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Les aventures de Clémentine et de Julien

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 636 -



Les étonnantes attitudes de Juliette

Hier matin, mercredi, c'est le Concerto No1 de Tchaïkovski qui nous tire de nos profonds sommeils avec une certaine violence.
< Te casse pas la gueule en ski ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant afin d'éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous en rions de bon cœur avant de nous précipiter jusqu'aux toilettes. Morts de faim, nous dévalons l'escalier à toute vitesse.
Il est 6 h. Le thermomètre extérieur indique moins 7°. Nous préparons notre petit déjeuner et nous mangeons de bon appétit.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.

Clémentine est chaudement vêtue. Ses gants, le bonnet. Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaitre en haut du chemin.
Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit puis la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. Et j'allume un bon feu dans la cheminée.
Il est 8 h15. Me voilà confortablement installé devant mon chevalet à préparer ma palette et mes pinceaux. Moment précieux.
Je peins. Cette neuvième toile destinée à ma saison 2019 sera terminée vers midi. Un petit paysage. C'est passionnant. Super.
La musique imbécile de mon téléphone qui m'averti de l'arrivée d'un message. Il est 10 h30. Je rage. Je vocifère. Je rechigne.

Ce n'est qu'à l'heure du repas, après le dernier coup de pinceau, que je découvre le message d'Estelle qui me fait un "Coucou".
Je me souviens que hier, lorsque j'avais évoqué mon Blog, Estelle m'avait promis de me faire un message. Je réponds "Coucou".
La pâte feuilleté et le saumon ont décongelé dans le haut du frigo. Je prépare la Béchamel. Je fais bouillir l'eau des spaghettis.
Accompagnés d'une salade de tomates. Je mange en tentant d'écouter le flot d'informations. C'est indigeste. J'éteins le poste.
Après le repas, j'étale la pâte feuilleté pour y verser la Béchamel contenant le saumon finement émincé, du gruyère de Comté.

Je mets au four. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Il est presque 13 h lorsque je suis à nouveau assis devant le chevalet.
Je fixe le calque d'une de mes toiles antérieures pour y procéder à la duplication de la Nature Morte au Collier de Perles. Bien.
Grâce à ce principe, je commence la dixième toile destinée à ma saison 2019 avec plus d'un mois d'avance. Excellente formule.
Je peux passer ma couche d'impression dès 14 h. Deux fines couches d'acrylique qui sèchent très vite dans l'air sec de l'atelier.
Je peins dans un enthousiasme délirant tout en poussant les cris les plus surréalistes. Livré corps et âme à ma passion. Super.

Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle pose son sac sur le canapé en disant ! < Mais quelle journée ! >
Elle vient s'assoir sur mes genoux pour me raconter sa matinée, le restaurant universitaire et ses cours de l'après-midi. Bien.
< On n'a pas arrêté de gratter. J'ai dix feuilles de notes à mettre au propre. Le second trimestre s'annonce fort ! > fait elle.
Nous travaillons tous deux dans cette atmosphère studieuse que nous apprécions tant. Nos souffles. Nos apnées. Nos soupirs.
Le craquement du bois dans les flammes. Cet hiver la consommation de bois bat tous les records. Déjà presque trois stères.

< Stop, ras le cul ! > s'écrie soudain Clémentine derrière moi, assise à la table qui commence à ranger ses feuilles. Elle a fini.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. < Ça sentait bon à la cuisine quand je suis rentrée ! > me fais Clémentine. Le feuilleté.
J'ai réglé le four en conséquence. Il suffit de réchauffer une fois chez Juliette. Nous voilà assis devant la cheminée. Au calme.
Nous admirons ce magnifique spectacle. C'est reposant. Clémentine me confie quelques ressentis concernant notre Week-End.
< Quand j'y pense, et plutôt souvent, j'en ai encore le goût des bites dans la bouche ! >. Nous en rigolons comme des bossus.

Il est 18 h5. Nous montons nous changer. Clémentine porte une jupe de velours carmin, évasée au genoux. Chemisier et pull.
Des bas noirs retenus par son porte jarretelle noir. Pas de culotte. Ses bottes noires à talons hauts. Elle est hyper sexy. Belle.
Sur sa demande, je mets mon costume de velours noirs. Nous mettons nos manteaux noirs et nos élégants chapeaux feutres.
C'est le chapeau que je porte sur mes amusantes vidéos. Nous prenons la pose devant le miroir. Clémentine s'accroupit. Joie.
Les cuisses largement écartées, me tenant par la jambe, sa tête posée sur ma cuisse, elle me fait : < Ma position préférée ! >

< Tu n'as plus qu'à me passer le collier et la laisse. Tu veux bien ? J'en ai envie et besoin ! > me demande t-elle, implorante.
Nous descendons. Je la tiens par ses cheveux attachés en natte qui lui arrive au milieu du dos. Nous allons au salon. 19 h10.
Je lui passe le collier canin autour du cou. J'y fixe la laisse. Je lui fais faire le tour de la pièce deux fois en donnant des à coup.
Clémentine en glousse de plaisir. Après cette dure journée universitaire, cet extraordinaire moment de détente est salvateur.
Je roule doucement. Trois petits kilomètres jusqu'au haras. Clémentine joue avec ma queue. Je tiens le volant et la laisse.

Il est 19 h25 lorsque je gare la voiture dans la cour. Il y a de la lumière dans les bâtiments. Il y a encore deux autos garées.
Je lâche la laisse pour permettre à Clémentine de sortir du véhicule. Nous traversons la cour pour aller dans l'écurie de droite.
Notre préférée. Avec le local bureau et le box. Le trou dans la cloison. C'est devenu un réflexe lorsque nous arrivons au haras.
Il y a Kim Son qui nourrit les chevaux. Il nous voit entrer. Il a un grand sourire. Clémentine me tend la laisse et je m'en saisi.
Nous nous saluons. Nous évoquons l'exposition temporaire et le succès qu'elle remporte. Nous parlons du samedi soir passé.

Nous accompagnons Kim Son devant chaque box ou il s'arrête en posant sa brouette pleine d'avoine et fibres végétaux divers.
< C'est la friandise des chevaux ! > nous explique le jeune homme. Clémentine s'accroupit à ma droite. Elle me tient la jambe.
Sa tête appuyée contre ma cuisse, elle écoute les explications du palefrenier. Et elle reproduit la situation à plusieurs reprises.
Kim Son, comme la plupart des Asiatiques, ne montre pas de réelles émotions. Les traits de son visage sont souriants. Sympa.
Il continue son travail, impassible, pas perturbé par l'attitude de la magnifique jeune fille qui m'accompagne. Impressionnant.

Un bruit de pas. C'est Juliette. Elle a un grand sourire. < Bonsoir ! Alors ? On perturbe mon palefrenier ? > nous lance t-elle.
Nous en rions tous les quatre de bon cœur lorsqu'elle rajoute : < Il y a des canisettes derrière les écuries ! >. Kim Son rigole.
Clémentine se redresse. Elle me prend la laisse pour la tendre à Kim Son en disant : < Vous m'y emmenez ? >. Il ne dit rien.
Juliette me serre la main en bougeant son doigt à l'intérieur. Ce qui devient notre rituel. Elle est chaudement vêtue. Le froid.
En tenue d'écuyère, pantalon moulant beige, hautes bottes et un anorak noir du style "doudoune". Et elle reste très élégante.

Nous prenons congé de Kim Son. Au moment où nous quittons les écuries, le jeune garçon s'accroupit derrière Clémentine.
Il brosse le bas de son manteau sur lequel adhère quelques brins de paille minuscules. < Merci monsieur ! > fait Clémentine.
Nous suivons Juliette. Nous traversons la cour. Je récupère le plat contenant le feuilleté de saumon et recouvert d'aluminium.
Il fait bien chaud dans l'appartement de Juliette qui met le feuilleté au four. Nous prenons place au salon dans le canapé noir.
Juliette nous laisse quelques instant devant les cacahuètes. Elle revient vêtue d'une jupe très semblable à celle de Clémentine.

Juliette a le teint mat. Ses jambes restent donc magnifiques même en hiver. Ses origines Corses sont ici sublimées. Superbe.
Accroupie devant la petite table basse, bien droite devant moi, Juliette nous raconte un peu de sa journée. Activités intenses.
Je fixe son entrejambes qu'elle commence à me montrer en écartant très légèrement ses cuisses. Spectacle merveilleux. Joie.
Clémentine me fait discrètement du pied. Juliette nous parle du succès que remporte son exposition temporaire. Des ventes.
Il y a des gens qui ne pratiquent pas l'équitation, qui ne possèdent pas de chevaux mais qui s'arrêtent pour visiter. Réussite.

Juliette nous emmène devant l'ordinateur pour nous montrer quelques clichés des toiles qui sont parties. C'est très sympa.
Je lui promets de lui laisser une de mes toiles jusqu'au mois de juin prochain. J'insiste en précisant que c'est un simple prêt.
< En ce moment, je n'ai pas trop les moyens. Si vous me laissez une toiles, la tentation sera trop grande ! > me dit Juliette.
Je remarque à l'instant que Juliette, debout sur ma droite, tout en manipulant la souris, a son sexe contre le coin du bureau.
L'angle vif du meuble s'enfonce loin entre les cuisses de la jeune femme. Malgré le tissu de sa jupe, les contours sont nets.

Je découvre, émerveillé, qu'une femme de 42 ans peut s'offrir les mêmes petits plaisirs exhibitionnistes qu'une fille de 21 ans.
Clémentine n'arrête pas de me faire du pied sous la table. C'est sensationnel. Je bande comme un priapique. C'est formidable.
Juliette s'appuie davantage sur le coin du bureau. De tout son poids. Je ne regarde pas l'écran mais cette belle chatte moulée.
C'est du plus bel effet. La sonnerie du four. Juliette cesse. Nous nous levons pour nous installer à la grande table de son salon.
Je me propose pour faire le service. Juliette préfère l'assurer elle même. Autant de prétextes pour quelques poses équivoques.

Comme beaucoup de belles latines, Juliette est souvent dans la représentation d'elle-même qu'elle veut avantageuse. Super.
Nous mangeons de bon appétit. Avec le feuilleté de saumon, il y a de petits légumes rissolés et d'une extrême finesse. Miam.
Juliette évoque notre samedi soir. Notre voyeurisme. Cachés dehors à mâter Gérard, Léon, Estelle et Clémentine. Les pipes.
Comme moi, Juliette a beaucoup apprécié le moment où Estelle et Clémentine, accroupies sur la table, se masturbaient. Joie.
Gérard et Léon, assis sur la banquette, leurs queues à la main et qui encourageaient les filles. Clémentine est un peu gênée.

< Gérard passe vendredi en fin d'après-midi. Il vient chercher sa gâterie. Il sait que c'est aussi la mienne ! > nous fait Juliette.
Nous écoutons les anecdotes croustillantes concernant les fois les plus épiques où cela s'est passé. Je sors ma bite sous la table.
Juliette regarde le mouvement régulier de mon bras sous la table. Elle rajoute à Clémentine : < Si ça vous tente vendredi ! >
Clémentine me regarde. Je lui fais un signe de tête positif. Je dis : < Ne vous disputez pas la bite du vieux toutes les deux ! >
Nous en rigolons comme des bossus. Clémentine préfère restée évasive. Et nous ne nous engageons pas à venir vendredi soir.

La soirée se passe ainsi. J'écoute les filles échanger leurs impressions quand aux bites qu'elles aiment sucer toutes les deux.
Nous faisons la vaisselle ensemble. Juliette trouve de nombreux prétextes à s'accroupir bien en face de moi. C'est son plaisir.
Cette attitude très récente me comble de joie. Je le lui dis. Je demande : < Exhibitionniste ou voyeuse , >. Aucune réponse.
Il est 22 h15. Juliette nous raccompagne dans le froid vif de la nuit. Nous promettons de passer dimanche pour l'animation.
A la maison, au lit, après le "69", nous faisons l'amour. Immobiles. Comme nous aimons. Je la termine au cunnilingus. Dodo.

Bonne soirée d'exhibitions diverses à toutes les coquines qui aiment troubler les jeunes palefreniers. Tenues à la laisse…

Julien - (Qui aime beaucoup satisfaire les demandes érotiques de Clémentine. En ce moment en la promenant à la laisse) -

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Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 637 -



Estelle est tellement contente

Hier matin, jeudi, c'est la Suite en La mineur de Jean-Philippe Rameau qui nous tire de nos profonds sommeils. Extravagant.
< Non, ne fais pas chier Rameau ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur, la tête encore dans le cul et avec une méchante envie de pisser. Nous nous précipitons aux chiottes.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine pour nous préparer un copieux petit déjeuner. Il est déjà 6h.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons l'attitude de Juliette, hier, décidément très exhibitionniste.

Nous remontons pour nous livrer à notre heure de gymnastique. La douche. Je descends le premier. Il fait encore nuit. Froid.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait moins 8°. Un dernier bisou. Un dernier coucou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin dans le jour naissant à peine. 7 h45. Je rentre en vitesse. Je fais notre lit.
Je fais la vaisselle avant d'aller dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux.
Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans une sorte d'euphorie qui me fait pousser des cris surréalistes.

La musique imbécile de mon téléphone. Qui peut bien me déranger. Je décroche en mettant sur "Haut-Parleur". C'est Juliette.
Je peux continuer à travailler tout en parlant. Et, avec Juliette, c'est plutôt plaisant. C'est la seconde fois cette semaine. Joie.
La jeune femme évoque notre soirée, hier. Je lui donne mes impressions. elle semble ravie. Je précise même : < A refaire ! >
< A refaire ! Vite ! > répond t-elle. Juliette me donne le programme de l'animation de dimanche. Je promets. Nous y serons.
< J'organise un petit "plan" ? > me demande t-elle. Elle développe ce qu'elle sous entend. Je dis : < Pourquoi pas ! Super ! >

Il est question de permettre à monsieur Gérard quelques égards particulier envers Clémentine et Estelle si elles sont d'accords.
Je promets de m'en occuper. J'en parle à Clémentine dès ce soir. En échange, je demande à Juliette d'être fidèle à elle même.
Je veux m'amuser aussi. La conversation dure ainsi une bonne demi heure. Juliette est en plein travail administratif. Le bureau.
Je peins jusqu'aux environs de midi sans cesser de penser à cette curieuse femme, directrice, patronne, délicieusement salope.
Je vais à la cuisine. Je me fais cuire du riz. Une salade verte. Je prépare la pâte à pain, je fais cuire les morceaux de poireaux.

Je concocte une Béchamel. J'en récupère un reliquat comme sauce. Tout est prêt. Tant pour le repas du soir que pour celui-ci.
Je mange de bon appétit en tentant d'écouter la litanie absurdes des informations qui passe du malsain à l'inacceptable. Dur.
C'est en dessous du supportable. J'éteins le poste pour ne pas le détruire. La vaisselle. Je range la cuisine. Je vais à l'atelier.
Il est presque 13 h lorsque je suis à nouveau à la peinture de la neuvième toile destinée à ma saison 2019. Une nature morte.
Du bruit. Il est 16 h20. Ponctuelle, Clémentine entre dans l'atelier pour se précipiter sur mes genoux. Toute contente. Si belle.

Clémentine me raconte sa journée. J'écoute. C'est toujours si intéressant. C'est également mon lien avec le monde extérieur.
Nous travaillons encore un peu. Clémentine est assise à la table, entourée de ses fiches et de ses notes devant l'ordinateur.
Je lui raconte la conversation téléphonique avec Juliette. Clémentine tout en travaillant, m'écoute. Elle éclate souvent de rire.
< Une vraie mère maquerelle ! La vraie entremetteuse ! Vieille pute ! > s'écrie Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
Bien évidemment, la perspective de pouvoir scénariser un truc ne peut qu'enchanter ma compagne. Elle se réjouie. Surprises.

< On peut faire confiance à Juliette pour organiser un truc bien vicelard mais classieux ! Quelle salope ! > rajoute Clémentine.
Du bruit. Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Elle se précipite pour me faire des bises. Assise sur mes genoux, elle raconte.
Clémentine lui apprend la nouvelle. Juliette qui organise un "plan" pour dimanche et pendant l'animation équestre aux écuries.
Estelle, assise à côté de Clémentine, nous donne ses impressions. < C'est génial ! Moi, je m'occupe de Julien ! > nous fait elle.
< Je crois que Julien sera en compagnie de Juliette. Ils feront les voyeurs, comme à leur habitude ! > fait Clémentine. Silence.

Je propose d'attendre dimanche. De nous réserver l'effet surprise sans faire de plans sur la comète. < Attendons de voir ! >
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je rejoins les filles déjà assises devant la cheminée. J'éteins toutes les lumières. Bien.
Nous admirons les flammes finissantes qui dansent dans l'âtre. Les filles ont la tête sur mes épaules. Nous restons silencieux.
Il y a des bruits qui ne sont pas identifiables, juste au dessus de nous. Parfois ils semblent venir de nulle part. Parfois de loin.
< Le fantôme de Christine ! > chuchote Estelle. C'est le plus souvent en hiver que ces manifestations étranges se produisent.

Il est 19 h15. La faim commence à nous tenailler. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Le feu va s'éteindre tout seul.
Estelle étale la pâte. Je réchauffe la Béchamel contenant le poireau. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade déjà lavée.
Je râpe du gruyère. Je fais de petits cubes avec le Roquefort bien dur. Et les filles se projettent dans d'improbables scénarios.
Elles font des spéculations sur différentes possibilités. Ce dimanche au haras promet d'être riche en événements, en surprises.
J'écoute, plutôt amusé, toutes les situations souhaitées. Les deux coquines font preuve d'une imagination débordante. Sympa.

La Flamiche Picarde est au four. Cette tarte aux poireaux est devenue le rituel de nos jeudis soirs. Il faut dire que c'est si bon.
Nous passons au salon. Nous sommes vautrés dans le canapé. Estelle à ma droite. Clémentine à ma gauche. Serrées très fort.
Il n'y a que la lueur des bougies. Nous apprécions beaucoup ces ambiances d'hiver. Bien au chaud, et ensemble tous les trois.
Estelle a passé sa main dans ma braguette. < C'est bien chaud là dedans ! > me fait elle. Clémentine parle de l'Ecosse. Noël.
Estelle, que j'ai fini par convaincre de passer Noël avec sa famille, viendra nous rejoindre à Edimbourg le mercredi 26. Matin.

Tout cela est pour bientôt. Un peu plus d'une semaine avant notre départ, le dimanche 23 décembre. L'avion à 9 h45. Matin.
Estelle qui a sorti ma bite, joue avec en nous confiant son impatience de revoir sa chère Ecosse. Et sa chère cité d'Edimbourg.
Je bande mou. Estelle me sort délicatement les couilles. Elle toujours si énergique y met ce soir beaucoup de douceur. Tendre.
Clémentine se penche pour humer et regarder de plus près. Estelle continue à nous donner ses impressions quand à l'Ecosse.
Sa seule appréhension reste l'avion. Appréhension que partage Clémentine. Ce n'est pas une réelle phobie, juste une crainte.

Estelle soupèse mes couilles de la main droite et me tient la queue de la main gauche. Clémentine propose un séjour "impro".
Pour ces douze jours à Edimbourg, nous ne prévoyons aucun planning, ni aucune visite. Ce sera l'improvisation la plus totale.
De quoi réjouir Estelle qui se penche également. Elle renifle ma queue qu'elle décalotte très légèrement. < Miam ! > fait elle.
L'odeur nous monte aux narines. < A Edimbourg, je la veux bien fromageuse ! Une bonne fondue Ecossaise ! > me fait Estelle.
Nous en rions de bon cœur lorsque Clémentine rajoute : < On s'occupe du service à fondue ! >. < Le serre vice ! > dit Estelle.

La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Estelle sort la tarte du four. Clémentine remue la salade. Tout va vite.
< Venez voir ! > s'écrie Estelle près de la fenêtre. Nous venons regarder. Il y a une forme, silhouette humaine faite de brume.
C'est rapide, évanescent. Le phénomène ne dure qu'un instant. < Christine ! > chuchote Clémentine. Nous en oublions la faim.
Clémentine, médium et très réceptive à ces choses, rajoute : < Elle est triste à l'idée de notre prochain départ ! Sa solitude ! >
Je ne sais quoi dire. Je sais que c'est vrai. Nous voilà toutefois à table à savourer cette délicieuse Flamiche Picarde. Super bon.

Nous traînons à table. Les filles évoquent les études. Ce premier trimestre universitaire qui s'achève. Le second qui s'annonce.
Il sera redoutable car il leur faudra produire un travail personnel qui aura une importance et sera déjà noté pour leur Doctorat.
< Fini de rigoler ! > fait Estelle en soupirant. < Heureusement qu'il y a tout l'aspect récréatif ! > fait Clémentine. Un clin d'œil.
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle précise : < On va redoubler d'activité ! >. Elle mime une fellation en me souriant. Rires.
La vaisselle. Estelle va souvent près de la fenêtre pour regarder dehors. Il fait nuit. Et plus aucune manifestation inexplicable.

Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Estelle place une chaise au milieu de la pièce, le dossier entre ses jambes.
Assise, les bras croisées sur le dossier, elle me fixe par en dessous d'un regard terriblement suggestif. Je comprends de suite.
Clémentine prend appui sur le bureau, les bras croisés. Estelle ouvre la bouche en grand sans cesser de me fixer. Vicelarde.
Je regarde Clémentine pour avoir son assentiment. Je sais ce que veut Estelle. Ces derniers temps, elle veut en veut. Coquine.
La proximité de notre départ. L'idée d'être sans nous voir durant quatre jours lui est pénible. Et elle s'y prépare à sa manière.

Je me positionne devant la chaise. Je sors ma bite. < Les couilles aussi ! > me fait Estelle. J'ai quelques difficultés. C'est mou.
Je dois garder ma braguette fermée. Je dois présenter mes organes génitaux. Heureusement je bande encore mou. Bite molle.
Clémentine pose l'épais coussin au sol pour s'y mettre à genoux juste à ma gauche. Je passe ma queue sur le visage d'Estelle.
Je caresse la tête de Clémentine de ma main gauche. Estelle ne cesse de me fixer de son regard lubrique de vicieuse patentée.
Je ne tarde pas à me faire sucer. Clémentine a passé une main dans son pantalon. Je me frotte la bite sur la gueule d'Estelle.

Je lui dis : < En Ecosse, je vais te brouter la chatte jusqu'à te faire hurler ! >. Elle cesse de sucer pour dire : < Chiche ! Ok ! >
Je me fais tailler une pipe des familles. Cette position debout ne tarde pas à me tourmenter au niveau des lombaires. C'est dur.
Je change imperceptiblement de position. Clémentine souffle avec force. Alternant les apnées et sa respiration. Elle se branle.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Je reste parfaitement immobile. Je l'entends déglutir en gémissant de plaisir. Elle a sa dose.
Clémentine s'offre un superbe orgasme. Comme elle aime, tout en mâtant. Nous reprenons nos esprits vautrés dans le canapé.

Nous nous réjouissons pour le Week-End à venir. Estelle veut en profiter au maximum. Le dernier avant ses fêtes de famille.
Je dis : < Interdiction d'être triste ! Il y a encore plus d'une semaine et on va se voir tout le temps ! Promis ? >. Le silence.
< Promis ! > me fait elle avant de rajouter tout en saisissant ma bite molle et humide : < Si je peux avoir mon "Doudou" ! >
Nous rions de bon cœur. Il est 22 h15. Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. La séparation est difficile. Des bisous.
Nous nous dépêchons de rentrer. Au lit, Clémentine se blottie très fort pour me confier à quel point c'est bon tous les trois…

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment les atmosphères de mystère, de fellations juteuses et de projets de vacances…

Julien - (Qui aime savoir que son ex compagne disparue vienne s'amuser de ses frasques vicelardes) -

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Un début de Week-End passionnant

Hier matin, vendredi, j'ouvre l'œil un peu avant que ne sonne notre réveil. Il est 5 h50. Je regarde Clémentine qui dort encore.
Elle est belle. Couchée sur le dos. La bouche légèrement entrouverte. Cinq minutes passent. C'est un moment tellement rare.
Je lui dépose de délicats bisous sur le front, les joues le bout du nez. Clémentine, dans un long gémissement s'étire. Sublime.
< Mon amour ! > fait elle en se serrant contre moi. Il faut se lever. Ce matin il y a école. Nous nous précipitons aux toilettes.
Morts de faim nous descendons à toute vitesse. Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en bavardant.

C'est vendredi. Clémentine termine à midi. Il y a l'ambiance particulière du début du Week-End. Et c'est toujours très joyeux.
Nous remontons pour nous offrir notre heure de gymnastique. La douche. Je descends pour sortir la petite auto de Clémentine.
Il fait froid. Moins 8°. Il fait encore nuit. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Un dernier bisou. Un dernier coucou. Bien.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit. Je fais la vaisselle. Le jour se lève.
Dans l'atelier, j'allume le bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je suis assis devant mon chevalet.

Je peins dans une réelle euphorie. Je termine ce matin la neuvième toile destinée à ma saison prochaine. De quoi être serein.
La matinée se passe. Comme prévu ma nature morte au collier de perles est achevée un peu avant midi. Je suis content. Fier.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Je vais à la cuisine. Je prépare un coulis d'aubergines, de courgettes et de tomates. Ail.
Il est 12 h15. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Dehors, il fait si froid.
Je peux le sentir au bout de son nez et au contact de ses joues. Clémentine s'occupe de la salade de concombre. Tout va vite.

J'égoutte le pilpil de blé. Je mets la table. Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Très intéressant.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me confie sa joie d'approcher des vacances. Et la fin de ce trimestre.
De plus, Clémentine a accumulé beaucoup d'avance sur les travaux à venir. C'est donc peinard que peut arriver cette échéance.
Pour cet après-midi, je propose de nous rendre en ville. Il serait sympathique d'acheter les cadeaux pour ma famille d'Ecosse.
< Super ! Bonne idée ! > s'écrie Clémentine en me passant les bras autour de cou et en me couvrant le visage de bisous. Joie.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous changer. Faire les clowns devant le miroir.
Clémentine porte son leggings trafiqué. Un sweat sous son épais pull de laine ramené d'Ecosse cet été. Ses bottines à talons.
Sur sa demande, je porte un pantalon noir, une chemise épaisse sous un pull à col roulé. Nous enfilons nos manteaux noirs.
Coiffés de nos élégants chapeaux de feutre noir, nous passons nos écharpes autour du cou. Nous prenons la pose. C'est bien.
Clémentine s'accroupit. Elle me tient la jambe. Sa tête posée sur ma cuisse elle écarte les siennes pour me montrer sa chatte.

Cette fente d'une dizaine de centimètres, adroitement agencée à l'entrejambes de son leggings, permet une vue imprenable.
Clémentine tire sur les lèvres charnues de son sexe afin de bien les faire dépasser. C'est prodigieux. Je la félicite. Magnifique.
Elle se redresse. Une fois debout. Les jambes normalement serrées, le tout est parfaitement invisible. A moins de se pencher.
Sous les pans de son manteau, il n'y a aucune chance d'être prise en flagrant délire. Nous descendons en riant de notre farce.
Je roule doucement. Treize petits kilomètres dans le froid et la brume persistante. Il fait un froid de canard. J'ai la bite à l'air.

Grâce à cette majestueuse ouverture, je peux caresser le sexe de Clémentine tout en roulant prudemment. C'est très sympa.
Je gare la voiture dans la petite rue habituelle, à dix minutes du centre. Il est 15 h. Nous marchons d'un bon pas. Du monde.
Je suggère un petit tour à la FNAC. Pas tant pour les bouquins que pour une opportunité d'exhibe pour Clémentine. Superbe.
Nous parcourons la galerie commerciale du ré de chaussée. Le salon de thé est plein de clients. Nous flânons tout de même.
Pour mon oncle d'Edimbourg et sa femme, je désire trouver un cadeau original, utile et de préférence esthétique. C'est bien.

Nous montons à l'étage. Dans la grande librairie, il y a plein de gens. C'est vendredi. Il y a toutefois aucune réelle occasion.
Il serait vain, et sans doute risqué de tenter une exhibe. Avec la période des fêtes, les gens cherchent des idées de cadeaux.
Ça grouille de monde dans tous les rayons. De quoi frustrer Clémentine qui veut profiter de son leggings. Nous "explorons".
Je propose de nous rabattre dans notre salon de thé préféré une fois les cadeaux trouvés et achetés. Suggestion applaudit.
Nous flânons un peu dans les rues piétonnes du centre. Dans une vitrine je vois deux petites tasses Bretonnes si ravissantes.

Nous entrons dans la boutique "Anna & Clara". En fait c'est un service. Deux tasses, une théière et deux cuillères. Superbe.
C'est presque une dinette. A peine plus grand que des jouets. Les formes et la décoration en sont absolument magnifiques.
C'est le cadeau pour la femme de mon oncle. Je fais emballer. Pour le voyage, il faut de petits paquets. C'est parfais. Bien.
Nous continuons. Nous passons entre les chalets du Marché de Noël. Clémentine attire mon attention sur celui des chapeaux.
Mon Oncle est un homme élégant. C'est Clémentine qui fait le choix. Il se porte sur un feutre brun très English et très beau.

L'étiquette intérieure, "Breizh" ne laisse aucun doute sur sa fabrication artisanale et Bretonne. Un très bel emballage cadeau.
Je porte le sachet. Clémentine m'entraîne dans les ruelles. Il faut penser aux cadeaux de ma tante de Saint Andrew. Fameux.
Dans la vitrine d'une boutique de vêtements Bretons, Clémentine me montre la magnifique écharpe. De discrets motifs celtes.
Une écharpe très féminine et de toute beauté. Emballage cadeau. C'est pour ma tante. Pour son mari, ce sera une sacoche.
C'est un sac en cuir brun, martelé de la fleur de lys Bretonne et d'une élégance inouïe. Un baisenville de grande classe. Beau.

Tout cela prend peu de place. Clémentine me suggère toutefois de nous faire envoyer ça par colis directement à Edimbourg.
Je trouve l'idée parfaite. Le minimum de bagages est toujours préférable dans l'avion. Je porte les sacs si peu encombrants.
Il est 17 h. Nous voilà confortablement installés dans notre salon de thé préféré. Deux grands chocolats chauds et fumants.
< J'ai froid à la chatte ! > me dit Clémentine. Nous rions de bon cœur. Il y a des clients. Principalement des couples. Séniors.
Notre salon de thé a une configuration idéale. Par deux, les tables sont disposées sur des gradins ascendants. Quatre étages.

Nous sommes installés tout en haut. Clémentine peut donc assurer un spectacle de haute qualité visible du gradin inférieur.
A la table plus bas, il y a un couple d'âge mûr. Clémentine a vite fait d'attirer l'attention du quadragénaire sur son leggings.
Sous notre table, il règne une certaine obscurité. Les lumières du salon de thé sont tamisées. C'est l'endroit parfait. Super.
Clémentine me raconte donc ce qu'elle fait sous notre table sous le regard passionné du monsieur qui cause avec madame.
Sur l'écran noir de mon smartphone, dont je me sers comme d'un miroir discret, je peux voir l'intérêt que porte le monsieur.

< Je lui fais le test des chiottes ! > me chuchote Clémentine. Il suffit d'anticiper. D'attendre le bon moment. Personne au WC.
Le quidam est un peu dégarni. Il porte de petites lunettes cerclées de métal. Une chemise blanche, une cravate et un veston.
Sur l'écran noir de mon téléphone je peux parfaitement distinguer les expressions de son visage. Il reste attentif mais stoïque.
C'est le bon moment. Clémentine se lève. A plusieurs reprises elle a croisé le regard de l'inconnu tout en bavardant avec moi.
Je la regarde se diriger vers la porte des toilettes. Je mets mes écouteurs. Nous restons en contact par téléphone. Excellent.

Bien évidemment, l'inconnu ne tarde pas à se lever. Sa femme consulte son téléphone. Le type se dirige vers les toilettes.
J'entends la voix de Clémentine qui me raconte ce qu'elle fait. Elle est dans les toilettes homme. Accroupie près des urinoirs.
Il y a deux urinoirs muraux. Son sac à main est posé sur un mouchoir en papier déplié. Clémentine fait semblant de fouiller.
Je l'averti de l'arrivée de notre "V.P.", cette victime potentiel qui ignore tout de notre jeu. Puis j'entends le bruit de la porte.
Dans les toilettes, à cause de la résonnance induite par le carrelage, les bruits sont toujours étranges. La voix de l'inconnu.

Le type est sans doute tombé sur le spectacle. J'entends la conversation sans vraiment comprendre tout ce que dit l'homme.
Par contre, je comprends bien ce que dit Clémentine. J'imagine la scène. J'imagine les émotions du quidam. C'est formidable.
Il y a des séquences de silence. Je regarde bien autour de moi. Prêt à avertir Clémentine s'il y avait un autre individu. Risque.
J'imagine les scènes les plus affolantes et les instants les plus lubriques. J'entends Clémentine dire : < Non, c'est gentil ! >
Je n'arrive pas à saisir ce que dit l'homme. Il en est certainement aux propositions. Clémentine répète : < Non ! Vraiment ! >

Le bruit d'un lavabo, celui d'une chasse d'eau puis d'une porte. Clémentine revient me rejoindre. Elle semble écroulée de rire.
< Le petit coquin ! Il m'a montré sa bistouquette circoncis. Il s'est branlé en discutant et m'a proposé la pipe ! > me dit elle.
Elle rajoute : < Le truc habituel à part que je déteste les bites coupées et les glands apparents ! >. Nous rions de bon cœur.
Le type revient à son tour. Je détourne le regard comme si je n'étais au courant de rien. Le jeu reprend. Clémentine s'exhibe.
Le type tente d'accrocher le regard de ma compagne qui à présent évite soigneusement de le faire. Il discute avec sa femme.

Pour bien enfoncer le clou, Clémentine se touche discrètement sous la table. Je vois le type mâter comme un cinglé en secret.
Clémentine, qui doit pisser, s'avance sur sa chaise. Je la vois se concentrer. Tout en bavardant elle se concentre. Pas évident.
Il faut être une redoutable salope pour pouvoir pisser ainsi, même discrètement, sous la table, dans un espace public. Balaise.
Clémentine fini par y arriver. Sa cramouille dépassant ce qu'il faut de la chaise, elle me raconte. Je vois le type mâter. Délire.
Il est évidemment impossible de lâcher plus de quelques jets rapides, courts et précis. Ce qui n'est pas le fort de clémentine.

Pas de chance. La femme se lève. Le type est obligé de suivre. Clémentine se torche discrètement avec un mouchoir en papier.
Lorsque le couple est parti, Clémentine va finir son pissou aux toilettes. Je regarde sous la table. Et je prends quelques photos.
Il y a une flaque de pisse sur les tomettes brunes. Une flaque qui commence à s'avancer dangereusement vers le rebord. Dur.
Clémentine revient juste à temps. Nous filons. La pisse commence à couler sur le gradin inférieur. Nous voilà dehors. Le froid.
Nous marchons à toute vitesse vers la voiture en rigolant comme des bossus. Clémentine m'avoue être hyper excitée. Sympa.

Je roule doucement. Il est 19 h lorsque nous sommes de retour. J'ai proposé un restaurant mais Clémentine voulait rentrer.
Nous préparons notre repas. Rapide. Spaghettis avec une sauce au Roquefort et crevettes. Une salade d'avocats. Délicieux.
Nous traînons à table. Clémentine me confie ses ressentis, ses émotions. Ce qu'elle a encore vécu dans ce salon de thé. Joie.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Je suis pressé de bouffer la chatte de ma compagne qui partage mon impatience folle.
Je lui offre un cunnilingus merveilleux. Elle se contrôle juste à temps pour m'attirer sur elle. Je m'introduis avec précautions.

Nous restons immobiles. Clémentine me chuchote des douceurs, des cochonneries et me fait de si surprenantes révélations.
Parfois, nous nous mettons à nous bercer pour cesser. Recommencer à nouveau. C'est absolument fantastique. Et prodigieux.
Ce sont les confessions de Clémentine qui maintiennent mon érection de fer. Je suis une sorte de Terminator de la bandaison.
Clémentine veut me sucer un peu. Je la laisse se régaler de mes substances. Et avant d'éjaculer, je la termine au cunnilingus.
J'aime rester aux extrêmes limites. Je lui propose de me terminer demain. Elle insiste. Mon orgasme est tellurique. Puis dodo.

Bonne virée en ville, chatte à l'air malgré le froid, à toutes les coquines désireuses de tenter un truc dans un salon de thé…

Julien - (Qui montre les photos de la flaque de pisse à Clémentine juste avant le dessert. Ce qui la fait beaucoup rire) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 639 -



Un samedi des plus agréables

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous dont on me recouvre le visage. Sur le nez et les joues.
C'est chaud, c'est doux. J'ouvre les yeux. Le visage bienveillant de Clémentine au-dessus du mien. Je la serre contre moi.
Douceur, tendresse et papouilles. Il est 7 h30. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Le rituel des pissous.
Morts de faim, nous descendons à toute vitesse après avoir revêtu nos tenues de sport. Nous préparons le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un rapide programme de la journée. Les courses en ville et faire le marché.

Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Intensité maximale. Jogging sur tapis roulant. Abdos. Super.
La douche. Nous nous habillons chaudement. Il est 9 h. Le thermomètre extérieur indique moins 6°. Le ciel est gris et bas.
Clémentine porte son leggings trafiqué, un épais pull de laine, ses bottines à talons, son manteau noir. Il faut une écharpe.
Sur sa demande, je porte mon pantalon noir, pull et mon manteau. Nos élégants chapeaux de feutre noir. Nous voilà prêts.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Trois petit kilomètres jusqu'au bourg. Il y a du monde. Marché de Noël.

Nous faisons provision de fruits et de légumes chez notre agriculteur habituel. Nous échangeons quelques bons mots. Bien.
Nous faisons provision de fromages, de crème fraîche, de beurre, d'œufs et de yaourts chez notre artisan habituel. Super.
Il y a du monde. Il y a aussi quelques flocons épars qui virevoltent. Je porte les sacs qui sont lourds. Et le ciel s'assombri.
Nous prenons la direction de la zone commerciale. Treize petits kilomètres. Tout en roulant je touche le sexe à Clémentine.
Grâce à l'ouverture pratiquée à l'entrejambes de son leggings, l'accès en est facilité. Ma compagne apprécie mes caresses.

Je gare la voiture sur le parking. Je pousse le caddie. Clémentine m'entraîne dans les rayons qui nous concernent. Efficace.
Produits d'entretien. Lessive. Crème dentifrice. Puis nous faisons les conserves. Et c'est principalement dans le rayon "Bio".
Pâtes, riz, Pilpil de blé, millet doré et autres céréales. Avant d'aller au rayon poissonnerie, Clémentine nous attire aux livres.
Il y a du monde à feuilleter des magazines "Pipoles", des journaux ou encore des albums aux rayons des cadeaux de fêtes.
Il y a un agencement provisoire en forme de "U". Un présentoir qui propose là quantité d'albums les plus divers et sur tout.

Clémentine me fait du coude. Je comprends immédiatement. Je reste à l'écart pendant qu'elle pénètre dans le "U". Seule.
C'est l'endroit idéal pour s'offrir une petite frayeur. Encore faut il qu'un quidam porte une attention à cette belle jeune fille.
Clémentine se débrouille toujours très bien pour attirer l'attention de la cible choisie. La "VP". La victime potentielle. Ruse.
C'est le cas. Il y a un grand gaillard, la trentaine, en anorak rouge qui feuillette des albums consacrés à Johnny Hallyday.
Depuis quelques minutes, il fait semblant. Je le vois loucher sur cette jeune fille accroupie dont on distingue l'entrejambes.

L'ouverture discrète pratiquée dans le leggings permet une vue parfaite à qui focalise son attention exactement sur le trou.
Clémentine feuillette un album. Ses cheveux en liberté dissimulent son visage penché sur le bouquin. C'est super bien géré.
Le mec a une vue parfaite. D'autant plus que Clémentine est bien en face. Le bouquin dissimule le trou aux yeux des autres.
C'est super bien pensé. Et personne ne regarde à part le type. La situation perdure un bon moment. Je feuillette un album.
Le rayon propose de tout. Il y a même un livre sur les châteaux célèbres de mon Ecosse chérie. Je reste vigilant. Prudence.

Gagnée par l'ankylose et les fourmis dans les jambes, Clémentine se redresse. Notre voyeur suit les agissements de la fille.
Il cherche probablement la formule pour l'aborder car il contourne le rayon. Voilà. Le bougre s'approche. Ce qu'il ne faut pas.
Clémentine déteste les dragueurs. Elle déteste se faire aborder. De plus l'individu semble être maladroit dans son approche.
Clémentine reste froide et distante. Notre bougre devient insistant. Il ne va pas tarder à se faire remballer. Et il ne pige pas.
Certainement que la bite qu'il a à la place du cerveau l'empêche de raisonner. Et le voilà qui colle carrément à Clémentine.

C'est le "boulet" dans toute sa splendeur. L'emmerdeur patenté. Le mec bien chiant. Clémentine se retourne soudain. Sèche.
Elle le regarde bien en face et lui dit quelque chose. Le type, un peu con, se retourne pour s'en aller. Clémentine me rejoint.
Elle me raconte. D'abord courtois, le mec s'est mis à la suivre en tenant des propos vulgaires puis carrément insultants. Con.
Nous voilà dans la file au rayon poissonnerie. Nous faisons provision de fruits de mer. Filets de haddock, de lieu noir, de thon.
Nous passons aux caisses. Il y a le type en anorak qui nous voit. Il détourne le regard terriblement gêné. Il est accompagné.

Nous flânons un peu dans la galerie commerciale. Clémentine aimerait bien s'offrir une autre petite exhibe bien sympathique.
Hélas, même dans la boutique des godasses, il y a du monde. C'est le dernier Week-End avant les fêtes. Les gens achètent.
Il est un peu plus de midi trente lorsque nous sommes de retour à la maison. Nous rangeons les courses. Méthode. Efficacité.
Nous enfilons nos tabliers. Je prépare le bouillon pour les moules. Clémentine s'occupe de la salade, de son assaisonnement.
Je fais frire des rondelles de courgette avec de l'ail et de l'oignon dans le Wok. Clémentine se serre souvent contre moi. Bise.

Nous mangeons de bon appétit. Les moules sont bonnes. Accompagnées de beignets de courgette, c'est un véritable délice.
Nous traînons à table. La musique imbécile de mon smartphone. Clémentine s'en empare. C'est Estelle. Elle arrive pour 14 h.
Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Voilà Estelle qui arrive un quart d'heure avant. Tellement pressée de venir.
Elle nous fait la bise, se précipite dans mes bras toute contente d'être avec nous. Je la soulève pour la faire tourner. Bisous.
Il fait gris. Il fait froid. Il est 13 h45. Je suggère une bonne balade pour faire un peu d'exercice. Suggestion applaudit. Super.

Estelle est vêtue de ses jeans, sa chemise à carreaux sous son pull. Grosses godasses. Elle monte avec nous. Nous changer.
Nous mettons nos jeans, chemises à carreaux, pull, grosses godasses. Nous nous lavons les dents. Et Estelle me tripote déjà.
Nous faisons les clowns devant le miroir. Nous mettons nos bonnets et nos gants. Dans le petit sac à dos, barres de céréales.
Trois pommes et une bouteille d'eau. C'est moi qui trimballe le sac à dos. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Joie.
Nous adorons marcher dans le froid. C'est une petite randonnée. Sous nos anoraks il fait bien chauds. Nous rions beaucoup.

Les filles parlent de leurs études. C'est la dernière semaine. Le premier trimestre arrive à son terme. Après c'est les vacances.
Nous longeons la rivière. Nous arrivons au pont de pierre. De l'autre côté de la route, il y a les bâtiments du haras. Des autos.
Nous longeons le ruisseaux. Là-bas, derrière les écuries, il y a encore la caravane de Gérard. Nous montons jusqu'aux ruines.
Lorsque le chemin le permet, Estelle à ma gauche me tient par le bras. Clémentine à ma droite me tient par l'autre bras. Joie.
Les filles évoquent ce qui s'est passé samedi dernier. Le goût de trois spermes différents. La pipe. Nous en rions de bon cœur.

< On y retourne demain soir pour faire un coucou à Juliette et aussi pour voir la fin de son animation ! > précise Clémentine.
< Il y aura Gérard ! > rajoute Estelle en s'arrêtant pour palper ma braguette soigneusement fermée avec ce froid de canard.
Nous longeons la piste cyclable jusqu'au vieux moulin. Au cairn, nous descendons vers la propriété des Bertrand. Nos voisins.
Il fait presque nuit lorsque nous traversons le chemin du haut pour entrer dans notre propriété. Et la nuit s'annonce glaciale.
< Regardez ! Là ! > s'écrie Estelle. Sur le perron du salon, devant les portes fenêtres, une forme humaine, brumeuse, claire.

Vision évanescente. La forme semble se diluer dans la nuit. En même temps il y a une lueur qui traverse lentement le salon.
< Christine ! > chuchote Clémentine. Nous nous dépêchons de rentrer. Les filles ont du travail de préparation. Il est 17 h30.
Nous voilà dans l'atelier. Les filles sont assises à la table, devant l'ordinateur. Je fais le calque du dessin de ma dixième toile.
Il y a d'étranges bruits qui semblent venir de nulle part. Nous en avons l'habitude. La maison date de 1892. Un peu normal.
Mais depuis quelques temps ces curieuses choses semblent s'accélérer. Nous n'y faisons pas attention. Nous avons du boulot.

< Plein le cul ! > s'écrie Estelle. Il est 19 h. < Jamais dans le cul ! C'est un endroit à chier ! > répond Clémentine. Rigolade.
Nous avons terminé. Nous rangeons nos affaires. Morts de faim, nous filons à la cuisine. Ce soir, gratin d'aubergine. Crème.
Estelle n'arrête pas de me tripoter. Avec toute la vulgarité dont elle est coutumière. En m'attrapant les couilles par derrière.
Elle s'accroupit pour déboutonner ma braguette et m'en extraire le Zob. Nous mettons nos tabliers. Et nous voilà à préparer.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade verte déjà lavée à midi. Estelle découpe les courgettes lavées. Super.

Je m'occupe de paner les steaks de thon qui seront accompagnés d'une crème aux fromage. Du Morbier préalablement fondu.
Les filles évoquent l'Ecosse. Les jours que nous allons y passer. Un bruit de pas au dessus de nos têtes. C'est notre chambre.
Nous nous regardons soudain silencieux. Estelle passe sa main sous mon tablier. Elle me tient la bite. < J'ai peur ! > fait elle.
< Décidément, ! Christine veut peut-être partager notre repas ! > fait Clémentine. < Et nos saloperies ! > rajoute Estelle.
Nous rigolons comme des bossus en reprenant nos activités culinaires. Nous préparons la table monastère au salon. La fête.

Le gratin de courgette est au four. Nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé. Il y a juste la lumière des bougies.
La mystérieuse activité semble s'accentuer à l'étage. < Viens ! On monte voir ! > fait Clémentine et en saisissant ma main.
< Me laissez pas toute seule ! > fait Estelle qui se lève pour nous suivre. A l'étage, il n'y a évidemment rien. Nous visitons.
< Ecoutez ! > fait Estelle qui me choppe par la queue qui dépasse de ma braguette. Les bruits proviennent d'en bas. Fou !
Nous redescendons. < J'ai une thérapie anti trouille ! > fait Estelle en me faisant tomber dans le canapé. Le coussin au sol.

Clémentine met un disque. Chose rare. C'est un 33 tours vinyle de la Deutch Gramophone. Wolfgang Amadeus Mozart. Bien.
Même si la musique est en sourdine, elle permet d'occulter les bruits étranges qui ne cessent de venir de nulle part. Sympa.
< On dirait que les bruits viennent maintenant de la pièce d'à côté ! > fait Estelle, humant ma bite. A genoux sur le coussin.
< Le problème c'est qu'il n'y a pas de pièce à côté ! > s'écrie Clémentine en montrant les portes fenêtres. Je me fais sucer.
En ce qui me concerne, fantôme où pas, la pipe reste la thérapie idéale. L'anti trouille que préconise Estelle. Thérapie choc.

La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. < Ne vas pas te brûler la bite ! > me fait Estelle. Rire.
Elle me tend le tablier et sort le gratin pour l'emmener au salon. Clémentine emmène la salade. J'emmène la sauce. Le thon.
Nous mangeons de bon appétit. Le silence est revenu. Le disque est terminé. Les filles parlent de la visite au haras demain.
A deux reprises, Estelle se lève pour mimer une masturbation masculine. Et avec toute la vulgarité dont elle est coutumière.
Elle mime aussi des fellations. Tout en mangeant. La main fermée devant sa bouche. Une bosse à l'intérieur de sa joue. Joie.

Clémentine me fait du pied sous la table. Je me lève. J'agite ma bite en direction d'Estelle qui me fait un clin d'œil. Branlette.
< Miam ! > fait elle encore . Je lui dis : < Tu sais que depuis quelques temps, je n'arrête plus de t'éjaculer dans la bouche ! >
< Et tu fais bien ! > rajoute la coquine. Clémentine lui répond : < Tu vas faire une spermathopie ! >. Nous rions de bon cœur.
< Docteur Julien saura me donner le traitement idéal ! > fait encore Estelle. Elle se lève. Elle me souri et passe sous la table.
Clémentine pose sa main sur mon poignet. Elle me chuchote : < Je t'aime Julien ! >. Nous nous faisons plein de bises. Joie.

Sous la table Estelle me tient le sexe. Je ne bande pas. Estelle peut donc parfaitement le diriger pour se le mettre en bouche.
Pas gênée par la table au-dessus de sa tête, Estelle se met à sucer. Et comme si sa vie en dépendait. Clémentine m'embrasse.
Je dis à Estelle en caressant sa tête : < Tu as encore de la bouffe dans ton assiette. Ça va refroidir ! >. Elle se redresse. Fini.
La voilà à nouveau assise à ma droite. Clémentine à ma gauche se lève à son tour pour passer sous la table. Je me fais sucer.
Cette fois c'est Estelle qui m'embrasse. Nous ne savons plus quelle est la nourriture que nous mâchons. C'est fabuleux. Bien.

Je caresse la tête à Clémentine. Je lui dis la même chose à propos de la bouffe dans son assiette qui risque fort de refroidir.
Elle se redresse. < A moi ! > fait Estelle qui y retourne. Je dis : < Tout à l'heure, je vous bouffe la chatte à toutes les deux ! >
Nous traînons à table. Il est presque 22 h lorsque nous nous mettons à la vaisselle. Il n'y a plus de manifestations étranges.
Nous rangeons la cuisine. Estelle m'entraîne au salon. < Tu as promis ! > fait elle en enlevant ses jeans et sa culotte. Poilade.
Clémentine fait pareil. Elles sont à quatre pattes sur le canapé, les bras en appui sur le dossier. Je me mets à genoux. Super.

Les filles ont toutes les deux les poils de cul qui collent dans la raie. Je commence par là. Estelle sent du trou de balle. Beurk.
Je passe d'un cul à l'autre. Les filles se caressent le clitoris pendant que je bouffe, que je lèche, que je suce, que je me régale.
L'odeur du cul d'Estelle est épouvantable. Je lui demande souvent si elle se lave de temps en temps. < Salaud ! > me fait elle.
J'enfonce délicatement un doigt dans chaque fion pour le faire tourner sans cesser de passer d'un cul à l'autre. C'est sirupeux.
Je me mets à l'envers pour passer la tête entre leurs cuisses. Je peux me bouffer de la chatte gluante, odorante et trempée.

Estelle connaît un orgasme tellurique. Et c'est un peu dommage. Elle n'arrive jamais à se contrôler longtemps. C'est trop bon.
Elle se retourne pour se lever. Clémentine est vautrée. Je lui bouffe la chatte. C'est merveilleux. Je sens ses cuisses trembler.
Estelle, couchée au sol, la tête entre le canapé et mon bassin, est entrain de me tailler une pipe des familles. C'est immense.
Clémentine connaît un orgasme cataclysmique. Elle en hurle avant de me pisser au visage. Et il en coule sur Estelle. J'éjacule.
Nous reprenons nos esprits. Je cherche le seau et la serpillère. Clémentine essuie et nettoie. Estelle me suce à nouveau. Joie.

Tout est propre. Il faudra nous sécher avec le sèche cheveux, tout à l'heure, à la salle de bain. Estelle me pompe. Assoiffée.
Je lui retire souvent la queue de la bouche pour lui permettre de reposer sa mâchoire. Clémentine ne cesse de m'embrasser.
Je dis à Estelle : < Je peux en garder pour Clémentine ? Tu bouffes toujours tout ! >. Estelle cesse de me sucer, me regarde.
Elle tend ma bite à Clémentine qui ne se fait pas prier. J'éjacule une seconde fois. Dithyrambique. Je suis épuisé. Et lessivé !
Nous montons. Sèche cheveux en riant. J'ai mal aux couilles. Estelle s'endort la première. Clémentine se serre fort. Le dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment passer sous la table pour se sustenter entre deux coups de fourchette…

Julien - (Qui se fait pomper jusqu'à s'en retrouver les couilles retournées et vidées. En résulte une congestion couillesque) -

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Visite au Marché de Noël puis un coucou à Juliette

Hier matin, dimanche, je suis réveillé de la plus merveilleuse des manières. On me suce et on me fait des bisous. Immense.
J'ouvre les yeux. Au-dessus de moi, le visage bienveillant de Clémentine. C'est donc Estelle qui a déjà ma bite dans la bouche.
Je lui caresse la tête sous les draps tout en passant ma main dans la nuque à Clémentine pour l'attirer délicatement vers moi.
Nous restons ainsi un petit moment à nous offrir toute cette tendresse que nous aimons partager. La douceur. Les papouilles.
C'est compter sans l'impérieuse envie de pisser qui met toutefois rapidement un terme à nos effusions de bonheur. Urgences.

Estelle se précipite la première jusqu'aux toilettes. Clémentine me chevauche en me chuchotant des < Je t'aime ! >. Bisous.
Estelle revient et dit : < Je descends préparer le petit déjeuner ! >. < On arrive ! > répond Clémentine en m'entraînant. Pipi.
Il est 8 h. Nous nous habillons de nos jeans et de nos chemises à carreaux avant de descendre rejoindre Estelle à la cuisine.
Nous l'aidons à mettre la table. Nous mangeons de bon appétit dans l'agréable odeur de brioche. Confiote, miel et pain grillé.
Nous traînons à table en évoquant notre soirée de hier. Nous parlons du fantôme dont l'activité semble redoubler. La hantise.

Je sais ce qu'il faut faire. Et je dis la vérité à Estelle. Ce matin, après le ménage, avant le repas nous irons dans le souterrain.
C'est là que ça se passe. Clémentine le sait. A quoi bon garder le secret plus longtemps. Mais nous mangeons de bon appétit.
Estelle se propose de s'occuper du salon. Nous faisons la vaisselle. Clémentine monte faire la chambre. Je nettoie la cuisine.
J'aime entendre Estelle chanter en passant l'aspirateur. Tout cela me parvient depuis le salon. Je nettoie les chiottes du bas.
Je passe la serpillère sur les carrelages. WC, le hall d'entrée et la cuisine. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Piège.

Estelle, encore vêtue de son pyjama en soie mauve, m'attendait cachée au bas de l'escalier. Et elle m'attrape par les couilles.
< Je t'aime Julien ! Il faut t'acquitter du droit de passage ! > fait elle en se serrant fort contre moi et avant de m'embrasser.
L'absence de Clémentine me gêne toujours un peu. Toutefois cet élan de tendresse m'émeut à tel point que j'en fond. Doux.
Je passe ma main entre les cuisses bouillantes d'Estelle qui les serre. Je sens les contractions de ses muscles fessiers. Super.
Elle me lâche enfin. Je monte les marches quatre à quatre. Je raconte le tout à Clémentine qui achève de changer les draps.

Clémentine aussi se serre dans mes bras. Nous nous embrassons. Je ramasse les draps pour les emmener à la salle de bain.
Les fenêtres de la chambre sont ouvertes et il fait un froid de canard. Dehors le ciel est gris. Clémentine vient me rejoindre.
Je nettoie le bac à douche et le bidet. Clémentine fait le lavabo et les miroirs. Nous bavardons. Nous nous faisons des bisous.
Estelle vient nous rejoindre avec l'aspirateur. Elle fait les chambres. Clémentine descend avec le panier à linge plein. Lourd.
Je nettoie les chiottes de l'étage. Estelle que je n'entends pas venir, qui s'est habillée, me choppe à nouveau par les couilles.

De me les faire malaxer, au travers du tissus de mes jeans, par derrière, sans défense, est douloureux. Je le dis à la coquine.
Elle le sait bien. Ce qui ne l'empêche pas de continuer en me faisant des bisous. J'ai les mains gantées dans la cuvette. Rires.
Je tire la chasse. L'odeur de javel est si forte. Nous sortons des cabinets. Estelle a glissé sa main dans ma braguette ouverte.
Elle m'entraîne. Nous descendons les escaliers ainsi. Je suis tenue par la bite comme à la laisse. Nous rejoignons Clémentine.
Nous trions le linge. Une machine tourne déjà. Les filles évoquent le vague programme de la journée. Je remonte à la cuisine.

Les pavés de saumon ont décongelé. Je récupère deux bougies dans le bas du buffet. La boîte d'allumette. Je vais au salon.
D'un des deux tiroirs du bas de la bibliothèque je tire un petit sachet. Je rejoins les filles à la buanderie, aux sous sol. 11 h.
< On y va ? > me fait Clémentine en me voyant avec le matériel. J'ai la grosse lampe torche. Elle fonctionne parfaitement.
Nous sortons de la buanderie pour aller dans le cellier. La maison est construite sur une ancienne commanderie Templière.
La cave est vaste. Un labyrinthe de pièces que nous n'utilisons pas. Dans l'une il y a la chaudière. Et dans une autre du bois.

L'entrée du souterrain qui va jusqu'au garage est là. Obscure et béante. C'est une galerie voûtée d'une trentaine de mètres.
Environ au milieu, il y a un renflement. Jadis il devait y avoir ici une statue car il y a encore la stèle. C'est comme un placard.
Il y a deux bancs en pierre. Il ne fait pas froid et l'atmosphère est sèche. La maison et ses fondations sont saines. Hygiène.
J'allume la bougie noire et la bougie blanche posées sur la stèle. Je sors le pentacle de son sachet de cuir et une vieille photo.
C'est un cliché de Christine, mon ancienne compagne. Nous restons silencieux tous les trois. Estelle est étonnée par le rituel.

Tous les ans, à la même époque, depuis huit ans, je viens faire cela ici. Pour la seconde fois avec Clémentine qui est médium.
Estelle semble craintive. Elle est assise sur le banc de gauche. Clémentine sur le banc de droite. Je reste debout et silencieux.
Il y a un souffle glacial et soudain. Les bougies s'éteignent. Clémentine allume la lampe torche. Et je récupère tout le matériel.
Estelle frissonne de peur. Nous voilà à la cuisine. Clémentine lui explique. < Christine est rassurée ! Et elle va rester calme ! >
Estelle semble éberluée. Elle dit : < Sans déconner ! Vous croyez à des trucs pareils ! >. Nous en rigolons comme des bossus.

Il est 11 h45. Estelle s'occupe des pavés de saumon qu'elle prépare en papillotes. Clémentine fait la salade, l'assaisonnement.
J'épluche les patates, les carottes et le navet pour la potée. Ail, oignons, ciboulettes. Dans la vieille cocote ancestrale en fonte.
Tout va vite. Nous sommes méthodiques. A trois les choses sont simples et efficaces. Nous mangeons de bon appétit. 12 h 30.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Faire les clowns en rigolant.
Nous restons vêtus de nos jeans, chemises à carreaux sur lesquelles nous mettons de gros pulls. Grosses godasses. Anoraks.

Il est 13 h45. Nous voilà en route pour le Marché de Noël. Celui du port de plaisance. Trente kilomètres par la route. Brume.
Je roule doucement. Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, écoute Clémentine parler des vacances. Ecosse.
J'ai la bite à l'air. Dans la main chaude de Clémentine. Nous garons la voiture sur le parking de la supérette. Il y a du monde.
C'est l'avant dernier dimanche avant les fêtes. Tous les magasins sont ouverts. C'est notre Marché de Noël préféré. Charme.
Nous flânons entre les cabanons de bois des artisans. Les boules de Noël, les guirlandes, la fausse neige en coton. Le sapin.

Nous prenons des gourmandises. Estelle prend une gaufre. Clémentine prend une pomme caramélisée. Je prends une crêpe.
Un gobelet de vin chaud à la main, nous regardons un Père Noël offrir des bonbons aux familles. C'est touchant et absurde.
Pour Clémentine et moi, Noël ne signifie rien d'autre qu'une fête calendaire parmi d'autres. Une formalité festive annuelle.
Pour Estelle il y a un aspect philosophique et sans doute mystique. Nous flânons. Le manège, la petite patinoire, les stands.
Il est seize heures. < Ras-le-Bol ! > fait Clémentine. < Oui, plein la hotte ! > rajoute Estelle en nous entraînant à la voiture.

Nous voilà sur la route du retour. La nuit succède à un rapide crépuscule. Le froid est bien moins vif que les jours précédents.
Il est 17 h lorsque nous garons l'auto dans la cour du haras. Il y a d'autres voitures dont celle de Juliette. Un groupe de gens.
Les bâtiments sont tous éclairés. C'est le dernier jour de l'exposition temporaire. Nous traversons la cour pour aller regarder.
Dans la petite salle, il y a de l'animation. Les artistes amateurs viennent récupérer les toiles invendues. Il y a Juliette là-bas.
Elle nous voit. Elle vient vers nous. Nous nous serrons la main. La jeune femme fait bouger son doigt dans la mienne. Bien.

Nous bavardons avec des gens. Juliette nous présente à un couple de propriétaires de chevaux. Quinquagénaires élégants.
Elle nous laisse pour aller superviser le décrochage des œuvres. Il y a Gérard qui bavarde avec un groupe de propriétaires.
Il nous a vu. Estelle reste tout près de moi, et comme craintive. Clémentine bavarde avec Eveline, la nouvelle palefrenière.
Voilà Mr Gérard qui rapplique pour rejoindre les deux filles. Je le vois faire son numéro charmeur habituel à ma compagne.
< Tu crois qu'il se fait sucer par Eveline ? > me demande Estelle. Nous rions de bon cœur. Eveline a du travail. Elle s'en va.

Je regarde Clémentine suivre monsieur Gérard. Ils marchent vite et sortent de la salle par la porte arrière. Celle des toilettes.
Estelle m'entraîne par la main. < Tu n'as pas envie d'aller aux chiottes ! > me fait elle. Nous prenons la même direction. Vite.
Le couloir est désert. Nous savons où est la clef du petit local technique. Estelle ouvre. Nous nous y enfermons. L'obscurité.
Estelle ouvre le boîtier EDF. Il y a le trou rond. Il permet de voir dans les toilettes homme. Juste au dessus de l'urinoir mural.
Estelle, penchée en avant, la tête carrément dans le boîtier, observe. < Chut ! Regarde ! > murmure t-elle. Et je me penche.

Là, accroupie ou à genoux, à côté de l'urinoir, Clémentine est entrain de sucer Gérard. J'ai le cœur qui bat la chamade. Fort.
C'est toujours cette curieuse émotion qui m'envahi instantanément lorsque je vois la fille que j'aime entrain de sucer un mec.
Estelle s'est accroupit pour me sortir la bite. Je bande encore mou. C'est plus facile. < Laisse moi voir ! > me chuchote t-elle.
Je la tiens par ses cheveux, fermement. Estelle regarde. Elle me cède la place. Notre situation est inconfortable. C'est chiant.
Estelle me suce. Je regarde par le trou. J'ai du spectacle. Gérard tient sa toute petite bite molle au dessus de l'urinoir blanc.

Clémentine lui tient les couilles. Elles paraissent énormes. Certainement à cause de la bite minuscule. Gérard se met à pisser.
Le visage de Clémentine qui me fait face, là, à peut-être un mètre. Elle regarde le jet d'urine. Concentrée, excitée et souriante.
Je bande comme un salaud dans la bouche d'Estelle qui se régale évidemment avec passion. Gérard cesse de pisser. Immobile.
A chaque fois il tend sa queue à Clémentine qui avance la bouche pour le sucer. Je vois la passion sur les traits de son visage.
Les yeux fermés, comme inondée d'un plaisir divin, ma compagne suce cette bite molle. Gérard pisse plusieurs fois. Petits jets.

Je ne distingue pas si Clémentine est à genoux ou si elle est accroupit. Par contre je sais qu'Estelle est à genoux à me pomper.
Comme toujours, il est impossible de savoir ce que suce Clémentine. Nous entendons des bruits. Quelqu'un vient aux toilettes.
Clémentine se relève. Gérard remballe. La porte s'ouvre. J'entends une voix. C'est Juliette. Estelle a cessé de sucer pour voir.
< Alors, vieux salaud, encore entrain de faire tes saloperies avec la jeune ! > lance t-elle. Clémentine s'essuie la bouche. Jus.
J'hallucine. Juliette s'accroupit pour sortir la queue du retraité. Elle se met à sucer avec une fougue que je ne lui connaît pas.

Nous rejoignons Clémentine dans le couloir. Nous filons à toute vitesse. Nous saluons rapidement les gens présents. L'auto.
Il est 19 h lorsque nous sommes de retour. Clémentine reste étrangement silencieuse. Nous voilà bien au chaud. La cuisine.
Clémentine s'occupe de la salade et nous confie enfin son aventure. Ses impressions. L'excitation intense. Tous les ressentis.
Estelle prépare une belle omelette aux champignons. Je réchauffe la potée. Je mets la table. Les filles parlent de leurs pipes.
Je sors ma queue que j'agite en direction de Clémentine en disant : < Tu as encore été magnifique ! >. Je fais un clin d'œil.

Les filles ont le même réflexe en même temps. Elles se précipitent pour s'accroupir devant ma braguette ouverte. C'est beau.
Je la tend à Clémentine qui se met à me sucer avec autant de passion qu'elle suçait le Gérard. < Salope ! > murmure Estelle.
Je la sors de la bouche à Clémentine. Il y a un peu de jus qui s'écoule. Je la mets dans la bouche à Estelle. La même passion.
Je saisi les deux coquines par leurs cheveux pour les forcer à se relever. Nous passons à table. Nous nous regardons. Silence.
Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons les situations vécues. Juliette qui entre dans les chiottes pour sucer le vieux.

Nous traînons à table. Estelle ne peut s'empêcher d'évoquer notre départ dimanche prochain. Quatre jours sans nous voir.
Je lui propose de venir passer toutes les soirées avec nous. C'est impossible. Estelle a du boulot à la maison. Ses parents.
Il est 21 h. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. J'entraîne les filles au salon. Je les tiens fermement par leurs tignasses.
Debout devant le canapé, je passe ma bite d'une bouche à l'autre. Les filles redoublent de passion. Une pipe des familles.
Une fois encore j'éjacule dans la bouche d'Estelle. La séparation est dure. Elle revient mardi. Nous montons nous coucher.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment faire un petit tour coquin dans les chiottes de leurs écuries préférées…

Julien - (Qui a offert une merveilleux cunnilingus à Clémentine pour la récompenser de la pipe à Gérard. Orgasme fou) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 641 -



Un début de semaine en roue libre

Hier matin, lundi, c'est le Prélude en Do Majeur de Jean-Sébastien Bach qui nous tire de nos profonds sommeils. Avec lyrisme.
< Put-Hein pas le matin ! > s'écrie Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. C'est lourd.
Nous rions de bon cœur en nous faisant quelques bisous. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Rituel pissous.
Morts de faim, nous dévalons l'escalier pour descendre à la cuisine. Nous y préparons notre copieux petit déjeuner. Il est 6 h05.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le bilan de ce Week-End. Positif. Nous remontons pour notre heure de gymnastique.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Des bisous. 7 h45.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je passe dans l'atelier.
J'allume un beau feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Je suis assis devant mon chevalet.
Je peins dans une véritable euphorie. La peinture de la dixième toile destinée à ma saison 2019 m'absorbe déjà complètement.
Dehors, le temps est gris, maussade et il menace de pleuvoir à chaque instant. Il me faut travailler avec la lampe halogène.

Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare une belle pâte à pain. Avec gruyère.
Je concocte un coulis de courgettes et d'aubergines. J'en récupère un peu comme sauce. Je me prépare une salade de carottes.
Pour ce soir, le repas est prêt. Je mange de bon appétit en écoutant l'inventaire nauséeux des informations. Et j'éteins la radio.
La vaisselle. Je range la cuisine. Il est presque 12 h45 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet.
Mon paysage au moulin prend déjà une certaine consistance. Ce nouveau tableau sera terminé mercredi. Et c'est fort probable.

Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle pose son sac sur le canapé. J'anticipe. Et elle se précipite vers moi.
Assise sur mes genoux elle me raconte sa journée. J'écoute en silence quelques amusantes anecdotes. C'est toujours si sympa.
Nous travaillons encore un peu. Clémentine met au propre ses notes de la journée. Cela lui permet de réviser ses cours. Super.
Le crépitement du feu. Le craquement du bois. Les bruits lointains qui recommencent à se faire entendre, venant de nulle part.
Il est 18 h15 lorsque Clémentine range ses affaires. Je nettoie ma palette, mes pinceaux. Nous voilà assis devant la cheminée.

Nous admirons la danse des flammes. Clémentine s'allonge sur le côté, sa tête posée sur ma cuisse. L'épais tapis confortable.
Je lui caresse la tête. Elle évoque notre prochain séjour en Ecosse. < J'y pense tout le temps ! > me confie t-elle. Elle raconte.
Je chuchote : < Nous passerons faire un coucou à monsieur Wong et à madame Li-Yang dans leur restaurant Vietnamien ! >
Par association d'idée, nous ne tardons pas à évoquer les souvenirs qui nous rattachent à ces gens. Aventures sexuelles. Joie.
< Je me goûterai volontiers un Nem ! > fait Clémentine en palpant ma braguette. Nous rions de bon cœur. Je sors ma queue.

Je bande mou. Mon Zob pend. Clémentine redressée sur son coude, se le passe sur le visage en gémissant doucement. Miam.
< Tu la gardes à l'air ce soir ! > me demande ma compagne, s'asseyant. Il est 19 h. Je propose d'aller nous occuper du repas.
Je me lève. Elle me tend ses mains. Je l'aide à se relever. Elle m'entraîne par la bite jusqu'à la cuisine. Notre feu va s'éteindre.
Clémentine s'occupe de la salade de tomates et de son assaisonnement. J'étale la pâte dans le grand plat. Elle est onctueuse.
J'y verse le coulis que je viens de réchauffer. J'y saupoudre du gruyère de Comté finement râpé et quelques dés de Roquefort.

Je mets au four. Nous n'arrêtons pas de nous faire des bises. < Je t'aime et je suis amoureuse ! Fais gaffe ! > fait Clémentine.
Je retire mon tablier. Clémentine m'attrape par le Zob pour m'entraîner au salon. Nous préparons la table monastère. Super.
Nous étalons le chemin de table en lin écru. Le chandelier, les assiettes en grès, les couverts en vieux cuivre, serviettes. Bien.
Clémentine s'accroupit devant moi, ouvre la bouche en grand après m'avoir dit : < Sois salaud durant toutes les vacances ! >
Je lui passe la bite sur le visage en répondant : < Et je commence dès à présent ! >. Clémentine cherche à gober ma queue.

Ses mains posées sur mes hanches et pour se maintenir en équilibre, elle se met à genoux. De grâcieux mouvements de tête.
J'aime la voir pencher son visage à gauche, à droite, bouche ouverte, pour tenter de s'emparer de mon sexe. Elle est si belle.
Je frotte délicatement ma bite sur ses joues, son nez. Je la passe sur le contour de ses lèvres. Clémentine en glousse de joie.
Trois coups de sonnette. Il est déjà 19 h30. Clémentine se redresse en me disant : < Et garde ta bite à l'air ! >. Elle va ouvrir.
Julie entre dans le salon. Elle est vêtue d'une jupe plissée noire. Bas noirs. Un pull épais noir, des bottes noires. Magnifique.

Elle regarde ma queue en restant distante. Elle me fait un sourire. Elle s'avance pour me tendre la main. Trois bises Bretonnes.
Je garde sa main dans la mienne pour y faire bouger mon index. Clémentine est dans l'encadrement de la porte, me souriant.
La sonnerie du four. Je propose de faire le service. J'invite les filles à s'installer à la table. < Je suis morte de faim ! > fait Julie.
Je vais sortir la tarte du four. Averti par un sixième sens, je retourne la tête pour voir les filles dans l'encadrement de la porte.
Julie fixe mon sexe avec une grande attention. Elle semble n'avoir d'yeux que pour lui. Clémentine, bras croisés me regarde.

C'est toujours très excitant lorsque ma compagne me dévisage ainsi. Lorsqu'elle observe mes attitudes et mes agissements.
Rien ne l'enchante davantage que de me voir vicieux avec les filles qui viennent à la maison. Je tâche d'y mettre du zèle. Joie.
J'agite ma bite en direction de Julie. Je fais tournoyer mon sexe comme un lasso. Julie regarde avec une attention décuplée.
Je lui fais : < Si tu veux ton petit cadeau de Noël, c'est ce soir ! Après, on ne se voit plus jusqu'au début de janvier tu sais ! >
Julie reste silencieuse. < Vous me tentez Julien ! Vous êtes cruel ! >. Nous rions de bon cœur. Je prends la tarte. On a faim.

Julie est assise à ma gauche. Clémentine est assise à ma droite. Nous mangeons de bon appétit. Les filles parlent université.
Pour toutes les deux, c'est la fin de ce premier trimestre. Julie prépare sa licence de Lettres. Et elle va avoir 20 ans en février.
Je lui propose de fêter son anniversaire avec nous. < Je vais le fêter plusieurs fois ! Mais avec vous surtout ! > répond Julie.
Je me lève, je tiens ma queue à sa base pour la tendre vers Julie. Je dis : < Ton cadeau t'attend déjà ! 20 ans ça se fête ! >
Julie ne dit rien. Elle se contente de me lancer un curieux regard. Je débarrasse la table. J'emmène le tout à la cuisine. 21 h.

Je prépare les coupes glacées pour notre dessert. A nouveau les deux filles sont dans l'encadrement de la porte. Silencieuses.
Clémentine, debout derrière Julie, m'observe avec un sourire complice. Je pose les coupes sur le plateau. J'ai la bite qui pend.
< Attention ! Vous allez vous tâcher ! > me fait Julie en pointant son doigt vers la coulée visqueuse de foutre qui dégouline.
Je bande mou. C'est très excitant. Aussi, la production de liquide séminal est conséquente. < Je peux ? > fait Julie accroupie.
Avec la serviette en papier dans la main droite, elle essuie mon Zob qu'elle tient à sa base de la main gauche. Consciencieuse.

Clémentine lève le pouce de sa main droite. Elle me fait un clin d'œil. Nous regardons Julie essuyer longuement ma bite molle.
Ce n'est évidemment qu'un prétexte pour vivre une situation excitante. Julie reste toutefois impassible. J'admire. C'est super.
Clémentine s'accroupit en disant : < Moi, je l'essuie comme ça ! >. D'un mouvement de tête elle prend ma queue en bouche.
Julie se penche pour mieux regarder. Elle me montre l'intérieur du mouchoir. Je fais un clin d'œil. Elle le plie soigneusement.
< Souvenir ! > me fait elle en se relevant pour le poser sur la table. Je force Clémentine à se redresser. Bouche déjà juteuse.

Nous dégustons nos coupes glacées tout en riant beaucoup. < Vous me manquez au restaurant le vendredi ! > me fait Julie.
Je promets que dès le début de l'année prochaine nous viendrons manger. Les fêtes seront passées, il y aura moins de gens.
< Nous aussi ça nous manque ! > rajoute Clémentine. Nous évoquons toutes les possibilités qui vont s'offrir à nous. Sympa.
A présent, avec la complicité de la serveuse, nous pourrons, Clémentine et moi, monter d'un cran dans la gradation du vice.
Julie nous confie ses visites impromptues aux toilettes homme lorsqu'un des clients lui fait de l'œil ou la drague ouvertement.

< Et tu n'as jamais sucé un mec aux chiottes du restau ? > lui demande Clémentine. < Non ! Encore jamais ! > répond Julie.
Je lui dis : < Et si la première fois c'était avec moi ? >. Julie me regarde par en-dessous et dit : < Pour mon anniversaire ? >
Nous en rions de bon cœur. Julie nous confie qu'elle n'a fait ça qu'une seule fois. Avec son ancien petit copain. Il y a des mois.
< C'était pas très bon ! > rajoute t-elle. Clémentine lui fait : < Et il faut que tu compares avec une vraie bite de vrai mec ! >
Julie me fixe d'un étrange regard. Je me lève pour lui tendre ma queue. Je bande comme un salaud. Elle regarde à nouveau.

