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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2017 -




Clémentine, Estelle et moi

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des chuchotements et des rires étouffés. J'ouvre les yeux. Je regarde.
Sur ma gauche, Clémentine et Estelle sont entrain de de rire. < Bonjour Bitounet ! > me fait Clémentine en me chevauchant.
< Bonjour Oncle Julien ! > me fait Estelle en restant à distance à l'autre bout du lit. < Bonjour les filles ! > que je fais en riant.
Clémentine me fait plein de bises. Sur les joues, le front et le bout du nez. Ses longs cheveux me chatouillent. Même attachés.
Estelle se lève et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Clémentine lui fait : < On arrive ! Cinq minutes ! >.

Clémentine se lève et m'entraîne aux toilettes. Il est huit heures. Je tiens bien la jeune fille par ses cheveux. Elle reste debout.
Elle se lâche dans un long jet sonore et puissant. Lorsqu'elle termine, je m'accroupis pour en savourer les dernières gouttes.
Je hume les parfums de sa nuit. C'est fort, enivrant et étonnant. Puis c'est à mon tour. Clémentine me tient la bite fermement.
Elle en dirige le jet avec une grande précision. Pas une goutte à côté. Accroupie, la jeune fille récupère les dernières gouttes.
Je la laisse se régaler quelques instants puis je l'oblige à se redresser. Nous descendons vêtus de nos T-shirt de nuit. La faim.

A la cuisine tout est préparé. Les bols de café fumant répandent leur délicieuse odeur. Estelle sort les tranches du grille pain.
Nous sommes tous les trois assis à déguster notre copieux petit déjeuner. Dehors, le ciel est bleu. Le soleil est déjà bien haut.
Par contre la fraîcheur persiste toujours. Nous envisageons une randonnée à bicyclette pour l'après-midi. Le ménage ce matin.
C'est dimanche. Nous traînons à table en bavardant. Chacun, comme sur une entente tacite, nous évitons d'aborder le sexe.
Je regarde Estelle, vêtue du pyjama japonais de Clémentine. Je suis saisi de vertige devant ce parallèle. Je pense à hier soir...

Clémentine me fait des sourires entendus. Nous sommes devenus télépathes. Nous sommes certains de penser pareillement.
Les tous petits coups de son pied contre le mien ne laissent aucun doute. Estelle fuit mes regards. Elle semble réservée. Jeu.
Nous en avons la preuve lorsqu'en faisant la vaisselle, Estelle, la main fermée posée devant son sexe mime une masturbation.
Une masturbation masculine appuyée tout en me faisant : < Comment va depuis hier soir ? >. Je reste étonné. Impressionné.
Je ne sais quoi répondre. Clémentine le fait pour moi : < C'était absolument superbe et à refaire ! >. Nous rions de bon cœur.

Comme tous les dimanches matins, il y a le rituel nécessaire du ménage. Nous adorons y sacrifier. Et sous un aspect ludique.
J'adore passer l'aspirateur. Clémentine propose à Estelle de s'installer devant son ordinateur, au bureau, pendant le ménage.
Ma compagne monte à la chambre. Je monte la rejoindre. Je récupère les draps. Je vais à la salle de bain. Le panier à linge.
Là, dans la grande bassine, il y a les vêtements trempés de la pisse de hier soir. Je descends mettre le tout dans la machine.
Lorsque je passe devant la porte du salon, Estelle me fait : < Merci pour hier soir, Oncle Julien, je suis entrain de regarder ! >

Je viens voir. Sur l'écran de l'ordinateur de la jeune fille je découvre quelques extraits du film que nous avons réalisé hier soir.
< J'ai déjà tout mis sur mon disque dur externe. Tout est en sécurité. Personne ne verra ces images ! > me fait Estelle ravie.
Je trouve que c'est toujours une excellente initiative de garder tout cela dans le secret. Estelle se lève, derrière le bureau.
A nouveau, sa main fermée devant son sexe, elle mime une masturbation masculine en me disant : < J'ai déjà cinq films ! >.
Je la regarde. Estelle me fait un clin d'œil. C'est la toute première fois qu'elle a cette attitude seule avec moi. Je suis étonné.

Je monte pour laver les chiottes de l'étage, la salle de bain et passer la serpillère sur les carrelages. Je dis tout à Clémentine.
Ma compagne, secouant les tapis à la fenêtre, me fait : < C'est sûr, elle va prendre de plus en plus d'initiatives ! Salope ! >.
Nous rions de bon cœur. Clémentine vient se serrer contre moi. < Rien derrière mon dos. Hein ? > me fait elle implorante.
Je la rassure encore une fois. Il n'y aura rien qui lui échappe. C'est tellement bon de tout partager. Et cela nous excite tant.
Rassurée, Clémentine me chuchote : < Hier soir, en vous observant, je me suis découverte une nouvelle passion ! >. Rires...

Je descends passer la serpillère à la cuisine, aux toilettes du bas et dans le hall d'entrée. Estelle s'est habillée. Jean et chemise.
Clémentine s'est habillée pareillement. Jean et chemise à carreaux. Bleue pour l'une, rouge pour l'autre. Je monte m'habiller.
Je redescends. Les deux filles sont absorbées devant l'écran de l'ordinateur. Clémentine fait lire mes récits à Estelle amusée.
< Tu devrais t'inscrire sur le forum sous un pseudo ! > fait Clémentine à Estelle qui répond : < Non, ça ne m'intéresse pas ! >.
< Tu prends un pseudo masculin pour ne pas être emmerdée par les "boulets" ou les "traqueurs" ! > fait encore Clémentine...

Rien à faire. Estelle préfère découvrir mes histoires sur notre ordinateur. Ici. Clémentine ne les lit pas non plus tous les jours.
Il est 10 h30. Tout est propre dans la maison. Tout sent bon. Ma compagne et moi nous adorons vivre dans cet environnement.
Nous allons au jardin. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Net.
Estelle nous regarde. Elle s'accroupit pour mieux observer. Clémentine s'accroupit pour en déguster les dernières gouttes. Jeu.
Estelle prend une rapide photo du mur. < Un Chef-d'œuvre contemporain ! > fait elle. Nous rigolons comme des bossus. Joie.

Nous allons au potager. Clémentine explique ce que nous y faisons. Les rangées de terre en mottes et qui abritent les semis.
Estelle semble très intéressée. Nous nous promenons dans la propriété. Le fond de l'air est frais a l'ombre. Plus doux au soleil.
Nous rentrons. Je propose de nous préparer un repas simple mais savoureux. Clémentine me prend par les hanches. Bisous.
Ce sera un gratin dauphinois. Rien de très original. Nous nous mettons tous les trois à l'ouvrage. Les filles évoquent les cours.
J'écoute en silence. C'est toujours amusant et intéressant. Estelle, à plusieurs reprises, me lancent des regards par en-dessous.

Nous mettons le tout au four. Estelle, derrière la table, mime une nouvelle fois une masturbation masculine. Clémentine sourit.
Ma compagne est aussi étonnée que moi par cette attitude toute récente. Estelle nous fait : < On se fait un film "Bouffe" ? >.
Clémentine me regarde. Nous comprenons immédiatement où Estelle veut en venir. < Petite salope ! > fait elle à Estelle. Jeu.
Ma compagne va au salon pour y chercher la caméra et le trépieds. Elle met tout en place. Installé entre le frigo et le buffet.
Estelle me regarde avec insistance. D'un geste lent, sans cesser de me fixer, elle s'attache les cheveux en queue. Sur la nuque.

Je sors ma bite pour lui montrer à quel point je bande. Estelle mime une nouvelle fois une masturbation masculine. Bien imitée.
Nous examinons l'angle de vue dans l'objectif de la caméra. Tout est parfaitement réglé. On voit toute cette partie de la cuisine.
Je suis excité à l'idée de ce qui nous attend. Clémentine l'est tout autant que moi. Ma compagne fait le même geste vulgaire.
La sonnerie du four résonne. Clémentine met la table. Je sors le gratin du four. Estelle revient du salon avec le coussin carmin.
Clémentine passe derrière la caméra pour l'allumer. En riant, elle fait : < Moteur, ça tourne ! >. Nous sommes assis à table...

Ce serait un repas tout à fait semblable à tous nos autres repas. Je me lève. Je passe derrière Estelle que je saisis par la nuque.
Je sors ma bite. De ma main libre, je la passe sur la joue de la jeune fille. Comme toujours Estelle tente de s'y soustraire. Force.
Cette fois-ci, tout sera filmé. Estelle aura les images des évènements que je lui fais souvent vivre ici, à la cuisine. Immortalisé.
Je passe ma bite sur la bouffe dans son assiette. Sans donner l'impression de surjouer son personnage, Estelle se met à crier.
Elle repousse son assiette avec dégoût. < Salopard ! > me fait elle en me regardant de son air sévère et si sincère. Belle salope.

Clémentine se lève. Elle passe derrière la caméra. Cette fois-ci, il y aura des zooms et des gros plans. Même des angles différents.
Je force Estelle à se lever. Fermement, sans brutalité mais sans ménagement. Je la tiens par ses cheveux. Pour un tour de table.
La jeune fille, courbée en avant, avance en trébuchant. Je la tourne vers la caméra que clémentine tient à présent dans la main.
Je force la jeune fille à bien regarder l'objectif. Je place mon visage tout près du sien. Je lui tiens le menton, déformant ses traits.
Je pose ma main sur la tête de la jeune fille pour la forcer à s'accroupir. En la tenant fermement je passe ma bite sur son visage.

Estelle tente de se soustraire à mon étreinte. Nous avons à présent la certitude que cette petite salope joue à la perfection. Jeu.
Je prends son assiette que je pose au sol. Je force la jeune fille à se mettre à quatre pattes. J'appuis sur sa nuque. Fermement.
Le visage tout près de la bouffe, Estelle se met à manger sans les mains. Clémentine filme toute la scène en gros plan. Proche.
Je suis à genoux. Je lâche un jet de pisse sur le visage et l'assiette d'Estelle. La jeune fille tente de détourner sa tête. Je la tiens.
Je lâche un second jet. < Salopard ! > me fait Estelle en tentant de toutes ses forces de se soustraire de mon étreinte puissante.

Je redresse la jeune fille. Elle est à genoux. < Mains sur la tête ! > ordonne Clémentine. Estelle, surprise, regarde Clémentine.
Ma compagne filme tout cela avec le plus grand soin. Elle dirige à présent les prises de vue. Une initiative qui nous excite. Joie.
Je pisse au visage d'Estelle qui continue à se débattre en m'insultant. Cette fois-ci, enfin, Estelle aura les images "Cuisine".
La jeune fille ne peut pourtant pas dissimuler le profond plaisir qui l'habite. Nous immortalisons là un de ses moments favoris.
Je pince le nez à Estelle. Rapidement, à la limite d'étouffer, la jeune fille, pour respirer, est obligée d'ouvrir la bouche. Souffle.

C'est là que, sournois et vicelard, je lui pisse dans la bouche. Ecœurée, ou faisant semblant de l'être, Estelle détourne la tête.
Clémentine filme tout cela avec une grande concentration. Elle est hyper excitée. Pourtant ma compagne arrive à se maîtriser.
Je recommence mon manège à plusieurs reprises. Chaque fois que je lui pince le nez, Estelle sait ce qui l'attend. Petite salope.
Je me masturbe. Estelle, les yeux ouverts, le visage et les cheveux trempés de pisse, m'observe. Je lui pince le nez. < Cris ! >.
< Non ! Pas ça ! > fait la jeune fille reprenant son souffle dans un cri. J'éjacule à l'instant précis. Je lui remplis la bouche.

Estelle reste soudain immobile. Elle observe l'objectif de la caméra. Elle reste ainsi, silencieuse. On voit sa bouche pleine. Foutre.
Je m'essore la queue sur son visage. Estelle déglutit avec peine. Clémentine filme tout en respirant fortement. Très excitée. Fou.
Je lâche un jet de pisse dans la bouche d'Estelle qu'elle garde à présent ouverte. Je ne la tiens plus. Elle se laisse compisser. Jeu.
Estelle se penche et recommence à manger, le visage dans l'assiette. Le gratin dauphinois à la pisse est encore tiède. Bon appétit.
Clémentine a de la sueur sur le visage. De filmer cette scène, d'assister à tout cela, l'a considérablement excitée. Un Bip résonne.

C'est la fin des possibilités de la carte SD. La caméra s'arrête. < C'est dans la boîte ! > fait Clémentine. Nous sommes fatigués !
Une telle concentration, une telle méticulosité, tout cela nous a épuisé. C'est dingue. Estelle va prendre sa douche. Trempée.
Clémentine se serre contre moi. < Tu as été génial, Bitounet ! J'ai envie de jouir, si tu savais ! >. Je lui touche le sexe. Spasme.
Clémentine m'entraîne au salon. Elle descend son jean et sa culotte. Elle m'attire. Je fourre mon visage dans sa touffe humide.
Il y a du jus de fille qui dégouline de son sexe. C'est un véritable ruisseau de délice. Clémentine gémit comme une mourante...

Estelle revient et nous surprend ainsi. Je la regarde. Elle lève le pouce de sa main droite en me souriant. Comme amoureuse.
Clémentine connaît un orgasme terrifiant. Elle ne peut refréner quelques cris. C'est merveilleux. Estelle s'approche pour voir.
Nous restons tous les trois immobiles et silencieux. Cela dure un long moment. Il est 13 h30. Nous nous levons enfin. Vaisselle.
Nous n'osons pas évoquer ce qui vient de se passer. Estelle fuit mes regards. Nous nous habillons de nos tenues de cycliste.
Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. Doucement. Fatigués mais heureux. Estelle devra être de retour pour 18 h30. Famille.

Estelle mange chez elle en soirée et reviendra nous rejoindre jusqu'au lundi après-midi férié de ce premier mai. Réjouissances....

Bon film avec votre soumise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Quelquefois dépassé par les évènements) -

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Homme, 53 ans, France
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Estelle revient en soirée

Hier matin, lundi férié, tout comme dimanche, je suis réveillé par des murmures, des chuchotements et des rires étouffés.
J'ouvre les yeux. Je regarde sur ma gauche. Clémentine et Estelle bavardent, papotent. Je fais semblant de dormir. Joie.
Impossible de dissimuler quoi que ce soit à Clémentine qui me chevauche en faisant : < Bonjour Bitounet ! >. Les rires.
< Bonjour Oncle Julien ! > me fait Estelle en mimant un bisou depuis l'autre bout du lit. < Bonjour les filles ! > que je dis.
Nous nous faisons beaucoup de papouilles, Clémentine et moi. Estelle, vêtue du pyjama japonais à Clémentine se lève.

< Je descends préparer le petit déjeuner ! > nous lance Estelle en trottinant vers la porte. < On arrive ! > fait Clémentine.
Ma compagne m'entraîne vers les toilettes. < Pipi ! > s'écrie t-elle. Je la tiens par ses cheveux. Debout au-dessus du WC.
Clémentine se soulage d'un long jet sonore. Je m'accroupis pour récupérer les dernières petites gouttes. Odeurs fortes.
A son tour Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, la jeune fille en récupère les derniers reliquats.
Je la laisse se régaler un peu des saveurs de ma nuit. Je la force à se redresser. Nous descendons rejoindre Estelle...

Estelle est revenue hier soir vers 21 h, dimanche soir. Pendant que je rédigeais le récit posté hier matin, les filles ont révisé.
La soirée fut des plus agréables. Nous étions plutôt fatigués. Aussi nous étions au lit à 22 h30. Un bon sommeil réparateur.
Nous en parlons un peu au petit déjeuner, ce lundi matin, premier mai, jour férié. Estelle me fait de délicieux sourires. Joie.
Dehors, la météo est épouvantable. Des giboulées jettent des paquets de pluie en rafales contre les vitres des fenêtres.
Nous resterons prudemment à la maison. Aussi, nous traînons à table en nous racontant plein de choses amusantes. Rires.

Il est neuf heures du matin. Estelle insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi nous essuyons les bols et les couverts.
Tout cela dans la bonne ambiance habituelle. Estelle est la première à monter prendre sa douche. Nous restons en bas.
Clémentine se serre contre moi. Nous sommes l'un contre l'autre à nous chuchoter des douceurs. Elle me touche la queue.
Je bande rapidement en déformant le tissus de mon slip. Estelle redescend vêtue de son jean et de sa chemise à carreaux.
Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons prendre notre douche. Nous redescendons vêtus de nos jeans. Sweat...

Estelle est au salon assise au bureau devant l'écran de son ordinateur. Elle nous fait un sourire en levant son pouce. Sourire.
Clémentine m'entraîne. Nous passons derrière le bureau pour voir ce que regarde Estelle. Sur l'écran, je vois ma bite trempée.
Estelle nous fait : < Je vis des choses extraordinaires avec vous ! >. Sur l'écran je vois mon visage à côté de celui d'Estelle.
La jeune fille, le visage trempé de pisse, tenue par ses cheveux, regarde l'objectif. Mon visage à côté du sien. Belles images.
Clémentine lance à Estelle : < Tu a de quoi te branler, toute seule, pour quelques temps ! >. < Super ! > répond Estelle. Joie.

Sur l'écran, nous regardons les séquences les plus révélatrices filmées samedi soir, à la cuisine. Estelle appelle ce film "Cuisine".
Clémentine a filmé tout cela avec sa conscience habituelle et avec un soin "professionnel". Je lui fais des bises en la félicitant.
< Vous avez là cinq films de tout premier ordre, chère Estelle ! Je vous félicite également ! > que je fais à Estelle. Belle actrice.
La jeune fille lève la tête et nous regarde en souriant. < Sans vous, tout cela resterait au stade du fantasme ! > nous fait elle.
< Oh ! Tu aurais trouvé un autre "plan" pour les réaliser ! > lui fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Je vais aux toilettes...

A peine suis-je debout devant la cuvette de faïence que derrière moi s'ouvre la porte. C'est Estelle. Elle est venue seule. Rare.
La jeune fille, debout sur ma droite, me fixe d'un regard vicieux, par en-dessous. < Merci pour tout ! > me fait elle, chuchotant.
Je lui montre ma bite molle que je secoue doucement. Je lui dis : < Elle vous remercie également ! >. Nous rions. Je pisse. Jet.
Estelle s'accroupit pour observer les petits jets de pisse que je lâche par intermittence. Je bande mou. Je laisse pendre ma bite.
Je la dirige vers la visage d'Estelle en lui disant : < Le prochain film pourrait tourner autour de la fellation ! >. Un long silence.

< J'en crève d'envie, mais je dois surmonter plein de choses. Patience ! > me fait Estelle. Je pose ma main sur sa tête. Silence.
Je continue de lancer mes petits jets. Je caresse la tête de la jeune fille. Elle se redresse. Son visage tout près du mien. Belle.
Sa bouche entrouverte est une invitation à l'embrasser. Je me demande ce que peut bien faire Clémentine. Situation tendue.
J'entends la respiration de la jeune fille. Je peux sentir la chaleur de son souffle. Je lui caresse le visage avec tendresse. Doux.
Estelle me fixe. Elle a envie de me dire quelque chose qui ne sort pas. Je suis troublé. Clémentine arrive enfin. Il était temps...

Estelle retourne au salon. Clémentine m'entraîne à la cuisine. < J'étais derrière la porte, j'ai tout vu et entendu ! > me dit-elle.
Je la serre contre moi. Elle rajoute : < Je sais que je peux te faire confiance ! Merci ! >. Clémentine m'embrasse longuement.
Nous retournons au salon. Estelle est debout devant le bureau. Elle tient son petit sac à dos pour y ranger ses cahiers de cours.
Clémentine ouvre la fenêtre pour prendre la température. Il fait frais. Désagréable. Estelle me regarde. Elle mime une branlette.
Je la regarde dans sa parfaite imitation d'une masturbation masculine. Cette attitude est apparue ce week-end. Une constante.

Estelle cesse lorsque Clémentine referme la fenêtre. Ma compagne quitte la pièce. Estelle recommence à mimer une branlette.
Comme l'a précisé Clémentine, les attitudes d'Estelle deviendront de plus en plus révélatrices. Ses initiatives bien plus hardies.
Je sors ma queue que je secoue dans la direction de la jeune fille qui continue de mimer une masturbation masculine. Salope.
Clémentine revient avec le parapluie. < On sort un peu ? > nous demande t-elle. Nous mettons nos anoraks. Nous sortons.
Clémentine nous entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle fait des photos.

Il pleut. Il fait désagréable. Nous retournons rapidement au chaud. Estelle va aux toilettes. Clémentine me tient par la bite.
< Tu me fais un peu de spectacle tout à l'heure ? > me glisse t-elle à l'oreille. < Après le repas, d'accord ? > que je réponds.
Estelle revient. Elle a attaché ses cheveux en queue. Elle me fait un clin d'œil. Je comprends que les festivité vont commencer.
Il est déjà onze heures. Je propose de préparer notre repas de midi. L'idée est accueillie avec succès et enthousiasme. Faim.
Nous partons pour une flamiche Picarde. Cette tarte aux poireaux dont nous raffolons. Nous nous mettons à l'ouvrage. Joie...

A plusieurs reprises je secoue ma bite devant les deux jeunes filles amusées. Estelle est beaucoup plus excitée que d'habitude.
A chaque fois elle mime une masturbation masculine. Elle s'applique à le faire de la façon la plus vulgaire possible. Cambrée.
Même Clémentine, que peu de choses étonnent dans ce domaine, est surprise par ces attitudes de plus en plus fréquentes.
Tout est prêt. La tarte est au four. Nous avons 40 minutes à consacrer au vice, au stupre et à la luxure. Nous allons au salon.
Clémentine est vautrée dans le canapé, silencieuse. Estelle se saisit du coussin carmin qu'elle pose au sol. Au milieu de la pièce.

A genoux, bien droite, les mains sur la tête, Estelle me fixe. < Tu veux qu'on filme ? > lui demande Clémentine. Un silence.
< Oui ! Ne perdons rien de nos séances ! > fait Estelle. Clémentine se redresse. Elle prépare rapidement la caméra. Trépieds.
Estelle se lève pour aller chercher sa carte SD qu'elle tend à Clémentine. Tout est en place. < Moteur ! > fait ma compagne.
Estelle s'est remise à genoux. Je ne la tiens pas. Je suis debout devant elle, la braguette à quelques centimètres de son visage.
Cette petite salope me présente sa bouche grande ouverte. Un gémissement derrière moi. Je regarde. Clémentine se touche...

Je passe ma bite sur le visage d'Estelle qui vient de refermer prestement sa bouche, serrant ses lèvres avec force. Je mouille.
Je macule le visage d'Estelle de filaments visqueux. J'en mets consciencieusement partout. Même sur ses paupières fermées.
Cette petite salope semble apprécier encore plus que les autres fois. Elle ne tente même plus de réfréner ses gémissements.
Derrière moi j'entends gémir Clémentine qui se masturbe en me regardant. Devant moi j'entends gémir Estelle. Je bande !
J'essaie d'enfoncer ma bite dans la bouche d'Estelle. Rien à faire. La jeune fille garde obstinément ses lèvres fermées. Serrées.

Je lui pince le nez. Estelle sait que cette façon imparable de lui faire ouvrir la bouche comporte quelques risques certains. Vice.
Prudente, les yeux bien ouverts, tous les sens aux aguets, Estelle est d'une vigilance totale. Il lui faut reprendre son souffle.
Je tente sournoisement d'enfoncer ma bite lorsque dans un cri de suffocation la jeune fille ouvre la bouche, détournant la tête.
Je pourrais lui tenir la tête, la forcer. Mais je préfère respecter le désir d'Estelle. C'est elle qui décidera du jour de la pipe. Vice.
Par contre, je me penche pour lui cracher dans la bouche. Mimant parfaitement le dégoût, Estelle détourne sa tête. Avalant...

Nos saloperies doivent exciter considérablement Clémentine. Beaucoup plus que je ne l'imagine. Clémentine aime ces moments.
Depuis ce week-end, Clémentine semble prendre un plaisir fou à rester passive, à se masturber en regardant mes saloperies.
C'est un peu le week-end prolongé des révélations pour chacun d'entre nous. Je pince le nez d'Estelle à plusieurs reprises. Jeu.
Dans les regards que me lance Estelle, relevant les yeux, je peux lire toute la reconnaissance qu'elle a pour mes égards. Joie.
C'est la sonnerie du four qui nous averti d'un autre plaisir qui nous attend. Nous cessons tout. Estelle se redresse. La faim...

Clémentine est à la limite de se terminer. Elle me tend la main. Je la saisis pour l'aider à se redresser. Elle cesse sa masturbation.
Estelle va vers le téléphone. Elle récupère le verre à foutre. Elle me le montre en disant : < Mon digestif, pour le dessert ! >. Rire.
Clémentine va éteindre la caméra. Estelle file à la cuisine. Clémentine se serre contre moi. < C'est génial ! > me chuchote t-elle.
Elle m'embrasse longuement. Je l'entraîne à la cuisine. Estelle a préparé la table. Je sors la flamiche du four. Odeur délicieuse.
Notre repas est un régal. Nous bavardons en évitant de parler sexe. Après la vaisselle, nous nous précipitons au salon. Digestif !

Bonne journée avec votre soumise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Frotteur de bite sur visages de jeunes salopes) -

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La livraison du sèche linge

Hier matin, mardi, à six heures, notre réveil musical nous tire de notre sommeil avec le concerto No 6 pour piano. Mozart.
Clémentine sans ménagement tape sur l'appareil en disant : < Silence ! >. Nous rigolons comme des bossus. On se lève.
Deux bisous. Clémentine trottine aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Je vais à la salle de bain. Bite posée sur le lavabo.
Je lâche un somptueux chapelet de pets que je module longuement avec une virtuosité rare. C'est émouvant et sonore.
< Je t'entends Bitounet péteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous descendons en nous marrant comme des fous.

Nous prenons notre petit déjeuner. Clémentine est toute contente. Elle n'a pas cours cet après-midi. Elle revient à midi.
Après notre copieux repas, c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est 7 h45. Clémentine s'en va. Plein de bises.
Clémentine revient à 12 h30 accompagnée d'Estelle. < Bonjour Oncle Julien ! > me fait Estelle heureuse de me revoir.
Nous nous serrons la main, la jeune fille a cette curieuse et rapide courbette avant les trois bises Bretonnes. Sourires.
J'ai préparé un très bon repas. Du riz complet avec une sauce aux champignons accompagnés d'une grande salade verte.

Nous bavardons. Je rappelle à Clémentine qu'à 13 h30 nous nous faisons livrer et installer le nouveau sèche linge. Ouf !
Même si les vêtements sont un peu froissés, le sèche linge est très pratique par jour humide ou à la mauvaise saison.
Estelle me lance d'insistants et mystérieux regards. Clémentine s'en rend très vite compte. Coups de pieds sous la table.
Je préfère ne pas avoir de comportement équivoque. Nous n'aurons pas le temps nécessaire pour satisfaire nos envies.
Après le repas, nous faisons notre vaisselle. Estelle insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Bien.

Clémentine monte à l'étage. Nous sommes seuls Estelle et moi à terminer de mettre la cuisine en ordre. Dans le silence.
Je regarde sur ma droite. Estelle, cambrée sur ses jambes, debout devant le frigo, mime une masturbation masculine.
< Je suis contente d'être là ! > me fait la jeune fille. Je regarde cet étonnant spectacle. Cette attitude nouvelle. Insolite.
Estelle insiste. Elle reste dans cette position en y mettant toute la vulgarité possible. Ses initiatives sont révélatrices. Jeu.
Je sors ma bite. Je bande mou. Je secoue ma queue en la faisant tournoyer. Estelle continue son imitation en observant.

Clémentine redescend et nous surprend dans cette situation. < J'ai le dos tourné et voilà ! > fait Clémentine en riant.
Clémentine s'est revêtue de sa robe en lin et porte ses ballerines. Je la trouve ravissante. Estelle a cessé son imitation.
Deux coups de sonnette. Deux autres. Clémentine va ouvrir. C'est le livreur. Un homme d'environ 40 ans. Trapu. Fort.
Il porte une grosse moustache et est plutôt jovial. Il nous propose d'entrer sa camionnette dans le jardin. Je le guide.
Je vais ouvrir le portail. L'homme roule en marche arrière jusqu'à la descente de la cave, derrière la maison. Facile.

Rapidement le livreur s'affaire. Je le laisse pour remonter. Estelle et Clémentine sont assises au bureau. Devant l'ordi.
Les deux jeunes fille révisent le cours de la matinée. Studieuses elles sont concentrées sur l'écran. Je reste silencieux.
Clémentine vient me rejoindre dans le canapé. < Tout se passe bien en bas ? > me demande t-elle. Je la rassure. Ok.
Clémentine se lève. Elle m'entraîne par la main. La jeune fille pose son index sur ses lèvres et me fait un < Chut ! >.
Nous descendons l'escalier de la cave sans faire de bruit. Nous entendons l'homme occupé à l'installation de l'appareil.

Clémentine m'entraîne jusqu'à la porte de la buanderie ouverte. S'accroupissant elle me fait signe de m'éloigner un peu.
De l'endroit où je me trouve, dans l'obscurité entre la vieille armoire et la chaudière, je peux voir le type qui s'affaire.
Je vois surtout Clémentine qui, les cuisses écartées, se masturbe. Une situation à risque dont la jeune fille raffole tant.
Je regarde comme halluciné cette initiative folle de la jeune fille. A plusieurs reprises, Clémentine se lève. Se redresse.
A chaque fois qu'un bruit plus fort se fait entendre, Clémentine se lève pour cesser sa masturbation. C'est délirant...

Derrière moi, un souffle. C'est Estelle qui est descendue dans le plus grand silence. Comme moi elle regarde. Etonnée.
Clémentine aime tant les situations à risques que cette opportunité ne pouvait pas lui échapper. Celle-là est insolite.
Le type ne se doute évidemment de rien. Clémentine nous fait des sourires. Le sèche linge fonctionne soudain. Bien.
Tout semble parfaitement fonctionnel. Je fais signe à Clémentine de nous rejoindre. Elle cesse. Nous remontons vite.
Deux coups de sonnette. C'est le livreur qui revient nous informer que l'installation est terminée. Je signe le papier...

Nous regardons la camionnette s'en aller. Nous allons tous les trois fermer le portail. Nous passons derrière la maison.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle photographie.
Il fait frais. Désagréable. Il y a des séquences pluvieuses qui ont trempé le sol. Nous retournons vite bien au chaud.
Clémentine est très excitée. Elle se blottit contre moi. < C'était génial, Bitounet ! Merci ! > dit-elle en m'embrassant.
Estelle pudiquement nous laisse pour retourner s'asseoir au bureau. Je mets ma main entre les cuisses de Clémentine.

La jeune fille a quelques spasmes de plaisir. Je lui caresse le sexe avec douceur. < Viens ! > fait-elle en m'entraînant.
Nous sommes installés sur le canapé. Estelle lève quelques fois la tête. Elle nous observe en souriant. Il y a le silence.
Je caresse Clémentine qui se couche sur le dos, écarte ses cuisses et me présente sa merveilleuse touffe épaisse. Belle.
Je me mets en position. Ma tête entre les cuisses de la jeune fille, je m'enivre des effluves parfumées de son sexe.
Tout est humide. Avec la langue, je me mets à fouiller chaque pli et repli des lèvres de son sexe. C'est délicieux. Doux.

Je dois être très vigilant. Clémentine est très excitée. Aussi, à plusieurs reprises, je cesse. La jeune fille est à gémir.
Ce sont les intonations de ses gémissements qui sont mon indicateur. Je sais lorsque la situation devient très critique.
Je flirte souvent avec les extrêmes limites. Il n'est pas question de provoquer un orgasme trop tôt. Il faut faire durer.
Estelle vient nous rejoindre. Elle est à genoux à côté du canapé. Elle se remet à mimer une masturbation masculine.
Clémentine m'attire sur elle. Avec d'infinies précautions je m'introduis dans la fille. Nous restons immobiles. Silence.

Je crois halluciner une fois de plus. Là, sur ma droite, pour la toute première fois, Estelle déboutonne son pantalon.
Elle glisse sa main dans sa braguette largement ouverte. Estelle se masturbe pour la première fois. Un peu gênée.
Clémentine bouge doucement son bassin, cherchant le meilleur angle pour s'offrir le plaisir. Nous restons silencieux.
Estelle bouge sa main doucement. Ce n'est pas la première fois qu'elle nous regarde baiser. Je la regarde. Sourires.
Estelle me regarde en soufflant doucement. Visiblement sa masturbation doit lui procurer bien du bonheur. Plaisir.

Nous restons ainsi un très long moment. Clémentine a soudain un long râle. Doucement elle se met à bouger. Rythme.
Je m'enfonce un peu plus profondément. Je ne cesse pas de regarder Estelle. Son mouvement est lent et régulier.
Soudain Clémentine accélère. De plus en plus vite. C'est l'orgasme dans une série de spasmes qui secouent son corps.
S'en est trop pour Estelle qui a exactement les mêmes symptômes de jouissances extrêmes. Les deux filles jouissent.
Je reste parfaitement immobile. Je sais que Clémentine veut absolument me sucer après son orgasme. Je me retire.

Estelle, comme affolée, s'est couchée au sol. sa main coincée entre ses cuisses resserrées. Son orgasme l'a étourdi.
C'est la première fois qu'Estelle se branle devant témoins. Son orgasme est donc suivit d'un légitime moment de gêne.
Nous restons tous les trois immobiles et silencieux. Comme si nous voulions prolonger ces instants divins. Délirants.
Clémentine se redresse. < Tu m'as rendu folle, je t'aime ! > me glisse t-elle à l'oreille. Estelle se redresse doucement.
Clémentine se met à sucer ma bite dégoulinante de foutre. Estelle nous observe. Je lui caresse le visage avec douceur.

Estelle doit nous quitter vers 17 h. Il est déjà 16h. La jeune fille a remis sa main dans son pantalon. Elle se branle.
Clémentine me taille une pipe merveilleuse. Parfaitement immobile, suçant ma bite avec une grande concentration.
Estelle me fixe. Nous nous regardons sans jamais baisser les yeux. Je suis saisi de vertiges. C'est absolument divin.
Un long moment se passe ainsi. Estelle ne peut pas empêcher ce nouvel orgasme qui la submerge une nouvelle fois.
Je décide d'éjaculer, envahissant la bouche de ma compagne d'un flot de sperme qui semble ne plus se tarir. Fou...

Nous restons encore un petit moment à faire le bilan de cette nouvelle expérience. Estelle se lève et se réajuste.
Il est temps de reprendre nos esprits. Estelle nous fait : < C'était vraiment génial ! >. Je lui caresse le visage.
La jeune fille s'en va. Je lui prête ma bicyclette qu'elle ramènera jeudi soir. Il ne pleut plus. Il y a du vent.
Nous regardons Estelle disparaître au bout de la petite route. Nous échangeons un dernier coucou de la main.
Clémentine se serre contre moi. < Je suis si bien avec toi ! Je t'aime mon Bitounet ! > fait-elle. Nous rentrons...

Bonne masturbation à toutes et à tous. Avec votre soumise, c'est encore plus délicieux...

Oncle Julien - (Qui se prête à toutes les fantaisies des jeunes filles délurées) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Clémentine me fait quelques aveux

Hier matin, mercredi, comme chaque jour, c'est notre réveil musical qui nous tire de nos profonds sommeils à six heures.
Deux bisous et nous voilà debout. Clémentine file aux toilettes en s'écriant < Pipi ! >. Je vais à la salle de bain. Peinard.
La bite délicatement posée sur le rebord du lavabo, je pisse en lâchant une merveilleuse salve de pets symphoniques.
< Je t'entends, mon Bitounet philharmonique ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. Enfin la douche. Il est déjà 7 h45.

Clémentine s'en va en cours. Elle revient pour 17 h. Nous sommes devant mon chevalet. La jeune fille sur mes genoux.
Elle me raconte sa journée. < Estelle n'a pas arrêté d'évoquer ce long week-end avec nous ! > me confie Clémentine.
Je lui montre les deux messages que m'a envoyé Estelle. Clémentine répond en riant. < Petite salope ! > fait elle. Rires.
Dehors il fait beau. Il y a du soleil. Par contre la fraîcheur est toujours présente. Nous décidons de partir nous balader.
Je range mes affaires, je nettoie mes palettes et nous montons nous changer. Nous voilà vêtus d'un jean et d'un sweat.

Clémentine me tend le collier et la laisse. Je le lui fixe autour du cou. Nous descendons alors le chemin jusqu'à la rivière.
Clémentine me fait part de son impatience de pouvoir enfin rester vêtue d'une simple jupe et d'un T-shirt. Belle saison.
< Si tu savais comme je suis pressée. Je me sens salope comme jamais ! > me confie t-elle en se touchant le sexe. Jeu.
Elle rajoute : < J'ai un fantasme fou qui revient de plus en plus souvent. Être surprise nue entrain de me masturber ! >
J'écoute amusée. < On va se trouver des "plans". Tu vas m'aider ? > me fait encore la jeune fille. Je la rassure. Sourires.

< Je redeviens la branleuse que j'étais durant toute mon adolescente, juste avant toi ! > me fait encore la jeune fille.
Je la prends dans mes bras. Nous restons longuement à nous bercer. J'écoute les aveux de Clémentine. C'est émouvant.
Elle rajoute encore : < J'adore te regarder être vicelard avec Estelle. Je n'arrête plus d'y penser. Tout ça m'excite ! >.
Je la tire par la laisse par petits à coups secs. < J'adore aussi quand tu es salaud avec moi ! Tu ne l'es pas assez ! >.
Clémentine a passé sa main dans son jean. Je la tire. Elle marche derrière moi. Clémentine me confie d'autres réflexions.

A plusieurs reprises la jeune fille se blottit contre moi. Nous nous embrassons avec avidité. Des instants passionnés. Forts.
Nous revenons à la maison pour 19 h30. Il fait encore très beau. Nous restons un peu au jardin. Dans notre beau potager.
Nous admirons la pousse lente mais certaine de nos semis. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Il y a sa petite auto.
La jeune fille me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie elle en récupère les derniers épanchements.
Je range la voiture à Clémentine. Elle est assise à mes côtés. < Me branler. Te sucer. Me faire brouter ! > me dit-elle...

Nous rentrons. Je propose de faire très simple. Des spaghettis et une sauce aux légumes. Aubergines, oignons, ciboulette.
Clémentine s'occupe de la salade. Tout est rapidement prêt. Nous mangeons de bon appétit. La laisse qui pend à son cou.
Nous bavardons en évoquant notre séjour dans le sud à la mi juin. Ces vacances sont attendues et bien méritées. Sympa.
J'expose la formule idéale que j'ai concocté. J'ai trouvé une location dans les Corbières, entre Carcassonne et Narbonne.
Nous pourrons alterner entre la visite du pays Cathare et pousser jusqu'à Figueras et Port Lligat en Catalogne toute proche.

< Tu es un amour, Bitounet. Avec toi tout est toujours si simple. Tout paraît si facile ! > me fait Clémentine. Si heureuse.
La jeune fille vient s'asseoir sur mes genoux. Nous restons longuement à bavarder. Puis, nous nous mettons à la vaisselle.
< Je vais te tailler une de ces pipes après ! > me fait la jeune fille. Je réponds : < Je vais te brouter la chatte d'abords ! >.
Nous rions de bon cœur. Nous mettons la cuisine en ordre. Clémentine me tend la laisse. < Tu me tires ? > me fait elle.
Je l'entraîne au salon. Nous regardons rapidement nos messageries sur l'ordinateur. Un message d'Estelle. Nous le lisons.

Clémentine répond. Il y a une photo de nous trois au jardin. Estelle joint toujours un cliché à ses messages. C'est délicat.
Il y a un message de l'université. Clémentine n'aura pas cours vendredi après-midi. Cette nouvelle est accueillit avec joie.
< S'il fait beau, on se fait un "plan" exhib l'après-midi ! Tu veux ? > me fait la jeune fille en se levant pour sautiller. Rire.
Clémentine enlève son jean et sa culotte. Vautrée dans le canapé elle écarte largement ses cuisses en me faisant un signe.
Je reste assis au bureau pour contempler ce charmant spectacle. Clémentine se touche en me regardant par en-dessous.

Volontairement, je reste distant. Clémentine se masturbe doucement. Je la laisse se donner ce plaisir solitaire qu'elle aime.
La jeune fille finit par s'écrier : < Viens ! >. Je me lève doucement. Je m'approche. Je me mets à genoux devant le canapé.
Mon visage dans la toison pubienne incroyablement dense et fournie je respire les odeurs de sa journée de jeune fille. Bon.
Les effluves parfumées de son sexe m'enivrent. C'est à la fois fort et envoûtant. Il y a une coulure de cyprine qui dégouline.
Une coulée de liquide laiteux et visqueux s'écoule vers le trou du cul que je discerne à peine dans l'épaisseur des poils...

Je me mets à lécher ce sirop épais et gluant. Clémentine se met à gémir. Elle est excitée depuis si longtemps. Je fais gaffe.
Il n'est pas question de provoquer un orgasme qui pourrait arriver très vite. Trop vite. Et Clémentine déteste ça. Vigilance.
Je me régale de tous les miasmes divers que je récupère dans les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe mouillé.
Puis je m'occupe de ce clitoris géant qui pointe fièrement. Il y a là quelques petites surprises fromagères. Un vrai délice.
Je suis obligé de cesser à plusieurs reprises. L'orgasme guette. Je descends mon jean. Clémentine m'attire sur son corps.

Je m'introduis avec d'infinies précautions dans la fille qui se serre contre moi comme une noyée à sa bouée. Immobile. Silence.
Nous restons ainsi un long moment. Je bande tellement fort que s'en est presque douloureux. Je reste sans bouger. Superbe.
Clémentine me chuchote quantité de douceurs mélangées à des saloperies. Elle me confie les détails de ce qu'elle souhaite.
J'apprends ce que la jeune fille veut réaliser dans un avenir très proche. Exhib, situations à risques. Être surprise nue. Salope.
Je lui promets de l'aider à réaliser tout cela. Clémentine se met à bouger doucement. Accélérant lentement. Un orgasme fou...

Bonne baise à toutes et à tous au fond de votre canapé...

Oncle Julien - (Serviable, méthodique et vigile pour jeunes salopes) -

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Estelle vient passer la soirée avec nous

Hier matin, jeudi, il est six heures lorsque le réveil nous tire de nos profonds sommeils. Clémentine me fait plein de bisous.
< Pipi ! > s'écrit-elle en se levant, m'entraînant par la main. Clémentine file aux toilettes. Moi, je file à la salle de bain.
La bite délicatement déposée sur le rebord du lavabo, je pisse en lâchant de merveilleuses rafales de pets en Fa et en Sol.
< J'entends tes modulations en Fa# ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus. La cuisine.
Nous prenons notre petit déjeuner puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est 7 h45. Clémentine va en cours.

A 17 h Clémentine rentre de cours. Assise sur mes genoux, devant mon chevalet, dans l'atelier, elle me raconte sa journée.
< Estelle arrive pour 17 h30. J'aimerais bien me balader un peu, ça te dit ? > fait Clémentine. Je trouve l'idée excellente.
Je range mes affaires. Je nettoie mes palettes. Nous montons nous changer. Nous voilà vêtus de nos jeans et de sweats.
Nous disposons les ingrédients nécessaires pour le repas de ce soir, au retour. Trois coups de sonnette. C'est Estelle. Joie.
Clémentine va ouvrir. Elle revient avec la jeune fille. Toute contente de me revoir, Estelle me serre la main et trois bises...

< Bonjour Oncle Julien ! > me fait Estelle. Elle est vêtue comme à son habitude de son jean et de sa chemise à carreaux.
< J'ai ramené votre bicyclette. C'était gentil. Merci Oncle Julien ! > me fait elle dans le jardin. Je la range immédiatement.
Clémentine nous entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle fait des photos.
Accroupie, Clémentine en récupère les dernières gouttes. Je la laisse se régaler un peu en faisant un clin d'œil à Estelle.
Je force Clémentine à se redresser sinon nous pourrions y passer la soirée. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière.

Il y a des séquences ensoleillées. Le sol est à peine humide. Il fait beaucoup plus agréable que les jours passés. Promenade.
Les deux filles bavardent. Elles évoquent leurs études. Vendredi après-midi il n'y aura pas cours. Elles sont plutôt contentes.
Avec l'approche des vacances d'été, ces après-midi sans cours vont êtres plus fréquentes. Nous marchons vers le haras.
Estelle se met à courir pour nous devancer. Elle prend quelques clichés de Clémentine et moi. Nous marchons en plaisantant.
Nous faisons également quelques selfies avec l'appareil posé sur une barrière. Des photos en automatique de nous trois...

A plusieurs reprises Estelle me fait des sourires appuyés et des clins d'œil. Elle mime une masturbation masculine en riant.
A nouveau Estelle a des attitudes vicelardes. Ces attitudes qui sont apparues le week-end dernier. Je regarde interrogateur.
Clémentine me fait du coude. Je sors ma bite que j'agite en la faisant tournoyer devant les deux filles. Estelle semble ravie.
Nous marchons deux bonnes heures. Cette situation se reproduit plusieurs fois. A chaque fois qu'Estelle imite une branle.
Sur le chemin du retour, je passe ma main sous les cheveux d'Estelle pour poser ma main sur sa nuque. Elle me repousse.

Nous voilà de retour à la maison. Il est 19 h30. Nous préparons notre repas. Du riz complet avec une sauce aux légumes.
Aubergines, courgettes, oignons et ail. La cuisson rappelle une sorte de ratatouille. Estelle est très active. C'est très rapide.
Clémentine s'occupe de la salade. A chaque fois que je pose ma main sur la nuque d'Estelle, elle me repousse. Curieux !
Estelle me jette des regards par en-dessous, vicelarde. Elle mime une masturbation masculine à plusieurs reprises. Salope.
A chaque fois je sors ma bite pour me branler. Estelle regarde avec attention. Clémentine me fait des sourires entendus...

Je mets la table. Estelle coupe les feux sous les casseroles. Clémentine remue la salade. Nous voilà assis a nous régaler.
Estelle n'arrête plus de me fixer avec insistance. Je me lève. Je viens me placer sur sa gauche. Elle reste méfiante. Jeu.
Je pose une nouvelle fois ma main sur sa nuque. La jeune fille me repousse fermement. C'est la première fois qu'elle le fait.
Je ne comprends pas vraiment. Je secoue ma bite en direction de son assiette à quelques centimètres de son visage.
Clémentine se lève pour me la saisir. Penchée en avant ma compagne se met à me la sucer. Estelle me fixe étrangement.

Je sors ma queue de la bouche de ma compagne pour retourner m'assoir. Nous continuons notre repas. Curieuse ambiance.
Je me lève une nouvelle fois pour tenter une approche. Nouvelle attitude de refus de la part d'Estelle. Est-ce un nouveau jeu ?
Nous faisons la vaisselle. Estelle fait la plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. Clémentine me secoue la bite en riant.
Soudain Estelle, après s'être séchée les mains se met à genoux devant moi, bouche grande ouverte. Je secoue ma queue.
Ma bite toute proche de son visage, je me branle doucement. Je m'approche. Avec un regard de défi, Estelle me fixe. Salope.

Juste au moment où je veux lui enfoncer la bite dans la bouche, Estelle détourne la tête. Je frotte ma queue sur sa joue.
Elle me repousse de ses mains avec un air de dégoût. < Salopard ! > fait elle à chaque tentative. Elle le fait plusieurs fois.
Je la saisis sans ménagement, sans brutalité mais fermement par ses cheveux. Estelle se débat avec force : < Non ! >.
Je ne tiens absolument pas compte de ses < Non ! >. Cette nouvelle façon de se comporter fait partie de ses petits jeux.
Je la tiens fermement. Je la force à se redresser. Je l'entraîne au salon. Estelle tente de s'arracher à mon étreinte. Lutte.

Je la jette avec force dans le canapé. Je me mets à genoux. Je la tiens fortement. Je lui passe la queue sur le visage. Cris.
Estelle se débat de toutes ses forces. Elle arrive à s'échapper. Clémentine nous rejoint au salon. Estelle reste à distance.
Cambrée sur ses jambes, Estelle, derrière le bureau, mime une nouvelle fois une masturbation masculine. Petite vicelarde.
La jeune fille a sans doute décidé de monter d'un cran ses attitudes ambiguës et équivoques. Clémentine m'embrasse.
Estelle descend son pantalon tout en gardant sa culotte. Le jean aux genoux, la jeune fille continue son geste branleur...

Où veut elle en venir ? Je fais tournoyer ma bite bien droit devant Estelle qui a remonté son pantalon. Je descends le mien.
Clémentine, derrière moi, me tient les couilles. Estelle revient pour se mettre à genoux devant moi. Bouche ouverte. Vice.
A nouveau je m'approche pour tenter de la lui mettre en bouche. Toujours au dernier moment, Estelle détourne la tête.
Clémentine tombe à genoux pour s'emparer de ma bite ruisselante de liquide séminal. Je suis excité. De la jute qui coule.
Ma compagne se met à me sucer. Estelle me fait des sourires d'une extrême douceur. Nombre de clins d'œil appuyés...

Nous restons un long moment à nous fixer pendant que Clémentine se régale de mes sécrétions incessantes. Estelle joue.
Je lui pose la main sur la tête. Je lui caresse les cheveux. Estelle se redresse. Son visage tout près du mien. Elle me fixe.
Je trouve son attitude de ce soir plutôt étrange. Je force Clémentine à se redresser. Ma compagne se lève et m'embrasse.
Nous passons le reste de la soirée à cette occupation. Estelle garde cette étrange façon d'être. Sans doute un "test".
Il est 22 h. Estelle doit penser à rentrer. Clémentine me propose de la ramener. Sa voiture est encore dehors au garage.

Je rentre ma bite. Je promets à Clémentine d'être de retour dans dix minutes. Elle m'embrasse et fait la bise à Estelle.
Décidément, tout est très particulier ce soir. Estelle est assise à mes côtés dans la voiture. Je conduis doucement. Nuit.
Estelle reste silencieuse. Nous arrivons au coin de sa rue. Elle me demande de la déposer à une centaine de mètres de là.
Je m'arrête. Soudain, pour la toute première fois, Estelle met sa main sur mon sexe. Elle se penche sur sa gauche.
Son visage posé sur ma braguette. < Je reviens samedi en fin d'après-midi ! > me fait elle le visage sur ma braguette.

Elle se redresse, mime une pipe. La main devant sa bouche en faisant une bosse avec sa langue à l'intérieur de sa joue.
Estelle me serre la main. Elle évite la bise que je veux lui faire, ouvre la portière et se sauve. Je la regarde partir vite.
Je reviens. Je raconte ma curieuse aventure à Clémentine qui me fait : < Je sais tout. Il ne s'est rien passé ! >. Rires.
Clémentine m'entraîne à l'étage. Notre envie de baiser est trop forte. L'excitation de la soirée est intense et puissante.
Après un délicieux 69, nous nous introduisons l'un dans l'autre pour rester immobiles. Nous faisons le bilan de la soirée.

Bonne soirée de saloperies bien vicelardes à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Jouet volontaire d'une petite salope qui joue avec les situations. Estelle) -

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Clémentine n'a pas cours vendredi après-midi

Hier matin, il est six heures lorsque notre réveil nous arrache du sommeil. Clémentine me fait plein de bisous. Contente.
< Pipi ! > s'écrie t-elle en m'entraînant par la main. Elle trottine aux toilettes. Moi, je file à la salle de bain. En sifflotant.
La bite posée sur le rebord du lavabo, j'émets les plus merveilleux pets de la création. En tonalité claire de Fa. Superbe.
< Je t'entends moduler jusqu'en Fa# ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus. Inodore.
Nous prenons notre petit déjeuner. < Je reviens pour Midi Bitounet. C'est le week-end ! > fait Clémentine. Heureuse...

Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est 7 h45. Clémentine me fait plein de bises avant de partir en cours.
Elle revient pour 12 h20. Clémentine se précipite dans mes bras. Je la soulève. Je la fais tourner. Nous nous embrassons.
J'ai préparé un rapide mais bon repas. Une omelette aux champignons avec une poêlée de courgettes et d'aubergines.
Accompagné d'une salade verte, ce repas à de quoi nous ravir. Il fait beau. Un fond d'air frais subsiste toutefois. Habitude.
Clémentine, assise sur mes genoux, me raconte sa matinée. Bien évidemment elle évoque Estelle et son attitude de hier.

Estelle avait besoin de ce "test" pour avoir une dernière confirmation. Elle sait maintenant que je suis un parfait gentleman.
La jeune fille sait qu'en dehors de nos jeux, mon comportement est celui d'un homme normal. Estelle est donc rassurée.
Nous rions de bon cœur. < Et moi aussi ! Tu ne fais pas de trucs derrière mon dos. Je t'aime Bitounet ! > fait Clémentine.
Elle me couvre le visage de bisous. Nous restons un petit moment à nous confier bien des secrets. Puis c'est la vaisselle.
Avec ce soleil, nous décidons une randonnée à bicyclette pour l'après-midi. Nous nous changeons. Encore chaudement.

Clémentine, frustrée, dans la chambre, me fait : < J'en ai marre ! J'aimerais bien pouvoir mettre ma jupette de tennis ! >.
Nous redescendons vêtus de nos leggings noirs et de nos sweats. Nous sortons les vélos du garage. Je vérifie le gonflage.
4,5 bars. C'est parfait. Je vais rapidement vérifier l'état du linge que j'ai suspendu en fin de matinée. Il est déjà à sécher.
Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable le long du canal. Il y a un vent de Nord Ouest presque de face. C'est désagréable.
Nous avançons doucement en bavardant. Il est quatorze heures. Nous croisons quantité de cyclistes et de rollers. Balade.

Cambrée sur la selle, Clémentine me fait : < J'ai envie de plaisir ! Si tu savais ! >. Je lui propose de nous arrêter. Caresses.
< Oh oui. Près du petit port de plaisance, dans notre coin ! > me fait la jeune fille en me saisissant le bras. Sourires. Joie.
Nous arrivons à l'écluse du cabanon. Le ciel est parfaitement bleu. A l'arrêt il fait même chaud. Le soleil nous fait du bien.
< Je me fais un "plan". Tu restes caché. S'il y a un soucis tu viens ! > me fait Clémentine en traversant la passerelle en fer.
Portant sa bicyclette, Clémentine arrive de l'autre côté du canal. Entre les deux bosquets, elle se positionne discrètement.

Depuis cet endroit stratégique Clémentine peut voir qui vient de gauche ou de droite. Depuis ma cachette je peux surveiller.
Il y a des cyclistes, mais ils sont toujours par deux ou par trois. Clémentine attend le passage du solitaire. Patiente. Plaisirs.
Je regarde Clémentine. Nous nous faisons des signes de la main. La jeune fille a passé une main dans son leggings. Sourire.
Penchée en avant, tout en se masturbant, Clémentine reste vigilante. Elle tourne la tête de gauche à droite. avec Attention.
Là-bas, sur la gauche, arrive enfin un solitaire. C'est un cycliste portant le parfait uniforme "Tour de France". Un passionné.

Clémentine, regardant rapidement partout autour d'elle, descend son leggings et sa culotte sur les chevilles. Jambes fléchies.
Concentrée. Le visage penché en avant, dissimulé sous ses longs cheveux, Clémentine qui s'est "gardée" lâche un jet. Fort.
Avec une parfaite synchronisation, Clémentine se met à pisser depuis le bord dans l'eau du canal. Le cycliste arrive. Choc !
Le type s'arrête. Il pose ses pieds au sol. Debout, son vélo entre les jambes, il regarde ce soudain et insolite spectacle. Fou.
Clémentine lâche plusieurs petits jets puissants qui viennent se briser dans l'eau de l'écluse quelques trois mètres plus bas.

Je sais la profonde émotion dans laquelle Clémentine s'est plongée avec délice. La jeune fille se sait observée. Exhibitionniste.
Sans relever la tête une seule fois, Clémentine fait durer cette situation. Ses lunettes de soleil noires luisent sur sa chevelure.
Je regarde cette merveilleuses salope. Quel culot ! Je suis en admiration autant que je suis en érection. Je sors ma bite. Bien.
Le type regarde sans bouger. Je regarde comme lui. Quel sublime spectacle. Personne n'arrive ni à gauche ni à droite. Super.
C'est un de ces arrêts du temps où tous les sens sont aux aguets. Je sens battre mon cœur. C'est sans doute le cas des trois...

Le dernier jet. Clémentine reste ainsi. Enfin le cycliste fait : < Bonjour ! En balade ? > fait-il. Clémentine lève la tête. Silence.
Sans bouger, avec un sourire désarmant, la jeune fille fait : < Bonjour. Oui. En balade ! >. Elle pose sa main sur son sexe.
Là-bas, à droite, arrive un groupe de cyclistes. Clémentine recule pour se dissimuler ainsi derrière un des deux bosquets.
Le groupe passe. Clémentine revient. La main entre ses cuisses, elle fait : < Et vous ? Balade aussi ? >. Le type est debout.
Il regarde consterné ce spectacle épatant et unique. < Oui ! On pourrait faire connaissance, non ? > lance t-il à la jeune fille.

Clémentine se masturbe. Elle ne répond pas. Je me rends bien compte à quel point ces instants d'intense plaisir la transporte.
Elle attend ces opportunités si souvent. Le type sort sa queue. Il l'agite bien dans la direction de la jeune fille qui s'accroupit.
Il y a deux autres cyclistes qui arrivent à gauche. Clémentine se redresse rapidement pour retourner se cacher. Ils passent.
Le type fait semblant de pisser pour donner le change. A peine les cyclistes passés, Clémentine revient se mettre en position.
L'inconnu se branle franchement. Il me tourne le dos. Je ne peux voir que son mouvement. La situation est réellement torride.

Le cycliste s'apprête à traverser la passerelle. Clémentine lui fait : < J'attends mon ami, il arrive d'une minute à l'autre ! >.
Cet argument est le plus souvent imparable. C'est un peu la formule magique qui fait cesser toutes velléités d'approche.
C'est encore le cas cette fois-ci. Le type fait demi tour. < Dommage ! > fait-il un peu dépité. Je vois sa queue. Longue. Fine.
Le type, considérablement excité, regardant à gauche et à droite, se met à se branler à toute vitesse. Il éjacule rapidement.
Je peux le voir, secoué de quelques spasmes, cambré sur ses jambes, manquer de perdre l'équilibre. Le veinard se réajuste.

Clémentine remonte son leggings. < Merci ! > fait cette salope avant de rajouter : < Peut-être à une prochaine fois ! >.
Le type remonte sur son vélo avant de faire : < C'est moi qui vous remercie. Ce serait un plaisir de vous revoir ! >. Drague.
Il sort une carte de la poche arrière de son maillot du "Tour de France". Il l'agite avant de la poser au sol. Il finit par partir.
Clémentine vient me rejoindre. < C'était génial ! J'ai faillis avoir un véritable orgasme ! Merci mon Bitounet ! > me fait elle.
Nous ramassons la carte de visite à côté de la flaque de foutre du mec. Il y est écrit le nom et la qualité de notre inconnu.

Nous reprenons notre route. Nous arrivons au petit port de plaisance. Deux heures trente après notre départ. Superbe virée.
Clémentine m'entraîne dans notre petit coin. Sur le toit d'un vieil abri de guerre en béton, nous y avons notre petite cachette.
C'est un endroit stratégique. De là on voit dans toutes les directions. Par contre, grâce aux buissons, on ne nous voit pas.
Clémentine, excitée, se serre contre moi. Nous avons posé nos bicyclettes au bas du blockhaus. Nous grimpons les marches.
La jeune fille me touche la bite avec fermeté. Nous nous couchons au sol. Le béton est chaud sous le soleil. J'ai la bite à l'air.

Comme mon excitation de tout à l'heure était considérable, j'ai la queue qui dégouline de liquide séminal. Mon slip trempé.
Clémentine, sa tête posée sur mon ventre, se met immédiatement à me sucer. Je peux l'entendre gémir de gourmandise.
Je la laisse se régaler de mes épanchements un long moment. Je la force à cesser en la tirant par ses cheveux. Je la couche.
Je descends son leggings et sa culotte. Je me mets à genoux. Je fourre mon visage dans l'humidité de son intimité touffue.
Son sexe dégouline de foutrine épaisse et visqueuse. je me régale de ses sécrétions jusqu'au vertige. Tout va alors trop vite.

Clémentine connaît un orgasme terrifiant. Dans un long râle sonore la jeune fille est agitée de plusieurs spasmes violents.
Pourtant, malgré ma vigilance, il était impossible de l'éviter. Clémentine me tire par les oreilles pour m'attirer sur elle. Joie.
< Je t'aime Bitounet ! Si tu savais ! > me fait elle. Avec d'infinies précautions, malgré l'inconfort, je m'introduis dans la fille.
Nous restons longuement immobiles. Clémentine me chuchote quantité de douceurs, de secrets et de cochonneries. Baise.
Un long moment, indéfinissable, s'écoule. Doucement Clémentine se met à bouger du bassin. Un nouvel orgasme s'annonce.

Nous savourons les barres de céréales que nous avons apporté avec nous. Nous buvons beaucoup d'eau. Vidant la bouteille.
Je regarde l'heure. Il est déjà 18 H. Il est temps de prendre le chemin du retour. Cette fois, le vent nous pousse. C'est facile.
Nous pédalons, heureux, en croisant plein de cyclistes. Nous arrivons à la maison pour 20 h15. Il fait encore bien clair. Jour.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie elle me "rince".
Une douche et nous nous préparons des coquillettes avec une sauce à la tomate fraîche. La vaisselle. Nous allons au salon...

Bonne randonnée à bicyclette à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Service "sécurité" parfait pour jeune exhibitionniste) -

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Estelle prend enfin de vraies initiatives

Il est huit heures du matin, hier samedi, lorsque j'ouvre les yeux. Dehors le ciel est lourd, gris et menaçant. Tristounet.
Je regarde sur ma gauche. Clémentine semble encore dormir profondément. Je fais très attention de ne pas bouger.
Pourtant, je n'ai pas ouvert l'œil depuis une minute que la jeune fille ouvre les siens. Sourire. Bisous. Câlins. Douceurs.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait la jeune fille en me chevauchant comme elle a l'habitude de le faire. Tendresses.
Nous restons ainsi un petit moment lorsque l'impérieuse envie de pisser nous impose un levé inéluctable. On se lève...

Clémentine m'entraîne avec elle aux toilettes. Comme elle aime que je le fasse, je la tiens fermement par ses cheveux.
Dans un long jet sonore qui ne semble plus devoir s'arrêter la jeune fille se soulage d'un flot libérateur. Je la maintiens.
Jambes fléchies, légèrement cambrée, Clémentine termine enfin. Je m'accroupis pour en récupérer les dernières gouttes.
Je me régale un peu des saveurs de sa nuit. Je hume ses délicieuses effluves parfumées, fortes et puissantes. Odeurs.
Puis c'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie la jeune fille récupère les reliquats...

Je laisse Clémentine se régaler un peu des saveurs de ma nuit. Je la force à se redresser. Nous descendons à la cuisine.
Notre copieux petit déjeuner nous régale d'un délicieux premier repas. Superbe. Clémentine se dirige vers les fenêtres.
Je la rejoins. Tout est humide mais il ne pleut pas. La terre ne semble pas détrempée. Nous décidons d'un bon jogging.
Nous faisons notre rapide vaisselle puis nous montons pour nous mettre en tenue. Départ pour 8 h30. Il fait plutôt frais.
Nous courons une heure. C'est toujours notre second plaisir du samedi. Au retour c'est la douche. Savonnage. Rigolade.

Nous nous habillons comme pour une fin d'automne. Clémentine met une jupe, des collants, un pull et son manteau noir.
Moi, je mets un jean, un sweat sous mon manteau noir. Nous voilà en route pour nous rendre au marché du bourg voisin.
Nous y faisons provisions de légumes, de fruits et de fromages pour la semaine. Nous flânons un peu dans les deux allées.
< Bonjour ! Les courses ? > nous fait une voix féminine. Je me retourne. C'est Juliette, la cavalière. Nous nous saluons.
La jeune femme est très élégante. Ses longs cheveux noirs et brillants en liberté sur ses épaules. Manteau. Pantalon...

Nous bavardons un peu. Juliette insiste beaucoup pour que nous passions un soir au haras. Elle s'occupe de ses chevaux.
Bavardages. Nous promettons de venir y faire un tour, soit à pieds soit à bicyclette au retour d'une de nos escapades.
Nous serrons la main à la dame et nous continuons notre chemin. Nous voilà en route pour le supermarché. Du monde.
Je pousse le caddie. Clémentine marche un peu devant moi. Au fur et à mesure elle dépose des choses dans le chariot.
Clémentine me fait : < On va aux bouquins ? On regarde s'il y a la possibilité d'un "plan" ? >. Nous nous y rendons vite.

Il y a quelques lecteurs qui feuillettent des magazines, des journaux ou encore des livres. Je suis aux bandes dessinées.
Je regarde Clémentine s'avancer aux rayon des livres de poche. J'adore la voir chercher des opportunités d'exhibitions.
Elle est rusée et stratège. Peu de choses lui échappent. Sous ses longs cheveux en liberté, Clémentine louche et voit tout.
Sa haute silhouette, fine et élégante, ne manque pas d'attirer quelques regards de messieurs se promenant là. Mateurs.
Des femmes aussi, parfois, se retournent. Clémentine semble avoir repéré une "proie". Un quadragénaire qui bouquine.

L'inconnu est vêtu d'un pantalon noir et d'un anorak noir également. Il est debout devant son caddie à feuilleter un livre.
Manœuvre d'approche traditionnelle. Clémentine avance à pas lents, fait semblant d'être intéressée par un bouquin du bas.
La jeune fille s'accroupit. D'abord droite devant le rayon. Puis, après quelques instants, se tourne de trois quart. Salope.
Comme toujours, assez vite, le type découvre cette belle jeune fille accroupie à deux mètres devant lui. Il mâte en douce.
Clémentine semble absorbée dans sa lecture. Je commence à bander depuis mon point d'observation. Le jeu d'actrice...

Comme souvent le quidam s'accroupit à son tour pour tenter d'en voir un peu plus. Il n'est pas déçu. Clémentine sait.
La jeune fille n'a pas besoin de forcer les choses. Sa position permet d'entrevoir sa culotte sous son collant. Spectacle.
Il n'y a en fait absolument rien à voir qu'une position équivoque et ambiguë. Le piège à mec est grossier mais fonctionne.
La situation perdure un petit moment. Le type ne tente aucune approche. Clémentine se redresse. La voilà debout là.
Le type se redresse aussi. Clémentine enfonce le clou. Elle met sa main sur sa jupe à l'endroit de son sexe. Elle appuie.

Cette attitude n'échappe évidemment pas à notre observateur. Clémentine insiste. Sa main discrètement entre les cuisses.
La jeune fille reste ainsi à scruter les livres sur l'étagère du haut. Le type mâte à s'en déboîter les globes oculaires. Discret.
Clémentine savoure ces instants de vice intense. Je sais ce qu'elle est entrain de vivre. Je sais le plaisir qu'elle éprouve.
Ma présence rassurante, pas loin et totalement complice, lui permet ces fantastiques moments de plaisirs raffinés et fous.
Un privilège rare que nous savons partager tous les deux pour notre plus grand bonheur. Le type se rapproche enfin...

De l'endroit où je me trouve je n'entends rien. Mais je vois les traits du visage de Clémentine animés d'un grand sourire.
L'inconnu passe à la phase "drague". Normal. Il n'imagine pas un seul instant être le jouet de notre complicité vicelarde.
Clémentine, délicieuse salope, joue parfaitement le jeu. Elle bavarde un peu sans vraiment regarder le type. Passionnant.
Je vois Clémentine faire un signe négatif de la tête. J'apprendrais après que l'inconnu lui proposait un café. Salon de thé.
Le type n'insiste pas. Sans doute un gentleman. Clémentine s'éloigne. L'inconnu ne fait pas mine de la suivre. Sympa...

Clémentine vient me rejoindre. Nous passons à la caisse. Deux caisses plus loin, il y a le type. Il nous voit un peu gêné.
Il comprend sans doute sur l'instant à quel genre de jeu Clémentine et moi nous nous livrons. Il esquisse un sourire. Joie.
Nous sommes de retour pour midi trente. Je propose un repas simple et rapide. Ce seront nos tartines cuites au four.
Clémentine, excitée par son aventure du supermarché est assise sur mes genoux. Nous bavardons en riant de nos folies.
Comme la jeune fille est dans cet état qui la satisfait tant, je lui propose de nous faire un après-midi "virée magasins"...

Dehors, il y a les premières gouttes qui tombent. Nous faisons une rapide vaisselle. Clémentine monte se changer un peu.
Au lieu de garder ses collants, elle enfile son porte-jarretelles et ses bas noirs. Elle est splendide. < Regarde ! > fait elle.
Accroupie devant moi, les cuisses largement écartées, Clémentine me montre sa touffe merveilleusement fournie. Dense.
J'imagine l'effet sur de parfaits inconnus. < Comment tu me trouves ? > me demande t-elle. < Salope ! > que je lui fais.
Nous rigolons comme des bossus. Direction la zone commerciale de la ville voisine. Dans la voiture, Clémentine me suce.

Nous commençons notre périple par la jardinerie. Il y a là des amateurs de jardinage. Hommes d'âge mûr comme elle aime.
Nous n'avons pas grand chose à acheter. Nous sommes très bien équipés. Nous déambulons en quête d'une opportunité.
C'est au rayon des graines qu'une belle occasion se présente. Un sexagénaire, élégant, est accroupit devant les sachets.
Je reste à l'écart. Clémentine, à quelques mètres, s'accroupit pour regarder les plantoirs suspendus au bas du rayonnage.
Bien évidemment l'inconnu ne tarde pas à découvrir le magnifique spectacle. Clémentine est très "allumée". Elle en veut !

Je regarde ma compagne. Quel culot. Accroupie, de trois quart, faisant semblant de regarder les objets, elle fait le "show".
Tenant un plantoir comme une bite, cuisses discrètement écartées, Clémentine nous offre un époustouflant numéro. Fou.
Le type semble soudain très troublé. Il reste à loucher sous la jupe de cette belle jeune fille accroupit à quelques mètres.
La situation dure un petit moment. Clémentine saisit un plantoir après l'autre comme si elle comparait les objets. Salope.
Pour enfoncer le clou. Clémentine esquisse même très rapidement, deux fois, un mouvement de branle sur les plantoirs.

L'homme se redresse. Il vient se positionner près de la jeune fille. Clémentine reste accroupit. Je regarde avec attention.
Pas de doute, je le vois de dos et de trois quart. Le type se touche la braguette. Il est très discret. Un fin "connaisseur".
Clémentine, ravie de l'aubaine, entend bien poursuivre le jeu pour voir jusqu'où ira le quidam soudain très entreprenant.
Il regarde à gauche. Il regarde à droite. Nul doute, Clémentine est tombée sur un "spécialiste". Il y a peu de monde.
Le type fait quelques mètres. Il récupère le chariot qu'il avait laissé devant les pelles et les bêches. Il est plein de sacs.

Clémentine n'a pas bougé. Le type revient se positionner à peut-être un mètre de la jeune fille. Je regarde avec attention.
Le type a certainement sorti sa bite avec la discrétion du pervers de luxe. Clémentine a son regard fixé sur sa braguette.
Même si ma compagne aime se retrouver en "situation", je lui découvre soudain un air d'étonnement rare. Elle sourit.
Le type est collé contre son chariot qui dissimule ses activités sur sa droite. Sur sa gauche c'est la tête de Clémentine !
Depuis l'endroit où je me trouve je ne peux manquer d'être consterné par le culot incroyable du type. Un exhibitionniste.

Deux exhibitionnistes qui se rencontrent au rayon graineterie d'une jardinerie, cela donne un grand moment de jardinage !
Le type se rapproche encore de la jeune fille pour n'être plus qu'à une cinquantaine de centimètres d'elle. Grand moment.
Le type a sa main qui s'agite doucement. J'ai la certitude qu'il tient sa bite tout près du visage de la jeune fille. Vicelard.
Il s'approche encore le bougre. Clémentine se redresse. Certainement pour ne pas se retrouver avec la bite sur la gueule.
Ma compagne n'a pas vraiment froid aux yeux dans les situations où elle se complait. Mais là, elle a trouvé plus fort qu'elle.

Le type, sans se démonter le moins du monde met la main dans sa veste épaisse et en sort une carte qu'il tend à la fille.
Clémentine s'en saisit. Tenant ses cheveux d'une main, lisant la carte, Clémentine fait un grand sourire. Le mec drague.
Je les regarde bavarder un petit moment. Clémentine met fin à cette situation un peu pesante. Elle salue l'inconnu et part.
Le type s'en va à son tour en poussant son chariot. Clémentine vient me rejoindre. < Fou ! > me fait-elle en me racontant.
Le type avait sorti sa bite et se branlait à quelques centimètres de son visage. Sans gêne et certainement en "habitué"...

