettoie les miroirs et le lavabo. Nous faisons le programme de la journée, de l'après-midi.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut. Je passe la serpillère sur les sols...

Je redescends pour rejoindre les filles. Elle sont toutes les deux concentrées sur l'écran de l'ordinateur. Le site de l'université.
Je les laisse pour me rendre à la cuisine. Les pavés de saumon sont décongelés. J'épluche les patates, les navets, les carottes.
Clémentine est la première à me rejoindre. Nous sommes tous deux vêtus de nos jeans. Estelle est montée se changer aussi.
Clémentine s'occupe de la salade. A son retour, vêtue de son jean, Estelle s'occupe des pavés de saumon en papillotes. Bien.
Il est presque midi lorsque tout est prêt. Les papillotes sont sur le barbecue électrique dans la véranda. Je remue notre potée.

Nous mangeons de bon appétit. La conversation reste principalement axée sur l'élaboration du mémoire à rendre le 16 avril.
J'écoute les stratégies que les filles s'apprêtent à appliquer pour la réalisation de ce travail passionnant. Et parfois surprenant.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous décidons de rester vêtus de nos jeans. Il fait frais.
Nous irons au haras à pieds. La promenade digestive de trois petits kilomètres le long de la rivière. Nous passons nos anoraks.
Nous marchons d'un bon pas. Clémentine me tient par la main. Estelle me tient par le bras. Nous apprécions l'éclat du soleil.

Nous arrivons au haras pour 14 h15. Il y a du monde. Des voitures garées le long de la route. Des groupes de gens parlent.
Dans la cour nous croisons madame Walter qui nous salue. Elle est en compagnie d'un couple de propriétaires de chevaux.
Là-bas, il y a Juliette entourée elle aussi de quelques couples. Elle nous fait un coucou de la main. Nous la laissons travailler.
Le sol est sec. Le climat devient un peu plus agréable. Clémentine nous entraîne derrière les bâtiments. L'endroit est désert.
Nous passons derrière les écuries. Il y a la caravane de monsieur Gérard, le palefrenier qui va venir vivre là, au début avril.

L'animation ne va tarder à commencer. Nous passons derrière le grand bâtiment du manège à chevaux. Il y a plein de gens.
Une fois encore, c'est un succès. Par l'ouverture, nous voyons les cavalières passer devant les gradins ou se mettre en cercle.
Clémentine s'interpose à plusieurs reprises entre Estelle et moi. Estelle qui se frotte contre moi ou qui me palpe la braguette.
Nous rions de bon cœur en profitant des rayons du soleil. Même si ce soleil n'est pas très chaud, la luminosité est appréciable.
Estelle nous entraîne dans notre écurie préférée. Comme tout le monde assiste à l'animation, l'endroit est désert. Box vides.

Estelle nous entraîne dans le dernier box. Le box immédiatement à côté du petit local du palefrenier. Le trou dans la cloison.
Estelle, accroupie devant les planches, observe l'ouverture avec une attention d'entomologiste. Elle nous montre les coulures.
Nous nous penchons pour voir. Estelle sort son téléphone pour faire quelques photos. < Je vais comparer ! > nous fait elle.
Il y a des tâches sèches sur le ciment brillant du sol. Du foutre sec absorbé par le sol. C'est assez dégueulasse. Nous mâtons.
Je suis toujours étonné par l'intérêt qu'Estelle porte à ces coulures. < Mais qui qui peut bien sucer ici ? > nous demande t-elle.

Cette question récurrente, qui revient à chaque fois que nous sommes ici, garde tout son mystère. Je trouve que c'est mieux.
Pour la curiosité féminine il n'en va pas de même puisque les filles spéculent à nouveau sur différentes hypothèses. Rigolade.
Les applaudissements fréquents parviennent jusqu'à nous. Soudain, il y a du bruit. Nous restons silencieux toujours planqués.
Clémentine regarde par dessus le portillon fermé. < Monsieur Gérard ! > chuchote ma compagne. < Viens ! > lui fait Estelle.
Les filles sortent du box. < Reste là, s'il y a un souci, tu rappliques ! > me murmure ma compagne qu'Estelle tient par le bras.

Je mâte discrètement par les planches du portillon du haut que je viens de refermer. Je regarde les deux filles dans l'allée.
Monsieur Gérard arrive en poussant un chariot. < Bonjour monsieur Gérard ! > font les deux filles presque en même temps.
< Bonjour les filles ! Vous n'êtes pas au manège ! C'est là-bas que ça se passe ! > fait monsieur Gérard qui est au boulot.
Clémentine s'accroupit. Ses coudes en appuis sur ses cuisses écartées, son anorak ouvert. Estelle reste debout à côté d'elle.
J'entends la nature de la conversation. Le palefrenier évoque son arrivée dès le premier avril pour revivre dans sa caravane.

< Il faudra venir me voir le soir ! > fait le bougre à plusieurs reprises. Je regarde mieux. Le salaud a sa braguette qui bâille.
Tout en bavardant, il sort sa bite minuscule qu'il laisse pendre de sa braguette d'épais velours. J'entends les filles rire. Bien.
Ce type est un vrai vicelard et ses attitudes nous amusent toujours beaucoup. Monsieur Gérard ne tente jamais rien. Sympa.
Ce vieux cochon se contente de bavarder avec les filles, la bite à l'air, parfois tout en pissant dans un seau en métal. Rigolo.
Ce qui est encore le cas aujourd'hui. Tout en discutant, le palefrenier dirige son sexe au dessus d'un seau pour y pisser fort.

Il y a des voix qui semblent se rapprocher. Monsieur Gérard, en parfait virtuose de l'exhibition, se réajuste très rapidement.
C'est madame Walter qui entre dans l'écurie. Elle est accompagnée de deux couples de quinquagénaires, des propriétaires.
Elle découvre Estelle et Clémentine avec un air d'étonnement. Monsieur Gérard pousse le chariot vers l'extérieur. Le boulot.
Je ne sais quoi faire. Je reste planqué. J'étudie rapidement toutes les possibilités de ne pas me faire voir pour quitter le box.
Trop tard. Madame Walter fait visiter les écuries en ouvrant quelques box. J'entends ses explications. Hygiène, propreté, etc...

Le groupe s'apprête à sortir lorsque madame Walter ouvre le portillon du box où je me trouve. Elle est la seule à me voir ici.
Elle a un curieux regard. Pas vraiment surprise. Elle regarde le trou dans le mur. Elle me fait un étrange sourire pas amusé.
< Décidément, vous êtes un vrai vicelard ! > me chuchote la jeune femme avant de refermer la porte, rejoignant les gens.
Je me sens un peu con. Il n'y a plus personne. Je me dépêche de sortir de l'écurie. Madame Walter discute avec Mr Gérard.
Ils me voient sortir. Je suis plutôt mal à l'aise. Franchement emmerdé. Je cherche du regard où se trouvent les deux filles.

Je contourne le bâtiment pour retourner dans la cour. Clémentine et Estelle sont près de la porte du manège. Elles mâtent.
Je les rejoins pour leur raconter ma mésaventure. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine fait : < Foutu ! >.
< Tu es cuit ! Découvert ! > rajoute Estelle. Nous rions de bon cœur de notre aventure. < On s'en fou ! > fait elle encore.
Je réponds : < Mais alors complètement qu'on s'en fout ! Tout le monde fait partie du même "Club" ici ! > Franche rigolade.
Nous assistons à la fin de l'animation. Tonnerre d'applaudissements. Nous traversons la cour, prenant le chemin du retour.

Nous sommes de retour pour 18 h30. Il fait encore bien clair. Avec l'heure rajoutée, il fera jour jusqu'aux environs de 20 h.
Nous réchauffons la potée. Je fais des filets de lieu noir panés. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle coupe l'ail, l'oignon.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de nos aventures. La vaisselle. Les filles ont du travail. Préparer les cours.
Nous ramenons Estelle pour 22 h30. Au retour, Clémentine me fait part de son immense plaisir quand à ce qui s'est passé.
Au lit, un "69" juteux en préliminaire d'une baise sublime. Confessions et secrets. Cunnilingus et fellation. Orgasmes. Dodo.

Bonne aventures bien vicelardes dans vos écuries préférées à toutes les coquines que les situations glauques stimulent...

Julien - (Drôlement emmerdé d'avoir été surpris par madame Walter se fait une raison. Nous sommes entre vicelards) -

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Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 374 -



Un début de semaine dans le calme. La sérénité. Et la baise aussi...

Hier matin, lundi, nous nous étirons en même temps avec un très long gémissement qui se termine dans un cri. < Bonjour ! >
Nous rions de bon cœur tout en nous serrant l'un contre l'autre avant que Clémentine ne me chevauche en riant. Les papouilles.
L'envie de pisser se fait rapidement impitoyable. Nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre à toute vitesse. Cuisine.
Morts de faim, nous nous préparons notre petit déjeuner. Le thermomètre extérieur indique 4°. Nous mangeons de bon appétit.
Nous remontons afin de nous livrer à l'heure d'entraînement qui remplace encore nos joggings d'avant les premiers beaux jours.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Des bisous.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le ciel est gris mais lumineux. Une fraîcheur.
Je me dépêche de rentrer. Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Un feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la vingt et unième toile destinée à la saison d'été.
Je peins en respectant tout le cérémonial des premiers coups de pinceaux. Je suis rapidement abimé dans un enthousiasme fou.

La musique de mon téléphone. Je rage d'être ainsi interrompu dans l'enchantement paradisiaque de ma séance de travail. Dur.
Je décroche. C'est Juliette. Quelle n'est pas ma surprise. Elle évoque ma mésaventure, hier, aux écuries. J'écoute et en silence.
Juliette me fait part de son embarras maintenant que notre petit jeu est éventé. Elle a un "plan B". Nous en rions de bon cœur.
En effet, il ne me sera plus possible d'être planqué dans le box voisin au local du palefrenier puisqu'à présent il en est informé.
Il sait que ce petit manège dure depuis presqu'une année. Nous en rigolons comme des bossus. Juliette vient manger mercredi.

Il est dix heures. Me voilà à nouveau à peindre dans une allégresse glorieuse. Je ris tout seul de ce que je considère une blague.
Que le palefrenier sache que je le mâtais, qu'il soit à présent informé de nos agissements, me laisse d'une indifférence abyssale.
Par contre, que ce soit madame Walter qui ait vendu la mèche me procure un très curieux sentiment. Comme une déception.
J'ai simplement à présent la certitude que c'est elle qui vient sucer le palefrenier. Par le trou parfaitement rond dans la cloison.
Il est midi. Je vais à la cuisine. J'évide trois grosses aubergines que je farci avec du pâté de lentilles décongelé à la poêle. Bien.

J'écoute la chronique de Guy Carlier qui me fait beaucoup rire. En accompagnement je fais du riz. Je prépare une bonne salade.
Pour ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer. Je mange de bon appétit. La vaisselle. Je range la cuisine. Je retourne vite dans l'atelier.
Il est 13 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins en poussant les cris de contentement les plus surréalistes. Joie.
Du bruit. Il est 15 h30. Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier. < Bonjour mon amour ! > me fait elle en se précipitant.
Assise sur mes genoux, ma compagne me raconte sa journée. Le repas de midi avec Estelle au restaurant universitaire. Sympa.

J'écoute les anecdotes amusantes que me raconte Clémentine. Ce qui concerne Gauvin, l'étudiant de 24 ans qui drague Estelle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine dit : < J'ai envie de lui dire d'arrêter de ramer car il attaque la falaise le pauvre ! >
Il semblerait qu'Estelle ne soit pas très intéressée par ce grand gaillard sportif et pourtant très séduisant. Les filles en parlent.
Je raconte à mon tour le coup de téléphone de Juliette qui viendra manger mercredi soir pour nous exposer un nouveau "plan".
< C'est étrange que madame Walter vende ainsi la mèche. Tu as certainement raison, c'est elle qui suce là ! > fait Clémentine.

Assise à la table, entourée de ses affaires, Clémentine est concentrée devant l'écran de l'ordinateur. Travail de recherche. Bien.
Parfois l'un se lève pour venir voir ce que fait l'autre. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. Je l'écoute avec intérêt.
C'est passionnant. < Ce soir, je commence la quatrième page de mon mémoire. Je vais avoir de l'avance ! > me dit Clémentine.
C'est rassurant car nous entretenons tous deux cette confortable avance sur notre timing. Ce sera davantage de temps à nous.
Nous estimons que dès la fin du mois de mai, nous pourrons nous livrer tous les fins d'après-midi à notre passion. La bicyclette.

Le téléphone. C'est Estelle. Il est déjà 18 h30. Les filles évoquent leurs cours. Elles échangent leurs informations en temps réel.
Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Je m'apprête à laisser Clémentine à son travail et au téléphone pour aller à la cuisine.
Ma compagne se lève pour me retenir. Elle me tend le téléphone. Je bavarde un peu avec Estelle. Nous évoquons les écuries.
Clémentine est serrée contre moi en me faisant plein de bises pendant que je discute. Je salue Estelle. Elle revient demain soir.
Clémentine m'entraîne à la cuisine. Elle découvre les aubergines farcies calées dans le riz, disposées dans le plat en terre cuite.

< Miam ! > fait Clémentine en préparant l'assaisonnement de la salade. Il est dix neuf heures et il fait encore bien jour. Super.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bien évidemment le sujet des écuries reste notre amusante préoccupation.
Quel est donc ce "plan B" dont parle Juliette. Il nous faudra attendre mercredi soir pour le savoir. Tous les cas de figure défilent.
L'attitude de madame Walter, sans doute jalouse de notre utilisation du trou pour espionner, laisse une curieuse impression.
< Elle veut se garder la bite de monsieur Gérard pour elle. Ainsi que l'utilisation du trou dans la cloison ! > avance Clémentine.

J'écoute les différentes hypothèses probables que développe ma compagne que tout cela amuse encore davantage que moi.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au salon. Rire.
< Viens, on étudie les probabilités à notre manière ! > me fait ma compagne, accroupie pour me déboutonner la braguette.
Clémentine fouille dans mon slip pour en extraire mon sexe. Je la regarde, admiratif devant tant de virtuosité. Elle est si belle.
Elle hume longuement les odeurs de ma journée d'homme en me décalottant légèrement. Immédiatement ça monte au nez !

Je force Clémentine à se redresser. Elle déboutonne son jean pour l'enlever avec sa culotte. Je la fais tomber dans le canapé.
Je suis à genoux sur l'épais coussin, entre ses cuisses. Je hume longuement les effluves parfumées de sa journée de fille. Bon.
J'avance mon visage. Les poils en broussaille me chatouille le nez, les joues et le menton. Du bout de la langue je fouille. Bien.
J'adore fouiller les plis et les replis des lèvres charnues du sexe de Clémentine. Ce goût légèrement vinaigré, acidulé, piquant.
Clémentine me tient par les oreilles. Je me régale de ses saveurs en l'écoutant gémir doucement. Elle m'attire sur elle. Super.

Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles à nous fixer plein d'interrogations. Bonheur.
Nous adorons rester ainsi, sans bouger, à nous scruter. C'est toujours tellement intense, excitant. Nous éprouvons nos sexes.
Je déteste peser de tous mon poids sur le corps de ma compagne. Je reste en appui sur mes bras. Elle me tient par la nuque.
Ses jambes s'enroulent autour de mes hanches. Les premières confessions résonnent à mon oreille. Nous voilà dans le plaisir.
En fonction des révélations de Clémentine nous nous mettons à nous bercer doucement. Nous cessons. Nous accélérons. Jeu.

Nous évoquons les écuries. Le palefrenier qui sait maintenant qu'il était épié, espionné et qu'il faisait l'objet de voyeurisme.
Clémentine me fait part de ses ressentis les plus intimes. Elle est convaincu que cela va décupler les ardeurs du palefrenier.
Il nous faudra simplement trouver une autre formule. < Entre vicelards, on va bien trouver ! > me chuchote ma compagne.
< Et puis attendons de découvrir en quoi consiste le "plan B" de Juliette ! Elle fait partie du même "Club" ! > fait Clémentine.
Toutes ces spéculations nous emmènent doucement vers un niveau d'excitation proche de l'extase. Nous savourons l'instant.

Je bande comme le dernier des salauds. J'ai les couilles en ébullition. Clémentine dompte ses pulsions avec virtuosité. Bien.
Nous aimons tous deux flirter avec les limites extrêmes. Nous sommes devenues de véritables spécialistes du "différé". Joie.
Il est 22 h. Je propose à Clémentine de monter pour nous finir au lit. Il est toujours difficile de décoller nos sexes si gluants.
Je me retire avec autant de précautions. Avant de monter, nous nous offrons un "69" afin d'essorer le jus de nos bonheurs.
C'est tellement enivrant. Nous sommes tout près de l'extrême. J'entraîne Clémentine par la main. Nous montons en vitesse.

Aux toilettes nous nous régalons de nos derniers épanchements. C'est à la fois hyper vicelard et terriblement excitant. Pisse.
La salle de bain. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Ce qui nous permet de reprendre un peu nos esprits. Bien.
Cette formule nous permet une "relance" fulgurante une fois de retour l'un dans l'autre. Clémentine m'essuie la bouche. Rire.
Elle m'entraîne par la main pour me faire tomber sur le lit. Je la lèche un peu avant qu'elle ne m'attire sur elle. Sans bouger.
Nous échangeons nos impressions, enivrés de nos émotions. Cunnilingus fabuleux. Fellation fabuleuse. Orgasmes fous. Dodo.

Bonne soirée de baise à toutes les coquines qui aiment profiter de ces moments merveilleux pour chuchoter leurs secrets...

Julien - (Qui sait recevoir Clémentine en confession avant de lui administrer les "Seins" sacrements avec son goupillon) -

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Estelle et rituel de la tarte aux poireaux du mardi soir

Hier matin, mardi, nous sommes tirés de notre sommeil par le concerto No 3 et pour clavecin de Wolfgang Amadeus Mozart.
< Ta gueule Wolfgang Bang ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rigolons comme des bossus. Des bises.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Il est 5 h55. L'heure du rituel pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Bien.
Le thermomètre extérieur indique 5°. Nous mangeons de bon appétit dans l'habituelle et délicate odeur de pain grillé. Sympa.

