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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 386 -



Un Week-End avec plein de balades à bicyclette

Hier matin, samedi, nous nous étirons en même temps dans un long gémissement que nous modulons en riant. Il est 7 h30.
< Bonjour ! > faisons nous quasiment en même temps avant de nous serrer fort l'un contre l'autre. Les douceurs. Papouilles.
C'est une forte envie de pisser qui met fin à nos effusions de tendresses. Nous nous précipitons aux toilettes. Rituel pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges, Clémentine prépare le café.
Dehors le ciel est bleu. Il y a bien quelques nuages mais le soleil semble déjà régner en maître. Température extérieure 12°.

Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de la semaine écoulée.
Nous rions beaucoup en évoquant nos aventures de hier après-midi dans les toilettes du port de plaisance. Sortie à bicyclette.
Clémentine suggère de profiter de ce temps sec et ensoleillé pour nous offrir un de ces joggings qui nous manquent tant. Joie.
Nous faisons la vaisselle. Nous montons nous mettre en tenues. Leggings, sweats. Nous voilà à courir avec un rythme soutenu.
Nous faisons notre circuit habituel. Nous apprécions d'être vêtus enfin plus légèrement. Ce damné hiver nous quitte. Superbe.

Il est à peine 9 h15 lorsque nous sommes de retour. La douche. Nous nous habillons pour aller faire nos courses. C'est samedi.
Clémentine porte une jupe kilt à carreaux rouges. Un chemisier sous un pull carmin. Des souliers fermés noirs, à légers talons.
Sur sa demande je porte mon costume en velours marron. Chemise ouverte sous un pull brun avec le col en "V". Tout va vite.
Nous voilà prêts. Dans la voiture, Clémentine joue avec mon sexe tout en me montrant les premières couleurs qui apparaissent.
Principalement des genêts. Des fleurs blanches à quelques arbres. Nous arrivons au bourg. Je gare notre auto. Il y a du monde.

Je porte les sacs. Nous déambulons dans les allées du marché. Il fait encore un peu frais mais c'est très supportable. Le soleil.
Nous faisons provision de nos fruits et de nos légumes chez nos petits agriculteurs habituels avec qui nous échangeons un peu.
Nous faisons provisions de fromages, de beure, d'œufs, de crème et de yaourts chez nos artisans habituels. Quelques banalités.
Clémentine, discrètement, comme elle aime à faire, me tripote la braguette ouverte. Retour à la voiture. Tout dans la glacière.
Nous voilà en route pour la zone commerciale de la ville voisine. Au dehors, il fait de plus en plus agréable. Auto sur le parking.

Je pousse le caddie dans les allées où se trouve nos nécessités. Produits d'entretien. Provision de conserves et de céréales bio.
Nous faisons la queue au rayon poissonnerie. Pas de doute, le printemps arrive. Tout le monde est bien plus légèrement vêtu.
Soudain, la musique stupide de mon téléphone. Clémentine s'en empare. < C'est Julie, la serveuse ! > me fait elle. Surprise.
La conversation est rapide. J'entends Clémentine faire < Ok ! > à deux reprises. Elle raccroche. Je remets l'appareil en poche.
< Elle est dans le magasin et nous propose de nous voir aux bouquins ! > m'apprend Clémentine aussi surprise que moi. Rire.

Nous faisons provisions de filets de lieu noir, de langoustines, de crevettes et de pavés de saumon. Nous allons au rendez-vous.
La jeune serveuse du restaurant de l'étang guette visiblement notre arrivée. Lorsqu'elle nous voit elle se précipite en souriant.
Nous nous serrons la main. < Bonjour ! Comme c'est triste une soirée de service sans vous dans la salle ! > nous fait elle. Rire.
Nous lui apprenons qu'avec l'arrivée des beaux jours nous serons moins souvent clients du restaurant. Julie semble tristounette.
Clémentine lui fait : < Vous avez nos coordonnées. Vous êtes invitée quand vous le voulez ! >. Julie répond : < C'est vrai ! >

Nous bavardons encore un peu. Les filles évoquent surtout leurs études. Avant de nous séparer, je lui dis : < Viens un soir ! >
Julie nous répond : < Je vais m'organiser. Je vous promets de faire le nécessaire. A bientôt ! >. Nous la regardons disparaître.
Nous sommes au rayon des bouquins, Clémentine, tout en bavardant, a gardé un œil attentif à l'entour. Il y a peu de monde.
Il y a ce grand type dégingandé qui feuillette un magasine. Clémentine me le montre et dit : < Il me mâte depuis 5 minutes ! >
Elle me prend le caddie. Je reste aux bandes dessinées. Je la regarde mettre en place sa stratégie. Le caddie contre le rayon.

Protégée de la vue par l'arrière, Clémentine s'accroupie à deux mètres du type qui regarde partout autour de lui. Je reste caché.
Il nous a vu discuter avec Julie. Il sait donc que Clémentine n'est pas seule. De l'endroit où je me trouve, j'ai une vue parfaite.
Clémentine porte des collants couleur chair. Il n'y a pas véritablement quelque chose à voir. Mais un homme reste un homme.
C'est le scénario habituel mais ô combien excitant. Le type s'accroupit pour faire mine de chercher un livre sur le rayon du bas.
Clémentine, discrète, écarte bien ses cuisses. Le type engage la conversation. Clémentine ne bouge pas. Je la vois rire. Sympa.

< Femme qui rit, femme dans son lit ! > fait une voix à ma gauche. Je regarde. C'est Julie. Elle rajoute : < Elle est géniale ! >.
Je suis à la fois étonné et consterné. Julie me chuchote : < Il faut que j'y aille, maman est au rayon fruits et légumes ! >. Rire.
Je la regarde partir. Coquine. Là-bas, Clémentine s'est redressée. Le type également. Et il griffonne sur un petit bout de papier.
Clémentine vient me rejoindre. Elle me montre le papier qu'elle agite : < Et encore un pour notre "collection" ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur. Je lui raconte la surprise que m'a réservé Julie. Clémentine conclue : < La voilà informée ! Super ! >

Nous passons en caisse. Dehors il fait un temps des plus agréables. Nous avons presque trop chaud dans nos vestes. Douceur.
Il est 12 h30 lorsque nous sommes de retour à la maison. Tout le long de la route nous avons évoqué Julie, la jeune serveuse.
Nous rangeons nos courses. Pour midi je prépare des haricots verts avec du thon grillé sur le barbecue électrique. Une sauce.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons.
Cet après-midi, c'est décidé, nous partons à bicyclette. La piste cyclable le long du canal. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine.

Il est à peine 13 h30. Nous voilà en tenues. Nous osons le short en lycra. Toutefois, dans le petit sac à dos, il y a les leggings.
Nous sommes prudents. Sweats en prévision. Deux pommes, une bouteille d'eau et des barres de céréales. Et nous voilà prêts.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous traversons le pont. 500 mètres et nous voilà sur la piste cyclable. Et il y a du monde.
Nous croisons quantité de cyclistes, de rollers, de couples qui se promènent et même un groupe de bonnes sœurs en balades.
C'est vrai qu'il y a un couvent à quelques kilomètres. Elles aussi veulent profiter de la douceur de ce climat printanier. Sympa.

Nous arrivons au cabanon de l'écluse. Clémentine me fait : < Tu te rappelles l'année dernière tous les "plans" exhibes, ici ? >
Nous nous arrêtons. Nous évoquons les souvenirs que l'endroit nous rappelle. < On tente ? > me fait encore ma compagne.
Je vais me planquer derrière le cabanon. De ma cachette j'observe Clémentine traverser la passerelle métallique de l'écluse.
Entre les bosquets de genêts en fleurs jaunes, Clémentine mâte à gauche et à droite. Il n'y a personne. Elle me fait coucou.
Nous échangeons des signes lorsque soudain je vois venir un cycliste solitaire. En tenue "Tour de France". Le vrai passionné.

Clémentine descend son short et sa culotte jusqu'aux chevilles. Cuisses largement écartées, observant son sexe, sans bouger.
Elle porte ses larges lunettes noires. Ses cheveux pendent sur son visage. Voilà notre Jalabert qui se pointe. Il ne fait pas gaffe.
Arrivé à la hauteur de la jeune fille qu'il découvre soudain de l'autre côté de l'écluse, inaccessible, il s'arrête brutalement. Frein.
Lorsque Clémentine nous met dans ces situations, j'ai de terrible érections. Et là, en début de saison, celle-ci est douloureuse.
Je n'entends pas ce que dit le type. Mais il semble plutôt loquace. Clémentine a relevé la tête. Et elle reste dans cette position.

Notre cycliste évalue les environs, regarde dans toutes les directions. Va t-il traverser la passerelle ? Je suis prêt à intervenir.
Il est debout, tenant sa bicyclette d'une main en se touchant de l'autre. Situation "classique". Il fouille dans son short coloré.
Je regarde Clémentine. Elle tente de se lâcher. En début de saison, hyper excitée, il lui est encore impossible de jouer le jeu.
Il y a un couple qui arrive sur la droite. Ils sont encore à une centaine de mètres. Clémentine se redresse. Le cycliste observe.
Clémentine a remonté sa culotte et son short. Le couple passe doucement. Notre cycliste sort son sexe qu'il agite vers la fille.

Voilà Clémentine bien embarrassée. Le type est du genre collant. Comment va t-elle se tirer de cette situation sans mon aide.
Surtout que notre gaillard semble à présent vouloir s'engager sur la passerelle en fer. Il a posé son vélo contre la rambarde.
J'estime qu'il est temps de venir au secours de ma compagne. < Chéri ! > me fait Clémentine. Le type se retourne et me voit.
Gêné, estomaqué peut-être, il remballe maladroitement sa bite, saisit son vélo, monte dessus et file sans demander son reste.
Clémentine se précipite dans mes bras. < Tu as fait exprès de me laisser avoir peur, hein ? > me fait elle. Je la soulève. Bise.

Nous arrivons au port de plaisance sans encombre, ce qui est normal car nous ne l'avions pas emmené avec nous. Du monde.
Mon téléphone sonne à nouveau. Clémentine le tire du sac à dos que je porte. < C'est Estelle ! > me fait elle. La conversation.
Clémentine me passe le téléphone. Je lui apprends que nous sommes au petit port de plaisance, à 25 km. Elle bosse au bureau.
Elle viendra à bicyclette et nous attendra à la maison en préparant des pâtes avec une sauce au pistou. Nous mettons au point.
Il est 16 h30. Nous prenons le chemin du retour. Nous avons un léger vent contre nous. C'est un après-midi merveilleux. Joie.

Il est 18 h30 lorsque nous sommes de retour. Il y a la bicyclette d'Estelle posé contre le muret de l'escalier. Elle est arrivée.
Elle nous saute au cou. Blottie contre moi, Estelle nous raconte son après-midi dans l'entreprise familiale. Boulot de bureau.
< Je serais bien venue avec vous ! > nous fait elle alors que Clémentine s'interpose pour se blottir contre moi à sa place. Joie.
Estelle est entrain de faire bouillir de l'eau pour les spaghettis. De l'oignon, de l'ail et de la ciboulette hachés sur la planche.
Nous nous mettons immédiatement à l'aider. La préparation. Le gratin de spaghettis est au four. Nous montons nous changer.

Estelle monte nous rejoindre. Assise sur le lit elle nous fait part de l'invitation insistante de Gauvin, l'étudiant qui la drague.
< Mais il faut y aller ! > lui répète Clémentine. < Ce sera pour mercredi soir ! C'est son anniversaire ! > nous apprend Estelle.
J'abonde dans le sens de ma compagne en disant : < Il y aura du monde, de l'ambiance, c'est le "plan" idéal. Vas y donc ! >
La sonnerie du four. Nous descendons à toute vitesse. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et en riant beaucoup.
Les filles évoquent leurs cours. Il reste trois pages à remplir pour rendre leur mémoire lundi prochain, le 16 avril. Bon timing.

Il est donc convenu que ce soir, il faudra se résoudre à travailler un peu dans l'atelier pour rattraper notre sortie à bicyclette.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous voilà dans l'atelier. Il est 20 h30. C'est un peu dur.
Rapidement toutefois nous nous y mettons. Les filles sont assises à la table entourées de leurs affaires. Je termine mon dessin.
Epuisés, vers 22 h30, nous montons nous coucher. Estelle s'endort la première. Nous l'entendons ronfler légèrement. Sympa.
Nous nous caressons. Une petite baise. Clémentine me chuchote des secrets. Cunnilingus. Fellation. Orgasmes sublimes. Dodo.

Bonne promenade à bicyclette à toutes les coquines qui retrouvent les joies de l'exhibition discrète devant des "Poulidor"...

Julien - (Qui reprend son rôle de vigile, assurant la protection rapprochée de Clémentine qui peut enfin s'éclater dehors) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 387 -



Une visite aux écuries au retour de notre virée à bicyclette

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des murmures et des rires étouffés. On tient mon érection matinale.
J'ouvre l'œil et le bon. Et c'est Estelle qui a passé son bras par dessus Clémentine pour me tenir par mon érection naturelle.
< Bonjour Julien ! > me font elle en même temps. Je me mets à quatre pattes entre les deux coquines pour les chatouiller.
J'imite le grognement de l'ours des cavernes. Estelle continue à me tenir fermement par le sexe. Elle me masturbe un peu.
Je redouble de chatouillis. Estelle parvient à s'enfuir jusqu'aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Les papouilles.

Estelle revient et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. < On arrive ! > lui fait Clémentine en m'entraînant.
Nous filons aux toilettes. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il y règne une odeur de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il est à peine huit heures. Nous évoquons le haras ou nous irons en soirée.
Nous avons fait un courriel à Juliette hier pour la prévenir de notre visite dimanche soir, vers 18 h30. Au retour de notre virée.
Le thermomètre extérieur indique 12°. Le ciel est bleu. Le soleil est déjà haut. Je beurre les tartines que me tendent les filles.

La vaisselle. Je propose aux filles qu'elles aillent se consacrer à leur travail dans l'atelier. Je m'occupe de tout. Ménage et repas.
Clémentine se blottit dans mes bras en disant : < Ça va être dur sans toi, mais je crois que c'est une excellente suggestion ! >.
Estelle passe derrière moi pour passer ses bras autour de ma taille. < Et je viens te voir de temps en temps ! > chuchote t-elle.
Je les accompagne jusqu'à l'atelier. Quelques dernières bises. Je dis : < Je reste dans un périmètre de 20 m ! Pas de soucis ! >
< Et les ondes traversent les murs ! > rajoute Estelle en mimant une masturbation masculine avant de s'assoir à table. Rires...

Je retourne à la cuisine. Je fais décongeler trois gros pavés de saumon. Je commence le ménage. Je nettoie les chiottes du bas.
Je passe la serpillère sur le carrelage des sols de la cuisine, des toilettes, du hall d'entrée. Je sors l'aspirateur du placard mural.
Je vais au salon. Estelle qui s'y est dissimulée me surprend. < Coucou ! > me fait elle en m'attrapant les couilles par derrière.
Elle est adorable. Elle n'a pas pu s'empêcher de sacrifier à son rituel peloteur du dimanche matin. Nous rions de bon cœur. Bise.
De sa main libre qu'elle glisse dans mon slip elle me choppe la bite. Elle me fait des bisous dans le cou. Clémentine arrive aussi.

< Voilà ! Je suis absente deux minutes et nos deux vicieux sont entrain de se livrer au stupre ! > fait elle en s'interposant. Rire.
Je leur demande si l'avancée de leurs travaux est conséquent. Estelle me fait : < Oh oui ! On y retourne ! Viens nous visiter ! >
Je continue mon ménage. Je monte à l'étage. Je change les draps. Je fais la chambre. J'aère. Et je nettoie les chiottes du haut.
Je nettoie la salle de bain. Je passe la serpillère sur les carrelages des sols. Je redescends avec le panier à linge plein à ras bord.
Je suis à la cave, à la buanderie. Je mets le linge blanc en machine. On me choppe à nouveau par derrière. Les couilles. Et fort.

Bien évidemment, c'est Estelle. Elle passe devant moi pour se blottir. Et lorsque Clémentine n'est pas avec nous, cela me gêne.
Elle m'embrasse en fouillant ma bouche de sa langue exploratrice. Je lui passe la main entre les cuisses. J'appuis sur son sexe.
< Baise moi ! > me chuchote Estelle. Je la repousse fermement pour dire : < Stop ! Ne reviens pas avec ça ! Pas question ! >.
< Tu as entendu ! C'est non ! > fait Clémentine qui arrive dans la buanderie à son tour. Elle écarte Estelle d'un geste ferme.
Nous rions de bon cœur. Estelle remonte l'escalier en courant. Clémentine m'embrasse et me fait : < Je t'aime Julien ! > Bises.

J'entraîne Clémentine par la main. Nous remontons. Je lui propose de filer à l'atelier pour finir son travail. Je vais à la cuisine.
J'épluche les patates, les carottes, les navets, l'ail et l'oignon pour la potée du dimanche. Je prépare le saumon en papillotes.
Il est midi. Les filles viennent me rejoindre. < Fini ! > s'écrie Estelle. < Merci Julien, on a bien avancé ! > me fait Clémentine.
< Si on bosse encore un peu ce soir, on termine la huitième page de notre mémoire ! > précise Estelle en se serrant très fort.
Clémentine prépare la salade et son assaisonnement. Estelle s'occupe de la cuisson des papillotes sur le barbecue électrique.

Je touille la potée dans la vieille cocotte en fonte. Rapidement l'odeur achève d'ouvrir nos appétits. Dehors il fait vraiment beau.
Le thermomètre extérieur indique 20°. Nous sortons tous les trois dans le jardin. Il y fait tellement doux et agréable. Printemps.
Estelle me tient par le bras gauche. Clémentine me tient par le bras droit. Nous faisons le tour de la propriété. Genêts en fleurs.
Je regarde le vélo d'Estelle. < C'est mon papa qui me la vérifié hier ! > me fait elle. Un "Vélo Tous Chemins" comme les nôtres.
Je m'assois dessus. Il est confortable. Estelle me palpe la braguette. < Tu es bien assis ? > demande t-elle, espiègle et mutine.

Nous rentrons. La table est mise. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent les cours, le mémoire.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous mettre en tenues. Comme hier, nous osons les shorts en lycra noir.
Dans le petit sac à dos, nous mettons nos leggings, les sweats, trois pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau. Bien.
Il est à peine 13 h45 et nous voilà tous les trois à pédaler sur la piste cyclable, l'ancien chemin de halage le long du canal. Joie.
Il y a un monde fou. Des cyclistes, des rollers, des couples avec des landaus. Il fait un temps magnifique. Le vent nous pousse.

Nous arrivons au petit port de plaisance pour 15 h45. Il y règne une ambiance festive. Plein de bateaux son débâchés. Super.
Les premiers plaisanciers viennent s'occuper de leurs bateaux. Les joueurs de pétanque sont au rendez-vous. Des promeneurs.
Nous marchons en poussant les bicyclettes. Clémentine invite Estelle à visiter les toilettes publiques réservées aux plaisanciers.
Nous posons les vélos contre le mur. Nous entrons dans les sanitaires. Odeur de javel. Clémentine raconte nos aventures ici.
< Je veux venir voir aussi ! > fait Estelle qui était déjà venue mâter l'été dernier lorsque nous lui avons fait découvrir nos jeux.

Je propose d'aller nous offrir des cônes glacés. La superette déjà ouverte en ce début de saison. Suggestion reçue. Bonne idée.
Nous dégustons nos glaces assis sur le muret, profitant de ce soleil enfin chaud. Nous avons tant attendu ce jour et tout l'hiver.
Il est 16 h30. Nous prenons le chemin du retour. Nous avons un léger vent de face. Il faut fournir un léger effort. C'est sympa.
Nous décidons d'aller au haras directement à bicyclette. Nous y arrivons pour 18 h15. Juliette est dans la cour avec un groupe.
Nous la laissons discuter. Sans doute des propriétaires de chevaux. Coucou de la main. Nous posons nos vélos contre le mur...

Nous allons directement dans notre écurie préférée. Là où il y a le fameux box et son trou parfaitement rond dans la cloison.
Le box est vide. Juliette l'a sans doute débarrassé de son cheval avant notre arrivée. Estelle s'accroupie pour montrer l'orifice.
Nous nous penchons pour regarder. Juliette arrive. < Alors ! C'est super, non ? > nous fait elle en nous proposant de la suivre.
Nous la suivons dans le petit local de monsieur Gérard. Le couvercle qui fermait provisoirement le trou a été à nouveau retiré.
< Passe de l'autre côté ! > me lance Estelle. < Bonne idée ! > rajoute Clémentine. Nous rions de bon cœur de mon embarras.

Je les laisse toutes les trois dans le bureau du palefrenier pour retourner dans le box. Puis je descends mon short et mon slip.
Je passe ma bite toute molle par le trou. Je suis plaqué contre la cloison. Situation légèrement inconfortable. J'entends rigoler.
Soudain, je me fais sucer. Je fais, à haute voix : < Attention ! Je dois pisser ! > La succion cesse aussi soudainement. Sympa.
Estelle vient me rejoindre. Je demande : < C'étai toi qui l'avait en bouche ? >. Estelle est derrière moi et me fait: < Devine ! >
J'attends encore. Estelle s'est accroupit derrière moi pour me chopper par les couilles. Elle me renifle la raie. Je suis très gêné.

Soudain la pipe reprend. Cela ne peut pas être Estelle puisqu'elle est entrain de me lécher la raie pour se régaler de ma sueur.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Je suis entrain de me faire tailler une pipe des familles. C'est Clémentine.
Je reconnais sa façon de sucer. Sa langue qui joue au méat en même temps qu'elle pompe. Estelle me fait le cul. Un silence.
Soudain un bruit de pas. Je n'ai pas le temps de retirer ma bite du trou et de la bouche qui me pompe aussi merveilleusement.
Monsieur Gérard le palefrenier arrive dans le box. < Bonjour ! Et bravo ! > nous fait il en levant son pouce pour nous féliciter.

La pipe s'arrête subitement. Je me sens comme le dernier des cons, debout là, cambré contre la cloison. Estelle s'est redressée.
Je remonte mon slip et mon short. Lamentable. Juliette et Clémentine arrivent à leur tour. Nous en rigolons comme des bossus.
< Je ne sers pas les mains parce que je viens de me palucher en mâtant ! Chacun son tour ! > nous fait monsieur Gérard. Rires.
Je regarde Juliette. Elle a un sourire vicelard que je n'ai jamais vu avant ce soir. Nous sortons des écuries. Gérard nous laisse.
Juliette nous raccompagne jusqu'aux bicyclettes. < Alors, c'était comment ? > nous demande t-elle. Elle me fixe avec insistance.

Je lui dis : < En tous cas, merci pour cette complicité. C'est un privilège ! >. Juliette me répond : < Et pour tout le monde ! >
< Revenez quand vous voulez, les "affaires" peuvent reprendre ! > nous fait encore Juliette en nous accompagnant à l'entrée.
Un dernier coucou de la main et nous voilà sur nos bicyclettes. Nous sommes de retour à la maison pour 19 h30. Morts de faim.
Nous réchauffons la potée. Estelle m'aide à préparer des filets de lieu noir que nous panons. Clémentine s'occupe de la salade.
Je demande à Clémentine : < C'était toi ? >. Clémentine passe sa main dans mon short pour répondre : < Tu dois deviner ! >

< Ce n'était pas moi, je le jure ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.
Nous rions beaucoup de notre aventure aux écuries. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles on encore du travail. Bien.
Nous passons dans l'atelier. Il est 20 h30. Je peaufine le dessin préparatoire de ma prochaine toile. Les filles sont à leur travail.
Il est rapidement 22 h. < Fini ! > s'écrient t-elles en même temps. Il faut ramener Estelle. Je mets sa bicyclette dans le coffre.
Au retour, Clémentine et moi, nous nous offrons du plaisir comme une première fois. Cunnilingus. Fellation. Baise et puis dodo.

Bonne virée en bicyclette et bonne visite dans vos écuries préférées à toutes les coquines désireuses de trucs bien glauques...

Julien - (Le short et le slip aux genoux, comme un con, collé contre la cloison, la bite dans le trou, entrain de se faire sucer) -

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Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 388 -



Un début de semaine dans la volupté et les révélations

Hier matin, lundi, c'est le concerto pour Clavecin de Antonio Vivaldi qui nous tire de nos profonds sommeils réparateurs. 5 h55.
< Mais ta gueule Tonio ! > fait Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus en nous serrant fort.
< Bonjour Julien ! > fait Clémentine. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant.
L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons aux chiottes pour aller y pisser.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner avec méthode. Et vite.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de ce Week-End. Evoquant notre curieuse aventure, hier, aux écuries.
Le thermomètre extérieur indique 8°. Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gymnastique quotidienne. Le plaisir.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint en veste, jean et bottines. Elle est si belle.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le ciel est principalement bleu.
Je rentre. Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. 8 h15.

Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de la vingt troisième toile destinée à ma saison.
Il m'en faut encore sept. Jamais, je n'ai eu tant d'avance. Merci Clémentine de ta présence dans mon existence. C'est super.
Je peins dans un enthousiasme divin. Je pousse les cris les plus surréalistes que je module longuement des graves aux aigus.
C'est encore une de ces matinées où ma passion m'entraîne loin de toute réalité. J'embrasse mes mains pour les remercier.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je fais décongeler du pâté de lentilles dans le Wok. Je lave une belle laitue. Verte.

J'évide trois belles et grosses courgettes. J'écoute la chronique de Guy Carlier qui me fait encore beaucoup rire. Du riz complet.
Je suis absorbé dans ma préparation lorsque la musique ridicule de mon téléphone résonne. Je décroche. C'est Julie. Surprise !
< Bonjour monsieur ! Je vous fais un petit coucou. Vous venez vendredi prochain ? > me confie t-elle. Nous bavardons un peu.
Je m'empresse de lui répondre que si la météo est médiocre, nous réservons une table pour vendredi soir. Nous nous saluons.
Je rempli les courgettes de leur farce. Un mélange de pâté de lentilles et de gruyère de Comté, de champignons, de Roquefort.

Je mets au four. Je m'occupe de la cuisson du riz complet que je fais gonfler. Je prépare l'assaisonnement de la salade verte.
L'étrange coup de téléphone de Julie, la jeune serveuse du restaurant de l'étang, me laisse une curieuse impression. Sympa.
Je vais au salon. J'écris la première partie de ce récit que je posterais ici demain matin. La sonnerie du four. Je me précipite.
Je mange de bon appétit. Dehors, le soleil est haut dans un ciel principalement bleu. Le thermomètre extérieur indique 17°.
La vaisselle. Je range la cuisine. 13 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Et je me livre corps et âme à ma passion.

Du bruit. Il est 15 h30. J'anticipe l'arrivée de Clémentine en posant mes pinceaux et ma palette. Elle entre dans l'atelier. Joie.
< Bonjour mon amour ! > s'écrie t-elle en se précipitant vers moi. Assise sur mes genoux elle me raconte sa journée à la fac.
J'écoute les amusantes anecdotes. Estelle qui se fait draguer effrontément par Gauvin au restaurant universitaire par exemple.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Dès qu'il arrive, je me précipite en salle de documentation ! >. Sympa.
< J'ai horreur de tenir la chandelle et cela me permet de me plonger dans mon travail ! > rajoute t-elle, passionnée d'études.

Assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, Clémentine se livre à sa passion, tout comme je le fais. Super.
Parfois, l'un se lève pour aller voir ce que fait l'autre. Autant de prétexte pour s'offrir quelques bisous. Une ambiance de joie.
< Terminé pour aujourd'hui ! > s'écrie Clémentine. Je nettoie mes pinceaux et ma palette pendant qu'elle range ses affaires.
Ma compagne m'entraîne par la main jusqu'à la cuisine. Là, elle découvre la surprise du repas de ce soir. < Miam ! > fait elle.
Pendant que les courgettes et le riz que j'y ai rajouté réchauffent au four, nous sortons dans le jardin. Il y fait presque doux.

L'entreprise paysagiste habituelle interviendra mercredi matin. Le motoculteur pour retourner la terre du potager. Nettoyage.
Dans la serre, nous ferons le nécessaire nous-même. Clémentine s'est tellement réjouie pour s'occuper de ses fleurs à venir.
Il y aura des roses, des tulipes et autres d'un côté. De la ciboulette, du persil, de la menthe et d'autres condiments de l'autre.
Tout en m'ouvrant la braguette, Clémentine m'explique comment elle va procéder pour s'occuper de la roseraie. Sympathique.
Tout en sortant mon sexe qu'elle tient fermement dans sa main chaude, elle m'entraîne en me tenant comme à la laisse. Joie.

Nous faisons le tour de la propriété pour constater les dégâts de l'hiver. Branches cassées au sol, ruissellements destructeurs.
Il faudra consolider les grosses pierres du muret le long de l'escalier qui mène au verger. Le bassin est plein de boue vaseuse.
Je n'y ai plus mis d'eau depuis la disparition de mon ancienne compagne. Clémentine me propose de lui rendre son bel aspect.
Je donnerais les consignes aux employés de l'entreprise paysagiste. Clémentine me tire par la queue. Nous rentrons au chaud.
Nous n'avons pas entendu la sonnerie du four. Nous mangeons de bon appétit. Je raconte le coup de téléphone de Julie à midi.

< Voilà enfin le loup qui sort du bois ! > fait Clémentine en apprenant la nature des échanges et l'invitation de vendredi soir.
Nous nous promettons d'aller au restaurant de l'étang vendredi pour 19 h45 si la météo est détestable. Ce sera sympathique.
Clémentine rajoute : < Si elle appelle, c'est qu'elle est "mûre" la Julie ! >. Nous en rions de bon cœur. Nous traînons à table.
Assise sur mes genoux, et tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part de ses ressentis quand aux écuries.
< Il faut que je te confie des choses importantes, après, sur le canapé ! > me fait elle. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine.

Clémentine m'entraîne au salon. Elle retire son jean et sa culotte qu'elle jette dans le fauteuil. Elle se vautre dans le canapé.
Je pose l'épais coussin au sol pour. Je suis à genoux entre ses jambes. Je hume longuement les odeurs de sa journée de fille.
Effluves enivrantes, fortes et parfumées. J'enfonce mon visage dans l'épaisse touffe. Les poils me chatouillent. C'est superbe.
Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. < J'ai besoin que tu joues le "Maître" bientôt ! > me confie t-elle.
Ma compagne a le besoin cyclique d'être prise en main, d'interpréter le rôle de la "soumise". Je m'y applique au mieux. Bien.

Du bout de la langue, je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe humide. Il y a plein de délicieuses choses.
Il y a déjà ce goût légèrement acidulé, vinaigré et un peu piquant. Il y a des miasmes. Et des reliquats de substances salées.
J'entends la respiration de Clémentine qui change rapidement. Des souffles qui se succèdent. Des apnées. Des concentrations.
Les premiers gémissements lorsque je décalotte son clitoris géant du bout de mes lèvres. Elle me repousse et m'attire sur elle.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons sans bouger. Nous adorons rester immobiles. C'est super.

Je bande comme le dernier des salauds. Les confidences de Clémentine assurent une érection démentielle, permanente. Joie.
Je déteste peser de tout mon poids sur son corps. Aussi je reste en appui sur mes bras. Clémentine me serre de ses jambes.
Sa bouche près de mon oreille, suspendue à moi par ses bras autour de mon cou, Clémentine me confie les premiers secrets.
Il est question du haras, des écuries et d'une certaine confusion que tout cela induit dans son esprit. C'est très excitant. Bien.
Par contre, dès que nous sommes avec d'autres personnes qu'Estelle, notre adorable complice, s'installe un curieux ressenti.

< J'ai l'impression de perdre le contrôle de ce qui se passe ! Et cette sensation perturbe la suite ! > me confie ma compagne.
J'écoute en silence. Parfois, excitée pas ses aveux, Clémentine se met à bouger doucement. Et nous nous berçons en rythme.
Nous alternons ces séquences d'immobilité absolue et le mouvement lent et rythmé de nos bassins. Sensation merveilleuse.
Nous mettons au point les stratégies à venir. Pour son plaisir total, ma compagne veut éviter les situations à plusieurs. Rien.
< Juste à trois ! Estelle, toi et moi ! > me fait elle. J'abonde dans son sens. Je déteste moi aussi toute forme de promiscuité.

Clémentine rajoute encore quelques précisions. S'il doit se passer des choses avec une autre, ce sera toujours à trois. Super.
< Notre complicité est totale à trois car on peu gérer chaque aspect des choses ! J'aime te voir faire le salaud ! > me fait elle.
Clémentine adore se masturber en me regardant me comporter comme le dernier des vicelards avec Estelle. Je fais au mieux !
Nous avons quelques "projets" en ce qui concerne Juliette, la patronne du haras et Julie la jeune serveuse du restaurant. Joie.
< Je veux absolument qu'on se les "offre" ! > fait encore ma compagne en bougeant doucement. Son souffle à mon oreille...

Je lui chuchote : < Je crois qu'elles n'attendent que "ça", Juliette et Julie ! Elles sont bien informées. Elles ont bien compris ! >
< Certain ! On ne s'est pas privés de leurs faire comprendre les situations que nous apprécions. Curieuses ! > fait Clémentine.
Il est presque 22 h. Je propose de monter pour nous "terminer" au lit. Je me retire avec d'infinies précautions. Nous montons.
Les toilettes où nous nous régalons de nos derniers épanchements. La salle de bain où nous faisons les clown devant le miroir.
Le lit où nous reprenons nos confidences dans la plus intime complicité. Un cunnilingus. Une fellation. Orgasmes fous. Et dodo.

Bonne soirée à vous faire les plus excitantes révélations, à toutes les coquines qui baisent sur le canapé avec leur complice...

Julien - (Qui aime à partager ces moments d'une intensité extrême, dans une volupté intime et dans l'écoute totale) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 389 -



Encore une agréable soirée en compagnie d'Estelle

Hier matin, mardi, c'est le concerto pour piano No 23 de Wolfgang Amadeus Mozart qui nous tire de nos profonds sommeils.
< Mais ta gueule Momo ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rions de bon cœur en nous serrant fort.
< Bonjour Julien ! > me fait elle. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant.
Nous nous précipitons aux toilettes. Notre rituel pisseux. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine.
Je presse les quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé...

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme de la journée à venir. Le thermomètre extérieur indique 5°.
Comme tous les mardis, ma compagne n'a pas cours l'après-midi. Elle se réjouit pour rentrer à midi et son travail à la maison.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Nous attendons avec impatience qu'il fasse jour dès six heures.
Ainsi, nous pourrons nous offrir nos joggings matinaux qui nous manquent tant. L'hiver prochain, nous aurons les tapis roulants.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Voilà le retour de l'hiver.

Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre me mettre au chaud.
Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins rapidement dans un enthousiasme délirant. Dehors le ciel gris.
Je travaille à la vingt troisième toile destinée à ma saison d'été. Une nature morte au bouquet de roses. Une toile commerciale.
Dans la volupté de ma passion, je pousse les plus invraisemblables et surréalistes cris que je module longuement. C'est beau.

La matinée se passe ainsi, loin de toute réalité, me permettant une avancée considérable. Remarquable. Il est rapidement midi.
Je vais à la cuisine. Je fais cuire des haricots verts dans le Wok. Je décongèle nos deux filets de lieu noir à feu doux à la poêle.
12 h15. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Super.
Dans une assiette, je casse un œuf. Dans une autre, je mets de la chapelure, des graines de sésame grillé et une biscotte pilée.
Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Je passe les filets de lieu noir dans l'œuf puis dans la panure. Sympa.

Je retourne les filets panés dans la poêle sans arrêt pour assurer une cuisson parfaite. Tout est prêt. Clémentine met la table.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Ce soir, elle aura fini la page No 9 de son mémoire. Bien.
Je prépare la pâte pour la Flamiche Picarde de ce soir. Cette tarte aux poireaux que est devenue notre rituel des mardis soirs.
Clémentine tente la Béchamel. Je coupe le poireau en petits morceaux que je fais cuire à l'eau bouillante. Méthode. Efficacité.
Je félicite Clémentine pour la magnifique Béchamel. J'y rajoute les morceaux de poireau. Gruyère et champignons émincés...

Ces préparations sont récréatives. Ces occupations ludiques nous permettent de nous changer les idées. Tout est prêt. Bien.
Nous passons au salon. Il est 13 h45. Clémentine m'entraîne dans le canapé où nous nous vautrons. Nous nous embrassons.
Clémentine me chuchote quelques ressentis quand à notre vie actuelle. Son impatience d'être en Vacances. Le Périgord. Joie.
Sa main glissée dans ma braguette déboutonnée, ma compagne me confie son désir de se retrouver seule avec moi 10 jours.
Je passe ma main dans sa chemise à carreaux largement déboutonnée pour caresser du bout des doigts ses tous petits seins.

Clémentine retire son jean et sa culotte. Je me mets à genoux sur l'épais coussin et entre ses jambes. Je caresse ses genoux.
Je hume longuement les odeurs de sa matinée de fille. C'est enivrant. Du bout de la langue je fouille tous les plis de ses lèvres.
J'adore ce goût légèrement vinaigré. Ce mélange de sueur, de sécrétions et certainement de pisse. C'est mon dessert préféré.
Je décalotte son clitoris géant du bout de mes lèvres. Clémentine me repousse doucement pour m'attirer sur elle. La douceur.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Comme toujours, nous restons immobiles. C'est le moment des secrets.

C'est toujours notre façon à nous d'échanger, de nous révéler nos secrets les plus intimes. Clémentine chuchote à mon oreille.
J'entends les plus étonnantes confidences. Et cela nous excite au plus haut point. Nous sommes des cérébraux. Notre formule.
Nous alternons les séquences de bercement avec l'immobilité. Je bande comme un priapique en phase terminal. C'est géant...
Nous restons ainsi un long moment à savourer cette communion totale. Il n'est évidemment pas question d'aller aux orgasmes.
Nous flirtons à plusieurs reprises avec les limites. Je me retire avec d'infinies précautions. Nous savourons les jus de nos sexes.

Après un "69" juteux, nous filons à l'atelier. Il est presque 15 h. Nous voilà devant nos travaux respectifs. Il faut se concentrer.
Nous reprenons rapidement nos esprits pour nous offrir cet autre plaisir. Le crépitement dans l'âtre Le craquement des bûches.
Dehors, le ciel est sinistre. Je peins avec la lampe halogène comme en plein mois de décembre. Nous voilà dans le labeur. Bien.
La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. Il est 17 h45. C'est un texto d'Estelle. Il est l'heure de la chercher.
Nous mettons nos anoraks. Trois petits kilomètres. Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel. Toute contente et souriante.

Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte la difficulté de joindre ses études et l'entreprise familiale.
J'admire cette volonté et cette pugnacité. C'est le moteur de l'évidente réussite qui l'attend. Celle qui récompensera ses efforts.
Nous sommes rapidement de retour. Les filles sont immédiatement au travail. Assises à table, entourées de leurs affaires. Ordi.
Clémentine fait profiter Estelle de l'avancée de son travail. Je peins dans la volupté. Les murmures derrière moi me rassurent.
Nous apprécions ces ambiances studieuses. C'est une partie extraordinaire de nos existences. Nous en sommes bien conscients.

Il est 19 h. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Je réchauffe la Béchamel. J'étale la pâte onctueuse en deux parties. Belles.
Clémentine est la première à me rejoindre. Elle s'occupe de l'assaisonnement de la salade. Nous sommes méthodiques. Super.
Estelle arrive à son tour. Elle étale la pâte dans le grand plat à tarte. Je verse la garniture. Je rajoute du gruyère de Comté râpé.
Estelle recouvre le tout du fin couvercle de pâte. Elle badigeonne du mélange œuf, Parmesan, curcuma, grains de sésame grillé.
Elle met au four. Nous passons au salon. Estelle examine le cuir du canapé. < Vous avez baisé, hein ! > nous demande t-elle.

Nous rigolons comme des bossus. < Oui ! Et sans toi pour mâter ! > lui fait Clémentine. Estelle me palpe la braguette. Rires.
< Tu me fais goûter ! > me dit elle. Clémentine me déboutonne pour en extraire mon sexe encore humide de liquide séminal.
Estelle, accroupie, hume longuement ma bite molle. < Ça sent la baise ! > fait elle en prenant ma queue toute molle en bouche.
< Tu te régales ? > lui demande Clémentine sans lâcher mon sexe qu'elle agite dans la bouche gourmande d'Estelle. Fellation.
Clémentine se frotte contre le côté gauche de ma hanche. Nous nous embrassons. Je suis entrain de me faire tailler une pipe.

Clémentine, toujours si prévenante, anticipe un éventuel inconfort en me massant les lombaires. Nos mentons mouillés. Bave.
Nous nous embrassons tous deux avec tant de passion qu'il nous est impossible de contrôler nos flots de salive. Merveilleux.
Bien évidement, je secrète autant de jus de couilles que de salive. Le jus de couilles pour Estelle qui gémit de bonheur. Foutre.
La sonnerie du four. Je saisi Estelle par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Nous nous précipitons à la cuisine. Superbe.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles parlent de leurs cours. De l'effort qui faudra encore fournir ce soir.

Je leur propose de m'occuper de tout. Qu'elles se dépêchent de retourner à leurs travaux. Il faut terminer cette neuvième page.
Clémentine se met contre moi. < Tu es un amour ! >. Je les regarde filer à toute vitesse. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine.
Je rejoins les filles dans l'atelier. Nous voilà dans nos labeurs. Ces séquences qui alternent silence, soupirs et murmures. Génial.
< Fini ! > s'écrient les filles en même temps. Estelle sautille autour du chevalet en agitant cette fameuse neuvième page. Rires.
< Plus qu'une page et notre mémoire est terminé ! > rajoute Clémentine assise sur mes genoux. Je nettoie mes pinceaux. Joie.

Il est 21 h30. < Je peux sucer encore un peu ? J'ai bien travaillé, j'ai bien mérité ! > fait Estelle assise sur mon autre jambe.
Je saisi les filles par leurs cheveux pour les forcer à se lever en même temps que moi. Clémentine me retire ma blouse en lin.
Je les tiens fermement pour les entraîner au salon. Je les fais tomber dans le canapé. Je me déboutonne. Je sors ma queue.
Je bande mou, aussi il y a de la jute gluante et épaisse qui dégorge dans un long filament visqueux. Estelle ne se fait pas prier.
J'offre mon sexe qui se met à durcir aux deux coquines qui sucent à tour de rôle comme si leurs vies en dépendaient. Superbe.

Clémentine se touche, une main dans sa culotte. Estelle me tient par les hanches. Je fourre ma queue dans chaque bouche.
Le spectacle est à la fois émouvant et excitant. Les filles sont tellement belles quand elles font ça. Concentrées, yeux fermés.
J'ai des vertiges. Je me tiens à leurs cheveux. Mes lombaires me rappellent l'inconfort de ma position debout, cambrée. Bobo.
Lorsque je retire mon Zob d'une bouche, il subsiste un long filament visqueux qui s'étire sans casser. D'une bouche à l'autre.
C'est un concerto pour deux voix à laquelle je joins la mienne. C'est tellement merveilleux que nous gémissons tous les trois.

Même si c'est un amour impossible, nous nous aimons tous les trois. Ce constat qui a tant effrayé Clémentine, est assumé.
Nous gérons parfaitement cette situation sentimentale. Mais il serait temps qu'Estelle se trouve un mec. Je pense à tout cela.
Il est 22 h15. Il faut ramener Estelle. Clémentine est à la limite de l'orgasme. Moi aussi. Nous cessons comme à regret. Dur.
Nous ramenons Estelle qui est assise au sol, dans la voiture, entre les jambes de Clémentine. Estelle veut sucer encore. Joie.
La séparation est difficile. Au retour, c'est Clémentine. Toilettes. Salle de bain. Baise. Cunnilingus. Fellation. Nous plongeons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment partager une bite bien juteuse, bandante, tout en évoquant leurs études...

Julien ( Qui se fait vider les couilles avant de se les faire essorer consciencieusement par ses deux délicieuses gourmandes) -

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Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 390 -



Nous sommes invités en soirée à manger chez Juliette

Hier matin, mercredi, nous sommes tirés de nos sommeils par le concerto pour clarinette de Carl Maria Von Weber. Il est 5 h55.
< Put-Hein ! Mais pas de la clarinette déjà le matin Von machin ! > s'écrie Clémentine, exaspérée, en tapant sur le cube réveil.
Nous rigolons comme des bossus tout en nous serrant très fort. < Bonjour Julien ! > murmure Clémentine en me chevauchant.
Je lui chuchote : < Bonjour Clémentine ! >. Nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre à toute vitesse à la cuisine.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans une agréable odeur de pain grillé.

Le thermomètre extérieur indique 7°. Nous mangeons de bon appétit tout en discutant du programme de la soirée. L'invitation.
Nous sommes attendus au haras, chez Juliette, pour 19 h45. A midi, je prépare une bonne tarte aux pommes pour le dessert.
Nous montons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine.
Elle me rejoint vêtue de sa veste en cuir noir, cintrée à la taille, son jean et ses bottines. Je la félicite pour son élégance. Joie.
Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. 7 h45.

Je monte faire le lit. Je descends pour faire la vaisselle. Je décongèle une boule de pâte à tarte déjà faite. Je vais dans l'atelier.
J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant ma vingt troisième toile. Super.
Je peins dans la joie la plus débordante en poussant les cris les plus surréalistes. Je travaille à la peinture de mes roses rouges.
Les roses rouges, un des symboles rosicrucien, que j'aime à disposer discrètement dans chacune de mes natures mortes. Bien.
Je remporte de nouvelles victoires de quart d'heure en quart d'heure à la pointe de mes pinceaux. Je suis empli de satisfaction.

C'est avec ma virtuosité habituelle que je donne à chacune des pétales le chatoyant du plus délicat des velours. Une réussite.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je m'occupe en priorité de la tarte aux pommes. De belles pommes bio du marché.
La pâte a décongelé. Dans un bol je mélange du sucre de canne roux, un œuf, de la crème fraîche, une belle gousse de vanille.
Je coupe les pommes en fins quartiers que je dispose en spirale sur la pâte étalée dans le grand moule. J'y verse la garniture.
Je dépose de nombreuses amandes sur le tout. Je mets la tarte au four. J'écoute la chronique de Guy Carlier en riant beaucoup.

Je me prépare des spaghettis complets dans un bouillon d'ail, d'oignon et de persil. Je concocte une bonne sauce au Roquefort.
Une grosse tomate fraîche, deux très gros champignons de Paris, que je fais revenir dans de l'ail, de l'oignon, de la ciboulette.
Je râpe grossièrement du Parmesan. J'égoutte mes spaghettis. Dans un plat je les mélange à la sauce. Je rajoute le Parmesan.
Je mange de bon appétit. La vaisselle. La sonnerie du four. Je sors la tarte. Elle est magnifique. Le sucre a caramélisé. Parfum.
Il est 13 h30. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Dehors, le ciel est principalement bleu. Parfois, un léger voile laiteux.

Je termine la peinture des roses. C'est de toute beauté. Toutes les déclinaisons du carmin au vermillon dans l'obscurité du fond.
Du bruit. Il est 15 h30. Clémentine entre dans l'atelier. < Bonjour Julien ! Enfin à la maison ! > s'écrie t- elle en se précipitant.
Assise sur mes genoux, tout en admirant les cinq roses, Clémentine me raconte sa journée à la faculté. Sa journée d'étudiante.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me raconte la façon éhontée avec laquelle Estelle se fait draguer par le Gauvin au restau U.
Gauvin, jeune étudiant de 24 ans, vient rejoindre Estelle tous les midis au restaurant universitaire. Clémentine les laisse seuls.

Gauvin est un jeune homme brillant, hyper sportif. Ce soir, il emmène Estelle pour assister à une compétition d'Arts martiaux.
Estelle, hyper sportive elle aussi, semble de plus en plus sous le charme de ce grand gaillard qui sait visiblement s'y prendre.
Clémentine, assise à la table, entourée de ses affaires, concentrée sur l'écran de l'ordinateur, est rapidement absorbée. Boulot.
Nous travaillons tous deux dans cette ambiance que nous apprécions tant. Le crépitement du feu, le craquement des bûches.
< Si tout va bien, je termine mon mémoire jeudi soir ! > me fait Clémentine depuis la table. J'écoute ses explications. Super...

Il est rapidement 19 h. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Clémentine range ses affaires. Nous montons pour nous vêtir.
Clémentine porte un de ses pantalons à pinces et à plis. Un chemisier qu'elle fait blouser. Ses souliers noirs et à légers talons.
Sur sa demande, je porte un de mes costumes de velours. Ce soir le gris. Elle m'entraîne devant le grand miroir de l'armoire.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! Tu as fait de moi une véritable bourgeoise ! > me fait ma compagne en riant.
Je la félicite pour son élégance. Clémentine, d'une classe naturelle, est élégante en toute circonstance. Je le lui fait remarquer.

Nous voilà prêts. A la cuisine, Clémentine découvre la splendide tarte aux pommes que je dispose dans l'énorme Tupperware.
Nous quittons la maison. Dans la voiture, Clémentine joue avec mon sexe. < Garde ta braguette ouverte ! > me fait elle. Rire.
Nous arrivons au haras pour 19 h45. Juliette est dans la cour à bavarder avec un couple de propriétaires de chevaux. Sympa.
La jeune femme est vêtue d'un élégant pantalon à plis, de la même couleur brune que Clémentine. Pull noir sur un chemisier.
Nous la laissons conclure ses affaires en marchant un peu dans la cour. Nous regardons l'intérieur de notre écurie préférée...

Juliette vient nous rejoindre. Nous nous serrons la main. < Bonsoir. Vous voulez jeter un coup d'œil ? > nous propose t-elle.
Nous faisons un rapide tour. Dans le box habituel, il y a un cheval. Il y a également le trou parfaitement rond dans la cloison.
Nous rions de bon cœur lorsque Juliette me fait : < Un petit aperçu ? >. Nous décidons de passer à table. Une prochaine fois.
Nous passons à la voiture pour récupérer la tarte. Nous suivons Juliette dans les escaliers. Son appartement au premier étage.
Une délicieuse odeur achève d'aiguiser nos appétits. Ce sera des fruits de mer grillés avec des queues de homards fumées...

Nous nous apprêtons à passer à table. Juliette nous débarrasse de nos vestes. Elle découvre ma braguette ouverte. Un sourire.
La jeune femme induit depuis quelques temps des situations qui nous excitent tous les trois par leur discrètes intensités. Bien.
Le repas est délicieux. Les crevettes grillées sont accompagnées de crudités. Salades d'avocats. Pain grillé au beurre salé. Bon.
Puis suivent les queues de homard fumées accompagnées de salicornes préparées avec des assaisonnements finement épicés.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation tourne autour des projets professionnels de Juliette. L'arrivée des beaux jours.

< Je vais peut-être enfin pouvoir partir deux semaines en vacances. Cinq ans que je ne suis pas partie ! > nous confie Juliette.
Comme elle évoque la nouvelle écurie qui entrera en fonction à l'automne prochain, Juliette fait : < Un trou dans un mur ! >.
Nous rigolons comme des bossus lorsque la jeune femme nous dit : < Je suis sérieuse, il y a un trou dans une des cloison ! >
Juliette nous en réserve la surprise lors de notre prochaine visite. < Et il faut bien que je pense à mon palefrenier ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur de cette anecdote. Clémentine me fait du pied sous la table. La conversation s'oriente. Sujet "Le trou".

Je me lève pour aider Juliette à débarrasser. La jeune femme fixe ostensiblement ma braguette avec une insistance inquiétante.
< Intéressant, non ? > lui fait Clémentine à qui rien n'échappe. < Vous êtes géniaux tous les deux ! > rajoute Juliette. Rigolade.
Nous insistons pour faire la vaisselle. Juliette nous tend deux tabliers. Clémentine décline son offre en montrant ma braguette.
Juliette comprend immédiatement. Nous éclatons de rire. < J'envie vraiment votre belle complicité ! > nous fait encore Juliette.
< Vous êtes invitée à en faire partie. Et quand bon vous semble ! > répond Clémentine avec son incroyable aplomb. Un silence.

Dans ces situations, j'éprouve ce curieux sentiment fait d'une gêne profonde et d'une excitation qui ne l'est pas moins. Super.
Juliette plonge. Nous essuyons. La conversation s'axe rapidement sur une aventure possible aux écuries. Tous les trois. Seuls.
Clémentine, adroite, avec les mots choisis, décrit son hétérosexualité totale. Aucune ambigüité. Aucune attirances saphiques.
J'observe Juliette avec attention. Elle précise : < Moi non plus ! Je ne suis pas du tout attirée par ce genre de chose ! > Rires.
Rassurée, Clémentine me fait un discret clin d'œil. Nous terminons la vaisselle pour retourner déguster la tarte aux pommes.

Je ne suis pas le fin pâtissier que j'aimerais être. En pâtisserie, il faut suivre les recettes scrupuleusement. Pas d'improvisation.
Je suis félicité pour ma tarte aux pommes. Je propose à Juliette d'en garder la moitié restante pour ses prochains desserts. Joie.
La conversation s'articule sur nos penchants sexuels. C'est la première fois que nous en parlons aussi ouvertement. C'est bien.
Nous ressentons tous les trois cette même sensation de soulagement en évoquant nos fantasmes. Je bande comme un salaud.
Je me lève. L'énorme bosse qui déforme mon pantalon impressionne favorablement Juliette qui, son pouce en l'air, me sourit.

< Dame nature vous a plutôt bien doté ! Superbe chose ! > fait Juliette. Clémentine répond : < Pour mon plus grand plaisir ! >
Nous rions de bon cœur. Juliette nous raconte son plaisir d'être dissimulée pour mâter en secret et en cachette. Expériences.
Clémentine lui suggère de nous offrir une séance privée, un de ces soirs, dans l'endroit et la situation de son choix. Rigolade.
< Jamais de baise avec mon homme ! > précise encore ma compagne. < Il n'en est pas question ! > rajoute encore Juliette.
C'est un peu comme si nous étions tous les trois soulagés. Nous avons fixé le cadre de ce qui nous intéresse réellement. Vice.

Nous prenons congé. Il est déjà 22 h30. Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Discrètement, j'ai sorti mon sexe. Nuit.
Ce n'est que lorsque nous nous serrons la main que Juliette découvre mon stratagème. Clémentine me fixe avec admiration.
< C'est prometteur ! Je crois que nous allons beaucoup nous amuser ! > nous fait Juliette. Nous nous saluons. Nous partons.
< J'adore tes initiatives, surtout quand c'est vicelard ! > me fait Clémentine dans la voiture tout en tenant ma bite turgescente.
Les toilettes. La salle de bain. Le lit. "69". Une baise pleine de révélations étonnantes. Cunnilingus. Fellation. Orgasmes. Dodo.

Bonne soirée de révélations et de confidences à toutes les coquines qui peuvent se livrer à de nouvelles aventures...

Julien - (Qui s'apprête à vivre de nouvelles et palpitantes aventures avec Clémentine que tout cela excite considérablement) -

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Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 391 -



Estelle vient passer la soirée et nous fait d'étonnantes révélations

Hier matin, jeudi, c'est la Valse No 17, en La Mineur de Frédéric Chopin qui nous tire de nos profonds sommeils. Il est 5 h55.
< Mais ta gueule Fredo ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rions de bon cœur en nous serrant très fort.
< Bonjour Julien ! > chuchote Clémentine. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche.
Nous filons à toute allure aux toilettes. Pipi. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous sommes morts de faim.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé...

Le thermomètre extérieur indique 6°. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le programme du jour.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint vêtue de sa veste en cuir noir, de son jean et de ses bottines. Des bisous. Un dernier coucou de la main. Joie.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Le ciel est bleu. Le soleil y règne en maître. Un vent très froid.
Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.

Je peins dans un enthousiasme débridé qui me pousse rapidement à moduler longuement les cris les plus surréalistes. Super.
Le bruit au dehors m'avertit de la présence dans le jardin de l'entreprise paysagiste qui va intervenir toute la journée. Sympa.
Je travaille à la réalisation de la vingt troisième toile de ma saison d'été. Je réalise une fois encore l'avance accumulée. Bien.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Là-bas, sur le muret, les deux employés de l'entreprise font leur pause sandwichs.
Je prépare la pâte pour les pizzas du jeudi soir. J'y incorpore du parmesan finement râpé. Ce qui rend la pâte onctueuse. Fine.

Pour midi, je me prépare du riz complet que je fais éclater à sec dans une casserole sans cesser de remuer en "8". La spatule.
L'odeur, qui n'est pas sans rappeler le pop-corn ouvre la faim. Je rajoute quatre volumes d'eau froide dans un nuage de vapeur.
Je laisse gonfler à feu doux. Je me concocte une sauce aux champignons et au Roquefort. J'écoute la chronique de Guy Carlier.
Je prépare la garniture des pizzas. Tomates fraîches que je fais revenir avec de l'ail, de l'oignons, de la ciboulette et du persil.
Je mange de bon appétit. La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Le bonheur.

Du bruit. Il est 15 h30. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter dans mes bras. J'ai posé ma palette et mes pinceaux.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Le repas de midi au restaurant universitaire. Les grèves d'étudiants.
Les évènements qui touchent beaucoup de facultés n'atteignent pas vraiment celle où étudie ma compagne. C'est très bien géré.
< Le jardin est magnifique. Tout est propre. Un des ouvriers m'a dévoré du regard ! > me confie t-elle. Elle a mâté en arrivant.
Assise à la table, Clémentine est entourée de ses affaires, rapidement concentrée sur l'écran de l'ordinateur. Le travail acharné.

La musique stupide de mon téléphone. Clémentine s'en empare. < C'est Estelle ! > fait elle. Nous mettons nos anoraks. 17 h45.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel. Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle me raconte sa soirée de hier.
Invitée par Gauvin à une compétition d'Arts martiaux, Estelle a passé sa soirée avec le jeune étudiant de 24 ans. Ceinture noire.
Il est 18 h10. Nous voilà de retour. L'entreprise paysagiste a fait du superbe travail. Nous faisons le tour de la propriété. Super.
La terre du potager a été retournée. Nous n'avons plus qu'à planter les graines de nos légumes. Nous rentrons. Il y a du boulot.

Les filles sont assises à la table concentrées sur leur travail. La dixième et dernière page de ce mémoire qu'il faut remettre lundi.
Il est 19 h. Je les laisse pour aller à la cuisine. Clémentine vient me rejoindre. Des bisous. Elle fait l'assaisonnement de la laitue.
Estelle vient à son tour. Elle étale la pâte en trois plateaux. Je réchauffe la garniture qui a figé. Les filles évoquent leur mémoire.
Elle vont terminer ce travail dans la soirée. J'étale la garniture sur les trois surfaces de pâtes. Estelle y rajoute un peu d'avocat.
De fines lamelles qu'elle dispose avec soin avant d'y rajouter du gruyère de Comté, du Parmesan, de fines tranches de Roquefort.

Les pizzas sont au four. Nous passons au salon. Nous voilà vautré dans le canapé. Clémentine à ma droite. Estelle à ma gauche.
Tout en me palpant la braguette, Estelle nous raconte sa soirée, le passage en deuxième Dan de Karaté "Shotokan" de Gauvin.
< C'est un garçon charmant. Pas trop dragueur. Il m'a ramené sans rien tenter. C'est génial. Correct ! > nous apprend Estelle.
Estelle me déboutonne pour fourrer sa main dans ma braguette. Elle continue : < Il m'invite pour mercredi prochain, sa fête ! >
Nous l'encourageons à accepter cette invitation. Estelle me sort le sexe. Je l'aide un peu. < Il faut que je m'entraîne ! > dit elle.

Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Tu lui fais sa première pipe mercredi prochain ? >. Un silence.
Estelle, tout en bavardant, me tord la bite dans tous les sens. Surtout vers le bas. Quand je bande c'est douloureux. La coquine.
< Vous êtes fou ! Gauvin croit que je suis un peu timide et réservée. Et je veux jouer ce personnage longtemps ! > confie t-elle.
Elle rajoute : < Je suis une fille. Excellente comédienne. Je vais assurer le rôle de "l'innocente" comme avec vous au début ! >.
C'est vrai qu'il y a un an, au début de nos relations, Estelle jouait à la vierge effarouchée avec une perfection digne d'un César !

Estelle tout en me tordant la queue vers le bas se tourne vers moi pour dire : < Et puis pour les pipes et le sexe il y a toi ! >
Clémentine lui fait : < Je te rappelle que c'est mon mec et que c'est moi qui te prête sa bite ! >. Nous en rions de bon cœur.
La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine me tient la queue. Estelle sort les pizzas.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation s'articule sur les cours. J'écoute avec beaucoup d'intérêt. C'est passionnant.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine propose une petite demi heure au salon avant le mémoire.

Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Je sors mon sexe que j'agite devant les filles.
Estelle se met à genoux sur l'épais coussin qu'elle pose au milieu de la grande pièce. Les mains croisées sur la tête. Implorante.
Clémentine tient mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. < S'il savait Gauvin, à quel point tu es salope ! > dit Clémentine.
< Il ne le saura pas ! Je suis une fille prude ! > répond Estelle en ouvrant la bouche. Nous en rigolons comme des bossus. Joie.
Estelle hume longuement les odeurs de ma journée d'homme. Clémentine me décalotte légèrement. Odeur forte, oppressante.

J'ai toujours un peu honte de révéler ainsi le frome grumeleux que découvre Clémentine en tirant sur la peau de mon prépuce.
Comme ma compagne m'interdit de me laver le gland, il y a toujours un odorant mélange qui macère. Fromage. Du Parmesan.
Estelle se prend ma bite en bouche dans un profond râle. Dégout. < Imagine que c'est Gauvin ! > fait Clémentine en se serrant.
Ma compagne, penchée en avant pour observer la dégustation d'Estelle lui chuchote quantité de propos vicelards. Estelle gémit.
< Gauvin a peut-être une bite toute sale et négligée, comme Julien ! > murmure Clémentine à l'oreille d'Estelle qui en glousse.

Je bande comme le dernier des salauds. Estelle me taille une pipe des familles comme si sa vie en dépendait. Bien concentrée.
Clémentine s'est redressée pour m'embrasser avec passion. Elle me tient la bite en se frottant contre mon bassin. Le bonheur.
Comme souvent, sous l'effet de l'indicible caresse, je suis pris de vertige. Je me tiens à Clémentine et à Estelle. C'est sublime.
J'ai encore cette étrange sensation. Comme si j'avais la bite dans un bol de purée tiède. C'est immense, fabuleux et grandiose.
Clémentine et moi, nous bavons de plaisir. De la salive mouille nos mentons. Clémentine se masturbe contre ma hanche. Joie.

La légère congestion de mes lombaires que masse Clémentine me permet de garder un parfait contrôle de la situation. Super.
Il est presque 21 h. Je me retire de la bouche d'Estelle qui pousse un petit cri de dépit. Je la force à se lever. Par ses cheveux.
Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Filaments visqueux et gluants. Clémentine s'accroupit pour m'essorer la queue. Bien.
Je laisse Clémentine se régaler un peu avant de la forcer à se redresser à son tour. J'entraîne les filles dans l'atelier. Fermeté.
Les voilà assises à leur table. La capacité toute féminine de passer d'une situation à l'autre sans grandes difficultés. Admirable.

Nous travaillons encore un peu. < Fini ! Put-Hein terminé ! > s'écrie Estelle en venant sautiller autour du chevalet. Exubérance.
Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Clémentine vient me faire plein de bisous. Elles sont tellement heureuses. C'est si beau.
Il est 22 h15. Je regarde les dix pages que les filles glissent dans une pochette en papier kraft. < Précieux ! > fait Clémentine.
Ce mémoire qu'elles remettent lundi a une importance capitale pour l'épreuve du Master qui les attend au troisième trimestre.
Le premier entretien d'admission aura lieu la semaine prochaine. Les premières épreuves au courant du mois de mai. Sympa.

< J'ai bien travaillé ! Tu me la donnes encore un peu ? > me fait Estelle en mettant sa main dans ma braguette ouverte. Rires.
Je la saisi par ses cheveux. Je murmure : < Ce Week-End sera le cadre d'une récompense toute spéciale que je te réserve ! >.
Estelle, gloussant de plaisir se blottit dans mes bras. Clémentine s'interpose en disant : < Oh stop ! On se calme la vicieuse ! >
Nous rions de bon cœur. Il est temps de ramener Estelle. Je la laisse sucer un peu, au sol et entre les jambes de Clémentine.
Je conduis doucement. Clémentine prend Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser. < On est arrivés ! > lui lance t-elle !

La séparation est difficile. < Qu'est-ce que ce sera quand tu suceras Gauvin ! > fait Clémentine à Estelle qui s'essuie la bouche.
< Vivement samedi ! S'il fait beau, on part en bicyclette. Je viens avec vous ! D'accord ? > nous fait Estelle la bouche gluante.
Nous lui promettons de nous offrir un superbe Week-End car le prochain sera consacré à notre départ en Périgord. Vacances.
Nous regardons Estelle rentrer chez elle. Au retour Clémentine me suce. Les toilettes. La salle de bain. Notre lit. Un bon "69".
Nous faisons l'amour comme nous aimons. Immobiles. Clémentine me révèle ses secrets. Cunnilingus. Fellation. Et puis dodo...

Bonne soirée à trois, avec votre délicieuse visiteuse à toutes les coquines qui travaillent avec passion à leurs études...

Julien - (Qui s'apprête à redoubler d'imagination avec Clémentine, pour offrir un inoubliable Week-End à Estelle) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 392 -



Le Week-End commence aujourd'hui et avec une virée vélo

Hier matin, vendredi, c'est le concerto pour harpe en Si bémol Majeur de Haendel qui nous tire de nos profonds sommeils.
Il est 5 h55. < Mais pas la harpe, Put-Hein ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rions de bon cœur.
< Bonjour Julien ! > me fait elle avant de me chevaucher en riant. Je lui murmure : < Bonjour Clémentine ! >. Papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Faim.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Comme tous les vendredis, Clémentine termine et rentre pour midi. Joie.
Le thermomètre extérieur indique 8°. Si la météo le permet, cet après-midi, nous envisageons une sortie à bicyclette. Enfin.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gymnastique quotidienne. Intensité maximale pour remplacer le jogging.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de sa veste, de son jean, bottines.
Bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je monte faire notre lit.

Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume du feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Le ciel se dégage.
Il est 8 h15. Me voilà enfin confortablement installé devant mon chevalet. Je termine ce matin ma vingt troisième toile. Bien.
C'est donc animé d'un enthousiasme exaltant que je donne mes derniers plus délicats traits de pinceaux. Je fignole les détails.
C'est toujours une émotion particulière lorsque je termine une toile. Je pousse les cris de joie les plus surréalistes. Délirants.
Il faut savoir finir un tableau. C'est la chose la plus difficile. J'entame une danse de guerrier Sioux tout autour du chevalet...

Il est onze heures lorsque je nettoie mes pinceaux et ma palette. Je dépose une toile vierge sur mon chevalet. Du rangement.
Dehors, le ciel est devenu principalement bleu. Le soleil y règne en maître. Je vais faire un tour dans le jardin. Il fait agréable.
Soudain, dans la poche de ma chemise, les vibrations et la musique ridicule de mon téléphone. Je décroche. C'est la serveuse.
< Bonjour ! Je vous réserve une table pour ce soir ? > me fait Julie. Habituellement c'est un texto. Là, c'est elle en personne.
Nous bavardons un peu. Je décline sa proposition. Il fait beau. Ce matin Clémentine exprimait le souhait de partir à bicyclette.

Julie, déçue, me promet de donner suite à notre proposition de venir partager un repas, un soir, à la maison. Je n'insiste plus.
Nous nous saluons. Je fais le tour de la propriété pour constater le travail réalisé par l'entreprise paysagiste jeudi. La propreté.
Les dalles des sentiers ont été nettoyées de la boue qui les recouvrait. L'effet des ruissellements des pluies de cet hiver. Bien.
Il est presque midi. Je rentre. Les filets de lieu noir ont décongelé dans le bas du réfrigérateur. Je prépare de quoi les paner.
Je fais cuire les haricots verts avec de l'ail et de l'oignon dans le Wok. Il est 12 h15. Clémentine arrive. Elle se précipite. Bises.

< Week-End ! > s'écrie t-elle. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Nous restons ainsi. Joie.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je passe les filets de lieu noir dans un œuf avec du gruyère râpé.
Bien imbibés, je les passe et repasse dans l'assiette contenant la chapelure, une biscotte pilée, du sel, du poivre, du curcuma.
Je les saisi à la poêle sans cesser de les tourner, de les retourner, assurant ainsi une cuisson lente, régulière et en profondeur.
Clémentine me raconte sa matinée, me fait part de la grande sérénité qui l'habite maintenant que son mémoire est terminé...

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. < J'ai besoin de me retrouver seule avec toi, dix jours ! > fait Clémentine.
Je la rassure, encore une semaine avant de partir dans le Périgord, loin de tout et juste nous deux. Je la sens très impatiente.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, elle me confie ce profond désir de se consacrer à nous, à notre histoire.
< Parfois, j'ai l'impression de ne pas avoir le contrôle total des situations que nous vivons ! > m'explique t-elle, sérieusement.
J'écoute en silence. Les développements de ma compagne soulignent des points très importants qui m'échappent quelquefois.

Les femmes ont une perception beaucoup plus aiguë des choses que nous autres les hommes. Nous les ressentons bien moins.
Aussi, j'écoute avec un grand intérêt les ressentis de ma compagne. Ses conseils, ses propositions, ses solutions, ses émotions.
Je la rassure. Ces dix jours dans le Périgord remettront toutes ses appréhensions au placard. Ce sont des choses de jeune fille.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je lui raconte le coup de téléphone de Julie, la jeune serveuse du restaurant de l'étang.
< Si on y va quand même, en rentrant tôt, ça lui fera une bonne et agréable surprise ! Nous verrons bien ! > fait Clémentine.

Nous montons nous mettre en tenues. Leggings, sweats. Dans le petit sac à dos, je mets les K-ways, pommes, céréales, eau.
Nous voilà au jardin. Je contrôle la pression de nos pneus. J'y insuffle 4,5 Bars. C'est excellent pour des "Vélos Tous Terrains".
Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous traversons le pont. 500 mètres sur le sentier et nous voilà sur la piste cyclable. Joie.
Nous y croisons de nombreux cyclistes qui, comme nous, profitent de ce début de Week-end ensoleillé. Un léger vent de face.
Nous pédalons en bavardant. Clémentine me prend souvent la main sur le guidon. < J'ai envie de faire des trucs ! > fait elle.

Avec cette journée printanière, ce soleil, la verdure des prés, les arbres qui fleurissent, il est normal que nos libidos s'éveillent.
Nous nous racontons des cochonneries qui nous font souvent rigoler comme des bossus. < Je suis hyper excitée ! > me dit elle.
Nous parcourons ainsi les 25 km qui nous séparent du petit port de plaisance. Et il y a du monde. De l'animation. Sympathique.
Nous poussons nos bicyclettes en flânant le long du quai. Les premiers plaisanciers ont débâché leurs bateaux. Il fait très doux.
Clémentine m'entraîne au bâtiment des sanitaires. Derrière la capitainerie. Les toilettes réservées aux plaisanciers. Personne.