< Ça fait envie ! Même si le souvenir me dégoûte un peu ! > rajoute encore Julie. Il y a deux bruits soudain à l'étage. Silence.
< Ç'est quoi ? > demande Julie soudain dans la réalité. < Le bois de la maison qui travaille avec le froid ! > lui dit Clémentine.
Il est inutile d'inquiéter cette jeune fille avec une vérité qui dépasse l'entendement. Et je me branle pour divertir l'atmosphère.
Julie insiste pour faire la vaisselle avec nous. Clémentine plonge. Julie et moi nous essuyons. Les filles évoquent leurs études.
Julie garde toutefois un œil intéressé sur mon sexe qui pend à nouveau lamentablement de ma braguette ouverte. C'est bien.

Je dis : < Nous venons manger au restaurant vendredi 4 janvier. On réserve une table dès à présent. La galette des rois ! >
< Super ! > fait Julie qui réprime un mouvement d'approche. Comme si elle voulait me faire un bisou. Je fais mine de rien.
< Vous allez finir par vous tâcher ! > me fait Julie en me montrant le filament épais et visqueux qui relie mon Zob au tissu.
Nous rions de bon cœur. Il est déjà 22 h15. Nous raccompagnons Julie jusqu'à sa voiture. Il pleut légèrement. Pluie froide.
Nous bavardons encore un peu sous le parapluie. Nous ne nous verrons plus avant le début de l'an prochain. Trois semaines.

Nous promettons à Julie de garder le contact par courriels. Nous lui ferons des messages d'Ecosse. Envois de photographies.
Juste après m'avoir fait la bise, Julie, sa main droite encore dans la mienne, me prend le sexe dans la main gauche. Sympa.
C'est la seconde fois. Et cela va probablement devenir une amusante habitude. < Pas froid ? > me demande t-elle. Rigolade.
Je bouge mon doigt dans sa main. Julie doit partir. Nous regardons l'auto disparaître dans le noir. Nous rentrons en vitesse.
Au lit, après un "69", nous faisons l'amour. Clémentine me félicite pour mes attitudes. Je lui offre un cunnilingus. Pipe. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment aller manger chez leurs d'amis. Et dont le mec du couple est un vicelard…

Julien - (Qui aime bouffer la chatte de Clémentine après une soirée d'excitation. Il y a de quoi se sustenter. Trempée) -

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Un mardi soir de fête

Hier matin, c'est la suite pour Piano de Haendel qui nous tire de nos profonds sommeils. Et avec une certaine délicatesse rare.
< Put-Hein Haendel, commence pas déjà ! > s'écrie Clémentine qui me chevauche pour éteindre le réveil sur ma table de nuit.
Nous nous faisons quelques papouilles pour nous réveiller complètement. Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au cabinet.
Morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit.
Nous bavardons. Nous sommes déjà en tenues de gym. 6 h30. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement.

La douche. Je descends le premier. Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Et il fait moins 3°.
Clémentine reviendra pour midi. Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. 7 h45. Je rentre vite.
Je fais notre lit, la vaisselle et je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. 8 h15. Je prépare palette, pinceaux.
Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins avec la lampe halogène. Comme tous les matins, le jour semble ne pas se lever.
La peinture de mon paysage au moulin m'accapare complètement. Passionnante. Et il est rapidement midi. Je vais à la cuisine.

Je lave la salade verte. Je fais bouillir l'eau pour le millet. Je prépare la panure pour les filets de lieu noir. Clémentine arrive.
Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bisous. Elle s'occupe de l'assaisonnement de la belle salade.
Clémentine me raconte sa matinée. Tous les jours de cette dernière semaine de cours, c'est un peu comme un examen. Bien.
Le bilan du trimestre en quelque sorte. Cela reste toutefois formel et très organisé. Tout se passe très bien. C'est rassurant.
Je prépare la pâte à pain pour les pizzas de ce soir. Leur garniture. Clémentine m'aide à émincer l'ail, l'oignon et les tomates.

Nous n'arrêtons pas de nous faire des bisous, de nous essuyer les mains pour nous toucher, nous tripoter et nous ploter. Joie.
Le repas est rapidement prêt. Le millet gonfle vite. Je le fais revenir dans la poêle où il reste de la panure, chapelure et l'œuf.
La pâte repose dans son saladier recouverte d'un linge. La garniture reste dans la casserole sous son couvercle. Pour la soirée.
Nous traînons à table. Nous évoquons notre départ pour l'Ecosse dimanche matin. Nous enverrons les cadeaux par colis postal.
Nous irons en ville vendredi après-midi. Tout nous faire expédier à Edimbourg pour lundi. Ainsi pas de bagages encombrant.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Nous faisons les clowns devant le miroir en riant.
Je prends Clémentine sur le dos. Je descends l'escalier prudemment en imitant le hennissement d'un cheval. Nous rions bien.
Nous allons dans le salon. Je dépose Clémentine dans le canapé. Je lui retire ses jeans, sa culotte. Elle m'aide consciencieuse.
A genoux sur l'épais coussin, ma tête entre ses cuisses largement écartées, je hume les odeurs de sa journée de fille. Super.
J'avance encore le visage. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe. Un délicieux goût acidulé, vinaigré.

Je décalotte son clitoris du bout de mes lèvres. Miam. Clémentine se met à respirer plus fort entre deux apnées. Merveilleux.
Il me faut la sucer avec prudence. Même si Clémentine me guide en tenant mes oreilles, elle n'est pas à l'abri d'un orgasme.
C'est lorsqu'elle murmure de plus en plus souvent < Attention ! > et en me repoussant délicatement que je dois être vigilant.
Nous cessons juste avant le "drame". Je me redresse. Clémentine qui me tend ses mains. Je l'aide à se relever. Elle s'habille.
Nous reprenons nos esprits en nous serrant fort devant une des portes fenêtres. Nous regardons dehors. Il y a du brouillard.

Je propose de préparer la table monastère. Ce soir sera un repas de fête. Nous déplions le chemin de table en lin écru. Beau.
Nous mettons les assiettes en grès, les couverts en cuivre, le chandelier et ses trois bougies. Tout est prêt. C'est magnifique.
Il est 14 h. Nous allons dans l'atelier. Je rajoute deux grosses bûches dans la cheminée. Et il faut travailler avec les lumières.
Clémentine est assise à la table, entourée de ses notes, devant l'ordinateur. Je suis assis devant mon chevalet. Silence total.
Seuls le crépitement du feu, les craquement du bois de hêtre et nos respirations résonnent dans la grande pièce. Adorable.

La nuit arrive rapidement après un court crépuscule. Souvent, l'un se lève pour aller faire des bises à l'autre. Voir ce qu'il fait.
Les premiers bruits venant de nulle part commencent à se faire entendre. < Voilà Christine qui se réveille ! > fait Clémentine.
Nous n'y prêtons plus vraiment attention. Les phénomènes de hantise sont comme tous les autres. Et on fini par s'y habituer.
Pourtant, ce qui ressemble quelquefois à de lourds bruits de pas à l'étage reste impressionnant. Nous vivons avec un fantôme.
< Christine est une squatteuse ! > fait encore Clémentine assise sur mes genoux. On ne le dit pas mais on a un peu la trouille.

Malgré tout, nous avons bien avancé dans notre travail. Et cette toile sera terminée demain pour midi. C'est le timing parfait.
Le bruit est cette fois différent et d'une toute autre nature. Il est 18 h15. Estelle entre dans l'atelier. Elle se précipite vers moi.
Assise sur mes genoux, elle nous raconte son après-midi où il lui faut concilier révisions et le travail dans l'entreprise familiale.
< Je fais tout au bureau. Et en plus j'entends ma mère au téléphone sans arrêt ! > nous fait elle. Nous en rions de bon cœur.
A l'étage, l'activité paranormale semble redoubler. Depuis toutes ces années, c'est la première fois que c'est si intense. Fou.

< Put-Hein ! Elle fait chier ton "ex" ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Les filles comparent leurs révisions. Bien.
Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Nous voilà assis en tailleur, tous les trois devant la cheminée. Nous évoquons l'Ecosse.

< Tous les Ecossais on un fantôme qui vit dans leur maison. Et même lorsqu'ils vivent hors de l'Ecosse ? > demande Estelle.
Cela nous fait éclater de rire. Mais nous ne sommes pas dupes. C'est un peu pour conjurer nos appréhensions bien naturelles.
Estelle palpe ma braguette en posant sa tête sur ma cuisse gauche. Clémentine pose la sienne sur l'autre. Je les caresse. Joie.
J'aime passer mes mains dans leurs cheveux. Je me retrouve bien évidemment avec la braguette ouverte. La bite à l'air. Molle.
Je caresse la nuque d'Estelle qui en raffole. Elle joue avec ma queue. Je caresse délicatement la tête de Clémentine. C'est bon.

Il est 19 h. Morts de faim, nous quittons l'atelier. Nous laissons le feu s'éteindre. Nous emmenons Estelle au salon pour voir.
< Quelle belle surprise ! > fait elle en découvrant la table, les décorations. Clémentine a mis des petites branches de sapin.
L'odeur caractéristique du résineux participe à cette ambiance de fête. Estelle se serre contre moi. Clémentine aussi. Bisous.
J'entraîne les filles à la cuisine. Estelle étale la pâte. Je réchauffe la garniture. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade.
Les filles évoquent leurs études, cet espèce d'examen de fin de trimestre et la stratégie à appliquer pour le trimestre à venir.

Les pizzas sont au four. Je saisi les filles par leurs tignasses pour les entraîner sans ménagement au salon. Elles en gloussent.
< Tu es prié d'être le dernier des vicelards en Ecosse ! > me fait Estelle que je fais mettre à genoux sur le coussin posé au sol.
Je lui passe la bite sur le visage en précisant : < Mais pourquoi attendre d'être en Ecosse ? >. Clémentine se frotte contre moi.
Je dis : < En Ecosse, vous porterez le collier canin à tour de rôle. Je vous promène à la laisse. Un jour l'une. Un jour l'autre ! >
Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. < Oh oui ! > font elle en cœur sans même se concerter. Clémentine m'embrasse.

Je tiens Estelle par ses cheveux. Je reste immobile. J'appui sur sa nuque pour lui enfoncer un peu plus de bite dans la bouche.
Nous ne tardons pas, Clémentine et moi, à avoir nos mentons trempés de salive. Nos baisers sont tellement passionnés. Joie.
Estelle me suce. Elle me tient par les hanches. C'est un peu comme si sa vie en dépendait. Naufragée accrochée à son radeau.
Ces moments sont toujours d'une telle intensité que nous en avons tous les trois le vertige. Et nous nous tenons l'un à l'autre.
Clémentine qui a déjà eu du plaisir en début d'après-midi, est rapidement couverte de doux frissons. Je la sens se trémousser.

La sonnerie du four. Estelle se redresse. < Aïe, aïe, aïe ! > fait elle. Je lui masse les genoux. Clémentine est accroupit. La bite.
Nous filons à la cuisine pour chercher tout ce qu'il faut. Estelle sort les pizzas du four. Clémentine s'empare du saladier. Super.
J'emmène la bouteille de jus de mangue et la carafe d'eau. Nous voilà confortablement installés au salon. Lumière des bougies.
Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons des scénarios coquins que nous nous promettons de réaliser en Ecosse. Vicieux.
Clémentine veut se surpasser. < Tu auras du mal ! > lui fait Estelle. A l'étage, le fantôme doit écouter car il n'y a plus de bruit.

Nous traînons à table. < Tu as dressé le sapin sur les boules cette année encore ? > demande Estelle en passant sous la table.
Je m'avance un peu sur la chaise. Situation inconfortable mais qui permet à Estelle de me tailler une pipe sans heurter la table.
Clémentine pose sa main sur la mienne. < Je t'aime Julien ! Et en Ecosse je vais être amoureuse tous les jours ! > me fait elle.
Nous entendons Estelle glousser sous la table en écoutant notre conversation. Nous parlons comme si nous étions seuls. Bien.
La pipe d'Estelle me procure les plus indicibles émotions. Clémentine caresse mon visage. < J'aime quand tu jouis ! > dit elle.

Je propose de débarrasser, de faire la vaisselle et de nous offrir une fin de soirée digne de notre libido débridée et anarchique.
Estelle se redresse. Je lui tiens délicatement la tête afin qu'elle ne se cogne pas en se relevant. Elle me montre sa bouche. Jus.
C'est un peu comme pour témoigner de sa goinfrerie, de la quantité de foutre qu'elle tire de mes deux couilles congestionnées.
Nous débarrassons. La vaisselle. Nous nettoyons la table, nous rangeons la cuisine. Nous rions beaucoup. Estelle déconne bien.
Debout sur la chaise, mimant une masturbation masculine avec toute la vulgarité habituelle, elle nous fait son numéro préféré.

Nous retournons au salon. Je propose aux filles de leur bouffer la chatte. Estelle préfère retourner à sa pipe. Clémentine est ok.
A genoux sur l'épais coussin, j'offre à Clémentine un merveilleux cunnilingus qui la fait gémir de bonheur. Estelle taille sa pipe.
Elle est couchée sur le côté, en appui contre le canapé entrain de me sucer avec passion. Changeant parfois de position. Joie.
Clémentine connaît un orgasme qui la terrasse. Elle est prostrée. Ses mains entre ses cuisses. Elle se lève à toute vitesse. Pipi.
Les orgasmes de Clémentine sont souvent si intenses qu'elle ne se sent plus pisser. Heureusement, parfois, elle à le contrôle.

Je m'installe à sa place dans le canapé. Je caresse la tête d'Estelle qui me prodigue une de ses fellations dont elle a le secret.
La pipe des familles. Elle ouvre les yeux pétillants de vice pour me fixer, me faire un clin d'œil et me saisir les mains. Si douce.
Clémentine revient. Elle est toute rouge. Des gouttes de sueur qui perlent sur le bout de son nez. Elle s'installe à côté de moi.
Nous regardons Estelle dans ses œuvres. J'éjacule. Trois saccades qui me procurent un orgasme délirant. Estelle en gémit !
Nous reprenons nos esprits. Nous raccompagnons Estelle à son auto. 22 h30. Séparation difficile. Et nous la regardons partir.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment prendre leur dessert à quatre pattes sous la table…

Julien - (Qui se conditionne pour satisfaire la libido des filles pour ce séjour en Ecosse qui promet d'être intense) -

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Les décorations de Noël au haras

Hier matin, mercredi, je me réveille juste un peu avant que ne résonne la station France Musique. Il n'est encore que 5 h50.
Je couvre le visage de Clémentine de bisous. Elle aussi est entrain d'émerger. Nous nous faisons quelques douces papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes avant de nous habiller de nos tenues de gym et de descendre à toute vitesse à la cuisine.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en bavardant. Nous remontons pour nous entraîner. Superbe.
La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine. Elle me rejoint chaudement vêtue. Ce matin il fait moins froid.

Il y a même quelques gouttes de pluie. Un bisou. Un coucou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h45.
Je rentre pour faire le lit, la vaisselle et allumer du feu dans l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est déjà 8 h15.
Je peins dans l'euphorie la plus totale. C'est la première fois depuis 20 ans que j'ai 10 tableaux avant les fêtes de fin d'années.
Et celui ci sera terminé pour midi. Il y en aura sans doute onze. C'est prodigieux. J'en pousse des cris totalement surréalistes.
Il faut me voir faire la danse du guerrier Sioux autour de mon chevalet à chaque coup de pinceau plus sublime que les autres.

Il est presque midi. Le timing parfait. Je dépose la toile achevée contre le mur avec les autres. Je vais à la cuisine. La fringale.
Je prépare des coquillettes. La pâte feuilleté, le saumon ont décongelé dans le haut du frigo. Je concocte une belle Béchamel.
J'en récupère un peu comme sauce avec les coquillettes que j'égoutte. Je prépare le feuilleté de saumon que je mets au four.
Ce sera notre repas du soir chez Juliette. Je mange de bon appétit en tentant d'écouter l'incessante litanie des informations.
J'éteins rapidement la radio. C'est au-dessus de mes forces. La salade de tomates me reste en travers de la gorge. Rigolades.

Il est presque 13 h lorsque je suis à nouveau installé devant mon chevalet à réaliser le calque de ma onzième toile. Méthode.
Ce principe d'appliquer le calque me permet de coucher sur la toile le dessin d'une ancienne réalisation . Super gain de temps.
Il est 13 h30. Je termine en même temps que ne résonne la sonnerie du four. Je peux laisser le feuilleter de saumon. Parfait.
Deux couches d'impression à l'acrylique "Terre de Sienne" et je peins dans un enthousiasme délirant. "Bouquet au vase bleu".
Du bruit. En même temps que tombe la nuit, voilà Clémentine. Elle se précipite pour m'administrer plein de bisous. Heureuse.

Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée. L'amphithéâtre, le restaurant universitaire, les professeurs. Estelle.
J'écoute en silence. Ce lien avec le monde extérieur prend figure de rapport. Cela nous amuse considérablement. C'est sympa.
Nous travaillons encore deux petites heures. Clémentine met ses notes au propre. Ça permet de réviser le contrôle de demain.
Avec l'arrivée de la nuit, les bruits étranges reprennent de plus belle. Cette fois ce sont des bruits furtifs. Et toujours à l'étage.
< Stop ! > s'écrie Clémentine qui termine de ranger ses affaires. Elle éteint l'ordinateur. Je nettoie ma palettes, mes pinceaux.

Nous voilà assis en tailleurs sur l'épais tapis devant la cheminée. La danse des dernières flammes est un spectacle admirable.
Clémentine évoque notre départ dimanche matin. Sa peur de l'avion. Je la rassure. Nous arriverons à Edimbourg pour 11 h15.
Nous prendrons possession de la voiture de location, une Golf comme toujours car c'est ma préférence pour les courts séjours.
Clémentine a posé sa tête sur ma cuisse. Elle me caresse la braguette en me rappelant que j'ai promis d'être salaud en Ecosse.
Nous en rions de bon cœur lorsque je précise que le collier canin et la laisse sont déjà prêts. < Promis hein ! > dit Clémentine.

Il est 19 h. Nous montons nous changer. Clémentine porte une de ses jupes kilt, bas noirs, porte jarretelle. Et pas de culotte.
Un chemisier blanc sous un pull bleu nuit. Bottes à talons. Elle est absolument sublime. Et sur sa demande, j'ai mon costume.
Velours noir, chemise blanche, cravate. Nous prenons la pose devant le miroir. Clémentine s'accroupit à ma droite. Superbe.
Elle me tient la jambe, sa tête posée sur ma cuisse, les siennes largement écartées elle me regarde en m'implorant. Si belle.
Je pose ma main sur ses cheveux. < Tu me mets dans cette situation tous les jours devant des inconnus ! > demande t-elle.

Je promets de faire de mon mieux. Nous enfilons nos manteaux. Nous mettons nos élégants chapeaux feutre et nos écharpes.
Il faut prendre le parapluie car une pluie fine, froide tombe de façon continue. Je roule doucement. Les trois petits kilomètres.
Clémentine joue avec ma queue. Je lui touche l'entrejambes si accessible sans culotte. Il est 19 h15. Nous arrivons au haras.
Il y a encore quelques voitures garées dans la cour. Il y a de la lumière dans presque tous les bâtiments. Une intense activité.
Nous traversons la cour sous le parapluie pour entrer dans notre écurie préférée. Et il y a là Juliette et Kim Son, le palefrenier.

Kim Son est en haut d'une échelle entrain de fixer les guirlandes de Noël que lui passe Juliette. Elle est contente de nous voir.
Nous nous serrons la main. C'est Juliette qui fait bouger son index dans ma paume la première. Nous saluons Kim Son là haut.
Juliette est vêtue d'une élégante jupe, d'une épaisse veste cintrée, sur un pull. Des bottes à talons. Elle est terriblement sexy.
Il y a un monsieur que nous ne connaissons pas qui arrive avec une mallette à la main. C'est le vétérinaire venu faire un soin.
Le docteur parle un peu avec Juliette en lui donnant quelques consignes. Brossage, lavage et compresses pour l'animal blessé.

Le vétérinaire, un élégant quadragénaire, n'est pas insensible au fort pouvoir de séduction qu'opère Clémentine sur les mâles.
Aussi, le bougre cherche un prétexte pour entrer en contact avec la fille. Je lui facilite la tâche en bavardant avec Juliette. Joie.
Pendant que Clémentine se fait ouvertement draguer devant les chevaux, Juliette continue de tendre des ampoules à Kim Son.
Accroupie devant un des cartons contenant des guirlandes lumineuses, Juliette me montre ostensiblement l'absence de culotte.
Juliette, pourtant beaucoup plus voyeuse qu'exhibitionniste, semble depuis quelques semaines prendre plaisir à cette pratique.

J'apprécie énormément l'attention de la jeune femme. Je m'accroupi à mon tour pour lui faire comprendre que j'aime regarder.
Elle écarte ses cuisses un peu plus et à chaque fois qu'elle tire un nouvel objet du carton. Elle se redresse et le tend à Kim Son.
Cette complicité toute nouvelle, qui vient s'ajouter aux autres semble émerveiller la jeune femme autant que moi. C'est super.
Clémentine revient. Le vétérinaire est partit. Juliette se redresse. Clémentine n'est évidemment pas dupe. Elle me fait un signe.
Un clin d'œil me confirme que tout en se faisant draguer par le docteur, elle ne perdait pas de vue ce qui se passait plus loin.

Clémentine s'accroupit à son tour devant un des cartons. Kim Son descend de son échelle pour la mettre un peu plus loin. Bien.
Il est impossible de ne pas distinguer son entrejambes ainsi offert à la vue du jeune palefrenier. Ce dernier reste stoïque. Fort.
Il est toujours difficile, pour nous occidentaux, de lire les sentiments sur le visage des asiatiques. Kim son en est un exemple.
Juliette est accroupit pour moi. Clémentine est accroupit pour le palefrenier. Je bande. Kim Son peut-être aussi. Supers filles.
La situation perdure. Juliette prend cette position équivoque à plusieurs reprises. Rien que pour moi. Clémentine pour Kim Son.

Cette complicité m'enchante. Les filles se redressent en même temps, sans même se concerter. Nous suivons Juliette. Faim.
Je récupère le Tupperware contenant le feuilleté de saumon dans l'auto. Clémentine tient le parapluie. Les filles sont dessous.
Nous voilà dans les appartements de Juliette. Le feuilleté réchauffe déjà au four. Juliette a préparé des petits légumes rissolés.
Tous les prétextes sont bons à Juliette pour m'offrir son numéro. Elle le fait toutefois en dehors des regards de ma compagne.
Clémentine a bien compris. Nous n'avons pas besoin de nous parler. Nous sommes télépathes. Elle permet les jeux de Juliette.

Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons notre proche séjour écossais. Nous ne nous verrons plus avant début janvier.
Nous promettons de rester en contact par courriels et photos. Juliette nous prose de venir manger dès notre retour. Jeudi 3.
Nous préférons le vendredi. Nous avons toujours besoin de nous retrouver au moins une journée à nos retours de vacances.
La soirée du vendredi 4 janvier est donc arrêtée. Juliette nous raconte l'organisation de la fête de Noël au haras ce dimanche.
La jeune femme nous montre quelques photos prises l'année dernière, à la ma même époque. Nous nous souvenons de tout.

Tout en feuilletant l'album des plus beaux clichés tirés sur papier, Juliette est à ma droite, le sexe posé contre le coin de table.
Elle y repose de tout son poids. Clémentine me fait du coude avant de prendre la même position à ma gauche. Coin de table.
Je dis : < Vous me faites bander ! J'ai honte ! >. Nous éclatons de rire. < Fais voir ! > fait Clémentine. < Oui ! > dit Juliette.
Me voilà avec la bite à l'air devant les deux coquines. Devant une femme de 42 ans, c'est différent. Le regard n'est pas pareil.
Cela me gêne et m'excite en même temps. Ce n'est pas la première fois que je montre ma bite à Juliette. Mais c'est si intense.

Juliette pourrait être la mère de Clémentine. Cette simple idée me procure une érection démentielle. Démonte pneu de camion.
Nous passons au dessert. Je me branle sous la table. Juliette en plaisantant me tend un petit verre à cognac. Et une serviette.
< Je récupère ! > me fait elle avec un clin d'œil. Nous rions de bon cœur. Je préfère garder ma semence pour Clémentine. Joie.
Nous faisons la vaisselle. Juliette nous raccompagne jusqu'à la voiture. Plus de deux semaines sans nous voir. Ce sera difficile.
Nous sommes tous les trois sous le parapluie. Avec le froid, j'ai débandé mais j'ai toujours la bite à l'air. Nous bavardons. Rire.

Tout en discutant, je me tourne légèrement. Je me tiens la bite. Je pisse tranquillement sous les yeux des deux coquines. Pipi.
Juliette se penche pour mieux voir en disant : < J'hallucine ! >. Je passe la main sous ses cheveux pour appuyer sur sa nuque.
Elle se redresse immédiatement en disant : < Pas de ça entre nous c'est moi qui commande ! >. Je termine de pisser. Peinard.
Nous nous serrons la main. A nouveau c'est Juliette qui a l'initiative de faire bouger son doigt dans ma paume. C'est superbe.
Nous prenons congé. Ce n'est pas sans un léger pincement de cœur. Dans la voiture, Clémentine me fait : < Quelle salope ! >

Je lui dis en caressant son sexe humide : < Entre salopes c'est le "Club" ! >. Clémentine répond : < Entre vraies vicieuses ! >
Nous nous dépêchons de monter. Nous nous lavons les dents. Nous passons aux toilettes. Nous aimons les dernières gouttes.
Au lit, nous nous chauffons encore davantage avec un bon "69". Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec précautions.
Immobiles, comme nous aimons à le rester l'un dans l'autre, Clémentine me chuchote d'extraordinaires révélations. Enorme.
Je la termine par un cunnilingus qui la terrasse d'un orgasme cataclysmique. Elle me suce pour m'offrir la réciproque. Le dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui adorent s'exhiber discrètement devant le mec de leur copine…

Julien - (Absolument ravi des attitudes de Juliette qui doit beaucoup s'amuser à ces petits jeux exhibitionnistes) -

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C'est toujours très fort avec Estelle

Hier matin, jeudi, c'est la 5ème de Ludwig Van Beethoven qui nous tire de nos profonds sommeils. Et avec une violence inouïe.
< Salaud de Ludwig, va ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table duit. Double peine.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me fait : < Tu n'aurais pas comme un poids sur l'estomac avec Ludwig van Bite au vent ? >
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous mettons nos tenues de gym avant de descendre à la cuisine.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous dégustons en bavardant. L'approche des vacances est déjà un sujet en soi.

Nous remontons nous entraîner. Une heure d'une intensité maximale. Ce second plaisir du matin fait de nous des guerriers.
La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue et sous son parapluie. 7 h45.
Un dernier bisou. Un coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Bien.
Je fais le lit, la vaisselle. J'allume un feu dans la cheminée de l'atelier. Je prépare ma palette et mes pinceaux. C'est superbe.
Il est 8 h15 lorsque me voilà enfin confortablement installé devant mon chevalet. Mon "Bouquet au Vase Bleu" a fière allure.

Je peins dans un enthousiasme délirant, ponctuant chaque coup de pinceau plus sublime que l'autre d'un cri surréaliste et fou.
La matinée se passe ainsi, à une vitesse vertigineuse. Je suis livré corps et âme à ma passion dévorante. Les heures défilent.
Il est donc rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare du riz en écoutant Stéphane Bern dont j'aime l'éloquente érudition.
Pour le repas de ce soir, je fais une pâte à pain, je fais cuire du poireau et je termine par une Béchamel. Je prépare la salade.
Avec mon riz, je récupère un peu de Béchamel que j'accompagne d'une belle salade verte. Je suis méthodique et tout va vite.

Je mange de bon appétit tout en tentant d'écouter l'insanité mensongères, formatées calibrées, distillées par les informations.
C'est en dessous de tout. J'éteins la radio pour ne pas la détruire. La vaisselle. Je range la cuisine. Je retourne dans l'atelier.
Il est 12 h55 lorsque je suis à nouveau assis devant mon chevalet. Et je module longuement mes cris en différentes tonalités.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine entre à toute vitesse dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé et se précipite vers moi.
Des bisous. Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. J'écoute avec attention. Puis nous travaillons encore 2 heures.

Dehors il fait nuit. Il a fait sombre toute la journée. Et la pluie n'a pas cessé de tomber. Fine et régulière. Un temps médiocre.
Avec l'arrivée du soir, les premiers bruits étranges et ne venant de nulle part se font entendre. Comme des chaises déplacées.
Parfois l'un se lève pour venir faire des bises à l'autre, pour lui chuchoter des douceurs. Clémentine me raconte ses examens.
< J'ai mes "petits machins" de fille depuis ce matin ! > me fait elle. Je dis : < Normal, nous sommes le 20 du mois ! >. Rires.
Du bruit. Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour pour se précipiter vers moi. Assise sur mes genoux elle raconte ses révisions.

Les filles sont assises devant l'ordinateur. Le site de l'université. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Encore une victoire.
Mon "Bouquet au Vase Bleu" sera terminé demain pour midi. Onze toiles destinées à ma saison 2019. De quoi être satisfait.
Il est 18 h45. Nous sommes tous les trois assis sur l'épais tapis à regarder les dernières flammes dans la cheminée. Superbe.
Estelle joue avec sa main dans ma braguette. Elle nous raconte les fêtes qui se préparent chez elle. Noël en famille. Le sapin.
Avec sa maman, comme tous les ans, elles vont procéder à la décoration dans le salon. < C'est la tradition ! > nous fait elle.

Il est 19 h15. La faim commence à se faire cruellement ressentir. Nous nous levons pour quitter l'atelier. On éteint la lumière.
Le feu s'éteindra tout seul. Estelle étale la pâte. Je réchauffe la Béchamel. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade lavée.
Je propose de manger au salon. C'est la période des fêtes. Faisons un repas de fête. La suggestion est applaudit. C'est sympa.
La Flamiche Picarde est au four. Le rituel de la tarte aux poireaux du jeudi soir aura encore lieu aujourd'hui. C'est un tel délice.
Estelle n'arrête pas de se coller derrière moi pour me tripoter la braguette. Elle me chuchote des cochonneries. Me sort le Zob.

Clémentine, que cela amuse toujours beaucoup lui fait : < Tu es "allumée" ce soir, c'est la proximité des fêtes ou l'Ecosse ? >
< Les deux ! > lui répond Estelle. La grande table monastère est préparée. Nous avons disposé la belle vaisselle, le chandelier.
Soudain, venant de l'étage, c'est comme si quelqu'un déplaçait un meuble. On entend distinctement un meuble frotter au sol.
< Bonsoir Christine ! > fait Estelle en levant la tête vers le plafond tout en agitant ma bite dans tous les sens. Je bande mou.
< On va encore passer la soirée à quatre ! > rajoute Clémentine. Malgré la trouille et l'inquiétude, nous en rions de bon cœur.

Nous voilà vautrés dans le canapé. Estelle à ma droite qui tient ma bite de sa main gauche. Clémentine à gauche, contre moi.
Nous faisons un vague programme du Week-End. Estelle veut nous rejoindre demain, vendredi, dès 14 h. Nous irons en ville.
Nous irons à la poste pour envoyer les cadeaux par colis. Nous avons notre avion dimanche matin à 9 h15. Le vol est direct.
Je rassure Estelle. Nous viendrons la récupérer à l'aéroport mercredi 26 décembre au matin. Juste trois jours sans nous voir.
Estelle se penche parfois pour humer l'odeur de ma bite qu'elle décalotte juste un peu. L'odeur nous monte aux narines. Dur.

Je dis : < Après la bouffe ce soir je vous bouffe la chatte à toutes les deux ! >. < J'ai mes "petits machins " > fait Clémentine.
Je lui rappelle que la petite ficelle blanche qui dépasse de la touffe n'empêche pas l'accès au clitoris. Nous rions de bon cœur.
Je sais que la situation gêne toujours un peu Clémentine. Estelle fait : < Moi c'est pour Noël ! Comme toujours aux fêtes ! >
Estelle se lève. Elle pose l'épais coussin au sol. Elle s'y met à genoux. < Je prends l'apéro ! > fait elle sans lâcher ma queue.
Clémentine pose sa tête sur mon épaule. Nous regardons tous les deux cet étonnant spectacle. Estelle qui lèche le Parmezob.

Estelle sait aussi que je déteste avoir le gland décalotté. Mais cette coquine aime bien m'imposer tout ce qui m'ennuie. Rires.
Je bande mou. < Le fromage est à ton goût ? > demande Clémentine. < Un peu crémeux. Juste ce qu'il faut ! > fait Estelle.
Nous rigolons comme des bossus lorsque la sonnerie du four se fait entendre. Morts de faim, nous nous précipitons. Cuisine.
Estelle sort la tarte du four. Clémentine remue la salade. J'ouvre la bouteille de jus de mangue. Nous apportons tout au salon.
Nous mangeons de bon appétit. Nous racontons à Estelle l'attitude de Juliette, hier soir, au haras. < Quelle salope ! > dit elle.

Je m'empresse de répondre : < J'aime la compagnie des salopes. C'est tellement ennuyeux avec celles qui ne le sont pas ! >
< Tu es donc en bonne compagnie ! > fait Estelle qui se lève pour mimer une masturbation masculine avec vulgarité. Poilade.
Je réponds : < Oui. Et mes deux salopes préférées ! >. Clémentine se penche pour me faire un bisou sur la joue. Tendresse.
Estelle fait pareil. Je pose ma fourchette pour passer mes mains sous leurs cheveux et leur caresser la nuque. Douceur. Joie.
J'ai les gloussements en stéréophonie. Je dis : < Après je vous bouffe les minous ! Vous allez voir ce que vous allez voir ! >

Malgré une certaine impatience nous traînons à table. Il est 21 h. Nous débarrassons. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine.
Les filles m'entraînent par la main et par la bite au salon. Toutes les deux enlèvent leurs pantalons et leurs culottes. Culs nus.
A quatre pattes sur le canapé, les bras en appui sur le dossier, les mentons posés dessus, elle me tendent leurs croupions.
Je fais le cul de Clémentine. La sueur et les miasmes de sa journée de fille y collent les poils. L'odeur me donne des vertiges.
Je passe le doigt sur la fente étroite d'Estelle. Puis je passe au cul d'Estelle. L'odeur est accablante. Je le lui fais remarquer !

< Salaud ! Si t'aimes pas pourquoi tu lèches ? Ordure va ! > me lance t-elle en se cambrant pour bien me tendre ses fesses.
Lorsqu'elle a ses règles, Clémentine n'aime pas que je touche les lèvres de son sexe. Je n'ai droit qu'à son clitoris turgescent.
Je passe d'un cul à l'autre. J'ai le bas du visage trempé. Je n'arrête pas de retirer des poils de ma bouche. Il y en a tellement.
Ni l'une ni l'autre n'utilisent de déodorants. Je n'ai donc pas l'impression de lécher du savon ou d'ingérer du paraben. Super.
Estelle se retourne la première pour m'offrir sa chatte. Clémentine se vautre à son tour. Je suis à genoux sur l'épais coussin.

Il est rare qu'Estelle mouille autant. Je distingue la petite coulée de cyprine, laiteuse et gluante qui coule dans la raie culière.
Clémentine à cause du tampon, reste sèche. C'est dommage parce que je suis fou de ses jus. Je me contente de son clitoris.
Lorsque je suce le clitoris géant de ma compagne, j'enfonce le bout de mon index dans la fente étroite d'Estelle. Elle se pâme.
Il faut écarter sa fente pour avoir accès aux lèvres fines et régulières de son sexe. Son clitoris est si petit mais hyper réactif.
Je me régale comme rarement. Même si le goût du musc d'Estelle me répugne un peu, je surmonte en imaginant la sensation.

Je décalotte le clitoris géant de Clémentine du bout de mes lèvres à chaque fois que je retourne le sucer. Elle en gémit de joie.
Je met ma bouche comme une ventouse. C'est féérique. Lorsque je fais la même chose à Estelle elle pousse de petits cris. Joie.
J'ouvre parfois les yeux. Estelle en à des larmes tellement c'est bon. Elle connaît un orgasme cataclysmique. C'est fantastique.
Elle me repousse délicatement, resserre ses cuisses et comme si elle avait mal, maintient ses mains entre ses jambes. Plaisir.
Clémentine se contrôle. En grande masturbatrice, ayant passé ses années d'adolescence à pratiquer, elle sait faire durer. Joie.

Estelle, ayant retrouvé ses esprits, se lève pour se coucher sur le côté, sur le tapis, entre le canapé et moi. Sa tête à ma bite.
Je la sens rapidement téter son biberon comme si sa vie en dépendait. C'est prodigieux. Je suce le clitoris géant de Clémentine.
Je passe ma main dans la nuque d'Estelle. Je la caresse avec une douceur infinie. Je ne sais pas si c'est ça qui la fait ronronner.
Clémentine connaît à son tour un orgasme qui la terrasse. Elle tente vainement d'éviter de pisser en hurlant, se contorsionnant.
Une fois encore, malgré qu'elle se tourne au dernier moment sans vraiment contrôler, je me prends un jet de pisse à la gueule.

< J'en ai marre ! Chaque fois je pisse ! > murmure t-elle en serrant fort ses cuisses sur ses mains. Je lui fais un grand sourire.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle. Son râle se transforme en gémissement. Je l'entends et je la sens entrain de déglutir. Peine.
Clémentine s'est levée pour aller chercher le seau, la serpillère et le balai aux toilettes. Je force Estelle à se redresser. Bisous.
Clémentine m'essuie les cheveux avec la serviette. Estelle s'en est pris un peu. Nous rigolons comme des bossus. C'est drôle.
< Te voilà incontinente de l'orgasme ! > fait Estelle à Clémentine qui achève de nettoyer la pisse au sol et sur le canapé. Cuir.

Estelle est blottit dans mes bras. Elle me dit : < C'était bon ce soir ! Merci ! >. Nous regardons Clémentine essorer la serpillère.
< A tel point que j'en pisse ! > rajoute Clémentine. Nous montons à l'étage. Sèche cheveux à faire les clowns devant le miroir.
Il est 22 h30. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Il pleut. La séparation est difficile. Estelle reste serrée contre moi. Dur.
Je la rassure. On se revoit demain. On restera ensemble jusqu'au soir. Puis de nouveau samedi jusqu'à dimanche matin. Super.
Elle file. Nous nous dépêchons de monter. Au lit, Clémentine me confie à quel point ses orgasmes la rendent folle. J'aime. Dodo.

Bonne soirée à toutes les coquines qui aiment se faire brouter la chatte jusqu'à en pisser de plaisir…

Julien - (Qui se fait pisser à la gueule avec la certitude d'avoir offert à un orgasme de grande qualité) -

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Voilà. C'est parti pour de belles vacances

Hier matin, vendredi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous. Sur les joues, le front, le bout du nez. J'ouvre les yeux.
Le visage souriant et bienveillant de Clémentine au dessus du mien. < Bonjour mon amour ! C'est les vacances ! > me dit elle.
Je la serre contre moi. Douceur, tendresse et papouilles avant que l'irrépressible besoin de pisser n'y mette un terme. Difficile.
Nous nous précipitons aux toilettes. Il fait nuit. 7 h30. Nous revêtons nos tenues de gym avant de descendre à toute vitesse.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous savourons en faisant le programme de ce premier jour de vacances. Joie.

La vaisselle. Il est 8 h. Le jour commence à poindre. Il pleut. C'est sinistre. Nous montons pour nous offrir notre entraînement.
Jogging sur tapis roulant. Abdos, et charges additionnelles. Le tout avec une intensité maximale. C'est un plaisir. Et la douche.
Nous mettons nos jeans, nos chemises à carreaux et nos espadrilles catalanes à semelles de cordes. Nous allons dans l'atelier.
J'allume le feu dans la cheminée. Clémentine est assise à la table devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Ultime révision.
Je suis assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je peins dans un enthousiasme dithyrambique. Joie.

Parfois l'un se lève pour aller faire un câlin. Voir ce que fait l'autre. Il est 11 h45 lorsque je termine le "Bouquet au vase bleu".
Je nettoie mon matériel. Clémentine range ses affaires. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. Morts de faim. Des bises.
Clémentine s'occupe de la salade. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Je pane les derniers filets de saule que je cuis à la poêle.
Nous mangeons de bon appétit. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents. Il est à peine 13 h.
Nous préparons les colis contenant les cadeaux pour la famille en Ecosse. De simples cartons. Il n'y a rien de vraiment fragile.

Clémentine adore faire ça. Elle le fait avec un soin prodigieux. Nous nous faisons un tas de bisous en bavardant. Deux cartons.
Dehors, la pluie ne cesse de tomber. Et il y a du vent. Des bourrasques. Une météo exécrable. Ce que nous détestons. Moche.
Nous changeons de jeans. De chemises. Nous mettons des pulls. Des grosses godasses. Et nous redescendons avec les cartons.
Il est 13 h30. Voilà Estelle. Nous la regardons garer la voiture entre le garage et le muret. Elle nous voit à la fenêtre. Coucou.
Je vais lui ouvrir pour la débarrasser de son anorak. Elle me saute au cou. Elle aussi est vêtue de ses jeans, chemise, gros pull.

Clémentine a préparé un thé au jasmin que nous prenons au salon. Tous les trois vautrés dans le canapé. Des petits chocolats.
Estelle nous raconte sa matinée dans le bureau de l'entreprise familiale. Il y a beaucoup de travail avant les fêtes. Commandes.
Cet après-midi, il serait ridicule de s'habiller avec élégance et avec une arrière pensée coquine. Cette météo est épouvantable.
Estelle joue de sa main dans ma braguette. Clémentine me fait plein de bisous. Nous rions beaucoup de nos frasques. Sympa.
Il est 14 h30. Nous mettons nos anoraks. Il faut affronter les trente mètres qui nous séparent du garage. A toute vitesse. Rire.

Les deux cartons contenant les cadeaux sont sur le siège arrière, à côté d'Estelle qui passe ses bras autour de mon cou. Joie.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma bite. Estelle se redresse souvent pour regarder. Je touche Clémentine. Superbe.
Treize petits kilomètres sous une pluie battante. Je gare la voiture sur le parking de la grande poste derrière la gare. Parapluie.
Avec les bourrasques de vent, il faut ruser en maniant le parapluie surtout destiné à protéger les deux cartons. Plutôt difficile.
J'enregistre les colis. Ils arriveront à Edimbourg lundi dans la matinée. C'est un envoi "recommandé" international. Certitude.

Nous retournons à la voiture pour aller la garer dans la ruelle habituelle. A dix minutes du centre. Estelle veut faire son choix.
Des cadeaux pour ses parents. Un beau livre sur les Alpes pour son papa. Et un petit sac à dos de randonnée pour sa maman.
Nous allons d'abord à la FNAC. Malgré cette météo déplorable, il y a du monde en ville. La grande librairie est pleine de gens.
Tout le monde vient faire les derniers achats pour les fêtes. Se faire une idée puisque les magasins seront ouverts dimanche.
Clémentine n'est pas vraiment frustrée. Il y a beaucoup trop de monde pour s'offrir une petite frayeur exhibe. Fréquentation.

Estelle feuillette différents albums sur les Alpes au rayon géographie. Ses parents adorent marcher et pratiquer la randonnée.
Même s'ils n'ont que le Week-End à y consacrer, ils s'y adonnent avec passion. Il y a là l'embarras du choix. De beaux livres.
Estelle fait son choix. C'est un gros album aux photographies magnifiques. Du noir et blanc. Nous l'accompagnons aux caisses.
Puis ce sont des lycéens qui font les emballages cadeau. Le tout dans un sachet étanche. Il faut faire la queue. Et c'est sympa.
Nous faisons un petit tour dans la galerie commerciale du ré de chaussée. C'est noir de monde. La foule. Les achats de Noël.

Nous retournons à la voiture pour y mettre le sachet à l'abri. Nous partons pour la zone commerciale en périphérie. Ça roule.
Il est difficile de trouver une place sur le parking du magasin Décathlon. Je me gare sur le parking de la hall aux chaussures.
Nous marchons à toute vitesse. Là aussi, il y a un monde fou. Nous aimons beaucoup flâner dans ce grand magasin. Sympa.
C'est la première fois que nous y sommes avec tant de gens. Evidemment, il serait totalement vain de tenter un "plan" vice.
Estelle choisi un petit sac à dos. Il doit être pratique, bien conçu, pas encombrant. Etanche avec quelques poches extérieures.

Je suis salaud. Là, devant le rayon, entouré d'inconnus, discrètement, je me serre contre Estelle pour lui toucher la braguette.
< T'es fou ! Arrête ! > chuchote t-elle en retournant un sac à dos noir dans tous les sens. Je ne cesse évidemment pas. Super.
Clémentine se met à gauche pour faire écran. J'ai décidé de taquiner Estelle. De la mettre dans quelques embarras bien sentis.
< Salaud va ! > n'arrête t-elle pas de murmurer. Personne ne se doute de quoi que ce soit mais un endroit aussi exposé gêne.
Nous rions de bon cœur. < Je vais me venger ! > chuchote Estelle en portant son choix sur un sac à dos noir et très pratique.

Nous en profitons pour acheter des paires de chaussettes en épais coton. Il y aura des soldes en janvier. Donc soyons patients.
Nous repérons quelques articles intéressants dont nous pourrions avoir besoin. Nous flânons encore un peu. Il est déjà 17 h15.
La file aux caisses semblent interminable. Il y a toujours un emmerdeur, une emmerdeuse pour faire chier la caissière. Merdre.
Il faut prendre notre mal en patience. Je continue donc à me comporter en peloteur pour filles, tripotant discrètement les culs.
Estelle me fait souvent : < Toi, tu ne perds rien pour attendre, tu vas voir ce soir ! >. C'est enfin notre tour d'arriver en caisse.

Dans la voiture, je propose la cafétéria de l'hypermarché ou un restaurant pour nous offrir un petit repas sympathique. 18 h45.
Les filles hésitent. Le restaurant, c'est forcément différer nos envies de sexe. Je dis : < On a l'Ecosse pour s'éclater "sexe" ! >
< Put-Hein, je serai une véritable salope à Edimbourg ! > lance Estelle. Nous en rigolons comme des bossus. Super programme.
< Et si on se faisait le restaurant de l'Etang. Et une surprise pour Julie ! > propose Clémentine. Affaire conclue. Ça tourne. OK !
Je prends la direction de l'université. Je tourne à droite au carrefour. Je prends la petite route déserte. Cinq petits kilomètres…

Il y a des voitures sur le parking. Il pleut. Il fait nuit. Les eaux de l'étang paraissent encore plus noires. Presque menaçantes.
Nous entrons. La salle n'est pas pleine. Quelle surprise pour Julie qui vient nous recevoir avec un sourire éclatant. Si heureuse.
< C'est génial ! > nous fait elle. Estelle connaît moins bien Julie que nous. Mais le courant passe très bien. Nous suivons Julie.
C'est une table près de la fenêtre. Nous prenons place. Julie nous emmène les cartes. Elle n'a pas de temps à nous consacrer.
Toutefois elle manifeste sa joie avec quelques phrases que nous échangeons par séquences. A la commande. C'est très sympa.

Sur la recommandation de Clémentine, je sors ma bite sous la table. Avec la nappe, ce n'est pas visible. Mais ça fout la trouille.
Lorsque Julie ramène le premier plateau de fruits de mer, je recule ma chaise afin de lui faire voir son petit cadeau. Ma biroute.
Julie a le réflexe bien naturel de regarder autour de nous. Je lui demande : < Vous auriez des toilettes mademoiselle ? >. Rires.
< Venez, je vous montre ! > me fait elle. Je remballe discrètement ma queue. Estelle et Clémentine rient comme des bossues.
Je suis Julie qui me laisse aux premières marches de l'escalier qui descend. Elle a du travail et d'autres gens viennent d'arriver.

Je suis devant l'urinoir. Peut-être que Julie trouvera un instant. Il y a sa tante qui fait également le service. Une opportunité.
La porte s'ouvre derrière moi. C'est Estelle. < Alors, vieux salaud, t'attends quelle descende hein ! Ben c'est moi ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur. Je ne peux m'empêcher de la serrer dans mes bras. La coquine me réserve toujours quelques farces.
Nous sommes ainsi, devant un des deux urinoirs muraux, lorsque qu'un quidam entre dans les toilettes. Il toussote en riant.
Nous avons certainement un air si stupide que le type détourne la tête pour se marrer. Je remballe ma bite. Nous remontons.

Le repas est succulent. Ce sont probablement les meilleurs fruits de mer de la région. Il est 22 h. La note. Nous saluons Julie.
Dans la voiture, Estelle est assise au sol entre les jambes de Clémentine. C'est très inconfortable. Mais les coquines me sucent.
A tour de rôle. Je roule prudemment. Il est 22 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Changement de voiture. Inutile d'entrer.
Ce serait trop frustrant. Nous sommes épuisés. La séparation est difficile. Estelle revient demain, 14 h. Il faut être raisonnable.
Au lit, nous nous offrons un "69" avant de faire l'amour. Je termine Clémentine avec un cunnilingus. Orgasme délirant. Dodo…

Bon début de vacances à toutes les coquines qui ont le privilège de rejoindre un couple d'amis bien vicelards…

Julien - (Qui est à se réjouir pour le séjour en Ecosse. Il promet d'être bien salace. A l'image de ses trois protagonistes) -

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Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 646 -



L'ambiance de fête de la veille du départ

Hier matin, samedi, je suis réveillé par un léger froissement des draps. Je crois même percevoir un mouvement du matelas.
Lorsque je me réveille, même si je fais semblant de dormir encore, Clémentine en est avertie par le bruit de ma respiration.
Elle sait donc très certainement que j'ai compris ce qu'elle est entrain de faire. < J'ai fait un rêve érotique ! > chuchote t-elle.
Elle se blottie contre moi. Je la serre pour murmurer : < Bonjour adorable petite masturbatrice ! >. Nous rions de bon cœur.
Nos effusions de tendresse sont de courte durée. L'irrépressible envie de pisser y met un terme. Nous nous précipitons au WC.

Il est à peine 7 h30. Nous revêtons nos tenues de gym avant de descendre à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Morts de faim.
Nous préparons notre petit déjeuner que nous dégustons en bavardant. Clémentine me raconte son rêve. Le haras et Gérard.
Nous rigolons comme des bossus lorsque je dis : < Il va nous accompagner jusqu'en Ecosse celui-là ! Ce bougre de salaud ! >
La vaisselle. Nous remontons. Il est 8 h. Le jour peine à se lever. C'est le solstice d'hiver. La nuit la plus longue. Et ça se voit.
Une heure de gymnastique intense. Abdos, jogging sur tapis roulant, charges additionnelles. Nous prenons une bonne douche.

Il est 9 h30. Nous n'avons pas à aller faire de courses au supermarché. Demain c'est le départ. L'inspection du réfrigérateur.
Il y a de quoi assurer le repas de midi, notre repas du soir et le petit déjeuner de demain. Nous irons au bourg quand même.
Nous aimons trop la brioche du dimanche matin. Et ce sera un petit déjeuner festif. Il pleut. Il fait très moche. C'est à gerber.
Nous sommes vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux sur lesquelles nous passons un pull. Grosses godasses. Prêts.
Nous enfilons nos anoraks pour courir les trente mètres qui nous séparent du garage. Je roule doucement. Les essuis glaces.

Trois petits kilomètres. Je gare la voiture à l'extérieur. A cause du Marché de Noël, les stands sont le long de la rue principale.
Il y a notre artisan boulanger habituel. Nous prenons une belle brioche. Elle est à la frangipane, aux pépites de pralin et miel.
Nous bavardons un peu. Il y a du monde. La boulangère nous apprend qu'à partir de l'année prochaine, elle livre à domicile.
Elle fera la tournée avec sa camionnette. Nous pourrons donc avoir du pain frais tous les jours. Du pain artisanal, biologique.
Il ne sera plus utile de prendre de grosses miches qui ont tendance à durcir au bout de trois jours, même dans un linge. Joie.

Il nous reste des carottes, des tomates et des aubergines à la maison. Il faudra les terminer. Nous flânons sous le parapluie.
Un dernier petit tour au marché de Noël. Il y a déjà de bonnes odeurs de gaufre, de pains d'épices, de vin chaud et cannelle.
Le prochain marché de Noël sera celui d'Edimbourg, dès lundi. Un des plus beaux d'Europe. Nous sommes à nous en réjouir.
Malgré la pluie, bien à l'abri sous notre immense parapluie, nous déambulons dans les allées. Nous croisons des gens connus.
La région est prisée par quelques célébrités du showbiz et du monde littéraire. Ils se promènent comme tout le monde. Bien.

A quelques kilomètres habite un célèbre animateur de télévision. Il se promène là avec sa femme. Nous le croisons parfois ici.
< Il est ridiculement petit ! > me fait à chaque fois Clémentine. Et ils sont souvent beaucoup plus petits qu'on ne les imagine.
Nous prenons la route du retour. Je propose de faire un crochet par le haras pour faire un dernier coucou à Juliette. Superbe.
Je gare la voiture dans la cour. Il y a quelques autos. Nous allons dans notre écurie préférée. Il y a là Kim Son, le palefrenier.
Il discute avec un vieux monsieur. Sans doute un propriétaire de chevaux. Nous le saluons de loin sans déranger. Un coucou.

Nous traversons la cour pour aller dans le second bâtiment. Voilà madame Walter et Eveline, l'autre palefrenier. Bavardages.
Nous les saluons. Elles sont en plein travail. Nous ne dérangeons pas. Juliette est certainement très occupée. Nous repartons.
Il est 11 h50 lorsque nous revenons à la maison. Il fait un temps épouvantable. C'est d'une tristesse infinie. Nous avons faim.
Il faut décongeler les moules. Clémentine s'occupe de la salade de carottes et de son assaisonnement. J'épluche les patates.
Je les découpe en fines lamelles que je fais rissoler à la poêle. Les moules sont dans leur bouillon. Ail, oignons, la ciboulette.

Clémentine se serre souvent contre moi pour me murmurer des douceurs. Parfois des cochonneries. Et elle me tripote un peu.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Nous faisons un vague programme pour l'après-midi.
Assise sur mes genoux, Clémentine revient sur son rêve érotique. J'écoute en silence et très amusé tous les détails bien "hot".
< Je suis aussi vicieuse dans mes rêves que dans la réalité ! > ponctue t-elle souvent les différentes séquences de son histoire.
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h30. Voilà Estelle qui arrive. Toute contente. Bises.

Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bises. < On se calme ! > fait Clémentine.
C'est devenu un jeu. Un rituel auquel nous sacrifions en nous amusant beaucoup. Nous passons au salon. C'est l'heure du thé.
Nous sommes vautrés dans le canapé. Nous dégustons de petits chocolat tout en buvant un thé au jasmin dont nous raffolons.
Estelle, main dans ma braguette, nous raconte sa matinée au bureau de l'entreprise familiale. L'ambiance de fête à la maison.
< Demain, avec maman, on fait le sapin ! On décore le salon pour le réveillon ! > explique Estelle. Nous l'écoutons enchantés.

Comme je bande mou, elle m'a sorti la bite et les couilles. < J'aime tes boules de Noël ! > me confie t-elle, espiègle et mutine.
< Surtout lorsqu'il y a le sapin fièrement dressé sur les boules ! > rajoute Clémentine. < Surtout ! > confirme Estelle en riant.
< Il y aura ma tante, mon oncle, ma conne de cousine, mon parrain et ma marraine. On va se faire chier ! > nous fait Estelle.
Cet été, Estelle nous a confié que c'était son salaud de parrain, qui n'a aucun lien filial avec elle, qui l'a "initié". Vieux cochon.
< Le dégueulasse ! > comme l'appelle Estelle avec toutefois une pointe d'affection, sinon d'émotion dans la voix. On se marre.

Estelle revient sur quelques détails salaces qu'elle nous à raconté cet été en Ecosse. Tout en parlant elle me tord la bite. Fort.
Je bande à présent comme un vrai salaud. C'est donc avec un plaisir sadique qu'elle me tord la queue vers le bas. La coquine.
Elle sait que c'est à la limite de la douleur. Je lui passe la main entre les cuisses, sur le sexe, avant de la choper par la nuque.
Elle n'est pas du tout disposée à se laisser contraindre. Du moins, c'est ce jeu qui lui plaît tant et dont elle a besoin. Amusant.
Nous avons notre ménage à faire. Une lessive à faire. Préparer nos bagages. Un emploi du temps plutôt chargé. Il est 15 h30.

< Je vous aide pour tout ! > s'écrie Estelle en se levant après moi pour m'attraper par la queue. Clémentine enlève sa main.
< Mais il a son sapin fièrement dressé sur ses boules ! > s'écrie Estelle. < Je ne veux rien savoir ! > répond Clémentine. Rire.
Estelle se propose à faire le salon, passer l'aspirateur partout. Clémentine monte faire la chambre. Je m'occupe de la cuisine.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère sur les carrelages. J'entends Estelle chanter au salon. Superbe ambiance.
Je suis pétri d'émotion. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine lorsqu'Estelle m'attrape par la braguette. Et fermement.

< Tu croyais t'en tirer à si bon compte, mon salaud ! > me fait elle en se blottissant dans mes bras et avant de m'embrasser.
Je l'entraîne par le bras dans l'escalier. Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, tout cela m'embarrasse toujours beaucoup.
Clémentine a changé les draps, aéré la chambre et est déjà à faire le lavabo, les miroirs. Le grand panier à linge qui déborde.
Estelle se charge de l'aspirateur à l'étage. Je nettoie le bidet et le bac à douche. Clémentine me chuchote plein de douceurs.
Nous nous faisons plein de bisous. Elle descend avec le panier à linge. Je nettoie les chiottes du haut et je passe la serpillère.

Je rentre dans la chambre d'entraînement. Quelle n'est pas ma surprise. Estelle, le pantalon, la culotte descendus, m'attend.
Elle est vautrée sur le banc de musculation. Les jambes relevées. J'ai une vue parfaite sur son cul et sa chatte hyper poilue.
Je demande : < Mais qu'est-ce que tu fais ? >. Estelle me fait un clin d'œil et me répond : < Je m'entraîne pour l'Ecosse ! >
Nous rions de bon cœur lorsque je dis : < Tu vas attraper froid, la pièce n'est pas chauffée ! >. Elle se relève et se rhabille.
Je l'attrape par les hanches, je la fais monter sur mon dos, j'imite le hennissement du cheval. Nous descendons prudemment.

Nous rejoignons Clément à la buanderie, à la cave. Nous aidons à trier le linge. Une machine tourne déjà. Ce sont les draps.
Nous bavardons. Nous faisons mille projets pour l'Ecosse tout en sachant que nous désirons la plus totale des improvisations.
Il est 18 h10. Soudain, de l'autre bout de la cave. un bruit. Violent et très fort. < Christine ! > font les filles en même temps.
Cela semble provenir du souterrain. Je vais voir. < Fais attention ! > s'écrie Clémentine qui me rejoint. J'allume les lumières.
Il n'y a évidemment personne. La porte donne sur le souterrain obscure. Nous refermons. Nous retournons à nos occupations.

Nous remontons. Il y a une odeur de chlore et de javel. C'est toujours sympathique quand tout est bien propre. Tout le temps.
La faim commence à se faire sentir. Je propose de nous faire un dernier gratin que je nomme "Restes de frigo à la Toscane".
Des coquillettes, avec un coulis de la dernière courgette, des deux dernières tomates, du reste de gruyère de Comté. Super.
Clémentine s'occupe de la salade. Les deux dernières carottes. Nous sommes méthodiques. Je cuis des gambas dans le Wok.
Estelle n'arrête pas de se frotter à moi, lascive et pleine de tendresse. Elle, si énergique, m'étonne ici par son comportement.

Le gratin est au four. Avec les gambas je rajoute le reste de coulis que j'ai fait revenir dans un peu d'huile, ail, oignon, persil.
Nous dressons la table au salon. Repas de fête. Il y aura juste la lueur des trois bougies du chandelier. Les couverts de fêtes.
J'étale le chemin de table avec Clémentine lorsqu'un bruit de porte qui claque se fait entendre à l'étage. Et une deuxième fois.
< Décidément Christine ne veut pas rester seule pour les fêtes ! > fait Clémentine. Estelle vient nous rejoindre peu rassurée.
Nous cessons toute activité pour écouter. Un bruit de pas qui s'éloigne. < Je ne vois qu'une thérapie ! > fait Estelle. Silence.

Estelle s'accroupit, m'ouvre la braguette pour m'en extraire, avec difficulté, d'abord les couilles puis la bite. C'est la "thérapie".
L'anti trouille que préconise Estelle en cas de phénomènes paranormaux ou encore de poltergeist. Nous en rions de bon cœur.
< De toute façon, avec toi, tous les prétextes sont bons pour avoir la bite à Julien dans la main ! > fait Clémentine. Rigolade.
< Prends ton médicament va ! > rajoute encore Clémentine en saisissant Estelle par ses cheveux pour approcher son visage.
Je lui frotte la bite sur la gueule en disant : < Thérapie de groupe ! Mesmérisme et psychanalyse de bazar ! >. Vraie rigolade.

La sonnerie du four. < Le reste de frigo à la Toscane est prêt ! > fait Clémentine. Je force Estelle à se redresser. < A table ! >
Nous mangeons de bon appétit. Nous bavardons en riant. Nous faisons l'inventaire de ce qu'il faut préparer dans les valises.
Nous traînons à table. A deux reprises Estelle passe sous la table pour venir jouer avec ma bite. La sucer. Nouvelle attitude.
C'est assez récent cette manie de venir me faire des trucs sous la table, à quatre pattes en miaulant et en ronronnant. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents en faisant les clowns devant le miroir. Salle de bain.

Il est 21 h. Je suis debout sur la chaise. Je passe les valises que je descends de l'armoire à Clémentine. Les valises à roulettes.
< On prend le minimum cette fois ! > fait Clémentine en commençant à sortir des vêtements de notre armoire. Estelle les plie.
Chaque homme qui vit avec une femme sait qu'il a droit à un cinquième de la place disponible dans l'armoire. Et une étagère.
Estelle plie chaque vêtement que Clémentine dépose sur le lit. Deux jeans chacun. Deux chemises à carreaux. Les deux pulls.
Les paires de chaussettes. Les slips, les culottes. Deux jupes dont une élégante. Deux chemises blanches. Mon pantalon de lin.

Le casse tête des souliers. Nous voulons un minimum de bagages dans l'avion. Estelle, méthodique et stratège range le tout.
< Regardez moi ça ! Sans forcer ! Sans être obligée de m'assoir dessus ! > fait elle en fermant les valises avec de la facilité.
Nous la félicitons. < J'ai bien droit à une récompense ! > me fait Estelle en fourrant sa main dans ma braguette. La coquine.
< Mais tu vas calmer ta libido de dépravée, oui ! Je te rappelle que c'est mon mec ! > s'écrie Clémentine en retirant sa main.
Nous en rions de bon cœur lorsque c'est ma compagne qui me sort le sexe pour l'agiter devant Estelle assise sur le lit. Rires.

Clémentine s'assoit sur le lit sans lâcher le Zob. Elle se met à me sucer sous le regard étonné et rapidement envieux d'Estelle.
Je la laisse se régaler. Je dis : < Vous n'avez pas envie de vous faire brouter le minou toutes les deux ? >. Clémentine pompe.
Estelle se rapproche pour en avoir aussi. Elle me dit : < Tu nous fais reluire en Ecosse ! Tu auras ma chatte tous les jours ! >
< Et la mienne ! > fait Clémentine en passant ma queue à Estelle. Je caresse la tête de mes deux adorables coquines. Super.
Il est 23 h30. Nous sommes tous les trois fatigués. Je propose de remettre la fin de cette pipe magistrale à nos retrouvailles.

Estelle ne lâche pas le morceau. Clémentine s'est mise à genoux sur le lit pour m'embrasser. Estelle continue sa pipe juteuse.
< Balance sa dose, sinon elle va nous faire une déprime pour Noël ! > me fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui pousse un râle de plaisir. Nous l'entendons déglutir avec peine en gémissant de bonheur.
Les toilettes. Clémentine raffole des derniers épanchements, mélange de foutre et de pisse. Estelle en veut aussi. Je partage.
Au lit, Estelle s'endort la première. Clémentine, serrée contre moi, me murmure des douceurs et des cochonneries. Le dodo…

Bonne préparation au départ à toutes les coquines qui s'apprêtent à passer des vacances libidineuses, à tendances salaces…

Julien - (Ejaculateur fou pour coquines assoiffées, gourmandes, affamées et pleines d'appétits bitesques) -

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Le départ et l'arrivée

Hier matin, dimanche, il est 7 h lorsque je suis tiré de mon sommeil par des chuchotements, des rires étouffés et des bisous.
On me tient par mon érection matinale et parfaitement naturelle. Je bande d'ailleurs comme le dernier des salauds. Très dur.
J'ouvre l'œil. Je serre les filles contre moi. < Bonjour Julien ! > me font elle en même temps. Je leurs fais quantité de bisous.
Nous restons ainsi à nous faire des papouilles jusqu'à ce que l'envie de pisser devienne trop forte. Estelle y va la première.
Elle revient, vêtue de son pyjama de soie mauve et nous lance : < Je descends préparer le petit déj. >. Elle dévale l'escalier.

C'est à notre tour. Après les toilettes, nous rejoignons Estelle à la cuisine. Il y règne déjà l'agréable odeur de café, de brioche.
Je termine de mettre la table. Dehors, il fait encore nuit et il pleut toujours. Nous nous régalons de ce copieux petit déjeuner.
Nous bavardons en riant beaucoup. Nous pouvons traîner un peu. Nos affaires sont prêtes et les valises dans le hall d'entrée.
Je dis à Estelle : < Défense d'être tristounette, on se revoit mercredi matin ! >. Elle prend ma main pour dire : < Promis ! >
< Tu vas faire le sapin avec ta mère, préparer la décoration. Et en famille. Tu verras, ça passera vite ! > rajoute Clémentine.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents prendre une douche, mais juste Clémentine et moi.
Estelle est déjà habillée lorsque nous revenons dans la chambre. Elle a même déjà fait le lit. Nous mettons nos jeans. Sweats.
Chemises à carreaux. Godasses. Nous faisons les clowns devant le miroir pour continuer à distraire l'ambiance de séparation.
C'est toujours très difficile pour Estelle. Même si ce n'est que quelques jours. Aussi, je m'occupe bien d'elle. Je la fais rigoler.
Il est 8 h15. Nous descendons. C'est Estelle qui nous emmène à l'aéroport. 45 km. Partir en avance c'est toujours bien mieux.

Nous quittons une maison propre. J'ai prévenu nos plus proches voisins, les Bertrand. Leur maison est à un peu plus de 300 m.
Nous voilà installés dans la voiture d'entreprise d'Estelle. Je suis assis à l'arrière. Clémentine est devant. Estelle conduit. Bien.
Il pleut de façon continue. Parfois je passe mes mains autour du cou d'Estelle. J'y mets toute la tendresse possible. Des bisous.
Comme je suis assis à l'arrière. Je peux facilement caresser les nuques de Clémentine et d'Estelle. Clémentine tient ma main.
Nous arrivons à l'aéroport pour 8 h45. Nous allons directement faire enregistrer nos deux valises. Nous avons nos billets. Bien.

Le départ est à 9 h30. C'est parfait. Nous allons dans la cafétéria. Il n'y a pas trop de monde. J'ai gardé notre petit sac à dos.
Clémentine a également le sien. C'est à la fois son sac à main et un petit sac à dos de cuir noir. Nous prenons des chocolats.
Clémentine a connecté notre petit ordinateur sur la Wifi. Cela nous permet de mettre notre récit en ligne sur le forum. Parfait.
Par la grande baie vitrée nous regardons les avions. La plupart des départs se font pour des destinations ensoleillées. Le sud.
Très peu pour nous qui détestons les grosses chaleurs. Il faut y aller. Nous entendons l'annonce du départ de notre avion.

< Je passerai volontiers sous la table ! > chuchote Estelle en mimant discrètement une pipe, la main fermée devant la bouche.
Je réponds : < D'ici trois jours, tu pourras y passer tout ton temps ! >. Elle me saute au cou une dernière fois. Et je la soulève.
Nous montons dans l'avion. Là-bas, au loin, impossible de distinguer la silhouette d'Estelle parmi tous les gens qui regardent.
Aussi, nous levons la main pour faire coucou à n'importe qui. Cela nous amuse toujours beaucoup. Nous prenons nos places.
Le départ. Il est 9 h35. Le voyage se déroule sans encombre. Ce qui est normal, nous ne l'avons pas emmené avec nous. Joie.

Il y a un arrêt à Londres. Quinze minutes. Des gens descendent de l'avion. D'autres y montent. Toutes les places son occupées.
Clémentine ne me lâche pas la main. Je la rassure. Tout se passera très bien. L'avion reste le moyen de transport le plus sûr.
Il est 11 h30 lorsque l'avion se pose sur l'aéroport. Il ne pleut pas en Ecosse. Il y a même un ciel relativement dégagé. Super.
Nous récupérons nos valises. Il y a des contrôles. De nombreux policiers. Il faut justifier de son identité. C'est hélas la routine.
Nous traversons l'immense hall pour aller récupérer notre voiture de location à l'agence, de l'autre côté de la rue. Il est 11 h50.

Je rempli les formalités d'usages, je paie et je récupère les clefs d'une Golf noire. Et c'est peut-être la même que l'an dernier.
La circulation est dense. Il ne fait pas vraiment froid. Il y a de nombreuses séquences ensoleillées. Et Clémentine est rassurée.
Dix sept petits kilomètres jusqu'à Edimbourg. Clémentine a passé sa main dans ma braguette. Je roule doucement. C'est bien.
Nous connaissons le paysage qui est presque devenu familier pour ma compagne qui me confie à quel point elle est contente.
Voilà Edimbourg, "Roquefort Gothique" comme la surnomme Clémentine. Le château sur la gauche, en haut de sa colline. Joie.

Je prends à droite. En raison des fêtes qui se préparent, le fameux "Hogmanay", le centre ville est interdit d'accès aux autos.
Je monte par King Street, direction Morningside. < Enfin de retour chez nous ! > me fait Clémentine, sa tête sur mon épaule.
Nous montons la pente douce. Nous passons par le carrefour. Sur la droite Christ Church. Mais paysage hivernal. Moins beau.
Les arbres sont nus. Les bosquets ont leurs couleurs d'hiver. Nous arrivons dans le quartier résidentiel. Et peu de circulation.
Le grand portail est ouvert. Clémentine me prend la main pour la poser sur sa poitrine. Je sens les battements de son cœur.

Je roule au pas dans l'allée entre les platanes centenaires et sans feuilles. La grande maison victorienne. Mon oncle, sa femme.
Ils ont entendu la voiture. Ils sont sur le haut du perron, en haut des marches. Ils descendent très rapidement à notre arrivée.
Les effusions de joie sont touchantes. Clémentine fait à présent partie de la famille. Elle reçoit plein de bises. C'est chaleureux.
Nous sortons les valises du coffre. Mon oncle insiste pour en prendre une. La femme de mon oncle semble si heureuse. Super.
Ils ne reçoivent que rarement des gens à dormir dans l'appartement du premier étage. Ils nous attendent depuis septembre.

Je l'appelle Tante Ma. La compagne de mon oncle nous propose de manger d'abord, avant de monter nos bagages. On a faim.
Les voyages aériens, ça creuse. Nous passons aux toilettes à tour de rôle. Nous nous lavons les mains. Immense salle de bain.
Clémentine se serre contre moi. Je la soulève. < Je t'aime Julien ! Je suis tellement heureuse d'être de retour ! > me fait elle.
< J'ai vraiment l'impression de rentrer chez moi. C'est viscéral ! > rajoute t-elle encore en me couvrant le visage de bisous.
Nous sommes vêtus de nos jeans, nous avons retiré nos sweats. Juste les chemises à carreaux. Comme des jumeaux. Super.

Nous découvrons que mon oncle a monté nos valises. Tante Ma nous invite à la suivre à la salle à manger. La table y est mise.
Clémentine reconnaît les lieux. Les meubles anciens, la grande cheminée, les vitrines contenant quelques merveilles anciennes.
Mon oncle, antiquaire à la retraite, a accumulé tout au long de sa vie professionnelle de véritables trésors. Et extraordinaires !
Même s'il déteste la chasse, sa collection de vieux fusils du XIXème siècle est toujours impressionnante. Les crosses incrustées.
C'est sa fierté. Nous voilà confortablement installés à la grande table. Les baies vitrées donne sur le parc. Spectacle hivernal.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. De fins fruits de mer grillés, fumés ou rissolés accompagnés de légumes.
C'est succulent. Nous traînons à table. Il est 15 h lorsque nous prenons congés. Nous sommes conviés au repas du soir. 20 h.
Nous montons. Clémentine est fébrile. De retrouver notre appartement la met dans un état d'euphorie. Elle me saute au cou.
Nous défaisons nos valises pour tout ranger dans l'armoire. Clémentine m'entraîne sur le lit. Nous nous embrassons. La folie.
< Mes "Petits machins " de fille sont finis ! > me chuchote t-elle. Je comprends immédiatement le message. Elle se déshabille.

Il y a encore une petite ficelle blanche qui dépasse, se mêlant aux poils de la touffe généreuse. < Au cas où ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur. Cela ne m'empêche nullement de m'occuper de son clitoris géant. Il y a quelques saveurs. Un délice.
Je décalotte son bouton de plaisir de la pointe de mes lèvres. Clémentine a un spasme qui secoue tout son corps. Des frissons.
C'est toujours si merveilleux. Quoi de plus beau que d'être la cause de tant d'émois ! Je peux sucer fièrement. En héros. Joie.
Il faut être prudent. Pas d'orgasme prématuré. C'est d'autant plus délicat qu'avec toutes les émotions, Clémentine est fragile.

Le départ, le voyage, l'appréhension de l'avion, la joie de l'arrivée, tout cela participe à fragiliser la volonté et le contrôle. Dur.
Je cesse donc à plusieurs reprises pour lui couvrir le visages de bisous, lui murmurer des douceurs et retourner sucer le clito.
En Ecosse, sous ces latitudes, en cette saison, le jour ne se lève jamais tout à fait vraiment. Et le soleil reste bas sur l'horizon.
Le crépuscule arrive donc assez rapidement. Les nuits écossaises sont longues. Je suce le clitoris en redoublant de vigilance.
Clémentine me repousse délicatement de plus en plus souvent en murmurant : < Attention ! >. Je préfère cesser. Frustration.

< A moi ! > chuchote Clémentine en se couchant sur le côté tout en posant sa tête sur mon ventre. Elle ouvre ma braguette.
Je bande mou. Avec l'excitation, il y a quand même quelques épanchements gluants de liquide séminal. J'aime tant la sucer.
Clémentine me suce avec tant de douceur. Une fois encore la métaphore du bol de purée tiède prend ici toute sa signification.
C'est tellement bon, c'est tellement doux, que j'ai véritablement l'impression d'avoir ma bite dans un bol de purée tiède. Joie.
Je me fais sucer longuement. Pour lui permettre de reposer sa mâchoire, j'attire souvent la tête de Clémentine contre moi.

Moi aussi je veux me garder pour ce soir, au lit, après le repas. Il est 17 h30 lorsque nous redescendons. La maison est vide.
Tante Ma et Oncle Alan sont dehors. Nous les voyons bavarder avec un couples que nous ne connaissons pas. Et jamais vu.
Nous sortons. La nuit est étoilée par endroits dégagés. Nous saluons les deux couples pour remonter l'allée. Une promenade.
Nous remontons la rue déserte pour prendre la venelle qui monte au sommet de la colline. Là où nous faisons nos joggings.
Vingt minutes de marche et nous voilà déjà au sommet. La vue sur Edimbourg, toutes lumières scintillantes, est prodigieuse.

La fraîcheur de la nuit. L'enchantement que procure l'endroit, tout cela nous offre quelques vertiges. Nous sommes serrés fort.
Nous regardons longuement ce spectacle féérique. Là-bas, le château illuminé. Comme dans un conte de fée. C'est merveilleux.
La faim commence à se faire sentir. Nous prenons le chemin du retour. Le repas du soir est délicieux, convivial plein d'humour.
Nous connaissons bien les anecdotes amusantes de mon oncle qui a tendance à radoter. Mais c'est tellement bien. Il est 22 h.
Epuisés nous montons. Nous tentons un "69" sans réelle conviction. Nous en rions de bon cœur. On continue demain. Le dodo.

Bonne arrivée sur le lieu de vos vacances à toutes les coquines qui ont commencé par se faire sucer le clito avant de piper…

Julien - (Dont les couilles regorgent de foutre. Il faudra vidanger. Bienheureux qui se réjouit pour sucer du clito dès demain) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Coeur
Tuesday 25 December 2018 08:11

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 648 -



Notre première journée à Edimbourg

Hier matin, lundi, je suis tiré de mon sommeil par plein de bisous que l'on me dépose sur les joues, le front, le bout du nez.
C'est tellement doux, c'est tellement chaud que, sans même ouvrir les yeux, je serre Clémentine dans mes bras. Tendresse.
Nous restons ainsi en luttant contre l'envie de pisser. Quand faut y aller, il faut y aller. Clémentine m'y entraîne par la main.
Il est 8 h. Nous avons bien dormi. Dehors, il y a une brume à couper à la tronçonneuse. Nous avons apporté le nécessaire.
Du pain, du café et de la confiture. Et même le reste de la brioche. Nous pouvons savourer un délicieux petit déjeuner. Joie.

