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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 685 -



Nous passons la soirée chez Juliette

Hier matin, mercredi, c'est le concerto pour violon en Do majeur de Brahms qui nous tire de nos profonds sommeils. Dur.
< C'est du pipo ton violon ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur en nous précipitant aux toilettes. Morts de faim nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. 6 h05.
Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Tout en évoquant la soirée, hier.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour sortir l'auto de Clémentine.

Il fait un froid vif et glacial. Il est 7 h45. Clémentine, chaudement vêtue vient me rejoindre. Bonnet, gants et son écharpe.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant. Je me dépêche d'aller au chaud.
Je fais notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier où j'allume un bon feu dans la cheminée. C'est le huitième stère bois.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans un vrai délire.
Je suis tellement satisfait de mon travail que je pousse rapidement les cris les plus surréalistes à chaque coup de pinceau.

Je m'applique à peindre les plus infimes détails de la chambre dans laquelle se tiennent les trois personnages du tableau.
Je suis équipé de ma loupe frontale. Sur le nez, du côté droit, j'ai collé un petit carré de carton pour empêcher les reflets.
Il faut me voir faire la danse du Sioux autour de mon chevalet à chaque coup de pinceau plus sublime que l'autre. Super.
Il est aux environs de dix heures lorsque la musique imbécile de mon téléphone retentit. Je peste. Je rage. Qui donc ose.
Je décroche. Ma frustration se transforme en joie. C'est Juliette. Je mets en mode "haut parleur". Je peux continuer le job.

Je peins tout en bavardant. Juliette me rappelle que nous sommes invités à manger ce soir. Je la rassure, je n'ai pas oublié.
C'est très sympathique de bavarder ainsi tout en peignant. Cela n'empêche en rien la plus parfaite des réalisations. Super.
Juliette est au bureau. Du travail de paperasserie. Être patron de son entreprise condamne à cette activité peu gratifiante.
Elle aussi prend donc plaisir à bavarder tout en rédigeant en consultant. Il lui faut préparer la visite du comptable demain.
La conversation s'axe rapidement sur les sujets graveleux que nous affectionnons tout particulièrement. C'est très amusant.

Nous sommes devenus des amis intimes. Des confidents. Nous n'avons plus grand chose à nous cacher. C'est un privilège.
Aussi, de plus en plus souvent, lorsqu'elle me téléphone, c'est pour me raconter ses frasques. Hier soir la visite de Gérard.
Depuis qu'il est à la retraite, son ancien palefrenier vient en visite le mardi soir. Parfois le vendredi en soirée. Le dimanche.
Juliette prend donc un véritable plaisir à me décrire, en détails les visites de Gérard. < La pipe du mardi soir ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur. D'après Juliette, les femmes qui ont goûté du Gérard, ont le désir de recommencer. Vrai vicieux.

Pierre, le mari de madame Walter n'est plus malade. Samedi prochain, Juliette ira passer sa soirée chez le couple. La baise.
Une fois encore Juliette vante les mérites de Pierre. "Baiseur fou" et compulsif. Capable de niquer pendant des heures. Joie.
Nous en rigolons comme des bossus. Nous discutons ainsi presque toute une heure. Nous nous saluons avant de raccrocher.
Je contemple le travail réalisé durant cette amusante conversation. Cela n'a rien perturbé. Je bande comme un vrai salaud.
La faim commence à se faire sentir. Il est 12 h05. Je cesse pour aller à la cuisine. Je me prépare du pilpil de blé. La salade.

Une sauce au Roquefort avec de l'émincé de champignon et de lieu noir préalablement cuit dans le Wok. J'écoute les infos.
La pâte feuilleté a décongelé depuis ce matin. Je prépare la compote de pomme en garniture de la galette. Dessert du soir.
La vaisselle. Je range la cuisine. La galette est au four. Ce dernier est réglé pour refroidir doucement. Aucun risque. Super.
Il est presque 13 h lorsque je suis à nouveau installé devant mon chevalet. Je peins dans une euphorie contenue. Maîtrise.
Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. < Je t'aime Julien ! > s'écrie t-elle en se précipitant vers moi.

Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs, les cours, le restaurant universitaire, les ressentis d'Estelle.
Nous travaillons encore un peu. Clémentine est installée devant l'ordinateur, entourée de ses notes. Le crépitement du feu.
A l'étage, se font entendre les premiers bruits étranges. Le fantôme de Christine vient saluer l'arrivée de Clémentine. Sûr.
Il est 18 h45. Nous rangeons. Nous voilà assis devant la cheminée, lumières éteintes, à admirer les flammes mourantes.
Je raconte la conversation téléphonique avec Juliette. Ça nous excite. < Ce soir chez elle tu es vicelard ! > dit Clémentine.

Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour monter nous changer. Avec ce froid glacial, nous mettons des jeans propres. Pulls.
< Regarde comme on est beaux tous les deux ! > fait Clémentine, m'entraînant devant le miroir où nous prenons la pose.
Accroupie à ma droite, me tenant par la jambe, sa tête appuyée contre ma cuisse, elle rajoute : < Je vous aime Maître ! >
nous rigolons comme des bossus. Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime ma délicieuse Soumise ! >
Clémentine vérifie que ma braguette soit bien déboutonnée. Je sors le Zob pour l'agiter. Nous en rigolons devant le miroir.

Je tire Clémentine par ses cheveux noués en natte comme par une laisse pour la forcer à se relever. Je masse ses genoux.
Je dis : < Vendredi après-midi, on va chez Décathlon pour acheter des genouillères ! >. Clémentine est à se réjouir. Bien.
Le programme de vendredi, après-midi et soir est arrêté. Les magasins et le restaurant des Chants. Bruno et Valentine.
Nous descendons. Nous voilà en route. Trois petits kilomètres. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Sympa.
C'est la voiture à Clémentine. Elle me confie souvent qu'en roulant sur la petite route déserte, elle se touche. Matin et soir.

Nous arrivons au haras. La cour est déserte. Il y a de la lumières dans les bâtiments. Nous allons dans l'écurie préférée.
Il y a Kim Son, le palefrenier. Il conduit le chariot élévateur. Une énorme meule de foin. Il nous fait un signe, un sourire.
Il est au boulot. Nous laissons ce garçon travailler. Nous caressons quelques chevaux qui nous observent depuis leur box.
Nous traversons la cour pour récupérer le Tupperware contenant la galette. Juliette est sur le pas de la porte de l'accueil.
Elle est vêtue d'une jupe noir, évasée, bas noirs, un pull à col roulé en épaisse laine mohair. Elle nous invite à la suivre.

Dans l'escalier, nous discernons bien le porte jarretelle. Elle monte les marches quatre à quatre. Impossible de ne pas voir.
Nous enlevons nos anoraks. Nous voilà installés dans le canapé. Juliette est assise dans le fauteuil, en face de nous. Sexy.
Comme toujours la jeune femme se tient bien droite, les jambes parallèles, les mains posées sur les cuisses. Elle est belle.
Je regarde avec insistance entre ses cuisses. Elle le sait. Elle apprécie. Le jeu peut commencer. Clémentine me fait du pied.
Nous adorons ces situations délicieusement suggestives. Ce jeu est devenu le rituel des mercredis soirs. C'est divin. Super.

La sonnerie du four. Juliette se lève et nous propose de prendre place à table. Clémentine me chuchote : < Les chiottes ! >
Je comprends immédiatement. Je vais aux toilettes. Là, au fond du couloir. A droite la salle de bain. A gauche les cabinets.
Je n'y suis pas une minute, à me branler assez vivement, que la porte derrière moi s'ouvre. C'est Juliette qui me contourne.
Penchée en avant, elle observe. Silence. Clémentine est venue nous rejoindre. Je me branle avec toute la vulgarité possible.
< C'est la conversation de ce matin ? > me fait Juliette en me fixant, le regard par en-dessous, terriblement vicelard. Bien.

< Et votre présence surtout ! > lui répond Clémentine. Nous restons ainsi un petit moment. Silencieux. Juliette s'accroupit.
L'endroit est trop étroit pour qu'elle puisse me faire profiter de la vue sous sa jupe plissée. Je me tourne vers elle. Direct.
Je lui présente franchement ma queue. A mètre de son visage. Elle me fixe, presque sévère. J'en ai des frissons. Sublime.
< A table ! > fait soudain Juliette en se redressant. C'est un superbe feuilleté au saumon qui nous attend. Petits légumes.
Nous mangeons de bon appétit. Juliette évoque notre projet. Le "dressage" de Clémentine, dans les écuries, par Mr Gérard.

J'écoute les filles mettre au point différentes possibilités. Gérard est un authentique "Maître". Juliette en vante les mérites.
< Je l'ai vu à l'œuvre avec madame Walter ! Un artiste ! Il y a quatre ans il éduquait une jeune fille ! > fait encore Juliette.
C'est une jeune fille dont les parents étaient propriétaires de chevaux. Ils n'étaient évidemment pas informés. Vrai secret.
Juliette faisait "l'assistante". De par son rôle, elle était aux premières loges. Elle sait donc de quoi est capable Mr Gérard.
Juliette nous raconte quantité de détails plus excitants les uns que les autres. Clémentine qui se réjouie pour le printemps.

< Il y a pierre qui participe quelquefois en "invité surprise" ! > précise Juliette. < Vous aurez les yeux bandés ! > dit elle.
Je me lève. Je me tourne franchement vers Juliette pour demander : < Vous serez avec moi pour mâter cette séance ? >
< J'irai de l'un à l'autre, comme j'aime à le faire dans ces moments d'une rare intensité, vous verrez ! > répond Juliette.
Nous faisons la vaisselle. Je n'arrête pas d'être vulgaire. Je me masturbe tout en essuyant. Clémentine est hyper excitée.
Juliette l'est tout autant. Nous savourons la galette. Je dis : < Juliette, le jour de la pipe, je ne vous rate pas ! >. Rires.

< J'espère que vous savez viser ! > fait elle. Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine dit : < Il vise juste ! >
Nous traînons à table. Il est 22 h15. Nous avons de rudes journées demain. Il faut du sérieux. Juliette nous raccompagne.
Nous bavardons encore un peu dehors, dans le froid. Nous nous serrons la main. Le jeu de l'index qui bouge dans la main.
Il est 22 h40 lorsque nous sommes de retour. Au lit, nous nous suçons. Nous nous pénétrons. Clémentine se "confesse".
Elle me confie son impatience d'être "éduquée" ce printemps. Cunnilingus. Orgasme délirant. Je propose la pipe demain.

Bonne soirée à élaborer vos projets de dressage et d'éducation à toutes les coquines dont c'est un des fantasmes…

Julien - (Qui s'impatiente lui aussi. Être planqué avec Juliette, ou Estelle. Regarder Clémentine se faire dresser) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 686 -



C'est bien d'êtres tous les trois ensemble

Hier matin, jeudi, c'est le concerto pour harpe en si bémol de Haendel qui nous tire de nos profonds sommeils avec grâce.
< Sympa vieux Friedrich ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Puis nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Morts de faim.
Nous y préparons un solide petit déjeuner déjà vêtus de nos tenues de gym. Nous mangeons de bon appétit en bavardant.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement quotidien. Jogging sur tapis roulant, charges additionnelles.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il pleut.
7 h45. Un dernier bisou. Le jour se lève. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Et je me dépêche de rentrer.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare la palette, les pinceaux.
Il est 8 h15 lorsque je suis enfin installé devant mon chevalet. Je peins dans une sérénité rare. Tout s'articule parfaitement.
Je commence ce matin la peinture des visages des trois personnages. Je vais y consacrer la journée. C'est si merveilleux.

Je pense à Juliette, notre repas de hier soir, chez elle. La nature de nos conversations. Nos attitudes. Tout cela est plaisant.
J'en suis presque à espérer que le téléphone sonne ce matin. D'entendre sa voix. Je me résonne. Nous la voyons dimanche.
Comme toujours, quand je travaille dans une concentration extrême, je ne vois pas le temps passer. Il est rapidement 12 h.
Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau pour le millet. Je lave une belle salade verte. Je prépare de la pâte à pain. La pizza.
Je concocte une garniture. Tomates fraîches, ail, oignons, ciboulette, champignons et crevettes. Je suis méthodique. Super.

Je récupère un peu de garniture comme sauce avec le millet. Un assaisonnement pour la salade. Je mange de bon appétit.
Tout est prêt pour les pizzas de ce soir. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. La pâte repose sous un linge. Endroit chaud.
La garniture repose dans la casserole, sous un couvercle. La salade lavée est dans un grand Tupperware. Je vais à l'atelier.
Il est 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins les costumes des personnages.
Cette toile sera terminée demain, pour midi. Le timing parfait. Dehors, la météo est épouvantable. Il y a même de la neige.

Heureusement que la neige ne tient pas sur le sol détrempé. Les giboulées la projette contre les vitres avec tant de force.
Je suis obligé de travailler avec la lampe à halogène. Ma loupe à fort grossissement fixée sur le front. Un véritable plaisir.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé pour se préciter vers moi. Bisous.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. J'écoute toujours avec beaucoup d'intérêt. Elle raconte tellement bien.
Je lui fais part de mon ressenti quand à Juliette hier soir. < Je suis certaine qu'elle en pince pour toi ! > me dit Clémentine.

Nous travaillons encore un peu. Clémentine est devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Je termine mes personnages.
Il est à présent 18 h lorsque la nuit tombe complètement. Les jours rallongent. Cela devient bien perceptible. Réjouissant.
Du bruit. 18 h15. Voilà Estelle. Elle se précipite pour me faire des bises et s'installer sur mes genoux. Elle est si contente.
Les filles comparent leurs travaux devant l'ordinateur. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. J'ai fait du bel ouvrage. Joie.
Nous sommes assis devant la cheminée à voir les flammes s'éteindre doucement. Toutes les lumières éteintes. Il est 19 h.

Estelle et Clémentine mangent ensemble, à midi, au restaurant universitaire. Elles se racontent ce qu'elles vivent. Super.
Estelle sait ce qui s'est encore passé hier soir chez Juliette. Elle en conclue la même théorie : < Juliette est amoureuse ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Nous sommes trois ! Vieux salaud va ! >. A l'étage, commencent les bruits.
Le fantôme de Christine. < Et ça en fait quatre ! > rajoute Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Conjurer la peur.
Estelle est assise derrière moi, ses jambes de chaque côté, ses bras autour de moi pour se serrer. Et Clémentine couchée.

Clémentine a posé sa tête sur ma cuisse. Estelle me sort la bite. Elle l'agite devant le visage de Clémentine. C'est amusant.
Nous écoutons le bruit des pas à l'étage. Ils vont. Ils viennent. C'est une véritable errance. Les filles évoquent leurs cours.
La faim commence à se faire sentir. Il est 19 h15. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Tout est déjà prêt. Superbe.
Estelle travaille encore un peu la pâte. Je réchauffe la garniture. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. C'est rapide.
Je râpe une tonne de gruyère de Comté. Je verse la garniture sur la pâte. Estelle étale avec une spatule bien jusqu'aux bords.

Clémentine veut saupoudrer le gruyère et déposer les petits cubes de Roquefort avant de mettre les pizzas au four. Super.
Nous passons au salon. Nous sommes vautrés dans le canapé. Tout en bavardant, Estelle tord ma bite dans tous les sens.
Elle parle du montage. < Vous allez vous éclater ! Et autant que moi ! > fait elle en évoquant le film que nous avons fait.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lui dit : < Il faut que je t'apprenne à manipuler la caméra. C'est à mon tour ! >
Les filles évoquent la possibilité de filmer le "dressage" de Clémentine, ce printemps, aux écuries, par "Maître Gérard" ! >

Il faudra l'autorisation de monsieur Gérard. De Juliette aussi. Il est exclu de filmer des gens à leur insu. Ce serait ordurier.
< Je me charge de les convaincre ! > fait encore Clémentine qui aimerait conserver un souvenir visuel de cette expérience.
Estelle s'occupera de la caméra. Nous resterons toutefois à l'écart, dissimulés. Ce n'est évidemment qu'un vague fantasme.
Clémentine glisse sa tête sur ma cuisse. Estelle lui agite la bite sous le nez. < Miam ! > fait Clémentine. J'ai la queue molle.
Ce qui a toute la préférence de Clémentine qui sait qu'une bite molle est beaucoup plus juteuse. Estelle m'embrasse. Doux.

Clémentine, couchée sur le côté, à ma gauche, me tète avec passion. Elle suçote le prépuce qu'elle tire du bout des lèvres.
C'est toujours une agréable sensation. Je peux sentir sa langue fouiller, passant sous la peau, pour nettoyer le gland. Bien.
Estelle m'embrasse passionnément. Nous en avons le menton trempé. Je bande comme un priapique en phase terminale.
Clémentine me suce avec la même passion. Je suis en sueur. Estelle me sort les couilles. Clémentine, tout en suçant, mâte.
Ce n'est pas évident. Surtout que je n'ai que la braguette ouverte. Elle doit fouiller, s'y prendre à deux fois, passer l'index.

La sonnerie du four. Juste au moment où elle y arrive, à genoux entre mes jambes. Nous cessons. Nous filons à la cuisine.
Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons le programme du Week-end. Demain, vendredi, nous allons chez Décathlon.
Nous allons acheter des genouillères. Des protections pour roller. Deux paires. Une pour Clémentine. Et l'autre pour Estelle.
Ce n'est pas pour faire du roller. Les filles sont tellement souvent à genoux que c'est Estelle qui a suggéré ce principe. Joie.
Vendredi soir, nous mangeons au Restaurant des Chants. Nous verrons le Chef cuisinier, Bruno et sa fille Valentine. A 20 h.

Estelle ne sera pas avec nous. Elle nous rejoint samedi à 18 h. Repas de fête avant de visionner notre film pornographique.
Dimanche midi nous sommes invités à manger chez Estelle. Son papa fête son anniversaire. 48 ans. L'après-midi au haras.
Un programme chargé mais fort plaisant. Nous mangeons de bon appétit. Estelle mime souvent une fellation en bavardant.
Je me lève parfois pour agiter ma queue dans sa direction. Je bande mou. Je la fais tournoyer. Ça fait toujours rire les filles.
Clémentine pose sa fourchette pour passer sous la table. Je lui dit : < Tu imites Estelle ? >. Et nous en rions de bon cœur.

Nous traînons à table. Je suis debout. Je viens offrir ma bite à l'une et à l'autre. < On te suce pas assez ! > me fait Estelle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque je précise : < Nous passons tout notre temps à nous bouffer les sexes ! >. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent par la main au salon, pressées de se refiler ma queue à sucer.
Elles sont toutes les deux assises dans le canapé. Je suis debout. Je passe de l'une à l'autre. Ma bite d'une bouche à l'autre.
C'est hyper juteux. Elles s'en rassasient jusqu'à l'extase. J'aime jouer avec mes limites. Je lutte, je résiste. Je veux retarder.

Je dis : < Qui qu'en veut ? >. Les filles s'empiffrent. < Mmhh ! > s'écrient elle à chaque fois que j'enfonce ma queue. Joie.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui déglutit comme une assoiffée en poussant des râles de plaisir. Je caresse Clémentine.
Je lui dis : < Tu en auras demain ! Ce soir au lit, je te lèche le minou ! >. Je force Estelle à cesser pour l'offrir à Clémentine.
Il est 22 h15. Demain matin, il y a école. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation difficile. Nous rentrons vite.
Au lit j'offre un merveilleux cunnilingus à Clémentine qui jouit comme une folle. Serrée contre moi, elle me raconte. Et dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent de pipes, confortablement installées dans le canapé, bite en bouche…

Julien - ( Qui se fait traire, pomper et essorer la queue comme un bienheureux. Et le dernier des salauds) -

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Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 687 -



Le début du Week-end

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique. Et nous nous serrons fort.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Nous revenons dans la chambre pour enfiler nos fringues de gym.
Nous descendons en sautillant jusqu'à la cuisine. Clémentine termine à midi et c'est le début du Week-end. C'est superbe.
Il est 6 h. Nous préparons notre petit déjeuner que nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Notre programme.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. L'humeur est à la déconne. Nous nous amusons beaucoup.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Froid.
Tout est humide et désagréable. Il est 7 h45. Le jour se lève. Bisous. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin.
Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée.
Le lecteur sait le côté répétitif des choses de la vie. Et c'est le début de chacune des journées ici. Il faut un début à tout.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je termine ce matin cette toile.

Je fignole. Je rajoute d'infimes détails destinés à déstabiliser le regardant. Je peins dans une véritable euphorie. Sublime.
Il est 11 h30 lorsque je donne la caresse du dernier coup de pinceau. Je dépose le tableau sur un autre chevalet. Séchage.
Je pose une toile vierge sur le chevalet. Je vais commencer cet après-midi le dessin préparatoire de la seizième toile d'été.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Tout est prêt. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Du gros sel.
Je concocte une bonne sauce au Roquefort avec de l'émincé de saule préalablement frit à la poêle. Une salade de tomates.

Il est 12 h20. Clémentine arrive. Elle me saute au coup en s'écriant < Week-end avec mon chéri ! >. Je la soulève. Bisous.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade tout en me racontant sa matinée. Et ce qu'il faut mettre au propre.
Nous travaillerons deux heures avant de partir en ville. Je mets la table. Clémentine râpe du Parmesan et plein de gruyère.
Nous mangeons de bon appétit tout en révisant le programme du Week-end. Que des réjouissances en perspective. Super.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h lorsque nous sommes dans l'atelier. Clémentine entourée de ses fiches.

Je réalise le dessin préparatoire de la seizième toile destinée à ma saison d'été. Un paysage champêtre à un personnage.
Deux bûches dans la cheminée. Dehors, il fait affreusement moche. Et même s'il ne pleut pas c'est l'humidité permanente.
Parfois l'un se lève pour aller faire des papouilles à l'autre. Nous travaillons ainsi jusqu'à 15 h50. Tout est terminé. Parfait.
Tout est rangé. Nous montons nous changer. Malgré la météo déplorable, Clémentine porte un jupe d'épais velours carmin.
Des bas noirs fixés à son porte jarretelle. Un chemisier blanc sous un épais pull de laine noir, col en "V". Comme le mien.

Sur sa demande, je porte des jeans, une chemise blanche sous un épais pull noir. Nous faisons les clowns devant le miroir.
Clémentine est chaussée de ses bottes noires à talons hauts. Accroupie elle me tient la jambe, tête appuyée sur ma cuisse.
< Vous allez bien vous occupez de moi, Maître , ce Week-end ! > fait elle. Nous rions de bon cœur. Je caresse ses cheveux.
Je dis : < Tendre Soumise, que ne ferais je pas pour vous être agréable ! >. Je la fais se relever. Elle se serre contre moi.
Nous mettons nos manteaux, nos écharpes et nos chapeaux feutre. Nous rangeons l'auto de Clémentine. Je sors la mienne.

Je roule doucement. Treize petits kilomètres jusqu'à la zone commerciale. Clémentine joue avec ma queue. Petites pipes.
Je passe souvent ma main droite sous sa jupe. L'absence de culotte permet un accès très agréable à sa chatte velue. Bon.
Nous arrivons sur le parking de Décathlon. C'est vendredi, dernier jour des soldes. Il y a évidemment beaucoup de monde.
L'ambiance de cette grande surface est toujours fort plaisante. Le personnel y est accueillant et conseille avec efficacité.
Ce n'est nullement une publicité mais, trop souvent, dans la plupart des grandes enseignes, le sourire est une option. Dur.

Nous voilà au rayon des genouillères de protection. Il y en a différents modèles pour différentes disciplines. Il y a le choix.
Le notre se porte sur les genouillères de protection destinées au roller. Elles sont matelassées par des coussinets de cuir.
< Je les essaie ! > fait Clémentine en les fixant à ses genoux. Deux légères sangles derrière le genoux. En haut et en bas.
Porter des genouillères, en tenue de ville, vêtu avec élégance de surcroit, est incroyablement érotique. C'est fantastique.
J'entraîne Clémentine devant le grand miroir à l'angle du rayon des vêtements de running. Elle reste silencieuse. Superbe.

Vu le regard libidineux de certains mâles solitaires rôdant dans le rayon, je ne dois pas être le seul à trouver ça érotique.
Clémentine en prend rapidement conscience. Elle en joue. Prend la pose. Se déhanche. De quoi attirer quelques regards.
Debout, posant sa main à l'endroit de son sexe, appuyant sur sa jupe, les jambes légèrement écartées, droite, elle mâte.
Son image dans le miroir ne tarde pas à produire son petit effet d'auto érotisme habituel. Et elle m'entraîne par la main.
Nous parcourons quelques rayons. Nos hautes silhouettes, notre élégance, nos différences d'âge, les genouillères noires.

Clémentine m'a appris à m'amuser et à me jouer des attentions que nous suscitons ainsi. C'est absolument délicieux. Joie.
C'est divin. La démarche de Clémentine est forcément différente. Ce qui rajoute encore à un érotisme des plus grandioses.
Une jeune employée du magasin, ravissante, sans doute attirée par la scène, vient nous trouver : < C'est bon ? > dit elle.
< C'est pour faire du roller sur piste ou en Club ? > demande la fille. Clémentine dit : < Non, c'est pour être à genoux ! >
J'hallucine. Probablement autant que l'employée soudain très déstabilisée. C'est amusant. Je suis toutefois un peu gêné.

Clémentine demande à la jeune vendeuse si nous pouvons avoir un emballage cadeau pour la seconde paire. Evidemment.
Nous retournons au rayon pour prendre la seconde paire. En solde. 32 euros les deux paires au lieu de 28 euros une seule.
L'employés nous invite à la suivre. L'emballage cadeau est simple. Papier kraft. C'est la paire de genouillères pour Estelle.
Nous quittons. Dans la voiture, excités comme des petits fous sans camisole, nous nous embrassons, nous nous tripotons.
C'est intense. Je suggère d'aller nous calmer un peu à la cafétéria de l'hypermarché. Et nous y ferons nos courses demain.

Il est 18 h45. il y a du monde. Hélas quelques familles de Simpson assez bruyantes nous dissuadent rapidement. On file.
Nous traînons un peu dans la galerie commerciale. Il y a bien trop de monde pour s'offrir quelques frayeurs. Et tant pis.
Nous rôdons un peu jusqu'aux environs de 19 h30. Boutiques, échoppes, les dernières démarques, les dernières promos.
Nous repartons. Dans la voiture, je me fais sucer. Nous passons devant l'université de Clémentine. Arrêt sur le parking.
Clémentine me montre le bâtiment en construction. Il y a des ouvriers en journée. Et de quoi fantasmer sur des exhibes.

Nous arrivons au Restaurant des Chants. Il y a plein de voitures garées. C'est un établissement étoilé. Et donc renommé.
Une étoile. J'y ai mangé il y a quelques années. C'est la première fois que nous y venons. Une découverte. Sympathique.
Nous entrons dans une salle très bien décorée. C'est très élégant. Comme les clients déjà attablés. C'est impressionnant.
Nous reconnaissons Valentine. Elle est d'une grande classe et d'une grande élégance. Elle nous reconnaît. Nous la suivons.
Valentine nous propose une table un peu en retrait. A proximité d'une petite scène ou trône un piano à queue noir. Beau.

< Je vais prévenir papa. Il est en cuisine ! > nous fait la jeune fille en nous proposant les cartes. Elle nous fait un sourire.
Nous la regardons s'éloigner. < Elle te fait quel effet ? > me demande Clémentine. Je lui répond : < Hyper bandante ! >
Nous rions de bon cœur. C'est un grand homme, athlétique, vêtu d'un tablier blanc immaculé, coiffé d'une toque qui arrive.
C'est Bruno. Il est content de nous voir. Nous nous serrons la main. Bruno prend le temps de bavarder avec nous. Debout.
Il nous parle un peu de son restaurant. Il a repris l'affaire il y a deux ans avec sa femme et sa fille. Jeune Chef de 45 ans.

Nous nous sentons privilégiés. Le patron qui nous accorde un peu de son temps. Il fait venir la femme derrière le comptoir.
Bruno nous présente sa femme. Une ravissante personne. Brune aux cheveux noués en natte. Une élégance remarquable.
Nous faisons connaissance. Ce sont des gens absolument charmants. Pour enlever tout doute, Clémentine prend ma main.
Ils ont ainsi la certitude que je ne suis pas le père. Ambigüité levée. Valentine m'adresse un étrange sourire, franc, beau.
Nous prenons la commande. La restauration "moderne", ce n'est pas vraiment notre truc. On n'a toujours faim en partant.

La queue de homard grillée, accompagné de sa "robe de légumes de saison" est toutefois un vrai délice. Un véritable régal.
Clémentine me donne son ressenti. L'endroit est sain. D'excellentes vibrations. Ces gens sont d'une politesse exquise. Bien.
Bruno vient nous voir au moment de l'addition. Nous bavardons encore un peu. Nous promettons de revenir. C'est si bon.
Bruno aimerait voir quelques unes de mes toiles en "vrai". Clémentine lui a montré des photos sur son smartphone. Sympa.
Je promets d'en apporter une ou deux vendredi prochain. Je précise qu'elles ne sont pas à vendre. J'en ai besoin cet été.

Il est 22 h. Nous quittons le Restaurant des Chants. Clémentine me fait part de son enchantement. Une excellente cuisine.
< De nouveaux amis et certainement de nouvelles aventures à venir ! > me fait Clémentine en jouant avec ma bite raide.
Je lui confie les regards que nous lançait Valentine. < J'ai remarqué ! Une vicieuse, je te promets ! > me fait Clémentine.
Nous arrivons à la maison. Au lit, j'offre à Clémentine un cunnilingus de dingue. Nous baisons. Prétexte aux confessions.
Clémentine n'est pas insensible au charme de Bruno. Je ne le suis ni à sa femme, ni à sa fille. Orgasmes délirants et dodo.

Bonne soirée au restaurant des chants à toutes les coquines aimant la cuisine d'un Chef étoilé et plutôt bel homme…

Julien - (Qui s'attend à de nouvelles aventures "hors normes" dans sa vie "hors normes" avec une fille "hors normes") -

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Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 688 -



Tous les rituels du samedi avec le film en soirée

Hier matin, samedi, il est aux environs de huit heures lorsque je suis réveillé. Un léger mouvement du matelas, des draps.
Lorsque je me réveille, ma respiration change. Ce qui averti immédiatement Clémentine qui cesse de se masturber. Rires.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me murmure t-elle à l'oreille en se blottissant contre moi et me couvrant de bisous. Super.
Je lui chuchote : < Bonjour ma belle masturbatrice. Quel était le sujet de vos émois, cette fois-ci ? >. Elle me chevauche.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me parle d'une situation ubuesque en compagnie de monsieur Gérard, notre vicelard.

L'impérieux besoin de pisser met un terme aux aveux. Nous nous précipitons aux toilettes. Nous mettons nos tenues gym.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous y préparons notre copieux petit déjeuner. 8 h05.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte son rêve. C'est assez surréaliste. Très amusant.
La vaisselle. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Dehors la météo est épouvantable. Pluie, vent.
La douche. Nous nous habillons. Clémentine porte la même tenue que hier. Jupe carmin, chemisier, gros pull et les bottes.

Ce qui devient également un nouveau rituel, nous amuse beaucoup. Clémentine, accroupie, qui pose sa tête sur ma cuisse.
Nous prenons la pose devant le miroir. < Vous me rendez heureuse "Maître" ! > me dit elle en écartant ses cuisses. Belle.
Je pose ma main sur sa tête en disant : < Tendre "Soumise", c'est mon seul soucis dans l'existence ! >. Elle se serre fort.
Je la prends par la nuque pour la forcer à se redresser. < Je t'aime comme une folle ! > me dit elle avant de m'embrasser.
Je réponds : < Moi aussi ! >. Je porte mon pantalon de gros velours marron et une chemise épaisse sous mon gros pull.

Nous mettons nos anoraks. Nous voilà en route pour le bourg voisin. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue.
Trois petits kilomètres. Je gare la voiture. C'est sous notre immense parapluie que nous faisons notre marché. Du monde.
Nous faisons provision de fruits, de légumes, chez nos petits producteurs locaux. Agriculture biologique ou bien raisonnée.
Nous faisons provision de fromages, de beurre, de yaourts, de crème et d'œufs, chez notre artisan habituel. Produits Bio.
Nous avons un bon mot avec chacun d'entre eux. Nous nous dépêchons de retourner à la voiture. Le frais dans la glacière.

En route pour la ville. Treize petits kilomètres sous une pluie régulière et des giboulées fort désagréable. Je me fais sucer.
Clémentine me confie à quel point ses rêves érotiques conditionnent la libido de ses journées. Je la félicite. C'est sublime.
Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne dans les rayons idoines.
Produits d'entretien. Lessive. Papier cul. Mouchoirs en papier, Tampax "mini". Sopalin. Bref, de quoi assurer la logistique.
Quelle surprise. Nous rencontrons Julie et sa maman. Julie est toute contente de nous voir. Nous bavardons un peu. Joie.

Julie évoque ses études, son activité de serveuse en soirée et son nouveau petit copain avec qui c'est super. C'est parfait.
Nous promettons de passer au restaurant avant le printemps. Nous prenons congé pour continuer nos courses. Conserves.
Par acquis de conscience, excitée par son rêve érotique, Clémentine m'entraîne aux rayon des bouquins et des magazines.
Il y a beaucoup trop de monde pour qu'elle puisse s'offrir un petit plan exhibe. Nous filons au rayon "vêtements homme".
C'est pareil. Des couples. Il reste les cabines d'essayages. File d'attente. Familles de Simpson. Il est impossible de jouer.

Il faut se faire une raison. Je fais à Clémentine, devant le rayon poissonnerie : < A la maison, je te bouffe la chatte ! >
Elle se serre contre moi et me dépose un bisou sur la joue. < Je crois que c'est la thérapie la plus appropriée ! > dit elle.
Nous en rions de bon cœur. Nous faisons provision de filets de saule, de lieu noir, de crustacés, de moules et salicornes.
En nous rendant aux caisses, nous croisons Mme Walter et son mari, Pierre. Nous nous saluons. Nous bavardons un peu.
Nous viendrons faire un tour au haras dans l'après-midi de dimanche. Il y a une animation. Nous nous reverrons là-bas.

Nous faisons un petit tour dans la galerie commerciale. Les soldes sont terminées. Mais l'affluence est toutefois identique.
Trop de monde au salon de thé pour y tenter un petit frisson. Nous retournons à la voiture. Il pleut. Il vente. Déplorable.
Il est midi trente lorsque nous revenons à la maison. Nous rangeons les courses. Je prépare le bouillon pour les moules.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je fais rissoler les haricots verts. Je mets la table. Méthode.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons nos rencontres de ce matin. Julie. Les Walter. Sympa.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, sa main sous mon tablier, la mienne sous le sien, nous évoquons la soirée.
Ce soir, nous visionnons le film réalisé samedi dernier et monté par Estelle. De quoi être émoustillés, plutôt bien excités.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon. Impatiente, elle se laisse tomber dans le canapé.
Je pose l'épais coussin au sol. Ses cuisses largement écartées, ses jambes relevées, Clémentine m'offre mon dessert. Bon.
Je hume l'odeur de sa matinée de fille. Je passe délicatement le bout de mon doigt le long des lèvres de son sexe. Super.

Il y a de la mouille. Avec l'excitation il y a eu des écoulements. Je les récupère avec la langue jusque dans la raie du cul.
J'adore. Je n'arrête pas de retirer des poils de ma bouche. Mais ça fait partie du jeu. Clémentine me tient par les oreilles.
Elle me guide. Je me pourlèche de jus de fille. Et je décalotte son clitoris turgescent. Clémentine se tortille en gémissant.
Il faut être prudent, vigilant, pas d'orgasme intempestif. Clémentine veut rester très excitée pour le restant de la journée.
Il faut donc ruser. Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Ça calme bien.

Clémentine approche sa bouche de mon oreille pour me confier quelques secrets. Autant de merveilles qui me ravissent.
Ses confidences maintiennent mon érection jusqu'aux limites de la douleur. Nous fonctionnons ainsi. C'est fabuleux. Bon.
Parfois nous nous berçons pour cesser. Clémentine me repousse délicatement. Danger. Nous nous faisons un rapide "69".
De quoi essorer nos sexes et nous nettoyer sans perdre nos précieux épanchements. Nous reprenons nos esprits. Super.
Il est 14 h30. Nous passons dans l'atelier. Avec cette météo, quoi d'autre que le travail pour passer le temps. C'est bien.

J'allume un bon feu dans la cheminée. Clémentine est assise devant l'ordinateur entourée de ses fiches. Déjà concentrée.
Je suis assis devant mon chevalet à préparer ma palette et mes pinceaux. Un de ces autres moments dont nous raffolons.
Parfois l'un se lève pour aller faire des bisous à l'autre, recueillir quelques confidences, murmurer quelques douceurs. Joie.
Il est rapidement 18 h. Estelle entre dans l'atelier exactement à la tombée de la nuit. Elle se précipite pour faire des bises.
Assise sur mes genoux, elle nous raconte sa journée. Les filles comparent leurs travaux devant l'ordi. Je nettoie le matos.

Nous restons assis devant la cheminée, les lumières éteintes, à admirer les flammes qui s'éteignent doucement. Si beau.
Il est 19 h lorsque nous quittons l'atelier. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Tout va vite.
Estelle réchauffe les haricots verts auxquels elle a rajouté des patates. Je panne les filets de saule que je cuis à la poêle.
Nous mettons la table au salon. La grande table monastère. Juste trois bougies pour éclairer la pièce. Il fait faim. Pressé.
Estelle vient se serrer contre moi à plusieurs reprises. Clémentine s'interpose par jeu. Tout cela nous amuse et nous plaît.

Clémentine a gardé ses vêtements de ce matin, sauf le pull et ses bas. J'entraîne Estelle derrière le bureau. Je me penche.
Je récupère le paquet cadeau. Je le lui tends. Etonnée, Estelle s'en saisit. Elle déballe. Nous la regardons découvrir. Belle.
< Oh ! Génial ! > fait elle en admirant ses genouillères. < Je les essaie de suite ! Et je monte me changer ! > lance t-elle.
Clémentine se frotte contre moi. Nous nous murmurons plein de douceurs. Estelle redescends. Elle est en jupe kilt. Super.
Elle porte ses genouillères. C'est incroyablement sexy porté dans un tout autre contexte que le sport. Que les rollers. Joie.

Estelle s'accroupit, écarte ses cuisses et dit : < Culotte ! >. Nous rions de bon cœur. Effectivement, elle porte une culotte.
Elle se met à genoux. < C'est génial, plus mal ! > s'écrie t-elle en avançant sur les genoux tout en faisant le tour du salon.
Clémentine fixe les siennes. Les filles sont à genoux à parcourir la pièce. Nous rigolons comme des bossus. C'est dément !
Je leurs propose de passer à table. Je m'occupe du service. < Avec la bite à l'air s'il vous plaît, "garçon" ! > me fait Estelle.
Je reviens avec les plats. Les deux coquines sont à genoux devant leurs assiettes de chaque côté de la table. La rigolade.

Il est quand même plus confortable de manger confortablement assis. Ce qu'elles s'empressent tout de même de faire.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Je me lève à plusieurs reprises pour agiter et tourner ma queue.
Sur la demande d'Estelle je la fais tournoyer. < Zorro et son lasso ! > s'écrie t-elle. Nous en rigolons comme des bossus.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle nous montre la clef USB. < Le film ! > fait elle en la donnant à Clémentine.
Le téléviseur est allumé. La clef est introduite. Nous nous installons dans le canapé. Clémentine tient la télécommande.

Estelle a gardé ses genouillères. Clémentine les a retiré. A l'écran, une belle image. C'est le paysage autour de la maison.
Le générique défile. Estelle a encore fait un montage "professionnel". En fond sonore il y a une musique inquiétante. Rire.
Soudain apparaît le visage d'ange d'Estelle. C'est toujours une émotion vive. De la voir à l'écran, de la voir en vraie à côté.
Je lui pose la main sur la cuisse pour murmurer : < Tu es belle ! Et la couleur de tes cheveux est à nouveau normale ! >
Le film commence. A l'écran, Estelle est debout dans l'encadrement de la porte. Nous nous souvenons de tout. C'est bien.

Le lecteur intéressé par quantité de détails pourra relire notre récit de samedi dernier afin de bien se remettre en situation.
A l'écran, on me voit passer derrière Estelle. Je la saisis sans ménagement par la nuque. Je tiens la laisse fixée au collier.
Je l'entraîne sans ménagement. A quatre pattes faisant le tour du salon. Clémentine fait des arrêts sur images. Excitant.
Je découvre quantité de détails, d'expressions et d'attitudes que je n'ai pas vu au moment de la réalisation. C'est sublime.
Estelle, et son fantasme de faire l'actrice porno, peut vivre dans ces situations le summum de ses désirs les plus délirants.

Je bande comme le dernier des salauds. Clémentine se touche. Estelle me tient la queue pour la tordre dans tous les sens.
A l'image, on me voit attacher Estelle sur la chaise, le dossier entre ses cuisses écartées. Nous voyons son air fier de défi.
Ce passage où elle tente de se redresser pour me cracher au visage. On me voit lui mettre sa première gifle. On l'entend.
Ce n'est pas du tout la même chose. Lorsque nous vivons ces situations et lorsque nous les regardons une semaine après.
Je vois Estelle à l'écran qui se fait frotter ma bite sur la gueule. Je la vois assise à ma droite, innocente, ma bite en main.

Clémentine tout en se masturbant, fait de nombreux arrêts sur image. Ce sont les expressions de l'actrice qui passionnent.
La psychologie des personnages a pour nous infiniment plus d'importance que ce qu'ils font durant ces situations dingues.
Estelle a passé son autre main sous sa jupe. Il est rare qu'elle se masturbe. < Je me suis branlée au montage ! > dit elle.
< J'imagine ! > lui répond Clémentine. A l'écran, on voit Estelle tenter de se soustraire à mon étreinte. On me voit pisser.
Clémentine, qui a filmé tout cela, peut elle aussi constater la qualité de son travail. Les jets de pisse qui sont bien luisants.

A l'écran, en gros plan, le visage dégoulinant de pisse d'Estelle qui nous fixe avec son air de défi. Toujours tellement fière.
On voit mon visage se rapprocher du sien. C'est surréaliste. < Ça ce sont mes images préférées ! > me chuchote Estelle.
Clémentine fait des arrêts sur image. Repasse la scène au ralenti. Revient en arrière. < C'est remarquable ! > lance t-elle.
Ces scènes des deux visages côte à côte reviennent plusieurs fois dans le film qui ne dure que 23 minutes. Les meilleures.
Je félicite Estelle pour le travail de montage. Nous regardons certaines scènes plusieurs fois. Surtout celles de la fin du film.

Estelle, absolument ravie, le visage maculé de foutre, de crachats et de pisse, les cheveux collés, qui fixe l'objectif. Belle.
Mon visage à côté du sien. Je la tiens par la nuque et sous le menton. Nous sourions tous deux à la caméra. Fantastique.
Soudain, à ma gauche, Clémentine se cambre, son corp secoué d'un spasme violent. Elle est en plein orgasme. Des cris.
Estelle se penche pour lui dire : < Il faut apprendre à te tenir ! >. Nous rions de bon cœur. Le générique de fin. Sublime.
Clémentine reprend ses esprits. Estelle se masturbe doucement. De son autre main elle tient mon sexe dur. Une branche.

< C'est le moment de constater l'efficacité de ces genouillères ! > fait Estelle en se mettant à genoux devant le téléviseur.
Tournant le dos à l'écran, elle s'approche du canapé entre mes jambes. Clémentine remet le film. Estelle se met à pomper.
Je me fais tailler la plus merveilleuse des pipes par la même fille que je vois à l'écran. C'est un moment des plus magiques.
La lectrice, le lecteur, qui n'ont jamais vécu un tel moment, ne peuvent absolument pas imaginer l'intensité de ce bonheur.
J'éjacule comme un bienheureux. C'est presque douloureux. La quantité doit être phénoménale. Estelle se touche et jouit.

Je me suis vidé les couilles à un tel point qu'elles sont comme congestionnées. Ma bite reste dure. Un vrai démonte pneu.
Le menton d'Estelle ruisselle de tout ce foutre trop abondant qu'elle n'a pas réussi à déglutir. Trop, c'est trop. Elle récupère.
Elle lèche ses doigts en me fixant comme dans le film. Je la regarde à l'image. Je la regarde en vrai. Je bande encore. Fou.
Nous sommes totalement épuisés. Personne ne verra jamais ce film. Mais Estelle récupère toujours immédiatement la clef.
Nous montons nous coucher. Estelle s'endort la première. Clémentine, serrée contre moi, me confie ses ressentis. Sublime.

Bonne soirée à mâter vos exploits à l'écran à toutes les coquines qui partagent ce désir fou de faire l'actrice porno…

Julien - (Dont les couilles congestionnées, presque douloureuses, le rappellent à sa condition d'homme. Fragile) -

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Un dimanche bien sympathique

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil d'une manière qui devient elle aussi une sorte de nouveau rituel. Joie.
On me fait une fellation, on me couvre le visage de bisous. Une fellation sur mon érection matinale est des plus étranges.
Ce n'est pas vraiment source de plaisir. Et c'est insolite. Je sais que c'est Estelle. Clémentine me chuchote des douceurs.
Je caresse la tête d'Estelle sous les draps. Je caresse la tête de Clémentine. Ce n'est que de la tendresse à l'état pur. Joie.
Je force délicatement Estelle à remonter pour serrer sa tête contre mon cou. Elle se laisse faire en gémissant de bonheur.

Elle se lève pour courir aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Clémentine me chevauche. Nous nous faisons des papouilles.
Estelle revient dans son pyjama de soie mauve. < Je descends préparer le petit déj ! > fait elle avant de dévaler l'escalier.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Il est 8 h. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Elle me saute au cou.
Je la soulève en la faisant tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose. Nous rions de bon cœur.
L'odeur de brioche, de pain grillé et de café est un véritable ensorcellement. Nous mangeons de bon appétit. C'est si bon.

Dehors il pleut. Cette météo déplorable qui semble ne plus finir depuis plusieurs jours. Nous bavardons tout en mangeant.
Nous évoquons le film. La soirée de hier. Le visionnage. L'extrême qualité des images et du montages. Un "chef-d'œuvre".
< C'est le meilleur que nous avons réalisé ! > dit Clémentine. < Les gros plans sont à mon avantage ! > fait Estelle. Rire.
J'abonde dans ce sens. Dans ce film la caméra s'attarde sur le visage d'Estelle. Clémentine a filmé en plans serrés. Super.
Je dis : < Il sera difficile de faire mieux ! >. Estelle fait : < En extérieur. Avec la lumière naturelle et dans un beau coin ! >

Je rajoute : < En tous cas ce serait un vrai plaisir que de revoir ce film ! >. Estelle, ravie, fait : < Quand vous voulez ! >
< Ce soir, on s'en mâte un peu ! > propose Clémentine. < Et en revenant du haras ! > rajoute Estelle. Tout est arrangé.
Le dimanche matin, c'est "ménage". Estelle se propose de passer l'aspirateur et de faire le salon. Clémentine fait l'étage.
La vaisselle. Je range la cuisine avant de commencer à la nettoyer. Clémentine est montée faire la chambre. C'est parfait.
J'entends Estelle passer l'aspirateur en chantant. Je suis pétri d'émotion. Si tout cela pouvait durer à tout jamais. Plaisir.

Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur le carrelage des sols de l'entrée, des toilettes et de la cuisine. Bien.
Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Là, dans l'encadrement de la porte du salon, Estelle, à genoux. Une surprise.
Elle porte ses genouillères. Elle a retiré son pantalon de pyjama. < Elles me vont bien. Merci pour ce cadeau ! > dit Estelle.
J'avale de travers. Elle me fait signe de la rejoindre en mimant une fellation. Je suis encore en slip et T-shirt de nuit. Rires.
Je m'approche. Elle me prend par les hanches en ouvrant grand la bouche. Quand Clémentine n'est pas là ça m'indispose.

Même si notre complicité, à tous les trois, est devenue totale, je culpabilise toujours un peu, seul avec Estelle si vicieuse.
Estelle me descend le slip. Elle se met à renifler ma bite molle. < Mmhh ! > fait elle en glissant son nez sous mes couilles.
< J'adore l'odeur des mecs ! > dit elle encore en frottant son visage contre mon sexe. Je commence à bander doucement.
Je lui caresse la tête. Je suis délicat. Attentionné. Estelle, avec le temps, devient de plus en plus douce, tendre et câline.
J'apprécie. Je le lui dis quelquefois. Je la laisse sucer un peu. Je lui chuchote : < Viens, on monte rejoindre Clémentine ! >

Nous montons les marches quatre à quatre. Estelle m'entraîne par la main. Clémentine termine de faire le lit. Je raconte.
Elle voit les genouillères que porte Estelle. < Déjà ! > fait elle. Nous en éclatons de rire. Estelle les retire pour s'habiller.
Il fait froid avec les fenêtres de la chambre ouverte. Clémentine est déjà habillée. Je passe mes jeans et ma chemise. Ouf.
Estelle ramasse le tas de draps sales pour les emmener à la salle de bain. Clémentine se blottit contre moi. Douceur. Joie.
< C'est tellement bien la vie, tous les deux, avec notre "petit animal de compagnie" ! > murmure t-elle. Elle se serre fort.

Notre "petit animal de compagnie" passe l'aspirateur partout à l'étage. Je nettoie le bac à douche. Clémentine le lavabo.
Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous. A faire mille plans sur la comète. Les projets à court terme. Et à long terme.
Le second trimestre semble toujours le plus long. L'étroit tunnel de l'hiver. Nous évoquons les vacances de Pâques. Déjà.
J'ai commencé à glaner quelques informations sur Internet. Office de tourisme de Bordeaux. Les locations. Les itinéraires.
Clémentine se réjouie pour ces nouvelles découvertes. < Tout ce que j'ai déjà vu grâce à toi ! > me dit elle en se serrant.

Je nettoie les chiottes du haut. J'entends Estelle chanter. Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Lourd.
Bien évidemment, Estelle en profite pour venir par surprise aux toilettes. Je suis penché, les mains dans la cuvette. Gants.
Dans l'impossibilité de pouvoir opposer la moindre résistance, je me fais tripoter par derrière d'une main ferme. La coquine.
< Je t'aime ! > me chuchote t-elle en passant sa main dans ma braguette ouverte. Elle la fourre dans mon slip. Des bises.
Je tire la chasse. Je retire mes gants. Je m'apprête à la prendre dans mes bras. La voilà à genoux. Les genouillères. Rires.

Je n'ai pas vu qu'elle porte ses genouillères sur ses jeans. < Tu vois, on peut les mettre partout ! > fait elle, sortant le Zob.
Je dis : < Tu es incorrigible ! Je vais le dire à tes parents à midi ! >. Nous en rions de bon cœur. Je la force à se redresser.
Nous dévalons l'escalier pour rejoindre Clémentine à la buanderie. La cave. Une machine tourne déjà. Nous trions le linge.
Les filles évoquent les cours de lundi. Elles ont tout préparé. Nous remontons pour nous préparer. Il est déjà onze heures.
Nous sommes attendus pour midi chez les parents d'Estelle. Nous mettons des pantalons à pinces et à plis. Noirs, sobres.

Chemises blanches sous des pulls noirs au col en "V". Nous sommes vêtus tous les trois exactement de la même manière.
Nous faisons les clowns devant le miroir. Les deux filles sont accroupis à mes côtés. Elles posent leur tête sur mes cuisses.
< C'est à votre convenance, "Maître" ? > fait Clémentine serrant ma jambe. < Sommes nous bonnes élèves ? > dit Estelle.
Je leur caresse les cheveux pour répondre : < Vous êtes parfaites, adorables ! >. Je les force à se relever avec délicatesse.
Nous restons serrés tous les trois à prendre la pose devant le miroir. C'est magnifique. Nous faisons des grimaces. Poilade.

Il est presque midi lorsque nous arrivons chez Estelle. Il pleut. Nous sommes sous l'immense parapluie. Des bourrasques.
Nous passons par le garage relié à la cave. C'est la maman d'Estelle qui nous reçoit. Nous nous serrons la main. Politesse.
Je suis terriblement gêné mais je n'en laisse rien paraître. La maman d'Estelle est d'une classe et d'une élégance naturelles.
Elle est en jupe. Mince, presque de la taille de sa fille. Voilà le papa d'Estelle. Il a le don de mettre à l'aise immédiatement.
Cet homme de ma taille est athlétique, débonnaire, affable, d'une éloquence plaisante. Nous nous serrons la main. Poigne.

Nous passons au salon. La table est mise. J'ai ramené une galette à la frangipane en dessert. Et nous voilà assis à la table.
Le papa d'Estelle fête aujourd'hui son anniversaire. 48 ans. Il est plus jeune que moi. Je suis le plus vieux assis là. Insolite.
La maman d'Estelle me lance quelquefois de curieux regards à la dérobée. C'est une femme magnifique. Terriblement belle.
Je sais de qui Estelle tient tant de prestance. Ses parents sont beaux, plein de vitalité et de santé. C'est fort plaisant. Joie.
Nous bavardons. Clémentine et Estelle n'arrêtent pas de me faire du pied sous la table. Moi, j'écoute plutôt que je ne parle.

Je me demande. Si les parents d'Estelle savaient la nature de nos relations, de nos complicités, quelle serait leur attitude.
Bien qu'elle soit majeure, 21 ans, Estelle reste leur fille. Ces pensées me couvrent de frissons. Et c'est presque effrayant.
La télépathie fonctionne à plein entre Clémentine et moi. Je suis convaincu qu'elle sait la nature de mes silences à table.
Le repas se déroule dans de passionnantes conversations. Les parents d'Estelle dirigent une entreprise florissante. Super.
Ils pensent à embaucher. Déjà quatre employés. Nous traînons à table. Je promets d'apporter une de mes toiles bientôt.

La maman d'Estelle fête son anniversaire le dimanche 17 mars. Nous nous sommes invités. J'apporterai une de mes toiles.
Il est 15 h30 lorsque nous quittons. Dans la voiture, Estelle me dit : < Elle te fait quelle effet ma maman ? >. Un silence !
Je roule doucement. Estelle assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, me pose cette question jusqu'au haras. 16 h15.
Il y a plein de voitures garées. Dans la cour et dehors. L'animation connaît son succès habituel. Nous prenons le parapluie.
Estelle et Clémentine me tiennent par le bras. Nous entrons dans le grand bâtiment du fond. Celui du manège. Du monde.

Nous regardons les chevaux, montés pour la plupart par de jeunes cavalières, évoluer sur le sable entre les obstacles. Bien.
Nous voyons monsieur Gérard dans les travées du bas, entrain de parler avec des propriétaires de chevaux. Il y a Juliette.
Ils ne nous ont pas vu. Nous ne restons pas. Il y a Kim Son qui nous voit lorsque nous sortons du bâtiment. Nous le saluons.
Il tient un cheval à sa longe. Nous ne bavardons que quelques instants. Voilà Juliette toute contente de nous voir. Pressée.
Pas le temps de discuter car il y a un couple de propriétaires qui la suit. Nous rentrons. Il est 17 h15 lorsque nous arrivons.

Sans avoir à le dire, nous sommes tous les trois impatients de retrouver une de nos situations préférées. Nous en rigolons.
Nous montons nous changer. Les filles mettent une jupe ample. Je mets mes jeans. Nous faisons les pitres devant le miroir.
Les filles, accroupis, me tiennent par la jambe, la tête posée sur mes cuisses. Clémentine ne porte pas de culotte. Estelle si.
Nous voilà vautrés dans le canapé. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite. Nous mâtons le film de hier soir. Intense.
Je me retrouve rapidement avec la bite dans la main d'Estelle. Clémentine a recommencé à se toucher. Elle télécommande.

Arrêt sur images. Masturbation. Pipe. La totale. Comme hier soir. Avec davantage d'intensité encore. La tension du repas.
Estelle demande à nouveau : < Tu la trouves sexy maman ? >. J'avoue enfin, excité comme un salaud : < Bandante ! >.
< Salaud ! Je suis jalouse ! Je vais tout raconter à papa ! > dit elle . Nous rigolons comme des bossus. Il est 20 h. Faim.
Tout de même moins excités que hier soir, nous préparons un rapide repas. Spaghettis avec sauce au Roquefort, poisson.
Nous traînons à table. Vers 22 h30, il faut se séparer. Difficile. Au lit, avec clémentine, on s'envoie en l'air. Fabuleux. Dodo.

Bonne journée à toutes les coquines qui aiment se retrouver dans des situations insolites, familiales et dans la retenue…

Julien - (Qui trouve évidemment la mère d'Estelle terriblement sexy, terriblement bandante. Estelle en est ravie) -

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On est si bien tous les deux

Hier matin, lundi, c'est la suite pour Clavecin de Haendel qui nous tire du sommeil. Et avec une certaine violence. Dur.
< Haendel fais pas chier ! > fait Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Puis nous descendons à toute vitesse. La cuisine.
Il est 6 h05. Nous prenons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit déjà vêtus de nos tenues de gym. Joie.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Je descends le premier. Me voilà au dehors.

Il fait froid et sec. Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtu. Il est 7 h45. Un dernier bisou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le jour se lève de plus en plus tôt. Je me dépêche de rentrer. Bien.
Je fais notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare le nécessaire.
Ma palette et mes pinceaux. Je commence ce matin, réjoui, la peinture de la seizième toile destinée à ma saison d'été.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet lorsque je découvre la paire de genouillères accrochées au bois.

C'est une plaisanterie d'Estelle. Il y a un mot. "Je t'aime". Elle se rappelle ainsi à mes souvenirs. La délicieuse coquine.
Je peins dans un enthousiasme délirant. Je remporte une nouvelle victoire de quart d'heure en quart d'heure. Superbe.
Je pousse les cris les plus surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Un bonheur immense.
C'est vers 10 h que résonne la musique imbécile de mon téléphone. Encore. Je peste. Je rage. Et je décroche. Juliette.
Je mets sur mode "haut parleur". Ainsi je peux converser tout en continuant mon affaire. Juliette est dans son bureau.

La jeune femme me raconte son Week-end. Ce besoin de me raconter plutôt que de se confier. Une sorte de prolongement.
Un prolongement érotique car Juliette me raconte son samedi soir chez les Walter. La baise avec Pierre. C'est très amusant.
Ce que vit Juliette avec le couple Walter n'est pas sans évoquer ce que vit Estelle avec nous. Je lui en fais part. Intéressant.
J'écoute plutôt que je ne parle. Je découvre que Juliette aime beaucoup relater ses petites histoires "croustillantes". Super.
Je décide d'entrer davantage dans son jeu. Je pose quelques questions. De plus en plus indiscrètes et pertinentes. Vicelard.

D'y répondre doit offrir à Juliette quelques émotions des plus agréables. Je l'entends glousser entre deux anecdotes. Rires.
Cette conversation épique dure une bonne demi heure. Juliette est en plein travail administratif. Une discussion récréative.
Je promets que nous viendront manger mercredi soir. Cette fois c'est à notre tour d'emmener le repas. Les réjouissances.
La matinée se termine rapidement. Il est midi. Tout en préparant le repas, je pense à Juliette. Femme étonnante. "Classe".
Je fais bouillir l'eau du pilpil. Je prépare un filet de saule. Je lave une belle salade verte. Je prépare une pâte à crêpe. Bien.

C'est la Chandeleur. Ce soir, avec les crêpes, il y aura de la salade et du jus de pommes. Crêpes salées et crêpes sucrées.
Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations formatées, calibrées et en partie mensongères. Indigestes.
C'est au-dessus de mes possibilités. J'éteins la radio. Dehors il fait un temps sec, froid. Le ciel est toutefois très lumineux.
La vaisselle. Je range la cuisine. La pâte à crêpes repose sous un linge dans son saladier. Je mets la table au salon. Super.
Ce soir, repas de fête, repas de crêpes, repas au salon. J'étale le chemin de table en lin, assiettes en grès et le chandelier.

Il n'est même pas 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. J'ai mis deux bûches. Feu.
Ma séance d'aujourd'hui est très productive. Je travaille sans cesser de penser à Juliette. J'aime les coquines. C'est sympa.
Comme j'aime à le préciser, j'apprécie la compagnie des "salopes" car je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas.
"Salope" n'étant ici, dans le contexte qui nous préoccupe, nullement une insulte mais plutôt le plus beau des compliments.
C'est sur ces réflexions qu'il est déjà 16 h20. Du bruit. Clémentine entre dans l'atelier. Et elle se précipite toute contente.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me raconte sa journée. Les profs, les cours, le restau U.
Elle est rapidement installée devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Je lui raconte l'appel de Juliette. La conversation.
J'adore les réflexions de Clémentine. C'est toujours tellement juste et si plein d'humour. Nous travaillons jusqu'à 18 h45.
Nous rangeons nos affaires. Je montre les genouillères qu'Estelle a suspendu aux montants de mon chevalet. C'est drôle.
Nous en rions de bon cœur. Clémentine aussi fait le parallèle entre notre relation à trois et la relation de Juliette. Superbe.

La nuit est tombée. Nous avons éteint les lumières. Assis devant l'âtre nous regardons danser les dernières flammes. Beau.
A l'étage, il y a les bruits étranges habituels. Ils semblent ce soir beaucoup plus lointains. Ils résonnent de façon curieuse.
< L'ambiance de fond d'un vrai film d'horreur ! > me chuchote Clémentine en glissant sa main dans ma braguette ouverte.
Il est 19 h15. Nous quittons l'atelier. Clémentine découvre la pâte à crêpes et le menu que j'ai concocté. La table au salon.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. < Attends, je monte, surprise ! > me fait elle. Joie.

Je prépare les premières crêpes. Clémentine redescend. Elle est vêtue d'une jupe kilt à carreaux rouges. Chemisier blanc.
Chaussée de ses escarpins noirs, fermés, à talons hauts. Ceux avec la petite sangle délicate en cuir autour des chevilles.
Mais ce qui m'enchante ce sont les genouillères qu'elle porte. Elle tourne sur elle-même. < C'est repas de fête ! > dit elle.
J'ai toujours apprécié la compagnie des gens assez subtils pour marquer d'une manière personnelle les grands moments.
C'était déjà le cas avec Christine, mon ex compagne, et pendant près de 20 ans. Avec Clémentine, c'est un prolongement.

Je trouve que les genouillères, hors contexte sportif, portés par une jeune fille élégante sont d'un érotisme fou. Fabuleux.
C'est terriblement suggestif et si sexy. Je la félicite pour cette initiative. Elle me saute au cou. < C'est pour toi ! > dit elle.
Je suis touché. Sous mon tablier Clémentine peut sentir l'effet que tout cela me procure. Elle y glisse sa main. Elle palpe.
< Magnifique ! > me chuchote t-elle à l'oreille. Je lui propose de passer à table. Je m'occupe du service. Et de nos crêpes.
< Je fais l'assaisonnement de la salade. Je veux rester avec toi à la cuisine ! > me fait elle en mettant son tablier. Bisous.

Je râpe du gruyère de Comté et du Parmesan. Je coupe de petits dés de Roquefort. Déjà six crêpes de prêtes. C'est rapide.
Dans le wok, je remue le mélange poivron, champignons, ail, oignons, ciboulette en accompagnement. Ça donne faim. Joie.
Nous passons au salon. Devant le bureau, Clémentine s'accroupit. Cuisses largement écartées. Elle ne porte pas de culotte.
C'est émouvant. c'est si beau. C'est si sexy. Avec les genouillères en plus. Comme un accessoire insolite. SM et "Bondage".
Clémentine se met à genoux. Bien droite. Les mains posées sur sa tête. Les cheveux attachés en natte. Elle me fixe. Belle.

< Est-ce que ça vous inspire "Maître" ? > me fait elle. Je la félicite : < Vous êtes la plus adorable des "Soumises" ! >. Rire.
Je m'approche pour saisir sa natte. Je la force à se relever. Nous passons à table. Et avec les genouillères plus de douleurs.
Nos crêpes sont les meilleures du monde. Je vais à la cuisine pour préparer les suivantes. Chaque fois Clémentine me suit.
Cambrée sur ses jambes écartées, les genoux fléchis, elle se touche d'une main me tenant par de cou de l'autre. Exquise.
Lorsqu'on vit avec une jeune fille pleine d'initiatives heureuses, l'existence est un bonheur de chaque instant. Réciproque.

Nous sommes deux libertins très "Vieille France" et nous savons agrémenter nos existences d'épices parfumées de souffre.
Le stupre et la luxure sont pour nous les plus parfaits condiments de la vie. Un grand festin de plaisirs insensés. Troublants.
Nous passons aux crêpes sucrées. Assise sur mes genoux, Clémentine m'embrasse pour me faire goûter sa bouche sucrée.
J'ai une main entre ses cuisses. C'est trempé. Il y a certainement une tache dans sa jupe, derrière. Cela nous amuse bien.
Ce repas de fête est absolument divin. Et bourratif également. Je débarrasse. Je reviens au salon. Clémentine sur la table.

Couchée, en appui sur ses coudes, les jambes relevées, cuisses largement écartées, elle dit : < Votre dessert "Maître ! >
Je bande instantanément. Comment pourrait-il en être autrement. J'approche. Je m'introduis avec d'infinies précautions.
Surprise. Clémentine ne s'y attendait pas. Elle me saisit par le cou pour s'enfiler totalement en s'écriant : < Je t'aime ! >
Habituellement, je reste immobile. Mais là, de concert, tous les deux, nous nous mettons à bouger en rythme. Fabuleux.
Nous baisons. C'est rare que nous ayons un comportement "animal". Cela nous répugne. Mais là, par jeu, nous copulons.

Cela ne dure pas. Nous revenons rapidement à nos préférences. Nous voilà immobiles. Clémentine chuchote des choses.
C'est merveilleux. Nous nous faisons les plus intimes aveux. Notre jardin secret est commun. Pas de secrets, de mystères.
C'est une condition que nous nous sommes fixées avant même de vivre ensemble. Surtout Clémentine. Pas d'hypocrisies.
La franchise, le respect et la transparence sont des composantes de notre vie affective. Nous bougeons à nouveau. Baise.
Nous sommes trempés de mouille. Le cul de Clémentine baigne carrément dans une véritable flaque. La table est trempée.

Nos sécrétions sont abondantes. De quoi assaisonner n'importe quelle salade. Clémentine s'accroche à mes épaules. Fort.
Je la soulève. Nous sommes étroitement imbriqués l'un dans l'autre. Nous faisons ainsi le tour de la pièce. Tour operator !
< Je t'aime Julien ! Tu me rends dingue. Je pense à nos saloperies tout le temps. Et même en cours hélas ! > me fait elle.
Nous en rions de bon cœur. Je lui dis : < Moi aussi. Je bande plusieurs fois par jour à cause de toi ! Et je peins mieux ! >
Nous retournons vers la table. J'y dépose délicatement le corps frissonnant de Clémentine. Je me retire avec précaution.

Assis sur la chaise, je bouffe la chatte de Clémentine. Je nettoie tout avec soin. Son orgasme est fantastique. Elle en pisse.
Me voilà avec les cheveux trempés, le visage qui dégouline de pisse chaude. < Mille excuses ! > s'écrie t-elle. Un fou rire.
Je dis : < Je n'excuse plus. Je donne des gages ! Tu remets tes genouillères demain ! >. < Promis ! > s'écrie Clémentine.
Nous allons faire la vaisselle. Au lit, Clémentine exige de me sucer. Et pourtant je la rassure. Je peux tenir jusqu'à demain.
J'éjacule comme un bienheureux. L'enchantement paradisiaque de nos existences nous enivre à chaque instant. Bonheur.

Bonne soirée de la Chandeleur à toutes les coquines qui aiment se faire niquer sur la table après les crêpes sucrées.

Julien - (Maître queue, qui retourne les crêpes sans en faire tomber au sol, ni les faire coller au plafond) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 691 -



Estelle aussi veut fêter la Chandeleur

Hier matin, mardi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique. J'éteins quand même. 5 h55.
< Bonjour mon amour ! > me fait Clémentine en se blottissant contre moi. Douceur, tendresse et papouilles. Des bises.
L'impérieux besoin de pisser met rapidement un terme à nos effusions. Clémentine m'entraîne par la main. Les chiottes.
Morts de faim nous nous précipitons dans l'escalier. C'est mardi et Clémentine termine à midi. C'est donc un peu la fête.
Nous préparons un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit et en bavardant. Programme de l'après-midi.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. La douche. Je descends. Je vais sortir l'auto de Clémentine.
Il est 7 h45. Le jour se lève. Il fait froid et sec. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Bonnet. Echarpe. Dernier bisou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre lit, notre vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h15. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Rapide.
Je suis enfin installé devant mon chevalet. Je peins dans une véritable euphorie . Je me livre corps et âme à ma passion.

Comme toujours, absorbé par mon labeur, je ne vois pas le temps qui passe. Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine.
Je fais bouillir l'eau pour le poireaux dans laquelle je ferai cuire le pilpil de blé. Je coupe les poireaux en petits morceaux.
12 h15. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous.
Elle prépare la salade en me racontant sa matinée. Je prépare une belle pâte à pain pour la tarte aux poireaux de ce soir.
Notre rituel de la Flamiche Picarde du mardi soir. Il reste de la pâte à crêpes de hier soir. Il y aura des crêpes en dessert.

Je concocte une belle Béchamel dans laquelle je rajoute le poireau égoutté. Et j'en récupère un peu en accompagnement.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. < Comme c'était bon la Chandeleur, hier soir ! > me fait Clémentine.
Je dis : < Tu veux refaire ? >. Clémentine dépose sa fourchette, se lève, vient s'assoir sur mes genoux. Elle se blottit fort.
Nous nous chuchotons des douceurs. Elle retourne s'assoir pour continuer son repas. Il y aura une récidive. Nous en rions.
< C'était tellement bon ! > me fait-elle. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque la Chandeleur.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous quittons la cuisine pour aller dans l'atelier. Nous avons du travail qui attend.
Pourtant, et c'est trop fort, nous nous laissons tomber dans le vieux canapé. Nous retirons nos pantalons, slip et culotte.
Je suis à genoux entrain de m'enivrer des odeurs de Clémentine. Je savoure ses parfums mais aussi ses épanchements.
Je décalotte son clitoris turgescent. C'est si intense. Clémentine m'attire sur elle. Le vieux canapé est moins confortable.
Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine me confie des secrets. C'est merveilleux.

Parfois, nous nous mettons à bouger pour cesser rapidement. Clémentine me raconte ses masturbations dans la voiture.
Le matin lorsqu'elle va en cours et surtout le soir, lorsqu'elle rentre, sur la route du retour. Elle aime beaucoup en parler.
Il faut cesser. Nous nous nettoyons les sexe avec un rapide "69". Nous remettons nos vêtements. Il est 14 h. Du sérieux.
Clémentine est installée devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Je suis assis devant mon chevalet. Nous apprécions.
Seul le craquement du bois sec dans l'âtre. Dehors, le ciel est gris mais lumineux. Le souffle de nos respirations. Apnées.

Parfois, l'un se lève pour aller chuchoter des douceurs à l'autre, lui faire des bisous. A 17 h, je prépare le thé au jasmin.
Deux petits gâteaux sec et nous repartons dans nos travaux. La nuit tombe vers 18 h15. Et juste avec l'arrivée d'Estelle.
Elle entre dans l'atelier pour se précipiter. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle nous raconte. Super.
Estelle rejoint toutefois rapidement Clémentine. Les filles comparent leurs travaux. Nous travaillons encore un peu. Bien.
18 h45. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Clémentine range ses affaires. Et nous restons assis devant la cheminée.

Les bruits étranges à l'étage. Nous admirons les flammes qui s'éteignent doucement. Nous sommes serrés fort. Douceur.
Estelle joue avec ma bite toute molle. Elle a passé sa main dans ma braguette toujours ouverte. Nous rions de bon cœur.
Je lui montre les genouillères encore suspendues aux montants du chevalet. < Comme ça tu penses à moi ! > me dit elle.
Je lui dis : < Comme si j'avais besoin de ça pour penser à toi ! >. Elle me couvre le visage de bises. La faim se fait sentir.
Nous quittons l'atelier. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Estelle travaille un peu la pâte.

Je réchauffe la Béchamel. Les filles évoquent leurs cours de demain. Nous sommes méthodiques. Tout va très vite. Bien.
La Flamiche Picarde est au four. Nous passons au salon. Nous préparons la grande table car ce soir c'est le repas de fête.
Nous étendons le chemin de table en lin. < Regarde ! > me fait Clémentine. Là, sur la surface en chêne, il y a des taches.
Ce sont les épanchements de nos sexes qui ont séché depuis hier. C'est un aspect "mordoré" qui rappelle des marbrures.
Nous rigolons comme des bossus. Estelle comprend et nous fait : < Vous redécorez la maison ? >. Nous scrutons de près.

Nous n'avions pas fait attention hier. La surface de la table de chêne est cirée. Une seule solution : poncer. Passer la cire.
< Moi je laisserai comme ça. Je baiserai encore quelquefois pour en mettre sur toute la surface ! > nous fait Estelle. Rires.
Elle rajoute, espiègle et mutine : < Et si on mettait un peu de nous deux ? >. Clémentine répond : < T'es pas chiche ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle dit : < Ce soir, Julien me baise sur la table ! Tu veux bien Julien ? >. Grand silence.
Je ne sais trop quoi dire. Clémentine dit : < Si tu es sage ! >. La réponse est claire. Clémentine est parfaitement d'accord.

< Tu me prêtes une jupe ? > fait Estelle. Clémentine l'invite à monter se changer. Il y a encore celle de hier sur la chaise.
Clémentine se serre contre moi. Je la rassure. Je dis : < Je t'aime. Tu ne seras pas jalouse, hein , >. Clémentine me sourit.
< Ne t'inquiète pas. Je sais. Offres moi un super film ce soir, baise là comme un vrai salaud ! > rajoute encore Clémentine.
Estelle revient. Elle a revêtu la jupe kilt que portait Clémentine hier soir. < Je vais chercher les genouillères ! > fait elle.
Elle revient de l'atelier avec les genouillères qu'elle fixe. Elle se met à genoux. < Même pas mal ! > fait elle. Un clin d'œil.

