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30 ans plus tard

Envoyé par Ludwig 
Re: 30 ans plus tard
Wednesday 21 October 2020 12:56

selum
Homme, 52 ans, France, Bourgogne-Franche-Comté
quel chanceux tu me fais rever tu devrais nous mettre quelle photos pour nous la montrer ...........gros bisous a vous 2
Re: 30 ans plus tard
Wednesday 21 October 2020 15:43

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Ah bon ? En quel honneur ? J'ai reçu beaucoup de témoignages de lecteurs qui, apparemment, n'avaient pas besoin de photos pour faire travailler leur imagination... Il y aurait des libertins moins imaginatifs que d'autres ?
Re: 30 ans plus tard
Wednesday 21 October 2020 16:13

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Un tiroir plein de gadgets, trois godes dont un de grosse taille, des pinces, des plugs, des cockrings, des masques, un oeuf vibrant télécommandé et un pot de gel lubrifiant anal dans lequel on plonge réguliérement. Elle aime la sodomie, tendre ou plus virile. Au début c'était de temps en temps, c'est devenu très régulier. C'est elle qui demande, elle mène parfois les opérations mais préfère se soumettre et s'offrir. Il y a quelques jours elle m'a proposé de m'occuper en même temps de sa chatte avec un gode. Elle a adoré. Sa grande spécialité c'est de me masturber lentement, elle me décalotte complètement puis pendant que d'une main elle me maintient décalotté, l'autre va et vient lentement sur ma tige enduite d'huile lubrifiante. C'est extrêmement jouissif et sa bouche se positionne au moment voulu pour récolter mon jus expulsé par saccades. L'autre jour, par une après-midi froide et pluvieuse, nous nous sommes fait un ciné... On avait choisi le film pour être certains d'avoir peu de public. On étions dans le fond à gauche. Pas non plus les places idéales... Sous son manteau, bas bleus, mini en cuir et un pull fin très décolleté. En elle, l'oeuf vibrant. Dans ma poche, la télécommande. J'ai déclenché une première fois quand elle passait le contrôle de sécurité du vigil. Elle s'est légèrement tortillée et m'a lancé un regard qui disait tout son trouble.
Re: 30 ans plus tard
Wednesday 21 October 2020 17:49

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Grosse coquille... On étions, non. Nous étions.
La première chose qu'elle a fait en s'installant a été de me faire constater à quel point le bref fonctionnement de l'oeuf vibrant lui avait fait de l'effet. Je caressais sa vulve et force était de constater qu'elle était très excitée. Elle a retiré son manteau, ses bas bleus attirérent les regards et plus particulièrement celui de l'homme qui venait de rentrer. Il devait être un peu plus âgé que nous, une bonne tête d'universitaire. Il s'est assis dans la même rangée que nous, laissant quelques siéges entre Sabine et lui. Elle l'avait sur sa droite. Elle était assise, la position avait déjà fait remonter sa jupe, dévoilant ses jolies jambes. L'homme regardait discrétement.
- Notre voisin semble très inspiré par tes jambes...
- Tu crois qu'il s'est aperçu que je porte des bas ?
- Je ne pense pas.
- Tu veux que je lui fasse voir ?
Je n'ai pas eu le temps de répondre qu'elle croisait les jambes, ce qui fit remonter la jupe sur ces cuisses d'une dizaine de centimètres et dévoila la bande de dentelle. Je vis notre voisin écarquiller les yeux. Elle se pencha vers moi :
- Il regarde ?
- Oui et ça lui plaît beaucoup !
- Je peux avoir ma récompense ?
J'activais de nouveau le vibreur. Elle se trémoussa sur son fauteuil, faisant remonter encore plus la jupe. Le film n'avait pas encore commencé, la salle était plongée dans ce clair-obscur qui caractérise la salle d'un cinéma avant le début de la projection. Sa jupe remontait bien au dessus la lisière des bas, suffisamment pour ne laisser à un oeil averti aucun doute sur le fait qu'elle portait des bas et tout aussi suffisamment pour que je puisse entrevoir sa toison brune.
L'obscurité s'est faite, quelques bandes annonces puis le générique. C'est au milieu qu'elle s'est agrippée à mon cou, sa bouche cherchant la mienne. Son bassin s'est levé, basculant vers l'avant ce qui releva encore plus sa jupe. Il faisait sombre mais je suis certain que notre voisin avait pu distinguer la même chose que moi. Elle avait joui.
- Je vais mouiller le siège...
- Si seulement je pouvais glisser ma langue entre tes cuisses !
Elle caressa discrétement sa vulve puis ses doigts se posérent sur mes lèvres. Son suc était doux, parfumé. Je léchais ses doigts, me délectant de son miel. Un rapide coup d'œil à droite me confirma que pour notre voisin, le film comptait aussi peu que pour nous... Sabine avait posé sa main gauche sur la bosse qu'elle avait fait naitre au niveau de mon entrejambe. Ses ongles crissaient sur mon jean, parcourant le relief de ma queue tendue.
Re: 30 ans plus tard
Wednesday 21 October 2020 19:10

venomnord
Homme, 51 ans, France, Hauts-de-France
Un seul mot...Jouissif !
Un second...Merci !
Re: 30 ans plus tard
Thursday 22 October 2020 17:37

Cordouan
Couple, 50 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
C'est un réel plaisir de vous lire ! Amoureux
Belle histoire à suivre.
Re: 30 ans plus tard
Thursday 22 October 2020 22:32

sokin44
Couple, 33 ans, France, Occitanie
Super récit et très belle plume
Re: 30 ans plus tard
Friday 23 October 2020 02:38

xaltxfr
Homme, 63 ans, France, Hauts-de-France
Superbe récit et une très belle écriture...
Quelle belle histoire !
Merci
Re: 30 ans plus tard
Friday 23 October 2020 16:07

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Elle ôta discrétement l'oeuf vibrant et le glissa dans son sac puis vint s'appuyer contre moi. Assise de la sorte, sa main droite reprit sa caresse. La mienne s'enroula autour de sa nuque et plongea dans son décolleté. J'attrapais son téton dur et le pinça entre mes doigts. Sa caresse s'accentua, se faisant plus précise, elle dégrafa un bouton et introduisit deux doigts qui se posant sur mon gland, entamérent un massage délicieux.
Re: 30 ans plus tard
Friday 23 October 2020 16:23

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Une envie terrible montait en moi, celle de libérer mon sexe dur et de la voir l'avaler lentement. Nous étions pire que des gosses, jamais nous n'avions osé aller aussi loin par le passé. Elle me murmura :
- J'ai envie de te suçer
- Tu as envie comment ?
- Beaucoup.
- Tant que ça ?
- Ma chatte est trempée, et ça m'excite de sentir que tu mouilles aussi.
J'ai pincé son téton un peu plus fort tout en le tirant sans ménagement.
- Tu vas me faire jouir
- Tu es sûre ?
- Je sens que ça monte
- Je m'arrête ?
- Non
- Tu es une sacrée coquine
Elle m'a regardé puis avec un sourire à retiré ma main de son sein. Avant de la diriger vers son entrecuisse. Elle a couvert le tout avec son manteau. J'ai plongé dans son sexe brûlant et ruisselant...
- Je ne suis pas une coquine, je suis ta petite salope, ta chienne personnelle, ta putain privée
Re: 30 ans plus tard
Friday 23 October 2020 18:53

Coolitude56
Homme, 57 ans, France, Bretagne
Magnifiques tendresse et sensualité.......deux collégiens...amoureux (et avertis) ! lol Danser Musique
Superbement écrit Fort



Modifié 1 fois. Dernière modification le 23/10/20 18:54 par Coolitude56.
Re: 30 ans plus tard
Thursday 5 November 2020 00:10

Lioni
Homme, 28 ans, France, Hauts-de-France
Plus rien cher ami ?
Re: 30 ans plus tard
Thursday 5 November 2020 11:08

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Bonjour, effectivement on ne peut pas dire qu'il ne se passe rien. Nouveau confinement mais on continue à bosser. Bon moi je suis en permanence en télétravail mais pour Sabine, c'est un peu inhabituel. Je lui ai fait une place dans mon bureau et du coup on travaille et on vit H24 à deux... C'est super chaud. Les pauses coquines sont légion et hier, il s'en est fallu de peu pour qu'un de mes gars nous surprenne. Madame à de gros fantasmes et ne se gêne pas pour les assouvir. Je poste la suite de notre aventure au ciné. Pour le reste soyez patients, j'ai une anecdote très croustillante !
Re: 30 ans plus tard
Thursday 5 November 2020 11:17

