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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2017 - Episode 288 -



Notre périple écossais se limite aux environs d'Edimbourg

Hier matin, samedi, c'est la même chanson. C'est toujours la même chose lorsque nous sommes tous les trois ensemble.
Je suis tiré de mon sommeil par des rires étouffés, des murmures et on me tient fermement par mon érection matinale.
< Bonjour Julien ! > me font les filles en même temps. Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre les coquines.
Je les chatouille en poussant des grognements d'ours des cavernes. J'aime les voir rire. Estelle arrive à s'enfuir au cabinet.
Clémentine me chevauche en riant. Nous nous offrons nos papouilles. Estelle revient et fait : < Je fais le petit déjeuner ! >

< On arrive ! > répond Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Nous procédons à nos rituels pisseux.
Nous pouvons entendre Estelle chanter à la cuisine. L'odeur de pain grillé et de café embaume. Nous la rejoignons. Faim.
Estelle, dans son pyjama mauve se précipite dans mes bras pour me faire plein de bises. < Merci Julien ! > murmure t-elle.
< On se calme ! Tout cela est très normal ! > fait Clémentine en s'interposant. Nous rions de bon cœur. Je beurre le pain.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de la journée de hier. Il est 8 h15. Le ciel est gris. Il ne pleut pas...

Nous envisageons le programme du jour. Si la météo est favorable, nous pourrons sortir un peu d'Edimbourg. La campagne.
Nous n'avons que quelques jours. Aussi, notre séjour écossais se limite forcément aux environs immédiats de la ville. Hiver.
Clémentine adore tellement Edimbourg qu'il lui importe peu d'être restreinte à cette fatalité. Estelle est amoureuse du lieu.
Je propose quand même de nous offrir une petite fugue. Quitte à revenir à Edimbourg en soirée. Suggestion bien accueillie.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous nous mettons en tenues. Malgré le temps menaçant, c'est notre jogging.

Nous voilà à courir sur notre parcours habituel. Il fait moins froid que les autres jours. Le thermomètre extérieur affiche 6°.
Toutefois, en courant, nous gardons nos écharpes devant la bouche pour éviter d'inhaler de l'air froid, vecteur de microbes.
Comme tous les matins, nous ralentissons au sommet de la colline pour admirer le scintillement des lumières sur Edimbourg.
Il est 10 h30 lorsque nous revenons. Mon oncle est en pleine conversation avec un employé des postes. Nous nous saluons.
Estelle file prendre sa douche. Clémentine m'entraîne dans la chambre. < Aujourd'hui, c'est moi qui me régale ! > fait elle.

Je n'ai pas le temps de répondre que voilà ma compagne qui me fait tomber sur le lit. Elle me palpe à travers mon legging.
Clémentine se couche à côté de moi, sa tête sur mon ventre. Elle me sort le sexe qu'elle hume longuement en gémissant.
< Moi aussi je veux les goûts de ta nuit et ceux de ton jogging ! > me fait elle avant de gober ma bite encore toute molle.
Sous l'effet de l'indicible caresse, je me retrouve très rapidement avec une terrible érection. Un vrai démonte pneu. Métal.
Clémentine me suce avec cette tendresse amoureuse qui me procure les plus étourdissants vertiges. J'ai des frissons. Fou.

Je lui caresse la tête. Je lui chuchote plein de < Je t'aime ! >. Je savoure cet instant avec elle, dans une harmonie parfaite.
Estelle revient, vêtue de son jean, de sa chemise à carreaux, ses cheveux noués en une longue natte. Comme elle est belle.
Elle s'assoit dans la chaise pour nous regarder. Elle me fait de délicieux sourires, des clins d'œil, mime une fellation vulgaire.
La caresse de Clémentine me fait vaciller. J'ai encore cette impression d'avoir mon sexe enfoncé dans un bol de purée tiède.
Estelle mime des bisous qu'elle m'envoie en soufflant dans sa main et dans ma direction. Je force Clémentine à se redresser.

Je l'entraîne jusqu'à la salle de bain. < J'aime tellement quand tu as ce comportement. Je t'aime Julien ! > fait Clémentine.
Nous prenons toujours nos douches ensemble. Nous adorons rire en nous savonnant. Nous embrasser sous la flotte. Rires.
< Je voudrais qu'aujourd'hui, tu sois très vulgaire avec moi, sans aucun égard, tu veux bien, j'en ai besoin ! > me dit elle.
Je suis toujours embarrassé par cette demande. Il est si difficile de me comporter ainsi avec la fille que j'aime. Je le lui dis.
Je ne peux d'ailleurs pas me comporter ainsi avec qui que ce soit. Ce n'est pas dans ma nature. < Fais un effort ! > dit elle.

Nous rions de bon cœur en nous habillant. Avec cette douceur toute relative, Clémentine porte sa jupe en velours épais.
Ses collants de coton noir, "trafiqués", une chemise sous son pull d'épaisse laine noire. Ses souliers de ville à talons plats.
Sur sa demande, je porte mon pantalon de velours marron à pinces, une chemise sous mon pull. Mes chaussures de ville.
Nous rejoignons Estelle qui est assise devant l'écran de l'ordinateur. Elle nous invite à regarder le site de l'université. Bien.
Une page de présentation avec les vœux de la direction et du personnel enseignant. < Bonne manière ! > fait Clémentine.

Il est déjà 11 h45. Je vais à la cuisine pour faire l'inventaire de tout ce qu'il nous reste. De quoi tenir jusqu'au départ. Bien.
Il faudra simplement acheter du pain et quelques crudités. Je prépare des pâtes avec une sauce au pistou en flacon. Beurk.
Clémentine vient me rejoindre. Serrée contre moi, elle me chuchote : < Sois vulgaire avec moi cet après-midi, s'il te plaît ! >
Je ne saisis pas toujours très bien le sens de sa requête. Je passe ma main sous sa jupe et je demande : < Comme ça ? >
< Pire, encore, comme un vrai vicelard ! > me fait elle en se cambrant sur ses genoux fléchis. Il y a l'ouverture du collant.

Je lui palpe le sexe de la façon la plus vulgaire possible. < Oui ! Comme ça, et partout cet après-midi ! > s'écrie t-elle. Rire.
Estelle arrive et nous découvre dans cette situation. < Je la sens bien encore cette journée ! > fait elle. Nous rions aux éclats.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle émince l'ail et l'oignon. Je mets la table. Estelle passe derrière moi pour me tripoter.
< Cet après-midi, je te la sors n'importe où ! J'ai envie de la sucer ! > fait elle. Clémentine lui dit : < Pas d'imprudence ! >
Nous rigolons comme des bossus. Le repas est rapidement fait. Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons en rigolant.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h. Nous n'avons qu'une hâte, nous enfuir. Joie.
Nous avons enfilé nos anoraks. Il fait beaucoup plus doux que les jours précédents. Pas besoin de porter de bonnets. Sympa.
Je prends la direction contraire à celle de la ville. < Qu'est-ce que tu fais ? > demande Estelle. Je réponds : < La surprise ! >
Je prends la route qui mène à Queensferry. Il y a 13 km d'une circulation fluide. Clémentine joue avec ma queue bien dressée.
Estelle, assise sur le siège arrière, ses bras autour de mon cou, commente le paysage hivernale qui défile autour de nous. Sec.

Nous arrivons aux environs de Queensferry, charmante petite ville sur la rive Sud du Firth of Forth, tout à l'Ouest d'Edimbourg.
Avec l'absence de feuillage aux arbres, nous découvrons le majestueux Forth Road Bridge. Ce magnifique pont en métal. Beau.
Je m'arrête pour permettre à Estelle de faire quelques photos de cet ouvrage qui rappelle le pont sur la baie de San Francisco.
Nous marchons un peu le long de l'estuaire. Soudain, sans prévenir, je passe ma main sous la jupe de Clémentine. Un vicelard.
Ma compagne a un réflexe. Surprise. Elle n'est pas habituée à ce genre de choses. J'essaie de me comporter selon sa demande.

J'insiste en pelotant le sexe de la façon la plus vulgaire possible. Même Estelle est surprise par ma façon de me conduire. Vice.
< Vous m'excitez tous les deux, bande de vicieux ! > nous lance Estelle en prenant une dernière photo de la baie et du pont.
Nous roulons jusqu'à la ville. Queensferry est une élégante et pittoresque petite ville typique de cette région de l'Ecosse. Belle.
Je gare la voiture dans une petite rue à l'entrée, juste après la porte médiévale. Nous déambulons dans la superbe High Street.
Il est à peine 14 h15. Le ciel est souvent dégagé. Le soleil est toutefois bas sur l'horizon. J'invite les filles à quelques visites...

Nous faisons la découverte du Queensferry Museum. On y trouve tout ce qui concerne la construction des deux ponts. Super.
Il y a l'historique de la construction de ces deux ouvrages qui sont de véritables chefs d'œuvre réputés dans le monde entier.
Il faut s'imaginer deux tours Effel mais à l'horizontal. Il y a des photos des chantiers. C'est gigantesque. Monumental. Beau.
Lors de la visite, en m'étant assuré qu'il n'y avait pas de surveillance vidéo, et plusieurs fois, je pelote le sexe de Clémentine.
Ma main entre ses cuisses, à travers le tissus de sa jupe, je palpe vulgairement. A chaque fois ce petit réflexe qui m'enchante.

< Je peux savoir ce qui te prend ? > me demande Estelle à plusieurs reprises lorsque nous marchons dans le centre du bourg.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine répond : < J'aime les satyres bien vicelards. Et surtout le mien ! > Il est 16 h30.
La nuit ne va pas tarder. Nous admirons les vitrines des magasins, des monuments à la gloire de quelques héros locaux. Joie.
Il est 17 h30 lorsque nous repassons devant Forth Road Bridge. Le pont est illuminé comme un sapin de Noël. C'est féérique.
Le second pont, au loin, semble être le reflet du premier dans quelque gigantesque miroir cosmique. C'est absolument génial.

Nous nous arrêtons pour permettre à Estelle de mitrailler sous tous les angles. Je me remets à toucher Clémentine. Vulgaire.
J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je la saisi par sa natte pour la forcer à me sucer. Elle s'accroupit tout en pompant.
Estelle nous observe comme sidérée. Je mets une gifle à Clémentine qui pousse un cri de ravissement. Je fais ce qu'elle veut.
Estelle s'approche. Elle se penche vers Clémentine pour lui demander : < Tu me la donne un peu ? >. Clémentine se redresse.
Elle la tend à Estelle en disant : < Goûteux ! >. Je mets une gifle à Estelle qui pousse un long gémissement de contentement.

Ces petites gifles ne sont jamais des actes de violence mais répondent à la demande de Clémentine et parfois d'Estelle. Vice.
Pendant qu'Estelle me suce avec gourmandise, je pelote vulgairement le sexe de Clémentine qui m'embrasse en gloussant.
Je regarde autour de moi. Nous sommes dans le noir. Il est impossible de nous distinguer depuis le pont ou depuis la route.
Je force Estelle à se relever. Il est temps de partir. J'ai la bite qui suinte de liquide Séminal. Dans la voiture Clémentine suce.
Nous arrivons à Edimbourg. Il est presque 19 h. Avec le soir et la nuit profonde, le froid a repris son emprise. Bonnets. Gants.

Je gare la voiture à l'endroit habituel. Nous marchons très vite pour nous réchauffer mais également poussés par notre faim.
< On se fait le restau des kilts ? > nous fait Estelle. < Bonne idée ! > répond Clémentine. Nous y réservons une table. Bien.
Le restaurant est déjà plein. Réputation et qualité obligent. Nous prenons notre mal en patience en flânant un peu en ville.
Nous admirons les lumignons disposés un peu partout, sur les rebords de fenêtres en prévision des fêtes de fin d'année. Joie.
Nous retournons au restaurant. Une table est libre tout au fond, au près de la grande armoire médiévale aux portes ouvertes.

C'est devant des homards grillés et fumés, accompagnés de légumes, que nous faisons le bilan des souvenirs de l'après-midi.
Quelques regards se portent sur nous. Cet homme d'âge mûr accompagné de ces deux jeunes filles qui lui tiennent les mains.
Tout cela nous amuse toujours beaucoup. Nous mangeons de bon appétit. Le repas est succulent. Nous bavardons en riant.
< Toutes ces bites sous les kilts et qu'on ne voit pas ! > fait Estelle en désignant les serveurs en costumes folkloriques. Rires.
Il est 23 h lorsque nous sommes de retour. Epuisés. Estelle s'endort très vite. Cunnilingus, fellation et nous plongeons. Dodo.

Bonne découverte des environs d'Edimbourg à toutes les coquines vicelardes qui exigent de se faire tripoter vulgairement...

Julien - (Qui adapte et module son comportement en fonction des demandes de Clémentine. Et même parfois d'Estelle) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 289 -



Le dernier jour de 2017 dans les festivités écossaises...

Hier matin, dimanche, c'est exactement le même scénario comme à chaque fois que nous sommes tous les trois ensemble.
Je suis tiré de mon sommeil par les chuchotements, les murmures et les rires étouffés de Clémentine et d'Estelle. Habitude.
< Bonjour Julien ! > font les filles en même temps. Je me redresse. A quatre pattes entre les deux coquines, j'imite l'ours.
Je les chatouille en poussant des grognements. J'aime les voir rire. Estelle arrive à se sauver en rigolant jusqu'aux toilettes.
Clémentine me chevauche en riant. Nous nous offrons nos papouilles du matin. Estelle revient et dit : < Je vais préparer ! >

< On arrive ! > lance Clémentine avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. C'est le rituel des pissous matinaux.
Morts de faim, nous rejoignons Estelle vêtue de son pyjama de soie mauve. Nous sommes en longs T-shirts de nuit et slips.
Estelle se serre contre moi. < Merci pour ces vacances, Julien, je t'en suis reconnaissante ! > me chuchote t-elle. Bisous...
Clémentine s'interpose et répond : < On n'abuse pas de la situation ! >. Nous rions de bon cœur. Nous nous serrons fort.
L'odeur du café et du pain grillé embaume la cuisine. Je beurre les tranches de pain que tendent les filles. Confiote, miel...

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de la veille. La visite de Queensferry et mon comportement vicieux.
< C'était comme je le souhaitais ! Et j'en veux encore ! > me fait Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Rigolade.
< Ta bite n'a pas le même goût en Ecosse. C'est sans doute les fruits de mer ! > nous fait Estelle. Nous rions de bon cœur.
Le dimanche, c'es toujours la journée sans entraînement. Il est très important d'accorder à son corps une journée de repos.
Aussi, nous traînons longuement à table en bavardant. C'est le dernier jour de l'année. Et son bilan est plutôt positif. Bien.

Il est à peine 8 h30. Dehors règne cette ambiance particulière à ces latitudes. Le jour ne se lève jamais complètement. 7°.
A l'extérieur, il fait encore plus agréable que hier. Le ciel reste toutefois très nuageux avec quelques séquences d'éclaircies.
Nous envisageons le programme de la journée. A midi, nous sommes invités à la table de mon oncle et de ma tante. Fêtes.
Estelle me fait part d'une certaine appréhension devant cette invitation. Je la rassure. Ici en Ecosse la vie privée est sacrée.
Personne ne se mêle vraiment des affaires des autres. C'est un pays Calviniste. Le respect de la vie privée est prépondérant.

Clémentine nous propose de marcher un peu afin de découvrir ce quartier résidentiel ou tout est si secret, silencieux, retiré.
Estelle nous fait part de son ressenti quand à cet endroit, à toutes ces grandes maisons derrière leurs arbres et leurs grilles.
< C'est si mystérieux et si secret ! On a envie d'en savoir davantage ! > dit elle en débarrassant la table. Nous nous levons.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous allons prendre notre douche en premier. Estelle se propose de tout ranger.
Nous voilà vêtus de nos jeans, de nos sweats. Estelle est assise devant l'ordinateur. Le site de l'université. Les vœux 2018.

Estelle va prendre sa douche à son tour. Clémentine, assise sur mes genoux, me confie son immense joie d'être en Ecosse.
< J'y ai pensé tous les jours depuis l'été dernier. Et mon attirance n'est pas moindre en hiver ! > me fait elle en se serrant.
Nous ouvrons nos boîtes mail. Deux courriels de Juliette qui nous donne les dernières nouvelles du haras et des évènements.
En fait, il ne se passe pas grand chose hormis que pendant les vacances scolaires, il y a davantage de jeunes qui pratiquent.
Clémentine répond en joignant deux photos de nous trois dans les rues d'Edimbourg. Estelle revient de la douche. Sourires.

Il est à peine dix heures. Nous mettons nos anoraks. Il fait presque doux. Pas de bonnets, pas de gants et pas d'écharpes.
Nous gardons même nos anoraks ouverts. Estelle me tient par le bras, à ma gauche. Clémentine me tient par la main. Fort.
Nous remontons la rue entourée de chaque côté de platanes centenaires. Il n'y a personne. Le silence. La solitude. Etrange.
Parfois nous croisons quant même une promeneuse de chien ou un quidam marchant vite. Quelquefois passe une voiture.
< C'est propice à l'introspection pour un artiste ou un écrivain ! > fait Estelle, palpant ma braguette sans le moindre égard.

Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle rajoute : < On est beaucoup plus calme, sexuellement, qu'à la maison ! >
Et c'est vrai que ce constat s'explique par nos activités de touristes avides de découvertes dans une agitation permanente.
Clémentine fait : < On n'en aura que plus de besoin en rentrant ! >. < C'est vrai, le sexe est l'antidote idéal ! > dit Estelle.
< Pas de meilleure thérapie pour soigner une petite déprime ! > conclue Clémentine qui sait parfaitement de quoi elle parle.
Nous rions de bon cœur. < Tu sors ta bite ! > me fait Estelle en nous entraînant sous un profond et étroit porche de pierre.

Les filles me tiennent par les épaules et par les hanches. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Il pend mollement. Rire.
Estelle s'accroupit pour le scruter de près. Clémentine le saisit à sa base pour l'agiter devant le visage d'Estelle. Très sympa.
Estelle prend mon sexe en bouche pour le sucer doucement. Je bande mou. Clémentine pose sa tête sur ma poitrine. Mâte.
Je laisse Estelle pomper. Clémentine lui demande : < Il y a quelque chose ? Du jus ? >. Estelle gémit négativement. Non.
Il y a un bruit de moteur. Je force Estelle à se redresser. Juste à temps car une voiture vient se garer devant la grille. Ouf.

Nous prenons le chemin du retour. Cette promenade dans le dédale de ce quartier a ouvert nos appétits. Nous bavardons.
< J'adore nos "trucs" un peu n'importe où et les situations à risques ! > confie Estelle. < Moi j'en raffole ! > fait Clémentine.
Il est 11 h45 lorsque nous revenons à la maison. Nous nous changeons. A la fois pour le repas et pour l'après-midi. Elégants.
Clémentine porte sa jupe, ses collants "trafiqués", chemisier pull. Souliers de ville à talons plats. Moi, mon costume velours.
Estelle porte un jean noir, chemise pull. Ses souliers de villes. Elle quitte ses jeans bleus et ses chemises à carreaux à regret.

Dans un grand sac, nous mettons des vêtements de change, au cas où. Nous déposons le sac dans le coffre de la voiture.
Nous voilà à table, tous les cinq, avec mon oncle et ma tante. Tartes aux crevettes, au thon et au crabe. C'est si délicieux.
Malgré nous, la conversation s'articule autour des études des filles. Pourtant Clémentine dévie souvent. Tentant l'esquive.
Nous rions souvent de bon cœur aux anecdotes de mon oncle. L'époque où il tenait sa boutique d'antiquité réputée. Rires.
Le repas est suivit d'énormes coupes glacées. Nous traînons à table jusqu'aux environs de 15 h. Nous prenons congé. Joie.

Nous voilà enfin en route pour Edimbourg. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. Il y a toujours de la place. Précaution.
Vingt minutes de marche et nous voilà à flâner sur Princess Street. Même si nous connaissons très bien, il y a toujours à voir.
Il y a du monde. La douceur toute relative du climat. Un temps sec. Tout cela participe d'une ambiance des plus agréables.
Il y a de l'activité. Les préparations des festivités. Des employés de la ville, des groupes s'affairent aux derniers préparatifs.
J'ai réservé une table dans un restaurant très chic de la ville. Depuis le début décembre. Il y aura une animation musicale.

Nous traînons dans le vieux Edimbourg. Nous faisons quelques boutiques, quelques magasins et quelques antiquaires. Bien.
Partout autour de nous règne une certaine effervescence. La nuit du 31 décembre est la plus importante des fêtes d'Ecosse.
C'est le fameux Hogmaney, le nouvel an écossais. Pour nous autres, écossais, cette fête est plus importante encore que Noël.
La nuit tombe vite. Il est déjà 17 h. Partout aux fenêtres, il y a des lumignons. Des bougies allumées dans des flacons. Beau.
Les décorations de Noël ont déjà disparu pour faire place à celle de l'année nouvelle. Branches de houx et guirlandes sépias.

Nous croisons plein de gaillards vêtus du kilt traditionnel. Le climat permet cette fantaisie. Estelle mâte avec grande attention.
< Toutes ces bites et toutes ces couilles qui ballotent en parfaite liberté sous tous ces kilts ! C'est super ! > nous fait Estelle.
Nous rigolons comme des bossus. Estelle rajoute encore : < Les exhibitionnistes écossais ont de la chance et des facilités ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine précise : < Et espérons pouvoir tomber sur un spécimen. De la bite écossaise ! >
Estelle dit : < La seule bite écossaise que je connais est celle de Julien ! >. Je dis : < Il te faut un élément de comparaison ! >

Il est rapidement 20 h10. Nous sommes morts de faim. Nous découvrons The Dôme, le restaurant où j'ai réservé une table.
L'endroit est décoré avec goût. Le personnel d'une élégance folle. Smoking pour les serveurs et tailleurs pour les serveuses.
Notre table nous attend. Il y a du monde. Une ambiance détendue. Pas de chichis, pas de manières, tout le monde est relax.
Notre choix se porte sur un énorme plateau de moules fumées, grillées dans un assortiments de salicornes. C'est magnifique.
C'est également monstrueusement bon. Accompagné de petits pois grillés, de petites pommes de terre rissolées, de sauces.

Il y a un orchestre. Un trio de musiciens qui alternent des morceaux de jazz, de blues ou encore de "tubes" bien connus. Joie.
Nous dégustons ce repas en prenant tout notre temps. Le spectacle est magnifique. Il y a un magicien qui fait des tours. Bien.
Puis arrive un couple qui fait un numéro de claquettes. Nous applaudissons à tout rompre. Un humoriste. Je traduis à Estelle.
Nous ne voyons pas le temps passer. Comme le veut la tradition, un couple d'écossais distribue une rose à chaque convive.
< C'est la plus belle soirée de réveillon de ma vie ! > fait Estelle. < Pour moi aussi ! La plus géniale ! > rajoute Clémentine...

Il est minuit. Nous sortons du restaurant. Nous sommes un peu lourds. Il y a un monde fou dans la rue. De l'ambiance. Joie.
Partout en Ecosse, à minuit, les gens descendent dans les rues pour se souhaiter "A Guid New Year". Personne ne reste seul.
La nuit de l'An, en Ecosse est un moment de liesse populaire. Pas de repli sur soi. Personne n'est laissé dans sa solitude. Joie.
Le whisky n'est pas nécessaire pour se réchauffer et nous n'assistons à aucun excès. Pas d'individus qui se mettent minables.
Il y a de la musique "Live" sous des chapiteaux. Ce sont souvent des orchestres qui alternent folklore et musiques populaires.

Tout cela est bien évidemment encadré par des forces de l'ordre discrète et des bénévoles qui renseignent et qui rassurent.
Il y a plein de gens qui tiennent des flambeaux de fausses flammes. Tout le monde se congratule et se souhaite le meilleur.
Il y a un chapiteau sur Princess Street. Nous allons écouter le groupe qui joue des standards des Beatles, des Stones. Super.
Les gens chantent avec. Nous sommes entraînés dans une farandole. Le Festival hivernal d'Edimbourg est le plus important.
Edinbourgh's Hogmanay est le plus important festival hivernal d'Europe. Il dure du 29 décembre au premier janvier. Super.

Parfois, discrètement Clémentine me touche la braguette pour me chuchoter : < Je suis très excitée. J'ai des envies folles ! >
Voilà la retraite aux flambeaux. Une foule de gens défile sur Princess Street. Une immense fête des rues. C'est la liesse. Joie.
Pour l'occasion, les fontaines ont été ouvertes. C'est le fameux "Loony Doock". Certains fous plongent dans les eaux froides.
C'est une tradition. Dans les rivières, dans les lacs, dans les fontaines, les plus courageux prennent un bain. C'est assez fou.
Pour éviter tous débordements, il faut réserver son billet à l'avance. Nous suivons une nouvelle ronde effrenée. C'est superbe.

Cette farandole nous entraîne dans les ruelles de la vieille ville. C'est affolant. Nous rions, nous chantons. On s'époumone.
Je connais tout cela tous les ans à la même date. Pour Clémentine et Estelle tout cela est neuf et constitue une révélation.
Nous passons le reste de la nuit à participer à la fête. En Ecosse impossible de se comporter mal. Répression impitoyable.
Il n'y a donc aucun fauteur de trouble et tout cela se passe dans une sécurité totale. Ce qui est rassurant. C'est nouvel An.
Il est six heures du matin. Les yeux nous piquent. Il y a le grand petit déjeuner commun, compris dans le prix du billet...

Cake écossais, marmelade d'orange, thé, tranches de pain grillé, bacon ou miel. Nous rentrons totalement épuisé pour 8h.
Evidemment, aujourd'hui, il n'y aura ni jogging, ni entraînement. Nous nous couchons. Nous plongeons immédiatement.
Il est 14 h lorsque j'ouvre l'œil, et le bon. Des murmures, des chuchotements, des rires étouffés, on me tient la queue. Fort.
A quatre pattes entre les deux coquines que je chatouille, j'imite des grognements d'ours des cavernes. J'aime les voir rire.
Nous nous levons. Il est temps de retourner dans le flot agité de nos désirs de découvertes. Les vacances ne sont pas finies.

Bonne année nouvelle à toutes et à tous. Bonheur, santé, cunnilingus, fellations et petites baises sympas aux hédonistes...

Julien - (Tour operator pour jeunes filles de 20 ans, hyper coquines et désireuses de s'enivrer des plaisirs de la vie) -

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Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 290 -



C'est la fête en ce début d'année écossaise en diable...

Hier, lundi, je suis tiré de mon sommeil par les murmures, les chuchotements et les rires étouffés habituels. Il est 14 h...
L'une des deux coquines me tient fermement par mon érection naturelle. A sa poigne je sais qu'il s'agit d'Estelle. Gagné !
J'ouvre l'œil et le bon. < Bonjour Julien ! > me font les filles en même temps. < Bonjour les filles ! > que je fais. Rigolade.
Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre Clémentine et Estelle que je chatouille en poussant des grognements.
Ces imitations d'ours des cavernes font toujours beaucoup rire les deux coquines. Estelle parvient à s'enfuir en riant. W.C.

Clémentine me chevauche en chuchotant : < Je t'aime, mon amour ! >. Je la serre fort. Elle me couvre le visage de bises.
Estelle revient pour nous dire : < Je vais préparer le petit déjeuner ! >. Clémentine m'entraîne jusqu'aux toilettes. Pissous.
Nous rejoignons Estelle. Nous sommes encore un peu dans le cirage. Cette nuit fut tellement palpitante et étourdissante.
L'odeur de café et de pain grillé nous rappelle aux réalités. Dehors, il y a des éclaircies. Le thermomètre indique 7°. Bien.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de cette nuit inoubliable. Nous faisons également le programme du jour.

< Je ne pourrais plus jamais passer un réveillon ailleurs qu'en Ecosse ! > me fait Estelle. < Mon non plus ! > dit Clémentine.
Estelle rajoute : < C'est génial cette ambiance. C'est vraiment une fête ! >. < On revient quoi qu'il arrive ! > dit Clémentine.
Les filles développent leurs ressentis et leurs impressions. Elles sont visiblement enchantées par cette nouvelle expérience...
< L'année dernière, j'étais en discothèque ! Une horreur absolue ! > nous fait encore Estelle. < L'horreur ! > fait Clémentine.
Je demande : < Tu n'aimes pas t'amuser à ton âge, Estelle ? >. Elle me répond : < En discothèque ? T'es fou ! A gerber ! >

La vaisselle. Nous passons à la salle de bain. Exceptionnellement aujourd'hui, pour cause de tête dans le cul, pas de jogging.
Nous nous habillons. Clémentine remet sa jupe d'épais velours carmin, ses collants noirs, son pull, ses souliers à talons plats.
Sur sa demande, je remets mon pantalon de velours marron clair. Estelle met son jean noir, pull, ses chaussures montantes.
Nous mettons nos anoraks. Avec cette météo, pas de bonnets, pas de gants et pas d'écharpes. Nos anoraks restent ouverts.
Il est déjà 15 h, nous voilà en voiture pour redescendre sur Edimbourg. Nous prenons la direction de Rosslyn Chapel. Sympa.

En roulant, Clémentine joue avec ma queue qu'elle exige de voir dehors à chaque fois que c'est possible. Estelle nous raconte.
< Il faut que je sois de retour mercredi soir. Jeudi, il y a l'inventaire dans l'entreprise. Il y aura le comptable ! > fait Estelle.
< C'est bien ! De plus il faut tout mettre à plat pour la rentrée, lundi prochain, 8 janvier ! On va s'y mettre ! > fait Clémentine.
Comme prévu, nous rentrerons ce mercredi. L'avion est à 15 h. Nous arriverons pour 17 h30. Tout cela est organisé et défini.
Estelle est assise sur le siège arrière, ses bras autour de mon cou. Je roule doucement. 12 kilomètres. Voilà Rosslyn Chapel...

La chapelle de Rosslyn est un grand édifice qui n'a rien d'une chapelle. C'est un édifice gothique de la taille d'une belle église.
Il y a du monde. Plein de voitures sont garées là. Des gens se promènent aux alentours. Estelle fait quantité de photographies.
J'ai réservé les billets depuis début décembre par le biais de l'office de tourisme avec qui je suis resté en étroite relation. Bien.
A dix sept heures, il y a le concert de l'orchestre philharmonique. Nous aimons la musique "Classique". Estelle découvre. Joie.
< Depuis que je vous fréquente, je découvre un tout autre univers que celui que nous impose les médias ! > nous fait Estelle.

< Tu m'as fait découvrir la belle peinture, la belle musique et un pays merveilleux. Merci Julien ! > fait Estelle en se serrant.
< Et sa bite ! > fait Clémentine qui s'interpose. Nous rigolons comme des bossus. Nous nous promenons dans les environs.
Je tire constamment sur mon pull et je rabat les pans de mon anorak pour cacher ma braguette ouverte. Je dois rester ainsi.
Clémentine m'impose souvent de garder ma braguette ouverte. Discret. Elle peut ainsi y glisser sa main lorsqu'elle le veut.
Nous rions de bon cœur de mon réflexe de pudeur légitime. < On a jamais été aussi calme qu'en cette période ! > dit Estelle.

Nous nous dirigeons vers l'entrée de l'église pour prendre place dans la file. Nous possédons déjà les billets, ça va très vite.
Le succès du film "Da Vinci Code", d'après le roman de Dan Brown, attire en ce lieu quantité de touristes. Affluence record.
C'est ici, dans cette église, que Dan Brown situe l'emplacement du fameux Graal et les secrets des Templiers. De la fiction.
Rosslyn Chapel est certainement la plus énigmatique église d'Ecosse. Tout respire le mystère. Les secrets intemporels. Joie.
Estelle ressent tout cela avec une admiration qu'elle ne dissimule pas. Clémentine me donne ses ressentis. Un peu médium.

L'intérieur est somptueusement décoré. C'est un monument à la gloire de la Franc-Maçonnerie. Riche en images symboliques.
Il y a également partout des références aux Templiers. Cet ordre de moines chevaliers fondé en 1119 et dissous en 1312.
Du moins, selon les dates officielles communément admises. Estelle prend quantité de photographies. Visiblement très émue.
Toute cette partie de la région des Lothian est bercée de légendes et de mystères. Il faut prendre place sur les bancs. 16 h50.
Nous avons nos places réservés au onzième rang. Le concert commence. Trente musiciens, en smoking, et virtuoses. Super.

Entre chaque pièce interprétée, deux récitants déclament des poèmes écossais. Je traduis à l'attention d Estelle. Chuchotant.
Estelle comprend, écrit et parle un Anglais scolaire. Alors que Clémentine comprend, écrit et parle parfaitement ma langue.
Clémentine, discrète, me chuchote à l'oreille : < Tu gardes ta braguette ouverte, hein ! J'ai besoin de la savoir ouverte ! >
Clémentine, assise à ma droite, me murmure ses ressentis à l'oreille. Estelle, à ma gauche, enregistre sur son téléphone. Joie.
Les interprétations de Bach et les extraits de la symphonie 104 de Hayden sont de toute beauté. En harmonie avec l'endroit.

Il est 18 h30. Le concert se termine. Nous restons encore à flâner dans ce lieu magnifique. Son attraction est intense. Forte.
Clémentine est un peu médium et me fait part de ses impressions. J'écoute, admiratif, ses explications, ses ressentis. Bien.
Estelle fait encore plein de photos. < On se fait une soirée photos au retour ? > nous fait elle. Excellente suggestion. Super.
Il est déjà dix neuf heures. Les visiteurs sont informés de la fermeture de l'édifice. Nous voilà en route pour revenir en ville.
Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Il fait nuit. Estelle est assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou...

Nous revenons à Edimbourg pour dix neuf heures trente. Animés par une faim de loups, nous nous mettons en quête. Bouffe.
Je propose d'improviser. De trouver un restaurant que nous ne connaissons pas encore. Difficile. Depuis l'été, on les connaît.
Nous parcourons Mary's Street. Il y a un établissement qui propose des menus avec des produits de la mer. Très sympathique.
Il reste quelques tables. Je précise aux filles qu'en Ecosse, le 2 janvier est un jour férié. Et la plupart des restaurants fermés.
Il nous faudra donc, demain, êtres rusés, vigilants et réserver dès ce soir. Par chance, cet établissement restera ouvert. Bien.

Nous réservons une table pour demain. Nous voilà installés à déguster du homard et crabe grillés. Accompagnés de légumes.
Les légumes sont fumés. C'est une délicatesse écossaise que proposent certains lieux gastronomiques. C'est un vrai bonheur.
Clémentine nous fait remarquer cette table où sont installés deux couples de quinquagénaires. < Un "plan" ! > nous fait elle.
< Le type à droite, il n'arrête pas de me mâter ! > rajoute ma compagne. < Fais lui le test des chiottes ! > lui répond Estelle.
Clémentine nous raconte. < Il mâte sous la table. Sous ma jupe ! > fait elle. Estelle dit : < Et tu as les cuisses écartées ? >

< Bien évidemment ! Seulement je porte mes collants et une culotte ! > fait ma compagne. Nous rigolons comme des bossus.
Clémentine se lève et fait : < Le test des chiottes ! Je vous raconte au retour ! >. Nous la regardons se diriger vers les W.C.
< Gagné ! > fait Estelle en me montrant le type se lever pour se diriger à son tour vers les toilettes. < Le salaud ! > dit elle.
Il se passe un petit moment avant que Clémentine ne revienne avec un grand sourire. < J'ai vu une superbe bite ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine nous raconte. < J'ai fais mon coup habituel. Je me suis trompée de toilettes ! >

Ma compagne nous raconte en détails. Le type revient à son tour des toilettes pour rejoindre sa table et ses amis. Nous rions.
< Je suis dans la partie urinoirs. Accroupie entre le lavabo et le mur. Je fais semblant de fouiller mon sac ! > fait Clémentine.
Elle continue : < Le mec arrive et me découvre ainsi. Il me salue. Il se met en position devant l'urinoir. Put-hein sa queue ! >
< Quoi, raconte ! > lance Estelle. < Un truc géant ! Au moins 25 cm et comme une corde ! Il pisse en m'observant. Vice ! >
Estelle, fébrile et excitée, demande encore : < Tu fais quoi ? >. < Je reste dans ma position. Il pisse ! > lui fait Clémentine.

< Put-Hein, j'aurais pas le courage de rester, je partirais en courant ! > fait Estelle en me prenant la main. Nous écoutons.
< J'ai beaucoup de pratique ! Que pourrait-il bien arriver ? Je n'ai pas peur des mecs. Un lieu public ! > répond Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Estelle, que tout cela excite considérablement dit : < La prochaine fois je viens avec toi ! >. Rire.
Il est 23 h lorsque nous revenons. Epuisés. Toilettes. Salle de bain. Au lit. Nous bavardons un peu. Estelle s'endort si vite.
J'offre un cunnilingus à Clémentine. Orgasme délirant. Clémentine me taille une pipe. Orgasme délirant. Nous plongeons...

Bonne découverte d'endroits plus magiques, plus mystérieux et plus excitants les uns que les autres à toutes les coquines...

Julien - (Tour Operator qui fait visiter les lieux aux jeunes filles avec sa braguette ouverte et sa bite souvent à l'air) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 291 -



C'est notre dernière journée à Edimbourg, la fin du séjour écossais...

Hier matin, mardi, c'est exactement le même scénario. Une habitude. Je suis réveillé par des chuchotements, des murmures.
Des rires étouffés et l'une des deux coquines me tient fermement par mon érection naturelle et matinale. J'ouvre l'œil, le bon.
< Bonjour Julien ! > me font Clémentine et Estelle en même temps. C'est évidemment Estelle qui me tient par la turgescence.
< Bonjour les filles ! > que je fais en me redressant pour me mette à quatre pattes entre toutes les deux pour les chatouiller.
J'imite l'ours des cavernes en poussant des grognements. J'adore les voir rire. Estelle arrive à s'enfuir en riant. Les toilettes...

Clémentine me chevauche en riant. C'est l'instant des papouilles. Estelle revient et nous fait : < Je prépare le petit déjeuner ! >
< On arrive ! > lui fait ma compagne en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Le rituel pisseux du matin. Nous rions.
Nous rejoignons Estelle. L'odeur du café et du pain grillé achève d'ouvrir nos appétits. Estelle se précipite dans mes bras. Joie.
< Merci Julien pour ce séjour en Ecosse ! > me fait elle. Clémentine vient s'interposer en disant : < On se calme sel te pli ! >
Nous rions de bon cœur. Je dis : < Estelle, je suis vraiment content d'avoir passé ce séjour en ta compagnie. Merci ! >. Bises.

Je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. Confiture ou miel, selon leurs choix . Nous mangeons de bon appétit.
Nous bavardons. Nous faisons notre bilan de la journée passée. Estelle insiste pour me remercier encore pour les découvertes.
Je précise fermement : < Je ne veux pas que tu te sentes redevable de quoi que ce soit et nous sommes trois privilégiés ! >
En souriant, Estelle me fait : < Je vais tâcher de le voir sous cet angle ! >. Clémentine rajoute : < Et on est bien avec toi ! >
C'est avec ces considérations rassurantes que nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenues. C'est notre jogging.

Il est 8 h30. Le ciel est gris. Il ne pleut pas. Le thermomètre extérieur indique 6°. Nous voilà en leggings, sweat, K-ways. Bien.
Nous courrons avec un rythme soutenu contre un léger vent. Une fois encore, la vue sur Edimbourg depuis la colline est belle.
Nous sommes de retour pour dix heures trente. Estelle prend sa douche la première. Clémentine m'entraîne dans la chambre.
< J'ai envie de te sucer ! > me fait elle en me faisant tomber sur le lit. Je lui dis : < Et moi, j'ai envie de te brouter ! > Rires.
Nous retirons nos leggings, nos sous-vêtements. Couchés l'un à côté de l'autre, à l'envers, nous savourons nos sexes. Plaisir.

Estelle, habillée, nous surprend en plein "69". < Bon appétit ! > nous fait elle. Nous cessons pour rire de bon cœur. Bonheur.
Estelle rajoute : < Julien, j'ai envie de faire ça avec toi, on ne l'a encore jamais fait ! >. Clémentine, la bouche pleine, rigole.
Ma compagne fait : < Tu en veux toujours davantage, toi ! > Nous rigolons comme des bossus. Estelle s'assoit à côté de nous.
Son visage tout près du mien, elle m'observe lécher la chatte de Clémentine. Je peux sentir son souffle, entendre ses apnées.
Estelle me fait des bises sur le front. Clémentine a des écoulements de cyprine que je récupère en me régalant. Elle me suce...

Nous passons un long moment ainsi. Nous cessons avant l'orgasme car Clémentine et moi nous préférons rester excités. Joie.
Ma compagne m'entraîne par la main jusqu'à la salle de bain. La douche. Nous revenons. Estelle est assise devant l'ordinateur.
Nous la rejoignons. Le site de l'université informe les étudiants du programme de ce second trimestre qui commence dès lundi.
Je les laisse pour aller à la cuisine. Il reste des carottes, des tomates, du persil. De quoi tenir encore aujourd'hui, pour ce midi.
Je fais les dernières nouilles Chinoises avec une sauce. Clémentine vient me rejoindre la première. Elle m'embrasse. Heureuse.

Ma compagne prépare la salade. Estelle vient nous rejoindre. Elle émince l'ail et l'oignon. Tout va très vite. Efficacité. Célérité.
Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le programme de l'après-midi. Je rappelle que le restaurant du soir est réservé.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine nous fait : < Ce dernier jour doit être "suprême" ! >
Nous rions de bon cœur lorsque ma compagne rajoute : < On se fait bien vicelards, tous les trois, cet après-midi ! >. Rires...
Estelle débarrasse la table et dit : < Julien, tu me montres ta bite cet après-midi ? >. Clémentine fait : < Et dans les coins ! >

Estelle plonge. Nous essuyons. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux sous nos gros pulls.
Il ne reste qu'à enfiler nos anoraks et à filer. Il est à peine 13 h15. Nous voilà en voiture. Clémentine me sort la queue. Rires.
Estelle, assise sur le siège arrière, ses bras autour de mon cou, nous confie son ressenti quand à son second séjour écossais...
Je prends la direction de Gilmerton. Ce petit village typique est à cinq kilomètres au Sud d'Edimbourg. Un petit bourg médiéval.
Je gare la voiture. Le vent vient de la mer et donne une sensation de fraîcheur désagréable. Nous marchons vite en regardant.

Sur la demande de Clémentine, j'ai ma braguette discrètement ouverte. Les boutons de mon 501, font bâiller le tissus. Rires.
Ma compagne peut y glisser sa main lorsqu'elle en à envie. Parfois, en regardant bien autour de nous, je sors ma bite. Vite.
Cette apparition fugace plaît énormément à Estelle qui tente parfois de s'en emparer. Je la range toujours très rapidement.
Pas question de risquer de se faire surprendre. J'ai les trois billets de la visite que je réserve en surprise aux deux filles. Joie.
Nous entrons dans la maison musée. Il y a du monde. Estelle me fait : < Tu n'es pas chiche de sortir ta bite ici ! >. Rigolade.

Nous suivons le guide. C'est une jeune fille, certainement une étudiante exerçant un job de vacances. Nous sommes en groupe.
Nous descendons un escalier qui semble ne plus finir. L'odeur caractéristique des caves, des sous-sol. Les parois sont en grès.
Nous découvrons un étonnant spectacle. Nous sommes dans les fameux "Gilmerton Cove". Ces souterrains mystérieux. Secrets.
Ces souterrains sont d'origines inconnues. Le guide explique les différentes hypothèses. Je traduis pour Estelle. C'est superbe.
Nous sommes en fin du groupe d'une quinzaine de visiteurs. Nos hautes tailles nous permettent de bien regarder, d'écouter...

Discrètement, je sors mon sexe que je tiens entre le pouce et l'index à sa base. Je me suis assuré qu'il n'y ait pas de caméras.
Je fais du coude à Estelle qui ne se rend pas immédiatement compte de ce que je fais. Elle découvre enfin mon petit manège.
< Génial ! > me chuchote t-elle. Je suis très vigilant. Clémentine vient également de comprendre ce que je fais. Elle me sourit.
< J'aime quand tu es vicelard ! > me chuchote ma compagne. Je remballe toutefois très vite. Nous continuons la visite. Bien.
Nous changeons de salle. Il y a des bancs et des tables directement taillés dans la pierre. La lumière donne un éclat jaune...

Je traduis à l'attention d'Estelle les explications du guide. Personne ne sait par qui et pourquoi ce souterrain a été creusé ici.
Il semblerait qu'une galerie souterraine mènerait jusqu'à Rosslyn Chapel. Les fouilles et les recherches sont en cours. Super.
A nouveau, lors d'un arrêt, discrètement, je sors ma bite. Mes 20 cm pendent mollement de ma braguette. C'est bien vicieux.
Estelle qui me guette à présent tout le temps me l'attrape discrètement. Il faut être d'une prudence extrême. Je suis virtuose.
Clémentine me chuchote plusieurs fois : < Génial ! >. Je remballe. Nous suivons le guide. Nous écoutons les explications...

Je traduis pour Estelle. Ces souterrains constituent un dédale médiéval. Il y a six grandes pièces creusées à la main. Le grès.
Il y a plusieurs thèses. La plus invasive dans l'histoire du village reste celle d'une origine Templière. Cet ordre si mystérieux.
A nouveau, je sors ma bite en cachette. Chaque fois je m'entoure de toutes les précautions. Personne ne pourrait se douter.
Estelle me l'attrape à présent à chaque fois. Clémentine me tient par les hanches et me chuchote : < Tu m'excites. Génial ! >
Nous nous laissons distancer. Rapidement, après avoir regardé partout autour de nous, je me masturbe. Estelle me regarde.

Cambré sur mes jambes écartées, mes genoux fléchis, dans une sorte de niche creusée dans le grès, je me branle. Salaud.
Estelle me contemple comme consternée. Clémentine m'imite en me faisant un délicieux sourire et un clin d'œil complice.
Il ne faut pas prendre le moindre risque. Nous rejoignons rapidement le groupe. Je traduis toujours à l'attention d'Estelle.
La seconde thèse avancée par les chercheurs, les historiens, les scientifiques serait une possibilité d'origine Franc Maçonne.
Les cavités sont arrondies. Il n'y a aucun angle vif. Un peu comme ces architectures créées par Rudolf Steiner il y a 80 ans.

Je sors ma bite à chaque fois que cela est possible pour la plus grande joie des filles qui m'encouragent. Je me branle. Discret.
Je chuchote à l'oreille d'Estelle : < Tu n'es pas chiche de me la sucer rapidement et en cachette ! >. Estelle me regarde. Rire.
< T'es fou ! > me répond t-elle. Clémentine s'accroupit rapidement pour me sucer la bite. Cela ne dure qu'un instant. Si vite.
< Chapeau ! > nous fait Estelle. Nous continuons la visite. Clémentine me demande : < Tu la trouves comment la guide ? >
Je regarde attentivement pour me rendre compte que la jeune fille qui nous fait visiter Gilmerton Cove est plutôt jolie. Belle...

< Fais lui un petit "cadeau" bien vicieux en partant ! > me fait Clémentine. Il est hors de question de lui montrer ma bite...
Il est 16 h. La visite se termine. Nous remontons pour assister à une rapide projection de photos. Notre guide les commente.
Une autre hypothèse évoque la création souterraine du forgeron Paterson qui aurait creusé ce souterrain entre 1729 et 1737.
Toutes ces supputations restent pour le moment sans réponse. Nous sommes toujours à l'arrière du groupe. La guide explique.
Je sors ma bite. Je bande mou. Discrètement, très rapidement, je la fais tournoyer devant Estelle qui n'arrête plus de mâter...

Juste avant de partir, maintenant que le groupe s'est dilué, je m'avance pour remercier la jeune fille pour ses explications.
Je lui tends discrètement un billet. < Thanks you ! > me fait elle en rangeant rapidement le billet. Clémentine vient à côté.
Estelle vient nous rejoindre. J'écarte les pans de mon anorak. Je n'ai pas la bite à l'air, mais la braguette largement ouverte.
La jeune fille a un reflexe amusé. Elle nous regarde très vite tous les trois. Elle mâte à nouveau ma braguette bien ouverte.
Clémentine lui propose de faire un selfie de nous quatre. La jeune fille est ravie de poser. Estelle prépare son appareil photo.

Réglé sur automatique, posé sur un présentoir, nous posons pour l'appareil. Je tiens la jeune fille un peu gênée par l'épaule.
Nous la saluons. Il lui faut reprendre sa visite avec un nouveau groupe qui attend là-bas, dans le hall. Nous prenons congé.
Une fois à l'extérieur, Estelle nous montre l'écran de son appareil. On nous voit tous les quatre, souriants devant l'objectif.
On remarque surtout qu'entre les filles, j'ai la braguette largement ouverte sur le trou noir qui s'y trouve. J'ai un slip tout noir.
< Put-Hein ! C'est génial ! Quel souvenir ! > nous fait Estelle. Nous continuons à nous promener dans Gilmerton. Il fait nuit.

Il est presque dix huit heures lorsque nous prenons la route pour retourner à Edimbourg. Tous les trois bien excités. Rigolade.
< J'ai envie de te sucer la bite ! > me fait Estelle. Clémentine fait : < Moi, j'ai la meilleure place ! >. Elle me taille une pipe.
Je roule doucement. Nous arrivons en ville. Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. Nous marchons vers le centre.
Notre table nous attend dans le restaurant de hier soir. Nous mangeons de bon appétit. Nous sommes de retour pour 23 h15.
Nous voilà couchés. Estelle et Clémentine me sucent à tour de rôle en me félicitant pour mon comportement de l'après-midi.

Bonne découverte de vos souterrains préférés à toutes les coquines qui aiment regarder la bite du mec de leur copine...

Julien - (Tour Operator qui exerce avec la bite à l'air pour enchanter les sens des deux visiteuses, véritables vicieuses ) -

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Le dernier jour en Ecosse et le retour en fin d'après-midi...

Hier matin, mercredi, tout se déroule selon un scénario immuable, une mécanique très bien réglée. Il est déjà huit heures.
Je suis réveillé par des murmures, des chuchotements et des rires étouffés. On me tient par mon érection matinale. Fort.
J'ouvre l'œil et le bon. C'est Estelle qui me tient la bite en ayant passé son bras par dessus Clémentine. J'attrape son bras.
< Bonjour Julien ! > me font les filles en même temps. Je me redresse, sans lâcher Estelle. Je suis à quatre pattes. Rires.
Je chatouille les deux coquines en poussant des grognements d'ours des cavernes. Je leurs dis : < Bonjour les filles ! >...

Estelle parvient à se sauver en riant jusqu'aux toilettes. Clémentine me chevauche et me chuchote : < Je t'aime Julien ! >.
Je la serre fort contre moi. Elle me couvre le visage de bises. Je lui murmure des douceurs. Nous nous offrons des papouilles.
Estelle revient et dit : < Je vais préparer le petit déjeuner ! >. Clémentine m'entraîne aux toilettes. < On arrive ! > dit elle.
Nous nous amusons de nos rituels pisseux avant de rejoindre Estelle dans son pyjama mauve. L'odeur de café, du pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de notre journée de hier. Je beurre les tranches de pain. Bavardages.

C'est surtout le programme de la journée qui anime nos conversations. C'est aujourd'hui que le séjour écossais se termine.
Ce n'est pas sans une certaine tristesse que nous mettons au point l'emploi du temps de ce jour de départ. Il faut s'adapter.
Estelle nous confie l'amertume qui la gagne. Et il y a sa peur de l'avion. Je la rassure. Cette fois nous serons tous les trois.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine la rassure : < Ce n'est que le début de l'année ! >
Je précise : < Le tout début de nouvelles aventures qui nous attendent au retour ! >. Estelle se lève. Elle nous fait des bises.

Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons l'appartement. Clémentine retire les draps. Je passe la serpillère. Estelle nettoie.
Tout est rapidement propre, comme lors de notre arrivée. Il est neuf heures trente. Nous nous mettons en tenues. Jogging.
Le thermomètre extérieur indique 7°. Le ciel est nuageux mais nullement menaçant. Nous voilà à courir d'un bon rythme.
C'est notre circuit habituel. La vue sur Edimbourg dans une lumière diaphane et depuis la colline restera un grand souvenir.
Estelle prend quelques photos. Nous sommes de retour pour onze heures. Estelle prend sa douche la première. Tristounette.

Clémentine m'entraîne dans la chambre. Elle se blottit contre moi. Nous tombons tous deux sur le lit. Douceurs et caresses.
< Tu sais comment je fonctionne. Quand je suis tristounette, j'ai besoin de sexe ! > me chuchote ma compagne. Je la serre.
Je chuchote : < Alors tu dois être souvent triste ! >. Nous rions de bon cœur en retirant nos leggings et nos sous-vêtements.
Presque de suite nous voilà en position de "69" à nous régaler de nos odeurs et de nos épanchements. C'est si merveilleux.
Estelle revient et nous découvre une fois encore en pleine dégustation. < Bon appétit ! > nous fait elle en s'asseyant à côté.

< Vous avez de la chance de pouvoir vous consoler de cette manière ! Moi je n'ai pas de médicaments ! > nous fait Estelle.
Nous cessons pour rigoler tous les trois comme des bossus. Nous nous levons pour nous précipiter à la douche. Tout va vite.
Nous revenons pour rejoindre Estelle qui est assise devant l'ordinateur. Le site de l'université et le programme du trimestre.
Il est onze heures trente. Nous sommes invités à prendre notre dernier repas écossais en famille pour midi quinze. Protocole.
Je fais plein de bises à Estelle pour lui rendre le sourire. < Je suis tombée amoureuse de ce pays ! C'est dur ! > me fait elle.

Je lui dis : < On t'emmène avec nous cet été, et pour deux mois ! >. Estelle renifle et me répond : < Je ne pourrais pas ! >
Estelle, durant ces vacances, doit aider dans l'entreprise familiale. En plus d'un salaire, cela permet de seconder ses parents.
Nous évoquons vaguement ces vacances encore lointaines de juillet et d'août. Tout cela reste forcément nébuleux. Six mois.
Je me lève. Je me mets debout devant la table, mes cuisses en appui sur le rebord. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe.
Je demande : < Qui qu'en veut ? >. Nous rigolons comme des bossus. < Moi ! > s'écrie Estelle, se levant pour me rejoindre.

Clémentine vient me rejoindre. Serrée contre ma hanche, sur ma gauche, elle se frotte en m'embrassant. Estelle me suce.
Nous restons ainsi un petit moment. L'appartement est rangé. Nos affaires et nos valises sont prêtes. Nous avons du temps.
Lorsque Clémentine m'embrasse avec toute sa tendresse habituelle, j'ai des montées de liquide séminal. Estelle s'en régale.
Je suis éminemment juteux comme le précise souvent la jeune fille en déglutissant avec difficulté. Ce qui nous amuse bien.
A cause de ma cambrure, mes lombaires se congestionnent assez rapidement. Je change de position. Clémentine me tient.

Je tiens Estelle sous le menton et par la nuque. Je guide sa pipe avec soin, vicieusement, comme elle aime. C'est fabuleux.
Clémentine et moi nous nous embrassons avec une fougue qui mouille nos mentons de nos salives. C'est merveilleux. Bon.
Je regarde l'heure. Il est midi dix. Nous sommes attendus pour midi quinze. Je force Estelle à cesser en tirant ses cheveux.
En gémissant, contrariée et frustrée, Estelle se redresse en s'essuyant la bouche. < Aïe ! > fait elle en massant ses genoux.
Je dis : < Voilà, tu as pris ton médicament, ça va mieux ! >. Nous rions de bon cœur en nous réajustant. Nous descendons.

Nous mangeons de bon appétit. Nous sommes assis dans le salon victorien de mon oncle et de ma tante. Nous bavardons.
Ma tante demande à Estelle si son second séjour en Ecosse a confirmé sa première impression de l'année dernière. Plaisir.
Estelle s'empresse de la remercier pour l'accueil. Ma tante nous fait part de son immense joie d'avoir du monde à la maison.
Nous sommes donc invités à revenir le plus tôt possible. Nous restons évasifs quand à l'éventualité de revenir à la Pâques.
Je préfère ne pas me prononcer en précisant que nous restons évidemment en contact. Clémentine trouve cela judicieux...

Nous avons notre avion à 15 h40. Changement à Londres. Retour à la maison prévu pour 19 h au plus tard. Le programme.
Nous sommes à table jusqu'aux environs de 13 h45. Il faut y aller. Nous prenons congé. Clémentine fait partie de la famille.
Aussi, les effusions sont sincères et nombreuses. Je donne discrètement une enveloppe à ma tante. Mon oncle est tristounet.
Il serre Clémentine dans ses bras avec affection. Il fait trois bises à Estelle. Il en va de même avec ma tante. Nous montons.
Il est 14 h lorsque nous quittons la propriété. De derniers coucous de la main et nous voilà dans la rue. Je roule lentement...

Il y a quinze kilomètres jusqu'à l'aéroport d'Edimbourg où nous arrivons à 14 h30. Il fait gris. Presque sinistre. Du monde.
Le temps de rendre la voiture et de remplir les formalité de retour de location et nous voilà dans la cafétéria de l'aéroport.
Nous bavardons. La tristesse a fait place à la saveur élégiaque d'un départ imminent. En route pour de nouvelles aventures.
Nous nous tenons par la main, tous les trois, à faire mille projets pour cette années nouvelle qui commence si superbement.
Estelle viendra passer le Week-End avec nous dès vendredi soir. Donc les festivités reprendront de plus belles. C'est promis.

C'est sur ce constat que l'annonce se fait entendre. Notre avion nous attend. Embarquement pour Londres sans aucun retard.
Un peu comme des condamnés à morts qui se rendent au châtiment suprême, nous tirons nos valises sur le tarmac. Fatalité.
Estelle me serre la main avant de monter la passerelle. Je la rassure. Nous serons tous les trois pour le retour. Pas de soucis.
Le vol se déroule bien évidemment dans les toutes meilleures conditions. L'avion tourne autour de Londres. Il pleut. Du vent.
L'atterrissage se déroule sans problème. Estelle semble rassurée. Clémentine surmonte ses appréhensions plus facilement...

Il y a trente minutes d'attente et voilà le second avion du retour. La météo est désagréable. Des bourrasques et de la pluie.
Nous arrivons en France pour 18 h30. <Le plancher des vaches, cela fait un effet bœuf à tous les veaux ! > s'écrie Estelle.
Nous rions de bon cœur à cette boutade que lance Estelle pour chasser et conjurer définitivement ses craintes de l'avion.
Nous prenons un des taxis qui attendent devant le hall de l'aéroport. Quarante minutes de route sous une vraie tempête.
Nous arrivons enfin à la maison pour 19 H30. Clémentine ouvre. Nous déposons nos valises dans l'entrée. Il fait bien chaud.

Nous sommes morts de faim. Je propose un bon restaurant car à part des conserves ou des céréales, il n'y pas grand chose.
Clémentine fait : < Oh non, on reste à la maison ! >. Estelle a le même réflexe. Nous allons donc improviser. Bouffe rapide.
Je fais des coquillettes. Il reste un gros morceau de gruyère de Comté. Il y a des betteraves rouges. Ce sera un bon gratin.
J'ai pour principe, depuis toujours, de commencer mes repas par des crudités. Pour Clémentine c'est devenu une obligation.
Tapisser nos estomacs de crudités avant le repas permet la parfaite sécrétion des sucs gastriques et l'excellente digestion.

Il faut se rabattre sur des betteraves rouges que prépare Clémentine en salade. Estelle émince l'ail et l'oignon. Tout va si vite.
Nous mangeons de bon appétit. Un repas simple mais nourrissant. Nous faisons le bilan de ce voyage de retour en riant. Joie.
Estelle a repris sa bonne humeur. Clémentine a retrouvé son optimisme naturel. Tout va donc très bien. C'est un retour réussi.
< C'est bien aussi, à la maison. On va s'offrir beaucoup de bon temps pour faire passer l'hiver ! > conclue Clémentine. Plaisir.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous passons au salon. Une odeur de maison vide. Clémentine allume une bougie.

Nous sommes vautrés dans le canapé. Estelle à ma gauche, Clémentine à ma droite. Nous mettons le programme au point.
Estelle travaille demain matin, à huit heures. Je lui fais remarquer que cela ne me dérangera pas de la ramener pour 7 h30.
Estelle hésite. C'est presque au-dessus de ses forces, après toutes ses émotions, de nous quitter ce soir. J'insiste. Rassurant.
Estelle téléphone à ses parents pour leur annoncer son retour. Clémentine joue avec ma bite qu'elle a extrait de ma baguette.
Estelle revient. Elle se met à genoux sur l'épais coussin entre mes jambes. < Je vais rentrer ce soir ! C'est mieux ! > dit elle.

Estelle me suce longuement, parfaitement immobile en savourant mes montées de liquide séminal. Clémentine m'embrasse.
Nous restons ainsi une grande partie de la soirée. Je caresse la tête d'Estelle qui repose sa mâchoire de façon régulière. Joie.
Je lui chuchote : < Tu te régales ? >. Elle me fait un merveilleux sourire et me répond : < Tu es tellement gentil, Julien ! >
Il est 22 h. Je propose à Estelle d'être raisonnable et de la ramener. Nous sortons sous le grand parapluie. Il pleut. Du vent.
La séparation, dans la voiture, est pénible. A la limite des larmes pour Estelle. Je la rassure : < Si ça va pas, tu reviens ! >.

Sur le retour, Clémentine me suce. Trois petits kilomètres et nous voilà de retour. Clémentine m'entraîne à toute vitesse.
< Je suis si heureuse avec toi. Il m'importe peu d'être ici, en Ecosse ou ailleurs. Je t'aime tellement Julien ! > me fait elle.
Je suis toujours pétri d'émotion devant tant d'élans qui me laissent comme impuissant devant toute fatalité. C'est délirant.
Clémentine se remet à me sucer. Je suis hyper dégoulinant après la pipe taillée par Estelle il y a à peine une demi heure.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec précautions. Nous restons immobiles. Clémentine me confie des secrets...

Bon retour de vacances à toutes les coquines qui sont contentes de rester en compagnie de leur coquin bandeur et lécheur.

Julien - (Qui se fait sucer la queue avant de s'introduire avec d'infinies précautions dans la fille qui lui confie ses secrets)-

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Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 293 -



Le retour à la maison est aussi le retour aux habitudes...

Hier matin, jeudi, je me réveille le premier. Je regarde l'heure sans bouger. Il est 7 h50. Je regarde Clémentine qui dort.
J'aime la voir ainsi, la bouche légèrement ouverte, couchée sur le dos, faussement fragile en ronflant légèrement. Belle.
Le sixième sens médiumnique de Clémentine l'averti sans doute de cette situation car elle s'étire soudain en gémissant.
Un long gémissement qui se termine dans un cri : < Bonjour Julien ! >. Elle se serre. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Et c'est l'amusant rituel pisseux.

Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il fait jour. La luminosité nous semble intense après celle de l'Ecosse.
Clémentine me fait part de cette curieuse impression de nous retrouver seuls sans la présence d'Estelle. C'est une absence.
< Notre petit "animal de compagnie" ! > me fait encore ma compagne. Clémentine prépare le café. Je presse les oranges.
Je coupe les tranches du pain que j'ai sorti du congélateur hier soir. Je les fais griller. Clémentine mets la table. C'est prêt.
Confitures, miel, beurre et yaourts. Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ces dix jours en Ecosse. Superbe.

Nous faisons le programme de la journée à venir. Il faudra s'occuper de la logistique la plus élémentaire. Faire les courses.
Le thermomètre extérieur indique 12°. La pluie tombe sans arrêt. Les bourrasques sont presque tempétueuses. L'horreur.
< Mais tu as vu ce temps dégueulasse ! Viens on retourne en Ecosse ! > me fait Clémentine en s'asseyant sur mes genoux.
Nous rions de bon cœur. La vaisselle. Nous remontons à l'étage pour l'entraînement. Pas de jogging possible avec ce temps.
C'est frustrant, c'est rageant mais il faut se faire une raison. Une heure de gym avec intensité maximale. Aérobic et abdos.

La douche. Il est à peine 9 h45. Nous nous habillons. Il y a une sorte de mélancolie inexplicable. L'Ecosse qui nous manque.
L'absence d'Estelle après ces huit jours d'ambiance incessante. Le retour et surtout cette épouvantable météo. Pas de doute.
Malgré le temps, Clémentine porte une de ses jupes d'épais velours carmin. Ses collants noirs et "truqués". Chemise et pull.
Ses souliers de ville à talons plats. Sur sa demande, je porte mon pantalon de velours marron, chemise, pull. Souliers bruns.
Nous mettons les anoraks que nous portions en Ecosse. Inutile de prendre un parapluie qui serait détruit dans l'instant. Vent.

Nous courons jusqu'au garage sous d'amples capes de pluie qui nous descendent aux chevilles pour les retirer à la voiture.
C'est presque la tempête. Nous voilà dans la voiture. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe qu'elle m'a sorti.
Nous passons devant le haras. Il y a des voitures dans la cour mais personne sous cette pluie battante. Une météo abjecte.
Clémentine retrouve son optimisme et sa bonne humeur naturelle. Rapidement elle retrouve le sourire. Elle me branle. Rire.
Nous arrivons sur le parking du supermarché. Il y a peu de monde. Je me gare le plus près possible de l'entrée. De la place.

Sur la demande de Clémentine, je garde ma braguette discrètement ouverte. Je pousse le Caddie. Nous filons à toute vitesse.
Ouf ! Nous voilà au sec, nos anoraks ruisselant d'eau. Nous avons tout notre temps. Aussi nous décidons de flâner. Sympa.
Clémentine marche devant moi pour choisir les produits qu'elle dépose dans le chariot. Il y a peu de monde. C'est agréable.
< On s'offre un "plan" ! > propose Clémentine en m'entraînant au rayon culturel. Nous faisons le tour en regardant partout.
Il n'y a personne. < Attends moi là, je vais bien finir par attirer un quidam ! > me fait ma compagne aux bandes dessinées.

Je la regarde s'éloigner pour aller devant le rayon des livres de poche. Elle s'accroupit. Elle me fait un délicieux sourire. Joie.
Ses cuisses écartées, elle me fait voir sous sa jupe. L'ouverture du collant "truqué" me permet de voir le blanc de sa culotte.
Je lève le pouce comme pour la féliciter. Nous sommes distant d'une dizaine de mètres. C'est un superbe spectacle. Insolite.
Il y a un couple qui arrive en marchant doucement. La femme glisse quelques mots à l'homme avant de le laisser tout seul.
L'inconnu pousse le chariot en errant dans le rayon. Il aperçoit Clémentine debout, feuilletant un livre. Il s'approche. Je mâte.

Le quidam, dans un réflexe bien masculin, dépasse la fille en louchant à s'en déboîter les globes oculaires. Il s'arrête plus loin.
Il prend un livre sur la grande table de présentation. Machinalement il feuillette l'album qu'il tient. Moi je fais semblant de lire.
Clémentine, sous ses longs cheveux en liberté peut se rendre compte rapidement de l'attention dont elle fait l'objet. Prudente.
Je la vois s'accroupir et se mettre en position. A l'abri du chariot serré contre le rayonnage, elle est face aux bouquins. Belle.
Les cuisses largement écartées devant les livres, la position est ambiguë. Ce qui attire l'attention de l'inconnu qui s'approche.

L'homme pousse son caddie contre le rayon. Il est à quelques deux mètres de la jeune fille. Je fais semblant de lire ma B.D.
Il regarde partout autour de lui avec un livre à la main. Lentement Clémentine, toujours accroupit, se tourne dans sa direction.
Depuis l'endroit où je me trouve je ne peux m'empêcher d'être admiratif devant le culot et la stratégie mise en œuvre. Super.
Le type a le comportement habituel du quidam qui découvre une telle situation. Il s'accroupit à son tour pour mâter. Il mâte !
Clémentine lui en offre pour ses attentes. Le type mâte dans tous les sens, guettant certainement le retour de la femme. Bien.

J'ai le cœur qui bat la chamade. Mon érection contrainte au fond de mon slip est désagréable. Je voudrais bien sortir mon sexe.
Clémentine aime me savoir aussi excité qu'elle et que la "victime" de ses jeux. C'est un jeu à trois, mais une complicité à deux.
La situation perdure un moment. Le type s'est encore rapproché. Avec la présence de sa femme, il ne sera pas un emmerdeur.
L'inconnu ne pourra pas se comporter en éventuel "boulet". Clémentine se redresse. Elle passe sa main entre ses cuisses. Vice.
Au travers du tissus de sa jupe, Clémentine se palpe discrètement le sexe à côté de ce type qui doit certainement halluciner...

La femme revient. L'homme l'a repéré avant qu'elle ne se doute de quoi que ce soit. Clémentine, rusée et stratège, cesse tout.
Le couple s'en va. Clémentine vient me rejoindre. Elle prend ma main pour la poser sur sa poitrine. Je sens battre son cœur.
< Tu sens ? C'était génial, ça m'a manqué ! > me fait ma compagne dont je vois les petites gouttes de sueur briller sur le nez.
Elle m'entraîne au rayon des vêtements homme. Malgré nos attentes, il n'y a personne. Nous continuons nos achats. Sympa.
Nous achetons des légumes, des fruits. Puis c'est le rayon des fromages. La poissonnerie. Nous voilà à la caisse. Là, le couple...

L'homme revoit la jeune vicieuse qui lui a offert le show de tout à l'heure en compagnie d'un homme d'âge mûr. Interrogation.
Suis-je le père, l'amant, l'ami ? J'ai envie de lui répondre que je suis les trois en même temps selon la demande et le moment.
Toujours est-il que l'homme regarde discrètement mais avec insistance depuis la caisse voisine. Sa femme ne se doute de rien.
Nous voilà à la sortie. Il pleut. C'est la tempête. Nous repérons la voiture. Nous évaluons la distance. Nous courons très vite.
Nous voilà à la voiture sous une pluie battante. Le bruit régulier de l'essuie glace rythme notre route du retour. Il est 12 h50...

Nous rangeons nos courses. Nous prenons notre temps. Nous échangeons nos impressions. Nous sommes bien de retour. Joie.
Nous avons retrouvé nos réflexes habituels. Clémentine me fait remarquer que notre petit jeu au magasin y est pour beaucoup.
C'est certain. Et lorsque ma compagne éprouve une tristesse, c'est cette sexualité déviante qui remet les pendules à l'heure.
Clémentine exerce cette "thérapie" depuis l'adolescence. < Et ça marche ! > me confie t-elle. Nous rions de bon cœur. Sympa.
Nous préparons un gratin de pommes de terre façon tartiflette. Clémentine s'occupe de la salade. En nous embrassant souvent.

Pendant que le gratin est au four, tout étant prêt, nous passons au salon pour découvrir nos courriels sur l'ordinateur. Mails.
Deux messages de Juliette qui nous invite à venir manger le soir de notre choix la semaine prochaine. Et un message d'Estelle.
< Dur le retour, vous me manquez, l'Ecosse me manque. Venez me chercher vendredi soir à 18 h30 ! > nous écrit elle. Rires.
Clémentine répond par l'affirmative. Nous rions de bon cœur. La sonnerie du four nous appelle à la cuisine. Nous avons faim !
Nous mangeons de bon appétit. Nous apprécions à présent d'être de retour dans notre petite vie rassurante et pleine de plaisir.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part des émotions vécues ce matin. Exhibe.
Elle me confie : < Je me sens tellement salope, vivement le printemps ! Je vais dépasser toutes mes dernières inhibitions ! >
Je lui dis : < Mais ça va être difficile d'aller plus loin ! Comme vas-tu t'y prendre ! >. Nous rigolons comme des bossus. Joie.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous retournons au salon. Je propose à ma compagne un bon broutage de minou.
Je n'ai pas à le demander une seconde fois. La voilà à retirer sa jupe, son collant et sa culotte. J'enlève mon pantalon et slip.

A genoux sur l'épais coussin, entre les jambes de Clémentine je hume les parfums de son sexe. Il y a l'odeur du pain Dove.
L'excitation vécue au supermarché a rendu son minou humide. Des épanchements de cyprine jusque dans la raie culière.
J'ai donc de quoi me régaler sous les gémissements de Clémentine qui me guide par les oreilles. Il faut être vigilant. Prudent.
Clémentine déteste avoir un orgasme prématuré. Elle préfère rester excitée toute la journée. Je cesse au bon moment. Bien.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles...

C'est dans cette immobilité dont nous raffolons tous deux que Clémentine me révèle les choses les plus secrètes. C'est super.
Par séquences nous nous mettons à nous bercer en rythme pour cesser dès que cela devient critique. L'orgasme pour ce soir.
Nous restons ainsi un très long moment à savourer nos révélations et notre bonheur. C'est toujours si intense et si émouvant.
Il est 15 h30. Nous ne pourrons plus repousser l'échéance plus longtemps. Je me retire à temps. Clémentine se serre très fort.
Après avoir repris nos esprits, Clémentine m'entraîne à l'atelier. Il y règne cette odeur caractéristique d'huiles précieuses. Joie.

Ce sont les odeurs des huiles de lin et d'œillette que j'utilise à profusion. Clémentine adore cette odeur d'atelier de peintre.
Nous allumons un feu dans la cheminée. Assis en tailleur nous regardons ce spectacle toujours si étonnant et inspirant. Feu.
Nous évoquons l'Ecosse, Estelle, le trimestre à venir, le "Master" que prépare Clémentine, la faculté, le haras et les écuries.
Nous traînons ainsi jusqu'au repas de soir. Nous sommes bien fatigués. Il suffit de réchauffer le gratin de patates. Une laitue.
Au salon, nous regardons les photos d'Edimbourg que nous a envoyé Estelle. A 22 h nous sommes au lit. "69", baise et dodo...

Bon retour aux petites habitudes à toutes les coquines qui aiment s'exhiber, de faire lécher le minou et baiser sans bouger...

Julien - (Qui apprécie ce retour avec toute la conscience qu'il met à brouter le minou de Clémentine) -

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Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 294 -



C'est le dernier Week-End de ces vacances de début d'année...

Hier matin, vendredi, je suis réveillé le premier. Il est 7 h50. Sur ma gauche, Clémentine est déjà entrain de s'étirer. Belle.
< Bonjour Julien ! > s'écrie t-elle après un long gémissement. Je la serre contre moi. Je lui dis : < Bonjour Clémentine ! >.
Elle me chevauche en riant. Tendresse, douceurs et papouilles avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Pissous.
Dès la fin de nos amusants rituels pisseux nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous sommes morts de faim.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Clémentine met la table. Joie.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous faisons le bilan de notre séjour en Ecosse. Cela fait déjà partie du passé.
< Je suis pressée d'y retourner. Hiver ou été, j'aime ce pays ! > précise ma compagne. Cela me rassure. Elle est charmée.
J'évoque la possibilité de passer une dizaine de jours dans le Périgord noir, aux environs de Sarlat, aux vacances de Pâques.
Clémentine sait pouvoir me faire confiance. J'ai des goûts certains en matière de connaissances historiques et géographiques.
< Je te fais confiance. Et tout ce que tu m'as fait découvrir m'a toujours enchanté ! C'est parti ! >me fait encore Clémentine.

