30 ans plus tard

Tu vis un rêve éveillé ! Merci pour nous faire partager tout ça !!

Enfin seuls ! Ou presque puisque sa fille et mon fils continuent à partager notre toit mais passer de 8 à 4 est quand même assez reposant. Nous avons retrouvé une intimité qui avait été un peu entamée par mon ex-femme et c'est finalement bien mieux ainsi. Nous nous sommes octroyés quelques jours de repos la semaine prochaine et nous nous sommes promis de partir très loin pour les prochaines fêtes de fin d'année, nous avons quelques années à rattraper !

Le réveillon de la St Sylvestre s'est bien déroulé, les femmes étaient belles, rivalisaient pour être la plus sexy. A ce jeu, je dois quand même avouer que Sabine s'est surpassée et qu'elle était très au dessus de mon ex-femme qui avait pourtant fait d'énormes efforts. Mais la sensualité ne se décrète pas, elle est innée. Sa fille faisait d'ailleurs tout aussi bien qu'elle et c'était assez surprenant de constater à quel point mère et fille se ressemblent. C'est au delà du physique, les attitudes, les mots, les gestes. Je regardais tout ça presque émerveillé et je dois avouer que j'aurais adoré être à l'extérieur avec ma belle, tant elle aurait pu susciter désir et envie chez ceux qu'elle aurait rencontré. Mais les temps sont ainsi et il y aura certainement d'autres occasions.

C'est incontestablement avec le départ de ma tribu qu'ont eu lieu nos retrouvailles sur la plan sexuel. Nous ne nous sommes privés de rien durant leur présence mais mon ex-femme dormait dans la chambre située juste à côté de la nôtre. A l'origine, ces deux pièces n'étaient qu'une et la séparation qui a été faite n'est pas un modèle d'isolation phonique. Pour ma défense, il était prévu que ce soit un petit bureau avant de devenir une chambre d'ami. Sabine étant assez expressive, mordre l'oreiller lui procurait une certaine frustration.
Le soir même, on s'éclatait de nouveau au lit ! Nos jeunes étant à l'autre bout de la maison, il ne risquait pas de nous entendre. Et le contraire est également vrai. Bref, de vraies retrouvailles avec une nouveauté de taille puisque je me suis retrouvé avec la main dans le vagin de ma belle, un fist d'une grande intensité, si excitant que j'en ai éjaculé tout seul dans les draps, sans même me toucher et qu'elle a eu un orgasme si puissant qu'elle est restée quelques instants dans un état qui oscillait entre conscience et inconscience. Tout a commencé par mon index et mon majeur, insérés en elle et que j'écartais pour ressortir de son vagin... Elle semblait aimer ça alors mon annulaire s'est invité à la fête et chemin faisant, mon auriculaire à rejoint ses semblables. Elle en voulait, la vulve gonflée, dégoulinante, le clito bandé. Ma main allait et venait en elle, et elle m'a supplié de poursuivre ; j'ai poursuivi, introduisant mon pouce que j'écartais du reste des doigts lorsque je ressortais, la dilatant un peu plus à chaque mouvement. J'étais cependant prudent, n'osant pas vraiment forcer pour franchir l'obstacle représenté par la jointure de mes doigts. J'avais beau essayer d'affiner ma main, il y avait toujours ce petit blocage. Et puis il s'est passé un truc un peu fou, j'ai senti qu'elle poussait un peu sur ma main et tout est passé ! Je me suis retrouvé à regarder sa vulve serrée autour de mon poignet, la main entière dans son intimité. Elle avait le clitoris si gonflé et saillant qu'il semblait sur le point d'exploser. Je lui ai sucé longuement, la main dans son vagin, immobile. C'est elle qui a commencé à aller et venir doucement et je l'ai sentie si dilatée que j'ai pris le relais. C'était la première fois, pour elle comme pour moi. Je ne peux décrire à quel point c'est un instant magique, je ressentais toute les contractions de son vagin, sa chaleur, sa moiteur. Au moment de jouir, elle s'est saisie de mon poignet, bloquant ma main en elle, me faisant partager ses spasmes et le tsunami de plaisir dans son bas-ventre. J'ai attendu un peu avant de retirer, délicatement, ma main. Sa vulve était extraordinaire, dilatée, ouverte, gonflée de plaisir, c'est en voyant sa mouille s'en écouler délicatement que j'ai éjaculé.