L'état d'excitation dans lequel se retrouve Clémentine nous pousse à tenter la Halle aux chaussures un peu plus loin. Zone.
Il y a là beaucoup plus de monde. Il sera difficile de se faire un "plan". Clémentine tente un super coup au rayon baskets.
Accroupie devant les cartons à chaussures du bas, elle se fait "surprendre" une nouvelle fois. Encore un quinquagénaire.
Le type tombe sur ce merveilleux spectacle. Il hésite, se ravise et entre dans le rayon. Il s'assoit sur la banquette d'essais.
Faisant semblant d'essayer des godasses, le type louche avec une incroyable impertinence sous la jupe tendue de la fille.

Je suis discrètement à l'autre bout du rayon. Je tiens mon téléphone sur l'écran duquel je peux tout voir. Un rétroviseur.
Clémentine me tourne le dos. Je peux constater à quel point ses cuisses sont écartées. Une vraie salope. Le type mâte.
Comme halluciné, semblant perdre ses moyens, le type s'agite de plus en plus sur son siège. Il finit par s'adresser à la fille.
Clémentine relève la tête, reste sans bouger et se met à bavarder avec le type. Il va faire un malaise, c'est certain. Fou !
Le type se lève. Sans doute pour éviter l'apoplexie qui le guette, il se redresse complètement et s'en va. Consternation...

En fait, en sortant, nous constatons que l'inconnu est accompagné d'une femme. Ceci expliquant sans doute sa réaction.
Nous décidons de mettre fin à nos aventures. Nous rentrons. Nous sommes de retour à la maison pour dix sept heures.
Juste avant l'arrivée d'Estelle avec presqu'une demi heure d'avance. < Bonjour Oncle Julien ! > me fait la jeune fille ravie.
Nous nous serrons la main. Trois bises Bretonnes. Clémentine me glisse discrètement à l'oreille : < Pas un mot, hein ! >.
Il et entendu que nous ne voulons rien dire de nos aventures exhibitionnistes à Estelle. Pour le moment. C'est occulté...

Estelle est vêtue comme à son habitude d'un jean et d'une chemise à carreaux. Nous restons en tenues de ville. Sympa.
Je vais aux toilettes. A peine suis-je debout devant la cuvette de faïence, voilà la porte qui s'ouvre derrière moi. Estelle.
La jeune fille vient se mettre sur ma droite. Debout, la tête penchée, elle observe ma bite. Je tente de me concentrer.
Je mets mon bras autour de l'épaule d'Estelle. Son visage tout près du mien, elle me fait un délicieux sourire. Clin d'œil.
Je laisse pendre ma bite. Je bande mou. Quelle n'est pas ma surprise, Estelle s'empare de ma queue. Clémentine arrive.

Clémentine est debout à ma droite. Elle regarde Estelle qui me tient la bite. Je bande comme le dernier des salauds. Fort !
Impossible de pisser. Et si je le faisais, je pisserais au plafond ! Il y a un profond silence. Nos respirations sont haletantes.
Pour la toute première fois Estelle a une initiative de ce genre. Clémentine, dont l'excitation est à son comble, m'embrasse.
Estelle me tient la queue sans bouger. Elle la tient fermement. Je tiens Clémentine d'une main par la nuque. Un vertige.
De mon autre main je caresse la joue d'Estelle. Je lui enfonce un doigt dans la bouche. Elle a un réflexe comme un spasme.

Nous restons dans cette situation un très long moment. Estelle me lâche la bite. Clémentine et moi bavons de nos baisers.
Estelle sort des toilettes. Clémentine et moi y restons seuls. < Tu vois, je te l'avais dis, Elle a des initiatives ! > me fait elle.
Clémentine s'accroupit pour me sucer. J'ai la bite trempée. Je peux sentir les montées de liquide séminal tirées des couilles.
Je laisse ma compagne se régaler de mes épanchements un long moment. Mon excitation est à son comble. Elle savoure.
Finalement, je force Clémentine à se relever. < Aïe ! J'ai des fourmis dans les jambes ! > me fait elle en m'entraînant...

Nous nous rendons au salon. Estelle est assise devant son ordinateur. Elle nous fait un grand sourire. Nous la rejoignons.
< Nous n'aurons pas cours mardi après-midi ! > fait Estelle à l'attention de Clémentine. < Super ! > s'écrient les deux filles.
Je vais à la cuisine pour préparer les ingrédients de notre repas du soir sur la table. Estelle vient me rejoindre. Seule. Joie.
Elle mime une masturbation masculine, jambes légèrement fléchies, cambrée, le bassin en avant. D'une exquise vulgarité.
Je sors ma bite. Comme je suis excité, il y a de la jute qui suinte. Estelle s'accroupit pour approcher son visage. Concentrée.

Je me masturbe doucement devant le visage d'Estelle. Toujours un peu méfiante, elle garde ses distances. Une main au sol.
Clémentine arrive. En découvrant la scène elle fait : < Et voilà ! J'ai le dos tourné deux minutes ! >. Nous rions de bon cœur.
Estelle se redresse. Je veux ranger ma queue. < Pas question ! > me fait Clémentine en la saisissant. Elle se penche et suce.
Estelle est tout près de moi. Je passe ma main sous son menton. Elle se laiise faire en me souriant. Je l'attrape par la nuque.
J'attire la jeune fille à moi. Je pourrais l'embrasser tellement sa bouche est près de la mienne. Elle ne semble attendre que ça.

C'est Estelle qui en prend l'initiative. Je détourne la tête au dernier moment. Pas question de le faire sans Clémentine. Non !
Je force Clémentine à se redresser. Elle a les lèvres trempées de foutre. Elle me montre l'intérieur visqueux de sa bouche.
Clémentine m'entraîne au salon. Elle me fait basculer sur le canapé. Elle pose le coussin au sol pour s'y mettre à genoux.
Estelle vient s'installer à côté de moi. Clémentine se met à me tailler une pipe qui me couvre de frissons. Estelle me sourit.
J'ai en tête toutes les images de l'après-midi. C'est la même salope qui me suce ! Je prends conscience de mes privilèges...

Nous restons ainsi un très long moment. Estelle a d'étonnants élans de tendresse retenue. Elle pose sa tête sur mon épaule.
Je lui caresse la joue. je lui mets l'index dans la bouche qu'elle me suce avec avidité. Comme pour me faire comprendre.
Je regarde l'heure sur la pendule Westminster. Il est 19 h30. < Et si nous allions nous préparer la bouffe ! > que je fais.
Estelle se lève et fait : < J'y vais déjà pour commencer ! >. Clémentine se redresse, du foutre partout autour de la bouche.
< C'est tout simplement divin ! > me fait Clémentine en se serrant contre moi. Le la berce longuement. Murmures de joies.

Nous allons à la cuisine. Estelle est entrain d'éplucher les pommes de terre et les carottes. Clémentine s'occupe de la salade.
Je coupe l'ail, l'oignon et le persil. Ce soir, ce sera une simple potée au fromage de Comté. Les deux filles bavardent. Rires.
Juste avant de mettre la table, Clémentine nous entraîne au dehors, sous le grand parapluie. Nous allons ranger la voiture.
Derrière le garage, Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Elle tend ma queue à Estelle qui s'en empare aussitôt.
Je bande d'un coup. Mon jet de pisse devient beaucoup plus fin. C'est presque douloureux. Estelle dirige les "opérations"...

Il en a fallu des mois d'approches, de "travail" obstiné, pour qu'enfin Estelle ose se servir de ma queue comme d'un jouet.
J'ai cessé de pisser depuis un moment. Estelle me la secoue comme elle a vu Clémentine me le faire. Elle est un peu gênée.
Estelle ne me la lâche tout simplement plus. Son secouage s'est transformé en franche branlette. Cette salope me branle !
Clémentine m'embrasse en gloussant. Estelle me branle. C'est émouvant. Je suis ému. Clémentine fait : < Rentrons ! >.
Estelle me tient par la queue jusqu'à la cuisine. Sans oser me tirer comme à la laisse. Elle ne la lâche tout simplement plus.

Je finis par retirer la main d'Estelle. Nous passons à table. Clémentine s'y glisse à genoux pour me sucer le mélange. Stop !
Je la force à se relever et à s'assoir. Nous sommes évidemment tous les trois dans un état assez euphorique. C'est magique.
Le repas est délicieux. Une réussite. Avant la fin, je me lève. Je viens me mettre à côté d'Estelle. Je sors ma bite. Debout.
La jeune fille me la prend d'une main, se saisit de son assiette qu'elle tient en dessous. Il y a encore de la bouffe dedans.
S'en est trop ! Je décide d'éjaculer. Je me répands sur la potée que j'inonde d'un sperme abondant, gluant et visqueux...

Clémentine se lève. Elle s'accroupit pour me sucer immédiatement. Estelle mange avec les doigts sa potée au foutre. Silence.
Estelle tout en mangeant me fixe de son regard vicieux. Intense, profond, comme pour me lancer un défi. Je bande toujours.
La pipe que recommence Clémentine n'est pas faite pour calmer mes ardeurs. Je la force à cesser. Estelle cesse de manger.
Juste au moment où je veux retourner m'asseoir, elle m'attrape par la queue. Elle remet son assiette juste en dessous.
Il y a des coulures visqueuses qui s'écoulent de ma bite. Je suis juste dans la phase idéale. Je lâche un petit jet de pisse...

Il y en a un second. Le reste de la potée flotte à présent dans un mélange assez repoussant. Estelle se met à manger. Fou !
Avec la cuillère, comme si c'était de la soupe, Estelle se régale en ne cessant pas de me fixer de son regard vicelard. Divin.
Nous faisons la vaisselle. Deux fois Estelle mime une masturbation masculine. Elle fait la plonge. Clémentine et moi essuyons.
Clémentine est dans un intense état d'excitation. Nous retournons au salon. Clémentine se vautre dans le canapé. En jupe.
Cuisses écartées, sont regard suppliant est une invitation. Je me jette à genoux pour lui bouffer la chatte. C'est trempé...

J'ai beau être d'une vigilance absolue. Je ne peux empêcher l'orgasme terrifiant qui secoue le corps de Clémentine. Elle crie.
< Je vais mourir ! > s'écrie Clémentine en mettant ses deux mains entre ses cuisses qu'elle resserre. Estelle dans le fauteuil.
Quelle n'est pas ma surprise de voir Estelle, son jean à mi-cuisses, la main dans sa culotte entrain de se masturber. Dingue.
Décidément, les choses ont bien changé. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Baise.
Nous restons immobiles. Clémentine et moi n'avons de regards que pour Estelle qui ne cesse plus de se branler en gémissant.

Une grande partie de la soirée se passe ainsi. Clémentine s'offre un nouvel orgasme cataclysmique. Le canapé en tremble.
Nous restons à nouveau sans bouger. Dans son fauteuil, Estelle semble s'être endormie. Elle est belle comme un ange.
Clémentine me fait : < Donne-moi mon délice ! >. Je me retire. Je lui tends ma queue ruisselante de nos jus. Elle suce.
J'éjacule une nouvelle fois. Je suis saisis de vertiges. Je suis obligé de me tenir au dossier du canapé qui va finir par casser.
Estelle se réveille. Elle nous fait un grand sourire. Nous sommes épuisés. J'écris ce texte. Les filles révisent leurs cours...

Bonne soirée de turpitudes, de stupre, de luxure et de bonheur avec votre visiteuse, à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui n'en menait pas large ce coup-ci !) -

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J'arrête de me toucher pour cliquer sur les deux merveilleuses images.
Les doigts un peu mouillés, je peux bien lire ce qui est écrit dessus...

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Un nouveau week-end avec Estelle à la maison

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des caresses et des papouilles. Il y a des murmures, des rires étouffés.
J'ouvre les yeux. Je regarde sur ma gauche. Clémentine me chevauche en me faisant : < Bonjour mon Bitounet dormeur ! >.
Estelle, à l'autre bout du lit me fait un coucou de la main en disant : < Bonjour Oncle Julien ! >. Elle mime une série de bisous.
Par la fenêtre, je peux découvrir ce ciel gris, minable, triste et lourd. Clémentine me couvre le visages de bises. Estelle se lève.
< Je vais préparer le petit déjeuner ! > fait elle en trottinant vers la porte. < On arrive dans 5 minutes ! > répond Clémentine.

L'envie de pisser est devenue irrépressible. Nous n'avons d'autres choix que de nous lever également. Clémentine m'entraîne.
Nous allons aux toilettes. C'est d'abord le tour de Clémentine que je tiens par ses cheveux. La jeune fille se lâche longuement.
Je m'accroupis pour en déguster les toutes dernières gouttes. Je hume avec délice les effluves parfumées de sa nuit de fille.
Puis c'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en récupère les derniers épanchements.
Je la laisse se régaler quelques instants. Je la force à se redresser. Nous descendons rejoindre Estelle. C'est le petit déjeuner.

Nous sommes tous les trois dans la véranda. Devant nous la campagne est tristounette. < Il fait si moche ! > fait Clémentine.
Elle se serre contre moi. L'odeur du café fumant nous enchante tout de même un peu. Nous voilà assis devant le petit déjeuner.
Nous bavardons en mangeant la brioche. Je beurre les tartines des filles qui me les tendent en disant : < La mienne aussi ! >.
Estelle me fait de discrets sourires. Ce qui n'échappe évidemment pas à Clémentine qui me fait du pied sous la table. Amusant.
C'est dimanche, la météo est médiocre. Nous traînons à table. Les filles parlent de leurs cours. Des anecdotes d'étudiantes...

Estelle insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi, armés de nos torchons, nous essuyons les bols et les couverts. Rires.
Clémentine propose à Estelle de s'installer au bureau, devant son ordinateur, pendant que nous faisons le ménage. Dimanche.
Je commence par nettoyer la cuisine. Serpillère, éponge. Clémentine monte faire la chambre. Puis je nettoie les chiottes du bas.
Je monte rejoindre Clémentine qui termine de changer les draps. Nous nous serrons fort. Puis je nettoie les chiottes de l'étage.
Serpillère sur les carrelages du WC et de la salle de bain. Clémentine m'attire dans la chambre. Elle m'embrasse longuement.

Nous nous habillons. Clémentine met une robe de "maison". Nous terminons de tout ranger. Nous redescendons. Tout est net.
Nous aimons vivre dans un environnement propre ou tout est parfaitement en place. Estelle est au salon. Assise au bureau.
Clémentine va la rejoindre. Elles observent les plannings de la semaine à venir. Les filles n'auront pas cours mardi après-midi.
Je viens voir. Estelle fait défiler les programmes de la faculté jusqu'aux vacances d'été. Il y aura pas mal de jours de congés.
< L'année prochaine, c'est le "Master", notre quatrième année d'études ! Comme ça passe vite ! > fait Estelle. Il y a un silence.

Je vais à la cuisine pour poser les ingrédients du repas de midi sur la table. Il est déjà 10 h30. Dehors la météo reste pourrie.
Il ne pleut pas. Le sol est humide mais pas détrempé. Je reviens au salon. Estelle est debout à fouiller dans son petit sac à dos.
Clémentine est devant l'ordinateur. Elle me fait signe de la rejoindre. Il y a un courriel de Juliette la cavalière, rencontrée hier.
Il y a deux photos du haras devant lequel nous passons parfois à bicyclette ou en faisant notre jogging. Nous voyons l'intérieur.
Juliette pose en tenant deux chevaux. Nous scrutons bien les photos. Le message renouvelle l'invitation qui nous est faites...

< On va finir par y passer. Elle insiste ! > me fait Clémentine. Estelle vient voir et fait : < C'est une belle femme en plus ! >.
C'est vrai que Juliette, qui doit avoir 45 ans tout au plus, est une belle jeune femme brune et élégante. Nous observons.
J'ouvre ma boite mail. Il y a les deux messages quotidiens d'Estelle que je remercie pour cette gentille et régulière attention.
< Je passe tellement de bon temps ici ! > me fait Estelle debout à mes côtés. Elle mime une masturbation masculine. Rires.
Clémentine fait le même geste obscène. C'est à celle qui le fera le plus vulgairement. Nous rions tous les trois de bon cœur.

Je me lève. Clémentine se serre contre moi, marquant son territoire et sa propriété exclusive. Estelle continue son imitation.
< Moi aussi j'aimerais bien un Julien ! > fait elle. Clémentine répond immédiatement : < Celui-là, c'est le mien ! >. Rires.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Elle m'ouvre la braguette et me fait : < Attends là, on va faire une autre expérience ! >.
Je suis debout devant la cuvette en faïence. C'est forcément suggestif, j'ai la soudaine envie de pisser. Et la porte s'ouvre.
Estelle vient se mettre à mes côtés. J'ai la bite à l'air. Il y a un silence. Il y a une hésitation. Estelle s'accroupit. Elle mâte...

J'ai les mains posées sur les hanches. Je bande mou. Je pose une main sur la tête de la fille. Elle lève les yeux et me fixe.
Je caresse sa tête comme à un petit animal. Estelle, après plusieurs tentatives hésitantes, s'empare enfin de ma queue.
Elle la tient . Sa main est douce. Elle reste immobile. < Je peux la tenir parfois ? > me demande la jeune fille, implorante.
< Quand vous le souhaitez ma chère Estelle. Ne vous gênez jamais ! > que je lui réponds. Clémentine vient nous rejoindre.
< Tu le branles quand tu veux ! > fait elle en venant s'accroupir sur ma gauche. Estelle lui tend ma bite. Invitation. Joie.

Bien évidemment, Clémentine avance sa tête pour saisir mon sexe avec le bout des lèvres de sa bouche avide et gourmande.
Je la laisse sucer un peu. Estelle observe avec attention. Je continue de lui caresser la tête. On entend le bruit de succion.
Je propose de laisser les choses en l'état et passer à la préparation de notre repas de midi. Je force Clémentine à se relever.
Je force Estelle à se redresser également. Elle n'a pas lâché ma bite depuis dix minutes. Nous allons à la cuisine. La bouffe.
Estelle, depuis les WC, continue à me tenir la queue. Immobile. Elle est le plus souvent derrière moi, où là, sur ma droite.

Je commence à nettoyer les champignons, les courgettes et le persil. Clémentine s'occupe de la salade. Nous bavardons.
Estelle m'a lâché la bite pour m'aider à couper l'ail et l'oignon. Nous allons nous concocter une sorte de ratatouille "maison".
A plusieurs reprises, après s'être essuyée les mains, Estelle passe derrière moi pour m'attraper la queue. Sans bouger.
Clémentine lui fait : < Décidément ! Depuis que tu sais ce que c'est ! >. Nous rigolons comme des bossus. Casserole.
Je dépose une cuillère d'huile d'olive au fond du récipient. Je fais blondir l'ail et l'oignon. Estelle derrière moi observe bien.

Ma bite à la main, placée derrière moi, son visage au-dessus de mon épaule, Estelle me regarde remuer avec une spatule.
Je sors l'ail et l'oignon à peine saisis. Je verse la courgette, l'aubergine et les tomates grossièrement coupés. Je remue.
Rapidement, la délicieuse odeur des légumes embaume la cuisine. Estelle ne me lâche tout simplement plus la queue.
Quoi que je fasse, où que je me déplace dans la cuisine, Estelle est presque collée contre moi pour me tenir la bite. Salope.
Clémentine vient se frotter contre moi à quelques reprises. Elle m'embrasse à chaque fois de sa bouche chaude et avide.

Estelle me lâche la queue pour mettre la table. J'ai préparé du millet doré qui a gonflé très vite dans l'eau bouillante.
Nous voilà assis à déguster notre repas de midi. Nous bavardons en riant beaucoup. Estelle me fait quelques clins d'œil.
Clémentine me fait du pied sous la table. Je me lève. Je viens me mettre à côté d'Estelle. Elle reste sur ses gardes.
Du coin de l'œil Estelle surveille mes agissements. Je lui mets la main sur la nuque. Je peux ressentir un léger spasme.
J'attire sa tête. J'appuis ma braguette sur son visage. Estelle se laisse faire avec un léger et discret gloussement. Joie.

Je tiens fermement sa tête. Estelle n'oppose aucune résistance. Au contraire elle enfuit son visage dans les plis du tissus.
Je maintiens la situation un petit moment. Clémentine me regarde en souriant. Elle me fait un clin d'œil. Pouce en l'air.
J'imprime un mouvement masturbatoire en bougeant doucement mon bassin. Je bande comme un vrai salaud. Je le suis !
Estelle se laisse faire en appuyant fortement son visage contre ma braguette. Les choses ont bien évolué depuis peu.
Je cesse. Je retourne m'assoir. Estelle me fait des sourires amoureux. Nous continuons notre repas. Excellente ambiance.

Nous faisons la vaisselle. Comme toujours, Estelle insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. Soins.
Avant de passer au salon, Clémentine nous propose de faire un tour au jardin. Il fait relativement doux. Plus de fraîcheur.
Nous passons derrière le garage. Clémentine me sort la bite qu'elle tend à Estelle. Cette dernière s'en saisit pour la tenir.
Je me concentre. Je bande rapidement comme un priapique. Impossible de pisser. Estelle reste parfaitement immobile.
Soudain, Estelle la secoue d'un seul à coup. Elle me la tient entre le pouce l'index et le majeur. Nous sommes concentrés.

Clémentine s'est accroupit pour regarder. Les rôles sont inversés. Après un moment Estelle donne un nouvel à coup. Fort.
Cette petite salope s'offre enfin tous les désirs vicelards qui l'habitent depuis quelques mois. Je me concentre très fort. Rien.
Je n'arrive pas à pisser. Je suis excité. Estelle a son visage tout près du mien. Je sens son souffle chaud contre ma joue.
Il se passe un long moment. Clémentine se redresse et nous fait : < On peut même se faire une balade cet après-midi ! >.
La suggestion est accueillit avec joie. Estelle donne un nouvel à coup. La proposition de Clémentine détend un peu l'instant.

Enfin, je peux lâcher un petit jet timide. Estelle fait : < Je sens quand ça passe ! Comme dans un tuyau ! C'est génial ! >.
< N'est-ce pas ! > lance Clémentine. Nous rions de bon cœur. J'arrive à lâcher un second jet. Estelle dirige avec attention.
A chaque fois, dès que le jet se tarit, la jeune fille donne une secousse. < C'est hyper vicelard, hein ? > fait Clémentine.
< C'est vraiment génial ! > fait Estelle. Elle fait un dessin contre le mur. Un vrai Chef-d'œuvre. Je lâche plusieurs jets.
Je termine. Ce sont les dernières gouttes qui s'écoulent. Clémentine se penche en avant pour les récupérer en suçant fort.

Estelle ne me lâche plus la bite. Je force Clémentine à se redresser. Nous retournons à l'intérieur. Estelle me la lâche enfin.
Nous montons à la chambre pour nous habiller chaudement. Estelle nous rappelle qu'elle doit filer à 18 h30. Repas de famille.
Il est 14 h. Nous voilà en chemin. Nous longeons la rivière. Clémentine me tient par la main tout le temps. Nous marchons.
Estelle fait quelques photos. L'appareil posé sur une barrière, nous faisons des clichés en "automatique" de nous trois. Bien.
Clémentine me chuchote : < Sors ta bite ! >. J'ouvre ma braguette, je sors ma queue. Nous posons tous les trois. Photos...

Estelle règle en disant. < On en fait quelques unes en série ! >. L'appareil va faire des clichés toutes les cinq secondes.
Estelle revient. elle me saisit la bite qu'elle tient fièrement. Je suis au milieu. Nous posons pour au moins vingt clichés.
Je me mets à bander comme un vrai salaud. Estelle pointe bien ma queue vers l'objectif. Clémentine s'accroupit. Silence.
La tête contre ma cuisse gauche. Estelle s'accroupit à son tour. Sa tête contre ma cuisse droite. Elles me tiennent fort.
Pour les deux dernières photos, Estelle approche son visage de ma bite jusqu'à l'avoir contre sa joue. Elle me la tient.

Nous continuons notre promenade. Nous arrivons près du fameux haras. Il y a quelques voitures garées sur le parking.
< Tu sais quoi ? On y passe rapidement ! > me fait Clémentine. < Ah oui, super ! > lance Estelle. Nous nous y rendons.
C'est une grande cour. Il y a une sorte de manège rond. Il y a quelques personnes près des chevaux. Deux cavaliers.
Nous voyons Juliette en pleine explication avec quatre personnes. Elle nous voit. Immédiatement elle nous fait un signe.
Nous nous approchons. Juliette vient nous saluer. Clémentine lui présente Estelle. Elles se serrent la main poliment...

Nous bavardons. Juliette nous fait visiter les deux bâtiments. Elle s'occupe ici des chevaux qui lui sont confiés à l'année.
Juliette est sollicitée à plusieurs reprises. Nous lui proposons de repasser bientôt, en soirée, lorsqu'elle sera plus libre.
Nous continuons notre balade. A quelques reprises, je sors ma bite que j'agite devant les deux filles. En parfait vicelard.
Je reste à distance. Estelle tente de me rejoindre sous l'œil amusé de Clémentine. Je remballe au dernier moment. Rires.
Nous sommes de retour pour 18 h15. Estelle est obligé de respecter son engagement familiale. Elle revient pour 21 h30.

Bonne journée avec votre visiteuse vicieuse à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui ne sait plus où donner de la bite) -

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Estelle a passé tout le week-end prolongé avec nous

Hier matin, lundi férié, je suis réveillé par la plus agréable des façons. On me tient la bite. Et le matin je bande toujours.
Cette éréction toute naturelle n'a pas échappé à Clémentine et à Estelle qui éclatent de rire. On me la tient doucement.
J'ouvre les yeux. Quelle n'est pas surprise. C'est Estelle qui me la tient. < Bonjour Oncle Julien ! > me fait la jeune fille.
< Bonjour mon Bitounet bandeur ! > me fait Clémentine en me faisant plein de bisous. Je dis : < Bonjour les filles ! >.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Estelle a passé son bras au-dessus de Clémentine qui se serre fort contre moi...

Estelle me fait un sourire espiègle. Elle me lâche le sexe en disant : < Je descends. Je vais préparer le petit déjeuner ! >
Clémentine tout en me chevauchant répond : < On arrive dans cinq minutes ! >. Nous nous faisons plein de papouilles.
L'envie de pisser ne nous laisse pas beaucoup de répit. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux.
Le rituel pisseux. Je m'accroupis pour récupérer les dernières gouttes. Je hume les délicates odeurs de la nuit de la fille.
Puis c'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Elle s'accroupit pour en récupérer les reliquats...

Je laisse Clémentine se régaler quelques instants. Je la force à se relever. Nous descendons rejoindre Estelle. La faim.
En bas, tout est prêt. L'odeur du café fumant achève d'ouvrir nos appétits. Estelle mime une masturbation masculine.
< Déjà ! > lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Je sors ma queue que je secoue en direction d'Estelle.
Il est 8 h30 du matin. C'est encore un jour férié. Nous traînons à table en bavardant, en riant. Dehors, il fait moche.
Le ciel est gris, bas et menaçant. Il a plut cette nuit. Tout est mouillé. Il n'y a donc pas de réel projet pour la journée...

Après le petit déjeuner et la vaisselle, Clémentine propose à Estelle de nous attendre au bureau, devant son ordinateur.
Nous allons procéder à notre heure d'entraînement. Très disciplinés, Clémentine et moi, nous ne dérogeons pas à la règle.
Estelle préfère venir faire la gymnastique avec nous. Nous voilà dans la pièce consacrée au "sport" à côté de la chambre.
Estelle est très sportive également. La jeune fille connaît bien la plupart des exercices. Fitness de base. Aérobic de base.
Nous passons une heure d'entraînement intense. Estelle nous montre la série d'abdominaux qu'elle pratique en dernier.

Comme Estelle continue encore un peu, Clémentine et moi allons prendre notre douche en premier. Dix minutes. Savon.
Nous revenons. C'est au tour d'Estelle. Clémentine et moi nous nous habillons dans la chambre. Il fait assez agréable.
< S'il ne pleut pas cet après-midi, on se fait une balade. Sinon je pète un câble ! > me fait Clémentine avec un air las.
Ma compagne a revêtu sa robe de maison. Cintrée à la taille, le vêtement lui descend à mi mollet en s'évasant. Belle.
Chaussée de ses ballerines, Clémentine est absolument superbe. Une classe naturelle qui m'enchante perpétuellement.

Nous descendons au salon. Nous allumons l'ordinateur. Nous découvrons nos boîtes mail. Il y a un message de Juliette.
La cavalière nous remercie pour notre passage un peu trop rapide. Il y a deux photographies. Concours hippique. Bien.
Estelle vient nous rejoindre. Elle a passé un sweat blanc sur lequel est écrit en grand "Sport". Et son éternel jean bleu.
Clémentine clique sur ce forum. Les deux filles découvrent mes récits de ces derniers jours. Etonnées. Voire consternées.
< Put-Hein ! Mais tu racontes tout ! Tu es fou ! > me fait Clémentine en pouffant de rire. Estelle me regarde. Hallucinée.

< Mais les gens qui me connaissent vont me reconnaître ! > fait Estelle. < Impossible ! > lui fait Clémentine. Un fou rire.
Je rassure les filles, s'il en était besoin. Estelle me donne l'autorisation de mettre une photo avec un cache sur les yeux.
Nous ferons ça cet après-midi. Clémentine me fait : < Tu laisses toujours plein de fautes ! Il faut te relire, Bitounet ! >.
Nous rigolons comme des bossus. Nous passons un long moment à découvrir des photos de l'Aude. Le beau pays Cathare.
Je montre aux deux filles les lieux que Clémentine et moi nous irons visiter à la mi juin. < Je viens avec ! > fait Estelle...

Il est déjà 10 h30. Clémentine nous entraîne au dehors. Il ne pleut pas. Il fait assez doux. Nous allons derrière le garage.
Clémentine me sort la queue qu'elle tend à Estelle. Cette dernière s'en saisit en gloussant. < Super ! > fait elle en riant.
Estelle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Comme je bande, il n'y a pas de jet. Je dois me concentrer.
Nous restons ainsi un petit moment. Estelle me tient la queue en restant parfaitement immobile. Enfin, je sens venir.
Un premier jet. Un second. A chaque fois, entre chaque giclée, Estelle donne une secousse. Je pisse vers le haut. Jets fins.

Clémentine s'accroupit. Lorsque j'ai lâché la dernière tirade, elle s'engouffre ma queue pour en sucer les dernières gouttes.
Estelle la tient. Sa main est chaude. < Je sens la pisse passer. Et maintenant je sens les battements de cœur ! > fait elle.
Nous restons ainsi. Je laisse Clémentine se régaler un peu. Estelle a de grandes boucles d'oreilles en cercle d'or qui pendent.
La jeune fille a son visage tout près du mien. Cette envie folle de nous embrasser. Je force Clémentine à se redresser. Fort.
Nous retournons à l'intérieur. Nous allons à la cuisine. Nous envisageons de nous préparer une tarte à la courgette. Tomate.

Il est onze heures quinze. Nous nous mettons à la préparation de notre repas. Ambiance. Crises de fou rire. Plaisanteries.
Les deux filles évoquent quelques anecdotes étudiantes amusantes. Tout est au four. Clémentine a fait une salade verte.
Nous allons au salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil. Une main sous sa robe, entre ses cuisses. Cette vue est belle.
Je m'installe dans le canapé. Je sors ma bite. Estelle est assise à mes côtés. Je lui tends ma queue. Elle s'en saisit. Raide.
Estelle me tient la bite avec sa douceur habituelle, sans bouger. Elle regarde avec une grande attention. Tout est si neuf.

Je pose ma main gauche sur la nuque d'Estelle. Elle se laisse faire. Elle me fait des sourires amoureux. Pas de doute. Fou.
Clémentine nous observe en se masturbant doucement. Elle me fait plusieurs clins d'œil. Estelle est à genoux au sol. Joie.
A genoux sur le coussin, Estelle observe ma queue qu'elle tient toujours sans bouger. Je me lève. La queue devant elle.
J'ouvre mon jean. Je le descends aux genoux. Estelle est en apnée avant de lâcher un souffle fort et révélateur. Excitation.
Je me couche sur le canapé, sur le côté, lui présentant mon sexe juste devant son visage. Estelle s'est assise sur le coussin.

Son visage est à quelques centimètres de ma queue. Je bouge un peu, imprimant un mouvement masturbatoire. Excitation.
Estelle me tient la bite, sans bouger. Ma queue coulisse à l'intérieur de sa main. Ravie, la jeune fille se concentre. Vicieuse.
Nous restons ainsi un long moment. Clémentine nous observe tout en se masturbant. Il y a parfois un gémissement. Vice.
Je me branle dans la main d'Estelle qui s'applique à bien tenir mon sexe qui dégouline de liquide séminal. Un super "plan".
J'essore le bout de ma queue avec le pouce et l'index. Je passe mes doigts trempés sur les lèvres d'Estelle. Bien vicelard.

Estelle ouvre la bouche pour lécher et sucer mes doigts. Je fais cela à plusieurs reprises. Estelle pousse des gémissements.
A présent la jeune fille joue avec ma bite. Elle me décalotte. Elle scrute le gland luisant. Elle regarde la goutte qui suinte.
Je lui passe la bite sur les lèvres. Pourtant, à chaque fois que je veux glisser ma bite dans sa bouche, Estelle se détourne.
Ce jeu est toutefois merveilleux. C'est la sonnerie du four qui nous rappelle aux réalités prosaïques du besoin biologique.
Clémentine se lève. Je me redresse. Je prends Estelle par les cheveux pour la forcer à se relever. Nous allons à la cuisine.

Le repas est évidemment délicieux. Nous rions beaucoup. Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Très câline. Tendresse.
< Moi aussi je veux un Julien ! > lance Estelle. < Celui-là, il est déjà pris ! > répond Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Nous faisons la vaisselle. Estelle, en y mettant toute la vulgarité possible, mime plusieurs fois une masturbation masculine.
Clémentine met sa main entre ses cuisses à plusieurs reprises. Nous sommes tous les trois pressés de retourner au salon.
Estelle m'entraîne à la suite de Clémentine en me tenant par la queue. C'est la première fois qu'elle me tire ainsi. La laisse.

Clémentine retourne se vautrer dans le fauteuil. Estelle se met à genoux sur le coussin devant la petite table basse. Salope.
Je suis debout, la bite près de son visage. Cette petite vicieuse me la tient en ouvrant la bouche. j'éjacule sans prévenir.
Clémentine se lève rapidement. Elle saisit l'appareil photo d'Estelle sur la table basse. Elle fait plusieurs photographies.
Estelle, la tête penchée en arrière, la bouche ouverte, le visage plein de foutre, semble vivre une extase mystique. Divin.
Nous restons ainsi un long moment. Avec mon doigt je récupère la totalité du foutre pour le mettre dans la bouche d'Estelle.

Je lui passe la bite sur le visage. Estelle, absolument ravie, ne cache plus ses gémissements de plaisir. Clémentine se branle.
Estelle ne lâche plus ma bite qu'elle tient amoureusement comme un objet de dévotion. Elle est belle. Radieuse et heureuse.
Clémentine a un orgasme qui lui arrache deux petits cris. Je force Estelle à se relever. Je vais rejoindre ma compagne. Bises.
Nous décidons d'aller marcher un peu dans la campagne avoisinante. Le sol est humide mais pas réellement détrempé. Bien.
Estelle devra être de retour chez elle pour 19 h au maximum. La promenade est très agréable. Nous revenons sous la puie.

Bonne éjaculation au visage de votre visiteuse vicieuse à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Vicelard juteux pour petites vicelardes à bites) -

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Estelle vient nous rejoindre en soirée

Hier matin, mardi, c'est à six heures que le réveil nous tire de nos sommeils. < Bonjour mon Bitounet ! > fait Clémentine.
Deux bises et nous nous levons immédiatement. Clémentine m'entraîne et file aux toilettes. Moi je file à la salle de bain.
La bite délicatement posée sur le rebord du lavabo, je pisse. Je lâche de merveilleuses salves de pets du plus bel effet.
< Je t'entends, mon Mozart du proute mélodieux ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il faut y aller . 7 h45.

Clémentine revient pour 12 h20. Elle me saute dans les bras. Je la soulève. Je la fais tourner. J'ai préparé un rapide repas.
Du riz pilaf avec une sauce béchamel accompagné d'une salade de pissenlit. Clémentine me raconte sa matinée de cours.
Estelle viendra nous rejoindre pour 19 h. Nous nous régalons de ce repas simple mais délicieux. Nous traînons à table.
Dehors il y a du soleil. Le ciel est souvent bleu. Pourtant le fond de l'air reste frais. Clémentine s'assoit sur mes genoux.
La jeune fille me propose une randonnée cet après-midi. Je trouve la suggestion excellente. Nous faisons notre vaisselle.

Clémentine reste en jean. Moi aussi. Sur nos sweats nous passons nos anoraks. Chaussures de marche. Nous voilà au jardin.
Ma compagne m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle vise vraiment bien.
Accroupie, la jeune fille savoure les derniers épanchements. < C'est meilleur avec des restes de foutre ! > me fait elle.
Nous rigolons comme des bossus. Je range la petite auto de Clémentine au garage. Nous passons toucher le linge qui pend.
Je l'ai suspendu vers neuf heures. Avec ce vent, il est déjà presque sec. Nous descendons le chemin qui longe la rivière...

Nous évoquons le week-end. Bien évidemment le sujet le plus récurrent est notre visiteuse. Estelle et ses initiatives.
< Tu vas voir, les choses vont aller très vite ! Cette petite salope va de découvertes en découvertes ! > fait Clémentine.
Ma compagne me fait un descriptif de ce qu'elle suppose pour les choses à venir, m'avouant les plaisirs qui en découlent.
< Elle va jouer avec ta bite. Forcément, elle finira par y goûter ! > me fait encore Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Nous arrivons à proximité du haras. Nous observons un peu les chevaux en liberté dans l'espace derrière les bâtiments.

< Tu veux y aller ? > me demande Clémentine. Je décline la proposition. Ce qui semble contenter la jeune fille. Balade.
A plusieurs reprises Clémentine se serre contre moi. Nous restons souvent longuement à nous bercer. Tendresse. Douceur.
Clémentine m'a ouvert la braguette. Elle peut ainsi y glisser sa main. < Elle va encore servir ce soir ! > me fait elle. Rires.
Nous sommes de retour pour 18 h. Quatre heures de marche qui nous ont fait du bien tout en passant bien trop vite.
Nous allumons l'ordinateur pour découvrir nos messages. Dans ma messagerie, il y a le mot quotidien d'Estelle. Sympa.

Clémentine passe un peu de temps avec le programme de ses cours. C'est sur le site de l'université. Je vais à la cuisine.
J'aime entendre lorsque ma compagne chantonne en s'affairant. C'est la musique de la maison. Elle en a bien manqué.
Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Elle revient suivit d'Estelle vêtue de son jean et de sa chemise à carreaux.
< Bonsoir Oncle Julien ! > me fait la jeune fille en me serrant la main. Son étrange courbette et les trois bises Bretonnes.
Je propose un gratin de courgette. Ce sera rapide et délicieux. Nous nous mettons à la tâche. Les filles bavardent. Rires.

< Il n'y aura pas cours vendredi après-midi ! > précise Estelle. < Les profs préparent les exams ! > répond Clémentine.
Je mets le gratin au four. Clémentine va au salon. Je reste seul à la cuisine avec Estelle. Elle me lance un curieux regard.
Ce soir la jeune fille a les cheveux en tresse. Une tresse qui pend presque jusqu'au milieu de son dos. Cela lui va très bien.
Estelle mime une masturbation masculine. Elle me fait un clin d'œil. Elle reste ainsi en insistant avec une attitude vulgaire.
< Vous venez voir les photos ! > nous fait Clémentine depuis le salon. Nous allons la rejoindre. Elle est devant l'ordi.

Durant notre promenade, nous avons fait de belles photos. Un petit film. Surtout au retour en jouant avec nos ombres.
Estelle aime la photographie. Elle possède un superbe appareil, sophistiqué et performant. Elle regarde en "spécialiste".
< Balaise ! > fait Estelle en regardant l'écran. Elle va s'installer sur la canapé. Clémentine reste derrière le bureau.
Assise, tout en me fixant, Estelle recommence son mouvement masturbatoire. Je comprends le message. La demande.
Je sors ma bite. Je la pointe en direction de la jeune fille. Je la secoue en la faisant tournoyer. Estelle me sourit. Joie.

Je me retourne pour regarder les réactions de Clémentine. Ses réactions me passionnent toujours en priorité. Sentiments.
Elle me fait un sourire entendu. J'ai son approbation. Estelle se lève en tenant le coussin. Elle vient le poser à mes pieds.
Se mettant à genoux, le visage juste devant ma queue, elle me fixe de son regard implorant. Je me penche en avant.
Mon visage tout près du sien, je scrute chacun des traits de son visage. Cela semble toujours gêner un peu la jeune fille.
Estelle pose ses mains sur mes cuisses. Clémentine s'est levée pour venir voir ce qui se passe. Le silence est lourd.

Je passe doucement ma bite sur le visage d'Estelle qui, dans un gémissement de plaisir, m'offre chaque angle avec soin.
Je m'attarde sur tous les endroit de ce visage d'ange. A chaque fois que je m'approche de sa bouche, elle serre les lèvres.
C'est la sonnerie du four qui nous tire de nos introspections vicelardes. Clémentine m'embrasse avec passion. Délicieux.
Estelle se lève et file à la cuisine en disant : < Je vais mettre la table ! >. Clémentine s'accroupit pour recueillir la jute.
Nous restons quelques instants ainsi. Je laisse Clémentine se régaler des montées de sève causées par mon excitation.

Estelle, sur le pas de la porte nous observe. Avec toute la vulgarité qu'elle peut y mettre, elle mime une branlette.
Je force Clémentine à se redresser. Nous allons à la cuisine. Estelle s'empare de ma bite. Sans bouger, elle me la tient.
Sa main est chaude, douce. C'est un autre plaisir. Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine sort le gratin.
Je retire la main d'Estelle qui tente de résister un peu. Nous voilà assis à bavarder, à manger et à rire de nos plaisanteries.
Je me lève. Je viens me placer à côté d'Estelle qui, comme toujours, reste soudain sur ses gardes. Je secoue ma queue.

Estelle prend son verre et le place sous ma bite. Je bande mou. L'idée même de lui pisser dans le verre me fait bander.
Impossible de lâcher le moindre petit jet. Clémentine éclate de rire en faisant : < Il faudra attendre le digestif au salon ! >.
Nous rions de bon cœur. J'ai posé ma main sur la nuque d'Estelle. J'appuis fort sur sa tête. Elle se saisit de ma queue.
Je la tiens par sa tresse pour attirer sa tête. Estelle se frotte ma bite sur le visage. Elle semble y prendre bien du plaisir.
Je retourne m'asseoir. Nous terminons notre repas. J'ai cessé de bander. J'ai envie de pisser. J'ai mon verre à la main.

Je me lève. Je lâche un jet qui remplit le verre aux deux tiers. Je le tends à Estelle. Clémentine que cela excite me suce.
Estelle, mon verre à la main, me fixe d'un regard vicelard. Elle porte le verre à ses lèvres pour y tremper sa langue.
Elle reste ainsi. La pipe de Clémentine est merveilleuse. Une fille excitée suce toujours si bien. C'est un vrai bonheur.
Estelle pose le verre. Elle se lève pour débarrasser la table. Tout en faisant, elle nous regarde. Cela l'excite beaucoup.
Je tiens Clémentine par ses cheveux pour la forcer à cesser. Estelle insiste pour faire la plonge. Nous essuyons. Rires.

Nous retournons au salon. Clémentine veut absolument retourner à sa pipe. Estelle descend son jean à mi-cuisses.
Assise dans le fauteuil, la main dans sa culotte, Estelle nous observe. Clémentine et moi nous sommes dans le canapé.
Je suis entrain de me faire tailler une pipe des familles ! Nous passons une grande partie de la soirée à cette occupation.
Il est 21 h30. Les filles doivent réviser leurs cours. C'est quand même le prétexte de la venue d'Estelle. En apparence.
Je force Clémentine à se redresser. Estelle, toute rouge, le visage en sueur, est aux extrêmes limites de l'orgasme...

Clémentine me montre l'intérieur visqueux de sa bouche pleine de foutre épais et gluant. Je lui promet une baise après.
< Lorsque nous serons seuls, en haut, tout à l'heure, je vais te baiser comme un salaud ! > que je lui glisse à l'oreille.
Ce qui n'a pas échappé à Estelle qui nous fait : < Vous avez de la chance tous les deux ! >. Nous rions de bon cœur.
Les filles se réajuste et vont devant l'ordinateur pour travailler un peu. Estelle fait à Clémentine : Tu sens le sperme ! >.
Je reste vautré dans le canapé. J'écoute les commentaires et les échanges des deux jeunes filles studieuses. Travail.

Bonne soirée d'étude avec votre visiteuse soumise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui s'éclate comme le dernier des salauds avec ses deux salopes) -

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Clémentine et moi nous profitons d'une soirée ensoleillée

Hier matin, mercredi, il est six heures lorsque le réveil nous sort de nos sommeils. Comme tous les jours, deux bises.
Clémentine se lève en s'écriant : < Pipi ! >. Elle file aux toilettes. Je vais à la salle de bain. La bite posée sur le lavabo.
Je pisse en lâchant de somptueuses salves de pets. Des pets que je module amoureusement en tonalité de Fa et Sol.
< Je t'entends, mon Bitounets compositeur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est déjà 7 h45...

Clémentine qui a du mal à partir me fait pleins de bisous. Je vais sortir sa petite auto du garage. Elle part en cours.
Clémentine revient à 17 h. Assise sur mes genoux, dans l'atelier, devant mon chevalet, elle me raconte sa journée.
Nous décidons de profiter de cette magnifique fin d'après-midi qui ressemble enfin à un véritable printemps. Vélo.
Nous montons nous changer. Clémentine, pour la toute première fois, peut mettre sa jupette de tennis. Elle est belle.
Par précaution, dans mon petit sac à dos, nous mettons nos leggings et nos sweat-shirts. Je porte mon short court.

Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable qui longe le canal. Il fait bon. Il fait beau. Il subsiste bien une petite fraîcheur.
C'est très supportable. Nous croisons quantité de cyclistes, de rollers et de joggeurs. Nous roulons avec un bon rythme.
Nous sommes en route pour le petit port de plaisance. 25 km de plaisir total. Le ciel est d'un bleu clair et pur. Superbe.
Nous arrivons à l'écluse du cabanon. C'est un des endroits préférés de Clémentine qui peut s'y exhiber à la perfection.
Comme toujours, je reste dissimulé entre le cabanon et la palissade. Les bosquets sont à présent correctement feuillus.

J'observe Clémentine traverser la passerelle métallique en soulevant son vélo. Elle se positionne entre deux bosquets.
Il y a des cyclistes qui passent. Le plus souvent par deux ou carrément en groupe. Clémentine est discrète. Secrète.
Nous nous faisons des signes. Une vingtaine de mètres nous séparent. Entre nous il y a le canal et la piste cyclable.
Enfin, là-bas, sur la gauche, arrive un solitaire. Il est vêtu en coureur du "Tour de France". Il pédale plutôt tranquille.
Je vois Clémentine se mettre en position. Accroupie, la culotte aux genoux, les cuisses très largement écartées. Pipi.

Le cycliste arrive à la hauteur de la jeune fille. Là, à environ cinq mètres, de l'autre côté du canal, il découvre le "show".
Clémentine, tête baissée, les cheveux dissimulant son visage, est dans sa position favorite. Elle reste immobile. Droite.
< Ouah ! Génial ! > fait l'inconnu, debout, le vélo entre ses jambes. < Bonsoir mademoiselle ! > rajoute notre quidam.
Aucune réponse. Le type insiste en lançant : < Je peux vous aider ! >. Nous avons donc affaire à un comique. Sympa.
Malgré sa concentration, Clémentine n'arrive pas à pisser. L'excitation. Elle relève la tête. Elle porte ses lunettes noires.

< C'est super ! > fait encore notre drôle. < Bonsoir ! > fait Clémentine. Un groupe de cyclistes arrivent sur la droite.
Clémentine se redresse rapidement. Notre drôle les salue de la main. Clémentine reprend sa position. L'inconnu regarde.
Clémentine, de son index, tire vers le haut sur le tissu de sa culotte . Enfin, elle lâche un jet puissant, luisant et jaune.
< C'est génial ! > répète encore une fois le type. C'est un gentleman. Il ne tente rien. Il se contente d'observer. Sympa.
Les simples voyeurs ont toute la préférence de la jeune fille. Elle redresse la tête, elle tient ses cheveux d'une main.

Tout en regardant l'homme, elle lâche un second jet. Tenant sa culotte d'une main, ses cheveux de l'autre. Immobile.
Je bande comme un vrai salaud. Ce merveilleux spectacle m'excite et m'enchante. Le type certainement dans le même cas.
Il me tourne le dos. Je vois pourtant qu'il vient de passer sa main dans son short. Il regarde à gauche, à droite. Personne.
Le cycliste remonte sur son vélo. < Merci mademoiselle ! > fait notre bougre. Un cycliste arrive. Clémentine se redresse.
L'inconnu reprend sa route. Clémentine s'essuie avec un mouchoir en papier, remonte sa culotte et revient sur la piste.

< C'était génial ! J'adore quand ce sont de simples voyeurs qui ne font pas chier ! > me fait Clémentine. Nous pédalons.
Nous arrivons au port de plaisance. Nous cadenassons nos bicyclettes derrière la capitainerie. Nous nous promenons.
La saison commence. La plupart des bateaux sont débâchés. Les plaisanciers s'affairent sur les ponts. Animation et joie.
Nous nous promenons main dans la main. Avant de repartir, hélas, il faut nous revêtir de nos leggings. Fraîcheur du soir.
Nous repartons. Sur le chemin du retour, nous croisons notre cycliste voyeur qui reconnaît Clémentine. C'est amusant.

Nous sortons de la piste cyclable pour prendre la petite route du haras. C'est toujours plus rapide. L'endroit est magnifique.
Il y a Juliette, la propriétaire, à côté de sa voiture, entrain de fermer le portail. Elle nous voit. Elle a un grand sourire.
< Bonsoir ! > nous fait elle. Nous nous arrêtons. Nous bavardons un peu. La jeune femme nous parle de sa journée.
Nous promettons de venir boire un café un soir au retour d'une de nos promenades. Avec les beaux jours, ce sera simple.
Nous sommes de retour pour 20 h30. Il fait encore jour. Il suffit de réchauffer le gratin de pâtes que j'ai préparé à midi.

Clémentine, très excitée, vient s'assoir sur mes genoux. Je passe ma main dans sa culotte. Je fouille la touffe épaisse.
Tout est humide. J'ai hâte de goûter sa journée et sa soirée de fille. La sueur et l'excitation doivent offrir de vrais délices.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine m'entraîne au dehors. Derrière le garage. Je rentre sa petite auto. Je sors ma bite.
Clémentine me tient la queue pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie, elle en récupère le mélange foutre et pisse.
Excité comme je le suis, les montées de liquide séminal sont abondantes. Nous décrochons le linge. Nous rentrons...

Bon léchage de chatte humide, parfumée et délicieuse à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Lécheur de minou diplômé, patenté et expert) -

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Estelle, si heureuse de passer cette nouvelle soirée avec nous

Hier matin, jeudi, notre réveil sonne à six heures. C'est un peu le même rituel tous les jours. Clémentine me fait deux bisous.
Elle se lève en s'écriant : < Pipi ! > et trottine aux toilettes. Moi je file à la salle bain pour poser ma bite sur le lavabo froid.
Je pisse en lâchant de merveilleuses rafales de pets sourds, sonores et profonds. Je les module longuement en tonalité de Fa.
< Je t'entends jouer de la trompette, Bitounet ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus. Rires.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis, c'est notre heure de gymnastique. La douche, et il faut y aller. 7 h45...

Clémentine revient à 17 h. Assise sur mes genoux, dans l'atelier, devant mon chevalet, la jeune fille me raconte sa journée.
Le temps est tristounet. Le ciel est nuancé de nuages gris, lourds et menaçants. Pourtant il ne pleut pas. Tout est bien sec.
Clémentine me propose un jogging. C'est une très bonne suggestion. Je range mes affaires et nous montons nous changer.
Il fait étrangement doux. C'est donc vêtus de nos shorts en lycra noir et de maillots légers que nous descendons le chemin.
Nous longeons la rivière, nous passons devant le haras et nous remontons par l'ancienne voie ferrée. Une piste cyclable...

Nous sommes de retour pour 18 h30 après un peu plus d'une heure d'un running régénérateur. C'est toujours source de joie.
Je rentre la petite auto à Clémentine qui m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Après avoir consciencieusement secoué les dernières gouttes, la jeune fille s'accroupit pour en savourer les derniers reliquats.
Je la laisse se régaler un peu. Pour ne pas risquer d'y passer la soirée, je la force à se redresser. Je la tire par ses cheveux.
Clémentine s'est fixée les cheveux en une longue natte qui lui pend, en tresse, presque jusqu'au milieu du dos. Une laisse...

< J'aime lorsque tu as ce comportement avec moi, mon Bitounet ! > me fait la jeune fille en se serrant contre moi. Douceur.
Clémentine m'embrasse avec passion. Je la soulève pour la faire tourner. Nous prendrons notre douche avant d'aller au lit.
Je passe un vieux pantalon à plis et une vielle chemise blanche qui va passer à la machine. Clémentine revêt sa robe de maison.
Nous préparons les ingrédients de notre repas du soir sur la table de la cuisine avant de passer au salon devant l'ordinateur.
< Estelle arrive pour 19 h ! > me fait Clémentine en me montrant un message de Juliette. Il y a une photo de ses chevaux.

Nous décidons de passer demain soir, vendredi, pour répondre à l'invitation de la cavalière. Prendre un café. Bavarder un peu.
Nous découvrons les deux messages d'Estelle qui joint deux photographies prises mardi soir. C'est toujours très sympathique.
Trois coups de sonnette. Clémentine se lève et se précipite pour aller ouvrir. Elle revient suivit d'Estelle toute souriante. Joie.
< Bonsoir Oncle Julien ! > me fait la jeune fille. Nous nous serrons la main. Trois bises Bretonnes. Nous sommes contents.
Clémentine entraîne Estelle à l'étage. Depuis le salon, j'entends les deux filles rire en haut. J'aime cette musique rassurante...

Je suis concentré sur quelques clichés des Corbières où nous passerons une semaine. Les deux filles viennent me rejoindre.
Estelle a revêtu une des robes de Clémentine. Une robe à grands carreaux bleu sur un chemisier blanc à manches courtes.
< Vous êtes absolument ravissante, Estelle ! > que je lui fait en la faisant tourner, la tenant pas ses frêles épaules. Belle.
Estelle est radieuse et me fait : < Merci Oncle Julien ! >. Elle vient voir ce que je regarde sur l'ordi. Estelle fait : < Ouah !>.
Elle rajoute : < J'aimerais bien visiter cette région. C'est beau ! Et puis Carcassonne ça doit être superbe. Quelle chance ! >

Clémentine me fait du pied sous le bureau. Je comprends immédiatement qu'il ne faut pas continuer sur le sujet de ce séjour.
Estelle s'est levée. Clémentine va aux toilettes. Estelle, debout au milieu du salon, mime une masturbation masculine. Silence.
Je regarde ce curieux spectacle. La jeune fille y met toute la vulgarité possible. Cambrée sur ses jambes fléchies. Bien salope.
Quelle n'est pas ma surprise de voir sa culotte qu'elle a descendu sur ses genoux. Ses jambes écartées la maintienne ainsi.
Estelle reste à mimer une branlette pendant un petit moment. Elle cesse lorsqu'elle entend la porte des toilettes se refermer.

Clémentine revient à l'instant où Estelle remonte sa culotte. Elle me fait un clin d'œil entendu. Estelle se dirige vers le canapé.
Elle s'y installe confortablement en me souriant. Elle prend l'élastique à cheveux passé autour de son poignet. Elle me fixe.
La jeune fille attache ses cheveux en queue. Tout en faisant, elle a légèrement écartée ses cuisses. Je vois sa culotte blanche.
Clémentine est installée dans le fauteuil. Une main sous sa jupe, sa culotte à mi-cuisses, elle commence une masturbation.
Je me lève. Je sors ma bite. Je la fais tournoyer dans la direction d'Estelle qui me fait un délicieux sourire. Voilà les festivités.

Je reste un petit moment au milieu du salon. Les deux filles me regardent en silence. Je bande mou. J'aime cet état second.
Estelle a passé sa main sous sa robe. Je peux la voir bouger dans sa culotte. Les deux filles se touchent. C'est magnifique. Joie.
Je m'approche. Je secoue ma bite tout près du visage d'Estelle. Toujours sur ses gardes lorsque je suis à proximité, elle mâte.
Clémentine adore me voir me comporter en vicelard. Rien ne l'excite autant lorsque nous sommes tous les trois. Je fais le job.
Je saisis Estelle par ses cheveux attachés. Une main sous son menton, l'autre sur sa nuque, je la force à approcher son visage.

Estelle oppose une résistance sans réelle conviction. Trop heureuse que je lui impose ces moments dont elle raffole. Elle gémit.
Je frotte ma bite sur son visage d'ange en maintenant fermement. Voilà que je bande comme le dernier des salauds. Vicelard.
Je bouge mon bassin dans un mouvement masturbatoire. Je me frotte sur le visage d'Estelle qui s'appuie fortement contre moi.
Je cesse. Je tiens la jeune fille par la nuque. Je lui passe ma queue sur les joues, le front. J'insiste sur ses lèvres serrées. Fort.
Derrière moi j'entends gémir. C'est Clémentine qui se lâche un peu. Je lâche Estelle pour venir embrasser ma compagne ravie.

< Il est presque vingt heures, les filles. Et si on faisait un intermède bouffe ? > que je fais. La suggestion est bien accueillit.
Les filles se lèvent, se réajustent. Je range ma bite humide. Nous allons à la cuisine. Ce sera une rapide ratatouille "maison".
Durant la préparation, Estelle mime à plusieurs reprises une masturbation masculine en me faisant des clins d'œil. Nous rions.
Je pose ma main sur la nuque de la jeune fille de nombreuses fois. Son plaisir semble intense à chaque fois. Elle en glousse.
Clémentine prépare la salade. Elle aussi passe plusieurs fois sa main sous sa robe. Le repas est préparé dans cette ambiance.

L'odeur de la courgette, de l'aubergine, de la tomate, conjuguée à celle de l'ail, de l'oignon et la ciboulette ouvre nos appétits.
Estelle prépare la table. Clémentine, accroupit, suce le jus qui coule du bout de ma queue. Lorsque je suis excité, je suis juteux.
Notre repas est délicieux. Nous bavardons. Les filles évoquent leurs études. J'écoute, amusé, les anecdotes de la faculté. Rires.
Je me lève. Je m'approche d'Estelle que je saisis par la nuque. Je sors ma queue. La jeune fille se laisse faire. Un gémissement.
Je lui frotte ma bite sur le visage. Estelle termine de mâcher la nourriture qu'elle a en bouche. Je mets ma queue sur ses lèvres.

Je retourne m'asseoir. Je fais cela deux fois durant notre repas. A chaque fois Estelle semble émerveillée de mes initiatives.
Nous faisons la vaisselle. Deux fois Estelle me tourne le dos pour s'accroupir devant moi. A chaque fois je lui tiens la nuque.
Clémentine m'embrasse. L'ambiance habituelle de nos soirées à trois nous enchante autant qu'elle nous excite. Trois vicelards.
Nous passons au salon. Je suis assis sur la chaise près d'une des fenêtres. Estelle et Clémentine ont les mains sous leurs robes.
Elles sont debout toutes les deux à se masturber devant moi. Je sors ma queue que j'agite dans leur direction. C'est le silence.

Estelle s'approche pour se mettre à genoux entre mes jambes. Je n'ai pas le temps de la saisir par la nuque. Sa tête appuyée.
Son visage posé volontairement sur ma queue. C'est la toute première fois que j'assiste à cette attitude volontaire. C'est beau.
Je tiens la tête de la jeune fille comme pour la consoler. Elle ne cesse pas de pousser de petits gémissements de ravissement.
Clémentine s'est assise dans le canapé. Elle s'offre ce spectacle en se masturbant doucement. Nous restons longuement ainsi.
Je caresse la tête d'Estelle qui glousse de bonheur et de plaisir. Ses mains posées sur mes cuisses, elle savoure ces instants.

Redressant sa tête, Estelle s'empare de ma bite dégoulinante de liquide séminal. Elle me la tient, parfaitement immobile. Joie.
La jeune fille scrute cette queue raide et turgescente qu'elle tient délicatement. Sa main est chaude. C'est absolument divin.
Clémentine m'adresse des sourires. Je peux la voir se donner du plaisir. Alternant les respirations fortes et les apnées. Plaisir.
Je caresse la tête d'Estelle. Elle lève parfois les yeux avec un regard amoureux. Clémentine a raison. Estelle ne le cache plus.
Je passe mon index sur ses lèvres. Parfois je l'enfonce dans sa bouche. Estelle suce alors mon doigt avec avidité. Délicate.

Je bande comme un taureau en rut. Lorsque je veux lui mettre la bite en bouche. Estelle détourne adroitement sa tête. Belle.
Je peux lui frotter la queue sur le visage, mais je ne peux pas la lui mettre dans la bouche. Malgré mes tentatives sournoises.
Clémentine pousse des gémissements de plus en plus forts. Elle s'arrête alors pour reprendre ses esprits et son souffle normal.
Je sais que ma compagne aime rester aux extrêmes limites de l'orgasme le plus longtemps possible. Elle ne s'en prive pas.
Estelle se redresse pour se lever. Elle se dirige vers le buffet bas. Elle s'empare du verre posé à côté du téléphone. Retour.

Se mettant à genoux sur le coussin où elle a passé cette partie de la soirée, Estelle agite doucement le verre devant moi.
Je suis terriblement excité par cette initiative bien vicelarde. Je me lève. Estelle approche le verre sous ma braguette. Vice.
Je décide de lui offrir le fruit de son attente fébrile. Concentré, évaluant ce qui va se dérouler, j'éjacule consciencieusement.
Mon sperme se déverse dans le verre que tient la jeune fille. Elle prend ma bite dans l'autre main. Elle récupère toute la jute.
Le verre est remplit aux deux tiers de mon foutre abondant. Estelle insiste en passant la peau de mon prépuce à l'intérieur.

Les dernières coulure dégoulinent sur les parois du verre qu'Estelle tourne consciencieusement. Elle reste ainsi un moment.
Derrière moi, soudain, il y a un petit cri. Un long râle. Clémentine s'offre un orgasme terrifiant. Secouée se spasmes. Belle.
Je lâche une petite giclée de pisse. Estelle regarde comme émerveillée. Elle porte le verre à sa bouche en buvant d'une traite.
Je suis halluciné par cette initiative. Cette belle jeune fille de 20 ans qui vautre dans un tel stupre, me fascine. M'émerveille.
Nous restons un long moment à reprendre nos esprits. Estelle ne me lâche plus la bite. Je l'entraîne aux toilettes. Silence.

Clémentine nous suit. Je suis debout devant la cuvette de faïence. Je ne suis pas obligé de me concentrer. Estelle me tient.
Je pisse. < C'est génial, je peux sentir la pisse passer comme dans un tuyau d'arrosage ! > me fait Estelle en s'accroupissant.
Je regarde cette belle jeune fille diriger mon jet avec tant d'innocence feinte. Clémentine s'accroupit. Elle attend la fin du jet.
Estelle secoue les dernières gouttes par une série d'à coups. Clémentine se précipite pour en recueillir les derniers reliquats.
Estelle ne lâche toujours pas ma queue qui achève de se vider dans la bouche de ma compagne. Aucun doute, c'est une pipe !

Je décide de récompenser Clémentine d'une nouvelle éjaculation. Je suis obligé de me tenir au mur. Je suis saisis de vertige.
Passer de si merveilleux moments avec deux délicieuses salopes est tout simplement intraduisible avec des mots communs.
Il faudrait inventer un nouveau langage. Je laisse Clémentine se régaler de mon foutre visqueux et gluant. Elle pompe, suce.
Je force les deux filles à se relever. Toutes les deux se frottent les genoux, s'écriant < Aïe ! Ouïe ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous retournons au salon. Les filles révisent un peu. J'écris ce texte pour le lendemain matin. Estelle nous quitte vers 22 h15.

Bonne soirée à faire déguster votre visiteuse soumise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Parfait salopard, vicelard expérimenté pour jeunes salopes gourmandes) -

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Nous rendons visite à Juliette, la propriétaire du haras

Il est six heures, hier matin, vendredi, lorsque nous sommes réveillés par la "Lettre à Elise" de Ludwg Van Bite-au-Vent.
Clémentine tape sur le réveil musical en disant : < Ta gueule Ludwig ! >. Nous rigolons comme des bossus. Deux bises.
Nous nous levons. < Pipi ! > s'écrie Clémentine en m'entraînant par la main. Elle file aux toilettes. Moi à la salle de bain.
La bite délicatement posée sur le rebord frais du lavabo je pisse tout lâchant un chapelet de pets philharmoniques en Fa.
< Je t'entends mon Bitounet Ludwig ! >. Nous rions de bon cœur en descendant prendre notre copieux petit déjeuner...

Après le repas, c'est notre heure d'entraînement intensive et quotidienne. La douche. Il est déjà 7 h45. Il faut se quitter.
Je sors la petite auto de Clémentine du garage. Plein de bisous et je la regarde partir en cours. Je vais dans mon atelier.
Clémentine revient pour midi vingt. Elle est toute contente de ne pas avoir cours cet après-midi. Bisous. Je fais la cuisine.
Dehors, il y a une alternance de séquences ensoleillées et nuageuses. Il y a même eut quelques gouttes de pluie éparses.
Clémentine achève de m'aider avec une salade verte. Elle me raconte sa matinée de cours. J'écoute avec intérêt. Amusé.

< Estelle viendra passer le week-end avec nous, de samedi soir à dimanche soir ! > m'apprend ma compagne en riant.
Elle rajoute : < Tu lui mets la tête à l'envers, vraiment ! >. Nous rions de bon cœur. Je dis : < Moi, c'est la bite ! > Rire.
Nous savourons nos spaghettis au pistou en bavardant. Cet après-midi nous irons en ville pour visiter une exposition.
Clémentine est à se réjouir. Il y aura peut-être quelques opportunités exhibitionnistes. Elle vient s'assoir sur mes genoux.
< Je t'aime Bitounet ! > me chuchote t-elle à l'oreille. Nous restons un long moment à nous murmurer des douceurs...

Nous faisons la vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Nous allumons l'ordinateur. Elle découvre mes récits sur le forum.
< Tu est fou, Bitounet, tu racontes tout et en laissant plein de fautes ! >. Nous rions de bon cœur. Nous ouvrons nos mails.
J'ai un message d'Estelle qui me fait son petit mot quotidien depuis son téléphone. Il y a un mot de Juliette, la cavalière.
< On passe ce soir, en rentrant de la ville ! > me fait ma compagne en répondant au courriel de la dame. Nous relisons.
Clémentine, assise sur mes genoux, m'a sorti la queue avec laquelle elle joue un peu. Nous nous embrassons longuement.

Clémentine se lève et m'entraîne sur le canapé. Debout devant moi, elle ouvre et descend son jean. Puis c'est la culotte.
J'admire cette invraisemblable touffe qui me fascine. Portée à la "Portugaise" cette touffe est broussailleuse, dense et fournie.
J'avance mon visage pour le mettre dans la toison pubienne. Je hume longuement l'odeur de sa matinée de fille. Senteurs.
Je respire les effluves parfumées de Clémentine. La jeune fille est cambrée en avant sur ses jambes fléchies. Elle apprécie.
Je passe le doigt sur les lèvres charnues de son sexe. Tout est humide, chaud et invite à la luxure. J'attire la fille vers moi.

Elle tombe sur le canapé en poussant un gémissement. Couchée sur le dos, les cuisses largement écartées, elle me sourit.
Je fourre mon visage entre ses cuisses. Je me mets à lécher, à pomper, à sucer et à savourer. Clémentine est à gémir.
Je passe ma langue dans tous les plis, tous les replis, longuement. Je suce son clitoris géant. J'ai plein de poils en bouche.
Je reste vigilant. Clémentine déteste tout orgasme prématuré. Nous sommes tous les deux semblables. Total contrôle !
Aussi, à chaque risque intempestif, Clémentine me repousse délicatement. Nous nous offrons une bonne heure de plaisirs.

Clémentine a un frisson. Il est temps d'arrêter sous peine d'orgasme. Elle veut rester excitée tout le reste de la journée.
Nous montons nous changer. Dehors, le temps s'est définitivement orienté vers un ciel gris, tourmenté et menaçant.
Clémentine met sa jupe brune, évasée au dessus du genoux. Un pull marron de coton fin. La jeune fille choisi une veste.
Chaussée de ses souliers noirs et fermés à légers talons, elle est élégante, racée et attractive. Elle lève sa jupe. Rien !
< Pas de culotte ! > me fait elle en tournoyant sur elle même. < Mais j'en ai une dans mon sac ! > rajoute t-elle en riant.

Je mets un pantalon à plis, clair, en lin. Une chemise crème et une veste claire en lin. Je chausse mes mocassins marrons.
< Comme tu es beau, mon Bitounet ! > me fait Clémentine en me prenant les mains pour me faire tourner sur moi-même.
La jeune fille me sort la bite. Elle est mouillée et suinte. Clémentine s'accroupit pour en sucer le liquide séminal. Excitation.
Nous sortons. Je sors la voiture. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet. Net.
Accroupie, la jeune fille en suce les derniers épanchements. Ce mélange de foutre et de pisse qui a toute ses préférences...

Nous voilà en route. Je prends la petite route. Nous passons devant le haras. Nous y passerons en soirée, à notre retour.
Nous arrivons en ville. Je gare la voiture dans une rue adjacente de celle du Musée. Il y a du monde. C'est un réel succès.
C'est l'exposition d'un de mes peintres contemporains préférés. Des reproductions mais quelques originaux. Pièces rares.
Jean Olivier Hucleux est présenté comme un peintre hyper réaliste. Un peu l'esprit de l'école américaine d'un Chuck Close.
Ce qui a toujours profondément dérangé l'artiste aujourd'hui décédé mais que j'ai rencontré il y a fort longtemps à Lyon.

Clémentine est absolument enchantée par la découverte de ces chefs-d'œuvre du réalisme contemporain. C'est fameux.
< On dirait des photos tellement tout est précis ! > me fait Clémentine subjuguée. Je la regarde scruter les peintures.
Il y a quelques visiteurs. Clémentine me glisse à l'oreille : < C'est bien le diable si je peux pas m'offrir un petit délire ! >.
Elle m'entraîne dans la salle du fond où il y a des documents photographiques sur la vie du peintre. Il n'y a personne là.
Nous restons un petit moment à regarder les clichés de la jeunesse de l'artiste. Un visiteur solitaire entre dans la pièce.

Je sors immédiatement comme si la jeune fille était seule. Je me poste discrètement devant un grand tableau à l'huile.
L'inconnu, quinquagénaire grisonnant, plutôt élégant, ne semble pas prêter la moindre attention à cette belle jeune fille.
Clémentine sait parfaitement attirer le regard sur sa personne. Accroupie devant son sac à main dans lequel elle fouille.
C'est un petit sac à dos de cuir noir qui fait également office de sac à main. Il est posé au sol. Clémentine fait son show.
Jambes légèrement écartées, la jeune fille fait mine d'être absorbée dans sa recherche. L'inconnu découvre le spectacle.

L'homme continue d'observer les clichés en noir et blanc accrochés aux murs. Tout en louchant sur la belle jeune fille.
Celle-ci a écarté un peu plus ses cuisses. De là où je me trouve, malgré la pénombre sous sa jupe, je vois sa touffe.
Je bande comme un priapique à voir cette salope s'exhiber une nouvelle fois devant un inconnu qui semble enchanté.
Je reste discret car le type regarde dans toutes les directions. A présent il s'est tourné devant la jeune fille qu'il mâte.
Il lui adresse la parole. De l'endroit où je me trouve je n'entends pas les propos qui s'échangent. Je me contente de voir.

Clémentine, en salope absolue, reste dans sa position, relève la tête et se met à bavarder avec le visiteur. C'est génial !
Le petit sac à dos, juste entre ses jambes, dissimule sa chatte. L'inconnu doit avoir quelques bon mots. Je la vois rire.
J'admire à la fois ce spectacle grandiose et l'incroyable culot de la belle exhibitionniste. Clémentine savoure cet instant.
Je prends conscience, une fois encore, de l'immense privilège qui m'est accordé. Je partage ma vie avec cette jeune fille.
L'inconnu reste parfaitement courtois et maître de ses émotions. Pas le moindre geste déplacé. Un vrai connaisseur...

Un petit moment se déroule ainsi. Clémentine reste ostensiblement dans sa position. Surmontant une inhibition naturelle.
C'est cet effort qui lui procure toutes les émotions recherchées. Elle me décrit souvent ces sensations de honte et de vice.
Ce complexe mélange de ressentis extrêmes qui l'excitent. Clémentine me raconte tout cela avec les mots justes et précis.
Ces situations lui procurent les plus grands plaisirs. Un couple arrive dans la salle où je suis. Il se dirige vers la pièce. Fini.
L'arrivée de ces deux visiteurs met un terme à l'exhibition de la jeune fille qui se redresse. L'homme lui tend une carte...