Je passe derrière elle. Je me penche. Je glisse ma main sous la jupe. Elle ne porte rien. C'est rare qu'elle soit sans culotte.
Je lui chuchote : < Ce soir, je te baise comme tu le mérites ! >. Estelle me répond : < La troisième fois en deux ans ! >
C'est vrai. Ce sera la troisième fois. Elle rajoute : < Mais tu balances la purée comme d'habitude, dans ma bouche, ok ! >
Je lui promets de m'occuper tout particulièrement de son cas ce soir. La sonnerie du four. Je propose de faire le service.
< Non, on fait tout ensemble ! > fait Clémentine qui a déjà déboutonné son pantalon. Nous emmenons la tarte au salon.

Nous mangeons de bon appétit. A quelques reprises, Estelle, à quatre pattes, passe sous la table. Essaie des genouillères.
Elle fait le tour de la table en disant : < C'est génial ! >. Nous l'admirons évoluer ainsi autour de nous. C'est très excitant.
Clémentine propose de débarrasser. Estelle se frotte le sexe sur le coin de la table en mimant une fellation. C'est sublime.
Je me lève. Je la saisis. Je la soulève. Je l'assois sur le bord de la table. Je laisse tomber mon froc sur mes chevilles. Bien.
Je me penche pour humer les odeurs de sa journée de fille. C'est fort. C'est puissant. J'adore les filles négligées. Sublime.

Estelle est encore plus étroite que Clémentine. Il faut donc redoubler de prudence. Je n'introduis que le bout. Et encore.
Je le frotte dans l'étroite fente. Estelle me tient par le cou, cuisses écartées. Je la tiens par les chevilles. Elle m'embrasse.
Soudain, d'un coup de reins, elle s'enfile. Elle pousse un petit cri. < Aïe ! >. Je me retire immédiatement. Elle me tient.
Clémentine, debout, appuyée contre le bureau, une main dans sa culotte, se masturbe en nous regardant. Elle est belle.
Estelle tente une nouvelle pénétration. Plus lente. Plus calculée. J'ai enduis ma bite de salive. Ça rentre mieux. Douceur.

Je n'ai que l'extrémité de mon sexe dans le sien. Je sens bien l'étroitesse de sa vulve. Elle ne cesse de m'embrasser. Fou.
Je reste immobile, aux aguets, près à me retirer à la nouvelle alerte. Cette fois le plaisir semble plus évident. Prudence.
La préférence d'Estelle reste la pipe et le cunnilingus. Tout comme Clémentine. Elles ne sont absolument pas "vaginales".
Comme la sodomie nous dégoûte tous les trois, les choses tournent autour des rapports génitaux buccaux. Avec délices.
Estelle bouge doucement. Je caresse son clitoris avec mon pouce. Je suis le plus délicat possible. C'est ça qui la fait jouir.

Je n'insiste pas. Je me retire. Je suis assis sur la chaise. Je broute la chatte d'Estelle. Je sais que cela soulage. Vrai plaisir.
Elle est en appui sur les coudes, jambes relevées, cuisses largement écartées. Je suce son clitoris. Elle est aux anges. Bon.
Clémentine s'est approchée. Penchée en avant, tout en se masturbant, elle observe mon cunnilingus en m'encourageant.
Estelle ne tarde pas à se raidir, à se cambrer. Elle pousse un cri. Un long râle. Elle se couche sur le côté, mains sur le sexe.
Les cuisses serrées, comme en proie à une douleur intense, Estelle pousse des gémissements en reprenant ses esprits.

Je me lève. Je contourne la table. Je me penche pour lui chuchoter : < Et pas de nouvelles tâches sur la table ce soir ! >
Nous rions de bon cœur. Elle m'attrape par le cou. < Je t'aime Julien ! Tu es tellement doux avec moi ! > murmure t-elle.
Clémentine pousse un cri. A son tour elle connaît un orgasme. Tout aussi irrépressible et violent. C'est magnifique. Joie.
Estelle me prend la bite. Elle l'observe avant d'y déposer plein de bises. Elle se met à me sucer comme une désespérée.
Je lui caresse la tête, les cheveux. Je la regarde. Elles sont si belles lorsqu'elles font ça. Si elles savaient. Estelle pompe.

Clémentine m'embrasse. Elle aussi regarde Estelle, couchée sur la table, entrain de me tailler une vraie pipe des familles.
J'éjacule. Il est déjà 22 h. Il faut encore faire la vaisselle. Estelle est d'une douceur infinie. Elle le devient de plus en plus.
Elle se change. < C'était génial ! > me fait elle deux fois. Nous la raccompagnons à sa voiture. Séparation difficile. Dure.
Nous rentrons vite au chaud. Clémentine me demande : < Tu n'es pas frustré ! Avec elle la baise, c'est un flop ! >. Rire.
Je la rassure. Je ne suis jamais frustré. Au lit, nous tentons des trucs mais nous sommes épuisés. Nous plongeons. Dodo.

Bonne baise et bon léchage de minou sur la table à toutes les coquines qui aiment y laisser des "barbouillages"...

Julien - (Qui comme Estelle et Clémentine, préfère les rapports génitaux buccaux. La baise étant une simple option) -

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Le repas du soir chez Juliette

Hier matin, mercredi, c'est la suite en Si mineur de J.S. Bach qui nous tire du sommeil avec une certaine douceur. Bien.
< Et en scie sauteuse, Bach ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur avant de nous précipiter aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner que nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos soirées de la Chandeleur.
Nous remontons pour notre heure d'entraînement. Intensité maximale. Il y a une certaine bonne humeur. Nous en rions.

Ce matin, difficile de rester sérieux. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine. Le jour se lève. 7 h45.
Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Coucou.
Je rentre. Je fais notre lit, notre vaisselle avant de passer dans l'atelier pour y allumer un bon feu dans la cheminée. Joie.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Je suis enfin assis devant mon chevalet. Dehors le ciel est lumineux.
Je peins dans une euphorie qui me fait très rapidement pousser les cris les plus surréalistes. Enchantement paradisiaque.

Il est aux environs de 10 h lorsque résonne la stupide musique de mon smartphone. Je décroche. C'est Clémentine. Bien.
Elle m'apprend qu'elle termine exceptionnellement à midi. Elle s'amuse car elle m'appelle depuis les toilettes de la faculté.
En effet, je peux entendre des voix qui résonnent, des bruits de chasse d'eau et de porte, de verrous. Et c'est très drôle.
Je continue donc ma peinture en redoublant de cris de joie. Il est rapidement midi. Je cesse pour aller à la cuisine. Faim.
Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Depuis ce matin, la pâte feuilletée et le saumon ont décongelé dans le réfrigérateur.

Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Le bout du nez tout froid. Joie.
Je prépare une Béchamel. J'y rajoute le saumon finement émincé et préalablement rissolé à la poêle. Du gruyère. Comté.
Clémentine prépare la salade de carottes et son assaisonnement. Elle me raconte sa matinée. Beaucoup de travail. Bien.
J'étale la pâte feuilletée dans un grand plat. J'y verse la Béchamel. Je roule la pâte pour refermer avant de mettre au four.
Avec les coquillettes, j'ai récupéré un peu de Béchamel. Nous y rajoutons du Parmesan grossièrement râpé. Tout est prêt.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est la fête chaque fois que nous sommes ensemble. Là, encore plus.
Nous traînons à table. Le programme de l'après-midi est bien arrêté. Travail et travail. Mais ensemble. Et c'est superbe.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Le four est réglé de telle façon qu'il n'est pas nécessaire de surveiller le feuilleté.
Nous courons comme des petits fous en montant l'escalier pour la salle de bain. Tellement contents d'êtres tous les deux.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Clémentine se serre contre moi. < Je t'aime ! > dit elle.

Je la soulève. Ses jambes autour de moi. < Fais gaffe à toi cet après-midi, il pourrait t'arriver des trucs ! > me fait elle.
Nous nous embrassons. < J'aime bien notre nouveau dentifrice ! > me chuchote t-elle en se frottant doucement. Super.
Clémentine m'entraîne par la main. Il est rare que nous allions dans la chambre à coucher durant la journée. Très rare.
Je me retrouve rapidement couché sur le dos, le pantalon et le slip aux genoux, entrain de me faire tailler une pipe. Bon.
Je caresse la tête à Clémentine, couchée sur le côté. Je lui murmure des douceurs et des cochonneries. Savant mélange.

J'aime l'entendre glousser durant la fellation. Surtout lorsque ce sont des rires. Je redouble d'anecdotes bien cochonnes.
Il me suffit de relater la situation d'une de nos aventures. C'est un concerto de petits cris étouffés, de petits gémissements.
Je me fais sucer comme un bienheureux. Le bruit bulleux des gargouillis. Les < Mmhh ! > passionnés de Clémentine. Joie.
Je la tiens par ses cheveux attachés. Je peux ainsi la faire cesser pour lui permettre de reposer sa mâchoire. De l'attention.
Je dis : < On descend. Je me garde pour ce soir. Tu veux ? >. Clémentine se blottit contre moi. Et elle comprend très bien.

Nous avons tous deux le même fonctionnement. Nous aimons rester excités tout le reste de la journée. Et ce soir, Juliette.
Je prends Clémentine sur le dos après avoir remonté mes vêtements. Nous descendons ainsi, prudemment et en rigolant.
Nous voilà dans l'atelier. Il est 14 h. Je rajoute deux bûches dans l'âtre. Nous nous mettons au travail. C'est extraordinaire.
Cet après-midi est exceptionnel. Parfois l'un se lève pour aller faire des papouilles à l'autre. Quel bonheur d'être ensemble.
A 17 h, thé au jasmin avec deux petits gâteaux secs. Une collation récréative qui nous permet de repartir jusqu'à 18 h45.

Nous rangeons nos affaires. Avec la tombée de la nuit, il y a les premiers bruits étranges à l'étage. Encore très différents.
Ils résonnent de manière fantastique. C'est réellement impressionnant. Effets spéciaux digne d'un film d'épouvante. Super.
Nous sommes assis devant la cheminée à regarder le feu s'éteindre. Les bruits ne durent pas. Les pas s'éloignent. Terminé.
< Christine est venue nous faire un coucou ! > chuchote Clémentine. Il est 19 h. Nous montons nous changer. C'est bien.
Clémentine porte un pantalon noir, à plis et à pinces. Un chemisier blanc sous un gilet de laine noire. Ses souliers à talons.

Sur sa demande, je porte un peu la même chose. Sauf mes souliers. Nous prenons la pose devant le miroir. Très élégants.
Clémentine s'accroupit. Elle me tient la jambe. Sa tête appuyée contre ma cuisse. < Vous appréciez, "Maître" ? > fait elle.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Vous êtes la plus délicieuse des "Soumises" ! >. Nous en rions de bon cœur.
Je sors ma bite. Le contraste de ma queue sur le pantalon noir, la fait paraître encore plus impressionnante. Je bande mou.
Clémentine, d'un mouvement de tête, me gobe le sexe qu'elle se met à sucer comme si sa vie en dépendait. C'est féérique.

Je la laisse se régaler un peu des sucs restant de la pipe d'après le repas. Il en reste toujours un peu au fond des couilles.
Je lui caresse la tête. Je la force à se relever. Je me penche pour lui masser les genoux. Elle me montre sa bouche ouverte.
C'est toujours très excitant de voir mon foutre épais et gluant que Clémentine laisse fondre, se mêler à sa salive. Déglutir.
Nous descendons. Nous mettons nos manteaux. Je récupère le feuilleté de saumon que je mets dans un Tupperware. Prêt.
Nous partons avec la petite auto de Clémentine. Trois kilomètres. Je roule doucement. Clémentine n'arrête pas de pomper.

Il est 19 h30 lorsque je gare la voiture dans la cour déserte du haras. Il y a de la lumière dans presque tous les bâtiments.
Kim Son, le palefrenier, qui traverse la cour sur le chariot élévateur. Une grosse meule de foin y est fixée. Signe de la main.
Juliette sort des écuries de droite avec Eveline, la palefrenière. Ça bosse encore. Il faut nourrir les chevaux. Tout le monde.
Nous restons à l'écart. Juliette donne certainement les dernières directives à son employée avant de nous rejoindre. Bien.
Nous nous serrons la main. Toujours ce mouvement de l'index dans la paume. Juliette porte son manteau et bottes noires.

Je récupère le Tupperware. Nous suivons Juliette. Nous retirons nos manteaux. Juliette porte une jupe noire évasée. Belle.
Un épais pull à col roulé sur lequel il y a un large collier doré. Très élégante. Elle met le feuilleté à réchauffer dans le four.
Elle allume la plaque électrique sous la casserole chromée. Nous passons au salon. C'est la même situation que l'autre fois.
Clémentine et moi, confortablement installés dans le canapé. Juliette dans le fauteuil. Bien droite, ses mains sur les cuisses.
Sans jamais croiser ses jambes, elle nous raconte sa journée, les derniers évènements. Nous écoutons. Je fixe ses jambes.

Ce jeu est devenu un véritable rituel. Juliette garde ses jambes parallèles. Je fixe son entrejambes sans voir grand chose.
Clémentine a sa jambe contre la mienne. Nous bavardons. Juliette, tout en parlant, a quelques mouvements. C'est super.
Elle se redresse, change la position de son buste. Ses cuisses s'écartent un peu. Autant de prétextes. C'est vraiment subtil.
Juliette fixe ma braguette. Je bande comme un priapique en phase terminale. Malgré le noir du pantalon on voit la bosse.
Je contracte mes muscles fessiers ce qui fait bouger ma turgescence. Juliette évoque monsieur Gérard en mimant une pipe.

Clémentine, tout en mimant une masturbation masculine, demande : < Et Pierre ? Tout va bien ? >. Juliette se met à rire.
< Lui, c'est le samedi soir ! > répond t-elle. Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Il n'est pas incontinent, lui ! >
Juliette fait évidemment allusion à Gérard, à ses 66 ans et à ses petits soucis. Elle nous donne quelques détails vicelards.
< Ça ne s'arrange pas ! On ne sait plus ce qu'on se choppe en le suçant ! > dit elle. Nous en rigolons comme des bossus.
< Il faut que je fasse un constat, un contrôle de la situation ! > fait Clémentine. La sonnerie de four. Nous passons à table.

Nous mangeons de bon appétit. Je ma masturbe sous la table en écoutant les filles évoquer leurs frasques dans les écuries.
Juliette invite Clémentine à passer. Gérard est souvent là le vendredi soir. < La pipe du vendredi ! > précise encore Juliette.
Elle rajoute : < Il suffit de m'avertir le mercredi soir, et je prépare le "plan" pour le vendredi soir ! >. C'est très intéressant.
Clémentine promet d'y réfléchir pour la semaine prochaine. < Pourquoi pas ce vendredi ! > fait Juliette en mimant une pipe.
Clémentine pose sa main sur la mienne et me consulte du regard. Je lui fais un signe convenu de la tête. Ce serait sympa.

< Ça marche ! > fait Clémentine. < A la bonheur ! > s'écrie Juliette toute contente. Je me lève pour lui montrer ma queue.
Je lui dis : < Et si pendant ce temps, vous vous occupiez de celle-là ? >. Juliette me regarde par en-dessous, un clin d'œil.
< A étudier de près ! > fait elle. < D'aussi près qu'aux toilettes mercredi dernier ? > lance Clémentine. Eclat de rire. Joie.
Nous prenons le dessert. Je suis souvent debout, cambré sur mes genoux fléchis à me branler en écoutant les deux filles.
Elles m'observent en m'encourageant par des paroles stimulantes. < Vendredi, soirée pipe ! > fait Juliette. Eclats de rire.

Vais-je enfin me faire tailler une vraie pipe par Juliette ? Je n'ose pas demander. Elle me lance d'extraordinaires sourires.
De multiples clins d'œil. Clémentine se lève. Elle prend un des coussins du canapé, le pose devant moi et s'y met à genoux.
Je me fais tailler une pipe devant Juliette. La tête posée sur ses mains, la jeune femme me fixe dans les yeux. Etourdissant.
Clémentine me suce comme si sa vie en dépendait. Une main sur ma hanche. Une autre glissée dans son pantalon. Délice.
J'éjacule. C'est un orgasme de tout premier ordre qui me gêne soudain terriblement sous le regard inquisiteur de Juliette.

Je force Clémentine à se relever. Juliette applaudit. Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle lance : < Superbe spectacle ! >
Nous débarrassons la table. Nous aidons à la vaisselle. La conversation reste axée sur notre visite de ce vendredi prochain.
La "soirée pipe". Juliette prend un malin plaisir à donner foultitude de détails bien salaces sur ses dernières pipes à Gérard.
De quoi ouvrir l'appétit de Clémentine. Il est 22 h15. Il faut rentrer. Juliette nous raccompagne à la voiture. Nous quittons.
A la maison , au lit, très excités, nous baisons un peu. Clémentine me confie à quel point elle se réjouie. Cunnilingus. Dodo.

Bonne soirée à faire des projets bien vicelards à toutes les coquines qui se réjouissent de leur prochaine soirée pipe…

Julien - (Impatient de se retrouver au haras, vendredi soir, pour une soirée qui s'annonce Sex-Traordinaire) -

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Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 693 -



Estelle, Clémentine et moi

Hier matin, jeudi, c'est la symphonie fantastique d'Hector Berlioz qui nous tire du sommeil en fanfare. Et sans aucune pitié.
< T'es cinglé Hector ! > s'écrie Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé sur la table de nuit de mon côté.
Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Petit déjeuner.
Nous sommes déjà en tenues de gym. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la soirée chez Juliette. Très sympa.
Nous remontons. Une heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine. Le jour se lève.

Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Il fait froid. Un bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. 7 h45.
Je rentre. Je fais notre lit, notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Le ciel est lumineux.
Il est 8 h15. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans l'euphorie sublime.
La peinture de la seizième toile destinée à ma saison d'été m'absorbe totalement. La nature morte sera terminée vendredi.
Il est rapidement midi. Je cesse pour aller à la cuisine. Je fais gonfler du riz. Pendant ce temps, je lave la salade. Scarole.

Je prépare une belle pâte à pain. Je concocte une bonne garniture. Tomates, ail, oignon, ciboulette, champignon, crevettes.
J'en récupère un peu pour accompagner mon riz. Le nécessaire pour les pizzas de ce soir est prêt. Je mange de bon appétit.
La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Super.
Il est rapidement 16 h20. Je le sais car j'entends du bruit. J'entends chanter. Clémentine entre dans l'atelier toute contente.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Il y a encore du travail. Et la voilà devant l'ordi, entourée de ses fiches.

Il est 18 h15. Du bruit. Estelle entre à son tour. Elle se précipite. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou. Joie.
Cela ne dure que quelques minutes. Elle rejoint Clémentine. Les filles comparent leurs avancées. Les travaux de recherche.
Il est 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Nous éteignons les lumières. Nous voilà assis devant la cheminée. C'est si beau.
A l'étage, les activités du fantôme semblent redoubler. Les bruits commencent le plus souvent avec la proximité de la nuit.
Nous sommes tous les trois serrés. Estelle a glissé sa main dans ma braguette ouverte. Elle joue un peu avec son "doudou".

La faim se fait sentir. Nous quittons l'atelier. A l'étage, les bruits s'estompent. Comme des pas qui s'éloignent. Le lointain.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Estelle travaille la pâte bien onctueuse avant de l'étaler.
Je réchauffe la garniture. La préparation des pizzas est rapide. Les voilà au four. Estelle m'entraîne au salon par la queue.
Nous sommes vautrés dans le canapé. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite. Nous lui racontons la soirée de hier.
Notre projet "Soirée pipe", vendredi soir, aux écuries. < J'aimerai bien venir moi aussi ! Vous êtes salauds ! > fait Estelle.

Nous lui promettons de lui raconter. Estelle, qui tord ma bite dans tous les sens rajoute : < On y retourne tous les trois ! >
Seulement voilà, le vendredi, pour ses travaux d'étudiante, son aide à l'entreprise familiale, Estelle est bloquée chez elle.
< Tu mets tes genouillères ? > demande Estelle à Clémentine qui répond : < Oui, très certainement ! Plus de douleurs ! >
Nous rions de bon cœur quand elle rajoute : < Avec les genouillères je peux me mettre à genoux partout. C'est pratique ! >
Je promets à Estelle que dès le printemps, nous irons plus souvent aux écuries, tous les trois. Et même à bicyclette. Joie.

Je propose aux filles un bon léchage de minou. En apéritif et en digestif. Et je ne suis pas obligé de le proposer deux fois.
Elles se lèvent en même temps. Dans un même élan. Elles enlèvent leurs jeans et leurs culottes. Je me lève à mon tour.
Les voilà à quatre pattes, les coudes posés sur le canapé à me présenter leurs culs. Je suis à quatre pattes derrière elles.
Je renifle d'abord les fesses à Estelle que j'écarte. J'ai un haut le cœur. Estelle est une fille négligée. C'est très étonnant.
L'odeur est forte. Puissante. Les poils collent avec l'humidité. Je passe à celui de Clémentine. C'est beaucoup plus sympa.

Je reviens au cul d'Estelle. Je suis obligé de surmonter mon dégoût. Mais ce dégoût participe de mon excitation. Je lèche.
Je joue de mon index sur le clitoris de Clémentine tout en bouffant le cul d'Estelle. C'est enivrant même si c'est écœurant.
Je passe d'un cul à l'autre tout en caressant les clitoris des deux bienheureuses. La sonnerie du four. Nous cessons. Stop.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Avec un mouchoir en papier, les filles m'essuient la bouche et le menton.
Elles sont toutes les deux culs nus, assises sur une double feuille de papier Sopalin. Afin de ne pas tacher le coussin. Rire.

Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les écuries, quelques anecdotes de situations que nous y avons vécu.
< Ça fait longtemps que tu n'as pas goûté Gérard ! > fait Clémentine. < C'est pour ça que je veux venir ! > lui dit Estelle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque Clémentine rapporte les propos de Juliette quand à l'incontinence du vieux salaud.
< Beurk ! > me fait Estelle avec une horrible grimace. Je lui dis : < Il se lave le cul au moins, lui ! Pas comme certaines ! >
< Salaud, c'est toi qui me demande de rester négligée ! > dit Estelle. < Oui enfin tu ne fais pas d'effort ! > dit Clémentine.

Nous traînons à table en riant beaucoup de toutes ces considérations fort amusantes, gastronomiques et hyper excitantes.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je n'arrête pas de passer mes mains entre les cuisses et les fesses nues des filles.
Je prends les feuilles de papier Sopalin pour admirer les taches. C'est prodigieux. De véritables œuvres d'Art abstrait. Rire.
Je dis : < Vos signatures ! > en agitant les feuilles. < Nos empruntes vaginales ! > fait Estelle. Nous en rions de bon cœur.
Estelle m'entraîne par la queue. Elle me tient comme par la laisse. Nous retournons au salon. Elles reprennent la position.

Je me bouffe les culs, les chattes. Je remarque que depuis quelques temps, des épanchements d'Estelle plus conséquents.
Elle se met à mouiller. Ce n'est toutefois pas l'abondance de Clémentine qui suinte de façon continue durant les stimuli.
Je me couche sur le dos. Estelle en équilibre instable, est presque assise sur mon visage. Je lui bouffe la chatte. C'est bon.
Je fais de même avec Clémentine. Je passe de l'une à l'autre. Les voilà assises dans le canapé. Je suis à genoux devant.
Je passe d'un croupion à l'autre. Les filles se masturbent en gémissant. Estelle connaît un orgasme cataclysmique. Violent.

J'adore la voir tomber sur le côté, serrant ses cuisses sur ses mains, comme en proie à la douleur. Elle reprend ses esprits.
Clémentine, qui se contrôle avec beaucoup plus de facilité, se contorsionne. Elle cherche le meilleur angle. C'est sublime.
Lorsque je suce son clitoris, elle cesse de se masturber. Quand je vais récupérer le jus dans la raie, elle recommence. Bien.
Estelle, comme elle le fait à chaque fois, est couchée sur le côté, au sol, entre le canapé et moi, pour me tailler une pipe.
Soudain, dans un véritable cri, Clémentine connaît à son tour le summum du plaisir dans un orgasme nucléaire. Magnifique.

Estelle, qui m'a descendu le pantalon et le slip, est derrière moi. Je suis à quatre pattes. Elle est à quatre pattes. Superbe.
Faisant un anneau de ses doigts autour de mes couilles, elle contraint ma bite afin de la sucer, son nez entre mes fesses.
C'est presque douloureux. La contrainte que la position implique, est gênante. Clémentine se lève pour venir regarder. Joie.
Les filles sont derrière moi. Je me sens un peu ridicule, ainsi, à quatre pattes, à leurs présenter mon cul. Je me fais sucer.
Les deux coquines se refilent ma bite. Je ne sais pas exactement ce qu'elles font mais c'est surprenant et délicieux. La pipe.

Je ne sais pas laquelle me bouffe le cul et celle qui me suce. Sans doute est-ce à tour de rôle. Je me laisse faire en extase.
Je ne sais pas dans quelle bouche j'éjacule. Celle qui me tient les couilles ne les lâche pas. Celle qui suce ne cesse pas. Joie.
C'est Clémentine qui vient mettre son visage près du mien. Elle me montre sa bouche. Je comprends que c'est elle. Super.
Estelle me taille une pipe. Clémentine me chuchote des douceurs, me couvre le visage de bisous. J'éjacule une seconde fois.
J'entends Estelle pousser un profond râle de plaisir en serrant mes couilles comme un garrot. J'ai la bite en compote. Molle.

Nous sommes tous les trois serrés. Je suis entre les deux coquines. Nous restons silencieux à reprendre nos esprits. Bien.
< Miam ! > me chuchote Estelle. Il est déjà 22 h30. Nous nous habillons. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture.
La séparation est difficile. Elle revient samedi. Nous lui promettons de tout lui raconter de notre soirée aux écuries. Plaisir.
Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rire.
Au lit, j'ai les couilles congestionnées. La bite me fait mal. Elle est restée tordue en arrière toute la soirée. Clémentine rit.

Bonne soirée à vous faire bouffer la chatte, à quatre pattes devant le canapé à toutes les coquines qui adorent le cunni…

Julien - (Qui s'endort avec les couilles vides et congestionnées. La base de la bite douloureuse. Sucé jusqu'à la moelle) -

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Une visite au haras en soirée

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous. Clémentine est déjà réveillée. J'éteins vite le réveil.
Il est 5 h55. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Elle termine à midi et elle pète déjà une forme d'enfer.
Nous descendons à toute vitesse et en riant jusqu'à la cuisine pour y préparer le petit déjeuner. Vêtus de nos tenues gym.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous remontons pour nous entraîner une heure. L'intensité maximale.
La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Le jour se lève et il caille.

Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture s'éloigner en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. 7 h45.
Je fais notre lit. Je fais notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare mon matos.
Palette et pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà confortablement installé devant mon chalet. Je peins animé d'une joie délirante.
Je termine ce matin la seizième toile destinée à ma saison d'été. La peinture du personnage de mon paysage. A la loupe.
Il est 10 h lorsque la musique imbécile de mon smartphone me sort de ma méditation picturale. Je peste et j'éructe. Qui ?

C'est Juliette. Je mets en mode "haut parleur". Ce qui me permet de bavarder tout en travaillant. Je suis soudain très serein.
La jeune femme m'explique le "plan" qu'elle a mis au point pour ce soir. Notre visite au haras. Nous sommes attendus à 20 h.
Monsieur Gérard sera là. Il est informé. Il n'y aura donc pas l'effet de surprise. Je trouve cette initiative sensationnelle. Joie.
Nous conversons ainsi une bonne demi-heure. Juliette est au bureau. Comme moi, elle est en mode "haut parleur". Pratique.
La nature de notre conversation reste axée sur la stratégie à appliquer. J'en informerai Clémentine. Pas de cachoteries. Bien.

Nous nous saluons. Nous raccrochons. Je termine les plus infimes détails de mon personnage. Il est 11 h30. Le timing parfait.
Je dépose la toile sur un autre chevalet où elle pourra sécher. Je pose une toile vierge sur mon chevalet. Dessin préparatoire.
Ma dix septième œuvre sera une scène de genre à trois personnages. En costume du XVIIème et dans un intérieur bourgeois.
Je commence à disposer les points principaux de la perspective générale. Un carrelage en quinconce demande de la rigueur.
Il est midi. Je mets deux bûches dans l'âtre. Je vais à la cuisine. J'épluche des pommes de terre. Je les fais cuire à l'eau salée.

Clémentine arrive. Elle se précipite en s'écriant : < Week-End ! >. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Heureuse.
Clémentine s'occupe de la salade tout en me racontant sa matinée. J'égoutte les patates pour en faire une purée. Lait de soja.
J'y rajoute du filet de saule émincé et rissolé. Je mélange en rajoutant de l'œuf, du gruyère râpé et de la crème fraîche liquide.
Dans le plat. Je saupoudre d'une quantité industrielle de Parmesan. des graines de sésame grillé. Ail pressé. Je mets au four.
Clémentine m'entraîne au salon. Je tombe dans le canapé. < J'en ai envie depuis ce matin ! > dit elle en se mettant à genoux.

Elle rajoute, tout en ouvrant ma braguette pour en extraire le Zob : < Et puis il faut que je m'entraîne pour ce soir ! >. Rires.
Je lui caresse la tête. Je la regarde humer longuement les parfums suaves de ma matinée d'homme. J'aime ce côté "animal".
J'aime la voir tenter de glisser sa langue entre mon prépuce et le gland. Ça fait une bosse qui bouge. C'est amusant. Excitant.
J'adore lui caresser la tête, les cheveux et être d'une infinie douceur. Même si dans ces situations, Clémentine préfère le hard.
J'ai toujours du mal à me comporter en "Maître" avec la fille que j'aime. Ce n'est pas ma nature. Je n'ai pas ça au fond de moi.

Les joues creusées, Clémentine tète comme une bienheureuse. Tirant mon prépuce avec ses lèvres pour bien calotter le gland.
J'observe cette pipe merveilleuse en lui racontant l'appel de Juliette et la nature de la conversation. Elle glousse. C'est si drôle.
< Mmhh ! Miam ! > fait elle parfois, ouvrant les yeux pour me fixer d'un regard terriblement évocateur. Et quelques clins d'œil.
Nous adorons nous fixer longuement durant la pipe. C'est très excitant et producteur de liquide séminal en abondance. Parfait.
Clémentine qui aime m'entendre lui raconter des cochonneries cesse de sucer lorsque je me tais pour chuchoter : < Encore ! >

La sonnerie du four. Je saisis les cheveux de Clémentine pour la forcer à cesser et à se relever en même temps que moi. Bien.
Il y a la forme de ses genoux sur l'épais coussin. Nous rions de bon cœur avant de nous précipiter à la cuisine. Morts de faim.
La parmentière au filet de saule est un véritable délice. Nous nous régalons. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous traînons à table en évoquant notre visite au haras, ce soir. Clémentine me confie être morte de trouille et hyper excitée.
< C'est toujours la première fois ! Et c'est magnifique ! > me fait elle, assise sur mes genoux en terminant son yaourt au miel.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h30. Nous nous précipitons dans l'atelier. Nous avons du travail. C'est sympa.
L'après-midi passe à une incroyable vitesse. Je termine mon dessin préparatoire pour l'heure du thé au jasmin. 17 h. Gâteaux.
Clémentine est toute contente de pouvoir maintenir son avance sur ses cours. Un long travail de recherche qu'il faut transcrire.
Elle m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordinateur. C'est complexe mais très intéressant. Nous travaillons jusqu'à 18 h45.
J'ai passé mes deux couches d'impression "Terre de sienne" acrylique. La préparation idéale pour les futures couches à l'huile.

La toile est prête pour lundi matin. Cette année, j'ai une confortable avance dans la constitution de mon stock. C'est rassurant.
Nous restons encore un peu assis devant la cheminée. A l'étage, des bruits étranges. Et nous quittons l'atelier. Morts de faim.
Il n'y a qu'à réchauffer le reste de purée avec une salade. C'est rapide. Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. 19 h30.
Nous montons nous laver les dents et nous changer. Clémentine porte une de ses jupes kilt, chemisier blanc sous un pull noir.
Ses bas noirs fixés par un porte jarretelle. Ses bottes à talons hauts. Ses cheveux noués en une natte jusqu'au milieu du dos.

Sur sa demande, et pour d'évidentes raisons pratiques, je suis en jeans, chemise sous un sweat. Nous voilà prêts. Déjà 19 h45.
Nous descendons. Clémentine revêt son manteau. Je mets mon anorak. Nous prenons ma voiture. Je roule doucement. 3 km.
Nous arrivons au haras. La cour est déserte. Juste la voiture de monsieur Gérard. Clémentine a la tremblote. Elle me tient fort.
Je sors les genouillères de la boîte à gants. < Non ! T'es fou ! > me fait Clémentine. J'insiste. Nous sortons de la voiture. Rires.
Nous traversons la cour. Nous entrons dans l'écurie de droite conformément aux recommandations de Juliette qui a tout prévu.

Nous caressons quelques chevaux qui nous observent. Nous longeons l'allée centrale jusqu'au dernier box. Il est vide. Super.
Juliette a prévu le coup. Il y a un rayon de lumière sous la porte du local bureau voisin. Clémentine se penche devant le trou.
Il fait sombre. Nous discernons à peine les coulures sèches sous le trou d'environ 6 cm. Par contre le trou, lui, est lumineux.
Il y a quelqu'un derrière. Clémentine s'accroupit pour regarder. < Je ne vois personne mais il y a du bruit ! > chuchote t-elle.
Je m'accroupis pour voir à mon tour. La lumière est faible. Certainement une bougie. Clémentine met sa main sur mon épaule.

Il y a quelqu'un. Je m'éloigne du trou qui se bouche. C'est une bite. La minuscule bite de Gérard. Il y a un moment de stupeur.
Cela nous rappelle des souvenirs. Ça fait longtemps que nous n'étions plus dans cette situation. C'est soudain hyper excitant.
Clémentine, avec ses genouillères, peut se mettre à genoux n'importe où. Même sur le sol bétonné du box et sur la paille. Bien.
La bite à Gérard dépasse à peine. Le prépuce fripé. Clémentine renifle en faisant la grimace et avec un air de dégout. Ça pue !
Une odeur qui évoque les pissotières, le sandwich au thon et les chevaux. C'est répugnant. Clémentine me regarde. Sidération.

Je la rassure. Je pose ma main sur sa nuque. J'appuie. Clémentine oppose une légère résistance. Et l'odeur est si repoussante.
Je lui dépose une bise sur la joue avant d'appuyer encore. Clémentine a le visage contre la bite. Je la sens frissonner. Dégoût.
< Beurk ! > chuchote t-elle juste avant de prendre le truc minuscule en bouche. Clémentine avec le nez collé contre la cloison.
Je me redresse. J'ai des fourmis dans les jambes. Clémentine est à genoux. Je passe derrière elle. Je lui tiens la tête. Ferme.
Je me penche pour lui chuchoter des cochonneries. Je l'encourage. Sa respiration a changé. Et quelques légers gémissements.

Au moment où j'y pense, voilà Juliette qui vient nous rejoindre. Elle est en tenue d'équitation. Elle vient à mes côtés. Penchée.
Nous regardons Clémentine sucer. Nos yeux se sont habitués à la pénombre. Juliette a mis un petit radiateur électrique. Bien.
Je sors ma queue. C'est difficile car je bande comme le dernier des salauds. A présent, Clémentine ne cesse de gémir. Plaisir.
Juliette se saisit de mon sexe qu'elle tient fermement en me chuchotant : < Pas de branlette chez moi ce soir ! >. La coquine.
Soudain Clémentine pousse un petit cri de dépit. Elle a carrément le visage collé contre la cloison, la bouche ouverte au trou.

Je me penche. je suis tout près du visage de Clémentine, sur sa gauche. Juliette est penchée sur sa droite. Et nous regardons.
Soudain Clémentine a un mouvement de recul. Ce n'est pas la bite à Gérard, là, certainement pas. Trop tard. Clémentine suce.
Juliette lui murmure : < Surprise ! >. C'est un sexe d'environ 20 cm, 4 cm de diamètre. Le bel engin. D'une très belle érection.
Je tiens Clémentine par la nuque pour l'empêcher de se retirer. Elle pousse sur ses mains posées sur la cloison. De toute force.
Je l'en empêche. Je lui murmure : < Tu veux de la bite, tu en as ! >. Clémentine n'a pas d'autre choix que de sucer à nouveau.

Cela ne dure pas. Juliette me tient la queue pour m'empêcher de me branler. Je chuchote : < Put-Hein, mais je suis excité ! >
< Justement ! C'est meilleur. Est-ce que je me branle moi ? > murmure Juliette en réponse. Je lui en veux un peu. La salope.
Soudain, dans un râle, Clémentine tente une ultime fuite. Impossible. Je suis derrière elle. Je la coince de mes genoux. Pipe.
Il y a de la jute. Un flot de sperme gicle de la bouche de Clémentine qui s'étouffe sous la quantité. Elle tousse, crache, et cri.
Je la lâche enfin. Elle se laisse tomber sur ses jambes, la tête penchée vers le sol à cracher en toussant. Peut-être vomit elle.

Elle se redresse. Je lui essuie la bouche et le menton avec un mouchoir en papier. Elle nous regarde comme consternée. Fou.
< C'était qui ? > demande t-elle en crachant du foutre dans le mouchoir. < Surprise ! > répond Juliette. Il y a des rires à côté.
Nous reconnaissons la voix de Pierre. Le mari de madame Walter. C'était donc ça. Et Juliette ne m'avait pas dit toute la vérité.
Je la saisis fermement par la nuque. < Pas de ça ! > s'écrie t-elle en me repoussant fermement. Je ne me laisse pas faire. Dur.
Je lui dis : < T'es une vraie salope. Le jour où je m'occuperai de ton cas, tu vas dérouiller, madame la patronne des écuries ! >

Clémentine m'entraîne par la main. Sans un mot, nous quittons le bâtiment. Juliette vient nous rejoindre à la voiture. Confuse.
< Vous m'en voulez ? > fait elle. Je lui réponds : < Vous auriez pu me mettre dans le secret ! >. < Mille excuses ! > dit elle.
< Pour une surprise, c'est réussi ! > lui fait Clémentine avant de rajouter : < Sans rancune mais moi j'aurai une exigence ! >
Nous quittons. Dans la voiture, Clémentine me confie son ressenti. Ce n'était pas vraiment déplaisant. Mais plutôt bien dégueu.
Au lit, nous faisons l'amour. Avec le recul, Clémentine m'avoue aimer ce genre de surprise. Demain on appelle Juliette. Merci.

Bonne pipe à toutes les coquines qui apprécient les surprises. Tout particulièrement dans des situations étonnantes…

Julien - (Ravi de savoir que Clémentine, l'effet de surprise passé, a adoré cette pipe à un inconnu qui ne l'est pas vraiment) -

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Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 695 -



Un Week-End des plus sympathiques

Hier matin, samedi, il est 7 h30 lorsque nous nous réveillons quasiment en même temps. Douceurs, tendresse et papouilles.
Contraints par nos impérieux besoins naturels, nous ne traînons pas. Nous nous précipitons aux toilettes. Les rituels pisseux.
Puis, morts de faim, nous dévalons l'escalier à toute vitesse, déjà vêtus de nos tenues de gym. La cuisine. Le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons bien évidemment la soirée de hier, les écuries et Juliette.
< Cette salope avait bien préparé son coup ! Son haras est un bordel et elle, c'est la mère maquerelle ! > lance Clémentine.

Nous rigolons comme des bossus de ce qui semble parfois l'évidence. En tous cas la surprise était à la hauteur du personnage.
Le jour se lève. Il fait froid mais sec. La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets, nos gants. Ce sera un bon jogging.
Enfin. Nous en rêvons tous les jours en nous entraînant. Aller courir à l'extérieur. Cela nous manque. Et nous voilà au dehors.
Nous courons d'un bon rythme. Pour s'échauffer, il faut accélérer dès le début. C'est très agréable de courir dans le froid sec.
Une heure d'un running des plus sympathiques. Il est 9 h. La douche. Nous nous habillons chaudement. Nos jeans et sweats.

Nos anoraks, nos bonnets, nos écharpes et nos gants. Nous voilà en route pour faire notre marché au bourg voisin. Du soleil.
Je roule doucement. La glacière est branchée sur l'allume cigare. Clémentine joue avec ma bite, sa main dans ma braguette.
Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. Nous faisons provision de fruits et de légumes chez nos artisans habituels.
Nous faisons provision de fromages, de yaourts, d'œufs, de crème fraîche et de beurre chez notre fromager habituel. Sympa.
Nous échangeons avec chacun d'eux quelques bons mots. Il y a d'autres clients. Nous nous dépêchons de retourner à l'auto.

Les produits frais rangés dans la glacière, nous prenons la direction de la zone commerciale. Treize petits kilomètres. Bien.
Cette fois, Clémentine m'a sorti la queue. Elle évoque notre aventure de hier soir. Son dégoût de s'être faite piéger. Pierre.
< Cette salope de Juliette va me le payer ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur. Il n'est pas question de vengeance.
< Je vais exiger qu'elle te fasse une pipe. Je vais regarder ! > rajoute Clémentine. Je dis : < Et te masturber en mâtant ! >
< Bien évidemment. Et sois un vrai salaud avec cette mère maquerelle ! > lance encore Clémentine. Nous éclatons de rires.

Nous arrivons sur le parking de l'hypermarché. Je conclue cette conversation en précisant : < Tu peux compter sur moi ! >
Je pousse le caddie. Clémentine, la liste des courses à la main, nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. Super.
< Il me faut des bas ! Je casse une paire à chaque fois que je mets les genouillères ! > dit elle. Nous en rions de bon cœur.
Je conseille d'en prendre quantité de paires, de la toute meilleure qualité. Nous continuons nos courses. Il y a plein de gens.
Papier cul, dentifrice, Sopalin, cirage, savon de Marseille et autres viennent s'accumuler au fond du chariot. Ne rien oublier.

Par acquis de conscience, toujours désireuse de s'offrir un petit frisson exhibe, Clémentine nous entraîne au rayon bouquins.
Quelle n'est pas notre surprise. Il y a Pauline et son copain. Elle nous reconnaît avec un grand sourire. Nous bavardons. Joie.
Pauline, secrétaire au haras, nous parle évidemment des écuries. Sa joie d'avoir ce travail. Déjà dix mois. Elle est contente.
Clémentine, très adroite, oriente subrepticement la conversation sur quelques déviances. Pauline n'a aucune anecdote. Rien.
Visiblement, tout ce qui se passe de salace aux écuries lui échappe totalement. Elle ne fait pas partie du "Club". Pas invitée.

Nous nous saluons. Nous continuons nos déambulations aux rayons des vêtements. Il y a partout bien trop de monde. Dur.
Il faut se faire une raison. Ce n'est pas ici, au magasin, qu'il sera possible à Clémentine de s'offrir quelques frayeurs. Rien.
Nous prenons place dans la file devant la poissonnerie. Nous faisons provision de moules, langoustines, saule, crabe, thon.
Nous passons en caisse. L'attente nous semble ce matin ne plus finir. Puis nous errons un peu dans la galerie commerciale.
Le salon de thé est plein. Le menu de la cafétéria est plutôt alléchant. Tourtes aux fruits de mer avec petits légumes verts.

Clémentine préfère rentrer. Nous voilà en route. Il est 12 h30 lorsque nous revenons à la maison. Nous rangeons les courses.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare le bouillon pour les moules. Et des patates rissolées.
Clémentine revient sur notre rencontre de ce matin. Pauline. Le haras n'est donc pas toujours le lupanar que nous croyons.
Pauline, depuis dix mois, n'a jamais été confrontée à de l'ambigu, à de l'équivoque ou encore du grivois. Tout est très discret.
Cela nous rassure un peu. Juliette est peut-être une vraie vicelarde, mais elle est avant tout une patronne normale. Efficace.

Nous mangeons de bon appétit. Dehors, le ciel se couvre légèrement. La grisaille de février. Mais il fait moins froid que hier.
Nous traînons à table. Comme en proie à une idée fixe, Clémentine revient sur son expérience de hier. Le trou et deux bites.
Je crois que cela l'a marqué. Elle en parle toutefois avec humour. La surprise. La complicité entre Pierre, Gérard et Juliette.
< C'était évident, maintenant que je sais, le sperme de Pierre est très salé ! > fait elle. Nous en rigolons comme des bossus.
Je lui dis : < Tu as déjà sucé ce mec trois fois au paravent ! C'est peut-être pas assez pour bien connaître ! >. Une rigolade.

Notre vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 14 h. Je propose à Clémentine de passer au salon. Un cunnilingus s'impose.
Je ne suis jamais obligé de le proposer deux fois. Elle m'entraîne par la main. Nous montons vite pour nous laver les dents.
Nous faisons les clowns devant le miroir. Clémentine me montre le pull qu'elle portait hier soir et posé sur le panier à linge.
< Regarde un peu ! > me fait elle en le tenant à bout de bras. Il est maculé de foutre sec sur le haut et sur l'épaule droite.
Je dis : < Il ne t'a pas raté le Pierrot ! >. Clémentine me fait : < Tu as vu ce qu'il m'a balancé ! Et la quantité de foutre ? >

Je me souviens. Je lui raconte ce que j'ai vu. Blottie contre moi, elle écoute et me fait : < J'en ai encore le goût. Beurk ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Je me serai contenté de la bite à ce vieux salaud de Gérard ! Le vicieux ! >
Elle me raconte l'abondance de foutre du vieil incontinent impuissant et lubrique. Sa toute petite bite qu'elle apprécie tant.
Elle rajoute : < Le Pierrot, il m'a gâché le plaisir ! >. Nous en rions de bon cœur. Clémentine m'entraîne dans la chambre.
Cela fait la deuxième fois cette semaine que nous restons en haut pour nous offrir des gâteries. Nous voilà sur le plumard.

Nous avons retiré nos jeans, nos slips, nous nous caressons en bavardant. Je me mets à genoux au sol, sur mon oreiller.
Clémentine, les cuisses largement écartées, m'offre la douceur délicate de son sexe humide. Je ne tarde pas à me régaler.
Excitée par la conversation, Clémentine suinte de la chatte avec cette abondance habituelle. Une vraie fontaine à foutrine.
Heureusement que nous venons de pisser tous les deux. Je lèche, je suce, je pompe et je savoure sous les gémissements.
J'adore sentir les frissons qui agitent l'intérieur des cuisses de Clémentine. Elle se maîtrise et elle me caresse les cheveux.

Il faut rester prudent. Pas d'orgasme prématuré. Nous voulons nous garder pour ce soir. Pour la compagnie d'Estelle. Joie.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Comme nous aimons tant.
C'est le moment des confidences, des révélations et des divulgations. J'écoute. Clémentine me chuchote des choses. Bien.
Il y est évidemment question de hier soir, du trou dans le mur, des bites qui en dépassent, des queues d'inconnus. La pipe.
Clémentine me révèle une fois encore ce curieux sentiment qui l'anime et où se mêlent dégoût et excitation. Une attirance.

Clémentine me demande toujours mon avis lors de ses confessions intimes. Je lui propose de refaire. La catharsis parfaite.
Nous nous mettons à bouger doucement. Nous cessons. Nous recommençons. C'est notre façon de baiser. Nos préférences.
Là aussi, il faut rester prudent. Je me retire à plusieurs reprises pour revenir à nouveau. Nos sexes sont gluants. Merveille.
Nous avons toujours le même réflexe. Nous terminons notre séance par un "69". Ce n'est pas très jouissif, mais ça nettoie.
Nous nous endormons comme des bienheureux. Sans même nous en rendre compte. Il est 16 h30 lorsque je me réveille.

Clémentine se serre contre moi. < Comme c'est bon ! Je t'aime Julien ! > murmure t-elle. Nous nous précipitons aux chiottes.
L'impérieux besoin de pisser met un terme provisoire à nos effusions de tendresse. Nous nous habillons. Flotte sur la gueule.
Nous descendons. Nous allons dans l'atelier. C'est un réflexe. Nous n'avons rien à y faire. Nos affaires sont prêtes pour lundi.
Clémentine sautille autour de moi. Toute contente. J'aime la voir si heureuse. Trois coups de sonnette. Nous nous regardons.
Clémentine se précipite. J'entends la voix de Juliette. Je vais rejoindre les filles. Juliette est très élégante. Son manteau noir.

Je propose de prendre le thé au salon. Juliette se débarrasse de son manteau. Elle est vêtue d'une jupe noire et d'un pull noir.
Assise bien droite dans le canapé, elle nous dit : < Je suis venue vous présenter mes excuses pour hier ! J'ai forcé la dose ! >
Nous restons silencieux. Visiblement, ce qui s'est passé ne la laisse pas indifférente non plus. Clémentine la rassure. Sympa.
< Par contre, pour vous faire pardonner, je veux vous voir faire une pipe à Julien ! > rajoute Clémentine. Un profond silence.
Juliette m'observe longuement. < Si c'est le prix à payer, c'est avec plaisir ! > fait Juliette. Nous rigolons comme des bossus.

< Et ce mercredi soir ! > rajoute encore Clémentine qui sait se montrer plus autoritaire encore que Juliette. Impressionnante.
< Je n'ai pas le choix ? > demande Juliette. Nous éclatons de rire lorsque Clémentine répond : < Non, aucun autre choix ! >
Il est 18 h. Estelle arrive. Elle nous découvre tous les trois à bavarder dans le salon. Elle se serre contre moi, sur le canapé.
Juliette est souvent admirative devant les manifestations de nos complicités, à Clémentine, Estelle et moi. Peut-être envieuse.
< Il faut que j'y aille ! > fait Juliette en se levant. Elle rajoute : < On se voit demain, j'organise une animation ! > fait elle.

Je raccompagne Juliette suivit de Clémentine et d'Estelle. < L'incident est clôt ? > nous demande Juliette. Je dis : < Clôt ! >
Nous raccompagnons Juliette jusqu'à sa voiture. Nous promettons de passer au haras demain dans l'après-midi. Salutations.
La nuit est tombée. < Racontez moi ce qui se passe ! > fait Estelle. Nous retournons au salon. Nous lui racontons les écuries.
< Mais quelle salope ! > s'écrie Estelle lorsque Clémentine lui relate ce qui s'est déroulé. La bite surprise. La pipe surprise !
Bien évidemment, cela nous excite considérablement. Estelle conclue : < J'aurai voulu être là. Participer. Je suis frustrée ! >

Nous en rions de bon cœur. La faim commence à se faire sentir. Nous filons à la cuisine. Estelle a sa main dans ma braguette.
Clémentine s'occupe de la salade. Estelle évide les tomates. Je prépare la farce. Filet de saule haché avec champignons. L'ail.
Avec les tomates farcies, ce sera coquillettes complètes. Les filles évoquent les cours de lundi. La semaine sera ardue. Etude.
Les tomates sont au four. Etage du bas. Les coquillettes gratinent. Etage du haut. Nous retournons au salon. Ambiance. Fête.
Nous sommes vautrés dans le canapé. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite qui tord ma bite dans tous les sens. Dur.

J'écoute les filles parler de Gérard. Comparer leurs expériences. Elles l'ont sucé toutes les deux et ça reste leur pipe préférée.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons. Nous mangeons de bon appétit. Estelle se montre hyper vicelarde. Super excitée.
A plusieurs reprises elle se lève et mime une masturbation masculine. Assise, elle mime un fellation et me fait des clins d'œil.
Je lui dis : < Demain, aux écuries, on t'emmène au trou ! >. Elle s'écrie : < Oh oui ! Le trou ! >. Nous en rions de bon cœur.
Nous écoutons Estelle divaguer et délirer quand aux pipes qu'elle a déjà faites à Gérard. Elle qui a été la première à le sucer.

Clémentine se lève, saisit le téléphone et dit : < Chiche ! >. Elle a rapidement Juliette en ligne. J'hallucine. Estelle également.
Nous entendons Clémentine proposer à Juliette un "plan trou" demain à l'intention d'Estelle qui vient s'assoir sur mes genoux.
La conversation ne dure guère plus de quelques minutes mais le "plan" est en place. < Salope ! > fait Estelle. Eclats de rires.
< Tu auras ta dose. Mais il n'y aura que Gérard ! > précise Clémentine en mimant une pipe. Estelle s'écrie : < T'es salope ! >
Je lui caresse la nuque en lui chuchotant : < Tu en veux, tu en auras ! >. Estelle me couvre le visage de bisous. Si contente.

Nous traînons à table. Je propose aux filles un bon léchage de minou ce soir. < Moi, je m'entraîne pour demain ! > dit Estelle.
Elle met sa main dans ma braguette en disant : < Se soir, tu passes à la casserole ! >. Nous rions de bon cœur. La vaisselle.
Nous rangeons la cuisine. Il est 21 h30. Au salon. Clémentine est vautrée dans le fauteuil. Estelle est à genoux sur le coussin.
Clémentine adore se masturber en observant mon comportement. Je me fais tailler une pipe des familles par Estelle. Un régal.
La soirée se déroule ainsi. Nos orgasmes sont fabuleux. Même Estelle se touche. Il est 23 h. Epuisés, nous montons. Le dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment évoquer leurs turpitudes passées en ce réjouissant de celles à venir…

Julien - (Qui sait déjà que demain, en fin d'après-midi, le trou dans le mur, aux écuries, va encore servir) -

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Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 696 -



Un agréable dimanche à trois

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par des chuchotements, des murmures. Quelque chose me chatouille le nez, la joue.
J'ouvre un œil. C'est Estelle qui joue de ses cils contre ma joue. < Papillon ! > murmure t-elle. Je l'attire contre moi. Doux.
< Esquimau ! > me fait Clémentine qui frotte son nez contre le mien. Je les serre toutes les deux très fort contre moi. Joie.
Nous restons ainsi un petit moment, silencieux, tentant de prendre toute la mesure de cet indicible bonheur qui nous uni.
L'impérieux besoin de pisser met un terme à nos effusions de tendresse. Estelle se précipite la première jusqu'aux toilettes.

Clémentine me chevauche en pesant sur ma vessie et chuchotant : < Comme je suis heureuse. Je t'aime Julien ! >. Bises.
Estelle revient dans son pyjama de soie mauve. < Je descends préparer la bouffe ! > fait elle en dévalant l'escalier. Rires.
Clémentine m'entraîne par la main. Le rituel pisseux avant de descendre rejoindre Estelle. Elle me saute au cou. Heureuse.
Une fois encore, nous prenons pleinement conscience de l'indicible bonheur que nous vivons en cette période de notre vie.
L'odeur de café, de brioche et de pain grillé achève de nous mettre en appétit. Nous mangeons tout en bavardant. Exquis.

C'est dimanche. Nous traînons à table. Pas d'entraînement. Juste le ménage hebdomadaire. Nous rions beaucoup. Frasques.
Avec toutes nos aventures, il y aurait de quoi écrire une véritable encyclopédie de la luxure, du stupre, de la gaudriole. Joie.
Estelle se propose au ménage du salon. Clémentine se propose à la chambre. Les habitudes sont rassurantes. C'est sympa.
La vaisselle. Je commence à nettoyer la cuisine, à ranger. J'entends Estelle chanter depuis le salon en passant l'aspirateur.
C'est toujours si émouvant. C'est une impression élégiaque, à la fois rassurante et source d'émotions. Et j'en al des larmes.

Je nettoie les chiottes. Je passe la serpillère sur les carrelages. Je m'apprête à monter lorsque je tombe dans le piège. Rire.
Estelle, cachée, qui m'attend, me saute au cou au bas de l'escalier. < Droit de passage ! > fait elle avant de m'embrasser.
Le goût de la brioche mêlé à la douceur de sa bouche m'enivre. Je la soulève pour la faire tournoyer. C'est si merveilleux.
Je commence à monter l'escalier tout en la tenant dans mes bras. < Je t'aime Julien ! > me chuchote t-elle en se serrant.
Nous rejoignons Clémentine qui termine de faire le lit. Il fait froid car les fenêtres sont grandes ouvertes. Il faut bien aérer.

Je jette Estelle sur le lit comme un paquet de linge. < J'ai le dos tourné cinq minutes et voilà ! > fait Clémentine en riant.
C'est elle qui vient se blottir dans mes bras. Nous sommes télépathes et nous avons la conscience aigüe de notre bonheur.
Clémentine est déjà habillée. Estelle ferme les fenêtres et nous nous habillons à notre tour. Jeans et chemises à carreaux.
Estelle ramasse le tas de draps sales pour nous suivre à la salle de bain. Elle passe l'aspirateur dans les pièces de l'étage.
Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Je fais le bac à douche et le bidet. Et nous n'arrêtons plus de nous faire des bisous.

Clémentine descend avec le panier à linge. Il est plein à ras bord. Je nettoie les chiottes à l'étage. Estelle arrive en silence.
Je ne l'entends pas venir. Je suis penché au-dessus de la cuvette des toilettes. Elle me choppe par derrière, main au sexe.
Je ne peux pas me défendre, j'ai mes gants en caoutchouc tous mouillés de javel. La coquine. Elle me tripote par derrière.
< Tu sais que je t'aime comme une folle, toi, ta bite, tes couilles ! > me chuchote t-elle. Nous rigolons comme des bossus.
Je tire la chasse pour rincer. J'enlève mes gants. Je me tourne pour la soulever et la faire tournoyer dans les airs. Bisous.

Je la prends sur le dos. J'imite le hennissement du cheval et nous descendons avec précaution pour rejoindre Clémentine.
Elle est à la buanderie, à la cave. Une machine tourne déjà. Ce sont les draps. Et nous aidons à trier le linge de couleurs.
Les filles évoquent les cours. Nous remontons tous les trois. Les filles vont au salon, allumer l'ordinateur. Des messages.
A la cuisine, la pâte feuilleté et le saumon ont décongelé. Je rejoins les filles. Trois messages. Juliette, Lennie, et de Julie.
Juliette nous rappelle son animation au haras et qu'elle aimerait nous voir. Même quelques minutes seulement. On répond.

Lennie se confond en excuse. Elle a totalement annulé son projet de venir passer quelques jours chez nous, à la maison.
Son nouveau copain, ses études et sa vie à nouveau trépidante ne lui en laisse plus l'opportunité. Nous répondons. Rires.
Julie nous raconte un peu de son actualité. Ses études, son boulot de serveuse le soir et, elle aussi, son nouveau copain.
En post scriptum elle précise qu'elle aurait une demande particulière et qu'elle la fera par texto un jour de cette semaine.
Nous répondons en joignant des selfies que nous prenons à l'instant. Sourires, grimaces. Nous rions de bon cœur. Blague.

Je laisse les filles pour aller à la cuisine. A midi, ce sera une tourte au saumon accompagné de pommes de terre rissolées.
Estelle est la première à me rejoindre. Passant derrière moi, une main dans ma braguette, elle dit : < Je t'aime Julien ! >
Clémentine arrive. < Voilà ! J'ai le dos tourné deux minutes et ce sont des cochonneries ! >. Nous en rions de bon cœur.
C'est devenu un jeu. Cela nous amuse et participe de nos vies, ici, dans la maison. Clémentine s'occupe de la salade. Joie.
Estelle émince le saumon. J'épluche les patates. Nous passons le saumon à la poêle. Ail, oignon, champignons, ciboulette.

Dans le jus, je fais rissoler les petits cubes de pommes de terre. Estelle n'arrête pas de me tripoter. J'en ai la queue à l'air.
Nous rigolons comme des bossus en évoquant certaines de nos aventures. Je bande mou. Estelle étale la pâte. Un moule.
Je verse la garniture qu'elle étale avec une spatule en bois. J'y rajoute une tonne de gruyère de Comté, crème fraîche. ail.
Estelle dépose le couvercle de pâte dont elle scelle les bords avec le pouce et l'index. Je badigeonne d'un œuf battu, du sel.
Nous mettons au four. Je remue les patates dans la poêle. Clémentine vient se serrer derrière moi. Estelle dresse la table.

Nous passons au salon. Debout, serrés tous les trois, Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite, nous regardons dehors.
Il fait moche. Il commence même à pleuvoir. C'est sinistre. Nous restons silencieux. J'entraîne les filles vers notre canapé.
Nous voilà vautrés tous les trois à nous faire des papouilles tout en évoquant nos prochaines vacances en Ecosse, cet été.
Estelle sera obligé de passer le mois de juillet chez ses parents, à travailler dans l'entreprise familiale. C'est une épreuve.
Je lui dis : < Tu as encore quatre mois et demi pour te préparer à cette épreuve ! >. Estelle pose sa tête sur mon épaule.

Tout en jouant avec ma bite qu'elle ne lâche quasiment plus, Estelle rajoute : < Et vous me laissez déjà seule à Pâques. >
< Dix jours ! Tu vas survivre ! On te fais des mails avec des photos tous les jours ! > lui dit Clémentine, serrée contre moi.
Je tiens les filles par les épaules. Souvent je passe ma main dans leur nuque pour les caresser affectueusement. Massage.
La sonnerie du four. Nous nous levons d'un bond avec une synchronisation parfaite. Et nous nous précipitons à la cuisine.
L'odeur est prometteuse. Estelle sort la tourte du four. Dorée à point, légèrement fumante, c'est une véritable pâtisserie.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études. Ce second trimestre qui n'en fini plus.
Je leur rappelle qu'il y a une semaine de vacances à partir de lundi en huit, le 18 février. Et ce qui est plutôt sympathique.
Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. Elle agite la main.
< Je viens tous les soirs ! On bosse et on se fait tous les trucs possibles. Vous êtes d'ac ? > fait elle en mimant une pipe.
Nous en rions de bon cœur. Je lui propose de venir s'installer ici dès vendredi prochain, à midi, et pour tout le Week-end.

Estelle vient s'assoir sur mes genoux. < Je t'aime Julien ! > dit elle. < Heu, vois tu, c'est mon mec ! > lui fait Clémentine.
< Tu me le prête si souvent ! > répond Estelle en passant ses bras autour de mon cou pour me couvrir le visage de bisous.
Nous traînons à table. Dehors le temps est sinistre. Il fait sombre. C'est presque un crépuscule permanent. Il fait si moche.
Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux. Nous faisons mille projets pour le printemps, les beaux jours.
Les coupes glacées géantes nous donnent d'ailleurs un avant goût de l'été. Nous les savourons avec délice et passion. Bon.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes en me disant : < Pipi ! >. Poilade.
L'odeur de javel des chiottes propres provoque un haut le cœur après la bouffe. Je tiens Estelle par la taille. Et en équilibre.
Elle fais son pissou debout, les genoux fléchis. Clémentine me tient la taille. Je torche Estelle. < Merci monsieur ! > dit elle.
C'est au tour de Clémentine. < Et toi ? Je peux te la tenir pour ton pissou ? > me fait Estelle serrée derrière moi. Rigolade.
Je torche Clémentine. Je me mets en position. Estelle à ma droite qui me tient la bite pour en diriger le jet dans la cuvette.

J'ai glissé mes mains dans les jeans des filles. Estelle me secoue délicatement les dernières gouttes avant de s'accroupir.
Clémentine s'accroupit également. Elles se refilent ma bite pour en récupérer les épanchements. Concerto de <"Mmhh">
Je leur caresse la tête. C'est beau de les voir se refiler ma bite. Je bande d'ailleurs encore assez mou à cause de l'émotion.
Je dis : < Il est déjà 15 h30. Nous avons promis de faire un tour au haras. On y va ? >. Je force les filles à se redresser.
Je leurs masse les cuisses et les genoux. < Aïe, aïe, aïe ! Les crampes ! > font elles en riant aux éclats. On se serre fort.

Il est 16 h lorsque nous arrivons au haras. Malgré la météo épouvantable, il y a du monde. Mr Gérard. Il ne nous voit pas.
Il y a Juliette. Les propriétaires de chevaux, leurs filles qui les montent et les amateurs d'équitations, tout cela l'accapare.
Juliette finit par nous apercevoir. Son visage s'illumine d'un sourire. Nous lui faisons un coucou de la main. Trop occupée.
< Au moins, elle nous aura vu ! > précise Clémentine. < Et elle sera rassurée pour son coup pendable ! > rajoute Estelle.
Nous ne nous attardons pas. Même chaudement vêtus, l'humidité et le froid ne nous incitent pas à traîner dans le manège.

Il est 18 h lorsque nous revenons à la maison. Nous retournons aux toilettes pour nous y amuser à nouveau. Petits vicieux.
Cette fois c'est moi qui lèche les croupions des filles après leurs pissous. Evidemment, c'est hyper excitant pour nous trois.
Je dis : < Venez ! On ne va pas passer la soirée aux chiottes ! Mais on se fait à bouffer d'abord ! >. Nous filons à la cuisine.
Il suffit de réchauffer les patates et le reste de la tourte. On a prévu large. Nous traînons à table. Puis on se bouffe au salon.
Cunnilingus, fellation, petite pénétration avec Clémentine. Orgasmes délirants. 22 h30. Estelle s'en va. Epuisée. Le dodo…

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment la tourte et les patates réchauffées avant de se régaler de foutre…

Julien - (Maître queue, Cordon Bleu, qui agrémente ses plats d'une sauce toute particulière. Peu relevée. Un condiment) -

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Juste Clémentine et moi

Hier matin, lundi, c'est le Prélude en Sol mineur de Barrios qui nous tire du sommeil avec une certaine grâce. C'est doux.
< Barrios ! La guitaros ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur en nous précipitant aux toilettes. Nous enfilons nos tenues de gym avant de descendre très vite.
Il est déjà 6 h05. Nous préparons notre solide petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Délice.
Il reste toujours un peu de brioche le lundi matin. Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Superbe.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. 7 h45.
Le jour se lève. Il fait froid et sec. Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller en haut du chemin.
Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre lit, notre vaisselle avant d'aller dans l'atelier. J'allume un feu. Cheminée.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je suis fébrile. J'attaque ce matin la dix septième toile destinée à ma saison d'été.
Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans une euphorie délirante. Livré à ma passion dévorante. Joie.

Il est aux environs de 10 h lorsque l'absurde musique de mon téléphone brise le silence de l'atelier. J'enrage. Je décroche.
C'est Juliette. Je suis immédiatement apaisé. Je mets en mode "haut parleur", ce qui permet de travailler en conversant.
Juliette est confuse et présente ses excuses une nouvelle fois. Sa petite surprise de vendredi dernier semble la tourmenter.
Je la rassure. Clémentine sait toujours tirer le meilleur de chaque situation. Et ses souvenirs en restent rarement entachés.
Nous bavardons ainsi une petite demi heure. Juliette est dans son bureau. Tout comme moi en mode "haut parleur". Bien.

Nous nous saluons. Je promets que nous serons là mercredi soir pour partager le repas. J'apporte le dessert. Une galette.
< N'oubliez pas l'exigence de votre compagne. Elle m'a donné un gage pour mercredi soir ! > me fait Juliette en rigolant.
Je dis : < Rassurez vous Juliette, j'emmène le nécessaire ! >. Nous en rigolons comme des bossus. Juliette un peu gênée.
Je termine ma matinée en pensant à cette étonnante jeune femme grâce à qui nous avons déjà vécu de superbes choses.
Sans elle, pas de haras, pas d'écuries, pas de monsieur Gérard pas de trou dans le mur et pas tant d'attractivités. Super.

C'est sur ces considération que je me rends à la cuisine pour y préparer le repas. Celui de midi et celui de ce soir. Sympa.
Je fais cuire du riz complet. Je prépare un coulis de courgettes, d'aubergines, poivrons, tomates, ail, oignon et ciboulette.
Je lave la salade verte. Et pour les deux repas. Je mange de bon appétit en tentant d'écouter les informations lénifiantes.
La vaisselle. Je range la cuisine. Pour ce soir, tout est prêt. Il n'y aura qu'à réchauffer. Il est 12 h45. Je vais dans l'atelier.
Je rajoute deux bûches dans la cheminée. Dehors il fait plutôt beau mais le temps reste froid et sec. Si typique de février.

Je peins dans une profonde sérénité. Je ne cesse de penser à Juliette. Ce mercredi soir s'annonce encore plein de surprise.
Je bande. Par association d'idées je pense à ce que j'ai déjà vécu en sa compagnie. C'est une femme vicieuse. Une salope.
Le mot salope étant ici le plus beau des compliments bien évidemment. Il serait ridicule d'insulter des initiatives coquines.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine rentre de cours. Elle se précipite dans l'atelier pour me faire plein de bisous ! Douceur.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le restaurant universitaire, la compagnie d'Estelle.

Clémentine a encore du travail. Il lui faut mettre au propre les notes prises en cours. Réviser quelques points importants.
Installée devant l'ordi, entourée de ses fiches, la voilà concentrée. Nous travaillons encore un peu. Je prépare le thé. 17 h.
Je lui raconte la conversation téléphonique avec Juliette. < Elle appelle tous les jours maintenant ! > fait Clémentine, riant.
Comme je l'ai précisé à Juliette, Clémentine n'a plus aucun ressenti négatif quand à son aventure de vendredi soir. La pipe.
< Elle ne perd rien pour attendre. Sois bien tordu avec elle mercredi soi. Fais la sucer comme un vrai salaud ! > fait elle.

Je promets un comportement digne du plus vicelard des salopards. Pervers. Et Clémentine sait pouvoir me faire confiance.
Je dis : < Je lui inflige la "totale" ! Nous allons sans doute découvrir une autre facette de sa personnalité ! >. C'est prévu.
Nous travaillons encore jusqu'aux environs de 19 h. Nous rangeons. Nous restons un peu assis devant la cheminée. Le feu.
A l'étage, il y a les bruits étranges habituels qui accompagnent nos soirées. Le fantôme de Christine qui vient nous saluer.
Clémentine est couchée sur le tapis, sa tête posée sur ma cuisse. Je caresse ses cheveux. Nous restons silencieux. Doux.

La faim se fait ressentir. Nous quittons l'atelier. Les bruits à l'étage cessent. A la cuisine, Clémentine se serre contre moi.
Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. Nous restons ainsi. Douceur.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà prête. Je réchauffe le riz et le coulis de légumes. Tout va vite.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Juliette est décidément un sujet intarissable. Nous évoquons le passé.
Toutes ces aventures vécues là-bas. Quelle que soit la saison. Nous en rions souvent de bon cœur. De grands souvenirs.

< J'aime quand on est tous les deux. Juste toi et moi. Je crois qu'avec le temps, c'est ma préférence ! > fait Clémentine.
Assise sur mes genoux, elle rajoute : < J'ai envie de t'avoir que pour moi. J'ai de moins en moins envie de te partager ! >
Je la rassure. C'est comme elle veut, quand elle veut. Je lui dis : < C'est toi qui décide. Je suis tellement bien avec toi ! >
Nous traînons à table. < J'ai besoin d'être prise en main. Tu veux bien dans les prochains jours ? > me fait elle encore.
Je promets de faire de mon mieux. Je lui murmure : < Je vais d'ailleurs commencer après la vaisselle ! >. Elle se lève.

Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous enlevons nos tabliers. Je saisis Clémentine par sa natte. Ferme.
Je l'entraîne comme tenue à la laisse jusqu'au salon. Je me comporte selon son désir le plus intime, le plus secret. Super.
J'ordonne : < Enlève ton pantalon et ta culotte ! >. Pendant qu'elle se dévêt, je passe derrière le bureau. Le tiroir du bas.
C'est là que nous rangeons nos accessoires. J'en sors les genouillères que je pose sur le bureau. Et Clémentine s'en saisit.
Inutile de lui passer le collier canin et la laisse autour du cou. Sa natte fait office de laisse. Je peux la tenir au plus court.

J'ordonne : < A quatre pattes ! >. Clémentine s'exécute. Je devine la joie qui l'habite. La voilà enfin dans son rôle préféré.
Je saisis sa natte. Je l'emmène faire un tour de la grande pièce. Avec les genouillères, plus de douleurs inutiles. C'est bien.
Clémentine peut évoluer ainsi, à quatre pattes, tout le temps que nous désirons. Elle avance doucement. Un spectacle fou.
C'est très excitant lorsque ces séances sont partagées dans un enthousiasme commun. Et je me prends rapidement au jeu.
Parfois je me penche pour passer ma main entre ses cuisses. Son sexe est humide. Je peux l'entendre glousser de plaisir.

A plusieurs reprises Clémentine s'arrête. Elle lève la cuisse comme un animal qui va pisser. C'est super. Elle joue si bien.
Je passe mes doigts dans la raie de ses fesses humides. J'enfonce délicatement un doigt dans son sexe. Juste l'extrémité.
Même si nous détestons la sodomie, j'enfonce la première phalange de mon index dans son trou du cul. Elle a un réflexe.
Clémentine reste avec la cuisse relevée aux angles du bureau, de la table, des chaises. Elle reproduit partout. C'est super.
Je me mets à quatre pattes pour scruter son visage de près, sous la lampe. Ses traits reflètent l'extase. Gouttes de sueur.

J'aime être tout près pour scruter les expressions de son visage. Elle me fixe. Elle adore être vue, être regardée, scrutée.
Je passe derrière elle. A quatre pattes je me mets à lécher son cul. C'est fabuleux. Je l'entends souffler, gémir de plaisir.
Elle se cambre pour m'offrir son cul. J'écarte ses fesses. Je me couche sur le dos pour lui bouffer la chatte. C'est un délice.
Je suce son clitoris géant, turgescent. Ce sont de petits cris qui accompagnent ma dégustation. Clémentine lève la patte.
Elle me pisse dessus. Couché sur le dos, la tête au sol, je n'ai pas le temps d'esquiver. Me voilà trempé. Elle cesse enfin.

< Ça mérite une punition, non ? > murmure t-elle. Je me redresse. Je suis dégoulinant de pisse. Je l'entraîne aux WC.
Je me sèche les cheveux avec la serviette. Je force Clémentine à se relever. Elle prend le seau, la serpillère et le balai.
Je la tiens par sa natte pour l'entraîner au salon. Je donne des à coups. Elle nettoie la flaque sur le parquet. Avec soin.
Je sors ma queue. Je bande mou. Il y a du foutre qui en coule. Je l'entraîne aux toilettes pour rincer la serpillère. Parfait.
J'ordonne : < A genoux ! >. Clémentine ne se fait pas prier. Elle me fixe de son regard implorant. Je lui met une gifle.