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Un mot de mon texte a été censuré… C’était chaud asse…
Revenons à nos moutons.
Elle a jouit en une quinzaine de secondes. Discrètement mais pas assez pour que le voisin ne s’aperçoive de rien. Elle s’est contractée toute entière pour ne pas crier et ça s’est terminé par un tout petit gémissement. Moi j’étais sur le point d’exploser mes boutons de braguette, je n’en pouvais plus. Elle s’est penchée à mon oreille :
- Je veux ta bite
C’était sans ambigüité.
Nous sommes sortis en plein milieu de la séance, je pense qu’en nous voyant, les quelques spectateurs qui étaient présents ont compris que nous avions une énorme envie de forniquer, de nous vautrer dans la luxure, de copuler ; le voisin avait l’air déçu de nous voir sortir mais il eut l’occasion de bien reluquer les jambes de Sabine lorsqu’elle passa devant lui, sa jupe ayant remonté (à moins qu’elle ne l’ait pas descendue assez) sur ses cuisses.
Le parking était trop fréquenté pour envisager quoi que ce soit. Alors nous avons roulé jusqu’à la maison. Elle avait croisé ses jambes et la jupe ne cachait plus grand-chose. Elle a allumé tous les mâles d’un bus de transport en commun et un routier arrêté à nos côtés le temps d’un feu rouge.
J’ai cru que le portail automatique n’allait pas s’ouvrir assez vite et on a terminé par un freinage assez appuyé dans la cour… Ensuite, que du classique, la clé dans la serrure, la course jusqu’au lit en balançant son manteau et son sac dans le couloir pour finir les cuisses ouvertes, allongée sur le lit. J’ai plongé ma langue dans sa chatte, elle était délicieuse. J’ai léché, sucé et plus j’y allais, plus elle coulait. Sans trop savoir comment, on s’est retrouvés nus. Elle m’a fait m’asseoir sur le bord du lit, puis, s’agenouillant devant moi, s’est mise à sucer ma verge. J’étais dur depuis un bon moment et je craignais que la situation échappe à mon contrôle mais elle avait beau se déchainer et s’acharner, je tenais bon.
J’étais troublé par sa gourmandise, elle prenait indéniablement du plaisir à m’en donner. Finalement, elle se leva pour aller chercher dans le tiroir du chevet son petit pot de gel... Elle m’ordonna de m’allonger et me tartina le sexe de cette substance gluante… J’imaginais alors qu’elle allait me masturber selon sa méthode préférée mais elle vint se placer de dos, au-dessus de moi ; j’ai compris à cet instant qu’elle n’allait pas me masturber… Elle a écarté ses globes fessiers tout en descendant lentement. J’ai positionné mon gland sur son anus et il a disparu rapidement, suivi par le reste de ma queue, happée par ses reins… Elle ne s’arrêta que lorsqu’il lui fut impossible de descendre plus.
Nous sommes restés ainsi un bon moment, nous étions bien, tout simplement bien. Elle s’était empalée sur moi, j’avais les mains sur ses hanches, prêt à l’accompagner dès lors qu’elle aurait décidé de se mettre en mouvement. Elle commença par onduler du bassin sur moi. Je sentais son sphincter se détendre autour de la base de mon sexe. Puis elle enchaina avec les premiers mouvements verticaux et en quelques instants, elle se mit à coulisser le long de ma queue. J’étais complètement raide et elle était complètement détendue, si ouverte que mon pouce se fraya un passage et qu’il accompagna mon sexe en elle… Les premiers râles laissèrent la place à des gémissements, qui eux même furent effacés par des cris. Je priais pour que nous soyons seuls. Mes mains étaient toujours crochetées dans ses hanches, elle se levait, je l’attirais de nouveau pour me planter en elle, au plus profond. Le reflet du miroir me renvoya son image, les mains sur ses seins, se torturant les tétons, les yeux fermés. J’avais envie de la retourner, de la saillir dans une levrette frénétique, elle ne m’en laissa pas le temps ; il y eu les spasmes, puis un long gémissement rauque qui déclencha mon propre orgasme ; je me déversais en elle et chaque jet brûlant sur ses muqueuses déclenchait un spasme dans son bas ventre.
Nous restâmes ainsi un long moment, silencieux, je bandais toujours, même si ce n’était plus aussi raide et visiblement, elle avait envie de me garder en elle ; puis au bout d’un moment, elle se leva, s’allongea à mes côtés ; corps contre corps, son dos contre mon torse. Je la caressais, on s’embrassait.
- Salaud, tu m’as explosé le cul !
- Tu as eu mal ?
- J’avais l’air d’avoir mal ?
Par acquis de conscience, j’explorais alors son entrecuisse. Sa vulve rouge et dilatée ressemblait à un fruit mûr, trempé du jus qui s’écoulait de son vagin. Son anus était ravagé, boursouflé.
- C’est comment ?
- Magnifique !
- Tu as encore envie ?
Pour toute réponse, ma langue caressa délicatement son œillet. Elle se cambra…
Re: 30 ans plus tard
Thursday 5 November 2020 12:01

ppopolyrigol
Homme, 49 ans, France, Occitanie
magnifique j'ai tout lu d'un trait , superbe merci de nous partager tout cela, continuez;)
Re: 30 ans plus tard
Friday 6 November 2020 11:28

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Me voici de retour. Nous sommes confinés comme une immense majorité de français. Pour moi ça ne change pas grand-chose, je bosse chez moi depuis des années et là, j'ai juste une cour à traverser, autant dire que je suis à la maison. Elle s'est mise en télétravail et passe de temps en temps au bureau pour récupérer des dossiers, le reste du temps, elle s'est aménagée une place dans mon bureau. Donc on papouille à fond, d'autant qu'il était hors de question pour elle de télétravailler en jogging, elle s'habille comme pour sortir et c'est super agréable. Mes gars adorent et quand ils passent au bureau, je sens que ça les chauffe énormément... La nouvelle 'patronne' semble plus à leur goût que l'ancienne... Pareil pour moi.

Depuis toujours, j'ai été passionné par les voitures françaises des années 90 avec une grosse préférence pour les Alpines. A l'époque, elle partageait mes goûts pour la marque et dans nos rêves d'adolescents, on se voyait un jour avec une A310 ou une GTA. De mon côté, je continuais à rêver. J'ignorais qu'elle n'avait rien oublié. Alors il y a une quinzaine de jours, quand un ami de longue date m'a appelé pour me dire qu'il envisageait de mettre en vente son A610, nous avons sauté sur l'occasion... Une belle de 1994, bleue Alpine, à peine 65000 km au compteur... On s'est glissés sur le cuir comme des gosses qui rentreraient dans une confiserie, ma belle dans une belle... Nous sommes rentrés fiers comme des paons. Bien entendu, il n'était pas question de ne pas s'offrir une belle ballade, après tout, ce n'est pas tous les jours qu'on réalise un rêve... Elle m'a annoncé qu'elle allait se préparer, je m'attendais au grand jeu mais pas à ce point : petite jupe moulante, collant résille (la jupe étant trop courte pour des bas) ouvert, petit chemisier bleu (presque assorti à la voiture) qui sans dévoiler sa poitrine, ne la dissimulait pas vraiment non plus, on distinguait la courbe de ses seins, ses aréoles... Heureusement, un perfecto en cuir dissimulait tout ça... Je ne suis pas de nature jalouse, j'aime la montrer, j'aime le regard des hommes sur elle, surtout quand je suis à ses côtés. C'est une belle femme et elle sait se mettre en valeur...
Je lui ai offert de prendre le volant mais elle m'a dit qu'elle préférait que je conduise. Je lui ai ouvert la portière et j'ai eu droit à une cascade d'émotions visuelles, ses jambes gainées du cuir des cuissardes et de résille, son entrejambe offert, la courbe d'un sein, un téton qui pointe contre la tissu vaporeux du chemisier... Je me suis calé dans le siège, contact... Sa jupe remontait haut sur ses cuisses, elle était belle et je la trouvais parfaitement à sa place dans cet environnement feutré... Nous avons roulé jusqu'à l'autoroute, je connaissais un petit restaurant sympa à une centaine de kilomètres, j'espérais juste qu'il soit ouvert... Une main sur le volant, l'autre sur sa cuisse... Je roulais tranquillement , profitant de chaque instant. Le soleil brillait, tout allait bien... Au bout d'une soixantaine de kilomètres, j'ai vu un panneau annonçant une aire, il était temps de lui passer le volant. J'ai pris la sortie et je lui ai demandé de se préparer à conduire... Je me suis arrêté.
Re: 30 ans plus tard
Friday 6 November 2020 13:29

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Nous sommes descendus de la voiture pour inverser les rôles, à ce moment là, deux motards de la gendarmerie sont arrivés et se sont arrêtés à quelques mètres, ils sont descendus et sont venus vers la voiture. Je m'attendais à un contrôle mais non, ils se sont juste rapprochés de la voiture. Sabine n'était pas encore montée, elle se tenait debout, prête à s'installer au volant.