Clémentine s'en empare en remerciant l'inconnu. Elle quitte la pièce. L'homme ne tente pas de la suivre ni de s'imposer.
Je descends le grand escalier. Ma compagne vient me rejoindre en bas, à la sortie. < Génial ! > me dit-elle toute ravie.
< Je me suis éclatée, si tu savais ! Put-hein comme j'ai envie de baiser ! > me fait encore Clémentine. Elle m'embrasse.
Nous voilà dehors, dans la rue. Nous nous promenons un peu. Clémentine me raconte la nature des propos échangés.
Nous rions de bon cœur. Le type est professeur de dessin dans un lycée et est venu préparer une visite pour ses élèves.

< Avec toutes les cartes de visite que je récupère, je vais monter une collection ! > me fait Clémentine, éclatant de rire.
Il est déjà dix sept heures trente. Nous retournons à la voiture. Je roule doucement. J'ai ma main sous la jupe de la fille.
Clémentine m'a sorti la bite qu'elle tient un peu à la façon d'Estelle, sans bouger en impulsant de simples pressions. Joie.
Nous arrivons au haras à l'heure prévue. Il n'y a que la voiture de Juliette. Une berline allemande identique à la mienne.
Je gare mon auto à côté de la sienne. Juliette arrive sur le pas de la porte. Elle affiche un large sourire. Il y a la pluie...

Clémentine et moi nous suivons la jeune femme qui nous invite à rentrer au sec. Nous sommes dans une grande pièce.
Une pièce qui fait office de bureau. Sur la droite il y a une banquette de coin, deux chaises autour d'une table carrée.
Sur la gauche il y a une étagère. Un meuble de bois sur les rayons duquel il y a plein de classeurs. Le sol est carrelé.
Au fond il y a un large bureau. Il y a un canapé sur la droite. Juliette nous invite à y prendre place. Nous voilà assis.
< Un thé, une tisane, un café ? > nous demande la jeune femme. Notre choix se porte sur un café. Juliette s'affaire.

Sur une petite table il y a une machine à café. Dans un tout petit meuble en bois accroché au dessus, il y a les tasses.
Juliette nous parle de ses activités, développant son intérêt et sa passion pour son activité de propriétaire de haras.
Nous apprenons que la jeune femme s'occupe des chevaux qui lui sont confiés à l'année. Il y a jusqu'à trente chevaux.
Aux murs il y a des photos. Sur la plupart, nous pouvons découvrir Juliette à plusieurs étapes de sa vie. Concours.
Sur une étagère au-dessus du bureau, il y a des coupes remportées lors de concours hippiques au fil du temps. Sympa.

Nous parlons un peu de nous. Clémentine évoque sa troisième année d'études en faculté. Ce qui intéresse Juliette.
Je parle de mes activités professionnelles ce qui semble beaucoup passionner la dame qui m'écoute avec attention.
Bien évidemment, la conversation s'oriente sur notre première rencontre, au bord de l'étang, il y a quelques semaines.
Lorsque je promenais Clémentine à la laisse. Nous restons volontairement évasifs et n'entrons dans aucun détail précis.
Juliette revient à plusieurs reprises sur cet évènement qui semble l'avoir marqué. < Et ça doit être génial ! > fait elle.

Nous évoquons superficiellement nos attirances pour certains jeux et certaines situations. La conversation s'oriente "sexe".
Juliette nous raconte quelques anecdotes sur certaines expériences vécues ici, dans son haras. Son goût pour les écuries.
Divorcée depuis deux ans, Juliette est une femme seule qui se consacre entièrement à son entreprise. Nous écoutons.
Je regarde la dame. Elle est vêtue d'un pantalon d'équitation, et d'une veste. Sa cambrure de reins est remarquable.
Chaussée de bottes d'équitation, Juliette présente la silhouette de rêve de la cavalière fantasmatique. Elle est séduisante.

Nous restons un long moment à bavarder. Nous prenons congé. Il est déjà dix neuf heures trente. Il a cessé de pleuvoir.
Juliette nous raccompagne jusqu'aux voitures. En montant dans la sienne, elle nous fait : < Repassez à l'occasion ! >.
Nous promettons de repasser un de ces soirs. Nous voilà à la maison à cinq minutes de voiture. Clémentine m'embrasse.
Je range les deux voitures au garage et je rejoins Clémentine à la cuisine. Nous réchauffons les restes du repas de midi.
La vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Je retrousse sa jupe sous laquelle elle est nue. Je goûte sa chatte humide.

Rapidement, Clémentine m'attire sur elle. Je veux introduire dans la fille avec d'infinies précautions. Elle force les choses.
Quelle merveilleuse sensation de me retrouver dans ce fourreau accueillant, chaud et trempé. Merveilleuse touffe épaisse.

Bonne visite de votre exposition préférée avec votre partenaire préféré, à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui veut toujours s'introduire avec d'infinies précautions) -

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Un samedi à marquer d'une pierre blanche, (et commémorative)

Hier matin, samedi, je suis réveillé par des bisous et des papouilles. Sans même ouvrir les yeux, je serre Clémentine contre moi.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait ma compagne en me chevauchant. J'ouvre un œil. Je regarde ma montre sur la table de nuit.
Il est presque huit heures. Clémentine se lève et m'entraîne aux toilettes par la main tout en s'écriant : < Pipi ! >. Nous y voilà.
Je tiens la jeune fille par ses cheveux. Elle se lâche dans un long jet libérateur. Je m'accroupis pour en récupérer les reliquats.
J'adore l'odeur de ses nuits de filles. Aussi je hume les effluves parfumées de son intimité avec délice. Puis, c'est à mon tour...

Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, c'est elle à présent qui en savoure les derniers épanchements. Joie.
Je la laisse se régaler un petit moment. Je la force à se relever. Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Nous bavardons.
Dehors, le ciel est principalement dégagé. Il y a le soleil. Fenêtres ouvertes nous constatons une certaine douceur. C'est sympa.
Après notre repas que nous prenons en traînant un peu, nous nous offrons un jogging. En short lycra et en maillot. Nous courons.
Nous suivons la rivière, nous passons devant le haras et nous remontons jusqu'à l'ancienne voie ferrée. C'est vraiment superbe.

Après une heure quinze d'un running des plus agréables nous voilà de retour. Nous prenons notre douche. Nous nous habillons.
Clémentine peut enfin mettre des vêtements de printemps. Pour aller faire nos courses, elle met sa jupe carmin. Son pull fin.
Chaussée de souliers à légers talons. Moi, je mets un pantalon de toile claire, une chemise crème et une veste de lin claire.
Clémentine adore me voir dans cette tenue. La jeune fille tourne sur elle-même en soulevant sa jupe. Il n'y a pas de culotte !
< J'en ai toujours une dans mon sac ! > précise t-elle pour me rassurer. Nous rions de bon cœur. Je sors la voiture du garage.

Nous voilà en route pour le marché. Clémentine me sort la queue tout en évoquant ses cours à la faculté. Ses chères études.
J'écoute amusé les anecdotes étudiantes. C'est toujours si intéressant. Parfois Clémentine se penche sur sa gauche pour sucer.
Je roule toujours doucement. Nous aimons par dessus tout admirer le paysage. Nous arrivons au petit bourg. Il y a du monde.
Nous déambulons dans l'unique allée du marché. Il y a de l'animation. Un groupe de gens écoutent et regardent un vendeur.
Nous achetons nos fruits, nos légumes et nos fromages pour la semaine. Agriculture raisonnée et fromages "Bio". C'est bien.

Nous reprenons la voiture pour aller dans la zone commerciale de la ville voisine. Je gare l'auto sur le parking du supermarché.
Je pousse le caddie. Clémentine y dépose au fur et à mesure les articles choisis. Nous traînons un peu. Nous avons le temps.
Mon téléphone m'avertit d'un message au rayon des liquides vaisselles. Je décroche. C'est un message d'Estelle. Très sympa.
Je le fais lire à ma compagne. " Je viens pour dix neuf heures. Cheveux attachés". Nous rions de bon cœur. C'est clair et net.
Clémentine répond en me murmurant : < La petite salope ! >. Estelle vient passer la soirée, la nuit et le dimanche avec nous.

Par acquis de conscience, pour ne pas risquer de rater une opportunité exhibitionniste, nous allons aux rayon des bouquins.
Trop de lecteurs. Pourtant nous faisons le tour trois fois. Il y a du monde. Nous nous replions sur le rayon des vêtements.
Un type seul, en jean et en sweat-shirt, la trentaine, style "baba cool", regarde des T-shirt. Je reste au bout de la gondole.
Clémentine s'avance seule en poussant le caddie. La jeune fille évalue la situation. Stratège elle étudie soigneusement. Rusée
Un peu plus loin, à environ deux mètres de l'inconnu, à l'abri de tout impondérable sur sa gauche, Clémentine s'accroupit...

La jeune fille fait mine de regarder les chaussettes au bas du rayon. Notre homme me tourne le dos. Je ne vois que la fille.
Les cuisses légèrement écartées ne permettent pas de distinguer quoi que ce soit. Pas encore. Le type doit se rendre compte.
Cheveux longs, barbu, des lunettes façon John Lennon, il n'est pas du tout du genre à Clémentine. Tant pis. Une opportunité.
Je bande en regardant le magnifique spectacle qu'offre Clémentine à notre "Beatle" solitaire. La jeune fille agit en virtuose.
Une fois encore j'admire son culot, ses initiatives et sa manière bien personnelle de créer la situation. C'est remarquable. Art.

L'inconnu, bien évidemment, veut en voir davantage. Il s'accroupit à son tour. C'est une constante. Clémentine en rajoute.
Exagérant la pose discrètement, la jeune fille allonge son bras pour tenter de se saisir des articles du fond. Cuisses écartées.
De là où je me trouve, faisant semblant d'étudier l'étiquette d'une veste, je distingue la merveilleuse touffe de ma compagne.
Certainement que le quidam peut admirer cette majestueuse broussaille lui aussi. L'instant est magique. Solennel. Epique...
Clémentine, en parfaite salope, reste immobile à scruter les paires de chaussettes qu'elle tient dans chaque main. Fameux.

Je me demande toujours, avec passion, comment la jeune fille va encore se tirer de là ! C'est de l'improvisation pure. Dure.
Le jeune homme ne dit rien, ne tente rien. A présent il se contente de mâter franchement. Il aurait tort de se priver. Sympa.
< Show must go on ! > me fait souvent Clémentine en se précipitant dans une nouvelle situation bien vicelarde. Exhibition.
Finalement, des fourmis dans ses jambes sans doute ankylosées, Clémentine n'a d'autre choix que de se relever. Salope...
Le type ne tarde pas à faire de même. C'est là qu'il se rapproche pour engager la conversation. Je vois Clémentine sourire.

De là où je me trouve, je n'entends évidemment rien des propos qui s'échangent. Mais la conversation doit être passionnante.
Notre homme sort un papier et un stylo du petit sac qu'il porte en bandoulière. Il griffonne quelques mots et le tend à la fille.
Il s'en va. Clémentine revient vers moi. Nous lisons le nom et le numéro de téléphone de notre gaillard chevelu et barbu. Rire.
< Et encore un dans la collection des petits papiers ! > me fait Clémentine. Nous passons à la caisse. Il y a du monde. Plein.
Nous sommes sur le chemin du retour. Clémentine, la main sous sa jupe, me raconte les échanges avec John Lennon. Rires.

Excitée, Clémentine n'arrête pas de se toucher jusqu'à la maison. Deux fois elle se penche sur sa gauche pour me sucer. Joie.
Nous arrivons pour midi et demi. Nous décidons de faire très simple. Une salade verte et nos tartines d'anchois au four. Bon.
Clémentine, après le repas, assise sur mes genoux me propose une virée à bicyclette. Je trouve l'idée excellente. Il fait beau.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine se serre, se frotte contre moi en m'embrassant. < Je suis hyper excitée ! > me dit elle.
Je lui propose un petit câlin avant de monter nous mettre en tenue "sport". A genoux entre ses cuisses, je lui lèche le minou.

Clémentine, se tenant à la table, les cuisses secouées de frissons, se laisse faire en gémissant. Elle me force à me redresser.
< Arrête ! Je vais exploser ! > me fait elle. Clémentine aime à rester excitée tout le temps possible. Nous montons en riant.
Avant de partir, Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet. Elle suce les reliquats.
Nous suspendons le linge de la machine que nous venons de vider. Nous voilà à bicyclette sur la piste cyclable. Il fait doux.
Clémentine porte sa jupette "tennis". Sur la selle, elle préfère porter une culotte. Pas de risque d'irritations intempestives...

Nous croisons quantité de cyclistes, de joggeurs et de rollers. Il y a même des couples avec des poussettes. Plein de monde.
Nous arrivons au petit port de plaisance sans encombre. Ce qui est normal puisque nous ne l'avons pas emmené avec nous.
Les plaisanciers, nombreux, s'affairent sur le pont de leurs bateaux. Clémentine m'entraîne près des toilettes publiques.
A l'intérieur, tout est propre. Nous restons un peu là dans l'attente d'une éventuelle opportunité. Clémentine est excitée.
Je suis enfermé dans la cabine du fond. Debout sur le couvercle de la cuvette, je peux regarder par dessus le mur. Personne.

Il faut se rendre à l'évidence. Ce sera un après-midi "sans" ! Nous reprenons le chemin du retour. Le ciel est menaçant. Noir.
Il va certainement y avoir un orage. Nous pédalons à toute vitesse. Nous arrivons sous un ciel noir. Nous décrochons le linge.
Nous ne sommes pas à l'intérieur depuis dix minutes qu'il se met à pleuvoir. Nous sommes rentrés in extremis. Tant mieux.
Il est dix huit heures. Clémentine a revêtu sa robe de maison et ses ballerines. Je suis en jean et en T-shirt. Dehors la pluie.
Trois coups de sonnette. Clémentine se précipite. Elle revient suivit d'Estelle. Cette dernière, comme folle de joie vient à moi.

< Bonsoir Julien ! > me fait elle. C'est la première fois qu'elle prononce mon prénom sans dire "Oncle". Je suis très touché.
Nous nous serrons la main. Estelle me fait cette étrange courbette avant les trois bises Bretonnes. Nous passons au salon.
Estelle est vêtue de sa sempiternelle chemise à carreaux, de son jean, (mouillé). Elle est venue à bicyclette. Pas de très loin.
Son K-way dégoulinant dans l'entrée, la jeune fille retire ses baskets trempées pour rester en chaussettes. Elle est contente.
Estelle agite sa natte nouée en tresse sous mon nez. Je m'en saisis comme d'une laisse. Je donne quelques à coups. Secs.

Clémentine est assise derrière le bureau, devant l'ordinateur. < Venez voir ! > nous fait elle. J'entraîne Estelle fermement.
Je tiens la jeune fille par sa natte. Tout en regardant les photos de chevaux que nous envoie Juliette. Nous restons ainsi.
Clémentine répond au message de la cavalière. Estelle s'est mise à genoux entre ma compagne et moi. Je lui tiens la nuque.
Je sors ma bite que je frotte sur sa joue. Clémentine me fait lire sa réponse. Je suis penché en avant contre Estelle. Queue.
Je reste ainsi un petit moment. Clémentine m'embrasse. Nous ignorons complètement Estelle. Ma bite contre son visage.

Clémentine se lève. < Tu veux te mettre en habits de filles ? > demande t-elle à Estelle. < Oh oui ! > répond cette dernière.
Les deux filles montent à l'étage. Je vais à la cuisine. Il est déjà 19 h15. Je vais préparer un simple gratin de coquillettes.
Depuis l'étage, j'entends les filles rire. J'aime cette musique dans la maison. C'est tout simplement merveilleux. C'est divin.
Clémentine redescend la première et me glisse à l'oreille : < Tu es hyper salaud ce soir, d'accord ! >. Je la rassure. Bisous.
Estelle redescend à son tour. Elle a revêtu la jupe kilt à carreaux rouges et le chemisier crème de Clémentine. Ravissante !

Estelle marche maladroitement dans les "souliers de baise" de Clémentine. Les souliers avec la sangle autour des chevilles.
Je la prends par ses épaules, je la fais tourner sur elle-même. Je lui dis : < Estelle, vous êtes absolument ravissante ! >.
< Merci Julien ! > me répond Estelle. Son sourire est radieux. Clémentine me pince discrètement les fesses. Un peu jalouse.
Estelle m'aide à la préparation du gratin. Clémentine s'occupe de la salade. Les filles bavardent. J'écoute amusé. Superbe.
Le gratin est au four pour une cuisson de trente minutes. Je saisis Estelle par sa tresse comme par une laisse. Je tire fort.

Nous montons au grenier. Clémentine nous suit intriguée. Avec le retour des beaux jours, il fait plutôt agréable au grenier.
Je fais faire le tour de l'endroit à Estelle. Il y a les deux poutres verticales au milieu qui soutiennent la faîtière. Charpente.
Je lui montre les cordelettes en coton blanc disposées dans un carton bas, posé sur une vieille table en rotin. Visite guidée.
Clémentine me lance des regards interrogateurs. Elle commence à comprendre. Je tiens Estelle par la nuque. Fortement.
Je lui dis : < Dans une heure, chère Estelle, vous serez attachée là, entre les deux piliers, je vais m'occuper de vous ! >.

Nous redescendons. La sonnerie du four achève de nous ouvrir l'appétit. Estelle prépare la table. Clémentine m'embrasse.
Notre repas est rapide. Chacun a hâte de remonter là haut, au grenier. C'est là que ça se passera ce soir. Une impatience.
Nous faisons la vaisselle. Estelle mime une masturbation masculine avec tout la vulgarité possible. Son index pointé en l'air.
Pas de doute, cette petite salope en veut ! Je vais la satisfaire au-delà de ses désirs les plus fous. Clémentine m'assistera.
Estelle me tend sa natte. Je suis abasourdi par ses initiatives de plus en plus franches et vicelardes. Nous montons. Silence.

Clémentine est considérablement excitée. Elle aime tant mes initiatives et lorsque je me comporte en parfait salopard.
Ma compagne, la main sous sa robe, reste à distance pour m'observer. J'entraîne Estelle entre les deux piliers de bois.
Quatre bougies sont allumées aux quatre coins du grenier. J'ai éteins l'ampoule nue qui éclaire le grenier habituellement.
Clémentine s'est assise dans la vieille chaise à bascule en rotin. Elle se touche, silencieuse et voyeuse. Je fais le show.
Estelle se laisse faire. Elle semble dans un instant d'extase divine. Je fixe les cordelettes à chacun de ses poignets. En l'air.

Chacune de ses mains est fixée à la poutre du haut. Bras écartés. Je fais pareil avec ses chevilles. Pieds et poings liés.
Je vais rejoindre Clémentine. Nous observons Estelle dont j'ai soigneusement bâillonné la bouche à l'aide d'un foulard.
C'est évidemment hyper excitant. J'embrasse Clémentine qui gémit en se masturbant. Je me redresse. Je lui offre ma bite.
Clémentine me suce longuement avec passion. Estelle nous observe avec attention. Je lui fais un clin d'œil. Elle fait pareil.
Je retire ma queue gluante et filamenteuse de la bouche gourmande de ma compagne. Je reviens tout près de la captive.

J'ai mon visage tout près de celui d'Estelle. Je la scrute longuement. Il y a quelques gouttes de sueur sur le bout de son nez.
Je passe mes doigts sur ses joues, son front. Malgré son bâillon, Estelle peut émettre quelques gémissements étouffés. Bien.
Je me mets à genoux. Avec la lampe de poche que je prends du carton bas, je scrute sa culotte blanche. Il y a une tache.
Une petite tache humide sur le tissu immaculé de sa culotte. Preuve évidente de se qui se passe dans la psyché de la fille.
Je tente de descendre cette culotte. C'est impossible à cause de ses jambes écartées. Je prends la paire de ciseaux. Chrome.

Sans le moindre scrupule, sans la moindre hésitation, je coupe le vêtement délicatement sous le regard affolé d'Estelle.
A la vue de cette paire de ciseaux, Estelle peut manifester une appréhension bien légitime. Elle est toutefois vite rassurée.
Je lui montre l'épave pitoyable de ce qui reste de sa culotte. Estelle semble consternée. Je prends la lampe de poche.
Je regarde avec la concentration d'un entomologiste le sexe d'Estelle. La jeune fille est naturellement peu pileuse. A peine.
Les lèvres de sa vulve son serrées. Pourtant, en observant bien, je peux distinguer un début de coulée de cyprine claire.

Je jette un coup d'œil vers Clémentine qui m'observe en se masturbant doucement. Nous pouvons même l'entendre gémir.
Je reste à observer l'intimité d'Estelle un très long moment. J'entends son souffle court entre deux apnées. Elle est excitée.
Malgré l'interdiction formelle, je glisse mon visage entre ses cuisses et je me mets à lui lécher le sexe. Il y a des à coups.
Estelle en remuant tout son corps avec force, tente de se soustraire à ma caresse. Cela dure quelques instants. J'insiste.
La jeune fille est immobile. Je l'entends gémir. Estelle, pour la première fois de sa vie, se fait brouter la chatte. Découverte.

J'entends gémir Clémentine. Nul doute qu'elle doit se contrôler pour ne pas subir l'orgasme prématuré qu'elle redoute tant.
Le goût du sexe d'Estelle est différent de celui de ma compagne. Il est un peu plus acidulé. Presque un goût acide. Fort.
Evidemment, cette découverte est un enchantement supplémentaire. Estelle bouge doucement son bassin. Le plaisir arrive.
Secouée de spasmes, Estelle se lâche dans un orgasme qui la foudroie. La jeune fille n'arrête plus de gémir puis de haleter.
La cyprine est abondante. Peut-être plus que celle de Clémentine. Est-ce bien de la cyprine ? Salope ! C'est de la pisse !

Estelle ne peut sans doute pas empêcher cet épanchement malencontreux. J'ai la gueule trempée. Je suis hyper excité.
Il y a une flaque qui imprègne le bois du plancher juste entre les jambes d'Estelle. Je me redresse. Je me relève. Joie.
Estelle, les yeux baissés, évite mon regard inquisiteur. Mon attention est soudainement attirée par le bruit sur le plancher.
La jeune fille est entrain de pisser. Un jet luisant, jaune qui vient s'imprégner dans les lattes en vieux chêne du plancher.
Je lui mets une gifle. Je lui fais : < Petite salope ! C'est ça que tu préparais hein ! >. Elle garde les yeux baissés. Pisseuse.

Clémentine est victime d'un orgasme qui lui fait pousser un cri violent. Je regarde. Estelle lève les yeux pour regarder aussi.
Le spectacle est divin là-bas aussi. Clémentine, les mains entre ses cuisses serrées semble livrer un combat contre l'invisible.
Je glisse à l'oreille d'Estelle : < Elle baise avec Grégoire, le fantôme de la maison ! >. Mon bon mot semble apaiser Estelle.
A nouveau, le regard plein d'une indicible reconnaissance, Estelle me fixe, droit dans les yeux. Je mets ma main sous sa jupe.
Estelle fronce les sourcils. Je franchis un interdit. Il y a de la mouille. Je me mets à genoux pour me régaler de ce mélange.

Je déguste les liquides d'Estelle avec avidité. Clémentine est venue me rejoindre. Elle éclaire avec la lampe de poche. Fou.
Je me pourlèche de ce jus de pucelle abondant qui semble intarissable. Fille fontaine ? Il me faudra élucider ce mystère...
Mes agissements de gourmets ne tardent pas à provoquer un nouvel orgasme à Estelle. Clémentine se met à quatre pattes.
Ma compagne me suce. Je sens ma jute tirée du plus profond de mes couilles par sa bouche avide et gourmande. C'est bon.
Je lèche le minou d'Estelle. Je tente d'introduire ma langue. Son clitoris, malgré sa petite taille, est turgescent. Excitant...

Je laisse ma compagne se régaler de mes montées de sèves abondantes et continues. Je la force à cesser. Je me relève.
Estelle a le visage trempé de sueur. Des coulées abondantes de salive lui macule tout le menton, dégoulinant partout.
Je lui retire le foulard de la bouche. Je lèche son visage d'ange. Estelle me tend sa bouche ouverte. Je ne peux pas lutter.
Je l'embrasse avec une fougue démentielle. Estelle pousse un gémissement continu. Je sens Clémentine qui me pompe.
Nous restons ainsi un très long moment. Estelle ne veut plus cesser. Nous bavons d'excitation et de plaisir. De bonheur ?

Enfin je retire ma bouche. Estelle me fixe d'un regard amoureux, intense et implorant. Je force Clémentine à se relever.
Je monte sur le tabouret. Je frotte ma queue contre le visage d'Estelle. Quelle n'est pas ma stupeur. Estelle me suce enfin.
Sa bouche avide me pompe. Je n'en reviens pas. Ma surprise est la hauteur de mon plaisir. De notre plaisir. Surprenant.
Je n'insiste pas. Je ne veux pas lutter. C'est davantage avec le désir d'offrir que j'éjacule dans la bouche d'Estelle. Joie.
Longuement, en poussant de petits cris de ravissements, Estelle me vide les couilles avec un appétit d'ogresse. Le délire.

Je reste un long moment immobile. Clémentine est montée sur le tabouret en se serrant fort contre moi. C'est le silence.
Nous redescendons. Je détache Estelle qui se frotte les poignets et les chevilles. Clémentine me fait : < Tu es génial ! >.
Nous voilà de retour au salon. Nous restons silencieux. Nous nous regardons en riant. Nous sommes un peu gênés. Fou.
Il nous faut reprendre nos esprits. Il est déjà 22 h30. J'écris ces lignes. Estelle et Clémentine révisent. Sans conviction...
Nous sommes épuisés. Fourbus. Nous montons nous coucher. Il est 23 h30. Nous nous écroulons dans le lit. Sommeil...

Bonne soirée "Bondage" avec votre adorable soumise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui n'a jamais été l'oncle de personne mais qui devenu le "Maître" d'Estelle ce soir) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Estelle nous témoigne de sa profonde reconnaissance

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des rires étouffés, des murmures. J'ouvre l'œil, et le bon. Je regarde à gauche.
Clémentine à mes côtés, Estelle à l'autre bout du lit, sont entrain de faire les clowns. Les deux filles se redressent et font :
< Bonjour Maître ! >. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Clémentine me chevauche pour me faire des bises.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait Clémentine. < Bonjour Julien ! > me fait Estelle en mimant une masturbation. Rires.
Estelle se lève en disant : < Je vais préparer le petit déjeuner ! >. Clémentine fait : < On arrive dans cinq minutes ! >...

< Tu as été génial, hier soir ! > me chuchote Clémentine en m'entraînant aux toilettes. Il est à peine huit heures. Sympa.
Je tiens Clémentine par ses cheveux. < Tu m'offres la même séance qu'à Estelle un de ces soirs ? > me fait elle en pissant.
Je lui promets. Je m'accroupis pour me régaler de la dernière petite goutte qui perle. Puis, c'est à mon tour. Je me relève.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en récupère les derniers épanchements. Je bande fort.
Je force Clémentine à se redresser. Nous descendons rejoindre Estelle. L'odeur du pain grillé termine d'ouvrir nos appétits.

Estelle me fait de rapides sourires un peu gênée. Je me lève pour venir poser ma main sur sa nuque. Je me penche un peu.
Je demande : < Vos impressions, Estelle, après notre soirée de hier ? >. La jeune fille continue de manger en souriant.
Il y a un silence. Elle tourne sa tête et me fait un rapide bisou que je ne peux pas éviter tellement ma surprise est grande.
J'extrais ma bite de mon slip pour la passer sur la joue de la jeune fille qui a un mouvement de recul habituel. C'est le jeu.
< J'ai passé une des plus belles soirées de ma vie ! > me fait soudain Estelle. Je retourne m'asseoir. Nous bavardons. Rires.

Clémentine me donne des tous petits coups de pieds sous la table. Depuis des mois nous avons développé de la télépathie.
Je comprends immédiatement. Il ne faut plus évoquer cette séance de "bondage" et laisser Estelle en parler la première.
Nous trainons un peu à table. Dehors le ciel est principalement bleu. Il y a du soleil. Il fait plutôt agréable. C'est très bien.
Nous faisons la vaisselle. Estelle insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Les filles parlent des cours.
Estelle se met à genoux sur le carrelage, juste devant moi. < Je peux la sentir ? > me demande t-elle presque implorante.

Je m'avance en tenant ma bite que je lui mets sous le nez. Clémentine vient me tenir par les hanches et observe avec soin.
Estelle renifle ma queue que je décalotte. < J'adore quand ça sent comme ça ! > fait la fille en respirant l'odeur de ma nuit.
< Moi aussi, ça m'excite en plus ! > fait Clémentine en posant sa main sur la tête d'Estelle qui semble s'enivrer de l'odeur.
Je passe ma bite sur le visage de la jeune fille qui m'en présente bien toute les facettes tout en gémissant doucement. Joie.
Je tente sournoisement de la lui mettre en bouche. Estelle qui commence à me connaître, serre fortement ses lèvres. Jeu...

Clémentine s'accroupit pour me sucer un peu. Estelle observe. Elle lève les yeux avec un regard plein de reconnaissance.
J'ai ma main droite posée sur la tête d'Estelle. La main gauche posée sur la tête de Clémentine. Nous restons ainsi. Silence.
Je laisse Clémentine se régaler des saveurs de ma nuit et de mes montées de liquide séminal abondantes. Elle gémit. Bon.
Pour ne pas y passer la matinée, je force les deux filles à se relever. Estelle se frotte les genoux en faisant < Aïe ! >. Rire.
Clémentine se serre contre moi en murmurant : < Comme c'est bon ! >. Je la soulève. Je la fais tourner. Elle m'embrasse.

C'est dimanche matin. La journée du ménage. Clémentine propose à Estelle de s'installer devant l'ordinateur au bureau.
Ainsi nous pourrons faire le nettoyage de la maison. Les deux filles vont au salon. Je passe l'aspirateur à la cuisine. J'aime.
Clémentine revient et me fait : < Estelle a le profond désir de faire une nouvelle séance samedi prochain. Mais filmée ! >.
Nous nous embrassons. Clémentine monte à l'étage faire la chambre. Je passe la serpillère sur tous les carrelages du bas.
Je nettoie les chiottes. Je passe l'aspirateur au salon. Estelle me fait des sourires. Elle se lève. Elle mime une branlette.

Je monte rejoindre Clémentine qui change la literie. Je lui raconte ce que j'ai encore vu en bas. < Normal ! > me fait elle.
< Les choses vont s'accélérer. Tu sais, au restaurant universitaire, à midi, on cause toutes les deux ! >rajoute Clémentine.
Je prends Clémentine contre moi pour la rassurer. Je lui chuchote : < Je t'aime Clitorette. Pas d'inquiétudes inutiles ! >.
Clémentine sait pouvoir me donner sa confiance absolue. Rien ne se passe jamais sans qu'elle n'en soit la complice. Amour.
Je nettoie les chiottes de l'étage, la salle de bain. Je passe la serpillère. Je rejoins les filles installées derrière le bureau...

< Il y a un vide grenier au bourg ! > me fait Clémentine. Je propose d'y faire un tour ce matin encore. Il n'est que 10 h30.
Les filles en sautillant de joie, s'écrient en cœur : < On s'habille, super ! >. Nous montons tous les trois pour nous changer.
Clémentine propose une de ses robes. Une robe bleue à grands carreaux. Manches courtes. Il faudra prendre un léger gilet.
Clémentine mets sa jupe carmin. Estelle qui ne sait pas marcher avec des talons porte les ballerines. La même tailles. Bien.
Moi, sur la demande de Clémentine, je porte un pantalon clair à plis, ma chemise crème, une veste claire, mes mocassins.

Je sors la voiture. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Photo.
Je la laisse se régaler un peu de mes dernières gouttes mélangées à quelques montées de foutre. Sa préférence. Le goût.
Nous voilà en route. Dans la voiture les filles évoquent quelques anecdotes étudiantes en riant aux éclats. C'est superbe.
Clémentine m'a sorti la bite. Estelle, assise derrière, a passé son bras par dessus mon épaule pour me la tenir. Immobile.
Clémentine se penche quelquefois sur sa gauche pour me la sucer. L'ambiance est à son comble. Nous arrivons au bourg.

Il y a beaucoup de monde. Le vide grenier attire des visiteurs de toute la région. C'est le premier de l'année. Le printemps.
Il fait doux, presque chaud. Estelle reste en robe et se contente de mettre le gilet sur son bras. Clémentine fait pareil.
Nous déambulons. Il faut louvoyer entre les promeneurs, les couples, les familles et leurs progénitures. C'est sympathique.
Discrètement, à plusieurs reprises, Clémentine me touche la braguette. < Tu n'es pas chiche de la sortir ! > fait elle. Rires.
Il est impossible de sortir ma bite au milieu de tout ce monde. Estelle me fait un clin d'œil en me faisant : < Dommage ! >.

Clémentine découvre quelques vieux bouquins ayant trait à ses études. Dix vieux livres pour deux euros. Pas d'hésitations.
Estelle regarde des vieux disques vinyles des années soixante dix. Je lui propose de lui offrir ceux de son choix. Elle choisit.
Nous voilà avec des sachets à la main. Nous sommes de retour pour treize heures. Un rapide repas. Riz et légumes à l'eau.
Pendant la préparation, Estelle mime plusieurs fois une masturbation masculine en y mettant toute la vulgarité possible.
Je sors à chaque fois ma queue que je fais tournoyer dans sa direction. Clémentine tente de me la pomper à chaque fois.

Il fait beau. Clémentine propose une virée à bicyclette pour l'après-midi. L'idée est appréciée à sa très juste valeur. Super.
Le repas est délicieux. Deux fois je me lève pour venir près d'Estelle que je tiens par sa nuque. Ma bite frottée sur sa joue.
Cette petite vicelarde fait son offusquée à la perfection. Pendant la vaisselle, Estelle se montre toujours aussi salope. Joies.
Ses imitations de masturbations masculines se font de plus en plus fréquentes. La jeune fille excelle dans la vulgarité. Jeu.
Nous voilà vêtus de nos tenues de cyclistes. Shorts en lycra, maillots. Estelle est ravissante en "sportive". Nous partons.

Nous pédalons sur la piste cyclable le long du canal. Nous croisons quantité de cyclistes, de promeneurs et de rollers.
Arrivés au petit port de plaisance, nous nous y promenons à pied. Il y a une fête. Un orchestre et des danseurs. Tango.
Pas de doute, la belle saison arrive enfin. Estelle doit être de retour chez elle pour dix neuf heures. Nous repartons.
Nous arrivons à la maison pour 18 h30. Les adieux sont assez difficiles. Estelle nous remercie pour ce week-end. Bises.
Clémentine et moi, excités comme des fous, dès la fin du repas, nous faisons l'amour comme des déments. Délirant...

Bonne visite de vos vides greniers préférés à toutes et à tous....

Oncle Julien - ( Compagnon idéal pour jeunes étudiantes bien salopes et délurées) -

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Clémentine peut enfin faire de la bicyclette en jupette

Hier matin, lundi, je suis réveillé par des bisous sur le front, les joues et le bout du nez. Je serre Clémentine contre moi.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait la jeune fille en m'entraînant. Il est presque six heures. Nous nous levons très vite.
Clémentine file aux toilettes. Moi, je file à la salle de bain. La bite bien posée sur le bord du lavabo, je me soulage. Ouf.
Tout en pissant je lâche un merveilleux chapelet de pets que je module longuement en tonalité de Fa. Je monte en Sol.
< Je t'entends, Bitounet péteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant.

Nous savourons un copieux petit déjeuner. Puis, nous remontons pour notre heure d'entraînement. Gym. Abdos, aérobic.
En faisant mes exercices au sol, je découvre une large tache au plafond. Inquiet, je pense à l'orage de samedi dernier.
Clémentine constate la large auréole en même temps que moi. Problème d'étanchéité mal à propos qui tombe très mal.
Ma compagne me fait soudain : < Je sais ce que c'est ! C'est Estelle, samedi soir, attachée. Rappelle-toi, elle à pissé !>.
Je prends conscience de cette réalité en me souvenant bien. Je dis : < La salope ! >. Nous rions de bon cœur. Abdos...

Après l'entraînement, nous prenons notre douche. Il est déjà 7 h45. Je sors la petite auto de Clémentine du garage. Bises.
Je regarde ma compagne partir en cours. Je vais à l'atelier. J'ai beaucoup de travail qui m'attend. Il fait beau. Le soleil.
Clémentine revient pour 17 H. Assise sur mes genoux devant mon chevalet, elle me raconte sa journée de cours en fac.
< On se fait une virée à vélo ? > me demande Clémentine. Nous montons nous changer. Je l'emmène au grenier. Tache.
Je montre la tache au sol. La pisse d'Estelle après avoir imprégné les lattes du plancher, s'est infiltrée dans le torchis. Fou.

Nous voilà entrain de pédaler sur la piste cyclable le long du canal. Il fait vraiment très agréable. Il fait chaud, beau. Bien.
Clémentine peut enfin faire de la bicyclette vêtue d'une de ses jupettes plissées façon "tennis". Juste un T-shirt. Baskets.
Moi je suis en short et en T-shirt également. Nous bavardons. Nous croisons quelques cyclistes, rollers et promeneurs.
< Estelle n'arrête plus de parler de toi ! Au restau universitaire, tu es son seul sujet de conversation ! > fait Clémentine.
Elle rajoute : < Je commence à m'inquiéter pour elle, ça va être de plus en plus difficile ! Elle est amoureuse ! Mal barrée !>

Je ne sais quoi répondre, je dis : < Tu préfères que nous mettions un terme à tout cela ? >. < Non, non ! > dit Clémentine.
< Ce n'est pas vraiment notre problème. Elle se met dans des situations affolantes ! Elle sait ce qu'elle fait ! >rajoute t-elle.
Nous arrivons au petit port de plaisance. Nous fermons nos vélos avec cadenas derrière la capitainerie fermée. Il fait doux.
Nous nous promenons. Des plaisanciers s'affairent sur le pont de leurs bateaux. La plupart sont paresseusement installés.
Clémentine m'entraîne vers la petite maisonnette des toilettes publiques du port. < J'ai envie d'un "plan" ! > me fait elle.

Je m'enferme dans la dernière cabine au fond. Je suis debout sur le couvercle rabattu de la cuvette. Tout est propre. Clean.
Par dessus la paroi j'ai vu sur la petite salle des WC hommes. Clémentine est près de la porte grande ouverte. Le silence.
La jeune fille guette une éventuelle arrivée. Le lieu est très peu fréquenté. La petite maisonnette propose une partie douche.
Ce sont des sanitaires principalement réservés aux plaisanciers. Nous y faisons quelquefois nos pissous avant le retour. Soir.
Sur la droite, deux lavabos surmontés de deux grands miroirs. Quatre cabinets de toilette alignés. Quatre urinoirs muraux.

Clémentine commente à haute voix ce qui se passe au dehors. La main droite passée sous sa jupe, la jeune fille se masturbe.
Un long moment s'écoule lorsque soudain Clémentine se retire en faisant : < Il y a un mec qui arrive. Tu surveilles, hein ! >.
Je regarde. Un homme entre dans les toilettes en se débraguettant. Il n'a pas encore vu la jeune fille accroupie aux lavabos.
< Oh, pardon ! Excusez-moi ! > fait l'inconnu. Sans doute quadragénaire, corpulent, le type se détourne des urinoirs. Gêné.
< Il n'y a pas de mal ! Je me suis trompée de toilettes ! > fait Clémentine, la culotte aux genoux, cuisses écartées. Touffe à l'air.

L'inconnu reprend rapidement tous ses esprits et la pleine possession de ses moyens. Il découvre cette jeune et belle salope.
Il sort à nouveau son sexe qu'il agite dans la direction de la jeune fille qui reste parfaitement immobile, fouillant son petit sac.
Le type tout en se mettant à se masturber, fait : < Vous êtes en vacances, tourisme, en vélo ? >. Clémentine reste silencieuse.
C'est ce silence, rajouté à la situation, qui confirment la situation délibérée qu'impose Clémentine. Le type en a conscience.
Il se branle ouvertement. Depuis ma cachette je vois sa petite queue plutôt nerveuse. Clémentine a redressé la tête. Sourire.

< Tu veux sucer un peu ! > fait soudain le branleur. < Non merci, j'attends mon ami ! > répond Clémentine. Il y a un silence.
Cette formule est souvent imparable et permet de tempérer les choses. Visiblement l'homme n'en a que faire. Il se masturbe.
< Il sait que tu es une telle salope ? > demande le type en se rapprochant. Il est à un mètre du visage de Clémentine. Garde.
< Oui, bien sûr ! > répond Clémentine en resserrant ses cuisses et en se redressant. Clémentine est plus grande que le type.
Il doit lui arriver aux oreilles. Il paraît impressionné. < Une petite pipe en vitesse, ça te dit ? < demande encore l'inconnu...

Clémentine tente de contourner l'homme qui reste ostensiblement entre la porte et les lavabos. Clémentine semble bloquée.
La situation est critique. Personne ne bouge. Le type se branle. Il se rapproche encore. Il est temps d'intervenir. Urgence.
Je sors de la cabine des WC. En toussant, je m'approche. Le type me toise. Il doit m'arriver à l'épaule. Il range sa bite. Vite.
< Excusez-moi ! > fait notre drôle en tournant les talons pour s'enfermer dans une cabine. Je saisis Clémentine par le bras.
Je l'entraîne au dehors. Ce genre de situation à risque arrive très rarement. Clémentine m'embrasse en se serrant contre moi.

< Merci Bitounet ! Sans toi, tout cela serait impossible ! > me confie Clémentine. Je la soulève. Je la fais tourner. Nous rions.
< Tu es une merveilleuse salope ! > que je lui dis en marchant le long du quai. < La tienne ! > me répond la jeune fille. Rires.
Nous faisons le tour du port. Je propose à Clémentine de nous prendre deux cônes glacés avant que la superette ne ferme.
Il y a un tout petit rayon de vêtements. Je vais regarder les quelques petites culottes qui son proposées à la vente. Le choix.
< C'est pour offrir à Estelle. Pour remplacer celle que je lui ai découpé samedi soir ! > que je fais. Clémentine éclate de rire.

Nous dégustons nos cônes glacés en nous dirigeant doucement vers nos bicyclettes. Le type des chiottes est sur son bateau.
< Bon appétit et bonne balade ! > nous fait-il. Sa femme surgit de la cabine et nous fait un < Bonsoir ! > avec un sourire.
Nous rions de bon cœur. Nous prenons le chemin du retour. Nous sommes à la maison vers 20 h15. Je décroche les draps.
Le linge est bien sec. Clémentine m'embrasse, se frotte contre moi et me fait : < J'ai la chatte en feu ! >. Je mets ma main.
C'est vrai que le sexe de ma compagne est chaud et humide. < Je vais éteindre cet incendie ! > que je lui fais. Nous rions.

Je réchauffe le repas du soir. Une délicieuse purée aux champignons que j'ai préparé à midi. Je fais une rapide omelette.
Clémentine prépare la salade verte déjà lavée qu'elle tire d'un Tupperware mis au frigo. Nous faisons tout cela très vite.
Nous mangeons en bavardant. Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Elle me sort la queue. Je touche sa chatte.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Elle retire sa culotte qu'elle jette au loin. La voilà sur le canapé.
Cuisses largement écartées, Clémentine, le regard suppliant, me fait signe de la rejoindre. Agitant son index. Clin d'œil...

Je viens mettre mon visage dans son invraisemblable touffe. Je hume les effluves parfumées de sa journée de fille. Super.
La sueur des deux heures de bicyclette, rajoutée à l'excitation, offrent les plus enivrantes odeurs. Je lèche longuement.
Le goût légèrement acidulé est le plus merveilleux dessert. Il y a des petits miasmes plus consistants. Sans doute du frome.
Je fouille chaque pli et repli de ma langue exploratrice. Il y a de quoi se régaler. Le sexe de Clémentine est vraiment juteux.
Les sécrétions de la jeune fille sont abondantes et semblent ne plus cesser. Je m'occupe un peu de son clitoris géant. Bon.

Bien évidemment, mes explorations flirtent avec le danger d'un orgasme imminent. Et il est obligatoire de faire durer. Long.
Je lèche, je suce et je pompe en restant vigilant. Clémentine déteste les orgasmes qui arrivent trop vite. Je la comprends !
Clémentine, à l'extrême limite, me repousse doucement pour m'attirer sur elle. Je m'introduis délicatement dans la fille.
Nous restons sans bouger comme nous aimons à le faire. Clémentine me chuchote d'étonnantes cochonneries à l'oreille.
Elle me raconte les émotions vécues aux toilettes du port de plaisance. Un long moment. L'orgasme arrive. Il est titanesque.

Bonne balade à bicyclette en soirée à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui sécurise les lieux où s'exhibe sa délicieuse salope) -

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Homme, 53 ans, France
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Mardi soir. Estelle vient nous visiter

Hier matin, mardi, il est six heures lorsque le réveil musical nous sort de notre sommeil avec un concerto pour piano de Mozart.
< Ta gueule Momo ! > fait Clémentine en tapant sur l'objet. Nous rigolons comme des bossus. Deux bisous et nous nous levons.
Clémentine file aux toilettes. Moi je file à la salle de bain. La bite posée sur le bord du lavabo je pisse en me grattant les couilles.
Je lâche de merveilleuses rafales de pets profondément mélodieux que je module longuement du Fa jusqu'au Sol. Et par le Fa#.
< Je t'entends Bitounet prouteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous descendons en rigolant comme des bossus. Cuisine.

Nous prenons notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est 7 h45. Je sors l'auto de Clémentine.
Plein de bisous et je la regarde partir en cours. J'ai beaucoup de travail. Je me rends à l'atelier. Il fait beau. Il y a du soleil. Joie.
Clémentine revient à seize heures trente. La jeune fille est toujours contente, assise sur mes genoux, à me raconter sa journée.
< On se fait une virée vélo ? > me demande t-elle. Je trouve la suggestion tout à fait de circonstance avec le temps qu'il fait.
< Estelle arrive dans cinq minutes ! > fait elle encore. Nous montons nous changer. Jupette pour Clémentine. Short pour moi.

A peine sommes-nous dans le jardin qu'Estelle arrive sur sa bicyclette. Elle est déjà en tenue. Short et T-shirt. Une soirée d'été.
< Bonjour Julien ! > me fait Estelle. Nous nous serrons la main, la courbette et les trois bises Bretonnes. Elle semble si contente.
Clémentine nous entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie pour me la sucer.
Estelle, qui observe tout cela avec un air halluciné me fait un délicieux sourire en mimant une masturbation masculine. Vicelarde.
Nous voilà sur la piste cyclable. Il y a quelques cyclistes, beaucoup de joggeurs et de promeneurs. Nous roulons contre le vent...

Vingt cinq kilomètres à bavarder et à apprécier le superbe climat de cette première soirée de véritable chaleur. Superbe soirée.
Les filles n'auront pas cours vendredi après-midi. Elles évoquent Guillaume, le jeune étudiant qui organise la fête de fin juin.
Nous nous promenons au petit port de plaisance. Il y a du monde. Clémentine me tient par la main. Elle me fait plein de bises.
Je passe ma main sous les cheveux d'Estelle à plusieurs reprises pour la tenir par la nuque. Discrètement. La jeune fille glousse.
Nous nous offrons trois cônes glacés avant de reprendre le chemin du retour. En revenant, il n'y a aucun effort. Le vent pousse.

Nous sommes de retour pour 20 h15. Il n'y a qu'à réchauffer l'espèce de ratatouille que j'ai préparé à midi. Avec des coquillettes.
Les deux filles montent à l'étage. Je les entends rire. Estelle redescend la première. Vêtue d'une jupe kilt bleue à Clémentine.
Un pull fin, noir et en coton. Elle porte les ballerines. Estelle tourne sur elle-même dans la cuisine. < Vous aimez ? >me fait elle.
Clémentine descend vêtue de sa sa robe de maison. Je félicite Estelle pour sa vêture. Elle s'accroupit devant moi. Je sors ma bite.
< J'adore l'odeur de votre journée ! > me dit Estelle en avançant le visage. Je lui passe ma queue sous le nez. Je la décalotte.

Clémentine met la table. Je laisse Estelle humer longuement les effluves parfumées de mon gland décalotté. < Miam ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur. Je la lui passe sur le visage en y laissant quelques miasmes. < A table ! > fait Clémentine. Nous cessons.
Deux fois je me lève. Je viens me mettre debout à côté d'Estelle. Je la tiens la nuque pour approcher son visage de son assiette.
Estelle se laisse faire. Clémentine me tient par les hanches. Je passe ma bite sur la joue d'Estelle qui n'a plus aucun geste de recul.
< Bien dressée ! > fait Clémentine. Nous rions tous les trois de bon cœur. Tout cela n'est qu'un jeu qui nous amuse et nous excite.

Nous faisons la vaisselle. Estelle, comme à son habitude insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. Ambiance.
Je vais au salon. Je reviens avec le collier canin, la laisse et une cordelette de coton blanc. Je passe le collier au cou d'Estelle. Joie.
Je fixe la laisse. Je noue les poignets de la jeune fille devant elle. Je la force à me suivre. Nous montons au grenier. Dans le silence.
J'entraîne Estelle entre les deux piliers de bois où elle était attachée samedi soir. Je lui montre la sciure que j'ai répandu au sol.
Clémentine me tient par la bite, silencieuse. Je dis à Estelle : < Tu as pissé là, samedi soir, petite salope ! >. La jeune fille regarde.

Nous restons un petit moment. Je continue : < Je vais t'infliger une punition petite salope ! >. J'entraîne Estelle dans l'escalier.
Nous descendons dans la "pièce de sport", à côté de notre chambre à coucher, au premier étage. Je montre le plafond à Estelle.
Je dis : < Regarde bien la tache de pisse qui a traversé le plancher, petite salope ! >. Je donne un à coup sur la laisse. Silence.
Estelle, la tête levée, regarde la tache qu'il y a au plafond. Clémentine fait : < Même en repeignant, ça ressortira toujours ! >.
J'entraîne Estelle dans l'escalier. Nous descendons. Nous sortons. J'entraîne la jeune fille que je tiens à la laisse au garage...

Là, dans l'ancien atelier qu'il y a au fond du garage, je fixe les poignets de la jeune fille au vieux radiateur. Je la fais s'accroupir.
Je précise : < Tu vas rester attachée là une heure, petite salope. Ce sera ta punition ! >. Clémentine est ravie de mon initiative.
Je fais voler la poussière. Nous sommes assis sur l'inconfortable vieux canapé. Nous observons ce spectacle insolite. Estelle.
< Tu es génial ! J'adore tes initiatives ! > me chuchote Clémentine à l'oreille. Elle me tient la bite. Je bande mou. C'est excitant.
Estelle, accroupie, nous regarde, interrogative, comme un petit animal apeuré. Elle est merveilleusement belle. Bien salope.

J'ai passé ma main entre les cuisses de Clémentine qui ne porte pas de culotte. Son sexe humide ne laisse aucun doute. Excitée.
Je me concentre. Je me lève. Je viens me mettre debout devant Estelle. Je lui passe ma bite sur le visage. Longuement. Silence.
Je saisis ses cheveux fermement, sans brutalité mais avec force. Je la force à me fixer. Estelle a du mal à soutenir mon regard.
Sans prévenir, sournoisement, le lui lâche un jet de pisse sur le visage. Estelle, en poussant un petit cri, détourne sa tête. Pisse.
Je la tiens fermement en la forçant à me présenter son visage d'ange à présent trempé. Je lâche un second jet. Un troisième.

Clémentine, une main sous sa robe, se touchant, vient me rejoindre. Elle me prend la queue pour en diriger le jet sur Estelle.
Je bande comme un vrai salaud. < J'aime tellement quand tu te comportes en vrai salopard ! > me murmure Clémentine ravie.
Je ne peux plus pisser. Clémentine frotte ma queue sur le visage d'Estelle qui, la mine écœurée, essaie de détourner la tête.
Je la tiens bien, fermement et avec force. La jeune fille pousse plusieurs râles de dégout. Clémentine s'accroupit pour me sucer.
Je la laisse se régaler longuement. Je caresse la tête d'Estelle qui me regarde avec les yeux plein de reconnaissance. Salope...

Je force Clémentine à se redresser. Je passe ma queue sur les lèvres serrées de la bouche d'Estelle. Impossible de l'enfoncer.
Estelle recommence à tenter de se soustraire à mon étreinte puissante. Clémentine se touche en prenant quelques photos.
Nous restons un long moment à vivre cette situation vicelarde et insolite. Pour nos plus grand plaisirs. Pour notre pure bonheur.
J'en serais quitte pour passer les vêtements que porte Estelle à la machine demain matin. Je peux enfin lâcher un nouveau jet.
Estelle se débat avec force en poussant des petits cris de dégoût. Elle en sera quitte pour prendre une douche avant de partir.

Il est déjà 21 h30. Je décide de mettre un terme à cette petite séance. Je détache Estelle. Je la tire par la laisse pour rentrer.
Je dis : < Estelle, à chaque bêtise, il y aura une punition ! >. La jeune fille reste silencieuse, la tête dégoulinante de pisse.
Elle redresse son visage mouillé pour me faire un délicieux sourire. < Va prendre ta douche ! > lui fait Clémentine. Silence.
Estelle monte à la salle de bain. Clémentine se serre contre moi. < Tu m'as offert un superbe spectacle ! > me fait elle ravie.
< J'aime quand tu improvises. J'étais aussi surprise qu'Estelle ! Tu me fera ça un de ces jours ? > me chuchote Clémentine.

Je l'entraîne au salon. Je lève sa robe en la faisant basculer dans le canapé. Je fourre mon visage dans sa touffe dense. Humide.
Je hume longuement les parfums de sa journée de fille. Sueur et suintements divers m'enivrent. Clémentine glousse de plaisir.
Je lèche consciencieusement chaque pli et replis des lèvres de son sexe trempé. Il y a de délicieuses surprises. C'est un régal.
Je suce, je pompe son clitoris géant, dure et turgescent. Clémentine est au bord de l'orgasme. Je suis obligé de faire gaffe.
Estelle vient nous rejoindre. Elle porte sa chemise à carreaux et son jean. Cheveux lavés et encore un peu humides. Silence.

Clémentine se redresse. Estelle nous fait : < Merci pour ma punition. Je l'ai bien mérité. Que dois-je faire pour le plafond ? >.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Estelle se met à genoux près de nous. Je lui caresse le visage. Elle semble si heureuse.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles.
Estelle nous observe. Elle me regarde, amoureuse. Je lui caresse la tête, le visage, la nuque et le menton. Estelle se pâme.
Il est rapidement 22 h15. Estelle est obligée de rentrer. Je me retire doucement. Clémentine se lève. Nous voilà debout là.

Nous raccompagnons Estelle jusqu'au jardin. Je dis : < Vous voulez que je vous ramène, on met votre vélo dans le coffre ! >
Il n'y a que deux kilomètres jusqu'à chez elle. Estelle préfère rentrer à bicyclette pour se remettre les idées au clair. Rires.
Nous regardons Estelle s'en aller en nous faisant des signes. Je rentre la petite auto de Clémentine au garage. Nous rentrons.
Clémentine m'entraîne à la salle de bain. Au sol, il y a les vêtements trempés de pisse que portait Estelle. Nous rions. Douche.
Une fois couchés, nous faisons l'amour comme des fous. Nous plongeons ensuite dans un profond sommeil réparateur. Rêves...

Bonne punition à votre visiteuse soumise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Le Maître d'Estelle et le compagnon de Clémentine) -

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Nous profitons de nos soirées pour faire de la bicyclette

Hier matin, mercredi, il est six heures lorsque le réveil nous tire du sommeil. Clémentine me fait plein de bises et se lève.
Elle m'entraîne par la main pour filer aux toilettes. Moi je file à la salle de bain. La bite posée sur le lavabo froid, je pisse.
Tout en me grattant les couilles, je lâche un superbe chapelet de pets longuement modulés du Fa jusqu'au Sol. Profonds.
< Je t'entends moduler et insister sur le Fa# ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est rapidement 7 h45.

Je sors la petite auto de Clémentine du garage. Elle me fait plein de bisous et s'en va en cours. Moi, je file à l'atelier. Boulot.
Clémentine revient pour 16 h30. Assise sur mes genoux, devant mon chevalet, dans l'atelier, elle me raconte sa journée.
Il fait beau. Il fait chaud. Nous décidons de nous offrir une virée à bicyclette. Nous montons nous mettre en tenues. Sympa.
Clémentine porte une de ses petites jupettes "tennis", un simple T-shirt et ses baskets. Moi, je suis en short, T-shirt. Bien.
Avant de partir, Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Dessin.

Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. Les eaux du canal sont immobiles. Il n'y a qu'une légère brise qui nous caresse.
Clémentine me fait : < On se fait un "plan" ? >. En disant cela elle soulève sa jupette pour me montrer sa culotte. Sympa.
J'adore l'épaisse touffe, dense et fournie qui dépasse de chaque côté, poussant jusque sur le haut des cuisses. C'est beau.
Il y en a autant sous les aisselles de la jeune fille. Je lui fais : < Tu vas en allumer du libidineux, cet été, avec tes poils ! >.
Nous rions de bon cœur. Clémentine est parfaitement consciente de l'effet qu'elle exerce sur les mâles. C'est formidable...

< Viens, on prend la petite route qui part sur la droite à l'écluse du cabanon ! > me fait Clémentine me prenant le bras.
La jeune fille se laisse tirer. Je pédale plus fort. Nous tournons à droite. Nous roulons sur une toute petite route charmante.
A présent les arbres sont tous bien feuillus. Les bosquets et les fourrés aussi denses que les poils pubiens de Clémentine.
Nous passons devant le vieux moulin. Il y a plein de vaches partout dans les prés. Elles nous regardent passer. Curieuses.
Clémentine s'arrête et me montre une grande bâtisse de bois qui évoque un hangar d'aéroport. Nous prenons le chemin.

Il y a un enclos grillagé d'environ deux mètres de haut. Nous cherchons l'entrée. Il y a une porte en bois à moitié détruite.
Tout semble à l'abandon. Il y a un hameau à quelques centaines de mètres. Cinq ou six maisons. Nous en faisons le tour.
Nous poussons nos vélos pour faire le tour intérieur de l'enclos. Une seconde ouverture donne sur la large rivière calme.
L'endroit est très agréable. < C'est l'endroit idéal pour le film que veut réaliser Estelle à l'extérieur ! > me fait Clémentine.
Nous entrons dans la bâtisse en bois. De l'intérieur, les planches disjointes laissent passer la lumière qui éclaire parfaitement.

Il y a quantité de ballots de foin, du matériel de moisson. Pourtant tout semble à l'abandon. < Idéal ! > fait Clémentine.
La jeune fille passe une main sous sa jupe, dans sa culotte et me fait : < J'ai toujours été excitée dans de tels endroits ! >.
Elle me raconte ses "expéditions" d'adolescente, lorsqu'elle partait toute seule à la découverte de lieux plutôt insolites.
Déjà bien vicelarde, elle adorait s'y donner du plaisir, solitaire, et s'y offrir quelques frissons. J'adore quand elle me raconte.
Je sors ma bite que j'agite dans sa direction en la faisant tournoyer. Nous restons ainsi un long moment à nous observer.

Clémentine m'entraîne par la main. Nous ressortons au soleil. < Il faut emmener Estelle ici. Absolument ! > me fait elle.
En effet, pour tourner un de ses films, Estelle trouvera ici matière à nourrir ses fantasmes masturbatoires et solitaires.
Derrière le bâtiment, il y a une large dalle en béton sans végétation. Environs cinq mètres sur cinq. Juste devant la grille.
Par delà le grillage, il y a un autre chemin. Il y a deux chevaux dans le pré en face qui nous observent. C'est bucolique.
< Tu as vu ! C'est un endroit idéal. On revient se faire un "plan" ici un de ces soirs, tu veux ? > me fait Clémentine. Joie.

Nous étudions bien la configuration des lieux. Avec soin. Clémentine m'explique toutes les possibilités qui s'offrent là. Bien.
Un type arrive sur le chemin. Un quinquagénaire qui promène un petit chien blanc. Il nous voit dans l'enclos et nous salue.
Il engage la conversation. Nous apprenons que l'endroit sert de dépôt pour un exploitant agricole qui y entrepose son foin.
Nous bavardons un petit moment. Puis nous sortons de l'enclos. Nous voilà à pédaler pour retourner sur la piste cyclable.
< Je suis hyper excitée par l'endroit ! > me fait Clémentine en passant sa main dans sa culotte tout en tenant son guidon.

Nous arrivons au petit port de plaisance. Les plaisanciers sont installés sur les ponts de leurs bateaux. Dans leurs transats.
Il y a même déjà des odeurs de grillades. Barbecues. Nous nous promenons sur les quais, main dans la main. Il fait doux.
Cet homme d'âge mûr, accompagné d'une jeune fille qui le tient par la main, suscite toujours une étonnante curiosité.
Cela nous amuse beaucoup. Certains regards évocateurs de mâles libidineux ne laissent aucun doute quand aux ressentis.
Nous entrons dans le pavillon des sanitaires du port, réservé en priorité aux plaisanciers. Douches. Toilettes publiques...

Il y a parfois d'excellentes opportunités d'exhibitions pour Clémentine qui veut absolument profiter de la belle saison. Joie.
Comme toujours, je m'enferme dans la cabine du fond. Clémentine, une main sous sa jupe, guette près le porte ouverte.
Debout sur le couvercle fermé de la cuvette, je peux voir par-dessus la cloison. La vue est parfaite. Clémentine commente.
A voix haute, la jeune fille me narre ce qui se passe au dehors. < Il y a le mec de l'autre fois ! > me fait elle soudain. Jeu.
Je regarde. En effet, le branleur de la dernière fois entre dans les toilettes. Il voit Clémentine. < Bonsoir ! > fait il poliment.

Clémentine, la main sous sa jupe, répond < Bonsoir monsieur ! >. Le type paraît consterné d'étonnement. Il se ressaisit.
< Tu viens faire ton "numéro ! Il est où ton mec ! > fait l'inconnu en sortant sa queue pour la pointer vers la jeune fille.
Clémentine, que je devine au comble de l'excitation reste silencieuse. Ma proximité la rassure et lui permet les extrêmes.
Elle ne s'en prive pas. Le mec se branle ouvertement. < Tu veux vraiment pas me faire une pipe ? > demande l'inconnu.
Clémentine secoue la tête négativement. Le type insiste. Il reste toutefois à distance. < Tu ne suces pas ! > fait il encore.

Le type rajoute tout en se masturbant : < Ton mec sait la salope que tu es ? >. Il se rapproche bloquant la porte du lieu.
Je sors de ma cabine en disant : < Oui, il sait ! >. L'inconnu plutôt surpris, se détourne, gêné, en remballant son sexe.
< Vous devez bien vous amuser ! Quelle chance vous avez ! > fait encore le quidam en entrant dans la première cabine.
Nous sortons lorsque la voix du type nous fait, depuis les toilettes : < Passez donc prendre un verre sur bateau ! >. Rires.
Clémentine se serre contre moi. < Merci Bitounet . Si tu savais comme tout ça m'excite ! >. Je réponds : < Oui, je sais !>.

Nous prenons le chemin du retour. Un léger vent s'est levé et nous pousse. Nous parcourons les 25 km du retour facilement.
Nous arrivons à la maison vers 20 h30. Je range la petite auto de Clémentine au garage. Je décroche le linge déjà bien sec.
Je rejoins Clémentine qui est déjà entrain de préparer la salade à la cuisine. Je réchauffe la purée et les légumes de midi.
Nous mangeons rapidement. Nous faisons notre vaisselle. Clémentine m'entraîne au salon. Elle retire sa culotte. Canapé.
Je fourre mon visage entre ses cuisses écartées pour m'enivrer des parfums de sa journée de fille. Tout est humide. Régal...

Bonne virée vicelarde et à bicyclette en soirée à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Garde du corps pour sa jeune salope exhibitionniste) -

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Un jeudi soir avec Estelle qui vient nous visiter

Hier matin, jeudi, le réveil sonne à six heures. Comme tous les matins, deux bises et nous nous levons précipitamment.
Clémentine file aux toilettes. Moi, je file à la salle de bain. La bite déposée sur le rebord du lavabo, je pisse tranquillement.
J'en profite pour moduler longuement une magnifique salve de pets profonds, sonores et parfaitement inodores. En Sol.
< Je t'entends, Bitounet, tu modules en Sol ! > nous rigolons comme des bossus en descendant prendre le petit déjeuner.
Puis notre heure d'entraînement. La douche. Je sors la petite auto de Clémentine. Elle me fait des bises. Il est déjà 7 h45.

Pour dix sept heures Clémentine est de retour. Assise sur mes genoux, dans l'atelier, elle me raconte sa journée. Intéressant.
< Estelle arrive pour 19 h ! > me fait ma compagne avant de rajouter : < On se fait un jogging, tu veux ! >. Bonne initiative.
Je range mes affaires. Je nettoie mes palettes. Nous montons nous changer. Dehors, il fait gris. Le sol est à peine humide.
Nous voilà en shorts lycra et en maillots. Il fait doux. Nous sommes à courir sur le chemin qui descend à la rivière. Sympa.
Nous longeons le cour d'eau. Nous passons devant le haras. Nous remontons par l'ancienne voie ferrée. Une heure trente...

Nous sommes de retour pour 18 h45. Il n'y aura qu'à réchauffer le riz et la sauce béchamel. Préparer la salade. Ce sera rapide.
Clémentine me prend dans ses bras. Nous restons longuement à nous bercer en nous chuchotant plein de douceurs. Tendresse.
La jeune fille m'entraîne au salon. Assis derrière le bureau, nous allumons l'ordinateur. Nous découvrons le message d'Estelle.
Clémentine répond en riant. Nous avons un message de Juliette qui nous propose de passer au haras, vendredi en soirée. 19 h.
Clémentine m'a sorti la queue avec laquelle elle joue doucement. < Elle te plaît Juliette ? > me demande t-elle. Je bande mou.

Je rassure ma compagne. Pas l'ombre de la moindre attirance ou encore du moindre désir caché. Clémentine me branle un peu.
J'ai passé ma main dans son short. Sa touffe est humide. Je lui propose de la gouter. < J'ai mes trucs de fille ! > me fait elle.
Elle sait bien que son clitoris est toujours le meilleur ami et que son accès reste parfaitement possible. < Tu veux ? > dit-elle.
Je me lève, je l'entraîne sur le canapé. Clémentine enlève son short et jette sa culotte au loin. Elle se couche, cuisses écartées.
Je fourre mon visage dans cette invraisemblable broussaille d'où dépasse une petite ficelle blanche. Je m'enivre des parfums...

Clémentine me tient par les oreilles. Je hume longuement les effluves odorantes de sa journée de fille. Sueur du jogging. Joie.
Je lèche son clitoris géant déjà turgescent. Je fouille les peaux de ma langue exploratrice. Clémentine se pâme en gémissant.
J'insiste sur les endroits qui semblent étourdir de plaisir ma compagne. Le goût est absolument délicieux. Il y a même du frome.
Je reste vigilant. Tout orgasme prématuré est interdit. A chaque fois que nous flirtons avec les limites, la fille me repousse.
A plusieurs reprises je me redresse pour venir embrasser Clémentine qui murmure des choses incompréhensibles. Heureuse...

Nous regardons l'horloge. Il est 19 h20. Nous décidons de mettre un terme à nos activités. Estelle ne va pas tarder. Debout.
Nous nous changeons rapidement. Je mets mon jean de maison. Clémentine met sa robe de maison. Trois coups de sonnette.
Clémentine se précipite pour aller ouvrir. Elle revient avec Estelle. < Bonsoir Julien ! > me fait la jeune fille toute contente. Joie.
Nous nous serrons la main. Les trois bises Bretonnes. Les deux filles vont au salon. Je réchauffe le repas. Je prépare la salade.
Clémentine revient pour m'aider et me fait : < Estelle est à l'ordinateur à lire tes récits sur le forum ! >. Nous rions de bon cœur.

Estelle vient nous rejoindre à la cuisine et me fait : < Julien ! J'ai peur que toutes ces descriptions ne permettent de m'identifier ! >.
Clémentine la rassure. Les pseudonymes et le floutage des clichés ne permettent aucune réelle possibilité. Nous rions de bon cœur.
Clémentine a raconté le superbe endroit que nous avons découvert lors de notre virée à bicyclette, mercredi soir. Le vieux hangar.
< Je crois que c'est le lieu idéal ! > fait Estelle. Clémentine précise que si la météo est peu favorable, nous irons en voiture. Sympa.
Estelle tient vraiment à réaliser un nouveau film. Un film où elle serait "l'actrice". Un film "Bondage" qui la mettrait en scène. Vice...

Estelle prépare la table. Clémentine lui passe le collier canin autour du cou. Elle y fixe la laisse. Elle prend le petit sac à dos d'Estelle.
< Mets ta veste et mets ton sac à dos. On t'emmène d'abord au jardin ! >. Estelle est étonnée. Clémentine la tire par la laisse.
Je suis les deux filles. < A quatre pattes ! > ordonne Clémentine qui enfile son anorak bleu. Nous passons derrière le garage.
Estelle avance doucement à quatre pattes sur le ciment derrière le garage. Clémentine me fait : < Sors ta bite ! >. Je m'exécute.
< Tiens lui la queue et fais pisser ce vicelard ! > ordonne Clémentine. Cette initiative m'étonne. Estelle se saisit de ma queue...

Estelle, à genoux, me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Je dois me concentrer longuement car l'excitation est forte.
Une excitation aussi soudaine qu'extraordinaire. Clémentine fait rarement preuve d'autant d'autoritarisme. C'est vraiment génial.
J'arrive à pisser d'un jet contraint. Je bande. Estelle me tient la bite en guidant le jet pour faire un dessin. Comme le fait Clémentine.
Clémentine tient la laisse. J'ai posé ma main sur la tête d'Estelle. Nous sommes tous les trois terriblement excités. Superbe moment.
Je termine par un dernier jet qui vient se tarir au sol. Clémentine s'accroupit à côté d'Estelle pour sucer les derniers épanchements.

Je la laisse se régaler. Estelle observe avec attention. Je caresse les têtes des deux filles. Clémentine se régale du mélange habituel.
Les montées de foutre mélangées aux reliquats de pisse sont un vrai plaisir gustatif pour ma compagne qui s'en régale en gloussant.
Estelle lève les yeux pour me regarder, pleine de reconnaissance. Amoureuse. Je force Clémentine à se redresser. Estelle se lève.
Nous rentrons. A la cuisine, tout est prêt. L'odeur du repas achève de nous ouvrir l'appétit. Nous bavardons. Les filles parlent études.
Nous évoquons notre projet "Film" de samedi soir. Estelle écoute avec un grand intérêt. Je lui explique le déroulement logistique.

C'est Clémentine qui s'occupera de la caméra et de l'appareil photo. Caméra fixe sur trépieds ou manipulée par ma compagne.
Je précise bien à Estelle qu'elle va vivre des choses "limites" et qu'elle aura à faire face à des situations sévères, humiliantes.
< C'est génial ! > fait Estelle en m'écoutant évoquer notre projet. < Tu vas passer un superbe moment ! > rajoute Clémentine.
Je dis encore : < Vous aurez de quoi nourrir vos fantasmes et de quoi vous masturber toutes les vacances d'été ! >. Silence.
< Vous allez me manquer tous les deux. Je vais en Normandie chez ma mamie en juillet. En août je bosse ! > répond Estelle.

Nous lui promettons de lui faire des courriels tous les jours et de lui envoyer des photos de nos vacances en Ecosse, dans ma famille.
< Moi je bosse dans l'entreprise de mes parents tout le mois d'août ! > rajoute Estelle un peu dépitée. Clémentine lui prend la main.
< Ne t'inquiète pas, on te donnera des nouvelles tous les jours ! > lui fait ma compagne. Estelle me regarde avec un sourire rêveur.
Je me lève. Je viens mettre ma main sur la nuque d'Estelle. J'appui pour rapprocher son visage de son assiette. Je sors ma bite.
Je la lui passe sur la joue. Estelle se laisse faire en poussant un gloussement de plaisir. Elle tourne son visage, bien vers ma queue.

C'est une invitation. Je lui passe longuement ma bite gluante sur le front, les joues, le menton et le nez. Elle garde ses lèvres serrées.
Impossible de lui enfoncer mon sexe dans la bouche. Rien à faire. Même par ruse. Je cesse. Je saisi la fourchette de la main d'Estelle.
Je m'accroupis. je la fais manger. Clémentine me tient affectueusement pas la nuque qu'elle caresse. C'est un moment plutôt insolite.
Je me redresse. Je retourne m'assoir. Estelle me fixe de son regard plein de reconnaissance. Nous faisons la vaisselle en bavardant.
Deux fois Estelle mime une masturbation masculine en insistant. Elle y met toute la vulgarité dont elle est capable. Superbe salope.

