Régulièrement, nous passons une petite semaine l'été dans un petit camping de l'Ouest, tranquille et fréquenté par des couples pas franchement jeunes.
Le camping est propice à un jeu permanent et involontaire pour voir et être vus, sans qu'il soit question de libertinage pour autant.
Voilà trois ans, c'était un été de belle chaleur, donc aussi le matin, qui n'est pas forcément le moment idéal pour être peu vêtus. Nous avons une tente pour quatre personnes que nous n'occupons qu'à deux, une chambre pour nous, une pour les affaires et un espace central qui fait office de cuisine-salon, avec un auvent qui s'ouvre à volonté.
Levé tôt comme le reste de l'année, je prépare toujours le petit déjeuner, attendant ou non que ma femme me rejoigne. Dès le premier matin suivant notre arrivée, un voisin à quelques emplacements, levé de bonne heure aussi, m'a gentiment salué en promenant son petit chien.
Plus tard dans la journée, revenus de promenade, il repasse et adresse de nouveau un salut amical. Puis le soir en promenant à nouveau son chien, alors que nous sommes dans "le salon". Bref, il a un peu regardé à l'intérieur. Le lendemain matin, quelques minutes après m'être levé, le voilà qui passe devant notre tente avec son toutou. Je suis en train de préparer le petit déjeuner, l'auvent est grand ouvert, la "porte" de la chambre, qui à une fermeture éclair baille un peu. Le gentil voisin, qui a une soixantaine d'années vient de passer que je jette un regard dans la chambre. On ne voit rien. J'écarte le tissu qui tient lieu de porte. Ma femme dort, sur le coté, tournant le dos. Le drap ne remonte qu'à mi-cuisse, ses fesses nues sont trop belles. J'attache alors la cloison de tissu et laisse passer quelques minutes. Le camping cariste revient, j'ai le Coeur qui bat. Il tourne la tête en arrivant à ma hauteur, je vois qu'il voit! Il lance alors quelques mots relatifs à une belle journée, je sens qu'il hésite, mais il passe son chemin. Rien de plus pour la fin de la journée.
Le lendemain matin, à peine levé, je l'aperçois qui tourne déjà. Je suis persuadé qu'il m'attendait. Donc je n'hésite pas, même si je suis étonné de le faire. Je soulève la cloison, ma femme dort sur le ventre. Je baisse le drap, j'attache la porte. Dans les trente secondes il passe. Je lui fais un signe pour qu'il reste silencieux et lui fait comprendre qu'elle dort. Il me répond d'un sourire complice et continue son tour matinal. Il en revient trois minutes après, le chien a eu à se dépêcher! En repassant devant la tente, c'est moi qui lui parle, très doucement. Il me répond en chuchotant presque, tout en jetant de vrais regards dans la chambre. Je lui redis d'être silencieux, il me répond en faisant "super" avec le pouce levé, en me désignant les fesses de ma femme. On se sourit, on regarde ensemble et il repart.
Le matin suivant, je me sens excité, je sais qu'il sera là. J'ai "préparé" mon épouse, en la faisant se tourner face à l'ouverture. J'ouvre en grand dès le début, je sors, il arrive rapidement, sans son chien! Ok, il vient pour voir! Il arrive, me salue sans parler, regarde directement. Il voit ses seins, son intimité lisse, il fait un oooh silencieux, il profite du spectacle. En chuchotant je lui demande s'il veut voir davantage, il me fait oui. Et là, et c'est la première fois de ma vie que ça m'arrive, je sens l'envie monter. Je me mets nu en rejoignant ma femme, silencieusement. Je l'incite à se tourner, par des petites caresses. Une fois qu'elle est de nouveau sur le ventre, toujours endormie, j'entreprends de lui caresser les jambes, le dos. Puis lui fais de petits bisous, lui lèche les cuisses, la raie des fesses. Elle gémit un peu, je sais qu'elle veut encore dormir. Alors je me mets à genoux contre elle, je bande sans gêne et commence à me masturber. Je regarde le voisin dont les yeux trahissent l'excitation. Il me fait comprendre qu'il faut qu'il parte, je mène au terme mon plaisir solitaire...