Le thermomètre extérieur indique 11°. Le ciel est gris mais lumineux. Le sol est encore humine. La pluie a cessé cette nuit.
Nous faisons la vaisselle. Nous remontons nous mettre en tenue. Nous avons beaucoup trop envie de nous faire un jogging.
Nous voilà vêtus de nos leggings, de nos sweats et de nos K-ways. Avec la température, pas besoin de bonnets ni de gants.
Nous courons toutefois avec un rythme soutenu. Nous restons sur la petite route pour éviter les chemins qui sont détrempés.
Nous courons sur l'ancienne voie ferrée transformée en piste cyclable. En hauteur, nous avons une vue parfaite sur le haras.

Il est dix heures lorsque nous revenons de notre running. Comme toujours, euphoriques et satisfaits nous nous en félicitons.
Nous faisons un rapide tour de la propriété. Avec la tempête, il y a plein de branches cassées qui jonchent le sol. Incroyable.
Nous rentrons. J'entraîne Clémentine au salon. < Toi, tu es coquin ce matin ! > fait elle en retirant son legging et sa culotte.
Je retire le mien et mon slibard. Je pousse Clémentine sur le canapé. A genoux sur le coussin, je hume ses parfums de filles.
Je respire les senteurs de sa nuit, les odeurs de son jogging. J'adore car ça sent fort. Des effluves prometteuses. Le bonheur.

Clémentine me tient par les oreilles. Avant d'être saisie de ses vertiges habituels, elle aime m'observer dans mes découvertes.
Je fourre mon visage dans la touffe prodigieuse dont les poils me chatouillent le bout du nez, les joues et le menton. Sympa.
Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues du sexe de Clémentine. Je peux déjà l'entendre gémir, les yeux fermés. Joie.
Il y a ce goût vinaigré, légèrement acidulé. Il y a ces miasmes fondants qui se diluent sur ma langue, dans ma bouche. Frome.
Il y a de quoi se régaler avec les épanchements de cyprine épaisse et gluante à laquelle se mêlent ses humeurs de jeune fille.

Se régaler des saveurs d'une jeune fille de 20 ans est un véritable élixir de jouvence pour un homme de 52 ans. Médicament.
C'est lorsque j'ai bien nettoyé son sexe et sa raie culière puis que je lèche son clitoris géant que Clémentine perd le contrôle.
Il y a des frissons, de légers spasmes. Il me faut donc procéder avec prudence. Clémentine déteste les orgasmes prématurés.
A quelques reprises, juste avant l'inéluctable, ma compagne me repousse doucement. Il faut cesser. Respecter ses doléances.
Elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Et, comme nous aimons, nous restons immobiles.

C'est toujours dans ces moments, imbriqués l'un dans l'autre, sans bouger, que Clémentine me fait des révélations secrètes.
J'adore l'entendre me chuchoter les plus étonnantes cochonneries. C'est attendrissant, excitant. Je partage ses secrets. Bien.
Je peux en révéler une petite partie avec son autorisation. Il y est question d'exhibitions, de projets vicieux et d'expéditions.
Bien évidemment, les écuries et leur palefrenier vicieux font partie des confidences. Nous nous berçons en maîtrisant le tout.
Nous aimons tous deux rester excités le plus longtemps possible. Nous trouvons toujours regrettable de jouir trop vite. Bien.

Il est onze heures trente. Après nous êtres régalés une dernière fois de nos épanchements, nous montons prendre la douche.
Vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, chaussés de nos espadrilles catalanes, nous nous préparons le repas de midi.
Je prépare la pâte pour notre tarte aux poireaux de ce soir. La Flamiche Picarde qui nous manque subitement depuis dix jours.
A midi, ce sera du riz complet, accompagné d'un peu de la Béchamel contenant les morceaux de poireaux. Gruyère de Comté.
Clémentine prépare la laitue. Nous bavardons en nous faisant quantité de bisous. Tout va vite, nous sommes méthodiques...

Nous mangeons de bon appétit. < Cela fait un an et six jours que nous vivons ensemble ! C'est sublime ! > fait Clémentine.
Je suis un homme. Comme la plupart de mes congénères, les dates, les durées m'échappent quelque peu. Pas aux femmes.
Je lui dis : < Pour marquer cet anniversaire, demain soir, nous irons manger dans notre restaurant de l'étang ! Tu veux ? >.
< Oh oui ! Et demain, à midi, au dessert, on tire les rois ! > rajoute ma compagne. Hier, nous avons acheté une belle galette.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me propose le programme de l'après-midi. Sympa.

La vaisselle. Dehors le ciel se couvre pour devenir menaçant. Il est 13 h45. Nous chaussons nos bottes grises en caoutchouc.
Nous mettons nos vieux anoraks. Nous voilà à ramasser les branchages qui jonchent le sol. Et nous allons visiter la roseraie.
Tout a poussé dans les jardinières. Il faudra toutefois attendre le printemps pour obtenir de belles fleurs, salades, ciboulettes.
Il est 15 h30. Nous avons réuni tous les branchages sur un grand tas à côté du compost. Secs, nous pourrons les brûler. Joie.
Il y a les premières gouttes de pluie. Il est 16 h lorsque nous cessons nos activités de plein air. Nous rentrons satisfaits. Bien.

Nous passons au salon pour interroger nos boîtes mails. Il y a deux courriels. L'un de Juliette qui nous rappelle son invitation.
Il y a le courriel d'Estelle qui nous envoie plein de photographies prises il y a quelques jours en Ecosse. Belles photographies.
Par réflexe et par acquis de conscience, Clémentine se rend sur le site de l'université. Elle m'explique les informations. Bien.
Il y est question du stage en entreprise de trois semaines, obligatoire et que chaque étudiant doit faire. Formulaire à remplir.
Clémentine fera son stage dans l'entreprise de Juliette. Au haras. Trois semaines. Du lundi 5 février au vendredi 23 février...

Il est dix huit heures. Il pleut. Il y a du vent. Nous sortons pour aller chercher Estelle qui nous attend près de chez elle. Bien.
La jeune fille est à l'abri dans l'arrêt du bus. Vêtue de son jean, de son anoraks de ses chaussures montantes, son gros sac.
Dans la voiture, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle me fait plein de bises. Heureuse. Je roule doucement.
Nous voilà à la maison. Estelle est si contente d'être de retour avec nous qu'elle sautille autour de la table de la cuisine. Joie.
< Enfin ensemble ! > fait elle. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lui fait : < Notre "petit animal de compagnie" ! >.

< Oh oui ! Rien qu'à vous ! > fait Estelle en mimant une masturbation masculine avec toute sa vulgarité coutumière. Vice.
< Et je suis très obéissante ! > rajoute encore Estelle en mimant une pipe. La main qu'elle fait tourner devant sa bouche.
Nous sommes morts de faim. Il est déjà dix neuf heures. Estelle étale la pâte. Je réchauffe la Béchamel qui est bien figée.
Clémentine s'occupe de la scarole. Les filles évoquent le second trimestre, les études et le stage en entreprise d'Estelle.
Estelle s'acquitte de cette obligation dans l'entreprise familiale du lundi 15 janvier au vendredi 2 février. C'est déjà réglé.

Ces certitudes rassurent les filles qui envisagent les stratégies à appliquer pour rédiger leurs rapports de stages. J'écoute.
Je suis toujours admiratif devant leurs capacités organisationnelles. J'apprécie cette faculté d'anticiper les choses à venir.
J'ai le même fonctionnement dans ma vie. Je déteste avoir des choses non réglées qui flottent autour de moi. C'est mieux.
Pendant que la Flamiche est au four, nous passons au salon. Estelle se précipite dans mes bras. Je la laisse se serrer fort.
Clémentine lui fait : < Oh la ! On se calme la nymphette ! >. Nous rions de bon cœur. < Merci pour tout ! > fait Estelle...

Vautré dans le canapé, Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche, nous exposons le programme du Week-End. Super.
Estelle est ravie. La galette des rois, le restaurant de l'étang et surtout d'êtres ensemble jusqu'à dimanche soir. Bonheur.
La sonnerie du four nous tire de nos introspections. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. L'odeur fabuleuse.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent de leurs études. J'écoute en silence. C'est toujours si intéressant. Bien.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons et faisons propre. Nous passons au salon. Il est déjà 20 h15.

Je suis votre "petit animal de compagnie", j'ai droit à ma gourmandise alors ! > fait Estelle en posant le coussin au sol.
Clémentine se vautre dans le fauteuil. Je me vautre dans le canapé. Estelle est à genoux sur le coussin. Je déboutonne.
La braguette ouverte, j'observe Estelle qui me fixe avec un sourire terriblement vicelard. Je lui caresse la tête. Cheveux.
< Les affaires reprennent ! > me fait Estelle en fourrant sa main dans ma braguette. Maladroite, elle en extrait mon sexe.
Je bande mou. Estelle hume longuement. Elle tente de me décalotter afin de renifler les reliquats de frome que j'y laisse.

Clémentine a déboutonné son jean pour y glisser sa main droite. Ma compagne adore me voir dans ces situations. La joie.
C'est un des grands plaisirs de ma compagne que de me voir me comporter en vicelard avec Estelle. Cela l'excite beaucoup.
Estelle, en gémissant de bonheur, me taille une de ces pipes des familles qui me procure les plus vertigineux égarements.
Je la tiens sous le menton afin de guider sa fellation. Clémentine se met à gémir, se masturbant. Elle me fait des sourires.
Je lève le pouce pour lui témoigner ma satisfaction. Elle lève le sien pour me témoigner de son enchantement. Estelle suce.

Nous restons ainsi une grande partie de la soirée. J'offre des séquences de repos à la mâchoire d'Estelle en me retirant.
Estelle m'en est reconnaissante. Je me penche pour couvrir son visage de bisous. A nouveau je me mets dans sa bouche.
La jeune fille pousse des petits cris de ravissement à chaque montée de liquide séminal. Clémentine est au bord du plaisir.
J'éjacule sans bouger et sans prévenir. Estelle déglutit avec difficulté en poussant des râles de plaisir. Clémentine jouit.
Nous reprenons nos esprits doucement. Il est 22 h30. Epuisés, nous montons nous coucher. Bavardages et dodo. La joie.

Bon retour à vos petites habitudes bien vicelardes à toutes les coquines qui aiment êtres "Petit animal de compagnie"...

Julien - ( Qui s'apprête à se faire vider les couilles durant ce dernier Week-End de vacances. Un Week-End juteux) -

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Classe 9 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 295 -



Estelle aime se savoir notre "Petit animal de compagnie"...

Hier matin, samedi, il est 7 h45 lorsque je me réveille. A ma gauche Clémentine est entrain de s'étirer. Estelle dort encore.
< Bonjour Julien ! > me chuchote ma compagne qui se serre contre moi. Je dis < Bonjour Clémentine ! >. Des papouilles.
Nous percevons le doux renflement régulier d'Estelle. Il est rare que le réveil à trois se déroule de cette manière. Très rare.
Pourtant la situation ne dure pas. Malgré nos précautions, Estelle s'étire à son tour, terminant son gémissement dans un cri.
< Bonjour les gens ! > nous fait elle. Clémentine et moi nous faisons : < Bonjour Estelle ! >. Nous nous offrons des bises.

Estelle se lève pour se précipiter aux toilettes la première. Dehors le jour commence à se lever. Un ciel gris, bas et sinistre.
Clémentine me chevauche en riant. Tendresse. Estelle revient pour nous dire : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >.
Nous nous précipitons à notre tour aux toilettes poussés par l'impérieux besoin naturel de nos amusants rituels pisseux. Joie.
Nous descendons à toute vitesse rejoindre Estelle dans son pyjama de soie mauve. La bonne odeur du café et du pain grillé.
Tout est prêt. Estelle vient de serrer contre moi pour me faire plein de bises. < Je te remercie pour ces fêtes ! > me fait elle.

Je lui dis : < C'est terminé. C'est déjà derrière nous ! >. Clémentine rajoute : < Rangé dans l'armoire à souvenirs ! >. Rires.
Je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. Confiture, miel. Nous mangeons de bon appétit. Le jour se lève enfin.
Le thermomètre extérieur indique 9°. Le sol est sec. Clémentine lance : < On se fait notre jogging avant que ça change ! >.
Nous remontons nous mettre en tenues. Leggings, sweats, K-ways, bonnets et gants. Il y a un léger vent qui rafraîchit tout.
Une impression désagréable. Nous courons donc très rapidement d'un bon rythme pour nous réchauffer. Cela va très vite...

Pour éviter les portions de chemin encore détrempés, nous courrons sur la petite route déserte, puis sur la piste cyclable. Bien.
Il est 10 h30 lorsque nous revenons d'un running d'une heure trente et des plus agréables. Le ciel est devenu moins menaçant.
Estelle file à la douche la première. Clémentine m'entraîne dans la chambre. < Je suis une vraie salope, aujourd'hui ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur lorsque je rajoute : < Et bien, voilà qui change un peu ! >. Je fais tomber Clémentine sur le bord du lit.
Je lui retire son legging et sa culotte. Elle m'aide. Me voilà à humer les parfums de sa nuit de fille et de son jogging. Superbes.

Je ne tarde pas à fourrer mon visage dans sa touffe dense et drue. Les poils me chatouillent le nez, les joues,le menton. Bien.
Je lèche les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe humide. Estelle revient et nous surprendre en plein cunnilingus.
< Bon appétit ! > vient elle me glisser à l'oreille. Elle me fait plein de bises sur le front, la nuque et m'attrape par les couilles.
Pas de doute. Nous sommes bien de retour dans notre petite existence douillette, farfelue et si intense. Je me régale de jute.
Clémentine est très juteuse, il y a donc de quoi me sustenter. Je cesse avant que la situation ne devienne critique. La douche.

Nous sommes seuls en haut. Nous nous habillons. Ce samedi matin, pas de courses à faire. Nous les avons faites jeudi matin.
Nous retournerons en ville cet après-midi pour les derniers achats avant la rentrée. Lundi les cours reprennent à l'université.
Clémentine met sa jupe kilt. Ses collants "truqués" avec l'ouverture qui permet de voir son sexe. Chemisier blanc sous le pull.
Des souliers de ville à talons plats. Sur sa demande, je mets mon pantalon de velours marron, chemise blanche sous le pull.
Mes souliers de ville bruns. Nous rejoignons Estelle qui est au salon, assise derrière le bureau, devant l'écran de l'ordinateur.

Les filles parcourent le site de l'université. Il y a les deux formulaires concernant les stages d'entreprises qu'il faut télécharger.
Clémentine allume l'imprimante. Tout se fait rapidement. < On fait ça demain ! En préparant nos affaires ! > fait Clémentine.
Il est déjà onze heures trente. Je laisse les filles à leurs occupations pour aller à la cuisine. Les langoustines sont décongelées.
Je fais bouillir de l'eau dans laquelle je jette de l'ail et de l'oignon grossièrement coupés. Du persil et de la ciboulette. Bouillon.
J'y rajoute les langoustines. Clémentine vient me rejoindre la première. < Je me réjouie pour la rentrée ! > chuchote t-elle...

Estelle arrive à son tour. < C'est super, pour lundi, tout est prêt ! C'est rassurant et tellement sécurisant ! > fait elle. La joie.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare l'assaisonnement. Je fais différentes sauces à base d'une mayonnaise. Bien.
Je répartie la mayonnaise dans quatre petits bols. Dans le premier, du poivre, le second de l'ail pressé, le troisième "nature".
Dans le quatrième je mets du parmesan râpé en poudre. Comme nous aurons la galette des rois en dessert, mangeons léger.
Estelle met la table. Clémentine remue la salade. Je sors les langoustines de leur bouillon pour les disposer sur un plateau...

Nous mangeons de bon appétit. La conversation s'articule bien évidemment autour de la rentrée universitaire de lundi matin.
J'écoute. Je suis admiratif devant l'organisation méthodique et toute féminine dont font preuve Clémentine et Estelle. Super.
Ce repas, à la fois frugal et simple est délicieux. J'ai réservé une table au restaurant de l'étang pour ce soir. Journée sympa.
< Tu seras bien vicelard, ce soir, au restau, s'il y a la serveuse ? > me demande Estelle. Nous rions de bon cœur. La coquine.
Clémentine rajoute : < Tu lui fais le test des chiottes ! Si elle te suit, c'est "gagné" ! >. Nous en rigolons comme des bossus.

Le dessert. C'est solennel. La galette des Rois est posée sur la table. Une belle et grosse galette à la frangipane. Appétissante.
C'est Clémentine qui la coupe en six parts. Nous savourons l'excellente pâtisserie artisanale. C'est un véritable régal. Miam...
Assise sur mes genoux, Clémentine savoure sa seconde part. < C'est moi ! > s'écrie soudain Estelle en nous montrant la fève.
C'est un petit personnage qui n'est pas vraiment identifiable. Je dis : < Tu es la Reine jusqu'à ce soir minuit ! >. La couronne.
< Nous exauçons tous vos désirs chère Reine ! > fait Clémentine. Estelle débarrasse la table pour commencer la plonge. Bien.

Il est déjà 13 h30. Nous sommes prêts pour le départ. Estelle reste en jean, sa chemise à carreaux sous son sweat. Sympa.
Dehors, le ciel est d'un gris lumineux. Il y a même quelques séquences d'ensoleillement. Nous mettons no manteaux. Chaud.
Estelle est en anorak. Nous voilà dans la voiture. Direction la ville à 12 km. Nous passons devant le haras. Il y a des visiteurs.
Nous arrivons en ville. Je gare la voiture dans une rue à dix minutes de marche du centre. Une météo plutôt sympathique...
Nous marchons en flânant. Les filles désirent se rendre dans la grande papeterie afin d'y faire quelques achats spécifiques.

Il y a du monde dans le centre. Nous faisons quelques boutiques. Je demande à Clémentine si elle a besoin de quelque chose.
< J'ai de quoi m'habiller pour dix ans au moins ! > me fait elle. Estelle me dit : < Avec ce que tu m'as offert à Noël, pareil ! >
Clémentine aime faire de l'essayage. Pour Estelle c'est une véritable torture. Je reste d'une neutralité totale. J.C. Van Damme !
Nous rions de bon cœur à cette plaisanterie "It's neutral". Nous parcourons les rues en déambulant avec nonchalance. Sympa.
Je propose une éventualité "Plan" dans un salon de thé. < Oh oui ! Une exhibe ! > s'écrie Clémentine en se serrant contre moi.

Nous rions de bon cœur. D'autant plus que souvent, discrètement, Estelle met sa main sur ma braguette qui reste ouverte.
Sur la demande de Clémentine, je reste avec la braguette ouverte sous mon manteau. Et personne ne pourrait s'en douter.
Estelle peut donc en profiter un maximum. Lorsque je lui demande d'être plus discrète, elle me fait : < Je suis la Reine ! >.
Nous voilà dans notre salon de thé préféré. En haut des quatre marches sur le dernier niveau. Il y a peu de monde. Sympa.
Assis devant de bons chocolats chauds et fumants. Nous bavardons. Il est à peine 17 h30 et nous avons déjà faim. Restau !

Il y a un jeune homme qui doit être accompagné de sa mère assis au niveau inférieur. Clémentine me pousse du coude. Rire.
< Un "plan" ! > me fait elle en me montrant le couple. Estelle lui demande : < Tu lui fais un show ? >. Nous sommes discrets.
Je mâte sur l'écran du téléphone comme dans un rétroviseur pour observer les réactions du jeune homme. Estelle fait pareil.
Clémentine nous explique en chuchotant ce qu'elle fait sous la table. Et sur nos écrans nous pouvons en constater les effets.
Le jeune homme, tout en bavardant avec sa mère a déjà remarqué les cuisses largement écartées de la fille assise au dessus.

Estelle a passé sa main sous la table, discrètement penché, elle me palpe la braguette en me demandant : < Tu bandes ? >.
Bien évidemment. Je le lui confirme en sortant avec difficulté mon sexe sous la table. Personne ne peut s'en douter. Je bande.
Estelle me la tient en faisant : < Wouah, j'ai envie de la bouffer ! C'est génial ! Vous êtes gonflés vous les deux. Vicieux ! >.
Clémentine se lève pour tenter le test des chiottes. Les WC. Pourtant, le jeune homme ne semble pas avoir saisi l'opportunité.
Estelle me fait : < Tu vois, c'est un D'jeune ! Il n'a pas compris ! >. Nous rions de bon cœur. < Tu dégoulines ! > fait Estelle.

Elle me montre ses doigts. Ils sont luisants de mon liquide séminal. Lorsque je suis excité, j'en produis en grande quantité.
Estelle se lèche les doigts et me chuchote encore : < Arrête moi ou je passe sous la table. Après tout, je suis la reine ! >.
Nous rions de bon cœur en regardant Clémentine revenir. < Put-hein j'ai attendu pour rien ! C'est quoi ce mec ! > fait elle.
Nous rigolons comme des bossus. Nous décidons de mettre un terme à tout cela. Je paie. Nous voilà à nouveau au dehors.
La nuit est tombée. Le climat commence à se rafraîchir. Il est 18 h30. Nous nous promenons encore un peu. C'est sympa.

Comme toujours, beaucoup de regards se posent sur nous. Cet homme d'âge mûr entouré de ces deux jeunes filles aux bras.
Cela nous amuse beaucoup. Clémentine aime s'en jouer, exagérant encore son port de tête naturellement altier, presque fier.
Estelle s'en amuse à sa façon, me déposant des bises sur la joue. Nous retournons à la voiture. Il est 19 h30. Morts de faim.
Je roule doucement pour sortir de la ville. Au rond point, je prends la toute petite route. Nous passons devant le chantier.
< Il faudra que j'y retourne donner mon show ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle dit : < Salope ! >.

Nous arrivons au restaurant. Il y a quelques voitures déjà garées sur le parking. Clémentine nous propose de marcher un peu.
Nous faisons le tour du petit étang en restant sur le sentier dallé. La fraîcheur de la nuit achève d'ouvrir nos appétits. Balade.
Nous rentrons dans l'établissement. Cet endroit a toutes nos préférences. Des chandeliers sur les tables. Des bougies partout.
C'est à la fois romantique, suggestif et pour nous, très excitant. Comme le précise Clémentine, la pénombre permet des trucs.
C'est la jeune serveuse habituelle qui nous accueille pour nous proposer une table au fond, près du comptoir. Et des toilettes.

Nous choisissons un plateau de fruits de mer. Non seulement nous en raffolons, mais cela nous rappelle les vacances. Ecosse.
Estelle me fait : < Sors ta bite sous la table ! Je l'exige, aujourd'hui, je suis la Reine ! >. Nous en rigolons comme des bossus.
Me voilà avec le sexe à l'air sous la table. Clémentine me fait : < Toi aussi tu as droit à quelques "plans" parfois ! >. Rigolade.
Estelle me fait : < Lorsque la serveuse vient prendre la commande, j'exige que tu te branles sous la table ! Je suis la Reine ! >
Clémentine lui fait : < Dis donc, tu te révèle de plus en plus, toi ! >. Estelle répond : < Je suis à la bonne école ! >. Poilade !

La serveuse vient prendre la commande. Je me masturbe discrètement mais de façon à ce qu'elle voit mon bras bouger. Vice.
La jeune fille, élégante, les cheveux noirs attachés en catogan, est plutôt belle. Je m'en rends compte sur l'instant. Bien excité.
Pas l'ombre d'un doute, à son attitude, à sa façon de se comporter, elle comprend parfaitement ce que je fais. Elle écrit. Note.
< Félicitations ! > me fait Estelle. < J'adore quand tu es vicelard ! > rajoute Clémentine. Je suis un peu gêné. C'est hyper bien.
A chaque fois que je regarde la serveuse affairée derrière son comptoir, elle me lance un curieux regard. Elle reste sérieuse...

La dernière fois que nous étions venus manger, avant de partir en Ecosse, j'avais montré ma bite à la serveuse aux toilettes.
Les toilettes sont le seul endroit où l'on peut se retrouver légitimement avec la queue à l'air. S'il s'y trouve une fille, tant pis.
La serveuse revient avec le grand plateau ovale. Enfin j'ai droit à un sourire discret qui n'échappe pas à Clémentine. Silence.
Il y a peu de monde dans la salle. Aucune opportunité exhibitionniste pour Clémentine que cela frustre un peu. Bavardages.
A chaque fois que je regarde en direction du comptoir, la serveuse me regarde par en dessous, avec un léger sourire. Sympa.

Tout cela n'échappe évidemment pas à Clémentine qui voit toujours tout. Et surtout ce genre de choses dans ces situations.
< Fais lui un premier test "Chiottes" ! J'exige ! Je suis la Reine ! > me fait Estelle. < Oui, vas-y ! > rajoute Clémentine. Joie.
Je me lève. Je vais vers l'escalier qui descend au sous sol. Comme l'autre fois, je pointe mon index en regardant la serveuse.
Mon doigt pointé vers l'escalier est comme une invitation. Elle me fait un discret sourire, toutefois terriblement vicelard. Bien.
Je descends. J'entre dans les toilettes homme. Tous les sens aux aguets, j'écoute en ouvrant mon pantalon. Je le descends.

Les toilettes sont d'une propreté exemplaire. Eclairées d'une lumière tamisée. J'ai le pantalon et le slip descendus aux genoux.
Je me masturbe doucement. Rapidement, je bande comme un priapique en phase terminale. Un véritable démonte pneu. Bois.
La bite fièrement dressée vers le plafond, je cesse. J'entre ouvre la porte. En même temps j'entends le bruit d'un pas féminin.
C'est la serveuse. J'ai un choc dans la poitrine. Je sens battre mon cœur. Mon corps est agité d'un spasme. Je bande. Dingue.
La jeune fille pousse la porte et me découvre ainsi, mes mains sur les hanches, vêtements baissés avec un barreau de chaise.

Il y a peu de clients en haut. Comme la dernière fois elle me dit : < Oh pardon ! Je me suis trompée de porte ! >. Je souris.
Je m'empresse de lui répondre : < J'adore toutes les fois où vous vous trompez de porte ! >. La jeune fille est toute rouge.
Elle reste un instant, hésitante. Au moment où elle fait mine de tourner des talons, je lui dis : < Vous appréciez, j'espère ? >
La jeune fille ne sait pas quoi dire, comment réagir. Je la rassure : < Ce n'est qu'un jeu qui vous amuse autant que moi ! >.
Devant cette évidence, mon grand calme, la jeune fille semble avoir repris tous ses esprits. < Oui ! Je crois bien ! > dit elle.

Je me branle doucement. Comme hypnotisée, elle me regarde. Elle observe mon sexe. Je le tiens à sa base. Je l'agite. Calme.
Je lui dis : < C'est génial, non ? >. La serveuse cherche les mots justes. Elle me répond : < C'est vrai ! C'est génial ! Merci ! >
Un bruit de pas qui descend l'escalier. Je remonte mon pantalon à toute vitesse pour me tourner vers l'urinoir mural. Silence.
C'est Clémentine. La serveuse la contourne pour filer à toute vitesse. < Il s'est passé quelque chose . > me demande t-elle.
Je lui raconte en la rassurant. Clémentine s'accroupit pour me prendre la bite. Elle l'inspecte en la scrutant avec un grand soin.

Il y a un nouveau bruit de pas. C'est un client. Nous nous réajustons à toute vitesse pour remonter. Estelle nous fait un sourire.
< Alors, bande de vicelards, vous avez trouvé une nouvelle recrue au "Club" ! > dit elle. Nous en rigolons comme des bossus.
La serveuse évite de croiser mes regards. Malgré mes tentatives, il n'y a plus aucun échange. < Normal ! > me fait Clémentine.
Nous traînons à table. Le dessert. Trois toutes petites galettes à la frangipane. Il y a une fève dans chacune d'entre elles. Rire.
Il est 23 h lorsque nous sommes de retour. < J'exige tous les détails dans les chiottes, je suis la Reine ! > me fait Estelle. Joie.

Nous sommes entrain de faire les clowns devant le miroir de la salle de bain en nous lavant les dents. Je raconte les détails.
Estelle me fait : < On refait la scène aux chiottes, viens ! >. J'entre dans les toilettes. Je me mets en situation. Bien bandant.
Estelle entre dans les toilettes suivie de Clémentine qui veut observer. Ma compagne adore me voir me comporter en salaud.
Je reproduis la situation vécue aux chiottes du restau. Estelle se précipite pour me tailler une pipe. J'ai la bite dégoulinante.
Clémentine vient m'embrasser, se frottant contre ma hanche. Nous restons ainsi un long moment. < On refait ! > fait Estelle.

Nous reproduisons la scène trois fois. Cela excite considérablement Clémentine qui se touche, la main dans sa culotte. Branle.
Estelle que cela excite également considérablement reste toujours beaucoup plus maîtresse de ses émotions, de ses pulsions.
Par contre, elle me suce avec une avidité rare. Je la force à se redresser en la tenant par ses cheveux. Elle résiste fortement.
Je dis : < Il est minuit ! Tu n'es plus la Reine ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine nous entraîne au lit. Je tiens Estelle.
Couché entre les deux filles, je me fais sucer à tour de rôle. Clémentine se masturbe à ma gauche. Estelle suce à ma droite...

Bonne soirée au restaurant à toutes les coquines qui aiment s'amuser avec leur coquin dans des jeux hyper vicelards...

Julien - (Qui se fait vider les couilles en éjaculant dans la bouche de Clémentine. Estelle s'étant endormie. Ronfle) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 296 -



Un Week-End sans Estelle n'aurait pas la même saveur...

Hier matin, dimanche, je suis réveillé comme je le suis le plus souvent à chaque fois que nous sommes tous les trois. Bien.
Des murmures. Des rires étouffés et des chuchotements. On me tient fermement par mon érection matinale. Je sais qui c'est.
J'ouvre l'œil et le bon. < Bonjour Julien ! > me font les deux coquines en même temps dès que je relève les paupières. Joie.
C'est évidemment Estelle, en passant son bras au dessus de Clémentine, qui me tient le sexe. Je dis : < Bonjour les filles ! >
Je me redresse. A quatre pattes entre les deux coquines, je les chatouille en poussant des grognements d'ours des cavernes.

Estelle parvient à se sauver jusqu'aux toilettes en riant. Clémentine me chevauche. Elle me couvre le visage de plein de bises.
Tendresse, douceur et papouilles. Estelle revient. < Je vais préparer le petit déjeuner ! > nous fait elle en dévalant l'escalier.
< On arrive ! > répond Clémentine qui m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous pratiquons nos rituels pisseux. Rires.
Nous descendons à toute vitesse pour rejoindre Estelle dans son pyjama de soie mauve. Il y a l'odeur de café et de pain grillé.
Assis tel le patriarche, je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. Confitures ou miel, selon le choix de chacune.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le bilan de ces deux semaines passées et de nos vacances.
Ce séjour écossais a beaucoup marqué Estelle qui n'arrête pas d'en parler. Elle a ramené la carte SD avec toutes les photos.
Estelle a pris plus de 80 clichés. Nous n'aurons donc qu'à les télécharger. Ces photos irons rejoindre celles prises l'été dernier.
Nous évoquons également notre aventure de hier soir, au restaurant. La serveuse qui se trompe de porte de toilettes. Rires.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine fait : < C'est la seconde fois qu'elle se trompe de toilettes quand Julien y est ! >.

Ma compagne rajoute encore : < Et jamais deux sans trois ! >. Je propose de retourner dans ce restaurant en fin de semaine.
On y mange très bien, le service est de qualité et l'endroit a un charme romantique indéniable. La suggestion est bien reçue.
< On verra bien si la serveuse récidive ! > fait Estelle. Clémentine rajoute : < Je suis prête à parier qu'elle recommencera ! >
Nous rigolons comme des bossus quand ma compagne dit: < Les femmes sont toujours attirées par les mecs accompagnés ! >
Estelle fait encore : < C'est un curieux réflexe. On est plus attirée par les hommes accompagnés que par les hommes seuls ! >

C'est sur ce constat que nous nous proposons d'y retourner vendredi soir. < Tu lui fais la "totale" ! > me fait Clémentine. Rire.
C'est dimanche. Ce jour est consacré à la détente et au repos. Pas d'entraînement, pas de jogging. Nous traînons à table. Joie.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Je termine de ranger la cuisine. Les filles vont au salon. Je passe la serpillère. Bien.
J'entends rire les filles. Je suspends la serpillère sur l'étendoir du radiateur pour aller rejoindre les deux coquines. Estelle rigole.
Assises devant l'ordinateur, Clémentine lui fait découvrir nos récits sur le forum. < Julien, tu as tout raconté ! > me fait Estelle.

< Mais tu écris tout ça quand ? > me demande Estelle. Je lui explique que je le fais le plus souvent en plusieurs fois. Morcelé.
Je précise : < Ce n'est que le lendemain matin que je fignole avant de mettre en ligne ! >. Estelle me fait encore : < Super ! >
Clémentine monte faire la chambre. Comme nous n'étions pas là durant dix jours, la maison est restée propre. Peu de ménage.
Je monte rejoindre Clémentine pour l'aider à faire le lit. < Je t'aime, Julien ! > me fait ma compagne en se blottissant très fort.
< Descends rejoindre Estelle. Je me planque discrètement pour vous mâter. Sois hyper salaud. Je suis excitée ! > me dit elle.

Je mets mon jean, ma chemise à carreaux et je descends. Estelle est assise derrière le bureau, devant l'écran de l'ordinateur.
< Julien, t'es fou, tu as tout raconté dans le moindre détail, des trucs dont je ne me souvenais même plus ! > me fait Estelle.
Je passe derrière elle. Je lis par dessus son épaule. Elle passe son bras autour de mon cou, son visage tout contre le miens.
< Je t'aime ! > me chuchote t-elle. J'agis sur la demande de Clémentine. Je n'éprouve aucune sorte de culpabilité. Tranquille.
Estelle m'attire pour m'embrasser. Un peu étonnée que je me laisse ainsi faire alors qu'elle nous croit seuls. Elle hésite un peu.

Je la saisi par ses cheveux attachés en queue pour la forcer à se lever. Estelle est de plus en plus étonnée. Je la serre très fort.
Nous nous embrassons. Ses bras autour de mon cou et blottie contre moi, Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice.
Je la tiens par la nuque et par les hanches. Estelle s'abandonne complètement. Je sens son sexe se caler contre le miens. Bien.
Je ne tarde pas à bander. D'autant plus que je sais que Clémentine est dissimulée pour nous observer. Estelle bave de plaisir.
C'est la première fois que je me livre ainsi en l'absence de ma compagne. Estelle se serre fortement contre mon sexe très dur.

Cela pourrait être un jeu dangereux mais pour moi, ça ne l'est pas du tout. Je suis maître de mes émotions et de la situation.
Je joue. Et sur la demande de Clémentine que je devine quelque part entrain de se toucher. Estelle m'embrasse avec fougue...
J'ouvre les yeux. Clémentine a passé sa tête dans l'embrasure de la porte. Son pouce levé comme pour m'encourager encore.
A présent Estelle se frotte contre la bosse dans ma braguette. Je peux l'entendre respirer fortement tout en m'embrassant...
Je serre sa nuque. Je caresse son visage. Je sens les frissons qui agitent son corps. C'est la première fois que nous vivons ça.

< J'ai envie de faire l'amour avec toi. C'est depuis quelques mois. J'ai envie que tu sois mon "premier" ! > chuchote Estelle.
Clémentine m'en avait déjà parlé à plusieurs reprises. L'aveux a enfin lieu. Je ne réponds pas. Estelle m'embrasse à nouveau.
< Tu veux bien m'initier ? Je n'ai plus peur ! > me murmure Estelle. Je lui chuchote : < Je te baise comme un vrai salaud ! >.
Estelle me fait : < Le plus tôt sera le mieux ! >. Je lui dis : < Pour une première fois, tu seras baisée comme une salope ! >.
< Tout ce que tu veux Julien ! J'en ai trop envie ! > me fait Estelle. Cette situation m'excite mais pas autant qu'Estelle. Joie.

Il est temps de tempérer les ardeurs d'Estelle. Je la repousse. Je la saisi par ses cheveux pour lui faire faire le tour du salon.
Je l'entraîne fermement. Nous faisons trois fois le tour de la grande pièce. Estelle glousse, à la fois étonnée et ravie. Belle.
Clémentine arrive enfin. Sa main dans son jean déboutonné, elle nous fait : < A peine j'ai le dos tourné et voilà le travail ! >
Nous rions de bon cœur. Je ne peux pas réfréner l'impérieux besoin de prendre Clémentine dans mes bras. Je la serre fort.
Clémentine sait que jamais je ne ferais rien derrière son dos. Je l'aime trop et je ne mettrais jamais en danger mon privilège.

Estelle, comme terriblement gênée quitte la pièce. < Tu as été parfait mon amour ! Je t'aime ! > me chuchote Clémentine.
Nous nous embrassons comme si c'était la première fois. Je lui chuchote : < Mais je n'ai pas envie de baiser avec Estelle ! >
< Je sais bien ! C'est pour ça que je ne m'inquiète pas et que nous pouvons nous amuser. Ne t'en fais pas ! > me dit elle.
Même si je ne comprends pas toujours où ma compagne veut en venir, tout ce qu'elle m'impose m'excite considérablement.
Clémentine se masturbe doucement. Je l'embrasse longuement. < Il faut que j'arrête, sinon je vais au bout ! > me fait elle.

Il est déjà onze heures trente. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Elle est entrain de préparer les pavés de saumon. Joie.
Estelle ne peut s'empêcher de se précipiter dans mes bras. < On se calme la nympho ! > fait Clémentine en s'interposant.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Clémentine prépare la salade. Je fais bouillir de l'eau pour le millet doré. C'est bien.
Nous bavardons. Les filles évoquent la rentrée de lundi. Je mets la table. Dehors le ciel se dégage enfin. Température 12°.
Clémentine nous propose une balade dans l'après-midi. Suggestion bien reçue et applaudit. Nous sommes morts de faim...

Nous mangeons de bon appétit. La complicité qui s'est développée entre nous depuis quelques mois rend les choses faciles.
Aussi, Estelle évoque ouvertement ce qui s'est passée entre nous au salon. Clémentine la rassure : < J'ai tout vu ! > dit elle.
< Je m'en doutais bien que c'était un coup monté ! Je vous connais trop bien tous les deux ! C'était génial ! > fait Estelle.
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle rajoute : < Mais j'aimerais beaucoup me faire baiser comme une salope ! >
< Trouve toi un mec ! > fait Clémentine. < C'est Julien ou rien ! > s'écrie Estelle. Nous rions de bon cœur. Repas délicieux.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Il est treize heures trente. Nous sommes au salon. Clémentine répond au mail.
Nous avons un courriel de Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités à manger le soir de notre choix cette semaine.
< Jeudi soir, ça vous tente ? > demande Clémentine. < Parfait ! > répond Estelle. Nous nous préparons pour la promenade.
Il fait plutôt agréable malgré un petit vent. Chaudement vêtus, nous descendons jusqu'à la rivière. Le sol est encore mouillé.
Pourtant les chemins ne sont plus détrempés. Il suffit de contourner les endroits boueux. Les filles évoquent leurs études...

Cette dernière après-midi de vacances et cette promenade sont propices aux dernières résolutions qui concernent les cours.
J'écoute en silence les programmes et les méthodes que vont appliquer les deux étudiantes pour ce second trimestre à venir.
Je suis admiratif. Nous passons derrière les écuries. < Il y a une bonne bite là-bas ! > fait Clémentine à l'attention d'Estelle.
< Bonne ? Beurk ! > répond Estelle avec une horrible grimace. Nous rions de bon cœur. Je dis : < On y retourne quand ? >
Clémentine rajoute : < Oui ! Il faut que tu confortes ta première impression ! >. Estelle répond : < Si tu le fais avec moi ! >

Je prends Clémentine contre moi pour lui dire : < Oui, elle a raison Estelle, tu devrais participer ! >. Nous rions de bon cœur.
Clémentine ne répond pas. Elle se contente de hausser les épaules. Elle sait mon fantasme de la voir sucer un autre. Vicieux.
Il est dix sept heures lorsque nous revenons à la maison. La nuit achève de tomber complètement. C'est plutôt sinistre. Noir.
Je propose aux filles de passer à l'atelier. Clémentine nous y entraîne à toute vitesse. Délicieuse odeur d'un atelier de peintre.
Les filles ont déjà tout préparé pour leur rentrée. Et depuis le début des vacances. Il reste à remplir les formulaires de stage.

Toujours scrupuleuses les voilà assises à la table de travail. Je suis assis devant le chevalet à peaufiner le dessin préparatoire.
Je commence dès lundi matin la peinture de la dixième toile destinée à mon stock. Tout cela est rassurant. Tout est déjà prêt.
Nous travaillons jusqu'aux environs de dix neuf heures. Nous sommes morts de faim. Nous nous précipitons à la cuisine. Bien.
Je réchauffe le gratin de millet doré accompagné de champignons. Clémentine prépare la salade. Estelle fait l'assaisonnement.
< Je peux sucer un peu, après ? > demande Estelle. < Si tu es sage ! > répond Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.

Nous mangeons de bon appétit. C'est dimanche soir. La fin des vacances. Nous traînons à table. Les filles parlent des cours.
C'est moi qui débarrasse la table. Estelle se lève, m'attrape les couilles par derrière et me fait ; < C'est moi qui plonge ! >.
Nous essuyons. Nous passons au salon. Estelle pose le coussin au sol. Elle se met à genoux dessus au milieu de la pièce. Belle.
Les mains sur la tête, la bouche ouverte, elle me regarde implorante. Cela excite Clémentine qui se déboutonne à toute vitesse.
Je sors mon sexe pour le frotter longuement sur le visage d'Estelle qui gémit de bonheur. < C'est si bon ! > chuchote t-elle...

Clémentine est vautrée dans le fauteuil, son jean et sa culotte aux chevilles. Elle se masturbe en nous observant. Elle est belle.
J'enfonce mon sexe dans la bouche d'Estelle qui se met à sucer comme si sa vie en dépendait. J'ai une grosse envie de pisser.
Je lâche une petite giclée. Estelle ne sait pas immédiatement ce qu'elle déglutit. Pourtant, au second jet, elle comprend vite.
< Salopard ! > me fait elle, en me fixant avec sévérité. Je lâche une troisième giclée qui la fait tousser. Elle détourne la bouche.
Je lui pisse au visage. < Put-Hein ! Mais t'es dégueu ! > s'écrie t-elle. Je la saisi par ses cheveux fermement pour la forcer. Joie.

Estelle déglutit avec difficulté. Je tente de bien maîtriser mes toutes petites giclées de pisse. Elle tente de détourner sa bouche.
J'entends Clémentine gémir de plus en plus fort. Estelle me tient par les hanches en tentant de me repousser. Je la maintiens.
Je lui enfonce mon sexe au fond de la bouche. Estelle a des hauts le cœur. Tout en suçant elle tousse. Il en coule des narines.
Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse à l'instant. Je mets une gifle à Estelle qui est parvenue à se détourner.
J'éjacule. Estelle avale en poussant des râles de plaisir. Nous la ramenons pour 22 h. Il faut se coucher. Demain il y a cours.

Bonne rentrée à toutes et à tous. Surtout après de bonnes vacances où il s'est passé plein de trucs hyper excitants...

Julien - (Qui sait se comporter selon les désirs de Clémentine et d'Estelle dans cette relation à trois, bien vicelarde) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 297 -



Et voilà le premier jour de la rentrée de ce second trimestre...

Hier matin, lundi, je suis le premier à ouvrir l'œil. Il est 5 h50. Avertie par son sixième sens Clémentine s'étire en gémissant.
Je lui fais des bisous en disant : < Bonjour Clémentine ! >. Clémentine se serre fort contre moi. < Bonjour Julien ! > dit elle.
Elle me chevauche en riant. Douceur, tendresse, papouilles avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nos pissous.
Morts de faim nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Le pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine est toute contente. Les cours reprennent. Et la vie d'étudiante.

Le thermomètre extérieur indique 3°. Il fait nuit. Tout semble sec. Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement.
Une heure de gymnastique avec intensité maximale qui remplace avec beaucoup moins de plaisir nos joggings. C'est l'hiver.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Les quelques bisous.
Un dernier coucou de la main et je vois la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h45. Je rentre. Je fais la vaisselle.
Je monte faire la chambre. Je redescends à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Le jour achève de se lever. 8 h15...

Je suis assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de la dixième toile destinée à ma saison de l'été 2018.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Ma passion me manque toujours beaucoup au bout de quelques jours. Je compense.
J'en fais souvent part à Clémentine qui m'écoute religieusement avant de m'encourager à patienter en sa compagnie. Super.
Le crépitement du feu dans la cheminée, les craquements du bois, constituent la bande sonore de ce nouveau film. Sublime.
Je peins dans une allégresse glorieuse en poussant des cris surréalistes qui accompagnent les traits de pinceaux les plus fins.

Il est rapidement midi. Animé par la faim, je file à la cuisine afin d'y préparer mon repas et celui de ce soir. C'est récréatif.
Je fais gonfler du riz complet préalablement éclaté à sec. Je fais trois énormes aubergines farcies au pâté de lentilles. Bien.
Je prépare une grosse laitue. Dans l'essoreuse que je mets au réfrigérateur je laisse le reste de laitue pour le repas du soir.
Je mange de bon appétit en écoutant la chronique de Guy Carlier suivie des informations. La vaisselle. Je retourne travailler.
Cette petite heure d'intermède entre deux séances de peinture est toujours abordée d'une façon ludique. C'est la nécessité.

Je peins dans un extraordinaire silence. Je peux même entendre l'effleurement du plus fin pinceau sur la surface de ma toile.
Il est presque dix sept heures. J'entends du bruit. Clémentine entre dans l'atelier en jetant son sac sur le vieux canapé. Rire.
< Bonsoir mon amour ! > me fait elle en s'asseyant sur mes genoux. J'aime l'entendre me raconter sa journée. Passionnant.
< On a commencé fort, j'ai des crampes au poignet à force de prendre les notes à toute vitesse. Et j'enregistre > me fait elle.
J'écoute en silence les amusantes anecdotes concernant les professeurs, les situations parfois cocasses. Tout cela est sympa.

< A midi, au restau, Estelle n'a pas cessé de parler de l'Ecosse. Elle t'en est infiniment reconnaissante ! > me dit Clémentine.
Les deux filles mangent ensemble au restaurant universitaire. Quarante minutes d'une pause qui leur permettent d'échanger.
< Elle m'a aussi confié son soulagement de t'avoir fait ses aveux quand à son désir de baiser avec toi ! > fait ma compagne.
Je lui dis : < Il n'en est évidemment pas question ! Je ne fais ça qu'avec toi ! >. Clémentine me fait : < Je sais. Je préfère ! >
Clémentine adore me voir dans toutes les situations avec Estelle, mais il est hors de question de faire l'amour avec une autre.

Nous restons un petit moment à nous confier nos ressentis. Clémentine est assise à la table pour mettre ses notes au propre.
Nous adorons ces moments de silence et de concentration. Nous pouvons entendre les souffles qui suivent nos apnées. Bien.
Clémentine, les écouteurs sur les oreilles, tape à toute vitesse pour tout enregistrer sur Word. Les archives pour ses révisions.
Il est rapidement dix neuf heures. < Ras le cul ! > s'écrie t-elle soudain. Ma compagne se lève pour venir me rejoindre. Bises.
Nous nous précipitons à la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer et à faire l'assaisonnement de la salade. Nous nous y appliquons...

C'est toujours la surprise du soir. Clémentine découvre les deux énormes aubergines farcies au pâté de lentilles. Un vrai régal.
< Miam ! > fait elle en se serrant contre moi. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bises. Le bonheur.
Nous mangeons de bon appétit tout en survolant le programme de cette semaine. L'invitation au repas chez Juliette jeudi soir.
La présence d'Estelle mardi soir. Le restaurant de l'étang vendredi soir. < Ma vie est merveilleuse avec toi ! > dit Clémentine.
Je lui dis < La mienne aussi ! Chaque jour est un enchantement ! >. Nous avons une conscience aiguë de nos privilèges. Bien.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part de son impatience d'être au printemps.
Je partage totalement cette attente. < Je vais nous offrir les exhibes les plus folles cette année ! > rajoute ma compagne. Joie.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute: < Je pense ne pas avoir trop de mal à me surpasser. Je suis en manque ! >. Rires.
La vaisselle. Clémentine plonge, j'essuie. Nous rangeons la cuisine avant de filer au salon. Nous voilà vautrés dans le canapé.
< J'ai besoin d'être sérieusement reprise en main. Tu veux bien t'en occuper dans les prochains temps ? > me fait Clémentine.

Ma compagne me fait souvent part de son besoin de soumission. Et depuis quelques semaines, elle m'en parle assez souvent.
Clémentine a une authentique et profonde nature de soumise. Cela apparaît de plus en plus dans sa psyché. Besoin impérieux.
Une fois encore je lui confie la difficulté que cela représente pour moi de me comporter en "Maître". Et avec la fille que j'aime.
< Je sais, cela m'excite encore davantage. Et je peux t'assurer que tu te débrouille très bien à chaque fois ! > fait Clémentine.
Je me lève. Je passe derrière le bureau. Du dernier tiroir du bas, je sors le collier canin, la laisse, la paire de menottes. Bien.

< Génial ! > me lance Clémentine en se levant. Je lui passe le collier autour du cou. J'y fixe la laisse. Clémentine glousse. Joie.
Je lui passe les menottes, ses poignets attachés derrière son dos. Je l'entraîne fermement pour lui faire faire le tour de la pièce.
Je donne quelques à coups. Clémentine marche derrière moi. Je la tiens au plus court, je la forcer à marcher courbée en avant.
Les yeux plein de reconnaissance, Clémentine me suit docilement. Je lui fais faire le tour de tout le ré de chaussée. Trois fois.
Je l'entraîne aux toilettes. Je la fais s'accroupir. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je le lui passe sur le visage. Plaisirs.

Clémentine, tellement heureuse de se retrouver dans ses situations préférées gémit de bonheur. Je frotte ma bite. Vicelard.
Ma compagne me présente chaque angle de son visage afin que je n'oublie pas le moindre recoin. J'insiste avec soin. Partout.
Je lui mets une gifle. Ce ne sont jamais des actes de violence. Cela fait tout simplement partie de ce jeu qu'exige Clémentine.
Je la saisi sous le menton et par la nuque. Je lui enfonce mon sexe au fond de la bouche. La docilité de la fille est incroyable.
Je lui murmure : < Je suis certain que monsieur Gérard, le palefrenier, pourrait t'offrir de prodigieuses séances. Je le sens ! >

A ces mots Clémentine pousse un petit cri de ravissement. Elle pousse des gémissements qui ne laissent aucun doute. Gérard.
Je continue : < Imagine toi dans une séance de dressage parmi les chevaux, attachée dans les écuries, livrée à un salaud ! >
Clémentine me suce en gémissant de bonheur. Je suis dans le vrai. Je rajoute : < Avec Estelle comme partenaire de jeux ! >
Clémentine, à genoux sur le carrelage, les mains menottées derrière le dos, en perd l'équilibre. Le vertige. Je la maintiens...
Je découvre que mes propos hautement suggestifs nourrissent l'imaginaire de ma compagne d'une manière étonnante. Bien.

Je continue mon monologue vicieux : < Avec ce vieux salaud de 65 ans, tu pourrais vivre tous les frissons souhaités ! Sûr ! >
Je lâche une petite giclée de pisse en disant : < Il serait certainement encore plus vicelard avec toi, il ne vit pas avec toi ! >.
Clémentine déglutit mes petites giclées en poussant des petits cris de ravissement. Nous venons de découvrir un jeu neuf.
Le support de l'imaginaire, se rajoutant à une situation hautement vicelarde, participent à rendre Clémentine folle de plaisir.
Nous faisons cette découverte ensemble, ce soir, dans ces toilettes où je pisse dans la bouche de la fille que j'aime. La folie.

Je force Clémentine à se relever. La bouche ruisselante de foutre et de pisse qui lui dégouline sur le menton. Je me penche.
Je lui masse les genoux sans doute douloureux après ces quelques minutes sur le carrelage. Je l'entraîne au salon. Une gifle.
Je lui retire les menottes. Je lui retire son jean et sa culotte avant de la basculer sur le canapé. Je me mets à genoux. Minou.
Je hume sa journée de fille. Son sexe est ruisselant de cyprine. Ce qui s'est passé aux toilettes l'a tellement excité. Salope !
Je me régale des saveurs de son sexe. < Arrête, je vais jouir ! > s'écrie t-elle en me repoussant pour m'attirer sur elle. Joie.

Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Comme toujours, nous restons parfaitement immobiles. Nous aimons.
Clémentine me chuchote d'invraisemblables confidences. < Et tu serais caché pour regarder mon dressage ? > me fait elle.
Je réponds à toutes ses questions par l'affirmative. Je rajoute encore des détails bien salaces. Clémentine se serre si fort !
Je lui décris la situation où elle serait attachée, poignets aux poutres, à se faire humilier par ce vieux salopard de palefrenier.
Je rajoute encore : < Je suis certain que tu vivrais le moment le plus intense de ta vie. Ce mec est sûrement un "Maître" ! >

Nous nous mettons à bouger en rythme. Clémentine me demande de lui donner d'autres détails. Nous devons cesser. Grave.
Clémentine est à la limite de l'orgasme. Elle ne contrôle plus rien. Je suis lucide pour deux. Elle préfère se garder pour le lit.
Nous retournons à l'atelier. Il faut impérativement que Clémentine termine ses notes. Il est 22 h. Nous montons à la chambre.
Un "69". A nouveau Clémentine m'attire sur elle en me disant : < Raconte moi encore les écuries. C'est trop bon ! > fait elle.
Nous faisons l'amour comme des fous. Sur sa demande, j'éjacule dans la bouche de Clémentine après son orgasme. Puis dodo...

Bonne révélations à toutes les coquines qui fantasment sur des situations de soumissions, voire d'humiliations...

Julien - (Qui va "travailler" la psyché de Clémentine afin de l'emmener doucement de la tentation à la réalisation) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 298 -



Un trimestre qui commence sur les chapeaux de roues...

Hier matin, mardi, j'ouvre l'œil à 5 h50. Mon horloge biologique qui m'évite d'être réveillé par la station "France Musique".
A ma gauche, Clémentine s'étire en gémissant longuement. Dans le cri qui le conclue, elle me fait : < Bonjour Julien ! >.
Je la serre contre moi en disant : < Bonjour Clémentine ! >. Elle me chevauche en riant. Douceur, tendresse et papouilles.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous nous livrons à notre rituel pisseux avant de descendre. Faim.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Le thermomètre extérieur indique 3°. Tout est sec. Il fait nuit. C'est l'hiver.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Comme tous les mardis, il n'y a pas cours et Clémentine rentre à midi.
< J'aime bien les mardis, c'est cool de rentrer à midi ! > me fait elle. J'aime la voir heureuse. Ce qu'elle est tout le temps.
Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement intensif. Aérobic, charges additionnelles. Remplacer notre jogging.
La douche. Il est 7 h40. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Joie.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse...

Je fais la vaisselle. Je monte faire la chambre. Je redescends à l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. C'est super.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une réelle euphorie en poussant des cris de joie surréalistes. Bien.
Il est rapidement midi. Je me rends à la cuisine. Je prépare la pâte pour la tarte aux poireaux de ce soir. Clémentine arrive.
< Bonjour mon amour ! > fait-elle en se précipitant dans mes bras. Je la soulève pour la faire tourner. Bises sur le visage.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir de l'eau pour les coquillettes. Je fais une Béchamel. Je coupe le poireau.

Je râpe le parmesan pour le saupoudrer au dessus des coquillettes que je fais gratiner au four chaud. Dehors, il fait sinistre.
Le ciel gris et bas n'est toutefois pas menaçant. Clémentine me propose de sortir marcher une petite heure après le repas.
Excellente suggestion que j'applaudi immédiatement. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Un gratin délicieux.
J'aime écouter Clémentine qui me raconte sa matinée. Il lui faudra mettre les notes prises à toute vitesse au propre. Word.
< Aujourd'hui, c'était plus calme. J'ai eu le temps d'écrire et d'écouter ! > me fait ma compagne pour décrire sa matinée...

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Il nous suffit de mettre nos chaussures, nos anoraks.
Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Il fait 8°. Nous portons nos bonnets et nos gants. Nous bavardons beaucoup.
< Un an et neuf jours que nous vivons ensemble, Julien, c'est merveilleux ! > me fait Clémentine, me prenant par le bras.
< Tu te rappelles lorsque je venais avec ma mobylette bleue que tu mettais en scène dans tes petites histoires ? > fait elle.
Nous rions de bon cœur. Sur la demande de Clémentine j'ai toutefois cessé mes histoires loufoques et changé de pseudo.

Nous évoquons cette période de l'hiver dernier où tout se mettait en place dans nos vies communes. Etreints d'émotions.
Il est 14 h30 lorsque nous sommes de retour. Nous avons du travail. Nous filons à l'atelier. Nous adorons ces séances. Joie.
Seul le crépitement du feu résonne dans le silence. Le souffle de nos respirations concentrées y rajoute beaucoup d'insolite.
Parfois Clémentine se lève pour passer derrière moi afin de regarder l'avancée de ma toile. Parfois c'est moi qui vais la voir.
Il est rapidement dix sept heures. La nuit tombe inexorablement. Mon téléphone m'averti d'un message. C'est Estelle. Bien.

Il est dix huit heures, nous mettons nos anoraks pour aller chercher Estelle avec la voiture de Clémentine. Trois kilomètres.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel, à une centaine de mètres de chez elle. Elle est toute contente. Des bisous.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte son après-midi dans l'entreprise familiale. Comptabilité.
Nous voilà de retour. Nous filons à l'atelier. Estelle et Clémentine sont assises à la table, entourées de leurs affaires. L'ordi.
Je retourne à ma peinture. < Put-Hein ! Plein le cul ! > fait Estelle. Il est 19 h. Nous nous précipitons à la cuisine. La faim !

Estelle étale la pâte. Clémentine prépare la salade. Je fais chauffer la Béchamel contenant le poireau. Garniture bien figée.
Je verse la garniture sur la pâte. Estelle y dépose délicatement le couvercle de fine pâte. Nous mettons au four. 20 minutes.
Nous passons au salon. Vautrés dans le canapé, nous évoquons notre programme de la semaine. Emploi du temps sympa.
Jeudi soir nous sommes invités chez Juliette. Vendredi soir j'ai réservé une table au restaurant de l'étang. Dimanche, haras.
Juliette organise une animation au haras dimanche après-midi. Nous irons assister au petit spectacle équestre. Le manège.

C'est dans ces considérations que la sonnerie du four nous rappelle que la Flamiche Picarde nous attend à la cuisine. Faim.
Nous nous précipitons tous les trois. Le repas est délicieux. Je préviens que j'ai mis une fève dans la tarte. On tire la reine.
< J'aimerais bien être la Reine et j'aimerais bien me faire tirer ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Un régal.
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les cours. < Et c'est moi ! > s'écrie Estelle en nous montrant la figurine.
C'est un petit personnage écossais en céramique que j'ai conservé depuis des années et qui a souvent servi de fève. Sympa.

Je me lève pour prendre la couronne en papier qui est posée sur le buffet. Je la dépose sur la tête d'Estelle. Je la regarde.
< Félicitation chère Reine ! Vous voilà dans votre royaume avec vos sujets ! Et pour la seconde fois ! > fait ma compagne.
Je me mets à gauche d'Estelle. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe que je dirige au dessus de son assiette. Je vise...
< Non, pas ça ! > s'écrie Estelle en détournant son assiette. Je vise son visage. < Non ! Pas maintenant ! > rajoute t-elle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine fait : < C'est juste le cérémonial du couronnement de la Reine des Salopes ! >

Nous continuons notre repas. Cette fois les filles évoquent le haras, les écuries et bien évidemment leur palefrenier vicieux.
Je demande à Estelle : < Tu projettes une visite prochaine ? >. Estelle reste silencieuse. Elle me regarde par en dessous.
Un sourire terriblement vicelard. Clémentine mime une pipe tout en lui demandant : < Tu commences à gamberger, hein ? >
< Oui ! C'est un truc qui commence à revenir dans ma tête de plus en plus souvent ! > fait Estelle, me faisant un clin d'œil.
Ma compagne rajoute : < On se fait un plan écurie un de ces soirs alors ? >. Estelle répond : < On attend encore un peu ! >

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Puis nous passons au salon pour y prendre une tisane.
Clémentine est vautrée dans le fauteuil. Estelle et moi, nous sommes vautrés dans le canapé. Estelle me palpe la braguette.
Nous bavardons. J'ouvre mon pantalon. Je sors mon sexe. Je bande mou. Estelle s'en empare pour me le tenir fermement.
Tout en bavardant elle me le tord dans tous les sens. Vers le bas. Elle sait que lorsque je bande, vers le bas c'est douloureux.
Les filles parlent de leurs stages en entreprise. Celui d'Estelle commence lundi prochain, dans l'entreprise familiale. Bureau.

Je saisi Estelle par sa nuque. Un réflexe. Je la tiens fermement. Elle me tord la bite. Clémentine passe la main dans son jean.
J'appuie sur la nuque d'Estelle afin de la forcer à rapprocher sa tête de mon sexe. Par jeu, elle résiste avec force. J'insiste.
Elle me tord le sexe comme pour se venger de mon initiative. Nous jouons ainsi un petit moment. Estelle apprécie beaucoup.
< Je suis la Reine ce soir, tu dois obéir ! > me fait elle. Je lui réponds : < C'est une révolte, chère Reine ! La révolution ! >
Nous rions de bon cœur quand Clémentine rajoute : < Il serait dommage que ce coup d'Etat destitue la Reine des salopes ! >

Je saisi Estelle par ses cheveux avec fermeté. Je l'entraîne aux toilettes. Sa couronne tombe au sol. Clémentine la ramasse.
Estelle se débat. Je la tiens fermement. Elle me crache au visage. Clémentine se serre dans le coin du WC pour m'observer.
Ma compagne a ouvert son jean pour glisser sa main dans sa culotte. Estelle se débat en tentant de me repousser. La lutte.
Estelle tente de se dégager. Je la force à s'accroupir. Je lui passe le sexe sur le visage. < Salopard ! > s'écrie t-elle. Un cri.
Je dis : < Je vais te faire sucer ma "Reine" ! >. Estelle se redresse pour me gifler en s'écriant : < Respect pour la Reine ! >

Je lui frotte ma bite sur le visage. Je suis obligé de lui tenir la tête avec force. Longtemps qu'elle n'a pas eu cette attitude.
Clémentine se masturbe en me regardant. Ma compagne adore lorsque j'ai ces comportements. Estelle apprécie également.
Soudain, cessant son jeu de vierge effarouchée, Estelle prend mon sexe en bouche en poussant un long cri de ravissement.
La jeune fille me suce comme si sa vie en dépendait. Ma joue est brûlante à cause de la gifle qu'elle m'a mise. Je la masse.
Clémentine se rapproche pour venir se frotter contre ma hanche. Nous nous embrassons avec passion en bavant de plaisir.

Nous restons ainsi un long moment. Je force Estelle à se redresser. < Aïe ! > fait elle en se massant les genoux douloureux.
Je l'entraîne sans ménagement jusqu'au salon. Clémentine nous suit. Cette situation l'excite toujours si considérablement.
Je dis : < Nous avons du travail ce soir ! >. Estelle, toujours très rapide à reprendre ses esprits me fait : < On s'en fout ! >
Clémentine vient s'interposer entre Estelle et moi, disant : < Toi, tu as envie de t'en payer une lampée, hein ! >. Rigolade.
Finalement, c'est la raison qui l'emporte. Il est 21 h15. La capacité féminine de passer d'une situation à l'autre. L'atelier...

Nous travaillons encore une petite heure. Il est 22 h15. Il est temps de ramener Estelle. Nous nous habillons rapidement.
La séparation est un peu difficile pour Estelle. Je la rassure et je la console. < Je veux de ta bite ! > me fait elle en sortant.
< Tu l'auras jeudi soir un peu ! > lui répond Clémentine. Nous sommes de retour pour 23 h. Epuisés, nous montons vite.
Toilettes. Salle de bain. Nous voilà au lit. Nous tentons bien des trucs mais la fatigue se montre sans pitié pour nos espoirs.
Nous bavardons encore un peu. Clémentine me suce un peu en gémissant de bonheur. Nous plongeons malgré tout. Dodo...

Bonne soirée dans les toilettes à sucer le compagnon de votre copine à toutes les filles, (majeures), et bien vicelardes.

Julien - (Qui doit quelquefois rappeler à Estelle qu'il y a également les choses sérieuses, pendant qu'elle le suce) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 299 -



La semaine se déroule, immuable et tranquille...

Hier matin, mercredi, nous sortons du sommeil en même temps. Il est 5 h50. Nous nous étirons longuement en gémissant.
Cela s'achève dans un cri. J'ai à peine le temps de dire : < Bonjour Clémentine ! > qu'elle me fait : < Bonjour Julien ! >.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Le moment de nos rituels pisseux.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Le petit déjeuner. Je presse les oranges. Clémentine prépare le café.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est le bilan de la journée précédente et le programme de celle à venir.

Le thermomètre extérieur indique 3°. Il fait nuit. Tout est sec. Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. Gym.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est déjà 7 h45.
Quelques bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse.
Je monte faire la chambre. Je fais la vaisselle. Je passe à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une euphorie qui frise l'indécence. Animé par la passion.

Il est rapidement midi. La vitesse vertigineuse à laquelle passe mon temps de travail m'interroge et m'inquiète quelquefois.
Je prépare une potée. J'en fais en grande quantité. Ce soir il n'y aura qu'à réchauffer. Je prépare une grosses scarole. Bien.
Pour accompagner la potée, je concocte une délicieuse sauce au Roquefort. Tout va très vite. Je ris en écoutant Guy Carlier.
Comme j'apprécie le silence, je n'écoute que le début des informations. Je mange de bon appétit. Dehors le ciel est bas, gris.
Il est 13 h15. La vaisselle. Je fais un rapide tour de la propriété. Il fait 12°. C'est très supportable. Le ciel devient menaçant.

Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins avec un enthousiasme délirant. Animé de ma passion me voilà absorbé. Plaisir.
J'entends du bruit. Je regarde l'heure. Il est 16 h55. C'est Clémentine. Elle entre dans l'atelier. Balance son sac sur le canapé.
Elle se précipite pour me faire plein de bises. < Julien ! Tu m'as manqué ! > me fait elle, assise sur mes genoux. Tendresse.
Clémentine me raconte sa journée. J'aime écouter. C'est mon seul lien avec le monde extérieur. Et c'est toujours intéressant.
< On gratte un peu moins en ce moment ! > me confie t-elle en faisant allusion aux notes qu'il lui faut prendre sans relâche.

< A midi, au restaurant universitaire, Estelle m'a confié le plaisir vécu hier soir ! Tu as fais fort ! > me fait ma compagne.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Il faut la préparer à sa prochaine visite aux écuries ! Et je m'y attelle ! >.
Je dis : < Nous pourrons profiter de notre soirée avec Juliette, pour aller faire un tour dans les écuries. Avant le repas ! >
< Bonne idée. Le palefrenier, quitte son travail pour vingt heures. Nous pourrons lui faire un coucou ! > fait Clémentine.
Clémentine est assise à la table. Entourée de ses affaires, devant l'ordinateur. Parfois, elle commente ses recherches. Joie.

Intéressé par ce que commente ma compagne, je me lève pour aller voir. Elle m'explique ce que je vois sur le graphique.
Il y est question de densité, de minéraux et de poids "atomique". J'écoute. C'est captivant et très rapidement passionnant.
Parfois, c'est Clémentine qui se lève pour venir voir l'avancée de ma dixième toile. Ma compagne m'explique les pigments.
Ces pigments broyés dans de l'huile de lin que j'utilise sont pour la plupart d'origine minérale ou sont des sulfates de métal.
J'aime entendre ma compagne. Animée par une passion égale à la mienne, elle m'apprend souvent des choses étonnantes.

< Mais là, ce soir, j'en ai plus que marre et j'ai tout fini ! > s'écrie soudain ma compagne en me sortant de l'introspection.
Il est 19 h. Nous cessons toute activité. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Clémentine range ses affaires avec soin.
Nous filons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous sommes morts de faim. Il n'y a qu'à réchauffer. La surprise de la soirée.
Clémentine découvre la potée en s'écriant : < Miam ! J'y ai pensé cet après-midi, en cours ! >. Elle fait l'assaisonnement.
La salade est prête. Je réchauffe la sauce. La potée, réchauffée dans la vieille cocotte en fonte, sera encore plus succulente.

Je mets la table. Clémentine revient du salon et me montre le collier canin qu'elle a passé autour de son cou. Il y a la laisse.
Ma compagne me tend la laisse. Elle a un regard implorant. < J'en ai rudement besoin ! > me fait elle en s'accroupissant.
Je saisi la laisse pour la forcer à se redresser. Je lui fais faire le tour de la cuisine. Je tiens la laisse au plus court. Et ferme.
Tenue ainsi, Clémentine n'a d'autre choix que d'avancer courbée en avant. Je la force à s'assoir. Je remue la salade. Rires.
Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons notre soirée de demain soir, chez Juliette. Nous apporterons le dessert. Joie.

Je demande : < Demain soir, lorsque nous irons visiter les écuries avant le repas, tu portes le collier canin, tu veux bien ? >
< Oh oui ! Et j'y laisserais même pendre la laisse ! >. J'écoute Clémentine me donner ses ressentis quand à ma proposition.
Je rajoute : < Tu imagines l'attitude du palefrenier qui te revois ainsi ! Le message est clair, non ? >. Clémentine en glousse.
Elle me dit : < Je suis déjà hyper excitée à l'idée de cette situation ! Il m'a déjà vu avec le collier, en été, tu te souviens ? >
En effet, l'an dernier, au mois de juin, nous allions rôder derrière les écuries, dans le pré. Je dis : < Il t'a déjà vu me sucer ! >

Nous évoquons ces soirées où nous allions "exposer" Clémentine dans des situations ambiguës et souvent bien vicelardes.
Le lecteur qui suit nos aventures sait très bien de quoi il en retourne. Nous nous sommes tant amusés de ces situations !
< Je suis vraiment pressée d'être au printemps ! Les exhibes dehors, c'est tellement plus facile ! Mieux ! > fait Clémentine.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me rappelle: < Et je fais mon stage au haras ! >
Je lui dis : < Tu vas avoir quelques occasions en or. Tu seras directement sur place ! >. Clémentine me fait : < Génial ! >

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Bien propre. Je saisi la laisse que me tend Clémentine.
Je l'entraîne sans ménagement. Je lui fais faire le tour du ré de chaussée. Je la tiens au plus court en donnant des à coups.
Je tiens la fille par la laisse de la main droite. De la main gauche je saisi l'épais coussin que je pose au sol au milieu du salon.
Je lui déboutonne le jean que je descends avec sa culotte jusqu'aux genoux. Je la force à se mettre à genoux sur le coussin.
Mains sur la tête, Clémentine m'observe. Je vais m'assoir dans le canapé pour l'observer longuement. Un profond silence...

J'ouvre ma braguette. J'en sors mon sexe. Je me masturbe doucement en regardant cette étonnante et superbe jeune fille.
Bien droite, ses mains posées sur la tête, à genoux sur le coussin, ma compagne m'observe avec un regard implorant. Joie.
La bouche grande ouverte, comme pour m'inviter à m'y introduire, Clémentine m'observe en me fixant. C'est hyper excitant.
Je partage ma vie avec elle. Je crois toujours tout connaître. Pourtant, une fois encore, je suis agréablement étonné. Surpris.
Je me lève pour aller tourner autour d'elle. Je me penche pour scruter les expressions de son visage. Il y a de la sueur. Belle.

Je me penche pour passer ma main le long de ses fesses. La raie culière est humide. La chatte est trempée. Petits frissons.
Un spasme agite le corps de Clémentine. Je me redresse. Je passe mon sexe sur son visage. Elle m'en présente les joues.
< J'aimerais comprendre "ça" ? > me demande t-elle. Je réponds : < Il n'y a rien à comprendre, c'est juste bien vicieux ! >
Je lui enfonce doucement la bite dans la bouche. Nous en arrivons enfin à cet acte qui passionne tant Clémentine. Vicieuse.
Je la tiens par la laisse de la main droite. Ma main gauche sous son menton, je guide sa pipe. Elle me suce avec bonheur...

Je la laisse se régaler longuement en évoquant les écuries, le palefrenier vicieux et l'éventualité d'un "dressage" en règle.
J'entends gémir ma compagne. Je l'entends pousser des cris de ravissement lorsque je décris des situations bien précises.
Je précise à plusieurs reprises : < Et comme le palefrenier est impuissant, tu ne risques pas de te faire baiser, enculer ! >
C'est un paramètre non négligeable car Clémentine n'a aucun fantasme de ce genre. < Je ne baise qu'avec toi ! > dit elle.
Je rajoute : < Mais j'aimerais tellement te voir sucer ce vieux salopard ! >. Clémentine fait : < Je ne comprends pas ! >

Je force Clémentine à se redresser. Je l'emmène sur le canapé. Je lui retire son jean et sa culotte. Je me mets à genoux.
Je hume longuement les parfums de sa journée de fille. Son sexe est trempé, dégoulinant de cyprine. Les poils mouillés.
L'intérieur de ses cuisses est luisant de jus. J'avance mon visage dans sa profonde touffe pour aller récupérer tous les jus.
C'est un vrai régal. Clémentine est tellement excitée. Elle en hurle de plaisir. Elle me tient par les oreilles. Elle me guide.
Soudain, je suis inondé d'un jet de pisse qui me trempe complètement. Le visage ruisselant, la chemise toute mouillée...

< Excuse-moi, mais tu me rends folle ! > me fait elle en m'attirant sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Joie.
Nous restons immobiles. A son tour Clémentine me confesse les plus troublants secrets. Parfois nous bougeons en rythme.
Nous revenons rapidement à l'immobilité. Nous aimons rester ainsi. Clémentine me confie les cochonneries les plus folles.
Je suis certain que ma compagne envisage une séance de dressage aux écuries avec le plus grand sérieux. Cela la taraude.
Nous montons à la chambre. Toilettes. Salle de bain. Nous nous terminons au lit. C'est le délire. Nous plongeons. Le dodo...