- Bonjour ! Sacrée voiture !

C'était le plus gradé qui avait parlé. Son collègue était à ses côtés.

- Bonjour. Oui, et bien française !

Ils ont retiré leurs lunettes de soleil, du coup, je me suis rendu compte que côté carrosserie, celle de Sabine ne les laissait pas non plus de marbre.
Les deux paires d'yeux allaient et venaient entre l'Alpine et Sabine, une jambe dans la voiture, l'autre au sol, le coude appuyé sur le pavillon. Les rayons du soleil transperçaient la fine étoffe et créaient des jeux d'ombre et de lumière. Elle était seins nus sous son chemisier, c'était évident pour eux et ils ne se privaient pas.

- Sacré chassis, une vraie petite bombe non ?

J'acquiestais sans savoir s'il parlait de la voiture ou de la femme qui s'apprêtait à la conduire.

- Bon, on va vous laisser patrouiller, nous avons un petit restaurant à visiter !

A peine avais-je terminé ma phrase que Sabine s'est installée au volant. J'ai vu les yeux des hommes en bleu suivre son mouvement et en une fraction de seconde, j'ai compris qu'ils n'avaient pas perdu une miette du spectacle offert par ma belle, jupe très courte, culotte absente, mouvement descendant et pivotant... Ils avaient un sacré souvenir à raconter à leur retour à la brigade.

- En tout cas, soyez prudents, un accident est vite arrivé, ce serait dommage de gâcher tout ça... Au revoir et bonne route !

On les a salué et Sabine a enclenché la première, elle a démarré doucement puis a poussé un peu sur la voie d'accélération. Une fois sur l'autoroute, elle m'a dit :

- Tu as aimé ?
- Aimé quoi ?
- Que je leur montre ma culotte !

Elle m'a regardé en souriant. J'ai commencé à bander...

- Si tu commences comme ça tu vas finir nue dans la voiture.
- Chiche...

Nous nous en sommes souvenus le soir, ça lui a fait de l'effet que je lui rappelle qu'elle avait montré sa chatte à deux gendarmes, que je lui dise que ça les avait excité et qu'ils penseraient certainement à elle.

Quand elle m'a demandé s'ils se branleraient en repensant à elle, ça m'a tellement excité que j'ai déchargé au plus profond d'elle et elle m'a suivi en gémissant.
Re: 30 ans plus tard
Friday 6 November 2020 15:12

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Donc nous confinons... Nous sommes souvent seuls, nos mômes sont au lycée, mes gars sur les chantiers. J'ai embauché une assistante, elle a son bureau dans une autre pièce et par chance, on l'entend arriver car sinon, elle nous aurait souvent surpris. Elle doit quand même se douter qu'il se passe parfois des choses entre Sabine et moi. Elle est venue m'apporter les attestations dérogatoires à signer l'autre jour et Sabine était sur mes genoux. J'ai senti qu'elle était un peu gênée mais bon, on ne va pas se priver pour elle. Sabine bosse sérieusement mais ne résiste pas à l'idée de réaliser certains fantasmes. Avant hier, elle avait une visio avec quelques collègues et m'a demandé de la lécher sous le bureau. Elle a su rester stoïque et ne rien laisser paraître si ce n'est un spasme énorme au moment de l'orgasme mais personne ne s'est aperçu de rien. Moi oui, j'ai su qu'elle jouissait.
On passe énormément de temps à l'horizontale, profitant de nos corps sans limite, sans barrière. C'est très différent de ce que nous avons vécu plus jeunes, la performance quantitative n'est plus la priorité, on privilégie la qualité. Sabine aime jouir, en ce moment on fait l'amour matin, midi et soir et bien souvent on rajoute un ou deux orgasmes rapides en bonus... Je prends son clitoris entre mes deux doigts et je le pince légèrement tout en le masturbant, comme si c'était une verge miniature, elle tient 5 minutes puis se contracte contre moi, m'entourant de ses bras. Nous jouons aussi avec l'oeuf vibrant et sa commande à distance, je l'active généralement quand mon assistante ou un de mes gars rentre dans le bureau. Elle se tortille tout en essayant de résister aux sensations.
De mon côté, je ne suis pas en reste, elle est généreuse et se sert délicieusement de sa langue et de sa bouche. Côté visio, je n'ai pas eu droit à la fellation sous le bureau mais c'était bien plus hard puisqu'elle se godait devant moi. J'avoue avoir eu beaucoup de mal à me concentrer. Heureusement, je n'étais pas avec un client mais avec un fournisseur, le rapport de force étant en ma faveur, je pouvais me permettre une baisse d'attention ! En fait la vie est simple avec Sabine, on fonctionne de la même façon, nous avons pas mal de goûts en commun, le même rythme, les mêmes envies, les mêmes tabous. Nos id aées se rejoignent souvent, c'est une alchimie totale, parfois déconcertante car elle donne l'impression de vivre avec un autre soi mais tellement rassurante quand il s'agît de décider pour l'autre. Au moment où de nombreux couples choisissent de poursuivre sur des chemins parallèles mais différents, nous sommes sur une seule et même voie, dans la même direction, vers le même objectif. Il nous arrive parfois de croiser celui qui reste son mari, le divorce n'ayant pas été prononcé. C'est cordial mais glacé. Lui est ébahi, il ne la reconnaît pas. Il a connu Sabine en gentille maman, jean et chaussures plates. Il la retrouve en jupe courte, les cuisses offertes aux regards, perchée sur des talons. L'autre jour, on l'a croisé, elle était en cuissardes, de belles cuissardes dont le cuir moulait ses cuisses et s'arrêtaient à quelques centimètres d'une jupe coupée dans la même matière, il a frôlé la crise d'apoplexie, il lui a dit :
- Je ne te reconnais plus
Elle a répliqué :
- Tu ne m'as jamais connue
Cinglant, ça a sonné comme une gifle, ça lui a fait le même effet. Au début, je dois avouer qu'il me faisait un peu de peine le Jean-Pierre... Puis j'ai su comment il avait petit à petit laissé sa femme au placard, essayant de la modeler à l'image de sa mère. Même leur fille se rendait compte que sa mère avait retrouvé l'envie de croquer la vie à pleines dents. Nous avions parlé de refaire un bébé, rien ne s'y opposait, mais nous avions l'un et l'autre nos @#$%& et l'envie irrésistible de profiter des années qu'il nous restait. Et puis sa fille était devenue très complice avec moi, tout comme mon fils avec elle.
Et puis il y avait aussi ces longues nuits à essayer d'imaginer que qu'aurait été notre vie si nous avions continué sur le même chemin. Elle se reprochait une rupture qui n'avait été qu'un caprice, je me reprochais un entêtement à disparaître de sa vie, à ne lui laisser aucune chance de revenir. Sur ce coup là, personne n'avait gagné. Au début, je m'étais dit que j'avais vaincu. Je me rendais compte maintenant combien certaines victoires deviennent amères. Nous finissions par nous rassurer sur le fait que sans cette séparation, sans cette parenthèse de 30 ans, ce que nous vivons désormais n'aurait peut-être pas existé, ou peut-être pas de façon si intense.
Re: 30 ans plus tard
Friday 6 November 2020 18:04

brunoroger
Homme, 70 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Quel plaisir de vous lire ! C'est tellement bien écrit, comme j'aimerais rajeunir de plus de 20 ans comme vous !
Re: 30 ans plus tard
Saturday 7 November 2020 10:12

Lioni
Homme, 28 ans, France, Hauts-de-France
Super !
Re: 30 ans plus tard
Monday 9 November 2020 10:11

Coolitude56
Homme, 57 ans, France, Bretagne
Excellent,Ludwig !
ça nous change un peu de niveau,là.....
Et ça fait du bien,vraiment Heureux
Merci à toi (et elle..) Fort
Re: 30 ans plus tard
Monday 9 November 2020 12:45