Ce ne sont jamais des actes de violence. Cela fait tout simplement partie du rôle qui m'est demandé. Je pointe mon Zob.
Je le dirige vers son visage. Je me concentre. L'expression de Clémentine est tellement vicieuse. Je dois pisser très vite.
Si je ne pisse pas maintenant, je vais bander comme un salaud et ce ne sera plus possible. J'ai la bite à 20 centimètres.
Je làche un premier jet. Précis. Nerveux. Clémentine ouvre la bouche. Son visage est déjà trempé. Je frotte ma queue.
Je me penche pour lui déboutonner la chemise et la retirer. Clémentine est nue. Juste les genouillères et les chaussettes.

Je lui administre une seconde gifle. Il y a de la pisse qui gicle. Je la saisis sous le menton. Je lui frotte la bite sur la gueule.
Clémentine en glousse de bonheur. Je pisse. Je la fais sucer. Je cesse. Je recommence. < Je vous aime "Maître" ! > dit elle.
Je réponds : < Je vous aime, délicieuse "Soumise" ! >. Je me vide complètement. Clémentine se masturbe sans arrêt. Joie.
Son orgasme est doudain. Foudroyant. Elle s'agrippe à moi, me tenant par les passant de mon jeans. Je l'aide à se tenir.
Je lui enfonce la bite dans la bouche. J'éjacule comme un vrai salopard. Bien au fond. Clémentine manque de s'étouffer.

Dans un long râle, Clémentine tente de déglutir. C'est difficile. Je la tiens par les oreilles, la bite complètement enfoncée.
Je me retire enfin. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Ses yeux en larmes. Elle me fait : < Merci "Maître" ! >. Joie.
Je suis pétri d'émotion. J'ai joué mon rôle à la perfection. Je force Clémentine à se redresser. Elle se met à pisser, debout.
< C'est une telle harmonie entre nous, Julien ! Merci pour ce bonheur ! > S'écrie Clémentine. Nous en oublions nos jeux.
Nous restons serrés l'un contre l'autre. Ma chemise s'est imbibée de pisse. Je me déshabille. Nous voilà tous nus. Rires.

Nous nettoyons. Il faut passer la serpillère. La rincer. Recommencer. Tout est propre. Et nous récupérons nos vêtements.
Nous montons. Il faudra faire une machine dès demain. Je jette les vêtements trempés dans la bassine bleue en plastique.
Nous nous lavons. Nous nous séchons les cheveux à tour de rôle. < Je t'aime Julien ! > me dit Clémentine sans arrêt. Joie.
Au lit, nous tentons quelques trucs. Nous sommes tellement épuisés que nos tentatives se transforment en tendresse folle.
Clémentine me confie à quel point elle a besoin de vivre de telles situations. Cela participe de son épanouissement. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment jouer à la "Soumise" avec leur "Maître" préféré…

Julien - (Qui ne tente plus de comprendre mais qui se contente de jouer son rôle avec le plus d'efficacité possible) -

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Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 698 -



A deux c'est bien et à trois également

Hier matin, mardi, c'est la suite pour violon de J.S Bach qui nous tire de nos profonds sommeils avec une certaine grâce.
< Tout doux le Bachou ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Tout en riant de bon cœur, nous nous précipitons aux toilettes. Et nous mettons nos tenues de gym avant de descendre.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons tout en bavardant. Le bilan de la soirée "Dressage" hier.
< Il en faut encore, tu veux ? > me fait Clémentine à l'aveux de chacun de ses ressentis. Je promets de faire au mieux.

Nous remontons nous offrir une heure d'entraînement. La douche. Je descends le premier pour sortir dans le froid glacial.
Clémentine me rejoint et chaudement vêtue. Il est 7 h45. Un dernier bisou. Elle revient pour midi. Elle est toute contente.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le jour s'est levé. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est déjà 8 h15. Joie.
Je peins dans un enthousiasme rare. Je me livre à ma passion corps et âme avec l'impudeur totale d'un dépravé jouisseur.

Il est rapidement midi. Dehors le ciel est gris, lumineux. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau pour le pilpil. Un bouillon.
Je pane deux filets de saule. Je les fais dorer à la pôle. Déjà 12 h15. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève.
Elle me couvre le visage de bisous avant de se mettre à la préparation de la salade. Je fais une pâte à pain. Je la veux fine.
Je coupe les poireaux en petits morceaux que je fais cuire dans l'eau salée. Je concocte une belle Béchamel. Pour la soirée.
Clémentine met la table. Elle me raconte sa matinée. Le travail qu'elle a à réaliser cet après-midi. Je récupère de la sauce.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine revient sur nos jeux de hier. Elle apprécie de plus en plus.
Son rôle de la "Soumise". Mon rôle de "Maître". Ce sont ses situations préférées dans nos jeux de couple. Je fais au mieux.
Je préfère souvent lui avouer que je n'ai pas l'âme d'un véritable "Maître". Ce n'est pas dans ma nature profonde. Elle sait.
< Pourtant, tu te débrouilles plutôt bien. Tu me fais frissonner rien que d'y penser ! > me fait elle le plus souvent. Sympa.
Nous en rions de bon cœur car je sais qu'elle précise cela, pleine de compassion, pour me rassurer. Et ce n'est qu'un jeu.

< Je dois avoir un certain entraînement pour la vraie séance avec "Maître" Gérard au printemps ! > me confie Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Par association d'idées nous en arrivons à Juliette. Organisatrice des séances de "Dressages".
< Cette mère maquerelle organise certainement des trucs bien plus glauques encore. C'est une vicieuse ! > dit Clémentine.
Nous en déduisons qu'il se passe forcément des choses au haras que nous ne savons pas encore. C'est tellement évident.
< En tous cas, demain, donne lui un aperçu de tes prestations de "Maître" ! > rajoute Clémentine. Je dis : < Amateur ! >

Je précise : < Je vais la faire sucer. Je ne vais pas arrêter de me branler avant d'aller. Me retenir de pisser depuis midi ! >
Clémentine rajoute : < Oui, fais lui la "totale". Elle le mérite après son coup pendable de vendredi dernier. Cette salope ! >
Je lui dis : < Et si c'était une autre bite que celle de Pierre qui était passée par le trou ? Encore plus pervers et dégueu ! >
< Arrête ! C'est vrai qu'elle est capable d'aller aux extrêmes sans trop de scrupules ! > fait encore Clémentine. Grimace.
Nous traînons à table. Nous envisageons plein de scénarios, de possibilités. Nous en rions beaucoup. C'est hyper excitant.

Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me dit : < Plus c'est vicelard, et plus j'apprécie tu sais ! >
Je fais : < Je sais ! C'est pour ça que j'aime te mettre dans l'embarras de ces situations ! >. Clémentine m'embrasse. Fort.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons nous laver les dents. Salle de bain.
Nous faisons les clowns devant le miroir. Clémentine mime une pipe avec sa brosse à dents. Nous rions comme des bossus.
Elle m'entraîne dans la chambre. Elle me fait basculer sur le lit. Nous retirons nos vêtements en riant comme des fous. Joie.

A genoux sur mon oreiller, j'ai le visage entre les cuisses de Clémentine. Et notre conversation l'a considérablement excité.
Je hume les odeurs de sa matinée de fille avant de récupérer toute la cyprine qui s'écoule en abondance. Entre les fesses.
Je me régale. Je n'arrête pas de retirer des poils qui collent sur ma langue. Le prix à payer pour s'offrir une superbe touffe.
Clémentine pousse de petits cris. J'aime l'entendre gémir, reprendre son souffle après des apnées de plaisir. C'est sublime.
Je décalotte son clitoris du bout de mes lèvres. Nous évitons l'orgasme de justesse car je cesse juste à temps. La prudence.

Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles à nous fixer.
C'est toujours un grand moment d'émotion partagée. C'est à la fois terriblement excitant. Une communion des âmes. Joie.
Ce sont ces moments là qu'affectionne Clémentine pour chuchoter les plus intimes révélations. Et je chuchote les miennes.
C'est étonnant. C'est émouvant. C'est excitant. Et c'est si merveilleux. Je bande comme le dernier des salauds en écoutant.
Nous sommes tous deux des cérébraux. Nos excitations sont décuplées par des stimuli intellectuels. C'est absolument fou.

Nos révélations donnent évidemment dans des situations irréalisables, surréalistes. Et nous en rions en nous embrassant.
Il faut cesser. Nous nous nettoyons les sexes avec un "69". Ce serait dommage de gâcher et de perdre du jus. Il est 14 h.
Nous nous rhabillons. Nous dévalons l'escalier. Et nous allons dans l'atelier. Clémentine me saute au cou. < Je t'aime ! >
Nous voilà installés. Clémentine devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Moi devant le chevalet. Une séance de travail.
J'ai mis deux bûches dans la cheminée. Cet hiver nous en sommes à dix stères de bois. C'est rare une telle consommation.

Parfois, l'un se lève pour aller faire des bisous à l'autre. Lui glisser quelques douceurs à l'oreille. Quelques cochonneries.
Du bruit. Il est déjà 18 h15. Estelle arrive. Elle se précipite. Bisous. Assise sur mes genoux, elle raconte son après-midi.
Rapidement toutefois, les filles sont assises à la table. Elles comparent leurs cours et leurs révisions. J'écoute en silence.
Lundi prochain, ce sont les vacances. Une semaine. Estelle viendra presque tous les soirs. Parfois même déjà l'après-midi.
Je les entends mettre le programme au point. Les stratégies, le planning. C'est redoutable d'efficacité. Il est déjà 18 h45.

Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Clémentine range ses affaires. Nous nous installons devant la cheminée. Superbe.
A l'étage, quelques bruits étranges. Ce soir, c'est comme si quelqu'un déplaçait un meuble. Et on l'entend riper sur le sol.
Estelle, qui a glissé une main dans ma braguette, nous fait : < On devrait inviter le fantôme. Venir s'amuser avec nous ! >
Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Oui ! La partouze ! On lui refile un gode. Et Gode mit uns ! >
Estelle fait encore : < Notre pauvre Julien ne saurait plus où donner de la queue ! >. Nous en rigolons comme des bossus.

La faim se fait sentir. Clémentine nous entraîne à la cuisine. Estelle qui m'a sorti la queue ne me la lâche qu'à la cuisine.
Pour la tarte aux poireaux tout est prêt. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Estelle travaille la pâte. Fort.
Je réchauffe la Béchamel contenant le poreaux. Je râpe du gruyère de Comté en quantité industrielle. Aussi du Parmesan.
Notre Flamiche Picarde du mardi soir est au four. Nous retirons nos tabliers pour filer au salon. Estelle me tire par le Zob.
< Racontez moi votre séance de "Dressage" de hier soir ! > fait Estelle en me tordant la bite dans tous les sens. Coquine.

Nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé. Clémentine à ma droite. Estelle à ma gauche. Clémentine qui raconte.
Estelle pose quelques questions pertinentes, bien vicelardes. < Tu t'occupes de mon cas un de ces jours ? > me fait elle.
Je lui promets d'organiser un super plan. < Tu nous attaches toutes les deux et tu nous fais subir la totale ! > me dit elle.
< Génial ! > ponctue Clémentine. < On se fait ça samedi soir, ok ? On peut même filmer. Ça vous dit ? > rajoute Estelle.
Clémentine propose de mettre la caméra en fonctionnement automatique. Ce sera à moi de la déplacer en fonction du jeu.

Je trouve l'idée excellente. Clémentine prévient qu'elle portera un masque. Son loup noir en dentelle. Pas de trucs à risque.
Estelle préfère rester à visage découvert. Moi, je m'en fout comme de ma première éjaculation. Nous en rions de bon cœur.
La sonnerie du four. Sans me lâcher la bite, Estelle m'entraîne à la cuisine. Elle se serre contre moi. Je la soulève. Bisous.
Clémentine s'interpose après avoir sorti la tarte du four. Je dépose Estelle. Nous voilà assis. Nous mangeons en bavardant.
Ce projet de "Dressage", samedi soir, nous excite considérablement. Surtout que ce sera filmé. Estelle en fera un montage.

Nous traînons à table. A plusieurs reprises, Estelle, debout, mime une masturbation masculine. Elle aime tant être vulgaire.
Clémentine fait la même chose. Assises, elles miment des pipes. Je les félicite. Je me lève pour agiter le Zob. Je bande mou.
< Miam ! > fait Estelle. Je dis : < Samedi soir, je vous promets à toutes les deux un châtiment exemplaire ! Inoubliable ! >
< Chouette ! On sait pouvoir compter sur tes compétences ! > fait Estelle en passant sous la table, trop excitée, vicieuse.
Clémentine se penche pour mâter. Je frotte ma bite sur le visage d'Estelle. Sa tête tape la table. Ce n'est pas confortable.

Je saisi Estelle par la tignasse pour la forcer à se relever. Je lui dis : < Samedi soir, tu vas en baver, toi, petite salope ! >
< Petites ? > font les filles en même temps sans même se concerter. Nous éclatons de rire. La vaisselle. Ranger la cuisine.
Il est 21 h15. Nous retournons au salon. Les filles sont toutes les deux à genoux sur des coussins. Mains sur la tête. Rire.
< Entraînement ! > font elles encore une fois en même temps. Je me place en face. Je frotte ma bite sur leurs visages.
D'abord Estelle qui en glousse de joie. Puis Clémentine qui en gémit de plaisir. Une petit gifle à l'une. Une gifle à l'autre.

Je me fais tailler une pipe des familles. Pendant que l'une me suce, je me penche pour faire des bisous à l'autre. Douceur.
J'en profite pour lui chuchoter les pires cochonneries. < Tu es un amour ! > fait à chaque fois Estelle, foutre qui dégouline.
Comme le plus souvent, j'éjacule dans la bouche d'Estelle. Juste la bite au bord des lèvres afin qu'elle puisse la savourer.
Il faut la voir me tenir par les hanches, déglutir comme si sa vie en dépendait sous le regard de Clémentine qui se branle.
Je la laisse me vider les couilles, me faire le "fond de cuve". Sans prévenir, en vrai sournois, je lâche une giclée de pisse.

Le temps qu'elle s'en rende compte c'est déjà trop tard, elle avale comme si c'était encore du foutre. Elle ouvre les yeux.
Elle comprend. Un râle de dégoût. Pourtant elle continue de sucer. Cette situation excite toujours Clémentine. C'est bien.
Je force Estelle à cesser. Je mets ma bite dans la bouche de Clémentine pour lui lâcher une giclée. Elle, elle comprend !
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation difficile. Nous rentrons en vitesse. A la salle de bain.
Au lit, Clémentine me suce. Elle en veut aussi. Elle se masturbe jusqu'à l'orgasme. Je propose de continuer demain. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient de faire la prière du soir, à genoux sur d'épais coussins de velours…

Julien - (Qui passe sa bite juteuse d'une bouche à l'autre pour y lâcher du liquide séminal, du sperme ou de la pisse) -

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Mon comportement de salaud chez Juliette

Hier matin, mercredi, c'est le prélude en Si mineur de Chopin qui nous tire de nos sommeils avec une certaine violence.
< Mais ta gueule Chopin ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous mettons nos tenues de gym avant de descendre. Faim.
6 h05. Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons la soirée.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. La douche. Je descends le premier. Dehors, il fait très froid.

Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Le jour s'est levé. Un dernier bisou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre lit, notre vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Et prêt.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins, animé d'un extraordinaire enthousiasme. Livré corps et âme à la joie.
La dix septième toile destinée à ma saison d'été me projette dans l'abstraction totale. Je déteste toute peinture abstraite.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une bonne sauce au Roquefort.
J'épluche la grosse carotte, je lave la tomate et l'endive pour la salade. Je fais l'assaisonnement. Huile d'olive et moutarde.
J'égoutte les coquillettes. Je râpe du Parmesan. Je mange de bon appétit tout en écoutant le flot lénifiant des informations.
La vaisselle. Je range la cuisine. La dernière galette à la frangipane a décongelé. Ce sera le dessert de ce soir, chez Juliette.
Il n'est même pas 12 h45 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins avec sérénité.

Dehors, il y a le soleil mais le temps est d'un froid glacial. J'ai remis deux bûches dans la cheminée. Du bruit. Il est 16 h20.
Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé avant de se précipiter pour me faire des bisous. Contente.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le restaurant universitaire, les ressentis d'Estelle.
Clémentine a encore du travail. La voilà assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Ambiance studieuse. Le silence.
Il y a juste les craquements dans la cheminée. Nous adorons ces ambiances. Il est 18 h45 lorsque nous rangeons. Terminé.

Assis devant la cheminée nous regardons vaciller les dernières flammes. A l'étage, les bruits étranges retentissent. Forts.
Nous évoquons la soirée qui nous attend. Clémentine me fait : < On va lui faire une Saint Valentin anticipée à Juliette ! >
Nous rions de bon cœur à cette plaisanterie : < A la Saint Valentin, elle lui tient la main. Vivement la Sainte Marguerite ! >
Nous montons nous préparer. Nous optons pour des jeans, des chemises blanches sous des pulls noirs à col en "V". Bien.
Mêmes bottines noires. Nous sommes vêtus exactement de la même façon. Nous faisons les clowns devant le miroir. Rire.

Accroupie à ma droite, Clémentine me tient la jambe. Elle appuie son visage contre ma cuisse. J'ai ma main sur sa tête.
< Je pourrai me masturber en regardant votre comportement, ce soir, "Maître" ? > me demande t-elle avec un clin d'œil.
Je réponds : < Mais vous y êtes même conviée, adorable "Soumise" ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine se touche.
Se tournant vers moi de manière à se retrouver avec ma jambes entre ses cuisses elle imite la masturbation canine. Rire.
Je sors ma bite pour la lui frotter sur la gueule. Nous nous observons dans le miroir. Cette scène est hautement excitante.

Clémentine, à genoux, se frottant le sexe contre mon tibia, me suce tout en se regardant dans le miroir. C'est divin. Beau.
Je la saisis par son catogan pour la forcer à se redresser. Nous nous réajustons. Nous nous embrassons comme des fous.
Les mentons rapidement trempés de salive par l'étreinte passionnée de nos bouche. < Je t'aime ! > me chuchote t-elle.
Je lui dis : < Je vous aime, délicieuse "joueuse" ! >. Elle m'entraîne aux toilettes. Je caresse sa tête pendant son pissou.
Moi, je ne pisse pas. Pourtant j'en ai très envie. C'est presque douloureux. Je me retiens pour mes saloperies de ce soir.

Nous prenons la petite auto de Clémentine. Je conduis doucement. J'ai à nouveau la bite dans la bouche de Clémentine.
< Je te "prépare" ! > me confie t-elle en se redressant lorsque je gare la voiture dans la cour du haras. Je bande. Ferme.
Je garde ma braguette ouverte. Invisible sous le manteau. Il y a de la lumière dans les écuries. Nous traversons la cour.
Kim Son, le palefrenier, armé d'une fourche, distribue du fourrage aux chevaux. Il nous voit. Nous nous saluons. Sympa.
Le jeune garçon est toujours très heureux de nous voir. Souriant. Tout en travaillant, il discute un peu avec nous. Super.

Clémentine, qui a ouvert son manteau, bavarde avec une main entre ses cuisses. Elle est très excitée. Et elle en profite.
J'ai déjà remarqué à quelques reprises, la grande réserve dont fait preuve le jeune homme. Et il fait mine de ne pas voir.
Je vais caresser des chevaux un peu plus loin pour permettre à Kim Son d'apprécier pleinement ce que fait la jeune fille.
Il est évident que ma présence le gêne beaucoup plus que le comportement de Clémentine. Je louche en douce. Sympa.
Clémentine, droite, dépasse Kim Son d'une bonne tête. Elle garde sa main entre ses cuisses tout en bavardant. Excitant.

Kim Son, même s'il est probablement déstabilisé continue son labeur, éparpillant soigneusement la paille dans les box.
C'est un moment intense. Je mâte à m'en déboîter les globes oculaires. Clémentine m'émerveille par son aplomb. Fou.
Je sais pourtant qu'au fond d'elle, elle surmonte plein de trucs pour s'offrir quelques délicieux frissons exhibitionnistes.
Un bruit de pas. Juliette arrive. Elle est vêtue de sa tenue d'équitation sous son manteau ouvert. Elle me fait un sourire.
Nous nous serrons la main. C'est elle qui fait bouger son doigt dans ma paume. Elle me fait un rapide clin d'œil. Belle.

Clémentine vient nous rejoindre. Il est 19 h45. Nous suivons Juliette. Je récupère la galette dans la voiture. Le dessert.
Les cheveux noirs et brillants de Juliette reflètent la lumière. Nous montons dans ses appartements. Odeur de feuilleté.
Nous voilà vautrés dans le canapé. Juliette assise en face de nous, dans le fauteuil. Elle nous raconte sa journée. Bien.
J'ai la braguette déboutonnée. Clémentine y pointe plusieurs fois son index comme pour bien montrer à Juliette. Super.
Juliette, habile joueuse, fait mine de ne pas s'en rendre compte. Elle fait quelques allés et venus jusqu'à la cuisine. Joie.

Je dois pisser. Je le murmure à Clémentine qui me chuchote : < Attends l'urinoir ! >. Nous rions de bon cœur en silence.
Juliette revient. < On va pouvoir passer à table ! > nous lance t-elle en nous invitant à nous installer à la grande table.
J'ai sorti ma queue. Je bande comme un salaud. Cela me fait un peu oublier mon impérieux besoin de pisser. Douloureux.
Juliette me fixe. Un regard sévère. < Vous avez un gage ! > lui fait Clémentine. Juliette reste silencieuse. Je m'approche.
Je contourne la table. J'ai mes mains sur les hanches. Je fais bouger ma queue. Juliette se penche en avant pour mâter.

D'un geste rapide, sans prévenir, je la choppe par ses cheveux. Clémentine a anticipé. Elle connaît bien mes réactions.
Juliette tente de se dégager en s'écriant : < Pas de ça mon bonhomme ! >. Je la tiens fermement. Elle veut repousser.
Je la force à tomber à genoux. Je suis obligé de m'y prendre à deux fois et avec les deux mains. Juliette pousse un cri.
Elle est à genoux, n'ayant pas d'autre choix. Je tente de lui frotter le sexe sur le visage. Elle se débat. C'est un jeu. Sûr.
Clémentine a passé une main dans son pantalon. Elle regarde comme si c'était la première fois. Juliette me repousse.

Pourtant je résiste. J'arrive à lui passer la bite sur le visage qu'elle détourne tant qu'elle peut. Je la tiens par ses oreilles.
Je me penche pour lui dire : < Depuis le temps ! Tu devrais te réjouir, salope ! >. Elle relève la tête. Son regard sévère.
< Et si on mangeait d'abord, ça va refroidir ! > lance t-elle. Je la lâche. Elle se redresse rapidement. Souple et sportive.
Nous passons à table. Durant tout le repas, Juliette n'arrête pas de me dévisager avec sévérité. Et comme un étranger.
Nous débarrassons la table. La galette nous attend. Je ne m'y attends pas du tout. Juliette me choppe par la queue. Dur.

< Ici, comme ailleurs, c'est moi qui commande ! > me fait elle. Elle me tient la queue. Je bande comme un vrai salaud.
Je lui passe la main sur la joue. Elle détourne son visage en répétant la même phrase. Et elle s'accroupit, là devant moi.
Je n'en crois pas mes yeux. Juliette se met à me sucer. C'est étonnant. La douceur de sa bouche contraste avec le reste.
Paradoxe qui m'enchante. Comment une femme de caractère peut se montrer si délicate. J'en ai des vertiges. Délicieux.
Clémentine, dans le fauteuil, nous observe en se masturbant. Je n'ai plus du tout envie de jouer mon rôle de "Maître".

Ici, c'est Juliette la "Maîtresse". Elle se redresse, me tire par le Zob, fort, sans le moindre ménagement vers le canapé.
Elle m'y fait tomber pour se mettre à genoux entre mes jambes. Juliette scrute mon sexe avec l'attention d'un médecin.
Elle me décalotte. Immédiatement l'odeur fétide et la vue du parmezob granuleux la révulse. Juliette fait une grimace.
Je lui caresse le visage. Elle repousse ma main. Je comprends qu'il n'est pas question de douceur. Elle me fixe. Sévère.
Elle renifle. Elle ne cesse de grimacer. Je regarde Clémentine, toute rouge, en apnée qui se masturbe. Son film préféré.

Juliette se redresse. < Je ne peux pas ! > fait elle. < Vous avez un gage ! > lui fait Clémentine. Juliette s'assoit à côté.
< Et si on remettait ça au printemps ? Pendant que Maître Gérard s'occupe de vous, je m'occupe de Julien ! > fait elle.
Je dis : < C'est une façon de se défiler ! >. Juliette me saisit la bite et fait : < Pas du tout mais là, ça me dégoute ! >
< Vous n'aimez pas le fromage ? > dit Clémentine. < Non ! Les bites dégueulasses, c'est pas mon truc ! > dit Juliette.
Nous rigolons tous les trois comme des bossus lorsque Clémentine lui révèle : < C'est moi qui exige de la bite sale ! >

Je me lève en disant : < Je dois pisser ! >. Je ne bande plus. Juliette m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Rires.
Je suis debout devant la cuvette. Juliette à ma droite, penchée devant moi, me tient la bite pour en diriger le jet. Droit.
Clémentine à ma gauche qui garde sa main dans son pantalon. Juliette secoue bien les dernières gouttes. Délicatement.
Soudain, alors que je ne m'y attendait pas du tout, elle s'accroupit pour se mettre à me sucer. Je bande immédiatement.
Sous l'effet de la surprise, je suis obligé de me tenir d'une main au mur. Juliette me suce. Sa bouche est une ventouse.

Clémentine, tout en se masturbant, se penche en avant. Son visage tout prêt de celui de Juliette. Elles sont si belles.
L'indicible caresse me fait vaciller. Clémentine me tient d'une main. J'éjacule. Juliette tombe à genoux pour me bouffer.
Silencieuse, elle déglutit avec une surprenante passion. Elle repousse ma main lorsque je veux caresser ses cheveux.
Elle se redresse pour me fixer. Elle a du parmezob aux coins des lèvres. < Espèce de salopard ! > fait elle sèchement.
Elle s'essuie la bouche avec du papier cul. < Vous venez ! Il y a le dessert ! > nous lance t-elle en quittant les toilettes.

Nous prenons notre dessert comme s'il ne s'était rien passé. Juliette évite soigneusement le sujet. Elle parle des chevaux.
Le vétérinaire qui passe demain matin. Les documents comptables à mettre à jour. Nous écoutons, étonnés et consternés.
Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Nous bavardons encore un peu. Cette fois, elle fixe ma braguette ouverte.
Nous nous serrons la main. Elle bouge son doigt dans ma paume. Soudain, elle m'allonge une gifle. < Tiens ! > fait elle.
Ce comportement ne m'étonne pas vraiment. Juliette est une femme autoritaire. Nous rentrons. J'ai la joue qui me brûle.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire brouter la chatte après avoir assisté à de vraies saloperies…

Julien - (Qui offre un merveilleux cunnilingus à Clémentine. Avec la joue qui brûle encore. Un orgasme olympique) -

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Nous sommes trois vicelards heureux

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons juste avant que ne résonne la musique. J'anticipe. J'éteins malgré tout le réveil.
Quelques papouilles et Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous descendons l'escalier.
A la cuisine nous préparons notre copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit déjà vêtus de nos tenues gym.
Nous évoquons notre soirée chez Juliette, hier. Ses attitudes, son comportement, ses réflexes et surtout ses aptitudes.
Nous en rions de bon cœur. < Cette femme est amoureuse de toi. Elle t'en veux de ne pas être libre ! > fait Clémentine.

Nous en avons parlé de nombreuses fois et la vision de Clémentine est certainement la bonne. Je suis moins perspicace.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Je descends le premier. Le jour se lève. Froid.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître.
Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'y allume un beau feu dans la cheminée.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans l'enthousiasme fou.

Il est aux environs de 10 h lorsque l'absurde musique de mon smartphone déchire le silence. Je m'en saisis. Je râle. Qui ?
C'est Juliette. Je suis apaisé. Je mets en mode "haut parleur". Ce qui me permet de pouvoir travailler tout en bavardant.
Juliette se confond en excuses pour son attitude quelque peu "brutale" de hier soir. Je la rassure. Je comprends très bien.
J'écoute attentivement beaucoup plus que je ne parle. Juliette est seule dans son bureau. Elle a besoin d'échanger. Parler.
Tout son développement va une fois encore alimenter le raisonnement de Clémentine qui voit toujours très juste. Raison.

Durant le fil de la discussion, tout ce que m'a encore dit Clémentine ce matin, apparaît assez clairement. Simple déduction.
A plusieurs reprises je précise qu'elle n'a aucunement à se justifier. Juliette est une femme d'excellente compagnie. Sympa.
En riant, je fais : < Une "Dominatrice" n'a pas à justifier ses comportements et ses attitudes. Surtout, ne changez rien ! >
La discussion dure une bonne demi heure. Juliette me propose une récidive vendredi soir. Et il y aura peut-être Mr Gérard.
Je promets d'en parler à Clémentine mais s'en m'engager. Nous nous saluons. Je continue ma peinture. Je pense à Juliette.

Il est midi. Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz. Je lave la salade verte. Assez pour ce soir. Je prépare une pâte à pain.
Je concocte une garniture. Tomates, ciboulette, champignons, ail, oignons, avocat coupé en petits morceaux. Pour la pizza.
Ainsi, pour le repas de ce soir, tout est prêt. Je mange de bon appétit. Même en écoutant les infos, je pense à la discussion.
Juliette est une superbe femme de 42 ans. Une belle bourgeoise indépendante. Si j'étais seule j'en ferai bien ma compagne.
Clémentine le sait. Après une période de craintes bien légitime, elle a surmonté ses appréhensions. Et c'est elle que j'aime.

C'est sur ses considérations que je fais la vaisselle et que je range la cuisine. Je garde en mémoire les propos de Juliette.
< Je serai patiente ! > me fait elle souvent en fin de conversation. Je prends subitement conscience de leurs significations.
Il est 12 h45 lorsque je suis de retour dans l'atelier. Je rajoute deux bûches dans l'âtre. Me voilà assis devant le chevalet.
Je peins dans une sorte d'extase mystique. Une euphorie qui me fait pousser les cris surréalistes les plus invraisemblables.
Du bruit. 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac dans le canapé en se précipitant vers moi. Des bisous.

Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Les cours, les profs, le restaurant universitaire. J'écoute. Bien.
< Je me suis branlée tout le long du retour. Mais je te promets, j'ai roulé doucement et avec prudence ! > me confie t-elle.
Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine a du travail. La voilà installée devant l'ordinateur entourée de ses fiches.
Je lui raconte l'appel de Juliette, la nature de nos échanges et la confirmation de ses supputations. Juliette est amoureuse.
< Je te le dis depuis le début ! Ah ! Les hommes. Ils ne comprennent les choses que tardivement ! > me fait Clémentine.

En fait, je m'en doutais depuis longtemps. Mais c'est pour occulter cette évidence que je feins une certaine indifférence.
Nous en rions de bon cœur. Je ne suis plus obligé de rassurer Clémentine. Elle sait que c'est elle que j'aime. La certitude.
Du bruit. Il est 18 h15. Estelle entre à son tour. Elle se précipite vers moi. J'anticipe. Je pose ma palette et les pinceaux.
Assise sur mes genoux, elle nous raconte ses révisions. Les filles sont rapidement installées devant l'ordi. Comparaison.
Nous travaillons jusqu'aux environs de 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Nous restons un peu à admirer la cheminée.

Les bruits étranges et habituels à l'étage semblent commencer à ce moment de quiétude. Manifestations de sympathies.
C'est l'argument qu'avance Clémentine, médium, pour expliquer cette régularité. Ce que dit Clémentine est toujours vrai.
Je sais pouvoir me fier à son instinct, à ses déductions et à ses conclusions. Ses affirmations se vérifient toujours. Super.
Estelle, qui a passé sa main dans ma braguette, nous pose un tas questions sur ce qui s'est passé hier soir, chez Juliette.
C'est Clémentine qui lui raconte. Nous rions beaucoup. Les déductions d'Estelle rejoignent celles de Clémentine. Raison.

< La gifle, ce n'est pas pour te punir de ton comportement mais parce que tu n'es pas disponible ! > fait Estelle. Silence.
< Exacte ! > s'écrie Clémentine. J'écoute les filles développer un raisonnement qui éclaire quelques zones d'ombre. Bien.
Estelle, qui a sorti ma queue, me la tient à sa base par un anneau qu'elle forme avec son pouce et son index. Fermement.
La faim commence à se faire cruellement ressentir. Nous quittons l'atelier. Estelle m'entraîne en me tenant par la queue.
A la cuisine, nous mettons nos tabliers. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Tout est rapide.

Estelle travaille la pâte. Je réchauffe la garniture. Les filles évoquent les cours. Le début du Week-end demain, vendredi.
Je rappelle que nous sommes invités à passer au haras, demain soir, vendredi et qu'Estelle est la bienvenue. Dixit Juliette.
< Je ne peux pas le vendredi. Je bosse au bureau l'après-midi et le soir je prépare mes cours ! > nous fait Estelle. On sait.
< On pensera à toi ! > lui dit Clémentine. Les pizzas sont au four. Nous passons au salon. Estelle ne me lâche pas la bite.
< Lâche lui un peu la grappe ! > dit Clémentine. < Oh oui, la grappe ! > s'écrie Estelle qui tente de m'extraire les couilles.

Avec juste la braguette ouverte, c'est toujours délicat de me sortir les roubignoles. Il faut passer le doigt juste en dessous.
Estelle, qui est devenue virtuose, glisse son index sous mes roupettes, fait adroitement pivoter son doigt et les fait jaillir.
< J'adore comme ça ! > fait elle en s'éloignant pour constater le résultat. Juste la braguette ouverte. Bite et couilles à l'air.
Clémentine s'écrie : < Miam ! >. Je rappelle aux filles que samedi soir, il y a séance de "Dressage". Le jeu de la soumise.
< T'inquiète ! Je n'ai pas oublié ! > me lance Estelle en se mettant à genoux sur le coussin posé devant moi. Un clin d'œil.

< Moi non plus ! "Maître" ! > rajoute Clémentine qui vient se frotter contre ma hanche. Nous rions de bon cœur. Super.
Estelle, ses mains posées sur mes hanches, renifle les odeurs intimes de ma journée d'homme. Clémentine m'embrasse.
< Phéromones de vicelard ! > fait Estelle qui passe son visage sur ma bite et mes couilles. Je lui caresse la tête. Douceur.
D'un mouvement de tête, Estelle gobe mon sexe qui pend sur les testicules. Présentées ainsi, serrées, elles sont dodues.
Clémentine et moi, nos visages unis, nous observons la pipe d'Estelle. C'est d'une incroyable douceur. J'en ai des vertiges.

Estelle tète, biberonne. Elle a juste le bout du zob entre les lèvres pour mâchouiller le prépuce. Elle me lèche les couilles.
Parfois, elle ouvre les yeux pour me fixer. Elle a un sourire à nous voir ainsi, à la regarder, concentrés sur ce qu'elle fait.
Je lui murmure : < Comme tu es belle, Estelle ! >. Dans un gémissement de plaisir, elle retourne à son tétage de queue.
Clémentine a un très léger mouvement masturbatoire contre ma hanche. Je glisse une main dans son jeans déboutonné.
C'est trempé. Comme elle se masturbe déjà sur la route, en rentrant de cours, il y a des épanchements très abondants.

La sonnerie du four. J'aide Estelle à se relever d'un bond. Nous nous précipitons à la cuisine. Estelle sort les pizzas. Four.
< Les pizzas de la Saint Valentin ! > fait elle en les déposant sur la table. Clémentine remue la salade. Je secoue le Zob.
< Tu vas faire des éclaboussures partout et après il faudra nettoyer ! > fait Encore Estelle en s'accroupissant pour sucer.
Je la force à se relever. Nous passons à table. < La plupart des mecs n'en ont qu'une, toi, tu en as deux ! > fait Estelle.
< Quoi donc, des couilles ? > demande Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Nous sommes tellement heureux.

< Vous savez que ça ne pourra plus jamais être comme ça ? > fait Estelle. < Oui, autant en profiter ! > dit Clémentine.
Nous avons, une fois encore, pleinement conscience de ce privilège qui nous est accordé. Une sublime histoire à trois !
< Je voudrai que ça dure toujours ! > rajoute encore Estelle. < Tu vas pas nous plomber l'ambiance ! > dit Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Beaucoup pour éviter le sentiment inhérent à cette cruelle évidence. Tout n'a qu'un temps.
Nous mangeons de bon appétit. < Bonne fête ! > fait Estelle en mimant une pipe, tournant sa main devant sa bouche.

Nous traînons à table. Nous revenons sur nos aventures. < Si on ne se rappelle plus, on lit les récits ! > rajoute Estelle.
< Oui ! Il suffit d'aller sur le forum pour se remémorer nos frasques et nos extravagances ! > rajoute encore Clémentine.
< Des centaines d'épisodes ! Un jour, je prendrai le temps de tout relire ! > fait Estelle en mimant une branlette. Rires.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous retirons nos tabliers. Estelle me choppe le paquet qu'elle secoue doucement.
Elle m'entraîne aux toilettes. < Il va faire son pissou le monsieur. Et devant les filles, comme un gentleman ! > fait elle.

< Moi d'abord ! > fait Clémentine en descendant ses jeans et sa culotte. Je lui caresse la tête. Estelle m'embrasse. Fou.
Avec la bite et les couilles serrées par l'étroitesse de la braguette, je bande très mou. Et je dois sacrément pisser. Et fort.
Je torche Clémentine. Il y a du jus de fille en abondance au fond du papier cul. J'ai soudain envie de lui bouffer la chatte.
Estelle me tient la bite pour en diriger le jet au fond de la cuvette. Je pisse sans problème. Je termine par de petits jets.
Estelle que cela amuse toujours follement s'est accroupit pour regarder de tout près. Clémentine reste culotte descendue.

Nous en arrivons aux derniers épanchements que savoure Estelle. Elle me suce comme si sa vie en dépendait. C'est beau.
Je caresse le sexe suintant de Clémentine qui m'embrasse avec une passion folle. J'entraîne les filles au salon. Broutage.
Estelle veut absolument continuer sa fellation. Clémentine est enchantée par la perspective d'un cunnilingus académique.
Je suis à genoux à lui bouffer la chatte. Elle est vautrée dans le canapé. Estelle est couchée au sol, à me tailler une pipe.
Nos orgasmes sont fabuleux. Même Estelle s'est branlée. Toutefois s'en s'emmener jusqu'à l'orgasme. Ce sera chez elle.

Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. La séparation est difficile. Voire même cruelle ce soir. Froid.
Je la prends dans mes bras. Je la serre fort. Clémentine est derrière moi, ses bras autour de mon cou à consoler Estelle.
< On est tellement bien ensemble, tous les trois ! > fait Estelle en étouffant un sanglot. Clémentine a des mots consolants.
Nous regardons la voiture disparaître. La nuit. Estelle revient samedi. On s'est promis une soirée "Dressage" inoubliable.
Au lit, Clémentine se blottit contre moi. Elle me chuchote des douceurs qui me pétrissent d'émotion. Nous nous endormons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment tenir la bite d'un mec pour en diriger le jet au fond de la cuvette des WC…

Julien - (Qui se fait nettoyer la queue par Estelle. Une véritable entreprise de nettoyage à elle toute seule. Bite propre) -

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La première exhibe de la saison

Hier matin, vendredi, c'est le concerto pour violon de Brahms qui nos tire du sommeil avec une certaine brutalité. En Do.
< Pas de violon Brahms ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. Dur.
Quelques bisous et Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Elle termine à midi et en est déjà toute fébrile.
Nous dévalons l'escalier à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner. Et nous faisons les clowns.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Depuis deux jours les après-midi sont ensoleillés et presque chauds.

Le début du Week-end, la perspective d'un nouvel après-midi printanier, il n'en faut pas plus pour que Clémentine rayonne.
Nous remontons nous offrir notre heure de gymnastique. < Et bientôt les joggings ! > me fait Clémentine en m'entraînant.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Nous sommes le 15 février. Il y a le froid.
Clémentine me rejoint chaudement vêtue. La réalité est toute autre, il fait un froid glacial. Un dernier bisou, dernier coucou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le jour s'est levé. Déjà 7 h45. Clémentine revient pour midi. C'est bien.

Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Dehors le ciel est bleu, lumineux.
Je peins dans la sérénité rassurante du vainqueur. Cette dix septième toile destinée à ma saison d'été, sera finie pour midi.
Je réalise ce matin les visages des trois personnages de la scène de genre. J'ai fixé ma loupe frontale. J'apprécie la minutie.
Il est 11 h45 lorsque je dépose le dernier point minuscule de peinture sur le lobe de l'oreille du protagoniste de droite. Joie.

Je dépose cette toile achevée sur l'autre chevalet afin qu'elle puisse y sécher sans risque. Je dépose une toile vierge en lin.
Je nettoie mon matériel. Jamais je n'ai encore connu la satisfaction immense d'avoir un stock de dix sept toiles en février.
J'aurai mes trente toiles pour le début du mois de mai. Tout ce bon temps qui m'attend me fait pousser des cris et danser.
Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du millet doré. Je concocte une sauce au Roquefort. Je fais frire des queues de Homard.
Clémentine arrive. Dehors il y a un généreux soleil et la température avoisine les 17°. Clémentine me saute au cou. Bises.

Je la soulève. Je la fais tournoyer. < Je t'aime Julien ! Je suis la plus heureuse du monde ! > fait elle avec plein de bisous.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Les belles dernières endives. Et en me racontant sa matinée.
Sur les queues de homard je rajoute du paprika doux, de l'ail, de l'oignon finement émincés. Un peu de ciboulette. Poivre.
Le millet a gonflé. La sauce au Roquefort mijote. Clémentine m'entraîne à la fenêtre, serrés l'un contre l'autre. C'est bon.
< Cet aprème ? Vélo ? Juste un petit tour ? Tu veux bien ? > me chuchote t-elle. Je dis : < Mais bien sûr ! Bonne idée ! >

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le repas est délicieux. Les queues de homards ainsi préparées, régal.
Par association d'idée nous en venons à évoquer Pierre, le mari de madame Walter, et que Juliette appelle son "homard".
C'est à cause de sa poigne qui fait penser à des pinces nous a t-elle expliqué un jour. Curieuse comparaison. Le crustacé.
< Sa queue n'est pas celle d'un homard mais n'est pas sans rappeler l'eau de mer ! > fait Clémentine qui y a déjà goûté.
Nous rigolons comme des bossus. Ce sont des comparaisons tellement saugrenues qu'elles en sont absurdes et délirantes.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues. Il est à peine 13 h.
Même s'il y a du soleil, nous sommes le 15 février. Il faut s'habiller chaudement. Leggings, sweats, K-ways, les bonnets.
Nous sortons. Il fait presque trop chaud ainsi vêtus. Nous allons au garage. Nous décrochons les bicyclettes. Les bâches.
Je vérifie le gonflage des pneus. J'ajuste la pression. 4,5 bars. Dans le petit sac à dos, barres de céréales, pommes, eau.
Nous voilà partis. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Quelle joie étrange d'êtres déjà sur nos vélo. Surréaliste.

Nous rejoignons la piste cyclable. Quelle surprise. Nous croisons déjà quantité de cyclistes aussi téméraires que nous. Joie.
Il y a même déjà des jeunes femmes en rollers. Nous ne sommes donc pas les seuls fous. C'est extraordinaire. La douceur.
Nous pédalons contre un léger vent de sud. Ce qui contribue à créer cette douceur étrange. Il y a même quelques insectes.
Pas de doute, le climat est quelque peu anarchique. Nous roulons en bavardant. Nous retirons même nos bonnets. Dingue.
Clémentine en est toute fébrile. < Enfin ! > s'écrie t'elle en se redressant sur son vélo pour remuer du cul et faire le pitre.

La tentation est trop forte. Nous nous arrêtons au cabanon de l'écluse. La végétation reste encore celle du mois de février.
Le contraste entre le ciel immensément bleu, le soleil radieux et la végétation est saisissant. Anachronique. C'est insensé.
Je reste à l'écart, planqué à l'angle du cabanon. Le sol est humide et il y a de la boue. Il faut faire attention. Je fais gaffe.
Clémentine a traversé la passerelle métallique. Elle est de l'autre côté du canal, entre les bosquets habituels. Elle scrute.
Je l'ai tant vu dans ces situations. Pourtant c'est à chaque fois une première. Dissimulée, penchée en avant, elle observe.

Nous nous faisons des signes, grimaces, Clémentine, cambrée sur ses genoux fléchis, mime une masturbation masculine.
Là-bas, il y a un cycliste qui se pointe. Il est seul. Clémentine descend son legging, s'accroupit, se met en position pissou.
Je regarde à gauche. Je regarde à droite. Mon rôle est de surveiller. De sécuriser. Je lève mon pouce pour signifier " OK".
Clémentine, les cuisses largement écartées, legging et culotte aux chevilles peut se livrer à sa première exhibe de l'année.
C'est la première vraie démonstration 2019. Aussi, elle veut vivre ça en situation extrême. Ressentir ses frissons préférés.

Le type arrive à la hauteur de la fille qu'il découvre ainsi. C'est un sénior. Il s'arrête, met pied à terre et observe en silence.
Ce spectacle extraordinaire ne le laisse pas indifférent. Pour lui aussi la saison s'annonce sous les meilleures auspices. Fou.
Clémentine a une méchante envie de pisser. Comme toujours, avant nos virées, elle s'abstient de pisser pour se "préparer".
Malgré cet impérieux besoin, à cause de l'excitation, il lui est impossible de se soulager. La position suffit toutefois à sa joie.
Le type regarde à droite, à gauche. Pas un chat. Il sort sa bite. Une sorte de lance à incendie de belle facture. Longue. Fine.

Je n'ai pas le temps de la voir davantage. Le bougre se met face à la fille. Je vois juste son bras qui bouge. Mécaniquement.
Clémentine garde sa position. Equilibre parfait. Mains posées sur ses cuisses. La tête relevée, ses lunettes noires de soleil.
Elle fixe effrontément le mec qui doit se pignoler comme le dernier des satyres de campagne. Il descend même son collant.
Il me tourne le dos, son cul tout blanc. C'est un peu ridicule. Je vois bien Clémentine. Je sais qu'elle vit là un moment fort.
Elle attend toujours les premiers beaux jours avec tant d'impatience. Premiers beaux jours, premières exhibitions. Fameux.

Moi aussi j'ai sorti mon Zob pour me branler. C'est hyper excitant. Les privilégiés qui ont une telle compagne, comprennent.
De ma cachette, je ne comprends rien des propos qui s'échangent mais je vois Clémentine bavarder avec le masturbateur.
Je la vois même éclater de rire. Elle prend appui sur le bras droit, sa main posée au sol derrière elle pour écarter davantage.
C'est fantastique. Une fille aussi vicelarde, là, en pleine cambrousse, reste un enchantement paradisiaque pour tout homme.
Et notre quidam a certainement conscience du privilège qui lui est accordé. Clémentine se met enfin à pisser. C'est dingue !

Je connais bien la puissance de ses jets. Je m'en prends tellement souvent en pleine poire. Mais là, c'est prodigieux. Geyser.
Le jet est projeté à quelques mètres. Il tombe au fond de l'écluse à quelque cinq mètres plus bas. Le type se branle à fond.
Clémentine, qui vit un instant exceptionnel, lâche plusieurs jets qu'elle contrôle à la perfection. Un spectacle féérique. Grand.
Notre "Victime" doit probablement éjaculer. Je le vois se cambrer en avant. Je l'entends pousser un cri. C'est immense. Fou.
Pourvu que ce sexagénaire athlétique ne nous fasse pas un infarctus. Il tombe à genoux. On peut le comprendre. Le pauvre.

Clémentine, quand même inquiète, se redresse. Elle se torche avec le mouchoir en papier. Elle remonte ses vêtements. Ouf.
Elle traverse la passerelle pour s'approcher de notre gaillard qui se redresse péniblement. Il semble rassurer la jeune fille.
Je les vois bavarder. Il relève son vélo. Là-bas, il y a un groupe de cyclistes. Il remonte son collant noir. Et il semble confus.
Clémentine lui tend le mouchoir en papier. Notre pauvre bougre s'en saisit. Il remonte sur sa bicyclette. Un signe de la main.
Nous le regardons s'éloigner. Je rejoins Clémentine. Elle me montre la flaque de sperme parterre sur le macadam. Quantité.

Clémentine sort le smartphone du sac à dos que je porte. Elle s'accroupit pour prendre une photo de la flaque de foutre.
Je n'en ai jamais vu une telle quantité. < De quoi bouffer pour la semaine ! > fait Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
Je félicite Clémentine pour son premier véritable show de l'année. < C'était magique ! > me fait elle en prenant ma main.
Elle se la fourre dans sa culotte. C'est trempé. Je lui dis : < Ce soir, je te fait un léchage de chatoune comme jamais ! >
En selle. Nous retournons. Il est déjà 16 h et la fraîcheur se fait cruellement ressentir. C'était magique. Un moment de joie.

Il est 17 h lorsque nous sommes de retour à la maison. Nous rangeons les vélos. Nous restons encore un peu dans le jardin.
Nous faisons le tour de la propriété. Max, le chien des Bertrand se balade. Il vient nous saluer. C'est un énorme Doberman.
Silencieux, agile, il fait son petit tour. Il est affectueux et joueur. C'est un jeune chien. Mais un redoutable gardien. Super.
< On reste à la maison ce soir ! Je n'ai plus envie de sortir ! > me fait Clémentine en serrant dans mes bras. Je la soulève.
Le soleil commence à baisser au dessus des arbres. Il commence à faire froid. Nous rentrons. Il est 18 h. Un peu de boulot.

Nous restons en tenues vélo. Nous voilà dans l'atelier. Clémentine est devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Sympa.
Je commence le dessin préparatoire de ma dix huitième toile. Une nature morte. Et nous travaillons ainsi jusqu'à 18 h45.
La faim se fait ressentir. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Ce soir, gratin de spaghettis avec sauce au pistou.
Considérablement excités, nous n'arrêtons pas de nous tripoter. Nous mangeons de bon appétit. Et nous traînons à table.
J'offre un cunnilingus d'exception à Clémentine au salon. Son orgasme est fabuleux. Nous sommes épuisés. 22 h30. Dodo.

Bonne virée à bicyclette à toutes les coquines exhibitionnistes que se réjouissent des premières opportunités…

Julien - (Heureux privilégié qui partage la vie d'une adorable exhibitionniste. Mais que peut-il arriver de mieux ?) -

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Une soirée troublante

Hier matin, samedi, je suis réveillé par des bisous déposés délicatement sur mon visage. Et on me murmure des douceurs.
Je serre Clémentine contre moi sans même ouvrir les yeux. Nous restons ainsi à chuchoter des mots emplis de tendresses.
Jusqu'à l'instant extrême où l'envie de pisser met un terme à nos effusions. Nous nous précipitons aux toilettes. Libérateur.
Il est 7 h30. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine déjà revêtus de nos tenues de jogging. Il fait presque jour.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en bavardant. C'est le Week-End mais c'est aussi vacances.

Il est presque huit heures lorsque nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants pour aller affronter le froid du dehors.
Il faut courir vite dès le départ afin de se réchauffer. C'est tellement agréable que la fraîcheur est très secondaire. Superbe.
Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour pour prendre une douche bien méritée. Il est déjà 9 h15.
Nous nous habillons chaudement. Pas encore question de mettre les jupettes qui font tant envie à Clémentine, dès le soleil.
Et du soleil, il y en a en ce 16 février. Ce sont même des après-midi exceptionnelles où nous pouvons faire de la bicyclette.

Par contre, Clémentine met son legging "trafiqué". Celui où elle a soigneusement décousu l'ouverture de dix centimètres.
Là, juste à l'entrejambes. Les lèvres de son sexe qu'elle fait dépasser. C'est invisible lorsqu'elle est debout, avec un anorak.
Mais là, accroupie à ma droite, me tenant par la jambe, sa tête appuyée sur ma cuisse, les siennes écartées, on voit super.
< C'est à votre convenance, "Maître" ? > fait elle. Je dis : < C'est fameux, adorable "Soumise" ! > Nous rions de bon cœur.
Je porte des jeans. Nous mettons des sweats et des pulls. Clémentine porte ses bottines noires à talons. C'est hyper sexy.

Anoraks, bonnets. Nous voilà en route pour aller faire notre marché au bourg voisin. Je roule doucement. J'ai la bite à l'air.
Je caresse les lèvres du sexe à Clémentine qui dépasse du legging. C'est absolument génial et très excitant. Je suis délicat.
Trois petits kilomètres. Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. Il fait moins froid que ce matin. Plus de bonnets.
Nous faisons provisions de fruits, de légumes, de produits laitiers chez nos artisans habituels. Je porte les sacs bien lourds.
< Impossible d'avoir la chatte en feu avec cette fraîcheur ! > me fait Clémentine de retour à l'auto. Je touche. C'est froid.

Treize petits kilomètres et nous arrivons à la zone commerciale. Je gare l'auto sur le parking. Et il y a beaucoup de monde.
Je pousse le caddie. Il fait encore meilleur. Nul doute, nous allons vers une journée encore plus agréable que celle de hier.
Clémentine, la liste des courses à la main, m'entraîne dans les rayons qui nous concernent. Il faut louvoyer avec le chariot.
Clémentine choisi les articles qu'elle me montre avant de les déposer au fond du caddie. Elle déniche les promos, les soldes.
Parfois, et rien que pour moi, elle s'accroupit devant un rayon, cuisses écartées pour me montrer sa chatte. Et c'est gonflé.

Clémentine nous entraîne au rayon "culture". Il y a peut-être là une opportunité d'exhibitions discrètes et tant excitantes.
Hélas il y a un monde fou. Comme si tous les clients s'étaient donnés rendez-vous devant les livres, albums et magazines.
Nous allons faire un tour au rayon des vêtements homme. Là. Un type seul. C'est un black. Il regarde un costume. Veste.
Je reste en retrait. Clémentine s'approche. A environ deux mètres, elle pousse le caddie contre les rayon. Ça fait "écran".
Là, accroupie, Clémentine fait mine de regarder les chaussettes. Le type remarque très rapidement cette belle jeune fille.

Surtout que tournée de trois quart, cuisses légèrement écartées, elle offre à la vue les lèvres de son sexe. On voit les poils.
Pas de chance. Il y a une jeune femme blonde qui vient rejoindre l'inconnu. Clémentine se relève rapidement. Le type a vu.
Elle vient me rejoindre. < Dommage ! > murmure t-elle. Discrètement, et entre deux alignements d'anoraks, je "contrôle".
Je palpe sa chatte. C'est chaud, peut-être humide. Clémentine a un réflexe. < Encore ! > dit elle en attrapant ma main.
C'est génial de saisir les lèvres charnues de son sexe et de les tirer vers le bas, discrètement, alors qu'il y des gens partout.

Nous continuons nos courses. Rayon poissonnerie et le passage en caisse. Nous déambulons dans la galerie commerciale.
Clémentine, comme chaque samedi, décline ma proposition de manger à la cafétéria. Trop de familles de Simpson. Bruits.
Nous rentrons. Dans la voiture, tout en roulant doucement, je peux toucher le sexe de Clémentine. Elle me tient la main.
< C'est bon ! > gémit elle en se tortillant, cuisses largement écartées, tout en guidant ma main par le poignet. Superbe !
Il est 12 h30 lorsque nous sommes de retour. Nous rangeons les courses. Nous revêtons nos tabliers. Préparer la bouffe.

Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare le bouillon pour faire cuire les moules. Des patates.
J'épluche plein de pommes de terre. Pour midi et pour le gratin de ce soir. Tout va vite. Nous n'arrêtons pas de nous tipoter.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous changer.
Tenues vélo. Leggings, (sans trou), sweats. Nous montons au grenier avec le radiateur électrique. Je le branche. C'est bon.
Ce soir, pour la séance de "Dressage", il fera bien chaud. Clémentine descend pour aller chercher la caméra et le trépieds.

Je balaie un peu. Clémentine remonte avec des cordelettes, les menottes, le collier canin, la laisse et les genouillères. Bien.
Tout est prêt. Nous redescendons en faisant les clowns. Dehors, il fait presque doux. Nous sortons les vélos du garage. Joie.
Nous prenons le chemin qui va vers la rivière. Nous traversons le pont. Le chemin qui va à la piste cyclable. Il y a du soleil.
Pas besoin de bonnet ni de gants. C'est extraordinaire. Nous croisons quantité de cyclistes, de filles en rollers, de joggeurs.
Nous pédalons contre un léger vent de sud ouest. Il nous poussera au retour. Super. Il y a autant de gens qu'en plein été.

Pas d'arrêt au cabanon de l'écluse. Ce serait trop risqué. C'est un peu frustrant. Et nous voulons aller au port de plaisance.
Il est 15 h15 lorsque nous y arrivons. Les bateaux sont encore pour la plupart bâchés. Il y a déjà les pétanqueurs. Super.
D'autres gens à vélo qui sont assis un peu partout. Et cette météo exceptionnelle participe d'un enchantement surnaturel.
Il y a ce cycliste seul, qui regonfle la roue avant de sa bicyclette. Je reste en retrait. Clémentine s'approche, promeneuse.
Marchant doucement, les bras croisés, les cheveux défaits, portant ses lunettes noires de soleil, elle passe et repasse. Joie.

C'est un jeune type, la trentaine. Il regarde à plusieurs reprises cette grande jeune fille athlétique qui passe là, à proximité.
Il engage la conversation. Clémentine s'arrête. De ma planque, je n'entends rien des propos qui s'échangent. Ils bavardent.
Mon sang ne fait qu'un tour. Probablement que celui de l'inconnu aussi. Clémentine, tout en parlant, se touche. Grandiose.
Tout en bavardant, la main droite entre les cuisses, la main gauche sur la hanche, Clémentine s'offre là quelques frissons.
Il faut être sacrément gonflée pour avoir ce genre d'attitude devant un parfait inconnu. Clémentine est sacrément gonflée.

Le gaillard est embarrassé. Je le vois bien. Il y a d'autres gens. Clémentine, discrète et virtuose, sait adroitement en jouer.
Personne ne se doute de ce qui se trame ici, près du muret, derrière la rangée de vélos attachés aux cadenas et les bancs.
La situation perdure. Le garçon est un gentleman. Il n'a aucune attitude équivoque. Contrairement à la jeune fille coquine.
J'admire une fois encore cet aplomb dont fait preuve ma délicieuse compagne. Je bande. Impossible de sortir ma bite. Dur.
J'aime me branler pour mâter depuis mes cachettes. Clémentine s'exhibe autant pour son plaisir que pour le mien. Un jeu.

Depuis quelques minutes, Clémentine a un léger mouvement du poignet qui ne laisse aucun doute quand à son agissement.
Elle se masturbe en discutant avec ce parfait inconnu que je devine habité d'un embarras qui semble le tétaniser. Coquine !
Il y a un autre mec qui arrive. Sans doute un copain de la "VP", (victime potentielle). Clémentine salue le type et s'éloigne.
< Tu ne devineras jamais ! C'est un diacre ! > fait Clémentine. Nous rions de bon cœur de ce coup pendable. Quelle salope.
Clémentine rajoute encore : < Il va peut-être revoir sa vocation ! >. Nous rigolons comme des bossus. Il nous faut repartir.

Il est presque 16 h. La fraîcheur commence à se faire ressentir. Nous enfilons nos K-ways. Nous pédalons à toute vitesse.
Le vent nous pousse. Il est 17 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Nous rangeons les vélos. Nous restons un peu dehors.
Estelle qui arrive. Elle gare la voiture d'entreprise devant le garage. Elle nous voit. Elle sort son sac de sport. Des coucous.
Nous nous rejoignons pour nous faire plein de bisous. Nous sommes contents de nous revoir. Nous rentrons vite au chaud.
Nous voilà au salon. Estelle nous raconte sa journée au bureau de l'entreprise familiale. Nous lui racontons notre aventure.

Nous sommes encore en leggings. Estelle est en jeans, chemise à carreaux et baskets. < Une superbe bosse ! > me fait elle.
Elle met sa main sur mon sexe parfaitement moulé sous le lycra de mon legging noir. < C'est chaud ! > rajoute t-elle. Rires.
Je me fais tripoter. Je lui dis : < Ta main est bien chaude aussi ! >. Elle la glisse dans mon slip. < Et comme ça ? > dit elle.
Je tiens son poignet. Elle me fait un bisou sur le bout du nez. < Si je dérange ! > fait Clémentine en lui retirant la main. Jeu.
La faim commence à se faire sentir. Il est 18 h45. Nous allons à la cuisine. La salade est déjà lavé. Et les patates déjà cuites.

Estelle râpe du gruyère de Comté. Clémentine fait l'assaisonnement. Je pane trois filets de saule. Chapelure, œufs, fromage.
Les filles évoquent les vacances. Le programme de révision. La semaine de congé sera tout de même intense. Leurs études.
Estelle sera là tous les soirs et souvent déjà l'après-midi. De quoi se réjouir. Le gratin de patates est au four. La table mise.
Nous montons nous changer. Les filles revêtent leurs jupes kilt. Un chemisier blanc sous un fin pull noir en coton. Elégantes.
Elles ne portent pas de culotte. Même Estelle n'en porte pas. Ce qui est rare. Souliers noirs, fermés et à talons hauts. Sexy.

Sur leurs demandes, je porte mon pantalon moulant en cuir noir, ma chemise blanche aux manches bouffantes, les bottes.
< Mon mousquetaire ! > fait Clémentine en nous entraînant devant le miroir. < On est beaux tous les trois ! > fait Estelle.
Elles s'accroupissent. Clémentine à droite, Estelle à gauche. Elles me tiennent la jambe. Les têtes en appuies sur ma cuisse.
Elles ont les cuisses largement écartées. < Cela vous convient-il "Maître" ! > demande Clémentine. Nous rions de bon cœur.
Je réponds : < Vous êtes les deux plus merveilleuses "Soumises" de la création ! >. Je les tiens toutes les deux à la nuque.

La sonnerie du four se fait soudain entendre jusqu'à l'étage. Nous descendons rapidement mais prudemment l'escalier. Joie.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous ne traînons pas. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Tout va vite.
Pressés de nous offrir notre soirée nous remontons rapidement. Les filles m'entraînent par la main. Nous montons au grenier.
La grande pièce du fond est bien chaude. Le radiateur électrique a fonctionné tout l'après-midi. Les filles sont ravies. Super.
Clémentine vérifie le fonctionnement de la caméra. Estelle sort la petite boîte en plastique contenant la carte SD de sa poche.

< J'ai tout prévu ! > fait elle en ouvrant la boîte transparente et en agitant la carte SD. Clémentine la glisse dans la caméra.
Elle me dit : < Ce soir, il va falloir penser à plusieurs choses en même temps ! >. Je la rassure. Je ferai le nécessaire. Bien.
Au sol, j'ai disposé de grandes bâches de plastique. Estelle est accroupit, les mains posées sur ses cuisses écartées. Silence.
Clémentine qui a mis son masque, un loup à dentelles noires, se met à ses côtés dans la même position. Elles me regardent.
Elles sont merveilleuses. Comme des sœurs jumelles. C'est émouvant autant qu'excitant. Je prends la caméra. Et je l'allume.

Je tourne autour des filles pour les filmer sous tous les angles. Elles restent silencieuses à fixer l'objectif. Elles se touchent.
Je pose le trépieds. La caméra orientée vers nous, je passe derrière les filles que je saisis par leurs cheveux. Et fermement.
Je les tiens devant la caméra. Je les pousse en avant. Elles tombent à genoux. Je maintiens leurs têtes bien dans l'axe. Jeu.
Je les lâche. J'oriente la caméra. Côté. Je passe devant les filles. Je mets une gifle à Clémentine. Je mets une gifle à Estelle.
Clémentine vérifie que son masque reste en place. Seconde gifle. Je sors ma bite. Elle est molle et flasque. Je bande mou.

Je frotte ma queue sur le visage d'Estelle. En insistant bien partout. Je fais de même à Clémentine qui soulève les dentelles.
J'ai envie de pisser depuis le retour de la virée vélo. Je me garde encore un peu. J'enfonce la bite dans la bouche d'Estelle.
Pour les besoins du film, Estelle tente de m'en empêcher. Elle détourne la tête. Je la saisis d'une poigne de fer. Les cheveux.
J'arrive tout de même à la lui enfoncer. Je la regarde sucer tout en tentant de me repousser. Et je fais pareil à Clémentine.
Les gémissements ne laissent aucun doute quand aux plaisirs que prennent les filles à vivre une nouvelle fois ces moments.

Je force Estelle à se redresser. Je l'emmène sous la poutre centrale. La faitière. Clémentine oriente la caméra correctement.
Elle ne perd pas le nord. J'apprécie. J'attache les poignets d'Estelle à la poutre, au dessus de sa tête. Je lui remets une gifle.
Je saisis Clémentine par sa tignasse pour l'entraîner à côté d'Estelle. Je lui attache les poignets de la même manière. Super.
La caméra filme sous le meilleur angle. Je passe derrière les filles pour leur passer les mains sous les jupes. Je suis vulgaire.
Je leur fais les fesses, la chatte. Leurs corps sont parcourus de spasmes, de tremblements. Je les touche comme un pervers.

A plusieurs reprises, je les tiens sous le menton et par la nuque pour les forcer à fixer la caméra. Belles vicieuses exhibées.
Je bande comme un priapique en phase terminale. Je passe derrière Estelle. Je contrôle. Son sexe est trempé et ruisselle.
Je me cambre. Je lui enfonce doucement le bout de la queue. < Aïe ! > s'écrie t-elle. Estelle est tellement étroite. Prudence.
Je la baise. Je tiens sa jupe relevée. Je tripote ses tous petits seins dont la pointe est turgescente. Elle en miaule de plaisir.
De se faire baiser ainsi, devant la caméra, est une grande première. Clémentine me tend les fesses. Regard implorant. Joie.

Tout en me secouant dans Estelle avec toute la vulgarité possible je dis à Clémentine : < Attends, salope, je te baise ! >
Je me retire d'Estelle pour passer derrière Clémentine. Là, ça rentre un peu mieux même si je reste très prudent. Douceur.
Je m'agite dans Clémentine de la même façon. Je repasse dans Estelle. Les filles en gémissent de bonheur, livrées, offertes.
Je chuchote les pires saloperies à l'oreille de chacune de façon à ce que l'autre entende. Je me comporte là en vrai pervers.
De quoi mettre les filles dans tous leurs états. Je ne les ai jamais vu aussi folles de joie. Elles se font baiser à tour de rôle.

Je cesse. J'ai trop mal aux lombaires. Par derrière, la position n'est pas confortable. Et je leurs fouille le cul de mes doigts.
Je m'accroupis pour scruter. Elles ont toutes les deux du jus qui ruisselle à l'intérieur de leurs cuisses, couvertes de frissons.
Estelle a les jambes écartées autant que le lui permet sa position, sur la pointe des pieds à me tendre le croupion, cambrée.
Sous son masque, le regard de Clémentine est prodigieusement vicieux. Des larmes lui en coulent. Et j'enfonce mes doigts.
Je les masturbe à toute vitesse. J'appui sur leurs vessies par l'intérieur. C'est Estelle qui secoue son corps avant de pisser.

Elle a beau écarter ses jambes, de la pisse dégouline sur ses mollets, gicle sur la bâche de plastique. Quelle quantité. Fou.
Voilà Clémentine qui se lâche dans un cri. Elle pisse tout ce qu'elle peu. Elle qui aime contrôler ses jets en est incapable là.
J'ai les bras de ma chemise trempés. Il y a de la pisse partout. Les filles sont debout dans une véritable flaque. Une marre.
Je repasse derrière chacune pour m'introduire à nouveau. C'est un concerto de gémissements, de cris, de gloussements.
Estelle respire fort. Comme si elle avait des difficultés à reprendre son souffle. Clémentine hurle de plaisir à chaque baise.

Je détache Estelle qui s'écarte pour tomber au sol loin de la bâche. Plancher poussiéreux. Elle doit reprendre ses esprits.
Je détache Clémentine qui tombe dans mes bras en s'écriant : < Je t'aime comme une folle ! >. Estelle fait : < Idem ! >
Le signal indique que la carte SD est pleine. Dommage. Une heure de baise effrénée qui nous ont tous les trois épuisé.
J'aide Estelle à se relever. < C'était génial, Julien, je t'aime ! > me fait elle. Clémentine reste serrée contre moi. Douce.
Nous descendons à la salle de bain. Les filles ont les jambes ruisselantes de pisse. J'ai la bite dégoulinante de foutre épais.

Nous nous lavons en riant beaucoup. Je félicite les filles pour leurs ardeurs, leurs motivations et leurs performances. Vice.
Nous restons longuement blottis tous les trois à nous regarder dans le miroir. Clémentine à gauche, Estelle à droite. Bises.
< Je fais le montage du film pour samedi prochain ! > fait Estelle. < On est déjà pressés d'y êtres ! > répond Clémentine.
Nous allons nous coucher. Estelle m'avoue avoir eu deux orgasmes. Clémentine un seul. < Et toi ? > me demande Estelle.
Je dis : < Je me garde pour demain ! >. < Pas question ! > s'écrie Clémentine qui passe sous les draps. Estelle s'endort.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment jouer la fille livrée aux mains vicelardes d'un pervers pour rire…

Julien - (Qui doit interpréter le "Maître", le "Pervers", le salaud, le vicelard. Tout en orientant la caméra et en niquant) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 703 -



Les filles se touchent. On se masturbe...

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par plein de bisous que l'on dépose sur mon visage. On se frotte contre ma hanche.
J'ouvre les yeux. Clémentine me murmure des douceurs. Estelle a passé une de ses jambes sous moi pour se frotter fort.
Dans un mouvement masturbatoire, elle me chuchote : < Comme c'était bien hier soir ! >. < Sublime ! > fait Clémentine.
Je passe mes bras autour de leurs épaules pour les serrer contre moi. Estelle n'arrête pas de se frotter contre moi. Branle.
Nous restons ainsi un moment. Douceur. Estelle se lève la première. < Pipi ! > s'écrie t-elle en se précipitant aux toilettes.

Elle revient. Debout dans l'encadrement de la porte, une main entre ses cuisses, elle fait : < Je vais faire le petit déj ! >
Estelle, dans son pyjama de soie mauve, descend à toute allure. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes.
Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches.
Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine, par jeu, s'interpose en prenant sa place. Et nous sommes morts de faim.
C'est dans une odeur de brioche, de pain grillé et de café que nous prenons un copieux petit déjeuner tout en bavardant.

Le dimanche, pas de sport. Nous traînons à table. Il est à peine 8 h. A l'extérieur le ciel est déjà bleu, clair, très lumineux.
Les filles évoquent les vacances qui se profilent. Elles pourront surtout les mettre à profit pour être à jour dans les cours.
Le second trimestre étant loin d'être de tout repos. Nous mangeons de bon appétit. La brioche, un "Chinois", est un régal.
Estelle pose sa main sur la mienne et me dit : < C'est la première fois, hier soir, que la baise m'a procuré un orgasme ! >
Je la regarde un peu surpris. Je sais bien que la baise ce n'est vraiment pas son truc. Etroite, ses sensations sont limites.

Clémentine lui fait : < Il faut un début à tout ! Maintenant tu en voudras tout le temps ! Julien, c'est mon mec à moi ! >
Nous rions de bon cœur. Estelle se lève. Coince le coin de table entre ses cuisses, prend appui de ses mains et se branle.
< Il y a toujours tout un tas d'autres possibilités et elles me conviennent parfaitement ! > répond Estelle tout en frottant.
< Tu as déjà réussi comme ça ? > demande t-elle à Clémentine qui se lève pour se coincer le coin opposé. C'est superbe.
Je me lève à mon tour pour poser mes organes génitaux sur le troisième coin. Nous nous frottons tous les trois en riant.

< Il reste un quatrième coin ! > fait Estelle. < On invite Juliette ! > fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
Nous continuons à nous régaler. Alternant brioche et pain grillé beurré. Le dimanche matin, c'est "ménage". C'est le rituel.
Estelle se propose de passer l'aspirateur partout et de faire le salon. Clémentine s'occupe de la chambre. Et moi la cuisine.
La vaisselle. Chacun vaque à sa tâche. J'entends Estelle chantonner tout en passant l'aspirateur. J'en suis pétri d'émotion.
Je nettoie la cuisine. Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère. Je m'apprête à monter. Je passe devant la porte.

Estelle, debout dans l'encadrement, une main entre ses cuisses, légèrement cambrée sur ses genoux fléchis fait un sourire.
< Je ne vais plus arrêter aujourd'hui ! A moins que tu ne me fasses comme hier soir ! > fait elle en se serrant contre moi.
Je la soulève à nouveau pour la faire tournoyer. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. Elle se masturbe contre moi.
Je lui murmure : < Tu es la plus délicieuse des salopes ! >. Elle me couvre le visage de bisous sans cesser de se masturber.
Je la dépose au sol. Je lui prends la main. < Viens ! >. Je l'entraîne à l'étage. Nous rejoignons Clémentine qui termine le lit.

Clémentine est déjà habillée. Il fait froid. Les fenêtres sont ouvertes. Nous nous habillons. Nos jeans, chemises à carreaux.
Je ramasse le tas de draps sales. Je vais à la salle de bain. Estelle commence à passer l'aspirateur. Clémentine me rejoint.
Je nettoie le bac à douche et le bidet. Clémentine fait le lavabo et les miroirs. Je lui raconte ce qui s'est passé avec Estelle.
< C'était tellement bon hier soir et tu es tellement doux. Comment pourrait-il en être autrement ? > murmure Clémentine.
Elle rajoute : < A coup sûr, Estelle a découvert un nouveau truc. La levrette, debout, penchée en avant, attachée ! >. Rire.

Clémentine me dit encore : < On était tellement excitées hier soir par la situation, la caméra, les choses étaient simples ! >
C'est vrai que j'ai pénétré les deux filles, par derrière, dans une situation inconfortable, avec une certaine facilité. Si simple.
Certes, comme le plus souvent, je n'ai introduis que l'extrémité de mon sexe. Surtout chez Estelle. J'ai senti que c'était dur.
Clémentine m'embrasse avec fougue. Elle prend le panier à linge pour descendre. Je nettoie les chiottes de l'étage. Rapide.
Je suis penché en avant, les mains gantées dans la cuvette à frotter lorsqu'Estelle arrive silencieusement par derrière. Joie.