Bonne soirée de révélations bien cochonnes à toutes les jeunes vicelardes que les situations bien "glauques" attirent...

Julien - (Bien salaud. Qui croit travailler la psyché de Clémentine pour l'entraîner aux écuries, alors qu'elle y pense déjà) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 300 -



Nous sommes à nous réjouir pour cette soirée en compagnie de Juliette...

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par de délicats bisous sur le visage. J'ouvre les yeux. Clémentine est penchée sur moi.
< Bonjour Julien ! > me fait elle. Cette vision est tellement attendrissante que je suis soudain pétri d'émotion. Superbe.
< Bonjour Clémentine ! > que je murmure pendant que ma compagne me chevauche en riant. Les douceurs. Papouilles.
L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Pissous.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges et Clémentine s'occupe du café.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le thermomètre extérieur indique 3°. C'est la même météo que hier.
Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement quotidien. Une heure de gymnastique pour remplacer le jogging.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait bien froid.
Quelques douces bises, un dernier coucou de la main. Il est 7 h45. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin.
Je monte faire la chambre. Je descends faire la vaisselle et je passe à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. 8 h15.

Me voilà enfin assis devant mon chevalet me livrant corps et âme à ma passion dévorante. Je peins dans l'enthousiasme.
A chaque coup de pinceau sublime, je pousse les cris les plus étonnants et les plus surréalistes. Une allégresse glorieuse.
Il est rapidement midi. Je file à la cuisine. Je me prépare du millet doré avec une sauce au Roquefort. Une bonne laitue.
J'écoute la chronique de Guy Carlier en riant. J'éteins la radio juste avant les informations. Je mange de très bon appétit.
Il est 13 h lorsque je suis de retour devant la dixième toile destinée au stock de ma saison d'été. Il m'en faut encore 20.

Il y a du bruit. Il est déjà 16 h55. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé en se précipitant. Bises.
Assise sur mes genoux ma compagne me raconte sa journée. Son repas de midi au restaurant universitaire avec Estelle.
J'aime l'écouter me conter les plus amusantes anecdotes étudiantes. Les profs, les cours, le déroulement des évènements.
< En ce moment, ça gratte un peu moins ! > fait elle, faisant encore allusion aux notes incessantes qu'il lui faut prendre.
Clémentine est assise à la table entourée de ses affaires. Elle met au propre certaines notes prise aujourd'hui. Sur Word.

Nous travaillons ainsi dans ce silence et cet espèce de recueillement que nous aimons tant. Mes cris amusent Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me fait : < Le cri de l'artiste au fond de son atelier ! J'adore Julien ! >. Bises.
Il est 18 h45. < Put-Hein, j'en ai plein les bottes et j'ai faim ! > s'écrie ma compagne en déchirant le silence. C'est la joie.
Nous rigolons comme des bossus en rangeant nos affaires. Mon téléphone m'averti d'un message. C'est Estelle. Je regarde.
Il y a juste ce mot < Ok ! >. Clémentine répond : < Ok ! >. Nous montons pour nous changer. Ce soir, c'est chez Juliette.

Clémentine est vêtue d'une de ses jupes en épais velours carmin. Ses collants "truqués", un chemisier sous un pull marron.
Chaussée de ses bottes à talons hauts, elle est absolument magnifique. D'une élégance discrète et terriblement sexy. Belle.
Sur sa demande, je porte mon costume de velours marron et mes souliers bruns de ville. Chemise sous un pull, col en "V".
Nous mettons nos manteaux pour filer à toute vitesse. Nous récupérons Estelle qui nous attend dans l'arrêt de bus habituel.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa soirée. < J'ai tout mis au propre ! > nous fait elle...

Nous arrivons au haras pour 19 h30. Il n'y a plus que les voitures de madame Walter et de monsieur Gérard. Et personne.
Je gare l'auto. Estelle est restée vêtue comme à son habitude. Jean, chemise à carreaux sous son anorak. Il fait bien nuit.
Nous nous dirigeons rapidement vers la première écurie qui est éclairée. Nous croisons madame Walter. C'est une surprise.
Cela fait bien un mois que nous ne nous sommes plus vus, aussi nous nous saluons en nous présentant nos meilleurs vœux.
Madame Walter porte un gros classeur sous son bras. Nous bavardons un peu. Elle s'apprête à terminer sa journée. 19 h35.

Nous la laissons retourner au bureau. Nous avançons dans l'allée centrale. Nous caressons les chevaux qui nous observent.
Estelle nous fait : < Venez, on va vérifier quelque chose ! >. Nous la suivons. Nous allons jusqu'au dernier box. Le cheval.
Sous la porte du petit bureau de monsieur Gérard, filtre un rayon de lumière vive. Nous entendons du bruit. Il bosse encore.
Estelle nous entraîne dans le box. Elle sort son téléphone, se penche sur la cloison, autour du trou parfaitement rond. 6 cm.
< Regardez ! > chuchote Estelle en s'accroupissant pour nous montrer une coulure laiteuse et toute fraîche qui dégouline...

Estelle avec son téléphone éclaire le bois de la cloison. Elle chuchote : < C'est elle ! J'en suis certaine ! Elle vient sucer ! >.
Estelle prend quelques photos. Il y a une grosse goutte par terre, sur le ciment du sol entre les brins de paille. Du foutre.
Nous sortons rapidement. Nous allons faire quelques caresses aux chevaux que nous n'avons pas encore salué. Ils mâtent.
< Bonsoir ! > fait la voix de monsieur Gérard derrière nous. Le palefrenier termine lui aussi sa journée. Il vient nous saluer.
Il me serre la main en premier. Avec ma présence son comportement est très courtois, presque obséquieux. Il est content.

Nous lui présentons nos meilleurs vœux. Clémentine tout en bavardant, défait son écharpe. Je découvre son collier canin.
C'est une surprise qu'elle nous fait, à Estelle, au palefrenier et à moi. Nous faisons mine de rien. La laisse y est accrochée.
A la maison, je ne m'étais pas rendu compte de ce stratagème que je trouve à présent fabuleux. Je bande en vrai salaud.
Monsieur Gérard ne peut s'empêcher de fixer cet accessoire. Il le perçoit comme il se doit. C'est un "message". C'est super.
Monsieur Gérard nous a déjà vu, l'été dernier, lorsque je promenais Clémentine à la laisse derrière les écuries. Il connaît...

La conversation reste toutefois axée sur des lieux communs. Le travail, la météo et l'attente du printemps. Hiver sans neige.
Monsieur Gérard est pressé de revenir s'installer dans sa caravane derrière les écuries. Dès le premier avril. C'est sa maison.
Estelle évoque notre séjour en Ecosse. Clémentine propose de montrer quelques photos. Elle s'accroupit pour fouiller son sac.
Cuisses largement écartées, ce n'est que le prétexte à s'exhiber discrètement devant le palefrenier. Elle se redresse. Photos.
Monsieur Gérard regarde attentivement les clichés d'Edimbourg qui défilent sur l'écran du smartphone de Clémentine. Bien.

< Je vous laisse, il faut que je termine. J'ai encore du travail. Repassez donc la semaine prochaine ! > fait monsieur Gérard.
< Avec plaisir ! > lui fait Estelle. Clémentine rajoute : < On viendra boire un petit café ! >. Monsieur Gérard semble content.
Nous prenons congé. Il est presque vingt heures. Juliette nous attend sur le pas de la porte du bureau. Elle est souriante...
Nous nous saluons. Nous nous présentons nos meilleurs vœux. Cela fait trois semaines que nous ne nous sommes plus vus.
Nous la suivons dans l'escalier qui monte à ses appartements. J'ai apporté une des tartes aux noix préparées cet automne.

Nous voilà assis à la grande table devant des tartelettes au thon, aux crevettes et au crabe accompagnées de crudités. Bon.
Nous bavardons. Juliette est vêtue d'un pantalon à plis et à pinces qui moule ses formes sculpturales avec délicatesse. Belle.
Un chemisier sous un pull qui offre une vue parfaite sur le galbe de ses seins. Des souliers à talons hauts. Vraiment superbe.
Nous répondons aux nombreuses questions que nous pose Juliette qui admire les photos d'Edimbourg. Le repas est délicieux.
< Il faut que je m'offre quinze jours de vacances pour visiter ce pays ! Et ça fait longtemps que j'ai ce projet ! > dit Juliette.

Je dis : < Pourquoi ne pas venir nous rejoindre deux semaines, cet été, pour l'hébergement, il n'y a aucun souci ! Venez ! >
Clémentine me fait du pied sous la table. Je tempère donc rapidement mon enthousiasme. Juliette semble ravie par l'idée.
< Je vais y réfléchir et organiser cette possibilité ! >. Je précise encore : < Vous restez bien sûr totalement indépendante ! >
Affirmation qui doit convenir à Clémentine qui caresse mon pied avec le sien. Estelle rajoute : < Moi je m'y rend en août ! >
Elle précise : < On peut prendre l'avion toutes les deux ! >. Nous évoquons tout cela. Des projets encore bien nébuleux...

La tarte aux noix est appréciée par Juliette qui ne tarit pas d'éloge sur mes talents de pâtissier. Nous savourons ce dessert.
La conversation s'articule à présent autour du stage en entreprise que Clémentine viendra réaliser à partir du cinq février.
Juliette lui explique : < Vous serez au bureau, en bas. Votre travail consistera à consigner les rapports journaliers. Haras ! >
Elle rajoute encore : < Cela va considérablement soulager nos obligatoires travaux administratifs. C'est une vraie galère ! >
Il est rapidement 22 h30. Nous prenons congé non sans prévenir que nous reviendrons visiter les écuries mardi prochain...

Nous ramenons Estelle. < Attendez un peu ! > nous fait elle devant l'arrêt du bus. Elle nous montre l'écran de son téléphone.
Nous observons attentivement et en silence les clichés pris dans le box à côté du bureau de monsieur Gérard. Ces coulures.
< Qu'est-ce que tu en conclues ? > demande Estelle à Clémentine. < C'est du foutre frais, pas de doute ! > répond t-elle.
< Tu penses comme moi ? C'est madame Walter qui vient faire des pipes au vieux ? > demande Estelle. Clémentine réfléchit.
< A priori ce serait ça ! Et lorsqu'on la croisé elle devait revenir d'une pipe ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Bien.

Nous laissons Estelle. Nous sommes de retour pour 23 h. Nous sommes fatigués. Les toilettes. La salle de bain. Puis au lit.
Nous évoquons les clichés pris par Estelle. < Et toi, tu en penses quoi ? > me demande ma compagne. Je reste silencieux.
Je dis : < Ce qui m'interpelle, c'est ce désir d'en savoir davantage que manifeste Estelle ! C'est vraiment de la curiosité ! >
< C'est une vicelarde ! Elle est pareille lorsque nous mangeons ensemble, à midi, au restaurant universitaire ! > me dit elle.
Nous nous offrons un "69" des plus goûteux. Il reste sans suite car, épuisés, serrés l'un contre l'autre, nous plongeons. Dodo.

Bonne soirée dans vos écuries préférées à toutes les coquines bien vicelardes et curieuses de découvrir des trucs "glauques"...

Julien - (Toujours étonné des surprises que lui réservent les deux coquines. Le collier canin, les photos du foutre. Sympa) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 301 -



Le vendredi, c'est le début du Week-end pour Clémentine...

Hier matin, vendredi, je me réveille juste avant que ne résonnent les premières notes du cube réglé sur "France-Musique".
Il est 6 h. Clémentine s'étire longuement. Dans le cri qui achève sont gémissement elle fait : < Bonjour Julien ! >. Bisous.
< Bonjour Clémentine ! > que je lui fais en la serrant fort contre moi. Clémentine me chevauche en riant. Les papouilles.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous procédons à nos rituels pisseux. Nous descendons à la cuisine.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Je coupe les tranches de pain que je fais griller. Confitures, miel et yaourts.

Nous prenons notre petit déjeuner en mangeant avec appétit. Le thermomètre extérieur indique 1°. Il fait nuit et bien sec.
Clémentine me fait part de sa grande joie. Le vendredi elle termine toujours à midi. C'est donc le début de notre Week-End.
Nous remontons pour procéder à notre heure d'entraînement qui remplace difficilement la joie que nous procure le jogging.
La douche. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Des bisous.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Le jour se lève et il fait froid.

Je monte faire la chambre. Je descends pour faire la vaisselle. Je fais du feu dans la cheminée de l'atelier. Il est déjà 8 h15.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je termine ce matin la dixième toile destinée à ma saison d'été. C'est rassurant.
Il est un peu plus de 10 h lorsque je pose la onzième toile sur mon chevalet. Je vais en commencer le dessin préparatoire.
Je n'ai jamais eu trois toiles d'avance sur le timing annuel. C'est donc dans une douce euphorie que je travaille en chantant.
Il est midi. Je cesse. Je file à la cuisine. Je fais bouillir de l'eau pour les coquillettes. Clémentine rentre de cours. Heureuse.

Ma compagne se précipite dans mes bras. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bises. Nous rions.
< C'est Week-End, mon amour ! > me fait Clémentine à plusieurs reprises. Je verse les coquillettes dans l'eau bouillante.
Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare une sauce au Roquefort. Clémentine me raconte sa matinée. C'était très cool.
< En ce moment, on ne gratte pas trop. Les profs sont dans les démonstrations ! > m'explique t-elle avec plein de détails.
Je mets le plat contenant les coquillettes recouvertes de Parmesan au four. Ce sera un gratin. Nous passons au salon. Bien.

< Je suis hyper excitée ! > me fait Clémentine. Je déboutonne son jean. Elle m'aide à l'ôter en même temps que sa culotte.
A genoux sur l'épais coussin, entre les jambes de ma compagne, je hume longuement les parfums de sa matinée de fille.
Odeurs fortes qui m'enivrent rapidement. Clémentine me tient par les oreilles comme craintive. J'approche mon visage. Joie.
Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Ce goût vinaigré et légèrement acidulé se mêle à la cyprine.
Je me régale de ses petites choses non identifiables et fondantes. La sonnerie du four nous rappelle aux réalités prosaïques.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. < Estelle ne vient pas avec nous ce soir ! Elle bosse ! > fait Clémentine.
Estelle commence son stage en entreprise dans celle de ses parents lundi 15 janvier. Elle préfère tout mettre à jour. Bien !
Je dis : < C'est une fille aussi consciencieuse que toi ! C'est remarquable ! >. Clémentine rajoute : < Elle est un peu triste ! >
Estelle viendra nous rejoindre samedi en fin d'après-midi. D'ici là elle veut mettre tous ces cours à jour et au propre. Super.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie les incessantes excitations qui l'habitent.

Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Ce soir, il me faut absolument un "plan" exhibe. Sinon je pète un plomb ! >
Je lui dis : < Je vais m'occuper de ton cas après la vaisselle ! >. Clémentine répond : < Oh oui ! C'est ma thérapie ! >. Joie.
Nous faisons la vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Le canapé. Bien.
Clémentine n'est vêtue que de sa chemise à carreaux, en chaussettes dans ses espadrilles. Nous rions de bon cœur du look.
Je me mets à genoux entre ses cuisses pour retourner brouter sa chatte gluante de cyprine. Clémentine gémit de bonheur.

Il faut toutefois que je reste vigilant. Ma compagne désire rester excitée. Pas d'orgasme prématuré. Nous jouons aux limites.
Cela devient beaucoup trop dangereux. Et Clémentine vient encore de me pisser au visage. J'ai la tête dégoulinante de pisse.
Aux extrêmes limites de son plaisir, juste avant l'échéance qu'elle repousse in extremis, Clémentine ne se contrôle plus bien.
Elle se redresse et m'entraîne à l'étage. Je me passe le sèche cheveux. Je change de chemise. Nous rions de bon cœur. Joie.
Nous redescendons. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est assise à la table, entourée de ses affaires. Je suis au chevalet...

Nous travaillons jusqu'aux environs de 16 h. < J'ai tout fini ! Ras les bottes ! > s'écrie Clémentine. Je dis : < Moi aussi ! >
Je viens de terminer le dessin préparatoire de ma onzième toile. Un paysage avec deux personnages sous la feuillée. Bien.
Nous montons pour nous changer. Nous voulons filer. Clémentine est très impatiente de se trouver un "plan". N'importe où.
Sur sa demande, je porte mon costume de velours marron, une chemise déboutonnée sous mon pull au col en "V". Relax.
Clémentine porte une de ses trois jupes kilt. Ses collants "truqués". Un chemisier sous son pull. Bottes à talons. Très sexy.

Nos manteaux, nos écharpes et nous voilà dans la voiture. Clémentine joue avec mon sexe. Je roule doucement. Prudence.
Nous passons devant le haras. Il y a plein de voitures garées dans la cour. Clémentine évoque monsieur Gérard, le vicelard.
Nous rigolons comme des bossus lorsque ma compagne dit : < Ce vieux salopard est peut-être entrain de se faire sucer ! >
Je demande : < Par madame Walter ? >. Clémentine me fait : < Mystère ! Mais c'est certainement "ça" ! >. Il fait déjà nuit.
Nous voilà en ville. 17 h15. Je gare la voiture dans la petite ruelle habituelle. Cinq minutes du centre. Nous aimons marcher.

Je propose à Clémentine de nous prendre un bon chocolat chaud dans notre salon de thé préféré. Une excellente suggestion.
Clémentine accélère le pas en m'entraînant par le bras. Nous arrivons. Il y a peu de monde. Nous gravissons les 4 marches.
Nous voilà installés à la dernière table du haut. Il y a deux vieilles dames qui bavardent en chuchotant. Deux jeunes filles.
Nous bavardons devant deux grandes tasses de chocolat chaud et fumant. Et enfin arrivent deux messieurs plutôt élégants.
Ils prennent place à la table du bas. Il doit s'agir de deux commerciaux. L'un d'eux porte un gros attaché case de cuir noir.

Les deux messieurs, la quarantaine, semblent très rapidement absorbés dans une conversation certainement professionnelle.
Enfin l'un d'entre eux remarque notre présence. Cette jeune fille assise en compagnie d'un homme d'âge mûr. Il mâte bien.
Clémentine commente ce qu'elle fait sous la table. Cuisses largement écartées. Elle porte son collant décousu. Vicieuse. Joie.
Le type qui est assis plus bas a donc une visibilité parfaite. Tout en discutant, il mâte avec attention. J'observe discrètement.
Dans l'écran noir du portable de Clémentine, que j'utilise comme un rétroviseur, je peux constater les regards de l'inconnu...

< Je fais le test des chiottes ! Je te raconte ! > me fait Clémentine en se levant pour se diriger vers les toilettes. Je mâte.
Une fois encore, le "test" s'avère concluant. Le type se lève pour prendre la même direction. Il se passe environ 5 minutes.
Clémentine revient avec un sourire qui en dit long. < Long comme sa bite ! > me fait elle en me racontant ce qui s'est passé.
< Comme à chaque fois, je suis dans les toilettes homme. Accroupie à fouiller dans mon sac ! Le type arrive ! > me dit elle.
< Je prétexte m'être trompée de toilettes. Je m'en excuse ! > me raconte Clémentine. Elle continue : < Il sort sa queue ! >.

Nous rions de bon cœur lorsque ma compagne rajoute : < C'est toujours le même scénario, mais qu'est-ce que c'est bien ! >.
Le type revient à son tour. Clémentine mime discrètement un mouvement masturbatoire en rajoutant : < Il s'est branlé ! >.
L'inconnu voit parfaitement Clémentine faire ce mouvement de branlette. Il observe discrètement. Il est rapidement 18 h30.
Le salon de thé va fermer. Les deux messieurs quittent les lieux. Nous allons payer et nous sortons à notre tour. Il fait froid.
Nous flânons un peu dans le centre. Il y a peu de monde. J'ai réservé une table au restaurant de l'étang pour vingt heures.

Nous arrivons sur le parking du restaurant pour 19 H30. Clémentine me propose de faire le tour du petit étang. Très sympa.
Nous restons bien soigneusement sur le sentier dallé pour ne pas risquer de maculer nos chaussures dans le terrain boueux.
Il y a quelques autos qui arrivent. Je dis : < Tu vas peut-être pouvoir t'offrir un autre "plan" ! >. Clémentine dit : < Super ! >
Nous entrons dans l'établissement. La salle est éclairée de chandeliers posés sur chaque table. Une ambiance romantique...
Les murs de pierres rajoutent encore à ce cadre délicieusement rétro ce côté médiéval que nous apprécions beaucoup. Bien.

La serveuse vient nous accueillir. Elle sait à présent que c'est nous qui réservons. C'est elle que j'ai au téléphone. Très gênée.
Elle a un sourire amusé. Nous voilà assis à notre table habituelle. Et à proximité du comptoir. La serveuse évite mes regards.
Je suis les recommandations de Clémentine. Je sors discrètement ma bite sous la table. Personne ne peut voir, il y a la nappe.
Lorsque la serveuse vient prendre la commande, discrètement, je me masturbe. Seul mon bras bouge. Elle s'en rend compte.
La jeune fille semble très gênée. Pourtant, dans son attitude, je perçois son intérêt pour mon activité discrète, à peine visible.

La jeune fille termine de noter notre commande. Je lui demande : < Vos toilettes ? Elles sont toujours au même endroit ? >.
La serveuse me fait enfin un agréable sourire en croisant mon regard. < Oui, au sous-sol ! > fait elle en montrant l'escalier.
Lorsque la jeune fille revient pour nous apporter le grand plateau de fruits de mer, je recommence à me masturber. Discret.
Elle me fait un sourire amusé. Pourtant, derrière son comptoir, elle évite soigneusement de croiser mes regards insistants.
Clémentine me dit : < Pas d'inquiétude. Son attitude est tout à fait normale. Tu lui fais le test des chiottes, tu verras bien ! >

Pour Clémentine, à sa plus grande frustration, il n'y a aucune opportunités exhibitionnistes. Nous évoquons les possibilités.
< C'est le moment ! Descends aux chiottes ! C'est le seul endroit où avoir la bite à l'air est parfaitement normal ! > dit elle.
Je descends. La serveuse me lance un rapide regard. Je lui montre l'escalier de mon index pointé. Je dis ; < C'est par là ! >
La jeune fille me fait un sourire, regarde rapidement ma braguette ouverte et baisse les yeux. Elle est terriblement gênée.
Je laisse la porte des toilettes homme entrebâillée. Je sors mon sexe. Je me masturbe doucement. Je veux bander "mou"...

Je reste ainsi un petit moment. Tous les sens aux aguets, j'écoute. Un bruit de pas. Quelqu'un descend l'escalier. Je regarde.
C'est la serveuse. Je tiens ma bite à sa base entre le pouce et l'index. Je me concentre. Je dois pisser depuis le salon de thé.
La jeune fille entre dans les toilettes. < J'en étais certaine ! > me fait elle. Je pisse en visant juste à ses côtés. Elle s'écarte.
Je lui dis : < Je suppose que vous vous êtes trompée de toilettes, c'est ça ! >. La jeune fille me répond : < Oui, c'est ça ! >.
Je me branle en pissant. La jeune fille, comme hypnotisée, fait : < Je peux vous demander de cesser ! Je suis au boulot ! >

Je termine de pisser en lui disant : < Mon attitude vous perturbe à ce point ? >. La jeune fille se détourne pour s'en aller.
Avant de sortir elle se retourne pour me répondre : < Oui ! Je vous demande de cesser au restaurant, sous la table ! >.
Je n'ai pas le temps de répondre. Je remonte. Je raconte le tout à Clémentine qui me répond : < Tu fais comme elle dit ! >
D'un commun accord, nous décidons de cesser nos petites expériences vicelardes ici. Je comprends le dilemme de la fille.
< Comment veux tu qu'elle fasse son boulot correctement si elle est excitée par une bite ? > m'explique Clémentine. Rires.

Il est 23 h lorsque nous sommes de retour. J'ai laissé ma carte de visite à la jeune fille sur le conseil de Clémentine. Discret.
< Si elle veut une suite, la balle est à présent dans son camp ! Nous verrons bien ! > me fait Clémentine à la salle de bain.
Au lit, nous nous offrons un super "69" avant que Clémentine ne m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions.
Parfaitement immobiles, comme nous aimons, Clémentine me confesse les plus étonnants aveux. J'écoute toujours. Passion.
Cunnilingus. Un orgasme fabuleux. Une fellation. Un orgasme prodigieux. Nous nous serrons très fort pour sombrer. Dodo...

Bonne soirée au restaurant à toutes les coquines qui apprécient les situations vicelardes et discrètes...

Julien - (Qui écoute les recommandations de Clémentine qui lui prédit de belles surprises à venir dans ce restaurant) -

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Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 302 -



Déjà le second Week-End de janvier. Il fait froid. Estelle est avec nous...

Hier matin, samedi, je suis réveillé par plein de délicats bisous sur tout le visage. J'ouvre les yeux. Spectacle attendrissant.
Le doux visage de Clémentine qui me sourit. < Bonjour mon amour ! > me murmure t-elle. Je la serre très fort contre moi.
< Bonjour mon amour ! > que je réponds pendant qu'elle me chevauche en riant. La douceur, la tendresse, les papouilles.
Il est à peine 7 h50. Le jour se lève péniblement sur un ciel lourd, gris et bas. L'urgence matinale du pissou qui est absolue.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. C'est le moment de nos rituels pisseux. Nous sommes morts de faim.

Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Confitures, miel, yaourts.
Le thermomètre extérieur indique 2°. Nous prenons notre petit déjeuner en évoquant le restaurant hier soir. Et la serveuse.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me fait : < Cela doit beaucoup l'amuser de se tromper de porte de toilettes ! >
Je dis : < C'est peut-être une habituée du fait ! >. Nous décidons de laisser passer quelques semaines avant d'y retourner.
< De toute manière, elle a nos coordonnées. Elle sait que nous sommes complices, toi et moi ! > rajoute encore Clémentine.

La vaisselle. Nous remontons nous mettre en tenues. Leggings, sweat, K-ways, bonnets, gants et baskets. C'est le jogging.
Nous sommes frustrés toute la semaine de ne pas pouvoir en faire un chaque matin parce qu'il fait encore nuit. On en veut.
Nous voilà à courir d'un bon rythme. Nous descendons jusqu'à la rivière. Il fait froid. Le sol est humide mais pas détrempé.
Nous courrons le long de notre parcourt habituel. Une heure trente d'un running qui nous enchante au delà du raisonnable.
La douche. Nous nous habillons. Il est 10 h30. Nous voilà dans la voiture. Il faut aller faire nos courses. Réfrigérateur vide.

Dans la voiture, Clémentine joue avec mon sexe. Nous passons devant le haras. Il y a plein de voitures garées dans la cour.
Nous arrivons au bourg. Samedi, c'est jour de marché. Nous y avons nos petites habitudes. Nos artisans et nos agriculteurs.
Clémentine est vêtue de son pantalon à plis et à pinces sous lequel elle porte un collant. Chemise et pull sous son manteau.
Sur sa demande, je garde discrètement la braguette de mon pantalon ouverte sous le manteau. Je porte le panier. Le sac.
Il y a du monde. Nous aimons l'ambiance qui y règne. Nous achetons les légumes, les fruits, les fromages pour la semaine.

Nos hautes tailles et notre élégance attirent quelques regards curieux. Cela amuse beaucoup Clémentine qui en joue. Joie.
Nous revenons à la voiture. Direction la zone commerciale de la ville. Je gare l'auto sur le parking du supermarché. Monde.
Je pousse le caddie. Clémentine y dépose au fur et à mesure nos achats. Dentifrice. Papier cul. Brosses à dents. Pains Dove.
Nous nous promenons au rayon culturel. Clémentine me montre le jeune homme qui feuillette les bandes dessinées. Solitaire.
Le gaillard est presque aussi grand que moi. Il doit avoir 25 ans, style athlétique, cheveux en brosses. Teint halé du sportif.

< Reste là, s'il y a un blême, tu rappliques ! > me fait Clémentine en se dirigeant vers le rayon des bandes dessinées. Belle.
Son pantalon à plis marron épouse toutes ses formes comme une seconde peau. Son manteau ouvert permet de l'apprécier.
Avec ses talons, Clémentine avoisine le mètre quatre vingt quatre. Elle est presque aussi grande que le jeune homme. Bien.
Debout, à environ deux mètres de notre lascar, Clémentine feuillette une bande dessinée. Et moi aussi, d'ailleurs, je bande.
L'inconnu ne met pas longtemps à découvrir la jeune fille à sa gauche. Je m'avance un peu en poussant le chariot. Pour voir.

Je suis dans le prolongement de l'allée. Je fais mine de regarder un best seller. Clémentine a une main sur son sexe. Super.
La main glisse lentement. Clémentine se tient l'entre jambes discrètement. Le jeune homme s'en est rendu compte. Il mâte.
Certainement conscient du moment merveilleux, et quasi miraculeux qu'il est entrain de vivre, il ne tente aucune approche.
Rien n'enchante davantage Clémentine que les individus qui restent distants et qui se contentent d'entrer dans son jeu. Joie.
Tournée de trois quart vers l'inconnu, une main entre ses cuisses, une jambe serrée devant l'autre, elle scrute les albums...

Je bande comme un priapique en phase terminale. Le jeune homme reste à feuilleter son album. Stoïque. Presque indifférent.
Clémentine, toujours très maître de ses émotions, joue de cette situation avec une très grande finesse. Une véritable virtuose.
Il y a un couple qui arrive. Il pousse son caddie. Cela met un terme à la situation. Clémentine s'éloigne. Le type ne tente rien.
Le couple s'incruste. L'homme est sans doute un passionné de bandes dessinées. Clémentine vient me rejoindre. Frustration.
< Les cons ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur. Le jeune homme s'en va à son tour. < Dommage ! > fait Clémentine...

Nous passons à la caisse. Clémentine me fait du coude en disant : < Regarde ! >. Le jeune homme est accompagné d'une fille.
Mais ce qui m'interpelle c'est la vision de la jeune serveuse du restaurant. Elle est visiblement accompagnée de sa mère. Joie.
Elle nous voit. Elle nous fait le plus adorable des sourires. La jeune fille doit avoir 20 ans tout au plus. De taille moyenne. Belle.
Nous nous faisons un signe de la main. Amical. < La loi des séries ! C'est fou ! > me fait Clémentine. Nous voilà sur le parking.
Clémentine est toute contente. Elle a pu s'offrir une petite frayeur exhibitionniste. La jeune serveuse passe derrière la voiture.

Sa mère nous salue. La jeune fille s'arrête un instant. Sa mère continue. Nous mettons nos achats dans le coffre de la voiture.
Nous bavardons. Nous apprenons qu'elle travaille au restaurant de l'étang le Week-End. C'est un job d'étudiante. C'es sympa.
Avant de nous laisser, elle fait : < J'aime bien quand vous êtes là, ça me change drôlement ! >. Nous rions de bon cœur. Joie.
Nous voilà en route pour la maison. Clémentine me fait voir la toute petite auréole qui macule son pantalon entre ses cuisses.
Tout en jouant avec mon sexe, elle dit : < Il faut que je développe un peu cet aspect non négligeable d'une exhibe réussie ! >

Il est treize heures lorsque nous sommes de retour. Nous rangeons les courses. Je prépare une potée. Sauce aux champignons.
Clémentine s'occupe de la salade. Une belle laitue dont elle fait tremper les feuilles dans le bac de l'évier. Nous bavardons. Joie.
Nous évoquons la rencontre avec la jeune serveuse. Nous voilà rassurés sur la situation. Ce qui se passe au restau est partagé.
Clémentine me confie : < J'en étais certaine. Mon sixième sens ne me trompe jamais ! Elle fait partie du "Club" ! C'est sûr ! >.
Nous rigolons comme des bossus lorsque ma compagne rajoute : < On peut donc retourner là-bas vendredi prochain ! >. Bien.

Nous mangeons de bon appétit. C'est samedi. Nous n'avons rien d'autre à faire qu'à traîner à table. Il est quatorze heures.
J'ai fait de la potée en quantité suffisante. Ce soir, avec la présence d'Estelle, il n'y aura qu'à réchauffer. Nous bavardons.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me propose un après-midi de rangement. La cave.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Tout est propre. Je passerais la serpillère demain matin.
Nous enlevons nos tabliers. Clémentine m'entraîne à l'étage. Nous nous changeons. Je lui propose de goûter à sa chatte...

A genoux sur l'oreiller, entre les jambes de ma compagne, j'admire la touffe humide. Des gouttelettes de cyprine. L'excitation.
Je me régale de tout ce qui coule. Ma compagne a d'incessants épanchements lorsqu'elle vit des situations excitantes. Super.
Et la petite exhibe du supermarché l'a considérable émoustillé. La raie culière est trempée. Je m'en pourlèche. Un vrai plaisir.
Il faut toutefois que je sois prudent. Pas d'orgasme prématuré. Ma compagne désire rester excitée le plus longtemps possible.
Je cesse. Nous mettons nos vieux jeans. Nous descendons à la cave. Il y a surtout les bûches empilées qui font de la saleté...

Il est 18 h. Tout est propre. Rangé. L'inventaire de la grande armoire qui contient nos vêtements de jardin. La buanderie.
Le cellier où se trouve le congélateur. Tout, absolument tout, est passé en revue. Mon téléphone m'avertit d'un message.
C'est Estelle. Je le passe à Clémentine qui écrit : < On arrive ! >. Nous montons. Il fait nuit et bien plus froid que ce matin.
Nous prenons la voiture. Trois kilomètres. Nous arrivons. Estelle nous attend dans l'arrêt de bus à cent mètres de chez elle.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée. Il est 18 H45 lorsque nous sommes de retour.

Toute contente de se retrouver avec nous, en sautillant autour de la table de la cuisine, Estelle manifeste sa joie. Le bonheur.
< Et ça va être cool pendant trois semaines ! Je commence mon stage lundi ! > nous lance t-elle. Nous en rions de bon cœur.
Il n'y a qu'à réchauffer la potée. Clémentine prépare la salade. Estelle me fait : < Laisse moi préparer une sauce ! >. Super !
Les filles bavardent. Elles évoquent leurs études et le stage d'Estelle. J'écoute en silence. C'est toujours si passionnant. Bien.
Il est 19 h30. Nous mangeons de bon appétit. Les conversations vont de l'Ecosse, à l'université en passant par la sexualité.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Tisanes et petits gâteaux.
Estelle est assise à ma gauche dans le canapé. Clémentine est assise dans le fauteuil. Rapidement Estelle me tripote. Joie.
Sa main posée sur ma braguette, Estelle parle des vacances d'été. J'ouvre mon pantalon. Je sors mon sexe. Je bande mou.
Estelle s'en saisit immédiatement. Tout en parlant, elle me le tord dans tous les sens. Surtout vers le bas, c'est douloureux.
Je bande comme le dernier des salauds. La situation excite beaucoup Clémentine qui glisse une main dans jean déboutonné.

Estelle me roule quelques patins. Elle me dit plusieurs fois : < C'est génial de vivre tout ça, tous les trois ! Merveilleux ! >
Et c'est vrai que nous en avons tous les trois une conscience très aiguë. C'est une période de notre vie qui nous marquera.
Je tiens Estelle par la nuque. Parfois j'appuie pour approcher son visage de mon sexe. Elle se laisse faire jusqu'à la limite.
Opposant une résistance à chaque fois que sa bouche se retrouve à quelques centimètres de ma queue superbement dure.
Ce jeu nous enchante. Je trouve ça absolument génial . < Divin ! > précise Estelle qui tord ma bite fermement vers le bas.

Clémentine se lève. Elle pose l'épais coussin de velours au sol, entre mes jambes. Je la regarde se mettre à me sucer. Belle.
C'est toujours émouvant de voir ma compagne se livrer à cet acte avec toute la gourmandise dont elle se montre avide. Joie.
Estelle me tient le sexe. Elle m'embrasse avec passion. Sa langue exploratrice m'envahit la bouche. Nous en bavons de plaisir.
Clémentine me taille une pipe des familles. Je lui caresse le visage, la tête et les cheveux. Je sécrète des montées de foutre.
Mon liquide séminal, abondant, envahit la bouche de ma compagne qui gémit de bonheur en avalant avec difficulté. Sublime.

La soirée se déroule ainsi. Clémentine offre sa place à Estelle qui ne se fait pas prier. C'est Clémentine qui m'embrasse. Joie.
Estelle a une manière bien à elle de sucer. Je peux sentir le bout de sa langue qui tente de pénétrer mon méat qui coule bien.
Je demande : < Qui veut bénéficier de mes "largesses" ? >. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Une hésitation.
Les filles se regardent. Clémentine fait : < Moi, j'en ai quand je veux, tous les jours ! Vas y Estelle. Et bon appétit ! >. Rires.
J'éjacule. Trois saccades intenses qui couvrent mon corps de spasmes puis de frissons. Mon orgasme est proprement fou !

Estelle ne cesse pas de pomper. Je sens bien qu'elle part déjà pour un second tour bien mérité. Elle me vide les couilles. Joie.
Estelle me fait ce fameux "fond de cuve" que les "connaisseuses" aiment apprécier après l'éjaculation. Du bon jus bien épais.
Clémentine me chuchote quantité de douceurs. Je l'embrasse éperdu d'amour. Nous ne savons plus comment nous caresser.
Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. Nous pouvons l'entendre gémir et pousser de petits cris de ravissement. Bien !
Il est 23 h lorsque nous sommes couchés. Epuisés. C'est Clémentine qui se régale de ma seconde éjaculation. Nous plongeons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se régalent de la bite du petit copain à leur meilleure copine. Sans modération...

Julien - (Qui s'est encore fait vider les couilles. Une bonne nuit de sommeil pour les recharger en foutre épais et gluant) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 303 -



Nous nous amusons déjà beaucoup à deux. Mais à trois, c'est délirant...

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des rires étouffés, des murmures et on me tient par mon érection.
J'ouvre l'œil et le bon. C'est Estelle qui, ayant passé son bras par dessus Clémentine, me tient par mon érection matinale.
< Bonjour Julien ! > me font les deux coquines en même temps. Je me redresse. A quatre pattes entre les deux filles. Joie.
Je les chatouille en poussant des grognements d'ours des cavernes. J'adore les faire rire. Estelle arrive à s'enfuir en riant.
Clémentine me chevauche. Elle me couvre le visage de bises. Estelle revient : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >

< On arrive ! > lui fait ma compagne en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Nous nous offrons nos rituels pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse pour rejoindre Estelle dans son pyjama de soie mauve. Le jour se lève. 8 h.
Le thermomètre extérieur indique moins 2°. L'odeur de café et de pain grillé achève d'ouvrir nos appétits. Le petit déjeuner.
Les filles me tendent leurs tranches de pain que je beurre. Confitures ou miel selon le choix de chacune. Superbe ambiance.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle évoque son stage d'entreprise qui commence demain. C'est bien.

Comme tous les dimanches matins, nous traînons à table. C'est le jour sans entraînement et sans jogging. Nous en profitons.
C'est toujours très agréable. La vaisselle. Clémentine entraîne Estelle au salon pendant que je termine de ranger la cuisine.
Je passe la serpillère. J'entends rire les filles. Je vais voir. Clémentine fait lire tous nos récits de la semaine à Estelle. Sympa.
< Julien, c'est génial ton journal quotidien. Je me reconnais dans toutes les histoires ! > Nous en rigolons comme des bossus.
Clémentine monte faire la chambre. Le dimanche matin c'est "ménage". Je vais nettoyer les chiottes du ré de chaussée. Bien.

Je passe la serpillère sur les carrelages. Le sol des toilettes et du hall d'entrée. Propres. Je sors l'aspirateur du placard mural.
Je vais au salon. Estelle est assise derrière le bureau, devant l'écran de l'ordinateur. Elle me fait un délicieux sourire. Contente.
Je passe l'aspirateur. Courbée en avant, je passe consciencieusement sous tous les meubles. Estelle me fait un clin d'œil. Joie.
Discrètement, en silence, sans que je ne l'entende venir, Estelle passe derrière moi pour m'attraper par les couilles . Elle serre.
De son autre main qu'elle passe sous mon T-shirt, elle me chope la bite dans mon slip. < C'est chaud dis donc ! > me fait elle.

Je me redresse. Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, elle m'embrasse, fouillant ma bouche de sa langue exploratrice.
Je tente de la repousser délicatement. J'arrive à lui dire : < Je ne veux pas que tu fasses ça quand Clémentine n'est pas là ! >
< Tu vas me punir alors ? > me fait elle, espiègle et mutine, sans me lâcher les parties génitales qu'elle me serre fermement.
Je pose le tuyau de l'aspirateur pour saisir Estelle par ses cheveux. Je l'entraîne derrière le bureau pour la forcer à s'y asseoir.
Je peux continuer le ménage. Je passe le chiffon sur les meubles. Estelle, debout au milieu du salon, mine une masturbation.

Je monte rejoindre Clémentine qui termine de changer les draps. Je lui raconte ce qui s'est encore passé en bas avec Estelle.
< On va s'en occuper avec fermeté tout à l'heure ! > me fait ma compagne. Je ramasse le tas de draps sales. Salle de bain.
Clémentine me rejoint. Serrée contre moi, elle me chuchote plein de douceurs. Nous nous embrassons longuement. Bonheur.
Nous nettoyons la salle de bain tout en bavardant. Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Plein de bises.
Je nettoie les chiottes de l'étage. Je passe la serpillère. Je vais fermer les fenêtres de la chambre. Il y fait terriblement froid...

Je descends vêtu de mon jean et d'une chemise à carreaux. Les filles sont devant l'ordinateur sur le site de l'université. Bien.
Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. Le formulaire de rapport de stage qu'elle sort de l'imprimante. C'est sérieux.
Il est onze heures. Je vais à la cuisine pour décongeler trois pavés de saumon. Je fais cuire les lentilles pour farcir les tomates.
Clémentine vient me rejoindre. < Je t'aime Julien ! Je suis si bien avec toi, si tu savais ! > me chuchote t-elle. Je la serre fort.
Ma compagne trempe les feuilles de scarole dans l'évier. Je passe derrière elle pour la serrer contre moi. Douceur. Tendresse.

Estelle vient nous rejoindre. Elle est vêtue de son jean et de sa chemise à carreaux. Nos dimanches matins sont des habitudes.
Nous en rions de bon cœur. Estelle prépare l'assaisonnement de la salade. Elle me tourne souvent autour, guettant l'occasion.
Plusieurs fois elle me choppe les couilles par derrière. Elle serre toujours fortement. C'est à la limite de la douleur. La coquine.
< Tu es bien salope ce matin ! > lui fait ma compagne qui s'interpose régulièrement. Estelle emplit les tomates de leur farce.
Je mets la table. Clémentine essore la salade. Je prépare les pavés de saumon en papillotes. Le soleil fait son apparition. Bien.

Les tomates sont au four. Les pavés de saumon sur le barbecue électrique de la véranda. Je saisi Estelle par ses cheveux.
Je l'entraîne dans le salon, la maintenant fermement. Elle marche courbée en avant. Je lui murmure : < Je vais te punir ! >
Clémentine est dans l'encadrement de la porte. Lorsque j'ai ce comportement, elle est rapidement très excitée. Trois vicieux.
Je force Estelle à s'accroupir. Elle se débat. Je lui mets une gifle. Elle me repousse. Je la tiens de la main droite par la nuque.
De la main gauche j'ouvre ma braguette pour en extraire mon sexe. < Salaud ! > me fait Estelle. < Salope ! > que je lui dis.

Je lui passe mon sexe sur le visage. Je frotte en insistant sur les lèvres de sa bouche qu'elle serre fortement avec une grimace.
Ce jeu plaît pourtant beaucoup à Estelle. Nous aimons tant y sacrifier. Clémentine s'est rapprochée pour regarder de plus près.
Son visage par dessus mon épaule, une main dans son jean, elle me chuchote : < Fais la sucer, cette petite salope ! >. Rires.
Estelle ne se fait pas prier longuement. La voilà à me bouffer la queue avec gourmandise. Clémentine m'embrasse. Le bonheur.
C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos activités devenues habituelles. Je force Estelle à se redresser. Bouche mouillée...

Nous nous précipitons à la cuisine. L'odeur achève d'ouvrir nos appétits. Nous voilà a déguster notre délicieux repas. Délicat.
Nous bavardons. La conversation s'axe sur les écuries. Monsieur Gérard, le palefrenier vicelard. Nous y ferons un tour mardi.
Nous mangeons de bon appétit. < On va au haras cet après-midi ! Il y a l'animation. On verra Gérard ! > nous dit Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsque ma compagne fait à Estelle : < Tu pourras gamberger un peu sur de la vieille bite molle ! >.
< Beurk ! > fait Estelle. Nous traînons à table. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous montons pour nous préparer.

Nous restons vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux sous les pulls, écharpes, bonnets, gants, chaussures chaudes.
Nous passons nos anoraks. Dehors il fait froid. Il est 14 h. Clémentine nous propose d'aller au haras à pieds. 3 km. Superbe.
Le ciel est bleu. Le soleil est lumineux. L'air est froid. Une petite promenade est donc de circonstance. Vingt minutes. Haras.
Nous arrivons pour 14 h30. Il y a du monde. Plein d'autos garées dans la cour. Nous entrons dans le bâtiment du manège.
Les gradins sont bien remplis. Les parents, les amis et des propriétaires assistent à l'animation. Nous voyons Juliette là-bas.

Nous prenons place en haut, sur un des bancs. Le principe de la chaleur animale réchauffe péniblement le grand espace.
La vapeur devant les museaux des chevaux et devant les bouches des cavaliers nous rappelle que nous sommes en hiver.
Le spectacle est plaisant. L'attitude de certains chevaux est étonnante. Nous apercevons le palefrenier, là-bas, à la porte.
Monsieur Gérard, palefrenier, est un homme de 65 ans, trapu, les cheveux blancs et longs fixés dans leur éternel catogan.
Il y a également madame Walter qui discute en bas de la tribune. Il doit y avoir au moins une centaine de personnes...

Il est 16 h30. C'est la fin de l'animation. Nous nous apprêtons à quitter le bâtiment. Juliette nous a aperçu. Un signe amical.
Nous nous faisons un coucou de la main. Juliette est en pleine conversation avec un groupe de gens. Nous quittons les lieux.
Nous traversons la cour. Il y a des cavaliers. Principalement des jeunes filles qui viennent monter ici régulièrement. Sympa.
Nous marchons d'un bon pas. Le froid semble encore plus vif. Le sol est sec et n'a pas vraiment dégelé. Nous bavardons.
Il est 17 h15 lorsque nous revenons à la maison. La nuit commence à tomber. Je propose une bonne infusion. Des gâteaux.

Nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé. Nous évoquons le spectacle au haras, Juliette, Gérard, madame Walter.
< Mardi soir, on y va avant le repas ! Qu'est-ce que vous en pensez ? > demande Estelle. Nous écoutons la stratégie. Rire.
Clémentine lui fait : < Tu termines à 18 h, on vient te chercher. On file directement aux écuries ! Julien prévient Juliette ! >
Estelle répond : < C'est génial ! En plus ça va me changer de l'administratif qui m'attend ! >. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine lui fait encore : < S'il y a une opportunité, tu suces le vieux ? >. Estelle répond : < Beurk, je ne crois pas ! >.

Il est rapidement dix neuf heures. Nous réchauffons les trois tomates farcies restantes. Je fais des coquillettes. Une laitue.
Clémentine fait la salade. Estelle fait l'assaisonnement. Nous bavardons en riant beaucoup des vannes concernant Gérard.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle me fait plusieurs fois des clins d'œil lorsque la conversation s'axe sur le palefrenier.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Tout est propre. Nous passons au salon. Une fatigue.
Estelle assise à ma gauche, dans le canapé, joue avec mon sexe tout en bavardant. Clémentine est assise dans le fauteuil.

Bien évidemment, rapidement excitée par la situation et la conversation, Estelle me taille une pipe des familles. C'est sympa.
Clémentine m'observe me comporter en vicelard tout en se masturbant doucement. Je tiens Estelle par la nuque. Fellatrice.
Il est rapidement 22 h. Il nous faut être sérieux. Estelle commence son nouveau boulot demain matin. Stage en entreprise.
Nous la ramenons. Elle est un peu tristounette. Je lui rappelle que nous venons la chercher mardi soir pour aller aux écuries.
Il est 22 h30. Clémentine et moi, fatigués, nous nous offrons un "69". Une petite baise. Cunnilingus. Fellation. Et puis dodo.

Bon début de semaine à toutes les coquines pressées de se retrouver dans quelques situations bien vicelardes dès mardi...

Julien - (Qui s'apprête à vivre de nouvelles situations hyper bandantes. Parfois même avec la queue à l'air. Sympathique) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 304 -



Une nouvelle semaine et une nouvelle histoire...

Hier matin, lundi, je suis le premier à sortir du sommeil. Quelques instants avant que ne résonne la station "France Musique".
Clémentine a le même réflexe. Nous nous serrons fort. < Bonjour Julien ! > me fait ma compagne avant de me chevaucher.
Je lui murmure : < Bonjour Clémentine ! >. Douceur, tendresse et papouilles avant qu'elle ne m'entraîne jusqu'aux toilettes.
Dès la fin du rituels pisseux nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine fait le café.
C'est dans cette agréable odeur de café et de pain grillé que nous prenons notre copieux petit déjeuner. Et tout en bavardant.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan du Week-End passé. Nous parlons de la jeune serveuse du restaurant. Rire.
De notre étonnante rencontre avec cette même jeune fille samedi matin en faisant nos courses. Et le début du stage d'Estelle.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement à défaut de pouvoir faire ce jogging qui nous manque tant. Joie.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait froid. Du givre.
Le thermomètre extérieur indique moins 3°. Il est déjà 7 h45. Le jour commence à poindre. Clémentine veut rentrer pour midi.

< Sans Estelle, je vais m'ennuyer au restaurant universitaire ! > me dit elle avant d'entrer dans la voiture. Coucou de la main.
Je regarde l'auto disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse. Je monte faire la chambre. Je descends. La vaisselle.
Je vais à l'atelier. J'y allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant le chevalet.
Je commence ce matin la onzième toile destinée à ma saison d'été. Je peins dans une euphorie délirante. Sensations sublimes.
Pour ponctuer les traits les plus étonnants de mes plus fins pinceaux, je pousse les cris les plus surréalistes qui soient. Plaisir...

Il est rapidement midi. Mon téléphone m'averti d'un message. Je regarde. C'est Clémentine. < J'ai envie de rentrer ! > dit elle.
Je prépare du riz complet que je fais griller à sec. Je remue en "8" avec une spatule en bois. Je prépare la sauce au Roquefort.
Pour n'avoir qu'à réchauffer ce soir, j'en fais en quantité suffisante. Deuxième message de Clémentine : < Je t'aime ! >. Texto.
Je réponds : < Courage ! >. Je rajoute quatre fois le volume d'eau dans la casserole. Ce qui créé un bruyant nuage de vapeur.
Je prépare une belle laitue dont je lave chaque feuille dans l'évier remplit d'eau. Je ris en écoutant la chronique de Guy Carlier.

Je mange de bon appétit. Dehors le ciel est gris mais lumineux. Il doit faire froid car le thermomètre extérieur n'indique que 2°.
La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h lorsque je suis enfin à nouveau assis devant mon chevalet. Me livrant à ma passion.
Lorsque je peins, je pense à tout sauf à ce que je fais. Totalement abstrait dans les aventures intérieures et mes exaltations.
Lorsque je réussi le trait le plus sublime, je me lève pour entamer une danse tribal autour de mon chevalet, poussant des cris.
C'est dans un de ces moments d'extase que Clémentine me surprend en rentrant. Comme elle le fait parfois par surprise. Rires.

Jetant son sac sur le canapé, Clémentine me rejoint dans cette danse en s'écriant : < Je t'aime Julien ! Et enfin ensemble ! >.
Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Puis assise sur mes genoux elle me raconte sa journée.
J'écoute en silence. < Je me fais chier sans Estelle à midi, au restaurant universitaire. Je crois que je vais rentrer ! > dit elle.
Je lui dis : < Est-ce bien raisonnable, tu n'as qu'une heure trente de battement. D'en perdre la moitié en bagnole, c'est con ! >
< M'en fout ! Je veux être avec toi ! > me dit elle encore. Je lui propose de bien y réfléchir. C'est une situation très provisoire.

Il est 17 h10. Clémentine est assise à la table, entourée de ses affaires. Elle met au propre ses notes de la journée. Sur Word.
C'est encore une de ces séances de travail silencieux et concentré. Et lorsque Clémentine est dans son labeur, je me maîtrise.
Pas de cris. Pas de manifestation de satisfaction. Je respecte la concentration de ma compagne qui me rejoint parfois. Bisous.
Il est rapidement dix neuf heures. < Ras le bol ! > s'écrie ma compagne en venant me rejoindre. Nous observons mon travail.
Nous sommes morts de faim. Nous nous précipitons à la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer le riz et la sauce . Je m'y applique...

Clémentine prépare la salade. Je râpe du gruyère de Comté. Je mets la table. Nous bavardons. Dehors il fait nuit noire. Froid.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me parle de ses cours. < Et en ce moment on ne gratte pas trop ! > me fait elle.
Elle fait allusion à ses notes incessantes qu'il lui faut prendre à toute vitesse durant les cours. C'est épuisant et très énervant.
Le second trimestre s'annonce plus calme. Les professeurs sont davantage dans le registre de la démonstration. C'est sympa.
J'écoute tout cela en silence. C'est passionnant. Clémentine met ses notes mises au propre sur clef USB à l'attention d'Estelle.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque notre projet de visite au haras demain soir.
Nous rions de bon cœur en parlant de monsieur Gérard et de ses attitudes de vicelard. Sa bite molle qu'il montre aux filles.
< Que va t-il encore se passer demain soir ? > fait Clémentine. La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons.
Nous passons au salon. J'allume l'ordinateur. Nous découvrons deux courriels. Estelle qui nous raconte sa journée de stage.
Juliette qui nous confirme que le box à côté du local de monsieur Gérard sera vide demain soir. Nous en rions de bon cœur.

Clémentine répond. Je vais me vautrer dans le canapé. Clémentine vient me rejoindre. Elle se blottit contre moi. Papouilles.
Je lui murmure : < Tu veux que je m'occupe un peu de toi ? >. Je ne suis pas obligé de le demander deux fois. C'est super.
Clémentine se déboutonne. Elle se lève pour retirer son jean et sa culotte qu'elle jette dans le fauteuil. Je prends le coussin.
Je le pose au sol. Je m'y mets à genoux entre les jambes largement écartées de Clémentine. Elle me tient par les oreilles.
Je hume longuement les odeurs de sa journée de fille. Odeurs fortes. C'est sublime. Je m'enivre de ses effluves parfumées.

Comme par crainte, Clémentine me tient par les oreilles. Elle me guide. J'approche mon visage pour le fourrer dans la touffe.
Les poils me chatouillent le bout du nez, les joues et le menton. Du bout de la langue je lèche les lèvres charnues de son sexe.
Il y a tous ces goûts étonnants, surprenants et piquants. Des saveurs à la fois vinaigrés et légèrement acidulés. C'est délicieux.
Je me régale longuement de tout ce qui colle en cet endroit. Clémentine gémit de plaisir. Les premiers écoulements de cyprine.
Il en dégouline dans la raie culière. Je tiens Clémentine sous ses cuisses relevées. Elle me présente toute sa croupe humide...

Comme toujours, je nettoie consciencieusement toute cette région de son corps agités de frissons et de spasmes inquiétants.
Je sors les quelques poils qui restent sur ma langue. Je remonte sur le clitoris géant. Il est dur, impressionnant. Une merveille.
Là, ce n'est plus aussi simple. Je dois être prudent et vigilant. Pas question de provoquer un orgasme. Elle veut rester excitée.
Il y a des petites choses fondantes dans les plis de son clitoris que je décalotte avec douceur. Je suis toujours impressionné.
Clémentine joue et lutte avec les situations qui frisent l'extrême limite. Nous sommes passés maîtres de cet exercice périlleux.

Clémentine me repousse doucement en murmurant : < Attention ! >. Je cesse immédiatement. Je me fais pisser au visage.
J'adore lorsque Clémentine perd tout contrôle. Femme fontaine, elle peut se laisser aller en toute confiance. C'est magistral.
L'orgasme est évité de justesse mais le plaisir reste immense. Je peux l'entendre crier de bonheur. Elle m'attire doucement.
Je retire mon jean et mon slip qui vont rejoindre ceux de Clémentine. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.
Nous restons parfaitement immobiles. Nous aimons par dessus tout rester l'un dans l'autre sans bouger. C'est bien excitant.

Je reste en appui sur mes mains. Je déteste peser de tout mon poids sur Clémentine. Pourtant elle m'attire contre elle. Fort.
Ma compagne me chuchote alors les plus secrètes révélations. J'écoute. C'est sublime. Et j'apprends des choses étonnantes.
Parfois, pour attiser encore un peu plus son excitation maîtrisée, je rajoute mes impressions ou encore mes encouragements.
Souvent, lorsqu'elle évoque des situations déjà vécues, lors de ses exhibitions, je lui dis : < Tu aurais du le sucer ce mec ! >
Mes mots participent encore à faire monter l'excitation. Nous nous mettons à nous bercer. Nous accélérons pour cesser. Joie.

Nous adorons baiser de cette façon. Nous apprécions tant d'alterner nos séquences d'immobilité et de mouvements rythmés.
J'évoque les écuries. Je décris des scènes où je vois Clémentine attachée, tourmentée par le palefrenier. C'est un déclencheur.
Clémentine, en bougeant doucement, me demande des précisions. Je lui explique la situation. Être livrée à ce vicelard. Seule.
Je précise souvent : < C'est un impuissant, et il ne bande pas. Tu ne risques pas de te faire baiser ou de te faire enculer ! >.
En bougeant doucement, Clémentine entre deux gémissements me répond à chaque fois : < Je ne veux baiser qu'avec toi ! >

La soirée se passe ainsi. Je bande comme un priapique en phase terminale. Je fais bouger mon sexe, contractant mes fesses.
Les sensations que cela procure à Clémentine me ravissent. Elle aussi, je peux ressentir ses contractions lorsqu'elle fait pareil.
Nous flirtons souvent avec les limites. Lorsque ce n'est pas moi qui évite l'orgasme de justesse, c'est elle. Nous adorons ça.
Nous sommes devenus de véritables virtuoses à ce jeux. Il est 22 h. Nous ressentons la fatigue. Je me retire avec précaution.
Nos sexes sont dégoulinants de nos mélanges juteux. Nous nous offrons un "69" pour ne pas en perdre la moindre goutte...

Nous récupérons nos vêtements. Nous montons. Les toilettes. Nous nous régalons de nos reliquats pisseux. C'est délicieux.
La salle de bain. Nous aimons croire avoir repris nos esprits en nous faisant des grimaces devant le miroir. Lavage de dents.
Nous nous précipitons au lit. Nous remettons les couverts. L'excitation est tempérée par nos états d'épuisement. C'est sympa.
Un cunnilingus qui précipite l'orgasme devenu irrépressible. Clémentine se cabre dans un cri. C'est gigantesque. Dantesque !
Je ne fais pas durer la pipe divine que m'offre Clémentine. J'éjacule comme un bienheureux. Clémentine me bouffe la bite...

Bonne soirée de baise à toutes les coquines qui aiment se faire pénétrer avec délicatesse, avec douceur et avec tendresse.

Julien - (Qui pénètre toujours Clémentine avec d'infinies précautions. Par attention pour son étroitesse intime. Bonheur) -

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Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 305 -



La première soirée de l'année aux écuries.

Hier matin, mardi, j'ouvre l'œil le premier. Il est 5 h55. J'éteins le cube réveil avant qu'il ne diffuse sa musique. Je bâille.
Clémentine, sur ma gauche, avertie par son sixième sens, est entrain de s'étirer en gémissant. Elle se serre contre moi.
Dans un cri elle me fait : < Bonjour Julien ! >. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >. Elle me chevauche en riant. Papouilles.
< Je rentre à midi, c'est mardi ! > me fait elle encore en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Le petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit dans cette agréable odeur de café et de pain grillé. Nous bavardons. Programme du jour.
Comme tous les mardis, Clémentine n'a pas cours. Elle reviendra donc pour midi. Ce sont les réjouissances. C'est sympa.
Nous remontons. C'est notre heure d'entraînement qui remplace péniblement nos joggings impossibles dans la nuit froide.
Le thermomètre extérieur indique 3°. Il pleut. Nous pouvons entendre des bourrasques. Puis la douche. Il est déjà 7 h45.
Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue sous son immense parapluie.

Quelques bisous sous le parapluie qu'il faut tenir pour éviter qu'il ne soit détruit et emporté par les bourrasques. Tempête.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Tout mouillé.
Je monte faire la chambre. Je redescends faire la vaisselle. Je me rends dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée...
Il est 8 h15. Je suis enfin assis devant mon chevalet entrain de me livrer, corps et âme à ma passion dévorante. Je peins.
Je suis abstrait dans ma peinture. Rien n'existe plus. Je ressens les plus folles sensations de plénitude. Sublimes émotions.

Il est rapidement midi. Je file à la cuisine. Dehors il pleut sans interruption. Le ciel est gris, bas et sinistre. Les bourrasques.
Je prépare la pâte pour la tarte aux poireaux de ce soir. Je coupe le poireaux en petits morceaux que je fais bouillir à l'eau.
Clémentine rentre de cours. Toute mouillée, elle me fait coucou depuis l'entrée où elle se déshabille. Elle vient me rejoindre.
< Bonjour mon amour ! > me fait elle en se blottissant contre moi. Je la soulève pour la faire tournoyer. L'instant bonheur.
Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je fais du millet doré et une béchamel. J'écoute en silence...

< Avec l'absence d'Estelle en cours, je me sens comme déstabilisée ! Et ça me fait tout drôle ! > me confie ma compagne.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Je compense en pensant à nos petits délires ! >. Je mets la table. La faim.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de notre situation. Ce soir, nous irons chercher Estelle pour 18 h15.
< J'ai un peu de boulot cet après-midi. Je mets les notes de ce matin au propre. Et on n'a pas trop gratté ! > me fait elle.
A l'attention d'Estelle ma compagne télécharge le tout sur une clef USB. Estelle fera pareil durant le stage de Clémentine.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me raconte quelques anecdotes de l'université.
Les attitudes et les tics des professeurs. L'attitude de Gauvin, le jeune étudiant qui drague un peu Estelle et qui s'inquiète.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. J'entraîne ma compagne au salon. Elle est contente.
Ma compagne m'embrasse. Je la fais doucement tomber dans le canapé. Elle retire son jean et sa culotte qu'elle jette loin.
Je pose l'épais coussin au sol, entre ses jambes écartées. A genoux entre ses cuisses, je hume les parfums de sa matinée.

Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Je m'enivre de ses odeurs. Les poils me chatouillent. Génial.
Le lèche les lèvres charnues de son sexe avec gourmandise. Ce léger goût vinaigré, un peu acidulé qui tient sur la langue.
J'entends ma compagne dont les gémissements alternent avec les apnées, la respiration forte et les souffles du plaisir.
Je récupère les premières arrivées de cyprine. < Attention ! > me fait Clémentine en me repoussant doucement. Giclée.
Un premier jet de pisse. Un spasme secoue tout le corps de ma compagne. Je retire ma chemise. Je reviens pour lécher.

C'est lorsque je suce son clitoris géant que Clémentine ne contrôle plus grand chose. Je me fais pisser au visage. Super.
Il y a plusieurs jets puissants. Je suis dégoulinant de pisse. Clémentine me repousse à nouveau doucement. La prudence.
Ma compagne, désireuse de rester excitée le plus longtemps possible, jusqu'à ce soir de préférence, crie : < Attention ! >
Je cesse. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précaution. Mes cheveux dégoulinants.
Les gouttes tombent sur le visage de Clémentine qui murmure les plus doux secrets. Les plus inavouables cochonneries.

Nous restons ainsi un long moment, alternant les bercements rythmés et l'immobilité la plus totale. C'est merveilleux. Joie.
Comme toujours, je stimule les aveux de Clémentine en lui suggérant des situations salaces. Particulièrement aux écuries.
Il faut cesser. Nous jouons avec les limites extrêmes, évitant l'orgasme de justesse. Je me retire avec précaution. Sympa.
Nous montons pour nous sécher et pour nous changer. Nous rions de bon cœur en essuyant la flaque de pisse. Serpillère.
Nous filons à l'atelier. < C'est la meilleure thérapie pour retrouver la "pêche" sans le noyau ! La baise ! > fait Clémentine.

Nous rigolons comme des bossus. Clémentine est assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur. Le boulot.
Je suis devant mon chevalet. Il est presque 15 h. Nous voilà dans une de nos séances de travail. C'est un enchantement.
Mon téléphone m'avertit de l'arrivée d'un message. Clémentine s'en empare. < C'est Estelle ! > me fait elle. Il est 17 h45.
Estelle nous informe qu'elle sera dans l'arrêt de bus habituel pour 18 h15. Nous cessons pour aller nous préparer. Il pleut.
Nous prenons la petite auto de Clémentine. Trois kilomètres et nous voilà au lieu du rendez-vous. Estelle est déjà là. Joie.

Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée. Nous prenons la route du retour. Tempête.
Nous prenons la direction du haras. Nous y arrivons pour 18 h30. Je gare la voiture dans la cour. Il y a quelques véhicules.
Avec ce temps, il n'y a évidemment personne sous la pluie. nous filons sous l'immense parapluie jusqu'à la première écurie.
Nous voilà à l'abri. Il n'y a personne dans le bâtiment. Nous caressons les chevaux qui nous observent depuis leurs box.
Je me dépêche toutefois d'aller jusqu'au dernier box à côté du local de monsieur Gérard. Juliette l'a vidé de son cheval.

Les filles se mettent à bavarder à haute voix. Les éclats de rire sont sonores. Tout cela est fait exprès pour attirer l'attention.
Pourtant, il ne se passe rien. Nous n'entendons que le bruit que font les chevaux. Je reste toutefois dissimulé dans mon box.
Clémentine et Estelle font des allés et venus dans l'allée centrale. Chaque fois qu'elles sont à ma hauteur, elles me sourient.
Il se passe un moment avant qu'enfin le bruit d'une activité ne se fasse entendre. Je regarde discrètement. Le palefrenier...
< Bonsoir les filles ! > fait monsieur Gérard en allumant les néons. < Bonsoir monsieur Gérard ! > font les filles ensemble.

En début d'après-midi, lorsque nous faisions l'amour, j'évoquais les écuries en anticipant quelques situations bien vicelardes.
Nous y voilà ! Monsieur Gérard dépose l'échelle en aluminium qu'il porte. Il s'approche des filles pour les saluer. Trois bises.
Les bises, c'est nouveau. Depuis ma cachette, je regarde amusé. Monsieur Gérard retire sa veste trempée tout en bavardant.
Estelle et Clémentine sont vêtues de leurs jeans, anoraks et chaussures montantes. Elles portent toutes les deux leur bonnet.
Monsieur Gérard tout en s'affairant avec une caisse à outils, explique ce qu'il est entrain de faire. Une animation dimanche.

Clémentine a passé sa main entre ses cuisses, une jambe serrée devant l'autre. Estelle est accroupit devant le palefrenier.
A tour de rôle, les filles posent des questions. Elles parlent de leurs études. Monsieur Gérard écoute, répond ou questionne.
Je me rends compte que le bougre a déjà sa braguette ouverte. Comment a t-il fait si discrètement et tout en s'occupant ?
Clémentine garde cette position qui ne laisse aucun doute. Tout en bavardant, elle se masturbe. Estelle reste bien accroupit.
Je bande comme le dernier des salauds. La situation est hautement suggestive. Monsieur Gérard vient de sortir son sexe...

Les mains sur les hanches, son tout petit sexe qui pend de sa braguette, le palefrenier constate son petit effet en silence.
Estelle demande : < Vous la passez dans le trou en ce moment ? >. En riant, le palefrenier répond : < Tu veux y goûter ? >
Estelle ne répond pas. Monsieur Gérard s'adresse à Clémentine : < Et toi, tu n'as pas envie d'y goûter. Ta copine connaît ! >
Clémentine baisse les yeux sans répondre. C'est Estelle qui demande : < Qui c'est qui y goûte encore ? >. Eclats de rires.
Le palefrenier en se masturbant doucement, répond : < Mais tu n'es pas seulement une petite salope, tu es curieuse ! >.

Monsieur Gérard se rapproche d'Estelle toujours accroupit. Elle se recule en se tenant au montant d'un pilier. Dans la paille.
Prudente et méfiante lorsque Gérard se rapproche encore, Estelle se redresse. Clémentine se touche franchement, excitée.
Ces situations exercent un effet fou sur la libido de ma compagne. < C'est comme dans un porno ! > me fait elle souvent.
Monsieur Gérard n'insiste jamais. Il sait garder ses esprits. Il reste un gentleman malgré tout. Même si c'est à sa manière !
Les filles savent qu'il faut en rester là. Elles sont venues entretenir la flamme en quelque sorte. Gérard s'empare d'un seau.

Tout en remerciant les filles pour leur visite, il pisse dans le seau en métal. Cela résonne de façon surréaliste dans ce lieu.
Tout cela se déroule sous le regard des chevaux. Et du miens. Clémentine, rusée, entraîne monsieur Gérard à les suivre.
Monsieur Gérard raccompagne les filles jusqu'à la porte. Clémentine reprend le parapluie. Ils sortent tous les trois. Il pleut.
Je peux sortir de ma cachette pour aller me planquer près de la porte. Je sors sous la pluie derrière une remorque. Mouillé.
Monsieur Gérard prend congé des filles pour revenir en pestant. Je rejoins les filles dans la voiture. Je suis trempé. Rires...

< Quel salaud ! > fait Estelle pendant que je roule. < Génial ce mec ! > fait Clémentine en me palpant la braguette. 19 h30.
Morts de faim, nous préparons la Flamiche Picarde du mardi soir. Tout va vite. Tout est déjà prêt. Nous sommes méthodiques.
Estelle étale la pâte. J'y étale la Béchamel contenant le poireau. Gruyère de Comté en grande quantité. Le couvercle de pâte.
Clémentine prépare la salade. Nous passons au salon pendant la cuisson. Estelle se frotte contre moi. Clémentine s'interpose.
< C'était comment depuis ta planque ? > me demande Estelle en mimant une masturbation masculine avec vulgarité. Rires...

J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Immédiatement il y a une coulure épaisse qui dégouline. L'effet de mon excitation.
Estelle tombe immédiatement à genoux. Elle avance son visage, bouche ouverte pour récupérer la longue coulure gluante.
Clémentine s'accroupit pour observer Estelle qui se met à me sucer en poussant de petits cris de ravissement. C'est super.
Clémentine se redresse pour se frotter contre ma hanche en m'embrassant. Estelle me taille une pipe des familles. Ravie.
C'est la sonnerie du four qui met un terme à nos effusions. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. C'est superbe.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les cours. Estelle va avoir du travail supplémentaire. Son stage. Ses cours.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Il faut filer à l'atelier. Les études sont prioritaires. Bien.
Les filles travaillent. Il est rapidement 22 h15. Il faut ramener Estelle un peu tristounette. Nous revenons pour 23 h. Fatigués.
Les toilettes. La salle de bain. Nous voilà enfin couchés. Un "69" bien juteux. Clémentine m'entraîne sur elle. Je m'introduis.
Elle me raconte ses émotions et ses sensations aux écuries. Ses révélations sont étonnantes. Cunnilingus, fellation et dodo...

Bonne soirée dans vos écuries préférées à toutes les coquines qui pratiquent l'équitation et les palefreniers vicieux...

Julien - (Qui s'acquitte avec soin de la mission de vigile qui lui est confiée par Clémentine et Estelle. Pour pouvoir s'éclater) -

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En pleine semaine et en plein bonheur...

Hier matin, mercredi, nous sommes réveillés par le concerto pour violoncelle en Mi bémol majeur No 447. Il est six heures.
< Ta gueule Momo ! > s'écrie Clémentine en tapant sur le cube réveil. Nous en rigolons comme des bossus en nous serrant.
< Bonjour Julien ! > me fait ma compagne en me chevauchant. < Bonjour Clémentine ! > que je lui fais en la faisant rigoler.
Douceurs, tendresse et papouilles. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux. Rires.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine dans une bonne humeur qui nous rend toute chose amusante. La faim...

Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons notre aventure aux écuries hier soir avec Estelle. Bien.
< Je vais peut-être rentrer à midi. Je me fais trop chier au restaurant universitaire sans Estelle ! > me fait ma compagne.
Je tente de la raisonner. Cela fait 12 km dans un sens et 12 km dans l'autre. Avec la circulation, trente minutes de perdues.
< Je sais, mais c'est trop dur ! > rajoute encore Clémentine assise sur mes genoux en terminant son yaourt. Nous montons.

Nous nous offrons notre heure d'entraînement. Une heure avec intensité maximale pour tenter de remplacer notre jogging.
Le thermomètre extérieur indique 1°. Il pleut à verse. Des bourrasques tempétueuses balaient par rafales contre les vitres.
La douche. Il 7 h45. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue sous le parapluie.
Il faut le tenir à quatre mains pour éviter qu'il ne soit détruit et emporté par le vent. Bisous. Un dernier coucou de la main.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse. Je monte faire la chambre. Je fais la vaisselle.

Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Il est 8 h15. Je suis devant mon chevalet.
Je peins dans une allégresse glorieuse. Je travaille à la douzième toile destinée à ma saison d'été. Ma passion dévorante.
Lorsque je suis abstrait ainsi dans ma peinture, le temps cesse de s'écouler comme pour le reste de l'humanité. L'absence.
Il est donc rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare des coquillettes en quantité suffisante pour un gratin en soirée.
Mon téléphone m'avertit de l'arrivée d'un message. C'est Clémentine. < Je surmonte. C'est dur. Je t'aime ! > fait le texto...

Je suis rassuré. Avec cette météo épouvantable, je préfère savoir ma compagne à l'abri. Inutile de s'exposer inutilement.
Je mange de bon appétit. Je mets les coquillettes dans le plat en terre cuite. Je les recouvre de parmesan râpé. De l'œuf.
Avec le reste de la sauce au Roquefort et une bonne salade, notre repas de ce soir est déjà prêt. Je file à l'atelier. 13 h 15.
A nouveau assis devant mon chevalet, je me livre corps et âme à ma passion en poussant épisodiquement des cris de joie.
Du bruit. Il et 16 h55. Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé. Elle vient contre moi.