Nous bavardons en savourant nos tartines de confitures et de miel. Ce sont les confitures concoctées par Estelle l'an dernier.
Nous montons pour nous livrer à l'heure d'entraînement qui remplace encore les joggings à venir et dès premiers beaux jours.
Aérobic, abdos, charges additionnelles. Le tout avec intensité maximale. De quoi garder les formes et de préparer la journée.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le ciel est gris et bas.
Bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Le froid.

Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins habité d'une allégresse glorieuse et animé d'un plaisir extatique.
Cet enthousiasme délirant participe à m'abstraire de toute réalité. Hors du temps, je travaille en poussant des cris surréalistes.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare une belle pâte pour la Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux du soir.
Comme tous les mardis, Clémentine n'ayant pas cours l'après-midi, arrive pour 12 h15. Elle se précipite dans mes bras. Blottie.

Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Nous préparons notre repas. Nous sommes méthodiques.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais une Béchamel. Je coupe le poireau en petits bouts que je fais cuire à l'eau bouillante.
Pour midi je fais gonfler du millet doré. Je mets le poireau cuit dans la Béchamel. J'en récupère un peu comme sauce du repas.
Nous voilà à table. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Les cours se déroulent dans la quiétude.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque nos aventures de dimanche dernier, au haras.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Ma compagne m'entraîne par la main jusqu'au salon. Bise.
Tout en se déboutonnant pour descendre puis retirer son jean et sa culotte, Clémentine me fait : < J'ai besoin d'un contrôle ! >.
Nous rions de bon cœur. Je pose l'épais coussin au sol, entre les jambes de ma compagne vautrée dans le canapé. Le dessert.
A genoux sur le coussin, je hume longuement les effluves parfumées qui émane du sexe de ma compagne qui écarte les cuisses.
Elle me tient par les oreilles. Du bout de la langue je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de Clémentine qui en gémit.

J'adore ce goût légèrement vinaigré, acidulé et un peu piquant. Celui de la fille que j'aime. Et, à 20 ans, elles sont délicieuses.
Je me régale des premières coulures de cyprine qui suintent jusque dans la raie culière. Avec la sueur qui s'y mélange. Régal !
Je retire quelques poils de ma bouche. Je décalotte le clitoris géant de ma compagne du bout de mes lèvres. Elle a un spasme.
La première véritable épreuve commence. Lorsque je m'occupe de son bouton à plaisir, Clémentine doit lutter contre l'orgasme.
Je l'entends souffler. Je l'entends gémir. Je l'entends murmurer des douceurs, des choses incompréhensibles. Son plaisir. Joie.

Elle me repousse doucement sans pouvoir se retenir. Je me fais pisser au visage. Un jet. Violent, net, qu'elle contrôle très vite.
Un second jet. Clémentine se touche en poussant un cri de plaisir. J'ai le visage mouillé. Le haut de la chemise trempé. Sympa.
Je reviens lécher, bouffer et boire. Clémentine, dans un cri, me repousse une nouvelle fois. < Attention ! Arrête ! > me fait elle.
Elle veut absolument éviter l'orgasme qui pointe. Il faut se garder afin de rester excités jusqu'à ce soir. Je me redresse. Bisous.
Clémentine me tend les mains. Je l'aide à se lever. Elle m'entraîne à l'étage. Je change de chemise. Le sèche cheveux. Rigolade.

Clémentine se touche et me montre ses doigts trempés de son jus de fille. Je les lèche. Je l'attrape par la taille. Je la soulève.
Je l'entraîne dans la chambre pour la déposer sur le lit. Je recommence à lui brouter la chatte. C'est trop bon. Et il faut cesser.
Nous avons du travail qui nous attend. Nous descendons en riant. < Je t'aime comme une folle, Julien ! > me fait Clémentine.
Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise à table entourée de ses affaires devant l'ordinateur. Je suis assis devant la toile.
Dehors, le ciel est gris, bas et menaçant. Le crépitement du feu. Le craquement des bûches dans l'âtre. Un bel enchantement.

La musique de mon téléphone. Clémentine s'en saisit immédiatement. C'est Estelle. Il est déjà 17 h45. Nous nous habillons.
Vêtus de nos anoraks, nous prenons la petite auto de ma compagne. Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel. Sourire.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte son après-midi. Le bureau dans l'entreprise familiale. Joie.
Il est 18 h10. Nous voilà de retour. Nous sommes tous les trois à travailler dans l'atelier. Cette ambiance magique qui enivre.
Il est dix neuf heures. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Je fais chauffer la Béchamel. Estelle vient me rejoindre. Bisous.

Estelle étale la pâte. Une pâte onctueuse et ferme. Clémentine arrive à son tour. Elle s'occupe de l'assaisonnement de la salade.
Les filles évoquent leurs cours et ce qu'il faut encore faire ce soir. J'écoute. C'est toujours très intéressant. La Béchamel chaude.
Je verse la garniture sur la pâte. Estelle y saupoudre du gruyère de Comté finement râpé. Elle y dépose le fin couvercle de pâte.
Elle badigeonne le dessus d'un mélange d'œuf, de Parmesan, de graines de sésame grillé. Je mets la Flamiche Picarde au four.
Tout est prêt. Nous passons au salon. Nous sommes vautrés dans le canapé. Clémentine à ma droite. Estelle à ma gauche. Rire.

Nous évoquons nos aventures de dimanche aux écuries. Tout en bavardant, Estelle tripote ma braguette que je fini par ouvrir.
Estelle y plonge sa main. < Nous pouvons légitimement penser que madame Walter et le palefrenier sont informés ! > fait elle.
< Indubitable ! Et c'est la preuve que nous marchons sur leurs plates bandes ! > rajoute encore Clémentine. Les filles en rient.
Différentes hypothèses sont émises. J'écoute avec beaucoup d'intérêt les différentes spéculations. Nous en rions de bon cœur.
Tout en parlant, Estelle me tord la bite dans tous les sens. Surtout vers le bas. Elle sait que lorsque je bande c'est douloureux.

La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. < Ne te brûle pas la bite avec la tarte ! > me fait Estelle.
Aussi, se saisissant des maniques, c'est elle qui sort la tarte du four. Clémentine me tient la queue d'une poigne ferme. Sympa.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation reste axée sur le haras, les écuries, madame Walter et le palefrenier vicelard.
< Nous en saurons peut-être davantage demain soir. Juliette vient manger. On va lui tirer les vers du nez ! > fait ma compagne.
< Oui, il faut la "cuisiner", elle en sait bien plus qu'elle ne veut bien le dire ! > rajoute Estelle. Nous rigolons comme des bossus.

Nous traînons à table. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous retournons au salon. Canapé.
Estelle mime à plusieurs reprises une masturbation masculine avec toute la vulgarité qu'elle peut y mettre. Tout en bavardant.
Je lui glisse la main entre les cuisses pour palper son sexe au travers le tissus de son jean serré. < Salaud ! > murmure t-elle.
Clémentine fait : < Pour réaliser le second film dans les écuries, il va falloir trouver une autre formule ! >. Estelle me tient fort.
Elle répond : < Juliette propose un plan "B", attendons de voir de quoi il en retourne ! >. < Demain soir ! > rajoute Clémentine.

Je me lève pour me placer debout devant Estelle. Je me tiens entre ses jambes. Je sors ma bite que j'agite devant son visage.
Avec toutes les émotions depuis le début de l'après-midi, il en dégouline de la jute gluante. L'intérieur de mon slip est trempé.
Estelle s'avance pour renifler tout en tournant la tête pour observer sous tous les angles. Je secoue ma queue. Du jus qui gicle.
Clémentine saisit mon sexe à sa base pour l'agiter sous le nez d'Estelle qui s'avance encore la bouche grande ouverte. Silence.
Estelle s'enfourne ma bite. Je bande mou. Les montées de liquide séminal sont abondantes. Clémentine se touche doucement.

Je laisse Estelle se régaler longuement. J'admire ses tentatives de déglutir toute la jute qu'elle pompe. Je lui tiens les cheveux.
Je sors mon sexe de sa bouche pour y laisser un filament visqueux qui lui colle sur le menton. Je l'offre à ma compagne ravie.
Clémentine me suce avec avidité. Je caresse la tête d'Estelle qui regarde ma compagne pomper en gémissant de bonheur. Joie.
Je passe ainsi de l'une à l'autre en les laissant savourer l'abondance de mon foutre gluant. Mes lombaires se font sentir. Debout.
Lorsque je suis dans la bouche d'Estelle, je bouge doucement. Lorsque je suis dans la bouche de Clémentine, je reste immobile.

Clémentine a une main dans sa culotte. Estelle me tient par les hanches. C'est dans sa bouche que je suis le plus vicelard. Jus.
J'ai beau me concentrer, m'imaginer avec les pieds dans l'eau froide, rien à faire. Je n'arrive pas à lâcher mon petit jet de pisse.
Il est plus de 21 h. Je murmure : < Nous avons encore du boulot, les filles ! >. Je me retire de la bouche d'Estelle. Filaments.
Dans un cri de dépit, Estelle tente de la garder en tombant à genoux. Je la saisi par ses cheveux pour la forcer à se redresser.
Je remballe l'objet de son plaisir. J'entraîne les filles par leurs cheveux jusqu'à l'atelier. Capacité féminine à s'adapter très vite.

Les filles préparent leurs cours de demain. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Il est bientôt 22 h15. Il faut ramener Estelle.
La séparation est difficile. Nous lui promettons de lui raconter la soirée à venir avec Juliette. Nous la regardons partir. Un bisou.
Au retour, je roule doucement. Sur les trois petits kilomètres, Clémentine me suce avec sa passion habituelle. C'est merveilleux.
Les toilettes. Nous nous régalons de nos derniers épanchements. La salle de bain. Nous voilà couchés. Un rapide "69". Superbe.
Nous faisons l'amour. Clémentine m'enchante de ses plus étonnantes révélations. Cunnilingus et fellation. Orgasmes fous. Dodo.

Bonne soirée à vous régaler d'une tarte aux poireaux suivi du poireau de votre coquin à toutes les coquines mortes de faim...

Julien - (Qui offre sa Béchamel à Clémentine et à Estelle qui en raffolent avec gourmandise. Le poireau étant leur plat préféré) -

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Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 376 -



Juliette vient manger à la maison et nous fait une révélation

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous déposés délicatement sur le bout de mon nez. Joie.
J'ouvre les yeux. Le visage bienveillant de Clémentine qui me sourit. Je la serre contre moi. Je dis :< Bonjour Clémentine ! >
< Bonjour Julien ! > me fait elle avant de me chevaucher en riant. Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes. Pissous.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Bien.
Le thermomètre extérieur indique 5°. Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Programme de la journée à venir. Soirée.

Nous évoquons la visite de Juliette en soirée. Elle vient manger. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. La séparation difficile.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Puis je me dépêche de rentrer.
Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Dehors, le ciel est gris mais lumineux. L'hiver semble ne plus en finir...

Je peins dans un enthousiasme délirant. C'est la vingt et unième toile destinée à ma saison d'été. Une nouvelle nature morte.
Quart d'heure après quart d'heure je remporte de nouvelles victoires. Je pousse des cris de satisfaction des plus surréalistes.
Parfois, lorsque le trait de pinceau est plus sublime que le précédent, je me lève pour exécuter une danse autour du chevalet.
C'est donc dans l'enchantement paradisiaque que passe ma matinée. Midi. Je me rends à la cuisine. Mon horloge biologique.
La pâte feuilletés a décongelé depuis ce matin . Je prépare une Béchamel pour y rajouter du saumon finement émincé. Grillé.

Pour ce soir, je fais un feuilleté de saumon accompagné de légumes poêlés. Tomates, aubergines, courgettes et champignons.
Pour midi je me cuisine du riz complet. Je prépare tout cela en écoutant la chronique de Guy Carlier qui me fait beaucoup rire.
La salade pour ce soir est déjà lavée. Je mange de bon appétit face à la fenêtre pour découvrir les premières gouttes de pluie.
La vaisselle. Je mets le couvercle sur le wok contenant les légumes. Je déplie la pâte feuilletée pour la plier une seconde fois.
Il est 13 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je me livre corps et âme à ma passion dévorante. Cris de satisfaction.

Du bruit. Il est 15 h30. Clémentine entre dans l'atelier en s'écriant : < Je t'aime Julien ! >. Elle se précipite dans mes bras.
J'anticipe toujours ses débordements de joie en posant ma palette et mes pinceaux sur la table valet à ma droite. Des bises.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. D'amusantes anecdotes étudiantes qui me font parfois bien rire.
Gauvin qui drague Estelle au point de s'imposer à la table des deux filles au moment du dessert. Ma compagne qui les laisse.
< Lorsqu'il arrive, je me lève en prétextant les toilettes et je ne reviens plus. Je me fous de leurs histoire ! > fait Clémentine.

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Estelle aime bien être courtisée et ça ne la laisse pas indifférente ! >
Assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, Clémentine continue sa journée de travail loin d'être terminée.
Parfois l'un se lève pour venir voir ce que fait l'autre. Autant de prétextes pour se faire des câlins. Il est rapidement 18 h45.
Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Clémentine range ses notes et prépare ses affaires pour demain matin. Avec méthode.
Nous sommes tous deux méthodiques. Nous aimons évoluer dans un environnement bien rangé, propre. Tout est à sa place.

Nous allons à la cuisine. La pâte feuilletée est onctueuse. Une réussite. C'est l'avant dernière du congélateur. Il faut prévoir.
Clémentine découvre avec émerveillement le menu de ce soir pour la venue de Juliette. < Miam ! > fait elle serrée contre moi.
Je déplie la pâte. Je réchauffe la Béchamel contenant le saumon grillé et finement émincé. J'y rajoute du gruyère de Comté.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Je l'aide à préparer la décoration de la table monastère au salon. Bougies.
Nous déplions le chemin de table en lin écru pour y déposer les assiettes anciennes en grès, les couverts laitonnés. Les verres.

Le chandelier à trois branches est posé au milieu de la table. Je serais assis en bout de table. Clémentine insiste pour m'y voir.
Elle sera installée à ma gauche. Nous mettrons Juliette à ma droite. Clémentine vient se frotter contre moi. L'infinie tendresse.
Elle me chuchote : < Je suis follement excitée, si tu savais ! Je vais avoir un comportement de salope ce soir ! >. Des bisous.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Devant Juliette, je vais te toucher ta braguette ! Je peux ? >. Poilade.
Tout est prêt. Le feuilleté de saumon est au four. Les légumes d'accompagnement cuisent à feu doux. L'odeur est enivrante...

Nous montons nous habiller. Clémentine porte un pantalon à plis, à pinces. Un chemisier aux manches bouffantes. L'élégance.
Sur sa demande je porte mon pantalon en cuir noir, "moule burnes", un chemisier à manches bouffantes et mes bottes noires.
Clémentine m'entraîne devant le miroir. < Tu es mon mousquetaire ! Regarde comme on est beaux tous les deux ! > fait elle.
Je me sens un peu ridicule dans cet accoutrement "romantique" mais que ne ferais-je pas pour contenter ma compagne. Bises.
Trois coups de sonnette. Il est 19 h45. Nous descendons à toute vitesse. Clémentine va ouvrir. Elle revient avec Juliette. Belle.

Clémentine débarrasse Juliette de son manteau, nous nous serrons la main. La jeune femme est d'une élégance folle. Superbe.
Vêtue d'un tailleur noir, d'un chemisier blanc et d'une cravate sous sa veste blaser noire. Des souliers fermés et à talons hauts.
Je la félicite pour sa tenue. Ses cheveux presque noirs attachés en chignon. Elle est absolument magnifique. Et presque sévère.
Elle me félicite pour ma tenue fantaisiste. < Vous êtes d'un romantisme médiéval ce soir ! > dit elle. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine invite Juliette à passer au salon. Je fais le service. Elles sont toutes deux à bavarder lorsque j'apporte les plats. Joie.

Le feuilleté de saumon, accompagné de ses légumes est un véritable régal. Un festin précise Juliette qui exige la recette. Bien.
Seule la lueur des bougies éclaire la table. Le jeu des ombres participe de cette ambiance qui pousse aux révélations secrètes.
Nous bavardons. La conversation glisse rapidement sur les écuries. Juliette nous apprend que le trou dans le mur a été fermé.
< Je suis allée voir dans le local de monsieur Gérard, il a posé une sorte de petite plaque de métal fixée par une vis ! > dit elle.
Juliette continue : < On peut la faire pivoter vers le haut pour dégager le trou. C'est astucieux ! >. Nous en rions de bon cœur.

Juliette nous explique la nouvelle stratégie à suivre pour pouvoir nous amuser malgré tout lors de nos aventures aux écuries.
< Au dessus du box, vous aurez remarqué que le plafond est plus bas. Il couvre également le local de Gérard ! > fait Juliette.
Elle continue ses explications : < Il suffit de monter sur ce plancher pour pouvoir observer ce qui se passe depuis en haut ! >
< C'est pas con ! > fait Clémentine. < Je m'occupe personnellement de tout. Il faut juste rester silencieux ! > rajoute Juliette.
Je remercie Juliette pour son aimable participation et pour sa délicate complicité. Ce qui nous fait rigoler comme des bossus !

< Si vous passez prochainement, je vous fais voir l'endroit. Il faut y monter avec l'échelle fixée au fond du box > fait Juliette.
< Demain ? C'est possible, en fin d'après-midi ? > demande Clémentine. < Oui. Et je vous attend pour 18 h15 ! > fait Juliette.
< Nous allons récupérer Estelle pour 18 h et nous passons immédiatement ! > précise Clémentine. Nous organisons le tout.
Cela semblé réglé dans le moindre détail. < Et je ferais le nécessaire afin de ne pas êtres dérangés ! > précise encore Juliette.
Le repas se déroule ainsi dans la joie. C'est un peu comme si nous préparions tous les trois une bonne blague. Belle complicité.