Nous mettons nos vélos derrière la capitainerie. Nous les fermons avec nos cadenas. Il y a là-bas tous les joueurs de pétanque.
L'un d'entre eux quitte le groupe pour se diriger vers le bâtiment. Il discute avec une jeune femme. Clémentine prend mon bras.
< Reste à l'écart, s'il vient par là, je m'offre un "plan" ! > me demande ma compagne en restant près des vélos. Je m'écarte.
Je reste à distance, près de l'entrée des toilettes. Entre deux bosquets de genêts, déjà jaunes, j'ai une excellente vue. Parfaite.
Je vois le type quitter la jeune femme pour venir vers ici. Clémentine, assise sur la barre de son vélo, s'y frotte l'entre jambe.

L'inconnu arrive à sa hauteur. Il découvre cette belle et grande jeune fille qui visiblement se masturbe sur le cadre de son vélo.
Je le vois s'arrêter. De l'endroit où je suis planqué, je n'entends rien des propos échangés. J'admire le courage de Clémentine.
Elle est gonflée. C'est absolument génial. J'ai immédiatement une érection qui déforme mon legging. J'ai envie de me branler.
Le type, sans doute quinquagénaire, regarde partout autour de lui. Il se touche la braguette tout en bavardant. C'est surréaliste.
Clémentine reste ostensiblement dans cette situation. Assise sur la barre de son vélo, tenant le guidon, cambrée sur ses jambes.

Le moment est hautement torride. Le type montre les toilettes de sa main libre. De l'autre il se palpe la braguette. Bien vicieux.
Je me mets à la place de cet inconnu qui vit sans doute là un grand moment de son existence. Choses qui n'arrivent qu'une fois.
Clémentine se redresse. Elle dépasse l'individu d'une bonne tête. Elle se touche le sexe, la main entre ses cuisses. C'est géant.
Droite, face à ce mec, Clémentine s'offre un de ces instant tant attendu. Cela n'est possible qu'aux beaux jours et en extérieur.
Ma compagne, tellement désireuse de s'offrir ces frissons, en profite comme rarement. Je vois le type à la limite de l'apoplexie.

Clémentine, tout en gardant sa main entre ses cuisses, se met à marcher dans ma direction. Je rentre dans les toilettes. Vite.
Je m'enferme dans le dernier cabinet. Je monte sur le couvercle fermé de la cuvette. Par dessus le mur, j'ai une vue parfaite.
Clémentine entre dans les toilettes homme. < Tu es là ! > me fait elle. J'ai juste le temps de répondre. Voilà l'inconnu. Super.
Le type semble émerveillé. C'est comme s'il avait une vision mariale à Lourdes. Je me marre. Clémentine continue son numéro.
Cambrée sur ses jambes fléchies et légèrement écartées, une main dans son legging, Clémentine se masturbe. C'est délirant.

J'entends l'hallucinante conversation qui s'engage. Les propositions du mec qui s'offre à la masturber et à lui brouter la chatte.
Il lui propose de s'enfermer dans une cabine pour s'occuper d'elle. < Vous ne pouvez pas rester comme ça ! > lui fait l'inconnu.
Clémentine qui répond : < Non merci, je fais ça très bien toute seule ! Mais je dois pisser ! >. Je me branle. C'est trop intense.
Je suis prudent. Le type me tourne le dos. Il a descendu son pantalon. Je vois ses fesses dodues et rigolotes. Slip aux genoux.
Je reste prêt à intervenir en cas de souci. Le type reste à distance. Il n'est pas entreprenant. Et certainement pas dangereux...

Je sais que Clémentine ne fait pas semblant. Elle se masturbe vraiment. Elle a tant attendu cette opportunité. Et tout l'hiver.
Elle descends son legging sur ses mollets. Elle se met en position au dessus de l'urinoir. Le type observe en se branlant. Joie.
Moi aussi je me branle silencieusement. Clémentine se touche. Tout en agitant son clitoris géant, elle lâche des goutes. Pisse.
Clémentine ne contrôle jamais ses jets. Elle a tendance à s'en mettre partout. Nous n'avons pas de legging de change. Pisse !
< Je veux te bouffer la chatte ! > fait le type que je vois secoué de spasmes. Pas de doute, il éjacule. Il se tient au carrelage.

Clémentine ne doit pas être très loin de l'orgasme non plus. Je la vois, toute rouge, presque congestionnée. Elle se réajuste.
Elle remonte son legging. Elle contourne le type qui reste bêtement debout contre le mur. Clémentine sort très rapidement.
Je vois le type remonter ses fringues. Il met de l'eau sur son visage. Il reste un moment à reprendre son souffle, ses esprits.
Il sort enfin. Je peux sortir de ma cachette. Je rejoins Clémentine discrètement dissimulée derrière la capitainerie. Heureuse.
Elle se précipite dans mes bras. < Merci Julien ! Sans toi rien de tout cela ne serait possible ! > me murmure t-elle. Bisous...

Nous nous offrons un cône glacé à la supérette. Nous flânons encore un moment. Le type a complètement disparu. Sympa.
Nous prenons la route du retour pour arriver à la maison vers 19 h30. La fraîcheur du soir est assez pénible. Vêtus de K-way.
Nous nous préparons un gratin de pâtes accompagné de crevettes grillées sur le barbecue électrique. Morts de faim. Super.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine m'avoue n'être jamais passée aussi près de l'orgasme devant un inconnu. Bien.
Nous traînons à table. Nous passons la soirée à faire l'amour dans tous les coins du salon. 22 h30. Le lit. Orgasmes fous. Dodo.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui peuvent enfin pratiquer l'exhibe dans la douceur des premiers beaux jours.

Julien - (Qui assure son rôle de vigile, de garde du corps, prêt à intervenir, avec toute l'efficacité requise. En se branlant) -

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Une belle randonnée cycliste à trois. Un bonheur partagé...

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par le léger mouvement des draps. Je comprends immédiatement. Un silence.
Je fais semblant de continuer à dormir. Clémentine, couchée sur le ventre, se masturbe le plus discrètement possible. Superbe.
Pourtant ma vision est de courte durée. L'infaillible sixième sens de ma compagne l'avertit. Elle cesse. Elle se serre contre moi.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me chuchote t-elle comme si elle en culpabilisait un peu. Nous en rions rapidement de bon cœur.
< Bonjour ma délicieuse masturbatrice ! > que je lui murmure juste avant qu'elle ne me chevauche en riant. Douces papouilles.

Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il est à peine 7 h30. Bien.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Le thermomètre extérieur indique 8°. Le ciel bleu et il y a du soleil.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette délicieuse odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Pas de doute, avec cette météo non seulement nous pouvons nous offrir notre jogging mais faire de la bicyclette cet après-midi.
La vaisselle. Nous remontons nous mettre en tenues. Leggings, sweats et baskets et nous voilà a courir le long de notre circuit.

C'est la saison où tout change rapidement. Les arbres se couvrent de feuilles. Les bosquets fleurissent, prennent de l'épaisseur.
Nous passons derrière le haras, sur le sentier le long du ruisseau. La caravane de monsieur Gérard, le palefrenier vicelard. Rire.
Il est 9 h15 lorsque nous revenons à la maison. La douche. Nous nous habillons pour aller faire notre marché. Le supermarché.
Clémentine porte une de ses jupes carmins, légèrement évasée au dessus du genoux. Un pull de coton, sa veste cintrée en cuir.
Il faut encore mettre des collants. Souliers noirs, fermés à légers talons. Sur sa demande je porte le costume de velours brun.

Je roule doucement. Trois kilomètres jusqu'au bourg voisin. Clémentine joue avec mon sexe. Nous repassons devant le haras.
Il y a du monde. Des camionnettes ou des remorques. Les propriétaires viennent récupérer leurs chevaux. Il y a de l'animation.
J'ai l'obligation de garder ma braguette discrètement ouverte. Je gare la voiture. Je porte les sacs. Nous voilà arrivés. Des gens.
Nous faisons provisions de nos légumes et de nos fruits. Nous faisons provisions de fromage, d'œufs, beurre, crème et yaourts.
Nous échangeons des banalités avec nos artisans habituels. Nous rangeons le tout dans la glacière branchée sur l'allume cigare.

Une fois encore, malgré que des regards se portent sur nos hautes tailles, personne n'a remarqué ma braguette ouverte. Bien.
Et toujours ces interrogations que nous devinons chez les curieux. Est-ce le père de cette jeune fille ? Est-ce son amant ? Rire.
Nous en jouons. Nous voilà en route pour la zone commerciale. Douze kilomètres. Clémentine joue avec mon sexe. Bavardage.
Je gare la voiture sur le parking. Je pousse le caddie. Il est bien plus rassurant d'avoir ma braguette ouverte derrière le chariot.
Nous déambulons dans les allées choisissant les produits dont nous avons besoin. Lessives. Eponges. Liquide vaisselle. Sopalin.

Nous tombons sur Julie, la jeune serveuse du restaurant de l'étang. Accompagnée de sa maman. Belle femme. La quarantaine.
Julie nous présente comme étant des clients réguliers. Nous bavardons. Cet homme d'âge mûr avec cette jeune fille de 21 ans.
Je sens bien que là aussi, il y a un tas d'interrogations qui défilent dans la tête de cette belle femme d'environ 45 ans. Superbe.
Nous nous saluons. Nous continuons nos achats. < Tu as vu comme elle te dévorait des yeux, la maman ? > me fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Si elle savait comme sa fille est coquine et surtout voyeuse en WC ! >

Je conclue en nous faisant beaucoup rire : < Telle mère, telle fille ! >. Nous nous dirigeons vers le rayon des livres, magasines.
C'est par acquis de conscience. Clémentine n'aimerait pas rater une opportunité quelconque. Une petite exhibe pour se divertir.
Il faut se faire une raison. Il y a trop de monde. Donc trop de risques. Nous allons au rayon des vêtements homme. C'est pareil.
En retournant vers les caisses, nous tombons sur madame Walter et son mari. Nous nous saluons. Bavardages et plaisanteries.
Nous évoquons bien évidemment les écuries et le travail de madame Walter, collaboratrice et assistante de Juliette, la patronne.

Le mari de madame Walter, un grand gaillard qui a presque ma taille, a quelquefois un regard libidineux sur Clémentine. Rires.
Madame Walter, avec son regard par en dessous, me regarde fixement tout en bavardant avec moi. Le mec drague Clémentine.
Tout cela nous amuse toujours beaucoup. Je discute avec madame Walter et son mari bavarde avec Clémentine. Sympathique.
Nous évoquons la possibilité de partager un barbecue un soir de la fin du printemps. Eventualité à retenir. Nous nous saluons.
Même si nous ne sommes pas un couple échangiste, l'idée de nous retrouver dans une situation plutôt ambiguë nous enchante.

Nous passons en caisse. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Nous passons devant les croisillons du salon de thé.
Clémentine fait : < Un jour, il faut que je m'offre une petite frayeur exhibe dans ce salon de thé ! >. Nous en rions de bon cœur.
Nous voilà à la voiture. Sur le chemin du retour, Clémentine joue avec mon sexe. Nous sommes de retour pour midi trente. Joie.
Nous rangeons nos courses. Nous montons nous changer. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Superbe.
Je prépare le bouillon pour les moules fraîches que nous venons d'acheter. Accompagnées de brocolis, de petites carottes fines.

Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le constat de nos rencontres au supermarché. La psychologie des gens rencontrés.
< Tu as vu comme le mari de madame Walter me draguait effrontément ? > me lance Clémentine. Je la rassure, j'ai remarqué.
Je lui dis : < Tu as vu l'attitude de madame Walter ! Son regard de sacrée vicieuse qu'elle ne peut dissimuler en disait lourd ! >
Nous en rigolons comme des bossus en nous régalant de moules. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Mon téléphone sonne.
Clémentine s'en saisit. < Julie ! > me fait elle en engageant la conversation. J'entends bien. Tout en téléphonant nous montons.

Il est 13 h30. Clémentine me passe Julie pendant qu'elle se met en tenue de vélo. Julie me fait part de sa joie. Notre rencontre.
Je ne fais aucune nouvelle allusion à une invitation à venir partager un repas et une soirée avec nous. Je déteste être insistant.
Et je connais suffisamment la psychologie féminine pour savoir être patient, stratège, aussi rusé qu'elle. Je connais la chanson.
Nous nous saluons. < Elle va être à point, à consommer et bien mûre dès notre retour du Périgord ! > m'explique Clémentine.
Nous rions de bon cœur à cette évidence qui se dessine à l'horizon de nos jeux libidineux. Nous descendons en tenues. Vélos.

Nous allons au garage. Estelle arrive. Elle pose son vélo contre le muret du jardin et se précipite vers nous. Plein de bisous. Joie.
Estelle est vêtue de son legging noir et de son sweat. Ses cheveux noués comme ceux de Clémentine en une longue natte. Belle.
Elle est hyper sexy. Nous ne l'avons plus vu ainsi depuis l'année dernière. Les deux filles se comparent en riant. Et je les félicite.
< 1,80 m ! > fait Clémentine. < 1,79 m ! > fait Estelle. Je conclue en disant : < 1,88 m ! >. Nous en rigolons comme des bossus.
Je vérifie le gonflage des pneus de nos trois vélos. 4,5 Bars. Tout est ok. Nous voilà en chemin, direction la piste cyclable. Soleil.

Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Nous bavardons. Les filles évoquent leurs cours. La remise du mémoire dès lundi.
J'écoute car c'est toujours passionnant. Mardi matin, il y aura l'entretien pour la présentation des candidats au "Master". Bien !
< Put-Hein ! Vivement que ce soit derrière nous. Je suis impatiente de préparer mon Doctorat. Trois ans ! > fait ma compagne.
< Enfin, on va pouvoir se livrer entièrement à nos recherches personnelles et préparer nos thèses ! > rajoute Estelle. Superbe.
Les deux filles ont pour seul et unique projet de devenir Maîtres de Conférence. Je sais qu'elles feront tout pour y arriver. Bien !

Nous croisons quantité de cyclistes, de rollers, de couples qui se promènent. Des inconscients avec des chiens sans laisse. Fou !
Nous arrivons au petit port de plaisance où règne une ambiance de préparation. Demain, ce sera la fête pour la nouvelle saison.
Des employés dressent un chapiteau. D'autres délimitent des marquages au sol. Les plaisanciers sont les ponts de leurs bateaux.
Il règne une effervescence rare. Nous fermons nos vélos à cadenas. Nous nous offrons des cônes glacés à la supérette. Flânerie.
Nous nous promenons sur le quai, observant tous ces préparatifs. Clémentine me propose d'aller faire un tour dans les toilettes.

Estelle, toujours curieuse de visiter les lieux de nos "performances" est enthousiaste à cette idée. C'est elle qui nous entraîne.
< C'est là ! > fait Clémentine en montrant le carrelage du sol entre les deux urinoirs muraux. < Salope ! > fait Estelle. Rires !
Estelle me palpe le sexe au travers du lycra de mon legging et me fait : < Toi, t'es caché. Salaud, tu te branles en mâtant ! >
Je précise : < Je surveille surtout ! >. Clémentine veut voir l'endroit où je me planque dans le cabinet du fond. Nous y allons.
Debout sur le couvercle de la cuvette, Clémentine, sur la pointe de ses pieds, mâte par dessus le mur ! < Superbe ! > fait elle.

Nous sommes entrain de rire de nos frasques en ce lieu lorsque la porte s'ouvre. Le type nous voit là tous les trois. WC homme.
Il nous salue. Nous nous sentons un peu stupides. Nous sortons rapidement pour pouffer de rire. Nous retournons à la supérette.
Nous voilà avec nos seconds cônes glacés à flâner sur le port. < Bonjour ! >. Nous nous retournons. C'est le type de l'autre fois.
Il a reconnu Clémentine. Il lève le pouce de la main droite et fait encore : < C'était superbe et c'est à refaire ! >. Petit et gros.
Nous ne répondons pas. < Tu peux toujours rêver ! > chuchote Clémentine. Nous continuons la balade. Mec de la dernière fois.

Nous reprenons le chemin du retour. Cette fois le vent nous pousse. Il y toujours autant de monde sur la piste cyclable. Bien.
Nous sommes de retour dans la fraîcheur du soir. Il est 19 h. Morts de faim nous préparons notre repas du soir en tenues vélo.
Estelle nous raconte sa soirée de hier, en compagnie de Gauvin qui l'a invité chez lui pour lui montrer ses trophées de karaté.
< Ce mec est hyper cool. Il me respecte totalement et n'entreprend jamais rien ! C'est génial ! > nous confie t-elle en rigolant.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Estelle m'aide à préparer le gratin de courgettes. Les langoustes.

Je passe derrière elle. Depuis que j'en ai l'autorisation, je la touche entre les jambes assez souvent. Mains entre les cuisses.
C'est chaud. Le contact du lycra de son legging, à cet endroit, semble humide. Elle me chuchote : < Salaud ! >. Je la palpe.
Clémentine nous fait : < Alors les vicieux, avant le repas déjà ? >. Nous rions de bon cœur. Je serre Clémentine contre moi.
Le gratin est au four. Nous montons nous changer. Tous les trois en slip, nous faisons les clowns devant le miroir. Rigolades.
Estelle, accroupie entre Clémentine et moi, écarte largement ses cuisses. Je remarque la tache sombre sur la culotte. Rires.

< Toi, t'as encore mouillée sur la selle, hein ! > lui fait Clémentine en me montrant l'état de son protège slip. C'est très drôle.
< Toi, tu mouilles tout le temps ! > lui répond Estelle. Nous en rigolons comme des bossus lorsque je dis : < Et moi alors ! >
Je leur montre ma bite légèrement gluante et qui colle contre le tissus de mon slibard. < Fais moi goûter ! > me lance Estelle.
Clémentine saisit mon sexe à la base, entre le pouce et l'index pour le présenter à Estelle. Je bande mou. Ça dégouline. Jus.
Estelle me renifle un peu, en faisant la grimace avant de gober l'extrémité visqueuse de mon Zob. C'est indicible. Vertigineux.

Clémentine m'embrasse. J'ai ma main dans sa culotte. Son sexe est si vitre trempé. La sonnerie du four monte jusqu'à nous.
Nous nous nous habillons à toute vitesse. Jeans, chemises à carreaux espadrilles en toile bleue. Nous dévalons les escaliers.
Morts de faim nous mettons la table, sortons le gratin de courgettes. Clémentine remue la salade. Estelle me tripote le sexe.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le bilan de cette journée est plutôt positif. Nous récidivons demain. Vélo.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Pressés de nous livrer au vice, au stupre et à la luxure, nous filons au salon. Superbe.

Je propose aux deux coquines de m'occuper de leurs minous, de les lécher. Ce que j'ai vu là haut m'a mis en appétit. Faim.
Elles ne se font pas prier. Les voilà culs nus, vautrées dans le canapé, tenant leurs jambes relevées sous le genoux. Sympa.
Je suis à genoux sur l'épais coussin. Passant de l'une à l'autre, je me bouffe du jus de chatte comme un bienheureux. Super.
Après l'exercice, avec la sueur, le croupion féminin est le plus onctueux des desserts. Je me régale. Les filles gémissent. Joie.
Estelle n'a pas la maîtrise aussi parfaite de son plaisir que Clémentine. Elle se masturbe pendant que je lèche sa moule. Jus.

Le goût et l'odeur d'Estelle sont beaucoup plus âcres que ceux de Clémentine. Parfois, ceux d'Estelle sont quasi répugnants.
Pourtant, excité comme je le suis, peu importe le flacon, pourvu que j'ai l'ivresse. Estelle a un orgasme. Et c'est regrettable.
Les mains entre ses cuisses, prostrée, elle me regarde pénétrer Clémentine qui m'a entraîné sur elle. Elle me fait un sourire.
Nous restons immobiles. Estelle rapproche son visage des nôtres. Nous nous chuchotons les plus délicieux secrets. Bonheur.
Il est 22 h. Nous sommes épuisés. Nous montons à la chambre. Estelle s'endort. Nous baisons encore un peu. Puis le dodo...

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui ont attendu ces moments tout l'hiver et avec une grande impatience...

Julien - (Expert en langues vivantes, révise son latin, à genoux, entre les cuisses de deux étudiantes des plus sérieuses) -

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Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 394 -



Un dimanche qui connaît une récidive à bicyclette

Hier matin, dimanche, on me tient fermement par mon érection matinale. J'entends des murmures et même les rires étouffés.
C'est dimanche matin. Je commence à savoir à quoi m'attendre. J'ouvre l'œil et le bon. C'est Estelle qui me tient si fermement.
Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre les deux filles que je chatouille tout en imitant les grognement de l'ours.
J'adore les voir rire. Estelle s'enfuit jusqu'aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. < Bonjour mon amour ! > fait elle.
Estelle revient : < Je descends préparer le petit déjeuner ! > nous fait elle avant de dévaler l'escalier à toute vitesse en riant...

Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous nous dépêchons de rejoindre Estelle à la cuisine.
Il y règne déjà cette délicieuse odeur de pain grillé. Estelle se serre fort contre moi pour me chuchoter : < Bonjour Julien ! >
Clémentine s'interpose. Nous rions de bon cœur. Le thermomètre extérieur indique 9°. Il est à peine 7 h30. Le ciel est bleu.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme du jour. Je beurre les tranches de pain que me tendent les filles.
Nous évoquons notre sortie bicyclette de hier qui fut aussi la première de l'année pour Estelle. < J'ai mal au cul ! > fait elle.

La vaisselle. Clémentine entraîne Estelle au salon. Je range la cuisine. Je les entends rire. Estelle lit nos aventures sur le forum.
Comme tous les dimanches matin, c'est "ménage". Je nettoie la cuisine et les chiottes avant de passer la serpillère sur les sols.
Je n'entends plus rien. Clémentine est montée faire la chambre. Je rejoins Estelle au salon avec l'aspirateur. Elle lit en souriant.
< Je découvre vos récits de la semaine. Je me plonge dans votre journal quotidien. C'est captivant ! > fait Estelle. Un clin d'œil.
< Je vais t'aider ! > me lance t-elle encore en s'emparant du plumeau et des chiffons. Nous voilà à faire la poussière ensemble.

A plusieurs reprises Estelle vient se frotter contre moi. Par derrière elle me chope les couilles, la bite. Je suis pris par surprise.
< Je t'aime ! Si tu étais une ordure tu profiterais de la situation derrière le dos à Clémentine. Je t'aime pour ça ! > me dit elle.
Estelle fait évidemment allusion à la gêne qu'elle provoque chez moi en me mettant dans ce genre de situation. Elle le sait bien.
Nous ouvrons les portes fenêtres du salon. Nous prenons la température sur le perron. Je suis encore vêtu de mon slip, T-shirt.
Estelle porte son pyjama en soie mauve. < Chinoise ! > me fait elle en bridant ses yeux avec ses index. Je la trouve adorable.

La fraîcheur matinale met un terme à nos amusements. Je monte rejoindre Clémentine qui termine de changer les draps. Bises.
Je lui raconte l'attitude d'Estelle. Clémentine se serre dans mes bras. < Nous savons pouvoir te faire confiance ! > me fait elle.
Je ramasse les draps sales. Nous allons à la salle de bain. Je nettoie le bac à douche. Clémentine s'occupe des miroirs. Lavabo.
Nous bavardons. Nous nous faisons plein de bisous. Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Derniers bisous.
Je nettoie les chiottes de l'étage avant de passer la serpillère sur les sols. Je passe l'aspirateur dans notre pièce d'entraînement.

Je descends. Les filles sont assises derrière le bureau concentrées sur l'écran de l'ordinateur. Sur le site de l'université. Cours.
Clémentine m'explique le programme de la semaine. La dernière de ce second trimestre. Il n'y aura pas cours les après-midi.
Elle m'attire tout près d'elle. Je suis entre les deux filles que je tiens par les épaules. Elles me tiennent par les hanches. Mâte.
Je les laisse pour aller à la cuisine. Il est déjà onze heures trente. Les pavés de saumon achèvent de décongeler. C'est sympa.
J'épluche les patates, les carottes et les navets de la potée du dimanche. Estelle est encore en pyjama. Elle vient me rejoindre.

Estelle s'occupe des pavés de saumon qu'elle prépare en papillotes. Clémentine arrive à son tour. Nous sommes déjà habillés.
Les filles évoquent la semaine de cours qui s'annonce. Même s'il n'y a pas cours l'après-midi, il y aura quand même du boulot.
J'écoute les stratégies qu'elles mettent au point. C'est passionnant. A plusieurs reprises Estelle me fait des bises ou me tripote.
Clémentine, vigilante et à qui rien n'échappe s'interpose souvent en disant : < On se calme la vicieuse ! >. C'est l'ambiance !
Nous en rions de bon cœur. Les papillotes sont sur le barbecue électrique dans la véranda. La potée cuit à feux doux. Odeurs.

Estelle, dans l'encadrement de la porte, une main entre ses cuisses, nous fait : < Je monte m'habiller ! Vous venez ! >. Rires.
< Si tu n'es pas sage, je t'emmène aux écuries chez monsieur Gérard le vicelard ! > lui fait Clémentine en agitant son index.
Estelle file à toute vitesse en s'écriant : < Non pas le palefrenier ! Non pas le palefrenier ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Clémentine termine l'assaisonnement de la salade. Je passe derrière elle. Je passe mes bras autour de ses hanches. Le silence.
Je lui chuchote : < Je t'aime mon amour ! >. Elle se retourne pour se blottir contre moi. < Moi aussi ! > me murmure t-elle...

Nous nous réjouissons tous deux pour ces vacances en Périgord qui se profilent. Dans une semaine. Dix jours rien qu'à nous.
Nous en parlons de plus en plus souvent et cette perspective nous enchante. Estelle revient déjà vêtue de sa tenue de cycliste.
Je la félicite pour sa silhouette hautement attractive dans son legging en lycra noir et son maillot hyper moulant. Super sexy !
Je la fais tourner. Je lui dis : < Quel cul ! Nom de dieu quel cul ! >. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle lance : < Touche le ! >
Je lui passe la main entre les cuisses. Je m'attarde sur son sexe. Clémentine fait : < Et voilà nos deux vicelards ! >. Rigolade.

Nous mangeons de bon appétit. Dehors le ciel est bleu et le soleil y règne en maître. A peine un léger voile laiteux. Réjouissant.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Parfois je passe ma main entre ses cuisses. Elle a toujours ce délicieux réflexe. Joie.
Nous la laissons terminer le rangement de la cuisine pour monter nous changer. Clémentine m'entraîne par la main. Amoureuse.
< Je t'aime Julien, et je suis amoureuse de toi ! > fait elle en sautant dans mes bras. Je la soulève. Elle me fait plein de bisous.
Nous nous changeons. < Vivement les jupettes ! J'en ai marre du lycra de nos leggings ! > me fait ma compagne. Je comprends.

Clémentine, aussi sexy qu'Estelle dans ses vêtements de cycliste me fait devant le miroir : < Et mon cul ? Tu le trouves bien ? >
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine me touche le mien en disant : < Moi, j'adore le tiens ! >. Nous comparons.
Nous descendons. Estelle est déjà dans le jardin. Elle a sorti nos vélos du garage. Il est 13 h45. Dernière vérification des pneus.
Nous voilà en chemin pour la piste cyclable. Dans le petit sac à dos que je porte, nos K-ways, nos pommes et barres de céréales.
Nous croisons quantité de cyclistes. Des rollers. Des couples poussant des landaus. Il faut souvent louvoyer pour les éviter. Joie.

Vingt cinq kilomètres contre un léger vent d'Ouest et nous arrivons au petit port de plaisance. Il y a l'ambiance des grands jours.
Nous entendons l'orchestre sous le chapiteau. Il y a des tables et des bancs. Plus une place. Des gens partout. C'est l'ambiance.
Tout le monde profite de la douceur de ces premières journées de printemps. Nous fermons nos bicyclettes à l'aide des cadenas.
Nous nous offrons des cônes glacés à la supérette. Nous flânons entre les tables. La musique est un peu pénible et un peu forte.
Nous attirons quelques regards. Nos hautes tailles, nos silhouettes athlétiques taillées dans nos vêtements moulants de cyclistes.

Ce quinquagénaire musculeux accompagné de ces deux jeunes filles sculpturales attire des regards libidineux et interrogateurs.
Nous en jouons. Nous en rions et cela nous conforte quand à la qualité de nos entraînements et de notre diététique. C'est bien.
Il est évidemment hors de question pour Clémentine de nous offrir quelques frayeurs "exhibes". Il y a beaucoup trop de monde.
Ce qui ne nous empêche pas d'aller visiter les toilettes réservées aux plaisanciers ainsi que celles "tous publics". Pas de "plan".
Ce serait un risque inutile de vouloir s'offrir quelques frissons. Situation qui frustre un peu Clémentine que tout cela excite bien.

Gourmands, nous nous offrons une nouvelle tournée de cônes glacés en les savourant assis tout au bout de la jetée. C'est bon.
Il est 17 h30. Même si nous avons prévu nos K-ways, désireux d'éviter les fraîcheurs de la soirée, nous retournons à nos vélos.
Nous voilà sur le chemin du retour, poussés par le vent ce qui rend la route des plus agréables. Toujours autant de monde. Bien.
Nous découvrons la propension de ces gens inconscients qui laissent leurs chiens déambuler sur la piste cyclable. Un vrai danger.
< Moi, je roule direct sur le clébard plutôt que de me ramasser la gueule ! > fait Estelle en repoussant un des bestiaux du pied.

Nous sommes de retour pour 19 h30. Morts de faim, sans même nous changer, nous réchauffons la potée. Méthode. Efficacité.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare des filets de lieu noir pané. De l'œuf et de la chapelure.
Tout va très vite. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. C'est sympa.
Je propose aux filles de leurs lécher le minou. < J'ai transpiré beaucoup ! > me fait Estelle. < Moi aussi ! > rajoute Clémentine.
Je conclue : < Et bien moi alors ! >. Les filles ne se font pas prier. Me voilà à genoux devant le canapé à humer leurs croupions.

Je renifle les odeurs de leur journée de filles. L'exercice, l'absence de douche ce matin, tout cela participe à mes ravissements.
Pris de vertige, enivré par les senteurs, je me régale du jus de croupions avec une gourmandise bien compréhensible. Bonheur.
< Moi aussi je veux bouffer de la bite sale ! > s'écrie Estelle pour tenter d'éviter l'orgasme qui guette. Elle se redresse très vite.
A quatre pattes, le visage entre le canapé et mon bassin, elle sort ma queue pour la renifler longuement. Je lèche Clémentine.
Je me fais tailler une pipe des familles. J'entends les gloussements de ravissement d'Estelle. Les gémissements de Clémentine.

Nous nous régalons de nos sexes comme de vrais gourmets. Chose rare, Estelle se masturbe tout en me suçant. C'est superbe.
Elle ne peut éviter l'orgasme. Je lui éjacule dans la bouche. Clémentine connaît un orgasme titanesque en poussant un cri. Joie.
Nous jouissons de concert en poussant des râles de plaisir. Une fois encore, le bonheur nous submerge. Nous restons immobiles.
Nous pourrions nous endormir. Il est déjà 22 h. Il faut ramener Estelle. Nous montons nous changer. La séparation très difficile.
Vélo dans le coffre. Nous déposons Estelle qui le récupère. De retour pour 22 h30. Toilettes. Salle de bain. Epuisés. Le lit. Dodo.

Bon début de semaine à toutes les coquines qui se sont offert de délicieuses promenades à bicyclette et de bons cunnilingus...

Julien - (Qui se pourlèche de chattes odorantes et humides comme un vrai gourmet gastronomique du Gault et Millau) -

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Clémentine peut enfin ralentir un peu son rythme de travail

Hier matin, lundi, c'est le concerto pour violon opus 77 de Brahms qui nous sort assez violemment de nos profonds sommeils.
< Put-Hein, mai pas du violon déjà le matin ! > s'écrie Clémentine tout en tapant sur le cube réveil. Nous rions de bon cœur.
< Bonjour ! > nous faisons nous quasi en même temps. Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner aux toilettes.
Morts de faim nous dévalons les escaliers à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos oranges. Clémentine fait notre café.
Il est 6 h. Le thermomètre extérieur indique 9°. Ce matin, nous allons tenter le jogging. Il fait jour dès 6 h30. C'est donc bien.

Nous prenons notre petit déjeuner dans la délicieuse odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous montons nous mettre en tenues. Leggings, sweats, baskets. Il fait encore nuit lorsque nous descendons vers la rivière.
Le jour ne tarde pas à se lever. Cette sensation nous enchante. Nous courons d'un bon rythme. Notre circuit habituel Super.
Retour pour 7 h30. Et le timing parfait. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint.
Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre pour faire la vaisselle.

Je fais la chambre. Il est 8 h15 et me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je commence ce matin ma vingt quatrième toile.
Je peins dans une exubérance qui m'emplit d'un enthousiasme délirant. C'est une véritable exaltation de chaque instant. Joie.
Dehors, c'est enfin un véritable climat printanier. Comme le précise Clémentine cet hiver a semblé s'allonger, ne plus cesser.
Je m'adonne à ma passion corps et âme sans voir passer le temps. Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Mort de faim.
J'évide des aubergines. Je fais décongeler du pâté de lentilles à feu très doux. Déjà 12 h15. Clémentine rentre toute contente.

Je la soulève. Je la fais tourner. Elle me couvre le visage de bisous avant de s'occuper de la salade et de son assaisonnement.
Clémentine me raconte sa matinée. Il s'agit de prendre des notes à un rythme beaucoup plus "humain" et sans précipitations.
Arrive maintenant la période des révisions. Les épreuves du "Master" commencent le 14 mai. Il faut revoir deux ans de cours.
Je rajoute des champignons, de l'ail, de l'oignon et de la ciboulette au pâté de lentilles qui cuit lentement. Je râpe du gruyère.
Je prépare des coquillettes. Je les verse dans le plat. Je cale les quatre grosses aubergines emplies de la garniture. C'est beau.

Je saupoudre de gruyère, de Parmesan et d'un peu de levure diététique en paillettes. Je mets au four. Nous passons au salon.
< Comme je suis contente d'être avec toi à partir de midi. Ça prépare nos vacances ! > me fait Clémentine serrée contre moi.
Nous sommes vautrés dans le canapé. Nous évoquons notre prochain séjour en Périgord. Il y a une certaine impatience. Joie.
< Tu m'offres la vie dont j'ai toujours rêvé depuis l'adolescence, je t'en suis infiniment reconnaissante ! > me chuchote t-elle.
Je lui dis à quel point sa présence au près de moi, ici, dans la maison a donné un élan neuf et rafraîchissant à mon existence.

< J'ai l'impression d'avoir été tout le temps sous pression depuis la rentrée en octobre de l'année dernière ! > fait Clémentine.
Et c'est vrai que j'ai assisté à cette montagne de travail acharné qu'il lui a fallu fournir. Tout cela arrive à présent à son terme.
C'est un peu la dernière ligne droite avant l'arrivée. Les résultats du "Master" tomberont à la mi juin, avant notre départ d'été.
Tout en bavardant, un peu machinalement, nous nous surprenons à nous caresser. Chacun avec sa main dans le slip de l'autre.
Nous en rions de bon cœur. La sonnerie du four. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. Les parfums du gratin. Miam.

Nous mangeons de bon appétit tout en mettant notre programme de l'après-midi au point. Il nous faut travailler. Les révisions.
Nous décidons de tout cesser pour 17 h30 et d'aller marcher au dehors pour nous récompenser de nos efforts. C'est au point !
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h15. Clémentine m'entraîne au salon. < Le dessert ! > fait elle en me palpant.
Je lui retire son jean et sa culotte. Je retire les miens. Elle me déboutonne la chemise. Me voilà nu, juste avec les chaussettes.
Je dois ressembler à un de ces acteurs porno des années soixante dix. Mais sans la moustache. Ce qui nous fait beaucoup rire.

A genoux sur l'épais coussin, entre les jambes écartées de Clémentine, je hume, et avec délice les odeurs de sa journée de fille.
Clémentine, vautrée au fond du canapé, me tient par les oreilles. < On emmène le collier et la laisse en vacances ! > me dit elle.
< J'ai besoin d'être prise en main. Et sérieusement. Notre thérapie dont j'ai besoin. Tu veux bien ? > me demande Clémentine.
Je lui promets de me comporter selon son désir. D'être le "Maître" dont elle a parfois besoin. Même si ce n'est qu'un simple jeu.
Elle sait que j'ai beaucoup de mal à me comporter en "Maître" avec la fille que j'aime. Il semblerait toutefois que j'y réussi bien.

Du bout de ma langue, je fouille les plis, les replis des lèvres charnues de son sexe humide. Le goût vinaigré, acidulé, m'enivre.
J'y récupère tout ce que je peux. Clémentine a des sécrétions abondantes. A la mesure de son excitation intense. Souffle court.
Je décalotte son clitoris géant du bout de mes lèvres. Je ne m'y attends pas. Un cri. Je me fais pisser au visage. Un premier jet.
Clémentine est tellement excitée qu'elle se lâche ainsi sans vraiment pouvoir contrôler ses plaisirs. Je la lèche en me régalant.
Un second jet. Clémentine me repousse doucement pour m'attirer sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Immobile.

Je bande comme un priapique en phase terminale. Des gouttes de pisse dégouline de mes cheveux sur le visage de Clémentine.
Nous restons sans bouger. Comme nous aimons. Je déteste peser de tout mon poids sur le corps de ma compagne qui se serre.
En appui sur mes bras, Clémentine est suspendue à moi, ses jambes enroulées autour de mes hanches et ses bras à mon cou.
C'est l'occasion de nous révéler nos plus intimes secrets. Lorsque j'entends ceux de Clémentine, je bande plus fort encore. Fou.
Nous sommes tous deux des cérébraux. Nos façons d'intellectualiser l'acte d'amour est plus important que le contact physique.

Nous restons ainsi un moment. Il est presque 14 h. Je me retire avec d'infinies précautions. Nous nous "gardons" pour ce soir.
Rien n'est plus plaisant pour Clémentine que de rester excitée tout au long de la journée. Je monte pour me sécher les cheveux.
Je rejoins Clémentine à l'atelier. Elle est assise à la table entourée de ses affaires devant l'ordinateur à consulter ses archives.
Je suis assis devant mon chevalet. Nous voilà plongés dans nos travaux respectifs. Et c'est un peu difficile avec ce beau temps.
Parfois l'un se lève pour aller faire des bises à l'autre. Il est rapidement dix sept heures. Nous cessons pour ranger nos affaires.

Nous passons nos vestes légères sur nos chemises à carreaux. Nous sommes en jeans. Nous mettons nos baskets de balades.
Il fait doux. A peine une légère brise. Clémentine m'entraîne par la main. Nous y sautillons comme des écoliers sur le chemin.
Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous la longeons sur les trois petits kilomètres qui nous séparent du petit pont de pierres.
Nous le passons pour traverser l'étroite route. Nous prenons le sentier qui longe le ruisseau. A quelques 200 mètre du haras.
Il y a la caravane de monsieur Gérard. L'endroit est désert. Le palefrenier est sans doute dans les écuries. Nous nous cachons.

Derrière le vieux cabanon presqu'en ruine, nous observons. Il ne se passe rien. Clémentine me passe sa main dans le slibard.
< Dommage ! Je me serais bien offert une petite frayeur ! > me fait elle en me déboutonnant la braguette. Nous continuons.
Je me promène au bras de ma compagne avec la queue à l'air. Parfois, s'accroupissant rapidement, elle me l'embrasse. Rires.
Nous montons jusqu'à la piste cyclable du haut. Cette ancienne voie ferrée ou il y a très peu de cyclistes car souvent en pente.
Parfois, je passe ma main dans la culotte de Clémentine. Nous nous embrassons. Nous marchons jusqu'aux vieux moulin. Joie.

Nous croisons une cavalière qui retourne sans doute au haras. Une jeune fille qui nous fait un délicieux sourire. Elle a compris.
Elle nous a certainement observé de loin à nous embrasser et à nous tripoter. En couple, les opportunités sont plus simples.
Tout est tellement plus naturel quand on est à deux. Les contacts et les rapports, dans les moments ambigus sont plus faciles.
J'ai juste le temps de me tourner pour cacher ce qui pend de ma braguette. Le sourire de la cavalière est sans équivoque. Rire.
Nous redescendons par le grand chemin qui passe devant la propriété des Bertrand, nos plus proches voisins. Ils sont dehors.

Nous bavardons un peu avec ce couple de retraités. Je l'informe de notre absence durant dix jours dès la semaine prochaine.
Monsieur Bertrand vient régulièrement jeter un coup d'œil. Nous nous saluons. Nous voilà de retour pour 19 h45. C'est super.
Morts de faim nous réchauffons le gratin d'aubergines farcies accompagnées des coquillettes. Clémentine s'occupe de la laitue.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Cette promenade nous a fait un grand bien. Et la nuit vient de tomber.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. 20 h30. Nous retournons travailler un peu. 22 h15. Le lit. La baise. L'orgasme. Le dodo.

Bonne balade dans la campagne environnante à toutes les coquines aimant se faire tripoter en tenant la bite de leur coquin...

Julien - (Qui doit souvent faire attention afin de ne pas se faire surprendre avec la bite à l'air, dans la main de Clémentine) -

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Nous profitons de cette suite de beaux jours

Hier matin, mardi , nous sommes tirés de nos profonds sommeils par la sonate pour Piano D960 de Franz Schubert. 5 h55.
< Put-Hein, mais ta gueule Franz ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus. Joie.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine tout en me chevauchant pour me couvrir le visage de bisous. Tendresse. Papouille.
Je lui murmure : < Bonjour Clémentine ! >. Nous filons aux toilettes avant de descendre à toute vitesse jusqu'à la cuisine.
Je presse nos oranges. Clémentine fait le café. Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de jogging. Et tout va donc très vite.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
Le thermomètre extérieur indique 12°. Nous faisons le programme du jour. Cet après-midi, nous nous offrons une virée vélo.
Il est 6 h30. Nous voilà à courir. Le jour se lève. Le sol est sec. C'es encore un moment d'une intensité extraordinaire. Super.
Retour pour 7 H30. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint. Veste, jean, bottines.
Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le ciel est bleu, il y a du soleil.

Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet.
Je peins dans un enthousiasme sans retenue. C'est la vingt quatrième toile destinée à ma saison d'été. Avance sur le timing.
C'est un paysage. Une de ces scènes bucoliques et très commerciales. Un couché de soleil. Et un couple assis sous la futaie.
Ce genre de travail est à la fois récréatif et ludique. Une fois encore, les personnages auront nos visages. C'est très amusant.
Ma loupe frontale me permet, à l'aide de mes plus fins pinceaux, de réaliser les plus infimes détails des traits de nos visages.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je fais cuire des haricots verts, de l'ail, de l'oignon et de la ciboulette dans le Wok.
Je prépare une omelette aux champignons. Il est 12 h15. Clémentine arrive. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.
Tout en préparant la salade et son assaisonnement, ma compagne me raconte sa matinée de cours. Une matinée tranquille.
Je prépare la pâte pour la tarte aux poireaux de ce soir. Je fais cuire les morceaux de poireau. Clémentine tente la Béchamel.
Elle s'en tire plutôt bien. Il fait tellement beau, il fait même si chaud que nous décidons de prendre le repas dans la véranda.

Nous mangeons de bon appétit. Le gazouillis des oiseaux, la douceur du climat, les baies vitrées ouvertes. Un enchantement.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine me fait : < Si cette météo persiste, je mets mes jupettes ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Il n y' a aucune raison d'en priver les voyeurs que nous croisons à bicyclette ! >
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La casserole contenant la Béchamel et le poireau est couverte ainsi que la pâte à tarte.
Nous montons nous mettre en tenues. Nous tentons les shorts de cycliste en lycra noir. Nos T-shirts de lycra jaune. Superbe !

Dans le petit sac à dos je mets nos leggings et nos sweats. Deux pommes, des barres de céréales. Nous sortons les bicyclettes.
La dernière vérification. Il est 13 h30. Nous voilà à descendre jusqu'à la rivière, à traverser le pont pour suivre l'étroit sentier.
Cinq cent mètres. Nous voilà sur la piste cyclable le long du canal. Nous sommes en semaine. Il y a beaucoup moins de monde.
Nous croisons toutefois quelques cyclistes. En groupe, en duo ou solitaires. Principalement des séniors, retraités actifs, sportifs.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Nos vingt cinq kilomètres habituels jusqu'au petit port de plaisance. Sous le soleil.

Nous fermons nos bicyclettes à cadenas. Nous allons directement à la supérette pour nous offrir nos cônes glacés. Récompense.
Il y a du monde. Les habituels joueurs de pétanque entourés de leurs inconditionnels ou de leurs admirateurs. C'est amusant.
Il y a des plaisanciers occupés sur leurs bateaux. Nous entendons les conversations. Quel plaisir de pouvoir vivre à l'extérieur.
Tout cela nous a manqué tout l'hiver. Nous flânons. Nous longeons le sentier entre les bosquets déjà verts, touffus et en fleurs.
Clémentine m'invite à être vigilant. < Il y a peut-être l'opportunité d'un "plan" ! > me fait elle en me serrant la main très fort.

Nous parcourons les lieux. Nous visitons les coins et les recoins. Clémentine porte ses larges lunettes noires, cheveux flottants.
Elle vient de les dénouer en passant l'élastique à cheveux à son poignet. Nous passons près du parking. Nous inspectons bien.
Rien n'émoustille davantage ma compagne que le soleil et les possibilités de pouvoir s'exhiber discrètement. La vie extérieure.
Il est à peine 15 h. Estelle n'arrive à la maison que pour 18 h. Nous avons donc une bonne heure et demi pour trouver un plan.
Nous faisons un tour dans les toilettes des plaisanciers. Nous trouvons qu'il serait stupide de rester là plutôt qu'au soleil. Bien.

Nous passons devant la capitainerie du port. Cette année, la capitaine est une jeune femme d'une trentaine d'année. Sympa.
Nous traversons la route. Nous passons devant la terrasse du café déjà bondée de monde. Une réelle ambiance estivale. Joie.
Nous nous amusons des regards libidineux de certains clients qui admirent la silhouette sculpturale, athlétique de Clémentine.
Nous faisons semblant de regarder les cartes postales sur le tourniquet devant le Bar Tabac. Il y a un mec qui mâte à table.
C'est un couple. La trentaine. Un gamin assis à côté d'eux. Une famille. Ce qui n'empêche pas le type de mâter discrètement.

Pour enfoncer le clou, discrète, en faisant mine de scruter une carte postale, Clémentine a sa main gauche entre ses cuisses.
Personne d'autre ne peut contempler cette scène hautement suggestive. L'inconnu, tout en parlant avec sa femme, regarde.
Clémentine se touche. Derrière les verres de mes lunettes noires, j'observe les expressions du mec. Nous montons le chemin.
Nous montons vers le vieux cimetière. La vue depuis la colline est magnifique. Il y a un promeneur de chien. En survêtement.
Un moustachu, la quarantaine. Clémentine me fait : < Planque toi ! Il ne nous a pas encore vu ! >. Je passe derrière le muret.

Clémentine, assise sur le muret, juste à côté de l'entrée de l'enclos paroissial, fait mine de consulter son téléphone. Sympa.
Le moustachu en survêt arrive à sa hauteur, tenant son hideux clébard à la laisse. Il hésite un peu. Il revient sur ses pas.
Il engage la conversation. De ma planque, je n'entends rien des propos qui s'échangent. Clémentine reste polie et distante.
Le bonhomme continue sa promenade. Quelle n'est pas ma surprise ! Voilà le type qui mâtait à la terrasse du café. Essoufflé.
Il n'hésite pas un instant, regarde partout autour de lui et s'avance directement vers Clémentine. Il est seul. En jean, sweat.

Pas de doute. C'est le vrai "boulet", dans toute sa splendeur, sans le moindre scrupule, laissant sa famille pour venir draguer.
Clémentine d'abord surprise, embarrassée par le culot du mec semble rapidement importunée par l'insistance pénible du type.
Malgré son attitude distante, absorbée sur l'écran de son téléphone, l'inconnu s'installe carrément à côté d'elle sur le muret.
Je reste prêt à intervenir. Je vois le mec qui rame, qui tente quelques bons mots. Clémentine reste dans sa profonde réserve.
Je la vois excédée. L'inconnu semble pénible. Clémentine se lève pour s'éloigner. Le type se lève pour continuer à l'emmerder.

Je décide d'intervenir. Je marche le long du mur de l'enclos. Dès qu'elle me voit, Clémentine se dirige vers moi à grands pas.
Le type n'insiste plus. Un peu gêné, il tourne les talons pour descendre le chemin. Nous descendons doucement. Il est 16 h15.
< Tu as vu ce mec ! Put-Hein, il laisse carrément sa femme et son gosse pour aller draguer l'enfoiré ! > me fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Nous repassons devant la terrasse. Le couple est toujours assis là. Et le type détourne la tête. Gêné.
Clémentine s'arrête pour lui donner le coup de grâce en le fixant. La femme découvre cette jeune fille qui mâte son homme.

Nous traversons la route en rigolant comme des bossus de notre bonne farce. < Une bonne leçon ! > me fait Clémentine. Joie.
Nous voilà à pédaler poussés par le vent. Nous croisons un peu plus de monde. Nous dissertons en riant à propos du dragueur.
Nous sommes de retour pour 17 h45. Estelle arrive presqu'en même temps que nous. Nous nous faisons plein de bisous. Bien.
Estelle nous raconte son après-midi de boulot dans l'entreprise familiale. Nous allons dans l'atelier. Il faut redevenir sérieux.
Les filles sont assises à la table, entourées de leurs affaires. Il faut réviser. Je peins dans l'allégresse de cette fin d'après-midi.

Je propose aux filles de tout préparer seul à la cuisine afin de leur permettre de continuer leurs révisions. Suggestion reçue.
J'étale la pâte dans le grand plat pendant que la garniture réchauffe. J'étale la Béchamel contenant les morceaux de poireau.
Je rajoute du gruyère de Comté finement râpé. Je pose délicatement la fine couche de pâte sur le tout. Je badigeonne d'œuf.
Au four. Pendant ce temps je prépare l'assaisonnement de la salade déjà prête. Je mets la table. Je range les ustensiles lavés.
Je retourne dans l'atelier. Je laisse la porte entrebâillée. Je peins depuis dix minutes que retentit la sonnerie du four. Super.

Nous nous précipitons à la cuisine. Morts de faim. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine raconte notre aventure au port.
< Il y en a plein des mecs comme ça ! Tu imagines si tu vis avec un type de ce genre ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous retournons travailler. Il est rapidement 22 h15. Il faut ramener Estelle et son vélo.
La séparation est difficile. Au retour, excités comme des puces, nous passons aux toilettes, la salle bain et enfin notre plumard.
En baisant, Clémentine me révèle les plus excitants secrets. Je la termine avec un cunnilingus. Elle me termine avec une pipe.

Bonne promenade à toutes les coquines qui se font parfois draguer par des personnages étranges, gonflés et bien chiants...

Julien - (Qui assure son rôle de vigile, de garde du corps et de surveillance rapprochée auprès de Clémentine enchantée) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 397 -



Une agréable soirée devant un bon repas et avec Juliette

Hier matin, mercredi, c'est l'Adagietto de la cinquième symphonie de Gustav Mahler qui nous tire de nos profonds sommeils.
< Put-hein, tu vas nous faire mourir à Venise Gustav ! > crie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rions de bon cœur.
Tout en me chevauchant, Clémentine me fait : < Bonjour Julien ! >. Je lui chuchote : < Bonjour Clémentine ! > Les papouilles.
Nous nous levons pour nous précipiter aux toilettes. En prévision du jogging de ce matin, nous nous mettons en tenues. Bien.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. 5 h55. Je presse les oranges et Clémentine s'occupe du café.

Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Le thermomètre extérieur indique 13°. Il est 6 h25. Nous voilà à courir d'un bon rythme. Le jour se lève doucement. Sublime.
D'assister au lever du jour, dans une campagne printanière, tout en courant, est un de ces plaisirs divins qui donne la "pêche".
Nous sommes de retour après une heure d'un bonheur sans nom. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint vêtue de sa veste en cuir noir, cintrée, son jean et ses bottines. J'adore la voir ainsi habillée. Je le lui chuchote.

Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre et je monte faire le lit.
Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais au salon. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Exultant de joie.
Je termine ce matin mon paysage bucolique. Une petite toile de format 6F, (41 x 33 cm). Je peins dans un enthousiasme fou.
Il faut m'entendre pousser les cris les plus surréalistes ou me lever pour faire la danse d'un guerrier Sioux autour du chevalet.
Il est onze heures lorsque je dépose de la pointe de mon plus fin pinceau la dernière et sublime goutte de peinture. Superbe.

Je commence le dessin préparatoire de la vingt cinquième toile destinée à ma saison d'été. Je dessine dans une fièvre glorieuse.
Mon crayon semble évoluer seul sur la surface blanche. Je suis "habité". Tout se déroule sous mes yeux. J'en suis le spectateur.
Il est midi. Je vais à la cuisine. La pâte feuilletée achève de décongeler dans le bas du réfrigérateur. Je prépare une Béchamel.
Il est 12 h15. Clémentine rentre. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me dépose plein de bisou sur le visage. La tendresse.
Juliette vient manger ce soir. A cet effet, je prépare un feuilleté au saumon. Clémentine s'occupe de la salade. Assaisonnement.

Pour midi je fais gonfler du millet doré dans un bouillon à base d'ail, d'oignon, de persil et de ciboulette. J'émince du saumon.
Clémentine me raconte sa matinée. L'entretien pour son admission au "Master" de sciences qu'elle prépare depuis quatre ans.
C'est donc un instant solennel. Tout s'est très bien passé. Je sais les capacités de Clémentine pour présenter un exposé clair.
< Il faut toujours se "vendre" dans ces cas là. Mais je me suis mise les deux profs dans ma poche ! > me raconte t-elle. Rires.
Je connais bien ses capacités de séduction conjuguées à ses capacités à exposer un concept, une idée ou encore un postulat.

Dans la Béchamel, je verse les petits morceaux de saumon. J'en récupère un peu. Cela servira de sauce en accompagnement.
Nous mangeons de bon appétit. Nous élaborons notre programme de l'après-midi. Une virée à bicyclette. Journée ensoleillée.
Il fait chaud. Nous prenons notre repas dans la véranda avec une des grandes baies vitrée largement ouverte. C'est superbe.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous mettre en tenues. Short de lycra noir et nos T-shirt de lycra jaune.
Dernières vérifications des bicyclettes. Il est 13 h30. Nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable sous un soleil d'été.

Nous pédalons contre une agréable brise d'Ouest. Nous croisons pas mal de cyclistes. Les plus jeunes n'ont pas école. Mercredi.
Nous arrivons au petit port de plaisance après nos 25 km de plaisir. Nous fermons nos vélos à cadenas. Il y a du monde. Bien.
Pour récompenser nos efforts qui n'en sont pas vraiment, nous nous offrons nos cônes glacés. Nous flânons sur le quai. Sympa.
Clémentine détache ses cheveux, fixant l'élastique à son poignet. Nous portons nos larges lunettes noires. Nous traînons. Joie.
Par acquis de conscience, pour être certaine de ne pas rater un "plan" exhibe, Clémentine nous entraîne aux toilettes publiques.

Il serait stupide de passer du temps dans les toilettes réservées aux plaisanciers avec ce magnifique soleil, la douce chaleur.
Par contre nous faisons soigneusement le tour de tous les coins et recoins. Aucune réelle opportunité. Il est à peine 15 h15.
Il y a bien le groupe de joueurs de pétanque. Il y a le type de la dernière fois. Il ne nous a pas vu ou pas reconnu. Très bien.
Clémentine, physionomiste, dotée d'une mémoire prodigieuse me fait : < Regarde, c'est l'exhibitionniste de l'an dernier ! >
Je regarde. Sur son bateau, il y a un plaisancier le nez dans une grande caisse ouverte. Je me souviens vaguement. Les WC.

Nous traînons encore un peu avant de prendre le chemin du retour. Nous aimerions encore travailler un peu à la maison. Joie.
Le léger vent qui nous pousse nous permet d'avancer sans effort en bavardant. Nous sommes de retour pour 17 h30. Super.
Une rapide toilette. Nous nous changeons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est immédiatement à ses révisions. Le travail.
Je termine le dessin préparatoire de ma prochaine nature morte. Des ustensiles en cuivre qui sont prétexte à des virtuosités.
Absorbés dans nos occupations, nous n'avons pas de réelle perception du temps. Il est très rapidement 19 h. Nous cessons...

Nous sommes à la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement des salades. Avocat, salicorne et champignons. Tout va vite.
Je réchauffe la Béchamel que je verse sur la pâte feuilletée étalée dans un plat rectangulaire. Rajout de Parmesan de gruyère.
Je mets au four. Nous allons au salon. J'aide Clémentine à tout préparer. Nous étendons le chemin de table en lin. Bien à plat.
La longue table "monastère" est rapidement prête et décorée. Chandelier. Assiettes en grès. Les couverts laitonnés. Verres.
Clémentine porte une de ses jupes carmin légèrement évasée au dessus du genoux. Un pull brun de coton fin. Très attractive.

Sur sa demande, je porte un pantalon noir, à pinces et à plis. Une chemise blanche qu'elle me fait blouser. Braguette ouverte.
Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Elle revient accompagnée de Juliette. Juliette porte une jupe flottante bleue.
Juliette porte un chemisier blanc. Nous nous serrons la main. Je la félicite pour cette tenue d'été et pour son élégance discrète.
Nous sommes installés dans le canapé. Nous bavardons. Juliette nous raconte à quel point elle est soulagée. Moins de travail.
La sonnerie du four. Je propose à clémentine et à Juliette de prendre place. Je m'occupe du service. Je vais à la cuisine. Bien.

Tout en bavardant, Juliette fixe à plusieurs reprises ma braguette. La jeune femme semble beaucoup apprécier notre jeu.
Je suis à la cuisine. Je sors le feuilleté de saumon du four. Il est magnifique. Je dispose les avocats sur les petites assiettes.
Juliette arrive soudain. Je suis surpris. Je la croyais au salon assise avec Clémentine. De l'autre côté de la table, elle observe.
Les yeux fixés sur ma braguette. Seul le bout de la tirette vers le bas, permet de se douter qu'elle est ouverte. Il faut mâter.
Cette situation devient rapidement très excitante. Je sens mon érection envahir mon slip. Je ne vais pas tarder à bander fort.

Juliette se propose de m'aider. Je découvre Clémentine dans l'encadrement de la porte. Elle me fait un clin d'œil et un sourire.
Nous passons au salon. Clémentine et Juliette sont assises. Je retourne à la cuisine chercher les salade. Je sors vite mon sexe.
Je me masturbe afin de m'offrir une turgescence qui déforme mon pantalon d'une bosse énorme. Je retourne au salon. Super.
Debout devant la table, en face de Juliette qui mâte la bosse avec l'attention d'une entomologiste, je remue la salade. Laitue.
Je fais bouger mon sexe par contractions répétées de mes muscles fessiers. C'est du plus bel effet. Clémentine regarde aussi.

Je m'assois enfin. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine évoque ses études, le "Master" qui s'annonce. Nos vacances.
Juliette parle des actualités au haras. Elle insiste pour que nous mettions en application un de nos projets dans les écuries.
Nous rions de bon cœur à l'idée de revivre là-bas une nouvelle aventure bien vicelarde. < On prépare ! > lui fait Clémentine.
< Cette fois, on veut se surpasser avec un truc bien fort ! > rajoute encore ma compagne. < J'imagine ! > lui répond Juliette.
Quelle n'est pas ma surprise de voir Juliette mimer une masturbation masculine, vulgaire, en disant : < Monsieur Gérard ! >

Nous rigolons comme des bossus lorsque la jeune femme nous révèle quelques confidences nouvelles concernant le palefrenier.
Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine me fait du pied sous la table. Juliette raconte quelques autres anecdotes.
Je me lève pour débarrasser la table. A nouveau Juliette fixe l'énorme bosse qui déforme mon pantalon. La tache plus sombre.
Lorsque je suis excité, j'ai rapidement des épanchements de liquide séminal. C'est le cas. Il y a donc une tache bien évidente.
Je vais à la cuisine. Je prépare les coupes glacées. Je sors ma queue pour me branler un peu, c'est trop bon et hyper excitant.

Dans l'encadrement de la porte, je surprends Juliette, Clémentine. < Glace à la crème ? > me fait Juliette. Je suis bite à l'air.
Nous éclatons de rire. Je remballe ma queue. < Il faut la laisser respirer un peu à l'air libre ! > rajoute Juliette en repartant.
Clémentine se serre contre moi en me chuchotant : < Génial ! Ce soir tu fais fort ! Le salaud que j'adore ! >. Nous rigolons.
Nous retournons au salon. Je tiens le plateau avec les coupes glacées. Nous prenons notre dessert en riant beaucoup. Queue.
Juliette nous avoue sa passion pour le voyeurisme, les trucs un peu glauques et les situations hautement vicelardes. Vicieuse.

Juliette insiste pour nous aider à faire la vaisselle. Elle insiste afin de nous organiser un super "truc" aux écuries. Au début mai.
Nous promettons de la contacter par courriels durant nos vacances dans le Périgord. Juliette nous promet d'organiser un "plan".
Je reste avec la bite à l'air. Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Clémentine joue avec ma queue. Nous bavardons.
Nous nous serrons la main. Nous regardons la voiture disparaître en haut du chemin. Clémentine m'entraîne à toute vitesse.
Au lit, nous nous offrons un "69". Nous baisons immobiles. Clémentine me confie ses ressentis. Cunnilingus. Fellation et dodo.

Bonne soirée en compagnie de votre visiteuse à toutes les coquines qui apprécient les situations bien vicelardes...

Julien - (Qui s'est baladé avec la bite à l'air toute la soirée pour le plus grand plaisir de Juliette voyeuse et vicelarde) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 398 -



Il faut rassurer Estelle que notre départ rend tristounette

Hier matin, jeudi, c'est l'Adagio en Sol mineur de Tomaso Albinoni qui nous tire de nos profonds sommeils. La tête dans le cul.
< Put-Hein, mais pas le matin déjà Toto ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rigolons de bon cœur.
< Bonjour Julien ! > me fait elle tout en me chevauchant en riant. Je lui dis : < Bonjour Clémentine ! >. L'instant tendresse.
Nous nous précipitons aux toilettes. C'est le rituel pisseux. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine.
Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé. Il est 6 h.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous sommes déjà en tenues de jogging. Nous évoquons la soirée de hier.
La présence de Juliette, mon attitude, ses réactions. < Tu as mis la barre un cran plus haut ! Elle apprécie ! > fait Clémentine.
Il est 6 h25. Nous voilà à courir le long de notre circuit habituel. Nous assistons au levé du jour. Ce sont des instants magiques.
Il est 7 h30 lorsque nous sommes de retour. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Il est 7 h45.
Clémentine, vêtue de sa veste en cuir noir, de son jean et de ses bottines me fait plein de bisous. Le dernier coucou de la main.

Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Temps magnifique. Le ciel est d'un bleu d'azur. Le soleil y règne en maître.
Je rentre. Je monte faire le lit. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais à l'atelier. Il est 8 h15. Je m'assois devant la toile.
Comme nous allons nous absenter une dizaine de jours, je commence le dessin préparatoire de ma vingt sixième réalisation.
Je déteste partir en laissant une toile inachevée et dont la peinture est à peine commencée. Bonne occasion de dessiner un peu.
Je termine ce travail aux environs de onze heures. Je range consciencieusement les crayons, les pinceaux, tous les accessoires.

Je descends dans le jardin pour profiter de cette étonnante journée d'été en plein mois d'avril. Les arbres se couvrent de feuilles.
Les bourgeons fleurissent. L'herbe est verte. Le gazouillis et les envolées des oiseaux. Je rentre pour préparer notre pâte à pizza.
Je prépare une garniture. Tomates fraîches, oignon, ail, basilic, ciboulette et champignons. Il est déjà 12 h15. Clémentine rentre.
Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Pour midi, je prépare des spaghettis. Je râpe le Parmesan.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je récupère un peu de garniture qui servira de sauce aux spaghettis.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Les professeurs donnent les meilleurs formules de révisions.
J'écoute avec intérêt. Passionnant. Durant notre séjour en Périgord, Clémentine consacrera une heure aux révisions. Et le matin.
Ainsi, c'est avec la conscience tranquille qu'elle pourra appréhender le début de ce troisième trimestre et le "Master" qui l'attend.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La pâte des pizzas de ce soir ainsi que leur garniture sont recouverts. Tout est bien près.
Nous montons nous mettre en tenues. Pour la première fois, Clémentine met une de ses jupettes d'été. Et son maillot en coton.

Je suis en short et en T-shirt. Du coton également. C'est tellement plus confortable. Clémentine est superbe. Je la fais tourner.
La jupette façon "tennis", lui arrive à mi-cuisses. Nos teints mat naturels n'attendent pas le bronzage. Un vrai privilège. Sympa.
Dernières vérifications des vélos et nous voilà en chemin pour la piste cyclable. Dans le petit sac à dos, il y a les autres habits.
Il faut être prévoyant. La fraîcheur du soir n'est pas encore celle de l'été. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Superbe.
Nous croisons quantité de cyclistes, beaucoup de jeunes femmes solitaires en rollers. Tout est vert, en fleurs. C'est magnifique.

Nous arrivons à la hauteur du cabanon de l'écluse. L'endroit hautement stratégique qu'affectionne Clémentine pour ses exhibes.
Le soleil, la chaleur, la jupette, les conditions idéales pour s'offrir une petite "frayeur". Nous nous arrêtons. Nous étudions bien.
Sur la demande de ma compagne, je vais rejoindre ma cachette habituelle. Clémentine traverse la passerelle métallique. Prête.
Debout entre les deux bosquets, penchée en avant, elle regarde discrètement à gauche et à droite. J'observe depuis ma planque.
Nous nous faisons des grimaces. Clémentine me fait le signe de me cacher. Je regarde à droite. Un cycliste solitaire qui arrive...

J'ai assisté tant de fois à cette scène. Pourtant c'est toujours hyper excitant. Clémentine descend sa culotte à mi-cuisses. Vite.
Accroupie, portant ses larges lunettes noires, ses cheveux dénoués qui pendent devant son visage baissé. Regardant son sexe.
Le cycliste arrive à sa hauteur. Il roule doucement. Il découvre le spectacle. Evidemment il s'arrête. La quarantaine enveloppée.
De ma cachette, à une trentaine de mètres, je n'entends pas les propos qui s'échangent. Je me demande qui est le plus excité.
Est-ce le type ? Est-ce Clémentine ? Est-ce moi ? L'instant est d'une profonde intensité. Un truc qui n'arrive pas tous les jours.

Clémentine, malgré ses efforts, et en début de saison, n'arrive pas à se lâcher. Elle relève la tête. C'est pour répondre au type.
Le mec est debout, son vélo entre les jambes, tenant le guidon d'une main, se touchant le short de l'autre. Je le comprends !
C'est souvent une situation qui n'arrive qu'une fois dans l'existence. Parfois le quidam sait en profiter sans rien tenter. Superbe.
Le cycliste fait partie de ces individus intelligents. Il ne tente rien. Il se contente de regarder. Le spectacle peut donc continuer.
Rares sont ceux qui comprennent qu'à la moindre tentative de se rapprocher c'est la certitude de mettre fin à la magie. Bien...

Clémentine, parfois souriante, se contente de faire des signes négatifs ou positifs en réponses aux interrogations de l'inconnu.
L'homme n'insiste pas. C'est un gentleman. Il se contente de regarder en se touchant. Il regarde dans tous les sens. Sympa.
Cette attitude permet à Clémentine d'assurer son show en toute quiétude. Elle ne s'en prive pas. Cela dure quelques minutes.
Hélas, là-bas, arrive un couple de cyclistes. Le réflexe du type permet à Clémentine de comprendre sans être obligée de voir.
Elle se redresse et remonte sa culotte. Le couple passe sans se douter de quoi que ce soit. Parfait. Le type monte sur son vélo.

Il fait un dernier coucou de la main à Clémentine avant de s'éloigner. Elle vient me rejoindre. Toute contente. Je la fais tourner.
< Si seulement ils étaient tous comme ça ! A se contenter de regarder ! > me fait ma compagne. Nous reprenons notre route.
Nous arrivons au petit port de plaisance. Encore bien excitée par son exhibe, Clémentine m'entraîne aux toilettes publique. WC.
Il y a du monde. Chacune de ces journées ensoleillées voit l'animation du port augmenter. Il est difficile de trouver le bon plan.
Malgré tout, avec cette météo, il serait dommage de rester planqués dans les chiottes des plaisanciers. Nous traînons un peu...

Tout en dégustant nos cônes glacés, nous déambulons sur le quai. Il est à peine 16 h lorsque nous prenons la route du retour.
Clémentine me propose de faire un second arrêt au cabanon de l'écluse. < Cette fois, je monte d'un cran ! > me fait elle. Rire.
Nous arrivons à l'endroit préféré de ma compagne. Je me dissimule une nouvelle fois derrière le cabanon et les bosquets. Mâte.
Il ne faut pas attendre longtemps. Voilà une autre "victime". Cette fois c'est un sénior vêtu façon "Tour de France". Le folklore.
Clémentine qui doit pisser, qui s'est retenue, se met en position. Elle a retiré sa culotte. Accroupie. Cuisses écartées. L'attente.

Même réaction. Le papy cycliste s'arrête. Celui-là semble beaucoup plus "démonstratif". Il regarde autour de lui, sort son sexe.
Le type tout en bavardant, se branle de la façon la plus naturelle. Je vois Clémentine se lâcher dans un jet libérateur. Puissant.
Elle relève la tête. Derrière ses lunettes noires, ses cheveux à nouveau dénoués, tout en pissant, elle fixe le mec. Un silence.
Le type, s'assurant toujours que personne n'arrive, se branle comme le bienheureux qu'il est en ces instants d'intensité folle.
Moi aussi, dans ma cachette, même si je reste toujours prêt à intervenir, je me masturbe doucement. Clémentine peut pisser.

Par une sorte de miracle personne ne se pointe, ni à gauche, ni à droite. Clémentine, cambrée, termine par un dernier jet fort.
Devant elle, sur environ les trois mètres qui la sépare du canal, il y a une longue traînée de pisse. J'ai filmé la scène pour elle.
Nous regarderons ces images ce soir avec Estelle. Il y a une jeune femme en roller qui arrive. Le type remballe, et rapidement.
Cette attitude permet à Clémentine de comprendre. Elle se redresse, réajuste sa jupette. Juste à temps. La rolleuse passe là.
Le type n'insiste pas non plus. Je le vois dire des choses. Clémentine secoue la tête négativement. Le mec monte sur son vélo.

Nous attendons qu'il se soit éloigné pour nous rejoindre. < Merci Julien, sans toi tout cela serait impossible ! > fait Clémentine.
Elle remet sa culotte. Ma compagne déteste faire de la bicyclette sans culotte. On peut la comprendre. Nous rentrons. 18 h15.
Estelle est déjà là. Son vélo est posé contre le muret du jardin. Elle possède un double des clefs. Nous rangeons les bicyclettes.
Estelle est à l'atelier, déjà absorbée dans ses révisions. Sans nous changer, Clémentine la rejoint. Estelle me fait plein de bises.
Les filles sont assises à la table. Cette capacité toute féminine dont fait preuve Clémentine pour passer d'une chose à l'autre...