Clémentine me montre l'intérieur du buffet. Il reste encore des sachets de thé, du café soluble, du sucre laissés en septembre.
C'est amusant et cela suggère une pointe de nostalgie. Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme de la journée.
Il faudra faire les courses. Nous traînons à table. Il fait presque crépusculaire. Nous sommes vêtus de nos tenues de jogging.
La vaisselle. Presque déjà 8 h30. Le jour s'est levé. Une luminosité qui évoque celle qui règne en France vers 16 h30 en hiver.
Nous descendons. Bonnet, gants et K-Way. La fraîcheur est humide. Nous démarrons à petites foulées. Il faut vite accélérer.

C'est notre parcours habituel lorsque nous sommes à Edimbourg. Depuis le sommet de la colline, avec la brume, aucune vue.
Le brouillard est tellement épais qu'on ne distingue que de vagues silhouettes. Nous croisons quelques rares joggeurs. Frais.
Une heure de running et nous sommes de retour. La douche. Avec le peu de clarté il faut garder les lumières toute la journée.
Nous nous habillons chaudement. Nos jeans, nos chemises à carreaux, nos pulls, écharpes, grosses godasses. Enfiler l'anorak.
Nous descendons à pieds jusqu'à Morningside. Nous marchons d'un bon pas. Clémentine ne lâche pas ma main. Et si contente.

Quinze minutes et nous arrivons au carrefour. Avec la brume toute chose discernable prend une allure fantomatique. Etrange.
Sur la gauche, la silhouette de Christ Church, l'église gothique. L'endroit est désert. Clémentine m'entraîne dans le petit parc.
La silhouette des statues, des bosquets et de la fontaine. Il n'y a évidemment personne. Nous ressortons par les grilles en fer.
Nous prenons la rue commerçante. En quatre mois, rien n'a changé. C'est juste que nous sommes en hiver et qu'il fait humide.
La boulangerie. Nous y entrons. C'est la même dame. Elle nous reconnaît. Nous bavardons un peu. Et c'est très sympathique.

Nous choisissons un de ces délicieux pains complets aux noix, aux noisettes et aux éclats d'amandes. Nous le faisons réserver.
Nous le prendrons au retour. Nous flânons le long de la rue. Malgré la saison il y a du monde. Des gens en manteaux, anoraks.
Clémentine se serre soudain contre moi. A quelques mètres, le Fast Food Vietnamien. Où nous avons vécu nos frasques d'été.
Nous restons un petit moment. Malgré l'épaisseur de nos vêtements, je peux sentir battre le cœur de Clémentine. Et il bat fort.
Nous avançons prudemment pour tenter de voir à travers la vitrine. Il y a des clients qui font la queue devant les présentoirs.

Nous montons les trois marches, nous entrons dans le magasin. Nous reconnaissons monsieur Wong. Jovial, hilare et souriant.
Il ne nous reconnait pas. Sans doute à cause des bonnets, des cols relevés, de nos écharpes de laine. Voilà Li-Yang sa femme.
Elle dépose des nems dans des petites boîtes en carton pour un couple de clients. Elle ne nous a pas reconnu non plus. Secret.
C'est notre tour. Monsieur Wong nous reconnait soudain. Il fait le tour du comptoir pour venir nous serrer la main. Chaleureux.
Il a retiré ses gants. Je ne me souvenais plus qu'il était de si petite taille. Li-Yang nous reconnaît à son tour. Elle vient. Sourire.

C'est comme si nous étions des membres de la famille. Ignorant les clients présents là, le couple ne nous lâche plus les mains.
Ces effusions sont de courte durée. Nous promettons de venir manger mercredi à midi. Nous repartons avec six nems poisson.
Nous voilà à la superette. Il y a du monde. En cette saison, peu de touristes. Nous y faisons provision de légumes et de fruits.
Nous avons pris la précaution d'emmener nos fromages préférés dans un Tupperware. Nous ne manquerons pas de Roquefort.
Ni de Morbier. Nous achetons quand même du Lanark Blue, ce fromage de brebis non pasteurisé et qui reste un véritable régal.

Des yaourts, du poisson, des conserves, du riz, des pâtes. C'est moi qui porte les sacs. Nous avons les courses pour trois jours.
Nous passons récupérer le pain. Nous remontons la rue pentue. Il est 11 h45 lorsque nous sommes de retour à l'appartement.
Nous rangeons nos courses. Je fais gonfler du riz. Clémentine s'occupe de la salade verte et de son assaisonnement. Ça va vite.
Nous évoquons monsieur Wong et Li-Yang. Ils semblaient sincèrement heureux de nous revoir. Autant que nous. C'est sympa.
Il reste un de l'huile d'olive de notre précédent séjour, des épices, du sel, des graines de sésame grillé. De la levure diététique.

Je fais revenir les nems de saumon "Made in Wong". Même en vacances, nous prenons bien soin de notre hygiène alimentaire.
Priorité à la diététique. Les excès auront lieu demain. Nous sommes invités au repas de midi et du soir. Le réveillon des fêtes.
L'Ecosse est un pays Calviniste. Les traditions de Noël y sont respectées mais n'ont pas la même importance. Et symboliques.
Nous mangeons de bon appétit. Les "petits machins" de Clémentine sont définitivement terminés. Elle me le fait bien savoir.
C'est comme une invitation. Assise sur mes genoux, elle me raconte ses impressions quand au couple de Vietnamiens. Super.

Mercredi irons chercher Estelle à l'aéroport pour dix heures. Au retour nous mangerons au Fast Food, chez Wong et Li-Yang.
La vaisselle. Il est 13 h30. Nous restons vêtus chaudement. Nous prenons la voiture. Nous descendons sur Edimbourg. Sympa.
Avec la brume, je redouble de prudence. Je défends formellement à Clémentine de me sortir la bite pour jouer avec. Rigolade.
Comme toujours, lors de nos séjours écossais, nous ne nous exprimons plus qu'en Anglais, ma première langue. C'est mieux.
Clémentine révise ainsi son Anglais qu'elle parle rapidement à la perfection. Cela nous amuse toujours beaucoup. Dick, pussy.

Avec les festivités à venir, il est impossible de garer la voiture dans la ruelle habituelle. Tout le centre historique est piétonnier.
C'est mieux. Clémentine exige que nous ayons tous deux nos braguettes ouvertes. Elle veut pouvoir y glisser sa main. Impros.
Il faut marcher une vingtaine de minutes pour arriver sur Princes Street. Sur la droite il y a l'élégant Scottish Parliament. Joie.
Nous voilà dans Royal Mile et le dédale labyrinthique de ses ruelles, de ses escaliers, de ses venelles étroites. Plein de monde.
Clémentine ne peut cacher sa joie d'être de retour dans sa ville. Elle se serre souvent contre moi, sautille, contente, heureuse.

Parfois, au détour d'une ruelle moins fréquentée, dans le renfoncement d'une porte ou l'entrée d'une cour, Clémentine se serre.
Sa main fourrée dans ma braguette elle me fait mille promesses. Le bonheur d'être de retour participe de son excitation. Bien.
Moi aussi je passe ma main dans sa braguette. C'est un peu plus délicat d'accès. Au risque de se tordre le poignet. De le fouler.
Dans les nombreux bars, dans les restaurants, s'affairent des gens qui montent des scènes pour les musiciens et les groupes.
En prévision du Hogmanay, se préparent des festivités uniques en Europe en cette période de l'année. La semaine d'animation.

Chaudement vêtus, nous flânons dans les rues. Il y a du monde. Certainement d'avisés touristes qui sont là pour le Hogmanay.
Nous visitons quelques boutiques pour y voir les tendances de la mode écossaise. Ici, ils savent allier traditions et nouveautés.
Il faut constamment vérifier si nos braguettes ne bâillent pas trop. Nous sommes tous les deux de plus en plus excités. Super.
Il est presque 17 h30. Nous avons déjà nos petites habitudes à Edimbourg. Un de nos salons de thé préférés par exemple. Bien.
Nous voilà confortablement installés sur des banquettes recouvertes de velours noir. La décoration médiévale. Calme. Sérénité.

Nous dégustons des chocolats chauds et fumants. Les tous petits pancakes aux raisons secs sont délicieux. Ambiance feutrée.
Il y a du monde. Principalement des couples. Peu de jeunes. Sous la table, dissimulée par la nappe, j'ai la bite à l'air. Poilade.
Clémentine laisse parfois tomber la serviette en papier. Prétexte pour se pencher et regarder. J'agite discrètement ma queue.
Il n'y a aucune opportunité d'exhibe pour Clémentine qui ne perd jamais le nord, même au Nord. Nous en rions de bon cœur.
La nuit est tombée depuis longtemps. Le brouillard est toujours aussi dense. Nous sommes dans un univers magique. Ecosse.

< Si tu vas aux chiottes, je viens te la tenir ! > me chuchote Clémentine, posant sa main sur mon poignet. Nous nous fixons.
Ma compagne me surprend toujours par ses initiatives inattendues. Je remballe mon Zob. Je me lève. Et je vais aux toilettes.
Je n'y suis pas une minutes que la porte des WC homme s'ouvre. Clémentine. Elle a nos affaires dans son sac à main. Parfait.
J'agite mon sexe dans sa direction. Nous jouons aux inconnus. Nous le faisons trop rarement. Là, nous apprécions vraiment.
Nous engageons la conversation. En Anglais. Il est rapidement question de Blowjob, de cocksucking et autres Lucky bastard.

Dans ces situations, nous savons jouer à la perfection. C'est très excitant. Ce sont des moments intenses, complices, ludiques.
Rien de tel pour éveiller et entretenir la libido d'un couple. Du bruit ! Soudain la porte des cabinets s'ouvre. Il y avait un type.
Nous n'avons pas l'air de cons. Je n'ai même pas le temps de me retourner. Clémentine est accroupit. L'homme sort en riant.
< I have not heard anything like that for a long time. Congratulations ! > nous fait le quidam en se lavant les mains. Poilade.
Nous nous enfermons dans le cabinet. Clémentine veut sucer un peu. Et juste récupérer la petite goutte opalescente au méat.

Nous ne nous attardons pas. Nous rions de la réflexion du quidam qui n'a pas entendu un tel langage depuis longtemps. Bien.
Nous voilà assis. Le type est là-bas, avec sa compagne et un autre couple. Il nous lance un regard amusé et complice. Rires.
Nous quittons l'endroit. Nous flânons encore un peu. < Il commence à faire faim ! > murmure Clémentine chez un antiquaire.
Nous adorons faire les boutiques d'antiquités. Il est 19 h. Nous allons à la découverte des menus affichés devant les restaus.
C'est celui de notre établissement favori qui nous semble le plus attractif. Le personnel y exerce en tenues folkloriques. Bien.

Nous bavardons devant un immense plateau de fruits de mer. Nous admirons les kilts que portent les serveurs, les serveuses.
Nous spéculons sur la présence ou l'absence de tout sous vêtement comme l'exige la tradition. Nous en rions de bon cœur.
< Je demande ! > me fait Clémentine. La salle est pleine. Il faut donc être d'une discrétion et d'une réserve totales. Sympa.
Clémentine, pas du tout gênée, demande à notre jeune serveur s'il sacrifie à la tradition écossaise. Rien sous le kilt. Rigolade.
Le jeune homme, pas du tout démonté, répond d'un < Yeah ! It's right ! > enthousiaste et plein d'humour avant de s'en aller.

< Il est à poil sous son kilt, tu imagines les opportunités qui peuvent se présenter ! Tu devrais faire pareil ! > dit Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Je serais en kilt demain soir, pour le réveillon du 25 décembre, en famille. De quoi s'amuser.
Nous traînons à table. Il y a un trio de musiciens qui interprètent des musiques baroques sur des instruments anciens. Super.
Il est 23 h lorsque nous revenons à l'appartement. Nous sommes excités. Nous voilà enfin au lit. En ouverture, un bon "69".
Nous faisons l'amour comme nous aimons. Je termine Clémentine par un cunnilingus. Orgasme démentiel. Elle se serre. Dodo.

Bonne première journée de vacances à toutes les coquines qui aiment jouer aux inconnus avec leur complice…

Julien - (Qui aime interpréter des rôles de composition avec Clémentine. Elle en raffole et cela l'émoustille encore plus) -

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Clémentine et Julien en Ecosse - Coeur
Wednesday 26 December 2018 07:51

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 649 -



L'inévitable repas de famille pour les fêtes

Hier matin, mardi, je me réveille le premier. Clémentine dort encore. J'aime la regarder ainsi. Couchée sur le dos. Il est 8 h.
Son sixième l'averti toutefois de la situation. Sa respiration change. Elle ouvre les yeux. Et c'est moi qui la couvre de bisous.
Clémentine se serre contre moi en gémissant. < Bonjour mon amour ! > murmure t-elle. Je lui chuchote des douceurs. Joie.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Nous mettons nos tenues de jogging. Même temps que hier. Dur.
Nous préparons un copieux petit déjeuner. Nous regardons les colis posés sur la table. Ils sont arrivés hier en fin de matinée.

Nous mangeons de bon appétit. Dehors la brume semble encore s'être épaissit. Mais il ne fait pas vraiment froid. Ni humide.
La vaisselle. Clémentine sort les paquets cadeaux des cartons. Nous descendons par l'escalier de service. Bonnets, les gants.
Nous enfilons nos K-Ways. Nous partons en petites foulées pour accélérer rapidement. C'est notre circuit habituel. Une heure.
Comme hier, depuis le sommet de la colline, il est impossible de distinguer la ville et ses lumières. Le brouillard est si dense.
Il est 9 h30 lorsque nous revenons après un running très agréable. La douche. Nous mettons nos jeans, chemises et sweats.

Nous sommes attendus pour midi. Ce sera le repas familial de l'année. Ma tante et son mari de Saint Andrew sont présents.
Mes cousins, mes cousines. Une de leurs filles et son mari. Clémentine est assise devant l'ordinateur. Le site de l'université.
Elle m'explique ce que je vois sur l'écran. Nous interrogeons nos boîtes mails. Un message de Juliette, d'Estelle et de Lennie.
Nous répondons en envoyant des selfies pris à l'instant. Juliette nous raconte ses projets pour Noël. Le haras. Son invitation.
Estelle nous envoie des photos du sapin et de la décoration qu'elle a fait avec sa maman. Lennie nous souhaite un bon Noël.

Clémentine me propose d'aller marcher un peu. Nous n'en n'aurons pas beaucoup l'occasion aujourd'hui. Bonne suggestion.
Il nous suffit d'enfiler nos anoraks. Il est 10 h30. Nous voilà à nouveau au dehors. Le brouillard reste épais. Et plus que hier.
Nous longeons l'allée pour sortir de la propriété. Nous descendons Morningside jusqu'à Christ Church. Et c'est fantomatique.
Cette ambiance irréelle nous maintient dans un univers qui rappelle les films impressionnistes allemands des années trente.
Nous pourrions voir apparaître à tout moment une créature fantastique. Clémentine ne manque pas d'imagination. Dracula.

Nous pénétrons l'église gothique. Il y a certainement un office qui se prépare. La messe de onze heures. Il y a des gens assis.
Il ne fait pas très chaud en ce lieu. Aussi, nous ne nous attardons pas. Nous connaissons très bien l'endroit. Nous voilà dehors.
Clémentine m'entraîne dans le petit parc adjacent. Nous le traversons jusqu'au vieux cimetière. C'est impressionnant. Photos.
Clémentine prend plusieurs clichés. Les pierres tombales et les statues rajoutent encore à l'atmosphère fantastique. Superbe.
Je passe derrière Clémentine pour mettre mes mains sur sa braguette. Elle a un léger soubresaut. Ma main sous son anorak.

Lorsque j'ai ces initiatives, Clémentine devient instantanément lascive. C'est adorable. Je caresse ses tous petits seins. Doux.
Je passe l'autre main sous son pull pour l'enfiler dans son pantalon, sa culotte. Ce n'est pas si évident mais je me débrouille.
Je lui fais des bises sur la joue, dans le cou. J'aime entendre les gloussements de plaisir de ma compagne dans ces moments.
Impossible d'atteindre les lèvres de son sexe. J'ai mes doigts qui jouent dans la touffe dense. J'aime y démêler tous les poils.
Bien évidemment, cela excite Clémentine. < Nous avons un repas de fête qui nous attend ! > me chuchote ma compagne.

Il faut remonter. Nous sommes de retour vers 11 h30. Toutes les voitures sont déjà garées là. Nous montons discrètement;
Nous avons de la marge pour nous changer sans nous presser. Clémentine met sa jupe évasée, claire, chemisier et pull fin.
Ce n'est pas trop fripé et nous avons prévu les tissus qui ne se froissent pas trop. Elle porte des collants et souliers à talons.
Je mets mon pantalon de lin clair, une chemise sous un pull fin. Nous sommes habillés des mêmes couleurs. Choix judicieux.
Nous prenons la pause devant le miroir. Clémentine s'accroupit, me tient la jambe, sa tête posée sur ma cuisse. Implorante.

Je pose ma main sur sa tête en disant : < Ce n'est pas le moment ma douce coquine ! >. Et elle se serre encore davantage.
< Juste un peu, s'il te plaît ! > me fait elle en posant son visage sur ma braguette. Je descends la tirette. Je sors ma queue.
Elle est molle. Clémentine y frotte son visage. Je lui dis : < Tu vas sentir la bite ! >. Elle rit en disant : < J'espère bien ! >
Nous rions de bon cœur. Je la force à se redresser. Nous allons à la salle de bain pour nous donner visage humain. Coiffage.
Le jeune et beau visage de Clémentine ne nécessite aucun maquillage. < Pas de trompe couillon ! > comme elle dit souvent.

Elle me tend la brosse à cheveux. C'est un de nos rituels. J'adore la peigner, la coiffer, passer longuement la brosse. Super.
Je suis derrière Clémentine qui me tient la bite. Je bande mou. < Demain, j'exige d'être prise en main ! > me lance t-elle.
< Tu as promis d'être salaud toutes les vacances ! > rajoute t-elle. Je promets d'essayer d'être à la hauteur de la demande.
Nous voilà coiffés, peignés. Nous appliquons une crème légère sur nos visages en faisant les clowns. Crème sur le nez. Rire.
Il est midi. Je récupère les Kouign Amann dans le frigo. Les deux bouteilles de "Château Margaux" ramenées pour l'occasion.

Clémentine prend les emballages cadeaux. Nous descendons les bras chargés. Tout le monde est là. Nous saluons les invités.
Il faut faire les bises, serrer les mains. Nous sommes tous heureux de nous revoir. Clémentine fait partie de la famille. Super.
Nous allons rapidement à la salle de bain pour nous laver les mains. En serrer tant nous répugne toujours un peu. L'hygiène.
Peu désireux de choper un truc qui traîne avec l'hiver, nous nous rinçons les joues malgré la protection de la crème. Poilade.
Nous sommes tous debout dans le grand salon. Dix personnes. Nous bavardons et nous rions beaucoup. Retrouvailles. Joie.

Tante Ma, aidée par ma cousine, a passé la matinée aux fourneaux. La cuisine est sa passion. Et il faut dire qu'elle y excelle.
En entrée ce sont les fameux "stovie", un ragoût où le saumon remplace la viande de bœuf. C'est absolument exquis. Miam.
Très rapidement, Clémentine redevient le centre d'attraction. C'est la plus jeune. La plus belle. Des questions sur ses études.
Dans un Anglais parfait, dont l'accent Français amuse beaucoup, Clémentine répond à toutes les questions. Et il y en a plein.
Son humour est très apprécié. Les jeux de mots typiquement français n'ont aucun sens en Anglais. Et cela nous fait tant rire.

Nous traînons à table. Les mets s'enchaînent. Plus délicieux les uns que les autres. Mon cousin drague carrément Clémentine.
Sa femme ne dit trop rien. L'effet du vin sans doute. Clémentine et moi, nous ne buvons pas d'alcool. Tonton Alan non plus.
Pas plus que sa femme Tante Ma. Les gens légèrement éméchés nous amusent toujours beaucoup. 16 h15 et toujours à table.
La digestion s'avère difficile. Clémentine et moi nous ne forçons jamais. De tous les plats un peu. Pour goûter. Et c'est si bon.
Ma tante de Saint Andrew et son mari tonton Steve proposent d'aller marcher un peu dans la nuit. Question de bouger un peu.

Nous sommes les premiers debout. Avec tout ce que nous avons ingéré, il est très agréable de respirer l'ai du dehors. Sympa.
Il n'y a pas de fumeurs dans la famille. Il n'y a donc pas à subir ce genre de chose. La conversation tourne autour du travail.
La politique est soigneusement évitée. Pas de Brexit à l'ordre du jour. Sujet qui concerne beaucoup les écossais. On comprend.
Ça fait un bien fou de se retrouver à l'extérieur. Nous faisons le tour de la propriété. Vaste jardin et aux nombreux bosquets.
Nous rentrons. Il est 17 h15. C'est le rituel du déballage des cadeaux. Les Kouign Amann sont fort convoités. Gâteau Breton.

Avant le repas du soir, Clémentine m'entraîne à l'étage. Nous avons une petite demi heure. Elle se serre contre moi et raconte.
< Ton cousin est un sacré coco dis donc ! C'est tout juste s'il ne me propose pas de baiser ! > lance Clémentine. Nous en rions.
Je dis : < Attends ! La soirée n'a pas encore commencé ! >. Nous rigolons comme des bossus. Clémentine m'entraîne aux WC.
Elle a retiré sa jupe, descendu ses collants. Je suis à genoux à lécher la dernière goutte. J'adore récupérer ses épanchements.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Accroupie, elle peut sucer dès la dernière petite giclée. Tout cela nous excite.

Je la force à se redresser. Je la tiens fermement par ses cheveux. Je l'entraîne dans la chambre. Je la bascule sur le plumard.
A genoux, je me mets à lui lécher la chatte, à lui sucer le clitoris. < Arrête ! Tu vas me rendre folle ! > dit elle sans conviction.
Elle me repousse doucement. Elle me force à me relever. Assise sur le bord du lit, elle me suce. Et je bande comme un salaud.
Il ne faut pas faire attendre. Nous cessons à contre cœur. Nous passons à la salle de bain. Nous avons quelques cernes. Rires.
Nous descendons. Nous voilà installés à la grande table. Le défilé des plats recommence dans les rires et les bons mots. Noël.

Nous traînons à table. Nos estomacs mis à rude épreuve se font cruellement sentir. Même si nous n'exagérons jamais. Sauces.
Il est 23 h. Tout le monde est épuisé, repus, rassasié. Nous prenons congé. Il y a juste un cousin et sa femme qui dorment là.
Même fatigués, nous reprenons les choses où nous les avons laissé. Un "69" qui s'avère juteux. Clémentine est super excitée.
De s'être fait draguée si effrontément par cousin John ne la pas laissée indifférente. Mais le jus de chatte n'est que pour moi.
Je peux sentir le degré de son excitation à la pipe inspirée que me prodigue ma compagne. Ce n'est pas pareil excitée ou pas.

Lorsque Clémentine est excitée, la pipe est plus "animale". Dans le cas contraire c'est plus "cérébral". Bien dans les deux cas.
Elle m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions malgré tout. Clémentine me confie les plus intimes révélations.
Nous restons immobiles. Parfois, excités par les confidences, nous nous berçons. C'est notre merveilleuse façon de baiser. Joie.
Je termine Clémentine par un cunnilingus. Son orgasme est nucléaire. Elle veut me rendre la pareille. Me tailler une pipe. Bien.
Je lui propose de remettre ça à demain. J'aime contrôler mes pulsions. Et le léchage de minou apaise bien ces pulsions. Dodo.

Bonne bouffe en famille à toutes les coquines qui se font draguer par cousin Philippe où tonton Maurice…

Julien - (Qui aime à voir Clémentine radieuse parmi ces gens qui lui sont devenus chers. De plus "cousin salaud" la drague) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 650 -



L'arrivée d'Estelle qui nous fait une surprise

Hier matin, il est huit heures lorsque nous nous réveillons tous deux quasiment en même temps. Plein de bisous. Douceur.
L'impérieux besoin de pisser mais toutefois rapidement un terme à nos effusions de tendresse. Nous nous précipitons. WC.
Dès la fin de nos rituels pisseux, nous enfilons nos chemises à carreaux en guise de peignoirs. Les radiateurs s'enclanchent.
Nous préparons notre petit déjeuner et nous mangeons de bon appétit. Ce matin, pas de jogging. Juste quelques exercices.
Nous traînons à table. Dehors le brouillard a enfin disparu. Un ciel partiellement dégagé. Juste quelques nuages d'altitude.

Grâce au thermostat, les radiateurs commencent à diffuser une agréable chaleur. Le froid remplace l'humidité de la brume.
La vaisselle. Nous faisons nos étirements, nos exercices aérobic, nos abdos et nos stretching. Version courte et condensée.
Trente minutes d'une intensité maximale. Nous filons sous la douche. Nous passons nos jeans, chemises à carreaux, pulls.
Il est 9 h. Nous enfilons nos anoraks. Grosses godasses, bonnets et gants. Nous descendons l'escalier de service. Discrets.
Nous entendons des rires dans la maison. Cousin John et sa compagne ont passé la nuit ici. Ils vont rester quelques jours.

Nous voilà en voiture. Je roule prudemment. < Comment tu fais pour rouler à gauche sans adaptation ? > fait Clémentine.
Je lui préconise d'essayer. Surtout qu'avec son désir de devenir citoyenne écossaise un jour, il faudra bien savoir apprendre.
Nous avons un peu de marge. L'avion d'Estelle arrive pour 9 H45 et il n'y a que dix sept petits kilomètres jusqu'à l'aéroport.
Je gare la voiture avant l'entrée du parking. C'est un tronçon de rue large et désert. Je sors de l'auto. Clémentine s'installe.
Me voilà côté passager. Clémentine démarre. Nous roulons doucement. Elle fait plusieurs allés et retours. Tout va très bien.

Je l'invite à entrer dans le grand parking de l'aéroport. C'est à son tour. Confiante, Clémentine s'engage. Roulant à gauche.
J'admire la totale maîtrise de Clémentine qui se gare même en marche arrière pour pouvoir partir sans faire de manœuvre.
Je lui fais des bisous. Je la félicite. < J'ai besoin d'être prise en main. J'ai une conduite déplorable ! > me fait elle en riant.
Nous entrons dans l'immense hall. Dehors il fait un froid sec mais supportable. L'avion annonce un retard de huit minutes.
Nous attendons à l'intérieur, derrière une des grandes baies vitrées. Voilà l'avion. Un cigare d'argent brillant sous le soleil.

C'est toujours impressionnant de voir se poser un avion de près. Surtout lorsqu'il y a un être cher qui se trouve à l'intérieur.
Le grand escalier se positionne devant la carlingue. La porte qui s'ouvre. Une hôtesse de l'air. Voilà les premiers passagers.
Il y a plus d'une centaine de personnes qui descendent. On ne distingue pas Estelle. Une certaine anxiété nous gagne. Dur.
Quelle surprise. Estelle. Nous ne pouvions pas la reconnaître. La voilà avec des mèches de cheveux éclaircies. Une teinture.
Nous nous serrons fort tous les trois. Des bisous. Je prends sa valise. Clémentine passe sa main dans les cheveux d'Estelle.

Nous voilà dans la voiture. Clémentine insiste pour qu'Estelle passe devant. < Je veux te voir de dos ! > lui fait elle. Surprise.
Estelle me fait plein de bises. Elle pose sa main sur ma braguette et se met à raconter son Noël en famille. Le réveillon. Rire.
Cette année tout s'est bien passé. Elle a fait le sapin avec sa maman dimanche. Ainsi que la décoration. Lundi, c'était coiffeur.
< Comme il y avait mon parrain, qu'il n'aime pas les blondes, je me suis fais une teinture aux mèches blondes ! > dit Estelle.
Nous en rions de bon cœur. C'est une teinture qui ne dure que quelques semaines. Quelques shampoings, tout aura disparu.

En Ecosse, le soleil reste bas sur l'horizon durant toute la saison froide. Je roule doucement. Je m'arrête sur la petite route.
Je propose à Clémentine de reprendre le volant. < Je déteste conduire et on va arriver en ville ! > fait elle très embarrassée.
Je prends quelques photos d'Estelle à contre jour avec le soleil en arrière plan. C'est une telle surprise d'être avec une blonde.
Nous rions de bon cœur. Estelle a naturellement quelques très légères ondulations de chevelure. Là, ses cheveux sont lisses.
J'ai sa permission d'en utiliser une. De toute façon, avec l'angle de prise de vue, Estelle reste préservée dans son anonymat.

Pour Noël, Estelle nous raconte n'avoir eu que de belles enveloppes. C'est judicieux. Qu'offrir d'autres pour une fille de 21 ans.
A cet âge, l'argent est bien mieux que les choses inutiles que l'on remet en vente sur "Le Bon Coin" trois jours après les fêtes.
Estelle nous raconte l'attitude de son parrain qui cherche toujours un peu à se retrouver seul avec elle pour des propositions.
< Ce dégueulasse ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Elle rajoute : < Mais il est toujours super généreux ! >
Nous arrivons à l'appartement pour 11 h. Il y a tonton Alan et cousin John à l'extérieur. Ils nous voient arriver. Grands yeux.

Ils ont déjà vu Estelle cet été, mais pas en blonde. Cousin John n'est pas indifférent non plus aux charmes d'Estelle. Sympa.
Nous bavardons un peu. Nous promettons de venir manger en famille dimanche prochain pour midi. Nous montons la valise.
< Enfin de retour ! > s'écrie Estelle en m'entraînant par la main pour faire le tour de l'appartement. Il y fait bien chaud. Joie.
Estelle défait sa valise et range ses affaires dans l'armoire. Comme toutes les femmes, il y a là de quoi s'habiller deux mois.
Alors que nous ne restons que huit jours. Clémentine est allongée sur le lit, sa tête sur mon ventre. Je suis adossé. A l'aise.

Nous regardons et écoutons Estelle nous raconter plein d'anecdotes amusantes sur le réveillon. Les sujets de conversation.
< On évite de parler politique ! Comme ça tout le monde est content. C'est un consensus. Un protocole ! > explique t-elle.
Estelle vient s'allonger à nos côtés. Elle pose sa tête sur ma poitrine. Je caresse les cheveux des filles. J'écoute les histoires.
Bien évidemment, elles ne peuvent éviter d'évoquer les cours, les études et le second trimestre qui s'annonce très studieux.
Je me retrouve rapidement avec la braguette ouverte. La main d'Estelle qui y fouille. < C'est bien chaud ! > chuchote t-elle.

Il est presque midi. La faim commence à se faire sentir. Nous avons prévu d'aller manger au restaurant Vietnamien. Super.
Nous nous levons. Il suffit d'enfiler nos anoraks. Nous prenons la voiture car cet après-midi nous irons en ville. Promenade.
Il est 12 h20 lorsque nous entrons dans le Fast Food. Il y a plein de clients attablés. Nous sommes attendus. C'est très bien.
La table des amis. Dissimulée derrière un grand paravent, la table n'est pas visible de la salle. C'est Li-Yang qui nous reçoit.
La table est mise. Monsieur Wong préfère assurer le service derrière le comptoir. Malgré la présence de son personnel. Bien.

Ils ne reconnaissent pas immédiatement Estelle à cause de sa teinture. Nous rions de bon cœur. Nous voilà assis. Superbe.
La carte. Monsieur Wong fait de fréquentes allées et venues entre la table et l'arrière de son comptoir pour servir des clients.
Il mange donc par étapes. Nous bavardons beaucoup. Li-Yang nous raconte la saison d'automne. La fréquentation. Les gens.
Dans ce genre de commerce, ça fonctionne toujours très bien. < La bouffe c'est une valeur sûre ! > explique Li-Yang en riant.
Nous mangeons de bon appétit. Quelqu'un me fait du pied sous la table. J'interroge Clémentine du regard. Ce n'est pas elle.

Li-Yang se lève pour débarrasser. Le pied sous la table ce n'était ni Clémentine ni Estelle. < Li-Yang ! > conclue Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Quelle n'est pas notre surprise. Monsieur Wong qui est venu manger par étapes, revient à table.
Il écarte son tablier. < Ce salaud ! Il a la bite à l'air ! > s'écrie Estelle qui ne peut s'empêcher cette exclamation. En français.
Personne ne comprend. Fort heureusement. Monsieur Wong reprend les manières qu'il avait cet été. Nous sommes soufflés.
Et c'est sous le regard bienveillant de sa femme, Li-Yang qui semble trouver tout ça très normal. Cela nous rappelle cet été.

Monsieur Wong s'adresse tout particulièrement à Clémentine devant laquelle il agite son sexe fin, long, lisse et tout blanc.
< Quel vicelard ! > fait Estelle toujours en français pour n'être comprise que de nous. La situation se reproduit quatre fois.
Entre chaque client qu'il va servir, la bite cachée sous son tablier, Wong revient. Et il est toujours plus près de Clémentine.
Je dis à ma compagne : < S'il te propose un plan, ne te gêne pas. Nous sommes en vacances ! >. Clémentine me regarde.
Je lui fais un clin d'œil. Li-Yang lui dit : < Revenez en soirée. Il y aura du Nem ! >. La jeune femme mime une pipe. Rires.

Nous avons l'impression de reprendre les choses exactement où nous les avions laissé en septembre. Nous nous regardons.
Clémentine préfère ne pas s'engager. Estelle non plus. Nous promettons de revenir mais nous préviendrons avant. Impros.
Il est 14 h30 lorsque nous quittons. Je veux régler la note. Pas question. Nous sommes invités. Une véritable faveur. Rare.
Nous retournons à Edimbourg. Tout comme Clémentine, Estelle a le profond sentiment d'être de retour chez elle. Heureuse.
Nous flânons longuement dans le dédale du centre. Il fait un froid sec mais pas désagréable. Nous sommes équipés. Hiver.

Les filles n'arrêtent pas de parler de Wong, de ses attitudes. J'évoque sa femme Li-Yang, super élégante et hyper craquante.
< C'est un curieux couple ! Tu crois que ce sont des échangistes pratiquants ? > me demande Estelle. Je ne sais quoi dire.
D'après Clémentine c'est fort probable. Et même si ce n'est pas systématique. Nous avons partouzé un peu avec eux cet été.
Nous passons un bon après-midi à retrouver nos habitudes et nos réflexes dans cette adorable ville. Le Hogmanay s'annonce.
Les festivités commencent le 31 décembre au 2 janvier. Mais des animations se préparent déjà partout. Scènes musicales.

Estelle est fatiguée. Les fêtes, l'avion quelques excès de glaces. Je propose notre bon restaurant préféré. Le personnel en kilt.
Suggestion reçue avec enthousiasme. Il y a du monde. Nous avons la même table que la dernière fois. Plateaux fruits de mer.
Nous décidons d'une stratégie sympa pour retourner au restaurant Vietnamien au moins une fois durant ce trop court séjour.
Clémentine ne semble pas partante pour l'idée d'un plan cul. Et pas question pour moi de tenter la bouche à pipe de Li-Yang.
Estelle semble partager cet avis tout en laissant une éventualité. < On verra ! > fait Clémentine d'un ton laconique. C'est dit.

Il est 22 h30 lorsque nous revenons à l'appartement. Curieusement, tous les trois, nous partageons l'épuisement d'Estelle.
< Moi, je me goûte mon Nem préféré. et même s'il n'est pas d'origine Asiatique ! > fait Estelle en sortant mon Zob du slip.
Clémentine est déjà sous les draps. Estelle me fait tomber sur le lit. Elle s'allonge à côté de moi pour agiter ma queue. Rire.
Elle renifle longuement mon Zob pour conclure : < Parmezob ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine me fait un clin d'œil.
Estelle suce un peu. Je la force à cesser. Nous passons sous les draps. Clémentine entre Estelle qui s'endort et moi. Dodo…

Bon accueil à votre amie intime à toutes les coquines aimant s'encanailler dans les restaurants au personnel vicelard…

Julien - (Qui aimerait beaucoup voir Clémentine s'empiffrer d'un bon Nem aux origines garanties) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 651 -



Tous les trois, enfin réunis à nouveau

Hier matin, je suis tiré de mon sommeil par la main de Clémentine qui joue dans mes poils pubiens. C'est tellement mignon.
Sans même ouvrir les yeux, je sais que c'est elle et je la serre doucement tout contre moi. Elle me chuchote des douceurs.
Nous nous faisons plein de bisous. Estelle se réveille. < Je peux en avoir aussi ! > murmure t-elle en se tournant vers nous.
Clémentine se couche sur moi. Estelle se rapproche pour me faire des bises. L'envie de pisser devient forte. Il faut se lever.
Estelle y va la première. Il est 8 h. Elle revient des WC pour aller à la cuisine. Clémentine m'entraîne par la main au cabinet.

Nous rejoignons Estelle. Nous l'aidons à préparer le petit déjeuner. Il y a rapidement l'odeur de pain grillé et de café. Super.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous sommes déjà revêtus de nos tenues de jogging. Dehors il fait frais.
Le thermomètre extérieur indique 9°. Il y a quelques nuages dans un ciel peu encombré. La météo idéale pour aller courir.
Nous traînons à table. Nous faisons un vague programme de la journée. Notre vaisselle. Quelques exercices d'échauffement.
Nous enfilons nos K-Ways. Nous descendons l'escalier de service. Tout est silencieux dans la grande maison. De la fraîcheur.

C'est Estelle qui donne la cadence en courant devant. C'est notre circuit habituel. Nous croisons quelques joggeurs. Un salut.
Enfin, du sommet de la colline, nous pouvons admirer la ville. Le scintillement de quelques lumières qui resteront allumées.
Nous ne nous attardons pas car il serait dangereux de se refroidir. Malgré nos bonnets et nos gants. Nous repartons. Super.
Il est 9 h30 lorsque nous revenons à l'appartement. Nous prenons notre douche en premier. Puis c'est au tour d'Estelle. Joie.
Nous voilà assis devant l'ordinateur à jeter quelques phrases de ce récit, à découvrir nos courriels et à y répondre. Si sympa.

Estelle vient nous rejoindre. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux et de nos godasses.
Il est 10 h30. Nous décidons d'aller faire quelques courses à Morningside. Nous descendons à pieds. Nous enfilons nos anoraks.
Cette fois, avec l'absence de brouillard, la belle petite église gothique de Christ Church se laisse admirer dans toute sa beauté.
Nous traversons le carrefour. Nous voilà dans la rue commerçante. C'est déjà comme si nous habitions ce quartier de la ville.
Estelle veut acheter des cartes postales à envoyer. Pour sa famille, pour Gauvain le collègue étudiant. Elle nous entraîne. Bien.

Nous voilà dans la grande boutique qui fait librairie, souvenirs, tabacs, journaux et bazar. Nous laissons Estelle aux tourniquets.
Clémentine m'entraîne aux baux livres. Aux beaux albums photos. Il y a un passage incessant. Les habitués bavardent en riant.
Elle reste près de moi. < Défense de s'éloigner ! > chuchote t-elle en me retenant chaque fois que je fais un mouvement. Rire.
< Je t'aime Julien mais je dois te prévenir, je suis amoureuse aussi ! > rajoute t-elle. Nous en rions de bon cœur. Des bisous.
Estelle vient nous rejoindre. Elle nous montre les cartes choisies. Elle va s'installer à une des table du bar adjacent. Pour écrire.

Nous quittons l'endroit fort convivial et sympathique sans consommer. Nous passons devant la poste. Estelle dépose le courrier.
Nous allons à la superette. Pour le repas de midi nous choisissons des encornets et des crevettes. Quelques légumes, des fruits.
Nous prenons le chemin du retour en passant à la boulangerie prendre un de ces délicieux pains complets, aux noix et noisettes.
Il est 12 h30 lorsque nous revenons à la maison. Nous entendons des rires, une conversation animée. Nous montons en vitesse.
Clémentine s'occupe de la salade de carottes. Estelle fait bouillir l'eau des encornets. Nous éminçons l'ail et de belles échalottes.

Estelle n'arrête plus de me palper la braguette à chaque fois qu'elle se sèche les mains. Nous reproduisons la vie de chez nous.
< C'est mon mec que tu tripotes effrontément, je te signale ! > fait Clémentine. < Mais tu me le prêtes un peu ! > dit Estelle.
Les encornets cuisent dans leur bouillon. Je fais revenir les aubergines à la poêle. Estelle rajoute les encornets encore fermes.
Avec du riz complet gonflé dans le reste du bouillon, ce sera un délice. Je mets la table. Il est 13 h15. Tout est prêt. La faim.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Cet après-midi, dans l'improvisation totale, nous irons traîner en ville. Bien.

< J'ai mes "petits machins" de fille ! > fait Estelle lorsque je propose un léchage de minou au retour ce soir. Nous en rigolons.
Je précise que je me m'occupe exclusivement que des clitoris. < Mmmhh ! > fait Estelle en se levant pour passer sous la table.
Je la sens fouiller dans ma braguette. J'ai rapidement la bite à l'air. Clémentine me fait des clins d'œil. Je force Estelle à revenir.
< Je vais te bouffer la bite, à toi, salaud ! > me fait elle en s'asseyant. < Avec ma permission ! > lui lance Clémentine. Poilade.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle est plutôt excitée. La présence en Ecosse, l'insouciance des vacances, ça excite.

Il est 14 h30. Je roule doucement. Clémentine refuse de conduire alors que je l'y encourage. Elle préfère jouer avec ma queue.
Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, nous raconte d'amusantes histoires vécues dans sa famille aux fêtes.
Je gare la voiture loin du centre. Les barrières empêchent l'accès à la rue habituelle. Il y a vingt minutes de marche. Digestif.
Les filles me tiennent par le bras et la main. Nous attirons quelques regards. Cet homme d'âge mûr et ces deux jeunes filles.
Nous n'en avons que faire et cela nous amuse beaucoup. Une fois arrivés sur Royal Mile, je propose le Museum of Edinburgh.

Ma suggestion est accueillit avec enthousiasme. Nous prenons les billets. Il y a du monde. Principalement les touristes d'hiver.
Cette grande maison de briques rouges est immanquable. Nous y sommes souvent passés devant. Toute l'histoire de la ville.
Edimbourg ne prend tout son sens qu'en ayant poussé la porte de ce musée. La visite y est libre en cette période de l'année.
Il y a malgré tout des guides et quelques groupes qui préfèrent les explications. Nous passons de l'un à l'autre. Si intéressant.
Estelle ne rate aucune occasion de me palper discrètement la braguette. C'est Clémentine qui calme ses ardeurs. C'est drôle.

Nous déambulons dans cette grande bâtisse avec la soif de tout voir. Malgré une excitation grandissante qui nous gagne. Joie.
Cette fois c'est moi qui profite de chaque occasion pour passer ma main entre les cuisses d'Estelle. Nous sommes très discrets.
Il y a probablement des caméras. Il faut donc ruser. Clémentine ouvre une brochure, nous nous mettons tous les trois à lire.
A faire semblant. Personne ne peut distinguer que nous nous touchons. < Les trois mousquetaires ! > chuchote Estelle. Rires.
Les amateurs d'histoire ne devront pas rater la visite de ce lieu. Reliques médiévales, ouvrages anciens, clefs de la ville, etc...

Plutôt émoustillés, nous voilà à nouveau dehors. < J'ai envie de faire des saloperies ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur.
Il est 16 h. Je propose un bon chocolat chaud dans un des salons de thé que nous apprécions. Clémentine nous y entraîne.
C'est l'endroit où il y a le grand aquarium avec ses incroyables poissons exotiques. Il y a peu de clients. Un endroit charmant.
Nous voilà installés à la table du fond. Estelle nous montre les photos qu'elle a prise au musée. Des selfies, ou des déconnes.
< Tu m'emmènes aux chiottes ? > me demande Estelle, deux fois, avec insistance. Je fini par me lever. Les toilettes sont là.

Je rentre le premier. Il n'y a pas grand risque car il y a peu de clients. Je suis dans les WC homme. La porte s'ouvre. Estelle.
Je suis debout devant l'urinoir mural à faire semblant au cas où ce serait quelqu'un. Estelle qui s'écrie : < Donne la moi ! >
Je n'ai même pas le temps de me tourner qu'elle a déjà ma queue molle dans la main. Je dis : < Fais gaffe quand même ! >
Accroupie, Estelle se met à me sucer avec avidité. Je lui caresse la tête. De la voir en blonde me procure un étrange frisson.
C'est comme si j'étais avec une inconnue. Je chuchote : < Estelle, t'es folle, tu me mets dans un de ces états ! >. Fellation.

Je bande comme un priapique en phase terminale. L'excitation que procure une pipe dans un endroit à risque est prodigieuse.
Estelle, accroupie, me taille une pipe des familles comme à la maison. C'est fou. Mes lombaires se font cruellement ressentir.
Je la force à se redresser. Je lui masse les genoux. < Aïe, aïe, les fourmis ! > fait elle. La porte s'ouvre soudain. C'est un mec.
Estelle a le réflexe de se mettre devant moi. Je peux remballer ma bite gluante. Elle m'entraîne par la main. Les WC femme.
Je refuse d'y entrer. < Viens ! > me fait elle en me poussant avec force. Je dis : < C'est pas pareil, le risque est tout autre ! >

Nous nous enfermons dans un des deux cabinets. J'ai débandé. Je n'ai pas envie d'avoir de problème avec une conne. Peur.
Pourtant Estelle, avec une gourmandise dont je la sais coutumière recommence à me sucer avec passion. J'écoute les bruits.
J'ai trop la trouille. Je le dis à Estelle en la suppliant de cesser. Elle est assise sur le couvercle refermé de la cuvette des WC.
C'est moi qui l'entraîne. Nous sortons rapidement. Juste à temps. Il y a une femme qui arrive. Elle nous regarde. Drôle d'air.
Nous rejoignons Clémentine. Elle est connecté en Wifi sur son smartphone à écrire quelques lignes de ce récit. Je lui raconte.

Clémentine insiste pour faire pareil. C'est elle qui se lève. Elle m'entraîne carrément par la main. Nous entrons dans les WC.
Je suis terriblement gêné alors que personne ne fait attention à nous. < Donne ! > me fait elle en s'accroupissant à son tour.
J'ai la bite qui dégouline de liquide séminal. La première pipe d'Estelle m'a considérablement excité. Avec une certaine peur.
Clémentine se régale. Elle ne peut s'empêcher de gémir de plaisir. Je suis obligé de faire < Chut ! > à plusieurs reprises. Fou.

Les yeux ouverts, son regard implorant, Clémentine me fixe, les joues creusées par l'effort de succion. C'est extraordinaire.
De me faire tailler une pipe dans ces chiottes, à côté de l'urinoir mural, nous procure une excitation délirante. Je dois lutter.
Du bruit. Clémentine se redresse à toute vitesse. Elle aussi cache mon sexe aux regards de l'inconnu qui vient pisser. Ouf !
Nous ressortons. Je supplie : < Non ! Pas les toilettes femme, par pitié ! C'est trop risqué ! >. Clémentine comprend si bien.
< Les bonnes femmes sont beaucoup moins cool que les mecs sur ces plans là, dans les chiottes ! > fait encore Clémentine.

Nous rejoignons Estelle qui discute avec la serveuse. Nous ne nous attardons pas. Il est 18 h30. Je propose un bon restau.
Nous portons notre choix sur un restaurant qui propose une animation musicale. Ce qui est le cas de la plupart d'entre eux.
C'est un trio de jeunes musiciens qui interprètent le répertoire baroque écossais, alternant des choses plus contemporaines.
Le repas est délicieux. Des calamars farcies au pâté de langouste. Petits légumes vapeurs. La salle est remplie. Du monde.
Nous traînons là longuement. La musique est superbe. L'ambiance est extra. Estelle veut m'entraîner aux toilettes. Risqué.

J'ai beau tenter de la raisonner, la coquine fini par me rejoindre une fois de plus. Il y a trop de passage dans les toilettes.
Je la laisse tout de même sucer quelques instants dans un des cabinets où nous sommes enfermés. Trop de gens passent.
La poignée ne cesse d'être agitée par des clients désireux d'y entrer. Ils ne savent pas. J'entraîne Estelle au dehors. Stop.
Clémentine veut y aller à son tour. Je commence par refuser. Mais comment refuser quelque chose à la fille que j'aime ?
Nous voilà enfermés dans le même cabinet. L'odeur est plutôt dégueu. Je n'en peux plus. Nous rejoignons Estelle. Rigolade.

Nous traînons à table après de superbes coupes glacées jusqu'aux environs de 22 h30. Quatre visites aux chiottes. Pipes.
Nous sommes tous les trois hyper excités. Heureusement que la fraîcheur de la nuit et les 20 mn de marche, nous calment.
Je roule doucement. Clémentine me suce sous le regard envieux d'Estelle assise à l'arrière. Un habitacle trop étroit devant.
Il est 23 h30. Au lit, je suis entre les deux filles qui se refilent ma bite à tour de rôle. C'est pourtant assez rare au lit. Porno.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle pendant que je suce le clitoris de Clémentine assise sur mon visage. Orgasmes fous. Dodo.

Bonnes petites pipes discrètes dans les chiottes de vos salons de thé préférés à toutes les coquines que cela excite…

Julien - (Qui se fait vider les couilles jusqu'à en avoir la bite congestionnées) -

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Des vacances en totale improvisation

Hier matin, vendredi, je me réveille le premier. Il est presque huit heures. Clémentine est tout près de moi. Estelle plus loin.
Je les regarde dormir. Deux anges. Un ange blond et un ange brun. Elles sont merveilleusement belles toutes les deux. Joie.
Si vulnérables, si fragiles dans ce sommeil qui les étreint. Cette fois, j'ai vraiment tout le temps pour contempler ce bonheur.
Il y a chez tout homme un instinct protecteur. Le mien est encore décuplé. Multiplié par deux. Et c'est un moment magique.
Clémentine, dont le sixième sens médiumnique est très développé, se réveille la première. Elle ouvre les yeux pour se serrer.

Nous nous chuchotons des douceurs. Estelle s'étire dans un long gémissement. Elle nous fait plusieurs bisous à chacun. Bien.
Elle se lève pour se précipiter aux toilettes la première en s'écriant : < Je prépare le petit déj ! >. Clémentine me chevauche.
C'est à notre tour. Dès la fin du rituel pisseux, nous rejoignons Estelle à la cuisine. Tous les trois vêtus de nos tenues sports.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant.
Nous traînons un peu à table. La vaisselle. Nous descendons par l'escalier de service. Il est 8 h30. La même météo que hier.

C'est Estelle qui impulse le rythme. Notre circuit habituel. L'arrêt au sommet de la colline pour admirer Edimbourg. Superbe.
Nous croisons quelques joggeurs. Nous nous saluons d'un léger mouvement de tête. Parfois d'un petit mot ou d'un sourire.
Il est 9 h30 lorsque nous revenons. Nous prenons notre douche en premier pendant qu'Estelle s'installe devant l'ordinateur.
Puis c'est au tour d'Estelle. Nous avons un message de Juliette, de Lennie, de Julie. Nous répondons en joignant des photos.
Estelle nous rejoint. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux, godasses. Mousquetaires.

Nous écrivons les premières lignes de de ce récit. Estelle participe si rarement. Mais elle ne vient jamais les lire sur le forum.
Il est 10 h30. Clémentine reste serrée contre moi. Elle me suit partout et quoi que je fasse. Je trouve ça tellement adorable.
Je vais à l'armoire. Clémentine s'accroupit devant le miroir en se serrant fort contre ma jambe. Sa tête posée sur ma cuisse.
Je comprends. J'ouvre la porte. Je prends le collier canin et la laisse posés sur l'étagère du bas avec le petit sac à dos. Bien.
Je passe le collier autour du cou de Clémentine. J'y fixe la laisse. Estelle, debout dans l'encadrement de la porte qui regarde.

Je tire sur la laisse. J'entends Clémentine ronronner de plaisir. < Et moi ? > fait Estelle qui vient nous rejoindre. Elle se serre.
Je dis : < Tu veux qu'on en achète un second en ville ? >. Estelle me touche la braguette en disant : < Oh oui ! Un autre ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine dit : < Demain, c'est à ton tour ! >. Je donne quelques à coup sur la laisse. Doux.
J'entraîne Clémentine qui marche doucement à quatre pattes. Je lui fais faire le tour de la chambre. Calmement et trois fois.
Estelle marche derrière moi en me touchant les couilles par derrière. J'ai du mal à marcher correctement à cause de sa main.

Je dis : < Lève la patte ! >. Clémentine s'arrête devant l'armoire. Elle s'observe entrain de lever la jambe. Le "toutou pissou".
Clémentine a développé très tôt, dès son adolescence, une attirance pour son apparence. Une victime de son image. Narcisse.
Il n'y a là rien de préjudiciable. Je l'encourage à continuer et même à redoubler dans ce plaisir. Et elle est tellement attractive.
Je lui confie souvent à quel point il serait préjudiciable pour son bien être psychique d'aller à l'encontre de ce besoin viscéral.
Il n'y a aucun mal à se faire du bien. Et si l'image de soi que reflète le miroir est flatteuse, c'est les numéros gagnants. Loto.

Estelle vit un peu les mêmes sensations. Son plus grand plaisir solitaire est de se regarder se masturber dans le miroir. Bien.
Clémentine reste ainsi, à quatre pattes, la jambe gauche relevée, mimant un pissou canin. Elle me consulte du regard. Super.
Je l'entraîne à nouveau. Estelle n'arrête plus de me palper la braguette. Je m'assois sur la chaise entre le lit et l'armoire. Joie.
Clémentine se met à genoux en posant sa tête sur ma cuisse. Estelle se met à genoux de l'autre côté et ouvre ma braguette.
Je bande mou. Je tire sur la laisse pour forcer Clémentine à lever la tête. Je lui dépose plein de bisous sur le visage. Douceur.

Je saisis Estelle par ses cheveux. Toujours cette étrange sensation de la voir en blonde. Car je ne me suis pas encore habitué.
Je la repousse délicatement en disant : < Laisse moi faire. Tu en auras aussi ! >. Je me masturbe en tenant la laisse en haut.
Clémentine veut approcher son visage. Je l'en empêche pour me branler juste devant sa tête. Estelle, à genoux nous observe.
Je laisse Clémentine sucer un peu. Je tire sur la laisse pour la faire cesser. Elle en roucoule. Je me branle à nouveau. Superbe.
< Et moi ! > fait Estelle à chaque fois. Je lui réponds : < Tu en as déjà eu hier soir ! Chacune son tour. Tu en auras après ! >

J'alterne ainsi mes masturbations lentes et régulières avec les permissions que je concède à Clémentine pour la laisser sucer.
Clémentine est si souvent demandeuse de ce genre de choses. Là, enfin, je lui en offre un épisode. Estelle respire hyper fort.
Je découvre qu'elle a glissé une main dans ses jeans déboutonnés. C'est trop fort. Estelle se branle rarement en public. Bien.
Je me branle. Parfois plus vite. Je cesse. Je laisse Clémentine sucer. Je recommence. La respiration très "animale" d'Estelle.
Tout cela nous excite évidemment beaucoup. Et pour les trois cérébraux que nous sommes, la situation est un enchantement.

Je chuchote : < J'a une méchante envie de vous bouffer la chatte à toutes les deux ! >. Elles en gloussent sans me répondre.
Nous restons ainsi un long moment. Du dehors nous parviennent quelques bruits. Conversation, bruit de portière de voitures.
Cousin John et sa femme s'en vont aujourd'hui. Il nous faudra les saluer en début d'après-midi. Nous apprécions ce moment.
Il est presque midi. J'ai le jus qui me coule sur le tissus de la braguette. Clémentine a le bas du visage maculé de foutre. Joie.
Estelle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse soudain. Je lui caresse la tête. Prostrée, assise parterre, et les yeux fermés.

Je force Clémentine à cesser sa pipe. Je me lève. Il y a de la jute qui dégouline de ma bite. Il me faudra changer de pantalon.
je saisis Estelle par sa tignasse pour la forcer à se relever. Je tire sur la laisse pour faire de même avec Clémentine. Des bises.
Estelle se précipite pour me sucer. Je bande mou, il y a des filaments de jute, des bulles de foutre. Et elle en raffole tellement.
J'ai rapidement la queue propre à défaut de rester sèche. Toutes ces agapes nous ont ouvert l'appétit. Nous allons à la cuisine.
< Tu es génial Julien ! J'ai tant besoin que tu te comportes comme ça avec moi ! > fait Clémentine qui a du mal à me lâcher.

Estelle me confie à quel point elle adore se masturber en observant nos attitudes et mon comportement de vicelard. Des bises.
Clémentine s'occupe de la salade verte et de son assaisonnement. Estelle s'occupe d'éplucher les courgettes et les aubergines.
Je fais bouillir l'eau pour y faire gonfler le millet. Nous bavardons. A propos du vague programme de l'après-midi. Promenade.
Tout va vite. Le repas est prêt. Nous mangeons de bon appétit. < La journée commence bien ! > fait Clémentine. Un clin d'œil.
< Demain, tu me fais ça à moi ! > me fait Estelle en posant sa main sur mon poignet. Je lui promets de m'occuper de son cas.

Nous traînons à table. La vaisselle. Il est 13 h45 lorsque nous descendons. Cousin John et sa femme sont dans le couloir. Bien.
Tonton Alan et Tante Ma sont là aussi. Nous bavardons un peu. Nous souhaitons bonne route à mon cousin et à sa compagne.
Nous voilà en route. Cet après-midi nous nous éloignons d'Edimbourg pour aller à South Queensferry. La route des souvenirs.
Nous y avons passé tant de bons moments, cet été, en y allant à bicyclette. Estelle a le profond désir de le découvrir en hiver.
Le bourg et son port de pêche connaissent l'animation de la saison hivernale. L'activité portuaire reste la même. C'est le boulot.

Pas question de savourer des glaces en flânant. Il y a une petite brise de mer fraîche et désagréable. Le ciel est bien dégagé.
Il ne fait pas plus de 10°. Nous nous promenons d'un pas rapide. Il est intéressant de comparer les deux saisons. L'insolite.
Dans la voiture, Clémentine n'a pas cessé de jouer avec ma queue. Je lui ai demandé de ne pas me maculer ces jeans aussi.
Aussi, avec soin, elle n'a pas cesser de me sucer afin de ne pas laisser les épanchements mouiller mon pantalon bien propre.
Estelle, que son orgasme a calmé quelque peu, ne cesse pas pour autant de me palper discrètement la braguette. La coquine.

Il est rapidement 17 h. Clémentine porte le collier canin. Il est dissimulé par son écharpe et le col de son anorak. C'est discret.
La laisse y est toujours fixée. Elle pends sur l'anorak mais personne ne pourrait deviner son usage et ce que c'est réellement.
Parfois, lorsque nous croisons un étranger seul, ou un couple, probablement de rares touristes, je saisis Clémentine à la laisse.
Nous adorons le regard ahuri des gens qui découvrent le spectacle. Cela excite considérablement ma compagne. C'est sympa.
Je la fais même s'accroupir entre deux camionnettes. Position équivoque que découvre un couple de jeunes gens très élégants.

Nous retournons à la voiture. La nuit est totale. Etoilée. C'est de toute beauté. A nouveau Clémentine me suce par séquences.
Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou observe, souvent silencieuse. Parfois elle me chuchote des cochonneries.
Clémentine, tout en suçant, qui les entend aussi, a de petits gémissements de joie. Des rires étouffés. Je commence à lutter.
A force de me faire pomper, j'ai le sexe congestionné, les couilles prêts à décharger leur trop plein de sperme. C'est bouillant.
C'est une "Dure Lutte". Nous arrivons à Edimbourg. 25 petits kilomètres par la route qui suit l'estuaire. Et le pont magnifique.

Il faut garer la voiture à vingt minutes de marche du centre. Plus nous approchons du centre plus il y a du monde. Agréable.
Nous flânons longuement à la recherche d'un restaurant pour ce soir. Clémentine a le désir de rentrer. Faire des saloperies.
Nous insistons un peu, Estelle et moi. Profitons d'Edimbourg plutôt que de l'appartement. Clémentine se raisonne rapidement.
Nous trouvons un établissement sympathique. La carte est attrayante. La décoration médiévale. Une petite scène. Musiciens.
Nous mangeons de bon appétit. De délicieux encornets farcis accompagnés de petits légumes rissolés, frits ou cuit au bouillon.

La musique est très agréable. Un groupe de quatre jeunes, deux garçons et deux filles qui interprètent de la musique country.
C'est léger, aéré et cela installe une ambiance festive qui gagne l'ensemble de la salle pleine à craquer. Le repas est délicieux.
Nous traînons à table. Personne ne voit le collier canin que porte Clémentine. J'ai tout de même retiré la laisse. Rester discret.
Il est 22 h lorsque nous quittons cet établissement dont nous notons le nom et l'adresse. A refaire. 20 minutes jusqu'à l'auto.
Il fait à présent plutôt froid. Nous marchons vite. J'ai fixé la laisse au collier. Je tiens Clémentine à la laisse jusqu'à la voiture.

Estelle me tient par le bras. Lorsque nous croisons un homme seul, je demande à Clémentine : < Dis bonsoir au monsieur ! >
Nous rigolons comme des bossus à la tête que font certains mecs. L'hallucination de leur vie ! Il est 23 h. Nous voilà arrivés.
Au lit, Clémentine se frotte contre moi. Estelle allume une bougie pour nous regarder. Je m'introduis avec précautions. Super.
Nous faisons comme si nous étions seuls. Sans faire attention à Estelle. Clémentine m'avoue à quel point j'ai été à la hauteur.
Nous faisons l'amour. Je caresse le sexe d'Estelle qui s'endort ainsi. Je termine Clémentine par un cunnilingus. La folie. Dodo.

Bonne promenade, tenues à la laisse, à toutes les coquines qui aiment ces situations et ces jeux de rôles…

Julien - (Qui, même s'il n'a pas l'âme d'un "Maître", sait toutefois satisfaire les demandes de sa "soumise") -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 24 - Tous droits réservés - © - 2018 - Episode 653 -



Estelle, tenue à la laisse, touchée. Excitée...

Hier matin, samedi, une fois encore, je me réveille le premier. Il est à peine huit heures. Je regarde les filles dormir. Si belles.
Je crois que c'est un des moments les plus forts de mon existence. Clémentine, sur le dos, tout près de moi, bouche ouverte.
Estelle, tout au bord du lit, couchée sur le côté, sans oreiller. Et quel merveilleux spectacle. Hélas, il est de bien courte durée.
Clémentine ouvre soudain les yeux, avertie par son infaillible sixième sens. Elle pousse un profond soupir, en se serrant fort.
Nous nous murmurons des douceurs. Estelle se réveille également. Elle se rapproche pour nous faire à chacun plein de bises.

< Pipi ! Je vais faire le petit déj ! > fait elle en nous laissant pour se lever et se précipiter aux toilettes à toute vitesse. Rires.
C'est à notre tour. Le rituel pisseux et nous rejoignons Estelle à la cuisine où règne déjà notre délicieuse odeur de pain grillé.
Nous sommes déjà en tenues de sport. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le vague programme d'aujourd'hui.
Nous traînons à table. Dehors, le jour se lève doucement sous un ciel d'un gris uniforme. Mais la météo n'est pas à la menace.
La vaisselle. Nous descendons sans faire de bruit par l'escalier de service. Nous voilà dans la fraîcheur matinale. Le vent. 10°.

Comme toujours, c'est Estelle qui impulse le rythme de la course. C'est le parcours habituel. Avec l'arrêt en haut de la colline.
Nous croisons d'autres joggeurs que nous saluons parfois d'un simple signe de tête. Une heure de running très sympathique.
Retour pour 9 h30. C'est réglé comme du papier à musique. Nous prenons la douche en premier. Estelle reste à l'ordinateur.
Puis c'est à son tour. Nous découvrons nos messages. Julie, Lennie et Juliette à qui nous répondons en joignant des photos.
Nous voilà assis tous les trois devant l'ordinateur à écrire les premières lignes de ce récit auquel s'ajouteront d'autres parties.

Il est dix heures. Estelle me passe la main sur la braguette et me dit : < Tu as promis quelque chose hier ! >. Je la regarde.
Elle se caresse le cou. Je comprends immédiatement. Je me lève. Je la saisis par ses cheveux attachés en catogan. Fermeté.
Clémentine me fait : < Regarde, j'ai la peau irritée à cause du collier ! >. Je préconise de mettre un foulard en soie dessous.
J'entraîne Estelle dans la chambre à coucher. Je la force à se mettre à genoux. Je sors le collier canin et la laisse de l'armoire.
Clémentine arrive. Elle me donne un de ses foulards batik en soie légère. Je le passe autour du cou d'Estelle. Elle m'observe.

Je fixe le collier canin sur le foulard qui protège ainsi le cou. Puis j'attache la laisse avec le mousqueton à l'anneau métallique.
Je tire sur la laisse. Je lui fais faire plusieurs fois le tour de la chambre à quatre pattes. Clémentine marche devant nous. Joie.
Je dis : < C'est à ton tour aujourd'hui ! Je vais t'offrir de grands moments ! >. Estelle lève les yeux plein de reconnaissance.
< Mais pas devant des inconnus s'il te plaît ! > me fait elle d'une voix implorante. Je suis assis sur la même chaise que hier.
Clémentine se penche pour dire à Estelle : < Lorsque tu interprètes le rôle de la soumise tu fais ce qu'exige le "Maître. Ok ! >

Je sors ma bite. Clémentine est assise au sol à ma droite. Estelle est assise au sol à ma gauche. Je bande mou. Elles mâtent.
Je tiens la laisse au plus court. Je peux ainsi guider plus facilement la tête d'Estelle que je rapproche de mon sexe. Fermeté.
Clémentine que la situation excite pose ses coudes sur mes cuisses pour mâter de plus près. Elle est la plus excitée des trois.
Je me branle doucement. Je suis penché en avant pour regarder le visage d'Estelle. J'entends le souffle de Clémentine. Fort.
Je peux même ressentir la chaleur de ce souffle qui s'amplifie. Je donne de petits à coups à la laisse que je tiens fermement.

Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Je dis à Estelle : < Et pas une goutte à côté ! >
Je rajoute : < Si tu mets du foutre sur le tissu de mon pantalon, je t'emmène à la laisse en ville cet après-midi méfie-toi ! >
Estelle lève la tête pour me fixer avec l'air de défi habituel. Elle se redresse pour me cracher au visage. Ultime provocation.
Je la tiens au plus court et pour lui frotter la queue sur le visage. Je lui murmure : < Je vais te dresser toi, petite salope ! >
Bien évidemment, nous restons parfaitement conscients, tous les trois, que tout ceci n'est qu'un jeu. Rien de réel, de cruel.

Estelle joue à la perfection tout en s'offrant les délicieuses émotions qu'induisent ces moments de "soumissions" fictives. Jeu.
Je n'arrive pas à lui enfoncer la queue dans la bouche. La salive d'Estelle me chatouille le nez en coulant. Je bande très fort.
Clémentine s'est mise à genoux, une main dans son pantalon déboutonné, à fouiller le fond de sa culotte. Je caresse sa tête.
Il est tout simplement impossible d'enfoncer le Zob dans la bouche d'Estelle. J'ai beau appuyer sa nuque, la contraindre. Rien.
Je ne peux m'empêcher d'embrasser Clémentine qui me tend sa bouche comme une désespérée. L'envie de m'occuper d'elle.

Estelle pousse de petits cris à chaque fois que j'insiste. Je me lève. Je la tire par la laisse pour la faire mettre à genoux au sol.
Je lui frotte la queue sur la gueule comme un dépravé. Le vrai pervers. Elle se débat, s'agite comme une furie. C'est excellent.
Rien à faire, impossible de lui mettre la bite en bouche. Je la force à se redresser. Je l'entraîne, courbée en avant. Les chiottes.
Clémentine, tout en se touchant, se redresse pour nous suivre. Aux toilettes je déboutonne le pantalon à Estelle, je le baisse.
Je descends sa culotte. J'ordonne : < Pisse ! >. Estelle, en position, penchée en arrière, se tenant aux murs, tente de pisser.

Clémentine, debout dans l'encadrement de la porte, se masturbe en nous regardant. Estelle arrive enfin à pisser. Un jet fort.
< Tu pisses comme une vache aujourd'hui ! > lui fait Clémentine. Je prends du papier. Je torche délicatement le fion d'Estelle.
Elle en glousse de plaisir. J'inspecte pour voir s'il y a déjà un résiduel de cyprine. En effet, avec l'excitation, il y a de la crème.
J'entraîne Estelle sans ménagement. Elle marche en canard avec son pantalon et sa culotte aux chevilles. Elle trébuche. Dur.
A deux reprises je la retiens pour qu'elle ne perde pas l'équilibre. Je joue au "Maître" tout en restant le plus attentionné. Joie.

Il est presque midi. Tout cela nous ouvre l'appétit. Et la réalité beaucoup plus prosaïque nous rappelle l'heure du repas. Faim.
Je remonte les vêtements d'Estelle qui se serre contre moi en me disant : < C'est tellement génial, Julien. Merci. Superbe ! >
Clémentine s'occupe de la salade de tomates. Je fais bouillir l'eau des spaghettis. Estelle prépare une sauce. Béchamel. Bien.
Nous bavardons de toute autre chose. Tout va vite. Clémentine me fait plein de bisous. Estelle se frotte derrière moi. Fesses.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle me fait remarquer qu'avec le foulard en soie, le cuir du collier n'irrite pas la peau. Joie.

Nous traînons à table. Clémentine, assise sur mes genoux, nous raconte les émotions vécues hier, tenue à la laisse en balade.
Je dis à Estelle : < Je vais t'offrir les mêmes plaisirs cet après-midi ! >. Estelle qui débarrasse la table fait ! < Non, la honte ! >
Clémentine lui répond : < La honte, ça fait partie du truc. Je suis morte de honte quand on me voit ainsi. Mais ça m'excite ! >
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Dehors le ciel est crépusculaire. Et sous ces latitudes, le jour ne se lève pas vraiment.
Nous nous lavons les dents en faisant les clowns. Il est 13 h45. Nous voilà prêts à partir. Nous descendons l'escalier de service.

Je roule doucement. nous descendons Morningside. Je prends à gauche au carrefour. Direction la chapelle de Rosslyn. Super.
Onze kilomètres par la petite route qui descend vers le sud. Le paysage hivernal permet quand même de prendre des photos.
Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou, regarde Clémentine jouer avec mon sexe qu'elle agite tout en parlant.
Nous arrivons. Il y a quelques voitures sur le parking. La petite église gothique est là, et aussi magnifique en hiver qu'en été.
Il se dégage de cet endroit une profonde impression de mystère. Le lieu a d'ailleurs inspiré la littérature fantastique. Da Vinci.

Estelle porte le collier canin. Il est dissimulé sous l'écharpe et le col de l'anorak. Par contre, la laisse dépasse sur sa braguette.
Je m'en saisis. < Non ! T'es fou ! > s'écrie Estelle qui tente de m'en empêcher. J'ordonne : < Silence. Et tu dis oui Maître ! >
Clémentine rajoute : < Depuis hier tu voulais jouer à la soumise ! Alors va au bout du truc ! >. Estelle reste silencieuse. Dur.
Nous entrons dans la magnifique petite église. La décoration intérieure est une des plus belles choses que l'on peut admirer.
Le regard ne sait où se poser. Il est impossible de se concentrer sur un hypothétique début pour trouver un repaire. Sublime.

Je tiens discrètement Estelle à la laisse. Personne ne prête attention à notre trio. Il y a quelques visiteurs. Des photographes.
J'entraîne Estelle. Nous faisons le tour de l'église en longeant les murs. Nous admirons les fresques, les sculptures et dorures.
Estelle a souvent le réflexe bien naturel de se serrer contre moi. De se dissimuler entre Clémentine et moi. Personne ne voit.
Malgré tout, la situation est très excitante. Nous en oublions presque la fraîcheur du lieu. Je touche Estelle entre les cuisses.
Je tiens la laisse. De mon autre main, je la touche avec toute la vulgarité possible. Clémentine semble éperdue de vice. Bien.

Nous restons dans cet endroit magique un long moment. Il y a un couple, là-bas, dont la femme semble s'être aperçue du jeu.
Elle regarde avec insistance derrière le dos de son mari. Ils ne semblent pas êtres complices car la femme reste seule à mâter.
C'est terriblement excitant. Clémentine chuchote : < Nous avons affaire à une vicieuse ! >. Je regarde. Discret. Probablement.
A chaque fois que son mari prend une photo, s'approche d'une stèle, la jeune femme louche dans notre direction. Vicelarde.
Je lui montre discrètement la laisse que je tiens à la main. Estelle, terriblement gênée, regarde ailleurs. Clémentine l'observe.

Il est certain que notre trio exerce sur la libido de cette inconnue un effet certain. J'enfonce le clou. Je me touche la braguette.
La jeune femme détourne la tête. S'en est trop. Pourtant, sa gêne est de courte durée. Elle mâte à nouveau. C'est hyper bien.
C'est Clémentine qui donne le coup de grâce en posant sa main sur ma braguette. C'est très discret. Et l'endroit le plus obscur.
Cette femme est la seule à avoir capté ce qui se passe. De voir un homme d'âge mûr avec deux jeunes filles doit la perturber.
Nous insistons avec toute la finesse dont nous sommes coutumiers. Personne d'autre ne pourrait se douter. Même pas le mari.

< Elle pourrait aisément faire partie du "Club" ! > murmure Clémentine. Le couple finit par s'en aller. Notre dernier petit tour.
Nous sortons. Là-bas, le couple. L'homme fait des photos. La femme est en retrait à feuilleter une brochure prise dans l'église.
Elle nous voit nous diriger vers l'auto. Cette fois Estelle ne tente plus de dissimuler la situation. Je la fais monter dans l'auto.
Derrière. Je m'installe à ses côtés. Clémentine s'assoit devant. Je sors ma queue. Elle est gluante. Tout cela m'a excité. Super.
Je force Estelle à descendre la tête. Elle ne cherche plus du tout à se soustraire à mon étreinte. Clémentine regarde le couple.

< Super plan ! C'est leur bagnole qui est garée à côté de la notre ! > s'écrie Clémentine. La femme se dirige vers leur auto.
Elle ouvre la portière. Son homme est toujours là-bas. Elle découvre le spectacle. Elle mâte avec insistance. Sans s'en cacher.
Je lui adresse un sourire tout en forçant Estelle à se redresser. La femme a bien évidemment compris ce qui se passe. Pipe.
Je ne sais pas si elle peut distinguer ma queue. Clémentine sort de la voiture pour ouvrir la porte arrière. Maintenant elle voit.
La jeune femme a un mouvement de recul. Surprise mais souriante. J'appuie sur la nuque à Estelle. Je la force à y retourner.

A part les cons, qui peut rester indifférent devant un tel spectacle. Ce n'est pas une conne, là, à une dizaine de mètres. Non.
Elle cherche quelque chose dans sa voiture. Elle s'y installe au volant. Elle continue de mâter avec un superbe sourire. Génial.
Clémentine se tient à la portière qu'elle laisse bien ouverte. Je ne me suis jamais fais tailler une pipe aussi excitante. Dingue.
Voilà le bonhomme qui rapplique. La dame fronce les sourcils. Elle ferme sa portière. Clémentine ferme la notre. Hélas, la fin.
Nous regardons la voiture s'éloigner. < Merde ! Ce sont des frenchies ! > nous fait Clémentine. La plaque d'immatriculation.

A droite, j'ai juste le temps de distinguer "35" ! < Ils ne sont pas loin de chez nous en plus ! > dit Estelle qui cesse de sucer.
Je demande à Clémentine de conduire la voiture. Je veux continuer à me faire tailler une pipe par Estelle. Clémentine refuse.
Je n'insiste pas. Je m'installe au volant. Direction Edimbourg. Bien évidemment, Clémentine se met à me sucer. Un bonheur.
Estelle derrière moi me fait : < Dans ce domaine, je n'ai jamais vécu un truc aussi intense ! Quelle salope. Elle a rien dit ! >
Nous arrivons à Edimbourg. Il y a de l'animation partout dans les rues. Nous flânons longuement. Là, pas question de jouer.

Il y a bien trop de gens pour trimballer une fille à la laisse. Même si elle commence à me le demander dans certains endroits.
< Tu vois ! Tu finis par y prendre goût ! > lui fait Clémentine lorsque je la promène dans une arrière cour, entre des cageots.
Au fond de mon slip, c'est collant, gluant. Clémentine me fait remarquer qu'il en va de même pour son fond de culotte. Rire.
Il est 18 h30. Nous nous mettons en quête d'un bon restaurant pour ce soir. Tout cela ouvre l'appétit au delà du raisonnable.
Clémentine me propose de retourner dans l'établissement de hier soir. De plus il y a un autre groupe de musique Jazz, Blues.

Nous réservons pour 20 h. Nous déambulons encore un peu. Le froid commence quand même à rendre le tout désagréable.
A présent, dans les venelles étroites du vieil Edimbourg, je tiens franchement Estelle par sa laisse. Et le longs des escaliers.
A chaque fois que nous croisons un homme seul, je montre ostensiblement ce que je tiens à la main. Et Estelle hyper gênée.
Clémentine me chuchote : < Si tu continues, je me branle ici, carrément devant tout le monde ! >. Nous rions de bon cœur.
Voilà enfin l'heure de retourner au restaurant. Je promets à Estelle d'être d'une discrétion totale. De ne pas lui faire honte.