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Bonjour à tous et merci de vos commentaires.
Snake : oui c'est la première qui a vraiment compté... 5 ans, ça compte et en plus sur la période transitoire entre ado et adulte. On a pas mal découvert à deux, depuis les premiers émois dans des parcs, des halls d'immeuble en hiver jusqu'à la sexualité d'adulte... Entre les deux, des moments d'une intensité rare. Je pense à une nuit magnifique où on s'est chauffés et où nous avons joui à plusieurs reprises sans pénétration. Elle était encore mineure et ne se sentait pas prête. On encadrait des jeunes pour un séjour à la campagne le temps d'un week-end. Elle avait une chambre dans le dortoir, une entrée par le couloir, une autre par le dortoir. En fait de chambre, c'était plutôt un box, les parois montaient à 2,50m pour séparer cet espace du dortoir. Une nuit nus l'un contre l'autre, je me frottais sur sa vulve trempée, je la léchais, je la caressais. De son côté elle jouait avec ma queue, me suçait, frottait son clitoris. Je crois que j'ai bandé toute la nuit. Elle mordait l'oreiller pour jouir en silence. Je me souviens qu'en allant et venant contre sa vulve, j'avais glissé en elle. Elle avait eu un orgasme rien qu'avec cette pénétration superficielle et bréve... Cette nuit là on s'en souvient encore. Nous n'avons plus eu trop d'occasions. Ses parents étaient très à cheval sur quelques principes. Ils m'appréciaient beaucoup mais pour eux, il était exclu de lui laisser toute liberté tant qu'elle vivait sous leur toit. Bien entendu, on sortait, y compris le soir mais pas question qu'elle découche. Ça n'empêchait rien mais ça gâchait quand même pas mal de moments.
Re: 30 ans plus tard
Monday 9 November 2020 13:03

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Weekend confinés. On aime ça. Nous sommes allés faire des courses le vendredi en début de soirée. J'ai halluciné quand elle est sortie du dressing, uniquement "vêtue" de bas et d'un porte jarretelles. J'ai cru exploser quand elle a juste enfilé un trench au dessus et qu'elle m'annoncé qu'elle était prête. Difficile de faire les courses à ses côtés en sachant qu'elle était nue sous son manteau. Pas même un pull pour faire illusion. Elle avait un foulard autour du cou sur le parking mais l'avais retiré dans le centte commercial.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/11/20 13:05 par Ludwig.
Re: 30 ans plus tard
Monday 9 November 2020 13:10

Coolitude56
Homme, 57 ans, France, Bretagne
Elle explose,elle s'éclate,"la p'tite dame" !!!
"Queue" du bohneur......pour vous,et aussi nous,lol Musique Danser
Re: 30 ans plus tard
Monday 9 November 2020 13:46

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Et puis les bas, portés avec un porte-jarretelles, ont un 'tendu' différent sur la jambe par rapport à des collants. Je crois que certains amateurs avertis ont fait ce constat car j'ai surpris de nombreux regards appuyés et plutôt heureux. Difficile de voir les réactions avec ces masques... Il y avait beaucoup d'hommes contrairement à d'autres soirs et nous sommes persuadés qu'ils ont été quelques uns à comprendre que son manteau dissimulait un secret. Combien ont deviné qu'elle était nue ? Assez peu certainement. Beaucoup ont certainement imaginé de la lingerie sexy, au mieux une petite culotte. Moi je ne pouvais m'empêcher de penser à sa vulve lisse, à ses tétons durs, à son joli cul se dandinant au rythme de ses pas et à ses seins bougeant sans entrave. Elle m'a demandé :
- Tu penses que certains ont deviné ?
- Je t'assure que ce soir, ils seront nombreux à se souvenir de toi en se caressant.

Elle n'a pas répondu mais l'éclat de son regard m'a fait comprendre que cette perspective n'était pas pour lui déplaire.
Elle s'est collée contre moi et m'a demandé :
- Et en langage cru ça donne quoi ?
Je me suis rapproché de son oreille.
- Des bites dressées pour toi !
Impossible de s'embrasser avec les masques mais à la façon dont elle s'est lovée contre moi, j'ai su que j'avais visé juste. J'ai continué :
- Et ils se branlent en pensant à toi... Ils savent que tu te promènes nue sous ton manteau... Tu déboutonnes lentement... Ils t'éclaboussent de sperme...
Plus je parlais et plus son corps s'emboitait dans le mien. J'ai glissé deux doigts entre les boutons, elle a regardé autour de nous, l'air de rien et là contre les congélateurs, je suis allé caressé sa fente. Dire qu'elle était trempée était un euphémisme. Nous avons stoppé car la bascule, le point de non retour était proche... Nous avons terminé nos emplettes. Elle était troublée. J'étais en rut. Derrière la caisse, un vigile était posté. J'ai imaginé une fouille et vu son expression quand elle s'est tournée vers moi, elle y pensait aussi, à moins que ses fantasmes à elle ne se limitent pas à une simple inspection ? L'espace d'un instant je l'ai imaginée dans le local glauque et sombre d'un PC sécurité, en porte-jarretelles et talons, fouillée, palpée, tripotée.
Re: 30 ans plus tard
Monday 9 November 2020 15:00

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Nous avons finalement passé la caisse sans l'intervention de l'agent de sécurité. J'ai par contre vu son regard sur elle, celui du professionnel qui savait. J'ai soudain pensé aux caméras de surveillance... Il parait qu'elles sont d'une précision redoutable ; assez pour distinguer mes doigts s'insinuant entre les pans de son trench ? J'ai senti qu'il savait. Il n'avait pas vu mais il savait car l'information avait été transmise. Qu'est ce qui avait été dit ? Qu'une brune en trench beige se faisait tripoter au rayon surgelés ? Qu'un couple semblait un peu trop fusionnel face aux petits pois congelés ? Nous avons traversé la galerie commerciale pour rejoindre le parking. Une fois à la voiture, je lui ai dit que j'allais charger ça seul. J'ai donc chargé, rangé le chariot puis je suis allé la rejoindre. On a viré les masques pour s'embrasser. Pas le petit baiser du bout des lèvres, plutôt celui qu'on se donne avant de faire l'amour, pendant et après. Entre deux baisers, elle m'a fait remarqué qu'il y avait un mec seul dans une voiture, à sa droite, 4 ou 5 emplacements plus loin. J'ai vérifié. La quarantaine, je pense qu'il attendait pendant que madame faisait le plein de courses.
- Tu as raison il regarde dans notre direction en plus.
- Tu crois que lui aussi va bander ce soir en pensant à moi ?
- Il fait sombre, je pense qu'il n'a rien vu...
- Et si je lui en montre plus ?
Je rêvais... Elle était en train de me dire qu'elle n'excluait pas de s'exhiber sur un parking, un soir d'automne, devant un inconnu. J'avais remarqué qu'elle se désinhibait, j'ignorais que c'était à ce point. Je n'ai pas su quoi répondre.
- Alors ? Je montre ou pas ?
- Ça t'exciterais ?
- Je suis déjà excitée. Je voudrais que tu me dises oui ou non... Je veux être ta petite salope.

J'ai dit oui.
- Oui pour quoi ?
- Montre toi.
- Je montre quoi ?
- Tout. Tu sors de la voiture, tu retires ton manteau et tu ne caches rien.

Elle a ouvert la portiére. Le plafonnier s'est allumé. Elle a dénoué sa ceinture, degraffé les boutons. L'homme dans la voiture regardait. A la fois surpris et curieux. Elle est descendue du Range. Descendre d'un Range est toujours un exercice périlleux pour une femme en jupe si elle est pudique. Sabine n' avait ni jupe ni pudeur. Une fois sortie, elle a fait glisser son trench, l'a récupéré d'une main avant de le poser sur son siège. Elle était nue. Elle s'est avancée jusqu'au capot, s'y est accoudée, le bassin en avant, puis s'est retournée lentement, les jambes écartées, cambrée avant de revenir vers la voiture et d'y remonter en prenant le temps de basculer lentement le bassin. La portière s'est refermée. J'ai vu l'expression incrédule du voyeur occasionnel. Elle m' a demandé de démarrer. Nous avons roulé quelques minutes, silencieux. Elle avait remis son trench. Je ne savais pas comment briser ce silence. Elle m'a demandé de m'arrêter sur un petit parking. Elle m'a sauté au cou, on s'est embrassé longuement.
Puis elle m'a regardé :
- Merci.
- Merci pour quoi ? C'est à moi de te dire merci.
- Non, c'est moi. Je ne pensais pas pouvoir faire ça. Tu me fais sentir femme et tu me fais revivre.
Je n'ai pas pu répondre. Seulement lui dire que je l'aime. En rentrant, je n'ai eu qu'une envie, celle de plonger en elle. J'ai longuement bu son miel, elle était généreuse et délicieuse. Tard dans la nuit, nous avons discuté de sa prestation... Bien décidés à recommencer... Sa seule condition :
- La prochaine fois je veux voir s'il bande !
Re: 30 ans plus tard
Monday 9 November 2020 15:42