Comme toujours, elle me choppe les couilles par derrière, au travers l'épais tissus de mes jeans. C'est presque douloureux.
< Je t'aime Julien ! > me chuchote t-elle en passant son autre main dans ma braguette toujours ouverte. Elle tient ma bite.
Je ne peux pas utiliser mes mains. Aussi, Estelle me roule une pelle d'enfer. Nous en bavons. Il y a encore le goût brioché.
< Tu me baises un peu ? > me murmure t-elle. Je me redresse. Je tire la chasse. J'enlève mes gants. Je le repousse. Doux.
Je dis : < On descend ! Viens ! >. Je l'entraîne par la main. Je la prends sur le dos et nous rejoignons Clémentine à la cave.

Une machine tourne déjà. Nous trions le linge. Je montre sa culotte à Estelle. Je dis : < Regarde ! T'as pas honte ! >. Rires.
< C'est ta faute ! Après je mouille toute la nuit ! > me fait elle en se serrant contre ma hanche et pour se frotter à nouveau.
Nous rions de bon cœur. Elle me montre l'intérieur de mon slip en disant : < C'est pas mieux ! >. C'est une vraie rigolade !
Je remonte le premier. Le pavé de saumon et la pâte feuilletée ont décongelé. Il est onze heures trente. Estelle me rejoint.
Elle se coince le coin de la table une nouvelle fois, entre ses cuisses, imprimant un mouvement masturbatoire à son bassin.

Je passe derrière elle. Je pose mes mains sur ses seins minuscules. Je frotte mon sexe contre son cul. Clémentine arrive.
< Voilà, j'ai le dos tourné deux minutes et sa copule ! >. Nous rions aux éclats. Clémentine s'interpose pour se serrer fort.
Estelle s'occupe d'émincer finement le pavé de saumon, de l'ail, de l'oignon et des champignons. Je prépare une Béchamel.
Clémentine lave une grosse salade verte et prépare l'assaisonnement. Le feuilleté de saumon est au four. La table est mise.
Nous sortons dans le jardin. Il fait une incroyable douceur au soleil. Un 16 février qui restera sans doute dans les records.

Nous faisons le tour de la propriété. Le sol est humide. Il faut rester sur les dalles, marcher sur les cailloux. Eviter l'herbe.
Estelle n'arrête pas de se toucher. Elle a une main dans ses jeans. Clémentine fait de même. Je n'ai plus qu'à faire pareil.
Nous sommes tous les trois dans la serre. Le vitrage de la roseraie décuple la chaleur. Il y fait très agréable. Appréciable.
Nous nous masturbons tous les trois en nous donnant nos impressions. C'est absolument génial. Estelle se branle très vite.
Le mouvement de son bras s'accélère. Clémentine lui dit : < Garde tes forces pour cet après-midi, nous partons à vélo ! >

Nous n'arrêtons pas de nous toucher tout en continuant notre tour du propriétaire. La sonnerie du four se fait entendre.
Nous avons aéré la véranda en entrebâillant la baie vitrée. On entend bien. Nous cessons la branle pour nous précipiter.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle évoque le montage de ce nouveau film réalisé hier soir. Super.
< Ce sera pour samedi prochain. Nous fêterons la fin des vacances devant un bon film "maison" ! > fait elle en se levant.
A nouveau à cheval sur le coin de la table à se frotter. < Mais elle ne t'a rien fait cette table ! > s'écrie Clémentine. Rires.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous mettre en tenues. Prévenue, Estelle a apporté sa bicyclette.
< Papa a tout vérifié ! > me fait Estelle en m'aidant à sortir son vélo de l'arrière de la voiture d'entreprise. Fixer la roue.
Nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable. < Jamais la selle de mon vélo n'a été aussi agréable ! > dit Estelle.
< C'est vrai ! > rajoute Clémentine en tortillant du cul. Nous rigolons comme des bossus en arrivant sur la piste cyclable.
Il y a un monde fou. C'est comme en plein été. Des cyclistes, des rollers, des couples avec des landaus. Et des joggeurs.

Vingt cinq kilomètres de pur plaisir jusqu'au petit port de plaisance qu'Estelle redécouvre avec autant de joie que nous.
Il y a un monde fou. Nous allons à la supérette pour nous offrir nos premiers cônes glacés de la saison. Il y a la gérante.
Elle nous reconnaît. Toute heureuse de nous revoir. Nous bavardons un peu. Nous flânons en savourant nos cônes glacés.
Les pétanqueurs, des familles, des cyclistes, des promeneurs. Tout le monde profite de ce merveilleux dimanche. Chaleur.
La fraîcheur nous rappelle tout de même que nous ne sommes qu'en février et dès 16 h. Nous enfilons nos K-ways. Bien.

Nous prenons la route du retour. Poussés par un léger vent de sud ouest. < On va faire un tour au haras ? > fait Estelle.
Nous sommes tout près. Nous traversons le petit pont de pierres et la route étroite. Nous entrons dans la cour. Du monde.
Juliette a organisé une de ses animations à succès. Il y a plein de bagnoles partout. Des groupes de gens. Des cavalières.
Nous poussons nos vélos. Madame Walter arrive en bavardant avec un couple de propriétaires de chevaux. Elle nous voit.
Un grand coucou de la main. Un large sourire. Nous entrons dans le bâtiment du manège. L'animation se termine. 17 h30.

Il y a Juliette là-bas, qui bavarde avec un groupe de gens. Nous tentons d'attirer son attention. Preuve de notre passage.
Elle nous aperçoit rapidement et nous fait un grand signe de la main. Nous commençons à avoir faim et il fait assez froid.
Nous quittons la cour en montant sur nos bicyclettes lorsque la voix de Juliette se fait entendre derrière nous. Si contente.
Nous nous serrons la main. Juliette n'a que très peu de temps mais elle nous en consacre un peu. Nous bavardons. Joie.
Juliette nous fait : < Soirée Homard, hier soir, et vous ? >. Estelle répond : < Nous, soirée baise attachées au grenier ! >

Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Il est 18 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Avec un froid glacial. Nuit.
Nous rangeons les vélos au garage. Nous nous dépêchons de rentrer au chaud. C'est encore l'hiver. Nous l'avions oublié.
Nous réchauffons le reste de feuilleté avec des patates, haricots verts et petits pois que je fais décongeler dans une poêle.
Nous montons nous changer. Tous les trois en slip, nous faisons les clowns devant le miroir. Estelle me touche la queue.
Clémentine m'embrasse. J'ai mes mains dans leurs culottes. La sonnerie du four. Morts de faim nous dévalons l'escalier.

Je mets la table. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Estelle touille les légumes et sort le feuilleté du four.
Nous mangeons de bon appétit. < Pourquoi le "homard" en parlant de Pierre, le mari de Mme Walter ? > demande Estelle.
Clémentine lui donne les explications de Juliette : < Parce qu'il a des mains comme des pinces, et peut-être la queue ! >
< La queue de homard ! Tu y as goûté toi ! > répond Estelle. < Miam ! La queue de homard, un régal ! > fait Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Nous traînons à table. La fatigue commence à se faire sentir. La vaisselle et ranger la cuisine.

Nous allons dans l'atelier. Par conscience, les filles révisent un peu leurs cours. Je propose à Estelle de dormir là cette nuit.
Je lui dis : < Tu téléphones chez toi, tu fais le jogging avec nous demain matin, puis tu rentres pour bosser au bureau ! >
< Oh oui ! > rajoute Clémentine. < Vous êtes fous tous les deux ! J'ai trop envie ! > fait Estelle en prenant son téléphone.
L'affaire est dans le sac. Nous sommes épuisés. Il est 22 h. Nous montons nous coucher. Estelle s'endort immédiatement.
Clémentine veut encore me sucer un peu. Juste quelques minutes. Je la force à cesser. Nous nous serrons fort. Puis dodo.

Bons coins de table et bonnes selles de vélo à toutes les coquines que la cramouille démange après une soirée de baise…

Julien - (Qui veille à ce que les filles aient leur quota de sommeil. Ce sont de jeunes étudiantes qui ont besoin de repos) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 704 -



Estelle part le matin et revient le soir

Hier matin, lundi, je suis réveillé par plein de bisous, des murmures et des chuchotements. On me suce la bite bien dure.
Me faire tailler une pipe sur mon érection matinale, me procure une curieuse sensation. Pas vraiment plaisante. Bizarre.
J'ouvre les yeux. Le visage bienveillant de Clémentine au dessus du mien. Je sais donc qui est sous les draps à pomper.
Je caresse la nuque à Estelle. Je la saisis délicatement par ses cheveux attachés pour la forcer à sortir de sous le draps.
Elle vient se lover contre moi avec une incroyable douceur. Il est à peine 7 h05. Le besoin de pisser met un terme à cela.

Estelle se précipite aux toilettes la première. Puis elle descend les escaliers à toute vitesse. Clémentine m'entraîne au WC.
Nous mettons nos tenues de jogging. Nous rejoignons Estelle à la cuisine. Elle me fait plein de bisous. Odeur de pain grillé.
Il reste toujours un peu de brioche, le lundi. Nous prenons notre petit déjeuner en bavardant. Le programme d'aujourd'hui.
Même si ce sont les vacances, Estelle travaille dans l'entreprise familiale et elles ont toutes les deux un boulot de révision.
Il faut revoir les cours du trimestre. Il y a un rapport de recherches personnelles à remettre dès lundi prochain. Du boulot.

Nous mangeons de bon appétit. Il est 7 h30 lorsque nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants. Le jour se lève.
Pour affronter le froid, il faut se mettre à accélérer dès le début. C'est Estelle qui donne un rythme soutenu et tout le long.
Il est 8 h30 lorsque nous sommes de retour. La douche. Nous nous habillons chaudement pour raccompagner Estelle. 2°.
< A ce soir ! Merci pour tout. Ce sera moins difficile ! > nous fait elle. Nous regardons le voiture s'en aller. Nous rentrons.
Nous montons faire le lit. Nous redescendons faire la vaisselle. Nous allons dans l'atelier. Je fais un feu dans la cheminée.

Clémentine est assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il fait lumineux.
Il est 8 h50 lorsque je suis assis devant mon chevalet. Je termine le dessin préparatoire de la toile commencée vendredi.
Cette dix huitième toile destinée à ma saison d'été. Une nature morte de belle facture, simple, mais minutieuse et léchée.
Cela nous fait toujours étrange d'êtres tous les deux au travail dès le matin. Parfois l'un se lève pour aller câliner l'autre.
Je passe les deux couches d'impression à l'acrylique "Terre de Sienne". Je peins à l'huile les couches supérieures. Superbe.

Il est rapidement midi. Clémentine m'entraîne par la main. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Il fait beau.
< On serait bien partis à vélo, cet après-midi ! > me fait Clémentine en préparant la salade d'endives et l'assaisonnement.
J'épluche deux gros navets, des carottes, des patates. J'émince de l'ail, de l'oignon, de la ciboulette, de gros champignons.
Ce sera une belle potée que je prépare dans la vieille cocotte en fonte noire. Je pane deux filets de lieu noir, beau poisson.
Il y aura de la potée pour ce soir. Il suffira de faire une omelette. Tout est rapide. Je remue les légumes. Spatule en bois.

< Regarde ! > me fait Clémentine. Je me retourne. Elle est à cheval sur le coin de table à frotter son sexe. Elle me sourit.
< Estelle numéro deux ! > fait elle en imprimant un mouvement lent et régulier. Elle se masturbe. La table est déjà mise.
Je m'approche pour lui déposer des bisous sur le front, les joues et sur le bout du nez. Je lui dis : < Félicitations Mlle ! >.
< Je change de coin, j'aime les voyages ! > me fait elle en se déplaçant. Nous rions de bon cœur. Je dis : < Bon voyage ! >
Clémentine cesse pour venir se blottir dans mes bras. < J'ai tellement fais ça quand j'étais adolescente ! > murmure t-elle.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons nos prochaines vacances en Gironde, à Bordeaux. Avril.
< Tu m'as fais découvrir tant de choses depuis deux ans ! > fait encore Clémentine. Je dis : < Et ce n'est que le début ! >
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine me confie son désir fou d'être au printemps. Joie.
Il y a surtout cette expérience nouvelle. Être livrée en "soumise" à Maître Gérard. Au fond des écuries. Véritable dressage.
< Tu seras là, hein, caché quelque part, pour qu'il ne puisse rien m'arriver ! > demande encore Clémentine. Je la rassure.

Je dis : < Ce sera probablement avec Estelle ! >. < Tu me raconteras, hein ? > me fait elle, ses bras autour de mon cou.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est à peine 13 h05. Nous allons dans l'atelier. Je rajoute deux bûches dans l'âtre.
Je me retourne, Clémentine, couchée sur le ventre, se frotte contre le gros coussin placé entre ses cuisses. Masturbation.
Les yeux fermés, concentrée sur le mouvement lent et régulier, Clémentine s'offre un petit interlude solitaire. Magnifique.
Je sors ma bite. Je me branle doucement en regardant ce merveilleux spectacle. Clémentine se met sur le côté, continue.

L'épais coussin coincé entre les cuisses, couchée sur le côté dans le canapé, Clémentine, les lèvres serrées, se masturbe.
Parfois elle ouvre les yeux pour fixer ma branlette. Nous restons ainsi un petit moment. C'est très agréable. Et gratifiant.
Clémentine cesse. Elle se redresse et s'assoit en disant : < C'est trop bon, il faut que j'arrête ! >. Elle se lève, me rejoint.
Accroupie, elle me suce avec passion. Je lui caresse la tête. Quelques minutes. Je la force à se redresser. Elle m'embrasse.
Nous voilà assis devant nos postes de travail. Dehors il fait beau, un ciel bleu, il fait doux. Soleil. Et c'est un peu frustrant.

Il est 17 h. Je prépare le thé au jasmin. Deux petits gâteaux secs. C'est la pause. Clémentine m'explique son travail. Ordi.
Tout en cliquant avec la souris, elle se frotte à nouveau contre le coin de la table. < Je n'arrête plus ! > me fait elle en riant.
Je la félicite. Je l'encourage. < Je me branle presque tous les soirs dans la voiture, en rentrant ! Parfois le matin ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < C'est pour ça, toutes ces cernes sous les yeux ! >. Elle accélère son rythme.
Je passe derrière elle. Je la tiens par la taille et je l'aide à se frotter. Penchée en avant, en gémissant, elle se branle. Super.

Je lui chuchote : < Ce soir, je fais un contrôle de l'état du fond de la culotte ! >. Nous éclatons de rire. Clémentine cesse.
Il faut encore être sérieux au moins une demi heure. Du bruit. Il est 18 h30. Estelle entre dans l'atelier. Elle se précipite.
Assise sur mes genoux, elle nous raconte sa journée. La matinée au bureau. L'après-midi aux révisions de ses cours. Pareil.
Les filles comparent leurs travaux. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. A l'étage, les premiers mouvements étranges.
Nous restons assis devant la cheminée à regarder le feu s'éteindre. Et Estelle a glissé sa main dans ma braguette ouverte.

< C'est gluant ! Tu as juté ? > me demande t-elle en sortant sa main pour me montrer ses doigts trempés de foutre épais.
Clémentine lui raconte nos petites masturbations de la journée. < Et sans moi ! Vous êtes deux salauds ! > nous fait elle.
< Tu ne te touches pas au bureau, parfois ? > demande Clémentine. Estelle lui dit : < Parfois ? >. Nous rions de bon cœur.
Je leurs raconte que moi aussi, seul dans l'atelier, pour observer ma peinture avec un recul critique, je me branle. Et fort !
< On le sait que t'es un branleur ! > me fait Estelle en se serrant contre moi. La faim commence à se faire sentir. Cuisine.

Clémentine fait l'assaisonnement de la salade de tomates. Estelle prépare une belle omelette. Je réchauffe la potée. Bien.
Les filles évoquent leurs cours, l'avancée de leurs travaux respectifs. Demain après-midi, Estelle viendra dès 14 h. Super.
L'émulation est un vecteur de réussite pour deux étudiantes travailleuses et passionnées. J'écoute avec intérêt. Stratégies.
Clémentine met la table. Estelle retourne l'omelette dans la poêle pour la faire dorer des deux côtés. Je râpe le Parmesan.
Les voilà toutes les deux, l'une en face de l'autre, à se frotter sur un coin de la table. < Il en reste deux ! > me fait Estelle.

Je sors ma bite et les couilles que je dépose sur un des deux coins libres. Nous nous frottons tous les trois en riant. Branle.
< Il faudra qu'on trouve quelqu'un pour le quatrième coin ! > rajoute encore Estelle en me faisant un clin d'œil. Branlette.
Nous cessons pour nous assoir. Je fais le service, avec le "service trois pièces" bien en évidence. Les filles sont enchantées.
Estelle y dépose des bisous. Clémentine soupèse les couilles de son index. Nous mangeons de bon appétit et en bavardant.
Clémentine évoque la séance de "Dressage" prévue au printemps, avec Maître Gérard, aux écuries. Elle en est impatiente.

< Je veux en être ! > fait plusieurs fois Estelle en parlant de notre petite expérience de ce samedi soir. La baise attachée.
< Tu veux qu'on soit toutes les deux livrées à cette vieille ordure ? > demande Clémentine. Estelle me regarde, perplexe.
< Je crois que je vais m'occuper de Julien, pendant ta séance ! > fait Estelle après un moment de réflexion. Elle me sourit.
< Il y aura Juliette également ! > dit Clémentine. Je rajoute : < Et une "surprise" ! >. Nous traînons à table. C'est bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous voilà au salon. Vautrés dans le canapé. Clémentine à droite, Estelle à gauche.

Je leurs propose un bon léchage de minou. Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Elles retirent leurs jeans et slips.
A quatre pattes sur l'épais tapis, leurs mentons posés sur leurs bras croisés, elles m'offre leurs superbes culs. C'est géant.
Je suis à quatre pattes derrière les deux coquines. Je m'enivre des odeurs de leurs journées de filles. Estelle sent très fort.
Les poils qui collent au trou de balle, la sueur, c'est Schlingue & Cie. J'écarte les fesses d'Estelle en premier. Je lèche. Joie.
Le goût est comme l'odeur. Fort. Je suis obligé de surmonter ma révulsion. C'est répugnant. Mais c'est tellement excitant.

Je passe au cul de Clémentine. Elle n'a pas cessé de couler tout l'après-midi. La raie de ses fesses en est trempée. Ça coule.
Je me mets sur le dos. Ainsi, je peux me glisser entre les cuisses des filles qui n'ont plus qu'à s'assoir sur ma gueule. Génial.
Bouffer de la chatte odorante, suintante, est la chose la plus étonnante lorsqu'il y en a deux. Bien sales, bien négligées. Bon.
Je bande comme un priapique en phase terminale. J'enfonce le bout de mes doigts dans les culs, dans les chattes. Ça coule.
Estelle lâche un soudain prout. < Oh pardon ! > s'écrie t-elle toute gênée. C'est fabuleux. Même si ça pue quand même fort.

Estelle veut se redresser, toute confuse d'avoir ainsi péter. Je la retiens en la félicitant pour la qualité sonore et olfactive.
Je lui bouffe la moule en caressant le clitoris géant de Clémentine. Estelle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Fort.
Tout son corps de contracte. Elle tombe sur le côté, tenant son sexe des deux mains, cuisses resserrées en hurlant. Plaisir.
Je m'occupe du sexe de Clémentine. Il y a de quoi bouffer. Je la sens se tortiller sur mon visage en évitant de peser lourd.
Estelle se met à me sucer. Sa tête posée sur mon ventre. L'indicible caresse me fait vaciller. Le goût des filles en bouche.

Clémentine connaît un orgasme de style tsunami. Elle se redresse sur les genoux. J'ai le temps de me retirer. Elle pisse.
J'ai repoussé le tapis. Il sera trempé quand même. Estelle a cessé de me pomper pour regarder Clémentine se soulager.
Nous nous redressons. Clémentine, les yeux humides des larmes de son plaisir se précipite chercher le seau, la serpillère.
Estelle, couchée à ma gauche, me suce. Nous sommes vautrés dans le canapé à observer Clémentine qui nettoie sa pisse.
J'éjacule. Estelle en pousse un râle de plaisir et suce comme si sa vie en dépendait. Tout avaler, ne pas perdre une goutte.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire lécher le cul, la chatte, après une bonne journée d'efforts…

Julien - (Qui raccompagne Estelle jusqu'à sa voiture. Elle revient demain, pour 14 h. Clémentine et lui, épuisés) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 705 -



Une semaine de vacances. Mais à travailler…

Hier matin, je suis tiré de mon sommeil par un léger froissement des draps et un léger mouvement du matelas. Discrets.
Lorsque je me réveille, ma respiration change. Clémentine s'en rend immédiatement compte. Elle cesse de se masturber.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me murmure t-elle en se blottissant contre moi. Je dis : < Bonjour belle masturbatrice ! >
Il est 7 h30. L'impérieux besoin de pisser met rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons.
Nous mettons nos tenues de jogging avant de descendre à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour préparer le petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. Il y est question de monsieur Gérard, des écuries, pipe.
Nous rions de bon cœur quand Clémentine dit : < Je suis abonnée aux palefreniers retraités, impuissants, incontinents ! >
Je précise : < Les palefreniers vicieux, "Maîtres" et qui n'ont plus que les joies de la fellation ! >. Nous éclatons de rires.
La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants. Il fait jour. Il faut affronter un froid glacial. Il est 8 h05.
Nous démarrons rapidement dès le début du parcours. C'est magnifique de courir dans la campagne de bon matin. Plaisir.

Il fait moins beau que les autres jours. Le ciel est légèrement couvert mais très lumineux. Nous sommes de retour. 9 h05.
Pile une heure d'un running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons. Nous faisons notre lit. Nous redescendons.
Dans l'atelier, j'allume un bon feu dans la cheminée. Clémentine déjà installée devant l'ordinateur, entourée de ses fiches.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme débordant.
Les crépitements et les craquements sont les seuls bruits. Nous adorons ces séances de travail, si concentrés et silencieux.

Parfois l'un se lève pour venir faire des bises à l'autre. Lui chuchoter des douceurs. Ou des cochonneries. Et c'est excitant.
Il est rapidement midi. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade verte. Lavage.
Je fais revenir des haricots verts et des petits pois dans le wok. Ail, oignon et ciboulette. Je fais rissoler des steaks de thon.
Pour la tarte aux poireaux de ce soir, je concocte une pâte à pain à laquelle j'incorpore du gruyère de Comté finement râpé.
Nous coupons les poireaux en petits morceaux que nous rinçons avant de les plonger dans l'eau bouillante et salée. Super.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine avance bien dans son travail. Ce qui la rend sereine. La joie.
Nous traînons un peu à table avant de faire la vaisselle et de ranger la cuisine. La pâte à pain et le poireaux sont déjà prêts.
Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Clémentine n'arrête pas de me toucher. Je bande.
Nous retournons dans l'atelier. Clémentine m'entraîne sur le canapé. Elle m'y fait tomber. Main dans ma braguette ouverte.
Elle se met à genoux sur le coussin, entre mes jambes. J'ai la bite à l'air, molle, toute flasque. La préférence de Clémentine.

Je lui caresse la tête. Elle revient sur son rêve de cette nuit. < Je me réveille toujours avant les trucs salaces ! > fait elle.
Nous en rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Je suis donc dans l'obligation de m'y livrer une fois réveillée. Le réel ! >
Je l'écoute me raconter quelques anecdotes concernant les situations vécues dans son rêve. C'est très détaillé. Très précis.
Je bande mou. Clémentine se met à téter délicatement. Juste le prépuce qu'elle a tiré du bout de ses lèvres. C'est délicat.
J'aime voir sa langue passer sous la peau, tourner autour du gland. Ça fait une bosse qui bouge. Comme un petit animal.

L'exploration linguale se transforme assez vite en fellation délicate. Nous sommes tous deux immobiles. Nos respirations.
Parfois Clémentine ouvre les yeux. Nous nous fixons. Nous aimons communiquer de cette manière. Merveilleuse intimité.
A plusieurs reprises, Clémentine ouvre la bouche pour m'en montrer l'intérieur. Il y a plein de filaments gluants, visqueux.
J'aime la voir tenter d'avaler, de déglutir ce qui colle dans sa bouche. Lorsqu'elle y parvient, elle me sourit et fait "miam".
Elle est merveilleuse. Je la laisse se régaler un bon moment. Pas question d'éjaculer. Nous nous gardons pour notre soirée.

Il est 13 h45. Du bruit. Estelle arrive. Elle entre dans l'atelier et nous découvre ainsi. Elle se précipite pour me faire la bise.
< C'est comme ça qu'on bosse ? > nous fait elle. Clémentine cesse pour lui tendre ma queue. < Ton dessert ! > lui dit elle.
Estelle ne se fait pas prier. La voilà qui me taille une véritable pipe des familles. Je la laisse se régaler. Nous la regardons.
Je propose aux filles d'aller marcher un peu dehors pour se mettre en condition. Il faut reprendre ses esprits pour bosser.
Je suis obligé de forcer Estelle à cesser. Nous nous levons. Nous enfilons nos anoraks. Je range ma queue hyper bandante.

Il fait presque doux. Nous descendons jusqu'à la rivière. Nous nous tenons par la main. Le ciel est lumineux. Pas de vent.
Là-bas, monsieur Bertrand, notre voisin qui nous fait un coucou de la main. Il doit se douter de la nature de nos rapports.
< Karl Lagerfeld, je l'aimais bien ! > fait Estelle. Nous avons appris aux informations sa disparition en ce 19 février. Dur.
Ce qui ne l'empêche pas de mettre sa main dans ma braguette. De me palper tout en parlant du couturier de chez Chanel.
Nous nous promenons ainsi jusqu'aux environs de 14 h30. Nous voilà de retour. Nous allons dans l'atelier. Il fait agréable.

Je rajoute deux bûches dans la cheminée. Les filles sont installées devant l'ordinateur. Estelle a apporté ses fiches et notes.
Je suis assis devant mon chevalet. Ces séquences de silences, de murmures, de travail nous enchantent tous les trois. Joie.
Parfois, l'une se lève pour venir me faire des bisous. Parfois c'est moi qui me lève pour venir caresser leurs nuques. Super.
Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran. C'est intéressant. Remarquable. Il est 17 h. Je prépare le thé au jasmin.
Des petits gâteaux secs que les filles savourent sans cesser de travailler vraiment, comparant leurs déductions. C'est bien.

La nuit tombe très vite pour 18 h30. < Stop ! > s'écrie Clémentine. < Ras le bol ! > ponctue Estelle. Je cesse ma peinture.
Nous rangeons nos affaires. A l'étage, les premiers bruits étranges se font entendre. Notre fantôme nous rend visite. Bien.
Nous restons assis devant la cheminée à regarder mourir les dernières flammes. Les filles sont appuyées contre moi. Super.
Clémentine raconte son rêve érotique à Estelle qui dit : < Tu as de la chance, je ne me rappelle jamais des miens ! >. Rire.
< Pourtant j'arrête pas d'en faire. Je me réveille parfois en me touchant ! > rajoute encore Estelle. Nous rions de bon cœur.

Il est 19 h. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade lavée.
Estelle travaille encore un peu l'onctueuse pâte à pain. Je fais une Béchamel dans laquelle je rajoute le poireau, le gruyère.
Tout va très vite. Je verse la garniture sur la pâte étalée. Estelle recouvre le tout d'une fine pâte. Je badigeonne avec l'œuf.
La Flamiche Picarde est au four. La table est mise. Nous passons au salon. < Je veux te sucer ! > me fait Estelle. Des bises.
Clémentine pose les deux épais coussins au sol. Les filles s'y mettent à genoux. Toutes les deux avec les mains sur la tête.

< J'ai commencé le montage du film, au bureau, ce matin. Oh, juste quelques minutes ! > me fait Estelle, bouche ouverte.
Je m'approche. Je sors ma bite. Je la tiens à sa base pour la faire tournoyer devant le visage des deux coquines. Un lasso.
< Sur l'heure de film, je n'en garde peut-être que 30 minutes ! > fait Encore Estelle. Nous savons qu'elle fait du bon boulot.
< Vivement Samedi soir ! J'aime le cinéma d'Art et d'Essai ! > fait Clémentine. Je passe derrière les filles pour les toucher.
Je leurs passe les mains entre leurs cuisses serrées. Je caresse leurs seins minuscules. Je les caresse sous leurs mentons.

Elles sont toutes les deux soudain silencieuses, en apnée, à attendre la suite de mes initiatives. Je reviens me placer devant.
Je frotte ma queue sur le visage de Clémentine qui m'en présente tous les angles. Estelle me tend le sien, regard implorant.
Je glisse mon sexe humide et encore mou dans la bouche de Clémentine. Je caresse les têtes avec beaucoup de délicatesse.
Je murmure : < Clémentine, j'aime ce que tu me fais ! >. Clémentine ouvre les yeux et me fixe avec son regard amoureux.
Elle pousse un gloussement de satisfaction. Je laisse Estelle, impatiente d'en avoir aussi. Je le fais exprès. Je fais bien durer.

La sonnerie du four. Je n'ai pas laissé Estelle sucer. J'aide les filles à se relever. Et nous nous précipitons jusqu'à la cuisine.
Nous mangeons de bon appétit. < T'es salaud avec moi ce soir ! > me fait Estelle en interrompant toute conversation. Rire.
Je lui dis : < Tu ne perds rien pour attendre ! >. Elle pose sa main libre sur la mienne et me fait ! < Je suis impatiente ! >
Nous traînons à table. Cette tarte aux poireaux est un tel régal. Nous en prenons deux fois. Impossible de s'en lasser. Miam.
Assises sur mes genoux, tout en terminant leurs yaourts au miel, les filles évoquent leurs cours, leurs études. C'est super.

Je les tiens toutes les deux par la taille. J'écoute avec beaucoup d'intérêt. Ce sont des stratégies pleine d'originalités. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle n'arrête pas de passer sa main sous mon tablier. J'ai la bite à l'air et humide.
Nous retournons au salon. Les filles veulent reprendre leur place sur les coussins. Je les entraîne sur le canapé. C'est mieux.
Estelle à ma droite. Clémentine à ma gauche. Je bande comme le dernier des salauds. Les filles sucent à tour de rôle. Joie.
Elles se refilent ma bite. Pendant que l'une suce, l'autre lui donne ses impressions. Et ce soir, mon foutre est très peu salé.

Tout en pompant, tout en tétant, les filles échangent leurs souvenirs. Les pipes à Gérard. Les pipes à Wong, à Pierre, etc...
Je les écoute. C'est à la fois émouvant et excitant. J'apprends toujours de nouvelles choses sur le goût des foutres goûtés.
Le meilleur restant celui de ce vieux salopard de Gérard. Le plus salé étant celui de Pierre. Le plus fade celui de Léon. Pipe.
Les filles font ainsi l'inventaire de toutes les bites qu'elles ont déjà goûté. Pas tant que ça. C'est passionnant de les écouter.
Je ne dis absolument rien. Je ne veux surtout pas interrompre ces échanges qui offrent un intérêt délicieusement vicieux.

C'est un moment merveilleux. J'écoute émerveillé. Les filles se refilent mon Zob par intervalles réguliers. C'est un délice.
Je me fais vider les couilles. Elles semblent d'ailleurs intarissables. J'entends déglutir avec peine. Gargouillis bulleux. Joie.
Il est 22 h15. Je le signale aux filles en leurs montrant l'horloge Westminster. Je dis : < Qui qu'en veut ? >. Elles cessent.
< Moi ! > font elle en même temps. C'est un acte virtuose auquel il faut me livrer là. J'éjacule dans les deux. Elles crient.
Elles se refilent ma bite qui gicle pour en avoir toutes les deux. Je leurs caresse la nuque. Je chuchote : < Je vous aime ! >

Nous restons encore un moment. Les filles me font le "fond de cuve" avec soin. Je dois les empêcher de continuer. Rires.
Elles sont prêtes à partir pour un second tour. Elles en raffolent toutes les deux. Je murmure : < On remet ça à demain ! >
< Tu promets ? > me fait Estelle. Je suis debout. Je remballe ma queue. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture.
Elle revient demain pour 14 h. Nous irons manger chez Juliette tous les trois en soirée. Nous rentrons vite au chaud. Nuit.
Au lit, Clémentine me donne ses impressions. Elle adore ce genre de soirée pipe. Je lui offre un cunnilingus. Plaisir. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se refiler une bite. Sucer en étant vautrées au fond d'un canapé confortable…

Julien - (Qui se fait sucer en stéréophonie parfaite. Gémissements. Gloussements. Petits cris de ravissement. En Do) -

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Clémentine, moi et Estelle chez Juliette

Hier matin, je me réveille en premier. J'aime voir Clémentine qui dort encore. C'est plutôt rare. Et je profite de l'instant.
C'est sans compter avec son infaillible sixième sens. Elle ouvre les yeux. < Bonjour mon amour ! > me chuchote t-elle.
Je lui couvre le visage de bisous. Elle se blottit contre moi. Douceur, tendresse et papouilles, jusqu'aux extrême limites.
L'impérieux besoin naturel met un terme à nos effusions. Nous nous précipitons aux toilettes. Il est à peine 7 h30. Joie.
Nous revêtons nos tenues de jogging avant de dévaler l'escalier à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Morts de faim. Super.

Nous prenons un solide petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Le programme du jour. Il sera intense. Plein.
Nous mangeons de bon appétit. Il est presque huit heures. Le jour s'est levé sur un ciel clair, lumineux. Il fait très froid.
Il faut donc accélérer le rythme pour se réchauffer. Notre jogging nous emmène sur notre circuit habituel. C'est si beau.
Il est neuf heures lorsque nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Nous nous habillons en riant.
Nous faisons notre lit. Nous descendons faire la vaisselle avant de passer dans l'atelier. Je fais le feu dans la cheminée.

Clémentine est installée devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Je suis assis devant mon chevalet. Séance de travail.
Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait rapidement pousser les cris les plus surréalistes. Clémentine m'imite. Joie.
C'est pourtant une nouvelle séance principalement silencieuse et concentrée. Il y a juste le crépitement dans la cheminée.
Dehors il fait beau. Le ciel est bleu. Le soleil brille de son éclat d'hiver. Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Bisous.
Il est rapidement midi. Et morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de la salade de tomates.

Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je concocte une sauce au Roquefort. Deux filets de saule que je prépare à la panure.
Clémentine m'aide à couper de fines lamelles de courgette et d'aubergine que nous trempons dans une pâte à crêpe. Bien.
Je les plonge direct dans la friture. Ce seront les beignets en accompagnement des gambas de ce soir, chez Juliette. Joie.
Nous jouons à quatre mains la symphonie de nos préparations culinaires. En parfaits virtuoses nous interprétons très juste.
Nous mangeons de bon appétit malgré que je me lève de multiples fois pour égoutter les beignets que je dépose. Délicat.

La double épaisseur de papier Sopalin absorbe toute la graisse inutile. Ce soir, il suffira de réchauffer sur une plaque. Four.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h15. Clémentine m'entraîne par la main. Nous descendons au jardin. Beau.
Il fait presque doux. C'est frustrant car c'est un après-midi à randonnée vélo qui se présente là. Seulement il faut travailler.
Nous faisons le tour de la propriété. Max, le Doberman des Bertrand vient nous saluer. Il rôde silencieusement. Magnifique.
Le bruit d'un moteur. C'est Estelle qui arrive. Pressée de revenir passer le reste de la journée avec nous. Elle se précipite.

Elle fait la bise à Clémentine avant de me sauter dans les bras. Je la soulève pour la faire tournoyer. Nous marchons un peu.
Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons sur quelques centaines de mètres. Et Estelle nous raconte sa matinée.
< J'ai encore bossé un peu au montage de notre film, ce matin, au bureau ! Attendez vous à du sévère ! > nous fait t-elle.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Ça baise tout le long ! Et toi Julien, t'es délicieusement salaud dans le film ! >
Nous prenons le chemin du retour. Clémentine à ma gauche, Estelle à ma droite. Elles me tiennent le bras. Nous bavardons.

Nous marchons doucement avec nos anoraks ouverts. Il fait presque trop chaud, nous pourrions rester en simples chemises.
Surtout qu'Estelle m'a encore sorti le Zob. Je me balade donc avec la bite à l'air, qui pend devant moi. Nous rions beaucoup.
Il est 14 h30 lorsque nous revenons dans l'atelier. Il faut se résigner. Surtout les filles qui ont un rapport à présenter lundi.
Clémentine et Estelle sont assises à la table, devant l'ordinateur. Silencieuses, les voilà absorbées dans leurs tâches. Super.
Je peins avec un plaisir rare. J'ai prévu cette nature morte pour les vacances. Le timing parfait. Elle sera terminée vendredi.

Parfois, l'une ou l'autre se lève pour venir me faire des bisous. Parfois c'est moi. Je passe derrière elles. Et pour faire pareil.
Il est rapidement 17 h. Je prépare le thé au jasmin et les petits gâteaux secs. Les filles dégustent sans arrêter de travailler.
Nous restons ainsi jusqu'aux environs de 18 h45 où Clémentine s'écrie : < Stop ! >. < Plein le cul ! > rajoute Estelle. Rires.
< Jamais dans le cul, c'est à chier ! > ponctue Clémentine. Nous rions de bon cœur en rangeant nos affaires. C'est rapide.
Nous voilà assis parterre, sur l'épais tapis, devant la cheminée à regarder danser les dernières flammes. C'est fantastique.

Comme tous les soirs, à la même heure, les bruits les plus étranges se font entendre à l'étage. Cette fois on déplace le lit.
C'est du moins l'impression que ça fait. < Fantôme déménageur ! > fait Estelle en jouant avec sa main dans ma braguette.
Il est 19 h15. Nous montons nous préparer. Estelle qui est déjà prête. Clémentine et moi, nous mettons des jeans propres.
Chemises blanches sous des pulls noirs à col en "V". Nous faisons un peu les clowns devant le miroir. C'est très récréatif.
Accroupie à ma droite, Clémentine appuie sa tête contre ma cuisse. Estelle fait de même à ma gauche. Nous nous fixons.

Je les tiens toutes les deux par leurs cheveux attachés. < Vous appréciez, "Maître" ? > fait Clémentine, regard implorant.
< C'est à votre convenance, "Maître" ? > rajoute Estelle. Je leurs réponds : < Vous êtes les plus adorables "Soumises" ! >
Nous rigolons comme des bossus de ces rôles farfelus mais que nous aimons à interpréter. Et dans une complicité totale.
Je tire un peu sur leurs cheveux pour les maintenir bien droites. Je dis : < A genoux ! >. Clémentine et Estelle s'exécutent.
Je sors ma bite. Je dis : < Estelle ! Tu suces ! >. Estelle ne se fait pas prier. Je dis : < A Clémentine maintenant ! >. Pipe.

Je bande mou. C'est pour rire. Je force les deux coquines à se redresser. Elles se serrent contre moi. Douceur, papouilles.
Nous descendons. Nous enfilons nos anoraks. Estelle nous propose d'aller chez Juliette avec sa voiture. Bonne suggestion.
Mais c'est moi qui doit conduire. C'est une voiture d'entreprise du style fourgonnette. Pas évidente à conduire comme ça.
Surtout que Clémentine et Estelle sont assises sur l'unique siège passager. Trois petits kilomètres. Et je roule prudemment.
Je gare la voiture dans la cour du haras. Il fait nuit. Il fait froid. Il est 19 h45. Il y a encore deux voitures. Madame Walter.

La jeune femme arrive juste au moment où nous sortons du véhicule. Je n'ai pas le temps de remballer mon Zob. Merdre !
Madame Walter s'en aperçoit immédiatement. En toussotant elle nous serre la main. Un petit moment qu'on ne s'est vus.
Elle me serre la main en faisant bouger son index dans ma paume. Code vicelard qui indique que la complicité est évidente.
Nous bavardons un peu. Madame Walter monte dans sa voiture. Elle me fait un clin d'œil avant de démarrer pour s'en aller.
Juliette sort des écuries pour venir à notre rencontre. Vêtue de sa tenue d'écuyère. Elle est toute contente de nous revoir.

< Ça fait un moment qu'on ne s'est pas vus ! > fait Juliette à Estelle qui nous entraîne à sa suite. Je prends le Tupperware.
Il contient l'impressionnante quantité de beignets préparée à midi. Nous montons à l'appartement. Odeur de gambas frits.
Nous retirons nos anoraks. Sur la demande de Clémentine et d'Estelle, j'ai la braguette ouverte. Bien déboutonnée. Super.
Juliette s'en rend évidemment compte et ne cesse de bavarder en observant l'ouverture. Mon slip blanc immaculé. Coton.
Les beignets de légumes sont au four. Nous sommes assis au salon, dans le canapé. Juliette dans le fauteuil. Bavardages.

C'est Estelle qui oriente la conversation sur la séance de "Dressage" prévue au printemps. Carrément. Directe et vicelarde.
Juliette, plutôt amusée par cette initiative, dit : < Vous voulez participer Estelle ? Vous êtes la bienvenue ! Mois d'avril ! >
Estelle répond : < Je préfère assister en spectatrice, avec Julien, comme d'habitude. Si c'est bien je vous rejoins ! >. Rire.
La conversation reste axée sur ce projet qui nous excite tous les quatre considérablement. Ce sera dans l'écurie habituelle.
Juliette n'est pas avare de détails et propose la présence de madame Walter, grande spécialiste de la soumission féminine.

< On devrait filmer ! > fait Estelle. < Pas question ! Pas de ça chez moi ! Cela reste dans le cadre privé ! > répond Juliette.
Clémentine explique à quel point Estelle aime être filmée et faire le montage des films où elle est l'actrice principale. Super.
Juliette écoute. Elle ne cesse de fixer Estelle qui raconte ce fantasme de l'actrice porno qu'elle a depuis l'adolescence. Bien.
< Décidément on s'est bien trouvé toute la bande ! > conclue Juliette en même temps que ne sonne le four. Morts de faim.
Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. Les gambas sont grillés, accompagnés de sauces diverses. Sublime.

A un moment, Estelle me fait : < Tu n'as pas encore montré ta bite à la dame ce soir ! >. Nous rigolons comme des bossus.
Elle se lève pour mimer une masturbation masculine avec toute la vulgarité coutumière. Juliette qui la regarde, interloquée.
< Et bien ! Vous commencez à me plaire, Estelle, je vous savais salope, je vous découvre vicelarde à souhait ! > dit Juliette.
< De quoi se faire une idée de ce qui nous attend au printemps ! > rajoute Clémentine qui se lève pour imiter Estelle. Rires.
Quelle n'est pas ma surprise. Juliette se lève pour faire la même chose. Elles sont toutes les trois devant moi. Ahurissant !

Juliette est un peu plus petite qu'Estelle et Clémentine, malgré les légers talons de ses bottes d'équitation. C'est magnifique.
Ces trois salopes sont là, de l'autre côté de la table, à imiter une masturbation masculine en riant aux éclats. C'est fabuleux.
< Et vous ? > me lance Juliette en passant sa main entre ses cuisses pour se toucher avec toute la vulgarité possible. Génial.
Je me lève. Je bande comme le dernier des salauds. Je présente mon chibre. Un véritable démonte pneu de camion. Si dur.
Les trois coquines ont la main droite entre leurs cuisses. Nul doute qu'elles se masturbent pour de vrai. Je me branle. Super.

< Bienvenu au "Club des branleurs ! > fait Juliette qui cesse pour commencer à débarrasser la table. Nous aidons. Sympas.
Nous prenons le dessert. La conversation s'articule principalement autour d'anecdotes que divulgue Juliette sur les écuries.
Il s'en est déjà passées de bonnes ici depuis neuf années que Juliette dirige l'établissement. Des choses secrètes, discrètes.
Nous faisons la vaisselle ensemble. Je me contente d'écouter. Et c'est démentiel. Il est 22 h15 lorsque nous prenons congé.
Juliette nous raccompagne dans le froid de la nuit. J'ai remballé ma bite. Nous sommes invités à passer dimanche. Super.

Dans la voiture, nous sommes tous les trois considérablement excités. Estelle n'arrête pas de me tripoter le Zob. Braguette.
Nous restons encore un peu dans la voiture. La séparation est difficile. Si elle avait prévu, Estelle serait bien restée. Dodo.
Il est trop tard pour téléphoner à ses parents. Nous la regardons partir. Nous nous dépêchons de rentrer. La salle de bain.
Au lit, nous nous chauffons avec un rapide "69". Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis délicatement. Immobiles. Joie.
Clémentine me confie ses ressentis. Son impatience d'être "dressée", d'être livrée à "Maître" Gérard. Cunnilingus. Orgasme.

Bonne soirée à toutes les coquines qui sont impatientes de vivre l'expérience unique de la "soumission" en centre équestre…

Julien - (Qui s'applique toujours à brouter Clémentine après la baise et ses confessions pour lui offrir l'orgasme extrême) -

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Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 707 -



Soirée sympathique avec Estelle

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 7 h30. C'est notre horloge biologique. Des bises.
Nos effusions de tendresse sont mises à mal par l'impérieux besoin de devoir pisser. Nous mettons nos tenues de jogging.
Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner que nous savourons en bavardant.
Le jour se lève sur un ciel clair et lumineux. Nous mangeons de bon appétit en évoquant la soirée de hier, le repas, Juliette.
Nous rions de bon cœur de toutes les anecdotes salaces dont est coutumière la patronne du haras. Un sujet intarissable.

La vaisselle. Il est 8 h lorsque nous sommes dans le froid. K-Ways, bonnets et nos gants. Il faut accélérer immédiatement.
C'est un tel plaisir de pouvoir s'offrir un running matinal. La semaine prochaine ce sera à nouveau l'entraînement intérieur.
Notre circuit habituel. A pleine vitesse pour avoir chaud. Il est 9 h lorsque nous revenons. La douche. Autre grand moment.
Nous nous habillons. Nous faisons notre lit. Notre vaisselle. Nous allons dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée.
Clémentine est installée devant l'ordinateur entourée de ses fiches. Je suis assis devant mon chevalet. Nous voilà à l'action.

Il est 10 h lorsque la musique imbécile de mon téléphone déchire le silence. Je peste. Je rage. Je me saisis du smartphone.
C'est Juliette. Je mets sur mode "haut parleur". Clémentine me regarde, met son index sur la bouche en faisant < Chut ! >
Juliette ne sait pas que Clémentine est là, présente dans l'atelier. Je ne le lui dis pas. Nous bavardons et comme d'habitude.
Juliette est au bureau, seule, au boulot, son téléphone également en mode "haut parleur". Ce qui nous permet de travailler.
Clémentine écoute sans cesser de prendre des notes. Nous nous faisons des clins d'œil et à chaque évocation salace. Rires.

Juliette me raconte le programme du Week-end. Ce soir, comme tous les jeudis, il y aura la visite de Gérard. Bonne pipe.
Samedi soir elle est chez madame Walter qui partage les mêmes goûts que Clémentine pour le voyeurisme et la branlette.
Juliette se fera tirer par Pierre, le "homard". Surnommé ainsi à cause de ses mains qu'il utilise comme des pinces. Poilade.
Clémentine semble quelquefois consternée par les propos vicelards de Juliette. Elle nous invite, dimanche pour l'animation.
Le centre équestre fête deux anniversaires. Deux jeunes cavalières avec leurs parents présents, propriétaires de chevaux.

Je consulte Clémentine du regard. Pas de soucis. Je promets que nous ferons un saut en fin d'après-midi au retour de vélo.
La conversation dure ainsi une bonne demi heure. Discussion bien vicelarde. Juliette ne cache plus aucun de ses penchants.
Cela va faire deux ans que nous nous connaissons. Nous avons tout de même déjà vécu quelques belles situations. Le sexe.
< Mais quelle salope ! > s'écrie Clémentine lorsque je raccroche. Elle vient me rejoindre avec une main dans son pantalon.
Nous rions de bon cœur de notre farce. Cette fois Clémentine a tout entendu. Et elle comprend la nature de nos échanges.

Excités, nous travaillons tout de même encore jusqu'à midi. Dehors il y a du soleil. Nous sommes morts de faim. La cuisine.
Clémentine s'occupe de la salade, une scarole qu'elle lave également pour ce soir. Je fais gonfler le riz dans l'eau bouillante.
Je fais une belle pâte à pain pour les pizzas du jeudi soir. Je concocte une garniture. Tomates, ail, oignons, ciboulette. Bien.
Clémentine, tout en préparant l'assaisonnement, me confie ses impressions quand à la conversation de ce matin. Juliette !
< Ce soir elle suce "Maître" Gérard et samedi soir elle baise avec le "homard" ! Jolie programme ! > fait Clémentine. Rires.

La pâte à pain est prête. Elle repose dans un saladier sous un linge. Je récupère un peu de garniture. La sauce pour le riz.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. < Ce soir Juliette se régale de la bite de Gérard ! > me fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < La veinarde ! >. Je propose d'organiser un truc avec Juliette, vendredi soir.
Clémentine qui raffole de la vieille bite molle et minuscule du vieux vicelard, m'écoute avec beaucoup d'intérêt. Souriante.
Nous nous promettons de mettre au point une stratégie. Je propose de faire un courriel à Juliette, dès la fin du repas. OK.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Pour ce soir, tout est prêt. Nous filons au salon pour allumer l'ordinateur. Courriels.
Juliette, vraie vicelarde, nous a devancé. C'est elle qui nous apprend que monsieur Gérard passe vendredi au lieu de jeudi.
C'est Clémentine qui propose de passer pour 20 h. Nous répondons au message d'Estelle qui nous rejoint ce soir, à 18 h15.
Tout cela nous excite considérablement. Nous montons nous laver les dents. Nous faisons les clowns devant le miroir. Rire.
Je saisis Clémentine par la nuque, je la force à fixer son image et je lui dis : < Regarde un peu cette gueule de salope ! >

< La tienne ! Exclusivement la tienne, Julien ! > fait elle en se blottissant contre moi avant de m'embrasser avec fougue.
Je propose de profiter de ce beau temps pour aller faire quelques pas dehors avant de retourner dans l'atelier. Super idée.
Il fait doux. Nous gardons nos anoraks ouverts. Nous faisons le tour de la propriété. Il faut s'inquiéter de cette douceur.
Nous sommes au cœur de l'hiver. Si la terre ne gèle pas encore, il y aura quantité d'insectes, de limaces et de parasites.
Clémentine se serre contre moi. Sa main dans ma braguette ouverte, elle me chuchote : < Demain soir ! C'est génial ! >

Nous faisons un rapide programme. Nous prendrons le repas à 19 h. Nous serons au haras pour 20 h. Clémentine fébrile.
< Tu ne baises pas avec Juliette, hein, parce que je la vois venir avec ses gros sabots ! > me fait Clémentine. Je promets.
Je la rassure. Je ne suis pas du genre à baiser une autre lorsqu'elle est occupée à sucer un vieux salaud impuissant. Rires.
Il est 14 h30 lorsque nous sommes à nouveau assis à nos postes de travail. C'est frustrant. Nous aurions bien fait du vélo.
Clémentine est très sereine. Son rapport de recherches sera prêt pour lundi matin. Et elle n'appréhende pas cette rentrée.

Il est 18 h15. Du bruit. Voilà Estelle. Elle fait des bises à Clémentine. Elle se précipite pour s'assoir sur mes genoux. Bises.
Elle nous raconte sa journée. Matinée au bureau. Et l'après-midi à la préparation de son rapport de recherches. Tout pareil.
Les filles sont installées à la table. Elles comparent leurs travaux respectifs. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. 18 h45.
Nous restons encore un peu assis devant la cheminée pour admirer la danse des dernières flammes. Et Estelle me tripote.
Clémentine lui raconte le coup de fil de Juliette ce matin. < On regarde la messagerie ? > me demande t-elle. Nous filons.

Nous allumons l'ordinateur du salon. Il est plus rapide. Le courriel de Juliette est bien là. < Demain, 20 h, "pipe partie" ! >
< Salauds ! Et sans moi ! Vous savez bien que je ne peux pas venir le vendredi soir ! > nous fait Estelle, serrant mon Zob.
Clémentine lui répond : < Tu auras la bite à Julien rien que pour toi ce soir et samedi soir pour le visionnage du film ! >
< Ouai, ça fait longtemps que j'ai pas sucé ce vieux dégueulasse de Gérard! > dit Estelle. Nous rigolons comme des bossus.
Estelle aussi a une préférence pour la vieille bite toute molle et minuscule de "Maître" Gérard. On envisage déjà un "plan".

A la cuisine, Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. Bien.
Les filles n'arrêtent pas d'évoquer nos aventures aux écuries, le comportement de Juliette, les attitudes du vieux Gérard.
Nous en rions souvent de bon cœur. Les pizzas sont au four. La table est mise. Nous sommes vautrés dans le canapé. Joie.
Je suis assis entre les filles. Estelle, tout en bavardant, me tord la bite dans tous les sens, se penche pour la téter un peu.
Clémentine se touche. J'écoute les filles faire des projets très vicelards concernant nos prochaines aventures chez Juliette.

Je me contente de dire : < Il en a de la chance ce salopard de passer sa retraite à se faire sucer par son ex patronne ! >
< Et par de jeunes étudiantes aussi ! > rajoute Estelle. < Sans parler de celles que nous ignorons ! > fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus à cette simple idée. Juliette est certainement loin de nous avoir tout raconté. Coquine.
La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Estelle ne me lâche pas la queue. Elle me la tire.
< Après, je prends mon dessert ! > me fait elle en sortant les pizzas du four. < Avec ma permission ! > fait Clémentine.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le téléphone. Clémentine s'en saisit. C'est Juliette. Décidément ! Rire.
Estelle, assise sur mes genoux, écoute la conversation en mode "haut parleur". Juliette a tout mis au point pour demain.
Rendez-vous dans notre écurie préférée, dans le dernier box, le trou dans le mur. Radiateur électrique. Tout est superbe.
< Mais quelle salope ! > font les filles en même temps sans même se concerter. Nous rions de bon cœur. Notre vaisselle.
Nous rangeons la cuisine pour filer au salon. Le degré d'excitation est tel que Clémentine retire ses jeans, sa culotte. Joie.

Lorsqu'elle s'installe ainsi, dans le fauteuil, les cuisses écartées, une jambe sur chaque accoudoir, elle veut du spectacle.
Estelle et moi, nous nous mettons en situation. Elle est allongée à ma gauche, sur le canapé, et elle joue avec ma queue.
Clémentine et moi nous ne cessons de nous fixer, de nous faire des sourires complices. Je me fais tailler une super pipe.
Estelle s'applique avec passion. Depuis quelques temps cette jeune fille "sauvage" est devenue d'une telle douceur. Miam.
Clémentine se masturbe en observant mes réactions, mes attitudes et mon comportement. C'est un peu son film préféré.

J'ai un comportement vicieux, sournois. J'appuie sur la nuque d'Estelle pour enfoncer davantage de bite dans sa bouche.
Je l'entends déglutir avec peine. Les quantités impressionnantes de jus qu'elle me tire des couilles la font tousser. Jute.
Clémentine, toute rouge, le visage couvert de sueur, se caresse le clitoris d'un mouvement régulier du bout des doigts.
Je vois de la cyprine s'écouler de sa chatte. Ça coule dans sa raie culière, elle est assise dans une flaque. Le cuir trempé.
J'ai une méchante envie de lui bouffer la moule. Elle respire fort. Reprend son souffle après ses apnées. Gémissements.

Je caresse la tête et le visage d'Estelle avec une infinie tendresse. Elle aussi ne cesse de gémir, de glousser. Un bonheur.
Je lui murmure des saloperies. Je parle de la bite à "Maître" Gérard. J'évoque ses pipes. Tout ce qui nous attend là-bas.
Clémentine cesse souvent de respirer pour m'écouter murmurer mes saloperies à Estelle qui pousse de petits cris, ravie.
La soirée est bien avancée. Il est 22 h15. Clémentine pousse soudain un cri en refermant ses cuisses sur ses mains. Joie.
La coquine est entrain de s'offrir un orgasme tellurique. Elle se mord la lèvre inférieure, les yeux fermés, tête renversée.

Même Estelle arrête de téter pour admirer ce formidable spectacle. Je lui chuchote : < Et toi, tu n'as pas envie aussi ? >
< Je me branle à la maison, au lit, c'est mon "somnifère" ! > me répond Estelle avant de se remettre à sucer. J'éjacule.
Je le fais en sournois, sans bouger, comme elle aime. Elle avale avec peine. Clémentine reprend ses esprits. Clin d'œil.
Je force Estelle à cesser. Pas de second tour. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Séparation difficile. Des bises.
J'aide Clémentine à nettoyer le cuir du fauteuil. Au lit, nous nous serrons fort. Epuisés. Elle me confie ses secrets. Dodo.

Bonnes pizzas à toutes les coquines qui adorent bouffer de la bite en dessert. En écoutant les saloperies du "sucé"...

Julien - (Qui est à se réjouir des choses à venir. Vendredi soir aux écuries. Samedi soir le film. Dimanche en vélo) -

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"Pipe Partie" aux écuries

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par tout un tas de bisous que l'on me dépose délicatement sur les joues et le front.
J'ouvre les yeux pour voir le visage bienveillant de Clémentine au dessus du miens. Comme elle belle. Une vision céleste.
< Bonjour mon amour ! > me chuchote t-elle. Pétri d'émotion soudaine, je la serre contre moi. Elle me chevauche. Bises.
Douceur et papouilles. L''impérieux besoin naturel met rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Il faut pisser.
Nous nous précipitons aux toilettes. Nous enfilons nos tenues de sport. Nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. 7 h35.

Le jour se lève. Nous préparons notre petit déjeuner que nous apprécions en bavardant. Le programme de notre journée.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Le ciel est clair et lumineux. Il va encore faire beau. Nous voilà à l'extérieur.
Nos K-ways, nos bonnets et nos gants pour affronter le froid matinal. Nous courrons immédiatement d'un rythme rapide.
C'est la seule façon de se réchauffer. Notre jogging reste tout de même un grand plaisir. C'est vivifiant et tout est si beau.
Il est 9 h lorsque nous revenons à la maison. La douche. Nous nous habillons. Nous faisons notre lit. Nous redescendons.

Nous allons dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Clémentine est déjà installée devant l'ordinateur. Boulot.
Entourée de ses fiches la voilà concentrée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Et je suis installé devant mon chevalet.
Je peins, baigné d'une joie intense. La fille que j'aime à proximité. L'achèvement de cette dix huitième toile. C'est parfait.
Il est rapidement midi. Je dépose le dernier point de peinture sur ma nature morte que je dépose sur un second chevalet.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'à la cuisine. Elle prépare la salade d'endives et son assaisonnement. On discute.

Je fais revenir les derniers haricots verts et les petits pois dans le wok. J'en fais beaucoup. Pour pouvoir réchauffer ce soir.
A la poêle, je fais frire des crevettes décortiquées sur lesquelles je casse deux œufs en fin de cuisson. Tout est très rapide.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine me propose de sortir.
Nous mettons nos anoraks. Ils seraient presque inutiles tant il fait étonnement doux. Un 22 février. Météo exceptionnelle.
Nous descendons jusqu'à la rivière que nous longeons. Nous nous tenons par la main. Clémentine évoque ses recherches.

Parfois, elle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Elle joue délicatement avec mon sexe lové au fond de mon slibard.
Clémentine est contente de terminer son rapport de recherche pour cette fin d'après-midi. Elle pourra le remettre dès lundi.
Elle y a travaillé toute la semaine. Un labeur parfois harassant. < Fais le satyre ! > fait elle, en me lâchant pour s'éloigner.
Elle marche vite. Elle est dissimulée derrière un amas rocheux. Je sors mon Zob. Je l'agite. Je me branle et je bande mou.
Clémentine revient, marchant doucement, les bras croisés, jouant la promeneuse plongée dans ses pensées. C'est superbe.

Ça me fait toujours bander d'interpréter le rôle du satyre de rivière. Clémentine joue son rôle à la perfection. C'est génial.
Elle mime l'étonnement, la consternation et la crainte aussi. Je lui fais : < Bonjour mademoiselle, vous auriez l'heure ? >
Clémentine s'arrête, reste craintivement à distance, regarde sa montre pour me la donner. Je me masturbe. Et rapidement.
Je dis : < Vous êtes du coin ? >. Clémentine joue le jeu et se met à bavarder. La situation nous excite considérablement.
Nous interprétons les parfaits inconnus qui se rencontrent. Je pourrai éjaculer tellement c'est bon. Clémentine s'approche.

Accroupie, elle fait ce que ne ferait certainement pas une inconnue à un exhibitionniste. Elle joue avec ma queue et la suce.
C'est émouvant. Je lui chuchote : < Je vous aime mademoiselle ! >. Elle cesse pour se redresser. Et nous éclatons de rires.
Nous nous embrassons comme des fous. Nous reprenons le chemin du retour. Nous évaluons ce que nous venons de vivre.
Clémentine, sans le final de la fellation, bien évidemment, adore se retrouver dans de telles situations en me sachant caché.
Combien de fois n'avons nous pas provoquer ces choses. Moi, dissimulé pour sécuriser les agissements de Clémentine. Joie.

Il est 14 h30 lorsque nous revenons un peu frustrés. Cet encore un bel après-midi de vélo qu'il faut sacrifier pour le boulot.
Je rajoute deux bûches dans le feu. Clémentine est installée devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Je m'installe à côté.
Je commence le dessin préparatoire de la dix neuvième toile destinée à ma saison d'été. Une scène de genre à personnages.
Nous travaillons jusqu'au thé de 17 h. J'ai terminé mon dessin. Clémentine agrafe les 18 pages de son rapport. C'est super.
Il me reste à appliquer les deux couches d'impression à l'acrylique "Terre de Sienne". C'est Clémentine qui veut les mettre.

J'aime la regarder faire. Clémentine est adroite de ses mains. A la fin de ses études, elle veut se mettre à la peinture d'Art.
Je lui ai appris plein de choses. Elle m'a tant vu faire. Elle est douée pour le dessin. Le mélange des couleurs la passionne.
Nous sommes contents. Tout est prêt pour lundi. Nous quittons l'atelier. Il est 18 h. Nous sortons dans le crépuscule. Frais.
Chaudement vêtus nous faisons le tour de la propriété. Je sors la voiture. Nous rentrons nous mettre au chaud. Il fait faim.
Clémentine prépare une salade avec les dernières tomates. Je réchauffe les haricots verts et les petits pois. Une omelette.

Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie la crainte qui l'habite.
C'est toujours présent avant des situations vicelardes et totalement imprévisibles. Cela participe également de l'excitation.
Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Nous mettons des habits propres.
Avec ce froid, pas question d'être en jupe. Clémentine revêt ses jeans, une chemise à carreaux sous un sweat bien chaud.
Je suis en jeans, chemises à carreaux et sweat. Nous voilà comme des jumeaux à faire les clowns devant le miroir. Rires.

Nous descendons. Clémentine me fait sentir ses légers tremblements, ses frissons. Elle est délicieusement excitée. Super.
En bas, je lui passe le collier canin autour du cou. J'y fixe la laisse. Nous voilà en route. Et je roule doucement. Il fait nuit.
Il est 19 h45 lorsque nous arrivons au haras. Il y a la voiture de monsieur Gérard et celle de Juliette. Il y a de la lumière.
Je tire Clémentine par la laisse. Nous pénétrons dans notre écurie préférée. J'entraîne Clémentine jusqu'au local bureau.
Il y a un rayon de lumière sous la porte. Nous entendons des voix sans rien comprendre. Juliette et Gérard qui bavardent.

J'attache la laisse à un crochet. Je regarde Clémentine. Elle est restée debout à me fixer, le regard craintif, interrogateur.
Je frappe à la porte. Juliette vient m'ouvrir. Elle me fait un immense sourire tout en me serrant la main. Vêtue en écuyère.
Elle fait bouger son doigt à l'intérieur de ma paume. Gérard me fait un signe de la main. Je ne vois que sa tête. Accroupit.
Il est derrière le bureau, sans doute à bricoler quelque chose. Juliette m'invite à la suivre dans le box voisin. Et il est vide.
Elle aperçoit Clémentine. Elle va la détacher. Elle la tire sans ménagement sans même la saluer. Clémentine la suit. Belle.

Je regarde par le trou dans la cloison. C'est fou. Monsieur Gérard est à quatre pattes, nu, sur le bureau. C'est surréaliste.
Il fait penser à un nain de jardin. Ses longs cheveux gris en catogan, sa silhouette trapue. Son ventre qui pend. Très poilu.
Juliette entraîne Clémentine derrière le mec. Elle saisit les énormes couilles de Gérard. Il écarte les cuisses. C'est délirant.
Juliette force Clémentine à les lécher. Clémentine a un mouvement de recul. Elle tente de se soustraire de cette étreinte.
Juliette est une vicelarde de première, nous le savons. C'est elle qui va diriger les opérations. Clémentine est révulsée.

Clémentine n'a d'autre choix que de lécher les couilles de ce mec. Juliette la tient fermement par la nuque et la tête. Dur.
Je sors ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. Juliette lâche Clémentine qui reste à présent d'elle même. Fou.
Juliette se glisse sous le ventre de Gérard. Je ne peux pas voir ce qu'elle fait. En tous cas elle y reste longuement. Dingue.
Clémentine choppe la bite minuscule et molle de Gérard pour tenter de la faire passer sur les couilles. Impossible. Si petite.
Juliette se redresse. Elle revient mettre son visage tout près de celui de Clémentine qu'elle saisit par ses cheveux. Elle tire.

Voilà Clémentine avec la gueule entre les fesses du salaud. Elle ne va tout de même pas être obligée de lui faire le cul !
Juliette, comme la dernière des salopes la force à le faire. C'est dégueulasse. J'ai envie d'intervenir tant Clémentine crie.
Rien à faire, la poigne de Juliette semble de fer. Gérard reste immobile. Ce salopard se fait bouffer le cul. C'est dégueu.
Juliette force Clémentine à cesser. Elle dit quelque chose. Gérard se retourne et se met à genoux sur le bureau. Dingue.
Son sexe minuscule qui pend sur ses couilles énormes. Clémentine, tenue par la nuque, est forcée de s'en approcher.

Je mâte en me branlant. La position est inconfortable. Clémentine a la bite de Gérard en bouche. Entièrement. Si petite.
A un moment, elle ouvre les yeux. Tout en suçant, elle regarde vers le trou. Elle me sait derrière. Une expression de défi.
Juliette qui s'en rend compte, regarde également. Elle se met devant le trou pour mimer une masturbation masculine.
Cela m'est évidemment destiné. Vicelarde. Le jour où je m'occuperai de ton cas, tu vas dérouiller. Clémentine fixe le trou.
Elle se retire subitement. Il y a du foutre qui lui dégouline de la bouche. Gérard est entrain de lâcher une giclée de pisse.

Juliette rejoint Clémentine. Elle se penche pour sucer. A son tour, avec un regard vicelard, elle fixe le trou. Je me branle.
Je me redresse. Je passe ma bite dans le trou. Je ne sais pas laquelle des deux me suce mais c'est merveilleux. Géant !
J'entends Gérard pousser des râles. Ce saligaud est certainement entrain de se faire sucer par Clémentine. C'est Juliette.
Tout cesse. J'ai soudain froid au bout de la queue. Je la retire du trou. Juliette vient me rejoindre en s'essuyant la bouche.
< Tu jutes mon salaud ! > me fait elle en s'accroupissant pour me tailler une pipe. Je me penche pour voir par l'orifice.

Clémentine est couchée sur le ventre, sur le bureau. Gérard, toujours complètement à poil, debout, se fait tailler une pipe.
En découvrant l'expression de bonheur qui se lit sur le visage de Clémentine, j'ai soudain une curieuse émotion. Sensation.
Juliette me taille une pipe des familles en m'interdisant de la toucher. Elle repousse mes mains chaque fois que j'essaie.
Je me penche à nouveau car j'entends du bruit. Des claquements secs et des petits cris. Clémentine se prend des gifles.
Elle parvient à s'enfuir pour nous rejoindre dans le box. Elle pousse Juliette sans ménagement. Elle se tient contre le mur.

Juliette, étonnée, se redresse. Clémentine me saisit par la main pour m'entraîner à toute vitesse. Nous quittons les écuries.
Dans la voiture, Clémentine, en sanglots, me fait : < C'est un vrai salaud ! >. Elle a les cheveux qui collent sur ses joues.
Je lui dis : < Tu as un avant goût de ce qui t'attend au printemps ! >. Clémentine me fait : < Un goût dégueulasse oui ! >
Nous en rions tout de même de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Là, je suis sûre que Juliette termine le Gérard ! >
Au lit, Clémentine m'attire sur elle. Je la pénètre. Immobiles. Elle me confie ses ressentis. Une bonne impression générale…

Bonne soirée à lécher de vieilles couilles, à sucer une vieille bite minuscule et molle à toutes les coquines vicieuses…

Julien - (Qui est toujours surpris par les attitudes de Clémentine. Clémentine qui semble apprécier après coup) -

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Film d'Art et d'Essai

Hier matin, samedi, nous nous réveillons ensemble. Il est 7 h30. Clémentine se blottit contre moi. Douceur et papouilles.
Elle m'entraîne rapidement par la main jusqu'aux toilettes. Nous mettons nos tenues de sport avant de descendre. Faim.
Nous préparons notre petit déjeuner dans une sorte de fébrilité. Le jour s'est levé. Le ciel est d'un bleu pâle et lumineux.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme du jour. Nous évitons de parler de hier soir. Le haras.
La vaisselle. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants. Nous voilà à courir dans le froid. La campagne si belle.

Il est à peine 9 h lorsque nous sommes de retour après un running des plus agréables. Nous avons couru à pleine vitesse.
La douche. Nous nous habillons. Nous mettons nos jeans, chemises à carreaux et nos sweats. Nous enfilons nos anoraks.
Nous voilà en route pour le bourg voisin. Trois petits kilomètres pour y faire notre marché. Je roule doucement. Du soleil.
Nous faisons provision de fruits et de légumes, de fromages, d'œufs, de beurre, de yaourts et de crème fraîche. Superbe.
Nous revenons à la voiture pour prendre la direction de la zone commerciale. Treize petits kilomètres. Le climat radoucit.

Nous voilà arrivé à l'hypermarché. Je pousse le caddie. Clémentine, la liste des courses à la main, nous entraîne. Rayons.
Il y a beaucoup de monde. Nous faisons provision de tout ce dont nous avons besoin. Clémentine m'entraîne aux bouquins.
Il y a peut-être là une opportunité vicelarde. Même sans évoquer ce qui s'est passé hier soir, nous en sommes tout excités.
Beaucoup trop de gens pour se livrer à un jeu quelconque. Clémentine ne cache pas sa légère frustration. Bien dommage.
Un petit tour au rayon des vêtements homme. C'est pareil. Pas la moindre occasion de faire les larrons. La prochaine fois.

Nous attendons notre tour au rayon poissonnerie. Cabillaud, langoustines, filet de saule, moules, filets de lieu noir. Parfait.
Nous passons en caisse. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Devant le salon de thé qui est plein à craquer.
< Regarde ! Le pervers de la dernière fois ! > me fait Clémentine en me montrant le type qui l'avait invité aux WC publics.
Nous étions même allés découvrir les lieux, dans les entrepôts derrière le parc. Nous n'y avons jamais donné suite. Tant pis.
< De toute façon, j'ai encore son numéro de téléphone ! > conclue Clémentine qui nous entraîne à la cafétéria. Les menus.

Il y a des menus plutôt attirants. Clémentine préfère rentrer. Nous sortons. Quel contraste. Il fait presque doux au soleil.
Nous rentrons. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite en parlant enfin de ce qui s'est encore passé hier soir.
J'écoute. C'est toujours d'un grand intérêt. < Et ce soir, Juliette se fait niquer par Pierre, le "homard" ! > fait Clémentine.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine agite ses mains comme les pinces d'un homard. Il est 12 h30. Nous arrivons.
Nous rangeons les courses. Clémentine s'occupe de la salade de salicorne. Je prépare le bouillon pour les moules. Sympa.

Accompagnées de blettes aux champignons, les moules sont à la crème. Un régal. Nous mangeons de bon appétit. Super.
Nous sommes tous les deux sereins quand à nos travaux pour lundi. De quoi rester insouciants tout ce Week-end. Bien.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine me confie ses impressions. Ces ressentis quand au haras.
La pipe prodiguée à monsieur Gérard complètement à poil avec juste ses bottes. Nous en rigolons comme des bossus. Joie.
< Tu as vu cette salope de Juliette ? Son comportement ! Je me méfie quand elle est seule avec toi ! > me dit Clémentine.

Je la rassure. Moi non plus je n'aime pas trop être éloigné de ma compagne lorsqu'il se passe des trucs bien vicelards. Dur.
C'est sur ce constat, rester tout près l'un de l'autre et même dans les plus torrides situations, que nous faisons la vaisselle.
Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélo. Nous faisons les clowns. Rire.
Nous voilà vêtus de nos leggings noirs, de nos chauds maillots en lycra sous nos sweats rembourrés. Prêts à en découdre.
Accroupie sur ma droite, sa tête en appuie sur ma cuisse, me tenant la jambe, Clémentine fait : < Je vous aime Maître ! >

Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime délicieuse Soumise ! >. Nous rions de bon cœur de nos jeux.
Je prends Clémentine sur le dos. En imitant le hennissement du cheval, je descends prudemment. Et nous voilà au dehors.
Il fait étonnement doux. Le contraste avec le froid glacial du matin est saisissant. Je vérifie le gonflage de pneus. 4,5 bars.
Nous voilà en chemin. Je porte le petit sac à dos contenant nos pommes, nos barres de céréales, la bouteille d'eau, K-ways.
Sur la piste cyclable, nous croisons un nombre invraisemblable de cyclistes, de jeunes filles en rollers. Même des joggeurs.

C'est étrange de pédaler ainsi, dans un paysage hivernal sous un doux soleil contre un léger vent de sud ouest. C'est bien.
Pas d'arrêt exhibe au cabanon de l'écluse car il y a un groupe de cyclistes féminines qui sont assises au sol et en plein soleil.
Il est aux environs de 15 h30 lorsque nous arrivons au petit port de plaisance. Tous les bateaux sont encore bâchés. Hiver.
Par contre, il règne là une animation étonnante. Les boulistes qui jouent à la pétanque. Quantité de cyclistes. Promeneurs.
Nous fermons nos bicyclettes à cadenas derrière la capitainerie encore fermée. Nous traversons la petite route. Des autos.