Cette semaine, repos, on est tous les deux à la maison. Là elle fait une petite sieste vu qu'on s'est couchés tard et levés tôt. Demain ce sera une bonne grasse matinée. Difficile avec ce couvre-feu, elle a de grosses envies d'exhib et malheureusement, peu d'occasions en journée. On a bien essayé quelques lieux connus, le froid et la peur du gendarme font que ça ne mord pas. Nous sommes allés dans une grande surface de bricolage samedi et beaucoup de messieurs curieux mais souvent, les épouses surveillaient. Nous avons quand même eu quelques curieux qui regardaient bien et beaucoup mais sans plus... Nous avons pourtant tout fait pour, y compris visiter les chalets de jardin pour voir si un coquin osait jeter un oeil par la fenêtre mais rien, désespérant !

Ce matin, grand jour pour elle et pour nous. Elle est allée signer tous les papiers du divorce. Nous sommes donc officiellement libres tous les deux. Nous n'avons pas encore reparlé de mariage mais on s'est occupé de la nuit de noce en rentrant. Elle était vraiment superbe pour aller signer... Toute en jambes malgré le froid piquant... Son ex-mari s'était fait accompagné par sa nouvelle amie, le genre qui renforce vos certitudes sur le fait que l'élégance et la féminité sont des choses innées... On les a, ou pas mais se 'déguiser' en femme ne permet pas toujours de le paraître, c'est ce que m'a inspiré le tête à tête avec elle dans la salle d'attente... A la sortie, le Jean-Pierre a eu cette phrase débile :

- Je vous aurai bien invité à prendre un verre pour fêter ça mais les bars sont fermés

Lui et sa pouffe ont pouffé...

Sabine a répliqué :

- Pas le temps, on va fêter ça sous la couette !

Du coup on a laissé les bidochons sur le parking et nous sommes repartis en Alpine. Inutile d'ajouter que ça avait une certaine classe.

A peine rentrée, elle m'a demandé si ça m'excitait toujours autant de baiser une divorcée qu'une femme mariée... Je lui ai montré que oui. Elle a eu toutes les preuves de mon engouement et s'est déclarée très satisfaite... A un petit détail près... Elle attend depuis quelques jours un paquet surprise, elle voulait inaugurer ça aujourd'hui mais le colis est en retard... J'ai essayé de savoir : de la lingerie, une énième paire de cuissardes, un nouveau gadget ? Rien à faire, elle refuse de parler... J'ai donc essayé la torture, un doigt, puis deux, puis trois et c'est alors qu'elle m'a demandé de la sodomiser bien fort... Donc peine perdu, je ne sais pas ce que ça peut-être mais je lui ai promis une inauguration en grandes pompes... Bon je vous laisse là et je retourne sous la couette avec ma divorcée !

Merci pour tes récits

Décidément, cette crise sanitaire à le don de générer les pires décisions... Plus de restaurants, plus de bars, plus de cinémas ou de théâtres, plus de spectacles et bientôt tous à la maison à 18h... Il nous restait encore le défouloir des grandes surfaces pour quelques petites exhibs très soft mais au train où ça va, on ne va pas tarder à ne plus pouvoir sortir du tout... Je ne vais pas dire qu'on s'ennuie, bien au contraire, on s'éclate mais Sabine a de grosses envies d'exhibition. Nous avons donc tenté l'annonce pour avoir le plaisir de faire l'amour et de coquiner devant un homme, nous verrons ce que ça donne.
Sabine a enfin reçu ce qu'elle attendait, c'est un gode de belles dimensions mais surtout très large, le Forearm de chez Adam & Eve, couleur marron. Elle a insisté pour l'inaugurer le soir même et je me voyais mal lui refuser ce plaisir... Elle a insisté pour que je reste voyeur et ce fut difficile de résister ; calée dans un fauteuil, les jambes largement écartées, elle a fait disparaître en elle une grande partie de l'engin dans son ventre. Rien qu'en la voyant frotter ce jouet massif sur sa vulve, j'étais sur le point de jouir, alors quand le gros gland marron a écarté ses lèvres, dilatant sa vulve pour s'enfoncer dans son ventre, je n'ai pas pu m'empêcher de présenter, à quelques centimètres de sa bouche, ma queue tendue. Elle m'a avalé, délicatement tout en faisant coulisser le gode de plus en plus vite et de plus en plus profondément dans son ventre. Elle m'a sucé comme jamais, ne lâchant jamais mon sexe, s'aidant de sa langue pour caresser mon gland, plongeant jusqu'à ce que je bute dans sa gorge. Nous avons joui en même temps, c'est elle qui a commencé, je lui ai dit qu'elle était une sacrée suceuse, que je voyais combien elle aimait ça, sa respiration est devenue haletante, saccadée et elle s'est mise à gémir avec ma verge la bouche. J'ai cru que mon bas ventre allait exploser quand j'ai rempli sa bouche à coup de longs jets chauds de sperme.