Assise sur mes genoux ma compagne me raconte sa journée. < On n'a pratiquement pas gratté aujourd'hui ! > me fait elle.
Clémentine fait évidemment allusion aux notes parfois incessantes qu'il faut prendre pendant les cours. J'écoute en silence.
< C'est à midi que c'est dur. C'est stupide mais je me rends compte à quel point Estelle fait partie de ma vie ! > me dit elle.
Je lui chuchote : < Moi, j'en ai conscience depuis plusieurs mois ! >. Clémentine me confie quelques ressentis quand à "ça".
Nous faisons le constat ensemble. Estelle est entrée dans nos vies tout comme nous sommes entrés dans la sienne. Texto...

Au moment même où nous en parlons, mon téléphone sonne. Clémentine s'en empare : < Estelle ! > s'écrie t-elle. Contente.
Clémentine est assise à la table entourée de ses affaires devant l'ordinateur. Je l'entends parler des cours. Des explications.
Elle revient pour me tendre l'appareil. < Bonsoir Julien ! >. C'est la voix d'Estelle. Clémentine reste assise sur mes genoux.
Nous bavardons. Je dis : < Il est 17 h20. Tu veux que je vienne te chercher ? >. Estelle surmonte son désir de venir. Difficile.
Finalement, il est préférable qu'elle révise les cours qu'elle manque à cause de son stage en entreprise. Nous en débattons...

Clémentine reprend le téléphone. Estelle reviendra demain soir. Clémentine reste un petit moment dans mes bras. Le travail.
La voilà à nouveau assise à la table à mettre au propre et à réviser ses cours de la journée. Je peins dans l'allégresse. Super.
< Ras le bol ! > s'écrie soudain Clémentine derrière moi. Il et 19 h. Ma compagne se lève en faisant : < Fini pour ce soir ! >
Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Nous nous précipitons à la cuisine, morts de faim. Le repas du soir est une surprise.
< Miam ! > fait Clémentine lorsqu'elle découvre le gratin de coquillettes que je fais réchauffer au four. Elle prépare la salade.

Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons notre étrange relation à trois avec Estelle. Et nos extraordinaires aventures.
Je propose à Clémentine d'inviter Juliette pour partager un bon repas et une bonne soirée. < Oh oui ! > fait ma compagne.
< On lui fait un courriel après ! > rajoute Clémentine. Nous bavardons. Le sujet de conversation s'articule autour du haras.
Nous avons vécu là-bas des émotions et des sensations bien agréables. < Inoubliables ! Vraiment super ! > fait Clémentine.
Je tends mon téléphone à Clémentine en lui proposant d'envoyer un texto à Juliette. Ma compagne le fait immédiatement...

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie à quel point cet hiver lui paraît si long.
< C'est la première fois que l'hiver me semble aussi interminable. C'est ce temps de merde ! > me fait elle avec tristesse.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Mon téléphone sonne. Clémentine s'en empare vite.
< C'est Juliette ! > me fait elle. Je l'entends parler. < Demain soir ? > demande t-elle. Je lève le pouce de la main droite.
Clémentine est toute contente. Nous passons au salon. Juliette vient manger demain soir. C'est le seul soir où c'est possible.

< C'est superbe ! On se fait une fête demain soir ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi dans le canapé. Douceur.
J'aime la voir heureuse. < Je peux avoir ma "tétine" ! > me fait elle en déposant l'épais coussin au sol, entre mes jambes.
Je dis : < Tu ne veux pas que je m'occupe de toi. Tu as besoin d'une thérapie de choc quand tu es tristounette ? >. Rires.
Clémentine se met à genoux sur le coussin en disant : < Après ! Là, j'ai besoin de mon "sirop" ! >. Nous rions de bon cœur.
Elle ouvre ma braguette consciencieusement. Elle y fourre sa main pour fouiller dans mon slip. Elle en extrait mon sexe...

Je l'observe humer longuement les odeurs de ma journée d'homme. < J'adore quand ça sent fort ! > me chuchote t-elle.
Je lui caresse la tête, les joues. Clémentine ferme les yeux pour approcher son visage. Ma compagne apprécie la situation.
Chaque fois que je lui propose de retirer mes vêtements, Clémentine me fait : < Je préfère juste la braguette ouverte ! >.
Ma compagne prend mon sexe en bouche. Du bout des lèvres elle suce doucement. Elle ouvre les yeux pour me fixer. Joie.
Je bande mou. Elle cesse de suçoter pour me chuchoter : < Sois salaud s'il te plaît ! J'ai besoin d'émotions fortes ! >. Bien.

Je lui dit : < Retire ta chemise ! >. Clémentine sort un chouchou de sa poche. Avec cet élastique, elle s'attache les cheveux.
Elle retire sa chemise avec un regard terriblement troublant. Elle sait ce que je lui prépare. < Je t'aime, Julien ! > fait elle.
Je me redresse. Debout devant ma compagne à genoux sur le coussin, je lui passe longuement mon sexe sur le visage. Joie.
En gémissant, Clémentine m'en présente chaque partie J'ai toujours une profonde émotion dans ces moments là. Sensations.
< Sois salaud ! > me chuchote t-elle encore avant de reprendre mon sexe en bouche. Je la regarde, les joues creuses. Pipe.

Je tâche d'avoir le comportement qu'exige souvent Clémentine. Je la saisi par la nuque pour lui enfoncer la bite bien au fond.
Clémentine a des hauts le cœur. Je la relâche. En toussant, Clémentine tente de déglutir les premières montées de jute. Joie.
Je la tiens sous le menton pour lui frotter mon sexe sur le visage. < Je t'aime ! Et j'aime ! > n'arrête t-elle pas de murmurer.
Clémentine, d'un mouvement de tête, la bouche ouverte parvient à reprendre mon sexe pour le sucer avec avidité. Le plaisir.
Je me concentre. Je dois pisser depuis la fin du repas. Je ne bande pas encore vraiment. C'est donc le moment propice. Vice.

Je lâche une giclée. Dans un cri de ravissement, Clémentine déglutit avant de s'enfoncer ma bite profondément en bouche.
Je suis toujours animé d'un curieux sentiment lorsque j'ai ce comportement. C'est difficile de le faire avec la fille que j'aime.
Clément gémit de plaisir à chaque petite giclée. Je m'épanche par tous petits jets bien contrôlés. Elle peut déglutir propre.
Je me retire. Je la tiens par ses cheveux. Je lui mets une gifle. Je lui frotte la bite sur le visage. Clémentine glousse de plaisir.
Je lui pisse au visage. Elle m'en présente toutes les parties, les yeux fermés en poussant des râles de bonheur. Merveilleux !

Clémentine me taille une pipe des familles. Comme elle apprécie tant de le faire. J'évoque les écuries, le palefrenier. Estelle.
Je chuchote : < Imagine toi dans cette situation, mais attachée dans les écuries. Et monsieur Gérard qui s'occupe de toi ! >
Depuis quelques temps, à chaque fois que j'aborde ce fantasme récurrent, ma compagne a le même réflexe. Gloussement.
Pas de doute. Elle gamberge. Mes suggestions l'excitent considérablement. Je m'épanche par petits jets réguliers. Elle suce.
Le mélange de foutre et de pisse dégouline. Elle ne peut en avaler la totalité. D'autant plus que je bande comme un salaud.

Cambré sur mes jambes, genoux fléchis, la tenant fermement, je me masturbe dans la bouche de Clémentine. Gémissement.
Je cesse de bouger pour lui permettre de savourer le fruit de nos efforts. Je suis hyper juteux. Il lui en coule de la bouche.
Nous passons ainsi un long moment. Par séquences, je frotte ma bite sur son visage. Cela lui permet de reposer sa mâchoire.
Nous nous chuchotons d'invraisemblables cochonneries. Je n'arrête pas mes descriptions quand aux écuries. De la fiction pure.
Mais mes histoires ne laissent pas ma compagne insensible aux émotions qui la gagnent de plus en plus. < Encore ! > dit elle.

Je décide que c'est le bon moment. Clémentine me tient par les hanches. Ruisselante de pisse et de foutre, elle me pompe.
J'éjacule. Immobile. Sans prévenir. Comme je le fais le plus souvent. Clémentine avale en poussant un long râle de plaisir.
Sa satisfaction est telle que je vois son corps animé d'un spasme et de plusieurs frissons. Des cris de ravissement. Bonheur.
Je la force à se redresser. Je lui mets une gifle. Ce ne sont jamais des actes de violence. Cela fait partie du jeu qu'elle exige.
Nous montons à la salle de bain. Sèche cheveux. Nous rions de bon cœur lorsque que Clémentine me fait : < Noyée ! >...

Une fois au lit, je lui offre un cunnilingus appliqué. L'excitation de Clémentine est telle qu'il me faut redoubler de prudence.
Juste avant l'orgasme, elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles.
C'est toujours dans ces moments d'intimité intense et totale que Clémentine me fait les plus étonnantes révélations. Super.
Clémentine m'avoue à quel point mes propositions de vivre un "dressage" aux écuries la séduisent de plus en plus. Enfin !
L'orgasme est à la hauteur de nos folies. Serrés l'un contre l'autre, nous nous endormons dans un bonheur paradisiaque....

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment vivre des situations de confidences, de sperme, de pisse et de révélations...

Julien - (Qui tente d'emmener Clémentine vers une expérience nouvelle. "Dressée" par un vieux palefrenier vicieux) -

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Une soirée avec Juliette qui mange à la maison...

Hier matin, jeudi, j'ouvre l'œil le premier. Clémentine, à ma gauche, ne tarde pas à s'étirer en gémissant longuement.
Il est 5 H55. < Bonjour Julien ! > s'écrie ma compagne avant de se serrer contre moi. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >
Douceurs, tendresse et papouilles. Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'au WC.
Nos rituels pisseux puis nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner. Faim.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Le thermomètre extérieur indique 2°. Il pleut. Il fait nuit et il fait froid...

Nous mangeons de bon appétit dans cette agréable odeur de pain grillé et de café. Nous bavardons. Confitures et miel.
Nous parlons de la soirée qui nous attend, de Juliette qui viendra manger et d'Estelle qui revient pour nous rejoindre.
Nous remontons pour nous livrer à notre l'entraînement qui remplace ces joggings qui nous manquent cruellement. Dur.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue sous le parapluie.
Il fait quasiment la même météo déplorable que hier. Pluie. Les bourrasques tempétueuses. Le vent froid. Médiocrité...

Quelques rapides bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre vite.
Je monte faire la chambre. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais à l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Le jour s'est levé. Je peins avec la lampe halogène depuis des jours.
La luminosité est si faible que je dois avoir recours à la lumière artificielle. Je travaille dans un enthousiasme extraordinaire.
Il en faudrait bien davantage pour entamer la passion qui anime encore mon optimisme effronté d'aujourd'hui. Magnifique.

Comme toujours, lorsque je suis abstrait dans ma peinture, ma perception du temps devient quasiment nulle. Il est déjà midi.
Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte de la tarte aux aubergines que je prévois pour le repas du soir. J'y rajoute du gruyère.
Je concocte une garniture. De l'ail, de l'oignon, de la ciboulette, des champignons et trois grosses aubergines. Cuisson lente.
Pour midi, je me fais du pilpil de blé avec un peu de la garniture. Accompagné d'une laitue. Il est 13 h15. Je retourne peindre.
Mon téléphone m'avertit de l'arrivée d'un message. Il est quinze heures. C'est Estelle. "Vivement ce soir", m'écrit elle. Bien...

Du bruit. Clémentine entre précipitamment dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé. Elle vient me rejoindre en courant.
< Je t'aime Julien ! > me fait elle en s'asseyant sur mes genoux pour me raconter sa journée. Le rythme est un peu plus cool.
< Ce second trimestre est moins speed que le premier ! > me confie ma compagne à plusieurs reprises visiblement heureuse.
Clémentine est assise à la table. Elle met au propre ses notes de la journée. Le crépitement du feu accompagne nos silences.
Mon téléphone m'avertit de l'arrivée du message d'Estelle qui dit simplement "Ok". Il est 18 h. Nous allons la chercher. Pluie.

Trois kilomètres dans l'incessant balai des essuies glaces. Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel. Il est 18 h15. Bien.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée. Clémentine lui raconte la sienne. L'université.
Nous voilà de retour. Les filles travaillent au cours qu'Estelle doit rattraper à cause de son stage en entreprise. C'est du boulot.
Je peins en écoutant la conversation. Clémentine met les cours mis au propre sur une des clefs USB d'Estelle. Méthode et ruse.
Il est presque dix neuf heures. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Juliette arrivera pour vingt heures. J'ai tout mon temps.

J'étale la pâte en trois parties que je dispose dans trois plats. Je réchauffe la garniture pour lui rendre un peu de sa fluidité.
Clémentine vient me rejoindre. Elle se serre contre moi. < Je t'aime Julien ! Comme je suis heureuse ! > me chuchote t-elle.
Ma compagne découvre notre repas de ce soir. < Miam ! > fait elle. Elle s'occupe de la salade de carottes qui sera servit avec.
Estelle vient nous rejoindre. Elle aussi se serre contre moi. < J'attends ce moment depuis mardi ! Toute la journée ! > dit elle.
Clémentine s'interpose en s'essuyant les mains. < On se calme ! > fait elle. Nous rions tous les trois de bon cœur. Ambiance.

Je verse la garniture sur la pâte. Il en reste. Ce sera la sauce pour le repas de demain. Je mets plein de gruyère de Comté.
Je mets au four. Thermostat sur 7, cuisson à 350° pour trente minutes. Le timing parfait. Estelle prépare l'assaisonnement.
Je mets la table au salon. Clémentine vient m'aider. Nous disposons le chemin de table en lin sur la table monastère. Bien.
Estelle apporte les jus de fruits. Les filles sont tellement contentes qu'elles m'entraînent dans une ronde autour de la table.
Nous nous amusons beaucoup. Dehors, il peut bien faire nuit, pleuvoir et venter, nous sommes tous les trois bien au chaud.

Estelle, debout au milieu de la grande pièce, mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité dont elle est capable.
< Tu n'es pas chiche de passer toute la soirée avec ta braguette ouverte ! > me fait elle. < Tu paries ? > lui dit Clémentine.
Me voilà mis au défi par les deux coquines. Je les entraîne à l'étage pour nous changer. Nous rigolons comme des bossus.
Clémentine et Estelle s'habillent comme deux sœurs jumelles. Jupe kilt, chemisier, souliers à talons hauts. Superbes. Sexy.
Sur leur demande, je porte mon pantalon en cuir. Une chemise blanche bouffante. < Notre mousquetaire ! > me fait Estelle.

< On voit bien la bosse ! > me fait Estelle en s'accroupissant à mes côtés devant le miroir. Elle palpe ma braguette. Rires.
< N'oublie pas le défi qui t'es lancé ! > me fait encore Estelle en descendant la tirette de ma braguette. Pantalon moulant.
< Oh put-Hein ! Tu auras du mal à dissimuler ta braguette ouverte ! On ne voit qu'elle ! > me fait Clémentine. C'est gênant.
Nous entendons la sonnerie du four. Nous redescendons juste à temps pour sortir les tartes. Il est 19 h50. Tout est prêt.
< C'est génial ! > me fait Estelle en pointant son doigt vers ma braguette ouverte. Sur leur demande, je porte un slip blanc.

Estelle, chaussée de souliers à talons, marche toujours d'une façon maladroite. Cela m'amuse beaucoup. Je lui prends la main.
Je l'entraîne au salon pour lui faire parcourir le tour de la grande pièce. < Entraînement ! > que je lui dis. Nous rions beaucoup.
Trois coups de sonnettes. Clémentine se précipite. Estelle en profite pour me palper la braguette en m'embrassant rapidement.
Je la repousse à temps. Juliette est vêtue d'un pantalon brun à plis, à pinces, très moulant. Chemisier crème. Souliers à talons.
Nous nous serrons la main. La jeune femme est visiblement très contente d'être avec nous. Je la félicite pour son élégance...

Malgré mes tentatives de dissimuler ma braguette ouverte, Juliette vient de s'en apercevoir. Elle me regarde avec un sourire.
< Un pari ! > fait immédiatement Clémentine à qui rien n'échappe. < Pari gagné par qui ? > demande Juliette. Je suis gêné.
Clémentine nous invite à prendre place. < Je fais le service ! > se propose Estelle. Nous nous asseyons. Il y a des bougies.
Je suis assis en bout de table. A ma gauche Clémentine, à ma droite Estelle à côté de Juliette qui nous raconte sa journée.
Nous mangeons de bon appétit. < J'exige d'avoir la recette de ces tartes aux aubergines ! > dit Juliette. Je promets un mail.

< Tu fais quoi sous la table, Julien ? > demande Estelle. Je réponds en montrant mes deux mains : < Mais rien du tout ! >
Nous rions tous les quatre de bon cœur. Je fais du pied à Estelle. < Tu ne montre pas à la dame ? > fait encore cette chipie.
< Mais quoi donc ? > demande Juliette en me faisant un sourire entendu. < Mais tu as fini oui ! > fait Clémentine à Estelle.
Mimant une masturbation masculine, Estelle rajoute encore : < Comme au restaurant ! >. Je suis obligé de raconter le truc.
Juliette écoute en m'observant avec un curieux regard par en dessous. Elle dit : < Je viens avec vous un de ces soirs ! >.

La conversation s'articule autour de nos aventures vicieuses. Je comprends rapidement où Estelle veut en venir. Parler cul.
Clémentine me fait du pied sous la table. Juliette, que tout cela amuse, entre très vite dans le sujet. Nous rions de bon cœur.
Estelle, décidément espiègle, tend son téléphone à Juliette pour lui montrer une photo de la cloison du box là où il y a le trou.
< C'est qui ? > demande Estelle. Juliette éclate de rire en disant : < Décidément ! >. < Alors ? > insiste encore Estelle. Rire.
Juliette lui répond : < C'est ce que l'enquête révélera ma chère détective ! >. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance.

Estelle débarrasse la table. Nous filons à la cuisine. Je vais préparer nos coupes glacées. Clémentine reste à table avec Juliette.
Estelle se serre contre moi en mettant sa main dans ma braguette. Je lui dis : < Tu es une vraie salope ! >. Elle m'embrasse.
< Tu as quelque chose à redire ? C'est génial, non ? > fait elle en mettant la vaisselle dans l'évier. Je dois l'admettre. Super !
< Sors ta queue ! > me fait encore Estelle. Je réponds : < T'es folle ! On en reste là, tu veux bien ! >. < Trouillard ! > dit elle.
Je ramène le grand plateau avec les coupes glacées. Le dessert est succulent. Nous bavardons. Juliette évoque ses projets...

La jeune femme parle des animations qu'elle organise au haras pour les dimanches à venir. < Ce sont des succès ! > dit elle.
Juliette nous raconte son projet pour Carnaval. Nous écoutons avec intérêt. Nous promettons de venir. C'est toujours super.
La soirée se déroule dans la bonne humeur. Estelle tente de parler cul. Nous tentons de parler des animations prévues. Haras.
Il est 22 h. Juliette nous remercie. Elle prend congé. Nous l'informons de notre visite dimanche après-midi pour l'animation...
Je sermonne vertement Estelle. < Je t'ai bien eu, hein ! Tu vas me punir ? > fait elle en riant. Nous faisons la vaisselle. Bien.

Nous ramenons Estelle un peu tristounette. Je lui précise encore : < Si tu veux venir, n'importe quand, tu appelles ! Ok ? >
Nous rentrons. Clémentine me fait à plusieurs reprises : < Tu as vu le comportement d'Estelle ? Une vraie salope ! >. Rires.
Les toilettes. La salle de bain. Nous voilà couchés. Nous nous offrons un "69" bien juteux. Clémentine m'attire en elle. Joie.
Tous les deux, parfaitement immobiles, Clémentine me confesse les plus incroyables cochonneries. L'attitude d'Estelle. Rires.
< Le coup de la braguette ouverte, c'est excellent. Juliette a apprécié ! > chuchote Clémentine. Orgasme délirant, fou. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient les situations discrètement vicelardes....

Julien - (Qui a assuré toute la soirée avec la braguette ouverte, souvent en érection, un peu victime des attitudes d'Estelle) -

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Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 308 -



Le vendredi, à midi, pour Clémentine, c'est le début du Week-End...

Hier matin, vendredi, il est six heures lorsqu'une valse de Frédéric Chopin résonne dans la chambre. C'est notre cube réveil.
< Put-Hein, mais ta gueule Frédo ! > s'écrie Clémentine en tapant sur l'appareil. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance.
< Bonjour Julien ! > rajoute ma compagne avant de me chevaucher en riant. < Bonjour Clémentine ! > que je fais. Papouilles.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Dès le rituel pisseux terminé, nous descendons jusqu'à la cuisine. Faim.
Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans cette délicieuse odeur de pain grillé.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le vendredi, Clémentine termine à midi. Elle en est toute contente. Sympa.
Nous faisons le bilan de la journée de hier, la soirée en compagnie de Juliette et d'Estelle. Le programme de la journée à venir.
Le thermomètre extérieur indique 3°. Il pleut. Il fait nuit, le vent souffle fort. C'est toujours encore cette épouvantable météo.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint chaudement vêtue sous son immense parapluie qu'il faut tenir à deux mains pour éviter qu'il ne s'envole. Dur.

Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse. Pluie.
Je monte faire la chambre. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume du feu dans la cheminée. Bien.
Il est 8 H15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je termine ce matin la douzième toile destinée à ma saison d'été. Joie.
Je peins dans une euphorie délirante. L'enthousiasme est tel que je pousse les cris les plus surréalistes en maniant le pinceau.
Parfois même, lorsque je réussi le trait le plus sublime, je me lève pour exécuter une sorte de danse tribal autour de la toile...

Il est trop rapidement midi. Une fois encore le temps et la matinée m'ont échappé. Je vais à la cuisine pour préparer le repas.
A peine suis-je entrain de faire éclater le riz complet à l'aide d'une spatule tout en remuant en huit, qu'arrive Clémentine. Joie.
< C'est Week-End ! > s'écrie t-elle en se précipitant dans mes bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Douceur.
Clémentine s'occupe de la salade. Je rajoute quatre volumes d'eau froide sur le riz. Il y a un gros nuage de vapeur. Couvercle.
Je prépare une sauce au Roquefort avec les derniers champignons. A plusieurs reprises Clémentine vient se serrer contre moi.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Le rythme est un peu plus relâché. Second trimestre cool.
Les cours sont distillés par des professeurs qui s'inscrivent beaucoup plus dans la démonstration que dans l'élocution. Sympa.
Il y a donc beaucoup moins de notes à prendre à toute vitesse. Moins de stress, moins de travail, moins de fatigue. Relaxant.
C'est sur ce constat que Clémentine me fait : < Je mets tout au propre cet après-midi. J'en ai pour une heure tout au plus ! >
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Elle me fait part de son désir de s'offrir quelques frayeurs. Rire.

Nous rions de bon cœur. Je lui propose de partir pour la ville en fin d'après-midi, de nous offrir une soirée au restaurant. Joie.
< Oh oui ! Génial ! > s'écrie ma compagne. La vaisselle. Je plonge, Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Bien propre.
Nous passons au salon. Je téléphone au restaurant de l'étang afin d'y réserver une table. J'ai la jeune serveuse au bout du fil.
Au son de sa voix, lorsqu'elle me reconnait, j'entends qu'elle est toute contente. Je lève le pouce de la main droite. Rigolade.
L'affaire est entendue. Nous serons là pour vingt heures. Clémentine se serre contre moi. < C'est super ! > murmure t-elle...

< Viens, je m'occupe un peu de toi ! > que je lui fais en entraînant Clémentine vers le canapé. Elle retire son jean, sa culotte.
Je la fais doucement tomber dans le canapé. Je dépose l'épais coussin au sol, entre ses jambes. Je m'y mets à genoux. Bien.
Clémentine, les cuisses largement écartées, me tenant par les oreilles, m'observe. Je hume les parfums de sa matinée de fille.
Odeurs encore discrètes mais révélatrices. Je fourre mon visage dans l'épaisse toison pubienne. Les poils me chatouillent. Joie.
Je fouille les plis et tous les replis des lèvres charnues du sexe de ma compagne. Ce goût déjà légèrement vinaigré m'enivre.

Je lèche consciencieusement en écoutant les gémissements de plus en plus fréquents de Clémentine qui s'installe encore mieux.
Vautrée dans le canapé, Clémentine se laisse aller au plaisir. Je récupère bien la cyprine qui s'écoule jusque dans la raie culière.
< Attention ! > me fait ma compagne. J'ai pris la peine de retirer ma chemise. Bien m'en a pris car elle se lâche. Un jet de pisse.
Une fois encore, lorsque je suce son clitoris géant, Clémentine ne contrôle plus grand chose. Je l'entends crier de plaisir. Pisse !
Je me fais pisser à la gueule. J'en ai l'habitude. C'est de plus en plus fréquent. Clémentine peut laisser son intimité s'exprimer...

A l'extrême limite de l'orgasme qu'elle veut éviter, Clémentine s'écrie, en me repoussant doucement : < Attention ! >. Stop.
Je cesse. Clémentine aime tant rester excitée le plus longtemps possible. Elle tente de reprendre ces esprits. Elle me tient fort.
Elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Je ruisselle.
Des goutes de pisse me dégouline des cheveux. Clémentine m'embrasse. C'est le moment des confessons les plus secrètes.
J'écoute les étonnantes révélations. Il est question des écuries, de fellation, du palefrenier, de situations hautement vicieuses.

Il est temps de cesser car l'orgasme risque d'être inéluctable. Nous aimons jouer avec nos limites extrêmes. En vrais virtuoses.
Je me retire doucement. Nous nous levons péniblement en riant. Nous cherchons la serpillère pour éponger la flaque de pisse.
Nous rigolons comme des bossus de nos cochonneries. Puis nous montons pour nous sécher. < Je t'aime ! > s'écrie Clémentine.
Il est quinze heures. Nous passons à l'atelier. Clémentine est assise à la table entourée de ses affaires devant l'ordinateur. Bien.
Je décroche la toile terminée du chevalet pour y déposer une vierge. Je commence le dessin préparatoire de ma treizième toile.

Nous travaillons dans cette ambiance si particulière avec le craquement des bûches dans la cheminée. Odeur de feu de bois.
Il est seize heures trente. < Fini ! > s'écrie Clémentine derrière moi. Nous cessons tout pour monter nous changer. Pressés.
Dehors il pleut toujours. Le vent est tombé. Clémentine met un pantalon à pinces et à plis. Un chemisier sous son épais pull.
Des souliers à talons hauts achèvent de donner à sa silhouette cette attractivité irrésistible. Comme elle est belle. Séduisante.
Sur sa demande, je mets mon pantalon de velours marron, une chemise sous mon pull, mes souliers de ville bruns. Echarpe.

Sous le grand parapluie, nous traversons le jardin. Nous voilà en voiture. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe.
Nous passons devant le haras. Cet endroit qui devient peu à peu le centre de toutes nos préoccupations fantasmatiques. Rires.
Douze kilomètres sous la pluie. Il est dix sept heures. Nous arrivons en ville. Je gare la voiture dans la rue habituelle. La place.
Il n'y a plus de vent. La pluie est fine et régulière. Nous marchons sous notre immense parapluie. Dix minutes du centre ville.
Nous parcourons les allées de quelques grands magasins. Il y a peu de monde. Nous terminons l'après-midi au salon de thé...

Assis tout en haut, nous avons vue sur la petite salle. Il y a deux vieux messieurs très élégants qui bavardent, assis plus bas.
Un couple de jeune gens installés au-dessus. La configuration des lieux, en gradins, permet une vue parfaite sur l'ensemble.
Cette topologie permet également d'être vu. Pourtant, personne ne fait attention à nous. Clémentine, un peu frustrée, peste.
< Vivement le printemps, j'en ai marre ! > me fait elle. Je lui rappelle que nous ne sommes pas encore au cœur de l'hiver.
Nous savourons nos chocolats chauds et fumant en bavardant. Clémentine évoque le haras. Nous y retournerons dimanche...

Il est presque dix neuf heures. Le salon de thé va fermer. Nous quittons. Dehors, la pluie a cessé. Le sol est trempé, luisant.
Nous déambulons un peu en regardant quelques vitrines. L'odeur de bouffe provenant d'un Fast-Food nous met en appétit.
Nous traînons jusqu'aux environs de dix neuf heures trente. Nous voilà à la voiture. La pluie a vraiment cessé. C'est agréable.
Nous arrivons au restaurant de l'étang. Il est presque vingt heures. Je gare la voiture. Il y a juste quatre autos sur le parking.
Nous entrons. La jeune serveuse nous accueille avec un grand et généreux sourire. Nous ne sommes plus des inconnus. Bien.

Nous voilà installés à la table habituelle. La serveuse nous apporte la carte. Il y a peu de monde. Nous pouvons bavarder.
La jeune fille nous raconte un peu de sa semaine d'étudiante. Ce point commun avec Clémentine permet un échange facile.
C'est une ambiance très agréable en ces lieux. Sur chaque table un chandelier à trois branches éclaire de ses trois bougies.
C'est un climat très particulier qui attise un certain romantisme et peut-être une sensualité certaine. C'est même excitant.
Nous voilà à savourer nos plats de fruits de mer. La jeune serveuse m'adresse de nombreux sourires lorsque je la regarde.

< Fais lui le test des chiottes tout à l'heure, avant le dessert ! > me fait ma compagne. Je suis un peu gêné par la demande.
< Pourquoi ? Elle n'est pas farouche et je t'assure qu'elle va apprécier cette délicate attention ! > rajoute encore Clémentine.
Je descends vers les toilettes. Sur la demande de Clémentine, j'ai ma braguette discrètement ouverte. La serveuse me sourit.
Elle vient de constater que j'ai la tirette baissée. Son regard par en dessous et son sourire entendu ne laissent aucun doute.
J'entre dans les toilettes homme. Je laisse la porte entrouverte. Je sors mon sexe. Je me "prépare". Je me masturbe un peu.

Une fois encore, Clémentine a vu juste. Un bruit de pas dans l'escalier. Je regarde discrètement. Je bande comme un salaud.
La jeune serveuse entre dans les toilettes. Elle reste silencieuse avec un curieux sourire. Elle me fixe longuement. Le silence.
Je me branle doucement. J'ai sorti mes couilles. Je mets mes mains sur mes hanches. Je lui présente mes organes génitaux.
C'est comme une invitation. La jeune fille observe mon sexe avec l'attention d'une entomologiste. Sans cesser de sourire. Joie.
Je me concentre. Je suis terriblement excité. Je dois pisser depuis un moment. J'ai le privilège de pouvoir uriner en bandant.

< Je dois remonter ! > me fait la jeune fille dans un murmure. Elle prend un air attristée, penche sa tête. Déception évidente.
Juste avant qu'elle ne sorte, elle se retourne pour me dire : < Merci pour cette gentille attention ! >. Je peux enfin me lâcher.
Je pisse. La jeune fille s'arrête pour observer. < Génial ! > me fait elle. Il lui faut remonter. Je termine de pisser tranquille.
Je remonte. Je raconte tout à Clémentine qui me fait : < Tu vois, je te l'avais dit ! Elle fait partie du "Club ! J'en étais sûre ! >
Nous rions de bon cœur. La jeune fille vient nous apporter l'adition. Elle sait à présent avoir affaire à un couple très complice.

Avant de partir, car nous sommes les derniers, je vais vers le comptoir. La patronne n'est pas loin. La jeune fille est discrète.
Elle nous raccompagne jusqu'à la porte. Clémentine lui fait : < Vous avez toujours nos coordonnées ? > < Oui ! > fait elle.
Sur le pas de la porte, rapidement, je sors ma bite. Je l'agite vers la jeune fille pour lui dire : < Alors ne vous gênez pas ! >.
Nous sommes de retour pour 23 h. Les toilettes. La salle de bain. Nous voilà au lit. Un "69" pour nous "chauffer" un peu.
Une petite baise qui n'aboutit pas car, serrés l'un contre l'autre, épuisés, nous plongeons dans un profond sommeil. Heureux.

Bon début de Week-End à toutes les coquines qui sont déjà à se réjouir des trucs bien vicelards qui se préparent...

Julien - (Qui a souvent la braguette ouverte sur la demande de Clémentine que cela excite au-delà du raisonnable) -

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Un Week-end sympathique et des plus agréables...

Hier matin, samedi, il est presque huit heures lorsque j'ouvre les yeux. A mes côtés, Clémentine est entrain de s'étirer.
Pour ponctuer son long gémissement elle s'écrie : < Bonjour Julien ! >. Je fais : < Bonjour Clémentine ! >. Doux câlins.
Me chevauchant tout en riant, Clémentine me couvre le visage de bisous. Douceurs, tendresse et papouilles. Il est 8 h.
Un impérieux besoin naturel met fin à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Les pissous.
Morts de faim, nous descendons à toute allure jusqu'à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner. Il fait bien chaud.

Le thermomètre extérieur indique 4°. Il pleut. Le jour se lève péniblement. Le vent semble avoir cessé. Temps déplorable.
Nous mangeons de bon appétit dans cette agréable odeur de pain grillé et de café. C'est samedi et nous traînons à table.
Nous faisons un rapide bilan de la semaine. Bien évidemment nous rions bien de notre aventure de hier soir au restaurant.
< Si nous n'étions pas un couple, rien de tout cela ne serait possible ! > fait Clémentine en évoquant la jeune serveuse.
Elle rajoute : < Pour une fille c'est mieux d'avoir affaire à un couple, ça met en confiance ! Alors qu'un homme seul ! >...

Je sais tout cela depuis très longtemps. J'ai vécu des choses similaires avec mon ancienne compagne. J'écoute en silence.
Les propos de Clémentine ne font que conforter mes certitudes. Clémentine est ma complice en toute chose. Elle sait aussi.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. C'est un peu frustrant.
Avec cette météo, un sol détrempé, il n'est pas agréable d'aller faire ce jogging qui nous manque tant. Et il faut faire avec.
Une heure de gym avec une intensité maximale. Aérobic, abdos, charges additionnelles. La douche. C'est un bon moment.

Nous nous habillons. Nous voilà en jeans, chemises sous nos pulls. Chaussures montantes. Tenues d'hiver. Il est déjà 9 h45.
C'est samedi. Il faut sacrifier au rituel des courses. Même avec une météo déplorable. Et il faut se munir du grand parapluie.
Nous traversons le jardin. La pluie est fine et régulière. Nous voilà dans la voiture. Trois kilomètres jusqu'au bourg. Sympa.
Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Nous passons devant le haras. Il y a quelques voitures dans la cour.
Nous arrivons au bourg. Même par temps de pluie, il y a toujours du monde. Nous voilà à déambuler dans l'allée principale.

Sur la demande de Clémentine, discrètement, sous mon anorak, j'ai la braguette ouverte. Je porte les sacs. Sous le parapluie.
Nous faisons provisions de nos légumes et de nos fruits. Nous faisons de même avec nos fromages, les œufs, beurre, yaourts.
Nous bavardons un peu avec les artisans chez qui nous sommes clients. Nous revenons à la voiture. Direction le supermarché.
Douze petits kilomètres nous séparent de la ville. Par la départementale souvent déserte, c'est toujours un plaisir. Bite à l'air.
Clémentine adore jouer avec mon sexe pendant que je roule. < C'est mon doudou ! > me fait elle souvent tout en bavardant.

Je gare la voiture sur le parking. Je pousse le caddie. Il faut marcher très vite sous l'immense parapluie qui nous tient à l'abri.
Il n'y a pas trop de monde. Nous déambulons dans les allées en flânant. Produits d'entretien. Conserves de thon et crevettes.
Farine complète et "Bio". Cubes de levure. Sel de Guérande, épices, sucre. Tout le nécessaire logistique. Surtout rien oublier.
Clémentine m'entraîne au rayon culturel. Les bouquins, les magasines, les bandes dessinées. Nous feuilletons quelques livres.
Clémentine est aux aguets. Il lui tarde de pouvoir s'adonner à nouveau à sa passion exhibitionniste. Vivement le printemps.

Elle me pousse du coude en me chuchotant : < Regarde là-bas, c'est la serveuse avec sa mère ! >. Je lève la tête. C'est vrai.
Clémentine rajoute : < Décidément, c'est la loi des séries ! Si elle ne nous voit pas, on fait semblant de rien, tu veux bien ! >.
Je chuchote : < Ce que femme veut, Lucifer le veut ! >. Nous rions de bon cœur. Nous continuons à feuilleter un bel album.
< Bonjour !> fait une voix derrière nous. C'est la jeune serveuse. < Il est temps de faire les présentations ! > nous fait elle.
< Moi c'est Clémence ! > rajoute t-elle. Clémentine se présente. Je fais de même. Nous bavardons un peu. Coïncidence. Joie.

La jeune fille nous souhaite un bon Week-End. Nous la regardons rejoindre sa mère qui regarde les ordinateurs, là-bas, au loin.
< Décidément ! Nous sommes fait pour nous rencontrer ! > fait Clémentine en riant. Je rajoute : < Le monde est petit ! >...
< Surtout le notre, tu ne trouves pas ! > me fait encore Clémentine tout en m'entraînant vers le rayon des vêtements homme.
Il n'y a personne. Clémentine me propose de rester en tête de gondole. < Je vais lancer mes appâts ! > me fait elle en riant.
Je la regarde pousser le caddie pour le serrer contre le rayon. Ainsi le chariot fait obstacle aux regards de la direction opposée.

Clémentine est en jean. Il est donc inutile de prendre des précautions ou de s'accroupir dans des situations suggestives. Bien.
Son jean est moulant. Le triangle de son sexe est magnifiquement mis en valeur. Ce qui attire bien des regards concupiscents.
Nous en rions d'ailleurs souvent de bon cœur lorsque ma compagne porte son jean. Elle regarde les pulls en me souriant. Joie.
Un petit moment se passe où Clémentine me montre quelques pulls qui m'iraient bien. Clins d'œil et discrets gestes vicelards.
Un homme arrive dans le rayon en poussant un caddie. < S'il y a chariot, il y a femme pas loin ! >. Un adage de Clémentine.

Je regarde le type avancer dans le rayon. Il ne fait pas spécialement attention à la grande jeune fille debout là devant les pulls.
Il s'arrête un peu plus loin pour décrocher une veste qu'il palpe et scrute longuement. Clémentine a une main entre ses cuisses.
Comme toujours, cette situation excite ma compagne. Elle passe une jambe devant l'autre en serrant sa main bien coincée là.
L'inconnu ne tarde pas à s'en rendre compte. C'est un quadragénaire un peu dégarni, en anorak, en jean et en baskets. Sympa.
Il me tourne le dos. Je me rends bien compte qu'il tourne souvent la tête pour mâter le manège de la jeune fille sur sa droite...

Clémentine, bien droite, qui doit le dépasser d'une bonne tête, reste impassible. Presque hautaine. J'aime lorsqu'elle joue ainsi.
Une cuisse serrée devant l'autre, sa main droite coincée sur son sexe, Clémentine détache un pull après l'autre. Bien vicelarde.
Je bande comme le dernier des salauds. Je prends conscience, une fois encore, du privilège de vivre avec une telle jeune fille.
Le type mâte. Je ne distingue pas bien mais il semblerait qu'il se touche discrètement. Je reste planqué derrière les manteaux.
Clémentine se touche effrontément. D'une grande discrétion, avec une parfaite maîtrise, regardant autour d'elle, elle se branle.

Une femme arrive. Elle ne peut pas voir ce que fait Clémentine à cause du chariot. Elle rejoint son homme. La fin des festivités.
Le couple scrute les vestes. Clémentine vient me rejoindre. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle dit : < Voilà l'emmerdeuse ! >.
Nous passons à la caisse. < Regarde ! Ils se sont donnés le mot ! > fait Clémentine. Là-bas, il y a madame Walter et son mari !
< Décidément ! Il ne manque plus que Juliette, Estelle et Gérard ! > rajoute Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
Il est presque treize heures lorsque nous revenons à la maison. Nous rangeons nos courses en évoquant nos rencontres. Bien.

Je prépare la pâte pour les pizzas de ce soir. A midi ce sera des petits pois avec des haricots verts tous frais achetés au marché.
Clémentine fait la salade. Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Ces curieuses coïncidences du matin nous amusent.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me raconte, en détail, la situation vécue aux fringues.
Je dis : < Je peux contrôler l'état de ton fond de culotte tout à l'heure ! >. Nous rions de bon cœur. < Trempé ! > me fait elle.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. En revenant des toilettes, Clémentine fait : < Mes trucs ! >

Réglée comme une horloge, Clémentine rajoute : < Mes trucs de filles ! >. Nous sommes le 20. Et comme tous les 20 du mois !
Je lui dis : < Je vais me contenter de te lécher le clito ! >. Nous rigolons comme des bossus. < Et moi de te sucer ! > fait elle.
Il est 14 h. Nous passons au salon pour découvrir nos courriels. Deux messages. Juliette qui nous remercie pour la soirée jeudi.
Estelle qui nous propose de la chercher pour 16 h30. Nous répondons. Clémentine aime joindre une photo à ses réponses. Joie.
Nous passons à l'atelier. Clémentine termine de télécharger les cours pour Estelle. Je mets ma couche d'impression sur la toile.

Nous travaillons un peu. A plusieurs reprises Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Elle me murmure plein de douceurs.
< Je suis un peu tristounette avec ce temps de merde et mes "petits machins" ! > me fait elle. Je la console de mille bisous.
Je lui dis : < Je vais m'occuper de ton cas ! >. Clémentine me chuchote : < Thérapie de choc ? >. Nous en rions de bon cœur.
Il est seize heures. Mon téléphone sonne. Je le tends à Clémentine. C'est Estelle. Nous mettons nos anoraks pour la chercher.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel, près de chez elle, avec son grand sac de sport. Débordante de joie. Des bises.

Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée. < Et je suis à jour de mes cours ! > fait elle.
Nous arrivons à la maison. La pluie n'a pas cessé de tomber sous un ciel sombre et maussade. Il est presque dix sept heures.
Nous passons à l'atelier. Clémentine explique à Estelle certaines choses défilant sur l'écran de l'ordinateur à propos des cours.
< Tu as tout là, je t'ai téléchargé le programme de la semaine prochaine ! > fait Clémentine. < Tu es géniale ! > fait Estelle.
Ainsi, malgré son stage en entreprise, Estelle ne perd rien de ses cours. Ce qui lui impose un travail plus conséquent. Etudes.

Clémentine laisse Estelle devant l'ordi pour venir me rejoindre. < J'ai besoin d'être soignée. Ta thérapie ! > me fait elle. Rires.
Clémentine m'entraîne sur le vieux canapé en velours de l'atelier. Je lui déboutonne le jean. Elle m'aide à le lui retirer. Joie.
< Sans déconner ! Vous allez vous envoyer en l'air ici, maintenant, pendant que je bosse ! > nous fait Estelle depuis la table.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lui répond : < Et on va se gêner peut-être ! >. < Bande d'égoïstes ! > fait Estelle.
Je suis à genoux sur le vieux coussin posé au sol entre les jambes de Clémentine. Je joue avec la ficelle qui pend de sa touffe.

Je hume longuement les parfums de sa journée de fille. Clémentine me guide en me tenant par les oreilles. Gémissements.
Je m'occupe directement de son clitoris géant que je peux sentir durcir sur ma langue. Clémentine pousse de tous petits cris.
Estelle se lève pour venir s'accroupir à ma droite. < C'est bon monsieur ? > me demande t-elle en m'attrapant les couilles.
Estelle ouvre ma braguette non sans mal. Elle en extrait mon sexe. Un peu maladroite. Je suce le clitoris de Clémentine. Bon.
Estelle se couche. Sa tête entre le canapé et moi, elle me suce avec gourmandise. Clémentine me repousse doucement. Bien.

Il faut être vigilant. Lorsque je m'occupe de son clitoris, Clémentine ne peut lutter très longtemps. C'est infaillible. Prudence.
Pas d'orgasme prématuré. Clémentine tient absolument à rester excitée le plus longtemps possible. Je joue avec la ficelle.
< Arrête ! > me fait elle en reprenant ses esprits et en découvrant notre "petit animal de compagnie" couché sous le canapé.
< T'es encore entrain de sucer, hein, petite salope ! > lui fait Clémentine en se penchant pour regarder. Estelle glousse. Rire.
Je la saisi par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Je me lève. Je l'entraîne par la tignasse jusqu'à la table. Ordinateur.

< Heureusement que Julien a un peu d'autorité ! Tu as du boulot ! > lui fait Clémentine tout en s'accroupissant pour me sucer.
Estelle s'essuie le foutre qui suinte aux coins de ses lèvres. Elle prend un air attristé en disant : < Vous êtes deux salauds ! >
Il est presque dix neuf heures. < J'en ai plein le cul ! > s'écrie Estelle en se levant. < Jamais dans le cul ! > fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus en nous précipitant à la cuisine. Nous sommes morts de faim. Estelle étale la pâte. Superbe.
Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare la garniture en prenant les désirs culinaires des filles. Thon, crevettes, Parmesan.

Estelle, à plusieurs reprises, mime une pipe en tournant sa main fermée devant la bouche. < Je peux. En dessert ? > dit elle.
< Si tu es sage ! > lui répond Clémentine. Les pizzas sont au four. Nous passons au salon. < Sors ta queue ! > fait Estelle.
< Dis donc, mais tu ne te gênes plus, je te rappelle que tu parles à mon mec ! > lui fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Je sors mon sexe qui est gluant de liquide séminal. Conséquence de la pipe de l'atelier, tout à l'heure. Il en dégouline un peu.
Estelle se précipite, glissant sur ses genoux sur lesquels elle tombe, impatiente. Nous rigolons comme des bossus. Toboggan !

< Tu vas finir par te déboîter la mâchoire ! > lui fait Clémentine en venant se serrer sur ma droite. Mouvement masturbatoire.
Je l'embrasse avec fougue. Ma compagne est toujours d'une telle douceur, si lascive, que j'en éprouve les plus délicats vertiges.
Estelle me taille une pipe en gémissant de bonheur. Elle me tient par les hanches pour me serrer contre son visage. Pompeuse.
C'est la sonnerie du four qui met un terme à nos saloperies divines. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Odeurs !
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs chères études. J'écoute, impressionné, silencieux et admiratif. Super.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Je propose de passer la serpillère. C'est ça de gagné !
Ainsi, demain matin, pour le ménage du dimanche, ce sera ça de moins à faire. < Excellente suggestion ! > fait Clémentine.
Nous passons au salon. Estelle sort la carte SD de la petite boîte qu'elle a dans la poche de sa chemise. Elle la tourne ! Rires.
< Les écuries ! > nous fait elle. Clémentine la met dans l'ordinateur. C'est le petit film que nous avons tourné en novembre.
On y voit Estelle sucer la toute petite bite du palefrenier qui dépasse avec peine du trou parfaitement rond dans la cloison...

Clémentine branche le câble HDMI sur le téléviseur. Nous nous installons dans le canapé. Je cherche des cônes glacés au frigo.
En regardant les images, tout nous revient en mémoire. < Moi je le regarde souvent ! > me fait Estelle. Je la serre contre moi.
< Et tu te branles ! > fait Clémentine ! Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle rajoute : < Oui, je suis mon actrice préférée ! >.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Clémentine se touche. Estelle me tient la queue. Nous regardons en silence.
D'être à côté de la même fille, en "vraie", que celle que je vois à l'écran, me procure les plus indicibles émotions. Fantastique.

Ce que nous voyons à l'écran est un véritable moment de grâce. C'est éminemment vicelard. Un taillage de pipe bien dégueu.
Nous ne nous en souvenions plus aussi bien que les images nous le révèle à nouveau. Clémentine se branle doucement. Géant.
Même Estelle qui fait ça rarement, a passé sa main dans son jean déboutonné. Je lui dis : < Tu es géniale Estelle. Divine ! >
Clémentine lui fait : < Tu comptes nous priver encore longtemps du second épisode ? >. Nous en rigolons comme des bossus.
< On va voir, d'ici le printemps ! > se contente de répondre Estelle en me tordant la bite vers le bas. Ce qui est très douloureux.

Clémentine fait de nombreux arrêts sur images ou fait revenir le film en arrière. Des détails qui nous ont échappé. Magnifique.
Elle nous montre les coulures sèches qui parsèment la cloison de bois jusqu'au sol. Toutes les pipes qui se sont passées là !
< Pas de doute, il y en a eut des saloperies ici ! > fait encore ma compagne. < Et on sait qui c'est le mec ! > rajoute Estelle.
< Mais on ne sait toujours pas qui sont les suceuses ! > fait Clémentine. < Je veux éclaircir ce mystère ! > conclue Estelle...
Nous passons la soirée à nous masturber doucement, tous les trois, en regardant ce film qui ne dure que 20 mn plusieurs fois.

Je demande à Estelle : < Et les films que nous avons tourné au printemps, l'année dernière, tu les a toujours ? >. Un silence.
< Oui. Tu voudrais les revoir ? > demande Estelle. < On veut les revoir ! > fait Clémentine. < Samedi prochain ! > dit Estelle.
Il est déjà 23 h. Nous sommes épuisés. Les toilettes. La salle de bain. Nous voilà couchés. Estelle me taille une superbe pipe.
Je lèche le clitoris turgescent comme rarement de Clémentine. Je tente bien de caresser Estelle qui me l'interdit vertement !
Orgasmes délirants pour Clémentine. Fabuleux pour moi. Estelle, comme à son habitude ne semble pas en avoir besoin. Dodo...

Bonne soirée à mâter les films cochons que vous avez réalisé, à toutes les coquines "actrices amateurs" qui s'apprécient...

Julien - (Maître queue, pizzaiolo, lécheur, bandeur, vigile et excellent spectateur pour films de pipes privées en écuries) -

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Homme, 53 ans, France
Classe- 24 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 310 -



Estelle apprécie tant d'être avec nous. C'est devenu son addiction principale...

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des chuchotements et des rires étouffés. On me tient par la queue.
J'ouvre l'œil pour me rendre compte que c'est encore Estelle, son bras par dessus Clémentine, qui me tient par mon érection.
< Bonjour Julien ! > me font les filles en même temps. Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre les deux filles.
J'imite les grognement de l'ours des cavernes pour les chatouiller. < Bonjour les coquines ! > que je fais. J'adore les faire rire.
Estelle parvient à s'échapper jusqu'aux toilettes. Clémentine me chevauche. Douceurs, tendresse et papouilles. Il est 7 h50...

Estelle revient : < Je vais préparer le petit déjeuner ! > nous fait elle en dévalant l'escalier dans son pyjama de soie mauve.
< On arrive ! > lance Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. C'est notre rituel pisseux habituel, matinal.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse. L'odeur de pain grillé et de café embaume la cuisine depuis l'escalier. Miam.
Je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. Confitures, miel. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Le jour termine de se lever sous un ciel morose et sinistre. Le thermomètre extérieur indique 4°. Tout au dehors est humide.

Les filles évoquent leurs études. J'écoute silencieusement. C'est toujours tellement intéressant. Ce second trimestre plus cool.
Je suis toujours passionné. J'en sais tellement que je pourrais reprendre mes études. Nous traînons à table. C'est dimanche.
Journée sans entraînement. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine propose le programme du jour.
Pour 14 h, cet après-midi, nous irons assister à l'animation dominicale au haras. Festivités qu'organise Juliette les dimanches.
< On verra peut-être monsieur Gérard, le vicelard ! > fait Estelle en mimant une masturbation masculine. Vulgarité habituelle.

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine répond : < Tu veux faire un tour aux écuries avant ou après ? Avec la caméra ? >
Ma compagne fait allusion au film que nous avons mâté hier soir. Estelle débarrasse la table. Elle plonge. Nous essuyons. Bien.
Comme nous avons passé la serpillère à la cuisine hier soir, ce sera ça de moins à faire. Le dimanche matin c'est le ménage.
< Ménage à trois ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur. Nous rangeons consciencieusement avant de passer au salon. Joie.
Les filles sont assises derrière le bureau devant l'ordinateur. Clémentine fait lire nos récits de la semaine sur le forum à Estelle.

Je les laisse pour aller nettoyer les chiottes du bas, passer la serpillère sur les carrelages du sol des toilettes et du hall d'entrée.
Clémentine avant de monter faire la chambre, vient m'embrasser : < Fais gaffe, elle est très salope ce matin ! > me fait elle.
Je la rassure. Je saurais tempérer les ardeurs d'Estelle. Je sors l'aspirateur du placard mural. Je commence par le couloir. Bien.
Je vais au salon. Estelle fait un délicieux sourire avant de mimer une pipe de sa main fermée qu'elle tourne devant la bouche.
< Je lis toutes vos cochonneries ! Il s'en passe de belles lorsque je ne suis pas avec vous ! Surtout au restau ! > me fait Estelle.

Je lui raconte les détails. Le constat d'Estelle est le même que celui de Clémentine en ce qui concerne la jeune serveuse. Joie.
Tout cela n'est possible que parce cette fille a affaire à un couple. Clémentine, en plus, ayant le même âge que la serveuse !
Estelle me demande, espiègle et mutine : < Tu veux en venir où en lui montrant ta bite aux chiottes lorsqu'elle descend ? >
Je dis : < Mais je ne désire rien d'autre que d'entrer dans le jeu de cette fille que je devine très vicelarde. Elle est curieuse ! >
< Tu m'étonnes ! Pour suivre un mec de l'âge de son père jusqu'aux chiottes ! Il faut en vouloir ! > me fait Estelle en souriant.

Je passe l'aspirateur. Estelle commente les récits. < Je me reconnais bien dans tout ce que tu écris ! T'es fou de tout révéler ! >
Nous rions de bon cœur. Derrière moi, en silence, Estelle se lève pour venir m'attraper par les couilles. Je suis encore en slip.
De son autre main qu'elle passe sous mon T-shirt, elle m'attrape par la bite. < Tu m'excites, Julien ! > me fait elle en palpant.
Je tente de la repousser doucement. Je pose l'aspirateur. Je la saisi par ses cheveux pour la forcer à retourner s'assoir. Rires.
< J'adore quand tu es comme ça avec moi. Tu n'es pas très convaincant Julien, en "Maître" ! > me fait encore Estelle. Coquine.

Je monte rejoindre Clémentine qui termine de changer les draps. Je lui raconte l'attitude d'Estelle. Nous rions de bon cœur.
< C'est comme d'habitude ! On va serrer la vis ! Et serrer son vice ! > me fait ma compagne en me saisissant par la queue.
< Moi aussi, je me sens hyper salope aujourd'hui ! Sans doute à cause de mes "petits machins" ! > fait encore Clémentine.
Je ramasse le tas de draps sales. Nous allons nettoyer la salle de bain. Clémentine n'arrête pas de me tripoter la queue. Rire.
< Je t'aime ! > me glisse t-elle à l'oreille tout en nettoyant les miroirs. Elle prend le panier à linge pour descendre. Des bises.

Je nettoie les chiottes du haut. Je passe la serpillère sur les carrelages du sol. Je descends rejoindre les filles. Il y a le silence.
Elles sont toutes les deux au salon, concentrées sur le site de l'université. Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran.
Je les laisse pour aller m'occuper du repas de midi. Il est déjà 11 h30. Les pavés de saumon achèvent de décongeler. Super.
J'épluche les patates, les carottes et le navet. Clémentine vient me rejoindre. Des bisous. Elle s'occupe de la salade. La laitue.
Estelle arrive à son tour. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. C'est toujours amusant.

Estelle s'occupe de préparer les pavés de saumon en papillotes. Je fais une bonne potée en quantité pour réchauffer ce soir.
Tout va très vite. Nous bavardons en riant beaucoup. Les filles évoquent nos aventures aux écuries et le palefrenier vicelard.
Il est question de réaliser un second film. Estelle reste toutefois très évasive quand à la date où nous ferons cette expérience.
Nous mangeons de bon appétit. La conversation s'articule autour de nos vies dissolues tout en restant productives. Rigolades.
Nous traînons à table. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons. Il est rapidement 13 h45. Nous montons.

Il est décidé de rester vêtus ainsi pour aller au haras. Il nous suffit de mettre nos anoraks, nos bonnets et nos gants. Sympa.
Sur la demande de Clémentine, je dois laisser ma braguette discrètement ouverte. Estelle y glisse sa main avec un clin d'œil.
Comme il ne pleut pas, qu'il n'y a aucune menace, Clémentine nous propose de faire les trois kilomètres à pieds. Bonne idée.
L'absence de vent rend notre marche rapide plus agréable. Il faut éviter les flaques boueuses sur la petite portion de chemin.
Nous arrivons au haras pour 14 h20. Il y a plein de voitures. Il y en a même de garées le long de la petite route. Un succès !

Nous allons directement dans le grand bâtiment du manège. Il reste quelques places sur les gradins du haut. Il y du monde.
Comme à chaque fois, nous restons admiratif devant la qualité du spectacle proposé. Les cavalières redoublent de virtuosité.
Nous apercevons Juliette quelques instant, lorsqu'elle bavarde avec des gens près de la porte. Elle a fort à faire. Occupée.
Discrètement, passant sa main sous mon pull, Estelle assise à ma gauche me palpe la braguette ouverte. Je saisi son poignet.
Clémentine, assise à ma droite, fronce les sourcils en chuchotant : < Mais tu va te calmer, la nympho ! On est en public ! >

Cela se reproduit quelques fois. Nous en rions de bon cœur. De devoir être discret décuple toujours nos excitations. Superbe.
Nous entrevoyons madame Walter à plusieurs reprises. Elle donne les dernières consignes aux cavalières avant l'exhibition.
Nous apercevons également monsieur Gérard, le palefrenier, qui lui aussi semble très occupé. Il guide les montures. Organisé.
Il est dix sept heures. Nous quittons le bâtiment. Nous faisons un coucou de la main à Juliette qui bavarde un peu plus loin.
Il y a plein de groupes qui discutent dans la cour. Nous allons dans la première écurie. Il y a des gens là également. Succès.

Il tombe sous le sens qu'aucune opportunités vicelardes ne peut se présenter avec tant de gens. Il faut se faire une raison.
Nous prenons le chemin du retour. La nuit se met à tomber. Il est dix huit heures lorsque nous revenons à la maison. Nuit.
Nous voilà au salon, vautrés dans le canapé devant une tisane et des petits chocolats. Nous évoquons le haras et les écuries.
Nous faisons une fois encore le même constat. Cet endroit polarise la majorité de nos fantasmes. Ce lieu nous excite. Joie.
Il est dix neuf heures. Nous réchauffons la potée. Clémentine fait une salade. Estelle fait l'assaisonnement. Nous bavardons.

Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons avant de passer au salon. Sympa.
Les filles sont vautrés dans le canapé. Je me lève. Je sors ma queue que j'agite dans leur direction. Applaudissements. Rires.
Je me fais sucer à tour de rôle. Chacune à droit à ses cinq minutes de pipe. La soirée s'écoule ainsi. Il est rapidement 22 h15.
Nous ramenons Estelle un peu tristounette. Au retour, Clémentine me fait part de son ressenti. < J'aime tes initiatives ! >.
Les toilettes. La salle de bain. Au lit. Clémentine a ses "petits machins". Je suce son clito. Orgasme. Elle me suce et dodo...

Bon début de semaine à toutes les coquines qui sont déjà à se réjouir pour toutes les saloperies à venir. En se touchant...

Julien - (Qui a encore assuré son rôle de cuisinier, de valet de chambre, d'homme de ménage et de vicelard. Dans la joie) -

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Un début de semaine très agréable dans la régularité de nos petites habitudes...

Hier matin, lundi, mon horloge biologique me sort de mon sommeil juste avant que ne résonne la musique du cube réveil.
Clémentine s'étire longuement dans un gémissement du grave à l'aigu qu'elle ponctue en s'écriant : < Bonjour Julien ! >.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Il est 5 h55. Douceur, papouilles.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Dès la fin de nos rituels pisseux, nous descendons à la cuisine. Faim.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans cette délicieuse odeur du pain grillé.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Le thermomètre extérieur indique 7°. Il fait un peu moins froid. Mais humide.
Il a du pleuvoir toute la nuit car, dans le noir, tout est encore luisant. Nous montons pour nous livrer à notre entraînement.
Une heure de gym. D'une intensité maximale. Avec la ferme intention de remplacer ce jogging qui nous manque beaucoup.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Avec plein de bises.
Un dernier coucou de la main et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h45. Je me dépêche de rentrer.

Je monte faire la chambre. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais à l'atelier. J'allume un bon feu de cheminée. Super.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de ma treizième toile. C'est bien.
Je peins évidemment dans un enthousiasme délirant en me livrant corps et âme à ma passion dévorante. C'est envoûtant.
Une fois encore je plonge dans un autre univers où rien n'existe plus. Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Le repas.
Je prépare des coquillettes en grande quantité afin de pouvoir prévoir le gratin de pâtes de ce soir. C'est un gain de temps.

Je concocte un accompagnement délicieux. Une sauce aux champignons, à la courgette et au Roquefort. Une salade. Laitue.
Ce moment de préparation me permet de reprendre contact avec le réel. Je ris en écoutant la chronique de Guy Carlier. Joie.
Je mange de bon appétit. La vaisselle. Il est 13 h lorsque je suis enfin à nouveau assis devant mon chevalet. C'est superbe.
Je peins sous la lumière artificielle de la lampe halogène. Dehors, il pleut. Une pluie fine et régulière. Absence de vent. Bien.
Du bruit. Il est 16 h55. Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier. Elle se précipite vers moi. < Bonsoir mon amour ! >

Assise sur mes genoux ma compagne me raconte sa journée. Son repas de midi, au restaurant universitaire et sans Estelle.
< Je mange à une table où il y a deux gourdasses dont les conversations me foutent la gerbe ! > me raconte Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle m'informe des propos échangés par les filles. Discothèque, musiques techno et la frime.
Nous évoquons notre Week-End passé et l'animation de hier au haras. < Notre vie est si différente ! > rajoute Clémentine.
Et c'est vrai que notre existence de privilégiés nous tient loin du prosaïsme de la vie contemporaine. Nous savourons. Bien.

Assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, Clémentine met au propre les notes prises en cours. Habitude.
Nous apprécions ces moments de travail silencieux, abîmés dans nos concentrations. Dans le crépitement des bûches. Le feu.
Parfois je me lève pour aller voir ce que fait ma compagne. Elle m'explique ce qu'il y a sur l'écran de l'ordinateur. Passionnant.
Parfois c'est elle qui passe derrière moi pour venir voir l'avancée de ma peinture. Ses bras autour de mon cou, penchée. Bises.
< Voilà ! J'ai fini ! > fait soudain ma compagne. Il est 19 h10. Nous rangeons nos affaires. Nous nous précipitons à la cuisine.

Lorsqu'elle découvre la surprise du repas du soir, Clémentine se blottit dans mes bras en faisant : < Miam ! J'en ai rêvé ! >.
Je verse les coquillettes dans le plat en terre cuite. Je recouvre d'une couche de gruyère que je saupoudre de Parmesan. Bien.
J'y mets un peu d'ail finement émincé et une biscotte que j'émiette consciencieusement. Au four. Thermostat 7. 20 minutes.
Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. A midi, j'ai déjà lavé les feuilles. Tout va donc vite. Je réchauffe la sauce.
Nous bavardons. Ma compagne me fait part de ses ressentis quand à sa perception des attitudes de la serveuse du restaurant.

< Où tout cela va t-il encore nous mener ? > conclue Clémentine. Je mets la table. Nous passons au salon. J'allume l'ordi.
Deux courriels. Un message de Juliette qui nous remercie de notre présence, hier, pour l'animation au haras. Très contente.
Un message d'Estelle qui nous raconte sa journée au bureau dans l'entreprise familiale pour sa seconde semaine de stage.
Clémentine répond en joignant une photographie de nous trois, prise l'automne dernier au haras. Accompagnés de chevaux.
La sonnerie du four. L'odeur du gratin. Nous nous précipitons à toute vitesse à la cuisine. Morts de faim. Je sors le gratin...

Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le programme de cette semaine qui commence. Nous irons au restau vendredi.
< J'ai envie d'en savoir plus sur cette Clémence, étudiante et serveuse le Week-End. Pas toi ? > me dit Clémentine. Question.
C'est vrai que depuis une année que nous partageons nos existences, il nous arrive quantité de choses surprenantes. Sympa.
La présence d'Estelle que Clémentine rencontre en septembre à la rentrée 2016. Notre rencontre insolite avec Juliette. Haras.
Et toutes les situations plus amusantes les unes que les autres qui en ont découlé. De quoi nourrir nos récits, ici, sur le forum.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine dit : < Je n'ai jamais tant attendu le printemps ! >.
< Je suis pressée de me retrouver en bicyclette, avec toi, sur la piste cyclable le long du canal ! > me fait ma compagne. Joie.
J'abonde dans ce sens. Moi aussi j'attends le printemps avec impatience. Je lui avoue que le temps passe plus vite pour moi.
Du moins, c'est ainsi que je le ressens. La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Tout est nickel...
Clémentine m'entraîne au salon. Nous écrivons une partie de ce récit que je posterais demain matin. Nous rions de bon cœur.

Je déboutonne le jean de Clémentine qui me chuchote : < Excellente initiative, monsieur ! Je n'aurais pas fait mieux ! >.
Elle se lève pour retirer son jean et sa culotte qu'elle jette sur le fauteuil. Elle m'entraîne sur le canapé, me déboutonnant.
< Je prends mon dessert ! > me fait elle en se mettant à genoux sur l'épais coussin qu'elle pose au sol entre mes jambes.
Je lui caresse la tête, les cheveux, les joues. < Je t'aime, Julien, comme une folle ! > murmure t-elle en reniflant mon Zob.
J'ai la braguette ouverte. Je suis vautré dans le canapé. Clémentine hume longuement l'odeur de ma journée en gémissant.

< J'aime quand ça sent fort ! > me chuchote t-elle en me décalottant juste l'extrémité. Elle sait que je déteste être "à nu".
La protection rassurante de mon prépuce m'évite cette détestable sensation de froid sur le gland. Clémentine veut le frome.
Je l'observe. Les yeux fermés, elle tente de glisser sa langue entre la peau fripée de mon prépuce pour atteindre le fromage.
Il y en a plein à la base, juste sous le gland. L'odeur me parvient aux narines. Je suis toujours étonné de la voir s'en régaler.
Clémentine me suce avec cette douceur qui lui est coutumière. J'ai l'impression d'avoir ma bite dans un bol de purée tiède.

Je me mets à évoquer les écuries, monsieur Gérard, le palefrenier vicelard. C'est toujours un excellent déclencheur. Bonheur.
< Imagine un peu le frome qu'il doit avoir autour du gland, ce vieux salaud ! > que je murmure à Clémentine qui en glousse.
Je m'amuse à inventer une nouvelle situation fictive que je raconte à ma délicieuse suceuse qui en gémit de plaisir. Superbe.
Je continue : < Il t'aurait attaché dans un coin des écuries pour te tripoter, te tourmenter et pour te faire goûter à sa bite ! >
Au fur et à mesure que je raconte mes cochonneries, je sens monter l'excitation de ma pompeuse. Je la saisi par ses cheveux.

Je la force à se redresser. Je dis : < C'est mon tour. Tu reprends ta dégustation tout à l'heure ! >. Clémentine se laisse faire.
Me voilà moi aussi à genoux sur le coussin. Mon visage entre ses cuisses écartées, je hume sa journée de fille. Un bonheur.
Il y a la petite ficelle de coton blanc qui pend de la touffe dense et fournie. Je tire un peu dessus. < Arrête ! > fait Clémentine.
J'adore donner de tous petits à coups sur la ficelle. Clémentine, lorsqu'elle a ses "petits machins", m'offre cette joie. Plaisir.
Les poils me chatouillent le nez, les joues, le menton. J'adore. Je m'occupe directement de son clitoris géant déjà bien dur !

Je fouille les plis et replis de cette étonnante turgescence. Dans cette période, j'ai souvent l'impression qu'elle est plus grosse.
Ce clitoris qui ressemble à un gland décalotté. De la taille du bout gros doigt. C'est impressionnant. Une vraie source de joie.
Clémentine me confie souvent que depuis l'adolescence, ce "truc" énorme lui a procuré bien des émois. J'écoute très étonné.
< C'est à cause de lui ! Ce "machin" a fait de moi une insatiable salope ! Je te jure ! Je suis l'esclave de ce "truc" ! > fait elle.
Je la félicite. Je congratule ce clitoris miraculeux qui fait de nous les gens les plus heureux du monde. Nous rions de bon cœur.

Seulement voilà. Le revers de la médaille est cruel. Clémentine ne peut lutter longuement contre l'orgasme qui menace. Rire.
Je dois donc redoubler de prudence, faire attention et être vigilant. Clémentine déteste les orgasmes trop rapides. Je fais durer.
A plusieurs reprises ma compagne me repousse doucement en me disant : < Attention ! >. Je me laisse guider par les oreilles.
J'anticipe ce qui va se passer inéluctablement. Je retire ma chemise. J'ai le bon réflexe car Clémentine lâche un jet de pisse...
Impossible pour elle de se contrôler dans de tels moments de plaisir intense. Je me fais pisser à la gueule en l'entendant crier.

C'est tellement intense, c'est tellement bon, c'est tellement fort que Clémentine se cabre en hurlant. Elle a un orgasme fou.
Son corps est parcouru de frissons. Plusieurs spasmes l'agitent. Elle me tient par les oreilles. Je suis ruisselant de pisse chaude.
Il faut reprendre nos esprits. Je veux recommencer. Elle me supplie de ne pas revenir sous peine de folie imminente. Plaisir.
Je vais chercher la serpillère. Clémentine m'aide à nettoyer nos saloperies. Il est 22 h. Nous montons. Salle de bain. Toilettes.
Au lit, je me fais tailler une pipe des familles. Mon orgasme est délirant. Serrés l'un contre l'autre, nous plongeons rapidement.

Bonne soirée à vous faire bouffer le clitoris à toutes les coquines que cet acte délicieux fait pisser de plaisir...

Julien - (Brouteur, suceur et lécheur de Clitoris géants, turgescent et méritant de figurer au "Guiness book of records") -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 312 -



Clémentine s'offre une délicieuse frayeur à la bibliothèque. Je "sécurise" son "show"...

Hier matin, mardi, nous ouvrons l'œil juste avant que ne résonne la musique diffusée par le cube réveil. Il est à peine 5 h55.
< Bonjour Julien ! > me fait Clémentine dans le cri qui ponctue le gémissement qui accompagne son étirement. Papouilles.
< Bonjour Clémentine ! > ai je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Douceurs, tendresse et des bisous.
L'impérieux besoin de pisser met un terme à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Le pissou.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Sympa.

Nous prenons notre petit déjeuner dans cette délicieuse odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.
Comme tous les mardis après-midi ma compagne n'a pas cours. Elle rentre pour midi. Ce sont donc les réjouissances. Super.
Nous remontons pour nous livrer à l'entraînement qui remplace ce jogging qui nous manque tant. La douche. Il est déjà 7 h45.
Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le thermomètre indique 7°. Bien.
Quelques bisous, un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse.

Je monte faire la chambre. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais à l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. 8 h15.
Je suis enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une allégresse glorieuse. Me voilà projeté hors du temps et du réel.
Je travaille à la peinture de la treizième toile destinée à ma saison d'été. Je profite de cette avance avec délectation. Sympa.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte pour la tarte aux poireaux de la soirée. Le rituel du mardi soir.
Je coupe les poireaux pour les faire cuire. Clémentine arrive. Elle me saute au cou ! < Je t'aime Julien ! > s'écrie t-elle. Bises.

Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. La voilà libre pour le restant de la journée. C'est super.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais la Béchamel pour y rajouter le poireau cuit. Pour midi, je fais gonfler du millet doré.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte sa matinée. Elle mettra tout au propre en soirée.
< Nous ferons tout cela avec Estelle, ce soir, après le repas. Il n'y a pas beaucoup de notes aujourd'hui ! > me confie t-elle.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part de son ressenti quand à son fantasme.

< J'ai vraiment de gros besoins exhibitionnistes. De plus, mes "trucs de filles" sont terminés ! > me dit elle. Nous en rions.
Je propose d'aller s'offrir quelques frayeurs en ville cet après-midi. La suggestion est évidemment accueillit avec joie. Superbe.
Dehors, le ciel est gris mais un peu plus lumineux que les jours précédents. Il ne pleut plus depuis hier soir. Le sol est humide.
< On se fait la bibliothèque, tu veux ? > me demande ma compagne. Je rajoute : < Et on termine par notre salon de thé ! >.
Clémentine me serre très fort contre elle. < Toi au moins, tu comprends tout. Je t'aime ! > me fait elle débordante de bonheur.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h30. Nous montons pour nous changer. Sympa.
Clémentine met ses collants "truqués" avec l'ouverture d'environ 15 cm qui dévoile les lèvres charnues de son sexe. Touffues.
Elle porte une de ses jupes d'épais velours carmin évasée au dessus du genoux. Un chemisier sous son pull. Très élégante.
Ses bottes noires à haut talons achèvent de donner à sa silhouette une attractivité suggestive. Belle et hyper sexy. Discrète.
Sur sa demande, je mets mon costume en velours marron. Mon écharpe et mes souliers bruns de ville. Nous sommes prêts.

Nous voilà en route. Je roule doucement. Nous passons devant le haras. Il y des voitures garées dans la cour. Le ciel est clair.
Clémentine joue avec ma bite. < Je suis bien "allumée" cet après-midi ! > me fait elle avant de me sucer un peu. Sympathique.
Nous arrivons en ville. Je gare la voiture dans la rue habituelle, à dix minutes de la bibliothèque municipale. Le climat est doux.
Nous arrivons devant la vieille bâtisse qui abrite les différentes salles de la bibliothèque. C'est un ancien édifice religieux. Bien.
Nous montons à l'étage. Dans la grande salle principale. Il y a la dame de l'accueil occupée au téléphone. Il y a peu de monde.

Nous allons dans le dernier rayon du fond. Histoire et Géographie. Il y a là quelques ouvrages que feuillette Clémentine. Cours.
< Tu reste planqué. S'il y a le moindre blême, tu rappliques. Je vais "visiter" un peu ! > me fait Clémentine. Je la rassure bien.
Clémentine va au bout du rayon. Elle s'accroupit, cuisses largement écartées. < C'est comment ? > me demande t-elle. Rires.
Je dis : < C'est absolument parfait ! Tu peux compter sur moi ! Vas vite t'amuser ! >. Nous rions de bon cœur. Belle ambiance.
Clémentine retourne au bout du rayon. Chacun fait environ une dizaine de mètres. Elle scrute discrètement. Je reste à l'écart.