Nous voilà confortablement installés. La salle est pleine à craquer. Les quatre jeunes musiciens sont vêtus de smokings noirs.
Je suis aux anges. Ils interprètent des compositions de Martin Taylor. Musicien que je connais un peu personnellement. Joie.
Nous traînons à table. Les filles voudraient faire des trucs aux toilettes. Impossible sans se faire remarquer. Ce serait louche.
Il est 23 h lorsque nous sommes de retour. Nous sommes tous les trois tellement excités. Je broute les chattes des coquines.
Estelle connait probablement un des orgasmes les plus délirants de sa vie. Clémentine aussi. Estelle s'endort. La pipe. Dodo.

Bonne promenade, tenues à la laisse, à toutes les coquines qui aiment être vues discrètement par des inconnus…

Julien - (Qui aime les rencontres insolites, dans des situations insolites, en compagnie de la "soumise" du jour) -

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Le second dimanche à Edimbourg.

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par plein de douceurs. J'ouvre les yeux. Le visage bienveillant de Clémentine tout près.
Je la serre contre moi. Nous nous chuchotons plein de choses. Estelle s'étire longuement en gémissant. Elle nous fait la bise.
Elle se lève pour se précipiter aux toilettes en disant : < Je prépare le petit déj ! >. Puis c'est à notre tour. Nous la rejoignons.
Nous prenons notre petit déjeuner dans l'agréable odeur de pain grillé. C'est dimanche. Pas d'entraînement. Pas de joggings.
Nous traînons à table en évoquant notre aventure de hier, à la chapelle Rosslyn. Et de quoi nous laisser de beaux souvenirs.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous voilà en jeans et en chemises à carreaux. Les filles sont devant l'ordinateur. Bien.
Elles surfent sur le site de l'université. Je vais à la salle de bain pour faire une machine. Je vais faire la chambre, le lit. Ménage.
Je ramasse le collier canin encore fixé à la laisse à côté du lit. Je termine. Je rejoins les filles dans le séjour. Avec notre collier.
Je passe derrière Clémentine pour le lui fixer autour du cou. Elle en ronronne de plaisir. Nous rions de bon cœur. C'est super.
Je vais vider la machine et suspendre le linge. Dehors, il se met à pleuvoir. La météo est déplorable. Premier jour de pluie. 8°.

Il est onze heures trente. Nous nous changeons. Nous sommes invités au repas familial. Les filles portent leurs kilt rouges.
Collants, chemisiers et pull. Souliers à légers talons. Je suis en pantalon à plis, chemise blanche sous un pull noir, col en "V".
Nous faisons un peu les clowns devant le miroir. Il faut descendre. La famille de Saint Andrew est déjà là. Nous nous saluons.
C'est un traiteur qui a apporté le repas. Fruits de mers, crustacés fumés ou grillés. Petits légumes. Et un vacherin glacé. Joie.
Nous bavardons beaucoup. Nous traînons à table. Clémentine, Estelle et moi, nous n'arrêtons pas de nous faire du pied. Rire.

Nous nous amusons beaucoup à écouter les conversations passionnées des quatre octogénaires. C'est intéressant. Très drôle.
Nous nous faisons des grimages et nous échangeons des clins d'œil. Il est 15 h15 lorsque nous prenons congé. Nous quittons.
Nous remontons pour nous changer. Jeans, chemises à carreaux, pulls. Nous mettons nos écharpes, nos bonnets et anoraks.
Je roule doucement. Nous allons sur Edimbourg. Nous voulons assister à un concert philharmonique à la cathédrale St Gilles.
Il faut garer la voiture à vingt minutes. C'est sous l'immense parapluie que nous marchons à toute allure. Il y a plein de gens.

Avec cette météo épouvantable, la plupart des spectateurs sont en tenus relax. Pas de chichis, pas de manières. C'est sympa.
C'est le Royal Stockholm Philarmonic Orchestra. C'est de très haut niveau. Estelle me palpe discrètement la braguette. Bien.
Le concert dure une heure trente. La cathédrale est chauffée pour la circonstance. Nous voilà au dehors. Il ne pleut plus. Joie.
Nous flânons dans le dédale des rues du centre. Il y a beaucoup d'animation. Nous faisons quelques boutiques d'antiquaires.
Les magasins sont ouverts entre les fêtes et demain commence le Hogmanay. Tout se prépare. Nous cherchons un bon restau.

Du petit sac à dos que je trimballe toujours partout avec nous, je sors le collier canin. Je le montre à Clémentine. Elle s'arrête.
< Oh oui ! Génial ! > me fait elle. Estelle me dit : < Il en faudrait deux ! >. Nous en rions de bon cœur. Je fixe la laisse. Bien.
J'entraîne les filles à l'écart dans une sorte d'arrière cour. Je passe le collier autour du cou de Clémentine. Mais sur l'écharpe.
Je donne quelques à coups en disant : < Je suis le "Maître". Tu ne peux dire que "oui Maître". Tu es la soumise ! >. Silence.
Je suis peu convainquant, très peu crédible dans ce rôle. Malgré tout, le jeu commence dans la fébrilité. J'entraîne Clémentine.

Estelle, toujours passionnée lorsque nous vivons des situations excitantes, marche à mon bras. Je tiens discrètement la laisse.
Nous retournons à la voiture. < On va où ? > demande Estelle. Je lui chuchote : < Surprise ! >. Nous quittons le centre ville.
Je roule doucement. Clémentine tenue à la laisse que j'ai passé autour de mon poignet. Nous arrivons à Morningside. La nuit.
Je gare la voiture dans la petite rue parallèle à l'avenue commerçante. Les filles commencent à comprendre. Surtout Estelle.
Je tiens discrètement Clémentine à la laisse. Nous entrons dans le restaurant Vietnamien. Très peu de clients. C'est parfait.

Personne ne remarque notre petit jeu. Li-Yang nous voit la première. Elle vient nous recevoir. Je lui montre la laisse. Discret.
Elle nous invite à la suivre à la table d'amis, dissimulée derrière le grand paravent japonais. Nous y prenons place. La carte.
Il est 19 h. Monsieur Wong quitte son service pour venir nous saluer. Clémentine est toute rouge de honte, tenue à la laisse.
Je tends la poignée à Wong qui s'en saisit. Il donne un léger à coup. Monsieur Wong ne peut pas rester longtemps. Les clients.
Li-Yang s'assoit avec nous. Nous commandant. Estelle n'arrête pas de me faire du pied sous la table. Li-Yang est très lascive.

Il y a une jeune serveuse asiatique qui aide monsieur Wong. Le dimanche soir les gens viennent acheter mais pour emporter.
Lorsque Wong revient, je lui tends la poignée de la laisse. Il comprend en riant. Sous son tablier, qu'il soulève, la bite à l'air.
Il tire légèrement sur la laisse. Il force Clémentine à se lever. Il l'entraîne vers la porte des WC. Et mon cœur bat la chamade.
Estelle pose sa main sur mon poignet. Li-Yang est obligée d'aller servir derrière le comptoir. Nous avons envie d'aller aux WC.
Estelle me propose d'attendre. Cinq minutes. Dix minutes. Je n'en peux plus. Je me lève. Je veux aller voir ce qui se passe !

Estelle m'accompagne. Nous entrons dans les toilettes homme. Personne. Puis nous longeons le couloir qui va vers la remise.
J'ouvre doucement la porte. J'hallucine. Estelle se presse contre moi. Là, sur une épaisse couverture, Clémentine se fait baiser.
Elle s'est fait baiser quelquefois par Wong à la fin de l'été. Elle m'en parlait parfois. Elle est couchée sur le dos, Wong dessus.
Elle a ses jambes relevées, de chaque côté de Wong qui bouge en rythme lent. Clémentine ne nous a pas vu. Wong si. Salaud.
Estelle se serre contre moi. Je suis envahi d'un curieux sentiment. De l'excitation mais aussi de l'émotion. Clémentine gémit.

Wong baise ma compagne en m'observant. Le salaud lui en met tant qu'il peut. Il accélère. Clémentine se laisse baiser. Cris.
Wong est le seul homme qui la fait fantasmer dans le domaine de la pénétration. Et elle me l'avoue souvent quand on baise.
Là, de la voir ainsi, allongée sur le dos, baisée par un mec qui la tient à la laisse, me procure une sorte d'ivresse. Très étrange.
Estelle, comme pour me consoler, reste serrée contre moi. Wong baise à présent du style "machine à coudre". Il nous sourit.
Clémentine pousse de petits cris. Son corps agité, elle suit la cadence que lui impose son amant d'un soir. Et elle apprécie.

Soudain, le type pousse un rugissement, se cabre, cesse de bouger. L'enfoiré éjacule. Clémentine s'accroche à lui. Naufragée.
Elle le repousse doucement avant de lui cracher au visage. Mr Wong porte une capote dont l'extrémité est pleine de foutre.
Il la retire. Il s'est levé. Clémentine, à genoux, lui taille une pipe pour récupérer le "fond de cuve". Estelle et moi au spectacle.
Wong retire sa bite de la bouche à Clémentine. Il lui administre une gifle sonore en disant quelque chose en Vietnamien. Rien.
Il la force à se relever en la traînant derrière lui à la laisse. Clémentine nous voit enfin. Elle est rouge de honte. Tête baissée.

Clémentine remet sa culotte et son pantalon. < Viens ! > me fait Estelle en m'entraînant dans la salle du restaurant. Super.
Wong arrive en tenant Clémentine. Il me tend la poignée de la laisse en disant : < Toujours aussi bonne à baiser ! Merci ! >
Clémentine reste assise à reprendre ses esprits. Elle fuit mes regards. Je la rassure. Je la félicite. Elle me fait un pâle sourire.
Estelle lui dit : < Tu as vécu le truc jusqu'au bout ce soir ! >. Clémentine ne dit rien. Elle semble terriblement gênée. Silence.
Li-Yang est revenue s'assoir. Wong étant retourné servir les clients. Et doucement, Clémentine retrouve son humeur joyeuse.

Clémentine nous propose de rentrer. Elle n'a qu'une envie, prendre une douche. Il est 22 h lorsque nous sommes de retour.
Clémentine insiste pour que je vienne prendre la douche avec elle. Elle me raconte tout ce que je n'ai pas vu. Le début. WC.
< Ce mec baise divinement bien ! En tout cas il me baise divinement bien ! > me confie Clémentine. Je la félicite. C'était bien.
Je lui raconte. Estelle et moi qui regardions. Je dis à Clémentine : < On y retourne avant de partir ! >. < Oh oui ! > dit elle.
Nous rejoignons Estelle. Quelle surprise. Allongée sur le côté, parterre dans le séjour, pantalon descendu, elle se masturbe.

Clémentine m'entraîne par la main. Nous nous rapprochons. Estelle, soudain gênée d'être surprise ainsi, se redresse très vite.
< Tu devrais essayer ce mec ! > lui fait Clémentine. Je regarde. Là, parterre. Je comprends. Il y a la capote pleine de sperme.
C'est devant ça qu'Estelle se branlait. Wong a déposé la capote sur une chaise vide. Estelle l'a récupéré. Je la montre du doigt.
< Génial ! Second souvenir ! > fait Clémentine en la ramassant du bout des doigts. Je soulève Estelle pour l'emmener au lit.
Pendant que Clémentine me suce, je lui broute la chatte. Un orgasme nucléaire. Elle s'endort. Clémentine me suce. Affamée.

Bonne surprise à toutes les coquines qui apprécient d'être emmenées à la laisse dans des endroits surprenants.

Julien - (Très satisfait de son initiative. Clémentine est toute contente de s'être fait baisser par son baiseur préféré) -

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Beaux Nénés et Meilleurs Nœuds

Hier matin, lundi, je suis réveillé le premier. Je profite de ce privilège pour regarder les filles dormir. C'est un tel bonheur. Joie.
Clémentine ne tarde pas à ouvrir les yeux, prévenue par son sixième sens. Elle se blottit contre moi. Je la serre délicatement.
< Tu me pardonnes ? > me chuchote t-elle. Je réponds : < Mais quoi donc ? Le fait que tu sois déjà réveillée ? > Nous rions.
Elle fait évidemment allusion à ce qui s'est passé hier soir. Et je désire désamorcer toute forme de culpabilité inutile et stupide.
< Je t'aime Julien ! > murmure Clémentine. < Moi aussi ! > fait la voix d'Estelle que nous n'avons pas vu se réveiller. Poilade.

Estelle nous fait la bise avant de se précipiter aux toilettes en s'écriant : < Pipi ! >. Je rassure Clémentine. C'était bien. Super.
Je lui dis : < Je m'en voudrais beaucoup si tu n'étais pas libre de vivre ta vie de jeune fille. Tu as 21 ans, tu dois en profiter ! >
< Tu me comprends si bien ! > murmure t-elle. < Je prépare le petit déjeuner ! > dit Estelle en allant à la cuisine. C'est à nous.
Après nos rituels pisseux nous rejoignons Estelle. Nous sommes tous les trois en tenues de sport. Dehors il fait gris, sans pluie.
Nous prenons notre petit déjeuner dans cette agréable odeur de pain grillé. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

Nous évitons d'évoquer notre soirée au restaurant Wong. Non par pudeur hypocrite mais parce que tout est encore trop neuf.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous descendons par l'escalier de service. Il fait frais. 10°. Un sol légèrement humide.
Estelle donne le rythme. Nous accélérons rapidement. Arrêt au sommet de la colline pour admirer Edimbourg. D'autres gens.
Il est 9 h30 lorsque nous revenons. Nous prenons la douche en premier. Estelle allume l'ordinateur. Puis c'est à son tour. Joie.
Nous voilà tous les trois vêtus de nos jeans, de nos chemises à carreaux. Trois messages. Julie, Lennie et Juliette. C'est bien.

Je laisse les filles devant le site universitaire pour aller faire le lit, la chambre. Clémentine vient pour me rejoindre. Silencieuse.
Elle se serre contre moi, ses bras autour de mon cou. < Merci ! > me fait elle. Je ne sais quoi répondre. < Merci pour quoi ? >
Clémentine développe. C'est toujours clair, net et précis. J'écoute en la tenant par la taille. Nous restons ainsi un long moment.
Clémentine me pousse doucement sur le lit. Elle ouvre ma braguette pour m'en extraire le sexe. Je bande mou. Elle apprécie.
Comme souvent, lorsqu'elle a besoin de certitudes en ce qui concerne notre couple, elle pose sa tête sur mon ventre. Fellation.

Comme souvent, je lui chuchote plein de douceurs, des réconforts, des affirmations. Tout ce qu'elle fait m'enchante. Je l'aime.
Je lui caresse la tête. Ma compagne me suce avec tant de tendresse. J'ai l'impression d'avoir la bite dans un bol de purée tiède.
Estelle arrive. Debout dans l'encadrement de la porte, elle nous observe. Nous nous sourions. Elle me fait un clin d'œil. Sympa.
Il y a le collier canin et la laisse posés sur la chaise. Estelle s'en empare, l'ouvre, se le passe autour du cou et s'assoit sur le lit.
< Tu me le mets ! > me fait elle en me tournant le dos. Je le lui fixe. Clémentine émet quelques gloussements, rires étouffés.

Je donne un à coup sur la laisse que je tiens au plus court en disant : < Voilà ! Mais cet après-midi on l'enlève. Hogmanay ! >
Il n'est pas question de prendre le moindre risque. C'est la fête partout dans les rues et ce soir c'est le réveillon. 31 décembre.
Estelle s'allonge à mes côtés. Sa tête contre mon épaule. Clémentine me suce avec une infinie douceur. Immobile. A savourer.
J'entends les gargouillis d'une fellation de qualité. J'entends Clémentine tenter de déglutir en gardant la queue dans la bouche.
Estelle me fait plein de bisous. J'ai passé mon bras autour de ses épaules. Je la serre contre moi. Le bruit de nos respirations.

Pour permettre à Clémentine de laisser reposer sa mâchoire, je l'attire souvent. Son visage contre le mien. De l'infinie douceur.
Il est 11 h30. Je propose de nous préparer un bon repas. Tout à l'heure, en partant pour la ville, il faudra prendre du pain. Bio.
Estelle se lève. Je l'empêche de partir en la tenant par la laisse. Nous nous levons. Morts de faim, nous allons à la cuisine. Joie.
J'ai remballé ma bite gluante pour ne pas tacher le tissu de mon pantalon. Clémentine me montre l'intérieur de sa bouche. Rire.
Clémentine s'occupe de la salade. Tomates. Estelle prépare une belle omelette aux crevettes. Je fais bouillir l'eau du riz. Super.

Estelle passe souvent derrière moi pour me palper les couilles. Sa main entre mes cuisses sous le cul. Comportement habituel.
Je lui explique qu'il serait vain de gâcher toutes les opportunités qu'offre une balade, tenue à la laisse, pendant les festivités.
< C'est à moi demain alors ! > conclue t-elle. Je lui demande : < Tu veux que je t'emmène aussi chez Wong, en "soumise" ? >
< Oh oui ! Mais moi je ne me fais pas baiser par ce mec ! Je veux juste lui bouffer le Nem c'est tout ! > fait Estelle. Rigolade.
< Tu as tort, il a la bite parfaite. Fine, pas trop longue, elle rentre bien ! > lance Clémentine. Nous rigolons comme des bossus.

Nous mangeons de bon appétit. Un repas simple mais nourrissant et aux qualités nutritives. Nous traînons à table. Vacances.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Dehors, la météo reste morose. Il ne pleut pas malgré un ciel gris et bas. Tant mieux !
Nous restons vêtus de nos jeans, chemises à carreaux. Nous enfilons nos pulls, grosses godasses, écharpes, bonnets, anoraks.
Il est 14 h lorsque nous descendons vers Morningside. Je roule doucement. Clémentine joue de sa main dans ma braguette.
Je déconseille fortement de me sortir la bite. Elle est toute gluante et risquerait de tâcher mon pantalon. Nous prenons le pain.

Je gare la voiture à vingt minutes du centre qui reste interdit d'accès. Il y a un monde fou. Estelle me montre son cou. Coquine.
Sous son écharpe, sur le foulard de soie qui protège sa peau, elle a gardé le collier canin. Nous rions de bon cœur. Pas de laisse.
Au début de notre séjour, à l'office de tourisme de la ville, nous avons réservé des places sous le chapiteau. Repas du réveillon.
Je contrôle si chacun à son billet. Nous voilà partis en goguette pour découvrir tout ce qu'offrent les festivités de ce Hogmanay.
C'est la plus grande fête d'hiver en Europe. Cela attire de nombreux touristes qui ne veulent rater ça pour rien au monde. Bien.

Il y a des scènes couvertes à tous les coins de rues. Souvent de grandes colonnes chauffantes pour les musiciens. Des groupes.
C'est le principe de l'âne et du bœuf dans la crèche. Plus il y a de gens, plus il fait chaud sous les petits chapiteaux. Bien pensé.
Il ne fait pas froid. Nous sommes bien équipés. Clémentine reste serrée contre moi. Je comprends le besoin d'être choyée. Joie.
Ce qui s'est passé hier soir est encore si présent en elle. Je lui chuchote des douceurs mêlées à des cochonneries. C'est rigolo.
Estelle me tient souvent par la main. Notre trio attire souvent l'attention. Suis-je le père, l'ami, l'amant ? Autant de mystères.

L'ambiance est festive. Bien encadrée. Les écossais ne sont pas des gens très extravertis par nature. Aussi tout cela reste sage.
Il y a bien quelques trublions, par petits groupes, mais ce ne sont pas des écossais. Nous découvrons les décorations à thèmes.
Chaque pays d'Europe est représenté sur Old Town Place. De petits cabanons. C'est aménagé en village. C'est de toute beauté.
Le cabanon France est tenu par un couple en costume folklorique indéfinissable. Des baguettes, bouteilles de vin. Caricatures.
Nous en rions de bon cœur. Posters de la Tour Effel de Miss France, photos des régions. Spécialités. Fromages et charcuteries.

Nous nous promenons. Il y a les premières farandoles. Certainement des étudiants en vacances et qui annoncent les festivités.
Nous nous offrons des gaufres que nous dégustons en marchant. Estelle, d'une discrétion exemplaire, me palpe la braguette.
Elle est passée maître dans l'art de tripoter en douce. Il faut dire que nous nous mettons souvent tous les trois l'un vers l'autre.
Personne ne peut distinguer ce que nous bricolons serrés tous les trois les uns contre les autres. Je touche les filles. C'est bon.
Comme toujours, nous restons excités tout le temps. C'est beaucoup plus sympathique d'entretenir cet état pour faire la fête.

Estelle achète des cartes postales. Nous nous nous trouvons un salon de thé pour prendre un bon chocolat. Estelle peut écrire.
Il y a tant de monde qu'il serait vain de tenter un plan quelconque. Pourtant Clémentine, toujours à l'affut, trouve une occasion.
Aux toilettes, elle s'est fait accoster par un mec. Gentleman très vulgaire mais poli. < Le vrai vicelard ! > nous raconte t-elle.
< Tu les attires ma parole ! Tu vis dans un univers de pervers en tous genres ! > lui lance Estelle. Nous en rions de bon cœur.
< Ma bonne étoile ! > répond Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus. Estelle peut poster ses cartes postales. Super.

Il est rapidement 19 h. La nuit est tombée. La foule est plus dense encore. Paradoxalement, il est plus facile de nous y peloter.
Et à ce jeu, Estelle bat toutes ses consœurs. Une vraie tripoteuse de braguette. Même Clémentine félicite son culot exemplaire.
Par contre, pour le plus grand plaisir de Clémentine, je pose ma main sur sa braguette devant des inconnus. Il faut bien ruser.
Si on est vigilant, dans une foule, il y a de quoi s'offrir quelques frayeurs bien gérées. Et nous sommes un trio de spécialistes.
< Il commence à faire faim ! > fait Clémentine. Nous prenons les ruelles qui vont vers Princess Street. Il y a notre chapiteau.

Les places sont numérotés. J'ai la 111. Je retrouve le chiffre 11 partout dans mon existence. Clémentine aussi qui a 110. Fou.
Nous voilà en bout de table. Ce sont des tables longues de vingt personnes. Dix de chaque côté, assises sur de simples bancs.
Nous avons la chance d'être à proximité d'une colonne chauffante. Le souffle est même un peu limite. Presque trop chaud. Bon.
Nous avons choisi le menu poisson. Il ne faut pas s'attendre à de la gastronomie. Tous les inconnus à table sont plutôt discrets.
Sur la scène, il y a un orchestre qui reprend des airs célèbres des années soixante. Beatles, Rolling Stones et autres vedettes.

Nous bavardons. Nous restons dans notre petit monde. Nous évoquons nos aventures écossaises. Les parties de cul écossaises.
Nous retournons au restaurant, chez Wong, mercredi soir et la veille de notre départ. Clémentine dissimule difficilement sa joie.
< Tu ne baise pas Li-Yang ! Hein ! > me fait Clémentine. < Mais t'es gonflée. Toi, tu te fais sauter par Wong ! > répond Estelle.
Je rassure Clémentine. Il n'est pas question de baiser avec une autre. Par contre la bouche à pipe de Li-Yang me fait fantasmer.
< Plus que la mienne ? > me demande Estelle. Je la rassure. Ma ventouse préférée, ma pompe à foutre adorée, reste Estelle.

La soirée se passe ainsi. Les musiciens de l'orchestre sont probablement des professionnels. C'est tellement excellents. Super.
Nous participons à des farandoles. Nous prenons garde à ne pas nous lâcher un seul instant. Nous rions comme des fous. Joie.
Nous ne sommes pas très "fêtes", mais là, et loin de tout, pour le passage à la nouvelle année, nous voulons marquer le coup.
Nous nous sentons parfois tellement ridicules que c'est ça qui nous fait rigoler comme des bossus. Il est une heure du matin.
Epuisés, pas du tout habitués aux nuits qui s'étirent, nous préférons rentrer. Bonne initiative. Voilà la bruine. Et voilà la pluie.

Il est 1 h45 lorsque nous revenons à la maison. Je suis obligé de porter Estelle au lit. Elle s'endort dans la salle de bain. Rires.
Nous nous lavons les dents. Estelle dort déjà. Un léger ronflement. Nous nous mettons au lit. Trop fatigués pour tenter un truc.
Clémentine me prend la main pour la poser entre ses cuisses, sur son sexe. Elle me tourne le dos, blottie contre moi. J'adore.
Lorsqu'elle est épuisée, c'est souvent comme ça qu'elle trouve le sommeil avant de se retourner pour se serrer fort contre moi.
Nous nous endormons après quelques derniers mots doux. J'adore lorsque ses cheveux chatouillent le bout de mon nez. Dodo.

Bonne soirée de réveillon à toutes les coquines qui ont quelques projets "cul". De belles résolutions pour la nouvelle année...

Julien - (Qui s'apprête à vivre d'étonnantes émotions dans un restaurant Vietnamien dont le patron excelle en Nems) -

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Le jour de l'An

Hier matin, mardi, je suis réveillé par de légers mouvements. Je sens que l'on s'affaire. Je fais semblant de dormir. Va et viens.
Je suis curieux d'en savoir davantage car j'entends chuchoter. Je garde les yeux fermés. Mais cela ne dure pas très longtemps.
< Bon anniversaire ! > me font les filles en même temps. J'ouvre les yeux. Elles sont toutes les deux assises sur le lit. Si belles.
Vêtues de leurs jupes kilt à carreaux rouges, de leur chemisiers blancs, de leurs souliers à légers talons. Je suis éberlué. Surpris.
Elles m'ont préparé des tranches de brioches. C'est donc ça que l'une d'entre elles est allée acheter en cachette hier. Coquines.

Je ne sais quoi dire. Je suis assis dans le lit. Il est 8 h30. Elles se lèvent. Elles s'accroupissent toutes les deux devant le lit. Joie.
Les cuisses largement écartées, elles m'offrent la vue la plus parfaite sur les magnifiques poils pubiens d'une densité sans égale.
J'applaudis. Je suis soudain comme un gamin dans un magasin de bonbons. < Et bonne année Julien ! > font elle en cœur. Rire.
Je ne sais quoi dire à part sourire bêtement. Je suis habitué aux surprises les plus étonnantes. En voilà une autre. C'est superbe.
Elles se redressent pour venir s'assoir de chaque côté du lit. Je caresse leurs mains. Je ne sais témoigner de mon immense joie.

Je suis touché. Il y a même certainement une larme. < Notre bonheur c'est grâce à toi ! L'Ecosse c'est grâce à toi ! > font elle.
< Sans toi, je serais au fond d'une chambre mansardée à faire un boulot pour payer mes études ! > rajoute encore Clémentine.
Elles se serrent contre moi. < Tu veux ton petit cadeau avant de manger ou après ? > fait Estelle, sa main déjà dans mon slip.
Je lui dis : < Coquine ! >. Je leur fais plein de bisous. Elles se serrent. Elles me prennent la main pour m'entraîner à la cuisine.
Tout est prêt. Nous prenons notre petit déjeuner. Nous nous présentons nos vœux. < Que tout continue ! > font les coquines.

Nous traînons à table. Nous rions beaucoup de la surprise. Elles se sont concertées ce matin en chuchotant pendant mon dodo.
La vaisselle. Dehors, il pleut. Un temps médiocre pour un jour de l'An. Nous nous mettons en tenues de gym. L'entraînement.
C'est sans réelle conviction que nous pratiquons tous les trois nos exercices aérobic, nos abdos. L'intensité arrive quand même.
Nous prenons notre douche en premier pendant qu'Estelle allume l'ordinateur. Puis c'est à son tour. Trois messages habituels.
Avec ce temps pas question de rester en jupe. Même Kilt. Nous sommes en jeans, chemises à carreaux. Et c'est plus agréable.

Je fais une machine avec nos culottes, nos slips et nos chaussettes. Le départ est pour jeudi. Nous aimons l'ordonnancement.
Même s'il reste deux jours, son échéance est inéluctable. Cela nous chagrine un peu. Mais cela nous rapproche encore. Super.
Je laisse les filles surfer sur le site de l'université pour aller à la cuisine. J'épluche des pommes de terre. Aujourd'hui un gratin.
Clémentine me rejoint la première. Elle se blottit dans mes bras. J'ai les mains mouillées. Elle reste ainsi malgré tout. Bisous.
Elle me chuchote quantité de considérations. Sa vie avec moi. Ses tendances, ses pulsions et les fantasmes qu'elle peut vivre.

Parfois, pour rire, je lui dis : < Tu ne dois pas ressasser ! >. Elle me dit : < Ressasser est le plus long palindrome français ! >
J'aime son érudition. J'aime tout. Je le lui chuchote. Je le lui murmure. Mes mains sèchent. Je peux enfin la serrer contre moi.
Estelle arrive. Elle vient se serrer derrière moi, ses mains autour de mon bassin. Nous restons ainsi à savourer nos privilèges.
Je dis : < Au mois d'avril, ça fera deux ans que nous entretenons cette relation merveilleuse. Et deux ans sextraordinaires ! >
< On saura fêter cet anniversaire comme il se doit ! > chuchote Estelle dans ma nuque. < Grandiose ! > rajoute Clémentine.

Clémentine s'occupe de la salade d'avocat aux crevettes. Estelle prépare une sauce avec le reste de Roquefort. Méthodique.
Je coupe les pommes de terre en fines lamelles que je dispose dans le plat. J'y rajoute un mélange de lait de soja et crème.
Ainsi, au four, les patates cuiront directement dans leur jus. Je dépose une couche de Gouda râpé. Je bats deux œufs. Prêt.
J'enfourne. Estelle, experte en tripotage de braguette, recommence à me palper. Clémentine s'interpose à chaque tentative.
C'est un jeu. Estelle est la seule fille qui n'éveille aucune jalousie chez ma compagne. Collègues étudiantes devenues amies.

Depuis notre retour de vacances, l'an passé, il est admis qu'il est préférable pour Clémentine d'avoir une amitié. C'est mieux.
A 21 ans, vivre avec un jeune quinquagénaire, risquerait de devenir sclérosant. Ce serait l'enfermement dans un univers clôt.
Clémentine le comprend. Elles sont toutes les deux hétérosexuelles. Pas de relations saphiques. Et elles n'en voudraient pas.
Cette période de leurs vies et notre expérience leur offre une ouverture sur l'avenir à nulle autre pareille. Elles le savent bien.
Nous avons beau observer notre relation à trois sous tous les angles, c'est positif et gratifiant de toutes parts. C'est superbe.

Même si le sexe y a une grande place, il y a l'affection, le réconfort et l'énorme force que cela induit dans nos existences. Joie.
Nous nous livrons à cette philosophie de bistrot tout en restant serrés tous les trois dans le canapé qu'il ne faut pas salir. Rire.
Estelle joue avec ma bite. Je bande mou. La conversation est intéressante. Captivante. Estelle, adroite, me sort mes couilles.
< J'aime quand elles sont fermes et dodues ! On dirait de la peau de poulet déplumé ! > me fait elle en y passant ses doigts.
< Elles sont déjà pleines ? > rajoute t-elle. Je ne sais pas. < On va les remplir alors ! > me fait elle. Nous rions de bon cœur.

Clémentine, sa tête posée sur mon épaule observe les mains d'Estelle, qui est à genoux entre mes jambes. Elle me les malaxe.
Je la félicite. Avec le temps Estelle devient plus douce, plus affectueuse et ses gestes plus délicats. Je lui caresse les cheveux.
Clémentine se penche, ouvre la bouche et pousse un miaulement. Estelle lui tend ma queue qu'elle prend en bouche. La pipe.
Je dis : < Avec cette météo, cet après-midi, je vous bouffe la chatte ! > < Miam ! > fait Estelle, tenant les couilles fermement.
Clémentine me tète avec douceur. Elle biberonne. Estelle enserre mes couilles entre son pouce et l'index. Comme un anneau.

Les premiers gargouillis. Le bruit bulleux. < Les voilà à se remplir ! > fait Estelle. Clémentine rit tout en pompant doucement.
La sonnerie du four. Nous cessons. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. L'odeur du gratin est prometteuse. Miam.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme de l'après-midi sera réduit. Jour férié. Tout est fermé. 2019.
Il pleut. Il fait moche. Peut-être sortirons nous pour marcher un peu sous notre immense parapluie. Jusqu'à Morningside. Joie.
Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux. Un peu lourdes. Mais je peux les tenir par la taille, leurs épaules.

Cette nouvelle année commence à trois. C'est bon signe. Loin de chez nous. A près de 900 km de la maison. C'est plutôt bien.
Nous nous promettons de revenir cet été, pour deux mois. Estelle est obligée de travailler dans l'entreprise familiale en juillet.
Nous ferons comme les fois précédentes, elle nous rejoindra en avion, en août. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. 14 h30.
< Tu as promis ! > fait Estelle en montrant sa braguette. Nous rions de bon cœur. Clémentine nous entraîne dans la chambre.
Elles retirent leurs jeans et leurs culottes. Juste les chemises et les chaussettes. Cela nous fait rigoler. Nous faisons les clowns.

Elles sont couchées sur le dos, les cuisses écartées, je suis à plat ventre. Je hume leurs odeurs de filles. Rogé Cavaillès. Hélas.
< Je préfère comme ça ! > fait Estelle en se mettant à quatre pattes pour me présenter son croupion. Superbes chatte et cul.
Clémentine préfère rester couchée. Pour me permettre de bien passer de l'une à l'autre, elle prend la même position. Fameux.
A genoux, tenant les filles par les poils pubiens, jouant avec leurs boutons de plaisir, je peux lécher leurs culs avec délectation.
J'adore le mélange de sueur et de jus de muqueuse. Savourer les poils trempés de la raie culière. J'en ai plein la bouche. Rire.

Je dis : < Ce qu'on fait le premier jour de l'année, nous serons condamnés à le faire tous les jours ! >. Nous rions de bon cœur.
Bouffer du cul, bouffer du croupion. Un jour de l'an, mon "gâteau d'anniversaire" en plus. Nous sommes les plus heureux. Joie.
Je m'attarde chez l'une en mettant mon doigt dans l'autre. Je me couche sur le dos pour lécher le jus des chattes et brouter.
Clémentine a d'invraisemblables épanchements. Cela donne l'impression de dégouliner sans arrêt. Il en coule encore et encore.
Chez Estelle, je dois pomper, ma bouche comme une ventouse à l'entrée de son sexe. Un superbe concerto de gémissements.

Je demande à Clémentine de faire très attention. Nous ne sommes pas à la maison. Il ne faut pas se mettre à pisser de plaisir.
Nous restons ainsi une grande partie de l'après-midi. Lorsque je m'occupe de l'une, l'autre peut tempérer ses ardeurs. Super.
Estelle n'arrête plus de se toucher. Le clitoris géant de Clémentine ne m'a jamais semblé aussi turgescent. C'est si merveilleux.
Estelle est la première à craquer. Dans un cri, elle se roule sur le dos, les mains entre ses cuisses, comme si elle en avait mal.
Elle est toute rouge, en sueur. Il est très rare qu'elle ait une éjaculation vaginale. Je me suis tout ramassé. Pas de gâchis. Joie.

Je suis dans Clémentine qui m'attire sur elle de façon cyclique. Estelle reprend ses esprits. Elle me tient par les couilles. Bon.
Elle se met à quatre pattes pour me faire le cul en écartant mes fesses. Cela me gêne toujours un peu. Vieilles pudeurs nulles.
Je me retire. Je termine Clémentine avec un cunnilingus. Son orgasme est un séisme qui fait trembler tout le grand lit. Super.
Estelle me suce comme si sa vie en dépendait. Je veux me garder. J'aime surmonter mes pulsions. Je lui retire la bite. Ferme.
Nous sommes allongés tous les trois. Clémentine à ma gauche. Estelle à ma droite. Nous échangeons nos impressions. Bien.

Nous ne tardons pas à nous endormir. Il est 18 h30 lorsque je suis réveillé par la pipe que me fait Estelle. Je bande très mou.
Par contre c'est hyper juteux. J'entends les gargouillis. Je propose un restaurant en ville. Suggestion applaudit. C'est parfait.
Nous nous levons. Je tiens Estelle fermement par ses cheveux pour l'empêcher d'être à quatre pattes sous la table. Rigolade.
Nous consultons l'ordinateur pour découvrir un restaurant ouvert en soirée du premier janvier. Il y en a quelques uns. Super.
Je téléphone. Nous réservons dans notre établissement favori. Ambiance et décors médiévaux. Personnel en tenue folklorique.

Le temps de s'habiller. Nous restons en jeans, cool et relax. On s'en fout. Clémentine se torche. Elle me montre. De la crème.
< Moi, je suis sèche ! > fait Estelle en me montrant le bout de papier cul. Nous pissons ensemble tous les trois. C'est trop bien.
Clémentine me tient la bite pour en diriger le jet. Estelle tient mes couilles par derrière. Nous voilà prêts. Je roule doucement.
Je gare la voiture. Vingt minutes de marche. C'est la fête partout. Le Hogmanay dure jusqu'au 2 janvier. Enfin le restaurant.
Nous traînons à table. Concert. Il est 22 h30 lorsque nous rentrons. Epuisés. Estelle s'endort la première. Petite pipe. Dodo…

Bonne journée à toutes les coquines qui aiment commencer la nouvelle année comme elles ont terminé l'ancienne…

Julien - (Qui aime s'occuper de ses deux coquines. C'est passionnant. C'est prodigieux. Deux belles jouisseuses) -

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Le dernier jour à Edimbourg

Hier matin, mercredi, je me réveille le premier. Une fois encore, heureux privilégié, je peux regarder les filles dans l'abandon.
Elles dorment toutes les deux à poings fermés. Il est presque 8 h. Je reste immobile. Ce sont nos grasses matinées. Superbe.
Dès lundi il faudra à nouveau vivre au rythme du réveil à 5 h55. La rentrée. Le second trimestre. Et autant en profiter encore.
Toutefois, Clémentine, avertie par son sixième sens, ne tarde pas à ouvrir les yeux. Elle me fait le plus délicieux des sourires.
Elle se blottit contre moi. Nous nous murmurons des douceurs. Ce dernier jour à Edimbourg a comme un caractère solennel.

Voilà Estelle qui s'étire dans un long gémissement. Elle nous fait la bise avant de se lever en vitesse et en s'écriant < Pipi ! >
Elle revient des toilettes pour aller à la cuisine. Clémentine m'entraîne par la main. C'est à notre tour. Le rituel des pissous.
Nous rejoignons Estelle. Dehors, il y a une légère brume. Il ne pleut pas. Nous prenons notre petit déjeuner. Confitures, miel.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le programme du jour va tenir en deux lignes. Acheter quelques cadeaux.
Pour Julie et pour Juliette que nous gâtons tout particulièrement. Nous devons à Juliette plein de nos merveilleuses aventures.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous sommes déjà en tenues de sport. Il suffit d'enfiler nos K-Ways. Nous voilà prêts.
Nous descendons par l'escalier de service. La fraîcheur matinale est plus vive. Un refroidissement probable. La brume dense.
C'est Estelle qui donne le rythme. Notre parcours habituel. Aucune visibilité depuis le sommet de la colline. D'autres joggeurs.
Une heure d'un running des plus agréables. Il est 9 h45. Nous voilà de retour. Il y a tonton Alan qui sort sa voiture. Discutons.
Il nous est rappelé que nous sommes attendus pour midi afin de partager le dernier repas. Nous rassurons mon oncle. 12 h15.

Nous prenons notre douche en premier. Estelle est devant l'ordinateur. Puis c'est à son tour. Nous avons nos trois messages.
Celui de Juliette qui nous raconte son réveillon. Celui de Julie qui a bossé au restaurant le soir du réveillon. Et celui de Lennie.
Nous répondons. Estelle vient nous rejoindre. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans et chemises à carreaux. Triplés.
Dehors, il y a quelques flocons. C'est un vrai temps d'hiver. Je laisse les filles surfer sur le site universitaire. J'ai une priorité.
Je veux faire tout notre linge avant le départ. Une dernière machine. Clémentine vient me rejoindre à la salle de bain. Bisous.

Serrée dans mes bras, Clémentine me confie sa légère tristesse de devoir repartir demain. Je la rassure, nous reviendrons.
Je lui propose de revenir aux vacances de Pâques. Même si j'ai une idée derrière la tête. Lui faire découvrir la belle Gironde.
Bordeaux et sa région sont des endroits à découvrir. < Je vais n'importe où avec toi ! > me fait elle avant de m'embrasser.
Je lui propose d'y réfléchir à tête reposée, loin de toute passion. Nous avons tout le mois de janvier pour tout bien préparer.
< Et même février ! > me fait elle encore. Nous regardons tourner nos jeans dans le tambour de la machine. Estelle arrive.

< J'ai fait le lit et la chambre ! Il y avait ça sur la chaise ! > nous dit elle en montrant le collier canin et la laisse. Je les saisis.
Je dis : < Qui qu'en veux ? >. Clémentine avance sa tête en disant < Moi ! > la première. Je le lui passe autour du cou. Doux.
Elle se serre contre moi en disant : < Il me faut une thérapie de choc pour surmonter la tristesse du départ ! >. Je l'entraîne.
Devant le miroir de la salle de bain, je la tiens au plus court pour lui montrer à quoi elle ressemble tenue à la laisse, le collier.
Le reflet de son image, surtout dans des situations équivoques, exerce sur la libido de ma compagne un effet remarquable.

Je passe la laisse autour du cou d'Estelle. Je suis derrière les deux filles en les tenant par la nuque. Elles sont si magnifiques.
Je dis : < Regardez un peu les gueules de salopes que vous vous trimballez encore ce matin. Et comment vous résister ? >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine propose à Estelle : < On se fait un concours de salopes cet après-midi ? >. Rire.
Il est donc entendu que nous irons en ville cet après-midi avec cet accessoire. Et il faudra mettre le foulard de soie dessous.
Ce, afin de ne pas irriter la peau délicate du cou de Clémentine. < Je vais me surpasser ! > dit elle. Nous en rions beaucoup.

Bien évidemment, la libido d'Estelle ne laisse pas de marbre ses penchants. Je me retrouve rapidement la braguette ouverte.
Estelle, accroupie, me sort le sexe. Je bande mou. Elle se met à sucer sans aucun autre préliminaire. Nous la regardons faire.
< Tu prépares mon homme pour affuter ses ardeurs ? > demande Clémentine en se penchant pour observer Estelle qui suce.
Je saisis Estelle par ses cheveux pour la forcer à cesser. D'ici un quart d'heure il faut se préparer. Je vide la machine. Super.
Nous suspendons le linge sur l'étendoir près du radiateur. Ce soir déjà tout sera sec. Nous nous changeons pour êtres classe.

Ce dernier repas de famille, juste avec tonton Alan et Tante Ma se passe dans la joie et la bonne humeur. Un repas délicieux.
Nous évoquons déjà notre prochain séjour, juillet et août. L'appartement de l'étage nous est réservé. Nous y sommes si bien.
Il est presque 14 h. Nous prenons congé. Nous remontons nous changer, nous laver les dents. Clémentine me tend le collier.
Je lui passe le foulard de soie autour du cou. Par dessus je ferme le collier canin et j'y fixe la laisse. Nous enfilons les anoraks.
Sous l'écharpe, le collier est totalement invisible. La paisse pend au bas de l'anorak, jusqu'au haut des cuisses. C'est discret.

Je roule doucement. Il y a quelques flocons qui tiennent au sol. Prudence. Les festivités du Hogmanay terminent aujourd'hui.
Le centre ville toujours inaccessible. Je gare la voiture à vingt minutes de marche. Un rythme de promenade. Le dernier jour.
Dans une des grandes librairies d'Edimbourg, nous choisissons un bel album photos pour Juliette qui adore les collectionner.
Il y a de très belles choses. Notre préférence va vers le noir et blanc. Nous choisissons un gros livre somptueux. Deux pareils.
Pour Julie ce sera le même livre. Ils sont lourds. Encombrants. Il faudra les trimballer dans nos bagages. Mais c'est jouable.

Nous traînons longuement dans Royal Mile, sur Princess Street. Ce séjour nous laisse une douce impression d'improvisations.
Nous nous offrons nos derniers chocolats fumants dans un de nos salons de thé préféré. Il y a beaucoup de monde. Les fêtes.
Il serait vain de tenter un plan quelconque. Je propose d'aller manger au restaurant Vietnamien, chez Wong comme convenu.
Clémentine me serre la main. Elle ne peut dissimuler sa joie à l'idée de nous retrouver devant un repas traditionnel asiatique.
Les flocons tombent à présent de manière plus dense. Nul doute qu'il va y avoir bientôt un fin tapis blanc au sol. C'est l'hiver.

Nous retournons à l'auto. Je porte les sachets. Les bouquins sont lourds. J'ai offert de beaux pulls à Clémentine et à Estelle.
La véritable laine des Shetlands permet l'élégance d'une matière noble. Je roule doucement. Nous remontons à Morningside.
Je gare la voiture dans la petite rue parallèle à l'avenue commerçante où règne encore une intense activité malgré le froid.
Il est 19 h30. Nous arrivons au Fast Food. Il y a du monde. De nombreux clients font la file. D'autres sont assis dans la salle.
Li-Yang fait le service avec la jeune fille asiatique. Nous sommes reçus comme des invités de marques. A la table des amis.

Dissimulée des regards par un paravent japonais, la table d'amis est accueillante. Bien décorées. Bougies, éventails, Bouda.
Nous choisissons notre repas sur la carte. Li-Yang vient souvent bavarder avec nous. Elle est d'une élégance folle. Asiatique.
Un chemisier de soie rouge. Une jupe noire évasée, des bas noirs, des souliers fermés à hauts talons. Toute petite et menue.
Monsieur Wong vient nous saluer. Je lui montre la laisse que je tiens à la main. < C'est très gentil ! > me fait il en souriant.
Wong ne pourra pas partager notre repas. Trop de clients à servir au comptoir. Mais il aménage de petites séquences. Joie.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me fait part de son excitation. Chaque fois que Wong vient nous parler, ça monte.
Quelle n'est pas ma surprise lorsque c'est Clémentine qui lui tend la laisse lors d'un de ses passages. Li-Yang va le remplacer.
Wong se saisit de la laisse pour entraîner Clémentine vers la porte du couloir. Estelle me prend la main. < Salope ! > dit elle.
Li-Yang assure le service derrière le comptoir. La jeune fille assure celui de la salle. Estelle nous propose d'aller aux toilettes.
Je suis dévoré de l'envie de voir ce que fait ma compagne. Estelle m'entraîne. Devant la porte des toilettes, elle m'embrasse.

Les WC homme sont déserts. Les WC femme également. Estelle m'entraîne à la porte du fond. La remise. "Entrée interdite".
Nous collons nos oreilles à la porte. Pas de doute. Il se passe des trucs. J'ouvre silencieusement. Le même spectacle délirant.
Clémentine, couchée sur le dos, sur l'épaisse couverture, est entrain de se faire baiser. Wong est dessus. Ils s'embrassent.
Mon cœur bat la chamade. A nouveau ce curieux sentiment qui m'envahit. Ma compagne baise avec un autre. Et toujours lui.
Ils ne nous ont pas vu. Clémentine, les jambes relevés, largement écartées, se fait pénétrer en poussant de petits cris. Belle.

Je ne peux détacher mes yeux de ce spectacle hallucinant. Estelle est tout contre moi à regarder avec la même intensité. Fou.
Certainement le sixième sens. Clémentine et Wong, sans cesser de bouger en rythme, nous regardent soudain. Wong sourit.
Clémentine détourne immédiatement le regard. Elle cesse de bouger. Ma présence la gêne toujours beaucoup en ces instants.
J'adore. Notre présence doit certainement exciter Wong qui se cabre soudain. Il éjacule probablement. Et en rugissant. Plaisir.
Clémentine le repousse. Il se retire. Il a le préservatif remplit de foutre. Clémentine se relève, elle met sa culotte et ses jeans.

Estelle m'entraîne par la main. Clémentine nous suit d'un pas rapide, les lacets dénoués. < Tu vas tomber ! > lui fait Estelle.
Je félicite Clémentine qui reste silencieuse. Comme à chaque fois, elle fuit mes regards. < J'ai honte ! > finit elle par me dire.
Estelle lui répond : < Il n'y a aucune honte à se faire du bien ! >. Monsieur Wong revient des WC. Et il vient nous rejoindre.
< Fameux ! Tu me la ramène cet été ? > me demande t-il en saisissant Clémentine par ses cheveux pour redresser sa tête.
Il pose la capote pleine de foutre sur la chaise vide en disant : < Comme la demoiselle collectionne voilà le petit souvenir ! >

Nous rigolons comme des bossus en regardant Wong s'éloigner. Li-Yang vient nous rejoindre. < C'était bon ? > nous fait elle.
Clémentine reste silencieuse, les yeux baissés sur sa tasse de café. Je saisis Li-Yang par ses longs cheveux noirs, fermement.
Elle se laisse faire. Je me souviens à quel point cette merveilleuse jeune femme est lascive. Je dis : < Demain matin, 11 h ! >
Je lui dis : < Je viens me faire tailler une pipe ! Tu as plutôt intérêt à être à la hauteur ! >. La jeune femme fait un clin d'œil.
Elle me réponds : < Je serais là. Je bosse ! Il faut demander à mon mari ! >. Je lui passe la main sous la jupe, vulgaire. Vice.

Rendez-vous est pris. Nous serons là demain matin à onze heures. Nous avons notre avion à 15 h30. Nous avons notre temps.
Il est 22 h30 lorsque nous sommes de retour à l'appartement. Clémentine est silencieuse. Je comprends. Comme chaque fois.
< Tu me pardonnes ? > est sa première phrase. Je lui dis : < Oui ! Mais à condition que tu recommences ! >. Elle rigole enfin.
Estelle que ces situations de gêne amusent lui confie : < Tu vas au bout du truc ! Moi je n'ai pas le courage ! >. Une fatigue.
Au lit, Estelle s'endort la première. Clémentine me taille une pipe. Je la rassure en chuchotant. C'était génial. A refaire. Dodo.

Bonne récidive dans votre restaurant Vietnamien préféré à toutes les coquines qui aiment se faire baiser par le patron…

Julien - (Qui doit toujours rassurer Clémentine. Il n'y a aucun mal à se faire du bien) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 658 -



Le jour du départ, léger retard de l'avion

Hier matin, jeudi, je suis réveillé par plein de délicats bisous que l'on me dépose sur les joues, dans le cou et le bout du nez.
J'ouvre les yeux. Le visage bienveillant et souriant de Clémentine. Estelle dort encore. Il est 8 h15. Elle se serre contre moi.
Nous avons beau chuchoter, prendre toutes les précautions, nous finissons par réveiller Estelle qui s'étire tout en gémissant.
Elle se rapproche pour nous faire plein de bises. Elle se précipite aux toilettes puis à la cuisine préparer notre petit déjeuner.
Clémentine m'entraîne par la main aux toilettes. Le rituel pisseux terminé nous rejoignons Estelle. Odeur de pain grillé. Joie.

Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du jour. Nous avons notre avion à 15 h30. Nous avons de la marge.
Dehors, il y a des séquences d'ensoleillement alternant avec les nuages d'altitude. Nous traînons vêtus de nos tenues sport.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous enfilons nos K-ways. Nous descendons silencieusement par l'escalier de service.
Estelle impulse le rythme. Soutenu dès le départ. Et la vue sur Edimbourg depuis le sommet de la colline est un vrai cadeau.
Nous croisons d'autres joggeurs. Une heure d'un running des plus agréables et nous voilà de retour. Nous prenons la douche.

Puis c'est au tour d'Estelle. Nous répondons au message de Juliette qui nous a écrit tous les jours. Elle méritera son cadeau.
Estelle revient. Elle nous montre ses cheveux qui commencent effectivement à perdre de leur blondeur. Le retour au naturel.
Je laisse les filles surfer sur le site de l'université. Je vais faire la chambre. J'enlève les draps du lit. Je les mets en machine.
Je lave deux petites culottes et un slip en frottant à la main. Sur le radiateur ce sera sec à midi. Pas de linge sale en bagage.
Clémentine vient me rejoindre. Nous commençons à faire les valises. Estelle termine de passer l'aspirateur dans les pièces.

Il est 10 h40. Tout est prêt. Nous décidons de descendre sur Morningside avec la voiture. Clémentine joue avec ma queue.
Estelle, assise à l'arrière, ses bras autour de mon cou demande : < Sans déconner, tu crois qu'elle va te sucer Li-Yang ? >
< Elle a plutôt intérêt, c'est la cause de notre rendez-vous ! > répond Clémentine. Nous rions de bon cœur. Nous arrivons.
Je gare l'auto dans la rue parallèle. Il est presque 11 h lorsque nous entrons dans le restaurant Vietnamien. Il y a des gens.
Monsieur Wong est occupé à servir derrière le comptoir. Il y a une file de clients. Il nous salue d'un signe de la main. Super.

Il y a la jeune serveuse et le jeune homme de la dernière fois. Voilà Li-Yang qui arrive pour nous serrer la main. Hyper belle.
Vêtue d'un chemisier rouge sang, d'une jupe droite noire, de bas noirs et chaussée de souliers noirs à talons hauts. Elégante.
Ses longs cheveux noirs pendent en totale liberté jusqu'au milieu de son dos. Li-Yang est de toute petite taille et si menue.
< C'est presque un jouet ! > me fait quelquefois Clémentine lorsque nous parlons d'elle. < Et un sex-Toy ! > rajoute Estelle.
Li-Yang nous propose de nous assoir à la table habituelle. Nous prenons un thé. < Va aux chiottes ! > me fait Clémentine.

Li-Yang ramène les tasses et la théière sur un plateau. Elle me regarde me lever. Je lui fais le signe de me rejoindre aux WC.
J'entre dans les toilettes. J'ouvre ma braguette. Je sors mon Zob. Je bande mou. Je le tiens à sa base, entre pouce et index.
Un coup contre la porte. J'entends le bruit des talons. Li-Yang semble se rendre dans la remise, au font du couloir. Je ressors.
Rapidement, dissimulant mon sexe, j'ouvre la porte de la remise. J'hallucine. Li-Yang, couchée sur le dos sur une table basse.
Ses jambes relevées, cuisses largement écartées, porte-jarretelle, pas de culotte, jupe retroussée, avec un superbe sourire.

La vision de cette merveilleuse salope m'émerveille. Je suis soudain comme un gamin dans un magasin de bonbons. Sublime.
Pourtant, je ne suis pas venu pour baiser. Même si le spectacle divin m'enchante, il n'éveille pas chez moi une envie de baiser.
Je me contente de regarder. Je me tiens la bite. Je ne me branle même pas. C'est tellement féérique. Tellement exceptionnel.
< Tu n'as pas envie ? Moi je veux avec toi ! > me murmure Li-Yang avant de rajouter : < Et mon mari est d'accord ! Viens ! >
Je garde présent à l'esprit les recommandations de Clémentine : < Juste une pipe. Tu ne baises pas avec elle, hein, promis ! >

Je suis un homme de parole. Ma libido ne me pousse pas à me comporter en parjure, en mec ignoble sans honneur ni dignité.
Je dis calmement et posément : < Je suis venu pour me faire tailler une pipe ! Rien d'autre. Mais je te félicite pour le show ! >
Li-Yang se redresse en me disant : < T'es un drôle de type toi ! N'importe quel autre mec en profiterait ! >. Je pointe le Zob.
Je réponds : < Justement, je ne suis pas n'importe quel type ! >. Li-Yang se rapproche. C'est comme une invitation à la saisir.
Je la prends par ses cheveux. Je ne suis même pas obligé de la forcer. La voilà accroupie. Je lui passe ma queue sur le visage.

< Là ! > lance Li-Yang en pointant son index vers la couverture pliée au sol. Je la traîne jusque là. Elle s'y met à genoux. Joie.
Li-Yang me présente tous les angles de son merveilleux visage de poupée asiatique. Il doit être un homme heureux ce Wong !
Je lui enfonce délicatement le sexe dans la bouche. C'est une véritable bouche à pipe. Un poisson ventouse dans un aquarium.
C'est tout simplement merveilleux de voir une jeune femme d'une telle classe aristocratique se livrer à une chose aussi vulgos.
Je ne tarde pas à m'allonger à même le sol. Li-Yang s'allonge à mes côtés. Elle se livre à une fellation extraordinaire. Sublime.

Nous sommes tous les deux immobiles. C'est la pipe artistique, l'œuvre suprême. Un tableau de Vermeer de Delft. En mieux.
Du bruit. La porte s'ouvre. Mr Wong. Il me fait un sourire, lève son pouce. Je ne vois pas qu'il tient Clémentine par la nuque.
Il la force à entrer dans la remise sans ménagement. Clémentine me fait un sourire. Et elle sait que je respecte ma promesse.
Wong saisit Clémentine par ses cheveux. Il retire son tablier. Ce salaud a souvent la bite à l'air sous son tablier. Vrai vicelard.
Debout, en appui d'une main derrière lui, sur la table, il force Clémentine à rapprocher son visage. Elle se laisse faire. Super.

Je me fais tailler une pipe fabuleuse en regardant mon adorable compagne entrain de sucer ce saligaud. Elle a tout en bouche.
Ce vicelard a les couilles qui pendent sous sa queue. Elles frottent souvent sur le menton de Clémentine qui suce en assoiffée.
Ils sont à environ deux mètres. Je peux admirer ce prodigieux spectacle qui me fait fantasmer. Ma compagne suce un autre !
Il y a une goutte de liquide séminal, fluide et opalescente, qui pend juste au bout du menton de Clémentine. Va t-elle tomber.
Je sens la passion invraisemblable que met Li-Yang dans sa fellation. Du bruit. La porte s'ouvre. Estelle. Elle me fait un sourire.

Estelle referme la porte derrière elle. Elle observe Clémentine. Puis Li-Yang. Les deux femmes ont des bites en bouches. Joie.
Je montre du doigt ce que fait Clémentine. Estelle s'approche. Wong la saisit par ses cheveux. Aussi salopard que moi. Vicieux.
Il force Estelle à s'accroupir. Clémentine est assise sur une caisse basse. Elle fait de la place à Estelle sans cesser de pomper.
Wong, allégrement, le sourire béat, face lunaire, passe sa bite mince, blanche, d'une bouche à l'autre. Gémissements de filles.
Sans prévenir, j'éjacule dans la bouche de Li-Yang qui avale, concentrée, immobile et silencieuse. C'est une bouffeuse de Zob.

Je regarde les filles tailler une pipe à ce type qui les tient toutes les deux sous le menton, touche vulgairement leurs visages.
Les yeux fermés, les filles se régalent. Un indicible bonheur peut se lire sur leurs traits. Et Li-Yang part pour un second tour.
Comme toute vraie passionnée, Li-Yang s'apprête à donner une suite magistrale à la première giclée de foutre. C'est meilleur.
Contrairement à Clémentine et à Estelle qui poussent de petits cris de ravissements, Li-Yang reste parfaitement silencieuse.
Ce qui me permet de bien discerner les gargouillis de la pipe des deux autre salopes. Wong ouvre parfois les yeux pour voir.

Il préférerait très certainement voir sa femme se faire baiser. Comme moi j'aime voir ma compagne sucer un autre mec. Rare.
Il est impossible de faire la part des choses. Tant Estelle que Clémentine s'avèrent de redoutables bouffeuses de queues. Joie.
Il n'y en a pas une plus assoiffée que l'autre. Wong se révèle être aussi juteux que moi. Les filles ont le bas du visage maculé.
Li-Yang, consciencieuse, ne laisse pas la moindre goutte de foutre échapper à sa voracité. Nous restons bien une heure ainsi.
Wong doit éjaculer. Car je vois les filles se passer la bite. Le distributeur de sperme est entré en action. Il en faut pour toutes.

Wong retire sa bite. Il repousse les filles. Il met une gifle à Clémentine. Il veut en mettre une à Estelle qui esquive, se levant.
C'est Estelle qui lui crache au visage. Cela participe de sa libido. Elle aime faire ça dans les situations d'humiliation. Je connais.
Wong indique la montre qu'il a au poignet. Il montre la porte. Il doit retourner au boulot. Je saisis Li-Yang pour la forcer. Stop.
Je me lève. Je l'entraîne sans ménagement. Clémentine et Estelle observent la scène. Et rien n'excite davantage Clémentine.
Je tire Li-Yang jusqu'aux chiottes. Estelle et Clémentine se mettent autour de l'urinoir devant lequel je tiens Li-Yang accroupie.

Clémentine a glissé une main dans son pantalon. Penchée en avant, elle se masturbe en regardant. Estelle se penche aussi.
Je pisse dans la tronche de Li-Yang qui n'a pas le temps d'esquiver. Je la tiens fermement par sa tignasse. Plusieurs pissoux.
Compissée, le chemisier trempé, son visage ruisselant, je lui enfonce la bite dans la bouche. Elle tousse, bave, c'est dégueu.
Clémentine se masturbe. Penchée. Son visage tout près de celui de Li-Yang. Comme pour être au plus près de son intimité.
Estelle se redresse, me roule une pelle d'enfer. Je veux voir la gueule de Li-Yang. Clémentine a un orgasme. Elle en tremble.

J'éjacule dans la bouche de Li-Yang qui pousse enfin son premier râle de bonheur. C'est magnifique. Je la lâche. Elle déglutit.
Sans un mot, Li-Yang se redresse pour s'enfuir des cabinets. Nous restons tous les trois dans les chiottes, hagards, hallucinés.
Nous reprenons nos esprits. Il faut repartir. Il est midi trente. Nous saluons Wong. < C'est offert ! > nous lance t-il. Au revoir.
Je roule doucement. Il est 12 h45 lorsque nous arrivons à l'appartement. Les filles se lavent les dents et se rincent la bouche.
Nous préparons un rapide mais délicieux repas. Tout est rangé. Nous descendons les valises. Tonton Alan et Tante Ma sont là.

Je tends une enveloppe à Tante Ma. Nous nous saluons. Adieux difficiles. Nous promettons de revenir cet été, dès la fin juin.
Nous arrivons à l'aéroport pour 14 h45. Je ramène la voiture à l'agence de location. Je règle les dernières formalités. Super.
Notre avion arrive avec dix minutes de retard. Le voyage se passe sans encombre. Nous ne l'emmenons jamais avec nous.
Arrêt à Londres. Trente minutes. Il est 18 h lorsque nous posons le pied en France. A 45 km de la maison. Drôle de surprise.
Je m'apprête à appeler un des taxis lorsqu'Estelle me montre son papa qui nous attend là-bas, derrière les guichets. Super.

C'est Estelle qui avait organisé ce plan. Dans la voiture, Clémentine et moi, assis à l'arrière, nous sommes un peu emmerdés.
J'ai déjà vu le père d'Estelle, plus jeune que moi, cela me met considérablement mal à l'aise. Estelle s'en amuse évidemment.
Il nous dépose devant la propriété. Je l'invite à prendre un café. Il préfère rentrer. Il a encore du travail. Un coucou à Estelle.
Nous regardons partir la voiture. Estelle revient pour 20 h. C'est trop dur sans nous. La maison est comme nous l'avons laissé.
Nous rangeons nos affaires. Un peu de nostalgie. Nous préparons le repas. Estelle revient déjà pour 19 h30. Une soirée débat.

Bonne "Pipe Partie" dans la remise à toutes les coquines qui aiment tailler des pipes à plusieurs…

Julien - (Qui raccompagne Estelle jusqu'à la voiture vers 22 h30. Elle revient samedi. Séparation douloureuse) -

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Encore quelques jours de vacances

Hier matin, vendredi, je suis réveillé par quantité de bisous que l'on dépose avec délicatesse sur mes joues, dans mon cou.
C'est doux, c'est chaud, c'est si bon. Sans même ouvrir les yeux je serre Clémentine contre moi. Tendresses et papouilles.
Nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim, nous descendons à toutes vitesse. Cuisine. Il est 8 h. Dehors c'est gris.
Le thermomètre extérieur indique moins 3°. Nous avons un reste de pain ramené d'Edimbourg. Je le coupe et le fais griller.
Nous prenons notre petit déjeuner en rajoutant des biscottes. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Délicieux.

Nous traînons à table. Nous sommes déjà en tenues de sport. Nous évoquons Estelle. Elle nous manque un peu. C'est drôle.
< Nous nous sommes attachés à notre "petit animal de compagnie" ! > fait Clémentine. Je dis : < 1,80 m quand même ! >
Nous rions. Peut-être pas de bon cœur mais pour évacuer ce curieux sentiment de manque. C'est la première fois aussi fort.
La vaisselle. Nous enfilons nos K-Ways, nos bonnets, nos gants. Nous sortons. Nous voilà à courir dans le froid vif, piquant.
Rien de tel qu'un bon jogging pour remettre les choses à plat et les esprits en place. Nous voilà de retour. 9 h30. La douche.

En frottant le dos de Clémentine, j'écoute ses ressentis. Nos aventures avec Estelle, nos complicités, tout cela nous lie fort.
Tout ce que nous vivons est tellement intense, que nous sommes sans doute devenus interdépendants les uns des autres.
La conclusion de Clémentine est que c'est à la fois rassurant et inquiétant. Ce curieux paradoxe avec lequel il faudra vivre.
Nous prenons toute la mesure de la tristesse d'Estelle lorsqu'elle nous quitte, le soir. C'est à notre tour de vivre cet effroi.
Nous nous habillons. Jeans, chemises à carreaux. Nous allumons l'ordinateur au salon. Trois messages. Comme en Ecosse.

Juliette qui nous rappelle que nous sommes invités à manger ce soir. Lennie qui espère que nous sommes bien rentrés hier.
Estelle qui nous confie à quel point c'est difficile de se retrouver sans nous. Elle revient demain en début d'après-midi. 14 h.
Nous répondons. Nous sommes confrontés au alinéas de la logistique la plus élémentaire. Remplir le réfrigérateur. Courses.
Nous enfilons nos pulls, nos anoraks, bonnets gants et grosses godasses. Il est 10 h30. Direction la ville. 12 km. La voiture.
Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Lorsque le cœur n'y est pas vraiment, c'est une thérapie imparable.

Je gare la voiture sur le parking du supermarché. Je pousse le caddie. Clémentine m'entraîne d'un pas à nouveau déterminé.
< Tu sais pourquoi on est un peu tristounet ? C'est parce que nous sommes tombés amoureux d'Estelle ! > fait Clémentine.
Cette fois nous rions de bon cœur. C'est vrai. Pourquoi se le cacher. Estelle est si amoureuse de nous depuis bien longtemps.
Clémentine nous entraîne dans les rayons qui nous concernent. Nous prenons des tomates, carottes, courgettes, aubergines.
Tant pis pour les légumes du marché. Des fruits. Oranges, pommes, avocats, clémentines et mangues. Nous n'oublions rien.

Nous prenons des pâtes, spaghettis, coquillettes, riz, millet, pilpil, lentilles. Sans oublier les galettes de blé soufflé, céréales.
Nous prenons place dans la file devant le rayon poissonnerie. Filets de saule, filets de lieu noir, moules, langoustines, thon.
Il y a moins de monde un vendredi matin qu'un samedi matin. Aussi, par acquis de conscience, Clémentine nous entraîne.
Le rayon culturel. Pourquoi ne pas s'offrir une petite frayeur vicieuse. Une excellente thérapie pour chasser toute nostalgie.
Clémentine, d'un naturel optimiste, extravertie, n'est pas le genre de femme à s'abimer dans l'introspection et prise de tête.

Nous sommes de retour d'Ecosse. Et, cette fois-ci, c'est un peu plus difficile. Tout simplement. Il faut en prendre conscience.
Estelle n'est sans doute que le besoin de matérialiser notre dépit d'êtres rentrés. < Psychologie de bazar ! > fait Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Il n'y a aucune véritable opportunité pour Clémentine de s'offrir un petit frisson exhibitionniste.
Nous allons au rayon vêtements. < Les cabines ! > fait Clémentine dont c'est le dernier recours lorsqu'il n'y a pas de "plan".
Je pousse le caddie près le l'allée qui part à droite. Au milieu de la rangée de cabines. Quatre de chaque côté. Les essayages.

Je reste à l'écart. Clémentine a choisi une jupe. Elle s'engage dans l'allée. Surprise, il y a un type qui la suit. Anorak, bonnet.
Il doit avoir la cinquantaine, de taille moyenne, grosse moustache noir, de longs cheveux bouclés qui dépassent du bonnet.
A coup sûr Clémentine a "allumé" le type. Il a une paire de jeans à la main. Il entre dans la cabine face à celle de Clémentine.
Il y a de simples rideaux. De l'endroit où je me trouve, je ne peux rien voir. Je laisse le caddie. J'entre dans la cabine voisine.
Discrètement, je tire un peu le rideau. Dans le miroir qui fait rétroviseur, je regarde ce que bricole le mec. Un exhibitionniste.

Le type montre sa bite à Clémentine. C'est un rusé coquin. Loin d'être un novice en la matière. D'un calme olympien, branle.
Il a une bonne grosse bite. Teint mat, du poil dru, il est carrément à poil. Un nudiste. Tout velu et couvert d'une toison noire.
C'est assez surréaliste de voir cet individu nu, en chaussettes et avec son bonnet qui tente toutes les ruses pour se montrer.
Il garde le rideau de sa cabine écarté d'un bon quart. Risque. Il agite sa queue avec une incroyable vulgarité. Le vrai cochon.
Je change de cabine. Je veux voir comment réagi ma compagne. Le rideau de sa cabine légèrement tiré. Elle est accroupit.

Je comprends à présent ce qui peut pousser notre nudiste poilu à prendre tous les risques. Clémentine est en jupe. Spectacle.
Accroupie, cuisses largement écartées, elle fait un magnifique numéro à notre quidam velu et masturbateur. Show must go on.
Pourtant, malgré sa témérité folle, l'exhibitionniste ne tente aucune approche. Comme la plupart, il se contente d'être regardé.
Et lorsque deux exhibitionnistes se retrouvent face à face, dans des cabines d'essayage, il y a une sorte de surenchère. Libido.
J'assiste à tout cela en restant à la fois amusé et excité. Il y a une dame qui arrive. Assez imposante. Elle cherche une cabine.

Le type a le même réflexe que Clémentine. Les rideaux des cabines se referment prestement. Je sors pour retourner au caddie.
Clémentine vient me rejoindre. Elle est hyper excitée et me confie ses émotions. Nous nous dirigeons aux caisses. Il est midi.
Nous rigolons comme des bossus de cette nouvelle aventure. < T'as vu comme il était recouvert de poils ! > fait Clémentine.
Elle rajoute, : < J'ai jamais vu un type porter la moquette de son salon partout avec lui ! >. Nous rions comme des fous. Bien.
Je roule doucement. Nous n'avons rien oublié. Fromages, beurre, yaourts, crème fraîche, œufs. Nous arrivons à la maison 13 h.

Nous rangeons nos courses. Comme souvent, Clémentine descend son pantalon et sa culotte en me faisant : < Contrôle ! >
Je passe ma main entre ses cuisses, sur son sexe pour constater à quel point il est humide. Là, il bave un peu. Envie de goûter.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare le bouillon pour les moules. Les haricots verts rissolés.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons longuement à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allons au salon.
Clémentine, sans dire un mot, pose l'épais coussin au sol, enlève ses jeans et sa culotte. Elle se vautre dans le canapé. Miam.

Je me régale du croupion trempé de Clémentine. Quoi de plus délicieux que le jus d'une fille excitée ? C'est absolument divin.
Il faut rester vigilant. Pas question de l'emmener à l'orgasme. Elle veut rester excitée jusqu'à ce soir. Le haras, Juliette. 19 h.
Nous restons ainsi un long moment. Je me fais sucer. Je broute. Je me fais sucer à nouveau, je me bouffe de la chatte. Délice.
Il est 16 h. Nous passons dans l'atelier. Il y fait un peu plus frais. Tout est en ordre. Nous pourrons y travailler dès lundi. Joie.
Clémentine fait un peu d'ordre dans ses notes, classe quelques documents prioritaires. Je commence un dessin préparatoire.

Il est rapidement 18 h45. Nous montons nous changer. Clémentine porte une jupe kilt à carreaux rouges, chemisier et pull fin.
Porte jarretelle, bas noirs, bottes noires à talons hauts. < Ça fait longtemps que je n'étais pas en pute ! > me fait elle. Rires.
Sur sa demande, je porte mon costume de velours noir, chemise blanche, sous un pull noir, col en "V". Nous restons élégants.
Nous mettons nos manteaux, nos chapeaux de feutre noir, nos écharpes. Nous voilà en route. Trois petits kilomètres. 19 h 15.
Nous arrivons au haras dont la cour est déserte. Il y a de la lumière dans notre écurie préférée. Nous traversons la cour. Vite.

Eveline, la palefrenière est entrain de nourrir des chevaux qui nous regardent entrer avec intérêt. Nous en caressons certains.
Nous saluons Eveline qui nous fait un grand sourire. C'est son second mois ici. Elle s'y plaît. La patronne est sympa. Ambiance.
Nous bavardons un peu. Eveline est une jeune fille de taille moyenne, mince, athlétique et débordante d'énergie. Très sympa.
Ses longs cheveux auburn qui pendent de sous son bonnet de laine. Voilà Juliette. Tenue d'écuyère sous son chaud manteau.
Elle est toute heureuse de nous voir. Nous avons tous les trois la même impression de nous retrouver en famille. C'est curieux.

Nous laissons Eveline pour suivre Juliette. Dans son appartement il fait bien chaud. Nous nous débarrassons de nos manteaux.
J'offre son cadeau ramené d'Ecosse à Juliette. Elle le déballe. < Comme c'est gentil ! C'est magnifique ! > nous dit elle. Super.
Elle feuillette le gros album de photographies en noir et blanc. C'est légendé en Anglais. Et Juliette maîtrise bien l'Anglais écrit.
Nous passons à table. Un feuilleté de saumon accompagnés de petits légumes de saison. Brocolis, petits pois. C'est une délice.
Nous racontons notre séjour à Edimbourg sans trop parler de nos frasques sexuelles. Juliette nous parle des deux réveillons.

Le réveillon de Noël avec sa mère et sa sœur. Le réveillon de Nouvel An ici, dans la salle du nouveau bâtiment. Le personnel.
Les Walter, Eveline, Kim Son, Pauline et son copain, Gérard et Léon et quelques amis propriétaires de chevaux. Bavardages.
Juliette nous invite à tirer les Rois, dimanche soir, ici aux écuries. Il y aura les Walter, Gérard, Kim Son, Eveline. La galette.
< On va tirer les Rois, mais on peut aussi tirer la Reine ! > dit Juliette en me faisant un clin d'œil. Clémentine me fait du pied.
Je sors ma bite. Je me lève, je bande mou, je l'agite devant Juliette en disant : < Voilà la fève pour toute bonne galette ! >

Nous rions de bon cœur. Juliette me fait : < C'est beaucoup mieux, une fève qui se mange. On ne risque pas un accident ! >
Nous passons la soirée à beaucoup rire. A présent, Juliette nous confie quelques petits secrets comme à son habitude. Rires.
Elle tente d'emmener Kim Son à se dévoiler un peu. Rien à faire. Le garçon pense d'abord à son travail. Un garçon sérieux.
Il est 22 h30 lorsque nous prenons congé. Juliette nous raccompagne dans le froid. Nous bavardons encore un peu en riant.
Nous sommes de retour pour 23 h. Au lit, un "69" de chauffe. Petite baise. Un cunnilingus, une fellation. Orgasmes et dodo.

Bon retour et bonne réadaptation à la vie quotidienne pour toutes les coquines exhibitionnistes, voyeuses et vicelardes…

Julien - (Qui sait déjà que ce Week-End sera celui du stupre et de la luxure. Comment en serait-il autrement ?) -

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Enfin à nouveau réunis tous les trois

Hier matin, samedi, je suis réveillé par un léger froissement des draps. Il y a comme un imperceptible mouvement du matelas.
Même si je fais semblant de dormir, le changement de ma respiration alerte immédiatement Clémentine qui cesse sa branlette.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me chuchote t-elle en se serrant fort contre moi. Je lui dis < Bonjour adorable masturbatrice ! >
Nous nous faisons plein de bisous. Je rajoute : < Viens, tu me racontes en mangeant ! >. Nous nous précipitons aux toilettes.
Morts de faim, vêtus de nos tenues de sport, nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Préparer notre petit déjeuner.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte son rêve. Il y est question de Wong, de baise, de pipe, de turpitudes.
J'apprécie la capacité dont fait preuve l'imaginaire de ma compagne. Surtout lorsqu'il est question de tourmenter son sommeil.
Nous rions de bon cœur car il y a une part de choses jamais vécues. C'est magique. Bien évidemment Clémentine est excitée.
J'aime voir son degré d'excitation monter au fur et à mesure des descriptions de son récit. Mon attitude l'excite. C'est superbe.
C'est samedi. Nos courses sont faites. La maison est propre. Ce sont encore les vacances. Nous pouvons traîner à table. Bien.

Assise sur mes genoux, terminant sa tartine de miel, Clémentine s'amuse à quelques descriptions bien salaces, très détaillées.
Je lui dis : < Et si on repoussait notre jogging à plus tard. Je te bouffe la chatte. Le jus de ta nuit et de ton rêve. Tu veux ? >
Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Clémentine se lève, m'entraîne par la main. Nous abandonnons tout sur la table.
Au salon, Clémentine retire son leggings, sa culotte, se laisse tomber dans le canapé, jambes relevées, et les cuisses écartées.
Je suis à genoux sur l'épais coussin. Je hume longuement les odeurs de sa nuit de fille. Il y a de la foutrine qui colle aux poils.