Je sors deux toiles de l'armoire pour les poser au sol, en prévision. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Les préparations.
Il est 19 h. Estelle me rejoint la première. < Je peux venir demain, vendredi. Parce que vous partez dimanche ? > me fait elle.
Elle se serre contre moi en rajoutant : < Vous allez de nouveau me manquer tous les deux ! >. Je la rassure et je la console.
Clémentine arrive pour s'interposer. C'est plutôt par jeu que par inquiétude. Ma compagne sait le tourment qui habite Estelle.
C'est toujours pareil avant l'un de nos départs. Les pizzas sont au four. La salade prête. Nous passons au salon. J'ai tout fait.

Clémentine, toujours en jupette, accroupie devant le canapé où nous sommes assis raconte nos aventures en mimant la chose.
< Tu es quand même une sacrée salope ! J'aimerais avoir ton culot ! > fait Estelle. Clémentine répond : < Non ! Sans culotte ! >
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine me demande de montrer le film à Estelle. Je lui passe mon téléphone. Superbe.
La sonnerie du four. Estelle, comme hypnotisée par ces images vicelardes a du mal à nous rejoindre. < Génial ! > s'écrie t-elle.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. C'est dur mais les filles ont leur programme. Révisions.

Il est rapidement 22 h15. Il faut ramener Estelle et son vélo. Dans la voiture, Estelle est un peu tristounette. Je la rassure.
Nous serons ensemble dès demain. De 14 h jusqu'à notre départ dimanche à 13 h. Nous la regardons rentrer chez elle. Nuit.
Au retour, Clémentine à nouveau follement excitée, se touche jusqu'à la maison. Les souvenirs encore récents d'aujourd'hui.
Les toilettes. La salle de bain. Je lui offre un de ces cunnilingus qui la rendent folle. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis. Lent.
Immobiles comme nous aimons, Clémentine me confie les plus étonnantes révélations. Elle me fait une pipe délirante. Dodo.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment pratiquer le vélo en jupette pour s'exhiber bien accompagnées...

Julien - (Qui assure son rôle de garde du corps avec diligence et célérité. Prêt à intervenir tout en se pignolant doucement) -

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Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 399 -



Hier matin, vendredi, c'est "L'oiseau de nuit", de Igor Stravinsky qui nous tire de nos profonds sommeils. C'est plutôt difficile.
< Put-Hein ! Ta gueule Igor ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus. Il est 5 h55.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine en se blottissant contre moi. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de lui murmurer.
Elle me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nous sommes le 20 du mois. C'est la surprise.
< Merde ! J'ai mes "petits machins" , mes trucs de filles ! > s'écrie encore Clémentine. Nous descendons à la cuisine. La faim.

Nous sommes déjà vêtus de nos tenues de jogging. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Méthode et efficacité.
Le thermomètre extérieur indique 14°. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Confitures. Miel.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous établissons le programme du jour. Clémentine termine à midi. Super !
Ce sera non seulement le début du Week-End, mais également le début de nos vacances. Les préparatifs pour le Périgord. Joie.
Il est 6 h25. Nous voilà à courir jusqu'à la rivière. Doucement le jour se lève. C'est un moment véritablement magique. Délice.

Il est 7 h30 lorsque nous sommes de retour. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Le ciel bleu.
Clémentine est vêtue de sa veste de cuir noir, cintrée à la taille, de son jean et de ses bottines. J'adore la voir habillée ainsi.
Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre pour monter faire le lit.
Je redescends pour faire la vaisselle. J'ai les dessins préparatoires de mes deux prochaines toiles déjà réalisés. C'est rassurant.
Je range l'atelier. Aspirateur, serpillère sur le parquet vitrifié. Je vide les cendres dans la cheminée que je nettoie. Tout est ok.

Je vais au garage. Je prends les sachets contenant les graines. Ce matin, jardinage. Je fais les semis dans la terre retournée.
Il me suffit, avec une bêche, de recouvrir les sillons que m'ont tracé les employés de l'entreprise paysagiste. Activité ludique.
Avec le tuyau d'arrosage, je mouille les mottes de terre sur toutes leurs longueurs. Poireaux, choux, laitues, tomates. Persil.
Je fixe les tuteurs qui serviront à la pousse des tomates. J'apprécie ce travail au grand air. Il fait chaud dès 10 h15 du matin.
Il est aux environs d'onze heures lorsque je termine ce travail. J'admire le tout. Je vais dans la serre. Je nettoie. Du boulot !

Vider les jardinières de leurs mauvaises herbes est rapide. Par contre il faut passer la balayette entre chacune et bien insister.
Balayer le sol. Ainsi, à notre retour des vacances, Clémentine pourra s'occuper de ses fleurs. Nous aurons nos légumes. Super.
Il est midi. Je retire mes bottes en caoutchouc, mon tablier de jardinier lorsque Clémentine arrive. Elle me saute dans les bras.
< Week-End et vacances ! > s'écrie t-elle. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visages de bisous. Le bonheur.
Je lui fais voir les résultats de mon labeur de la matinée. Clémentine se réjouit pour pouvoir s'occuper bientôt de sa roseraie.

Nous rentrons pour nous préparer à manger. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je fais du riz complet.
Pendant que le riz gonfle dans l'eau, je concocte une de nos délicieuses sauces au Roquefort. Crème, champignons et ciboulette.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Nous prenons notre repas dans la véranda, baies ouvertes.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine me confie son désir de vivre d'étonnantes aventures. Bientôt.
Je lui promets que notre séjour en Périgord nous entraînera dans les situations que nous apprécions, dont Clémentine a besoin.

Je m'engage à me comporter selon ses désirs d'être "prise en main". Je serais le "Maître" souhaité. Collier canin, la laisse. Joie.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous mettre en tenues vélo. Clémentine peut mettre une de ses jupettes.
Nous faisons les clowns devant le miroir. < Je vais te sucer durant ces vacances, tu n'imagines pas ! > me chuchote Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsque je lui murmure : < Je vais te bouffer la chatte durant ces vacances, tu n'imagines même pas ! >
Nous descendons pour aller nous asseoir sur le muret du jardin. Le gazouillis des oiseaux, la chaleur digne d'un mois de juillet.

Il est 13 h45 lorsque nous assistons à l'arrivée d'Estelle sur sa bicyclette. Elle est merveilleusement belle dans ce soleil. Super.
Estelle est vêtue d'un short en coton rouge, d'un T-shirt jaune. Ses cheveux noués en catogan, larges lunettes noires. Sublime.
Elle se précipite pour nous faire des bises. Elle se blottit dans mes bras pour nous raconter son après-midi et sa soirée de hier.
Gauvin l'a invité à une soirée étudiante. Elle nous confie à quel point le jeune homme est très respectueux, pas du tout collant.
< Il m'a raccompagné vers 23 h sans même tenter de m'embrasser ! C'est génial ! > fait Estelle, sa main dans mon short. Joie.

Nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable. Il y a évidemment un monde fou. C'est même spectaculaire. Beaux jours.
Nous croisons quantité de cyclistes, de jeunes femmes en roller, de couples qui se promènent. C'est une merveilleuse journée.
Nous nous arrêtons au cabanon de l'écluse. Nous nous mettons, Clémentine et moi, en situation pour expliquer à Estelle. Rires.
Estelle m'accompagne dans ma cachette habituelle entre les fourrés et le cabanon. Nous observons Clémentine de l'autre côté.
Séparée de la piste cyclable par le canal, debout entre deux bosquets, ma compagne regarde à gauche et à droite. Du monde.

Nous regardons Clémentine descendre sa culotte, s'accroupir, dénouer les cheveux pour dissimuler son visage. Lunettes noires.
< Put-Hein, elle est gonflée ! > me chuchote Estelle. Je lui dis : < Rappelle toi, l'année dernière, tu as fait avec elle, là-bas ! >
L'attente n'est pas longue. Voilà l'arrivée d'un autre champion cycliste vêtu en coureur du Tour de France. C'est si folklorique.
C'est un jeune type, trente ans peut-être. Il découvre l'étonnant spectacle sur sa droite. Il s'arrête en freinant si brusquement.
Estelle et moi, retenant nos respirations, nous observons cette scène que je connais par cœur, sur le bout de la queue. Silence.

Notre Jalabert regarde à gauche, à droite, met sa main dans son short. Il tient son vélo et se met à bavarder avec Clémentine.
Elle reste bien droite, cambrée sur ses cuisses largement écartées. Autant que le lui permet sa culotte aux genoux. Merveilleux.
Estelle saisit ma bite que j'ai sorti comme je le fais le plus souvent pour me masturber en admirant ce majestueux spectacle.
< Put-hein ! Vous avez de la chance de pouvoir vous éclater comme ça ! Je veux un mec comme toi ! > me chuchote Estelle.
Nous regardons le cycliste, cambré sur ses genoux fléchis, jambes légèrement écartées, qui agite sa bite vers Clémentine. Joie.

Hélas, pour le coureur du "Tour de France" comme pour nous, arrive là-bas, un groupe de cyclistes. Un véritable "troupeau".
Notre Jalabert n'a que le temps de remballer. Clémentine se redresse rapidement, remonte sa culotte et disparaît. Bosquets.
Le peloton s'arrête à la hauteur de l'écluse. Clémentine traverse le canal sur la passerelle métallique de l'écluse. Des sifflets.
Les cyclistes saluent cette belle jeune fille qui traverse la piste cyclable pour récupérer son vélo posé contre les buissons drus.
Nous la rejoignons pour continuer notre route. Nous arrivons au port de plaisance vers 15 h45. Et il y a beaucoup de monde.

Nous nous offrons nos cônes glacés. Nous flânons sur le quai. Nous regardons un bateau s'en aller doucement. Un spectacle.
Estelle profite de chaque occasion pour me toucher la braguette. Discrètement mais avec fermeté. < Pouet pouet ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur. Discret, vicelard, je lui palpe le sexe au travers de son short. < On se calme ! > nous fait Clémentine.
< Put-Hein ! J'ai la méchante envie de te faire une pipe ! Salaud, va ! > me fait Estelle à plusieurs reprises. Elle m'embrasse.
Clémentine s'interpose. Malgré notre grande discrétion, nous nous faisons quand même remarquer par plus vicieux que nous.

Nous faisons soigneusement les coins et les recoins, les toilettes des plaisanciers, les toilettes publiques pour une opportunité.
Il faut se faire une raison. Il y a beaucoup trop de monde pour tenter une exhibe de qualité en pouvant prendre notre temps.
Estelle profite de chaque instant ou Clémentine se concentre en étudiant une possibilité pour me tripoter la braguette. Le vice.
Entre les bosquets qui séparent la capitainerie de l'endroit où il y a les joueurs de pétanque, Estelle ouvre ma braguette. Vite.
< Sors là ! T'es pas chiche ! > me fait elle en s'accroupissant. Clémentine, excitée par son désir d'exhibe, nous observe. Joie.

Nous reproduisons cette situation partout où c'est possible. Nous sommes habités d'une excitation délicieuse. Euphoriques.
Nous nous offrons un autre cône que nous dégustons assis sur le muret au bout de la jetée. Nous traînons. Il y a l'animation.
Il est dix huit heures lorsque nous prenons le chemin du retour. Dans le petit sac à dos, les fringues de change. La fraîcheur.
Pourtant, nous pouvons rester en tenues d'été jusqu'à la maison où nous arrivons pour 19 h30. Nous restons au jardin. Bien.
Il fait encore tellement doux que nous nous proposons de faire un barbecue et de manger sur la terrasse. Superbe suggestion.

La musique stupide de mon téléphone. Clémentine s'en empare. C'est Julie, la jeune serveuse du restaurant. Nous écoutons.
Estelle et moi, nous préparons les filets de lieu noir encore congelés que nous déposons sur le grill. Clémentine bavarde. Rire.
Elle vient nous rejoindre pour nous raconter la nature de la conversation. Julie est évidemment très déçue de ne pas nous voir.
Avec les vacances, nos absences, nous n'irons pas au restaurant de l'étang avant un moment. Clémentine prépare la salade.
Je fais réchauffer le reste de riz complet. Estelle retourne les filets de lieu noir afin d'assurer leur cuisson homogène. Superbe.

Nous mangeons dans la véranda. Nous avons un peu surestimé les chaleurs. A présent la fraîcheur du soir est de saison. Avril.
Nous bavardons. Les filles évoquent leurs révisions. Leurs certitudes d'être prêtes pour affronter les épreuve du "Master". Joie.
Nous traînons à table. Nous évoquons toute la gamme de nos aventures vicelardes. Les écuries, les exhibes et nos aventures.
Nous nous proposons de passer aux écuries demain soir, au retour de notre virée à bicyclette. Programme très alléchant. Vice.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine et la véranda. Nous passons à l'atelier. Les filles ont encore du travail. Leurs révisions...

Je profite de cette occasion pour enduire de Gesso deux toiles. Ce sont des enductions qui permettent une accroche picturale.
Il est rapidement 22 h. Epuisés, nous montons. Les toilettes. La salle de bain. Nous faisons les clowns devant le miroir. Rires.
Au lit, je suis entre Clémentine qui m'embrasse et Estelle qui joue avec ma bite en la reniflant. < Mr Schlingo ! > me fait elle.
Les filles me sucent en se passant ma queue à tour de rôle. Estelle, comme toujours, finit par s'endormir la première. Ronfle.
Clémentine me termine en se régalant. Nous nous chuchotons des douceurs. Les projets de vacances. Trucs vicieux. Le dodo.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment tripoter la bite du mec de leurs collègue et copine étudiante...

Julien - (Qui bande comme un salaud en compagnie de Clémentine. Qui bande comme un saligaud en compagnie d'Estelle) -

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Estelle veut profiter de chaque instant avant notre départ

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par une main qui tient fermement mon érection matinale. Des rires étouffés.
Des murmures. J'ouvre l'œil. Et le bon. C'est Estelle qui a passé son bras par dessus Clémentine pour me choper la biroute.
< Bonjour Julien ! > font les filles en même temps. Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre les deux coquines.
Tout en imitant les grognements de l'ours des cavernes, je les chatouille. J'adore les faire rire. Estelle ne lâche pas ma queue.
Elle parvient à s'enfuir jusqu'aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Il est à peine sept heures trente. Les papouilles.

Estelle revient dans son pyjama de soie mauve, me tient la queue et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >.
< On arrive ! > lui fait Clémentine qui m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous descendons rapidement.
L'odeur de café et pain grillé nous enchante. Estelle vient se blottir contre moi, sa main dans mon slip et dit : < Je t'aime ! >
Clémentine s'interpose : < Je te rappelle que c'est mon mec ! On se calme ! > fait elle. Nous rions de bon cœur. Le bonheur.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors il y a le ciel bleu et le soleil. Le thermomètre extérieur indique 15°.

Je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. Confiotes et miel. Nous traînons à table. Les filles évoquent les cours.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous remontons nous mettre en tenue de jogging. Nous faisons les clowns. Rires.
Nous voilà à courir le long de notre parcours habituel. C'est Estelle qui mène en impulsant un rythme soutenu. C'est superbe.
Il est neuf heures trente lorsque nous revenons. Nous restons un peu dans le jardin à faire quelques mouvements. Stretching.
Durant notre absence, Estelle viendra arroser le potager. Elle viendra peut-être même passer des nuits seule dans la maison.

< Il y aura le fantôme de Christine qui viendra me tenir compagnie ! > me fait elle, évoquant le fantôme de mon ex compagne.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Tu pourras lui raconter des cochonneries ! >. Nous profitons du soleil.
Estelle rentre la première pour aller prendre sa douche. Clémentine et moi flânons encore un peu près du bassin emplit d'eau.
Estelle ouvre les portes fenêtres du perron du salon. Elle est vêtue d'une robe d'été qui lui arrive au dessus du genoux. Rouge.
Elle nous fait un coucou de la main. Nous rentrons pour monter prendre notre douche. Ce matin, pas de marché ni de courses.

Clémentine porte une robe d'été. Rouge aussi avec de petites fleurs blanches. Manches courtes. Je lui fais remarquer la beauté.
Moi, sur sa demande, je porte un de mes shorts hawaïen ridicule et un T-shirt blanc. Estelle monte nous rejoindre. Et en rigole.
Clémentine a descendu les deux grandes valises à roulettes qu'elle dépose et ouvre sur le lit. Elle ouvre l'armoire. Préparatifs.
Estelle plie les vêtements que lui passe Clémentine en les sortant de l'armoire. Mes pantalons, mes chemises, mes chaussettes.
Nous passons aux affaires de Clémentine. Robes, jupes, pantalons, T-shirt, chemisier, sweat. Et la grande valise suffira t-elle ?

Nous serons absents du dimanche 22 avril au jeudi 3 mai. Soit douze jours. Chacun sait la quantité de fringues qu'ont les filles.
Estelle fait remarquer à Clémentine qu'il est possible de remplir le gros sac à dos avec ce qui ne rentre pas dans la valise. Rire.
Il faut être raisonnable. Et Clémentine est une jeune fille raisonnable. Nous rions de bon cœur en sélectionnant les vêtements.
Il est onze heures trente. Les valises sont bouclées et prêtes. Nous les descendons. Soudain, le tintement du téléphone. Salon.
Clémentine se précipite. C'est la sonnerie du téléphone du bureau. Une réplique d'un de ces vieux téléphones des années 30.

< C'est la dame de la location ! > me fait Clémentine en me tendant l'appareil. < Bonjour, c'est madame Leroy ! > fait la voix.
Madame Leroy est la propriétaire de l'appartement meublé que nous avons loué tout à proximité du petit village de Chancelade.
La dame nous propose de venir nous chercher à l'aéroport de Périgueux-Bassillac pour nous éviter de prendre un taxi. Superbe.
J'ai loué une voiture dont nous ne pourrons disposer qu'à partir de l'ouverture de l'agence de location, lundi 23 avril. C'est bien.
Tout est parfaitement réglé. Je rejoins Clémentine et Estelle assises sur les marches du perron pour raconter la conversation...

Nous passons en revue les derniers détails. Le taxi vient nous prendre demain à 13 h. Nous sommes à l'aéroport pour 13 h30.
Notre avion est à 14 h15. Nous changeons à Orly. Nous arrivons à Périgueux-Bassillac pour 17 h. Clémentine à peur de l'avion.
Je la rassure. C'est sa cinquième expérience. Estelle fait : < Si tu as trop peur, tu restes et je pars à ta place ! >. La rigolade.
Nous allons à la cuisine. Les langoustines ont terminé de décongeler. Estelle s'occupe de les faire griller sur le barbecue. Bien.
Clémentine s'occupe des salades et leurs assaisonnements. Je prépare des haricots verts avec des champignons dans le Wok.

A plusieurs reprises, avec toute la vulgarité qui lui est coutumière, Estelle mime une masturbation masculine. Les clins d'œil.
< Vous me raconterez vos exploits , hein, et dans le détail ! > nous fait Estelle. Je lui propose de les lire sur le forum. Rires.
< Non, j'attends votre retour. Tout ce que tu ne peux pas révéler sur le forum, tu me le racontes par courriels ! > fait Estelle.
Clémentine précise : < Je m'en occupe personnellement ! > nous rions de bon cœur. Je mets la table dans la véranda. Bien.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs cours, leurs révisions et les épreuves du "Master" qui les attendent.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Il est à peine 13 h30. Nous montons nous changer. Vélo.
Estelle, accroupie devant le miroir, cuisses largement écartées, fait : < Je m'entraîne ! >. Nous en rigolons comme des bossus.
Je m'accroupis derrière elle pour passer ma main entre ses cuisses. Je lui touche le sexe à travers sa culotte. Nous observons.
Clémentine, debout derrière nous, regarde la scène en disant : < Ça commence fort je vois ! >. Estelle se laisse toucher. Rires.
Clémentine ouvre ma braguette pour me sortir le sexe qu'elle agite devant le miroir. Estelle s'écrie : < J'en veux ! >. Rigolade.

Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses jupettes qui lui vont à mi-cuisses. Estelle préfère mettre un short en coton.
Je suis en short, T-shirt. Nous chaussons nos baskets. Dans le petit sac à dos, je mets trois pommes, barres de céréale et eau.
Vérification des vélos. Nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable. Il fait aussi chaud qu'en plein mois de juillet. Joie.
Tout en pédalant contre un léger vent d'Ouest, nous bavardons. Parfois Estelle pose sa main sur la mienne en faisant attention.
Elle est tristounette. Clémentine lui dit : < Tu n'as qu'à traîner un peu avec Gauvin durant ces vacances ! Il fait du vélo ! >...

Nous croisons un monde fou sur la piste cyclable. A croire que tous les habitants de la région se sont donnés rendez-vous ici.
Il serait vain de tenter une exhibe. Même au cabanon de l'écluse. Trop de passage. Ce qui frustre un peu Clémentine. Tant pis.
Nous arrivons au port de plaisance. Là également, c'est comme un jour de marché. Nous fermons nos vélos à cadenas. Balade.
Nous nous offrons nos cônes glacés. Nous flânons sur le quai. Il fait merveilleusement bon. Il faut même chercher de l'ombre.
Discrètement, à chaque fois que les situations le permettent, Estelle me palpe la braguette. Clémentine lui retire la main. Rire.

Cette fois, derrière la capitainerie, c'est moi qui lui palpe le sexe à travers le tissus de son short. J'adore ce réflexe de surprise.
Elle se cambre pour me permettre un bon accès. Et je la pelote de façon vulgaire. Ce qu'elle semble apprécier au delà de tout.
Clémentine que tout cela amuse et excite me palpe à chaque fois la braguette. Tout cela est devenu d'une telle complicité. Joie.
Dans un recoin discret, entre deux fourrés derrière le bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers, je sors ma bite. Dure.
Je l'agite en direction des deux coquines en disant : < Qui qu'en veut ? >. C'est Estelle qui s'accroupit toujours la première...

Tout cela ne dure évidemment que de courts instants. Il faut êtres prudents. Ne pas se faire surprendre. Il y a là des familles.
< J'ai envie de sucer comme une folle ! > me chuchote Estelle que je force à plusieurs reprises de se redresser. C'est excitant.
Clémentine, une main sous sa jupe, debout entre deux bosquets, nous fait : < C'est un avant goût des vacances ! >. Rigolade.
< Emmenez-moi avec vous alors ! > s'écrie Estelle qui sait bien que c'est impossible car elle doit aider à l'entreprise familiale.
Nous sommes tous les trois passablement excités. C'est rare d'atteindre une telle intensité en dehors de la maison. C'est génial.

Nous entrons plusieurs fois dans les toilettes. Celles réservées aux plaisanciers ou les publiques. Il y a tout le temps quelqu'un.
Clémentine nous fait remarquer que la capitaine semble avoir remarqué nos visites répétées. C'est une jeune femme. 30 ans.
Nous avons déjà bavardé avec elle. Tous les ans, c'est un autre responsable. Cette année, c'est elle. Elle nous fait un sourire.
Se douterait-elle de quelque chose ? < Mystère et cônes glacés ! > fait Clémentine. Nous retournons à la supérette. Des cônes.
Je propose aux filles de manger en terrasse pour notre repas du soir, ici, au port et de rentrer de nuit. Nous sommes équipés.

Clémentine suggère qu'il serait préférable de rentrer. Nous ne sommes encore qu'en avril. Les nuits sont fraîches et de saison.
< C'est la sagesse même ! > rajoute Estelle en se serrant contre moi pour pouvoir me palper discrètement la queue bandante.
Il est 18 h30. Nous prenons la route du retour. Nous voilà poussés par ce léger vent qui supprime tout effort. C'est très sympa.
Nous sommes de retour pour 20 h. Morts de faim, nous préparons le repas du soir. Priorité aux crudités. Vider le réfrigérateur.
Estelle s'occupe des moules grillées sur le barbecue électrique. Clémentine prépare la salade d'avocat. Je lave les radis. Super.

Nous mangeons de bon appétit. C'est vrai que la fraîcheur du soir et de la nuit ne permet pas d'apprécier un repas à l'extérieur.
Nous traînons à table. La fatigue commence à se faire ressentir. La vaisselle. Nous rangeons avant de passer au salon. 21 h30.
Nous sommes vautrés dans le canapé. Estelle pose l'épais coussin au sol pour s'y mettre à genoux entre mes jambes écartées.
< Tu as promis ! > me fait elle. Clémentine ouvre ma braguette, me sort le Zob qu'elle agite sous le nez d'Estelle qui le hume.
< Put-Hein, ça schlingue ! > fait elle avant de lécher. Clémentine me décalotte légèrement. Suffisamment pour libérer l'odeur.

Je la regarde récupérer les grumeaux de frome qui macèrent sous la peau de mon prépuce, à la base de mon gland visqueux.
Clémentine me tient le sexe à sa base, entre le pouce et l'index, tout en m'embrassant. J'entends Estelle gémir de bonheur.
Rapidement, je me fais tailler une pipe des familles. La bouche d'Estelle étant comme la chicorée, un trésor de bienfaits. Joie.
Nous restons ainsi un long moment. Clémentine me chuchote : < Balance lui la purée, j'en aurais toute les vacances, moi ! >
Je me redresse. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Un râle de dégustation. Nous restons ainsi. 23 h. Nous montons. Le dodo.

Bonne veille de départ en vacances à toutes les coquines qui ont eu le droit de savourer la bite du mec de leur copine...

Julien - (Dont la bite dégueulasse, visqueuse, gluante et pleine de fromage puant a encore régalé Estelle un peu tristounette) -

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Notre départ pour le Périgord est accompagné de surprises

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des rires étouffés. On me tient par mon érection matinale naturelle.
J'ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > me font les filles en même temps. Je me redresse pour me mettre à quatre pattes. Vite.
J'attrape Estelle par ses cheveux. C'est elle qui me tient fermement par la queue. Je lui mets la main au sexe. Une surprise !
< Non ! Je dois faire pipi ! > s'écrie la coquine. Je lui dis : < Ah tu dois faire pipi ! Viens ! >. Je l'entraîne jusqu'aux toilettes.
Clémentine vient nous rejoindre. Je tiens Estelle par ses cheveux, assise sur la lunette. Elle cache son visage entre ses mains.

J'entends le jet puissant qui vient se briser dans l'eau du fond. < Salaud ! > me fait Estelle. Je lui dis : < Silence et pisse ! >.
Je lui tends deux feuilles de papier toilette. Elle s'en saisit pour se torcher. Très gênée elle s'enfuit en disant : < Je descends ! >
Clémentine et moi, nous nous livrons à nos rituels pisseux. < Là tu as été génial ! > fait elle. Morts de faim, nous descendons.
L'odeur de pain grillé et de café embaume depuis l'escalier. Estelle se précipite dans mes bras. < Tu n'as pas honte ? > dit elle.
Nous rions de bon cœur. Clémentine s'interpose. Nous mangeons de bon appétit. Le petit déjeuner préparé par Estelle souriante.

< Pour une surprise, c'était une surprise ! > me fait Estelle. < A refaire. Visiblement tu apprécies la surprise ! > dit Clémentine.
Il est 7 h45. Le thermomètre extérieur indique 16°. Le soleil règne en maître dans un ciel bleu. Nous traînons à table en parlant.
Estelle nous propose de nous aider à faire le ménage. La vaisselle. Estelle s'occupe du salon. Clémentine monte faire la chambre.
Je range la cuisine. Nous sommes méthodiques, efficaces. Il est 9 h30 lorsque tout est parfaitement propre. Nous nous félicitons.
Nous sommes tous les trois vêtus de short et de T-shirt. Nous descendons au jardin. Il fait chaud. Un matin de juillet le 22 avril.

Je branche le tuyau d'arrosage que je déroule de son support. < Laisse moi faire ! > me fait Estelle en arrosant le potager. Bien.
< Si les beaux jours persistent, je viens arroser tous les soirs en vélo ! > fait Estelle en tenant le jet à la hauteur de son sexe.
Cambrée sur ses jambes fléchies, Estelle tient le tuyau comme un homme le ferait de son sexe. Avec vulgarité. Des clins d'œil.
Soudain, la musique ridicule de mon téléphone. Clémentine le retire de ma poche. Elle décroche. < C'est Juliette ! > me fait elle.
Pendant que Clémentine bavarde je contemple cet étonnant spectacle. Estelle continue son imitation bien vicelarde. La coquine.

Clémentine me tend l'appareil tout en mettant sa main dans la braguette ouverte de mon short. J'ai Juliette à l'appareil. Sympa.
La jeune femme me fait : < Vous avez déjà réservé le taxi pour l'aéroport ? >. Je lui dis que oui. < Alors annulez ! > me dit elle
< C'est moi qui vous y conduit. Je suis là pour 14 h45 ! Ok ? > me propose Juliette avec insistance. Etonné, j'accepte volontiers.
Surtout que Clémentine me fait "oui" de la tête. L'heure est convenue. Tout est réglé. Nous trouvons la proposition excellente.
Estelle termine son arrosage tout en faisant semblant de secouer les dernières gouttes. Comme elle m'a vu faire aux toilettes.

Nous faisons le tour de la propriété. Estelle me tient par le bras gauche. Clémentine me tient par le bras droit. J'annule le taxi.
Il est 10 h30. Nous rentrons. < Je peux avoir un autre souvenir pendant votre absence ? > me demande Estelle en me palpant.
La main dans ma braguette, Estelle me tient la queue. Clémentine lui répond : < Tu as déjà le souvenir de ce matin, salope ! >
Je saisi Estelle par ses cheveux. Je l'entraîne fermement au salon. Je la fais mettre à genoux sur le coussin posé au sol. Silence.
Clémentine me sort la bite qu'elle agite devant le visage d'Estelle. Elle la lui passe sur le visage. Estelle toute contente glousse.

J'observe cet hallucinant spectacle en tenant Clémentine par les hanches. Elle enfonce mon sexe dans la bouche d'Estelle. Joie.
Estelle pompe comme si sa vie en dépendait. En gémissant de bonheur, me tenant par les hanches, elle se régale en me fixant.
Clémentine glisse une main dans son short. Elle observe la super pipe d'Estelle. Elle dit : < Notre petit animal de compagnie ! >
Je tiens Estelle sous le menton et par la nuque. J'alterne un lent mouvement masturbatoire et des moments d'immobilité. Bien.
Je retire ma queue de la bouche d'Estelle pour la faire tomber sur le tapis. Je me mets à genoux. Elle garde la bouche ouverte.

Je me couche avec mon sexe à la hauteur du visage d'Estelle couchée sur le côté. Clémentine est à genoux et se masturbe. Joie.
Rien n'excite davantage ma compagne que de voir mon comportement avec Estelle. Je mets mon sexe dans la bouche d'Estelle.
Je la tiens par les cheveux pour l'obliger à gober tout ce que j'y enfonce. Je lui mets l'autre main entre les cuisses. Je la touche.
Clémentine, avec le visage perlant de sueur, pousse de profonds soupirs. Couchée elle aussi sur le côté, la main dans son short.
Nous nous fixons. Je bouge doucement dans la bouche d'Estelle qui gémit de bonheur. Poussant de petits râles de contentement.

Clémentine, se mordillant la lèvre inférieure, me fixe. Concentrée sur les expressions de mon visage. Je masturbe Estelle. Bien.
Estelle a un orgasme qui secoue tout son corps d'une série de spasmes. Il y a de longs frissons. Ma main est soudain trempée.
Je regarde son short rouge. L'auréole grandissante, le ruissellement sur ses cuisses ne laissent aucun doute. Estelle pisse. Bien.
Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse à son tour. Et je lutte contre le mien. J'ai une bonne idée derrière la tête.
Je retire ma bite. Il y a de longs filaments gluants qui relient mon sexe à la bouche d'Estelle qui a le réflexe de vouloir continuer.

Je me redresse. Clémentine se précipite pour me sucer un peu. Je force Estelle à se redresser, ses cuisses dégoulinantes. Pisse.
Je l'entraîne aux toilettes. Devant le petit lavabo je lui descends le short et la culotte. Avec le gant, je lui lave le croupion. Rires.
Estelle, ravie, étonnée, se laisse faire. Clémentine nous observe amusée. Je rince et j'essuie Estelle. Je dis < Va te changer ! >
Estelle monte à toute vitesse. Clémentine me montre le short et la culotte trempés au sol. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous préparons notre repas. Il faut terminer les pavés de saumon. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement.

Estelle vient nous rejoindre. Short propre et sec. Elle se blottit contre moi en murmurant : < Je t'aime Julien. Tu es génial ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine s'interpose en disant : < Voilà, tu as quelques souvenirs jusqu'à notre retour ! >
Je dis : < Et je te réserve le meilleur tout à l'heure ! >. Les filles me regardent étonnées. Estelle s'occupe des pavés de saumon.
Je fais les haricots verts. Tout va vite. Il est midi. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Toutes nos affaires son prêtes.
Clémentine va au salon. Elle en revient avec le collier canin, la laisse et la pare de menottes. Elle fourre le tout dans sa valise.

Trois coups de sonnette. C'est Juliette. Elégante dans une robe légère, elle nous serre la main. Nous sortons avec nos bagages.
Estelle nous accompagne. Juliette la ramènera chez elle au retour. Je mets les deux valises dans le coffre. Nous nous installons.
J'insiste pour que Clémentine se mette à côté de Juliette sur le siège avant. Je suis assis avec Estelle sur la banquette arrière.
Juliette me lance quelquefois un regard souriant dans le rétroviseur. Ce qui n'échappe pas à Clémentine qui voit toujours tout.
Je saisis Estelle par ses cheveux. J'ouvre ma braguette. Je sors ma queue. Je force Estelle à pomper ma bite encore gluante.

Clémentine, qui se retourne pour découvrir la scène reste comme consternée par mon initiative. Juliette conduit. C'est une pipe.
Parfois, et rapidement, Juliette se retourne pour regarder. Nous arrivons à l'aéroport. J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Un cri.
Juliette a éteint le moteur. Clémentine et elle sont retournées pour regarder Estelle déglutir avec difficulté. Et il y a de la jute.
Juliette me fixe d'un regard intense, vicieux comme rarement. Par en dessous. Un léger sourire. Je force Estelle à se redresser.
Je demande à Estelle : < Raconte à Juliette comme tu aimes le sperme ! >. Gênée, elle tente de se soustraire à mon étreinte.

Je me réajuste. Juliette me murmure : < Ça fait envie ! >. Nous sortons de la voiture garée sur le parking. Je sors les bagages.
Juliette nous accompagne jusqu'aux guichets. Clémentine présente nos billets. Nous suivons la file. Il faut se séparer à l'entrée.
Juliette nous serre la main en nous souhaitant bonne vacances. Elle dit : < Et c'est moi qui revient vous chercher ! J'insiste ! >
Nous lui promettons de la contacter. Estelle, tristounette, essuie une larme. Je lui fais plein de bisous. Elle sent fort le sperme.
Nous voilà sur le tarmac à suivre les autres voyageurs. Un dernier coucou de la main et nous montons la passerelle en métal.

Dans l'avion, malgré son appréhension, Clémentine me fait part de l'intense excitation que lui a procuré mon attitude. Estelle.
< J'aime quant tu te comportes en véritable vicieux, mais ce que tu as fais là, dépasse tout. C'était grandiose ! > me fait elle.
Le voyage se passe évidemment dans les toutes meilleures conditions. Nous arrivons à l'aéroport de Périgueux-Bassillac. 17 h.
Nous arrivons dans le hall d'accueil. Nous découvrons madame Leroy, la propriétaire de notre location. Elle nous a reconnu.
C'est une jeune femme, la quarantaine, plutôt élégante, séduisante. Nous nous serrons la main. Nous nous présentons. Bien.

Dans la voiture nous découvrons un paysage enchanteur. C'est déjà l'été ici. Les arbres sont couverts de feuilles et de fleurs.
Il y a dix kilomètres jusqu'à Chancelade. C'est plus grand que nous l'imaginions. Nous quittons l'agglomération. 3 kilomètres.
La maison est dans une belle propriété. Certainement une ancienne exploitation agricole. Nous découvrons notre appartement.
Lumineux. Deux grandes pièces. Une cuisine moderne et fonctionnelle. Une belle salle de bain. C'est absolument magnifique.
Je règle immédiatement le solde de ce qui reste à payer. Madame Leroy nous laisse. Elle dit : < En cas de soucis je suis là ! >

Nous nous installons. Nous rangeons nos vêtements dans l'armoire. Tout sur des cintres ou soigneusement plié. Les étagères.
Nous allons sur le balcon. La vue est magnifique. Nous restons longuement à admirer ce merveilleux paysage. C'est sublime.
Clémentine se serre contre moi. Elle me chuchote de délicieux secrets. Comme lorsque nous faisons l'amour. Ce soir restau !
Il est presque Dix neuf heures. Nous voilà en jean et en T-shirt. Il y a trois kilomètres jusqu'à Chancelade. Nous avons faim.
Nous trouvons un restaurant. Plateaux de fruits de mer. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de cette journée.

Nous traînons à table. Pour rentrer, nous marchons sur un sentier qui longe la petite route déserte. Il fait nuit. Les grillons.
Clémentine me tient la main. Nous arrivons à l'appartement pour 22 h30. Fatigués, repus mais tellement heureux. Bonheur.
Au lit, je m'occupe du clitoris géant de Clémentine. Il y a la petite ficelle blanche qui pend de son sexe. Je m'amuse avec.
< Arrête ! > me fait Clémentine en s'installant confortablement sur le dos pour me permettre de lui lécher le clitoris. Miam !
C'est le second orgasme de la journée pour Clémentine. Serrés l'un contre l'autre, nous ne tardons pas à plonger. Le dodo...

Bon départ et bonne arrivée à toutes les coquines qui sont en vacances...

Julien - (Dont le comportement vicelard emplit Clémentine d'émotions et de joies indicibles) -

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Nous prenons nos quartiers près de Périgueux

Hier matin, lundi, il est 7 h30 lorsque nous nous réveillons en même temps. Nous nous étirons longuement tout en gémissant.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche. Rire.
Les papouilles. Un peu déstabilisés par le nouvel environnement de notre chambre, nous regardons autour de nous. C'est beau.
Devant le lit il y a l'armoire en pin. Sur la droite il y a une commode en pin. Des tables de nuit en pin. Un lavabo bien pratique.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous allons à la cuisine. Nous avons ramené du pain, oranges et confitures.

Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. La cuisine est lumineuse.
Au dehors, le ciel est principalement bleu. Quelques rares nuages. Le soleil reste maître du jeu. Nous mangeons de bon appétit.
La vaisselle. Nous nous mettons en tenues. Shorts, T-shirts en lycra. Nous descendons l'escalier extérieur. Une entrée séparée.
Nous croisons madame Leroy dans son jardin. < Bonjour ! Alors ? Bien dormis ? > nous fait elle. Nous bavardons un moment.
Madame Leroy est une jeune femme, la quarantaine, divorcée, c'est son jour de repos. Nous apprenons qu'il y a des bicyclettes.

Madame Leroy nous indique le meilleur circuit pour pratiquer notre jogging sans quitter le chemin. Nous voilà à courir en rythme.
Le paysage est magnifique. Il fait doux et déjà presque chaud. Il faut anticiper afin de ne pas être obligé de nous arrêter. Super.
Nous sommes de retour pour 9 h45 après un running des plus agréables et plein de surprises. La campagne est magnifique. Joie.
La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte une jupe légère, en coton beige. Un T-shirt à manches longues. Souliers légers.
Nous découvrons la seconde chambre du côté mansardé. Une table, quatre chaises, un buffet, le tout en pin. Et il y a un canapé.

Comme convenu, Clémentine consacre une heure à ses révisions. Cette heure est évidemment extensible en fonction du travail.
Moi, assis en face d'elle, j'écris la première partie de ce récit que je mettrais en ligne demain matin, comme je fais à la maison.
La Wifi fonctionne à la perfection. Toutes les connexions sont parfaites et rapides. Les avantages de la fibre. Dehors, le silence.
La maison est située en pleine campagne. Nous pouvons découvrir les toits des premières maisons de Chancelade, tout là-bas.
Il est environ 11 h. Madame Leroy qui va sur Périgueux, nous à proposé ce matin de nous y emmener pour 11 h15. C'est bien.

Nous descendons. Nous prenons place dans la voiture de la dame. Il y quelques kilomètres et nous voilà à Périgueux. Sympa.
Nous la remercions. Clémentine découvre une ville magnifique. Son côté médiéval préservé. Ses maisons et rues de caractère.
Il est 11 h45. Nous récupérons notre voiture de location à l'agence. Comme toujours, c'est une Golf noire. Peu de kilomètres.
Nous avons faim. Je propose à Clémentine de nous trouver un bon restaurant et en plein centre de la ville. Il y a des touristes.
Nous nous perdons dans les ruelles. Nous jetons notre dévolu sur "Le Grain de Sel", restaurant typique. Superbe endroit. Bien.

Nous prenons place à une table retirée. La décoration est superbe. Des murs de pierres taillées. Une salle aérée et lumineuse.
Nous découvrons la Carte. Notre choix se porte sur des produits de la mer. Le personnel est au petit soin. Un accueil parfait.
Morts de faim nous savourons un repas savoureux. Il y a d'autres couples. C'est un de ces moments rares et sublimes. Délice.
Nous traînons à table. Nous sommes en vacances. Clémentine a déjà révisé. La conscience tranquille. Nous allons en profiter.
Il est presque 14 h lorsque nous remontons la rue des Farges. Nous passons devant la maison des Dames de la Foi. Superbe.

Nous flânons. Nous ferons les courses au supermarché en fin d'après-midi. Je connais bien la ville pour y être déjà venu 2 fois.
Clémentine n'a pas assez de ses yeux pour découvrir les maisons anciennes dont certaines, à colombages, sont centenaires.
Je raconte à Clémentine que c'est du Périgord que j'ai ramené la recette de la tarte aux noix. Périgueux, capitale Périgourdine.
C'est le pays de Jacquou le Croquant, le personnage épique créé par Eugène Le Roy dont il situe les aventures en forêt Barde.
Clémentine écoute mes explications. Souvent, se serrant contre moi, elle me tripote la braguette. Je suis en jean et en T-shirt.

Parfois, discrètement, j'entraîne Clémentine sous une porte cochère, à l'entrée d'une arrière cour, ma main sous sa jupe. Joie.
< C'est le dernier jour de mes "petits machins" de fille ! > me fait elle lorsque je donne quelques à coup sur la ficelle qui pend.
J'aime sentir la turgescence de son clitoris géant sous mes doigts lorsque je fouille dans l'imposante touffe broussailleuse. Drue.
Nous remontons la rue Aubergerie. Nous passons devant les hôtels de Sallegourde, de Absac-de-Ladouze. Les tours défensives.
J'entraîne Clémentine dans la très fréquentée rue Limogeanne. Il y a là de nombreux commerces. Nous visitons quelques uns.

Clémentine est enchantée, ravie, elle me dit : < C'est super. En plus il n'y a pas encore ces grosses chaleurs insupportables ! >
Tout comme moi, Clémentine déteste les fortes chaleurs. Nous apprécions donc de flâner longuement dans le dédales des rues.
Discrets, nous nous touchons souvent. Le cadre, l'enchantement, l'ambiance, tout cela participe de notre excitation grandissante.
Nous remontons la rue Saint-Front, l'artère la plus bruyante et passagère de la ville. Nous admirons une curieuse bâtisse là-bas.
C'est la loge des Francs-Maçons. Puis c'est la rue Notre Dame. Nous revenons dans la rue Eguillerie avec sa maison du pâtissier.

Nous traînons dans la vieille ville. Clémentine est tellement contente. Elle fait : < On revient tous les jours, c'est trop bien ! >
Je suis heureux de lui faire découvrir cette ville et bientôt un peu de sa région. Je sais que ces vacances seront une réussite.
Nous nous offrons des cônes glacés. Assis sur un banc provisoire, sur la place du Marché-Au-Bois, nous dégustons en mâtant.
J'explique à Clémentine qu'il y quelques marchés à Périgueux où nous pourrons acheter des crudités de grande qualité. "Bio".
Pour le reste, nous irons tout à l'heure au Centre Leclerc. Je lui dis : < Défendu de s'offrir un "plan" exhibe le premier jour ! >

Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Le plus tôt sera le mieux ! Et dès demain ! Il est défendu d'interdire ! >
Il est rapidement 18 h. Nous retournons à la voiture pour prendre la direction du Musée de l'Archéologie, vers le supermarché.
Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. Je pousse le caddie. Nous déambulons en découvrant un nouveau magasin.
< Comme de vrais "blaireaux", on se prend nos repaires ! > me fait Clémentine en agitant un produit de la "Marque Repaire".
Nous rions de bon cœur. Comme chez nous, Clémentine nous entraîne au rayon des bouquins puis au rayon des vêtements.

Nous traînons là jusqu'à la fermeture. Les fromages, poissons, beurre, yaourts et crèmes. Il est 19 h. Nous passons en caisse.
Comme nous ne voulons prendre aucun risques nous préférons rentrer pour mettre les produits aux réfrigérateur. 3 kilomètres.
Je propose à Clémentine de retourner à Périgueux pour une soirée restaurant. < Mais on a tout ce qu'il faut ! > répond t-elle.
Je n'insiste pas. Il est presque 20 h. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare les haricots verts.
Je fais revenir des pavés de saumon dans une poêle. J'ouvre les fenêtres de la cuisine en grand. C'est une douce soirée. Super.

Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le bilan de cette première journée de découverte. La vaisselle. Nous rangeons.
Nous nous mettons en jeans et en sweats pour affronter les éventuels fraîcheurs de la nuit tombante. Nous sortons. Douceur.
Clémentine me tient par la main. Nous arrivons dans le village. Nous allons flâner du côté de l'Abbaye, une bâtisse du XIIème.
< Il faut revenir quand il fait jour ! > me fait Clémentine aussi avide de découvertes que moi. Nous décidons de rentrer. Nuit.
Il est 22 h lorsque nous sommes de retour dans notre appartement. Les toilettes. La salle de bain. Nous prenons notre temps.

Clémentine m'entraîne sur le lit. < Il faut qu'on s'essaie le canapé aussi ! > me fait elle. Nous en rions de bon cœur. Caresses.
Nous sommes en slips, vêtus de nos longs T-shirts de nuit. Je caresse le clitoris géant de Clémentine. Il est dur. C'est superbe.
< Je veux te faire une super pipe ! > me fais Clémentine en posant sa tête sur mon ventre. Elle me sort la bite. Je bande mou.
Je la laisse humer les parfums de ma journée d'homme. L'indicible caresse me procure rapidement les plus vertigineux émois.
Nous sommes fatigués. Je saisi Clémentine par ses cheveux pour l'entraîner contre moi. < Demain ! > que je lui dis. Le dodo.

Bonnes découvertes Périgourdines à toutes les coquines qui aiment à flâner dans les rues en tripotant la bite de leur mec...

Julien - (Qui se promet d'offrir d'étonnantes surprises à Clémentine pour ses premières vraies vacances de l'année) -

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Nous prenons nos aises dans notre location du Périgord

Hier matin, mardi, je suis réveillé par un léger froissement des draps. C'est un froissement continu. Je fais semblant de dormir.
Pas l'ombre d'un doute. Une fois encore je surprends Clémentine en pleine masturbation. Et son infaillible sixième sens l'avertit.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me fait-elle comme pour s'excuser en se blottissant contre moi. Nous rigolons comme des bossus.
< Bonjour ma belle masturbatrice ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. < Finie la ficelle ! > dit elle.
Nous nous précipitons aux toilettes avant de nous rendre à la cuisine. Il est 7 h30. Dehors le ciel est parfaitement bleu. Le soleil.

Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans la délicieuse odeur de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte son rêve érotique. Il y est question d'exhibe, de vélo.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle situe la scène de son rêve à proximité de l'abbaye devant laquelle nous avons marché hier.
Je dis : < Je te promets d'y faire un tour à bicyclette puisque madame Leroy met les siens à notre disposition quand on veut ! >
La vaisselle. Nous mettons nos tenues de jogging. Nous descendons par l'escalier extérieur. Direction la "boucle de Beauronne".

Nous passons en courant devant l'Abbaye. Nous ne pouvons nous empêcher de rire même pendant la course. Il fait déjà doux.
Nous avons étudié l'itinéraire que nous nous promettons de parcourir très prochainement. La "boucle de l'Abbaye" également.
Il est 9 h15 lorsque nous revenons à l'appartement. La douche et nous nous habillons légèrement. Clémentine a ses révisions.
Nous passons dans la pièce mansardée. J'ouvre la fenêtre. Nous voilà assis devant nos deux ordinateurs. J'écris ce récit. Bien.
Nous travaillons jusqu'aux environs de 11 h. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran de son ordinateur. Un graphique.

Je porte un short beige, un T-shirt blanc. Le petit sac à dos contenant nos papiers. Clémentine est en jupe beige, T-shirt blanc.
Chaussée de chaussures légères de style "Convers". Nous voilà en marche vers l'abbaye. 15 minutes. Nous arrivons à l'endroit.
Il y a plein de voitures garées sur le parking. De jour, ce sont de grands bâtiments clairs de pierres blanches. Ecrin de verdure.
Nous nous promenons dans de vastes jardins entourés de cyprès. C'est un dédale avec quantité de coins et de recoins. Super.
Il y a ce curieux silence. La vaste bâtisse aux beaux toits de tuiles rouges est lumineuse sous le soleil. Un lieu calme, apaisant.

Clémentine m'entraîne soudain derrière un muret de pierres blanches. Elle m'ouvre la braguette. Accroupie, elle sort mon sexe.
< Mes "petits machins" de fille sont terminés. Tu me prends quand tu veux ! > me fait elle avant de me tailler une pipe. Bien !
Il est extrêmement rare que ma compagne m'invite à la "prendre". Nous qui préférons tous deux les rapports génitaux buccaux.
Il faut cesser car il y a là un groupe de visiteurs. Des séniors qui prennent des photos des jardins. Je remballe à toute vitesse.
Clémentine me prend la main pour continuer notre visite. Elle sort les deux pommes du petit sac à dos que je porte. Il est 12 h.

La faim commence à se faire sentir, aussi, ces pommes arrivent à propos. Ces magnifiques jardins se déclinent sur 4 hectares.
Un espace remarquable de sobriété. Nous visitons les bâtiments conventuels. Clémentine, discrètement me palpe la braguette.
Et tout aussi discrètement, je passe ma main sous sa jupe. Malgré la culotte, je palpe son entre jambes. Nous sommes excités.
Il y a des visiteurs. Il faut donc redoubler de vigilance. Surtout qu'il y a même un tout petit groupe de nonnes et d'ecclésiastes.
Nous découvrons le magnifique cellier dont la voûte étonnante fait l'objet de nombreuses photos des gens présents avec nous.

< J'ai envie de faire ma salope ! Si tu savais ! > me chuchote Clémentine. Nos hautes tailles attirent quelques habituels regards.
Nous découvrons les immenses écuries. < Ça plairait à Juliette ! > me glisse Clémentine durant la visite. Il y a un guide là-bas.
Nous nous joignons au groupe de visiteurs pour écouter les explications. Clémentine prend quelques clichés. L'endroit est beau.
Nous visitons la boulangerie et son moulin fortifié. Clémentine, excitée comme une puce, se saisit de mon poignet. Je la touche.
Malgré les quelques visiteurs qui sont là, avec sa discrétion virtuose, ma compagne me maintient le bras. Nous sommes repérés.

Deux messieurs, des séniors, sans doute anglo-saxons, car il y a une communauté anglaise et hollandaise assez nombreuse ici.
L'un d'entre eux regarde à plusieurs reprises et avec insistance. Nous restons à l'écart. Et finis les pelotages intempestifs. Rires.
Nous terminons par la visite des divers ateliers de toutes sortes. Nous entrons dans l'église. La toute petite chapelle Saint Jean.
C'est une chapelle discrète et au milieu de ce vaste ensemble. Au dehors, nous découvrons le départ du GR 36-646, le sentier.
Morts de faim, nous prenons le chemin du retour. Nous sommes de retour pour 13 h30. Il fait beau. Il fait chaud. Fantastique...

Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je m'occupe des haricots verts et des filets de lieu noir. Méthode.
Tout va très vite. Nous mangeons de bon appétit. Cet après-midi, nous retournons flâner à Périgueux. Clémentine en a le désir.
La vaisselle. Nous nous tripotons tout le temps. Nous luttons contre l'envie de nous offrir du plaisir. Nous voulons profiter. Joie.
Il est 14 h30. Nous voilà en voiture. Je roule doucement sur la départementale D939. Il y a sept petits kilomètres. Il fait beau.
Clémentine joue avec mon sexe qu'elle suce quelquefois. Je passe parfois ma main sous sa jupe, dans sa culotte. C'est touffu.

Je gare la voiture aux abords de la ville. Clémentine retire très vite sa culotte qu'elle met dans le petit sac à dos que je porte.
Nous voilà à marcher vers le centre. La même impression de calme et de sérénité que hier. Ici, les gens ont le sourire. Bien.
Il faut remarquer l'accueil chaleureux qui nous est fait partout. Les périgourdins sont d'une gentillesse légendaire. C'est super.
Nous prenons la rue Barbecane. Port-De-Gaulle. Puis c'est l'avenue Daumesnil. Nous continuons jusqu'au Quai de l'Isle. Beau.
L'endroit est bordé de petits sentiers. Clémentine, discrète, ne cesse de me toucher. Souvent, moi aussi, je la touche. Sympa.

Nous sommes rarement tendus par une excitation qui devient presque un tourment. Nous nous embrassons souvent. Sublime.
Il y a cette curieuse petite construction là-bas. Est-ce un vieux moulin ? Je consulte notre brochure. C'est une "Loge de Quai".
Une petite construction qui servait à abriter les fonctionnaires du quai chargés de contrôler le flux des marchandises. Superbe.
Nous nous dirigeons vers les restes du Château Barrière. Clémentine me fait soudain : < Un "plan" ! >. Il y a là-bas un type.
C'est un jeune homme, solitaire, qui se promène en poussant sa bicyclette. Je reste à l'écart derrière d'épais fourrés. Discret.

Clémentine se poste entre deux bosquets. Elle regarde partout autour d'elle. Le mec n'est plus qu'à une trentaine de mètres.
Elle s'accroupit. Cuisses largement écartées. Je la vois de dos. Je suis planqué. L'inconnu arrive, nonchalant et en promenade.
Il découvre le spectacle. Il est en contre bas. Il s'arrête. Je me mets à la place du bienheureux qui tombe sur ce superbe show.
Je suis à une vingtaine de mètres. Le type reste debout. Il a son vélo à la main. Il regarde dans toutes les directions. Personne.
Clémentine, les cheveux détachés pour la circonstance, cachant son visage baissé, porte ses larges lunettes de soleil. Silence.

J'ai beau assister à cette situation de nombreuses fois, je suis toujours très étonné, admiratif devant le culot de ma compagne.
Elle reste immobile. Le jeune homme semble terriblement gêné. Ne sachant quoi dire. Il est à une dizaine de mètres de la fille.
Clémentine relève la tête. L'inconnu lui fait un sourire en levant le pouce de sa main libre. Clémentine fait de même. Le silence.
Je bande comme le dernier des salauds. C'est fabuleux. Le jeune homme s'exprime enfin. < Bonjour ! En balade ? > lance t-il.
< Je découvre ! > répond Clémentine sans bouger. < Touriste ? > demande le grand garçon qui doit avoir 25 ans au maximum.

Une conversation s'engage. Le jeune homme propose de faire le "guide" à la jeune fille qui décline l'offre à plusieurs reprises.
Il n'insiste pas. L'inconfort de la situation ne le perturbe pas trop. Il reste très maître de ses émotions et ne tente rien. Sympa.
Les jambes ankylosées, n'ayant plus d'autres choix, Clémentine se redresse enfin. Avec sa main sous sa jupe tout en bavardant.
Elle se touche. Cambrée sur ses jambes, les genoux fléchis, Clémentine se masturbe doucement en discutant avec cet inconnu.
J'ai sorti mon sexe. Je me masturbe doucement. J'observe cet étonnant spectacle. Le jeune homme tente à présent la drague.

Clémentine, que cela indispose rapidement, met un terme à la conversation. Elle tourne les talons pour venir vers ma planque.
Le garçon n'insiste pas. Il salue poliment la belle exhibitionniste et continue son chemin le long de la rivière. Tout est terminé.
Clémentine se blottit dans mes bras. < Merci Julien ! Je me suis encore dépassée ! > me fait elle. Je touche son sexe. Trempé !
Nous continuons notre balade. Nous flânons au hasard des ruelles pittoresques. Nous passons tout à proximité de la cathédrale.
C'est un des beaux témoignages de l'art Roman-Byzantin. Nous la visitons. Plein de gens. Clémentine prend quantité de photos.

Après cette visite dans l'agréable fraîcheur du lieu, nous allons nous détendre dans la verdure du jardin Thouin. Il y a des gens.
Au carrefour de la Place Hoche et du cours Fénélon, il y a un espace culturel. Cela mérite le détour. Ne serait-ce que les jardins.
Aucune réelle opportunité d'exhibe pour Clémentine. Il y a beaucoup trop de monde. Nous traînons jusqu'aux alentours de 19 h.
Clémentine préfère rentrer plutôt que de manger au restaurant. Il est 20 h. Dans la voiture Clémentine se touche et me raconte.
Elle me fait part des émotions et des sensations vécues devant le jeune homme qui lui proposait d'être son "guide touristique".

Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je fais réchauffer les restes de midi avec une belle omelette. Bien.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. La vaisselle. Il est 21 h30. Nous sortons pour nous balader dans la nuit.
Nous n'arrêtons pas de nous tripoter. Je branle Clémentine. Je lui mets rarement le doigt, elle n'aime pas trop. Mais là, ce soir !
Il est 22 h30 lorsque nous sommes de retour. Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Clémentine m'attire sur elle après un "69".
Immobile, elle me confie ses secrets. Je donne dans la surenchère en lui suggérant de sucer un inconnu. Cunni. Pipe et dodo...

Bonne découverte de la ville et de ses environs à toutes les coquines aimant s'exhiber discrètement devant des inconnus...

Julien - (Qui a bandé une grande partie de l'après-midi, du soir, avant de faire l'amour à Clémentine excitée comme une puce) -

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Il est très agréable de se promener dans la douceur printanière

Hier matin, mercredi, je suis le premier à me réveiller. Sans bouger, je regarde Clémentine dormir dans un léger ronflement.
Le spectacle est hélas de courte durée car le sixième sens de ma compagne l'avertit immédiatement. Elle ouvre les yeux. Joie.
Je la regarde s'étirer. Dans un cri elle me fait : < Bonjour Julien ! >. Je la serre contre moi pour lui faire plein de bisous. Bien.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Il est 7 h30. Douceur. Les papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous allons à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café.

Nous prenons notre petit déjeuner dans une agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit. Il fait beau. Soleil.
Nous faisons le bilan de notre journée d'hier en faisant le programme de celle d'aujourd'hui. Une journée de randonnée. Joie.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous nous mettons en tenues de jogging. Il est 8 h lorsque nous prenons notre rythme.
C'est le même circuit que celui de hier. Un réel enchantement. Nous courons dans une campagne de toute beauté. C'est super.
Il est 9 h15 lorsque nous revenons à l'appartement. La douche. Priorité est donnée aux révisions. Clémentine s'y applique. Bien.

Nous sommes assis dans la chambre mansardée. devant nos ordinateurs. J'écris ces lignes, Clémentine revoit tous ses cours.
Il est 11 h < Stop ! > s'écrie Clémentine. Elle est vêtue de sa jupe beige, légère et en coton. Un T-shirt beige. Ses converses.
Je suis en short beige, T-shirt gris et baskets. Le petit sac à dos est prêt, contenant nos pommes, barres de céréale et K-ways.
Clémentine prépare une salade de carottes et son assaisonnement. Je prépare des sandwichs au thon. Deux avocats. La flotte.
Nous voilà prêts. Pour gagner du temps, nous prenons l'auto pour nous rendre à proximité de la chapelle Saint-Jean, l'Abbaye.

C'est le départ de plusieurs itinéraires de balades. Le fameux sentier de grande randonnée, GR36-646 commence ici en ce lieu.
Il y a quelques marcheurs qui s'apprêtent à partir. Il y a pas mal de voitures garées sur le parking. L'endroit est très fréquenté.
Les touristes, en cette période de l'année, sont encore principalement des séniors. Des retraités actifs, le plus souvent sportifs.
Dans la voiture, sur les trois petits kilomètres, Clémentine m'a sorti le sexe pour jouer avec. C'est son "doudou", une habitude.
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle me demande de garder discrètement ma braguette ouverte. Tirette baissée vers le bas...

Il fait beau, agréablement chaud, le ciel est bleu. La journée promet d'être magnifique. Clémentine retire sa culotte en vitesse.
Je la fourre dans le sac à dos que je mets en ajustant les bretelles. Nous étudions les parcours proposés sur le grand panneau.
Notre choix se porte sur le chemin qui mène au Prieuré de Merlande. Le prieuré est distant de 8 km. Nous voilà en route. Joie.
Il y a deux mois, lorsque l'office de tourisme de Périgueux m'a envoyé les brochures, j'ai été prévenu d'une mise à jour. Super.
Nous passerons chercher les documents réactualisés en soirée ou demain. L'occasion pour Clémentine de retrouver Périgueux.

Nous marchons sur un étroit chemin qui ne tarde pas à devenir un agréable sentier. Clémentine me tient la main. Bavardages.
Elle me fait part de son ressenti. Périgueux exerce ses charmes sur ma compagne qui apprécie la région sans grosses chaleurs.
< Ce serait irrespirable. Sous la canicule, ce serait l'horreur ! > me fait elle à plusieurs reprises. Elle me palpe souvent le sexe.
Combien de fois nous arrêtons nous pour nous serrer fort. < Je t'aime Julien. Je suis si heureuse avec toi ! > me chuchote t-elle.
< Je découvre toutes ces régions grâce à toi. Ce sont mes cinquième vacances loin de chez nous ! > rajoute t-elle en souriant.

Nous marchons le long d'un sentier magnifique. C'est une excursion superbe à travers le bois de Chancelade. La nature si belle.
Nous croisons quelquefois des marcheurs. Nous nous saluons poliment. Nous manquons souvent de nous faire surprendre. Rire.
Clémentine s'arrête parfois pour me sortir la queue pour l'agiter en riant. Je lui passe souvent la main sous la jupe. La caresse.
Tout cela nous maintient dans l'état d'excitation où nous aimons évoluer durant nos découvertes et nos expéditions. C'est super.
Nous passons par des endroits réellement magiques. Par des trouées la vue sur la vallée de la Beauronne est de toute beauté.

La faim commence à se faire sentir. Insidieuse et de plus en plus persistante. Nous avisons un sentier qui part sur notre gauche.
Il y a quelques amusantes cabanes installées dans les arbres. Il y a là une aire de repos. Deux tables entourées de bancs. Bien.
L'endroit idéal pour prendre notre repas. Je mets des feuilles de papier sopalin. J'y dépose nos sandwichs. La bouteille d'eau. Joie.
Clémentine ouvre le Tupperware qui contient la salade de carotte. Nous mangeons de bon appétit. Pas de mouches à nous gêner.
Les avocats sont à point. Délicieusement mûrs. Des voix. Ce sont deux couples de randonneurs qui s'installent à la table d'à côté.

Ce sont de jeunes retraités. Il sont assis à une quinzaine de mètres. L'un des deux messieurs évoque un colonel des Indes. Rire.
Clémentine fait : < Sort ton téléphone. Garde le éteint. Pose le sur la table. Comme un rétroviseur. Tu vas voir du spectacle ! >
Je dispose mon téléphone afin de pouvoir regarder l'écran noir. Je vois très bien ce qui se passe derrière moi. Je vois le "colonel".
Clémentine me raconte ce qu'elle fait de ses jambes sous la table. En exagérant les croisements et décroisements. Bien vicieuse.
Je vois le retraité qui mâte discrètement tout en discutant avec ses compagnons de randonnée. Il est le seul à avoir découvert.

Clémentine, sa main gauche sous la table, se touche. Elle relate chacun de ses gestes. Je mâte l'écran de mon téléphone. Parfait.
L'homme observe avec ruse et discrétion. < Fais attention ! Je vais pisser ! > me fait Clémentine. Je me déplace très légèrement.
Je regarde le type dans mon "rétroviseur". < Put-Hein, c'est bon ! > fait Clémentine. j'entends le jet tomber au sol sous la table.
Ma compagne, comme toujours dans ses situations d'exhibe, a dénoué ses cheveux et porte ses larges lunettes noires de soleil.
Je peux même me servir du verre de ses lunettes comme d'un rétroviseur. Je dis : < Ne bouge pas la tête, je vois super bien ! >

Les gens discutent avec animation et en riant souvent. A part le "colonel des Indes" aucun d'entre eux ne s'en est rendu compte.
Le type se lève. Il se dirige derrière le cabanon au fond de la clairière, là-bas, à une vingtaine de mètres. Un besoin naturel. Pipi.
Clémentine me fait : < Attends, je vais lui donner le coup de grâce ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine se lève à son tour.
Elle se dirige de l'autre côté pour disparaître derrière le cabanon. A la table à côté personne ne semble s'être rendu compte. Bien.
Cinq bonnes minutes. Clémentine revient la première. Elle me raconte ce qui s'est passé. Le type, la bite à l'air, pissant, parlant.

< Tu aurais vu sa bite ! Incroyable ! Au moins vingt cinq centimètres qu'il agitait vers moi tout en pissant, le salaud ! > dit elle.
Elle continue : < Nous avons bavardé. Il s'est présenté. Ils sont de Nantes et visitent la région. Il m'a proposé une pipe ! >Rire.
Les deux couples rangent leurs affaires. Ils nous saluent de la main pour retourner sur le sentier. Nous faisons de même. Super.
< Il m'a bien allumé ce salaud avec sa super queue ! > me fait Clémentine lorsque nous marchons. Nous en rions de bon cœur.
Je lui dis : < Tu aurais du le sucer un peu ! >. Il y a toujours un petit moment de silence lorsque j'expose mon vieux fantasme.

< Un jour, je vais te prendre au mot. Tu auras une drôle de surprise ! > me fait elle soudain, et à mon plus grand étonnement.
Plus bas, il y a un embranchement. La direction de la chapelle Conaguet que nous prenons. C'est une superbe promenade. Joie.
Soudain, au détour du sentier, il y a une bâtisse. Nous lisons le panneau. C'est une congrégation de moines qui s'est installée là.
Le prieuré ne se visite pas. Dommage car l'endroit est charmant et suscite la curiosité. Nous en faisons le tour. Quelques photos.
Nous prenons le sentier qui fait une boucle en direction de Périgueux. Il est 18 h30 lorsque nous revenons à la voiture à l'ombre.

< Je suis trempée. Il faut que je remette ma culotte ! > fait Clémentine que j'ai touché presque sans arrêt le long du chemin.
Nous avons emmené des vêtements de change. Je porte un jean et un T-shirt blanc. Clémentine porte une de ses jupes en lin.
Dans la voiture, ma compagne a sa main droite sous sa jupe et me tient la bite de sa main gauche. Je roule doucement. Bien.
Nous arrivons à Périgueux. Il est 19 h15. Je gare la voiture au même endroit que hier. Nous avons une faim de loups affamés.
Il fait doux. Nous sommes loin des chaleurs de l'été. Ce qui nous rend l'atmosphère respirable et des plus agréables. Flâneries.

Nous passons devant l'Espace Tourisme Périgord bien évidemment déjà fermé. La rue du Président Wilson semble très animée.
Nous nous promettons de venir y récupérer les documents touristiques actuels. Nous voilà en quête d'un bon restaurant. Faim.
C'est dans le dédale des ruelles avoisinant la place du Coderc que nous découvrons un restaurant à la carte bien accueillante.
Un endroit typique. Il y a quelques couples assis dans une salle décorée avec goût. Nous prenons place. L'endroit paraît serein.
La carte propose des plateaux de fruits de mer qui font notre régal. Nous traînons à table. Nous avons tout notre temps. Bien.

Nous flânons encore un peu dans les rues. Nous nous promettons de revenir pour y découvrir les marchés, Place du Bugeaud.
Il est 23 h lorsque nous sommes de retour à l'appartement. Toilettes. Salle de bain. Le lit. Nous nous offrons un superbe "69".
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons sans bouger. Nous aimons ça.
Clémentine me chuchote alors les plus étonnantes révélations. De sucer la bite d'un inconnu devient doucement un fantasme.
< C'est à cause de toi qui m'en parle tout le temps ! > dit elle. Un fantasme commun fait enfin son apparition. Hi hi. Le dodo.

Bonne randonnée à toutes les coquines qui profitent de la moindre opportunité pour créer des situations excitantes...

Julien (En vrai salaud, à force d'évoquer la pipe à un inconnu, induit doucement ce fantasme dans la psyché de Clémentine) -

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Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 405 -



Ces vacances en Périgord sont un véritable enchantement

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Nous nous étirons longuement tout en gémissant. Un cri.
C'est un cri que nous poussons en même temps. < Bonjour ! >. Cela nous amuse beaucoup. Nous nous serrons très fort. Joie.
Clémentine me chevauche en riant juste avant de m'entraîner aux toilettes. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de la journée de hier. Nous faisons le programme de celle d'aujourd'hui.

La vaisselle. Nous nous mettons en tenues de jogging. Il est 8 h. Il fait beau. Nous voilà à courir dans une douceur agréable.
Nous faisons ce parcours devenu habituel. Nous passons devant l'Abbaye en nous promettant d'y revenir. Tellement sereine.
Il est 9 h15 lorsque tous terminons notre boucle. La douche. Nous nous habillons pour passer dans la chambre mansardée.
Nous sommes assis devant nos ordinateurs. Clémentine se livre à ses révisions. Je découvre les courriels d'Estelle et Juliette.
Estelle nous informe être venue deux fois pour arroser le potager. Elle a passé la soirée de mercredi avec Gauvin. Je réponds.

Juliette nous apprend qu'il ne reste plus qu'une quinzaine de chevaux au haras. Ce qui lui laisse beaucoup plus temps de libre.
Je lis ces messages à haute voix afin que Clémentine puisse en prendre connaissance. Elle écoute distraitement et concentrée.
Je réponds en joignant deux photos réduites en pièces jointes. Une photo prise à Périgueux. Une autre prise hier en randonnée.
Puis j'écris la première partie du récit que le lecteur découvre aujourd'hui. Il est rapidement 10 h45. < Stop ! > dit Clémentine.
Elle est vêtue de la même jupe que hier. Beige, de coton léger. Un T-shirt noir. Ses chaussures de style "Converse". Détente.

Je porte mon short beige, un T-shirt noir et des baskets. Dans le petit sac à dos, deux pommes, des barres de céréales. De l'eau.
Comme hier, Clémentine prépare une salade de carottes avec du radis blanc. Je prépare des sandwichs aux fromages. Roquefort.
Nous voilà prêts. Il est déjà 11 h15 lorsque nous prenons la direction de Bergerac, le pays des Bastides. Il y a 50 km par la N21.
Clémentine joue avec mon sexe. Je roule avec prudence. Nous bavardons. Elle me parle de notre aventure de hier. Petite exhibe.
La bite du "Colonel des Indes". Ce sexe d'au moins 25 cm et sans bander. Nous rions de bon cœur de son étonnante découverte.