Il y a deux jeunes filles assises au coin lecture. Il y a un couple de séniors qui feuillettent les journaux. Le silence est lourd.
Il y a un homme qui arrive. Il remet une pile de livres à la dame de l'accueil. Il est vêtu d'un pantalon noir et d'un manteau.
La cinquantaine très "normale", il se dirige vers le rayon littérature. Clémentine revient vers moi et me dis : < J'attaque ! >
Je la regarde s'éloigner. Elle marche doucement entre le mur et les rayons. Longeant les fenêtres qui éclairent correctement.
Elle s'arrête à la hauteur de l'allée entre les rayonnages "Littérature". Je change de coin pour me mettre dans le rayon voisin.

L'inconnu feuillette quelques livres. Il est totalement absorbé dans sa lecture. Il ne voit pas la jeune fille qui est toute proche.
Clémentine commence ses manœuvres d'approche. Je suis penché pour observer la scène entre les livres. Une vue excellente.
Clémentine vient de s'accroupir pour saisir un ouvrage sur l'étagère du bas. Elle est à quelques mètres de l'homme. Le silence.
Doucement, Clémentine se met de trois quart, penchée en avant, faisant mine de regarder les titres. Cuisses bien écartées.
Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine ne se livre pas seulement à sa passion pour un mec mais aussi pour moi.

Le mec qui vient enfin de se rendre compte de la présence féminine à sa droite. Clémentine, accroupit, bien droite, feuillette.
Impossible de ne pas se rendre compte que c'est un acte délibéré. De plus, animée de sa pulsion Clémentine en rajoute. Joie.
L'homme d'âge mûr, semble garder le plus grand calme. La situation perdure. Le type sait avoir affaire à une exhibitionniste.
La position sans équivoque de Clémentine ne laisse aucun doute quand à un acte volontaire et réfléchi. C'est trop évident...
L'inconnu a le réflexe habituel de la plupart des individus confrontés à une telle situation. Il s'accroupit à son tour pour mâter.

Ce qui est excitant, ce n'est pas seulement la situation induite par la jeune fille, mais c'est l'insistance avec laquelle elle agit.
Le type n'est pas dupe. Il mâte d'abord discrètement. Il la regarde avec insistance jusqu'à ce que la jeune fille lève les yeux.
Clémentine lui adresse un sourire sans changer de position. J'en ai des sueurs. Quel culot ! Quel courage ! Je suis admiratif.
Ma compagne reste toutefois vigilante, tous les sens aux aguets. Je surveille, prêt à intervenir. Scénario parfaitement réglé.
Le type se redresse pour s'approcher de la jeune fille. Je ne peux pas comprendre ce qu'il dit à voix basse. Il est proche. Bien.

Clémentine, la tête relevée, gardant sa position, bien droite devant le mec, répond en fixant sa braguette. Je bande. C'est fou.
Je vois Clémentine avoir un mouvement de négation tout en bavardant. Le type se palpe la braguette. On peut le comprendre.
Clémentine se redresse lorsqu'il se rapproche encore davantage. Elle le dépasse d'une demi tête. 1,85 m avec ses talons hauts.
L'homme sort son porte feuille pour en retirer une carte qu'il tend à la jeune fille. Elle s'en saisit avant de quitter le rayon. Vite.
Je reste dans le rayon voisin. Le type retourne à sa lecture. Clémentine change de rayon. L'inconnu ne tarde pas à la rejoindre.

C'est souvent prévisible. L'homme courtois et affable ne tarde pas à se transformer en "boulet". Il devient le vrai casse pieds.
A chaque fois que Clémentine change de rayon, malgré son air de plus en plus agacé, le type devient un emmerdeur pénible.
Il ne reste plus que le "joker". Je sors de mon anonymat. Clémentine vient vers moi dans mon rayon. Suivie par le casse pieds.
Lorsqu'il voit que nous sommes ensemble, il fait demi tour. C'est toujours imparable. Ma présence discrète sécurise et rassure.
Nous regardons le type qui retourne faire provision des bouquins qu'il va probablement emporter avec lui. Nous partons. 16 h.

Nous nous dirigeons vers notre salon de thé préféré. Dix minutes d'une marche rapide. Clémentine est toute contente. Joyeuse.
Nous voilà assis à la table du haut, sur le dernier gradin. Il y a deux couples de personnes âgées et deux jeunes femmes. Bien.
Devant nos chocolats chauds et fumants, Clémentine me raconte ses émotions à la bibliothèque. < Il était temps ! > fait elle.
Elle rajoute : < J'en avais besoin depuis quelques jours ! Vivement les virées en vélo, ce printemps ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous apprécions cet endroit, le calme et la sérénité qui y règne. Personne n'arrive. Aucune autre opportunité. C'est dommage.

Nous retournons vers la voiture. Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un message. C'est Estelle. Clémentine répond par texto.
Il fait nuit. Il est 17 h45. Nous prenons le chemin du retour. Nous arrivons à l'arrêt de bus où nous attend Estelle. Heureuse.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa journée. Elle observe Clémentine qui joue avec ma queue.
Ma compagne lui raconte la bibliothèque. < Put-Hein, j'aurais aimé être là ! Tu es gonflée quand même ! > lui fait Estelle. Rire.
Nous arrivons à la maison. Nous passons directement à l'atelier. Les filles ont du travail. Elles veulent finir le plus rapidement.

Nous travaillons jusqu'à 19 h. < Stop ! J'ai la dalle ! > s'écrie Estelle. Nous nous précipitons à la cuisine. Morts de faim. Joie.
Estelle étale la pâte. Je fais chauffer la garniture qui est figée avant de la verser dans le plat. Clémentine s'occupe de la salade.
Estelle recouvre la tarte du fin couvercle de pâte. C'est notre délicieuse flamiche picarde du mardi soir. Je mets le tout au four.
Nous passons au salon. Estelle, assise à ma gauche, dans le canapé, met sa main dans ma braguette ouverte. Je bande mou.
< Et toi, dans ta planque, à la bibliothèque, tu te branles en mâtant Clémentine ? > me demande Estelle. Je lui explique bien.

Je lui dis : < Non, je reste prudent. Je te rappelle que pendant le show de Clémentine, je suis chargé de la "surveillance" ! >
< Moi aussi j'aimerais bien avoir un "garde du corps" ! > fait Estelle. Clémentine, assise à ma droite, fait : < Je te le prête ! >
Nous rigolons comme des bossus. La sonnerie du four nous rappelle que nous avons une faim de loups affamés. C'est l'heure.
Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les cours et ce qu'il faudra faire après.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Il faut retourner à l'atelier. C'est un peu difficile. Rires.

Estelle rattrape les cours qu'elle manque grâce aux notes de Clémentine mises au propre sur une clef USB. Les filles travaillent.
J'en profite pour avancer dans ma peinture. Il est rapidement 22 h. Nous ramenons Estelle un peu frustrée de n'avoir pu sucer.
Je lui promet que ce Week-End, ma bite sera à son entière disposition. Nous revenons pour 22 h30. Toilettes et la salle de bain.
Au lit, nous nous offrons un "69" juteux. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.
Sans bouger, comme nous aimons, Clémentine confesse les cochonneries les plus révélatrices. Cunnilingus, fellation et dodo...

Bonne séance d'exhibe dans vos endroits préférés à toutes les coquines qui aiment êtres vues, protégées par leur complice...

Julien - (Qui assure son rôle de vigile avec sérieux. Tout en bandant comme le dernier des salauds. Consciencieusement) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 313 -



Encore une confortable soirée consacrée à ma "soumise" sur sa demande...

Hier matin, mercredi, j'ouvre l'œil juste avant que ne résonne la musique diffusée par notre cube réveil. J'appui à temps.
A ma gauche, Clémentine s'étire en mugissant. Elle ponctue son long gémissement dans un cri : < Bonjour mon Julien ! >
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire juste avant qu'elle ne me chevauche en riant. Des douceurs et papouilles.
Nos fortes envies de pisser mettent rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Clémentine m'entraîne . Les WC.
Dès nos rituels pisseux terminés, morts de faim, nous descendons à toute vitesse. Il est à peine 6h. Notre petit déjeuner.

Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous mangeons de bon appétit dans l'agréable odeur de pain grillé. Délice.
Nous bavardons. Clémentine évoque notre aventure à la bibliothèque, hier après-midi. < Passionnant ! > conclue t-elle.
< Et encore une carte de visite ! Je dois bien en avoir une trentaine dans ma collection ! > rajoute t-elle en la montrant.
Nous rions de bon cœur en observant le petit rectangle de papier posé sur le buffet. Nous montons pour l'entraînement.
Une heure d'aérobic, d'abdos, de charges additionnelles destinée à remplacer ce jogging quotidien qui nous manque tant.

La douche. Il est 7 h45. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Bises.
Le thermomètre extérieur indique 5°. Le jour se lève péniblement. Il ne pleut pas et le sol est sec. Absence totale de vent.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Et en vitesse.
Je monte faire la chambre. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Je suis enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme délirant. C'est vraiment grandiose. Joie.

Il est 10 h. Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un message. Je peste d'être tiré de mon univers aussi brusquement. Rage.
C'est Estelle qui m'écrit. Immédiatement la joie fait place à l'inconfort de la situation. < Tu me manques ! > fait le message.
Je réponds par ces mots : < Demain soir et ce Week-End ! >. Je retourne dans l'abstraction de ma passion dévorante. Bien.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Pour le repas de midi et pour réchauffer ce soir, je prépare de très belles tomates.
Tomates farcies aux lentilles accompagnées de pilpil de blé. J'aime à concocter de bonnes recettes pleines d'improvisations.

Il est 13 h. Me voilà enfin à nouveau assis devant mon chevalet. En me livrant corps et âme à ma passion dévorante et vitale.
Dehors, le temps est gris mais lumineux. Le thermomètre extérieur indique 16°. Enfin quelques jours de redoux. C'est super.
Il est 16 h55. Du bruit. Clémentine rentre à toute vitesse dans l'atelier. < Je t'aime mon amour ! Enfin ! > s'écrie t-elle. Joie.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Le second trimestre s'écoule dans un rythme moins fébrile. Bien.
< On ne gratte pratiquement pas ! Plus de crampe au poignet à écrire à toute vitesse ! > me raconte ma compagne. J'écoute.

La luminosité se met à diminuer inéluctablement. Assise à la table, entourée de ses affaires, Clémentine est devant son ordi.
A nouveau nous vivons ces moments exaltants où alternent les séquences de concentration, les soupirs profonds, les apnées.
Le crépitement du feu dans la cheminée accompagne cette séance de son bruit rassurant. Nous apprécions l'instant magique.
Parfois, je me lève pour passer derrière Clémentine. Ma main posée sur sa nuque, sous ses cheveux, je regarde ce qu'elle fait.
Ma compagne m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordinateur. C'est passionnant. Parfois, c'est elle qui passe derrière moi.

< Voilà ! Fini ! > s'écrie Clémentine. Il est 19 h. < Tu me racontes ta vision toute particulière des écuries après ? > me dit elle.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < J'ai besoin de rêver un peu ! >. Nous nous précipitons à la cuisine. Morts de faim.
< Miam ! > fait ma compagne en découvrant les tomates farcies qui nous attendent au four. Elle s'occupe de la salade. Laitue.
Je fais l'assaisonnement. Nous bavardons. Je fais voir le message que m'a envoyé Estelle ce matin. < Moi aussi ! > me fait elle.
< Moi aussi je t'aime ! J'ai besoin que tu te comportes en "Maître" sévère ! > rajoute Clémentine en se serrant contre moi. Bise.

Je lui promets de faire de mon mieux. Je sais que les jours qui suivent ses "petits machins" de fille, la demande est très forte.
Je vais au salon. Du tiroir du bas du bureau, je tire le collier canin, la laisse et les menottes que je laisse sur le canapé. Bien.
Je reviens à la cuisine. Clémentine remue la salade. Je passe derrière elle pour lui passer le collier canin autour du cou. Joie.
J'y fixe la laisse. Clémentine s'accroupit, me fait des bises sur la braguette en me disant : < Merci Maître ! >. Je la fais cesser.
Je mets la table. La sonnerie du four résonne. Clémentine sort les tomates en faisant : < Miam ! >. L'odeur est un vrai délice.

Nous mangeons de bon appétit. Ma compagne me raconte quelques amusantes anecdotes d'étudiante. Nous rions de bon cœur.
L'attitude et les tics de certains professeurs, de certains étudiants et le déroulement de certains cours. C'est passionnant. Je ris.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait à nouveau part de son impatience dévorante.
< Je suis pressée de me retrouver à bicyclette avec toi sur la piste cyclable. Et tout ça me manque, si tu savais ! > me fait elle.
J'abonde dans ce sens. Je la rassure. Moi aussi j'attends ces premiers beaux jours où nous pourrons filer en vélo et en liberté...

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous mettons tout en ordre. Clémentine m'entraîne vite.
Nous passons au salon. Je saisi la laisse qui pend jusque sur ses cuisses. Clémentine se met immédiatement à genoux. Bien.
Silencieuse, ma compagne me fixe dans les yeux de son regard implorant. Ses cheveux en liberté, elle en est encore plus belle.
Je suis toujours pénétré d'un profond trouble lorsque nous nous retrouvons dans cette situation. C'est la fille que j'aime. Joie.
Il m'est difficile d'avoir ce comportement de "Maître" que me supplie d'interpréter ma compagne. Pourtant c'est une demande.

Clémentine me confie souvent que sa nature profonde de "soumise" se fait ressentir de plus en plus souvent. C'est si étrange.
J'écoute. Je me sens un peu impuissant devant tant de sollicitudes. Je tiens la laisse. Je donne quelques à coups. Je la regarde.
Les yeux de Clémentine m'implorent. Je dois avoir une initiative. Heureusement, je ne manque pas d'initiatives. Je la caresse.
Je tire sur la laisse. A quatre pattes, Clémentine me suit. Je l'entraîne pour trois tours de la grande pièce. Docile, elle m'obéit.
Je la ramène au milieu du salon. Je dépose l'épais coussin au sol. D'un ton autoritaire, j'ordonne : < A genoux, c'est l'heure ! >

Je m'assois dans le canapé. Je prends les menottes. Je fixe cette merveilleuse jeune fille à genoux avec les mains sur la tête.
J'ordonne : < Main dans ta culotte ! >. Clémentine obéit immédiatement. Je dis : < Masturbation ! >. Clémentine se branle.
Je regarde ce merveilleux spectacle. Clémentine ne peut cacher son bonheur. L'extase se lit sur son visage. Les yeux fermés.
Je lui dis : < Je veux te voir dans cette situation aux écuries devant le palefrenier ! >. Clémentine ouvre les yeux en grand.
Je continue : < C'est un ordre ! Je veux te voir ainsi devant ce type ! >. Clémentine se touche tout en me fixant silencieuse.

Cela fait quelques temps que je prépare mentalement Clémentine à affronter cette éventualité. Pour son plus grand plaisir.
Les images et les situations que je lui suggère depuis plusieurs semaines commencent à porter leurs fruits. J'en rajoute. Joie.
J'évite la manipulation mentale, c'est détestable. Je ne suis d'ailleurs pas obligé d'utiliser de telles abjections. C'est simple.
L'imaginaire conjugué aux fantasmes de Clémentine suffisent amplement à la projeter dans cet univers qui la tente beaucoup.
Il me suffit juste de décrire, avec un luxe de détails salaces, les scènes les plus vicelardes. Je regarde Clémentine se branler.

Nous restons ainsi un long moment où je lui décris les choses les plus suggestives. Je lui livre quelques détails évocateurs.
Clémentine, tout en se touchant, m'écoute silencieuse. Je me lève pour lui passer les menottes tout en continuant à parler.
J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je le lui passe sur le visage en disant : < Monsieur Gérard te fera ça ! Et pareil ! >
Clémentine, dans un gémissement, penche sa tête pour tenter de gober ma queue dégoulinante de liquide séminal. La pipe.
Cette situation nous excite tous deux. Et lorsque je suis excité, mes épanchements sont rapidement abondants. De la jute...

Je frotte ma bite sur le visage de Clémentine que je macule de jus gluant, épais et visqueux. Ma compagne gémit de plaisir.
Tout en lui mettant mon sexe dans la bouche, je continue mes descriptions vicelardes. J'évoque le palefrenier. Les écuries.
< Ce vieux salaud te ferait sucer sa bite d'impuissant ! Tu ne risques pas de te faire baiser ou enculer ! > que je lui raconte.
En gloussant, Clémentine me suce. Je lis un indicible bonheur sur les traits de son visage. Je continue mes descriptions. Joie.
Je dis : < Estelle et moi, nous serions planqués quelque part à te regarder livrée à ce vieux salopard ! Il t'en ferait baver ! >

Clémentine m'écoute tout en suçant, ponctuant mes descriptions de petits cris de bonheur. Je me retire. Je lui mets une gifle.
Je dis : < Et ça t'excites, hein, grande salope, tu n'as pas honte ? >. Clémentine s'écrit : < Si j'ai honte ! Mais c'est si bon ! >
Je la tiens par la nuque et par le menton. Je dis : < Tu imagines les jours suivant, en croisant le regard de ce type ! La honte ! >
Je sens la succion de Clémentine se faire plus ou moins puissante en fonction des saloperies que je lui raconte. C'est superbe.
Nous passons ainsi la plus grande partie de la soirée. Je force Clémentine à se redresser. Il est 22 h15. Je l'entraîne à l'étage.

Les toilettes. Je lui pisse au visage en lui décrivant une situation comparable mais avec le palefrenier. Je lui mets une gifle.
Nous passons à la salle de bain. Je branche le sèche cheveux. Je le tends à ma compagne qui me fait : < Tu étais génial ! >
Une fois au lit, je broute Clémentine dont le sexe est ruisselant de cyprine. Tout cela l'a tellement excitée. Il faut faire gaffe.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Immobiles, nous nous serrons très fort.
C'est toujours le moment des aveux de Clémentine qui me remercie pour cette soirée et pour mes histoires. Orgasmes. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui ont la fibre "soumise" et qui aiment vivre des situations hautement suggestives...

Julien - (Qui n'a pas du tout l'âme d'un vrai "Maître" mais qui sait répondre à la demande avec efficacité et diligence) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 314 -



Séance de "dressage" pour de rire mais très appréciée par Estelle...

Hier matin, jeudi, nous ouvrons l'œil quasiment en même temps. Juste avant que ne résonne la musique du cube réveil.
Il est 5 H55. C'est notre horloge biologique. Nous nous étirons en même temps en modulant nos gémissements. Un cri.
Presque en même temps, nous nous faisons : < Bonjour Clémentine ! >< Bonjour Julien ! >. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine me chevauche en riant. De la douceur, tendresse et papouilles avant qu'elle ne m'entraîne jusqu'aux toilettes.
Dès nos rituels pisseux terminés, nous descendons à toute vitesse à la cuisine. Pour y préparer notre petit déjeuner. Faim.

Nous mangeons de bon appétit en bavardant. < Tu étais à la hauteur de la demande hier soir, merci ! > fait Clémentine.
Nous évoquons nos rôles de "Maître" et de "Soumise" qu'il me faut écrire ici avec une majuscule. Nous rions de bon cœur.
< Et dans le mot majuscule, il y a "majus" ! > me fait encore ma compagne. Nous en rigolons comme des bossus. Sympa.
Nous remontons pour nous offrir l'heure d'entraînement qui remplace nos joggings. Le thermomètre extérieur indique 4°.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Froid.

Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer.
Je monte faire la chambre. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais à l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je termine cette treizième toile destinée à ma saison d'été, demain.
Je peins avec un dynamisme qui ne faiblit pas. Je remporte une nouvelle victoire chaque quart d'heure. J'en suis haletant.
Je reviens à la réalité pour midi et animé par la faim. Je prépare des aubergines farcies au pâté de lentilles. Avec du riz...

J'en prépare quatre de très grosses tailles. Ce soir, avec la présence d'Estelle, il n'y aura qu'à réchauffer. Un gain de temps.
Je concocte une farce aux champignons, à la purée de lentilles et à la crème. J'écoute la chronique de Guy Carlier en rigolant.
Je prépare une grosse scarole dont je lave les feuilles pour ma salade de midi et pour celle de ce soir. Je mange avec appétit.
La vaisselle. Il est 13 h15. Je me félicite pour la rapidité avec laquelle j'ai concocté notre repas. Je suis assis devant ma toile.
Je peins en continuant de remporter tous les combats. Je pousse des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime.

Du bruit. Je regarde l'horloge murale. Il est 16 h55. Clémentine entre dans l'atelier, jette son sac sur le canapé. Impatiente.
Elle se précipite vers moi. < Bonsoir mon amour ! Enfin avec toi ! > s'écrie t-elle en s'asseyant sur mes genoux. Des bisous.
Clémentine me raconte sa journée. Une fois encore elle est bien contente de n'avoir pas eu à prendre des notes sans arrêt.
Il y aura donc moins de choses à mettre au propre. Assise à la table, entourée de ses affaires, Clémentine se met à la tâche.
Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un message. C'est Estelle. Nous cessons nos occupations pour aller la chercher. 17 h50.

Nous arrivons à l'arrêt de bus habituel, à une centaine de mètres de chez elle où nous attend Estelle toute contente. Souriante.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée. Clémentine lui parle des cours, les préparatifs.
Nous sommes rapidement de retour. Les filles travaillent. Estelle rattrape les cours du jour qu'elle manque pour cause de stage.
< Voilà ! Terminé ! > s'écrie Estelle. < Je suis à jour grâce à toi ! > rajoute t-elle encore à l'attention de Clémentine. Superbe.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. < Miam ! > font les filles en découvrant le repas qu'il n'y a qu'à réchauffer !

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent les cours. Tout s'articule parfaitement dans le planning.
Estelle nous décrit sa seconde semaine de stage. Elle a le temps de travailler à ses cours pendant ses heures de bureau. Bien.
Pragmatique et organisée, la jeune fille assure avec efficacité. Clémentine lui raconte quelques anecdotes amusante de la fac.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine confie son appréhension quand à son stage à venir.
< C'est cool ! Tu seras dans le bureau au haras ! Tu auras les visites de Gérard, le palefrenier ! >. Nous en rions de bon cœur.

La conversation s'oriente donc tout naturellement sur nos aventures aux écuries. C'est toujours un véritable déclencheur. Joie.
Les filles évoquent les situations vicelardes déjà vécues en ce lieu. < On y retourne dimanche après-midi ? > demande Estelle.
Juliette organise chaque dimanche une animation afin de dynamiser l'entreprise. Ce n'est pas une simple pension de chevaux.
Les propriétaires ont plaisir à voir leurs chevaux en bonne santé montés par des cavalières alertes et plutôt virtuoses. Douées.
Le programme de dimanche est rapidement bien arrêté. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine.

Estelle, avec toute la vulgarité qui lui est coutumière, mime à plusieurs reprises une masturbation masculine. Des clins d'œil.
< Tu retournes dans le box un de ces soirs ? > me demande Estelle. Je réponds : < Pour te tenir compagnie pour la pipe ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Il serait temps de nous offrir le second épisode. Moi je fais le film ! >
Estelle reste évasive. Nous savons bien qu'elle en meure d'envie. Il lui faut simplement surmonter quelques inhibitions. Rires.
Nous passons au salon. A nouveau Estelle se livre à ses imitations. Sa main fermée devant la bouche, elle mime une fellation.

Je vais au bureau pour retirer du tiroir du bas le collier canin, la laisse et les menottes. Je reviens. Estelle me regarde amusée.
< C'est pour moi ? > me demande t-elle, mutine, espiègle, l'air ingénue et innocent. Je ne réponds pas. Je m'approche. Rires.
Je lui fixe le collier autour du cou. Estelle s'attache les cheveux en queue. Elle m'observe souriante et silencieuse. Je l'attire.
Je passe le mousqueton de la laisse dans l'anneau du collier. Je lui fixe les poignets derrière le dos à l'aide des menottes. Joie.
< Si je m'attendais à ça ! > fait Estelle. Clémentine que tout cela excite, nous regarde vautrée dans le fauteuil. Du spectacle.

J'entraîne Estelle sans ménagement pour trois tours de la grande pièce. Nous contournons chaque meuble. Quelques à coups.
Les mains menottées derrière le dos, Estelle me suit sans dire un mot. A chaque fois que je la regarde, elle me tire la langue.
Soudain, alors que je la scrute, mon visage tout près du sien, elle me crache à la gueule. Cette petite salope le fait deux fois.
Clémentine s'est levée pour descendre son jean et sa culotte. Vautrée dans son fauteuil, elle commence à se toucher. Sympa.
J'entraîne Estelle fermement. Je me retourne pour reprendre un crachat en plein visage. Je suis ruisselant de salive gluante.

Je lui retire les menottes pour la saisir par ses cheveux. Je la force à se mettre à quatre pattes. Je prends une gifle cinglante.
La joue brûlante, je la force à avancer en la tirant sans ménagement par la laisse. Estelle n'est pas d'un naturel "soumise".
Par contre le jeu de rôle lui plaît beaucoup. Les émotions et les sensations que la situation lui procure là, sont très maîtrisées.
J'entends les premiers gémissements de Clémentine que mon comportement ravi toujours au-delà du raisonnable. Le salaud.
J'entraîne Estelle qui avance à quatre pattes jusqu'au bureau. Du tiroir du bas, je sors les cordelettes de coton blanc. Silence.

Je prends la chaise pour la disposer au milieu du salon, devant le bureau. Je force Estelle à s'y asseoir. Je reste très méfiant.
Je sens bien qu'elle cherche la moindre occasion de me cracher au visage ou de me mettre une gifle. La rusée petite salope.
Assise avec le dossier de la chaise entre les jambes, la voilà avec les poignets et les chevilles entravés. Elle me fixe. Sévère.
Je me penche pour scruter les traits de son visage. Sans bouger la tête, elle me suit de son regard faussement courroucé.
Ce jeu nous passionne évidement tous les trois. J'entends le souffle fort de Clémentine qui se masturbe, la bouche ouverte.

< Salopard ! Vicelard ! > me chuchote Estelle à plusieurs reprises. Je lui murmure : < Mais pour vous servir mademoiselle ! >
Elle me crache à nouveau au visage. Je me redresse. J'ouvre ma braguette doucement. Je sors mon sexe que j'agite. Vicieux.
Je saisi Estelle par ses cheveux. Fermement. Je lui frotte mon sexe sur le visage. Elle tente de se soustraire à mon étreinte.
Estelle m'insulte copieusement. Je me retourne pour regarder Clémentine qui vient de pousser un cri. Elle est en sueur. Mâte.
A mon tour je me penche pour cracher au visage d'Estelle. Je lui mets une gifle. Ce ne sont jamais des actes de violence. Jeu.

Je me tourne à nouveau vers Clémentine pour lui demander : < Pourras-tu prêter ta chemise à Estelle pour rentrer, après ? >
< Mais bien sûr ! > me fait ma compagne en la déboutonnant pour la poser au sol. Estelle comprends immédiatement. Le jeu.
Je me penche pour lui murmurer : < Tu vas te faire pisser à la gueule, salope ! Et je vais t'apprendre les bonnes manières ! >
Les insultes redoublent. Je me fais traiter de tous les qualificatifs les plus orduriers. Je me mets en position en tenant la fille.
Estelle tente de se débattre. Je la maintiens fermement par la tignasse. Je lâche un premier jet. Direct, net, précis en visant.

Je cesse pour lui passer mon sexe sur le visage. J'entends Clémentine gémir. Je la regarde. Elle me fait un délicieux sourire.
J'offre à ma compagne le plus délicieux moment de voyeurisme. J'offre à Estelle ses plus subtiles émotions de jeune fille. Jeu.
Je récidive. A chaque fois je dois maintenir la tête d'Estelle avec force. Elle bouge tant qu'elle en déplace la chaise. J'avance.
Je tente de lui enfoncer la bite dans la bouche. Estelle garde ses lèvres serrées. Je lui mets une gifle. Je lui pince le nez. Dur.
Pour reprendre son souffle, Estelle n'a d'autre choix que d'ouvrir la bouche. Je m'y introduis immédiatement. Je guettais bien.

Dans un long râle de dégoût, Estelle se met à me sucer. Je lâche quelques dernières petites giclés juste avant de bander.
Je regarde les traits fins de son visage d'ange. Je peux y lire les plus délicates émotions. Elle cesse de jouer à l'effarouchée.
A présent, Estelle déguste en poussant de petits cris de ravissement. Elle me suce comme si sa vie en dépendait. Superbe.
C'est toujours hallucinant de la voir me tailler une pipe avec tant d'avidité en gémissant de bonheur. Je me fais pomper fort.
Clémentine a beaucoup de mal à repousser l'inéluctable orgasme qui la guette. Elle me regarde, presque suppliante. Belle.

J'éjacule sournoisement dans la bouche d'Estelle qui ne s'y attendait pas aussi rapidement. C'est un acte délibéré et voulu.
Je peux tenir tout le temps que je veux. Je maîtrise parfaitement mon sexe. Mais là, je veux l'inonder de mon "après pisse".
Je la regarde. Son corps est secoué d'un spasme. Je suis certain qu'elle connaît un orgasme à sa manière. Toujours secrète.
Estelle veut repartir pour un second tour. Je lui dis : < On remet ça samedi soir ! >. Estelle me regarde suppliante. 22 h15.
Je me retire. Je détache Estelle. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse à l'instant. Elle en hurle en pissant...

Estelle, la chemise trempée de pisse, les cheveux ruisselants, se précipite dans mes bras. Elle se blottit avec tant de tendresse.
Je suis pétri d'émotions. Je saisi la chemise de Clémentine. J'entraîne Estelle à l'étage. Sèche cheveux, serviette, et la toilette.
Clémentine vient nous rejoindre. Elle m'embrasse avec sa douceur habituelle. Elle s'habille. Estelle est sèche. Il est déjà 22 h40.
Nous ramenons Estelle. Tristounette, la séparation est difficile. < Tu refais samedi soir, hein, promis ? > me supplie t-elle. joie.
Au retour, épuisés, nous nous offrons un "69" qui n'aboutit plus. Clémentine me remercie de lui offrir tant de plaisirs. Puis dodo.

Bonne soirée de "dressage" à toutes les coquines qui aiment êtres "éduquées" dans la joie, le jeu, le plaisir insensé et intense...

Julien - (Qui a encore interprété le rôle du "Maître" avec tout le brio nécessaire. Surtout que l'actrice jouait à la perfection) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 315 -



La soirée au restaurant, le vendredi soir, va t-elle devenir une habitude ?

Hier matin, vendredi, j'ouvre l'œil le premier. Il est 6 h50. J'éteins immédiatement le cube réveil pour éviter de l'entendre.
Sur ma gauche, Clémentine gémit en s'étirant longuement. Je lui murmure : < Bonjour Clémentine ! >. Elle se serre fort.
< Bonjour Julien ! > fait elle avant de me chevaucher en riant. Douceurs, tendresse et papouilles dans une envie de pisser.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux. Nous descendons à toute vitesse. Faim.
Rapidement la cuisine embaume le café et le pain grillé. Et nous prenons notre petit déjeuner en mangeant de bon appétit.

Le thermomètre extérieur indique 3°. Tout est luisant dans le noir. La pluie est tombée cette nuit mais il ne pleut plus. Bien.
Nous bavardons. Pour Clémentine le Week-End commence le vendredi à midi. Elle se réjouit déjà pour me rejoindre après.
Nous remontons pour nous livrer à l'heure d'entrainement qui remplace le jogging. Aérobic, abdos, charges additionnelles.
C'est la douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le jour se lève.
Quelques bises. Un dernier coucou de la main et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre en vitesse...

Je monte faire la chambre. Je redescends pour faire la vaisselle. Je me rends dans l'atelier. Je fais un feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je termine ce matin la treizième toile de ma saison d'été. Rassurant.
Je peins dans l'enthousiasme le plus débordant en poussant les cris les plus surréalistes à chaque trait de pinceau sublime.
Une fois encore, totalement abstrait dans ma peinture, le temps et la réalité m'échappent. Divins moments d'évasion folle.
Je termine vers 11 h45. Je range tout avec soin. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Dans mon atelier rien de "bohême".

Il est midi. Je suis à la cuisine. Je fais bouillir de l'eau. J'émince de l'ail, de l'oignon, de la ciboulette et une belle aubergine.
Clémentine arrive. Elle me saute au cou en s'écriant : < Le Week-End ! >. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.
Nous adorons ces moments de retrouvaille. Clémentine s'occupe de la salade. Je verse les coquillettes dans l'eau bouillante.
Ce sera un gratin de coquillettes avec une sauce "maison" totalement improvisée mais onctueuse. Champignons, aubergine.
Pendant que le gratin cuit au four, nous passons au salon pour découvrir nos messages sur l'ordinateur. Deux courriels. Joie.

Un message de Juliette qui nous donne le programme de l'animation du haras dimanche. Estelle qui nous raconte sa journée.
Clémentine répond en joignant une photographie de nous trois. La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Faim.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Elle a passé toute la matinée dans le laboratoire de la fac.
Il y a donc peu de notes à mettre au propre. Ma compagne a fait quantité de photos comme tous les étudiants. C'est superbe.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine fait défiler les photos sur son téléphone. Je regarde.

Elle m'explique ce que je vois sur la vingtaine de clichés. Le professeur fait une démonstration. Il y a des minéraux partout.
< Un cours de géomorphologie ! > m'explique ma compagne passionnée par ses études. Je le suis également en découvrant.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous filons à l'atelier. Clémentine est pressée de finir.
Je commence le dessin préparatoire de ma quatorzième toile. Ma compagne est assise à la table, entourée de ses affaires.
Nous travaillons ainsi une petite heure. Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un message. Clémentine se précipite pour lire.

< C'est Clémence, la serveuse du restaurant qui demande si elle nous réserve une table pour ce soir ! > me fait Clémentine.
Nous nous regardons perplexes. Clémentine rajoute : < Elle a mordu ! La pêche a été bonne ! >. Nous en rions de bon cœur.
Je fais : < Bien sûr ! Une soirée au restau ! >. Clémentine répond d'un simple texto : "Ok pour 20 h". < Génial ! > fait elle.
Il est 15 h. Clémentine a fini de mettre ses notes au propre. Elle télécharge le tout sur la clef USB à l'intention d'Estelle. Bien.
Je termine mon dessin que je reprendrais plus tard. Je propose de nous habiller pour aller en ville. Dehors il pleut. Il fait gris.

< Génial ! > lance Clémentine en m'entraînant à l'étage. Nous nous changeons. Avec cette météo le choix sera assez rapide.
Clémentine porte une de ses jupes d'épais velours carmin, ses collants "truqués" avec l'ouverture au sexe, chemisier, un pull.
Ses bottes noires à hauts talons achèvent de lui conférer cette attractivité irrésistible. Elle en est divinement sexy. Je le lui dis.
Sur sa demande, je porte mon costume de velours. Devant le miroir, Clémentine me dit : < Regarde comme on est beaux ! >
Nous faisons les clowns. Clémentine s'accroupit devant le miroir pour me montrer l'ouverture du collant, au niveau du sexe...

Je la félicite en lui disant : < Il suffit juste d'aller créer une "situation" quelque part ! >. Elle répond : < Alors viens vite ! >
Nous mettons nos manteaux. Il ne fait pas froid et l'absence de vent fait tomber une pluie fine. Nous voilà dans la voiture.
Je roule doucement. nous passons devant le haras. Il y a des voitures garées dans la cour. Clémentine joue avec ma queue.
La main droite sous sa jupe, Clémentine me confie à quel point elle est encore "allumée" cet après-midi. C'est sympathique.
Nous arrivons en ville. Il est 16 h30. Je gare l'auto dans la rue habituelle. Dix minutes de marche jusqu'au centre. Parapluie.

Nous passons par le parc. Les sentiers y sont goudronnés. La pluie est fine et régulière. Un employé municipal est affairé.
L'homme est vêtu d'un anorak jaune, d'un pantalon étanche et de bottes en caoutchouc. Il vide le contenu des poubelles.
< Reste là ! > me fait Clémentine en s'éloignant pour aller entre deux statues. Je la regarde. Je suis à environ 50 mètres.
Ma compagne tenant le parapluie, s'accroupit, à demi dissimulée. L'employé vient de l'apercevoir. Il cesse tout pour mâter.
Cette exhibe est rapide et ne dure qu'un instant. Suffisamment pour offrir à ma compagne sa douce frayeur du jour. Bien.

Elle revient me rejoindre pour me remettre à l'abri de l'immense parapluie. Nous filons comme des voleurs, notre coup fait.
Je propose à Clémentine de nous offrir un bon chocolat dans notre salon de thé préféré. Toute contente, elle accélère le pas.
Nous voilà installés à notre table habituelle, sur le dernier gradin du haut. Il y a deux couples qui bavardent en chuchotant.
Les chocolats chauds et fumants sont des plus agréables. Clémentine me parle de ses cours de la semaine prochaine. Bien.
Il y a un homme qui entre. Il s'installe à la table libre du bas. La quarantaine, plutôt élégant, il passe sa commande. Sympa.

L'inconnu est rapidement plongé dans la lecture de son journal. Il ne prête aucune attention à ce qui se passe autour de lui.
Nous bavardons. Soudain, la musique d'un téléphone résonne. C'est celui de l'inconnu assis plus bas. Il s'en saisit très vite.
C'est en parlant que l'homme relève la tête. Il vient de découvrir la belle jeune fille assise à ma table. Clémentine me raconte.
Sous la table, ses cuisses largement écartées, elle offre son show avec sa générosité habituelle. Je mâte discrètement le mec.
Le type, tout en parlant au téléphone, ne cesse d'observer ma compagne. Clémentine vient de passer sa main sous la table.

Ma présence permet à Clémentine de s'offrir toutes les déclinaisons possibles dans cette configuration. Et dans la quiétude.
La situation perdure un long moment. Clémentine, en chuchotant, me raconte ce qu'elle fait de sa main droite sous la table.
Discrète, virtuose, Clémentine se touche par cette ouverture d'une quinzaine de centimètres pratiquée dans son collant noir.
< Je suis certaine qu'il n'y a plus personne au téléphone mais qu'il fait semblant. Un prétexte pour mâter ! > fait Clémentine.
< Test des chiottes ! > rajoute t-elle en se levant pour se rendre aux toilettes. "Gagné" ! Le type se lève pour y aller aussi...

Il ne se passe pas longtemps. Clémentine revient. Assise, la main devant sa bouche, elle me raconte les toilettes. L'homme.
< Put-Hein, le vicieux ! > me fait elle. Je lui dis : < Tu t'es encore trompée de chiottes ! >. < Bien évidemment ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me raconte l'attitude du mec qui tombe sur cette jeune fille dans les WC homme.
Accroupie entre les deux urinoirs, fouillant dans son sac posé au sol, Clémentine s'est encore fait surprendre comme elle aime.
Le type sort sa queue. Debout devant l'urinoir il lui propose carrément une pipe. Je dis : < Tu as encore raté une occasion ! >

< Arrête ! Je ne pourrais jamais à un inconnu ! > me fait elle. Je lui réponds : < Le palefrenier n'est plus un inconnu lui ! >.
< Salaud ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur. Le type revient des toilettes. Il paie et s'en va sans même un regard. Bien.
Nous flânons en ville, dans les magasins et jusqu'à leur fermeture. Il est 19 h30 lorsque nous sommes de retour à la voiture.
Nous prenons la petite route qui mène au restaurant de l'étang. Il y a quelques voitures garées sur le parking. Il pleut encore.
C'est Clémence, la jeune serveuse qui vient nous accueillir. Toute contente de nous voir, elle nous emmène à la table réservée.

Il y a peu de monde dans la salle. Aussi la jeune fille a le temps de bavarder un peu avec nous pendant que nous choisissons.
Je lui demande : < Pourriez-vous m'indiquer où se trouvent les toilettes ? >. Nous rions tous les trois de bon cœur. Superbe.
< Si vous voulez bien me suivre ! > répond la serveuse. Je rajoute : < Tout à l'heure. Je sais me retenir ! >. Ambiance vice.
Nous choisissons un plat de fruits de mer accompagné de petits légumes grillés. La serveuse ramène les deux plateaux. Joie.
Nous échangeons encore quelques mots. < Ouvre ta braguette ! > me fait Clémentine lorsque nous commençons à manger...

Je sors mon sexe sous la table. Discrètement. Les rares clients dans la salle ne nous prêtent aucune attention. Je me branle.
Je ne tarde pas à bander comme un priapique en phase terminale. Je remonte le coin de la nappe pour le coincer. La carafe.
Depuis le comptoir derrière lequel la serveuse s'affaire, elle peut découvrir ce qui se passe. Elle me lance un regard sévère.
< Tout cela n'est possible que parce que nous sommes deux. La complicité s'est établie ! > m'explique encore Clémentine...
Je sais tout cela. Je connais bien la psychologie féminine. Je me lève. Je tourne le dos à la salle. Je m'avance vers l'escalier.

Juste avant de descendre, la serveuse découvre ma bite fièrement dressée vers le plafond. Je lui montre l'escalier du doigt.
La main devant la bouche, consternée par ce qu'elle découvre là, elle détourne le regard. Extrêmement gênée. Je descends.
Je laisse la porte entre bâillée pour pouvoir entendre et surveiller l'escalier. Je n'attends pas longtemps en me masturbant...
La jeune fille descend à toute allure. < Vous êtes fou ! Si quelqu'un voit ! > me fait elle en entrant dans les toilettes homme.
Je la rassure en lâchant un jet de pisse contre le carrelage à sa gauche : < Pas d'inquiétude, je suis un "spécialiste" ! > Rire.

La jeune fille regarde mon sexe avec attention. Je pisse. < Je vous signale que c'est moi qui nettoie après ! > me lance t-elle.
Je lui réponds : < Donnez moi une serpillère, je nettoie ! >. Elle éclate de rire et me dit : < C'est mon boulot après la salle ! >
Je me branle en lui faisant : < J'y rajoute un peu de sperme alors ! >. Un bruit de pas. Je remballe à toute vitesse. Clémentine.
Nous voilà tous les trois. Clémentine découvre la flaque et la pisse qui dégouline partout. Elle me regarde d'une étrange façon.
La jeune serveuse semble confuse, embarrassée. Elle file à toute vitesse. Clémentine me fait : < T'es un vrai vicelard toi ! >

Elle s'accroupit pour scruter mon sexe qui dégouline encore. Elle me suce quelques instants avant de m'entraîner par la main.
Nous remontons. < Raconte moi tout ! > me demande Clémentine. Il y a un air de reproche dans son regard, dans la question.
Je lui raconte. La serveuse me fait de délicieux sourires. < Je ne supporte pas trop lorsque je ne suis pas là ! > fait Clémentine.
< C'est de plus en plus difficile. Je veux être avec toi quand tu fais ce genre de choses ! > rajoute Clémentine. Je la rassure.
Après le dessert, je paie. La serveuse nous raccompagne jusqu'à la porte. Elle nous chuchote : < Dommage pour le sperme ! >

Dans la voiture Clémentine me fait encore : < C'est Estelle, c'est tout ! Tu veux bien ! >. Je la rassure. Tout en restera là.
Il est 23 h lorsque nous sommes de retour. Les toilettes. La salle de bain. Au lit, nous nous "chauffons" avec un superbe "69".
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles.
Clémentine me chuchote les plus étonnantes révélations. < J'aime quand tu es vicelard, mais quand je suis avec ! > dit elle
Je lui promets encore de ne jamais la trahir ou la tromper. Un cunnilingus. Orgasme délirant. Fellations. Orgasme fou. Dodo...

Bonne soirée au restaurant avec toutes les coquines qui apprécient les situations glauques, troubles et les fruits de mer...

Julien - (Qui doit parfois rassurer Clémentine lorsqu'elle s'inquiète inutilement pour des choses sans importances) -

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Estelle est en "demande". C'est le Week-End. Nous sommes tous les trois...

Hier matin, samedi, je suis réveillé par de légers mouvements de draps et de discrètes apnées suivies de souffles courts.
J'ouvre un œil. Clémentine se masturbe. Elle ne sait probablement pas encore que je suis déjà réveillé et que je l'observe.
Couchée sur le ventre, elle se caresse tout doucement. C'est sans compter avec son sixième sens infaillible et imparable.
Clémentine relève la tête pour me surprendre. Aussitôt elle cesse pour me faire un sourire contrit. Je la prends contre moi.
< Bonjour Clémentine. Raconte moi tout ! > que je lui murmure alors qu'elle se blottit contre moi. Elle reste silencieuse.

Je trouve ça charmant. < Bonjour Julien ! > me fait elle. Elle me chevauche en riant. Il est très rare d'être en elle le matin.
Trempée d'excitation, venant de se masturber, son sexe absorbe littéralement le mien. Nous restons immobiles. Merveille.
Nous adorons rester ainsi, l'un dans l'autre. Surtout que mon érection matinale présente des avantages non négligeables.
Clémentine me parle de son rêve . < Je me suis réveillée en me touchant ! > fait elle en me faisant sentir ses doigts. Rires.
Je suis émerveillé d'entendre la situation fictive qui a créé tant d'émois. Les écuries. Le palefrenier. La serveuse du restau.

C'est une sorte de mélange fantasmatique de toutes les choses déjà vécues et sublimées ici, dans l'onirisme de sa nuit. Joie.
J'écoute amusé. Nous ne sommes pas réellement du matin. Aussi, d'un commun accord, nous décidons d'en rester là. Bien.
Ainsi, tous les deux, nous resterons bien excités toute cette journée. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.
Il est presque huit heures. Dès la fin de nos rituels pisseux nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. C'est la faim.
Nous préparons notre petit déjeuner dans une sorte d'exaltation qui nous transporte. Cela reste le prolongement d'un rêve.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte le développement de son rêve. < C'était "chaud" ! > me lance t-elle.
Je la félicite pour entreprendre dans ses rêves les choses qu'elle ne fait pas dans la réalité. Nous rigolons comme des bossus.
Le jour s'est levé. Le ciel est gris, lourd et bas mais il ne pleut pas. Clémentine me propose ce jogging qui nous manque tant.
La vaisselle. Nous remontons nous mettre en tenues. Nous voilà à courir d'un bon rythme en restant sur la petite route. Sec.
Une heure trente d'un running qui nous fait un bien fou. Même si nous nous entraînons tous les jours, rien ne vaut le jogging.

Il est 10 h15. La douche. Nous nous habillons. Le samedi c'est le rituel des courses. Nous voilà en route pour le marché. Joie.
Trois kilomètres et nous voilà au bourg. Il y a du monde. Je gare l'auto. Nous sommes chaudement vêtus sous nos manteaux.
Clémentine porte sa jupe d'épais velours carmin, ses collants "truqués", ses bottes à talons. Le pull, l'écharpe. Très élégante.
Moi, je porte mon costume de velours marrons. Sur la demande de ma compagne, j'ai ma braguette ouverte. C'est invisible.
Nous faisons provision de nos légumes, de fruits. Les fromages, les œufs, le beurre, les yaourts et de la crème fraîche. Bien.

Nous voilà en route pour le supermarché. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe tout en bavardant. Prudence.
< Tu pardonnes mon attitude de hier soir, au restaurant , Je suis de plus en plus jalouse ! > me dit Clémentine. Tristounette.
Je la rassure. Il n'y a strictement aucune raison de l'être. < Je sais ! Mais je t'aime comme une folle ! > rajoute t-elle confuse.
Nous rions de bon cœur lorsque je dis : < Je ne pardonne pas, je donne des gages ! >. < C'est quoi mon gage ? > fait elle.
Je réponds : < Une pipe au palefrenier ! >. Nous rigolons comme des bossus quand elle me dit : < C'est une obsession ! >...

Il y a du monde sur le parking du supermarché. Je gare la voiture. Je pousse le caddie. Puis nous déambulons dans les allées.
Clémentine dépose au fur et à mesure les achats dans le chariot. Elle m'entraîne au rayon des bouquins. Peut-être un "plan".
< Je me sens encore salope aujourd'hui, si tu savais ! > me murmure t-elle. < Je sais ! > que je dis. Nous rions de bon cœur.
Pourtant, malgré que nous fassions plusieurs fois le tour de l'endroit, il ne se présente aucune réelle opportunité. Frustrant...
Clémentine me fait part de son profond désir de s'offrir une petite "frayeur". Elle m'entraîne au rayon des vêtements. Soldes.

En période de promotions, il y a évidemment beaucoup de fréquentation. Là aussi, il est impossible de s'offrir une "frayeur".
Nous passons en caisse. < Regarde, là-bas ! > me fait ma compagne. Je lève la tête. Madame Walter et son mari. Chariot.
Ils ne nous ont pas vu. Madame Walter est très élégante. Nous la voyons le plus souvent vêtue en écuyère. Plutôt attractive.
Nous rangeons nos courses dans le coffre arrière grand ouvert lorsqu'une voix derrière nous : < Bonjour ! >. C'est Juliette.
Nous nous saluons. Juliette pousse son caddie. Sa voiture est dans la même allée que la nôtre, un peu plus loin. Coïncidence.

Nous bavardons. Nous promettons de venir pour assister à l'animation du haras dimanche après-midi. Nous sommes invités.
< Et vous venez manger mercredi prochain, pour 20 h , d'accord ? > nous fait encore Juliette avant que nous prenions congé.
C'est une affaire entendu. Nous serons là mercredi prochain. Nous emmenons le dessert. Nous voilà en route pour la maison.
Treize kilomètres où Clémentine me suce de nombreuses fois. Et entre deux descriptions de son rêve de cette nuit qui la suit.
Il est presque treize heures. Nous rangeons nos courses. Je prépare la pâte pour les pizzas de ce soir. A midi spaghettis. Joie.

Clémentine s'occupe de la salade. Je fais la garniture des pizzas. Je garde un reliquat pour accompagner les spaghettis. Bien.
Nous mangeons de bon appétit. Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un texto. Clémentine se précipite. C'est Estelle. Silence.
Clémentine me lit le message. Estelle nous propose de venir la chercher pour 14 h30. Clémentine répond avec un simple "Ok".
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Je propose de retourner en ville cet après-midi, à trois.
< On va finir par trouver un "plan" ! > que je lui murmure. Clémentine me saute au cou. < Tu es merveilleux ! > me fait elle.

Il est presque 14 h30 lorsque nous arrivons à l'arrêt de bus habituel où nous attend Estelle avec son sac de sport. Heureuse.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée de hier et sa matinée. Le stage en entreprise.
< On va où ? > demande t-elle en me voyant prendre la direction de la ville. < S'éclater un peu ! > lui répond Clémentine.
Estelle lui fait : < Toi, tu as envie de faire ta salope ! >. < Exactement ! > répond Clémentine en sortant le collier canin. Rire.
De son sac à main, ma compagne sort également la laisse. < C'est pour qui ? > demande Estelle. Je dis : < Mais pour toi ! >

Nous arrivons dans la zone commerciale où nous étions ce matin. La halle aux chaussures. Clémentine fixe le collier à Estelle.
< T'es folle ! Si on rencontre quelqu'un qu'on connaît ! > s'écrie Estelle pendant que Clémentine fixe la laisse à l'anneau de fer.
Ma compagne se contente de lui répondre : < Détache tes cheveux, personne ne verra rien ! Je te promène un peu par là ! >.
Estelle n'a pas l'air très rassurée. Nous nous dirigeons vers la jardinerie, cette grande surface qui propose le matériel de jardin.
Il y a peu de monde. Ce n'est pas encore la saison. Ce sont principalement des couples de séniors qui déambulent là. Sympa...

La laisse dépasse sous l'anorak fermé d'Estelle à qui je demande de l'ouvrir et de ne pas être aussi effrayée. Je la rassure bien.
Je dis : < Il ne peut rien t'arriver, je suis là ! >. C'est Clémentine qui s'empare de la laisse au plus court pour tirer Estelle. Joie.
Nous sommes dans le rayon des graines. Clémentine me fait du coude : < Reste là ! >. Il y a un sexagénaire tout seul là-bas.
Le type, à l'allure très sportive, plutôt grand est un homme encore très séduisant. Elégant. Des manières de prof à la retraite.
Clémentine est obligée de tirer Estelle que la situation panique assez. Je reste en bout de rayon, amusé de ce qui se trame ici.

Estelle refuse d'avancer. Le monsieur tient des sachets de graines à la main. Il tourne la tête pour découvrir ce qui se passe là.
Lui aussi est amusé par ce qu'il voit. Clémentine tient Estelle à la laisse. Estelle, la tête baissée, semble étonnamment gênée.
Estelle n'a pas véritablement l'âme d'une "soumise". Mais les émotions et les sensations induites pas le jeu l'excite sans doute.
Discrètement, avec mon téléphone, je filme la scène. C'est bouleversant de sensualité graveleuse. Clémentine tire sur la laisse.
Estelle n'a plus d'autre choix que de suivre, tête basse. Le monsieur se tourne en regardant les deux filles. Il en est tout amusé.

Clémentine entraîne Estelle jusqu'au bout du rayon. Elle s'arrête pour revenir sur ses pas. L'homme dit quelques mots. Rires.
Je reste à faire semblant de consulter mon téléphone, alors que je filme la scène. Clémentine s'arrête à la hauteur du type.
je la vois lui adresser la parole. Estelle lève la tête. C'est fou ! Elle est toute rouge de honte. Cela faisait longtemps. Je filme.
Les filles reviennent vers moi. Le monsieur est rejoint par une dame qui lui montre des gants en caoutchouc. Estelle en sueur.
< T'es salope ! J'étais morte de honte ! > fait Estelle à Clémentine qui lui dit : < Tu vas voir comme la honte est jouissive ! >

< Je veux partir ! > insiste Estelle. C'est moi qui saisi la laisse. Nous ressortons du magasin. Une jeune caissière à remarqué.
Je lui fais un clin d'œil. La jeune fille a le sourire le plus vicelard que je n'ai jamais vu. Décidément en couple, tout est simple !
Dans la voiture, Estelle nous fait : < J'en suis malade. Vous êtes deux salauds tous les deux ! >. Nous en rions de bon cœur.
< C'est pour ça que tu veux être fourrée tout le temps avec nous ! > lui répond Clémentine. Je prends la direction du retour.
Nous arrivons à la maison pour 17 h30. Les filles ont du travail à boucler. Nous passons à l'atelier. Une petite heure de boulot.

Estelle porte toujours encore le collier canin autour de son cou. La laisse pend dans son dos. Je me lève pour les rejoindre.
Debout derrière les filles, je regarde ce qui s'affiche sur l'écran de l'ordinateur. Clémentine m'explique le graphique. Super.
< On est mortes de faim ! > me fait elle. Estelle dit : < En plus, on a tout terminé ! >. Je saisi la laisse. Je donne un à coup.
Estelle tourne la tête pour me fixer. < Vicelard ! > me lance t-elle avec un regard de défi. Je dis : < tu n'as pas tout vu ! >.
Les filles terminent. Clémentine se lève la première pour se blottir contre moi. Nous nous embrassons. Ma braguette ouverte.

Je force Estelle à se lever. Je la tire par la laisse. Nous allons à la cuisine. La préparation du repas. Clémentine fait la salade.
Estelle étale la pâte. Je réchauffe la garniture. Nous bavardons. Les filles évoquent leurs cours. Tout va très vite. Méthodique.
Pendant que les pizzas sont au four, nous passons au salon. Je branche mon téléphone sur l'ordinateur. J'appelle les filles.
Estelle découvre, consternée, les images que j'ai prise à la jardinerie. < Put-Hein, tu effaces tout ! > s'écrie t-elle soudain.
Clémentine lui propose de conserver soigneusement ce souvenir sur sa clef USB. Ce que nous faisons rapidement. Téléchargé.

Une fois en possession du film sur sa clef USB, Estelle exige d'effacer elle-même le film. Je lui donne mon téléphone. Correct.
Pas question de laisser derrière nous, quelque part, la moindre images déviante. Par contre Estelle regarde à nouveau. Bien.
Clémentine fait des arrêts sur image. Elle me raconte les propos échangés avec l'inconnu sur des parties précises du film. Joie.
< Dis bonjour au monsieur que je dis à Estelle à ce moment précis ! > dit Clémentine en montrant l'image. C'est très troublant.
< Salope ! > fait Estelle à chaque explication. Je saisi Estelle par la laisse, au plus court, pour lui dire : < Et tu as adoré ! >...

La sonnerie du four nous rappelle aux réalités. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. L'odeur est enivrante. Super.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous révèle doucement les émotions qui la submerge à présent qu'elle s'est vue. Film.
< A refaire, non ? > demande ma compagne. Estelle, avec un étrange sourire, les lèvres pincées, nous observe longuement.
Elle ne répond pas. Je lui dis : < Lors de notre prochaine visite aux écuries, Clémentine t'administrera le même traitement ! >
Estelle reste étrangement silencieuse. Nous devinons qu'elle évalue la situation que nous lui décrivons. Le palefrenier vicieux.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Estelle reste debout au milieu.
Je suis vautré dans le canapé aux côtés de Clémentine. Nous regardons, interrogateurs, Estelle qui reste immobile, debout.
Soudain, elle me tend la laisse qui pend du collier canin toujours fixé à son cou. Elle ne dit pas un mot mais s'approche. Joie.
Je me lève pour prendre son poignet. Je l'attire contre moi. Elle se blottit. Clémentine se lève à son tour pour nous rejoindre.
< C'est génial, non, d'être tenue en laisse ? > chuchote Clémentine à Estelle qui s'obstine à rester silencieuse. Je la caresse...

Clémentine s'accroupit pour passer sa tête entre Estelle et moi. Elle se met à me sucer avec une passion dévorante. Merveille.
Estelle m'embrasse soudain avec une fougue qui n'a rien à envier à celle de ma compagne que j'entends gémir de plaisir. Pipe.
Je caresse la tête d'Estelle qui fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Je lui chuchote : < Alors, dis-moi, la jardinerie ! >.
Elle me murmure : < C'est trop neuf, mais c'était vraiment intense ! Mais tu te rends compte si je recroise ce type un jour ! >.
Clémentine, à qui rien n'échappe, répond : < Ne t'inquiète pas, on ne les recroise pas. Et tu peux ressembler à une autre ! >.

Nous restons ainsi un long moment. Clémentine s'est redressée pour écarter Estelle et m'embrasser à son tour. Passionnée.
Estelle s'est accroupit à son tour pour me bouffer la bite. Chose qu'elle fait comme si sa vie en dépendait. C'est grandiose.
J'éjacule comme le dernier des hypocrites, immobile, sans prévenir, sans bouger, comme Estelle aime tant. En en glousse !
Epuisés, il est déjà 23 h, nous montons. Toilettes. Salle de bain. Estelle me fait voir les rougeurs d'irritations qu'elle a au cou.
C'est le cuir du collier. Au lit, Clémentine m'attire sur elle. Nous restons l'un dans l'autre immobiles. Nous bavardons à trois.

Cette situation perdure. Estelle, son visage tout près du nôtre nous révèle enfin les impressions après ses émotions vécues.
< Je veux bien refaire. Et aux écuries. Mais juste une fois ! D'accord ? > dit elle. Nous bougeons doucement en l'écoutant.
Nous avons tous les trois parfaitement conscience du privilège qui nous est donné. Estelle n'arrête plus de se confesser. Joie.
Elle me dit : < Si j'obtiens mon "Master", en juin, tu me fais découvrir la baise ? >. Clémentine répond : < Pas question ! >.
< Comme tu es égoïste ! > fait encore Estelle. Nous rions de bon cœur en accélérant. L'orgasme est vertigineux. Bises. Dodo...

Bonnes expériences excitantes à toutes les coquines qui sont tentées d'être promenées discrètement à la laisse...

Julien - (Conscient d'être un des hommes les plus heureux de l'univers connu et peut-être même de la galaxie) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 317 -



Un dimanche dont l'après-midi se passe au haras...

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des murmures, des chuchotements et encore par des rires étouffés.
On me tient fermement par mon érection matinale. J'ouvre l'œil. < Bonjour Julien ! > me font les coquines en même temps.
C'est Estelle, ayant passé son bras par dessus Clémentine, qui me tient la queue. Je me redresse d'un coup. Et par surprise.
A quatre pattes entre les deux filles, je les chatouille en poussant des grognements d'ours des cavernes. J'aime les voir rire.
< Bonjour les coquines ! > que je fais. Estelle parvient à s'enfuir pour se rendre au WC. Clémentine me chevauche en riant.

< Je descends préparer le petit déjeuner ! > fait Estelle en dévalant les escaliers. Clémentine lui répond : < On arrive ! >.
Ma compagne m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Dès la fin de nos rituels pisseux nous descendons à toute vitesse.
L'odeur du café et du pain grillé achève d'aiguiser nos faims de loups. Il est à peine 8 h. Le jour termine de se lever. Nuages.
Le thermomètre extérieur indique 3°. Le sol est humide. Estelle vient me faire des bises en se serrant contre moi. Douceur.
< Merci Julien pour les émotions de hier ! > me fait elle. Clémentine s'interpose en disant : < J'y suis pour quelque chose ! >

Nous rions de bon cœur. Nous mangeons de bon appétit. Je beurre les tranches de pain grillé que me tendent les deux filles.
Nous bavardons. Estelle évoque la jardinerie, les émotions et les sensations vécues, tenue à la laisse en plein magasin. Joie.
< J'étais morte de honte. J'ai toujours la trouille de rencontrer quelqu'un qui me connaît ! C'était super ! > nous confie t-elle.
Clémentine la rassure en précisant : < Même si ça devait arriver, il suffit de dire que tu ne comprends pas de quoi on parle ! >.
< Si le mec insiste tu lui demandes de cesser sous peine d'aller te plaindre ! C'est imparable ! > fait encore Clémentine. Rire.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Clémentine entraîne Estelle au salon. C'est dimanche.
C'est le jour du ménage. Je nettoie les chiottes du bas. J'entends rire les filles. J'adore cette ambiance. Et la maison vivante.
Je passe la serpillère sur les carrelages du WC, de la cuisine et du hall d'entrée. Je sors l'aspirateur du placard mural. Silence.
Je rentre dans le salon. Estelle est assise derrière le bureau, devant l'ordinateur. Elle lit nos récits de la semaine sur le forum.
< Je m'éclate Julien. Tu oublies de raconter des trucs ! > me fait elle. Je lui rappelle que Clémentine ne tient pas à tout dire.

Je passe l'aspirateur consciencieusement. Penché en avant je glisse le tuyau sous chaque meuble. Je n'entends pas Estelle.
Elle est derrière moi. Soudain Estelle m'attrape par les couilles qu'elle serre fort. C'est presque douloureux. Je me redresse.
Estelle glisse son autre main sous mon T-shirt et dans mon slip. < Tu vas me punir ? > me fait elle avant de m'embrasser.
Je la repousse doucement en disant : < Quand Clémentine n'est pas avec nous, tu sais bien que c'est totalement interdit ! >.
< Tu vas me passer le collier et me promener à la laisse alors, pour me punir ? > me chuchote t-elle en s'agrippant. Coquine.

Estelle dans son pyjama en soie mauve, se met à genoux au milieu du salon. Sa main devant la bouche, elle mime une pipe.
Sa langue fait une bosse à l'intérieur de sa joue. Elle me fait un clin d'œil. J'agite un index menaçant. Je continue le ménage.
Je passe le chiffon sur les meubles. Estelle de retour devant l'ordinateur commente nos récits : < C'est un journal ! > dit elle.
Juste avant que je ne quitte le salon, Estelle me fait : < Hé ! >. Je regarde. Debout, elle mime une masturbation masculine.
Je monte rejoindre Clémentine qui termine de changer les draps. Je raconte l'attitude d'Estelle. < Je m'en doute ! > dit elle.

Clémentine se blottit contre moi en murmurant : < Je t'aime Julien. Avec Estelle, je ne suis pas vraiment jalouse ! >. Bises.
Je ramasse les draps sales. Nous passons à la salle de bain. Clémentine m'aide à nettoyer. Nous nous faisons plein de bises.
Nous bavardons. Clémentine me fait part de ses ressentis quand à notre expérience de hier, à la jardinerie, Estelle à la laisse.
< Je veux vivre ces émotions là moi aussi. Tu m'emmènes tenue à la laisse la semaine prochaine. On y retourne ! > fait elle.
< C'est curieux mais j'ai envie de trucs glauques. Je suis de plus en plus attirée par le vulgaire ! > rajoute encore Clémentine.

Clémentine redescends avec le grand panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. Serpillère sur les sols.
Je vais fermer les fenêtres de la chambre. Il fait très froid. Je descends rejoindre les filles qui sont assises devant l'ordinateur.
Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. Il s'agit du site de l'université. C'est le programme de la semaine prochaine.
J'écoute. C'est rapidement passionnant. Estelle nous laisse pour monter se changer. Clémentine et moi sommes déjà vêtus.
Nos jeans, nos chemises à carreaux et nos espadrilles catalanes. Clémentine se blottit contre moi. < Je t'aime ! > me fait elle.

Il est déjà onze heures trente. Estelle redescends vêtue comme nous. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Repas de midi.
Les pavés de saumon achèvent de décongeler. Je vide leurs eaux. J'épluche les patates, les carottes et les navets de la potée.
Estelle vient me rejoindre. Elle passe derrière moi. Elle passe sa main entre mes cuisses pour me palper les couilles. Vulgaire.
< Julien, je veux encore des frissons. Comme hier ! > me fait elle. Je la regarde longuement. Je la tiens fort par ses épaules.
< Je vais de découverte en découverte. Et celle de hier, à la jardinerie, me paraît déterminante ! > m'explique Estelle. Grave.

Je lui dis : < Pourtant, tu n'as pas l'âme d'une "soumise". Ce serait même plutôt le contraire ! >. Estelle s'accroupit devant moi.
Elle me fixe dans les yeux avec gravité avant de me répondre : < "Soumise", non, c'est bien vrai. Mais les humiliations, oui ! >.
Clémentine arrive. < Voilà, j'ai le dos tourné cinq minutes, et ce sont les cochonneries ! > fait elle. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle prépare les pavés de saumon en papillotes. Je termine la préparation de la potée. Bon.
Tout en nous affairant, nous bavardons. Estelle développe le concept de l'humiliation. < Moi, j'en ai besoin ! > fait Clémentine.

< Et moi je découvre ! > répond Estelle. Je mets la table. Estelle fait cuire les papillotes sur le barbecue électrique. Méthode.
La cuisson est rapide. Je coupe toujours les légumes en petits dés qui rissolent au fond de la vieille cocotte en fonte. Odeurs.
Nous sommes tous les trois dans la véranda devant le barbecue électrique. Estelle nous fait : < Vous me faites un "plan" ! >.
< Tu veux pousser les expériences ? > lui demande Clémentine. Après un court instant d'hésitation, Estelle répond : < Oui ! >
Je dis : < Tu veux te laisser guider dans cet univers particulier ? >. Elle me fixe d'un air grave. < Oui ! > fait elle simplement.

Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. La conversation reste axée sur le nouveau sujet qui préoccupe Estelle.
Elle précise : < Seulement, je n'ai pas beaucoup d'imagination. Il faudra me guider ! >. Clémentine dit : < Je m'en occupe ! >
Je rajoute : < Tu peux compter sur Clémentine, elle a de l'imagination pour trois ! >. Estelle dit : < Il en faudra beaucoup ! >.
Le repas se déroule dans cette ambiance. Nous rions souvent de bon cœur. Estelle a le profond désir de connaître l'humiliation.
Je lui rappelle que nous avons déjà beaucoup "pratiqué" depuis presque un an. < Oui ! Mais pas en extérieur ! > répond t-elle.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous montons pour nous préparer. La salle de bain.
Nous nous faisons des grimaces tout en nous lavant les dents. Estelle me montre les rougeurs autour de son cou. En riant.
< Pas de collier ni de laisse cet après-midi , "Maître" ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus. Je lui masse le cou.
Nous décidons de rester en jeans et chemises à carreaux sous nos anoraks. Clémentine nous propose de marcher. Sympa.
Il y a vingt minutes jusqu'au haras. Excellente suggestion que nous applaudissons. Nous voilà en chemin. Météo agréable.

Nous arrivons au haras pour 14 h15. Il y a beaucoup de monde. Des voitures garée le long de la route. C'est un vrai succès.
Nous croisons des groupes de gens dans la cour. Nous ne connaissons personne. Nous nous dirigeons vers le grand manège.
Le bâtiment est déjà plein de monde. Propriétaires de chevaux, familles des cavaliers. Nous montons nous installer. Gradin.
Nous voyons monsieur Gérard, le palefrenier vicelard, occupé à la préparations des chevaux qui trépignent devant la porte.
Nous apercevons Juliette avec un groupe de jeunes cavalières. Là-bas, il y a madame Walter avec des photographes. Presse.

Nous assistons une fois encore à un véritable spectacle. De la simple animation d'il y a quelques mois, cela devient un show.
Il faut admirer les capacité de Chef d'entreprise de Juliette qui s'avère une manager exemplaire. En 8 ans, c'est une réussite.
Il est dix sept heures. Nous descendons en suivant les autres spectateurs. J'entraîne Estelle qui se demande ce qui se passe.
Je la tiens fermement par la nuque. Nous passons derrière le bâtiment du manège. Même Clémentine m'observe très étonnée.
Il y a un angle précis, là-bas, dont le groupe de gens qui bavardent peut nous apercevoir. Je force Estelle à s'accroupir. Vice.

Clémentine me regarde. Rien ne l'excite davantage que lorsque j'ai ce comportement. Je tiens Estelle par ses cheveux. Fort.
Deux couples, là-bas, à une centaine de mètres, nous ont aperçu. Je mets une gifle à Estelle. Elle tente de se débattre. Fort.
Je la laisse se redresser. Je la tiens par la nuque. Nous passons ainsi devant les deux couples qui nous observent en silence.
Estelle est toute rouge de honte. Clémentine me tient par le bras. Je lâche Estelle pour traverser la cour ou il y a des groupes.
Nous croisons monsieur Gérard qui nous salue amicalement. Il tient deux chevaux. Clémentine nous propose de le suivre...

Nous rejoignons le palefrenier dans l'écurie. Là aussi il y a quelques propriétaires de chevaux qui bavardent. Nous regardons.
Près du local de monsieur Gérard, je saisi discrètement Estelle par ses cheveux. Le palefrenier sort de son local. Il est pressé.
A l'instant où il nous voit, je mets une nouvelle gifle à Estelle qui se débat pour se soustraire à mon étreinte. Elle est rouge.
Monsieur Gérard nous serre la main ! < Chaude ambiance ! > nous fait il en riant. Le palefrenier n'a pas le temps. Il s'en va.
< Put-Hein ! Tu me fous la honte partout ! > me fait Estelle avec un air de reproche. Je dis : < Tu en voulais de la honte ! >

Nous reprenons le chemin de la maison. Estelle me montre bien sa joue rougie par les deux gifles. Elle me crache au visage.
< Il faut savoir ce que tu veux ! > lui fait Clémentine lorsque nous sommes de retour. La nuit est tombée. Nous voilà au salon.
Estelle est assise à ma gauche dans le canapé. Clémentine est dans le fauteuil. < Il faut que je m'y fasse ! > me fait Estelle.
Elle rajoute : < Excuses mon attitude, mais je n'ai pas l'habitude d'être traitée ainsi en public ! >. Nous en rions de bon cœur.
Clémentine rajoute : < Tu vas très rapidement d'adapter, tu vas voir, on va s'en occuper ! >. Estelle nous regarde en souriant.

Il est 19 h. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Je réchauffe la potée. Clémentine prépare la salade. Bavardages.
Estelle s'occupe de l'assaisonnement. A plusieurs reprises je lui saisi la nuque pour lui glisser à l'oreille : < Petite salope ! >.
< Pourquoi petite ? > me répond t-elle. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Tu vas grandir ! >
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous passons à l'atelier. Les filles ont du travail. Les cours.
J'ai le temps de terminer le dessin préparatoire de la quatorzième toile destinée à ma saison d'été. Il est rapidement 21 h 50.

Tout est terminé. Nous ramenons Estelle qui n'arrête pas de nous témoigner sa reconnaissance pour ses nouvelles expériences.
La séparation est difficile. Nous restons à bavarder dans la voiture. Estelle passe devant. Assise au sol devant Clémentine. Joie.
Je lui fais sucer ma bite. Clémentine m'embrasse. Je force doucement Estelle à se redresser. Il est 22 h30. Il faut y aller. Stop.
Au retour, excitée comme une puce, Clémentine m'entraîne à toute vitesse à l'étage. Toilettes. Salle de bain. Nous voilà au lit.
Un "69" puis je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Immobiles. Confessions torrides et vicelardes. Baise. Dodo...

Bon début de semaine à toutes les coquines qui ont le profond désir de vivre de nouvelles expériences jouissives...

Julien - (Qui tente de se montrer à la hauteur des attentes d'Estelle avec l'aide de Clémentine qui en connaît un rayon) -

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Un début de semaine des plus agréables, des moins originaux mais des plus rassurants...

Hier matin, lundi, nous nous réveillons tous les deux quasiment en même temps. Tout en nous nous étirant longuement.
Nos gémissements se ponctuent par le même cri : < Bonjour ! >. Nous rions de bon cœur. Les papouilles et la tendresse.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nous y accomplissons nos rituels.
Dès la fin des pissous, morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Pour le petit déjeuner. Il est 6 h.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous mangeons de bon appétit et dans cette délicieuse odeur de pain grillé.

Nous bavardons. Nous faisons le bilan de ce Week-End aux évènements curieux. Le programme de la journée qui vient.
Le thermomètre extérieur indique 2°. Tout est sec. Il fait nuit noire. Nous remontons pour nous offrir notre entraînement.
Une heure de gymnastique avec une intensité maximale. Pour tenter de remplacer ces joggings qui nous manquent tant.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le jour s"est levé.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre à toute vitesse.

Je monte faire la chambre. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de ma quatorzième toile. Joie.
Je peins dans cet enthousiasme délirant qui m'entraîne hors du temps et des réalités prosaïques de l'existence humaine.
Il est dix heures lorsque le téléphone m'averti de l'arrivée d'un texto. Je peste. Je rage. Je m'en saisi fébrilement. Qui ?
C'est Estelle qui me témoigne de son ressenti quand à son Week-End avec nous. De ses découvertes. Elle veut refaire...

Je réponds rapidement. Un simple "Ok". Je retourne à mon abstraction créative en oubliant rapidement le message en sms.
Il est midi. Animé par la faim, je me rends à la cuisine. Je prépare des pommes de terre farcies aux champignons et thon.
J'en fais six. Ainsi, pour ce soir, accompagnées de haricots verts, il n'y aura qu'à réchauffer. Je me lave une grosse scarole.
J'écoute la chronique de Guy Carlier en riant avant d'éteindre la radio. Les patates sont au four. Thermostat sur 8, à 400°.
Pendant la cuisson, je vais au salon. Assis au bureau, devant l'ordinateur, j'écris des paragraphes de ce nouveau récit. Joie.