C'est un peu comme des glaires dans un mouchoir. Je renifle jusqu'à l'ivresse. Clémentine me choppe par les oreilles. Ferme.
Me voilà à lui bouffer la moule avec l'accompagnement. Béchamel, gruyère et petits grumeaux de parmesan. Festin du matin.
Les spasmes qui agitent le corps de Clémentine sont signes avant coureurs. Si je ne fais pas attention, elle va vers l'orgasme.
Il serait dommage d'aller aussi vite vers cette échéance ultime que nous aimons repousser jusqu'aux limites du possibles. Joie.
Rien n'y fait. C'est trop fort. Clémentine pousse un véritable mugissement. Son corps se contracte, se raidit, se cabre, se fige.

Clémentine me repousse doucement. La tête rejetée en arrière, elle reprend son souffle. Elle retrouve doucement ses esprits.
Elle ouvre les yeux. Elle me regarde. Elle éclate de rire. Elle se lève, m'entraîne devant le lavabo des toilettes du bas, le miroir.
Je comprends la cause de son hilarité. J'ai le bas du visage maculé de mayonnaise épaisse. Nous rigolons comme des bossus.
Clémentine prends un sachet pour en extraire un mouchoir en papier. Elle m'essuie le visage. J'ai ses goûts dans la bouche.
Le temps de remettre sa culotte, son leggings, nous sortons. Il est 10 h. Nous voilà à courir dans la fraîcheur, sous le ciel gris.

Il est 11 h. Nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Nous trainons pour tout en prenant notre temps.
Je sèche les cheveux à Clémentine qui vient de faire son shampoing. Je lui caresse le visage, le cou, la nuque. Elle adore ça.
Il est 11 h30. Je propose d'aller au bourg, chercher du pain, une brioche chez notre boulanger. Prétexte à sortir un peu. Joie.
Suggestion accueillit avec des applaudissements. Nous restons en jeans, chemises à carreaux. Nous enfilons pulls et anoraks.
Il y a trois petits kilomètres. Il y a plein de monde. C'est jour de marché. Nous prenons deux beaux, gros pains complets Bio.

Nous bavardons un peu avec la boulangère qui nous rappelle qu'elle fait le circuit avec sa camionnette deux fois par semaine.
Elle s'arrête entre la propriété des Bertrand et la nôtre le mardi et le jeudi, onze heures du matin. Je prends bonne note. Bien.
Nous prenons la brioche. Un "Chinois". Avec du pudding, des raisins secs, des amandes. Nous en raffolons le dimanche matin.
Il est 12 h30. Nous sommes de retour. Clémentine s'occupe de la salade verte et de son assaisonnement. Je prépare un gratin.
J'épluche les patates. J'en fais beaucoup. Ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer. Je concocte une Béchamel en accompagnement.

Le gratin est au four. Avec une tonne de fromage. J'ai fait rissoler de fines tranches de thon que j'ai rajouté à notre Béchamel.
Clémentine m'entraîne au salon. Elle me fait basculer dans le canapé. < Il faut que je procède à mon contrôle ! > me fait elle.
J'ai la braguette ouverte. Clémentine adore lorsqu'il y a juste la bite qui dépasse. Malgré la boucle désagréable de la ceinture.
A genoux sur l'épais coussin, elle scrute avec attention. < Raconte moi la pipe que t'as faite Li-Yang ! > me fait Clémentine.
Je la regarde suçoter délicatement la peau de mon prépuce qu'elle tire du bout de ses lèvres pincées. Et elle y glisse la langue.

Je bande mou. J'adore voir le relief de sa langue qui fouille, passant entre mon gland et l'intérieur de mon prépuce. Magnifique.
Je lui raconte la pipe que m'a prodigué Li-Yang. J'essaie de trouver les plus exactes métaphores comme descriptions. Amusant.
J'évoque un poisson ventouse, contre la vitre d'un aquarium. Clémentine a une super bouche à pipe. Li-Yang en est pourvue.
Je lui décris les sensations. C'est très comparable à celles que j'ai tant de fois décrites lorsqu'elle veut savoir comment c'était.
Les sensations du cunnilingus resteront un éternel secret pour l'homme. Les sensations de la pipe le resteront pour la femme.

Clémentine, entre le pouce et l'index de chaque main, tire et écarte la peau de mon prépuce. On distingue le méat et le gland.
C'est plus facile pour y fourrer la langue. Nous bavardons. Clémentine tète un peu, lèche beaucoup et pose plein de questions.
Nous adorons passer du temps ainsi. C'est à la fois excitant, instructif, amusant, ludique et source de joies. C'est merveilleux.
La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Il est 13 h30. Nous mangeons rarement aussi tard. Rire.
Ce repas est délicieux. Voilà Estelle. Nous sommes tellement contents de nous revoir que nous nous levons pour nous serrer.

Estelle qui a déjà mangé, reste assise avec nous. Elle nous raconte son vendredi, son samedi matin dans l'entreprise familiale.
Ses parents qui veulent nous inviter un dimanche, à midi. < On retire les rois dimanche prochain et chez moi ! > fait Estelle.
Nous sommes embarrassés. Surtout moi. Les parents d'Estelle sont très loin d'imaginer la nature réelle de notre relation. Dur.
< On s'en fout, je suis majeure. Ils font parfois de curieuses insinuations. Surtout ma mère ! > nous confie Estelle. Rigolades.
Nous traînons à table. Estelle insiste pour nous aider à faire la vaisselle et à ranger la cuisine. Elle me palpe la braguette. Joie.

< Je peux voir comment va ton alter ego ! > fait Estelle en sortant mon sexe de ma braguette toujours ouverte à la maison.
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle rajoute : < Oh ! Il a bonne mine. Il a déjà servi aujourd'hui ? >. Je lui caresse le visage.
Il y a du liquide séminal qui perle. Il s'écoule du prépuce encore bâillant de l'inspection de Clémentine avant le repas. Mouillé.
Estelle s'accroupit. Elle scrute et fait tourner ma queue pour l'observer de près. Sous tous les angles. < Ça coule ! > fait elle.
Je la regarde s'enfiler doucement ma queue toute molle dans la bouche. Clémentine s'approche pour se serrer fort contre moi.

Clémentine se penche pour bien regarder. Elle dit : < Les retrouvailles, c'est toujours émouvant ! >. Nous rions de bon cœur.
Je force Estelle à se redresser. Je la tiens fermement par ses cheveux noués en longue natte. Ils ont perdu de leur blondeur.
< Encore deux shampoings et je suis à nouveau brune ! > fait Estelle. Il est 14 h30. Je propose de faire une galette des rois.
Nous avons de la pâte feuilleté dans le haut du réfrigérateur. pourquoi ne pas nous en servir. Suggestion accueillit avec joie.
Il faut laisser la pâte revenir à température ambiante. Estelle s'occupe de la décoration. Clémentine de la frangipane. Super.

Contrairement à la cuisine, il est impossible d'improviser en pâtisserie. Les recettes doivent êtres suivies. Et scrupuleusement.
Voilà donc le vieux livre de recettes ouvert à la page "Galette des Rois", posé sur la table. Une occupation ludique. Amusante.
Nous n'arrêtons pas de nous toucher. Nous avons tous les trois nos pantalons ouverts. Il faut tout le temps les maintenir. Rire.
C'est génial. Peut-être pas trop pour l'hygiène. Nous sommes des gens propres et le tout passera au four. Haute température.
Je découvre avec quel soin maniaque Estelle réalise un bel arbre de vie avec le reliquat de pâte qu'elle a malaxé longuement.

Sur la photo, le lecteur pourra apprécier la passion talentueuse d'Estelle pour les réalisations artistiques toutes personnelles.
Pourtant, comme un vrai petit salopiot, je passe souvent ma main entre ses fesses pour tenter d'accéder jusqu'à sa chagatte.
Impossible. Jeans trop serrés. Et je pourrais facilement me démettre le poignet. Clémentine me tient la queue. Je bande mou.
Clémentine a suivi la recette avec une précision diabolique. La frangipane sent bon et donne envie de la manger. Il faut éviter.
On goûte. Je dis : < Miam ! De la frangipane au goût de Clémentine ! Miam ! De la frangipane au goût d'Estelle ! >. Rigolade.

Clémentine dépose délicatement le fin couvercle de pâte. J'y étale une fine couche de confiture de myrtille. C'est très beau.
Estelle y organise le décors que l'on voit sur la photo. Elle est incroyablement agile de ses mains. Extraordinairement habile.
Estelle met au four. 45 minutes de cuisson. Il est 15 h45. Nous sommes fiers. Nous regardons le four. Le début de la cuisson.
< Merdre ! > s'écrie Clémentine. Nous nous regardons en éclatant de rire. Nous avons totalement oublié d'y mettre la fève !
< Les cons ! > fait Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Nus allons dans l'atelier. Les filles ont à préparer leurs affaires.

Estelle et Clémentine sont assises à la table, devant l'ordinateur. Elles préparent la rentrée, lundi. Le second trimestre. Sérieux.
Je continue le dessin préparatoire de ma douzième toile. Pour moi aussi, les choses sérieuses commencent dès lundi. C'est bien.
Je n'ai jamais commencé l'année avec un tel stock de tableaux déjà prêts. Cette année j'aurais mes 25 toiles dès le début mai.
Cette simple idée m'envahit d'un profond sentiment de satisfaction. La sonnerie du four. Nous nous précipitons pour aller voir.
Estelle sort la galette du four. Elle est tout simplement superbe. Nous prenons des photos. Nous nous congratulons. Félicitons.

< La fève est là ! > dit Estelle en s'emparant de ma bite qui suinte de foutre épais. Il y a des taches sur le bas de la braguette.
Nous retournons à l'atelier. Il est 19 h lorsque nous mettons un point final à nos préparatifs. Demain, nous pourrons êtres cool.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Estelle réchauffe le gratin. Clémentine s'occupe de la salade, assaisonnement.
Je pane trois filets de saule que je fais cuire dans la poêle. Nous admirons la galette posée sur le buffet. Et une pure merveille.
Il est 20 h lorsque nous prenons place à table. Nous mangeons de bon appétit. Nous évoquons notre séjour écossais, les fêtes.

Nous traînons à table une grande partie de la soirée. Nous faisons mille projets pour nos prochaines vacances. Bientôt Pâques.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 21 h30. Nous passons au salon. Nous sommes vautrés dans le canapé. Fatigués.
Je suis assis entre les filles. Estelle joue avec ma queue qu'elle suçote parfois. Clémentine nous raconte son rêve érotique. Joie.
Totalement épuisés, nous décidons de monter. < On se termine au lit ! > fait Clémentine. Je bouffe un peu les deux chattes.
Estelle après un orgasme fou s'endort la première. J'en offre un second à Clémentine. Elle suce un peu. Je propose un dodo.

Bonne galette des rois à toutes les coquines qui aiment pâtisser en se faisant tripoter et en tripotant. N'oubliez pas la fève…

Julien - (Qui lorsqu'il se fait sucer par Clémentine, lui chuchote les pipes à venir au haras. Gérard, Pierre et Cie) -

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La galette des Rois au haras

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par l'indicible douceur d'une fellation. Des bisous sur mon visage. Le cou.
Je n'ouvre pas les yeux. Et c'est Clémentine que je serre contre moi. Je caresse délicatement la tête d'Estelle sous les draps.
Nous restons ainsi quelques instants. Je force Estelle à poser sa tête contre mon épaule. Je suis entre les deux filles. Bisous.
Estelle se lève pour se précipiter aux toilettes. < Je vais préparer le petit déjeuner ! > rajoute t-elle dans son pyjama de soie.
Clémentine me chuchote plein de douceurs. C'est à notre tour de filer aux toilettes avant de descendre rejoindre Estelle. Faim.

A la cuisine règne déjà l'odeur de pain grillé, de café et de brioche. Estelle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner.
< C'est comment la pipe du matin ? > me fait elle, espiègle et mutine. Je dis : < L'érection est naturelle, et c'est pas pareil ! >
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine répond : < Erection du matin, c'est bien. Erection du soir, c'est bonnard ! >. Vrai.
Je rajoute : < Erection la journée, permet de sucer ! >. Nous rigolons comme des bossus. Nous sommes si bien tous les trois.
N'importe quoi nous ferait rigoler tellement nous apprécions une nouvelle journée à faire les quatre cent coups ensemble. Joie.

Nous mangeons de bon appétit. C'est dimanche. Pas de gymnastique, pas de ménage car tout est encore propre et très clean.
Nous traînons à table tout en bavardant. Estelle nous rappelle que nous sommes invités dimanche prochain à manger chez elle.
Je fais part de mon appréhension. Le papa d'Estelle est plus jeune que moi de quatre ans. De quoi me mettre dans l'inconfort.
< Au bout de presque deux ans, mes parents veulent en savoir un peu plus sur ce Julien ! > m'explique Estelle, l'air malicieux.
Elle rajoute : < Depuis le temps, mais ne t'inquiète pas ils sont hyper cool et tu es le compagnon de Clémentine. Référence ! >

Dehors, le ciel est gris. Il règne un froid sec et glaçant. Le thermomètre extérieur indique moins 3°. Il est déjà 9 h30 du matin.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous montons nous laver les dents et nous habiller. Jeans, chemises à carreaux. Pareils.
Nous faisons la chambre, le lit. Nous faisons les clowns devant le miroir de l'armoire en prenant la pose. C'est tellement rigolo.
Je suis entre les deux filles. Nous avons tous les trois les braguettes ouvertes que nous écartons avec les doigts. Et largement.
< Tu la sors ? > me fait Estelle. Me voilà avec la bite à l'air. Elle pend. Toute molle. Les filles ont la tête posée sur mes épaules.

Elle s'accroupissent en même temps pour singer les filles des photos pornos. Estelle me propose de prendre quelques photos.
Elle me tend son téléphone. < Promis, juré, personne ne les verra jamais ! > fait elle. Nous savons pouvoir lui faire confiance.
Comme elle figure sur les clichés, c'est la garantie absolue qu'elles resteront secrètes à tout jamais. Nous redescendons. Joie.
Nous passons au salon. Nous allumons l'ordinateur. Nous avons le message de Julie. Elle passe manger demain soir à 19 h30.
Le message de Lennie qui nous raconte la grisaille au-dessus d'Amsterdam. Nous répondons en joignant quelques selfies. Rire.

Je laisse les filles surfer sur le site universitaire. Je vais à la cuisine. Les pavés de saumon ont décongelé. Je prépare la potée.
Clémentine vient me rejoindre la première. Elle s'occupe de la salade. Une belle scarole. J'épluche les patates, carottes, navet.
Nous nous faisons des bises. Nous nous chuchotons des douceurs. Au salon, nous savons notre "petit animal de compagnie".
Petit animal de compagnie qui vient nous rejoindre. Estelle s'occupe des pavés de saumon en papillotes. Le rituel du dimanche.
Nous avons nos tabliers. Souvent Estelle passe sa main sous le mien en disant : < Je contrôle ! Défense de la ranger ! >. Rire.

Il est midi trente lorsque nous nous mettons à table. Nous mangeons de bon appétit. Nous faisons un très vague programme.
Clémentine suggère une bonne petite randonnée cet après-midi. La météo s'y prête idéalement. Sol sec. Le temps froid et sec.
Suggestion applaudie à l'unanimité. Nous traînons à table. Les filles évoquent la rentrée de demain. Le second trimestre. Bien.
Il y aura un important travail de recherches personnelles. Elles sont à se réjouir. Même si ce second trimestre s'avère plus dur.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il reste de la potée pour ce soir. Avec de la salade et une omelette, ce sera parfait. Bon.

Je prépare notre petit sac à dos. Barres de céréales, pommes, eau et la minuscule paire de jumelles. Nos grosses godasses.
Nos pulls, nos anoraks, nos bonnets et nos gants. Nous voilà équipés. Il est 14 h lorsque nous descendons le chemin. Froid.
Nous marchons d'un bon pas. Et comme pour le jogging, c'est Estelle qui donne le rythme. Les filles parlent de leurs études.
Ce qui n'empêche pas Estelle de me passer la main entre les cuisses, et souvent par derrière. Ma petite tripoteuse préférée.
Parfois, lorsque nous nous arrêtons pour prendre une photo, regarder quelque chose, c'est moi qui la touche. Vulgairement.

Malgré le froid assez piquant, je me retrouve assez souvent avec le sexe dans une main bien chaude. Clémentine ou Estelle.
Nous faisons la grande boucle. Presque trois heures de marche. C'est très agréable. Il fait nuit lorsque nous rentrons. 17 h 30.
C'était tellement bien. Nous prenons un thé au jasmin, vautrés dans le canapé. Je suis entre les deux filles qui parlent études.
Estelle joue avec ma queue. Elle finit par me faire bander comme un salaud. Elle me la tord dans tous les sens en bavardant.
Elle suçote parfois. Clémentine, sa tête sur mon épaule, observe les séquences de pompages. Cette vision l'excite tellement .

Je force Estelle a cesser. Nous décidons de rester vêtus comme ça, jeans, chemises à carreaux. Pas de chichis ni de manières.
Je récupère la galette que nous nous avons fait hier. Clémentine propose de ne pas préciser qu'il n'y a pas de fève à l'intérieur.
< Comme ça, ils s'imagineront l'avoir avalé ! > fait elle. Nous rions de bon cœur. Nous voilà en voiture. Trois petits kilomètres.
Nous arrivons au haras et il est 19 h10. Il y a quelques voitures garées dans la cour. Nous entrons dans le nouveau bâtiment.
C'est dans la petite salle au fond, que ça se passe. Nous entendons les rires et le bruit des conversations. Nous entrons. Super.

Tout le monde a fait comme nous. Tout le monde est resté en tenue relax. Juliette est toute contente de nous voir. C'est bien.
Nous serrons la main aux présents. Il y a Gérard, Pauline la secrétaire, son copain, Madame Walter mais pas son mari malade.
Eveline et Kim Son, les deux palefreniers. Un couple que nous avons déjà vu. Des propriétaires de chevaux. C'est très sympa.
Madame Walter a ramené une galette qu'elle a préparé. Juliette a préparé la sienne. La nôtre. Trois galettes imposantes. Bien.
Nous savourons en bavardant. Rapidement Gérard se rapproche de Clémentine pour ne plus finir que de causer avec elle. Rire.

Estelle reste tout près de moi. Nous rions beaucoup avec le copain de Pauline qui a plein d'amusantes anecdotes à raconter.
Pompier bénévole au bourg voisin, ce ne sont pas les histoires qui manquent. Mr Gérard et Clémentine sont sortis de la salle.
C'est Estelle qui me le fait remarquer. < Tu sais ce qu'ils sont allés faire ! On va mâter ? > me chuchote t-elle. J'en ai l'envie.
Je dis à Juliette que nous nous absentons. < Restez donc ! Vous savez ce qu'ils font ! Et ils ne vont pas ramener un petit ! >
Nous rions bêtement. Mais moi, j'aime tant être planqué pour regarder Clémentine. Et Clémentine aime tant me savoir à voir.

< Vas-y ! Je te rejoins ! > me fait Estelle. Je quitte discrètement la salle. Je vais au fond du couloir. Raie de lumière. Porte WC.
Je sais où elle la clef du local technique. J'y entre. J'ouvre la petite armoire EDF. Par le trou, j'ai une vue parfaite. C'est super.
Gérard est debout devant l'urinoir. Clémentine, accroupie, est entrain de lui renifler la bite qu'elle observe et qu'elle tient bien.
Mon sang ne fait qu'un tour. Je sors mon Zob. Je bande déjà fort. Je regarde cet hallucinant spectacle. Nouveau à chaque fois.
Gérard a la bite la plus minuscule que je n'ai jamais vu. Il ne bande jamais. Même pas mou. Mais il ne cesse de secréter du jus.

Il lâche de tous petits jets que dirige Clémentine. Je l'entends raconter la pipe qu'elle a fait à Wong, en Ecosse. Gérard écoute.
Il pose quelques questions en caressant le visage de Clémentine qui le suce entre deux jets de pisse. Elle cesse pour raconter.
C'est doublement vicieux. Il y a ce qui se passe. Il y a ce qui se raconte. C'est génial. Je me branle doucement. C'est sublime.
Un léger bruit. C'est Estelle qui me rejoint. Je la laisse regarder. Elle écoute. < Quelle salope ! > me chuchote t-elle. Silence.
Quand c'est à mon tour de regarder, Estelle me branle doucement en attendant de pouvoir mâter à nouveau. C'est amusant.

Clémentine a toute la bite de Gérard dans la bouche. Elle peut sucer sans faire le moindre effort. Et elle se régale. Je la mâte.
Le bonheur qui se lit sur les traits de son visage. Ses joues creusées par la succion. Elle tète avec une telle passion. Superbe.
Gérard lui caresse la tête. Comme toujours, il lui fait sa déclaration d'amour un peu ridicule. Mais ça fait partie du jeu. Sympa.
< Tu devrais te promener avec un coussin fixé autour du cou. Tu pourrais t'y mettre à genoux quand il faut ! > lui dit Gérard.
< Quel salaud ! > me chuchote Estelle. Je vois Clémentine pouffer de rire sans cesser de pomper. Et il y a du foutre qui gicle.

Parfois Gérard sort délicatement sa bite de la bouche de Clémentine pour lui dire : < Attend ! >. Il se met à pisser. Petits jets.
C'est phénoménal. Clémentine peut déglutir en gémissant pendant le jet court et précis. La bite de Gérard est toute trempée.
Clémentine a du jus qui ruisselle sur son menton, aux commissures de ses lèvres. Gérard y remet sa bite. La fellation reprend.
C'est une de ces pipes dégueulasses dont raffole Clémentine. Elle est probablement à genoux. Et je ne peux pas le distinguer.
Clémentine ouvre parfois les yeux, comme émerveillée, sans cesser de pomper. J'imagine ce qu'elle se ramasse. C'est dégueu.

Estelle a cessé de mâter pour me tailler une pipe. Elle aussi a de quoi bouffer. Avec l'excitation, je secrète du liquide séminal.
Il y a du bruit dehors. Quelqu'un va aux toilettes. C'est Juliette. Elle s'approche pour demander à Clémentine : < C'est bon ? >
Gérard la force à se redresser. Il lui arrive à l'épaule. Juliette se penche pour sucer. C'est la première fois que je la vois faire.
< Elle le fait exprès ! C'est pour toi ! Elle sait qu'on mâte par le trou ! > me chuchote Estelle. Cette évidence m'apparaît. Sûr.
Clémentine se masse les genoux. Juliette s'est accroupit. C'est son Gérard. Il vient se faire sucer deux fois par semaine. Pipe.

Clémentine quitte les toilettes. Nous la rejoignons dans le couloir. Je la félicite. Elle s'essuie la bouche avec un mouchoir blanc.
Derrière nous, Juliette et Gérard qui rappliquent : < Attendez nous ! > font ils. Nous reprenons de la galette. Il en reste encore.
Nous reprenons les bavardages. Il est 20 h30 lorsque nous prenons congé. Juliette nous raccompagne. Il fait nuit. Il fait froid.
Soudain, Clémentine se penche en avant pour vomir. < Le jus de vieux ne fait pas bon mélange avec la galette ! > fait Juliette.
Nous rentrons. Clémentine se plaint du goût acide qui brûle sa bouche. A la maison, elle se lave les dents, se rince la bouche.

Je réchauffe la potée. Estelle prépare une omelette. Clémentine prépare l'assaisonnement. La salade. Elle a pris une pomme.
Nous mangeons de bon appétit tout en évoquant ce qui vient de se passer. < Je me calme quelques temps ! > dit Clémentine.
< Une semaine quoi ! > lui dit Estelle. Nous rions de bon cœur. Nous traînons à table. La vaisselle. Et nous passons au salon.
Il est 21 h30. Je laisse Estelle sucer pendant que Clémentine nous raconte sa pipe. Ce vieux vicelard de Gérard lui en a donné.
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation difficile. Au lit, j'offre un cunnilingus à Clémentine. Récompense. Dodo.

Bonne pipe dans les chiottes sur votre vieux retraité impuissant et incontinent à toutes les coquines qui en raffolent.

Julien - (Qui s'est encore offert le plus divin spectacle. Voir sa compagne sucer un autre. De surcroit un vieux dégueulasse) -

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Retour dans le rassurant train-train

Hier matin, lundi, c'est le violoncelle de Rostropovitch qui nous tire de nos profonds sommeils. L'acte d'un vrai psychopathe.
< Put-Hein, t'es fou Rostro sandwich ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil sur ma table de nuit.
Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes en riant de bon cœur. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine.
Morts de faim, nous préparons un copieux petit déjeuner que nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Pain grillé.
Clémentine me fait part de sa joie d'affronter cette rentrée, ce second trimestre. < Un peu d'action que diable ! > fait elle.

Nous sommes déjà en tenues de gym. Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. C'est un réel plaisir ce matin.
La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait froid et il fait humide.
Un dernier bisou. Un coucou de la main. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h45. Le jour va se lever.
Je monte faire le lit. Je redescends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h15.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je peins dans un enthousiasme délirant.

C'est une nature morte extrêmement dense. Des bijoux qui dépassent d'un coffret de bois. Le prétexte à un travail minutieux.
Comme toujours, lorsque je me livre à ma passion corps et âme, le temps cesse d'exister. C'est quelquefois inquiétant. Peur.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je prépare pâte pour la tarte aux courgettes de ce soir. Je fais bouillir l'eau salée.
Je lave la salade pour midi et pour ce soir. Je fais cuire mes coquillettes. Je concocte un coulis de courgettes et d'aubergines.
J'en récupère un reliquat comme sauce avec les coquillettes. J'écoute l'éloquente érudition de Stéphane Bern. C'est agréable.

Je mange de bon appétit. Je tente d'écouter le flot inepte des informations mensongères, orientées, formatées et calibrées.
C'est au-dessus de mes forces. J'éteins la radio. La vaisselle. La pâte à pain repose dans un saladier, recouverte de son linge.
Le coulis de courgettes, d'aubergines dans lequel j'ai rajouté ail, oignons et ciboulette repose dans sa casserole. Couvercle.
Il est presque 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. C'est une séance extraordinaire.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac sur la canapé, se précipite pour me faire des bises.

Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le restaurant universitaire, Estelle. J'écoute intéressé.
Ce talent de Clémentine pour passer d'anecdotes amusantes à d'autres plus pertinentes. C'est passionnant. Et c'est récréatif.
Je rajoute deux bûches dans l'âtre. Nous travaillons encore. Clémentine met quelques notes au propre et allume l'ordinateur.
Il fait nuit. Le craquement du bois dans la cheminée, nos respirations, parfois un soupir. Nous adorons ces ambiances. Super.
Soudain, à l'étage, un bruit de pas. Léger. Il semble venir du lointain. C'est ainsi que nous le percevons. Nous nous regardons.

Tout cesse pour reprendre. Un peu comme si quelqu'un se livrait à une errance. < Christine ! > fait Clémentine qui me rejoint.
Nous vivons à trois, avec le fantôme de ma compagne disparue. Même si nous nous sommes fait à cette idée, il y a la trouille.
Cela ne dure pas. Parfois, c'est une porte que l'on referme. Du moins, ça y ressemble. Avec l'au delà, rien n'est jamais certain.
Tout cela ne nous empêche pas de mener nos travaux du jour à leurs termes. J'ai terminé le fond de ma nature morte. Super.
Clémentine m'explique ce que je vois sur l'écran de l'ordi. Il lui faut entreprendre un travail de recherche et de documentation.

Il est 18 h45. < Stop ! > s'écrie Clémentine. Nous cessons nos activités avec le sentiment d'une journée bien remplie. Fameux.
Nous laissons le feu mourir. Nous quittons l'atelier. Clémentine se blottit fort contre moi. < Merci pour ces fêtes ! > me dit elle.
C'est déjà derrière nous. Nous pensons déjà à nos prochaines vacances. Le récompense d'un second trimestre d'effort, de joie.
Nous mettons nos tabliers. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée. J'étale une pâte onctueuse, fine.
Je réchauffe le coulis de légumes. Je râpe du gruyère de Comté. Je coupe de petits dés de Roquefort. Méthode. Totale maîtrise.

Nous bavardons. A l'étage, les activités paranormales reprennent. Un prétexte pour nous serrer fort. C'est lointain, très diffus.
< Tu nous fout la paix ce soir, hein, Christine ! > fait Clémentine à haute voix. Nous en rions de bon cœur. Les bruits cessent.
< Tu vois, il suffit de demander ! > fait encore Clémentine. Je mets la tarte au four. Nous allons préparer la table monastère.
< Tu es mon vicieux ce soir, hein, tu veux bien. On se change les idées et Julie vient en partie pour ça ! > me dit Clémentine.
Nous étalons le chemin de table en lin écru. Nous disposons les assiettes en grès, les couverts de cuivre. Le chandelier. Super.

Seules trois bougies éclairent la grande pièce. Clémentine me fait tomber dans le canapé. Elle est à genoux sur l'épais coussin.
< Viens, je te mets en condition ! > me fait elle en ouvrant ma braguette. < Et ce soir c'est avec les couilles ! > rajoute t-elle.
Comme tout est encore mou, il est facile à Clémentine d'extraire mes organes génitaux. < Elles sont bien dodues ! > fait elle.
A genoux, les bras posés sur mes cuisses, Clémentine hume longuement les odeurs de ma journée d'homme. Ça sent très fort.
Surtout lorsqu'elle décalotte légèrement le gland. < Ça ne sentira jamais aussi fort que chez Gérard ! > rajoute Clémentine.

Nous rions de bon cœur. Je lui rappelle l'évocation de Mr Gérard quand à ce coussin qu'elle devrait trimballer partout avec elle.
Nous rions de bon cœur. Je regarde Clémentine passer sa langue entre mon prépuce qu'elle écarte et mon gland. Le Parmezob.
Je lui murmure des douceurs, des cochonneries. Autant d'encouragements si elle en avait besoin. Sa langue qui fouille. Super.
Cela fait un relief. Comme un petit animal qui bougerait. < Mmhhh ! > murmure Clémentine en se régalant. Je caresse sa tête.
Je bande bien fort. La quille de bois de chêne. Je dis : < On va t'acheter des genouillères ! >. Clémentine ouvre les yeux. Pipe.

Tout en tétant elle me fixe d'un regard interrogateur. Je développe : < Au lieu d'un coussin, tu emmènes tes genouillères ! >
Elle comprend. Je propose de les garder en permanence dans le vide poche de la voiture. Elles restent toujours à disposition.
Je lui explique : < On va au haras, tu mets tes genouillères dans la voiture. Gérard capte immédiatement ! Le message ! >
< Ou Pierre ! > rajoute Clémentine qui rattrape juste à temps une coulée baveuse qui s'écoule de sa bouche lorsqu'elle parle.
Trois coups de sonnette. C'est Julie. < Reste comme ça ! > me fait Clémentine qui se lève pour aller ouvrir. Je me sens con.

Pour entretenir mon excitation, pour me donner le courage nécessaire, je me masturbe d'un mouvement régulier. Je bande.
Julie entre dans le salon. Elle a un moment de stupeur. Est-ce feint ou est-ce véritable. Mystère féminin des plus appréciable.
Julie est vêtue d'une jupe noire évasée, d'un sweat noir, des collants noirs et des bottes noires. Elle a retiré son anorak noir.
Elle reste un instant. Hésitante, perplexe, cherchant la meilleure chose à faire. Elle tend sa main, se dirigeant vers le canapé.
Je cesse ma branlette pour lui serrer la main. C'est elle qui fait bouger son index dans ma paume. Cela confirme ma pensée.

Clémentine s'assoit à mes côtés. La lueur des trois bougies baigne la grande pièce d'une lumière favorisant l'intimité. Super.
Julie est très rapidement à l'aise. Elle s'installe dans le fauteuil face à nous pour nous raconter le Week-End, galette des rois.
Il y avait du monde au restaurant samedi soir et dimanche. L'établissement est réputé et plutôt select. Nous écoutons. Joie.
Je ne cesse pas de me masturber doucement, d'un geste lent, régulier, tenant l'extrémité de mon sexe entre pouce et index.
Julie, comme hypnotisée, tout en racontant, observe avec intérêt. Je devine les efforts de concentration qu'elle doit fournir.

Nous ne faisons strictement aucune allusion à ce que je suis entrain de faire. Comme si tout cela était parfaitement naturel.
C'est à la fois cocasse, burlesque et terriblement excitant. La sonnerie du four. Je propose aux filles de s'installer à la table.
J'assure le service. Je dis : < Mario et sa pizza ! >. Nous rions tous les trois de bon cœur. Je vais à la cuisine. Je bande fort.
Il faut être prudent. Avec ma turgescence fièrement dressée, il ne faudrait pas me brûler avec le four. Je fais très attention.
J'entends les filles rires au salon. Je mets un beau ruban de satin rouge autour des couilles. Elles sont encore plus dodues.

Je fais un beau nœud. J'emmène la tarte au salon. < Génial ! > ne peut s'empêcher de faire Julie qui découvre la décoration.
< Ce sont vos boules de Noël que vous nous présentez là ? > demande t-elle d'un ton espiègle et avec un air mutin. Poilade.
Je pose la tarte sur la table. Je retourne chercher le saladier. A la cuisine, je ne peux m'empêcher de me branler. C'est si bon.
Debout dans l'encadrement de la porte, les mains sur les hanches, Julie me fait : < Je peux défaire le nœud du "cadeau" ? >
Cette proposition m'enchante et m'étonne, rajoutant encore de l'excitation. Clémentine, debout derrière me fait un clin d'œil.

Nous retournons au salon. Morts de faim nous dégustons ce repas tout en bavardant. Les filles évoquent leurs études. Cours.
A plusieurs reprises, pour bien entretenir l'ambiance tant souhaitée, je pose mes couverts pour me masturber sous la table.
Ce qui n'échappe pas une seule fois à Julie. A plusieurs reprises elle laisse tomber sa serviette. Prétexte pour se baisser. Voir.
Comme le précise souvent Clémentine, Julie est une authentique vicieuse. Elle ne vient à la maison que pour cette ambiance.
La complicité avec Clémentine permet quantité de scénarios différents. Ce qui ravie les filles les plus branchées cul et queue.

Et nous en avons un superbe spécimen assis à notre table. Clémentine que mon comportement excite rajoute dans la luxure.
Je débarrasse. Julie se lève pour venir à la cuisine. Elle ne veut pas perdre une miette de ce que je fais. La superbe voyeuse.
Je dis : < Il faut que j'aille pisser ! >. Je me dirige vers les toilettes. Julie sur mes talons. Je ne suis pas obligé de l'y inviter.
Clémentine, étonnée et amusée, nous suit. Julie est debout à ma droite. Clémentine est entre le mur et le lavabo. Elle mâte.
Julie, penchée en avant, son visage tout près de mon sexe, me regarde faire des efforts insensés pour tenter de pisser. Dur.

Je bande comme un priapique en phase terminale. Impossible de pisser. Pas la moindre goutte de pisse avec celles de foutre.
J'ai des coulures visqueuses, épaisses et gluantes qui ont maculé le tissu de mon pantalon. < Art abstrait ! > murmure Julie.
J'ai les couilles bouillantes. < Elles bougent toutes seules ! > s'écrie Julie en pointant son doigt. Je tiens mon Zob à sa base.
< Je peux ? > demande t-elle sans attendre ma réponse. Elle passe son doigt sur mes roubignoles dodues, s'agitant seules.
Clémentine se touche discrètement. Julie ne fait pas gaffe. J'éjacule. C'est comme des jets de pisse. Je les propulse au loin.

< Quel gâchis ! > fait Julie en regardant de plus près. Je lui dis : < La prochaine fois il faut prendre ton dessert ! >. Rigolade.
Il y a du foutre partout sur le réservoir de la chasse d'eau. Il en coule sur la lunette relevée. Je pisse. Julie pousse un petit cri.
J'ai éjaculé mais je n'ai rien perdu de mon excitation. Je pisse par petits jets sous le regard attentif de Julie qui s'est accroupit.
Clémentine ne cache même plus son activité masturbatoire, main glissée dans son pantalon. Julie n'y porte aucune attention.
Je dis : < On vient manger au restaurant vendredi soir. Tu es priée d'avoir de l'initiative ! >. Julie répond : < Aux chiottes ! >

Je termine de pisser. Quelle surprise. Julie qui s'empare délicatement de ma bite molle pour en secouer les dernières gouttes.
Je bande presque de suite. Elle me tient. D'une main elle soupèse mes couilles. De l'autre elle secoue ma queue. La branlette.
Je la félicite d'avoir enfin le courage d'aller au bout du truc. < Je n'avais pas les couilles ! > me dit elle. Nous éclatons de rire.
Il y a le dessert qui nous attend. Nous retournons au salon. Trois énormes coupes glacées. Je me lève souvent. Bite dressée.
Il est 22 h15. Nous raccompagnons Julie à sa voiture. Elle ne lâche plus mon sexe. C'est fantastique. Quel changement. Joie.

Avec le froid, je bande mou. Une envie de pisser. J'invite Julie à se mettre en position. Elle passe derrière moi, me tient le Zob.
Penchée en avant, dirigeant convenablement le jet vers le sol, elle guide mon sexe vers le bas. Elle se met soudain à l'agiter.
En riant elle fait : < Au feu les pompiers ! >. En effet, c'est une lance à incendie. Clémentine se touche à nouveau. Et je pisse.
Julie agite ma bite dans tous les sens. Je lui dis : < Attention de ne pas en mettre partout ! >. Elle me dit : < Je fais gaffe ! >
Nous regardons partir la voiture. < Cette petite salope ! > fait Clémentine en m'entraînant. Au lit, baise, pipe, cunni, orgasme.

Bonne soirée de vice, de stupre et de luxure à toutes les coquines qui aiment jouer avec la bite d'un mec qui pisse…

Julien - (Qui a offert un superbe cunnilingus à Clémentine en lui proposant de remettre la pipe à demain. Dodo) -

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Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 663 -



Estelle se dépêche de nous rejoindre

Hier matin, mardi, c'est la harpe de Lily Laskine qui nous tire de nos profonds sommeils. Avec une certaine délicatesse. Douce.
< Sympa Lily, mais pas à cette heure ! > fait Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil sur ma table de nuit.
Quelques rapides papouilles. Il est 5 h55. Nous nous précipitons aux toilettes, rituel pisseux, nous mettons nos tenues de gym.
Nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine pour y préparer un copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit. La faim.
Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos, jogging sur tapis roulant. Intensité maximale.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir l'auto de Clémentine. Elle me rejoint chaudement vêtue. Froid et humidité.
Un bisou. Un coucou. Elle revient pour midi. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h45. Le jour se lève.
Je monte faire le lit. Je descends faire la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Et il est 8 h15.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je suis enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans l'absolue sérénité. C'est super.
Je commence aujourd'hui les premiers détails de ma nature morte au collier de perles. Une variante d'un tableau déjà réalisé.

Il faut me voir tomber à genoux, pousser des cris surréalistes à chaque coup de pinceau plus sublime que le précédent. Plaisir.
Je me livre à ma passion corps et âme. Je ne vois plus le temps passer. Il est donc rapidement midi. Mon horloge biologique.
Je vais à la cuisine. Je commence par faire bouillir l'eau du pilpil avant de couper les poireaux et de les laver. Une Béchamel.
Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle s'occupe de la salade. Je fais une pâte à pain.
Ce sera pour ce soir. Le rituel de la Flamiche Picarde, cette tarte aux poireaux dont nous sommes friands. Et tout va très vite.

Tout en préparant, Clémentine me raconte sa matinée de cours. La pâte est recouverte d'un linge dans son saladier au chaud.
Je récupère un peu de Béchamel contenant le poireaux comme sauce pour accompagner le pilpil. Et deux filets de saule panés.
Nous mangeons de bon appétit et tout en bavardant. Clémentine évoque les différences de rythme pour ce nouveau trimestre.
Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine expose programme, stratégie.
C'est passionnant. J'écoute toujours avec beaucoup d'intérêt. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 13 h. Dehors il pleut.

Nous allons dans l'atelier. Assise à la table de travail, devant l'ordinateur, un peu à contre cœur, Clémentine se met à son taf.
Je peins dans l'immense sérénité du peintre remportant victoire sur victoire, de quart d'heure en quart d'heure. Phénoménal.
Le crépitement de l'âtre, le craquement du bois dans la cheminée, les respirations qui suivent nos apnées sont les seuls bruits.
Parfois, l'un se lève pour rejoindre l'autre. Voir ce qu'il fait. Lui faire des bisous. Lui chuchoter des douceurs, des cochonneries.

A 17 h, sur la petite plaque électrique sur l'étagère, je prépare un thé au jasmin. Deux petits gâteaux secs. C'est la collation.
Ce sont des rituels immuables que j'applique à deux ou seul. Pour un Ecossais, le thé de 17 h c'est un cérémonial obligatoire.
Il fait nuit. Nous travaillons à la lumière artificielle. Deux lampes à halogène. Clémentine est contente. Elle prend de l'avance.
Procédant par logique, avec réflexion, Clémentine anticipe. Ce qui lui permet d'affronter ce second trimestre avec la sérénité.
18 h15. Du bruit. Voilà Estelle. Elle se précipite pour me faire plein de bisous. < Raconte tes cochonneries de hier ! > dit elle.

Estelle fait bien évidemment allusion à la visite de Julie hier soir, de mon comportement de vicieux. Clémentine à déjà raconté.
Estelle, assise aux côtés de Clémentine, échange avec elle les conclusions de son travail de l'après-midi. Son travail personnel.
J'écoute en peignant. A l'étage, il y a soudain un bruit de pas. Léger, semblant venir de nulle part. < The ghost ! > fait Estelle.
< Voilà Christine qui vient nous faire un coucou ! > rajoute Clémentine. Il est 19 h. La faim commence à se faire sentir. Stop.
Nous rangeons nos affaires. Nous laissons le feu s'éteindre dans la cheminée. Nous allons à la cuisine. En haut c'est le silence.

Clémentine m'entraîne aux toilettes. Nous faisons toujours pipi ensemble. C'est devenu une véritable tradition de notre couple.
Cela amuse toujours considérablement Estelle qui y va après nous. Elle nous rejoint à la cuisine. Elle étale une pâte onctueuse.
Je réchauffe la Béchamel contenant le poireau. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Méthodes, efficacités.
Les filles évoquent les cours. Je râpe du gruyère de Comté. Je le rajoute dans la Béchamel. Je prépare un mélange crème œuf.
Estelle verse la garniture sur la pâte étalée dans le grand moule. Elle y dépose le fin couvercle de pâte. Bien souder les bords.

< On fait des cochonneries après la bouffe ? Tu reproduis ce que tu as bricolé hier soir avec Julie ! Salaud ! > me fait Estelle.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lui répond : < Tu ne vas pas supporter, c'était trop vicelard et t'es trop jeune ! >
Je badigeonne le mélange œuf et crème fraîche sur le couvercle de pâte. Quelques graines de sésame grillé. Le tout au four.
Nous passons au salon. Nous sommes vautrés dans le canapé. Je suis assis entre Clémentine et Estelle. La braguette ouverte.
Estelle, tout en me posant des questions sur mon attitude hier soir avec Julie, fourre sa main dans mon pantalon. C'est doux.

Je lui confie que tout ce qui se passe lors des visites de Julie, s'est déjà passé avec Estelle au début des siennes. Même chose.
< T'es aussi vicelard ? > me demande Estelle. < Davantage, ce n'est tout simplement pas possible ! > lui répond Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Je bande mou. Ce qui permet à Estelle d'extraire ma bite et mes couilles avec facilité. Bien.
Je lui raconte le coup du ruban de satin rouge délicatement noué autour de mes couilles pour servir le repas. Du plus bel effet.
Je promets de lui montrer ce soir. < Je t'accompagne aux chiottes tout comme Julie ! > me fait encore Estelle, tordant le Zob.

Par association d'idée, nous en venons à évoquer les tatouages, les piercings intimes. Un des grands fantasmes à Clémentine.
< Je voudrais me faire mettre un bijoux juste au-dessus du clito, mais j'ai la trouille et il faut faire un trou ! > explique t-elle.
Elle rajoute : < C'est surtout pour montrer ma chatte et mon clitoris au mec qui ferait l'opération ! Une exhibe de qualité ! >
Nous rions de bon cœur lorsqu'Estelle précise : < Je comprends mieux. Je me disais bien ! Moi, je n'aurai pas le courage ! >.
Clémentine s'empresse de rajouter : < C'est un fantasme. Je ne le ferai jamais ! Par contre je vais tenter les pinces à sexe ! >

Clémentine explique à Estelle le principe très simple des pinces fixées aux lèvres du sexe et auxquelles on suspend des poids.
Nous avons déjà tenté. C'est sympa même si ça n'entre pas vraiment dans le cadre de nos fantasmes. Estelle est intéressée.
Elle écoute. Clémentine développe : < Tu fais tes courses en été et tu as des chaînettes qui pendent de ta chatte ! Discret ! >
Nous n'avons pas encore osé franchir ce cap. Ce n'est pas notre truc. Et il y a le risque de se blesser dans la précipitation ! >
< Quand on le fera, on t'emmène avec nous ! > promet Clémentine à Estelle qui écoute avec beaucoup d'intérêt. Et excitée.

La sonnerie du four. Nous nous précipitons à la cuisine. Estelle sort la tarte du four. Clémentine remue la salade. C'est prêt.
Je prends un des rubans dans la petite corbeille en osier sur le frigo. Je le fixe autour de mes couilles. Les filles me regardent.
< Emballage cadeau ! Comme c'est mignon ! > fait Estelle en s'accroupissant pour regarder de plus près mes couilles nouées.
< Oh c'est le père dodu ! > dit Estelle en cherchant son téléphone pour faire des selfies de son visage à côté de mes couilles.
Nous rions de bon cœur. Clémentine lui propose de prendre quelques clichés plus "artistiques". Estelle pose avec espièglerie.

Nous mangeons de bon appétit. Je me lève à plusieurs reprises pour montrer mes couilles, superbement décorées de satin.
Le nœud est très bien fait car Clémentine s'en est chargée. < Le nœud te fait de grosses couilles ! > fait Estelle en rigolant.
Elle rajoute : < Mais rien de comparable avec les grosses couilles de monsieur Gérard le vicelard. Ce type bat les records ! >
Nous rigolons comme des bossus. < Après, je te les vide aux chiottes ! > me fait Estelle en débarrassant la table. Vaisselle.
Nous rangeons la cuisine. Estelle m'entraîne aux WC en me tirant par le Zob. < Tu fais des photos ? > fait elle à Clémentine.

Clémentine file au salon. Elle nous rejoint aux WC avec un coussin et le téléphone d'Estelle. < Tu penses à tout ! > dit elle.
A genoux sur le coussin, à côté de la cuvette des toilettes, Estelle se fait tirer le portrait par Clémentine. Et de belles photos.
Ma bite contre son visage d'ange. Les dents enserrant le ruban de satin. Ou carrément avec mon sexe dans la bouche. Super.
< Je fais un montage pour samedi soir ! On se les mâte ! > fait Estelle avant de se mettre à me sucer comme une affamée.
Clémentine fait des photos. Elle propose de filmer. Avec le téléphone, l'image sera moins précise qu'avec la caméra. Tant pis.

Je tiens Estelle sous le menton, ou par la nuque. Je lui frotte la bite sur la gueule. Tout ça pour les besoins du film. Superbe.
Estelle, ravie, se laisse diriger avec ce plaisir si évident d'interpréter l'actrice porno. Son fantasme fou depuis très longtemps.
Je lui éjacule sur le visage. Elle est couverte de jute gluante, épaisse et visqueuse. Mon sperme est abondant et très épais.
Clémentine filme le tout avec sa méticulosité habituelle. Je me détourne pour pisser. Estelle met son visage tout près du jet.
Fixant l'objectif, l'air innocent, me tenant par la cuisse, Estelle attend la fin du jet pour se remettre à sucer. Goulument. Joie.

Je force Estelle à cesser. Il est déjà 22 h15. Je dis : < Demain, il y a école ! >. Nous rions de bon cœur. Je prend du papier.
Je lui essuie le visage. < J'aime quand tu me torches la gueule ! > me fait Estelle. < Je filme toujours ! > rajoute Clémentine.
Nous raccompagnons Estelle jusqu'à sa voiture. Il pleut. La séparation est difficile. Elle se réjouie pour faire le montage. Film.
Nous regardons la voiture disparaître en haut du chemin. Clémentine m'entraîne par la main. Nous montons à toute vitesse.
Au lit, elle se masturbe tout en me suçant. Je lui fais cesser pour lui brouter le minou. Elle jouie en hurlant de bonheur. Dodo.

Bonne soirée aux chiottes à vous faire filmer entrain de faire des saloperies avec une bite à toutes les coquines qui aiment…

Julien - (Qui se réjouit pour découvrir ce nouveau montage d'un film totalement improvisé. Ce sera samedi soir) -

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Une autre soirée galette des rois chez Juliette

Hier matin, mercredi, c'est le piano de Roger Muraro qui nous tire de nos sommeils. Interprétant un prélude de Bach. Délicat.
< Ah non Roger, ça va pas le faire ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil sur ma table de nuit.
< Tu n'aurais pas comme un poids sur l'estomac ? > me fait elle avant de m'entraîner par la main jusqu'aux toilettes. Pissous.
Nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine pour y préparer notre copieux petit déjeuner. Nous sommes déjà en tenues de gym.
Nous mangeons de bon appétit. Il est 6 h05. Le thermomètre extérieur indique 2°. Les quelques flocons ne tiennent pas au sol.

Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement avec une intensité maximale. La douche. Je descends. Anorak.
Je sors la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il pleut. Un dernier bisou, un dernier cou. Il est 7 h45.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit. Je fais notre vaisselle. Rapide.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je suis fébrile et pressé.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une euphorie démente. Les détails de ma nature morte.

Livré ainsi, corps et âme à ma passion, me voilà hors du temps, hors du monde qui m'entoure. Une merveilleuse séance. Joie.
Il est rapidement midi. La pâte feuilleté à décongelé. C'est la galette des rois que je me réjouie de concocter. Pour la soirée.
Nous sommes invités pour 19 h30 chez Juliette. Cette fois nous tirons les rois à trois. Je ne dois pas oublier la fève. J'y pense.
Je prépare une salade de tomate. Je fais bouillir l'eau du riz. Je pane un filet de lieu noir. Je mange de bon appétit. C'est bon.
J'essaie de me coltiner les informations mensongères et calibrées. Mais c'est au-dessus de mes forces. J'éteins la radio. Zut.

Pour la galette de ce soir, je remplace la frangipane par de la compote de pomme. J'épluche les pommes. Je les fais cuire. Eau.
Je n'oublie pas de mette la fève. Un petit cheval de porcelaine qui a déjà servi de multiple fois. Et depuis au moins 25 années.
Je le récupère à chaque fois. Je préviens. Je mets la galette au four. Cuisson à 350°, thermostat sur 7. Quarante cinq minutes.
Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Je peins les cuivres et le bleu de ce vase.
Ma nature morte au collier de perles prend de l'allure. Elle sera terminée vendredi à midi, au plus tard. C'est le timing parfait.

La sonnerie du four. Je vais à la cuisine. Je sors la galette du four. Une réussite qui parfume toute la cuisine. Elle est superbe.
Les petits croisillons de pâte sur le dessus participent de l'enchantement décoratif de cette galette qui invite à sa dégustation.
Je la pose en évidence, sur la table, au milieu de la cuisine. Je retourne travailler, doublement serein. La galette, mon tableau.
Du bruit. Il est 16 h20. Voilà Clémentine. Elle entre dans l'atelier, jette son sac sur le canapé et se précipite pour me rejoindre.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les cours, les profs, le restaurant universitaire, Gauvain qui drague Estelle.

Assise à la table de travail, devant l'ordinateur, entourée de ses notes, Clémentine est toutefois rapidement dans ses travaux.
Le crépitement du feu. Le craquement du bois et les bruits étranges qui commencent à se faire entendre à l'étage. Le fantôme.
Tout en restant concentrés sur nos labeurs respectifs, nous écoutons les activités paranormales qui redoublent. Premier étage.
Nous entendons bien la même chose. Des bruits de pas qui vont et qui viennent. Furtifs, légers. Cela cesse, cela recommence.
Clémentine qui a vu la galette des rois sur la table de la cuisine en rentrant est impatiente d'y goûter. Moi aussi. Elle est belle.

Il est 18 h30. Nous terminons. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Clémentine range ses documents. J'allume une bougie.
Nous restons assis en tailleur sur le tapis à admirer le feu dans la cheminée. Nous bavardons. Nous évoquons nos aventures.
Les ombres dansantes dans la grande pièce, encore sublimées par l'obscurité sont favorables aux histoires de revenants. Bien.
Pourtant, au-dessus de nos têtes, tous les bruits ont cessé. < Christine est repartie ! > fait Clémentine. Et tout est très calme.
Clémentine s'est allongée au sol, sa tête sur ma cuisse, sa main dans ma braguette. Je lui caresse la tête. Douceur. Tendresse.

Il est 19 h. Nous quittons l'atelier pour monter nous changer. Dehors il pleut sans arrêt. Il fait froid et humide. Désagréable.
Clémentine porte une de ses jupes évasée au-dessus du genoux. Noire. Ses bas noirs fixés haut par son porte jarretelle noir.
Un chemisier blanc sous un pull noir. Ses bottes noires à talons hauts. Elle est splendide. Rayonnante. Ses cheveux en liberté.
Sur sa demande, je porte mon costume de velours noir. Chemise blanche déboutonnée sous un pull noir, col en "V". Superbe.
Nous prenons la pose devant le miroir. Clémentine s'accroupit, me tient par la jambe, pose sa tête sur ma cuisse. Hyper sexy.

Ses cuisses largement écartées elle me dit : < Il y aura peut-être de quoi m'exhiber un peu aux écuries ! Méchante envie ! >
Je lui propose d'y aller. De mettre à profit la petite demi heure. Il y a peut-être une opportunité. Nous dévalons l'escalier. Joie.
Nous mettons les manteaux, écharpes, les chapeaux feutre noirs. Le parapluie géant. Je roule doucement. 3 petits kilomètres.
Il y a encore des voitures garées dans la cour. Il est 19 h30. Il y a de la lumière dans les bâtiments. L'activité y semble vive.
Nous entrons dans notre écurie préférée. Kim Son est entrain de nourrir les chevaux. Le charriot élévateur. La meule de foin.

Le jeune garçon ne nous voit pas. Il est tout occupé à sa tâche. Clémentine me propose de rester en retrait. Je me dissimule.
Là, entre le coin de l'allée centrale et la porte d'entrée, je regarde Clémentine marcher doucement en caressant des chevaux.
Seuls leurs têtes dépassent du portillon supérieur de leur box. Clémentine s'accroupit. Elle fouille dans son sac à main. Bien.
Là-bas, Kim Son sort d'un des box. Il voit cette magnifique jeune fille, d'une élégance folle et dans cette position suggestive.
Il marque un moment d'arrêt. Ce n'est pas la première fois qu'il assiste au show de Clémentine. Il me sait sans doute pas loin.

Lui aussi doit avoir compris le fonctionnement de nos jeux. Clémentine me tourne le dos. Elle relève la tête et reste accroupit.
Elle salue le palefrenier d'un geste de la main en agitant son téléphone. Le prétexte de quelques photos. Kim Son se rapproche.
Il retire son gant pour serrer la main de Clémentine qui reste ostensiblement dans cette position. C'est hyper vicieux. Vraiment.
Elle ne porte pas de culotte. Sa dense touffe noire est-elle visible entre ses cuisses aussi largement écartées ? Certainement.
Kim Son, jeune homme de 25 ans, Vietnamien, aux trait fins, est un beau garçon. La cible et la proie idéale pour Clémentine.

De ma planque, je ne perçois pas la nature des propos qui s'échangent. Les protagonistes chuchotent plutôt qu'ils ne parlent.
Je bande. J'ai assisté à ces scènes tant de fois. Pourtant c'est à chaque fois intense, excitant, nouveau et vraiment prodigieux.
Un bruit de pas derrière moi. Juliette entre dans les écuries. Elle me voit. Elle comprend que je suis entrain de mâter. Sourire.
Elle se penche à côté de moi pour observer. Juliette est revêtue d'un ciré ruisselant d'eau. Je ne vois que ses bottes luisantes.
Nous restons tous deux silencieux dans cette étonnante complicité qui s'est construite au fil du temps. Il y a de quoi regarder.

Kim Son reste d'un calme olympien. Pas un seul geste dans son attitude pour trahir une quelconque confusion, ou un tourment.
< Je n'arrive pas le cerner, côté sexe ! > me chuchote Juliette avant de rajouter : < Et pourtant je lui tends quelques pièges ! >
Clémentine se redresse. Kim Son a du travail. Clémentine le regarde monter sur le charriot élévateur. Un dernier coucou, fini !
Elle vient me rejoindre. Elle me découvre avec Juliette. < Superbe ! > me fait elle en saisissant ma main. Nous suivons Juliette.
Je récupère le Tupperware contenant la galette. Clémentine nous abrite tous les trois sous l'immense parapluie. Nous montons.

Juliette retire son ciré noir. Nous retirons nos manteaux. Juliette est vêtue d'une jupe plissée, bas noirs, pull de coton fin, noir.
Des bottes noires à talons hauts, comme Clémentine. Il y a l'odeur des tartelettes aux crevettes, au crabe. Ça ouvre l'appétit.
Nous bavardons. Juliette nous raconte les dernières actualités du haras. La première animation de l'année dimanche prochain.
Nous promettons de venir faire un passage en milieu d'après-midi. Nous sommes installés dans le salon, assis dans le canapé.
Clémentine est à mes côtés. Elle feuillette l'album photos que nous avons ramené d'Ecosse. Juliette est accroupit pour parler.

A chaque fois que je relève la tête, je peux constater que Juliette garde une position suggestive. Comme Clémentine à l'écurie.
Cela ne s'adresse qu'à moi. Adroite, plutôt virtuose, Juliette est accroupit bien face à moi. Elle ne porte aucun sous vêtement.
Clémentine n'étant pas dupe, partageant la même passion, elle ne tarde pas à se rendre compte du petit jeu de Juliette. Super.
< Bienvenue au Club ! > fait elle en faisant mine de replonger dans la découverte des photos en noir et blanc. C'est formidable.
Ce jeu dure. Il y a des variantes. Juliette se lève pour aller s'accroupir devant différents rayons de sa bibliothèque. Magnifique.

La sonnerie du four. Morts de faim, nous nous précipitons à table. Juliette fait le service. Clémentine fait du pied sous la table.
< Sors ta bite, fais le vicelard ! > me chuchote Clémentine avant que Juliette ne revienne avec le saladier. C'est très excitant.
Je vais aux toilettes. Juliette me fait : < Je vous accompagne où ça ira tout seul ! >. Nous en rions de bon cœur. L'ambiance.
Aux toilettes, je sors ma bite. Je n'ai aucune envie de pisser. C'est juste pour me branler afin de bander comme un vrai salaud.
Je reviens. J'ai la queue fièrement dressée. Juliette a un moment de stupeur toute feinte. Je ne suis pas dupe. J'agite ma bite.

Nous mangeons de bon appétit. Juliette nous raconte la visite de monsieur Gérard, hier soir, comme tous les mardis en soirée.
< La pipe ? > lui demande Clémentine. < Bien sûr ! > répond Juliette. Nous rigolons comme des bossus. C'est si sympathique.
Juliette n'est jamais avare de détails. < On se le suce ensemble, toutes les deux, un de ces soirs ? > lance t-elle à Clémentine.
< Volontiers ! > répond Clémentine en me jetant un coup d'œil interrogateur. Je dis : < Permettez moi de mâter, planqué ! >
< Pas de problème Julien bien au contraire. Les exhibitionnistes aiment êtres regardées. Surtout dans leurs œuvres ! > dit elle.

Gérard vient faire sa visite, et accessoirement se faire sucer par Juliette ou madame Walter, le mardi et le jeudi soir. Il alterne.
< Vous y goutez souvent, vous savez à quel point il est succulent ! > fait Juliette à Clémentine. Les filles évoquent leurs pipes.
J'écoute. Je bande comme le dernier des salauds. Je me branle sous la table. Juliette me fait quelques clins d'œil en mangeant.
Nous dégustons la galette des rois en dessert. C'est Juliette qui découvre le petit cheval en porcelaine. Je lui mets la couronne.
Je lui dis : < Longue vie à la reine des salopes >. Nous rions de bon cœur lorsque Juliette précise : < Et pas qu'une année ! >

J'ai pour habitude et pour principe, de ne jamais faire de propositions aux dames. Je préfère leurs initiatives. C'est bien mieux.
Pourtant, ce soir encore, malgré mes invitations manuelles à me tailler une pipe, Juliette reste distante. Je dois sentir le pâté.
Nous prenons congé. Il est 22 h30. Nous sommes dehors, sous le grand parapluie. J'ai la bite à l'air mais toute molle. Le froid.
Juliette me serre la main, me fait un clin d'œil et fait bouger son doigt dans ma paume. < Et Gérard ? > fait elle à Clémentine.
Ma compagne répond : < Faites le venir mercredi soir prochain ! >. C'est réglé. Au lit, je broute Clémentine. Orgasme. Dodo.

Bonne soirée aux coquines pour mettre au point le prochain rendez-vous avec le vieux retraité impuissant et incontinent…

Julien - (Qui est à se réjouir pour la soirée de mercredi prochain. Au menu, de la vieille bite minuscule et toute molle) -

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Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 665 -



Les pizzas du jeudi soir avec Estelle

Hier matin, c'est le clavecin de Jean Rondeau interprétant une fugue de Mozart qui nous tire de nos profonds sommeils. Dur.
< Mais put-hein, Jeannot, arrête ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Vêtus de nos tenues de gym, nous descendons jusqu'à la cuisine.
Nous préparons un solide petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous remontons. Entraînement.
La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait froid. Tout est humide.

Un dernier bisou. Un dernier coucou. Il est 7 h45. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre en vitesse.
Je fais notre lit, notre vaisselle avant d'aller dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Je prépare mon matériel.
Il est 8 h15 lorsque je suis enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une sorte d'euphorie qui fait plaisir à voir. Serein.
Ma nature morte au collier de perles à déjà fière allure. C'est rassurant. La douzième toile destinée à ma saison d'été. 2019.
Trois coups de sonnette. Je regarde l'heure. Dix heures. Pestant et vociférant, je vais voir. Quelle n'est pas ma surprise. Joie.

Là, sur le pas de la porte, Juliette. Elle est vêtue chaudement de sa tenue d'équitation. son cheval attaché là, au lampadaire.
Elle retire ses gants pour me serrer la main. Souvent lorsqu'elle passe à proximité à cheval, Juliette passe me saluer. Sympa.
Je l'invite à entrer. Elle n'a pas le temps. Par contre nous restons au chaud dans le hall d'entrée. Nous bavardons. Dimanche.
Nous sommes invités à la première animation de l'année au haras. Nous évoquons notre projet "Gérard" mercredi prochain.
Tout en parlant, Juliette, d'un discret geste de la main devant son sexe mime une masturbation masculine. Et avec insistance.

De voir cette jeune femme, très distinguée, si classe, si bourgeoise avoir ce comportement d'une exquise vulgarité, enchante.
Je reste un peu gêné. Juliette s'en amuse. Elle me demande si elle peut profiter de mes toilettes. Je l'invite à me suivre. WC.
Dehors, il fait gris. Le ciel est bas. Mais aucune menace pluvieuse. Juliette revient. Et elle recommence son imitation vulgaire.
Je la raccompagne jusqu'en haut de l'escalier. Je la regarde monter sur le cheval. Un dernier coucou. Elle s'éloigne. Le sourire.
J'admire encore un instant la silhouette altière de cette étonnante cavalière. Elle s'arrête. Se retourne. Reste immobile. Droite.

En me fixant, à une centaine de mètres, elle imite une masturbation masculine avec insistance avant de faire un dernier signe.
Je la regarde s'éloigner et disparaître en bas pour longer la rivière. Je peins sans cesser de penser à l'étonnante jeune femme.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave la salade verte pour midi et pour ce soir. Je fais bouillir l'eau du riz complet.
Je prépare une belle pâte à pain. C'est pour les pizzas de ce soir. Je concocte une garniture avec des tomates fraîches. Rapide.
Je récupère un peu de cette garniture en accompagnement du riz. Je mange de bon appétit tout en écoutant les informations.

La vaisselle. J'éteins la radio. Je range la cuisine. Je retourne dans l'atelier. Je rajoute la troisième fournée de bûches. Chaleur.
Il est presque 13 h lorsque je suis à nouveau assis devant le chevalet. Je ne cesse de penser à Juliette et à son comportement.
Cette magnifique jeune femme m'a toujours impressionné. Depuis le premier jour où nous avons fait sa connaissance en 2017.
Je peins malgré tout avec le plus grand sérieux. Du bruit. Il est déjà 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle se précipite.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. J'écoute. C'est intéressant et si amusant. Je lui raconte la visite de Juliette.

Nous travaillons encore. A l'étage, les premiers bruits étranges. Nous en déduisons que c'est toujours au retour de Clémentine.
Ma compagne est une authentique médium. Elle ressent ces choses là avec une acuité impressionnante. Elle m'explique. Bien.
Il est 18 h15. Estelle arrive. Elle entre dans l'atelier pour se précipiter vers moi. J'ai juste le temps de poser palette, pinceaux.
Assise sur mes genoux elle nous écoute relater notre soirée de hier, chez Juliette, et ce qui est en prévision mercredi prochain.
< Une soirée Gérard ! Et sans moi ! > s'écrie Estelle. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine répond : < On te raconte ! >

Les filles sont assises à la table de travail. Elle compare leurs avancées. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Il est 18 h45.
Je suis assis en tailleur au sol, sur le tapis, devant la cheminée. Les filles viennent me rejoindre. Elles s'installent a mes côtés.
Toutes lumières éteintes nous admirons ce magnifique spectacle. A l'étage, les bruits furtifs et légers reprennent. Le fantôme.
Clémentine nous explique que c'est un phénomène de hantise et nullement des poltergeists. En effet, il n'y a jamais de chocs.
Aucun projectiles. Aucun objet de déplacé. Estelle se blottit très fort contre moi, sa main dans ma braguette. Nous écoutons.

Les hypothèses proposées par Clémentine sont à la fois pertinentes et probablement les plus sensées. Un plaisir de l'écouter.
Il est 19 h15. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour aller à la cuisine. A l'étage les bruits ont cessé.
Estelle s'occupe de la pâte qu'elle étale sur la nappe et après y avoir saupoudré de la farine. Clémentine fait l'assaisonnement.
Je réchauffe la garniture. Je râpe une copieuse dose de gruyère de Comté. Les filles évoquent leurs études. Les programmes.
Parfois l'une ou l'autre vient se blottir ou se frotter contre moi. Sous mon tablier, j'ai évidemment la bite à l'air. C'est obligé.

< Tu mets le ruban ce soir ? > me demande Estelle en glissant sa main sous mon tablier. Nous en rigolons comme des bossus.
Clémentine récupère un des rubans que nous gardons dans la petite corbeille sur le frigo. C'est pour des emballages cadeaux.
Elle me noue le rouge autour du poignet. Estelle verse la garniture sur les trois pâtes si bien étalées. Je saupoudre de gruyère.
Je mets au four. Clémentine met la table. Estelle m'enlève le tablier. Nous passons au salon. Les filles vautrées dans le canapé.
Je suis debout. Je sors mes couilles. Je bande mou. C'est assez facile. Il n'y a toujours que ma braguette d'ouverte. Esthétique.

Je détache le ruban de mon poignet pour l'enrouler délicatement autour de mes roubignoles. Les filles observent. Silencieuses.
Je fais un beau nœud. Voilà mes testicules fièrement enserrées par le ruban de satin rouge. Et cela les rend dodues à souhait.
Estelle me fait signe de l'index. Je me rapproche. Elle se penche en avant. < Magnifique ! > fait elle en passant son doigt. Joie.
< On dirait de la peau de poulet déplumée ! > fait elle encore comme à chaque fois. Les filles sont penchées pour bien scruter.
Estelle évoque les couilles énormes de Gérard et dit : < Comme sa bite est minuscule, ses couilles semblent gigantesques ! >

< Non, non, elles le sont bien ! > rajoute Clémentine qui les a vu de très près plusieurs fois. Qui les vidé à plusieurs reprises.
Je bande mou. Estelle se saisit de ma bite pour la maintenir vers le haut afin de bien dégager les couilles enrubannées. Satin.
Estelle nous fait part de sa profonde frustration en ce qui concerne la "soirée Gérard". < Put-Hein mais j'aimerai être avec ! >
Nous lui promettons de tout lui raconter. Estelle nous rappelle que samedi soir, nous regardons le petit film improvisé. Les WC.
< J'ai commencé le montage. Malgré que ce soit filmé avec le téléphone, l'image est de qualité ! > précise t-elle. C'est parfait.

< Regarde ! Elles bougent toutes seules ! > fait Estelle en pointant son doigt vers mes couilles. < Normal ! > dit Clémentine.
Elle passe son index sous mes roupettes pour les soupeser et les maintenir en l'air. Je ne les vois pas bouger mais je les sens.
Il y a une goutte de liquide séminal qui perle du prépuce fripé et soigneusement refermé. Il ne risque pas de s'écouler. Epais.
< C'est génial ! > rajoute Estelle qui se rapproche encore. < Le distributeur se met à fonctionner ! > fait Clémentine. Rigolade.
Estelle se penche davantage, m'attrape par les hanches, m'attire à elle et prend l'extrémité de mon sexe en bouche pour téter.

Clémentine que ces situations excitent toujours considérablement se penche tout près. Estelle tend ma queue à Clémentine.
Les filles se partage leur apéritif en gloussant de plaisir. Je caresse leur tête. Mes lombaires me font un peu souffrir. Position.
La sonnerie du four. Nous cessons. Les filles se lèvent en même temps. Nous nous précipitons à la cuisine en riant. C'est prêt.
Nous mangeons de bon appétit. Estelle nous raconte le montage du prochain film. Ce film improvisé tourné mardi soir. WC !
Je propose de nous faire un repas de fête avant le visionnage. Je demande à chacune de faire preuve d'un détail original. Joie.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, tout en terminant leur yaourt, les filles évoquent les films déjà tournés. Le vice.
Estelle nous confie quelques idées de scénarios. Des choses parfois insensées qu'elle aimerait mettre en image. Trucs salaces.
Estelle ne manque pas d'imagination. Son fantasme de faire l'actrice porno la taraude depuis l'adolescence. Elle peut pratiquer.
Rares sont les possibilités de réaliser des fantasmes. Notre relation privilégié, nos profondes complicité, le permettent. Paradis.
Nous rions de bon cœur de ses idées souvent farfelues. Mais nous sommes également impressionnés par ses capacités au vice.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est 21 h30. Nous retournons au salon. J'ai toujours les couilles enrubannées de satin.
Cette fois Clémentine s'installe dans le fauteuil. Une main dans son pantalon déboutonné. Estelle a déposé le coussin parterre.
Le signal des festivités. Je suis vautré dans le canapé. Estelle est à genoux sur l'épais coussin. Et entre mes cuisses écartées.
Je lui frotte la bite sur le visage dont elle me présente chaque partie, les yeux fermés, en gémissant de bonheur. C'est la pipe.
Je me fais tailler une pipe des familles. Clémentine se masturbe en nous regardant. J'essaie d'être vicelard. Des petits gestes.

Je chuchote des cochonneries à Estelle. Nous sommes parfaitement immobiles. Je la regarde sucer. Passionnée et assoiffée.
Les joues creusées par l'effort, poussant de petits cris d'émerveillement. Gémissant d'un plaisir aussi indicible que le mien.
J'éjacule. Estelle pousse un profond râle qui se prolonge dans un gargouillis bulleux. Elle déglutit l'énorme débit avec peine.
Il est 22 h30. Interdit de partir pour un second tour. Nous reprenons nos esprits. Nous raccompagnons Estelle à sa voiture.
La séparation est difficile. Elle revient samedi pour 14 h. Et nous avons un superbe Week-End qui nous attend. Plein de bises.

Bonne pipe à toutes les coquines qui aiment vider des couilles joliment enrubannées de satin rouge. Satin authentique…

Julien - (Qui est à se réjouir pour ce Week-End plein de surprises. Le film. Repas chez les parents d'Estelle. Le haras) -

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Le début d'un Week-End épique

Hier matin, vendredi, c'est le violon de Renaud Capuçon interprétant une ouverture de Bach qui nous tire de notre sommeil.
< Oh ! Capuchon ! Ça va la tête ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Elle m'entraîne par la main jusqu'aux toilettes. Morts de faim nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Notre petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine termine à midi. De quoi être contente. De quoi la réjouir. Joie.
Nous montons pour nous offrir notre heure de gym. Intensité maximale. La douche. Je descends sortir l'auto de Clémentine.

Il fait encore nuit. Il y a quelques gouttes de pluie. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Un dernier coucou, des bisous.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il est 7 h45. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et notre vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'y allume un beau feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Super.
Je suis enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une allégresse glorieuse. Livré corps et âme à ma passion dévorante.
Je sais déjà que je termine cette nature morte au collier de perles pour midi. De quoi être serein. Déjà douze toiles de prêtes.

Comme prévu, il est 11 h45 lorsque je donne le coup de pinceau ultime sur cette toile que je pose au sol avec les autres. Joie.
Je nettoie mon matériel. Je dépose une toile vierge sur le chevalet. Je vais à la cuisine. J'épluche les pommes de terre. Gratin.
Il est 12 h15. Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous.
Elle me raconte sa matinée tout en préparant la salade de tomates. Cet après-midi, il lui faudra fournir un effort. Préparation.
Avec cette météo déplorable, cette pluie fine qui ne cesse de tomber, le seul programme sera le travail, la chaleur de l'atelier.

Je mets les patates dans le plat. J'y verse un mélange de crème, de lait de soja, d'œuf. Je recouvre d'une couche de gruyère.
Je mets le plat dans le four. La table est mise. J'entraîne Clémentine au salon. Je la fais tomber dans le canapé. De la douceur.
Je lui retire son pantalon et sa culotte. Me voilà à genoux sur l'épais coussin. J'ai le visage entre ses cuisses. Elle est vautrée.
Je hume longuement les parfums de sa matinée de fille. Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe humide.
Je m'enivre de ces saveurs acidulées. C'est un vrai régal. Clémentine me tient par les oreilles. Elle guide ma visite, mon émoi.

Du bout de mes lèvres serrées, je décalotte le bouton de joies. J'adore le léger reflexe de son corps qui va affronter le plaisir.
La respiration de Clémentine change. Il y a les premiers gémissements. C'est merveilleux. J'ai des poils plein la bouche. Bien.
J'interrompt mon suçage de clitoris pour aller lécher le filet de cyprine qui s'écoule jusque dans la raie culière. Coulures. Jute.
Nous devons redoubler de vigilance. Il y a toujours quelques instants critiques qu'il faut déjouer adroitement, éviter l'orgasme.
Je broute. Je lèche. Je pompe. Je suce. Dans un véritable concerto en Cul Majeur que Clémentine module de ses cris en Ut.

J'ai le nez et les joues qui me chatouillent. Les poils. Pour moi c'est facile d'être prudent. Clémentine commence à lutter. Dur.
Elle me repousse délicatement. Il faut cesser. C'est parfait. La sonnerie du four se fait entendre. Clémentine tend les mains.
Je me redresse. Je l'aide à se relever. Nous nous précipitons à la cuisine. Avec un mouchoir en papier, elle m'essuie le visage.
Je lèche les chattes comme je mange, sans pouvoir m'empêcher d'en mettre partout. Nous rigolons comme des bossus. Bien.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le programme de ce Week-End. De ces petits événements qui vont s'enchaîner.

Nous traînons à table. Nous avons tout notre temps. Assise sur mes genoux, terminant son yaourt, Clémentine me raconte.
Sans pantalon, sans culotte, elle macule tranquillement mon pantalon. Et nous nous en rendons compte lorsqu'elle se relève.
Nous en rions de bon cœur. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est déjà 14 h et dehors une pluie fine tombe sans arrêt.
Nous allons dans l'atelier. Je remets deux grosses bûches dans la cheminée. Cette année, c'est déjà le cinquième stère. Bois.
Clémentine est assise à la table de travail, entourée de ses fiches, l'ordinateur allumé. Je commence mon dessin préparatoire.

Nous adorons ces séances de travail commun. Parfois, l'un se lève pour aller faire des bises à l'autre. Et regarder ce qu'il fait.
Dans le cadre de ses études, clémentine fait des recherches approfondie sur l'ordinateur. Elle m'explique ce que je vois. Bien.
Je prépare notre thé au jasmin de 17 h. Deux petits gâteaux secs. La nuit est tombée. Nous nous accordons enfin la collation.
Je propose d'aller manger au restaurant ce soir. Chez Julie. Pourquoi ne pas débuter ce Week-End par quelques égarements.
< Génial ! > s'écrie Clémentine en me sautant au cou. Je la soulève. Elle m'enserre de ses jambes autour de la taille. Super.