Juliette, une fois encore, avec son extrême retenue, nous confie à quel point elle a développé un véritable voyeurisme malsain.
< Je suis devenue la proie d'une véritable obsession vicieuse. J'aime voir et regarder en restant cachée ! > nous raconte t-elle.
Clémentine lui fait : < Bienvenue au "Club" ! >. Nous rions de bon cœur. Je dis : < Et si on s'organisait des mises en scène ? >
Juliette me fixe d'un étrange et pénétrant regard. Je suis soudain un peu gêné. Il y a un silence. Clémentine me fait du pied...
< Excellente suggestion ! > finie par dire Juliette avant de rajouter : < Que proposez vous ? >. Je ne sais quoi dire. Un silence.

C'est Clémentine qui lance une idée : < On se fait un "plan" ensemble, aux écuries ! >. < Trop dangereux ! > répond Juliette.
Je dis : < Et planquée dans un placard, ici, chez nous ? >. Il y a un nouveau et long silence. Juliette nous scrute tous les deux.
Je me sens un peu con. Aurais-je dis une connerie ? Clémentine me prend la main. Nous nous regardons tous les trois. Silence.
< Je vais bien y réfléchir ! Laissez moi un peu de temps. J'arrive en fin de saison et je vais avoir plus de temps ! > fait Juliette.
Je débarrasse. Les énormes coupes glacées remportent un succès. Il est 22 h. Juliette insiste pour faire la vaisselle avec nous.

Je plonge. Juliette et Clémentine essuie. Il flotte dans l'air une curieuse atmosphère. A la fois excitante, mystérieuse et lourde.
J'essuie mes mains. Juliette ne va pas tarder à prendre congé. Clémentine se serre contre moi. Juliette nous observe amusée.
< Vous avez de la chance tous les deux. la différence d'âge est un étonnant privilège qui vous permet les folies ! > fait Juliette.
< Profitez de la situation ! > lance Clémentine. Nous nous observons. C'est terriblement excitant. Clémentine touche mon sexe.
Juliette observe la main de ma compagne posée sur ma braguette. Mon pantalon en cuir est hyper moulant. On voit ma bosse.

< Je crois que tout ce qui s'annonce s'avère très passionnant ! > fait Juliette en enfilant son manteau. Nous la raccompagnons.
Nous nous serrons la main dans le froid de la nuit. Nous regardons Juliette monter dans sa voiture. Elle manœuvre. Prudente.
< Sors ta bite ! > me chuchote Clémentine. Après un instant d'hésitation, je descends la tirette. J'en tire mon sexe. Je bande.
Clémentine s'en saisit à sa base. Il me paraît encore plus long à cause de mon pantalon noir et moulant. Juliette le découvre.
Elle s'apprête à monter doucement le chemin jusqu'à la route. Elle s'arrête pour nous observer. Clémentine agite ma queue...

En haut du chemin, Juliette ouvre la vitre. Elle nous observe avec un curieux sourire. Un long moment. Elle lève son pouce.
Juliette démarre doucement. La voiture disparaît derrière les épais cyprès. < Put-Hein ! C'est génial ! > s'écrie Clémentine.
Nous rentrons à toute vitesse pour monter. Les toilettes. La salle de bain. Nous sommes excités comme rarement. Superbe.
Un "69". Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Immobiles. Clémentine murmure des choses.
J'écoute comme halluciné les révélations de ma compagne. L'avenir est prometteur. Cunnilingus. Fellation. Orgasmes. Dodo.

Bonne soirée avec votre invitée à toutes les coquines qui apprécient les moments excitants et très prometteurs...

Julien - (Qui bande comme le dernier des salauds au risque de faire monter dangereusement sa tension) -

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Estelle est pressée de découvrir les révélations de Juliette

Hier matin, jeudi, nous nous étirons en même temps. En même temps encore nous concluons nos gémissements du même cri.
< Bonjour mon amour ! >. Nous rions de bon cœur tout en nous serrant fort. Clémentine me chevauche en riant. Papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner.
Il est 6 h. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de la soirée de hier et des révélations de Juliette. Notre amie.
< Nous pouvons l'appeler ainsi, tout en gardant une certaine réserve. Sa complicité est amicale ! > me fait Clémentine. Super.

Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Le thermomètre extérieur indique 8°. Enfin, ça monte un peu.
Pour l'hiver prochain j'envisage d'acquérir deux tapis roulant de course. Nos joggings nous manquent tant. Un projet commun.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. La séparation difficile.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h45. Je rentre au chaud.
Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.

Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins envahi d'une passion dévorante. Je termine demain cette toile.
Aujourd'hui je reproduis l'éclat subtil des perles, un médaillon doré aux mille reflets et le bleu lapis lazuli d'un magnifique camé.
Autant de défis qui font appel à toute ma virtuosité et à mon infinie patience. Je pousse de splendides cris les plus surréalistes.
Lorsque je remporte une nouvelle victoire, je me lève pour entamer une danse de guerrier Sioux autour de mon chevalet. Joie.
C'est dans cette enchantement paradisiaque que se déroule cette matinée dont le temps m'échappe totalement. A tout jamais.

Il est midi. Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte pour les pizzas de ce soir. Cela me permet de reprendre mes esprits. Epuisé.
Je prépare mes pâtes avec de la farine complète dans laquelle j'introduis du gruyère de Comté et le jus d'un ail pressé. Fluide.
Je laisse reposer la boule longuement pétrie dans le saladier, couverte sous un linge, dans l'endroit le plus chaud de la cuisine.
J'émince de l'ail, de l'oignon, de la ciboulette. Je coupe des tomates fraîches. Je fais la garniture des pizzas dans le Wok. Mieux.
Je lave une belle salade. Pour midi, je fais du millet doré. Je récupère un peu de garniture pour en faire ma sauce. Un délice...

Dehors, le ciel reste gris mais lumineux. Il y a quelques rares séquences ensoleillées. La vaisselle. Je range la cuisine avec soin.
Il est 13 h15. Me voilà enfin de retour dans l'atelier, confortablement installé devant le chevalet, me livrant à ma passion folle.
Du bruit. Il est 15 h30. Clémentine entre dans l'atelier. < Bonjour Julien ! > fait elle en se précipitant pour m'embrasser. Bises.
J'anticipe son exubérance en posant ma palette et mes pinceaux. Estelle, après son pissou aux toilettes arrive à son tour. Joie !
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Estelle, assise en tailleur sur un coussin posé au sol, nous écoute...

Je lui dis : < Parle moi donc de ce Gauvin qui te drague effrontément tous les jours, au restaurant universitaire ! > Un silence.
Nous rions de bon cœur. Estelle reste évasive. Elle me répond : < Rien de sérieux ! Il m'invite à assister à une compétition ! >.
Gauvin, 24 ans, grand gaillard musculeux, pratique les Arts martiaux. Pour dépasser la ceinture noire, il faut des compétitions.
Estelle, grande sportive ne reste évidemment pas insensible à cette invitation. Nous l'encourageons à y répondre favorablement.
Assises à la table, entourées de leurs affaires, concentrées devant l'ordinateur, les filles travaillent à leur mémoire. Page No 5 !

Je peins dans un enthousiasme délirant encore décuplé par la présence des filles. Parfois l'un se lève pour venir voir un autre.
Estelle, debout derrière moi, me dépose de délicats bisous dans le cou. Lorsque c'est Clémentine, c'est sur les joues. Merveille.
Lorsque je viens regarder ce que font les filles, Clémentine m'explique ce que je vois à l'écran. Formules de valeurs atomiques.
C'est passionnant. Je dois admettre que je dois faire de considérables efforts pour comprendre qu'il est question de structures.
La densité, la valeur des différents assemblements atomiques. C'est affolant. Nous travaillons ainsi jusqu'en fin d'après-midi...

Il est 19 h. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Je fais réchauffer la garniture des pizzas. J'y rajoute des dés de Roquefort.
Estelle est la première à me rejoindre. Elle me palpe la braguette et me dis : < J'aimerais que tu m'apprenne à baiser ! >. Rire.
Je lui réponds en passant ma main entre ses cuisses. < Tu sais bien qu'il n'en est pas question. Interdit. Et par Clémentine ! >
< Je m'engage en terrain inconnu alors ! > me fait Estelle en étalant une pâte onctueuse qui se laisse travailler avec facilité.
Clémentine arrive à son tour. Elle se serre contre moi, dans mon dos, en entourant ma taille de ses bras. Je touille la garniture.

Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade. Je verse la garniture sur les trois surfaces de pâte largement étalées.
J'y dépose de fines lamelles d'un avocat. Des olives noires à la grecque préalablement dénoyautées. Un peu de Parmesan râpé.
Estelle place le tout au four sur trois étages. Je mets la table. Clémentine nous entraîne au salon. Nous voilà vautrés. Canapé.
Clémentine à ma droite. Estelle à ma gauche qui palpe ma braguette. Nous évoquons notre soirée de hier avec Juliette. Sympa.
Clémentine raconte les arguments développés par Juliette. Ce qui va nous permettre de continuer nos aventures aux écuries.

Estelle nous fait part de ses ressentis. < Imagine un peu que Juliette était planquée la haut, à nous mâter ! Pas impossible ! >
Nous avions envisagé cette possibilité. < Ce n'est pas exclu puisque Juliette avoue être voyeuse ! > fait Clémentine. Rigolade.
< En tous cas le palefrenier t'a vu sortir des écuries. Il se croyait seul avec nous. Il faut changer la formule ! > conclue Estelle.
C'est sur ce constat que la proposition de Juliette s'avère la plus logique. Nous sommes invités à venir visiter les lieux demain.
< Nous devions y aller ce soir, mais Juliette a annulé. Débordée de travail. C'est la fin de la saison ! > explique Clémentine...

Estelle a glissé sa main dans ma braguette qu'elle a déboutonnée. Je bande mou. Je l'aide à sortir mon sexe. Il est mollasson.
< Je peux avoir mon digestif après ? > demande Estelle. < Prend ton apéritif d'abord ! > lui fait Clémentine. Je bande un peu.
Nous en rions de bon cœur. Estelle se laisse glisser au sol entre mes jambes. Elle hume longuement les odeurs de ma journée.
Clémentine saisit mon sexe. Entre son pouce et son index elle fait coulisser doucement la peau de mon prépuce vers le bas.
Me voilà à demi décalotté. Il y a du frome granuleux qui s'étire dans un mucus visqueux le long de mon gland violacé. Odeurs.

La puanteur ignoble nous monte aux narines. Sur la demande de Clémentine, je ne me décalotte pas sous la douche. Pas lavé.
Estelle fait une grimace horrible tout en continuant à renifler. Son nez à faible distance de mon gland. Elle commence à lécher.
Elle me montre ce qu'elle récupère sur le bout de sa langue. Clémentine a passé une main dans sa culotte. Son spectacle favori.
Je tiens Estelle sous le menton. Je lui passe la bite autour de la bouche. Je lui mets du fromage sur les lèvres. C'est écœurant.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Les pizzas sont de toute beauté et l'odeur achève de nous enivrer. Bon.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le sujet de la conversation reste la visite prochaine des écuries. Stratégie.
Estelle nous montre les différentes photos des coulures de foutre sous le trou dans le mur. L'évolution des différentes taches.
Les couches qui maculent aussi bien le sol que la cloison. En bouffant, c'est un peu gerbeux mais nous en rions de bon cœur.
La vaisselle. Estelle plonge, nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. < Mon digestif ! > fait Estelle, main dans ma braguette.
Clémentine s'interpose et nous entraîne au salon. Estelle se met immédiatement à genoux sur le coussin qu'elle a posé au sol.

Clémentine m'entraîne devant Estelle dont le visage est à la hauteur de ma braguette. Ma compagne me sort la bite. Mollasse.
Elle la passe sur le visage d'Estelle qui nous en présente chaque relief en gloussant de joie. Je lui macule la gueule de fromage.
< On a des fringues de rechange ! > fait Clémentine penchée en avant pour bien observer ce qu'elle fait de mon sexe dégueu !
Je comprends immédiatement le message. Estelle aussi d'ailleurs qui me fixe soudain avec une certaine méfiance. La coquine.
Clémentine dirige ma queue. Elle reste immobile. Je bande mou. Je dois pisser depuis des heures. Nul besoin de me concentrer.

Je lâche un premier jet. Net, court, précis, qui vient se briser sur le visage d'Estelle qui a tout juste le réflexe de tourner la tête.
Un second jet. Cette fois Clémentine tient fermement Estelle par ses cheveux attachés en catogan. Je lui pisse dans la bouche.
Clémentine rapproche le visage d'Estelle pour lui enfoncer ma queue dans la bouche. Je lâche un nouveau petit jet en sournois.
Je regarde cette adorable jeune fille qui vient d'avoir 21 ans entrain de déglutir mes petits jets de pisse parfaitement contrôlés.
Clémentine, toujours penchée en avant pour bien regarder ce qui se passe, me tient le sexe à sa base. Je commence à bander.

Je me fais tailler une pipe des familles. Estelle pousse de petits cris de ravissement. Mes "mélanges" semble l'enchanter. Joie.
Clémentine se redresse, passe une main dans sa culotte et se serre contre moi. < Je t'aime ! > me chuchote t-elle. Bonheur.
Nous restons ainsi un long moment. Pour soulager mes lombaires qui commencent à être douloureuses, je change de position.
Il est 21 h. Je force Estelle a cesser sa pipe gourmande. Elle a du liquide séminal plein la bouche qu'elle ouvre pour me montrer.
Je la force à se redresser. Nous avons encore du travail. Clémentine reprend ses esprits et nous entraîne à l'atelier. Du boulot.

Il est rapidement 22 h15. Il faut ramener Estelle. La séparation est difficile. Je lui rappelle qu'on vient la chercher demain 18 h.
Visite des écuries avec Juliette. Situations vicelardes prévisibles et restaurant en soirée. De quoi consoler Estelle. Des bisous.
Sur les trois petits kilomètres du retour, Clémentine me suce avec passion. Nous montons aux toilettes. La salle de bain. Le lit.
Nous nous chauffons avec un "69" avant que je ne m'introduise dans la fille avec d'infinies précautions. Immobiles. Confession.
J'écoute les étonnants secrets que me chuchote Clémentine. C'est hyper excitant. Cunnilingus. Fellation. Orgasmes. Et le dodo.

Bonne soirée pizzas à toutes les coquines qui aiment prendre un apéritif au foutre avant et un digestif à la pisse après...

Julien - (Qui se répand dans la bouche d'Estelle avec de savoureuses giclées de "mélange" qui la ravissent. Le salaud) -

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L'anniversaire de Clémentine qui s'annonce...

Hier matin, vendredi, nous sommes tirés de notre sommeil par le concerto romantique pour violoncelle de Robert Schumann.
< Mais ta gueule Roro ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rions de bon cœur en nous serrant très fort.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche. Rire.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous descendons jusqu'à la cuisine. Il est déjà 6 h.
Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans une agréable odeur de pain grillé.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Comme tous les vendredis, Clémentine finit à midi. Début du Week-End.
Dimanche, ce sera l'anniversaire de Clémentine. Elle aura 21 ans. Aussi, je lui propose d'aller choisir son cadeau aujourd'hui.
< J'ai du boulot, il faut que je mette la sixième page de mon mémoire au propre. On peut y aller demain plutôt ? > fait elle.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos et charges additionnelles. Intensité maximale.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le ciel est lumineux.

Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je monte faire le lit.
Je redescends faire la vaisselle avant de passer dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. 8 h15.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je termine ce matin la vingt et unième toile destinée à ma saison d'été. Formidable.
Je peins dans un enthousiasme dithyrambique. Ce sont les derniers coups de pinceaux qui se doivent êtres les plus sublimes.
Les dernières touches les plus subtiles. Je porte ma loupe frontale. Je pousse les cris les plus surréalistes. Proche de l'extase.

Il est onze heures lorsque je dépose mon tableau sur le petit chevalet pour placer une toile vierge sur le grand chevalet. Bien.
Je commence le dessin préparatoire de ma vingt deuxième toile. Une scène de genre. Deux personnages dans un intérieur.
Une fois encore je situe la scène au XVIIème siècle. Une dame assise au clavecin. Un homme debout à sa droite qui l'écoute.
C'est Clémentine qui me prêtera les traits de son visage. Ce sera donc elle qui sera assise dans le tableau. Je suis à me réjouir.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Les filets de lieu noir ont décongelé dans leur Tupperware au bas du réfrigérateur.

Je casse un œuf dans une assiette. J'y rajoute du Parmesan finement râpé. Presque de la poudre. Dans une autre la chapelure.
J'émiette deux biscottes, je rajoute du curcuma, du sel de Guérande et des graines de sésame grillé. Le tout avec la chapelure.
Du bruit. Il est 12 h15. Clémentine arrive. < Week-End ! > s'écrie t-elle en se précipitant dans mes bras. Je la soulève. Bisous.
Dans le Wok, je fais cuire les haricots verts avec l'ail, l'oignon, la ciboulette et les champignons finement émincés. Des bolets.
Clémentine s'occupe de la salade et son assaisonnement. Elle me raconte sa matinée. Ce sera un Week-End prolongé. Pâques.

Je trempe chacun des deux filets de lieu noir dans l'œuf puis dans le mélange de chapelure. Les voilà donc correctement panés.
Je les fais revenir à la poêle sans cesser de les retourner rapidement afin de les saisir dans une cuisson lente et en profondeur.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine aimerait beaucoup aller en ville cet après-midi mais il lui faut terminer son travail.
Ainsi elle pourra rester sereine durant tout le Week-End de Pâques, jusqu'à mardi. Et Estelle en passera une partie avec nous.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon en se déboutonnant. Joie.

< Un peu de réconfort, après l'effort ! > me fait elle en retirant son jean et sa culotte. Je me mets à genoux sur l'épais coussin.
Entre ses cuisses largement écartées je hume longuement les effluves parfumées de sa matinée de fille. Les odeurs enivrantes.
Les poils me chatouillent le bout du nez, les joues et le menton. Du bout de ma langue, je fouille les plis des lèvres de son sexe.
C'est mon dessert. Ce goût légèrement vinaigré, acidulé, un peu piquant. Les premières coulures de cyprine. De quoi se régaler.
Nous restons ainsi un long moment. Clémentine me tient par les oreilles. Je décalotte son clitoris géant du bout de mes lèvres.