Estelle porte toujours la laisse qui pend au collier fixé autour de son cou. Je saisi la laisse. Nous passons au salon. Je tire fermement.
Clémentine me tient la queue. Je force Estelle à se mettre à genoux sur le coussin que je pose au sol. Je la tiens par le menton. Fort.
Je la force à garder la tête haute. La jeune fille me fixe d'un regard interrogateur. Clémentine s'installe dans le fauteuil. Voyeuse.
Je regarde ma compagne passer sa main sous sa robe, dans sa culotte. Je passe ma queue sur le visage d'Estelle qui gémit de plaisir.
Je reste un long moment à maculer le visage de la jeune fille des épanchements de mon liquide séminal épais, visqueux et gluant.

Comme toujours, lorsque j'insiste sur ses lèvres, Estelle garde la bouche bien fermée. Impossible de la lui enfoncer. Même par ruse.
Je lui pince le nez. Pour reprendre sa respiration, la jeune fille n'aura d'autre choix que d'ouvrir la bouche. J'attends, sournois, salaud.
Estelle qui me connaît à présent bien, sait ce que je lui prépare. Elle tente de se soustraire à mon étreinte. Je la tiens par la nuque.
Je maintiens. Estelle se met à lutter. En apnée, elle a besoin de respirer. Je tiens sa tête. Je regarde Clémentine qui vient de gémir.
Clémentine se masturbe en nous observant. Elle est en plein bonheur. Estelle arrive à se soustraire de ma poigne de fer. Je la lâche.

Nous reproduisons cette situation plusieurs fois. Au dernier moment, par jeu, je permets toujours à Estelle d'échapper à la fellation.
Pourtant, je sais qu'elle en a tellement envie. Mais, conformément à son souhait, c'est elle qui décidera du moment. Total respect !
S'en est trop pour Clémentine qui doit connaître un orgasme fou. Estelle et moi nous la regardons. Son corps secoué de spasmes.
Les cuisses resserrées sur ses deux mains, comme pour lutter contre un fantôme, Clémentine reprend ses esprits. Et son souffle.
Je force Estelle à se relever. Son visage est maculé de foutre qui commence à sécher. Je l'entraîne aux toilettes. Elle tente de résister.

Je tire sur la laisse avec force. La jeune fille est réticente. Clémentine s'est levée. Elle pousse Estelle que je tire. Nous voilà au WC.
Je force Estelle à s'accroupir à côté de moi. Je suis debout devant la cuvette. Clémentine vient s'accroupir sur ma gauche. Silence.
Je pisse par petits jets. Entre chacun d'eux, je passe ma bite sur le visage d'Estelle avant de la mettre dans la bouche de Clémentine.
L'excitation est intense. Clémentine repasse une main sous sa robe. Estelle tente de se soustraire à mon étreinte. Rien à faire. Fort.
Je me masturbe doucement. Je pince le nez d'Estelle. Elle sait ce que je prépare. Comme par défi, en me fixant, elle ouvre la bouche.

J'éjacule dans la bouche grande ouverte d'Estelle. Avec un regard plein de défiance, la jeune fille déglutit avec un air de dégoût.
Je lui mets une gifle. Elle me montre l'intérieur de sa bouche pleine de jus gluant qu'elle a beaucoup de mal à déglutir. Ecœurée.
Je lui lâche un jet de pisse. elle ne peut l'éviter et tente de recracher. Je vois le liquide jaune et brillant lui couler de la bouche.
Clémentine se précipite pour me sucer avec une avidité folle. Estelle me regarde d'un œil sévère et lourd de reproche. C'est un jeu.
Je laisse Clémentine se régaler de ce mélange qu'elle apprécie tant. Je force Estelle à se relever. Je lui crache au visage. Silence.

Estelle, toujours dans le défi, me toise en s'essuyant le visage. A son tour elle me crache au visage < Tiens, salopard ! > fait elle.
< Je n'ai jamais imaginé avoir affaire un jour à un tel vicelard ! > me fait Estelle. J'entends Clémentine glousser de plaisir. Pipe.
Estelle me crache une nouvelle fois au visage. J'éjacule une seconde fois dans la bouche de ma compagne. Je la laisse se régaler.
Pour ne pas y passer la soirée, je force ma compagne à se redresser. Je tire Estelle par sa laisse et Clémentine par ses cheveux.
Nous passons au salon. Je décroche la laisse et le collier. Estelle se masse le cou. Elle mime une masturbation masculine. Salope.

Estelle se rapproche : < Merci Julien ! C'était génial ! > me fait elle en se saisissant de ma bite qu'elle tient sans bouger. Ravie.
Clémentine vient m'embrasser comme pour s'interposer entre Estelle et moi. Pour tempérer ses élans de plus en plus passionnés.
Nous restons longuement tous les trois sans bouger. Estelle tient ma bite dans sa main chaude et douce. Légères pressions. Joie.
Clémentine propose à Estelle de se mettre à réviser un peu. Il est déjà 21 h30. Estelle devra partir pour 22 H15. Je m'éloigne.
Les deux filles s'installent devant l'ordinateur. Moi, j'écris ces lignes. Estelle me lance plusieurs regards évocateurs. Clins d'œil...

Bonne révision à toutes les étudiantes solitaires qui lisent ce récit avec intérêt...

Oncle Julien - (Prince des vicelards, roi des salopard, Maître pour jeune étudiante salope et vicieuse) -

Classe


Je clique sur les merveilleuses images pour les admirer et bien lire ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
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Nous passons au haras, visiter Juliette, en fin d'après-midi

Hier matin, vendredi, c'est notre réveil qui nous sort du sommeil. Il est six heures. Clémentine me fait des bises. Contente.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait elle en se levant, m'entraînant à sa suite. Elle trottine aux toilettes en chantonnant.
Je vais à la salle de bain. La bite déposée sur le bord du lavabo, je pisse en lâchant une véritable mitraille de pets puissants.
< Je t'entends, mon Bitounet tireur ! > me fait Clémentine depuis les toilettes. Nous rigolons comme des bossus. Descente.
Nous prenons notre petit déjeuner. Puis c'est notre entraînement quotidien. La douche. Je sors la petite auto à Clémentine.

Il est 7 h45. Ma compagne part en cours. Je file à l'atelier. Clémentine revient pour midi et demi. Je suis entrain de cuisiner.
La jeune fille me saute au cou. < C'est week-end, Bitounet ! Je t'aime ! > s'écrie t-elle. Je la soulève pour la faire tourner.
J'ai préparé un gratin de coquillettes accompagné d'une sauce aux champignons. Je termine de remuer la salade d'endives.
Clémentine met la table. Cet après-midi nous allons travailler un peu au jardin. Vers seize heures nous irons en ville. Joies.
Notre repas est délicieux. Clémentine est assise sur mes genoux et me rappelle que nous passons au haras en fin de soirée.

Nous faisons notre vaisselle. Nous allons à l'ordinateur. Nous découvrons nos courriels. Un message d'Estelle. Un de Juliette.
Clémentine aime répondre. Nous bavardons un peu en regardant les photos de la location que j'ai réservé dans les Corbières.
C'est un petit appartement de deux pièces, une cuisine, une salle de bain et un cabinet de toilettes. C'est très sympathique.
J'ai réservé du samedi 17 juin au dimanche 25 juin. Clémentine est toute joyeuse à l'idée de ces neuf jours de vacances.
Nous nous habillons en tenues "jardinage". < Montre-moi ta bite. Contrôle ! > me fait Clémentine. Nous rions de bon cœur.

Je sors mon sexe. Clémentine s'accroupit pour y déposer des bises, le prendre en bouche et le suçoter un peu. Il est bien sec.
Je la laisse s'amuser un peu puis je la force à se redresser. Lorsque Clémentine se met à sucer, c'est parti pour longtemps.
< Oh ! Dommage ! Il y a du jus qui commençait à se pointer ! > me fait la jeune fille que je tiens fermement par ses cheveux.
Nous allons au potager. Le ciel est maussade. Les nuages sont gris, bas et lourds. Le sol est légèrement humide. Il fait frais.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle secoue bien. Vise juste.

Accroupie, Clémentine se régale des derniers épanchements qui s'écoulent dans un mélange de foutre et de pisse. Son régal !
Je la laisse déguster son mélange préféré. Je lui enfonce bien la bite dans la bouche en la maintenant par la nuque, le menton.
Je la saisis fermement par ses cheveux pour la forcer à se relever. < J'adore quand tu as ce comportement ! > me dit-elle.
Nous allons au jardin. Quelle surprise. Nous pouvons cueillir nos premier radis. Ils sont bien gros. Clémentine est contente.
Le jardinage est la nouvelle passion de ma compagne. C'est son plaisir de retirer les mauvaises herbes et de biner avec soin.

Il y a des toutes petites tomates encore bien vertes. Les salades pointent le bout de leurs feuilles. De quoi nous réjouir. Sympa.
Nous bavardons. Clémentine évoque Estelle qui viendra passer le week-end avec nous. Le projet du film "Bondage" de samedi.
< Tu vas te surpasser, hein ! Parce qu'elle en veut. Si tu savais la passion avec laquelle elle m'en parle ! > me fait Clémentine.
Je la rassure. Je serais parfaitement à la hauteur des souhaits vicelards d'Estelle. Il est décidé de faire ce film au hangar. Foin.
< La météo prévoit du beau temps ! > me précise encore ma compagne en me sortant la queue pour en sucer l'humidité. Jute.

Il est quinze heures trente. Nous retournons à l'intérieur. Le ciel s'est enfin légèrement éclaircit. Nous montons nous changer.
Clémentine se met en jupe. Sa belle jupe carmin, évasée au-dessus des genoux. Un pull fin en coton noir sur son chemisier.
Chaussée de souliers fermés, noirs, à légers talons. Je la fais tourner sur elle-même devant le miroir. Comme elle est belle !
Clémentine me demande de me vêtir de mon pantalon clair, à plis et à pinces. De ma chemise crème. De ma veste de lin claire.
Je porte mes mocassins marrons clairs. Ma compagne adore lorsque je porte ces habits. Nous descendons. Il est seize heures.

Je sors la voiture. Je range la petite auto de Clémentine. Nous voilà en route. Je prends la petite route qui passe au haras.
Clémentine a sa main dans ma braguette. Je passe ma main droite sous sa jupe. Il y a une culotte. Je joue avec la touffe.
Clémentine a ses petits machins de fille. Je sens la ficelle. Je reste sur son clitoris géant. Hyper sensible et bien turgescent.
Nous arrivons en ville. Je gare la voiture dans une petite rue où j'ai l'habitude de le faire. Dix minutes de marche. Centre.
Nous allons à la FNAC. Clémentine y a commandé deux livres concernant ses études. Les bouquins sont arrivés. C'est bon.

Nous traînons un peu dans les rayons. Il y a peu de monde. Dans le secteur des livres de cuisine, il y a un homme qui lit.
Un inconnu, quinquagénaire. Ce sont les "proies" préférées de Clémentine qui a un sérieux penchant pour les hommes mûrs.
< Restes là, tu viens s'il y a un soucis ! > me fait la jeune fille en me faisant un rapide bisou. Je reste aux cartes routières.
Clémentine s'approche. Elle est à quelques mètres de l'inconnu qui tourne la tête pour regarder l'élégante jeune fille. Belle.
Ma compagne se penche pour regarder les ouvrages du bas. Elle pose son sac au sol. Son "numéro" est parfaitement rôdé.

J'admire cet extraordinaire culot dont fait preuve ma délicieuse exhibitionniste. Je la regarde s'accroupir devant les bouquins.
Le type louche sur le spectacle. Clémentine feuillette un grand album. Le quidam regarde discrètement partout autour de lui.
Clémentine, les cuisses légèrement écartées, fait mine d'être absorbée dans sa lecture. L'inconnu louche avec discrétion.
C'est toujours un peu le même déroulement. Les déclinaisons ne sont pas nombreuses. Je bande comme un salaud. Sympa.
Voilà que notre voyeur involontaire s'accroupit à son tour. La fille, tournée de trois quart vers le rayon, écarte un peu plus.

Le petit sac à dos en cuir noir, qui fait également office de sac à main, est posé au sol, juste entre les cuisses de Clémentine.
La jeune fille paraît toujours concentrée dans sa lecture. tout est parfaitement étudié, maîtrisé et semble toujours si nature.
Clémentine est une virtuose. Ces moments de vice intense la remplissent d'une émotion et de sensations qu'elle aime tant.
J'adore lorsqu'elle me raconte, après coup, les sentiments qui la submerge d'une excitation délicate. C'est un vrai "sport" !
La confusion est toujours présente lorsque nous sommes seuls tous les deux, après ses exhibitions. Jamais pendant. Rusée.

Le déroulement est souvent le même. Quel que soit l'individu qui se voit gratifier du spectacle de Clémentine. L'homme mâte.
Il se redresse pour s'approcher de cette jeune fille qui semble ne se rendre compte de rien. Le voilà debout, prudent. Mâteur.
Il s'accroupit à nouveau pour adresser la parole à Clémentine. La jeune fille lève la tête. Elle reste parfaitement immobile.
Le type semble très maître de lui. Rapidement il se met à bavarder. C'est un homme élégant. Vêtu simplement. Avec goût.
Je peux voir Clémentine sourire à plusieurs reprises. C'est souvent le même scénario. La jeune fille reste dans sa position...

La situation perdure un petit moment. Clémentine se redresse. Les jambes certainement ankylosées. Elle se balance un peu.
L'inconnu s'est redressé à son tour. La conversation continue. Je suis halluciné par l'attitude toujours plus téméraire de la fille.
Discrètement, la main posée sur sa jupe, Clémentine appuie sur le tissu à l'emplacement de son sexe. Tout en bavardant.
La jeune fille reste ainsi tout en conversant. Je sais que ce qu'elle fait là s'adresse tout autant à moi qu'à l'inconnu. Ma salope.
Le quidam sort un papier et un stylo de son sac en bandoulière. Il se met à écrire. Il tend le papier à Clémentine qui le prend.

L'homme semble être un parfait gentleman. Clémentine le salue et tourne des talons. Elle continue ses "découvertes". Sympa.
Le type la regarde évoluer quelques instants avant de quitter le rayon. Je le regarde s'éloigner vers l'escalator. Il descend. Fini.
Clémentine vient me rejoindre en riant. < Encore une adresse, un nom et un numéro de téléphone ! > me dit-elle. Nous rions.
< Je commence une véritable collection ! > me fait encore ma compagne en rangeant le papier dans son sac. Nous continuons.
Dans les hauts parleurs une voie féminine nous annonce la fermeture imminente du magasin. Il est déjà 18 h45. Nous partons.

Nous marchons d'un pas rapide. Clémentine me raconte la nature des propos échangés avec l'inconnu. Nous rions de bon cœur.
Nous voilà en route. Clémentine est considérablement excitée. La main sous sa jupe, elle me raconte ses impressions de salope.
Nous roulons sur la toute petite route déserte qui nous mène au haras. Nous y arrivons pour 19 h15. Il y a deux autos garées.
Je gare ma voiture devant le bâtiment. Les deux employés quittent leurs travail. Une femme et un homme aux longs cheveux.
Ils sont les employés de Juliette. L'homme, soixante cinq ans, est passionné par les chevaux et son aide est précieuse à Juliette.

La femme s'occupe de la monte et de l'exercice nécessaire aux chevaux. Nous les saluons. Juliette sort à son tour. Souriante.
La jeune femme vient nous accueillir. < Bonsoir. Comme c'est gentil de passer. Venez, on se prend un café ! > nous fait elle.
Nous la suivons dans le grand bureau. Nous nous installons dans le canapé. Juliette vient s'asseoir dans le fauteuil, face à nous.
Juliette est vêtue comme à chaque fois en tenue d'écuyère. Cela lui va à ravir. Nous bavardons. Elle relate sa journée. Ravie.
Nous dégustons nos cafés. Juliette oriente la conversation sur notre première rencontre. Lorsque je promenais Clémentine...

Tenue à la laisse, le collier canin autour du cou, au bord de l'étang, je promenais Clémentine lorsque Juliette arrivait à cheval.
Ce souvenir semble beaucoup "préoccuper" Juliette qui ose enfin poser la question : < Vous faites ça souvent ? C'est super ! >.
Volontairement, nous restons très évasifs. Je laisse Clémentine en parler. Je suis un homme mûr, Clémentine à juste 20 ans.
Tout cela suscite beaucoup d'interrogations chez la cavalière. Clémentine lève un peu du voile. Juliette écoute avec attention.
Nous lui apprenons que nous habitons à trois kilomètres, dans la grande maison en haut de la rivière. Juliette est surprise...

< Passez donc à l'occasion, lors d'une de vos promenades à cheval ! > fait Clémentine à l'adresse de Juliette. Il y a un silence.
< Volontiers ! > répond la jeune femme. Je fais à l'attention de Juliette : < Clémentine portera le collier et la laisse ! > Rires.
Juliette rajoute : < Oh oui, j'aimerais bien revoir ça ! > nous éclatons de rire. Je saisis Clémentine pas ses cheveux. Fermement.
Ce geste semble remplir Juliette d'une émotion qu'elle ne peut dissimuler. J'attire la tête à Clémentine vers moi. J''insiste. Fort.
Clémentine glousse en posant sa main sur le haut de ma cuisse. Tout près de mon sexe. Juliette regarde avec attention. Bosse.

Je bande comme un salaud. Dans la voiture, Clémentine m'a sorti le zob. Il est mal rangé à côté du slip. Je peux bien le sentir.
Mon sexe fait donc une bosse bien visible sous mon pantalon clair. Le cylindre de chair qu'on devine ne laisse pas de doute !
Juliette semble un peu confuse, un peu gênée. Je relâche les cheveux de Clémentine qui laisse sa tête tout près de la mienne.
Clémentine oriente la conversation sur les chevaux. Elle se redresse, bien droite à mes côtés, dans le canapé. Mains jointes.
Ce retour à la "normale", détend l'atmosphère. Juliette évoque les locations de chevaux et nous parle de leurs propriétaires.

Nous prenons congés. Il est déjà 20 h15. Nous saluons Juliette qui nous raccompagne jusqu'aux voitures. Nous voilà en route.
Clémentine me parle de Juliette et de ses attitudes. < Elle veut en savoir davantage, c'est certain ! > me confie ma compagne.
Je reste silencieux. Je me fie toujours aux ressentis de Clémentine. Les filles ont très souvent un sixième sens très développé.
Je propose à Clémentine de nous faire une soirée restaurant. < Génial ! > fait elle toute contente. Je prends la route du bourg.
C'est notre petit restaurant habituel. Nous bavardons. Nous évoquons Juliette. Nous évoquons Estelle. L'exhibe à la FNAC...

Bonne soirée dans votre restaurant préféré à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Heureux privilégié d'être le compagnon d'une merveilleuse salope) -

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Estelle peut enfin vivre son fantasme "Bondage" devant la caméra

Hier matin, samedi, je suis le premier à ouvrir l'œil. Je regarde le cadran du réveil. Il est presque huit heures. Clémentine dort.
Du moins en apparence car lorsque je la regarde plus de quelques minutes, elle ouvre les yeux et se précipite sur moi. Bises.
< Bonjour Bitounet ! > me fait elle en me chevauchant. < Bonjour Clitorette ! > que je lui fais en la serrant fort contre moi.
L'impérieuse obligation du besoin naturel ne nous permet pas de rester très longtemps à nous faire des papouilles. Debout !
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par les cheveux. La jeune fille se soulage dans un long jet sonore, puissant...

Je m'accroupis pour humer les parfums de sa nuit. Clémentine me tient à légère distance en me disant : < J'ai mes "trucs" ! >.
Je n'insiste pas. Je me redresse. Elle me tient la bite pour en diriger le jet. Clémentine secoue les dernières gouttes. Avec soin.
La jeune fille s'accroupit pour en savourer les derniers reliquats. < Moi aussi ! > que je dis. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons à la cuisine pour y prendre notre petit déjeuner. Dehors, le temps semble toujours aussi maussade. Humide.
Clémentine observe par la fenêtre et me fait : < On peut parfaitement se faire un jogging, regarde ! >. Je me lève pour voir...

Après la vaisselle, nous montons nous changer. Nous revêtons nos leggings et nos sweats. Il faut s'habiller plutôt chaudement.
Nous voilà à courir sur le chemin qui descend à la rivière. Le sol n'est absolument pas détrempé. La course est très agréable.
Nous longeons la rivière. Nous passons devant le haras où sont déjà garées plusieurs voitures. Nous remontons la voie ferrée.
Nous sommes de retour pour 9 h30 après un superbe running d'une heure. Nous montons directement prendre notre douche.
Il faut s'habiller en fonction de la fraîcheur de la météo. Clémentine met des collants sous sa jupe. Un pull et une grosse veste.

Je sors la voiture du garage. Je suis vêtu d'un jean, d'un pull et d'une veste d'automne. C'est plutôt frustrant pour un 20 mai.
Nous voilà en route pour nous rendre au marché du bourg voisin. Il y a du monde. Nous déambulons dans l'unique allée. Joie.
Nous faisons nos provisions en légumes, en fruits, en œufs et en fromages. Je reçois un message sur mon téléphone. Estelle.
Cette dernière nous apprend qu'elle pourra être là pour dix huit heures cet après-midi. Clémentine répond rapidement. Sourires.
Nous retournons à la voiture pour nous rendre au supermarché. Il y a peu de monde pour un samedi. Je pousse le caddie...

Clémentine, toujours en quête d'une opportunité exhibitionniste, m'invite à la suivre au rayon des bouquins. Nous observons.
Nous faisons le tour à plusieurs reprises. Il y a bien des lecteurs mais le plus souvent en couple. Une majorité de lectrices.
Il faut se rendre à l'évidence, ce sera une matinée sans occasions. Clémentine me glisse à l'oreille : < On va aux fringues ! >.
Dans le rayon des vêtements il n'y a personne. Nous attendons un petit peu en regardant les habits d'été de la promotion.
Une fois encore il ne se passe pas grand chose. Les rares passants sont des couples où alors des femmes qui se baladent...

Nous sommes de retour pour midi et demi. Je propose de préparer nos fameuses tartines aux anchois grillées au four. Salade.
Nous nous affairons en bavardant. Dehors il fait moins frais. Le ciel s'est éclaircit. Cet après-midi nous irons à la ville voisine.
Clémentine prépare la salade. Je prépare les tranches de pain complet que je beurre soigneusement. Filets d'anchois. Olives.
Je rajoute une rondelle de tomate, du gruyère en fines tranches et je mets au four. Nous allons au salon ouvrir l'ordinateur.
Nous avons chacun un courriel. Celui de Clémentine l'informe qu'il n'y aura pas cours vendredi prochain. Pont de l'Ascension.

Le mien est celui que m'envoie Estelle tous les jours. Ce sont toujours des petits messages gentils, auxquels sont joint une photo.
Celle d'aujourd'hui a été prise lors de la visite de notre potager, la semaine dernière. Un selfie. On nous y voit faire des grimaces.
Clémentine répond en disant : < Tu vas voir ce que tu vas prendre ce soir, petite salope ! >. Nous rigolons comme des bossus.
< Avec cette météo peu engageante, il sera préférable de réaliser le "Film" au grenier ! > rajoute encore Clémentine. C'est vrai.
La sonnerie du four nous invite à passer à table. Il est déjà 13 h. Nous avons un appétit d'ogres. Nous filons à la cuisine. Sympa.

Clémentine met la table. Je remue la salade et je sors les tartines du four. L'odeur achève de nous terrasser d'une faim de loups.
Nous dégustons notre repas en évoquant nos vacances dans les Corbières à la mi juin. Clémentine est à se réjouir. C'est superbe.
Assise sur mes genoux ma compagne me confie les fantasmes exhibitionnistes qu'elle aimerait réaliser au plus vite. Beaux jours.
Être surprise nue, entrain de se masturber réellement dans un coin inaccessible. Juste être vue. Je lui rappelle le hangar visité.
< C'est vrai, derrière le grillage, sur le carré de béton, ce serait un endroit de rêve ! > me fait la jeune fille rêveuse. Je développe.

Je suggère que nous pourrions même immortaliser ce grand moment en filmant la situation. La caméra cachée en quelque sorte.
Clémentine m'écoute d'abord avec attention, puis avec passion. Je sais que c'est elle qui mettra tout cela en application. Au point.
Nous nous proposons de bien étudier tout cela dans les jours à venir. Lors d'une balade. C'est toujours propice à l'introspection.
Nous faisons la vaisselle. Notre conversation a considérablement excité Clémentine qui me touche la braguette. Et plusieurs fois.
Je lui propose un léchage de minou avant de partir en ville. < Oh oui ! Tu voudrais ? > me fait-elle en m'entraînant au salon...

Clémentine retire son collant et sa culotte. De la broussaille dense de sa touffe, pend la petite ficelle blanche. Elle a ses "machins".
Je suis donc invité à m'occuper exclusivement du clitoris géant de ma compagne qui me tient par les oreilles pendant que je suce.
Il faut être vigilant. Clémentine ne veut pas aller à l'orgasme. Elle tient à rester excitée toute la journée. Elle évoque notre soirée.
Nous frôlons plusieurs fois les extrêmes limites de l'orgasme de la jeune fille. Nous devenons de véritables virtuoses à ce jeu. Joie.
Pour ne pas y succomber malgré tout, nous nous redressons. Clémentine, pour ne pas froisser sa jupe l'a retiré. Elle la remet...

Clémentine enfile sa culotte, reprend doucement ses esprits, se serre contre moi et me murmure à l'oreille : < Je t'aime ! >. Bises.
Il est 14 h30. Nous voilà en route pour la zone commerciale de la ville voisine. Nous allons directement chez Décathlon. Sacs à dos.
Il nous faut acquérir un grand sac pour mettre un maximum de choses lors de nos randonnées. C'est surtout pour les vacances.
Nous avons en projet de faire des trekkings en Ecosse cet été. Et c'est un pays de rêve pour les longues randonnées pédestres.
Le sac à Clémentine a lâché durant notre séjour dans le Jura. Elle prendra donc le mien et moi j'en achète un nouveau. Promotion.

Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. < Il y a peut-être un "plan" ici ! > me fait Clémentine avant de m'embrasser.
Nous rentrons dans la grande surface. Un magasin de sport attire toujours du monde le samedi après-midi. Très bonne ambiance.
Hélas, une fois encore, aucune réelle opportunité ne se présente. Il y a bien une tentative au rayon des articles de pêche à la ligne.
Les pêcheurs comptent parfois de vrais vicelards dans leurs rangs. Le bord des étangs offre souvent de très bonnes occasions.
Clémentine, accroupie, fait semblant de comparer des boîtes en plastique dont elle ne sait même pas ce qu'elles contiennent. Rires.

Un amateur de pêche, portant casquette, pantalon en velours et veste de treillis, a vu le "spectacle". Il s'approche. Il mâte. Discret.
Comme toujours, un petit moment passe et le type tente une approche. Celui-là doit être particulièrement maladroit. La fille fuit.
Clémentine vient me rejoindre. Elle me chuchote : < D'un vulgaire ! En plus il sentait l'alcool ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Nous choisissons un grand sac à dos. Il y a l'embarras du choix. Le notre se porte sur du "haut de gamme". Il nous faut du solide.
Nous passons mettre nos achats dans le coffre de la voiture. Nous allons à la Halle aux chaussures. Un monde fou. Des familles...

Nous sommes de retour pour 17 h45. La bicyclette d'Estelle est posée contre le mur à côté du grand escalier. Elle est déjà arrivée.
Estelle sait où est la clef. Elle a donc tout le loisir de passer du temps chez nous. Elle aime tant l'ambiance de la maison ancienne.
Je range la voiture au garage. Clémentine m'entraîne à l'arrière. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Virtuose.
Accroupie, Clémentine en savoure les derniers épanchement lorsqu'arrive Estelle. < Bonjour Julien ! > me fait elle en observant.
Clémentine sans cesser de me sucer lui fait un signe. Estelle me serre la main. Trois bises Bretonnes. Je force Clémentine à cesser.

Nous entrons à l'intérieur. Estelle nous montre son ordinateur portable allumé en wifi sur le bureau. Elle me tend deux cartes SD.
Elle me fait : < J'en ai deux comme ça ! Il y a donc de quoi filmer au moins trois heures ! >. Je prends les deux cartes. Des 8 GB.
Estelle nous montre un rapide montage qui regroupe les meilleurs moments des cinq films déjà réalisés ensemble, ici, chez nous.
Bien évidemment, ce sont les scènes et les images les plus suggestives. On y voit le visage d'Estelle maculé de mon foutre épais.
Ces images sont très excitantes. Clémentine est accroupit entre Estelle et moi. Nous sommes tous les trois en apnée à regarder.

L'extrait ne dure que cinq minutes. Mais quel extrait ! Je bande comme le dernier des salauds. Je sors ma bite pour être à l'aise.
Immédiatement Estelle la prend dans la main, passant son bras au-dessus de Clémentine. La jeune fille me fait un clin d'œil. Joie.
Clémentine tourne la tête et s'empiffre ma queue en bouche. Je la laisse se régaler. Estelle me la tient fermement. C'est le silence.
Nous restons ainsi un long moment. Estelle fait repasser le court métrage une troisième fois. Elle arrête sur des images précises.
Son doigt pointé sur l'écran, la jeune fille me montre son visage ruisselant de pisse coulant sur le foutre gluant qui résiste au flot.

Cette petite salope est évidemment parfaitement consciente de ce que cela provoque comme montée de liquide séminal. C'est bon.
Clémentine pousse quelques discrets gémissements en ayant un peu de mal à déglutir l'incessante arrivée de l'épais jus de couilles.
Je tiens Clémentine par la nuque pour la forcer à engouffrer davantage de bite. Je tiens Estelle par ses cheveux attachés en tresse.
Estelle n'arrête pas de faire des arrêts sur les images les plus vicelardes. Les plus dégueulasses. C'est absolument divin. Géant !
Je regarde la pendule. Il est déjà 18 h30. Je propose aux deux salopes de nous préparer le repas du soir. Pour avoir plus de temps.

Je force les deux filles à se lever. Clémentine à les lèvres trempées. Elle ouvre la bouche pour m'en montrer le contenu visqueux.
Estelle regarde aussi et me fait : < Génial ! >. Nous rions de bon cœur. Nous allons à la cuisine. Nous ferons des spaghettis. Pistou.
Clémentine propose à Estelle de monter pour s'habiller en filles. Je suis seul à la cuisine. A l'étage j'entends plein d'éclats de rires.
Je les entends monter au grenier. Elles sont certainement à mettre au point les détails du déroulement de la soirée. Tournage à 20h.
J'égoutte les spaghettis "al dente". Je coupe le feu sous la sauce. Je monte rejoindre les filles. Elles sont au grenier. Affairées. Soin.

Clémentine m'explique le déroulement des opérations. La caméra est fixée sur son trépieds en mode "automatique". Dans le coin.
Clémentine, en fonction des situations, prendra la caméra pour la déplacer, zoomer et choisir les tous meilleurs angles. Prises de vues.
Je sais la conscience "professionnelle" que ma compagne met dans tout ce qu'elle entreprend. Elle continue de m'expliquer le tout.
Durant les moments où la caméra sera fixe sur son trépieds, Clémentine fera des photographies. Estelle, silencieuse, écoute. Passion.
Au sol, je constate que Clémentine a disposé une large bâche entre les deux piliers de la charpente. Six grandes bougies pour éclairer.

Il y a la vieille bassine en fer blanc, ovale qui est également posée à côté du seau en fer. Il y a les cordelettes dans le carton plat au sol.
Il y a le collier canin et la laisse. Il y a même le Plug anal que Clémentine n'aime pas utiliser. Tout semble prêt pour le tournage. Film.
Nous redescendons prendre notre repas. Estelle est vêtue d'une des jupes kilt à Clémentine. La grise à grands carreaux. T-shirt noir.
Le ceinturon à boucle rouge en plastique me donne une idée. Estelle est chaussée des escarpins noirs, fermés et à talons hauts. Belle.
Je le lui fais remarquer. Estelle est toujours un peu gênée et maladroite dans sa tenue de fille. Elle, toujours en jean et en chemise.

Le repas est un délice. Estelle se lève deux fois pour mimer une masturbation masculine. Chose qu'elle fait de plus en plus souvent.
La jeune fille y met toujours toute la vulgarité possible. Cambrée en avant sur ses jambes fléchies. Une adorable salope. Vraiment.
Nous faisons la vaisselle. Estelle insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. < File au grenier ! > dit-elle à Estelle.
Estelle ne se le fait pas dire deux fois. Impatiente de vivre ce moment tant attendu. Je la regarde marcher de travers sur ses talons.
Nous l'entendons trébucher dans l'escalier. Clémentine me fait : < Tu vas te surpasser ce soir, hein ! >. Nous rions de bon cœur...

Nous terminons de tout ranger à la cuisine. Nous montons rejoindre Estelle. Nous la surprenons avec la main sous sa jupe. Branle.
Estelle fait exprès de nous laisser découvrir cet instant d'intimité. Estelle est une très grande "pratiquante". Adepte de la masturbation.
Elle confie ses faux secrets à Clémentine, au restaurant universitaire, en sachant très bien que ma compagne me raconte tout. Code.
Je sais donc beaucoup de choses sur ses pratiques solitaires devant les films que nous avons tourné et dont elle est l'actrice. La Star.
Clémentine se place derrière la caméra. Elle demande à Estelle de se coucher sur la bâche, sur le côté, sa main sous sa jupe. Branle.

< Moteur ! > fait Clémentine en riant. Estelle est couchée sur le côté. La main sous sa jupe. Elle se masturbe bien sûr pour de bon.
L'occasion étant trop belle. J'attends quelques instants. Clémentine tourne autour de la branleuse. Elle revient se mettre en "fixe".
Elle me fait signe d'entrer dans le champs de la caméra. J'arrive. Je saisi Estelle par sa natte comme d'une laisse. Fermement. Fort.
Sans brutalité mais avec fermeté je la force à se redresser sur les genoux. Je lui mets une gifle. Ce ne sont jamais des gifles fortes.
Nous respectons les convenances du jeu. Estelle tente de se débattre. <Salopard ! > me lance t-elle. Une deuxième gifle. Direct...

Je la force à se relever. Elle est debout devant moi. Je la tiens par sa tresse. Sa tête penchée qu'elle tente de soustraire à l'étreinte.
Je lui prends le bras par son poignet droit. Je prends une cordelette. Je fixe son poignet à la poutre. Je fais de même avec l'autre main.
Pour contraindre la jeune fille à rester jambes écartées, je fixe l'extrémité d'un manche à balai à chacune de ses chevilles. Droite.
Clémentine se rapproche pour filmer la captive volontaire en gros plan. Il y a des perles de sueur qui brille à la lumière des bougies.
Je m'approche. Estelle me crache au visage. Je ne m'y attendais pas du tout. Ce genre d'initiatives m'inspirent et me ravissent. Bien.

Je lui tire sur la tresse. Son visage penchée, Estelle me fixe par en-dessous avec un regard plein de défi. Une fierté non feinte. Joie.
Je fixe une cordelette grise à sa taille. Je fais passer le tout sur sa culotte, serrant bien pour compresser le sexe d'Estelle sous le tissu.
Je m'éloigne pour contempler le spectacle. Clémentine allume le plafonnier. Cherche le meilleur angle de vue et fait des photographies.
La caméra filme tout cela en mode "automatique". Estelle ne peut dissimuler l'intense plaisir qui ne cesse de l'envahir. C'est sublime.
Le bonheur d'Estelle, dans ces instants, se lit sur ses traits de jeune fille comme dans les pages d'un album de bandes dessinées ouvert.

J'enlève les cordelettes. Je me mets à genoux. Je passe ma tête sous la jupe d'Estelle qui a un réflexe de défiance. L'appréhension.
J'écarte le tissu de sa culotte. Je constate que Clémentine s'est rasée le sexe. < Pourquoi ? > que je lui demande. Elle m'observe.
La jeune fille me répond : < Pour que ça pousse plus vite ! Et comme ça j'aurais un souvenir dans le film ! >. Il y a une autre surprise.
En me disant cela, la jeune fille me lâche un jet de pisse en pleine gueule. J'ai le visage trempé de pisse qui dégouline sur mon T-shirt.
Je lèche le sexe d'Estelle qui se met à gémir immédiatement. Cette petite salope à la disposition de pouvoir uriner pendant la lèche.

Je suis émerveillé par ce "talent". Le privilège de pouvoir pisser pendant le léchage de minou. Clémentine tient la caméra. Elle filme.
Accroupie tout prêt, ma compagne immortalise la scène. Tout cela excite considérablement Estelle. Il y a des coulées de cyprine.
Du jus de fille, laiteux, onctueux et plutôt épais s'écoule de la vulve d'Estelle. Je récupère ce liquide. Il a un goût acidulé. Puissant.
Le jus d'Estelle est légèrement "piquant" sur la langue. Il subsiste une légère amertume sur la langue après avoir avalé. C'est délicieux.
Ses sécrétions son abondantes. Lorsque je me retire pour tenter d'éviter un nouveau jet de pisse, du jus de fille s'écoule sur le sol.

Ce sont des gouttes épaisses. Il y en a plusieurs sur le plastique de la bâche et qui flottent sur la flaque de pisse. C'est prodigieux.
Clémentine filme tout cela dans les moindres détails. C'est grandiose. Vertigineux. Je me relève. Je m'approche du visage d'Estelle.
Cette petite salope doit vivre d'intenses émotions jouissives pour avoir le visage ainsi couvert de sueur. Des poches sous les yeux.
Ses traits marqués lui donne davantage que ses 20 ans. Elle me fixe avec son air de défi. Clémentine filme à proximité. C'est géant.
J'approche mon visage encore plus près. Estelle ouvre la bouche. Je lui crache à l'intérieur avant de l'embrasser comme un dément.

J'entends Clémentine gémir aussi fort qu'Estelle. Tout en fouillant la bouche d'Estelle avec ma langue, je regarde ma compagne.
Elle a posé le trépieds. La caméra filme en automatique. Clémentine, sa main droite sous sa jupe se masturbe. Le plaisir intense.
Je bande comme un priapique en stade terminal. Estelle fouille ma bouche de sa langue avide. Elle n'arrête plus ses gémissements.
Je mets ma main dans sa culotte. Tout y est trempé. Il y a un spasme d'une violence inouï. Estelle connaît une série d'orgasmes.
Son bassin est agité de soubresauts qu'elle ne peut réfréner. Cambrée en avant, puis en arrière, Estelle jouit comme une folle. Fou !

Je lui caresse la nuque, le visage, la tête. Je descends sur ses tous petits seins dont le bout est tout dur. C'est impressionnant. Joie.
Je me retire. J'ai le visage encore trempé de pisse et de la salive me dégouline sur le menton. Clémentine pousse un cri. Elle jouit.
Je regarde ma compagne s'accroupir, les main entre ses cuisses serrées, emportée par un orgasme qui la terrasse. C'est délirant.
Je prends le tabouret. Je le place devant Estelle qui reprend ses esprits avec peine. Je monte sur le tabouret. Je sors ma queue.
Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle. Pourtant, malgré mes efforts, malgré mes ruses, malgré l'excitation de la fille, rien à faire.

Estelle garde ostensiblement les lèvres de sa bouche serrées. Avec force. Je lui pince le nez. < Non ! Non ! > crie t-elle avec force.
Je n'insiste plus. Même si tout ceci n'est qu'un jeu, je ne vais pas à l'encontre du "pacte" tacite qui est défini entre elle et moi. Rien.
Par contre, lorsque j'éjacule, Estelle ouvre la bouche pour recevoir les abondantes giclées de foutre que je déverse longuement.
Je suis secoué de spasmes. J'ai, moi aussi, un orgasme délirant. Clémentine s'est redressée. Je suis obligé de me tenir à la poutre.
J'ai un vertige presque dangereux. Clémentine s'empare de ma bite pour la sucer avec une avidité incroyable. Avec gourmandise.

Je me laisse sucer. Estelle a le visage contre celui de Clémentine. Les deux filles gémissent de bonheur. Moi aussi. La caméra filme.
Nous restons un long moment ainsi. Je sors ma queue de la bouche de Clémentine que je tiens par ses cheveux. Je me concentre.
Je tiens Estelle par sa natte comme par une laisse. Je lui pisse au visage. Cette petite salope ouvre la bouche. Clémentine aussi.
Je me vide dans les bouches de ces deux salopes qui s'abandonnent à la luxure, au stupre et au vice avec une passion dévorante.
Clémentine se remet à pomper ma bite entre chaque giclée. Je vois Estelle déglutir avec un air de dégoût. Réellement écœurée...

Il me faut redescendre du tabouret. Mon incessant vertige finira par me faire tomber. Je marche dans la pisse répandue sur la bâche.
Je fais attention de ne pas glisser. Nous avons tous les trois le visage couvert de pisse, ça pique un petit peu. Nous nous observons.
Soudain, le signal sonore de la caméra nous indique que la seconde carte SD est arrivée à saturation elle aussi. Nous éclatons de rire.
Je détache Estelle. Je lui tends une des serviettes qu'à préparé Clémentine qui s'essuie déjà. < Génial ! > lance Estelle toute ravie.
Et c'et vrai que cette fois-ci encore, nous nous sommes surpassés. Nous laissons tout en l'état. Nous viendrons ranger demain matin.

Nous descendons. Estelle prend sa douche la première. Cela va très vite. C'est à notre tour. Nous rejoignons Estelle au salon. Ravie.
Elle est devant son ordinateur. < Je suis entrain de tout télécharger sur mon disque dur externe ! Pas de traces ! > nous fait elle.
Comme toujours, d'une extrême prudence, Estelle prend soin de tout garder secret. Ce sont des films pour son usage exclusif. Branle.
Pas question d'en diffuser la moindre parcelle. Aucune trace nulle part. Juste une ou deux photos pour amuser la galerie sur les forums.
Des clichés qui ne permettent pas d'identifier qui que ce soit mais qui illustrent sobrement le récit. L'image étant le support idéal. Bien.

Nous sommes épuisés. Tous les trois fourbus de tout ce plaisir qui a encore bouleversé notre perception du monde pendant des heures.
Il est 23 h. Les filles révisent un peu pendant que j'écris ce texte. Nous sommes couchés pour minuit. Nous bavardons un petit moment.
Après quelques éclats de rire, quelques bavardages, nous sombrons rapidement dans un profond sommeil. Estelle ronfle en rythme...

Bon tournage de vos films pornographiques privés et secrets à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Acteur fétiche d'Estelle. Salopard et vicelard idéal pour films "romantiques") -

Classe


Je cilque sur les merveilleuse images. Pour les admirer. Pour bien lire ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Encore un merveilleux dimanche avec Estelle à la maison

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des murmures, des rires étouffés. Je regarde sur ma gauche. Les filles s'amusent.
Clémentine me chevauche en faisant : < Bonjour cher Maître Bitounet ! >. Nous rigolons comme des bossus. Les papouilles.
< Bonjour Julien ! > me fait Estelle à l'autre bout du lit tout en mimant un bisou qu'elle m'envoie en soufflant dans sa main.
Je regarde l'écran du réveil sur la table de nuit. Il est huit heures. Estelle se lève, file aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >.
Clémentine me fait plein de bisous. < Tu as été génial hier soir ! Estelle va en garder un superbe souvenir ! > me dit-elle.

Estelle revient et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. < On arrive dans 5 minutes ! > répond Clémentine.
Clémentine se lève et m'entraîne aux toilettes. Je la tiens fermement pas les cheveux. La jeune fille se soulage dans un jet.
Il y a la petite ficelle blanche qui pend de la broussaille épaisse. < Dernier jour ! > me fait Clémentine. Puis c'est à mon tour.
Ma compagne me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en récupère les derniers épanchements. Je la laisse faire.
Je la force à se redresser au bout de quelques instants. Si je la laisse continuer, nous y passons la matinée. Nous descendons.

L'odeur du café fumant, du pain grillé sont nos tous premiers enchantements de ce dimanche. Je fais une bise à Estelle. Le front.
Comme émerveillée par mon initiative, Estelle me fait un adorable sourire avant de me rendre ma bise sur la joue. Bonheur.
Estelle porte le pyjama japonais en soie de Clémentine. Nous sommes en T-shirt de nuit et en slips. Tout est prêt. L'appétit.
Nous savourons ce petit déjeuner comme il se doit. Les filles évoquent leurs études. Elles n'auront pas cours vendredi. Le pont.
Clémentine propose à Estelle de venir passer ces quatre jours à venir avec nous. Estelle est soudain toute contente. Elle se lève.

En sautillant autour de nous, tournant autour de la table, comme pour une danse tribale, Estelle s'écrie : < Je vous aime ! >.
Nous rions de bon cœur. L'émotion me submerge. Cette grande maison, vide si longtemps, est à présent un vrai lieu de fête.
L'animation qui y règne depuis presque une année a tout changé. Je prends conscience une nouvelle fois de mes privilèges.
Nous traînons à table. J'écoute les bavardages et les éclats de rires des deux filles. Estelle me lance des regards intenses. Joie.
Nous faisons la vaisselle. Estelle insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Ambiance festive et rigolades.

Clémentine propose à Estelle de s'installer devant l'ordinateur pendant que nous nous offrons le rituel du ménage du dimanche.
< Je vais mettre le grenier en ordre et tout ranger ! > répond Estelle. < Non, laisse, on fera ensemble après ! > fait Clémentine.
Les deux filles sont assises derrière le bureau. Devant l'écran de l'ordinateur d'Estelle. Des choses en relation avec leurs études.
Je nettoie la cuisine et les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. Cuisine, toilettes, halle d'entrée. C'est propre.
Clémentine monte à l'étage pour faire la chambre. Je passe l'aspirateur au salon et dans l'atelier. Estelle se lève, vient vers moi.

< Merci pour hier soir, Julien, je me suis jamais éclatée autant ! > me fait la jeune fille avant de se blottir contre moi. Silence.
Je la repousse doucement. Clémentine n'est pas avec nous. Je ne veux induire aucune situation troublante en son absence.
Je dépose une bise sur le front d'Estelle. Elle retourne derrière le bureau. Debout, elle mime une masturbation masculine.
J'ouvre le buffet bas. Du tiroir du haut, sous le téléphone, je sors un petit paquet cadeau. Je l'apporte à Estelle qui regarde.
Estelle, silencieuse, ouvre le petit paquet. Elle découvre la petite culotte que j'ai acheté pour remplacer celle que j'ai détruite.

Je laisse Estelle à son fou rire pour rejoindre Clémentine à l'étage. Je la découvre à nous guetter depuis le bas de l'escalier.
Tout en m'entraînant par la main pour monter, elle me fait : < Je t'aime, tu es un amour ! J'ai tout vu !>. Elle m'embrasse.
Je nettoie la salle de bain, les chiottes de l'étage et je passe la serpillère sur les carrelages. Tout est propre. Nous aimons ça.
Clémentine se blottit contre moi pour me dire : < On va se faire un nouveau "plan". Un truc secret entre nous ! >. J'écoute.
Elle continue : < Estelle ne saura pas que c'est notre secret. Tu vas entrer dans son jeu. Elle est amoureuse ! >. Je me méfie.

< C'est un jeu dangereux. Je ne veux pas lui faire le moindre mal ! > que je réponds à Clémentine. Elle me rassure, sûre d'elle.
< Aucun soucis. Je suis là. J'arriverais toujours à temps et au bon moment. Je saurais marquer mon territoire ! > me fait elle.
Je sais pouvoir lui faire confiance. Je lui rappelle que c'est elle, ma compagne, que j'aime. Clémentine glousse de plaisir. Bises.
Nous redescendons comme des lutins malicieux et facétieux préparant une farce. Estelle est toujours devant son ordinateur.
Clémentine va la rejoindre. < Elle te plait ta nouvelle culotte ? > demande t-elle à Estelle. Les deux filles éclatent de rire. Joie.

< Je monte au grenier ! > que je lance à Clémentine. < On vient avec toi ! > me fait Clémentine. Nous montons à toute vitesse.
Il y a une odeur de pisse froide. La bâche au sol est trempée. Il y a une grande flaque. Rien ne pourra s'infiltrer dans le plancher.
Clémentine et moi, nous faisons s'écouler le liquide dans le seau en fer. Nous tenons la bâche. Estelle s'empare du seau en fer.
Elle descend le vider et le rincer aux toilettes. Nous rangeons les accessoires dans le petit carton. Clémentine referme le tout.
Nous redescendons. Dehors il fait beau. Le ciel est bleu. Il y a du soleil. Clémentine propose à Estelle de se vêtir en fille. Rires.

Je laisse les filles dans la chambre. Je descends avec les draps à laver sous le bras. Je vais à la cave pour remplir la machine.
Je fais tourner. Je vais au jardin pour suspendre les vêtements que je sors du sèche linge. C'est mieux de les mettre à l'air.
Je suis affairé avec mes pinces à linge. Je profite de la douceur de cette fin de matinée. Les deux filles viennent me rejoindre.
Estelle porte une des jupes courtes de Clémentine. Une jupe d'été, colorée et légère. Un bustier blanc avec un col en "V". Super.
Estelle est chaussée d'escarpins noirs, fermés et à talons hauts. J'aime la voir marcher maladroitement dans de tels souliers.

Les deux filles font des photographies. Estelle pose. Assise sur le muret de pierres, elle prend des attitudes. Clémentine flache.
Clémentine suggère des poses. Souvent coquines. Estelle sait se faire provoquante. Elle est à la bonne école. Je regarde. Beau.
Il est déjà onze heures du matin. Clémentine nous entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet. Mur.
Clémentine tend ma queue à Estelle en lui disant : < Tiens, amuse-toi un peu ! >. Estelle ne se le fait pas répéter deux fois.
Elle me tient la bite dans sa main chaude et immobile. < Je sens passer la pisse ! > s'écrie t-elle, comme émerveillée. Rires.

Estelle donne un à coup sec et précis après la fin de chaque jet. Je bande mou. Je pose ma main sur sa nuque pour appuyer.
Je la force à s'accroupir. Elle est en jupe. Cette petite salope prend la même position que Clémentine déjà accroupie. Vicieuse.
Les deux filles ont les cuisses largement écartées. Je demande à Estelle : < Pourquoi vous être rasée la chatte ? >. Sourires.
< C'est pour que ça pousse plus vite. Je veux une chatte comme Clémentine ! >. Nous rigolons comme des bossus. Je termine.
Clémentine, accroupit sur ma gauche, suce les derniers épanchements. Estelle se redresse. Elle me tend sa bouche ouverte...

Estelle approche son visage du mien. Je sais que j'ai l'autorisation de Clémentine. Je laisse Estelle m'embrasser longuement.
Mon excitation est considérable. Estelle a une langue exploratrice. Elle fouille ma bouche avec avidité. Nous bavons. La salive.
Clémentine me taille une pipe des familles avec sa gourmandise habituelle. Les montées de liquide séminal sont conséquentes.
Nous restons ainsi un petit moment. Clémentine, les jambes ankylosées, se redresse en faisant : < Aïe ! >. Blottie contre moi.
Estelle ne veut plus me lâcher. Clémentine la repousse. Nous rions de bon cœur. Clémentine ramasse l'appareil photo. Rires.

Elle entraîne Estelle. < Assis toi sur le muret, montre nous ta chatte épilée ! > dit Clémentine à Estelle qui ne se fait pas prier.
Estelle ne sait pas grand chose des aventures exhibitionnistes de Clémentine. C'est un secret entre ma compagne et moi. Joie.
Je découvre les tendances exhibitionnistes d'Estelle qui semble ravie de prendre des poses vicelardes. C'est son appareil photo.
Comme toujours, une fois à l'intérieur, Estelle télécharge immédiatement les clichés pris à l'instant sur son disque dur externe.
Je propose de nous préparer le repas de midi. Saumon en papillotes et salades en abondance. Il y a un accueil enthousiaste.

Clémentine s'occupe de la salade. Estelle m'aide à la préparation des papillotes. Les carrés de saumon sont déjà découpés.
Je les dépose sur une feuille de papier sulfuré. Estelle y met de l'ail, de l'oignon et du persil finement émincés. J'emballe.
Je dépose les carrés de saumon emballés dans des grandes feuilles d'aluminium. J'allume le barbecue électrique. Véranda.
Le repas est un véritable délice. D'autant plus que nous prenons notre premier repas de l'année dans la véranda ouverte.
Clémentine propose une randonnée à bicyclette pour l'après-midi. L'idée nous réjouit. Nous faisons la vaisselle. Ambiance.

Estelle devra être de retour chez elle pour dix neuf heures. Nous montons nous mettre en tenues. Nous voilà en route. Joie.
Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest. Les filles bavardent en riant. J'écoute. J'aime les entendre bavarder et rigoler.
Nous croisons beaucoup de cyclistes, de promeneurs. Nous arrivons au port de plaisance où nous nous promenons en flânant.
Assis sur le muret de la jetée, nous regardons les premiers bateaux partir et d'autres qui arrivent. C'est vraiment magnifique.
Nous sommes de retour pour dix huit heures trente. Estelle a du mal à nous quitter. C'est de plus en plus dur. Je la console.

Lorsque nous sommes seuls, Clémentine et moi, nous n'avons qu'un désir, nous offrir du plaisir et du bonheur. Continuité.
Nous nous préparons un rapide repas. Salade et riz aux champignons. Nous faisons la vaisselle. Clémentine m'entraîne.
Vautrée sur le canapé, cuisses écartées, Clémentine se fait sucer son clitoris géant dans un concert de gémissements. Plaisir.
< Vivement demain ! J'ai une méchante envie de baiser ! > me fait ma compagne dans un moment de lucidité. Un bon "69".
Nous passons le reste de la soirée au bureau. Clémentine révise ses cours. Moi j'écris ces lignes. Dodo pour vingt trois heures.

Bonne virée à bicyclette avec votre adorable visiteuse, soumise et vicieuse à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui graisse la chaîne des bicyclettes avec de l'huile épaisse spéciale "Vélo") -

Classe


Je clique sur les merveilleuses images pour les admirer et bien lire ce qui est écrit dessus...

Classe
Homme, 53 ans, France
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Nous nous offrons de superbes promenades à bicyclette

Hier matin, lundi, il est six heures lorsque le réveil nous tire du sommeil. Deux bises et Clémentine m'entraîne par la main.
Elle file aux toilettes. Moi, je file à la salle de bain. La bite posée sur le bord du lavabo, je pisse en me grattant les couilles.
Je lâche un de ces somptueux chapelets de pets sourds et profonds, dont je suis coutumier. Je module longuement en Fa.
< Je t'entends, mon péteur fou ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant.
Nous prenons un copieux petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Je sors l'auto de Clémentine...

Il déjà 7 h45. Clémentine me fait plein de bisous et s'en va en cours. Je me rends à l'atelier car j'ai beaucoup de travail.
Clémentine revient pour seize heures trente. Assise sur mes genoux, devant mon chevalet, elle me raconte sa journée.
Nous décidons de profiter de cette magnifique fin d'après-midi pour nous offrir une virée à bicyclette. Je range le tout.
Nous montons nous changer. Clémentine peut enfin mettre ses jupettes "tennis". T-shirt et baskets. Je suis en short.
Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. Il y a du monde à profiter de cette belle journée. Cyclistes, rollers, promeneurs.

Nous arrivons à l'écluse du cabanon. Clémentine me propose de prendre la toute petite route à droite, vers le moulin.
Comme la dernière fois, nous roulons un peu plus de deux kilomètres pour arriver au vieux hangar à foin. Personne. Rien.
Nous entrons dans l'espace grillagé par la porte entre ouverte. Nous poussons nos vélos. Clémentine veut tout explorer.
< C'est comme lorsque j'étais adolescente, lors de mes virées à vélo, j'allais fouiller partout ! > me fait ma compagne.
Nous longeons l'enclos sur la droite. Nous descendons jusqu'à la large rivière. Les eaux ne paraissent pas êtres profondes.

Nous suivons la rivière jusqu'à l'autre grillage à gauche, que nous remontons jusqu'en haut. Environ 100 mètres. Sympa.
Nous entrons dans le grand hangar. Rien à changé. C'est un peu comme à l'abandon. Nous explorons soigneusement.
Clémentine se serre contre moi. < Superbe coin pour un "plan". Vraiment ! Il faut le faire découvrir à Estelle ! > dit-elle.
Clémentine m'entraîne à l'extérieur. Il fait chaud, le soleil tape. C'est extraordinaire. Le ciel est bleu. A peine trois nuages.
Nous allons sur la grande dalle de béton, vestige de la guerre. C'est une surface carrée d'environ cinq mètres sur cinq. Vide.

Cette surface bétonnée est à une dizaine de mètres du grillage qui sépare du petit chemin. Il y a d'épais bosquets. Fourrés.
< C'est vraiment le lieu idéal pour un "plan" exhibe ! > me fait Clémentine. Je la laisse pour aller me positionner au grillage.
Je regarde la jeune fille qui s'est accroupit, cuisses largement écartées. Entre les bosquets la vue est imprenable. Superbe.
Il y a cet espace dégagé entre deux fourrés qui permet de voir. On ne peut pas être vu d'un autre endroit. L'endroit rêvé.
< Qu'en penses-tu ? > me demande Clémentine. Je lui exprime mon ressentis en précisant : < C'est l'éclate totale ici ! >...

Nous prenons plusieurs photographies de la topographie des lieux. Nous prenons nos vélos. Direction la piste cyclable. Joie.
Nous arrivons au petit port de plaisance. Il y a toujours cette ambiance très conviviale entre les plaisanciers. Sympathique.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie. Nous nous promenons en flânant. Nous allons à la superette.
Chacun, un cône de glace à la main, nous montons le chemin qui mène aux vieux cimetière. De là haut, la vue est sublime.
Clémentine enlève sa culotte qu'elle glisse dans le petit sac à dos que je trimballe toujours partout. Fruits, barres de céréale.

De notre point de vue, nous voyons le mouvement des bateaux qui s'en vont et qui arrivent. On voit aussi très bien le chemin.
Un type en short kaki monte en promenant son chien à la laisse. < Il y a un "plan" ! > fait Clémentine en terminant son cône.
< Planques toi derrière le caveau, là. S'il y a un blême tu viens ! > rajoute encore Clémentine en me faisant une bise. J'y vais.
Je suis dissimulé derrière l'angle du mur du caveau. Un grand ange de pierre me cache complètement aux regards. Je mâte.
Clémentine, accroupie derrière le muret observe le promeneur qui arrive en haut de la colline. Il se dirige vers nous. Calme...

Le type porte une casquette. Un peu enrobé dans son jogging qui doit lui tenir bien chaud sous ce soleil. Il tire son chien.
J'ai le cœur qui bat la chamade comme le plus souvent lorsque je fais ainsi le guet pour sécuriser les exhibes de Clémentine.
Clémentine aussi. Je le sais. Elle me décrit toujours les émotions intenses qui la submergent lorsqu'elle se livre à sa passion.
L'inconnu arrive au bout du muret. Là, sur sa droite, entre un grand socle de granit et le muret, il découvre cette jeune fille.
Accroupie, tête baissée, les cheveux lui masquant le visage, Clémentine se fait surprendre dans sa position favorite. Géant !

Depuis ma cachette, à environ dix mètres, j'observe la scène. Je filme avec mon smartphone. Le type s'arrête. Très surpris.
Il est évidemment la proie d'une émotion intense, lui aussi. Le chien tire sur la laisse, indifférent à cette scène rare. Sublime.
L'homme est debout, un peu stupide, ne sachant que faire, que dire. Il faut préciser que ce sont toujours des instants fous.
Il reste immobile à observer. Clémentine, que je devine au comble de l'excitation, reste sans bouger. Impossible de pisser.
L'homme avance. Il fait quelques mètres. Il s'arrête. Il revient sur ses pas. < Bonsoir ! > lance t-il enfin. Aucune réponse...

Quoi dire dans une telle situation. Avec le trouble que la situation induit, il est difficile d'être original. Voire spirituel. Silence.
Clémentine, qui porte ses lunettes de soleil, noires et larges, relève la tête. Le type est à quelques mètres. Il fait un sourire.
L'homme regarde à gauche puis à droite. Il n'y a personne. C'est un quinquagénaire débonnaire et certainement "bon vivant".
Il se touche le sexe au travers le tissu de son jogging. Il sourit un peu bêtement. Clémentine ne bouge évidemment pas.
De ma cachette, je vois Clémentine de trois quart arrière. Le type est face à moi. Il ne se doute pas de la combine. Parfait...

Le type met sa main dans son pantalon. Il se touche. Clémentine ne bouge absolument pas. J'admire ce culot. Quel courage !
Ma compagne sait me décrire tout ce qu'il lui faut surmonter d'inhibitions bien naturelles et féminines pour vivre de tels moments.
C'est tout ce qu'il lui faut surmonter de gêne, de honte, qui permet ce plaisir intense et fou qui la submerge entièrement. Joie.
Le type sort sa queue qu'il agite dans la direction de la jeune fille accroupie. Je bande autant que lui. C'est hautement excitant.
Les deux protagonistes sont parfaitement immobiles. Ils se regardent en silence. Le type se branle de plus en plus vite. Fou !

Là, devant le regard de Clémentine et son chien, un teckel à poils longs, l'homme éjacule dans un spasme puissant. Un râle.
Soudain, comme terriblement gêné, l'homme remballe, tire sur la laisse du chien et s'en va à toute vitesse. C'est très étrange.
Clémentine se redresse. Elle masse ses jambes ankylosées et sautille un peu pour chasser les fourmis. Je viens la rejoindre.
< C'était génial ! > me fait ma compagne en se serrant contre moi. Je lui montre ce que j'ai filmé. < Super ! > me lance t-elle.
Nous redescendons le chemin. Il est déjà 19 h15. Nous prenons le chemin du retour. 25 km de bonheur. Arrivée à 20 h30.

Je réchauffe le repas que j'ai préparé à midi. Nous faisons une rapide salade. Nous mangeons très vite. Clémentine est excitée.
Nous faisons la vaisselle. La jeune fille m'entraîne au salon. Elle jette sa culotte au loin et se couche sur le canapé. Elle est belle.
Je mets mon visage entre ses cuisses pour m'enivrer des parfums de sa journée de fille. C'est fort. C'est puissant. C'est superbe.
Rapidement je fouille tous les plis et les replis des peaux de son sexe. J'y découvre plein de petites surprises. Souvent gluantes.
Clémentine, au bord de l'orgasme, m'attire sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Sans bouger. Calme.

Nous adorons rester immobiles. Clémentine me murmure quantité de douceurs, de cochonneries et de propos incompréhensibles.
La jeune fille me confie son profond désir de tenter un "plan" au vieux hangar à foin. Elle me révèle la stratégie qu'elle a élaboré.
Elle sera complètement nue sur la dalle en béton sous le regard du chanceux promeneur éventuel qui tombera sur le spectacle.
Au sol, il y aura sa tablette. Sur l'écran elle pourra regarder sans être obligée de lever la tête. La caméra sera planquée. Buissons.
Moi, je devrais assurer le guet derrière les fourrés. Je serais chargé de sécuriser l'exhibe. Elle se masturbera nue devant un inconnu.

C'est le fantasme absolu de Clémentine. C'est un fantasme très courant. Autant chez les femmes que chez les hommes. Normal.
Mais rares sont les réelles opportunités de pouvoir passer du fantasme à la réalité. Il faut réunir un certain nombre de paramètres.
Clémentine m'explique tout cela à l'oreille. Doucement, elle se met à bouger du bassin. Le mouvement s'accélère subrepticement.
L'orgasme est terrifiant. Je la tiens. Je sens l'affolement de son cœur contre le mien. Clémentine pousse plusieurs petits cris. Bien.
Après un moment immobile, je me retire pour venir lui sucer le clitoris. Clémentine tente bien de me repousser. Peine perdue...

Bonne virée exhibitionniste jouissive et sublime à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Service sécurité et garde du corps d'une redoutable et adorable salope) -

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Estelle vient faire de la bicyclette avec nous

Hier matin, comme tous les jours, le réveil sonne à six heures. Clémentine me fait deux bises, se lève et m'entraîne.
Elle file aux toilettes. Je vais à la salle de bain. Tout en lâchant une merveilleuse salve de pets, je pisse tranquillement.
< Je t'entends, mon Bitounet trompettiste ! > me fait Clémentine depuis les cabinets. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis c'est notre heure d'entraînement. La douche. Il est déjà l'heure.
Je sors la petite auto de Clémentine du garage. Il est 7 h45. Des bises et ma compagne part en cours. Je vais bosser...

Clémentine revient pour 16 h30. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. J'écoute les anecdotes d'étudiante.
< Estelle doit arriver d'une minute à l'autre, elle vient faire de la bicyclette avec nous ! > me fait Clémentine. Je range.
Nous montons nous mettre en tenue. Il fait beau. Il fait chaud. Clémentine met une de ses jupettes "tennis". Un T-shirt.
Je suis en short. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Estelle arrive et nous surprend en riant. < Bonjour Julien ! > me fait elle en me serrant la main. Elle est en tenue...

Clémentine me secoue les dernières gouttes, s'accroupie pour en sucer les derniers épanchements. Je la laisse un peu.
Je la force à se relever. Nous prenons nos bicyclettes dans le garage. Je range la petite auto de Clémentine. Il est 17 h.
Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. Ce n'est jamais une routine. Le paysage y est tellement magnifique. Nature.
Il y a un vent d'Ouest, de face, qui nous force à un petit effort. C'est la certitude que le retour sera facile. Poussés.
Les filles bavardent, évoquant la fête de le fin juin à la faculté. Ce fameux Gérôme qu organise les festivités. Sympa.

A quelques reprises, Estelle me fait des sourires. Deux fois, tout en pédalant, la jeune fille mime une branle masculine.
Estelle porte un short en lycra, un peu comme le mien. C'est moulant. Sous son T-shirt, la jeune fille ne porte rien.
Ses tous petits seins, tous comme ceux de Clémentine, ne nécessitent aucun soutien gorge. Deux heureuses privilégiées.
Clémentine me prend le bras et me dit : < Si tu me tires, je te suces ! >. Nous rions tous les trois de très bon cœur.
Nous arrivons à l'écluse du cabanon. Clémentine propose à Estelle de lui faire découvrir le hangar à foin. Petite route.

Nous tournons à droite. L'étroite petite route, pleine de nids de poules est encore moins large que la piste cyclable.
Nous parcourons les quelques kilomètres dans un environnement bucolique. Il y a des vaches dans tous les prés.
Elle nous regardent passer en mâchant. Nous arrivons à l'endroit souhaité. Nous entrons dans l'enclos grillagé.
Nous poussons nos bicyclettes. < C'est sympathique ! > fait Estelle en découvrant le lieu dont nous lui avons parlé.
Nous entrons dans le hangar. Rien a changé. L'odeur du foin est forte et très agréable. Estelle regarde tout. Curieuse.

< Tu imagines un "Film" ici, c'est le lieu idéal, non ? > demande Clémentine à Estelle qui répond : < Absolument ! >.
Estelle passe sous l'échelle qui mène sur une sorte de plateforme à quelques trois mètres au-dessus de nos têtes.
< Le prochain "Film", on se le fait ici ! Est-ce que ça vous inspire, Julien ? > me demande Estelle avec un clin d'œil.
Je rassure la jeune fille en lui précisant que tout est déjà "écrit" pour un scénario inoubliable. < Super ! > fait elle.
Estelle tout en mimant une masturbation masculine, avec toute la vulgarité possible, me fait encore : < Samedi ? >

Clémentine est debout à la grande porte ouverte, à regarder le sentier derrière le grillage. Je devine ses pensées.
Je sors ma bite pour la faire tournoyer dans la direction d'Estelle qui met sa main fermée devant sa bouche. Fellation.
Estelle fait une bosse avec sa langue contre sa joue, à l'intérieur de sa bouche. Elle me fait un nouveau clin d'œil.
Comme elle ne suce pas, je me demande toujours dans quel registre se cale cette sorte de message bien vicelard.
Estelle s'approche. Son visage tout près du mien. Elle prend ma bite dans sa main. Clémentine se retourne. Joie.

Ma compagne vient nous rejoindre : < Je vous tourne le dos quelques minutes, et voilà ! >. Nous rions de bon cœur.
< L'endroit m'excite considérablement ! > fait ma compagne. Estelle s'empresse de rajouter : < Moi aussi ! > Fou.
Estelle me tient la bite. Elle reste immobile. Elle me regarde, interrogative, innocente et faussement candide. Génial.
Je bande comme un vrai salaud. Estelle me tire soudain pour m'entraîner à sa suite. Elle me fait faire le tour du coin.
Clémentine nous regarde faire ce grand cercle autour d'elle. Estelle s'arrête. Maladroitement, elle me sort les couilles.

Faisant un anneau de son index et de son pouce, la jeune fille me serre les couilles fortement. Elle reste sans bouger.
< Espèce de vicelard, va ! > me fait Estelle avant de me cracher au visage. Je ne m'y attendais pas du tout. Salope.
Clémentine nous lance : < Eh bien ! >. Je la regarde en m'essuyant le visage. Clémentine a une main sous sa jupette.
Estelle me tient fermement. Ma bite dans une main, mes couilles dans l'autre. < Salopard ! > me fait elle à nouveau.
Pas de doute, Estelle prend la température du lieu et se met dans l'ambiance. < Je suis pressée de filmer ! > dit-elle.

Nous retournons à l'extérieur. Estelle ne me lâche plus la queue. Je vois Clémentine regarder partout autour d'elle.
Là-bas, il y a un cycliste sur son VTT qui arrive sur le sentier. Il ne regarde pas dans notre direction. Je me retourne.
Estelle ne me lâche pas la queue. Le type passe et continue sans nous voir. Je devine la frustration de ma compagne.
Il vient de passer une opportunité d'exhibe. Estelle n'est au courant de la passion de Clémentine que par mes récits.
Avec pudeur, Estelle ne pose aucune question quand aux penchants exhibitionnistes de Clémentine. Un accord tacite.

Nous reprenons nos bicyclettes. Je remballe mes organes génitaux. Nous voilà à pédaler pour retourner sur la piste.
En chemin nous évoquons le samedi à venir et notre projet de réaliser ce "film" dans le hangar. Tout se précise bien.
Nous arrivons au port de plaisance. Il y a des promeneurs. Nous flânons un petit peu. Il fait encore chaud. Printemps.
Nous prenons doucement le chemin du retour. Comme prévu, le vent nous pousse. Tout est alors si facile. Bavardages.
Nous mettons tout au point. Estelle évoque l'endroit qu'elle vient de découvrir avec passion. Ne tarissant pas d'idées.

Nous arrivons à la maison pour 20 h30. Il n'y a qu'à préparer une rapide salade et à réchauffer le riz pilaf de midi.
Pendant qu'Estelle est aux toilettes, Clémentine me dit à l'oreille : < Sois très salaud, ce soir, tu sais, le "plan" ! >.
Je comprends. Lorsqu'Estelle revient, je vais aux toilettes à mon tour. Je n'y suis pas une minute qu'elle me rejoint.
Debout à ma droite, la tête penchée, Estelle me prend la bite. Je la saisi par la nuque. Elle approche son visage.
Sans même me laisser le temps de réaliser, la jeune fille pose sa bouche sur la mienne pour m'embrasser. Avide.

Tout en embrassant Estelle, je regarde la porte qui vient de s'entre bailler. Je vois un coin du visage de Clémentine.
Elle me fait un clin d'œil approbateur. Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Elle me tient la queue. Fort.
Nous restons un petit moment ainsi. Je repousse Estelle. Je dois le faire assez énergiquement tellement elle adore ça.
< A table ! > que je lui dis. Clémentine vient nous rejoindre pour nous entraîner à la cuisine. Je bande très fort. Joie.
Le repas est délicieux et animé. Les filles mettent au point la stratégie logistique de notre projet de samedi soir. Film.

Nous faisons la vaisselle. Il est déjà 21 h30. Les filles doivent réviser un peu. Elles sont assises devant l'écran de l'ordi.
Moi, j'écris ces lignes que je posterais, comme tous les jours, demain matin. Je ne raconte pas toujours tout. Secret !
Estelle doit être de retour chez elle pour 22 h30. La soirée s'achève donc de façon studieuse. Les filles sont sérieuses.
Estelle est à se réjouir pour ce week-end prolongé de l'Ascension. Elle viendra jeudi vers 11 h du matin. C'est superbe.
Par contre elle nous quittera pour aider ses parents à l'entreprise familiale et nous rejoindra vendredi en fin de soirée.

Bon projet de film pornographique privé et personnel à toutes et à tous pour samedi soir.

Oncle Julien - (Complice des vices, des turpitudes et des fantasmes d'Estelle, belle salope) -

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Clémentine revient de cours pour quinze heures trente

Hier matin, mercredi, le réveil nous tire de notre sommeil comme chaque jour à six heures. Deux bises. Nous nous levons.
Clémentine file aux toilettes, moi je file à la salle de bain. Ma bite posée sur le bord du lavabo, je pisse. Tranquillement.
Tout en me grattant les couilles, je lâche de merveilleuses rafales de pets que je module longuement du Fa jusqu'au Sol.
< J'entends lorsque tu insistes sur le Fa#, mon Bitounet ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rions de bon cœur.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Avec la météo, Clémentine me propose de faire un Jogging. Superbe idée.

Nous remplaçons notre heure d'entraînement quotidienne par une heure d'un running des plus agréables. Retour. Douche.
Il est déjà 7 h45. Je sors la petite auto de Clémentine du garage. elle me fait plein de bisous avant de partir en cours. Joie.
Je file à l'atelier car j'ai du boulot. Vers 10 h du matin, je reçois un message. Je regarde. Clémentine rentrera pour 15 h30.
Elle me demande de tout préparer dans le petit sac à dos que j'emmène toujours. Appareil photo, caméra et le trépieds.
Ma compagne me propose de tenter "l'expérience" au hangar à foin, cet après-midi. Je réponds par un message court. OK.