J'ai terminé le dessin préparatoire de la treizième toile destinée à ma saison d'été. J'applique les deux couches d'impression.
Dès lundi, je peux commencer la peinture de cette nouvelle œuvre. Une scène de genre à deux personnages. Timing parfait.
Il est 18 h45. Clémentine range ses documents. Comme moi, elle est pleinement satisfaite de son labeur. Beaucoup d'avance.
Nous restons encore un peu devant la cheminée. Aujourd'hui, aucun bruit étrange ne se fait entendre à l'étage. C'est parfait.
Nous regardons le feu s'éteindre. Nous quittons l'atelier. Nous montons nous changer. Et la faim commence à se faire sentir.

Clémentine porte une jupe kilt à carreaux rouges. Chemisier blanc sous un pull bleu nuit. Ses bas noirs, bottes à talons hauts.
Ses cheveux en liberté qui flottent sur ses épaules. Elle est si magnifique. Sur sa demande, j'ai mon costume de velours noir.
Nous prenons la pose devant le miroir. Clémentine s'accroupit. Elle me tient la jambe, sa tête contre ma cuisse. Elle me fixe.
Son regard implorant, elle écarte ses cuisses. Son porte jarretelle noir est l'écrin parfait de sa touffe dense et noire. Sublime.
< J'ai besoin d'être prise en main. Tu veux bien t'en occuper ce Week-End ? > me demande t-elle. Je lui caresse les cheveux.

Je la tiens fermement par les cheveux pour la forcer à se relever. Elle m'embrasse avec passion avant que je ne puisse parler.
Je lui passe la main sous la jupe. Je malaxe les lèvres généreuses et charnues de son sexe humide. J'ai envie de m'en régaler.
Il faut y aller. Nous descendons. Je tiens Clémentine pas sa tignasse pour l'entraîner au salon. Nous passons derrière le bureau.
Du tiroir du bas, je sors le collier canin et la laisse. Je lui passe le collier autour du cou avant d'y fixer la laisse. Prêts à y aller.
Eperdue de reconnaissance devant cette initiative qui la ravie tant, Clémentine se serre contre moi. Se frotte. Et m'embrasse.

Nous mettons nos manteaux. Nos écharpes. J'ai pris soin de dissimuler le collier par un fin foulard de soie noire. La discrétion.
Nous voilà en route. Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Parfois elle se penche pour sucer. Il pleut. La nuit.
Quelquefois, j'appuie sur sa nuque pour lui enfoncer un peu plus de bite dans la bouche. Elle en glousse de surprise heureuse.
Douze petits kilomètres et nous arrivons au restaurant de l'étang. Il y a peu de voitures. Donc peu de monde. C'est très bien.
Nous entrons. Il est 20 h15. Julie, toute contente et toute surprise, vient nous accueillir. Elle est en plein service. C'est sympa.

Nous la suivons. Notre table habituelle. Il y a peu de clients et la plupart son déjà servis. Julie a le temps de bavarder un peu.
Nous apprenons qu'elle a rencontré un garçon. Un jeune professeur de sa faculté de lettres modernes. Elle est toute contente.
Je la félicite. Julie ne sait pas trop comment aborder le principe de ses visites du lundi soir. Je lui propose d'y mettre un terme.
Nous lui retirons une épine du pied. Nous commandons deux plateaux de fruits de mer. La tante à Julie vient nous saluer. Joie.
A plusieurs reprises, entre deux services, Julie vient discuter. Elle me fait : < Mais nous pouvons continuer nos jeux en bas ! >

Tout en précisant cette éventualité, Julie indique l'escalier qui descend aux toilettes. Clémentine me fait du pied sous la table.
Cette suggestion de Julie nous rassure quand au plaisir qu'elle prend à nos petits jeux. Mais elle ne viendra plus le lundi soir.
Clémentine m'apprend qu'un des messieurs des deux couples installés deux tables plus loin, lui fait de l'œil. Il mâte, insistant.
Le type a sans doute découvert ce qui se passe sous notre table. Je regarde sur l'écran noir de mon téléphone. Pas de doute.
Clémentine me raconte ce qu'elle fait de ses jambes qu'elle croise, qu'elle décroise et surtout qu'elle écarte devant l'inconnu.

< Nous avons tous deux des choses à réaliser aux chiottes ! Tu y vas le premier ou moi ? > me demande Clémentine. Inspirée.
Julie est derrière le comptoir à préparer des cafés. Elle me fixe à plusieurs reprises. Je montre l'escalier de mon doigt. Discret.
Elle hoche la tête. C'est à peine perceptible. Je me lève. Je descends. J'entre dans les toilettes. Je sors ma bite. Je me branle.
Je ne suis pas là depuis deux minutes que j'entends des pas rapides dans l'escalier. Julie entre dans les WC. J'agite ma queue.
Elle se précipite pour la saisir. C'est la première fois qu'elle fait ça. < Ne me laissez pas tomber. Revenez souvent ! > fait elle.

Je lui promets. Je dis : < Tu n'hésites pas. Si tu veux passer à la maison, tu es la bienvenue ! >. < Promis ! > murmure t-elle.
Elle doit remonter. Le service. Elle me fait un rapide baiser sur la bouche avant de filer à toute allure. Je remonte. Tourmenté.
Je raconte ce qui s'est passé à Clémentine qui me montre la table vide. Les deux couples sont partis. C'est vraiment frustrant.
Nous traînons à table. Et nous sommes presque les derniers. Julie a du temps à nous consacrer. Je la rassure pour les lundis.
Clémentine lui dit : < Tu as la moindre envie de passer, le moindre souci, tu rappliques ! Promis ok ? >. Julie semble rassurée.

J'enlève le foulard de soie pour montrer à Julie le collier que porte Clémentine. Je précise : < Si tu veux t'amuser un soir ! >
Julie me regarde, amusée, pour me répondre : < Je vous avoue avoir commencé à fantasmer sur cette possibilité ! >. Rires.
Nous prenons congé. Il est 22 h30. Julie nous raccompagne. Elle se serre contre moi. C'est la première fois qu'elle fait cela.
J'ouvre ma braguette. Je sors ma queue. Je l'agite dans sa direction. Je dis : < Elle t'attend. C'est quand tu veux ! >. Bises.
Sur le chemin du retour, Clémentine n'arrête pas de me sucer. A la maison, petite baise et gros cunnilingus. Orgasmes fous.

Bon début de Week-End à toutes les coquines qui s'apprêtent à se livrer au stupre, à la luxure et au vice avec volupté…

Julien - (Qui tient sa bite à disposition des jeunes filles, (majeures), aimant s'offrir de récréatives séquences de vice) -

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Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 667 -



Estelle nous fait découvrir son montage

Hier matin, samedi, je suis tiré de mon sommeil par quantité de bisous que l'on me dépose sur les joues et le bout du nez.
J'ouvre les yeux. Le visage bienveillant de Clémentine penché au-dessus du mien. Pétri d'émotion je la prends contre moi.
Nous restons ainsi jusqu'à l'extrême limite. L'urgent besoin de pisser est intolérable. Et nous nous précipitons aux chiottes.
Il est 8 h. Nous descendons à toute vitesse jusqu'à la cuisine vêtus de nos tenues de gym. Nous préparons le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant un très vague programme de la journée. Dehors, il fait moche. Pluie et froid.

Nous traînons à table. Nous remontons pour nous livrer à notre heure d'entraînement. C'est toujours un bonheur. La douche.
Nous nous habillons. Clémentine porte une de ses jupes de velours carmin, évasée aux genoux, chemisier blanc et pull noir.
Ses bas noirs fixés au porte jarretelle noir. Ses bottes noires à talons hauts. Elle laisse ses cheveux en liberté sur les épaules.
Sur sa demande, je porte un pantalon de velours brun, une chemise blanche déboutonnée sous un pull carmin au col en "V".
Nous prenons la pose devant le miroir. Clémentine s'accroupit, se tient à ma jambe, pose sa tête contre ma cuisse. Si belle.

Les cuisses largement écartées, me fixant de son regard implorant dans le miroir, elle se serre contre ma jambe. Très fort.
Je lui caresse la tête en lui disant : < Tu veux le collier et la laisse ? >. Elle me fait un adorable sourire mais sans répondre.
Je la force à se redresser. Nous descendons. Il faut aller faire nos courses. Le rituel du samedi matin. Le marché au village.
J'entraîne Clémentine au salon. Du tiroir du bas du bureau, je sors le collier canin. Je le lui passe autour du cou. Et la laisse.
Je donne un à coup. Je lui fais faire le tour de la grande pièce. Clémentine se frotte contre moi en disant : < Merci Maître ! >

Nous rions de bon cœur lorsque je précise : < Je ne suis pas plus "Maître" qu'archevêque ! >. Nous enfilons nos manteaux.
Nos écharpes. Il faut s'abriter sous l'immense parapluie. Nous sortons la voiture. Je roule doucement. Clémentine me suce.
Nous arrivons au bourg. Malgré la météo déplorable, il y a toujours plein de monde. Je gare l'auto. Je porte les sacs. Super.
Personne ne se doute que la grande jeune fille serrée contre moi sous le parapluie qu'elle tient, a un collier, tenue en laisse.
Cela plaît tant à Clémentine qu'elle en roucoule dans mon cou en me faisant plein de bisous. Nous faisons nos courses. Joie.

Nous faisons provision de légumes et de fruits à profusion. Nous faisons provision de fromages, beurre, œufs et de yaourts.
Nous avons un bon mot avec chacun de nos fournisseurs habituels, petits artisans chaleureux et optimistes. Plutôt sympas.
Nous rangeons les produits frais dans la glacière branchée sur l'allume cigare. Direction la zone commerciale. Supermarché.
Treize petits kilomètres où Clémentine ne cesse de me sucer avec gourmandise. Parfois je lui appui doucement sur la nuque.
Nous arrivons. Je gare l'auto sur le parking du supermarché. La pluie tombe, fine et régulière. Je pousse le caddie. Courses.

Malgré le climat maussade, il y a beaucoup de monde. Clémentine m'entraîne dans les rayons qui nous concernent. Bien.
Elle tient la liste que je dresse au fil des jours, fixée sur la porte du réfrigérateur. Nous sommes certains de ne rien oublier.
Personne ne se doute que cette superbe jeune fille porte un collier duquel pend une laisse dissimulée sous son manteau.
Clémentine m'entraîne au rayon des bouquins. Je reste à l'écart. Je feuillette une bande dessinée. Clémentine rôde un peu.
Je la regarde déambuler entre les rayonnages, prendre un livre, le feuilleter , le poser, s'accroupir et en chercher un autre.

Il y a un homme qui pousse un chariot. Il a certainement repéré la fille car il s'approche. Il est à environ deux mètres d'elle.
Il est vêtu d'un anorak, de jeans. La trentaine. Je le vois ouvrir son anorak. Clémentine a évidemment vu arriver le quidam.
Le chariot fait écran. De l'autre côté il y a le tourniquet des cartes routières. C'est l'endroit idéal pour un super plan exhibe.
Le type mâte plusieurs fois dans toutes les directions. Clémentine s'est accroupit. Je ne vois plus que sa tête. Je me déplace.
Je dois rester distant. Ne pas me faire repérer par le type qui semble épier. Pas de doute. Nous avons affaire à un vicelard.

Je feuillette mon album. Je mâte. Je suis à une dizaine de mètres. Je louche à m'en déboîter les globes oculaires. Douleurs.
Clémentine fait certainement son show habituel. Je ne peux pas le voir. Par contre je vois l'inconnu se palper la braguette.
Il est d'une discrétion totale. Certainement un virtuose de ce genre de plan. Clémentine lève les yeux. Elle fixe la braguette.
Le type est du genre gonflé. Et je suis certain qu'il a sorti sa queue. Clémentine lui sourit à chaque fois qu'elle lève les yeux.
Je bande comme un salaud. A plusieurs reprises, lorsqu'un client passe trop près, le quidam referme les pans de son anorak.

Les gens ne prêtent aucune attention à ce qui se passe. Sans doute pensent-ils avoir affaire à un couple qui fait ses courses.
Le mec est un grand spécialiste. J'admire ses initiatives et son incroyable sang froid. Le pervers de supermarché. Le virtuose.
Il est rare d'avoir affaire à un tel spécimen. Là, Clémentine semble avoir tiré le gros lot. Je me déplace. J'ai trop envie de voir.
Je passe en faisant mine de regarder dans mon caddie. Clémentine joue parfaitement le jeu. Elle resserre ses cuisses. Super.
J'aimerai bien lui faire un clin d'œil. Je me positionne un peu plus loin. J'essaie de voir si le mec a sorti sa queue. Impossible.

J'ai le cœur qui bat la chamade. Je suis en sueur. J'aimerai voir. Clémentine, sans doute gagnée pas l'ankylose, se redresse.
Le type lui adresse la parole. Je la vois rire. Elle se tient les cheveux d'une main et semble écouter ce que raconte le vicieux.
Elle sort un stylo de son petit sac à main. Sur un bout de papier elle prend note. Le mec est entrain de lui refiler son numéro.
L'homme tend sa main à Clémentine qui ne la prend pas. Elle se contente de le saluer avant de quitter l'endroit. Je la regarde.
Nous nous rejoignons au rayon informatique, un peu plus loin. Elle me raconte. Effectivement, le mec avait sa queue à l'air.

Le type avait sa braguette déboutonnée. Seule l'extrémité de sa queue dépassait. Il l'a faisait bouger devant la fille accroupie.
Une petite bite nerveuse, fine dont seul le prépuce dépassait. < Je l'ai félicité pour son culot ! > me raconte Clémentine. Rires.
Nous terminons nos achats. Nous passons en caisse. Là-bas, il y a le type. Il ne nous voit pas. Clémentine a ses coordonnées.
< J'aimerai bien faire la connaissance d'un tel salaud ! Il faut quand même être gonflé pour faire ce truc ici ! > dit Clémentine.
Je lui conseille de l'appeler, de fixer un rencard et d'aller boire un café avec lui. Clémentine s'arrête, me regarde. L'air dubitatif.

< Tu es d'accord ? > me demande t-elle. Je réponds : < Plutôt deux fois qu'une ! Fixe lui un rendez-vous au salon de thé ! >
Nous passons devant. Il y a deux tables de libre. Clémentine sort son téléphone. Elle compose le numéro sous secret d'appel.
Ainsi, son numéro n'apparaît pas. Je l'entends converser. Le type lui apprend qu'il n'est pas seul. Il rejoint sa femme dehors.
Pas de chance. Clémentine propose un autre jour. Rendez-vous est pris pour mardi après-midi, ici, dans la galerie marchande.
< Super ! On va s'éclater ! > me fait Clémentine en remballant son téléphone. Rendez vous à 16 h mardi, ici au salon de thé.

Nous prenons la route. Je roule doucement. Clémentine me raconte les détails. L'exhibitionniste qui cause en bougeant le Zob.
Nous rigolons comme des bossus de ce culot. < Tu te rends compte ! Il pourrait tomber sur une délatrice ! > fait Clémentine.
Je précise : < Je pense qu'il doit prendre ses précautions. Et il a vu ton attitude. Ton comportement ! Bienvenue au "Club" ! >
Il est 12 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Nous rangeons les courses. Nous préparons notre repas. Moules et légumes.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous retirons nos tabliers. Joie.

Je retire délicatement le collier canin du cou de Clémentine. Avant l'irritation qui gagne. Elle m'entraîne au salon. Très excitée.
Je la fais tomber dans le canapé. Je suis à genoux entre ses cuisses écartées, ses jambes relevées. Et il y a de quoi se régaler.
Trempé par l'excitation, son sexe suinte de foutrine. Je lui fais remarquer que l'intérieur de sa jupe est maculé de crème. Rire.
< Encore ! > me fait elle en me saisissant par les oreilles pour me guider. Elle retire sa jupe pour ne pas la tacher davantage.
Je broute. Je lèche. Je suce. Je pompe. Je me régale. Clémentine me repousse délicatement à plusieurs reprises. La prudence.

Pas question d'avoir un orgasme prématuré mais de rester à l'extrême limite du supportable. Nous en sommes passés maîtres.
Du bruit. Un moteur. La porte. C'est Estelle. Elle nous surprend ainsi. < Miam ! > dit elle en se précipitant pour me faire la bise.
Clémentine en profite pour resserrer ses cuisses. Je me redresse. Estelle m'essuie le bas du visage avec un mouchoir. Poilade.
Nous nous vautrons tous les trois dans le canapé. Je suis entre les deux filles. Clémentine raconte l'aventure de ce matin. Rire.
Estelle écoute en riant et en posant plein de questions. < Je viens avec mardi après-midi. Je reste avec Julien ! > lance t-elle.

Nous organisons le plan. Estelle et moi nous tâcherons d'êtres assis, comme de parfaits inconnus pour mâter, tenter d'écouter.
Clémentine aura son téléphone allumé. Estelle et moi, partagerons les écouteurs. Nous rions de bon cœur de ce projet. Super.
Les filles ont du boulot. Nous passons dans l'atelier. Il est 14 h30. Nous voilà dans cette ambiance de travail que nous aimons.
Je peins dans une véritable euphorie. J'entends les filles échanger le résultat de leurs recherches, les déductions, les stratégies.
Il est rapidement 18 h30. Il fait nuit. Il a fait hyper moche tout l'après-midi. Nous sommes assis en tailleur devant la cheminée.

Il y a quelques bruits étranges à l'étage. Mais rien d'inquiétant. C'est beaucoup plus discret que certains autres soirs. Fantôme.
Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Ce soir, gratin de coquillettes, filets de saule panés, salade de carottes. Bien.
Tout est rapide. Nous sommes méthodiques. A trois, tout va si vite. Nous mettons la table au salon. Ce soir il y a "Film porno".
Estelle a ramené la clef USB sur laquelle elle télécharge le résultat de ses montages. Il y a cette fois 30 minutes. C'est parfait.
Clémentine insère la clef dans l'ordi relié au téléviseur. Tout est prêt devant le canapé. Nous mangeons de bon appétit. Sympa.

Estelle a ramené de quoi se changer dans le sac de sport. Les filles sont toutes les deux en jupes. Un peu des sœurs jumelles.
Je les félicite. Il est 20 h30. Nous débarrassons la table. Nous mettons nos tabliers. La vaisselle. Et nous rangeons la cuisine.
Nous voilà confortablement installés dans le canapé. Clémentine tient la télécommande. Nous retenons nos respirations. Film.
Nous avons déjà vécu ces émouvants moments à plusieurs occasions. Estelle adore nous offrir le fruit de ses montages vidéos.
Là, à l'écran, apparaît son visage d'ange, en gros plan, souriante et détendue, elle fixe l'objectif. Ce sont des images d'Ecosse.

Un générique fantaisiste défile. Le titre de ce nouveau film apparaît à l'écran. Une réalisation intitulée sobrement " Les WC".
Nous rions de bon cœur. Surtout lorsqu'apparaissent à l'image, en gros plan, mes couilles enrubannées de satin rouge. Rires.
Le visage d'Estelle qui apparaît en fondu enchaîné. Nous applaudissons. Un fois encore, Estelle a fait un boulot "professionnel".
C'est toujours une sensation très étrange de voir la même fille assise à ma droite que celle qui apparaît à l'écran. C'est divin.
Le fantasme de faire l'actrice porno d'Estelle trouve ici, une fois encore, toute sa possibilité d'expression. De la grande qualité.

Estelle passe une main sous sa jupe pour commenter les images. Le film n'est pas silencieux et il ne s'y dit pas grand chose.
On voit ma bite en gros plan, le ruban de satin délicatement noué autour de mes couilles. Elles sont dodues, la peau tendue.
Le visage d'Estelle qui se pose contre mon sexe pour s'y frotter. On entend distinctement les gémissements. La respiration.
< Je me suis branlé durant tout le montage hier soir ! > nous dit Estelle. < Et tu continues au visionnage ! > fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus. Je bande comme le dernier des salauds. Estelle à l'écran. Estelle en vraie à ma droite. Bon.

Clémentine fait de nombreux arrêts sur image. Surtout lorsque cette image est hyper suggestive, excitante, pornographique.
Le jet de pisse qui jaillit soudain, juste devant le visage d'Estelle. Le jet qui cesse. Et Estelle qui se met à sucer avec passion.
Je sors ma bite pour me branler. Nous sommes tous les trois à regarder ce film en nous masturbant doucement. C'est génial.
Nous avons déjà tant fait ça que nous avons nos réflexes. Là, à l'écran, la pipe juteuse d'Estelle. Le jus suinte de sa bouche.
Les éclats de rire. Je ne me souvenais plus de nos propos rigolos dans les chiottes pendant que Clémentine filmait. Poilade.

Dans le film, chaque fois qu'Estelle pouffe de rire, tout en pompant, il y a des giclées de foutre, ou de pisse, qui éclaboussent.
Le film ne dure que 27 minutes. Avec les arrêts sur image, il dure bien une heure. Je propose aux filles de les brouter. Super.
Je leurs suggère de les terminer toutes les deux avec un cunnilingus dont je conserve jalousement le secret. Nous en rigolons.
Me voilà à genoux, passant d'un croupion à l'autre. Estelle, pourtant peu humide, mouille ce soir comme une éponge humide.
Clémentine a quelques éjaculations vaginales dont elle est de plus en plus coutumière. Estelle se tortille en gémissant. Folie.

Je ne sais plus à qui sont les poils que je n'arrête plus de sortir de ma bouche. J'ai le bas du visage trempé de mouille. Délice.
Estelle connaît un orgasme extraordinaire. Ils sont de plus en plus forts. Elle hurle de plaisir. C'est prodigieux. Elle en pisse.
Il est rare qu'Estelle en arrive à de telles extrémités. Je suis trempé de pisse. C'est au tour de Clémentine. Une vraie fontaine.
< Pauvre Julien ! > me fait Estelle qui retrouve ses esprits la première. Elle se lève pour chercher la serviette aux toilettes.
Clémentine reprend ses esprits. Estelle passe la serpillère. J'ai la serviette sur la tête. Nous rigolons comme des bossus. Joie.

Nous faisons propre. Il faut éponger le cuir du canapé. Vider les flaques. Essuyer. Estelle manie le seau et la serpillère. Rire.
Nous montons. Estelle branche le sèche cheveux pour me sécher la tête. < Pauvre Julien ! Tout mouillé ! > fait elle en riant.
Nous voilà au lit. Je suis entre les deux coquines qui se passent ma bite qu'elles sucent avec tant de passion. Et c'est si beau.
Nous sommes tous les trois épuisés. Je propose de reprendre cette pipe demain. Je déteste les orgasmes précipités. C'est nul.
Estelle s'endort la première. Clémentine est entre nous deux. Elle se serre pour me chuchoter ses derniers ressentis. Le dodo.

Bonne soirée à visionner vos réalisation cinématographiques à toutes les coquines dont le fantasme est de faire du porno…

Julien - (En parfait esthète, préfère jouir en gardant toute sa lucidité, sans précipitations. C'est bien meilleur) -

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Un dimanche avec quelques rebondissements

Hier matin, dimanche, je suis réveillé de la plus merveilleuse des façons. Ce qui devient d'ailleurs un rituel dominical superbe.
On pratique une fellation sur mon érection matinale. Ce qui procure une curieuse sensation. On me couvre le visage de bises.
C'est Clémentine qui se serre contre moi pour me chuchoter d'extraordinaires douceurs. Et c'est Estelle qui est sous les draps.
Je lui caresse la tête avant de la forcer à cesser. < Pipi ! > s'écrie t-elle en se levant pour se précipiter aux toilettes en riant.
Elle revient dans son pyjama de soie mauve pour lancer : < Je descends préparer le petit déj ! >. Elle dévale l'escalier à fond.

C'est à notre tour. Nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre rejoindre Estelle. Il règne déjà l'odeur de pain grillé.
L'odeur du café et de la brioche. Estelle me saute au cou pour me chuchoter : < Ta bite n'a aucun goût le matin ! >. Je la serre.
Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous mitraillettes. Clémentine s'interpose. C'est devenu un jeu.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Il est à peine 8 h, le jour se lève, il pleut et le dimanche matin pas de sport.
Nous traînons à table. Estelle se gausse de mon appréhension. Pour midi nous sommes invités à manger chez elle. La galette.

Assises sur mes genoux, les filles dressent le programme de la matinée. Le dimanche matin, c'est "ménage". Ménage à trois.
Nous en rions de bon cœur. Estelle se propose de faire le salon, la poussière, de passer l'aspirateur. Elle s'en réjouie. La joie.
Clémentine fera la chambre. Moi, je m'occupe du reste. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine que je commence à nettoyer.
Depuis les chiottes du bas que je nettoie, j'entends l'aspirateur et Estelle qui chantonne. C'est émouvant. C'est tellement bon.
Je passe la serpillère sur le carrelage des sols de l'entrée, du couloir, des toilettes et de la cuisine. Estelle qui chante au Salon.

Je m'apprête à monter. Je suis encore en slip et en T-shirt de nuit. La proie idéale pour Estelle qui est cachée là à m'attendre.
Elle m'attrape par les couilles. < Droit de passage, monsieur ! > me fait elle avant de glisser son autre main dans mon slibard.
Je la prends contre moi. Elle m'embrasse. Nous avons encore le goût de la brioche que nous échangeons avec avidité. Super.
Je la soulève. Elle passe ses jambes autour de mes hanches. Elle a un léger mouvement du bassin qui évoque une petite baise.
Lorsque Clémentine n'est pas avec nous, il subsiste toujours comme une sorte de lointaine culpabilité. Je repose Estelle au sol.

< Je monte avec toi ! > me fait elle en me tenant par le T-shirt. Nous montons les marches quatre à quatre. Il y a la fraîcheur.
Clémentine, qui a ouvert les fenêtres de la chambre, termine de faire le lit. Estelle ramasse les draps sales pour les emmener.
Je serre Clémentine dans mes bras pour lui raconter. Elle m'embrasse à son tour. Le goût de la brioche, du café, du pain grillé.
Estelle passe l'aspirateur. Clémentine et moi sommes à la salle de bain. Je nettoie le bac à douche. Clémentine fait le lavabo.
Je fais part de ma légère angoisse à l'idée de manger en compagnie des parents d'Estelle à midi. Et nous en rions de bon cœur.

Clémentine qui les rencontre plus souvent me dit : < Pas d'inquiétude, ils sont cool. Il faut juste éviter toutes familiarités ! >
Je dis : < Et c'est ça le plus dur ! >. C'est vrai que nous avons développé des tics, des attitudes et des complicités. Difficile.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. Estelle vient me rejoindre. Silence.
Je ne l'entends pas venir. Par contre je sens sa main se saisir de mes couilles par derrière. Elle me les tient fermement. Rires.
Je récure. Estelle n'arrête pas de me tenir les parties génitales en me donnant quelques recommandations pour midi. Le repas.

Nous nous habillons. Je prends Estelle sur le dos. Tout en imitant le hennissement du cheval nous descendons avec précaution.
Nous rejoignons Clémentine à la cave. Une machine est déjà en route. Nous trions le linge. Il faut séparer les couleurs et tissus.
Nous bavardons. Les filles évoquent les cours de lundi. Tout est déjà prêt. Il est presque 11 h lorsque nous remontons. Sympa.
Nous voilà assis tous les trois devant l'ordinateur. Le message de Julie qui nous remercie de notre visite au restaurant. Super.
Le message de Lennie. Elle nous annonce qu'elle aussi a rencontré un garçon. Ce qui remet un peu en cause son désir de venir.

En fait, tout cela nous arrange un peu. C'est à nous que cela tire des épines du pied. Des situations parfois embarrassantes.
< La loi des séries ! A qui le tour ! > fait Clémentine. Nous nous tournons vers Estelle. < Pas de risque ! > s'écrie t-elle. Rire.
Nous répondons aux trois messages. Celui de Juliette, de Lennie et de Julie. En joignant d'amusants selfies et pris à l'instant.
Nous montons nous changer. < Pas de chichis et pas de manières mes parents sont des gens simples ! > nous rappelle Estelle.
Nous mettons des jeans propres, des chemises blanches sous des pulls noirs aux col en "V". Des chaussures du style "Clarks".

Nous passons nos vestes d'hiver, nos écharpes. Nous descendons. Estelle me fait : < Tu verras, tout se passera très bien ! >
Je roule doucement. Trois petits kilomètres. Nous arrivons aux abord du lotissement. Le portail du jardin est ouvert. Je rentre.
Je gare la voiture devant la porte du garage. Nous sortons. Estelle nous entraîne en riant de mon embarras. Monter l'escalier.
Nous entrons dans la maison. La maman d'Estelle qui nous accueille. C'est une femme magnifique, de haute taille, très classe.
Elle me serre la main. Je dissimule ma profonde gêne sous des amabilités et un sourire. Voilà le papa qui arrive. Vrai sportif.

Nous nous serrons la main. Nous passons directement au salon. La table est mise. Je suis assis en bout de table, face au père.
A ma droite il y a Clémentine. A ma gauche il y a Estelle et sa maman. La table ovale. Ce qui nous permet de bien nous voir.
C'est la maman qui fait le service. Son père évoque l'entreprise, l'éventualité d'agrandir, d'embaucher une nouvelle employée.
J'écoute. Estelle, sous la table, ne cesse de me faire du pied. La coquine s'amuse. Bien évidemment, pas un mot de nos jeux.
Si ses parents savaient la nature de notre relation, je serais comme un con. Pour eux, Clémentine est son amie étudiante. Fac.

Je parle un peu de mes activités de peintre. De mon existence retirée. De la galerie d'Art que j'exploite deux mois et en été.
Souvent les gens s'imaginent que la vie d'artiste est la belle vie. Je leur explique que c'est beaucoup de boulot, d'abnégation.
Je sais les sacrifices qu'il m'a fallu concéder pour me constituer une clientèle. Nous nous trouvons des points communs. Bien.
La maman d'Estelle est une belle femme. Je la regarde à la dérobée lorsqu'elle discute. Parfois elle m'observe, regard perçant.
Je la trouve séduisante. Je suis même convaincu qu'elle en joue, là, avec moi. Mais je ne montre rien de mon profond trouble.

Il me vient à l'esprit ce dicton populaire : < Si tu veux savoir comment sera la fille dans vingt ans, regarde bien sa mère ! >
Là, je me dis que ce ne sera que du bénéfice. Je sais d'où Estelle tient sa beauté, sa grâce naturelle et son grand dynamisme.
Son père est bel homme. Un athlète. Presque ma taille. Les cheveux ondulés et qui commencent à grisonner sur les tempes.
Nous traînons à table. Estelle insiste pour me montrer sa chambre. Nous montons à l'étage pendant que maman débarrasse.
Je découvre enfin l'univers d'Estelle. C'est une grande chambre, lumineuse, spacieuse et bien agencée. Tout est bien ordonné.

Clémentine regarde les livres sur les étagères. Je regarde le bureau, la petite table sur laquelle il y a l'ordinateur. Bien rangée.
Estelle passe derrière moi, pose ses mains sur ma braguette et me dit : < C'est là que je pense à toi, que je fais mes films ! >
Il y a Bunny Boy installé sur le lit. Ce lapin en peluche, jamais lavé, sale, qu'Estelle trimballe le plus souvent avec elle partout.
Je le prends pour lui faire une bise. Nous rions de bon cœur. Il faut descendre. Papa veut nous faire visiter l'entreprise. Bien.
Il y a une annexe construite contre la maison. C'est là qu'il y a le bureau et l'entrepôt. C'est assez vaste. Il y a plein de cartons.

Il est 16 h30 lorsque nous prenons congé. La maman d'Estelle m'a lancé quelques curieux regards. Appuyés et par en dessous.
Je suis certain qu'elle n'est pas dupe, qu'elle se doute de quelque chose. J'en fais part à Estelle dans la voiture. Direction haras.
< Bien sûr ! C'est une mère ! Elle n'est pas folle la guêpe. Parfois elle me fait une allusion à peine déguisée ! > confie Estelle.
Nous arrivons au haras. Il y a plein de voitures garées dans la cour. L'animation touche à sa fin. Et il y a des groupes de gens.
Il y a Juliette, en tenue d'écuyère sous son anorak qui bavarde avec des propriétaires de chevaux. Elle nous fait un petit signe.

Nous ne voulons pas déranger. Nous entrons dans notre écurie préférée. Il y a Eveline, la palefrenière. Elle nous fait un sourire.
Elle est occupée à brosser un cheval magnifique qui se laisse faire en nous observant. Nous causons un peu avec la jeune fille.
Elle nous raconte l'animation de l'après-midi. Ses jours de congé demain et mardi. L'investissement dans ce travail qu'elle aime.
Madame Walter arrive. Elle nous fait un grand sourire et vient nous saluer. Elle nous raconte le succès de l'animation. Superbe.
Lorsqu'elle me serre la main, elle fait bouger son index à l'intérieur. J'adore cette complicité. Elle parle en fixant ma braguette.

Nous la laissons vaquer à ses occupations. Voilà Juliette. Elle est toute contente. Elle relate tout le succès de l'après-midi. Joie.
Nous la suivons. Nous traversons la cour pour entrer dans l'immense bâtiment du manège. Il y fait froid. Il y a des obstacles.
Tout le matériel qu'est entrain de ranger Kim Son aidé de Gérard qui vient faire son bénévolat de retraité. Il nous fait coucou.
Juliette est fort occupée aussi. Il y a encore quantité de gens à saluer, à remercier. Nous la laissons. Estelle se serre très fort.
< Tu as été parfait à la maison ! > me chuchote t-elle. Clémentine passe ses bras autour de mon cou. Nous sommes serrés.

Quelques personnes encore présentes observent discrètement ce curieux trio que nous formons aux pieds des gradins. Insolite.
Cet homme d'âge mûr enlacé par deux jeunes filles. Le père ? L'amant ? L'ami ? Tout cela nous amuse tant. Et nous en jouons.
Il est 18 h45 lorsque nous arrivons à la maison. Morts de faim, nous préparons notre repas du soir. Des moules, petits légumes.
Tout va vite. Nous n'arrêtons pas de nous tripoter tous les trois tout en préparant. C'est un peu une descente après la tension.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Nous évoquons le repas, les parents d'Estelle, l'entreprise, nos ressentis.

< Mon fantasme est que tu me baises dans ma chambre, un jour ! Tu veux m'aider à le réaliser ? > me demande Estelle. Rires.
Je lui dis : < Il faut l'autorisation de Clémentine et avoir la certitude que tes parents ne soient pas là ! Et rien de dangereux ! >
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Estelle insiste pour me tailler une pipe. Clémentine est d'accord.
Vautrée dans le fauteuil, entrain de se masturber, Clémentine observe. C'est une de ses passions. Me regarder faire le vicelard.
Il est 22 h30. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Au lit, nous baisons. J'offre un cunni d'enfer à Clémentine. Pipe et dodo.

Bon repas de famille à toutes les coquines qui surmontent ces obligations en se réjouissant pour la suite…

Julien - (Qui s'en est bien tiré. Sans pirouettes, sans manières, en restant parfaitement naturel) -

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Un début de semaine plutôt sympathique

Hier matin, lundi, c'est la Symphonie No 9 "Le nouveau Monde", de Dvorak qui nous tire de nos profonds sommeils. Odieux.
< Put-Hein ! Mais pas le matin ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques rapides papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Puis, morts de faim, nous dévalons l'escalier. La cuisine.
Nous y préparons notre petit déjeuner que nous prenons en mangeant de bon appétit tout en bavardant. En tenues de gym.
Nous remontons pour nous entraîner. La douche. Je descends pour sortir l'auto de Clémentine. Il fait encore nuit et il pleut.

Elle me rejoint chaudement vêtue sous son parapluie. Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin.
Il est 7 h45. Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit, notre vaisselle et j'allume un bon feu dans la cheminée de l'atelier.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je commence ce matin la peinture de la treizième toile destinée à ma saison d'été.
Il est 8 h15. Je peins dans une extraordinaire volupté des sens. Hors du temps. Hors du monde. Livré corps et âme à la joie.
Il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave une belle salade. Pour maintenant et pour ce soir. Et son assaisonnement.

Je prépare un coulis de courgettes, de poivrons auquel je rajoute du thon de l'œuf et du gruyère. J'évide de grosses tomates.
Je fais cuire du millet. Tout va très vite. Je farci les tomates que je mets au four. Deux pour midi. Quatre pour ce soir. Sympa.
La cuisson est rapide. Pendant ce temps, je fais revenir le millet gonflé, dans le wok avec de l'ail, de l'oignon, de la ciboulette.
Je mange de bon appétit en essayant de subir les informations. C'est tellement surfait et faux que je préfère éteindre la radio.
La vaisselle. Je range la cuisine. Pour ce soir, il n'y aura qu'à réchauffer. Il est 13 h lorsque je suis assis devant mon chevalet.

Dehors, il ne cesse pas de pleuvoir. Le ciel est bas et gris. C'est crépusculaire dès 15 h30. Je peins avec la lumière halogène.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé et se précipite pour me faire les bises.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs. Les cours. Le restaurant universitaire. Gauvain drague Estelle.
J'écoute avec intérêt. Le talent de conteuse de Clémentine participe de cet attrait. Surtout qu'elle sait y rajouter de l'humour.
Clémentine a encore du travail. La voilà rapidement installée à la table, entourée de ses affaires et notes devant l'ordinateur.

Le crépitement du feu. Le craquement du bois. Le souffle de nos soupirs. Nous adorons ces ambiances studieuses. C'est super.
A l'étage, les premiers bruits étranges se font entendre. Ça vient de loin. Les pas lents et réguliers. Quelqu'un tourne en rond.
< Christine vient nous saluer ! > fait Clémentine. Nous continuons à travailler en écoutant. Nous n'avons pas réellement peur.
Les bruits cessent pour recommencer. Vivre dans une maison hantée reste un privilège rare. Et nous nous y sommes habitués.
Aucune porte à l'étage ne grincent. Les gonds sont huilés. Pourtant les grincements sont parfois agaçants. Incompréhensibles.

Tout fini par cesser. < Terminé ! > s'écrie Clémentine. 19 h. Nous rangeons nos affaires. Nous voilà assis devant la cheminée.
Il y a juste la lueur des flammes. Nous sommes en tailleur sur l'épais tapis. Nous admirons ce majestueux spectacle. Superbe.
La faim commence à se faire sentir. Clémentine est impatiente de découvrir le secret du repas du soir. C'est toujours un secret.
Nous laissons le feu s'éteindre pour nous précipiter à la cuisine. < Enfin seuls ! Lundi et juste toi et moi ! > me fait Clémentine.
Clémentine fait allusion à l'absence de Julie qui ne viendra plus pour cause de nouveau petit copain. Et je n'y pensais déjà plus.

Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade. Je réchauffe les quatre tomates farcies et le millet. Nous mettons la table.
A l'étage, les bruits reprennent. Plus furtifs, plus légers. < Tu manges avec nous, Christine ? > lance Clémentine à haute voix.
Tout cesse. Je sors les tomates du four. < Miam ! > s'écrie Clémentine en découvrant ce que nous allons manger. C'est super.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous évoquons les visites de Julie, les lundis soirs. Et les soirées vicelardes.
< Elle venait surtout pour voir ta queue et ce que tu faisais avec ! > précise Clémentine. Nous en rigolons comme des bossus.

Nous évoquons Lennie, la jeune Hollandaise qui a également un nouveau petit copain. < Elle t'a bien sucé ! > fait Clémentine.
Nous décrivons certaines scènes vécues en Ecosse et à Amsterdam. La façon particulière de pratiquer des fellations de Lennie.
Tout cela fait à présent partie du passé. < Et c'est tant mieux ! > conclue Clémentine qui vient s'assoir sur mes genoux. Joie.
Nous traînons à table. Nous évoquons le repas de dimanche, à midi, chez les parents d'Estelle. C'était vraiment très agréable.
Estelle en a parlé au restaurant universitaire. Sa maman qui a trouvé que j'étais un homme charmant. La seconde rencontre.

< Nous sommes invités pour l'anniversaire de son papa le dimanche 3 février ! > m'apprend Clémentine. Et j'avale de travers.
Nous rions de bon cœur, je dis : < Il y aura donc forcément l'anniversaire de sa maman ! >. < Forcément ! > fait Clémentine.
Clémentine me demande : < Tu la trouves comment la maman d'Estelle ? >. J'avoue à quel point je la trouve attractive. Sexy.
Clémentine me confie à quel point le papa d'Estelle ne la laisse pas indifférente non plus. Autant de raisons de retourner. Joie.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne au salon. Elle me fait tomber dans le canapé. Elle s'éloigne. Rire.

Debout au milieu de la grande pièce, devant le bureau, Clémentine descend son pantalon et sa culotte jusque sur ses genoux.
Glissant sa main entre ses cuisses, elle fait : < Parle moi encore de la maman d'Estelle ! > Nous éclatons de rire. Fantasmes.
Je ne sais trop quoi dire. Je n'ai encore rien imaginé en ce qui concerne la mère d'Estelle. J'invente des trucs saugrenus. Rire.
Je propose à Clémentine de me rejoindre : < Viens, je te les raconte à l'oreille ! >. Je tapote le canapé à ma gauche. Poilade.
Clémentine me rejoint, retire son pantalon et sa culotte qu'elle jette dans le fauteuil. Je pose l'épais coussin au sol. A genoux.

Le visage entre les cuisses de Clémentine je m'enivre des odeurs de sa journée de fille. Jusqu'au vertige. Clémentine raconte.
Je fouille les plis, les replis des lèvres charnues de son sexe humide. Je me régale des saveurs relevées, légèrement acidulées.
Clémentine commence à contrôler sa respiration. De la pointe de mes lèvres serrées, je décalotte son clitoris déjà turgescent.
Dans un gémissement de plaisir, Clémentine se détend, s'installe, se vautre et relève ses jambes largement écartées. Je suce.
Elle m'attire doucement sur elle en me disant : < Viens me raconter ! >. Je me lève. Je m'introduis avec d'infinies précautions.

Nous restons immobiles, comme nous aimons tant. Clémentine me chuchote des cochonneries. J'aime entendre ses histoires.
Elle me confie ses ressentis. Le haras, les écuries, quelques aventures précises qui restent dans sa mémoire et profondément.
Elle adore répondre à mes questions. Nous apprécions ce jeu. Parfois, excités par les révélations, nous nous mettons à bouger.
Je lui chuchote : < Et n'oublie pas le rendez-vous de demain au salon de thé, dans la galerie commerciale du supermarché ! >
< Je n'oublie pas. Nous en avons parlé avec Estelle à midi ! On a tout scénarisé ! >. Nous nous embrassons comme des fous.

Clémentine me confie à quel point l'idée de ce rendez-vous l'excite. Cet exhibitionniste qu'elle a rencontré au supermarché.
< Je veux en savoir davantage sur ce salopard ! Ces mecs m'excitent ! > murmure t-elle. Je dis : < Et je sais à quel point ! >
Le lecteur qui suit nos aventures se souvient de cette rencontre, samedi matin, lorsque nous faisions nos courses. Superbe.
< Fais moi du jus ! > chuchote Clémentine. Je lui fais : < Toi aussi ! >. Nous adorons les rapports génitaux buccaux d'après.
Nous restons longuement l'un dans l'autre à nous raconter plein de détails. Clémentine aime confier ses projets et fantasmes.

Nous sommes déjà tous deux à faire des plans pour le printemps. Lorsqu'il sera à nouveau possible d'être vêtus légers. Vélo.
< Cette année, je vais me surpasser. Je vais donner dans tous les excès ! Et dans la surenchère ! > me chuchote Clémentine.
Je sais pouvoir compter sur son imagination, ses passages à l'acte et ses improvisations toujours très maîtrisées et réfléchies.
Clémentine me repousse doucement. Je me retire avec d'infinies précautions. Nous nous mettons en position de "69". Bouffe.
Il y a de quoi nous régaler. Une fois propre, je me lève. Je saisis Clémentine par ses cheveux. La voilà assise dans le canapé.

A genoux sur l'épais coussin, je lui offre un de ces merveilleux cunnilingus qui achèvent de la propulser vers le plaisir total.
Elle me tient par les oreilles, comme pour me guider. Ses gémissements deviennent de véritables râles. C'est insensé. Fou.
Son orgasme est nucléaire. Un véritablement bouleversement de l'écosystème du canapé. Un cataclysme. Une catastrophe.
Je me fais pisser au visage par un jet d'une puissance inouïe. Clémentine est agitée de soubresauts, et de vraies convulsions.
C'est toujours très impressionnant. J'ai la gueule et le haut de ma chemise dégoulinantes de pisse chaude. Je bouffe encore.

Clémentine reprend ses esprits. Sa respiration redevient normale. < Excuse moi ! > me fait elle en me découvrant ruisselant.
Elle se lève. < Bouge pas ! > me fait elle tout en se précipitant aux toilettes pour ramener, la serviette, le seau et la serpillère.
Nous rions de bon cœur. J'en serais quitte pour utiliser le sèche cheveux avant d'aller au lit. Clémentine nettoie. Je l'aide. Rire.
A la salle de bain, en nous lavant les dents, nous faisons les clowns devant le miroir. Clémentine me sèche les cheveux. Drôle.
Au lit, malgré ma suggestion de remettre la pipe à demain, Clémentine veut me sucer. Je la laisse faire. Passionnée. J'éjacule.

Bonne soirée à confesser vos fantasmes, vos désirs et vos projets à toutes les coquines qui se font baiser sur le canapé…

Julien - (Dont le plaisir est total lorsqu'il écoute les confessions, les révélations et les secrets de Clémentine) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 670 -



Estelle revient à 15 h45, tellement contente

Hier matin, mardi, c'est la Symphonie No 7 de Chostakovitch qui nous tire de nos profonds sommeils en Ut majeur percutant.
< Mais t'es cinglé, chaud sandwich ! > lance Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur en nous précipitant aux toilettes pour aller y pisser dans une harmonie parfaite. Il est 6 h. Il fait frais.
Morts de faim, nous descendons l'escalier à toute vitesse en tenues de gym pour aller nous préparer notre bon petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. C'est mardi, Clémentine rentre à midi. De quoi être réjouie et déconneuse.

Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, abdos, jogging sur tapis roulant et charges additionnelles.
La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il ne pleut pas et il fait nuit.
7 h45. Un dernier bisou et un dernier coucou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer.
Je fais notre vaisselle, notre lit. Je vais dans l'atelier. J'allume un beau feu dans la cheminée. Je prépare palette et pinceaux.
Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une réelle euphorie. J'ai tellement d'avance. Fabuleux.

Il est midi. Je me lève pour aller à la cuisine. Poussé par la faim. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je prépare la pâte à pain.
12 h15. Clémentine rentre. Elle me saute au cou. Je la soulève. Elle me couvre le visage de bises. Elle est libre cet après-midi.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare le poireau que je coupe et fais bouillir. Une Béchamel.
J'en récupère un peu comme sauce avec les coquillettes. J'y rajoute du filet de saule finement émincé revenu à la poêle. Bien.
La Flamiche Picarde, cette délicieuse tarte au poireau dont nous raffolons est déjà prête pour ce soir. Il n'y aura qu'à la faire.

Nous mangeons de bon appétit. Clémentine me raconte sa matinée. Elle n'a pas cessé de penser à cet après-midi. Le rencard.
C'est à 16 h30 qu'elle rencontre l'exhibitionniste qui lui a fixé rendez-vous, samedi, au salon de thé de la galerie commerciale.
Je m'amuse beaucoup d'une certaine fébrilité. Assise sur mes genoux, en terminant son yaourt, elle me confie son impatience.
Estelle viendra nous rejoindre à 16 h. Les deux coquines ont tout mis au point. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. 13 h15.
Nous allons dans l'atelier. Clémentine a du travail. Moi aussi. Nous voilà dans cette ambiance studieuse que nous apprécions.

J'ai terminé le sol carrelé, en quinconce, typique des scènes de genre hollandaises du XVIIème siècle. Je commence les détails.
Cette treizième toile destinée à ma saison d'été, sera probablement terminée pour vendredi. Pour midi. C'est le timing parfait.
Du bruit. Il est 15 h45. Estelle entre dans l'atelier. Elle se précipite pour me faire plein de bises. Nous cessons. Nous rangeons.
Je monte me changer. Jeans propres, chemises à carreaux et sweat. Les filles sont déjà vêtues à pareilles. Elles me rejoignent.
Nous faisons un peu les clowns devant le miroir avant de descendre à toute allure. Dehors il fait si moche mais il ne pleut pas.

Je roule doucement. Clémentine joue avec ma queue. Estelle, assise à l'arrière, bras autour de mon cou, parle de dimanche.
< Tu as fais bonne impression au repas ! Mes parents vous adorent. Et tous les deux ! > nous confie Estelle. C'est rassurant.
Nous sommes invités pour les 48 ans de son père. Un repas d'anniversaire le dimanche 3 février. Tout est déjà prévu. Sympa.
Il y a treize petits kilomètres jusqu'à la zone commerciale. C'est étrange de garer la voiture sur le parking, mardi après-midi.
Il est 16 h20. Il y a beaucoup moins de voitures que le samedi matin. Clémentine et Estelle ont prévu le scénario de l'arrivée.

Nous nous séparons. Clémentine reste à la voiture. Estelle et moi entrons dans la galerie commerciale. Direct le salon de thé.
Nous nous installons à la table du fond. Juste à côté de la porte des toilettes. L'endroit est très impersonnel, décoré sans goût.
Il n'y a qu'un couple de séniors à la table de la vitrine. Estelle est aussi fébrile que Clémentine. Elle me prend la main. Bisous.
La serveuse vient prendre la commande. Deux chocolats chauds. Deux tranches de tarte aux pommes. Nous bavardons. Rires.
Estelle me fait remarquer le type qui passe et qui repasse devant l'entrée du salon de thé. Je le reconnais. C'est notre homme.

Cet après-midi, il est vêtu d'un anorak rouge, matelassé, de jeans délavés. Il porte un bonnet. Il semble inquiet, mal à l'aise.
Nous cherchons à comprendre. Estelle avance une hypothèse plausible. La peur du piège. Et si la fille l'avait dénoncé ? Hein ?
Nous nous amusons de la prudence extrême dont fait preuve le quidam. Nous faisons semblant de ne pas l'avoir vu. Parlant.
L'inconnu, de taille moyenne, chaussé de baskets, fini par entrer dans le salon de thé. Il s'installe à deux tables de la nôtre.
Il commande. Estelle me fait du pied sous la table. Nous avons tous deux préparé les écouteurs branchés sur mon téléphone.

Nous entendons la voix de Clémentine. Elle est dans la galerie commerciale. Elle arrive. Elle a scruté le comportement du mec.
Personne ne fait attention à nous. Voilà Clémentine. Sans un sourire, sérieuse, droite et fière, elle entre dans le salon de thé.
Elle va directement vers le type. Elle ne lui serre pas la main qu'il tend. Elle s'installe face à lui, à table. Son téléphone allumé.
Nous entendons assez distinctement la conversation. Estelle et moi, partageons les écouteurs. Il faut dresser l'oreille. Sympa.
Clémentine oriente la conversation sur le comportement du type, samedi matin, en lui demandant s'il fait ça souvent. Silence.

Le quidam semble gêné. Il répond sans entrer dans les détails. On le comprend. Être assis là, devant cette superbe jeune fille.
Jeune fille à qui il a montré son sexe discrètement, samedi matin, en plein supermarché, en courant tous les risques. Dingue.
Clémentine insiste. Le type fini par lui raconter quelques aventures. D'une prudence de Sioux, il repère toujours les caméras.
Il est impossible de voir quoi que ce soit sous les pans ouverts de son anorak. Sauf lorsqu'il le souhaite et qu'il repére un plan.
Nous écoutons, hallucinés, les aveux du mec. Estelle pouffe de rire. Clémentine nous jette quelquefois un rapide regard. Rires.

Nous devons nous concentrer. Il n'est pas aisé d'entendre une conversation avec un seul écouteur dans une seule oreille. Dur.
Estelle chuchote souvent : < Quel vicieux ! Le vrai salaud ! >. Nous nous tenons par la main, les doigts croisés. C'est fameux.
Clémentine pose des questions pertinentes. Exigeant des détails précis sur des situations précises. Tant de vice séduit le mec.
Il est à présent en confiance. Clémentine lui propose un plan exhibe aux chiottes. Le type est d'accord. Il mâte autour de lui.
Il ne fait pas attention à nous. Nous bavardons comme n'importe quel couple. Clémentine se lève pour se diriger aux chiottes.

Elle passe tout près de notre table et nous fait un clin d'œil. Elle entre dans les toilettes. Un petit moment et le type se lève.
Il passe à côté de nous sans même nous prêter la moindre attention. Nous dressons l'oreille. Nous discernons plein de bruits.
Dans les WC carrelés, la résonnance rend toujours les conversations difficilement audibles. Et surtout avec un seul écouteur.
Clémentine a mis sur vidéo. L'image est hyper mauvaise. Le téléphone doit être posé à côté du sac à main. Rebord du lavabo.
On voit la porte des toilettes homme s'ouvrir. Clémentine est devant le miroir. Elle se retourne. Le type lui arrive à l'oreille.

Le son est d'aussi mauvaise qualité que l'image. Nous ne comprenons pas tout. Surtout que l'inconnu chuchote. Il murmure.
Comme s'il avait peur d'être entendu. Il ouvre sa braguette d'un geste lent. C'est visiblement un "expert". Il en extrait le Zob.
C'est un sexe de taille moyenne qui fait penser à un nem. Surtout le prépuce fripé. Il le tient à sa base, entre pouce et index.
Il reste immobile. Clémentine, à environ deux mètres, se penche pour bien observer. Le type agite doucement son sexe mou.
Il semble anxieux. Il ne cesse de regarder la porte. Nous entendons la voix de Clémentine : < Cool ! Il n'y a que nous ici ! >

Cette présence rassurante, la complicité dont fait preuve la fille, tous les paramètres d'une exhibe de qualité et réussie. Bien.
Il y a de longs silences. Clémentine s'est accroupit pour mâter. Le type ne tente aucune approche. Authentique exhibitionniste.
L'image devient de plus en plus floue. Par contre la sonorité semble s'améliorer. Estelle et moi, nous nous fixons en écoutant.
Nous nous faisons des sourires en fonction de ce que nous entendons. Il demande à Clémentine si elle aime tailler des pipes.
< Oui ! Bien sûr ! Mais il me faut le calme ! Pas courir le risque d'être dérangée ou surprise ! > répond t-elle au mec. Silence.

Estelle et moi, nous sommes excités. Je lui confie à quel point je bande. Elle m'avoue à quel point ça "bouge" dans la culotte.
L'image est devenue floue. On ne discerne plus que des silhouettes noires sur le carrelage clair. Par contre on entend très bien.
Le type propose à Clémentine de s'enfermer dans un des deux cabinets. < S'il vous plaît ! > implore t-il à trois reprises. Rires.
Clémentine décline sa proposition. Nous l'entendons évoquer un prochain rendez-vous. Le type connaît des WC dans un parc.
C'est là qu'il propose à Clémentine de la revoir. Nous entendons tous les détails. L'image n'est plus qu'un jeu d'ombres noires.

Nous entendons clairement la voix de Clémentine : < Mardi prochain, alors, au parc, pour 16 h 30 ! >. Le type qui dit < OK !>
Un bruit de porte. Le type sort le premier. Il retourne s'assoir. Clémentine passe à côté de nous. Un clin d'œil. Elle s'installe.
Nous les voyons bavarder. Le son est à nouveau moins bon. Il faut dresser l'oreille. Presque décrypter. Cela dure dix minutes.
Clémentine se lève. Sans serrer la main de l'inconnu, elle le laisse. Pas de sourire. L'air sévère. Nous la regardons s'éloigner.
Le type reste encore un peu. Il paie les consommations. Nous attendons qu'il parte. Nous rejoignons Clément à l'endroit prévu.

Elle nous attend dans le magasin de journaux. Je la félicite pour son sang froid et son superbe numéro. Estelle est admirative.
< Je n'en menais pas large. Ça excite mais ça met aussi vachement mal à l'aise. Surtout que ce type est un salaud ! > dit elle.
Nous lui confirmons avoir entendu toute la conversation. A table et aux chiottes. < Tu l'as bien allumé ! Super !> lui fait Estelle.
Nous partons. Nous sortons par la seconde porte. Nous nous séparons pour ne pas risquer d'êtres vus ensemble tous les trois.
Nous nous rejoignons à la voiture, à l'abri de la guérite qui protège les caddies. Nous entrons dans la voiture. Je démarre. Joie.

Dans la voiture, Clémentine nous donne ses impressions, ses ressentis. < Tu vas sucer ce mec, mardi ? > lui demande Estelle.
< Je ne sais pas encore ! On va voir avec Julien ! > répond Clémentine. Bien évidemment, je l'y encourage. Un superbe "plan".
Il est 19 h lorsque nous arrivons à la maison. Nous sommes tous les trois considérablement excités. Nous préparons le repas.
Nous n'arrêtons pas de nous tripoter. Les filles évoquent cette aventure avec des mots de filles. J'écoute. C'est si passionnant.
Il est 20 h lorsque la tarte aux poireaux est au four. Nous passons au salon. Je propose aux filles de leur bouffer la chatte. Joie.

Je ne suis pas obligé de le dire deux fois. Les voilà à quatre pattes sur le canapé à m'offrir leur croupion. Je me régale de jus.
Trempées par l'excitation, les cramouilles dégorgent de cyprine. C'est abondant même chez Estelle. les filles parlent du type.
Estelle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse. Clémentine arrive à esquiver. Heureusement il y a la sonnerie du four. Ouf !
Nous nous précipitons. Tous les trois culs nus assis sur les coussins de chaise que nous maculons de jute. Un repas délicieux.
Nous traînons à table. 22 h30. Nous raccompagnons Estelle à son auto. Séparation difficile. Au lit, je termine Clémentine. Fou.

Bon rendez-vous dans un salon de thé à toutes les coquines qui aiment rencontrer de véritables vicelards aux chiottes…

Julien - (Qui se régale de la chatte des filles. Surtout lorsqu'elles sont excitées comme des puces. Bouffeur de jus) -

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Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 671 -



Une soirée avec Juliette

Hier matin, mercredi, c'est le concerto en Sol majeur de Maurice Ravel qui nous tire de nos profonds sommeils avec violence.
< Et voilà l'eau de Ravel Lacroix ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur en nous précipitant aux toilettes avant de descendre, vêtus de nos tenues de gym, jusqu'à la cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner. Il est 6 h05. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous remontons. Gym.
La douche. Je descends pour sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. 7 h45. Il fait encore nuit. Et froid.

Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je rentre vite au chaud. Je fais notre lit, notre vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Tout est ok.
Je suis confortablement assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme délirant. Livré à ma passion corps et âme.
Il est dix heures lorsque résonne la musique ridicule de mon téléphone. Je pose la palette pour me saisir de mon smartphone.
C'est Juliette. Elle me rappelle que nous sommes invités ce soir. Encore une fois la galette des rois mais aussi pour le plaisir.

Nous bavardons. J'ai le téléphone en mode haut parleur. Ce qui me permet de converser tout en continuant mon travail. Joie.
Je rappelle à Juliette que c'est à mon tour d'emmener le repas. Je prépare un feuilleté de saumon dès midi. Juliette se réjouie.
Juliette est au bureau. Notre conversation lui permet un petit moment ludique. Nous bavardons ainsi une bonne demi heure.
Nous évoquons quelques aventures déjà vécues aux écuries. La visite de monsieur Gérard hier soir. Je comprends rapidement.
Nous en rions beaucoup. Nous nous saluons. Nous nous voyons ce soir 19 h45. J'éteins. Je peins dans une véritable euphorie.

Il est midi. Je vais à la cuisine. La pâte feuilletée à décongelé. Je fais revenir du saumon finement émincé dans la poêle. Wok.
J'y rajoute des champignons de Paris en lamelles. Je rajoute le tout à la Béchamel. J'étale bien la pâte. J'y rajoute la garniture.
Je ferme avec un couvercle de pâte avant de mettre au four. J'ai récupéré un peu de Béchamel comme sauce avec mon millet.
Accompagné d'une salade de tomates, je mange de bon appétit, je tente d'écouter les informations. J'éteins très vite le poste.
La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Superbe.

Le ciel est lumineux. Il y a du soleil. Même s'il fait froid, je peux peindre sans la lampe halogène. Et cela fait bien longtemps.
Il est 16 h20. Du bruit. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé pour me rejoindre. Me faire des bises.
J'anticipe toujours. Je pose ma palette et mes pinceaux. Assise sur mes genoux, Clémentine me raconte sa journée de cours.
Il lui faut terminer un travail. Aussi elle est très rapidement assise à la table devant l'ordinateur entourée de toutes ses notes.
Nous terminons vers 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Je nettoie mon matériel. Nous sommes assis à regarder le feu. Joie.

Nous restons ainsi un petit moment avant de monter nous changer. Je mets des jeans propres. Une chemise et simple sweat.
Clémentine reste habillée de ses jeans, chemise à carreaux sous son pull. Nous mettons nos anoraks. Il fait nuit. Il fait froid.
Trois petits kilomètres. Nous arrivons au haras. 19 h30. Il y a de la lumière dans les bâtiments. Et dans notre écurie préférée.
Nous y entrons. Il y a Kim Son. Il est assis sur le chariot élévateur à manipuler une énorme meule de foin. Il nous fait signe.
Nous le regardons avancer dans l'allée. Les chevaux observent depuis leurs box. Nous en caressons quelques uns. Ils aiment.

Nous ne nous attardons pas. Nous ressortons. Il y a Eveline, le second palefrenier qui traverse la cour à toute vitesse. Boulot.
Nous nous saluons très rapidement. La jeune fille n'a pas le temps à la conversation. Il faut nourrir les chevaux, tout terminer.
Voilà Juliette qui sort de la seconde écurie. Elle nous fait un grand sourire en venant à notre rencontre. Un classeur à la main.
Nous nous saluons. Je récupère le feuilleté de saumon dans la voiture. Le Tupperware. Nous suivons Juliette dans son bureau.
Elle nous raconte l'urgence d'un imprévu qu'il a fallu régler à la dernière minute. Ce qui est une constante dans son entreprise.

Nous enlevons nos anoraks. Juliette retire son manteau. Elle est vêtue d'une jupe noire, d'un épais pull noir. Des bottes noires.
Elle met le feuilleté au four. Sur la table de la cuisine, il y a la galette. Nous passons dans le salon. Juliette est enfin au calme.
Clémentine et moi nous sommes confortablement installés dans le canapé. Juliette est assise dans le fauteuil. Elle nous raconte.
C'est toujours intéressant. Nous développons un peu la conversation de ce matin, au téléphone. Juliette évoque Gérard. Rires.
Comme tous les mardis soirs, il est venu faire un tour au haras. A présent retraité de son ancien travail de palefrenier. Il aime.

Tout en bavardant, Juliette, assise en face de moi, joue de ses jambes qu'elle croise et qu'elle décroise, exagérant avec classe.
Clémentine, désireuse de laisser Juliette s'exhiber un peu, fait mine de ne se rendre compte de rien. Délicate attention. Sympa.
Je découvre assez vite que Juliette porte son porte jarretelle. Je ne distingue toutefois pas si elle porte une culotte ou non. Joie.
Ce n'est que lorsqu'elle se lève pour venir s'accroupir devant la table basse que je peux furtivement admirer sa toison pubienne.
Elle verse le thé. Tous les prétextes sont bons pour offrir un discret spectacle qu'encourage Clémentine en feuilletant une revue.

Tout en discutant, j'ai posé une main sur ma braguette. Je me tiens fermement la bosse. Sans bouger. Juliette apprécie. Bien.
Clémentine évoque la visite de Gérard. Son désir de revoir le bonhomme un de ces jours. La conversation devient passionnée.
Juliette raconte un peu de ce qui s'est encore passé hier soir. La fellation qu'elle fait au vieux salaud, lorsqu'il vient au haras.
Les filles ne tardent pas à comparer leurs petites anecdotes. C'est amusant. Je me palpe la braguette. Et Juliette fait son show.
La sonnerie du four. Nous nous précipitons à table. Juliette fait le service. Clémentine me chuchote : < Sors ta bite ! Cool ! >

Nous mangeons de bon appétit. Le feuilleté de saumon est une réussite. C'est encore meilleur réchauffé à feu doux. Un régal.
Accompagné de brocolis et de petits pois si délicatement rissolés. La conversation reste orientée sexe. Aventures déjà vécues.
Juliette se fait souvent baiser le samedi soir par monsieur Walter. Trio avec sa femme, madame Walter qui apprécie de mâter.
Cela fait quelques années que ça dure. Juliette recommande chaudement à Clémentine de découvrir les qualité de Mr Walter.
< Il me l'a déjà proposé à plusieurs reprises ! > répond Clémentine. < L'essayer c'est l'adopter ! Absolument > lance Juliette.

< Je l'ai déjà sucé ! > fait Clémentine. < Bon début ! > répond Juliette. Nous rigolons comme des bossus. C'est passionnant.
Je me masturbe doucement, main sous la table. Juliette me fait parfois un clin d'œil. J'écoute cette conversation si vicelarde.
Juliette propose à Clémentine de se partager la bite à Gérard. Il devait venir ce soir mais il a d'autres occupations de retraité.
Je suggère d'organiser un plan vendredi soir. < Une affaire qui marche ! > s'écrie Juliette. Nous viendrons en visite à 20h15.
Nous désirons aider Juliette à débarrasser et à faire la vaisselle. Juliette découvre une fois encore que j'ai la bite à l'air. Bien.

J'aime ses regards par en-dessous. < Au mois de mai, cela fera deux ans que nous nous fréquentons ! > fait Juliette. Super.
< Prétexte à une fête ! > dit Clémentine en mimant une pipe, main fermée devant la bouche, bosse à l'intérieur de sa joue.
Même si Juliette aime la baise, la fellation reste une de ses occupations festives préférées. Clémentine préfère plutôt la pipe.
Tout en faisant la vaisselle, les filles racontent quelques amusantes anecdotes concernant la bite à Gérard. Le vieux salaud.
J'écoute. C'est hyper excitant. Juliette regarde mon érection en me disant : < C'est génial de laisser Clémentine s'amuser ! >

Je confirme que j'apprécie cette forme toute particulière de voyeurisme. Voir ma compagne tailler des pipes à d'autres mecs.
< Si Julien n'était pas caché dans les environs, je ne pourrai pas le faire. J'ai besoin qu'il m'observe ! > explique Clémentine.
< La relation idéale ! Vous avez de la chance d'êtres aussi complices tous les deux. Je vous envie ! > rajoute encore Juliette.
Je lui dis : < Je vous rappelle qu'en de multiples occasions, lorsque nous sommes avec vous, c'est une complicité à trois ! >
< Si vous saviez comme j'apprécie ces partages ! > précise Juliette. Nous prenons le dessert. Une nouvelle galette des rois.

Une fois encore, c'est Juliette qui trouve la fève. Je prends la couronne en papier doré. Je me lève pour la poser sur sa tête.
Je me penche pour murmurer à son oreille < Vive la reine ! Longue vie à la reine des salopes ! >. Nous en rions de bon cœur.
< Merci ! > fait Juliette. Nous traînons un peu à table. Il est 22 h20 lorsque nous prenons congé. Juliette nous raccompagne.
Nous promettons de venir vendredi soir. Il est 22 h45 lorsque nous sommes de retour. Au lit, nous nous offrons un bon "69".
Une petite baise. Je termine Clémentine au cunnilingus. Orgasme fou. Je lui propose de remettre la pipe à demain. Le dodo.

Bonne soirée à partager un bon repas avec la patronne de votre haras préféré à toutes les coquines qui aiment y sévir…

Julien - (Qui préfère toujours se faire tailler des pipes hors de toutes précipitations, en prenant tout son temps) -

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Nous racontons toujours tout à Estelle

Hier matin, jeudi, c'est le piano d'Elisabeth Sombart, interprétant le prélude en Do majeur de Bach, qui nous tire du sommeil.
< Elisabeth ! Pas le matin ! > s'écrie Clémentine, en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit. 5 h55.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Dès le pissou terminé, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine.
Nous préparons nos copieux petits déjeuners vêtus de nos tenues de gym. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.

7 h45. Il fait encore nuit. Il fait froid. Clémentine est chaudement vêtue. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin.
Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit et la vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Il est 8 h15.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je peins dans une apothéose d'enthousiasme délirant. Et dehors, le ciel est lumineux.
Je commence ce matin la peinture du premier personnage de ma scène de genre. Je peins à l'aide d'une loupe fixée au front.
Prévenu par mon horloge biologique, il est rapidement midi. Je vais à la cuisine. Je lave la salade en faisant cuire les nouilles.

Je prépare une belle pâte à pain pour les pizzas de ce soir. Je concocte une garniture avec des tomates fraîches, champignons.
De l'ail, de l'oignon, de la ciboulette. Je fais revenir de petites crevettes à la poêle. Je rajoute dans la garniture. Bonnes odeurs.
Je récupère un peu de cette garniture des pizzas comme sauce en accompagnement de mes nouilles. Je me régale. Délicieux.
La vaisselle. Je range la cuisine. La pâte à pain repose dans son saladier, recouverte d'un linge. La garniture dans sa casserole.
Il est presque 13 h lorsque je suis à nouveau installé devant mon chevalet. Et j'attaque le second personnage de mon tableau.

Dehors, le ciel s'est couvert et devient de plus en plus menaçant. Je dois travailler à l'aide de la lampe à halogène. Contrariant.
Il est 16 h20. Du bruit. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac sur le canapé et se précipite pour me faire des bisous.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs, les cours, le menu du restaurant universitaire. C'est intéressant.
Clémentine a encore du travail. La voilà installé à la table, devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Silence et concentration.
Nous adorons ces séquences d'abnégation. Seul le crépitement du feu et le craquement du bois qui résonnent. C'est magique.

La nuit est tombée. Du bruit. 18 h15. Estelle arrive à son tour. Elle se précipite pour sautiller autour de moi, me faire des bises.
Les filles sont assises et comparent leurs travaux de recherches. Elles préparent ensemble leurs cours de demain matin. Super.
Soudain, à l'étage, un long grincement, une porte qui claque, des bruit de pas. Comme si quelqu'un errait sans but. C'est fort.
< Bonsoir Christine ! > fait Clémentine. Le bruit cesse tout aussi soudainement. Je nettoie mon matériel, palette, les pinceaux.
Les filles rangent leurs affaires. Nous voilà assis sur l'épais tapis, devant la cheminée admirant les flammes. Lumières éteintes.

Il est 19 h. A l'étage, les bruits reprennent. Nous sommes tous les trois serrés l'un contre l'autre. Nous écoutons. Concentrés.
Cela ne dure pas. Estelle qui a glissé sa main dans ma braguette, nous fait : < Le fantôme vient manger avec nous ! >. Rires.
< En parlant de manger, si on allait se préparer la bouffe ! > fait Clémentine beaucoup plus pragmatique. Nous nous relevons.
D'un bond, nous nous précipitons à la porte. Nous laissons le feu s'éteindre. Nous voilà à la cuisine. Nous mettons nos tabliers.
Estelle qui m'a sorti le Zob, glisse sa main sous mon tablier pour voir s'il pend correctement hors de la braguette déboutonnée.

Nous rions de bon cœur lorsqu'elle fait : < Et tu es prié d'être le dernier des salauds ce soir ! Jeux de queue, jeux heureux ! >
Estelle travaille la pâte. Elle me montre à quel point elle est onctueuse. Je rajoute toujours du Parmesan à la farine. Râpé fin.
Clémentine n'a qu'à faire l'assaisonnement de la salade déjà lavée. Je réchauffe la garniture. Les filles évoquent leurs études.
Estelle étale la pâte en trois grandes parties. L'une après l'autre. Elles les dépose sur les trois grandes plaques du four. Bien.
Je verse délicatement la garniture qu'Estelle étale avec soin jusqu'aux bords de pâte. Elle rajoute le gruyère de Comté râpé.

Je dépose quelques petits cubes de Roquefort, de Morbier sur le tout. Je saupoudre de graines de sésame grillé. C'est super.
Estelle met le tout dans le four. Clémentine a préparé la table. Nous retirons nos tabliers. Estelle saisit ma bite toute mollasse.
< Viens par là, toi, espèce de salaud ! > fait elle en me tirant par le Zob comme par la laisse. Clémentine nous suit, étonnée.
Nous voilà au salon. Clémentine reste adossée au bureau, les bras croisés. Elle regarde Estelle me faire faire le tour du salon.
J'aime ses initiatives. Elles sont plus rares depuis quelques temps. Depuis qu'elle a pris goût à devenir passive. Se laisser faire.

Elle me fait m'arrêter devant Clémentine qui nous observe amusée. < Dis bonjour à la fille ! > fait Estelle en me masturbant.
Clémentine me fait le plus adorable des sourires. Estelle, placée sur ma gauche et derrière moi, me branle de sa main droite.
Je bande mou. Estelle déboutonne mon pantalon qu'elle descend. Elle fait de même avec mon slip. J'ai quand même l'air con.
Mes jeans et mon slip sur les chevilles, elle m'entraîne à nouveau pour faire le tour de la grande pièce. Estelle me tire. Ferme.
< Il va faire son pissou le monsieur ! > me fait elle en m'entraînant vers les toilettes. Clémentine nous suit. Je suis consterné.

Les initiatives d'Estelle m'enchantent. Je ne suis pas vraiment habitué. Elle non plus. Nous sommes devant la cuvette. WC.
Estelle guide mon sexe en le contraignant vers le bas. Je bande fort. Il m'est difficile de pouvoir pisser. Je n'ai pas anticipé.
Clémentine se glisse entre le lavabo et la cuvette des toilettes, à droite, devant nous. Elle a glissé une main dans sa culotte.
< Alors ! Il va pisser le monsieur ! > fait Estelle en se penchant sur ma droite pour observer plus près sans lâcher la queue.
J'ai mes vêtements sur les chevilles. Je suis tenu fermement par le sexe. Clémentine se touche. Estelle contraint ma queue.

Nous restons ainsi, silencieux, un long moment. A l'étage, les bruits étranges mais lointains et furtifs reprennent. Je bande.
< Le fantôme vient voir si tu fais ton pissou avant d'aller manger ! > fait Estelle. Nous rions de bon cœur, un peu bêtement.
Impossible de pisser. Pourtant, ce n'est pas l'envie qui m'en manque. Estelle s'accroupit pour me saisir les couilles. Fermeté.
< J'adore vos couilles bien dodues, monsieur ! > fait Estelle en fourrant son visage entre mes cuisses pour les renifler. Rire.
< Il a son odeur de fauve le monsieur. Serait-ce l'hygiène douteuse ou l'odeur naturelle ? > fait Estelle, secouant les couilles.

La sonnerie du four. < Non, non, il va venir manger comme ça le vicieux ! > fait Estelle en m'empêchant de remonter le slip.
Elle m'entraîne par la bite. Je marche en canard, contrarié par mes vêtements aux chevilles. Clémentine me tient en équilibre.
< Il s'assoit le vicieux ! > fait Estelle en me forçant à m'assoir, cul nul sur le coussin de chaise. Clémentine me touche le Zob.
< On lui met sa bavette où il pourra manger proprement ! > dit encore Estelle en prenant ma tête entre ses mains. Des bises.
Estelle sort les pizzas du four. Clémentine remue la salade. Nous voilà confortablement installés. J'ai les fringues descendus.

Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Estelle revient à plusieurs reprises sur notre rendez-vous de mardi dernier.
L'exhibitionniste qui montre son sexe à Clémentine. Qui propose de la revoir mardi prochain et dans un endroit plus tranquille.
Estelle propose d'aller en éclairage dans cet endroit que nous ne connaissons pas. Nous ferons cette visite demain après-midi.
Je connais plus où moins le petit parc. Je ne connais pas du tout l'entrepôt derrière le mur qui délimite l'arrière du petit jardin.
Clémentine est soudain toute fébrile à l'idée d'aller découvrir les lieux. Nous ferons ça vendredi. Estelle nous rejoint à 15 h30.

Je félicite Estelle pour son initiative de ce soir. Moi aussi j'apprécie les surprises. < Je ne le fais pas assez ! > me confie t-elle.
Je dis : < Non ! Au début tu étais davantage dans ce registre. Tu prenais les "choses en main" plus rapidement ! Superbe ! >
< J'ai pris goût à ce que tu t'occupes de moi ! > répond Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Et elle passe sous la table.
Ses mains posées sur mes cuisses nues, je peux sentir son souffle chaud sur mon sexe. Et c'est une sensation très "animale".
Je lui caresse la tête. < Tu vois, quand tu es doux comme ça, j'ai envie de me laisser faire ! > fait Estelle depuis sous la table.

Clémentine se penche pour regarder. Je tiens ma bite à sa base. Je la frotte sur le visage d'Estelle que j'entends roucouler.
Je la force à se relever. Nous continuons notre délicieux repas par le dessert. Yaourts au miel que nous dégustons en riant.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Il est déjà 21 h30. Je propose aux filles un léchage de chattes.
Je ne suis pas obligé de la proposer deux fois. Cette fois c'est moi qui tient Estelle par ses cheveux, fermement, sans lâcher.
< Tu vois ! Quand tu es comme ça, j'ai juste envie de me laisser faire. C'est trop bon ! > fait Estelle à qui j'ouvre les jeans.