Il me faut être vigilant. Nous allons jusqu'aux extrêmes limites. Et juste avant l'orgasme. Clémentine me repousse doucement.
Nous voilà excités pour le restant de l'après-midi. Clémentine reprend ses esprits, me tend ses mains avec un profond soupir.
Je l'aide à se redresser. Nous filons à l'atelier. Clémentine, assise à la table, entourée de ses affaires et devant l'ordi, travaille.
Il est quinze heures. Je termine le dessin préparatoire de ma nouvelle toile. Il est rapidement 17 h30. Mon téléphone sonne...
Clémentine s'en saisit. C'est Estelle. Nous mettons nous anoraks. Nous récupérons Estelle dans l'arrêt de bus habituel. 17 h45.

Nous voilà en route pour nous rendre au haras. Juliette nous attend pour 18 h. Elle est dans la cour avec un couple de cavaliers.
Je gare la voiture. Nous marchons un peu le long des écuries. Juliette vient nous rejoindre toute contente. Nous nous saluons.
La jeune femme nous entraîne directement dans notre écurie habituelle. < Nous sommes seuls, j'y ai veillé ! > nous fait Juliette.
Nous entrons dans le petit local du palefrenier. Effectivement, comme Juliette nous l'avait décrit, le trou rond est fermé. Obturé.
C'est un simple couvercle d'une boîte de conserve, soigneusement découpé, qui est fixé par une vis. Il suffit de le faire pivoter.

Estelle fait tourner le couvercle vers le haut et me dit : < On passe de l'autre côté, fais nous voir si tout est bien fonctionnel ! >
Clémentine me fait : < Oh oui, faisons un test ! >. Je suis là, un peu comme un con, regardant les trois filles sortir du bureau.
Je les entends rire derrière la cloison. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je le fais passer par l'ouverture en faisant gaffe.
Je relève bien le couvercle. Je ne voudrais pas me couper. Je me rends compte que les bords ont été soigneusement poncés.
Je bande mou. Une des coquines a ma bite en bouche. On me suce là derrière. Cela ne dure qu'un instant. Estelle qui revient.

< Devine qui c'était ? > me fait elle en même temps que reviennent Clémentine et Juliette. Nous rigolons comme des bossus.
Juliette nous invite à la suivre. Nous retournons dans le box. Mon téléphone sonne. Clémentine le prend. C'est le restaurant !
Nous réservons la table habituelle pour trois et pour 19 h45. Juliette monte l'échelle qui est fixée au fond du box. Nous suivons.
Nous sommes sur un plancher d'épaisses planches. Il y a quantité de cartons rangés. < Les décorations ! > nous fait Juliette.
Il y a là, dans leurs cartons, les guirlandes, les ampoules et toutes les décorations pour les fêtes. Juliette s'accroupit. Sourire.

Du doigt elle nous montre deux trous. Le premier permet de voir le box vide. Le second permet de voir le local de Mr Gérard.
< Mais comme c'est vicieux ! > s'écrie Estelle en se mettant à quatre pattes pour regarder par un des trous. C'est surprenant.
Juliette se redresse et nous fait : < Alors ? Vous saisissez ? Endroit idéal, non ? Il faut juste éviter de faire craquer le sol ! >
Estelle qui tutoie Juliette comme elle le fait rapidement avec tout le monde, demande : < Toi, tu viens mâter les pipes ici ? >
Juliette se contente d'un énigmatique sourire. Je lui fais un clin d'œil. Elle me lance un regard par en dessous, bien vicelarde.

Clémentine à qui rien n'échappe me saisit par la main. Un peu comme pour marquer son territoire. "Chasse gardée". Méfiante.
Nous redescendons l'échelle métallique avec précaution. Nous voilà de retour dans la cour. Nous prenons congé. Salutations.
Nous nous serrons la main. Nous promettons à Juliette de venir voir la dernière animation de la saison, dimanche. Au revoir !
Il est 19 h30 lorsque nous arrivons au restaurant de l'étang. J'ai beau demander aux filles qui m'a sucé, elles restent secrètes.
Nous faisons le tour du petit étang. Le jour va laisser place à la nuit qui ne va pas tarder. La jeune serveuse nous accueille...

Nous sommes assis à notre table habituelle. Il y juste trois autres couples disséminés dans la salle. Nous prenons commande.
La jeune serveuse bavarde avec nous. Estelle et Clémentine évoquent leurs études. Les trois filles comparent leurs stratégies.
J'écoute avec beaucoup d'intérêt. La jeune serveuse nous donne son véritable prénom, levant un peu du mystère. C'est Julie.
Nous dégustons nos plateaux de fruits de mer. Bavardages. Sur la demande de Clémentine, sous la table, j'ai sorti mon sexe.
Ma compagne coince le coin de la nappe sous la corbeille à pain. Ainsi, depuis le comptoir, la jeune serveuse peut en profiter.

Estelle faisant tomber sa serviette au sol, se lève pour venir s'accroupir à côté de la table. Elle me tient discrètement la bite.
Julie, depuis le comptoir, observe la scène. Estelle me secoue la queue en regardant la serveuse. Je bande comme un salaud.
Estelle revient s'assoir. Clémentine me fait : < Viens, on descend tous les deux aux toilettes ! >. Nous nous levons tous deux.
Julie nous regarde en nous souriant. Elle doit s'occuper d'un couple qui vient d'arriver. Clémentine m'entraîne par la main...
Nous descendons l'escalier. Nous entrons dans les toilettes homme. Nous laissons la porte entrebâillée. Les sens aux aguets.

Clémentine observe le sol. Le carrelage est d'une propreté exemplaire. Elle s'y met à genoux pour me sucer avec gourmandise.
Je suis pris de vertige. L'excitation est telle que je dois me retenir au mur. Un bruit de pas. Je suis mort de trouille. C'est qui ?
C'est la jeune serveuse. Elle tombe sur le "spectacle". Elle reste comme consternée. Elle s'avance, penchée en avant pour voir.
Clémentine cesse de pomper pour lui présenter ma bite. < Venez, elle est à point ! > fait ma compagne à Julie hésitante. Bien.
Je devine son désir de s'accroupir aux côtés de ma compagne. Elle regarde mon sexe trempé qui dégorge de liquide séminal...

Je dis : < Viens, suce un peu, profite, c'est que pour toi ! >. Julie s'accroupit. Soudain, un bruit de pas. Les filles se redressent.
J'ai le temps de remballer ma bite. C'est un des clients qui entre dans les toilettes. Il a un regard étonné en nous découvrant là.
Nous remontons tous les trois. Nous racontons à Estelle ce qui a failli se passer aux chiottes. < Put-Hein c'est génial ! > dit elle.
Il y a d'autres clients qui arrivent. Il faut être prudents. Il n'y aura pas d'autres opportunités. Il est déjà 22 h45. Il faut rentrer.
Julie trouve tout de même un instant pour nous raccompagner. Sur le pas de la porte, Clémentine me tient la bite. Estelle aussi.

Il n'y a pas de doute, ce que vit Julie, lors de nos visites, ne l'a jamais autant troublé que ce soir. Elle a failli s'y mettre aussi.
Je la découvre émue autant que troublée. Nous nous serrons la main. Je lui dis : < Viens sucer un de ces soirs ! >. Un silence.
Julie s'en retourne. Nous rentrons. Estelle est assise au sol dans la voiture, entre les jambes de Clémentine. Elle me pompe.
Nous la déposons près de chez elle. Nous revenons la chercher demain à 18 h. Au retour, c'est Clémentine qui pompe. Superbe.
Les toilettes. La salle de bain. Un "69". Nous baisons à notre façon. Clémentine me confie d'étonnantes révélations. Puis dodo...

Bonne découverte de l'installation vicelarde dans vos écuries préférées à toutes les coquines qui sucent dans les chiottes...

Julien - (Qui a d'abondants épanchements de foutre dans les endroits les plus divers, les plus étranges et les plus glauques) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 379 -



Un Week-End "prolongé" des plus agréables

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par un léger froissement régulier. J'ouvre discrètement un œil. Sans bouger.
Là, sur ma gauche, couchée sur le ventre, Clémentine se masturbe en essayant d'être la plus silencieuse possible. Il est 7 h.
J'admire en faisant semblant de dormir. Hélas, le sixième sens de ma compagne est d'une redoutable acuité. Et elle me voit.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me fait elle en se serrant contre moi comme pour s'excuser. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >
< Je t'aime Julien, bonjour ! > me fait elle avant de me chevaucher en riant. Je me retrouve en elle. C'est très rare le matin.

< Oh ! C'est rentré tout seul ! > me fait elle en s'enfonçant complètement mon sexe dans le sien. Nous en rions de bon cœur.
L'impérieux besoin naturel met rapidement un terme à cette pénétration impromptue. Nous nous précipitons aux toilettes. Pipi.
Morts de faim, profitant de cette légère avance horaire, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il est à peine 7 h30.
Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Le thermomètre extérieur indique 8°. Le ciel est gris mais lumineux. Bien.
Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant dans l'agréable odeur de pain grillé. Clémentine me raconte son rêve érotique.

Il y est question des écuries, du palefrenier vicieux et de situations que la morale réprouve, mais pas nous. J'écoute amusé.
Clémentine me propose de profiter de ce temps sec pour nous offrir ce jogging tant attendu. Nous faisons la vaisselle. Propre.
Nous remontons pour nous mettre en tenue. Leggings, sweats, K-way, bonnets, gants et écharpes. Nous voila dans le jardin.
Nous courons rapidement à un rythme soutenu tout le long de notre parcours habituel. Nous avons même un peu trop chaud.
Nous sommes de retour pour 9 H15. La douche. Nous nous habillons pour aller faire nos courses. C'est notre rituel du samedi.

Clémentine porte une de ses jupes en velours carmin légèrement évasée au dessus du genoux. Un chemisier sous un pull noir.
Des collants et des souliers à légers talons. Ses cheveux noués en une longue natte qui lui arrive au milieu du dos. Ravissante.
Sur sa demande, je porte un de mes costumes en velours. Aujourd'hui le costume brun. Chemise sous un pull marron. Col "V".
Nous voilà en route pour le bourg voisin distant de trois kilomètres. Dans la voiture, Clémentine joue avec mon sexe tout mou.
Je gare la voiture. Nous faisons notre marché, provisions de nos fruits, de nos légumes chez nos petits agriculteurs habituels.

Discrètement, sous mon manteau, sur la demande de Clémentine, j'ai la braguette ouverte. Nous déambulons dans les allées.
Il y a du monde. Nous faisons provisions de fromages, d'œufs, de beurre et de yaourts chez nos petits artisans habituels. Bien.
Nous échangeons quelques bons mots avec chacun avant de revenir tout ranger dans la glacière branchée sur l'allume cigare.
Nous voilà en route pour la ville. La zone commerciale. Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. Week-End de Pâques.
Je pousse le caddie. Nous déambulons dans les allées. Nous profitons de cette confortable avance. Clémentine marche devant.

Par acquis de conscience, toujours désireuse de ne pas manquer la moindre petite opportunité d'exhibe, Clémentine m'entraîne.
Au rayon des bouquins et des magazines, il serait vain de tenter quoi que ce soit. Il y a un monde fou. Identique aux vêtements.
Il faut se faire une raison. Clémentine est légèrement frustrée. Elle est dans la tenue appropriée et sa libido la titille sévèrement.
Nous passons aux caisses. Nous flânons dans la galerie commerciale. Nous passons devant les croisillons du petit salon de thé.
Il n'y a nul part où s'offrir un petit frisson. Et ce serait bien trop risqué. Je propose à ma compagne d'aller directement en ville.

Il n'y a que quelques kilomètres jusqu'à la ville. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle à dix minutes du centre. C'est bien.
Nous allons au hasard. Nous nous arrêtons devant quelques restaurants pour y lire les menus affichés. Il est déjà midi trente.
Nous trouvons l'établissement idéal que nous connaissons un peu. Spécialités de la mer et de l'océan. Notre choix se porte ici.
Il y a peu de monde. Nous sommes assis dans la salle décorée façon "Art Déco" des années 30. C'est très sympathique. Super.
Notre choix se porte sur des quiches au crabe accompagnées de queues de langoustes grillées. Salades de salicornes. Avocat.

Le jeune serveur semble avoir un intérêt prononcé pour notre couple. Pour Clémentine certainement. Elle me le fait remarquer.
Cette belle jeune fille, au port de tête altier, élégante, accompagnée d'un jeune quinquagénaire, attire toujours l'attention. Joie.
Clémentine qui est tournée dans la direction du comptoir me commente en temps réel ce qu'elle fait de ses jambes sous la table.
J'observe discrètement le serveur qui a remarqué le manège. Trop heureux que la situation s'adresse à lui seul. C'est superbe.
Le bougre ne se doute pas de notre complicité. Je fais mine de ne me rendre compte de rien. C'est toujours très sympathique...

Clémentine, trop heureuse d'avoir enfin sous la main une "victime" consentante, se livre à son petit jeu favori. Sextraordinaire.
< Je me touche ! > me chuchote t-elle avec sa main gauche sous la table. < J'ai les cuisses écartées ! > rajoute t-elle encore.
Discrètement j'observe l'attitude du jeune gars qui semble légèrement troublé. Et le bougre s'accroupit même pour mieux voir.
Je dis : < Fais lui le test des chiottes ! >. Clémentine ne se fait pas prier. Elle se lève pour se rendre aux toilettes. Un sourire.
J'observe l'attitude du type. "Gagné" ! Il ne tarde pas à s'y rendre avec un seau et un balais serpillère. Ce n'est qu'un prétexte.

Cinq minutes passent ainsi. Clémentine vient me rejoindre. Le type revient presque en même temps. Ma compagne me raconte.
< Il est resté très correct. Même en me surprenant dans les WC homme, cambrée au dessus des urinoirs ! > me confie t-elle.
Elle me décrit la scène. Le jeune serveur pose son seau, reste silencieux, se remet de son émotion et félicite la jeune fille. Joie.
Clémentine qui reste sans bouger, ses collants et sa culotte à mi cuisses, écartant les lèvres de sa chatte pour tenter de pisser.
Bien évidemment, même concentrée, trop excitée pour y arriver, impossible de lâcher le moindre jet. Le type se met à parler.

< J'avais envie de me toucher, si tu savais ! > me confie encore ma compagne. Nous rions de bon cœur. La note. Nous partons.
Il est presque quatorze heures. Nous sommes venus en ville pour faire quelques achats. L'anniversaire de Clémentine demain.
Comme je ne sais pas trop quoi lui offrir qu'elle n'ait déjà, je lui propose de faire son choix. Nous déambulons dans les ruelles.
Il y a du monde dans le centre piétonnier. Nous faisons quelques boutiques. Clémentine me fait : < J'ai déjà tout en double ! >
Je lui propose de nous rendre dans une bijouterie. Ma compagne évoque quelquefois l'idée d'une montre à gousset à l'ancienne.

C'est dans une enseigne réputée, discrète, que nous trouvons un objet magnifique. C'est une petite montre avec un couvercle.
A l'intérieur il est possible d'y faire graver une reproduction fidèle de n'importe quelle photographie. D'y faire graver un prénom.
C'est une montre à chiffres classiques, très XIXème. En or. Elle peut se porter par une chaînette autour du cou ou dans la poche.
Clémentine se retrouve sous le charme de cette pièce unique. < Tu es fou Julien ! Je suis tellement gâtée ! > me dit Clémentine.
Toutefois, je l'encourage à prendre cet objet magnifique. Nous faisons le choix d'une photo de nous deux dans son téléphone.

Nous passons commande. Il y aura son prénom et une photo de nous deux datant de l'été dernier à Edimbourg. C'est superbe.
Nous pourrons venir récupérer la montre dès vendredi prochain. Je crois être encore plus heureux que ma compagne. Superbe.
Avec ce cadeau d'anniversaire, non seulement Clémentine joint l'utile à l'agréable mais elle possède un capital non négligeable.
< Julien, c'est mon anniversaire tous les jours avec toi depuis quatorze mois ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi.
Des passants se retournent pour observer ce couple. Cette jeune fille de 20 ans serrée dans les bras d'un homme d'âge mur...

Clémentine m'a appris à nous amuser de ces situations. Aussi, c'est avec un plaisir exhibitionniste que nous en rajoutons. Rire.
Nous passons une grande partie de l'après midi à flâner. J'arrive encore à lui offrir une belle veste en cuir noir cintrée à la taille.
Clémentine a craqué devant l'élégance raffinée de cette veste en cuir fin, très classique, mais tellement belle. Un autre cadeau.
Il est temps de revenir. Dans la voiture Clémentine joue avec mon sexe en me chuchotant plein de douceurs. Quelques secrets.
Nous récupérons Estelle pour 18 h dans l'arrêt de bus habituel. Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte.

Nous voilà à la maison. Estelle nous aide à ranger les courses. Nous montons nous changer. Nous redescendons vêtus maison.
Jeans et chemises à carreaux, comme Estelle. Pour ce soir, tomates farcies au pâté de lentille et aux crevettes fraîches. Super.
Un gratin de coquillettes et une belle scarole que prépare Clémentine. Nous bavardons. Les filles évoquent leurs chères études.
Pendant que tout est au four, nous passons au salon. Estelle nous fait part de son désir de vivre des choses "étonnantes". Rire.
Je passe derrière le bureau. Du tiroir du bas, je sors les menottes, les cordelettes de coton blanc. Je les lui montre. Le silence.

< C'est pour après le repas ! > que je lui fais. Elle se lève du canapé pour saisir le collier canin. < Mets le moi ! > me fait elle.
Je le lui passe autour du cou. J'y fixe la laisse qu'elle tend. Je lui demande de se mettre à quatre pattes. Ravie, elle s'exécute.
Je l'entraîne pour lui faire faire le tour de la grande pièce. Parfois, à l'angle d'un meuble, elle s'arrête pour lever la patte. Joie.
< Notre petit animal de compagnie va faire son pissou pour de vrai après le repas ! > lui fait Clémentine qui m'a pris la laisse.
Je me penche pour passer ma main entre les cuisses d'Estelle qui les écarte. La sonnerie du four. Clémentine entraîne Estelle.