Il y a du monde dans la superette où nous achetons nos cônes glacés. Nous y bavardons d'abord un peu avec la gérante.
La saison commence avec un mois d'avance. Madame Marthe pronostique une année exceptionnelle et une canicule d'été.
Nous savourons nos glaces en flânant sur les quais. Clémentine, hyper sexy dans son legging noir, attire quelques regards.
Ce qui suffit à susciter chez elle le désir de s'offrir une petite exhibe. Nous recherchons la "V.P.", la "victime potentielle".
Il n'y a pas d'individus réellement seuls dans les coins que nous explorons. Les WC réservés aux plaisanciers sont fermés.

Par contre là, entre le mur des toilettes publiques et la rangée de bosquets, il y a un type seul. Son vélo posé à l'envers.
Il semble réparer sa chaîne car il fait tourner son pédalier. Il n'est pas en tenue sport mais en jeans, baskets et anoraks.
Je reste en retrait. Clémentine marche doucement, les bras croisés. Elle arrive à la hauteur de l'individu. Le type la voit.
Il pose une main sur sa braguette pour se palper vulgairement. Il doit avoir la trentaine. Plus petit que Clémentine. Brun.
Il adresse la parole à la jeune fille qui s'arrête. Le vélo qui les sépare. Et je ne comprends pas les propos qui s'échangent.

Clémentine continue à marcher. Le type la regarde disparaître au coin du bâtiment. Il ouvre sa braguette. Si elle revient.
Gagné ! Clémentine revient sur ses pas. Notre salopiot regarde dans toutes les directions et se met à se masturber. Dur.
Il a une belle bite. Bien longue. Pas grosse. Cette fois il est beaucoup plus entreprenant. Clémentine s'arrête. La coquine.
De quoi provoquer le mec qui semble toutefois garder son calme. Il reste derrière son vélo. Il se tient la bite, les couilles.
Il se branle de plus en plus vite. Clémentine bavarde comme si tout cela était parfaitement normal. Notre salaud éjacule.

Clémentine le salue d'un geste de la main, lève le pouce comme pour le féliciter et laisse le quidam remballer ses attributs.
Elle me rejoint. Nous rions de bon cœur de cette farce. Il faut prendre le chemin du retour. La fraîcheur devient plus vive.
Il est 16 h15 lorsque nous repartons. Le vent nous pousse. C'est donc sans le moindre effort que nous parcourons 25 km.
Il est 17 h45 lorsque nous arrivons à la hauteur du haras. Je propose à Clémentine d'y faire un saut. Un coucou à Juliette.
Il y a plein de voitures garées dans la cour. Des groupes de gens. Juliette nous aperçoit, poussant nos vélos. Un coucou.

Nous bavardons un peu avec Eveline et Kim Son, les deux palefreniers. Il y a là-bas madame Walter avec des cavalières.
Nous avons revêtu nos K-ways, bonnets et gants. La fraîcheur du soir. Juliette vient nous saluer. Nous bavardons. Bien.
Nous échangeons nos ressentis quand à notre soirée de hier. < A refaire ! > fait Clémentine. < Printemps ! > dit Juliette.
< Ce soir, je suis entre les pinces redoutables de Pierre, mon "homard" ! > nous fait Juliette. Nous en rions de bon cœur.
Juliette revient à la charge en disant à Clémentine : < Vous devriez l'essayer. Il baise vraiment comme un dieu ! >. Rire.

< Je ne baise qu'avec Julien et je suce les autres ! > lui répond Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. 18 h30.
Nous promettons de faire un saut demain, comme aujourd'hui, au retour de notre virée vélo. Nous partons. La nuit tombe.
Nous arrivons à la maison pour 18 h45. Il fait presque nuit. Nous nous dépêchons de rentrer. Estelle est déjà là. Son auto.
Elle me saute au cou. Estelle est entrain de préparer le repas du soir. Gratin de coquillettes avec crevettes poêlées. Super.
Nous montons tous les trois nous changer. Les filles mettent leurs jupes kilt, un simple pull noir de coton fin, col en "V".

Sur la demande d'Estelle, je mets mon pantalon en cuir noir, moulant et ma chemise blanche aux manches bouffantes.
< Mon mousquetaire ! > fait elle en palpant ma braguette. Nous nous admirons devant le miroir. Nous prenons la pose.
Accroupies de chaque côté, les filles me fixent. < Vous aimez, Maître ? > me fait Estelle, sa tête appuyée sur ma cuisse.
< C'est à votre goût, Maître ? > fait Clémentine. Je leurs dis : < Vous êtes les plus adorables Soumises de la création ! >
Je leurs caresse la tête. Elles frottent leurs visages à tour de rôle contre ma braguette. Je sors ma queue. Je bande mou.

Je frotte mon sexe sur leurs visages. Je passe de l'une à l'autre en les laissant téter un peu. La sonnerie du four. Stop !
Morts de faim, nous descendons à toute allure. Nous mangeons de bon appétit tout en racontant la soirée à Estelle. Joie.
Clémentine avoue s'être régalée de la bite à Gérard. Estelle n'arrête pas de pousser des < Miam ! Veinarde ! Salope ! >
Nous lui promettons qu'elle sera avec nous pour les réjouissances du printemps. Séance de "Dressage" pour jeunes filles.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous remercions Estelle pour ce divin repas, cette surprise.

Estelle prend ma main. Elle la passe sous sa jupe. Je lui caresse le sexe. Elle n'a pas de culotte ce soir. Ce qui est rare.
Clémentine nous entraîne au salon. Estelle agite la petite boîte en plastique sous mon nez. < Le film ! > nous fait elle.
Clémentine introduit la carte SD dans l'ordinateur branché sur le téléviseur. Nous nous vautrons dans le canapé. Super.
Clémentine tient la télécommande. L'écran s'allume. C'est toujours étonnant de nous voir tous les trois, à l'image. Fou.
Les mêmes filles que je vois à l'écran, sont assises là, à de chaque côté. Je peux les toucher, les embrasser, leur parler.

Le visage d'Estelle apparaît en gros plan. Elle est d'abord sérieuse, fait un clin d'œil et se met à sourire. Elle est belle.
En fondu enchaîné, son même visage apparaît maculé de foutre et de pisse, les yeux cernés, les cheveux qui collent.
Le montage est parfait. Le générique défile. C'est très "pro". Nous félicitons Estelle pour ce travail. C'est du grand Art.
Ce sont des images tirées d'une autre séance. Il y a quelques mois. Une sorte de florilège des meilleures scènes. Super.
Je bande. < Sors ta bite ! > me fait Estelle en palpant l'énorme bosse qui déforme le cuir noir de mon pantalon. Dure.

Clémentine, sa main droite sous sa jupe, fait des arrêts sur image, tenant la télécommande de sa main gauche. Branle.
Voilà les premières images du film que nous avons réalisé samedi dernier. Les deux filles attachées à la poutre au grenier.
Elles sont vêtues comme ce soir. Clémentine porte son masque, un loup noir à dentelles. Estelle fixe la caméra. Vicieuse.
On me voit tourner autour des filles. Les toucher vulgairement. Les tenir par la nuque, par les cheveux ou sous le menton.
Je dirige toujours leurs visages vers l'objectif de la caméra que je change de place en fonction de la situation. Bon boulot.

Estelle me tient la queue. J'ai ma main sous sa jupe. La fente étroite de son sexe commence à suinter. Je bande très fort.
Clémentine, tout en se masturbant, fait des arrêts sur image. Elle commente ce que nous voyons. Et c'est remarquable.
Je félicite une fois encore Estelle pour ses aptitudes. < Windows Movie Maker de l'ancien ordi à papa ! > me répond t-elle.
Estelle propose à Clémentine de filmer la séance de "Dressage" de ce printemps, aux écuries ! < Pas question ! > fait elle.
< Même masquée, je ne veux pas être filmée ! > explique Clémentine qui a toujours une appréhension quand aux images.

< Et toi Julien, on te voit bien dans le film, ça ne te dérange pas ? > demande Estelle. Je la rassure : < Je m'en fout ! >
Il m'importe très peu d'être vu. Je sais très bien que personne ne verra jamais ces films que nous réalisons tous les trois.
Ce sont principalement les fantasmes d'Estelle qui aime interpréter l'actrice porno. Et nous en rions souvent de bon cœur.
A présent, dans le film, on me voit passer d'une fille à l'autre. Je les baise debout, par derrière, les tenant par les hanches.
Les expressions d'Estelle sont de grands moments. Je lui dis : < Regarde un peu comme tu es belle. Un ange qui baise ! >

< Qui se fait baiser ! > corrige t-elle en me tordant la queue dans tous les sens. Nous regardons ces images, souffle court.
On ne voit pas les expressions de Clémentine. Je lui fais remarquer que c'est bien dommage. Elle me dit : < Regarde ! >
Nous regardons certaines scènes à plusieurs reprises. Estelle, dans son montage, y a placé des scènes d'autres épisodes.
Son visage maculé de foutre et de pisse qui apparaît en gros plan, en fondu, juste un instant. C'est absolument génial !
Nous la félicitons. Nous arrivons à la fin du film. Exactement trente minutes. Nous sommes épuisés d'excitation contenue.

Il est 23 h. Je propose aux filles de nous terminer là-haut, dans la chambre, au lit. < Impossible ! > s'écrie Clémentine.
Elle se masturbe depuis trop longtemps en faisant ses arrêts sur images et en commentant ce que nous voyons à l'écran.
Elle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Elle se replie sur elle même en gémissant, son corps frissonnant d'extase.
< L'effet des émissions "Arté" ! > fait Estelle qui se penche pour me pomper tout le jus qui s'écoule de ma queue. Jute.
J'éjacule. Estelle avale en gémissant de plaisir. Je lui caresse la fente trempée. Elle a un orgasme. Nous montons. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment visionner le résultat de leurs exploits en cinéma "Art et Essai" privé…

Julien - (Toujours étonné de la manière toute particulière qu'a Estelle de ressentir des orgasmes si peu démonstratifs) -

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Effusions de tendresse

Hier matin, dimanche, on me réveille de la plus douce des manières. On suce mon érection matinale. On me fait des bises.
Je sais qui est sous les draps. Clémentine me chuchote les premières douceurs de la journée. Je caresse la nuque d'Estelle.
J'ouvre les yeux. Le visage bienveillant de Clémentine au-dessus du mien. Pétri d'émotion, je la serre contre moi. Papouilles.
Je saisis Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser. Je pose sa tête au creux de mon épaule. Elle se blottit contre moi.
Nous restons ainsi un petit moment à savourer notre privilège. N'en pouvant plus, Estelle se lève pour se précipiter aux WC.

Elle revient dans son pyjama de soie mauve. Elle tourne sur elle-même comme une ballerine. < Le petit déj ! > lance t-elle.
Elle dévale l'escalier. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous rejoignons Estelle. Cuisine.
Il est à peine huit heures. C'est dimanche. Pas d'entraînement. Matinée "ménage". Estelle me saute au cou. Je la soulève.
< C'était génial hier soir ! > me fait elle en me couvrant le visage de bises. Clémentine s'interpose et prend sa place. Jeu.
Nous prenons notre petit déjeuner dans une délicate odeur de pain grillé, de brioche et de café. Nous mangeons en parlant.

Les filles évoquent notre soirée, le visionnage du film, la qualité des images et du montage. J'écoute la description. Sympa.
Lorsqu'Estelle pose sa main sur la mienne et me lance : < Tu es un "acteur" X parfait ! >, Clémentine rajoute : < Rocco ! >
Nous rigolons comme des bossus. Estelle fait : < Et tu n'as pas besoin d'être filmé pour avoir ce comportement avec moi ! >
< Tu fais des propositions à mon mec maintenant ! > lui renvoie Clémentine. Nous rions comme des bossus. Il y a du soleil.
Il fait beau mais le froid est certainement glacial. Clémentine me prend la main et fait : < Autorisation de baiser Estelle ! >

Nous rions beaucoup. C'est dimanche. Et nous traînons à table. Estelle se propose à passer l'aspirateur et à faire le salon.
Clémentine fait la chambre. Autant de rituels qui occupent nos dimanches matins. La vaisselle. Clémentine monte. Le lit.
Je nettoie la cuisine. J'entends Estelle chanter en passant l'aspirateur. Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère.
Je m'apprête à monter. Je regarde par la porte du salon. Quelle surprise. Estelle est couchée là, sur le bureau. Un sourire.
En appui sur ses coudes, cuisses écartées, pieds posés sur le bureau. Le bas du pyjama parterre. < Tu viens ! > fait elle.

Je reste dans l'encadrement de la porte. Etonné. < Tu as la permission ! > rajoute Estelle en me faisant un clin d'œil. Joie.
Je suis en slip et en T-shirt de nuit. Je m'approche. Je la regarde. Je me positionne entre ses jambes qu'elle a redescendu.
Estelle se redresse, m'enlace, ses bras autour de mon cou et fouille ma bouche de sa langue exploratrice. Goût de brioche.
Estelle frotte son sexe contre le mien. < Clémentine est d'accord ! Prends moi. Viens ! On a l'autorisation ! > me fait elle.
Je suis dans l'embarras. Même avec sa permission, Clémentine n'est pas présente. J'éprouve un sentiment de culpabilité.

Je bande comme un priapique en phase terminale. Estelle se met en position. En appui sur ses coudes. Cuisses écartées.
Je dis : < Je vais te faire mal ! >. Estelle me fait : < Tu mets juste le bout, viens ! >. Je touche avec le doigt. Humidité.
Je crache dans ma main. Je mets la salive à l'entrée du sexe d'Estelle. Je frotte le mien avant de la pénétrer doucement.
Estelle a un spasme, fait une légère grimace et se détend soudain en se laissant aller. Nous restons immobiles. Le silence.
Estelle me chuchote ses impressions, ses ressentis. Elle me fait des bises, passe ses jambes autour de moi et se redresse.

Je la soulève. Dans l'effort, me voilà avec la queue enfoncée. < Aïe ! > fait Estelle. Je veux me retirer. < Non ! > fait elle.
Je monte l'escalier ainsi. Estelle reste blottit contre moi, sa tête dans le creux de mon épaule. Je suis prudent. Précaution.
Nous rejoignons Clémentine. J'ai débandé et la bite est sortie. Clémentine termine de changer les draps. Elle nous sourit.
Je jette Estelle sur le lit comme un paquet de linge. Je prends Clémentine dans mes bras. J'ai envie de lui dire. Des bises.
< Tu l'as baisé un peu ! > me fait elle. Estelle s'est relevée pour ramasser le tas de draps sales. Je dis : < Un petit peu ! >

< Ah mais il faut la baiser et pas qu'un peu ! Elle en veut ! > rajoute Clémentine. Nous en rions tous les trois de bon cœur.
< Tu vois, on a le droit maintenant ! > fait Estelle en sautant sur le lit. Il fait froid dans la chambre, les fenêtres ouvertes.
Clémentine est déjà vêtue de ses jeans et de sa chemises à carreaux. Estelle et moi nous nous habillons. Mêmes fringues.
Estelle passe l'aspirateur à l'étage. Clémentine et moi nous nettoyons la salle de bain. Nous évoquons ce qui s'est passé.
< Je suce d'autres mecs, tu as bien le droit de baiser avec Estelle. Je ne suis plus jalouse d'elle ! > murmure Clémentine.

Serrée dans mes bras, Clémentine rajoute encore : < Baise la quand tu veux. Et on s'est entendues toutes les deux ! >
Nous nous embrassons comme des fous. Même si je n'ai pas spécialement envie d'en baiser une autre, je vais m'appliquer.
Pour me rassurer, Clémentine me chuchote : < Et c'est devenu un de mes fantasmes. Vous voir baiser tous les deux ! >
Je ne sais pas trop quoi dire. Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage.
Estelle vient me rejoindre. Elle passe une main entre mes cuisses, par derrière et me choppe par la braguette de l'autre.

< Si on baise régulièrement, je finirai par ne plus avoir mal ! > me fait la coquine. Je ne peux rien faire. Mains gantées.
Je tire la chasse. Je retire mes gants. Estelle à genoux a une main dans ma braguette et m'attire à elle de l'autre. Et fort.
Je la force à se redresser. Je la prends sur le dos. En imitant le hennissement du cheval, je descends les escaliers. Prudent.
Nous rejoignons Clémentine à la cave, dans la buanderie. Une machine tourne déjà. Nous aidons à trier le linge de couleur.
Les filles évoquent la rentrée de demain. Leurs rapports de recherches sont prêts. Présentés en fascicule, pages agrafées.

Je monte pour commencer à préparer le repas. Il est déjà onze heures trente. La pâte feuilletée et le saumon décongelés.
Estelle est la première à me rejoindre. Elle se frotte derrière moi en me tenant la braguette. < On a le droit ! > me dit elle.
Clémentine arrive à son tour. < J'ai le dos tourné deux minutes et voilà ! > fait elle en s'interposant pour prendre la place.
Clémentine s'occupe de la salade de carottes et de l'assaisonnement. Estelle prépare la pâte dans un grand moule. Super.
Je concocte une Béchamel dans laquelle Estelle verse le saumon émincé et rissolé. Ail, oignon, champignons et ciboulette.

Le feuilleté de saumon est au four. La table est mise. Nous enfilons nos anoraks pour aller prendre la température. Bien.
Il fait presque doux. Cette météo exceptionnelle perdure depuis deux semaines. Nous faisons le tour de la propriété. Joie.
Il fait presque chaud au soleil. Cet après-midi, nous filons à bicyclette. C'est trop bien. Nous les sortons du garage. Prêtes.
Nous restons assis au soleil sur le muret. La chaleur est aphrodisiaque. Nous en apprécions les premiers effets de l'année.
La baie vitrée de la véranda est ouverte. Nous entendons la sonnerie du four. Nous nous précipitons, nous tenant la main.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il restera du feuilleté pour ce soir avec une bonne potée de légumes.
Nous traînons à table. Les filles parlent des cours, de la rentrée demain. J'épluche les patates, navets, carottes, oignon.
Estelle débarrasse. Je fais revenir les légumes dans la vieille cocotte en fonte. Je mets le couvercle, je coupe le feu. Bien.
Nous terminons la vaisselle. Le repas de ce soir est déjà prêt. Nous montons nous laver les dents, nous mettre en tenue.
Nos leggings en lycra noir. Nos maillots sous nos sweats matelassés. Je prépare les K-ways dans le petit sac à dos. Prêts.

Il est 13 h45 lorsque nous descendons le chemin qui mène à la piste cyclable. Il y a un monde fou. C'est un boulevard.
Tout le monde veut profiter de cette journée exceptionnelle. Quantité de cyclistes, de rollers et de promeneurs. Super.
Il faut louvoyer, éviter des familles, des landaus et ces chiens que les inconscients laissent divaguer sans laisse. Crétins.
Nous arrivons au petit port de plaisance pour 15 h30. Il y a un monde fou. C'est comme en plein été. Il fait super beau.
Nous nous offrons nos cônes glacés que nous savourons en flânant sur le quai. Les boulistes, les promeneurs. Ambiance.

Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises, de nous prendre par la main ou de nous tripoter discrètement. C'est sympa.
Nos hautes tailles, nos silhouettes athlétiques, nos égarements attirent quelques regards curieux, parfois même libidineux.
Nous devons faire bien des envieux. Deux jeunes filles accrochées aux bras et aux épaules d'un homme d'âge mûr. Rires.
Il est 16 h15. La fraîcheur devient plus vive. Nous enfilons nos K-ways, nos bonnets et nos gants. Et direction la maison.
Le vent de sud ouest nous pousse. Il faut donc faire peu d'effort. Nous croisons autant de monde qu'à l'aller. C'est bien.

Il est 17 h45 lorsque nous arrivons au haras. L'animation vient de se terminer. Il y a plein de monde dans la cour. Super.
Nous tombons presque immédiatement sur Juliette accompagnée d'un couple de propriétaires de chevaux. Nous flânons.
Il y a Gérard, là-bas, qui discute. Clémentine veut absolument l'éviter quelques temps. Juliette qui revient marchant vite.
Elle nous serre les mains. < Hier soir, j'étais entre les pinces de mon "homard" ! > nous raconte t-elle avec un clin d'œil.
< Mayonnaise ou "nature" ? > lui fait Estelle. < Crème anglaise ! > répond Juliette. Elle est obligée de nous abandonner.

Nous ne nous attardons pas non plus. La nuit commence à tomber. Nous sommes équipés. Lampes et chaudement vêtus.
Il est 18 h45 lorsque nous sommes de retour. Nous montons nous changer. Clémentine s'occupe de la salade d'endives.
Estelle réchauffe le reste du feuilleté de saumon. Je m'occupe de la potée que je remue afin qu'elle n'attache pas. Super.
Estelle met la table. La saine fatigue du dimanche commence à se faire sentir. Nous passons à table. Un repas délicieux.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous voilà vautrés au salon.

J'ai la bite à l'air entre Clémentine à ma gauche et Estelle à ma droite, installés tous les trois dans le canapé à bavarder.
Estelle, tout en parlant, me tord la queue dans tous les sens. Elle a récupéré la carte SD avec le film. Nous en reparlons.
Estelle envisage de faire un montage comprenant tous les meilleurs extraits des huit films que nous avons déjà réalisé.
Une sorte de "Best off", un florilège des moments les plus vicieux. Et d'une durée maximale de 30 minutes. C'est sympa.
Il est 22 h15. La séparation est difficile. Estelle revient mardi soir. Nous la raccompagnons jusqu'à sa voiture. Le froid.

Bon début de semaine à toutes les coquines qui aiment se vautrer dans les canapés pour jouer avec des bites…

Julien - (Qui passe des moments intenses en compagnie de Clémentine et leur "petit animal de compagnie", Estelle)

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La rentrée

Hier matin, lundi, c'est la 5ème de Ludwig Van Beethoven qui nous sort du sommeil. Avec une certaine violence. Pénible.
< Mais ta gueule Bite au vent ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous nous offrons quelques rapides papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. Et nous mettons nos tenues de gym.
Il est 6 h. Nous dévalons l'escalier à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous préparons un copieux petit déjeuner. Il fait nuit.
Le lundi matin, il reste toujours de la brioche. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Ce matin c'est la rentrée.

Clémentine est toute fébrile. Son rapport de recherches est prêt. Il suffira de le remettre. Et c'est reparti jusqu'au 8 avril.
Nous évoquons les vacances de Pâques. Nous irons passer dix jours en Gironde. Une location à proximité de Bordeaux.
Il est presque 6 h30. Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement. C'est moins agréable que nos joggings.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Le jour s'est levé. Il est 7 h45. Le froid.
Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Un dernier bisous. Coucou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin.

Le ciel est bleu et lumineux malgré un froid glacial. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et notre vaisselle. Propre.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Enfin.
Je suis assis devant mon chevalet. Je commence ce matin la peinture de la dix neuvième toile destinée à ma saison d'été.
Une scène de genre à trois personnages. Une scène imaginaire que je situe dans la Hollande du XVIIème siècle. Très bien.
Je peins dans l'enthousiasme délirant des débuts de tableau. Lorsque tout est à déflorer. J'en pousse des cris surréalistes.

Il est dix heures lorsque la musique ridicule de mon smartphone brise le silence. Je pense savoir qui c'est. J'en suis sûr.
Je décroche. Gagné ! C'est Juliette. Je mets sur mode "haut parleur" pour pouvoir discuter tout en peignant. C'est parfait.
Juliette me raconte l'animation qu'elle a organisé au haras hier après-midi. Un succès. Je commence à apprécier ses appels.
C'est toujours intéressant et Juliette fait preuve d'un humour fin. Rapidement toutefois elle aborde sa sexualité débridée.
Un peu comme la notre. Samedi soir, Juliette était encore entre les pinces de son "homard" sous les yeux de Mme Walter.

Mme Walter partage la même déviance que Clémentine. Elle aime voir son homme se comporter en salaud avec une autre.
Elle peut donc se projeter dans un univers fantasmatique, comme devant un film, tout en se masturbant. C'est formidable.
Nous rions beaucoup de ces similitudes. Juliette précise toutefois que Pierre, le "homard", n'est pas son amant. Pas du tout.
< C'est mon gode avec un mec au bout, sextoys sans pile ! > précise encore Juliette. Nous en rigolons comme des bossus.
La conversation dure ainsi une demi heure. Nous nous saluons avant d'y mettre un terme. Rendez-vous mercredi soir. Joie.

Je peins jusqu'à midi sans cesser de penser à la patronne du haras. C'est une sacrée coquine. Un caractère fort. Adorable.
Je vais à la cuisine. Pour la rentrée de Clémentine, je lui réserve une surprise ce soir. Une tarte à la courgette et aubergine.
Je fais une belle pâte à pain. Je coupe les aubergines, les courgettes, les champignons et les tomates en petits morceaux.
Je les fais revenir sans graisse dans le wok. Ail, oignons, ciboulette. Je fais gonfler du riz complet pour mon repas de midi.
Je récupère un peu de garniture comme sauce. Une bonne salade d'endive, la crudité de l'hiver. Je mange de bon appétit.

Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. La pâte à pain repose dans un saladier sous un linge. La garniture dans la casserole.
Pour ce soir, le repas est prêt. Je peux retourner dans l'atelier en toute quiétude. Je fais un rapide tour à l'extérieur. 13 h.
Le soleil est haut dans le ciel. Il fait encore plus doux que hier. Un 25 février tout à fait exceptionnel. Une journée à vélo.
C'est sur ces considérations que je retourne travailler. Lorsque je peins, il peut faire chaud, froid, je suis dans un "ailleurs".
Du bruit. Il est 16 h15. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé pour se précipiter dans mes bras.

Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, la remise de son rapport, les profs et le restau universitaire.
Clémentine est une jeune étudiante très appréciée de ses professeurs. Discrète, réservée, c'est le rôle qu'elle interprète là.
Souvent courtisée, mais restant distante. Si pas lointaine, Clémentine suscite bien des questions chez ses collègues. Secrète.
J'écoute toujours avec beaucoup d'intérêt les anecdotes amusantes qu'elle ramène de la faculté. Mon lien avec la société.
Assise à la table de travail, devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine met au propre ses notes du jour. Bien.

Je lui raconte le coup de téléphone de Juliette. La nature de la conversation. < Elle va téléphoner tous les jours ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur à l'évocation de Pierre, le "homard". Nous avons déjà fait le rapprochement avec madame Walter.
Clémentine rajoute : < Si elle prend autant de plaisir à voir son mec avec Juliette que moi à te voir avec Estelle ! >. Joie.
Clémentine m'avoue souvent, dans l'intimité de nos confessions, continuer à culpabiliser quand à ses goûts pour les bites.
< J'ai parfois l'impression de te tromper ! > me lance t-elle. Je la rassure : < Je ne me suis jamais senti trompé, jamais ! >

< Et tu sais bien que je ne pourrai pas me comporter comme je le fais si je ne te savais pas caché dans les environs ! >
Ce sont les conclusions qui nous amusent beaucoup. Je la rassure de nombreuses fois. Tout cela est génial et fabuleux.
Je précise : < Tu as 21 ans. Tu es belle comme le jour. J'exige que tu profites de ta jeunesse. Et à chaque opportunité ! >
Clémentine se lève pour venir murmurer : < Je sais tout au fond de moi, que ces années sont les plus belles de ma vie ! >
Nous restons ainsi. La nuit commence à tomber. Nous rangeons nos affaires. Il est 18 h45. Les bruits à l'étage. Fantôme.

Nous sommes assis sur le tapis à admirer la danse des dernières flammes dans la cheminée. Nous bavardons doucement.
Nous évoquons notre Week-end. Notre relation avec Estelle. La pipe de Clémentine à Gérard vendredi soir. Le film porno.
< Parfois, j'aimerai que tout cesse. Être avec toi, toute seule sur une île déserte ! Rien que toi et moi ! > fait Clémentine.
Je trouve que cette relation avec Estelle est parfaite. Quelle que soit la manière de l'appréhender. Estelle est un "cadeau".
Il ne serait pas bon d'être isolés de tout, Clémentine et moi, dans cette maison. Elle est jeune. Il faut de la jeunesse ici !

C'est sur ces considérations que la faim nous étreint. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine tout contre moi.
Je travaille la pâte à pain. Clémentine s'occupe de la salade de tomates et de son assaisonnement. Je réchauffe la sauce.
Sur la pâte étalée dans le grand plat, je verse la garniture. Je saupoudre de gruyère de Comté finement râpé. Parmesan.
Je place de fines rondelles d'un avocat bien mûr. Quelques cerneaux de noix. Je mets au four. Clémentine est contente.
Ça fait longtemps que nous n'avons pas mangé de la tarte aux légumes. Nous mettons la table au salon. Repas de fête.

Sans la prévenir, alors qu'elle allume les trois bougies du chandelier, je passe derrière Clémentine pour lui saisir le sexe.
Le plus vulgairement possible, ma main dans son pantalon, dans sa culotte, je palpe sa vulve poilue. Elle en a un sursaut.
Clémentine raffole de mes initiatives. Et je lui ai promis d'en avoir beaucoup. Elle tente de se tourner pour m'embrasser.
Je la saisis par ses cheveux noués en une longue natte qui pend dans son dos. Je la tire comme par une laisse. Très fort.
Je l'entraîne fermement. J'ordonne : < A quatre pattes ! >. Clémentine ne se fait pas prier. < Oui Maître ! > me fait elle.

Je la promène ainsi dans toute la grande pièce. Nous contournons les meubles. Nous faisons un second tour. Troisième.
A plusieurs reprises, Clémentine s'arrête pour lever la jambe contre un coin du bureau, de la bibliothèque ou du canapé.
< Je vous aime Maître. J'adore le traitement que vous m'infligez. J'en ai besoin ! > fait Clémentine, se mettant à genoux.
Je me penche. Je passe une main sous son menton pour lui tenir la tête fermement. < Je vous aime, douce Soumise ! >
Clémentine frotte son visage contre ma braguette. Je sors ma bite pour lui offrir sa récompense. Je la frotte sur sa peau.

A chaque fois qu'elle tente de la gober d'un mouvement de tête, j'esquive en l'en empêchant. Et ce jeu nous passionne.
Je dis : < Après le repas, adorable Soumise, je vous baise toute la soirée ! >. Elle fait : < Oh oui Maître s'il vous plaît ! >
La sonnerie du four. Je force Clémentine à se redresser. Je lui masse les genoux. < Aïe, aïe, aïe ! > fait elle en rigolant.
Je l'entraîne à la table. J'ordonne : < Assis ! >. < Je veux faire le service avec vous Maître ! Je vous aime ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur en nous précipitant à la cuisine. < Ne te brûle pas la bite, je sors la tarte ! > me fait Clémentine.

Nous ramenons tout au salon. Nous mangeons de bon appétit. Le repas est délicieux. Nous évoquons nos vacances. Joie.
J'ai déjà consulté un site de locations saisonnières en Gironde. Et je vais entrer en contact avec quelques propriétaires.
< Tout est toujours si simple avec toi ! > me chuchote Clémentine. Je vais prendre les billets d'avion cette semaine. Bien.
Nous traînons à table. Nous en oublions nos préoccupations sexuelles. Cela nous amuse d'ailleurs beaucoup. Vieux couple.
Nous débarrassons. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. C'est Clémentine qui m'entraîne par la main jusqu'au canapé.

A genoux sur l'épais coussin, entre mes jambes, elle me dit : < Je reprends les choses où je les ai laissé, tu veux bien ! >
Je me fais tailler une pipe des familles. L'indicible caresse me donne des vertiges. Je regarde Clémentine, si belle. Fellation.
Les joues creusées par l'effort, ouvrant parfois les yeux pour me fixer, Clémentine me lance un clin d'œil. C'est si excitant.
A chaque fois que je tente de sortir mon sexe de cette bouche si chaude et si douce, Clémentine résiste. Une "Dure Lutte".
Je comprends sa stratégie. Je la laisse se régaler. Parfois je lui sort la queue du bec pour qu'elle repose sa mâchoire. Joie.

Il est 22 h. La fatigue se fait sentir. Je saisis fermement Clémentine par sa natte en disant : < Nous montons Soumise ! >
Nous montons à toute vitesse. Nous nous lavons les dents en faisant les clowns devant le miroir. Les toilettes. Nos pissous.
Après nous êtres régalés de nos dernières gouttes, nous filons au lit. Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis. Prudent.
Ça rentre comme dans du beurre tellement Clémentine est trempée. Nous restons immobiles. C'est le moment des secrets.
J'écoute avec bonheur toutes les saloperies que Clémentine a en projet. Je la termine au cunnilingus. Elle me suce. Dodo…

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment êtres promenées à quatre pattes avant d'êtres honorées et aimées…

Julien - (Qui prend conscience, presque à chaque instant, de son immense privilège. La proximité d'une coquine) -

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Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 712 -



Mardi après-midi à se détendre

Hier matin, mardi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique. C'est toujours sympathique.
Quelques papouilles et Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Il est 5 h55. Nous descendons en vitesse.
Nous préparons notre petit déjeuner avec la tête dans le cul. < On baise trop tard ! > fait Clémentine en m'embrassant.
Nous rions de bon cœur tout en mettant la table. Nous mangeons d'excellent appétit tout en dissertant sur nos frasques.
Le mardi après-midi, Clémentine n'a pas cours. Elle rentre pour midi. Ce qui la rend joyeuse. Nous partirons à bicyclette.

Nous sommes déjà en tenue de gym. Nous montons nous livrer à l'entraînement. Second plaisir de la journée. Superbe.
La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est déjà 7 h45.
Il fait un froid glacial mais le ciel est bleu et la luminosité intense. Un dernier bisou. Un dernier coucou de la main. Joie.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer au chaud pour faire notre lit, la vaisselle.
Je vais enfin dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Et il est 8 h15.

Je suis assis devant mon chevalet. Je peins dans une véritable euphorie. Je me livre corps et âme à ma passion. Plaisir.
Il est rapidement midi. Je cesse. Je nettoie mon matériel en contemplant le travail réalisé ce main. Grande satisfaction.
Je vais à la cuisine en même temps qu'arrive Clémentine qui me saute au cou. Je la soulève. Elle me fait plein de bisous.
Nous préparons notre repas. Clémentine s'occupe de la salade. Pour midi et pour ce soir. Je fais bouillir l'eau du millet.
Je fais une belle pâte à pain. Je coupe les poireaux en petits morceaux que je lave et que je plonge dans l'eau bouillante.

Clémentine me raconte sa matinée. Je concocte une Béchamel. J'y rajoute le poireau égoutté. J'en récupère un reliquat.
Il servira de sauce avec le millet. La Flamiche Picarde, notre délicieuse tarte aux poireaux de ce soir, est presque prête.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, le soleil est haut dans un ciel immensément bleu. Magnifique.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine avant de monter pour nous laver les dents et nous mettre en tenues de bicyclette.
Tous les deux, vêtus de nos leggings et de nos maillots en lycra noir, nous faisons les clowns devant le miroir. Rigolades.

Accroupie à ma droite, ses bras autour de ma jambe, sa tête en appuie sur ma cuisse, Clémentine me fixe dans le miroir.
< Maître, je vous aime. Je suis si heureuse avec vous ! > fait elle. Je dis : < Je vous aime tant ma délicieuse Soumise ! >
Nous rions de bon cœur avant d'enfiler nos sweats bien épais et de dévaler l'escalier. Nous voilà au dehors. Extraordinaire.
Il fait presque chaud. Dans le petit sac à dos que je porte, nos K-ways, deux pommes, des barres de céréale et de l'eau.
Nous descendons le chemin et traverser la rivière pour rejoindre notre piste cyclable. Toujours ce léger vent de sud ouest.

Nous croisons nombre de cyclistes. Principalement des séniors, des retraités sportifs. Des jeunes filles qui font du rollers.
< Pipi ! > s'écrie Clémentine lorsque nous arrivons au cabanon de l'écluse. L'endroit habituel de nos exactions sexuelles.
Je reste planqué à l'angle du cabanon. Comme les bosquets sont encore nus, il faut redoubler de prudence. Pas être vu.
Clémentine traverse l'écluse par la passerelle métallique. Elle se met en situation entre deux fourrés. Elle regarde au loin.
Prête à descendre son leggings elle est penchée en avant pour guetter l'arrivée d'un éventuel cycliste. En voilà un. Sénior.

Accroupie, le leggings et la culotte aux genoux, clémentine se met en situation. Ses cheveux défaits, ses lunettes noires.
Derrière ce parfait anonymat elle peut se livrer à son jeu préféré. Il y a là prétexte à une superbe exhibition et de qualité.
C'est un type vêtu en tenue "Tour de France". Il arrive à la hauteur de la fille. Il freine comme un dément. Pieds à terre.
Il mâte. Il y a de quoi mâter. Clémentine, qui doit pisser depuis le repas, arrive à se lâcher après quelques attentes. Bien.
Le type regarde partout autour de lui. C'est le reflexe habituel. J'ai assisté à cette situation des dizaine de fois. Davantage.

Là-bas, à gauche, il y a trois voitures blanches qui se suivent. Je siffle. Le signal. Clémentine cesse de pisser et se lève.
Elle a juste le temps de se rhabiller. Ce sont des véhicules VNF, (Voies Navigables de France). Ouf ! Juste à temps. 15 h.
Le type remonte sur son vélo et jette un coup d'œil amusé dans ma direction. Clémentine me rejoint. Nous filons. Vélo.
Nous continuons notre route pour arriver au petit port de plaisance vers 15 h30. Il y a du monde. Les boulistes. Cyclistes.
Nous nous offrons deux cônes glacés que nous dégustons en flânant. L'exhibe un peu bâclée de Clémentine l'a excité.

Nous explorons un peu les recoins susceptibles d'offrir quelques opportunités. Clémentine m'entraîne par la main. Rôder.
Il n'y a personne dans les recoins. Il reste à attirer l'attention d'un solitaire qui rôde lui aussi sur les quais. On ne sait pas.
Pourtant, toutes nos tentatives restent infructueuses. Il y a des jours comme ça. Il y a bien ce jeune livreur à casquette.
Il est derrière sa camionnette à sortir des cartons qu'il place sur un chariot. Clémentine marche lentement, bras croisés.
Elle tourne deux fois autour du véhicule. Le livreur fini par la remarquer. Je suis planqué entre des bagnoles. Ils parlent.

C'est toujours dans ces situations que Clémentine se touche effrontément devant le mec tout en discutant avec lui. Fou.
D'abord c'est comme si elle ajustait sa culotte sous son leggings. Puis elle récidive en se touchant carrément la chatte.
Moulées dans son leggings, les formes de son sexe sont ainsi mises en valeur. Comme souvent, le type fait mine de rien.
Cette fois, tout en bavardant, Clémentine s'accroupit devant l'inconnu, cuisses écartées. Et elle continue de se toucher.
J'hallucine. Dissimulée entre la camionnette et le muret, Clémentine se redresse, descends son leggings, se met à pisser.

Le jeune homme, bras ballants, comme impuissant, paralysé, observe la scène surréaliste en écarquillant ses yeux. Fou.
Clémentine se joue de la situation. Elle en profite au maximum. Une exhibition de grande qualité et parfaitement menée.
Je bande. Je me mets à la place du jeune type. C'est un truc qui arrive une fois dans une vie. Heureux privilégié. Plaisir.
Je prends une fois encore conscience de l'immense bonheur que j'ai de partager ma vie avec une telle femme. Merveille.
Le jeune homme est au boulot. Il ne peut consacrer son temps à ce qui se passe. Il fait un sourire et pousse son chariot.

Il traverse la rue. Il livre la supérette. Il est 16 h15. La fraîcheur commence à se faire ressentir. Nous enfilons les K-ways.
En route. Le chemin du retour. 17 h30. Un rapide arrêt au haras. Par chance Juliette est dans la cour avec plein de gens.
Un petit coucou de la main. Nous ne voulons pas déranger. Nous faisons un petit tour dans notre écurie préférée. Super.
Nous saluons Eveline, la palefrenière avec qui nous bavardons un peu. Elle nous fait penser à Lennie, la fille hollandaise.
C'est Clémentine qui me le fait remarquer au retour. Même cheveux auburn, même forme de visage. Les yeux noisettes.

Il est 18 h30 lorsque nous revenons à la maison. Estelle est déjà là. Il y a la voiture garée devant le garage. C'est super.
Elle nous fait la bise, me saute au cou. Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. Douceur.
Estelle est entrain de préparer la tarte aux poireaux. Nous l'aidons. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade.
Je râpe une grande quantité de gruyère de Comté. Clémentine raconte son exhibe. Estelle ne cesse de dire : < Génial ! >
< Si j'avais ce culot ! > rajoute t-elle encore. < Mais je t'ai déjà vu à l'œuvre. Tu sais faire fort aussi ! > fait Clémentine.

La Flamiche Picarde est au four. Nous montons nous changer. Estelle nous accompagne. Elle nous raconte son après-midi.
Assise sur le lit, elle me demande : < Tu bandes forts quand Clémentine s'exhibe devant des inconnus ? >. Je la regarde.
Je réponds : < Tu n'as idée de l'effet que ça me fait ! >. Clémentine rajoute : < Je le fais surtout pour nous deux ! >. Joie.
C'est vrai que cette passion pour l'exhibitionnisme discret que Clémentine a développé depuis l'adolescence est plaisante.
Au sein de notre couple, la flamme de la passion ne pourra jamais s'éteindre puisque nous emmenons la sexualité partout.

Nous voilà vêtus comme Estelle. Jeans et chemises à carreaux. Les filles sont accroupies de chaque côté, me tiennent fort.
< Merci d'exister Maître ! > me fait Estelle. < Je vous aime Maître ! > fait Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
Je les force à se redresser. En les tenant toutes les deux par leurs tignasses, je leurs dis : < Adorables Soumises ! >. Bises.
Nous descendons à toute vitesse. La sonnerie du four. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons.
Les filles évoquent leurs cours. J'écoute. Parfois Estelle mime une fellation en me faisant un clin d'œil. Clémentine pareille.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je saisis les filles par leurs cheveux. Fermement. D'une poigne de fer. Vers le salon.
Je les fais tomber dans le canapé. Je m'éloigne. Je sors ma bite. Je bande mou. Je fais tournoyer mon Zob comme un lasso.
< Zorro ! > fait Estelle. < Mon Cow-Boy ! > fait Clémentine. Je reste à distance. Je me masturbe doucement en regardant.
Elles sont si belles toutes les deux, assises là, devant moi, à quelques deux mètres. Elles observent. Sérieuses. Attentives.
Estelle ouvre la bouche. Sa main fermée qu'elle fait tourner devant ses lèvres. Elle fait une bosse avec sa langue. La joue.

Elles font la même chose, toutes les deux. Clémentine me fait signe de l'index. < Viens ! > chuchote Estelle. Je m'approche.
Je passe ma queue d'une bouche à l'autre. J'en ai des vertiges. Mes lombaires sont un peu douloureuses. Je me tiens à elles.
Je leurs caresse la tête, je lisse leurs cheveux, je leurs murmure des douceurs. Elles sucent à tour de rôle. C'est fantastique.
Quand l'une me pompe, l'autre observe avec l'attention d'une entomologiste. Elles se murmurent leurs impressions. Belles.
Je me demande à nouveau dans quelle bouche je vais éjaculer. Je propose au filles de partager. Et elles sont sur le qui vive.

J'écoute ce merveilleux concerto pour gargouillis bulleux, ponctué de gémissements, de cris de ravissements et de "Miam".
Clémentine tombe à genoux la première sur l'épais coussin. Estelle la rejoint. Elles me tiennent par les hanches. L'attente.
Je chuchote : < Je jute ! >. J'en distribue copieusement. Sans en mettre à côté. Elles s'en pâment de bonheur. Le partage !
Je tombe dans le canapé. Fourbu par le vélo et par la pipe. Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Le froid.
Séparation difficile. Au lit, j'offre une délicat cunnilingus à Clémentine. Orgasme nucléaire. Quelques confessions. Le dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à partager la bite juteuse d'un authentique vicelard attentionné…

Julien - (Qui apprécie de partager. C'est un acte humaniste, altruiste qui permet aussi de régaler les deux coquines) -

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Une agréable surprise

Hier matin, mercredi, c'est la cantate No 147 de Jean Sébastien Bach qui nous tire de nos profonds sommeils. Merveille.
< Pas le matin Bach ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nouille. Rire.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Puis, morts de faim, nous dévalons l'escalier pour la cuisine.
Nous préparons un copieux petit déjeuner déjà vêtus de nos tenues de gym. Nous mangeons de bon appétit en parlant.
Il est presque 6 h25 lorsque nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Nos joggings sur tapis roulant.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Elle me rejoint chaudement vêtue. Il fait très froid.
7 h45. Le ciel est d'un bleu limpide. Un dernier bisou. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture s'en aller. Bien.
Je rentre pour faire notre lit, notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'y allume un beau feu dans la cheminée. Il est 8 h15.
Je prépare ma palette et mes pinceaux et me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins enthousiaste.
Il est aux environs de 10 h lorsque la musique imbécile de mon smartphone m'arrache de ma méditation. Je peste. Rage.

Quelle agréable surprise. C'est Clémentine qui m'annonce qu'elle termine à 11 h. C'est exceptionnel. Et c'est magnifique.
Elle est en cours. Elle ne s'attarde pas. Je réponds à son texto par un simple "Génial". Je reprends ma peinture. Le plaisir.
Il est rapidement onze heures vingt lorsque Clémentine entre dans l'atelier, toute contente, se précipitant vers moi. Bises.
Assise sur mes genoux elle me raconte sa matinée et pourquoi qu'elle n'a pas cours cet après-midi. J'écoute plutôt amusé.
Je termine mon travail pendant que Clémentine consulte le site de l'université sur l'ordinateur. Confirmation. Pas de cours.

Je propose à Clémentine de m'attendre dehors, au soleil, pendant que je nettoie ma palette et mes pinceaux. Le matériel.
Je rejoins Clémentine. Elle est couché dans l'herbe, au soleil, entrain de consulter une brochure touristique de la Gironde.
L'herbe est sèche. Il fait presque chaud. Il est à peine 11 h45. Un 27 février. C'est totalement délirant et de l'exceptionnel.
Nous faisons le programme du jour. Nous sommes tellement en avance que nous pouvons nous offrir du bon temps. Vélo.
Ce soir nous sommes invités chez Juliette. Je fais une photo avec le téléphone de Clémentine en tenue d'étudiante au sol.

La faim commence à se faire sentir. J'aide Clémentine à se lever. Nous nous précipitons à la cuisine. Et il est à peine midi.
Clémentine s'occupe de la salade d'endive et son assaisonnement. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Méthode, efficacité.
Je fais griller des queues de langoustine sur le barbecue électrique dans la véranda. Je concocte une sauce au Roquefort.
Tout est rapide. Je descends à la cave, au cellier, pour sortir une tarte aux pommes du congélateur. Clémentine me rejoint.
Je ne l'ai pas entendu venir. Elle se serre derrière moi, un bras autour de mon cou, l'autre autour de mes hanches. Bisous.

J'ai du mal à monter l'escalier. La tarte aux pommes qui glace mes mains. Surtout avec celle de Clémentine dans mon slip.
Nous rions de bon cœur. C'est le dessert que nous emmenons chez Juliette ce soir. Cette tarte aura le temps de décongeler.
Nous mangeons de bon appétit en bavardant. Nous sommes pressés de nous sauver sur nos bicyclettes. Il y a tant de soleil.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous mettre en tenues vélos, faisant les pitres.
Nos leggings en lycra noir. Nos maillots en lycra noir. Nos sweats matelassés en coton. Nos baskets. Nous voilà prêts. Bien.

Accroupie à ma droite, pour ce qui est devenu un nouveau rituel, Clémentine me tient la jambe, sa tête contre ma cuisse.
< Je vous aime Maître ! > me fait elle en me fixant dans le miroir. Je réponds : < Je vous aime ma délicieuse "Soumise" ! >
Nous rions de bon cœur en nous précipitant dans l'escalier. Dans le petit sac à dos, pommes, K-ways, barres de céréales.
Je vérifie le gonflage des pneus. 4,5 bars devant et derrière. Parfait. Nous voilà en chemin pour rejoindre la piste cyclable.
500 mètres. C'est comme hier. Des séniors en vélos, des jeunes filles en rollers. Il fait encore meilleur que hier. Douceur.

Nous pédalons contre un léger vent de sud ouest qui nous poussera au retour. Tout s'allie à nous pour notre unique plaisir.
Arrêt pipi au cabanon de l'écluse où nous nous mettons chacun en situation. Je suis en planque. Clémentine guette et épie.
Elle a une méchante envie de pisser. Une petite exhibition sympa devant un inconnu lui permettrait d'en jouir pleinement.
L'inconnu arrive. Cette fois c'est un jeune type sur un vélo ville en tenue ville. < Qu'est-ce qu'il fout là ?> fait Clémentine.
Une étrangeté dont nous nous moquons éperdument. Clémentine s'empresse de traverser la passerelle, traverser le canal.

Le type arrive à la hauteur de la jeune fille accroupit de l'autre côté du canal, legging et culotte descendus. Position pissou.
Evidemment notre homme s'arrête. Les deux pieds au sol. Ni une, ni deux, il ouvre sa braguette pour en extraire son Zob.
Un machin bien sympa qu'il agite en direction de la fille tout en la hélant. Je ne comprends pas les propos qui s'échangent.
Le quidam se branle sans la moindre gêne. Clémentine, les cheveux défaits, porte ses lunettes noires. L'anonymat garanti.
Elle regarde franchement le type. Là-bas, il y a un groupe de cyclistes style "Club du Tour de France" qui arrivent. Rapide.

Je siffle. Le signal. Clémentine a juste le temps de se redresser. Le branleur fou, lui, se fait surprendre lamentablement.
J'entends tout le peloton de coureurs se marrer comme des marins en bordée. Le mec est assez pitoyable. Il se détourne.
Clémentine traverse la passerelle. Je sors de ma planque. C'est la totale pour le mec qui monte sur son vélo et disparaît.
Nous en rigolons comme des bossus. < Je me suis fait pipi dans la culotte ! > me fait Clémentine en montrant l'auréole.
Pas de culotte ni de legging de change. Mais le lycra humide n'est pas désagréable et sèche très vite. Nous voilà en route.

Nous arrivons au petit port de plaisance sans encombre. Ce qui est bien normal, nous ne l'avons pas emmené avec nous.
Il est 15 h30. L'animation habituelle. Les boulistes, des groupes de cyclistes. Nous nous offrons nos cônes glacés. Super.
Nous flânons un peu. Clémentine aimerait beaucoup conclure par une bonne exhibition de qualité. On cherche la victime.
Pas d'homme seul. Pas d'opportunité. C'est un peu frustrant. La fraîcheur se fait sentir. Il est 17 h. Le chemin du retour.
Il est 18 h30 lorsque nous revenons à la maison. Juste avant la tombée de la nuit. Malgré nos K-ways, il fait plutôt froid.

Avec ces températures, pas du sueur, pas de transpiration. Mais une rapide toilette s'impose. Nous voilà à la salle de bain.
Nous rions de nos aventures. Nous nous habillons. Ce soir, Clémentine porte un pantalon à plis et à pinces, noir et strict.
Un chemisier blanc sous un pull noir, col en "V", sa veste en cuir noir, cintrée à la taille. Ses bottines noires à talons. Belle.
Sur sa demande, je porte mon costume de velours noir, chemise blanche sous un pull noir, col en "V". Nous voilà fin prêts.
Une fois encore, devant le miroir, le rituel du "Maître" et de la "Soumise". Je sors ma bite. Clémentine y frotte son visage.

Nous descendons. La tarte aux pommes a décongelé. Bien sèche. Je la place dans le grand Tupperware. Et il est 19 h30.
En route. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue en me parlant de celle de Gérard qu'elle verra peut-être.
Nous en rions de bon cœur. Je gare la voiture dans la cour déserte. Nous faisons un tour dans notre écurie préférée. Joie.
Il y a Kim Son, le palefrenier. Avec un grand sourire, du haut de son chariot élévateur, il nous salue. Nous le regardons.
Il dépose une énorme botte de foin au milieu de l'allée. Il va nourrir les chevaux. Nous le laissons travailler. Sympathique.

Nous retournons au dehors pour récupérer le Tupperware. Nous traversons la cour. Et en même temps qu'arrive Juliette.
Elle est toute contente de nous voir. Nous la suivons. Elle est vêtue de sa tenue d'écuyère sous un anorak noir matelassé.
< Ce soir, tartelettes aux crustacés avec petits légumes de saison ! > nous fait elle en nous débarrassant de nos vestes.
Nous voilà assis dans le canapé. Sur la demande de Clémentine, j'ai la braguette ouverte. Elle baille largement. Mon slip.
Juliette, assise dans le fauteuil en face de nous, ne cesse d'y plonger un regard inquisiteur. C'est très excitant. La bosse.

A présent que nous sommes devenus des intimes, et même si elle a l'âge d'être la mère de Clémentine, Juliette confesse.
< Samedi soir, j'étais entre les pinces de mon "homard". Il m'a niqué ! Sous les yeux de sa femme qui mâtait ! > dit elle.
Nous écoutons les anecdotes salaces de Juliette qui pourtant n'utilise que très peu de mots grossiers pour nous raconter.
< Mardi soir, je me suis régalée de la bite à Gérard qui revient vendredi soir. Si ça vous tente ! > rajoute encore Juliette.
Clémentine promet d'y réfléchir. Nous nous amusons beaucoup des scénarios un peu loufoques que nous propose Juliette.

Avec la fraîcheur du soir, il n'est pas encore vraiment agréable de se livrer au vice dans les écuries. Même avec radiateur.
La sonnerie du four. Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. C'est surtout Juliette qui raconte ses frasques.
Nous écoutons en riant les anecdotes salaces de la jeune femme. Nous en apprenons à chaque fois de nouvelles. Vicieuse.
J'ai la bite à l'air sous la table. A chaque fois que Clémentine me fait du pied, je me lève pour la montrer à Juliette ravie.
< C'est merveilleux de faire partie du même "Club", vous ne trouvez pas ? > nous fait Juliette. Nous en convenons. Super.

< Et dire qu'il s'en est fallut de peu que nous ne fassions jamais connaissance ! > fait Clémentine. C'est vrai, c'était spécial.
Le lecteur qui suit nos aventures depuis le début se souvient que ce soir là, je promenais Clémentine à la laisse dans le pré.
Juliette arrivait sur son cheval et découvrait la scène. Nous nous sommes mis à bavarder. Et ce fut le début de notre amitié.
Nous aimons échanger les impressions qui subsistent de cette étonnante rencontre. Nous en rions beaucoup. C'est amusant.
Nous aidons à la vaisselle avant de prendre le dessert. La tarte aux pommes. Je vais aux WC. Je dois pisser depuis le vélo.

< Il faut te la tenir ? > me fait Clémentine avec un clin d'œil. < Volontiers ! > lance Juliette en me précédant aux toilettes.
Gêné quand même, malgré cette complicité qui nous unis, je suis debout comme un con, bite à la main, devant la cuvette.
Juliette, penchée en avant, son visage tout près de mon zob, observe. < J'adore voir un vicelard pisser ! > murmure t-elle.
< Moi aussi ! > répond Clémentine penchée de l'autre côté. Elle se saisit de ma queue. Je bande mou. Je me concentre fort.
Je m'imagine les pieds dans l'eau froide afin de me conditionner psychologiquement. Je suis si excité. Difficile pour pisser.

C'est maintenant, sinon, avec l'érection et l'excitation, ce sera quasiment impossible. Je lâche un jet très fin. La pression.
Juliette s'approche encore plus près. Je cesse. Clémentine lui tend ma queue ruisselante. Juliette murmure : < Mmhhh ! >
Je pose ma main sur sa nuque pour appuyer dessus. < Pas de ça mon bonhomme ! > fait soudain Juliette en se redressant.
Je sais qu'à chaque fois que je tente ce genre de choses, la jeune femme a cette réaction. Elle se redresse, fière et altière.
< C'est toujours moi qui décide ! > me fait elle avec un regard sévère. Je recommence à pisser. Car cela m'a fait débander.

Je termine. Cette fois c'est Juliette qui prend ma bite de la main de Clémentine. Elle se penche pour en secouer les gouttes.
Je lui dis : < Tu es quand même une sacrée salope ! >. Juliette dépose une bise sur ma bite avant de se redresser en riant.
Il est 22 h15. Nous prenons congé. Juliette nous raccompagne à l'auto. Nous sommes invités vendredi soir. Bite à Gérard.
Il est 22 h45 lorsque nous revenons. Clémentine m'a sucé tout le long du retour. Au lit, je lui offre un superbe cunnilingus.
< Tu n'es pas assez salaud avec cette salope ! > me dit encore Clémentine lorsque nous nous serrons pour nous endormir.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment regarder les mecs pisser et leurs tenir le braquemard ruisselant de pisse…

Julien - (Qui suit toujours les conseils éclairés de Clémentine. Juliette ne perd rien pour attendre) -

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Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 714 -



Délicate Estelle. Délicieuse Clémentine

Hier matin, jeudi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonnent les premières notes de musique. Un câlin.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Il est 6 h.
Nous préparons notre petit déjeuner déjà vêtus de nos tenues de gym. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir la voiture de Clémentine.
Il est 7 h45. Le ciel est bleu. Le froid vif. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Dernier bisou. Dernier coucou. Départ.

Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre lit et notre vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Le mélange des couleurs.
Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet. Je peins, animé d'une sérénité enivrante. Et la peinture de ma toile No 19.
Jamais encore, je n'ai eu autant d'œuvres déjà achevées un 28 février. De quoi me donner assurance, tranquillité d'esprit.
Je travaille à la loupe aux traits du visage d'un des personnages de ma scène de genre lorsque résonne mon smartphone.

Qui peut bien que casser les burnes lorsque je suis ainsi concentré sur un travail aussi minutieux. Je saisis mon téléphone.
C'est Juliette. Je mets en mode "haut parleur" pour pouvoir continuer mon travail et discuter tout en même temps. Bien.
Juliette est seule dans son bureau. Elle fait pareil. Mode "haut parleur". J'écoute plutôt que je ne parle. C'est si intéressant.
Juliette évoque notre soirée de hier, le repas, le dessert et nos jeux aux toilettes. Elle m'avoue son plaisir vécu et ressenti.
Je lui confie qu'il en est de même pour moi. Et pour Clémentine qui adore ce genre de situation. Nous en rions beaucoup.

Nous bavardons ainsi une bonne demi heure. Nous sommes probablement excités tous deux avec la même intensité. Beau.
< C'est un peu la raison de mes appels. Et si cela ne vous dérange pas, cela peut devenir une habitude ! > rajoute Juliette.
Je la rassure. Cela ne me dérange absolument pas. Juliette insiste afin que nous passions vendredi soir. Des jeux de haras.
Gérard, les écuries, les situations torrides. Je lui promets d'en parler à Clémentine mais sans m'engager davantage. Parfait.
Nous nous saluons avant de raccrocher. Ce qui est certain c'est que nous ferons un tour dimanche mais en fin d'après midi.

J'aime peindre avec cette espèce d'excitation diffuse qui anime mes coups de pinceaux autant que ma libido. C'est plaisant.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine pour y laver la salade. Pour maintenant et pour ce soir. Je fais gonfler du riz bio.
Je prépare une belle pâte à pain. je concocte une belle sauce. Tomates fraîches, champignons, ail, oignon, ciboulette, persil.
Tout est prêt pour les pizzas du jeudi soir. Et je récupère de la garniture comme sauce avec le riz. J'écoute les informations.
Je mange de bon appétit. Dehors il fait toujours aussi beau. La vaisselle. Je sors faire quelque pas dans le jardin. Douceur.

Tous ces bourgeons prêts à éclore suscitent mon inquiétude. Si tout fleurit, au moindre coup de gel, c'est une catastrophe.
Il est 13 h lorsque je retourne dans l'atelier. Assis devant mon chevalet, je pense à Juliette. Ses attitudes. Comportements.
Je peins avec le même sentiment que ce matin. Cette dix neuvième toile sera terminée demain, un peu avant midi. Super.
Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. < Tu m'as manqué ! > s'écrie t-elle.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le restaurant universitaire. Et difficile aujourd'hui.

Installée devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine met au propre ses notes du jour, pestant un peu. Boulot.
Je lui raconte le coup de téléphone de Juliette. Ce qui a pour conséquence d'apaiser quelque peu Clémentine. C'est parfait.
Clémentine m'avoue attendre le Week-end avec impatience. Du bruit. Il est 18 h15. Estelle entre dans l'atelier. Des bisous.
Assise sur mes genoux elle nous avoue, elle aussi, son impatience d'en finir avec cette semaine de correction de rapports.
Les filles bossent encore un peu. Il est 18 h40. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Les filles rangent leurs affaires. Fini.

Nous voilà tous les trois assis devant la cheminée à admirer la danse des dernières flammes. C'est un spectacle subjuguant.
Estelle, qui a passé sa main dans ma braguette, me fait : < Tu nous changes les idées ce soir, Julien. On n'en a besoin ! >
< Oh oui ! > s'écrie Clémentine. Je les prends toutes les deux par les épaules en disant : < On va déjà bien manger, ok ? >
Les filles se lèvent en même temps et m'entraînent à la cuisine. Clémentine qui s'occupe de l'assaisonnement de la salade.
Estelle travaille encore un peu la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. Je râpe une quantité industrielle de gruyère. Comté.

Les pizzas sont au four. Je propose aux filles un cunnilingus des familles. < Oh oui ! Super, Julien ! > me font elle en cœur.
Elles m'entraînent au salon, retirent leurs jeans et leurs culottes. Les voilà à quatre pattes à me présenter leurs beaux culs.
Elles ont toutes les deux les bras croisés sur le bord du canapé. Je suis à quatre pattes derrière elles. C'est fabuleux. Beau.
Je renifle les fesses d'Estelle que j'écarte pour admirer la touffe dense et humide qui collent au trou de balle. C'est dingue.
L'odeur de sa journée de fille est répugnante. Je fais pareil au cul de Clémentine. Ses parfums ont toutes mes préférences.

Je passe d'un cul à l'autre pour en récupérer tout ce que je peux. Les filles gémissent. C'est une stéréophonie si parfaite.
Symphonie pour cul de filles en léchouilles majeures. J'en dirige la musique en lapant avec des coups de langue fouilleuse.
Je me couche sur le dos pour avoir accès aux chattes. Mon visage entre les cuisses de l'une, entre les cuisses de l'autre.
Celle de Clémentine bave, dégorge de cyprine gluante. Celle d'Estelle est plus "timide" mais elle progresse en jus de fille.
Les filles se frottent le fion sur ma gueule. Parfois, je dois ruser pour me dégager au risque d'étouffer. C'est si merveilleux.

La sonnerie du four. Je me dégage. Les filles reprennent rapidement leurs esprits. Je les aide à se relever. Nous rigolons.
< Merci Julien ! Tu es le meilleur thérapeute du monde ! > me dit Estelle. < Et le meilleur praticien ! > rajoute Clémentine.
Nous filons à la cuisine. Estelle dépose des feuilles de papier Sopalin sur les coussins de chaise. C'est préventif. Trempées.
Clémentine m'essuie le visage. J'ai de la mouille de fille qui me pique jusque dans le cou. Nous rigolons comme des bossus.
Je sors les pizzas. Nous mangeons de bon appétit. Cette journée harassante n'est plus qu'un souvenir pour les filles. Rires.

Nous traînons à table. Je me lève parfois pour passer derrière les coquines. Je leurs fais des bises. Je touche leurs sexes.
C'est mouillé. Clémentine se touche. Estelle se lève pour me sortir la queue. Je propose de retourner au salon. Vaisselle.
Nous rangeons la cuisine. Les filles me montrent les feuilles doubles de papier Sopalin. En contre jour, et vers la lumière.
< De vraies œuvres contemporaines ! > fait Estelle. Et c'est vrai que les taches qui maculent les feuilles sont prodigieuses.
Je touche leurs sexes. C'est trempé chez Clémentine. C'est humide chez Estelle. Elles sont pressées de retourner au salon.

Cette fois, elles sont vautrées dans le canapé, cuisses largement écartées. la gauche de clémentine sur la droite d'Estelle.
Je suis à genoux sur l'épais coussin. Je me régale de la moule suintante d'Estelle, en faisant un doigt à Clémentine. Doux.
Je lui caresse le clitoris. C'est à nouveau un concerto pour chattes en feu, dirigé par un maestro de la langue exploratrice.
Je passe à la moule de Clémentine pour faire la même chose de mon doigt à Estelle. Elle me tient le poignet pour guider.
Le goût d'Estelle est plus âcre que celui de Clémentine. Mais tout aussi excitant maintenant que je m'en suis bien habitué.

J'adore les entendre gémir. J'apprécie de les entendre reprendre leur souffle après des moments d'apnées et concentrées.
Je bande mou mais c'est super. Je sens ma bite dégouliner. C'est tellement excitant. J'enlève ma chemise. J'anticipe. Joie.
Je sais que lorsque Clémentine atteint de tels niveaux d'excitations, elle ne contrôle plus rien. Et j'insiste en petit salopiot.
Estelle pousse soudain un cri. Elle me repousse délicatement pour s'effondrer sur le côté, ses mains entre ses cuisses. Joie.
Elle connaît un orgasme majestueux. Il y a du progrès. Même Clémentine la regarde. Estelle comme en souffrance. Super.

Je m'occupe à présent du cas Clémentine. Estelle s'est glissée entre le canapé et mon bassin. Elle descend mes jeans, slip.
J'adore la sentir me pomper la queue, ainsi couchée sur le côté entre le canapé et moi. Elle suce, s'en est vertigineux. Bon.
Je suce le clitoris géant de Clémentine. J'ai des poils de filles plein la bouche que je dois tenter de retirer sans arrêt. Rigolo.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui ne s'y attendait pas du tout. Je le fais immobile, en sournois, par surprise. En enfoiré.
Je l'entends râler de plaisir. Je l'entends déglutir en poussant des petits cris de ravissement. Clémentine ne va pas tarder.

Clémentine me repousse soudain. Je résiste. Son orgasme est cataclysmique. Je me fais copieusement pisser à la gueule.
J'ai anticipé mais je m'en ramasse quand même une bonne giclée. Estelle s'est redressée juste à temps. Je tiens sa nuque.
Nous regardons cet extraordinaire spectacle. Clémentine, poussant un cri, toute honteuse, qui ne peut s'empêcher de pisser.
Le jet fait bien trois mètres. Elle arrive enfin à se contenir. Elle se lève précipitamment pour courir aux chiottes. Nous rions.
Tout en courant elle continue de pisser. Il y en a vraiment partout. Estelle se serre contre moi. < Une pisseuse ! > dit elle.

Clémentine revient avec le seau, la serpillère et le balai brosse. Nous rions de bon cœur en la regardant nettoyer. Cleaner.
Estelle est serrée contre moi. Clémentine a déposé une serviette sur ma tête. Clémentine se torche pour sécher sa chatte.
Estelle joue avec ma queue qu'elle recommence à me sucer. Elle dit à Clémentine : < Tu pisses comme une vraie vache ! >
Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Ça a un effet bœuf ! >. Clémentine a tout bien séché. Fameux.
Elle revient pour s'assoir contre moi. Estelle me taille une pipe des familles. Je lui montre l'heure. Et il est presque 22 h30.

Je la force à cesser. Je lui dis : < Tu reprends ça samedi. Laisses en un peu pour Clémentine ! >. Nous rions de bon cœur.
Nous nous habillons. Clémentine cherche les feuilles de papier Sopalin sur le radiateur de la cuisine. < Souvenir ! > fait elle.
Les taches ont séché. C'est jaunâtre. C'est magnifique. Je félicite les filles pour leurs capacités créatives. A encadrer. Rires.
Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Séparation difficile. Je la serre fort. Elle revient samedi. Je la console. Bise.
Au lit, Clémentine, m'attire sur elle. C'est une petite pénétration de principe avant de dormir. Quelques secrets. Puis dodo…

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent se faire brouter, vautrées dans le canapé à pouvoir hurler de plaisir…

Julien - (Qui dirige l'orchestre Sympho Nique de sa baguette. Montée en crescendo, modérato, puis presto avant le final)-

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Début d'un Week-end sympathique

Hier matin, vendredi, c'est le Canon de Pachelbel qui nous tire de notre sommeil. Comme le fond musical d'un péplum.
< Put -Hein ! Je déteste ! > fait Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. Rire.
Quelques bisous. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons l'escalier. Cuisine.
Nous sommes déjà en tenues de gym pour préparer un petit déjeuner que nous prenons avec appétit tout en bavardant.
Clémentine revient pour midi. C'est vendredi. C'est le début de ce Week-end attendu avec impatience. Semaine pénible.

Nous remontons pour nous offrir l'intensité maximale d'une heure d'entraînement. La douche. Et je descends le premier.
Il pleut et il fait un peu moins froid. Quel contraste avec tous ces jours précédents. Je sors la petite auto de Clémentine.
Elle me rejoint sous le large parapluie, vêtue de ses jeans, de sa veste cintrée en cuir et de ses bottines à légers talons.
Derniers bisous. Dernier coucou. Je regarde la voiture qui disparaît en haut du chemin. 7 h45. Je me dépêche de rentrer.
Je fais le lit, la vaisselle et j'allume un beau feu dans la cheminée. Il fait plutôt sombre. Je n'ai plus l'habitude. C'est dur.

Je prépare ma palette et mes pinceaux. Les couleurs nécessaires que je sors des tubes avec la pointe du couteau en fer.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme délirant. Je pousse des cris de fou.
Je termine ce matin la dix neuvième toile destinée à ma saison d'été. De quoi être réjoui et euphorique. Il en faut trente.
Il est aux environs de onze heures quand je dépose la dernière et minuscule pointe de peinture. Je nettoie mon matériel.
Je dépose ce tableau achevé sur un second chevalet pour poser une toile vierge sur le premier. Tout est prêt pour No 20.

Je mets deux bûches dans la cheminée. Je quitte l'atelier. Je vais au salon. J'allume l'ordinateur. Bien installé au bureau.
Je découvre les courriels d'Estelle, de Juliette, de deux propriétaires qui proposent une location à proximité de Bordeaux.
Je téléphone immédiatement. Au bout du fil, j'ai une dame. Nous concluons l'affaire. Dix jours de locations. C'est super.
La dame m'invite à surfer sur le site dont elle me donne le lien. Il y a les photos d'un petit appartement si bien meublé.
Je réserve. Je vais sur le site de la compagnie aérienne habituelle pour acheter en ligne deux billets d'avion. C'est parfait.

Un dernier coup de téléphone à la mairie de Bègles pour avoir confirmation. Pas d'arnaque en ligne. La dame existe bien.
Il est midi. Je vais à la cuisine, satisfait d'avoir réglé notre future séjour en Gironde. Bègles à 6 km au sud de Bordeaux.
J'épuche les pommes de terres que je lave et que je coupe en petits cubes. Déjà 12 h15. Voilà Clémentine toute mouillée.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. < Le parapluie est foutu ! Je t'aime ! > fait elle.
Nous rions de bon cœur. Clémentine s'occupe de la salade d'endive, de son assaisonnement. Elle me raconte sa matinée.

Je panne les deux filets de cabillaud que je fais revenir à la poêle. Je fais rissoler les tous petits cubes de pommes de terre.
Je mets la table. Nous mangeons de bon appétit. Assise sur mes genoux, Clémentine évoque le programme du Week-end.
Avec cette météo, il faudra prévoir des activités intérieures. < On peut baiser, se sucer, ou encore se lécher ! > me dit elle.
Nous rigolons comme des bossus. Ce sera surtout un peu d'improvisation. Nous traînons à table en riant beaucoup. Bisous.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. J'entraîne Clémentine au salon. Assise sur mes genoux, devant l'ordi, elle découvre.

Nous sommes sur le site. Nous observons les photos de l'appartement que nous allons occuper du lundi 8 au mardi 16 avril.
L'appartement est situé au premier étage d'une maison ancienne, isolée. On distingue le toit des maisons du bourg voisin.
Bègles c'est la banlieue sud de Bordeaux. Une commune d'importance. Nous découvrons grâce à Google. C'est très sympa.
Clémentine, toute contente, trouve déjà l'endroit enchanteur. Il nous attend là quelques découvertes qui nous réjouissent.
< Je suis si impatiente. Merci mon amour ! > me fait Clémentine, se levant pour s'assoir en me chevauchant. Elle se frotte.

Les billets d'avion arriveront par la poste mardi ou mercredi prochain. Nous restons ainsi longuement à faire des papouilles.
Je soulève Clémentine tout en me levant. Je l'entraîne dans l'atelier. Je la dépose sur le vieux canapé. Elle se laisse guider.
Je lui retire ses jeans et sa culotte. Je suis à genoux entre ses cuisses écartées. Je renifle les odeurs de sa journée de fille.
C'est enivrant. Clémentine me chuchote des douceurs. Je lèche et suce les lèvres charnues de son sexe. Goût acidulé. Bon.
Clémentine me tient par les oreilles comme pour me guider. Je décalotte son clitoris du bout de mes lèvres. Gémissements.

Clémentine se laisse sucer en soupirant d'aise. J'aime l'entendre reprendre son souffle après quelques apnées. Elle regarde.
Nous adorons nous fixer longuement en nous suçant. C'est hyper excitant. Je dois être prudent. Et pas question d'orgasme.
Clémentine aime se garder excitée pour le reste de la journée. Elle me repousse si délicatement lorsque ça devient critique.
Je cesse. Elle me tend ses mains. Je l'aide à se relever. Je la soulève. Ses jambes autour de moi, bras autour de mon cou.
Il est presque 14 h. Clémentine remet ses vêtements. La voilà installée devant l'ordi, entourée de ses fiches. Mise au clair.

Je commence le dessin préparatoire de ma vingtième toile. Une nouvelle scène de genre. Nous travaillons dans le silence.
Nous adorons ces ambiances studieuses. Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Dehors, il pleut, il vente. Dégueulasse.
A 17 h, le thé au jasmin et deux petits gâteaux secs. Mon dessin préparatoire est fini. Et Clémentine à terminé ses notes.
Il reste à passer les deux couches d'impression à l'acrylique "Terre de Sienne" sur la toile. C'est Clémentine qui veut faire.
Je la regarde passer délicatement le spalter sur la toile. Parfaitement diluée la peinture se laisse étendre sans résistance.