J'écris toujours mes textes en plusieurs étapes. Ce n'est que le lendemain que je poste la version que découvre le lecteur.
La sonnerie du four. Je me précipite à la cuisine. Les patates farcies aux champignons, au thon et à la crème sont un régal.
Surtout que je fais préalablement revenir le thon au beurre salé dans la poêle. Je mange de bon appétit. La vaisselle. Vite.
Il est 13 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Rapidement je suis plongé dans l'abstraction créative. La peinture.
Du bruit. Il est 16 h55. Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier. Elle se précipite pour m'embrasser. < Je t'aime ! >.

Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. J'écoute les amusantes anecdotes en savourant chacune d'entre elles.
Je me souviens du message reçu d'Estelle ce matin. J'invite Clémentine à le découvrir à son tour. < Moi aussi ! > dit elle.
Ma compagne a également reçu le même message. Les deux filles ont échangé au téléphone à midi. Clémentine me raconte.
J'écoute silencieusement. Clémentine conclue en me demandant : < Tu penses comme moi ? >. Je cherche les bons mots.
Je fini par répondre : < Ne continuons pas dans cette voie. Ce n'est pas dans notre nature. Restons en à nos habitudes ! >.

Clémentine, assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, met au propre les notes prises durant les cours.
Nous apprécions ces longs silences de concentrations. Seuls les crépitements du feu résonnent dans l'atelier. La nuit tombe.
Soudain, derrière moi, Clémentine me fait : < J'ai conseillé la même attitude de prudence à Estelle. Préservons nous bien ! >.
Je dis : < Je pense que c'est la sagesse que d'en rester à cette expérience de samedi après-midi. Et n'allons pas plus loin ! >
Ma compagne partage pleinement cet avis. Si nous créons des situations particulières avec Estelle ce sera à la maison. Bien.

< Par contre, avec moi, si tu pouvais monter d'un cran, parfois, ce serait vraiment un plaisir. Que du bonheur ! > me dit elle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine revient s'assoir sur mes genoux en rajoutant : < J'ai fini. Tout est au propre ! >.
Il est presque dix neuf heures. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Nous rangeons nos affaires. Et la faim se fait ressentir.
Nous nous précipitons à la cuisine. < Miam ! > s'écrie Clémentine, découvrant la surprise du repas de ce soir. J'adore la voir.
Elle s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà prête. Je mets la table. Je sors les patates farcies du four. Odeur du soir.

Nous mangeons de bon appétit. Nous reprenons notre conversation quant à notre relation à trois. C'est vraiment particulier.
Estelle et Clémentine sont complètement hétérosexuelles. L'idée même d'une éventuelle expérience homosexuelle les révulse.
Nous en avons déjà évoqué la possibilité. Ce n'est même pas concevable. C'est un paramètre établi une fois pour toute. Rien.
Par contre, de se retrouver tous les trois, dans cette intimité que nous avons créé, nous apporte les plus grandes satisfactions.
Personnellement, Clémentine et moi, nous donnons avant tout priorité à nos sentiments, à notre relation. C'est une évidence.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me livre quelques conclusions quand à nous trois.
< Tu sais, un jour elle finira par se trouver un mec, à tomber amoureuse. Nous resterons tous les deux ! > murmure t-elle.
Dans son profond soupir, je devine le sentiment qui anime ma compagne. Nous sommes tous deux conscient de la fatalité.
Elle rajoute : < Et puis nous avons tous les deux tant de choses à vivre, tant d'aventures qui nous attendent encore ! >. Joie.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Clémentine se blottit contre moi. Je l'entraîne au salon.

< Moi par contre, j'ai besoin que tu m'entraînes sur ce terrain très particulier. J'ai besoin d'un "Maître" ! > fait Clémentine.
Je la rassure. Je lui dis : < Tu as vu les progrès que je fais ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine fait : < Oui, super ! >
Nous sommes tous les deux assis derrière le bureau, devant l'ordinateur à rédiger ce texte que je posterais demain matin.
Je me lève. Je saisi Clémentine par ses cheveux attachés en queue. Je l'entraîne sans ménagement jusqu'au canapé. Silence.
Je lui ouvre son jean. Elle l'enlève en même temps que sa culotte. Je dépose l'épais coussin au sol. Je la fais s'assoir. Soupir.

Je me mets à genoux entre ses jambes. < Je suis devenue une vraie droguée de "ça" ! > me fait Clémentine en s'installant.
J'avance mon visage entre ses cuisses largement écartées. Je hume longuement les parfums suaves de sa journée de fille.
Les odeurs où se mêlent toutes les effluves les plus enivrantes. J'ai des vertiges. Clémentine m'observe retenant son souffle.
J'avance encore mon visage. Les poils me chatouillent le nez, les joues et le menton. Clémentine pousse un premier soupir.
Je lèche les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Il y a ce goût vinaigré, légèrement piquant et un peu acidulé.

Je récupère les miasmes fondants qui se diluent dans ma bouche. Je retire ma chemise pour anticiper ce qui va arriver. Pisse.
Je nettoie consciencieusement le sexe de ma compagne qui pousse des gémissements de plus en plus appuyés. C'est un régal.
Je monte sur le clitoris géant de Clémentine. Je le décalotte avec mes lèvres. Elle a un spasme. Les premiers frissons. Soupirs.
Là aussi, il y a des petites choses fondantes et non identifiables. Un goût rappelant du fromage. Clémentine pousse un petit cri.
< Attention ! > s'écrie t-elle soudain. Je me fais pisser au visage. Elle me repousse doucement. Nous évitons l'orgasme de peu.

Clémentine adore le contact froid du cuir du canapé. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.
Nous restons parfaitement immobiles, comme nous aimons le faire. Nous nous fixons. Je reste en appui sur mes bras. Silence.
Ce sont toujours des moments d'une grande intensité. Presque solennels. J'évite de peser de tout mon poids sur ma compagne.
Rapprochant sa bouche de mon oreille, Clémentine me fait alors les plus étonnantes révélations. J'écoute. Je suis émerveillé.
Je découvre ses confessions avec toute l'attention possible. C'est tellement descriptif et imagé que je peux me faire un vrai film.

Parfois, doucement, nous nous mettons à nous bercer pour cesser dès que la situation risque de devenir critique. Nous adorons.
Clémentine me confie les choses les plus surprenantes. Je lui murmure des détails qui l'excitent toujours davantage. Merveilleux.
C'est elle qui évoque les écuries. Je lui fais un film. Je lui décris des scènes où elle serait livrée au palefrenier et tirée à la laisse.
Attachée, tourmentée, tripotée, humiliée par ce type vulgaire, vicelard. Bien sûr, avec de telles histoires, la tension monte. Bien.
Je dégouline encore de gouttelettes de pisse qui ruissellent sur le visage de Clémentine qui accélère le rythme. Il faut faire gaffe.

< J'ai besoin que tu me traite comme ça ! Comme tu le fais pour me parler du palefrenier ! S'il te plaît ! > me fait Clémentine.
Le ton est presque suppliant. Je sais les attentes de Clémentine. Je lui promets de lui réserver quelques étonnantes surprises.
Clémentine est agitée de frissons. Je sens les tremblements de ses cuisses tout contre moi. Elle passe ses jambes autour de moi.
Il faut être prudent. Je propose à Clémentine de nous garder pour le lit. Il est déjà 22 h15. Nous cessons. Dégoulinants. Pisse.
Les toilettes. La salle de bain. Le sèche cheveux. Les grimaces devant le miroir. Nous faisons les clowns. Nous sommes heureux.

Au lit, nous nous offrons ce "69" qui nous permet de savourer nos jus. La cyprine coule, trempant le sexe de Clémentine. Bien.
Nous nous régalons de nos mouilles comme des bienheureux. Je reviens dans Clémentine qui recommence ses révélations. Joie.
Cette fois, il faut faire très attention. Clémentine raffole de se faire éjaculer dans la bouche. Il m'est interdit de le faire en elle.
C'est une règle que nous observons le plus souvent. J'offre d'abord un cunnilingus délirant à ma compagne qui hurle de plaisir.
Son orgasme fait bouger tout le lit. La fellation qu'elle me prodigue est indescriptible. Elle bouffe en gémissant. J'éjacule. Dodo...

Bonne soirée de révélations à toutes les coquines qui aiment confesser leurs désirs les plus secrets, une bitte dans la chatte...

Julien - (Qui va consacrer ses séances de peinture à échafauder les scénarios les plus vicelards pour étonner Clémentine) -

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Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 319 -



C'est mardi, Clémentine rentre à midi. Estelle vient en soirée...

Hier matin, mardi, j'ouvre l'œil le premier, juste avant que ne résonne la musique de notre cube réveil. Il est déjà six heures.
Sur ma gauche, Clémentine s'étire en gémissant longuement. Dans un cri, elle me fait : < Bonjour Julien ! >. Elle se serre.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de répondre avant qu'elle ne me chevauche en riant. Douceur, tendresse, papouilles.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Dès notre rituel pisseux terminé, nous descendons à la cuisine. Faim.
Le thermomètre extérieur indique 2°. Dehors il fait nuit noire. Tout semble sec. Je presse les oranges. Clémentine fait le café.

Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Comme tous les mardis, Clémentine rentrera pour midi. Elle est contente.
Nous mangeons de bon appétit. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos. Gymnastique.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le jour fini de se lever.
Il est 7 h45. Des bises. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre très vite.
Je monte faire la chambre. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Super.

Il est 8 h15. Me voilà enfin installé devant mon chevalet. Immédiatement je peins dans une allégresse glorieuse. Grandiose.
Je pousse les plus invraisemblables cris les plus surréalistes à chaque trait de pinceau plus sublime que l'autre. C'est fameux.
Je remporte une nouvelle victoire tous les quart d'heure. Dans un véritable concerto de grognements, de mugissements fous.
Il est rapidement midi. Une fois encore, je n'ai pas vu passer le temps. Je vais à la cuisine. Je prépare une belle pâte à pain.
Clémentine arrive. < Bonjour mon amour ! > fait elle en se précipitant dans mes bras. Je la soulève. Nous restons ainsi. Joie.

Comme tous les mardi soir, ce sera le rituel de la tarte aux poireaux. Aussi, je prépare déjà le nécessaire. Je fais le poireau.
Je prépare une Béchamel. Clémentine s'occupe de la salade. Pour midi nous nous contenterons de riz avec de la Béchamel.
Tout va très vite. Clémentine me raconte sa matinée. Quelques amusantes anecdotes concernant les profs et les étudiants.
Nous mangeons de bon appétit. Dehors, le temps reste gris. Le thermomètre extérieur indique 14°. C'est plutôt agréable.
< Toi, tu as pensé à nos résolutions de hier en ce qui concerne notre attitude envers Estelle ? > me demande Clémentine...

Je reste silencieux. J'avoue ne pas y avoir pensé vraiment. Je préfère me concentrer sur les demandes de Clémentine. Bien.
Je lui confie mes préoccupations en précisant : < C'est à toi, à tes demandes et à leurs réalisations que je pense. Mieux ! >
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait : < Reserve moi quelques surprises ! >
Je lui promets de préparer des trucs qui ne manqueront pas de l'étonner. Nous rions de bon cœur. C'est vrai que j'y pense.
Je dis : < Tu as beaucoup de boulot cet après-midi ? >. Clémentine me fait : < Juste deux petites heures, et c'est tout ! >

Je fais : < Nous allons donc faire un tour au haras avant d'aller chercher Estelle. Les écuries. Je vais m'occuper de ton cas ! >
Clémentine se serre contre moi en gloussant. J'aime la voir heureuse. La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Rangement.
Nous passons à l'atelier. Il est 13 h30. Clémentine est assise à la table, entourée de ses affaires devant l'écran de l'ordinateur.
Elle met au propre ses notes de la matinée. Je suis assis devant mon chevalet. Cette alternance de silence que nous aimons.
Il y a bien mes cris et les rires de Clémentine mais cela reste séquentiel. < Fini ! > s'écrie soudain Clémentine me rejoignant.

Assise sur mes genoux, regardant l'avancée de ma quatorzième toile, ma compagne fait : < C'est génial avec un peintre ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle fait : < On assiste à des choses étonnantes, on entend des choses étonnantes ! >
Je cesse mon travail. J'entretiens ma confortable avance. Tout cela est rassurant pour la saison à venir. Il faut trente toiles.
J'entraîne Clémentine au bureau. Je la fais mettre à genoux sur l'épais coussin que je pose au sol au milieu de la pièce. Joie.
Clémentine retient son souffle. Je devine sa joie. Rien ne l'enchante autant que mes initiatives et un comportement ambigu.

Je vais chercher le collier canin et la laisse dans le tiroir du bas du bureau. Je reviens. Je passe le collier au cou de Clémentine.
Elle me fixe d'un regard suppliant. Les lèvres pincées elle a du mal à dissimuler la joie qui l'étreint et qui la fait sourire. Super.
Je fixe le mousqueton de la laisse à l'anneau du collier. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je le lui passe sur le visage.
Clémentine me suce en gloussant de bonheur. Je me retire. J'ordonne : < Debout ! >. Ma compagne se redresse. Je tire fort.
La tenant par la laisse je l'entraîne dans le hall. Nous enfilons nos anoraks. Nous prenons la petite auto de Clémentine. 16 h30.

Il y a trois kilomètres jusqu'au haras. Je roule doucement. Clémentine me suce consciencieusement dans un profond silence.
Je gare la voiture dans la cour. Il y a d'autres autos. Deux jeunes cavalières qui reviennent sans doute de leur promenade.
Nous restons très discrets. J'entraîne Clémentine dans la première écurie. Nous entendons des voix. il y a deux silhouettes.
Nos yeux s'habituent à la faible luminosité. C'est madame Walter et un homme qui tient du matériel médical. Un vétérinaire.
Madame Walter nous salue un peu étonnée de nous voir. Nous caressons quelques chevaux qui nous regardent dans leur box.

J'ouvre l'anorak à Clémentine pour saisir la laisse qui pend du collier. Je la tiens au plus court. Nous nous baladons un peu.
Madame Walter, n'en croyant pas ses yeux, nous observe à la dérobée, comme hallucinée. Nous restons à distance. Discrets.
Le vétérinaire, assis sur un tabouret, semble soigner un cheval qui se laisse faire sans broncher. Il découvre notre spectacle.
C'est fugace. Nous disparaissons au bout de l'allée. Juste au moment où monsieur Gérard, le palefrenier arrive depuis dehors.
Il tient une caisse. Lorsqu'il nous voit son visage s'illumine. Il nous découvre ainsi. Je tiens Clémentine à la laisse. Surréaliste.

< Bonsoir ! Comment va ! > fait le palefrenier. Il nous explique la raison de la visite du vétérinaire. Un cheval qui s'est blessé.
< Il arrive qu'ils s'égratignent contre des fourrés lors de leurs balades. Le cavalier ne s'en rend pas forcément compte ! > dit il.
Je tiens Clémentine. Elle s'accroupit sur ma droite. Sa tête posée contre ma hanche, elle me tient par la cuisse tout en écoutant.
Je suis très gêné par cette attitude. Je n'en laisse rien paraître puisque cela doit répondre aux attentes de ma compagne. Bien.
Evidemment, avec ma présence, monsieur Gérard n'a aucune attitude ambiguë. Il ne semble pas troublé mais plutôt amusé...

Il s'affaire. Madame Walter vient le rejoindre. Monsieur Gérard lui tend un pot. Ils bavardent. Madame Walter nous regarde.
Elle me fixe d'un curieux regard pendant que le palefrenier est occupé à sortir d'autres objets du carton. C'est très troublant.
Clémentine ne bouge pas. Ce qui rajoute encore à l'intensité de la situation. Seul monsieur Gérard semble tout à fait naturel.
Ils s'éloignent tous deux. Je me penche. Une bise sur le front de Clémentine qui me regarde pleine de reconnaissance. Vice.
Je fixe la laisse à un anneau du pilier vertical. J'ordonne : < Tu restes accroupie là ! >. Je m'éloigne pour me mettre au coin.

Je caresse un cheval. Monsieur Gérard revient seul. Il découvre Clémentine accroupie contre la cloison, accrochée à la laisse.
< Il t'a laissé là ? Il est où Julien ? > fait le palefrenier. Je suis juste derrière l'angle de l'allée qui mène vers la porte de sortie.
Je me penche pour regarder. Clémentine est rouge de honte. Elle baisse les yeux. Le palefrenier me tourne le dos. Il se touche.
Je l'entends murmurer : < Ah, si tu étais toute seule là, je te ferais bien ta fête. Reviens donc toute seule un de ces soirs ! >.
Je ne vois pas madame Walter qui arrive derrière moi. Elle me voit entrain de faire le voyeur. Elle chuchote : < Vicelard ! >...

Je me retourne. La jeune femme a un curieux regard. Presque sévère. Elle se penche pour regarder ce qui se passe à côté.
Je lui chuchote : < C'est génial, non ? >. Elle me regarde du même regard avant de chuchoter : < T'es un sacré salaud toi ! >
Je réponds : < Tu es une sacrée salope dans ton genre ! > avant de me laisser, madame Walter me fait : < Bien vu ! >.
Monsieur Gérard et madame Walter sont au travail. Ils n'ont pas de temps pour la gaudriole. Je reviens à mon tour. Silence.
Avant de quitter l'allée, marchant derrière monsieur Gérard, madame Walter a un curieux regard de mépris sur Clémentine.

Je décroche la laisse. Clémentine est en sueur. Tellement émue par ce qu'elle vient de vivre, elle garde les yeux baissés.
Je l'entraîne vers la sortie. Nous passons devant monsieur Gérard et madame Walter, occupés à observer le vétérinaire.
Nous les saluons. Avant de sortir je referme l'anorak de Clémentine pour dissimuler la laisse. Nous ne croisons personne.
Dans la voiture Clémentine saisi ma main pour me dire : < Tu sens comme je tremble. J'étais morte de honte. Génial ! >
Je la saisi par la laisse pour la forcer à se pencher vers ma braguette. Madame Walter sort des écuries. Elle comprend !

Je roule doucement. J'appui le visage de Clémentine contre ma braguette. Je fais un coucou de la main à madame Walter.
Elle me fait le même signe amical. Curieuse femme dont l'attitude m'interroge depuis que je la connais. Je quitte le haras.
Nous roulons doucement. Clémentine reste étrangement silencieuse. Mon téléphone sonne. C'est Estelle. Il est déjà 18 h.
Nous passons la récupérer dans l'arrêt de bus habituel où elle nous attend. Estelle est toute contente de nous revoir. Bises.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte sa journée. Elle découvre le collier canin et la laisse. Rire.

Nous arrivons à la maison. Nous passons au salon. Pendant que Clémentine raconte nos aventures, j'écris ce texte. Joie.
J'entends Estelle poser tout un tas de questions. Clémentine évoque ses émotions, les attitudes du palefrenier. C'est fort.
Je raconte les attitudes de madame Walter qui a mâté avec moi. < Celle-là, c'est la vraie salope de la bande ! > fait Estelle.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute encore : < Excitée comme elle l'était, elle a peut-être sucé Gérard peu après ! >
Clémentine rajoute : < Ce ne serait pas étonnant ! Put-Hein ce que j'ai vécu ce soir est une expérience folle. Merci Julien ! >

Morts de faim, nous passons à la cuisine pour préparer notre repas du soir. Estelle doit rattraper ses cours. Être sérieuse.
Nous concoctons notre Flamiche Picarde du mardi soir. Cette délicieuse tarte aux poireaux qui nous régale. Un vrai bonheur.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous allons à l'atelier.
Il est rapidement 22 h15. Nous ramenons Estelle. Au retour, Clémentine prend ma main pour la mettre dans sa culotte. Rire.
C'est trempé ! Une fois au lit, je me régale d'un cunnilingus délirant. Orgasme fou. La fellation de Clémentine est folle. Dodo.

Bonne visite dans vos écuries préférées à toutes les coquines qui aiment être tirées à la laisse devant le palefrenier...

Julien - (Qui s'est surpassé pour étonner et surprendre Clémentine qui lui en est infiniment reconnaissante) -

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Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 320 -



Dans la confortable quiétude de nos douces habitudes...

Hier matin, mercredi, j'ouvre l'œil le premier. J'éteins le cube réveil afin d'éviter qu'il ne fonctionne. Il est à peine 5 h55.
Sur ma gauche, avertie par son sixième sens infaillible, Clémentine ne tarde pas à se réveiller en s'étirant longuement.
Dans le cri qui ponctue son bâillement elle s'écrie : < Bonjour Julien ! > avant de me chevaucher en riant. Les papouilles.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire alors qu'elle m'entraîne déjà par la main jusqu'aux toilettes. Les pissous.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Joie.

Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le bilan de hier après-midi. Notre aventure au haras, le palefrenier. Emotions.
< J'en suis encore couverte de frissons rien qu'à y penser ! > me confie Clémentine. Je comprends parfaitement le ressenti.
Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. Une heure avec intensité maximale. Le second plaisir de la journée.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait plutôt froid.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin puis je rentre à toute vitesse.

Je monte faire la chambre. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. 8 h15.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins avec un enthousiasme délirant. Je savoure cet instant dans toute sa force.
Cette quatorzième toile, une nature morte, me procure les plus sublimes émotions. J'en pousse les cris les plus surréalistes.
Je suis absorbé dans l'abstraction de mon travail lorsque j'entends trois coups de sonnette. Je peste, je rage. Mais qui ose ?
Je me lève pour aller voir. J'ouvre la porte. Madame Walter. Son cheval est attaché au lampadaire du jardin. Je suis étonné.

< Bonjour Julien. Je passais. Je viens vous présenter mes excuses pour mes propos de hier, aux écuries ! > me fait la dame.
Je suis un peu confus. Je dis : < Mais, il n'y a aucun souci. Bien au contraire, cela fait partie du jeu, non ? >. Il y a un silence.
Je propose à madame Walter d'entrer un instant. La jeune femme décline mon offre. Elle a encore trois chevaux à sortir. Bien.
Rapidement elle dévale les escaliers du perron pour remonter sur son cheval. Un dernier signe de la main et je m'en retourne.
Je ne pense déjà plus à cette curieuse visite. Madame Walter a toujours eu un comportement atypique. Je peins dans la joie...

Il est midi. Mon horloge biologique est infaillible. Poussé par la faim, je vais à la cuisine. Je prépare des aubergines farcies.
J'en fais six. Ainsi, pour ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer. Accompagnées de millet doré, ces aubergines seront un vrai régal.
Farcies aux champignons et au pâté de lentilles elles seront la surprise gastronomique de la soirée. Je lave une belle salade.
J'écoute la chronique de Guy Carlier en riant avant d'éteindre la radio. Pendant la cuisson, je vais rédiger mon récit au salon.
C'est la sonnerie du four qui me sort de l'écriture de ce texte que le lecteur découvre le lendemain. Je mange de bon appétit.

Il est 13 h15 lorsque je suis enfin à nouveau assis devant mon chevalet. Je me dis : < Qui va m'emmerder cet après-midi ! >
Cette idée me fait sourire. Je pense à la silhouette athlétique de madame Walter dans sa tenue d'équitation. Elle est superbe.
Du bruit. Il est 16 h55. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac dans le canapé pour se précipiter vers moi. Heureuse.
< Bonsoir mon amour ! Enfin avec toi ! > me fait elle comme si ne nous étions pas vu depuis plusieurs jours. Je le lui dis. Rire.
Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. < Je n'ai pas arrêté de penser à hier, aux écuries ! > me fait elle.

Nous rions de bon cœur lorsque je lui dis : < Tout à l'heure, après le repas, j'irai vérifier l'état du fond de ta culotte ! >. Rire.
< Oh ! Tout de suite ! > me répond ma compagne en se serrant contre moi, ses bras autour de mon cou. Ce n'est pas sérieux.
Je lui propose d'assurer son travail avant tout. < Tu es raisonnable et plein de sagesse ! > me fait Clémentine en se relevant.
Assise à la table, entourée de ses affaires, devant l'ordinateur, Clémentine met ses notes de la journée au propre. Du boulot.
Je lui raconte la visite de madame Walter, ce matin. < Elle est restée correcte ? > me demande Clémentine. Je lui explique...

< Terminé ! > s'écrie soudain Clémentine derrière moi. Je regarde l'horloge. Il est presque 19 h. Nous sommes morts de faim.
Nous nous précipitons à la cuisine. < Miam ! > fait ma compagne en découvrant la surprise. La salade est déjà lavée. Super !
Tout va donc très vite. Pendant que les aubergines réchauffent au four, nous retournons au salon pour l'écriture de notre récit.
Demain le matin, il n'y aura qu'à le poster sur le forum. la sonnerie du four résonne. L'odeur embaume jusqu'ici. Merveille.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me confie ses impressions quand à madame Walter. J'écoute.

Les déductions et les hypothèses de ma compagne se vérifient le plus souvent. Je découvre émerveillé sa vision des choses.
< On va lui réserver une petite surprise ! Tu as toujours son numéro de téléphone ? > me demande Clémentine. Enregistré.
Je confirme. < Tu fais un texto pour lui témoigner du plaisir de son passage ce matin ! Vas y ! > me fait Clémentine. Bien.
Elle se lève pour saisir mon téléphone sur le buffet. elle me le tend. Je fais le texto. < On va attendre la suite ! > me fait elle.
Je ne comprends pas toujours les stratégies de ma compagne. Mais lorsque les effets s'en font ressentir, c'est toujours super.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Clémentine retire ses habits.
Elle ne garde que sa chemise à carreaux. En chaussettes elle sautille en faisant le clown. J'adore la voir me faire rire ainsi.
D'un naturel optimiste et toujours de bonne humeur, Clémentine est une jeune fille si heureuse. 20 ans et sa joie de vivre.
< Tu as promis de vérifier là ! > me fait elle en me montrant sa touffe dense et noire. Je suis vautré dans le canapé à rire.
Je me lève pour l'attraper et la faire basculer dans le canapé. Je pose l'épais coussin au sol, entre ses jambes. Des bisous.

Soudain, mon téléphone resté à la cuisine nous averti de l'arrivée d'un message. < Madame Walter ! > s'écrie ma compagne.
Elle se lève pour se précipiter à la cuisine. Elle revient en disant : < Gagné ! C'est elle ! >. Nous consultons le long message.
Madame Walter me témoigne de son grand plaisir de m'avoir revu. Elle prétend passer souvent à proximité de la propriété.
Son message se conclue par cette révélation. Elle n'a pas le courage de me visiter, la peur de déranger. Mais elle en à l'envie.
< J'en étais sûre ! Elle se révèle ! Elle mâtait mon collier canin aux écuries, tu as remarqué ? > me fait Clémentine. Silence.

J'avoue ne pas y avoir fait attention. Clémentine voit toujours tout. L'acuité féminine et sa faculté de tout assimiler très vite.
Je lui dis : < Je ne suis qu'un homme, je ne peux pas me rendre compte de tout comme toi ! > nous rions de bon cœur. Joie.
Clémentine est vautrée dans le canapé. Je suis à genoux sur le coussin. Je hume les odeurs fortes de sa journée de fille. Bon.
Je m'enivre des effluves parfumées qui exhalent du sexe de Clémentine. Je reste un moment à apprécier en reniflant. Super.
Ses pensées du jour, les écuries, ont laissé là de quoi se régaler. J'avance mon visage dans la touffe dense et profonde. Bien.

Les poils me chatouillent le bout du nez, les joues et le menton. Je lèche les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe.
< Mon "dindon" ! > comme elle aime à appeler ses lèvres en les allongeant d'une façon incroyable. Souvent, à la salle de bain.
Je me régale. Ses pensées du jour, les écuries, ont laissé là un goût prononcé. Des saveurs vinaigrées, acidulées et piquantes.
Il y a d'indéfinissables petites choses qui fondent dans ma bouche. Clémentine me tient par les oreilles en gémissant. Plaisir...
Je reste longuement à récupérer les coulures de cyprine qui dégoulinent jusque dans la raie culière. C'est une vraie dégustation.

Clémentine est vautrée. Elle a relevé ses jambes largement écartées qu'elle tient sous ses genoux pour m'offrir son croupion.
J'ai là mon second repas du soir que je savoure en bandant comme le dernier des salauds. Clémentine me chuchote des trucs.
Il est question des écuries, de madame Walter, du palefrenier, du collier canin, de la laisse et des émotions que tout cela induit.
J'écoute en bouffant. Clémentine gémit de plus en plus fort. J'ai très bien nettoyé son sexe. J'ai le menton et les joues trempés.
Je m'occupe à présent de son clitoris géant. Les frissons qui parcourent son corps m'avertissent. L'orgasme n'est pas très loin...

Pour l'éviter, Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Joie.
Nous adorons rester sans bouger. Je reste en appui sur mes mains pour éviter de peser de tout mon poids sur Clémentine...
Approchant son visage du mien, je lui glisse le coussin sous la nuque. < Je t'aime Julien, si tu savais ! > me chuchote t-elle.
Je lui couvre le visage de bisous. Elle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Nous sommes tous deux dans l'irréel divin.
Clémentine me chuchote des douceurs à lesquelles se mêlent les plus extraordinaires révélations. C'est souvent fantasmatique.

Excités par ces instants, nous nous mettons à nous bercer doucement. Nous cessons rapidement pour garder tout le contrôle.
Cette façon de mener nos sensations nous permet de monter encore d'un cran. Clémentine me révèle des choses sublimes...
Je lui murmure des détails qui viennent étayer le film qu'elle développe en chuchotant. Nous sommes des cérébraux. Superbe.
Rien ne nous excite davantage que de maîtriser et de contrôler chacun de ces instants de plaisir. C'est intense. Très jouissif.
< Je vais te sucer, Julien, comme jamais ! J'ai envie de piper, si tu savais. Tu me rends folle ! > me murmure Clémentine.

Ces situations, hautement exaltantes, maintiennent mon érection bien au delà de ce que ne le ferait une simple baise. Joie.
J'ai toujours bandé d'une façon compulsive mais depuis Clémentine c'est devenu un véritable phénomène. Un cas "médical".
Nous en rigolons souvent comme des bossus. Je propose à Clémentine de monter. Elle se serre fort contre moi. Le bonheur.
Ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de mes reins, Clémentine ne touche plus le cuir froid du canapé. Suspendue !
Je peux la sentir remuer ses hanches afin de trouver le meilleur angle. Elle cherche la sensation ultime en se concentrant...

Il faut cesser sous peine d'orgasme que Clémentine aime à repousser jusqu'aux extrêmes. Des extrêmes qui ne sont pas loin.
Je me retire avec d'infinies précautions. Clémentine est si étroite malgré nos sexes trempés. De vraies ventouses gluantes.
Nous montons à toute vitesse. Toilettes. Nous nous régalons de nos derniers épanchements de pisse. Salle de bain. Les dents.
Au lit, nous nous offrons un "69" hautement juteux. Le cunnilingus que je prodigue à Clémentine la terrasse d'un orgasme fou.
La fellation qu'elle me prodigue me terrasse d'un orgasme délirant. Nous nous serrons. Nous chuchotons des douceurs. Dodo.

Bonne soirée de broutage, de pompage, de baise contrôlées et de révélations sex-traordinaires à toutes les coquines...

Julien - (Qui écoute avec la bouche pleine, les gémissement ravis de Clémentine avant de s'y introduire avec précautions) -

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Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 321 -



Un jeudi soir sans Estelle ne serait pas un jeudi soir "normal"...

Hier matin, jeudi, nous ouvrons l'œil quasiment en même temps pour nous étirer longuement avec de longs gémissements.
C'est en riant, dans un cri, que nous nous faisons : < Bonjour ! >. Nous rions de bon cœur en nous serrant l'un contre l'autre.
Clémentine me chevauche pour me faire plein de bisous. Douceur, tendresse et papouilles. Elle m'entraîne jusqu'aux toilettes.
Dès la fin de nos rituels pisseux terminés, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour y préparer le petit déjeuner.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous mangeons de bon appétit dans la délicieuse odeur de pain grillé. Un régal.

Nous bavardons en faisant le bilan de la journée passée. Nous devions manger chez Juliette mercredi. C'est remis à ce soir.
Nous nous réjouissons. Nous emmènerons le dessert. Nous irons tous les trois avec Estelle que nous chercherons pour 18 h.
Nous remontons pour nous offrir cette heure d'entraînement destinée à remplacer nos joggings qui nous manquent beaucoup.
Le thermomètre extérieur indique 2°. Tout est bien sec. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine.
Elle me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Le jour vient de se lever. Des bises. < Vivement ce soir ! > fait Clémentine.

Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je monte faire la chambre. Le lit.
Je redescends pour faire la vaisselle. Je passe dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. 8 h15.
Je suis enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme délirant. Ma passion m'entraîne dans un vrai tourbillon.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine pour me préparer mon repas. Je fais éclater du riz complet à sec. Je remue en "8".
Je me concocte une sauce au Roquefort. Je ris en écoutant la chronique de Guy Carlier avant d'éteindre la radio. Une salade...

Je mange de bon appétit. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Je vais au salon pour rédiger la première partie ce récit. Ordi.
Il est 13 h15. Je suis à nouveau assis devant mon chevalet à peindre dans une allégresse glorieuse. Les plaisirs se succèdent.
Je peins en remportant une nouvelle victoire quart d'heure après quart d'heure. Je cri à chaque coup de pinceau sublime. Fou.
Du bruit. Il est 16 h50. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. < Bonsoir Julien ! > s'écrie t-elle contente.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. J'écoute amusé les anecdotes. C'est mon lien avec le monde extérieur...

Clémentine est installée à la table et devant l'ordinateur. Entourée de ses affaires, elle met au propre les notes de ses cours.
Nous apprécions d'être ainsi concentrés. Nous n'entendons que le crépitement du feu. Nos souffles et nos respirations. Super.
Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un message. Clémentine se précipite. C'est Estelle. Il est 17 h50. Nous nous préparons.
Nous prenons la voiture de Clémentine. Nous récupérons Estelle dans l'arrêt de bus habituel, à cent mètres de chez elle. Bien.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée. Nous voilà de retour. Les filles ont du boulot.

Clémentine explique les cours du jour à Estelle. Ma compagne lui met toujours le résumé sur une clef USB. C'est bien pratique.
Estelle termine son stage en entreprise vendredi. Clémentine commence le sien lundi. Et c'est Estelle qui s'occupera des cours.
< Terminé ! > s'écrie Estelle derrière moi. Je regarde l'horloge. Il est presque dix neuf heures. Estelle vient me rejoindre. Joie.
Assise sur mes genoux elle me fait : < On va aux écuries avant d'aller chez Juliette ? >. Clémentine vient s'assoir à son tour.
Elle dit : < Mais tu lis dans mes pensées ! >. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine nous entraîne tous les trois.

Ma compagne passe au salon. Estelle me palpe la braguette dans le hall d'entrée. Elle se serre contre moi. Elle m'embrasse.
Clémentine revient. < Voilà ! J'ai le dos tourné cinq minutes et c'est l'orgie ! > fait elle en me tendant le collier canin. Rires.
Je le lui passe autour du cou. Je fixe la laisse par son mousqueton à l'anneau du collier. < C'est moi qui tiens ! > dit Estelle.
Nous mettons nos anoraks. Je récupère la tarte aux noix qui a décongelé. Nous prenons la petite auto de Clémentine. 3 km.
Il fait nuit. La fraîcheur du soir. Nous arrivons au haras. Il est 19 h20. Estelle, assise à l'arrière, tient Clémentine à la laisse.

Estelle est toute fébrile. Encore plus impatiente que Clémentine. Il y a des voitures garées dans la cour déserte. Personne.
Estelle tient Clémentine au plus court par sa laisse. Je regarde ces deux jeunes filles de 20 ans qui s'apprêtent à s'éclater.
Nous traversons la cour. Nous entrons dans l'écurie. L'endroit est désert. Par contre les lumières sont allumées. Le silence.
Je vais directement dans le box à côté du petit local de monsieur Gérard, le palefrenier. Il y a le cheval. Il regarde étonné.
Je regarde par le trou dans la cloison. Monsieur Gérard est là. Les filles caressent les chevaux tout en parlant à haute voix.

Le cheval me pousse de sa tête par petits coups dans le dos. Je dérange sa quiétude. Je le caresse pour le rassurer. Il joue.
Je regarde discrètement par la porte du haut ouverte. Estelle tient Clémentine par la laisse. Le spectacle est surréaliste. Joie.
Monsieur Gérard ne tarde pas à sortir de son bureau. < Bonsoir les filles ! Toutes seules ce soir ! > fait il en les apercevant.
Estelle tire Clémentine pour s'approcher du palefrenier. Ils se serrent les mains. Le cheval, lui, n'arrête pas de me taquiner.
J'ai même peur qu'il n'attire l'attention sur ma présence. Comment vais je encore me tirer de cette situation ! Je le calme...

Monsieur Gérard propose aux filles de le suivre dans son local. Estelle entraîne Clémentine. Elle se laisse faire. Une soumise.
Je regarde par le trou. Estelle est debout. Elle tient toujours Clémentine par sa laisse. Ma compagne est accroupit à ses côtés.
Monsieur Gérard est assis à son bureau. Je ne vois que son épaule de dos. Il explique l'administratif qu'il est obligé de rédiger.
Je l'entends pester contre ces paperasseries obligatoires qui l'empêchent d'être à son boulot de palefrenier comme il aimerait.
J'observe les expressions sur les visages des filles. Estelle reste aussi sérieuse que devant un traité de mécanique quantique...

Clémentine s'est mise à genoux. Toute honteuse, elle garde la tête baissée levant juste parfois les yeux d'un regard curieux.
Je l'admire. Je sais qu'elle ne joue pas vraiment. Il lui revient certainement à l'esprit tous les fantasmes inhérents à l'endroit.
Nous évoquons tellement les écuries dans nos jeux et la voilà en situation. Il y a là de quoi nourrir tous les fantasmes à venir.
Estelle pose sa main sur la tête de ma compagne en disant : < Tu ne dis rien au monsieur ? >. Elle la force à relever la tête.
Monsieur Gérard se lève. Je ne vois pas ce qu'il fait. Aux regards des deux filles braqués sur sa braguette je comprends bien.

Le palefrenier contourne son bureau. Il vient se mettre debout devant Clémentine qui a le reflexe de se pencher en arrière.
Elle se tient contre le mur derrière elle. Méfiante elle reste sur ses gardes. < Tu veux pas te régaler un peu ? > fait Gérard.
Estelle rajoute : < Tu veux pas sucer le monsieur ? >. Clémentine, au comble de l'inconfort, se redresse soudain, très vite.
Monsieur Gérard saisit la laisse en attirant Clémentine. Son visage tout près du sien il lui dit : < Toi, je vais te dresser ! >
Clémentine regarde dans tous les sens. Elle est inquiète. Je suis prêt à intervenir. Estelle reste curieusement toute calme.

Monsieur Gérard lâche la laisse et retourne derrière son bureau. J'ai eu le temps de voir sa braguette ouverte. Sa petite bite.
Estelle n'arrête pas de mâter. C'est la première fois que je la vois aussi calme dans une situation aussi tendue et excitante.
Clémentine reste en retrait. Elle regarde vers le trou. Elle ne peut pas voir mon œil qui y est collé. Elle scrute. Elle me cherche.
Estelle comprend qu'il vaut mieux mettre un terme à tout cela lorsque le palefrenier revient vers les filles, son pantalon baissé.
< Au revoir ! A un de ces jours ! > fait Estelle en entraînant Clémentine qui ne dit rien, tête baissée, mains le long du corps.

Je bande comme un salaud. Le cheval n'a pas cessé de m'emmerder. Les filles marchent à toute vitesse vers la sortie. 19 h50.
Monsieur Gérard reste dans son local dont il ferme la porte. J'en profite pour filler à toute vitesse pour rejoindre les deux filles.
Elles sont dans la voiture. Clémentine semble bouleversée. Estelle la tient toujours par la laisse. Nous nous regardons. Silence.
Estelle me fait : < Tu m'as trouvé comment ? J'étais à la hauteur ? >. Je regarde Clémentine qui me regarde presque honteuse.
C'est Clémentine qui m'intéresse dans l'instant. Elle me dit : < J'ai encore eu la trouille de ma vie ! >. Nous rions de bon cœur.

Il est presque vingt heures. Je prend le Tupperware qui contient la tarte aux noix. Nous ressortons pour traverser la cour. Joie.
Estelle fait un signe de la main. Je regarde. Il y a monsieur Gérard dans l'encadrement de la porte, là-bas. Je suis plutôt gêné.
Clémentine se serre contre moi. Je caresse sa tête. Estelle se serre contre nous en disant : < La prochaine fois, c'est à moi ! >
Nous sonnons chez Juliette qui descend nous ouvrir. Estelle a lâché Clémentine qui glisse discrètement la laisse sous son pull.
Juliette est toute contente de nous voir. Elle demande à Clémentine : < Il y a un problème ? Vous avez l'air bien soucieuse ? >

Je sais qu'il faudra un moment avant que Clémentine ne se remette complètement de cette expérience. Elle me tient la main.
Nous mangeons de bon appétit. Tartes au thon, aux crevettes avec des crudités. C'est un vrai délice. Une excellente ambiance.
Juliette évoque le stage en entreprise que Clémentine débute lundi, ici, au bureau. Trois semaines au haras pour l'administratif.
Les filles parlent de leurs cours. Juliette nous invite à l'animation équestre qu'elle organise dimanche. Aucune allusion à Gérard.
Il est 22 h15 lorsque nous prenons congé. Nous ramenons Estelle un peu tristounette de devoir rentrer. Elle reviendra samedi.

Sur le chemin du retour Clémentine me tient par la main, sa tête sur mon épaule, étrangement silencieuse. Une situation rare.
Nous montons. Les toilettes. La salle de bain. Je contrôle l'état du sexe de ma compagne. Elle est trempée. Dégoulinante. Joie.
Une fois au lit, je me régale de ses jus. Elle m'attire sur elle. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles.
Clémentine peut enfin me révéler ses impressions et ses ressentis. Elle me confie ses peurs, ses émotions et ses sensations.
Je lui avoue à quel point je l'ai trouvé admirable, bandante et excitante. Elle m'avoue le plaisir qui s'en suit maintenant. Dodo...

Bonne soirée dans vos écuries préférées, à toutes les coquines qui aiment vivre des frayeurs de soumises attachées à la laisse...

Julien - (Qui a assuré son rôle de vigile en admirant les attitudes d'Estelle qui se révèle de plus en plus. Clémentine ravie) -

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Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 322 -



Pour Clémentine, c'est le vendredi, à midi, que commence le Week-End...

Hier matin, vendredi, j'ouvre l'œil le premier. Juste avant que ne résonne la musique de notre cube réveil. Il est déjà 5 h55.
Avertie par son sixième sens, Clémentine s'étire longuement en gémissant. < Bonjour Julien ! > ponctue t-elle dans un cri.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je à peine le temps de lui dire qu'elle ne me chevauche déjà en riant. Tendresse et papouilles.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Dès la fin de notre rituel pisseux, nous descendons à toute vitesse...
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner tout en bavardant. Projets pour la journée.

Le vendredi, ma compagne termine ses cours à midi. Elle est donc toute contente. Nous mangeons de bon appétit. 6 h 30.
le thermomètre extérieur indique moins 2°. Il fait certainement très froid. Par contre tout semble bien sec au dehors. Nuit.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint chaudement vêtue. < A tout à l'heure mon amour ! > me fait elle. Des bisous. Un dernier coucou de la main.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Je monte faire la chambre. Puis la vaisselle.

J'allume un feu dans l'atelier. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je termine ma quatorzième toile. Bien.
Il est dix heures lorsque je commence le dessin préparatoire de la quinzième toile destinée à ma saison d'été. C'est super !
Je suis concentré sur mon travail lorsque sonne mon téléphone. Je décroche. C'est Clémence, la jeune serveuse. Restaurant.
< Bonjour ! C'est la chandeleur. Je vous réserve une table pour ce soir ? > me demande t-elle. Il y a un instant d'hésitation.
Je lui propose de la rappeler pour midi. je préfère en parler à ma compagne. Quelques échanges de banalités. Je raccroche.

Il est midi. Je fais bouillir de l'eau pour les coquillettes. Clémentine rentre. Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève. Bises.
< C'est Week-End ! > s'écrie t-elle toute contente. Je lui fais part de l'appel de la jeune serveuse du restaurant. La chandeleur.
< Oh oui ! Super ! > me fait elle. Je lui propose de rappeler pour confirmer. Je verse les coquillettes dans l'eau bouillante. Bien.
Clémentine bavarde un peu au téléphone. Je prépare une sauce au Roquefort. Clémentine prépare la salade. < Ok ! > fait elle.
Pendant que le gratin de coquillettes est au four, nous passons au salon. Clémentine se blottit fort dans mes bras. Silencieuse.

< J'ai beaucoup pensé à ce qui s'est passé hier, aux écuries ! Et toi ? > me chuchote t-elle. Je reste silencieux. Je veux écouter.
< Je n'aurais plus le courage de regarder ce type dans les yeux ! > rajoute encore ma compagne que je peux sentir frissonner.
Je la berce dans mes bras. Je lui fais remarquer que ce n'est pas la première fois que le palefrenier la voit attachée à la laisse.
Je lui rappelle que nous avons vécu une situation similaire, l'été dernier, dans le pré, derrière les écuries. Clémentine m'écoute.
Je rajoute : < Au contraire, je crois qu'il faut y retourner au plus tôt. Et c'est moi qui t'y emmène attachée à la laisse ! >. Joie.

La sonnerie du four. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons le haras.
Nous y retournons dimanche après-midi pour assister au spectacle équestre organisé par Juliette. J'évoque le collier, la laisse.
Je rajoute : < Et dès lundi, tu y es pour trois semaines ! Tu n'as pas fini de le croiser le palefrenier ! Vous deviendrez amis ! >
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait part de son ressenti. Le stage en entreprise.
< Tu m'y emmène pour mon premier matin ? Tu reviens me chercher à midi. Tu veux bien ? J'appréhende un peu ! > fait elle.

Je lui promets de l'emmener et de la chercher pour son premier matin. Je dis : < Ce sera une superbe expérience ! >. Silence.
Clémentine passe ses bras autour de mon cou. Je lui murmure : < Après la vaisselle, on va faire le point au salon ! Canapé ! >
Nous faisons la vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne par la main au salon.
Impatiente, elle retire son jean et sa culotte. En chemise, en chaussettes, je la fais monter sur mon dos. Pour faire les clowns.
Nous rions de bon cœur lorsque je lui dis : < Te voilà à faire du cheval ! >. Clémentine me fait : < On n'en sort plus ! >. Rires.

Je la fais basculer dans le canapé. Clémentine adore le contact du cuir sur sa peau. Elle s'installe confortablement et vautrée.
Je pose l'épais coussin au sol pour m'y mettre à genoux. Je hume longuement les parfums de sa matinée de fille. C'est super.
En ce début d'après-midi, les odeurs ne sont pas encore aussi fortes. Clémentine me tient par les oreilles. Elle veut me guider.
Je découvre les coulures de cyprine. Je lui murmure : < Je vois dans quel état ça te met de penser aux écuries ! >. Un silence.
Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Il y a de quoi se régaler de ce goût vinaigré, acidulé et piquant.

Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Il est rare qu'elle le fasse aussi rapidement.
Clémentine a des choses à me confier. Et c'est toujours lorsque nous sommes immobiles, l'un dans l'autre, qu'elle aime le faire.
En appui sur mes mains, j'évite de peser de tout mon poids sur son corps. Je lui passe un coussin sous la nuque. Elle se serre.
Son visage près de mon oreille, Clémentine commence ses aveux. Les révélations étonnantes me ravissent. Et immédiatement.
Il y est évidemment question de notre aventure de hier soir, aux écuries. Cette expérience restera profondément en mémoire.

Comme toujours, dans ces moments de grâce, je ponctue les révélations de ma compagne par des images très descriptives.
Je viens rajouter des détails au film qu'elle se fait. Je lui décris une situation où c'est moi qui la présenterais. Attachée. Joie.
J'évoque une scène où je la ferais mettre à genoux devant monsieur Gérard, le palefrenier vicelard. J'ordonnerais la fellation.
Au fur et à mesure de nos échanges, nous nous berçons. Nous accélérons. Nous cessons. Nous voulons contrôler nos plaisirs.
Clémentine me raconte des choses étonnantes. J'abonde dans son sens en rajoutant des détails. L'idée s'installe dans sa tête.

Nous restons ainsi un long moment. Nous avons perdu toute notion du temps. Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un texto.
< On s'en fout ! > me murmure Clémentine en s'accrochant. Ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de mes hanches.
Je lui dis : < Ce soir, je te mets le collier et la laisse pour le restaurant ! >. Clémentine dans un frisson s'écrie : < Oh oui ! >.
Elle me dit : < Moi, c'est le palefrenier, toi c'est la serveuse ! >. Nous rigolons comme des bossus. Je fais : < Non, Juliette ! >
< Salaud ! C'est donc ça ! > me fait elle. Nous accélérons à nouveau. Il faut cesser sous peine d'orgasme imminent. Superbe.

Je m'extrais doucement de la fille qui se lève pour aller récupérer le téléphone. < C'est Estelle ! > me fait Clémentine. Rires.
Clémentine, assise sur le canapé, appelle Estelle en m'attirant près d'elle. Je suis debout, mon sexe dégoulinant de nos jus.
Tout en téléphonant, Clémentine me suce entre deux phrases. < Tu entends ce que je fais ! > dit elle, approchant l'appareil.
Je trouve la situation amusante. La conversation des deux filles tournent rapidement autour de l'expérience de hier au haras.
J'entends les précisions qu'apporte ma compagne. Il est question de faire vivre les mêmes émotions vicelardes à Estelle. Joie.

Clémentine me tient les couilles de la main droite tout en tenant le téléphone de la main gauche. Je la tiens sous le menton.
Je me fais tailler une pipe. A dessein, le faisant exprès en rapprochant l'appareil de sa bouche, elle aspire d'un bruit bulleux.
< Tu entends ? > demande t-elle plusieurs fois à Estelle. < Tu en auras demain ! > lui fait elle. Elle me tend l'appareil. Rire.
Tout en me faisant tailler une pipe, je parle avec Estelle. Je lui décris la scène. Elle vient rapidement sur le sujet des écuries.
Elle me fait part de l'extrême excitation qui l'habite. Elle est au bureau, toute seule, dans l'entreprise familiale. A se toucher.

Nous bavardons un long moment. Clémentine me suce avec cette avidité extraordinaire qui lui est coutumière. Il est 15 h 50.
Je repasse le téléphone à Clémentine après avoir salué Estelle qui vient nous rejoindre demain. Nous irons la chercher à 14 h.
A nouveau, Clémentine alterne sa conversation avec des séquences de pompages sonores. Elle salue Estelle et elle raccroche.
Je lui propose de nous garder pour ce soir. < J'ai envie de foutre ! > me fait elle. Nous rigolons comme des bossus. Et excités.
Il faut penser à être sérieux. Nous passons à l'atelier. Clémentine doit mettre au propre les notes prises ce matin, en cours...

Je termine mon dessin préparatoire. Un nouveau paysage. Dès lundi je pourrais commencer la peinture. Séance de travail.
Il est dix neuf heures. < Terminé ! Ras le bol ! > fait Clémentine en venant me rejoindre. Nous nous serrons très fort. Bises.
Clémentine m'entraîne à l'étage. Nous nous préparons pour le restaurant. < Je m'habille comment ? > me demande t-elle.
Je suis un peu embarrassé. Aussi je lui conseille une tenue très féminine. Sur sa demande, je porte mon costume de velours.
Clémentine porte une de ses jupes évasées au dessus du genoux. Chemisier, pull, son collant "truqué". Ses bottes à talons.

Nous voilà en route. Clémentine se touche en me parlant des émotions vécues cet après-midi. La "pipe téléphonique". Rires.
De sa main gauche, tout en jouant avec ma bite, elle me donne les dernières recommandations pour le restaurant de ce soir.
Je roule doucement. 12 km. Nous arrivons sur le parking de l'établissement. Il y a quelques voitures. Il fait nuit noire. 19 h50.
Clémentine sort le collier canin et la laisse du sac à main. < Tu as oublié l'essentiel ! > me fait elle. Nous en rions de bon cœur.
Je fixe le collier à son cou. Je fixe le mousqueton de la laisse à l'anneau. Je veux passer la laisse sous son pull. Rester discret.

< Non ! Laisse la pendre sous mon manteau ! > me fait Clémentine. Nous sortons de la voiture. Nous marchons très vite.
Sur la demande de Clémentine, je garde ma braguette discrètement ouverte. La jeune serveuse vient nous accueillir. Joie.
Toute contente de nous revoir, elle nous emmène à la table habituelle, derrière l'énorme plante verte, tout près du comptoir.
Il y a quelques couples dans la salle. Les lumières tamisées des bougies sur les tables apportent cette ambiance romantique.
Nous bavardons. La jeune fille nous raconte sa semaine et son plaisir de faire la serveuse le Week-End. Super.

Tout en bavardant, la jeune fille découvre le collier canin auquel pend la laisse que porte Clémentine autour du cou. Visible.
La serveuse comprend très rapidement de quoi il est question. Bien évidemment, elle ne pose aucune question à ce propos.
C'est moi qui confirme les interrogations que je devine. Je m'avance pour saisir a laisse. Je le fais discrètement. Je la tiens.
La jeune serveuse a un curieux regard et un sourire énigmatique. Ce soir, c'est la chandeleur. Nous choisissons nos crêpes.
Clémentine me fait par de son ressenti. Bien évidemment, son excitation est intense. Personne n'a remarqué le collier canin.

Depuis le comptoir derrière lequel elle est affairée, la serveuse me lance plusieurs sourires. Je lui fais plusieurs clin d'œil.
Nous mangeons de bon appétit en variant les crêpes aux crevettes, au crabe, puisque nous pouvons choisir la garniture.
Je regarde la jeune fille évoluer dans la salle pour servir les clients. Clémentine me fait: < Sors ta bite sous la table ! >
Je m'exécute en regardant discrètement partout autour de nous. < Tu descends te branler aux chiottes ! > rajoute t-elle.
Je m'apprête à me lever. Quelle n'est pas ma surprise. Cette fois, discrète, c'est la serveuse qui pointe son doigt. Les WC.

La jeune fille fait comme moi. Elle me montre l'escalier qui descend aux toilettes. C'est carrément une invitation. Superbe.
Je me lève. Je tourne le dos à la salle. Je relève un peu mon pull. La jeune fille aperçoit ma queue. Je bande mou. Mouillé.
J'entrebâille la porte des toilettes homme. Je me masturbe doucement, tous les sens aux aguets. Je bande. Un vrai salaud.
Je ne suis pas là plus de deux minutes. Un bruit de pas, rapide, dans l'escalier. C'est la jeune fille. Elle entre dans les WC.
Silencieuse, elle observe mon mouvement de poignet lent et régulier avec la même attention que les autres fois. Je pisse.

Comme à chaque fois, je vise contre le carrelage, évitant la jeune fille de très près. Elle regarde comme une première fois.
La bouche ouverte, les yeux grands ouverts, consternée par ce qu'elle observe. Je pisse d'un seul et long jet bien précis.
< Génial ! > murmure t-elle. Je lui dis : < Tu as déjà goûté de la queue ? >. Elle me regarde amusée : < Non jamais ! >.
Je lui demande : < Tu n'as pas un petit copain ? >. Elle secoue la tête de gauche à droite en répondant : < C'est fini ! >.
Je continue : < Et tu n'as jamais sucé ? >. Elle me fait un sourire en répondant : < Non, jamais ! >. Nous nous regardons.

Je dis : < Tu veux essayer un de ces jours, ma compagne est d'accord ! Elle ne participe pas mais elle mâte, c'est tout ! >.
La jeune fille ne répond pas. Elle reste encore un instant. Je bande comme un taureau en secouant les dernières giclées.
Elle tourne des talons et me fait : < Il faut que je remonte. Je suis au boulot. Merci pour le spectacle ! >. Elle disparaît.
Je remonte. Je raconte tout à Clémentine qui me fait : < C'est bien ! Comme ça les choses sont claires et nettes ! >. Rires.
La soirée se termine. Il est presque 23 h. Nous nous sommes régalés. A plusieurs reprises la jeune fille me fait des sourires.

Nous payons. Clémentine lui fait : < Les choses sont claires. Réfléchissez. Vous êtes la bienvenue ! >. La fille est silencieuse.
Elle nous raccompagne jusqu'à la porte. Nous sommes presque les derniers. Juste avant qu'elle parte, je lui montre ma bite.
J'ai le temps de lui dire : < Tu viens quand tu veux ! >. La serveuse me fait un rapide sourire, sans répondre. Nous partons.
Dans la voiture, Clémentine me suce sur tout le chemin du retour. Je lui raconte les chiottes avec tous les détails bien pisseux.
A la maison, nous baisons encore comme nous aimons. Clémentine me chuchote les plus folles cochonneries. Orgasmes. Dodo.

Bonne soirée crêpes à toutes les coquines qui aiment participer à allumer de jeunes salopes qui traînent dans les WC homme.

Julien - (Qui a le privilège de pouvoir pisser tout en bandant. Se branlant doucement devant de jeunes voyeuses vicieuses) -

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/02/18 08:39 par Condor.
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Un Wenk-End avec Estelle toute contente d'être avec nous.

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bises qu'on me dépose délicatement partout sur le visage. Doux.
J'ouvre les yeux. Clémentine est penchée sur moi. Bienveillante et amoureuse, elle me chuchote : < Bonjour mon amour ! >.
Je la serre contre moi en murmurant : < Bonjour mon amour ! >. Nous restons ainsi un petit moment. Douceur et tendresse.
Rapidement, Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Il est 7 h45. Il fait jour.
Dès la fin de nos rituels pisseux, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous sommes morts de faim. C'est super.

Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous mangeons de bon appétit dans une agréable odeur de pain complet grillé.
Nous bavardons. C'est samedi. Nous traînons à table. Nous faisons un rapide bilan de la semaine écoulée. Surtout jeudi soir.
Cette expérience aux écuries ou Clémentine a pu explorer un peu plus en profondeur son fantasme de "soumission" souhaitée.
Je l'écoute m'en parler. Il y a le recul de quelques jours. Les impressions ont certainement déjà fait place aux certitudes. Bien.
Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Tout est parfaitement sec. Le ciel est gris mais lumineux. Idéal pour un jogging...

Nous remontons nous mettre en tenues. Leggings, sweat, K-ways, bonnets, gants, écharpes devant la bouche nous sortons.
L'air est froid et vif. Il n'y a pas de vent. Rapidement nous accélérons afin de nous réchauffer. Nous longeons la rivière. Bien.
Nous passons devant le haras, derrière les écuries. Silencieusement, tout en courant, nous scrutons les bâtiments. Personne.
Nous montons jusqu'à l'ancienne voie ferrée, à présent piste cyclable. Nous passons par le cromlech. Le retour à la maison.
Nous prenons notre douche. Il est 10 h15. Clémentine porte sa jupe d'épais velours carmin, chemisier, pull, bottes à talons.

Sur sa demande, je porte mon costume de velours. Sous nos manteaux, nos écharpes, nous pouvons affronter tous les froids.
Je roule doucement en direction du bourg. Trois kilomètres où Clémentine peut jouer avec mon sexe qu'elle m'a sorti en riant.
Elle me montre son collant "truqué". L'ouverture d'une quinzaine de centimètres qui dévoile la blancheur de sa petite culotte.
Je gare la voiture. Il y a du monde au marché comme tous les samedis matins. Je porte les sacs. Nous marchons rapidement.
Clémentine me demande souvent de garder ma braguette ouverte, discrètement, sous mon manteau. Pour y glisser sa main.

Nous avons nos habitudes. Nous faisons provisions de légumes, de fruits, de fromages, d'œufs, de beurre et de crème fraîche.
De retour à la voiture, par prudence, nous mettons toujours les produits laitiers dans la glacière branchée sur l'allume cigare.
Nous voilà en route pour le centre commercial, dans la périphérie de la ville voisine à quelques douze kilomètres. Tout va vite.
Je gare la voiture. Il n'y a pas trop de monde. Je pousse le caddie. Clémentine me tient par les épaules. Nous voilà au chaud.
Dans le chariot, Clémentine dépose nos achats. Le nécessaire à la logistique. Produits d'entretien, conserves et les lessives...

Par acquis de conscience, pour ne pas risquer de manquer une opportunité "exhibe", ma compagne m'entraîne aux bouquins.
< Reste là ! S'il y a le moindre blême, tu rappliques ! > me fait elle en me laissant avec le caddie aux bandes dessinées. Joie.
Je la regarde s'éloigner vers le rayon des livres de poche. Il y a là un grand type blond d'une trentaine d'années qui feuillette.
Il doit avoir ma taille. Peut-être même encore plus grand. Il ne prête pas la moindre attention à la jeune fille arrivée à droite.
Il porte d'épaisses lunettes. Un anorak rouge, un jean, de hautes chaussures. Rapidement Clémentine s'accroupit à sa droite.

Depuis l'endroit où je me trouve, à une dizaine de mètres, j'assiste une fois encore au merveilleux show que propose la fille.
Derrière Clémentine, il y a une palette pleine de cartons attendant d'êtres déballés. C'est la situation idéale, discrète, rêvée.
Se tournant de trois quart vers l'inconnu, dissimulée à la vue par le caddie du bonhomme, ma compagne peut se faire peur.
Le type remarque enfin se qui se passe à deux mètres de lui. Il a le réflexe habituel. Il s'accroupit à son tour pour regarder.
Il découvre le merveilleux spectacle. Cette ouverture dans le collant d'épais coton noir qui permet de voir la culotte blanche.

De l'endroit où je me trouve, moi aussi je peux voir la blancheur éclatante de la culotte. C'est prodigieux. Je bande très fort.
Le type fait mine de chercher un ouvrage précis sur l'étagère du bas et tout en louchant à s'en déboîter les globes oculaires.
Il me tourne le dos. Je n'ai de yeux que pour le show de Clémentine qui le fait surtout pour moi. Mon regard est prioritaire...
Clémentine en rajoute. A chaque fois qu'elle range un livre pour en saisir un autre, elle écarte ses cuisses encore davantage.
Je prends conscience, une fois encore, de l'immense privilège de partager la vie de cette étonnante jeune fille de vingt ans.

Discrètement, je filme la scène. Le type tente une approche. Normal. Il adresse la parole à Clémentine, lui montrant un livre.
Je les vois bavarder. Evidemment Clémentine garde sa position préférée dans ce moment tant recherché. Elle est splendide.
Ses longs cheveux en libertés, accroupie devant cet inconnu et jouant son rôle à la perfection, ma compagne est épatante...
Il y a le responsable du rayon qui arrive. Il a son travail de déballage qui l'attend. Il met involontairement un terme à tout ça.
Clémentine se redresse. Le type à l'anorak rouge, sort un stylo et un petit carnet de sa poche. Il griffonne rapidement un truc.

Je le regarde tendre la feuille de papier à la jeune fille qui s'en saisit avant de saluer le gaillard qui ne tente absolument rien.
Il retourne à sa lecture. Clémentine me fait signe de la rejoindre un peu plus loin. Elle me montre la feuille de papier en riant.
< Et encore un numéro de téléphone pour la collection ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur en allant au rayon vêtements.
Peut-être y a t-il là une autre opportunité. Clémentine me demande de rester en tête de gondole. Je la regarde s'avancer...
Elle fait trois allés et retours. Il y a bien du monde mais ce ne sont jamais des hommes seuls. Il faut se faire une raison. Fini !

Après êtres passés aux caisses, nous flânons un peu dans la galerie commerciale à regarder la vitrine des boutiques. Sympa.
Nous passons devant le salon de thé. Il y a là parfois des opportunités. Il y a peu de monde. Il est déjà midi trente. La faim.
Je propose à Clémentine de prendre le menu du jour puisqu'il est proposé du poisson pané frit aux petites pommes de terre.
< On a tout ce qu'il faut à la maison ! Viens, on rentre ! > me fait elle. Je n'insiste pas. Je fais : < C'était juste au cas où ! >
Nous voilà sur la route du retour. En jouant avec mon sexe, Clémentine me fait part de son ressenti quand à son exhibe. Joie.

Je prépare la pâte à pain pour les pizzas de ce soir. Je concocte une garniture "maison". Clémentine s'occupe de la salade.
Pour midi, ce sera des haricots verts avec du filet de lieu noir. Méthodiques, nous préparons tout cela avec rapidité. Super.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de l'après-midi. Mon téléphone sonne. Clémentine s'en saisit. Rapide.
< C'est Estelle ! > me fait elle en écoutant. Estelle nous propose de la chercher pour 14 h30. Nous avons tout juste le temps.
Nous faisons rapidement la vaisselle. Nous remettons nos manteaux. Il y a 3 km. Estelle nous attend dans l'arrêt de bus. Joie.

Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée de hier et sa matinée d'aujourd'hui. Contente.
Nous voilà de retour à la maison. Nous filons directement dans l'atelier. Ainsi les deux filles peuvent mettre leurs cours à jour.
J'en profite pour peaufiner le dessin préparatoire de ma quinzième toile. Nous restons à travailler deux bonnes heures. Super.
Il est dix sept heures lorsque Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Estelle vient nous rejoindre. < Fini ! > fait Clémentine.
Estelle est à genoux entre mes jambes. Clémentine est assise sur ma cuisse droite. Nous évaluons le programme de la soirée.

< Surprise ! > fait Estelle en sortant une clef USB de sa poche. Elle l'agite en disant : < Devinez ce que c'est tous les deux ! >
< Langue au chat ! > répond Clémentine. < Tu ne préfères pas à la chatte ? > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus.
Nous passons au salon. Clémentine allume le téléviseur. Avec le câble HDMI qu'elle relie à l'ordinateur. Estelle introduit la clef.
< Chut ! > fait elle en mettant l'index sur ses lèvres et en nous invitant à prendre place dans le canapé. Nous nous vautrons.
Là, à l'écran, nous découvrons le générique du film monté par Estelle. Film que nous avons réalisé au printemps de l'an dernier.

Nous découvrons Estelle, attachée par les chevilles et les poignets au buffet du salon. On me voit lui toucher l'entre jambes.
C'est absolument génial. Avoir Estelle en vraie assise à ma gauche et de la voir ligotée à l'écran procure de véritables émois.
< Je me rappelle plus de tout ! > fait Clémentine en prenant ma main. Estelle me prend l'autre en disant : < Moi non plus ! >
Silencieux, nous regardons ces images hallucinantes. Le film. On me voit détacher Estelle pour l'entraîner attachée à la laisse.
On voit Clémentine nous suivre dans la pièce en se touchant, une main dans son pantalon. < Surprenant, non ! > fait Estelle.

< J'ai mis deux films sur la clef USB ! On regarde le second après la bouffe, vous êtes d'accord ? > demande encore Estelle.
Nous applaudissons en trouvant la suggestion absolument géniale. Estelle rajoute : < On se fait une soirée branlette ! Ok ? >
Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine a passé une main sous sa jupe. Estelle me touche la braguette. 18 h50.
Clémentine dit : < Mais la santé d'abord ! Vous n'avez pas faim ? >. Nous nous précipitons à la cuisine en riant de bon cœur.
Estelle étale la pâte. Clémentine prépare la salade d'avocat aux crevettes. Je fais chauffer la garniture qui a figé. Bavardages.

Les filles évoquent leurs études. Estelle reprend ses cours lundi. Clémentine commence son stage en entreprise lundi au haras.
< Tu vas t'éclater là-bas durant trois semaines, avec la proximité du vieux salaud ! > déclare Estelle en parlant du palefrenier.
Elle rajoute encore : < Tu pourras préparer le terrain parce que moi aussi je veux mon expérience de "soumise" aux écuries ! >
Nous rions de bon cœur en retournant au salon pendant que les pizzas cuisent au four. Nous remettons le même film. Super.
Clémentine fait quelques arrêts sur images. Surtout lorsqu'on nous voit, Estelle et moi, sourire à la caméra. C'est génial. Divin.

< Nous étions plus jeunes de presqu'un an ! > fait Estelle en observant l'image fixe où elle a son visage maculé de mélange.
Des mèches de cheveux collées sur ses joues pleines de pisse et de sperme ruisselant dans son cou. Moi souriant à ses côtés.
On me voit lui montrer l'objectif de la caméra, mon doigt pointé en la tenant fermement par la laisse fixée autour de son cou.
Clémentine, que tout cela excite toujours au plus haut point, se touche. Je l'entends retenir sa respiration puis expirer. Super.
< Je n'ai pas arrêté de me toucher jusqu'au début de l'été en regardant ce film ! Je suis mon actrice préférée ! > fait Estelle.

Nous rions de bon cœur. Je dis : < Si tu veux vivre ça avec le palefrenier, il faudra beaucoup de ruse pour filmer en douce ! >
< Tu imagines un peu la logistique ! > fait Clémentine. < Oh ! Je vous fais confiance à tous les deux ! > répond Estelle. Rires.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Les pizzas sont délicieuses, onctueuses. Du parmesan dans la pâte...
Nous mangeons de bon appétit. La conversation tourne autour de ce projet naissant. Estelle "soumise" dans les écuries. Film.
Clémentine dit : < Nous n'avons pas d'autres choix que de mettre Juliette dans le projet. Ne serait-ce que pour la logistique ! >

Estelle nous propose : < A moins que nous nous mettions d'accord avec le palefrenier ! >. Nous nous regardons tous les trois.
C'est une éventualité à laquelle nous n'avions pas pensé. < On peut lui proposer de porter un masque ! > nous fait Clémentine.
< Oui, s'il n'est pas d'accord à visage découvert, ce serait un super plan ! > répond Estelle. J'écoute en silence les stratagèmes.
Je suis étonné et admiratif devant les capacités d'organisation des deux filles. Clémentine fait : < On a jusqu'au printemps ! >
< On a le temps de bien préparer le truc. Je veux vraiment faire ça ! Le rôle de ma vie ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous retournons au salon. Impatients de mâter la suite.
Le second film est celui que nous avons tourné dans le hangar à foin, l'année dernière au début du mois de mai. Tout est relaté.
Le lecteur pourra découvrir ou redécouvrir cette passionnante séance au début de nos aventures. Il faisait beau, très agréable.
Estelle a procédé aux montages de ses films avec un vrai travail. Cela pourrait faire rougir d'envie n'importe quel professionnel.
On y découvre Estelle attachée par les chevilles et les poignets aux poutres de cette grande grange. C'est éminemment divin...

Le fantasme d'Estelle est de tourner du porno. Evidemment à titre exclusivement privé. Personne ne verra jamais ces films.
Ce sont des réalisations personnelles. Tout comme Estelle, ni moi, ni Clémentine, ne souhaitons êtres vues dans ces situations.
Ce second film est encore plus "émouvant" que le précédent. Estelle y est livrée dans toute l'innocence feinte de ses vingt ans.
On me voit lui toucher la chatte sous sa jupette "tennis" prêtée par Clémentine qui la tient par derrière et par la nuque. Super.
Estelle se débat. Elle déteste être touchée. Je m'en donne à cœur joie puisqu'elle est solidement ligotée. Et c'est du grand Art.

A ma gauche, vautrée dans le canapé, Clémentine se touche en tenant la télécommande. Elle fait de nombreux arrêts d'image.
A ma gauche, Estelle en vraie et que nous regardons à l'écran. Elle commente les images tout en faisant part de ses ressentis.
J'ai sorti ma queue pour pouvoir bander sans contraintes. Estelle me la tient. Comme toujours, en parlant, elle ma la tord fort.
Les films ne durent à chaque fois que 30 minutes. Avec les arrêts sur images imposés par Clémentine, ils en durent le double.
Clémentine zoome sur des instants précis. Une fois encore on me voit, le visage près de celui d'Estelle, lui montrer la caméra...

Le visage étonné, parfois souriant d'Estelle, en gros plan, maculé de foutre gluant dégoulinant de pisse jaunâtre. C'est vicelard.
Tout cela a été filmé avec la caméra fixée sur trépieds ou manipulée par Clémentine. C'est merveilleusement réalisé. Superbe !
Estelle nous raconte les émotions qu'elle a vécu là. Tout en parlant elle me tord la bite dans tous les sens. Jusqu'à la douleur.
Clémentine se masturbe. Parfois elle s'approche de l'écran pour voir encore mieux. Le zoom est rapidement à son maximum...
La soirée se déroule ainsi. Il est 22 h30. Estelle, comme souvent, ne s'est pas touchée une seule fois. Clémentine est à la limite.

< Mais comment tu fais ? > demande Clémentine à Estelle. Elle répond : < Rassure toi, au bureau, je me touche beaucoup ! >
Estelle nous raconte que lorsqu'elle est toute seule au bureau, dans l'entreprise familiale, elle mâte ses prestations. Ses films.
< Je n'arrête pas de me toucher ! > fait elle en tordant ma bite fortement vers le bas. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme.
Sa tête sur mon épaule, elle murmure : < Je vais devenir folle ! >. Estelle répond : < Moi, je le suis déjà ! >. Nous en rigolons.
Epuisés, nous montons nous coucher. Clémentine me chuchote ses ressentis. Estelle s'endort la première. Une pipe et dodo...

Bonne soirée à mâter vos réalisations "cinématographiques" à toutes les coquines, actrices amateurs dont c'est le fantasme...

Julien - (Excellent spectateur qui s'attend à de futures réalisations dignes du Fesse Tival de Cannes. Dès la venue du printemps) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 324 -



Un dimanche des plus agréables avec un après-midi au haras...

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des chuchotements, des rires étouffés. On me tient par mon érection.
J'ouvre l'œil et le bon. C'est Estelle qui a passé son bras par dessus Clémentine pour me tenir fermement le sexe. Une coquine.
< Bonjour Julien ! > me font les filles en même temps. Je me redresse et je me place à quatre pattes entre les deux coquines.
En poussant des grognements d'ours des cavernes, je les chatouille. J'aime les voir rire. Estelle parvient à s'enfuir aux toilettes.
Clémentine me chevauche en riant pour me couvrir le visage de bisous. < Je t'aime ! > me chuchote t-elle à plusieurs reprises.

Estelle revient. Juste avant de dévaler les escaliers, elle nous fait : < Je vais préparer le petit déjeuner ! >. Nous nous levons.
Clémentine lui répond : < On arrive ! > tout en m'entraînant par la main jusqu'au WC. Nous nous livrons à notre rituel pisseux.
A notre tour, et morts de faim, nous descendons à toute vitesse. Il est à peine 8 h. La cuisine embaume le pain grillé et le café.
Estelle dans son pyjama en soie mauve se précipite dans mes bras pour me faire des bises. < On se calme ! > fait Clémentine.
Ma compagne s'interpose en rajoutant : < C'est mon mec, je te rappelle ! >. Nous rions de bon cœur. Nous voilà assis à table.