Coolitude56
Homme, 57 ans, France, Bretagne
C'est bien ce que je disais mais comme cela,crescendo,c'est super érotique donc hyper excitant ! Fête Rougir
Re: 30 ans plus tard
Monday 9 November 2020 15:50

Pepito1970
Homme, 49 ans, France, Île-de-France
Ça se dévergonde ! Chaud bouillant !
Re: 30 ans plus tard
Monday 9 November 2020 17:46

polo93
Homme, 55 ans, Nioué
Ludwig, on suit vos récits les uns après les autres. Mais finalement ces instants se vivent en continuité, dans un enchaînement progressif dans lequel madame prend plaisir à se découvrir toujours un peu plus. Je pense que ses limites sont infinies mais elle veut que vous la guidiez dans sa progression, que vous l'épaulier. Vous êtes son pigmalion, son mentor. Elle se projette toutous plus loin, progressivement dans une quête que vous seul dirigerez. En tout cas un vrai plaisir à vous lire. Merci de nous faire partager votre univers.
Re: 30 ans plus tard
Tuesday 10 November 2020 11:03

Lanco
Couple, 55 ans, France, Île-de-France
Je m'associe aux autres bobeuses et bobeurs pour vous remercier Ludwig de ces récits pleins de sensualité, très bien écrits et qui ne laissent pas insensibles...
Vivement la suite qui nous permet de partager votre quotidien en quelque sorte !
Bien à vous
Re: 30 ans plus tard
Tuesday 10 November 2020 11:10

Lanco
Couple, 55 ans, France, Île-de-France
Je rajouterais qu'évidemment des images de Madame Ludwig serait accueilli (par touTEs) avec beaucoup de bonheur AngeAmoureux
Re: 30 ans plus tard
Tuesday 10 November 2020 13:55

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Ah bah voilà, vous m'avez énervé...

On se fout complétement d'une quelconque progression, nous sommes là pour profiter des instants présents. Arrivés à la cinquantaine, non pas qu'on se sente vieux mais la notion de 'vie devant soi' est toutefois quelque peu erronée. Elle a ses limites, le but n'est pas de les franchir, ni même de les atteindre. Je ne la guide pas, je ne suis ni son gourou ni son Führer, je pense qu'elle est assez grande pour savoir ce qu'elle veut et l'assumer. Il me suffit juste de penser à la vie qu'elle a eu durant quelques années aux côtés d'un plouc pour me passer de psychologie. A fortiori lorsqu'elle est de comptoir.
Sur la question des photos, je pensais avoir été clair mais je vais me fendre d'un petit rappel. L'homme (en tant qu'espèce) a évolué dés lors qu'il a utilisé son imagination. Je vous invite donc à suivre cet exemple. Il n'y aura pas de photos, je ne posterai rien dans son dos. On appelle ça le respect. Je pense par ailleurs qu'il y a assez de dames disposées à tout balancer à la moindre sollicitation... Et parfois sans.
Re: 30 ans plus tard
Tuesday 10 November 2020 16:03

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
C’est un long week-end qui s’annonce, elle a posé son jeudi et son vendredi, du coup, mes gars sont prévenus que sauf catastrophe majeure, ils ne pourront pas compter sur moi. L’avantage c’est que c’est moi qui rédige les attestations de déplacement à titre professionnel et qu’il n’y a rien de plus facile que de la faire passer pour ma collaboratrice… Ce qui nous laisse la possibilité de nous balader même si nous n’abusons pas de ce privilège.

Je discutais ce matin avec un ami. Il me rappelait combien la situation était idéale pour nous. Plus d’@#$%& à assumer, une vie déjà établie, plus de problèmes financiers… L’âge où on récolte ce qu’on a semé durant des années. Il n’a pas tort. Avec ma future ex-femme, nous avions vécu ce tumulte des @#$%& qui arrivent. Les deux premiers n’avaient pas fondamentalement modifié nos existences mais l’arrivée du troisième avait tout bouleversé. Avec Sabine, nous échappions à ça et quelque part, c’était une chance.

L’histoire de notre nuit dans le box du dortoir m’en a rappelé une autre. Sabine a un petit frère et une petite sœur. Quand nous étions ados, c’était elle qui les emmenait au conservatoire le mercredi après-midi. C’était une ancienne bâtisse, des escaliers en bois qui grinçaient, un labyrinthe de couloirs. En les attendant, on montait jusqu’au dernier palier, il donnait sur le grenier. Généralement, on s’y embrassait, on s’y tripotait… Un jour, on a découvert que la porte du grenier n’était pas verrouillée. Là-haut, c’était un vrai capharnaüm, des tas de papiers, des tables, des chaises, quelques vieux instruments et surtout un vieux canapé en velours rouge… Pas les canapés actuels, plutôt une sorte de banquette, assez rigide, avec un dossier haut et des dorures sur les poignées… Très baroque. Il était en assez bon état car protégé par une bâche. C’était bien plus confortable et ça nous permettait de nous explorer plus intimement.

Je me souviens surtout de cet après-midi de printemps, il faisait chaud. Elle portait une petite robe. J’étais passé récupérer l’appareil photo de mon père, un reflex qui avait besoin que le miroir soit nettoyé, j’avais acheté une pellicule, 24 poses, bien décidé à lui demander de poser pour quelques portraits. Nous n’avions pas 18 ans, et en tout cas, nous n’avions pas encore vraiment fait l’amour. Nous étions par contre des professionnels du préliminaire. Je venais donc d’explorer son corps et elle était assise, les jambes fléchies sur le canapé. Elle était nue. Elle avait noué ses cheveux en chignon à la va-vite, des mèches tombaient sur sa nuque ; un rayon de soleil est entré par la petite lucarne, il s’est reflété sur une paire de cymbales et ça a donné une lumière superbe sur elle. J’ai pris l’appareil et elle m’a laissé la photographier, sans pudeur, prenant la pose… Pour les premières photos, je suis resté cadré sur son visage mais j’ai vite cadré plus large… Ses petits seins, sa peau satinée par un voile de transpiration (il faisait au moins 35°C dans ce grenier), les boucles noires de son pubis… Chaque photo nous immergeait un peu plus dans un érotisme torride, elle a terminé les cuisses ouvertes devant l’objectif.

J’ai regretté de ne pas avoir acheté une 36 poses, j’ai regretté que les deux heures qui nous étaient allouées soient passées si rapidement.

Je suis allé faire développer la pellicule au rayon photo d’un centre commercial, le truc anonyme. J’avais demandé un format 10x15, bords blancs, finition brillante. Les trois jours nécessaires m’ont semblé une éternité. Mais l’attente valait la peine car les photos étaient sublimes… Techniquement, elles étaient bien exposées, certains cadrages étaient à revoir, mais pour le petit amateur que j’étais, je dois avouer que j’étais très satisfait. Et au-delà de la technique, elle y apparaissait sublime… Plus vraiment ado, terriblement femme. Elle a été troublée de se voir si belle, de voir ce qu’elle dégageait. Je n’ai pas conservé les tirages après notre rupture. Par contre, j’avais retrouvé les négatifs il y a une dizaine d’années. Mais je n’avais pas besoin de revoir les photos pour me souvenir de chacune d’elle, en détail.

Quelques mois après la séance, elle m’a demandé si j’avais conservé les clichés. J’ai répondu oui. Elle m’a demandé si je me caressais en la regardant. Ma réponse, affirmative, lui avait fait monter le rouge aux joues.