Clémentine rentre avant l'heure prévue. Il est 15 h20. Je nettoie mes palettes et je range mes affaires. Puis nous montons.
Nous nous habillons en tenues de cycliste. < Au retour, ce soir, nous sommes invités chez Juliette ! > me fait Clémentine.
Elle rajoute : < C'est un pot de l'amitié ! >. Je réponds : < Ce sera sympa de conclure notre virée par une fête au haras ! >.
Clémentine a mis une de ses jupettes "tennis". Un T-shirt. Elle me tend une autre jupette et un autre T-shirt de rechange.
Je mets le tout dans mon petit sac à dos. Il y a juste encore de la place pour les sandales en plastique. Nous voilà en route.

Il fait beau. Il fait Chaud. Juste une légère brise. Il y a peu de monde en ce mercredi après-midi. Il faut dire qu'il est tôt.
Dix kilomètres et nous arrivons à l'écluse du cabanon. Nous prenons la petite route qui descend sur la droite. La solitude.
Les prés sont plein de vaches. Il y a des chevaux. Nous parcourons les quelques kilomètres dans une campagne superbe.
Nous voilà arrivés au hangar. L'endroit est parfaitement désert. Puis nous entrons dans l'enclos par la porte entrouverte.
Je sors une vieille corde que j'ai apporté. Derrière nous je ferme soigneusement la porte grillagée avec de solides nœuds.

Nous poussons nos bicyclettes jusqu'à la rivière. Elle sont dissimulées dans les fourrés. Invisibles. Nous revenons au hangar.
Nous y pénétrons. Je sors tous le matériel de mon petit sac à dos. Clémentine contrôle la charge de la batterie caméra. Ok.
Elle fixe la caméra sur le trépieds. Ma compagne, passionnée d'images, sait parfaitement s'occuper de tout l'aspect technique.
Je sors la tablette. Clémentine allume et regarde l'écran. L'image filmée par la caméra est parfaite. Tout est fonctionnel. Bon.
Nous sortons. Nous allons jusqu'à la plate forme de béton. Je place la caméra sur son trépieds derrière les fourrés. Invisible.

Clémentine me fait : < Go ! >. J'allume la caméra. Tout fonctionne. Ma compagne me fait : < Ok ! >. La tablette posée au sol.
Je serais dissimulé derrière les fourrés. Je vais disposer l'appareil photo sur mode "Caméra" devant le socle en béton. Bosquet.
Ainsi, la caméra filmera l'éventuel voyeur. Clémentine sans relever la tête pourra observer le mâteur sur l'écran de sa tablette.
L'appareil photographique, sur mode "caméra", placé devant Clémentine, pourra la filmer. Je contrôle le tout encore une fois.
Tout est parfaitement réglé. Nous retournons à l'ombre dans le hangar. Je sors la paire de jumelles. Il nous reste à attendre...

Clémentine, la main sous sa jupette, tout en se masturbant doucement, me donne les dernières directives. Recommandations.
< Tu es planqué. Au moindre soucis, tu viens ! > me fait elle. Je la rassure, notre stratégie sera parfaite. Je sors ma queue.
Clémentine me fait : < Tu me la mets un peu ? >. Nous n'aimons pas trop baiser debout. Ma compagne se blottit contre moi.
Je la soulève. C'est toujours maladroit. Je la pénètre doucement. Nous restons un petit moment immobiles. C'est délicieux.
Nous cessons toutefois assez vite. Il faut faire le guet. Nous nous passons les jumelles à tour de rôle. Guettant de tous côtés.

Je regarde l'heure sur mon téléphone. Nous sommes là depuis près d'une demi heure. Enfin, là-bas, arrive quelqu'un. Cycliste.
Clémentine me tend la paire de jumelles. < Je me mets en situation ! > me fait elle. Je regarde. C'est un type en VTT. Sentier.
Il est à environ 300 mètres. Il avance péniblement et doucement. Clémentine, entièrement nue, est sur la plate forme. Prête.
Je me cache derrière les fourrés, juste derrière la jeune fille. Depuis le grillage, je suis parfaitement invisible. Mon cœur bât.
Je regarde Clémentine poser sa tablette au sol, juste entre ses cuisses écartées. Elle lève le pouce pour me faire signe. Bon !

Je regarde, halluciné, ma compagne toute nue, juste chaussée de ses sandales en plastique. Je suis chaussé des mêmes.
Je la vois de dos. elle est magnifique. Là, sur le sentier, derrière le grillage, à quelques dix mètres, arrive notre cycliste.
Il ne se rend pas immédiatement compte. Son attention attirée sur sa gauche, il a soudain comme une hallucination. Stop.
L'homme s'arrête. Il doit avoir une bonne quarantaine. Il est vêtu en tenue de cycliste. Il porte un casque. Lunettes noires.
Il reste debout, son vélo entre les jambes. Il n'en croit pas ses yeux. Là, devant lui, mais inaccessible, une fille se masturbe.

Clémentine, la tête baissée, les cheveux masquant son visage, vit enfin, et pour la première fois, son fantasme récurrent. Joie.
La jeune fille en appui sur sa main gauche posée au sol, se masturbe de sa main droite. Je sais qu'elle ne simule pas du tout.
Son plaisir est intense. Elle s'offre ce moment fou dont elle a tant rêvé. Elle ne regarde même plus l'écran de sa tablette au sol.
Le type regarde. Il a enlevé ses lunettes. Il se met à parler. De l'endroit où je suis planqué je ne peux pas entendre ce qu'il dit.
N'obtenant aucune réponse, il laisse tomber son vélo dans l'herbe. Il s'approche. Il se tient au grillage. Il regarde avec soin.

L'homme regarde à gauche et à droite. Il cherche sans doute une ouverture dans le grillage. Deux mètres de haut, environ.
Il marche quelques pas sur sa gauche et sur sa droite. Aucune accessibilité. Il revient mâter. Sa frustration doit être grande.
Clémentine se masturbe doucement, contrôlant parfaitement le déroulement de ce moment unique et hautement jouissif.
Le type tente plusieurs fois d'entrer en contact. Je le vois parler. Clémentine ne relève pas la tête. L'instant est intense. Fou.
Je bande certainement autant que le type que je vois tenter de grimper le grillage. Peine perdue. Il doit rester l'observateur.

Je sais que la capacité "caméra" de l'appareil photo est de 20 minutes. J'espère pouvoir filmer tout le déroulement de la scène.
Le type descend son short et se met à se masturber de manière assez désordonnée et frénétique. Je le comprends, le bougre.
Un tel "phénomène" ne se rencontre certainement qu'une seule fois dans une vie. Et pour une infime partie du monde cycliste.
Clémentine ne peut réfréner l'orgasme qui la submerge. Je la vois de dos, son corps secoué de spasmes d'une puissance inouïe.
Le type doit certainement éjaculer car je le vois tomber à genoux. Il prononce des paroles qui me sont incompréhensibles. Fou.

Clémentine enfonce le clou. Elle se met à pisser. Cambrée, les fesses presque posées au sol, elle envoie un incroyable jet. Fort.
Un jet qui vient se briser sur le béton à au moins trois mètres devant la jeune fille. Je me branle doucement. Le type est debout.
Tenant le grillage des deux mains, il continue à parler. Clémentine, ignorant complètement ses paroles, se redresse doucement.
Elle est debout, jambes largement écartées. elle lève enfin la tête pour regarder le cycliste. Elle pisse. Un dernier jet qui coule.
Clémentine porte ses larges lunettes noires. Je la vois de dos, se lâcher ainsi devant un parfait inconnu à la limite de l'apoplexie.

Le type a remonté son short. Il recommence à chercher une façon de rejoindre la jeune fille. Il semble agité d'une volonté forte.
Clémentine lui adresse un petit signe de la main, tourne des talons pour disparaître derrière les fourrés. Elle vient me rejoindre.
La jeune fille est trempée de sueur. Elle me fait : < Je n'ai jamais connu un tel orgasme ! Si tu savais ! >. Elle m'embrasse. Joie.
Nous regardons le type qui parcourt la clôture sur son vélo, cherchant désespérément une ouverture dans le grillage. Aucune !
Nous filons dans le hangar. De là nous observons l'inconnu qui cherche partout. Il essaie d'ouvrir la porte. De dénouer la corde.

Animé d'une rage fébrile, le cycliste doit se résoudre à son impuissance. Il a l'air furieux et secoue fortement le grillage de la porte.
Je retourne récupérer l'appareil photo et la tablette. Il ne me voit pas du tout de l'endroit où il passe sa rage. Je reviens au hangar.
Clémentine s'est rhabillée. Inutile de rester là plus longtemps. Cachés aux regards par les épais bosquets, nous descendons vite.
Nous prenons nos vélos sur l'épaule. Chaussées de nos sandales en plastique, nous franchissons la rivière. Nous traversons bien.
Nous voilà sur le chemin du moulin qui mène à la piste cyclable. Nous changeons de chaussures pour mettre nos baskets. En route.

De loin, avec les jumelles, arrêtés, nous regardons le type chercher une possibilité d'entrer dans l'enclos. Nous rions de bon cœur.
Nous voilà sur la piste cyclable. Clémentine me raconte toutes les émotions vécues. C'est impressionnant. Je la félicite. Rigolades.
Nous flânons un peu au port de plaisance. Nous croisons le plaisancier qui avait surpris Clémentine dans les chiottes. Il nous salue.
< Passez donc boire un verre sur le bateau, un de ces soirs ! > nous fait-il en dévorant Clémentine de son regard bovin. Rigolades.
Il est déjà 18 h30. Nous prenons doucement le chemin du retour. Nous arrivons au haras vers vingt heures. Il y a des voitures...

Nous entrons dans l'enclos. Il y a une longue table. Il y a une dizaine de personnes . Verres à la main. Toasts. Des bavardages.
Juliette nous voit arriver et vient à notre rencontre. < Comme c'est gentil d'être passé ! > nous fait elle en nous entraînant.
Juliette nous présente aux quelques personnes présentes. Des propriétaires de chevaux mis en pension ici, dans le haras. Sympa.
Juliette nous présente monsieur Jacques, son palefrenier aux longs cheveux gris. Puis c'est au tour d'Emilie qui prépare les chevaux.
< Ils sont là depuis longtemps. Lorsque j'ai repris l'entreprise, il y a huit ans, je les ai soigneusement gardé ! > nous fait Juliette.

Monsieur Jacques propose aux invités présents que cela intéresse de visiter la nouvelle écurie. Nous somme six personnes à suivre.
Clémentine a pratiqué l'équitation durant son adolescence. Même si ça n'a jamais été une réelle passion, c'était toujours un plaisir.
Nous visitons la nouvelle écurie en écoutant les explications de monsieur Jacques. Il travaille ici depuis plus de trente cinq ans !
Malgré ses 65 ans, il n'envisage pas un seul instant de prendre sa retraite. Un physique un peu lourd, longs cheveux en catogan.
Clémentine regarde les deux beaux chevaux qui évoluent dans le grand espace. Les autres visiteurs bavardent entre eux. Ambiance.

Je reste à discuter avec un propriétaire que je connais bien car il est collectionneur de tableaux. Il possède trois de mes œuvres.
Je regarde Clémentine, à l'écart, écoutant les explications de monsieur Jacques. Elle me cherche plusieurs fois du regard. Sourires.
Nous retournons dans la cour. Nous prenons congé des convives et nous promettons à Juliette de repasser en soirée très bientôt.
< Monsieur Jacques, tu ne devineras jamais, un vrai vicieux ! > me fait Clémentine. Je la regarde étonné. Nous arrivons à la maison.
< Il n'arrêtait pas de se toucher discrètement en discutant avec moi ! Vieux cochon ! > me dit elle. Nous rions de bon cœur. Joie.

Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Tout en me racontant "Jacques".
Nous décrochons le linge, petites culottes, slips et chaussettes avant de rentrer. La nuit tombe. Il est 21 h20. Nous avons faim.
Nous faisons de rapides salades pendant que les tartines aux anchois grillent au four. < Tu me baises après ? > me fait Clémentine.
Je la serre contre moi pour lui chuchoter : < Je vais te baiser comme un cycliste fou et comme un palefrenier vicieux ! >. Rigolades.
Le repas est délicieux. J'offre à Clémentine un orgasme en léchage de minou. Un autre en baise "classique". De grands moments !

Bonne baise à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Gentleman cinéaste, gentleman cycliste et gentleman complice) -

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Estelle, toute heureuse, vient passer la journée avec nous

Hier matin, jeudi, je me réveille sans doute le premier. Je regarde l'écran du réveil sur la table de nuit. Il est presque 8h.
Je regarde sur ma gauche, Clémentine semble encore dormir profondément. En apparence car soudain elle ouvre les yeux.
< Bonjour Bitounet ! > me fait elle en me chevauchant. Nous nous offrons des bisous. Tendresse, câlins et douceurs. Joie.
< Bonjour Clitorette ! > que je lui réponds entre deux papouilles. Le besoin pressant et naturel, nous impose de nous lever.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je tiens la jeune fille par ses cheveux. Elle se soulage dans un long jet sonore. Précis.

Je m'accroupis pour humer les parfums de sa nuit de fille avant de lécher la dernière petite goutte. Un régal de connaisseur.
Puis c'est à mon tour. Clémentine, accroupie sur ma droite, me tient la bite pour en diriger le jet. Elle me la secoue bien.
Elle récupère délicatement les derniers épanchements. Je la laisse sucer un peu avant de la forcer à se redresser. Plaisirs.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Dehors, il fait beau, il fait déjà très agréable. Nous décidons d'un jogging.
Nous voilà vêtus en tenue. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière en échauffement. C'est un vrai bonheur. Il fait doux.

Nous longeons la rivière d'une bonne foulée. Nous passons devant le haras. Malgré ce jour férié, il y a déjà des voitures.
Nous remontons par l'ancienne voix ferrée. Nous faisons durer. Nous sommes de retour pour dix heures. C'est la douche.
Nous faisons la chambre. Nous allons suspendre le linge dans le jardin. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Sympa.
Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle m'en secoue les dernières gouttes avant d'en sucer le reliquat.
Je la laisse se régaler un petit peu. Je la force à se redresser car sinon nous risquons fort d'y passer la matinée. Elle aime.

Je sors les pavés de saumons du congélateur. Ainsi, ils pourrons décongeler. Sinon ils risquent de partir en eau à la cuisson.
Je prépare le papier sulfuré, les feuilles d'aluminium et le nécessaire pour le repas de midi. Nous mangerons dehors. Joie.
Ce sera le premier repas de l'année que nous prendrons dans le jardin. Nous sortons la table et les chaises en métal blanc.
Tout est bien prêt. Il n'y a plus qu'à se laisser vivre et à buller, peinards. Clémentine évoque sa superbe exhibe de mercredi.
< C'est à refaire ! Il faut trouver un autre coin. Deux fois pareil, ce n'est pas marrant ! > me confie ma compagne. J'écoute.

Je lui fais confiance, la jeune fille avec son imagination débordante, trouvera rapidement un autre plan pour se montrer nue.
Nous évoquons notre séjour dans les Corbières. Ce séjour de neuf jours qui approche. Voilà Estelle qui arrive à bicyclette.
Estelle pose son vélo contre le muret de l'escalier du jardin. Elle vient vers nous à toute vitesse. Nous nous faisons la bise.
< Bonjour Julien ! > me fait la jeune fille toute contente de nous revoir. Je me lève pour lui serrer la main. Petite courbette.
Nous l'invitons à s'asseoir. Estelle nous raconte son après-midi de mercredi. Nous gardons le silence sur nos activités salaces.

Estelle passe la journée avec nous. Elle devra rentrer en fin de soirée. Elle reviendra vendredi soir jusqu'au dimanche. Soirée.
Nous bavardons. Les deux filles évoquent leurs cours avec d'amusantes anecdotes étudiantes. J'aime écouter. C'est si rigolo.
Comme les professeurs sont sollicités pour les examens, il y aura quantité d'après-midi libres. De quoi se préparer des plans.
Le gazouillis des oiseaux accompagne nos rires et nos échanges. Il n'y a pas le moindre souffle de vent. Il fait vraiment chaud.
Je me lève pour aller préparer notre repas. Je suis à la cuisine. Estelle arrive la première. < Je peux aider ? > demande t-elle.

Estelle s'approche très près de moi. Elle mime une masturbation masculine. elle insiste longuement. Bien salope. Très vulgaire.
< Je veux que tu sois vicelard toute la journée ! > me fait Estelle en posant sa main sur la braguette de mon short d'été.
C'est la toute première fois que la jeune fille se montre aussi pleine d'initiatives. Je reste étonné. Clémentine arrive. Elle siffle.
< Bravo ! J'ai le dos tourné deux minutes et voilà que tu allumes mon mec ! > fait elle. Nous rigolons comme des bossus. Joie.
Estelle m'aide à couper l'ail, l'oignon et la ciboulette. Clémentine s'occupe des salades. Carottes, tomates et endives à l'avocat.

Nous bavardons en évoquant les films pornos que nous avons déjà réalisé. Clémentine, prenant un air docte, nous explique.
< La pornographie n'est qu'un acte de prostitution filmé ! Hors, il n'est nullement question d'argent. C'est donc pas porno ! >
Nous rions de bon cœur en écoutant les explications de Clémentine qui imite certainement un professeur de la faculté. Rires.
< On peut continuer, alors ? > demande Estelle avec un air ingénue. Nous rigolons comme des bossus. Il y a de l'ambiance.
L'ail, l'oignon et la ciboulette sont finement émincés. Je dépose les pavés de saumon sur les feuilles de papier sulfuré. Bien.

J'explique à Estelle qu'il ne faut jamais mettre les aliments en contact avec l'aluminium. Toujours le papier sulfuré en protection.
Sur les pavés de saumon je dépose l'ail, l'oignon et la ciboulette. Du sel, du poivre et du curcuma. J'emballe les pavés préparés.
Je mets le tout dans les feuilles d'aluminium. Je referme soigneusement. Il n'y a plus qu'à déposer le tout sur le barbecue. Bien.
Le barbecue électrique est très pratique. Il se nettoie facilement et chauffe uniformément avec une grande régularité. Pratique.
Nous aidons Clémentine à la préparation des trois salades différentes. Tout cela dans les rires et la bonne humeur. Paradisiaque.

Estelle va mettre les couverts, les assiettes et les verres sur la table du jardin. Clémentine m'embrasse et se frotte contre moi.
< Sois salaud aujourd'hui ! Comme elle te l'a demandé. S'il te plaît Bitounet ! > me fait ma compagne. Je lui promets. Salaud !
Estelle est vêtue d'un T-shirt et d'un short bermuda. Des sandalettes. Elle est toute frêle et menue. Jeune étudiante de 20 ans.
Clémentine est vêtue d'une de ses jupettes, d'un T-shirt, de sandalettes également. Toute aussi menue. Jeune fille de vingt ans.
Moi, je suis en short hawaïen, un peu ridicule, en T-shirt et en espadrilles. C'est la première véritable journée d'été. Printemps.

Les salades sont prêtes. Nous allons nous asseoir au jardin. Estelle a allumé les bougies anti nuisibles. Pas de mouches. Rien.
Je vais chercher les pavés de saumon en papillotes qui grillent sur le barbecue dans la véranda aux baies vitrées ouvertes. Bon.
L'odeur met en appétit. Estelle vient me rejoindre. elle met sa main sur ma braguette et appuie plusieurs fois. Bien vicelarde.
<Petite salope ! > que je lui glisse à l'oreille. < Petite ? > me demande t-elle avant d'éclater de rire. Je prends le grand plateau.
Je mets les papillotes sur le support. Estelle n'arrête pas de me tripoter au travers le tissu de mon short à fleurs ridicule. Rires.

Nous sortons. Estelle marche à mes côtés en me tenant les couilles par derrière. Clémentine nous regarde arriver en rigolant.
Tout est sur la table. Nos appétits sont à la hauteur de ce délicieux repas qui nous attend. Les pavés de saumon sont un régal.
Nous savourons en bavardant. Estelle me regarde par en dessous avec son regard vicelard habituel. Elle me fait des clins d'œil.
Clémentine la regarde en riant : < Décidément, tu es sacrément "allumée" aujourd'hui. C'est le soleil ? > demande Clémentine.
< Je crois bien ! J'ai envie de plein de "trucs" ! > répond Estelle. Nous rigolons comme des bossus. C'est un délicieux moment.

< J'ai pas encore vu ta queue, aujourd'hui ! > me dit Estelle en m'aidant à débarrasser la table. Elle insiste pour faire la plonge.
Clémentine nous a précédé à la cuisine. < On se fait une virée à vélo, cet après-midi, il fait trop beau ! > nous fait Clémentine.
La suggestion est accueillit par un cri de joie d'Estelle qui lave la vaisselle. Ma compagne et moi, nous essuyons. Bavardages.
Estelle évoque le film qui est prévu samedi soir au hangar à foin. Nous envisageons de nous surpasser. Si c'est encore possible.
Nous rions de bon cœur. Il est 13 h. Nous nous offrons une coupe glacée. Vanille, pralin et pistache. C'est un vrai plaisir. Joie.

Pendant cette dégustation, je me lève pour passer derrière Estelle. Je lui pose la main sur la nuque. J'appui sur sa tête. Vicelard.
Estelle, en poussant un gloussement de plaisir, s'écrie : < Enfin ! >. < Petite salope ! > lui fait Clémentine en me sortant la bite.
Estelle termine de lécher sa coupe glacée vide, tourne la tête et me présente son visage d'ange. Je passe ma queue sur ses joues.
Comme toujours, les lèvres serrées, la jeune fille m'empêche d'enfoncer ma queue dans sa bouche. Je frotte ma bite sur sa peau.
< Tu suces quand ? > demande Clémentine en tenant Estelle sous le menton et ma queue qu'elle frotte sur le visage de la fille.

Nous restons ainsi un petit moment à nous offrir une de ces situations salaces dont nous sommes friands. Pour la joie d'Estelle.
< Prochainement ! > répond Estelle en me présentant chaque partie de son visage de pucelle vicieuse. Je bande. Un vrai salaud.
Clémentine ne peut s'empêcher de s'accroupir pour sucer les premières montées de liquide séminal. Je suis excité et ça coule.
Estelle se lève. Elle ouvre sa bouche pour me la présenter. Je veux l'embrasser. La jeune fille me crache au visage. Elle me fixe.
< Salopard ! > me fait elle avant de coller sa bouche sur la mienne. Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Super.

Clémentine me pompe comme si sa vie en dépendait. C'est toujours si excitant d'embrasser en se faisant sucer. Il y a de la jute.
Nous restons un long moment à nous offrir ces délices. Je force Clémentine à se redresser. Elle était à genoux dans l'herbe. Joie.
Je repousse délicatement Estelle. Nous débarrassons la table. Estelle file à la cuisine avec les coupes vides. Clémentine me sourit.
< Tu es génial, mon Bitounet. Toujours si maître de toi et des situations. Je t'aime comme une folle !> fait elle en m'embrassant.
Je la serre contre moi. Sa bouche a le goût de mon foutre. Après la bouche d'Estelle, je savoure celle de Clémentine. Je préfère...

Nous nous préparons. Je vérifie la pression de pneumatiques des VTC. 4,5 bars, c'est l'idéal. Je monte à 5 pour la facilité. Soleil.
Nous voilà en route. Nous prenons la direction contraire. Nous allons vers le petit lac. 30 km dans un sens. 30 km dans l'autre.
Nous croisons beaucoup de cyclistes, de promeneurs et de rollers. Nous bavardons. c'est encore une exquise virée à bicyclette.
Nous arrivons au lac. Il y a un monde fou. Nous trouvons quand même un petit coin isolé pour nous livrer à nos trucs intimes.
Je me fais pomper par Clémentine sous le regard d'Estelle qui m'embrasse presque tout le temps. C'est vraiment sublime. Bien.

Je lèche Clémentine dont la chatte est trempée. Estelle, son visage tout près du mien, m'observe. < C'est génial ! > me dit-elle.
< C'est donc ça qui me fait tellement de bien lorsque je suis attachée dans ton grenier ? > me fait encore Estelle en me touchant.
Estelle adore me tenir les couilles. Elle me tient la bite, toujours sans bouger. Clémentine est aux anges et gémit sans arrêt.
Nous nous faisons surprendre par un couple. Nous avons juste le temps de nous mettre sur le ventre. Des personnes âgés. Rires.
Nous prenons le chemin du retour. Nous sommes à la maison pour 20 h30. Estelle est obligée de nous quitter. Le cœur en peine...

Bon pavé de saumon préparé au barbecue à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Salopard et vicelard pour jeunes filles délurées et bien salopes. Et sur rendez-vous !) -

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Exceptionnellement, Estelle arrive déjà vendredi en soirée

Il est presque huit heures, hier matin, vendredi, lorsque je me réveille. Mon horloge biologique fonctionne parfaitement.
Je regarde sur ma gauche. Je m'imagine que Clémentine dort encore à poings fermés. En silence. Ce n'est qu'une illusion.
A peine ai-je ouvert les yeux que ma compagne ouvre les siens. < Bonjour mon Bitounet ! > fait elle, me chevauchant.
Nous nous faisons plein de bisous, de câlins et de douceurs. Le besoin pressant de nos vessies pleines est le plus fort.
Clémentine m'entraîne par la main. Nous voilà aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux. Elle se soulage dans un long jet.

Je m'accroupis pour humer les parfums de sa nuit de fille avant de récupérer la dernière petite goutte. Je me redresse.
C'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Elle m'en secoue soigneusement les dernières gouttes.
Accroupie, ma compagne, savoure les reliquats. Je la laisse se régaler quelques instants avant de la forcer à se redresser.
Nous descendons en toute hâte, animés d'une faim de loups. Nous prenons notre petit déjeuner en traînant un peu. Cool.
Il fait beau. Il fait déjà chaud. C'est magnifique. Clémentine me propose un jogging. La suggestion nous enchante. Super.

Nous faisons notre vaisselle. Nous montons nous changer. Nous voilà à courir sous un ciel parfaitement bleu. Le soleil haut.
Nous faisons durer notre running une heure trente. Nous sommes de retour pour dix heures. Nous prenons notre douche.
Je fais une machine. Nous décidons de nous offrir une belle randonnée sur le sentier côtier. L'océan doit être magnifique.
Nous préparons mon petit sac à dos. Je propose de nous faire un petit restaurant de bord de mer, sur le parcours. Joies.
Avant de partir, je suspends le linge. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet.

Je suis vêtu d'un de mes shorts ridicules. Celui d'aujourd'hui est orange vif. < Il faut bien les user ! > me fait Clémentine.
La jeune fille est vêtue d'une de ses jupettes "tennis" et d'un simple T-shirt blanc. Elle a l'appareil photo en bandoulière.
Clémentine me secoue les dernières gouttes avant de s'accroupir pour en savourer les derniers épanchements. Appétit.
Je sors la voiture. Nous voilà en route pour les falaises. Quelques kilomètres avec la bite à l'air que tripote Clémentine.
Nous arrivons pour onze heures trente. Je gare la voiture dans l'enclos de la vieille chapelle, à l'ombre des grands arbres.

Nous voilà à marcher sur le sentier. Il fait chaud. C'est presque comme en plein mois de juillet. C'est incroyable. Superbe.
Clémentine s'arrête, me fait un sourire et retire sa culotte. < On ne sait jamais ! Il peut se présenter un "plan" ! > dit-elle.
Nous rions de bon cœur pendant que la jeune fille range sa culotte dans le petit sac à dos que je porte. Nous marchons.
Nous arrivons à la plage. Il y a du monde. Principalement des familles. Nous marchons jusqu'aux falaises. Le petit bourg.
Il est midi passé. Nous entrons dans la cour du restaurant. Il y a peu de monde. Nous choisissons une table à l'extérieur.

Nous nous offrons un plateau de fruits de mer. Savoureux et absolument délicieux. Il y a un couple assis près de nous.
Clémentine me fait : < Je vais tenter une petite exhibe ! Un truc sympa, pour voir ! >. Nous rions de bon cœur. Coquine.
Clémentine me chuchote tout ce qu'elle est entrain de faire sous la table. Cuisses écartées. Jambes croisées, décroisées.
La femme nous tourne le dos. L'homme, tout en bavardant, a remarqué le manège de la jeune fille qui lui fait face. Vice.
Je jeu ne dure pas très longtemps car le couple paie, se lève et s'en va. Clémentine me fait : < Un jour "sans" ! >. Déçue.

Nous demandons l'addition. Il est temps de faire un peu d'exercice. Nous voilà enfin en haut des falaises. Sur le sentier.
< Tu sais qu'aujourd'hui, ça fait une année que nous nous connaissons ? > me fait Clémentine. Je m'arrête, un peu confus.
Nous autres, les hommes, nous avons souvent tendance à ne pas tenir compte de ces petites dates importantes. Silence.
Je prends Clémentine contre moi. Je dis : < Mais c'est pour ça que je t'ai invité au restaurant ! >. < Menteur ! > fait elle.
Nous rigolons comme des bossus de mon grossier mensonge. < Je t'aime Bitounet ! On s'en fout ! > me fait Clémentine.

Le paysage est fantastique. L'océan est bleu. Le ciel est d'une pureté parfaite. Au loin, il y a des voiliers, un gros bateau.
Nous croisons quelques rares randonneurs. Nous sommes sur l'ancien sentier douanier. Juste au bord des falaises. Beau.
Parfois nous surplombons la mer à plus de 50 mètres de haut. C'est vertigineux. Il y a les vieilles maisons de pierre.
Les maisons fermées, abandonnées, ayant appartenu aux douaniers qui, jusqu'au XIXème siècle, surveillaient les côtes.
Quelques panneaux touristiques racontent les aventures des contrebandiers qui défiaient ici la loi. C'est très intéressant.

Nous sommes assis sur les marches de granit d'une de ces anciennes constructions défiant le vide au-dessus de la mer.
Soudain Clémentine me pousse du coude pour me faire : < Planque-toi, il y un "plan" ! >. Je regarde. Un promeneur !
Je me lève pour aller me dissimuler entre l'angle du mur et la paroi rocheuse. Un randonneur arrive. Il tient une carte.
Le randonneur est seul. Il porte un sac à dos. Il doit avoir la cinquantaine. Il s'arrête souvent pour regarder l'océan.
Il n'a pas encore vu Clémentine qui est assise sur les marches de l'escalier. Elle observe l'écran de son smartphone.

L'inconnu arrive au bas de l'escalier. Il lève la tête. Impossible de ne pas remarquer l'invraisemblable touffe de la fille.
Cette dernière, les cuisses légèrement écartées, offre aux regards une vue aussi imprenable que celle de l'océan. Sympa.
Notre randonneur s'arrête. Il regarde avec attention. < Bonjour ! > lance t-il à l'attention de la jeune fille. Un silence.
Clémentine lève la tête pour répondre à son tour d'un bonjour poli. Le type s'informe de sa situation. De la direction.
< Vous êtes de la région ? > demande t-il. < Non, mais je peux peut-être vous renseigner ! > fait Clémentine. Silence.

La jeune fille reste immobile. Bien salope. Le type mâte un peu. Confus. < Vous êtes toute seule ? > rajoute le quidam.
< Non ! Mon ami prend des photos un peu plus haut ! > répond Clémentine. Cette formule imparable "sécurise" bien.
Le randonneur sait donc qu'il n'y a rien à entreprendre. Il y a juste à regarder. Il ne s'en prive évidemment pas du tout.
Une fois encore, j'admire le culot dont fait preuve la jeune fille. Je sais tout ce qu'il lui faut surmonter d'inhibitions.
Notre marcheur pose une série de questions sur le parcours, sur le sentier et sur sa destination. Clémentine s'en amuse.

Le type monte quelques marches. Il tente une "approche". Visiblement tourmenté par l'attitude ambiguë de la jeune fille.
Il pose son sac au sol et s'assoit. A présent, ouvertement, il se met à draguer. Clémentine reste dans sa position. Salope.
La conversation tourne à présent ouvertement sur le sexe. Il y a même la proposition d'un "petit truc rapide". J'écoute.
Depuis ma cachette, à une dizaine de mètres, je me marre comme un fou. C'est toujours tellement maladroit et ridicule.
Le randonneur devient entreprenant. Il se lève et monte encore deux marches. A quelques mètres de Clémentine. Près.

Notre randonneur devient un peu vulgaire dans ses propositions. Clémentine joue son rôle à la perfection. C'est étonnant.
La salope effarouchée dans toute sa splendeur. Le type se rapproche encore. C'est un "boulet", un casse-pied. C'est certain.
J'estime qu'il est temps d'intervenir. Je sors de ma cachette en tenant mon téléphone comme si je venais de photographier.
Le type me voit arriver. Il se lève tout en me faisant < Bonjour ! >. Il est étonné de voir "l'ami" de Clémentine. Surprise.
Il remet son sac sur le dos, nous salue et continue sa route. Nous continuons la notre. Nous rigolons comme des bossus...

Sur le chemin du retour, mon téléphone sonne. C'est Estelle qui m'envoie un message. Elle arrive à la maison pour 20 h.
< Nous serons largement de retour ! > me fait Clémentine avant de répondre au message. Nous marchons en admirant.
Comme prévu, nous sommes de retour à la maison pour 19 h45. Estelle est déjà là, assise dans le jardin. Souriante. Ravie.
Quelle n'est pas notre surprise. Estelle a préparé une salade de concombre et une salade de tomate. Délicieuse attention.
La jeune fille est toute contente de nous voir. Elle est vêtue d'un short, d'un T-shirt et de ses sandalettes. Deux bises...

Je prépare de rapides tartines aux anchois que je fais griller en papillotes sur le barbecue électrique. Pendant la douche.
Lorsque Clémentine et moi revenons au jardin, Estelle a préparé la table. Nous mangerons dehors. C'est vraiment super.
Estelle restera avec nous jusqu'à dimanche soir. Nous sommes à nous réjouir. Nous évoquons notre projet de "film" porno.
Nous avons la certitude que la météo restera au beau fixe. Je propose de nous rendre samedi soir au hangar en voiture.
< On se fait une virée bicyclette l'après-midi et on revient vers 19 h ! Et on part en bagnole ! > propose Clémentine. Bien.

Estelle nous propose de débarrasser la table et d'attendre l'arrivée du dessert qu'elle va préparer. Coupes glacées. Délices.
Debout sur la première marche de l'escalier, Estelle mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité possible.
< Tout à l'heure ? > me lance t-elle avec un clin d'œil. < Petite salope ! > lui fait Clémentine. Nous éclatons de rire. Sympa.
< Sors ta bite, fais-lui plaisir ! > me fait Clémentine. < Attends, tu vas voir ! > que je lui fais en ouvrant ma braguette.
Je me lève, la bite à l'air, pour aller rejoindre Estelle à la cuisine. La jeune fille me voit arriver en faisant tournoyer mon zob.

Immédiatement, sans la moindre hésitation, Estelle se précipite contre moi pour m'embrasser. Sa bouche avide. Gourmande.
Je n'aime pas faire ce genre de chose lorsque Clémentine n'est pas à proximité. J'ai l'impression de la trahir. Un vrai malaise.
Pourtant Clémentine m'encourage à de telles initiatives. Elle en est complice. Elle sait que je ne la trompe pas. Juste un "plan".
D'ailleurs, nous ne sommes pas trente secondes seuls que Clémentine arrive. Elle s'interpose entre Estelle et moi. Fermement.
< Et voilà ! J'ai le dos tourné deux minutes ! > fait elle. Nous éclatons de rire. Clémentine me prend contre elle. Fortement.

Estelle prépare les coupes glacées. Clémentine m'a entraîné au dehors. < Ce soir, c'est une soirée "sans" ! > me fait elle.
Je la regarde étonné. < Je te veux pour moi ! Propriété privée ! > rajoute t-elle avant de m'embrasser. Je suis rassuré.
Estelle vient avec le grand plateau sur lequel sont disposées les coupes. Elle nous sert. Nous passons la soirée à bavarder.
C'est la première soirée qui permet de rester ainsi à traîner au jardin. Même après la nuit tombée. Nous en profitons bien.
Les filles décident de réviser un peu. J'écris ces quelques lignes. Il est déjà 23 h. Nous sommes au lit à minuit. Sommeil...

Bonne randonnée au bord de l'océan à toutes et à tous en haut des falaises sur le sentier côtier...

Oncle Julien - (Qui porte le sac à dos, sécurise les "plans" exhibes à Clémentine et fait des tartines aux anchois) -

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Estelle passe tout le week-end avec nous, à la maison

Je suis réveillé par des rires étouffés, des chuchotements et des murmures. J'ouvre l'œil et le bon. Je regarde sur ma gauche.
Clémentine et Estelle sont entrain de bavarder. < Bonjour Bitounet ! > me fait Clémentine avant de me chevaucher en riant.
Je regarde l'heure. Il est sept heures trente. Ce samedi matin est déjà lumineux. La chambre est inondée de lumière. Sympa.
< Bonjour Julien ! > me fait Estelle depuis le bout du lit. En mimant un bisou qu'elle souffle dans sa main. Je fais tout pareil.
Estelle se rapproche et me fait un vrai bisou avant de se lever en disant : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. Joie.

< On arrive dans cinq minutes ! > fait Clémentine en me couvrant le visage de bisous. Nous nous offrons plein de papouilles.
L'envie de pisser est rapidement trop forte. Clémentine se lève et m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Je la tiens bien.
La jeune fille se soulage dans un long jet puissant et sonore. Je m'accroupis pour humer les parfums de sa nuit de fille. Sympa.
Puis, c'est au tour de Clémentine qui me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en récupère les dernières gouttes.
Je la laisse se régaler un peu. Je la force à se redresser et nous descendons rejoindre Estelle qui a déjà tout préparé. Véranda.

Estelle porte juste un long T-shirt tout comme Clémentine et moi. Les deux filles sont grandes. Presque la même taille. Belles.
J'ai l'impression d'être en compagnie de jumelles. Et cette sensation devient de plus en plus prégnante. C'est curieux. Etrange.
L'odeur du café fumant conjuguée à celle du pain grillé achèvent de nous mettre en appétit. Nous nous installons dans la véranda.
Je beurre les tartines pour tout le monde, un peu à la façon d'un patriarche. Cela nous amuse beaucoup. Bavardages et rires.
Estelle se lève, mime une masturbation masculine et vient se mettre à mes côtés. Elle pose sa main sur sa nuque en appuyant.

Elle m'imite. Nous rions de bon cœur. L'ambiance de ce début de matinée s'annonce particulièrement animée. Très agréable.
Nous bavardons. Nous traînons à table. Pour le lundi 5 juin, nouveau jour férié, Clémentine propose à Estelle d'être avec nous.
Estelle, toute heureuse, se lève pour sautiller autour de la table. Elle nous fait des bises à chacun en s'écriant : < Génial ! >.
Je suis pétri d'émotion à la vue de ce bonheur. Ma maison, encore silencieuse il y a un an, résonne à présent de cris de joies.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine propose un bon jogging. La suggestion est évidemment accueillie avec joie et animation.

Nous montons nous changer. Estelle, dans son petit sac à dos, à tout prévu. Comme nous, la voilà en short, T-shirt et baskets.
Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière dans un rythme d'échauffement soutenu. Puis nous longeons le cour d'eau. Super.
Il fait beau. Il fait chaud. C'est une réelle matinée d'été. Nous en profitons pleinement. Nous faisons durer une heure et demi.
Nous sommes de retour pour 9 h45. Estelle prend sa rapide douche la première. Nous faisons la chambre. Puis c'est notre tour.
Clémentine propose à Estelle de s'habiller en "fille". Jupe légère. Je mets mon pantalon clair et une chemise claire. Mocassins.

Nous voilà prêts pour aller faire nos courses. C'est la première fois qu'Estelle nous accompagne au marché. C'est sympathique.
Je roule. Clémentine a posé sa main sur ma braguette. Estelle, assise à l'arrière, me tient par le cou. Nous rions beaucoup.
Je gare la voiture. Nous déambulons dans l'allée centrale. Le marché du bourg est animé. Il y a du monde. Matinée radieuse.
Nous faisons provisions de légumes, de fruits, de fromages et d'œufs. Nous retournons à la voiture. Direction le supermarché.
Hors de question pour Clémentine de se livrer à sa passion exhibitionniste. C'est un secret commun. Secret de polichinelle.

Je pousse le caddie. Nos hautes tailles attirent les regards sur nos silhouettes. Je dois passer pour le père des deux jeunes filles.
C'est toujours amusant. Si les gens savaient ! Cela participe toujours de nos petits plaisirs. Nous traînons un peu dans les rayons.
Il y a du monde. Clémentine ne rate pas de réelles opportunités d'exhibes. Il y aurait bien trop de gens. Rayon "culture". Livres.
Nous feuilletons quelques dernières parutions. Soudain, derrière nous, la voix devenue familière de Juliette. La dame du haras.
Elle nous serre la main, ravie de nous rencontrer. Juliette est élégamment vêtue. Très "bourge". Elle reconnaît également Estelle.

Nous bavardons un peu. Juliette nous propose de passer un soir de la semaine prochaine. Au retour d'une de nos escapades.
Nous acceptons bien volontiers. < Il y a toujours du jus de fruit, avec cette météo ! > précise la jeune femme. Nous promettons.
Nous allons au rayon poissonnerie. Nous prenons quantité de morceaux de poisson en prévision de nos nombreux barbecues.
Nous voilà à la maison pour midi trente. Clémentine prépare des salades. Concombre et tomates. Je prépare les grillades.
Estelle m'aide à émincer l'ail, l'oignon et la ciboulette de notre jardin. Je coupe les filets de lieu noir. Ils seront en papillotes.

Nous décidons de prendre notre repas au jardin. Tout est rapidement prêt. Nous voilà à savourer ce délicieux repas. Ambiance.
Cet après-midi, nous irons jusqu'à la plage à bicyclette sur la petite route de campagne. La circulation y est réduite et rare.
Nous ne sommes pas très "plage". L'inaction et le farniente nous pèsent rapidement. Il nous faut bouger, découvrir et vivre.
Estelle est pareille. Rien ne l'ennuie davantage que de s'exposer sur une serviette au soleil à se faire tanner le cuir. Rires.
Nous y resterons une petite heure afin de prendre la température de l'eau. Nous faisons la vaisselle. Nous rions toujours bien.

Clémentine m'entraîne derrière le garage. Suivie d'Estelle qui vient voir. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Nous rions de bon cœur de cette plaisanterie quotidienne et récurrente. Clémentine tend ma bite à Estelle qui s'en saisit ravie.
Estelle vise un peu moins bien pour faire de beaux dessins. Elle manque évidemment de pratique. < Je sens bien ! > dit-elle.
Estelle secoue les dernières gouttes. Clémentine, accroupie, récupère avec avidité les derniers épanchements. Estelle rit fort.
Nous préparons nos affaires pour partir. Nous voilà à bicyclette, pédalant d'un bon rythme. Il y a une dizaine de kilomètres.

Nous arrivons. Il y a du monde. Principalement des familles. Cris, jeux et mouvements. Tout ce qui nous donne envie de fuir.
Nous trouvons un petit coin au bas des falaises. Nous étalons nos serviettes à l'ombre des rochers. Nous sortons nos bouquins.
Nous tentons la baignade. Clémentine et Estelle, vêtues de leurs bikinis, minces, grandes paraissent encore plus frêles. Menues.
Je les regarde faire les clowns en riant. Une fois encore, je prends conscience de mon immense privilège. Nous voilà dans l'eau.
Enfin, juste les pieds dans l'eau car la température de l'eau a de quoi rebuter. Nous ne sommes qu'à la fin du mois de mai...

Nous marchons avec les pieds dans l'eau. Nous parcourons une partie de la longueur de la plage. Avec un œil sur nos affaires.
Le soleil tape. Les filles bavardes. Elles évoquent les vacances. Estelle va bosser dans la petite entreprise familiale. Un mois.
Cela ne semble pas trop la séduire. Elle envie notre séjour en Ecosse. < Moi aussi, je veux un "Julien" ! > dit-elle. Nous rions.
Il est déjà dix sept heures. Clémentine propose le retour, peinard. Nous sommes à la maison pour dix huit heures trente. Bien.
Nous nous préparons des crudités. L'air de l'océan et la bicyclette nous ont ouvert l'appétit. Priorités aux salades. Pain grillé.

Estelle insiste pour faire la plonge. J'essuie la vaisselle. Clémentine est allé préparer le matériel pour notre projet de ce soir.
Caméra, appareil photo, trépieds, bougies, batteries de rechange, grandes serviettes, jerricane d'eau. Très "professionnelle".
Ma compagne dispose le tout dans le coffre de la voiture. Nous montons à l'étage pour y choisir quelques vêtements légers.
Nous voilà en route pour le hangar à foin. Je gare la voiture, cachée derrière des bosquets. L'endroit est désert. C'est mieux.
Il faut traverser la rivière. Sandales en plastique, toutes les affaires à la main nous voilà à patauger dans le léger courant.

Nous entrons dans le hangar. Rien a changé. L'odeur de foin est forte et très agréable. Je vais vérifier les alentours proches.
La porte grillagée, à l'extérieur, est toujours condamnées par les cordes que j'y ai noué. Aucun risque d'êtres dérangés. Bien.
Je reviens. Clémentine a fixé la caméra sur son trépieds. Estelle se change. Une jupette légère à Clémentine. Un T-shirt.
Estelle est chaussée des "souliers de baise" de Clémentine. Ces escarpins noirs avec la petite sangle autour de la cheville.
Cette sangle empêche le soulier de tomber. En plus, c'est terriblement sexy. Estelle est magnifique. Cheveux noués en queue.

La luminosité permettra de filmer au moins jusqu'à 21 h30. Il est à peine 20 h. Nous avons donc toute la soirée devant nous.
Estelle me regarde par en dessous à plusieurs reprises. Un regard terriblement vicieux. La fille a tant attendu ce moment !
Clémentine fait quelques essais caméras. < Tout est ok ! > nous lance t-elle. Estelle est debout, là, mains derrière le dos.
Je monte l'échelle pour fixer les cordelettes de coton blanc à la poutre. Je redescends. Tout est prêt. Nous pouvons y aller.
J'entraîne Estelle à l'entrée du hangar. < Moteur ! > nous fait Clémentine. Je saisis Estelle par ses cheveux noués en queue.

Je l'entraîne dans le champs de la caméra. Sans ménagement. Fermement mais sans brutalité. Je prends ses poignets. Fort.
Je passe ses mains derrière son dos pour les attacher. Clémentine porte la caméra pour tourner autour de nous. Autres vues.
Estelle, silencieuse, ne peut dissimuler sa joie. Elle va vivre une nouvelle expérience "Bondage". Un sixième film personnel.
Je la saisi par ses cheveux. Je la force à me suivre. Les mains attachées derrière le dos, la jeune fille avance péniblement.
Marchant maladroitement dans ses souliers à talons hauts, la jeune fille avance prudemment. Courbée en avant. Guidées.

Je lui fais faire le tour de l'intérieur du hangar deux fois. Je la force à se mettre à genoux sur la couverture écossaise pliée.
Clémentine se rapproche pour filmer en gros plan. Je sors ma bite. Je l'agite devant la jeune fille. Longuement. Bien vicelard.
Doucement, lui tenant les cheveux d'une main, ma queue de l'autre, je lui passe mon sexe sur le visage. Elle en gémit d'aise.
J'insiste sur les lèvres ostensiblement pincées de la jeune fille qui évite ainsi de me laisser enfoncer ma bite dans sa bouche.
Ce jeu, d'une grande intensité émotionnel, permet à Estelle de faire son "numéro" de vierge effarouchée. Actrice parfaite...

Clémentine filme. J'aime la voir accroupie, cuisses écartées, concentrée sur les prises de vue. C'est ça qui m'excite le plus.
C'est ma compagne. C'est la fille que j'aime. Cette merveilleuse complicité, en ces instants, me semble l'aboutissement ultime.
Elle en a la même conscience aiguë car ses regards en disent longs. Je frotte ma queue sur le visage d'Estelle. Longuement.
Je fais durer cette scène car elle a toutes les préférences de la jeune fille. Fausse soumise, mais vraie salope, elle en jouit.
Je bande mou. J'ai la bite qui commence à suinter. Du liquide séminal s'écoule dans un long filament gluant au bout du méat.

J'en macule le visage d'Estelle. Clémentine se rapproche pour filmer cet acte dans son intimité la plus crue et pertinente.
Il y a des vêtements de change. Nous avons tout prévu jusque dans les moindres détails. Je me concentre. J'ai le temps.
Clémentine pose la caméra fixée sur son trépieds juste devant nous. Elle passe une main sous sa jupette. S'en est trop.
Tout cela excite considérablement ma compagne. Mon comportement vicelard est son spectacle préféré dans ces moments.
Je lui en offre pour son plaisir. C'est avant tout pour elle. Estelle n'est alors plus que notre "jouet". Ce qu'elle adore aussi.

Je lâche un jet de pisse. Bref, net et précis. Estelle a juste le temps de détourner sa frimousse. Son visage déjà trempé !
Trop tard. Je lui passe à nouveau ma queue sur les joues, les lèvres. Je bande à présent comme le derniers des salauds.
J'entends la respiration saccadée de Clémentine qui en oublie presque la caméra. Estelle reste sur ses gardes, yeux ouverts.
Je lui pince le nez. Elle sait ce que je prépare. < Salopard ! > me lance t-elle avec un regard de défi intense et sévère...
Je lui frotte la bite sur le visage. Je me retire un peu. Je reste immobile. Je me concentre. Je pince le nez d'Estelle. Fort.

Estelle commence à suffoquer. Elle ouvre la bouche pour pouvoir reprendre son souffle. Sournois, j'attends le bon moment.
Estelle est obligée d'ouvrir la bouche une nouvelle fois pour pouvoir respirer. Précis et salaud, je lui pisse droit à l'intérieur.
Estelle, avec force, s'arrache de mon étreinte pour recracher le liquide en poussant un cri de dégoût. < Salaud ! > dit-elle.
La bouche ruisselante de pisse qui lui dégouline partout, Estelle me fixe avec un regard plein de défiance et de fierté. Belle.
Je recommence mes petits agissements de salopards plusieurs fois. C'est bien dégueulasse. Nous sommes très excités...

Je force Estelle à se redresser. Clémentine fait de même et s'empare de la caméra pour suivre mes mouvements. Précise.
Je fixe les poignets d'Estelle, bras écartés, à chaque extrémité des cordelettes qui pendent de la poutre juste au-dessus.
Entre les chevilles d'Estelle, je fixe le manche à balai. Cela l'oblige à garder les jambes écartées largement. Contrainte.
Je suis à genoux. Je regarde la culotte de coton blanc d'Estelle. Une auréole mouillée la macule à l'endroit de sa vulve.
Pas l'ombre d'un doute, cette petite salope mouille. Clémentine vient filmer de près. J'écarte l'élastique de la culotte...

Je passe mon doigt. Il y a de la cyprine laiteuse et gluante. Estelle a un réflexe. Plusieurs petits spasmes de son bassin.
Je goûte mon doigt. Je renifle. Le sexe d'Estelle émet une odeur forte. Soudain, comme la dernière fois, Estelle se lâche.
Comme si elle attendait le moment précis où j'ai le visage à proximité, elle me pisse à la gueule. Je ne peux pas l'éviter.
A mon tour d'avoir le visage trempé de pisse. Je pose ma bouche sur le sexe dégoulinant d'Estelle. Ce goût fort et acidulé.
Je suce. Je pompe. Ma position me fait mal à la nuque. C'est inconfortable. Clémentine filme. Je me régale de jus de fille.

Estelle a cette particularité d'avoir d'abondantes sécrétions. Cette petite salope arrive à lâcher de petites giclées de pisse.
Il y a donc un mélange continu de jus de fille et de pisse. Clémentine a beaucoup de mal à rester concentrée. Elle filme.
Estelle est secouée de spasmes. Elle pousse d'étranges petits cris. Des gémissants lascifs. Sa jouissance est immense.
La jeune fille ne peut réfréner l'orgasme qui la submerge. Elle se lâche dans un jet de pisse qui semble intarissable. Vice.
J'ai à peine le temps de me retirer. J'ai malgré tout la tête et les épaules complètement mouillées. Je dégouline de pisse.

Clémentine ne peut pas réfréner son orgasme non plus. Tombant à genoux, les mains entre ses cuisses, elle pousse un cri.
Ces deux salopes se roulent dans le vice, le stupre et la luxure avec les plus divins raffinements. Quelles merveilles. Géant.
Il y a une flaque de pisse au sol. Une vraie marre. De la cyprine dégouline du sexe d'Estelle pour venir flotter sur le tout.
Je me redresse. Je détache les poignets de la fille. Estelle s'avance. Ses souliers laissent des traces derrière elle. La pisse.
Elle s'accroupit un peu plus loin, une main sous sa jupe. Elle me regarde avec les yeux brillants de reconnaissance. Joies.

Clémentine s'est redressée également. Elle passe derrière la caméra. Elle lève le pouce. Tout va bien. C'est dans la boîte.
Je m'approche d'Estelle. Je la saisi par ses cheveux mouillés. < Non ! > s'écrie t-elle. Je la maintiens fermement. De force.
Je lui passe la bite sur le visage. Clémentine s'approche avec la caméra. Estelle tente de se débattre. Je la tiens fortement.
Je lui pince le nez en la tenant par les cheveux. J'attends le moment inévitable où la jeune fille reprendra sa respiration.
Ce moment inéluctable arrive. Je m'avance. Je lui enfonce la queue dans la bouche. Estelle ne s'est jamais débattue autant.

Je la tiens par les oreilles. J'ai la bite profondément enfoncée dans sa bouche. Je l'entends gémir. Elle se débat avec force.
Estelle se saisit de mes poignets avec force. Elle se met à les frapper de ses poings. Elle tombe à genoux au sol. Rageuse.
J'éjacule sournoisement en la maintenant. Je n'ai jamais été confronté à tant de détermination de la part de la jeune fille.
Estelle n'a d'autres choix que d'avaler. Je me retire enfin. En tentant de recracher, poussant un cri de dégoût, elle vomit.
Clémentine filme la scène avec peine car elle a recommencé à se toucher. Estelle, une main entre ses cuisses, toussote.

Au sol, il y a une flaque gluante, jaune. Un long filament s'échappe de la bouche de la jeune fille, la tête penchée au sol.
Tout en crachant, Estelle a le corps secoué d'un nouveau spasme. Il y a des tremblements. elle lève la tête. Me regarde.
Curieusement malgré son "jeu" de vierge effarouchée, (et il y avait de quoi), Estelle me regarde avec une infinie douceur.
La jeune fille vient encore de s'offrir un de ses moments de vice, de trouilles et d'émotions intenses. Et immortalisé. Film.
Clémentine vient me prendre par la taille. Le signal sonore de la caméra nous indique que la carte SD est arrivée à terme.

Nous sommes tous les trois assis à même le sol. Nous restons silencieux. Nous nous regardons un peu stupides. Sol froid.
Estelle se met à rire la première. Ce n'est pas un rire nerveux. Non, c'est un rire franc, sincère, à l'image de la jeune fille.
Nous ne tardons pas à éclater de rire tous les trois. Tant d'intensité, de concentration, nous ont épuisé. Nous rigolons...
Clémentine reprends ses esprits. Elle se lève pour aller récupérer des serviettes dans le sac. Elle nous les tend, amusée.
< Essuyez-vous, bande de grands sales ! > nous fait-elle en cherchant le jerricane d'eau. Nous rigolons comme des bossus.

Il est déjà 21 h30. Il est temps de rentrer. Nous nous changeons. Nous traversons la rivière. Il fait nuit. La voiture est là.
C'est Clémentine qui roule. Je suis assis à l'arrière. Estelle est sur le siège passager. Nous évitons d'aborder le sujet "sexe".
Nous voilà à la maison. Estelle prend sa douche la première. Puis c'est à nous. Estelle est assise devant son ordinateur.
Comme toujours, la jeune fille télécharge de la carte SD sur son disque dur externe. Elle le fait immédiatement. Sécurité.
Les filles révisent un peu leurs cours. J'écris ce récit. Nous sommés épuisés. Au lit. Dodo à minuit passé. Il était temps...

Bonne séance de "Bondage" avec votre soumise volontaire à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Heureux privilégié parmi les privilégiés) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Encore un dimanche d'été en plein printemps

Hier matin, dimanche, c'est le concerto habituel de rires étouffés, de chuchotements et de murmures qui me réveillent.
Je regarde sur ma gauche. Estelle et Clémentine bavardent. Clémentine qui guette mon sommeil, me chevauche. Joie.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait elle. < Bonjour Julien ! > me fait Estelle depuis le bout du lit. Je salue les filles.
Clémentine me fait plein de bisous. Douce. Estelle se lève et nous fait : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >.
< On arrive dans cinq minutes ! > répond ma compagne. Nous nous faisons des papouilles. Tendresses. Douceurs...

Clémentine se lève et m'entraîne par la main. Nous voilà aux toilettes pour notre rituel pisseux habituel. Ambiance.
Je tiens Clémentine par ses cheveux. Elle se soulage dans un jet long et sonore. Je m'accroupis pour humer et goûter.
Puis Clémentine me tient la bite. Fort. Accroupie, elle en récupère les derniers épanchements. Cela nous excite un peu.
Nous descendons rejoindre Estelle qui a tout préparé dans la véranda dont toutes les baies vitrées sont bien ouvertes.
L'odeur du café fumant et du pain grillé est un délice. Il fait beau. Il fait chaud. C'est encore une magnifique journée.

Nous bavardons. Nous traînons à table. Estelle sera obligé de partir pour 11 h ce matin. Pour cause de fête des mères.
Elle mange en famille et reviendra pour 14 h. Nous lui promettons de l'attendre. Clémentine a déjà réglé tout cela.
Aucune contrainte familiale pour ma compagne. Clémentine nous rappelle pourquoi. Très rapidement. Nous savons tout.
C'est dimanche. Jour sans entraînement. Mais pas sans activité. Cet après-midi, ce sera randonnée à bicyclette. Super.
Estelle me regarde avec insistance me fixant dans les yeux. Comme pour me faire comprendre quelque chose. Je sais !

Notre "jeu" de samedi soir, filmé avec le soin habituel de Clémentine, n'a pas laissé la jeune fille indifférente longtemps.
Je préfère toujours ne pas évoquer toutes ces choses le premier. Clémentine observe la même attention. Par tact. Soin.
Nous faisons la vaisselle. C'est dimanche. La matinée du ménage. Clémentine propose à Estelle de s'installer au bureau.
Les deux filles filent devant l'ordinateur. Clémentine monte à l'étage pour faire la chambre. Je passe l'aspirateur. Salon.

Estelle, debout derrière le bureau, mime une masturbation masculine en me faisant : < C'était génial hier soir. Merci ! >.
Je ne sais quoi répondre. Je suis toujours un peu confus lorsqu'Estelle évoque ses ressentis. Elle reste ainsi longuement.
Mettant toute la vulgarité dont elle est capable, la jeune fille mime une branlette à la perfection. Ses jambes fléchies.
Je passe l'aspirateur en contemplant cet étonnant spectacle. Estelle porte un long T-shirt. Elle le soulève. Pas de culotte.
C'est la première fois que la jeune fille s'exhibe ainsi. Elle me fixe de son regard par en dessous. Terriblement vicieuse.

< Je regarde des extraits du film de hier soir ! A refaire ! > me confie la jeune fille. Je continue mon activité. Ménage.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. Hall d'entrée. Je termine par le sol des toilettes.
Quelle n'est pas ma surprise de découvrir Estelle, debout, cambrée au-dessus de la cuvette de faïence. Elle m'attendait.
A peine ai-je ouvert, en m'écriant : < Oh pardon ! Excusez-moi ! > que la jeune fille se met à pisser. Elle vise juste. Bien.
< Mais tout le plaisir est pour moi ! > me fait elle. Estelle franchit une nouvelle étape dans sa découverte du vice. Salope.

Estelle est totalement nue. Je remarque depuis quelques temps qu'elle adore s'exhiber ainsi. C'est un peu nouveau. Belle.
< Il faut laisser repousser tout ça ! > que je lui fais en riant. < Je vais me faire une touffe façon Clémentine ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur. Estelle termine de pisser, s'empare d'une feuille de papier cul pour se torcher. Un peu maladroite.
En quelques mois, les attitudes de la jeune fille ont bien évolué. C'est étonnant. Je veux sortir. Elle m'attrape par le bras.
< Si tu savais comme je suis bien avec vous. Avec toi ! > me fait Estelle qui semble avoir adopté le tutoiement. Sympa.

Je réponds : < Nous partageons ce plaisir, Clémentine et moi ! Tu peux en être certaine ! >. Estelle s'approche de moi.
Toute nue, elle se serre contre moi. J'évite sa bouche avec soin. Clémentine n'étant pas présente, tout cela me trouble.
Estelle pose sa main sur la bosse dans mon slip. < Bientôt j'y goûte ! > me fait elle en me la serrant fermement. Fort.
Je bande comme un salaud. La situation est troublante. J'aimerais tant que Clémentine soit présente. Je me dégage.
Je monte rejoindre Clémentine qui termine de faire le lit. Je lui raconte tout dans le détail. Elle est serrée contre moi.

< Ne t'inquiète pas ! Moi, je ne m'inquiète plus. Tu sais, entre filles, on se raconte ! > me fait Clémentine rassurante.
Je nettoie la salle de bain et les chiottes de l'étage. Clémentine m'aide un peu avant de descendre rejoindre Estelle.
Je passe la serpillère. Je récupère les draps posés sur le panier à linge et je descends à mon tour. J'entends les rires.
Clémentine et Estelle sont derrière le bureau. < On n'a pas cours mardi après-midi et jeudi après-midi ! > font elles.
Je descends à la buanderie pour faire une machine. Clémentine vient me rejoindre. Elle se serre contre moi. Très fort.

< Je suis hyper excitée ! Je ne sais pas pourquoi ! > me fait ma compagne en me sortant le zob du slip. Douce branle.
Je lui mets la main dans la culotte. C'est vrai que c'est un peu humide du côté des lèvres de son sexe. C'est agréable.
< Je m'occupe de ton cas avant le repas ! > que je lui fais. Nous rions de bon cœur. On s'embrasse. Nous remontons.
Estelle s'est habillée. Il est déjà 10 h45. Elle semble un peu tristounette en nous disant : < Je reviens pour 14 h ! >.
Nous la rassurons. Nous serons là. Nous l'accompagnons au jardin. Clémentine nous entraîne derrière le garage. Rire.

Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Estelle s'est accroupit pour regarder tout cela de tout près.
Je lui pose la main sur la tête. Elle lève les yeux pour me faire un délicieux sourire. Je pisse par plusieurs jets précis.
Clémentine dirige le jet afin de le faire passer à proximité du visage d'Estelle qui a un mouvement de recul chaque fois.
Clémentine en secoue les dernières gouttes avant de s'accroupir à son tour pour en sucer les derniers épanchements.
Je caresse le visage d'Estelle qui se redresse pour poser sa bouche sur la mienne. Elle enfonce sa langue et fouille...

Je suis considérablement excité. Nous restons ainsi un petit moment. Je force Clémentine à se redresser. Il est l'heure.
Nous raccompagnons Estelle à son vélo. Nous la regardons partir en haut du chemin, sur la petite route déserte. Signe.
Clémentine m'entraîne à toute vitesse au salon. Là, sur le canapé, je lui broute le minou avec un appétit rare. Délices.
Il y a tous les parfums de sa nuit de fille. Il y a tous les miasmes de ses muqueuses. Je me régale longuement. Bon !
Clémentine m'entraîne sur elle. Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Délice.

Clémentine me murmure plein de douceurs et de cochonneries. Nous adorons ces moments de confessions intimes.
C'est toujours Clémentine qui, au fur et à mesure que l'excitation la submerge, se met à bouger doucement. Rythme.
Je reste sans bouger pour lui permettre de jouer du bassin afin de trouver les meilleurs angles. La fille a du plaisir.
Les choses vont alors souvent très vite. Le rythme s'accélère. Nous bougeons de concert. Clémentine à un orgasme.
Je n'ai pas le droit d'éjaculer. Ou alors rarement. Clémentine préfère se faire juter dans la bouche après m'avoir sucé.

Nous restons un petit moment à savourer notre intimité. Nous décidons d'un repas rapide. Principalement des crudités.
< Je ne t'aime pas seulement, Bitounet, mais je suis également amoureuse de toi ! > fait Clémentine blottie contre moi.
Je lui confie exactement le même sentiment. Nous préparons la table du jardin. Nous mangerons dehors. Il fait si beau.
Nous traînons à table. Nous évoquons notre relation particulière avec Estelle. Nous avons conscience de ce lien étrange.
Nous convenons une fois encore de rester vigilants et de toujours maîtriser tout ce qui se passe. Nous sommes lucides.

Nous faisons la vaisselle. Il est déjà 13 h30. Nous mettons tout en ordre. Estelle arrive avec un quart d'heure d'avance.
Elle nous raconte, toute heureuse son repas familial. La joie de sa maman et les attentions de son papa. Sympathique.
< Ils vont certainement baiser ! Ils n'arrêtent plus ces derniers temps ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus.
< Pareil pour nous ! > fait Clémentine. Estelle, pucelle, baisse la tête et se contente de sourire. Je lui caresse le visage.
Nous décidons de partir à bicyclette sans tarder. Il nous faudra être de retour pour 20 h. Direction le port de plaisance.

Bonne randonnée à bicyclette à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Homme attentionné, galant et toujours à l'écoute. Prévoyant et juteux) -

Classe


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Classe
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Clémentine aime ces belles journées chaudes et ensoleillées

Hier matin, lundi, je suis réveillé par plein de bisous. Sur les joues, le front et même sur le nez. < Bonjour Bitounet ! >.
Clémentine m'entraîne par la main. Il est presque six heures. Elle file aux toilettes. Je file à la salle de bain. Les pissous.
La bite posée sur le bord du lavabo, je pisse en lâchant de merveilleux pets, profonds et sonores en tonalité de Fa, Sol.
< J'entends tes subtiles modulations en Fa# ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis c'est l'entraînement. La douche. Je vais sortir l'auto de Clémentine.

Il est déjà 7 h45. Clémentine me fait de rapides bisous et part en cours. J'ai du boulot. Je file à l'atelier. Très belle matinée.
Clémentine revient pour 17 h. Assise sur mes genoux, devant mon chevalet, la jeune fille me raconte sa journée. J'écoute.
< On se fait une virée à bicyclette. Viens ! > me fait ma compagne. Je range mes affaires et je nettoie mes palettes. Bien.
Nous montons nous changer. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet. Virtuose.
Le dessin contre le mur est de toute beauté. Accroupie, la jeune fille en récupère les derniers épanchements. Elle se régale.

Je la laisse savourer quelques instants. Je la force à se redresser. Nous voilà en route. Il fait très chaud. C'est exceptionnel.
Sur la piste cyclable nous croisons quelques rares personnes à vélo. Clémentine porte une des ses jupettes façon "tennis".
Un simple T-shirt et ses baskets. Moi, je suis en T-shirt, en short et en baskets. Nous pédalons d'un rythme nonchalant.
Nous faisons une halte à l'écluse du cabanon. < Reste en retrait. Il y a peut-être un "plan" ! > me demande Clémentine.
Je reste dissimulé derrière le cabanon. J'observe Clémentine qui est passé de l'autre côté du canal. Elle guette à l'ombre.

Il n'y a personne pendant un petit moment. Finalement, voilà un cycliste. Il avance à bonne vitesse. Clémentine s'accroupit.
Le type passe. Au dernier moment, il voit cet étonnant spectacle. Une jeune fille accroupie, cuisses écartées. Culotte baissée.
Il freine. Il descend de son vélo pour revenir sur ses pas. < Bonjour mademoiselle ! > lance t-il à l'attention de la fille. Rien.
Clémentine reste immobile et silencieuse. Je la sais concentrée. La tête baissée, portant des lunettes noires. Anonyme. Bien.
Le type rajoute : < Besoin d'un petit coup de main ? >. Clémentine relève la tête pour répondre : < Bonjour. Non, merci ! >

Une fois encore, en bandant comme le dernier des salauds, j'admire le culot dont fait preuve la jeune fille. Sans bouger.
Il ne se passe rien. Le cycliste regarde à gauche, à droite, personne. Il sort sa bite qu'il agite en direction de la jeune fille.
Il est en plein soleil alors que Clémentine est à l'ombre des bosquets qui l'entourent. L'inconnu se branle sans conviction.
L'intense chaleur incommode notre homme. < Je peux venir à l'ombre ? > fait le quidam. Il s'avance vers la passerelle.
< J'attends mon ami qui arrive d'une minute à l'autre ! > fait Clémentine. Formule imparable qui calme bien toute velléité.

Le type observe avec soin de tous les côtés. Il hésite pour finalement monter sur les marches en métal. Il va traverser.
Je décide d'intervenir. Clémentine se redresse. J'apparais en poussant ma bicyclette. Le type redescend et file à son vélo.
Il monte dessus et, à toute vitesse, faisant preuve d'une accélération digne d'un record, il disparaît sur la piste cyclable.
Nous rions de bon cœur. Nous roulons jusqu'au petit port de plaisance. Il y a peu d'animation. La chaleur est très forte.
Nous nous offrons un cône glacé que nous savourons assis à l'ombre des platanes qui entourent la capitainerie du port.

Nous restons longuement assis là. Nous évoquons nos récentes aventures avec Estelle. Nous parlons des choses à venir.
Je fais part de mes craintes quand aux sentiments d'Estelle à mon égard. Clémentine me rassure. Tout cela est normal.
Ma compagne restera très protectrice et vigilante. Il est d'abord question de plaisirs. Et c'est ce qui anime Estelle aussi.
La jeune fille découvre des émotions fortes et rares qui nourrissent la libido de ses 20 ans. Clémentine m'explique bien.
Pourtant, et elle insiste là-dessus, il n'y aura jamais rien d'autre que d'éventuelles fellations. C'est ce que désire Estelle.

Je la rassure à mon tour. Je n'ai absolument pas l'intention de faire l'amour à une autre femme qu'à ma douce compagne.
Il faut souvent remettre tous ces paramètres sur la table. Cela permet toujours une totale maîtrise des évènements. Bien.
Nous flânons un peu sur le port. Nous faisons un rapide tour aux sanitaires des plaisanciers. Rien. Aucune opportunité.
Nous montons au vieux cimetière par le chemin. Peut-être que là-haut, sur la colline, il y a quelques bonnes occasions.
Il faut se rendre à l'évidence. Ce sera une soirée "sans". Il est déjà 19 h15. Nous prenons le chemin du retour. Sympa.

Nous sommes de retour pour 20 h30. Nous décrochons le linge que j'ai suspendu en fin de matinée. Tout est bien sec.
Je range la petite auto de Clémentine. Nous mangerons au jardin. Nous préparons de rapides salades. Du pain grillé.
Après le repas, Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Nous profitons de cet agréable crépuscule jusqu'à la nuit.
Il y a enfin une légère fraîcheur. Nous rentrons. Clémentine lève sa jupette : < Elle a encore chaud ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur. < Il faut éteindre cet incendie ! > que je lui fais en m'accroupissant. J'avance mon visage.

Clémentine me force à me redresser pour m'entraîner sur le canapé. Toutes les fenêtres ouvertes crées un bon courant d'air.
Clémentine jette sa culotte au loin. Rire. Je fourre mon visage entre ses cuisses. Je hume les parfums de sa journée de fille.
L'odeur est forte, enivrante et puissante. Il y a là de quoi régaler n'importe quel "connaisseur". Je ne m'en prive pas. Bon.
Je fouille chaque pli et repli des lèvres du sexe de Clémentine qui se pâme rapidement de plaisir. Je savoure les "surprises".
Je reste vigilant. Il faut faire durer. Je suce et lèche le Clitoris géant de la fille qui se met à gémir. Je dois faire très attention.

A plusieurs reprises, je cesse tout. Le plaisir submerge Clémentine. L'orgasme guette. La jeune fille aime repousser l'ultime.
Pas question d'avoir un orgasme trop tôt. Il doit toujours être intense, fort et terrassant. Aussi, nous cessons nos activités.
Nous allons nous préserver pour le lit, tout à l'heure, après les révisions et la douche. Clémentine reprend ses esprits. Dur.
Je lui montre l'état juteux de ma bite qui pend en dégoulinant. Accroupie, la jeune fille en savoure les montées de jutes.
Je la laisse se régaler un peu. Clémentine, un main entre ses cuisses, se masturbe doucement en suçant. Gémissements.

Je la force à se redresser. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. C'est gluant, filamenteux et visqueux. Du foutre.
Nous rions de bon cœur. < Tu es hyper juteux, ce soir, Bitounet ! > me fait Clémentine en s'essuyant le coin des lèvres.
Nous allons au bureau. Clémentine révise un peu ses cours. J'écris ces lignes. < Ne fais pas trop de fautes ! > me dit-elle.
Clémentine sait que j'ai horreur de me relire. Nous sommes silencieux, concentrés sur nos activités intellectuelles. Sympa.
Il est 23 h. La douche. Nous voilà au lit. Nous nous offrons un "69" goûteux avant de baisouiller longuement. Immobiles...