Nous mangeons de bon appétit. La conversation reste axée sur les écuries et monsieur Gérard, le palefrenier vicelard. Rires.
Nous envisageons un nouveau stratagème pour les jours à venir. Ce sera avec la complicité active de Juliette. Réjouissances.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Je prends la laisse qui pend dans le dos d'Estelle. Joie.
Je l'entraîne aux toilettes. Je lui dis : < Tu pisses ! >. Clémentine est venue nous rejoindre. Une main dans son jean. Silence.
Estelle reste assez gênée, malgré tous ces mois de "pratique" où nous l'avons mis dans de nombreuses situations ambiguës.

Je donne un à coup sur la laisse. Clémentine lui déboutonne le jean. Estelle s'écrie : < Non ! >. Je lui tiens les mains. Fort.
< T'as encore une culotte dégueulasse, hein, salope ! > lui fait Clémentine. Estelle se débat avec force. Je lui mets une gifle.
Clémentine se précipite au salon pour en revenir avec les menottes. Elle fixe les poignets d'Estelle derrière son dos. Silence.
Ma compagne descend rapidement le jean et la culotte d'Estelle que je maintiens droite en tirant sur la laisse vers le haut.
Je lui dis : < Tu voulais une situation étonnante, n'est-ce pas ! >. Estelle tente de m'embrasser. Je l'en empêche. Une gifle.

Nous arrivons enfin à la faire s'assoir sur la lunette des toilettes. Clémentine me montre l'état de la culotte. C'est dégoûtant.
L'odeur du sexe d'Estelle est âcre. Une forte odeur de pisse et d'intimité. Excitée comme rarement, Estelle ne peut pas pisser.
Je passe ma main entre ses cuisses. Je joue un peu avec mes doigts à l'entrée de son sexe. Estelle a un regard très sévère.
J'enfonce mon index. Elle a un sursaut avant de pousser un petit cri de surprise. < Pucelle, mon œil ! > que je lui chuchote.
< Autant que moi ! > fait Clémentine ! < Vous êtes salauds tous les deux, je vous jure que c'est vrai ! > répond Estelle. Vive.

Je lui dis : < C'est à force de t'enfoncer des trucs, hein, à force de te branler quand t'es toute seule ! >. Estelle ne répond pas.
Son regard plein de reconnaissance, elle se laisse doigter. Gloussant. Sous ses apparences innocentes, c'est une fille vulgaire.
Elle me l'a tellement répété que j'en ai, une fois encore, la preuve absolue. J'agite mon doigt en exerçant une pression. Forte.
Stimulant une envie de pisser qu'Estelle ne peur réfréner, elle me pisse sur la main. Pisse chaude, comme bouillante. Piquante.
Clémentine, à genoux, la main dans sa culotte, se masturbe en observant la scène. Estelle se lâche dans un écoulement fou...

Je la torche avec un bout de papier. Je me redresse, je la force à me suivre au salon. Elle marche avec la culotte aux chevilles.
Je la fais tomber dans le canapé. Clémentine vient nous rejoindre sans cesser de se toucher. Elle lui retire les menottes. Bien.
Je retire le jean et la culotte d'Estelle qui se pâme de plaisir. A genoux sur le coussin, je lui broute le minou. Goût dégueulasse.
Il y a toujours cet arrière goût fade et oppressant. Il y a cette odeur de fille négligée. Et pourtant, cela m'excite au possible !
Clémentine a passé sa tête entre le canapé et ma braguette ouverte, sous la jambe d'Estelle pour me sucer avec avidité. Bien.

Estelle n'a pas la volonté ni le caractère pour se dominer longuement. C'est un peu dommage. Elle a rapidement un orgasme.
Je lui enfonce l'index. Elle tente de repousser ma main. Je l'en empêche. Estelle pousse un long râle qui se termine en soupir.
La tête rejetée en arrière, terrassée par cet orgasme divin, elle me tient par les mains. Les yeux fermés, elle respire à nouveau.
Clémentine me tête comme une assoiffée tout en se touchant, couchée sur le côté dans une position plutôt inconfortable. Belle.
Je me redresse pour m'assoir à côté d'Estelle. Clémentine est à genoux entre mes jambes. Elle me taille une pipe des familles.

Estelle a posé sa tête sur mon épaule. Je ne tarde pas à m'apercevoir qu'elle s'est endormie depuis un bon moment. Ronflette.
Je passe ma main sous le menton à Clémentine, je lui sors ma bite gluante de la bouche pour lui faire voir Estelle qui roupille.
Nous passons encore un petit moment ainsi. Il est 22 h30. Je force Clémentine à cesser. Je me relève. Je m'empare d'Estelle.
Je la porte pour monter l'escalier. Nous allons directement au lit sans passer par la salle de bain. Je déshabille Estelle. Au lit.
Elle ne s'est même pas réellement réveillée. Clémentine et moi, nous baisons. Immobiles. Cunnilingus. Fellation. Et puis dodo.

Bonne soirée à vous faire tripoter à toutes les coquines qui aiment se faire toucher par le mec de leur collègue étudiante...

Julien - (Toujours prévenant, galant homme, gentleman et bien élevé, il s'occupe d'Estelle avec précaution. Bien vicelard) -

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Je cache mes œufs dans le jardin

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des chuchotements, des murmures, des rires étouffés. Sympathique.
On me tient par mon érection matinale. J'ouvre l'œil et le bon. C'est Estelle qui me tient la bite. Je fais semblant de dormir.
< Bonjour Julien ! > me font les deux coquines. Je me redresse à quatre pattes entre les filles en poussant des grognements.
J'imite l'ours des cavernes en les chatouillant. Et j'adore les faire rire. Estelle parvient à s'enfuir pour se rendre aux toilettes.
Clémentine me chevauche en riant. Estelle revient dans son pyjama et nous dit : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >

< On arrive ! > répond Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'aux WC. Nous descendons à tout vitesse. Morts de faim.
Dans une agréable odeur de pain grillé nous rejoignons Estelle. Elle se précipite pour me faire des bises. < Bonjour Julien ! >
< On se calme ! > fait Clémentine en s'interposant. Nous rions de bon cœur. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant.
Il est à peine 7 h45. Le thermomètre extérieur indique 9°. Le ciel est lumineux mais couvert d'un voile laiteux. Encore l'hiver.
Je me lève pour passer derrière Clémentine. Je pose mes mains sur ses épaules. Je lui dis :< Bon anniversaire Clémentine ! >

Je me penche pour lui faire un bisou sur chaque joue. Clémentine se lève pour se blottir dans mes bras. Je la serre très fort.
Nous restons ainsi quelques instants avant qu'elle ne me répète : < Avec toi, c'est mon anniversaire tous les jours ! >. Bises.
Estelle nous observe en silence. Nous voilà à nouveau assis. Clémentine a aujourd'hui 21 ans. Voilà 15 mois de vie commune.
Nous mangeons de bon appétit. C'est dimanche. Nous traînons à table. Je beurre les tartines que me tendent les filles. Super.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Clémentine entraîne Estelle au salon. Je commence à ranger la cuisine. "Ménage".

J'entends les filles rire au salon. Devant l'ordinateur, Clémentine fait lire nos récits sur le forum à Estelle. Nos aventures. Joie.
Je nettoie les chiottes du bas. Il y a le silence. Clémentine est montée faire la chambre, changer les draps, aérer et faire le lit.
Je passe la serpillère sur les carrelages des sols de la cuisine, des toilettes et du hall d'entrée. Je sors l'aspirateur du placard.
Je rejoins Estelle au salon qui est assise derrière le bureau, concentrée sur sa lecture. Je branche l'aspirateur dans une prise.
< Julien, c'est passionnant. C'est un véritable journal ! On sait presque tout de nos vies. C'est de la "télé-réalité" ! > dit elle.

Je passe consciencieusement l'aspirateur sous les meubles. < Je vais t'aider ! > me lance Estelle en s'emparant du plumeau.
Nous voilà tous deux à faire le ménage dans le salon. Estelle mime une masturbation masculine en me montrant le coussin.
< Il en a vu de toutes les couleurs celui-là ! > me fait elle en mimant à présent une pipe, sa main fermée devant la bouche.
Estelle vient se blottir contre moi. Lorsque Clémentine n'est pas là, et avec nous, cette attitude me gêne toujours beaucoup.
Je laisse Estelle terminer de passer le chiffon sur les meubles. Je monte rejoindre Clémentine qui finit de changer les draps.

Je lui raconte le comportement d'Estelle. Ma compagne me fait : < Elle n'a pas touché ta bite et tes couilles aujourd'hui ! >
Nous en rions de bon cœur. Je ramasse les draps sales. Nous allons à la salle de bain. Je nettoie le bac à douche et le bidet.
Clémentine nettoie le lavabo et les miroirs. Nous bavardons. Nous nous faisons des bises. Nous apprécions faire le ménage.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. Je passe la serpillère aux sols.
Je redescends à mon tour. Les filles sont au salon, concentrées sur l'écran de l'ordinateur à surfer sur le site de l'université.

Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. Programme de la fin du second trimestre. Dates des épreuves du "Master".
Je les laisse pour aller à la cuisine. Les pavés de saumon sont totalement décongelés. J'épluche les patates, carottes, navets.
Comme tous les dimanches ce sera une potée pour accompagner les pavés de saumon en papillotes. Estelle me rejoint. Bise.
Debout derrière moi, ses bras autour de mes hanches, elle me chuchote : < Je t'aime Julien ! >. Elle me palpe la braguette.
Clémentine arrive à son tour. < J'ai le dos tourné et voilà cette vicieuse qui tripote mon vicieux ! > fait elle en s'interposant.

Nous rions de bon cœur. Estelle s'occupe des pavés de saumon. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement.
Nous bavardons. Il est midi. Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite pour aller voir. < C'est le pâtissier ! > fait elle.
Je n'ai rien dit. J'ai fait livrer un vacherin glacé pour l'anniversaire de Clémentine. Tout est réglé. Je remercie l'artisan. Super.
Je donne un pourboire royal à l'artisan qui est venu du bourg voisin en personne. Il nous souhaite de bonnes fêtes et s'en va.
Clémentine met le vacherin dans le réfrigérateur. Estelle fait les papillotes sur le barbecue électrique dans la véranda. Sympa.

Je dis aux filles : < C'est Pâques ! Je vais cacher mes œufs dans le jardin ! Il faut venir les chercher ! >. Elles me regardent.
Je sors. Les filles sont derrière la baie vitrée de la véranda. J'ouvre ma braguette. Je ne sors que mes couilles. Bien serrées.
Je me mets debout entre deux bosquets, les mains sur les hanches et je regarde les filles qui mâtent. Etonnées. Surprises.
C'est Estelle qui vient me rejoindre. La température est limite. Environ 14°. < J'ai trouvé les œufs. Où est le lapin ! > dit elle.
Clémentine arrive à son tour. < C'est pas un lapin, c'est la pine ! > dit elle en retirant la main d'Estelle qui tient mes couilles.

Nous rigolons comme des bossus en retournant au chaud. Nous avons sacrifié à la tradition des œufs cachés dans le jardin.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Le dessert. Clémentine découvre son prénom écrit sur le vacherin. Superbe !
Son nom écrit en lettres de chocolat. Ecriture Gothique et en relief. Un pralin des plus délicats. Clémentine se serre très fort.
Estelle allume une bougie "21" et dit : < Il va falloir souffler ! Sans postillonner ! Proprement ! >. Nous rions de bon cœur.
Le vacherin est un véritable délice. Glace au pralin, à la vanille et à la pistache. Nos trois parfums préférés. Travail d'artisan.

La vaisselle. Estelle plonge et nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous décidons de rester en jean pour aller au haras.
Nous irons à pieds. Nous mettons nos anoraks. Il est 13 h45. Nous marchons le long de la rivière. Le climat est presque doux.
Estelle se montre très vicieuse tout le long de la promenade. Mimant des masturbations masculines avec des propos vulgaires.
Clémentine me tient par la main. Nous regardons Estelle se comporter comme une véritable vicelarde. Elle me fait des bisous.
Nous arrivons au haras. Il y a du monde. C'est la dernière animation de la saison. Des propriétaires récupèrent leurs chevaux.

Dans la cour, il y a des groupes de gens qui bavardent. Le soleil fait enfin une apparition. Madame Walter nous fait un coucou.
Nous lui faisons un signe de la main. Nous nous apprêtons à entrer dans le bâtiment du manège. Soudain il y a le palefrenier.
Monsieur Gérard nous salue d'un grand < Bonjour ! >. Il nous apprend qu'il est revenu vivre dans sa caravane. Il est content.
< Malgré la fraîcheur, c'est tout à fait habitable ! Il faudra passer boire un café un de ces jours ! > nous fait-il. Sympathique.
Le palefrenier ne semble pas nous tenir la moindre rigueur maintenant qu'il sait que je le mâtais et que les filles le piégeaient.

Nous assistons à l'animation. Des cavaliers font faire quelques tours étonnants à leur monture. Principalement des cavalières.
Il est rapidement 17 h. Nous quittons les gradins du manège. C'est comme si elle nous attendait, Juliette vient nous rejoindre.
Nous nous saluons. < J'ai tout arrangé avec madame Walter et monsieur Gérard. Aucun malaise ! Parfait ! > nous lance t-elle.
Nous confirmons puisque l'accueil qu'ils nous ont réservé était plutôt chaleureux. Nous prenons congé. Le soleil est présent.
Nous rentrons en faisant la grande boucle par les ruines du vieux moulin. Deux heures de marche. Il y a de rares promeneurs.

La fraîcheur marquée du soir, nous rappelle que nous ne sommes encore qu'au tout début du printemps. Nous voilà de retour.
Il est dix neuf heures. Nous réchauffons la potée. Je prépare des filets de lieu noir panés. Clémentine s'occupe de la salade.
Estelle m'aide à préparer les filets en découvrant ma recette de panure. Un œuf, de la chapelure, grains de sésame. Gruyère.
Nous mangeons de bon appétit en évoquant l'accueil souriant que nous ont réservé madame Walter et monsieur Gérard. Joie.
Nous terminons le vacherin qui nous semble encore plus délicieux qu'à midi. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Bien.

Nous passons au salon. < Je peux avoir mes œufs de Pâques ! > me fait Estelle en me palpant la braguette. Superbe vicelarde.
Clémentine s'interpose en m'ouvrant la braguette. < Vient goûter à la lapine de Pâques, ma petite salope ! > fait elle à Estelle.
Clémentine me soupèse les couilles qu'elle serre entre le pouce et l'index comme un anneau. < T'es super couillu ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur en regardant mes couilles bien serrées. Estelle s'accroupit pour me les lécher. < Miam ! > s'écrie t-elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Mes œufs de Pâques préférés et que je vide tous les jours ! >

Clémentine nous entraîne sur le canapé. Je reste debout devant les deux filles. Clémentine ne lâche pas mes couilles dodues.
La peau bien tendue les fait paraître plus grosses. Les poils qui les garnissent ne sont pas sans évoquer de la chair de poulet.
Estelle les caresse du doigt. Clémentine se saisit de ma bite qu'elle tient à sa base. Je bande mou. Elle l'agite devant Estelle.
En regardant la photo de mon avatar, ou encore celles de ma galerie, la lectrice peut se faire une idée très exacte. La biroute.
Estelle, d'une contorsion du cou, d'un mouvement de tête, me tenant par les hanches, attrape mon sexe avec ses lèvres. Joie.

< C'est mon anniversaire ! > fait soudain Clémentine après un long moment où elle a observé Estelle me sucer avec appétit.
Ma compagne se prend mon sexe en bouche. Je lui dis : < Bon anniversaire Clémentine ! >. J'éjacule comme un vrai salaud.
Clémentine ne s'y attendait pas. Aussi, sa surprise est grande. Je l'observe à tenter de déglutir l'abondance de mon sperme.
Je caresse la tête d'Estelle en lui disant : < Tu en auras de nouveau après ! >. Clémentine cesse pour dire : < Si t'es sage ! >
Nous rions de bon cœur. La soirée se déroule ainsi. J'ai mes mains dans les culottes des filles assises à mes côtés. Canapé.

Estelle tente de lutter contre cet orgasme trop rapide qui gâche toujours un peu sa fête. Clémentine, au contraire, fait durer.
Estelle me tient la queue qu'elle tord dans tous les sens. Surtout vers le bas. Elle sait que lorsque je bande c'est douloureux.
Petite coquine ! Il est 22 h. Estelle ne peut réfréner un orgasme qui secoue tout son corps de spasmes et de frissons. Sympa.
Nous montons. Toilettes. Salle de bain. Au lit, Estelle s'endort toujours rapidement en ronflant légèrement. Nous en rigolons.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Immobiles. Elle me confie des secrets. Baise et dodo.

Bonne découverte des œufs cachés dans le jardin à toutes les coquines qui aiment fouiller les braguettes de Pâques...

Julien - (Qui pense décorer ses œufs pour demain. Aux couleurs de son Ecosse natale) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 381 -



La fin de notre Week-End prolongé se prolonge

Hier matin, lundi de Pâques, je suis tiré de mon sommeil de la même façon qu'un dimanche. Des murmures, des rires étouffés.
Comme un dimanche on me tient par mon érection matinale. J'ouvre l'œil. C'est Estelle, cette coquine, qui me tient la queue.
< Bonjour Julien ! > me font les filles en même temps. Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre les deux coquines.
Tout en imitant les grognements de l'ours des cavernes je les chatouille. J'aime les voir rire. Estelle parvient à fuir aux toilettes.
Clémentine me chevauche en riant. Estelle revient dans son pyjama et nous dit : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >

Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au WC. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse pour rejoindre Estelle. Cuisine.
L'agréable odeur de café et de pain grillé achèvent d'aiguiser nos appétits. Estelle me fait deux bisous. Clémentine s'interpose.
Nous en rions de bon cœur. Nous mangeons en bavardant. Tel un patriarche je beurre les tranches de pain qu'elles me tendent.
Il est à peine huit heures. Le thermomètre extérieur indique 9°. Le ciel est lumineux mais toujours voilé. Tout est sec. Superbe.
Nous irons courir. Nous offrir enfin ce jogging qui nous manque tous les matins et que nous remplaçons par l'entraînement...