La campagne autour de nous est de toute beauté et la région est riche de cultures diverses. C'est le fameux pays des Bastides.
Ce sont de petites villes construites au moyen-âge. Il en subsiste de très nombreux vestiges. Il y a l'embarras du choix. Visites.
C'est le pays des mille et un châteaux. Privés pour la plupart. Ils ne se visitent pas. Nous arrivons à Bergerac. Ville charmante.
Les murs des maisons paraissent encore plus blancs sous la lumière d'un soleil généreux. Je gare la voiture à l'entrée de la ville.
Il est 12 h et nous commençons à avoir faim. Nous nous installons sur un banc devant une fontaine. C'est une petite place vide.

Nous savourons notre repas. Nous mangeons directement la délicieuse salade dans le Tupperware avec nos fourchettes. Sympa.
Les sandwichs au Comté et au Roquefort sont un régal. Nous nous prenons en photo sur mode automatique. Sourires. Grimaces.
Avec le cadre enchanteur qui nous entoure, ce seront autant de souvenirs. Nous voilà à flâner dans les rues du centre de la ville.
Bergerac est une ville animée. Nous prenons le sentier qui fait le tour d'une partie de la ville. Une boucle de quelques kilomètres.
Les Anglais, très présents dans la région, participent à l'entretien de ce formidable et étonnant patrimoine. De belles découvertes.

Clémentine me tient par la main. Nous croisons des marcheurs, des promeneurs. Il faut être vigilants car nous nous tripotons.
J'ai la braguette discrètement ouverte. Clémentine y fourre souvent sa main pour en extraire mon Zob qu'elle agite en rigolant.
J'ai souvent ma main sous sa jupe. Sa culotte étant dans le petit sac à dos que je porte. Tout cela nous excite évidement bien.
Nous revenons à la voiture. Il fait chaud. Nous franchissons la rivière Dordogne pour gagner le charmant petit village de Couze.
Couze étant la rivière qui coule en contrebas. Je roule avec la bite à l'air. J'invite Clémentine à prendre des photos du paysage.

Nous nous arrêtons souvent pour prendre quantité de clichés. Les Bastides sont construites selon une géométrie très rigoureuse.
Les églises sont souvent fortifiées. Elles servaient de refuge lors des invasions ou des batailles. Nous en visitons quelques unes.
Sur une partie d'un chemin où nous marchons pour retourner à la voiture, il y a un groupe de randonneurs. Une dizaine de gens.
Ce sont des marcheurs disséminés sur une aire de repos. < Il y a un "plan" ! > me fait Clémentine qui m'invite à rester discret.
Je reste en retrait. Je contourne la clairière en restant à l'abri des regards éventuels. Je regarde Clémentine descendre le sentier.

Cette jeune fille en jupe, ici, attire le regard de quelques messieurs porteurs de sac à dos. Une vision insolite qui éveille la libido.
Surtout que Clémentine s'arrête en contrebas pour lire le panneau explicatif. Un type, plus téméraire et entreprenant arrive vite.
De ma planque, je le vois engager la conversation. Les autres randonneurs sont à une centaine de mètres à se regrouper. Départ.
Le type semble loquace. Clémentine qui a le désir de s'offrir des "frissons" partout où c'est possible, se touche à travers sa jupe.
Tout cela n'est toujours possible que parce que ma compagne sait que je sécurise la situation par ma présence secrète, discrète.

Le type se retourne souvent pour regarder le groupe dont il fait partie et qui visiblement s'apprête à reprendre la randonnée.
Il se touche la braguette. Clémentine, discrète, a sa main droite sous sa jupe, entre ses cuisses. Je bande comme un salaud.
Le randonneur certainement aussi. Je le vois sortir un carnet et un stylo d'une des nombreuses poches de son short kaki. Vite.
Il griffonne certainement ses coordonnées. Il arrache la feuille de papier pour la tendre à la jeune fille. Une dame qui arrive.
C'est certainement la femme du quidam. Le couple sen va. Le type salue Clémentine qui a cessé de se toucher, lit le panneau.

Les marcheurs montent le sentier. Je rejoins Clémentine qui me cherche du regard. Elle me montre le papier tout en rigolant.
< Pour la "collection" ! > me fait elle en agitant la feuille sur laquelle figure un numéro de téléphone et un prénom. "Charles".
Nous rions de bon cœur de cette nouvelle aventure. Clémentine se touche, me fait sentir ses doigts mouillés. Je les suce. Joie.
Je lui propose un léchage de minou. Il suffit de se trouver un coin retiré, ce qui ne manque pas au détour de quelques chemins.
Beaucoup de ces Bastides ont été construites par des Anglais. Nous visitons le moulin à papier de la Rouzique. Il y a du monde.

Avec notre virtuosité habituelle, avec nos fréquentes et nombreuses pratiques, nous nous touchons sans se faire surprendre.
Le moulin de la Rouzique a été aménagé en écomusée du papier chiffon. Une animation remarquable permet la découverte.
Nous découvrons l'élaboration du papier. Il n'y a pas de réelle opportunité qui se présente à Clémentine. Pas d'autre "plan".
Il est 18 h30 lorsque nous prenons la route du retour. Je roule doucement sur les petites routes qui ramènent sur Bergerac.
Je reprends la Nationale 21. Nous sommes morts de faim malgré les deux pommes que nous avons mangé pendant la visite.

Clémentine a pris une vingtaine de photos. Nous sommes passés devant quantité de châteaux médiévaux restaurés et privés.
Je me fais sucer à plusieurs reprises par Clémentine très excitée. Nous arrivons à Périgueux pour 20 h. Un restaurant, et vite !
Nous parcourons les rues pavées du centre ville. La rue de la Bride, la rue Condé, le dédale charmant de cet endroit superbe.
Nous jetons notre dévolu sur une petite enseigne typique. Spécialités Périgourdines ou la viande est remplacée par du poisson.
La carte propose du calmar farci accompagné de légumes. Le tout préparé selon une recette traditionnelle périgourdine. Super.

Nous mangeons de bon appétit. Le serveur, jeune homme d'une vingtaine d'années, remarque le jeu de jambes de Clémentine.
Ma compagne, sous la table, discrètement, se livre à son "show" habituel. J'observe l'évolution des attitudes du jeune homme.
< Le test des chiottes ! > fait Clémentine en se levant. Je la regarde se diriger vers le comptoir pour demander où sont les WC.
Cette fois, elle a emmené son téléphone. Je la regarde contourner le parterre de plantes vertes. Elle disparaît par la porte WC.
Je fais semblant de consulter mon téléphone. Le serveur se dirige vers les toilettes. Il y du monde dans la salle. Peu de temps.

Quelques minutes se passent. Le serveur revient le premier. Rien dans son attitude ne trahit quoi que ce soit. "Professionnel".
Le jeune homme est rapidement sollicité par des clients. Clémentine revient. < J'ai tout filmé en cachette ! > me raconte t-elle.
Je regarde l'écran de son téléphone qu'elle me tend. J'assiste à une scène hyper excitante. Clémentine est dans les WC homme.
Cambrée au-dessus de l'unique urinoir mural, la jupe relevée, elle se tient la chatte pour pisser. Le serveur arrive, la surprend.
Une conversation s'engage. A cause de la résonnance des lieux, il est impossible de comprendre les propos échangés. Ecouteur.

Le jeune homme s'approche, se penche pour regarder le jet. Clémentine qui fait attention de ne pas se pisser sur les cuisses.
Je sais qu'il lui est difficile de pisser sans en mettre partout lorsqu'elle le fait debout. Le type est obligé de retourner en salle.
Je vois Clémentine s'essuyer l'intérieur des cuisses. Un autre type arrive. Elle sort juste à temps. Je regarde une seconde fois.
< Il faut que tu t'occupes de mon cas à l'appartement ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus. Je demande la note.
Le serveur semble très gêné. Je reste rassurant avec quelques félicitations pour le service et la qualité du repas. Il est 22 h45.

Trois petits kilomètres et nous voilà de retour à notre location. Les toilettes. Je me régale du jus de Clémentine. Salle de bain.
Au lit, nous nous offrons un sublime "69" qui achève d'allumer nos libidos. Clémentine m'attire sur elle délicatement. Si douce.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons sans bouger comme nous aimons à le faire. Hyper excitant.
C'est le moment des révélations de Clémentine qui me chuchote les plus étonnants secrets. Ses ressentis quand aux exhibes.
C'est intense. Demain, sur sa demande, je promène Clémentine à la laisse. Elle veut de la "frayeur". Cunnilingus. Pipe. Dodo...

Bonnes découvertes Périgourdines à toutes les coquines qui aiment profiter des opportunités vicelardes qui se présentent...

Julien - (Qui s'apprête à vivre une nouvelle journée de vacances Périgourdine en promenant Clémentine à la laisse) -

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Promenée à la laisse avec le collier canin autour du cou

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous. Sur les joues, sur le front, même sur le bout du nez.
J'ouvre les yeux. Le visage bienveillant de Clémentine au-dessus du mien. < Bonjour mon amour ! > me chuchote t-elle. Joie.
Je la serre contre moi. < Bonjour mon amour ! > ai-je temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Les papouilles.
L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons aux toilettes. Les rituels pisseux.
Morts de faim, nous allons à la cuisine. Il est 7 h30. Le ciel est d'un gris lumineux. J'ouvre la fenêtre. Je prends la température.

Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé. Bon.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le bilan de la journée de hier. Le programme de la journée qui nous attend.
Clémentine émet le souhait de retourner au pays des Bastides. < C'est tellement beau ! On est en plein Moyen-Âge ! > dit elle.
Nous mettons au point les itinéraires à découvrir. Je trouve la suggestion des plus plaisantes. J'ai également beaucoup apprécié.
La vaisselle. Nous nous mettons en tenues. Le plaisir de notre jogging. Nous voilà à courir dans l'agréable fraîcheur du matin...

Nous faisons la boucle habituelle. Avec le ciel couvert, le paysage prend un aspect magique. Une ambiance intemporelle. Féérie.
Nous sommes de retour pour 9 h15. La douche. Plaisir. Nous nous habillons pour passer dans la lumineuse chambre mansardée.
Nous voilà installés devant nos ordinateurs. Clémentine s'abstrait dans ses révisions. Je découvre les courriels d'Estelle. Juliette.
Estelle nous apprend qu'elle viendra passer la nuit de samedi à dimanche, seule, dans notre maison. Elle a besoin de s'y trouver.
Ce soir, elle est invité par Gauvin à la soirée d'anniversaire d'une collègue étudiante. Je réponds avec deux photos prises hier...

Juliette nous fait un agréable message plein d'humour. Nous sommes invités jeudi prochain, 3 mai, dès notre retour à un repas.
Je lis les courriels à haute voix afin d'en faire profiter Clémentine qui se réjouie pour cette invitation. Je réponds. Deux photos.
Puis j'écris les premières lignes de ce récit que le lecteur découvrira demain. Il est 10 h45. < Stop ! Fini ! > s'écrie Clémentine.
Je prépare le petit sac à dos. Dehors le ciel reste laiteux, légèrement couvert. Notre météo préférée. Le climat que nous aimons.
Clémentine porte la même jupe beige en coton léger. Un T-shirt gris. Chaussée de ses "Converses". Je porte mon short. T-shirt.

Clémentine va dans la chambre. Elle en revient avec le collier canin et la laisse. < Tu me les mets ! > me fait elle implorante.
Je passe le collier autour de son cou. J'y fixe la laisse avec le mousqueton autour de l'anneau métallique. Elle m'embrasse fort.
Nous descendons. Nous voilà en route. Je roule prudemment. Clémentine joue avec ma queue. Les 50 km sur la Nationale 21.
Nous prenons la Départementale 660 pour nous rendre à Beaumont du Périgord. Le paysage est superbe. Le ciel reste couvert.
Nous passons devant Bayac et son château à la tour carrée. Nous nous arrêtons pour prendre quelques photos. C'est superbe.

Il y a d'autres voitures garées là. Clémentine me tend la laisse qui pend à son cou depuis notre départ. Je m'en saisi fermement.
Je donne un à coup. J'entraîne ma compagne le long de l'étroit sentier qui descend pour rejoindre le chemin qui longe la rivière.
Clémentine marche derrière moi. Nous croisons un couple de promeneurs. Ils découvrent l'étonnante scène. Je tiens Clémentine.
Ce sont des touristes Anglais qui nous saluent. Je tiens la laisse. Nous bavardons. Le couple est originaire de Manchester. Joie.
Nous continuons notre chemin. Il y a un homme près du petit pont en pierre qui fait des clichés armé d'un gros appareil photo...

Il nous voit arriver. Etonné par ce qu'il découvre là, il ouvre de grands yeux. Je tiens Clémentine à la laisse. Nous nous saluons.
Il y a une femme là-bas, de l'autre côté de la rivière. Elle semble occupée à téléphoner. L'homme se met à bavarder avec nous.
Il nous apprend qu'il est originaire de Tour et qu'il découvre la région. Clémentine s'accroupit. Elle pose sa tête sur ma cuisse.
Entourant ma jambe droite de ses bras, elle reste silencieuse à nous écouter parler. L'inconnu reste remarquablement serein.
Je pose ma main sur la tête à Clémentine qui écarte légèrement ses cuisses. La situation, insolite et excitante dure. 5 minutes.

L'homme doit avoir mon âge. Je lui présente Clémentine. < Bonjour monsieur ! > fait elle en tout restant dans cette position.
Cette situation des plus extraordinaires en ce lieu est très excitante. L'inconnu n'en montre pourtant rien. Il mâte la jeune fille.
Je tiens la laisse au plus court. Je dis : < Dis au monsieur ce que tu fais dans la vie ! >. Clémentine répond : < Etudiante ! >
L'homme pose quelques questions à Clémentine qui répond souvent par oui ou par non, jouant la parfaite "soumise". Superbe.
La femme traverse le pont pour se diriger vers nous. C'est la compagne du photographe. Nous nous présentons entre touristes.

Nous bavardons encore un petit moment. Clémentine, les jambes gagnées par l'ankylose se redresse pour se serrer contre moi.
Nous prenons congé pour continuer notre promenade. Il est 13 h. La faim commence à se faire sentir. Nous avons notre repas.
Comme les jours précédents, nous mangeons notre salade à même le Tupperware. Nous savourons nos sandwichs au fromage.
Nous sommes assis sur un muret. Nous mangeons en regardant quatre chevaux dans le pré d'en face. Nous profitons. Sublime.
Nous voilà en route. Je gare la voiture chaque fois qu'il y a de belles choses à photographier. Le majestueux château de Bannes.

Comme souvent, ce château ne se visite pas, c'est une propriété privé. Nous contemplons la vallée de la Couze. Carte postale.
Beaumont-du-Perigord est sans doute la plus importante des Bastides de la région. Nous visitons ce haut lieu historique. Beau.
Les gens que nous croisons ne se rendent pas compte de la laisse qui pend au cou de la belle jeune fille qui me tient la main.
Rares sont les touristes qui remarque ce curieux accessoire dont la poignée pend à mi-cuisses de ma compagne qui se balade.
Curieusement, c'est le regard de certaines femmes qui se fait le plus insistant les rares fois où la personne découvre la laisse.

Ces situations, discrètes, excitent considérablement Clémentine. Je l'entends glousser lorsqu'elle met sa bouche dans mon cou.
< J'ai envie de me toucher ! > me chuchote t-elle à plusieurs reprises. La place centrale a conservé tout son caractère ancien.
C'est un spectacle d'autre fois. Les arcades qui induisent ce climat médiéval qui transpire partout. Nous visitons. C'est super.
Nous nous offrons des cônes glacés. Nous déambulons. Nous découvrons la porte Luzier et son système défensif. Des photos.
Nous admirons les mâchicoulis et les meurtrières finement sculptés dans la pierre. Il y a là de charmantes petites ruelles. Bien.

Nous traînons dans la Bastide une grande partie de l'après-midi. Nous profitons de chaque endroit discret pour nous tripoter.
Nous sommes tous deux considérablement excités. Clémentine se touche discrètement avant de me faire goûter ses doigts.
Elle palpe la grosse bosse qui déforme mon short. Nous avons appris à tempérer nos ardeurs. Clémentine fait plein de photos.
Il est 18 h15. Nous reprenons la voiture. Je roule doucement sur les petites routes de la région. Une circulation considérable.
Nous rentrons par Montferrand. Clémentine, même si elle se touche, consulte également la carte routière. Co-pilote efficace.

Il y a les étonnantes carrières de pierres près de Combe-Capelle. Nous nous arrêtons pour photographier les parois verticales.
Nous nous promenons un peu dans Montferrand. Il est 19 h. Nous commençons à être gagné par une faim de loup. Restaurant.
Nous découvrons une enseigne typique. Restaurant charmant. Je propose à Clémentine de dissimuler la laisse sous son T-shirt.
Nous nous régalons d'une tarte aux champignons accompagnée de brocolis grillés. Un véritable délice. Il y a du monde. Bien.
Le village s'étale sur une colline dominée par un château fort. Nous admirons depuis la fenêtre à côté de notre table. Superbe.

Nous prenons nos desserts en regardant tomber la nuit. Il est 21 h30. Nous prenons la route du retour. Nous sommes excités.
Nous arrivons à notre location vers 22 h45. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Nous nous régalons de nos épanchements.
La salle de bain. Au lit, nous nous offrons un rapide "69" avant de nous retrouver l'un dans l'autre. Nous restons immobiles.
Clémentine me chuchote ses ressentis. D'être promenée à la laisse, d'être vue ainsi, lui procure les plus indicibles excitations.
Nous nous proposons de récidiver demain. Nos orgasmes sont dithyrambiques. Cunnilingus fou. Fellation folle. Douceur. Dodo.

Bonnes découvertes médiévales à toutes les coquines qui aiment se faire promener discrètement. Tenues à la laisse...

Julien - (Qui s'acquitte de son rôle de "Maître" avec toute la diligence et toute la célérité requise. En bandant comme un fou) -

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Nous passons du bon temps dans Périgueux et c'est magnifique

Hier matin, samedi, nous nous étirons longuement, en même temps dans un long gémissement ponctué par un cri commun.
< Bonjour ! > nous faisons nous en même temps avant d'éclater de rire, en nous serrant très fort. Douceur, tendresse, joie.
Il est à peine 7 h45. Dehors le ciel est gris, encore presque sombre. Clémentine me chevauche avant de m'entraîner au WC.
Dès la fin du rituel pisseux, nous nous précipitons à la cuisine. Je presse nos quatre oranges et Clémentine s'occupe du café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé habituelle dont nous raffolons. C'est un vrai must.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons un rapide bilan de cette première semaine de vacances. Bien.
Un bilan positif. Clémentine a fait la découverte d'une région magnifique hors saison touristique et avant les grosses chaleurs.
Nous avons pu nous livrer à nos passions amoureuses, sensuelles et sexuelles tout en découvrant un endroit de toute beauté.
Parfois plongés en pleine période médiévale par un environnement moyenâgeux, parfois assoiffés de lieux plus beaux encore.
Nous nous promettons de revenir en Périgord car dix jours ne suffisent évidemment qu'à mettre en appétit et pas à satisfaire.

Nous faisons le programme du jour. Avec cette météo plutôt menaçante, il faut déjà se dépêcher de faire notre jogging. Bien.
La vaisselle. Nous nous mettons en tenues. Le sol est légèrement humide de la pluie sans doute tombée cette nuit. Pas grave.
Nous courons le long de notre circuit devenu quotidien. Il y a parfois quelques gouttes. Nous sommes de retour pour 9 h15.
La douche. Nous nous habillons. Il ne fait pas très chaud. Nous portons nos jeans et nos sweats. C'est plutôt agréable. Chaud.
Nous passons dans la chambre mansardée. Fidèle à l'impérieux besoin de travailler, Clémentine s'abstrait dans ses révisions.

Nous voilà assis devant nos ordinateurs. Tout au long de la semaine, la connexion Wifi a été parfaite. Je découvre les courriels.
Il y a le message d'Estelle qui nous raconte sa soirée avec Gauvin et des amis étudiants. Je réponds en joignant deux photos.
Il y a le message de Juliette qui nous raconte une de ses journées de patronne de haras. Pensionnat de chevaux. Lieu de joie.
Je réponds en joignant les deux mêmes photographies prises hier près de Bergerac, au retour de Beaumont du Périgord. Bien.
J'écris la première partie du récit que le lecteur découvrir ici. Il est 11 h. < Stop, ça suffit pour aujourd'hui ! > fait Clémentine.

Avec cette météo peut engageante, il est décidé de passer la journée à Périgueux. Après tout cette ville regorge de curiosités.
Nous descendons. Nous croisons madame Leroy. Nous nous saluons. La propriétaire revient de ses courses au supermarché.
Nous bavardons un peu. Madame Leroy nous invite à partager un café un des jours prochains et avant notre départ pour jeudi.
Nous voilà en route. Dans la voiture, Clémentine joue avec mon sexe qu'elle a extrait de ma braguette. Je roule prudemment.
Je gare l'auto aux abords de la ville. Il y a dix minutes à pieds. Dans le petit sac à dos que je porte, parapluie et K-ways. Bien.

Il nous faut des fruits et quelques légumes. Nous faisons notre marché en flânant. Avec l'humidité les odeurs sont merveilleuses.
Toutes les senteurs des marchés du Sud Ouest. C'est presque enivrant. Nous bavardons avec quelques artisans. C'est superbe.
Nous traînons sur les marchés animés de la Place Bugeaud et de la Place du Coderc. C'est absolument génial. Il y a l'animation.
La gentillesse et l'accueil proverbial des Périgourdins se vérifie une fois encore pour notre plus grande joie. Des sourires et rires.
Nous retournons à la voiture avec nos filets à provisions plein de fruits. Pommes, oranges, mangues, Kiwis. Des avocats. Radis.

Tout cela a ouvert nos appétits. Il est déjà 13 h30. Malgré quelques gouttes éparses nous flânons à la recherche d'un restaurant.
Il est bien improbable qu'un établissement de province serve encore des repas à cette heure. Je propose d'improviser. Superbe.
Nous achetons deux belles baguettes "Bio" aux graines dans une boulangerie artisanale de la rue Limogeanne. Il y a du monde.
La petite épicerie qui propose des produits locaux et du terroir nous invite à découvrir des fromages Périgourdins. Du Cujassou.
Ce fromage de Chèvre est onctueux. Du fromage de la Trappe Echourgniac aux noix. Une bouteille d'eau gazeuse de Queyssac.

Nous trouvons un petit établissement entre le bistrot traditionnel et le salon de thé qui autorise le repas tiré du sac. C'est parfait.
Il y a quelques gouttes de pluie par intermittence. Nous savourons nos sandwichs comme des affamés. Les produits Périgourdins.
Il y a du monde. D'autres touristes qui font comme nous. Clémentine chuchote : < Prends ton téléphone comme rétroviseur ! >
Je regarde attentivement dans l'écran noir. Derrière moi, il y a un couple assis à une des tables. Le type regarde vers la notre.
Clémentine, une main sous la table, murmure : < Je me touche depuis cinq minutes et tu n'as rien remarqué ! Mais le type si ! >

Nous rions de bon cœur de mon inattention. Je scrute l'écran noir de mon téléphone. Pas de doute, le mec, lui, a tout remarqué.
Clémentine est en jean. C'est un peu dommage. La situation mériterait une bonne exhibe de qualité. Mais ma compagne ruse.
Elle se touche sous la table, exagérant le mouvement de sa main pour bien attirer le regard du type qui discute avec sa femme.
< Je lui fais le test des chiottes ! > me fait Clémentine en se levant pour se diriger vers la porte des toilettes, au fond de la salle.
Il ne se passe pas une minute. L'inconnu se lève pour prendre la même direction. La trentaine athlétique, le gaillard va aux WC.

Clémentine a une nouvelle passion apparue il y a peu. Elle dissimule son téléphone sur mode caméra pour immortaliser ses show.
Les types qui la surprennent sont filmés de dos. Leur anonymat préservé permet toutefois de découvrir des attitudes étonnantes.
Il n'est évidemment pas question de partager ces images avec qui que ce soit. Peut-être avec Estelle à notre retour. C'est secret.
Je termine de manger mon dernier morceau de fromage. Je commande deux cafés. Un autre mec prend la direction des toilettes.
Clémentine revient la première. < Put-Hein, le salaud ! > me fait elle en me racontant ce qui s'est passé. L'homme revient aussi.

Je mets les écouteurs, Clémentine me tend son téléphone. Je regarde le petit film. Clémentine qui se "trompe" de toilettes. Mec.
Son jean et sa culotte baissés au dessus du genoux, cambrée au dessus de l'urinoir. L'homme qui arrive. La "découverte". Bien.
A cause de la réverbération, je ne comprends pas vraiment ce qui se dit. Je vois le type se déboutonner devant l'urinoir voisin.
L'un à côté de l'autre, Clémentine et lui tentent de pisser. C'est cocasse, surréaliste et hyper excitant. Les deux bavardent. Rire.
Le téléphone de Clémentine filme la scène depuis le lavabo où il est posé sous un mouchoir déplié et froissé. On en voit un bout.

Je mâte l'écran avec une féroce érection rendue douloureuse par le confinement et l'inconfort de mon sexe au fond de mon slip.
Le type qui se tourne vers Clémentine en agitant son sexe. < Ils proposent toujours tous la même chose ! > fait ma compagne.
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Une pipe, de prendre leur numéro de portable. Ils sont tellement originaux ! >
Il y a l'autre type qui arrive. Clémentine vient à peine de se réajuster. Le mec qui découvre le couple dans les toilettes homme.
< Ils s'en vont ! > fait Clémentine. Je me retourne pour voir le couple s'en aller. < Je mets ça sur clef USB ! > dit Clémentine.

Il est 15 h30. Je propose de nous faire un Musée. Il y a toujours ce temps incertain et ses séquences légèrement pluvieuses.
Bien évidemment nous portons notre choix sur ce qui nous interpelle. Le Musée d'Art et d'Archéologie. La cour Tourny. Belle.
Installé dans un grand bâtiment de style Renaissance, le Musée est une véritable invitation à la découverte. C'est magnifique.
Il y a là des sculptures antiques, mises à jour lors de fouilles sur différentes périodes. Principalement du Gallo-Romain. Bien.
Il n'y a pas de réelles opportunités d'exhibe pour Clémentine bien "allumée" par l'épisode des toilettes. C'est un peu frustrant.

Il y a quantité de choses remarquables. Dans les beaux jardins il y a un échiquiers géant où nous nous faisons photographier.
Clémentine demande à une jeune femme de nous prendre en photo. Nous faisons un peu les clowns sur l'échiquier et les pièces.
Clémentine se met à cheval sur le "Fou" faisant mine de s'empaler sur la boule qui chapeaute la pièce d'échec. C'est la rigolade.
La jeune femme se prête au jeu en y prenant visiblement du plaisir. Je me mets en position suggestive devant la pièce "Reine".
Cambré en avant, ma braguette contre la fente. Clémentine derrière moi qui fait mine de me tenir par les couilles. C'est vicieux.

La jeune femme s'amuse certainement autant que nous. C'est génial. Il naît une complicité excitante. L'inconnue joue le jeu.
Clémentine, regardant dans toutes les directions, s'assurant qu'il n'y a que nous trois, se met à genoux. Elle me fait un signe.
Je m'approche. Elle me tient par les hanches mimant une fellation tout en regardant l'objectif. La jeune femme fait des photos.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Quelques photos ou je suis à genoux. Je mime un cunnilingus devant Clémentine. Rire.
La séance devient très vicelarde. Une voix d'homme. La jeune femme est accompagnée. Il y a un gamin qui arrive en sautant.

Les nouveaux arrivants n'ont rien remarqué. La jeune femme nous rend l'appareil. Elle me fait un discret et curieux sourire.
Elle me fixe avec un regard bien vicieux, par en dessous, avant de rejoindre sa famille. Elle se retourne à plusieurs reprises.
Clémentine me fait : < Dommage qu'elle soit accompagnée ! >. Nous quittons les jardins. Le Musée va fermer. Nous sortons.
Le ciel devient de plus en plus menaçant. Nous avons le parapluie dans le petit sac à dos. Nous retournons au centre ville.
Nous dissertons sur cette étrange rencontre avec cette photographe improvisée qui est entrée dans notre jeu. Une complicité.

Nous flânons longuement dans les rues. L'ambiance médiévale prend une toute autre dimension avec ce ciel gris et couvert.
Les pavés humides brillent parfois comme des pièces d'argenterie. Il est 20 h30. La faim commence à se faire ressentir. Dur.
Nous découvrons un restaurant pittoresque. Un endroit charmant. Il y a des plateaux de fruits de mer. Il n'en faut pas plus !
Il y a du monde. Clémentine, une fois encore, me fait part de sa frustration de ne pas être en jupe. Nous rions de bon cœur.
< J'ai envie de faire ma salope ! Si tu savais ! > me fait elle lorsque nous sommes installés à table. Je réponds : < Je sais ! >

Nous dégustons ces plateaux de fruits de mer avec délectation. Pas d'opportunité. Personne ne porte son attention sur nous.
Clémentine a beau aller aux toilettes homme deux fois, il ne se passe strictement rien. Pas de serveur mais deux serveuses.
Il faut donc se faire une raison. Nous traînons à table. De délicieuses coupes glacées. Deux cafés. La note. Nous sortons. Nuit.
Nous flânons encore un peu dans les rues du centre. Il est 23 h lorsque nous sommes de retour à la location. Salle de bain.
Au lit, l'un dans l'autre, sans bouger, Clémentine me fait part des émotions vécues cet après-midi. Cunnilingus. Pipe et dodo.

Bonne promenade dans Périgueux à toutes les coquines qui découvrent une ville de toute beauté et quelques "recoins"...

Julien - (Toujours étonné, admiratif et inconditionnel des initiatives fabuleuses de Clémentine. Improvisatrice de talent) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 408 -



Sous une météo principalement médiocre qui ne gâche rien

Hier matin, dimanche, nous nous réveillons en même temps. < Bonjour Julien ! > me fait Clémentine, se serrant contre moi.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de lui faire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Tendresse. Douceur. Papouilles.
L'impérieux besoin naturel met rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons aux toilettes. Pipi.
Morts de faim, nous nous rendons à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Il est déjà 7 h30.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.

Dehors, il pluviote. Le ciel est d'un gris uni. Le dimanche est toujours notre jour sans entraînement. Le sol semble détrempé.
Nous traînons à table. Cette météo qui était prévisible depuis hier nous oblige à changer légèrement nos plans de vacances.
Il est 8 h30. La vaisselle. Nous nous habillons. Jeans et sweats. Nous passons dans la chambre mansardée. Il fait un peu frais.
Nous voilà assis devant nos ordinateurs. Lorsqu'il fait ce temps, la peinture me manque cruellement. Clémentine révise. Cours.
Je commence l'écriture de cette partie du récit que découvre le lecteur aujourd'hui. Je découvre le courriel qu'envoie Estelle...

Ma compagne met à profit ce climat lamentable pour s'abstraire dans ses révisions. Parfois je me lève pour aller voir. Bisous.
Elle m'explique ce que je découvre sur l'écran. Ce sont les notes mises au propre sur Word, inlassablement, depuis des mois.
Clémentine aime à tout mettre au clair. Aussi la révision de ses cours n'est pas un labeur pénible. Il lui suffit alors de se relire.
Estelle a passé la nuit chez nous, dans notre maison. Elle évoque la visite du "fantôme" de Christine, ma compagne du passé.
Je réponds en joignant deux photos réduites que nous avons prise hier. Je fais un copié collé du récit posté hier sur le forum.

Je consulte les brochures touristiques récupérées à l'Office de Tourisme de Périgueux. Il est 11 h. < Fini ! > s'écrie Clémentine.
Dehors, la pluie fine tombe de façon continue. Assise sur mes genoux, Clémentine me fait part de ses ressentis. Nos vacances.
< J'avais tellement besoin de me retrouver seule avec toi. Je crois en avoir davantage besoin que par le passé ! > me fait elle.
< C'est de plus en plus important. Je pense déjà à ces deux mois en Ecosse, cet été, juste toi et moi. Isolés ! > rajoute t-elle.
Je lui caresse les cheveux en écoutant. Je ne sais pas toujours quoi dire, quoi répondre. Mon silence rassure peut-être autant.

< J'ai une envie folle de pommes de terre farcies ! > me fait elle encore en riant. Je propose un restaurant qui en présenterait.
Elle répond : < Non, on reste là, on se fait des pâtes avec une sauce au Roquefort pleine de gruyère partout, tu veux bien ? >
Nous nous levons pour aller à la cuisine. Soudain, la musique ridicule de me téléphone. Clémentine s'en saisit immédiatement.
< Madame Leroy ! > me fait elle. J'écoute distraitement en faisant bouillir de l'eau salée. Clémentine vient me rejoindre. Bien.
< La proprio nous invite à venir boire le café et prendre le dessert en bas pour 13 h30 ! J'ai accepté ! > me dit ma compagne.

Je dis : < Très bonne initiative ! >. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Je prépare la sauce au Roquefort.
A plusieurs reprises je passe derrière Clémentine. Mes mains autour de ses hanches, je lui murmure des douceurs, des bisous.
Nous entendons une voiture en bas, dont les pneus crissent sur le gravillon de la cour. < C'est un couple ! > fait Clémentine.
Elle m'invite à venir voir à la fenêtre. C'est effectivement un couple. Des visiteurs que nous verrons sans doute tout à l'heure.
< Tu me mets le collier et la laisse ? > me demande Clémentine. Nous rions de bon cœur lorsque je lui passe le collier canin.

Nous mangeons de bon appétit. Même si ce repas est d'une grande simplicité, il est délicieux. La vaisselle. Nous rangeons tout.
Je fais passer la laisse qui pend du collier sous le sweat de Clémentine qui me palpe la braguette en disant : < Sois salaud ! >.
Nous descendons par l'escalier extérieur. Il faut rester près du mur pour éviter de nous faire mouiller par une pluie incessante.
Nous sonnons. Madame Leroy vient nous ouvrir. Elle est vêtue d'une jupe noire, d'un pull de coton noir, souliers à talons hauts.
Nous nous saluons. < Venez ! > fait elle en nous invitant à la suivre au salon. Il y a le couple de tout à l'heure. La présentation.

Nous apprenons que la jeune femme, également très élégante, est une collègue de travail de madame Leroy. Avec son mari.
Nous écoutons les anecdotes amusantes concernant le travail de madame Leroy. Nous goûtons les tranches de tarte aux noix.
La tarte aux noix est une spécialité Périgourdine. De quoi se régaler. Nous parlons un peu de nous. Nous suscitons la curiosité.
Cet homme d'âge mûr, jeune quinquagénaire, accompagné de cette jeune fille de 21 ans éveille bien des interrogations. Jeux.
Nous restons volontairement très évasif. La jeune femme vient de remarquer le collier canin que porte Clémentine. Amusée.

C'est madame Leroy qui ose poser la question : < C'est "décoratif" ou c'est usuel ? > demande t-elle . Nous rions de bon cœur.
Clémentine en tirant sur la laisse pour la faire apparaître me la tend en répondant : < C'est usuel ! >. Il y a un silence amusé.
Les deux jeunes femmes me regardent avec beaucoup d'intérêt. Je tiens la laisse attachée au collier que porte Clémentine.
L'homme semble quelque peu embarrassé. Je suis gêné sans rien en montrer. La situation insolite suscite bien des questions.
< Il faut que j'essaie ! > fait madame Leroy. Nous éclatons de rire lorsque la collègue dit : < Pour aller faire pipi en soirée ! >

< C'est aussi à ça qu'elle sert ! > fait Clémentine sans se démonter et en restant parfaitement maître de ses émotions. Rires.
< Ça doit être génial ! > fait l'homme qui sort enfin de son mutisme. < On l'a acheté dans un "Toutou Soin" ! > dit Clémentine.
Nous bavardons un moment. La conversation s'articule autour des activité professionnelles de l'homme qui tient son entreprise.
Il est presque 14 h lorsque nous prenons congé. Nous remontons. Clémentine se frotte contre moi. < Je suis excitée ! > dit elle.
Je passe ma main dans son jean, dans sa culotte. Je constate l'humidité qui y règne. Nous décidons de retourner sur Périgueux.

Rester excitée, improviser un "plan", devient l'impératif impérieux de ma compagne qui, malgré cette météo, se met en jupe.
Par précaution, je mets son jean dans le petit sac à dos qui ne nous quitte jamais en vacances. Pommes et barres de céréales.
Je roule doucement. J'ai la poignée de la laisse autour de mon poignet tout en conduisant. Clémentine me touche et se touche.
La pluie semble cesser. Je gare la voiture aux abords de la ville, à l'endroit habituel. Et malgré la météo, les rues sont animées.
Clémentine a sa veste de cuir noir, cintrée à la taille. Chaussée de ses souliers à légers talons elle marche sur les pavés. Dur !

La fraîcheur est désagréable. Nous passons dans une ruelle. je passe son jean à Clémentine qui l'enfile. Jupe dans le sac à dos.
Nous déambulons dans les rues du centre. Nous connaissons à présent très bien. Nous y avons nos repères. C'est très pratique.
Une pluie fine se remet à tomber. Nous voilà serrés sous le parapluie. Nous admirons quelques vitrines de boutiques fermées.
Le Musée d'Art et d'Archéologie que nous avons visité hier, est ouvert le dimanche. Nous nous interrogeons. Y retourner ? Voir.
Finalement Clémentine me propose de nous mettre en quête d'un "plan" éventuel. Nous redécouvrons le lieu. Il y a des gens.

Clémentine porte son collier canin. La laisse qui y est fixée, pend discrètement sous sa veste. Nous cherchons une opportunité.
Là-bas, devant une vitrine contenant la maquette d'un train à vapeur de la grande époque ferroviaire, il y a jeune homme seul.
Clémentine me tend la laisse. Elle m'entraîne à proximité. Nous nous approchons de la vitrine. L'inconnu lève les yeux. La laisse.
Je tiens cette grande et belle jeune fille à la laisse. Le jeune homme, derrière les verres de ses lunettes, découvre la scène. Fou.
Son jean moulant, épouse toutes les formes de Clémentine qui pose discrètement sa main sur son sexe. En scrutant la vitrine.

Le jeune homme quitte les lieux. Que pourrait-il bien entreprendre avec ma présence. Il n'a donc d'autre choix que de s'en aller.
Clémentine chuchote : < J'ai envie d'être hyper salope ! >. Je fais : < Restons prudents. On va dans un salon de thé, après ! >
Nous visitons à nouveau les différentes salles. La présence de plusieurs familles oblige à la plus grande retenue. C'est frustrant.
Il est 17 h. Nous voilà de retour au dehors. Il ne pleut plus. Nous retournons dans le dédale des ruelles aux pavés luisants. Joie.
Il y a ce salon de thé devant lequel nous sommes passés plusieurs fois depuis notre présence dans la région. Nous y pénétrons.

Il y a du monde. Peu de tables libres. En tous cas, impossible de s'offrir la moindre "frayeur". Nous nous installons quand même.
Deux belles coupes glacées que nous savourons en évoquant cette curieuse après-midi pleine d'improvisation. Laisse bien visible.
Il y a un couple là-bas. L'homme a remarqué le curieux accessoire que porte discrètement cette belle jeune fille assise avec moi.
C'est Clémentine qui me fait remarquer le regard insistant que lui porte l'inconnu. < Le test des chiottes ! > me fait elle, debout.
Je la regarde se diriger vers la porte des toilettes. "Gagné" ! Le type se lève pour se rendre au WC. Clémentine a son téléphone.

Cinq bonnes minutes se passent ainsi. Clémentine revient la première. < J'ai encore vu une superbe queue ! > me confie t-elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle me raconte l'attitude du mec qui découvre cette jeune fille dans les toilettes homme.
< Regarde ! > me fait ma compagne en me montrant le film qu'elle a tourné en cachette. On ne voit pas grand chose. Rigolade.
L'inconnu revient des toilettes pour retourner s'asseoir auprès de sa femme. < Il s'est certainement branlé ! > fait Clémentine.
Il est presque 19 h. Nous voilà à flâner dans ces rues que nous commençons à connaître par cœur. Nous décidons de rentrer...

Je prépare un gratin de riz complet accompagné d'une sauce aux champignons. Clémentine fait la salade et son assaisonnement.
Nous sommes tous deux considérablement excités. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Il est 20 h45. Nous voilà couchés.
Il fait sombre. La pluie n'arrête pas. Nous nous offrons un "69" goûteux. Je m'introduis dans la fille. Et avec d'infinies précautions.
Nous restons immobiles, comme nous aimons. Clémentine me chuchote les plus excitantes cochonneries. Révélations. Fantasmes.
Je reviens à la charge avec mon désir de la voir sucer un inconnu. < Un jour ! > dit elle. Cunnilingus. Fellation. Orgasmes. Dodo.

Bonne baise à toutes les coquines qui aiment à révéler leurs doux secrets dans ces moments intenses et fabuleux...

Julien - (Qui revient encore et encore avec son fantasme récurrent. Être planqué pour voir Clémentine tailler une pipe) -

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Second jour de vacances pluvieuses. Il faut improviser...

Hier matin, lundi, je suis le premier à ouvrir les yeux. Clémentine couchée sur le dos, dort encore dans un léger ronflement.
Je n'ai pas le loisir de l'observer longuement. Son infaillible sixième sens l'avertit. Elle ouvre les yeux. Je lui fais plein de bises.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de murmurer avant qu'elle ne me chevauche en riant. < Bonjour Julien ! > fait elle.
Les papouilles sont de courtes durées car l'impérieux besoin naturel nous impose de nous précipiter aux toilettes. Rituel pipi.
Morts de faim nous passons à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Dehors, il pleut. 7 h30.

Nous prenons notre petit déjeuner dans la plaisante odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
< Ce sont les premières vacances où il pleut deux jours de suite ! > remarque Clémentine que cela n'affecte pas tant que moi.
J'aurais préféré un séjour bien sec et chaud. Il faut se faire une raison. Nous décidons d'improviser. Nous partirons à l'aventure.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous faisons notre gymnastique à l'intérieur. Abdos et aérobic à l'abri des intempéries.
La douche. 9 h15. Nous nous habillons. Clémentine porte un legging noir, un sweat moulant noir, souliers noirs à talons plats.

Je porte un jean noir, un sweat noir et des souliers de ville noirs. < Le deuil du soleil en quelque sorte ! > dit Clémentine. Noir.
Nous voilà assis devant nos ordinateurs dans la chambre mansardée. Clémentine se consacre à ses révisions. C'est un plaisir.
Je découvre le courriel d'Estelle qui nous donne des nouvelles de chez nous. Soleil, vent, pluie parfois. Et pas la peine d'arroser.
Je réponds en joignant deux photos réduites prises hier à Périgueux sous le parapluie. Et j'écris ces lignes publiées aujourd'hui.
Il est 11 h. < Terminé ! > s'écrie ma compagne en venant s'asseoir sur mes genoux. < Pluie, journée au lit ! > fait elle. Rires.

Je mets deux pommes et des barres de céréales dans notre petit sac à dos. Nous mettons nos vestes de cuir et nos écharpes.
Nous voilà équipés pour affronter les éléments. Nous descendons l'escalier extérieur. Le ciel est gris, bas et la pluie abondante.
Nous voilà en voiture. Nous partons pour le Périgord noir, aux portes du Quercy. Le rythme des essuies glaces. La queue à l'air.
Je roule prudemment. Avec cette météo nous allons faire du tourisme automobile. Une soixantaine de kilomètres. C'est sympa.
Clémentine qui sait parfaitement lire une carte routière est la plus parfaite des co-pilotes. Voilà la vallée du Céou. Sous la pluie.

Il est un peu plus de midi. Nous voilà aux portes de Sarlat. Je gare la voiture dans une petite rue. Je remballe ma bite humide.
Je connais un bon restaurant. "Le Bistrot". Nous marchons sous nos parapluies. Nous sommes chaudement vêtus. Tout va bien.
Clémentine est adorable et terriblement sexy dans son legging. Ses longues jambes interminables. Sa haute silhouette mince.
En entrant dans l'établissement, tous les regards se tournent vers nous. Clémentine m'a appris à m'en amuser. C'est le cas ici.
Nous étudions la carte. Notre choix se porte sur des tartes aux champignons accompagnées de petits légumes. Un vrai délice.

Pas de réelle opportunité. Il faut se faire une raison. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi.
En arrivant nous sommes passés devant le château de Castelnaud ouvert à la visite. Rien ne suscite davantage nos curiosités.
Le château de Castelnaud défend l'accès de la vallée du Céou depuis le XIIème siècle. C'est une forteresse magnifique. Super.
Nous savourons nos coupes glacées. La note. Nous flânons un peu dans Sarlat, petite ville médiévale pleine de charme. Belle.
La découverte y aurait bien évidemment gagné sous le soleil du Sud Ouest. Nous sommes serrés sous nos parapluies. Au sec.

En voiture, ma main droite entre les cuisses de Clémentine qui me guide, je roule doucement. J'ai la queue fièrement dressée.
Nous arrivons aux abords du château. Je remballe. Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde dans la file aux guichets.
Du haut du château, la vue est grandiose, malgré le ciel bas et la pluie. Nous y découvrons les machines de guerre féodales.
La visite est libre ou guidée. C'est au choix de chacun. Pour écouter les explications, nous ne restons pas trop loin du groupe.
Il y a un homme seul, là-bas, avec une allure de professeur. Pantalon et veste en velours, d'épaisses moustaches et lunettes.

Clémentine me demande de rester entre les armures pour mâter. < S'il y a un blême, tu viens ! > me fait elle en s'éloignant.
Je la regarde penchée au-dessus des vitrines où sont présentées d'anciennes pièces de monnaie médiévales. Discret sourire.
Le "professeur" découvre rapidement cette grande jeune fille qui le dépasse d'une demi tête avec ses longs cheveux en liberté.
L'inconnu découvre également la main que cette même jeune fille tient serrée entre ses cuisses, en se touchant discrètement.
Le quidam paraît entreprenant. Il regarde dans toutes les directions. Il mâte les agissements de la fille. Et il s'approche un peu.

Clémentine, accroupie devant une vitrine murale, fait mine d'observer des parchemins. Alors qu'elle se sert du reflet de la vitre.
Comme dans un rétroviseur, elle peut parfaitement observer ce qui se passe derrière elle. Cuisses écartées, le dos tourné. Vice.
Je regarde le type s'approcher encore. Le quidam, du style "gonflé", semble rapidement devenir "gonflant". Du style à insister.
Clémentine se redresse pour s'éloigner. Le "professeur" la suit sans gêne en bavardant. L'emmerdeur dans toute sa splendeur !
Clémentine, excédée, me cherche du regard. Je décide d'intervenir. L'homme me voit venir. Clémentine qui se dirige vers moi.

Le "boulet" tourne des talons pour disparaître dans une autre salle. < Put-Hein le vicieux ! Il m'a branché cul direct ! > dit elle.
Nous en rions de bon cœur. Il arrive quelquefois de tomber sur ce genre de casses pieds. Il faut donc réagir rapidement. Bien.
Nous terminons la visite. Nous prenons l'auto pour aller à la Ferme de Vieleroze pour visiter l'écomusée de la noix du Périgord.
C'est une visite agréable et très familiale. Pas d'opportunité d'exhibe. Nous traînons dans ce bel endroit. C'est très intéressant.
Nous goûtons différentes noix datant de l'automne dernier mais ayant conservé toutes leurs saveurs. Il y a différentes sortes...

Nous visitons le pressoir installé dans un ancien moulin. Il y a moins de monde. Nous montons l'escalier pour admirer les cuves.
Il y a un jeune homme qui ne nous voit pas arriver. Il nous tourne le dos là-bas. < Regarde, il se branle ! > me fait Clémentine.
Nous regardons en bas, à travers les barreaux de protection. Il y a une jeune femme en bas. C'est elle qui provoque la situation.
< Génial ! > me chuchote ma compagne avant de rajouter : < Planque toi derrière le silo ! >. J'observe Clémentine s'approcher.
Elle fait semblant de regarder la cuve du pressoir à huile, les mains en appui sur la rampe de bois. Je n'en crois pas mes yeux !

Le type est un exhibitionniste, un vrai. De se branler discrètement, ainsi, dans un lieu à risque, ne laisse aucun doute. Qualité.
Sans doute avertit par un sixième sens, il cesse, se tourne vers le mur, tourne la tête et découvre cette grande fille qui le mâte.
Il a l'ait terriblement gêné. Clémentine lui fait un sourire complice. Le salaud, après un instant d'hésitation se tourne vers elle.
Il bande comme un salaud. Une queue de beau calibre qu'il branle en regardant Clémentine qui lève son pouce pour le féliciter.
De ma cachette entre les lattes de bois, à une quinzaine de mètres, je n'entends rien des propos qui s'échangent. Je regarde.

Halluciné, je vois Clémentine se cambrer sur ses genoux fléchis pour mimer la masturbation du mec tout en bavardant avec lui.
Le jeune homme regarde dans toutes les directions. La jeune femme qui le mâtait depuis en bas, monte à son tour à l'étage.
La situation est critique. Elle va me surprendre à mâter. Tant pis. La situation peut s'avérer hyper vicelarde et très excitante.
Je me touche. La jeune femme arrive et me découvre. En même temps elle regarde ce qui se passe là-bas. Nous nous sourions.
Pour la rassurer complètement je lui chuchote : < C'est ma compagne. Et elle prend un pied dingue ! >. Elle fait : < Génial ! >

Il faut être d'une vigilance constante. En bas il y a une famille qui vient d'entrer. Bruits de voix, rires de gamins. Emmerdeurs.
Je sors rapidement ma queue pour la montrer à la jeune femme qui me fait : < Ce qui se passe ici est surprenant ! Génial ! >
Là-bas, le jeune type remballe à toute vitesse car des gens montent l'escalier. Je fais pareil. Le gaillard descend l'autre escalier.
Clémentine vient me rejoindre et me découvre avec la jeune femme. < Bonjour ! > se font les deux visiteuses. Je me touche.
Clémentine comprend rapidement et se serre contre moi pour bien marquer son territoire. < Mon mari ! > fait la jeune femme.

Il y a un homme qui monte l'escalier. A l'étage, il y a à présent la famille. Clémentine m'entraîne. Nous saluons la jeune femme.
< Qu'est-ce que tu faisais comme saloperies ? > me demande Clémentine en bas. Je lui raconte. < J'adore ! > me confie t-elle.
< Je préfère toutefois savoir ce que tu fais. J'aime te mâter faire le vicelard ! > rajoute encore Clémentine terriblement excitée.
Nous retournons à la voiture. Je démarre. Le rythme des essuies glaces. Clémentine goûte à ma queue gluante en gémissant.
Ces situations, rares, nous mettent dans des états de délires que nous gérons très bien. Nous retournons sur Sarlat. Restaurant.

Nous mangeons de bon appétit. La salle est pleine de monde. C'est le fameux "pont" du premier mai. Pas de réelle opportunité.
Nous traînons à table. Clémentine me confie ses ressentis. A quel point elle adore tomber sur de vrais exhibitionnistes. Sympa.
< Ils montrent leur bite, ils sont hyper vicelards. Mais au moins ils ne font pas chier avec de la drague stupide ! > me fait elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle me raconte ses expériences d'adolescente, cachée dans son mirador, et à observer.
Elle me raconte souvent les mecs qu'elle voyait se branler sans se douter qu'elle était planquée à les mâter. Dans les sous bois.

Nous traînons à table en faisant le bilan de cette journée qui fut riche de belles surprises malgré une météo épouvantable. Bien.
Nous nous promettons de rôder dès demain dans quelques lieux où l'on peut tomber sur ce genre de mec. Toilettes publiques.
Dans l'auto, Clémentine qui se touche sans arrêt me suce parfois, me branle souvent, me raconte des anecdotes d'adolescente.
Il est 23 h lorsque nous sommes de retour. Les toilettes. La salle de bain. Au lit, un bon "69" avant une pénétration immobile.
Clémentine me chuchote les plus étonnantes révélations. Elle aurait volontiers sucé l'exhibitionniste du musée. Orgasmes. Dodo.

Bonne visite à toutes les coquines qui aiment tomber sur des exhibitionnistes rusés, virtuoses et discrets. Branleurs courtois...

Julien - (Qui est à se réjouir des prochaines aventures qui attendent d'êtres vécues dans quelques recoins bien glauques) -

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Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 410 -



Le soleil fait enfin son apparition. Il était temps...

Hier matin, mardi, nous nous étirons tous deux en gémissant longuement. Nous ponctuons ce gémissement par un cri. Court.
< Bonjour ! > nous écrions nous en même temps avant de nous serrer fort en riant de bon cœur. C'est l'instant des papouilles.
Hélas, nos effusions de tendresse sont de bien courte durée. L'impérieux besoin d'aller pisser nous impose d'y mettre un terme.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Il est 7 h30. Dehors le ciel est bleu. Il y a enfin le retour du soleil. Il fait frais.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé. Bien.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le bilan de nos aventures de hier, par cette journée pluvieuse.
Nous rigolons comme des bossus à l'évocation de l'exhibitionniste, hier après-midi, surpris en pleine masturbation à l'écomusée.
Nous faisons le programme de cette journée qui nous attend. Si cette météo se maintient nous pourrons randonner à nouveau.
La vaisselle. Nous nous mettons en tenues de jogging. Même si le sol est encore humide, nous pourrons courir sans problèmes.
Nous descendons l'escalier extérieur pour prendre notre circuit. La fraîcheur est étonnante pour un premier mai. Nous courons.

Une heure quinze d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. Nous rencontrons madame Leroy devant son garage.
Madame Leroy est en jean et en sweat. Nous nous saluons. Nous échangeons quelques politesses et lieux communs. La météo.
La douche. Il est 9 h30. Nous passons dans la chambre mansardée. Assis devant nos ordinateurs. Clémentine révise ses cours.
Je découvre le courriel d'Estelle qui nous confie son impatience de nous retrouver. Je réponds en joignant deux clichés de nous.
Je commence le récit de ce texte que découvre le lecteur. Je récupère nos sous-vêtements pour aller les laver à la salle de bain.

Je suis absorbé dans cette tâche lorsque Clémentine vient me rejoindre. < Finis les révisions ! > fait elle, se serrant contre moi.
< Je ne veux pas que tu t'éloignes à plus de cinq mètres ! > me fait elle encore en me palpant la braguette et en m'embrassant.
Nous suspendons les slips, les petites culottes et les chaussettes sur l'étendoir dans la baignoire. Il est presque déjà onze heures.
Clémentine porte son legging noir et son sweat noir. Chaussée de ses bottines à légers talons. Elle est sublime. Je le lui dis. Joie.
Je porte mon jean noir, mon sweat noir et mes souliers de ville noirs. Nous rions de bon cœur de l'unité de tons de nos tenues...

Dans le petit sac à dos je mets deux pommes, des barres de céréales, la bouteille d'eau. Nous voilà prêts. Nouvelles aventures.
Nous voilà dans la voiture. Le thermomètre indique 10°. Nous portons nos vestes en cuir noir, nos écharpes noires. United color.
Je roule doucement sur la route peu fréquentée. Clémentine joue avec mon sexe en revenant sur les émotions vécues hier. Rire.
Il y a trente kilomètres jusqu'au château de l'Hern. Nous roulons sur l'étroite route qui traverse la magnifique forêt de la Barade.
Nous garons la voiture sur le parking. Il y a déjà du monde. Nous prenons le chemin qui longe les douves. Et plein de touristes.

Parfois un petit nuage cache le soleil quelques instants. Immédiatement la sensation de fraîcheur est plus intense. Désagréable.
Nous prenons quelques photos des vestiges fortifiés dont certains sont en pleine restauration. C'est très impressionnant. Beau.
Nous marchons sur le chemin fréquenté qui mène au village de Sautriers, tout proche. Nous croisons de nombreux promeneurs.
Nous découvrons un bourg typique. Les maisons y sont serrées les unes contre les autres. Et la faim commence à se faire sentir.
Nous visitons le petit bourg en mangeant nos pommes. Nous prenons le chemin du retour. Sur la route il y a un petit restaurant.

C'est un établissement situé au bord de la nationale. Je gare la voiture. Il y a des camions. C'est un restaurant "Routier". Bien.
Malgré qu'il soit déjà 13 h30, nous pouvons prendre le repas du jour. Des escalopes de dinde à la crème, des patates rissolées.
Il est parfaitement possible de remplacer les escalopes par une grande omelette. C'est parfait. Nous choisissons une table. Joie.
C'est un restaurant "populaire". Pas de chichis, pas de manière, c'est à la bonne franquette. Notre table est située à la fenêtre.
Nos hautes silhouettes, nos accoutrements ont attiré l'attention de quelques messieurs attablés seuls. Chauffeurs de camion...

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine se lève pour aller aux toilettes. Je remarque ce type en bleu de travail qui s'y rend.
Clémentine emmène toujours son téléphone aux toilettes. Le mien est posé sur la table. Je demande la carte des desserts. Bien.
Soudain la sonnerie de mon téléphone. C'est Clémentine. Le signal convenu. Je me lève précipitamment pour aller la rejoindre.
Je tombe sur un type dans les toilettes femme. Visiblement il importune ma compagne. Le mec remonte son jean rapidement.
Il me contourne pour sortir à toute vitesse. Clémentine fait : < Pour une fois que je n'ai rien fait ! >. Nous rions de bon cœur...

J'en profite pour pisser. Nous retournons à la salle. Le type est debout devant le comptoir. Il s'apprête à payer avant de partir.
Il évite nos regards. Clémentine me raconte que ce type est entré dans les toilettes avec sa bite à l'air. Impoli, plutôt grossier.
Nous le regardons sortir vite. Par la fenêtre qui donne sur le parking, nous le voyons monter dans une camionnette d'entreprise.
< Tu imagines un peu ! Tu es une fille et tu tombes sur ce genre de mec. Mec qui n'a aucune courtoisie ! > me fait Clémentine.
Même si ma compagne apprécie beaucoup les situations torrides, c'est elle qui veut toujours en contrôler le bon déroulement...

< En plus, t'as vu comme il était moche ! > rajoute encore Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Et il est déjà 14 h30.
La note. Nous reprenons la route. Nous roulons doucement. J'ai la queue à l'air. Clémentine joue avec et me la suce quelquefois.
Nous arrivons à Rouffignac pour prendre la direction de Plazac. Nous découvrons un autre de ces petits villages tranquilles. Bien.
Je gare l'auto. Nous visitons l'église du XIIème siècle. Ce sont très souvent des intérieurs sommaires qui réservent des curiosités.
Clémentine prend quelques photos. Il y a deux couples qui visitent. Nous poussons jusqu'au surprenant petit village de Fantac.

Les maisons de pierres ocres autour d'une église assez quelconque. Nous flânons un peu avant de retourner à la voiture. 16 h30.
Nous reprenons la direction de Sarlat que je veux faire découvrir davantage et pas sous une pluie battante à Clémentine. Super.
Je gare la voiture dans la même rue que la dernière fois, à l'entrée de la ville. Le soleil est radieux malgré une certaine fraîcheur.
Nous déambulons dans les ruelles. Clémentine est enchantée par sa découverte. Et voilà la cathédrale Saint Sacerdos de Sarlat.
Nous en faisons le tour. Nous la visitons. Quelques photos. Je demande à une jeune femme si elle veut bien nous photographier.

Nous découvrons l'église Sainte Marie redessinée par l'architecte Jean Nouvel et qui abrite curieusement un marché couvert.
Même si l'architecture contemporaine nous laisse d'une indifférence abyssale, nous ne manquons pas de remarquer les lieux.
Au dehors nous nous offrons des cônes glacés. Nous faisons le marché de Sarlat pour y découvrir et goûter de bons fromages.
Discrètement, Clémentine me palpe la braguette que je garde secrètement ouverte, tirette vers le bas. Je bande. Une bosse.
Discrètement, lorsqu'elle se blottit contre moi ou que nous regardons une vitrine je passe ma main entre ses cuisses. Legging.

Il est rapidement 19 h30. A nouveau, poussés par la faim qui fait son apparition, nous nous mettons en quête d'un restaurant.
Il y a quelques enseignes fort attirantes. Notre choix se porte sur un établissement typique décoré de manière médiévale. Bien.
Il y a du monde. Pas de réelle opportunité d'exhibe pour Clémentine, un peu frustrée. Le test des chiottes s'avère négatif. Rire.
Nous traînons à table. Nous flânons en retournant à la voiture. Nous sommes de retour à la location vers 23 h. Toilettes et pipi.
Au lit, un bon "69". Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles.

Nous adorons rester sans bouger, l'un dans l'autre à contracter nos muscles fessiers. Nous pouvons sentir nos sexes contractés.
Ce sont toujours ces moments privilégiés ou Clémentine me chuchote les plus étonnantes révélations. J'écoute, c'est bandant.
J'oriente les murmures vers mon fantasme habituel. Être caché et regarder Clémentine sucer un inconnu. Nous nous berçons.
Clémentine n'oppose plus le même refus catégorique que par le passé. L'idée fait doucement son chemin. Elle se met en scène.
Je lui offre un merveilleux cunnilingus pendant lequel elle murmure de superbes cochonneries. Elle veut me sucer. Pipe. Dodo.

Bonnes révélations à toutes les coquines qui aiment livrer leurs doux secrets avec une bonne bite bien introduite. Immobile...

Julien - (En parfait salaud, oriente doucement mais sûrement Clémentine vers la réalisation de ce Put-Hein de fantasme) -

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Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 411 -



C'est notre dernière journée en Périgord. Journée à Périgueux...

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous sur les joues, le front et même sur le bout de mon nez.
J'ouvre les yeux pour découvrir le visage bienveillant de Clémentine au dessus du mien. < Je t'aime Julien ! > murmure t-elle.
Eperdu d'émotion, je l'attire à moi pour lui chuchoter : < Bonjour mon amour ! >. C'est le merveilleux instant des papouilles.
Hélas, l'intense besoin de pisser met rapidement un terme très provisoire à nos effusions de tendresse. Nous filons au cabinet.
Dès la fin de notre rituel pisseux, morts de faim, nous allons à la cuisine. Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café.

Nous prenons notre petit déjeuner tout en bavardant. L'agréable odeur de café participe à ce moment précieux et si privilégié.
Nous mangeons de bon appétit. Dehors, le ciel est principalement bleu. Il y a bien quelques rares nuages. Le soleil est maître.
La vaisselle. Nous nous mettons en tenues. Rien n'est plus important dans l'instant que notre jogging. Une étonnante fraîcheur.
Nous courons d'un bon rythme soutenu afin de nous échauffer rapidement. Nous réalisons notre boucle habituelle. C'est super.
Il est 9 h20 lorsque nous revenons après une heure quinze d'un running régénérateur. La douche. Nous nous habillons. 9 h35.

Nous voilà dans la chambre mansardée. Assis devant nos ordinateurs. Clémentine s'abstrait immédiatement dans ses révisions.
Je commence l'écriture de ce récit que découvre le lecteur. Il y a deux courriels. Estelle et son mot quotidien. Celui de Juliette.
Estelle qui nous décrit la météo pas très sympa qu'il fait là-bas, chez nous. Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités.
Je réponds en joignant deux photos réduites de nous deux en pièces jointes. Je lis les messages et les réponses à Clémentine.
Même si ma compagne est concentrée sur ses cours, l'étonnante faculté féminine de faire deux choses à la fois, la fait sourire.

Je vais à la salle de bain pour décrocher les sous-vêtements secs. Je lave les deux portés hier. Pas de linge sale pour le retour.
Clémentine vient me rejoindre. < Finies les révisions ! > me lance t-elle, derrière moi, en passant ses bras autour de mon cou.
Clémentine porte son legging noir, son sweat moulant noir et ses bottines à légers talons. Je l'adore dans cette tenue de ville.
Sur sa demande je porte le jean noir, le sweat noir. < Monsieur et madame Black ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Je dis : < Monsieur Black vous propose de passer notre dernier jour à Périgueux ! >. < Madame Black est d'accord ! > dit elle.

Je prends Clémentine sur le dos. Nous allons dans la chambre. Nous rangeons nos sous-vêtements dans nos valises déjà prêtes.
Il est 11 h15 lorsque nous sommes en route pour la ville. Trois petits kilomètres où je roule doucement avec la bite à l'air. Bien.
Nous garons la voiture dans la petite ruelle habituelle. Nous avons passé nos vestes en cuir noir. Looks jumeaux très amusants.
Nous allons directement à l'agence de location. Je propose de laisser l'auto à l'aéroport demain matin moyennant supplément.
Il n'y a aucun supplément et c'est tout à fait possible. Il suffit d'en laisser les clefs à l'accueil. Rassurés, nous allons au centre.

C'est jour de marché place Coderc. Nous adorons y balader. Malgré la fraîcheur relative, la présence du soleil est très agréable.
Nous préférons ne pas emmener de nourriture demain, dans l'avion. Ce qui est dommage car tous les fromages sont alléchants.
Par contre, à l'attention d'Estelle et de Juliette, nous prenons trois pots de confitures de noix chez un artisan. Un pot pour nous.
Il est midi trente. La faim commence à s'installer. Discrètement, nous nous touchons les sexes dès qu'une occasion se présente.
Sur la demande de Clémentine, je me promène le plus souvent avec la braguette ouverte. Personne ne voit à moins de scruter.

Nous retournons à la voiture pour y laisser nos achats. Dix minutes et nous voilà à remonter la rue de la Bride et la rue Condé.
Nous trouvons le restaurant idéal. C'est devant deux plateaux de fruits de mer que nous faisons le bilan de nos vacances. Joie.
< C'est bien, c'est beau, mais on n'est pas obligé de revenir ! > conclue Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Sympa.
Nous comparons les différentes régions que j'ai fait découvrir à Clémentine depuis que nous partageons nos existences. Super.
< L'Ecosse ! C'est là que j'ai envie de retourner. C'est là que j'ai envie de vivre un jour ! > dit ma compagne, prenant ma main.

Il y a du monde dans la petite salle mais aucune réelle opportunité d'exhibe pour Clémentine qui me fait part de sa frustration.
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Cet après-midi, expédition exhibe ! Il me faut un "plan" ! >. Coupes glacées.
Nous demandons la note. Nous avons traîné à table et il est déjà 14 h30. Repus, nous flânons une nouvelle fois dans le centre.
Périgueux exerce un charme certain sur le visiteur. Aussi, c'est avec un plaisir que nous parcourons le dédale des rues animées.
Parfois, j'entraîne Clémentine devant une vitrine. Discrètement, je mets ma main entre ses cuisses chaudes. Elle m'embrasse...

Parfois Clémentine m'entraîne sous un porche pour me plaquer contre une porte, m'embrasser et me peloter la braguette. Joie.
Bien évidemment je passe le plus clair de nos errances avec une grosse bosse dans mon jean. Je bande comme un vrai salaud.
Nous traînons dans quelques brocantes du centre ville. Dans l'une d'entre elles, il y a un monsieur intéressé par un buffet droit.
Clémentine me fait remarquer l'élégance très british du type qui doit avoir ma taille. Un costume velours, tempes grisonnantes.
Clémentine me fait : < Reste près des bouquins, je vais me faire un "plan" ! >. Je reste dans la pièce voisine à mâter les livres.

De l'endroit où je me trouve, je vois très bien tout ce qui se passe. Même si je fais semblant de feuilleter d'anciens ouvrages.
L'inconnu doit négocier avec la jeune femme qui tient le magasin. Je la regarde répondre aux questions de ce client potentiel.
Clémentine est accroupit devant des pots en céramique disposés sur des étagères derrière une vitrine. Je reste là à feuilleter.
La jeune femme laisse l'inconnu réfléchir. Elle retourne derrière son comptoir absorbée dans le tri de quelques cartes postales.
Le type vient de remarquer cette grande jeune fille, hyper sexy dans son legging, qui se touche discrètement et plusieurs fois.

Debout devant des bibelots disposés sur le haut de l'étagère, ma compagne fait semblant de les scruter, en les soulevant. Bien.
J'observe les attitudes de l'homme. Il mâte discrètement ce que fait la jeune fille. Il a repéré sa manière discrète de se toucher.
Il sait aussi que nous sommes entrés ensemble dans la boutique. Aussi, il reste pondéré et ne tente aucune approche. Superbe.
Rien n'excite davantage Clémentine que de pouvoir s'amuser ainsi, sans risquer d'être importunée, accostée ou encore draguée.
Ma présence rassurante et sécurisante, lui permet de s'offrir quelques frayeurs et quelques frissons. L'homme est très discret.

L'inconnu se dirige vers la jeune femme derrière son comptoir. L'affaire est certainement entrain de se conclure. Il est allemand.
Pendant que les tractations se passent, Clémentine vient me rejoindre. < Tu bandes ? > me fait-elle. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine avant de retourner à sa discrète exhibe me fait un clin d'œil en disant : < Tu n'as pas tout vu ! >. Je la regarde filer.
Le type revient voir son buffet droit. Certainement un objet du XVIIème. Les moulures et les sculptures rapportées sont typiques.
Un accent allemand prononcé mais une maîtrise parfaite du français, je peux l'entendre donner l'adresse ou il faut livrer l'objet...

L'homme à nouveau seul devant son acquisition s'est accroupit. Il ouvre les portes de son buffet. Clémentine s'est approchée.
Il lève les yeux pour regarder la belle jeune fille qui admire son achat. Il lui adresse la parole. Je vois Clémentine qui se touche.
Tout en bavardant avec le type, Clémentine, la main entre ses cuisses discute dune façon tout à fait naturelle. J'admire le culot.
Ma compagne apprécie les émotions qu'elle ressent dans ces situations. Elle me raconte les sensations, les frissons dans le dos.
L'inconnu doit faire quelques propositions en chuchotant. Je le vois sortir une petite carte de sa poche. Il la tend à la jeune fille.

La jeune femme revient mettant un terme à la discussion. L'affaire doit terminer de se conclure. Clémentine vient me rejoindre.
Nous quittons la boutique. Clémentine me montre la carte qui lui a donné le quidam tout en insistant pour la revoir. Son hôtel.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine agite la carte en disant : < Et encore une pour la "collection" ! >. Poilade.
A la maison, dans une boîte, il doit bien y avoir une trentaine de cartes de visites reçues durant ses jeux. Clémentine en rigole.
Nous nous offrons deux coupes glacées dans un endroit insolite "Café-Brocante". Il y a du monde. Aucune opportunité possible.

Nous profitons au maximum de cette dernière journée pour faire toutes les rues et ruelles. Nous y achetons quelques T-shirts.
En soirée, animés d'une faim cruelle, nous nous offrons un bon restaurant. Crustacés en brochettes et les poissons en grillade.
Nous traînons. Il est 23 h lorsque nous sommes de retour à la location. Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Un savoureux "69".
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobile. Le moment secret.
Les étonnantes confidences de Clémentine. Le fantasme de la pipe à un inconnu devient commun. Cunni. Pipe. Orgasme. Dodo.

Bonne dernière journée de flânerie à toutes les coquines aimant profiter de chaque opportunité pour s'offrir des "frayeurs"...

Julien - (En parfait salaud, à force d'efforts , parvient doucement à partager le fantasme de la pipe "inconnue" à Clémentine) -

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C'est la fin de notre séjour Périgourdin et le retour chez nous...

Hier matin, jeudi, nous nous étirons en même temps tout en gémissant longuement. Gémissements ponctués d'un même cri.
< Bonjour ! >. Cela nous amuse toujours considérablement, aussi, serrés l'un contre l'autre, nous rigolons comme des bossus.
Il est 7 h30. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous allons dans la cuisine. Dehors le soleil.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans cette odeur de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un rapide bilan de ces vacances. La vaisselle et nous nous mettons en tenues.