Je m’étais juré de la photographier, quand nous serions ensemble, d’aménager quelque part, un endroit pour la photographier. Après la rupture, je n’ai plus touché un appareil photo durant des années… J’en ai pourtant acheté quelques-uns et je pense, en écrivant ces lignes, qu’on pourrait peut-être profiter du confinement pour tester le reflex Olympus qui est rangé dans sa boîte d’origine depuis des années…
Re: 30 ans plus tard
Tuesday 10 November 2020 17:22

Coolitude56
Homme, 57 ans, France, Bretagne
Vous avez raison,
Et faites bien vos photos avec le réflex Olympus plutôt qu'avec un numérique,vous aurez un bien meilleur rendu et piqué.... Heureux
Re: 30 ans plus tard
Wednesday 11 November 2020 18:00

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
C'est un reflex... Numérique...
Re: 30 ans plus tard
Wednesday 11 November 2020 19:16

Coolitude56
Homme, 57 ans, France, Bretagne
Sorry,
Je pensais à un argentique,comme vous l"avez compris...Oups!
Re: 30 ans plus tard
Friday 11 December 2020 14:49

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Coucou les gens... Longue absence. Beaucoup de boulot et enfin divorcé. Pour Sabine ça traîne un peu. Son futur ex-mari tarde à signer certains papiers, à en fournir d'autres. Elle l'a croisé l'autre jour et lui a fait remarquer que même pour divorcer il n'était pas à la hauteur.
Ce pingre à même exigé qu'elle rende sa voiture et bien entendu la carte grise étant au nom du Jean-Pierre en question, elle a donc rendu la voiture. Par contre, il va y avoir quelque travaux de carrosserie et un jeu complet dee
Re: 30 ans plus tard
Friday 11 December 2020 15:07

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Foutu correcteur... Je reprends...
Coucou les gens... Longue absence. Beaucoup de boulot et enfin divorcé. Pour Sabine ça traîne un peu. Son futur ex-mari tarde à signer certains papiers, à en fournir d'autres. Elle l'a croisé l'autre jour et lui a fait remarquer que même pour divorcer il n'était pas à la hauteur.
Ce pingre à même exigé qu'elle rende sa voiture et bien entendu la carte grise étant au nom du Jean-Pierre en question, elle a donc rendu la voiture. Par contre, il va y avoir quelques travaux de carrosserie et un jeu complet de pneus vu la façon dont elle a fait cramer la gomme... Vengeance de femme... Du coup elle va bosser avec le Range ou l'Alpine. Et moi je n'ai pas eu à trop me creuser la tête pour son cadeau de noël. Sinon on ne peut plus se passer l'un de l'autre. L'autre jour elle m'a appelé. Seule au bureau, elle me suplliait de passer lui rendre visite. C'était une première pour elle de se faire lécher sur son lieu de travail et elle a adoré. Le risque était réel et ça a boosté son orgasme. Moi je suis reparti avec une érection quelque peu sérieuse et une énorme envie de tout lui mettre jusqu'à la garde. J'ai attendu son retour avec impatience et à peine rentrée, elle enfourchait ma bouche... Elle avait été excitée toute l'après-midi, son parfum intime était puissant. On a passé un long moment au lit. J'aime de plus en plus la sodomiser et elle est de plus en plus demandeuse. Je crois qu'on a expérimenté toute les postures possibles pour le coït anal, y compris les plus acrobatiques. Elle a adoré être allongée sur la table. Sur le dos, les chevilles sur mes épaules, mes mains se promenant sur ces seins, mon pubis claquant sur sa vulve... Et le tout, juste devant la baie vitrée.
Re: 30 ans plus tard
Friday 11 December 2020 15:31

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Elle s'est de nouveau exhibée. Une fois dans un magasin de bricolage. Soft mais efficace. Puis de nouveau une séance dénudée sur un parking. Cuissardes et bas... Deux fois de suite ce soir là. La première sur un parking de centre commercial, la seconde un peu plus tard sur un parking routier entre deux rangées de camion... Je crois qu'il y avait une bonne quinzaine de routiers ce soir là. La dernière était encore plus chaude. On a fait l'amour devant un voyeur, nous dans la voiture, lui dehors. J'ai adoré la façon dont elle se mettait en scène, histoire de bien tout lui montrer, c'était franchement excitant de la voir ainsi et de voir combien tout ça l'excitait. Alors oui, on peut dire qu'elle se libère, qu'elle se dévergonde... Mais je pense juste que c'est elle, sa véritable personnalité qui refait surface, exacerbée par des années de frustration et de déceptions.
Re: 30 ans plus tard
Friday 11 December 2020 15:36

Enjoy59
Couple, 47 ans, France, Hauts-de-France
Nous sommes content de votre retour et vos récits sont toujours aussi prenants, nous sommes sur le même secteur géographique et nous espérons que le hasard nous fera croiser votre chemin lors d une exhib.
Meme si parfois il faut savoir forcer le destin et pourquoi pas une exhib commune de nos Miss
Re: 30 ans plus tard
Friday 11 December 2020 20:04

Coolitude56
Homme, 57 ans, France, Bretagne
Exact Ludwig,
Je pense que vous avez libéré cette intelligente femme,qui dans son for intérieur vous attendait et se languissait......de vous.
Je me régale de vos narrations,pleines d'Amour et de sensualité,si bien écrites,si bien dites....
Merci à vous.....deux,et bonne chance pour votre Amour Sourire
Re: 30 ans plus tard
Monday 14 December 2020 09:14

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Nouvelle semaine qui débute. Encore un excellent week-end, quelques courses vendredi soir, look cuir total pour elle et ça ne laissait pas indifférent ! Quand elle m'a demandé comment je la trouvais, j'ai répondu qu'elle était bandante, elle s'est excitée en une fraction de seconde. Plus tard ce soir là, au chaud sous la couette elle m'a expliqué combien elle adorait pousser ces démonstrations de féminité très loin, combien elle adorait cette nouvelle sensation et cette féminité nouvelle. Et puis nous avons également parlé des exhibs, forcément et là, elle m'a confirmé ce que je supposais déjà : ce n'est pas seulement un jeu coquin pour elle mais elle se sent très naturelle dans ces moments là, naturelle dans le sens où elle ne force rien. Elle m'a demandé d'être plus directif dans ces moments là, de ne pas avoir peur de la bousculer, c'était troublant. Parce que c'est justement ce que je crains... Aller trop loin, dans le feu de l'action ; mais visiblement, elle est demandeuse... Nous avons passé la journée du samedi à bricoler à la maison, nos grands étaient absent pour la journée, du coup, c'était assez chaud. Elle avait choisi une robe pull qui a un peu rétréci au lavage et qui a bien du mal à lui couvrir les fesses et portait des chaussettes hautes qui lui arrivaient à mi-cuisse... J'ai dévoré sa jolie chatte à plusieurs reprises dans la journée... Elle était allongée, debout, assise, j'étais sous elle, devant elle, derrière... Vers 17h, elle m'a parlé d'une journée orgasmique. Ce n'était pas fini.
Re: 30 ans plus tard
Monday 14 December 2020 12:11

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Je lui ai proposé de sortir...

- Pour aller où ?
- Juste une promenade, on verra !
- Ah, je crois deviner... Je vais me préparer...

Elle avait deviné, quand nous sommes sortis, vers 19h30, elle ne portait sous son manteau qu'un body noir en voile transparent, des bas couleur mauve-lilas et était perchée sur des talons hauts... J'ai apprécié les talons, contrairement aux cuissardes, ça dévoilait ses jambes gainées, et puis la couleur de ses bas donnait un côté 'coquin' que des amateurs ne pouvaient ignorer... J'ai eu envie de la culbuter sur place mais j'avais dèjà patienté toute la journée. Elle avaiit pourtant réclamé ma queue à plusieurs reprises mais n'avait eu droit qu'à ma langue.

Nous avons préféré le Range, moins voyant que l'Alpine en ces temps confinés et surtout plus passe-partout. Dès que la température dans l'habitacle s'y est prêtée, elle a déboutonné son manteau. Je caressais ses cuisses tout en conduisant, une main sur le volant, l'autre oeuvrant à la découverte tactile de ce corps que je connaissais désormais si bien... Nous avons roulé un peu, nous sommes passés une première fois devant le lieu où je souhaitais l'emmener et mon rythme cardiaque s'est accéléré, il y avait quelques voitures. J'ai fait demi-tour un peu plus loin, elle ne demandait rien mais je la sentais excitée sous mes caresses. Nous sommes rentrés sur le parking et sommes allés nous garer dans un coin plus discret que les autres. J'ai laissé le moteur tourner mais coupé les phares... Il nous a fallu un petit moment pour habituer notre vue à l'obscurité, c'est elle qui m'a fait remarquer qu'une voiture arrivait. Feux éteints. Il est venu stationner à côté de nous, à environ 5 ou 6 mètres... J'ai apprécié... Il se garait assez prés pour être visible mais assez loin pour ne pas envahir notre espace privé... C'est un détail anodin mais qui témoignait d'un certain respect. Il a allumé le plafonnier. Un homme seul, âge difficile à cerner mais certainement entre 50 et 60 ans. Il regardait vers nous mais sans insistance. Il a éteint. Nous sommes assez peu familiarisés avec ces pratiques mais il nous a semblé que c'était désormais notre tour d'allumer, comme pour confirmer nos intentions... C'est elle qui a illuminé l'habitacle, nous ne pouvions plus voir l'homme, uniquement nos reflets dans les vitres. Nous avons éteint à notre tour... Et le temps que nos yeux se réhabituent à l'obscurité, il se trouvait debout à côté de la vitre passager... Le manteau de Sabine était ouvert, dévoilant ses seins aux tétons tendus et plus bas, l'ombre de sa toison brune... J'ai rallumé le plafonnier, nous devinions l'homme derrière la vitre. J'ai commencé à caresser ses seins, les soupesant, pinçant ses tétons, les étirant, elle a incliné le dossier vers l'arrière, se retrouvant ainsi à l'horizontale... Dans cette posture, son intimité se révéla totalement... Les boucles brunes taillées en triangle, la vulve glabre et gonflée dont les lèvres s'écartaient légèrement... Elle a écarté les cuisses, un pied sur le tableau de bord, l'autre jambe repliée sur le siège... Mes doigts caressaient désormais sa fente ; au travers de la fine étoffe, j'en devinais la chaleur et l'humidité. Elle mouillait.
Je me suis souvenu de ses mots... Quand elle me demandait d'être directif, de la 'bousculer'... J'ai coupé le contact et je suis descendu de la voiture...
Re: 30 ans plus tard
Monday 14 December 2020 15:24