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Je fais décongeler les gambas pour midi. Nous montons.
Nous voilà en tenue. Leggings, sweats, K-way, bonnets. Il est 8 h30. Nous voilà à courir le long de notre circuit habituel. Joie.
Estelle impose un rythme soutenu. Dans ces jeunes années, il y a très peu de temps, elle faisait partie d'un club d'athlétisme.
Nous apprécions. La campagne est encore effroyablement triste. Les arbres nus, teintes sans nuances et cette odeur d'humus.
Une heure d'un running des plus agréables. Clémentine et moi nous prenons notre douche en premier. Estelle est devant l'ordi.

Nous redescendons vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux. Estelle monte à son tour. Nous nous rendons à l'atelier.
Clémentine est assise à la table entourée de ses affaires devant l'ordi. Je suis assis devant mon chevalet. Estelle arrive aussi.
Je termine le dessin préparatoire de la vingt deuxième toile destinée à ma saison d'été. J'ai choisi deux photos de Clémentine.
Des clichés de son visage en gros plan. Elle va me prêter les traits de son visage pour incarner le personnage de mon tableau.
Une jeune femme, vêtue à la manière du XVIIème Hollandais, assise devant un clavecin. Son visage se reflète dans un miroir.

Clémentine, debout à mes côtés regarde apparaître son visage que j'esquisse au crayon dur. Je dessine donc deux visages.
Estelle se lève pour venir voir. < C'est superbe ! J'aimerais savoir dessiner comme ça ! On se reconnaît de suite ! > fait elle.
A côté du personnage féminin, il y a un gentilhomme en tenue d'époque, portant une épée et un grand chapeau qui regarde.
Je vais lui prêter mes traits. Ainsi, Clémentine et moi seront immortalisés ensemble sur un tableau destiné à une collection.
La matinée se passe ainsi, à travailler dans une ambiance enchanteresse. Le crépitement du feu, le craquement des bûches.

Il est midi. J'ai terminé. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Je prépare les haricots verts dans le Wok avec ail et oignon.
Estelle vient me rejoindre. Elle vide l'eau des gambas totalement décongelés. Nous allons les faire griller sur le grill. Sympa.
C'est Estelle qui va s'en occuper sur le barbecue électrique dans la véranda. Clémentine arrive à son tour. Elle fait la salade.
Les filles évoquent leurs cours. Ce travail réalisé ce matin maintient la confortable avance qu'elles ont sur leur programme...
C'est donc avec la conscience tranquille, tous les trois, que nous nous livrons à nos plaisirs culinaires. Nous adorons le faire.

Je prépare une mayonnaise. Je remplace la moutarde par de la purée d'amande. C'est une astuce de "Chef". Et c'est exquis.
J'y rajoute un peu de crème fraîche. Il faut toutefois utiliser la grande vitesse d'un fouet électrique. Un mélange homogène.
Estelle qui vient regarder ma préparation, me palpe la braguette en disant : < Tu pourrais y mettre un peu de tes œufs ! >
Clémentine, à qui rien n'échappe, s'interpose : < On va se calmer la vicieuse ! > dit elle. Nous rigolons comme des bossus.
L'odeur des gambas grillés embaume toute la véranda et jusqu'à la cuisine. Tout est prêt. Clémentine met la table au salon.

En mimant une masturbation masculine, avec toute la vulgarité possible, Estelle me fait : < Tu me réserves une surprise ? >
J'agite un index sévère en lui répondant : < Tu dois être sage, sinon, tu seras punie ! >. < Oh oui ! > s'écrie t-elle contente.
Nous passons au salon. Le chemin de table en lin écru, les assiettes en grès, les couverts laitonnés, le chandelier. Superbe.
Clémentine, en parfaite maîtresse de maison nous a réservé une belle surprise. Je propose de faire le service. Filles assises.
Je passe d'abord derrière le bureau. Du tiroir du bas je sors la paire de menottes, le collier canin et la laisse. Silence lourd.

Je passe le collier canin autour du cou d'Estelle. J'y fixe la laisse que j'accroche au dossier de la chaise. Dans le cœur de bois.
Je fixe sa cheville gauche au pied de la chaise. Estelle, étonnée, ravie, m'observe en silence. Et Clémentine me regarde faire.
Je vais chercher les plats. Les haricots verts, le millet doré que j'ai fait revenir avec des champignons. Et les gambas grillés.
Je suis assis en bout de table. Estelle à ma droite. Clémentine à ma gauche. Nous mangeons de bon appétit et en bavardant.
A plusieurs reprises je saisi la laisse posée à côté de mon assiette pour donner un à coup au plus court. Estelle en est ravie.

Clémentine me fait du pied sous la table. Dehors, le ciel s'est couvert. La luminosité a considérablement diminué. Tristounet.
Ce repas est délicieux. Une fois encore, dans sa grande simplicité c'est un véritable régal. Clémentine prend parfois la laisse.
C'est ma compagne qui donne quelques à coups. Je me lève pour débarrasser et ramener les coupes glacées. Il est 13 h15.
J'ai ouvert ma braguette discrètement, sous la table, tout en mangeant. Je m'approche d'Estelle. Je sors ma bite toute molle.
Clémentine la maintient par la laisse. Je frotte mon sexe sur le visage d'Estelle en lui disant : < Joyeuses Pâques Estelle ! >

Clémentine vient me rejoindre à la cuisine. Estelle étant prisonnière de sa chaise reste au salon. Clémentine m'embrasse.
Accroupie, pendant que je dépose les boules de glace, ma compagne me tient la queue qu'elle suce par intermittence. Joie.
Lorsque j'ai ma braguette ouverte, lorsqu'il en pend ma bite comme sur la photo de mon avatar, Clémentine est enchantée.
Une bite qui pend d'une braguette constitue l'image qui stimule au mieux sa libido de jeune fille. Aussi, elle aime observer.
Nous ramenons les coupes glacées. Quelle surprise. Estelle est entrain de se toucher et cesse immédiatement à notre retour.

< On t'a vu ! > lui fait Clémentine en la saisissant par la nuque pour diriger sa tête vers ma queue que j'agite sous son nez.
Je lui enfonce mon sexe dans la bouche avant qu'elle n'ait le temps de se détourner. Estelle, les yeux fermés, me suce. Ravie.
Je lui demande : < Alors ? J'ai satisfait à ta requête ? >. Estelle se contente de secouer la tête de haut e bas en gémissant.
Je retire ma bite déjà gluante. Je la passe sur les boules de glace de la coupe d'Estelle. Glace à la vanille, au pralin, pistache.
Nous savourons notre dessert. Je passe mon index sur la joue d'Estelle. Je passe mon doigt sur ses lèvres, sous son menton.

Mon attitude excite toujours considérablement Clémentine. Mon comportement aussi stimule sa libido. Ma compagne apprécie.
Souvent, lorsque nous faisons l'amour, lors des révélations, Clémentine me fait part de l'excitation que créées mes attitudes.
La vaisselle. Nous laissons Estelle attachée à la chaise. Pour éviter qu'elle ne se touche, j'ai menotté ses poignets au dossier.
Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous rejoignons Estelle qui se contorsionne sur sa chaise, excitée...
Je la connais assez pour savoir qu'elle se masturbe de cette façon, dans son jean serré à l'entre jambes. Je m'approche. Bise.

Clémentine m'entraîne sur le canapé. Elle retire son jean et sa culotte. Je retire les miens. Je suis à genoux sur l'épais coussin.
La tête entre les cuisses de ma compagne vautrée dans le canapé, je m'apprête à me régaler de son jus de fille. Et il y en a !
Estelle, depuis cette chaise où nous l'avons attaché, nous observe avec son regard de "petit animal de compagnie". Ravissante.
Je savoure le sexe de Clémentine dont les écoulements de cyprine semblent encore plus abondants que d'habitude. Un délice.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Joie.

Parfois, nous regardons Estelle qui se frotte doucement sur sa chaise en se mordillant la lèvre inférieur. Tout cela l'excite tant.
Clémentine me chuchote d'étonnantes révélations. Des "plans" concernant Estelle et de mon comportement vicieux avec elle.
Je la regarde se contorsionner sur sa chaise. J'imagine le fond de sa culotte. Je lui dis : < Je dois pisser, Estelle, et très fort ! >
Clémentine lui fait : < On viendra contrôler l'état de ta culotte après ! >. Estelle nous regarde avec tant de reconnaissance...
Je lui fais un clin d'œil. Estelle nous lance un sourire de compassion. Le spectacle que nous lui offrons l'excite terriblement.

Clémentine et moi, nous baisons comme d'habitude, alternant les séquences d'immobilité et nos lents bercements libidineux.
Ce n'est pas la première fois que nous faisons "ça" devant Estelle, mais c'est une grande première à cette distance. 5 mètres.
Cette situation nous excite extraordinairement. Nous jouons avec nos limites comme rarement. Et c'est un véritable bonheur.
Je me retire doucement et juste à temps. Clémentine est prostrée, les mains entre ses cuisses, reprenant le contrôle. Si belle.
Je me lève pour aller rejoindre Estelle qui est toute rouge, des gouttes de sueur qui perlent sur le bout de son nez. Ses joues.

Je prends la laisse que je tiens au plus court. Clémentine vient nous rejoindre. Elle maintient Estelle fermement par sa tête.
Je tiens ma bite. J'ai une forte envie de me soulager. C'est presque douloureux. Je pisse au visage d'Estelle toujours tenue.
Elle pousse un long râle de dégoût. Les cheveux trempés, dégoulinant de pisse, sa chemise comme une serpillère. Mouillée.
Je lui mets une gifle qui éclabousse partout. Estelle me lance un regard d'une grande sévérité. J'ai mon sexe sur son visage.
Je le frotte en tentant de le lui enfoncer dans la bouche. < Salaud ! Vous êtes deux salopards ! > s'écrie Estelle. Sincère...

Bien évidemment Estelle, même si elle est sincère, apprécie tant ces petites séances. Clémentine se touche. Masturbation.
J'arrive à enfoncer mon sexe dans la bouche d'Estelle qui me suce comme si sa vie en dépendait. Je joue avec mes limites.
Je saisis Clémentine par ses cheveux. Toute étonnée elle tombe à genoux. Je lui éjacule dans la bouche. C'est une merveille.
Clémentine, éperdue de reconnaissance pousse de petits cris de ravissement en déglutissant les grandes quantités de foutre.
Nous restons ainsi un long moment. Je détache Estelle que Clémentine entraîne par la laisse à l'étage. La salle de bain. Joie.

Avec le sèche cheveux je m'applique à sécher la tête d'Estelle qui se rince le visage avec un gant de toilette. Autre chemise.
Estelle me tombe dans les bras, folle de reconnaissance. < C'était plus fort que tout, merci Julien ! > me fait elle enchantée.
Clémentine la laisse faire. Nous redescendons. Il est 17 h. Les filles ont du travail. Nous voilà dans l'atelier. Studieux. Bien.
Le repas du soir sera composé des restes de haricots verts, de millet doré, accompagnés de filets de lieu noir panés. Délice.
Après le repas, nous travaillons encore deux petites heures. Il faut ramener Estelle. Il est 22 h15. Une Pâques inoubliable...

Bon début de semaine à toutes les coquines qui ont savouré les œufs de pâques et la queue du lapin...

Julien - (Qui découvre à quel point Estelle aime à se retrouver dans les situations les plus étonnantes. A refaire) -

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Retour au petit train-train habituel mais tellement rassurant

Hier matin, mardi, c'est le violoncelle de Rostropovitch qui nous tire de notre sommeil. Suite No 1 de Jean Sébastien Bach.
< Mais ta gueule Rostro ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rions de bon cœur en nous serrant fort.
< Bonjour Julien !> me fait elle avant de me chevaucher en riant. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >. Douceurs. Papouilles.
Une envie de pisser incontrôlable met un terme à nos effusions de tendresse. Nous filons aux toilettes. Nos rituels pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse quatre oranges. Clémentine s'occupe du café.

Nous mangeons de bon appétit dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous faisons le bilan de notre Week-End sympathique.
Le thermomètre extérieur indique 10°. Il est à peine 6 h20. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui porte la veste noire offerte pour son anniversaire.
Avec son jean, ses souliers à légers talons, je la trouve très élégante. Des bises. Un dernier coucou de la main. Il fait doux.
C'est le premier matin où il fait aussi agréable. Il est 7 h45, déjà 17°. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin.

Je rentre pour monter faire le lit. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Le ciel est bleu. Il y a du soleil.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je commence la peinture de ma vingt deuxième toile. Avec bonheur.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Je suis immédiatement immergé dans mon univers passionnant et hors du temps.
Je pousse les cris les plus surréalistes que je module longuement. Je me livre corps et âme à ma passion dévorante. Joie.
Dans mon état, si proche de l'extase, il m'arrive de baver de plaisir et de concentration. Il n'y a pas encore de mouches...

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte pour la Flamiche Picarde de ce soir. Notre tarte aux poireaux.
Il est 13 h15. Clémentine rentre. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bises.
Comme tous les mardis, ma compagne n'a pas cours l'après-midi. Elle s'occupe de la salade. Je fais gonfler du riz complet.
Je concocte une Béchamel dans laquelle je mets le poireau cuit et coupé en petits morceaux. Je prends un peu de Béchamel.
C'est la sauce qui accompagne notre riz. Clémentine nous a préparé un assaisonnement délicieux. C'est sa spécialité. Régal.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Les cours très agréables et qui n'imposent aucun stress.
Son mémoire dont il reste cinq pages à rédiger pour le lundi 16 avril. Le timing parfait. De quoi la savoir réjouie et rassurée.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Elle m'entraîne au dehors. Il fait vraiment très agréable.
Nous allons voir notre potager dont il faudra retourner la terre pour planter. Nous allons voir dans la serre. Tout est en ordre.
Les jardinières que nous avons abandonné en novembre de l'an dernier dégorgent d'herbes sauvages. Il y aura là du travail.

Je dis : < Cette année, on va pas s'emmerder , je fais venir l'entreprise paysagiste ! >. Clémentine trouve l'idée excellente.
Ce climat, enfin printanier, nous invite à faire le tour de la propriété. Il y a les premières couleurs jaunes. Et des bourgeons.
< Il était temps ! > me fait Clémentine. Nous entrons dans le salon par l'escalier extérieur. Les portes fenêtres sont ouvertes.
Clémentine me glisse la main dans le pantalon en me chuchotant : < Tu n'es pas excité pas cette douceur ? >. Des bisous.
Je la serre fort contre moi. Je me rends soudain compte que je suis dans un état d'euphorie galopante. Clémentine se frotte.

Elle m'entraîne sur le canapé ou elle me fait tomber. A genoux entre mes jambes, et sur l'épais coussin, elle me déboutonne.
J'ai la bite à l'air. Je bande mou. Clémentine hume longuement mes odeurs. Elle me décalotte un peu. Pouah ! C'est ignoble.
Sur sa demande, je ne me décalotte jamais sous la douche. Je garde cette partie de mon intimité mariner en ses substances.
Je regarde ma compagne, cette étonnante jeune fille de 21 ans, s'enivrer des effluves parfumées de ma "Boite à Fromage" !
Je laisse Clémentine se régaler de ses préférences. Comme elles sont belles quand elles font "ça". Si elles savaient ! Super.

Je regarde l'heure. Il est presque 15 h. Clémentine a nettoyé ma bite en me suçant comme si notre vie en dépendait. Plaisir.
Je saisi Clémentine par ses cheveux attachés en queue pour la forcer à cesser sa pipe. Il y a des filaments gluants qui collent.
Je lui dépose des bisous sur le front. Je l'aide à se relever. Je la tiens toujours par ses cheveux pour l'entraîner aux toilettes.
Son pissou avant de l'entraîner à l'atelier. Nous y avons du travail. Clémentine me fait renifler l'odeur de sa bouche ouverte.
Ma compagne est assise à la table, entourée de ses affaires devant l'ordinateur. Je suis assis devant mon chevalet. Silence.

Il est 17 h40 lorsque mon téléphone nous avertit de l'arrivée d'un message. Clémentine s'en empare. < Estelle ! > fait elle.
Nous mettons nos anoraks. Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel. Avec un immense sourire en nous voyant arriver.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte son après-midi. Nous sommes de retour pour 18 h10.
Les filles sont immédiatement au travail. Je peins dans une sérénité jésuitique. Il est rapidement 19 h. Je laisse les bosseuses.
Je vais à la cuisine pour m'occuper de notre repas de ce soir. Estelle est la première à me rejoindre. Elle étale la pâte. Super.

Je passe derrière elle. Je lui passe les bras autour des hanches. Je n'ai quasiment jamais ces initiatives. Cela surprend Estelle.
Clémentine arrive et nous fait : < Voilà ! J'ai le dos tourné cinq minutes et ce sont les tripotages ! >. Nous rions de bon cœur.
Je prends Clémentine dans mes bras. Elle s'occupe de l'assaisonnement de la salade. Je fais chauffer la Béchamel au poireau.
Estelle me fait quelques clins d'œil. Mon initiative de tout à l'heure l'ayant enchanté. La Flamiche Picarde est au four. Cuisson.
Nous passons au salon. Estelle se blottit fort dans mes bras. Clémentine s'interpose. Elle saisit Estelle par la nuque et l'écarte.

Ce jeu permanent entre nous, nous amuse toujours beaucoup. Plus d'une année de complicité nous permettent une confiance.
Clémentine n'arrête pas de me toucher, sa main dans ma braguette. Estelle nous observe. J'aime les initiatives de Clémentine.
Je lui passe ma main dans le pantalon. C'est bouillant. Et déjà humide. Estelle s'assoit dans la chaise à bascule pour observer.
< J'ai tout appris avec vous ! > nous fait Estelle en regardant Clémentine s'accroupir pour me sortir la queue. Je bande mou.
Ma compagne agite ma bite en direction d'Estelle. < Mon "doudou" et ton dessert si tu es sage ! > fait elle en me masturbant.