Deux couches croisées qui vont rapidement sécher. Prêtes à recevoir les couches supérieures à l'huile. Et dès lundi matin.
Je félicite Clémentine pour cette réalisation. Nous rangeons nos affaires. Nous restons assis devant la cheminée. Superbe.
Je propose à Clémentine de choisir entre trois choses pour ce soir. Le haras et Gérard, le restaurant ou rester à la maison.
< J'ai pas envie de me retrouver avec la bite de ce vieux dégoûtant en bouche, ce soir ! Le restau. Tu veux ? > me dit elle.
Je réponds : < Le restaurant de l'Etang, pour revoir Julie, ou le restaurant des Chants pour revoir Bruno et Valentine ? >

< C'est toi qui choisi ! > s'écrie t-elle. Je dis : < Bruno et sa fille Valentine ! >. Clémentine me fait tomber, me chevauche.
Elle se frotte. Et sa braguette contre la mienne. Je ne tarde pas à présenter une grosse bosse contre laquelle elle se frotte.
Elle me chuchote des douceurs, des cochonneries. Nous restons ainsi un moment. A l'étage, les bruits de notre fantôme.
Nous quittons l'atelier pour monter nous changer. Clémentine porte une jupe en épais velours carmin, sa couleur préférée.
Un chemisier sous un pull noir. Ses bas noirs fixés à son porte jarretelle. Sur sa demande, je porte mon costume velours.

Accroupie à ma droite, me tenant la jambe, sa tête contre ma cuisse, devant le miroir, Clémentine me montre sa foufoune.
Absence de culotte. < Est-ce à votre convenance, Maître ? > me dit elle. Je réponds : < C'est parfait délicieuse Soumise ! >
Nous en rions de bon cœur en mettant nos manteaux, nos chapeaux feutre. Nous descendons. Il est 19 h15. Je téléphone.
Je réserve une table au restaurant des Chants. Parfait. Nous voilà en route sous une pluie battante. Je roule prudemment.
Clémentine joue avec ma bite qu'elle suce parfois. Son absence de culotte me permet de lui toucher la chatte. C'est génial.

Nous arrivons au restaurant. Avertie par notre coup de téléphone, Valentine vient nous accueillir. Elle est toute souriante.
Nous la suivons. Notre table est située près de la petite scène ou trône un piano quart de queue. Il y a du monde. Sympa.
Nous choisissons du homard fumé dans sa garniture de légumes de saison et ses beignets de crabe à l'ancienne. Sublime.
C'est Bruno qui vient nous serrer la main. Vêtue de sa tenue de Chef et coiffé de sa toque. Et le tout d'un blanc immaculé.
Lui aussi est content de nous revoir. Il promet de nous "soigner aux petits oignons". Et c'est vrai que le repas est fabuleux.

Clémentine cherche le meilleur angle pour une éventuelle, mais discrète, exhibition. Il n'y a pas de clients tout à proximité.
C'est frustrant. Excitée comme elle l'est, Clémentine aimerait beaucoup offrir un "show" à un inconnu. Se donner un frisson.
Il faut se faire une raison. Par contre, Valentine, la fille de Bruno qui fait le service, me lance des regards amusés. Etrange.
Valentine a l'âge de Clémentine. Nous savons qu'elle fait des études de cuisine pour devenir Chef. Elle mâte notre couple.
C'est toujours un peu perturbant pour une jeune fille de vingt ans de voir une fille de son âge avec un homme d'âge mûr.

Nous traînons à Table. Bruno vient bavarder avec nous. Nous prenons le café. Valentine vient parfois nous rejoindre. Joie.
Elle me fixe quelquefois d'un curieux regard. Pas de doute, elle aimerait en savoir davantage. J'entre dans jeu. Le regard.
Nous prenons congé. Nous promettons de revenir bientôt. Il est 22 h30. Dans la voiture, Clémentine me suce, me branle.
Elle me donne ses impressions. Bruno, 47 ans, les tempes grisonnantes, grand et athlétique, ne la laisse pas indifférente.
Je la félicite pour ses goûts. Au lit, nous baisons. Clémentine me révèle ses secrets. Je la termine au cunnilingus. Et dodo.

Bonne soirée au restaurant à toutes les coquines qui aiment les Chefs étoilés, leur prestance, leurs classe et leur cuisine…

Julien - (Qui avoue à Clémentine, en baisant, que la fille du chef, 20 ans, est tout à fait à son goût également. Salaud) -

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Une journée shopping

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par des bisous tous chauds. Partout sur le visage. L'incroyable douceur.
J'ouvre les yeux. Ce n'est que Clémentine qui peut se montrer si délicate. Je la serre contre moi. Pour plein de papouilles.
Nous resterions bien ainsi mais l'impérieux besoin naturel nous oblige à filer aux toilettes à toute vitesse. Rituel pissous.
Nous mettons nos tenues de sport pour nous précipiter dans l'escalier jusqu'à la cuisine. Pour préparer le petit déjeuner.
Il est à peine 7 h30. Dehors il fait gris et moche. Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de ce jour.

La vaisselle. Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement. D'aller courir dehors est impossible. Le sol trempé.
Nous faisons donc notre jogging sur les tapis roulants devant un de nos films pris en Ecosse. Illusion de courir sur la plage.
La douche. Nous nous habillons en conséquence. Clémentine rage un peu. Il faut se vêtir chaudement. C'est très restrictif.
Elle porte sa jupe d'épais velours carmin, un chemisier sous son pull noir au col en "V". Bas noirs fixés au porte jarretelle.
Des souliers noirs à légers talons. Sur sa demande, je porte mon costumes de velours noir, chemise, pull noir, col en "V".

Accroupie à ma droite, pour ce qui est devenu un nouveau rituel, Clémentine me tient la jambe, sa tête contre ma cuisse.
Les siennes largement écartées. Nous sommes devant le miroir. < Je vous aime Maître ! > me fait elle le regard implorant.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime adorable Soumise ! >. Nous rions de bon cœur. C'est un jeu.
Nous mettons nos manteaux, nos écharpes et nos chapeaux feutre. Nous apprécions beaucoup d'êtres élégants et classe.
Nous sortons la voiture du garage. La glacière est branchée sur l'allume cigare. Il y a une fraîcheur humide. Désagréable.

Je roule doucement. Clémentine a emmené une culotte. On ne sait jamais. Dans son sac à main qui se porte en sac à dos.
Nous voilà en route pour le bourg voisin. Trois kilomètres. C'est jour de marché et nous y faisons le nôtre le samedi matin.
Sur la demande de Clémentine, j'ai ma braguette discrètement ouverte. Je gare la voiture. Du monde. Et je porte les sacs.
Une fois encore, notre élégance, nos hautes tailles, notre différence d'âge si flagrante, attirent quelques regards. Amusant.
Nous faisons provisions de fruits, de légumes, de fromages, de yaourts, de crème fraîche, d'œufs et de beurre. Abondance.

Nous ne traînons pas. De retour à la voiture, nous mettons les produits à conserver au frais dans la glacière très pratique.
En route pour la zone commerciale à l'extérieur de la ville. Treize kilomètres. Clémentine m'a sorti la bite pour jouer avec.
L'absence de culotte permet une parfaite accessibilité à sa chagatte. C'est absolument parfait. Nous aimons nous toucher.
Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. Je pousse le caddie. Clémentine nous entraîne dans les rayons. Courses.
La liste des courses dans une main, elle dépose les produits de l'autre au fond du chariot. Méthode et efficacité. Superbe.

Nous sommes tous les deux plus ou moins excités par nos attouchements dans la voiture. Nous nous touchons en douce.
Clémentine m'entraîne au rayon culturel. Il y a bien trop de gens pour pouvoir s'offrir la frayeur d'une exhibe de qualité.
De quoi frustrer considérablement Clémentine qui aimerait beaucoup se payer quelques petits frissons bien vicelards. Dur.
Nous faisons pourtant plusieurs fois le tour des rayons. Romans, albums, magazines et nous poussons jusqu'aux disques.
Il faut se faire une raison. Clémentine n'est pas du tout le genre de fille à baisser les bras. Elle m'entraîne aux vêtements.

< Regarde, le Black de l'autre fois ! > me fait elle en me montrant le jeune homme qui choisi une ceinture. Très élégant.
Il a presque ma taille. Habillé d'un manteau brun. Ce monsieur a déjà été la "V.P.", (victime potentielle), de Clémentine.
Elle me rappelle qu'il y avait une jeune femme. Sa compagne est donc quelque part. Elle ne va pas tarder à le rejoindre.
Je reste malgré tout en retrait. Clémentine prend le chariot pour le pousser dans l'allée. Elle chausse ses lunettes noires.
Comme la dernière fois, Clémentine serre le caddie contre le rayon, s'accroupit devant les paires de chaussettes et slips.

Notre homme ne tarde pas à remarquer cette jeune fille, accroupit à deux mètres, dont il peut distinguer l'entrejambes.
Il fait probablement le rapprochement car il se met presque de suite à bavarder avec Clémentine. Elle reste en position.
Je la vois sourire. Elle joue le jeu. Le grand black, très élégant, s'accroupit pour se mettre à la hauteur de la jeune fille.
Ils bavardent un peu. Le type regarde souvent partout autour de lui. Nul doute. Il doit guetter l'arrivée de sa compagne.
Il prend le stylo et la petite carte que lui tend Clémentine. Il écrit rapidement quelque chose. Il se redresse rapidement.

Juste à temps. Voilà la jeune femme qui se pointe en poussant un chariot. Clémentine se détourne et se présente de dos.
Les apparences sont sauves. La jeune femme entraîne son compagnon en lui montrant un article qu'elle tient à la main.
Clémentine vient me rejoindre. < C'est génial ! Il m'a reconnu. J'ai ses coordonnées ! > fait elle en me montrant la carte.
< Je me sucerai volontiers un black un de ses jours ! > rajoute Clémentine. Je la félicite. Nous rions de bon cœur. Super.
Nous sommes dans la file devant le rayon poissonnerie. Soudain, une voix derrière nous. C'est Julie. L'agréable surprise.

Nous bavardons un peu. Julie évoque ses études. Sa licence de lettres modernes qu'elle prépare pour juin. Le restaurant.
Je laisse les filles bavarder pour commander des crevettes, des moules, des filets de saule, de cabillaud. Produits marins.
Je rejoins les filles. Julie me fait : < J'ai une proposition à vous faire. Mais je vous la ferai par courriel un de ces jours ! >
Je lui rappelle qu'elle m'avait déjà dit la même chose il y a quelque temps. Et pourquoi ne pas faire cette proposition ici ?
< C'est un peu complexe, peut-être ridicule ! Mais je vous en parle bientôt, promis ! > rajoute Julie avant de s'en aller.

Nous passons en caisse. Là-bas, plus loin, il y a Julie et sa maman. Elle nous fait un sourire. Peut-être un peu tristounet.
Clémentine me chuchote : < Ça ne va pas très fort avec son copain. Je pense qu'elle te racontera ! >. Je regarde Julie.
Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Nous passons devant le salon de thé. Plein à craquer. C'est un succès.
Nous lisons les menus proposés à la cafétéria. Je propose une fois encore à Clémentine d'y prendre un repas aujourd'hui.
Il y a de la truite accompagnée de petites pommes de terre rissolées. Et nous mangeons rarement du poisson de rivière.

Cette fois, et à mon étonnement, Clémentine accepte. Je lui dis : < Ça va drôlement nous changer des restaurants ! >
Nous allons d'abord à la voiture pour y ranger nos courses. Les produits de la mer dans la glacières. Et avec les laitages.
Nous revenons. Nous prenons des plateaux, des couverts et nous voilà comme à la cantine universitaire de Clémentine.
Le menu choisi est en abondance. Nous nous servons copieusement en légumes. Brocolis, carottes et pommes de terre.
Nous choisissons une table près de la grande baie vitrée. < Regarde, là-bas, au fond ! > me fait Clémentine. Je regarde.

C'est le black et sa compagne. Ils mangent. Ils ne nous ont pas vu. En apparence. Nous mangeons avec bon appétit.
Le repas est délicieux. Tout à fait comparable à celui d'un restaurant classique. Peut-être même meilleur. Et la quantité.
< Il mâte par là ! > me fait Clémentine. Elle rajoute : < Il m'a repéré et toi aussi ! Parfait ! >. Nous rions de bon cœur.
Clémentine me fait : < Dans ce genre d'endroit, se tromper de chiottes, c'est un peu gros ! >. Je dis : < Très gros ! >
Pourtant Clémentine tente le coup. Je la regarde marcher doucement en direction des toilettes. Il y a beaucoup de gens.

Un samedi, à midi, c'est l'affluence. Sera t-il possible à Clémentine de se livrer à un de ses petits jeux favoris ? Mystère.
Elle s'est arrêtée tout près du couple pour lire un des grands panneaux qui propose les menus de la semaine prochaine.
Le black l'a évidemment repéré. Il comprend certainement que c'est une stratégie d'approche. Clémentine entre au WC.
Le type se lève presque de suite. Il dit quelques mots à sa compagne avant de se diriger vers les chiottes. C'est excitant.
J'attends. Il y a quantité de gens qui rentrent et qui sortent des toilettes. Clémentine revient enfin. Elle fait un clin d'œil.

Elle me raconte. Le black l'a abordé dans le couloir, entre les toilettes hommes et les toilettes femmes. Des propositions.
< Il me propose de lui téléphoner lundi. Il est franc du collier et me propose de baiser avec lui ! > dit elle en riant. Joie.
Elle rajoute : < Je lui ai dis que je suce mais que je ne baise pas ! Il a semblé ravi et a éclaté de rire ! > Nous rigolons.
Je regarde vers la table. Il regarde vers la nôtre. Je dis : < Et si ça te tente, prépare un super plan pipe avec ce mec ! >
< Je peux ? > me fait Clémentine en posant sa main sur la mienne. Je réponds : < C'est même un ordre du "Maître" ! >

Nous terminons notre repas. Nous allons chercher de grandes coupes glacées pour notre dessert. Le couple est parti. Fini.
Nous dégustons nos glaces en envisageant plein de possibilités. Si elle le fait, Clémentine exige ma présence. Et planqué.
De goûter à de la bite de black est un fantasme lointain. Sans doute celui de plein de jeunes filles. Je l'y encourage. Bien.
Je lui rappelle qu'elle a 21 ans et qu'elle ne doit passer à côté d'aucune opportunité. Elle doit vivre sa jeunesse, ses envies.
< Je t'aime Julien. Tu comprends tout. Je t'en suis reconnaissante ! > murmure t-elle. Il est 13 h45. Nous traînons à table.

Au dehors, il se met à pleuvoir. Nous sommes derrière l'immense baie vitrée à regarder passer les gens avec des caddies.
C'est une météo merdique. Je propose d'aller traîner un peu en ville et de rentrer en fin d'après-midi. Un peu de shopping.
Nous quittons la cafétéria. Il faut courir jusqu'à la voiture. Nous n'avons pas prévu le parapluie resté dans l'auto. Spring !
Nous voilà en route pour aller en ville. Trois kilomètres. Clémentine joue avec ma queue. J'ai la main sous sa jupe. Joie.
Le sexe de Clémentine est humide. Elle porte sa culotte pour éviter de tacher l'intérieur de sa jupe. Précaution nécessaire.

Je gare la voiture dans la pette ruelle habituelle à dix minutes du centre. Bien évidemment la conversation reste "Black".
La perspective de pouvoir goûter à un peu d'exotisme n'est pas pour déplaire à Clémentine friande d'expériences neuves.
Surtout que je l'y encourage vivement. Il faut juste trouver le bon plan qui me permette d'être planqué à proximité. Joie.
Nous marchons sous le parapluie. La pluie est fine et continue. Nous voilà à la grande librairie. Peut-être une opportunité.
Il y a un monde fou. Il faudrait être bien téméraire, voire inconscient pour tenter une exhibe de qualité. Le risque inutile.

Nous traînons là longuement. Clémentine est obstinée. Son excitation est considérable. Je promets des trucs pour ce soir.
Nous faisons quelques boutiques. Clémentine me dit à chaque fois : < J'ai tout ce qu'il me faut. Même en double ! >. Rire.
Il est 18 h30 lorsque nous revenons à la maison. La voiture d'entreprise est garée à côté du garage. Et Estelle est déjà là.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous, ses jambes autour de ma taille. Si heureuse. Joie.
Clémentine s'interpose. Par jeu. Nous montons nous changer. Estelle nous suit. Assise sur le lit elle raconte sa journée.

Clémentine lui raconte sa rencontre. Ce Black devant lequel elle s'était déjà exhibée il y a quelques mois. Et de belle façon.
Le hasard qui la remet en situation devant le même mec. La proposition du type de baiser avec elle. Estelle écoute. Rires.
< Ce salaud est avec une meuf, peut-être marié, et il te propose carrément de niquer ! Une belle ordure ! > s'écrie Estelle.
Nous rigolons comme des bossus tant l'absence de conviction dans les propos d'Estelle est flagrante. Nous voilà en jeans.
Estelle n'arrête pas de me toucher. Elle dit à Clémentine : < Je veux être avec vous si tu suces ce mec ! Et avec Julien ! >

Nous descendons. La faim commence à cruellement se faire sentir. Clémentine s'occupe de la salade, de l'assaisonnement.
Estelle m'aide à émincer l'ail, l'oignon et la ciboulette que nous versons dans l'eau bouillante. Le bouillon pour les moules.
En accompagnement je fais décongeler des haricots verts directement dans le wok. Estelle met la table. Tout va très vite.
Le repas est délicieux. Une sauce à la crème et au Parmesan rajoute encore à la délicatesse de l'ensemble. C'est fameux.
Nous traînons à table. Les filles évoquent les cours de la semaine prochaine. Ce sera un peu plus cool. J'écoute en silence.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle n'arrête pas de me tirer la bite, sa main sous mon tablier pendant la plonge.
Je propose : < Et si je vous léchais la chatte au salon ? Une soirée cunnilingus ! Qu'en dites vous les coquines ? >. Rires.
Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Nous nous précipitons au salon. Les filles enlèvent leurs culottes, les jeans.
Les voilà vautrées dans le canapé. Je dis : < Méfiez vous, ce soir, j'ai un appétit d'ogre ! >. Estelle se lève et me choppe.
< Viens voir par là, l'ogre ! > me fait elle en me faisant tomber dans le canapé à sa place. Elle se met à genoux. Coussin.

Estelle hume les odeurs de ma journée d'homme. Les excitations répétées de la journée ont laissé quelques traces. Slip.
Du liquide séminal a coulé à plusieurs reprises. Estelle a donc de quoi se régaler immédiatement. Et elle se régale. Plaisir.
Clémentine se lève. Elle se met debout derrière moi. Elle me contourne pour me présenter sa chatte. Situation délicate.
C'est impossible de lui offrir du plaisir de cette manière. Je propose aux filles de prendre nos positions habituelles. Mieux.
Clémentine vautrée dans le canapé. Moi à genoux et Estelle couchée sur le côté entre le canapé et moi. Nous l'étudions.

Estelle dit : < Meilleur plan. Clémentine s'installe sur le bureau. Toi tu es sur la chaise. Moi sous le bureau ! C'est bien ! >
Nous nous levons en riant pour tout préparer. Coussins sur le bureau. Coussins sous le bureau. Nous rigolons sans arrêt.
Clémentine, en appui sur ses coudes, entourée de tous les coussins disponibles, est vautrée sur le bureau. Bien installée.
Je suis assis sur la chaise. Légèrement courbée en avant, le visage entre les cuisses de Clémentine. Estelle sous le bureau.
C'est la situation idéale pour se bouffer les sexes. Je promets à Estelle de m'occuper du sien après celui de Clémentine.

Le plaisir de pomper le sexe de Clémentine est immense. Ses nombreuses phases d'excitations de la journée. La cyprine.
J'adore. Le jus de fille m'enivre. Je peux sentir la succion délicate d'Estelle qui se touche, à genoux sous le bureau. Joie.
Estelle est à genoux sur l'épais coussin de velours carmin. Elle me tient une main fortement, m'empêchant de la lâcher.
De mon autre main, je caresse la peau de Clémentine. Les nombreuses excitations de la journée ont un effet immédiat.
Je n'ai pas l'opportunité de la sucer longtemps. Clémentine connaît un orgasme titanesque. Cris, hurlement et la pisse !

Me voilà dégoulinant de pisse. Clémentine, confuse, reprenant ses esprits, se lève pour aller chercher la serpillère. Seau.
J'invite Estelle à prendre sa place sur le bureau. Clémentine me couvre la tête d'une serviette. Je me bouffe de l'Estelle.
C'est rare qu'Estelle soit aussi mouillée. Clémentine est à genoux sous le bureau. C'est elle qui me suce. C'est formidable.
Estelle connaît également un orgasme royale. Mais sans pisse. J'éjacule dans la bouche de Clémentine. C'est merveilleux.
Il est 23 h. Epuisés, nous montons. La salle de bain. Au lit, Estelle s'endort la première. Clémentine contre moi. Le dodo.

Bonne journée à toutes les coquines qui aiment faire du shopping et profiter de quelques occasions pour s'exhiber…

Julien - (Qui encourage toujours Clémentine à passer à la vitesse supérieure. De manipuler les leviers de vitesse) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 717 -



Les rituels du dimanche

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par ce qui devient le premier rituel du dimanche. On suce mon érection matinale.
On me couvre le visage de bisous d'une douceur inouïe. Je sais qui me suce. Je sais qui me fait des bises. Pas de doute.
Je caresse la nuque d'Estelle sous les draps. Je caresse celle de Clémentine penchée sur moi. C'est un moment énorme.
Je force Estelle à remonter à la surface des draps. Elles ont toutes les deux la tête sur mon épaule. A droite et à gauche.
Nous restons ainsi à profiter de ce privilège insensé. Hélas, l'impérieux besoin naturel à raison de nos effusions. Pissous.

C'est Estelle qui s'y précipite la première dans son pyjama en soie mauve. Elle revient en disant : La place est chaude ! >
Elle dévale l'escalier en s'écriant : < Le petit déjeuner ! >. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Pissous.
Morts de faim, et vêtus de nos slips et de nos T-shirt de nuit, nous nous précipitons dans l'escalier pour rejoindre Estelle.
L'odeur de brioche, de café et de pain grillé achève d'aiguiser nos faims de loups. Estelle me saute au cou. Je la soulève.
< Tu as bon goût ce matin ! > me fait elle en me couvrant le visage de bisous. Clémentine s'interpose. Par jeu. Amusant.

Il est à peine 8 h. Dehors, il fait gris et moche mais il ne pleut pas. Le sol est même bien sec. Nous mettons la table. Bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme du jour. Ce matin, "ménage" et l'après-midi, randonnée.
Estelle va s'occuper de passer l'aspirateur partout. Clémentine va faire la chambre. Moi, je passe la serpillère. Autre rituel.
Nous traînons à table. La brioche au pudding, façon "Chinois" nous semble encore meilleure que les autres fois. Délicieuse.
La vaisselle. Chacun vaque à sa tâche. Je nettoie la cuisine et les chiottes du bas. J'entends Estelle chanter depuis le salon.

Je passe la serpillère sur les carrelages. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Je passe devant la porte du salon.
Estelle, son pantalon de pyjama descendu aux chevilles, cambrée sur ses genoux fléchis, se tenant au bureau, se branle.
< Tu me prends un peu ! > me lance t-elle avec un regard implorant. Lorsque Clémentine n'est pas là, cela m'indispose.
< Viens ! On a le droit ! > insiste t-elle en se tournant vers moi en s'accroupissant, cuisses largement écartées. Je mâte.
J'hésite. Estelle, se redresse, retire son pantalon de pyjama et se couche sur le bureau, jambes relevées. Vraie invitation.

Derrière moi, dans le couloir, au bas de l'escalier, la voix de Clémentine : < Je t'en prie, baise là ! Je suis là. Je mâte ! >
Je me retourne. Clémentine, déjà vêtue de ses jeans et de sa chemise à carreaux. Je la serre contre moi pour l'embrasser.
Elle m'entraîne par la main jusqu'au bureau. Je bande comme le dernier des salauds. Un vrai Sardanapale. Démonte pneu.
Estelle qui se touche nous voit arriver. Elle approche son sexe pour être bien au bord du bureau. Clémentine tient le mien.
C'est elle qui introduit mon sexe dans celui d'Estelle. Je reste juste à l'entrée. Estelle encore plus étroite que Clémentine.

D'un coup de rein, en poussant un cri, Estelle m'introduit en elle complètement. Elle a ses bras autour de mon cou. Fort.
Elle s'est redressée. Je la porte presque. Estelle bouge. Clémentine est serrée contre mon dos, son souffle dans mon cou.
Je me mets à baiser Estelle comme rarement. Elle se laisse secouer comme un pantin. C'est sans doute la première fois.
C'est assez hallucinant. Cela m'excite considérablement. Estelle se cambre. Elle pousse un cri et me repousse doucement.
Je me retire avec d'infinies précautions. Estelle me fait : < Ça me fait trop mal quand tu es tout entier dedans ! >. Doux.

Je me mets à genoux devant le bureau pour lui lécher ce sexe douloureux. Rapidement le plaisir revient. C'est rassurant.
Je suce son clitoris minuscule que je sens à peine sur le bout de la langue. Son orgasme est prodigieux. Tout est superbe.
Clémentine n'a pas cessé de rester serrée contre moi, une main dans sa culotte pour se masturber en me regardant faire.
Je me redresse. Estelle reprend ses esprits. Elle descend du bureau pour se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >
Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons l'escalier. < Et tu me fais la même chose après ? > me murmure t-elle.

Nous fermons les fenêtres dans la chambre. Je m'habille. Estelle vient nous rejoindre. Elle ramasse le tas de draps sales.
Clémentine me rejoint à la salle de bain. Nous nettoyons. Estelle passe l'aspirateur. Clémentine fait quelques confidences.
< Je ne donne pas suite, pour revoir le black. Il est avec une femme qui ne sait pas. Ça me gêne ! > explique Clémentine.
Elle rajoute encore : < Cette femme ne sait pas que son mec la trompe. Je ne veux pas avoir affaire à ce genre de mec ! >
Je comprends. Je partage tout à fait ce principe. Ne pas faire de mal à quelqu'un et même à son insu. Un principe moral.

Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes. Estelle vient me rejoindre. La coquine.
J'ai les mains gantées dans la cuvette des chiottes. Et je ne peux pas me défendre. Estelle est derrière moi et me tripote.
< C'était bon quand même, en bas, sur le bureau ! > me chuchote t-elle. Elle me contourne pour me faire plein de bises.
Je tire la chasse. L'odeur de javel donne la nausée. Estelle m'entraîne par la main. Nous descendons l'escalier en rigolant.
Nous rejoignons Clémentine à la cave, dans la buanderie. La machine tourne déjà. Nous aidons à trier le linge de couleur.

Les filles évoquent leurs cours de la semaine prochaine. Ce qu'il faut préparer. Les stratégies à appliquer. C'est intéressant.
Je les laisse pour monter. Je vais à la cuisine. La pâte feuilleté et les pavés de saumon ont décongelé. Et il est déjà 11 h30.
Estelle vient me rejoindre la première. Je suis entrain de laver la salade. Elle est derrière moi, une main dans la braguette.
Clémentine arrive à son tour. < Décidément ! > fait elle en venant s'interposer. C'est devenu un jeu qui nous amuse tant.
Clémentine prend le relai pour la salade et l'assaisonnement. Estelle étale la pâte feuilletée dans un grand plat rond. Bien.

Je concocte une Béchamel. Estelle émince finement le pavé de saumon. Nous le faisons rissoler avec ail, oignon et persil.
Je rajoute à la Béchamel. Estelle verse le tout sur la pâte étalée. Je recouvre d'un fin couvercle du reste de pâte. Superbe.
Estelle badigeonne le tout avec un mélange d'œuf, de crème fraîche et de lait de soja. Je saupoudre de graines de sésame.
Au four. Nous mettons la table. Les filles n'ont cessé de parler de leurs études. C'est passionnant. J'apprends des choses.
Nous mettons nos anoraks pour aller prendre la température extérieure. Il ne fait pas froid mais il y a du vent. Très fort.

Nous faisons le tour de la propriété sans nous lâcher, en restant serrés tous les trois. Le ciel se dégage parfois. Ciel bleu.
Nous avons entrebâillé la baie vitrée de la véranda. Nous entendons la sonnerie du four. Et nous nous précipitons en riant.
C'est une tourte au saumon qui nous enchante. Accompagnée d'une salade. Scarole et champignons. Un vrai délice. Miam.
Nous traînons à table. Clémentine revient sur ce qui pourrait être un cas de conscience. Le black de hier, ses propositions.
Estelle partage tout à fait ce point de vue. Ne jamais faire à quelqu'un ce que nous ne voudrions pas qu'il nous fasse. Joie.

< Et puis, tu as déjà goûté du Black avec monsieur Léon, aux écuries ! > fait Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.
< Oui mais c'était du 65 ans d'âge. Même si une vieille liqueur se déguste, une cuvée récente, me tente ! > dit Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h30. Nous montons nous laver les dents. Bien.
Nous faisons les clowns devant le miroir. Je suis entre les deux filles qui me font plein de bisous. Et je les tiens contre moi.
Nous redescendons. Nous mettons nos anoraks et nos grosses godasses. Nous descendons jusqu'à la rivière. La fraîcheur.

J'ai la bite à l'air. Soit l'une, soit l'autre s'accroupit pour jouer avec, me la sucer un peu, me tirer comme par la laisse. Rire.
Nous marchons quand même le plus souvent d'un bon pas. < C'est bon un cunni le matin ! > fait Estelle en m'embrassant.
< Veinarde ! > lui fait Clémentine accroupit à me sucer. Nous sommes sur le sentier qui longe le ruisseau. Là-bas, le haras.
< On y fait un tour au retour ! > fait Clémentine. < Il y a la bite à Gérard ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus.
Le ciel a tendance à se couvrir complètement. Le vent se lève à nouveau. Il faut mettre les bonnets et les gants. Dommage.

Il est 17 h lorsque nous arrivons au haras. L'animation organisée par Juliette arrive à son terme. Il y a beaucoup de monde.
C'est toujours un succès. Les propriétaires de chevaux et leurs amis, aiment voir leurs filles galoper dans le manège. Super.
Il y a Juliette occupée avec un groupe de gens. Monsieur Gérard qui arrive en tenant un cheval. Accompagné d'une femme.
Il nous voit et nous fait un coucou amical de la main. Tout souriant. Il y a madame Walter et Pierre, le "Homard", son mari.
Depuis que nous savons que Juliette l'appelle le "homard", nous regardons ses mains. Et elles nous paraissent démesurées.

Nous bavardons avec Eveline la palefrenière. Elle ramène deux chevaux aux écuries. Nous apprécions l'ambiance du lieu.
C'est toujours très animé le dimanche en fin d'après-midi. On entend rire. Juliette vient nous saluer, toute contente. Joie.
La jeune femme nous parle de sa soirée de hier. Nous sommes devenus ses confidents. Nous écoutons ses frasques. Rire.
Une fois encore, elle a passé sa soirée chez les Walter, à se faire niquer par le mari pendant que la femme se masturbait.
< "Homard" m'a niqué ! > nous fait elle, en faisant bien évidemment allusion à un ancien fait divers. C'est trop marrant !

Nous traînons un peu au haras. Ces ambiances du dimanche soir sont fort plaisantes. Juliette retourne s'occuper des gens.
Nous faisons l'objet de quelques regards. Nos hautes tailles. Ces deux belles jeunes filles qui tiennent un homme d'âge mûr.
Ces situations sont devenus un amusement supplémentaire. Nous suscitons sans doute des convoitises. Et bien libidineuses.
C'est un vrai plaisir et nous en jouons. Il est 18 h30. Nous prenons le chemin du retour. La nuit commence à tomber. Bien.
Nous arrivons avec l'obscurité presque totale. Morts de faim, nous nous mettons à la préparation du repas. Gratin de pâtes.

Estelle préchauffe le four. Je fais bouillir la flotte. Clémentine s'occupe de la salade. Estelle m'aide. Paner les filets de saule.
Je verse les macaronis dans l'eau bouillante. Je remue. Estelle râpe du gruyère et du Parmesan. Tout va très vite. Au four.
Nous voilà au salon, vautrés tous les trois dans le canapé. Je suis assis entre les deux filles. Estelle me tient la queue. Joie.
Elle n'a quasiment pas cesser de me la tenir tout l'après-midi. < C'est mon doudou ! > fait elle souvent. C'est si amusant.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit en parlant du haras. Et de Juliette.

Nous traînons à table. A quelques reprises, et avec cette vulgarité qui lui est coutumière, Estelle, debout, mime une branle.
J'ai la bite à l'air. Je me lève à chaque fois qu'elle le fait, pour agiter ma bite dans sa direction. Clémentine mime une pipe.
< Trio de vicelards, ne jouit jamais trop tard ! > lance Estelle qui aime à inventer des dictons qui nous font éclater de rires.
Il est 21 h lorsque nous terminons la vaisselle. De ranger la cuisine. Nous sommes au salon. Estelle et Clémentine à genoux.
Installées sur les coussins, au milieu de salon, je frotte ma bite sur leurs visages d'ange en leurs racontant des saloperies.

Je mets ma bite dans la bouche de Clémentine. Je leurs caresse les têtes en même temps. Je fais pareil à Estelle. Bonheur.
Les filles en raffolent. Et plus je suis vicelard, et plus elles apprécient. Elles me bouffent la queue à tour de rôle. Un plaisir.
Les lombaires douloureuses, je suis obligé de corriger ma position sans arrêt. Je dis : < On ouvre la bouche bien grande ! >
Je me branle. J'éjacule avec soin dans les deux bouches et sans en mettre à côté. Nous ne sommes pas dans un film porno.
Nous raccompagnons Estelle à son auto. Je la console. Nous remontons. Au lit, cunnilingus à Clémentine. Orgasme et dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient d'êtres à genoux pour se faire éjaculer dans la bouche par un branleur…

Julien - (Qui se branle avec méthode, corrigeant sans cesse l'angle de tir, afin de ne pas en mettre à côté) -

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Et c'est reparti

Hier matin, lundi, c'est la Suite pour piano de Schoenberg qui nous arrache du sommeil avec acharnement et sans pitié.
< Put-Hein ! Ta gueule ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur la table de mon côté.
Plutôt excédée, elle me couvre le visage de bisous avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes et en riant. Joie.
Vêtus de nos de tenues de gym, nous dévalons l'escalier pour nous rendre à la cuisine. Il est déjà 6 h05. Morts de faim.
Nous prenons un copieux petit déjeuner que nous savourons tout en bavardant. Tout en faisant le bilan de ce Week-end.

Nous remontons pour faire notre gym. Une heure avec intensité maximale. Charges additionnelles, aérobic et nos abdos.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtues. Il est 7 h45.
Il pleut. Il y un vent tempétueux. Impossible de se mettre à l'abri sous un parapluie. J'ai mon ciré. Clémentine également.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de fuir cette météo épouvantable.
Je fais notre lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare palette, pinceaux.

Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je commence ce matin la vingtième toile pour ma saison d'été.
Une scène de genre. Deux personnages dans un intérieur Hollandais du XVIIème. Je situe les scènes dans cette époque.
Je peins dans un enthousiasme fébrile qui me transcende dès les premiers coups de pinceaux. C'est toujours fantastique.
Il doit être aux environs de dix heures lorsque la musique imbécile de mon smartphone brise le silence monacal du lieu.
A contre cœur, je décroche. Ma contrariété se transforme en étonnement lorsque j'entends la voix de Juliette. C'est bien.

En mode "haut parleur", nous pouvons tous deux bavarder tout en continuant à travailler. C'est rapidement très agréable.
Juliette me parle du succès de l'animation de hier qu'elle a organisé dans son haras. Nous approchons de la fin de saison.
D'ici les premiers beaux jours du printemps, beaucoup de chevaux vont retourner chez leurs propriétaires. Elle se réjouit.
Juliette a encore vécu une saison éprouvante. Patronne d'un haras n'est pas l'activité d'une bourgeoise désœuvrée. Rires.
La jeune femme en arrive rapidement à ce qui doit la ravir autant que moi. Le prétexte à son appel étant à présent passé.

< Chez les Walter, samedi soir, c'était encore très sympa ! > fait Juliette avec un petit ton coquin. J'écoute et sans parler.
Juliette me raconte quelques détails concernant le repas, le dessert. Je dit : < Après les agapes, homard vous a niqué ! >
Nous en rions de bon cœur. < J'en suis encore toute secouée ! > fait encore la jeune femme en évoquant les situations.
Madame Walter partage les même goûts que Clémentine. Elle adore voir son mari s'occuper d'une autre en se masturbant.
C'est un "sport" fort apprécié chez les libertins. Nous rions beaucoup des anecdotes rapportées par Juliette. C'est excitant.

Je dis : < Et mardi soir, il y aura la visite de Gérard ! Petite coquine ! >. Juliette me fait : < Il vient se vider les couilles ! >
Nous rions lorsque Juliette rajoute : < Ses énormes couilles ! >. Elle me fait part de son impatience d'être au printemps.
Elle partage notre goût pour les situations vicelardes en écuries sans souffrir de la fraîcheur. Nous nous réjouissons. Rires.
La conversation dure une bonne demi heure. Nous nous saluons. Je promets que nous serons là, mercredi soir. Le repas.
Je peins à présent sans cesser de penser à cette étonnante jeune femme. Nous formons une sorte de club très fermé. Vice.

J'ai bandé quasiment toute la durée de la discussion. Je sens ma queue qui colle au fond de mon slip. Les épanchements.
Il est midi. Tout cela m'a donné faim. Je vais à la cuisine. Je lave la salade. Il y en aura pour ce soir. Un assaisonnement.
J'épluche patates, carottes et navets. Ail, oignon et champignons. Je lave et je coupe en petits morceaux. Dans la cocotte.
Je fais revenir l'ail et l'oignon avant d'y rajouter les tubercules. Je fais rissoler sans cesser de remuer. Une spatule en bois.
Il y en aura également pour ce soir. Je concocte une sauce au Roquefort dans laquelle je rajoute une boîte de crevettes.

Je mange de bon appétit tout en écoutant cette litanie des informations fallacieuses, formatées, calibrées et mensongères.
C'est au-dessus de mes possibilités. Aussi, avant de prendre mon yaourt au miel, j'éteins la radio. Dehors c'est la tempête.
De véritables bourrasques jettent une pluie battante contre les vitres. La cuisine est orientée ouest. Donc exposé au vent.
Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Pour le repas de ce soir, tout est prêt. Il n'y aura qu'à réchauffer avec une omelette.
Je retourne dans l'atelier. Il est presque 13 h lorsque je suis à nouveau installé devant mon chevalet. Je peins dans la joie.

Je ne suis pas assis 30 minutes que la musique idiote de mon smartphone ne déchire le silence. Mais put-Hein c'est qui ?
Je rage, je peste, j'éructe et je décroche. Quelle surprise. Après Juliette ce matin, c'est Julie en début d'après-midi. Rires.
Je mets sur mode "haut parleur" afin de pouvoir continuer à peindre tout en écoutant. Julie n'a qu'un quart d'heure. Bien.
La jeune fille me parle rapidement de ses études, du restaurant de sa tante où elle fait la serveuse. Revue de détails. Vite.
Julie en vient rapidement à la raison de son appel. Nos petits jeux du lundi soir lui manquent beaucoup. Il y a deux mois.

Je l'écoute. Je la sens hésitante. Peu sûre d'elle. En arriver à la raison de son appel lui demande certainement du courage.
Je l'aide un peu. Elle pense souvent à mon comportement lorsqu'elle venait manger le lundi soir. Ma bite. Mes branlettes.
< Ça me manque. J'aimerai y goûter et que vous m'appreniez ! > lâche t-elle soudain, dans un souffle. Un grand silence.
Je suis estomaqué. C'est surprenant. Voilà cette jeune fille de vingt ans qui me propose de lui apprendre à tailler une pipe.
Je lui fais remarquer qu'elle a un petit copain. < Il n'est pas du tout "branché" pipe ! > me fait encore Julie avant de rire.

Je dis : < J'en parle à Clémentine ce soir. Rien ne se fait jamais sans elle. Je vous promets un courriel dès demain. Ok ? >
Julie semble à présent plus sereine. Avant de raccrocher je fais : < Pas d'inquiétude, tout se passera très bien. D'ac ? >
< Oui, je sais pouvoir compter sur vous. Vous devez me prendre pour une petite conne, non ? > fait encore la jeune fille.
Je la rassure : < Nous allons passer un grand moment tous les deux ! Vous en voudrez encore ! >. Je l'entends rigoler.
Julie a cours à 14 h. Il est temps de mettre un terme à la conversation. Je peins avec une terrible érection. C'est fameux.

Je regarde le téléphone à plusieurs reprises en me disant "jamais deux sans trois". Qui sera la prochaine ? Je me marre.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine arrive à toute vitesse dans l'atelier. Elle balance son sac sur le canapé et se précipite.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le restaurant universitaire. J'écoute en silence.
Assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine met ses cours au propre. Nous aimons ces séances. Joie.
Tout en peignant, je raconte le coup de téléphone de Juliette. Je raconte le coup de téléphone de Julie. Avec les détails.

< En ce qui concerne Julie, je te l'avais dis, elle ne tardera plus à se manifester ! > fait Clémentine. Elle m'explique. Rire.
Elle rajoute : < Bon, je ne m'attendais pas au coup de la pipe qu'elle te propose carrément ! Elle en a vraiment envie ! >
La théorie de Clémentine est probablement la vraie. Je découvre d'étonnantes révélations. Julie veut vivre un fantasme.
L'histoire du petit copain pas du tout branché pipe semble une malhabile excuse pour vivre une chose qui doit la tarauder.
Je n'ai évidemment pas vu les choses sous cet angle. Je ne suis qu'un homme et avec mon cerveau d'homme. Basique.

< On va lui préparer un truc aux petits oignons, tu vas voir. Elle en voudra encore ! Et pas question ! > fait Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Après tout, nous avons déjà Estelle comme "petit animal de compagnie". C'est si merveilleux.
Nous travaillons jusqu'aux environs de 18 h45. Nous rangeons avant de nous installer devant la cheminée. Enfin calmes.
A l'étage, les bruits devenus familiers de notre fantôme. Ce soir, il semble errer sans but à l'étage, en traînant des pieds.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Superbe.

Je réchauffe la potée de légumes et le reste de sauce. Je fais une belle omelette au fromage. Nous évoquons les écuries.
Le coup de fil de Juliette. Clémentine me fait part de ses impressions. < "Homard" l'a encore niqué, le salaud ! > dit elle.
Nous rions comme des bossus lorsqu'elle rajoute : < Pierre se vide les couilles dans son fion, Gérard dans sa bouche ! >
Cette conclusion, éminemment juste et pertinente, nous amuse bien. Je mets la table. Et nous mangeons de bon appétit.
Clémentine évoque à présent la stratégie à mettre en œuvre pour ce qui concerne la demande très particulière de Julie.

Je propose que cela se passe le plus simplement possible. < Non, c'est une petite vicieuse ! > s'écrie Clémentine. Rires.
< Il faut emballer son "cadeau" dans un beau paquet avec petits rubans ! > fait elle encore. Nous en rions de bon cœur.
Je sais pouvoir faire confiance à clémentine pour les mises en scènes et les scénarios élaborés. Rien ne doit être simple.
< Il faut qu'elle s'en souvienne toute sa vie. Qu'elle ait le désir de vivre la situation une nouvelle fois ! > fait Clémentine.
Elle rajoute : < Il faut que tu te surpasses. Que tu sois à la hauteur de ce qu'elle souhaite. Bref, que tu sois vicelard ! >

Moi, j'ai une approche un peu "romantique" de la demande de Julie. J'écoute la vision plus pragmatique de Clémentine.
< Cette petite salope en aura pour ses fantasmes ! Tu lui fais la "totale" ! > rajoute Clémentine en débarrassant la table.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon et me fait tomber dans le canapé. Elle, à genoux.
Je la regarde me sortir le Zob et constater à quel point il a bavé toute la journée. Ça colle au tissu du slibard. Et ça sent.
Clémentine hume longuement les odeurs de ma journée d'homme. Les épanchements de liquide séminal toute la journée.

Je lui caresse la tête. Elle parle encore un peu de notre projet "Julie" en me décalottant un peu. Pour humer le fromage.
Je l'admire. J'aime la voir passer sa langue entre le prépuce et le gland en gémissant de plaisir. C'est le grand nettoyage.
Clémentine se met à téter. Elle tire sans arrêt le prépuce du bout des lèvres pour bien recouvrir le gland. Superbe pipe.
Je lui chuchote des cochonneries. Je parle de Julie. Je propose différents cas de figure. Clémentine écoute en gloussant.
Je lui propose de faire un peu l'amour. Immobiles comme nous aimons. C'est toujours là que Clémentine à l'inspiration.

Elle cesse. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. C'est plein de foutre gluant qu'elle a du mal à avaler du premier coup.
Elle se lève, retire ses jeans et sa culotte pour venir s'assoir sur moi. C'est très rare car cette position lui est inconfortable.
C'est même rapidement douloureux car toute la longueur de mon sexe la pénètre. Je ne suis pourtant pas un surhomme.
Couchée sur le dos, Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. C'est mieux. C'est plus délicat.
Nous restons parfaitement immobile. Clémentine me chuchote à l'oreille. Elle me murmure le texte du courriel pour Julie.

Je bande évidemment comme un vrai salaud. D'être en elle. D'écouter ses étonnantes formules. Tout cela est excitant.
Je prends bonne note malgré tout. < Et si tu as peur d'oublier, on prend du papier et un stylo ! > me chuchote t-elle.
Nous rions de bon cœur. Je garde les formulations de Clémentine bien en tête. Elle me propose de faire le mail ce soir.
Nous nous aimons longuement. Bougeant parfois, nous berçant souvent pour redevenir immobiles. On s'arrête à temps.
Clémentine m'entraîne au bureau. Elle allume l'ordi et écrit le courriel. Je regarde, je lis, émerveillé. Quelle beau texte.

Bonne soirée à toutes les coquines qui font des prévisions sur une soirée pipe réservée à une soi disant "novice"...

Julien - (Qui grâce à l'intuition de Clémentine, n'est plus très dupe des désirs de Julie. Merci Clémentine) -

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Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 719 -



Comme c'est bien avec Estelle

Hier matin, mardi, c'est le Prélude pour clavecin de J.S. Bach qui nous arrache du sommeil. En Do majeur, c'est agréable.
< Put-Hein, Bacchus ! Stopus ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques rapides papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous descendons en vitesse à la cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner déjà vêtus de nos tenues de gym. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Le mardi, Clémentine termine à midi. Il y a donc toujours une ambiance particulière à la maison, le mardi matin. Sympa.

Nous remontons pratiquer notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine. 10°.
Il ne pleut pas. La fraîcheur est encore renforcée par un vent qui souffle fort. Clémentine me rejoint et chaudement vêtue.
Son bonnet, son écharpe, ses jeans, son pull, sa veste noire en cuir cintrée à la taille. Elle me fait plein de bisous. Coucou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et la vaisselle. C'est rapide.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Mélange des couleurs.

Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. La peinture de cette scène de genre m'absorbe tout entier. Plaisir.
Je peins dans une sorte d'euphorie festive qui me fait pousser les cris les plus surréalistes. Et c'est le ballet des pinceaux.
Il faut me voir faire la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet à chaque coup de pinceau plus sublime que l'autre.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave deux grosses endives. Je fais gonfler du riz complet et Bio. L'eau salée.
Il est 12 h20. Clémentine arrive, me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bises. < Je t'aime ! > dit elle.

Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade. Je fais une belle pâte à pain. Je coupe le poireau en petits morceaux.
Je les mets dans l'eau bouillante. Clémentine met la table, me racontant sa matinée. Je concocte une belle Béchamel. Joie.
Le rituel de la tarte aux poireaux du mardi soir. Cette Flamiche Picarde qui fait nos délices de ce soir de la semaine. Plaisir.
Je récupère un peu de Béchamel contenant le poireau. C'est la sauce pour accompagner le riz. Je râpe le gruyère de Comté.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, il y a une alternance de nuages bas et de séquences lumineuses.

Nous traînons à table. Avec cette météo désagréable, pas d'activités de plein air. Nous avons du travail. Et c'est bien aussi.
< Ce matin, en allant en cours, sur la petite route, il y avait un mec qui pissait à côté de sa voiture ! > me fait Clémentine.
< En revenant à midi, presque au même endroit, un autre à côté de sa camionnette ! > fait elle. Nous rions de bon cœur.
Je dis : < Tu te serais arrêtée pour leurs tenir la queue ! >. Clémentine, assise sur mes genoux me fait : < Bonne idée ! >
Nous faisons la vaisselle avant de ranger la cuisine. < Je viens te la tenir aux toilettes ! > fait Clémentine en m'entraînant.

Penchée à ma droite, me tenant le Zob, Clémentine en dirige le jet bien au fond de la cuvette. Je pisse par petits jets. Rire.
Clémentine secoue les dernières gouttes en s'accroupissant pour récupérer les tous derniers épanchements. Elle me pompe.
Je lui caresse la tête en lui murmurant des douceurs et des cochonneries. Je l'entends glousser tout en me taillant une pipe.
Je la laisse se régaler un peu avant de la forcer à se redresser. C'est moi qui me penche pour lui masser les genoux. Bisous.
Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'au salon. Elle me fait basculer dans le canapé. Je lui retire ses jeans et sa culotte.

Je l'attire vers moi. Elle tombe à son tour. Nous nous embrassons comme des fous. Il y a encore le goût du repas. Sympa.
Je me mets à genoux, le visage entre ses cuisses écartées. Je hume longuement sa matinée de fille. C'est un vrai bonheur.
Je défroisse les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe du bout de ma langue. J'adore ce goût acidulé et vinaigré.
Clémentine, le souffle court, m'observe. Je décalotte son clitoris du bout de mes lèvres. Elle émet un petit cri d'étonnement.
C'est toujours une première fois. Je récupère très vite la cyprine qui se met à baver de son sexe. Clémentine est si juteuse.

J'aime saisir ses chevilles pour remonter ses jambes et la faire basculer en arrière. Je peux ainsi lui bouffer la raie du cul.
< Arrête ! Tu me rends folle ! > me fait Clémentine en tentant de retrouver une respiration normale. Peine perdue. Super.
J'ai des poils plein la bouche. C'est amusant de devoir les retirer sans arrêt. Notre prix à payer pour avoir une hyper touffe.
Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles et nous nous embrassons.
Ce sont nos moments "secrets". Ce sont ceux où Clémentine me révèle ses secrets. J'adore écouter tout ce qu'elle raconte.

Cette fois, ce sont ces messieurs qu'elle a aperçu entrain de pisser au bord de la route qui polarisent tous ces fantasmes.
< Je me suis touchée dans la voiture. Mais je te promets, je reste prudente. Je roule doucement, comme toi ! > fait elle.
Clémentine me confie qu'elle se masturbe assez souvent en roulant pour aller à l'université et pour en revenir. C'est bien.
Je l'encourage vivement à entretenir la flamme de ses 21 ans. Elle fait ça avec assiduité depuis le début de l'adolescence.
Il n'y a donc aucune raison que ça cesse. Tout de suite après le cunnilingus, la masturbation est la source de ses plaisirs.

Il est 14 h. Nous cessons pour nous garder excités pour le reste de la journée. Nous nettoyons nos sexes avec un "69".
Nous montons à la salle de bain en riant pour nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. De vrais pitres.
Nous voilà dans l'atelier. Je rajoute deux bûches dans la cheminée. Et cet hiver, j'attaque notre douzième stère de bois.
Clémentine est assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Je suis installé devant mon chevalet. Séance de travail.
Dehors, il se met à pleuvoir. Ce qui assombri encore davantage la pièce. Il faut allumer la lampe à halogène. C'est chiant.

Parfois, l'un se lève pour aller faire des papouilles à l'autre. L'heure du thé au jasmin et deux petits gâteaux secs. 17 h15.
Nous bossons bien. Les travaux de recherche de Clémentine avancent et elle peut conserver son avance. Pareil pour moi.
18 h15. Du bruit. C'est Estelle qui arrive. Elle se précipite. Assise sur mes genoux, elle nous raconte son après-midi. Bien.
Les filles sont rapidement assises l'une à côté de l'autre à comparer leurs travaux. J'écoute, silencieux, c'est passionnant.
C'est une vraie source d'enrichissement personnel de les entendre disserter sur ce qui est une autre passion. Les études.

Nous travaillons encore jusqu'aux environs de 18 h45. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Les filles rangent leurs fiches.
Nous restons assis devant la cheminée à regarder la danse des dernières flammes. Lumières éteintes. Ambiance magique.
D'autant plus qu'à l'étage, notre fantôme se manifeste. Il doit déplacer des meubles. Nous les entendons riper au sol. Dur.
< Christine fait sans doute son petit ménage de printemps ! > fait Estelle. Et comme pour l'affirmer, il y a un claquement.
Nous restons silencieux. Plus rien. Nous quittons l'atelier. La faim est bonne conseillère. Nous nous précipitons à la cuisine.

Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Estelle travaille la pâte à pain. Je réchauffe la garniture. Efficacité. Méthode.
Je rajoute une quantité industrielle de gruyère râpé dans la Béchamel avec le poireau. Estelle dispose la pâte dans le plat.
Je verse la garniture qu'Estelle étale consciencieusement avec la spatule en bois. Elle recouvre d'une fine couche de pâte.
Je badigeonne ce fin "couvercle" avec un pinceau large. Un mélange d'œuf, de lait de soja, Parmesan, graines de sésame.
Estelle met au four. Clémentine met la table. Nous filons au salon. Vautrés dans le canapé, nous prenons nos aises. Bien.

Je suis assis entre les filles. Estelle, comme à son habitude, joue avec ma bite qu'elle tord dans tous les sens en bavardant.
Nous racontons à Estelle le "projet Julie". < Je suis jalouse. Je ne veux pas qu'elle te suce ! > fait elle en éclatant de rires.
< Nous n'avons encore rien décidé ! > précise Clémentine. Estelle nous donne un avis sérieux sur ce projet. Sa vision. Bien.
Estelle est convaincue qu'avec son petit copain, Julie ne connaît pas de réels problèmes, c'est juste son fantasme de sucer.
< Julien lui a tellement montré sa queue, s'est tellement branlé devant elle qu'elle a nourri le désir de le sucer ! > fait elle.

< Tu es probablement dans le vrai ! > conclue Clémentine. Estelle se met à genoux entre mes jambes écartées. Coussin.
< De te sucer de cette façon, par exemple ! > fait encore Estelle en me taillant une vraie pipe des familles. Je la caresse.
La sonnerie du four. Nous nous levons. Vite. Estelle me montre l'intérieur de sa bouche. Clémentine me montre ses doigts.
Ils sont plein de mouille. Elle n'arrête pas de se toucher en regardant Estelle me sucer. Nous nous précipitons à la cuisine.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Les filles évoquent leurs cours, l'avancée de leurs travaux de recherche.

Nous traînons à table. Estelle, fidèle à elle même, se lève parfois pour mimer une branlette masculine et avec un clin d'œil.
Clémentine fait quelquefois la même chose. Je me lève pour agiter ma bite dans leur direction. Cela nous amuse beaucoup.
Nous traînons à table. Les filles, assises sur mes genoux, évoquent quelques unes de nos aventures passées. Trucs vicieux.
Des histoires qui tournent le plus souvent autour de nos frasques dans les écuries. C'est l'endroit de prédilection. Le haras.
Et c'est vrai que rien n'est plus favorable aux fantasmes que des écuries. L'odeur, le foin, les chevaux. Et les palefreniers.

J'écoute les filles échanger leurs impressions et faire de nouveaux projets bien salaces. Il est question de Gérard, le salaud.
Il y a Kim Son aussi, le remplaçant de Gérard. Et elles ne l'ont pas encore goûté. Mais les coquines y pensent sérieusement.
Nous rigolons comme des bossus à l'évocation d'encore improbables scénarios. Tout de même une idée des choses à venir.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle n'arrête pas de jouer avec ma bite, son "doudou" qu'elle suce plusieurs fois.
Elle me tire par la queue pour m'entraîner au salon. A genoux sur le coussin, elle se remet à me pomper avec gourmandise.

Clémentine, serrée contre moi, une main dans son pantalon, se masturbe en m'embrassant avec fougue. C'est un bonheur.
Nous en avons les mentons trempés. Parfois nous cessons pour regarder Estelle. Les gargouillis qui attirent notre attention.
Ces bruits bulleux, si caractéristiques d'une pipe de qualité, prodiguée avec passion. Le spectacle est merveilleux. Sublime.
Mes lombaires sont douloureuses. Clémentine le sait. De sa main libre, elle me les masse. J'éjacule dans la bouche d'Estelle.
C'est un véritable concerto. Elle tente d'avaler l'impressionnante quantité de foutre. Et je me lâche comme un vrai salopard.

Il est 22 h. Je force Estelle à se relever. Je lui masse un peu les genoux endoloris. Elle me montre l'intérieur de sa bouche.
< Un délice, ce soir ! > tente t-elle de dire, déglutissant avec peine. Nous la raccompagnons à sa voiture. La pluie a cessé.
Nous sommes tous les trois serrés l'un contre l'autre. C'est toujours difficile de voir Estelle obligée de partir. Tristounette.
Elle revient jeudi soir. Je la laisse me tenir la bite pour en diriger le jet juste à côté de la voiture. Elle se penche pour sucer.
Nous la regardons partir. Au lit, j'offre à Clémentine un merveilleux cunnilingus. Son orgasme est terrifiant. Superbe. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment tester la douceurs des épais coussins de velours. A genoux. A sucer…

Julien - (Qui adore éjaculer dans la bouche d'Estelle sans bouger, par surprise, en sournois. Estelle adore tout autant) -

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Soirée branlette chez Juliette

Hier matin, mercredi, c'est le Prélude en Si mineur de Chopin qui nous tire du sommeil. Avec un manque de délicatesse.
< J'en choppe un, c'est la gifle ! > s'écrie Clémentine et en me chevauchant pour éteindre le réveil sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur avant de nous précipiter aux toilettes. Il est 6 h. Nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Faim.
Nous préparons notre petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Nous remontons nous offrir notre entraînement.
La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Le ciel est lumineux mais reste couvert.

Clémentine me rejoint. Vêtue de ses jeans, d'un pull, de sa veste trois quart en cuir, cintrée à la taille, ses bottines noires.
Il est 7 h45. Un dernier bisou. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre.
Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Je prépare ma palettes et mes pinceaux.
Il est 8 h15 lorsque je suis enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme délirant. Avec cris surréalistes.
Il doit être aux environs de dix heures lorsque la musique idiote de mon smartphone déchire le silence. Je peste et j'éructe.

Je m'en saisis. C'est la dame de la location, à Bègles. Nous bavardons un peu. Mon chèque d'acompte qui lui est parvenu.
La propriétaire du petit appartement que nous allons occuper neuf jours nous attend pour le lundi 8 avril. Elle se réjouit.
Nous nous saluons. Je raccroche lorsque la même musique résonne une nouvelle fois. Je rage. Je décroche. Seconde fois.
C'est Juliette. Toujours sur mode "haut parleur", nous pouvons converser tout en continuant nos travaux respectifs. Bien.
Après quelques banalités d'usage, Juliette en arrive rapidement aux sujets qui nous interpellent véritablement. Le sexe !

Les appels de Juliette deviennent de plus en plus fréquents. Ce n'est pas pour me déplaire. Nos échanges sont affriolants.
J'écoute beaucoup plus que je ne parle. La jeune femme me raconte carrément la pipe prodigué à Gérard hier soir. Super.
Cela s'est passé dans le manège dans le grand bâtiment, entre les vestiaires et les toilettes. Mais ce n'est jamais chez elle.
Ils ont bien failli se faire surprendre par Kim Son, le palefrenier. Nous rions de bon cœur. Juliette aime donner des détails.
Nous discutons ainsi une bonne demi heure. Je promets que nous serons là ce soir pour le repas. Et j'emmène le feuilleté.

Je peins doté d'une érection qui semble ne plus cesser. Nos conversations, les descriptions de Juliette, l'entretiennent bien.
Je ne cesse de penser à la Juliette. Il est midi. Et je vais à la cuisine. La pâte feuilletée ainsi que le saumon ont décongelé.
Je fais bouillir de l'eau pour les coquillettes. Je prépare une Béchamel dans laquelle je rajoute le saumon émincé et rissolé.
J'étale la pâte dans un plat long. Je récupère un peu de garniture comme sauce avec mes coquillettes. Je verse sur la pâte.
Je rajoute du gruyère de Comté finement râpé. Je roule la pâte pour former un cylindre. J'enfourne le feuilleté de saumon.

Je mange de bon appétit. Mes coquillettes à la sauce Béchamel et au thon saupoudrées de Parmesan. Salade de tomates.
La vaisselle. Je range la cuisine. Le four est réglé de façon à ce que la cuisson se termine sans avoir besoin d'y intervenir.
Il est 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installée devant mon chevalet. Je peins animé d'une vraie euphorie.
Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier à toute vitesse. < Enfin avec toi ! > me fait elle, très contente.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs, les cours, le menu du restaurant universitaire. C'est super.

Installée devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine met ses notes du jour au propre. Les journées sont rudes.
Il y a encore cinq semaines avant les vacances de Pâques. Je lui raconte le coup de téléphone de Juliette. Celui de la dame.
Notre petit appartement, une pièce, cuisine, salle de bain, nous attend. < Avec toi tout est si simple ! > me fait Clémentine.
Je rapporte la conversation avec Juliette. < La salope ! > fait plusieurs fois Clémentine. Je n'oublie aucun détails vicelards.
< Tu vas voir, elle va appeler tous les jours. Et les coups de téléphone vont devenir quotidiens ! > fait encore Clémentine.

Nous travaillons encore jusqu'aux environs de 18 h45. Nous rangeons nos affaires avant de nous assoir devant la cheminée.
A l'étage, notre fantôme semble errer longuement. Ce soir, il est juste au-dessus de nous. Cela ne dure pas très longtemps.
Il est 19 h. Nous montons nous changer. Clémentine porte un pantalon à plis, et à pinces. Noir. Un chemisier blanc. Pull fin.
Ses escarpins noirs à talons haut. Sa veste en cuir. Je suis en jeans, chemise blanche, pull et souliers noirs de ville. Sympa.
Accroupie à ma droite devant le miroir, sa tête contre ma cuisse, Clémentine tient ma jambe : < Je vous aime "Maître" ! >

C'est un jeu qui nous amuse toujours beaucoup. J'ai ma main sur sa tête. Je dis : < Je vous aime délicieuse "Soumise" ! >
Je sors ma bite. Clémentine y frotte son visage avant de la téter un peu. Ses yeux ouverts pour nous voir dans le miroir.
Je passe ma main sous ses cheveux pour la tenir par la nuque. Je passe mon autre main sous son menton. Je la tiens.
Je chuchote : < Regarde un peu la gueule de salope que tu as encore ce soir en me taillant une pipe ! >. Elle en glousse.
Je la force à cesser. Je m'accroupis à mon tour pour lui masser les genoux. Elle me caresse la tête. < Je t'aime ! > dit elle.

Je mets une veste épaisse. Nous descendons en nous serrant. Au dehors, la fraîcheur est moindre. Pas de vent. C'est sec.
Nous partons avec la voiture de Clémentine. Trois petits kilomètres et nous arrivons au haras. Il y a deux autos garées là.
J'ai la bite à l'air. Je la remballe mais je laisse ma braguette ouverte. C'est discret. Invisible. Il n'y a personne dans la cour.
Clémentine m'entraîne vers le grand bâtiment. Celui du manège. Elle veut voir les lieux décrits par Juliette. Les vestiaires.
Nous montons l'escalier le long des gradins. Nous entrons dans le couloir. En effet, à droite les WC, à gauche les vestiaires.

Nous parcourons la petite salle. < J'avais comme une intuition ! >. C'est la voix de Juliette. Elle entre dans les vestiaires.
Nous nous saluons. Juliette rajoute : < Je vous ai vu arriver. Je savais vous trouver là ! Mon histoire de ce matin ! >. Rire.
En me serrant la main, Juliette fait toujours bouger son index dans la mienne. C'est devenu un rituel. Et c'est très vicelard.
< C'était exactement là, hier soir ! Tenez Julien, mettez vous là ! > me fait Juliette en m'entraînant entre les deux portes.
Accroupie devant moi, Juliette se met en position. Clémentine lui demande : < Et c'était goûteux ? >. Juliette se redresse.

< Un régal ! > se contente de répondre Juliette en nous invitant à la suivre. Nous ressortons du bâtiment. Il y a Kim Son.
Le jeune palefrenier termine sa journée et s'apprête à monter dans son studio, à l'étage du bâtiment. Il à un beau sourire.
Il nous salue et bavarde un peu avec sa patronne qui lui donne quelques recommandations pour demain. Nous le laissons.
Je récupère le Tupperware contenant notre feuilleté de saumon. Nous montons dans les appartements de Juliette. 19 h45.
Juliette est vêtue de sa tenue de travail. C'est à dire en écuyère. Elle est hyper sexy. Je le lui fais remarquer. Hyper belle.

Le feuilleté est au four. La table est mise. Nous voilà installés dans le canapé, Juliette en face de nous dans son fauteuil.
Nous bavardons. Juliette revient sur son histoire. La fellation prodiguée à monsieur Gérard hier soir. Avec d'autres détails.
C'est salace. Clémentine entre dans son jeu en posant des questions tendancieuses. Juliette semble beaucoup apprécier.
Je sors ma queue. Je bande comme le dernier des salauds. Je la tiens à la base. Je la pointe en direction de Juliette. Bien.
Clémentine, que mon comportement excite encore davantage, dit : < Il revient se faire sucer vendredi soir, le Gérard ? >

J'agite ma queue en direction de Juliette qui répond : < Oui, c'est déjà prévu, il revient vendredi soir ! Je m'en réjouie ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Juliette fait à Clémentine : < Si l'estomac vous en dit ! >. < Miam ! > répond Clémentine.
La sonnerie du four. Nous sommes conviés à prendre place à table. Juliette fait le service. Clémentine me tient la queue.
< J'adore votre complicité ! > fait Juliette en s'asseyant. Clémentine lui dit : < Et nous la partageons avec vous ! >. Rires.
Nous mangeons de bon appétit. Cette fois Juliette évoque les actualités de son entreprise. L'administratif. Le comptable.

La saison se termine. Et il faut mettre les choses à jour. < La dernière épreuve avant la saison calme ! > rajoute Juliette.
Juliette pourra à nouveau venir manger chez nous les mercredis soirs. Et elle s'en réjouit. Nous parlons de nos vacances.
J'aime voir ses formes dans son pantalon d'équitation aussi moulant qu'un leggings. Elle le sait et m'en gratifie souvent.
Chaque prétexte pour se lever est appliqué pour notre plus grand plaisir. Clémentine me fait du pied sous la table. Sympa.
Nous aidons à la vaisselle. J'ai gardé ma bite à l'air toute la soirée. Juliette me tend une feuille de papier Sopalin. Goutte.

Avec l'excitation, les épanchements de liquide séminal sont abondants. J'en ai un peu sur le tissu, à côté de la braguette.
< Il faut essuyer. Une fois sec, c'est dur à enlever ! > fait elle en s'accroupissant pour me frotter avec une autre feuille.
Mon foutre est épais, visqueux et gluant. Ce sont toujours des coulures consistantes qui ne s'écoulent pas dans l'anarchie.
C'est très excitant de voir cette magnifique bourgeoise brune de 42 ans se livrer à des actes hautement suggestifs. Super.
Juliette n'a pas beaucoup d'occasion de se retrouver dans une telle complicité. Nous sommes devenus des amis. Si génial.

Un petit tour aux toilettes. Juliette, toute ravie, me tient la bite pour en diriger le jet. Elle secoue soigneusement. Propre.
Nous rions de bon cœur de ses familiarités qui deviennent de plus en plus nombreuses. Juliette nous raccompagne. Nuit.
Il est 22 h15. Nous bavardons encore un peu entre les deux voitures. Juliette va rentrer la sienne. Je me branle carrément.
Clémentine prend le relai. Derrière moi, et penchée en avant, tout en me masturbant elle dit : < Mon dessert est prêt ! >
< Vous avez de la chance d'en avoir un toujours à disposition ! > rajoute Juliette. Nous la laissons. Peut-être à vendredi…

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment à vivre des situations que la morale réprouve mais pas elles…

Julien - (Qui fait l'amour à Clémentine avant de lui offrir un cunnilingus avec un orgasme cataclysmique. Dodo) -

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Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 721 -



Un jeudi soir des plus classiques

Hier matin, jeudi, c'est le Concerto pour Clarinette de Mozart qui nous arrache de notre sommeil avec violence. C'est dur.
< Et de la clarinette maintenant ! > fait Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques papouilles puis nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous descendons à la cuisine.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous dégustons en bavardant. Nous remontons pour nous entraîner. 6 h25.
Une heure de gym. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Il fait moche. La fraîcheur vive.

Clémentine me rejoint vêtue de ses jeans, pull, veste en cuir noire, bonnet, gants. Elle me fait plein de bises. Déjà 7 h45
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre au chaud. Je fais notre lit, la vaisselle. Je vais dans l'atelier.
J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. J'aime procéder au mélange des couleurs.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans un vif enthousiasme qui me fait pousser de vrais cris.
Je les module longuement et à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Encore une séance fabuleuse. Joie.

Il est aux environs de dix heures lorsque résonne la stupide musique de mon smartphone. Mais qui peut me faire chier !
Je le saisis. Ma rage me quitte aussi rapidement qu'elle est venue. C'est Juliette. Clémentine a vu juste. C'est quotidien.
Sur mode "haut parleur" nous pouvons tous deux converser tout en travaillant. Quelques banalités usuelles et normales.
Juliette en arrive rapidement à ce qui nous interpelle réellement. Le sexe. < C'était génial hier soir ! > m'avoue Juliette.
Je suis un peu gêné car elle fait allusion à mes incessantes masturbations. Nous en rions de bon cœur. Cela l'a enchanté.

Je promets de récidiver dès notre prochaine visite. < Si sous veniez vendredi soir. Il y aura Gérard ? > fait la jeune femme.
Je lui propose d'en parler avec Clémentine. Sans m'engager davantage. Par contre, nous ferons un saut dimanche. 17 h15.
C'est en général à cette heure que nous passons. Nous conversons ainsi une bonne demi heure. Dehors il se met à pleuvoir.
Nous nous saluons. Je raccroche. Je peins avec une érection qui m'oblige à changer de position. Le temps qu'elle s'en aille.
Je pense à Clémentine qui a vu juste. Les coups de fil de Juliette sont de plus en plus nombreux. Et ce n'est pas déplaisant.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. La météo devient épouvantable. Bourrasques, vent, pluie. Sinistre. Très moche.
Je fais gonfler du millet pendant que je lave la salade. Je fais une belle pâte à pain pour les pizzas du jeudi soir. Un rituel.
Je concocte une belle garniture avec tomates fraîches, ail, oignon, ciboulette. J'y rajoute du filet de haddock émincé et frit.
Je récupère un peu de garniture comme sauce avec le millet doré sur lequel je rajoute du gruyère de Comté finement râpé.
Je mange de bon appétit. Je pense à l'appel de Juliette ce matin. Ses intrusions téléphoniques ne sont pas pour me déplaire.

La vaisselle. Je range la cuisine. La pâte à pain, la garniture et la salade sont prêtes pour ce soir. Je retourne dans l'atelier.
Il est presque 13 h lorsque je suis à nouveau installé devant mon chevalet. Cette toile sera terminée demain et avant midi.
De quoi exulter en peignant dans une vive euphorie. Il est rapidement 16 h20. Clémentine rentre. Elle se précipite. Bisous.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée de cours. Le menu du restaurant universitaire. Et j'écoute avec intérêt.
Installée devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine met toutes ses notes au propre. Une manière de réviser.

Je lui raconte le coup de téléphone de Juliette. < Encore ! > s'écrie t-elle avant de rajouter : < Tu vois, je te l'avais dis ! >
< Un jour, elle va carrément s'installer dans la maison ! > fait encore Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.
Du bruit. Il est 18 h15. Estelle entre dans l'atelier. Elle se précipite pour me couvrir le visage de bisous. Contente d'être là.
Assise sur mes genoux, elle me fait : < Alors, Clémentine m'a raconté à midi, tu t'es branlé toute la soirée, branleur ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Tu me montres comment tu as fais ? >. Ses bras autour de mon cou. Rires.

Les filles travaillent encore un peu, comparant leurs avancées respectives. Il est 18 h45 lorsque nous cessons. C'est bien.
Assis devant la cheminée, nous regardons la danse des dernières flammes. A l'étage, quelques bruits étranges. Fantôme.
Estelle garde sa main dans ma braguette. Il est 19 h. Clémentine nous entraîne à la cuisine. Nous sommes morts de faim.
Estelle travaille la pâte. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade. Je réchauffe la garniture. Nous sommes efficaces.
Les filles évoquent leurs cours. Estelle ne cesse de me palper la braguette. Il y a même de la farine tout autour. Rigolade.

Les pizzas sont au four. Je saisis les filles par leurs cheveux pour les tirer fermement vers le salon. Gloussements de joie.
Je les fais tomber dans le canapé. Je m'éloigne de quelques deux mètres. Je sors ma bite. Je bande mou. Je me la secoue.
Je l'agite tour à tour vers Estelle, puis vers Clémentine. < Tu faisais comme ça devant Juliette, hier soir ? > lance Estelle.
Je me branle en répondant : < Non, je faisais comme ça ! >. < J'adore ! > dit Estelle en se levant pour m'imiter. Parfaite.
Clémentine se lève à son tour pour faire pareil. Nous sommes tous les trois à faire le même mouvement. Même position.