Je beurre les tranches de pain que me tendent les filles. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme du jour.
Cet après-midi nous irons à l'animation que propose Juliette dans son haras. Cela devient un peu notre habitude du dimanche.
< On verra peut-être ce vieux cochon de palefrenier ! > fait Estelle, se levant pour mimer une masturbation masculine. Rires.
Avec toute la vulgarité dont elle est capable, cambrée sur ses genoux fléchis, Estelle imite une branlette en faisant durer. Joie.
Clémentine, tournant sa main fermée devant sa bouche, faisant une bosse à l'intérieur de sa joue, mime une pipe. C'est drôle.

Ma compagne dit : < Nous, on attend que tu nous offres le second épisode aux écuries ! >. Estelle répond : < Très bientôt ! >.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rajoute : < Il y a de la place pour un second film sur la clef USB ! >. Joie.
Nous traînons à table. Le dimanche il n'y a jamais de jogging, c'est notre jour de repos. Le thermomètre extérieur indique 2°.
Le ciel est gris mais lumineux. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Clémentine entraîne Estelle au salon. Je reste seul.
Je range la cuisine. J'entends les filles rires. Clémentine fait lire nos récits de la semaine à Estelle que tout cela passionne. Rire.

Je nettoie les chiottes du bas. Il n'y a plus aucun bruit. Clémentine est montée pour faire la chambre. Je passe la serpillère.
Je sors l'aspirateur du placard mural. Je viens au salon. Estelle est assise derrière le bureau devant l'ordinateur à lire. Bien.
< Julien ! Tu oublies de raconter des trucs ! > s'exclame Estelle. Je lui réponds : < Clémentine ne veut pas tout raconter ! >
Je passe consciencieusement l'aspirateur sous les meubles. En silence, Estelle passe derrière moi pour m'attraper les couilles.
De son autre main qu'elle passe sous mon T-shirt, elle me chope la bite. J'ai les mains occupées. Elle en profite la coquine...

Je dis : < Tu sais que tout ça est interdit quand Clémentine n'est pas avec nous ! >. Estelle me fait ! < Tu vas me punir ? >
Je pose le tuyau de l'aspirateur pour saisir Estelle par ses cheveux. Je la force à retourner s'assoir derrière le bureau. Rires.
< Après, je te taille une pipe ! > me fait encore la jeune fille avant de retourner à sa lecture. Je passe le chiffon et le plumeau.
Estelle, à nouveau debout, mime une masturbation masculine de sa main droite et une pipe de sa main gauche. Un clin d'œil.
J'agite un index menaçant en disant : < Tu ne perds rien pour attendre ! Je vais te punir ! >. < Oh oui ! > s'écrie Estelle. Joie.

Je monte rejoindre Clémentine qui termine de changer les draps. Elle se serre contre moi. Je lui raconte ce qui s'est passé.
< Cette petite salope mérite une bonne reprise en main ! > me fait Clémentine. Je ramasse le tas de draps sales. Des bises.
Nous allons à la salle de bain. Je nettoie le bac de la douche. Clémentine nettoie les miroirs. Nous bavardons. Petits secrets.
Clémentine redescends avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. Je passe la serpillère partout.
Je descends à mon tour. Les filles sont derrière le bureau, concentrées sur le site de l'université. Programme de la semaine.

Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. Nous sommes vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux. Bien chaud.
Seule Estelle est encore en pyjama. Il est déjà onze heures trente. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. Le repas de midi.
Les pavés de saumon achèvent de décongeler. J'épluche les pommes de terre, les navets et les carottes pour la potée. Super.
Clémentine vient me rejoindre. Estelle est montée s'habiller. Ma compagne, serrée contre moi, me fait : < Punis la un peu ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me propose un "plan" bien vicelard aux toilettes. Je la laisse à la cuisine pour aller au WC.

Je me mets en position au dessus de la cuvette de faïence. Je sors mon sexe. Je me masturbe doucement. J'attends. Silence.
J'entends les filles bavarder à la cuisine. Un nouvel instant de silence. La porte s'ouvre derrière moi. Estelle entre dans le WC.
Elle me contourne, penchée en avant pour m'observer. Elle s'accroupit à ma droite. < Tu te branles tout seul ! > me fait elle.
Je ne réponds pas. Je cesse. Je pointe mon sexe vers le fond de la cuvette. Je dois pisser. Je bande. C'est toujours très difficile.
J'ai le privilège de pouvoir pisser en bandant mais cela me demande toujours de la concentration. Le jet est plus fin, plus long.

Estelle approche son visage pour scruter mon sexe. Je la saisi par ses cheveux. Je me tourne. Je lui présente ma queue. Joie.
Je la tiens fermement par sa tignasse. Je lui fais : < Je vais te punir pour tes attitudes de ce matin ! >. Estelle se débat. Rire.
Sans réelle conviction, la jeune fille tente de se soustraire à mon étreinte. Je lui passe mon sexe sur le visage. Longuement.
< J'ai des fringues de rechange ! > me chuchote Estelle. Clémentine vient nous rejoindre. Elle se serre contre moi. Elle mâte.
Estelle s'est mise à me tailler une pipe des familles. Clémentine m'embrasse. Nous restons un petit moment dans les chiottes.

Je propose de retourner à la cuisine pour terminer la préparation de notre repas. Je force Estelle à se redresser. Elle résiste.
J'insiste. Nous nous précipitons à la cuisine. Estelle vient me montrer l'intérieur de sa bouche. C'est encore gluant de foutre.
< J'ai eu mon apéritif ! J'exige mon digestif ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Ce soir ! >
Estelle s'occupe du saumon qu'elle prépare en papillotes. Clémentine s'occupe de la salade. Je mets la potée à cuire. Feu doux.
Tout va très vite. Estelle fait cuire les papillotes sur le barbecue électrique. Je la rejoins dans la véranda. Elle me sourit. Joie.

< J'aime te sucer le matin. Je trouve que le goût est différent qu'en soirée ! Si ! > me confie Estelle. Je lui caresse la nuque.
< Je t'aime Julien ! > rajoute t-elle encore. Elle palpe ma braguette en me murmurant : < Et j'aime ta queue bien dégueu ! >
Je lui chuchote : < Un de ces jours, je te broute la chatte, tu veux ? >. Clémentine ne nous laisse jamais seuls très longtemps.
Elle sait pouvoir me faire une totale confiance. Tout se passe toujours en sa présence. Je lui raconte ce que je viens de dire...
< Tu vas brouter cette salope ? > fait ma compagne. Nous rigolons comme des bossus. Tout est prêt. Nous passons à table.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Le stage d'entreprise que commence Clémentine lundi. Haras.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Il est déjà 13 h30. Nous décidons de rester en jeans, chemises à carreaux. Sympa.
Sur la suggestion de Clémentine nous allons au haras à pieds. Trois kilomètres, vingt minutes de marche digestive en parlant.
Le froid est vif. Nous portons nos bonnets, écharpes, gants. Et nos épais anoraks matelassés nous protègent. Nous bavardons.
Nous arrivons au haras pour 14 h15. Il y a du monde. Il y a des voitures garées sur le bord de la petite route, des deux côtés.

Il y a des groupes qui bavardent dans la cour. Des propriétaires de chevaux, des familles et beaucoup de jeunes cavalières.
Nous ne connaissons personne. Nous traversons la cour pour entrer dans l'écurie de droite. Notre préférée. Il y a du monde.
Plein de gens sont déguisés. L'animation de l'après-midi est consacrée à Carnaval. Un personnage étrange vient vers nous.
Levant son masque grimaçant, madame Walter nous salue. Nous bavardons un peu. Elle est au travail et est obligé de filer.
< Moi, je suis déguisée en salope ! > nous fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine dit : < Idem ! >

< Sors ta bite ! C'est Carnaval, tu te déguise en satyre ! > me fait Estelle. Nous rions de bon cœur. Nous allons vers la sortie.
Il y a un espèce de nain gaulois, comme dans le film "Le Seigneur des Anneaux" qui nous salue. C'est monsieur Gérard. Rire.
Nous reconnaissons sa voix. Il lève son masque. C'est bien lui. Il n'a pas le temps de converser. Lui aussi est au travail. Joie.
Nous traversons la cour pour entrer dans le bâtiment du manège. C'est bondé de monde. Des petits s'envoient des confettis.
Nous prenons place sur les gradins du haut. Le spectacle est superbe. Les cavaliers sont déguisés. Des chevaliers. Cow-boys.

Pendant toute la durée du spectacle, discrètement, Estelle ne cesse pas de glisser sa main sous mon anorak. Ma braguette.
Clémentine la lui retire plusieurs fois. Estelle est à ma gauche. Clémentine est à ma droite. Nous apercevons Juliette là-bas.
Cette nouvelle animation est une véritable réussite. Il n'y a pas à dire, Juliette mène son entreprise avec intelligence. Super.
Il est dix sept heures. C'est la fin. Tous les intervenants défilent une dernière fois sous les applaudissement. C'est un succès.
Nous repartons rapidement. Nous voulons arriver à la maison avant la nuit. Il est presque dix huit heures à l'arrivée. La nuit.

Nous passons au salon. Je prépare une tisane. Je vais aux toilettes. Estelle vient me rejoindre en disant : < Mon apéro ! >
Penchée sur la droite, entre le pouce et l'index, elle pince la peau à la base de mon sexe pour le tenir au dessus de la cuvette.
Elle dirige consciencieusement le jet qui vient se briser dans l'eau stagnante du fond. Clémentine vient nous rejoindre. Pisse.
Ma compagne s'accroupit en faisant : < C'est pour moi ! >. Estelle dirige ma bite vers Clémentine. Je cesse de pisser. Super.
Estelle m'embrasse, fouillant ma bouche de sa langue exploratrice. Clémentine se régale de mes petites giclées contrôlées...

Je propose aux filles de retourner au salon afin d'y prendre notre collation. Je force Clémentine à se redresser. C'est difficile.
J'entraîne les filles. Je garde ma braguette ouverte. J'y laisse pendre ma bite, comme sur la photo de mon avatar. Mollasse.
Nous savourons notre tisane en suçant des petits chocolats envoyés d'Ecosse par mon oncle. J'ai la bite qui bave. Des tâches.
Estelle, assise à ma gauche, se penche pour récupérer mes épanchements de jute. Clémentine me fait goûter sa bouche. Bon.
Nous nous embrassons en suçant le même chocolat. Nous adorons faire ça. Estelle se redresse régulièrement pour nous mâter.

Il est déjà 19 h30. Nous filons à la cuisine. Morts de faim, nous réchauffons la potée. Je fais une sauce au Roquefort. Bien.
Clémentine s'occupe de la salade. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Il faut êtres sérieux. Nous passons à l'atelier.
Les filles mettent la dernière main à leurs préparatifs. J'en profite pour enduire deux toiles de Gesso. Les filles travaillent.
Nous ramenons Estelle pour 22 h15. La séparation est un peu dure. Elle revient mardi soir. Dans la voiture Clémentine suce.
La maison. Au lit, nous nous chauffons avec un "69". Une bonne baise. Les "confessions". Le cunnilingus. La fellation. Dodo...

Bon début de semaine à toutes et à tous. Surtout si ce Week-End a été source de joies, de plaisirs et d'orgasmes divers...

Julien - (Cuisinier, Maître-Queue, qui sait se plier aux volontés de Clémentine et aux caprices vicelards d'Estelle) -

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C'est le premier jour du stage en entreprise de Clémentine...

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous qu'on dépose sur mon visage. J'ouvre les yeux. Difficile.
< Bonjour Julien ! > me chuchote ma compagne. < Bonjour Clémentine ! > que je dis en la serrant contre moi. Très fort.
Il est 5 h55. Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nos rituels pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. En bas, je presse les oranges. Clémentine fait le café.
Nous prenons notre petit déjeuner dans une délicieuse odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.

Nous faisons le bilan de ce Week-End et le programme de la journée à venir. Clémentine me fait part de ses impressions.
C'est aujourd'hui qu'elle commence son stage en entreprise. < Tu m'emmènes et tu me cherches à midi ? > me fait-elle.
Je trouve l'idée charmante. Bien évidemment je me ferais le devoir et le plaisir de l'accompagner, mais aussi l'après-midi.
< Tu es un amour ! > s'écrie Clémentine, s'asseyant sur mes genoux tout en me disant : < Je suis un peu déstabilisée ! >
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Il est 7 h30. Clémentine me montre ses habits.

Je m'habille. Clémentine porte un pantalon noir à pinces et à plis. Un chemisier blanc sous un pull noir. Souliers à talons.
Devant le miroir, elle me dit : < Je fais "secrétaire" ! Me voilà prête à l'emploi ! >. Nous rions de bon cœur. Elle est belle.
Nous n'avons pas besoin de nous précipiter. Clémentine fait une longue natte qui tombe jusqu'à presque la moitié du dos.
Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Le jour commence à se lever. Je mets mon anorak. Clémentine son manteau.
Nous voilà dehors. Je félicite Clémentine pour sa belle tenue. < Je t'aime ! > me fait elle. Je la sens pleine d'appréhension.

Nous voilà en voiture. Trois petits kilomètres. Nous arrivons au haras. < Entre dans la cour ! > me demande Clémentine.
Il y a quelques voitures. Il est 7 h55. Clémentine me fait des bises, me prend la main et me dit : < Tu reviens à midi ? >.
Je la rassure. Madame Walter arrive à son tour pour garer sa voiture à côté de la nôtre. Nous échangeons un signe. Bien.
Clémentine sort de l'auto. Je m'en vais. Je regarde dans le rétroviseur. Je prends la route du retour. J'arrive pour 8 h10.
Je monte faire le lit. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée...

Il est 8 h30. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de ma quinzième toile. Superbe.
Je peins dans un enthousiasme totalement indécent qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. C'est sublime. Plaisir.
Comme toujours, me voilà projeté dans une toute autre dimension. Hors du temps et de l'univers qui m'entoure, je peins.
Il est 11 h45. Je cesse. J'enfile mon anorak. Me voilà en route. J'arrive au haras pour midi. Il y a du monde. Plein d'autos.
Clémentine sort du bâtiment. Elle entre dans l'auto. Elle me fait plein de bisous. Nous sommes de retour pour midi quinze.

Je fais bouillir l'eau pour les coquillettes. Je concocte une sauce aux aubergines, aux champignons et au Roquefort. Miam.
Clémentine s'occupe de la salade tout en me racontant sa matinée. Elle a passé un tablier pour protéger ses beaux habits.
Tout va très vite. < Je suis toute seule dans un petit bureau. La fenêtre donne sur la porte arrière des écuries ! > dit elle.
Nous voilà assis. Nous mangeons de bon appétit. < Juliette m'a montré mon boulot pour ces trois semaines ! > fait elle.
< Madame Walter m'a expliqué le suivi administratif. Il y a un dossier pour chaque cheval ! > rajoute encore Clémentine.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me raconte quelques anecdotes amusantes. Joie.
< Je n'ai pas vu monsieur Gérard. Il commence son boulot de palefrenier vers dix heures le lundi ! > me fait Clémentine.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. < C'est une impression curieuse, le boulot ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Et ça me déstabilise ! La fac me manque ! C'est une expérience ! >
Il est 13 h15. Nous passons au salon. < Ce qui est génial c'est d'être ensemble entre midi et deux ! > fait ma compagne.

Je lui propose de s'évader un peu en posant ma main sur son sexe, entre ses cuisses. Je ne suis pas obligé de dire deux fois.
Clémentine se lève, retire son pantalon et sa culotte. Je me mets à genoux sur l'épais coussin posé au sol entre ses jambes.
Vautrée dans le canapé, me guidant par les oreilles, Clémentine m'observe avec attention. Je hume les odeurs de sa matinée.
Nous avons 25 minutes. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe rapidement humide et très généreux.
Je récupère la cyprine avec gourmandise. Cela dure une quinzaine de minutes. Je cesse. Clémentine me tend ses deux mains.

Je l'aide à se relever. Nous montons à la salle de bain. Il faut se préparer. < Frustrant quand c'est aussi court ! > me dit elle.
Je lui promets de reprendre les choses où nous les laissons dès ce soir. Il est 13 h45. Nous voilà en voiture. Direction le haras.
Il y a une dizaine de voitures garées dans la cour. Clémentine m'explique que ce sont les cavaliers qui louent des chevaux ici.
Je la regarde traverser la cour. Un dernier coucou de la main et je retourne à la maison. 14 h15. Me voilà devant le chevalet.
Je peins dans une allégresse glorieuse. Je remporte une nouvelle victoire à chaque quart d'heure. Coups de pinceaux sublimes.

Je dois être vigilant. Dès que la nuit se met à tomber, je sais qu'il va bientôt être l'heure d'aller chercher Clémentine. 17 h45.
J'enfile mon anorak. J'arrive pour 18 h. Clémentine sort du bâtiment. Il y a des lumières partout. Elle me fait plein de bisous.
Nous sommes de retour pour 18 h15. Nous sommes à l'atelier. Clémentine est devant l'ordi. Estelle a déjà envoyé les cours.
Nous travaillons une petite heure. < Voilà ! Fini ! > fait ma compagne en venant me rejoindre. Nous sommes morts de faim.
Il est 19 h15. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine monte vite se changer pendant que je réchauffe les coquillettes.

Elle redescend vêtue d'une longue robe qu'elle porte rarement. Tombant sur ses chevilles. Cintrée au hanches. Elle est belle.
Je lui prends les mains en disant : < Laisse moi te regarder ! Comme tu es belle. Cette robe te va bien ! >. Elle m'embrasse.
Je mets la table. Clémentine remue la salade. Une rapide laitue assaisonnée d'huile d'olive et de moutarde à l'ancienne. Bon.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son après-midi. < J'ai vu le palefrenier. Très poli ! > me confie t-elle.
< Je dois changer les informations de chaque cheval, toutes les fins d'après-midi. Je vois donc monsieur Gérard ! > fait elle.

J'écoute les amusantes anecdotes que développe ma compagne. < Le temps passe plus vite qu'à la fac ! > m'apprend t-elle.
< Lorsque je vais aux écuries, je suis accompagnée de madame Walter. C'est comme si elle assurait ma protection ! > dit elle.
Cette première journée de stage est positive. < Je n'ai pas le temps de m'ennuyer et ça soulage madame Walter ! > fait elle.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous retournons à l'atelier. Clémentine révise ses cours.
Estelle se charge de lui envoyer par courriels l'intégralité des notes prises en cours. Clémentine n'a qu'à les mettre au propre.

Nous nous offrons une de ses soirées de concentration silencieuse que nous apprécions tant dans le crépitement du feu. Bien.
Il est rapidement 21 h30. < Fini ! > s'écrie Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Je nettoie mes pinceaux et palette.
Ma compagne m'entraîne par la main au salon. Elle me pousse dans le canapé. Elle met son index sur ses lèvres : < Chut ! >.
A genoux sur l'épais coussin qu'elle a posé au sol, entre mes jambes, elle ouvre ma braguette. < C'est l'heure ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me dit : < J'ai pensé à ça toute l'après-midi ! >. Clémentine hume mes odeurs...

Je regarde cette belle jeune fille de 20 ans qui partage ma vie. C'est comme si c'était la première fois. Quelques palpitations.
Les yeux fermés, ses mains sur mes hanches, penchée en avant, Clémentine renifle la longueur de mon sexe. Je bande mou.
Je me décalotte légèrement juste sous ses narines. Immédiatement l'odeur monte jusqu'à moi. Je suis un peu gêné. Frome.
Clémentine se met à me suçoter délicatement. Je repousse la peau plissée et humide de mon prépuce autour de ses lèvres.
Clémentine ouvre les yeux tout en me pompant. Son regard à la fois amusé et très attentif, achève de me couvrir de frissons.

Je me fais tailler une pipe des familles. Comme souvent, j'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. Superbe.
Je caresse la tête de ma compagne. Je passe mes doigts sur ses joues, autour de sa bouche. Il y a des grumeaux de frome.
J'entends les gémissements de Clémentine entre deux gloussements. Le bruit bulleux lorsqu'elle déglutit avec difficulté. Bien.
Les petits cris de ravissement, lorsque mes montées de liquide séminal affluent, me procurent les plus indicibles émotions...
Je l'observe. Comme elles sont belles lorsqu'elles font ça avec passion ! Elle ouvre parfois les yeux. Un regard reconnaissant.

Je la tiens par sa nuque et sous son menton. Je contracte mes muscles fessiers à plusieurs reprises. Ce qui fait monter le jus.
Clémentine sait bien que lorsque je fais ça, les montées de sève sont abondantes. Et elle suce comme si sa vie en dépendait.
Lorsqu'elle tente d'avaler la quantité de foutre, elle pousse de petits gémissements de contentement. C'est un vrai spectacle.
Je maîtrise toujours totalement mon sexe. Je peux rester ainsi et faire durer tant que je veux. Clémentine adore la longueur.
Pour lui permettre de reposer sa mâchoire, régulièrement, je sors ma bite. Je me penche. Je lui couvre le visage de bisous.

< Je me régale ! Si tu savais ! Et c'est ça que je préfère ! > me chuchote t-elle souvent. Je sais que la pipe est sa préférence.
Juste avant le cunnilingus, c'est la fellation qui reste sa relation sexuelle préférée. C'est une cérébrale. Les plaisirs de l'esprit.
Nous nous sommes bien trouvés car j'ai le même fonctionnement. Nous détestons les comportement "animaux", la baisouille.
Nous restons ainsi un très long moment. Il est déjà 22 h30. Je propose de monter, de nous terminer au lit. WC. Salle de bain.
Nous adorons nous régaler de nos derniers épanchements pisseux aux toilettes. C'est une chose étonnante, hyper excitante.

Nous nous lavons les dents en nous faisant plein de grimaces. Nous adorons faire les clowns devant le miroir. C'est le bonheur.
Au lit, nous nous offrons un "69" juteux. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions.
Nous restons immobiles comme à chaque fois. Clémentine me chuchote les plus invraisemblables cochonneries. C'est génial.
Je ponctue ses révélations par des descriptions bien vicelardes. Nous alternons les légers mouvements et l'immobilité. Joies.
J'offre un délicieux cunnilingus à ma compagne qui hurle de plaisir. Elle reprend sa fellation qui me fait délirer. Puis le dodo...

Bonne soirée à pomper un nœud à toutes les coquines qui adorent sucer la bite de leur coquin. Surtout s'il sait faire durer...

Julien - (Passé Maître dans l'art du cunnilingus et qui s'applique à faire durer les fellations de Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 326 -



La seconde journée du stage en entreprise de Clémentine...

Hier matin, mardi, une fois encore, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bises qu'on me dépose sur le nez, les joues.
C'est merveilleux d'ouvrir les yeux et de découvrir le visage de Clémentine penché au-dessus du mien. Je la serre contre moi.
< Bonjour mon amour ! > me fait elle. < Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de répondre avant qu'elle ne me chevauche.
Douceur, tendresse et papouilles avant qu'elle ne m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux. Rire.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Tout va vite.

Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Clémentine fait le bilan de sa première journée de hier. Stage d'entreprise.
J'écoute. Ce matin, à 6 h10, je trouve ma compagne beaucoup plus sereine que hier à la même heure. Capacité d'adaptation.
Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Il y a un fin tapis blanc qui illumine la nuit. < Quelle horreur ! > fait Clémentine.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos et charges additionnelles. Intensité maximale.
La douche. Je descends sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Je lui dit : < Sois prudente ! >

Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le jour s'est levé. Il est 7 h45. Je rentre.
Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume du feu dans la cheminée. Et il prend vite.
Il est 8 h15. Je suis enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme qui frise l'indécence. Je pousse des cris.
Je m'offre à ma passion avec un total abandon. Tout cesse d'exister. Je pense à tout sauf à ce que je fais, restant concentré.
Il est rapidement midi. Je suis prévenu par mon horloge biologique et par la faim. Je file à la cuisine. Je fais une pâte à pain.

Comme tous les mardis soir, avec la présence d'Estelle, c'est le rituel de la tarte aux poireaux. La fameuse Flamiche Picarde.
Je coupe le poireau en petits morceaux. Je le lave avant de le mettre dans l'eau bouillante. Je prépare une bonne Béchamel.
Du bruit. Il est 12 h20. Clémentine rentre. Elle me saute au cou. Contente. Je la soulève pour la faire tourner. Des bisous.
Clémentine prépare une belle scarole tout en me racontant sa matinée. J'écoute les anecdotes amusantes. C'est très sympa.
Pour midi, je concocte du millet doré accompagné d'un reliquat de Béchamel. Nous mangeons de bon appétit. Bavardages.

Clémentine évoque la paperasse invraisemblable que réclame un haras de 75 chevaux en pension pendant l'hiver. C'est fou.
< Juliette passe au bureau. Elle m'avoue à quel point ma présence soulage l'équipe ! > me confie Clémentine. J'écoute bien.
Elle continue : < Elle a en projet d'embaucher quelqu'un à temps partiel. Il y a bien du boulot du début octobre à fin avril ! >
< Ma présence confirme ce projet d'une nécessité absolue ! > rajoute encore ma compagne. Je découvre un autre aspect.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine me fait : < Et je n'ai pas encore vu le palefrenier ! >. Rire.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Elle est habillée comme hier. Son pantalon noir à plis et à pinces. Chemisier, pull.
Nous passons au salon. Il nous reste à peine 20 minutes. Nous voilà vautrés dans le canapé. Nous nous caressons. Bonheur.
Je fais remarquer à ma compagne à quel point sa silhouette est sublimée par ses vêtements. < Secrétaire ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Et une secrétaire prête à l'emploi ! >. Elle pose ma main entre ses cuisses.
C'est bouillant. < Ce soir, il faut que tu t'occupes de cet endroit ! > me chuchote t-elle. Nous en rigolons comme des bossus.

Nous montons pour nous laver les dents. Je raccompagne Clémentine jusqu'à la voiture. Bisous et dernier coucou de la main.
Je regarde l'auto disparaître en haut du chemin. Il est 13 h45. Il fait froid. Le fin tapis de neige a envahi la campagne. Blanc.
Il est 14 h. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans une allégresse glorieuse. C'est proprement héroïque. Super.
La nuit est tombée. Du bruit. Il est 18 h15. Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier, suivie d'Estelle. C'est mardi soir.
< Bonsoir mon amour ! > fait elle en se précipitant vers moi. < Bonsoir Julien ! > fait Estelle qui vient me faire des bisous.

Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte son après-midi. Estelle est assise à la table entourée de ses affaires de cours.
< Madame Walter est bienveillante avec moi ! C'est génial. Il y a une superbe ambiance de travail ! > nous confie Clémentine.
< Tu as eu affaire au palefrenier ? > demande Estelle. Clémentine répond : < Je ne le vois que rarement ! Il bosse très dur ! >
Clémentine va changer les feuilles individuelles de chaque cheval vers le milieu de l'après-midi. Pour le suivi vétérinaire. Soin.
< Monsieur Gérard est très poli, toujours correct. Il me montre ce qu'il y a à relever de plus important ! > rajoute Clémentine.

Les filles sont assises à la table, entourées de leurs affaires devant l'ordinateur. Estelle a ramené les notes prises aux cours.
Elle explique à Clémentine qui prend connaissance de tout cela. C'est un sacré boulot. Je peins en écoutant. Je suis silencieux.
Il est 18 h45. Je laisse les filles pour aller à la cuisine. J'étale la pâte. Je réchauffe la Béchamel contenant le poireau. Fromage.
Je recouvre la tarte d'un fin couvercle de pâte que je badigeonne d'un œuf battu mélangé à du parmesan, du curcuma et l'ail.
Estelle est la première à me rejoindre. Elle se blottit contre moi. Comme toujours, seul avec elle, je reste un peu distant. Joie.

Elle me palpe la braguette en me chuchotant : < Si j'obtiens mon "Master" en juin, tu me fais l'amour ? >. Je reste silencieux.
Clémentine vient nous rejoindre. Estelle répète sa demande. < Pas question ! Trouve toi un mec ! > lui répond ma compagne.
Estelle me regarde avec une grimace de dépit. Elle fait : < Bon, alors je me conterais d'une pipe ! >. Nous rions de bon cœur.
Pendant que la tarte aux poireaux est au four, nous passons au salon. Clémentine monte se changer. Je suis seul avec Estelle.
Elle est assise à mes côté dans le canapé. Elle palpe ma braguette en me racontant sa journée. Les cours et le bureau. Bien.

Clémentine revient. Elle porte la même longue robe que hier soir. Cintrée à la taille, manches bouffantes. Un côté médiéval.
< Put-Hein, comme elle te va bien ! > lui fait Estelle. Clémentine vient s'assoir à mes côtés. Je me lève. Je prends le coussin.
Je le pose au sol. Clémentine s'installe. Je me mets à genoux entre ses jambes. Estelle se met à genoux à côté de moi. Rire.
Je trousse Clémentine qui se vautre dans le canapé en relevant ses jambes qu'elle tient sous ses genoux. Croupion présenté.
Je hume longuement les parfums de sa journée de fille. Je suis rapidement enivré des effluves qui se dégagent. Merveilleux.

Estelle m'ouvre la braguette. Avec difficulté elle fouille dans mon slip pour en extraire mon sexe. Je bande mou. Elle y arrive.
Je lèche les lèvres charnues du sexe de ma compagne. Je suis saisi de vertige par les goûts vinaigrés, acidulés et les parfums.
Estelle me tient la queue. Elle me palpe les couilles par derrière à travers le tissus de mon jean. Je bande comme un salaud.
La sonnerie du four nous rappelle aux réalités prosaïques de l'existence. Morts de faim, nous cessons. Nous nous précipitons.
J'ai la bite humide qui dégouline dans mon slip. Clémentine m'embrasse pendant qu'Estelle sort la tarte aux poireaux du four.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études. Les cours que Clémentine devra rattraper durant son stage.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine demande quelques précisions à Estelle. Les cours.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous revenons au salon. Clémentine m'attire près d'elle.
Je me mets à genoux entre ses jambes. Estelle se couche sur le côté, sa tête entre mon bassin et le canapé. Nous reprenons.
Je me régale du sexe trempé de ma compagne. Je fouille chaque pli, chaque repli. Je me régale de petites choses fondantes.

Après le parmesan et le gruyère de la tarte aux poireaux, je savoure avec délicatesse le fromage de Clémentine. Un délice.
Je me délecte. Clémentine pousse de longs gémissements en me tenant par les oreilles. Elle oublie sa journée. Elle s'oublie.
Estelle me suce. Sa tête coincée entre le canapé et ma braguette, je peux la sentir pomper comme si sa vie en dépendait.
Une fois encore je tente de mettre ma main entre ses cuisses. Estelle saisit mon poignet avec force pour la repousser. Cri.
Je n'insiste pas. Dans ce domaine, d'aller contre l'interdit n'est pas dans ma nature. Je lèche le clitoris géant de Clémentine.

Je dois être vigilant. Clémentine qui déteste les orgasmes prématurés, me repousse doucement à quelques reprises. Prudence.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Je le fais comme toujours, sans prévenir, parfaitement immobile. Je l'entends déglutir. Cri.
Je termine de nettoyer très soigneusement le sexe de ma compagne. Je récupère la cyprine qui dégouline dans la raie culière.
Estelle continue sa pipe avec cette avidité qui la caractérise. Je regarde l'heure. Il est déjà 21 h30. Je propose d'aller à l'atelier.
Les filles ont encore du travail à terminer. Je saisi Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser. Elle a la bouche dégoulinante.

Nous retrouvons rapidement nos esprits. Les filles travaillent encore un peu. Je peins la partie à terminer sur ma toile. Bien.
Il est 22 h30. Nous ramenons Estelle. La séparation est un peu difficile. Elle revient jeudi soir. Clémentine grelotte en robe.
Malgré son manteau, son bonnet et le chauffage de la voiture ma compagne est serrée contre son chauffeur. Retour rapide.
Les toilettes. Nous nous régalons de nos dernières gouttes. La salle de bain. Nous voilà au lit. Nous nous offrons un bon "69".
Clémentine connaît un orgasme qui la terrasse, achevant de l'épuiser. Je la serre fort contre moi. Murmures. Douceurs. Dodo.

Bonne soirée de broutage de chatte, de taillage de pipe, de révisons et de plaisirs à toutes les coquines gourmandes...

Julien - (Qui excelle dans l'Art délicat du cunnilingus appliqué et imparable. Tout en se faisant tailler une super pipe) -

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Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 327 -



J'assiste Clémentine dans cette épreuve exceptionnelle. Son stage en entreprise...

Hier matin, mercredi, nous nous étirons longuement en gémissant. < Bonjour mon amour > faisons nous en même temps.
Ce cri qui ponctue nos gémissements nous fait beaucoup rire. Commencer la journée par le rire est la chose la plus parfaite.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. C'est l'instant de nos rituels pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine prépare le café. Super.
Il est à peine 6 h. Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Il y a toujours ce fin tapis de neige qui illumine la nuit. Froid.

Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Clémentine revient sur la journée de hier. Aujourd'hui plus d'appréhension.
Je constate que ma compagne a parfaitement dompté ses craintes et ses doutes quand à ces capacités d'affronter l'épreuve.
Nous mangeons de bon appétit dans cette agréable odeur de pain grillé. Clémentine évoque le côté routinier de son travail.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. C'est le second plaisir de la journée. Aérobic, abdos, la gym.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Et serrée contre moi.

< Ce qui est génial, c'est qu'on peut se voir à midi ! > me fait Clémentine en me couvrant le visage de bisous. Il est 7 h45.
Un dernier coucou de la main. Après mes conseils de prudence, je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le froid.
Je me dépêche de rentrer. Je monte faire la chambre. Je redescends pour faire la vaisselle, allumer la cheminée dans l'atelier.
Il est 8 h15. Me voilà enfin installé devant mon chevalet. Dehors le ciel est gris mais lumineux. Je peins dans l'enthousiasme.
Pour ponctuer chacun de mes coups de pinceaux plus sublimes les uns que les autres, je pousse les cris les plus surréalistes.

Il faut me voir, lorsque je viens de commettre le trait de pinceau le plus divin, tourner autour de mon chevalet et en transe.
Je pousse alors des rugissements de guerrier Sioux tout en faisant la danse du bison. Ma vie est merveilleuse. Passionnante.
Bien évidemment dans cette euphorie continue, je ne vois pas le temps passer. Je me fie à mon horloge biologique. La faim.
Il est midi. Je vais à la cuisine. Encore sous l'extraordinaire émotion de mon travail, je prépare des courgettes et des tomates.
Clémentine arrive. Elle se précipite dans mes bras. < Bonjour Julien ! > s'écrie t-elle. Je la soulève pour la faire tourner. Bises.

Nous restons toujours un petit moment à nous retrouver dans le bonheur. Je prépare des légumes pour accompagner le riz.
Clémentine s'occupe de la salade en lavant chaque feuille. J'aime la voir revêtue de son tablier pour protéger ses vêtements.
Aujourd'hui elle porte un pantalon à plis et à pinces brun. Son chemisier blanc sous un pull marron à col en "V". Si élégante.
Je fais éclater le riz complet à sec dans une casserole tout en remuant en huit. Je rajoute quatre volumes d'eau. Une vapeur.
Je touille les légumes. Dans l'ail, l'oignon, le persil et la ciboulette, les courgettes et les tomates sont en émulsion. Odeurs...

Je mets la table. Clémentine remue la salade. Nous mangeons de bon appétit. Délicieux. Clémentine me raconte sa matinée.
< Ce n'est que mon troisième jour et je perçois déjà tout le côté routinier du truc ! > me confie Clémentine plutôt amusée.
Elle rajoute : < Le matin, je consigne les fiches de chaque cheval. Il y a un dossier pour chacun . Et c'est un suivi sérieux ! >
Clémentine me donne encore quantité de détails sur son travail. Elle exerce dans un petit bureau où elle est toute seule. Bien.
< Il y fait bien chaud. Juliette passe me voir deux ou trois fois le matin. Je ne la vois jamais l'après-midi ! > m'explique t-elle.

Assise sur mes genoux, terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie son désir d'être déjà vendredi. Elle termine à midi.
Nous rions de bon cœur quand elle me dit : < Je vais être salope ce Week-End ! Ne m'en veux pas ! >. Elle se serre contre moi.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous avons trente minutes devant nous. Clémentine m'entraîne par la main. Salon.
Je ris en la voyant retirer son pantalon et sa culotte pour se vautrer dans le canapé, me faisant signe du doigt pour la rejoindre.
Je pose l'épais coussin au sol pour m'y mettre à genoux. J'aime les initiatives de ma compagne qui sait toujours ce qu'elle veut.

Je hume avec délice les parfums de sa matinée de fille. J'avance mon visage dans l'épaisse touffe. Les poils me chatouillent.
Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe.
Il y a déjà ce goût légèrement vinaigré, acidulé et légèrement piquant. Très peu de grumeaux de fromage fondant. Un délice.
Clémentine pousse de profonds soupirs. Lorsque je viens lécher son clitoris géant, ce sont les premiers gémissements. Forts.
Il faut être très prudent car Clémentine détesterait avoir un orgasme. Elle préfère rester excitée. Et ce sera jusqu'à ce soir.

Il est 13 h35. Je cesse. Clémentine me tend les mains que je saisi pour l'aider à se relever. Nous remontons à la salle de bain.
Nous nous lavons les dents. Je regarde les petites cernes de plaisir qui finissent de s'estomper sous ses yeux. Nous voilà prêts.
J'accompagne ma compagne jusqu'à la voiture. Des bisous. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre vite.
Il est 13 h50. Me voilà installé devant mon chevalet. Cette séance est source d'émotions intenses. Je peins dans une euphorie.
Une fois encore me voilà projeté dans un autre univers, dans une autre dimension, hors du temps et des réalités prosaïques...

Du bruit. Il est 18 h15. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. < Bonsoir Julien ! > s'écrie t-elle heureuse.
Assise sur mes genoux, elle me raconte son après-midi. Madame Walter, bienveillante et toujours attentive dans ses présences.
Monsieur Gérard, le palefrenier, très courtois qui considère Clémentine comme une collègue de travail. Il est très respectueux.
Son comportement n'a strictement rien à voir avec celui qu'il a lorsque Clémentine n'est qu'une simple visiteuse. Très rassurant.
J'écoute les amusantes anecdotes que relate Clémentine qui conclue : < Je préfère quand même ma vie d'étudiante et la fac ! >

Assise à la table, devant l'ordinateur, Clémentine découvre les cours du jour que lui a envoyé Estelle. Elle n'a qu'à noter le tout.
< C'est génial ! Estelle me fait des résumés parfaits et intelligibles ! > me fait Clémentine. Nous travaillons dans le silence. Joie.
< Terminé ! > s'écrie Clémentine derrière moi. Il est 19 h15. Je nettoie mes pinceaux et ma palette. Ma compagne m'entraîne.
Morts de faim, nous filons à la cuisine. Il n'y a qu'à réchauffer et préparer l'assaisonnement pour la salade dont il reste la moitié.
Tout va très vite. Clémentine monte se changer. Je mets la table. Elle redescend vêtue de sa longue robe de maison. Médiévale.

Elle me prend la main pour la passer entre ses cuisses. < Tu sens ? > me demande t-elle. Je constate qu'elle n'a pas de culotte.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me dit : < J'ai besoin d'être prise en main ce soir, "Maître" ! >. Nous voilà assis à table. Bon.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine évoque les cours que lui envoie Estelle. < Le second trimestre est cool ! > fait elle.
Elle rajoute : < Il y a plein d'étudiants en stage d'entreprise, donc le programme est forcément allégé et en conséquence ! >...
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie son profond désir d'être "soumise" ce soir.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au salon. Bisous.
Je garde présent à l'esprit sa demande. A peine sommes nous dans la pièce que je saisi fermement Clémentine par ses cheveux.
Je tiens sa natte comme je le ferais d'une laisse. Je la force à avancer en la promenant dans le salon dont nous faisons le tour.
Nous le faisons trois fois. Je l'entraîne dans tout le ré-de-chaussée. Clémentine, marchant courbée en avant derrière moi. Joie.
Je l'entends glousser de plaisir. < J'ai pensé à ça toute l'après-midi ! > m'avoue t-elle. Je l'emmène au WC. Je la fais s'accroupir.

Son regard implorant est plein de reconnaissance. Elle me fixe pendant que j'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe bien mou.
Je l'agite devant le visage de ma compagne qui m'observe avec le plus grand sérieux. Je lui murmure : < Tu es aux écuries ! >.
Je continue en disant : < Je suis monsieur Gérard, le palefrenier ! Je viens de t'emmener aux chiottes ! >. Clémentine glousse.
Je lui passe ma bite sur le visage tout en continuant mes narrations. < Tu me conditionnes, hein ? > me demande Clémentine.
Je lui mets une gifle. Ce ne sont jamais des actes de violence. Ils font simplement partie du rôle qu'exige ma compagne. Le jeu.

Monsieur Gérard, le palefrenier, est un homme de 65 ans, trapu, qui porte ses longs cheveux gris en catogan. Hyper vicelard.
Il n'a physiquement rien à voir avec moi qui suit grand et athlétique. Je m'applique toutefois à avoir son comportement. Vice.
Je murmure : < Je suis certain qu'il ferait pareil si tu étais livrée à ses penchants ! >. Clémentine pousse un cri de ravissement.
Je lui frotte mon sexe sur le visage. Je tiens sa natte d'une main. De l'autre je la tiens sous son menton. Je me concentre. Bien.
Je lâche une toute petite giclée de pisse. Je bande mou. Clémentine, en gémissant, me présente son visage en tournant sa tête.

J'aime Clémentine plus que tout au monde. C'est toujours difficile d'interpréter ce rôle de "Maître" que me demande Clémentine.
Même si je m'applique au mieux, je m'efforce d'éveiller dans son esprit la possibilité de vivre tout cela avec un vrai "Maître". Jeu.
Cette idée fait son chemin. Lorsque nous faisons l'amour, immobiles, Clémentine m'en parle de plus en plus souvent. C'est super.
J'espère arriver à mes fin avant l'été. Clémentine me soumet un projet fou. Faire vivre cette expérience à Estelle d'abord. Vice...
Estelle évoque cette possibilité à demi mots. Il y a ce projet de filmer un "dressage" aux écuries mais sans que personne sache.

Je lâche plusieurs petits jets nets et précis. Clémentine ouvre la bouche en poussant de petits cris de ravissement. Inondée.
Lorsqu'elle avale ce qu'elle peut c'est en gémissant de bonheur. Cette attitude, lorsque je l'observe se livrer au vice, m'enivre.
De voir cette belle jeune fille de 20 ans, avec qui je partage ma vie, que j'aime comme un fou, est toujours une nouveauté.
Je crois que je ne pourrais jamais m'y habituer vraiment. C'est un tel privilège que nous vivons tous deux. Fantasmes vivants.
Je pourrais être son père. Elle pourrait être ma fille. Nous pouvons donc tous deux nous projeter dans les fantasmes délirants.

Et nous ne nous en privons pas. Clémentine est tombée à genoux sur le carrelage trempé de pisse. Elle me taille une pipe.
Parfois, elle ouvre les yeux pour me fixer. Son regard plein de reconnaissance, amoureux et si sincère, me bouleverse. Joie.
Je la force à se redresser. Je m'accroupis pour lui masser les genoux. Pas vraiment l'attitude d'un "Maître". Je la tiens très fort.
Je lui retire sa robe trempée de pisse. Elle est nue. Je l'essuie avec la serviette qui pend à côté du petit lavabo des toilettes.
Je l'entraîne au salon. Clémentine adore le contact froid du cuir sur sa peau. Je la bascule sur le canapé. Elle m'attire sur elle.

Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons l'un dans l'autre sans bouger. Et parfaitement immobiles.
C'est toujours dans ces moments d'une intensité solennelle que Clémentine confesse ses plus étonnantes révélations. Bonheur.
Une fois encore elle évoque les écuries en me confiant à quel point l'endroit l'excite, l'après-midi lorsqu'elle doit s'y rendre...
J'abonde dans ce sens en soulignant des possibilités bien vicelardes. D'être attachée, tourmentée, humiliée par le palefrenier.
Clémentine n'écoute plus seulement mais depuis quelques temps me demande de préciser des situations et des particularités.

Nous passons une grande partie de la soirée à faire l'amour. Alternant les bercements rythmés et les moments d'immobilité.
Nos histoires d'écuries, de palefrenier vicieux, de "Maître" ne sont encore que des fictions très excitantes. Clémentine adore.
Elle me murmure plusieurs fois : < Je veux le faire. Mais avec toi tout près. Je veux te savoir caché à me regarder ! >. Joie.
Il est 22 h30. Nous sommes à l'extrême limite. L'orgasme n'est pas loin. Nous montons. Toilettes. Salle de bain. Enfin le lit.
Nous nous terminons dans une apothéose de plaisir. J'offre le cunnilingus qu'adore Clémentine. Elle m'offre ma fellation. Dodo.

Bonne soirée de révélations, de jouissances, d'émotions diverses et de giclées de pisse à toutes les coquines qui apprécient...

Julien - (Qui n'a pas l'âme d'un "Maître" mais qui se débrouille plutôt bien dans ce rôle difficile qui lui est demandé) -

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Estelle vient nous rejoindre en soirée. Nous sommes si bien à trois...

Hier matin, jeudi, ce qui semble devenir une constante s'installe dans nos habitudes. Il est 5 h55. Nous nous réveillons.
C'est juste cinq minutes avant que ne résonne le cube réveil réglé sur France Musique. Nous nous étirons longuement.
Un long gémissement que nous modulons et que nous ponctuons par des cris : < Bonjour mon amour ! > faisons nous.
Nous rions de bon cœur avant que Clémentine ne me chevauche. Douceur et tendresse. C'est le moment des papouilles.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Dès nos rituels pisseux accomplis, nous descendons à la cuisine.

Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain Bio grillé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons le bilan de la journée passé et celui de la journée à venir.
Ce soir, en rentrant, à 18 h, Clémentine récupère Estelle qui vient passer la soirée avec nous. Nous nous en réjouissons.
Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. Le thermomètre extérieur indique moins 3°. Un fin tapis de neige.
Comme toujours, pendant les exercices aérobic, on fait les clowns sans perdre le rythme. La journée commence donc fort.

La douche. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Plein de bises. Douceur.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le jour s'est levé sous une vraie grisaille.
Je rentre. Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je termine la quinzième toile destinée à ma saison d'été dès demain.
Je peins donc dans un enthousiasme débridé. Je pousse les cris les plus surréalistes à chaque coup de pinceau plus intense.

Il est rapidement midi. Sans même regarder l'heure, je le sais. C'est mon horloge biologique conjuguée à la faim qui pointe.
Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau pour le millet doré. Je prépare une sauce au Roquefort. Clémentine rentre. Bonheur.
Ma compagne se précipite dans mes bras. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Heureuse.
Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare la pâte à pain pour les pizzas de ce soir. Tout va très vite. La garniture. Bien.
Clémentine me raconte sa matinée. < Juliette est passée me voir 5 mn au bureau. Elle t'envoie son bonjour ! > me fait elle.

Dans la pâte à pain, je mets toujours le jus d'une gousse d'ail que je presse, du gruyère finement râpé. Un peu de curcuma.
Je dépose un linge sur le saladier dans l'endroit le plus chaud de la cuisine. Elle va reposer et gonfler jusqu'à ce soir. Super.
Je fais une garniture "maison". Ail, oignons, tomates fraîches, persil, ciboulette, olives dénoyautées à la Grecque. Gruyère.
Tout est prêt pour la soirée. Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Ma compagne me parle de son travail. Haras.
< C'est sympa ! Mais vivement que je retourne en faculté ! Je ne me destine pas à une vie de bureau ! > me fait elle. Bien.

Elle rajoute : < Ce genre de situation me motive encore davantage pour l'obtention de mon "Master". J'espère l'avoir vite ! >
Je la rassure. Avec l'énergie qu'elle met dans le travail fournit il serait tout à fait impossible de rater cet examen. Nul doute.
Une fois son "Master" en poche, ce sera une autoroute pour la préparation de son Doctorat et la vie d'enseignante en faculté.
Clémentine sait que sa vie privilégiée, ici, avec moi, lui permet d'affronter tout cela dans la plus parfaite sérénité. Rassurant.
Je rajoute encore : < Et tu peux prendre tout le temps qu'il faudra ! >. Clémentine me fait : < Je sais Julien et ça m'aide ! >

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Pour protéger son pantalon à plis, son chemisier sous le pull, elle porte un tablier.
J'aime la voir ainsi à essuyer les assiettes, les couverts. J'aime la regarder aller et revenir du buffer tout en bavardant. Belle.
Nous avons 25 minutes devant nous. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au salon. Elle retire son pantalon et sa culotte.
Vautrée dans le canapé, cuisses largement écartées, elle me montre sa foufoune de la main gauche et le coussin de la droite.
Je m'y mets à genoux. Je hume longuement sa matinée de fille. < Tu m'as drogué à ça ! > me dit elle en m'observant. Joie.

Clémentine me guide en me tenant par les oreilles. Je lèche les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe si humide.
Les gémissements de ma compagne encouragent mes explorations linguales. < Je t'aime, Julien, si tu savais ! > me dit elle.
Je bouffe cette chatte suintante de cyprine en me régalant de ce goût vinaigré, légèrement acidulé et piquant. Un vrai délice.
Pourtant, il nous faut êtres vigilants. L'heure tourne. Je cesse. Je me relève. Clémentine me tend ses mains que je saisi. Joie.
Nous montons à la salle bain. Lavage de dents. J'accompagne ma compagne jusqu'à la voiture. Un dernier coucou de la main.

Il est 13 h 50. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans une allégresse glorieuse et héroïque. C'est un peu magique.
Cet enchantement paradisiaque me fait pousser les cris les plus surréalistes. Je remporte quantité de victoires. C'est fabuleux.
La nuit tombe. Sans même regarder l'heure, je sais déjà l'apothéose que sera l'arrivée de Clémentine. L'échéance approche.
Du bruit. Des rires. Clémentine entre dans l'atelier en se précipitant vers moi. Elle me couvre le visage de baisers. Tendresse.
Estelle arrive à son tour. Elle me fait plein de bisous. < Bonsoir Julien ! > me susurre t-elle. Clémentine sur mes genoux. Joie.

Estelle et Clémentine sont assises à la table, entourées de leurs affaires devant l'ordinateur. Estelle a consigné les notes.
Clémentine peut donc prendre connaissance des cours qu'elle a manqué. Tout est magnifiquement organisé, bien agencé.
Je peins en écoutant Estelle expliquer les cours. J'entends déjà la future professeur. Elle aussi se prépare à cette profession.
Il est 18 h45. Je laisse les filles pour aller à la cuisine pour m'occuper du repas du soir. J'étale la pâte onctueuse. Moelleuse.
J'y étale la garniture. J'ouvre une boîte de crevettes que je dispose sur le tout avant de recouvrir de gruyère et de Parmesan.

Estelle me rejoint la première. Je mets les pizzas au four. Je suis penché en avant. Elle en profite pour m'attraper les couilles.
A travers le tissus de mon pantalon, Estelle me palpe fermement. < T'as encore les boules, hein, mon salaud ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur. Clémentine arrive à son tour. < J'ai le dos tourné deux minutes et voilà ! > dit elle en m'embrassant.
Estelle prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Je mets la table. Nous passons au salon. Estelle palpe ma braguette.
< Mais tu es une vraie nympho ce soir ! > lui fait ma compagne en s'interposant. Nous nous vautrons dans le canapé. Sympa.

Clémentine monte pour aller se changer. Sur le pas de la porte, elle nous lance : < Et vous restez sages les vicieux ! Ok ! >
Bien évidemment, demander une telle chose à Estelle lorsqu'elle est "allumée", est une sorte de chimère tout à fait utopique.
< Je pense à ta bite tout le temps ! C'est mon "Doudou" ! Tu me la donne un peu ! > me fait elle en me faisant plein de bises.
Je suis toujours un peu distant lorsque Clémentine n'est pas avec nous. Estelle le sait s'en amuse et me provoque. La coquine.
Clémentine revient. J'ai la bite dans la main d'Estelle qui me la tord dans tous les sens. Surtout vers la bas. C'est douloureux.

< Je peux avoir ma sucette ce soir ? > demande Estelle à Clémentine qui répond : < Si tu es bien sage et bien obéissante ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle rajoute : < Je serais très sage et très obéissante car je veux mériter la récompense ! >
Tout en bavardant Estelle me tord la bite le plus souvent vers le bas. Elle sait que c'est presque douloureux. Elle le fait exprès.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Heureusement que la sonnerie du four soulage ma bite turgescente. Ouf !
Nous nous précipitons à la cuisine. Je sors les pizzas du four. Clémentine remue la salade. En jean et en chemise à carreaux.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les cours. Clémentine pose quelques questions précises. Des informations.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. < Sors ta bite ! > me demande Estelle en me serrant.
Tout en mimant une pipe, sa main fermée devant la bouche, sa langue faisant une bosse à l'intérieur de sa joue, elle se serre.
Clémentine s'interpose et nous entraîne au salon. < J'ai été bien sage ! > fait Estelle en posant le coussin devant le canapé.
< Et bien dis donc, c'est un besoin impérieux ! > lui fait ma compagne en s'installant dans le fauteuil. Je me vautre. Canapé.

Je sors mon sexe. Je bande mou. Il y a du liquide séminal qui perle au bout. Dégoulinant le long de mon prépuce fripé. Ridé.
Estelle, à genoux entre mes cuisses, renifle tout en observant ma queue avec l'attention d'une entomologiste. Estelle, si belle.
Clémentine, que tout cela excite toujours beaucoup, s'apprête à vivre un film réel en passant une main dans son jean ouvert.
Estelle lèche mon sexe en récupérant l'épanchement visqueux qui s'écoule de mon méat. Je lui caresse la tête et les cheveux.
Rapidement, je me retrouve avec le sexe dans la bouche de cette superbe jeune fille de 20 ans qui partage un peu de nos vies.

J'ai à nouveau cette délicieuse sensation d'avoir la bite dans un bol de purée tiède. C'est fabuleux. Je me fais tailler une pipe.
Clémentine se touche en nous observant. Ma compagne est une grande masturbatrice. Rien ne l'enchante davantage que ça.
Aussi, lorsque nous vivons ces situations avec Estelle, notre "petit animal de compagnie" comme elle l'appelle, elle en profite.
Je regarde les traits du visage d'Estelle. Concentrée, poussant de légers et discrets gémissements, elle déglutit avec difficulté.
Estelle ouvre parfois les yeux pour me fixer. Cela ne dure jamais longtemps. Gênée, timide, elle ferme les yeux en pompant.

Clémentine pousse des soupirs de plus en plus profonds entre deux gémissements. Elle me fait de délicieux sourires. Clin d'œil.
Je lève le pouce pour lui signifier ma satisfaction. Ma compagne fait de même comme pour me féliciter. Estelle gémit de plaisir.
Pour lui permettre de reposer sa mâchoire, à plusieurs reprises je la repousse délicatement. Je me penche. Je lui fais des bises.
La soirée se déroule ainsi. Ce soir, je décide de ne pas éjaculer dans la bouche d'Estelle. Je lui dis : < C'est pour Clémentine ! >
Ma compagne m'envoie des bisous en soufflant dans sa main libre. Il est 22 h15. Je force Estelle à cesser. Elle pousse un râle.

Estelle, debout devant le canapé, reprend ses esprits ! < Put-Hein comme c'est bon ! T'étais juteux ce soir ! > me confie t-elle.
Elle rajoute encore en se massant les genoux : < Elle va se régaler tout à l'heure, Clémentine ! >. Clémentine cesse sa branle.
Elle se redresse à son tour. Nous passons nos anoraks. Nous ramenons Estelle. Elle revient passer le Week-End avec nous. Joie.
Nous sommes de retour pour 22 h45. Nous montons. Toilettes. Clémentine se régale de mes épanchements. Un vrai "mélange".
Au lit nous nous offrons le plaisir. Petite baise avec "confessions". Un cunnilingus. L'orgasme de Clémentine est fou. Pipe. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se masturber tout en regardant leurs copines sucer leurs mecs. Avec délectation...

Julien - (Qui s'est encore fait vider les couilles toute la soirée. Estelle, délicieuse et belle pompeuse s'est encore régalée) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 329 -



Le Week-End de Clémentine commence le vendredi à midi. Le mien aussi...

Hier matin, vendredi, une fois encore, nous nous réveillons en même temps. Nous nous étirons longuement en gémissant.
< Bonjour Julien ! > fait Clémentine dans un cri. Je dis : < Bonjour Clémentine ! >. Elle me chevauche en riant. Papouilles.
L'impérieux besoin naturel met rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Elle m'entraîne par la main aux toilettes.
Dès la fin de nos rituels pisseux, morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. C'est le petit déjeuner.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous mangeons de bon appétit dans l'agréable odeur de pain grillé. Un régal.

Nous bavardons. Clémentine fait le bilan de la journée passée et le programme de celle qui nous attend. Elle termine à midi.
< Le temps passe plus vite au bureau qu'à la fac mais c'est beaucoup moins intéressant ! Routine ! > me fait ma compagne.
Elle rajoute encore : < Je ferais comme toi ! Je ne ferais toujours que ce qui me passionne ! >. J'écoute avec attention. Joie.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Le thermomètre extérieur indique moins 3°. Il fait très froid.
Il y a toujours ce fin tapis de neige au sol qui a du geler. 6 h30. Aérobic, abdos et charges additionnelles. Intensité maximale.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint très chaudement vêtue. Le jour est levé.
Des bisous. Il est déjà 7 h45. Un dernier coucou de la main. Un dernier conseil de prudence. Je regarde la voiture disparaître.
Je rentre. Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. 8 h15.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je termine ce matin la quinzième toile destinée à ma saison d'été. J'ai de l'avance.
Je peins dans un enthousiasme démentiel. Je pousse les cris les plus invraisemblables et les plus surréalistes. Contentement.

Je termine cette nouvelle œuvre vers dix heures. Je la pose contre le mur. Dehors, le ciel est gris, bas et plutôt sinistre. Dur.
J'installe la nouvelle toile vierge sur le chevalet. Je commence le dessin préparatoire de ma seizième réalisation. Dans la joie.
Il est rapidement midi. Je file à la cuisine. Je fais bouillir de l'eau pour les coquillettes. Clémentine arrive. Pressée et contente.
< C'est Week-End ! > s'écrie t-elle en se précipitant dans mes bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Plaisir.
Nous aimons rester ainsi à savourer l'instant des retrouvailles. Je verse les coquillettes dans l'eau bouillante. Je fais la sauce.

Clémentine s'occupe de la salade. Une belle scarole dont elle lave soigneusement chaque feuille en me racontant sa matinée.
< Tu as le bonjour de Juliette ! > me fait Clémentine. Elle rajoute encore : < Elle est hyper contente du boulot que je fais ! >
Je précise : < Comment pourrait-il en être autrement ? Et tu es tellement consciencieuse dans tout ce que tu entreprends ! >
J'égoutte les coquillettes avant de les disposer dans le plat en terre cuite. Je recouvre d'une épaisse couche de gruyère râpé.
Je mets au four. Clémentine finit l'assaisonnement de la salade. Je mets la table. Nous montons, Clémentine veut se changer.

Portant juste sa chemise à carreaux, Clémentine me fait tomber sur le lit. < Je t'aime Julien ! > me fait elle en m'embrassant.
Je suis toujours sous le charme de l'indicible douceur dont fait preuve ma compagne. C'est souvent comme une première fois.
Tout en fouillant ma bouche de sa langue exploratrice, elle ouvre ma braguette. Juste la tirette comme elle aime. Pas le bouton.
Je sens sa main fouiller dans mon slip. Je mets ma main entre ses cuisses chaudes. Je m'attarde dans l'épaisse toison pubienne.
Nous nous caressons en nous chuchotant des douceurs. < Ce Week-End, je vais m'occuper de ton cas ! > me murmure t-elle...

La sonnerie du four. Clémentine met son jean. Nous descendons à toute vitesse poussés par une faim de loups affamés. Joie.
Je sors le gratin du four. Clémentine remue la salade. Je coupe le feux sous la sauce. Nous mangeons de bon appétit. Délice.
< Déjà la première semaine de mon stage qui s'achève ! > me fait ma compagne. < Plus que deux semaines ! > rajoute t-elle.
Son stage en entreprise se termine le vendredi 23 février. Juste pour les vacances de Carnaval. < C'est génial ! > me fait elle.
Clémentine rajoute encore : < J'aurais deux semaines pour tout réviser, tout revoir ! Vivement l'épreuve et mon "Master" ! >

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous filons à l'atelier. Estelle a déjà envoyé les cours.
Ma compagne me montre le courriel envoyé par Estelle. Sur l'écran je découvre trois pages d'annotations. Des manuscrits.
< Elle ne s'emmerde pas. Elle fait des photos des notes qu'elle prend ! Super ! > fait Clémentine en allumant l'imprimante.
Je trouve cette organisation performante. Tout y est consigné. Clémentine, assise à la table, s'apprête à mettre au propre.
Je continue le dessin préparatoire de ma seizième toile. Le crépitement du feu. Les souffles de nos concentrations. Bonheur.

Nous travaillons sans voir passer le temps. Parfois, l'un d'entre nous va rejoindre l'autre. Douceurs, tendresse et papouilles.
< Ras le bol ! > s'écrie Clémentine derrière moi. Juste au moment précis où je termine mon dessin. Elle vient me rejoindre.
Assise sur mes genoux, ma compagne me raconte l'avancée de son travail. < Je suis à jour de tout ! Super ! > me fait elle.
Nous sommes tous deux rassurés quand à nos activités. Le jour va bientôt faire place au crépuscule. Et il est déjà 17 h30.
Nous rangeons nos affaires. Nous quittons l'atelier. Nous passons au salon. Nous écrivons ce récit que je poste aujourd'hui.

Il est dix huit heures. Il fait presque nuit. Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un message. SMS. Clémentine s'en empare.
< C'est la fille du restaurant ! > me fait elle en me faisant lire le texto. La jeune fille nous demande s'il faut garder une table.
Je dis : < Bien sûr ! Qu'en penses tu ? >. Clémentine me fait des bises en disant : < Super ! Je réponds ! >. Elle écrit "Ok".
Nous y serons pour 20 h. Ces soirées au restaurant, le vendredi soir, deviennent une habitude. On y mange si bien. Super !
Clémentine passe sa main dans ma braguette pour fouiller mon slip. < Tu seras bien vicelard, ce soir ! Tu veux ! > dit elle.

Nous rions de bon cœur lorsque ma compagne rajoute : < Si elle nous contacte, c'est qu'elle veut mâter un peu ! Salope ! >
C'est évident. Clémentine revient sur nos précédentes aventures au restaurant de l'étang. L'attitude de la jeune serveuse.
Tout en développant ses ressentis, ma compagne m'explique la marche à suivre pour affirmer davantage notre complicité.
Tout cela n'est possible que parce que nous sommes un couple. Clémentine et la serveuse sont toutes deux étudiantes. Sûr.
De plus, âgées de 20 ans toutes les deux, il s'est forcément créé une complicité. La serveuse est en confiance. Opportunité.

Nous montons pour nous changer. Sur la demande de ma compagne, je porte mon costume de velours marron. C'est sympa.
Une chemise, une cravate assortie sous un pull brun dont le col est en "V". Mes souliers bruns de ville. Me voilà très élégant.
Clémentine porte une de ses jupes d'épais velours carmin. Un chemisier sous un pull marron. Ses collants d'épais coton noir.
Ses bottes à talons hauts. Accroupie devant le miroir, les cuisses largement écartées, elle me montre l'ouverture du collant.
On voit bien l'éclat de sa culotte blanche. Je la félicite. < J'espère qu'il y aura un "plan" exhibe au restau ! > me confie t-elle.

Nous voilà en route. Il y a douze kilomètres. Nous passons devant le haras. Il est 19 h30. Il y a encore des lumières allumées.
< Regarde ! Mon bureau est éclairé ! > me fait ma compagne en me montrant le bâtiment. Je roule doucement. Verglas. Froid.
Clémentine joue avec mon sexe. Sous mon manteau, j'ai obligation de laisser ma braguette ouverte. C'est discret et invisible.
Nous arrivons sur le parking du restaurant. L'étang est entrain de geler, de se couvrir de blanc. Nous en faisons le tour. Bises.
La jeune serveuse vient nous accueillir. Nous nous serrons la main. Elle ne peut dissimuler sa joie de nous revoir. Sympathique.

Notre table habituelle nous est réservée. Nous prenons place. Il y a quelques couples. La jeune fille a le temps de bavarder.
Elle nous raconte sa semaine. Ses études. Elle prépare une agrégation de lettres modernes. Elle se destine à l'enseignement.
Nous apprenons que le restaurant appartient à sa tante, la belle dame que nous apercevons quelquefois derrière le comptoir.
Nous passons commande. Ce sera deux grands plateaux de fruits de mer. Depuis le comptoir, la serveuse me fait des sourires.
Clémentine me fait : < Fais lui le coup des chiottes tout de suite ! Et tu refais une seconde fois après le repas ! >. Je me lève.

La jeune fille est surprise de me voir me diriger vers l'escalier. Je pointe mon doigt. Elle fait un curieux sourire. Je descends.
J'entre dans les toilettes homme dont je laisse la porte entre bâillée. Je n'ai que le temps de sortir mon sexe qu'il y a du bruit.
Quelqu'un descend l'escalier. Je regarde discrètement. C'est la jeune fille. Je bande mou. Je fais tournoyer mon sexe en lasso.
Elle entre. Elle reste debout entre le lavabo et l'urinoir mural. Je lui lance : < Tu viens au spectacle ? >. Elle reste silencieuse.
En souriant elle me regarde agiter mon sexe. Je le fais tourner doucement. Je dis : < Tu mâtes souvent dans les chiottes ? >

Sans répondre, en me lançant un regard entendu, elle remonte rapidement. Je rejoint Clémentine à qui je raconte l'aventure.
La jeune serveuse nous amène les plateaux de fruits de mer. Clémentine demande : < C'était comment ? >. Pas de réponse.
La jeune fille se contente de sourire. Nous mangeons de bon appétit. A plusieurs reprises j'observe la serveuse. Un clin d'œil.
< Retourne aux chiottes. Raconte moi au retour ! > me demande Clémentine. J'ai la bite à l'air sous la table. Discrètement...
Je passe devant le comptoir. Je tourne le dos à la salle où il n'y a que trois couples disséminés. Je soulève un peu mon pull.

Si le lecteur regarde attentivement la photo de mon avatar, il a une idée très exacte de ce que découvre la jeune fille. Sourire.
Je montre la descente de l'escalier en pointant mon doigt. J'entre dans les toilettes. Je bande mou. Je recommence mon truc.
Je n'y suis pas deux minutes que la serveuse descend à toute vitesse. Elle entre dans les toilettes. Je lâche un jet de pisse. Net.
Le jet vient se briser entre le lavabo et l'urinoir. Je lui dis : < Tu as envie de goûter un peu ? >. Elle m'observe avec sérieux.
Je rajoute : < Goûter de la bite, juste pour voir ! >. La jeune fille me répond enfin : < De la bite de vicieux ? >. Elle me sourit.

Une nouvelle fois, elle ne s'attarde pas. Elle remonte à toute vitesse. Elle est au travail. Il y a des notes qui sont demandées.
Je remonte. Je raconte ma nouvelle expérience à Clémentine qui me fait : < Pas de doute ! Elle fait partie du "Club" ! >. Joie.
Nous prenons le dessert. Je demande la note. La patronne est derrière le comptoir. Je remballe discrètement ma bite humide.
La jeune fille nous raccompagne jusqu'à la porte. Je lui dis : < On se voit demain matin, au supermarché ? >. Elle me mâte.
< A quelle heure ? > demande t-elle. Clémentine lui dit : < Vers onze heures trente, aux bouquins ? >. < Ok ! > fait la fille.

Sur la route du retour, tout en jouant avec mon sexe, Clémentine me fait part de ses impressions. < Une belle salope ! >
Nous rigolons comme des bossus. Elle rajoute : < Deux visites aux chiottes pour te rejoindre ! Et trois la prochaine fois ! >
Il est 23 h lorsque nous arrivons à la maison. Les toilettes. Nous savourons nos épanchements pisseux. La salle de bain.
Au lit, nous nous offrons un "69" qui nous met en appétit. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Immobile.
Clémentine me confesse les plus salaces confidences. Je lui offre un cunnilingus orgasmique. Elle m'offre une fellation. Dodo.

Bonne soirée de retrouvaille au restaurant avec votre jeune serveuse préférée et terriblement vicieuse à toutes et à tous...

Julien - (Qui se fait un devoir de contenter toutes les jeunes voyeuses vicieuses à condition qu'elles soient majeures) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 330 -



Encore un Week-End à l'enchantement paradisiaque...

Hier matin, samedi, il est à peine 7 h45, lorsque j'ouvre les yeux. Je suis réveillé par un léger mouvement des couvertures.
Je tourne la tête pour découvrir Clémentine, couchée sur le ventre, qui se touche le plus discrètement possible. Merveilleux.
Je reste sans bouger et je chuchote : < Bonjour Clémentine ! >. Elle cesse aussitôt pour se serrer contre moi en soupirant.
< Bonjour Julien ! J'ai encore fait un rêve érotique ! >. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle m'en raconte la teneur. Le haras.
Clémentine me chevauche en riant. Elle me fait : < Et je t'ai réveillé alors que je tente d'être la plus discrète possible ! >...

Je la rassure. Elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Dès nos rituels pisseux terminés nous descendons à la cuisine.
Morts de faim, nous prenons un copieux petit déjeuner. Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Le ciel est bas, sinistre.
Nous mangeons de bon appétit. C'est samedi. Nous pouvons prendre notre temps. Clémentine raconte son rêve en détails.
Elle s'est encore retrouvée aux écuries et il y avait monsieur Gérard, le palefrenier vicelard. J'écoute en silence mais amusé.
La vaisselle. Clémentine propose de nous offrir enfin ce jogging qui nous manque tant. Nous montons nous mettre en tenues.

Vêtus de nos leggings, de nos sweats, de nos K-way, bonnets, gants, écharpes devant la bouche nous courrons dans le froid.
C'est là que nous prenons l'exacte mesure de ce plaisir que nous remplaçons mal par une heure de gymnastique quotidienne.
La campagne est blanche de givre. Le sol est recouvert d'une très fine couche de neige qu'un léger vent éparpille en tourbillon.
Une heure trente d'un running bienfaiteur et des plus agréables. Il est 10 h lorsque nous revenons nous mettre au chaud. Bien.
Nous prenons notre douche. Nous nous habillons. Nous décidons de rester en jeans, en chemises à carreaux et nos pulls épais.

Bien au chaud dans nos anoraks, nous voilà à rouler en direction du bourg pour aller y faire notre marché. Légumes et fruits.
Il y a du monde. Sur la demande de Clémentine, je garde ma braguette discrètement ouverte. Invisible. Queue bien au chaud.
Tout va vite. Nous faisons nos courses chez notre agriculteur habituel et chez notre artisan fromager toujours aussi amusant.
Nous bavardons un peu avant de retourner à la voiture. Nous voilà sur la petite route qui nous mène en ville. Douze bornes...
Je roule prudemment. Il y a un léger verglas. Clémentine joue avec ma bite tout en revenant sur le rêve érotique de cette nuit.

Je gare l'auto sur le parking du supermarché. Il y a du monde. Je pousse le caddie. Nous voilà bien au chaud dans le magasin.
Il est à peine 11 h10. < Nous avons notre rendez-vous aux bouquins à 11 h30 ! > me rappelle ma compagne. Déambulations.
Clémentine dépose les achats au fond du chariot. Nous parcourons les allées afin de ne rien oublier. Elle tient la liste. Courses.
Il est 11 h25. Nous nous dirigeons doucement vers le rayon culturel. C'est un espace vaste où sont présentés livres et albums.
Clémence, la jeune serveuse est là-bas, à feuilleter un bouquin. Elle nous voit arriver. Elle affiche un sourire éclatant. Radieux.

Clémentine et moi, nous sommes de hautes tailles. Clémence doit mesurer tout au plus son mètre soixante dix. Svelte. Fragile.
Nous nous saluons. < Ma mère est quelque part dans le magasin ! > nous fait elle avant de raconter sa semaine d'étudiante.
La jeune fille parle avec passion de ses études. Clémentine évoque son stage en entreprise. Elles ont 20 ans, elle parlent cours.
J'écoute en silence. Je découvre toujours avec bonheur la passion qui anime ces jeunes filles lorsqu'elles évoquent les études.
Clémence me vouvoie alors que moi, à dessein, et sur la recommandation de Clémentine, je la tutoie. Elle semble s'en réjouir.

Un petit moment se passe en conversations qui dévient à présent sur les loisirs. La jeune fille attend les beaux jours. Le vélo.
Nous découvrons qu'elle fait partie d'un club cycliste dont son père est président. Une activité que nous pratiquons également.
Un autre point commun. Clémence doit nous laisser pour rejoindre sa mère au rayon des surgelés. Nous nous serrons la main.
Juste avant que nous nous séparions, ma compagne lui fait : < On vous invite un de ces jours. Vous avez nos coordonnées ! >.
< Au premiers beaux jours. Et je viens à bicyclette ! > répond la jeune fille avant de s'en aller d'un pas rapide. Nous partons...

Il est midi trente lorsque nous sommes de retour à la maison. Nous rangeons nos courses. Mon téléphone sonne. Je le prends.
Clémentine s'en empare. < C'est Estelle ! > me fait elle avant d'entamer une conversation amusée. Je prépare les ingrédients.
Pour midi, nous nous faisons des haricots verts et des petits pois. Accompagnés d'une sauce au Roquefort et aux champignons.
Clémentine vient me rejoindre pour préparer la salade. < Estelle nous propose de la chercher pour 14 h ! > me fait Clémentine.
Ainsi les filles pourrons bosser un peu et surtout Estelle pourra expliquer les choses les plus importantes à Clémentine. Etudes.

La préparation du repas est rapide. Pendant la cuisson, nous descendons à la buanderie vider une machine. Et le sèche linge.
Le samedi, c'est le jour de la lessive. Nous remontons. La table est mise. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant...
La conversation tourne autour de la jeune serveuse et des propos échangés avec elle ce matin, au supermarché. C'est édifiant.
Nous faisons des pronostics très amusants sur les probabilités de nous retrouver avec la jeune fille dans quelques "situations".
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine me fait : < Un repas ou une balade à bicyclette et avec ta bite à l'air ! >

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous mettons nos anoraks. Le temps de chercher Estelle.
Estelle nous attend dans l'arrêt de bus habituel, chaudement emmitouflée avec son grand sac de sport. Vêtements de change.
Assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, Estelle nous raconte sa journée de hier et sa matinée. Nous lui parlons de nous.
Il est 14 h15. Nous voilà de retour. Nous passons directement dans l'atelier. Les filles sont pressées de finaliser leurs travaux.
Je peux commencer la peinture de la quinzième toile destinée à ma saison d'été. Nous apprécions ces moments intenses. Joie.