Bonne soirée de révisions et d'écriture à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Attentionné, besogneux et toujours à l'écoute des désirs de Clémentine) -

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Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2017 -



C'est mardi, Estelle est impatiente de nous rejoindre

Hier matin, mardi, j'ouvre l'œil le premier. J'éteinds le réveil. Il est presque six heures. Clémentine ouvre les yeux. Bises.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait elle en m'entraînant par la main. Clémentine file aux toilettes. Moi à la salle de bain.
La bite déposée sur le bord du lavabo, je pisse en lâchant de somptueuses rafales de pets. Je module longuement en Fa.
< Je t'entends, grand péteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus. Le petit déjeuner.
Avec cette météo, Clémentine me propose un jogging. Nous voilà à courir. Retour et douche. Il est déjà 7 h45. Le boulot.

Je sors la petite auto de Clémentine. Elle me fait plein de bisous et me rappelle qu'elle rentre vers midi vingt. Pas cours.
Je la regarde partir. Je file à l'atelier. J'ai du boulot. Clémentine revient à 12 h20. Je suis entrain de terminer le repas.
La jeune fille m'aide à finaliser la préparation des salades. Nous mangeons dehors. Il fait chaud, presque lourd. C'est l'été.
Pourtant nous ne sommes encore qu'à la fin du mois de mai. J'ai cueillis les radis dans notre potager. Ils sont délicieux.
Cet après-midi, il est décidé de nous offrir une randonnée à bicyclette. Cette fois, nous irons jusqu'au petit lac. On préfère.

Nous faisons la vaisselle. Nous nous mettons en tenues. Clémentine porte une de ses jupettes et un simple T-shirt. Baskets.
Moi, je suis en short et en T-shirt. Baskets. Je vérifie le gonflage des pneus des vélos. 4,5 bars. Pneu avant et pneu arrière.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle vise superbement.
Accroupie, ma compagne en récupère les derniers épanchements. Je la laisse se régaler quelques instants. Coquine. Salope.
Pour ne pas risquer d'y passer l'après-midi, je la force à se redresser. Je bande comme un priapique en phase terminale...

Nous voilà en route. Je porte le petit sac à dos dans lequel nous emportons des barres de céréales et des fruits. Aucun poids.
Aux cadres de nos vélos sont fixées nos bouteilles d'un litre vingt cinq. Nous buvons toujours beaucoup dans l'effort. Soleil.
Nous prenons l'autre piste cyclable. L'ancienne voie ferrée qui part dans le sens contraire. Elle est moins fréquentée. Dure.
Sinueuse, avec un dénivelé souvent sévère, cette piste cyclable demande quelques efforts. Elle est donc moins fréquentée.
Nous aimons l'effort. Et ce n'est pas réellement une épreuve. Nous bavardons. Estelle arrivera pour 19 h30. Nous serons là.

Il y a 30 km jusqu'au petit lac. Le paysage est tellement beau que c'est une réelle récompense. Il y a peu de monde. Sympa.
Nous remplissons nos bouteilles à la petite source aménagée en fontaine à l'entrée du hameau sur la rive droite. La chaleur.
Nous voilà installés sur le sable de notre petite crique "secrète". L'endroit est paradisiaque. Nous le préférons à la plage. Joie.
L'eau commence à se réchauffer avec ces dernières journées de soleil. Aussi, nous nous baignons avec un réel bonheur. Bien.
Nous sommes nus. Nous nageons longuement, tout doucement, en bavardant. Nous revenons à la rive. Un vrai délice. Super.

Je regarde l'heure. Nous avons nagé plus d'une heure. Avec ce soleil, nous séchons rapidement. Le soleil tape très fort. Bien.
Nous retournons barboter dans l'eau plusieurs fois. Vers dix sept heures trente, il est temps de prendre le chemin du retour.
Pour revenir, nous bénéficions du vent de Nord Est qui nous pousse. C'est donc peinard que nous pédalons. Superbe journée.
Nous sommes de retour pour 19 h20. Le vélo d'Estelle est posé contre le muret du jardin. Elle est déjà là. Une habitude. Joie.
Estelle sait où est la clef. L'ambiance de la vieille demeure l'enchante. Nous découvrons que la table est déjà mise. Sympa...

Nous rangeons nos bicyclettes. Nous rentrons. Estelle est en pleine préparation du repas. Elle est toute heureuse de nous voir.
< Bonsoir Julien ! > me fait la jeune fille en me serrant la main. Trois bises Bretonnes et nous voilà à l'aider à terminer le tout.
Salade de carottes du jardin. Salade de tomates du jardin. Tranches de pain grillées. Les fameuses tartines aux anchois. Faim.
Nous avons un appétit de fauves. Nous mangeons en bavardant. Estelle évoque notre film de samedi soir. Le montage est fait.
La jeune fille a emmené une clef USB avec les meilleurs extraits qu'elle nous propose de visionner tout à l'heure. Sympathique.

Clémentine est assise sur mes genoux. Nous traînons à table. Estelle insiste pour débarrasser et préparer les coupes glacées.
< Il n'y a pas cours jeudi après-midi non plus ! > me rappelle Clémentine. Estelle revient. Elle est vêtue d'un short et T-shirt.
Elle pose le plateau sur la table. Coupes glacées géantes. Boules de vanille, de pistache et de pralin. De très grosses boules...
Clémentine file aux toilettes pour son pissou. Estelle mime une masturbation masculine et me fait : < J'ai hyper envie de voir ! >.
Je me lève, je sors ma bite par le haut de mon short en lycra qui n'a pas de braguette. < Super ! > me lance Estelle. Clin d'œil.

Clémentine revient. Elle rit en me voyant faire tournoyer mon Zob devant Estelle qui se touche. Chose plutôt rare chez la fille.
< Et voilà ! J'ai le dos tourné deux minutes et c'est les cochonneries ! >. Nous rions de bon cœur. Nous terminons le dessert.
Je me lève. Je m'approche d'Estelle. Je lui pose la main sur la nuque. Gloussement de plaisir. < Enfin ! > fait la jeune fille.
Je prends ses cheveux. Je la force à se lever. Je l'emmène pour lui faire faire le tour du propriétaire. Clémentine reste assise.
Ma compagne, en applaudissant, nous lance : < Très belle prestation ! >. Nous rigolons comme des bossus. Je tiens Estelle.

Je force Estelle à s'accroupir. Elle se met carrément à genoux dans l'herbe. J'agite ma bite devant son visage. Elle le présente.
Je ne suis même plus obligé de la maintenir fermement comme je le fais habituellement. Estelle présente son visage. Plaisirs.
Je lui passe ma bite sur le visage. < J'aime l'odeur ! > me fait la jeune fille. Et c'est vrai que lorsque je décalotte, ça sent fort.
Le fruit de mes efforts du jour. Vélo, sueur, etc... Par contre, il est toujours impossible de lui enfoncer la queue dans la bouche.
Les lèvres fortement serrées de la jeune fille interdisent l'accès. Elle lève la tête, me fixe et me dit : < Vicelard. Salopard ! >.

Clémentine vient nous rejoindre. La main sous sa jupette, elle se touche en observant mes turpitudes. Rien ne l'excite plus.
Nous restons ainsi un long moment. L'excitation suscite la fabrication de liquide séminal en abondance. Ma queue dégouline.
Je macule le visage d'Estelle d'un foutre épais et visqueux. Avec la chaleur, malgré le crépuscule, la jute sèche rapidement.
Clémentine ouvre la bouche, approche son visage. Je lui mets la bite entre les lèvres. Gémissant de plaisir, Clémentine suce.
Estelle regarde. Son regard est plein de concupiscence. Souvent elle me fixe de son air vicelard en me faisant des clins d'œil.

Clémentine, à genoux dans l'herbe, se régale de mes épanchements. Elle pompe comme si sa vie en dépendait. C'est bon.
Je pince le nez d'Estelle. Cette petite salope sait instantanément ce que je lui prépare. Elle anticipe. Elle ouvre la bouche. Bien.
Je sors ma queue de la bouche de Clémentine pour éjaculer dans celle d'Estelle. Estelle reste ainsi à se faire remplir la bouche.
J'essaie de lui fourrer ma bite. Rien à faire. Pas folle la guêpe. Elle connaît mes petites ruses sournoises. Elle déglutit. Silence.
Clémentine reprend ma queue pour en sucer le "fond de cuve". Les deux filles gémissent de concert. Estelle termine d'avaler.

Nous restons ainsi un petit moment. Je sors ma bite de la bouche de ma compagne pour la pointer vers le visage d'Estelle.
Une nouvelle fois, la jeune fille anticipe une de mes nouvelles saloperies. < Non ! Pas ça ! Pas ce soir !> dit-elle en se levant.
< Moi, oui ! > me fait Clémentine en avançant son visage, bouche grande ouverte. L'excitation revenue, impossible de pisser.
J'ai beau me concentrer, rien à faire. Estelle est passée derrière moi. Elle me tient la queue. Sans bouger, comme toujours.
Clémentine se lève. Elle m'embrasse longuement. Nous débarrassons les coupes vides et nous allons à la cuisine. Vaisselle.

< Ton foutre me laisse un goût ! > me glisse Estelle à l'oreille. Clémentine lui demande : < Ecœurée ? >. Il y a un silence.
< Non, pas du tout. Mais c'est toujours surprenant ! > répond Estelle qui s'essuie les mains. Elle a fait la plonge. Terminé.
Nous passons au salon. Les filles révisent leurs cours au bureau. Moi, de l'autre côté, j'écris ces lignes. Ambiance studieuse.
Il est 22 h30. Estelle est obligée de nous laisser. Elle me serre la main et me dit : < Au revoir Julien. A jeudi ! >. Trois bises.
Clémentine et moi montons prendre notre douche. Au lit, je broute le minou de ma compagne avant de lui faire l'amour...

Bonne éjaculation buccale à votre visiteuse salope à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Ejaculateur pas du tout précoce, mais vicelard et stratège) -


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Une visite au haras en revenant de notre virée à bicyclette

Hier matin, mercredi, comme tous les jours, le réveil nous tire de notre sommeil à six heures. Avec un concerto de Mozart.
< Ta gueule, Momo ! > fait Clémentine en tapant sur le cube. Nous rigolons comme des bossus. Quelques bisous. Debout.
Clémentine file aux toilettes. Je file à la salle de bain. La bite posée sur le bord du lavabo, je pisse en pétant. Tonalité de Fa.
< Je t'entends, Mon Mozart du pet ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des petits fous. Ambiance.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis nous faisons notre jogging. La douche. Je sors l'auto de Clémentine.

Il est déjà 7 h45. Clémentine me fait plein de bisous et s'en va en cours. Je me rends à l'atelier car j'ai beaucoup de travail.
Clémentine revient à 17 h. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Nous sommes devant mon chevalet. J'écoute.
Ma compagne me fait lire le message de Juliette, la propriétaire du haras. Nous sommes invités à passer en fin de soirée.
< Viens, on file en bicyclette ! > me fait elle. Je range et je nettoie mes palettes. Nous montons nous changer. Il fait beau.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Un superbe chef-d'œuvre.

Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. Il fait chaud. Clémentine, comme à son habitude, est vêtue d'une de ses jupettes.
Un simple T-shirt et ses baskets. Moi, je suis en short, T-shirt et baskets. Nous bavardons. Un léger vent de face. Dure lutte.
Nous croisons quantité de cyclistes, de rollers et de joggeurs. En cet après-midi, la fréquentation est intense. C'est rare.
Nous arrivons au port de plaisance après 25 km d'un parcours des plus agréables. Nous fermons nos vélos à cadenas. Bien.
Nous nous offrons nos cônes glacés en flânons sur le quai. Il y a de nombreux plaisanciers. Des Anglais. Des Hollandais.

Clémentine m'entraîne aux sanitaires réservés aux plaisanciers. Il y a là quelquefois quelques opportunités exhibitionnistes.
Comme à chaque fois, je vais m'enfermer dans le dernier cabinet du fond. Debout sur le couvercle fermé de la cuvette. WC.
Là, j'ai une vue parfaite, pas dessus la cloison. Je peux voir tout ce qui se passe dans la grande pièce carrelée. Voyeurisme.
Clémentine est debout à la porte entre baillée. Une main sous sa jupe, la jeune fille a une vue parfaite et voit qui peut venir.
Nous bavardons. Clémentine me raconte ce qui se passe à l'extérieur. Le lieu est hyper propre et entretenu. Il y fait frais...

Nous restons ainsi un petit moment. Clémentine se masturbe doucement. < Il y a un mec ! > me fait elle soudain en cessant.
La jeune fille, s'accroupit entre les deux lavabos de droite. Le petit sac à dos posé au sol, devant elle. Dissimulant sa culotte.
Il y a un homme, la cinquantaine, vêtu d'un short, d'un T-shirt, en claquettes, coiffé d'une casque de marin. Il sifflote un peu.
L'inconnu entre. Il ne se rend pas immédiatement compte de la présence de la jeune fille. Il se débraguette devant l'urinoir.
Il tourne la tête sur sa gauche et découvre l'insolite et merveilleux spectacle. Il prononce quelques mots incompréhensibles.

C'est certainement du hollandais. Le mec se tourne de trois quart pour bien regarder la jeune fille tout en pissant. Je mâte.
Clémentine, la tête baissée, les cheveux cachant son visage, ne sait quoi répondre. Le type n'arrête pas de causer. Insolite.
Il pisse longuement. C'est assez incroyable. Tout en parlant. Il se tourne carrément vers la fille accroupie. Il se la secoue.
Clémentine relève la tête. Le type, cambré en avant sur ses genoux fléchis, fait tournoyer sa bite tout en bavardant. Rires.
Clémentine reste silencieuse. Le type prend soudain conscience qu'il reste incompris. Il s'exprime enfin en Anglais. Sympa.

Ma compagne qui comprend et maîtrise parfaitement la langue de Shakespeare, répond poliment. Un dialogue s'engage. Joie.
L'anglais étant ma langue maternelle, je comprends les subtilités du type qui ne manque pas d'un humour raffiné. Bien salaud.
L'inconnu ne tente strictement rien. Un parfais gentleman. Bien. Il reste totalement maître de lui-même et de sa masturbation.
Clémentine ne bouge pas. Le fait de surmonter ses inhibitions de fille, lui procure les plus délicieuses émotions. C'est superbe.
Le type se branle franco. Clémentine reste peu bavarde, se contentant de sourire aux bons mots de notre marin d'eau douce.

L'inconnu, se tournant de trois quart, éjacule soudain dans l'urinoir. Proprement, sans en mettre à côté. Il se la secoue bien.
Il range sa queue, se réajuste. Il prend la direction de la porte, juste avant de sortir, il lève sa casquette : < Thank you ! >.
Clémentine se redresse enfin. En se massant les genoux, jambes ankylosées, elle me fait : < Incroyable, le mec ! >. Je viens.
Nous rions de bon cœur. Nous sortons. Nous marchons un peu le long des bateaux. Le type est sur le pont de l'un d'entre eux.
< Hello ! > fait-il en levant son pouce comme pour nous féliciter. Il comprend certainement notre petit jeu. Nous le saluons...

Nous prenons le chemin du retour. Cette fois, le vent nous pousse. C'est donc très facile et cela nous permet de bavarder.
Nous quittons la piste cyclable pour prendre la petite route du haras. Il y a quelques voitures garées dans la cour. Parking.
Il y a quelques personnes qui bavardent avec Juliette. Cette dernière nous fait un grand sourire en nous voyant arriver.
Le palefrenier est entrain de faire monter un cheval dans une remorque fixée à l'arrière d'une camionnette. Nous regardons.
<Le propriétaire récupère son cheval jusqu'en octobre ! > nous explique Juliette. Le propriétaire en question observe le tout.

Juliette demande à son employé de terminer l'opération. Elle nous entraîne dans ses locaux. Nous sommes assis sur le canapé.
Devant des verres de jus de fruit, nous bavardons. Juliette nous dit son soulagement. Avec la belle saison, moins de travail.
La jeune femme est vêtue de ses vêtements d'équitation. Trois coups contre la porte. C'est le palefrenier qui fait son rapport.
L'homme a fini sa journée. Il nous salue. < Vous voulez voir les chevaux ? > nous demande t-il. Juliette nous y invite. Sympa.
Tous les quatre nous quittons le grand bureau. Nous suivons l'employé aux écuries. C'est un homme de 65 ans, cheveux longs.

Sa silhouette est plutôt lourde. Pourtant il fait preuve d'agilité en montant un beau cheval. < Il part demain ! > nous fait-il.
Juliette nous raconte le cursus de ce magnifique cheval noir qu'il a fallu soigner au début du printemps. C'est très intéressant.
Le palefrenier descend du cheval et invite Clémentine à le monter. Ma compagne, vêtue de sa jupette, décline l'offre. Déçue.
Pendant que Juliette continue ses explications, l'employé a réussi à attirer Clémentine à l'écart. Il tiens l'animal par sa longe.
Il est déjà 21 h. Clémentine vient me rejoindre. Nous prenons congé en promettant de revenir très bientôt. Pour un repas.

Juliette nous propose de venir partager un repas un de ces soirs, ici-même au haras. Elle nous fera un message prochainement.
Nous voilà sur la route du retour. Pas tout à fait 3 km. < Il n'arrête pas de se toucher discrètement ! > me confie Clémentine.
Nous rions de bon cœur. < Et ça doit être un sacré vieux vicelard ! > me fait encore ma compagne en arrivant chez nous.
< Il faut se faire un "plan", pour en savoir plus ! > conclue t-elle en m'entraînant par la main. Nous sommes morts de faim.
Nous nous préparons des crudités. Clémentine, bien "allumée", n'arrête pas de se toucher et de me toucher. C'est très urgent.

Nous prenons notre repas dans la véranda, toutes les baies vitrées grandes ouvertes. Enfin un peu de fraîcheur. Très agréable.
Assise sur mes genoux, Clémentine me fait : < Les vieux cochons, ça m'excite ! Si tu savais ! >. Je réponds : < Je sais ! >.
Nous rions de bon cœur avant de faire la vaisselle. Au salon, sur le canapé, je broute le minou de ma compagne. C'est super.
Je me régale des saveurs et des parfums de sa journée de fille. Avec ses excitations répétées, il y a de quoi savourer. Plaisir.
Malgré mes précautions, impossible de réfréner l'orgasme qui terrasse la jeune fille. Nous baisons un peu. Calmement. Joie...

Bon léchage de minou parfumé et goûteux à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui gonfle les pneus des bicyclettes avec le petit compresseur électrique au garage. 4,5 bars) -

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Estelle se réjouie pour le week-end à venir, avec nous

Hier matin, jeudi, nous sommes tirés de notre sommeil par la petite musique de nuit de Wolfgang Amadeus Mozart.
< Ta gueule, Wolfgang Bang ! > fait Clémentine en tapant sur le cube. Nous rigolons comme des bossus. Debout !
Quelques bisous et Clémentine file aux toilettes. Moi je file à la salle de bain. La bite posée sur le lavabo, je pisse.
Je pisse en me grattant les couilles. Pas de pets. Nous descendons pour prendre notre petit déjeuner. Cuisine. Faim.
Nous allons faire notre jogging. Retour et douche. Il est déjà 7 h45. Je sors l'auto de Clémentine. Elle part en cours.

Clémentine revient pour midi vingt. Elle n'a pas cours cet après-midi. Il fait beau. Bien qu'il y ait des nuages. Chaud.
Ma compagne, toute heureuse d'être de retour, me fait plein de bises. Je la soulève pour la faire tournoyer. Bonheur.
Clémentine m'aide à terminer les salades. Je remplis les avocats dénoyautés de petites crevettes et de crème fraîche.
Nous mangeons dans la véranda dont toutes les grandes baies vitrées sont largement ouvertes. Nous bavardons. Rire.
< Estelle vient nous rejoindre ce soir, pour 20 h ! > me fait Clémentine en venant s'assoir sur mes genoux. Dessert.

Nous faisons une rapide vaisselle. Avec cette météo, nous n'avons qu'une hâte. Partir à bicyclette. Notre plaisir fou.
Clémentine met une de ses jupettes, un T-shirt et ses baskets. Je suis en short, en T-shirt et en baskets également.
Estelle est obligée d'aider à la maison. Ses parents ont une petite entreprise qui fonctionne plutôt bien. Sacrifice.
< Ayons une pensée pour elle ! > me fait Clémentine en m'entraînant derrière le garage. Elle me tient la bite. Fort.
La jeune fille en dirige le jet pour réaliser un Chef-d'œuvre contre le mur qui absorbe bien. Un beau dessin. Super.

Nous voilà en route. Comme tous les jours, il faut pédaler contre un léger vent de Nord Ouest. Nous bavardons. Joie.
Nous croisons quelques cyclistes. Nous avons pris la direction du petit lac. 30 km de pur plaisir. C'est sympathique.
Nous arrivons vers 15 h30. Il y a un peu de monde. Quelques baigneurs. Nous avons notre petite crique secrète.
Difficilement accessible car demandant quelques efforts de grimpettes, notre crique est souvent déserte. C'est le cas.
Le sable est fin, toujours un peu frais. L'eau est limpide, claire. Avec les chaleurs les eaux sont tièdes en surface.

Nous sommes nus. Nous voilà à nager doucement et en bavardant. Clémentine est à se réjouir pour nos vacances.
J'ai tout organisé et je lui explique le déroulement. Nous prendrons l'avion cette fois-ci. Nous arriverons plus vite.
C'est la première fois que Clémentine prend l'avion. Elle a une appréhension plutôt amusée. Je la rassure un peu.
Nous passons une bonne heure à nager dans l'onde claire, chaude et accueillante. Nous préférons le lac à l'océan.
Nous revenons nous prélasser sur la minuscule plage. Clémentine me prend la bite qu'elle secoue en riant. Sympa.

< Ce soir, tu seras le vrai salaud que j'aime, avec Estelle ? > me demande ma compagne. Nous rions de bon cœur.
Je la rassure. Estelle va être gâtée. < Je veux te voir dans ton numéro de vicelard ! > rajoute encore Clémentine.
Je lui promets de lui offrir un spectacle à la mesure de ses attentes. Même si je n'en ai pas la moindre idée. Rires.
Nous voilà secs. Il est déjà 17 h30. Nous prenons le chemin du retour. Nous évoquons à nouveau nos vacances.
Nous arrivons à la hauteur du hameau lorsque soudain Clémentine me fait : < J'ai crevé ! >. Je regarde. Crevaison.

< Surtout, pas de soucis ! > que je fais à Clémentine que je vois embarrassée. J'ai tout le nécessaire de réparation.
Je retire la roue arrière. J'invite Clémentine à s'assoir sur le petit muret. < Non, je veux voir ! > me fait la jeune fille.
Je sors mon matériel de la pochette. Je démonte le pneu. Je retire la chambre à air. Je la regonfle. J'écoute bien.
Je vais près de la petite fontaine. Je trempe la chambre à air pour voir d'où s'échappe l'air. Pas de crevaison. Rien.
C'est juste le pli que fait la chambre à air, à côté de la valve, qui a déchiré le caoutchouc. Nouvelle chambre à air.

Je remonte le tout. Je fixe la roue arrière. < Tout est toujours si facile avec toi. ! > me fait Clémentine toute contente.
J'ai deux chambres à air. Clémentine en a deux. Nous avons des pneus anti crevaison. Je rassure ma compagne. Ouf.
Bien évidemment, j'ai pris soin d'ajuster correctement la chambre à air à l'intérieur du pneu. C'était très mal fait !
< Voilà pourquoi ça a fini par lâcher ! > que j'explique à Clémentine en pédalant. Le vent nous pousse. Très agréable.
Nous arrivons à la maison pour 19 h45. Estelle est déjà là. Son vélo est appuyé contre le muret du jardin. Sympa.

La table du jardin est mise. Estelle est à la cuisine, affairée à la préparation des salades. Elle est toute contente. Bises.
< Bonsoir Julien ! > me fait la jeune fille en me serrant la main. Trois bises Bretonnes. Nous aimons la voir heureuse.
Nous l'aidons à finaliser la préparation du repas. Estelle est vêtue d'un short en toile, d'un T-shirt et de sandalettes.
Je vais aux toilettes. Je ne suis pas debout devant la cuvette trente secondes que la porte derrière moi s'ouvre. Estelle.
Silencieuse, la jeune fille vient se mettre sur ma droite. Elle me prend la bite en me demandant : < Je peux ? >. Rire.

Je bande mou. Estelle, comme à chaque fois qu'elle me tient la queue, reste parfaitement immobile. J'essaie de pisser.
Soudain excité, il m'est impossible de me lâcher. Estelle force ma bite à pointer vers le bas. Je bande maintenant fort.
Estelle me regarde. Je tourne la tête. < Julien ! > me murmure t-elle deux fois. Je lui dépose une bise sur le front. Joie.
Estelle ouvre sa bouche qu'elle me tend. J'évite de l'embrasser. J'en ai follement envie. Clémentine n'est pas présente.
Nous restons ainsi un moment. Clémentine, sans doute inquiète, ne tarde pas à nous rejoindre. Elle tombe sur la scène.

< Et voilà, j'ai le dos tourné cinq minutes, et ce sont les cochonneries ! > fait elle. Nous rigolons comme des bossus.
Clémentine s'accroupit pour approcher sa bouche de ma queue que maintient fermement Estelle vers le bas. Très dure.
Je bande comme un salaud et la pression de mon sexe vers le bas, qu'exerce Estelle, est presque douloureuse. Dur !
Clémentine me suce délicatement. Estelle ne lâche pas ma queue. Elle approche sa bouche pour la poser sur la mienne.
Nous mélangeons nos langues avec avidité. La pipe est géniale. Les montées de jute doivent êtres abondantes. Pompe.

Nous entendons Clémentine gémir. Cela doit considérablement exciter Estelle qui frotte son sexe contre ma hanche.
Je mets ma main entre ses cuisses. < Non ! > fait elle en me la retirant d'un geste sec et précis. Toujours intouchable.
Nous restons ainsi un long moment. Je saisis Clémentine par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Elle se relève.
< A table ! > que je lance aux deux filles que j'entraîne par leurs cheveux jusqu'à la cuisine. Nous sortons au jardin.
Nous prenons notre délicieux repas en bavardant. Estelle est à se réjouir pour passer le prochain week-end avec nous.

Lundi sera férié pour cause de Pentecôte. Aussi Clémentine lui propose de rester avec nous du samedi soir au lundi soir.
Estelle se lève. Sautillant autour de la table, elle s'écrie : < Génial ! Génial ! Génial ! >. Sa grande joie fait plaisir à voir.
< Un petit film cochon ? > demande Clémentine. < J'ai mes petits "machins" ! > répond Estelle en montrant son ventre.
Nous rions de bon cœur. < Nous nous concentrerons sur le haut du corps ! > que je fais. Estelle me fait un clin d'œil.
Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Estelle debout, mime une masturbation masculine avec une vraie vulgarité.

Estelle débarrasse la table. Elle insiste pour faire la plonge. Nous allons la rejoindre à la cuisine, torchons à la main.
Estelle, en laissant l'évier se vider de ses eaux, s'essuie les mains avant de me toucher le sexe sous le tissu du short.
Les initiatives de la jeune fille sont de plus en plus imprévisibles, instantanées et étonnantes. < Julien ! > me fait elle.
Clémentine me regarde et fronce les sourcils avant d'éclater de rire. Nous préparons les coupes glacées. Le dessert.
Nous sommes installés autour de la table, dans le jardin, à savourer nos glaces. Vanille, pistache et pralin. Un délice.

Je me lève. Je sors ma bite que je fais tournoyer. Je m'approche d'Estelle qui, comme toujours, est soudain méfiante.
Sur ses gardes, elle me regarde me saisir de sa coupe vide. J'y trempe ma queue pour l'enduire du reste de la glace.
Je saisis les cheveux d'Estelle fermement. Je passe mon sexe plein de crème sur son visage. Longuement. Bien vicelard.
Quelle n'est pas ma surprise. Estelle me lèche la bite sous le regard étonné de Clémentine ! Nous n'en revenons pas !
< Ah ! Quand même ! > fait Clémentine. Je tente de lui fourrer ma queue dans la bouche. Estelle esquive ma ruse.

Je la tiens par ses cheveux. Je la force à se lever. Je l'oblige à se mettre à genoux dans l'herbe. Clémentine observe.
Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle qui garde les lèvres fortement serrées. Je lui pince le nez. < Non ! > s'écrie t-elle.
Estelle connaît bien mes petites stratégies vicelardes. Elle sait ce que je manigance. Elle s'arrache à mon étreinte. Fort.
Clémentine vient se mettre à genoux à mes côtés. Je lui mets la bite dans la bouche. Ma compagne suce avec bonheur.
Estelle lève souvent ses yeux pour me lancer des regards plein de reconnaissances. Je lui tiens toujours les cheveux...

Nous restons un long moment ainsi. Je force Clémentine à se redresser. Je mets une légère gifle à Estelle qui glousse.
Je me penche pour lui cracher au visage. Estelle n'a pas le temps d'éviter. Je la tiens fermement. Une seconde gifle.
Clémentine, une main sous sa jupe, m'embrasse soudain avec une passion folle. Je sens Estelle me lécher les couilles.
Décidément, les attitudes d'Estelle sont surprenantes autant qu'inexplicables. Clémentine m'embrasse. Nous bavons.
Je tente une nouvelle fois d'enfoncer ma bite dans la bouche d'Estelle. Impossible. Je la force à se redresser. Bises.

Nous débarrassons la table. Estelle insiste pour laver les coupes. Elle essuie ma salive et mon foutre sur son visage.
Elle me fait un clin d'œil. Sournoise, sans prévenir, elle me crache à son tour au visage. < Tiens, salopard ! > dit-elle.
Je suis toujours étonné par toutes ses initiatives que rien ne laissent présager. Clémentine me lèche le visage. Rires.
Estelle s'essuie les mains. Elle se saisit de ma bite qu'elle tient fermement, sans bouger, en me fixant plein de défi.
Il est temps de passer au salon. Les filles doivent réviser un peu. Il est déjà 21 h30. Estelle doit rentrer pour 22 h30.

Bonne soirée de révision à toutes et à tous...

Oncle Julien - ( Vicelard et salopard pour jeunes filles vicelardes et salopes) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Une petite collation chez Juliette en retour de virée vélo

Hier matin, vendredi, c'est le Boléro de Ravel qui nous tire du sommeil. Nous détestons le Boléro de Ravel. Il est six heures.
< Ta gueule Ravel ! > fait Clémentine en tapant sur le cube. Nous rigolons comme des bossus en nous faisant des bisous.
Clémentine m'entraîne. Nous nous levons. Elle file aux toilettes. Je file à la salle de bain. La bite posée sur le lavabo je pisse.
Je lâche une énorme salve de pets en tonalité de Fa. < Je t'entends mon Ravel péteur ! > me fait Clémentine depuis les WC.
Nous rigolons comme des petits fous en descendant prendre notre petit déjeuner. Puis, c'est notre jogging quotidien. Super.

Nous revenons après un running d'une heure. La douche. Je sors la petite auto de Clémentine. Il est 7 h45. Elle part en cours.
Je file à l'atelier car j'ai du boulot. Clémentine revient à seize heures. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Bien.
< Viens, on se barre en bicyclette ! > me fait ma compagne. Je range mes affaires et je nettoie mes palettes. Nous montons.
Clémentine est en jupette, en T-shirt et en baskets. Je suis en short, en T-shirt et en baskets. Nous sortons les bicyclettes.
Nous voilà en route. Il fait chaud. Il y a du soleil en permanence. Il y a bien des amas de nuages à l'horizon. Mais pas d'orage.

< C'est le début du week-end, Bitounet, c'est génial ! > me fait la jeune fille. Nous pédalons contre un léger vent d'Ouest.
Nous parcourons les 25 km qui nous séparent du petit port de plaisance. Nous croisons peu de cyclistes. Peu de monde.
Nous fermons nos vélos à cadenas derrière la capitainerie du port. Nous nous offrons un cône glacé. Nous flânons peinards.
Nous sommes assis sur le muret de la jetée. Nous regardons les bateaux qui arrivent où qui s'en vont. Spectacle très sympa.
< Hello ! > fait une voix derrière nous. Nous nous retournons. C'est le Hollandais de la dernière fois. Il a reconnu Clémentine.

Nous nous saluons. Il ne s'arrête pas. < Je deviens une "célébrité" sur le port ! > fait Clémentine. Nous éclatons de rire. Joie.
Nous décidons de monter jusqu'au vieux cimetière. Nous marchons doucement. Nous regardons les canards qui s'ébattent.
Soudain, une voix nous fait : < Salut les gens ! Vous venez boire un verre ! >. C'est le gros type des chiottes de l'autre fois.
< Tu vois, je te l'avais dit. Je suis une "star" ici ! >. Nous le saluons. Nous déclinons l'offre. Nous rigolons comme des bossus.
Nous prenons le chemin qui monte la colline. Il n'y a personne. Le téléphone de Clémentine se met à émettre un signal. SMS.

< C'est Juliette qui nous invite à venir manger tout à l'heure ! > me fait Clémentine. < Je réponds quoi ? > rajoute t-elle encore.
Je fais : < Bien sûr ! C'est ok ! >. Clémentine écrit notre rapide réponse. Nous faisons un petit tour pour voir l'océan en bas.
< Si on veut être au haras pour 20 h30, on a plutôt intérêt à y aller, il est déjà 18 h45 ! > me précise Clémentine. Descente.
Pour le retour, le vent nous pousse. C'est donc avec une grande facilité que nous roulons tout en bavardant. Soirée superbe.
Nous sortons de la piste cyclable pour prendre la petite route. Nous arrivons au haras. Il est presque 20 h30. Ponctuels. Bien.

Il y a juste trois voitures. La grosse berline allemande de Juliette, les deux voitures de ses employés. Nous entrons dans la cour.
Nous posons nos bicyclettes contre le mur lorsque Juliette vient nous accueillir. < Bonsoir, comme c'est gentil ! > nous fait elle.
Nous nous serrons la main. < Venez, j'ai préparé un petit truc ! > nous fait la jeune femme en nous invitant à la suivre. Faim.
Nous traversons le grand bureau. Nous voilà dans une sorte de patio sous une pergola. C'est un peu comme un petit jardinet.
Il y a quatre chaises autour d'une table ronde. La table est mise. < Oh, j'ai fais simple, j'avais du travail ! > précise Juliette.

Depuis le jardinet nous pouvons voir la jeune femme qui s'occupe de la monte des chevaux. Il y a le palefrenier. Ils bavardent.
< Ils ont terminé leur journée ! Avec la belle saison, nous avons moins de chevaux ! Une dizaine ! > nous explique Juliette.
< Alors qu'à la mauvaise saison, il y en a une quarantaine ! > continue la jeune femme. Nous sommes invités à nous asseoir.
Des avocats aux crevettes ouvre nos appétits. Nous nous excusons de venir les mains vides. Juliette rit en nous écoutant.
< La prochaine fois ! > nous fait elle. < On vous invitera à notre tour ! > fait Clémentine. < Oh ! Volontiers ! > répond Juliette.

Nous bavardons. Juliette, passionnée par son travail, nous parle de son entreprise. Des chevaux. Quelques anecdotes amusantes.
Le palefrenier vient nous saluer. Il s'apprête à quitter les lieux. < Elle veut voir les chevaux la petite demoiselle ? > demande t-il.
Clémentine, étonnée, me regarde. Juliette lui fait : < Allez donc voir, il n'y en a plus que quelques uns ! >. Clémentine se lève.
Je la regarde s'éloigner vers l'arrière des écuries accompagnant son guide. Ils disparaissent par la grande entrée. Il fait agréable.
Nous bavardons. Juliette me fait : < Vous êtes ensemble depuis longtemps ? >. je reste très évasif. Je ne tiens pas à en parler...

Juliette, devant ma discrétion, n'insiste pas. La jeune femme est vêtue de sa tenue d'équitation habituelle. Elle est svelte et belle.
Un petit moment passe ainsi. Je vois revenir Clémentine. A ses côtés, la silhouette lourde du palefrenier. Ils bavardent en riant.
L'homme a de longs cheveux gris attachés en catogan. Clémentine est grande. Il lui arrive à mi tête. Ils se serrent la main. Rires.
Clémentine revient s'assoir. Elle me fait discrètement du pied sous la table. Nous terminons notre repas par un dessert de fruits.
Nous bavardons jusqu'à la nuit. Juliette est d'une compagnie très agréable. Intellectuelle et cérébrale, elle fait preuve d'humour.

Il est déjà 22 h. Nous prenons congés. Nous sommes rapidement de retour à la maison. Nous décrochons notre linge bien sec.
Clémentine m'attire derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle secoue les dernières gouttes.
< Si tu savais ! Viens, je te raconte. Ce vieux salaud m'a "allumé" ! > me fait ma compagne en m'entraînant par la main. Salon.
Clémentine retire sa culotte qu'elle jette au loin. Couchée sur le canapé, les cuisses écartées, elle me fait signe de la rejoindre.
Je ne me fais pas prier. Je fourre mon visage dans la touffe de ma compagne. Je hume les parfums de sa journée de fille. Super.

Clémentine est excitée. Je n'ai pas le temps de me régaler longuement de ses muqueuses humides, elle m'attire sur son corps.
Je m'introduis dans la fille avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Nous aimons ces moments intimes. Confessions.
Clémentine, en chuchotant me raconte sa visite des écuries avec le palefrenier. < Un vieux vicieux ! Si tu savais ! > me fait elle.
Ma compagne me raconte. Ils sont entrés dans les écuries. Le type, tout en lui montrant les quelques chevaux, se touchait !
La main sur sa braguette, massant son sexe, il parlait de la façon la plus naturelle. Sans jamais faire la moindre proposition.

Ces situations excitent particulièrement Clémentine. Le trouble la submerge. Sa curiosité de jeune fille est mise à rude épreuve.
Le palefrenier, tout en bavardant, se massait le sexe à travers le tissus de son épais pantalon de velours marron. Vrai vicelard.
< A tel point que j'en étais gênée. Et tu sais qu'il m'en faut ! > fait Clémentine en se mettant à bouger du bassin, doucement.
Elle continue : < Il me propose de monter le cheval noir mis en vente par son propriétaire lors de notre prochaine visite ! >.
Je lui propose de passer le plus vite possible, la semaine prochaine par exemple. < Tu restes avec ! Hein ! > me fait Clémentine.

Je la rassure. Il ne peut rien arriver. Clémentine accélère le rythme de son bassin. L'orgasme arrive. Terrassant, total et puissant.
Clémentine se cabre contre moi. Son corps secoué de plusieurs spasmes, la jeune fille est envahit de plaisir. Jouissance extrême.
< Ce vieux salaud est un sacré stimulant ! > me fait ma compagne en reprenant doucement ses esprits. Nous rions de bon cœur.
Je n'ai pas le droit d'éjaculer durant les orgasmes de Clémentine. Elle préfère se faire juter dans la bouche. Elle se met à me sucer.
A plusieurs reprises Clémentine me raconte les anecdotes qui lui reviennent à la mémoires quand à la visite des écuries. Salope.

Je me fais tailler une pipe des familles. Longuement. Clémentine se régale en gémissant. Je lui mets le doigt. Elle bouge un peu.
< Je suis pressée de visiter ces écuries la semaine prochaine. Je veux voir jusqu'où ira ce vieux cochon ! > me fait Clémentine.
J'éjacule sans bouger. En trois saccades assez violentes. Clémentine avale en pompant comme si sa vie en dépendait. Superbe.
Décidément, cette visite des écuries a eu des conséquences heureuses. J'en fais part à ma compagne qui me confirme sa joie.
Je lui promets de passer visiter Juliette la semaine prochaine. < Fais lui un message pour mercredi soir ! > que je lui dis. Rires.

Bonne visite d'écuries en compagnie d'un vicelard à toutes les "connaisseuses"...

Oncle Julien - (Qui adore lorsque Clémentine se retrouve en "situations" troublantes) -

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Classe
Homme, 63 ans, France, Bourgogne-Franche-Comté
J'ai passé plus d'une heure à vous lire... extraordinaire ! j'ai vraiment passé un bon moment.
Toutes les scènes d'exhib en particulier m'ont beaucoup plu. Elles me rappellent un peu les jeux que j'avais avec mon ex-femme. Merci pour tout ça, ça me rappelle un blog qu'on suivait ensemble avec plaisir...
Homme, 53 ans, France
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Un samedi au climat plus humide et plus frais

Le samedi, nous dormons plus longuement. Pas de réveil. Ce fut encore le cas hier. Je suis le premier à ouvrir les yeux.
Je regarde ma montre. Il est presque huit heures. Nous sommes devenus télépathes. Clémentine se réveille à son tour.
< Bonjour Bitounet ! > me fait elle en me chevauchant pour me couvrir le visage de bisous. Je la serre fort contre moi.
Nous restons un petit moment à nous faire des papouilles. L'impérieux besoin naturel mais un terme à nos effusions.
Pas d'autre choix que de se lever. Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la tiens par ses cheveux comme elle aime tant.

La jeune fille se soulage dans un long jet sonore qui semble intarissable. Je m'accroupis pour récupérer la dernière goutte.
Je hume les effluves parfumées de sa nuit de fille. Je m'enivre de ses odeurs suaves. C'est à mon tour. Je me redresse.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Elle secoue les dernières gouttes. Accroupie elle en savoure les reliquats.
Je la laisse se régaler un peu. Je la force à cesser. Nous descendons prendre notre petit déjeuner. C'est samedi. On traîne.
Dehors, le sol semble légèrement humide. Il a sans doute plut cette nuit. Le ciel est gris, chargé de nuages lourds. Sombres.

Nous prenons l'initiative d'un bon jogging. Notre addiction aux exercices physiques est trop forte. Endomorphines, êtes-vous là ?
Nous montons nous vêtir de nos tenues de sport. Shorts en lycra, T-shirts et baskets. Nous voilà à courir sur le chemin. Heureux.
Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons. Nous passons devant le haras. Il y a déjà des voitures de garées là.
Nous remontons par l'ancienne voie ferrée pour revenir par le cromlech. Une heure trente d'un running absolument superbe.
La douche. Il est 10 h30. Il faut sacrifier au rituel de la logistique. Aller faire nos courses. Nous nous habillons en bavardant...

Clémentine porte une de ses jupes d'été, légère et évasée jusqu'au dessus du genoux. Un pull en coton fin imitation mohair.
Des souliers fermés à légers talons. Je la fais tourner devant le miroir de l'armoire. < Comme tu es belle ! > que je lui fais.
Sur la demande de la jeune fille je mets mon ensemble clair. Pantalon en lin, veste en lin sur une chemise crème. Mocassins.
< Comme tu es beau ! > me fait Clémentine en me faisant tourner. Nous rions de bon cœur en nous faisant plein de bisous.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Je la laisse sucer un peu...

Nous voilà sur la petite route qui mène au bourg. Samedi, c'est jour de marché. Nous y faisons provisions de fruits. Légumes.
Fromages et œufs viennent compléter nos achats. Le ciel est bas. Il y a un souffle de vent très agréable. Il fait presque frais.
Nous apprécions ce climat à sa juste valeur après ces chaudes journées passées. Nous flânons dans l'unique allée du marché.
Discrètement, comme elle aime le faire, Clémentine effleure ma braguette. Parfois, lorsque c'est possible, elle me palpe le zob.
Moi, avec la plus grande attention, je pose ma main sur son sexe à travers le fin tissus de sa jupe. Nous aimons faire ces trucs.

Nous revenons à la voiture. Direction le supermarché. Il y du monde. C'est un week-end prolongé. Lundi sera un jour férié.
Je pousse le caddie. Clémentine marche souvent devant moi pour choisir des articles qu'elle me montre avant de les déposer.
Paquets de lessives "normales" "couleures", "spéciales noirs". Dentifrice, papier cul, sopalin, bref tout le toutim habituel. Sympa.
< On tente un "plan" ? > me fait Clémentine. Nous nous dirigeons au rayon culturel. Beaucoup trop de monde. Un petit tour.
Nous décidons de visiter le rayon des vêtements homme. De toutes manières j'ai besoin de chaussettes basses pour le sport...

Clémentine me fait : < Reste là. S'il y a un blême, tu rappliques ! >. Je reste en tête de gondole à regarder les promotions slips.
Dans l'allée, il y a un monsieur seul. Ventru, chemisette à manche courtes, la cinquantaine, pantalon à plis. Plutôt élégant. Bien.
L'homme est penché en avant pour lire les étiquettes des chemises. Sans doute presbyte, il sort ses lunettes pour mieux lire.
Clémentine pousse le caddie. Elle dépasse le quidam. Manœuvre d'approche habituelle. Elle laisse le chariot pour s'accroupir.
Le chariot faisant écran protecteur, la jeune fille peut, en toute discrétion, se livrer à sa passion dévorante pour l'exhibition.

De l'endroit où je me trouve, je vois bien ma coquine. Cuisses légèrement écartées. Tournée de trois quart vers l'inconnu.
La stratégie est payante. C'est toujours la même. Le type fini par se rendre compte de la superbe jeune fille, là, à deux mètres.
Je le vois de dos. le scénario semble écrit une fois pour toute. L'homme veut en voir davantage. Aussi, il s'accroupit à son tour.
Son embonpoint semble le gêner considérablement. Le bougre manque de souplesse. Il fait semblant de scruter les étiquettes.
Clémentine en rajoute évidemment une louche. Quel merveilleux spectacle. Encore un type qui va brûler un cierge en rentrant !

La situation perdure ainsi un petit moment. L'homme prend conscience d'être en présence d'une adorable salope de première.
La catégorie supérieure, en quelque sorte. Aussi, notre homme s'enhardi. Il se redresse pour se rapprocher. Situation normale.
Je n'en suis pas certain, mais Clémentine me le confirmera dans la voiture, le quidam se touche discrètement près de la fille.
Clémentine que tout cela excite terriblement reste dans sa position. Allant même jusqu'à fixer la braguette de notre bonhomme.
Quel culot ! Ma compagne surmonte évidemment son inhibition pour se procurer quelques délicieux frissons. Le type chancelle.

Je suis à la fois amusé et excité. Clémentine se redresse enfin. Le type, un peu confus, engage une conversation. Clémentine rit.
Une fois encore, le quidam tend une carte à la jeune fille. Elle prend rapidement congé en tournant des talons. Elle vient vers moi.
Nous passons dans l'allée voisine. < Comme c'est original ! Il vient d'agrandir ma collection ! > fait Clémentine en agitant la carte.
Nous rigolons comme des bossus. Nous passons à la caisse. J'ai mon lot de trois paires de chaussettes spéciales sport. Très bien.
Nous sommes de retour pour midi trente. Nous décidons de faire simple. Spaghettis aux gruyère râpé et sans sauce. Juste un œuf.

Nous nous préparons une rapide salade de carottes du jardin. Petites carottes très belles et très régulières. Une saveur juteuse.
Clémentine, assise sur mes genoux, évoque nos prochaines vacances. Les Corbières. La date approche. Départ vendredi 16 juin.
Je lui caresse délicatement le minou encore tout humide de son exhibition du supermarché. < C'était géant ! > me confie t-elle.
< Je me sens hyper salope encore, aujourd'hui ! > continue la jeune fille. Nous rions de bon cœur. Elle me raconte les détails.
Nous décidons de nous occuper un peu du jardin en début d'après-midi puis d'aller en promenade vers seize heures. Bonne idée.

Nous faisons la vaisselle. < Tu seras un vrai salaud, ce soir ? Estelle vient pour 19 h30 ! >. Je lui promets de faire de mon mieux.
Nous rigolons comme des bossus en allant au potager. Tout a bien poussé. Certaines tomates sont déjà grosses et bien rouges.
Les laitues annoncent de bonnes salades. Grâce à la "bouillie bordelaise", il n'y a pas de nuisibles. Tout monte en bonne santé.
Nous enlevons les mauvaises herbes. Clémentine se passionne pour notre potager. Au moins autant que pour ses exhibitions.
Parfois, enlevant un de ses épais gants de jardinage, la jeune fille me palpe la bite au travers du tissus de mon short de jardinier.

Quelquefois, pour la faire rire, je sors ma queue que je fais tournoyer comme un lasso. < Je vais te la bouffer ! > me fait la fille !
Nous rions de bon cœur. Je lui dis : < Attends ce soir, elle sera meilleure ! >. Clémentine se redresse pour se blottir dans mes bras.
< Je t'aime, mon Bitounet, si tu savais ! >. Je la soulève pour la faire tournoyer. Ce bonheur intense se savoure sans modération.
Il est 15 h45. Nous aimons suivre l'horloge qui régie nos journées. < C'est notre syndrome d'Asperger ! > fait Clémentine. Rires.
Nous allons nous changer. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Nous la longeons comme pour notre jogging de ce matin.

Le ciel s'est dégagé. Pourtant un voile diaphane empêche un soleil franc et chaud. Nous passons devant le haras. Plein de voitures.
< Elle ne doit pas chômer, Juliette ! > précise Clémentine. En effet, de là, nous distinguons pas mal de monde dans la grande cour.
Nous croisons une jeune fille sur son cheval. Elle nous fait un grand sourire en nous saluant. Nous sommes de retour pour 19 h15.
Estelle est déjà là. Sa bicyclette est posée contre le muret du jardin. Nous entrons. Estelle est à la cuisine à préparer des crudités.
Toute contente, elle vient nous faire la bise. Comme nous aimons à le faire, nous nous serrons la main. < Bonsoir Julien ! > dit-elle.

Estelle porte un short, un sweat léger et est chaussée de sandalettes. Elle a ses longs cheveux noués en natte au milieu du dos.
Elle lave les feuilles de salade et les radis dans l'évier. Nous l'aidons. Je prépare l'assaisonnement. Huile d'olive et de noix. Sel.
Moutarde à l'ancienne et poivre doux. Estelle s'essuie les mains, se tourne franchement vers moi. elle fait comme à chaque fois.
Elle mime une masturbation masculine en y mettant toute la vulgarité possible. Tout en me faisant un clin d'œil et un sourire.
< Allumée ce soir ! > fait Clémentine avant de rajouter : < Félicitations ! >. Nous rigolons comme des bossus. Superbe ambiance.

Estelle met la table. Je passe derrière elle. Je lui pose la main sur la nuque. Je peux immédiatement ressentir son léger spasme.
Gloussant de plaisir, Estelle tourne sa tête pour me déposer un rapide bisou sur la bouche. < Chasse gardée ! > s'écrie Clémentine.
< Tant pis, je braconne alors ! > répond Estelle. Nous rions comme des petits fous. Mais ? Ne sommes-nous pas entre petits fous ?
Nous mangeons dans la véranda. Le ciel du soir s'illumine enfin. Nous dégustons notre repas en bavardant. Nous rions beaucoup.
Estelle évoque la petite entreprise familiale de ses parents. Fille unique, il lui faut participer. Il y aura du travail tout l'été. Sympa.

Nous lui promettons de lui faire un mot tous les jours depuis l'Ecosse. Nous serons dans ma famille du 10 Juillet au 20 août. Super.
Je fais découvrir l'Ecosse à Clémentine qui est à se réjouir. Le pays des légendes et des fantômes. Et des fantômes spectaculaires.
Estelle nous envie et conclue : < Moi aussi, je veux un Julien ! >. Clémentine répond : < Mais celui-là, c'est le mien ! >. Rigolades.
Nous passons au dessert. Des coupes glacées. Vanille, pistache et pralin. Nos préférences. Clémentine est assise sur mes genoux.
Nous faisons la vaisselle. Nous passons au salon. Je vais aux toilettes. Je n'y suis pas trente secondes. La porte s'ouvre. Estelle.

La jeune fille vient tout près de moi en me chuchotant : < Julien ! >. Je ne dis rien. Lorsque Clémentine n'est pas là, ça me gêne.
Je sais pourtant bien que ma coquine est cachée derrière la porte entre baillée pour voir et écouter. Estelle se saisit de ma queue.
Je bande mou mais il est soudain impossible de pisser. Je sens une excitation su-BITE monter en moi. Jeune et belle petite salope.
Son regard à la fois innocent et terriblement vicelard ne laissent pourtant aucun doute quand à ses intentions. Être près de moi...
Nous restons ainsi un petit moment. Parfaitement immobiles. Je peux entendre et sentir la respiration de la jeune fille. Bien excitée.

Je saisi Estelle par la nuque. Fermement, mais sans brutalité, je la force à s'accroupir. Elle se met directement à genoux. Vicieuse.
Sans opposer la moindre résistance, la jeune fille se laisse guider par sa natte que je tiens à présent comme une laisse. Fermement.
Je passe doucement ma bite sur son visage dont elle me présente tous les angles. Toutefois, impossible de la lui fourrer en bouche.
Les lèvres fortement serrées, Estelle gémit de plaisir. De bonheur ? Je lui frotte la bite sur la gueule un long moment. Gloussements.
Clémentine arrive. Sans un mot elle se frotte contre ma hanche, sur ma gauche, en m'embrassant avec une avidité folle. Gourmet.

Je force Estelle à se relever. Elle se frotte les genoux en faisant : < Ouille, ouille, aïe ! >. J'entraîne les filles au salon. Fermement.
Clémentine veut du spectacle. Elle se vautre dans le fauteuil en nous montrant le canapé. Estelle et moi nous nous y installons.
Ma compagne a passé sa main droite sous sa jupe. Elle se touche en bougeant à peine. Estelle est assise à ma gauche. Silence.
Estelle se saisit de ma bite. Comme toujours, elle reste parfaitement immobile. Je bande comme le dernier des salauds. Très fort.
Nous bavardons. Estelle me pose toute une série de questions sur l'Ecosse, ma famille, mes origines. Clémentine sait déjà tout ça.

Je raconte, avec forces détails ce merveilleux pays dont les coutumes Celtes sont restées vivaces et pas du tout folkloriques. Bien.
Parfois, pendant la conversation, je sens la main d'Estelle qui serre ma bite. Cela dure une seconde. Elle ne bouge pas davantage.
Quelquefois, la main d'Estelle contraint ma bite vers la gauche. Puis vers la droite. Elle la maintient ainsi quelques secondes. Sympa.
Tout en bavardant, la jeune fille ne lâche pas ma queue un seul instant. Je bande comme un pendu à son gibet. Put-Hein c'est génial.
Maintenant, Estelle contraint ma bite vers le bas. Ma bite est dure comme une branche. C'est presque douloureux. La petite salope.

Une bonne partie de la soirée s'écoule ainsi. Il n'y a pas que la soirée qui s'écoule. Il y a également les épanchements de ma queue.
L'excitation provoque des montées de liquide séminal. S'en est trop pour Clémentine qui se lève pour venir se mettre à genoux. Pipe.
A genoux sur l'épais coussin de velours carmin, entre mes cuisses, Clémentine m'écoute raconter l'Ecosse en léchant l'arrivée de jus.
Estelle maintient toujours mon Zob de sa main ferme et immobile. < Je sens les battements de ton cœur, Julien ! > me fait la fille.
Je réponds : < C'est parce que mon cœur descend là, quand tu viens à la maison ! >. Nous rigolons comme des bossus. Ambiance.

Clémentine tente d'attraper le bout de ma queue à chaque fois qu'Estelle la tord vers le bas. C'est presque douloureux. Petite salope.
Vicelarde, Estelle continue à me poser tout un tas de questions. < Et le monstre du Loch Ness, Tu l'as déjà vu ? > me demande t-elle.
< Non, mais un petit monstre me tord la bite jusqu'à me faire mal ! > que je lui réponds. Rires. Clémentine a de la jute sur le menton.
< Et des fantômes ? Tu en as déjà vu sur la lande du Glencoe ? > me fait elle encore en me la tordant vers la gauche. Je la regarde.
Nous nous fixons. Clémentine tente d'attraper ma bite avec ses lèvres pleines de jute. Estelle s'amuse à la lui retirer de la bouche. Joie.

La soirée se déroule dans cette ambiance studieuse et culturelle. Estelle, soudain, m'embrasse avec une fougue rare. Je suis surpris.
Clémentine me suce avec délectation. Je l'entends pousser des gémissements tout en essayant de déglutir l'incessant flot de jute.
Estelle fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Elle se met à sucer ma langue comme si c'était un Zob. L'émotion me submerge.
Estelle, de sa main libre, me caresse le visage avec une douceur irréelle. C'est féerique. Julien au pays des merveilles. C'est divin.
Je peux sentir la succion de Clémentine qui pompe comme si sa vie en dépendait. J'ai les couilles en ébullition. Il fait plutôt chaud.

Je force Estelle à cesser de fouiller ma bouche. Nous avons de la salive qui dégouline sur nos mentons. Nous nous regardons. Silence.
< Et les châteaux hantés ? Tu me racontes ? > continue Estelle en me tenant toujours la queue. Clémentine s'esclaffe tout en suçant.
Je raconte la région de l'Aberdeenshire où existent dix neuf châteaux. Dont certains sont restaurés et visités quotidiennement. Culture.
Tout en développant l'histoire d'Aberdeen, j'éjacule sans bouger dans la bouche de Clémentine qui pousse un cri d'émerveillement.
Bien évidement je parle de Saint Andrew et des ruines de sa cathédrale Gothique. Estelle écoute comme la sage étudiante qu'elle est.

Clémentine part pour un second tout en vidant le "fond de cuve". Avec une conscience qui fait honneur à l'histoire de la fellation. Joie.
Estelle me fait : < Je sens lorsque la jute passe le long de la queue quand tu éjacules ! C'est génial ! >. Je lui fais une bise sur le front.
< Parle-moi de ces légendes qui entourent le héros national écossais, William Wallace ! > me demande encore Estelle avec passion.
Estelle me tient toujours la bite qu'elle tord souvent dans tous les sens, la retirant de la bouche avide de Clémentine qui glousse. Pipe.
Il y a des filaments de foutre épais et gluant qui relient les lèvres de ma compagne à la peau fripée de mon prépuce dégoulinant. Jus.

Je regarde la pendule Westminster entre le bureau et la bibliothèque. < Il est presque 23 h30 , les filles ! > que je fais. C'est le silence.
Estelle ne lâche pas mon Zob qu'elle maltraite toujours aussi effrontément. Clémentine s'amuse de ce jeu en poussant de petits cris.
Je force les deux petites salopes à cesser leurs activités ludiques. Nous passons derrière le bureau. < Révisions ! > que je fais. Ferme.
Les deux filles éclatent de rire. Estelle me fait : < Oui monsieur le professeur ! >. Clémentine passe sous le bureau pour continuer.
Je décide que la meilleure manière de remettre un peu de sérieux dans cette assemblée est d'éjaculer une seconde fois. Je jute fort.

Les deux filles sont enfin à faire semblant de réviser leurs cours. Moi, pas dupe, j'écris ces lignes. Nous murmurons. Nous rigolons.
< Essaie de te relire, Bitounet, ne laisse pas toutes ces fautes ! > me fait Clémentine. < Pour un Ecossais, c'est bien ! > fait Estelle.
Nous rigolons comme des bossus. Nous décidons de faire un petit tour dehors, au jardin. Clémentine nous entraîne derrière le mur.
Les deux salopes, accroupies, une à côté de l'autre, Estelle short et culotte descendus, Clémentine jupe relevée, pissent en rigolant.
Je m'applique à ne pas les mouiller, mais je pisse contre le mur, juste entre les deux coquines. Il est temps de monter se coucher...

Bonne soirée d'explications historiques à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Professeur de jutologie appliquée à l'université de la pipe) -

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Lorsque nous partons en bicyclette, Clémentine, Estelle et moi

Je suis réveillé d'une étrange manière, hier, dimanche. En effet, une main se saisit de mon sexe turgescent. Erection.
J'ouvre les yeux. Il y a un éclat de rire. Clémentine me fait plein de bisous. Estelle a passé son bras au-dessus d'elle.
C'est Estelle qui me tient ainsi la bite en me faisant : < Bonjour Julien ! >. Nous rions de bon cœur. Il est huit heures.
Estelle, la main parfaitement immobile, me tient fermement. < Comme elle est dure le matin ! > me fait la jeune fille.
Clémentine se met sur moi. Estelle me lâche. < Je descends préparer le petit déjeuner ! > nous fait elle en se levant.

< Sympa, non ? > me demande Clémentine en s'enfilant doucement sur ma queue. < Je suis excitée ! > me fait elle.
< Oui, je vois ça ! > que je lui réponds. C'est une sacrée surprise pour ce dimanche matin. Nous restons immobiles.
< Je veux me garder dans cet état toute la journée ! > rajoute Clémentine en se retirant lentement. Je l'aide un peu.
Ma compagne se lève et m'entraîne par la main. Nous sommes aux toilettes. Je tiens Clémentine par ses cheveux.
La jeune fille se lâche dans un long jet libérateur. Je m'accroupis pour récupérer la dernière goutte. Senteurs. Odeurs.

C'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Je bande mou. Elle secoue les dernières gouttes.
Accroupie, Clémentine en récupère les derniers épanchements. Je la laisse sucer un peu. Je la force à se redresser.
Nous descendons. L'odeur du café fumant se mêle à celle du pain grillé. Tout cela ouvre nos appétits. Des gouffres.
Estelle porte son long T-shirt de nuit. Nous portons les nôtres. La table est mise dans la véranda. Le ciel est lumineux.
Un voile diaphane masque légèrement le soleil. Estelle s'approche de moi. Elle met sa main sur mon slip. Elle palpe.

Je la regarde. Cette nouvelle attitude m'étonne. Elle me fait un sourire avant de me dire : < Il a bien dormi Julien ? >.
Je lui caresse le visage en lui répondant : < Il a bien dormi et a été curieusement réveillé ! >. Nous rions de bon cœur.
Le petit déjeuner est animé. Les filles évoquent leurs cours et la fête de fin juin. Ce fameux Gérôme, l'organisateur.
Comme d'habitude, les deux filles ont poussé leurs tranches de pain devant moi. Tel un patriarche je beurre le pain.
Le jus des oranges fraîchement pressées est absolument savoureux. J'écoute les anecdotes amusantes des étudiantes.

Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. Pendant notre ménage du dimanche matin, elle propose à Estelle le salon.
< Je fais la vaisselle ! > répond Estelle en débarrassant la table. Clémentine monte à l'étage pour faire la chambre.
Estelle, au salon, est assise au bureau, devant l'ordinateur. Je nettoie la cuisine. Puis je passe l'aspirateur. J'adore.
Je passe l'aspirateur au salon. Je regarde Estelle qui vient de se lever. Elle mime une masturbation masculine. Vulgaire.
Elle me fait un clin d'œil. A présent elle mime une pipe de sa main devant sa bouche. Elle fait une bosse dans sa joue.

Les attitudes d'Estelle sont autant d'initiatives de plus en plus fréquentes. Elle s'assoit en me faisant un délicieux sourire.
Je nettoie les chiottes du bas puis je passe la serpillère sur les carrelages. Je vide le seau au WC. Estelle arrive. Secrète.
J'ai les deux mains occupées, mouillées. Estelle, derrière moi, se saisit de mes couilles d'une main. De ma bite de l'autre.
< Vicelard ! > me glisse t-elle à l'oreille. Je peux juste tourner la tête pour lui dire : < Pour te servir petite salope ! >.
Je me redresse. Estelle ne me lâche pas. Elle veut m'embrasser. Je détourne la tête. < Salopard ! > rajoute t-elle. Rires.

Je sors des toilettes suivi de la jeune fille qui me tient fermement les parties génitales au travers le tissus de mon slip.
Je la repousse avec fermeté en disant : < Ménage ! >. Estelle retourne s'installer derrière le bureau. Je monte à l'étage.
Je raconte tout à Clémentine. < Elle est mûre, la petite salope ! Ta bite est son obsession ! > me fait ma compagne.
Clémentine descend avec les draps. Je nettoie les chiottes et la salle de bain. Je ferme les deux fenêtres de la chambre.
Je passe la serpillère sur les carrelages. Tout sent bon. Tout est propre. Je descends à mon tour. J'entends les rires...

Les filles sont entrain de lire mes récits de la semaine. Estelle me lance : < Je vais d'interdire de parler de moi ! >. Rires.
Elle rajoute : < Avec tous les détails, on va me reconnaître malgré le pseudo ! >. Clémentine la rassure. Les plaisanteries.
< C'est vrai tes exhibes dans tous les coins ? > demande Estelle à Clémentine qui confirme sans entrer dans l'explication.
Estelle rajoute encore : < Moi aussi j'ai des tendances exhibitionnistes. Mais j'oserais jamais le faire à ce point ! >. Rires.
< Il faut y aller doucement, par étapes ! > que je fais à Estelle. Je descends à la buanderie pour faire une machine. Draps.

Je remonte. Quelle n'est pas ma surprise ! Clémentine et Estelle sont accroupies, toutes les deux, cuisses écartées. Silence.
Estelle porte sa culotte alors que Clémentine a la sienne aux genoux. Je félicite les deux salopes pour cette belle surprise.
Nous rigolons comme des bossus. Je descends mon slip, je relève mon T-shirt, je fais tournoyer mon Zob comme un lasso.
< Tu va gicler partout ! > me fait Clémentine en se relevant, remontant sa culotte. Estelle reste encore un petit moment.
Je m'approche. je saisi Estelle par ses cheveux. Je la force à se mettre à quatre pattes. Je la promène dans le salon. Tour.

Je lui passe ma bite sur le visage. Estelle ne joue plus du tout à la jeune vierge effarouchée. Au contraire elle tend sa tête.
Estelle me présente chaque angle de son visage d'ange. M'interdisant toutefois de lui introduire mon sexe dans la bouche.
Clémentine me tient la queue pour la frotter sur la gueule d'Estelle qui se pâme de plaisir, les yeux fermés en gémissant.
Le voile nuageux vient de se déchirer. La lumière du soleil éclaire soudain tout d'une clarté presque impudique. C'est beau.
Je force Estelle à se redresser. Clémentine s'accroupit pour sucer. J'ai des montées de jute abondantes. Je suis très excité.

Estelle pose sa bouche sur la mienne. Elle enfonce sa langue pour me fouiller la bouche. Nous voilà repartis pour le vertige.
Clémentine est à genoux sur le tapis, devant l'horloge. Estelle est sur ma droite me serrant dans ses bras en m'embrassant.
Je suis entrain de me faire tailler une pipe des familles. Estelle est d'une incroyable tendresse. J'ai quelques soucis d'équilibre.
Je prends appui d'une main contre l'angle de la bibliothèque. Estelle explore ma bouche. C'est follement excitant. Délirant.
Je pourrais éjaculer tranquillement si je ne désirais pas, comme ma compagne, rester dans cet état d'excitation la journée.

Nous restons ainsi un long moment. Je repousse Estelle. Nous sommes trempés de salive qui nous bave sur les mentons.
Je force Clémentine à se redresser. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. C'est impressionnant. Plein de foutre visqueux.
Clémentine se serre contre moi. Estelle passe derrière moi pour se saisir de ma bite qu'elle tient en restant immobile. Joie.
Je suis pris en sandwich par les deux salopes qui me serrent fortement entre elles. < On fait une balade ? > fait Clémentine.
< Bonne idée ! > que je fais, tout heureux de pouvoir retrouver des palpitations cardiaques normales et régulières. Survie !

Nous montons à l'étage. Clémentine propose à Estelle de s'habiller en fille. Jupettes et T-shirt. Elles sont superbes. Sexy.
< Tu mets un de tes vieux shorts hawaïens et ridicules ? > me fait Estelle. < Oui, il faut les user ! > fait Clémentine. Rires.
Nous voilà au jardin. Il fait doux. Rien à voir avec la chaleur des jours derniers. Clémentine nous entraîne derrière le mur.
Elle me sort la bite qu'elle tend à Estelle. < Tiens, fais-le pisser ! > dit-elle à Estelle qui ne le se fait pas proposer deux fois.
Estelle se saisit de ma queue gluante pour en diriger le jet. Pas de jet. Je suis encore trop excité. Estelle me la tient bien.

Nous restons à nouveau un petit moment dans cette situation. Clémentine m'embrasse. Nous décidons alors enfin de partir.
Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. < Il est déjà onze heures. C'est fou ! > lance Clémentine. Petite balade. Joie.
Le soleil règne en maître. Il y a bien des amas nuageux aux quatre coins du ciel. Mais rien de réellement menaçant. Sympa.
Nous revenons pour midi. Nous décidons de faire simple. Je propose une surprise culinaire. Nous nous mettons à préparer.
Clémentine fait la salade. Estelle fait griller des tranches de pain. Je casse trois œufs dans un bol. Sel, poivre, curcuma. Bien.

Je presse une gousse d'ail et un petit oignon au-dessus du bol. Je mélange. Je coupe trois avocats en deux. Je retire le noyau.
Je verse le mélange dans les avocats. J'y saupoudre un peu de levure diététique en paillettes Une fine tranche de Comté.
Nous passons à table. Ma petite surprise est accueillit avec des gloussements de plaisir, des "miam" révélateurs. Délicieux.
Nous sommes assis dans la véranda. Nous bavardons en savourant ce repas. Estelle débarrasse la table. Elle insiste pour ça.
Clémentine vient s'asseoir sur mes genoux. < On se fait une virée vélo, cet après-midi ? > fait elle. < Super ! > fait Estelle.

Nous savourons nos coupes glacées en dessert. Estelle restera avec nous jusqu'à demain soir, lundi férié. Elle est si contente.
Nous faisons la vaisselle. C'est l'ambiance habituelle. Rires. Bavardages. Estelle fait la plonge. Clémentine et moi essuyons.
Tout est propre. Il est 13 h45. Nous nous mettons en tenues. Estelle et Clémentine en jupettes "tennis". T-shirt et baskets.
Moi, short Lycra et T-shirt. Dans le petit sac à dos que j'emporte toujours, Clémentine met des vêtements de change. K-way.
Je vérifie le gonflage des pneus. Ceux d'Estelle méritent un sacré coup de pompe. 4,5 bars de pression. Nous voilà en route...

Nous décidons de prendre la direction du lac. Un vent de face nous impose un effort. Ce qui n'empêche pas les bavardages.
30 km de bicyclette dans un cadre bucolique et nous voilà arrivés. Nous dévoilons notre crique secrète à Estelle enchantée.
Clémentine et moi sommes nus. Estelle garde son bikini. Toujours cette pudeur bien légitime. C'est une jeune fille de 20 ans.
Nous tentons la baignade. A notre grande surprise les eaux du lac ont conservé la chaleur accumulée ces dernières journées.
Estelle trempe un pied en nous regardant nous ébattre dans l'onde. Elle finit par nous rejoindre en s'écriant : Brrrrr ! > Rires.

Nous nageons tous les trois doucement. Une brasse nonchalante qui nous fait faire le tour du petit lac. Une bonne heure.
Le soleil est haut dans un ciel principalement bleu. C'est le vent qui rafraîchit l'atmosphère. Pourtant la douceur règne. Bien.
Nous revenons à nos affaires sur lesquelles nous jetons en permanence un œil. Il y a peu de monde. Quelques familles. Joie.
Estelle est absolument enchantée par la découverte de cet endroit. Elle y venait avec ses parents mais jamais de baignades.
Nous sommes vautrés sur le sable fin de la plage minuscule. Estelle saisit mon sexe. Elle le tient fermement. Sans bouger...

Je ne tarde pas à bander comme un vrai salaud. Clémentine me chuchote des cochonneries entre deux douceurs. C'est divin.
< Comme elle est dure ! > fait Estelle en rapprochant son visage pour bien observer cette queue qu'elle connaît pourtant bien.
< Tu devrais quand même te mettre à la pipe un de ces jours ! > lui fait Clémentine. Je rajoute : < Et c'est gratuit ! >. Rires.
Je sens bien qu'Estelle est à deux doigts d'essayer enfin ce truc qui l'attire tant. La jeune fille retient son souffle. Elle regarde.
Estelle revient s'allonger sur ma gauche tout en tenant ma bite dans sa main. Clémentine nous raconte des histoires amusantes.

Nous restons ainsi, entre deux baignades, à bavarder, à rire. Estelle me tient la bite tout le temps. C'est devenu son "doudou".
A plusieurs reprises elle approche son visage. Mes couilles semblent également susciter son intérêt. Elle me les touche souvent.
Il est dix neuf heures. Nous décidons de prendre le chemin du retour. Le vent souffle plus fort. Il nous pousse. Tout est facile.
Nous pédalons vite avec une facilité déconcertante. Aucun effort. De plus la pente est souvent descendante. Retour pour 20 h30.
Nous nous préparons des coquillettes au parmesan. Sans sauce mais avec le jus de tomates fraîches du jardin. Un vrai délice...

Estelle nous témoigne de son immense plaisir d'être avec nous. Pour la jeune fille, nous sommes un peu une seconde famille.
Comme à chaque fois, la jeune fille insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. Ambiance plaisante. Joie.
Deux fois Estelle, avec toute la vulgarité qu'elle peut y mettre, mime une masturbation masculine. Elle me fait des clins d'œil.
< Il me faut un Julien ! > fait elle. Clémentine rajoute : < Oui ! Mais celui-là, il est à moi ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Nous passons au salon. Clémentine se vautre dans le fauteuil en nous invitant à nous installer dans le canapé. Estelle et moi.