Voilà les filles à quatre pattes sur le tapis. Elles me présentent leurs superbes culs. Il y a du poil humide qui dépasse partout.
Je me mets à quatre pattes derrière. Je commence par Clémentine. Je mets juste le bout du doigt dans Estelle. Gémissement.
Le sexe de Clémentine semble suinter tout le temps. A longueur de journée. Je pourrais y passer tout mon temps. Délicieux.
Je passe au cul d'Estelle. Cette petite coquine a une hygiène douteuse. Depuis le temps, je le sais. C'est surprenant. Ça pue.
Je la prie souvent de ne rien changer. De surtout rester naturelle, comme elle a envie. J'apprécie de m'adapter aux situations.

Parfois, à genoux, je me redresse pour caresser les clitoris. Je suis d'une grande douceur. Un concerto pour gémissements.
J'écoute cette symphonie en Culs majeur. De la stéréophonie. En véritable mélomane, esthète du glissando et du moderato.
Je passe d'un cul à l'autre. Je passe d'une chatte à l'autre. J'enfonce délicatement le bout de l'index, dans les culs, les sexes.
Les filles se pâment. Elles se cambrent pour m'offrir encore plus de surfaces à explorer. Il y a de quoi faire bouffer une foule.
Depuis quelques temps, les sécrétions d'Estelle deviennent plus abondantes, que les lèvres de son sexe s'épanouissent. Joie.

Je me redresse. Je glisse mon sexe dur comme le bois entre les fesses d'Estelle qui a un réflexe. Elle dit : < Non, pas ça ! >
Je la rassure. Pas de pénétrations Et certainement pas anales. Nous en détestons tous les trois jusqu'à la simple évocation.
Comme le dit souvent Clémentine : < Le cul, c'est à chier ! >. Nous détestons la sodomie. Moi, je l'exècre depuis toujours.
Je suis couché sur le dos. Estelle est assise sur mon visage en prenant soin de ne pas peser de tout son poids. Je la bouffe.
Clémentine se masturbe, son visage tout près du mien pour m'observer prendre mon second dessert. Estelle se met à crier.

Elle tombe sur le côté, contre le canapé en poussant de petits cris. Elle a resserré fort ses cuisses, ses mains sur son sexe.
Clémentine se vautre sur le canapé, m'offrant sa chatte baveuse. J'ai des vertiges. J'ai le bas du visage trempé de mouille.
Estelle s'est allongée à côté de moi. Je me bouffe la chatte à Clémentine qui connaît un orgasme cataclysmique. Fabuleux.
Estelle qui s'est mise à me sucer. Clémentine qui retrouve ses esprits. Je propose de remettre la suite à demain. Au parc.
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture. Séparation difficile. Au lit, Clémentine insiste pour me sucer un peu. Je négocie.

Bonne soirée à vous faire brouter la chatte, à vous faire lécher la moule et à crier de plaisir à toutes les coquines…

Julien - (Expert en langue vivante, docteur honoris causa du clitoris, se retrouve avec le gout du jus de filles) -

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La petite expédition du vendredi après-midi

Hier matin, vendredi, je me réveille juste un instant avant que ne résonne la musique de notre réveil. Le temps de l'éteindre.
< J'aime quand tu me réveilles comme ça ! Mon amour ! > me chuchote Clémentine dont je couvre le visage de bisous. Joie.
Les papouilles sont hélas de courtes durées. Nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre à toute vitesse. Cuisine.
Nous préparons notre petit déjeuner. Clémentine termine à midi. C'est le début du Week-end. Le début de nos réjouissances.
Nous sommes vêtus de nos tenues de gym. Nous mangeons de bon appétit. Et nous remontons. Notre heure d'entraînement.

La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il fait nuit. Il fait froid. 7 h45.
Un dernier bisou. Un dernier coucou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer au chaud.
Je fais notre lit et notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. Je prépare ma palette, les pinceaux.
Il est 8 h15. Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans une euphorie délirante. Car je termine aujourd'hui cette toile.
Le temps passe toujours si vite lorsque je me livre corps et âme à ma passion. 11 h45. Je dépose le dernier coup de pinceau.

Je mets une toile vierge sur le chevalet. Je nettoie le matériel. Je mets deux nouvelles bûches dans la cheminée. Je m'en vais.
J'épluche des patates pour le gratin. Il est 12 h15. Voilà Clémentine qui rentre de cours. Elle se précipite dans mes bras. Bises.
Je la soulève pour la faire tourner. Elle est toute contente. Voilà le début du Week-end. Elle s'occupe de la salade. Une laitue.
Je passe les fines tranches de pommes de terre quelques minutes à l'eau bouillante. Je les dispose dans le plat. Encore fermes.
Clémentine me raconte sa matinée. Je bat un mélange de crème fraîche, de lait de soja et d'œufs pour verser sur les patates.

Je mets au four. Clémentine a mis la table. Je l'entraîne au salon. Je la fais tomber dans le canapé. Je lui retire ses vêtements.
Vautrée, elle m'offre son sexe. Je suis à genoux sur l'épais coussin à humer les parfums de sa matinée de fille. C'est enivrant.
Je fouille les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe avant de décalotter son clitoris avec ma bouche. Que d'émotion.
< Je t'aime Julien ! > murmure t-elle tout en me guidant par les oreilles. Je sens les légers frissons à l'intérieur de ses cuisses.
J'entends gémir. J'entends la respiration reprendre après une apnée. Clémentine commence à lutter contre le plaisir trop fort.

La sonnerie du four. Nous cessons pour nous précipiter à la cuisine. Clémentine reste cul nu. Sur une feuille de papier Sopalin.
Nous rions de bon cœur mais c'est pour ne pas en rajouter sur le coussin de la chaise qui en voit déjà tant. Et je sors le gratin.
Nous mangeons de bon appétit tout en faisant le vague programme de l'après-midi. Nous partons en expédition vers 15 h30.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine a encore du travail à préparer pour lundi. C'est bien.
Elle remet sa culotte et ses jeans. Nous passons dans l'atelier. Je peux commencer le dessin préparatoire de la nouvelle toile.

Nous adorons ces studieuses séances de travail. Du bruit. C'est Estelle. Il est déjà 15 h30. Elle entre dans l'atelier en sautant.
Elle me fait un tas de bisous. Pourtant nous nous sommes vus hier soir et c'est comme si une éternité s'était passée. Emotion.
Les filles sont assises devant l'ordinateur à comparer leurs préparations. J'ai bien avancé dans mon travail. Séance fructueuse.
Il est 16 h. Il faut y aller. Il reste une heure avant la nuit. Nous restons vêtus en jeans, chemises à carreaux. Pulls et anoraks.
Clémentine vérifie l'état des piles dans les deux grosses lampes de poche. C'est parfait. Je roule doucement. Douze kilomètres.

Nous sommes tous les trois considérablement excités. Nous savons le but de cette exploration. Nous voilà aux abords du parc.
C'est un endroit excentré. En périphérie. Il y a là un grand entrepôt de briques rouges. Mais ce n'est pas vraiment abandonné.
Je gare la voiture. En cette saison, le parc est désert. Il y a un espace de jeux, des bancs. Une végétation de sapins, résineux.
Je porte le petit sac à dos contenant les lampes de poche, l'appareil photo, une bouteille d'eau et quelques barres de céréale.
Nous traversons le parc. Peut-être une centaine de mètres dans sa grande largeur. Nous longeons le mur de briques rouges.

Il y a la grille. La porte est grande ouverte. Elle donne sur une sorte d'étroite cour. Une cinquantaine de mètres. Un escalier.
Il y a trois marches. Nous pénétrons dans un entrepôt. Il y a des montagnes de palettes. Un engin élévateur. Tout est désert.
Estelle se serre contre moi en disant : < C'est lugubre ! >. Clémentine se serre pareil et précise : < C'est même sinistre ! >
La nuit ne va pas tarder. Clémentine tire les lampes du sac à dos. Elle en donne une à Estelle. Je suis les filles qui avancent.
Le plafond est à au moins dix mètres. Les piles de palettes y montent. C'est un spectacle surréaliste. Une forte odeur de bois.

< C'est donc là que le mec te fixe rencard mardi prochain ! > fait Estelle. < C'est pas très engageant ! > répond Clémentine.
Nous contournons les piles du fond. Il y a la fenêtre d'un bureau. A droite il y a une porte. Ce sont certainement les toilettes.
Estelle nous y entraîne. Avant de toucher la poignée, elle enfile ses gants et me passe la lampe. Nous y pénétrons doucement.
Ce sont des vestiaires. Une seconde porte. Nous entrons. Ce sont les toilettes. Années cinquante. Le vieux carrelage bleu ciel.
C'est une salle de dix mètres sur dix. Deux grands lavabos au fond. Sur la droite deux cabinets. Estelle ouvre les deux portes.

Tout est vieux, d'un autre temps mais relativement propre et entretenu. Pas de doute l'endroit doit encore servir d'entrepôt.
Le carrelage du sol est d'un vieux jaune. Le plafond est gris. Quatre lampes en pendent. C'est vétuste. Et le silence est total.
Nous étudions bien la configuration des lieux. Comment nous cacher Estelle et moi. Pour regarder et pour sécuriser l'endroit.
C'est Clémentine qui a la formule. Les WC se ferment évidemment de l'intérieur. Il suffit de s'enfermer dans l'un d'entre eux.
< Il faut percer un trou pour mâter ! > fait Estelle. Problème. Je propose d'aller voir s'il y a des outils quelque part. Je sors.

Je trouve assez facilement tout ce qu'il faut. Je reviens avec une ancienne perceuse à main. Un vilebrequin. C'est archaïque.
Je reviens. Les filles ont découvert un autre plan. Depuis le vestiaire à côté, il y a une étroite ouverture grillagée. En hauteur.
Il suffit de se mettre sur une armoire métallique renversée pour pouvoir, debout, observer ce qui se passe dans les lieux.
< Excellent ! > fait Estelle qui rajoute : < On sera là, tous les deux, pour surveiller, mâter ! >. Clémentine semble rassurée.
La nuit est tombée. Nous marchons avec nos lampes qui éclairent puissamment. Nous quittons. Nous avons fini le repérage.

< Tu auras le courage ? > demande Estelle. Clémentine répond : < Le lieu est sécurisé. Je sais que vous serez là. Bien ! >
Elle rajoute encore : < Maintenant il faut juste que le courage soit à la hauteur de mon envie de vivre cette expérience ! >
Nous arrivons à la voiture. Il est presque 18 h. Nous rentrons. Estelle ne peut pas rester pour manger. Visites à la maison.
< J'ai mon tonton et ma tata qui viennent ce soir. Ça me fait chier, mais maman m'a demandé d'être là ! > nous fait Estelle.
Nous regardons Estelle partir dans l'auto de l'entreprise familiale. Mais elle revient demain. Nous nous dépêchons de rentrer.

Il suffit de réchauffer le gratin. De préparer l'assaisonnement de la salade. Je fais une omelette. Tout est rapide. Méthodique.
Nous mangeons de bon appétit. Clémentine, excitée depuis le cunnilingus et la visite de l'entrepôt est très câline. Caressante.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous restons vêtus ainsi. Il est 19 h30. Nous filons au haras, le second rendez-vous.
Dans la cour, il y a la voiture de Juliette, de madame Walter et de monsieur Gérard. Il y a de la lumière dans les bâtiments.
Nous entrons dans la nouvelle écurie. C'est là que Juliette nous attend. Il y a madame Walter qui s'apprête à quitter les lieux.

Nous nous saluons. Nous bavardons un peu. Il y a monsieur Gérard qui arrive avec Kim Son le palefrenier. Ils nous voient.
Madame Walter nous laisse. Mr Gérard vient nous saluer. Kim Son s'apprête à reprendre son travail. Voilà Juliette qui arrive.
Nous bavardons tous les quatre. Il y a Kim Son pas loin. Juliette me propose de la suivre pour regarder les chevaux manger.
Je laisse Clémentine er Gérard bavarder. Je sens le coup monté. Le truc organisé. Nous sommes bien évidemment complices.
Nous observons Kim Son nourrir les bêtes. Il rajoute des granules dans l'avoine des chevaux. Juliette m'explique. Friandise.

Là-bas, Clémentine et Gérard on disparu. Juliette m'entraîne par le bras. < C'est le moment ! Venez ! > me chuchote t-elle.
Elle m'emmène dans le petit local technique. Elle m'invite à monter sur le coffre. De là, par l'étroit soupirail, la vue parfaite.
Nous sommes tous les deux debout. Clémentine est maintenue par ses cheveux par Gérard qui lui fait faire le tour de la pièce.
Je procède souvent de la même manière. Clémentine raffole de se retrouver dans de telles situations. Gérard est un "Maître".
Il force Clémentine à s'assoir sur la chaise au milieu de la pièce. Le dossier entre ses jambes. Elle se laisse faire avec plaisir.

Il y a cette curieuse impression qui m'envahit. Juliette me fait : < J'y vais. A tout à l'heure ! >. Elle descend et quitte le local.
Je la vois entrer dans la pièce. Clémentine lui fait un sourire timide. Gérard a ouvert sa braguette. Sa bite minuscule dehors.
Il regarde Juliette qui tourne autour de lui, de Clémentine. Elle a un curieux regard. A la fois sévère et amusé. C'est étrange.
Elle s'accroupit. Elle approche son visage du sexe de Gérard. Elle fixe Clémentine. Je la vois, rouge, visage brillant de sueur.
Juliette se met à sucer son ancien palefrenier aujourd'hui à la retraite, avec une incroyable passion. Clémentine qui observe.

Gérard est d'une grande douceur. Il caresse la tête à Juliette qui suce avec tant de bonheur. Les yeux fermés. Elle tète. Belle.
C'est la toute première fois que je la vois sucer Gérard. Elle est vêtue de sa tenue d'écuyère. C'est hyper excitant. Je bande.
Je me masturbe doucement en regardant cet étrange spectacle. Juliette s'est mise à genoux sur une couverture matelassée.
Elle tient Gérard par les hanches. Parfaitement immobile, concentrée, elle suce. Elle est magnifique. Clémentine silencieuse.
Elle est assise sur la chaise, le dossier entre ses cuisses, les coudes posés sur le dossier à scruter cette sublime fellation. Joie.

Soudain, Gérard se retire. Sa bite est dégoulinante. C'est impressionnant. Il y a du foutre qui en ruisselle. Il écarte Juliette.
Il s'approche de Clémentine. Il la choppe par les cheveux juste avant qu'elle ne puisse détourner la tête. Il lui enfonce le Zob.
Clémentine, surprise, n'a pas le temps de réagir. Juliette s'est redressée, dit quelque chose et s'éloigne s'essuyant la bouche.
Elle quitte la pièce. Elle vient me rejoindre. Elle monte sur le coffre et regarde avec moi. Elle m'explique ce que fait Gérard.
Ce salaud est entrain de se faire sucer. Juliette me confie que ce type est incontinent, qu'il y a un constant mélange. Dégueu.

Je regarde. Gérard est un impuissant total. Toute sa petite bite enfoncée dans la bouche de Clémentine. Pas d'effort à faire.
Je la regarde déglutir. Je comprends à présent mieux pourquoi elle semble avaler sans arrêt. Les yeux fermés et concentrée.
< Ce vieux dégueulasse n'éjacule pas, il se laisse vider ! > me fait Juliette. Je découvre qu'elle a du foutre sur le haut du pull.
Elle s'essuie avec un mouchoir en papier. Clémentine se lève soudain. Elle s'enfuie à toute vitesse. Gérard remonte son froc.
Nous rejoignons Clémentine dans la cour. Elle est entrain de dégueuler à côté de la voiture. Nous laissons Juliette. Au revoir.

Bonne exploration à toutes les coquines qui aiment les trucs vicelards dans des endroits bien glauques…

Julien - (Qui aime voir Clémentine dans des situations critiques et limites. Elle aime ça et être regardée) -

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Un samedi qui ne change pas de l'ordinaire

Hier matin, samedi, je suis réveillé par un léger froissement des draps. Il y a même de très légers mouvements du matelas.
C'est à peine perceptible. Toujours est-il qu'en me réveillant, je change de respiration. Ce qui alerte Clémentine. Tout cesse.
< J'ai fait un rêve érotique ! > me murmure t-elle à l'oreille en se blottissant contre moi. Je la serre fort. Je lui fais des bises.
Je chuchote : < Bonjour ma belle masturbatrice ! >. Nous rions de bon cœur. Nous nous précipitons jusqu'aux toilettes. Pipi.
Il est 7 h45. Nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit.

Clémentine me raconte son rêve. Il y est question de monsieur Gérard, le retraité vicelard et de son minuscule braquemard.
< Quand je le suce, sur le coup, ça m'excite. Mais après, ça me dégoûte. Et tu n'imagines pas ! > me confie ma compagne.
Je comprends parfaitement ce fonctionnement. Elle rajoute : < C'est tellement dégueulasse. C'est ça qui m'excite tu sais ! >
La vaisselle. Je propose à Clémentine de tenter un jogging en extérieur. Dehors, il fait un froid sec. Nous sommes déjà vêtus.
Nous enfilons nos K-Ways, nos bonnets et nos gants. Il faut accélérer rapidement pour se réchauffer. D'agréables sensations.

Ce vrai jogging, enfin, dans le petit matin vivifiant, nous enchante. Nous nous offrons une heure d'un extraordinaire running.
Il est 9 h15 lorsque nous revenons absolument ravis. La douche. Nous nous habillons. Nous optons pour nos jeans et sweats.
Nous voilà en voiture. Direction le petit bourg pour y faire notre marché. La glacière branchée sur l'allume cigare. Il fait froid.
Je roule doucement. Clémentine se réchauffe une main dans ma braguette. Nous nous garons sur le parking. Il y a du monde.
Nous faisons provision de fruits, de légumes, de fromages, d'œufs, de beurre, de yaourts chez nos artisans locaux habituels.

Nous apprécions ce froid sec. Surtout après ces quelques semaines d'humidité. Nous voilà de retour à la voiture. C'est chaud.
Direction la zone commerciale. Je roule doucement. Cette fois, Clémentine m'a sorti le Zob. Il fait bien chaud dans l'habitacle.
Je gare l'auto sur le parking. Nous fermons nos anoraks. Je pousse le caddie. Il y a du monde. Ambiance plutôt sympathique.
Clémentine m'entraîne dans les rayons qui nous concernent. Elle tient la liste que nous dressons au fur et à mesure des jours.
Elle me montre les articles avant de les déposer au fond du chariot. Elle regarde les promotions. Lit les étiquettes et les prix.

Même si Clémentine n'est pas habillée pour une exhibe, il est toujours possible de nous amuser à quelques jeux bien vicelards.
Elle m'entraîne au rayon des bouquins. Il serait vain de tenter n'importe quel plan, il y a bien trop de gens. Mais nous visitons.
C'est pareil au rayon des vêtements. Il reste les cabines d'essayage. Il y a là une famille de Simpson, bruyante et très pénible.
Nous quittons rapidement. Et nous voilà dans la file devant la poissonnerie. Il y a une animation commerciale dans le magasin.
C'est donc rapidement insupportable. La voix d'un type dans la sono qui pose des questions. C'est du Jacques Martin en pire.

Nous déambulons encore un peu dans la galerie commerciale à regarder la vitrine des boutiques. Celle devant le salon de thé.
Clémentine évoque tout naturellement le rendez-vous avec l'exhibitionniste mardi dernier. Nous en rions de bon cœur. Sympa.
< Celui-là aussi, ça a l'air d'être un beau spécimen de vicelard patenté ! > dit Clémentine tout en faisant une horrible grimace.
Nous rions de sa bite. L'exacte réplique d'un nem. Le prépuce fripé et carré au bout. Je rigole : < Il en a peut-être le goût ! >
< En tous cas pas l'odeur ! > fait Clémentine. Nous rigolons comme des bossus à l'évocation des WC où le type la lui a montré.

Nous revenons à la voiture. Je propose à Clémentine de mettre les crustacés et les poissons dans la glacière. Pour la cafétéria.
Nous y avons lu les menus. Il y a des trucs plutôt sympas. Clémentine hésite. < Il y a trop de monde. On rentre ! > me dit elle.
Nous voilà sur la petite route. Treize petits kilomètres ou je me fais masturber, sucer et tripoter. Nous passons devant le haras.
Il y a plein de voitures dans la cour. Il est pourtant déjà midi et demi. Je ralentis. < La bagnole à Gérard ! > lance Clémentine.
Je demande : < Tu veux qu'on s'y arrête ? >. Elle répond : < Non merci, j'ai vomis hier ! >. Nous rigolons comme des bossus.

Il est 12 h45 lorsque nous arrivons à la maison. Nous rangeons les courses. Nous préparons le repas. Moules, haricots verts.
Clémentine s'occupe de la salade et son assaisonnement. C'est le repas rapide du samedi midi. Nous bavardons en riant bien.
Nous mangeons de bon appétit. Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Clémentine me parle du rendez-vous de mardi.
< J'ai une de ces trouilles ! > me confie t-elle. Je dis plusieurs fois : < On peut annuler. Et on peut très bien ne pas y aller ! >
Clémentine est toujours partagée entre son désir de passer à l'acte, ses inhibitions de jeune fille, ses hésitations, ses craintes.

Dans ces moments d'introspection, je reste toujours silencieux. Et je ne tente jamais d'influer. Le respect total du libre arbitre.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Clémentine m'entraîne dans l'atelier. Elle a du travail pour lundi. Elle m'embrasse fort.
Elle me fait tomber sur le vieux canapé. L'atelier sans le feu dans la cheminée est moins convivial lorsqu'il fait froid au dehors.
Je lui propose de m'occuper du feu d'abord. Je me lève. Je suis accroupis devant l'âtre à disposer le petit bois et les journaux.
Je regarde sur ma gauche. Clémentine a retiré son pantalon et sa culotte. Jambes relevées et écartées elle est vautrée. Super.

Je la regarde se toucher. J'allume le papier journal froissé. Le feu prend immédiatement. Les premiers crépitements. Chaleur.
Je rajoute du bois un peu plus gros et deux grosses bûches. Voilà notre feu qui s'anime. Majestueux. Et je rejoins Clémentine.
Je me mets à genoux sur un des vieux coussins. Je hume longuement les odeurs de sa matinée de fille. Hélas, odeur de savon.
Clémentine, considérablement excitée par nos conversations, les évocations de nos aventures, mouille déjà d'étonnante façon.
Je n'ai plus qu'à me pourlécher de son abondante cyprine. Ce jus de fille qui semble chez Clémentine intarissable. Si délicieux.

Je décalotte son clitoris géant du bout de mes lèvres. Je dois redoubler d'attention. L'excitation est telle que l'orgasme guette.
Pour tempérer tout cela, Clémentine m'attire sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons immobiles. Joie.
C'est toujours dans ces instants que Clémentine me fait les plus secrètes révélations. J'écoute, émerveillé, enchanté. Sublime.
En fonction de l'excitation générée par les confidences, nous nous mettons à nous bercer. Nous retournons à l'immobilité. Joie.
Cette façon de baiser, qui est la nôtre, nous abstrait du monde et de ses réalités. Nous nous essorons les sexes avec un "69".

Il faut cesser sous peine d'orgasme. Clémentine veut rester excitée jusqu'à ce soir. Elle m'entraîne aux toilettes. Le rituel pipi.
Nous adorons nous régaler de nos dernières gouttes. Nous adorons le mélange de nos sécrétions. L'excitation revient. Calmos.
Nous sommes carrément couchés sur le carrelage froid des chiottes à nous lécher. Cette fois, le risque est devenu trop grand.
Nous nous levons. Nous filons à l'atelier en nous tenant par la main, en gambadant et en rigolant comme des fous. Le bonheur.
Dans l'atelier. Nous remettons nos fringues. Il fait bien chaud. Le feu a bien pris. Nous pouvons nous mettre au boulot. Super.

Je peux achever le dessin préparatoire de la quatorzième toile destinée à ma saison d'été. Clémentine peut préparer ses cours.
Parfois, l'un vient rejoindre l'autre pour voir ce qu'il fait. Clémentine qui me chuchote : < J'ai ton goût en bouche. Je t'aime ! >
Je réponds : < Pareil. Je t'aime comme un dingue. Et tu as toujours si bon goût ! > Nous rions de bon cœur de ce double sens.
Du bruit. Il est 18 h15. C'est Estelle qui entre dans l'atelier. Elle nous fait la bise. Elle sautille autour de moi et de mon chevalet.
Assise sur mes genoux Estelle nous raconte sa matinée de boulot au bureau de l'entreprise familiale. Les courses avec sa mère.

Les filles travaillent encore un peu. Je passe les deux couches d'impression sur la toile. L'acrylique "Terre de Sienne". Parfait.
Il est 19 h. Nous avons terminé. Nous voilà assis en tailleur sur le tapis devant la cheminée. En admirant les flammes danser.
A l'étage, il y a d'étranges bruits. Des pas furtifs. Comme si quelqu'un se sauvait, revenait, repartait à nouveau. Surprenant.
La faim commence à se faire sentir. Estelle me tient la bite. Elle joue un peu avec tout en bavardant. C'est son "doudou". Rire.
Il est 19 h30. Nous décidons de ce que nous allons faire à manger ce soir. Je propose des beignets de crevettes et d'aubergine.

Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade verte déjà lavée. Estelle qui m'aide.
Je prépare une pâte à crêpe. Estelle ouvre une boîte de crevette. Nous coupons de l'aubergine en fines tranches. Méthodique.
Je les fais rissoler légèrement. L'huile en ébullition dans la poêle creuse. Crevettes, aubergines plongées dans la pâte à crêpe.
Estelle les sort pour les plonger dans l'huile bouillante. Le bruit de friture. Il faut égoutter très vite. Nous remplissons un plat.
Clémentine met la table. Morts de faim nous voilà assis à savourer ce simple mais délicieux repas. Je refais une fournée. Joie.

Nous traînons à table. Les filles évoquent les études mais également nos petites aventures coquines, sulfureuses, vicieuses.
Clémentine fait part de son hésitation pour le rendez-vous de mardi prochain. < Tu te dégonfles ? > demande alors Estelle.
< Pas du tout. C'est toujours l'écœurement que ça suscite qui m'excite et beaucoup plus que l'acte en lui-même ! > fait elle.
Clémentine développe. Nous comprenons parfaitement. Pour Estelle c'est très similaire. Nous sommes trois vrais cérébraux.
Aussi, l'aspect psychologique prime toujours sur l'aspect physique. Nous dissertons sur nos préférences qui sont identiques.

Nous traînons à table. Cette conversation achève de nous exciter considérablement. < Passage à l'acte vite ! > s'écrie Estelle.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. J'entraîne les filles au salon. Je les tiens toutes les deux par la nuque. Elles apprécient.
Je propose un bon léchage de fions. Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. < C'est génial avec toi Julien ! > dit Estelle.
Quoi de plus délicieux pour les filles que de se laisser faire, d'êtres passives, et de se laisser emmener au plaisir sans efforts.
< Je veux bouffer ta bite ! > me fait Estelle alors que je lui retire délicatement sa culotte. Clémentine est déjà dévêtue. Joie.

Les filles sont à quatre pattes sur l'épais tapis. Les bras croisés sur le canapé. Elle me présentent leurs superbes culs nus.
Je hume. Toujours cette odeur de fille négligée chez Estelle. Je commence à drôlement apprécier. Des miasmes qui collent.
Je suis à quatre pattes derrière les filles. Je commence à bouffer le cul d'Estelle. Cette odeur répugnante m'excite. C'est fou.
De mon doigt, je caresse le croupion de Clémentine. Il suinte. Je caresse le clitoris. Je nettoie le cul d'Estelle. Suce les poils.
Je passe au cul de Clémentine. J'écarte bien leurs fesses pour avoir un bon accès. Elles en gémissent de contentement. Joie.

Je me redresse. Je suis à genoux. J'enfonce juste le bout de mes doigts dans les culs, les chattes, je caresse les deux clitoris.
Clémentine, la tête enfuie dans les coussins se laisse faire en poussant de petits gloussements. Estelle bouge un peu du cul.
Je bande comme le dernier des salauds. Je me branle un peu tout en léchant, tout en suçant et tout en pompant. De la jute.
Le trou du cul d'Estelle est luisant du jus de ses muqueuses. Mon index y glisse. Nous avons la sodomie en horreur. Délicat.
Je renifle souvent le bout du doigt avec lequel je fouille l'entrée du cul d'Estelle. Et cette lointaine odeur de crottin de cheval.

Estelle ne peut réfréner l'orgasme qui la terrasse soudain. Elle en hurle. Son corps est secoué de spasmes, de frissons. Pipi.
Elle pisse comme une vache, sans pouvoir se retenir. C'est de plus en plus fréquent. Comme le fait Clémentine. Mimétisme.
Estelle est comme anéantie. Le tapis est trempé. J'ai esquivé. Il passera à la machine demain. Fibres synthétiques "coton".
Estelle reprend ses esprits. Elle se lève pour aller chercher le seau et la serpillère. Clémentine s'est retournée sur le canapé.
Je lui bouffe la chatte. Estelle se met à me sucer comme une désespérée. Clémentine hurle de plaisir. Elle en pisse. Je jute.

Bon Week-end à toutes les coquines qui adorent se faire nettoyer le cul et la chatte par un spécialiste du "ménage" intime…

Julien - (Qui commence à apprécier le "négligé" d'Estelle. Et Estelle qui entretient ce "négligé" dégueulasse avec soin) -

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Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 675 -



Petite randonnée dans le froid sec

Hier matin, dimanche, je suis tiré de mon sommeil par des murmures. C'est encore lointain. Une tête glisse sur mon ventre.
Estelle suce mon érection matinale. C'est une sensation étrange. Encore rien à voir avec un plaisir quelconque. C'est bizarre.
Clémentine me couvre le visage de bisous. J'ouvre les yeux. Elle me fait le plus adorable des sourires. Je la serre contre moi.
< Je t'aime ! > me murmure t-elle. Sous les draps, la pipe commence à produire ses effets. Je saisis Estelle par ses cheveux.
Je la force à cesser et à poser sa tête contre mon cou. < Je t'aime aussi ! > me chuchote t-elle. Je dis : < Je vous aime ! >

Nous rions de bon cœur de cette farce dominicale qui est devenue un nouveau rituel. Estelle se lève la première. Son pissou.
Dès qu'elle se précipite dans l'escalier pour aller préparer le petit déjeuner, c'est à notre tour. Nos seconds rituels. Et pisseux.
Morts de faim nous rejoignons Estelle à la cuisine. Il y a déjà l'odeur de pain grillé, de brioche et de café. Le jour se lève. 8 h.
Estelle se blottit contre moi. < Tu aimes la pipe du dimanche matin ? > me demande t-elle. Je la soulève pour la faire tourner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Le thermomètre extérieur indique moins 7°. La brioche est un vrai délice.

C'est dimanche. Pas de gymnastique, pas d'entraînement. Pas de jogging. Nous traînons à table. Et ce matin, c'est "ménage".
Le rituel suivant. Estelle se propose à faire le salon. Clémentine fait la chambre à l'étage. Moi je fais la cuisine et les chiottes.
La vaisselle. Nous nous faisons des bisous puis chacun va s'occuper de son petit territoire. Je commence par la cuisine. Bien.
J'entends Estelle chantonner tout en passant l'aspirateur. Je fais les chiottes. Comme tout est toujours si propre, c'est rapide.
Je passe la serpillère. Je m'apprête à monter. J'hallucine. Par la porte ouverte, je vois Estelle, accroupit sur le bureau. Super.

Elle a juste le haut de son pyjama. Elle me fait signe de son index, disant : < Viens voir ! >. Je suis encore en slip et T-shirt.
Je m'approche. < Regarde ! > me fait elle en montrant son sexe. Je me penche. J'essaie d'observer à travers l'épaisse touffe.
Il y a d'abord l'odeur. Forte. J'adore. Estelle le sait. < Je la laisse dans son jus pour toi ! > fait elle en m'attrapant les cheveux.
Je m'accroupis pour mettre mon visage entre ses cuisses. < Tu as fait de moi une folle du cunni ! > me dit elle en s'installant.
Elle me choppe par la nuque pour coller son sexe contre mon visage. Les poils me chatouillent. L'odeur de sa nuit de fille. Fou.

Il y a quelques temps encore, l'odeur forte du sexe souvent négligé d'Estelle me répugnait. Les choses ont bien changé. Miam.
Je passe ma langue. C'est légèrement humide. Légèrement salé. Un arrière goût âcre. Je suce. Il y a une substance licoreuse.
J'ai un frisson de dégoût. L'excitation me gagne. Je suis assis sur la chaise. Estelle est assise sur le bord du bureau, en appui.
Les cuisses écartées. Elle me tient la nuque comme pour m'empêcher de me retirer. < Tu te régales ? > me demande t-elle.
Je me contente d'un gémissement affirmatif. J'arrive enfin à me dégager. < Comme c'est bon ! > fait elle en se levant. Rires.

Estelle prend ma main pour monter avec moi. Nous rejoignons Clémentine qui termine de faire le lit. Et les fenêtres ouvertes.
Il fait froid. Elle est déjà habillée. Nous faisons pareil. Nous voilà vêtus touts les trois de la même façon. Chemises à carreaux.
Je raconte à Clémentine ce qui s'est passé en bas. Elle m'entraîne à la salle de bain. Et Estelle nous suit avec les draps sales.
< Regarde ton menton ! > me fait Clémentine. J'ai un peu de "crème" qui sèche. Autour de la bouche et au menton. Cyprine.
Estelle éclate de rire en disant : < De mes substances ! >. Clémentine me nettoie avec le gant de toilette humide. C'est drôle.

Je nettoie le bac à douche. Clémentine fait le lavabo et les miroirs. Nous entendons Estelle chantonner en passant l'aspirateur.
< Je t'aime Julien ! Si tu savais ! > fait Clémentine en se blottissant contre moi. < Et c'est toute ma vie ici ! > fait elle encore.
J'en ai pleinement conscience. Et il en va de même. Demain, 21 janvier, cela fera deux ans que nous vivons ensemble. Super.
Nous serons seuls, Clémentine et moi. Aussi, je lui promets de fêter cet anniversaire d'une façon inoubliable. C'est merveilleux.
Tous les deux, les larmes aux coins des yeux nous nous couvrons le visage de bisous. Tant de bonheur. Comme par le passé.

Clémentine descend avec le panier à linge plein. Elle me dit : < Fais attention, la chatte d'Estelle peut causer des allergies ! >
Nous rigolons comme des bossus. Je nettoie les chiottes de l'étage. Estelle qui n'attend que ça, vient me rejoindre. < Pipi ! >
< Tu me tiens ! > me fait elle en descendant son pantalon et sa culotte. Je la tiens par ses hanches. Et elle reste sans s'assoir.
Depuis quelques temps ses jets deviennent plus abondants, plus puissants aussi. < Je prends de l'âge ! > dit elle en rigolant.
Je la torche soigneusement. < Fais voir ! > me lance t-elle en attrapant mon poignet pour regarder ce qui colle dans le papier.

Je me dépêche de filer. < Attends, je viens avec toi ! > me fait elle en remontant ses fringues. Nous dévalons l'escalier. Cave.
Nous rejoignons Clémentine pour trier le linge. Les draps sont déjà dans la machine. Les filles évoquent leurs cours de demain.
< J'ai mes "petits machins" de fille ! > me fait clémentine avec un air de dépit. Nous sommes le 20. C'est l'horloge biologique.
< Donc tu n'as qu'une seule chatte à bouffer ! > me dit Estelle en palpant ma braguette. Nous rions de bon cœur. Déjà 11 h.
Nous remontons. Nous décidons d'aller faire quelques pas au dehors. Nous enfilons nos anoraks, bonnets, écharpes et gants.

Le froid est vif et piquant. Mais c'est un froid vivifiant, beaucoup plus agréable que l'humidité persistante des derniers jours.
Nous restons serrés tous les trois. Clémentine propose une petite randonnée cet après-midi. Suggestion accueillie avec joie.
C'est le temps idéal. Le sol est sec et gelé. Pas le moindre souffle de vent. Nous faisons le tour de la propriété. Une surprise.
C'est Max ! Le Doberman géant des Bertrand, nos plus proches voisins, qui vient faire sa tournée d'inspection. Il est joyeux.
C'est un grand chien tout noir. Impressionnant. Le corps musclé sur de hautes pattes. Il passe sa tête contre nos anoraks.

Il y a monsieur Bertrand qui nous fait un signe de la main. Il est là-bas, à une centaine de mètres. Max file le rejoindre. Bien.
Nous rentrons. Estelle s'occupe des pavés de saumon qu'elle prépare en papillotes. Clémentine fait la salade. Assaisonnement.
J'épluche les patates, les navets et les carottes pour la potée. Autre rituel dominical. Nous évoquons la rando de l'après-midi.
Estelle, devant le barbecue électrique, dans la véranda, a remis son anorak. La pièce n'est pas chauffée. Elle fait des grimaces.
Je mets la table. Clémentine remue la potée. L'odeur est prometteuse. Tout est prêt. Il est midi trente. Nous passons à table.

Nous mangeons de bon appétit tout en discutant. Nous sommes pressés d'aller randonner. La vaisselle. Et ranger la cuisine.
Dans le petit sac à dos que je trimballe partout avec nous en balade, je mets trois pommes, des barres de céréale. Thermos.
Du café bouillant qu'Estelle verse dans la bouteille thermos. Nous voilà équipés. Des pulls, les anoraks, les bonnets et gants.
Il est 13 h30. Nous descendons le chemin jusqu'à la rivière. Le ciel s'est éclaircit. C'est un après-midi magnifique. Froid, sec.
Nous marchons souvent en nous donnant la main. Pas questions de fourrer les mains dans nos braguettes. Mais on se tripote.

Nous passons à proximité du haras. Il y a du monde. Même si Juliette n'a prévu aucune animation pour ce dimanche si froid.
Nous croisons quelques rares promeneurs. Principalement des couples. Des séniors. Nous croisons des meutes de sangliers.
Ces bestioles, de plus en plus nombreuses, ne semblent plus ressentir la moindre crainte des humains. Elles se rapprochent.
Curieux comportement qui n'est pas sans éveiller quelques vieilles craintes ancestrales. Alors qu'ils sont pacifiques, distants.
Nous faisons la grande boucle. Nous revenons à la nuit. La lune est presque pleine et le ciel bien étoilé. C'est de toute beauté.

Pas besoin d'utiliser nos lampes frontales, la lumière argentée permet de marcher parfaitement. Il est presque 18 h. Nuit.
Nous voilà au chaud. Nous restons en jeans, chemises à carreaux. Clémentine a un peu mal au ventre. Ses "petits machins".
Aussi, je lui propose de rester dans le canapé. Estelle et moi nous nous occupons du repas du soir. Car la faim se fait sentir.
< Je ne suis pas grabataire ! Et c'est juste comme une contraction ! Pas question de faire ma malade ! > s'écrie Clémentine.
Nous rions de bon cœur. Nous passons à l'atelier. Les filles ont encore un peu de préparations pour le cours de demain matin.

Je prépare mon matériel pour demain. Je me réjouis pour commencer la peinture de ma quatorzième toile. Une nature morte.
Il est rapidement 19 h30. Morts de faim, nous nous précipitons à la cuisine. Je réchauffe la potée. Clémentine fait une salade.
Estelle prépare une omelette aux champignons. Une tonne de gruyère de Comté. Nous en rions de bon cœur. Tout est rapide.
La potée réchauffée, c'est encore meilleure. Il est 20 h. Nous mangeons de bon appétit. La fatigue se fait sentir. C'est sympa.
Nous traînons à table. Les filles sont assises sur mes genoux tout en terminant leur yaourt au miel. Bavardages. Projets. Joie.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Pour demain, tout est prêt. Je propose aux filles un bouffage de chattes dans les règles.
< Justement ! Mes règles ! > fait Clémentine en se serrant contre moi. Nous rigolons comme des bossus. Et Estelle me tripote.
Lorsque Clémentine a ses "petits machins", cela ne m'empêche nullement de m'occuper tout spécialement de son clito géant.
Estelle est déjà cul nu, vautrée dans le canapé. < J'ai développé une addiction au cunnilingus ! Tu n'imagines pas ! > fait elle.
Je la rassure : < Oh si ! J'imagine très bien. Et tout comme j'ai développé une addiction à ta chatte toujours si dégoûtante ! >

Me voilà à genoux sur l'épais coussin, entrain de bouffer la chatte à Estelle. Je suis obligé de surmonter une légère répulsion.
Les odeurs de sa journée de fille, l'absence de douche du dimanche, la randonnée, tout cela participe à un menu très "épicé".
La petite ficelle blanche qui pend de la touffe de Clémentine dont je savoure le clitoris géant. Je passe de l'une à l'autre. Joie.
Les filles gémissent tout en me caressant la tête. Estelle connaît un orgasme délirant. Toujours trop rapide. Puis elle me suce.
Je termine Clémentine dont l'orgasme est tellurique. Il faut se séparer. C'est difficile. Estelle revient mardi. Nous voilà épuisés.

Bonne soirée à vous faire bouffer la chatte à toutes les coquines qui apprécient de la laisser macérer dans son jus…

Julien - ("Petit toutou brouteur" comme le surnomme affectueusement Estelle qui ne jure plus que par le cunnilingus) -

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L'anniversaire de nos deux ans de vie commune

Hier matin, lundi, c'est le Concerto pour clarinette de Mozart qui nous tire de nos profonds sommeils. 5 h55. C'est crispant.
< Moi je préfère la flûte, Momo ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur en nous précipitant aux toilettes. Nous dévalons l'escalier à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Faim.
Nous préparons un copieux petit déjeuner que nous prenons en bavardant. Nous mangeons de bon appétit. En tenues gym.
Nous remontons nous offrir notre heure d'entraînement. La douche. Je descends pour aller sortir la voiture de Clémentine.

Il est 7 h45. Il fait nuit. Un dernier bisou. Un coucou de la main. Je regarde l'auto disparaître en haut du chemin. Il fait froid.
Je me dépêche de rentrer. Je fais notre lit et notre vaisselle avant de passer dans l'atelier. J'allume un feu dans la cheminée.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Je commence ce matin la quatorzième toile destinée à ma saison d'été. Nature morte.
Il est 8 h15. Me voilà installé devant mon chevalet. Je peins dans la sérénité la plus totale. Livré corps et âme à ma passion.
Il est rapidement midi. Je suis prévenu par la faim qui me tenaille. Horloge biologique infaillible. Je me précipite à la cuisine.

La pâte feuilleté a décongelé. Je lave la salade. Je fais bouillir l'eau pour le millet. J'évide de grosses courgettes sphériques.
Je prépare une farce. Un mélange de pâté de lentille, de crevettes, de biscottes, d'ail, d'oignons, d'œufs et de gruyère râpé.
C'est à la fois pour mon repas de midi et pour celui de ce soir. Pendant que les courgettes sont au four, je fais la compote.
Le dessert de ce soir sera une autre galette des rois, mais pour ma reine. De la compote de pomme remplace la frangipane.
Je suis méthodique. Les choses vont vite. Dans le four chaud, la galette remplace les courgettes. Je mange de bon appétit.

Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau confortablement assis devant mon chevalet. Ma sérénité s'est encore décuplée. Bien.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle dépose son sac sur le canapé pour se précipiter dans mes bras.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs, le menu du restaurant universitaire, les cours. C'est amusant.
Elle a du travail. Nous voilà concentrés sur nos labeurs. Le crépitement du feu. Le craquement du bois. La nuit est tombée.
A l'étage, les premiers bruits de pas. C'est léger, furtif. Cela ne dure que quelques instants pour reprendre encore. Etrange.

< Stop ! > s'écrie soudain Clémentine derrière moi. Je regarde l'heure. Il est 18 h45. Nous rangeons nos affaires. C'est bien.
Nous éteignons les lumières pour nous assoir en tailleur sur l'épais tapis devant la cheminée. Nous admirons le feu s'éteindre.
C'est un vieux tapis. Quelques projections de cendres chaudes ou de braises y ont laissé d'innombrables tâches, petits trous.
Au dessus de nous, le fantôme continue ses errances. Christine était une femme très discrète. Son fantôme l'est tout autant.
Clémentine s'est allongée, la tête posée sur ma cuisse. Je suis en appui sur ma main gauche. Je la caresse de la main droite.

La faim se fait ressentir. Nous quittons l'atelier. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà lavée et préparée.
Je réchauffe les courgettes dans un plat après les avoir callé avec le millet. Je vais au salon pour préparer la table monastère.
Clémentine vient me rejoindre. Elle m'aide. Nous fêtons ce soir nos deux années de vie commune. Elle se blottit contre moi.
Je la soulève pour la faire tourner. < Je t'aime Julien. Ce sont les deux plus belles années de ma vie ! > me murmure t-elle.
Je chuchote : < Moi aussi ! >. Il y a un bruit sourd à l'étage. < Tu viens de faire de la peine à Christine ! > lance Clémentine.

Je prends la grande chaise à accoudoir entre l'horloge Westminster et la bibliothèque. Je la mets au milieu de la grande pièce.
Du tiroir du bas du bureau, je sors le collier canin, la laisse, les menottes et les cordelettes de coton blanc. Un coussin au sol.
Clémentine, que mes préparatifs excitent déjà considérablement, vient près de moi pour chuchoter : < Tu es merveilleux ! >
Elle se serre contre moi, m'enlace de ses bras et m'embrasse avec fougue. Je fonds. Et nos mentons sont trempés de salive.
La sonnerie du four. Je dis : < Tu t'installes et je m'occupe de tout. Ce soir tu es ma reine ! >. Clémentine préfère me suivre.

Nous rions de bon cœur lorsqu'elle me dit en m'entraînant à la cuisine : < Et tu ne te débarrassera pas de moi comme ça ! >
Je sors les courgettes du four. Clémentine remue la salade. Nous emmenons tout au salon. < Attends, je reviens ! > fait elle.
Je la regarde filer dans le couloir, monter les escaliers à toute vitesse. Il y a comme un soudain courant d'air glacé. Curieux.
Quelques minutes. J'allume les trois bougies du chandelier. J'éteins les lumières. Clémentine redescend vêtue de sa jupe kilt.
Elle est pâle comme un linge. < J'ai vu quelque chose. Comme une ombre qui passait derrière moi dans le miroir ! > fait elle.

Je la fais tourner sur elle-même. Clémentine n'est pas le genre à s'en laisser compter. Et certainement pas par des fantômes.
Je la félicite pour sa tenue. Un pull de coton fin, bleu nuit. Sa jupe kilt à carreaux rouges. Ses escarpins à talons hauts. Noirs.
Elle s'accroupit, cuisses largement écartées. Ses bas noirs, son porte jarretelle noir. Son absence de culotte. C'est magnifique.
Je lui dis : < Tu me combles de bonheur jusqu'à l'ivresse depuis deux ans ! Je t'aime ! > Elle se relève pour se serrer très fort.
Nous passons à table. Nous mangeons de bon appétit. Il n'y a plus aucun bruit. Le silence est total. Juste nos murmures. Joie.

Il est 20 h30. Je me lève. Je passe derrière Clémentine. Je lui mets le collier canin autour du cou. J'y fixe la laisse. Un à coup.
Je la force à se lever. Je lui fais faire le tour de la pièce. Je peux l'entendre glousser de joie. < Je vous aime Maître ! > dit elle.
Même si je n'ai absolument pas l'âme d'un "Maître", je joue le rôle qui m'est demandé avec une "conscience professionnelle".
Je passe ma main sous sa jupe. Il y a la petite ficelle blanche. Je palpe les lèvres charnues de sa vulve. Elle a un sursaut. Joie.
Je dis : < A genoux ! A quatre pattes ! >. J'entraîne Clémentine qui s'arrête à l'angle du bureau pour lever la jambe. Si belle.

Je ne m'en rends pas immédiatement compte. Mais elle pisse vraiment. Elle lève la tête pour me fixer d'un regard implorant.
Je la fais se relever. Elle à les bas imbibés de pisse. Il y a la flaque sur le parquet. Je la fais s'assoir sur la chaise. Je l'attache.
Les poignets fixés aux accoudoirs, les chevilles fixées aux pieds de la chaise. Je m'éloigne pour admirer ce divin spectacle.
Je vais chercher le seau, la serpillère. Je nettoie le sol. Clémentine n'arrête pas de me chuchoter des cochonneries. Excitée.
Je me rapproche. Je mets la serpillère sous ses pieds. Ses souliers sont mouillés. Je m'accroupis pour regarder sous la jupe.

Mon adorable et délicieuse salope peut très bien continuer de pisser. Elle adore faire ça n'importe où quand elle est si excitée.
Je passe ma main. Non. C'est sec. Je me redresse. J'ouvre ma braguette. Je bande mou. Je l'attrape par la laisse. Un à coup.
Je la tiens par ses oreilles. Je frotte mon sexe sur son visage. Sans aucun ménagement. Je tiens ma queue. Je la secoue fort.
Je lui donne de petits coups de bite sur les joues. Elle me présente chaque partie de son visage d'ange. Elle se met à gémir.
Clémentine aime tant lorsque j'ai ces trop rares comportements. Mon attitude de ce soir la comble de bonheur. Le jeu de rôle.

Le "Maître" et la "Soumise". Ces situations que désire tant vivre ma compagne et que je ne lui offre pas assez fréquemment.
Je lui enfonce la bite dans la bouche. Je la tiens par les oreilles. Je reste immobile. Et parfois cambré sur la pointe des pieds.
Je me retire. Je me penche. Je scrute son visage. J'aime l'observer de tout près. Elle me regarde du coin de l'œil. En attente.
Je lui crache à la gueule. Je me redresse. J'étale la salive mélangée au foutre sur sa peau. Elle m'en présente tous les angles.
Je me concentre. Je tiens ma bite à sa base de la main droite. Je tiens Clémentine par le menton. Elle ouvre grand la bouche.

Le lâche un premier jet. Surprise. Je l'empêche de détourner la tête. Je lui mets une gifle. Ce n'est jamais un acte de violence.
Cela fait partie du jeu. Je lui enfonce le sexe. Clémentine se met à sucer en gémissant. Second jet de pisse en fond de gorge.
Je la lâche. Elle peut tousser, cracher. Je la tiens par sa tignasse pour la forcer à me fixer droit dans les yeux. Je pisse. Un jet.
Je me penche pour lui cracher un gros mollard. Je frotte ma queue sur son visage pour bien y étaler foutre, la pisse et salive.
Clémentine a pris soin de se nouer les cheveux en catogan. Malgré tout, quelques mèches collent dans son cou, dans la pisse.

Je la fais sucer. Je lui pisse au visage, dans la bouche, le haut de son pull est maculé de foutre. Des traînées bien visqueuses.
Je les récupère de l'index pour les lui faire lécher, bouffer. Clémentine a ses règles. Il faut donc se limiter à ce genre de trucs.
Je lui sucerais le clitoris tout à l'heure, au lit. Je me fais pomper comme un bienheureux. Mais également comme un dépravé.
Clémentine adore lorsque j'ai ce genre de comportement. Elle me le demande si souvent. Je peux voir son corps se tortiller.
Elle a tout le temps des frissons, des petits spasmes, un léger mouvement masturbatoire. Elle est merveilleuse. Belle et sexy.

C'est fabuleux lorsque chacun, dans le couple, trouve chez son partenaire, le complice idéal. La complicité totale et absolue.
L'osmose parfaite. La symbiose la plus complète. Je me suis vidé sur le visage et dans la bouche de Clémentine. Elle en crie.
De petits râles de plaisir à chaque fois que je lui enfonce la bite dans la bouche. J'éjacule. J'en oublie mes lombaires. Super.
Clémentine ne cesse pas. Entre deux instant où elle reprend son souffle, ou elle tente d'avaler, elle continue cette super pipe.
Mes lombaires douloureuses ne le permettent pas. Je me retire. Le pull de Clémentine est trempé, maculé, comme le visage.

Je la détache. Nous n'avons qu'une envie c'est de monter. Il faut débarrasser la table. Faire la vaisselle, nettoyer le parquet.
Tout va vite. J'ai mis une serviette sur les cheveux de Clémentine. < Madonna ! > dit elle. Nous rigolons comme des bossus.
Nous montons. Je sèche les cheveux de Clémentine. Nous faisons les clowns devant le miroir. < Je t'aime ! Merci ! > fait elle.
Clémentine ne pouvait rêver plus bel anniversaire que ce cadeau. Nous voilà au lit. Elle veut sucer encore. Je la laisse un peu.
Je lui suce son clitoris géant. Il est turgescent. L'orgasme arrive trop vite. Nous nous serrons fort, en larmes. Bonheur. Dodo.

Bonne soirée à fêter l'anniversaire de votre vie commune avec votre partenaire à toutes les coquines qui en raffolent…

Julien - ("Maître" pour rire, mais sachant interpréter le rôle du parfait salopard avec un talent qui frise le génie) -

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Classe - 48 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 677 -



Changement de programme

Hier matin, mardi, nous nous réveillons tous deux en même temps. Et juste avant que ne résonne la musique matinale. 5 h55.
Douceur. Tendresse et papouilles avant de nous précipiter aux toilettes. C'est mardi. Clémentine termine à midi. L'exubérance.
Morts de faim, nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Nous y préparons un solide petit déjeuner. Odeur de pain grillé. Café.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous sommes en tenues de gym. Nous remontons pour nous entraîner. Joie.
La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine. Il fait encore nuit. Il fait froid. Elle me rejoint chaudement vêtue.

Il est 7 h45. Un bisou. Je regarde la voiture disparaître un haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Je fais le lit, la vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Déjà 8 h15. Je suis pressé.
Me voilà assis devant mon chevalet. Je peins dans un enthousiasme délirant. Dehors le ciel est lumineux. Hélas tristement gris.
La matinée passe à une vitesse vertigineuse. Conséquence de ma passion dévorante. Je m'y livre corps et âme. Il est déjà midi.
Je cesse. Je rajoute deux bûches dans la cheminée. Je vais à la cuisine. Je fais bouillir l'eau des nouilles. Je coupe les poireaux.

Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bises. Après-midi libre.
Clémentine s'occupe de la salade en me racontant sa matinée. Je prépare la pâte à pain pour la tarte aux poireaux de ce soir.
Je concocte une Béchamel. J'y rajoute le poireau cuit que j'égoutte. J'en récupère un peu comme sauce avec les nouilles. Miam.
< Merci pour hier soir, Julien. Ces thérapies me font un bien fou ! > murmure Clémentine en se serrant contre moi. Des bisous.
La pâte à pain repose dans un saladier recouverte d'un linge. La Béchamel repose dans sa casserole recouverte d'un couvercle.

Nous mangeons de bon appétit. La "thérapie" dont parle Clémentine me laisse à moi aussi un doux souvenir. Et c'est si intense.
Je promets de refaire. < Fais le par surprise. Comme hier soir. Lorsque je ne m'y attends pas ! > murmure encore Clémentine.
Nous en rions de bon cœur. Nous traînons à table. Avec ce froid, Clémentine n'a plus aucune envie de sortir. Et il fait moins 2°.
Se saisissant de son téléphone, et en mode "secret d'appel", elle compose le numéro de l'exhibo afin d'annuler le rendez-vous.
Un simple texto. C'est partie remise. < Je n'ai pas envie d'aller me geler les fesses dans cet endroit pas chauffé ! > me fait elle.

Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt au miel, Clémentine revient sur nos jeux de hier soir. Maître et soumise.
Ces jeux de rôles ont toute la préférence de ma compagne. Avec le temps, tout cela se précise. La "soumise". Le rôle préféré.
Je précise : < Il faudra quand même qu'un jour, je te confie aux bons soins d'un "Maître" véritable. Mr Gérard par exemple ! >
Clémentine me fait plein de bisous en me disant : < Depuis le temps qu'il me le propose. Et depuis le temps que j'esquive. ! >
Nous en rions de bon cœur. Nous nous promettons de le réaliser enfin vraiment pour ce printemps. Dans les écuries. Superbe.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous avons tous les deux du travail. Aussi nous préférons nous y mettre dans l'atelier.
Clémentine est assise à la table, devant l'ordinateur, entourée de ses fiches. Je suis assis devant mon chevalet. C'est studieux.
Ces séances qui nous comblent d'aise. Clémentine a téléphoné à Estelle pour lui dire que notre rendez-vous exhibe est reporté.
Ainsi elle peut travailler chez elle jusqu'à 18 h et nous rejoindre après. Le craquement des bûches. Le crépitement du feu. Bon.
Parfois l'un rejoint l'autre pour voir ce qu'il fait, pour lui faire des bises ou pour lui chuchoter des douceurs. Des cochonneries.

La nuit tombe. Le thé au jasmin de 17 h. Nos travaux qui avancent. Les bruits étranges à l'étage. Des pas furtifs, légers, lents.
< Dans une maison hantée, l'activité paranormale est tout à fait normale. Le contraire serait anormal ! > me fait Clémentine.
Nous rigolons comme des bossus quand elle fait encore : < Et tu crois que le fantôme de Christine se balade à poil là-haut ? >
Comme pour lui répondre il y a soudain un bruit sourd suivi d'un silence. Nous retournons à notre travail. Voilà d'autres bruits.
C'est Estelle qui arrive. Il est 18 h15. Elle se précipite vers moi. Bisous. Assise sur mes genoux, elle évoque ses préparations.

Les filles sont installées devant l'ordinateur. Elles comparent leurs recherches. Je termine la peinture d'un petit vase de laiton.
18 h45. Nous rangeons. Nous voilà assis tous les trois en tailleur sur l'épais tapis devant la cheminée. Les lumières éteintes.
J'écoute les filles évoquer leurs cours, les stratégies à mettre en application pour tel ou tel sujet. C'est passionnant. Superbe.
Estelle a passé sa main dans ma braguette. < Clémentine m'a un peu raconté. Et à moi, tu me fais ça quand ? > me fait elle.
Nous rions de bon cœur. Estelle aime bien se trouver en situation de "soumise". Même si pour elle ce n'est pas aussi viscéral.

Je lui promets de faire le nécessaire. < Samedi. Et on se fait un film. Tu veux ? > me demande t-elle en me sortant la queue.
< Super. Moi je filme ! > répond Clémentine. Notre programme de samedi soir est bien établi. Ce sera la réalisation d'un film.
Estelle dont le fantasme est de faire l'actrice porno est déjà toute excitée à l'idée de nous amuser samedi soir. Nouveau plan.
La faim commence à se faire sentir. Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade.
Estelle travaille encore un peu la pâte extraordinairement onctueuse. Je réchauffe la Béchamel. Et nous sommes très excités.

L'idée de nous livrer au stupre et à la luxure, samedi soir, nous fait déjà tourner la tête. Nous en rions beaucoup. C'est sympa.
Je dis à Estelle : < J'aimerai beaucoup que tu laisses ta chatte bien dégueu au moins 48 heures ! > < T'es fou ! > me dit elle.
Clémentine précise : < Le "Maître" l'exige ! >. Nous en rigolons comme des bossus lorsqu'Estelle rajoute : < Oui "Maître" ! >
La Flamiche Picarde est au four. Je propose aux filles un bon léchage de croupion au salon. Clémentine a encore ses "machins".
Pas de soucis. Je me contente de lui sucer le clitoris. Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Elles m'entraîne au salon.

Je saisis Estelle par la nuque pendant qu'elle retire son pantalon et sa culotte. Je demande : < Viens ! Monte sur le bureau ! >
Je la soulève pour l'assoir au bord du meuble. Je m'installe sur la chaise. Je scrute son entrejambes avec un grand soin. Bien.
Bien évidemment, cette situation excite autant Clémentine qu'Estelle. Je renifle le sexe d'Estelle qui est très gênée. Puissant.
L'odeur de fille négligée me révulse. Mais c'est justement cette répulsion qui m'excite au plus haut point. Je passe mon doigt.
La fente d'Estelle est resserrée. Etroite. Je récupère de la substance gluante au bout de l'index. C'est juste sous l'ongle. Colle.

Clémentine est assise sur la même chaise que moi. Je lui fais de la place. Elle est penchée pour bien regarder mon exploration.
< Put-Hein comme tu schlingues ! Tu t'es lavée depuis dimanche ? > fait elle à Estelle qui en frisonne de plaisir. C'est magique.
Elle écarte les cuisses, relève ses jambes. Elle a juste ses chaussettes et sa chemise à carreaux. Elle a gardé ses lunettes. Bon.
La coquine, lorsque je ne m'y attends pas, concentré sur mes investigations crémeuses, me choppe par la nuque. Elle me force.
Me voilà avec le visage fourré entre ses cuisses. L'odeur forte, puissante, m'enivre autant que le goût âcre, vinaigré et acidulé.

< Je te rappelle, à tout hasard, que c'est mon mec là, qui s'étouffe sur ta chatte de salope pas lavée ! > lui lance Clémentine.
< Mon toutou brouteur ! > se contente de répondre Estelle qui se tortille de plaisir en se couchant en arrière sur ses coudes.
La coquine apprécie de plus en plus le cunnilingus. C'est de ma faute. Depuis des mois, je n'arrête plus de lui bouffer le sexe.
Clémentine me tient la bite. Elle se lève pour se mettre à genoux à côté de la chaise. Elle me taille une pipe des familles. Bon.
Estelle tente de lutter. Rien à faire. Elle a du mal à contrôler. C'est trop bon. C'est moi qui anticipe. Je cesse. Sonnerie du four.

Nous nous précipitons à la cuisine. Clémentine m'essuie la bouche avec un mouchoir en papier, me montre ce qu'il y a dedans.
La substance gluante et visqueuse d'Estelle. < Regarde les séquelles de tes saloperies ! > fait Clémentine à Estelle. Rigolade !
Nous mangeons de bon appétit. Estelle, cul nu sur une feuille de Sopalin posée sur le coussin de la chaise. Assécher la mouille.
Nous traînons à table. Nous faisons mille projets pour le film de samedi soir. Estelle prévient : < J'aurai mes trucs de fille ! >
Je précise : < Pas de soucis. Je m'occupe de ton clitoris ! >. Estelle me lance : < Tu n'es pas écœuré ? >. Je la rassure. Cool.

La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle plonge. Je n'arrête pas de lui passer le doigt dans la raie des fesses. Schlingue.
Lorsque je sens mon doigt, Clémentine se saisit de mon poignet pour renifler aussi. < Mais c'est dégueu ! > fait elle à Estelle.
< Bien fait pour vous. Quand on met la main dans la confiture, il en reste sur les doigts ! > fait elle. Nous rions de bon cœur.
Nous retournons au salon. Estelle, vautrée dans le canapé. Clémentine est couché, sa tête sur mes cuisses. Je suis à genoux.
Je me fais sucer. Clémentine se touche. Je la sens se tortiller en se masturbant. Je bouffe la chatte d'Estelle qui en crie de joie.

Maintenant, je commence à comprendre le fonctionnement d'Estelle. Il y a des signes. Je cesse au bon moment. J'anticipe.
Chaque fois, elle appui sur ma nuque pour m'empêcher de me retirer. Ce jeu est juteux. Ça coule. Cyprine limpide et claire.
L'orgasme d'Estelle est impressionnant. Elle pousse des cris. Me repousse. Se tourne sur le côté, les mains entre les cuisses.
< Je vais pisser ! > s'écrie t-elle en se levant pour se précipiter à toute vitesse. Clémentine a un orgasme. Estelle revient.
Nous la raccompagnons à la voiture. Séparation difficile. Au lit, Clémentine veut absolument me terminer. Je la laisse sucer.

Bonne soirée à vous faire nettoyer la chatte à toutes les coquines qui ont besoin d'une bonne toilette intime…

Julien - (Le "toutou brouteur" d'Estelle qui donne à sa moule un aspect propre et luisant. Récurage. Polissage. Mr Propre) -

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Juliette, Clémentine et moi

Hier matin, mercredi, c'est la sonate pour piano No 14 de Beethoven qui nous arrache de nos profonds sommeil. C'est violent.
< Bite au vent, tu me gonfles ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes. Morts de faim nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. Il est 6h.
Nous préparons notre copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous sommes en tenues gym.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. La douche. Et je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine.

Il fait encore nuit. Il fait un froid glacial. Déjà 7 h45. Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Dernier bisou, dernier coucou.
Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer au chaud. Je fais notre lit, notre vaisselle. Bien.
Je vais dans l'atelier. J'y allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. La fébrilité.
Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une allégresse glorieuse qui me fait pousser des cris surréalistes. Joie.
Comme toujours quand je me livre corps et âme à ma passion je suis projeté hors du temps. Je n'ai plus la perception du réel.

Il est donc rapidement aux environs de midi lorsque mon horloge biologique me fait ressentir la faim. Je vais à la cuisine. Vite.
Je fais éclater du riz complet à sec dans une casserole sans cesser de remuer en huit avec une spatule en bois. J'aime faire ça.
Je rajoute de l'eau dans un nuage de vapeur. Je me prépare la salade de tomates, son assaisonnement et une belle omelette.
La pâte feuilletée pour la galette a décongelé. Je mange de bon appétit. Et la compote de pomme achève de cuire à petit feu.
La vaisselle. Je répands la compote sur la pâte feuilleté. j'y dépose le couvercle de pâte, je la mets au four. Je range la cuisine.

Il est 13 h15 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Plongé dans le recueillement de la toile.
La sonnerie du four. J'ai tout prévu. Je laisse la galette. Elle aura achevé sa cuisson avec le refroidissement du four. La classe.
L'après-midi se déroule sous les caresses délicates de mes plus fins pinceaux sur la surface de ma quatorzième toile. Superbe.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac dans le canapé, se précipite vers moi. Plein de bises.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. J'écoute toujours avec intérêt. Les talents de conteuse de ma compagne.

Nous reprenons notre travail. L'augmentation des journées devient enfin perceptible. La nuit arrive plus tard. Si sympathique.
Il est 18 h30. Nous cessons pour ranger nos affaires. Nous éteignons la lumière pour nous assoir parterre devant la cheminée.
Le spectacle des flammes qui dansent nous envoûte. A l'étage, il y a quelquefois un bruit indéfinissable. Il semble venir de loin.
Clémentine , allongée, sa tête sur ma cuisse, m'apprend que ses "petits machins" de fille sont finis. Je lui caresse les cheveux.
Nous restons ainsi à admirer le feu qui s'éteint doucement. Il est déjà 19 h. Nous quittons l'atelier pour monter nous changer.

Clémentine porte une jupe en velours carmin, évasée au-dessus du genoux. Un chemisier blanc sous l'épais pull de laine noir.
Ses bas noirs fixés à son porte jarretelle noir. Ses bottes noirs à talons haut. Cheveux en liberté qui flottent sur ses épaules.
Je la félicite pour l'élégance dont elle fait preuve. Sur sa demande, je porte un pantalon de velours marron, chemise et pull.
Nous prenons la pose devant le miroir. Clémentine s'accroupit à côté de moi. Elle me tient par la jambe sa tête sur ma cuisse.
De son regard implorant, elle me fixe en disant : < Vous vous occuperez bien de moi, "Maître" ? >. Nous rions de bon cœur.

Même si ses "petits machins" de fille sont terminés, Clémentine préfère garder une culotte quand même. < Sait on jamais ! >
Les cuisses largement écartées, elle me fait : < Suis je à votre goût, "Maitre" ? >. Nous rigolons comme des bossus. Sympa.
Je pose ma main sur sa tête pour répondre : < Vous êtes la plus adorable des "soumises" ! >. Nous aimons jouer à ces rôles.
Même si je suis un "Maître" de pacotille, pas du tout crédible, Clémentine exige de vivre son fantasme d'authentique soumise.
Il me faut donc être à la hauteur de la situation et satisfaire la demande. C'est un "métier". Et cela nous amuse toujours tant.

Nous descendons. Je tiens Clémentine fermement par la nuque. Elle découvre la magnifique galette. Je ferme le Tupperware.
Nous prenons la petite auto de Clémentine. Je roule doucement. Trois petits kilomètres et nous arrivons au haras. Du monde.
Il y a encore des voitures garées dans la cour. De la lumière dans les bâtiments. J'ai ma braguette ouverte sous le manteau.
Clémentine m'entraîne dans nos écuries préférées. Il y a là Eveline, la palefrenière. Nous la saluons. Nous bavardons un peu.
La jeune fille est chaudement vêtue. Elle pousse une brouette emplie de granules, de fibres végétaux. Friandise des chevaux.

Nous passons dans l'autre écurie par derrière. Le sol est sec et gelé. Il y a toujours encore la caravane de Gérard. Il fait froid.
Nous croisons Kim Son, le jeune palefrenier, lui aussi occupé à donner de la friandise aux chevaux. Nous bavardons avec lui.
Avec ce froid, nulle envie de s'attarder là. Clémentine me confie parfois à quel point elle aimerait "tester" le jeune Vietnamien.
Nous le laissons à son travail. Nous entendons des éclats de voix. Ce sont deux messieurs qui accompagnent Juliette. Le véto.
Juliette nous fait un signe, un sourire. Nous la laissons raccompagner les messieurs jusqu'à leurs voitures. C'est le vétérinaire.

Nous sortons. Juliette arrive vers nous, toute souriante et contente d'en avoir terminé avec sa journée. Et nous nous saluons.
Juliette est vêtue d'un épais manteau. Chaussée de bottes à légers talons. Ses cheveux qui flottent sur ses épaules. Superbe.
Je récupère le Tupperware dans la voiture. Nous nous dépêchons de monter dans l'appartement de Juliette. Et bien au chaud.
Juliette retire son manteau. Nous faisons de même. Nous la suivons au salon. Sa jupe est courte, évasée, superbe silhouette.
Elle tire sur le bas de son pull et nous invite à prendre place dans le canapé. Juliette, assise devant nous, raconte sa journée.

Bien droite dans le fauteuil, les jambes parallèles, les mains posées à plat sur ses cuisses, la jeune femme nous raconte. Bien.
Je regarde attentivement. Je veux que Juliette comprenne bien mes regards insistants. Je scrute entre ses cuisses. La culotte.
Juliette s'en rend bien évidemment compte. Elle reste sans bouger tout en continuant à nous amuser avec quelques anecdotes.
Imperceptiblement, ses cuisses s'écartent. Je vois mieux. Culotte noire. Porte jarretelle noir. Comme Clémentine. C'est super.
Juliette, tout en parlant, fixe ma braguette. Clémentine que tout cela excite, serre son pied contre le mien. La sonnerie du four.

Nous sommes invités à prendre place à table. J'insiste pour aider Juliette à ramener les plats. Clémentine me fait un clin d'œil.
J'ouvre discrètement ma braguette. Tirette descendu, elle ne tarde pas à bailler. Et Juliette s'en rend évidemment vite compte.
Comment en serait-il autrement alors qu'elle ne cesse de regarder par là. A la cuisine, je prends le plateau. Tartelettes au thon.
Juliette, comme pour m'empêcher de quitter la cuisine trop rapidement, se met devant moi. Elle mime une masturbation. Rire.
Je dis : < j'ai les mains occupées ! >. Elle répond : < Les miennes sont libres ! >. Nous rions de bon cœur. Clémentine mâte.

Nous mangeons de bon appétit. La conversation s'articule principalement sur nos aventures passées aux écuries. Et les fêtes.
Clémentine évoque son fantasme. Vivre une séance de "soumission" dans les écuries avec "Maître" Gérard au printemps. Joie.
Juliette écoute avec attention. Moi également. Elle pose quelques questions précises. Clémentine aime entrer dans les détails.
C'est la première fois que Clémentine parle aussi ouvertement de son fantasme. Nous sommes suffisamment complices. Bien.
Juliette raconte quelques situations vécues avec Gérard lorsqu'il était encore son palefrenier. Madame Walter, belle "soumise".

J'écoute silencieusement les deux filles parler en détails de cet étonnant projet. Juliette précise qu'il y a toujours une surprise.
Nous apprenons qu'une autre jeune fille venait se faire "dresser" il y a quatre ans. Avec la complicité de son compagnon. Joie.
Juliette est souvent présente en simple voyeuse. Il arrive toutefois qu'elle participe en "Maîtresse". Gérard restant le "Maître".
J'écoute. Je me masturbe doucement sous la table. Juliette me fait en clin d'œil en disant : < Et nous serons deux voyeurs ! >
Clémentine, avide de détails, pose toute une série de questions auxquelles Juliette se fait un plaisir de répondre. Bien vicieuse.

Pierre, le mari de madame Walter, est le baiseur attitré de Juliette. C'est presque tous les samedis soirs. La complicité à trois.
< Il arrive que Pierre soit là ! Je vous préviens, c'est un véritable "étalon" ! Il peut me baiser des heures ! > précise Juliette.
< Moi, je ne baise pas ! Il n'en est pas question ! Ni baise, ni sodomie ! C'est exclu ! > répond Clémentine. Et d'un ton ferme.
< Il en sera fait selon tes volontés ! > lui fait Juliette en la tutoyant pour la première fois. Clémentine dit : < Julien y veille ! >
Nous rions de bon cœur. Juliette demande mes impressions. Je m'empresse de préciser que je suis à l'écoute de Clémentine.

La galette est délicieuse. Nous traînons à table jusqu'aux environs de 22 h. Demain, il y a une rude journée. Il faut se quitter.
Nous faisons la vaisselle tous les trois. La conversation reste axée sur le fantasme de Clémentine. Juliette nous raccompagne.
Nous bavardons encore un peu dans le froid. Juliette mime une branlette en disant : < Entraînez vous pour ce printemps ! >
Nous rions de bon cœur. Nous partons. Clémentine est très excitée par cette conversation. Au lit, nous nous offrons un "69".
Nous baisons. Clémentine me confie plein de secrets concernant son fantasme. Je la termine par un cunnilingus. Orgasme fou.

Bonne soirée à toutes les coquines, dont le fantasme de la "soumise" livrée à un "Maître" dans des écuries, est vif et fort…

Julien - (Qui va continuer à "former" Clémentine, sur sa demande, pour quelques futures séances de "soumissions") -

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Nous voilà à la fin de cette quatorzième page.

Clémentine et moi remercions toutes nos lectrices et tous nos lecteurs pour leur fidélité.
Même si "Clémentine", "Julien", "Estelle", "Juliette", Gérard et tous les autres, ne sont qu'autant de pseudonymes.

Les contributions de "Clémentine" se limitent à ce que nous raconte la jeune femme au bas de nos récits.
Nous aimons à soigner nos lecteurs afin de les captiver, de les amuser et surtout de leur proposer du rêve.

Il est important de respecter l'anonymat des personnes. Tout particulièrement sur les forums "Sexe".
Même si tout cela est beaucoup plus réel encore que ne l'imagine le lecteur toujours étonné et amusé.

Nos récits ne demandent aucun commentaire. Aussi nous remercions toutes celles et tous ceux qui n'en mettent pas.
C'est une grande preuve de tact et de bon goût. La "Classe". Toute la place reste disponible pour les épisodes qui se suivent.
Ainsi chaque épisode suit le précédent dans l'ordre chronologique du déroulement des évènements sans aucune rupture.

Par contre nous remercions toutes celles et tous ceux qui nous contactent en messagerie privée pour témoigner leurs ressentis. Joies.
C'est vraiment beaucoup mieux. Cela reste privé et ne regarde personne. Les intéressés savent à quel point nous répondons toujours.

Continuons cette saga dans la magnifique quinzième page qui nous attend déjà...

Cordialement.

Clémentine et Julien

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Estelle, Clémentine et moi

Hier matin, jeudi, c'est la suite en Ut mineur de Mozart qui nous arrache de nos sommeils avec une certaine violence. Ouille.
< Mais putain Momo, tu es taré ! > s'écrie Clémentine en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Nous rions de bon cœur avant de nous précipiter aux toilettes. Morts de faim nous dévalons l'escalier jusqu'à la cuisine. 6 h.
Nous préparons notre copieux petit déjeuner. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Déjà vêtus des tenues gym.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. C'est toujours un tel plaisir. Dans une intensité maximale. Joie.

La douche. Je descends pour aller sortir la petite auto de Clémentine. L'aube commence à pointer. Il est 7 h45. Il fait froid.
Clémentine me rejoint chaudement vêtue. Bonnet, gants, anorak. C'est un peu dur de se séparer ce matin. Plein de bisous.
Un dernier coucou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Me mettre bien au chaud.
Je fais notre lit. Je fais notre vaisselle. Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare mon matériel.
Ma palette. Mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une extraordinaire euphorie.

Il est aux environs de 10 h lorsque la musique imbécile de mon téléphone me tire de ma méditation picturale. Je peste. Rage.
C'est Juliette. Je mets sur mode "Haut-Parleur". Nous pouvons converser sans que je n'arrête de travailler. C'est très sympa.
Juliette me donne ses impressions quand à notre conversation de hier soir. Ce fameux projet dans les écuries, au printemps.
J'écoute avec attention. Juliette connaît bien ce domaine très particulier. Les jeux du "Maître" et de sa "Soumise". Un plaisir.
C'est un peu une passion. Juliette m'explique que c'est une excellente manière de s'abstraire après une rude journée. Super.

Elle est au bureau. Seule dans le sien. Tout en classant des documents sur son ordinateur, elle converse avec moi. Téléphone.
Nous passons ainsi une bonne trentaine de minutes à discuter. C'est une conversation plutôt excitante. Nous apprécions. Joie.
Monsieur Gérard est un "Maître" expérimenté. Juliette a été la plupart des fois son "assistante". Elle est voyeuse, très passive.
Juliette n'éprouve pas le besoin de participer. Il lui est arrivé d'interpréter le rôle de la "Maîtresse". Et le jeu de la domination.
Elle me propose de bien en débattre avec Clémentine. Que pour cette première et réelle expérience, Clémentine soit épanouie.