Il est 8 h lorsque nous commençons notre jogging dans l'étonnante fraîcheur de ce 4 mai. Le ciel est bleu. Il fait pourtant beau.
Il est 9 h15 lorsque nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Nous préparons nos affaires et nos valises.
Je récupère le slip, la culotte et les deux paires de chaussettes qui ont séché depuis hier. Il est 10 h. Nous voilà prêts. Superbe.
Nous avons notre avion à 11 h30. Je dépose les clefs de l'appartement dans la boîte aux lettres de madame Leroy avec un mot.
Nous voilà en route pour l'aéroport de Périgueux-Brassillac distant d'une dizaine de kilomètres. Nous aimons être en avance...

Nous portons tous les deux un jean, un sweat et des baskets. Nos valises à roulettes. Nous arrivons à l'aéroport. Il est 10 h20.
Clémentine qui a joué avec ma queue tout le long de la route me demande de garder discrètement ma braguette déboutonnée.
Je gare la voiture sur le parking. Nous nous rendons à l'accueil pour y déposer les clefs comme convenu avec l'agence locative.
Nous traînons un peu dans le hall. Clémentine, anxieuse à l'idée de se retrouver à 8 000 mètres appréhende un peu le voyage.
Aussi elle préfère marcher. Nos bagages sont enregistrés. Nous les déposons sur le tapis roulant. Nous flânons dans la cafétéria.

L'heure fatidique arrive. Me serrant la main de toutes ses forces, respirant un grand coup, Clémentine m'entraîne. Conquérante.
C'est toujours sa façon d'affronter les situations. Je la rassure. Les voyages aériens sont les plus sûrs de tous les déplacements.
Dans l'avion, on voit les boutons métalliques de ma braguette qui bâille. Je la cache sous un journal. Nous en rions de bon cœur.
Arrivée à Roissy et changement d'avion. Trente minutes de battement. Le voyage se déroule évidemment sans le moindre souci.
Il est 14 h45 lorsque nous arrivons à l'aéroport de notre région. Nous récupérons nos bagages. Tout s'est très bien passé. Rires.

Clémentine se serre contre moi. < Merci pour ces vacances et toutes ces découvertes. Je t'aime. C'est si bien avec toi ! > dit elle.
Je chuchote : < Tu vois tout s'est bien passé personne n'a remarqué ma braguette ouverte ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Là-bas, derrière les barrières de l'accueil, il y a Juliette. Elle nous fait un grand coucou de la main. Elle est là, comme prévu. Bien.
Nous nous saluons. Nous sommes contents de nous revoir. Je m'assois à ses côtés. Clémentine s'installe à l'arrière de la voiture.
Juliette remarque ma braguette ouverte. Je lui raconte que j'ai fait tout le voyage ainsi, sur la demande de Clémentine. Rigolade.

Juliette a une conduite prudente. Sa berline Allemande est identique à la mienne. Après la Golf de location, j'apprécie le confort.
Nous bavardons. Nous arrivons chez nous. Juliette préfère nous déposer sans nous accompagner. Nous nous revoyons en soirée.
Nous sommes invités à manger. Nous prenons nos valises dans le coffre. Juliette me fait : < Braguette ouverte ce soir ! >. Rires.
Nous voilà de retour à la maison. Tout est propre. Il y a l'odeur du lilas. Il y en a dans toutes les pièces. Une attention d'Estelle.
Nous découvrons le petit mot écrit par Estelle et posé sur la table de la cuisine. Elle vient en bicyclette ce soir pour 18 h30. Joie.

Clémentine sautille autour de moi, se précipite dans mes bras. Je la soulève. < C'est bien aussi chez nous ! > s'écrie t-elle. Bises.
Et c'est vrai que la quiétude et le calme de notre maison nous manquent à nos insu. Nous nous en rendons compte à nos retours.
Nous défaisons nos valises pour tout ranger dans l'armoire. Je descends à la buanderie avec le linge à laver. Les T-shirts, sweats.
Je remonte. Clémentine est en jupette légère, jambes largement écartées, vautrée dans le canapé. Elle me fait signe de l'index.
L'épais coussin est déjà déposé au sol sur le tapis. Je viens m'y mettre à genoux, le visage entre ses cuisses. Elle me tient ferme.

Je hume longuement les effluves parfumées de sa journée de fille. Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider.
Du bout de ma langue, je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Et ses poils qui me chatouillent le visage.
Il y a de quoi se régaler. Le goût légèrement vinaigré, conséquence des urines, un peu piquant, m'émerveille puis m'enchante.
C'est lorsque je m'occupe de son clitoris géant que Clémentine se met à souffler, à gémir. Il y a les premiers frissons. Spasmes.
C'est adorable de la savoir entrain de lutter contre l'orgasme. Il n'en est pas question. Aussi, Clémentine me repousse souvent.

La situation devient critique. Nous jouons avec l'extrême limite. Il nous faut cesser. Je me redresse. Clémentine m'attire sur elle.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Tendresse. Douceur. Merveille. Bise.
Clémentine me chuchote d'étonnantes révélations. < Je vais bientôt t'étonner. Réaliser ton fantasme qui est devenu le mien ! >
J'écoute. Nous sentons nos cœurs battre dans nos poitrines. Je ne dis rien. Je veux laisser Clémentine dans le flot des secrets.
< Il faut bien préparer ce plan. Trouver le lieu idéal. Le plus difficile sera de rencontrer la bonne opportunité ! > me confie t-elle.

Je sais pouvoir faire confiance en sa capacité de saisir la moindre occasion et, au besoin, de provoquer la situation quelque part.
Nous restons ainsi un long moment, alternant de lents mouvements de nos bassins, l'un dans l'autre et les périodes d'immobilité.
Il est rapidement 17 h45. Il faut cesser pour cause d'orgasmes imminents. Nous voulons rester excités pour ce soir chez Juliette.
Je me retire. J'ai la bite gluante de nos mélanges. Clémentine me suce un peu. Je la force à cesser. Je lèche sa chatte trempée.
Nous nous réajustons. Nous montons à la salle de bain pour nous mettre de l'eau froide sur le visage. Du bruit en bas. Estelle...

Nous descendons à toute vitesse. Estelle nous saute au cou. Nous nous serrons tous les trois très fort. Nous restons ainsi. Joie.
< Comme vous m'avez manqué ! > nous chuchote Estelle que je tiens par la nuque. Clémentine la repousse doucement. Rires.
Nous allons au salon. < Vous avez baisé ! > fait Estelle, découvrant les coulures encore luisantes sur le cuir marron du canapé.
< On ne peut rien te cacher ! > lui fait Clémentine. Nous en rigolons tous les trois comme des bossus. Estelle, à genoux, renifle.
Je la regarde entrain de humer et de scruter les coulures. Je sors ma bite gluante de foutre épais et visqueux pour la lui tendre.

Estelle pousse un cri de ravissement. Me tenant par les hanches, elle se met à me tailler une pipe et en gémissant de bonheur.
Clémentine se frotte contre ma hanche pour m'embrasser. Nous restons ainsi un petit moment. Estelle se régale en gémissant.
Je la tiens par ses cheveux pour la forcer à se relever. Elle me montre l'intérieur de sa bouche avant d'essayer de déglutir. Dur.
Il est presque dix neuf heures. Nous montons tous les trois à l'étage. Nous nous donnons visage humain devant le miroir. Rire.
Nous décidons de rester en jeans, chemises à carreaux et baskets. Nous faisons les clowns devant le miroir de l'armoire. Super.

Nous sommes attendus pour 20 h. Il est dix neuf heures trente lorsque nous prenons la route du haras. Nous arrivons. Parking.
Je gare la voiture. Clémentine m'entraîne dans l'écurie habituelle. Nous y entrons tous les trois. Il y a monsieur Gérard. Boulot.
Le palefrenier, tout heureux de nous revoir, nous salue. Il est très amical et chaleureux. Nous bavardons un peu. C'est sympa.
Monsieur Gérard nous invite à passer le voir un de ces soirs. Boire un café dans sa caravane. Nous lui promettons de le visiter.
Il est vingt heures. Juliette nous attend dans la cour. Nous la suivons à l'étage, dans ses appartements. Une odeur délicieuse...

Juliette a préparé une tarte au thon accompagnée de crudités. La table est mise. Nous sommes morts de faim. C'est une torture.
A plusieurs reprises Juliette regarde avec insistance ma braguette. Son regard terriblement lubrique n'échappe pas à Clémentine.
Estelle, mimant une masturbation masculine fait : < On y a veillé, elle est ouverte ! >. Nous rions tous les quatre de bon cœur.
Nous voilà assis. Le repas est un véritable délice. Nous mangeons de bon appétit. Nous racontons nos vacances dans le Périgord.
Juliette nous parle de ses activités. Il reste une dizaine de chevaux au haras. C'est un soulagement et beaucoup moins de boulot.

Estelle nous raconte ses deux soirées en compagnie de Gauvin, le collègue étudiant qui est un garçon charmant, plein de classe.
La soirée se passe ainsi à bavarder de choses et d'autres. C'est au dessert que la conversation glisse sur ce qui nous passionne.
Juliette évoque le trou dans la cloison. Elle propose de découvrir le second trou pratiqué dans un des murs de la nouvelle écurie.
Elle nous montre une photo sur son téléphone. Nous promettons de venir voir ça. Et un de ces tous prochains soirs. Intéressant.
Nous insistons pour faire la vaisselle tous les quatre. Un dernier café avant de prendre congé. Juliette nous raccompagne. Bien...

Avant de monter dans la voiture, je sors ma bite que j'agite devant Juliette en disant : < Je viens essayer le nouveau trou ! >
< Oh oui ! Quand vous voulez ! > répond Juliette. Nous rigolons tous les quatre comme des bossus. Nous nous saluons. 23 h !
Nous nous serrons la main. Juliette de son index, tout en me serrant la main, me chatouille l'intérieur de la paume. Vicelarde.
Je bande instantanément. Ces instants de vices intenses provoquent toujours chez moi de véritables montées d'adrénaline. Joie.
Nous quittons le haras. < Regarde ! > me fait Estelle. Je regarde dans le rétroviseur. Juliette mime une branlette et un coucou.

Nous ramenons Estelle un peu tristounette de nous laisser. Je lui promets de la chercher demain soir. 18 h. Son vélo chez nous.
Au retour Clémentine me confie son ressenti quand à l'attitude de Juliette. < Je veux la voir te sucer cette salope ! > fait elle.
Je réponds : < Attendons encore. Ne brusquons rien. Nous nous faisons peut-être des idées fausses ! >. Nous voilà de retour.
Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Nous nous offrons un "69" savoureux. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis. Prudent.
Clémentine me confie d'autres secrets. Cette fois, allumés comme rarement, nous ne pouvons éviter l'orgasme. C'est le dodo...

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Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 413 -



Nous nous installons dans nos confortables habitudes. Et certitudes...

Hier matin, vendredi, je me réveille le premier. Je reste sans bouger. J'ouvre les yeux. Je regarde Clémentine qui dort encore.
Elle est si belle, couchée sur le dos, la bouche légèrement ouverte, les traits fins de son visage, émettant un léger ronflement.
Hélas, mon plaisir est de courte durée. Le sixième sens de ma compagne est d'une redoutable efficacité. Le ronflement cesse.
Elle ouvre subitement les yeux, m'attrape par le cou, m'attire à elle pour s'écrier : < Bonjour Julien, je t'aime ! >. Des bisous.
Nous nous serrons fort. Je lui chuchote : < Bonjour mon amour ! > juste avant qu'elle ne me chevauche en riant. Papouilles.

L'impérieux besoin naturel s'impose à nous, nous obligeant à nous précipiter aux toilettes. Nous nous précipitons à la cuisine.
Morts de faim nous préparons notre copieux petit déjeuner. Il faut faire des courses. Estelle nous a ramené une baguette hier.
De quoi tenir pour ce matin. Il est 7 h30. Dehors le temps est gris, le ciel bas et lourd. Menaçant. Il faut se vêtir chaudement.
Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant. Curieusement, nos vacances en Périgord nous paraissent déjà lointaines.
Nous faisons le programme de cette première journée chez nous. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous voilà en tenues.

Nous nous offrons notre jogging dans un climat automnale. Une étrange impression que de courir sous ce ciel presque sinistre.
Nous retrouvons avec joie nos reflexes sur notre circuit habituel. Sauter le petit ruisseau et éviter le grillage cassé de la rivière.
Il est 9 h30. Nous sommes de retour après un running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons. Il ne fait pas chaud.
Clémentine porte son legging noir, son sweat noir, sa veste de cuir noir, cintrée à la taille. Chaussée de ses bottines. Superbe.
J'aime la voir ainsi. Discrètement sexy. Sur sa demande, je porte mon costume de velours noir. Nous voilà prêts. Il est 10 h15.

Dans la voiture, Clémentine joue avec ma queue. Je roule doucement. Nous nous réjouissons de retrouver nos habitudes. Joie.
< On est bien aussi chez nous, à la maison ! > me fait plusieurs fois Clémentine. 12 km et nous arrivons au supermarché. Bien.
Il y a moins de monde qu'un samedi. Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne dans les allées en choisissant ce qu'il faut.
Lessive liquide spéciale noir. Papier cul. Sopalin. Papier sulfurisé. Conserves. Nous faisons la queue à la poissonnerie. Une file.
Nous faisons provisions de filets de lieu noir, de cabillaud et de haddock. Crevettes, langoustines. Surtout les pavés de saumon.

Sur la demande de Clémentine, une fois encore, la tirette de ma braguette ouverte pointe vers le bas. C'est discret et invisible.
Ma compagne nous entraîne au rayon des livres. Nous en faisons plusieurs fois le tour en traînant. Il n'y a pas d'opportunité.
Elle m'entraîne dans le rayon des vêtements. L'endroit est désert. Discrètement, se serrant contre moi, elle me palpe la bosse.
Je passe ma main entre ses cuisses. Depuis quelques temps, je prends les lèvres charnues de son sexe à pleine main en tirant.
J'adore le reflexe de son bassin lorsque je fais ça. A la fois un effet de surprise mêlé d'un spasme rapide. Clémentine adore ça.

Nous ferons provision de légumes et de fromages demain matin au marché. Par contre nous prenons de belles pommes de terre.
Clémentine depuis deux jours a une forte envie de patates farcies. Nous passons en caisse. Nous flânons. Galerie commerciale.
Il est 11 h45. Je propose l'éventualité d'un "plan" dans le salon de thé. Il y a un type qui semble seul à lire son journal au fond.
Nous allons ranger nos courses dans le coffre de la voiture. Nous revenons dans la galerie commerciale. Le salon de thé. Cafés.
Le type est toujours là. La quarantaine. Elégant. Il est absorbé dans la lecture de son journal. Nous voilà assis à la table voisine.

La configuration des lieux permet les plus audacieuses possibilités. C'est tout en longueur et au fond il y a la porte des toilettes.
Clémentine est assise face à la salle. Je tourne le dos à l'inconnu. J'ai mon téléphone dans l'écran duquel je vois. Un rétroviseur.
La serveuse nous apporte nos cafés. Clémentine me raconte ce qu'elle fait sous la table. Elle se palpe le sexe de sa main droite.
Je regarde l'écran noir du téléphone. Je constate que le type vient de découvrir ce que fait la belle jeune fille assise devant moi.
Il fait semblant de lire tout en louchant sur les activités de la fille. La disposition des tables permet les plus folles audaces. Bien.

< Le test des chiottes ! > me fait Clémentine en se levant. La main entre ses cuisses, debout un instant devant la table. Super.
Je fais semblant de consulter mon téléphone. Le type se lève pour aller aux toilettes. "Gagné" ferait Clémentine. Cela m'amuse.
Un petit moment se passe. Clémentine revient la première. < Il m'a surpris dans les toilettes homme ! > me fait elle. J'écoute.
< Il m'a proposé son aide ! > rajoute t-elle. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Tout cela devient d'un commun ! >
Il faut bien se rendre à l'évidence. Ce scénario qui se répète ne permet que peu de déclinaisons. Le reflexe masculin identique.

Nous sommes morts de faim. Nous retournons à l'auto. Sur le chemin du retour, Clémentine se touche et joue avec ma queue.
Il est 12 h45. Nous rangeons nos courses. Immédiatement nous nous mettons à la préparation de notre repas. Patates farcies.
Clémentine s'occupe de la salade de carottes et de son assaisonnement. J'évide les pommes de terres. Je prépare une farce.
Dans la poêle je fais décongeler du pâté de lentille auquel je rajoute des champignons, de l'ail, de l'oignon et du gruyère râpé.
Ce sont les restes de Comté, d'Emmental et de mimolette que je mélange. < Restes de frigo à la Toscane ! > fait Clémentine...

Les pommes de terre sont au four. La table est mise. Clémentine m'entraîne au salon. Elle jette l'épais coussin velours au sol.
Elle s'y met à genoux, me tient par les hanches. Je sors ma bite pour la lui passer sur le visage dont elle présente les reliefs.
J'aime la voir, les yeux fermés, me présenter son visage sur lequel je frotte soigneusement ma queue. Je la lui passe partout.
Je la tiens sous le menton et par la nuque. < Sois salaud ce Week-End, s'il te plaît, j'en ai vraiment besoin ! > implore t-elle.
Elle rajoute : < Lundi c'est la rentrée ! Fais moi délirer ! >. Je lui promets d'être à la hauteur de toutes ses attentes légitimes.

Je tiens ma queue pour la tapoter sur le visage de Clémentine qui, bouche ouverte, tente de la gober. Je l'en empêche. Sympa.
Nous jouons. Ma compagne m'excite autant qu'elle ne l'est déjà. Je la laisse pomper. J'adore la musique de ses gémissements.
La sonnerie du four. Je soulève Clémentine fermement en la tenant par ses cheveux. Je lui palpe le sexe avec vulgarité. Plaisir.
Nous nous précipitons à la cuisine. Les pommes de terre farcies sont un véritable festin de roi. Malgré toute leur simplicité. Bon.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose d'aller dans l'atelier. Reprendre notre rythme.

Assise à la table, entourée de ses affaires devant l'ordinateur, Clémentine s'abstrait rapidement dans ses révisions. Je l'y aide.
< Je me sens hyper prête ! Vivement que ce Master soit derrière moi ! Ras le bol ! > me fait elle en évoquant l'examen à venir.
Je sais qu'en parlant ainsi ma compagne est pressée d'en découdre. Elle veut affronter cette épreuve et sans le moindre doute.
Je suis assis devant mon chevalet. Je suis envahi d'un sentiment de plénitude, de sérénité et de bonheur. Enfin de retour. Bien.
Je commence la peinture de ma vingt sixième toile. Je me livre à ma passion corps et âme. Je conserve ma confortable avance.

J'aurais les trente toiles nécessaires pour ma saison d'été dès la fin du mois de mai. Le timing parfait. Juin sera à nous. Le vélo.
Il est rapidement 17 h45. La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine se précipite pour s'en saisir. < Estelle ! > fait elle.
Nous mettons nos vestes pour aller la chercher. Comme sa bicyclette est restée chez nous elle nous attend dans l'arrêt du bus.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée. Elle aussi est pressée d'en découdre. "Master".
Nous voilà de retour. Les filles révisent encore un peu ensemble. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Je vais les rejoindre.

Debout derrière elles, les tenant par la nuque, je leurs dis : < Ce soir, restaurant de l'étang ! >. < Bite à l'air ? > me fait Estelle.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordinateur. J'écoute en sortant ma bite.
Je suis debout entre les deux filles en agitant doucement mon sexe. < Tu devrais venir faire ça en cours ! > me fait Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Nous montons à l'étage. Nous nous changeons. Je porte à nouveau mon costume de velours noir.
Clémentine met une jupe, des collants. Estelle préfère rester en jean et avec son éternelle chemise à carreaux. Nous voilà prêts.

Douze petits kilomètres et nous arrivons au restaurant de l'étang. L'effet de surprise est total lorsque Julie nous voit entrer. Joie.
La jeune serveuse se précipite pour nous saluer, nous serrer la main. Nous la suivons. La table habituelle. Il y a peu de monde.
Nous commandons trois grands plateaux de fruits de mer. Julie nous raconte ses vacances. Ses révisions. La licence de lettres.
Les filles évoquent leurs études. J'écoute. Discrètement, sous la table, je sors ma queue. Une fois seuls, j'en fais part aux filles.
Nous dégustons ce repas avec tous les honneurs. Clémentine a remonté le coin de la nappe qu'elle coince sous la carafe d'eau...

Julie, derrière son comptoir, peut parfaitement me voir me branler doucement sous la table. < J'ai envie de sucer ! > dit Estelle.
< Accompagne le aux chiottes ! > lui fait Clémentine. Je me lève. Mon pull dissimule ma braguette ouverte. Je vais à l'escalier.
Je descends quelques marches. Certain de n'être vu que par la jeune serveuse, je sors ma bite que j'agite dans sa direction. Joie.
Julie me fait le plus délicieux des sourires. Je vois soudain le visage d'Estelle, penchée pour m'observer. Je me branle doucement.
Clémentine qui s'est levée, me regarde. Je bande comme le dernier des salauds. Je pourrais éjaculer, là, tellement je suis excité.

Je descends. J'entre dans les toilettes homme. Je laisse la porte entrebâillée. Je me masturbe doucement pantalon aux genoux.
Un bruit de pas. C'est Estelle et Julie. Les filles restent dans l'encadrement de la porte. < Vicelard ! > fait Estelle. Julie me sourit.
< Génial comme toujours ! > me fait elle. < Tu n'as pas envie de lui bouffer la bite ? > demande Estelle à Julie qui reste secrète.
Il y a un bruit de pas. Je me réajuste juste à temps. C'est un des clients qui vient aux toilettes. Je remonte avec les deux filles.
Nous racontons nos émotions à Clémentine. Le dessert. La note. Il est 22 h30. Nous saluons Julie. Je l'invite à nous contacter...

Au retour, Estelle assise au sol, dans la voiture, entre les jambes de Clémentine me taille une véritable pipe des familles. Super.
Je roule doucement, avec prudence sur la petite route déserte. Nous déposons Estelle devant l'arrêt de bus. 100 m de chez elle.
La séparation est difficile. Je la rassure. Je sors sa bicyclette du coffre. J'y fixe la roue avant. Nous la regardons rentrer. Silence.
Au retour, Clémentine me fait part de ses ressentis. < Tu as été génial ce soir ! J'aime mon vicelard. Mon Julien ! > me fait elle.
Toilettes. Salle de bain. "69". Pénétration immobile. Révélations excitantes. Cunnilingus. Fellation. Orgasmes délirants. Le dodo.

Bon retour à vos douces habitudes à toutes les coquines qui retrouvent les situations glauques dont elles raffolent...

Julien - (Qui s'apprête à passer un nouveau Week-End hyper vicelard, bite à l'air, à vivre dans le stupre et la luxure) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 414 -



Le début d'un agréable Week-End avant la rentrée

Hier matin, samedi, nous nous étirons longuement et tout en gémissant. Gémissement qui se ponctue dans un cri identique.
< Bonjour ! >. Nous en rions tous deux de bon cœur en nous serrant fort. Nous nous couvrons de bises. Tendresse. Douceur.
Clémentine me chevauche en me chuchotant : < T'as de la chance que je préfère être en dessous ! Parce que sinon, crac ! >
Nous rigolons comme des bossus en nous précipitant aux toilettes. Morts de faim nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Dehors il fait beau. Il est 7 h30. Le ciel est bleu et il y a du soleil.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque la rentrée du lundi 7.
A notre retour, dans la boîte aux lettres, elle a eu la joie de découvrir les dates des épreuves d'admission au Master. Superbe.
Les résultats seront connus dès le début du mois de juin. < Si tu savais comme je suis pressée d'en finir avec ça ! > fait elle.
La vaisselle. Nous remontons pour nous mettre en tenues. C'est le plaisir de notre jogging matinal. Shorts malgré la fraîcheur.

Il est 8 h15. Il faut courir vite afin de s'échauffer. Nous faisons notre circuit habituel. Nous croisons un autre couple. Joggeurs.
Il est 9 h30 lorsque nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Nous nous savonnons en riant. Ambiance.
Nous nous habillons. Il faut aller faire notre marché. Clémentine porte une de ses jupes carmins évasée au dessus du genoux.
C'est la première tentative sans collants. Un pull de fin coton noir. Une veste de toile légère. Souliers à légers talons. Elégante.
Sur sa demande, je porte un simple jean, un sweat et des souliers de ville. Il est 10 h. Nous voilà en route pour le bourg voisin.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. < Ça m'a fait un bien fou d'être seule avec toi dix jours ! > me confie t-elle.
Elle rajoute : < J'ai parfois l'impression de me disperser, de ne pas toujours contrôler la situation ! >. J'écoute silencieusement.
Je gare la voiture. Sur la demande de ma compagne, je reste avec la braguette de mon 501 déboutonnée, cachée par le sweat.
Je porte les sacs. Il y a du monde. Il fait beaucoup plus agréable que ce matin. Nous déambulons dans l'allée principale. Super.
Comme toujours, beaucoup de regards se tournent sur cet homme d'âge mûr tenu au bras par cette grande et belle jeune fille.

Nous nous en amusons beaucoup. Nous faisons provisions de fruits, de légumes chez nos agriculteurs locaux. C'est très sympa.
Chez l'artisan habituel nous faisons provision de fromages, de beurre, de crème fraîche et de yaourts. Nous bavardons avec lui.
Nous avons un bon mot avec chacun. Comme il est inutile de retourner au supermarché où nous étions hier, nous traînons. Joie.
Comme j'ai les bras chargés, Clémentine avec sa discrétion virtuose, me palpe la braguette à plusieurs reprises. Nous en rions.
Nous revenons à la voiture. Il est à peine onze heures. < On fait une visite surprise à Juliette au haras ? > propose Clémentine.

Les sacs sont dans le coffre. Avant d'entrer dans la voiture, j'attrape Clémentine. Je passe ma main sous sa jupe. C'est chaud.
Comme je le fais de plus en plus souvent, je prends les lèvres charnues de son sexe à pleine poigne. Puis je tire un peu dessus.
Il y a toujours cet effet de surprise, ce réflexe et ce léger spasme. Je tâche d'être le plus vulgaire possible. Clémentine apprécie.
< J'aime quand tu es salaud ! > chuchote t-elle. Nous voilà en route. Je roule doucement. La bite dans la main de Clémentine.
Elle retire sa culotte. Nous arrivons au haras. Il y a un couple de propriétaires qui font monter leur cheval dans une remorque.

Nous saluons madame Walter. Chose rare, ses cheveux en liberté. Elle est vêtue de sa tenue d'équitation. Elle semble contente.
< Juliette n'est pas là, elle monte ce matin ! > nous fait-elle en nous invitant à visiter la nouvelle écurie à présent fonctionnelle.
Nous bavardons un peu. Madame Walter nous confie son soulagement avec la fin de cette saison de pension. Moins de chevaux.
Je surprends parfois son regard s'attarder sur ma braguette pourtant dissimulée par mon sweat. Clémentine le remarque aussi.
Nous croisons le palefrenier tout content de nous revoir. Monsieur Gérard nous serre la main. < Alors ? Et ce Périgord ? > fait il.

Nous parlons un peu de nos vacances. Madame Walter nous apprend qu'elle et son mari sont originaires de Sarlat. Elle raconte.
Il y a le couple de propriétaires qui vient nous rejoindre. Madame Walter nous laisse là avec monsieur Gérard. Nous bavardons.
Clémentine s'accroupit à ma droite. Elle pose sa tête sur ma cuisse. Elle me tient par la jambe. Sa position préférée en ces lieux.
Monsieur Gérard, qui sait depuis longtemps à quoi s'en tenir, garde le plus parfait contrôle de ses émotions. Et tout en discutant.
Clémentine écarte un peu plus ses cuisses en posant des questions précises sur le Périgord que connaît également le palefrenier.

Nous restons ainsi un petit moment avant que madame Walter ne revienne nous rejoindre. En voyant la scène, elle a un sourire.
Madame Walter me fixe par en dessous de son regard équivoque où ne tarde pas à poindre son expression vicelarde coutumière.
Bien évidemment, je bande rapidement comme un priapique en phase terminale. Soudain, la musique ridicule de mon téléphone.
Clémentine se redresse pour me le retirer de ma poche, remontant par la même mon sweat. Madame Walter mâte ma braguette.
Monsieur Gérard nous laisse pour retourner vaquer à ses occupations de palefrenier. Madame Walter fixe ma braguette qui bâille.

< C'est Estelle ! > me fait Clémentine qui engage une conversation. Madame Walter semble un peu troublée par ma belle bosse.
Je contracte mes muscles fessiers à plusieurs reprises pour faire bouger mon sexe dans mon slibard. Effet garanti. Du grand Art.
< Elle nous rejoint à 14 h pour venir faire de la bicyclette avec nous ! > me fait Clémentine en regardant aussi ma queue bouger.
Je me palpe vulgairement la bosse. Je dis à madame Walter : < Si ça vous tente ! >. < Quoi donc ? > dit elle. Je fais < Vélo ! >
Son sourire, absolument charmant, en dit beaucoup plus long. Elle fixe ma braguette pour faire : < Oh oui, que ça me tente ! >

Il est midi. Madame Walter, désireuse de mettre un terme à cette situation plutôt torride, me fait encore : < Je dois rentrer ! >
Nous nous saluons. Nous nous serrons la main. Nous nous reverrons bientôt. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'à l'auto.
Dans la voiture elle me fait : < Tu as vu sa réaction quand tu faisais bouger ta queue ? Aucun doute, elle apprécie à blinde ! >
Il est 12 h15 lorsque nous sommes de retour. Nous rangeons nos courses. Clémentine s'occupe de la salade et l'assaisonnement.
Je fais revenir les haricots verts dans le wok tout en m'occupant des filets de lieu noir que je panne avant de les cuire à la poêle.

Nous mangeons de bon appétit en évoquant notre petite visite surprise au haras. La réaction de madame Walter. Le jeu de bite.
Nous traînons à table. Dehors, il fait de plus en plus chaud. Nous descendons au jardin pour faire le tour de la propriété. Super.
Nous découvrons les légumes qui commencent à pousser dans notre potager. Il faudra retirer quelques mauvaises herbes. Joie.
Il est 13 h45. Nous terminons la vaisselle et de ranger la cuisine. Estelle entre dans cuisine en faisant : < Coucou les gens ! >
Elle se précipite dans mes bras. Clémentine s'interpose en faisant : < Oh là, on se calme ! >. Nous rigolons comme des bossus.

Estelle porte son short kaki et un T-shirt brun. Son petit sac à dos rouge. Nous montons nous mettre en tenues. Il fait si beau.
Clémentine tente la jupette qui tombe à mi-cuisses façon tennis. Beige. Un T-shirt blanc. Je mets mon short noir. T-shirt bleu.
< Pourquoi tu ne tentes pas la jupette ? > demande Clémentine à Estelle. Cette dernière décline la proposition en se touchant.
Estelle descend son short et sa culotte, se met à quatre pattes sur le lit pour nous montrer son cul. C'est la première fois. Rire.
Clémentine fait pareil à ses côtés. Je m'appui sur le lit pour leur renifler le cul. Ces trous que je discerne à peine dans les poils.

Le trou du cul d'Estelle dégage cette habituelle odeur de sueur et de caca. Je préfère m'attarder sur celui de Clémentine. 14 h.
J'enfonce soudain mon doigt par surprise dans les deux culs en disant : < On y va les filles ! >. Elles ont le même mouvement.
Je sais que Clémentine déteste par dessus tout les intromissions annales. Pourtant, cette fois, elle fait : < Je t'aime salaud ! >
< Moi aussi ! > rajoute Estelle en m'attrapant le poignet pour me retirer mon doigt. Je le regarde et je le renifle. Dégueulasse !
< C'est bien fait pour toi ! > me fait encore Estelle en pouffant de rire. Je le passe sous l'eau du petit lavabo de la chambre.

Je contrôle la pression des pneus. 4,5 bars. Ça n'a pas bougé depuis la dernière fois. Nous voilà en route pour la piste cyclable.
Il y a beaucoup de monde à profiter de cette météo splendide. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest tout en bavardant.
Les filles évoquent les épreuves du Master qui s'annoncent dans deux semaines. Et toutes les deux sont emplies de certitudes.
Ce sont des gagnantes. L'idée même d'un échec est étrangère à leur façon d'appréhender l'existence. Nous sommes identiques.
25 km et nous arrivons au petit port de plaisance. Il y a un monde fou. Demain, il y a un concours et un circuit VTT d'organisé.

Nous nous offrons nos cônes glacés que nous dégustons en flânant sur le quai. L'appareillage des bateaux de plaisance. Super.
Clémentine nous entraîne dans les sanitaires réservés aux plaisanciers. Nous nous lavons les mains. Je suis derrière les filles.
Je glisse ma main dans le short d'Estelle. Je lui enfonce le doigt dans le cul. < Toi, tu cherches la merde ! > me fait elle. Rires.
Je glisse mon autre main sous la jupe de Clémentine pour faire pareil. Elle me dit : < Et tu vas finir par la trouver ! >. Rigolade.
Nous restons ainsi à nous fixer dans le miroir. J'encule les deux coquines de mes index lorsque la porte des toilettes s'ouvre...

C'est un des plaisanciers. Il tombe sur cette scène sans comprendre réellement ce que nous faisons. Nous restons sans bouger.
Les deux enculées font : < Bonjour ! > en même temps. Je suis un peu emmerdé. Et c'est le cas de le préciser. Le type rigole.
Je bouge doucement mes deux index chacun dans leur trou du cul respectif. Le type s'enferme dans un des trois cabinets. Joie.
Clémentine se retourne pour m'embrasser. Estelle met sa main dans mon short. Je regarde l'index qui était dans Estelle. Pouah.
Il y a du caca. < T'es vraiment une fille négligée ! > que je lui glisse à l'oreille. Nous en rigolons comme des bossus en sortant.

Nous nous promenons longuement sur le quai. Nous assistons aux préparatifs. Ce sera une course de VTT de 30, 40 et 50 km.
Je propose aux filles de nous y inscrire. Pas pour le sport mais pour le fun. < Si tu me mets le doigt dans le cul ! > fait Estelle.
Je m'empresse de renifler mon doigt lavé pour répondre : < Non merci, ça ira comme ça ! >. Nous rigolons comme des bossus.
< Moi, tu le me mets dans la chatte ! Je préfère ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Cette ambiance nous excite.
Il est dix neuf heures lorsque nous reprenons le chemin du retour poussé par le vent. Il fait un peu plus frais. Il faut les sweats.

Morts de faim, nous nous mettons à la préparation du repas. Clémentine s'occupe de la salade et son assaisonnement. Super.
Estelle épluche de l'ail et de l'oignon pour le bouillon dans lequel je vais verser les moules. Il est déjà 20 H30 et la nuit arrive.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation reste axée sur les épreuves du Master. Les derniers détails et les stratégies.
La vaisselle. Je termine de ranger la cuisine. J'entends les filles rire au salon. Je les rejoins. Quelle n'est pas ma surprise. Rire.
Clémentine et Estelle sont à quatre pattes sur le canapé me présentant leurs culs. < Tu bouffes ? > me fait Estelle. Rigolade.

Je me penche pour admirer ces deux culs merveilleux. Les odeurs fortes de leur journée de fille exhalent d'une puissance rare.
Je hume longuement, passant de l'une à l'autre. Je suis enivré et saisi de vertige. Je passe mes mains pour caresser les sexes.
Je m'attarde un peu. Je lèche la raie culière de Clémentine toujours si savoureuse. Je l'entends gémir de bonheur. De la sueur.
Je fais pareil dans la raie culière d'Estelle. Le goût me révulse. C'est immonde. A gerber. Et avec la sueur qui dégouline. Beurk.
J'enfonce à nouveau mes index dans les deux culs. Clémentine se touche. Elle se masturbe tout en se cambrant. C'est sublime.

Estelle s'aperçoit rapidement de ce que fait Clémentine. Se cambrant à son tour, elle se touche. Je tourne mes index très vite.
Je scrute avec l'attention d'un entomologiste ces deux trous du culs. J'ai mes index plantés jusqu'à la garde. Je les fais tourner.
Clémentine a le teint mat. C'est un spectacle merveilleux. Toute cette sueur humide qui mouille cette touffe broussailleuse. Joie.
Estelle a le teint plus pâle. On discerne donc beaucoup mieux les miasme qui collent sa touffe abondante. Du beau poil de cul !
Je bande comme le dernier des salauds. Il n'est évidemment pas question de les enculer avec autre chose que mes index. Niet.

Clémentine est la première à se dégager. Tout en continuant à se masturber, elle se met à genoux entre le canapé et moi. Bien.
Elle sort ma queue. Elle me suce comme si sa vie en dépendait. Je continue de doigter le cul Estelle qui se masturbe. Des cris.
J'enfonce l'index de mon autre main dans sa chatte en murmurant : < Pucelle ! Mon cul, oui ! >. < Non, le mien ! > fait Estelle.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Je me penche pour brouter le cul d'Estelle. Avec la pipe que m'offre Clémentine, un régal.
Estelle n'a pas la force de caractère et la maîtrise de Clémentine. Aussi, l'orgasme qui secoue son corps est dithyrambique. Fou.

Je garde mon doigt enfoncé. Estelle tente de le déloger en tirant sur mon poignet. Elle se retourne pour me balancer une gifle.
Elle me crache au visage en disant : < Tu n'as pas honte de doigter une pucelle, espèce de vieux vicieux ! >. Elle est si sincère.
Pourtant je sais bien que si jouer l'effarouchée est sa grande spécialité, son talent de comédienne est tout aussi bluffant. Joie.
Je force Clémentine à se redresser en la tirant par ses cheveux. Il est 22 h30. Nous sommes épuisés. Bicyclette, orgasmes fous.
Nous montons. Toilettes. Salle de bain. Au lit, Estelle s'endort presque de suite. Clémentine veut reprendre sa pipe. Jute. Dodo.

Bonne sortie à bicyclette à toutes les coquines qui apprécient de se retrouver avec un doigt dans le cul en suçant des glaces...

Julien - (Qui découvre là une nouvelle déclinaison vicelarde partagée par les deux coquines qui ensorcellent son existence) -

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Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 415 -



Une journée radieuse avec une belle récidive à bicyclette

Hier matin, dimanche, je suis réveillé comme le bienheureux que je suis. On me tient fermement par mon érection matinale.
Des murmures, des rires étouffés et soudain ma queue dans une bouche. J'ouvre les yeux malgré que j'ai la tête dans le cul.
< Bonjour mon amour ! > fait Clémentine dont le visage bienveillant au dessus du miens me projette dans l'enchantement.
C'est donc Estelle qui est déjà entrain de sucer. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps dire avant qu'Estelle ne se redresse.
< Et moi ? > me fait elle en me faisant des bisous. Je les serre toutes les deux très fort contre moi. Nous sommes si heureux.

Sous les yeux consternés de Clémentine, avant même qu'elle n'ait le temps de réagir, Estelle m'entraîne jusqu'aux toilettes.
Debout, tous les deux devant la cuvette, Estelle oriente ma queue dure comme le bois vers le bas. C'est presque douloureux.
Clémentine arrive pour tenter de s'interposer. Estelle résiste en disant : < Ça fait deux semaines sans vous et j'en ai rêvé ! >
Clémentine, debout sur ma gauche, serrée contre moi, se penche pour regarder. J'ai tant besoin de pisser que j'y arrive enfin.
Nous rions de bon cœur de cette surprise matinale. Il est à peine 7 h30. Je débande doucement tout en pissant. C'est sympa.

< C'est rigolo, on sent le jet passer comme dans un tuyau d'arrosage ! > fait Estelle que j'attrape par ses cheveux fermement.
Je la force à se positionner, bien cambrée au-dessus de la cuvette. Elle descend sa culotte pour se lâcher dans un jet puissant.
Je tire deux feuilles de papier cul pour la torcher. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. < A moi ! > fait Clémentine.
Estelle nous laisse. < Je descends préparer le petit déjeuner ! > nous fait elle en sortant des toilettes et pour dévaler l'escalier.
Je tiens Clémentine comme je le fais tous les matins. Je m'accroupis pour lécher la dernière goutte. Je la torche. C'est le rituel.

Il y a toujours cette douce et délicate odeur de pain grillé qui accompagne nos petits déjeuners. L'odeur parvient jusqu'en haut.
Nous mangeons de bon appétit. < Génial ce matin ! Et ça met en condition ! > fait Estelle en venant s'asseoir sur mes genoux.
Clémentine n'a pas le temps de réagir. < Mais tu ne t'emmerdes même plus ! > lui fait elle en se levant pour l'éloigner. Sympa.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Nous traînons à table. Estelle débarrasse la table. Dehors il fait déjà beau. C'est superbe.
Estelle fait la plonge. Nous essuyons. Comme la maison est encore bien propre et rangée, pas besoin de faire le ménage. Bien.

Je propose aux filles d'aller à l'atelier pour se livrer à leurs révisions. Pendant ce temps je termine de ranger la cuisine. Le balai.
Clémentine entraîne Estelle. Je les accompagne. Les voilà assises à la table entourées de leurs affaires et devant l'ordinateur.
Un bisou à chacune. Je les laisse. Je termine de ranger la cuisine. Je descends au jardin. Je vais admirer les pousses du potager.
Je commence à désherber. La fraîcheur fait lentement place à la douceur sous les rayons du soleil. Les salades qui apparaissent.
Il y a les poireaux qui dépassent déjà un peu. Si cette météo persiste, nous aurons nos premiers légumes d'ici deux semaines...

La matinée se passe ainsi. La chaleur est maître dès 10 h. Le gazouillis des oiseaux qui virevoltent. Tout cela est enfin de retour.
Je suis vêtu d'un vieux jean, d'un sweat, de mon tablier de jardinier et chaussé de mes bottes en caoutchouc. Il fait trop chaud.
Soudain, du bruit derrière moi. C'est Clémentine. < Tu es trop loin ! Je ne supporte pas que tu sois trop loin ! > me lance t-elle.
Je me redresse avec mes gants de jardinage. Elle se serre contre moi. Vêtue de son jean, de sa chemise à carreaux. Des bisous.
< On a fini ! Je suis hyper prête pour le Master. J'ai mémorisé deux années de cours. J'ai le total contrôle ! > me dit Clémentine.

Estelle arrive à son tour. Nous admirons les belles pousses du potager. Estelle, par surprise, m'attrape les couilles par derrière.
A travers le tissus de mon pantalon, elle me palpe avec force. Clémentine lui enlève la main et dit : < Mais c'est mon mec ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle répond : < Ton mec m'a manqué plus de dix jours. Tu es une vraie égoïste ! >
Estelle va dérouler le tuyau d'arrosage. < Je sais comment faire ! > nous fait elle. Nous nous écartons pour la regarder arroser.
Estelle, avec cette vulgarité qui lui est coutumière, parcours les trois allées parallèles en tenant le tuyau devant son sexe. Pipi.

Cambrée sur ses jambes, genoux fléchis, Estelle s'arrête régulièrement en mimant un pipi masculin comme elle me voit le faire.
< Mais quelle salope ! > lance Clémentine. < N'est-ce pas ! > répond Estelle en mimant une branlette sur le tuyau d'arrosage.
Le potager est propre, bien arrosé. Estelle enroule tuyau autour de la vieille jante fixée au mur arrière du garage. Et avec soin.
Nous faisons le tour de la propriété. L'herbe est déjà haute par endroit. Il faudra tondre. Surtout autour du bassin emplit d'eau.
< Tu vas y mettre des poissons ? > me demande Estelle en palpant ma braguette. Clémentine qui ne cesse de s'interposer, rit.

Il est presque midi. Nous décidons de prendre notre premier repas de la belle saison dehors. Nous sortons la table et les chaises.
C'est le mobilier de jardin en métal blanc de style "rétro". Morts de faim nous rentrons pour préparer nos bons pavés de saumon.
Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Estelle s'occupe des pavés de saumon. J'épluche les patates. La potée.
Les filles évoquent leurs révisions. Elles se sentent hyper prêtes pour les épreuves du master. J'écoute en silence les stratégies.
< Ce n'est plus qu'une simple formalité ! > conclue Clémentine qui est un peu la "locomotive", ce "moteur" qui entraîne Estelle.

Estelle prépare les pavés de saumon en papillotes sur le barbecue électrique dans la véranda. La potée rissole dans la cocotte.
Je sors pour mettre la table. Clémentine vient me rejoindre avec le reste des couverts. Nous déplions la nappe rouge à fleurs.
< Je t'aime Julien ! > me fait elle en serrant fort contre moi. Je lui chuchote : < Moi aussi. Et comme un fou ! >. Les caresses.
Il est midi trente. Tout est prêt. Nous mangeons de bon appétit. Pas encore d'insectes pour gâcher la fête. Et c'est merveilleux.
Nous traînons à table. Estelle débarrasse. Nous l'aidons. Vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous montons nous changer.

Estelle refuse de se mettre en jupette pour faire de la bicyclette. Elle porte son short kaki et son T-shirt brun. Sac à dos rouge.
Clémentine porte la jupette de hier. Beige, plissée, qui lui arrive à mi-cuisses. T-shirt blanc. Je porte mon short noir. Un T-shirt.
Il est 13 h45. Nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable à environ sept cent mètres. Il fait merveilleusement beau.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Nous croisons quantité de cyclistes, de rollers, de promeneurs, de couples. Sympa.
Nous passons devant le cabanon de l'écluse. Avec la circulation, il est bien évidemment hors de question de tenter une exhibe.

Nous nous y arrêtons quand même. Estelle nous fait : < Recueillons nous en mémoire des exhibes passées ! >. C'est le délire !
Nous rigolons comme des bossus. < Montre moi ta bite ! Je suis sûre que tu n'es pas chiche ! > me fait Estelle, s'accroupissant.
Je regarde dans toutes les directions. je sors rapidement mon sexe pour l'agiter devant le visage d'Estelle. Il faut faire très vite.
Je remballe juste à temps. Un groupe de cyclistes en tenues "Tour de France" arrive à toute vitesse. Nous continuons. Sympa !
Nous arrivons au petit port de plaisance. Il y a un monde fou. C'est les festivités qui accompagnent la course concours de VTT.

Avec le monde et les affaires en perspective, la supérette est ouverte. Il n'y a plus de cônes. Tout a été dévalisé par les clients.
Clémentine nous propose de prendre trois pots de crème glacée. Häagen-Dazs, notre marque préférée. Parfums "Vanille Pralin".
Dans le petit sac à dos que je porte lors de toutes nos virées, il y a des petites cuillères en plastique. Il n'y a donc pas de souci.
Nous allons nous asseoir sur le muret. Nous voilà à savourer nos pots de glace de 50 cl. Un demi litre de plaisir. 250 gr de joie.
C'est évidemment le délice le plus exquis. Nous assistons au passage des VTT qui dévalent la pente depuis le vieux cimetière.

< Ce n'est pas pour faire de la publicité, mais Häagen-Dazs, c'est bon pour ce qu'on a ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur.
Pour les gourmands que nous sommes, un pot d'un demi litre, ce n'est pas grand chose. Nous en rigolons comme des bossus.
< Moi, la glace, ça m'excite ! Pas toi ? > me fait Estelle en me palpant la braguette. < T'es folle ! Arrête ! > lui fait Clémentine.
Personne ne fait véritablement attention à nous. Le speaker qui présente la course annonce les vainqueurs VTT dans son micro.
Des applaudissements. Des bateaux appareillent. Il y a beaucoup d'animation. Clémentine nous entraîne aux sanitaires du port.

Le bâtiment des toilettes réservées aux plaisanciers est juste derrière celui de la capitainerie du port. L'endroit est désert. Bien.
Nous y entrons. Nous nous lavons les mains. Je passe derrière les coquines. Je glisse mes mains dans le short et sous la jupette.
Sans prévenir, par surprise, avant qu'elles ne réagissent, je leur enfonce à chacune un index dans le cul. Je le fais bouger. Rire.
< Salaud ! > me fait Estelle qui a encore les mains trempées. < Enculeur ! > fait Clémentine. Mes doigts mouillés entrent bien.
Je reste ainsi pendant que les filles passent leurs mains sous le sèche main électrique. < T'es vraiment un salaud ! > dit Estelle.

Il y a une dame qui entre. Un plaisancier. Elle ne comprend pas ce qui se passe. On ne peut pas voir ce que je fais. Salutations.
La dame entre dans une des trois cabines pour s'y enfermer. Je sors mes doigts du cul des deux coquines pour les renifler. Rire.
Mon index qui a fait le trou de balle d'Estelle pue la merde. Celui qui a fait le trou de balle de Clémentine ne sent rien. Propre !
< T'es vraiment le dernier des salopards ! > fait Estelle en nous entraînant dehors. < Et sur ma demande ! > fait Clémentine.
J'ai encore les mains mouillées. Nous flânons longuement sur le quai. La course concours est terminée. Plus de 100 cyclistes !

Nous traînons. Avec la plus grande discrétion, nous nous tripotons très souvent. Clémentine me remercie d'être aussi vicelard.
Comme elle me l'a demandé vendredi, je me comporte comme le salaud qu'elle souhaite. J'en rajoute avec la vulgarité requise.
Il est 19 h lorsque nous prenons le chemin du retour. Il fait doux. Nous roulons d'un bon rythme poussés par le vent et la faim.
25 km à bonne allure. Il est 20 h15 lorsque nous arrivons à la maison. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement.
Estelle m'aide à concocter une sauce au Roquefort pendant que réchauffe la potée. Tout va très vite. Efficacité et méthode. Joie.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Les filles n'auront cours qu'en matinée cette semaine. Mardi, jeudi fériés.
Leurs affaires sont déjà prêtes. La soirée est à nous. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Déjà 21 h30.
< Je peux sucer un peu ? > demande Estelle à Clémentine. < Oui ! Tu as été bien sage toute la journée ! > répond Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Je sors ma queue que j'agite devant le visage d'Estelle à genoux sur l'épais coussin devant le canapé.
Clémentine se frotte contre ma hanche. J'enfonce doucement ma bite dans la bouche d'Estelle qui pousse un cri de ravissement.

Nous sommes épuisés. La situation perdure un moment. Il est 22 h15. Il faut ramener Estelle. Je la force à se redresser. Aïe !
Je suis accroupis pour lui masser les genoux. Je m'excuse de ne pas éjaculer. Je veux garder mon sperme pour ma compagne.
Nous ramenons Estelle et sa bicyclette. Pas question de la laisser rentrer à vélo seule à cette heure. La séparation est difficile.
Elle revient mardi. Je la console un peu pendant que Clémentine me branle doucement. Nous rentrons. Toilettes. Salle de bain.
Au lit, un "69". Nous tentons la pénétration. Nous restons l'un dans l'autre. Il nous arrive de nous endormir ainsi. C'est le cas...

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui se retrouvent avec un doigt dans le cul à savourer de la crème glacée...

Julien - (Qui fait tout son possible pour se comporter selon les souhaits et les désirs de Clémentine. En véritable salaud) -

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Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 416 -



Le premier jour du troisième trimestre

Hier matin, lundi, c'est le concerto pour piano No 2 en Fa mineur de Frédéric Chopin qui nous tire de nos profonds sommeils.
< Mais ta gueule Frédo ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rions de bon cœur en nous serrant très fort.
< Bonjour Julien ! > me fait elle. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en rigolant.
L'instant des papouilles avant de nous précipiter au WC. Le pissou. Morts de faim nous descendons à toute vitesse. Il est 6 h.
Je presse nos oranges. Clémentine fait le café. Le jour s'est levé sur un ciel bien dégagé. Le soleil ne va pas tarder à poindre.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
Nous sommes déjà en tenue. Il est 6 h25 lorsque nous courons dans l'agréable fraîcheur matinale. Notre jogging. Le bonheur.
Il est 7 h30 lorsque nous revenons après une heure d'un running plaisant. La douche. Je descends sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint vêtue de son jean, de sa veste en cuir noir et de ses bottines. Des bisous. Clémentine n'a cours que ce matin.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin et je me dépêche de rentrer. Il est 7 h45...

Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. 8 h15 et me voilà enfin assis devant mon chevalet.
Je peins dans un enthousiasme délirant. C'est la vingt septième toile destinée à ma saison d'été. Une nature morte. Superbe.
C'est un petite huile sur toile de format 6F, (41 x 33 cm) comme je les affectionne. Trois jours de boulot au grand maximum.
Je peins en poussant les cris les plus surréalistes. Je suis tellement heureux de me livrer à ma passion après deux semaines.
Il est rapidement midi. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je vais à la cuisine et en même temps que revient Clémentine.

Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bises. Il fait beau. Il fait chaud.
Clémentine s'occupe des salades et de leurs assaisonnements. Je prépare les filets de Cabillaud que je panne préalablement.
Clémentine me raconte sa matinée. Ce ne sont plus réellement des cours. Plutôt des révisions et des simulations d'épreuves.
La première épreuve du Master aura lieu le jeudi 17 mai. La seconde se déroulera le vendredi 18. Clémentine est à se réjouir.
Nous prenons notre repas dans la véranda. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant le programme de cet après-midi.

Nous traînons un peu à table. Assise sur mes genoux en terminant son yaourt, Clémentine me parle de ses projet. Le Doctorat.
Après le Master, il y aura quatre années pour préparer sa thèse et son Doctorat. Je la rassure, tant qu'elle est là, aucun soucis.
Je lui dis : < Tant que tu vis ici, tu peux prendre tout ton temps dans la plus totale sérénité ! > clémentine se blottit fort. Bises.
< Je sais ! J'ai une chance extraordinaire ! Tu m'offres une vie de rêve ! Tu as fais de moi une bourgeoise ! > me fait elle. Joie.
Nous rions de bon cœur lorsque je rajoute : < Et tu peux te contenter de n'être que ça si tu le souhaite ! Une bourgeoise ! >.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous mettre en tenue de cyclisme. Jupette et un T-shirt pour Clémentine.
Je mets mon short en coton noir et un T-shirt blanc. Nous faisons les clowns devant le miroir. Salle de bain. Lavage des dents.
Il est 13 h45 lorsque nous prenons la direction de la piste cyclable. Malgré cette journée de pont, il y a peu de monde. Sympa.
Nous pédalons le long du canal contre ce léger vent d'Ouest qui nous poussera au retour. Clémentine, si heureuse, chantonne.
J'aime la savoir détendue. Ce n'est pas le genre de femme à être dépressive le matin, déprimée le soir et angoissée la journée.

Nous arrivons au cabanon de l'écluse. Nous nous arrêtons. < On s'offre un "plan" ? > me demande t-elle en me palpant le sexe.
Je regarde dans toutes les directions. Personne. Le soleil brille haut dans un ciel parfaitement bleu. Je fais : < Pourquoi pas ! >
Nous nous faisons plein de bisous. C'est trop bien. Clémentine m'entraîne par la main. Nous traversons la passerelle métallique.
Nous voilà de l'autre côté du canal. Ma compagne m'entraîne entre les deux bosquets où elle se positionne le plus souvent. Rire.
C'est vrai que de cette cachette, on voit parfaitement qui vient. A gauche ou à droite. Nos vélos sont cachés derrière le cabanon.

Clémentine retire sa culotte. < Touche moi un peu ! > me fait elle en se cambrant sur ses genoux fléchis. Ma main sous sa jupe.
Je tiens les lèvres charnues de son sexe à pleine poigne. Il y en a tellement. C'est génial. < Mon dindon ! > me chuchote t-elle.
Nous en rions de bon cœur. Je tire vers le bas. Clémentine écarte un peu plus ses jambes et ses cuisses pour me tendre le sexe.
< J'adore quand tu me touches ! > me fait elle en bougeant doucement en rythme dans un début de masturbation. C'est délicat.
Nous restons ainsi un petit moment lorsque nous voyons poindre un cycliste au loin. Il arrive à bonne vitesse. Nous cessons vite.

Je me dissimule derrière le cabanon où se trouve les commandes de l'écluse. Je vois Clémentine se mettre en situation. Super.
Elle s'accroupit, cuisses largement écartées. Cette fois, je la vois de dos. Je vois le cycliste arriver. Il ne roule pas si vite. Sympa.
Il découvre instantanément le merveilleux spectacle. Il freine et met un pied à terre. Clémentine a mis ses lunettes noires. Belle.
Ses cheveux dénoués qui pendent devant son visage permettent à ma compagne de préserver le plus parfait anonymat. Silence.
Le cycliste, un quadragénaire athlétique, vêtu de l'habituelle panoplie de coureur, observe la scène. Je bande comme un salaud.

< Bonjour mademoiselle ! > fait enfin notre gaillard admiratif. De ma cachette, cette fois, j'entends distinctement les échanges.
Clémentine, comme à son habitude, ne répond pas immédiatement. Elle ne relève pas la tête. Concentrée sur son entre jambes.
Le type regarde dans toutes les directions. Grâce à sa grande prudence, nous sommes avertis de toutes arrivées intempestives.
Le type se touche. Il ne tarde pas à mettre sa main dans son short de lycra noir pour y extraire son sexe par le haut. Le silence.
Clémentine relève enfin la tête pour répondre aux étonnantes questions du quidam qui agite sa bite dans la direction de la fille.

Même si dans ces situations les réactions masculines sont prévisibles, souvent similaires, chacun y met une touche personnelle.
Celui-là par exemple pose son vélo contre la borne. Il se branle franchement en faisant des propositions salaces. Très habituel.
Clémentine, que tout cela excite considérablement reste parfaitement immobile. Les mains posées sur ses genoux. Bien droite.
Pourtant, notre champion cycliste ne tente pas de traverser la passerelle. Il se contente de regarder là ce magnifique spectacle.
Sans doute assez malin pour se douter que s'il tentait quoi que ce soit, il mettrait un terme à cette merveilleuse situation. Bien.

Le type est soudain secoué de spasmes. Le bougre est certainement entrain d'éjaculer. On peut le comprendre. Pauvre homme.
Là-bas, de la droite, arrive un couple de cyclistes. Notre Jalabert remonte rapidement son short. Son attitude alerte Clémentine.
Elle se redresse. Le type remonte sur sa bicyclette. < Merci pour tout ! > fait il non sans humour. Un parfait gentleman branleur.
Il s'en va. Clémentine vient me rejoindre. Elle se serre dans mes bras en prenant ma main pour la mettre entre ses cuisses. Joie.
C'est bouillant. Il y a de la mouille. Son sexe dégouline de cyprine. Son excitation a été tellement intense. Elle remet sa culotte.

Nous arrivons au port de plaisance. Une fois encore règne une grande animation. Pour demain se prépare de nouvelles festivités.
Des ouvriers montent un chapiteau. Des plaisanciers s'affairent sur le pont de leurs bateaux. Les joueurs de pétanque s'amusent.
Nous nous offrons nos cônes glacés. La gérante de la supérette, qui nous connaît bien, nous dit : < Ils sont arrivés ce matin ! >
Nous flânons sur le quai. Nos vélos sont fermés à cadenas derrière la capitainerie. Nous saluons la belle capitaine du port. Bien.
Clémentine nous entraîne discrètement dans le bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers. Et c'est marqué sur la porte.

Avec ce soleil, il serait dommage de rester dans ces toilettes à attendre l'éventuelle visite d'un plaisancier. Nous ne traînons pas.
Clémentine, encore très excitée par notre aventure de l'écluse, murmure : < Tu me touches un peu. Sois salaud, s'il te plaît ! >
Nous rions de bon cœur lorsque je lui passe la main sous la jupe dans la culotte. Nous nous apprêtons à sortir. Voilà la capitaine.
Je n'ai que le temps de retirer ma main. Trop tard. La jeune femme nous a surpris. Avec un sourire elle dit : < C'est donc ça ! >
< Je vous observe depuis quelques jours. Je me demandais bien ce que vous pouviez faire si longtemps dans ces WC ! > dit elle.

Nous sommes un peu confus. On le serait à moins. Aussi, pour donner le change, tous les trois, nous éclatons de rire. C'est bien.
Je propose d'aller nous chercher d'autres cônes. J'en propose un à la jeune femme. La trentaine, en jean, T-shirt et des baskets.
< Volontiers ! > nous fait elle. Nous revenons avec les glaces. Nous bavardons un peu tous les trois. Nous faisons connaissance.
Nous apprenons que la jeune femme a trouvé cet emploi pour la saison d'été. Un pis allé en attendant son poste de secrétaire.
Nous prenons congé. Nous traînons encore un peu. Le chapiteau se monte. Demain il y a la fête des bateaux. Nous reviendrons.

Il est dix neuf heures lorsque nous pédalons sur le retour, poussés par le vent. C'est facile et nous pouvons bavarder. Sympa.
Nous croisons peu de gens. Par contre nous nous faisons dépasser par des cyclistes "fonceurs". C'est toujours impressionnant.
Il est 20 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Nous faisons le tour de la propriété. Nous arrosons le potager. Ça pousse bien.
Morts de faim nous réchauffons le riz de midi. Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je fais une omelette.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de cette belle journée et de la superbe exhibe de Clémentine. Ses émotions.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon. Elle retire sa culotte. Elle se vautre dans le canapé. Joie.
Je suis à genoux sur l'épais coussin, mon visage entre les cuisses de ma compagne. Je respire les odeurs de sa journée de fille.
C'est enivrant. La sueur, la mouille, les petits granulats fondants, de quoi me régaler comme le plus fin gourmet. C'est un délice.
Clémentine me tient par les oreilles. Les frissons qui agitent l'intérieur de ses cuisses ne laissent aucun doute. Je reste prudent.
Pas d'orgasme prématuré. Surtout lorsque je m'attarde sur son clitoris géant. Clémentine m'attire sur elle avec tant de douceur.

Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Même si Clémentine est trempée, son sexe reste très étroit et si sensible.
Nous restons ainsi, l'un dans l'autre. Complètement immobiles. Je reste en appui sur mes bras pour ne pas peser de mon corps.
Clémentine est suspendue à moi. Ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de mes hanches. Elle rapproche son visage.
J'écoute les plus étonnantes révélations que me chuchote ma compagne. Cela me fait toujours bander jusqu'à la douleur. Super.
Il est déjà 22 h30. Nous sommes épuisés. Nous nous proposons de nous terminer au lit. Nous montons. Cunni. Pipe. et le dodo.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui ont leur endroit secret où elle peuvent s'exhiber en toute sécurité...

Julien - (Qui pénètre toujours Clémentine avec d'infinies précautions en s'excusant de bander comme le dernier des salauds) -

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Les jours fériés se suivent mais ne se ressemblent pas vraiment

Hier matin, mardi, je suis tiré de mon sommeil par un léger chatouillis sur ma joue. Un peu comme le ferait un insecte intrusif.
J'ouvre les yeux. < Papillon ! > me fait Clémentine. C'est son cil qu'elle fait bouger près de mon visage. C'est adorable. Rires.
< Esquimaux ! > que je fais à mon tour en caressant le bout de mon nez sur le sien. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle en se serrant.
Clémentine me chevauche soudain en riant. Douceur. Tendresse. Papouilles. Puis elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.
Il est 7 h30. Il fait déjà beau. Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges.

Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Confitures, miel, yaourts.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La vaisselle. Nous remontons pour nous mettre en tenue de Jogging. Super.
Il est 8 h lorsque nous prenons notre élan pour une heure quinze d'un running et dans un extraordinaire bien être. Il fait chaud.
Retour pour 9 h15. La douche. Clémentine met un vieux short, le tablier de jardinier. Je l'accompagne jusqu'à la roseraie. Bien.
Je la laisse s'occuper des graines de fleurs qu'elle va planter dans les jardinières. Je rentre pour me rendre dans l'atelier. Boulot.

Je peins dans une allégresse glorieuse en poussant les plus étonnants cris surréalistes et longuement modulés. C'est fantastique.
Il me faut absolument terminer cette petite nature morte pour vendredi à midi. Je me livre à ma passion corps et âme. Superbe.
Il est presque midi lorsque Clémentine vient me rejoindre. Assise sur mes genoux elle me raconte ses activités du matin. Fleurs.
Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Nous allons à la cuisine. Je fais revenir des filets de haddock dans une poêle. Ail, oignons.
Clémentine s'occupe des salades et des assaisonnements. Carottes, laitues, radis blancs. Priorité aux crudités avec cette météo.

Avec les filets de haddock je fais un peu de millet doré. Je prépare notre table dans la véranda. Nous mangeons de bon appétit.
Assise sur mes genoux, Clémentine me confie son assurance quand aux épreuves du Master à venir la semaine prochaine. Bien.
< Je suis hyper prête ! > conclue t-elle à plusieurs reprises. Je dis : < Tu l'auras. Pas l'ombre d'un doute ! C'est sûr ! >. Super.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h30. Nous descendons au jardin. Clémentine veut me montrer son travail. Bien.
Nous sommes dans la serre. Il y fait très chaud. Clémentine m'explique ce qu'elle a planté dans chaque jardinière cette matinée.

Nous sortons nos bicyclettes. Nous allons admirer le potager. < Coucou les gens ! > fait Estelle qui arrive derrière nous. Sympa.
Estelle a posé son vélo contre le muret du jardin. Elle est vêtue de son short kaki, son T-shirt beige et chaussée de ses baskets.
Elle nous fait la bise et se serre contre moi. Clémentine s'interpose. Nous rions de bon cœur. Clémentine m'entraîne à l'intérieur.
Nous montons nous mettre en tenue. Jupette beige, T-shirt beige pour Clémentine. Short carmin et T-shirt noir pour moi. Super.
Nous faisons tous les trois les clowns devant le miroir de l'armoire. Lavage des dents à la salle de bain avant de descendre. Bien.

Il est presque 14 h lorsque nous roulons en direction de la piste cyclable. Il y a du monde. C'est jour férié. Une journée d'été.
Nous croisons quantité de cyclistes, de rollers, de familles et de promeneurs qui font de la marche nordique avec leurs bâtons.
Il faut parfois louvoyer en redoublant de prudence. Chiens sans laisse. Gamins sur des gyropodes, cette nouvelle mode absurde.
Nous passons devant le cabanon de l'écluse. Estelle s'y arrête. < T'es folle ! Il y a beaucoup trop de monde ! > fait Clémentine.
En effet, il serait vain de tenter une exhibe avec tous les nombreux passages. < Il faut s'y recueillir ! > insiste Estelle en riant.

Nous posons nos vélos contre le cabanon. Nous passons derrière. Pipi. Estelle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Nous en rigolons comme des bossus lorsque je tiens les deux filles par la nuque pendant qu'elles font pipi l'une à côté de l'autre.
Nous arrivons au petit port de plaisance pour 15 h30. Il y a toujours autant d'animation. L'orchestre sous le chapiteau. Musique.
Ce matin, il y avait la bénédiction des bateaux. Les festivités vont durer toute la journée. Concours de pêche et course cycliste.
Nous fermons nos vélos derrière le bâtiment de la capitainerie. Nous passons saluer la capitaine du port toute contente. Sourire.

Hier, nous avons payé et fait réserver six cônes à la supérette. < Vous avez bien fait ! Je suis dévalisée ! > nous fait la gérante.
Nous flânons sur le quai en dégustant nos glaces. Les joueurs de pétanque, imperturbables quelle que soit l'animation du jour !
L'orchestre joue de la musique pop des années 80. Il y à là une bonne cinquantaine de pêcheurs assis les uns à côté des autres.
Le port d'eau douce regorge de carpes et hélas de silures. Un jury de trois messieurs fait l'aller et le retour tout le long du quai.
Discrètement, Estelle n'arrête pas de passer rapidement sa main sur ma braguette. A tel point que Clémentine lui retire la main.

Un peu comme pour un rituel, par acquis de conscience, nous faisons une rapide visite dans le bâtiment des sanitaires. Toilettes.
La capitaine du port nous regarde passer depuis l'encadrement de la porte où elle discute avec un plaisancier. Elle nous sourit.
Il y a un couple devant les lavabos. Nous les saluons après une visite éclair. Il serait stupide de rester là avec cette belle météo.
Nous traînons longuement. Avant de prendre le chemin qui mène au vieux cimetière, nous retournons à la supérette. Nos cônes.
< Vous avez bien fait. Il ne m'en reste plus qu'un paquet de 24. Dans une demi-heure, il n'y en a plus ! > nous fait la gérante.

Nous montons doucement jusqu'au sommet de la colline. La vue est parfaite sur le port, en bas. Nous sommes assis à l'ombre.
Les vieilles pierres de la chapelle et des murets offrent plein d'endroits ombragés. Il y a quelques promeneurs. Et des familles.
Les filles se posent des questions concernant leurs cours. Chacune répond à tour de rôle à la question de l'autre. C'est superbe.
Soudain, Estelle, dans le flot de ses questions ou de ses réponses, demande : < Quelle est la longueur de la bite à Julien ? >
Nous rigolons tous les trois comme des bossus lorsque Clémentine répond : < 20 cm ! >. Je sors discrètement ma queue. Rire.

Il faut faire gaffe. Agir rapidement. Il y a du peuple. Je le fais à chaque fois qu'Estelle met une question cul dans sa série. Joie.
C'est dans cette ambiance que se déroule cet après-midi chaud, ensoleillé et enchanteur. Nous passons beaucoup de bon temps.
J'ai la paire de jumelles dans le petit sac à dos que nous emmenons toujours partout avec nous. J'en retire nos trois pommes.
Chacun à notre tour, tout en savourant nos grosses pommes, nous observons dans la paire de jumelles que nous nous passons.
Je passe ma main entre les cuisses des filles. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Je palpe leurs sexes sous le tissus.

< Il me faut un Julien salaud comme toi ! > me fait Estelle. < Oui ! Mais ce Julien salaud, c'est le mien ! > répond Clémentine.
Nous rions de bon cœur. J'ai posé le petit sac à dos sur mes genoux. Personne ne pourrait deviner que j'ai la braguette ouverte.
J'ai la bite dans la main d'Estelle qui me la tord dans tous les sens tout en bavardant. Surtout vers le bas. Et c'est douloureux !
Elle le sait bien la coquine, c'est pour ça qu'elle me la maintient fermement vers le bas. J'ai ma main sous la jupe à Clémentine.
Les quelques gens qui passent ne se doute de rien. Il est dix heures. Nous redescendons doucement. Nous revenons au port...

L'animation est à son comble. Les récompenses des gagnants du concours de pêche. Les récompenses des coureurs cyclistes.
Tout cela nous indiffère mais nous permet de jouer avec le danger en nous tripotant le plus secrètement possible en virtuoses.
Il est plus facile de mettre une main sous une jupette que dans un short. Aussi ma préférence va vers le sexe de Clémentine.
Il est 19 h lorsque nous prenons le chemin du retour. Nous apprécions la caresse de la brise qui apporte un peu de fraîcheur.
La piste cyclable est fréquentée. Nous ne sommes pas les seuls à rentrer de la fête. Il y a même toute une bande de joggeurs.

Une fois encore Estelle s'arrête au cabanon de l'écluse. Nos pissous. Estelle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Clémentine me tient les couilles par derrière. Je pisse en bandant. J'ai ce privilège mais c'est un jet plus fin et moins puissant.
Estelle en secoue les dernières giclées avant de s'accroupir pour en sucer les dernière gouttes. Je lui caresse les cheveux. Belle.
A mon tour, à genoux dans l'herbe derrière les deux filles accroupies, je leur caresse la vulve pendant qu'elle pissent en riant.
Je les torches avec un mouchoir en papier. Nous prenons la route. Il est 20 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Il fait doux.