Les filles sont assises à la table entourées de leurs affaires. Estelle explique à Clémentine ce qui s'affiche sur l'écran de l'ordi.
J'écoute en peignant et avec passion. Je pourrais presque suivre les mêmes études à force d'entendre tout cela depuis un an.
Le crépitement du feu dans la cheminée. Le souffle de nos soupirs après les concentrations. Les murmures. Un enchantement.
Le crépuscule s'annonce déjà. Il est presque dix huit heures. Ainsi nous avons à nouveau travaillé plus de trois heures. Super.
< Ras le cul ! > s'écrie Estelle. < Jamais dans le cul ! > répond Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Plutôt sympa...

Nous nous asseyons en tailleur sur l'épais tapis pour regarder l'âtre de la cheminée. Le spectacle du feu est toujours agréable.
Les filles sont toutes contentes. Surtout Clémentine qui est rassurée. Elle a rattrapé tous les cours de la semaine. C'est super.
Nous bavardons jusqu'aux environs de dix neuf heures. La faim commence à se faire sentir. Nous nous précipitons à la cuisine.
Ce soir, on fait simple. Un gratin de spaghettis accompagné d'une poêlée de légumes. Nous nous mettons à la tâche. Sympa.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle émince l'ail, l'oignon, la ciboulette et les champignons. Moi je nettoie les aubergines.

Nous bavardons. Les filles évoquent les écuries. < Tu as affaire à des trucs salaces avec le palefrenier ? > demande Estelle.
< Non, il est courtois et n'a jamais la moindre attitude ambiguë. Je suis une collègue de travail ! > lui répond ma compagne.
< Par contre, dès mon stage terminé, nous reprenons les choses où nous les avons laissé ! > rajoute Clémentine. Rigolade.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous filons au salon.
Nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé savourant la satisfaction de savoir toutes choses accomplies et réglées.

Estelle est assise à ma gauche. Clémentine est assise à ma droite. Je tiens les filles par leurs épaules. Nous bavardons. Rires.
< Surprise ! > fait Estelle en sortant une clef USB de la poche de sa chemise. Elle l'agite devant nous. Je dis : < C'est quoi ? >
< Film ! > me répond Estelle en tendant la clef à Clémentine qui se lève pour allumer le téléviseur. La clef dans l'ordinateur.
Nous sommes tous les trois devant l'écran. Nos trois visages apparaissent. Clémentine à droite, Estelle au milieu, moi à droite.
Nous sourions à l'objectif. Estelle a le visage ruisselant de pisse et de foutre. C'est le film que nous avons tourné l'an dernier...

< Génial ! > fait Clémentine. < Et ça fait bientôt un an ! > dit Estelle. Nous revoyons ces images avec plaisir. Séance bondage.
C'est un montage d'Estelle qui a ainsi élaboré un film d'une vingtaine de minutes. Une de nos séances de "dressage" du début.
< Il faudra en refaire des nouveaux, je connais par cœur ! > nous fait Estelle. Elle est en vrai à ma gauche. Actrice dans le film.
C'est toujours une émotion de nous revoir tous les trois livrés au stupre et à la luxure. Et ça commence fort. Estelle bien ficelée.
Nous la découvrons attachée sur la chaise à l'envers, le dossier entre ses jambes écartées, en jupe mais avec sa culotte. Rires.

Je ne me souvenais plus de tout. Je redécouvre ces images avec plaisir. Clémentine tient la télécommande. Arrêts sur image.
J'ouvre ma braguette. Estelle y fourre sa main. Je sors mon sexe. Je bande mou. A l'écran on me voit accroupi devant Estelle.
Je scrute avec attention sous sa jupe. C'est Clémentine qui filmait. Superbes images. Je glisse ma main sous la jupe d'Estelle.
Estelle déteste être touchée tout comme elle refuse de se retrouver sans culotte. On peut la voir tenter de se débattre. Le film.
Clémentine la main dans son jean, fait de nombreux arrêts sur images. Estelle me tient la queue. Je bande comme un salaud.

A l'écran, on me voit me mettre debout devant Estelle toujours ligotée sur sa chaise. Je passe ma bite sur son visage d'ange.
Je la tiens fermement par ses cheveux. A l'époque elle ne suçait pas encore comme aujourd'hui. On la voit se débattre. Fort.
< Tu jouais bien ton rôle de petite vierge effarouchée ! > fait Clémentine à Estelle qui commente les images. C'est vicelard.
Dans le film, on peut me voir enfoncer mon sexe dans la bouche de la jeune fille à qui je pince le nez pour la forcer à avaler.
Bien évidemment, ce film est privé et ne sera jamais vu par d'autres. Mais notre joie de le revoir est immense. Beau travail !

Nous passons au moins deux heures à regarder ce film. Avec les arrêts sur images fréquents et les zoom que fait Clémentine.
Estelle me masturbe doucement. Clémentine se touche. Je demande à Estelle : < Et toi ? >. Elle me répond : < Chez moi ! >
Clémentine, que ces situations excitent terriblement, est déjà obligée de se contrôler. L'orgasme la guette. C'est merveilleux.
Le film s'achève sur la même image qu'au début. Estelle, le visage ruisselant de pisse et de foutre, souriante entre nous deux.
Estelle nous fait : < Et j'en ai encore deux autres ! Le grenier et la cuisine ! >. Nous rions de bon cœur à cette évocation. Joie.

< J'emmène le "Grenier" samedi prochain ! > nous fait Estelle. Je me souviens. C'était sa première vraie séance de "dressage".
Il est 22 h30. Epuisés par cette soirée à nous branler, nous montons. < Et toi ? Tu n'as pas envie ? > lui demande Clémentine.
Estelle répond : < Si ! Je me branle tout le temps chez moi ! Même dans le bus, discrètement, assise derrière le chauffeur ! >.
Nous rigolons comme des bossus de ces révélations étonnantes. Nous voilà au lit. Clémentine et moi nous nous offrons un "69".
Estelle nous observe nous sucer et lécher à tour de rôle. Elle me chuchote des saloperies, me pose des questions saugrenues.

Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Joie.
Estelle, son visage tout près des nôtres, écoute nos confidences. < Je me touche ! > nous murmure t-elle. Nous l'écoutons.
Entre deux apnées, avec de profonds soupirs, Estelle nous raconte ses masturbations. Son désir de vivre d'autres situations.
< A cause de vous deux, je suis devenue une véritable salope ! Comme c'est bon ! Merci ! > nous chuchote t-elle. C'est excitant.
Je me retire. J'offre un cunnilingus fou à Clémentine qui me termine par une pipe. Estelle a un orgasme. Derniers aveux. Dodo...

Bon Week-End à mâter vos réalisations cinématographiques à toutes les coquines qui aiment faire l'actrice en films privés...

Julien - (Qui est très bon spectateur, sait également jouer au "Maître". Et avec tout l'éventail des situations souhaitées) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 331 -



Quoi de plus sublime que de passer le dimanche tous les trois

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des murmures, des rires étouffés et plein de bisous sur le visage.
On me tient même fermement par mon érection matinale. J'ouvre l'œil et le bon. C'est Estelle qui me tient par la queue.
< Bonjour Julien ! > me font les coquines en même temps. Je me redresse pour me mettre à quatre pattes entre les filles.
Tout en imitant les grognements d'un ours des cavernes, je les chatouille. J'aime tant les voir rire toutes les deux. Plaisir.
Estelle parvient à s'échapper jusqu'aux toilettes. Clémentine me chevauche en riant. Le bonheur nous submerge. Douceur.

Estelle revient. < Je descends préparer le petit déjeuner ! > nous fait elle avant de dévaler les escaliers en pyjama mauve.
< On arrive ! > lance Clémentine en m'entraînant par la main jusqu'aux toilettes. Nous nous livrons à nos rituels pisseux.
Accroupi, je récupère la dernière goutte. Clémentine me chuchote : < Je t'aime Julien ! Tu te régales ? >. C'est un délice.
Accroupie, Clémentine récupère les derniers épanchements. Je lui chuchote : < Je t'aime ! >. Et je la force à se redresser.
Nous descendons à toute vitesse pour rejoindre Estelle à la cuisine. Il y a la délicieuse odeur de pain grillé et celle du café.

Il est à peine huit heures. Le jour est levé. Le thermomètre extérieur indique moins 2°. Le ciel est gris, bas. C'est sinistre.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études. Leurs vacances dans deux semaines.
C'est dimanche. Nous avons tout notre temps. Pas de jogging. Pas de gym. Nous traînons à table. C'est très sympathique.
La conversation s'oriente rapidement sur les écuries lorsque Clémentine parle de son stage en entreprise au haras. Boulot.
Estelle évoque les aventures que nous avons déjà vécu là-bas. Clémentine lui rappelle : < On a le film No 2 à y réaliser ! >

Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle rajoute : < Et si on créait la situation, ici, tous les trois ? Un trou dans un mur ! >.
Nous n'y avions pas pensé. Décidément l'imagination d'Estelle nous surprend de plus en plus souvent. C'est fantastique.
Clémentine me regarde et lui répond : < On va se préparer le plan pour samedi prochain ! Film d'Art et d'essais ! >. Rire.
Je trouve ce projet absolument génial. Je promets de tout préparer pour réaliser ce film samedi prochain. Les préparatifs.
< On va se préparer ça aux petits oignons ! > rajoute Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. C'est un super projet.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Les filles vont au salon. Je les entends rapidement rire.
Clémentine fait lire nos récits de la semaine, ici, sur le forum. Je passe la serpillère. J'adore cette ambiance. Superbe. La joie.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages du sol des toilettes et du hall d'entrée. Il y a le silence.
Je sors l'aspirateur du placard mural. Je vais au salon. Estelle est assise derrière le bureau devant l'écran de l'ordinateur. Rire.
< Je lis vos récits. Julien, t'es fou de tout raconter ! Je me reconnais bien ! > fait Estelle tout en mimant une branle masculine.

Je passe l'aspirateur consciencieusement sous les meubles. Clémentine est en haut entrain de faire la chambre. C'est super.
Silencieusement, comme à son habitude, Estelle passe derrière moi. Elle m'attrape par les couilles tout en les serrant fort.
Je me redresse pour lui dire : < C'est interdit quand Clémentine n'est pas avec nous ! >. Estelle me dit : < Et punis moi ! >
Je la saisi par ses cheveux pour l'entraîner derrière le bureau. Je la force à s'assoir. Elle me fait un clin d'œil en me souriant.
Tout en mimant une pipe, sa main fermée devant la bouche, elle rajoute : < Tu n'a pas envie de faire pipi ? >. La coquine !

Je monte rejoindre Clémentine qui achève de changer les draps. Je lui raconte l'attitude d'Estelle. Nous en rions de bon cœur.
< Attire là aux chiottes après ! Punis là comme elle te demande ! > me chuchote ma compagne en se serrant fort contre moi.
Je ramasse les draps sales. Nous passons à la salle de bain. Clémentine m'aide à nettoyer. Nous bavardons. Plein de bisous.
Je lave le bac à douche. Clémentine fait les miroirs. Nous nous embrassons souvent. Nous avons tant besoin de cette douceur.
Clémentine descends avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes du haut. Je passe la serpillère sur les sols.

Je descends. Les filles sont devant l'ordinateur. Elles surfent sur le site de l'université. Clémentine m'explique ce que je vois.
Les différents graphiques qui se succèdent. C'est passionnant. Il est onze heures trente. Je laisse les filles. Je vais à la cuisine.
Les pavés de saumon achèvent de décongeler. J'épluche les patates, les carottes et les navets pour la potée. Clémentine vient.
Ma compagne s'occupe de la salade dont elle lave soigneusement chaque feuille. Estelle arrive à son tour. Elle me sourit. Joie.
Estelle passe derrière moi pour me palper la braguette. Clémentine s'interpose en disant : < On se calme la nympho ! >. Rire.

Estelle émince l'ail, l'oignon et découpe les feuilles de papier sulfuré. Elle prépare les pavés de saumon en papillotes. Habitude.
La potée cuit dans la vieille cocotte en fonte. Les papillotes sont à cuire sur le barbecue électrique dans la véranda. Préparatif.
Je mets la table. Un des courts instants où nous sommes seuls à la cuisine, Clémentine me chuchote : < Attire là au WC ! >.
Je vais aux toilettes. J'ouvre ma braguette. Je n'y suis pas deux minutes. Estelle qui est montée s'habiller, entre dans le WC.
Elle me contourne, penchée en avant, pour me regarder me masturber au dessus de la cuvette de faïence. Elle s'accroupit...

< Pourquoi que te ne m'appelles pas quand tu vas te branler tout seul aux chiottes ? J'adore te voir faire ça ! > me dit elle.
Clémentine vient nous rejoindre. Penchée au dessus de mon épaule, elle observe Estelle qui mâte ma queue toute proche.
< Tu es dans ton élément, hein, petite salope ! > fait Clémentine à Estelle qui répond : < Comme un poisson dans l'eau ! >
Je passe ma bite sur le visage d'Estelle qui m'en présente tous les angles. Clémentine m'embrasse en se frottant contre moi.
J'enfonce mon sexe dans la bouche d'Estelle qui se met à me sucer comme si sa vie en dépendait. Clémentine m'embrasse.

Nous restons ainsi un long moment. L'odeur de la potée arrive jusqu'aux toilettes. Je force Estelle à se redresser. La bouffe.
Je saisi Estelle par ses cheveux. Sans ménagement je l'entraîne à la cuisine. Clémentine me tient la queue dégoulinante. Jus.
Estelle va chercher les papillotes dans la véranda. Clémentine s'accroupit pour récupérer le jus qui dégouline de ma queue.
Je la force à se redresser. Nous voilà assis. Nous mangeons de bon appétit. La conversation s'articule autour de notre projet.
Le trou dans le mur. Ce film que nous allons réaliser samedi prochain. Les filles parlent des moindres détails. C'est superbe.

La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous sommes vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux. Tous les trois.
Cet après-midi nous avons en projet d'aller en ville pour assister au défilé du premier Carnaval. C'est celui des associations.
Nous resterons en jeans. Il nous suffit de passer un pull, de mettre nos bonnets, nos gants et nos anoraks. Il est déjà 13 h45.
Je roule doucement. Douze petits kilomètres. Assise entre les pieds de Clémentine, Estelle joue avec ma queue. C'est super.
< Notre petit animal de compagnie ! > fait Clémentine en regardant Estelle qui est assise à même le sol, dans la voiture. Joie.

C'est un des avantages des grosses berlines Allemandes, il y a de la place. Nous arrivons aux abords de la ville. Du monde.
Je gare la voiture dans la petite rue habituelle à dix minutes du centre. Là ou passe le cortège du Carnaval. Il fait bien froid.
Nous marchons vite. Estelle à ma droite, Clémentine à ma gauche. Elles me tiennent par le bras. Il y a plein de monde. Fou.
Des gens se retournent pour observer cet étrange trio. Nos hautes tailles. Ces deux jeunes filles tenant un quinquagénaire.
Tout cela nous amuse toujours beaucoup. Nous arrivons sur le parcours du cortège. Il faut se frayer un passage. La foule...

Comme nous sommes grands, nous pouvons bien voir par dessus la plupart des têtes devant nous. Le cortège arrive enfin.
Nous nous faisons couvrir de confettis. < Nous en en trouverons encore au printemps ! > fait Clémentine en les secouant.
Impossible d'oublier le froid. Nous sommes chaudement vêtus. Il y aura un second Carnaval le Week-end prochain. Sympa.
Ce Week-end, c'est le défilé de celui des associations de la région. C'est un succès. Il est rapidement 16 h30. C'est terminé.
Je propose aux filles d'aller nous prendre un chocolat chaud dans notre salon de thé habituel. La suggestion est bien accueillit.

Bien évidemment, il y a un monde fou partout. Pas de place. < Venez, on rentre ! On a ce qu'il faut ! > nous fait Clémentine.
< Ouai ! On va pas s'emmerder ! > répond Estelle. Nous marchons à vive allure jusqu'à la voiture. C'est le chemin du retour.
A nouveau Estelle est assise entre les jambes de Clémentine, à même le sol. Elle joue avec ma queue. Je roule doucement.
Je me fais sucer. Clémentine montre les taches de jute sur mon jean. Elle dit : < Tu pourrais sucer proprement ! >. Rires.
Nous passons devant le haras. Je ralentis. Je saisi Estelle par ses cheveux pour la forcer à se redresser pour regarder dehors.

Clémentine lui fait : < Tu as de la bite à bouffer là-bas aussi ! >. Estelle pousse un gloussement et répond : < Bien dégueu ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < De la vieille bite incontinente de vieux vicelard impuissant ! >. Je redémarre.
Nous arrivons à la maison. Il fait nuit. Il est déjà 18 h30. Nous sommes morts de faim. Nous voilà bien au chaud à l'intérieur.
Nous faisons le bilan de cet après-midi sans réel relief. Nous décidons de ne pas retourner au défilé de la semaine prochaine.
Nous préparons notre repas du soir. Clémentine prépare des avocats aux crevettes. Je réchauffe la potée. Estelle coupe l'ail...

Nous mangeons de bon appétit. Les filles mettent au point la stratégie de la semaine à venir concernant les cours. Les études.
Je suis toujours admiratif devant les capacités organisationnelles dont sont capables les filles. C'est souvent phénoménal. Bien.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous allons au salon. Nous voilà vautrés dans le canapé.
Estelle assise à ma gauche qui me palpe la braguette. Clémentine à ma droite qui pose sa tête sur mon épaule. Nous bavardons.
Comme souvent, même si nous n'avons pas fait grand chose, il y a une certaine fatigue. Nous parlons du projet de samedi. Joie.

Nous passons dans l'atelier. Il faut être sérieux. Les filles préparent leurs affaires pour demain. Une nouvelle semaine. Boulot.
Il est rapidement 22 h. Nous ramenons Estelle. La séparation est difficile. Elle est tellement heureuse avec nous. C'est intense.
Au retour, Clémentine m'entraîne à l'étage. Les toilettes. Nous savourons nos derniers épanchements. La salle de bain. La joie.
Au lit, nous nous offrons un "69" des plus délicieux. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions.
Sans bouger, elle me confesse les plus étonnantes cochonneries. Le projet de samedi prochain. Cunnilingus. Fellation et dodo.

Bon début de semaine à toutes les coquines qui aiment à échafauder les projets les plus excitants pour le samedi prochain...

Julien - (Qui s'apprête à découvrir et à vivre de nouvelles situations intenses, excitantes et bien vicelardes) -

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Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 332 -



Et c'est reparti pour une semaine de surprises, de joies et de plaisirs d'hiver...

Hier matin, lundi, nous nous étirons en même temps juste avant que ne résonne la musique diffusée par notre cube réveil.
Nous ponctuons notre long gémissement par le même cri : < Bonjour mon amour ! >. Nous rions de bon cœur. Il est 5 h55.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux matinaux.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Tout va vite.
Nous prenons notre petit déjeuner dans une agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Clémentine fait le bilan du Week-End. Elle me parle de cette seconde semaine de stage en entreprise qui s'annonce. Superbe.
< Depuis que je vis ici, avec toi, les évènements qui s'enchaînent sont toujours heureux. Tu me portes chance ! > me fait elle.
Elle pose sa main sur la mienne pour me faire le plus délicieux des sourires. Cet être qui partage ma vie enchante mes jours.
< Le haras, Juliette, la possibilité de faire mon stage, l'Ecosse, les vacances, je suis vraiment la plus heureuse ! > me dit elle.
< Et avec toi il n'y a jamais de tension ! Tu te rends compte ! > rajoute t-elle. Je la rassure, c'est dans notre nature. Peinards.

J'ai vécu près de 20 ans avec mon ex compagne. Je ne me souviens pas de la moindre tension. Le mot dispute m'est inconnu.
J'en ai déjà parlé avec Clémentine. Si nous sommes ensemble c'est parce que nous avons tous deux le même fonctionnement.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint chaudement vêtue. Le jour s'est levé sur un ciel gris et lumineux. Il fait froid. Des bisous. Un dernier coucou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je monte faire la chambre. Je redescends pour faire la vaisselle.

J'entre dans l'atelier. J'allume du feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. 8 h15. Le thermomètre extérieur indique 1°.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme démentiel. La quinzième toile de ma saison d'été.
Avec la conversation de ce matin, je pense à ma compagne disparue dont le fantôme continue à hanter la maison. Un bruit.
C'est une présence rassurante, bienveillante qui ne provoque jamais la moindre peur ou la plus infime angoisse. Le bonheur.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Il est midi quinze. Clémentine est de retour. Elle me saute dans les bras. Bisous.

Je fais éclater du riz complet à sec dans une casserole sans cesser de remuer en huit. Je rajoute quatre volumes d'eau froide.
Un nuage de vapeur dans un bruit de locomotive. Clémentine s'occupe de la salade. Je prépare des haricots verts. Une sauce.
Clémentine me raconte sa journée. < Tu as le bonjour de Juliette ! > me fait ma compagne en me parlant de madame Walter.
Le lundi matin est chargé car il faut changer les fiches des 75 chevaux du haras. Prendre connaissance de ce qui s'est passé.
Nous mangeons de bon appétit tout en discutant. La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous passons au salon. Repos...

Nous avons trente minutes devant nous. Clémentine retire son pantalon et sa culotte pour s'installer confortablement. Canapé.
Elle me montre sa foufoune en me disant : < Dessert ? >. Nous rions de bon cœur. Je me mets à genoux sur l'épais coussin.
Je hume longuement l'odeur de sa matinée de fille. Je suis immédiatement enivré. Les effluves parfumées donnent le vertige.
Les poils me chatouillent le nez, les joues et le menton. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Humide.
Il y a ce goût vinaigré, légèrement acidulé. Piquant. Les premiers épanchements de cyprine ne tardent pas. Il y a les coulures.

Clémentine me tient par les oreilles. Entre deux gémissements, elle me chuchote : < Tu te régales mon amour ? >. Je lèche.
C'est lorsque je m'occupe de son clitoris géant que les choses deviennent sérieuses. Il faut être très vigilant. Orgasme interdit.
Il faut cesser. Clémentine me tend ses mains. Je l'aide à se relever. Nous montons à la salle de bain. Lavage des dents. Rires.
Je raccompagne Clémentine jusqu'à la voiture. Un dernier coucou de la main. Je regarde l'auto disparaître en haut du chemin.
Il est 13 h50. Me voilà à nouveau assis devant mon chevalet à me consacrer corps et âme à ma passion. Enchantement divin.

Je récompense chaque coup de pinceau plus sublime en modulant mes cris les plus surréalistes. Je danse autour de ma toile.
J'avance avec la plus totale sérénité. Par rapport aux autres années, à la même date, j'ai quatre toiles d'avance. Clémentine.
Depuis ces treize mois que nous vivons ensemble, je peins plus rapidement. Je suis encore plus méthodique et réfléchi. Joie.
La nuit fait place à ce long crépuscule d'hiver. Du bruit. Il est 18 h15. Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier. Plaisir.
Assise sur mes genoux, elle me raconte l'après-midi. < A 16 h, avec madame Walter, on a changé les fiches des chevaux ! >

J'écoute silencieux et amusé. < Madame Walter est au téléphone. Je bavarde avec monsieur Gérard, le palefrenier ! > dit elle.
< Il m'a raconté un peu de sa vie passée. Il travaille au haras depuis plus de 30 ans. Bien avant Juliette ! > me raconte t-elle.
Mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un message. Clémentine s'en saisit. < Estelle ! > me fait elle en allumant l'ordinateur.
Les filles bavardent. Clémentine découvre les courriels, les cours du jour que lui envoie et lui commente Estelle. Les études.
Assise à la table, Clémentine prend connaissance de tout cela tout en demandant quelques détails précis. Elle est au travail...

Il est 19 h15 lorsque nous nous précipitons à la cuisine. Il suffit de réchauffer le riz avec les haricots verts. Sauce au Roquefort.
Clémentine s'occupe de la salade. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme de la semaine. Les projets.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie à quel point elle est rassurée. Les cours...
< Je suis continuellement à jour grâce à Estelle ! > me fait elle. Je dis : < Tu as fais pareil pour elle ! C'est un peu normal ! >
La vaisselle. Avant de retourner travailler à l'atelier, je propose à Clémentine reprendre les choses où nous les avons laissé !

Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Elle m'entraîne au salon tout en déboutonnant son pantalon qu'elle retire. Bien.
Vautrée dans le canapé, cuisses largement écartées, jambes relevées qu'elle tient sous ses genoux, elle m'offre son croupion.
Je suis à genoux. Je hume longuement les parfums de son après-midi de fille. Je m'enivre de ces odeurs fortes, un peu âcres.
Il y a des restes de cyprine de midi qui ont dégouliné dans la raie culière. Je lèche le tout. J'ai plein de poils dans la bouche.
Je suce quantité de petites choses fondantes et non identifiables. Cela excite considérablement Clémentine qui s'installe mieux.

Je retire ma chemise. J'anticipe. Je sens les frissons qui agitent le corps de ma compagne. Elle me tient par les oreilles. Guide.
Ses gémissements ne laissent aucun doute quand au plaisir qui l'envahi. Je nettoie consciencieusement le sexe de Clémentine.
Je monte sur son clitoris géant. Il y a là des surprises qui collent. Le fromage de fille qui s'agglutine là, dans les plis des peaux.
Pour Clémentine, c'est l'épreuve habituelle. Elle déteste les orgasmes trop rapides. Je cesse à plusieurs reprises. Elle se lâche.
Je me fais pisser dessus. Un premier jet mousseux et chaud. Clémentine hurle de plaisir. Je reviens lécher. Elle recommence...

Je me félicite d'avoir anticiper en retirant ma chemise. Clémentine m'attire sur elle. J'ai la tête qui dégouline de pisse chaude.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles comme nous aimons tant le faire.
Je suis en appui sur mes bras. Je déteste peser de tout mon poids sur ma compagne qui approche sa tête de mon oreille. Joie.
Il y a des gouttes de sa pisse qui brillent sur son visage. Clémentine me chuchote les plus étonnantes confidences. Merveilleux.
Elle me raconte la conversation avec monsieur Gérard qui lui a fait une proposition. De le rejoindre un soir dans son petit local.

J'écoute amusé les confidences de ma compagne. Le palefrenier lui propose de passer en fin d'après-midi dans le petit bureau.
Clémentine me confie à quel point cette proposition la tente. Elle sait à quel point ce vieux type est vicelard. Et un vrai salaud.
Je l'encourage à réaliser ce désir. Je dis : < Il ne bande pas, il a une bite minuscule. Tu ne risques pas de te faire sauter ! >
< Je sais ! Mais j'aimerais te savoir caché, pas loin, pour sécuriser ma visite ! > m'avoue Clémentine. Je dis : < Réalisable ! >
Je propose de convenir d'une heure, de prévenir Juliette, et de venir me planquer dans le box à côté du petit local de Gérard.

Clémentine bouge doucement. Tout en murmurant ses questions, elle cherche le meilleur angle pour me sentir enfoncé en elle.
Nous nous berçons pour cesser, puis recommencer. < Raconte moi encore ! > me demande ma compagne presque suppliante.
Mes encouragements l'excitent considérablement. Doucement, mais sûrement, l'éventualité "Gérard" s'installe dans son esprit.
Je continue : < Te voir sucer ce vieux saligaud serait un super moment que tu nous offrirais. A tous les trois, lui, toi, à moi ! >
Clémentine se cabre. Dans un râle, elle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse soudain. Je la tiens par la nuque. Elle hurle.

Je reste encore un peu dans la fille avant de me retirer avec d'infinies précautions. < Donne moi ton jus ! > s'écrie t-elle. Joie.
Je la laisse reprendre ses esprits. Je lui propose de lui offrir mon foutre tout à l'heure, au lit, une fois couchés. Elle m'embrasse.
< Tu es génial ! Je t'aime mon amour ! > s'écrie t-elle en se serrant contre moi. Elle me tend ses mains. Je l'aide à se relever.
Nous filons aux toilettes. Du placard mural, nous prenons le seau, la serpillère et le balai. Nous retournons nettoyer les flaques.
La pisse froide sur le parquet. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine me fait : < Je suis une vraie pisseuse ! >

Nous retournons à l'atelier. Nous y avons encore des choses à terminer. Le feu de la cheminée s'éteint doucement. C'est fini.
J'allume le radiateur. Nous travaillons encore une bonne heure. Il est 22 h30. Epuisés, nous montons. Toilettes. Salle de bain.
Au lit, nous nous offrons un "69". Je me régale des derniers épanchements de Clémentine. Rapidement elle se met à me sucer.
< J'en ai trop envie ! > me fait elle, couchée à mes côtés, sa tête sur mon ventre. Je lui dis : < Imagine; Je suis palefrenier ! >
Clémentine me suce avec tant de passion. Mon orgasme est dithyrambique. Serrés l'un contre l'autre, nous nous endormons...

Bonnes révélations de vos fantasmes les plus inavouables à toutes les coquines qui osent enfin raconter leurs désirs secrets.

Julien - (Absolument enchanté des révélations de Clémentine. La complicité participe d'un amour fou et sans concessions) -

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Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 333 -



Estelle vient passer la soirée avec nous. Toute contente. Nous aussi...

Hier matin, mardi, nous nous réveillons en même temps. Nos horloges biologiques aussi semblent fonctionner en symbiose.
< Bonjour mon amour ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Je lui réponds : < Bonjour mon amour ! >. Bisous.
Il est 5 h55. J'éteins le cube réveil avant que ne résonne la musique. Clémentine me chevauche en riant. Les papouilles.
Douceurs et tendresses avant que ma compagne ne m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Ce sont nos rituels pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute allure jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Méthodique.

Le thermomètre extérieur indique moins 2°. La température intérieure est de 20°. Le thermostat fonctionne à la perfection.
Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Nous faisons le bilan de la journée de hier et le programme d'aujourd'hui.
Nous remontons pour nous offrir cette heure d'entraînement qui remplace ce jogging qui nous manque cruellement. Sympa.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le jour s'est levé.
Il est 7 h45. Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre vite.

Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Le ciel est gris.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Livré corps et âme à ma passion, je peins dans un enthousiasme fou.
Comme toujours, je pense à tout sauf à ce que je suis entrain de faire tout en étant concentré. Je pense au Périgord. Pâques.
Dès demain, je vais préparer notre séjour dans cette magnifique région. Je veux faire découvrir le Périgord à ma compagne.
C'est dans l'enchantement paradisiaque de mes pensées conjugué à cette séance de peinture qu'il est rapidement déjà midi.

Je vais à la cuisine. Je prépare le millet doré que je vais verser dans l'eau bouillante. Clémentine arrive. Il est déjà 12 h15.
Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous avant de m'aider en préparant la salade.
Je concocte une sauce à l'aubergine. Une de mes sauces "maison" au Roquefort. Nous bavardons. Je prépare la pâte à pain.
C'est mardi. Avec la présence d'Estelle ce soir, ce sera le rituel de la tarte aux poireaux. Notre délicieuse Flamiche Picarde.
Clémentine me raconte sa matinée. La visite de Juliette. La visite de madame Walter. Les rapides conversations de bureau.

Je coupe le poireaux en petit morceaux avant de le faire cuire dans l'eau bouillante. Je concocte la Béchamel. Une passion.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me confie ses ressentis et ses impressions quand à son stage en entreprise.
La vie d'employée de bureau n'est pas sa tasse de thé. Elle se destine à l'enseignement et à la recherche. C'est un peu dur.
Clémentine est bien consciente que c'est une expérience obligatoire et qui s'inscrit dans le cadre de son cursus universitaire.
< Vivement que je passe ce put-hein de "Master". Le dernier virage avant la dernière ligne droite ! > me fait ma compagne.

Nous rions de bon cœur. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque les écuries. Haras.
Rapidement la conversation s'articule autour de nos aventures épiques vécues en ce lieu hautement excitant. Le palefrenier.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Nous avons 25 minutes devant nous. Un peu de détente.
Clémentine m'entraîne au salon. Elle me fait tomber sur le canapé. Elle pose l'épais coussin au sol entre mes jambes écartées.
< C'est à mon tour de prendre mon dessert ! > me fait Clémentine en ouvrant ma braguette. Juste la tirette. Pas le bouton...

Je bande mou. Avec virtuosité, d'une main experte, Clémentine sort mon sexe. Elle me fait un sourire en l'agitant. Victoire !
< Je l'ai attrapé ! > me fait elle en avançant son visage pour en humer les odeurs. < J'aime quand ça sent fort ! > dit elle.
< Défense de la décalotter et de la laver pour plusieurs jours ! > rajoute t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Des bisous.
Je regarde ma compagne renifler l'extrémité de mon sexe. Tirant sur la peau fripée de mon prépuce, elle me décalotte un peu.
Immédiatement l'odeur monte jusqu'à mes narines. Je dis : < Tu sens ? Je fais déjà le nécessaire niveau fromage ! >. Rires.

Je regarde Clémentine respirer longuement les effluves parfumées de ma virilité. Je bande mou entre son pouce et son index.
Clémentine tourne mon Zob dans tous les sens pour bien observer le truc sous toutes ses rondeurs. En humer les puanteurs.
Je suis un peu gêné mais, après tout, c'est sa préférence. Je me fais toujours une raison. Ce que femme veut, Lucifer le veut.
Je reste vigilant, un œil sur la pendule. Clémentine me chuchote : < Ce soir, je me fais un repas de "Bite". Tu veux bien ? >.
Nous rions de bon cœur en nous redressant. Nous montons nous laver les dents. Je raccompagne Clémentine à sa voiture...

Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Il règne un froid vif.
Il est 13 h50 et me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans une allégresse glorieuse en poussant des cris surréalistes.
Une fois encore je remporte de nouvelles victoires tous les quart d'heure. A chaque coup de pinceau sublime, je me lève. Cris.
Tournant autour de mon chevalet, dans la danse du Sioux, je me récompense de cette nouvelle victoire. Un fol enchantement.
Il y a déjà ce long crépuscule d'hiver qui précède la tombée de la nuit. Je n'ai même pas vu le temps passer. C'est inquiétant.

Du bruit. Des rires. Il est 18 h15. Clémentine entre dans l'atelier à toute vitesse. < Bonsoir Julien ! > dit elle en se précipitant.
Estelle arrive à son tour. < Bonsoir Julien ! > me fait elle en me faisant plein de bises. Nous sommes contents de nous revoir.
Les filles sont rapidement assises à la table. Estelle informe Clémentine en lui remettant les notes prises en cours aujourd'hui.
J'écoute en silence. C'est une source d'inspiration différente et fort agréable. Mon seul contact avec le monde extérieur. Bien.
Il est 19 h. Je laisse les filles pour me rendre à la cuisine. J'étale la pâte. Je réchauffe la Béchamel contenant le poireau. Joie.

Estelle vient me rejoindre la première. C'est elle qui dépose délicatement le couvercle de fine pâte sur la tarte aux poireaux.
Clémentine arrive à son tour. Elle s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà prête depuis midi. Je mets la tarte au four.
Nous passons au salon. Nous sommes vautrés dans le canapé. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite et qui me tripote.
Les filles évoquent leurs cours. Grâce à Estelle, Clémentine peut rester à jour. C'est rassurant. Estelle m'ouvre la braguette.
Beaucoup moins virtuose que ma compagne, Estelle a du mal à en extraire mon sexe. Nous rigolons comme des bossus. Joie.

Clémentine me fait : < Ce soir, je me bouffe de la bite ! >. Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle répond : < Et la quelle ? >.
< Celle que tu tiens entre ton pouce et ton index ! > fait Clémentine avant de m'embrasser. Estelle se penche pour me sucer.
Clémentine mime une pipe, sa main fermée devant sa bouche en faisant une bosse à l'intérieur de sa joue. < Moi ! > dit elle.
La sonnerie du four et l'odeur qui arrive jusqu'au salon nous avertissent. Nous cessons tout pour nous précipiter à la cuisine.
Je sors la Flamiche Picarde du four. Sa croûte dorée fume encore. Je la pose sur la table. Estelle ne lâche pas ma bite. Rires.

Nous mangeons de bon appétit. Les fille évoquent les cours. J'écoute en silence. C'est toujours intéressant, passionnant. Bien.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine écoute les explications d'Estelle quand aux études.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Clémentine me fait plein de bises. Elle me chuchote : < Je veux te sucer après ! >
Nous rangeons la cuisine. Avant de retourner à l'atelier, nous passons au salon. Clémentine reste blottit contre moi. Canapé.
Clémentine pose le coussin au sol entre mes jambes. Elle s'y met à genoux. Estelle dit : < Tu peux l'avoir quand tu veux ! >

Ma compagne s'apprête à prendre mon sexe en bouche. Elle dit à Estelle : < Tu l'auras jeudi soir, si tu es sage ! >. Rigolade.
Estelle se serre contre moi. Nous observons tous les deux Clémentine. Les yeux fermés, savourant ma queue, elle gémit déjà.
Estelle pointe son index vers ma braguette en me disant : < Tu as vu comme elle est gourmande ! >. Elle m'embrasse. Joie.
Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Je suis agréablement excité. Clémentine se régale de mes montées de jus.
Le liquide séminal abondant l'oblige à déglutir avec difficulté. Je lui caresse la tête, les cheveux. Clémentine glousse de plaisir.

Estelle et moi, le menton trempé de salive, lorsque nous cessons de nous embrasser, nous observons Clémentine. Super pipe.
Je contracte mes muscles fessiers de façon régulière. Cela a pour effet de faire monter de la jute en abondance. Plein de jute.
Afin de lui permettre de reposer sa mâchoire, à plusieurs reprises je force Clémentine à cesser de pomper. Je lui fais des bises.
Je sais que les filles ont encore un peu de travail. Il est 21 h15. Je propose de cesser nos activités récréatives pour aller bosser.
Clémentine se met droite sur ses genoux. Elle nous montre sa bouche. C'est gluant. Estelle se rapproche pour mieux regarder.

Je me lève. Estelle me tend ses mains. Je l'aide à se redresser. Je force Clémentine à cesser la pipe qu'elle a reprise avec soif.
Estelle m'embrasse encore. Clémentine s'interpose. Ma compagne nous entraîne à l'atelier. Nous rigolons comme des bossus.
Les filles travaillent. Je peins. Nous apprécions ces séances avec la même intensité que notre sexualité débridée et privilégiée.
Il est rapidement 22 h15. Nous ramenons Estelle. La séparation est difficile. Elle revient jeudi. Je lui promets sa dose de foutre.
< Promis, hein ! > me fait elle. Nous la regardons partir dans la nuit. A cent mètres de chez elle. Devant l'arrêt de bus habituel.

Durant les trois kilomètres du retour, Clémentine me suce avec passion. Je lui caresse la tête en lui chuchotant des douceurs.
Nous voilà de retour. Il est 22 h45. Aux toilettes, Clémentine me demande d'être bien salaud. Je lui offre des giclées. Mélanges.
J'aime la voir se régaler jusqu'à l'ivresse de chaque giclée. Je la tiens par ses cheveux pour la forcer à se retirer entre les jets.
< Je t'aime Julien, j'entre dans une nouvelle phase "pipe" ! J'en ai méchamment envie et besoin ! > me fait elle. Je l'entraîne.
Salle de bain. Au lit, elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec précaution. J'écoute les confidences. Elle veut de la pipe. Dodo...

Bonne soirée à trois, à toutes les coquines qui aiment sucer leurs mecs pendant qu'il s'occupe de la copine gourmande...

Julien - (Qui s'attend à une période pleine de pipes plus vicelardes les unes que les autres. Clémentine en raffole tant) -

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Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 334 -



Clémentine, en rentrant, me fait des confidences surprenantes...

Hier matin, mercredi, je suis tiré de mon sommeil par des bisous sur le nez, les joues et le front. J'ouvre l'œil et le bon. 5 H55.
Le visage rayonnant de Clémentine au-dessus du mien. < Bonjour Julien ! > me chuchote t-elle. Elle se serre fort contre moi.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant que ma compagne ne me chevauche en riant. Douceur, tendresse. Joie.
Quelques papouilles et Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Dès nos rituels pisseux accomplis, nous sortons.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Efficace.

Nous prenons notre copieux petit déjeuner dans une agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit, bavardant.
Clémentine me raconte quelques anecdotes amusantes qu'elle a vécu hier après-midi lors de sa visite aux écuries, et au boulot.
Avec la présence de madame Walter qui accompagne le plus souvent, monsieur Gérard le palefrenier ne fait que peu d'allusions.
Comme il y a toujours des cavaliers qui partent ou qui reviennent, créant ainsi de l'animation, les opportunités sont fréquentes.
Madame Walter étant sollicitée, Monsieur Gérard en profite pour causer avec Clémentine. Il lui propose de passer le voir un soir.

Nous rions de bon cœur à l'évocation des insistances de ce vieux vicelard qui rêve d'attirer cette jeune fille dans son petit local.
Le thermomètre extérieur indique 1°. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Gymnastique. La douche.
Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le jour est levé. Grisaille. Le froid.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre. Je remonte faire le lit.
Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Il est 8 h15.

Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans l'enthousiasme le plus débridé. Je pousse très vite mes cris surréalistes.
Il est dix heures. Je vais au salon. J'allume l'ordinateur. Me voilà assis au bureau. Je prends contact avec un office de tourisme.
L'Espace Tourisme de Périgueux. Au téléphone, la jeune femme m'informe quand à ma demande. Une location pour dix jours.
Du dimanche 22 avril au jeudi 3 mai, durant les vacances de Pâques. Mon interlocutrice me promet de me rappeler aujourd'hui.
Je raccroche. Je réserve deux places d'avion. Arrivée à Périgueux- Bassillac, dimanche à seize heures. La réservation en ligne...

Je réserve une voiture pour la durée de notre séjour. Je paie en ligne. Ce sera une fois encore une "Golf". Nouvelle fois noire.
J'ai passé une petite heure à régler tout cela. Satisfait, je me félicite de prendre les mesures nécessaires deux mois à l'avance.
Je retourne peindre dans un enthousiasme délirant qui me fait pousser des cris, des grognements, des onomatopées. Folle joie.
Il est midi. Je vais à la cuisine. J'épluche les pommes de terre. Je fais cuire du choux. Clémentine arrive. Elle me saute au cou.
Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Nous préparons notre repas de midi et de ce soir. Il n'y aura qu'à réchauffer.

Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement tout en me racontant sa matinée. La visite rapide de Juliette. Bien.
Je mets les patates coupées en grosses lamelles, cuites à l'eau bouillante dans le plat. Je recouvre de gruyère, d'un œuf battu.
Sur le choux que je fais rissoler avec des champignons, dans l'ail et l'oignon, je verse de la crème fraîche. Du Roquefort. Miam.
La cuisson au four est rapide. Le gratin de patates répand une odeur qui achève d'ouvrir nos appétits. Clémentine met la table.
Nous mangeons de bon appétit. J'écoute Clémentine évoquer le travail de sa matinée. Elle a même le temps de revoir ses cours.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie sa satisfaction d'être à jour dans ses cours.
Ce n'est pas évident de faire son stage en entreprise tout en alliant des études à huit heures d'un travail quotidien. Je la félicite.
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine et nous passons au salon. Clémentine se blottit contre moi.
< Nous deux, c'est la Saint Valentin tous les jours de l'an ! >. Nous rigolons comme des bossus. Nous avons la même opinion.
Toutes ces fêtes mercantiles, destinées à faire fonctionner le commerce, nous laissent d'une indifférence abyssale. Nous rions.

Bien évidemment, désireux de réserver ma surprise, je ne glisse pas un mot à ma compagne quant mon organisation du matin.
Notre Saint Valentin se déroulera à Pâques avec un séjour de dix jours dans une région magnifique que je veux faire découvrir.
Clémentine a un sixième sens très développé. Impossible de lui cacher des choses. Elle perçoit rapidement mon enthousiasme.
< Tu m'offres mon dessert ? > me demande t-elle en me faisant tomber dans le canapé. Je dis : < Moi aussi j'en voudrais ! >
Nous enlevons nos pantalons et nos sous vêtements en riant. Nous voilà en position de " 69" sur l'épais tapis devant le canapé.

Il est rare que nous nous livrons à cette activité ailleurs que dans notre lit. Nous avons peu de temps. A peine vingt minutes.
Nous nous régalons des épanchements de nos substances avec gourmandises. Nous avons toutefois une préférence en solo.
Nous trouvons préférable de nous régaler l'un de l'autre chacun à son tour. L'excitation et le plaisir se gèrent mieux. Bonheur.
Il faut cesser trop rapidement. Nous nous rhabillons et montons à la salle de bain pour nous laver les dents. Faire les clowns.
Je raccompagne Clémentine jusqu'à sa voiture. Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde l'auto disparaître. Froid.

Il est 13 h50. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins depuis un peu plus d'une heure lorsque le téléphone sonne.
Je décroche. J'entends la voix d'une femme. J'ai mis une annonce de location en ligne. Il y a déjà une réponse. Premier contact.
La dame m'apprend qu'elle est propriétaire entre Périgueux et Chancelade, le petit village avant la zone commerciale. Super.
Nous mettons rapidement au point les formalités. Inutile de chercher plus longuement. Je vais à l'ordinateur. Il y a un courriel.
Tout en commentant les photos que je découvre sur l'écran, la dame répond à mes questions. C'est l'endroit idéal. Bien situé.

Un petit appartement d'une pièce, d'une cuisine, d'une salle de bain avec entrée séparée. Proximité d'un supermarché. Super.
L'affaire est conclue. Je m'engage à envoyer un chèque pour confirmer la réservation. Nous nous saluons. Je raccroche. Bien.
Je retourne à ma peinture habité d'une grande satisfaction. Je suis content. Voilà notre séjour en Périgord déjà réglé. Superbe.
Je me réjouis de la surprise que je réserve à Clémentine pour les vacances de Pâques. Je peins dans un enthousiasme délirant.
Le crépuscule fait doucement place à la nuit. Du bruit. Il est 18 h15. Clémentine entre dans l'atelier. Elle se précipite vers moi.

Assise sur mes genoux, elle me raconte son après-midi. Nous rions de bon cœur quand elle raconte l'invitation du palefrenier.
Ainsi le vieux salaud devient insistant. < Bientôt il va me supplier ! > me fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
Assise à la table, devant l'ordinateur, Clémentine découvre les cours du jour que lui envoie Estelle. De quoi prendre des notes.
Nous travaillons. < Put-Hein ras le bol ! > fait Clémentine derrière moi. Elle se lève pour me rejoindre. Nous filons à la cuisine.
Il n'y a qu'à réchauffer. Tout va vite. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade déjà prête. Je mets la table. Efficacité. Joie.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Assise sur mes genoux, terminant son yaourt au miel, Clémentine discute.
Je l'écoute évoquer ses cours. Ses craintes qui s'estompent devant la certitude d'être à jour. La préparation de son "Master".
La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Avant de retourner à l'atelier, nous décidons le plaisir.
Clémentine m'entraîne au salon. Elle retire son pantalon et sa culotte qu'elle jette au loin, là, sur le fauteuil. Je fais de même.
Vautrée dans le canapé, elle écarte ses cuisses en me montrant sa foufoune. Je me mets à genoux sur l'épais coussin carmin.

Je hume longuement les odeurs de sa journée de filles. Comme souvent, je suis gagné par le vertige. Je renifle avec appétit.
Clémentine me tient par les oreilles. Je fouille les plis des lèvres charnues de son sexe du bout de ma langue. Goût vinaigré.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Nous aimons tant.
En appui sur mes bras, j'évite de peser de tout mon poids sur le corps de Clémentine. Elle approche son visage de mon oreille.
J'écoute les plus étonnantes révélations. Parfois, nous nous berçons lentement avant de revenir à l'immobilité. C'est excitant.

C'est la situation idéale pour recueillir toutes les confidences les plus secrètes de ma compagne. Et j'écoute silencieusement.
Il est question de l'insistance de monsieur Gérard, le palefrenier qui invite Clémentine à passer le voir dans son local, le soir.
Le vieux saligaud propose à la jeune fille de venir boire un café dans son petit local au fond des écuries le soir après le boulot.
Cet après-midi, lorsque madame Walter avait le dos tourné, rapidement, le vieux cochon s'est palpé la braguette en parlant.
Les choses se précisent. Le vieux salaud devient plus démonstratif. Toujours plein d'humour, il reste toutefois distant. Sympa.

Ces révélations excitent considérablement ma compagne. Nous bougeons en rythme pour cesser, recommencer, cesser encore.
Je propose à Clémentine de nous garder pour le lit, tout à l'heure. Il est 21 h15. Nous cessons et nous retournons à l'atelier.
Il faut être sérieux. Les études, les cours et leurs mises au propre sont prioritaires. Nous avons toute la vie pour le reste. Bien.
Il est 22 h15. Tout est fait. Nous montons. Toilettes. Salle de bain. Au lit, nous reprenons les choses où nous les avons laissé.
L'orgasme de Clémentine est fabuleux. Le mien est dithyrambique. Quelques douceurs, des bisous et nous plongeons. Dodo...

Bonne soirée de révélations à toutes les coquines qui savent ménager leurs effets en se confessant pendant la baise...

Julien - (Le plus heureux des hommes, se comporte en parfait confesseur dans le Con Fesse Sional. Le curé Julien) -

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Classe - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 335 -



Tous les trois, Estelle, Clémentine et moi, en ce jeudi soir...

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons en même temps. Nous nous étirons longuement en gémissant. Il est 5 h55. Des bises.
< Bonjour ! > faisons nous en même temps dans un cri. Nous rions de bon cœur en nous serrant l'un contre l'autre. Douceur.
Clémentine me chevauche en riant avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Nous nous offrons nos rituels pisseux.
Morts de faim, nous descendons à toute allure jusqu'à la cuisine. Je presse les oranges. Clémentine s'occupe du café. Méthode.
Nous prenons notre petit déjeuner dans une délicieuse odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Clémentine me raconte d'amusantes anecdotes concernant son travail au haras. Les rapides visites de Juliette tous les matins.
Les attitudes bienveillantes de madame Walter qui est toujours de bon conseil. Les propositions de visite du palefrenier vicieux.
Nous rions de bon cœur lorsque ma compagne rajoute : < Ce sacré monsieur Gérard. Ce type m'amuse toujours beaucoup ! >
Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine.
Le jour s'est levé. Il est 7 h45. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Des bises. Un dernier coucou et je la regarde partir.

Le thermomètre extérieur indique 2°. Je rentre pour monter faire le lit. Je redescends pour faire la vaisselle. Je vais à l'atelier.
J'allume le feu dans la cheminée. J'éteins le radiateur. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins heureux.
J'avance dans la sérénité. Demain, je termine cette quinzième toile destinée à ma saison d'été. Je suis rassuré par mon timing.
Il est dix heures. Trois coups de sonnette. C'est le facteur. J'ai mis un petit mot sur la boîte aux lettres afin qu'il me prévienne.
C'est la jeune femme habituelle qui fait sa tournée dans sa voiture jaune. Je lui remets ma lettre contenant le chèque Périgord.

Je retourne à mon travail. Je suis satisfait d'avoir déjà organisé notre séjour périgourdin des vacances de Pâques.Tout est réglé.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau contenant de l'ail, de l'oignon et les lentilles. J'évide les tomates.
Clémentine arrive. Elle se précipite dans mes bras. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Le plaisir des retrouvailles.
Ma compagne s'occupe de la salade dont elle lave chaque feuille. Je prépare la purée de lentilles en rajoutant du gruyère. Bien.
J'emplis chacune des six grosses tomates avec le pâté de lentilles. Dans un plat en terre cuite. Je verse le jus. Je mets au four.

En accompagnement ce seront des coquillettes. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. Une magnifique scarole frisée.
Nous passons au salon. Clémentine allume l'ordinateur. Nous écrivons la première partie de ce récit. Elle découvre ma surprise.
Dans le récit de hier j'évoque les vacances de Pâques. < Je t'aime Julien. Avec toi tout est toujours si simple ! > s'écrie t-elle.
Assise sur mes genoux, tout en tapant sur le clavier, ma compagne commente sa joie et ses réjouissances pour Pâques. Bien.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Je sors les tomates farcies du four. Je verse la sauce sur les coquillettes.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Au bureau, le matin, elle peut réviser un peu ses cours.
Il y a moins de travail. Il faut juste consigner les rapports concernant les fiches individuelles de chacun des 75 chevaux. Bien.
Il ne se passe pas grand chose. Et c'est déjà devenu une routine dont s'acquitte Clémentine avec célérité. J'écoute en silence.
Nous parlons déjà de notre Week-end à venir. Du projet de samedi soir. Ce nouveau film que nous allons réaliser avec Estelle.
Au garage, il y a des feuilles de contre plaqué. Il sera simple de percer un trou parfaitement rond dans l'une de ces plaques.

Je termine ma cinquième toile demain matin. Certainement vers dix heures. J'aurais donc le temps de préparer tous les décors.
Nous rigolons comme des bossus des descriptions que nous faisons. Nous aménagerons le décors au salon. C'est l'endroit idéal.
Je ferais un angle avec deux grandes plaques. Le trou sera parfaitement rond, de six centimètres de diamètre, à 80 cm du sol.
La caméra sera fixée sur son trépieds ou, selon les prises de vue, manipulée par Clémentine qui filmera la scène. Organisation.
Ce sera le sixième film que nous réalisons tous les trois. Le fantasme d'actrice porno d'Estelle verra un nouvel aboutissement...

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine avant de retourner au salon. Nous avons juste 25 minutes.
Pour ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer les tomates farcies, les coquillettes et la sauce au Roquefort. Nous aimons tout prévoir.
Clémentine retire son pantalon et sa culotte avant de s'installer confortablement dans le canapé. Je suis à genoux sur le coussin.
Je hume longuement les odeurs de sa matinée de fille. C'est un vrai bonheur. Clémentine me tient par les oreilles en chuchotant.
Elle murmure plein de douceurs. Je lèche les lèvres charnues de son sexe humide. Goût légèrement vinaigré. Les gémissements.

Les poils me chatouillent le nez, les joues et le menton. Je suis enivré par le goût et les parfums. Je me délecte de mon dessert.
Je nettoie consciencieusement le sexe de ma compagne avant de m'occuper de son clitoris géant. La prudence. Pas d'orgasme.
Clémentine me repousse doucement. Il faut cesser. Nous montons à la salle de bain. Nous nous lavons les dents tout en rigolant.
Nous adorons faire les clowns devant le miroir. Je raccompagne Clémentine jusqu'à la voiture. Il y a une pluie fine. Il fait froid.
Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je vais au garage voir le contre plaqué. Bien.

Ce sont de grandes feuilles de contre plaqué de 3mm d'épaisseur. 1,80 en hauteur. 80cm en largeur. Elles sont sous une bâche.
Il y en reste une dizaine. Des travaux d'isolation du grenier qui remontent à cinq ans. Je me félicite de les avoir conservé. Joie.
Il est 14 h. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans une exubérance proprement indécente en poussant de grands cris.
Lorsque je réussi un trait de pinceau plus sublime je me lève pour entamer une danse de guerrier Sioux tout autour du chevalet.
Le long crépuscule qui précède la nuit. Du bruit. Il est 18 h15. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter dans mes bras.

Estelle arrive à son tour. < Bonsoir Julien ! > me font elles presque en même temps en me couvrant le visage de bisous. Joie.
Les filles sont assises à la table, entourées de leurs affaires, à mettre au propre les notes que ramènent Estelle de ses cours.
Elle explique à Clémentine ce qui défile sur l'écran. Je peins. Silencieux, j'écoute les explications d'Estelle. C'est si passionnant.
Il est 19 h. Je laisse les filles pour aller m'occuper du repas du soir. A la cuisine, je réchauffe les tomates farcies et coquillettes.
Estelle vient me rejoindre la première. Dans l'encadrement de la porte, elle mime une masturbation masculine. Et très vulgaire.

< Prêt pour samedi soir ? > me demande t-elle tout en continuant son imitation parfaite. < J'en veux ! > rajoute t-elle encore.
Nous rions de bon cœur. Estelle se rapproche. Accroupie devant moi, sa main fermée devant la bouche, elle mime une fellation.
Clémentine arrive à son tour, découvrant le spectacle. < Mais décidément tu es une incorrigible salope ! > lui fait elle. Poilade.
Je saisi Estelle par ses cheveux pour la forcer à se relever. Je lui fais faire le tour de la cuisine en la tenant fermement. Plaisir.
Estelle, gloussant de joie, me suit, courbée en avant. Je lui dis : < Après le repas, je m'occupe de ton cas ! >. Je la lâche. Joie.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Estelle met la table. La sonnerie du four. Nous mangeons de bon appétit.
Les filles évoquent les cours. Ce qu'il ne faut pas négliger et les priorités à terminer ce soir pour être à jour. Consciencieuses.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine répond aux questions d'Estelle quand à samedi soir.
Je rassure Estelle. Tout sera prêt. Je m'occupe du décors demain matin. < Tu n'auras qu'à faire "l'actrice" ! > fait Clémentine.
La vaisselle. Estelle plonge. Nous essuyons. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Estelle se met à genoux au sol.

A genoux sur le coussin, au milieu de la pièce, les mains sur la tête, Estelle nous fait : < Et un film comme ça ? Super non ! >
Clémentine s'installe dans le fauteuil. Ma compagne adore lorsque j'ai un comportement de vicelard. Elle me fait un clin d'œil.
Je m'approche d'Estelle. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe mou. Je l'agite devant le visage d'Estelle qui ouvre la bouche.
Je frotte ma bite sur son visage d'ange. Elle m'en présente toute les facettes. Clémentine, une main dans son pantalon, mâte.
Je me penche pour observer les expressions du visage d'Estelle. Je la scrute avec attention. Elle est à genoux, et bien droite.

Je regarde les petits boutons qu'elle a autour de la bouche. L'acné d'une fille de 20 ans qui taille un peu trop de pipes. Super.
Je passe mon index pour en sentir les légers reliefs. Je me penche un peu plus pour les lécher. Je me mets à genoux devant.
J'entends Clémentine gémir. Je regarde. Ma compagne se masturbe en nous observant. Je lèche la bouche fermée d'Estelle.
Du bout de la langue, je peux sentir le relief des boutons. J'entends le souffle fort de la jeune fille que tout cela excite si fort.
Je me redresse. J'avance ma queue pour la frotter autour de la bouche d'Estelle qui attend en soufflant que je la lui enfonce.

J'introduis doucement mon sexe dans la bouche d'Estelle. En poussant un râle de contentement, elle se met à me sucer. Joie.
Je regarde cette belle jeune fille qui me taille une pipe comme si c'était la première fois. Et les boutons autour de sa bouche.
Je passe mon index en insistant sur chacun d'entre eux. Clémentine se touche. Je me retourne pour la voir, en sueur. Sourire.
Sans prévenir, sans bouger, j'éjacule. Estelle ne s'attendait pas du tout à ce que ce soit aussi rapide. Elle pousse un petit cri.
Je me laisse dégouliner dans la bouche de la fille dont je continue à caresser les boutons. Elle ouvre les yeux pour me fixer...

Je la laisse me faire le fond de cuve. Je m'essore la peau du prépuce, toute fripée dans la bouche d'Estelle qui se régale. Joie.
Elle n'a pas bougé durant les vingt minutes de cette superbe pipe. Elle descend les mains de sa tête. Je l'aide à se relever.
< Aïe ! > fait elle en se massant les genoux. Clémentine se lève pour venir se blottir dans mes bras. < Super ! > me fait elle.
Nous retournons dans l'atelier. Les filles ont encore une bonne heure de travail. Me voilà assis devant mon chevalet. Boulot.
Il est rapidement 22 h15. Nous ramenons Estelle. La séparation est plutôt difficile. Je la rassure. Elle revient samedi à 14 h30.

Estelle passe devant dans la voiture. C'est la petite auto de Clémentine. Assise au sol, dans l'habitacle étroit. Elle veut sucer.
Je la laisse pomper un peu. Clémentine m'embrasse. Nous ne sommes pas à l'aise à cause de l'étroitesse. Je saisi ses cheveux.
Je force Estelle à se redresser. Il faut y aller. Je lui dis : < Pense à samedi. On va se surpasser ! >. Elle sort, tristounette. Bise.
Au retour, Clémentine me suce. Trois petits kilomètres. Les toilettes. La salle de bain. Nous voilà au lit. Un délicieux "69". Bon.
Clémentine m'attire sur elle. Nous faisons l'amour sans bouger. Les aveux. Un cunnilingus. Une fellation. Epuisés. C'est dodo...

Bonne soirée à savourer la bite du mec de votre collègue étudiante à toutes les jeunes coquines, (majeures) qui apprécient...

Julien - (Prêt à interpréter le rôle sublime qui lui sera demandé samedi soir. "Le trou dans le mur". Bite dégueulasse) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - Tous droits réservés - © - 2018 -




Nous voilà à la fin de cette septième page.

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette" ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique huitième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

Classe



Classe
Bienvenue dans cette huitième page Danser
Saturday 17 February 2018 07:57

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 336 -



Clémentine et moi, nous faisons le bilan de notre merveilleuse histoire...

Hier matin, vendredi, je suis le premier à ouvrir l'œil. Il est 5 h50. J'éteins immédiatement le cube réveil pour éviter qu'il ne sonne.
Sur ma gauche, avertie par son infaillible sixième sens, Clémentine s'étire en gémissant. Je la regarde. < Bonjour Julien ! > dit elle.
< Bonjour Clémentine ! > ai-je le temps de dire avant qu'elle ne me chevauche en riant. Douceur, tendresse, papouilles, les bisous.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Dès la fin de nos rituels pisseux, nous descendons à toute vitesse à la cuisine.
Je presse les oranges. Clémentine fait le café. Nous prenons notre petit déjeuner dans la délicieuse odeur de pain grillé. Bavardages.

Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le bilan de la journée passée et le programme de la journée qui nous attend. Sympa.
Clémentine termine à midi. Clôturant ainsi la seconde semaine de son stage d'entreprise au haras de Juliette. Le temps passe vite.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos, charges additionnelles. Avec l'intensité maximale.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Le jour est levé.
Des bisous. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le thermomètre extérieur indique 2°.

Je retourne au garage pour récupérer le contre-plaqué. Quatre plaques de 3mm d'épaisseur, 1,80m de hauteur. 80cm de largeur.
Ce n'est pas très lourd. Je les emmène dans la cave. Je remonte faire le lit. Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. Il est déjà 8 h15.
J'allume le feu dans la cheminée. Dehors la pluie fine ne cesse de tomber. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins. La joie.
Je termine ce matin la quinzième toile destinée à ma saison d'été. Je travaille donc dans une exubérance débordante. C'est rassurant.
Il est presque dix heures lorsque je mets le coup de pinceau final. Il faut savoir terminer une toile. C'est toujours le plus difficile. Dur.

Je descends à la cave. Avec une balayette j'enlève le peu de poussière sur les quatre panneaux de contre-plaqué. C'est très rapide.
Je monte les panneaux dans l'atelier. Je prépare les plaques de métal qui permettent de fixer les panneaux. Quatre vis écrous. Simple.
Je mesure une des plaques. A quatre vingt centimètres de sa base, je perce un trou parfaitement rond de six centimètres de diamètre.
Avec une feuille de papier à poncer, je chanfreine soigneusement les bords afin de les arrondir légèrement. Le panneau principal. Prêt.
Avec un large spalter, ce pinceau plat, je recouvre les quatre panneaux d'une couche de Gesso, cette enduction blanche pour la toile.

Le Gesso, émulsion acrylique, sèche très vite. Une petite demi-heure pendant laquelle je vais à la cuisine. Je prépare le repas de midi.
Il est onze heures lorsque je retourne chercher les quatre panneaux parfaitement secs et blancs. Je les emmène au salon. J'assemble.
Deux panneaux fixés l'un contre l'autre. Celui avec le trou à gauche. De chaque côté, je fixe un panneau en angle droit. Une armoire.
Tout est prêt. Le décors fait illusion. Je retourne à l'atelier pour ranger la perceuse, laver le spalter et mettre tout en ordre. Nettoyage.
Il est 11 h45. Me voilà à la cuisine. Je prépare quatre belles pommes de terre farcies. Un mélange de champignons, de thon, gruyère.

Je fais des petits pois rissolés avec de l'ail, de l'oignon et de la ciboulette. J'y rajoute du Parmesan. Les patates farcies sont au four.
Du bruit. Il est 12 h15. Clémentine arrive. Elle se précipite dans mes bras en s'écriant : < Week-End ! >. Je la soulève. Plein de bises.
Nous restons ainsi un petit moment à savourer nos retrouvailles. Quatre heures, c'est presque trop long. De plus en plus long. Rires.
Clémentine s'occupe de la salade tout en me racontant sa matinée. La visite de Juliette, celle de madame Walter, le travail du matin.
J'écoute amusé les anecdotes que me confie ma compagne. Clémentine découvre le repas de midi en s'écriant : < Miam ! Génial ! >

Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons. Clémentine me fait part de l'immense joie à l'idée de découvrir le Périgord bientôt.
< Je suis allé voir sur Internet ! C'est superbe ! > me fait elle. Je lui raconte mes deux séjours dans cette magnifique région retirée.
Je lui explique le plan. < Nous prenons l'avion, nous changeons à Paris et nous arrivons pour seize heures, le dimanche 22 avril ! >
< Avec toi, tout est toujours tellement simple ! > me fait ma compagne en s'asseyant sur mes genoux tout en terminant son yaourt.
Comme souvent, lors de telles réjouissances, Clémentine évoque notre vie commune depuis treize mois et demi. Tellement heureuse.

La vaisselle. Je plonge. Clémentine essuie. Nous rangeons la cuisine. Je l'entraîne au salon. Dans la pièce, je fais : < La surprise ! >
Clémentine découvre le montage des panneaux de contre-plaqué. Admirative, elle en fait le tour en s'écriant : < Mais c'est génial ! >.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me demande de me mettre en situation. Je lui propose de rester dans l'encadrement des plaques.
Je passe derrière. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe. Je le passe dans le trou. J'entends ma compagne : < C'est fabuleux ! >
Presque immédiatement je sens les lèvres de Clémentine se refermer sur ma bite. L'indicible caresse m'oblige à me tenir aux plaques.

Je la laisse me sucer un peu. Je me retire pour venir la rejoindre. < C'est énorme ! On a s'éclater demain soir ! > me fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus à l'idée de ce qui nous attend demain. La réalisation du fantasme d'Estelle que nous allons filmer.
< C'est excitant ! > me fait ma compagne en saisissant mon sexe. Nous regardons le montage. Elle me masturbe. Blottit contre moi.
Soudain, mon téléphone m'averti de l'arrivée d'un message. Clémentine se précipite pour le récupérer. < La serveuse ! > me fait elle.
Clémentine me fait lire. Texto. " Une table ce soir ? ". Nous nous regardons en éclatant de rire. < Celle-là, elle veut mâter ! > dit elle.

< Tu veux ? > me demande Clémentine. Je réponds : < Si tu veux manger au restau ce soir, on y va ! >. < Super ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < On se fait une Saint Valentin ! >. Clémentine répond au texto d'un simple "OK". Bien.
< Décidément, tout s'articule toujours comme les pièces d'un puzzle dans notre vie ! > me fait Clémentine en me masturbant. Rires.
Je lui chuchote : < Raison de plus d'être sérieux ! Passons à l'atelier ! >. Clémentine me tire par la queue en disant : < Bonne idée ! >
Assise à la table, entourée de ses affaires, Clémentine découvre les courriels envoyés par Estelle. Tous les cours sont déjà téléchargés.

Je suis assis devant mon chevalet. Je commence le dessin préparatoire de la seizième toile destinée à ma saison d'été. C'est le bonheur.
Comme toujours nous apprécions ces longues séances de travail, l'un près de l'autre. Le crépitement du feu dans la cheminée. Soupirs.
Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Il découvre ce qu'il fait, l'avancée de son travail. Ce sont des moments magiques. Intenses.
Il est rapidement dix sept heures. < Fini ! > s'écrie Clémentine derrière moi. Elle vient s'assoir sur mes genoux. Nous regardons la toile.
Je viens de terminer le dessin de ma future œuvre. Un paysage inspiré d'une photo. Un moulin, une clairière, une bergère, des moutons.

Je propose de monter nous changer avant d'aller nous balader un peu en ville avant le restaurant. < Viens ! > me fait Clémentine. Joie.
Nous sommes dans la chambre. Clémentine porte une jupe kilt à carreaux rouges qui lui arrive aux genoux. Un chemisier, un pull noir.
Elle me montre le trou de quinze centimètres dans ses collants "truqués". On voit le blanc de sa culotte. Je la félicite pour cette initiative.
Sur sa demande, je porte mon costume de velours marron, chemise au col ouvert sous un pull brun dont le col est en "V". Style "relax".
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > me fait ma compagne en m'entraînant devant le miroir. Je n'ai de yeux que pour elle.

Nous voilà dehors. Il ne pleut plus. Tout est humide. Il est presque dix huit heures. La nuit va tomber. Nous prenons ma voiture. Bien.
Je roule doucement. Clémentine joue avec mon sexe. Nous passons devant le haras. Il y a des lumières partout et des voitures garées.
Douze petits kilomètres et nous arrivons en ville. Je gare la voiture dans la ruelle habituelle. Sous nos manteaux nous avons bien chaud.
Dix minutes de marche. Nous voilà au centre. Il reste environ 30 minutes avant la fermeture des magasins. Nous allons vers la FNAC.
< J'ai envie de me changer les idées, Il me faut un "plan" ! > me confie Clémentine. Nous rions de bon cœur. Il y a beaucoup de monde.

Il y a bien trop de monde pour risquer une exhibe de qualité. Clémentine, un peu frustrée, me chuchote : < Vivement les beaux jours ! >
C'est vrai que la vie à l'extérieur nous manque. Les opportunités sont tellement plus naturelles et faciles. Nous feuilletons quelques livres.
L'annonce de fermeture. Nous descendons. Nous voilà dehors. Il fait nuit. Nous retournons à la voiture. Direction le restaurant de l'étang.
Nous arrivons vers 19 h45. Il y a quelques voitures sur le parking. Nous faisons le tour de l'étang en restant sur le sentier dallé. Humide.
Lorsque nous entrons dans le restaurant, Clémence, la jeune serveuse vient nous accueillir. Rayonnante de joie de nous revoir elle sourit.

Nous sommes assis à notre table habituelle. La jeune serveuse bavarde un peu tout en prenant notre commande. Elle évoque ses études.
Clémentine et elle ont 20 ans toutes les deux, sont étudiantes toutes les deux, j'écoute silencieusement leurs échanges. C'est intéressant.
Notre choix se porte sur un plateau de fruits de mer avec des crudités. < Sors ta bite sous la table ! > me fait Clémentine. Je sors ma bite.
Discrètement, Clémentine relève le coin de nappe qu'elle coince sous le panier à pain. Ainsi la jeune serveuse peut découvrir le spectacle.
Depuis le comptoir, la jeune fille me fait les plus délicieux sourires. Clémentine me fait : < Descends aux chiottes, branle toi ! >. J'y vais.

Je descends au sous sol. Je laisse la porte des toilettes homme bien entrebâillée. Je descends mon pantalon et mon slip sur les genoux.
Je me masturbe doucement tous mes sens aux aguets. Bruit de pas rapides dans les escaliers. Je mâte. C'est la jeune fille. Elle arrive.
Elle entre dans les toilettes. Je lui dis : < Tu t'es encore trompée de toilettes ! >. Elle éclate de rire en répondant : < Vous m'excusez ? >
Je lui dis : < Je n'excuse plus, je donne des gages ! >. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me demande : < Et ce sera quoi mon gage ? >
< Un pipe ! > que je fais. Il y a un silence. La jeune fille me fait un curieux sourire, le regard par en dessous, elle dit : < Je remonte ! >

Je rejoins Clémentine pour lui raconter en détails mon aventures des toilettes. < Les choses se précisent ! > me fait elle. Nous rigolons.
Personne ne fait attention à nous. Je tourne le dos à la salle. Il n'y a qu'une dizaine de personnes. Discrètement, je me branle. Sympa.
La jeune fille voit le mouvement du haut de mon bras. Elle sait parfaitement ce que je "bricole". Elle me fait des sourires un peu gênés.
Clémentine me propose de récidiver aux toilettes. Je me lève. Je passe devant le comptoir, je soulève discrètement le bas de mon pull.
La jeune fille me fait un clin d'œil. C'est la première fois que c'est elle qui en prend l'initiative. Je montre l'escalier de mon doigt pointé.

Je dois pisser. A nouveau je laisse la porte entrebâillée. J'écoute. Je retiens mon jet avec difficulté. La jeune fille descend à vive allure.
Elle entre dans les toilettes homme. Je lâche mon envie. Je pisse contre le carrelage. La serveuse reste perplexe devant mon attitude.
< Vous êtes un vrai vicelard ! > me fait elle. Je fais : < Et tu aimes ça au point de rejoindre ce vicelard à chaque fois qu'il descend ! >
La jeune fille ne peut s'attarder. Il y a des additions en cours au restaurant. Je me masturbe en pissant. Elle me fait un dernier sourire.
Elle remonte à toute vitesse. Je rejoins Clémentine pour lui raconter. < J'aimerais bien être planquée pour mâter ! > me confie t-elle.

Je demande l'addition. La serveuse nous raccompagne. Clémentine lui fait : < Venez donc manger à la maison un soir ! >. Silence.
< Aux vacances peut-être ! > fait la jeune fille en nous serrant la main. Nous sommes sur le pas de la porte. Je lui montre ma bite.
La serveuse regarde. Je lui dis : < Viens la goûter aux vacances ! >. Clémentine lui dit : < Vous allez vous régaler. Un vrai salaud ! >
< Oui, j'avais remarqué ! > fait la jeune fille avant de nous laisser. Sur la route du retour, Clémentine me pompe en se masturbant...
Il est 23 h. Les toilettes. La salle de bain. Le lit. Un "69". Une petite baise. Les aveux de Clémentine. Cunnilingus. Fellation. Et dodo !

Bonne soirée dans votre restaurant préféré à toutes les coquines. Surtout si la jeune serveuse apprécie les couples vicelards...

Julien - (Qui surmonte ses appréhensions sur les demandes de Clémentine. Pour le plus grand plaisir de la jeune serveuse) -

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