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Notre voyeur fut un peu surpris de me voir ainsi débarquer, je lui lançais un 'bonsoir' histoire de le rassurer sur mes intentions. J'ai ouvert la portière et j'ai invité Sabine à se tourner vers moi. J'ai baissé la vitre de façon à offrir à notre inconnu la meilleure vue possible. La queue dans la main, il ne perdait pas une miette du spectacle qui sous ses yeux, ne faisait que débuter et vu la façon dont il bandait, ça n'avait pas l'air de lui déplaire... Je me suis penché sur la vulve de Sabine, toujours couverte de nylon noir, ma langue a caressé le sillon au travers de l'étoffe, elle s'est arcboutée, projettant sa fente contre ma bouche, d'une main, elle a écarté le body, de l'autre elle m'a attrappé les cheveux... Je lui dévorais la chatte pour la septième fois de la journée, j'y prenais toujours autant de plaisir, et elle aussi. En quelques minutes, elle était trempée, dégoulinante... Et excitée comme jamais... Elle m'a sussuré à l'oreille d'ouvrir le coffre... Comme n'y avais-je pas pensé avant ? Elle se tordait le cou pour aperçevoir notre voyeur mais la portière la gênait, je l'ai prise par la main pour l'emmener derrière, j'ai ouvert le coffre, allumé le plafonnier et je l'ai installée sur la moquette épaisse... Enfin, elle pouvait s'offrir et voir... J'ai suis allé rapidement récupéré ma pochette posée sur le siège arrière, j'en ai sorti le gode que j'avais emmené... En le voyant, il y a eu un éclair dans ses yeux... Une lueur difficile à qualifier mais qui disait combien elle appréciait la situation et surtout qu'elle allait se donner à fond... J'ai commencé à frotter lentement le gode sur sa vulve, notre voyeur se caressait lentement, sa queue tendue, il bandait fort et elle, de son côté, semblait hypnotisée par l'hommage qui lui était rendue... Elle s'est saisie de ma main, s'enfilant le gode au plus profond du ventre... Le tout dans un râle de plaisir qui faillit bien me faire éjaculer sans que je me touche... C'était à la fois du plaisir et de l'envie, à la fois animal et profondément humain... Je lui ai demandé de se baiser seule... En fait non, ce ne fut pas une demande mais un ordre et elle fut ravie d'obéir. Elle enfonçait cette bite artificielle au plus profond de son ventre, les bruits mouillés, le clapotis provoqué par les allers et retours du gode, ses propres soupirs, la lumière crue du plafonnier sur sa chatte gonflée de plaisir, tout ces éléments réunis créaient une ambiance d'un érotisme torride.
Je l'ai fait mettre à genoux sur la moquette, la croupe tendue, j'ai plongé ma langue dans son oeillet rose... Elle savait ce que ça signifiait, sa croupe était offerte et c'était un cadeau dont je voulais abuser... J'ai trempé une dernière fois le gode dans sa vulve, histoire de le lubrifier puis je l'ai positionné contre l'entrée de ses reins. Je n'imaginais pas que ça allait rentrer si facilement. Ni que ça allait la faire jouir si fort qu'elle allait répandre sa liqueur de jouissance sous elle... Elle cria plusieurs fois, se cambra... Je ne pouvais résister plus... Je l'ai remise sur le dos, j'ai levé ses jambes et j'ai baissé mon pantalon... J'ai entendu notre voyeur dire : encule la bien et elle, de son côté se mit à répéter :
- encule moi fort, baise moi le cul !

Je me suis exécuté. Je l'ai baisée les jambes relevées, pilonnant son anus, cherchant à chaque coup de rein à la prendre plus profondément. Je ne regardais plus notre voyeur mais je le voyais se mouvoir autour de nous... Je la sodomisais à la hussarde, elle m'encourageait par des mots crus, je n'ai pas résisté et je me suis vidé dans ses reins... Une jouissance terrible, l'impression que mes testicules allaient être expulsés avec mon sperme tant les contractions étaient fortes... Je suis resté quelques instant fiché en elle, les jambes tremblantes... Elle n'avait pas joui une seconde fois mais en avait terriblement envie...

Elle s'est assise sur le seuil de coffre, les cuisses ouvertes, une jambe posée sur la moquette... Je me suis agenouillé pour reprendre possession de sa chatte... Poisseuse de sa mouille, gonflée, un délice... En quelques coups de langues, j'ai senti à quel point elle était excitée... Notre voyeur s'est approché :
- Est-il possible que je caresse les jambes de madame pour m'aider à jouir ?
Elle a répondu immédiatement :
- Uniquement les jambes !

Et c'est ainsi que le voyeur a commencé à caresser les cuisses gainées de Sabine, descendant jusqu'au mollet... Ca l'exçitait, elle le lui fit remarquer :
- Mes jambes te font bander ?
- Oui et cette couleur de bas, ça fait...
- Salope... Tu as vu comme je me suis faite enculée ? Dis le moi que je suis une bonne salope !
- Tu es une bonne salope

Il crocheta alors ses doigts dans la cuisse gainée de Sabine et recula légèrement au moment où il éjaculait... Elle eu ce second orgasme en regardant le sperme s'écouler de la queue tendue du voyeur... Une éjaculation qui n'était pas puissante mais abondante... Elle a crié en se répandant dans ma bouche... J'ai senti toutes les contractions de son bas-ventre, puis le goût doux-amer de sa liqueur ; nous avons pris congé de notre voyeur qui nous a remercié pour ce moment, qu'il qualifia d'inoubliable. Nous nous sommes retrouvés seuls dans le Range, à nous embrasser à pleine bouche. Je lui ai demandé si elle avait aimé, elle me répondit qu'elle avait adoré, enchantée par l'initiative du coffre. Alors que je redémarrais, elle me regarda et me dit : la prochaine fois, je le laisserai jouir sur mes jambes !
Re: 30 ans plus tard
Monday 14 December 2020 21:06

pat92
Homme, 57 ans, France, Île-de-France
Merci Ludwing pour tes formidables récits
Et bravo pour la qualité de tes textes.
Merci
Re: 30 ans plus tard
Wednesday 16 December 2020 14:33