Morts de faim, nous nous mettons immédiatement à la préparation du repas. La nuit ne va pas tarder. Je réchauffe le millet.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je fais revenir les steaks de thon dans une poêle. Estelle m'aide.
Nous mangeons dans la véranda à la lumière des lumignons anti moustiques. Quatre grosses bougies. C'est une super soirée.
Nous traînons à table. Parfois, lorsqu'une des deux coquines évoque nos cochonneries, je me lève et j'agite ma bite vers elle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque l'une des deux filles se lève pour se toucher vulgairement. C'est formidable. Super.

Il est rapidement 22 h. La vaisselle. Les filles ont cours demain et juste le matin. Ce sont des révisions et quelques simulations.
Je mets le vélo d'Estelle dans le coffre après avoir décroché la roue avant. Nous la ramenons pour 22 h30. Séparation difficile.
Nous sommes de retour pour 23 h. Les toilettes. La salle de bain. Le lit où nous nous offrons un délicieux et goûteux "69". Joie.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Epuisés et fatigués.
Nous ne tardons pas à nous endormir ainsi dans les dernières confidences de Clémentine dont les murmures s'éteignent. Dodo.

Bonne virée au port de plaisance à bicyclette à toutes les coquines qui aiment se faire tripoter et diriger le jet d'une bonne bite.

Julien - (Qui a fait un deal avec la gérante de la supérette. Toujours mettre six cônes de crème glacée de côté pour nous) -

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Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 418 -



Second jour férié de la semaine avant celui de dimanche

Hier matin, mercredi, nous sommes tirés de nos profonds sommeils par le Caprice No 24 de Paganini, le violoniste de Belzébuth.
< Mais ta gueule Pâtazizi ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rigolons comme des bossus. Il est déjà 5 h55.
< Bonjour Julien ! > me dit Clémentine. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant.
Les papouilles. L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. Pissou.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bien.
Clémentine n'a cours qu'en matinée. Principalement des révisions, des conseils et des simulations organisés par les professeurs.
Elle revient pour midi. Nous sommes déjà en tenues. Nous sortons dans la fraîcheur matinale. Plaisir de notre jogging quotidien.
Nous courons d'un bon rythme afin de nous échauffer. Il est 7 h30 lorsque nous sommes de retour après une heure de running.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de son jean, veste en cuir et bottines.

Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. 7 h45.
Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Et me voilà enfin installé devant mon chevalet. 8 h15.
Je peins dans un enthousiasme jouissif qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Je me livre à ma passion corps et âme.
Comme toujours, absorbé par ma peinture, je ne vois plus le temps passer. Il est déjà midi. Je nettoie mes pinceaux et palette.
Je vais à la cuisine en même temps qu'arrive Clémentine qui se précipite dans les bras. Je la soulève. Elle me couvre de bisous.

Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je m'occupe de panner et de faire cuire les filets de lieu noir. Poêle.
Je fais revenir les haricots verts dans le Wok. Clémentine me raconte sa matinée. Les travaux sur la petite route qu'elle prend.
Je mets la table dans la véranda. Il fait beau. Le soleil est haut et dans un ciel principalement bleu. Il y a bien quelques nuages.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de cet après-midi. Virée à bicyclette. De quoi se réjouir pour en profiter.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me propose d'emmener un peu de travail avec nous...

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents, nous mettre en tenue vélo. Jupette, short, T-shirt.
Dans le petit sac à dos que je porte, nos deux pommes, nos deux barres de céréale, les K-ways. Et la petite paire de jumelles.
Clémentine y rajoute un petit classeur contenant des feuilles concernant les révisions. Ce sont certains sujets en vu du Master.
Il est 13 h45 lorsque nous descendons le chemin jusqu'à la rivière que nous traversons en direction de la piste cyclable. Super.
Il y a un amas nuageux qui se profile à l'Ouest, haut dans le ciel. Rien de menaçant. Nous pédalons contre un léger vent. Brise.

Nous croisons peu de monde. Principalement des séniors en tenues "Tour de France". Accoutrements folkloriques si amusants.
25 km et nous arrivons au petit port de plaisance. Tout est calme. Il y a les joueurs de pétanque et quelques plaisanciers. Joie.
Nous saluons la capitaine du port vêtue aujourd'hui d'une robe d'été. Nous fermons nos vélos à cadenas. Direction la supérette.
La gérante nous raconte la journée folle de hier. < Nous serons ouvert tous les jours jusqu'au 15 septembre ! > nous fait elle.
Nous dégustons nos cônes glacés en flânant sur le quai. Parfois un petit nuage masque le soleil. La météo menace de changer.

Nous sommes assis sur le muret. Je tiens le cahier pour poser des questions à Clémentine qui répond sans aucune hésitation.
Moi-même, je ne comprends pas grand chose à ces questions que je me contente de lire et de poser. Les révisions continuent.
< Tu vois ! Je suis hyper prête ! > me fait souvent Clémentine qu'il est impossible de mettre en difficulté. Elle a tant travaillé.
Il est dix sept heures. A présent le ciel commence à se couvrir. Nous décidons de prendre le chemin du retour. Pas de risques.
Nous pédalons poussés par un vent qui se renforce. Derrière nous le ciel s'obscurcit très vite. Pas de doute, l'orage s'annonce.

Il est 18 h15 lorsque nous sommes de retour sous un ciel sombre. Là-bas, les premiers éclairs qui zèbrent le ciel presque noir.
Nous sommes rentrés à temps. La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine s'en empare. < C'est Juliette ! > me dit elle.
J'entends la conversation en rangeant nos affaires. Nous sommes invités à manger pour 20 h ce soir. Le timing parfait. Sympa.
Nous montons prendre une rapide douche. Coups de tonnerre. Il pleut à verse. Cela ne dure qu'une dizaine de minutes. Déluge.
Dehors tout est trempé. Clémentine porte une de ses jupes kilt à carreaux rouge. Chemiser blanc sous un pull noir, col en "V".

Chaussée de souliers noirs à légers talons elle évoque une étudiante Anglaise d'Oxford. Je le lui fais remarquer. Ça nous amuse.
Sur la demande de ma compagne je porte un pantalon à plis noir, une chemise blanche et une veste claire. Mes souliers de ville.
Il est 19 h30. Dans le grand Tupperware nous emmenons la tarte aux pommes pour le dessert. Nous arrivons au haras. 19 h40.
Je gare la voiture. Clémentine nous entraîne dans l'écurie habituelle. Il y a monsieur Gérard, le palefrenier content de nous voir.
Nous nous saluons. Nous bavardons un peu. Clémentine, tout en discutant, s'accroupit à mes côtés, sa tête posée sur ma cuisse.

Serrant ses bras autour de ma jambe, elle écarte doucement les cuisses tout en discutant avec le palefrenier qui reste stoïque.
Il commence à bien savoir à qui il a affaire. Ma présence évite d'ailleurs tous débordements. Velléités d'initiatives hasardeuses.
Clémentine, d'une nature profondément "soumise" aime à manifester ses penchants lorsque de telles situations se présentent.
Nous restons ainsi un moment. Nous promettons à monsieur Gérard de venir boire le café un de ces soirs et dans sa caravane.
Clémentine se redresse. Sa main gauche entre ses cuisses, elle serre celle du palefrenier de l'autre. Je suis un peu gêné. Bien.

Juliette nous attend dans la cour en bavardant avec un homme. Certainement un propriétaire de cheval. Il y a là une remorque.
Il est 20 h10 lorsque nous suivons la jeune femme jusqu'à ses appartements. La pluie a totalement cessé et le ciel s'est dégagé.
Juliette est vêtue d'une jupe noire, d'un sweat léger, souliers à légers talons. Ses longs cheveux noués en une natte. Très belle.
Juliette nous propose de nous asseoir. Elle fait le service. Nous sommes seuls un instant. Clémentine m'ouvre la braguette. Bise.
Je me lève pour rejoindre Juliette à la cuisine. La jeune femme est entrain de sortir les tartelettes au thon du four. Je vais l'aider.

Les pantalons à plis et à pinces, lorsque la braguette est ouverte, bâillent. Il est impossible d'être discret. Juliette s'en aperçoit.
Avec un sourire entendu elle me regarde avant de fixer ma braguette. Clémentine vient nous rejoindre. Cette situation l'excite.
Je ne suis jamais assez vicelard avec une autre femme lorsque Clémentine est avec nous. Cela participe de tous ses fantasmes.
Nous passons au salon. Une entrée de crudités. Salicorne. Avocats aux crevettes. Nous nous régalons tout en bavardant. Délice.
Juliette nous apprend que son employée, Solène, va quitter l'entreprise. Elle recherche donc une nouvelle secrétaire. Embarras.

Clémentine, l'esprit vif, me fait du pied sous la table et dit : < La capitaine du port de plaisance ! Elle cherche un tel emploi ! >
Je réalise immédiatement l'éventualité d'organiser un rendez-vous. Nous promettons de nous occuper du premier contact. Bien.
Clémentine demande : < Solène s'est retrouvée devant les petites "surprises" que réserve monsieur Gérard aux jeunes filles ? >
Nous rigolons tous les trois comme des bossus. < Non, pas à ma connaissance. Mais Solène est très secrète ! > répond Juliette.
La conversation s'articule à nouveau sur ce qui nous intéresse tous les trois. Les situations ambiguës, équivoques et "glauques".

Nous revenons sur ce projet encore très vague de nous offrir un "plan" bien vicelard dans la nouvelle écurie. Trou dans le mur.
Sous la table, discrètement, je sors mon sexe. La conversation me fait tant bander que je passe ma main droite sous la table.
Clémentine se doute bien de ce que suis entrain de faire. Juliette certainement aussi car son regard par en dessous est évident.
Je me branle de plus en plus fort. < Lève toi, montre donc à la dame ce que tu es encore entrain de faire ! > me dit Clémentine.
Je me lève. Je bande comme un priapique en phase terminale. < Splendide ! > fait Juliette en cessant de manger pour observer.

Je suis terriblement gêné. Je suis debout. Je tiens ma bite à sa base entre le pouce et l'index. Je l'agite doucement vers Juliette.
< Miam ! Ça fait envie ! > fait Juliette. < Ça vous tente ? > demande Clémentine. < Depuis le temps ! > répond la jeune femme.
Nous rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : < Au dessert ! >. Je me dirige vers les toilettes. Je dis : < Je vais pisser ! >
Je lis une hésitation dans le regard de Juliette. Je me tourne une nouvelle fois dans sa direction en agitant mon sexe. Clin d'œil.
Je quitte la pièce. Me voilà debout devant la cuvette en faïence. Je n'y suis pas une minute, la porte s'ouvre. C'est Clémentine.

Elle me tient la bite pour en diriger le jet. Me la contrariant vers le bas. Je bande tellement fort qu'il m'est impossible de pisser.
Juliette arrive à son tour. Elle se penche en avant pour regarder la main de Clémentine qui me tord la bite vers le bas. Douleur.
< Vous êtes géniaux tous les deux ! > nous fait Juliette en se redressant pour me fixer avec une expression vicelarde. Sublime.
< C'est moi qui vais préparer un super "plan" aux écuries ! On va en rester là ce soir ! > rajoute Juliette avant de quitter le WC.
Clémentine m'entraîne à sa suite en me tenant fort par la bite comme par une laisse. Juliette débarrasse la table. Nous l'aidons.

Je passe le restant de la soirée avec la bite à l'air. Le plus souvent bandant comme le dernier des salauds. Dessert et vaisselle.
Il est 22 h30. Nous prenons congé. Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Je me branle ouvertement sans plus me gêner.
Au point de complicité où nous en sommes, Juliette et nous, il serait stupide de ne pas nous amuser. Nous nous serrons la main.
Nous sommes de retour pour 22 H45. Les toilettes. La salle de bain. Clémentine est encore plus excitée que moi. Le lit. Un "69".
Nous baisons sans bouger. Clémentine me confie les émotions que lui procure mon comportement avec Juliette, Estelle. Dodo...

Bonne soirée chez votre directrice de haras préférée à toutes les coquines qui adorent voir leur mec se comporter en vicelard...

Julien - (Qui écoute les étonnantes révélations de Clémentine qui apprécie tant de le voir se comporter en véritable salaud) -

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Il faut composer avec une météo épouvantable. Le haras...

Hier matin, jeudi, nous nous étirons en même temps dans un long gémissement qui se ponctue par un cri bref : < Bonjour ! >
Nous en rions de bon cœur en nous serrant fort l'un contre l'autre. Clémentine me chevauche rapidement en riant. Papouilles.
L'impérieux besoin de pisser nous oblige à trottiner, main dans la main jusqu'aux toilettes. Il est à peine 7 h30. Le rituel pipi.
Dehors, la météo est épouvantable. Il pleut des hallebardes. Toutes les fleurs des arbres jonchent le sol du jardin. Lamentable.
Morts de faim, nous descendons à toutes vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café.

Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé que nous adorons. Nous mangeons de bon appétit.
Nous faisons le programme du jour. Avec ce climat il n'est évidemment pas question d'aller faire un jogging ou encore du vélo.
Il faut donc composer avec une météo qui s'annonce médiocre pour la journée. Confinés à l'intérieur, comme en hiver. Horreur.
La vaisselle. Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. Aérobic, abdos et charges additionnelles. L'intensité maxi.
La douche. Il est 9 h. Nous nous habillons. Jeans et chemises à carreaux ouvertes, débraillées. Nous allons dans l'atelier. Joie.

Clémentine est assise à la table, entourée de ses classeurs devant l'ordinateur. Elle s'apprête à réviser. Mettre à profit la météo.
Je suis installé devant mon chevalet. Je travaille à cette vingt septième toile destinée à ma saison d'été. Une belle nature morte.
Je peins dans un enthousiasme mesuré. Nous aimons nous retrouver dans cette ambiance de recueillement, de calme, le silence.
Un silence tout relatif car dans l'exubérance de ma passion je ne tarde pas à pousser les cris les plus surréalistes que je module.
Clémentine vient souvent se mettre debout derrière moi. Penchée par dessus mon épaule, elle me chuchote des douceurs. Bien.

Clémentine, à jour dans ses révisions, sature un peu. L'impatience qui la gagne à l'évocation des épreuves du Master est forte.
Aussi, dès onze heures, elle donne priorité au rangement des feuilles et des documents qu'elle range dans différents classeurs.
Dehors la pluie a cessé. Le ciel est sinistre. L'obscurité est telle que je peins avec la lumière artificielle de ma lampe à halogène.
Il est rapidement midi. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. Soudain, il y cette musique ridicule de mon téléphone.
Clémentine s'en saisit. < Estelle ! > fait elle. Je prépare la pâte à pain pour la tarte aux poireaux de ce soir. Une délicatesse...

Estelle nous propose de nous rejoindre pour 14 h en bicyclette si le temps est sec. Trois petits kilomètres sur l'asphalte mouillé.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Pour midi je fais une ratatouille "maison". Tomates et aubergines.
Accompagnée d'une omelette aux champignons ce sera un repas simple mais délicieux. Je fais cuire le poireaux. Eau bouillante.
Je concocte une Béchamel dans laquelle je verse les morceaux de poireaux coupés finement et cuits. Clémentine a mis la table.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors le ciel s'éclaire enfin un peu pour devenir d'un gris laiteux. Menaçant.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine évoque notre séjour en Ecosse pour juillet et pour août. Joie.
Cet été nous irons passer quelques jours sur la côté Ouest, l'île de Skye que je veux absolument faire découvrir à ma compagne.
Nous traînons à table. Clémentine est à se réjouir de retrouver notre chère Ecosse où elle a le profond désir de s'installer un jour.
Il y a encore quatre années d'études avant l'obtention de son Doctorat. Cela laisse donc du temps pour approfondir cette envie.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine monte à l'étage pendant que je passe au salon pour y découvrir nos courriels.

Il y a un message de Juliette qui nous remercie par la soirée de hier et de mes initiatives vicelardes. < A refaire ! > écrit elle.
Clémentine redescend pour me rejoindre. Elle est vêtue d'une de ses robes d'été. Rouge avec de petites fleurs blanches. Belle.
Elle tourne sur elle-même en tenant sa robe qu'elle soulève. < C'est comment ? > me demande t-elle. Je lève le pouce. Super !
Du bruit. C'est Estelle qui arrive. Elle est en jean, chemise à carreaux, baskets. Elle a laissé son anorak au porte manteau. Bien.
Elle se précipite. Une bise rapide à Clémentine avant de passer derrière moi, de m'enlacer, ses bras autour de mon cou. Bisous.

< C'était vicelard chez Juliette hier soir ? Racontez moi ! > nous demande Estelle en lisant la réponse que je termine de rédiger.
< Moi, j'étais invité chez Gauvin ! Il m'a fait réviser ! Aucune coquinerie toutefois ! > rajoute Estelle qui s'assoit sur mes genoux.
< Mais tu te fais pas chier ! > fait Clémentine en l'obligeant à se lever pour prendre sa place. Nous rigolons comme des bossus.
Je passe ma main sous la robe de ma compagne, entre ses cuisses pour découvrir qu'elle ne porte pas de culotte. C'est superbe.
Estelle est vautrée dans le canapé à nous raconter sa soirée studieuse chez Gauvin. Nous lui racontons notre soirée chez Juliette.

< On passe au haras cet après-midi ? > propose Estelle. Nous nous regardons en silence, dubitatifs et hésitants. C'est tentant.
< Pourquoi pas ! Tu as envie de bosser cet après-midi ? > me fait Clémentine en écartant un peu plus ses cuisses. Je la touche.
Estelle se lève pour venir voir ce que nous faisons sous le bureau. Je me suis introduit dans Clémentine assise sur moi. Super.
< Ça rentre tout seul comme ça, hein ! > nous fait Estelle en s'accroupissant pour tenter de voir. Je lui caresse la tête. Douceur.
Clémentine et moi, restons parfaitement immobiles. Ce n'est pas le truc préférée de Clémentine qui affectionne "missionnaire".

< Si j'obtiens mon Master, tu me baises ! Tu as promis ! > me fait Estelle. < Il n'a rien promis du tout ! > lui répond Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Clémentine se redresse pour se retirer. < Aïe ! > me fait elle. Estelle se rapproche. Elle tombe à genoux.
Elle s'empare de ma bite gluante pour se mettre à la sucer avant même que nous ayons le temps de réagir. Je bande hyper fort.
Clémentine m'embrasse avec une main sous sa robe. Je tiens Estelle par sa nuque sur laquelle j'appui par intermittence. Vicelard.
Avec des hauts le cœur, en toussant, Estelle tente de se soustraire à mon étreinte. Clémentine se met à genoux, se masturbant.

Ma compagne observe la pipe d'Estelle. Je demande : < On va faire les vicieux au haras ? >. Je force Estelle a cesser sa fellation.
Toutes les deux, à genoux de chaque côté, les filles font : < Oh oui ! > en même temps. Je les force à se lever avec moi. Super.
Estelle me montre l'intérieur de sa bouche en tentant de déglutir le jus visqueux et gluant de mon liquide séminal. C'est dégueu.
Nous nous préparons. Clémentine reste en robe. Dehors il fait beaucoup plus clair. Ma compagne chausse ses bottines à talons.
Elle passe sa veste en cuir noir. < Je fais pute ? > me demande t-elle en nous montrant sa touffe dense. C'est magnifique. Bises.

Nous voilà dans la voiture. Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous fait part de son impatience d'arriver. Rire.
Clémentine se touche et joue avec ma queue. Trois petits kilomètres. Je gare l'auto dans la cour déserte. Il y a un timide soleil.
Clémentine nous entraîne dans l'écurie habituelle. J'ai remballé ma bite mais je garde ma braguette ouverte. Un profond silence.
Nous découvrons un endroit vide. Il n'y a plus aucun cheval dans les box. Nous allons dans celui du fond, à côté du local bureau.
Estelle s'accroupit pour scruter le trou. < Regardez, de nouvelles coulures ! >. Nous nous penchons pour observer le foutre sec.

Estelle sort son téléphone pour prendre quelques photos. Les taches sèches qui maculent le ciment du sol. Les coulures du trou.
Soudain, du trou, il y a deux doigts qui dépassent. La stupeur. Nous étions convaincus d'être seuls, tous les trois, dans l'écurie.
< Génial ! > chuchote Estelle qui prend une photo. Les doigts disparaissent. Une bite. Nous reconnaissons la bite du palefrenier.
Le sexe du palefrenier est tellement petit qu'il dépasse à peine de l'orifice. Mou et fripé. Immédiatement l'odeur de queue sale.
< Il nous a bien eu le monsieur ! > fait Estelle a haute voix. Nous entendons rire derrière la cloison. < Surprise ! > fait Gérard.

Estelle se positionne. Elle retire son anorak pour le poser au sol devant la cloison. Elle s'y met à genoux pour humer la queue.
Clémentine et moi, nous restons un peu en retrait. Estelle lui passe son téléphone et chuchote : < Filme ! >. Etonnement. Joie.
Clémentine s'empare du téléphone et me tend le sien. Nous sommes chacun d'un côté d'Estelle à filmer ce qui se passe. Génial.
Estelle colle son visage contre la cloison. Elle a sa bouche contre le trou. Certainement à gober la queue du palefrenier. La pipe.
Effectivement, nous découvrons qu'elle suce la bite. Nous filmons le plus consciencieusement possible. De la jute jaunâtre. Jus.

Monsieur Gérard est impuissant. Sa bite reste molle. Elle dépasse à présent d'environ deux centimètres. Estelle pompe et lèche.
Elle se retire pour saisir Clémentine par la nuque. < Goûte ! > lui fait elle en saisissant ma compagne par ses cheveux. Silence.
Clémentine se retrouve à genoux, sont visage tout près de la bite. Elle me regarde comme désespérée. Je lui fait un signe. Ok.
Je l'encourage. Estelle appuie encore un peu plus. Clémentine pose ses mains sur la cloison comme pour opposer une résistance.
Je vois bien qu'elle n'a pas le courage. Elle ne cesse de me regarder comme pour me demander de l'aide. Et couverte de sueur.

< Mais suce, put-hein, vas-y ! > lui fait Estelle en tentant de la forcer. Je lui passe la main entre les cuisses sous sa robe. Bien.
La chatte de Clémentine est trempée. C'est juste une question d'hésitation. Je lui chuchote : < Mais vas-y ! >. Je la masturbe.
Au dernier moment, lorsqu'Estelle arrive enfin à la forcer à appuyer son visage contre la cloison, Clémentine se détourne. Stop.
La bite de monsieur Gérard contre sa joue, elle nous regarde. Je lui dis : < Goûte au moins un peu ! > < Oui ! > lui fait Estelle.
Rien à faire. Estelle lâche Clémentine en soupirant de dépit. Elle se met à sucer. Clémentine a la joue trempée de foutre gluant.

Je la serre contre moi. < Je suis conne, je n'ai pas le courage ! > me chuchote t-elle en s'essuyant le foutre avec un mouchoir.
Nous entendons les gargouillis. La pipe d'Estelle qui glousse de bonheur. C'est la seconde fois en six mois qu'elle suce ce type.
Je filme pendant que Clémentine, couchée à même le sol, sur le côté, me taille une pipe passionnée. Un long moment se passe.
Je n'ai plus de batterie. Le téléphone s'éteint juste au moment où monsieur Gérard lâche la purée. Je regarde Estelle déglutir.
J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui me tient par les hanches dans une attitude passionnée et amoureuse. C'est sublime.

Peu désireux d'êtres confrontés à monsieur Gérard, nous filons à toute vitesse. Je démarre en trombe. Nous voilà en route. Ouf.
Clémentine semble terriblement gênée. Estelle nous raconte ses émotions et les sensations vécues là. Un grand moment. Bien.
Nous préparons notre tarte aux poireaux. Clémentine se blottit contre moi pour me chuchoter : < Pardonne-moi, je peux pas ! >
Je la rassure. Estelle lui fait : < C'est dommage, un vieux salaud de 65 ans, incontinent et impuissant, c'est plutôt goûteux ! >
Le repas et la soirée se passent dans un ambiance un peu particulière. Comme si Clémentine avait vécu un choc. Il est 22 h15.

Nous ramenons Estelle et sa bicyclette. La séparation est difficile tant l'intensité de ce que nous avons vécu est encore présente.
Au retour, sa tête sur mon épaule, Clémentine reste silencieuse. Il est 22 h45. Nous voilà de retour. Les toilettes. Salle de bain.
Le lit. J'offre un délicieux cunnilingus à Clémentine. Cela agit comme une thérapie. Elle se détend enfin. Et elle m'attire sur elle.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine rapproche sa bouche de mon oreille.
J'entends alors les plus étonnantes révélations. Son désir fou de goûter cette bite. Son inhibition qui l'en empêche. Je la rassure.

Bonne pipe aux écuries à toutes les coquines qui aiment sucer de vieilles bites molles et fripées qui pendent de quelques trous...

Julien - (Qui rassure Clémentine en lui disant qu'à force de se retrouver dans ces situations, ce sera pour une prochaine fois) -

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Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 420 -



Clémentine découvre de bien délicieux tourments

Hier matin, vendredi, nous sommes tirés de nos sommeils par la 3ème symphonie de Johannes Brahms. C'est assez violent.
< Ta gueule Jojo ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rions de bon cœur en nous serrant fort. 5 h55.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. C'est notre rituel pisseux quotidien.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine prépare le café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il fait clair.

Clémentine n'a cours que jusqu'à midi. Il y a cette effervescence des débuts de Week-End. Nous sommes déjà en tenue sport.
Il est réjouissant de pouvoir commencer notre journée par un jogging. Nous voilà à courir sous un ciel lumineux. Bientôt bleu.
Il est 7 h30 lorsque nous revenons après une heure d'un agréable running. La douche. Je descends sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint vêtue d'un jean, sa veste en cuir noir et chaussée de ses bottines à légers talons. J'adore la voir habillée ainsi.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Joie.

Je monte faire notre lit. Je redescends pour faire notre vaisselle. Je me rends dans l'atelier. Il fait beau. Il y a le soleil. 8 h15.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je termine ce matin la vingt septième toile destinée à ma saison d'été. C'est super.
Je peins animé d'un sentiment de plénitude mêlé d'exaltation. Une exubérance qui me fait pousser les cris les plus surréalistes.
Il est onze heures lorsque je dépose le dernier point de peinture sur ma nouvelle nature morte. C'est fantastique. Le bonheur.
Je dépose la vingt huitième toile sur mon chevalet. Toile dont le dessin préparatoire est déjà réalisé. Un paysage de la région.

Je descends au jardin pour me rendre au potager. Il est inutile d'arroser avec la pluie qui est tombée hier. Il y a du soleil. Beau.
Là-bas, près de la rivière, mon attention est attirée par un cavalier qui se rapproche en remontant le chemin. Je désherbe. Bien.
C'est Juliette qui arrive là. < Bonjour. Je passais à proximité ! > me fait la jeune femme. Nous bavardons un petit peu. Sympa.
Je l'invite à venir manger mercredi prochain, en soirée. Juliette se réjouie. Du haut de son cheval, bien droite elle est ravissante.
Nous nous saluons. Je la regarde redescendre le chemin. Là-bas, à environ 300 mètres, elle se retourne pour mimer une branle.

Cela ne dure qu'un instant. Elle lève le bras pour me faire un dernier coucou avant de disparaître derrière les bosquets. Rivière.
Je vais dans la serre pour découvrir les boutons des premières fleurs qu'a planté Clémentine dans les jardinières. C'est superbe.
Il est 12 h15. Je suis entrain de préparer les filets de haddock que je fais revenir à la poêle lorsque Clémentine rentre de cours.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bises. Douce. Elle s'occupe de la salade et de l'assaisonnement.
Je lui raconte la rapide visite de Juliette, son attitude près de la rivière. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine fait pareil !

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Dans sa fac aucun étudiant gréviste pour en bloquer l'accès.
Tout se passe bien. Les profs proposent le plan B en cas de problème. Les épreuves pourront êtres effectuées en ligne. Internet.
Assise sur mes genoux, en terminant son yaourt, Clémentine évoque ce que nous avons vécu hier au haras. Le trou dans le mur.
< Je suis encore terriblement excitée lorsque j'y pense ! > me fait ma compagne. < Le culot d'Estelle ! > rajoute t-elle en riant.
Je dis : < Estelle admire ton culot lors de tes exhibes. Toi tu admires son culot pour sucer le palefrenier ! Vous êtes quittes ! >

Nous rigolons comme des bossus de ce constat. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous mettre en tenues.
Il fait beau. Il fait chaud. Clémentine met sa jupe beige façon tennis, un T-shirt blanc. Je porte mon short noir et T-shirt blanc.
Je passe ma main sous la jupe de Clémentine pour saisir les lèvres charnues de son sexe. Nous descendons en nous tripotant.
Nous sortons les bicyclettes du garage. < Je dois pisser ! Il me faut un "plan" ! > me fait elle en descendant le chemin. Rires.
Nous voilà à pédaler contre un léger vent d'Ouest sur la piste cyclable. Il y a peu de cyclistes. Il fait doux. C'est un réel plaisir.

Nous arrivons au cabanon de l'écluse. Nous nous arrêtons. Nous mettons les vélos derrière les buissons. Clémentine se touche.
Elle traverse la passerelle métallique pour aller se positionner de l'autre côté de l'écluse. Je reste planqué derrière le cabanon.
L'attente n'est pas très longue. Clémentine voit arriver ce cycliste solitaire qui semble flâner. Elle s'accroupit. Cuisses écartées.
Elle tient sa culotte dans sa main droite. Elle se tient au sol de sa main gauche. Cambrée en avant. Et elle a ses lunettes noires.
Le type arrive. Scénario habituel. Avec la différence que Clémentine qui se retient depuis longtemps a une furieuse envie. Pipi.

Le cycliste, debout, son vélo entre ses jambes, admire ce merveilleux spectacle. Clémentine n'éprouve aucun souci pour pisser.
Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine lâche un de ses jets impressionnants et qui vient se briser loin devant elle.
Il en tombe dans l'écluse. Clémentine, cambrée, se lâche en pissant le plus haut possible. Le mec regarde dans tous les sens.
Il sort sa queue. Une grosse bite courte, trapue. Je ne comprends rien des propos échangés. Le type agite son sexe vers la fille.
Clémentine s'assoit, cuisses largement écartées, relève la tête. Son anonymat préservé par ses cheveux et ses lunettes noires.

Il y a un couple de cyclistes qui arrive sur la gauche. Le type remballe en vitesse. Clémentine se relève, main entre les cuisses.
Le type remonte sur son vélo. Clémentine traverse la passerelle. Le cycliste fait demi tour pour revenir. Il me voit. Il s'enfuit !
< Tu as entendu ? Il me proposait de le branler ! Carrément ! Sans passer par la case pipe ! > me fait Clémentine en pédalant.
Nous en rions de bon cœur. Nous arrivons au port de plaisance. Il y a l'animation habituelle. Nous fermons nos vélos à cadenas.
Nous passons à la capitainerie. Nous saluons la capitaine. Je lui donne les coordonnées de Juliette et l'adresse du haras. Boulot.

Nous lui conseillons d'appeler le plus tôt possible. La jeune femme occupe ce poste saisonnier sans réelle conviction. Capitaine.
Cela consiste à accueillir les plaisanciers, à encaisser les locations d'emplacements. Rien de bien passionnant. Elle nous le dit.
Aussi, immédiatement et devant nous, elle téléphone. Nous entendons la conversation. Rendez-vous est prit pour lundi matin.
La jeune femme est débordante de reconnaissance. Le poste que propose Juliette est autrement plus intéressant. Secrétariat.
Nous la laissons pour traverser la route et nous rendre à la supérette. Nous nous offrons nos cônes glacés. Ils tombent à pic !

Nous flânons sur le quai. < Regarde ! Le cycliste de l'écluse ! > me fait Clémentine en me montrant le type assis sur le banc.
L'individu regarde les joueurs de pétanque. Il ne nous a pas vu. Clémentine chuchote : < Reste là, derrière la camionnette ! >
Je la regarde longer le muret. Elle s'arrête devant le grand panneau d'orientation avec le plan du port. Le type tourne la tête.
Il voit la jeune fille. Il se lève pour la rejoindre. Une conversation s'engage. Clémentine tout en bavardant se touche. Discrète.
La main sous sa jupe, entre ses cuisses. Je regarde. Je bande comme le dernier des salauds. Le type certainement aussi. Bien.

Clémentine, tout en discutant, regarde fréquemment autour d'elle. Personne ne se rend compte de ce qu'elle fait sous sa jupe.
Le cycliste lui montre les fourrés qu'il y a là-bas, entre la capitainerie et le bâtiment des sanitaires des plaisanciers. Il insiste.
Le type doit être persuasif. Ils marchent ensemble vers les fourrés. Je me déplace pour ne rien rater. Je suis hyper excité. Joie.
Je suis planqué derrière les fourrés. Ils sont devant la porte des sanitaires. Le type a sorti sa queue. Il invite la fille à y entrer.
Le mec y entre le premier. Clémentine me cherche du regard. Je me montre. Elle me fait le signe de la rejoindre. Je la rejoins.

< J'ai le téléphone. Si le tiens sonne tu viens immédiatement, ok ! J'y vais ! > me dit elle. Elle me fait une bise et entre . WC.
Je reste aux abords. Il y a un moment qui passe. Je n'entends rien. Ma curiosité, conjugués à mon excitation devient intenable.
C'est là que je vois la capitaine qui me regarde avec le pouce levé en me faisant un grand sourire. Elle ferme une des poubelles.
Je rentre dans les toilettes. Le type est devant un des deux urinoirs. Clémentine tout prêt de lui. Elle mâte en se touchant. Joie.
Elle me regarde, surprise et interrogative. < Je ne t'ai pas sonné ! > me fait elle. Je dis : < Excuse moi ! > avant de ressortir.

Je laisse la porte entrebâillée. Je regarde discrètement. Clémentine regarde le type se branler tout en bavardant avec lui. Rires.
Je suis terriblement excité. Enfin une situation qui se rapproche de mon fantasme. C'est un quadragénaire. Petit, très athlétique.
Clémentine regarde vers la porte. Elle fronce les sourcils en faisant le geste de me chasser. Le type tourne la tête en se branlant.
< Casse toi ! > me fait il en se doutant bien que je mâte. J'ai un curieux sentiment. Je dérange ! Soudain, la voix de la capitaine.
< Venez ! Vous pouvez mâter par là ! > me fait elle en me montrant l'échelle posée au sol. Je la redresse. Il y a un petit hublot.

Je monte pour arriver à la hauteur du hublot. Clémentine est accroupit à côté du type qui lui montre sa queue en se branlant.
C'est comme s'il lui expliquait ce qu'il fait. Il a son short et son slip descendus. Je les vois rire à plusieurs reprises. La branlette.
La capitaine est au bas de l'échelle et me demande : < Alors ? >. Je ne sais quoi dire. La situation est tellement surréaliste. Fou.
Un plaisancier arrive. Il entre dans les toilettes. Je mâte. Le type remonte ses fringues. Clémentine se redresse. Tout va si vite.
Clémentine sort à toute vitesse. Elle contourne le bâtiment pour me découvrir en haut de l'échelle, la capitaine toujours en bas.

Je redescends. Clémentine m'entraîne par la main. < Viens, on se dépêche de filer ! >. Nous retournons à la supérette. Cônes.
Nous sommes assis sur la jetée à savourer nos cônes glacés. Clémentine me raconte tout dans les moindres détails. Branlette.
Je lui confie à quel point j'ai apprécié ce moment qu'elle nous a offert. < Et moi donc ! > me fait elle. Nous sommes si excités.
< J'ai failli sucer ce mec. A cause de tout ce que tu as mis dans ma tête. De faire une pipe à un inconnu ! > me fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Elle me confie le bonheur et le plaisir que lui procurent ces situations si troublantes et très vicelardes.

Il est 19 h. Il faut mettre nos K-ways, nos leggings qui sont dans le petit sac à dos. La météo est entrain de changer. Fraîcheur.
Il est 20 h15 lorsque nous arrivons à la maison. Nous préparons un rapide repas. Nous sommes pressés de nous retrouver au lit.
Clémentine a l'envie folle de me sucer. Elle me confie que dans son imaginaire, elle suce la bite de l'inconnu aux chiotte du port.
Elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine livre ses secrets.
J'écoute émerveillé. < Si j'avais ses coordonnées, je contacterais ce mec ! > me confie t-elle. J'écoute, enchanté. C'est sublime.

Dans le flot de ses révélations, même si elle m'accuse d'être responsable de ce fantasme qui l'envahit, Clémentine se confie.
< Je commence à en avoir méchamment envie ! Je vais te sucer un mec un de ces jours ! Tu es prévenu ! > chuchote t-elle.
Nous bougeons doucement pour nous bercer. Nous cessons. < Tu me promets de ne jamais m'en tenir rigueur ? > me dit elle.
Je la rassure. Ce que j'ai vécu cet après-midi, me rend fou amoureux. Clémentine me fait : < C'est toi que j'aime. Tu sais ! >
Je lui murmure les situations dans lesquelles je voudrais la voir sucer. Elle ne peut refréner un orgasme violent. Joie et dodo.

Bonne découverte de situations excitantes à toutes les coquines qui hésitent à réaliser ce fantasme. Une pipe inconnue) -

Julien - (Qui est enchanté de savoir que la réalisation de ce fantasme approche doucement mais sûrement) -

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Des virées à bicyclette qui ont de quoi nous enchanter

Hier matin, samedi, je suis réveillé par un léger mouvement des draps. Un presque imperceptible froissement qui est continu.
Il doit se passer quelque chose lors de mon réveil qui alerte Clémentine car tout cesse. J'ai toutefois le temps de comprendre.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me murmure t-elle comme pour s'excuser, cessant sa masturbation pour ce blottir contre moi.
Nous rions de bon cœur lorsque je lui chuchote : < Bonjour ma belle masturbatrice ! >. Elle me chevauche en riant. Douceur.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Il est à peine 7 h30. Morts de faim, nous descendons à la cuisine. Joie.

Je presse nos quatre oranges. Clémentine prépare le café tout en me racontant son rêve érotique. Dans les toilettes du port.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle me révèle s'être réveillée juste avant de faire une pipe à l'inconnu rencontré hier.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé que nous affectionnons tant. C'est si sympathique.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine, que son expérience de hier au port de plaisance a troublé, rit.
Avec un luxe de détails, elle narre par le menu son rêve de cette nuit. Je dis : < Ce mec t'a semble t-il, beaucoup marqué ! >

Clémentine ne sait trop quoi dire, soudain gênée. Elle s'assoit sur mes genoux pour terminer son yaourt au miel. Un silence.
Je rajoute : < Peut-être va t-on le croiser une nouvelle fois. Malgré que nous croisons à chaque fois plein de monde. ! > Rire.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous sommes déjà en tenues de jogging. Dehors il fait beau malgré la légère fraîcheur.
Il est 8 h lorsque nous courons d'un rythme soutenu sur le chemin qui descend à la rivière. Nous faisons le parcours habituel.
Il est 9 h15 lorsque nous revenons. La douche. Nous avons nos courses à faire. Il n'y a presque plus de fruits, ni de légumes.

Avec ce temps, Clémentine peut à nouveau mettre ses jupes. Ses robes. Ce matin elle porte une robe noire cintrée à la taille.
C'est une robe courte qui lui arrive à mi cuisses. Sa veste un cuir noir, cintrée, chaussée de ses bottines, elle est magnifique.
Clémentine garde ses longs cheveux en liberté. Je l'entraîne devant le miroir. Je dis : < Regarde un peu comme tu es belle ! >
Sur sa demande je porte un pantalon à pinces de lin clair, chemise blanche déboutonnée, une veste de lin beige. Mocassins.
Je passe ma main sous sa robe pour palper les lèvres charnues de son sexe à travers le coton de sa petite culotte. Et je palpe.

Clémentine apprécie par dessus tout les initiatives vulgaires. J'essaie toujours d'être à la hauteur de ses souhaits. C'est sympa.
Dans la voiture qui nous mène au bourg pour y faire notre marché, je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue sortie.
Nous arrivons. Je gare l'auto. Il y a du monde. Je garde ma braguette discrètement ouverte. Je porte les sacs pour les courses.
Bien évidemment, nous attirons pas mal de regards interrogateurs. Cette superbe jeune fille au bras de cet homme d'âge mûr.
Nos hautes tailles. Nous nous amusons beaucoup de ces situations. Nous faisons provision de fruits, de légumes et de fromages.

Nous échangeons quelques bons mots avec nos artisans locaux avant de retourner à la voiture. Je porte les sacs plutôt lourds.
La glacière est branchée sur l'allume cigare. Nous y rangeons les produits laitiers. Beurre, œufs, fromages, yaourts et la crème.
Nous voilà en route pour la zone commercial à proximité de la ville. Clémentine me confie être très excitée. Le regard des mecs.
Toujours interrogative à ce propos, je la rassure en lui précisant que c'est de son âge et qu'il faut en apprécier les sensations.
Je gare l'auto. Il y a du monde. Je pousse la caddie. Nous passons devant les grandes baies vitrées de l'entrée du supermarché.

Nous voyons nos silhouettes dans le reflet. Je dis : < Regarde un peu le "canon" que tu es ! Comment échapper aux regards ! >
Clémentine me fait : < J'en suis consciente. Je dois vivre avec depuis mon adolescence. C'est parfois difficile ! Mais c'est bon ! >
Nous rions de bon cœur en pénétrant dans le grand magasin. Nous flânons dans les rayons qui nous concernent. Les produits.
Clémentine marche devant moi. Elle choisit les articles qu'elle me montre avant de les poser dans le chariot. Méthode. Efficacité.
Elle tient la liste qui est accrochée à la porte du frigo. J'y note au fur et à mesure, et tous les jours, ce qu'il ne faut pas oublier.

Nous faisons la queue à la poissonnerie. Nous y faisons provision de filets de cabillaud, de lieu noir, de haddock et fruits de mer.
Par acquis de conscience et pour ne pas rater un éventuel plan exhibe, Clémentine nous entraîne au rayon des bouquins. Super.
Pas de réelle opportunité car il y a beaucoup trop de monde. Nous allons au rayon des vêtements. C'est la même chose. Risqué.
Un peu frustrée, Clémentine me fait : < Cet après-midi, je vais prendre ma revanche ! >. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous passons en caisse. La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine le sort de ma poche. < Estelle ! > fait elle en riant.

Avec cette météo, Estelle vient nous rejoindre pour 13 h45 afin de faire la virée bicyclette avec nous. Nous revenons à la voiture.
Je roule doucement. Les douze petits kilomètres jusqu'à la maison sur la petite route sont l'occasion de nous tripoter. Douceurs.
Il est 12 h15 lorsque nous sommes de retour. Clémentine qui m'a un peu sucé me fait : < Miam ! Ça m'a mis en appétit ! > Rire.
Nous rangeons nos affaires. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Je prépare les filets de cabillaud. La poêle.
Avant de passer à table, je descends à la buanderie. Depuis quelques temps nous pouvons à nouveau faire sécher le linge dehors.

Nous montons nous mettre en tenues vélo. Gain de temps. Nous mangeons de bon appétit. Haricots verts et le cabillaud panné.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine n'arrête pas de me toucher le sexe au travers de mon short noir en coton fin.
< Cet après-midi, vélo avec la braguette ouverte ! > me fait elle avec autorité. Nous descendons au jardin. La visite du potager.
Les tomates encore vertes ont déjà la taille de grosses noix. Les poireaux dépassent déjà ainsi que le choux et les carottes. Joie.
Nous allons dans la serre. Il y règne toujours une chaleur accablante. Double vitrage. Là aussi, dans les jardinières, ça pousse !

Nous admirons l'eau claire du bassin. < Coucou les gens ! >. C'est Estelle qui arrive. Elle est en short et T-shirt. Petit sac à dos.
Tout comme Clémentine elle a fixé ses cheveux en catogan. Elle est belle, rayonnante. Et si contente de se retrouver avec nous.
Elle se serre contre moi. Clémentine s'interpose. Nous rions de bon cœur de ce qui est devenu un jeu. Il est 13 h50. Il fait beau.
Je vérifie le gonflage des pneus des trois vélos. 4,5 bars devant et derrière. Parfait. Dans le petit sac à dos, pommes et céréales.
Nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable. Nos vies sont ritualisées. Nous aimons à reproduire les choses. Sécurisant.

Il y a du monde à profiter de cette journée magnifique. Nous croisons quantité de cyclistes, de filles en rollers et de promeneurs.
Arrêt au cabanon de l'écluse pour le "recueillement" imposé par Estelle qui me demande de sortir discrètement ma bite. Rigolade.
J'agite mon sexe dans sa direction. Il faut être prudent car il y a du passage. Je passe ma main entre ses cuisses pour la tripoter.
Depuis quelques semaines il m'est autorisé de lui toucher l'entre jambes, de toucher son sexe et de m'y attarder. C'est superbe.
Je ne m'en prive pas. Estelle apprécie la vulgarité et exige que je me comporte en véritable vicelard. J'enfonce un peu les doigts.

J'entraîne Estelle en la tenant par la nuque. Clémentine suit. Nous passons derrière le cabanon. Je force Estelle à s'accroupir là.
Je lui passe la bite sur le visage dont elle me présente les reliefs en gloussant de plaisir. Clémentine m'embrasse avec fougue.
Nous ne nous attardons pas. Je laisse sucer Estelle quelques instants. Nous remontons sur nos bicyclettes. Il fait doux. Superbe.
Nous arrivons au port de plaisance. Il y a l'animation des samedis après-midi. Nous fermons nos bicyclettes à cadenas. 15 h45.
Nous passons saluer la capitaine du port. La jeune femme est toute contente de nous voir. Elle est en jean et T-shirt. Baskets.

Nous lui proposons de lui ramener un cône glacé. Nous traversons la route pour nous rendre à la supérette. Beaucoup de clients.
Estelle me touche discrètement. Clémentine lui retire souvent la main. Nous rions de bon cœur. Nous voilà avec les cônes glacés.
Nous retournons à la capitainerie pour offrir son cône à la capitaine. Elle insiste pour me rembourser. Cela me gêne. Pas question.
Nous bavardons un peu. < Le type de hier a rôdé dans les parages en début d'après-midi ! > nous apprend la jeune femme. Rire.
Je fais un clin d'œil à Clémentine. Nous prenons congé. Nous flânons sur le quai. Les joueurs de pétanque. Les plaisanciers. Joie.

Clémentine nous entraîne derrière la capitainerie, dans le bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers. Les toilettes vides.
Nous racontons à Estelle ce qui s'est passé ici hier. Clémentine qui mâtait le mec entrain de lui expliquer sa branlette. Vicelard.
< Il avait une sorte de verrue énorme à la base du gland. Il se décalottait pour me montrer. Le bout étroit ! > fait Clémentine.
< C'est la première fois que j'avais vraiment envie de goûter ! > rajoute encore ma compagne à Estelle qui écoute avec intérêt.
Clémentine fait encore : < En plus d'être bien salaud comme j'aime il avait de l'humour et il me faisait rigoler tout le temps ! >

Nous ressortons pour nous promener sur le port. Nous allons nous asseoir sur le muret au bout de la jetée. Météo magnifique.
< Pour une fois qu'un mec ne me laisse pas ses coordonnées. J'aurais bien aimé avoir celles de ce pervers ! > fait Clémentine.
Estelle lui répond : < Tu as entendu la capitaine. Le mec est venu rôder en début d'après-midi. Il cherche aussi à te revoir ! >
Je sors discrètement mon sexe. J'ai notre petit sac à dos posé sur mes genoux. Personne ne me voit me masturber doucement.
Estelle s'en saisit pour me branler. Clémentine a passé discrètement sa main sous sa jupe. Il faut rester prudents et vigilants.

< Si je revois ce type, je me le suce ! Je veux sa bite ! > fait encore Clémentine. < Tu n'es pas jaloux ? > me demande Estelle.
Je la rassure. J'explique que c'est mon fantasme le plus fou. < Tu aimes me voir sucer le palefrenier alors ! > me répond Estelle.
Je dis : < Oui et mon plaisir absolu serait de voir Clémentine faire la même chose ! >. Clémentine me prend la main. Elle serre.
Nous décidons de retourner nous offrir trois autres cônes glacés. Et nous les dégustons sur un des bancs près de la capitainerie.
De l'endroit où nous sommes assis nous avons une vue parfaite sur l'entrée des toilettes réservées aux plaisanciers. Opportunité.

Nous regardons des gens y entrer et en ressortir. < Celui-là ? Tu le sucerais ? > demande Estelle. < Beurk ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Nous prenons le chemin du retour. Il est 19 h. Nous sommes de retour à la maison pour 20 h30. Bien.
Morts de faim après ces 25 km où il fallait pédaler contre un vent de Nord Est, nous nous préparons notre repas du soir. Super.
Clémentine fait la salade. Estelle râpe du gruyère et du Parmesan. J'égoutte les coquillettes que nous préparons au gratin. Joie.
Le gratin est au four. Nous passons au salon. La nuit est tombée. Nous sommes vautrés dans le canapé à faire le bilan du jour.

Estelle joue avec ma bite tout en bavardant. Comme à son habitude elle me la tord dans tous les sens. C'est parfois douloureux.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. La table est mise. Nous savourons ce repas. Gratin de pâtes et omelette.
Les filles évoquent leurs cours et les épreuves du "Master" qui commencent jeudi. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Salon.
Clémentine, vautrée dans le fauteuil, les jambes écartées et posées sur les accoudoirs, se touche en observant Estelle à genoux.
Je suis debout entrain de passer ma bite suintante sur son visage. Elle tente de le gober à plusieurs reprises. Et je l'en empêche.

Je m'accroupis à mon tour pour l'embrasser avec fougue en lui tenant la tête. Elle me passionne et m'excite toujours tellement.
J'entends Clémentine gémir de plaisir en regardant mon comportement. Je fais doucement tomber Estelle sur l'épais tapis. Joie.
Je me couche sur le côté, mon sexe à hauteur de sa bouche. Je me fais sucer en appui sur mon coude en regardant Clémentine.
Nous nous sourions à chaque fois qu'elle ouvre les yeux se mordillant la lèvre inférieur en luttant contre l'orgasme qui guette là.
Nous restons ainsi un long moment. Nous sommes épuisés par cette journée d'activités parfois intenses. Excitations répétées...

Je force Estelle à cesser en la tenant par les cheveux pour retirer ma bite gluante de sa bouche avide, gourmande et si chaude.
Elle pousse un cri de dépit. Je la force à se lever en même temps que moi. Je l'entraîne aux toilettes. Je la fais mettre à genoux.
Clémentine vient nous rejoindre. En appui contre le mur derrière elle, tout en se masturbant elle me regarde pisser sur Estelle.
Ne pouvant réfréner l'orgasme qui la terrasse avec violence, Clémentine est secouée de spasmes libérateurs. Elle en pisse aussi.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Ce mélange de pisse et de foutre lui procure les plus indicibles émotions. Dégoût et bonheur.

Toussant, tentant de déglutir, à la limite du vomis, se tenant au rebord de la cuvette des WC, Estelle reprend ses esprits. Crache.
Les cheveux collés sur ses joues par la pisse, elle lève la tête pour me dire : < T'es la dernière des ordures ! Je t'aime. Salaud ! >
Je la force à se redresser. Nous montons à l'étage. Je sèche les cheveux d'Estelle avec le séchoir électrique en touchant son sexe.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Il est 23 h15. Nous voilà au lit. Estelle s'endort comme une masse en ronflant.
Clémentine se serre contre moi pour me chuchoter à quel point elle est heureuse. Elle me livre quelques étonnants secrets. Dodo.

Bonne virée à bicyclettes à toutes les coquines qui aiment savourer des cônes glacés avant de déguster une bonne bite juteuse...

Julien - (Qui offre volontiers son cône "Spécial deux boules" à Estelle qui s'en goinfre avec délectation. Jusqu'à la pisse) -

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Une expérience nouvelle au haras par un après-midi pluvieux

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des murmures, des rires étouffés et on me tient fermement par le sexe.
J'ouvre l'œil. Et le bon. C'est Estelle qui a passé son bras par dessus Clémentine, qui me tient ainsi par mon érection matinale.
< Bonjour Julien ! > font les deux coquines en même temps. Je me dresse pour me mettre à quatre pattes entre les deux filles
Tout en imitant les grognement de l'ours des cavernes, je les chatouilles. J'adore les voir rire. Dimanches matins inoubliables.
Estelle parvient à s'enfuir en rigolant jusqu'aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Le bonheur. Douceur et papouilles.

Estelle revient pour nous dire : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux WC.
Nos rituels pisseux. Morts de faim nous descendons pour rejoindre Estelle à la cuisine. Il règne l'odeur du pain grillé et du café.
Estelle se précipite dans mes bras pour chuchoter : < Ce que tu m'as encore fait hier soir, demande une récidive aujourd'hui ! >
Clémentine s'interpose : < Oh là ! On se calme la pipeuse ! >. Nous rigolons comme des bossus. Dehors, le temps est moche.
Une météo épouvantable qui va certainement durer toute la journée. Nous prenons notre petit déjeuner tout en bavardant. 8 h.

Les filles évoquent les épreuves de leur "Master" qui commencent jeudi. J'écoute religieusement car c'est vraiment intéressant.
Puis la conversation s'axe sur nos aventures au port de plaisance. Les exhibes de Clémentine. Les pipes que fait Estelle. Gérard.
L'une envie le courage de l'autre. Nous rions souvent de bon cœur aux descriptions des situations déjà vécues et tous les trois.
Nous traînons à table. C'est dimanche. Pas d'entraînement. C'est le jour du ménage. Pas de jogging. La vaisselle. C'est sympa.
Estelle insiste pour nous seconder. Clémentine lui donne les directives et elle monte faire la chambre. Estelle déléguée au salon.

Je range la cuisine. Je nettoie les chiottes du ré de chaussé. Je croise Estelle avec l'aspirateur dans le couloir. Quelques bisous.
< J'ai envie que tu sois salaud avec moi, si tu savais ! J'en ai même rêvé cette nuit ! > fait elle en se serrant fort contre moi.
Je la repousse doucement et à plusieurs reprises. Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, ses élans passionnés me gênent.
Je passe la serpillère sur les carrelages. Je rejoins Estelle qui fait la poussière au salon. Elle m'entraîne devant les fenêtres.
Nous regardons tomber la pluie. Il fait si sombre. Elle me tient par la hanche. < Je t'aime Julien !> me chuchote t-elle encore.

Estelle est encore en pyjama. Je lui passe la main dans la culotte pour caresser sa fente. Chez Estelle point de lèvres charnues.
Je la serre dans mes bras. Nous nous embrassons. Elle se laisse glisser pour se mettre à genoux, son visage devant mon sexe.
Je suis en slip. Je la force à se redresser. Je la tiens fermement par ses cheveux pour l'entraîner à l'étage rejoindre Clémentine.
Clémentine termine de changer les draps. Elle nous voit arriver ainsi. Je tiens Estelle par sa tignasse, penchée en avant. Rires.
Je dis à Estelle : < Raconte un peu à Clémentine ce que tu voulais me faire et ton attitude en bas ! >Nous rions de bon cœur.

Je lui remets la main dans la culotte. Clémentine ramasse les draps sales en disant : < Elle mérite une bonne punition ! > Rire.
Je lâche Estelle pour rejoindre Clémentine à la salle de bain. Je lave le bac à douche. Ma compagne fait les miroirs et le lavabo.
Estelle passe le balai dans la grande pièce où nous nous entraînons. Clémentine se serre contre moi. < Je t'aime ! > me fait elle.
Nous sommes ainsi à nous serrer, à nous caresser à plusieurs reprises. Je nettoie les chiottes à l'étage. Clémentine redescend.
Estelle vient me rejoindre au WC. < Je dois faire pipi. Tu me tiens ! > me fait elle en se cambrant au dessus de la cuvette. Rire.

Je la tiens par ses cheveux. De mon autre main, je fouille sa touffe. Estelle pisse d'un long jet sonore qui résonne étrangement.
Je la torche. < C'est génial ! > me fait elle en palpant l'énorme bosse dans mon slip. Elle se frotte contre moi en m'embrassant.
Je la repousse doucement. Je l'entraîne dans la chambre. Nous nous habillons en riant. Nous descendons rejoindre Clémentine.
Il est à peine onze heures. Clémentine est assise derrière le bureau devant l'ordinateur. < Deux courriels ! > nous lance t-elle.
Je vais la rejoindre. < C'est Juliette qui nous invite au haras cet après-midi ! > fait elle en m'invitant à lire les deux messages.

< Super ! > s'écrie Estelle en me tenant par la hanche. Cette proximité ne me gêne pas lorsque Clémentine est présente. Bien.
Le second message est envoyé par Julie, la jeune serveuse du restaurant de l'étang. C'est rare et c'est la toute première fois.
Elle nous propose de venir passer une soirée barbecue avec nous dans les jours qui suivent ses épreuves. Elle passe sa licence.
Etudiante en Lettres modernes, Julie passe les épreuves de sa licence de Lettres. Nous répondons aux deux messages. Super.
Je vais à la cuisine pour préparer le repas. J'entends les filles rire au salon. J'épluche les patates, les navet et les carottes. L'ail.

Clémentine vient me rejoindre. Elle s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Estelle est entrain de lire nos récits. Forum.
Les pavés de saumon ont décongelé. Estelle vient nous rejoindre pour les préparer en papillotes. Nous voilà affairés à la cuisine.
Tout va vite. Nous sommes méthodiques et efficaces. Estelle est très lascive et se frotte souvent contre moi. Elle me touche fort.
Clémentine est obligée de s'interposer souvent. Tout cela est un jeu qui nous amuse et qui nous excite. Il est midi. Tout est prêt.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent à nouveau les cours, leurs études et l'avenir après l'obtention de leur Master.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine évoque le haras cet après-midi. Visite.
Pour aller nous amuser au haras, cet après-midi, ma compagne propose à Estelle de se vêtir en "putes". Allumer le palefrenier.
Estelle accepte en riant même si l'idée de se retrouver en jupe, chaussée de souliers à talons, est pour elle une sorte d'épreuve.
< Je me sens toujours si ridicule lorsque je suis babillée comme ça ! > nous fait elle en débarrassant la table. Nous nous levons.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous mettre en tenues. Les filles font de l'essayage. Je suis assis sur le lit.

Il fait un temps maussade. La pluie n'arrête plus. Il ne fait toutefois pas froid. Pas besoin de mettre de collants. Sympathique.
Clémentine porte une de ses jupes kilt à carreaux rouges. Un chemisier sous un pull noir. Chaussée de souliers à légers talons.
Estelle est vêtue de la même manière. J'ai devant moi deux sœurs jumelles. Toutes les deux s'accroupissent dans ma direction.
Cuisses écartées, elles me font un sourire. Je bande comme un salaud. Clémentine sans culotte. Estelle avec culotte. Superbes.
Sur la demande de Clémentine je porte un jean bleu, une chemise blanche sous un pull noir. Nous sommes très élégants. Bien.

Il est 13 h45. Nous voilà en route. Il y a trois petits kilomètres jusqu'au haras. J'ai ma braguette discrètement déboutonnée.
Nous arrivons. Je gare la voiture dans la cour déserte. Juliette vient nous accueillir. Sous le grand parapluie nous la rejoignons.
Nous nous serrons la main. Nous suivons Juliette dans ses appartements. Nous prenons le thé. Nous bavardons. Petits gâteaux.
Juliette nous remercie d'avoir trouvé une personne qui pourrait remplacer Solène au secrétariat. < C'est pas simple ! > dit elle.
Juliette voit ma braguette qui bâille et y fixe son regard avec insistance. Ce qui n'échappe pas à Clémentine ni à Estelle. Joie.

Juliette nous invite à aller aux écuries. Visiter le nouveau bâtiment. Nous la suivons. Il a cessé de pleuvoir. Il fait presque doux.
Nous traversons la cour pour nous rendre dans la nouvelle écurie. Juliette nous fait voir l'infrastructure de la construction neuve.
Les box à chevaux sont séparés par des cloisons de bois et recouvertes d'une couche de peinture. Nous arrivons au dernier box.
Immédiatement notre attention est attirée par ce trou parfaitement rond à 80 cm du sol dans la cloison. Estelle se penche. Joie.
< Il a déjà servi ! > s'écrie t-elle. Nous rions de bon cœur lorsque Juliette répond : < Mais il est fait pour servir, chère amie ! >

Il y a des coulures légèrement plus mates que la peinture beige et brillante. < Vous allez nous dire qui c'est ! > fait Clémentine.
Juliette se contente d'éclater de rire avant de mettre l'index sur sa bouche. < C'est vous ? > fait encore Clémentine. Le silence.
Juliette me lance : < Passez donc dans la petite pièce à côté ! > Clémentine m'entraîne par la main. Nous entrons dans le local.
C'est aménagé comme un petit bureau. C'est là que le palefrenier, monsieur Gérard, peut faire ses travaux d'écriture. Superbe.
Clémentine s'accroupit devant le trou. De l'index elle me fait signe de la rejoindre. Je comprends immédiatement. Je la rejoins.

Je sors ma bite que je passe par le trou. Nous entendons rire derrière la cloison. Je bande mou. < Pisse ! > me fait Clémentine.
Je dois pisser depuis la maison. Pourtant, avec l'excitation qui me gagne, je n'y arrive pas. Une bouche vient gober ma queue.
Est-ce Estelle ou Juliette ? Clémentine me donne son avis. < C'est Estelle ! Certain ! >. A ce moment Juliette arrive à son tour.
Elle reste à distance, les bras croisés à m'observer plaqué contre la cloison. Juliette est vêtue d'un tailleur et blaser très stricts.
Clémentine, accroupie à mes côtés, me tient les couilles par derrière. Je suis entrain de me faire tailler une pipe des familles...

Nous restons ainsi un long moment. Clémentine s'est assise sur la chaise, son visage près du trou pour mâter et pour écouter.
Nous percevons les gargouillis. Juliette est penchée sur ma gauche pour regarder et écouter. Je lui pose la main sur la tête.
C'est la toute première fois que j'ai une initiative de ce genre avec cette femme qui m'impressionne toujours beaucoup. Classe.
A mon plus grand étonnement elle se laisse faire en s'accroupissant. Je descends doucement sur sa nuque. Je tiens fermement.
Je serre ma main plusieurs fois. La jeune femme, sa main droite en appui sur la cloison, a le visage tout près du trou. Ma bite.

J'appuie sur la nuque de Juliette jusqu'à lui poser la joue droite sur la cloison. Clémentine se lève pour passer de l'autre côté.
Elle regarde ce que je fais. Elle me lance un clin d'œil. Je tiens Juliette fermement en maintenant son visage contre la cloison.
J'entends sa respiration. Je sors ma bite de la bouche d'Estelle qui pousse un cri dans son box. Je retire mon sexe de l'orifice.
Il y a des filaments de jute épaisse et visqueuse. Je tiens Juliette. Je veux lui passer la bite sur le visage. Elle se dégage vite.
Clémentine qui comprend, tente de la retenir avec fermeté. La jeune femme se redresse rapidement en disant : < Salaud ! >

Je la tiens toujours par la nuque. Elle se dégage. Elle nous fait : < Deux salopes et un salaud ! >. Clémentine dit : < Trois ! >
Je rajoute : < Trois belles salopes ! > en remettant mon sexe dans le trou. Je tutoie Juliette en disant : < Rejoins Estelle ! >
< Ne me tente pas ! Ça fait trop longtemps que j'ai envie de te sucer ! > répond Juliette. Clémentine fait ! < Vas y, alors ! >
Juliette reste silencieuse en se rapprochant à nouveau pour mâter en se penchant en avant. Je lui dis : < T'es une salope ! >
< Oui ! Et tu n'imagines pas à quel point ! > me fait Juliette en levant la tête pour me fixer. Je soutiens son regard de défi.

Il est évident que dans cette situation d'excitation extrême, Estelle se régale de quantité de foutre invraisemblable. J'entends.
Je sors à nouveau la queue de la bouche d'Estelle et du trou pour la tendre à Juliette. Elle se redresse pour quitter la pièce.
Clémentine tourne son index sur sa tempe en me chuchotant : < La vraie perverse ! >. Nous rejoignons Estelle dans son box.
< Put-Hein ! T'as jamais coulé autant ! > me fait Estelle en s'essuyant la bouche. Clémentine me tient par la queue gluante.
Juliette a disparu. Nous sortons du box. La jeune femme, debout dans l'encadrement de la porte, sa silhouette à contre jour.

Nous remontons dans ses appartements. < Je sais parfaitement à quoi m'en tenir maintenant ! > nous fait elle, servant le thé.
Nous recommençons à nous vouvoyer. L'après-midi de termine . Il est 18 h lorsque nous prenons congé. Et il pleut à nouveau.
Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Nous nous serrons la main. Juliette fait bouger l'index dans ma main. Vicelarde.
Il est 18 h15 lorsque nous sommes de retour. Nous n'arrêtons pas de parler de cette curieuse et très étrange expérience. Joie.
Je raconte à Estelle ce qui se passait dans le local voisin pendant qu'elle me taillait une pipe. < C'est génial ! > répond t-elle.

Tout cela à ouvert nos appétits. Nous réchauffons la potée. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare une omelette.
Nous n'arrêtons pas d'évoquer ce que nous avons vécu. Estelle nous pose plein de questions sur l'attitude de Juliette. Etrange.
La conclusion d'Estelle est la même. < Une perverse, et un spécimen rare ! > conclue t-elle. Nous mangeons de bon appétit.
Après la vaisselle nous passons au salon. Clémentine vautrée dans le fauteuil, se masturbe en regardant Estelle me pomper.
Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle. Au retour nous nous dépêchons d'être l'un dans l'autre. Baise. Les confidences. Dodo.

Bonne découverte bien vicelarde dans vos écuries préférées à toutes les coquines vicelardes qui apprécient les trucs glauques...

Julien - (Qui reste sous le charme d'une découverte surprenante. Juliette est un "spécimen" qui mérite d'être étudié) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 423 -



Clémentine découvre un "choc" émotionnel et vicelard

Hier matin, lundi, c'est la symphonie No 5 de Piotr Llitch Tchaïkovsky qui nous tire de nos profonds sommeils. C'est du sévère.
< Put-Hein mais ta gueule Proute Machin Truc ! > s'écrie Clémentine en tapant fort sur le cube réveil. Nous rions de bon cœur.
Il est 5 h55. Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Après les papouilles, pipi.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.

Dehors, il pluviote. Avec le sol détrempé, hors de question de pouvoir nous offrir le plaisir matinal du jogging. Nous remontons.
Nous nous entraînons comme à la mauvaise saison. Aérobic, abdos charges additionnelles. Dans une intensité maximale. Bien.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint sous son parapluie. Et chaudement vêtue.
Elle porte un jean, un pull de coton noir, sa veste cintrée en cuir noir et ses bottines à légers talons. Ses cheveux noués, natte.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Clémentine reviendra pour midi.

Je me dépêche de retourner au sec. Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est déjà 8 h15.
Me voilà enfin confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans un formidable enthousiasme. L'allégresse glorieuse.
Je commence ce matin la vingt huitième toile destinée à ma saison d'été. Un paysage. Il y sera représenté une partie du haras.
Il fait sombre. Le ciel est bas. Il bruine. Je travaille avec la lumière artificielle de ma lampe à halogène et comme en plein hiver.
Il est dix heures lorsque la musique ridicule de mon téléphone crève le silence. C'est Juliette. Je suis à la fois étonné et surpris.

Juliette vient de rencontrer Pauline, la capitaine du port. < C'est la personne idéale. Je vous en remercie Julien ! > me fait elle.
Pauline commencera donc son travail de secrétaire dès le début du mois de juin. < Merci pour hier aussi ! > me fait elle encore.
Nous parlons encore un peu. J'invite Juliette à venir partager notre repas mercredi soir. Je dis : < Nous en parlerons bientôt ! >
Je retourne à ma peinture. Je pense à cette étrange relation d'amitié qui dure depuis plus d'une année. Juliette est sympathique.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. La pluie a cessé. Le ciel s'est légèrement illuminé. Je prépare ce qu'il faut. Le repas.

Clémentine arrive. Elle me saute dans les bras toute contente. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Notre bonheur.
Notre repas sera composé de riz complet, de filets de lieu noir panés. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement.
Elle me raconte sa matinée. Les dernières recommandations des professeurs pour les épreuves du "Master" de jeudi et vendredi.
< Le mémoire du premier trimestre et celui du second trimestre ont valeur de partiels. J'ai déjà la note ! > me fait Clémentine.
< Tout le reste n'est un peu que des formalités d'usage ! > rajoute t-elle encore en se blottissant contre moi. Elle est confiante.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous rions beaucoup de l'aventure vécue hier, dans l'écurie. Un bon souvenir.
Je raconte le coup de fil de Juliette ce matin. Le rendez-vous positif avec Pauline, la capitaine du port de plaisance. C'est parfait.
Nous évoquons l'attitude de Juliette hier. C'est comme une révélation quand aux penchants voyeuristes de la patronne du haras.
Clémentine attire mon attention sur certaines attitudes de Juliette. Sa perception féminine est beaucoup plus pertinente. Aiguë.
Ma compagne me conseille de monter d'un cran dans mes "avances", mercredi soir, pour la présence de Juliette au repas du soir.

Nous mettons au point les grandes lignes d'un scénario coquin. Un canevas qui laissera beaucoup d'espace aux improvisations.
< Tu gardes ta queue à l'air toute la soirée. Tu lui fais carrément des propositions ! > me conseille Clémentine en me palpant.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon. Là, elle retire son jean et sa culotte qu'elle jette au loin.
Elle dépose l'épais coussin au sol, me fait signe avec l'index de la rejoindre en me montrant son sexe. Cuisses écartées. Super.
Je suis à genoux entre ses jambes. Je hume longuement les odeurs de sa matinée de fille. Les effluves parfumées m'enivrent...

Du bout de la langue, je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe humide. Il y a de quoi se régaler. C'est bon.
J'adore ce goût légèrement piquant, vinaigré. Mélange de sucs de muqueuses, de sueur et de pisse mal essuyée. C'est sublime.
Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Elle me murmure d'étonnantes révélations comme quand on baise.
J'écoute en léchant. Il y a du jus qui s'écoule. J'en récupère jusque dans la raie culière. Parfois, comme de petites giclées. Jute.
< Attention ! > me fait soudain Clémentine qui se lâche. Je me fais pisser au visage. Clémentine contrôle. Un jet court et précis.

J'aime l'entendre gémir de plaisir. A chaque nouveau jet, elle pousse un petit cri d'émerveillement. J'ai le visage qui dégouline.
Je pose ma bouche pour sucer la pisse à même le petit trou d'où jaillissent les petits jets nerveux. Le corps secoué de spasmes.
Je sens les tremblements à l'intérieur de ses cuisses. Tremblements provoqués par les frissons de plaisir. Je lui fais le cul. Bon.
Je lèche son clitoris géant que je décalotte du bout de mes lèvres. L'orgasme guette. Clémentine me repousse doucement. Pipi.
Je retire ma chemise et mon pantalon. J'ai le haut du corps trempé de pisse. Clémentine m'attire sur elle. Je suis ruisselant.

Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles comme nous aimons. Sans bouger.
Je suis en appui sur mes bras. Je déteste peser de tout mon poids sur le corps de Clémentine. Et je m'essuie avec ma chemise.
Il y a malgré tout des gouttes de pisse qui tombent de mes cheveux sur le visage de Clémentine que cela amuse. Nous aimons.
Approchant sa bouche de mon oreille, suspendue à mon corps par ses bras et ses jambes, Clémentine me fait des révélations.
J'écoute. Ces confessions maintiennent mon érection presque douloureuse. < Tu as mis ce fantasme de pipe en moi ! > dit elle.

Ce fantasme de sucer un inconnu que nous partageons à présent tous les deux. Même si pour le moment il reste une hypothèse.
Je lui chuchote : < Fais le au palefrenier. Commence par un bon vieux vicelard ! >. Clémentine me fait : < Je te le promets ! >
Nous évoquons différents scénarios possibles et surtout plausibles. Je suis étonné par les possibilités que me révèle Clémentine.
Je découvre qu'elle y pense de plus en plus souvent. < Je me masturbe dans la voiture en rentrant de cours ! > me confie t-elle.
Je lui propose de mettre au point une approche qui rendrait la chose possible. < Il n'attend que ça, le vieux salaud ! > fait elle.

Ces propos nous excitent considérablement. Nous alternons de lents bercements avec des moments d'immobilismes. Superbe.
Je lui chuchote : < Si ça te tente, on fait un tour aux écuries en fin d'après-midi ! >. Clémentine s'accroche et se met à bouger.
Il faut éviter l'orgasme. Trop tard. Clémentine pousse un râle. Son corps se tend. Il y a plusieurs spasmes presque inquiétants.
Ses orgasmes sont le plus souvent un véritable cataclysme organique qui la laisse épuisée. Celui-ci n'échappe pas à cette règle.
Je me retire avec d'infinies précautions. J'ai la bite qui dégouline de nos jus. Clémentine se redresse. Elle se saisit de ma queue.

Je l'entends glousser de bonheur en tentant de déglutir les quantité de liquide séminal, de sperme que je sens monter. Génial.
Je sens le jus pompé depuis mes couilles bouillantes. Je ne veux pas jouir. Je repousse doucement Clémentine. Un cri de dépit.
Je lui dis : < Viens, on monte, on se prépare ! >. Je n'ai pas le temps de réagir qu'elle nous entraîne par la main et en courant.
Clémentine passe le sèche cheveux sur ma tête. < Je suis une vraie salope, hein ! > me fait elle. Nous en rions de bon cœur.
Il est seize heures lorsque nous sommes dans la voiture. Il ne pleut plus. Il ne fait pas froid. Il y a un climat humide toutefois.

Nous arrivons au haras. Il y a deux voitures garées dans la cour. Clémentine porte une jupe carmin, un sweat et sa veste noire.
Je suis en jean et en sweat. Nous ne croisons personne. Clémentine m'entraîne directement dans l'écurie habituelle. Personne.
Nous entrons dans le dernier box. L'autre trou dans la cloison qui sépare du petit local de monsieur Gérard, le vieux palefrenier.
Clémentine s'accroupit devant l'orifice. Elle me montre les coulures de foutre sec qui maculent le bois qui en a absorbé. Beurk.
Je saisi sa natte comme une laisse. Je rapproche son visage du trou. Je dis : < Et une première fois comme ça. Tu voudrais ? >

< Bonjour !> fait la voix de madame Walter. Nous regardons la porte du box. Madame Walter en tenue d'équitation nous mâte.
< Pour une première fois, je recommande ! > fait la jeune femme avant de rajouter : < Je vous cherche le palefrenier ? >. Rire.
Clémentine se redresse en répond : < Non merci, ça ira comme ça ! >. Nous rions tous les trois de bon cœur. Quelle surprise !
Je montre le trou et les coulures de mon index pointé en demandant : < Madame Walter, c'est vous ? >. Elle reste silencieuse.
Un sourire énigmatique. Elle me fixe d'un regard terriblement vicelard en demandant : < Vous avez déjà vu le nouveau trou ? >

Clémentine répond : < Oui, hier ! Nous l'avons même essayé ! >. Madame Walter fait : < Avec Gérard ? Il ne m'a rien dit ! >
Ces mots sont comme une révélation. Il règne dans cet établissement une complicité. Un certain nombre de mystères. Secrets.
Clémentine demande : < Pourquoi donc ? Monsieur Gérard vous confie sa vie sexuelle ? >. Madame Walter reste silencieuse.
Avant de nous laisser, elle nous dit : < J'ai du travail. Et mon travail ici consiste à tout savoir ! >. Nous la regardons s'en aller.
Clémentine me regarde. Nous restons dubitatif. Une certitude. Ici, au haras, tout le monde sait tout sur tout le monde. Hilarité.

Nous quittons le box. Il n'y a plus aucun cheval. La saison des pensions est terminée. Nous marchons vers la sortie. Le silence.
Nous tombons sur monsieur Gérard. Il pousse un chariot sur lequel sont posées des caisses. < Bonjour les gens ! > nous fait il.
Nous nous serrons les mains. Clémentine s'accroupie sur ma droite. Elle pose sa tête sur ma cuisse qu'elle entoure de ses bras.
Ecartant légèrement les cuisses, ma compagne reste ainsi. Nous bavardons. Je tiens sa natte comme une laisse. Nous discutons.
A un moment je fais : < Raconte à monsieur Gérard ce que tu aimerais faire avec lui ! >. Clémentine lève la tête pour me fixer.

Le palefrenier se penche pour demander : < Oui, raconte moi ça ! >. Clémentine est terriblement gênée. L'embarras est total.
Je tends la natte à monsieur Gérard en lui disant : < Tenez, elle aime à être promenée ! >. Le palefrenier se saisit de la natte.
Monsieur Gérard tire sans ménagement pour entraîner la jeune fille qui, courbée en avant, tente de le suivre. Elle me regarde.
Je lui fais un clin d'œil en levant le pouce. J'observe la scène. Monsieur Gérard qui tire sur la natte comme si c'était une laisse.
< A genoux ! > fait le palefrenier au bout de l'allée. Clémentine que tout cela excite comme jamais se met à genoux. Silence.

< Alors ! Dis moi ce que tu aimerais me faire ! > fait monsieur Gérard penché en avant, son visage tout près de celui de la fille.
Clémentine me regarde, puis regarde monsieur Gérard, me regarde à nouveau. Le type lui met la main entre les cuisses. Choc.
Je vois le mouvement qui secoue tout le corps de ma compagne. Ce salaud est entrain de lui palper le sexe. Elle se laisse faire.
Posant ses mains sur sa tête Clémentine fixe le regard du palefrenier qui se redresse pour ouvrir sa braguette et sortir sa bite.
< C'est ça qui te fait envie, hein ? Tu n'oses pas le dire, hein ? > demande t-il en secouant sa queue devant le visage de la fille.

Pourtant, étrangement, monsieur Gérard ne tente rien. Il remballe son sexe. Il force Clémentine à se relever. Il la ramène à moi.
< Tu as de la chance d'en avoir une comme ça. Tu dois pas t'emmerder ! Je la fais sucer quand j'aurais le temps ! > me fait il.
< J'ai encore du boulot. Tu as de la chance, salope !> fait il en saisissant le menton de Clémentine pour la forcer à lever la tête.
Nous prenons congé. Nous croisons madame Walter dans la cour. Elle lève le pouce en nous disant : < Félicitations ! >. Silence.
Dans la voiture, folle d'excitation, se masturbant, Clémentine me fait : < Merci Julien ! Ça n'a jamais été aussi fort. Je t'aime ! >

Il est presque dix neuf heures lorsque nous revenons à la maison. Morts de faim, nous réchauffons le riz avec une belle omelette.
Nous sommes tous deux considérablement excités. Depuis quelques jours tout semble se préciser. Et les choses se précipitent.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon. Et elle me tend sa natte.
Implorante, elle me demande de reproduire la situation. A genoux, elle me confie ses émotions. Je lui frotte la bite sur le visage.
Je lui mets quelques gifles en la félicitant. < Je t'aime ! > crie t-elle envahie de bonheur. Nous baisons toute la soirée. Pipe. Dodo.

Bonne visite impromptue dans vos écuries préférées à toutes les coquines qui aiment se retrouver "prise en main", par surprise...

Julien - (Qui découvre à quel point Clémentine a besoin de vivre de véritables "chocs" émotionnels et terriblement vicelard) -

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Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 424 -



Quelques séquences orageuses et pluvieuses

Hier matin, mardi, nous sommes tirés de nos profonds sommeils avec violence par "Le sacre du printemps" de Igor Stravinsky.
< Put-Hein mais arrête Igor en ski ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rions de bon cœur. Il est 5 h55.
Nous nous serrons très pour nous faire plein de bisous avant que Clémentine ne me chevauche en riant. Douceur et papouilles.
L'impérieux besoin de pisser mais rapidement un terme à nos effusions de tendresse et nous filons à toute vitesse aux toilettes.
Morts de faim, nous descendons jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Tout va très vite.

Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bien.
Dehors, le ciel est gris. Le sol est détrempé. Nous n'avons d'autres choix que de nous entraîner à la maison. Nous remontons.
Aérobic, abdos et charges additionnelles dans une intensité maximale. Une heure de gymnastique. La douche. Il est déjà 7 h40.
Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de son jean, de sa veste en cuir, de ses bottines.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Clémentine reviendra pour midi.

Je rentre. Je monte faire le lit. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Et me voilà assis devant mon chevalet.
Il est 8 h15. Je peins dans un enthousiasme exubérant. C'est la vingt huitième toile destinée à ma saison d'été. Un paysage. Joie.
Je peins d'après une photographie prise l'année dernière et en automne. On y voit une partie des toits du haras. La rivière. Bien.
Comme toujours, lorsque je suis absorbé dans mon travail, le temps passe comme dans un rêve. Il est très vite midi et je cesse.
Je vais à la cuisine. Je fais la pâte pour la Flamiche Picarde de ce soir. Cette tarte aux poireaux est un peu notre rituel du mardi.

Il est 12 h15 lorsque Clémentine rentre de cours. Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève. Elle couvre mon visage de bises.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je fais cuire les petits morceaux de poireaux et une belle Béchamel.
Je fais gonfler du millet doré. Clémentine me raconte sa matinée. < On a été briffé par le directeur de la Fac ! > me confie t-elle.
J'écoute toutes ces anecdotes avec attention. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant notre aventure de hier à l'écurie.
< J'aime ressentir la honte dans certaines situations. Hier, j'ai été servie ! > me fait Clémentine en revenant sur les évènements.

Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me confie s'être masturbée dans la voiture en passant devant le haras sur le chemin du retour.
Je lui dis : < Tu veux refaire aujourd'hui ? >. Clémentine, assise sur mes genoux, terminant son yaourt au miel, reste silencieuse.
Comme les professeurs et le directeur conseillent aux étudiants de lever le pied pour les épreuves de ce jeudi, finies les révisions.
Je propose de mettre à profit cet après-midi pour nous rendre en ville. Au retour nous pouvons passer au haras, chercher Estelle.
< Tu crois ? C'est faire du forcing ? > me fait elle. Je lui propose de suivre ses envies et son instinct pour le retour de nos courses.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La pâte repose dans un saladier sous un linge dans l'endroit le plus chaud de notre cuisine.
La Béchamel est hors feu, couverte d'un couvercle. Notre repas du soir est assuré. Nous pouvons partir confiants, rassurés. Bien.
Le ciel s'est dégagé mais reste principalement nuageux. Nous montons nous changer. Clémentine met une jupe, pull fin en coton.
Sur sa demande je porte un jean et un pull de coton noir. Nos vestes légères. Chaussés de nos souliers de ville. Nous voilà prêts.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > fait Clémentine en m'entraînant devant le miroir de l'armoire. Plein de bisous.

Nous voilà en route. Clémentine joue avec mon sexe qu'elle a sorti de ma braguette. Je roule doucement. Il est à peine 13 h50.
Nous passons devant le haras. Il y a quelques voitures garées dans la cour. Clémentine fait : < Le cadre de nos exactions ! >
Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < J'y ai vécu des choses "Sextraordinaires". Il y en aura d'autres ! >
Je dis : < Et des choses plutôt "juteuses" ! >. Clémentine se touche. Sa main sous sa jupe, elle me fait : < Dégoulinantes ! >
Nous arrivons en ville. Je gare la voiture dans la petite ruelle à dix minutes du centre. Clémentine doit y récupérer un bouquin.

Nous avons notre grand parapluie. Le ciel est menaçant. Nous marchons vite. Nous arrivons à la grande librairie. Il y a du monde.
Nous montons l'escalator. Clémentine me chuchote : < Je suis hyper excitée, c'est si merveilleux ! >. Elle m'entraîne par la main.
Nous allons à l'accueil. Le livre commandé est arrivé. Nous suivons la jeune vendeuse jusqu'au local des réservations. Du monde.
Nous récupérons la commande. En fait ce sont deux ouvrages. Ce sont des bouquins qui vont nous accompagner partout cet été.
Ils concernent les sujets qui passionnent Clémentine et qui concernent la suite de ses études. La cinquième année de fac à venir.

Je porte le sachet et le parapluie. Clémentine n'a que son petit sac à dos en cuir qui est également son sac à main. C'est pratique.
Cela permet à ma compagne la totale liberté de ses mouvements. Elle m'entraîne dans quelques rayons moins fréquentés. Super.
Nous sommes à la recherche d'un discret et rapide plan exhibe. Clémentine a le profond désir de s'offrir une toute petite frayeur.
Quelques frissons dont elle raffole. Il n'y a pas de réelle opportunité. Il y a bien ce type qui feuillette un gros livre au rayon math.
Certainement un professeur. Clémentine me propose de rester au bout de l'allée. Je prends un bouquin et je fais semblant de lire.

Clémentine se penche tout près de l'inconnu pour regarder les bouquins sur l'étagère du bas. Il regarde rapidement vers la fille.
Clémentine s'accroupit. Elle est à deux mètres de l'homme. Sa position, rapidement équivoque, attire vite l'attention du type.
Tournée de trois quart vers l'homme, cuisses légèrement écartées, ma compagne fait mine de lire une quatrième de couverture.
L'inconnu ne tarde pas à être beaucoup plus intéressé par cette jeune fille que par son gros livre. Il scrute partout autour de lui.
Il prend conscience qu'il est le seul à être le témoin de la situation. En privilégié. Je mâte en douce. C'est somptueux. Superbe.

Bien évidemment Clémentine en rajoute. Elle donne dans une surenchère discrète mais hautement gratifiante pour son fantasme.
J'admire toujours ce culot extraordinaire dont fait preuve ma compagne à la recherche de quelques frissons. Je bande. En salaud.
Il y a une femme qui vient rejoindre le type. Ce qui met un terme à la situation. Clémentine se tourne vers le rayon. Jeu terminé.
Le couple s'en va. Je vais rejoindre Clémentine qui fait son "numéro" pour moi. Je prends la place du type. Nous jouons un peu.
Je comprends à quel point cette belle jeune fille peut intéresser et réjouir les messieurs qui la découvrent ainsi. Exhibitionniste.

Nous repartons. Il faut se serrer sous le grand parapluie, la pluie tombe. Il y a des éclairs, le tonnerre gronde. Impressionnant.
Nous allons dans un autre grand magasin. Je propose à Clémentine de choisir un vêtement particulier pour l'épreuve du "Master".
Elle opte pour un chemisier léger, en coton beige, au col et aux poignets de fines dentelles. J'aime la voir heureuse, si contente.
< Je le porterais en "porte bonheur" avec mon pendentif ! > me fait elle en me montrant le bijou en argent offert à Noël. Ecosse.
Nous flânons encore un peu. Il est 16 h30 lorsque nous prenons le chemin du retour. Nous arrivons au haras. Et il ne pleut plus.

Nous garons la voiture dans la cour. Nous allons directement dans l'écurie qui nous concerne. Il y a deux ouvriers qui travaillent.
C'est certainement une entreprise extérieure qui doit intervenir. Monsieur Gérard, le palefrenier, nous fait un coucou de la main.
< Bonjour ! > fait la voix de madame Walter derrière nous. Nous nous saluons, serrons la main. Madame Walter nous explique.
< Il y a des fuites qu'il faut colmater ! > nous fait elle. Nous regardons un des employés occupé en haut de l'échelle. Gouttes.
Monsieur Gérard a disposé de grandes bassines au sol. Nous prenons conscience que le moment est mal indiqué pour un "plan".

< Si vous revenez jeudi soir, vous pourrez vous amuser un peu ! > nous fait madame Walter en nous raccompagnant à la porte.
Elle me lance un curieux regard. Nous la laissons. Nous voilà en voiture. Nous passons chercher Estelle à l'arrêt de bus habituel.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte son après-midi au bureau de l'entreprise familiale. Le boulot.
Nous revenons à la maison. Il est 18 h15. Nous passons au salon. Les filles regardent les deux livres ramenés de la ville. Etudes.
Je les laisse pour aller préparer ce qu'il faut pour la confection de notre repas de ce soir. Estelle est la première à me rejoindre.

Elle me met directement la main dans ma braguette ouverte. Elle me palpe la bite en disant : < J'étais avec Gauvin hier soir ! >
< Nous avons révisé un peu. Il a joué au professeur. Mais aucune avance ! > rajoute t-elle. Nous en rions de bon cœur. Sympa.
Je lui raconte notre aventure de hier au haras. Clémentine vient nous rejoindre à son tour. Elle décrit ses émotions, sensations.
< Tu as aimé ? > demande Estelle à Clémentine qui répond : < J'ai adoré ! Ce type est un super salaud ! T'imagines un peu ! >
< La prochaine fois vous m'emmenez ! > lance Estelle. < On y retourne jeudi soir ! > répond Clémentine. Estelle étale la pâte.

Tout va très vite. La tarte aux poireaux est au four. La salade est prête. La table est mise. Nous retournons au salon. Tranquille.
Vautrés dans le canapé, les filles évoquent les épreuves de leur Master, jeudi. Estelle, tout en bavardant, joue avec ma queue.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons. Nous mangeons de bon appétit. < Génial le haras après les épreuves ! > fait Estelle.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allons dans l'atelier. Les derniers préparatifs pour les filles. Je peins encore un peu.
Nous ramenons Estelle pour 22 h15. Au retour, Clémentine me suce en se touchant. Le lit. "69". Cunni, pipe, baise et puis dodo.

Bonne ballade en ville à toutes les coquines qui apprécient de s'offrir quelques discrètes frayeurs auprès d'inconnus voyeurs...

Julien - (Qui s'apprête à seconder au mieux Clémentine dans les jours à venir. Être présent. Être à l'écoute) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 425 -



Il faut improviser pour oublier cette météo déplorable

Hier matin, mercredi, c'est le violoncelle de Mstislav Rostropovitch qui nous tire avec violence de nos profonds sommeils. Dur.
< Put-Hein ! Mais t'es complètement cinglé Rostro Sandwich ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Il est 5 h55.
Nous rigolons comme des bossus en nous faisant plein de bisous. Clémentine me chevauche en riant. Tendresse et papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes animés par l'impérieux besoin de pisser. Morts de faim nous descendons à la cuisine. Joie.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café. Nous prenons notre petit déjeuner dans cette odeur de pain grillé.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine est impatiente d'en découdre demain pour les épreuves. Master.
Dehors, il pleut. Le ciel est bas, sinistre. Le thermomètre extérieur n'indique que 9°. Le sol est détrempé. Un climat lamentable.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement intense. Aérobic, abdos et charges additionnelles. Un vrai bonheur.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint. Jean, veste en cuir, bottines et parapluie.
Des bises. Clémentine reviendra pour midi. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin.

Il est 7 h45. Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais chier un coup. Puis je vais dans l'atelier. Il est 8 h15.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Ce paysage de format 6F, (41 x 33 cm), prend une fière allure. Il sera fini vendredi.
Je peins dans un enthousiasme délirant, me livrant à ma passion corps et âme en poussant parfois les cris les plus surréalistes.
Comme toujours, lorsque je me livre à la peinture, tout cesse d'exister autour de moi. Je pense à tout. Et sauf à ce que je fais.
Il est donc rapidement midi. J'ai travaillé comme en plein hiver. Avec la lumière artificielle de ma lampe à halogène. Médiocre.

Je vais à la cuisine. Je prépare deux beaux filets de lieu noir panés. Je fais bouillir de l'eau pour les coquillettes. Tout est rapide.
Il est 12 h15 lorsque Clémentine rentre de cours. Elle me saute dans les bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je mets les coquillettes au four recouvertes de gruyère. Parmesan.
Je fais revenir les filets de lieu noir dans la poêle sans cesser de les retourner à feu doux. Clémentine m'entraîne jusqu'au salon.
Nous allumons l'ordinateur pour découvrir le message de Juliette, le message de Julie la jeune serveuse du restaurant de l'étang.

Juliette nous confirme sa venue ce soir, pour le repas, vers 20 h. Nous répondons en joignant une photo. Il y a le mail de Julie.
La jeune fille s'inquiète un peu de ne plus nous voir au restaurant malgré que le temps médiocre s'y prête. La licence de Lettres.
Ses épreuves se dérouleront à partir de demain. Partiels et oraux. Nous répondons en joignant la même photo. Sonnerie du four.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. La faculté.
Il n'y a aucun mouvement de grève. Tout au plus une dizaine d'étudiants qui distribuent des tracts. Rien d'inquiétant. C'est cool.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me propose une virée en voiture pour cet après-midi.
Nous décidons de nous rendre au lac. Nous n'y sommes pas encore allés cette année. La suggestion est appréciable. Parapluie.
La vaisselle. La pluie a cessé. Le ciel s'illumine et se dégage même par endroit. Nous rangeons la cuisine. Tout est propre. Bien.
Nous montons nous changer. Clémentine met une de ses jupes en velours carmin évasée au dessus du genoux. Pull. Coton noir.
Chaussée de ses bottes noires elle met sa veste en cuir noir cintrée à la taille. Je lui fais remarquer à quel point elle est élégante.

Sur sa demande, je porte un jean, un sweat, des bottines et un blouson en cuir noir. Nous faisons les clowns devant le miroir.
Nous descendons. La fraîcheur reste présente même si le ciel est lumineux. Nous voilà en voiture et je m'apprête à démarrer.
La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine le sort de la poche de mon blouson. < C'est Pauline ! > me fait elle étonnée.
Pauline, la capitaine du port, tient ici à nous remercier pour le rendez-vous que nous lui avons organisé au haras avec Juliette.
Je roule en écoutant la conversation. Arrivés au bourg, nous faisons demi tour. Nous prenons la direction du port de plaisance.

Clémentine joue avec ma queue pendant que je roule doucement. Il faut passer par la ville. Il y a une trentaine de kilomètres.
Par la route, la distance est plus longue que par la piste cyclable. Nous arrivons au port. Le ciel est d'un gris lumineux. Sympa.
Je gare la voiture sur le parking de la supérette. Nous traversons la route. Pas de joueurs de pétanque aujourd'hui. Personne.
L'endroit est un peu tristounet sans l'animation habituelle qui règne ici. Et les rares plaisanciers sont plutôt chaudement vêtus.
Nous allons à la capitainerie. Pauline nous accueille avec un grand sourire, toute contente de nous voir en tenues "ville". Joie.

Lorsque nous traînons ici, c'est en tenues de bicyclette. Aussi de nous voir ainsi vêtu, Pauline nous fait part de son étonnement.
La jeune femme est vêtue d'un gros pull bleu nuit, d'un jean et de basquets. Nous nous serrons la main. Son bureau est étroit.
Elle nous invite à nous asseoir sur la banquette qui fait face au bureau derrière laquelle elle est assise. Nous bavardons un peu.
Pauline nous fait part de sa joie. Elle commence au haras au début juin. Ce travail de capitaine de port est un boulot saisonnier.
Son soulagement est grand. < Enfin un vrai boulot ! > nous fait elle. Nous lui donnons quelques informations quand aux écuries.

Nous n'évoquons bien évidemment rien de sexuel. Clémentine parle du stage en entreprise qu'elle a fait au haras durant février.
Juliette est une patronne exigeante mais une femme agréable qui sait rendre le travail plaisant. Tout cela rassure bien Pauline.
La conversation s'oriente maintenant sur ce mois de présence en tant que capitaine du port. Boulot plutôt peinard. Pas "cassant".
Nous rions de bon cœur à quelques anecdotes. Doucement toutefois la conversation glisse sur des choses plus "croustillantes".
< Il y a un exhibitionniste qui hante quelquefois les environs ! > nous raconte Pauline. Nous écoutons les petites histoires drôles.

< C'est un jeune gars. Il doit avoir 25 ans. Il gare sa bagnole plus haut. Il vient toujours en fin de matinée ! > rajoute Pauline.
< Vous avez déjà vu sa bite ? > demande Clémentine. Nous éclatons de rire lorsque Pauline nous fait : < Oh oui ! Deux fois ! >
< Il se met là-bas, entre les buisons et les sanitaires. Il fait semblant de pisser. Et il me l'a déjà montré là ! > raconte Pauline.
Nous rigolons comme des bossus. Pauline rajoute : < Tant qu'il reste là-bas, qu'il ne m'emmerde pas, il ne me dérange pas ! >
Clémentine me fait : < On vient en fin de matinée, un de ces jours. Je veux voir ça ! Un jour de pluie ! >. Pauline éclate de rire.

Nous bavardons ainsi une bonne partie de l'après-midi. La pluie a recommencé à tomber. Parfois un plaisancier vient au bureau.
Pauline est au travail. Aussi, lorsqu'un visiteur arrive, nous gardons le silence. Il est presque 17 h30. Nous prenons congé. Bien.
Pauline nous raccompagne jusqu'aux buissons que nous devons contourner pour traverser la route. < Il est debout là ! > dit elle.
Nous la regardons mimer une masturbation masculine en nous montrant la fenêtre de son bureau. < Et je peux le voir de là ! >
< Très intéressant ! > fait Clémentine. Nous nous serrons la main. < Je viens visiter le haras dimanche ! > nous confie Pauline.

< S'il fait moche, nous nous verrons peut-être là-bas ! > lui fait Clémentine. Nous retournons à la voiture. Pas de cônes glacés.
Il y a un livreur qui pousse un chariot vers l'arrière de la supérette. Clémentine me fait : < Attends moi là, il y a un "plan" ! >
Je reste assis au volant. Clémentine va se positionner entre une camionnette et un muret. Elle est à une vingtaine de mètres.
Elle guette. La pluie a cessé. Le type revient en poussant son chariot vide. Il tombe sur cette jeune fille accroupie. Très discrète.
Le livreur s'arrête. Je vois Clémentine accroupie, cuisses largement écartées. L'homme prononce quelques mots. Je bande fort.

Clémentine, avec ce culot habituel qui suscite mon admiration reste bien droite. Elle soulève sa culotte aux genoux, de l'index.
La situation dure un petit moment. Le type ne tente rien. Clémentine reste dans cette position tout en bavardant avec le mec.
Il fini par monter dans la camionnette. Clémentine se redresse pour remonter sa culotte. Le véhicule s'en va. Tout est terminé.
Clémentine vient me rejoindre. Je démarre. Elle me raconte la nature de la conversation. Nous en rigolons comme des bossus.
Il est dix neuf heures lorsque nous revenons à la maison. Le temps de préparer le repas de ce soir. Un bon feuilleté de saumon.

La pâte feuilletée, le saumon ont décongelé. Il ne reste qu'à l'étaler, y verser la Béchamel contenant le saumon émincé. Bien.
Clémentine s'occupe des salades et des assaisonnements. < On va au port en fin de matinée, un de ces jours ! > me fait elle.
< Je veux assister au spectacle de cet exhibitionniste ! Trop fort ! Trop bien ! > rajoute ma compagne. Je propose un "plan".
Nous pouvons faire une rapide visite lundi matin puisque Clémentine termine l'épreuve de son oral pour 11 h. Je la cherche !
Nous mettons rapidement notre stratégie au point. J'emmène Clémentine à la faculté lundi matin. J'attends. Et je la récupère.

Le feuilleté de saumon est au four. Clémentine, à genoux sur le coussin, entre mes jambes, me suce. Je suis dans le canapé.
Je la regarde me tailler une pipe des familles. Souvent elle cesse pour me donner ses impressions. Evoquer notre plan port.
< Tu es bien salaud ce soir avec Juliette, tu veux bien ? > me dit elle. La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine.
Presque en même temps les trois coups de sonnette. C'est Juliette. Clémentine va ouvrir et revient avec la jeune femme. 20 h.
Juliette est vêtue d'un pantalon de cuir noir et moulant. D'un pull noir tout aussi moulant. Des bottines noires à hauts talons.

Ses longs cheveux attachés en natte, Juliette est à la fois élégante et hyper sexy. Nous passons au salon. La table est mise.
Juliette observe à plusieurs reprises, et avec insistance, ma braguette ouverte. Je fais le service. Les filles sont assises. Joie.
A la cuisine, je sors ma queue. Je bande mou. Ma bite longue et molle pend de ma braguette. Je porte le feuilleté de saumon.
Juliette pas du tout étonnée, lève le pouce de sa main droite en disant : < Le service est parfait ! >. Nous rions de bon cœur.
Juliette évoque notre aventure aux écuries. L'attitude du palefrenier et l'attitude de Clémentine. < Madame Walter ! > dit elle.

< Madame Walter me tient informée de tout. Cela fait partie de son travail ! > précise Juliette en nous confiant sa satisfaction.
< C'est un vrai salaud mon palefrenier, non ? Ça vaut le coup ! > demande Juliette. Clémentine fait : < Comme je les aime ! >
Je me lève. La conversation est excitante. J'ai la bite qui dégouline d'un peu de jus. Juliette lève à nouveau son pouce. Rires.
Je débarrasse la table. J'entends Juliette s'excuser, elle doit aller aux toilettes. Clémentine vient me rejoindre. Je me branle.
Clémentine m'entraîne dans le couloir. < Branle toi ! > me fait elle. Elle me laisse. Je suis debout près du porte manteaux. WC.

Juliette sort des toilettes pour découvrir la scène. Elle pousse un sifflement et me dit : < Venez donc faire ça aux écuries ! >
Juliette reste debout à m'observer. Je suis cambré sur mes genoux fléchis. Je me masturbe lentement. Nous nous sourions.
Je sens l'hésitation qui anime la jeune femme qui met soudain sa main sur son sexe entre ses cuisses en disant : < Génial ! >
Juliette insiste pour faire la vaisselle avec nous. Il est 22 h30. Elle nous quitte en nous remerciant pour cette superbe soirée.
Une fois seuls, nous nous dépêchons de monter. Toilettes. Salle de bain. Cunnilingus, fellation, baise. Confidences. Puis dodo.

Bonne visite au port de plaisance pour y découvrir de nouveaux "plans" à toutes les coquines vicelardes et intéressées...

Julien - (Qui montre sa bite à Juliette émerveillée par la qualité du repas autant que par ses manifestations lubriques) -

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Les partiels, les épreuves du "Master", aujourd'hui, enfin...

Hier matin, jeudi, c'est "Le clair de lune" de Claude Debussy qui nous tire avec de la douceur de nos profonds sommeils. Bien.
< Ta gueule Claudio ! Tu nous gonfles déjà ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Et nous en rions de bon cœur.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Le rituel pisseux matinal et amusant.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges, Clémentine s'occupe du café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé qui participe aux enchantement de nos matinées.

Nous mangeons de bon appétit. Au dehors, la météo est sèche. Le temps nous permet enfin de nous livrer à nos joggings. Joie.
Nous bavardons un peu. < C'est le "grand jour" ! > me fait Clémentine qui attend cette journée depuis très longtemps. "Master".
Nous sommes déjà en tenues. Leggings, sweats et godasses de running. Il est 6 h25 lorsque nous foulons un sol encore humide.
Nous courons rapidement et à vive allure afin de nous réchauffer. Je sens bien l'humeur combative dont fait preuve Clémentine.
Une heure de course avec un rythme soutenu. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Ciel clair.

Ma compagne vient me rejoindre vêtue d'un jean bleu, d'un sweat noir, de sa veste en cuir noir et chaussée de ses bottines.
Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Clémentine revient vers 12 h15.
Je remonte pour faire le lit. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Me voilà enfin assis devant mon chevalet.
Il est 8 h15. Je peins dans un enthousiasme délirant en poussant rapidement les cris de joie les plus surréalistes. Je les module.
La peinture de ce paysage, la vingt huitième toile destinée à ma saison d'été, m'absorbe dans un enchantement paradisiaque.

Il fait clair. Le ciel est couvert d'un voile laiteux et lumineux. Comme toujours, lorsque je travaille, je suis hors du temps. Bien.
Il est rapidement midi. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte pour les pizzas de ce soir.
Clémentine arrive, me saute au cou, en s'écriant : < J'ai gagné ! >. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Contente.
Cet enthousiasme est coutumier lorsque les choses se passent exactement comme elle a décidé qu'elles se passeraient. Super.
Tout en préparant la salade et son assaisonnement, Clémentine me raconte sa matinée. Ces premières épreuves pour le Master.

Tout s'est passé exactement comme Clémentine le souhaitait. Elle a le sentiment d'avoir été hautement performante. Gagnante.
Je prépare la garniture des pizzas. Oignons, ail, tomates fraîches, ciboulette, persil et quelques olives noires dénoyautées. Bien.
Pour midi je fais du riz complet Bio. Je récupère un reliquat de garniture qui servira de sauce avec le Parmesan et du Roquefort.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. J'écoute les amusantes anecdotes de ma compagne.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine me propose une randonnée cet après-midi. "Décompresser".

La météo permet de nous offrir une superbe promenade. Nous décidons de nous rendre au lac. Les sentiers, les collines. Super.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine est emplie de l'exubérance propre aux gens ayant dépassé l'épreuve. Bien.
Nous montons nous mettre en tenues. Clémentine porte un de ses leggings noirs, un sweat moulant, ses chaussures de marche.
Je porte un jean noir, un sweat noir et mes chaussures de marche. Nous faisons les clowns devant le miroir. Le petit sac à dos.
La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine s'en saisit. < Estelle ! > s'écrie t-elle. J'écoute la nature de la conversation...

Nous passons récupérer Estelle qui vient avec nous. Il est 13 h45 lorsque nous quittons a maison. Nous récupérons Estelle. Joie.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous fait part du même sentiment de victoire que Clémentine. Tout est ok.
Estelle et Clémentine n'était pas dans la même salle pour passer les épreuves. Aussi, elles échangent leurs impressions. Sympa !
Il y a 20 km jusqu'au lac où nous arrivons pour 14 h30. Estelle est vêtue d'un jean bleu, d'une chemise à carreaux, gros souliers.
Nous garons l'auto sur le parking. Il y a du monde à profiter de ce climat enfin sec. Il y a même des séquences ensoleillées. Joie.

Dans le sac à dos que je porte, il y a nos K-ways, des pommes, des barres de céréales, une bouteille d'eau, la paire de jumelles.
Nous prenons le sentier qui contourne le lac par la gauche. Il va jusqu'aux ruines du château et mène tout en haut de la colline.
Estelle ouvre la marche. Le sentier rocailleux permet d'avancer sur un terrain sec. Les filles évoquent leur matinées. Le "Master".
< On te casse les couilles avec nos épreuves, non ? > me demande Estelle en s'arrêtant, se retournant pour me palper la queue.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < On te les gonfle peut-être même ! >. Clémentine s'interpose en rigolant.

Je marche derrière Clémentine. J'observe le cul extraordinairement ferme et musclé de ma compagne. Dans son legging luisant.
Nous marchons ainsi d'un bon pas. Nous croisons quelques marcheurs. Principalement des séniors, heureux retraités en virées.
Depuis les hauteurs à flanc de colline, les eaux noires du lac reflètent le ciel lumineux avec d'extraordinaires nuances de teintes.
Les deux filles, en bord de sentier, font pipi l'une à côté de l'autre. Estelle me tend son téléphone et me demande : < Photos ! >
Je termine de pisser, Clémentine accroupie, me secoue les dernières gouttes avant de me sucer un peu. Je prends le téléphone.

Je passe derrière les pisseuses pour prendre quelques photos. Je fais des clichés de face. Anonymat préservé. Lunettes noires.
Nous regardons le résultat avant de continuer notre chemin. Estelle nous montre les photos prises au haras. Trou dans le mur.
Nous rions de bon cœur de ses commentaires. < Je les mets toujours sur mon disque dur externe ! La collection ! > fait Estelle .
Nous arrivons aux ruines du château. Il y a des visiteurs. Ce monsieur aux tempes grisonnantes qui prend beaucoup de photos.
Clémentine me fait : < Peut-être un "plan". J'ai une méchante envie de me changer les idées et de me récompenser un peu ! >

Clémentine nous demande de rester en retrait, là, au bas de l'escalier métallique qui monte vers la poterne au pied du donjon.
Nous restons dissimulés derrière le muret de pierres. Estelle sort la paire de jumelles de mon petit sac à dos. Nous regardons.
Nous voyons Clémentine contourner les ruines d'une vieille construction collée contre le rempart. Il y a le photographe là-bas.
< Regarde ! C'est un "beau vieux ! Et il ne sait pas ce qui l'attend ! > chuchote Estelle en me passant les jumelles. J'observe.
C'est un sexagénaire, certainement grand, mince et qui porte une élégance naturelle. Il aperçoit vite la jeune fille qui avance.

Clémentine a dénoué ses longs cheveux. Elle porte ses lunettes noires. Ce qui lui permet de mâter dans la parfaite discrétion.
Elle arrive au bas du promontoire où le photographe prend ses clichés. Elle fait mine de fouiller dans sa pochette "sac à main".
Accroupie, les cuisses largement écartées, se touchant l'entre jambes au travers le lycra de son legging, elle doit se masturber.
Le photographe est un homme tout aussi discret. Il descend quelques marches avec prudence. Il prend des photos de la fille.
Son anonymat parfaitement préservé, Clémentine peut se livrer à son exhibition dans les toutes meilleures conditions. Super.

Estelle mâte avec les jumelles tout en commentant les détails que je ne perçois pas avec autant d'acuité. Je lui tripote le sexe.
Je passe ma main dans son jean que j'ai déboutonné. Je fais très attention, il y a d'autres visiteurs dans les environs. Prudence.
Là-bas, l'inconnu s'est rapproché de Clémentine qui a passé sa main droite dans son legging, dans sa culotte. Elle se masturbe.
Estelle me passe les jumelles. Je scrute avec attention. J'essaie de saisir les propos qui s'échangent entre la fille et l'homme.
Estelle me tient le poignet en guidant ma main. Elle est cambrée sur ses genoux fléchis, bougeant doucement de son bassin.

L'inconnu est encore descendu. Il est à présent tout près de Clémentine qui conserve sa position, la tête relevée pour bavarder.
Je bande comme le dernier des salauds. Comme je ne tiens la paire de jumelles que d'une main, je branle Estelle avec douceur.
Estelle prend les jumelles. < La salope ! C'est génial ! Si j'avais son culot ! > dit elle. Je dis : < Toi t'as le courage de sucer ! >
Nous sommes concentrés sur ce spectacle. Clémentine, en appui de la main gauche derrière elle, se masturbe de la main droite.
Le monsieur s'est accroupit à son tour. Il est à environ 2 mètres de la fille. Tous les deux bavardent. Il prends quelques photos.

Une femme s'avance sur le promontoire. Elle semble chercher quelqu'un du regard. < C'est sa bonne femme ! > me fait Estelle.
Elle me repasse la paire de jumelles. Effectivement, elle s'avance et découvre son mari entrain de discuter avec cette jeune fille.
Clémentine s'est redressée. Elle se masse les cuisses en sautillant d'une jambes sur l'autre. Le type remonte les marches. Fini !
Estelle me fait : < Si tu continues, je te jouis sur la main ! >. Je retire doucement ma main. Clémentine revient nous rejoindre.
Nous reprenons notre randonnée. Elle nous raconte la nature des propos échangés, ses sensations jouissives et ses émotions...

Nous descendons le sentier. 30 mn de marche. Nous arrivons sur les rives du lac que nous longeons pour en faire tout le tour.
Nous croisons nombre de promeneurs. < C'est fou le monde qu'il y a dans la nature ! > souligne Estelle en palpant ma queue.
Nous sommes de retour à la voiture pour 18 h45. Nous apprécions la légère fatigue qui gagne nos jambes. C'est très bon signe.
Nous pissons tous les trois, l'un à côté de l'autre en contre bas du parking. < Bonne soirée ! > fait la voix du photographe. Rire.
Je me retourne, les filles relèvent la tête. Là, juste en haut de l'étroit espace où nous nous soulageons, il y a le mec qui mâte.

Nous rigolons comme des bossus dès qu'il a tourné les talons. Clémentine me suce un peu pour récupérer les dernière coulées.
Estelle m'embrasse. Nous remontons jusqu'à la voiture. Il y a plein de monde sur le parking. Il y a le photographe et sa femme.
Nous nous faisons un signe de la main. Juste avant de monter dans la voiture, Clémentine se cambre, se touche, lui fait coucou.
Nous voilà en route pour rentrer. Clémentine joue avec ma queue. Estelle assise à l'arrière a ses bras autour de mon cou. Bien.

Il est 19 h30 lorsque nous sommes de retour à la maison. Morts de faim, nous nous mettons immédiatement à la préparation.
Estelle étale la pâte en trois parties. Je réchauffe la garniture en y rajoutant des crevettes. Clémentine s'occupe de la salade.
Les pizzas au four, nous passons au salon. < J'ai envie de me finir ! > nous fait Clémentine. < Moi aussi ! > lui répond Estelle.
Je leur propose de retirer leurs fringues, de s'installer dans le canapé. Je suis à genoux. Les filles sont vautrées jambes levées.
Je hume longuement les deux croupions. Les filles se touchent. Les effluves parfumées de leur journée de fille. Ça remugle !

Les odeurs fortes d'Estelle qui me révulsent toujours un peu. Les senteurs suaves de Clémentine qui mouille et qui coule déjà.
Les lèvres charnues de Clémentines sont une vraie invitation à la découverte et à la visite. Le sexe d'Estelle n'est qu'une fente.
Je passe ma langue sur les deux croupions. Et je bande comme un priapique en phase terminal. Soudain, la sonnerie du four.
Nous cessons pour nous précipiter à la cuisine. Morts de faim, nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table en rigolant.
Les filles évoquent les épreuves de demain matin et leur impatience d'en découvre. De se retrouver en situation. "Gagnantes".

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous retournons au salon. Nous avons tous les trois les sexes congestionnés, trempés.
Je recommence ma dégustation de minous sur des chattes bouillantes. Celle d'Estelle suinte enfin un peu. Cyprine très liquide.
Il est presque 22 h. Estelle connaît un orgasme qui la fait hurler de plaisir. Clémentine se garde pour le lit. Estelle me suce.
Je la laisse se régaler un peu. Je passe ma bite d'une bouche à l'autre. Les filles sont assises sur le bord du canapé. Bonheur.
Nous ramenons Estelle pour 22 h15. Au retour, nous nous précipitons à l'étage. Cunnilingus. Fellation. Baise. Secrets. Dodo...

Bonne randonnée à toutes les coquines qui aiment se balader en legging et se faire surprendre entrain de se branler...

Julien - (Maître lécheur, sommelier de moules gluantes, goûteur de liqueurs féminines intimes et toujours à l'écoute) -

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Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 427 -



Vendredi, à midi, c'est le début du Week-End

Hier matin, vendredi, c'est "Le Crépuscule des Dieux" de Richard Wagner qui nous tire de nos profonds sommeils. La violence.
< Put-Hein ! Pas la Panzer Division déjà le matin ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rions de bon cœur.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Et ce matin, elle est encore plus vive.
Morts de faim nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine fait le café. 5 h55.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit. Et tout en bavardant.

Dehors, le ciel est lumineux. Il ne va pas tarder à devenir bleu. Nous sommes déjà en tenues de jogging. Il est à peine 6 h25.
Nous voilà à courir d'un rythme soutenu à travers la fraîcheur matinale. Une heure d'un super running et nous voilà de retour.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue de son jean, veste noir et bottines.
D'une humeur combative, pressée d'en découdre, Clémentine passe ce matin les secondes épreuves de son "Master". Bises.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. 7 h45. Et Clémentine reviendra pour midi.

Je rentre. Je monte faire le lit. Je descends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Je suis enfin assis devant mon chevalet.
Il est 8 h15. Je termine ce matin la vingt huitième toile destinée à ma saison d'été. C'est un petit paysage que j'aime beaucoup.
Je peins dans une allégresse glorieuse. Parfois, je pousse un cri surréaliste qui ponctue une longue concentration. C'est sublime.
Parfois, je me lève pour entamer une danse de guerrier Sioux autour de mon chevalet. De grands moments de peinture. Géant.
Il est presque midi lorsque je dépose la dernière pointe de couleur sur la surface du tableau. Je nettoie mes pinceaux, la palette.

Je vais à la cuisine. Je prépare les haricots verts dans le Wok. Les steaks de thon ont décongelé dans le bas du réfrigérateur.
Il est 12 h15. Clémentine rentre. Elle me saute dans les bras en s'écriant : < Gagné ! >. Je la soulève. Elle me bise le visage.
Elle me raconte sa matinée tout en s'occupant de la salade et de son assaisonnement. < J'ai tout survolé. Facile ! > fait elle.
Je sais l'acharnement et la pugnacité avec lesquels ma compagne a travaillé chaque jour pour être prête. Et elle est sûre d'elle.
J'aime la volonté, la force de caractère dont fait preuve Clémentine dans tous les aspects de sa vie. Elle aime le combat. Bien.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte quelques amusantes anecdotes durant les épreuves.
L'attitude de certains professeurs. La dizaine d'étudiants trublions qui ont tenté de faire un mini "mai 68" à l'entrée de la Fac.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Pas de grévistes donc pas de CRS ! Que des examens, des épreuves ! >
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie à quel point elle a besoin de décompresser.
Dehors il fait un temps magnifique. C'est comme une récompense. Nous pourrons partir pour une virée à bicyclette. Le bonheur.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous changer. Clémentine porte une de ses jupettes de sport style tennis.
Un T-shirt blanc. Je porte mon short noir et un T-shirt blanc. Nous faisons les clowns dans le miroir. Clémentine est folle de joie.
Prenant des poses de culturiste devant la glace elle fait : < Arnoldette Schwarzenegrette ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons à toute vitesse. Dans le petit sac à dos, nos K-ways, nos pommes, nos barres de céréale et une joie délirante.
Il est 13 h45 lorsque nous descendons le chemin jusqu'à la rivière pour rejoindre la piste cyclable. Il fait chaud. Il y a du soleil.

Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Nous croisons nombre de cyclistes profitant comme nous de cette superbe météo.
Nous bavardons. Clémentine est radieuse. Tout s'est tellement bien passé. Lundi, il y aura encore les oraux et les entretiens.
< De simples formalités ! > aime à préciser ma compagne pour conclure le chapitre "Master". Nous arrivons à l'écluse No 17.
Il y a un groupe de cyclistes arrêté là devant le cabanon. Il est donc impossible pour Clémentine de s'offrir une petite "frayeur".
Nous continuons notre route. 25 km dans un rythme de promenade. Nous arrivons au port de plaisance. Ambiance. Animation.

Il y a les joueurs de pétanques. Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Clémentine retire sa culotte.
Elle la met dans le petit sac à dos que je porte. Nous allons saluer Pauline, la capitaine qui est toute contente de nous revoir.
Nous bavardons un peu. Pauline nous raconte quelques amusantes anecdotes concernant ses activités de capitaine. Rigolade.
< Il est venu l'exhibo ce matin ? > demande Clémentine. < Non, ça fait quelques jours qu'il n'est pas venu ! > répond Pauline.
Elle rajoute : < La dernière fois qu'il a pointé le bout de sa bite, c'était mercredi sous le parapluie ! >. Nous rions de bon cœur.

Je propose d'aller nous chercher trois cônes glacés. < Attends, je viens avec ! > me fait Clémentine. Nous traversons la route.
Il y a du monde à la supérette. Nous avons notre astuce. L'un fait la queue à la caisse, l'autre va chercher les glaces. Superbe.
Nous revenons à la capitainerie. Nous bavardons encore un peu. Nous évoquons le haras ou Pauline commence au début juin.
Nous n'entrons dans aucune considération sexuelle. Nous ne révélons aucune de nos aventures aux écuries. Par tact. Discrets.
Nous laissons Pauline à son travail. De nouveaux plaisanciers arrivent et il y a un bateau qui vient s'amarrer là-bas, au quai...

Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux sanitaires réservées aux plaisanciers. Les toilettes sont désertes. Nous inspectons.
Par acquis de conscience, désireuse de ne pas passer à côté d'aucune opportunité d'exhibe, Clémentine scrute soigneusement.
Nous retournons rapidement au soleil. Nous flânons un peu sur le quai. Ambiance. Et dimanche ce sera le premier vide grenier.
Clémentine m'entraîne entre la capitainerie et le bâtiment des sanitaires. Les fourrés. C'est là qu'il y a les meilleures occasions.
< S'il y a un "plan", ce sera forcément ici ! > me fait elle en prenant ma main pour la mettre entre ses cuisses, sous sa jupette.

Clémentine ressent un tel besoin de décompresser. Non pas par stress, mais par excès de confiance en elle et de désir de lutte.
Ma compagne a remporté deux combats, deux jours de suite grâce à une préparation acharnée. Je comprends ce qui se passe !
A peine ai-je ma main entre ses cuisses, que ma compagne a un spasme. J'adore ça. Je la caresse. Elle regarde partout autour.
Cambrée sur ses genoux fléchis, Clémentine observe attentivement autour de nous. < Put-Hein, j'ai envie de pisser ! > dit elle.
Nous faisons le tour du bâtiment sans quitter le sentier entre les fourrés et le mur. < Là ! > me dit elle en montrant un type...

C'est un mec qui pose sa mobylette contre le mur, à l'ombre. Il retire son casque. Nous restons dissimulés derrière les fourrés.
L'inconnu se déboutonne, se positionne contre le mur, regarde partout autour de lui et sort sa queue pour se soulager. Discret.
< Reste là ! > me chuchote Clémentine en s'avançant dans le sentier. Le type est entrain de pisser lorsqu'il voit cette jeune fille.
Clémentine, les bras croisés, marche tout doucement. Le type, gêné, se tourne pour cacher le jet et la bite. Clémentine s'arrête.
< Bonjour ! > fait elle en restant ostensiblement debout à environ deux mètres de l'inconnu. Le type doit avoir 45 ou 50 ans...

Je suis planqué à une vingtaine de mètres. J'entends les propos qui s'échangent. < Vous êtes du coin ? > demande Clémentine.
L'homme reprend rapidement de son assurance. Il se tourne légèrement vers la fille. Tout en pissant il dit : < Je connais bien ! >
< Je dois pisser moi aussi, y a t-il des toilettes publiques sur le port ? > demande Clémentine en mettant sa main sous sa jupe.
< Vous pouvez le faire là, dans les buissons ! > lance le bonhomme en montrant l'endroit à côté de lui. Clémentine le contourne.
J'hallucine. Clémentine, écartant les pieds le plus largement possible, fait : < Vous permettez ! >. Je vois le jet jaillir. C'est fou.

L'homme prend soudain conscience d'être à cet instant le plus privilégié des bienheureux. Il se tient la bite pour mâter la scène.
Clémentine, écartant les lèvres de son sexe, cambrée sur ses genoux fléchis, les jambes largement écartés, lâche un jet. Fort.
Le type se branle doucement. Il dit : < T'es une sacrée salope toi, tu veux pas me tailler une pipe quand t'as fini de pisser ! >
De ma cachette j'entends tout. Même le jet qui vient se briser au sol, éclaboussant les baskets de la fille. Je la devine satisfaite.
Clémentine s'accroupit tout en pissant. Le type se tourne franchement devant elle. Il agite sa bite. Une belle et grosse chipolata.

Clémentine lève la tête pour demander : < Vous n'auriez pas un mouchoir en papier ? >. Le mec sort un paquet de sa poche.
Je n'en reviens pas. Un tel culot, un type si serviable. Clémentine prend un des mouchoirs que lui tend le mec. Elle se torche.
< Tu ne veux pas me faire un peu de bien ? > lui demande encore le type qui toutefois ne tente absolument rien. Brave type.
Clémentine reste encore un moment dans cette position. Son visage à la hauteur de la braguette du mec debout à un mètre.
De ma planque je le vois se tourner de trois quart. J'aperçois sa bite. Une érection molle. Il éjacule en poussant de petits cris.

< Tu vois, tu peux y arriver tout seul quand tu veux ! > fait Clémentine en se redressant. Elle laisse le type pour me rejoindre.
Nous filons en vitesse. Clémentine m'entraîne à la supérette. La seconde série de cônes glacés que nous dégustons en flânant.
Nous sommes assis sur le muret au bout de la jetée. < Regarde ! > me fait Clémentine. Là-bas, le mec à la mobylette. Rires.
Il marche en bavardant avec un homme très âgé. Il reconnaît Clémentine qui porte toujours ses larges lunettes noires. Secrète.
Il nous dépasse. Clémentine lève le pouce de sa main droite comme pour le féliciter. Il fait la même chose et continue sa route.

Il est 18 h45. La capitainerie est déjà fermée depuis trois quart d'heure. Nous récupérons nos vélos. Il y a encore plein de gens.
< Viens voir ! > fait Clémentine en m'entraînant derrière les sanitaires. La mobylette. Toujours là. < Attends ! > fait Clémentine.
Je me planque au même endroit en tenant les deux bicyclettes. L'attente est de courte durée. Le mec arrive et voit la jeune fille.
Clémentine se touche et fait : < Coucou ! >. Le type n'en croit pas ses yeux. < T'es vraiment une salope, toi ! > fait il. Silence.
Clémentine s'accroupit pour pisser. L'homme, les mains sur les hanches, rajoute : < T'es une sacrée pisseuse en plus ! >. Rire.

L'inconnu retourne à sa mobylette. Il se retourne une dernière fois. Il dit : < Il le sait ton père que tu pisses dans les coins ? >
< Ce n'est pas mon père, c'est mon mec que vous avez vu avec moi ! > répond Clémentine en se redressant pour se torcher.
< Eh ben ! Il ne doit pas s'emmerder celui-là ! > fait il avant de partir en poussant sa mobylette. Clémentine me rejoint. Joie.
Nous rigolons comme des bossus en regardant partir le type sur sa mobylette. Nous prenons le chemin du retour. La fraîcheur.
Il est 20 h30 lorsque nous revenons à la maison. Morts de faim, nous nous préparons le repas. La nuit tombe rapidement. Bien.

Je réchauffe les haricots verts. Je fais bouillir des moules. Clémentine s'occupe de la salade. Nous rions de notre belle aventure.
< Je me suis éclatée avec ce type, sa mobylette ! > me fait Clémentine en ouvrant la braguette de mon short. Elle m'embrasse.
J'ai tellement bandé encore cette après-midi, que de la jute coule de ma queue molle. Clémentine s'en pourlèche en gémissant.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 21 h30. Epuisés nous montons. Et nous voilà au lit.
Un "69". Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis. Elle me confie ses émotions secrètes. Nos orgasmes sont délirants. Dodo...

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Soleil, beau temps, bicyclette et aventures. C'est le Week-End

Hier matin, samedi, nous nous étirons longuement en gémissant. Nous ponctuons notre réveil par le même cri : < Bonjour ! >
Nous nous serrons très fort l'un contre l'autre, tout contents d'êtres réveillés en même temps. Il est 7 h30. Dehors il fait beau.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes où nous pratiquons nos amusants rituels.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous sommes déjà en tenues de jogging. Prêts à en découdre.
Je presse nos quatre oranges. Clémentine prépare le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine évoque les oraux et les entretiens de mardi. Dernières épreuves.
Les résultats de son "Master" arriverons la seconde semaine de juin, entre le 4 et le 8. Clémentine est impatiente. On comprend.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 8 h lorsque nous nous mettons à courir dans l'étonnante fraîcheur matinale. Super.
Nous imprimons un bon rythme à notre course pour revenir après une heure d'un running des plus agréables. La douche. 9 h15.
Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses jupes carmin, un sweat fin, sa veste et des souliers à légers talons. Très belle.

Sur sa demande je porte un pantalon de toile clair, une chemise ouverte et une veste en lin beige. Mes mocassins marrons. Joie.
Nous voilà en route pour le bourg voisin. La glacière est branchée sur l'allume cigare. Clémentine joue avec ma queue dressée.
Nous garons la voiture. Il y a déjà du monde. Je prends les sacs. Nous faisons notre marché, déambulant dans l'allée centrale.
J'ai la braguette discrètement ouverte. Personne ne pourrait s'en rendre compte et cela plaît tant à Clémentine. C'est très sympa.
Nous faisons provision de fruits et de légumes chez nos petits agriculteurs locaux. Les produits laitiers chez nos artisans locaux.

De retour à la voiture, nous plaçons les fromages, la crème, le beurre et les yaourts dans la glacière. Nous partons pour la ville.
Nous garons la voiture sur le parking du supermarché. Nous avons l'explication. Il y a tant de monde à cause du lundi 21 férié.
Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne dans les rayons où se trouvent les produits nécessaires. Savon, lessive, Sopalin.
Nous faisons la queue au rayon poissonnerie. Quelle surprise. Julie, la jeune serveuse du restaurant de l'étang nous salue. Bien.
Les deux filles évoquent leurs examens. Julie passe sa licence de Lettres dans les toutes meilleures conditions, malgré la grève.

Elle nous promet de venir passer un barbecue avec nous dès les premières soirées qui le permettent. Elle se réjouie de nous voir.
Nous faisons provision de filets de lieu noir, de cabillaud, de pavé de saumon et de thon. Puis nous terminons par les conserves.
Par acquis de conscience et par habitude, Clémentine nous entraîne au rayon culturel. Il y a des gens aux magasines, aux livres.
Il serait vain d'y tenter un plan exhibe. Nous allons aux rayons des vêtements. La situation est pareille. Beaucoup trop de monde.
Il faut se résoudre à abandonner l'idée de s'amuser un peu. Nous passons aux caisses. Là-bas, Julie, avec sa mère, fait coucou.

Nous prenons la route du retour. Nous passons devant le haras. Il y a des voitures dans la cour. Nous ralentissons pour mâter.
La musique ridicule de mon téléphone. Clémentine le sort de ma poche. < Estelle ! > fait elle. Elle viendra nous rejoindre. 14 h.
Nous voilà de retour. Nous rangeons nos courses. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Je prépare les pâtes.
Des coquillettes accompagnées d'une bonne sauce au Roquefort dont nous raffolons. Il fait beau. Il y a malgré tout un vent frais.
Pendant que le gratin de coquillettes est au four, nous retournons au jardin pour visiter notre potager et la roseraie. C'est super.

D'ici une semaine nous pourrons savourer nos premiers légumes. Nous pourrons également déguster les fraises dans la serre.
Clémentine nous a réservé cette surprise. Dans deux des jardinières poussent de grosses fraises déjà rougissantes. Superbes.
Serrée contre moi, Clémentine me chuchote quelques douceurs. A quel point elle est heureuse de sa vie ici avec moi. Quiétude.
< Tu as fait de moi une bourgeoise ! > dit elle. Je dis : < Je ne pourrais pas vivre avec une fille ayant une autre philosophie ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Ce qui est ma philosophie de l'existence ! >. Nous rions de bon cœur.

Nous rentrons à l'instant précis où sonne le four. Morts de faim nous nous précipitons. La table est mise. Je fais le service. Joie.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons.
Lavage des dents en faisant les clowns devant le miroir. Clémentine, pourtant si belle, arrive à faire les plus horribles grimaces.
Elle me fait tant rire que je suis écroulé sur le lit où elle me chatouille. Trois coups de sonnette. Il est déjà 13 h45. C'est Estelle.
< On est en haut ! > fait Clémentine. Nous sommes tous les deux en slips. Estelle arrive, nous saute au cou. < Enfin ! > dit elle.

Clémentine met une de ses jupettes de sport, un T-shirt. Je mets un de mes shorts de sport et un T-shirt. Estelle est en short.
Nous faisons les clowns tous les trois devant le miroir. < Hier soir, j'étais avec Gauvin. Et on a bossé ! > nous raconte Estelle.
< Il m'invite au restaurant mercredi prochain ! > rajoute t-elle avec un clin d'œil. < Il annonce la couleur ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle fait encore : < Il est hyper secret, réservé et n'a jamais le moindre geste équivoque ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine lui dit : < Un romantique très "vieille France", une sorte de gentleman ! >

Dans le petit sac à dos, je mets trois pommes, des barres de céréales, une bouteille d'eau et nos K-ways. Nous redescendons.
Je vérifie la pression des pneus de nos bicyclettes. 4,5 bars devant et derrière. L'idéal pour nos VTC, Les Vélos Tous Chemins.
Nous voilà en route pour rejoindre la piste cyclable. Nous y croisons quantité de cyclistes, de jeune filles en rollers. La mode.
Il y a hélas tous ces inconscients qui se baladent sur la piste cyclable sans tenir leurs chiens en laisse. De véritables dangers.
Il faut parfois louvoyer, faire preuve de prudence et pédaler avec un léger vent de Nord-Est qui apporte une certaine fraîcheur.

Nous arrivons au port de plaisance après nos habituels 25 km de plaisir total. Pas d'arrêts exhibes. Beaucoup trop de monde.
Il y a de l'animation au port. Demain, ce sera le premier vide grenier de la saison. Des emplacements sont déjà marqués au sol.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous allons saluer Pauline, la capitaine, affairée dans son job d'été.
Nous bavardons. Estelle Clémentine et moi, nous sommes assis sur la banquette. Pauline est assise derrière son bureau. Bien.
Tout à l'heure nous irons chercher des cônes glacés et nous lui en rapporterons un. Pauline nous raconte quelques anecdotes.

Nous rions beaucoup des petites histoires à laquelle Pauline est confrontée. Il y a des plaisanciers de toutes nationalités. Rire.
< Les plus drôles, ce sont les Hollandais. Les plus charmants sont les Anglais. Les plus sympas sont les Allemands ! > fait elle.
< C'est pour ça que je vis avec un Ecossais ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur de mon léger accent scottish. Sympa.
Un plaisancier arrive. Une doléance. Nous prenons congé. Estelle, Clémentine et moi n'avons qu'une hâte. Nos cônes glacés !
Nous traversons la route. La supérette est évidemment prise d'assaut en permanence. Estelle nous attend à la caisse. Astuce.

La gérante nous a donné la combine. Nos glaces sont dissimulées en haut du congélateur, derrière le stock de "Mister Freeze".
< Regarde ! Le mec de hier, l'homme à la mobylette ! > me fait Clémentine. Le type ne nous reconnaît pas. Autres fringues.
Il est accompagné du même vieil homme que hier. Nous retournons rejoindre Estelle qui avance dans la file. Et juste à temps.
Nous retournons à la capitainerie. Pauline est au téléphone dans une conversation animée, debout devant la fenêtre. La glace.
Pauline est entrain de guider le plaisancier de tout à l'heure afin qu'il range son bateau au bon endroit. La manœuvre délicate.

Nous lui offrons son cône. Elle mime un bisou tout en se saisissant la glace. Nous lui faisons un coucou pour la laisser à son job.
Nous flânons sur le quai. < Regarde, il est de nouveau là ! > me fait Clémentine en me montrant l'homme à la mobylette. Rire.
Il est habillé d'une veste brune élimée, d'un vieux pantalon bouffant, chaussé de vieux croquenots. Et il discute avec une dame.
Clémentine raconte à Estelle notre aventure, hier, avec le mec qui la regardait pisser derrière le bâtiment des sanitaires. Super.
< On refait ! > fait Estelle. Clémentine dénoue ses cheveux. Elle chausse ses larges lunettes noires. Même look que celui d'hier.

< Il me suffit d'attirer son attention ! Attendez moi derrière les chiottes, entre les fourrés ! > nous fait Clémentine, s'avançant.
Estelle m'entraîne par le bras. < Viens ! On va se toucher un peu ! > me fait elle. Nous passons très vite devant la capitainerie.
Pauline nous fait un coucou de la main. Elle est au boulot. Estelle nous entraîne à l'endroit souhaité. Nous nous y dissimulons.
Dans les fourrés, près du mur , Estelle met sa main dans mon short. Elle prend la mienne pour la mettre dans le sien. Rigolade.
Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, cela m'indispose toujours un peu. Je déteste faire des trucs derrière son dos. Malaise.

Notre attente est de courte durée. Clémentine arrive. Elle a réussi à attirer le mec. Ce dernier va la suivre de quelques instants.
Clémentine retire rapidement sa culotte, se met en position, accroupie, les cuisses largement écartées. Le type arrive soudain.
Nous observons, le cœur battant, sans bouger. Estelle se serre fort contre moi. Nous sommes parfaitement planqués. Superbe.
< Mais t'es une habituée ! T'as un abonnement ma parole ! > fait l'homme à Clémentine qui a une envie folle de pisser. Joie.
Elle relève la tête. Sans répondre, se cambrant, prenant appui contre le mur derrière elle, Clémentine se lâche dans un long jet.

< Put-Hein ! Mais comment elle fait ! > me chuchote Estelle. Je fais : < Chut ! >. Estelle me prend la main pour la serrer fort.
Clémentine qui doit pisser depuis un bon moment, peut s'adonner à son jeu favori. Le mec se déboutonne la braguette. Rires.
< Tu veux pas t'occuper de ma bite des fois ! > fait le quidam et en se rapprochant. Clémentine, sur ses gardes, sait anticiper.
A nouveau le type agite son sexe dans la direction de la jeune fille qui termine de pisser. Un dernier jet qui s'écoule. La goutte.
L'homme possède un bel engin. Pourtant il semble rester bien ramollo. Estelle et moi retenons nos respirations. C'est superbe !

< Papier ! > fait Clémentine d'une voix autoritaire en tendant la main. Hallucinant. L'inconnu lui tend un mouchoir en papier.
Clémentine se redresse pour se torcher. Le type se branle de plus en plus vite. Il finit par éjaculer en poussant des petits cris.
< On dirait un chinois ! > me chuchote Estelle. Nous avons tous deux l'envie folle d'éclater de rire. Et c'est Estelle qui craque !
Le mec se retourne. Il prend conscience d'une présence. Clémentine se met à rire. Le type remballe et s'en va à toute vitesse.
Nous rejoignons Clémentine qui fait : < Put-Hein, vous niquez mes plans maintenant ! >. Nous en rigolons comme des bossus.

Tout cela nous donne envie de jouir de tout ce qui peut se présenter. Ce sera d'abord une seconde série de cônes. Forcément.
Nous reproduisons la même formule à la supérette. Estelle est dans la file à la caisse. Clémentine et moi cherchons les glaces.
Elle me montre la culotte qu'elle tient toujours dans sa main. Nous rions de bon cœur. Nous rejoignons Estelle juste à temps.
Cette astuce permet de garder les cônes le plus froid possible. Nous flânons à nouveau sur le quai. Le mec passe en mobylette.
Il ne nous reconnaît pas. Ou ne fait pas attention à notre trio. < Drôle de mec ! > fait Clémentine. < Super bite ! > fait Estelle.

Nous traînons sur le port jusqu'aux environs de 19 h. La fraîcheur nous oblige à nous revêtir de nos leggings et de nos K-ways.
Nous prenons la route du retour contre un très désagréable vent de Nord Est. C'est le dernier effort de la journée. Sympathique.
Il est 20 h20 lorsque nous arrivons enfin à la maison. Il suffit de réchauffer le gratin de coquillettes et de préparer le poisson.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle m'aide à la préparation des steaks de thon. Je chauffe le reste de sauce au Roquefort.
Morts de faim, nous préparons notre repas du soir avec méthode. Les filles évoquent les cours, les oraux de mardi. Confiantes.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La conversation s'articule autour des aventures vécues au port aujourd'hui.
< Le haras, les écuries et le port de plaisance sont nos terrains de jeux de prédilection ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur.
< Par contre, au port, il faut rester prudents ! Je pense que Pauline se doute de nos jeux. Elle nous couvre ! > fait Clémentine.
Estelle porte le même constat : < En couple, tout est possible. C'est tellement plus simple. Une complicité avec les autres ! >
< C'est immédiatement plus sécurisant d'avoir affaire à un couple plutôt qu'à un homme seul. C'est certain ! > dit Clémentine.

Nous savons bien, Clémentine et moi, que toutes nos aventures ne sont possibles que parce que nous sommes deux. Simplicité.
< Parfois trois ! > fait Estelle qui rajoute : < Deux filles avec un homme, ça permet toutes les configurations de rencontres ! >.
Nous en avons tant fait l'expérience. Tout est plus simple en couple. Et dans le domaine des rencontres comme dans les autres.
Nous traînons à table. Nous sommes épuisés mais bien excités. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon.
Je propose aux filles un léchage de minou dans les règles de l'Art. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Les voilà installées.

A genoux sur l'épais coussin, j'admire les deux croupions fort appétissants qui me sont présentés là. Je hume très longuement.
Les odeurs de leurs journées de filles, les multiples pissous au bord de la piste cyclable, les excitations, participent des senteurs.
L'odeur âcre du sexe d'Estelle qu'elle écarte pour me faire découvrir ses lèvres toutes fines. L'odeur du sexe de Clémentine. Bien.
Je renifle longuement et jusqu'aux vertiges. Clémentine se doigte. Son clitoris géant est turgescent. Estelle se caresse les lèvres.
Je commence pas sucer le sexe d'Estelle. Je pompe pour en tirer le jus. Ses gémissements sont si délicats. De la cyprine amère.

Il est inutile de pomper le sexe de Clémentine car ses épanchements naturels constituent des écoulement presque permanents.
J'aime comparer le goût âcre d'Estelle et celui plus onctueux de Clémentine. Elles gémissent toutes deux en stéréophonie. Beau.
Je commente à haute voix le résultat de mes fouilles. Cela les amuse tout autant que cela les passionne et les excite. Superbe !
Estelle a toujours des orgasmes rapides. Celui-ci la terrasse jusqu'au risque de lui faire perdre les esprits. Clémentine se garde.
Epuisés, nous montons. Au lit, Estelle s'endort la première. Clémentine m'attire sur elle. Baise. Confidences. Pipe. Cunni. Dodo...

Bon après-midi au port de plaisance à toutes les coquines qui aiment se faire surprendre par des inconnus entrain de pisser...

Julien - ( Grand lécheur de croupion devant l'éternel et qui sait parfaitement doser les léchouilles nécessaires aux orgasmes) -

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Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 429 -



Estelle, Clémentine et moi, nous adorons faire de la bicyclette

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des murmures, des rires étouffés. On me tient fermement par la queue.
J'ouvre l'œil et le bon. Je sais qui me tient ainsi par mon érection matinale. < Bonjour Julien ! > font les filles en même temps.
Estelle, qui a passé son bras par dessus le corps de Clémentine me branle à toute vitesse en rigolant. Je me redresse d'un coup.
A genoux entre les deux coquines, je les chatouille en imitant les grognements de l'ours des cavernes. J'aime tant les faire rire.
Estelle parvient à s'échapper pour filer aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Il est à peine 7 h30 et il fait déjà beau.