J'ai la main posée sur la tête de Clémentine qui se frotte mon sexe sur son visage. Estelle nous observe avec grande attention.
Autant ma compagne est une véritable exhibitionniste, autant Estelle est une authentique voyeuse. Notre spectacle est "show".
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs cours. Etudes.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous retournons au salon. Clémentine retire ses habits.
Elle se vautre dans le canapé. Je suis à genoux à lui lécher le minou. Estelle est à distance, dans la chaise à bascule à regarder.

Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Comme toujours nous restons immobiles.
< J'adore vous voir baiser ! > nous fait Estelle qui vient se mettre à genoux sur le coussin, son visage tout prêt des nôtres.
Cette proximité, cette intimité nous envahit tous trois d'un sentiment élégiaque de plénitude et de sérénité. C'est un bonheur.
Clémentine et Estelle sont hétérosexuelles. Il n'est donc jamais question d'effusions saphiques. L'idée même les révulse. Joie.
Nous nous murmurons des choses étonnantes. Il est question des pipes que me fait Estelle. Et de son désir de se faire baiser.

Parfois, Clémentine et moi quittons l'immobilité pour nous bercer doucement. Estelle a passé une main dans sa culotte. Branle.
Elle nous dépose des bises sur les joues. Nous avons soudain un vertige. Nous prenons conscience de notre immense privilège.
< Pourquoi tu ne laisse pas Julien me baiser ? > demande Estelle. Clémentine lui répond : < C'est mon mec et c'est "sacré" ! >
< J'aimerais bien que ce soit Julien qui me baise le premier, s'il te plaît ! > chuchote Estelle. < Non ! > lui répond Clémentine.
Estelle n'insiste pas. Je lui caresse le visage. Nous pouvons l'entendre gémir. Sa masturbation lui procure de délicats plaisirs.

Son souffle chaud sur nos joues nous excite encore davantage. C'est un moment réellement passionnant. Un véritable privilège.
Estelle n'a pas la force de caractère lui permettant de repousser longuement ses orgasmes. Celui de ce soir semble merveilleux.
Nous sommes l'un dans l'autre. Clémentine se met à bouger doucement. Nous regardons Estelle se laisser tomber sur le côté.
Les mains entre ses cuisses, prostrée au sol, Estelle termine de jouir en gémissant. Nous cessons de bouger. Il faut aller bosser.
Je me retire avec d'infinies précautions. Je me redresse. Nous nous habillons. Estelle reprend ses esprits. Nous allons à l'atelier.

Il est 21 h15. Nous travaillons encore une heure. Clémentine et Estelle terminent la sixième page de leur mémoire. Cris de joie.
Il est 22 h20. Nous ramenons Estelle. Demain soir Juliette vient manger à la maison. Je lui propose de se joindre à nous. Repas.
Estelle décline notre invitation. Il lui faut assurer sa part d'aide dans l'entreprise familiale en même temps que ses études. Dur.
Au retour, Clémentine me fait part de ses impressions. Les toilettes. La salle de bain. Au lit. Caresses et baise sans bouger. Joie.
Clémentine me fait d'étonnantes révélations. Il est question de baiser Estelle à deux. Cunnilingus. Fellation. Orgasmes et dodo.

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Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 383 -



Juliette revient passer la soirée devant un bon repas

Hier matin, mercredi, je suis le premier à émerger de mon sommeil. Je regarde l'heure. Il est 5 h55. J'éteins le cube réveil.
Clémentine, avertie par son sixième sens infaillible, ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > me fait elle en se serrant très fort.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Nous nous précipitons aux toilettes.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse quatre oranges et Clémentine s'occupe du café.
Le thermomètre extérieur indique 5°. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé habituelle. Bon.

Nous remontons pour nous livrer à notre entrainement. Aérobic, abdos et charges additionnelles dans une intensité maximale.
C'est décidé. Pour l'hiver prochain, nous achetons des tapis roulants de course individuel. C'est frustrant de ne pouvoir courir.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Des bises.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le ciel est bas, gris et menaçant. Sinistre.
Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.

Il est 8 h15. Me voilà enfin installé devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme extraordinaire. Un bonheur absolu.
J'ai installé deux photographies du visage de Clémentine sur le montant du chevalet. Je vais la représenter dès aujourd'hui.
Vêtue à la manière du XVIIème siècle Hollandais, elle prêtera ses traits au personnage féminin de ma vingt deuxième toile.
Son visage se reflétant dans un miroir placé sur le clavecin, il me faut deux angles de vue différents. D'où les deux clichés.
J'ai ma loupe frontale fixée sur le tête. Je travaille avec mes plus fins pinceaux. Je suis concentré à l'extrême. Et en apnée.

Pour récompenser chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent, je me lève pour danser autour de mon chevalet.
Je pousse les cris surréalistes les plus délirants. Je suis en compagnie de Clémentine par image interposée. C'est merveilleux.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. La dernière pâte feuilletée a terminé de décongeler dans le bas du réfrigérateur.
Ce sera pour notre feuilleté de saumon de ce soir. Pour midi, je me fais une "ratatouille" simple que je pourrais réchauffer.
Tomates, aubergines, courgettes, ail, oignons, ciboulette et persil que je fait cuire dans le Wok. Avec du millet doré et grillé.

J'écoute la chronique de Guy Carlier qui me fait beaucoup rire. J'achève la préparation de la Béchamel. Avec des champignons.
Je rajoute le saumon finement émincé que j'ai fait revenir à la poêle. Tout est prêt. Pour ce soir, comme pour mon repas. Bon.
Je mange de bon appétit. La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Mon boulot.
Je me livre corps et âme à ma passion dévorante. Hors du temps. Hors de la réalité. Du bruit. Clémentine rentre. Il est 15 h30.
Ma compagne se précipite. J'anticipe toujours aux premiers bruits en posant ma palette et mes pinceaux. Douceurs. Papouilles.

Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Estelle qui se fait draguer par Gauvin au restaurant universitaire.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me confie se lever pour les laisser bavarder à table. Pour aller en salle de documentation.
Assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, Clémentine est plongée dans le travail. Rédaction du mémoire.
Parfois, l'un se lève pour venir rejoindre l'autre. Lorsqu'elle se découvre dans le tableau, Clémentine est époustouflée. Super.
< C'est génial ! Je me reconnais totalement. Et on dirait les photos ! > me fait elle en scrutant. Elle me tient par les épaules.

Il est rapidement 18 h45. < Terminé ! > fait Clémentine derrière moi en agitant la sixième page de son mémoire. Son travail.
Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Nous filons à la cuisine. Clémentine découvre que tout est déjà prêt. Juste à terminer.
J'étale la pâte feuilletée. Elle est onctueuse. Je réchauffe la Béchamel et la ratatouille en accompagnement. Tout va très vite.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade. Je découpe avec le plus grand soin des bandes de pâte. Et au couteau.
Je verse la Béchamel sur la pâte déposée dans un plat long et étroit. Je tresse les bandes de pâte afin de décorer le dessus.

Je mets au four. Je vais rejoindre Clémentine qui étale le chemin de table afin d'y déposer assiettes, couverts, verres ballons.
Je découvre qu'elle a retiré son jean et sa culotte. Elle dépose le chandelier, allume les trois bougies et va se vautrer. Canapé.
< Tu viens goûter un peu ! > me fait elle en me faisant signe avec son index de la rejoindre. J'adore ces initiatives affolantes.
Je me mets à genoux sur l'épais coussin entre ses jambes largement écartées. Je hume les odeurs de sa journée de fille. Bon.
Je me régale rapidement de tout ce que je peux récupérer entre les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Délices.

Je décalotte le clitoris géant de ma compagne du bout de mes lèvres. Immédiatement il y a un spasme qui secoue son corps.
J'adore ce réflexe et les quelques frissons qui s'en suivent. Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Bien.
Je l'entends respirer fort, soupirer, souffler après des apnées de plaisir. Les premiers gémissements. La sonnerie du four. Fini.
Je me relève. Clémentine me tend les mains. Je l'aide à se redresser. Elle remet sa culotte et son pantalon. Il est déjà 19 h45.
J'entrebâille la porte du four. Nous montons nous changer. Pantalons à plis, chemisiers. Tous les deux pareil. Des jumeaux...

Trois coups de sonnette. Clémentine va ouvrir. Elle revient avec Juliette qu'elle a débarrassé de son manteau. Juliette sourit.
Nous nous serrons la main. Juliette est vêtue de la même manière que nous. Nous en plaisantons en nous rendant au salon.
J'invite les filles à s'installer. Je vais faire le service. Depuis la cuisine j'entends les voix sans réellement comprendre. Sympa.
J'emmène le feuilleté de saumon dont l'odeur nous enivre. Les légumes d'accompagnement, l'avocat d'entrée et les salades.
Juliette nous raconte sa tentative de faire un feuilleté samedi soir, avec sa sœur et son beau frère. < Ratage total ! > dit elle.

Nous rigolons comme des bossus à l'évocation de sa préparation. Je lui donne une astuce infaillible. Je recommande le "truc".
Il suffit de remplacer la pâte feuilletée, toujours délicate à réussir, par une simple pâte à pain. Comme pour une pizza calzone.
A moins d'acheter une pâte feuilletée toute prête, de préférence chez un boulanger et pour éviter toute production industrielle.
Ce repas est évidemment délicieux. Nous bavardons. Juliette nous raconte son soulagement d'arriver en fin de saison. Repos.
Les propriétaires de chevaux viennent récupérer leurs bêtes. L'agrégation en attente afin de passer en centre équestre. Bien...

Comme la conversation s'articule autour du haras, nous en arrivons rapidement aux écuries. Donc au palefrenier, Mr Gérard.
< Il faudra faire un petit tour en semaine, en soirée, vous serez étonnés de découvrir le trou dans le mur ! > confie Juliette.
Il semblerait qu'elle ait arrangé le coup et que ce trou dans la cloison, qui sépare le box du local de Gérard, soit libre d'accès.
Nous rions de bon cœur de cette nouvelle. < Et après tout, nous avons des centres d'intérêts communs, non ? > fait Juliette.
Nous promettons de venir voir ça très prochainement. Nous savourons ce repas avec bonheur. Nous en reprenons deux fois.

Je fais le service. Je me lève à plusieurs reprises pour débarrasser la table. A chaque fois Juliette regarde ma braguette. Gêne.
La jeune femme observe fixement en direction de ma braguette. Et avec insistance tout en bavardant. Et ça me gêne un peu.
A la cuisine, j'ouvre ma braguette, je sors ma bite. Je me masturbe doucement. Je bande rapidement. Une très grosse bosse.
Je passe mon sexe turgescent entre mon slip et ma cuisse. Contraint vers le bas. Avec mon érection, la forme est bien visible.
Je reviens avec les coupes glacées. Même Clémentine s'aperçoit de ma petite "préparation" vicelarde. Elle me fait un clin d'œil.

Je reste debout, sciemment, devant Juliette, de l'autre côté de la table. Je contracte mes muscles fessiers. Ma queue bouge.
Juliette ne détourne pas son regard et observe fixement. Nous sommes soudain tous les trois silencieux. Je bouge ma queue.
Je me cambre même un peu en avant afin de bien faire apparaître la forme de mon sexe sous le fin tissus de mon pantalon.
Je fais bouger mon sexe. Juliette lève ses yeux pour me fixer d'un étrange regard. Clémentine que je devine excitée, regarde.
A dessin, en insistant bien sur cette situation qui me fait bander comme un priapique en phase terminale, je continue le jeu.

Le fait d'être gêné m'excite encore davantage. La scène dure un moment. Nous restons tous les trois silencieux. C'est intense.
Je m'assois, mettant ainsi un terme à cette situation éprouvante pour nos libidos. La discussion reprend. c'est un soulagement.
Nous savourons nos coupes glacées. Vanille, pralin et pistache accompagnés de gâteaux dentelles légers et fondants. Un régal.
La conversation est à présent franchement axée sur les situations vicelardes que nous avons vécu aux écuries. C'est excitant.
Juliette nous confie quelques nouvelles anecdotes. Je la surprends à mimer une masturbation en décrivant une situation vécue.

La fois où Juliette a surpris son palefrenier entrain de s'exhiber discrètement devant une jeune cavalière ramenant son cheval.
La jeune femme nous raconte dans le détail la virtuosité du vicelard qui fait semblant de se faire surprendre. Un coup parfait !
< S'il ne me faisait pas un super boulot, je ne pourrais pas le garder. Mais il s'est calmé, je le lui ai demandé ! > fait Juliette.
Nous rions de bon cœur à l'évocation de toutes ces amusantes histoires. Il est déjà 22 h. Juliette nous aide à faire la vaisselle.
Je la surprends à observer ma braguette. Nous raccompagnons la jeune femme. Nous bavardons encore un peu dans l'entrée.

Devant Juliette, Clémentine pose sa main sur ma braguette en disant : < J'espère que vous avez passé un bonne soirée ! >
Juliette ne peux s'empêcher de sourire en répondant : < Tout était parfait ! Je vous invite à mon tour mercredi prochain ! >
L'affaire est entendue. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Discrètement, marchant derrière, je sors ma bite.
Au moment ou Juliette ouvre la vitre pour nous faire un dernier < Bonne nuit >, elle découvre mon stratagème. Je bande.
Clémentine s'en rend compte et me la saisit pour l'agiter dans la direction de Juliette qui démarre doucement. C'est géant !

Nous regardons la voiture monter jusqu'en haut du chemin. Clémentine me masturbe. Nous faisons un coucou de la main.
Juliette avant de disparaître, lève le pouce de sa main gauche comme pour nous féliciter. Il fait froid. Nous rentrons très vite.
Les toilettes. La salle de bain. Nous sommes pressés de nous retrouver au lit. Clémentine m'attire immédiatement sur elle.
C'est rare. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine chuchote à mon oreille.
< Tu as été génial ! Tu as vu comme elle mâtait ! > me fait elle. Cunnilingus. Fellation. Orgasmes. Nous plongeons. Epuisés.

Bonne soirée avec votre invitée à toutes les coquines qui adorent les initiatives vicelardes de leur coquin...

Julien - ( Qui a taché son beau pantalon à plis depuis l'intérieur, sur le haut de la cuisse gauche. Un bon détachant demain) -

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Le retour d'Estelle pour une soirée fort plaisante

Hier matin, jeudi, nous sortons de nos sommeils en même temps. Juste avant que ne résonne la musique de notre cube réveil.
Nous nous étirons longuement dans un long gémissement qui s'achève par le même cri. Et en même temps : < Bonjour ! >
Nous rions de bon cœur en nous serrant fort l'un contre l'autre. Il est 5 h55. L'envie de pisser met un terme à nos effusions.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges.
Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Confitures, miel, yaourts.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le bilan de la soirée de hier. Le repas, la présence de Juliette.
Nous émettons quelques supputations qui nous amusent beaucoup. Nous nous promettons de mettre au point une stratégie.
Nous montons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Gymnastique avec intensité maximale pour remplacer le jogging.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. La fraîcheur du matin.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le ciel est gris mais lumineux.

Je monte faire le lit. Je descends. La vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée et j'éteins le radiateur.
Il est 8 h15. Me voilà enfin confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme exubérant. Rare.
J'ai installé une photo de mon visage sur le montant du chevalet. Je me représente en gentilhomme vêtu à la façon XVIIème.
Je prête mes traits au personnage debout à côté du clavecin, une main sur le pommeau de son épée, l'autre sur le clavecin.
Ainsi Clémentine et moi, nous serons immortalisés dans un tableau dont la destination nous est encore totalement inconnue.

Cette idée même m'enchante. Sa saveur me fait pousser les cris les plus surréalistes. J'utilise mes plus fins pinceaux. Bien.
Je porte ma loupe frontale. Je suis absorbé dans mon labeur avec une concentration extraordinaire. Je termine mon visage.
En même temps, trois coups de sonnette. Je peste, je rage. Qui donc ose ainsi perturber mon enchantement paradisiaque.
J'hésite entre ne pas répondre ou aller voir. Je me lève. Je vais ouvrir. Quelle surprise. C'est Juliette en habits d'équitation.
Son cheval est attaché au réverbère du jardin. < Bonjour ! Je ne vous dérange pas ? > me fait la jeune femme en souriant.

Nous nous serrons la main et je mens effrontément en disant : < Non, non, pas du tout ! Bonjour. Voulez-vous entrer ? >
Juliette décline mon offre et fait : < Je passais tout près. Je suis venue vous faire un coucou ! >. Elle mâte vers mon sexe.
C'est un premier regard rapide. Je porte ma blouse de peintre. Elle a un second regard plus insistant, et tout en bavardant.
Avant de retourner vers sa monture, Juliette me rappelle que nous sommes invités mercredi prochain pour le repas du soir.
La jeune femme se fait plus insistante en nous invitant à passer aux écuries afin de redécouvrir le box vidé de son cheval.

Juste avant de donner l'impulsion de départ à son cheval, Juliette mime un rapide mouvement masturbatoire en me souriant.
< C'était une excellente soirée, hier, pleine de surprises ! >. Je la regarde descendre le chemin qui mène le long de la rivière.
Là-bas, juste avant de disparaître derrière les fourrés, Juliette se retourne pour me faire un dernier coucou de la main. Bien.
Je retourne à ma peinture. Je bande comme le dernier des salauds tout en ayant une étrange impression. Etrange sensation.
Je pense à cette loi des séries. Juliette, 42 ans, cette superbe bourgeoise qui apparaît dans ma vie depuis presque une année.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte pour les pizzas de ce soir. Je prépare la garniture personnelle.
Oignons, ail, tomates, aubergine que je fais revenir dans le Wok avec de la ciboulette et de fins champignons noirs. Superbe.
Le repas de ce soir est assuré. J'écoute la chronique de Guy Carlier qui me fait encore beaucoup rire. Je me prépare du riz.
Je lave une grande scarole. Il y en aura pour ce soir. Je récupère un peu de garniture de la pizza en accompagnement du riz.
Je mange de bon appétit. Je pense à cette curieuse visite ce matin. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Me voilà a l'atelier.