Estelle est assise à ma gauche. Sans aucune hésitation, elle sort ma bite de mon short Hawaïen et ridicule. Plus d'inhibition.
La jeune fille, comme hier soir, part dans une conversation tournant autour des vacances. Elle nous raconte les siennes. Joie.
Estelle me tient la bite d'une main ferme. Impulsant quelquefois une pression comme pour souligner un souvenir précis. Détails.
Clémentine, que tout cela excite considérablement, a passé sa main droite sous sa jupe, dans sa culotte. Estelle nous raconte.
Souvent, au fil de sa conversation, Estelle me tord la bite vers la droite. Longuement. Consciente de ce qu'elle provoque. Bobo.

Cette petite salope la maintient fermement, tordue vers la droite. Puis, quelques minutes plus tard, tordue vers la gauche. Mal.
La jeune fille me manipule ainsi durant la narration de ses souvenirs de vacances. Elle a découvert la masturbation très jeune.
C'est la toute première fois qu'Estelle est aussi loquace pour parler d'elle et de son intimité. Elle me tord la bite vers le bas. Fort.
Clémentine pose quelquefois des questions précises sur tel ou tel endroit. Ma compagne n'a jamais voyagé avant moi. L'écoute.
Estelle, tout en me manipulant sans le moindre égard, développe telle ou telle découverte. Les Alpes. La Corse. Le Var, sa mamie.

Nous passons une grande partie de la soirée à écouter Estelle. Je suis vraiment émerveillé de l'entendre nous raconter tout cela.
Le plus souvent mutique dans les situations vicelardes, là, au contraire, Estelle prend plaisir à les provoquer. Maîtresse du jeu.
J'ai la bite qui dégouline sur la main d'Estelle. De la jute visqueuse et épaisse. Estelle prend soin de ne jamais me décalotter.
Elle m'a déjà signifié à quel point elle préfère mon gland recouvert de la peau fripée de mon prépuce trempé de foutre gluant.
Estelle regarde sa dextre. La coulure qui semble collée sur le dos de sa poigne. Elle se penche soudain pour lécher sa main. Jus.

Clémentine accélère soudain son mouvement. En apnée, ma compagne observe la scène. Estelle va t-elle me tailler une pipe ?
Non. Elle se redresse après avoir consciencieusement récupéré la jute. Estelle continue à parler de la maison de sa mamie. Var.
Cette petite salope me tord la bite dans tous les sens depuis deux bonnes heures, suçant les coulures sur le dos de sa main.
Clémentine, aux extrêmes limites de ce qu'elle peut supporter, se lève. Elle tombe à genoux entre mes cuisses. Elle se touche.
Estelle lui met ma bite dans la bouche avant de m'embrasser avec une passion vertigineuse. J'éjacule. Clémentine gémit de joie.

Ma compagne déglutit avec bonheur l'improbable quantité de foutre que j'émets lors de mes excitations démentielles. C'est le cas.
Estelle, comme soulagée, m'embrasse avec une telle passion que je pourrais m'évanouir. Clémentine part pour un second tour.
Estelle me caresse le visage avec une incroyable tendresse. Sa langue fouille ma bouche. Elle suce ma langue comme une queue.
J'essaie de placer ma main entre ses cuisses. Estelle me repousse doucement. < Non ! > me chuchote t-elle à l'oreille. Silence.
J'entends Clémentine émettre le bruit bulleux et les gargouillis caractéristiques d'une pipe de qualité. J'en ai les couilles en feu.

Nous restons ainsi, dans d'indicibles émotions, à nous offrir ces plaisirs que nous aimons tous les trois. Ce sont des découvertes.
A plusieurs reprises Estelle me chuchote à l'oreille : < Julien ! >. Je comprends parfaitement tout ce que cela sous entend. Bien.
Je regarde l'horloge. Il est plus de minuit. J'éjacule dans la bouche de Clémentine qui s'offre, de sa main, son second orgasme.
Clémentine, déglutissant avec peine, vient s'asseoir à ma droite. Je suis entre les deux filles, leur tête sur mes épaules. Doux.
C'est émouvant. Estelle n'a toujours pas lâché ma queue. Quelle soudaine surprise. Estelle se penche. Elle approche son visage.

Estelle vient de prendre ma bite en bouche. Elle suce doucement. Cela ne dure qu'un tout petit instant. Mais quel instant !
< Bravo ! > fait Clémentine. Estelle se redresse. Elle fait une grimace amusée. < Il n'y a plus rien à sucer là ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur. < Il faut t'y prendre plus tôt ! > fait Clémentine. Estelle éclate de rire. Elle tient toujours ma queue.
Nous sommes tous les trois épuisés. Cette journée fut intense sous bien des aspects. Pleine de surprises nouvelles. Superbe.
Estelle prend sa douche la première. Puis c'est à notre tour. Nous sommes couchés. Bavardages et plongée dans le sommeil...

Bonne soirée à écouter les belles histoires de votre visiteuse vicieuse, à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui n'est certainement pas au bout de ses surprises) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
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C'est beau de voir Estelle si heureuse

Hier matin, lundi, pour ce nouveau jour férié, je suis une fois encore réveillé d'une bien étrange et agréable façon. Stupéfiant.
Je sens une main qui me tient le sexe. Je garde encore les yeux fermés. J'entends des rires étouffés et des chuchotements.
C'est Clémentine qui doit se serrer ainsi contre moi pour me couvrir le visage de bisous plus doux les uns que les autres. Bon.
Mon érection matinale est forte et intense. C'est un phénomène naturel et nocturne. Rien à voir avec une excitation ou autre.
J'ouvre un œil et le bon. Quelle n'est pas ma surprise. Les filles ont changé de place. C'est Estelle que je tiens dans mes bras.

< Bonjour Julien ! > me fait la farceuse. Clémentine juste derrière elle me fait un clin d'œil en disant : < Bonjour Bitounet ! >.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Estelle me tient la bite, immobile et amusée. Je regarde l'écran du réveil. Il est 7 h50.
Rapidement les filles reprennent l'ordre naturel des choses. Estelle se lève et nous fait : < Je descends pour tout préparer ! >.
< On arrive dans cinq minutes ! > lui dit Clémentine en me chevauchant. Nous nous offrons plein de papouilles. Tendresses.
L'impérieux besoin naturel nous oblige à nous lever à notre tour. Clémentine m'entraîne aux toilettes. C'est le rituel pisseux.

Je tiens Clémentine par ses cheveux. Elle se lâche dans un jet généreux et sonore. Je m'accroupis pour avoir la dernière goutte.
Je hume les effluves parfumées de sa nuit de fille. Je m'enivre de ce fumet particulier. Puis, c'est à mon tour. Je suis redressé.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, la fille en récupère les derniers épanchements. Je la laisse sucer.
Je la force à se redresser. Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Les odeurs du café et du pain grillé nous enivrent.
A peine suis-je dans la cuisine qu'Estelle met sa main sur mon slip. Elle me fait une bise sur la bouche. Etonnante Estelle...

< On se calme, la fille, c'est propriété privée ! > lance Clémentine en venant s'interposer sans réelle conviction. Amusements.
Nous sommes assis à déguster le jus des oranges fraîchement pressées par Estelle. Je beurre toutes les tranches de pain grillé.
Tel le patriarche, sous les rires amusés des filles je passe bien le couteau partout pour étaler le beurre. L'ambiance est sympa.
Estelle se lève. Elle vient s'accroupir à côté de moi. Sans aucune hésitation, elle me palpe la queue sous le tissus de mon slip.
Une main sur ma queue, une main tenant sa tartine. Nous rions de bon cœur. Clémentine force Estelle à se redresser. Ferme.

Tenant les cheveux d'Estelle pour la forcer à retourner s'asseoir, ma compagne lui fait : < Assis ! A table ! On mange ! >. Rires.
Estelle, le regard par en-dessous, terriblement vicelarde, me fait des clins d'œil. Je suis à nouveau étonné par ses initiatives.
Les attitudes de la jeune fille semblent spontanées. Mais je sais à présent que tout cela est le fruit d'une stratégie. Un "plan".
Clémentine m'a tout expliqué. Nous bavardons. Dehors, le ciel est gris. Aucune menace de pluie toutefois. Il fait plutôt agréable.
Nous traînons à table. Nous bavardons. Clémentine propose un bon jogging. Estelle fait la plonge, nous essuyons. Plaisanteries.

Nous montons nous mettre en tenue. Clémentine nous entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet.
< Tu veux t'amuser un peu ? > demande ma compagne à Estelle qui s'empare de ma queue. Elle en dirige le jet. Avec soin.
Estelle a une façon bien à elle d'en secouer les dernières gouttes que vient sucer Clémentine. Elle donne des à coups secs !
Je bande comme un priapique en phase terminale. Estelle pose sa bouche sur la mienne pour y enfoncer sa langue. Sympa.
Je force Clémentine à se relever. Je me détourne du baiser d'Estelle. < En route fait Clémentine ! >. Nous prenons le rythme.

Nous descendons vers la rivière que nous longeons jusqu'après le haras. Pas de jour férié pour Juliette dont la voiture est là.
Nous remontons jusqu'à l'ancienne voie ferrée. Piste cyclable déserte sur laquelle nous courrons jusqu'au cromlech. Le retour.
Nous arrivons à la maison sous un ciel qui se dégage doucement. Estelle monte prendre sa douche la première. Il est 10 h30.
Je propose à Clémentine de lui brouter le minou, question d'attendre notre tour. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Joie.
Là, sur le canapé, je me régale de toutes les substances émises par les muqueuses de la fille. Nuit, jogging, sueur, fromage...

Estelle, revenue de sa douche, vêtue de son short et de son T-shirt, nous surprend en pleine dégustation. < Eh bien ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur. Clémentine me prend par les oreilles pour me forcer à cesser. Nous montons prendre notre douche.
< J'adore des matins comme ça ! > me fait Clémentine pendant que je lui savonne le dos. Nous traînons longuement sous l'eau.
Nous faisons la chambre et le lit rapidement. Nous redescendons. Estelle est derrière le bureau devant l'ordinateur. Silencieuse.
< Nous n'avons pas cours mardi après-midi et vendredi après-midi ! > fait elle à l'attention de Clémentine qui dit : < Super ! >.

Clémentine et Estelle sont connectés sur le site de l'université. Je vais à la cuisine pour préparer les ingrédients de la bouffe. Midi.
De la cuisine je n'entends rien. Les filles sont studieuses. Dès qu'il est question de leurs études, il y a toujours un profond sérieux.
Je retourne au salon presque sur la pointe des pieds. Les filles ont le regard braqué sur l'écran. Je m'installe dans le canapé. Bien.
Parfois, Estelle me jette un rapide regard. Un clin d'œil. Je lui souri. De la main, elle fait un geste masturbatoire. Je comprends.
J'ouvre la braguette de mon ridicule short orange "Îles Fidji". Je sors ma queue que j'agite dans sa direction. Clémentine rigole...

Nous restons ainsi un long moment. Les filles évoquent leurs cours. J'admire cette capacité toute féminine de rester stoïque. Bien.
Il est déjà onze heures trente. Je me lève pour me rendre à la cuisine. Je fais bouillir de l'eau salée. Je mesure les quantités. Soin.
< On arrive ! > fait Clémentine depuis le salon. Les filles arrivent quelques instants plus tard. Immédiatement elles m'aident à tout.
Clémentine prépare la salade. Carottes, radis et tomates du jardin. Estelle émince l'ail, l'oignon et la ciboulette. Je râpe le gruyère.
Ce seront des pâtes avec une sauce "maison". Nous avons une faim de loups. Les filles évoquent le programme de la faculté. Bien.

Nous mangeons dans la véranda. Le ciel s'est complètement dégagé. Estelle met les assiettes et les couverts. J'égoutte les pâtes.
Estelle vient tout près de moi. Elle mime une masturbation masculine avec toute sa vulgarité habituelle. Nous rions de bon cœur.
Nous savourons ce repas avec tout le plaisir qui lui fait honneur. Clémentine propose une virée bicyclette pour cet après-midi.
La suggestion est accueillit avec joie. Estelle se lève. Elle vient se mettre à côté de moi. Elle pose sa main sur ma nuque. Ferme.
Comme je le lui fais souvent, c'est elle qui appuie sur ma tête pour rapprocher mon visage au-dessus de mon assiette déjà vide.

Encore une initiative qui montre à quel point Estelle devient de plus en plus sûre d'elle. Je suis émerveillé. Clémentine également.
< Vicelard ! > me fait Estelle en se penchant. Elle appuie plus fort. Voilà mon visage dans l'assiette. Une parfaite imitation "Julien".
< Salopard ! > rajoute Estelle en posant son autre main sur ma braguette. Estelle relâche son étreinte. Je la regarde. Vicelarde.
Elle me lâche pour retourner s'asseoir en me faisant : < Alors ? C'est comment, espèce de salaud ? >. Je ne sais quoi répondre.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Moi, un peu bêtement en m'essuyant le visage plein de sauce. < Salope ! > que je réponds.

Nous faisons la vaisselle. Estelle fait la plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Nous montons nous mettre en tenues cyclistes.
Estelle préfère mettre un short. Clémentine préfère évidemment mettre une jupette "tennis". Je suis en short lycra. T-shirt. Baskets.
Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. Un léger vent de Nord Est nous pousse. Nous l'aurons de face au retour. Nous bavardons.
Nous croisons quantité de cyclistes, de familles en promenade ou encore de rollers. 25 km d'une séance sans effort. Voilà le port.
Sur le quai du port de plaisance il y a une animation festive. Il y a un orchestre folklorique qui joue. Une buvette et plein de stands.

Nous fermons nos vélos à cadenas pour flâner un peu. Il fait chaud. C'est très agréable. Nous admirons les bateaux de plaisance.
< Hello ! > nous fait une voix depuis le pont d'un des bateaux. C'est le hollandais des chiottes, l'autre jour. Il nous salue. Souriant.
Il lève le pouce de sa main droite comme pour nous féliciter. Clémentine explique rapidement cette familiarité à Estelle consternée.
< T'es vraiment une salope ! > fait Estelle à Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Il y a une femme à côté du hollandais.
Elle nous fait le même signe. Nous les saluons pour continuer notre balade. Nous sommes assis sur le muret au bout de la jetée.

La musique nous parvient ainsi que le bruit de la petite foule. Nous admirons les bateaux. Estelle devra être de retour pour 20 h.
Nous montons jusqu'au vieux cimetière. Il y a plein de promeneurs. Parfois, discrètement, Clémentine me touche la braguette.
< T'es pas chiche de la sortir ! > me lance Estelle décidément de plus en plus entreprenante. Je regarde partout autour de moi.
< Chassez le naturel et il revient au galop ! > lance Clémentine à l'attention d'Estelle. Eclats de rires. J'ouvre ma braguette.
Avec d'innombrables attentions, rapidement, discrètement, je sors ma bite que j'agite dans la direction d'Estelle une seconde.

< Perdu ! Tu as un gage ! > fait Clémentine à Estelle. Nous rions de bon cœur. Il est impossible de récidiver sans prendre un risque.
Nous redescendons. Nous prenons la direction du retour. Derrière nous, la fête bât son plein. Il est déjà 18 h. Il est temps d'y aller.
Nous pédalons contre un vent beaucoup plus léger qui semble même être retombé. Le retour est donc simple. Nous arrivons.
Il est déjà 19 h45. Juste le temps pour Estelle de se préparer. C'est le cœur gros que la jeune fille nous laisse. Je la serre très fort.
Estelle reviendra mardi soir. Tout juste vingt quatre heures avant de nous revoir. Une fois seuls, Clémentine et moi, nous baisons...

Bonne virée à bicyclette avec votre visiteuse vicelarde à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui découvre les attitudes d'Estelle comme autant de "révélations") -

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Ma bite est devenue le nouveau Doudou d'Estelle

Hier matin, mardi, le réveil nous tire de notre sommeil en délivrant un concerto de Mozart. Il est très exactement six heures.
< Mais tu vas la fermer ta gueule, Momo ! > fait Clémentine en tapant sur le cube. Nous rigolons comme des bossus. Debout.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la main. Deux bisous. Elle file aux toilettes en chantant.
Moi je vais à la salle de bain en pétant. La bite posée sur le lavabo je me répands dans un long jet libérateur. Je pète en Fa#.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Nous faisons un jogging. Douche. Je sors la petite auto de Clémentine. 7 h45.

Des bisous et je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je vais à l'atelier. J'ai beaucoup de travail à terminer. Bien.
Clémentine revient pour midi vingt. Elle me saute dans les bras. Je la soulève pour la faire tournoyer. Je termine de préparer.
Clémentine m'aide à finaliser ce repas. Une salade. Du riz avec une sauce aux champignons. Dehors, le temps est maussade.
Nous savourons en bavardant. < Estelle revient ce soir pour 19 h30 ! > me rappelle Clémentine assise sur mes genoux. Joie.
Nous trainons un peu à table. Un dessert fait de yaourt au miel achève de nous sustenter. Nous faisons la vaisselle. Ambiance.

Nous allons au salon pour ouvrir nos messageries. Assis devant l'ordinateur, nous commençons par la mienne. Juste un mot.
C'est Estelle qui m'envoie son message quotidien et très drôle. Clémentine me montre le message de Juliette. Sympathique.
< Elle nous a vu passer en courant, lundi matin, avec Estelle ! >m'apprend Clémentine avant de répondre. Nous discutons.
Juliette nous invite à un repas pour vendredi soir. Nous acceptons. Clémentine surfe un peu sur le site de son université.
Il est quatorze heures. Clémentine me propose d'aller travailler au potager pendant que je finalise une nouvelle toile. Boulot.

Il est seize heures. Clémentine vient me rejoindre. Assise sur mes genoux, elle me raconte le jardin, les légumes, la pousse.
< Nous aurons bientôt de superbe salades, du choux vert et mêmes des poireaux ! > me fait elle toute fière et contente. Joie.
Le potager est la passion de Clémentine. Elle me donne souvent quelques directives quand à l'arrosage. Quand il fait chaud.
Nous décidons d'aller marcher un peu. Le sol est très légèrement humide mais pas de boue, ni de chemins détrempés. Bien.
Je range mes affaires, je nettoie mes palettes. Nous montons nous changer. Il fait un peu frais. Jeans et sweat-shirt obligés.

Clémentine me demande de lui passer le collier canin. D'y fixer la laisse. Je fais. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière.
< Tu m'attaches au grenier un de ces soirs ? > me demande Clémentine, espiègle et mutine. Nous rions de bon cœur. Bisous.
Nous passons devant le haras. Il y a quelques voitures garées dans la cour. Nous y voyons la dame qui s'occupe de la monte.
< Viens, on va faire un coucou ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la main. Je décroche la laisse du collier canin. Bien.
Nous entrons dans la cour. Nous allons au bureau. Quelle n'est pas la surprise de Juliette toute heureuse de nous voir. Sympa.

Elle nous propose une boisson. Elle est occupée à d'harassants travaux d'écritures administratives. Elle nous explique un peu.
< L'administratif prend les deux tiers de mon temps. La compta et autres chicanes ! > nous fait elle dans un soupir. Sourires.
Juliette en s'excusant, toute contente que nous serons là vendredi soir, nous propose d'aller nous promener dans le haras.
Nous la quittons au bout d'un petit moment, la laissant à son labeur. Elle nous serre la main avant de nous raccompagner.
Nous flânons un peu vers les écuries. La plupart des box sont vides. Il ne reste que quelques chevaux. Nous aimons l'odeur.

< Bonsoir les gens ! > fait une voix derrière nous. C'est monsieur Gérard, le palefrenier. Il pousse une brouette en sifflotant.
Il pose son engin qui contient une botte de paille de grande taille. Les mains sur les hanches, il bavarde un peu avec nous.
Il nous invite à le suivre pour admirer le magnifique cheval noir de la dernière fois. Un splendide étalon qui va partir bientôt.
Clémentine me pousse du coude et me chuchote : < Tiens toi à l'écart un petit instant. Je suis sûre qu'il va être bien salaud !>.
Monsieur Gérard, sexagénaire alerte est un homme trapu et de taille moyenne. De longs cheveux gris en catogan. Loquace.

Subrepticement, je me laisse distancer. < Je prends quelques photos dehors ! > que je lance à Clémentine qui suis l'employé.
Je passe derrière le bâtiment. Par la petite lucarne pleine de poussière, je peux voir ce qui se passe à l'intérieur. J'hallucine !
Je regarde monsieur Gérard qui tout en expliquant un peu de son travail, se touche la braguette. Il se tâte. Il se palpe. Vice.
Clémentine, très gênée, regarde dans d'autres directions. Qu'il est plaisant de voir ma compagne terriblement embarrassée.
Je bande comme un salaud. C'est absolument superbe. Comme me l'avait raconté Clémentine, l'homme est un vrai vicelard.

Je regarde partout autour de moi. Il n'y a personne derrière le bâtiment. Je peux donc tout à loisir me régaler de cet instant.
Sans la moindre inhibition, le type se touche la braguette de son épais pantalon de velours. Il discute tranquillement. Salaud.
Clémentine apprécie beaucoup les situations ambiguës. Elle s'accroupit pour regarder les sabots du cheval. Un prétexte.
Parfois, comme pour écouter les explications du palefrenier, elle tourne la tête dans sa direction. Le type n'arrête pas. Vice.
Enfin, avec le courage nécessaire, la jeune fille fixe le mouvement de palpation de la main du mec. Elle devient insistante...

Cette attitude excite évidemment notre homme. Pourtant, parfaitement maître de lui-même, il reste distant et très courtois.
Clémentine se redresse. Elle me cherche du regard. Son embarras semble l'avoir totalement envahit. Je décide de revenir.
Je rejoins ma compagne en faisant : < J'ai pris quelques superbes photos ! >. Monsieur Gérard, en ma présence, a cessé.
Sans perdre un seul instant de sa nonchalance habituelle, il me fait : < Dans un tel endroit, il y a de quoi faire des photos !>.
Nous prenons congé. Nous saluons le palefrenier avant de prendre le chemin de la sortie. Nous arrivons à la maison. 19 h15.

Estelle est déjà là. Sa bicyclette est posée contre le muret du jardin. Clémentine m'a raconté ses émotions dans l'écurie. Joie.
< Quel vicelard ! On refait vendredi, tu veux ? > me fait ma compagne en m'entraînant derrière le garage. Elle sort ma bite.
Elle en dirige le jet contre le mur avant de s'accroupir pour en récupérer les derniers reliquats. < Je suis excitée ! > fait elle.
Nous nous embrassons longuement. Nous rentrons. < Bonsoir Julien ! > me fait Estelle en me sautant au cou. Si heureuse.
Estelle est entrain de préparer la salade. Clémentine s'empresse de l'aider. Je prépare mes fameuses tartines aux anchois.

Nous bavardons. Les filles évoquent leurs cours à la faculté. C'est la dernière ligne droite avant les vacances. Coup de collier.
A propos de collier, Clémentine retire le sien qui est resté dissimulé sous sa légère écharpe de soie. Elle m'embrasse. Joie.
Estelle met la table dans la véranda. Je sors les tartines du four. Je les emmène sur un plateau. Estelle touche ma braguette.
< Je peux jouer avec après ? > me demande t-elle pour la toute première fois. Clémentine arrive en disant : < C'est privé ! >.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Estelle mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité dont elle est capable.

Nous savourons notre repas du soir. Clémentine est le plus souvent secrète et avare d'anecdotes concernant ses "aventures".
Hors là, encore sous le coup de l'émotion vécue dans les écuries, elle raconte à Estelle qui écoute consternée et hallucinée.
La jeune fille finit par dire : < J'aimerais bien tomber sur un tel vicelard. Mais certainement pas toute seule ! >. Un silence.
< Tu viens avec un de ces soirs. On va voir son attitude devant deux filles ! >. fait Clémentine. < Super ! > nous fait Estelle.
Les filles envisagent différents cas de figure, différentes stratégies pour pousser le mec dans ses derniers retranchements...

Nous faisons la vaisselle. Nous passons au salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil. Estelle et moi dans le canapé. Silence.
Estelle pose sa main sur ma braguette. Clémentine ouvre son jean qu'elle descend à mi-cuisses. Sa main dans sa culotte. Joie.
Estelle, très maladroite, déboutonne mon pantalon. Braguette 501 à boutons ! Avec beaucoup de peine, elle me sort la queue.
Ma bite suinte de jus à cause de l'excitation depuis le haras. Mon prépuce fripé est trempé. Estelle me la tient sans bouger.
La jeune fille commence son petit jeu des soirs précédents. Elle se lance dans une conversation. Clémentine me fait un sourire.

Nous entrons dans le jeu d'Estelle. Nous bavardons. Bien évidemment Estelle évoque le palefrenier. Bien vicelarde. Bien salope.
Tout cela excite considérablement Clémentine adore ces situations torrides. Elle nous raconte son profond embarras au haras.
Estelle pose des questions très précises quand au comportement de monsieur Gérard. Elle semble vraiment passionné par ça.
Estelle tient ma queue dans sa main chaude et douce. Parfaitement immobile. Je bande. J'ai la queue aussi dure que du bois.
Un long moment se déroule ainsi. Estelle récupère la jute qui dégouline de l'extrémité de mon prépuce. Elle se lèche les doigts.

S'en est trop pour Clémentine qui se lève. J'ai le temps de poser le coussin au sol. Clémentine s'y installe sur une fesse. Pipe.
Son jean et sa culotte aux chevilles, ma compagne se masturbe. Tout en me pompant la queue que tient fermement Estelle.
Clémentine doit connaître un de ces orgasmes qui la terrasse car tout son corps est secoué d'un spasme violent. Des frissons.
Elle reste longuement à me faire le "fond de cuve". Je la force à cesser de sucer en la tirant par ses cheveux. Pleine de foutre.
Immédiatement, à ma plus grande surprise, Estelle se lève, se met à genoux également et prend ma bite dans la bouche...

Estelle me suce très fort. Je bande mou. Je vais d'étonnement en étonnement. Cela ne dure qu'un court instant. Elle se relève.
Clémentine remonte sa culotte et son pantalon avant de retourner se vautrer dans le fauteuil. Estelle est assise sur ma gauche.
Elle continue à me tenir la bite. La conversation reprend. Cette fois elle tourne autour des études des deux filles. Il est 21 h30.
Estelle devra rentrer pour 22 h30. Je propose de passer aux choses sérieuses. Les filles vont réviser un peu derrière le bureau.
J'écris ces lignes. Ambiance studieuse et silencieuse. Estelle nous quitte à regret. Elle revient jeudi soir. Nous la raccompagnons.

Bonne promenade au haras à toutes celles qui aiment les situations insolites, torrides et vicelardes...

Oncle Julien - (Qui découvre que sa bite est devenue le nouveau "Doudou" d'Estelle qui joue avec) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
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Mercredi soir. Juste Clémentine et moi

Hier matin, mercredi, je suis réveillé par plein de bisous. J'ouvre les yeux. < Bonjour mon Bitounet ! > me fait Clémentine.
Tout en me chevauchant, ma compagne me fait plein de papouilles. Je regarde l'écran du réveil. Il est presque six heures.
< Bonjour ma Clitorette ! > que je lui fais en la serrant fort et en la faisant tourner sur le lit. Il faut se lever. C'est l'heure.
Clémentine se lève en m'entraînant par la main. Elle file aux toilettes en chantonnant. Je fille à la salle de bain en pétant.
Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Puis c'est notre jogging. La douche. Je sors la voiture de Clémentine. 7 h45.

Je la regarde partir. Je me rends à l'atelier. J'ai du boulot. Clémentine revient pour 16 h30. Elle me saute au cou. Heureuse.
Assise sur mes genoux, la jeune fille me raconte sa journée. < Ta bite est devenue l'obsession d'Estelle ! > me confie t-elle.
Nous rions de bon cœur. Les deux étudiantes mangent ensemble au restaurant universitaire à midi et se racontent des trucs.
Dehors, les séquences ensoleillées alternent avec des moments de grisaille inquiétante. En plus il y a un vent frais. Et fort.
Je range mes affaires, je nettoie mes palettes. Clémentine suggère une balade. Nous montons nous changer. Chaudement.

Nous allons au potager pour admirer la pousse des légumes. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me débraguette.
Ma compagne me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Après en avoir secoué les dernières gouttes elle s'accroupit.
Je la laisse se régaler un petit moment. Clémentine suce avec passion. Je la force à se redresser. < Je t'aime ! > me dit-elle.
Nous sommes vêtus de nos jeans, de nos sweats. Dans mon petit sac à dos, nous avons nos K-way, fruits et eau. Bouteille.
Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons en bavardant. Clémentine évoque son fantasme le plus récurrent. Joie.

Être nue, entrain de se masturber, inaccessible et surprise par un inconnu. Nous l'avons réalisé il y a peu. Grand moment.
Depuis, ma compagne n'a plus qu'un seul désir, recommencer. Aussi, depuis, la jeune fille imagine de nouvelles stratégies.
Ce n'est pas simple. Il faut trouver le bon endroit. Et surtout Clémentine aimerait un autre lieu à chaque fois. Diversifier.
La jeune fille me soumet quelques idées. J'admire sa capacité à élaborer des "plans". < Quelle imagination !> que je fais.
Clémentine se blottit contre moi en riant. Je lui dépose plein de bises sur le visage. Elle passe sa main dans ma braguette.

< Sans toi, tout cela serait impossible. Trop risqué ! > me fait Clémentine avant de rajouter : < Ta présence me rassure ! >.
Nous marchons d'un pas léger et assez rapide. Clémentine continue : < J'aime te savoir caché à me regarder, c'est génial !>.
Je sais que la jeune fille a l'impérieux besoin de vivre ses fantasmes. Aussi, je l'aide de mon mieux. Nous en parlons souvent.
< C'est maintenant, à ton âge, à 20 ans, qu'il faut vivre tout ce qui te passe par la tête ! > que je lui fais. Elle m'embrasse.
< Tu es un amour Bitounet ! > me chuchote t-elle à l'oreille. Le soleil vient d'apparaître. Les nuages se déchirent. Douceurs.

Nous arrivons à la hauteur du haras. Il y a quelques voitures garées dans la cour. Deux camionnettes avec des remorques.
< Viens, on prend le sentier qui passe derrière la clôture ! > me fait Clémentine en m'entraînant par la main. Herbe sèche.
Nous longeons le petit ruisseau qui passe à environ 100 mètres derrière les écuries. Clémentine nous arrête. Les bosquets.
Nous observons. Je sors la petite paire de jumelles qui ne quitte jamais la pochette avant de mon petit sac à dos. Silence.
Clémentine s'en empare. Elle observe longuement en commentant ce qu'elle regarde. Je peux voir des silhouettes là-bas.

Il y a toujours une certaine animation au haras. < Il y a monsieur Gérard dans la cour ! > me fait Clémentine. Elle mâte.
Elle continue : < Il tient un cheval par sa longe ! Il bavarde. Sans doute avec le propriétaire ! >. Je tente de distinguer.
Clémentine me tend les jumelles. Je regarde à mon tour. < J'ai une idée ! Tu restes là ! > me chuchote ma compagne.
Je me demande ce que ma coquine a encore derrière la tête. Elle m'explique : < Je me fais voir, seule, comme en balade ! >.
Je comprends son "plan". Il suffit d'attendre que le palefrenier se rende aux écuries. Il verra forcément la jeune fille là-bas.

Il n'y a même pas 100 mètres entre le sentier qui longe le ruisseau et l'arrière des écuries. Personne ne peut nous voir.
Nous attendons. Clémentine regarde dans les jumelles. Elle commente ce qui se passe là. Le palefrenier discute toujours.
Un long moment s'écoule. Monsieur Gérard prend congé de la personne avec qui il bavarde. Le palefrenier va aux écuries.
< Tiens, mâte ! > me fait Clémentine, me donnant les jumelles et en m'invitant à rester dissimulé derrière les bosquets.
Je la regarde s'avancer. Clémentine marche doucement. Les bras croisés, ses longs cheveux en liberté sur ses épaules...

Je regarde dans les jumelles. Je suis concentré. C'est insolite. Je peux voir monsieur Gérard qui s'affaire à une remorque.
La remorque est juste derrière l'écurie. Sans doute la prépare t-il pour y faire entrer le cheval de tout à l'heure. Il travaille.
Soudain, monsieur Gérard voit cette belle jeune fille qui marche, là-bas, le long du ruisseau. Je l'observe. Le palefrenier mâte.
Pas de doute, il a bien remarqué Clémentine qu'il doit reconnaître. Il regarde dans toutes les directions. Soigneusement. Bien.
Clémentine fait semblant d'être absorbée dans ses pensées en regardant l'eau du ruisseau. < Hello ! Hi ! > fait le palefrenier.

La jeune fille tourne son regard dans sa direction. Monsieur Gérard lui fait signe de la main. Clémentine fait de même. Polie.
La distance oblige notre homme à parler fort. < On se promène toute seule ? > demande t-il d'une voix forte et qui porte.
Clémentine s'est immobilisée. Elle s'approche doucement en traversant le petit pré. Elle avance jusqu'à la clôture. 20 mètres.
Il y a une seconde clôture derrière les écuries. Monsieur Gérard s'en approche à son tour. A peine 10 mètres les séparent.
Depuis les bosquets où je suis planqué, je n'entends rien des propos qui s'échangent. Par contre je vois le type se tripoter...

Monsieur Gérard, comme la dernière fois, se palpe le sexe au travers le tissus de son épais pantalon de velours marron. Vice.
La conversation doit être amusante car je peux voir rire ma compagne. Le type, trop heureux de cette opportunité bavarde.
Tout en discutant, monsieur Gérard n'arrête pas de se tripoter avec une vulgarité incroyable. Jambes fléchies, il se touche.
La situation perdure ainsi un très long moment. Le type doit lui raconter des choses drôlement marrantes. Clémentine rit.
Soudain, il ouvre la braguette de son pantalon. Tout en bavardant, il en extrait son sexe. Un sexe mou, plutôt fripé et court.

Monsieur Gérard, ses mains sur ses hanches, semble apprécier son petit effet. Clémentine fait mine de se détourner. Gênée.
Le type doit avoir des propos rassurants car Clémentine revient sur ses pas. Son index pointé vers le sexe du palefrenier.
Monsieur Gérard se saisit de son sexe entre le pouce et l'index. Il l'agite doucement en direction de la jeune fille amusée.
Tout en discutant, le type secoue doucement sa queue sous le regard de Clémentine à présent franchement souriante. Joie.
Je vois Clémentine mimer une masturbation masculine tout en bavardant. Monsieur Gérard agite sa bite au même rythme.

Je scrute dans les jumelles avec le souffle coupé. Je bande très fort. De voir ma compagne dans cette situation, m'excite.
Le type ne bande pas du tout. Il se contente de la secouer doucement devant la jeune fille. Cette situation est insolite. Bien.
Il doit expliquer des choses car à plusieurs reprises il montre sa queue de sa main libre, en pointant son index dessus. Rires.
Je scrute avec attention. J'aimerais être plus près. Impossible. De l'endroit où je me trouve je peux le voir tirer sur la peau.
Monsieur Gérard tire sur son prépuce incroyablement long. On devine le gland à quelques centimètres du bout qu'il tient...

L'espace entre les deux clôtures, environ dix mètres, doit permettre à Clémentine de bien observer tout en restant rassurée.
La situation dure depuis un très long moment. Monsieur Gérard regarde sa montre. Il fait signe qu'il doit retourner au boulot.
Il salue poliment Clémentine en agitant sa bite d'une façon très vulgaire. Il la remballe. Il s'éloigne avec un signe de la main.
Clémentine marche vers la rivière. Monsieur Gérard se retourne une dernière fois, descend son pantalon et fait : < Hello !>.
Clémentine se retourne, lève son pouce comme pour féliciter l'initiative du palefrenier. Le type remonte son froc, disparaît...

Clémentine revient dans ma cachette. Nous prenons le chemin du retour dissimulés derrière les hauts fourrés. Sympathique.
Ma compagne me raconte la conversation et les propositions de monsieur Gérard. Incroyable vieux vicelard plein d'initiatives.
< Il est encore plus exhibitionniste que moi ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Clémentine me raconte les détails.
< Il ne bande plus. Ce qui ne l'empêche pas de se branler et d'éjaculer ! Il m'a tout raconté ! > me raconte Clémentine. Rires.
Elle continue : < Il a une petite bite toute fripée. C'est rigolo. Il m'a même proposé de venir la goûter un de ces soirs ! >...

Nous revenons à la maison pour 19 h. Toute cette nouvelle aventure a considérablement excité la jeune fille. Nous rions.
Je propose de faire simple. Clémentine prépare une salade. Je fais des coquillettes. Ma compagne n'arrête pas de raconter.
< C'était génial ! Jusqu'où ira t-il ? > me fait elle en riant. < Jusqu'à la pipe ! > que je fais. < T'es fou ! > me répond t-elle.
Je la prends dans mes bras pour lui dire, le plus sérieusement du monde : < Ce serait une nouvelle expérience ! >. Silence.
C'est un peu comme si j'avais dis une chose grave. Clémentine reste longuement silencieuse. Elle me regarde dubitative.

< Franchement, je pourrais pas faire ça à un inconnu. Vraiment, ça me dégoûte ! > finit-elle par me confier. Serrée contre moi.
Je lui dis encore : < Ce serait un beau "cadeau" que tu pourrais nous faire. Réfléchis à cette possibilité ! >. Elle se détourne.
Cette réaction typiquement féminine ne dure qu'un instant. Clémentine revient dans mes bras. Elle se serre très fort. Moi aussi.
Je la soulève, je la fais tournoyer en l'air. < Tu es fou et je t'aime ! > s'écrie t-elle avant de m'embrasser. A table. C'est prêt !
Nous mangeons d'un bon appétit. Clémentine vient s'assoir sur mes genoux pour bavarder. Nous faisons notre vaisselle. Bien.

Nous passons au salon. Clémentine enlève son jean et sa culotte. < Je suis hyper excitée ! > fait elle, tombant dans le canapé.
Je viens la rejoindre. Je descend mon visage dans sa touffe. L'odeur de sa journée de fille m'enivre. Les parfums sont puissants.
Je découvre son sexe complètement trempé. Il dégouline d'une cyprine gluante et visqueuse. Je suce, je pompe, je me régale.
Clémentine ne peut réfréner un orgasme qui arrive à toute vitesse. La jeune fille tente de me repousser. Je lutte fermement.
Rapidement Clémentine repart pour un second tour. Son clitoris géant est d'une rigidité incroyable. Son sexe suinte de foutrine.

Clémentine, couchée sur le dos, les cuisses largement écartées, me tient par les oreilles. Ses gémissements sont permanents.
Nul doute, la jeune fille connaît l'extase. C'est merveilleux. Elle me chuchote : < Je vais nous faire ce "cadeau". Salaud va ! >.
Je ne réponds pas. Je ne pose aucune question. Ce sera à elle de donner une suite éventuelle à cette éventualité. Patience.
Un second orgasme envahit la jeune fille. Son corps est secoué de spasmes et de frissons. L'orgasme dure longtemps. Super !
Clémentine m'a attiré au près d'elle. Elle me chuchote plein de douceurs. < Je vais te vider les couilles ! > me fait elle soudain.

Clémentine, en chien de fusil, en position fœtale, me suce avec une incroyable douceur. Je lui caresse la tête. Elle gémit. Joie.
A plusieurs reprises je retire ma bite de sa bouche en tirant sur ses cheveux. Cette manière lui permet de reposer sa mâchoire.
Cette pipe absolument merveilleuse dure un long moment. < Je peux ? > me fait Clémentine. < Quoi donc ? > que je fais.
< Monsieur Gérard ! > me répond t-elle. Nous rigolons comme des bossus. Je dis :< Bien sûr ! Et le plus tôt sera le mieux ! >.
Clémentine, serrée contre moi, me dit encore : < Je ne sais pas si j'en aurai le courage ! Tu es un vrai salaud ! >. Rigolades...

Bonne séance d'exhibition avec votre monsieur Gérard à toutes. Derrière votre écurie préférée...

Oncle Julien - (Qui est à se réjouir de découvrir sa compagne dans une situation hyper vicelarde) -

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Une fin d'après-midi à bicyclette avant la venue d'Estelle

Hier matin, jeudi, c'est Jean-Sébastien Bach qui nous réveille à six heures. Clémentine me fait plein de bisous. Debout.
Elle file aux toilettes. Moi je file à la salle de bain. La bite posée sur le lavabo, je pète et je module en tonalité de Fa.
< Je t'entends Bitounet prouteur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant.
Nous prenons notre petit déjeuner. Puis c'est notre jogging. Retour et douche. Je sors la petite auto de Clémentine. 7h45.
< Je reviens à midi, mon Bitounet ! > fait ma compagne. Je la regarde partir. Je vais à l'atelier. J'ai beaucoup de boulot.

Clémentine revient pour midi vingt. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Plein de bises.
Je suis entrain d'égoutter le riz que je prépare avec des petits champignons noirs. Clémentine m'aide à finir les salades.
Dehors, c'est une véritable journée d'été. Le ciel est d'un bleu pur et limpide. Pas un nuage. Le soleil règne en maître.
Nous mangeons dans la véranda dont toutes les baies vitrées sont largement ouvertes. Nous traînons. Un repas délicieux.
Clémentine, assise sur mes genoux, me raconte sa matinée. Cette troisième année de faculté arrive bientôt à son terme.

Nous faisons la vaisselle. Nous évoquons nos vacances prochaines dans l'Aude. Ce séjour de huit jours dans les Corbières.
Notre départ est prévu pour vendredi prochain, 16 juin. Clémentine est folle de joie. De nouvelles découvertes à venir. Joie.
J'ai du travail à terminer. J'ai presque la totalité de mon stock de toiles pour cette saison d'été. Cela me rassure. C'est bien.
J'ai deux heures de boulot cet après-midi. Clémentine va travailler un peu à ses cours. Nous sommes dans l'atelier. Sympa.
Tous deux silencieux, dans une ambiance studieuse, nous sommes à notre labeur. Clémentine devant l'ordinateur. Travail.

Vers seize heures, tout est enfin terminé. Nous décidons de nous offrir une belle virée à vélo comme une récompense. Bien.
Je range mes affaires. Je nettoie mes palettes. Nous montons à l'étage pour nous changer. Il fait chaud. C'est une invitation.
Clémentine met une de ses jupettes "tennis". Un T-shirt, des baskets. Je suis en short, T-shirt et baskets. Nous voilà prêts.
Le linge que j'ai suspendu ce matin est déjà sec. Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite, visant juste.
Elle me secoue les dernières gouttes contre le mur avant de s'accroupir pour en savourer les derniers épanchements. Bon...

Je la laisse sucer un peu puis je la force à se redresser. Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. Il y a peu de monde. Bien.
< Estelle arrive pour 20 h, ce soir ! > me rappelle Clémentine. Nous bavardons en roulant. Nous évoquons Estelle en roulant.
Nous arrivons au port de plaisance. La récompense sera notre habituel cône glacé que nous nous offrons en flânant. Sympa.
Nous passons devant les bateaux. < Hello ! > fait une voix. Nous regardons. C'est le hollandais des chiottes, de l'autre jour.
Nous le saluons. Nous continuons notre promenade. < Viens, on tente un "plan" ! > me fait la jeune fille. Elle m'embrasse.

Clémentine m'entraîne vers le bâtiment des sanitaires, derrière la capitainerie déjà fermée à cette heure. Il est dix huit heures.
Nous entrons discrètement dans les toilettes homme. Je vais me planquer dans le cabinet du fond. Debout sur le couvercle.
Au-dessus de la cloison, j'ai une vue parfaite sur la petite salle. Clémentine est à la porte. Elle guette en me commentant.
L'attente n'est pas longue. < C'est le hollandais qui revient ! > me lance Clémentine que je découvre très embarrassée.
Il lui faut prendre une initiative rapide. Clémentine s'accroupit, se redresse, s'accroupit à nouveau. Il faut prendre une décision.

Finalement, Clémentine se met en position. Accroupie à faire semblant de fouiller dans notre petit sac à dos. Le type arrive.
< Ho ! Yeah ! > fait-il en découvrant le merveilleux spectacle. Clémentine relève la tête pour lui faire un délicieux sourire.
La jeune fille ne peut dissimuler la gêne qui se lit sur son visage. Le type lève son pouce comme pour féliciter la jeune fille.
Dans un français hésitant, avec un accent terrible, le marin fait : < Je vous ai suivi. J'étais sûr de vous retrouver aux WC ! >.
Clémentine, soudain plus à l'aise, se met à rire en même temps que le type qui rajoute : < Il est où le mec ? >. Eclat de rire.

Je suis obligé de baisser la tête car l'homme regarde partout. Notre petite combine est éventée et ne fonctionne pas cette fois.
< Venez donc boire un verre sur le bateau après ! > fait encore le type avant d'entrer dans le premier cabinet. Je sors du mien.
Je rejoins Clémentine. Nous filons comme des petits coquins ayant fait une bêtise. Il est temps de prendre le chemin du retour.
Nous rions de bon cœur en évoquant l'exhibe ratée de Clémentine. Nous sommes de retour pour 19 H45. Estelle est déjà là.
Sa bicyclette est posée contre le muret du jardin. Nous entrons. Estelle se précipite pour nous saluer. Toute heureuse d'être là.

< Bonsoir Julien ! > me fait la jeune fille en me serrant la main. Elle est vêtue d'un short kaki, d'un T-shirt carmin. Sandalettes.
Elle me saute au cou après les trois bises Bretonnes. Je la soulève pour la faire tournoyer. < Comme je suis contente ! > fait elle.
Estelle est entrain de préparer les salades. Immédiatement Clémentine l'aide pendant que je prépare une nouvelle recette rapide.
Je fais griller six grosses tranches de pain complet. Une fois chaudes, j'y étale du Roquefort. Une rondelle de tomates. Olives.
Une cornichon découpé en fines lamelles. Nous mettons la table dans la véranda. Les filles parlent de leurs études. J'écoute...

Le repas est délicieux. Estelle se lève. Elle vient se mettre debout à mes côtés. Elle pose sa main sur ma nuque. Elle appuie fort.
J'ai le visage au-dessus de mon assiette. Une dernière poussée et voilà qu'Estelle trempe mon visage dans mon assiette. Ferme.
< C'est comment espèce de vicelard ? > me demande Estelle avant de rajouter : < Tu m'as tant fais ça. Maintenant c'est à moi ! >.
Clémentine passe sous la table pour me sortir la bite. Estelle relâche enfin son étreinte forte, se penche et me crache au visage.
Sous la table, Clémentine me suce. Estelle me tend une serviette en papier en me disant : < Tiens, essuies-toi, salopard ! >...

Les attitudes d'Estelle m'étonnent toujours par leurs imprévisibilités. Je lève la tête pour l'observer. Son regard est vicelard. Joie.
Estelle débarrasse la table. Je tire Clémentine par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Elle se lève. S'assoit sur mes genoux.
Estelle commence à faire la plonge. Nous la rejoignons pour essuyer la vaisselle. Nous bavardons. Plaisanteries. Ambiance et rires.
Après s'être essuyée les mains, Estelle mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité dont elle est capable. Bien salope.
Elle me lance : < Je regarde parfois les films qu'on a fait. J'ai fais un condensé des meilleurs moments. Tu est un vrai salopard ! >.

Estelle nous explique qu'elle a fait un nouveau montage des six films pour ne garder que les dix meilleures minutes. Une heure.
< Lorsque je vois ton comportement espèce de salaud ! > me fait encore Estelle en s'approchant de moi. Elle me dévisage. Sévère.
Soudain, sans que je m'y attendre, la jeune fille me met une gifle. Tout en s'accroupissant. Son visage devant mon sexe qui pend.
Clémentine m'embrasse en me massant la joue encore brûlante de la gifle reçue. Je saisi Estelle par ses cheveux. Fermement. Dur.
Cette fois, avec une fermeté rare, j'entraîne la petite salope au salon. Je la force à se mettre à genoux au milieu du salon. Sévère.

Estelle tente de se débattre en m'insultant. Clémentine s'accroupit pour essayer de me sucer. Comme je suis agité, c'est difficile.
< Je vais te dresser, petite salope ! > que je fais à Estelle qui se débat avec une force rare. La jeune fille tente encore de me gifler.
A genoux, Estelle me lance des regards courroucés. Je sais que c'est encore un de ses jeux dont la jeune fille raffole. Je la gifle.
< Salopard ! Vicelard ! Ordure ! > me fait Estelle en arrivant enfin à se relever. Je la tiens fermement par les cheveux. Penchée.
Clémentine me suce comme une assoiffée. Estelle lutte. Je suis obligé de la maintenir à distance. Elle joue la furie à la perfection.

Je la lâche. Estelle se redresse et tente de me gifler. Je l'attrape par les poignées. Elle me crache au visage. M'insulte à nouveau.
< A filmer absolument ! > fait Clémentine qui se redresse. < Oui. Absolument ! > rajoute Estelle. Nous rions comme des bossus.
Estelle me saute soudain au cou. Je n'ai à nouveau pas eu le temps d'éviter cet élan imprévisible. Elle m'embrasse avec fougue.
< Oh la ! C'est mon mec ! > s'écrie Clémentine en s'interposant. Estelle se saisit de ma bite. Elle me tire comme par une laisse.
Une nouvelle initiative qui m'étonne encore. Elle m'entraîne me faisant faire le tour du salon. C'est la première fois qu'elle fait ça.

Clémentine pose le coussin au sol devant le canapé. Elle s'y met à genoux. Sa main sous sa jupe elle se touche en nous observant.
Estelle m'entraîne jusqu'au canapé dans lequel elle me pousse. < Tiens, suce-le ton salopard ! > fait elle à Clémentine. Surprise !
Estelle s'assoit à ma gauche. Elle me tient la bite. Clémentine se met à me sucer avec toute sa passion habituelle. Je suis excité.
Estelle me saisit la nuque de son autre main. Elle pose sa bouche sur la mienne pour y enfoncer sa langue exploratrice. C'est fou.
La jeune fille en a parcouru du chemin depuis ses attitudes de vierge effarouchée et son comportement présent. Je suis étonné.

Nous restons ainsi un très long moment. Les montées de liquides séminales doivent êtres conséquentes. J'entends Clémentine.
Entre deux gloussements de plaisir ma compagne tente de déglutir toute la jute qu'elle pompe. < Julien ! > me murmure Estelle.
Je me lève. J'éjacule dans la bouche de ma compagne qui pousse de petits cris de ravissements. Je sors ma bite de sa bouche.
Je n'ai pas le temps d'anticiper, voilà qu'Estelle avance son visage pour s'emparer de ma queue entre ses lèvres. Elle me pompe.
C'est Estelle qui me fait le fameux "fond de cuve" sous le regard émerveillé de Clémentine qui se redresse pour m'embrasser...

Estelle me suce. C'est la première fois qu'elle le fait aussi longtemps de sa propre initiative. Cela dure même un petit moment.
Je bande comme le dernier des salauds. Estelle cesse pour me lancer un regard amoureux. Elle me fait un clin d'œil. Bien salope.
La jeune fille ouvre la bouche pour me montrer la substance gluante et visqueuse qu'elle a du mal à avaler. Je lui fais un sourire.
Clémentine s'assoit dans le canapé. Sa main sous sa jupe s'agite de plus en plus vite. Estelle se touche également. Chose rare.
Elle se lève pour m'embrasser par surprise, me recrachant toute la jute dans la bouche. Nous mélangeons notre salive. Passion.

Je recrache la totalité du mélange dans la bouche d'Estelle avant de la repousser. Clémentine connaît un orgasme qui la terrasse.
Estelle tente de m'embrasser. Elle tient toujours ma queue fermement sans jamais bouger sa main. < Julien ! > chuchote t-elle.
Je m'assois à côté de ma compagne qui se blottit contre moi. Estelle se met à genoux devant le canapé. < On révise ? > fait elle.
Nous éclatons de rire ! C'est vrai qu'il est déjà 21 h45. Estelle doit rentrer pour 22 h30. Elle revient samedi en fin d'après-midi.
Nous nous levons. Estelle m'attrape par les hanches et me suce une nouvelle fois. Quelques instants. Récupérant les reliquats...

Cela ne dure pas. Les filles vont au bureau. Elles tentent de reprendre leurs esprits afin de réviser. J'écris ces lignes. Difficile...

Bonne soirée de découvertes avec votre visiteuse vicelarde à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Qui va d'étonnements en surprises devant les initiatives d'Estelle qui se "révèle" de plus en plus) -

Classe


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Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2017 -



Un vendredi soir chez Juliette pour un délicieux repas

Hier matin, vendredi, le réveil nous sort de notre sommeil pour six heures. < Bonjour Bitounet ! > me fait Clémentine.
Deux bises et nous nous levons. Clémentine file aux toilettes. Je file à la salle de bain. La bite posée sur le lavabo. Joie.
Je pisse en lâchant une salve de pets que je module longuement en tonalité de FA. Je module jusqu'en Sol. Par le Fa#.
< Je t'entends mon Pavarotti du proute ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus. Rires.
Nous prenons notre petit déjeuner avant un superbe jogging. La douche. Je sors la petite auto de Clémentine. 7 h45...

Quelques bisous et Clémentine s'en va en cours. Je la regarde filer. Je vais à l'atelier. J'ai beaucoup de travail à terminer.
Clémentine est de retour pour 16 h30. Assise sur mes genoux elle me raconte sa journée d'étudiante. J'écoute intéressé.
< On se fait une virée vélo ? > me propose ma compagne. Je range mes affaires. Je nettoie ma palette. Nous montons.
Nous voilà vêtus pour partir. Clémentine porte une de ses jupettes "tennis", un T-shirt et ses baskets. Je suis en short.
< N'oublie pas, on mange chez Juliette au retour, à 20 h ! > me rappelle Clémentine. Nous descendons au jardin. Prêts.

Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle la secoue bien.
Accroupie, la jeune fille en récupère les dernières gouttes. Je la laisse se régaler un peu. Je la force à se redresser. Bien.
Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable. Il y a un vent d'Ouest contre lequel il faut lutter. Nous bavardons en roulant.
Il fait beau. Il y a des nuages aux quatre coins de l'horizon. Aucune menace toutefois. Nous croisons beaucoup de monde.
Dans le petit sac à dos, nous avons mis deux jeans en prévision des fraîcheurs de la soirée, à notre retour. C'est mieux.

Nous arrivons au petit port de plaisance. < C'est vendredi soir, Bitounet, le début du week-end ! > me fait Clémentine.
La jeune fille est toute heureuse et me saute dans les bras. Je la soulève pour la faire tournoyer. Nous nous embrassons.
Nous allons choisir nos cônes glacés à la supérette. Nous les dégustons en nous promenant sur le quai. Il y a du monde.
Nous passons devant le bateau du hollandais des chiottes. Il n'y a personne sur le pont. Par contre il y a l'autre type.
Nous passons devant son bateau. C'est le petit gros des chiottes de l'autre fois. Il nous salue et nous propose un café.

Nous le saluons en déclinant son offre. Nous passons récupérer nos bicyclettes derrière la capitainerie. Bientôt le retour.
Soudain Clémentine me fait : < Planque toi, il y a un "plan" ! >. Je reste derrière la petite maison. Il y a un type seul.
Il marche en consultant l'écran de son téléphone. Je regarde ce que va encore entreprendre ma compagne. Intrigué.
Clémentine, son vélo entre les jambes fléchies, se frotte doucement le sexe sur la barre supérieure. Un mouvement lent.
Le type marche doucement. Il arrive derrière la jeune fille qui fait semblant de téléphoner. J'admire ce superbe "plan".

L'inconnu reste un petit moment derrière la jeune fille. Discret et silencieux. Il regarde partout autour de lui. Personne.
Je sais que Clémentine ne simule pas. Elle est véritablement entrain de s'offrir un petit plaisir. Je bande dans ma cachette.
L'homme, la quarantaine, observe cette grande jeune fille, en jupette, entrain de se frotter sur le cadre de sa bicyclette.
Un spectacle émouvant, rare et excitant. Le quidam se remet à marcher. Il arrive à la hauteur de la jeune fille qu'il salue.
Clémentine tourne la tête pour le saluer également. De ma planque, je n'entends rien des propos qui s'échangent là...

Une conversation s'engage. Clémentine, même si elle a ralenti son mouvement masturbatoire, ne cesse pas pour autant.
Les jambes fléchies, le poids de son corps en appui sur la barre supérieure du vélo, Clémentine se cambre un peu plus.
Le type se rend bien évidemment compte d'être en présence d'une belle salope. Un peu maladroit dans son approche.
Je dresse l'oreille. Je passe derrière la capitainerie fermée à cette heure. Je me rapproche en longeant les bosquets épais.
J'entends enfin quelques bribes de la discussion. Le type propose à Clémentine de faire connaissance devant un verre.

L'inconnu devient très insistant. < J'attends mon ami ! > répète deux fois Clémentine car l'individu devient assez pressant.
Il propose à la jeune fille de la revoir un autre soir de son choix. Il est vraiment très insistant. Attitude que déteste la fille.
Le type pose sa main sur sa braguette. Evidemment, les choses à venir son prévisibles. Clémentine me cherche du regard.
Je décide d'arriver en poussant ma bicyclette, mine de rien, peinard. L'homme salue la jeune fille et s'en va rapidement.
Nous rions de bon cœur de ce nouveau coup pendable de ma coquine. Nous prenons le chemin du retour. Il est 18 h30.

Nous arrivons au haras pour dix neuf heures quarante cinq. Poussés par le vent nous avons roulé avec facilité. Sympathique.
Il y a juste les voitures de Juliette et de ses deux employés. Mme Walter et Mr Gérard. Nous posons nos vélos contre le mur.
Juliette est en pleine conversation avec monsieur Gérard. Ce dernier, lorsqu'il voit Clémentine, a soudain un air très troublé.
Il nous serre la main. Ce qui s'est passé l'autre soir, derrière les écuries, doit le gêner dans l'instant présent. Nous bavardons.
Madame Walter s'en va en nous saluant. Monsieur Gérard nous laisse à son tour en disant : < Si vous voulez voir le cheval ! >.

Nous suivons Juliette dans son grand bureau qui sert également de salon d'accueil pour les visiteurs. La table est préparée.
< J'ai fait très simple. Avocats aux crevettes en entrée et poissons pané ! > nous fait la jeune femme. Nous avons très faim.
Une fois encore nous nous excusons de venir les mains vides. Mais, à charge de revanche, nous invitons Juliette à la maison.
< Pensez-vous, c'est un plaisir de vous recevoir. Vous savez, mes journées sont longues et fatigantes ! > fait la jeune femme.
Juliette, comme toujours, est vêtue de sa tenue d'équitation. Pantalon moulant clair, bottes et un chemisier noir. L'uniforme.

Nous mangeons avec appétit. Juliette nous parle des travaux à l'étage. L'aménagement d'un grand appartement. Habitation
< J'ai une maison au bourg. Mais si je m'installe ici, je serais mieux pour mon activité ! > nous confie encore la jeune femme.
Elle nous propose de visiter l'étage après le dessert. Nous parlons de nos activités. Les études de Clémentine l'intéresse bien.
< Si vous désirez voir le bel étalon noir, c'est maintenant car il part demain chez son nouveau propriétaire ! > dit Juliette.
Nous sortons . Nous suivons Juliette aux écuries. Monsieur Gérard est entrain de tout fermer. Il nous regarde arriver. Sourire.

Juliette lui donne quelques recommandations pour demain. Clémentine s'avance vers le dernier box où se trouve le cheval.
Moi, je vais vers le premier box pour admirer la pouliche et son petit. Juliette vient me rejoindre. Elle m'explique l'histoire.
Je regarde monsieur Gérard qui rejoint Clémentine au fond. Je sais que c'est un autre "plan" de ma compagne. Bien salope.
< La jument et son petit partent la semaine prochaine chez leur nouveau propriétaire ! > m'explique Juliette. Passionnée...
Du coin de l'œil, j'essaie de voir ce qui se passe là-bas, au fond de l'écurie. Le palefrenier et Clémentine sont dans le box.

Nous restons aux écuries un petit moment. J'adore l'odeur de ces lieux. La proximité des chevaux m'enchante toujours.
Juliette m'invite à la suivre. Nous faisons le tour extérieur du bâtiment. < C'est la caravane de monsieur Gérard ! Fait elle.
Juliette m'explique qu'à la belle saison, le palefrenier vit ici du début avril à la fin octobre. Pour lui, c'est très pratique.
Juliette me fait part de son projet de faire agrandir le bâtiment l'année prochaine afin de pouvoir accueillir plus de chevaux.
Une femme d'entreprise avisée et très professionnelle. Je suis admiratif. Nous retournons aux écuries. Par l'autre côté.

Clémentine, les bras croisées, se tient à distance de monsieur Gérard qui bavarde avec animation. La jeune fille me rejoint.
Ma compagne me prend la main comme pour signifier un message. Monsieur Gérard prend congé et nous laisse. Il est 22 h.
Juliette nous invite à visiter l'étage du bâtiment où se trouve ses appartements. Nous découvrons un grand espace. Sympa.
Quatre grandes pièces. Un balcon. Une cuisine, une salle de bain spacieuse. Le grenier sera aménagé ultérieurement. Bien.
Nous remercions Juliette pour son accueil. La jeune femme promet de trouver un créneau pour répondre à notre invitation.

Nous rentrons. Il fait frais. Nous pédalons à toute vitesse. A la maison Clémentine se serre contre moi pour me raconter.
< Quel salaud ce type ! Il n'arrêtait pas de se toucher dans le box ! J'en étais gênée ! Et il m'en faut ! > me fait la fille.
Nous rions de bon cœur. < Il m'a carrément fait une proposition. Il a son anniversaire le premier juillet ! > dit-elle encore.
J'écoute amusé les détails. < Ce vieux vicelard, tout en discutant avec moi, a pissé dans un seau ! > me confie Clémentine.
< Et l'odeur ! J'en parle même pas ! Ecœurant ! Il pisse comme un porc tout en discutant ! > me fait encore ma compagne.

Nous prenons notre douche. Nous allons nous coucher. < Je suis hyper excitée ! Si tu savais ! > me fait Clémentine. Rires.
Nous nous offrons un "69" plein de passion. Le sexe à Clémentine n'arrête pas de secréter du jus de fille. C'est délicieux.
La jeune fille ne peut réfréner un premier orgasme. Elle m'entraîne sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Bon.
Nous restons immobiles. Clémentine me raconte toutes les émotions et sensations encore vécues ce soir. Au port. A l'écurie.
< Je deviens vicelarde ! Tu n'imagines pas ! > me confie t-elle. < Je sais ! > que je réponds. Nous nous mettons à baiser...

Bonnes exhibes bien vicelardes sur votre bicyclette à toutes. Bonne visite d'une écurie à toutes...

Oncle Julien - (Heureux privilégié d'être le compagnon d'une merveilleuse salope de 20 ans) -

Classe


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Homme, 53 ans, France
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L'adorable et sécurisante petite routine du week-end

Hier matin, samedi, je suis réveillé par plein de bisous sur les joues, sur le front et même sur le bout du nez. J'ouvre les yeux.
< Bonjour mon Bitounet ! > me fait Clémentine avant de me chevaucher. < Bonjour ma Clitorette ! > que je lui fais. Les câlins.
L'envie pressante du pissou met toutefois rapidement fin à nos papouilles matinales. Nous sommes pressés de nous lever. Bien.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Je la maintiens par ses cheveux pour lui permettre de garder l'équilibre au-dessus du WC.
La jeune fille se lâche dans un long jet libérateur. Je m'accroupis pour en recueillir les derniers reliquats et humer ses parfums.

C'est à mon tour. Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Elle s'accroupit pour en savourer les derniers épanchements.
Je la laisse se régaler un petit moment. Je la force à se redresser. Nous descendons prendre notre petit déjeuner. Un appétit.
Nous bavardons. Nous traînons un peu. Nous faisons notre vaisselle. Nous remontons nous mettre en tenue pour notre jogging.
Il fait beau. Il fait doux. Tout est bien sec. Nous courrons le chemin qui descend vers la rivière que nous longeons sur les 3 km.
Nous avançons d'une bonne foulée. Nous passons devant le haras. Nous remontons le ruisseau jusqu'à l'ancienne voie ferrée...

Nous sommes de retour pour 10 h. La douche. Nous nous habillons pour aller faire nos courses. Notre rituel du samedi matin.
Clémentine est vêtue d'une de ses robes d'été. Légère et claire. Nouée à la taille. Des souliers à légers talons. Elle est si belle.
Sur sa demande, j'ai mis mon pantalon clair, ma chemise claire et ma veste claire. Je porte mes mocassins. Nous voilà prêts.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle vise avec précision.
Accroupie, la jeune fille en récupère les dernières gouttes. Je la laisse savourer un peu puis je la force à se redresser. Départ.

Nous roulons sur la petite route. Clémentine me tient la queue tout en me parlant de ses cours finissant à la faculté. Sympathique.
Il reste la semaine à venir où il faut donner un dernier coup de cravache. < Je me sens encore salope aujourd'hui ! > me fait elle.
Nous rigolons comme des bossus. Je gare la voiture sur le parking. Nous déambulons dans l'allée centrale du marché. Du monde !
Nous y faisons provision de fruits, de légumes, d'œufs et de fromages. Discrètement, Clémentine pose sa main sur ma braguette.
C'est toujours très rapide. Personne ne s'en rend compte. Pourtant nos hautes silhouettes attirent les regards. Homme mûr et fille.

Nous ne nous attardons pas. Nous retournons à la voiture pour nous rendre à la zone commerciale en banlieue de la ville voisine.
Je pousse le caddie. Clémentine y dépose les articles dont nous avons besoin. Shampoing, savon, éponges et toutes ces choses là.
< On se fait un "plan" ? > me fait la jeune fille en m'entraînant dans le rayon culturel. Il y a du monde. Impossible de s'exhiber.
Un peu déçue, Clémentine m'entraîne au rayon des vêtements. Dans une des deux allées "Homme". Peu de monde. Nous traînons.
Un couple passe. La femme laisse son compagnon regarder les chemises. Elle quitte l'allée. Elle va sans doute au rayon "Femme".

< Reste là. Tu surveilles ! > me fait Clémentine en s'emparant du caddie pour entrer dans l'allée. Le type est grand et élégant.
Il ne fait pas immédiatement attention à cette belle et grande jeune fille qui s'avance derrière lui. Elle s'arrête un peu plus loin.
Clémentine met le chariot devant elle. De ce côté, pas de mauvaises surprises. De l'autre côté, l'homme fait également écran.
La jeune s'accroupit pour regarder les chaussettes tout en bas. De l'endroit où je me trouve, la vue est parfaite. Je bande déjà.
L'homme découvre le magnifique spectacle qui lui est offert. Et assez rapidement. Clémentine, les jambes légèrement écartées...

Ma compagne ne porte aucun sous-vêtement. Sa culotte est restée dans la voiture. Posée bien en évidence sur le siège passager.
Il y a la femme qui revient rejoindre son homme. Clémentine reprend une position convenable et décente. Rien d'ambiguë. Sympa.
La dame montre un vêtement féminin pour demander son avis à son homme. Elle repart rapidement. Clémentine reprend son rôle.
Le numéro de la jeune fille ne laisse pas notre quidam indifférent. Il mâte discrètement. De ma position, je vois la touffe de la fille.
Un autre couple arrive en poussant un chariot. Décidément, il y a beaucoup de monde ce matin ! Clémentine resserre ses cuisses.

La jeune fille se redresse. Un moment de vice intense s'en suit. Elle pose sa main sur son sexe, au travers du tissus de sa robe.
Elle appuie. La main carrément entre ses cuisses. Je ne vois pas le visage du type. Je le devine toutefois consterné et halluciné.
J'adore voir ma compagne prendre de surprenantes initiatives. Là encore, elle fait fort. De son autre main, la fille tâte du tissus.
Elle s'accroupit à nouveau pour raccrocher la paire de chaussettes. Cette fois, sa position est celle d'une véritable exhibitionniste.
Le type se rend compte à ce moment là qu'il est l'objet des jeux de la jeune fille. Il se rapproche. Il amorce quelques échanges.

Clémentine reste délibérément accroupit. Elle lève la tête pour répondre au type. Je vois son regard malicieux et espiègle. Vice.
La femme revient, le type se détourne rapidement. Clémentine se redresse. La femme entraîne son homme. Je regarde. Amusé.
Juste avant de disparaître au bout du rayon, l'homme se retourne. Clémentine, la main entre ses cuisses, lui fait un signe de tête.
Ma compagne vient me rejoindre. < Divin ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur. Nous poursuivons nos achats. Puis la caisse.
Le couple arrive dans la file d'attente de la caisse voisine. Le type voit que Clémentine est accompagnée. Il mâte. Amusé...

Nous prenons la route du retour. Clémentine m'a sorti la queue qu'elle me branle doucement pendant que je roule à faible allure.
< J'ai envie de faire ma salope, si tu savais ! > me fait Clémentine. Je réponds : < Mais je le sais ! > Nous rions de bon cœur.
Nous arrivons à la maison. Il est midi trente. Nous préparons un repas léger. Crudités en abondance et tartines grillées. Anchois.
Nous mangeons au jardin. Il fait chaud. Il y a bien quelques nuages d'altitude mais rien qui puisse empêcher le soleil de briller.
Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Nous traînons à table. C'est samedi, nous avons tout notre temps. Nous en profitons.

< Estelle arrive ce soir vers 20 h ! > me rappelle Clémentine. < Nous serons de retour de notre virée ! > que je réponds. Rires.
Nous faisons notre vaisselle. Nous nous mettons en short. De vieux vêtements pour travailler un peu au jardin. Dans le potager.
Bientôt il sera inutile d'acheter des légumes du marché puisque nous aurons les notre. Il y a également tous nos arbres fruitiers.
Bientôt les premières cerises. Nous avons deux magnifiques cerisiers. Deux mirabelliers, deux pruniers, un poirier et un pommier.
Nous aimons passer du temps à cette occupation de jardinage. C'est une telle satisfaction de voir pousser sa propre production.

Clémentine porte son vieux short kaki, un vieux T-shirt délavé et son large chapeau de paille usé. Moi je porte de vieux habits.
Il est rapidement seize heures. Nous décidons de faire notre virée quotidienne à bicyclette. Nous nous mettons en tenues vélo.
Clémentine porte une de ses jupettes "tennis", un T-shirt et ses baskets. Moi j'ai mon short en lycra noir, mon T-shirt, baskets.
Nous voilà à pédaler sur la piste cyclable le long du canal. Il y a peu de monde. C'est samedi et il fait chaud. Un vent très léger.
Nous arrivons au petit port de plaisance. Nous nous offrons notre cône glacé. Nous flânons sur le quai désert. Pas d'animation.

Clémentine m'entraîne aux sanitaires des plaisanciers. Nous entrons aux toilettes homme. Je me planque dans le dernier WC.
Clémentine reste près de la porte pour guetter l'arrivée d'un éventuel visiteur. Elle se touche en me commentant ce qui se passe.
Pourtant, au bout d'un moment, il faut se rendre à l'évidence, il n'y a personne. Nous ressortons. Il y a un type en mobylette.
L'homme est debout à côté de sa mobylette, tout près de nos bicyclettes cadenassées derrière la capitainerie fermée le samedi.
L'inconnu fouille dans une des sacoches arrières. < Attends ! Restes là, tu surveilles ! > me fait Clémentine. Je reste planqué...

Je suis derrière les fourrés. Entre les bosquets bien taillés et le muret. J'observe. Clémentine s'avance. Le type la voit arriver.
De ma cachette, je n'entends rien des propos qui s'échangent. Clémentine pose son petit sac à dos au sol, à côté de son vélo.
Le type enlève son casque de mobylette. C'est un vieux. Il salue la jeune fille pour continuer à fouiller sa sacoche. Affairé. Bien.
Clémentine est accroupit, les cuisses largement écartées, bien en face de l'inconnu, à environ dix mètres. Elle fouille son sac.
Le type observe sans doute en louchant. Il me tourne le dos. Je suis à une vingtaine de mètres. Planqué derrière les fourrés...

Clémentine porte ses lunettes noires. La tête penchée, son visage dissimulé derrière ses longs cheveux. Je bande. Et très fort.
Je m'imagine à la place du quidam qui tombe sur un tel spectacle. Un gagnant du Loto ! Clémentine reste immobile. Silence.
Un long moment s'écoule. Chacun des deux protagonistes fait durer ces instants magiques. Clémentine pose un genoux au sol.
Cela doit la soulager de cette position qui ankylose vite. Elle passe sa main droite sous sa jupe. Elle écarte sa petite culotte.
Elle reprend sa position initiale. La jeune fille se penche en arrière. Elle prend appui de sa main gauche sur le sol derrière elle.

Le type est immobile également. Sans doute le souffle court, il observe ce spectacle insolite en silence. Clémentine le fixe.
Soudain, la jeune fille se lâche dans un jet de pisse qui vient se briser loin devant elle. Je peux entendre son bruit sur le sol.
C'est fantastique. C'est hallucinant. Je me touche la queue. Comment fait le vieux type pour rester aussi impassible. Stoïque.
Cette petite salope interrompt son jet une première fois pour en lâcher un second encore plus puissant. C'est fabuleux. Géant.
Clémentine se lâche ainsi dans trois jets abondants. Je sais qu'elle pisse toujours de grandes quantités. Mais là c'est énorme.