Estelle revient et nous dit : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse pour rejoindre Estelle à la cuisine. L'odeur du café, du pain grillé, est délicieuse.
Estelle, dans son pyjama de soie mauve se précipite dans mes bras pour me faire des bisous. Clémentine s'interpose rapidement.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle dit : < C'est mon mec à moi ! >. Estelle répond : < Je te remercie de me le prêter parfois ! >
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Notre petit déjeuner s'allonge. C'est dimanche, nous traînons à table. Sympa.

Les filles évoquent bien évidemment les oraux et les entretiens qui les attendent mardi. Ces dernières épreuves qu'il faut passer.
Très vite toutefois, la conversation s'articule sur nos aventures épiques au port de plaisance. Nous y retournerons cet après-midi.
Estelle nous propose de nous aider. Le dimanche matin nous sacrifions au rituel du ménage. < Je m'occupe du salon ! > fait elle.
Je débarrasse la table. La vaisselle. Clémentine monte à l'étage. Estelle passe au salon. Je m'occupe de la cuisine. Sympathique.
Parfois, j'entends un bruit de bisou. Je me tourne. Estelle dans l'encadrement de la porte qui mime une masturbation masculine.

J'agite mon index d'un signe sévère. Je dis : < Toi, je vais te punir ! >. Estelle sautille autour de moi en s'écriant : < Oh oui ! >.
Elle file au salon pour continuer son ménage. Je nettoie les chiottes. Je passe la serpillère sur le sol. Carrelage. WC, hall, cuisine.
Je m'apprête à monter pour rejoindre Clémentine lorsqu'Estelle me saute au cou. < Je t'aime Julien ! > me fait elle. Je suis gêné.
Quand Clémentine n'est pas avec nous je suis toujours embarrassé par les effusions de tendresse bien compréhensibles d'Estelle.
Je suis encore en slip. Elle y fourre sa main pour me palper le sexe. < Il est plein de couilles ce matin, le monsieur ! > fait elle...

Nous rigolons comme des bossus. Nous entendons la voix de Clémentine, à l'étage qui fait : < On se calme les vicieux en bas ! >
Je dis : < En bas ! > tout en glissant ma main dans la culotte d'Estelle. Elle se cambre, écarte ses cuisses, gémit en se frottant.
< Je veux et j'exige que tu te comportes comme un vrai salaud avec moi toute la journée ! > murmure Estelle, me masturbant.
Je la saisi par ses cheveux en chignon pour la forcer à me suivre et jusqu'aux toilettes. Je la force à se mettre à genoux parterre.
J'ordonne : < Suce ! > Je n'ai pas besoin de le dire deux fois. La voilà qui me taille une pipe comme si sa vie en dépendait. Joie.

Je lui retire le sexe de la bouche. Je le frotte sur son visage dont elle me présente chaque relief tout en gémissant. Je dois pisser.
Je ne suis pas obligé de me concentrer longtemps. Je lui lâche un premier jet en plein visage. Et je maintiens sa tête fermement.
< Salaud ! > s'écrie t-elle en essayant de se soustraire à mon étreinte. Je réponds : < Oui, salaud ! Et comme tu l'as exigé ! >
Je lui mets une gifle. J'éclabousse ainsi partout. Son visage trempé, ses cheveux dégoulinant de pisse, elle me dit : < Salaud ! >
Je lui enfonce la bite dans la bouche malgré qu'elle tente de garder les lèvres serrées en se débattant. Je sais qu'elle adore ça.

Je la force à se redresser. Je la tiens par ses cheveux à présent dénoués. Je l'entraîne à l'étage. Clémentine nous voit arriver.
Je lui montre Estelle en disant : < J'ai été obligé de la punir ! >. Clémentine éclate de rire et me dit : < Je veux être punie ! >.
Nous rions de bon cœur. J'entraîne Estelle à la salle de bain en lui disant : < Prends une douche, petite salope et sèche toi ! >
Je rejoins Clémentine qui termine de changer les draps pour lui raconter ce qui s'est encore passé en bas, aux chiottes. Rires.
< Je t'aime Julien. J'ai mes trucs de filles qui sont arrivés ! > murmure t-elle avec un air de dépit. Nous sommes le 20 du mois !

Je ramasse les draps sales pour les emmener à la salle de bain où Estelle est entrain de se sécher. < Tu es génial ! > me dit elle.
Clémentine nous rejoint en disant : < S'il suffit de te pisser à la gueule pour être génial ! > Nous en rigolons comme des bossus.
Je nettoie le bac à douche et le bidet. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Estelle nous laisse pour aller s'habiller. Des bisous.
Clémentine se blottit dans mes bras en me chuchotant : < Moi aussi ! J'ai besoin que tu sois salaud avec moi. Tu veux bien ? >
Je la rassure en lui murmurant : < Je vais m'occuper de ton cas. Dès cet après-midi collier et laisse dans les chiottes du port ! >

Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. Estelle vient me rejoindre. Bisous.
Je ne peux pas me défendre avec les mains mouillées. Aussi la coquine en profite pour me choper les couilles par derrière. Rire.
Je passe la serpillère sur les sols de l'étage. Estelle n'arrête pas de rester près de moi, me touchant souvent. Présence adorable.
Je vais dans la chambre pour m'habiller. Estelle, assise sur le lit me confie ses émotions et les sensations vécues ce matin. WC.
Je la saisi par ses cheveux attachés en queue. Nous descendons rejoindre Clémentine qui suspend du linge dans le jardin. Rire.

Nous l'aidons à suspendre le linge. Il est déjà 11 h30. Il y a un soleil magnifique. Doux. Je laisse les filles pour aller à la cuisine.
Les pavés de saumon ont décongelé. Je prépare les petits pois et les haricots verts. Estelle est la première à me rejoindre. Bise.
Elle s'occupe des pavés de saumon qu'elle prépare en papillotes. Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. Bien.
Nous mettons au point le programme de l'après-midi. Nous mettons la table dans la véranda. Odeur de poisson grillé. Délicieux.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle nous donne ses impressions. Se faire pisser au visage est un plaisir...

< Tu as commencé fort ce dimanche ! > me fait Estelle. Nous rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Propre.
Nous sommes déjà en tenues de sport. Il est 13 h45 lorsque nous descendons le chemin pour rejoindre la piste cyclable. Soleil.
Nous pédalons poussés par le même léger vent de Nord-Est que hier. Nous croisons quantité de cyclistes, jeunes filles en roller.
Les irresponsables qui laissent leur chien divaguer sans laisse sur la piste cyclable. < Les crétins sont de sortie ! > fait Estelle.
25 km et nous arrivons au port de plaisance. Comme souvent l'animation est à son comble. C'est le premier vide grenier de l'an.

Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Nous passons saluer Pauline, la capitaine qui est très occupée.
Son petit bureau est plein de plaisanciers. Nous lui faisons un rapide coucou depuis l'encadrement de la porte. Il y a du monde.
Nous traversons la route. Nous nous rendons à la supérette. Nos cônes glacés. Il faut être patient. Le lieu est bourré de clients.
Clémentine me tient par la main et sans jamais me lâcher. Lorsqu'elle a ses "petits machins" de filles, c'est son comportement.
J'essaie toujours d'anticiper et d'être prévenant. Estelle nous chuchote : < Moi aussi je veux un Julien ! >. Cela nous amuse...

Nous flânons en dégustant nos cônes glacés. Nous découvrons le vide grenier qui connaît un énorme succès. Bien belles choses.
Le port de plaisance est un peu le centre d'animation de la région. On y vient de la ville voisine à 12 km. Et de tous les villages.
Il serait vain, voire ridicule, de tenter un plan exhibe avec toute cette foule. Clémentine nous entraîne quand même aux toilettes.
Je lui montre le collier canin et la laisse que j'ai emmené dans le petit sac à dos que je porte. < Tu me le mets ! > me dit Estelle.
Je refuse. Avec ce monde, inutile de déconner. Nous rions de bon cœur. Il y a un monde fou jusque dans les chiottes publiques.

Nous traversons la route pour monter le chemin qui mène au vieux cimetière. Il y a la course des "caisses à savon". Du monde.
Les passionnés bricolent des petits véhicules fantaisistes en bois dans lesquels ils descendent à toute vitesse et depuis la colline.
Nous nous mettons dans l'attroupement. Clémentine sort l'appareil photo. Les "bolides" arrivent à toute allure. Elle s'accroupit.
Cuisses écartées, discrètement, elle prend des photos. Il y a un type de l'autre côté, parmi les gens qui mâte. Il faut faire vite.
Avec sa virtuosité habituelle, rapide comme la foudre, Clémentine se livre à quelques exhibes d'excellente qualité. C'est fameux.

Inutile de monter jusqu'à la chapelle, il y a de la foule jusqu'en haut. Et pas d'opportunité. C'est frustrant mais il faut faire avec.
Nous redescendons flâner sur le quai. Nous assistons à l'arrivée des "caisses à savon". Les pilotes sont souvent d'âges avancés !
Il y a même un podium où les trois vainqueurs agitent leur récompense. Le vainqueur est une femme qui doit bien avoir 60 ans.
Tonnerre d'applaudissements. Nous apprenons que c'est sa cinquième victoire consécutive. Et avec la même "Caisse à savon" !
Clémentine me chuchote : < J'ai les seins et le ventre tout dur ! Douloureux !>. Conséquences de son premier jour de règles.

Nous traînons sur le port jusqu'en fin d'après-midi. Il est 19 h lorsque l'endroit termine de se vider. Il y a un marchand de frites.
Je propose aux filles de nous offrir un cornet de moules frites avant de rentrer. Nous passons nos leggings et nos sweats. Bien.
La fraîcheur du soir. Clémentine préfère rentrer. Nous avons encore 25 km à faire contre un vent frais. En route. Et pas de frites.
Nous pédalons contre un vent de Nord-Est plutôt pénible. Il faut fournir de sérieux efforts par endroits. Nous arrivons à 20 h30.
Morts de faim, nous nous mettons immédiatement à la préparation du repas. Clémentine fait la salade. Estelle s'occupe du thon.

Je prépare les spaghettis. Estelle me montre la belle Béchamel au thon qu'elle vient de concocter. Je râpe le Parmesan. Gruyère.
Il est 21 h. Nous voilà enfin assis à table. Il fait nuit. Nous sommes épuisés. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous traînons. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allons au salon. Nous sommes vautrés tous les trois dans le canapé.
Clémentine à ma droite, sa tête posée sur mon épaule. Estelle à ma gauche, sa main dans ma braguette. Nous faisons le bilan.
Cette journée nous a enchanté. Estelle, tout en me tordant la bite dans tous les sens, évoque les rapides exhibes de Clémentine.

Nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé à bâiller. Il est 22 h. Nous décidons de monter nous coucher. Demain férié.
Estelle à l'autre bout du lit, ne tarde pas à s'endormir rapidement. Nous l'entendons ronfler doucement. Clémentine contre moi.
Elle me chuchote plein de douceurs. Je lui caresse la tête. Elle me tient le sexe. Je bande mou. Clémentine descend doucement.
< Juste un peu, avant de dormir ! > me murmure t-elle en posant sa tête sur mon ventre. Je la laisse sucer un peu. Fatigués.
Je la force à remonter. Je pose sa tête sur ma poitrine. Encore quelques révélations. Projets pour demain. Le plongeons. Dodo.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment à flâner sur le port de plaisance en dégustant des cônes glacés.

Julien - ( Qui essaie toujours d'être le plus prévenant possible lorsque Clémentine a ses "petits machins" de fille) -

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Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 430 -



Nouvelle expédition bicyclette au port de plaisance

Hier matin, lundi, jour férié de la Pentecôte, je suis tiré de mon sommeil comme un dimanche. On me tient fermement la bite.
Les murmures et les rires étouffés habituels parachèvent de me réveiller. J'ouvre les yeux. < Bonjour Julien ! > font les filles.
Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre les deux coquines pour les chatouiller, poussant des grognement d'ours.
Estelle ne me lâche pas la queue. Elle fini par s'enfuir en riant pour aller aux toilettes. Clémentine me chevauche tout en riant.
Il est 7 h30. Il fait clair et lumineux. Du soleil dans un ciel parfaitement bleu. Estelle revient. < Je fais la bouffe ! > lance t-elle.

Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Super.
Il y a l'agréable odeur de pain grillé et de café. Estelle, dans son pyjama de soie mauve, se précipite dans mes bras. Des bisous.
Clémentine s'interpose en disant : < On se calme la branleuse ! >. Nous rions de bon cœur. Nous sommes en slip et en T-shirt.
Nous prenons notre petit déjeuner en remerciant Estelle pour sa prestance et la qualité du service. Ce qui déclenche un fou rire.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous remontons nous mettre en tenue...

Vêtus de nos leggings, de nos sweats, nous nous offrons un magnifique jogging. C'est Estelle qui imprime un rythme soutenu.
Nous sommes de retour pour 9 h15 et après une heure d'un running des plus agréables. Nous prenons la douche les premiers.
Estelle range un peu la cuisine. Nous redescendons vêtus de nos jeans et chemises à carreaux. C'est au tour d'Estelle. Douche.
Nous allons dans l'atelier. Clémentine est assise à la table devant l'écran de l'ordinateur, scrutant le site de l'université. Infos.
Je suis assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de la vingt neuvième toile destinée à ma saison d'été...

Estelle arrive à son tour, habillée comme nous. Les filles, assises l'une en face de l'autre, se mettent en situation d'interrogation.
Elles se posent des questions à tour de rôle, révisant leur savoir et tentant de répondre aux questions les plus inattendues. Bien.
J'écoute tout en me livrant à la peinture de mon paysage d'après une photo prise en automne de l'an dernier. Des chevaux. Pré.
La matinée se déroule ainsi. J'entends les filles se répondre du tac au tac sans jamais marquer la moindre hésitation. Admirable.
Elles maîtrisent totalement les sujets. Elles sont hyper prêtes pour les oraux et les entretiens qui les attendent demain. Examen.

Il est presque midi. Je termine de nettoyer mes pinceaux et ma palette. Je laisse les filles à leurs rangements. Je vais à la cuisine.
Je prépare la panure des filets de lieu noir que je vais accompagner d'un gratin de courgettes. Clémentine est la première à venir.
< Miam ! J'ai faim ! > fait elle en se serrant contre moi. Elle s'occupe de la salade, de l'assaisonnement. Estelle arrive à son tour.
Se serrant contre moi, dans mon dos, en passant ses bras autour de mes hanches avant de descendre sur ma braguette en riant.
< Tu te fais plus chier ! > lui fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Estelle découpe les courgettes, l'ail, l'oignon, la ciboulette.

Le gratin de courgette est au four. Je cuis les filets de lieu noir pannés. La poêle. Clémentine met la table. Repas dans la véranda.
Nous passons au salon pour découvrir nos courriels. Il y a le message de Juliette qui nous invite à manger mercredi soir. Sympa.
Il y a le message de Julie, la jeune serveuse du restaurant de l'étang qui nous révèle son impatience de venir manger chez nous.
Nous répondons en joignant deux photos prises hier, sur le port de plaisance, tenant nos cônes glacés tout en faisant les clowns.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les épreuves demain.

< Mercredi soir, vous mangez chez Juliette et moi je mange avec Gauvin ! On se raconte tout jeudi ! > nous fait Estelle en riant.
< Promis ! > répond Clémentine, assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel. Nous traînons à table. Jour férié.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous mettre en tenues vélo. Nous faisons les clowns devant le miroir. Rire.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, un T-shirt. Estelle préfère son short kaki, T-shirt. Comme moi. Je prépare notre sac.
Dans le petit sac à dos, trois pommes, des barres de céréales, une bouteille d'eau, la paire de jumelles, nos K-ways et leggings...

Il est 14 h lorsque nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Au loin, dans le ciel, des amas nuageux. Il y a plein de cyclistes.
Estelle insiste malgré tout pour s'arrêter au cabanon de l'écluse. < Pipi ! > s'écrie t'elle en me proposant de tenir sa bicyclette.
Clémentine fait pareil. C'est un des moments ou personne ne passe. Les filles sont accroupies l'une à côté de l'autre. Le pissou.
Elles sont au milieu de la piste cyclable en riant. < Tu surveilles, hein ! > me lance Estelle. Je regarde la pisse s'écouler au sol.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle fait : < Regarde ! Mon pissou coule plus loin que le tient ! >. Il traverse la piste.

Il y a toute une bande de cyclistes qui arrivent à toute vitesse, déguisés de leur panoplie de coureurs du "Tour de France". Bien.
Les filles ont juste le temps de se redresser et de remonter leur culotte. Les cyclistes passent dans la pisse sans même regarder.
Nous rigolons comme des bossus en regardant les traînées de pisse laissées par les pneus. Je sors ma queue. Estelle s'en saisit.
Elle tient ma bite pour en diriger le jet en faisant des dessins au sol, sur le goudron de la piste cyclable. Nous rions de bon cœur.
Estelle secoue les dernières gouttes avant de s'accroupir pour en sucer les derniers épanchements. Je la force à cesser. Cyclistes.

Nous arrivons au port pour 15 h45. Il n'y a pas d'animation autre que celle des plaisanciers, des joueurs de pétanque. Des gens.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Nous saluons Pauline, la capitaine qui nous confie des anecdotes.
< L'exhibitionniste est passé en fin de matinée ! > nous raconte t-elle. < Vous avez vu sa bite ? > lui demande Estelle. Rigolade.
< Oui ! Bien évidemment, ce vicieux fait le nécessaire, là, derrière les fourrés. Je le vois de la fenêtre ! > répond Pauline en riant.
Je sors pour me mettre en situation à l'emplacement indiqué. Les filles ouvrent la fenêtre. < C'est exactement là ! > fait Pauline.

< Sors là ! > me lance Estelle. Il n'en est évidemment pas question. Je ne connais pas suffisamment Pauline. Je reste debout là.
Clémentine vient me rejoindre. Pauline et Estelle restent à la fenêtre en riant. Un couple de plaisanciers. Pauline est au boulot.
Nous la laissons à son travail pour nous rendre à la supérette. Nos cônes glacés que nous dégustons en flânant sur le quai. Joie.
< Mon soutif m'emmerde ! > fait Clémentine qui ne porte de soutien gorge que les deux premiers jours de ces machins de fille.
Leurs tous petits seins ne nécessitent aucun soutien. Estelle comme Clémentine n'en portent donc pas. Ce qui est très pratique.

Nous traînons. Clémentine nous entraîne dans tous les recoins habituels. Les toilettes des sanitaires réservées aux plaisanciers.
Nous y restons à chaque fois quelques minutes. Estelle et moi planqués dans le dernier cabinet. Clémentine guettant à la porte.
Dehors, le ciel est de plus en plus nuageux. Arrive enfin quelqu'un. < Put-Hein ! C'est le mec à la mobylette ! > fait Clémentine.
Estelle et moi, nous nous enfermons. Nous nous mettons tous les deux debout sur le couvercle fermé de la cuvette en faïence.
Au dessus du mur, nous avons une vue parfaite sur la petite salle. Clémentine enlève rapidement sa culotte. Le type qui arrive.

Il entre dans les toilettes. Sans marquer la moindre surprise, il dit : < Décidément ! Tu habites dans les chiottes, toi, salope ! >
Clémentine, accroupie entre les deux urinoirs muraux, fait semblant de fouiller dans la petite pochette fixée à sa taille. Sympa.
< Je dois pisser ! Tu veux me la tenir ! T'es juste dans la bonne position ! > fait l'individu en se déboutonnant. C'est surréaliste.
Estelle se mord la lèvre inférieure pour ne pas éclater de rire. Je lui tiens la nuque pour l'aider à se dominer. Rester très discret.
Clémentine reste dans sa position. Le type agite sa queue. < Tu veux pas ? > lui demande le mec. < Quoi ? > fait la jeune fille.

< Mais merde, jouer avec ma bite ! > fait l'inconnu en se positionnant devant l'urinoir à faible distance du visage de Clémentine.
Estelle me serre par la taille. Nous retenons nos respirations. Nous sentons battre nos cœurs. C'est impressionnant. Nous mâtons.
Le type pisse sous le regard de Clémentine qui nous tourne le dos. Son visage n'est qu'à environ un mètre de la bite du pisseur.
Il cesse de pisser pour tendre son sexe vers Clémentine en lui disant : < Goûte, tu vas aimer ! >. Clémentine reste silencieuse.
Je bande comme le dernier des salauds. J'aimerais tant la voir sucer cette queue. Une longue chipolata qu'il secoue doucement.

L'homme n'a toutefois aucun comportement inquiétant. Il ne tente rien. Tout juste s'il caresse les cheveux de Clémentine. Doux.
Soudain, un bruit. Clémentine arrive enfin à pisser. Nous voyons le type faire un bond en arrière. < Mes godasses ! > s'écrie t-il.
Clémentine pisse comme elle aime le faire devant des inconnus. Cambrée, en appui d'une main derrière elle. Elle pisse très loin.
Le jet vient se briser contre le mur à plus de trois mètres. Le type s'accroupit pour admirer ce merveilleux spectacle. En silence.
Il se redresse en même temps que Clémentine pour lui tendre un mouchoir en papier. < Je m'appelle Jean-Pierre ! > fait le mec.

Estelle, serrée contre moi, nous écoutons les propos qui s'échangent. C'est totalement surréaliste. Le mec parle de son boulot.
Il est employé communale au bourg voisin. Il aime traîner dans le coin. < Et il y a parfois des filles comme toi ! > fait il encore.
< Vous faites des propositions à toutes ces filles ? > lui demande Clémentine en se dirigeant vers la porte. < Ah non ! > fait il.
Nous restons dans notre cachette. Le type se branle un peu. Il ne bande pas. Sa chipolata molle. Estelle chuchote : < Miam ! >
Il finit par quitter les lieux. Nous sortons enfin de notre cachette. Nous rejoignons Clémentine à la capitainerie. Et avec Pauline.

Le ciel devient menaçant. Il faut être prudents. Il est 18 h. Nous prenons congé. Nous sommes poussés par un vent puissant.
Nous pédalons à toute vitesse. Il nous faut à peine 50 minutes pour parcourir les 25 km juste avant que ne tombe les gouttes.
Nous l'avons échappé de justesse. Morts de faim, nous préparons le repas du soir. Il suffit de réchauffer le gratin de courgettes.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle m'aide à préparer les steaks de thon qui ont décongelé dans le bas du réfrigérateur.
Tout va très vite. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les cours, les révisions et leurs profondes certitudes. Bien.

Nous traînons à table. Il est 20 h30. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Et vautrés dans le canapé.
Clémentine se lève pour s'installer dans le fauteuil. Excitée par son aventure, elle désire se masturber en nous observant. Pipe.
Estelle me taille une pipe des familles, couchée, sa tête sur mon ventre. Pour Clémentine, c'est le même stimuli qu'un porno.
Nous sommes tous les trois épuisés. Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle. Séparation difficile. Au retour, nous nous dépêchons.
Le lit. Je me bouffe le clitoris géant de Clémentine qui me chuchote d'étonnantes révélations. Elle me suce avec grand appétit.

Bonne virée au port de plaisance à toutes les coquines qui aiment les situations vicelardes dans les toilettes publiques.

Julien - (Qui écoute les révélations de Clémentine qui partage à présent son fantasme de sucer un inconnu) -

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Les oraux, les entretiens, de quoi contenter Clémentine

Hier matin, mardi, c'est le prélude en Do Majeur de Jean-Sébastien Bach qui nous tire de nos profonds sommeils. Il est 5 h55.
< Non pas ça, c'est trop beau le matin de bonne heure ! > s'écrie Clémentine en laissant la musique pour se serrer contre moi.
Nous nous offrons quelques papouilles. Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges. Clémentine s'occupe du café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Joie.

Nous sommes déjà en tenue. Nous nous offrons une heure de running dans l'étonnante fraîcheur matinale de ce mois de mai.
Nous revenons de notre jogging pour 7 h30. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Il fait beau.
Clémentine me rejoint vêtue de son jean, d'un sweat noir, de sa veste en cuir noir "porte-bonheur" et de ses bottines. Si belle.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Clémentine reviendra à 16 h 30.
Je rentre. Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais à l'atelier. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. 8 h15.

Je peins dans un enthousiasme délirant. La peinture de cette vingt neuvième toile destinée à ma saison d'été, m'absorbe. Bien.
C'est un petit paysage de format 6F, (41 x 33 cm). On y voit trois chevaux dans un paysage bucolique à la luminosité secrète.
Je me livre à ma passion corps et âme, remportant de nouvelles victoires de quart d'heure en quart d'heure. C'est prodigieux !
Il faut me voir me lever pour entamer la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet, pousser les cris les plus surréalistes.
Comme toujours, dans de telles situations d'enchantement paradisiaque, je ne vois pas le temps passer. Il est rapidement 12 h.

Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte pour la Flamiche Picarde de ce soir. Cette tarte aux poireaux dont nous raffolons. Délice.
Je fais cuire les petits morceaux de poireaux. J'écoute la chronique de Guy Carlier qui me fait beaucoup rire. Riz "Bio"pour midi.
Je concocte une belle Béchamel dans laquelle je rajoute le poireaux cuit. J'en récupère comme sauce pour accompagner le riz.
Je mange de bon appétit. La vaisselle. Je range la cuisine. Je descends au jardin. Il fait beau, si doux et le soleil est rayonnant.
Quelle surprise, dans la serre je découvre les premières fraises mûres, grosses et bien rouges. Je cueille les plus mûres. Super.

Il est 13 h45. Me voilà assis devant mon chevalet, totalement accaparé par ma peinture. Je peins les fins détails avec ma loupe.
Du bruit. Il est 16 h15. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. J'anticipe toujours en posant mes pinceaux et ma palette. Joie.
< Gagné ! Tout s'est superbement bien passé ! J'ai tout survolé sans soucis ! > s'écrie t-elle en me couvrant le visage de bisous.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Il y a encore une épreuve demain matin, l'ultime chicane prévisible.
Clémentine range ses affaires. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Je l'entraîne à la cuisine. Je prépare les fraises avec glace.

< Tu es un amour ! > me fait Clémentine en dégustant sa coupe de fraises avec deux boules de glace, vanille et amande. Régal.
< Les situations réelles, durant les examens, sont toujours bien plus simples que les simulations ! > me confie Clémentine ravie.
Elle me raconte les oraux passés avec les professeurs en matinée. Les entretiens de motivations passés durant l'après-midi. Joie.
Nous montons nous mettre en tenues vélo. Il est presque 17 h. Clémentine a besoin de décompresser malgré tout. Il fait si beau.
Nous descendons le chemin jusqu'à la piste cyclable à environ 700 mètres. Nous traversons la rivière par le petit pont de pierre.

Comme convenu, Estelle nous attend devant la vieille maison du garde barrière, lorsque la piste était encore une voie ferrée.
Elle me fait plein de bises. Estelle me donne ses impressions. Pour elle également les épreuves se sont déroulées à la perfection.
Elles n'étaient pas dans la même salle de cours mais elles se sont vus au restaurant universitaire 30 mn pour le repas de midi.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest tout en bavardant. Nous croisons quelques cyclistes, des rollers et des promeneurs.
Il est hors de question d'aller jusqu'au port de plaisance. Nous nous arrêtons au cabanon de l'écluse, à mi chemin. Déjà 17 h 45.

Clémentine est en jupe et en T-shirt. Le climat est lourd et orageux. Des amas nuageux, là-bas, poussés par le vent. Superbe.
Estelle et moi, nous sommes en short et T-shirt. Nous sommes assis tous les trois sur le gros tronc d'arbre devant le cabanon.
Les filles évoquent leurs épreuves. Nous regardons passer les cyclistes. < J'ai envie d'un "plan" ! > nous fait Clémentine. Rire.
Estelle m'entraîne par la main. Nous allons nous dissimuler derrière le cabanon. Elle m'attrape les couilles, main dans le short.
Je lui glisse la mienne entre les cuisses. Nous regardons Clémentine traverser la passerelle métallique au dessus de l'écluse...

Depuis l'autre côté, cachée entre les deux bosquets, Clémentine nous fait des grimaces et des signes. Nous rions de bon cœur.
Estelle lui fait : < Un mec ! >. Silence. Clémentine, penchée en avant, voit arriver le mec solitaire qui pédale nonchalamment.
Elle se met en position. Culotte aux genoux, accroupie, ses cheveux dénoués et ses larges lunettes noires. Anonymat préservé.
Estelle filme avec son téléphone. Le cycliste, un jeune type d'une trentaine d'années, arrive à la hauteur de la jeune fille. Bien.
Il s'arrête. Il regarde partout autour de lui. Il ne sait pas que nous sommes planqués. Il nous tourne le dos. Il se tripote un peu.

< Montre nous ta queue ! > chuchote Estelle. Je lui fais : < Chut ! >. Nous tentons de comprendre ce qu'il marmonne là-bas.
Clémentine, qui doit pisser depuis notre départ de la maison, essaie de se lâcher. Nous pouvons la voir se cambrer. Les efforts.
Le type mâte dans toutes les directions. Il sort sa queue. On ne la voit toujours pas. Il nous tourne le dos. On le voit bouger.
< Il se branle, regarde ! > chuchote Estelle. Je lui mets la main sur la bouche. De l'autre, je lui caresse le sexe dans son short.
Clémentine lève enfin la tête pour répondre au type qui se branle d'un mouvement mécanique, cambré sur ses genoux fléchis.

Clémentine, de son index, tire sur sa culotte vers le haut pour éviter de la mouiller. Elle lâche un de ses jets impressionnants.
Il vient se briser dans l'eau de l'écluse, quatre mètres plus bas. Le type se branle de plus en plus vite. Clémentine pisse fort.
< Quelle salope ! Je l'envie ! > chuchote Estelle. Je répète : < Chut ! >. Nous regardons cette scène surréaliste. Merveilleux.
Le dernier jet vient mourir dans une longue traînée qui macule le goudron. Clémentine, les jambes ankylosées se redresse.
Le mec s'approche de la passerelle. C'est toujours le piège. Heureusement je suis là à sécuriser l'exhibition de ma compagne.

L'inconnu évalue les possibilités de rejoindre la jeune fille. Il y a d'autres cyclistes qui circulent. Cela tempère toutes velléités.
Clémentine discute avec le gars. Nous la voyons faire un signe négatif de la tête à plusieurs reprises. Le type semble insister.
Il fait mine de monter sur la passerelle métallique. Je décide d'intervenir. Le mec nous voit débouler, Estelle et moi. Bruyants.
Il a tout juste le temps de cacher son sexe. Il paraît déstabilisé. Cela ne dure qu'un instant. Il retourne récupérer sa bicyclette.
Sans demander son reste, il remonte sur son vélo pour disparaître rapidement. Estelle fait : < Félicitations ! Tu as fais fort ! >

< J'ai tout filmé ! > rajoute encore Estelle en agitant son téléphone. Nous rigolons comme des bossus. Nous reprenons la route.
Nous pédalons dans l'autre sens. Poussés par le vent de plus en plus puissant. Le ciel devient menaçant. L'orage ne tardera pas.
Il est 19 h lorsque nous sommes de retour à la maison. Nous allons récupérer quelques autres fraises arrivées à maturité. Joie.
Morts de faim, nous nous mettons immédiatement à la préparation de notre repas. Estelle étale la pâte. Je chauffe la Béchamel.
Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement. La Flamiche Picarde est au four. La tarte aux poireaux va cuire 35 mn.

Nous allons au salon. Le bruit assourdissant du premier coup de tonnerre suivi d'un violent éclair qui zèbre un ciel noir. Nuages.
Nous sommes vautrés dans le canapé. Je suis entre les deux filles. Estelle nous montre le film. Nous voyons la scène de l'écluse.
< T'es gonflée quand même ! > fait Estelle à Clémentine qui lui répond : < Sans la présence de Julien, ce serait impossible ! >
< Je veux un Julien ! > rajoute Estelle. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine lui dit : < Celui-là, c'est le mien ! >
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Ce repas est évidemment un véritable festin de roi. Nous nous régalons.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La conversation oscille entre la dernière épreuve demain et nos aventures.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. L'orage éclate enfin dans une violence rare. Nous mâtons aux portes fenêtres du salon.
Clémentine s'installe dans le fauteuil. Nous comprenons immédiatement. Estelle s'écrie aussitôt : < Génial, c'est le dessert ! >
Clémentine pose ses cuisses sur les accoudoirs du fauteuil. Sa main dans sa culotte. Je m'installe dans le canapé. Estelle aussi.
Je dépose l'épais coussin au sol, entre mes jambes. Estelle s'y installe à genoux. Je peux l'entendre gémir. Je sors ma queue.

Ces situations exercent sur ma compagne un stimuli comparable à celui d'un film porno. C'est son spectacle préféré. Superbe.
Elle adore me voir dans mes comportements les plus vicelards avec une autre. Je suis son "acteur" favori. Estelle ou une autre.
Je regarde Estelle humer longuement les odeurs de ma journée d'homme. Je me décalotte un peu. Je peux la voir grimacer.
C'est vrai que la puanteur qui nous monte subitement aux narines a de quoi nous révulser. Clémentine me fait : < Jusqu'ici ! >
Cela participe pourtant à exciter considérablement Estelle qui lèche mon sexe que je tourne dans tous les sens. Je bande mou.

Clémentine se masturbe doucement. J'entends sa respiration, les gémissements qui suivent ses apnées. C'est un vrai bonheur.
Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. Je suis pris de vertige. J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède.
Nous passons le reste de la soirée ainsi. Il est 22 h15. Je force Estelle à cesser cette pipe des familles absolument délicieuse.
Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Nous ramenons Estelle qui reste assise au sol dans la voiture pour sucer.
Je lui éjacule dans la bouche. Nous la regardons rentrer chez elle. Au retour, épuisés, nous tentons un "69". Peine perdue. Dodo.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines qui aiment se faire surprendre entrain de pisser sous la protection de leur mec...

Julien - ( Garde du corps, vigile, il permet à Clémentine de s'offrir les plus délicates émotions. Estelle apprécie d'être présente) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 432 -



C'est la fin des épreuves "Master" et c'est une soirée avec Juliette

Hier matin, mercredi, c'est le requiem en Do Majeur de Charles Gounod qui nous tire de nos profonds sommeils. C'est sévère.
< Mais ta gueule Charlie ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous rions de bon cœur en nous serrant très fort.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nous descendons jusqu'à la cuisine.
Morts de faim nous préparons notre petit déjeuner. < Finis mes "petits machins" de filles ! > m'apprend Clémentine en riant.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il est 6 h25 lorsque nous nous offrons notre jogging dans la fraîcheur. Mai.

Une heure de running des plus agréables et nous voilà de retour. 7 h30. La douche. Je descends pour sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint vêtue comme les jours précédents. Jean, sweat, sa veste en cuir noir, ses bottines. Clémentine revient pour midi.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h45. Le ciel est menaçant.
Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Il est 8 h15 lorsque je suis enfin assis devant mon chevalet. C'est fabuleux.
Je peins dans une allégresse glorieuse. Cette vingt neuvième toile destinée à ma saison sera terminée vendredi, dans la matinée.

La peinture de ce paysage bucolique m'absorbe totalement. Je m'y livre corps et âme dans une passion dévorante. C'est fameux.
Je ponctue mes coups de pinceaux les plus sublimes par des cris surréalistes. Je les module longuement avec la danse du Sioux.
Bien évidemment cette activité intense me maintient hors du temps et des réalités. Il est rapidement midi. Je nettoie le matériel.
Je vais à la cuisine. J'évide quatre grosses tomates à farcir. Il est 12 h15. Clémentine revient. Elle me saute au cou. Je la soulève.
Elle me couvre le visage de bisous en disant : < Tout s'est super bien passé ce matin ! Dernière épreuve. Les math ! Terminé ! >

Clémentine s'occupe de la salade et de l'assaisonnement tout en me racontant sa matinée. Quelques amusantes anecdotes. Joie.
Les résultats du "Master" parviendront aux étudiants entre le 4 et le 8 juin. Autant dire que ma compagne les attend impatiente.
Je farcis les tomates avec du pâté de lentilles auquel j'ai rajouté du Parmesan du gruyère de Comté et des champignons coupés.
Je fais cuire les petits pois dans le wok. Les tomates sont au four. Nous passons au salon pour découvrir nos courriels. Messages.
Celui de Juliette qui nous rappelle notre invitation de ce soir. Celui de Pauline, la capitaine du port qui s'ennuie avec cette météo.

Nous répondons aux deux mails en joignant deux photos réduites et récentes. Comme nous aimons à le faire à tous nos contacts.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant notre programme du jour.
La vaisselle. Je prépare une pâte à tarte pendant que Clémentine épluche et coupe de belles pommes. Le mélange crème et œufs.
Du sucre roux de canne, de la vanille. Nous disposons les rondelles de pommes pour former une belle spirale. Tarte aux pommes.
Je mets au four. Clémentine m'entraîne à l'étage. Nous nous changeons. Clémentine met une de ses jupes kilt. Carreaux rouges.

Un pull de coton fin, noir et ses souliers à légers talons. Sur sa demande, je porte un ensemble en lin clair. Pantalon, veste. Bien.
Clémentine se serre contre moi devant le miroir. < Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait elle, s'accroupissant.
Je distingue bien l'épaisse touffe qui dépasse des deux côtés de la culotte, poussant sur le haut des cuisses. Je la félicite. Rires.
La sonnerie du four. L'odeur de la tarte aux pommes arrive jusque dans l'escalier. Je la sors du four. C'est une superbe réussite.
C'est le dessert pour ce soir. Je le recouvre d'un fin linge sur la table de la véranda. Il est 14 h15. Nous voilà en voiture. La ville.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue tout en me faisant part de ses impressions quand aux épreuves du Master.
Même si elle est parfaitement confiante, certaine d'avoir largement survolé les épreuves, il y a cette excitante attente. Superbe.
Nous passons devant le haras. Le temps est médiocre. Le ciel reste couvert et menaçant. Curieux mois de mai que celui-ci. Rire.
Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. Clémentine doit récupérer deux livres destinés à ses cours de la rentrée 2018.
Nous prenons le parapluie. Même si tout est sec et qu'il ne pleut pas. Dix minutes de marche et nous voilà au centre ville. Bien.

Il y a du monde. C'est mercredi. Nous montons l'escalator pour arriver à l'étage où se trouve la grande librairie. De l'animation.
La jeune fille de l'accueil nous informe que les deux livres sont arrivés. Nous payons. Ils sont dans un sachet que je porte. Bien.
Nous flânons un peu dans les différents rayons. C'est l'opportunité pour Clémentine de s'offrir quelques frissons exhibitionnistes.
C'est au rayon des bouquins de cuisines que se présente une occasion. C'est un gros bonhomme qui feuillette un album photos.
Je reste à l'écart. Le type se rend compte de la jeune fille accroupie dans le coin, à sa droite, à environ un mètre. Il mâte. Joie.

Il est toujours tellement simple, pour une fille en jupe, pratiquant ce genre d'activité, de s'exhiber dans la plus grande facilité.
L'inconnu est tout aussi discret dans son voyeurisme habile. Et de l'endroit où je me trouve, le spectacle est des plus excitants.
Je ne vois que le haut de la tête de Clémentine qui fait mine d'être très intéressée par le bouquin qu'elle feuillette. Le mec mâte.
Il y a d'autres gens mais personne ne se doute de quoi que ce soit. Sûre d'elle, contrôlant la situation, Clémentine s'amuse bien.
Comme souvent, l'inconnu se rapproche imperceptiblement. Il tente le contact. C'est toujours amusant. Le moment passionnant.

J'avoue que dans ce genre de situation, je manquerais totalement d'imagination. Il me serait impossible de tenter une approche.
Aussi, je suis toujours doublement admiratif. Devant le culot de Clémentine et devant l'esprit d'initiative des messieurs. L'impro.
Dans son coin, accroupie, tournée légèrement de trois quart, exagérant la position pour tirer un autre livre, Clémentine s'amuse.
Je vois le type, debout tout près d'elle. Il est enveloppé. Excellent pour garder ces activités invisibles à tous regards éventuels.
En virtuose, en vraie spécialiste, Clémentine peut donc s'offrir les plus délicieux frissons. Je la vois relever la tête pour discuter.

Je contourne le rayon. Je veux voir ce qui se passe. Clémentine bavarde avec le type, son visage à la hauteur de sa braguette.
Elle fixe même à plusieurs reprises cet endroit précis. J'observe les attitudes et les expressions du type qui bavarde en rigolant.
Clémentine se redresse. Les jambes probablement ankylosées. Une fois encore, de son blouson, le type sort un stylo, du papier.
C'est l'habituel rituel de la remise des coordonnées personnelles. Le type tend la feuille à Clémentine qui s'en saisit en partant.
L'inconnu retourne à son gros album photos. Je rejoins Clémentine aux romans policiers. Elle agite le papier, amusée en riant.

Nous flânons encore un peu. Nous descendons l'escalator pour traîner dans la vaste galerie commerciale. Quelques boutiques.
Quelle surprise. Nous rencontrons Solène, l'employée du Haras. La jeune fille nous reconnaît immédiatement. Les salutations.
Nous bavardons un peu. Solène nous apprend qu'elle a trouvé un autre travail, dans le "social" en ville, plus près de chez elle.
Ce qui explique que son poste de secrétaire sera occupé bientôt par Pauline. < Elle y sera bien, c'est un super job ! > dit elle.
< Juliette, la patronne est super ! > rajoute t-elle. Elle nous raconte quelques anecdotes amusantes. Des trucs "croustillants".

Clémentine, soudain très intéressée, pose quelques questions précises. Nous allons de surprise en surprise. C'est très excitant.
< Madame Walter, l'assistante, se fait attacher dans les écuries. Le palefrenier est un salaud et Juliette mâte ! > rajoute t-elle.
Clémentine propose à Solène d'aller boire un café, là, dans le salon de thé au fond de la galerie commerciale. Elle est attendue.
Solène décline l'offre mais propose de nous revoir très prochainement. Nous voulons en savoir davantage, éclairer nos lanternes.
Nous échangeons nos coordonnées. Clémentine invite Solène à passer à la maison. Je l'invite à manger demain, jeudi, à midi.

Nous prenons congé en nous promettant de nous revoir demain à midi. Il y a 3 km du haras à chez nous. Tout est donc parfait.
Je passe récupérer deux toiles de format spécial dont j'ai besoin pour deux commandes destinées à ma famille écossaise. Joie.
Nous nous promenons encore en ville. Nous nous offrons un chocolat dans notre salon de thé préféré. Il y a beaucoup de gens.
Pas d'opportunité pour Clémentine. Nous évoquons les révélations de Solène. Notre curiosité est attisée. Vivement demain midi.
Nous en apprendrons enfin davantage sur les interrogations suscitées par les employés et la patronne du haras. C'est excitant.

Il est dix neuf heures lorsque nous revenons à la maison. Le ciel est resté couvert et menaçant toute la journée. Et sans pluie.
Nous décidons de rester vêtus ainsi. La tarte aux pommes, délicatement caramélisée, parfume toute la véranda. C'est superbe.
Je la mets dans le grand Tupperware. Nous allons dans l'atelier. Clémentine prépare les affaires nécessaires pour demain. Cours.
Je range les deux toiles achetées cet après-midi dans le grand placard mural. Il est 19 h30. Nous voilà en route pour le haras.
Il est 19 h45 lorsque je gare la voiture dans la cour. Juliette est là-bas, à bavarder avec deux ouvriers devant une camionnette.

Elle nous fait un coucou de la main. Nous la laissons discuter pour nous rendre dans notre écurie habituelle. Monsieur Gérard.
Nous nous saluons. Nous bavardons un peu. Juliette vient nous rejoindre. Nous laissons le palefrenier à son travail. Il est 20 h.
Nous suivons Juliette toute contente de nous revoir. Elle découvre la tarte aux pommes. Elle a préparé un feuilleté de saumon.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il y a des travaux d'isolation des toitures qui semblent mal se dérouler. Pluie.
Juliette, préoccupée par les interventions fréquentes des ouvriers, nous raconte le problème. Heureusement, pas de chevaux.

Juliette est vêtue de sa tenue d'équitation. Le pantalon, hyper moulant, laisse deviner ses formes les plus intimes avec bonheur.
Je le lui fais remarquer en la félicitant pour ce choix. J'aide la jeune femme à débarrasser la table. Clémentine est à la cuisine.
Nous faisons la vaisselle. Juliette et moi nous essuyons. A un moment, sa main posé sur son sexe, entre ses cuisses, Juliette rit.
< Avec ces soucis de toitures, j'en oublie l'essentiel ! > me fait elle en insistant de sa main qu'elle bouge à plusieurs reprises.
Clémentine découvre la scène. Elle dit : < Rien de tel pour oublier les soucis ! >. Nous rions tous les trois de bon cœur. Sympa.

Le dessert est un délice. La tarte aux pommes est une réussite. Clémentine me fait du pied sous la table. J'ouvre ma braguette.
Discrètement, je sors ma bite. Je me lève pour débarrasser les assiettes à dessert. Juliette découvre ma queue qui pend. Molle.
< Ah ! Quand même ! > me fait elle. Elle me suit à la cuisine. Clémentine nous rejoint. Juliette est accroupit devant la poubelle.
Je m'approche pour lui agiter la bite devant le visage. Elle me fixe d'un de ses regards pénétrant. < Vicelard ! > me lance t-elle.
< Vicelarde ! > lui répond Clémentine. Je fais : < Bienvenue au Club ! >. Nous rigolons comme des bossus. Juliette se redresse.

La main entre ses cuisses, elle nous raccompagne. Il est 22 h15. Nous prenons congé. Nous sommes dans la cour à bavarder.
Juliette se touche. Clémentine fait de même. Je me branle doucement. Nous nous observons parfois un instant en silence. Joie.
Je passe ma main dans les cheveux de Juliette qui a un réflexe. < Vicelard ! > fait elle une nouvelle fois. Je dis : < Vicelarde ! >
Nous nous masturbons tous les trois en riant. Nous nous serrons la main. Nous prenons congé. Nous revenons bientôt. Promis.
Au retour, excités comme ses puces, nous baisons comme nous aimons. Clémentine me fait d'étonnantes révélations. Le dodo...

Bonne virée en ville puis aux écuries, à toutes les coquines que les situations vicelardes émeuvent jusqu'aux plaisirs...

Julien - (Qui se comporte comme un vrai vicelard pour le plus grand plaisir de Clémentine et de Juliette. Bite à l'air) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 433 -



Solène vient manger. Des révélations au sujet du haras.

Hier matin, jeudi, c'est "Le Beau Danube Bleu" de Johannes Strauss qui nous tire de nos profonds sommeils. C'est du sévère.
< Mais t'es lourd, toi Levi's ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil avant de se serrer fort. Nous rions de bon cœur.
Clémentine me chevauche en riant. Douceur, tendresse et papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Le rituel pisseux.
Morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Il est 6 h. Je presse nos oranges. Clémentine s'occupe du café. Joie.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Nous sommes déjà en tenues de jogging. Il est 6 h25. Nous voilà à courir dans la fraîcheur matinale. Il va faire beau. Certain.
Nous sommes de retour pour 7 h30 après un running d'une heure des plus agréables. La douche. Clémentine reviendra à midi.
Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint vêtue comme j'aime. Le jean, veste en cuir et bottines.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je monte faire le lit.
Je descends faire la vaisselle. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une extraordinaire sérénité.

Je pense beaucoup à ma compagne. Ses certitudes quand à l'obtention de son "Master", la finalisation des 30 toiles rassurent.
Nous pourrons aborder tous deux notre départ pour l'Ecosse dans les toutes meilleures conditions. Deux mois de bonheur. Joie.
Ce ne sont plus vraiment des cours auxquels Clémentine va assister à l'université mais à des préparations au Doctorat. Super.
Cette rentrée, à la mi septembre 2018, sera le début d'un nouveau cycle universitaire pour Clémentine qui est à s'en réjouir.
Je travaille jusqu'à 11 h50. Je nettoie mes pinceaux, ma palette. Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte pour les pizzas du soir.

Il est midi, je prépare des haricots verts et des filets de cabillaud panés revenus à la poêle. 12 h15. Les trois coups de sonnette.
Je vais ouvrir. C'est Solène. Clémentine arrive en même temps. Nous nous saluons. Clémentine s'occupe de la salade. Superbe.
Solène propose de préparer l'assaisonnement. Et elle se débrouille plutôt bien. Nous bavardons en riant beaucoup. Il fait beau.
Le repas est rapidement concocté. Nous voilà assis à table. Solène est une jeune fille de 25 ans. Elle vit en couple depuis 1 an.
Solène a commencé à travailler en qualité de secrétaire au haras en février lorsque Clémentine y faisait son stage en entreprise.

Elle a trouvé un travail dans sa branche, secrétaire dans un centre social de la ville, tout près de chez elle. C'est plus pratique.
< Je garderais un bon souvenir de ce boulot. Juliette est une patronne géniale ! Jamais de tension ! > nous confie Solène. Bien.
Nous écoutons quelques anecdotes professionnelles vécues là depuis février. < Et je ne quittais jamais le bureau ! > fait Solène.
< De rares fois il me fallait trouver madame Walter ou Juliette dans une des écuries. Téléphone ou visiteurs ! > rajoute Solène.
< C'était fin mars, en fin d'après-midi, je vais aux écuries et je tombe sur madame Walter attachée aux poutres ! > fait Solène.

Le souffle court, nous écoutons cette étonnante révélation. < Monsieur Gérard, le palefrenier, la tourmentait ! > rajoute t-elle.
< Sous le regard de Juliette, en tenue d'équitation, armée d'une cravache qui mâtait silencieusement ! > rajoute encore Solène.
Nous écoutons comme hallucinés. Solène rajoute : < Ils ne m'ont pas vu. Ils croyaient que j'étais partie. Je me suis barrée ! >
< C'est arrivé une autre fois. Pareil. Ils croyaient que j'étais déjà partie. Même scène. Les mêmes protagonistes. ! > fait Solène.
Clémentine pose quelques questions précises. < C'était chaque fois très rapide. Je ne restais pas et je filais ! > explique Solène.

Les descriptions sont très excitantes, précises et nous permettent de mettre la scène en situation. Nous rions de bon cœur. Joie.
Nous apprenons que Juliette, avec une cravache, tourne autour de monsieur Gérard qui tourmente madame Walter, attachée !
< Cela correspond bien aux personnages tels que nous les percevons ! > fait Clémentine. < Je ne vous ai rien dit ! > fait Solène.
Nous la rassurons. Les secrets qui nous sont confiés tombent à tout jamais dans un gouffre sans fond. L'utilisation des pseudos.
Il est 13 h30. Nous faisons la vaisselle. Solène recommence à 13 h50. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Elle remercie.

Nous montons nous mettre en tenues vélo. Estelle nous attend à l'entrée de la piste cyclable pour 14 h. Nous arrivons à l'heure.
Il fait beaucoup plus beau que les jours passés. Le ciel est bleu. A peine quelques nuages d'altitude. Il fait doux, presque chaud.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, T-shirt. Je suis en short et T-shirt. Tout comme Estelle toute contente de nous voir.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. C'est très bien car il nous poussera au retour. Nous croisons quantité de cyclistes.
Arrêt habituel au cabanon de l'écluse No 17. Estelle et Clémentine, accroupies au milieu de la piste déserte, font leurs pissous.

Je leur tends à chacune un mouchoir en papier. Il faut se torcher en vitesse car il y a un couple de cyclistes qui se pointe là-bas.
Estelle prend une rapide photo des coulures de pisse qui traversent la piste cyclable. < Encore un petit souvenir ! > dit elle. Rire.
Nous arrivons au port de plaisance pour 15 h30 après 25 km d'un parcours très fréquenté. Nous fermons nos vélos à cadenas.
Nous allons saluer Pauline dans le petit bureau de la capitainerie. Elle est toujours contente de nous revoir. Un sourire radieux.
Nous bavardons un peu. Pauline est à se réjouir. < J'étais au haras hier. La patronne m'a fait visiter les lieux ! > raconte t-elle.

Elle rajoute : < Juliette est vraiment une femme gentille, certainement très attachante. Je me réjouie de commencer là-bas ! >
Nous ne révélons rien sur ce que nous connaissons du haras. Nous nous contentons d'écouter Pauline nous raconter ses visites.
Je propose un cône glacé. Estelle reste avec Pauline. Clémentine et moi, nous allons à la supérette. Il y a toujours plein de gens.
Nous revenons avec quatre cônes, vanille et pralin. Nous les dégustons devant la capitainerie du port, assis au soleil sur le banc.
Nous laissons Pauline à son travail. Nous allons flâner du côté des sanitaires réservés aux plaisanciers. Clémentine nous y guide.

Nous faisons le tour du bâtiment en restant entre ses murs et les épais fourrés. Il n'y a personne. Nous allons traîner sur le quai.
Il y a les joueurs de pétanque. Quelques groupes de cyclistes qui bavardent. Des plaisanciers qui comparent leurs bateaux. Bien.
Estelle revient sur les révélations faites par Solène. < C'est génial ! On se doutait de quelque chose, mais "ça" ! > s'écrie t-elle.
< On n'est pas censé savoir ! Donc, on fait comme avant. Et jamais d'allusion ! > conclue Clémentine. J'abonde dans son sens.
< C'est la meilleure attitude. Et de toute façon on s'en fout. Ce qui nous intéresse là-bas est largement suffisant ! > fait Estelle.

< Regardez ! Le mec à la mobylette ! > nous fait Clémentine en désignant le type qui arrive en roulant tout doucement. Rires.
Il est vêtu comme d'habitude. Vieille veste élimée, vieux futal bouffant, vieilles godasses et surtout son casque de mobylette !
Nous rigolons comme des bossus en le voyant louvoyer entre les bornes, contourner les chaînes et éviter les badauds. Poilade.
< C'est sans doute l'attraction du port ! > fait Estelle. < Une attraction qui va aux sanitaires, regardez ! > nous fait Clémentine.
En effet, l'individu se dirige vers le bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers. < Venez, on y va ! > nous dit Clémentine.

Nous marchons doucement en direction du bâtiment. Personne ne fait attention à nous. Trois promeneurs parmi tant d'autres.
La mobylette bleue est garée à l'emplacement habituel. Le caque est accroché au guidon. Clémentine nous invite à rester là.
< Vous restez planqués ! Je vais aller saluer notre larron ! > nous fait ma compagne en se touchant l'entre jambes. Rigolade.
Estelle m'attire là, dans les fourrés. Penchés en avant pour éviter les branches basses, nous nous glissons dans la végétation.
Nous regardons Clémentine avancer doucement, les bras croisés, comme n'importe quelle promeneuse qui découvre un endroit.

Nous la voyons s'arrêter. Elle se met à rire et à discuter. Estelle m'entraîne. Nous contournons les plots de béton, les bosquets.
Le même homme est entrain de se débraguetter devant la fille. Nous pouvons entendre la nature surréaliste de la conversation.
< Beurk ! > me chuchote Estelle à qui je murmure : < Chut ! >. Le mec présente sa chipolata toute molle, longue et plutôt fine.
< Tu viens t'amuser un peu ? > demande l'homme à la mobylette. < Si vous êtes là, il y a de quoi s'amuser ! > fait Clémentine.
Le bonhomme fait quelques propositions bien salaces. < Je dois pisser. Tu me tiens la bite ? > revient à plusieurs reprises. Rire.

Nous ne comprenons pas tout des propos quelquefois assez amphigouriques de l'homme à la mobylette. Nous tendons l'oreille.
< Il est bourré ! > me chuchote Estelle. C'est probable. Le type rigole souvent lui-même de ses phrases. Mots assez décousus.
< Vous avez des mouchoirs en papier ? > demande Clémentine en relevant sa jupette et descendant sa culotte devant le mec.
Nous sommes hilares. Estelle me fait du coude, sa main sur sa bouche. Clémentine s'accroupit devant l'inconnu qui se penche.
Il fouille dans une de ses poches pour sortir une pochette de mouchoirs. Il en sort un pour le tendre à la jeune fille. < Merci ! >

Le type, penché en avant, observe Clémentine qui se lâche dans un de ses jets qu'elle dirige en hauteur de façon virtuose. Joie.
< T'es une spécialiste, toi ! > fait le mec à chaque nouveau jet que contrôle parfaitement cette étonnante jeune fille. Prouesse.
L'homme reste à un bon mètre sans jamais tenter aucune approche. Il se contente de se tenir la queue en mâtant. Gloussant.
Clémentine reste un petit moment dans sa position. Cuisses écartées au maximum, elle demande : < Vous vous rincez l'œil ? >
< Plutôt oui ! > répond le mec en agitant son sexe devant la jeune fille qui se redresse pour se torcher longuement. Excitante.

Le mec se rapproche d'un tronc pour y pisser. Clémentine est penchée en avant pour bien observer. < Salope ! > fait le type.
Il rajoute : < Tu reviens faire un tour demain ? >. Clémentine répond : < Probablement, s'il fait beau ! >. Le mec se soulage.
Il secoue les dernières gouttes avant de se mettre à se branler. Il bande mou. < Impuissant ! > me chuchote encore Estelle.
Nous voyons le bonhomme secoué de quelques spasmes. Il éjacule probablement. Il reste ainsi à reprendre ses esprits. Rire.
Il reprend également son souffle en souriant bêtement à Clémentine qui lui tend la main. < Et à demain alors ! >lui fait elle.

Le type s'éloigne rapidement, soudain comme inquiet. Clémentine nous cherche du regard. Nous sortons de notre cachette.
< J'aimerais avoir ton culot ! Ton courage ! > lui fait Estelle. Clémentine nous entraîne au point d'eau devant la capitainerie.
< Il faut que je me lave les mains, j'ai touché celle de ce vicelard ! > nous fait ma compagne avant d'éclater de rire. Sympa.
Nous nous offrons nos seconds cônes que nous dégustons assis sur le muret au bout de la jetée. Nous évoquons l'aventure.
Il est 19 h lorsque nous reprenons le chemin du retour. Poussés par le vent, nous ne faisons aucun effort. 20 h30. La maison.

Morts de faim, nous préparons notre repas du soir. Les pizzas. Estelle étale la pâte. Je réchauffe la garniture avec du thon.
Clémentine s'occupe des salades. Les pizzas sont au four. Nous sommes vautrés dans le canapé au salon. Nous rions bien.
Clémentine nous raconte ses émotions et les sensations encore vécues au port devant l'homme à la mobylette. Surréaliste.
< Demain, je lui tient la queue pour le faire pisser, s'il me le demande ! > fait Clémentine. < Je viens t'aider ! > fait Estelle.
Nous rigolons comme des bossus en imaginant différentes déclinaisons de la scène. La sonnerie de four. Fin de la torture.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les cours de préparation au Doctorat qui vont occuper les prochains jours.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle et sa bicyclette. Des bises.
Au retour, Clémentine me suce un peu. Nous nous dépêchons de passer aux toilettes et à la salle de bain. Enfin le lit. Couchés.
Nous nous offrons un "69" des plus juteux avant que Clémentine ne m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions.
Immobiles, comme nous aimons, Clémentine me confie d'étonnants secrets. < Demain, je lui tiens la bite ! >. Orgasme. Dodo.

Boone virée au port de plaisance à toutes les coquines qui aiment les situations glauques avec des inconnus qui rôdent...

Julien - (Qui écoute toujours avec enchantement les étonnantes révélations de Clémentine. C'est hyper bandant et sympa) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe



Nous voilà à la fin de cette neuvième page.

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette" ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique dixième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien


Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 434 -



Le début d'un Week-End sextraordinaire...

Hier matin, vendredi, c'est la 5ème de Ludwig Van Beethoven interprétée par un orchestre folklorique Tyrolien qui nous réveille.
< Put-Hein mais je rêve ! C'est quoi cette merde ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Ce matin nous sommes très amoureux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse nos quatre oranges et Clémentine s'occupe du café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Bien.

Nous sommes déjà en tenue. Il est 6 h25 lorsque nous nous offrons notre jogging quotidien. C'est le premier matin de douceur.
Nous courons d'un bon rythme dans une campagne enchanteresse. Il est 7 h30 lorsque nous revenons après un super running.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint en jean, sweat, veste en cuir, ses bottines.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Clémentine reviendra pour midi.
Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet.

Je peins dans l'enthousiasme délirant qui précède le Week-End et l'achèvement d'une nouvelle œuvre. C'est grandiose. Fameux.
Je termine ce matin la vingt neuvième toile destinée à ma saison d'été. Il est onze heures Et c'est un magnifique petit paysage.
Je pose ma trentième toile sur le chevalet. Son dessin préparatoire est déjà réalisé. Une nature morte avec des objets précieux.
Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Je vais au jardin. Je récupère des fraises dans la serre. J'arrose notre potager. Chaleur.
Il fait beau. C'est une réelle matinée d'été digne d'une fin de juillet. Il est 11 h50. Je rentre. Je prépare les haricots verts. Wok.

Il est 12 h15 lorsque Clémentine revient de cours. Elle me saute dans les bras en s'écriant : < Week-End ! >. Je la soulève. Joie.
Elle me couvre le visage de bisous avant de se mettre à la préparation de la salade et son assaisonnement. Je prépare la sauce.
Clémentine me raconte sa matinée. Ce ne sont plus vraiment des cours. Les professeurs exposent le programme de septembre.
La préparation d'un Doctorat exige de suivre un processus précis. C'est un canevas immuable et séculaire. J'écoute avec intérêt.
Ces formules seront présentées aux étudiants toute la semaine prochaine avant les vacances universitaires bienvenues. Super.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de l'après-midi. La musique ridicule de mon téléphone sur le frigo.
Clémentine s'en saisit. < Estelle ! > me fait elle en engageant une rapide conversation. Estelle nous rejoint sur la piste cyclable.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt aux fraises, j'entends Clémentine discuter au téléphone. Etudes. Doctorat.
Il est 13 h15. Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous mettre en tenue vélo. Il fait très chaud.
Clémentine porte une de ses jupettes sport, T-shirt. Je mets un de mes shorts en coton, T-shirt. Nous faisons un peu les clowns.

Dans le petit sac à dos, je mets nos deux pommes, des barres de céréales, une bouteille d'eau et nos bien inutiles K-ways noirs.
Je vérifie rapidement la pression des pneus de nos bicyclettes. 4,5 bars devant et derrière. Nous voilà en chemin. Il fait si beau.
Nous arrivons à la piste cyclable. Il est presque 14 h. Estelle nous attend devant la vieille maison abandonnée du garde barrière.
Des bisous. Elle est vêtue d'un de ses shorts kaki qu'elle affectionne. T-shirt blanc comme nous. Son petit sac à dos, son plaisir.
Nous pédalons poussés par un léger vent de Nord-Est que nous aurons de face au retour, en soirée. Il faut déjà en tenir compte.

Nous croisons quantité de cyclistes. De jeunes filles en roller. Estelle me prend souvent le bras pour me manifester son plaisir.
Nous sommes évidemment si contents de nous retrouver tous les trois ensemble. Depuis plus d'une année, c'est une nécessité.
Nous nous arrêtons au cabanon de l'écluse. Les filles font leurs pissous. Accroupies au milieu de la route, prudentes et en riant.
< Prends des photos ! > me fait Estelle en me tendant son téléphone. Nous rigolons comme des bossus. Il faut faire vite. Rire.
Il y a du monde à circuler pour ce début de Week-End avec cette merveilleuse météo. Pas d'opportunité d'exhibe. Trop risqué.

Nous rions de bon cœur lorsque nous voyons des cyclistes passer dans les coulées de pisse tout en laissant de longues trainées.
Estelle fait quelques photos. Nous voilà à pédaler en riant beaucoup. Nous arrivons au petit port de plaisance. Il y a du monde.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Nous allons saluer Pauline, la capitaine très occupée. Le boulot.
Il y a un couple de plaisanciers, nouveaux arrivants, à qui la capitaine explique le fonctionnement des installations. Règlements.
Nous lui faisons un coucou depuis l'encadrement de la porte. Nous traversons la route pour nous rendre à la superette. Glaces.

Nous nous offrons nos cônes glacés. Le rituel qui récompense nos 25 km. Nous les dégustons en traînant sur le quai. Animation.
Des employés d'une entreprise privée sont entrain d'installer un chapiteau. Dimanche il y aura un concours de pêche. Pétanque.
L'habituel orchestre assurera l'ambiance musicale. Nous flânons. Il fait réellement très chaud, comme en plein été. C'est super.
Clémentine nous entraîne dans les environs du bâtiment des sanitaires réservés aux plaisanciers. Nous faisons tous les recoins.
Il n'y a personne. Nous profitons de l'ombre pour nos rafraîchir. < Cette chaleur m'excite ! > fait Clémentine en levant sa jupe.

Nous rions de bon cœur à la voir, jupette relevée, une main entre ses cuisses, se trémousser comme une danseuse hawaïenne.
Un bruit de mobylette. < C'est notre homme ! > s'écrie Estelle. Nous nous planquons tous les trois derrière les épais fourrés.
Penchés en avant, sous les branches basses qui nous cachent aux regards, nous observons l'arrivée de l'homme à la mobylette.
Malgré la chaleur, il porte la même veste élimée, le même pantalon bouffant, les mêmes godasses et son éternel casque rouge.
Il gare son engin entre les plots en béton et les bosquets. < C'est son coin pissou ! > chuchote Estelle. Nous rions de bon cœur.

< Son coin branlette aussi ! > murmure Clémentine. Nous observons en silence, bien cachés. L'inconnu regarde autour de lui.
Il s'avance entre les bosquets. Il se débraguette. Clémentine nous fait : < Attendez moi là, en cas de blême vous rappliquez ! >
< Non, c'est moi qui me fait le "plan" ! > fait Estelle sans nous laisser le temps de réaliser. Nous la regardons partir consternés.
Comme elle voit faire Clémentine, elle marche doucement, les bras croisés, pour arriver à proximité du pisseur. Une surprise.
Clémentine, une main entre ses cuisses, se touche et me chuchote : < C'est génial ! >. Nous pouvons comprendre ce qui se dit.

Le type ne connaît pas Estelle. C'est la première fois qu'il a affaire à elle. Il salue poliment cette jeune fille qui se promène ici.
Estelle, debout à environ deux mètres, tout comme Clémentine, dépasse de sa haute taille le type d'une bonne tête. Il regarde.
< Bonjour monsieur ! > fait Estelle en se penchant légèrement en avant pour fixer le sexe du mec qui vient de cesser de pisser.
Estelle se touche l'entre jambe en rajoutant : < Je dois faire pipi, vous savez s'il y a des toilettes ici ? >. Elle se touche un peu.
< Tu n'as qu'à pisser là, à côté de moi ! > lui fait l'homme à la mobylette. Estelle est beaucoup moins exhibitionniste. Réservée.

Estelle reste silencieuse. Elle se touche effrontément. Toujours penchée en avant comme pour examiner la bite que tient le mec.
Clémentine qui se touche à côté de moi, me chuchote : < Regarde, on dirait vraiment une chipolata toute blanche et grasse ! >
< Tu veux me la tenir ? > demande l'individu à Estelle qui se penche un peu plus, les deux mains entre ses cuisses. Excitante.
Quelle n'est pas notre surprise. Estelle se rapproche. Debout à côté du mec, elle se saisit de son sexe. Ils sont immobiles. Fou !
Estelle dirige la queue du type. Il tente de passer son bras autour des hanches de la fille qui s'écrie ! < Et on ne touche pas ! >

La situation perdure ainsi un moment. Clémentine, à mes côtés, se masturbe. J'entends les respirations qui suivent ses apnées.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Je sors ma queue pour me branler doucement. Nous sommes silencieux. Joie.
Là-bas, à une quinzaine de mètres, Estelle tient toujours le sexe du bonhomme. Un sexe qui reste mou et qu'elle agite un peu.
Le type ne sait pas quoi faire de ses mains. Il reste toutefois très respectueux et ne cherche plus à toucher la fille à côté de lui.
Il doit certainement réunir toutes ses possibilités de concentration pour tenter enfin de pisser. Estelle et lui restent immobiles.

Estelle s'est accroupie. Elle tient à présent la bite des deux mains. Le type est cambré sur ses genoux fléchis. La concentration.
< Alors ? Tu n'y arrives pas ? > lui fait Estelle en levant la tête pour fixer le mec. Il a les mains sur ses hanches. Enfin, ça vient.
Estelle, avec un léger mouvement de recul, dirige le jet vers le mur. Un jet jaune foncé qui brille de mille feux là, dans l'ombre.
Un jet qui semble ne plus finir. Estelle, sans lâcher le Zob se relève doucement en disant : < Tu vois, tu peux quand tu veux ! >
< Put-Hein ! Elle aussi elle peut quand elle veut ! > murmure Clémentine qui me tient d'une main en se masturbant doucement.

Estelle secoue délicatement les dernières goutes. De son autre main, elle tient le mec par la taille. C'est hyper bandant. Super.
Hallucinés, Clémentine et moi nous regardons Estelle branler ce mec. Il bande très mou. Flasque. Estelle fait tournoyer le sexe.
Le type ne sait plus quoi dire. Il regarde la main de la fille qui agite sa queue comme un lasso. L'homme se cambre. Il éjacule.
Estelle lui tient fermement le sexe, contrôlant les giclées de sperme que nous discernons assez mal. Le type gémit de plaisir.
Estelle s'accroupit à nouveau pour scruter ce sexe qu'elle vient de branler longuement. Le type se laisse tomber pour s'asseoir.

< A une prochaine j'espère ! > lui fait Estelle en le laissant là, assis au sol. Le type, comme éberlué, regarde s'éloigner la fille.
Estelle vient nous rejoindre en nous montrant sa main luisante de foutre et de pisse. < Je veux les laver ! > nous lance t-elle.
Nous filons à toute vitesse. Nous sommes devant le petit point d'eau devant la capitainerie. Estelle se lave longuement les mains.
< C'était génial ! > fait une voix derrière nous. C'est le mec qui pousse sa mobylette et qui nous dépasse sans un autre échange.
Il vient certainement de comprendre. Nous rions de bon cœur en le voyant partir sur sa mobylette pétaradante, coiffé du casque.

< Vous avez fait la connaissance de Maurice ? > nous fait Pauline qui vient nous rejoindre. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous apprenons que Maurice est un peu l'attraction du port de plaisance, ancien employé du bourg, il vient tous les jours rôder.
Nous retournons chercher des cônes glacés que nous dégustons en compagnie de Pauline. Nous bavardons. Histoires rigolotes.
Bien évidemment nous ne disons strictement rien de nos activités dans les fourrés. Nous ne savons pas grand chose de Pauline.
Il est dix huit heures. Pauline ferme les volets de son bureau. Elle a fini sa journée. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture.

Nous traînons encore un peu sur le quai. Les joueurs de pétanque sont nombreux. Plusieurs parties ont lieu. Il est déjà 19 h15.
Nous prenons le chemin du retour. Il fait encore très agréable. Nous devons lutter contre un léger vent qui rafraîchit le climat.
Il est 20 h 45 lorsque nous arrivons à la maison. Morts de faim, nous préparons des spaghettis avec une sauce au Roquefort.
Nous traînons à table en évoquant nos aventures dans les fourrés. Epuisés, nous nous promettons de récidiver. Et dès demain.
Il est 22 h15. Nous ramenons Estelle et son vélo. Retour. Nous baisons. Clémentine me livre de nouveaux secrets. Puis dodo...

Bonne branlette à un inconnu dans les fourrés à toutes les coquines que les situations glauques excitent et passionnent...

Julien - (Absolument ravi de pouvoir sécuriser les expériences vicelardes d'Estelle qui s'offre d'indicibles frissons) -

Classe



Classe
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