Je me livre corps et âme à ma passion. Du bruit. Il est déjà 15 h30. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi.
< Bonjour mon amour ! > me fait elle. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Le repas au restaurant universitaire.
< Je mange et je file en salle de documentation pendant que Gauvin vient draguer Estelle ! > me raconte ma compagne. Rires.
Je lui raconte la visite de Juliette ce matin. < Celle-là, elle en veut ! Fais attention, je ne voudrais pas te perdre ! > me fait elle.
Je la rassure. Clémentine sait bien pouvoir me faire une confiance totale. Ce qui la trouble c'est l'âge mûr de Juliette et le mien.

Assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, Clémentine travaille à la septième page de son mémoire. Bien.
Je peins dans une fébrilité qui me procure les traits de pinceaux les plus lyriques, les plus sublimes. Il est rapidement 17 h45.
La musique stupide de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. C'est Estelle. Nous mettons nos anoraks pour aller la récupérer.
Trois petits kilomètres et nous arrivons à l'arrêt de bus habituel où nous attend Estelle toute contente et souriante. Elle monte.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte son après-midi au bureau de l'entreprise familiale. Du boulot.

Dès notre retour, à 18 h10, les filles sont assises à travailler à leurs cours. Je peins dans une exubérance productive, positive.
Il est 19 h. Je me lève. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Je réchauffe la garniture. Estelle est la première à me rejoindre.
Elle étale la pâte. Je lui raconte la visite de Juliette, notre soirée de hier lorsque je lui ai montré ma bite avant qu'elle ne parte.
Estelle, mimant une masturbation masculine avec toute sa vulgarité habituelle, me demande : < Tu la lui montre au salon ? >
Je lui explique le petit jeu vicieux. Clémentine arrive à son tour. Nous évoquons ce jeu équivoque qui s'installe insidieusement.

< Si elle fait un tour le lendemain matin, c'est que ça ne la laisse pas indifférente la Juliette ! C'est sûr ! > conclue Clémentine.
J'étale la garniture sur les trois plateaux de pâte qu'a étalé Estelle. Je dépose de fines lamelles d'avocat, des dés de Roquefort.
Estelle saupoudre de Parmesan grossièrement râpé. Elle place les trois pizzas au four. Clémentine termine son assaisonnement.
Nous passons au salon. Estelle me palpe la braguette. Elle dit : < Tu me fais voir l'état de ta bite après la visite de Juliette ! >
Clémentine se vautre dans le canapé. Estelle est accroupit devant moi. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je bande mou.

Estelle s'en saisit à sa base entre le pouce et l'index pour la scruter et la humer longuement. Doucement, elle me décalotte.
< Pouah ! Ça schlingue ! Si elle découvre que tu ne laves pas le gland, elle va s'enfuir la Juliette ! > fait Estelle en reniflant.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Juliette apprécie certainement la fondue et la tartiflette ! >
< Si elle va goûter la queue de son palefrenier, pas de doute, elle apprécie les bites dégueulasses ! > fait Estelle en rigolant.
Je regarde Estelle qui hume longuement les odeurs de ma journée d'homme. Le frome grumeleux qui colle au prépuce fripé.

Clémentine se lève pour venir s'accroupir à côté d'Estelle. L'odeur immonde de ma bite dégueulasse nous monte aux narines.
< Put-Hein j'adore quand ça schlingue aussi fort ! La visite de Juliette t'a bien excité, hein ! > me fait ma compagne en riant.
Estelle lui tend mon sexe en l'agitant. < Et regarde, il y a de la jute qui perle au bout ! > fait elle à Clémentine qui l'observe.
Il y a une perle de liquide séminal, opalescente et luisante qui apparaît au bout du méat. < Méat coule pas ? > me fait Estelle.
Nous rions de bon cœur à cette boutade juste avant que Clémentine se mette à sucer. L'indicible caresse procure le vertige.

La sonnerie du four. J'aide Clémentine et Estelle, toutes les deux à genoux, à se relever. Nous nous précipitons à la cuisine.
Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche tout en remuant la salade. Il y a des particules de frome collées à ses lèvres.
Estelle sort les pizzas. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant Juliette, le haras, les écuries où nous irons samedi.
Nous élaborons l'emploi du temps de samedi. Nous cherchons Estelle pour 18 h. Nous filons directement aux écuries. Visite.
Je m'engage à contacter Juliette par courriel pour l'informer de notre visite samedi en fin d'après-midi, vers dix huit heures.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. < Je veux te bouffer la queue ! > me fait ma compagne.
Je suis un peu étonné de cet aveu soudain. Estelle nous fait : < Et moi ? Je peux en avoir aussi ? >. Nous rions de bon cœur.
Clémentine m'entraîne par la main. < Sors ta queue ! > me fait-elle en me faisant tomber dans le canapé. Je sors ma queue.
A genoux sur l'épais coussin, Clémentine me suce presque aussitôt. Estelle est assise à ma gauche. Tête posée sur ma cuisse.
Je suis entrain de me faire tailler une pipe des familles par ma compagne qui me pompe comme si sa vie en dépendait. Plaisir.

Je caresse la tête d'Estelle qui observe la fellation passionnée que me prodigue Clémentine. Je caresse les cheveux des filles.
Estelle se rapproche pour faire comprendre à Clémentine qu'elle en a envie aussi. Ma compagne reste ostensiblement à sucer.
Ce soir, visiblement, Clémentine n'est pas partageuse. Estelle, un peu dépitée, se redresse pour m'embrasser en gémissant.
Les deux filles gémissent de plaisir. J'aime ce concerto stéréophonique qui enchante nos oreilles. Nous restons ainsi longtemps.
Je regarde l'heure. Il est 21 h. Je sors difficilement ma queue gluante de la bouche avide et gourmande de Clémentine. Du jus.

Je saisi les deux filles par leurs cheveux pour les entraîner à l'atelier. Je les force à s'assoir à la table. Il faut redevenir sérieux.
Clémentine me regarde avec reconnaissance. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Elle adore garder de la substance. Joie.
< Et moi, j'ai rien eu ! > fait Estelle un peu tristounette. Nous en rions de bon cœur. Nous travaillons encore une petite heure.
Il est 22 h15. Il faut ramener Estelle. < Vivement samedi ! Les écuries ! > nous fait elle en rangeant sa trousse et son cartable.
Estelle se blottit contre moi. Clémentine s'interpose en lui disant : < Il serait temps de goûter à Gauvin, tu ne crois pas ? >.

Je saisi fermement Estelle par ses cheveux tout en l'entraînant : < Tu vas d'abord nous sucer le palefrenier encore une fois ! >
< Samedi soir ? > me demande t-elle, espiègle et mutine. < Bonne idée ! > conclue Clémentine. Nous ramenons Estelle. Nuit.
La séparation est difficile. Je l'autorise à me sucer un petit instant. Elle se ramasse de bonnes coulures épaisses et visqueuses.
Au retour, Clémentine me suce. Les toilettes. La salle de bain. Nous voilà au lit. < Je veux te sucer tout le temps ! > fait elle.
Nous nous offrons un "69" juteux. Une petite baise immobile avec les étonnantes révélations. Cunnilingus. Fellation. Et dodo...

Bonne soirée pizzas à toutes les coquines qui aiment regarder la collègue étudiante sucer leur mec sans partager...

Julien - (Dont les écoulements de liquide séminal, abondants et continus, régalent Clémentine comme une assoiffée) -

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Nous voilà à la fin de cette huitième page.

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette" ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique neuvième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 385 -



C'est le début du Week-End et la première sortie vélo

Hier matin, vendredi, je suis réveillé le premier. Il est 5 h50. J'éteins le cube réveil afin d'éviter qu'il ne sonne. J'ouvre l'œil.
Clémentine est avertit par son infaillible sixième sens. Je lui dis : < Bonjour Clémentine ! >. Elle s'étire dans un gémissement.
< Bonjour Julien ! > me fait elle en se serrant dans mes bras. Elle me chevauche en riant avant de m'entraîner aux toilettes.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café.
Le thermomètre extérieur indique 9°. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé tout en bavardant.

Nous mangeons de bon appétit. Pour ma compagne, le Week-End commence aujourd'hui à midi. Elle est à se réjouir. Contente.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos et charges additionnelles. L'intensité maximale.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de sa veste noire, son jean, bottines.
Bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je remonte faire notre lit.
Je redescends faire notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans notre cheminée. J'éteins le radiateur. 8 h15.

Me voilà enfin installé devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme fou. Je termine ce matin ma vingt deuxième toile.
C'est en poussant les cris les plus surréalistes et les traits sublimes de mes plus fins pinceaux que je fignole cette dernière toile.
Il est 11 h15 lorsque je donne le dernier coup de pinceau. Je mets la toile à sécher sur le petit chevalet tout au fond de l'atelier.
Je dépose une toile vierge sur mon grand chevalet de travail. Je commence l'esquisse du dessin préparatoire. Toile numéro 23.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. je fais cuire les haricots verts avec l'ail, l'oignon et la ciboulette coupés dans le Wok.

Il est 12 h15. Clémentine rentre dans la cuisine en s'écriant < Week-End ! >. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.
Je prépare les filets de lieu noir dans une panure. Chapelure, œuf. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement.
Dehors le ciel est bleu. Il y a du soleil. Le thermomètre extérieur indique 21°. Nous mangeons de bon appétit tout en discutant.
Ma compagne me raconte sa matinée. L'avance maintenue sur le timing de ses études et du mémoire qu'il faut pour le 16 avril.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me suggère un après-midi récréatif. Balade. Profiter.

Je propose de nous offrir notre première sortie à bicyclette. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons à la chambre.
Nous nous mettons en tenues. Leggings, Sweats. Dans le petit sac à dos, je mets deux pommes, des barres de céréales. L'eau.
Nous allons au garage. Les vélos sont sous la bâche depuis l'automne. Il suffit d'en regonfler les pneus avec la pompe à pieds.
Le manomètre indique 4,5 bars. L'idéal pour des VTC. Nos vélos sont comme neufs, propres et fonctionnels. Nous voilà prêts.
Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Nous traversons le petit pont. 500 mètres et nous voilà sur la piste cyclable...

Il fait presque chaud. Il y a du monde. Nous croisons d'autres cyclistes qui profitent de cette première journée de printemps.
Nous sommes poussés par un vent de Nord Est. Même si le paysage est encore celui de l'hiver, le soleil est haut dans le ciel.
Nous roulons l'un à côté de l'autre. Clémentine, la main entre ses cuisses me fait : < Sensations délicieuses et plaisantes ! >
Nous rions de bon cœur. Nous pédalons en bavardant. Cette virée nous fait un bien fou. Nous croisons toute sorte d'individus.
Des promeneurs, des marcheurs, des couples avec des landaus, des gens en rollers et quantité d'autres cyclistes. C'est sympa.

Les 25 km jusqu'au petit port de plaisance se déroulent dans un plaisir neuf. Une redécouverte. Les bateaux sont tous bâchés.
Nous poussons nos vélos pour marcher le long du quai. La capitainerie du port est déjà ouverte. Le soleil est chaud. Superbe.
Il y a déjà un groupe de joueurs de pétanque. Des promeneurs. < J'ai mal au cul ! > fait Clémentine. Je dis : < Moi aussi ! >
C'est inévitable. C'est la première sortie vélo, les selles sont des instruments de tortures pour toute première fois. Massages.
< Viens ! Je dois pisser ! > me fait Clémentine en m'entraînant aux sanitaires réservés aux plaisanciers encore tous absents.

< Fais le guet ! Surveille ! On a peut-être l'occasion de s'offrir un "plan" ! > propose Clémentine en descendant son legging.
Je reste près de la porte entrebâillée. Les toilettes publiques des sanitaires sont propres, vides et réservées aux plaisanciers.
Il est étonnant qu'elles soient déjà ouvertes. Je regarde Clémentine. Sa culotte et son legging aux genoux, près des urinoirs.
Il y a un promeneur qui se dirige vers nous. Je dis : < Il y a un mec ! >. Je me dépêche d'aller dans le dernier cabinet. Caché.
Debout sur le couvercle fermé, je peux parfaitement regarder ce qui se passe dans la petite salle. Clémentine se tient prête.

Cambrée au dessus du dernier urinoir, la culotte et le legging descendus sur les genoux, Clémentine se concentre. Tentative.
C'est sa première véritable exhibe de la saison. Elle est terriblement excitée. Il lui est donc impossible de pisser. Le silence.
Le type entre dans les toilettes. Il a un instant de surprise bien compréhensible. Il doit avoir la quarantaine avancée. Ventru.
< Bonjour mademoiselle ! > fait il une fois sa surprise passée. Clémentine ne répond pas mais tourne la tête, mimant la gêne.
J'admire son jeu parfait. Je sais qu'elle est pourtant véritablement troublée. Elle reste dans sa position. Parfaitement immobile.

Le type s'avance pour mieux regarder. Il se met à parler. Je me mets à sa place. Et je bande comme le dernier des salauds.
L'homme reste à quelque distance de la jeune fille. Il ouvre sa braguette, sort son sexe et se place devant un urinoir voisin.
Lui, il arrive à pisser rapidement. La conversation devient surréaliste. Clémentine s'est légèrement redressée en bavardant.
Elle regarde ce type pisser dans un jet continu qui semble ne plus finir. Enfin l'inconnu fait ses toutes premières propositions.
< Tu fais ça souvent dans les chiottes des mecs ? > demande le type. < Quand je dois pisser, oui ! > lui répond Clémentine.

< Et il t'arrive de faire des "trucs" avec des mecs ? > demande le coquin en secouant les dernières gouttes de sa queue molle.
Depuis ma cachette, je vois tout ce qui se passe. Je retiens ma respiration. Je suis mort de trouille. C'est excitant et inquiétant.
< Quels genres de "trucs" ? > demande Clémentine, faussement ingénue, jouant l'innocente à la perfection en mâtant le type.
< Sucer, baiser ou les branler ! > répond le mec en se tournant vers la fille. Je suis sur mes gardes, prêt à intervenir. Silence.
Je ne vois pas ce que fait l'homme qui me tourne le dos. Je vois clémentine qui remonte sa culotte et son legging. Doucement.

Je vois Clémentine fixer le sexe du mec en souriant. Il ne tente rien, reste à distance et propose une pipe. Demande classique !
Clémentine, la main entre ses cuisses, se touchant le sexe, dit encore : < A cause de vous, je n'ai même pas réussi à pisser ! >
Dans un éclat de rire, le type lui fait : < Tu réussirais peut-être mieux une bonne pipe, ça te tente ? >. Clémentine ne dit rien.
Elle prend la direction de la sortie en disant : < Une prochaine fois peut-être ! >. Soudain, la musique de mon téléphone. Merde.
Me voilà fait comme un rat. Je sors de mon cabinet. Le type remballe en me lançant un curieux regard. Il a une "révélation"...

Je sors des toilettes pour rejoindre Clémentine qui m'attend près des vélos. Je lui montre l'écran du téléphone. La serveuse !
C'est Julie, la jeune serveuse du restaurant qui me demande si elle doit réserver notre table habituelle ce soir. Il est 16 h50.
Le type sort des toilettes. Il nous voit. Il comprend sans doute à quel genre de couple il a affaire. Il nous lance : < Super ! >
Clémentine répond au message. Nous n'irons pas manger au restaurant de l'étang ce soir. Nous regardons le mec s'éloigner.
Il y a une femme qui l'attend là-bas, assise sur le muret. Nous montons sur nos bicyclettes. Il faut songer à rentrer. 17 h...

Nous pédalons contre un vent plutôt frais. Ce vent qui nous a poussé à l'aller gâche un peu notre plaisir au retour. Des efforts.
Nous mettons nos K-way. Nous grignotons nos pommes. Clémentine me fait part de son ressenti quand à cette aventure. Joie.
< Pour une première de la saison, c'était plutôt génial ! > me confie t-elle. Je la félicite pour son aplomb et pour son courage.
< Ça m'a tellement manqué, tu penses bien que j'en ai profité un maximum ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus.
Il est 18 h45 lorsque nous revenons à la maison. Et l'illusion d'une journée printanière a fait place à la réalité de la fraîcheur...

Nous nous changeons. Clémentine se blottit dans mes bras. < Merci Julien ! Sans toi tout cela serait impossible ! > me dit elle.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Je lui murmure : < Et tu n'imagines pas les frissons que tu me procures ! >
< Que des frissons ? > me demande t-elle en me palpant la braguette. Nous rions de bon cœur. Nous sommes morts de faim.
Je propose un gratin de coquillettes accompagné de queues de langoustines grillées au barbecue électrique. Suggestion reçue.
Clémentine s'occupe de la salade de carottes, tomates et de son assaisonnement. Je m'occupe des langoustines sur la grille...

Nous bavardons. Il est 20 h. La nuit achève de tomber. Nous faisons le bilan de notre première véritable aventure de l'année.
Au salon, Clémentine me confie toutes les intenses émotions vécues cet après-midi, dans ces toilettes que nous connaissons.
Déjà l'année dernière nous avons vécu là des situations hautement excitantes. Je dis : < Tu aurais du le sucer ce salopard ! >
< S'il te plaît, ne me demande plus de faire ça à un inconnu. Je ne pourrais jamais faire une chose pareille ! > fait Clémentine.
Je promets de ne plus l'évoquer. De ne plus en parler. < Je sais que c'est ton fantasme Julien ! > me murmure t-elle encore.

La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Le gratin de coquillettes est un délice. Les langoustines sont un régal.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. La fatigue de cette première sortie vélo et ses 50 km se font ressentir.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est déjà 21 h30. Nous faisons un tour dans le jardin. La fraîcheur est à nouveau vive.
Nous montons. Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis. Nous restons immobiles. Joie.
Elle me confie les plus étonnants secrets. Il est question de sucer un inconnu un jour. Cunnilingus. Fellation. Orgasmes. Dodo.

Bonne première sortie à bicyclette à toutes les coquines qui connaissent et retrouvent leurs endroits glauques ou s'exhiber...

Julien - (Qui assure à nouveau son rôle de vigile, de garde du corps, tout en prenant un plaisir fou à mâter Clémentine) -

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