< Un jour, en vélo, je suis tombée sur un mec qui se branlait comme ça ! > fait Estelle en se mettant à genoux. Etonnant.
Elle rajoute : < Dans cette position, il ne constituait pas un risque. Je me suis arrêtée plus loin pour le regarder ! >. Rire.
< Moi j'en ai déjà vu quelques uns ! > raconte Clémentine. Je bande dur. Je me branle juste du bout des doigts. Délicieux.
Clémentine a glissé une main dans ses jeans. Estelle continue de m'imiter. Cambrée sur ses genoux fléchis. Bien vicieuse.
Les filles continuent d'évoquer quelques situations vécues durant leurs escapades d'adolescentes. Des histoires de filles.

A ce jeu là, évidemment Clémentine remporte les records. Elle qui a toujours aimé provoquer de ces situations ambiguës.
Elle se masturbe en nous racontant quelques anecdotes que je connais déjà. Mais c'est toujours si plaisant à ré entendre.
Estelle pose quelques questions bien précises. Elle aussi connaît bien les aventures adolescentes de Clémentine. Superbe.
La sonnerie du four. Estelle me tend ses cheveux en disant : < Maître ! Emmenez moi ! >. Nous rions de bon cœur. Faim.
J'entraîne les filles par leurs tignasses jusqu'à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les branleurs.

Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux pour déguster les yaourts au miel. Je les tiens par la nuque.
Nous rions beaucoup. La conversation, très tendancieuse, reste axée sur les exhibitionnistes déjà rencontrés par le passé.
Même si je sais déjà tout, c'est toujours très excitant d'écouter. < Si je radote, vous le dites ! > nous lance Clémentine.
< Tu vas bientôt sucrer les fraises ! > lui dit Estelle. Je leurs caresse la nuque, le dos, en écoutant leurs aventures. Rires.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle n'arrête pas de me toucher avec toute la vulgarité possible. C'est excitant.

Je les saisis à nouveau fermement par les cheveux pour les entraîner au salon. Je les fais tomber dans le canapé. Sympa.
Je dis : < Et si je vous bouffais la chatte à toutes les deux ? >. Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Elles se lèvent.
Elles retirent leurs jeans et leurs culottes. Je fais pareil. Nous sommes tous les trois en chaussettes et chemise à carreaux.
Tous les trois debout, nous nous masturbons en nous observant. Nous éclatons de rire. < Comme c'est bon ! > fait Estelle.
Nous savourons ce moment. Nous sommes conscients de nos privilèges. C'est hyper excitant. Une masturbation commune.

< A genoux ! > lance Estelle. Nous nous mettons immédiatement à genoux tous les trois. Sans cesser de nous masturber.
Nous nous observons. Les filles contemplent la bite que j'agite vulgairement dans leurs directions. Elles accélèrent encore.
C'est un concerto pour gémissements. Une symphonie de gloussements, de petits cris. Nous reprenons nos souffles. Apnée.
Cette branlette fantastique dur un bon moment. Soudain, un cri, Estelle qui tombe sur le côté, les mains entre les cuisses.
Son orgasme semble douloureux. C'est un magnifique spectacle. Je lui dis : < Si tu savais comme tu es belle, Estelle ! >

Je cesse de me branler pour me mette à quatre pattes. J'écarte les cuisses d'Estelle pour y fourrer mon visage. C'est bon.
Estelle tente vaguement de m'en empêcher. Sans réelle conviction. Clémentine se met à me sucer, allongée sur son dos.
Je me régale des jus d'Estelle qui se met à gémir de plaisir. L'indicible douceur de la pipe de Clémentine m'enivre. Super.
Clémentine, couchée sous moi, se masturbe tout en me suçant. Estelle me caresse la tête en m'offrant son sexe bouillant.
Nous restons ainsi longuement. Estelle connaît un second orgasme. Elle pousse un véritable cri, me repoussant. Délicate.

C'est au tour de Clémentine dont le corps se raidi, s'agite. Elle ne cesse de piper si ce n'est pour reprendre son souffle.
Je lui éjacule dans la bouche. Dans un râle de plaisir, Clémentine déglutit en tenant mes hanches. Avec tant de passion.
Nous reprenons doucement nos esprits. Couchés tous les trois sur l'épais tapis. Clémentine à gauche, Estelle à ma droite.
Elles ont la tête posée sur mes épaules. Je leurs caresse leurs petits seins à peine palpable. Avec douceur et tendresse.
< C'est si bon, tous les trois ! Comme va t-on survivre quand tout cela sera terminé ! > lance Estelle. Un ton dramatique.

Clémentine se redresse pour répondre : < Tu plombes l'ambiance ! Ce n'est pas demain, ni après demain que ça cesse ! >
Je rassure les filles. Cela durera le temps que cela durera. Profitons de notre merveilleuse histoire encore très longtemps.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. La séparation est difficile. Je la console. Elle se serre fort.
Clémentine me sort la queue et la tend à Estelle en disant : < Tu peux jouer avec ton "doudou" samedi ! >. Nous rions.
Au lit, nous tentons encore un truc. Trop épuisés, nous nous serrons fort. Clémentine chuchote des douceurs. Puis dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les masturbations communes, à deux, à trois, voire en groupe…

Julien - (Qui se branle avec courtoisie, élégance, en parfait gentleman en compagnie de délicieuses masturbatrices) -

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Le début du Week-end, c'est si bien

Hier matin, vendredi, c'est l'ouverture en Si mineur de J.S. Bach qui nous arrache du sommeil. Avec une certaine douceur.
< En Si sauteuse ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. Il est 5 h55.
Quelques bisous et nous filons à toute vitesse jusqu'aux toilettes déjà vêtus de nos tenues de gym. Et nos rituels pisseux.
Morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine pour y préparer notre petit déjeuner. Je presse les oranges. Bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme du jour. Clémentine termine à midi. Elle est contente.

Nous remontons. C'est notre d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. 7 h45.
Elle me rejoint vêtue de sa veste en cuir noir cintrée à la taille, pull, ses jeans, ses bottines, son bonnet et puis ses gants.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture s'en aller. Le ciel est gris, lumineux. Je me dépêche de rentrer me mettre au chaud.
Je fais le lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier pour y allumer du feu dans la cheminée. Je prépare palette et pinceaux.
Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme détonnant, je termine cette toile ce matin.

Dehors, il y a ces brusques séquences de luminosité puis d'obscurité. Il me faut donc travailler avec ma lampe à halogène.
Il est 11 h30 lorsque je dépose les dernières molécules de couleurs sur la surface de la toile. Je nettoie palette et pinceaux.
Je dépose la toile sur le second chevalet. Elle va y sécher quelques jours. Je dépose une toile vierge sur le premier chevalet.
Je vais à la cuisine pour y préparer le repas. Un coulis de courgette, d'aubergine que je fais revenir avec ail, oignon, persil.
Il est 12 h20. Clémentine qui arrive. Toute radieuse, elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous.

Clémentine s'occupe de la salade de carottes tout en me racontant sa matinée. J'égoutte le pilpil de blé que j'ai fait gonfler.
La table est mise. Je râpe du gruyère de Comté. Nous mangeons de bon appétit. C'est le début du Week-End, c'est la fête.
Nous traînons à table. Clémentine me raconte sa masturbation en rentrant de cours, dans la voiture, tout en roulant. Rires.
< Je jais très attention, je te promets. Et sur la petite route je ne croise jamais personne ! > me fait elle pour me rassurer.
Assise sur mes genoux, en terminant son yaourt au miel, Clémentine parle du Carnaval sur le port de plaisance, dimanche.

Si la météo de dimanche est favorable, pourquoi ne pas y faire un tour. Le bourg du port offre souvent de belles animations.
C'est au programme du Week-end. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraine par la queue dans l'atelier.
Dehors, le ciel reste à présent sombre et menaçant. Je suis vautré dans le vieux canapé. Clémentine à genoux devant moi.
Elle joue avec mon sexe tout en évoquant celui de Gérard que je lui ai proposé de sucer ce soir et sur l'invitation de Juliette.
< C'est vrai ! Ça fait longtemps que je n'y ai plus goûté ! > me fait Clémentine en humant l'odeur de ma matinée d'homme.

Je lui caresse la tête. Je l'écoute disserter sur la possibilité d'aller faire un tour, ce soir, au haras. Y saluer Juliette et Gérard.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Gérard ! Ah, tout un poème ! De la bite de vieux servie "nature" ! >
Je rajoute : < Servie "nature" dans son jus ! >. Nous rigolons comme des bossus. Je regarde Clémentine qui hume ma bite.
Elle la décalotte un peu. Juste pour être enivrée par l'odeur qui n'est pas sans rappeler celle des écuries. C'est assez curieux.
Clémentine approche sa tête. Elle tient mon Zob à la base, entre le pouce et l'index. Elle glisse sa langue sous mon prépuce.

C'est amusant de voir le bout de la langue tourner tout autour du gland sous la peau du prépuce. Comme un petit animal.
Clémentine, d'un mouvement de tête gobe l'extrémité de mon sexe. Du bout de ses lèvres elle tire pour remonter ma peau.
Elle se met à téter en me fixant. Nous adorons communiquer ainsi. Nous faisons la même chose lorsque je lui lèche le clito.
C'est à la fois très excitant et plein de sensualité. Clémentine me suce toujours avec tant de passion. S'en est si émouvant.
Je lui caresse les cheveux. Parfois je la tiens par les oreilles. Quelquefois je la tiens par la nuque ou encore sous le menton.

Les montées de liquide séminal sont abondantes. Le gargouillis bulleux caractéristique. Du foutre apparaît aux commissures.
Les petits gémissements de Clémentine sont la plus divine des musiques. Du foutre gluant apparaît aux coins de ses lèvres.
Clémentine peine à déglutir. Comme pour m'en donner la raison, elle me montre l'intérieur de sa bouche. Foutre visqueux.
Je lui murmure des douceurs et des cochonneries. Je l'encourage à se goûter la bite du vieux ce soir. Une pipe à Mr Gérard.
< Tu crois ? > me fait elle, espiègle et mutine après avoir réussi à avaler mon foutre. Je dis : < Je ne crois qu'à l'église ! >

Nous rions de bon cœur. Je force Clémentine à cesser. Nous avons encore du travail. C'est résignés que nous cessons. Bise.
Clémentine est assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Je commence le dessin préparatoire de la toile numéro 21.
Ce sera un paysage avec un personnage pensif, assis sur un rocher. Une scène hautement bucolique. Et un halo de mystère.
Clémentine me fait : < Oh ! Le penseur de Rodin ! Mais dans cette position, on peut tout juste déféquer, mais pas penser ! >
Nous rigolons comme des bossus. Cette célèbre réplique étant de l'illustre phare du XXème siècle, Salvador Dali. C'est drôle.

Nous travaillons jusqu'aux environs de 18 h. Clémentine aime bien passer les deux couches d'impression "Terre de Sienne".
Je la regarde croiser les deux couches d'acrylique qui sèchent rapidement. C'est l'idéal pour les couches supérieures à l'huile.
Nous restons encore un peu assis devant la cheminée. Tout est prêt pour ce lundi. Nous abordons le Week-end avec sérénité.
Il est 18 h30. Clémentine m'entraîne par la queue jusqu'à la cuisine. Il suffit de réchauffer. Juste une salade à préparer. Joie.
Nous mangeons de bon appétit. < Préviens Juliette que nous sommes dans l'écurie habituelle pour 20 h ! > fait Clémentine.

Cette décision subite nous amuse. Je fais un texto à Juliette. La réponse est presque immédiate : < Ok ! Et c'est super ! >
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous changer. Clémentine est toute excitée.
J'adore la voir fébrile et impatiente. C'est annonciateur de réjouissances. Nous faisons les clowns devant le miroir. Poilade.
Clémentine porte une de ses jupes d'épais velours carmin légèrement évasée au dessus du genoux. Chemisier et pull noir.
Ses bas noirs fixés par son porte jarretelle noir. Ses bottes à talons hauts. Je porte un jeans propre, chemise et un sweat.

Accroupie à ma droite, me tenant la jambe, sa tête appuyée contre ma cuisse, Clémentine me fait : < Mon bon Maître ! >
Nous rigolons comme des bossus. Je rajoute : < Ma douce Soumise ! >. Je sors ma queue. Clémentine y frotte son visage.
Je la laisse récupérer le trop plein de jus accumulé dans mes couilles depuis la pipe de début d'après-midi. Nous cessons.
< Viens ! > me fait elle en m'entraînant par la main pour dévaler les escaliers. Nos anoraks. Il fait nuit et plutôt très frais.
Je roule doucement. Clémentine n'arrête pas de me sucer. Trois kilomètres et nous arrivons au haras. Il est à peine 20 h.

De son sac à main, Clémentine tire le collier canin et la laisse. < Surprise ! Tu me les mets s'il te plaît ! > me lance t-elle.
Je lui passe le collier de cuir autour du cou et j'y fixe la laisse. Je la sors de la voiture sans ménagement. Avec un à coup.
Je l'entraîne fermement vers notre écurie habituelle. Il y a Juliette qui bavarde avec Kim Son et Gérard. Profond embarras.
Je lâche Clémentine et je tente de dissimuler la laisse. Trop tard. Kim Son découvre notre arrivée avec étonnement. Rire.
Nous nous saluons. Kim Son, terriblement gêné, vient probablement de comprendre. Et une sorte de nouvelle révélation.

Il nous laisse, prétextant de devoir terminer de nourrir les chevaux. Je tends la laisse à Gérard qui s'en saisit sans hésiter.
< Viens par là ma belle ! > fait il en entraînant Clémentine dans le local bureau. Kim Son revient et assiste à la scène. Fou.
Juliette lui fait : < Tout cela relève du secret professionnel, n'est-ce pas ! >. Kim Son éclate de rire avec nous. Et il s'en va.
Juliette m'entraîne dans le box immédiatement à côté du local où se sont enfermés Gérard et Clémentine. Et pas de cheval.
Juliette a tout prévu. Je m'accroupis à ses côtés. Nous regardons à tour de rôle par le trou parfaitement rond de la cloison.

Clémentine est assise sur une chaise, le dossier entre les jambes écartées, les mains sur la tête, maintenue par la laisse.
< Je suis si contente que vous soyez venus. Que tu sois près de moi ! > chuchote Juliette. Sa main posée sur ma cuisse.
Encore une fois, les supputations de Clémentine se vérifient. Ma présence ne laisse pas Juliette indifférente. Sentiments.
Cela me gêne considérablement. < Rassure toi, c'est purement sexuel ! > fait Juliette avant de rajouter : < Je mens ! >
Elle passe son bras autour de mon épaule pendant que je regarde par le trou. Clémentine est entrain de sucer Mr Gérard.

Le vieux salaud a descendu son pantalon et son slip à mi cuisses. Son gros ventre qui pend contre le front de Clémentine.
Sa bite minuscule et impuissante totalement enfoncée dans la bouche de la fille. Ses énormes couilles contre son menton.
Soudain, je sens la main de Juliette toucher ma braguette pour s'y introduire. < Nous aussi, nous avons droit ! > dit elle.
Je regarde avec attention pour tenter d'oublier le double trouble qui me gagne. Qui me fait vaciller. Je me tiens aux murs.
Clémentine, aussi immobile que Gérard, suce avec passion. Les yeux fermés. Concentrées sur sa pipe. L'expression ravie.

Elle a descendu ses mains pour tenir Gérard pas ses hanches. Parfois elle se retire pour pouvoir déglutir. C'est abondant.
Les filament visqueux et bulleux qui relient la bouche de Clémentine à l'extrémité de la bite du vieux salopard. C'est fou.
Elle n'en perd pas la moindre coulure. Gérard a une main posée sur la tête de Clémentine. L'autre sous son menton. Pipe.
Il sait que je regarde de l'autre côté. Juliette a péniblement sorti ma queue qu'elle me tient fermement et immobile. Dure.
Parfois, délicatement, Juliette me pousse en murmurant : < Laisse moi voir ! >. Je m'éloigne. Elle est vêtue en écuyère.

Je lui mets la main entre les cuisses. Avec vulgarité. Je la tripote. Pour la première fois, Juliette se laisse faire. C'est bien.
Elle me chuchote : < Tu sais t'y prendre avec les femmes toi, surtout le jour de leurs fête ! >. Nous en rigolons en silence.
La situation perdure ainsi un très long moment. Nous sommes tous deux à genoux sur une épaisse et vieille couverture.
A présent, j'ai glissé ma main dans le pantalon moulant mais au tissu élastique de Juliette. Je pince les lèvres de son sexe.
Elles sont tout à fait comparables à celles de Clémentine. Juliette me masturbe doucement. Nous regardons à tour de rôle.

Impossible de savoir quand Gérard éjacule. D'après les dires des filles, c'est comme une éjaculation permanente. Sympa.
Soudain, Clémentine cesse. Sans raison apparente. Elle se lève pour quitter précipitamment le local. Je comprends. Pisse.
Je vois des coulures de pisse qui précède le premier jet. Cette vieille ordure pissait depuis un moment, mélangé au foutre.
Je sors ma main de la culotte à Juliette qui me lâche le Zob. Clémentine arrive et me saisit la main pour m'entraîner vite.
C'est la même chose à chaque fois. Elle m'explique dans la voiture avant de me demander d'arrêter pour dégueuler. Dur !

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment aller sucer de la vieille bite molle, petite et pisseuse dans des écuries…

Julien - (Qui offre un merveilleux cunnilingus à Clémentine avant de dormir. Avec le bonheur d'un orgasme foudroyant) -

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Un samedi avec une météo épouvantable

Hier matin, samedi, je suis réveillé par de très légers froissements des draps. Comme un mouvement régulier du matelas.
Lorsque je sors du sommeil, ma respiration change. Ce qui averti immédiatement Clémentine qui cesse de se masturber.
Elle se blotti contre moi en murmurant : < J'ai fait un rêve érotique ! >. Je la serre fort. Je lui couvre le visage de bisous.
Je lui chuchote : < Bonjour belle masturbatrice ! Allons pisser. Vous me raconterez votre rêve en bas au petit déjeuner ! >
Nous filons aux toilettes en riant. Il est 7 h30. Nous enfilons nos tenues de gymnastique. Nous descendons les escaliers.

Clémentine presse nos quatre dernières oranges. Je fais griller les tranches de pain. Il y a rapidement l'odeur du café. Bon.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, la météo est épouvantable. Bourrasques de vent. Pluies fortes.
Nous traînons un peu à table. C'est samedi et le climat n'engage pas à grand chose. Ce matin, nous irons faire nos courses.
La vaisselle. Nous remontons nous livrer à notre entraînement. Intensité maximale et encore décuplée. C'est sympathique.
La douche. Nous nous habillons. Jeans. Nos chemises à carreaux. Nos godasses. Nos anoraks. Il ne fait pas vraiment froid.

Je roule doucement. Clémentine joue de sa main dans ma braguette et me raconte son rêve érotique. Ça me fait bander.
Trois petits kilomètres et nous arrivons au bourg. Je porte les paniers. Les sac dedans. Nous faisons notre marché. Pluie.
Nous faisons provision de fruits, de légumes, de yaourts, d'œufs, crème fraîche, beurre et de tous nos fromages préférés.
Nous revenons très vite à l'auto. Impossible de s'abriter sous un parapluie qui serait détruit par les violentes rafales. Dur.
Nous mettons les produits à conserver au frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare. En route pour l'hypermarché.

Treize petits kilomètres où Clémentine évoque le rêve érotique qui l'a réveillé. Il y est évidemment question de Mr Gérard.
Nous rions de bon cœur. Gérard a encore été bien salaud hier, en se faisant sucer, lâcher des coulées de pisse en sournois.
Pourtant, même si sur le moment Clémentine en est écœurée jusqu'à en vomir, le lendemain elle en reste excitée. Sympa.
Je gare la voiture sur la parking de l'hypermarché. Je pousse le caddie. Nous courons presque jusqu'à l'entrée du magasin.
Décidément, ce climat de début mars contraste fortement avec celui de la fin février où nous faisions déjà de la bicyclette.

Clémentine n'a nul besoin de faire des rêves érotiques pour être la plus délicieuses des coquines. Elle sait bien m'étonner.
Nous parcourons les rayons. La liste des courses dans une main, choisissant nos achats qu'elle dépose au fond du chariot.
Parfois, avec cette étonnante virtuosité acquise par la pratique, Clémentine me palpe rapidement la braguette. Et discrète.
Comme je garde ma braguette ouverte, ce qui ne se voit pas, Clémentine y glisse même sa main, serrée fort contre moi.
Il y a du monde. Il faut donc ruser. Et nous sommes passés maîtres dans cet art. Le tripotage de braguette en magasin !

Par acquis de conscience, et même si le cœur n'y est pas vraiment à cause de tout ce monde, nous cherchons un "plan".
Clémentine nous entraîne au rayon des bouquins. Bien trop de gens pour tenter une petite exhibe de qualité. Trop risqué.
Nous faisons pourtant plusieurs fois le tour du grand emplacement. Clémentine nous entraîne aux rayons des vêtements.
Là aussi, il serait beaucoup trop risqué de tenter un acte forcément téméraire et stupide. Il faut se faire une raison. Rires.
Avec son rêve, à force de me tripoter, de sentir la grosse bosse dans ma braguette, Clémentine est excitée. Frustrée. Dur.

Nous terminons toujours nos achats par le rayon poissonnerie. Nous voilà à attendre notre tour. Soudain une voix connue.
Nous nous retournons. C'est Julie et sa mère. Nous nous saluons. Sa maman lui propose de la retrouver aux rayon fruits.
Nous pouvons bavarder un peu. Julie semble un peu gênée de se retrouver devant moi après la conversation de l'autre fois.
C'est Clémentine qui l'a met à l'aise en disant : < Message et demande bien reçus ! >. Nous rions de bon cœur. Détente.
Elle précise encore : < Il suffit de convenir d'un soir et le tour est joué ! >. Julie reste un peu dubitative. Je la comprends.

Julie sait la complicité qui nous unis, Clémentine et moi. Complicité dans laquelle elle est entrée souvent les lundis soirs.
< C'était super ! > fait elle en évoquant ces soirées où elle venait partager un repas, dans le stupre et la luxure discrète.
< Je vais voir. Je suis entrain de remanier mon emploi du temps ! > rajoute encore Julie. C'est à notre tour. Le poisson.
Julie nous propose de nous faire un courriel prochainement. Elle proposera quelques dates. Nous nous saluons. Au revoir.
Clémentine me fait : < Toi, tu vas te faire sucer comme le dernier des salopards. Celle-là, elle en veut ! Je te garantie ! >

Nous en rigolons comme des bossus. Nous avons nos fruits de mer, nos crustacés, nos filets de cabillaud, filets de saules.
Nous passons en caisse. < Regarde ! > me fait Clémentine. Là-bas, il y a madame Walter et Pierre son mari le "Homard".
Depuis que Juliette nous a raconté qu'elle le surnomme le "homard", à cause de ses "pinces", nous regardons ses mains.
Elles nous paraissent très grandes. C'est évidemment subjectif. Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Sympa.
Inutile d'espérer nous livrer à un de nos petits jeux salaces dans le salon de thé. Il est plein à craquer. Partout des gens.

Nous lisons le menu proposé à la cafétéria. Ce sont les moules à la crème accompagnées de beignets de légumes. Miam.
Je propose d'aller ranger les produits sensibles dans la glacière et de revenir manger là. Clémentine hésite puis accepte.
C'est sous une pluie battante que nous courons jusqu'à la voiture. Nous rangeons les courses. Je dépose le caddie. Vite.
Nous revenons à vive allure, mais carrément trempés. Nous voilà avec nos plateaux, dans la file, à la caisse. La cafétéria.
Nous sommes installés à la même table que samedi dernier. Devant l'immense baie vitrée. Dehors, une météo pitoyable.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous faisons un vague programme du jour. Il n'y a pas trop de clients.
Pas de musique lénifiante. Même si ce n'est pas l'ambiance à laquelle nous aspirons, la cafétéria reste un endroit sympa.
On y mange certainement mieux que dans nombre de restaurants. Et dans cet endroit, l'hygiène est irréprochable. Bien.
Nous traînons à table. Clémentine revient sur notre aventure de hier soir. La pipe qu'elle a vécu avec ce salaud de Gérard.
Je lui raconte l'attitude de Juliette. < Je te le garantie, Julien, cette femme est amoureuse de toi ! > conclue Clémentine.

Elle rajoute encore : < Pour Juliette, ce qui se passe dans son haras entre nous, est très secondaire. C'est ta présence ! >
J'écoute. Clémentine a toujours une vision réaliste et très juste des choses. C'est une femme. Elle analyse et ressent tout.
Rien ne lui échappe. Médium mais aussi fine psychologue, Clémentine m'étonne toujours par sa grande lucidité. C'est fou.
Sa conclusion est certainement sans appel mais également réaliste. Juliette, 42 ans, est amoureuse de moi. Méfiance. Rire.
Je rassure Clémentine. Tant qu'elle vivra avec moi, je resterai d'une fidélité absolue. C'est la fille que j'aime. No problème.

Il est 14 h. Nous courons à toute vitesse jusqu'à la voiture. Je roule excessivement doucement. Je suis très prudent. Bien.
Clémentine joue avec ma queue. Nous rions en évoquant nos petites aventures que nous partageons ici avec nos lecteurs.
< Tu te rends compte ! Ça va bientôt faire deux ans que nous racontons presque tout ! Même les WC ! > fait Clémentine.
Nous en rigolons comme des bossus. Il est 14 h30 lorsque nous sommes de retour. Nous rangeons nos courses. C'est bien.
Nous montons nous laver les dents et mettre des vêtements secs. Nous faisons les clowns devant le miroir. En slips. Rire.

Accroupie à ma droite, me tenant la jambe, sa tête en appui sur ma cuisse, Clémentine fait : < Je vous aime "Maître" ! >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime ma délicieuse "Soumise" ! >. Et nous en rions de bon cœur.
Je sors ma bite. Clémentine y frotte son visage. Elle suce un peu en se regardant faire dans le miroir. Je tiens sa nuque.
Je la saisis par ses cheveux pour la forcer à se redresser. Je me penche pour masser ses genoux endoloris. De l'attention.
Clémentine m'entraîne par la queue. Je bande mou. Nous descendons jusqu'à l'atelier. Nous allumons le feu. Cheminée.

Clémentine me fait tomber dans le canapé. A genoux sur un des coussins, elle examine minutieusement ma biroute. Bien.
< C'est la mienne, hein ! Je ne fais que la prêter à quelques salopes qui la mérite ! > me fait Clémentine. Nous en rigolons.
Je lui dis : < C'est promis ! Je n'en suis que le dépositaire, tu en restes la propriétaire ! >. < L'usufruitière ! > lance t-elle.
Je la regarde se mettre à téter avec cette passion qui me bouleverse. Rapidement passionnée par sa fellation, elle en gémit.
Je lui caresse la tête. Je lui murmure des douceurs que je mêle à de délicieuses cochonneries. J'évoque la bite à Mr Gérard.

Je la laisse se régaler ainsi un long moment. Lorsque je lui propose un cunnilingus, ou encore de faire l'amour, elle décline.
Tout entière passionnée par sa pipe, Clémentine cesse par séquences. Cela repose sa mâchoire. Elle me raconte des trucs.
C'est si merveilleux et si étonnant, que nous ne voyons pas le temps passer. Il est déjà 16 h30. Je lui propose une pause.
Le thé au jasmin, avec deux petits gâteaux secs est un autre plaisir. Nous les savourons tous. Et en si parfaits hédonistes.
Nous sommes installés devant l'ordinateur. Avec Google Map nous tentons de localiser notre prochaine location à Bègles.

C'est une maison particulière, grande, très années 50. Notre petit appartement à l'étage est certainement celui du balcon.
En effet, au téléphone, la dame m'a un peu décrit les lieux. Tout correspond. < Et c'est magnifique ! > s'écrie Clémentine.
Les billets d'avion sont arrivés hier, par courrier. Ils sont sur le bureau au salon. Nous visitons Bègles de manière virtuelle.
C'est carrément une petite ville. La banlieue Sud de Bordeaux. De quoi se réjouir pour ce séjour de huit jours. Je connais.
L'après-midi s'achève ainsi. Il est 18 h. Du bruit. Voilà Estelle. Elle entre dans l'atelier. Et mouillée. Elle nous fait la bise.

Estelle sautille autour de nous avant de s'assoir sur mes genoux pour nous raconter sa journée. Nous lui montrons l'écran.
< C'est là que vous allez encore passer du bon temps sans moi ! > fait Estelle en découvrant la maison, les environs. Joie.
Par acquis de conscience, en étudiantes sérieuses, les filles font un tour sur le site de l'université. Clémentine m'explique.
Je propose de les laisser pour aller préparer le nécessaire pour le repas. Il est quand même déjà 19 h15. Que n'ai je dis là.
< Pas question de te laisser seul ! Tu est trop jeune ! On vient ! > s'écrie Estelle en mettant sa main dans ma braguette.

Nous passons nos tabliers. Clémentine s'occupe de la salade de salicorne. Estelle coupe et dénoyaute trois gros avocats.
Je fais bouillir l'eau. Concocter un bouillon pour les moules. Je fais une belle mayonnaise. < Tes œufs ? > me fait Estelle.
Sa main sous mon tablier, elle tente de saisir mes couilles. < Tu me les prête ce soir ? > fait elle. Nous éclatons de rires.
< Toi, tu veux les œufs, l'argent des œufs et la bite de leur propriétaire ! > lance Clémentine. Nous en rions de bon cœur.
Je plonge les moules dans le bouillon. Second repas de moules aujourd'hui. Mais c'est tellement bon. Estelle met la table.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine raconte sa pipe à Gérard, le vieux vicelard, hier soir. Tard.
Estelle se lève à plusieurs reprises pour mimer une masturbation masculine. Je me lève pour agiter ma bite vers elle. Joie.
Nous traînons ainsi à table jusqu'aux environs de 21 h. La vaisselle puis nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon.
Je suis assis entre Clémentine et Estelle qui me tient fermement la queue. Nous sommes carrément avachis. La digestion.
Je promets à Estelle qu'au retour de Bordeaux, le 16 avril, nous resterons ensemble jusqu'au 23 avril, jour de la rentrée.

Estelle se met à genoux entre mes jambes sur l'épais coussin. < Ça va m'aider à digérer ! > fait elle. Eclats de rires. Joie.
Je me suis déjà fait sucer une bonne partie de l'après-midi par Clémentine. Les épanchements sont abondants. De la jute.
Estelle s'en pourlèche. Elle aussi s'arrête régulièrement. Soit pour poser une question, soit pour y répondre. C'est sympa.
Clémentine, la tête posée sur mon épaule, regarde Estelle qui se régale. Nous sommes tous les trois fatigués. La météo !
Il est 23 h. Epuisés, nous montons. Estelle s'endort la première. J'offre un cunni à Clémentine. Orgasme sans conviction.

Bonne soirée à toutes les coquines, qui, la digestion lourde, sucent de la bite pour faire passer les fruits de mer…

Julien - (Qui n'éjacule pas forcément pour conclure une pipe digestive. Il sait se garder pour l'apéritif du dimanche) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 724 -



Le Carnaval au haras

Hier matin, dimanche, je suis réveillé de la même façon que dimanche dernier. On suce mon érection matinale. Des bisous.
C'est une sensation étrange que de se faire sucer une érection naturelle. Je sais que c'est Estelle sous les draps. Je la sens.
Je caresse sa nuque avant de la forcer à revenir à la surface. Et Clémentine chuchote les premières douceurs de la journée.
Elles ont toutes les deux leur tête posée sur mes épaules. Estelle se lève la première tout en s'écriant : < Pipi ! >. Déjà 8 h.
Clémentine chuchote : < Tu as le feu vert si elle te sollicite ce matin. Avec ce que j'ai encore fait vendredi, tu peux aussi ! >

Estelle revient dans son pyjama de soie mauve. Avant de dévaler l'escalier à toute vitesse, elle dit : < Le petit déjeuner ! >
Nous nous précipitons à notre tour au WC. Dehors, il fait encore plus moche que hier. Bourrasques, pluie, vent et obscurité.
Nous descendons à toute vitesse pour rejoindre Estelle à la cuisine. La délicieuse odeur de brioche, de pain grillé et de café.
Estelle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose. Jeu.
< A moi ! > dit elle. Je fais pareil. Nous en rions de bon cœur. Nous prenons notre petit déjeuner, mangeant de bon appétit.

Nous traînons à table. C'est dimanche. Aucun impératif. Estelle se propose de passer l'aspirateur partout, de faire le salon.
Clémentine fait la chambre. Moi, je nettoie les chiottes et je passe la serpillère. Cette météo est déprimante et cela fatigue.
La vaisselle. Estelle cherche l'aspirateur dans le placard à balais. Clémentine m'embrasse avant de monter. < Je t'aime ! >
Je m'occupe de la cuisine. Depuis le salon, j'entends l'aspirateur mais surtout Estelle chanter. C'est toujours avec émotion.
Je termine de passer la serpillère. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Je passe devant la porte ouverte du salon.

Estelle me guettait. Elle m'attrape par les hanches. Elle se serre contre moi. Elle passe sa main dans mon slip et me palpe.
Avant que je n'ai le temps de réagir, elle m'embrasse avec sa fougue coutumière. Cette fois, je la soulève pour l'entraîner.
Clémentine l'a bien précisé, j'ai le "feu vert". Je dépose Estelle sur le bureau. Et je repousse la pochette des billets d'avion.
Je lui retire sa culotte. < Tu es fou, monsieur ! J'adore ! > me fait la coquine toute contente de mon initiative. Elle se serre.
Ses bras autour de mon cou, Estelle écarte les cuisses, relève les jambes, se met en appui sur ses coudes et dit < Viens ! >

Je frotte mon sexe contre le sien. Cela me fait bien bander. Estelle avance encore son bassin. Je la pénètre avec tendresse.
< Aïe ! > fait elle en faisant une grimace. Estelle est tellement étroite, pas vraiment vaginale. Je me retire immédiatement.
Elle me retient. D'un coup de rein, elle s'enfile à nouveau. Je ne garde que l'extrémité de mon sexe en elle. Avec prudence.
Estelle se caresse le clitoris afin de stimuler encore davantage ses ardeurs. J'imprime un léger mouvement de va et viens.
On me saisit par la taille. C'est Clémentine. < J'étais cachée avec la complicité d'Estelle. J'aime te voir faire ! > me dit elle.

Cette confession est tellement émouvante. Clémentine me contourne pour se serrer fort contre ma hanche, m'embrasser.
Nous aimons échanger nos goûts de la brioche du dimanche matin. Ce sont des baisers fougueux et parfumés de pudding.
Estelle se met à gémir. Davantage par sa masturbation que par ma présence en elle. Je me retire. Elle continue sa branle.
Je me suis retourné pour prendre Clémentine dans mes bras. Nous ne cessons plus de nous embrasser, ignorant Estelle.
< Il faut que je me calme ! > fait Estelle, descendant du bureau. Clémentine nous entraîne à l'étage. Il y a le ménage.

Nous nous habillons. Comme les fenêtres de la chambre sont ouvertes, la fraîcheur est insoutenable. Je ramasse les draps.
Je les ramène à la salle de bain. Estelle passe l'aspirateur. Clémentine m'aide à nettoyer. Elle fait les miroirs et les lavabos.
Je nettoie le bac à douche et le bidet. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous. < Je t'aime ! > chuchote Clémentine.
Elle descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. A genoux devant la cuvette des WC.
J'ai les mains gantées. C'est toujours ce moment que préfère Estelle qui arrive silencieusement, par derrière. C'est sympa.

Elle glisse sa main dans ma braguette ouverte. Elle se met à genoux aussi. Nous nous embrassons dans l'odeur de chlore.
Je tire la chasse. Je la saisis par ses cheveux attachés en disant : < Viens ! >. L'odeur de javel est tellement persistante.
Nous rejoignons Clémentine à la buanderie, à la cave. Nous aidons à trier notre linge de couleurs. Estelle m'a sorti la bite.
Les filles évoquent leurs cours. Je les laisse pour monter à la cuisine. La pâte feuilletée, le pavé de saumon ont décongelé.
Estelle me rejoint la première pour me sortir la queue une nouvelle fois. < C'est la maison du vice ! > me murmure t-elle.

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine arrive à son tour pour découvrir la scène. < Les deux vicieux ! > nous fait elle.
Clémentine s'occupe de la salade d'endive. Clémentine déplie la pâte feuilleté et émince finement le gros pavé de saumon.
Je fais la Béchamel. Estelle fait rissoler l'émincé de saumon avec de l'ail, de l'oignon, des champignons, persil, dans le wok.
C'est moi qui passe derrière les filles qui ont les mains occupées. Je leur touche le sexe au travers leurs jeans. Et vulgaire.
A Estelle je murmure : < Vengeance ! >. Elle répond : < J'aime tes vengeances, mon justicier ! >. Nous éclatons de rires.

Le feuilleté de saumon est au four. La table est mise, la salade est prête. Je saisis les filles par la tignasse. On va au salon.
Nous sommes debout devant une des portes fenêtres pour regarder cette météo épouvantable. Il faudrait du soleil. Chiant.
Les filles s'accroupissent en même temps. Estelle tient ma jambe gauche. Clémentine tient ma jambe droite. Accrochées.
Leurs têtes appuyées contre mes cuisses. Je caresse leurs tête. < Notre bon "Maître", je vous aime tant ! > me fait Estelle.
< Notre bon "Maître", moi aussi ! > lance Clémentine. Je réponds : < Je vous aime mes délicieuses "Soumises". >. Rires.

Tout cela n'est évidemment qu'un jeu qui nous amuse beaucoup. J'ai la bite à l'air. Les filles y frottent leurs visages d'ange.
Je la passe dans la bouche de chacune. Je bande mou. Bien plus amusé qu'excité. Je les force à se redresser. Nous en rions.
Je passe mes mains dans les culottes des filles qui ont toutes les deux le réflexe de se cambrer pour bien offrir leurs sexes.
Toutes les deux, jambes écartées, sur leurs genoux fléchis, me tendent les chattes, me tenant par les bras pour l'équilibre.
< Comme c'est bon mon "Maître" ! > fait Estelle. < Vous êtes si généreux de vos largesses mon "Maître ! > dit Clémentine.

C'est très excitant de masturber les deux coquines. Je leurs dis : < Vous êtes les deux plus adorables "Soumises" ! >. Rire.
La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons bien la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns.
Nous restons vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Devant le miroir de l'armoire, les fille reprennent leurs jeux.
Accroupies de chaque côté, à frotter leurs visage contre mon sexe. Je bande comme le dernier des salauds. C'est sublime.

Je les laisse se régaler à tour de rôle avant de les forcer à se redresser. Je leurs masse à chacune les genoux. C'est délicat.
< Notre bon "Maître" est un "Maître" attentionné ! > fait Estelle. < Mais c'est le mien ! > dit Clémentine en me serrant fort.
Nous descendons. Nous enfilons nos anoraks. La pluie a cessé. Pas le vent. Trois petits kilomètres jusqu'au haras. Superbe.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle est assise parterre, devant, entre les jambes de Clémentine.
Ainsi, elle aussi peut s'amuser avec son "doudou". Nous arrivons au haras. Juliette a organisé une animation pour Carnaval.

C'est un succès. Il y a du monde. Avec cette météo, les festivités ont lieu dans le grand bâtiment du manège. C'est sympa.
Nous prenons place tout en haut des gradins. Les cavalières sont vêtues de façon médiévale. Les garçons en troubadours.
Il y a monsieur Gérard, en bas, qui bavarde avec des propriétaires de chevaux. Là-bas, il y a madame Walter et son mari.
Le spectacle est très agréable. Il y a une large part d'improvisation. Il est presque 17 h. Nous avons échappé aux confettis.
Nous détestons en retrouver dans nos vêtements pendant une semaine. Tout se termine et nous descendons les escaliers.

Juliette est toute contente de nous apercevoir. Tout en bavardant avec un groupe de gens, elle nous fait un grand coucou.
< Je veux éviter le vieux dégueulasse ! > nous fait Clémentine en montrant Gérard qui nous a repéré. Nous filons aux WC.
Il y a plein de gens dans le couloir des toilettes. Mais au moins il n'y a pas besoin de parler avec le vieux palefrenier vicieux.
Je laisse les filles aller faire leurs pissous. Ici pas possible d'y aller tous les trois. Je suis seul sur la rembarde, tout en haut.
Je regarde en bas. Kim Son et Eveline, les palefreniers commencent à débarrasser et à ranger. Juliette arrive, toute seule.

Personne ne prête attention à nous. < Je n'ai même pas une minute. Mais je suis si contente de vous voir ! > fait Juliette.
Elle me serre la main, bouge son index à l'intérieur avant de me la poser entre ses cuisses. Elle regarde autour. Personne.
Cambrée, les pieds largement écartés, elle me tend sa croupe en maintenant ma main sur son sexe. Mais cela ne dure pas.
< Il faudra que cela devienne une habitude ! > me dit elle en se redressant. Elle s'éloigne en me disant : < A mercredi ! >
Clémentine et Estelle viennent me rejoindre. Je leurs raconte l'étonnante attitude de Juliette. Et nous la regardons en bas.

< Elle a procédé de cette manière ? > me fait Estelle en prenant ma main pour faire exactement la même chose. Rigolade.
Seulement voilà, nous nous faisons surprendre par un couple qui nous lance, à tous les trois, un curieux regard. Etonné.
Il est 18 h30 lorsque nous sommes de retour. Nous sommes tous les trois considérablement excités. Préparation du repas.
Nous faisons simple. Nous avons envie de nous offrir des caresses, du plaisir et des douceurs. Spaghettis, sauce et salade.
Nous traînons un peu à table à disserter sur le comportement de Juliette. < Quelle salope ! > s'écrie à chaque fois Estelle.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Les filles m'entraînent par les bras au salon. Elle retirent leurs jeans, leurs culottes.
Me voilà à genoux devant le canapé à leurs bouffer la chatte. Ce soir, c'est particulièrement vertigineux. Le goût et l'odeur.
Le dimanche, nous aimons rester "sales", dans nos jus. Les parfums naturels nous enivrent. Et de véritables phéromones.
J'offre un orgasme fabuleux à Estelle. J'offre un orgasme nucléaire à Clémentine. Estelle s'est endormie. Il faut la réveiller.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation cruelle. Je la console. Nous rentrons. Epuisés. Bon dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui raffolent de se faire bouffer la chatte après une journée d'excitations répétées…

Julien - (Dont le plaisir suprême de bouffer de la chatte odorante et suintante est encore décuplé le dimanche soir) -

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Ça commence bien

Hier matin, lundi, c'est la Sonate pour piano, No 9 de Beethoven qui nous tire du sommeil avec une certaine véhémence.
< Du piano le matin ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nouille.
Quelques bisous. 5 h55. Nous nous précipitons aux chiottes. Vêtus de nos tenues de gym, nous descendons à la cuisine.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous dégustons en bavardant. Le lundi matin, il reste un peu de brioche.
Nous remontons pour notre heure de gymnastique. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine.

Il est 7 h45. Le ciel est couvert. Le vent est tombé. Il ne pleut pas. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. La fraîcheur.
Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller. Je me dépêche de rentrer sous les premières gouttes.
Je fais le lit. Je fais la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare palette et pinceaux.
Je commence ce matin la vingt et unième toile destinée à ma saison d'été. Un paysage bucolique avec un seul personnage.
Je peins dans une euphorie qui contraste fortement avec la météo. Dehors les giboulées de mars plombent le moral. Dur.

Il est aux environs de dix heures lorsque la musique idiote de mon smartphone brise le silence monacal qui me sied si bien.
Je me doute un peu qui c'est. Je me saisis de mon téléphone. Gagné. C'est Juliette. Sur mode "haut parleur" nous causons.
La jeune femme me raconte le déroulement de l'animation qu'elle a organisé hier dans son établissement pour le Carnaval.
Je confirme que nous y avons passé un bon moment. < C'est toujours agréable de vous savoir là ! > me fait Juliette. Bien.
Même si nous n'avons pas le temps de bavarder beaucoup, nous aimons bien faire un petit saut jusqu'au haras. Superbe.

Rapidement toutefois, Juliette en vient à ce qui s'est encore passé vendredi soir aux écuries. Sa présence dans le box. Rire.
< J'apprécie beaucoup cette nouvelle initiative qui anime votre main ! > me fait Juliette. Nous rions de bon cœur. Superbe.
Je promets de refaire à chaque fois que cela sera possible. < Deux années de complicité, ça aide beaucoup ! > fait Juliette.
Je confirme. < Je serai prête à venir de suite, là, maintenant, pour en tester cette nouvelle finalité ! > fait elle encore. Joie.
Nous bavardons ainsi une bonne demi heure. Juliette est dans son bureau. Je lui promets que serons là pour mercredi soir.

Nous nous saluons avant de raccrocher. Je ne cesse de peindre sans penser à cette étonnante et si agréable jeune femme.
Je dois ajuster mon sexe au fond de mon slip. Mon érection reste contraignante encore un bon moment. Et il est déjà midi.
Je rajoute deux bûches dans la cheminée avant d'aller préparer le repas à la cuisine. Je lave une belle salade verte. Super.
J'épluche des patates, des carottes, des navets. Ail, oignons, ciboulette. Je coupe le tout en petits morceaux. Champignons.
Je fais revenir dans la vieille cocotte en fonte. Ça y accroche toujours et je dois remuer souvent. Je panne un filet de saule.

L'assaisonnement de la salade et je peux manger de bon appétit tout en écoutant les informations à la radio. C'est du con.
Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Tout est prêt pour le repas de ce soir. Il n'y aura qu'à réchauffer. Je vais à l'atelier.
Il est à peine 12 h50. Me voilà assis devant mon chevalet pour la seconde séance de la journée. Dehors, météo médiocre.
Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac dans le canapé pour se précipiter vers moi.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu au restaurant universitaire. Et ses bises.

Installée devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine révise et met au propres les cours de la journée. Il y en a.
Nous adorons travailler ainsi tous les deux, dans le silence, pas loin l'un de l'autre. Le crépitement du feu. Les craquements.
Je raconte l'appel de Juliette et notre conversation. < Tu vois, je te l'avais dit, elle appelle tous les jours ! > fait Clémentine.
Elle rajoute encore : < Cette salope n'a plus qu'une envie. Que tu la touches ! Tu vas voir. Ça va devenir une exigence ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsque je dis : < Mercredi soir, dès notre arrivée, je lui fourre la main dans la culotte ! >

La nuit arrive vite. A l'étage, les premiers bruits étranges. Notre fantôme semble se déplacer uniquement dans la chambre.
< Bonsoir Christine. Ravi de t'entendre à défaut de te voir ! > lance Clémentine à haute voix. Un claquement sec. La porte.
Nous nous regardons. Je dis : < Déconne pas trop quand même ! >. Les bruits cessent. Les pas s'éloignent. C'est étrange.
Vivre dans une maison hantée. On fini par s'y faire. Moi, ça fait depuis la disparition de Christine. Et il y a presque huit ans.
Nous travaillons jusqu'aux environs de 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Nous voilà assis devant la cheminée. C'est bon.

< Tu ne baises pas avec Juliette c'est promis hein ? > fait Clémentine en fourrant sa main dans ma braguette ouverte. Joie.
Je la rassure. Elle rajoute : < Par contre sois le dernier des salauds avec elle. J'aime te voir salaud avec les autres meufs ! >
Je le sais. Je promets de faire au mieux. Et à chaque fois que l'occasion se présente. Je dis : < Et il y a Julie sur le grill ! >
< Celle-là, il ne faut pas la louper ! Je veux te voir à l'œuvre et surtout voir de quoi elle est capable ! > rajoute Clémentine.
Là aussi je promets d'être à la hauteur de toutes les attentes. La faim commence à se faire sentir. Et nous quittons l'atelier.

Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà prête et lavée. Je réchauffe la potée. Je fais une belle omelette.
< Miam ! > fait Clémentine qui aime les surprises que je lui prépare. Nous nous faisons plein de bisous tout en préparant.
J'ai la bite à l'air sous mon tablier. < Je comprends pourquoi Estelle aime y fourrer sa main ! > dit Clémentine en touchant.
Avec les quelques excitations de la journée, j'ai la queue qui suinte. Montées de liquide séminal, épais, gluant et visqueux.
Clémentine me montre ses doigts qu'elle frotte les uns contre les autres, trempés de mon foutre. Nous rions de bon cœur.

< C'est gentil de préparer mon dessert ! > me fait elle encore, en s'accroupissant pour soulever mon tablier et me sucer.
Je la laisse prendre son apéritif en la tenant par la nuque et sous le menton. Elle en glousse de plaisir. Le repas nous attend.
Nous mangeons d'un bon appétit tout en bavardant. Clémentine me raconte sa masturbation, dans la voiture, en rentrant.
< Je suis très prudente, je te promets. Il n'y a jamais personne sur la petite route ! > me fait elle comme pour me rassurer.
Je la sais prudente. La vie est trop belle. Je dis souvent : < Je ne voudrai pas d'un second fantôme dans la maison ! >. Rire.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, terminant son yaourt au miel, Clémentine me fait : < Tu es salaud après ? >
Je comprends le message. Je dis : < Oui, je vais m'occuper de ton cas avec tous les raffinements d'usage ! >. Elle se serre.
< Je vous aime "Maître" ! > dit elle. Je réponds : < Je vous aime, ma "Soumise" ! >. Nous en rions de bon cœur. Nos jeux.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Sans prévenir, je saisis Clémentine fermement par ses cheveux attachés en catogan.
Je la tire sans ménagement jusqu'au salon. Je l'emmène derrière le bureau. J'ouvre le tiroir pour en sortir les genouillères.

J'ordonne : < Mettez ça, "Soumise" ! >. Clémentine retire ses jeans et sa culotte. La voilà en chaussettes et en chemises.
Je lui passe le collier autour du cou. J'y fixe la laisse. Clémentine termine de fixer ses genouillères. Je dis : < A genoux ! >
Mon ordre est exécuté dans l'instant. Je tire sur la laisse. A quatre pattes, Clémentine est promenée dans toute la pièce.
Nous contournons les meubles. J'aime la voir lever la patte à l'angle du bureau, de la bibliothèque, contre le pied de table.
Je me penche. Je passe ma main entre ses cuisses. Son sexe mouille. J'y enfonce le bout de mon doigt. Je le lèche un peu.

A quatre pattes, la tête entre les bouquins de l'étagère, les cuisses écartées, Clémentine, sur mon ordre, présente son cul.
Je suis à quatre pattes. Je lui fais le cul. C'est enivrant. L'odeur de sa journée de fille. Les poils collés par la sueur. Les jus.
Clémentine en glousse de plaisir. Elle se touche. Je me couche sur le dos pour passer ma tête entre ses cuisses. Je bouffe.
C'est enivrant. Clémentine s'est masturbée en rentrant de cours. Avec ses épanchements naturels, j'ai droit à un mélange.
Je me régale. Il m'en coule sur le menton pendant que je suce son clitoris géant. Nous en gémissant tous les deux. Délice.

Soudain, alors que je m'y attends absolument pas, je me fais inonder de pisse. J'en ai plein la gueule. C'est chaud. Pisseux.
Je dis : < Douce "Soumise", j'adore vos surprises de véritable salope ! >. Clémentine frotte son croupion sur mon visage.
Je lèche, je suce, je bouffe, je m'enivre de jus et de pisse. Clémentine ne peut réfréner l'orgasme titanesque qui la terrasse.
Je suis couché sur le dos, la tête entre ses cuisses, ruisselant de pisse. J'assiste à cet orgasme en gros plan. Jet de cyprine.
Je la tiens par ses hanches. < Mon amour ! > s'écrie t-elle, le corps agité de spasmes. C'est merveilleux. Elle pisse encore.

Je prends conscience, une fois encore, que dans ces jeux de rôles, le "Maître" n'est jamais celui qui l'interprète. Merveilleux.
Je me redresse. Je dégouline de pisse. Il y en a partout. Une flaque parterre. Je tire sur la laisse. J'entraîne Clémentine. WC.
Je me mets la serviette du lavabo sur la tête. Clémentine s'empare du seau, du balai brosse et de la serpillère. Il faut laver.
Je la regarde faire. Sans lâcher la laisse. Clémentine nettoie tout en me faisant plein de bisous. < Mon pauvre ! > fait elle.
J'ai retiré ma chemise. Elle ira à la machine dès demain matin. Le parquet est sec. La serpillère essorée. Clémentine serrée.

< Personne ne pourra jamais me rendre aussi folle que vous "Maître" ! Je veux rester votre "Soumise ! > murmure t-elle.
Je lui dis : < Ma délicieuse "Soumise", j'exige que vous ayez l'expérience d'un vrai "Maître" aux écuries ce printemps ! >
< Je vous promets de faire tout ce que vous exigerez de moi, "Maître" ! > me dit Clémentine. Je lui retire les genouillères.
Je détache la laisse et le collier. Nous montons. Clémentine passe le sèche cheveux sur ma tête. Nous sommes épuisés.
Au lit, Clémentine veut encore me sucer. < Et toi ? > fait elle. Je lui propose de remettre à demain. < Je t'aime ! >. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire promener à la laisse et à quatre pattes par leur "Maître"...

Julien - (Qui se réjouit de voir Clémentine, ce printemps, entre les mains d'un authentique "Maître" de cérémonie) -

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Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 726 -



Le mardi après-midi, Clémentine est là

Hier matin, mardi, c'est la Sonate No1 pour violon et piano de Maurice Ravel qui nous arrache du sommeil avec cruauté.
< Ta gueule Momo Rice ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques douceurs et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier. 6 h05.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous apprécions en discutant. Le mardi, Clémentine termine à midi. Super.
Nous remontons pour faire notre gymnastique. Une heure. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.

Elle me rejoint, chaudement vêtue. Le ciel est couvert. La fraîcheur est humide et désagréable. 7 h45. Le vent qui souffle.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture s'en aller. Je me dépêche de rentrer au chaud pour aller faire notre lit, la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Il fait sombre.
Je suis assis devant mon chevalet. Mon smartphone est dans la poche de ma blouse. Et comme les appels sont fréquents.
Je peins dans une douce euphorie, me livrant corps et âme à ma passion dévorante mais raisonnée. C'est maitrisé. Bien.

La matinée se passe sans aucun appel téléphonique. Lorsque je travaille, je n'ai aucune notion du temps qui s'écoule. Joie.
Il est midi. Je vais à la cuisine. Je passe deux grosses endives sous l'eau. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Tout va vite.
Clémentine arrive. < Je t'aime ! > me fait elle en me sautant au cou. Je la soulève pour la faire tourner sous plein de bises.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais une belle et onctueuse pâte à pain. Nous coupons les poireaux en petits morceaux.
Je concocte une Béchamel. Nous y rajoutons les poireaux cuit, du gruyère finement râpé. La tarte aux poireaux du mardi.

Je récupère un peu de Béchamel comme sauce en accompagnement des coquillettes. Clémentine rajoute du Parmesan fin.
Nous mangeons de bon appétit tout en discutant. Clémentine me raconte sa matinée. Le travail qui l'attend cet après-midi.
Nous traînons à table. Lorsque je lui dis que Juliette n'a pas appelé ce matin, elle fait : < La bite de Gérard pour ce soir ! >
Nous en rions de bon cœur. C'est le mardi soir que Juliette suce son ancien palefrenier retraité, incontinent et impuissant.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine me fait : < Je peux te tailler une pipe avant le boulot ? >

Nous rigolons comme des bossus car habituellement Clémentine ne demande pas, elle prend les initiatives sans questionner.
Elle rajoute : < Et toi, tu me fais sucer en étant le dernier des salauds. Tu veux bien ? >. Je promets de faire de mon mieux.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La pâte repose dans un saladier recouverte d'un linge. La Béchamel sous le couvercle.
Tout est prêt pour la Flamiche Picarde du soir. Cette délicieuse tarte aux poireaux qui fait notre régal du mardi soir. Sublime.
Clémentine m'entraîne par la main dans l'escalier. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir.

Accroupie, me tenant la jambe, sa tête appuyée sur ma cuisse, Clémentine nous observe dans le miroir de l'armoire. Belle.
Avec un regard implorant elle fait : < Je vous aime "Maître". J'ai besoin de vos soins et de vos attentions particulières ! >
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Je vous aime ma délicieuse "Soumise". Je vais vous prodiguer vos soins ! >
Nous en rions de bon cœur. Je sors ma bite. Clémentine y frotte son visage en gémissant, pleine de reconnaissance. Jeu.
Je la laisse sucer un peu. A genoux devant moi, ses mains sur mes hanches, je la vois de dos dans le miroir. C'est superbe.

Elles sont si belles quand elles font "ça". Merveilleuses lorsqu'elles le font avec passion et sincérité. Ce que fait Clémentine.
Je la tiens par ses oreilles. Je bouge un peu. J'enfonce ma bite. J'appuie sur sa nuque. Je la tiens par le menton. Je branle.
Je me comporte selon sa demande. En toussant, les larmes aux yeux, Clémentine tente de déglutir tout le foutre visqueux.
De longs filaments gluants relient sa bouche à mon sexe. Clémentine en a sur le menton. Je le récupère du bout de l'index.
Je passe mon doigt dans sa bouche afin qu'elle n'en perde pas la moindre goutte. Je me secoue en rythme dans sa bouche.

Je la tiens par la nuque et sous le menton. Je lui chuchote des douceurs que je mêle aux plus triviales cochonneries. Bien.
Je suis à présent parfaitement immobile. Je la laisse savourer le fruit de ses efforts. Elle en gémit de bonheur et de plaisir.
Je la force à cesser et à se relever. Même si elle est à genoux sur un des oreillers, je me penche pour masser ses genoux.
< Vous êtes toujours si attentionné avec moi, Maître ! Je vous suis redevable ! > fait Clémentine avec la bouche pâteuse.
Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. Je murmure : < Je vous aime tant, ma douce "Soumise" ! >

Je la fais tomber sur le lit. Elle m'aide à retirer ses jeans et sa culotte. Elle m'aide à retirer les miens. Elle m'attire sur elle.
Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Du jus.
Il y a encore tout ce qu'elle n'arrive pas à avaler. Mon foutre est épais. Il lui faut le dissoudre avec sa salive. Elle me sourit.
Nous faisons l'amour en alternant les moments d'immobilité totale et les mouvements de bercements lents et si réguliers.
Sa bouche près de mon oreille, Clémentine me confesse quelques aveux. Des choses déjà dites cent fois mais si excitantes.

Nous cessons. Nous nous essorons les sexes avec un "69" passionné. Il faut se garder pour la suite. Pas d'orgasmes. Super.
Nous nous habillons. Je prends Clémentine sur mon dos. Et tout en imitant le hennissement d'un cheval, nous descendons.
Il est 14 h30. Nous voilà tous les deux à nos postes de travail. Clémentine devant l'ordi. Moi devant le chevalet. Autre joie.
Parfois, l'un se lève pour venir faire des bisous à l'autre. A 17 h, le rituel du thé au jasmin et des petits gâteaux secs. Miam.
Il est 18 h15 quand arrive Estelle. Elle nous fait la bise. Assise sur mes genoux, elle nous raconte son après-midi. Sympa.

Les filles sont assises devant l'ordinateur. Elles comparent l'avancée de leurs travaux. Elles bossent encore un peu. 18 h45.
Nous voilà assis devant la cheminée. A l'étage, notre fantôme fait sa ronde. Nous l'écoutons silencieusement. Sans lumière.
La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour la cuisine. Clémentine s'occupe de notre salade de carottes.
Estelle travaille encore un peu la pâte avant d'en étaler une partie dans le grand plat. J'y verse notre Béchamel réchauffée.
Nous y rajoutons du Parmesan. Estelle dépose délicatement le couvercle du reste de pâte sur le tout en joignant les bords.

Il reste à badigeonner le mélange d'œuf, de lait de soja et de graines de sésame grillé à l'aide d'un spalter, pinceau large.
Au four. La table est mise. Nous allons au salon. Nous voilà vautrés dans le canapé. Je suis entre les filles qui bavardent.
Elles évoquent leurs études. Comme à son habitude, Estelle me tient fermement la queue tout en discutant. C'est adorable.
J'écoute en silence. C'est toujours tellement intéressant. Clémentine raconte notre séance du début d'après-midi. Nos jeux.
< Pendant que je suis au bureau à me faire chier, vous, vous baisez ! > fait Estelle. Nous en rigolons comme des bossus.

Je lui dis : < Tu en veux un peu, après ? >. Estelle se lève pour se mettre à genoux sur l'épais coussin entre mes jambes.
< Pourquoi après ? > demande t-elle, espiègle et mutine. Elle est adorable. Je lui caresse les cheveux, la tête et les joues.
Clémentine saisit ma bite à sa base, juste entre le pouce et l'index pour l'agiter sous le nez d'Estelle qui me la renifle fort.
< Ça sent la baise ! > s'écrie t-elle en gobant mon sexe. Je regarde ses joues se creuser par l'effort. Elle en glousse. Bon.
Clémentine se penche pour m'embrasser. Toutes ces douceurs que nous échangeons, nous enivrent tous les trois. Délice.

Estelle, les coudes posés sur mes cuisses, concentrée sur sa pipe, écoute les cochonneries que nous lui chuchotons. Bien.
Elle ponctue nos dires par de petits cris de ravissement, des gloussements ou encore en secouant le tête affirmativement.
Je lui caresse la nuque. La sonnerie du four. Nous cessons. J'aide Estelle à reprendre ses esprits en la forçant à se relever.
Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant nos aventures, nos expériences. Joie.
A plusieurs reprises, et avec toute la vulgarité qui lui est coutumière, Estelle se lève pour mimer une branlette masculine.

Comme à chaque fois, je me lève pour agiter ma bite dégoulinante dans sa direction. Clémentine se dresse pour la sucer.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle est carrément à genoux sur le carrelage pour sucer.
Je la saisis par ses cheveux pour l'entraîner à quatre pattes jusqu'au salon. Elle en glousse de plaisir. Elle est obéissante.
Clémentine marche à mes côtés en tenant mon Zob. Je propose aux filles de leurs offrir un cunnilingus dont j'ai le secret.
Les coquines se mettent toutes les deux à genoux sur des coussins devant le canapé. Elles déclinent mon offre. Fellation.

Estelle, pointant son index d'un geste autoritaire sur le canapé, me fait : < Il s'assoit le monsieur et il se laisse pomper ! >
Clémentine rajoute : < C'est tout comme elle dit ! >. Elle m'attrape par les hanches pour me faire tomber dans le canapé.
Estelle est entre mes jambes. Clémentine reste bien droite, ouvre ses jeans pour y glisser sa main. Elle regarde Estelle.
Je caresse la tête d'Estelle en lui murmurant de véritables saloperies. Elle en glousse de bonheur. Les gargouillis bulleux.
L'indicible caresse me fait vaciller. Je me laisse tomber en arrière. Clémentine vient s'installer contre moi en se touchant.

Nous nous embrassons, inondant nos mentons de salive sans ne plus prêter la moindre attention à Estelle occupée à sucer.
J'aime la sentir pomper. Ce sont toujours des pipes passionnées et passionnantes. Estelle adore tant la fellation. C'est fou.
Nous l'endons se régaler. Je tiens Clémentine contre moi. Elle se masturbe. C'est un concerto pour gémissements. En Do.
Je sens mes couilles en ébullition. Je commence à être obligé de contrôler le débit pour ne pas risquer d'éjaculer. Prudent.
Il est 22 h. Je le fais remarquer à Estelle lors d'une de ses nombreuses pauses afin de laisser reposer sa mâchoire. Super.

Je me lève. Je la tiens par ses cheveux. Clémentine connaît soudain un orgasme cataclysmique. Un tsunami de cyprine.
Elle se précipite aux toilettes pour ne pas pisser sans contrôle. J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui pousse un vrai râle.
Je la laisse se régaler. Clémentine revient et dit : < Je l'ai échappé belle. Mais ça m'a un peu gâché la fête ! >. Rigolade.
Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Il pleut. Séparation difficile. Encore du foutre visqueux. Et plein la bouche.
Au lit, nous tentons un truc mais, trop épuisés, nous nous serrons fort dans une tendresse folle. Le bilan du jour. Et dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se régaler de foutre comme dessert après un délicieux repas…

Julien - (Ejaculateur fou qui s'est encore fait vider les couilles. Et toujours par la même petite vicelarde) -

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Juliette sait se montrer vulgaire

Hier matin, mercredi, nous nous réveillons tous juste avant que ne résonne la musique. J'éteins le réveil à temps. 5 h55.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Joie.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous dégustons avec appétit déjà vêtus de nos tenues de gym. C'est bien.
Nous remontons pour nous livrer à notre entraînement. La douche. Je descends pour aller sortit l'auto à Clémentine. Froid.
Elle me rejoint chaudement vêtue sous un vent glacial, entre deux épisodes pluvieux. C'est tellement désagréable. 7 h45.

Un dernier bisou. Un dernier coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre en vitesse.
Je fais notre lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier pour y allumer un feu dans la cheminée. Le treizième stère de bois.
Je prépare ma palette, mes pinceaux. De la pointe du couteau à peindre, je tire de chaque tube une quantité de pigment.
Juste ce qu'il faut de jaune de cadmium, de blanc de titane, de bleu de cobalt et de noir d'ivoire. Une goute d'huile de lin.
Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme qui fait plaisir à voir et à entendre.

Il est aux environs de dix heures lorsque résonne la musique imbécile de mon smartphone. Je le tire de ma poche. Vibrant.
C'est Juliette. Je ne suis pas étonné. En mode "haut parleur", je peux continuer mon travail tout en écoutant la dame. Joie.
Après les banalités d'usages, les courtoisies et les civilités de circonstances, Juliette en arrive rapidement à l'essentiel. Cul.
Nous sommes invités, Clémentine et moi, comme tous les mercredis soirs. C'est à nous d'emmener le dessert. La surprise.
Dès le retour du printemps, dès la fin de la saison, Juliette aura à nouveau la joie de venir manger chez nous. C'est parfait.

Juliette me prie d'avoir quelques initiatives qui pourraient la ravir. Je comprends immédiatement de quoi elle parle. Le sexe.
Depuis que je me suis mis à la toucher, vulgairement, entre les cuisses en palpant sa vulve, Juliette en redemande. Encore.
Je promets de me comporter comme elle le souhaite. Je lui dis : < Si vous y mettez du vôtre, nous pouvons surenchérir ! >
< Comptez sur moi, Julien, je saurai participer ! > me fait elle. Nous en rions de bon cœur. Nous bavardons une demi heure.
A l'intonation de sa voix, à sa façon d'aborder certains sujets, je comprends. A certains sous entendus, je comprends mieux.

Comme le souligne très souvent Clémentine, Juliette s'est attachée à nos visites, à nos aventures, à nos frasques et à moi.
Nous nous saluons. Je raccroche. Cet appel, une fois encore, a décuplé mes ardeurs pour le travail comme pour la sexualité.
Je bande encore un bon moment après avoir rangé le téléphone dans la poche de ma blouse. Sacrée Juliette. Sacrée salope.
Il est rapidement midi. Je rajoute deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Dehors, il y a un vent fort, de la pluie.
Je décongèle une tarte aux pommes. Je fais gonfler du riz. Je lave une grosse endive que j'assaisonne en salade. C'est bon.

Je pane un beau filet de saule. Je fais revenir le riz avec de l'ail, de l'oignon et de la ciboulette dans la poêle. Un déglaçage.
Je me régale de ce repas simple en écoutant la radio. J'aime l'éloquence et l'érudition de Stéphane Bern. Garçon talentueux.
J'éteins le poste juste avant les informations. La vaisselle. Je range la cuisine. Je retourne dans l'atelier. Il n'est que 12 h45.
Me voilà confortablement installé devant mon chevalet. Je suis absorbé par la peinture de ce paysage bucolique. Imaginaire.
Il est rapidement l'heure du retour de Clémentine. 16 h20. Elle se précipite toute contente pour me faire quantité de bisous.

Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. Super.
Elle me raconte sa masturbation, en conduisant, sur la petite route déserte du retour. Nous rions de bon cœur. C'est sympa.
Assise devant l'ordi, entourée de ses fiches, Clémentine met au propre ses notes du jour. Je relate l'appel de Juliette. Rires.
< Cette femme en pince pour toi. Je vais me méfier. Rien de plus redoutable qu'une femme amoureuse ! > fait Clémentine.
Même s'il n'y a rien à craindre, je la rassure. Clémentine rajoute : < Estelle qui t'aime, Juliette qui t'aime, moi qui t'aime ! >

Je précise tout de même : < Mais c'est toi que j'aime. Et comme un fou ! >. Clémentine qui se lève pour venir m'embrasser.
Nous travaillons encore jusqu'aux environs de 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Nous restons un peu assis devant le feu.
Le spectacle des braises dans la cheminée, toutes lumières éteintes, la présence du fantôme à l'étage, tout cela est sublime.
Nous quittons l'atelier pour monter nous changer. Avec ce froid, avec cette pluie, pas de chichis, ce sera nos jeans, nos pulls.
Accroupie à ma droite, me tenant la jambe, sa tête contre ma cuisse, Clémentine me dit : < Soyez salaud, ce soir, Maître ! >

Je sors ma bite, je pose ma main sur la tête de Clémentine pour répondre : < Avec votre permission, délicieuse Soumise ! >
Nous en rions de bon cœur. Clémentine se frotte le visage contre mon sexe mou. Je la laisse téter et suçoter un peu. Douce.
Nous dévalons l'escalier à toute vitesse. Nous enfilons les anoraks. Le bonnet. Les gants. Nous prenons l'auto de Clémentine.
Je roule doucement sous une pluie battante. Clémentine joue avec ma queue. Je bande comme un véritable salopard. Super.
Trois petits kilomètres et nous arrivons dans la cour déserte du haras. Il y a toutefois de la lumière dans tous les bâtiments.

Je remballe ma bite. Je garde évidemment ma braguette bien ouverte. Nous traversons la cour en courant. Là, nos écuries.
Il y a Kim Son, le palefrenier, sur le chariot élévateur qui dépose une énorme meule de fourrage devant Eveline sa collègue.
Nous les saluons. Ils sont tous deux en plein travail. Il faut nourrir les chevaux. Nous ne nous attardons pas. Voilà Juliette.
Vêtue de sa tenue d'écuyère, sous son anorak matelassé, elle donne les dernières consignes à ses deux employés. Demain.
Nous l'attendons à la porte des écuries. Toute souriante la jeune femme vient nous rejoindre pour nous serrer la main. Joie.

Juliette fait toujours bouger son index dans ma main. C'est hyper excitant. Clémentine, fine stratège, va caresser un cheval.
C'est voulu. Nous avons prévu le coup. D'un geste précis, je passe mon autre main entre les cuisses de Juliette. Et vulgaire.
La jeune femme se cambre sur ses genoux légèrement fléchis pour me tendre sa vulve. Son sexe moulé dans son pantalon.
Un pantalon d'équitation est un peu comme un legging. Il ne dessine pas seulement agréablement les formes, il les sublime.
Juliette n'oppose aucune résistance. Le jeu la ravi. Je me comporte selon le désir exprimé au téléphone. Je palpe sa chatte.

Là-bas, Kim Son et Eveline ne nous portent aucune attention. Clémentine les a rejoint. Me laissant me comporter en salaud.
Elle me fait tout de même un clin d'œil et lève rapidement son pouce comme pour m'encourager. Juliette entrain de fondre.
Je tripote la vulve de cette jeune femme avec tant de vulgarité que j'en vacille. Et Juliette me tient carrément par le poignet.
Elle me guide la main. < C'est génial ! > murmure t-elle à trois reprises. Clémentine revient. Je la vois se toucher. Discrète.
Je cesse. Nous suivons Juliette. Il faut traverser la cour à toute vitesse. Le temps de récupérer la tarte aux pommes à l'auto.

Nous nous débarrassons de nos anoraks. La délicieuse odeur de cuisson achève d'ouvrir nos appétits. Tartelettes feuilletées.
Crabes, crevettes queue de langoustines. Juliette est un fin cordon bleu. Nous voilà vautrés dans le canapé à bavarder. Joie.
Juliette, assise dans le fauteuil, en face de nous, raconte quelques anecdotes concernant la visite du vétérinaire hier matin.
Je fixe son entrejambes avec insistance. Je bande. Je fais bouger ma bosse en contractant mes muscles fessiers. Elle mâte.
Clémentine me fait du pied. Chaque fois que Juliette se rend à la cuisine, Clémentine chuchote et encourage mes initiatives.

Cette fois, sur son conseil, je me lève pour rejoindre Juliette qui sort les tartelettes du four. Je la touche par derrière. Vice.
Les mains occupées, un peu surprise, Juliette se contorsionne pour me permettre le meilleur accès possible. Et je la tripote.
Son entrejambes est chaud bouillant. Je suis certain que son fond de culotte est trempé. J'y fourre carrément la main. Bon.
Surprise. Juliette saisit mon poignet. Trop tard. Par derrière j'ai glissé la main jusque dans sa culotte. Gagné. C'est trempé.
Juliette a un mouvement réflexe. Dans l'encadrement de la porte, Clémentine, les bras croisés, nous regarde. C'est super.

Juliette lui fait : < Un vrai salaud ce Julien ! >. Clémentine lui répond : < Une vraie salope cette Juliette ! >. Nous en rions.
Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. Juliette évoque la fin de saison qui s'annonce. Enfin un peu de calme.
Je me lève. Je passe derrière la jeune femme qui se demande ce qui se passe. Je pose mes mains sur ses seins. Bouts durs.
Je pince légèrement le bout turgescent des seins. C'est bien accessible sous son pull moulant. Je me penche. Main au sexe.
Juliette ne dépose pas sa fourchette ni son couteau. Elle interroge Clémentine du regard qui dit : < C'est délicieux non ? >

Je suis debout derrière Juliette. Je sors ma queue. Clémentine fait un clin d'œil. Je frotte ma bite contre la joue de Juliette.
Lorsqu'elle se rend compte de ce que je fais, elle me repousse en s'écriant : < On s'arrête ! Stop, là ! Ok ! >. Je m'arrête.
Ces réactions, typiquement féminines, ne sont pas pour me déplaire. Je suis contre toute forme de facilité. Il faut mériter.
Nous terminons le repas en évoquant nos différentes aventures, vécues ici, au haras. L'ambiance est à la rigolade. Le sexe.
Clémentine, assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, marque quand même son territoire. Le message est clair.