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
La soirée de samedi a laissé des traces... Elle a adoré et m'en a parlé une dizaine de fois depuis... Elle a adoré voir un homme s'exciter et se donner du plaisir en la regardant. Elle a toujours eu ce petit côté exhib. La très jeune femme que j'ai connu le cachait par timidité, la femme accomplie que j'ai retrouvé l'assume totalement. Nous sommes allés faire quelques courses le dimanche matin, Sabine toute en jambe avec de jolis bas couleur chocolat, j'ai adoré la façon dont ça galbait ses mollets... Sa jupe était courte, elle était super sexy avec un savant coiffé-décoiffé et ses lèvres rouges. Alors quand nous sommes tombés nez à nez avec celui qui sera bientôt son ex-mari, je dois avouer que j'ai savouré l'instant... A le voir baver ainsi en la regardant, j'ai imaginé l'espace d'un instant à quel point il pourrait être excitant de l'avoir comme voyeur... Elle aime me rappeler l'aspect vaudevillesque de notre situation : le mari, l'épouse, l'amant. Classique. Sauf que l'amant est devenu le 'presque' mari et que ce dernier en est réduit à se souvenir des quelques moments où il a partagé un peu de plaisir avec sa future ex-épouse... Au tout début de notre relation, elle était en train de me sucer lentement quand elle m'avait regardé les yeux dans les yeux et avait prononcé ces mots :
- Ta bite me manquait !
J'avais ainsi appris que Jean-Pierre en avait une petite et que côté turgescence, ça laissait à désirer... J'avais beau savoir que notre relation n'était pas construite sur le sexe, je dois avouer que j'en avais éprouvé une certaine fierté. Je suis plutôt pas mal monté, dans la moyenne mais plutôt la moyenne supérieure. J'avais trouvé ça sympa jusqu'à 30-35 ans puis c'était devenu secondaire... Ou du moins, ce n'était plus une question existentielle pour moi, je ne doutais pas de ma capacité à donner du plaisir à une femme.
Donc face à face avec Jean-Pierre... Et de sa part à elle, pas un mot... Quelques mètres plus tard, elle m'a juste dit qu'elle ne comprenait pas comment elle avait pu se coltiner un mec comme ça autant d'années... J'ai senti de l'animosité, presque de la haine, et pas mal de colère... Plus tard sur le parking, elle s'est précipitée dans mes bras, en larmes et m'a regardé :
- Pourquoi tu n'es pas revenu me chercher à l'époque ? Et pourquoi tu n'es pas revenu avant ?
Je n'avais pas de réponse ou plutôt si, j'en avais une : cette foutue fierté masculine... J'étais là, debout, sa tête sur mon torse et j'étais incapable de bouger, de parler... J'avais ressenti ça une fois au rugby, un plaquage qui m'avait laissé sonné... Rien de comparable cependant avec ce que je vivais à ce moment-là. Ma seule réponse a été de l'embrasser parce qu'il n'y avait que ça à faire... Le baiser tendre est devenu fougueux, puis passionné, puis torride ; son bassin s'est collé contre moi, on a fait l'amour tendrement, elle en équilibre sur le siège passager, moi debout, un dimanche à 11h30 sur un parking... Bon, je suis plutôt du genre à me garer loin parce qu'il y a toujours des crétins qui ne savent pas ouvrir une portière délicatement mais il y avait du monde... Vus, pas vus, je n'en sais rien, et je m'en fiche un peu. J'ai ressenti ce moment comme aucun autre... Une façon de se dire mutuellement que c'était pour la vie...
Re: 30 ans plus tard
Monday 4 January 2021 11:18

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Bonjour à tous et une bonne année à tous mes lecteurs !

Les fêtes ont été pleines de moments intenses. Mon ex-femme souhaitait légitimement que nos @#$%& soient réunis pour Noël et la St Sylvestre. Sabine était d'accord. Pour faire bonne figure, nous avons également convié son futur ex-mari mais il a refusé catégoriquement. Cet idiot n'a même pas été sensible aux suppliques de sa fille.
Donc dès le 21 décembre, nous étions 8 à la maison : Sabine, sa fille, mon ex-femme et nos trois @#$%&, la petite amie de mon fils ainé et moi même. Je craignais un peu que la cohabitation entre les deux femmes se passe mal mais finalement, dès le début, ça s'est plutôt bien passé. En fait, c'est plutôt moi qui était un peu stressé, n'oublions pas que mon ex-femme était dans la maison où elle avait vécu 5 ans, qu'elle se retrouvait donc chez elle et avec ses habitudes face à Sabine qui, de son côté, avait investi les lieux et modifié pas mal de petites choses.

Quand nous avons acheté la maison, le sous-sol avait été aménagé en salle de sport. L'ancien propriétaire nous a laissé des espaliers mais aussi et surtout un superbe sauna finlandais de 4 places... Et plus étrange, des douches communes, en fait un carré de 2m de côté équipé de 4 pommes de douches. Nous avions trouvé ça un peu étrange mais finalement très utile... Mon ex-femme et moi avions quelques souvenirs dans le sauna et la salle de sport... Et Sabine n'était pas en reste, elle avait su trouver de nombreuses utilisations aux espaliers et nous ne comptions plus nos baises mémorables dans le sauna...

Quand mon ex-femme m'a demandé si le sauna était toujours là, j'ai répondu par l'affirmative. Elle nous a regardé, Sabine et moi et nous a demandé :
- On se fait un petit sauna à trois ???
Re: 30 ans plus tard
Monday 4 January 2021 11:30

pat92
Homme, 57 ans, France, Île-de-France
Merci pour tes bon vœux
Je te présente les miens par la même occasions
Mais la suite vite stp
Re: 30 ans plus tard
Monday 4 January 2021 12:00

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
Sabine et moi nous nous sommes regardé... Elle savait ce que ça signifiait... Se retrouver nus tous les trois et pour moi plus particulièrement, me retrouver aussi avec les deux femmes de ma vie...
L'air de rien, le sauna c'est très sensuel et très érotique... Les corps nus, transpirants, la chaleur, cette torpeur qui envahit les corps... Puis la fraîcheur de la douche, ses effets vivifiants.
Nous nous sommes donc retrouvés tous les trois nus dans le sauna... J'ai constaté que mon ex-femme avait toujours sa jolie toison taillée rigoureusement, que ses seins étaient toujours fermes et que sa peau bronzée ne portait aucune marque de maillot... J'ai pu aussi constaté qu'elle avait maté sans aucune gêne le corps de Sabine, notamment sa vulve lisse sous la toison brune et ses jolis seins, plus petits que les siens mais aux tétons plus marqués... Les deux femmes étaient aussi minces l'une que l'autre mais pour Sabine, on devinait sous cette minceur du muscle, de la nervosité.
Nous avons passé un moment à discuter. Les bancs sont en angle. Mon ex-femme a très vite écarté les cuisses, une jambe relevée, s'offrant à mes regards... C'était très sensuel car de son côté, Sabine s'offrait tout autant... Nous sommes allés tous les trois sous la douche, puis retour au sauna avant une nouvelle douche. Nous avons finalement enfilé un peignoir avant de remonter à la cuisine, prendre un café. Toute pudeur avait disparu, nos @#$%& n'étaient pas à la maison et nous déambulions tous les trois, les peignoirs à peine refermés.
Sabine et moi sommes finalement allés nous habiller, j'étais à peine entré dans la chambre qu'elle me précipitait sur le lit ; j'ai bandé immédiatement et sa bouche allant et venant sur mon sexe était un véritable soulagement... Elle s'est assise sur ma bouche et j'ai pu constaté à quel point elle était excitée. Le sauna l'excitait toujours mais cette fois, c'était très différent. La vulve gonflée, ouverte, le clitoris saillant, elle dégoulinait. Sa bouche s'acharnait sur ma queue, frénétique, diabolique, son bas-ventre ondulait sur ma bouche, mes doigts fouillaient son anus, je ne sais pas qui a explosé le premier. J'ai senti ma queue se contracter, se tendre pour expulser le sperme chaud dont elle n'a perdu aucune goutte pendant que les spasmes de l'orgasme expulsaient un jus épais et abondant... Ca n'avait pas duré 10 minutes mais les sensations avaient été d'une intensité rare...
Re: 30 ans plus tard
Monday 4 January 2021 13:50

Ludwig
Couple, 50 ans, France, Centre-Val de Loire
J'imagine la déception de certains qui s'attendaient certainement à quelque chose de plus sexuel mais il ne s'est rien passé. Il y a eu d'autres saunas à trois, des instants d'une sensualité torride, j'ai eu des érections devant les deux femmes qui, de leur côté on reconnu que la situation les excitait et n'ont pas hésité à montrer l'une et l'autre à quel point elles étaient trempées... Tout ça est resté très sensuel, un jeu coquin, plein de sous-entendus mais terriblement érotique et excitant. Il y eu notamment ce moment où Sabine me prit par le sexe pour m'amener à la douche et cet autre, un peu plus tendu où mon ex-femme me demanda laquelle des deux était la plus chaude au lit... Question heureusement vite désamorcée par Sabine et heureusement car la réponse avait tout d'une bombe ! Mais il y eu surtout cette façon très libre de parler sexualité, les expériences passées et présentes, sans idée de compétition. Chaque fois que Sabine et moi remontions dans la chambre, nous étions affamés l'un de l'autre et ça se traduisait par des étreintes rapides mais intenses... Avec parfois un côté bestial.
J'eu aussi la chance d'avoir deux belles femmes qui ne se montraient pas spécialement pudiques envers moi, décolletés, absence de sous-vêtements, ces dames évoluaient devant moi en rivalisant de sensualité et de provocations...
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