En ce premier vendredi de juin, ensoleillé et chaud, je dois prendre à midi le train intercités qui me conduira du Havre à Paris
Au Havre, je m'installe dans un compartiment où a déjà pris place une élégante femme, la soixantaine environ, vêtue d'une robe d'été rouge, légère et assez courte, déjà plongée dans la lecture d'un roman. Je me place face à elle et ouvre mon journal. Quand le train est en route, je jette plusieurs fois par dessus mon journal des regards discrets vers les fines jambes bronzées de la belle.
A un moment, celle-ci s'aperçoit de mon intérêt pour son physique et me gratifie d'un large sourire. Puis au fur et à mesure du trajet, avec le bercement des rails, ou l'influence de sa lecture, ses cuisses s'ouvrent parfois négligemment un peu plus, la robe remonte un peu, ce qui me permet d'admirer de magnifiques cuisses, et même son intimité, favorisé en cela par l'absence de culotte, il fait si chaud. Je suis tout émoustillé par ce manège, dont je ne sais s'il est réfléchi ou involontaire, et j’échafaude déjà divers scénarios...
Malheureusement en gare de Rouen, deux jeunes couples prennent place dans le compartiment, la belle se tourne vers la vitre et croise les jambes, et ce jusqu'à Paris
Déçu, mais reconnaissant pour le spectacle offert, j'aide la femme à descendre sa valise tout en frôlant sa robe et sa chute de reins. Elle me remercie chaleureusement et me gratifie d'un sourire engageant . Descendu sur le quai je la suis avec intérêt mais arrivé dans la salle des pas perdus, je vois qu'un homme l'attend, elle se jette à son coup et l'embrasse amoureusement. Nul doute que lors du voyage elle était déjà toute émoustillée à l'idée de retrouver son homme. J'étais frustré de cette fin, mais heureux d'avoir pu passer un bon moment, le voyage ne m'a pas paru trop long
Si cette femme lit ces lignes, qu'elle n'hésite pas à me laisser un commentaire !
