Où sont les nymphomanes ? Est ce un mythe ?

Bonjour,
Mesdames, êtes vous nymphomanes ? Comment cela se concrétise dans vos vies?
Messieurs avez vous connu une nymphomane ?
Racontez vos expériences svp en détails si possible des photos.
Merci

La nymphomanie est avant tout la désignation par des médecins hommes d'une hyper sensibilisation sexuelle et parfois juste d'une simple gourmandise aux plaisirs sensuels...

Je ne pense pas que c'est en interpellant ainsi les femmes que vous parviendrez à les séduire....

Jeanlesagequidonnejustequelquesconseils

Je sais pas où c’est mais voilà un pays qui a l’air très sympa à visiter « La Nymphomanie, un pays qui vous ravit »

#ouijesais,jesors!



Modifié 1 fois. Dernière modification le 30/04/25 13:19 par davidbojh.

Je sais ce qu'est la nymphomanie. Dans ce post, je ne veux pas séduire mais réaliser un sondage ou retour d'expérience

J’en ai connu une …
C’est sympa et marrant au début , mais ça deviens vite insupportable
C’est pas aussi cool qu’on voudrait le croire …

Ca je le sais mais il faut plus de détails. Les hauts les bas , les sautes d'humeur. Les expériences en gros. Un retour d'expérience détaillé, un témoignage...

Ah bah y a pas de bas que des hauts. A peine fini faut recommencer mais ça fonctionne qu avec la personne avec on se sens bien pas avec tout les hommes
Mais le partenaire s épuise vite mdr c est pour ça que l on recrute des renforts

Ma première copine a eu des tendances nymphomane d'après un psychatre qu'elle a consulter a l'époque, je suis restée 2ans avec elle en relation très libertine, mais elle ne pouvais s'empecher de se caresser plusieurs fois par jour, il lui fallait plusieurs rapport par jour, et ses journée de repos était presque entièrement dedié a la baise, au point où ces parent ont cru que mon influence sur elle était néfaste, la fasse consulter un psy et un médecin et lui fasse prendre un traitement pour baisser ses hormones.

J’en connu 2 femmes hypersexuee. Au début c’est tres agréable, puis on s’en lasse tres vite, tres fatiguant. La 2eme, malgré 7 rapports dans la journée elle se godait, et quand je disais stop je suis fatigué, elle partait en crise de nerfs. Avant de me connaître elle pouvait avoir jusqu'à 14 rapports sexuel par jours, bien sûr elle avait plusieurs plans cul pour avoir tous ces rapports. J.avais interdiction de me reposer, il fallait baiser tout le temps et stopper toutes autres activités . Ce n’etait plus du plaisir pour moi. Elle me réveillait plusieurs dois la nuit pour baiser. C’est une maladie comme l’adduction aux drogues ou alcools. On habitait pas ensemble, J’en étais rendu a éviter de se voir. Elle etait même venue sur mon lieu de travail pour baiser. Un jour j’ai dit stop. Bon courage a ceux a qui cela arrive ou qui en reve

J'ai connu une nympho il y a quelques décennies, même constat que la majorité. Pourtant plutôt une grosse libido la c'était devenu infernal, pareil elle me réveillait la nuit pour que je la baise ..je n'en pouvais plus je l'ai largué après une semaine !!

Pour la bonne information de la communauté, ce qui est pathologique c'est de considérer que le rapport sexuel est terminé pour l'ensemble des partenaires dès lors que l'un d'eux a constaté sa propre éjaculation.

@Bouchecousue on dirait, et malheureusement, que c'est une conception en effet fort répandue...

Bonjour Bouche cousue ,

Vous soulevez un point important concernant les représentations souvent biaisées autour de la sexualité. En effet, considérer que le rapport sexuel s'arrête systématiquement après l'éjaculation d'un partenaire (généralement masculin) relève effectivement d'une vision réductrice et problématique, pour plusieurs raisons :

Hétéronormativité : Cette conception ignore la diversité des pratiques et orientations sexuelles.

Centrage sur la performance : Elle réduit la sexualité à un acte mécanique focalisé sur l'orgasme masculin, négligeant l'aspect relationnel et mutuel.

Négation du plaisir féminin : Les statistiques montrent que cette approche unilatérale contribue aux inégalités de plaisir (seulement 20% des femmes atteignent régulièrement l'orgasme lors des rapports hétérosexuels, contre 80% des hommes selon certaines études).

Dysfonction éducative : Cette croyance persiste souvent par manque d'éducation sexuelle complète, qui devrait insister sur la réciprocité, le consentement continu et la pluralité des pratiques.

Modèle coercitif : Elle perpétue inconsciemment des schémas patriarcaux où la sexualité est centrée sur le désir masculin.

Une approche saine impliquerait :

De considérer la sexualité comme un processus mutualisé

D'inclure les plaisirs non-génitaux (câlins, sensualité...)

De reconnaître la multiplicité des orgasmes et rythmes corporels

D'établir une communication ouverte entre partenaires

Cette réflexion rejoint les travaux de sexologues comme Marie Bergström ou Alain Giami, qui soulignent la nécessité de dépasser les scripts sexuels traditionnels pour une sexualité plus égalitaire et épanouissante.

Faut juste aimer comme on se branle.

De l'empathie, quoi. Pas besoin d'un PowerPoint.

Bonsoir Bouchecousue

Votre point sur l’empathie est essentiel, et c’est vrai qu’en théorie, le respect mutuel devrait couler de source.


Mais dans la pratique, les inégalités de plaisir prouvent que beaucoup de gens internalisent des normes sans s’en rendre compte.

Parler de ces biais, c’est justement outiller ceux qui croient ‘aimer comme ils se branlent’… sans réaliser que leur partenaire, lui, se contente de faire semblant. ;)

(Pour le PowerPoint, promis, je vous épargne les diapos – mais un petit GIF éducatif, ça vous tente ?)