Juliette, dans un souffle, d'une voix étrangement sensuelle, nous murmure : < Mais comme je vous envie tous les deux ! >
Divorcée depuis huit ans, Juliette vit seule. C'est un choix. Par contre, et de par son activité, les rencontres sont possibles.
Pourtant la jeune femme se contente de deux relations assez curieuses. Gérard et Pierre Walter, mari de sa collaboratrice.
< Cela me convient parfaitement. Je n'ai nulle envie de m'attacher ! > précise une fois encore Juliette. Nous comprenons.
La vaisselle. Nous aidons à ranger. Il est 22 h. Je suis dans l'encadrement de la porte. Je me branle devant les deux filles.

Juliette regarde mon sexe avec envie. Clémentine passe derrière moi pour me le saisir entre le pouce et l'index à sa base.
Elle l'agite dans la direction de Juliette en disant : < Si nous venons vendredi soir, j'exige que vous suciez Julien. Ok ? >
< Si vous me prenez par les sentiments ! > répond Juliette. Nous rigolons comme des bossus. Il est déjà l'heure de partir.
Juliette nous raccompagne sous un immense parapluie. Je la touche à nouveau en lui serrant la main. Avec vulgarité. Joie.
Nous quittons. Au lit, nous faisons l'amour. Clémentine confie son ressenti. Me félicite. Je lui offre un cunni d'enfer. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire toucher le sexe par surprise et par un véritable salopard…

Julien - (Dont le comportement de salopard, exigé par Juliette au téléphone, ravi Clémentine jusqu'à l'orgasme) -

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Nous voilà à la fin de cette quinzième page.

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette", Gérard et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique seizième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

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Nous racontons nos exploits à Estelle

Hier matin, c'est la Suite pour Piano de Poulenc qui nous arrache du sommeil sans la moindre pitié pour nos nerfs. Difficile.
< Mais put-Hein Poulain ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé de mon côté sur la tablette.
Quelques papouilles et elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Vêtus de nos tenues de sport nous descendons. 6 h.
Nous préparons notre copieux petit déjeuner que nous savourons en faisant un vague programme du jour. Rien de spécial.
Nous remontons pour nous offrir notre heure de gym. La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine.

Il fait une météo épouvantable. Des bourrasques incessantes, parfois violentes. Il pleut à verse. Une fraîcheur désagréable.
Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Quatre bisous. Je regarde la voiture s'en aller. Je me dépêche de rentrer. 7 h45.
Je fais le lit, la vaisselle avant de passer dans l'atelier pour y allumer un feu dans la cheminée. Je prépare palette, pinceaux.
Il est 8 h15 lorsque je suis enfin installé devant mon chevalet. Je peins dans une délicieuse euphorie. C'est magistral. Joie.
Il est aux environs de dix heures. La musique ridicule de mon smartphone qui vibre au fond de la poche de ma blouse. Lin.

Je crois savoir qui c'est. Je m'en saisis. Gagné. C'est Juliette. En mode "haut parleur", nous bavardons tout en travaillant.
Après les mondanités, Juliette en vient rapidement à évoquer la soirée. Notre délicieux repas, mon comportement. Sympa.
La jeune femme m'avoue à quel point mes attitudes la flattent, la séduisent et lui procurent la plus suave émotion. Sexe.
Je lui promets d'opter pour ce comportement à chaque fois que cela sera possible. Je l'entends glousser de plaisir. J'adore.
Une fois encore, Juliette se montre insistante pour ce vendredi. La jeune femme aimerait tant notre visite au haras. Super.

Je lui promets de soumettre sa requête à Clémentine, dès son retour ce soir. Sinon, nous passerons dimanche après-midi.
Nous bavardons ainsi une bonne demi-heure. Les confidences de Juliette m'étonnent et me procurent une terrible érection.
Je lui en fais part. < Je vous fais cet effet là ? J'en suis très flattée ! > me fait la jeune femme. Nous en rions de bon cœur.
Je lui promets une bonne surprise un jour. Je lui dis : < Vous ne perdez rien pour attendre ! Ma vengeance sera terrible ! >
C'est en rigolant comme des bossus que nous nous saluons avant de raccrocher. Il est agréable de peindre en bandant dur.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare la pâte à pain pour les pizzas de ce soir. Je fais bouillir de l'eau salée.
J'y plonge les coquillettes avant de concocter une belle garniture. Tomates, ail, oignon, champignons, persil et la ciboulette.
Je râpe du gruyère de Comté. Je récupère de la garniture comme sauce en accompagnement de mes coquillettes. Un délice.
La pâte repose sous un linge dans un saladier. La garniture sous un couvercle dans une casserole. Pour ce soir tout est prêt.
La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 12 h50 lorsque je suis à nouveau confortablement assis devant mon chevalet. Parfait.

Je peins avec la sérénité du "juste". Avec une sorte de dévotion mystique qui m'amuse beaucoup. Je pense à Juliette. Bien.
Cette étonnante jeune femme qui, pendant presque deux ans, n'a cessé de se révéler. Et tout comme Estelle, notre intime.
Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son cartable dans le canapé et se précipite vers moi.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle raconte ses cours, les profs, le menu du restaurant universitaire.
Il lui faut mettre au propre les notes prises aujourd'hui. La voilà installée devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Bien.

Je raconte le coup de fil de Juliette. < Put-Hein mais elle va vraiment finir par appeler tous jours. Salope ! > dit Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Il est 18 h15 quand Estelle arrive à son tour. Elle se précipite pour me couvrir le visage de bises.
Assise sur mes genoux, Estelle m'écoute répondre aux questions de Clémentine concernant l'appel téléphonique de Juliette.
< Et si nous n'existions pas dans ta vie, Julien, tu te mettrais avec cette femme ? > me demande une nouvelle fois Estelle.
Je réponds sans hésiter, comme à chaque fois, et sans la moindre hypocrisie : < Bien sûr ! C'est un bon parti. Superbe ! >

< Seulement voilà, nous existons ! > fait Estelle en glissant sa main sous ma blouse afin de la glisser dans ma braguette.
< Et plutôt deux fois qu'une ! > rajoute Clémentine qui se leve pour venir derrière moi, ses bras autour de mon cou. Bises.
Je les rassure toutes les deux. Nous en rions de bon cœur. Les filles sont installées devant l'ordi à comparer leurs travaux.
Nous travaillons jusqu'aux environs de 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Nous voilà assis devant la cheminée. Le repos.
A l'étage, notre fantôme semble traîner des pieds ce soir. < Aussi fatiguée que nous, la Christine ! > fait Estelle. Rigolade.

Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Estelle ne cesse plus de me masser la turbe, sa main dans ma braguette. Joie.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Estelle travaille la pâte à pain si délicatement onctueuse.
Je réchauffe la garniture. Estelle étale la pâte sur les trois grands plats rectangulaires. J'y verse la garniture. Estelle l'étale.
Je saupoudre d'une quantité industrielle de gruyère et de Parmesan râpé. Estelle y dispose des petits cubes de Roquefort.
Au four. Clémentine a mis la table. Estelle, sa main à nouveau dans mon slip, me lance : < Tu me montres tes couilles ? >

Clémentine nous entraîne au salon. Les filles sont vautrées dans le canapé. Je reste debout. Je sors ma bitte, mes couilles.
Estelle me fait : < J'aime ton billard de poche ! Je peux me faire une partie ? >. Nous rigolons comme des bossus. Coquine.
Clémentine me fait un clin d'œil tout en faisant une bosse avec sa langue à l'intérieur de sa joue. Je comprends le message.
Je m'approche. Je suis debout entre les jambes écartées d'Estelle qui se penche en avant pour humer l'odeur de la journée.
Elle pose ses mains sur mes hanches pour prendre appui. Elle renifle longuement ma bite que décalotte un peu Clémentine.

< J'aime votre Parmezob, Maître ! > me fait Estelle en passant sa langue sur la partie apparente et violacée de mon gland.
Clémentine soupèse mes couilles. Estelle me lance encore : < A côté des couilles de ce vieux Gérard, c'est un peu léger ! >
< Mais elles sont aussi juteuses ! > répond Clémentine qui me les tient à présent, faisant un anneau du pouce et de l'index.
Estelle se met à téter le prépuce que Clémentine a soigneusement remonté afin de protéger mon gland de cette fraîcheur.
Elle sait que je déteste avoir le gland à l'air. Les deux filles préfèrent d'ailleurs mâchouiller la peau fripée de mon prépuce.

Clémentine observe toujours avec l'attention d'une entomologiste. Elle aime ce spectacle autant que moi. Estelle qui suce.
Il se dégage de ces moments, une telle intensité, une telle sensualité que s'en est émouvant. Les gémissements si beaux.
Je caresse les cheveux et les joues des deux coquines avec tendresse, douceur. Avec amour. Je passe ma bite à chacune.
Je me fais tailler une pipe des familles. Il m'est impossible, les yeux fermés, de savoir laquelle qui suce. Et c'est si bon !
La position est inconfortable. Mes lombaires sont congestionnées. Presque douloureuses. Je suis cambré, genoux fléchis.

La sonnerie du four. Nous cessons. Les filles ont du foutre plein la bouche. Elles me les montrent grandes ouvertes. Rires.
Nous nous précipitons à la cuisine. Les pizzas sont des merveilles. Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table.
A plusieurs reprises, Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Avec sa vulgarité habituelle. Comme toujours.
Je me lève pour agiter ma bite dans sa direction. Clémentine mime une pipe en me faisant à chaque fois un clin d'œil. Joie.
Nous prenons notre dessert en évoquant quelques unes de nos aventures sulfureuses et "croustillantes". Surtout au haras.

Je rappelle à Clémentine que nous sommes invités demain soir, vendredi au haras. Juliette aurait grand plaisir à nous voir.
< Elle veut surtout se faire tripoter la chatte ! > fait Estelle. < J'exige qu'elle fasse une pipe à Julien ! > rajoute Clémentine.
Je dis : < Le jour où cette belle salope aura affaire à moi, je vais lui en faire baver ! >. Estelle fait : < Et tu t'y connais ! >
Je réponds : < La bave ! C'est ton truc aussi ! >. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < Du jus de bite ! >
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle se saisit de ma queue pour m'entraîner aux toilettes. < Pissou ! > me dit elle.

Je suis debout devant la cuvette. Estelle à ma droite qui me tient la bite pour en diriger le jet. Et Clémentine à ma gauche.
Toutes les deux, penchées en avant, leurs visages tout près, me regardent pisser en échangeant leurs impressions. Sympa.
Je pisse par petits jets nets et précis. < C'est génial ! On sent quand ça passe le long du tuyau ! > fait Estelle tout en riant.
Clémentine me soutient les couilles. Le dernier jet. Estelle s'accroupit la première, à toute vitesse, pour sucer avec fougue.
Clémentine, qui s'est fait précédée, se met à genoux sur le carrelage. Elle attend son tour. Estelle n'arrête plus. Elle pompe.

Je sors ma queue gluante pour la donner un peu à Clémentine. Estelle a du foutre jusque sur le menton. Coulures gluantes.
Elle regarde au fond de la cuvette. Je tire la chasse. Je lui donne à nouveau ma queue. Je passe de l'une à l'autre. Sympa.
Quelques minutes à leurs offrir de la jute mélangée aux derniers épanchements pisseux et je les force à cesser. A se relever.
Je me penche pour leurs masser les genoux. < Notre bon "Maître" est si attentionné avec nous ! > chuchote Estelle. Rires.
Je dis : < Mes délicieuses "Soumises" ont besoin des plus grands égards ! >. Elles me couvrent le visage de bisous. Douces.

Je les entraîne sans ménagement, en les tenant par la tignasse, jusqu'au salon. Je propose de leurs lécher le minou. Cunni.
Estelle me montre le cadran de l'horloge Westminster et me fait : < Il est déjà 21 h45. On remet ça. Je préfère te sucer ! >
Je consulte Clémentine du regard qui répond : < Je me fais bouffer la chatte au lit, ce soir, alors suce tant que tu veux ! >
Estelle, toute contente, me fait tomber dans le canapé, se met à genoux sur l'épais coussin entre mes jambes et m'observe.
< Tu sais que tu m'éjacules dans la bouche à chaque fois ? Combien de litres de foutre tu m'as déjà déversé ? > fait Estelle.

Clémentine, vautrée dans le fauteuil, une main dans sa culotte nous observe. Je tiens Estelle par ses oreilles pour la guider.
Rien n'excite davantage Clémentine que d'assister, une fois encore, à ce spectacle. Regarder mon comportement de salaud.
Je chuchote des douceurs à Estelle. J'y mêle les plus triviales cochonneries. Je l'entends glousser de bonheur. J'en rajoute.
Le gargouillis bulleux. Le chant des gémissements jouissifs des deux filles. Quelle merveilleuse symphonie. C'est un plaisir.
J'éjacule. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Il est 22 h30. Séparation difficile. Je la console. Nous la regardons partir.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment tenir la bite du mec de leur copine pour en diriger le jet au dessus des WC…

Julien - (Qui offre à Clémentine un merveilleux cunnilingus. Son orgasme est tellurique. Grandiose. Clémentine en hurle) -

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Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 729 -



Clémentine termine à midi

Hier matin, vendredi, c'est le Concerto pour piano de Tchaikovsky qui nous arrache de nos sommeils, avec dramaturgie.
< Te casse pas la gueule en ski ! > fait Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur dans une ambiance de fête. C'est vendredi. Clémentine termine à midi. Nous filons aux chiottes.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Nous préparons le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un très vague programme de la journée. Il n'est pas question de chevaux.

Nous remontons pour faire notre heure de gymnastique. La douche. Je descends pour sortir l'auto de Clémentine. Pluie.
Elle me rejoint chaudement vêtue. La météo est toujours encore la même. Médiocre. Venteuse. La fraîcheur désagréable.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture s'en aller. Il est 7 h45. Je me dépêche de rentrer au chaud et surtout au sec. Dur.
Je fais le lit, la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée. Je prépare la palette, les pinceaux.
Il est 8 h15 lorsque je suis enfin confortablement assis devant mon chevalet. Je peins dans une folle euphorie. C'est bon.

C'est la perspective de terminer cette vingt et unième toile pour onze heures qui me rend aussi joyeux. C'est fantastique.
La matinée passe à une vitesse folle. Comme prévu, je termine mon petit paysage bucolique vers 11 h15. Timing parfait.
Je dépose le tableau achevé sur un second chevalet. Je dépose une toile vierge sur le chevalet de travail. Grand moment.
Je nettoie mon matériel dans une joie fébrile. Il est presque midi. Je rajoute deux bûches dans la cheminée. C'est si beau.
Je vais à la cuisine. Je lave deux grosses endives. Je mets du pilpil de blé dans l'eau bouillante. Je pane les filets de saule.

Voilà Clémentine qui arrive. Elle a les cheveux légèrement mouillés. Elle se précipite pour me sauter au cou. Si heureuse.
Je la soulève pour la faire tournoyer. Elle me couvre le visage de bisous. < C'est Week-end ! Enfin ! Je t'aime ! > dit elle.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement tout en me racontant sa matinée. Les cours, les profs. Bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Dehors, les bourrasques jettent des paquets d'eau contre les carreaux.
Ce temps épouvantable n'incite pas à la promenade. Et par la fenêtre nous pouvons voir les branches qui jonchent le sol.

Nous traînons à table. C'est le début du Week-end. C'est ce qui nous importe vraiment. La perspective d'êtres ensemble.
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine évoque la possibilité d'aller au haras en soirée.
J'écoute. Si elle propose ce choix, c'est pour nous offrir de quoi satisfaire nos libidos éprouvées par cette météo. Superbe.
Je ne dis rien. C'est tellement passionnant de l'entendre disserter sur ce projet. C'est très excitant également. C'est bien.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine évoque la nouvelle crêperie près de la Faculté.

Je propose d'y aller manger pour 19 h, ce soir, avant de nous rendre au haras. Suggestion applaudit. Elle me saute au cou.
< Tu as toujours de bonnes idées ! > me fait Clémentine que je soulève. Je dis : < Toi aussi tu as d'excellentes idées ! >
Nous allons dans l'atelier. Je fais tomber Clémentine dans le vieux canapé. Je lui murmure : < Donne moi ta chagatte ! >
Elle retire ses jeans et sa culotte en riant. Je suis à genoux sur un des épais coussins. Le visage entre ses cuisses écartées.
Clémentine me tient par les oreilles en chuchotant : < Tu vas me rendre folle. Et je ne réponds pas de moi pour ce soir ! >

Je hume longuement l'odeur de sa matinée de fille. C'est fameux. Je passe ma langue dans les plis des lèvres de son sexe.
Ce goût légèrement vinaigré, acidulé, m'enivre rapidement. Je décalotte son clitoris du bout de mes lèvres. Gémissements.
Le spasme qui agite soudain le corps de Clémentine m'indique la marche à suivre. Il me suffit de laisser aller mes instincts.
J'offre à Clémentine un moment de plaisir intense. Il faut rester vigilant. Pas question d'aller jusqu'à l'orgasme. Trop bien.
Clémentine apprécie par dessus tout de rester très excitée tout le restant de la journée. Même si elle contrôle parfaitement.

Nous frisons les étapes critiques à quelques reprises. Cette fois, je cesse définitivement. Et Clémentine me tend ses mains.
Je l'aide à se redresser. Elle remet ses vêtements. Nous avons tous deux du travail. C'est un tout autre moment de partage.
Clémentine est assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Je suis assis devant mon chevalet. Feu dans la cheminée.
Je commence le dessin préparatoire de la vingt deuxième toile destinée à ma saison d'été. Un nouveau paysage romantique.
J'y place toujours un personnage. Cette fois c'est un vieil homme qui pousse une charrette. A proximité d'une chute d'eau.

Mon dessin est toujours soigné, minutieux, détaillé et méticuleux. Une œuvre d'art en soi. Il doit être parfait. Je m'applique.
Ces petits paysages bucoliques, qui ne sont pas sans évoquer l'école de Barbizon, connaissent toujours un succès certain.
Je m'amuse à donner à ces toiles un aspect intemporel. Nous travaillons ainsi tous les deux dans cette ambiance studieuse.
C'est un grand plaisir. Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Douceurs. Bisous. Chuchotements. 17 h. Le thé au jasmin.
Deux petits gâteaux secs en récompense de nos efforts. Clémentine aime passer les couches d'impression sur le dessin fini.

J'aime la voir appliquer les couches de peinture acrylique "Terre de Sienne" diluées dans l'eau. Elle croise les deux couches.
Ces couches sèchent rapidement. Dès lundi, elles recevront les couches supérieures à l'huile. Je félicite Clémentine. Bisous.
Il est 18 h. Il a fait sombre toute la journée. Cela s'accentue avec l'arrivée de la nuit. Nous restons assis devant la cheminée.
Le spectacle des dernières flammes est une attraction hypnotique. A l'étage, nous entendons errer notre fantôme. La nuit.
< On se fait nos crêpes à la maison, tu veux ? Et puis on va au haras après, le temps est trop médiocre ! > dit Clémentine.

Nous rions de bon cœur de notre lâcheté devant les éléments. C'est vrai que cette météo n'invite pas du tout à l'aventure.
Clémentine, sa main dans ma braguette, chuchote : < Et puis tu m'as méchamment "allumée" en début d'après-midi ! >
Je lui glisse la main dans la culotte. Effectivement, ça glisse ! Nous en rigolons comme des bossus. Nous quittons l'atelier.
Clémentine fait une rapide salade de tomates. Je prépare une pâte à crêpe. J'émince des champignons que je fais rissoler.
Je râpe du Parmesan, du gruyère. Je coupe de petits cubes de Roquefort. La préparation est rapide. Les crêpes délicieuses.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Rigolades.
Nous mettons des jeans propres. Chemises à carreaux. Accroupie à ma droite, Clémentine appuie sa tête contre ma cuisse.
Nous nous observons dans le miroir de l'armoire. < Je vous aime "Maître" ! Si vous saviez à quel point ! > fait Clémentine.
Je pose ma main sur sa tête pour dire : < Je vous aime ma délicieuse "Soumise". Je suis fou de vous ! Je vous vénère ! >
Nous rions de bon cœur. Ce jeu de rôle nous amuse toujours considérablement. C'est récent. Mais cela traduit bien la joie.

Clémentine se met à genoux devant moi pour appuyer son visage contre ma braguette. Elle a son regard implorant. Belle.
J'ouvre mon pantalon. Je sors mon Zob et les couilles. Clémentine y frotte son visage en gémissant. Je caresse ses joues.
Je lui chuchote des < Je t'aime ! > à n'en plus finir. Clémentine se met à téter. Gardant juste le prépuce entre ses lèvres.
C'est toujours émouvant de la voir ainsi, merveilleusement belle, les yeux fermés, concentrée sur ce qu'elle fait. Sublime.
Pas de doute. Notre visite au haras sera pour une autre fois. Clémentine se prend tellement à son jeu qu'elle en chancelle.

Je suis obligé de la tenir. J'entends ses gémissements, ses petits cris de plaisir. Il serait insensé d'y mettre un terme. Bien.
Je la tiens par les oreilles. J'ai juste le bout de la bite dans sa bouche. Et je fais attention de ne pas en enfoncer davantage.
Je me fais tailler une pipe des familles. Je suis pris de vertige. Ce sont mes lombaires endoloris qui maintiennent mon éveil.
Je force doucement Clémentine à se relever. Je me penche pour lui masser les genoux. < Mon bon "Maître" ! > me fait elle.
Nous nous serrons fort. Nous nous embrassons jusqu'au vertige avant de tomber sur le lit. Nous arrachons nos vêtements.

< J'attends tellement ces trop rares moments où nous sommes seuls. Juste toi et moi. Ça me manque ! > fait Clémentine.
C'est vrai que nous sommes souvent à trois, avec Estelle, où avec Juliette. < Trop souvent, Julien ! > rajoute Clémentine.
Je comprends le message. Je m'introduis doucement et avec d'infinies précautions. Clémentine me guide avec son bassin.
Nous restons immobiles. Nous aimons tant nous retrouver l'un dans l'autre sans bouger, à communier par le regard. Fort.
Clémentine rapproche sa bouche de mon oreille pour me murmurer des choses. Cela participe à maintenir mon érection.

J'adore entendre ses secrets. Ecouter ses révélations les plus intimes. Clémentine raconte ses masturbations dans l'auto.
Son impatience de vivre de nouvelles aventures dès les premiers beaux jours. Ses désirs d'exhibitions durant les vacances.
Notre séjour prochain, en Gironde, s'annonce déjà prometteur. Clémentine veut se surpasser. Aller encore plus loin. Vice.
Je lui promets de tout mettre en œuvre afin de lui permettre les plus folles expériences. Le séjour Girondin s'annonce bien.
Parfois, nous nous mettons à bouger doucement. Nous bercer. Nous revenons à l'immobilité. Pour recommencer les aveux.

Clémentine me supplie de lui proposer des scénarios. De lui confier mes désirs secrets. Mes fantasmes sont toujours pareils.
J'aimerai la voir sucer un parfait inconnu, quelque part, en restant dissimulé pour admirer la scène. Cela excite Clémentine.
< Je te promets de le faire un jour ! Ça me travail aussi ! > me confie t-elle. Je me retire pour lui offrir un doux cunnilingus.
Son orgasme est prodigieux. Elle tente de me repousser mais je recommence sous les gémissements de plaisir. Le bonheur.
Le second orgasme l'épuise totalement. Je la serre contre moi. Les derniers secrets. Je suggère de continuer demain. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui apprécient de faire l'amour au lieu d'aller manger des crêpes par un temps pourri…

Julien - (Dont les fantasmes assez "classiques" ravissent Clémentine. Sucer un inconnu. Pourquoi pas ? Sacré Julien !)

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Je baise avec Estelle devant Clémentine

Hier matin, samedi, nous nous réveillons quasiment en même temps. Il est 7 h30. Nous nous serrons fort. Des papouilles.
L'impérieux besoin naturel met rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons jusqu'aux WC.
Vêtus de nos tenues de gym, nous dévalons l'escalier à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Préparer notre bon petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un vague programme de la journée. Ce qui est prépondérant c'est le repos.
Surtout pour Clémentine dont les cours sont intenses. La vaisselle. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement.

La douche. Nous nous habillons chaudement. Dehors le ciel est gris et lourd. Il ne pleut pas. Le vent qui souffle avec force.
Décidément, ce mois de mars est fidèle à sa réputation ancienne. Le mois à la grenouille. Le mois des giboulées et du vent.
Nous enfilons nos anoraks. Nous sortons. La fraîcheur est désagréable. Je roule doucement. Clémentine joue avec mon Zob.
Trois petits kilomètres et nous arrivons au bourg. Malgré la météo, il y a toujours du monde. Je gare l'auto sur le parking.
Nous faisons provision de fruits, de légumes, de fromages, de yaourts, d'œufs, de beurre, crème chez nos artisans locaux.

Nous avons un bon mot avec chacun d'eux. Nous ne traînons pas. Nous revenons rapidement à la voiture. A l'abri du vent.
Nous mettons les produits frais dans la glacière. Nous voilà en route pour la ville. La zone commerciale. Treize kilomètres.
J'ai tout le temps ma braguette discrètement ouverte. Ce qui permet à Clémentine d'y glisser sa main, de sortir ma queue.
Elle ne s'en prive pas. Nous arrivons sur le parking de l'hypermarché. Je bande comme un vrai salaud, sucé tout le chemin.
Je pousse le caddie. Clémentine, munie de la liste de courses, me précède dans les rayons. J'ai débandé. C'est confortable.

Il y a un monde fou ce matin. Nous comprenons rapidement. Il y a une animation dans la galerie commerciale. Des autos.
Un animateur, dans son micro, vante tout un tas de choses dispensable. C'est pénible. Impossible d'y échapper. C'est dur.
Nous qui aimons faire nos courses dans le calme, voilà que cette animation gâche considérablement le plaisir. Dommage.
Ce sont des animations ponctuelles. C'est un peu une tendance qui va s'amplifier dans le secteur commercial. Les affaires.
C'est le prix à payer pour faire de belles découvertes. Nous en sommes conscients même si c'est difficilement supportable.

Malgré tout, après nos achats courants, Clémentine m'entraîne au rayon des magasines, des livres et des albums. Culture.
Il y a là bien trop de clients pour oser imaginer nous offrir un petit plaisir. Elle m'entraîne au rayon des vêtements. Pareil.
C'est assez frustrant pour Clémentine qui aimerait vraiment s'offrir là quelques petits frissons exhibitionnistes de bon aloi.
En parcourant les rayons nous rencontrons madame Walter et son mari. Et c'est toujours un peu gênant pour Clémentine.
Il s'est déjà passé des trucs avec Pierre. Et hors contexte sexuel, Clémentine déteste avoir affaire à un partenaires mâle.

Son embarras m'amuse toutefois beaucoup. Nous bavardons un peu. Cela ne dure pas. Nous voilà au rayon poissonnerie.
< Ça me gêne ! Si tu savais. J'ai déjà sucé ce mec ! > me fait Clémentine. Je réponds : < Et tu le sucera à nouveau ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me dit encore : < Mais pas au supermarché ! >. Nous faisons provision de crustacés.
Fruits de mer, poisson et salicorne. Les moules pour midi sont belles et grosses. Toutes fraîches. De quoi se réjouir. Bon.
Nous passons en caisse. Nous flânons dans la galerie commerciale. Il y a quantité de belles voitures rutilantes exposées.

Il faut louvoyer entre des familles de Simpson, des amateurs de belles autos, des couples et des clients curieux. Sympa.
Là aussi il serait vain de tenter un plan. Nous allons lire le menu de la cafétéria. C'est alléchant. Je propose de manger là.
< On a tout ce qu'il faut. On va se faire les mêmes moules à la maison ! Viens ! > me fait elle en m'entraînant. Je la suis.
Et puis avec ce bruit perpétuel, ce type qui ne cesse de parler dans son micro, il est certainement préférable de rentrer.
Je roule doucement. Clémentine m'a sorti le Zob. Tout en donnant ses impressions quand à notre rencontre avec Pierre.

Il est midi trente lorsque nous revenons à la maison. Pour la toute première fois cette semaine, le ciel s'est enfin dégagé.
Un ciel principalement bleu. Il y a moins de vent et il fait plus doux. Nous en profitons un peu. Nous rangeons nos courses.
Clémentine s'occupe de la salade. La salicorne avec un assaisonnement à la crème. Je prépare le bouillon pour les moules.
Dans le wok, je verse les haricots verts sans les décongeler. Le repas du samedi midi est toujours si rapidement préparé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Clémentine revient sur la rencontre avec Pierre.

Je lui confie à quel point j'avais aimé la voir sucer ce mec depuis ma cachette. Elle m'écoute amusée, faisant la grimace.
Clémentine me raconte en détail. De voir, de regarder, n'est pas pareil que de vivre l'instant. C'est très intéressant. Vice.
Clémentine n'exclue évidemment pas de se retrouver à nouveau en compagnie du mari de madame Walter. De le sucer.
Il faut juste que la circonstance et la situation le permettent. Je dis : < Comptons sur Juliette pour organiser un plan ! >
< Il y a des choses qui se préparent pour le printemps, il me semble ! > répond Clémentine. Nous évoquons Mr Gérard.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Dehors, le ciel est à présent tout bleu. Clémentine me propose d'aller y promener.
Vêtus de nos anoraks et que nous laissons ouverts, nous descendons jusqu'à la rivière. Le sol est détrempé par endroits.
Il suffit d'éviter les coins critiques et boueux. Nous apprécions de pouvoir enfin flâner un peu. Nous nous tenons la main.
Nous marchons doucement. Clémentine me sort la queue. Il n'y a personne et elle adore savoir ma bite accessible. Bien.
Parfois, je la laisse prendre un peu d'avance. Elle se retourne. J'agite mon sexe dans sa direction en le faisant tournoyer.

A chaque fois, Clémentine s'approche très vite pour s'accroupir et la prendre en bouche. Je la laisse suçoter un instant.
Cette méthode de promenade n'empêche nullement d'échanger des propos qui n'ont rien à voir avec la sexualité. Rires.
Clémentine me demande à plusieurs reprises de jouer à l'exhibitionniste. Je me cache alors derrière un arbre, un rocher.
Je surgis tel un diable de sa boîte au moment où elle se demande ce que je lui réserve. Nous nous amusons beaucoup.
Parfois, Clémentine se saisit de mon Zob pour m'entraîner plus loin. Nous quittons la rivière. Là-bas, le pont et le haras.

Il y a plein de voitures garées dans la cour. Plein de monde. Des cavaliers, des cavalières. C'est jour de congé. Normal.
Nous traversons le pont, la petite route. La caravane de monsieur Gérard est toujours là. Son espèce de "campement".
Il va y revenir passer du bon temps à la belle saison. Nous faisons le tour en passant par l'ancienne voie ferrée en haut.
Nous revenons par les ruines du vieux moulin. Clémentine me tient fermement la queue sans la lâcher. Je bande bien.
Moi, j'ai souvent ma main dans sa culotte. C'est bien mouillé. Il y a quelque chose de printanier mais encore si lointain.

Il est presque dix huit heures lorsque nous revenons à la maison. Nous avons flâner plus de trois heures et demi. Super.
Cette agréable promenade à ouvert nos appétits. Nous faisons le tour de la propriété. Il y a des branches cassées au sol.
L'entreprise paysagère intervient au début avril. Il y aura du boulot. Voilà Estelle qui arrive. Elle roule doucement. Super.
Elle gare sa voiture devant le garage. Elle nous aperçoit. Elle sort son grand sac de sport et nous fait de grands signes.
Estelle se précipite sur les dalles pour nous rejoindre devant la roseraie. Elle nous fait la bise avant de me sauter au cou.

Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose. Et par jeu.
Je la soulève à son tour. Nous sommes tous les trois si contents d'être à nouveau ensemble. Estelle découvre ma queue.
Clémentine vient de la sortir en disant : < Tu dis bonjour au monsieur ! >. Nous rions de bon cœur. Estelle déjà accroupit.
Je la laisse se régaler un peu de mes épanchements. Clémentine m'a tant stimulé tout l'après-midi qu'il y a de quoi sucer.
Clémentine saisit Estelle par sa tignasse, disant : < Venez, on rentre ! >. C'est la première fois que je la vois tirer Estelle.

Il est 18 h30. Nous montons tous les trois. Estelle avec son sac de sport. Clémentine et moi pour nous changer. Toilette.
Les filles, pour s'amuser, décident de se vêtir de leurs jupes kilt. Un simple pull de coton fin. Je mets un pantalon, coton.
Nous faisons tous les trois les clowns devant le miroir. Estelle fait des photos. Nous rions beaucoup. J'ai la biroute à l'air.
Accroupie à ma gauche, Estelle me tient la jambe, sa tête sur ma cuisse. Clémentine pareille à ma droite. C'est amusant.
Toutes les deux, cuisses largement écartées, me font des sourires. < Cela vous plaît, "Maître" ? > demande Clémentine.

< Moi, je garde ma culotte, "Maître" ! > me fait Estelle. Nous rions de bon cœur. Je pose mes mains sur leurs têtes. Doux.
Je dis : < Vous êtes les deux plus adorables "Soumises" de la création ! >. Estelle frotte son visage contre ma queue. Rire.
Puis c'est au tour de Clémentine qui se remet rapidement à me sucer. Je dis : < Tu as beaucoup d'appétit aujourd'hui ! >
Elle continue de plus belle en gloussant. Je rajoute : < Et c'est probablement la rencontre avec Pierre, ce matin, non ? >
Sans cesser de sucer, Clémentine lève la tête, me fixe avec un air complice. Son clin d'œil vient confirmer la supposition.

Il est 19 h. Je force les filles à se relever. Entre temps elles se sont mises à genoux devant moi. Je leurs masse les jambes.
Je les tiens par la nuque. Fermement. Nous descendons l'escalier ainsi, prudemment. Je les entends glousser de bonheur.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau, y plonger les légumes que nous épluchons Estelle et moi. C'est bien.
Les filles évoquent leurs cours. Je pane trois beaux filets de cabillaud. Patates, carottes, ail et oignons. Le jus sera soupe.
Il est 19 h30 lorsque nous sommes installés à table. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le repas délicieux.

Nous traînons à table. Comme à son habitude, Estelle se lève souvent pour mimer une masturbation masculine. Coquine.
Elle se met contre le coin de table pour se frotter en disant : < Et ça, tu connais ? >. Clémentine se lève pour faire pareil.
Les deux coquines se frottent pour de bon. Elles ne font pas semblant. C'est une authentique masturbation. Je me lève.
Je prends le troisième coin pour m'y frotter également. Nous rigolons comme des bossus à nous regarder faire les zouaves.
< Put-Hein mais comme c'est bon ! > fait Estelle. Je dis : < Ce soir, les filles, je prends mon dessert entre vos cuisses ! >

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle se saisit de ma queue pour m'entraîner au salon. Elle retire sa culotte. Rire.
Je ne suis pas obligé de faire une seconde demande. Les deux coquines sont à quatre pattes, coudes sur le canapé. Super.
Je me mets à quatre pattes. D'abord derrière Estelle. L'odeur de sa journée de fille m'enivre. Je hume le cul de Clémentine.
Ce n'est pas pareil. Chez Estelle il me faut du courage. Surmonter un certain dégoût. Les poils collent au trou du cul. Sueur.
Je suis rapidement excité. Je passe d'un cul à l'autre. Je les rends luisants. J'ai le bas du visage trempé. Du poil en bouche.

Quand je suce le cul de l'une, je titille le clitoris de l'autre avec mes doigts. L'excitation monte considérablement. Intensité.
Soudain, Clémentine se retourne pour se coucher sur le côté, sa tête sur les mollets d'Estelle, pour me sucer avec passion.
J'ai quand même parfaitement accès à son sexe dont je peux continuer à stimuler le clitoris. Estelle pousse de petits râles.
Je me couche sur le dos. Clémentine s'allonge à mes côtés, sa tête sur mon ventre. Estelle frotte son sexe sur ma bouche.
J'aime sentir le sexe d'Estelle frissonner sur mon visage. Il y a de quoi bouffer. Depuis quelques temps Estelle mouille bien.

La pipe que me prodigue Clémentine me fait fondre. Je lui caresse la nuque. Parfois j'appuie sur sa nuque pour m'enfoncer.
Je me bouffe la chatte à Estelle que je sens lutter pour retarder son orgasme. Je me montre très vicelard avec Clémentine.
Je sais qu'elle adore ça. Je lui tiens la nuque, le menton ou l'oreille. Je bouge pour me masturber dans sa bouche. Salaud.
Je l'entends gémir de ravissement à chacune de mes initiatives. Soudain, dans un cri, Estelle se crispe. Elle a un orgasme.
C'est merveilleux. Elle se redresse, se pose à nouveau sur mon visage, se relève à nouveau. Cette salope cherche à pisser.

Je n'ai pas le temps d'anticiper. Je suis inondé de pisse chaude. Clémentine a cessé de me sucer pour s'écarter. Prudente.
Estelle, sournoise, bien vicelarde, reste assise sur ma gueule. Je prends un vrai shampoing. Elle se redresse enfin en riant.
< Monsieur est servi ! > me fait elle avant de rajouter : < Oh le pauvre il s'est fait pisser à la gueule par une jouisseuse ! >
Clémentine revient des toilettes avec une serviette propre. Je peux m'essuyer la tête et me sécher. Je retire ma chemise.
< Vous allez me punir, mon bon "Maître" ? > fait encore Estelle, de son air innocent habituel. Clémentine me suce un peu.

Estelle prend le coussin, le pose au sol devant le bureau, s'y met à genoux, me lance : < Je mérite, "Maître" ! Je mérite ! >
Clémentine ne cesse pas de me sucer. Il faut dire qu'il y a de quoi se régaler. Tout cela m'excite quand même beaucoup.
Je me rapproche d'Estelle. Elle pose ses mains sur sa tête et ouvre grand la bouche. C'est Clémentine qui y met ma queue.
Je me fais sucer comme un bienheureux. Clémentine s'est redressée pour m'embrasser. Elle a glissé sa main sous sa jupe.
Je tiens Estelle par les oreilles. Je lui administre un véritable "face Fucking" sans le moindre égard. Elle en pleure de plaisir.

Toutes les deux exigent souvent de ma part que j'ai un comportement bien vicelard. Là, avec Estelle, je suis à la hauteur.
Je me retire. Je lui mets une gifle juste avant de pénétrer sa bouche à nouveau. Ce ne sont jamais des actes de violence.
Cela fait partie de ce qui m'est demandé. Je saisis Estelle par sa tignasse pour la forcer à se relever. Et jusqu'au canapé.
Clémentine, ravie de ce spectacle, ne cesse de se masturber. J'écarte les cuisses à Estelle. Je me couche sur elle. Vulgos.
Je frotte mon sexe contre le sien. < Génial ! > s'écrie t-elle en donnant un coup de reins afin de bien me faire comprendre.

Je la pénètre doucement. Malgré ma fougue, je reste toujours parfaitement maître de mes pulsions. Et je reste immobile.
Estelle me regarde. Elle passe ses mains autour de mon cou. Clémentine est debout derrière moi. Elle me tient les couilles.
< Tu es en moi ! Julien ! Vous êtes en moi "Maître" ! > murmure Estelle qui se berce de plus en plus vite. Je synchronise.
Je suis redressé sur mes bras afin de laisser Estelle se suspendre à mon corps. Je ne l'ai jamais vu avec un tel désir. Fou.
Clémentine est à genoux, une main sous sa jupe. Elle nous regarde tour à tour. Nous sommes entrain de baiser. De niquer.

C'est la toute première fois que je vois Estelle s'oublier à un tel point. C'est certainement sa toute première véritable baise.
Elle est accrochée à moi. C'est elle qui bouge. Qui se contorsionne pour trouver le meilleur angle de pénétration. C'est bon.
Clémentine a soudain un spasme. Son orgasme est fabuleux. Elle se laisse tomber sur le côté, ses mains entre ses cuisses.
En même temps, Estelle connaît un second orgasme. C'est sa toute première fois comme ça. Elle retombe. Et lourdement.
Je la caresse. Je dépose plein de bisous sur son visage. < Je t'aime, Julien. Je vous aime "Maître" ! > me chuchote t-elle.

Nous reprenons tous les trois nos esprits. Dur. Nous sommes couchés par terre, sur l'épais tapis qui a échappé au désastre.
< Et toi ? > me demande Estelle. Clémentine répond : < C'est pour moi ce soir ! >. Nous rions de bon cœur. Je les serre.
Nous sommes tous les trois épuisés. Je propose de monter. Sèche cheveux à la salle de bain. C'est Estelle qui me le passe.
Nous voilà au lit. Estelle s'endort la première contre moi. Clémentine me murmure ses ressentis. Elle n'est pas jalouse. Ouf.
Elle me taille une pipe d'une indicible douceur. S'arrêtant pour me rassurer. Elle a apprécier de me voir baiser. J'éjacule…

Bonne partie de cul à toutes les coquines qui aiment se faire bouffer la chatte, pisser durant l'orgasme et baiser ensuite…

Julien - (Qui découvre une nouvelle facette dans sa relation avec Estelle. La demande sera grande. Certain) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 731 -



L'anniversaire de la maman d'Estelle

Hier matin, dimanche, c'est la première fois que je suis réveillé en murmures et chuchotements stéréophoniques. Superbe.
Je me suis endormi entre Estelle et Clémentine. C'est Estelle qui est à ma droite. Clémentine qui est à ma gauche. Sympa.
Je passe mes bras autour de leur cou sans même ouvrir les yeux. Je n'ai qu'à écouter les douceurs à mes oreilles. Douces.
Nous restons ainsi le plus longtemps possible. < Comme tu es doux Julien, quand tu baises ! > chuchote Estelle. Douceurs.
< Mais je te rappelle tout de même que c'est mon mec ! > dit Clémentine. Estelle se lève pour trottiner jusqu'aux toilettes.

Clémentine se blotti encore plus fort contre moi. C'est moi qui lui murmure des douceurs. Estelle revient. Et toute espiègle.
Elle est belle dans l'encadrement de la porte. < Je vais préparer le petit déj ! > fait elle avant de dévaler les escaliers. Vite.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons l'escalier à notre tour rejoindre Estelle.
L'odeur de café, l'odeur du pain grillé et surtout l'odeur de la brioche sont de véritables bonheurs. Estelle me saute au cou.
Je la soulève pour la faire tournoyer dans les airs. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose. C'est un jeu.

C'est elle que je soulève à son tour. Nous prenons notre petit déjeuner en traînant à table. Nous mangeons de bon appétit.
Dehors, il y des séquences nuageuses et d'autres plus lumineuses. Le vent est fort par moment. De véritables bourrasques.
Il est 8 h30. Le dimanche matin est consacré au ménage. Estelle se propose de passer l'aspirateur partout de faire le salon.
< Vous ne baisez pas derrière mon dos, pendant que je suis en haut ! > lance Clémentine en se serrant contre moi et fort.
< Pas d'inquiétude, j'ai la chatte un peu congestionnée ce matin à case de la baise de hier soir ! > répond Estelle en riant.

Clémentine monte faire le lit et la chambre. Je nettoie la cuisine, les toilettes du bas et je passe la serpillère sur les sols.
Presque tout le long j'entends Estelle chantonner en passant l'aspirateur. C'est l'immense bonheur de mon dimanche. Joie.
Lorsque je veux monter l'escalier, Estelle qui guettait mon passage, m'attrape par le bras et fourre sa main dans mon slip.
< Julien. Comme c'était bon hier soir. On refait, hein ? > me murmure t-elle avant de m'embrasser. Le goût de la brioche.
Je la soulève. Bises. Je dis : < Viens ! Monte sur mon dos ! >. Estelle me chevauche. Nous montons rejoindre Clémentine.

Clémentine termine tire la couverture. Je jette Estelle comme un paquet sur le lit en disant : < La coquine veut baiser ! >
< Pas aujourd'hui en tout cas ! > lance Clémentine en agitant son doigt d'un air sévère. Je ramasse le tas de draps sales.
Je dis à Estelle : < Et ici, tu sais qui commande ! >. Nous en rions de bon cœur. Clémentine m'entraîne à la salle de bain.
Je nettoie le bac à douche. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Nous entendons Estelle chanter en passant l'aspirateur.
Clémentine me confie ses ressentis. < C'est hyper excitant de me masturber en te regardant baiser Estelle ! > Des bisous.

< Il ne faut pas que ça se passe trop souvent. Et un caractère d'exception me conviendrait assez ! > rajoute Clémentine.
Je la rassure. Elle sait que je ne suis pas un baiseur. Cela ne doit rien remettre en question. C'est notre complicité à trois.
Je précise qu'au bout de deux ans, ce qui s'est passé hier soir est un peu dans la logique des choses. C'est une évidence.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. Gants en caoutchouc et javel.
Estelle ne tarde pas à me surprendre. Elle arrive en silence. Je suis penché au dessus de la cuvette. Elle est derrière moi.

Estelle passe ses mains autour de ma taille pour les poser sur mon sexe. J'ai les mains occupées. Et je suis sans défense.
La coquine me chuchote des cochonneries, faisant allusion à son expérience de hier soir et la comparant aux autres fois.
Nous rions de bon cœur. Je retire mes gants. Je tire la chasse. Estelle a glissé une main dans ma braguette. Elle se serre.
Elle m'embrasse à nouveau avec cette fougue qui me donne le vertige. Je lui demande de monter sur mon dos à nouveau.
Nous descendons ainsi, prudemment, rejoindre Clémentine à la buanderie. A la cave. Nous aidons à trier le linge. Sympa.

Les filles évoquent leurs cours. Une machine tourne avec les draps. Nous en ferons une seconde avant de partir. Superbe.
Nous remontons nous changer. C'est l'anniversaire de la maman d'Estelle. Nous sommes attendus pour midi quinze. Bien.
Dans son sac de sport, Estelle a apporté les vêtements qu'il faut. Les filles ont prévu d'êtres vêtus tous les trois pareilles.
Pantalon noir, à plis et à pinces. Un chemisier blanc sous un pull de fin coton noir au col en "V". Nos souliers noirs de ville.
< Si le message n'est pas clair pour maman, il ne le sera jamais et avec les allusions qu'elle me fait parfois ! > dit Estelle.

Il est certain que pour une femme de 45 ans, les séquelles des orgasmes de sa fille ne doivent pas passer inaperçus. Rires.
< J'ai parfois de ces cernes sous les yeux et il y a les odeurs ! > rajoute Estelle. Je lui avoue à quel point tout cela me gêne.
Estelle me rassure. < Sois cool, je suis majeure et j'aime me sentir libre. C'est Clémentine et toi qui me l'avez enseigné ! >
Que rajouter à de telles évidences. Nous voilà prêts. Les filles sont accroupis de chaque côté. Je suis au milieu. Le miroir.
Toutes les deux me tiennent une jambe. Leur tête en appui sur une cuisse. Je pose délicatement ma main sur les cheveux.

< Notre bon "Maître" apprécie t-il nos initiatives ? > fait Estelle. Je dis : < Que ne ferait -il pour ses deux "Soumises" ! >
Je sors ma bite. Nous nous observons un petit moment dans cette situation proprement surréaliste. C'est aussi excitant.
Les filles se frottent le visage contre mon Zob à tour de rôle. Je dis : < Vous allez sentir la bite toutes les deux ! >. Rires.
Je les force à se redresser. Nous faisons les clowns devant le miroir. Je remballe ma bite. Il est temps d'y aller. C'est parti.
Nous dévalons l'escalier. Nous mettons nos manteaux. Nous sommes tous les trois très élégants. Dehors le vent redouble.

Trois petits kilomètres. Je gare la voiture dans la descente du garage. Nous sommes chez Estelle. Grande maison élégante.
Nous suivons Estelle. Je porte le grand bouquet de fleurs. C'est la maman d'Estelle qui vient nous accueillir. 12 h15. Bien.
Cette femme est d'une élégance et d'une classe naturelles. En la voyant, on sait de qui tient Estelle. Vraiment magnifique.
Nous serrons la main à son papa. Je suis dans un embarras que je dissimule au mieux. Mais c'est une agréable sensation.
Je n'ai pas souvent l'occasion de sentir ces picotements dans mon dos. C'est une impression très excitante. Un autre genre.

Nous sommes tous les cinq assis autour de la grande table ovale du salon. Les filles évoquent leurs études. Je connais bien.
A plusieurs reprises je croise le regard furtif de la maman. C'est assez troublant. Je suis certain qu'elle se doute de choses.
Les femmes ont un sixième sens infaillible. Surtout en ce qui concerne les rapports humains et sociaux. Je donne le change.
Je reste aussi imperturbable que possible. Moi aussi je sais dérouter. Je parle avec son papa. C'est un homme très instruit.
Il me raconte la création de son entreprise. Les deux nouveaux employés embauchés en janvier. Les nouveaux marchés.

C'est un repas familial très classique. A part que je ne sais pas qui de Clémentine ou d'Estelle me fait du pied sous la table.
La maman d'Estelle a l'art consommé de poser des questions à double sens. Une femme rusée et terriblement intelligente.
J'apprécie ces gens. Je sais d'où Estelle tient toute cette classe, toute cette joie de vivre et tout son intérêt pour les études.
Ce sont des gens cultivés qui aiment à échanger leurs savoirs. Nous traînons à table jusqu'aux environs de 15 h30. Super.
Le vacherin glacé du dessert achève de nous alourdir. Estelle nous invite à revoir sa chambre. Et nous la suivons à l'étage.

Dès que nous y sommes seuls, tous les trois, nous laissons nos instincts naturels reprendre le dessus. Estelle sort mon Zob.
Je me retrouve avec la bite à l'air dans la chambre d'une jeune fille. Tout est lumineux, des couleurs pastels partout autour.
Il y a "Bunny Boy", le petit lapin en peluche posé contre l'épais coussin du lit. Estelle me tire par le Zob pour en faire le tour.
Je lui dis : < J'ai un peu honte ! Tu te rends compte ! Dans ta chambre ! Tes parents en bas ! >. Estelle éclate de rire. Joie.
Clémentine et Estelle me sucent un peu, à tour de rôle. J'écoute. Je regarde. Pas de bruit. Je n'arrive pas à rester détendu.

Nous redescendons. Il est temps de partir. La maman d'Estelle est vêtue d'un tailleur strict. Ses longs cheveux en liberté.
Son papa est vêtu d'un pantalon de golf, très British et d'un pull assorti. < J'ai des origines anglaises moi aussi ! > dit il.
< Papa ! Julien est Ecossais ! Ce n'est pas pareil ! > dit Estelle. Nous rions de bon cœur de cette vieille formule. Différence.
Je vends ma grosse berline Allemande tous les trois ans. Le papa d'Estelle serait très intéressé. Je propose un petit essai.
Nous laissons Clémentine, Estelle et sa maman pour faire le tour du bourg. < Ça c'est de la voiture ! > lance t-il enchanté.

Nous revenons. L'affaire sera conclu devant un bon repas. Cette fois chez nous. Dimanche prochain. Estelle saute de joie.
Sa maman la regarde toute contente, très étonnée. Elle me lance un étrange regard. Je suis certain que cette femme sait !
Nous prenons congé. Comme prévu, nous passons au haras pour faire un gros coucou à Juliette. La météo s'est aggravée.
Il y a du monde. L'animation du dimanche se termine. Nous sommes rarement aussi élégant pour venir au haras. Surprise.
Nos hautes tailles, nos vêtements, les deux jeunes filles, cet homme d'âge mûr, de quoi attirer les regards. Et cela a lieu.

Juliette n'a pas beaucoup de temps. Elle vient nous saluer. On doit me prendre pour un propriétaire de chevaux. Le look.
Les premières gouttes de pluie se mettent à tomber. Nous ne nous attardons pas. Clémentine ne veut pas voir Mr Gérard.
Le vieux libidineux n'arrête pas de lui déclarer sa flamme et se montre rapidement beaucoup trop familier. Et il l'a tripote.
Nous quittons le haras. Il est 18 h30 lorsque nous revenons à la maison. Estelle a pris plein de photos de cet anniversaire.
Nous montons nous changer en faisant les clowns. Clémentine fait : < Comme Julien, je suis certaine que ta mère sait ! >

< M'en fout ! > répond Estelle en s'emparant de ma bite pour m'entraîner à la suite de Clémentine dans l'escalier. Sympa.
Clémentine s'occupe de notre salade. Estelle prépare une superbe omelette aux champignons. Je pane des filets de saules.
Nous mangeons de bon appétit. Même si nous traînons à table, nous n'avons qu'une envie, nous faire du bien. C'est super.
Cette journée nous a considérablement excitée. Après la vaisselle, je bouffe les chattes des deux filles. C'est un vrai plaisir.
Les orgasmes sont délirants. Il est 22 h30. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation difficile. Au lit. Un bon dodo.

Bon dimanche à toutes les coquines qui aiment fêter l'anniversaire de leur maman en faisant du pied sous la table…

Julien - (Qui a encore vécu un truc "chaud" et excitant en compagnie des parents d'Estelle à qui il va vendre sa bagnole) -

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Début de semaine et révélations

Hier matin, lundi, ce sont les trompettes d'Aïda de Verdi qui nous arrachent avec violence et sans pitié de nos sommeils.
< Salaud de Verdi ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. Rire.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Et vêtus de nos tenues de gym, nous descendons en vitesse.
Morts de faim, nous préparons un solide petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. De la brioche.
Il en reste toujours le lundi matin. < On baise trop tard ! Le matin on est crevé ! > me fait Clémentine. Nous en rigolons.

Nous remontons nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint chaudement vêtue sous son parapluie. Il y a la fraîcheur désagréable. Il est 7 h45. Dernier coucou, bisou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit et la vaisselle. C'est le rituel.
Je vais dans l'atelier pour y allumer un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je suis fébrile.
Tellement impatient de me livrer corps et âme à ma passion. Il est 8 h15 lorsque je suis enfin assis devant mon chevalet.

Je commence ce matin la vingt deuxième toile destinée à ma saison d'été. Je peins dans la sérénité du juste. Vainqueur.
Ces petits paysages romantiques connaissent un franc succès. Je n'en présente jamais assez dans ma galerie. Dommage.
Il est aux environs de dix heures lorsque la musique imbécile de mon smartphone brise le silence monacal de mon atelier.
Je m'en saisis. Je mets sur mode "haut parleur". Ainsi je peux continuer à travailler tout en bavardant. Et je sais qui c'est.
Je décroche. C'est Juliette. Cela me fait plaisir de l'entendre. La jeune femme me raconte l'animation du haras, hier. Bien.

Mais ce n'est pas seulement pour me parler de chevaux que Juliette me téléphone. C'est pour me raconter ses aventures.
Vendredi soir la visite de Gérard. La pipe à ce vieux dégoûtant. Le samedi soir chez les Walter à se faire baiser par Pierre.
J'apprécie beaucoup les descriptions détaillées de cette vicieuse. Elle prend un malin plaisir à évoquer des détails salaces.
J'entre facilement dans son jeu. Je pose quelques questions qui lui permettent des descriptions bien tordues, suggestives.
Cela fait quelques temps que Juliette n'exprime plus ses frasques par métaphores mais par des expressions argotiques.

Je bande. Mon sexe, tordu au fond de mon slip, nécessite que je le sorte. Il peut enfin exprimer sa superbe turgescence.
Juliette redouble de propos tendancieux. Elle est seule dans son bureau. Elle me confirme se toucher tout en bavardant.
La conversation dure une bonne demi-heure. Nous nous saluons. Je promets que nous viendrons manger mercredi soir.
Je bande encore un long moment après avoir raccroché. De peindre en érection est source d'inspiration pour tout artiste.
Il est rapidement midi. Je mets deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. J'épluche, patates, carottes et navet.

Je lave une belle salade verte. Il y en aura pour ce soir. Je remue sans arrêt la potée. Ail, oignon, ciboulette, persil. Sel.
Je me fais rissoler un filet de lieu noir sur lequel je rajoute des petits champignons noirs. Sel, épices, poivre et moutarde.
L'assaisonnement de la salade. Je mange de bon appétit en tentant de supporter les informations calibrées et formatées.
Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Je retourne dans l'atelier. Il est à peine 13 h. Me voilà assis devant mon chevalet.
Cette séance d'après-midi est aussi heureuse que celle de ce matin. Il est rapidement 16 h20. Le retour de Clémentine.

Elle se précipite pour me faire plein de bisous. J'anticipe toujours en posant ma palette et mes pinceaux sur la table. Joie.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le menu du restaurant universitaire. C'est super.
J'aime écouter. Assise devant l'ordinateur, entourée de ses fiches, Clémentine m'écoute raconter le coup de fil de Juliette.
< Mais quelle salope ! > ponctue t-elle à chaque fois que j'aborde une nouvelle description faite par la patronne du haras.
Nous en rions souvent de bon cœur. Clémentine insiste. Je ne dois rien oublier. Ce qui l'intéresse c'est samedi soir. Pierre.

A tel point que je demande : < Tu envies Juliette ? Tu as envie de baiser avec Pierre ? >. Clémentine vient me rejoindre.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle chuchote : < Juste pour voir. Juliette en vante les mérites ! >
Je lui propose d'en parler avec Juliette, d'organiser un plan. < Tu serais d'accord, vraiment ? > me demande Clémentine.
Je la rassure en disant : < Plutôt deux fois qu'une ! Tu as déjà sucé ce mec, pourquoi ne pas baiser avec lui ! >. Silence.
< Nous en parlons tout à l'heure, sur le canapé, tu veux ? > me dit Clémentine avant de retourner travailler un peu. 18 h.

Nous rangeons nos affaires vers 18 h45. A l'étage, notre fantôme semble à nouveau errer sans but. Nous écoutons bien.
Assis devant la cheminée, nous regardons s'éteindre les dernières flammes. Clémentine a passé sa main dans mon slip.
< Après, je te raconte mes impressions ! > murmure t-elle. Je sais ce que cela signifie. Nous quittons l'atelier. La cuisine.
La salade est déjà prête. Il n'y a qu'à préparer l'assaisonnement. Je réchauffe la potée. Je panne deux gros filets de saule.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Nous évoquons le repas d'anniversaire, hier et la maman d'Estelle.

< Tu ne la laisses pas indifférente cette femme. Estelle m'a raconté à midi ! Elle se doute de trucs ! > me fait Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Je précise : < Hélas, cela en restera toujours aux supputations ! Et c'est bien mieux ainsi ! >
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine, assez impatiente, m'entraîne au salon. Nous voilà dans le canapé. Joie.
Clémentine joue avec ma bite. Considérablement excitée par la conversation avec Juliette, les coulures sont abondantes.
< Elle te fait drôlement mouiller, cette salope ! > me fait Clémentine à qui je déboutonne les jeans. Elle m'aide à l'enlever.

Je suis à genoux sur l'épais coussin, le visage entre les cuisses de Clémentine. Je hume les odeurs de sa journée de fille.
C'est fort. C'est jusqu'au vertige. Elle aussi a connu des épanchements. Elle me raconte sa masturbation dans la voiture.
< En ce moment, c'est tous les soirs, en rentrant ! > me confie t-elle en me saisissant les oreilles pour approcher ma tête.
Je me régale de toutes ses sécrétions. Il y a de quoi nourrir le bienheureux que je suis. Cyprine sèche et fraîche. Mélange.
Je décalotte son clitoris du bout de mes lèvres. L'excitation de Clémentine est telle qu'elle me repousse délicatement. Bien.

< Attention ! > murmure t-elle en m'attirant sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles.
Clémentine rapproche sa bouche de mon oreille. Je reste sur mes bras tendus, pour ne pas peser. Elle s'accroche à moi.
< J'ai envie de baiser avec des mecs. De plus en plus souvent. Et Pierre me fait envie depuis quelques temps ! > dit elle.
J'écoute. Je suis émerveillé par les révélations de la fille que j'aime. Elle me propose de tout organiser avec Juliette. Joie.
Je lui rappelle qu'au haras, il y a une séance de "dressage" qui est prévue au printemps. Pourquoi ne pas y inclure Pierre.

Nous nous berçons. Et ces confidences sont toujours tellement excitantes. Nous bougeons en rythme avant l'immobilité.
Clémentine ne cesse de vouloir mon approbation pour telle ou telle chose. Je la rassure à chaque fois. Elle recommence.
Je lui rappelle : < Tu as 21 ans. Tu es une magnifique jeune fille. Tu dois profiter de ta jeunesse ! Ne rien manquer ! >
Clémentine a besoin de l'entendre. Encore et encore. Nous bougeons en rythme. Nous cessons. Et nous recommençons.
Ce soir, les secrets de Clémentine sont particulièrement excitants. Je me retire avec d'infinies précautions. C'est délicat.

Je suis à genoux entre ses cuisses largement écartées. Je me régale de cette étonnante quantité de cyprine qui s'écoule.
< Fais attention ! Je ne pourrai rien contrôler. Tu me rends folle ! > fait elle. J'enlève ma chemise et je repousse le tapis.
Les gémissements de Clémentine annoncent un orgasme tellurique. Aussi, je cesse pour recommencer. Je fais durer.
Elle me murmure des choses amusantes, surprenantes. Elle répète plusieurs fois : < Merci Julien de me comprendre ! >
Elle rajoute : < Je veux baiser avec des mecs mais que tu sois toujours là quand ça se passe. S'il te plaît ! Aide moi ! >

Je promets de faire tout ce qu'elle me demandera. Surtout dans ce domaine. Je dis : < On va commencer avec Pierre ! >
< Oui ! > s'écrie t-elle avant que son corps ne soit secoué d'un invraisemblable spasme. Je me fais pisser à la gueule.
Son orgasme est encore plus fou que les autres. Je ruisselle de pisse chaude. Clémentine a eu une véritable éjaculation.
C'est fabuleux. Il y en a dans la pisse. Des coulures marbrées qui ruissellent sur le bord du canapé. Je vais lécher. Miam.
Clémentine, prostrée, ses mains entre ses cuisses serrées, se mordille la lèvre inférieure pour reprendre ses esprits. Dur.

Je me lève pour aller aux toilettes chercher une serviette. De quoi m'essuyer la tête. Clémentine me rejoint dégoulinante.
Elle s'empare du seau, du balai et de la serpillère. Ça aussi c'est devenu un rituel. Et nous en rigolons comme des bossus.
< Mais c'est d'abord ça qui m'intéresse chez les mecs ! > fait Clémentine en se mettant à genoux entre mes jambes. Rire.
< Je veux baiser avec d'autres, mais c'est toi que j'aime ! > rajoute t-elle avant de se mettre à me tailler une super pipe.
Je lui caresse la tête. A mon tour de lui murmurer mes impressions, de suggérer des situations vicelardes, des trucs fous.

Je la regarde sucer. J'aime voir les expressions de son visage pendant que je lui chuchote des choses toutes particulières.
Les petits cris de ravissement. Les petits gloussements affirmatifs. Tout cela participe de nos enchantements. Merveilleux.
J'évoque Pierre et sa bite bien droite. Je dis : < D'après Juliette, c'est un baiseur fou ! Et nous allons voir si c'est vrai ! >.
J'aime lorsque Clémentine rit tout en pipant. J'éjacule. Dans un râle de bonheur, Clémentine tente d'avaler proprement.
Nous restons encore un peu avant de monter. Epuisés. Au lit, nous parlons encore un peu des désirs de Clémentine. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui se réjouissent de toutes les aventures qui les attendent au détour d'un haras…

Julien - (Qui est à se réjouir des évènements à venir. Clémentine va vers sa vie de jeune femme. Bientôt 22 ans) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 733 -



Les révélations d'Estelle

Hier matin, mardi, c'est l'Ouverture pour Piano de Ravel qui nous tire de nos sommeils. C'est d'une cruauté rare. Pénible.
< Ravel ! Tu nous emmerdes ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur. Quelques bisous et nous nous précipitons aux toilettes. Nous descendons jusqu'à la cuisine. Faim.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous mangeons avec appétit. Clémentine revient sur ses aveux de hier soir.
Comme elle termine à midi, le mardi, je lui propose de développer tout ça dès son retour. Nous montons nous entraîner.

La douche. Je descends le premier dans une fraîcheur désagréable pour aller sortir la petite auto de Clémentine. Ciel clair.
Elle me fait un dernier bisou, un dernier coucou. Je regarde la voiture s'en aller. 7 h45. Je me dépêche de rentrer au chaud.
Je fais notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier pour allumer un bon feu dans la cheminée. Je prépare mes affaires.
Palette, pinceaux et couleurs nécessaires. Il est 8 h15. Me voilà enfin installé devant mon chevalet. Dehors, il y a du soleil.
Je peins dans un enthousiasme extraordinaire malgré un léger embarras gastrique qui me fait flatuler de manière sonore.

C'est à 10 h tapantes que résonne la stupide musique de mon smartphone. Je m'en saisis en sachant qui m'appelle ainsi.
Gagné. C'est Juliette. Sur mode "haut parleur", nous pouvons tous deux converser sans cesser de travailler. Très pratique.
Je modère mes pets afin qu'ils soient peu audibles. Après quelques lieux communs, Juliette en arrive à nos préoccupations.
C'est le mardi soir que monsieur Gérard, son ancien palefrenier à la retraite vient la visiter. C'est le mardi soir qu'elle suce.
Comme à son habitude, depuis ses premiers appels, Juliette aime à détailler ses petites aventures sexuelles. Avec passion.

J'écoute plutôt que je ne parle. Pour apporter un peu d'eau à son moulin, entrer dans son jeu, je pose quelques questions.
Les réponses sont à la fois salaces, étonnantes et toujours détaillées au-delà des convenances les plus élémentaires. Bien.
Je lui demande s'il était possible, de préférence un vendredi soir, de bénéficier de la proximité de Pierre. Un grand silence.
Juliette semble étonnée de ce que je propose. J'évoque le fantasme de Clémentine. Je le fais avec son accord bien entendu.
Je suis chargé d'organiser les festivités. Juliette suggère plusieurs possibilités. Plusieurs pistes. Elle paraît enchantée. Joie.

Lorsque Juliette propose d'organiser la fête vendredi soir, je lui précise qu'à partir du 20, Clémentine est dans son cycle.
< On remet au vendredi d'après alors ! Mais je vous rappelle que madame Walter sera là également ! > rajoute Juliette.
Madame Walter, la femme à Pierre, partage les mêmes passions que nous. Elle aime voir son compagnon avec une autre.
Je dis : < Plus on est de fous, plus on rit ! >. Juliette précise : < Il y aura également Gérard. Toujours dans ces fêtes ! >
Je précise que cela n'est pas un problème. Nous bavardons ainsi une bonne demi heure. Nous nous saluons. A mercredi.

Il est rapidement midi. Je mets deux buches dans la cheminée avant de me rendre à la cuisine. Je fais bouillir l'eau salée.
J'y verse les coquillettes. Presque 12 h15. Clémentine arrive en se précipitant. < Je t'aime ! > s'écrie t-elle. Je la soulève.
Elle me couvre le visage de bises avant de se mettre à la préparation de la salade et de son assaisonnement. Méthodique.
Tout en coupant les poireaux en petits morceaux pour les plonger dans l'eau bouillante, je lui raconte l'appel de Juliette.
< Mais quelle salope ! > fait elle en riant lorsque je lui relate certains propos. Je précise que la fête est pour vendredi 29.

Clémentine passe derrière moi. Je suis entrain de préparer une pâte à pain. Elle met sa main dans ma braguette. Bisous.
< Je suis morte de trouille. Je vais me faire baiser par ce type. Ça m'excite autant ! > murmure t-elle en sortant mon Zob.
Clémentine rajoute. < Avec toi, tout est toujours si simple. Je t'aime Julien ! Merci pour cette complicité merveilleuse ! >
J'ai les mains enfarinées. Je me retourne. Clémentine s'accroupit, relève mon tablier et se met à me sucer tout doucement.
Cela ne dure pas. Elle se redresse pour mettre la table. J'égoutte les poireaux que je verse dans une onctueuse Béchamel.

Je récupère un peu de Béchamel en accompagnement de nos coquillettes. J'y rajoute des crevettes rissolées, champignons.
La tarte aux poireaux de ce soir est déjà prête. Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant la soirée du 29 mars. Joie.
Clémentine est considérablement excitée à cette idée. Nous spéculons sur les partenaires des uns et des autres. En riant.
< Tu vas voir, Juliette va se sucer son Gérard. Et peut-être que toi tu te feras sucer par Mme Walter ! > me dit Clémentine.
Elle s'empresse de rajouter : < Mais tu baises pas avec elle, hein ? Je sais, je suis salope de te demander ça. Promis ? >

Je rassure Clémentine. A part elle, je n'ai absolument pas le désir d'en baiser une autre. Et certainement pas Mme Walter.
Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, Clémentine me fait plein de bisous en chuchotant des cochonneries.
Je lui dis : < Fais gaffe que ce vendredi 29 mars, ne reste pas dans les "annales" ! >. Clémentine fait : < Jamais le cul ! >
Nous détestons tous les deux la sodomie. Juliette n'évoque jamais cette pratique avec Pierre. Ce qui est plutôt rassurant.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose un bon léchage de minou avant de nous remettre au boulot. A l'atelier.

Je ne suis pas obligé de le dire deux fois, Clémentine m'entraîne par la queue dans l'atelier. Elle retire ses jeans, sa culotte.
Vautrée dans le vieux canapé, elle me présente sa chatte. Je suis à genoux à humer l'odeur de sa matinée de fille. Sublime.
L'excitation de Clémentine est considérable. La cyprine suinte. Elle m'avoue s'être masturbée dans la voiture sur le retour.
Je me régale. Il faut être d'une grande prudence. Clémentine ne veut surtout pas d'orgasme avant ce soir. Je fais attention.
Je me retire à temps plusieurs fois. Je suce son clitoris géant avec tant de passion. Nous en gémissons de bonheur. Délice.

Il est 13 h30. Il faut cesser. Nous avons tous deux du travail. Nous voilà installés à nos postes. Dehors, un ciel lumineux.
Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Il est rapidement 18 h15. Du bruit. C'est Estelle qui vient nous rejoindre. Joie.
Assise sur mes genoux, elle nous raconte son après-midi. Elle confie les ressentis de sa maman quand à dimanche. Bien.
< Je suis certaine que ma mère se doute très exactement de la nature de nos relations ! > fait encore Estelle. Nous rions.
Les filles sont assises devant l'ordinateur. Elles comparent l'avancée de leurs révisions, travaux respectifs. Une émulation.

Il est 18 h45 lorsque nous rangeons nos affaires. La nuit ne va pas tarder. Nous voilà assis devant la cheminée. Serrés fort.
Clémentine révèle une partie de son nouveau fantasme. Baiser avec Pierre. Estelle semble ravie d'apprendre la révélation.
< Je viens avec ! Si vous m'emmenez ! Je m'occupe de Julien comme ça tu es tranquille ! > propose Estelle à Clémentine.
< Super ! > lui répond Clémentine qui paraît soudain beaucoup plus détendue. Cette perspective la rassure plus que tout !
Nous filons à la cuisine. Estelle travaille la pâte à pain, Clémentine fait la salade, je réchauffe la Béchamel. Tout est rapide.

La Flamiche Picarde est au four. Nous filons au salon en nous tenant par la main, nous entamons une farandole. En riant.
Nous tournons en rond. La proposition d'Estelle de venir avec pour notre fête est la certitude de passer une soirée festive.
< Si Juliette avait un plan "baise" avec Julien, c'est raté puisque c'est moi qui m'occupe de lui ! > rajoute encore Estelle.
Cette certitude finit de rassurer complètement Clémentine qui dit : < Juliette. Femme amoureuse, femme dangereuse ! >
Nous rions de bon cœur. Estelle s'est mise à genoux devant moi en ouvrant la bouche, ses mains posées sur ses cheveux.

< Notre bon "Maître" daigne t-il s'essorer la queue avant de passer à table ? > me fait Estelle. Clémentine saisit mon Zob.
Elle le frotte sur le visage d'Estelle en évitant de la laisser le gober. Malgré ses tentatives désespérées. C'est très amusant.
Je tiens Estelle par sa nuque et sous son menton. Avec des mouvements de tête elle tente de gober mon sexe. Impossible.
Clémentine l'en empêche. Nous en rions tous les trois. C'est Clémentine qui s'accroupit pour me sucer. Estelle se redresse.
Elle m'embrasse avant de me dire : < A la "fête", je vais m'occuper de toi comme jamais ! > je réponds : < Moi aussi ! >

La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent leurs études.
Nous traînons à table. Pour ce vendredi qui nous attend, Clémentine nous donne l'autorisation de baiser, Estelle et moi !
< Il faut qu'on s'entraîne d'ici là ! Tu veux Julien ? > s'écrie Estelle en se levant pour mimer une masturbation masculine.
Je précise : < Je vous propose de nous réserver quelques improvisations. Attendons d'y être et puis nous verrons bien ! >
< La sagesse même ! > rajoute Clémentine. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je propose un bon léchage de chattes.

Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Les filles m'entraînent au salon. Une minute nous n'avons plus ni jeans ni slips.
Elles sont vautrées dans le canapé. Je suis à genoux. Je passe d'une chatte dégoulinante à l'autre avec un égal bonheur.
Les gémissements stéréophoniques sont impressionnants. Notre projet fait mouiller les filles comme rarement. Ça coule.
Estelle connait un orgasme nucléaire. Clémentine se lève pour aller pisser. Estelle en profite pour m'attirer sur elle. Vite.
Je la pénètre. Pour la seconde fois, ça rentre sans effort. C'est après l'orgasme, quand elle est trempée que c'est simple.

Clémentine revient et découvre le spectacle. < Vous ne perdez plus de temps, vous deux ! > lance t-elle en se touchant.
Elle m'attrape les couilles d'une main sans cesser de se masturber de l'autre. Estelle part pour un second tour. Je la baise.
Accrochée à moi comme une désespérée, Estelle accélère. Je ne suis pas. Je ne suis pas un baiseur. Estelle se découvre.
Estelle se touche d'une main et me tient par la nuque de l'autre. Un orgasme. Nous avons compris son fonctionnement.
Nous reprenons nos esprit. Nous la raccompagnons à son auto. Séparation difficile. Nous rentrons. Au lit, nous baisons.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire baiser par le mec de leur copine tout en se touchant d'une main…

Julien - (Qui baise Estelle comme un véritable niqueur de discothèque. Mais qui fait l'amour avec Clémentine) -

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