Clémentine, excitée, se masturbe à la fin des derniers petits jets. Le type est debout devant sa mobylette. Droit. Immobile.
Clémentine se redresse. Les jambes ankylosées elle sautille un peu de gauche à droite, une main entre ses cuisses. Salope.
< Vous n'auriez pas un mouchoir en papier, s'il vous plaît ? > lance t-elle à haute voix à l'inconnu. Le type réagit enfin. Ouf !
Il fait un signe négatif en montrant ses mains vides. < Non ! Désolé ! > fait il. Clémentine se touche, vicelarde devant le mec.
La situation dure encore un long moment. L'inconnu ne tente absolument rien. Il se contente d'observer. La situation idéale...

Cambrée en avant sur ses jambes fléchies, Clémentine se masturbe de la main droite. La main gauche en appui sur son vélo.
Elle engage une conversation. Le type, toujours si étrangement impassible termine de fermer la sacoche de sa mobylette.
Il répond très poliment. Je n'entends pas tout mais je vois Clémentine se livrer à un de ses moments qu'elle recherche tant.
L'occasion est trop belle pour la jeune fille. Un mec passif, plutôt mutique et qui n'entreprend rien. La situation rêvée. Enfin !
Clémentine fait évidemment durer. Elle ne simule pas. Je sais qu'elle doit retarder son orgasme pour profiter de l'opportunité.

La jeune fille ne peut refréner l'orgasme qui la submerge. Je la vois devenir toute rouge. La honte la submerge en même temps.
Ce sont ces sensations et les émotions intenses qui en découlent que recherche Clémentine. Là, enfin, elle peut les apprécier.
La jeune fille se met à pisser sans pouvoir se contrôler. Son corps est agité de spasmes. J'ai sorti ma queue pour me branler.
Comment fait cet homme pour rester aussi calme, pondéré et stoïque. Je mets tout cela sur le compte de son âge. Certainement.
Clémentine balbutie quelques mots d'excuses. C'est la toute première fois qu'il lui est donné d'aller aux extrêmes de sa passion.

Le type la salue en lui disant : < Brave fille ! Si j'avais 30 ans de moins, je t'aurais fait un beau cadeau ! >. Il tourne des talons.
Clémentine, plutôt sidérée, épuisée par ce moment unique et grandiose, s'assoit à même le sol en se tenant les cheveux. Fou !
Je viens rejoindre Clémentine assise. Il ya des taches de pisse partout autour d'elle. Je l'aide à se relever. < Je t'aime ! > dit elle.
Nous restons un petit moment. Clémentine es serrée contre moi. < C'était trop délirant ! > me chuchote t-elle. Je la serre fort.
< Je suis trempée et je n'ai rien pour me changer ! > me dit-elle. Je regarde. Effectivement sa jupette est maculée. Un peu sale.

La supérette du port est déjà fermée. Il faudra se résoudre à rentrer dans cet état. Je lui propose de mettre mon slip. Echange.
Clémentine déteste faire de la bicyclette sans culotte. Elle porte mon slip. Nous pédalons à toute allure. Le vent nous pousse.
Nous arrivons à la maison. Il est 20 h15. Estelle est déjà là. Elle est entrain de mettre la table au jardin. Elle se précipite. Bises.
< Comme je suis contente ! > nous fait elle. Nous nous changeons rapidement. Dans la chambre Clémentine se blottit contre moi.
< Merci mon Bitounet ! Sans toi, tout cela serait impossible. Je t'aime ! > me murmure t-elle à l'oreille. Nous redescendons vite.

Nous aidons Estelle à terminer les salades. Je prépare trois pavés de saumon en papillotes. Dans du papier sulfuré et aluminium.
Je mets le tout sur le barbecue électrique dans la véranda. Tout cela va très vite. Nous voilà à table. Clémentine semble fatiguée.
Estelle me fait du pied sous la table. C'est la première fois que la jeune fille a une telle initiative. Elle me fait des clins d'œil. Joie.
Arès le repas, nous traînons jusqu'à la tombée de la nuit. Les filles évoquent cette dernière ligne droite de leurs études. Faculté.
Je débarrasse la table. Je suis seul à la cuisine. Estelle vient me rejoindre. < Julien ! > me glisse t-elle à l'oreille. Doucement...

Estelle passe derrière moi. Elle saisit mes couilles. < Avant que vous ne partiez en vacances, je veux goûter ta bite ! > me dit-elle.
Elle me palpe les couilles à travers le tissus de mon short. Sans ménagement et avec fermeté. C'est presque douloureux. Rare.
< Je veux filmer ma première pipe. Je veux des images pendant votre absence cet été ! > rajoute la jeune fille. Implorante. Rires.
Je réponds : < Tu veux faire ça quand ? Ce soir ? >. Clémentine arrive dans la cuisine et nous fait : < Faire quoi ? >. J'explique.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Clémentine nous fait part de sa grande fatigue, évidemment sans entrer dans les détails.

Nous faisons la vaisselle. Estelle fait la plonge. Clémentine et moi nous essuyons. Clémentine me fait plein de bises. Heureuse.
Nous passons au salon. Clémentine s'avachit dans le fauteuil en poussant un profond soupir. Estelle est assise à côté de moi.
Nous sommes vautrés dans le canapé. Estelle pose sa main sur ma braguette. Je sors ma queue. Je la secoue. Elle est trempée.
L'excitation provoquée par l'aventure au port de plaisance a secrété du liquide séminal en abondance. Et ça dégouline encore.
Estelle me prend la bite dans la main. Parfaitement immobile, elle se met à évoquer le prochain film. Cette petite salope est ravie.

Nous nous mettons d'accord. Nous tournerons ce film mardi soir. Estelle aura le souvenir en images de sa toute première pipe.
Sans bouger sa main, tout en tenant fermement mon Zob, la jeune fille prend visiblement beaucoup de plaisir à évoquer le film.
< Tu m'aideras ? > me demande t-elle. Je la rassure. Je serais le plus merveilleux instructeur dont elle puisse rêver. Vicelarde.
Je regarde Clémentine qui lutte contre le sommeil. L'intense plaisir qu'elle a vécu cet après-midi, sur le port, laisse des séquelles.
Estelle semble en profiter. De sa main libre elle palpe mon prépuce pour en extraire les goutes de foutre. Elle lèche ses doigts...

Nous restons ainsi un long moment à bavarder, Estelle et moi. Clémentine, en riant, intervient quelquefois pour lancer un bon mot.
Notre projet prend forme. Nous tournerons ce film mardi soir. Clémentine assurera les prises de vues. Caméra et appareil photo.
Il est 23 h30. Les filles consultent le site de l'université devant l'ordinateur. Sur le mien, j'écris ces lignes. Nous sommes crevés.
Clémentine et moi montons prendre notre douche. Nous allons dans la chambre à coucher. Estelle est couchée. Elle dort déjà.
Nous nous couchons. Quelques câlins. < Merci pour tout Bitounet ! > me murmure Clémentine. Nous sombrons dans le sommeil...

Bonne exhibition pisseuse et masturbatoire à toutes. Sur votre PORC de plaisance préféré et sous la protection de votre complice...

Oncle Julien - (Qui va faire de son mieux pour satisfaire la demande d'Estelle, mardi soir, avec la complicité de sa douce) -

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Nous prenons beaucoup de bon temps avec Estelle à la maison

Hier matin, dimanche, je suis le premier à me réveiller. Je regarde sur ma gauche, les deux filles dorment encore. Profondément.
En essayant d'être le plus silencieux possible, sans trop bouger, je me redresse pour me lever. Je reste assis sur le bord du lit.
Soudain, Clémentine m'attrape par le poignet : < Défense de m'abandonner ! > me chuchote t-elle. Je me penche sur elle. Rires.
Clémentine me serre très fort. < Tu voulais filer, hein ! Et me laisser toute seule ! > dit-elle encore. Nous rions de bon cœur. Pipi.

Estelle ouvre les yeux et nous regarde. < Bonjour ! > nous fait elle en nous souriant. Nous avons tout les trois très bien dormi.
Clémentine m'entraîne par la main. Nous allons aux toilettes. Je tiens la jeune fille par ses cheveux. Equilibre au-dessus du WC.
Elle se lâche dans un long jet puissant et sonore. Je m'accroupis pour en récupérer les derniers reliquats. Je hume ses effluves.
Les parfums de sa nuit m'enivrent. Clémentine me force à me redresser. < Arrête, c'est trop bon ! > me fait elle. Je suis debout.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle en récupère les derniers épanchements. Je la laisse se régaler...

Je force Clémentine à se redresser. < Arrête, c'est trop bon ! > que je lui dis. Nous rions de bon cœur en descendant à la cuisine.
Estelle est entrain de préparer le petit déjeuner. L'odeur du pain grillé achève d'ouvrir nos appétits. Puis c'est l'odeur du café. Bon.
Il fait beau. Il fait doux. Nous mettons la table. Nous mangeons dans la véranda dont toutes les baies vitrées sont ouvertes. Bien.
Estelle porte son long T-shirt de nuit et des ballerines. Clémentine et moi portons nos T-shirt de nuit. Pieds nus. Ambiance d'été.
Clémentine me fixe à plusieurs reprises avec un regard insistant. Parfois par en-dessous, parfois franchement. Un étrange sourire.

Les filles bavardent. Bien évidemment, ce sont les vacances qui approchent et qui restent le sujet principale. Estelle les redoute.
Pour elle ce sera le travail dans la petite entreprise familiale avant un séjour de deux semaines chez sa mamie dans le Var. Août.
Nous lui promettons de rester en contact et de lui faire un message tous les jours. Cela semble la consoler un peu. Elle me sourit.
Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Estelle débarrasse la table. Elle fait la plonge. Clémentine et moi, nous essuyons. Rires.
Ma compagne propose à Estelle de s'installer au bureau, devant l'ordinateur, pendant que nous sacrifions au rituel du ménage...

Clémentine monte faire la chambre. Je commence par nettoyer la cuisine. Le silence est total. Quelques gazouillis à l'extérieur.
Cette ambiance bucolique, typique de la campagne, est un véritable enchantement. J'en savoure chaque instant. C'est superbe.
Je passe l'aspirateur. Je vais au salon. Estelle est devant l'ordinateur à lire mes récits de la semaine sur le forum. Elle rigole bien.
< Julien, je t'assure, je me reconnais dans chaque mot ! > me fait elle en se levant. Elle mime une masturbation masculine. Rires.
< Tout ça va me manquer ! > rajoute t-elle. Estelle contourne le bureau pour venir se mettre à genoux devant moi. Elle me fixe...

Son regard est implorant. Estelle me prend par les cuisses et rapproche sa tête pour coller son visage sur mon slip. Elle hume.
La jeune fille me chuchote : < Mardi soir je vais enfin y goûter ! >. Le lui pose la main sur la tête. Je la caresse doucement. Bien.
Estelle frotte son visage sur mon slip. Je bande comme un salaud. La jeune fille me mordille la bite au travers le tissus du slibard.
Je la laisse un petit moment se donner quelques frissons. Le regard plein de reconnaissance la jeune fille me fixe avec insistance.
Je lui caresse la tête comme à un petit animal qu'il faut rassurer. Estelle me caresse les fesses. Je peux entendre son souffle fort.

Je prends la jeune fille par ses cheveux. Je la force à se mettre à quatre pattes. Je lui fais faire le tour du salon. Très doucement.
Arrivés au coin du bureau, juste avant de le contourner, je fais : < Lève la jambe ! >. Comme un petit chien, Estelle s'exécute.
Je regarde cet étonnant spectacle. La jeune salope prend un tel plaisir à vivre tout cela qu'elle ne peut cacher un gloussement.
Je la force à se redresser. Je l'entraîne sans ménagement aux toilettes du bas. < Pisse salope ! > que j'ordonne en la tenant.
Je fais comme avec Clémentine, je la tiens par ses cheveux, cambrée, genoux fléchies au-dessus de la cuvettes de faïence. WC.

Je sors ma bite. Estelle s'en saisit immédiatement pour me la tenir. < Julien ! > me murmure t-elle avec douceur. Amoureuse.
Je lui mets une gifle. Sans violence. Juste pour ce jeu que la jeune fille apprécie tant. Elle me crache au visage. Seconde gifle.
Je lui chuchote : < Mardi soir, je vais te faire bouffer ma bite. Je vais te faire sucer, petite salope ! >. < J'espère ! > me dit-elle.
Bien évidemment, la jeune fille, excitée, n'arrive pas à pisser. Je l'entraîne au salon. Estelle retourne derrière le bureau. Sourire.
Je monte rejoindre Clémentine pour tout lui raconter. < Je sais ! Je vous ai vu en cachette ! > me confie ma compagne en riant.

Clémentine se serre contre moi. Je la soulève. Je la fais tournoyer. Je lui murmure : < C'est toi que j'aime. Et comme un fou ! >.
< Je sais ! C'est pour ça que tout cela est possible ! > me fait Clémentine avant de m'embrasser longuement. C'est délicieux.
Elle cesse soudain, l'air grave, pour dire : < Mais tu ne feras jamais l'amour à une autre, hein ! >. Je la rassure encore une fois.
Rien ne se fera jamais sans sa présence. J'ai conscience de mon privilège. Il serait stupide de tout remettre en question. Elle sait.
Je redescends pour nettoyer les chiottes du bas et passer la serpillère sur les carrelages. Clémentine redescend à son tour. Joie.

Je remonte pour nettoyer les chiottes de l'étage et la salle de bain. Serpillère. Je redescends. Les filles sont devant l'ordinateur.
< Nous n'avons pas cours mardi après-midi et jeudi après-midi ! > fait Clémentine. Je viens les rejoindre pour regarder l'écran.
Clémentine rajoute : < C'est génial ! Nous pourrons préparer les bagages jeudi après-midi ! >. < Non ! > fait Estelle suppliante.
Nous rions tous les trois de bon cœur. Je dépose une bise sur le front d'Estelle. Clémentine la rassure : < Juste dix jours ! >.
< Dix jours sans vous voir. Une redoutable épreuve ! > rajoute Estelle. Je vais à la cuisine. Je décongèle les pavés de saumon.

Estelle vient me rejoindre. Elle passe derrière moi pour m'attraper par les couilles. Je porte un de mes shorts ridicules. Hawaïen.
Elle me dépose une bise sur la joue. Je sors ma queue. Immédiatement Estelle s'en saisit. Elle me la tient fermement. Immobile.
Je termine de tout préparer. Je me déplace dans la cuisine suivi de la jeune fille qui me tient la queue. Quoi que je fasse. Rires.
Clémentine vient nous rejoindre. Elle fait : < Et voilà ! J'ai le dos tourné deux minutes ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Ma compagne nous propose de prendre le repas au jardin. L'idée nous enchante tous les trois. Il fait si bon. Il est déjà 11 h30.

Clémentine prépare les salades. Estelle émince l'ail, l'oignon et la ciboulette. Je mets les pavés de saumon dans le papier sulfuré.
Estelle y rajoute l'ail, l'oignon et la ciboulette finement hachés. Je mets du sel de Guérande, du poivre doux et du curcuma. Bien.
Je dépose les paquets bien enveloppés dans le papier sulfuré. J'emballe le tout dans des feuilles d'aluminium. Estelle m'observe.
< Je fais goûter à mes parents tout ce que j'apprends ici. Ils ont changé leur alimentation grâce à toi, Julien ! > me fait Estelle.
Je suis amusé. Clémentine vient se serrer contre moi. < C'est mon Maître queue ! > fait elle. Nous rigolons comme des bossus.

Estelle va préparer la table dans le jardin. Clémentine est serrée contre moi. Nous nous murmurons des douceurs. Tendresse.
Je fais griller les pavés de saumon bien enveloppés dans l'aluminium sur le barbecue électrique. L'odeur aiguise nos appétits.
Il est temps de passer à table. Le repas est délicieux. Les filles évoquent leurs chères études. J'écoute. C'est très intéressant.
L'an prochain sera l'année du Master. Il faudra y mettre un coup de collier. Puis les trois années vers le Doctorat. Du travail.
Les deux jeunes filles expriment leurs souhaits. Devenir maître de conférence et enseigner en faculté. Faire leurs thèses. Bien.

J'écoute tout cela avec admiration. Cela me rappelle mes études, lors de mes jeunes années. J'avais les même préoccupations.
Clémentine vient s'assoir sur mes genoux. Cet après-midi, nous partons à bicyclette vers le lac. Les eaux y sont plus chaudes.
Nous traînons encore un peu avant de faire la vaisselle. Estelle devra être de retour pour 20 h. L'organisation est rapide. Bien.
Je vérifie la pression des pneus des vélos. Celui d'Estelle ne semble pas bien tenir depuis dimanche dernier. Je gonfle. 4,5 bars.
Nous voilà en route. Je porte le petit sac à dos qui contient les barres de céréales, les fruits et le grand plaid. Il fait très chaud.

Clémentine porte son petit sac à dos contenant les serviettes et les K-way bien inutiles. Nous somme prévoyants. C'est mieux !
Nous pédalons sur la vieille voie ferrée transformée en piste cyclable. Il y a peu de cyclistes. Le paysage est beau. Magnifique.
Nous bavardons. Nous plaisantons beaucoup. Arrêt pipi à côté de la vieille chapelle. Je tiens les deux filles par leurs cheveux.
Toutes les deux, accroupies de chaque côté, pissent en riant. Clémentine me tient la bite. Estelle me tient les couilles. Je pisse.
Nous arrivons au lac. Il n'y a que quelques familles. Notre petite crique secrète est libre. Nous voilà installés sur le plaid. Bien.

Nous nous baignons. Nous nageons beaucoup. Nous alternons les baignades et le farniente. C'est absolument magique. Superbe.
Le chemin du retour, pratiquement que de la descente, se déroule dans une ambiance joyeuse. Nous avons encore bien rigolé.
Nous arrivons à la maison pour 19 h45. Estelle a le cœur gros. Je la serre très fort en lui disant : < Pense à mardi soir ! >. Rires.
< Oh oui que je vais y penser ! Et tout le temps ! > me fait Estelle que Clémentine tient pas ses épaules pour la réconforter. Joie.
Nous la regardons partir sur son vélo. Elle se retourne en haut du chemin pour nous faire un grand coucou. C'est la douche. Soir.

Bonne baignade au lac dont les eaux sont plus chaudes que celles de l'océan à toutes et à tous...

Oncle Julien - (Maître queue, cuistot et vicelard pour jeunes filles majeures et bien salopes) -

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Il fait beau. Il fait chaud. C'est une virée à bicyclette

Hier matin, lundi, je suis réveillé par plein de bisous. J'ouvre l'œil. Clémentine me chevauche en faisant : < Bonjour Bitounet ! >.
Je la serre contre moi en disant : < Bonjour Clitorette ! >. Quelques papouilles et nous nous levons. Il est presque six heures.
Clémentine file aux toilettes. Je vais à la salle de bain. La bite posée sur le rebord du lavabo, je pisse en lâchant de beaux proutes.
< Je t'entends, mon péteur fou ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant à la cuisine.
Petit déjeuner. Jogging. Douche. Je sors la petite auto de Clémentine. Il est déjà 7 h45. Deux bises et je regarde Clémentine partir.

Clémentine revient pour 16 h30. Assise sur mes genoux, dans l'atelier, devant mon chevalet, ma compagne évoque sa journée.
< Estelle, à midi, au restaurant universitaire, n'a pas cessé de parler de la pipe qui l'attend ! > me fait Clémentine. J'écoute.
Nous rions de bon cœur. Clémentine me fat encore : < Tu seras hyper salaud, hein ! Je filme mais je mâte également ! >. Rires.
Je rassure la jeune fille, je serais tout à fait à la hauteur de ses exigences. Clémentine me propose une virée à bicyclette. Sympa.
Nous montons nous changer. Clémentine en jupette "tennis", en T-shirt et en baskets. Moi en short, T-shirt et baskets. Chaleurs.

Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Elle vise juste en secouant bien.
Accroupie, la jeune fille en savoure les derniers épanchements. Je la laisse se régaler un peu. Je la force à se redresser. Suceuse.
< Attends, j'ai une idée ! > me fait Clémentine en courant vers la maison. Je sors les vélos. La jeune fille revient en courant. Vite.
Ma compagne me tend le collier canin et la laisse. < Mets tout ça dans le sac à dos ! >. Je mets le tout dans mon petit sac à dos.
Nous voilà en route. Il fait chaud. Il y a un léger vent de face. Nous roulons sur la piste cyclable presque déserte. Il fait beau. Bien.

Nous bavardons. Nous évoquons nos vacances prochaines dans l'Aude. Nous partons vendredi matin. Clémentine est à se réjouir.
Nous arrivons au petit port de plaisance. < Si tu savais comme je me sens salope encore, ce soir ! > me fait la jeune fille. Rires !
Je lui propose d'éviter quoi que ce soit dans les sanitaires des plaisanciers. < Tu vas te faire une réputation ici ! > que je lui fais.
< Rien à foutre ! Mais tu as raison, on va changer de crèmerie ! > me fait Clémentine. Nous fermons nos vélos avec les cadenas.
C'est le rituel des cônes glacés. 25 km dans un sens permettent une petite récompense. Nous flânons sur le quai désert. Sympa.

Nous sommes assis sur la jetée. Nous regardons les rares bateaux au loin. Une légère brise rafraîchit agréablement l'air ambiant.
Nous parlons de notre projet "cinématographique" de demain soir. Clémentine filmera la première pipe d'Estelle. Elle se réjouit.
< On va s'éclater comme des fous, tous les deux ! > conclue Clémentine en me posant discrètement la main sur le sexe. Short.
Je lui rappelle encore une fois que c'est elle que j'aime et que ce qui va se passer avec Estelle est du domaine de nos fantasmes.
< En cours, à la fac, je n'arrête pas de me toucher en cachette, sous la table, en pensant à tout ce qu'on fait ! > dit Clémentine.

Nous rions de bon cœur. Je lui propose de nous offrir de superbes moments durant les vacances. De nous ménager de beaux trucs.
< Je vais me surpasser, Bitounet, tous les jours ! > me fait ma compagne. Clémentine me confie son "plan" de ce soir. Le haras.
< Au retour, nous passons discrètement derrière les écuries. Il y aura peut-être ce vieux salaud de Gérard ! > me fait la jeune fille.
C'est donc pour ça qu'elle a emmené le collier et la laisse ! Salope. Je comprends en riant. Nous prenons le chemin du retour. Bien.
Le vent nous pousse. Nous pédalons donc sans aucun effort réel. Clémentine me confie être excitée comme une puce. Nous rions...

Nous quittons la piste cyclable pour prendre la petite route le long de la rivière. Nous arrivons au ruisseau. Nous prenons à droite.
Le sentier qui longe le ruisseau passe derrière les écuries à une centaine de mètres. Il y a des bosquets qui nous cachent de la vue.
Nous poussons nos bicyclette jusqu'aux fourrés. Nous restons assis sur les rondins de bois. On peut voir sans être vue. Dissimulés.
Nous voyons la caravane de monsieur Gérard. Les écuries sont désertes. Tout est silencieux. Il est presque 20 h. Patience. Attente.
< S'il ne se passe rien dans un quart d'heure, on rentre ! > me fait Clémentine en me demandant de lui passer le collier canin...

Clémentine regarde avec attention. Elle tient la petite paire de jumelles qui est toujours dans la pochette avant du petit sac à dos.
Je vois la silhouette du palefrenier qui vient d'apparaître au coin du bâtiment. Il va vers sa caravane. Il y a un transat à côté. Bleu.
Monsieur Gérard s'assoit dans sa chaise longue. Il est assit. < Fixe moi la laisse et tire moi sur le sentier ! > me fait Clémentine.
Nous nous levons. Nous marchons sur le sentier. Je tiens Clémentine par la laisse. Je tire la fille qui avance derrière moi. Sympa.
Je donne quelques à coups. Clémentine porte ses lunettes noires. Elle peut donc loucher dans la direction de la caravane. Discrète.

< Il vient de nous voir ! > me chuchote Clémentine. J'évite de regarder dans la direction des écuries. Clémentine me commente.
< Il mâte ! Il se redresse. Il est assit pour bien observer ! > me raconte Clémentine. Je rentre dans le jeu de la jeune fille. Salope.
Je la force, sans ménagement, à s'accroupir. Nous sommes entre deux fourrés. Bien visibles. De l'herbe jusqu'aux genoux. Super.
< Il se lève. Il marche doucement jusqu'à la clôture ! > me commente Clémentine, la tête baissée, les yeux derrière ses lunettes.
Je tiens clémentine pas la laisse. De mon autre main, je lui tiens les cheveux. J'attire fermement sa tête contre mon sexe. Short.

Nous restons ainsi un petit moment. Nous faisons semblant de ne pas savoir être vus. Le visage de la fille collé sur mon short.
Je force Clémentine à se relever. Je la tire fermement par la laisse. Je donne quelques à coups. Je lui mets une gifle. Silence.
< J'adore quand tu as ce comportement avec moi ! > chuchote Clémentine. Je lui rappelle que c'est dur avec la fille que j'aime.
Nous avançons pour disparaître derrière les bosquets. Nous marchons doucement. < Je t'aime Bitounet ! > me fait Clémentine.
< Tu seras comme ça pendant les vacances ? J'aimerais tellement ! > rajoute encore la jeune fille. Pour moi, c'est difficile. Rires.

Soudain, là, sur la gauche, à environ une vingtaine de mètres, monsieur Gérard se tient debout derrière la clôture. La rivière.
< Bonsoir ! > nous fait-il. Je tente de dissimuler la laisse. Nous le saluons. < Super soirée pour une balade ! > nous lance t-il.
C'est Clémentine qui répond la première. Je suis assez gêné. Nous bavardons. Le palefrenier a terminé sa journée. Il raconte.
Clémentine, lentement, s'accroupit sur ma droite. La jeune fille me tient par la jambe. Sa tête posée tout contre ma cuisse.
Nous bavardons. Monsieur Gérard semble plutôt amusé. Il nous parle de son anniversaire. 65 ans le premier juillet. Sympa.

Clémentine reste dans sa position. Monsieur Gérard nous raconte encore ses journées avec les chevaux. Clémentine parle.
La situation est torride. Clémentine, accroupit face au type, ses bras autour de ma jambe droite, sa tête contre ma cuisse.
La jeune fille a même légèrement écartée ses cuisses. Tout en bavardant, j'admire ce culot incroyable. C'est elle qui parle.
Clémentine raconte sa passion des chevaux à son adolescence. Passion qui l'a un peu quitté au début de ses études. Fac.
Monsieur Gérard fait : < Vous venez le soir de votre choix. Je vous fais monter ! >. Clémentine répond : < Volontiers ! >.

La situation dure un long moment. Clémentine reste ostensiblement dans sa position équivoque. La position de la soumise.
Cette situation d'exhibitionnisme suprême me trouble sans doute autant que le palefrenier. Nous jouons tous les trois le jeu.
C'est sublime. Je pose ma main sur la tête de Clémentine qui a encore écartée ses cuisses un peu plus. Petite salope. Vicieuse.
Les jambes ankylosées, Clémentine n'a plus d'autre choix que de se mettre à genoux. Elle garde sa tête contre ma cuisse.
J'admire la grande maîtrise de monsieur Gérard qui ne laisse absolument rien paraître de son trouble certain. Un gentleman.

Finalement, Clémentine se redresse. Elle me propose d'y aller. Nous saluons monsieur Gérard. Nous tournons des talons.
Je tire Clémentine pour l'entraîner derrière moi. Monsieur Gérard nous a tourné le dos pour retourner à sa caravane. Joie.
Nous arrivons à nos bicyclettes. < Je suis hyper excitée, Bitounet ! Merci pour ce moment ! > me fait Clémentine. Retour.
Nous pédalons à toute vitesse. Nous arrivons à la maison. Nous préparons les salades. Je fais de rapides toasts aux anchois.
Nous mangeons. Clémentine me donne ses impressions. < Maintenant ce type sait à qui il a affaire ! > confie la jeune fille.

Assise sur mes genoux, une main sous sa jupette, fouillant dans sa culotte, Clémentine me raconte les émotions vécues.
< Tu te rends compte dans quel état je serais la prochaine fois que je serais devant ce mec ! > me fait la jeune fille. Rires.
Elle rajoute : < Je serais morte de honte. Ce sera génial ! >. Nous rions de bon cœur. Nous faisons notre vaisselle. Vite.
Clémentine m'entraîne au salon pour se jeter sur le canapé. Elle jette sa culotte au loin, écarte ses cuisses et m'invite. Doigt.
Je fourre mon visage dans sa touffe. Tout est humide, sent fort. Je m'enivre. Je suce les jus de la fille. Folle de plaisir. Soirée.

Bonne exhibition vicelarde avec votre "Maître" à toutes les "Soumises". Surtout par jeu...

Oncle Julien - (Qui broute, pompe, suce et lèche sa belle petite vicelarde adorée) -

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Clémentine dirige les prises de vue et manipule la caméra

Hier matin, mardi, c'est Frédéric Chopin qui nous tire de notre sommeil. Il est six heures. C'est notre réveil musical. Bien réglé.
< Ta gueule Frédo ! > fait Clémentine en tapant sur le cube. Nous rigolons comme des bossus. Deux bises et nous nous levons.
Clémentine file aux toilettes. Je file à la salle de bain. La bite posée sur le lavabo, je fais des grimaces devant le miroir. Des pets.
Tout en me grattant les couilles, je module longuement les salves de proutes en Fa et en Sol. J'insiste sur le Fa#. Une réussite.
< Je t'entends mon péteur matinal ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des petits fous en descendant...

Nous prenons notre petit déjeuner. Puis c'est notre jogging. La douche. Je sors la petite auto de Clémentine. Elle revient à midi.
Je la regarde partir en cours. Je vais à l'atelier. J'ai du travail qui m'attend. Clémentine revient à midi vingt. Plein de bises. Joie.
Je suis entrain de préparer les salades. Clémentine m'aide. Nous bavardons en évoquant ce qui nous attend ce soir avec Estelle.
Je coupe quatre épaisses tranches de pain complet que je beurre. J'y dépose les filets d'anchois, rondelles de tomate. Gruyère.
Des olives noires à la Grecque que je dénoyaute au préalable. Je mets le tout sur le barbecue électrique. Nous mangeons dehors.

Clémentine, assise sur mes genoux me raconte sa matinée. < Tu seras un vrai salaud ce soir, j'ai envie de m'éclater ! > dit elle.
Je la rassure, je serais à la hauteur de ses attentes. Clémentine rajoute : < Estelle est très excitée mais morte de trouille ! >.
Nous rions de bon cœur. Nous faisons notre vaisselle. Clémentine va s'occuper à sa passion, le potager. Moi je vais à l'atelier.
Il fait beau. Il fait chaud. Le soleil règne en maître absolu. Je termine mon travail vers quinze heures. Je rejoins ma compagne.
Elle porte son vieux short, un jean coupé en haut des cuisses et qui s'effiloche. Un T-shirt. Son large chapeau de paille. Potager.

Je l'aide un peu. Nous terminons par un arrosage généreux. Les tomates sont magnifiques. Le poireau monte. Les laitues aussi.
Nous passons voir les cerisiers. Les premiers bigarreaux ne vont pas tarder à devenir d'un rouge sombre, presque noir. Sympa.
Clémentine m'entraîne derrière le garage. Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur. Accroupie, elle goûte un peu.
Je la laisse sucer les dernières gouttes avant de la forcer à se redresser. Nous allons mettre nos tenues de cycliste. Virée à vélo.
Clémentine porte une de ses jupettes "tennis", un T-shirt et ses baskets. Moi, mon short lycra noir, un T-shirt et mes baskets...

Avant de partir, Clémentine m'entraîne au salon. Elle fixe la petite caméra numérique sur le trépieds. Elle fait quelques essais.
Je me place bien dans le champs de l'objectif afin que ma compagne puisse faire les réglages. < C'est super ! > me fait elle.
Je place la chaise au milieu de la pièce. Je mets le coussin de velours carmin un peu plus loin. Le canapé en cuir est dégagé.
Clémentine me fait : < Je crois que tout est préparé. Estelle arrive pour 19 h30. On mange et on filme ! >. Nous voilà prêts.
Nous partons sur nos bicyclette avec le sentiment du devoir accompli. Nous pédalons sur la piste cyclable déserte. Peu de vent.

Nous parcourons nos 25 km habituels pour arriver au petit port de plaisance. Il n'y a personne. Il est 16 h15. La supérette.
Nous récompensons nos efforts en savourant nos cônes glacés. Nous flânons sur le quai désert. Jusqu'à la jetée. Mer calme.
Il y a bien quelques plaisanciers vautrés sous les auvents sur le pont de leurs bateaux. Clémentine me prend la main. Joie.
< C'est une année sans mouches ! Tu as remarqué ? > fait Clémentine en m'entraînant vers les sanitaires des plaisanciers.
Je lui dis : < Non, évitons les "plans" ici pendant quelques temps. C'est mieux ! >. Clémentine me répond : < Tu as raison ! >.

Nous nous promenons un peu dans les rues du bourg. Il n'y a pas grand monde. La terrasse du Bar-Tabac est déserte. Soleil.
Nous entrons dans la vieille église. L'intérieur est agréablement frais. Le contraste est saisissant. Par contre l'odeur est fétide.
Une odeur de moisi caractéristique de ces vieilles bâtisses de pierre, jamais chauffées et souvent humides. Nous faisons le tour.
Nous retournons au port. Derrière la capitainerie, là où sont cadenassées nos bicyclettes. Clémentine s'accroupit pour pisser.
< Et toi ? > me demande t-elle. Je lui réponds : < Je me garde jusqu'à ce soir ! C'est difficile, mais j'ai ma petite idée ! >...

Nous prenons le chemin du retour. Un léger vent nous pousse. C'est donc avec une facilité déconcertante que nous rentrons.
Il est 19 h15. Estelle est déjà là. Son vélo est posé contre le muret du jardin. Clémentine fait : < Tu es hyper salaud hein ! >.
Je lui chuchote : < Tu vas voir ! Un véritable salopard ! >. Nous rions de bon cœur. Estelle est à la cuisine. Elle prépare déjà.
< Bonsoir Julien ! > me fait la jeune fille en s'essuyant les mains pour me sauter dans les bras. Trois bises Bretonnes. Sympa.
Nous aidons Estelle. Je prépare des filets de lieu noir que j'emballe dans du papier sulfuré. Oignon, ail, persil, sel de Guérande.

Je mets les papillotes dans des feuilles d'aluminium. Je dépose le tout sur le barbecue électrique. Nous mangerons au jardin.
Estelle me fait plusieurs sourires affectueux. Ses attitudes restent étrangement sages. La jeune fille paraît presque timide.
Le repas est délicieux. Clémentine me fait du pied sous la table. Avant le dessert, je me lève pour venir près d'Estelle. Joie.
Je lui pose la main sur la nuque en la passant sous ses cheveux. Elle lève les yeux pour me fixer d'un regard implorant. Bien.
Je lui attrape les cheveux pour me pencher à son oreille. < Tu es prête petite salope ? > que je lui demande. Il y a le silence.

Clémentine se lève pour passer ses mains autour de ma taille. Elle se frotte un peu contre moi. Son sexe contre ma cuisse.
Estelle se soustrait à mon étreinte et débarrasse la table sans dire un mot. Elle insiste pour faire la plonge. Nous essuyons.
Estelle fuit mes regards et reste étrangement mutique. Cette attitude me rappelle son comportement, il y a quelques mois.
Estelle s'essuie les mains et quitte la cuisine. Clémentine me glisse à l'oreille : < Il lui faut franchir quantité de barrières ! >.
Nous rejoignons Estelle au salon. Clémentine lui propose de s'habiller en "fille". Jupette et bustier léger. Souliers à talons.

Estelle monte à l'étage pour se changer. Elle redescend. Elle porte une des jupettes "tennis" de Clémentine. T-shirt. Baskets.
La jeune fille se place devant moi. elle tourne deux fois sur elle-même en tenant sa jupe. < Je vous plaît ? > demande t-elle.
Je la prends par ses épaules pour lui répondre : < Tu es magnifique ! >. < Merci Julien ! > rajoute t-elle. Elle me sourit. Joie.
Estelle va s'asseoir sur la chaise qu'elle tourne afin d'avoir le dossier entre les jambes. Elle porte une culotte blanche. Belle.
Je regarde ce merveilleux spectacle pendant que Clémentine est accroupit derrière la caméra. < Moteur ! > nous lance t-elle.

Je m'approche d'Estelle. Le silence est lourd, presque palpable. Estelle semble très gênée. Sur ses gardes. Elle me regarde.
Ses coudes posés sur le dossier de la chaise, la jeune fille me fixe d'un étrange regard. A la fois craintive et curieuse. Silence.
Je m'approche encore. J'ouvre ma braguette. Je sors ma bite molle. Je la secoue doucement tout prêt du visage de la fille.
Estelle a un mouvement de recul. J'entends la respiration de Clémentine sur ma droite. Je reste immobile. Situation excitante.
Je tiens ma bite molle juste devant la bouche d'Estelle. Elle avance la tête, ouvre ses lèvres et se met à lécher mon prépuce.

Je lui tourne la bite afin de lui présenter tous les plis. Estelle prend soudain ma queue dans la bouche. Sans sucer. Immobile.
Je peux sentir sa langue qui fouille la peau de mon prépuce. Elle tente d'y pénétrer pour accéder au méat. Elle y parvient. Bien.
Je sens sa langue qui tourne autour de mon gland. Clémentine prend la caméra. Elle s'approche pour changer l'angle de vue.
Estelle se met soudain à sucer. Je la regarde. Son visage d'ange déformé par l'effort de succion. Elle est superbement belle.
Je ne tarde pas à bander. Estelle a la bouche pleine. Je la laisse se mettre en situation sans bouger. Une entrée en matière...

Nous restons ainsi un petit moment. Clémentine filme sous tous les angles. Mes sécrétions sont abondantes et ça dégouline.
Je force Estelle à se redresser. Je l'entraîne vers le coussin sur lequel je lui demande de se mettre à genoux. La pipe reprend.
Clémentine, accroupie à côté de nous, tient la caméra sur son trépieds, se contentant de zoomer. Elle se touche de l'autre main.
La respiration de ma compagne est plus forte que celle d'Estelle. Les deux filles sont souvent en apnée. Estelle est très calme.
C'est une superbe pipe. Je découvre l'appétit fou dont fait preuve la jeune fille qui se met à pousser de petits gémissements.

Nous restons ainsi un petit moment. Je la prends par ses cheveux pour l'entraîner sur le canapé. Je m'y installe le premier.
Je tiens Estelle fermement. Courbée en avant elle attend la suite. Je la force à s'asseoir à ma gauche. Je la tiens fermement.
Clémentine se rapproche en poussant délicatement le trépieds. Elle filme consciencieusement. J'appui sur la tête d'Estelle.
Je lui enfonce la queue dans la bouche. La jeune fille cherche la meilleure position pour se mettre à me sucer en gémissant.
C'est ma position préférée. Je peux rester confortablement installé, sans bouger. Estelle est parfaitement immobile aussi...

J'entends Estelle tenter de déglutir dans un incessant gargouillis bulleux qui ne laisse aucun doute sur le jus qu'elle pompe.
Clémentine se touche et me regarde en souriant. Quelques clins d'œil complices. Tout cela participe aux montées de jute.
Je regarde Estelle concentrée sur sa succion. Une véritable ventouse. C'est délicieux. Je décide que c'est le bon moment.
Sans bouger. Sans un mot, j'éjacule dans un long jet de foutre. Je tiens la tête d'Estelle qui tente d'avaler tout ce foutre.
Poussant de petits cris, des gloussements, la jeune fille se régale de la quantité importante de mon sperme. Un vrai déluge.

Clémentine filme cet instant en gros plan. En apnée, ayant cesser sa masturbation, ma compagne veut la meilleure qualité.
Je force Estelle à se redresser. Je me lève pour l'entraîner au sol. Je me couche avec le short et le slip aux genoux. A poil.
Je me couche sur le côté, mon coude en appui sur le coussin. Estelle se couche en position fœtale, son visage sur mon sexe.
Estelle, couchée en chien de fusil se remet à sucer comme si sa vie en dépendait. Je bande mou. Le "fond de cuve" arrive.
Clémentine a rapproché la caméra. Elle filme depuis le haut. Couché sur le côté, je la regarde. Nous nous sourions. Bises.

Je regarde Estelle. Son visage a les traits de l'extase. Les yeux fermés, concentrée sur sa pipe, la jeune fille glousse et gémit.
Estelle s'est complètement oubliée. Elle est entrain de vivre enfin cette expérience tant attendue. Elle est merveilleuse. Belle.
Je l'observe. Les joues creusées par l'effort. Elle évoque un petit animal qui tête avec passion. Clémentine pointe son doigt.
Ma compagne me montre le sol à la hauteur du bassin d'Estelle. Cette petite salope est entrain de pisser de bonheur. Salope.
Je soulève sa jupe. Il y a des coulées de pisse qui lui dégouline entre les cuisses. Estelle repousse ma main. C'est incroyable.

Clémentine filme cet étonnant spectacle. Je veux toucher sa culotte trempée. Estelle m'en empêche. Défense de toucher !
Je me concentre. Avant de me remettre à bander comme un vrai salaud, je veux pouvoir enfin me lâcher. Je fais des efforts.
Cela fait bien deux heures que j'ai une méchante envie de pisser. Je m'imagine avec les pieds dans l'eau froide et ça marche.
Je lâche un jet de pisse. Estelle ne sait pas encore ce qu'elle avale en gloussant, croyant d'abord à une nouvelle éjaculation.
Elle se rend très vite compte de la nature de ce que je lui balance en pleine gueule. Elle a un réflexe. Je la maintiens. Fort.

Estelle pousse un râle de dégout. Je regarde son visage. Ses traits traduisent un profond écœurement. Je la tiens très fort.
La jeune fille n'a d'autre choix que d'avaler. Il y a des ruissellements de pisse qui lui dégoulinent de la bouche. Dégueulasse.
Je cesse. Estelle se met à sucer en poussant de petits cris de ravissement. Clémentine filme. Je peux l'entendre respirer fort.
Ma compagne se touche. Elle me montre ses doigts mouillés. J'ouvre la bouche. Elle me les fait lécher. Je me régale du jus.
Estelle, toujours comme un petit animal assoiffé, tête sans arrêt et avec une passion grandissante. Je lâche une giclée...

Toujours avec ce râle de profond écœurement elle tente de tout déglutir. Je maîtrise parfaitement la quantité que je lâche.
Sa jupette trempée de pisse du côté ou elle baigne dans la flaque d'urine, doit la gêner. Elle la retrousse tout en me suçant.
Cette petite salope glisse sa main dans sa culotte. C'est la toute première fois qu'elle agit ainsi avec tant d'impatience directe.
Estelle se branle doucement. Je lui caresse les cheveux, la tête, le visage. La jeune fille me suce en gémissant. C'est le plaisir.
Cette masturbation ne dure pas très longtemps. Plusieurs spasmes secouent son corps. Tout en suçant elle se cabre. Un cri.

Estelle connaît un orgasme fou. Elle déplie et replie ses jambes, les cuisses serrées, en tenant son sexe. Sa culotte mouillée.
J'éjacule une seconde fois. Estelle me tient les couilles. Elle me les vides en poussant un râle de plaisir. J'ai un orgasme fou.
Clémentine pousse soudain un profond gémissement. Son orgasme doit être aussi puissant que le mien. Moment délirant !
Estelle et moi nous sommes couché dans la pisse. La sienne et la mienne. Clémentine filme la scène en tenant la caméra.
Je laisse Estelle se pourlécher longuement de tout ce qu'elle récupère encore. Je lâche une giclée de pisse. Elle pompe fort.

Je la force à se retirer. Sa bouche est gluante. Des filaments visqueux lui collent sur le bas du visage. Ses cheveux trempés.
Nous sommes tous les trois assis à nous regarder en riant. < Coupez ! > fait Clémentine lorsque la caméra émet le signal.
La carte SD est pleine. < Alors ? > demande Clémentine à Estelle qui récupère la jute avec ses doigts sur son visage. Lèche.
< C'était au-delà de mes espérances les plus folles ! Merci Julien ! > répond Estelle. Je m'approche pour l'embrasser. Sympa.
Estelle me crache dans la bouche. Elle se saisit de ma bite et de mes couilles. < Tu me la donne jeudi soir ? > fait elle. Rires.

Il est déjà 22 h. Estelle va devoir se nettoyer avant de rentrer. La jeune fille insiste pour passer la serpillère. Cuvette bleue.
Clémentine m'embrasse et me fait : < Tu as été super ! Je me suis éclatée comme une folle ! >. Je l'embrasse longuement.
Estelle sèche ses cheveux, se change et vient nous retrouver. Clémentine est entrain de me sucer. Il n'y a plus grand chose.
Je la force à cesser. Elle se relève. Estelle vient vers nous. < Merci pour ce merveilleux moment ! > nous fait la jeune fille.
Nous la raccompagnons au jardin pour la regarder partir. Elle revient jeudi soir. Clémentine est follement amoureuse. Douche.

Bonne "première fois" à toutes les aspirantes suceuses désireuses de cette expérience inoubliable...

Oncle Julien - (Docteur Honoris Causa de la pipe, diplômé de l'université de la fellation - Professeur en saloperies) -

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Clémentine se promène aux environs des écuries

Hier matin, mercredi, il est six heures lorsque le réveil nous tire de nos profonds sommeils. Clémentine me fait deux bisous.
Elle se lève en m'entraînant par la main. Elle file aux toilettes. Je file à la salle de bain. Je pose ma bite sur le lavabo frais.
Tout en me grattant les couilles, je pète en pissant. Une magnifique rafale que je module directement en tonalité de Fa#.
< Je t'entends mon Bitounet tireur ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant.
C'est notre petit déjeuner qui précède notre jogging. La douche au retour. Je sors la petite auto de Clémentine. Il est 7 h45.

Je regarde Clémentine partir en cours. Je file à l'atelier. Je vais mettre la dernière main à mon travail qui arrive à son terme.
Clémentine rentre pour 16 h30. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Le restaurant universitaire à midi. Rires.
< Estelle n'a pas cessé d'évoquer ce qu'elle a vécu mardi soir ! > me confie ma compagne en insistant sur la joie d'Estelle.
Les deux filles se racontent leurs ressentis. Clémentine dit encore : < Estelle est à se réjouir pour une récidive jeudi soir ! >
Je range mes affaires. Je nettoie mes palettes. Nous allons nous mettre en tenue pour notre virée quotidienne et à bicyclette.

Clémentine est vêtue d'une de ses jupettes "tennis", T-shirt et baskets. Je suis en short, T-shirt et baskets. Il fait très chaud.
Nous prenons notre direction habituelle. Ces virées à bicyclette enchantent nos fin d'après-midi quand elles sont possibles.
C'est un tel plaisir. Il y a un tel sentiment de liberté. Nous pédalons contre ce léger vent d'Ouest qui permet de bien respirer.
Nous croisons peu de cyclistes. Il y a peu de monde. Nous bavardons. Nous parlons encore d'Estelle. Nous rions de bon cœur.
Nous parlons aussi de nos vacances dans l'Aude. Nous y arriverons vendredi soir. Nous y resterons jusqu'au samedi 24 juin.

Nous arrivons au petit port de plaisance. La dernière écluse est animée. Un énorme bateau semble y être bloqué. Du monde.
Nous regardons la manœuvre des mariniers guidés par les gens des Voies Navigables de France. C'est assez impressionnant.
Nous allons fermer nos vélos à cadenas derrière la capitainerie. Nous allons à la supérette pour nous offrir nos cônes glacés.
Assis sur la jetée, nous observons les bateaux. Clémentine me fait : < Demain après-midi, on prépare les bagages. Super ! >.
La jeune fille n'aura pas cours. < Estelle nous rejoint pour seize heures trente. Elle vient faire du vélo avec nous ! > dit elle.

Je développe le programme de notre séjour dans les Corbières en entretenant le mystère et les surprises à venir. Stratégie.
Nous arriverons avec l'avion à Carcassonne en fin d'après-midi du vendredi. Nous récupérons la voiture de location. Sympa.
< Tout semble toujours si simple avec toi, Bitounet ! > me fait encore Clémentine en posant sa tête sur mon épaule. Joie.
Je lui révèle que nous louons un petit appartement dans la région de Lagrasse, village de caractère que je connais déjà bien.
Clémentine, avec son désir de découverte est à se réjouir de ce séjour. Ce n'est pas encore la saison touristique. Tranquille.

Nous marchons un peu. Nous montons jusqu'au vieux cimetière. Du haut de la colline la vue sur l'horizon est magnifique. Bien.
Il n'y a personne. Clémentine me fait part de sa légère déception. Il n'y a aucune opportunité d'exhibe. Nous redescendons.
Il est déjà 18 h30. Nous prenons le chemin du retour. < On passe aux écuries ? > me demande Clémentine avec un clin d'œil.
Je trouve l'idée excellente. Nous sortons de la piste cyclable pour prendre la petite route du haras. Quelques kilomètres. Vent.
Nous arrivons à la hauteur des écuries. Nous prenons le sentier à droite. Il longe le ruisseau. Nous sommes derrière les fourrés.

Nous poussons nos bicyclettes. Je sors la petite paire de jumelles de la pochette avant de mon sac à dos. Un profond silence.
Clémentine s'empare des jumelles pour scruter la caravane de monsieur Gérard. Il est 20 h15. Il a sûrement fini sa journée.
Un petit moment passe ainsi. Clémentine observe avec une grande attention. Nous sommes dissimulés derrière les bosquets.
< Ah ! Le voilà ! > fait Clémentine. Je regarde. La silhouette lourde du palefrenier vient d'apparaître aux coin du bâtiment.
Il est debout à côté de sa caravane. < Il allume son barbecue ! > me commente Clémentine. Elle me raconte ce qu'elle voit.

< Je m'offre un petit frisson ! Tu guettes avec le jumelles. Tiens ! > me fait la jeune fille en me tendant la paire de jumelles.
Je la regarde enlever sa culotte en riant. Elle me montre son invraisemblable touffe. < C'est bien coiffé ! > me demande t-elle.
Nous rigolons comme des bossus. Je regarde ma compagne s'avancer pour longer le sentier. Elle marche avec les bras croisés.
Clémentine avance tout doucement. Je regarde vers les écuries. Je constate que monsieur Gérard vient d'apercevoir la fille.
Je regarde dans les jumelles à m'en décoller la rétine. Le palefrenier s'approche de la clôture. Il hèle la jeune fille : < Salut ! >.

La voix de monsieur Gérard est forte. Elle porte loin. Clémentine est à une centaine de mètres. Elle tourne la tête pour voir.
Monsieur Gérard lui fait un grand signe de la main en faisant : < On se promène toute seule ! >. Clémentine s'approche.
De ma cachette, il m'est impossible d'entendre les propos qui s'échangent. Clémentine est debout devant la seconde clôture.
A peine une vingtaine de mètres sépare le palefrenier de la jeune fille. La discussion s'engage. Clémentine debout bras croisés.
Dans les jumelles, je vois que monsieur Gérard se palpe le sexe à travers l'épais velours de son pantalon. Tout en bavardant.

Le palefrenier se touche avec une évidente vulgarité. Il y a parfois des éclats de rires qui me parviennent. Le type sort sa bite.
Monsieur Gérard tient sa toute petite queue à sa base, entre son pouce et son index. Il l'agite en direction de la jeune fille.
La conversation continue de plus belle. Je regarde Clémentine s'accroupir, le buste bien droit devant le palefrenier. Doucement.
Il y a deux clôtures et 20 mètres qui séparent les deux protagonistes. Je bande. J'admire l'aplomb formidable de ma compagne.
Monsieur Gérard lève le pouce plusieurs fois. Un peu comme pour féliciter les initiatives de la jeune fille. Il agite sa queue. Bien.

Je regarde Clémentine écarter ses cuisses. J'imagine la surprise du palefrenier à la vue de la toison pubienne de la jeune fille.
Accroupie, le buste bien droit, se tenant à un des poteaux en bois de la clôture, Clémentine bavarde d'une façon toute naturelle.
Monsieur Gérard sait depuis quelques jours à quel genre de salope il a affaire. Il descend son pantalon et son slip à ses genoux.
Il montre son sexe et semble expliquer des choses en soulevant ses couilles. Une sacrée paire de couilles comparée à sa queue.
Monsieur Gérard est dotée d'un tout petit sexe. J'observe dans les jumelles. Je suis frustré de n'avoir pas plus d'agrandissement.

Clémentine a encore écarté ses cuisses un peu plus. Je sors ma queue pour me branler doucement. C'est tellement magnifique.
Ma compagne me tourne le dos. Je la vois de trois quart arrière. Par contre je vois bien ce que fait le palefrenier. Il agite sa bite.
La jeune fille se tient d'un main au poteau de la clôture. Cela assure son équilibre mais n'empêche pas l'ankylose. Inévitable.
Clémentine se redresse. Les jambes largement écartées, en appui sur le haut du poteau, cambrée en avant, la fille bavarde.
Je regarde cette superbe salope entrain de s'offrir ses délicieux frissons. Je sais que tout cela s'adresse également à moi. Super.

La situation perdure. Je vois monsieur Gérard inviter de la main la jeune fille à venir à la caravane. Il mime l'acte de manger.
Clémentine décline évidemment la proposition. Monsieur Gérard mime une pipe avec la main devant sa bouche. Un vrai salaud.
Je regarde Clémentine dans son splendide "numéro" de vraie salope. Elle est merveilleuse. J'admire la maîtrise du palefrenier.
Un long moment passe ainsi. Clémentine salue le palefrenier de la main pour tourner des talons. Monsieur Gérard remonte le froc.
La jeune fille fait une vingtaine de mètres, se retourne pour s'accroupir bien face au type et lui fait un dernier coucou de la main.

Clémentine le fait une seconde fois. Monsieur Gérard lève son pouce et s'en retourne à sa caravane. Son barbecue fume bien.
Ma compagne vient me rejoindre. Toute rouge, le visage couvert de sueur. < Put-hein, comme c'était génial ! > me lance t-elle.
< Oui, j'ai vu ! Tu as mis la barre bien haute ! > que je lui dis. Clémentine se serre contre moi. < Merci Bitounet ! > dit-elle.
Je touche sa chatte. Je passe mes doigts sur les lèvres trempées de son sexe. Clémentine a des frissons de plaisir et m'embrasse.
Nous restons ainsi un petit moment. Je propose à Clémentine de rentrer. Sur nos bicyclettes, pédalant à toute vitesse. 21 h15.

Nous arrivons rapidement. Clémentine m'a raconté dans le détail les propos échangés avec le palefrenier. Il l'a invité à manger.
Nous préparons très vite notre repas du soir. Clémentine me raconte. Monsieur Gérard est impuissant, vicelard et incontinent.
Il propose à Clémentine de passer la soirée de son anniversaire, le premier juillet, avec lui. Barbecue et surtout une bonne pipe.
Nous mangeons. Clémentine me fait part de l'excitation que lui procure l'invitation du palefrenier. Je lui conseille de l'accepter.
< Tu es fou ! > me lance t-elle. Je lui dis : < Comme il est impuissant, tu ne risques pas de te faire baiser ! >. Il y a un silence.

< Oui, bien sûr, je sais, j'y ai pensé plusieurs fois ! > fait elle un peu embarrassée. Clémentine vient s'assoir sur mes genoux.
Je lui chuchote : < Laisse tes instincts te guider. Tu as 20 ans. Tente le truc. C'est maintenant qu'il faut le faire ! Eclate toi ! >.
< Et toi Julien, tu ne seras pas triste ! > me fait Clémentine. Lorsqu'elle m'appelle par mon prénom, c'est toujours important.
Je la rassure en lui rappelant que je me fais bien tailler des pipes par Estelle. Pourquoi se priverait-elle de le faire à Gérard !
< Beurk ! Il a une toute petite bite ! > me fait Clémentine soudain rêveuse. J'insiste : < Va s'y, offre toi des frissons. Si ! >.

< C'est bien pour te faire plaisir ! > me fait la jeune fille. Je réponds : < Menteuse ! >. Nous rigolons comme des bossus. Rires.
< Je vais y réfléchir ! > fait Clémentine en m'entraînant derrière le garage. Elle me tient la bite pour diriger le jet contre le mur.
Accroupie, la jeune fille en pompe les derniers épanchements. Je la laisse se régaler un peu. Je la force à se redresser. Vaisselle.
Après la vaisselle, c'est moi qui entraîne Clémentine au salon. Vautrée dans le canapé, cuisses écartées, elle se fait brouter.
Avec toutes les excitations vécues, je me régale d'un jus de fille abondant. Odeurs de sa journée, sueur du vélo. Un vrai régal.

Evidemment, arrivée à une telle extrémité, Clémentine ne peut réfréner le terrible orgasme qui la terrasse. C'est un vrai délire.
Clémentine pousse un long cri. Son corps est agité de spasmes. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions.
Nous restons immobiles. Clémentine me chuchote ses ressentis, ses secrets et tout ce qui s'éveille dans son fantasme "Gérard".
Je l'encourage. Je la rassure. < Je veux que tu sois tout près, caché, et prêt à intervenir s'il y a un souci ! > me murmure t-elle.
Elle se met à bouger doucement. Nous restons longuement ainsi. Son second orgasme est violent. Puis elle veut sa pipe. Sucer.

Bonne soirée derrière les écuries, avec votre palefrenier vicelard, à toutes...

Oncle Julien - (Fier du devoir accompli et s'apprêtant à vivre de futures aventures merveilleuses) -

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Nous voilà déjà à la fin de la seconde page des histoires de Clémentine et de Julien.
Chaque récit est offert un peu à la manière d'un confidences à mon journal intime.

Je tiens à remercier chaleureusement mes lectrices et mes lecteurs pour leurs fidèles présences.
Je tiens à remercier tout particulièrement Bob Voyeur grâce à qui tout cela est possible. Sympa.

Même si mes récits ne demandent aucun commentaire, j'aime recevoir des témoignages privés.
Vous êtes nombreux à me faire part de vos impressions en messagerie privé. Je vous remercie.

Comme me le fait souvent remarquer "Clémentine", je laisse des fautes. Veuillez me les excuser.
D'origine écossaise, le Français n'est pas ma première langue et j'avoue détester me relire. Zut.

Bien évidemment les prénoms que j'utilise ne sont que des pseudonymes. Des noms d'emprunts.
Il est important de préserver l'anonymat ainsi que la vie privée. Même si les faits sont bien réels.

Le petit mot écrit sur la feuille que me montre la belle jeune femme, au bas de chaque histoire ?
C'est le plus souvent le fait de ma compagne "Clémentine" dont c'est la seule intervention amusée.

Envolons-nous dans la plus grande volupté pour une troisième page qui sera sans doute surprenante.
Je vous souhaite à toutes et à tous de très bons moments de lectures. De bien belles découvertes...

L'auteur

Classe


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Estelle, enthousiaste, vient passer la dernière soirée avec nous avant nos vacances

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par quantité de bisous. Sur le front, sur les joues et même sur le bout du nez. Il est six heures.
< Bonjour mon Bitounet ! > fait Clémentine en m'entraînant par la main pour nous lever. Elle file aux toilettes en chantonnant.
Moi, je file à la salle de bain en pétant. La bite posée sur le bord du lavabo, je pisse en faisant des grimaces devant le miroir.
Tout en me grattant les couilles je lâche une dernière salve de pets que je maintiens en tonalité de Fa#. C'est mélodieux. Fort.
< Je t'entends mon Mozart du proute ! > me fait Clémentine depuis les WC. Nous rigolons comme des bossus en descendant...

Nous prenons notre petit déjeuner. Puis nous nous offrons notre jogging. La douche. Je sors la petite auto de Clémentine. 7 h45.
Deux gros bisous et je regarde Clémentine partir en cours. Je vais à l'atelier pour achever le travail qui m'attend. Il fait très beau.
Clémentine revient pour midi vingt. < Mon Bitounet ! C'est les vacances ! > s'écrie t-elle en me sautant au cou dans la cuisine.
Je la soulève. Je la fais tournoyer en l'air. Ma compagne me couvre le visage de bisous. Nous terminons de préparer le repas.
Clémentine me raconte sa dernière matinée. Elle me confie ses ressentis quand à la fin de sa troisième année d'étude en faculté.

Nous traînons à table. Nous mangeons dans la véranda dont toutes les grandes baies vitrées sont ouvertes. Il fait chaud et lourd.
Clémentine, après le dessert, assise sur mes genoux, me donne la suite du programme. Il y aura encore cours du 26 au 30 juin.
Cette semaine de vacances n'est possible que grâce à l'absence des professeurs sollicités pour les épreuves du baccalauréat.
Nous saurons donc mettre à profit tout cela par un séjour de sept jours dans l'Aude à visiter le pays Cathare et les Corbières.
Nous faisons la vaisselle. Clémentine monte se changer. Elle met sa robe légère d'été et de maison. Elle est toute nue dessous.

Nous allons flâner un peu au jardin pour admirer la pousse des légumes de notre potager. C'est absolument magnifique. Superbe.
Durant notre absence, Estelle, qui n'habite qu'à trois kilomètres, viendra arroser tous les soirs. Elle se sent si bien dans la maison.
Je lui ai donné les conseils quand à la domotique. Ne pas oublier d'éteindre l'alarme à son arrivée. De l'allumer au départ. Bien...
< Estelle viendra cet après-midi pour seize heures ! > me fait Clémentine en m'entraînant à l'ombre. Nous rentrons. Il est 14 h15.
Nous montons à l'étage. Nous préparons nos bagages. Nos deux grandes valises sur roulettes. Nous prenons tout notre temps...

Sans précipitation, nous prenons soin de bien ranger les affaires que nous emportons. Clémentine est rationnelle. Méthodique.
Nous avons la certitude de ne rien oublier. Vêtements légers. Sous-vêtements. Affaires de toilette. Souliers d'été. Gâteaux secs.
A plusieurs reprises, toute contente, Clémentine me prend dans ses bras pour manifester sa joie. < Je t'aime Julien ! > fait elle.
Lorsque la jeune fille m'appelle par mon prénom, c'est toujours avec une certaine gravité. Je la soulève pour la faire tourner.
Nous descendons nos valises pour les entreposer dans le hall d'entrée. Si des idées nous viennent, les bagages sont à portée...

Il est 15 h45. Nous sommes fiers de notre petit labeur. Estelle arrive. Elle me saute au cou. Toute heureuse. Trois bises Bretonnes.
Je propose de nous offrir un cône glacé avant de partir pour notre virée à bicyclette. L'idée est accueillit avec un enthousiasme fou.
Il fait chaud. Un voile orageux est sans doute entrain de se mettre en place. Passerons-nous entre les gouttes ? Très certainement.
Nous nous mettons en tenue. Estelle est vêtue comme moi d'un short lycra, d'un T-shirt et de baskets. Clémentine est en jupette.
Je vérifie le gonflage des pneus. 4,5 bars. Tout est bon. Nous voilà en route. La piste cyclable est déserte. Peu de cyclistes. Bien.

Nous pédalons contre un vent d'Ouest assez marqué. Ce vent participe à rafraîchir un peu la lourdeur de l'air. Ambiance d'orage.
Dans le petit sac à dos que j'ai toujours, nous avons nos K-way. Comme le dit Clémentine : < La pluie ce n'est que de l'eau ! >.
Nous bavardons. Estelle semble parfois un peu tristounette. Huit jours sans nous voir paraît lui peser. Nous la rassurons beaucoup.
Nous arrivons au port de plaisance. Tout y est calme. Le quai est désert. Nous nous promenons tous les trois sous une brise douce.
Le vent du large est des plus agréables. Nous passons devant le bateau du gros type des chiottes. < Hello ! > fait il depuis le pont.

< Deux ! Carrément ! > ne peut-il s'empêcher de lancer. De me voir en compagnie de ces deux filles superbes l'émoustille un peu.
Nous le saluons poliment en ignorant totalement son manque de tact de "beauf". L'orage n'éclatera pas. Les nuages sont trop légers.
Nous sommes assis sur la jetée. Estelle nous parle du film que nous avons réalisé mardi soir. La jeune fille en a fait un montage.
Le film de sa toute première pipe. De quoi nourrir le vide laissé par notre absence prochaine. Nous avons déjà tourné six films.
Estelle est ravie à l'idée du prochain. La jeune fille évite pudiquement d'en relater la teneur et les émotions qu'ils lui procurent...

Il est 18 h45. Nous prenons le chemin du retour. Cette fois, le vent nous pousse. C'est sans effort que nous arrivons à la maison.
Il est 20 h. Clémentine prépare la salade. Estelle émince l'ail, l'oignon et la ciboulette. Je prépare les filet de lieu noir. Papillotes.
Nous mangeons au jardin. Il fait doux. Nous bavardons. Nous plaisantons beaucoup. Nous savourons l'arrivée du crépuscule. Bon.
Estelle débarrasse la table. Elle insiste pour faire la plonge. Clémentine et moi, nous essuyons la vaisselle. Une bonne ambiance.
Je vais aux toilettes. Je n'y suis pas trente secondes que derrière moi la porte s'ouvre. C'est Estelle qui vient se placer à ma droite.

Elle se saisit de ma bite et m'attrape les couilles par derrière. < Julien ! > murmure la jeune fille en serrant fortement ma queue.
Je lui mets la main sur la nuque sous sa tresse. Estelle approche son visage pour m'embrasser. Clémentine arrive sur ma gauche.
< Et voilà ! J'ai le dos tourné deux minutes ! > fait ma compagne. Nous rigolons comme des bossus. Estelle me serre les couilles.
C'est Clémentine qui m'embrasse. Nous restons ainsi un petit moment. Je bande comme un salaud. Impossible de pisser. Difficile.
Pourtant, ça fait bien deux heures que je me retiens avec ma petite idée derrière la tête. Nous passons au salon. Baies ouvertes.

Estelle est assise à côté de moi sur le canapé. Elle me tient la bite sans bouger tout en conversant. Clémentine est dans le fauteuil.
Je mets ma main sur la nuque de la jeune fille. Imperceptiblement, j'appui. Doucement je la force à descendre sa tête. Stratégie.
Estelle n'oppose pas de réelle résistance. Clémentine a passé une main sous sa jupe, dans culotte. Elle me fait plusieurs clins d'œil.
Le visage d'Estelle est à quelques centimètres du bout de ma queue dure et humide. Je donne une dernière petite pression. Ferme.
Voilà la jeune fille avec ma bite dans la bouche. Tout en commençant à me sucer, Estelle change de position. Elle se couche un peu.

En position fœtale à mes côtés, Estelle me suce avec une tendresse infinie. Clémentine a commencé sa masturbation. Elle est belle.
Nous nous faisons des sourires entendus. Parfaits complices, nous nous offrons un grand moment. Les préférences de Clémentine.
Je regarde Estelle. Les yeux fermés, comme en extase, la jeune fille mâchouille la peau de mon prépuce. Puis elle en suce les plis.
C'est sa façon à elle de laisser reposer sa mâchoire entre deux séquences de pompage. Je lui caresse la tête délicatement. Plaisir.
La situation perdure ainsi un long moment. Je regarde le cadran de l'horloge Westminster. Il est déjà 22 h. La nuit est tombée...

Estelle, exceptionnellement, restera avec nous jusqu'à vingt trois heures. Il lui faudra se lever de bonne heure demain matin.
La jeune fille sera sollicitée durant ses vacances pour aider à l'entreprise familiale. Aussi, elle profite de ces merveilleux instants.
Je saisi Estelle par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Elle oppose une certaine résistance. Elle est entrain de se régaler.
J'entends les gémissements de Clémentine qui se branle. Nous sommes tous les trois dans la pénombre du salon. Superbe soirée.
J'éjacule sans prévenir. Laissant le flot de mon sperme envahir la bouche d'Estelle qui déglutit avec peine la grand quantité. Joie.

Estelle pousse quelques fois de discrets petits gémissements. Parfois de tous petits cris de ravissement. Elle avale dans un râle.
Nous restons ainsi. Estelle me fait le "fond de cuve" consciencieusement. Je la laisse se régaler. Clémentine pousse un petit cri.
Ma compagne lutte contre un orgasme imminent. Elle aime faire durer. Clémentine surmonte in extremis en soufflant. Sourires.
< Il faut vraiment que j'aille pisser ! > que je fais en tirant Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser. Je peux me lever enfin.
Estelle se lève en s'écriant : < Je viens avec ! >. < Ne me laissez pas toute seule ! > fait Clémentine en nous suivant aux toilettes.

Je suis debout devant la cuvette des WC. Estelle tout en me tenant la bite s'accroupit. Clémentine observe par dessus mon épaule.
Je lâche un premier jet. Vif. Précis. Immédiatement Estelle, comme elle l'a vu faire Clémentine, fourre ma queue dans sa bouche.
Je lâche un second jet. Bien plus court mais plus puissant. Estelle surprise se retire pour déglutir en poussant un cri d'écœurement.
Je refais. Estelle s'empare à chaque fois de ma bite pour la sucer. Elle pompe, déglutit ou recrache en gémissant d'écœurement.
< C'est bon ? > lui demande Clémentine en s'accroupissant. < Dégueulasse ! > lui répond Estelle entre deux gorgées. Des rasades.

Je regarde cette petite salope se livrer au stupre et à la luxure dans un bruit de gargouillis incessant. Un bruit d'aspiration bulleuse.
Clémentine se redresse pour me chuchoter à l'oreille : < C'est meilleurs qu'avec moi ? >. Je l'embrasse. Elle fouille ma bouche. Joie.
Sur la grande quantité de pisse que je distribue généreusement, Estelle n'en a avalé qu'une infime partie. Recrachant des giclées.
Ce spectacle divin fini par me procurer une érection inquiétante. Ma queue est aussi rigide qu'une branche d'un de nos cerisiers.
Je force Estelle à se relever. Elle est assise sur une de ses fesses, complètement dans sa dégustation. Elle ouvre soudain les yeux.

Je l'entraîne par ses cheveux noués en tresse avec fermeté. Tout en tenant la natte de la fille, je me couche sur le tapis au sol.
J'ai mon short et mon slip descendus. Clémentine s'accroupit pour enlever mes vêtements. Elle s'allonge à côté de moi. Bises.
Estelle est à genoux. Je lui tiens les cheveux pour la contraindre. Elle approche son visage du mien. Sa bouche posée sur la mienne.
Immédiatement la jeune fille enfonce sa langue pour me fouiller la bouche. Clémentine se masturbe en gémissant. C'est le délire.
Estelle cesse de m'embrasser après m'avoir craché dans la bouche. Elle se redresse et me met une gifle en disant : < Salopard ! >.

Estelle s'allonge à côté de moi. Elle pose sa tête sur mon ventre. Doucement la jeune fille descend encore pour prendre mon sexe.
Je peux sentir l'indicible douceur de cette nouvelle pipe qui commence. Estelle pousse de petits gémissements. Il y a de la jute !
Soudain, là, sur ma droite, Clémentine pousse une série de petits cris. Elle a un orgasme. Je sens les spasmes qui agitent son corps.
Elle reste prostrée, les mains entre ses cuisses relevées avant de s'effondrer sur le côté pour poser sa tête sur mon épaule. Frissons.
< Julien ! Comme je suis bien ! > me murmure Clémentine que je serre contre moi. Estelle me taille une pipe avec passion. Sympa.

Nous restons ainsi un long moment. Je regarde le cadran de l'horloge. Il est 23 h. Je décide de lâcher la purée. J'éjacule. De la jute !
Estelle pousse un long râle tout en déglutissant cette nouvelle rasade. J'éjacule en trois saccades qui me procurent un orgasme fou.
Clémentine m'embrasse avec fougue. Je la tiens par sa nuque. Estelle me fait le "fond de cuve". Je suis soudain épuisé de fatigue.
Je force Estelle à cesser en la tirant par sa tresse. Je me redresse et je lui montre l'horloge. < Pas grave ! > fait elle en se relevant.
Clémentine se lève à son tour pour aller allumer la lampe du bureau. Nous nous regardons, trempés de sueur. Nous éclatons de rire.

Estelle a le visage trempé de pisse, de sueur et de foutre. < Regarde un peu ce que tu me fais ! > dit -elle. Nous rions de bon cœur.
< Tu ne peux pas rentrer comme ça ! > lui fait Clémentine en l'entraînant derrière le bureau. D'un tiroir elle sort des mouchoirs.
Estelle en prend un pour s'essuyer. Elle se tourne vers moi pour me faire : < Tu vas me manquer, espèce de vicelard ! >. Rires.
Nous raccompagnons Estelle jusqu'à son vélo dans le jardin. Puis nous marchons tous les trois jusqu'en haut du chemin. Un silence.
Estelle nous fait : < Passez de bonnes vacances et revenez vite ! >. Je la prends contre moi. Clémentine lui fait des bises. Emotions...

Bonne soirée à trois avec votre belle, douce et jeune suceuse à toutes et à tous. Avant vos vacances...

Oncle Julien - (Qui se fait vider les couilles sans scrupule par deux jeunes filles de 20 ans ! Le salaud) -

Classe


J'invite le lecteur à cliquer sur les belles images. Il pourra les admirer et bien lire ce qui est écrit dessus...

Classe
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