J'aime jouir de sa bouche, nous sommes d'ailleurs plutôt amateurs de plaisirs buccaux. Elle prend autant de plaisir qu'elle ne m'en donne et je prends un plaisir incroyable à fouiller de ma langue son entrejambe ; pas uniquement sa vulve, j'adore fouiller son anus, y plonger ma langue, le sentir se décontracter, s'ouvrir, se préparer recevoir ma queue, la réclamer.

Nous dormons nus, d'une part parce que c'est la meilleure façon de dormir mais aussi parce que peau contre peau, nos nuits sont plus sensuelles, plus charnelles... Le plaisir de sentir dans un demi sommeil ses seins collés contre mon dos, mon sexe bloqué contre ses petites fesses rondes, glisser ma jambe entre ses cuisses et sentir la moiteur chaude de sa vulve sur ma peau. Et puis il y a ces moments magiques, lorsque nous faisons l'amour rapidement, furtivement alors que nous flottons dans un état qui n'est plus le sommeil mais sans être totalement réveillés, lorsque sans qu'elle soit réveillée, ma queue tendue cherche à s'introduire en elle ou lorsque sa bouche se referme sur ma queue gonflée par une érection nocturne puis s'acharne à en extraire le jus ou s'y empale pour un coït rapide qui s'achève sur une jouissance commune. Nous aimons les petits matins, au chaud sous la couette, faire l'amour au réveil avant de filer sous le jet chaud de la douche. La salle de bain est également un lieu d'étreintes et de jeux. Nous en avons trois à la maison et nous sommes ainsi les seuls à utiliser la nôtre. La douche est vaste, elle comporte un rebord sur lequel elle peut s'asseoir, projetant sa vulve en avant... J'aime la savonner, raser délicatement et presque quotidiennement sa vulve, hydrater sa peau. Elle a parfois envie d'uriner et je l'invite à se laisser aller... Un peu gênée la première fois, elle a pourtant adoré que je stimule son clitoris pendant que sa vessie se vidait, je l'avais entre le pouce et l'index et je le masturbais doucement mais fermement. Elle a presque atteint l'orgasme avec cette seule sensation, j'ai achevé son supplice par quelques coups de langue... Sabine est très désinhibée sur le plan sexuel mais c'est si naturel que ça en est encore plus excitant.

Une semaine de passée, le temps passe vite quand on est heureux ! Sabine commence un peu plus tôt le matin et termine donc plus tôt le soir, c'est plutôt bien, ça nous laisse quelques moments pour aller flâner le soir avant le couvre-feu fatidique. Je m'occupe des courses, mes horaires étant plus libres... Nous avons profité un peu du WE mais le temps n'est pas trop favorable. Par contre, la vue d'une paire de cuisses en pleine hiver ne laisse pas indifférents les mecs que nous croisons et ça, c'est plutôt pas mal. Levés tôt samedi par obligation, nous avons profité de la journée pour papillonner un peu... Rencontre imprévue avec un voyeur sympa samedi matin. Grande surface de bricolage, nous sommes allés visiter les chalets de jardin. Un homme nous suivait discrètement depuis qu'il avait remarqué le haut transparent de madame sous son manteau. Nous nous sommes enfermés dans un chalet, il a regardé par la fenêtre et elle lui a tout montré. Second chalet, c'est lui qui était à l'intérieur, braguette ouverte, le sexe dehors. C'est nous qui avons regardé. Chalet suivant, elle m'a sucé un peu. Nous nous attendions à ce qu'il rentre mais un vendeur est arrivé, un peu suspicieux. Il ne nous a plus lâché. Nous avons retrouvé notre copain du moment à plusieurs reprises au cours de notre visite et avons essayé de profiter de chaque situation !

Samedi après-midi à la maison à roucouler sur le canapé, nous étions seul, nous avons alterné séries netflix et moments coquins. Seins nus sous son pull, j'adore, legging super fin pour le bas. Elle était bandante et en a subi les conséquences. La soirée, puis la nuit ont été dans la lancée alors dimanche matin, lorsque nous avons décidé d'aller faire un petit tour dans la nature, c'était plus dans l'idée d'oxygéner nos cellules que d'aller faire des galipettes. Elle était habillée en conséquence : baskets, legging noir avec empiècements transparents et blouson polaire. Pourtant, quelques instants plus tard, nous forniquions sous les yeux ravis d'un voyeur. Je ne sais pas vraiment comment c'est arrivé mais d'un coup il y avait cet homme, plus jeune que nous (beaucoup) dont la queue moulée dans un collant de course en lycra prouvait à quel point il était excité de nous observer. Il était sympa, pas collant, pas lourd. Nous l'avons invité à s'approcher. Et à force de s'approcher, il était vraiment à côté de nous... La queue tendue, la situation l'excitait et Sabine devenait de plus en plus bouillante.