Je lui promets d'œuvrer dans ce sens. Qu'elle ne se fasse pas de soucis, Clémentine est une authentique "soumise". Elle aime.
Par contre, je rappelle à Juliette que Clémentine ne veut ni baise, ni sodomie. Cela se limite à la contrainte et à la soumission.
Ce sera exclusivement ludique. La fellation ne pose aucun souci. Bien au contraire. Et surtout dans des situations humiliantes.
Nous nous saluons. Je promets que nous viendrons faire un tour dimanche pour assister à l'animation au haras. Réjouissance.
Je continue mon travail. Et la peinture de cette quinzième toile destinée à ma saison d'été, une nature morte, me passionne.

Il est presque midi. La faim se fait soudain cruellement sentir. Cette conversation avec Juliette m'a excité et ouvert l'appétit.
Je file à la cuisine. Je lave une belle salade verte. Je fais bouillir l'eau pour les coquillettes. Je prépare une belle pâte à pain.
Je concocte une belle garniture. Tomates fraîches, ail, oignons, ciboulette, basilic, persil et champignons. La pizza de ce soir.
Je récupère un peu de garniture comme sauce avec mes coquillettes. J'émince finement un filet de saule décongelé. Sympa.
Je le fais revenir à la poêle. Je le rajoute à la garniture. Tout est prêt pour notre repas de ce soir. Et je mange de bon appétit.

Je tente bien d'écouter les informations à la radio, mais c'est tout à fait indigeste et au-dessus de mes possibilités. Si pénible.
J'éteins le poste. Je fais la vaisselle. Je range la cuisine. Il est 13 h lorsque je suis enfin à nouveau assis devant mon chevalet.
Je remporte une nouvelle victoire à chaque quart d'heure. Il faut me voir danser à chaque coup de pinceau plus sublime. Cris.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine surgit dans l'atelier. Elle balance son sac sur le canapé et se précipite pour m'embrasser.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs, le restaurant universitaire, les cours. J'écoute avec intérêt. Bien.

Je lui raconte la conversation avec Juliette. Clémentine semble réellement touchée par cette attention dont fait preuve Juliette.
Après réflexion, c'est plutôt une preuve d'amitié sincère. Même s'il faut garder présent à l'esprit que nous sommes des vicieux.
< Toute une bande de vicelards ! > lance Clémentine en s'asseyant à la table pour mettre au propre les notes prises en cours.
Nous travaillons encore un peu. A l'étage, les premiers bruits étranges se font entendre. Des pas venant de nulle part. Silence.
Cela recommence. Ce phénomène de hantise est impressionnant mais fait partie de la vie ici depuis plus de huit ans. Habitude.

Un autre bruit. Beaucoup plus localisable celui-ci. Il est 18 h15. Estelle arrive à son tour. Elle se précipite pour me faire la bise.
Assise sur mes genoux, elle nous raconte ses préparations. Les filles comparent leurs travaux et installées devant l'ordinateur.
Il est 18 h45 lorsque Clémentine s'écrie : < Ras le bol ! Stop ! >. Nous rangeons nos affaires. Je nettoie palette et pinceaux.
Nous éteignons les lumières pour rester encore un peu assis devant la cheminée. Et comme le dit Estelle : < C'est trop bien ! >
Nous sommes silencieux. A l'étage, les bruits étranges sont lointains et légers. Estelle, couchée, a posé sa tête sur ma cuisse.

Clémentine est appuyée contre moi. C'est elle qui me sort le Zob. J'ai toujours la braguette ouverte à la maison. C'est pratique.
< Avec notre projet et la conversation de Juliette, je suis assez "allumée" ! > chuchote t-elle. Nous racontons à Estelle. Haras.
Les filles en ont un peu parlé au restaurant universitaire. Je raconte ma conversation de ce matin, au téléphone, avec Juliette.
Estelle, que tout cela excite également considérablement, exige d'être avec nous, je jour où ce projet aura lieu dans sa réalité.
Je promets. Je dis : < Et tu seras aux premières loges, avec moi ! Pour le spectacle ! >. Nous rions tous les trois de bon cœur.

Il est 19 h15. Morts de faim, nous quittons l'atelier pour nous précipiter à la cuisine. La salade est déjà lavée. Tout est préparé.
Clémentine fait un assaisonnement. Estelle travaille encore un peu la pâte en y incorporant du Parmesan finement râpé. Super.
Je réchauffe la garniture en remuant. Je râpe du gruyère de Comté. Je verse la garniture sur les pâtes à plat. Et Estelle étale.
C'est au four. < Ne va pas te brûler la queue ! > s'écrie Estelle qui la saisit des deux mains. Nous rigolons comme des bossus.
Sans la lâcher, comme en me tirant par la laisse, elle m'entraîne au salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil. C'est le signal.

Estelle me fait faire le tour de la grande pièce en me tirant par le Zob. Je marche derrière elle d'un pas maladroit. La coquine.
Clémentine a passé une main dans sa culotte, ses jeans déboutonnées. La conversation nous a tellement excité. C'est génial.
Estelle m'entraîne derrière le bureau. Du tiroir du bas elle sort le collier canin et la laisse. < S'il vous plaît, Maître ! > fait elle.
Si je m'attendais à ça ! Je passe le collier autour de son cou. J'y fixe la laisse. Délicatement, je lui retire sa paire de lunettes.
Je prends la laisse. Estelle me tient toujours encore par le sexe. Je donne un à coup. Elle fait de même. Nous faisons trois fois.

Je l'entraîne par la laisse. Estelle marche à mes côtés sans me lâcher la bite. Clémentine se masturbe en nous observant. Joie.
Rien n'excite davantage ma compagne que d'assister à de telles scènes vicelardes. Estelle se retourne et me crache au visage.
Je ne m'y attendais pas. Et elle a bien préparé son crachat. Un gros mollard en plein milieu de la gueule. < Salaud ! > fait elle.
Je la force à s'assoir sur la chaise, le dossier callé entre les jambes. Je tiens la laisse au plus court. Estelle a un regard de défi.
Je la saisis sous le menton de mon autre main pour la forcer à relever la tête. Elle me fixe fièrement. Et j'essuie mon mollard.

A peine l'ai-je essuyé qu'elle m'en balance un autre. Je la tiens par les oreilles. Elle se débat. Je lui frotte la bite sur la gueule.
J'entends Clémentine gémir. Estelle tente de se défaire de mon étreinte. Sa salive me dégouline sur le visage. Et ça me picote.
Impossible de lui fourrer la queue dans la bouche. La coquine a décidé de s'amuser ainsi ce soir. Elle ne manque pas d'idées.
J'ai toujours été étonné par les capacités d'imagination et l'inspiration d'Estelle. Elle a promis de me révéler son secret un jour.
Je regarde Clémentine. Je lui dis : < Tu vois ce qui t'attend aux écuries ! Ce sera la même chose mais puissance dix ! >. Joie.

La sonnerie du four. Morts de faim, nous cessons immédiatement. Tout en éclatant de rire, nous nous précipitons à la cuisine.
Estelle m'essuie le visage avec un mouchoir en papier. < Tu m'en veux ? > demande t-elle. Je la rassure : < C'est le jeu ! >
Nous mangeons de bon appétit. Les filles évoquent les écuries, monsieur Gérard et quelques situations déjà vécues en ce lieu.
< Tu es prête à en baver ? > demande Estelle à Clémentine. Elle répond : < J'en ai déjà pas mal bavé là-bas ! Rappelle toi ! >
Estelle lance : < Oui mais ce coup-ci, ils vont vraiment te faire ta fête ! >. Clémentine rajoute : < Pour mon anniversaire ! >

Je propose un scénario pour cette "cérémonie" d'investiture : < Je t'emmène à la laisse, je t'attache seule dans les écuries ! >
Clémentine, les yeux grands ouverts m'écoute. Je lui présente cette éventualité : < Gérard te découvre. Soumise, offerte ! >
Estelle lance : < C'est génial. Après toi, ce sera à moi de tenter ce truc ! Je veux jouer à ça aussi ! >. Nous rions de bon cœur.
< Tu connais déjà bien avec Julien ! On a même tourné deux films sur ce thème ! >. Et cela date déjà. Presque deux années.
Estelle nous confie regarder de temps en temps les passages les plus glauques. < Tu les as toujours ? > demande Clémentine.

Estelle, dont le fantasme de faire l'actrice porno est ancrée en elle depuis l'adolescence nous confie avoir fait un vrai montage.
< Je n'ai gardé que les moments les plus chauds ! >? Nous rions de bon cœur. Estelle est vicelarde. Mais à ce point. Coquine.
Nous traînons à table. Plusieurs fois, Estelle se lève. Elle mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité habituelle.
< Julien et moi, on sera planqués pour te regarder te faire "éduquer" ! > fait elle à Clémentine tout en imitant une branlette.
< Il y aura sans doute Juliette avec vous de temps en temps ! > répond Clémentine. < Elle va sucer Gérard ! > lui dit Estelle.

Je précise : < Ce vieux cochon de Gérard se fera certainement davantage sucer par Clémentine que par Juliette. Le salaud ! >
< Probablement ! > rajoute Estelle. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle me tend la laisse qu'elle a toujours au cou.
Nous retirons nos tabliers. Elle m'attrape par la bite pour m'entraîner au salon. Clémentine s'installe dans le fauteuil. Cul nu.
Les jambes largement écartées, posées sur les accoudoirs du fauteuil, elle nous observe en se masturbant. Estelle me branle.
Clémentine me fait le plus délicieux des sourires et un clin d'œil. Je tire Estelle par la laisse. Et elle ne cesse pas de me branler.

Notre merveilleuse complicité, à tous les trois, nous permet de vivre des choses rares, étonnantes et d'une grande profondeur.
Je force Estelle à s'assoir sur la chaise. Le dossier toujours entre ses jambes. Je tiens la laisse au plus court. Clémentine gémit.
Je lui frotte la bite sur la tronche. Estelle lutte pour m'empêcher de lui enfoncer la queue. Et à chaque fois elle pousse un cri.
Je suis cambré sur mes jambes, sur la pointe des pieds, je la tiens par la tête, fermement, je fais mon possible. Rien à faire !
La coquine a décidé que ce soir, ce sera le jeu du refus. C'est absolument génial. Je me penche. Cette fois c'est moi qui crache.

Je lui balance un mollard longuement préparé qui lui dégouline sur la gueule. Elle tente de détourner la tête. Un cri de dégoût.
Je lui étale bien la salive avec ma bite. Je suis excité. Je bande. Dommage qu'il est impossible de pisser. Je frotte ma queue.
Soudain, alors que nous sommes en pleine lutte, Clémentine pousse un véritable cri. Un hurlement de jouissance. Magnifique.
Nous cessons pour la regarder se contorsionner dans le fauteuil, les mains entre ses cuisses serrées. Elle va pisser. C'est sûr.
< Tu n'as pas honte, espèce de salope ! > lui lance Estelle. Clémentine n'a pas le temps de se lever complètement. Elle pisse.

Estelle ouvre soudain la bouche pour me gober le sexe. Je ne m'y attendais pas. Je m'apprêtais à livrer un dur combat. Jeux.
Clémentine, tout en pissant se précipite vers la porte. Il y a une traînée de pisse sur le parquet. Certainement jusqu'au WC.
J'éjacule dans la bouche d'Estelle qui pousse un râle de plaisir. Elle avale comme si sa vie en dépendait. Je lui caresse la tête.
Clémentine revient avec le seau et la serpillère. Estelle veut partir pour un second tour. Je lui essuie la salive qui coule encore.
Il est 22 h15. Je la force à cesser. Je dis : < On remet ça à samedi, pour notre prochain film. On va reproduire notre lutte ! >

Nous sommes tous les trois vautrés dans le canapé. Demain, vendredi, les filles n'ont cours que le matin. Début du Week-end.
Le début des réjouissances aussi. Nous reprenons nos esprits. Estelle me confie à quel point elle apprécie de "jouer" ensemble.
Clémentine lui fait : < Samedi soir, je filme. Il faudra vous surpasser ! >. Nous rions de bon cœur. < Tu pisses ! > dit Estelle.
Clémentine répond : < Non je vais me concentrer sur le film ! >. Il faut raccompagner Estelle jusqu'à sa voiture. Et il fait froid.
Séparation difficile. Nous rentrons vite au chaud. Au lit, nous tentons un "69". Trop fatigués, nous nous serrons pour dormir.

Bonne soirée à vous amuser comme des folles à toutes les coquines qui aiment les situations stimulantes et torrides…

Julien - (Docteur Honoris Causa du vice absolu et qui se prépare à vivre un Week-end sextraordinaire) -

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Un début de Week-end très sympa

Hier matin, vendredi, nous nous réveillons tous deux juste avant que ne résonne la musique. Quelques papouilles et bisous.
Nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Nous préparons le petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant et déjà vêtus de nos tenues de gym. Nous montons nous entraîner. Bien.
Clémentine est légèrement euphorique car elle termine à midi. La douche. Je descends par aller sortir l'auto de Clémentine.
Elle me rejoint chaudement vêtue. Bonnet et gants. Il est 7 h45. Le jour commence à poindre. Il fait un froid glacial. Bisous.

Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Je me dépêche de rentrer. Je monte faire notre lit. Puis notre vaisselle.
Je vais dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est déjà 8 h15. Joie.
Je suis assis devant mon chevalet. Je termine ce matin la quatorzième toile destinée à ma saison d'été. Jouissif. Rassurant.
Je peins dans une véritable extase. Cette nature morte m'a coûté cinq jours d'un travail acharné. Tant de multiples détails.
Il est 11 h45 lorsque je donne le dernier et sublime coup de pinceau. J'enlève la toile du chevalet. Je mets une toile vierge.

Je vais à la cuisine. Je lave les tomates pour la salade pendant que gonfle le millet. Je prépare la panure des filets de saule.
Dans la première assiette, je casse un œuf que je remue. Dans la seconde assiette, je verse de la chapelure. Avec méthode.
Clémentine arrive. Il est 12 h15. Elle me saute en cou en s'écriant : < Week-end ! >. Je la soulève pour la faire tournoyer.
Elle me couvre le visage de bisous en enserrant ma taille de ses jambes. Clémentine prépare l'assaisonnement de la salade.
Elle me raconte sa matinée. Ce qui lui faudra encore faire pour terminer sa semaine. Mettre ses notes au propre. Du boulot.

Je passe les filets de saule d'abord dans l'œuf battu puis dans la chapelure avant de les mettre à la poêle. Sel, poivre, épices.
Je râpe une tonne de gruyère de Comté. Clémentine met la table. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Sympa.
Nous traînons à table. Nous faisons le programme de l'après-midi. Vers seize heures nous partirons pour la ville. Une course.
Pour ses études, Clémentine a commandé deux livres qui sont arrivés à la FNAC. Autant aller les récupérer au plus tôt. Bien.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous allons directement dans l'atelier. Clémentine se met immédiatement à son travail.

Je commence le dessin préparatoire de ma quinzième toile. Une nouvelle scène de genre à trois personnages. Passionnante.
J'ai mis deux bûches dans la cheminée. Nous sommes le 26 janvier et six stères sont déjà parties en fumée. Hiver gourmand.
Nous travaillons tous les deux dans cette ambiance que nous aimons tant. Le crépitement du feu. Les craquements du bois.
Parfois l'un se lève pour aller faire des bises à l'autre. Il est 16 h. Clémentine a fini. J'ai terminé le dessin de la nouvelle toile.
Nous montons nous changer. Avec ce froid, nous resterons en jeans, nos chemises à carreaux sous nos épais pulls de laine.

Nous faisons un peu les clowns devant le miroir. Nous prenons la pose. Clémentine est accroupit. Elle me tient par la jambe.
Sa tête appuyée sur ma cuisse. Elle me fixe en me souriant, le regard par en-dessous, terriblement coquine. Elle est si belle.
Je pose ma main sur sa tête. Elle me fait un clin d'œil. Je la saisis par ses cheveux attachés en catogan. Je la fais se relever.
< Je t'aime Julien ! Je suis la plus heureuse ! > me fait elle en se serrant contre moi avant de m'embrasser passionnément.
Nous descendons. Nous enfilons nos anoraks. Nos bonnets, nos écharpes et nos gants. Nous prenons la voiture à Clémentine.

Je roule doucement. Treize petits kilomètres jusqu'en ville. Clémentine joue avec ma queue. Parfois elle suce un peu. Super.
Je gare la voiture dans la petite rue habituelle, à dix minutes du centre. Sous l'anorak, nous avons nos braguettes ouvertes.
Nous marchons vite. Pour nous réchauffer mais aussi pour nous balader dans la grande librairie. Il y a le monde du vendredi.
Depuis quelques temps, au premier étage, avec les CD et les DVD il y a également de la quincaillerie de luxe. C'est curieux.
Nous faisons un petit tour pour découvrir les machines à café, les presses agrumes sophistiqués et autres gadgets chromés.

Nous pouvons ouvrir nos anoraks car nos braguettes ouvertes ne se remarquent pas. Même pas la mienne, malgré la bosse.
Nous parcourons les allées. Clémentine cherche à s'offrir un petit plan insolite et totalement improvisé. Nous scrutons bien.
Pas de réelle opportunité. Nous montons au second étage. Voilà la grande librairie où nous parcourons les différents rayons.
Clémentine me montre le type seul, là-bas, qui feuillette des bouquins de cuisine. Il est plutôt grand, élégant, la quarantaine.
< Reste là. Tu fais le guet. S'il y a un blême tu rappliques ! > me fait Clémentine. Je reste en retrait. Les guides du routards.

Je regarde Clémentine s'approcher. Elle reste debout à environ deux mètres de l'inconnu à feuilleter des livres de pâtisserie.
Le type ne tarde pas à remarquer la belle jeune fille sur sa droite. Elle est presque aussi grande que lui. Ça attire l'attention.
Je suis à une dizaine de mètres. Je tourne les pages d'un livre consacré à l'Ecosse. Je regarde discrètement. C'est intéressant.
Je bande même un peu en découvrant que Clémentine a glissé une main dans sa braguette ouverte. C'est tellement discret.
C'est furtif. Je ne l'ai vu qu'un instant. Mais le quidam a remarqué également. Il s'approche de Clémentine. Plus qu'un mètre.

Je ne vois pas ce que fait Clémentine. Mais l'inconnu si. Le voilà qui s'approche encore en montrant son bouquin à Clémentine.
Excellente façon d'aborder une inconnue au rayon des livres de cuisine. Lui montrer des photos de plats plutôt alléchants. Bon.
Je vois Clémentine jouer le jeu. Le bonhomme doit être une sorte de séducteur des librairies. Il sait comment amorcer un truc.
Ils sont à présent tous proches l'un de l'autre. Presque à se toucher l'épaule. Notre gaillard sait comment intéresser les filles.
Il tourne les pages. Il commente chacune d'entre elles. Clémentine, concentrée, regarde en écoutant, parfois en souriant. Bien.

Pas à dire, notre Casanova des FNAC est un redoutable expert en approche, en drague et en séduction. Je le regarde amusé.
En quelques minutes il a réussi à intéresser puis à faire rire la fille. Faire rire une inconnue n'est pas encore un délit. Superbe.
Le bougre est adroit. Il sait s'y faire pour accaparer une attention féminine. Un dragueur des supermarché. Virtuose et gonflé.
Je m'approche. J'aimerai beaucoup entendre ce qui fait parfois rire Clémentine. En fait, je sais que Clémentine joue à son jeu.
A nouveau, à la dérobée, j'entrevois un instant la main de Clémentine entre ses cuisses. Elle se touche tout en discutant. Fou.

Elle me voit, de l'autre côté du rayon. Je joue au parfait étranger. Nos regards se croisent. Elle me fait un clin d'œil. C'est OK.
Notre Georges Clooney des FNAC en arrive à présent à la phase de l'invitation. Aller boire un verre dans un café, salon de thé.
Je vois Clémentine décliner l'offre deux fois. Geste négatif de la tête et de la main. Le type sort un calepin et un stylo. Sympa.
Je le vois écrire en s'appliquant. Détacher le feuillet et le tendre à Clémentine qui s'en empare. Sourire de circonstance. Bien.
Le type n'est toutefois pas du style insistant. Pas le comportement imbécile du "boulet" ou de l'emmerdeur. Il a trop de classe.

Clémentine le salue de la main avant de s'éloigner. Elle se retourne. Cette fois, mais discrète, avec sa main dans la braguette.
Elle est juste contre le rayon. Son geste est quasiment invisible tant il est calculé, volontaire et maîtrisé. Le type a un sourire.
Il lève le pouce de sa main droite comme pour féliciter la fille. Il fait le geste de porter un téléphone à son oreille. L'invitation.
C'est un instant fugace. Clémentine s'éloigne. Nous nous rejoignons au rayon des bandes dessinées. Elle me raconte en riant.
Elle agite la petite feuille en disant : < Pour la collection ! >. Elle rajoute : < Il se prétend Chef de cuisine et restaurateur ! >

Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine fait encore : < Sans doute diplômé en drague ! Et quel baratineur. Si tu savais ! >
Je regarde ce qui est écrit. L'auberge du chant, un prénom, un numéro de téléphone. Je connais de nom. C'est en périphérie.
Je propose à Clémentine d'y réserver une table pour une fois prochaine. Et c'est toujours sympathique de découvrir un restau.
Clémentine range soigneusement le papier en me disant : < C'est une V.P. de choix. Une victime potentielle pour nos jeux ! >
Nous allons récupérer les deux livres. Nous passons en caisse. Nous flânons encore un peu dans les rues du centre. Du monde.

Clémentine préfère rentrer. Pas de restaurant. Nous allons à la voiture. Considérablement excitée, Clémentine me sort le Zob.
Je roule doucement. Elle me raconte la nature des propos échangés avec le "Chef Restaurateur". C'est un sacré coco. Farceur.
Nous nous promettons d'aller goûter sa cuisine bientôt. < Sa queue aussi, peut-être ! > fait Clémentine. Nous éclatons de rire.
Nous passons devant l'université de Clémentine qui me montre les travaux sur le parking. Nouveau bâtiment en construction.
Il est 19 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Nous nous mettons immédiatement à la préparation du repas. Patates poêlées.

Clémentine s'occupe de la salade d'endives. Je fais revenir les fines tranches de pommes de terre. Je prépare une omelette.
Je sors ma bite. Je l'agite devant Clémentine qui s'écrie : < Oh ! La queue du Chef ! Un Maître Queue ! Un cordon Bleu ! >
Nous rigolons comme des bossus lorsqu'elle rajoute en s'accroupissant pour la sucer : < Couilles étoilées ? >. Superbe pipe.
Nous mangeons de bon appétit en faisant le programme du Week-end. Nous traînons à table. La vaisselle. Ranger la cuisine.
Nous nous bouffons les sexes au salon. Nous baisons. Clémentine me confie ses ressentis secrets. Orgasmes. 22 h30. Au lit.

Bonne balade dans votre librairie préférée à toutes les coquines qui aiment se faire draguer par des "Chefs étoilés"...

Julien - (Qui applique le fameux dicton Corse : " Ni à table, ni au lit, on ne porte respect") -

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Le Fesse Tival du samedi

Hier matin, samedi, je suis réveillé par plein de bisous que l'on me dépose sur les joues, le nez, avec une incroyable douceur.
J'ouvre les yeux pour découvrir le visage souriant et bienveillant de Clémentine au-dessus du mien. Je la prends contre moi.
Nous nous serrons fort en nous murmurant des < Je t'aime ! > avant de nous précipiter aux toilettes. L'envie pressante. Pipi.
Nous mettons nos tenues de jogging avant de descendre à la cuisine. Il est 7 h30. Nous prenons notre copieux petit déjeuner.
Nous mangeons de bon appétit en prenant tout notre temps. Nous traînons à table. Nous faisons le vague programme du jour.

Il est 8 h. Il fait froid. Le sol est humide mais pas trempé. Le jour achève de se lever. La vaisselle. Nous tentons le jogging.
Les bonnets, les K-Ways, les gants et nous voilà à courir. Il faut accélérer rapidement pour se réchauffer. C'est sympathique.
Rien ne remplace l'exercice au grand air et cela nous manque considérablement. Nous faisons notre circuit habituel. Superbe.
Il est 9 h lorsque nous revenons après un running des plus agréables. La douche. Nous nous savonnons en riant beaucoup.
Nous nous habillons. Clémentine opte pour une de ses jupes kilt à carreaux rouges, chemisier blanc et un pull de laine noire.

Bas noirs fixés par son porte jarretelle noir. Ses bottes en cuir noir à talons hauts. Ses cheveux qui flottent sur ses épaules.
Sur la demande de Clémentine, je mets mon costume en velours noir. Une chemise blanche sous un pull noir au col en "V".
Nous prenons la pose devant le miroir. Clémentine, accroupit, me tient par la jambe, sa tête appuyée sur ma cuisse. Sexy.
Les cuisses écartées, elle me montre l'absence de tout sous vêtement. < Est-ce à votre goût , "Maître" ? > demande t-elle.
Je pose ma main sur sa tête. Nous rions de bon cœur. Je dis : < Vous êtes parfaite chère "Soumise" ! >. Nous descendons.

Nous mettons nos manteaux, nos écharpes et nos chapeaux feutre. Nous voilà en route par aller faire notre marché au bourg.
Trois petits kilomètres. Clémentine joue avec ma queue. Je bande mou. La glacière est branchée sur l'allume cigare. Ciel clair.
Comme sa chatte est bien accessible, je passe souvent ma main droite sous sa jupe. J'adore ce petit réflexe de surprise. Bon.
Je gare la voiture. Je prends les grands paniers. Il y a du monde. Nous faisons provision de fruits, de légumes, et d'agrumes.
Nous prenons les œufs, le fromages, les yaourts, le beurre et la crème fraîche. Nos achats chez nos artisans locaux habituels.

Notre élégance, nos hautes tailles, notre différence d'âge, tout cela attire quelques regards. Nous en jouons en nous amusant.
De retour à la voiture nous rangeons les produits frais dans la glacière. Direction la zone commerciale. Treize kilomètres. Bien.
Nous nous touchons. Le sexe à Clémentine est d'une douceur inouï. J'aime démêler les poils de sa touffe dense et si sauvage.
Il y a des poils jusqu'à l'intérieur des cuisses, en haut. De quoi jouer, passer mes doigts et caresser. Elle joue avec ma queue.
Je gare la voiture sur le parking. Il y a du monde. Je pousse le caddie. Clémentine m'entraîne dans les rayons concernés. Joie.

Sous mon manteau, j'ai la braguette ouverte. Exigence de Clémentine qui veut pouvoir y fourrer sa main discrètement. Bien.
Avec les pans du manteau ouverts, il est très simple de passer sa main dans ma braguette en se serrant contre moi. Génial.
Là aussi, quelques regards curieux nous amusent beaucoup. Suis-je le père ? Suis-je l'ami ? Suis-je l'amant ?. Un peu de ça.
Nous voilà au rayon des bouquins. Clémentine, assez "allumée" par mes incessantes caresses, aimerait se trouver un "plan".
Je reste en retrait au rayon des bandes dessinées. Il y a un jeune type tout seul. La trentaine, assez élégant, aux magazines.

Une V.P. parfaite. Une "Victime Potentielle" idéale. Clémentine s'approche en poussant le charriot. Elle reste à faible distance.
Le caddie à sa gauche, serré contre les rayonnages, elle peut s'accroupir tout en restant bien dissimulée à la vue des clients.
Il n'y a que le jeune gars, en manteau cintré, pantalon noir, cheveux bouclés et longs, qui se rend rapidement compte. Bien.
Clémentine peut faire son show dans une relative sérénité. Personne ne pourrait se douter de quoi que ce soit. C'est parfait.
Situation habituelle à laquelle j'ai assisté tant de fois. Pour mon plus grand plaisir puisque cela s'adresse aussi à moi. Super.

Pour en voir davantage, dans un élan de voyeurisme bien légitime et compréhensible, le jeune homme s'accroupit lui aussi.
Il peut ainsi tout à loisir se rendre compte de la passionnante et extraordinaire situation qu'il est entrain de vivre. Sublime.
Clémentine, à quelques deux mètres de notre jeune inconnu, se livre à son numéro avec toute la virtuosité d'une spécialiste.
De l'endroit où je me trouve, je ne peux pas avoir la même vue que notre voyeur privilégié. Clémentine en rajoute, vicieuse.
Il est impossible de ne pas voir, d'aussi près, que la fille ne porte pas culotte. La touffe bien apparente en haut des cuisses.

Il y a une jeune femme qui arrive en poussant un caddie. Merdre ! C'est certainement la compagne de notre lascar. Tant pis.
Elle lance un regard sinistre à Clémentine. Elle a certainement repéré le jeu. Elle entraîne le malheureux en le tirant au bras.
Pas le genre complice la meuf. Clémentine vient me rejoindre. Elle me raconte ses ressentis. Nous rions de bon cœur. Bien.
Nous faisons un tour au rayon des vêtements. Pas d'opportunité. Pas d'homme seul. Que des couples. C'est un peu frustrant.
Clémentine aimerait beaucoup s'offrir une frayeur supplémentaire. Il faut se faire une raison. Nous voilà au rayon poissons.

Quelle n'est pas notre surprise. Il y a le "Chef" cuisinier qui arrive. Il est accompagné d'une jeune fille de l'âge de Clémentine.
Il nous voit. Il a un grand sourire. Sans se démonter, il vient nous saluer. Clémentine me présente. Il nous présente sa fille.
C'est une belle brune, plutôt athlétique, souriante. Je suis un peu emmerdé. Notre "Paul Bocuse" est un homme très courtois.
Il sait probablement que je sais. Car son regard malicieux en dit long. Nous promettons de venir goûter sa cuisine. Et bientôt.
Nous nous saluons. "Bruno" a presque ma taille. Un homme élégant avec de la classe. Sa fille l'est tout autant. Et super belle.

Nous continuons nos achats. Nous passons en caisse. Là-bas, Bruno et sa fille nous font un coucou de la main. Et c'est sympa.
< Tu la trouves comment ? > me demande Clémentine à propos de "Valentine". Je suis toujours sincère, franc sans hypocrisie.
Je la trouve absolument divine. Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine me fait : < Et la digne fille de son père ! >. Exact.
Nous faisons un tour dans la galerie commerciale. Il y a de plus en plus de monde. Nous décidons de rentrer. Pas de cafétéria.
Dans la voiture, tout en jouant avec ma queue, Clémentine me confie son impatience d'en savoir davantage quand au "Chef".

Je propose d'aller manger au "Restaurant du Chant", dès la semaine prochaine. Pourquoi pas vendredi soir. Suggestion saluée.
Il est 12 h30 lorsque nous arrivons à la maison. Nous rangeons nos courses. Nous montons nous changer. En faisant le clown.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare les tomates farcies et le pilpil de blé. Tout est rapide.
Nous rions beaucoup de notre rencontre de ce matin. Clémentine me confie quelques ressentis qui nous excitent. C'est super.
Cet homme ne la laisse pas indifférente. J'aime la voir ainsi curieuse, impatiente et "allumée". C'est toujours de bonne augure.

Le restaurant du chant est situé en périphérie de la ville, pas très loin de l'université. C'est très simple d'accès. Dix kilomètres.
Ce sera donc pour vendredi prochain. Nous mangeons de bon appétit. C'est samedi. Nous avons tout notre temps. C'est bien.
Nous traînons à table. Tout cela nous a considérablement excité. Je propose un bon léchage de minou après la vaisselle. Joie.
Je ne suis jamais obligé de le dire deux fois. Soudain, tout va très vite. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Et c'est propre.
Clémentine m'entraîne par la main jusqu'au salon. Elle retire ses jeans et sa culotte. Elle est vautrée dans le canapé. Superbe.

Je suis à genoux sur l'épais coussin. Je hume longuement les odeurs de sa matinée de fille. Cela sent encore un peu le savon.
Dommage. Par contre, les coulures m'enivrent rapidement. La cyprine qui se mélange à d'autres jus de muqueuses. Gluantes.
J'adore me régaler de tout ce que j'en tire en suçant, en pompant ou en aspirant délicatement. Clémentine me tient bien fort.
Elle me guide par les oreilles. Je décalotte son clitoris turgescent du bout de mes lèvres. Un spasme secoue son corps. Génial.
Je peux sentir l'intérieur de ses cuisses frissonner, trembloter. C'est divin. Clémentine se tortille et cherche le meilleur angle.

Il faut absolument éviter un orgasme trop rapide. Il guette. C'est trop bon. Clémentine m'attire sur elle. Délicatement. Douce.
Je m'introduis avec d'infinies précautions. Nous restons parfaitement immobiles. Comme nous aimons. C'est merveilleux. Bon.
Sa bouche tout près de mon oreille, Clémentine me fait les révélations les plus secrètes. Cela nous excite considérablement.
Nous nous mettons à nous bercer pour cesser et recommencer. Mon érection est presque douloureuse. C'est puissant. Si fort.
Nous cessons. Nous voulons nous garder bien "allumés" pour ce soir. Le projet de film cochon avec Estelle. Il faut se calmer.

Il est 15 h. Nous allons dans l'atelier. J'allume le feu dans la cheminée. Clémentine est assise à la table, devant l'ordinateur.
Je suis assis devant mon chevalet. Nous nous offrons une séance de travail. C'est un plaisir également. Et tout aussi raffiné.
Du bruit. Il est 18 h. Estelle entre dans l'atelier. Elle nous fait la bise. Assise sur mes genoux, elle nous raconte sa journée.
Nous rangeons nos affaires. Nous voilà assis tous les trois, lumières éteintes, sur l'épais tapis, à admirer le feu qui s'éteint.
A l'étage, les premiers bruits étranges. Cela ne dure pas. Il commence à faire faim. Nous quittons l'atelier pour aller manger.

Clémentine s'occupe de l'assaisonnement de la salade déjà prête. Estelle réchauffe le pilpil. Je réchauffe les tomates farcies.
Nous mangeons de bon appétit. Nous racontons à Estelle notre rencontre de ce matin. Bruno le cuisinier et sa fille Valentine.
< Je veux participer à tout s'il se passe quelque chose ! > s'écrie Estelle. Nous rigolons comme des bossus. Nous promettons.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Estelle a emmené de quoi se changer. Jupe kilt. Un chemisier.
Elle monte à l'étage. Clémentine fixe la caméra sur son trépieds. Elle est fébrile. Elle m'avoue être pressée de nous amuser.

Tout est prêt. La chaise est au milieu de la pièce. La caméra est fixée. Estelle redescend. Elle est hyper sexy. Et super belle.
Elle donne la carte SD à Clémentine qui l'introduit dans la caméra. Un essai. Tout fonctionne. Estelle me regarde. En attente.
Je comprends. C'est à moi de conduire. Je prends Estelle par le bras. Je l'emmène dans l'encadrement de la porte. Debout.
Je fais signe à Clémentine qui fait : < Moteur ! >. Estelle dont le fantasme de faire l'actrice porno est sa passion reste droite.
Je m'approche. Je la saisis par la nuque pour l'entraîner sans ménagement au milieu de la pièce. Je lui passe le collier canin.

J'y fixe la laisse. Je donne quelques à coups. J'ordonne : < A quatre pattes ! >. Estelle ne se fait pas prier. Clémentine filme.
J'emmène Estelle pour un tour de la grande pièce. Clémentine nous suit avec la caméra. Calme, méthodique. Avec attention.
Parfois, elle lève le pouce de la main gauche pour nous rassurer. Tout se passe bien. Je force Estelle à se redresser à genoux.
Je sors ma bite. Je la passe sur son visage d'ange. Lentement, en insistant bien sous les narines et autour de la bouche. Bon.
Clémentine, accroupie, filme avec une grande concentration. Nous percevons le souffle de sa respiration. Elle est très excitée.

Je bande mou. Je me concentre. Je me suis consciencieusement gardé. Je dois pisser depuis au moins deux heures. Douleur.
Sans prévenir, en sournois, je lâche un jet vif et précis. Estelle que je tiens par la tignasse, qui tente de détourner son visage.
Trop tard. Elle ne s'y attendait pas. Je lui mets une gifle. Elle se met à m'insulter, se redressant, droite, et toujours à genoux.
Le regard courroucé, elle interprète parfaitement la jeune fille humiliée. Ce n'est qu'un jeu. Sans aucune violence. Si excitant.
Une seconde giclée de pisse chaude. Je la maintiens fermement. Elle se débat en m'insultant. Elle me crache au visage. Bien.

Clémentine laisse la caméra en mode automatique. Elle a ouvert son pantalon pour y fourrer sa main. Elle adore se masturber.
S'occuper de la caméra, filmer des scènes aussi salaces, tout cela participe de son immense plaisir. Aussi puissant que le nôtre.
Je tire fortement sur la laisse ce qui déséquilibre Estelle. Elle se rattrape à mes cuisses. Je la force à se redresser. Elle ruisselle.
Le haut de son chemisier blanc, à présent transparent, laisse entrevoir la pointe de ses tous petits seins qui sont turgescents.
Le tissus mouillé et fin moule parfaitement ses formes. Je la force à s'assoir sur la chaise. Le dossier entre ses cuisses écartées.

Je m'éloigne pour permettre à Clémentine de tourner autour de la chaise avec la caméra. Je reste à un bon mètre des filles.
J'attends que Clémentine pose le trépieds au sol. Je reste à distance. Je pointe mon sexe vers Estelle. Je l'agite avant de viser.
Je lui pisse au visage. Elle détourne la tête en poussant un cri de dégoût. Elle est attachée par les poignets et par les chevilles.
Je m'approche. Je la saisis par les oreilles. Ses cheveux trempés collent par mèches sur ses joues. La pisse dégouline partout.
Il en coule dans son cou, sur son menton, dans son chemisier. Je lui touche les seins. J'essaie d'être le plus vulgaire possible.

Je la tiens fermement par le menton et par la nuque. Je tente de lui enfoncer la bite dans la bouche. Elle détourne la tête. Dur.
Maintenue avec force, il lui est difficile de se soustraire à mon étreinte. Je lui frotte la queue sur la gueule. Cambré en avant.
Je suis sur la pointe des pieds. Je lutte pour essayer de lui enfoncer la queue. Elle lutte pour m'en empêcher. Un jeu excitant.
Car ce n'est évidemment qu'un jeu. Clémentine est tombée à genoux. Elle se branle. La bouche ouverte elle mâte en soufflant.
Je mets une gifle à Estelle qui redresse la tête pour me cracher au visage. Et un mollard qu'elle a consciencieusement préparé.

Je la tiens par ses cheveux trempés pour la forcer à fixer l'objectif de la caméra. Je rapproche mon visage tout près du sien.
Ces images ont toute sa préférence. Estelle les collectionne. Elle les met à part dans ses montages. C'est super bien réalisé.
Nous restons ainsi à fixer la caméra. Je le fais plusieurs fois. Je me branle. Je lui éjacule à la gueule. Quantité phénoménale.
Je la force à fixer l'objectif. Je rapproche mon visage tout près du sien. Je la tiens par les cheveux. Je la tiens par le menton.
Estelle a ses règles. Il est convenu que nous ne toucherons pas son sexe. Clémentine se met à hurler. C'est un orgasme fou.

Estelle, le visage trempé de pisse, de foutre, les cheveux défaits collant sur ses joues, dans son cou, ouvre soudain la bouche.
Je me redresse. Je lui fourre la bite dedans. Elle se met à sucer tout en fixant la caméra. Si passionnée. Je lui caresse la tête.
Je bande comme le dernier des salauds. Nous repartons pour un second tour. Clémentine, couchée sur le côté ouvre les yeux.
Elle reprend ses esprits. Elle fait le signe "3" avec ses doigts. Il reste trois minutes d'images. Je me fais pomper avec passion.
Aucune difficulté pour juter une seconde fois. Bien au fond de la gorge d'Estelle qui ne cesse de fixer l'objectif de la caméra.

Le "bip" sonore indique que la caméra va s'arrêter de fonctionner. Je me retire. Estelle m'en empêche. Elle en veut encore.
Tellement excitée par ce qu'elle vit, elle se moque éperdument du film. Clémentine s'est redressée. Elle retire la carte SD.
Estelle me permet enfin de retirer ma queue. Nous éclatons de rire. Je me penche pour l'embrasser. Malgré la pisse, le jus.
< Je fais le montage. On se le regarde samedi prochain ! > fait Estelle. Nous montons. Je lui sèche les cheveux avec soin.
< Merci Julien ! Ça n'a jamais été aussi bien ! > me fait elle. Au lit, elle s'endort la première. Clémentine me remercie. Dodo.

Bonne soirée à réaliser le film de vos rêves à toutes les coquines qui ont le fantasme de faire l'actrice porno…

Julien - (Qui se couche avec les lombaires douloureuses, les couilles vidées et la bite congestionnée) -

Classe



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Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 682 -



C'est tellement bien tous les trois

Hier matin, dimanche, je suis réveillé par ce qui devient un véritable rituel. On suce mon érection matinale. On me bisouille.
Je sais immédiatement qui est entrain de me faire une pipe. Pas besoin d'ouvrir les yeux. Et je serre Clémentine contre moi.
D'une main, je caresse la tête d'Estelle sous les draps. Rapidement, elle remonte à la surface des couvertures pour se serrer.
Nous restons quelques instants ainsi à savourer cet immense privilège. Notre complicité à trois. Notre merveilleuse histoire.
Le pissou. Estelle se précipite la première aux toilettes. Clémentine me chevauche en me couvrant le visage de bisous. Belle.

Estelle revient dans son pyjama de soie mauve. < Je descends préparer le petit déj ! > fait elle avant de dévaler les escaliers.
Clémentine m'entraîne aux toilettes. Il est 8 h. Le jour se lève. La météo est épouvantable. Des bourrasques de vent. La pluie.
Nous descendons rejoindre Estelle. La douce odeur du pain grillé, du café et de la brioche. Estelle se précipite dans mes bras.
Je la soulève pour la faire tourner. Ses jambes enserrent ma taille. Elle me couvre le visage de bisous. Clémentine s'interpose.
Nous en rions de bon cœur. Tout cela est devenu un jeu. C'est le bonheur. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant.

< Julien ! Ça n'a jamais été aussi bon, aussi bien que hier soir ! > me fait Estelle. < C'est vrai ! Génial ! > rajoute Clémentine.
< Je commence le montage lundi soir. On se visionne le film samedi prochain ! > rajoute encore Estelle en prenant ma main.
Il y a presque 60 minutes de film. Estelle n'en conservera qu'environ trente. Il y a forcément de l'inutile, quelques longueurs.
Le programme de notre prochain samedi soir est déjà établi. Je propose une repas de fête au salon avant le visionnage. Bien.
Le dimanche matin, c'est "ménage". Estelle se propose de passer l'aspirateur partout et de faire le salon. C'est aussi un rituel.

Nous faisons la vaisselle. Clémentine monte faire la chambre, changer les draps et aérer. Moi, je range et je nettoie la cuisine.
Chacun à sa tâche. J'entends Estelle chanter en passant l'aspirateur. C'est toujours une profonde émotion. Un grand bonheur.
Le lecteur ayant vécu seul longtemps sait ce que représente le retour de la vie dans sa maison. Il sait l'incommensurable joie.
Je nettoie les chiottes du bas. Je passe la serpillère. Je m'apprête à monter rejoindre Clémentine. Estelle m'a tendu un piège.
Elle me guettait. Elle me saute au cou et se blottit dans mes bras au bas de l'escalier. < Je t'aime Julien ! > chuchote t-elle.

< C'est si bien, c'est si bon, ce que nous vivons tous les trois ! > me murmure t-elle encore à l'oreille. Je suis pétri d'émotion.
Je la serre fort. Je passe ma main dans sa nuque pour lui relever les cheveux. Nous nous embrassons passionnément. Délices.
Toutefois, lorsque Clémentine n'est pas présente, ce sentiment de culpabilité apparaît forcément. Cette vielle morale imbécile.
Nous en rions de bon cœur lorsque je le dis à Estelle qui me prend par la main pour m'entraîner dans l'escalier. A toute blinde.
Nous rejoignons Clémentine qui termine de faire le lit. Estelle ramasse le tas de draps sales pour l'emmener à la salle de bain.

Je raconte tout à Clémentine qui se serre dans mes bras pour m'embrasser avec passion. Et nous avons le goût de la brioche.
Je m'habille. Nous sommes tous les trois vêtus de nos jeans et de nos chemises à carreaux. Les trois Mousquetaires. (Dumas).
Nous fermons les fenêtres de la chambre. Il fait froid et humide. Estelle passe l'aspirateur à l'étage. Tout en chantant. Super.
Je nettoie le bac à douche. Clémentine fait les miroirs et le lavabo. Nous n'arrêtons pas de nous toucher et de nous embrasser.
C'est tellement bon d'être ensemble. Tous les deux. Tous les trois. Très certainement la plus belle période de toute notre vie.

Parfois, nous en avons tous les trois une perception si aiguë que nous en avons la larme à l'œil. C'est tellement intense. Fort.
Clémentine descend avec le panier à linge plein à ras bord. Je nettoie les chiottes de l'étage. Estelle vient me rejoindre. Rires.
La coquine passe sa main entre mes cuisses par derrière pour me tripoter. J'ai les mains occupées, penché au-dessus du WC.
Elle se met à genoux à mes côtés. Les mains sur la tête, elle ouvre la bouche. Le regard suppliant. Nous en rions de bon cœur.
< Pour le prochain film ! > me lance Estelle. Je tire la chasse pour rincer la javel. Je retire mes gants en caoutchouc. Bisous.

Je l'attrape par ses cheveux noués en natte. Je la force à se relever. Je l'entraîne comme par la laisse. Puis nous descendons.
Nous rejoignons Clémentine à la cave. La machine qui tourne. Nous trions le linge. Le chemisier trempé de pisse de hier soir.
Il faut laver la jupe kilt qui est également maculée de foutre et de pisse. < On a fait fort hier soir ! > lance Estelle en rigolant.
< C'est de pire en pire ! > rajoute Clémentine. Nous rigolons comme des bossus. Les filles évoquent leurs cours pour demain.
Je monte. Le saumon a décongelé. J'épluche les patates. Estelle est la première à me rejoindre. Bisous dans le cou. Douceur.

Il est onze heures. Je propose une Parmentière de saumon. < Oh oui ! Ça change ! > s'écrie Clémentine qui arrive à son tour.
Elle lave la salade verte. Je coupe les pommes de terre en petits dés. Estelle émince finement le gros pavé de saumon. Super.
Je coupe de l'ail, de l'oignon. Clémentine fait l'assaisonnement. Je mélange de l'œuf, de la crème fraîche et du lait de soja. Sel.
Estelle émince finement des champignons de Paris. Elle fait revenir à la poêle avec l'ail, l'oignon et le saumon. Je fais la purée.
J'égoutte les petits morceaux de pommes de terre que je pile avec un mortier de bois directement dans le plat. Superbe purée.

Une première couche. Estelle y verse le contenu de la poêle. Une seconde couche. On verse le mélange. Plein de gruyère râpé.
Au four. Clémentine met la table. Tout est prêt. Estelle nous entraîne par le bras au salon. Nous sautillons en faisant les pitres.
Nous faisons plusieurs tours de la pièce. Nous sommes tellement heureux. Estelle s'accroupit soudain pour ouvrir ma braguette.
< Tu ne perds pas le Nord ! > lui lance Clémentine qui se serre contre moi. < Non puisque je suis à l'Ouest ! > répond Estelle.
Nous rions de bon cœur. Estelle agite mon Zob tout mou qu'elle tient à sa base. < Attends, je sors aussi les couilles ! > dit elle.

Me voilà avec le service trois pièces à l'air. Enserrés par le tissu du pantalon, mes organes génitaux sont du plus bel effet. Bien.
Estelle soupèse mes couilles. < J'aime quand elles sont bien dodues ! Tu crois qu'elles sont déjà pleines ? > me demande t-elle.
Nous rigolons comme des bossus. Clémentine se frotte contre ma hanche. Estelle est à genoux devant moi à scruter ma queue.
Je dis : < La semaine prochaine, c'est décidé, je vous achète à toutes les deux des genouillères de protection pour le roller ! >
< On pourra se mettre à genoux partout et sans avoir mal ? > demande encore Estelle, de son air ingénu. Espiègle et mutine.

Je la force à se relever. Je me penche pour lui masser les genoux. < Aïe, aïe, aïe ! > fait elle. Je lui dis : < Les genouillères ! >
< Oui, ça s'impose ! > me fait elle. Je déboutonne le pantalon de Clémentine. Je déboutonne celui d'Estelle. J'y mets les mains.
J'ai mes mains dans les culottes. C'est chaud. C'est doux. C'est délicieusement velu. Je leurs dis : < Ce sont mes nounours ! >
< Tu t'en occupe si bien ! > me chuchote Estelle. Je bande mou. Et il y a une petite goute de foutre qui perle au bout du méat.
Clémentine l'a repéré la première. Elle se penche pour la récupérer du bout des lèvres. Je tripote le "nounours" à Estelle. Joie.

Nous sommes tous les trois debout devant une des portes fenêtres. Nous regardons cette météo déplorable. Il pleut. Il vente.
Nous décidons malgré tout d'aller faire un tour au haras. Question de sortir un peu. D'aller faire un coucou à Juliette. Sympa.
Estelle me tient les couilles. Clémentine me tient la bite. Je les tiens toutes les deux par les épaules. Nous regardons la pluie.
< Moi, j'adore notre forme de romantisme ! > chuchote Estelle. < C'est très "vieille France" ! > rajoute Clémentine. Rigolade.
La sonnerie du four. Morts de faim nous nous précipitons à la cuisine. < Ne va pas te brûler la queue ! > me fait Estelle. Rire.

Estelle sort le plat du four. C'est une véritable réussite. Dorée à point la croûte est dure. Juste ce qu'il faut. C'est la chapelure.
Clémentine remue la salade. Nous voilà installés. Nous mangeons de bon appétit. La recette de la Parmentière est un cadeau.
Il suffit de remplacer la viande de bœuf, de porc, que nous ne mangeons pas, par le poisson de notre choix. Ou des crustacés.
Nous nous promettons d'essayer avec des crevettes, du crabe, des langoustines ou encore des moules. Prochains dimanches.
De quoi faire quelques expériences culinaires qui sauront nous enchanter. En tous cas, ce repas est un véritable délice. Miam.

< Depuis que je te connais, j'ai appris à faire la cuisine. Mes parents se régalent. Finie la bouffe industrielle ! > me fait Estelle.
Nous traînons à table. Les filles évoquent leurs études. Ce second trimestre qui est plutôt hard. J'écoute en silence, passionné.
Assises sur mes genoux, en terminant leurs coupes glacées, les filles parlent de l'Ecosse, nos séjours, mon tonton et ma tata.
Nous y retournerons cet été. Deux mois. Mais avant, il y a les vacances de Pâques. Je propose la Gironde, région de Bordeaux.
Estelle ne pourra pas venir avec nous. Ce qui l'attriste déjà. Je la console. Nous resterons en contact étroit. Et tous les jours.

La vaisselle. Estelle a tout le temps sa main sous mon tablier. Pour être à l'aise, j'ai rangé les couilles. Il n'y a que la queue.
Nous rangeons la cuisine. Nous passons au salon. Je propose aux filles un léchage de minou. < Je mâte ! > fait Clémentine.
Elle s'installe dans le fauteuil. Elle ouvre son pantalon. Elle passe sa main dans sa culotte. Je retire le pantalon à Estelle. Joie.
Je la fais tomber au fond du canapé. Elle monte ses jambes, écarte ses cuisses et me regarde m'installer à genoux parterre.
Je suis sur l'épais coussin. Je scrute l'épaisse toison pubienne. Depuis presque deux ans, les poils ont bien repoussé. Denses.

Il y a la petite ficelle blanche qui pend de la touffe. J'aime bien taquiner les filles en donnant de petits à coups. C'est si drôle.
< Arrête ! > me fait Estelle. Elle a encore ses "petits machins". Je hume l'odeur de son Week-end de fille négligée. Sublime.
Ça sent hyper fort. Le fauve. J'adore. Dommage que je ne puisse fouiller son sexe de ma langue. Il doit y avoir à bouffer. Bon.
Je la force à se retourner. La voilà à quatre pattes sur le canapé, les coudes en appuis sur le dossier. Elle me présente le cul.
L'odeur est affolante. Les poils qui collent dans la sueur. Le jus de muqueuses certainement aussi. C'est répugnant. Schlingue.

Pourtant, depuis quelques temps, j'apprécie d'y fourrer mon nez, ma langue, le bout de mes doigts que je renifle par la suite.
Le goût me donne des vertiges. Je suis dégoûté. Surtout après la parmentière de saumon. Pourtant, cela m'enivre, m'excite.
Clémentine s'est levée pour venir sentir. < Beurk ! T'es vraiment une fille négligée ! > lance t-elle à Estelle qui dit : < Oui ! >
Ecartant bien les jambes, se cambrant correctement, Estelle me présente son cul. J'écarte ses fesses. Je me mets à bouffer.
Clémentine reste à genoux tout près de moi pour me voir sucer le cul d'Estelle. Elle se masturbe d'une main, me tient le Zob.

De mon index, je stimule le minuscule clitoris d'Estelle qui se cambre au maximum en gémissant. Au diable le haras. Tant pis.
Clémentine que cela excite, retire ses jeans pour se mettre à côté d'Estelle. Je passe d'un cul à l'autre. C'est fantastique. Bon.
Je me régale des culs sales et du croupion odorant de Clémentine qui ne le lave jamais le dimanche. Spécialement pour moi.
J'ai le visage trempé de jus de filles. Ça me picote. Ça me chatouille. Je n'arrête pas de retirer des poils de ma bouche. Génial.
Estelle connaît un orgasme fabuleux. Elle tombe sur le côté en serrant ses cuisses sur ses mains. Elle en hurle de plaisir. Bien.

Clémentine s'est couchée sur le dos. Estelle s'est glissée parterre entre le canapé et moi. Elle me suce comme une assoiffée.
Je me bouffe le jus de Clémentine. Nous repoussons les limites jusqu'à l'extrême. Je cesse plusieurs fois de lécher. Prudence.
Pas d'orgasme non programmé. Clémentine est passée maître dans l'art de s'offrir les orgasmes les plus fabuleux. Calculés.
Je sais déjà qu'elle va se lâcher. Je sens bien à sa façon de se tortiller, de me tenir par les oreilles que l'échéance s'approche.
Je force Estelle à cesser, à se retirer. Juste à temps. En jouissant comme une démente, Clémentine se met à pisser. C'est fou.

Nous reprenons nos esprits. Clémentine nettoie partout. Nous montons nous changer. Nous décidons d'aller visiter Juliette.
Il est 16 h30. Il y a du monde. Il y a Kim Son, Eveline, Gérard et surtout Juliette contente de nous voir. Nous ne restons pas.
Estelle n'arrête pas de me toucher. Elle veut retourner à sa pipe. Il est 17 h30 lorsque nous revenons à la maison. Et il pleut.
J'offre à Estelle le fruit de son désir. Nous voilà vautrés dans le canapé. Clémentine m'embrasse. Et Estelle me taille une pipe.
La soirée se passe ainsi. J'éjacule. Repas . Révision des cours à l'atelier. 22 h30. Estelle doit rentrer. Nous sommes épuisés.

Bonne journée à vaquer à vos occupations à toutes les coquines qui aiment se faire bouffer la chatte et bouffer de la bite…

Julien - (Qui se pourlèche des culs de Clémentine et d'Estelle jusqu'à en être rassasier. Celui d'Estelle étant "goûteux") -

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Une agréable soirée à deux

Hier matin, lundi, c'est le Prélude en Do dièze mineur de Rachmaninov qui nous tire avec violence de nos profonds sommeils.
< Mais ta gueule Kalachnikov ! > s'écrie Clémentine. Et en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques papouilles. Nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Morts de faim.
Nous préparons notre copieux petit déjeuner déjà en tenues de gym. Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. 6 h.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. Aérobic, jogging sur tapis roulant, abdos. Intensité maximale.

La douche. Je descends pour aller sortir l'auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. Il est 7 h45. Le jour se lève.
Un dernier bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Il fait froid et très humide. Je me dépêche de rentrer.
Je fais notre lit, notre vaisselle et je passe dans l'atelier pour y allumer un beau feu dans la cheminée. Je prépare mon matos.
Il est 8 h15. Je suis enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans une sérénité totale. La quinzième toile de ma saison d'été.
Il faut m'entendre pousser les cris les plus surréalistes en faisant la danse du Sioux autour de mon chevalet à chaque réussite.

Je remporte une nouvelle victoire à chaque quart d'heure. Mes coups de pinceaux sont plus sublimes les uns que les autres.
La peinture de cette scène de genre à trois personnages s'annonce déjà une parfaite réussite. Tout s'enchaîne parfaitement.
Comme toujours, lorsque je me livre corps et âme à ma passion, plus rien n'existe. Il est rapidement midi. La faim qui arrive.
Me voilà à à la cuisine. Je lave une belle salade verte. Je fais bouillir l'eau des coquillettes. Je me fais rissoler un filet de saule.
A la poêle, avec de l'ail, de l'oignon et un gros champignon finement émincé. Un assaisonnement à la salade et je me régale.

La vaisselle. Je range la cuisine. Il est 12 h45 lorsque je suis à nouveau confortablement installé devant mon chevalet. Repus.
Les sensations que me procurent la peinture de cette toile sont étrangement intraduisibles. Ce n'est que du plaisir à l'état pur.
Du bruit. Il est 16 h20. Clémentine entre dans l'atelier. Elle jette son sac dans le canapé en se précipitant vers moi. Des bises.
Assise sur mes genoux, elle me raconte sa journée. Les profs, les cours, le restaurant universitaire avec Estelle. C'est superbe.
J'écoute toujours avec beaucoup d'intérêt. C'est mon lien avec le monde extérieur et puis Clémentine raconte tout cela si bien.

Nous travaillons encore un peu. Clémentine, à la table, entourée de ses notes, devant l'ordinateur, astreinte à ses recherches.
Les jours rallongent. C'est bien perceptible. Ce n'est qu'à la nuit que d'étranges bruits se font entendre à l'étage. Le fantôme.
Nous ne nous habituons jamais vraiment à ces activités paranormales. Tous ces bruits de pas qui s'amplifient pour s'éloigner.
Ces portes qui grincent sans raison. Ces meubles que l'on déplace. < Elle est très active Christine, ce soir ! > fait Clémentine.
Il est 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Je nettoie ma palette et mes pinceaux. Nous voilà assis devant la cheminée. Super.

A l'étage, les bruits ont cessé. Clémentine est une médium. Elle a toujours une explication. J'aime écouter son raisonnement.
Nous restons ainsi à contempler le feu qui s'éteint. C'est tellement beau. Le crépitement des dernières braises. C'est agréable.
La faim commence à se faire sentir. Sur la volonté de Clémentine qui préfère improviser le repas du soir, je n'ai rien préparé.
Elle m'entraîne par la main jusqu'à la cuisine. La salade est déjà lavée. Nous décidons de faire des beignets d'aubergines. Riz.
Clémentine s'occupe de l'assaisonnement. Je coupe les aubergines en tranches. Je prépare une pâte à crêpe. Et c'est si facile.

La friteuse est déjà sur le feu. < Tu me montres ta bite. Je ne l'ai pas encore vu aujourd'hui ! > me lance soudain Clémentine.
Nous rions de bon cœur car j'ai mon tablier. Je pose le couteau. J'ouvre ma braguette. J'écarte et je soulève le pan du tablier.
Clémentine vient s'accroupir devant moi. Je la vois scruter l'extrémité de mon sexe qu'elle décalotte légèrement. Pour humer.
< J'aime quand ça sent fort ! > me fait elle en agitant doucement mon Zob qu'elle tient à sa base entre le pouce et son index.
Je lui caresse la tête. < Je t'aime Julien ! > me chuchote t-elle avant de prendre l'extrémité de mon prépuce fripé en bouche.

Tout en suçant, Clémentine mâchouille la peau qu'elle tire du bout de ses lèvres. J'aime la voir téter. Et avec tant de passion.
Je lui murmure des douceurs. Je la force à se redresser. Nous continuons la préparation. L'huile de friture qui est en ébullition.
Je trempe chaque tranche d'aubergine, chaque tranche de champignon dans la pâte à crêpe avant de les plonger dans l'huile.
Clémentine, que le spectacle fascine, est penchée par dessus mon épaule, sa main sous mon tablier, me tenant bien la queue.
< Je la protège ! Ne va pas te brûler ! > me fait elle. Je tourne les beignets dans l'huile quelques instants avant de les sortir.

Le riz a gonflé. Clémentine s'en occupe. Dans le plat il y a déjà une bonne dizaine de beignets. Clémentine râpe le fromage.
Nous mettons la table. J'éteins la friteuse. Une petite montagne de beignets dans le plat. Nous goûtons. Et c'est succulent.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine m'avoue beaucoup apprécier d'être seule avec moi. Contente.
< On se garde le lundi et le vendredi. Rien que toi et moi. Tu veux bien ? J'aime être seule avec toi ! > me dit elle deux fois.
Jusqu'à présent, j'estimais qu'il était préférable pour une jeune fille de 21 ans d'être bien entourée. Mais les choses changent.

Nous traînons à table. Nous évoquons Bruno, le Chef cuisinier, sa fille Valentine, le projet d'aller goûter sa cuisine vendredi.
Je propose de réserver une table dès demain. Le restaurant des Chants est à une dizaine de kilomètres. Près de l'université.
Nous rions beaucoup en comparant les allures de monsieur Wong, le cuistot vietnamien d'Edimbourg et de Bruno. Cuisiniers.
< On monte en gamme ! Un Chef étoilé ! > fait Clémentine en s'asseyant sur mes genoux pour terminer son yaourt au miel.
Nous rigolons comme des bossus lorsque je dis : < Tu vas goûter du Nem de chez nous ! >. Clémentine me touche la queue.

Je rajoute : < Après la vaisselle, on va au salon. On fait l'amour et tu me confies tes "plans", tu veux ? >. Clémentine se lève.
Je ne suis pas obligé de le proposer deux fois. Nous faisons la vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Elle m'entraîne par la main.
Elle retire ses jeans et sa culotte. Je retire mon pantalon et mon slip. Nous jetons nos fringues sur le fauteuil en riant. Super.
Je suis à genoux sur le coussin. J'ai le visage entre les cuisses écartées de Clémentine. Je m'enivre des odeurs de sa journée.
C'est fort. C'est puissant. Elle me tient par les oreilles comme pour retarder le moment où ma langue ira fouiller son intimité.

Je savoure le goût des plis et des replis des lèvres charnues de son sexe. C'est un délice. Je décalotte son clitoris géant. Miam.
Il y a là de quoi régaler un amateur de fondue. C'est comme sous un prépuce. Il y a donc quantité de miasmes qui prolifèrent.
Clémentine, tout en gémissant de plaisir, m'attire doucement sur elle. Je m'introduis avec d'infinies précautions. C'est si doux.
Nous restons immobiles. Comme nous aimons. Clémentine se serre contre moi. Elle rapproche sa bouche de mon oreille. Bien.
C'est le début de ces instants magiques dont nous raffolons. Clémentine m'avoue ses plus intimes secrets. Désirs. Fantasmes.

Nous sommes télépathes. Je ne suis jamais obligé de poser de questions. Les réponses affluent pour notre plus grand bonheur.
Clémentine évoque sa rencontre avec Bruno, l'autre jour, à la FNAC. L'effet presque immédiat sur sa libido. La classe du "Chef".
Elle m'avoue à quel point son comportement devant cet homme l'a excité. Lorsqu'elle se touchait discrètement tout en parlant.
Elle me confie à quel point elle était honteuse de le revoir samedi matin au supermarché. A quel point elle a honte de le revoir.
Elle décrit ses émotions. Lorsque nous serons assis dans son restaurant, qu'il viendra bavarder avec nous. De quoi être excitée.

C'est le fonctionnement habituel de Clémentine. Mais là, c'est puissance 10. Je l'encourage. Elle sait que je suis son complice.
Elle pourra puiser en moi tout le courage, toute la force nécessaires. Nous nous berçons, excités, nous cessons, elle explique.
Ce procédé nous projette au comble de l'excitation. Nous maîtrisons avec peine. C'est tellement bon. Il faut repousser. Lutter.
Je chuchote : < Je me réjouie pour te voir sucer ce mec. Je ne sais pas encore par quels stratagèmes mais tu vas m'épater ! >
Clémentine se cambre. Elle veut encore repousser le plaisir qui l'inonde. Elle me repousse. Je me retire avec précaution. Joie.

Je suis à nouveau à genoux sur le coussin. Je me régale de la quantité incroyable de jus qui dégouline du sexe de Clémentine.
C'est toujours impressionnant. J'enlève ma chemise. Je sais ce qui m'attend. Je suce le clitoris turgescent. Dur comme jamais.
< Tu sera caché pour me voir sucer ! > fait soudain Clémentine avant de pousser un cri. Je me fais pisser à la gueule. Trempé.
Le corps de ma compagne est agité de spasmes, de frissons. C'est presque inquiétant. Elle reprend ses esprits. Seau, serpillère.
A la salle de bain, elle me sèche les cheveux. Nous rigolons. C'était génial. Au lit, je lui propose de remettre la pipe à demain.

Bonne soirée à confesser vos désirs les plus secrets et les plus intimes à toutes les coquines qui aiment se faire brouter…

Julien - (Qui devrait prévoir le shampoing, la serviette et le sèche-cheveux à côté du canapé) -

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2019 - Episode 684 -



Estelle était rudement pressée de me revoir

Hier matin, mardi, c'est la suite pour Luth en mi mineur de J.S. Bach qui nous tire de nos profonds sommeils avec douceur.
< Et Luth gréco romaine ! > s'écrie Clémentine tout en me chevauchant pour éteindre le réveil posé sur ma table de nuit.
Quelques papouilles et nous nous précipitons aux toilettes avant de descendre à toute vitesse jusqu'à la cuisine. Il est 6 h.
Nous préparons notre copieux petit déjeuner que nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Déjà en tenues de gym.
Nous remontons pour nous offrir notre heure d'entraînement. C'est mardi, Clémentine termine à midi. Elle est toute fébrile.

La douche. Je descends le premier pour aller sortir la petite auto de Clémentine qui me rejoint chaudement vêtue. 7 h45.
Le jour se lève. Un bisou. Je regarde la voiture disparaître en haut du chemin. Le froid est vif. Je me dépêche de rentrer.
Je fais notre lit, notre vaisselle avant de passer dans l'atelier. J'allume un bon feu dans la cheminée. Deux belles bûches.
Je prépare ma palette et mes pinceaux. Il est 8 h15. Me voilà enfin assis devant mon chevalet. Je peins dans la sérénité.
La peinture de cette quinzième toile, destinée à ma saison d'été, est magique. Sans doute les fantômes des personnages.

J'emprunte leurs traits à de vieilles cartes postales Bretonnes en noir et blanc. Et ils sont vêtus façon XVIIème Hollandais.
C'est une scène de genre typique. Un médecin visite un couple dont la femme souffre d'un mal imaginaire, mais enceinte.
Ces petits tableaux de format F6, (41 x 33 cm) remportent toujours un vif succès chez mes collectionneurs. Chez d'autres.
Comme toujours, lorsque je me livre ainsi corps et âme à ma passion, le temps n'existe plus. Il est rapidement midi. Faim.
Je vais à la cuisine. Je fais gonfler du riz. Je coupe du poireau en petits morceaux que je fais cuire à l'eau bouillante. Bien.

Clémentine arrive. Elle me saute au cou. Je la soulève pour la faire tourner. Elle me couvre le visage de bisous. Heureuse.
Clémentine s'occupe de la salade et de son assaisonnement. Je prépare une belle pâte à pain que je travaille longuement.
Clémentine me raconte sa matinée. J'égoutte le poireaux que je rajoute à la Béchamel. J'en récupère un peu. Avec le riz.
La Flamiche Picarde du mardi. Cette délicieuse tarte aux poireaux dont nous raffolons les mardis soirs. Tout est préparé.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Clémentine me confie à quel point faire l'amour hier soir était superbe.

< Et toi ? Tu n'es jamais frustré de ne pas t'emmener au bout ? Je te suis redevable de tant d'orgasmes ! > me fait elle.
Nous rions de bon cœur. Je précise : < Tu ne m'es redevable de rien. Et mon plaisir est immense quoi que tu fasses ! >
Assise sur mes genoux, tout en terminant son yaourt, Clémentine m'avoue à quel point ses orgasmes la stimulent. Rires.
Je lui dis : < Tu en veux un petit et sympa avant d'aller à l'atelier ? >. Clémentine me prend par le cou. Plein de bisous.
La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. La pâte repose dans un saladier, sous un linge. Et la Béchamel dans sa casserole.

Clémentine m'entraîne à l'atelier. Il y a là un canapé aussi. Un vieux canapé de velours cramoisis avec de lourds coussins.
Je rajoute deux bûches dans la cheminée. Je regarde sur ma droite. Clémentine a retiré son pantalon, sa culotte. Vautrée.
Il y a déjà un coussin au sol. Nous rigolons comme des bossus en nous serrant fort dans le canapé. J'ouvre ma braguette.
Clémentine en extrait immédiatement la queue. Je bande mou. Sa préférence. Je suis à genoux, la tête entre ses cuisses.
Je hume les odeurs de sa matinée de fille. Je passe ma langue dans les plis et les replis des lèvres charnues de son sexe.

Le goût légèrement acidulé, vinaigré, me donne rapidement le vertige. Clémentine me tient par les oreilles pour me guider.
Je l'entends gémir. Je m'attarde. Je récupère les premières coulures de cyprine où se mêlent d'autres substances. Miam.
Je décalotte son clitoris turgescent du bout de mes lèvres. Clémentine se tortille, cherchant le meilleur angle en gémissant.
Je suis sur un nuage. Rien ne me procure plus de plaisir que d'en offrir à la fille que j'aime. Attention. La vigilance extrême.
Pas d'orgasme impromptu. Clémentine veut se garder pour ce soir. Je cesse. Elle reprend doucement ses esprits. Souffle.

Je suis debout. Clémentine remet ses vêtements. Je me branle. Je dis : < Ce soir, je me fais encore sucer par Estelle ! >
< Elle ne compte plus les quantités de foutre que tu lui offres ! > fait Clémentine en se serrant contre moi. Nous rigolons.
Je demande : < Tu n'es pas trop jalouse ? >. Elle me prend la queue pour me branler un peu en disant : < Beaucoup ! >
Elle rajoute : < Je peux me permettre tellement d'égarements, de déviances grâce à toi, que je ne peux que l'accepter ! >
Ce deal nous amuse toujours beaucoup. Nous en parlons souvent. Estelle nous confie bien en profiter. Folle de la fellation.

Il est presque 14 h. Nous voilà au travail. Clémentine devant l'ordinateur, entourée de ses notes. Moi devant mon chevalet.
Le crépitement des flammes. Le craquement des bûches. C'est magique. Parfois l'un se lève pour rejoindre l'autre. Bisous.
A 17 h c'est le thé au jasmin. Clémentine prend ma main pour la glisser dans sa culotte. < C'est comment ? > me fait elle.
Je commente mes sensations. < Ça me chatouille tout l'après-midi. Comme en cours parfois ! > me dit elle tout en rigolant.
Je lui confie que je bande souvent, tout en peignant et en pensant à elle, à nos aventures et à nos merveilleux égarements.

Je me lèche les doigts. Clémentine soulève ma blouse de peintre. Nous nous touchons un peu avant de retourner travailler.
Du bruit. Déjà 18 h15. Estelle entre dans l'atelier. Elle se précipite. Assise sur mes genoux elle nous raconte son après-midi.
Les filles sont installées devant l'ordinateur. Elles comparent leurs travaux de recherches. J'écoute. C'est passionnant. Joie.
Il est 18 h45. Nous rangeons nos affaires. Nous voilà assis devant la cheminée à admirer le feu qui commence à s'éteindre.
Les lumières sont éteintes. A l'étage il y a quelques bruits étranges. La visite de notre fantôme. Nous sommes serrés si fort.

J'ai peins tout l'après-midi avec la braguette ouverte. J'ai retiré mon tablier. Estelle peut y fourrer sa main. Et me tripoter.
Nous évoquons Bruno, le Chef cuisinier, patron du Restaurant des Chants, chez qui j'ai réservé une table pour vendredi soir.
< Vous me raconterez, hein , moi je ne peux pas venir ! > nous fait Estelle. Clémentine lui répond : < Je te tiens au jus ! >
< Je vois de quel "jus" tu parles ! > lui fait Estelle en me sortant la queue. Je bande. Elle me la tord dans tous les sens. Dur.
Nous rions de bon cœur. La faim commence à se faire sentir. Nous quittons l'atelier pour nous précipiter à la cuisine. Super.

Estelle travaille la pâte à pain. Clémentine fait l'assaisonnement de la salade d'endives. Je réchauffe la Béchamel. Méthode.
La Flamiche Picarde est au four. La table est mise. Nous passons au salon. Nous voilà vautrés tous les trois dans le canapé.
Estelle nous confie avoir commencé le montage du film que nous avons réalisé samedi soir. < C'est hyper chaud ! > dit elle.
Nous rions de bon cœur lorsqu'elle nous fait : < Et ce qui est génial, c'est qu'il y a plein de gros plans. De Julien et moi ! >
C'est vrai que j'ai rapproché très souvent mon visage du sien pour contempler l'objectif de la caméra. Je sais qu'elle aime.

Estelle, tout comme Clémentine, me confient souvent à quel point le reflet de leurs visages dans un miroir les auto érotise.
Je comprends ce désir de vouloir souiller ces visages d'Anges. Cela fait partie de leurs fantasmes de jeunes filles. C'est beau.
Je me lève. Je tiens ma bite à sa base. Je l'agite devant Estelle qui pose ses mains sur mes hanches. Elle se rapproche. Joie.
Je peux sentir le souffle chaud de sa respiration qui s'accélère légèrement. Je lui caresse la tête, les joues et les cheveux.
Clémentine me fait un clin d'œil. Elle glisse une main dans sa culotte. Ce sont les situations qu'elle préfère. Me voir salaud.

Estelle hume longuement l'odeur de ma journée d'homme en poussant des < Mmhhh ! >. Elle prend mon sexe en bouche.
Je la regarde. Ses joues creusées par l'effort. Clémentine se rapproche pour la regarder de tout prêt. Elles sont si belles.
Je sors ma queue de la bouche d'Estelle pour la mettre dans celle de Clémentine. Et il y a des filaments de liquide séminal.
Il en coule sur le menon d'Estelle que ça chatouille et qu'elle récupère avant de sucer son doigt en me fixant vicieusement.
C'est tellement bon d'avoir une complicité à trois. C'est impossible d'en faire une habitude. C'est toujours surprenant. Neuf.

C'est sur ces considérations que nous échangeons tous les trois que sonne le four. Nous cessons. Nous filons à la cuisine.
Nous mangeons de bon appétit tout en bavardant. Nous traînons à table. Les filles évoquent la fellation dont elle raffolent.
Estelle évoque son fantasme. Se faire couvrir du sperme de toute une bande de mecs plus vicelards les uns que les autres.
Nous rions de bon cœur lorsque Clémentine lui fait remarquer qu'elle suce très rarement d'autres mecs que moi. Poilade.
Nous traînons à table. La vaisselle. Nous rangeons la cuisine. Estelle m'entraîne au salon en me tirant par la queue. Joie.

Nous reprenons les choses exactement où nous les avons laissé. Mes lombaires me font un peu souffrir. Je me fais sucer.
Je passe d'une bouche à l'autre. Celle qui ne me suce pas donne ses impressions ou raconte des aventures passées. Joie.
Je caresse leurs têtes, je les tiens à tour de rôle sous le menton, par la nuque. Avec mes couilles qui dégorgent de foutre.
Elles ont toutes les deux le menton maculé de foutre épais, gluant et visqueux. Je récupère de l'index. Elles me le lèchent.
Je pose des questions. Elles adorent me confier les détails les plus vicelards. C'est à la fois émouvant et très excitant. Bon.

Il est 22 h15. J'éloigne la tête à Clémentine pour éjaculer dans la bouche d'Estelle. Elle pousse un râle profond et sonore.
Clémentine se rapproche pour la regarder déglutir avec peine. Estelle savoure avec tant de passion. Et c'est si beau à voir.
Je la force à cesser. Il faut reprendre nos esprits. Clémentine n'a pas cesser de se masturber. L'orgasme guette. Pour le lit.
Nous raccompagnons Estelle à sa voiture dans le froid glacial. Séparation difficile. Nous rentrons. Nous montons très vite.
Au lit, Clémentine insiste pour me sucer. Sa tête posée sur mon ventre. J'éjacule. Elle se masturbe. Deux orgasmes. Dodo.

Bonne soirée à sucer une bonne bite au jus épais, gluant et visqueux à toutes les coquines qui en raffolent…

Julien - (Qui se dit, tout en jutant dans la bouche de Clémentine, que c'est dommage pour toutes celles qui n'aiment pas) -

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