J'ai été surpris quand Sabine lui a demandé :

- Tu as un préservatif ?

Elle m'a regardé, le regard troublé.

- J'ai envie de le toucher un peu.

Nous avions évoqué ce point, tout était clair entre nous deux. Elle faisait ce qu'elle voulait et comme elle le voulait.

L'homme a fouillé dans une pochette qu'il portait autour du torse, il en a sorti un emballage un peu froissé qui trainait visiblement là depuis longtemps. Il l'a déballé, puis enfilé lentement sur sa queue raide. Elle ressemblait désormais à un gros bonbon rose.

J'ai frissonné un peu, beaucoup même, lorsqu'elle a posé sa main sur la verge turgescente... Elle avait la mienne dans la main droite, celle de l'homme dans la main gauche. J'ai ressenti que ça l'excitait, blouson ouvert, le t-shirt remonté sur ses seins, le legging baissé dévoilant sa vulve trempée...

- C'est moi qui te fait bander comme ça ?

Les mots me semblaient irréels. J'ai ressenti une décharge d'adrénaline et une envie terrible de la retourner et de l'enfiler à la hussarde, ce qui n'aurait posé aucune difficulté tant elle était trempée. Non seulement elle avait attrapé la queue, refermant sa main dessus mais en plus, elle jouait les ingénues !

Le mec a avancé la main vers elle.

- Non s'il te plait ! Je ne veux pas que tu me touches. Regarde nous, laisse toi faire mais sans plus.

L'homme a rougit un peu comme un gamin fautif qui se serait fait prendre la main dans le pot de bonbons. Mais il bandait toujours et désormais, la main refermée sur sa bite, elle allait et venait lentement. Elle s'est agenouillée devant moi, ses yeux dans les miens, elle a avalé mon sexe. Je bandais moi aussi fort, j'étais juste à côté de l'homme qu'elle continuait à masturber lentement mais avec l'intention de le faire jouir. Son geste n'avait rien d'automatique, elle accentuait et relâchait la pression avec laquelle elle serrait le sexe dans sa main. Sa bouche était chaude, humide, sa langue s'enroulait sur mon gland. Là aussi, son intention était manifeste, elle voulait me faire jouir. Elle succionnait, aspirait. La vue du sexe de l'autre dans sa main m'excitait prodigieusement, ses yeux allaient de moi à lui, elle le regardait parfois dans les yeux, puis elle regardait la verge bandée dans sa main.

Nous en avions parlé, je l'ai écrit plus haut. Nous avons ressenti le besoin d'en parler le jour où elle s'est exhibée pour la première fois. Nous nous étions fixés des limites. Pour elle, il n'était déjà pas envisageable de toucher une verge nue, elle voulait absolument un préservatif ; ce n'était pas par hygiénisme ni par dégoût. C'était juste qu'elle considérait qu'entre un sexe dans une capote et un gode, il n'y avait rien de vraiment différent. Ce qui engageait c'était le contact direct, peau contre peau, sans barrière. Son autre limite avait été sur les pratiques, toucher oui, être touchée non. Le coït, la pénétration, non. Une verge avec capote sur son corps, pourquoi pas. Bien entendu, le sperme était exclu, sauf sur ses cuisses, sur ses bas.
Entre caresses et pénétrations, il y avait la question de la fellation. Elle n'avait pas su répondre. Sucer avec une capote, est-ce vraiment sucer ? Rien n'était vraiment décidé.

Bientôt, notre compagnon du moment a commencé à soupirer de plus en plus vite, il fermait les yeux, s'abandonnant à la main experte de Sabine. Elle était en train de le pousser au bord de l'abime et il était évident qu'il allait basculer...

- Tu vas jouir ?

Il a acquiescé sans un mot, juste un petit mouvement de tête ; elle m'a regardé, une petite flamme de lubricité dans les yeux, j'ai su ce qui allait se passer. Sa bouche s'est approchée du sexe sous cellophane, elle a gobé le gland, puis lentement l'a sucé. Sa main s'était refermée sur mon sexe et elle me serrait très fort. Je crois que si elle n'avait pas serré si fort ce jour là, j'aurais probablement éjaculé. La voir sucer cette bite, même avec une capote était hautement excitant, c'était jouissif. Sa main restait désormais à la base du sexe, elle allait et venait, accélérant le rythme en sentant l'homme s'agiter de plus en plus. Enfin, elle est restée immobile sur le gland, le succionnant et l'aspirant. J'ai vu le sexe se tendre, l'homme gémir puis les pulsations. Elle continuait à aspirer et visiblement, l'homme prenait vraiment son pied. Je ne redoutais qu'une chose : que le préservatif se déchire. Mais finalement elle tint bon. Elle laissa le sexe de l'homme pour se précipiter vers ma bite qu'elle dévorait désormais à pleine bouche. L'homme était en train de retirer sa capote et elle était vraiment remplie... A la vue de cette semence, j'ai lâché la mienne et elle en a été un peu surprise car elle contemplait alors elle aussi le résultat de sa fellation. La surprise a été de courte durée, elle s'est acharnée sur mon sexe, récoltant les dernières gouttes de ma liqueur puis soudainement, elle a explosé elle aussi, sa main se crispant sur sa vulve.

Nous nous sommes séparés, l'homme a remercié Sabine pour ce délicieux moment et en précisant qu'il n'imaginait pas un tel plaisir avec une capote.

Nous sommes rentrés et nous nous sommes retrouvés dans le sauna. Nous y avons fait l'amour, sans évoquer ce qui s'était passé mais nous l'avions dans un coin de la tête...

Quand nous étions très jeune, nous avions eu une expérience intéressante. En été nous avions l'habitude d'aller flirter au bord d'un étang fréquenté par des pêcheurs... On s'embrassait, on se tripotait un peu. C'était un étang privé donc pas trop de passants et nous étions tolérés car on se mettait tranquillement dans un coin.

Il y avait une sorte de digue sur un côté, on se mettait à cet endroit, les pêcheurs étaient de l'autre côté de la digue à trois ou quatre mètres de nous et ne pouvaient pas nous voir sauf s'ils étaient debout. Il faisait chaud ce jour là, très orageux. On flirtait depuis un moment. Elle portait une petite robe d'été, courte et légère. Elle n'était pas particulièrement pudique mais assez réservée. Education catho. Elle ne se lâchait pas souvent. Ce jour là pourtant, elle ne portait pas de soutien-gorge sous sa petite robe alors en dégrafant quelques boutons, j'avais pu saisir ses tétons, ça lui plaisait mais elle scrutait toujours pour voir si personne ne nous voyait. De temps en temps, des pêcheurs passaient et bien entendu, ils ne se gênaient pas pour mater. Sa robe lui arrivait en haut des cuisses, elle était toute fraîche. Au début, elle tirait toujours sur le bas de sa robe, mais depuis une vingtaine de minutes, elle ne se préoccupait plus du tout de ça.

J'ai eu envie de la lécher... Je pensais qu'elle allait refuser mais à ma grande surprise, elle a retiré sa petite culotte et s'est positionnée de façon à ce que je puisse m'occuper d'elle. Dès que quelqu'un arrivait, elle me prévenait et j'avais le temps de poser ma tête sur sa cuisse alors qu'elle rabattait sa robe. Il y avait des pêcheurs de l'autre côté de la digue, nous les entendions parler. Elle était très excitée et ça montait. Moi aussi je bandais fort. A un moment, elle m'a demandé de m'allonger sur le dos, elle m'a alors ouvert la braguette et a extirpé mon sexe avant de s'empaler dessus. Le bas de sa robe était en forme de trapèze, ça lui permettait de la rabattre et de rester discrète. Mais quand même, nous étions en train de baiser à quelques mètres des pêcheurs, je lui disais à voix basse et ça l'excitait. A plusieurs reprises, des pêcheurs sont passés, certains étaient franchement intrigués par la position. Nous restions tranquilles, le temps qu'ils passent puis on recommençait. Elle a eu deux orgasmes ce jour là. Au moment où moi j'allais jouir, elle m'a dit que je risquais de tâcher mon pantalon (déjà qu'elle avait bien mouillé dessus) et elle m'a terminé avec sa bouche.

Un peu plus tard, je lui avais dit que ça avait été risqué avec ces mecs autours et elle m'avait répondu que c'est justement ça qui l'avait excitée.

Merci pour vos récits Ludwig, ils sont toujours d'une intensité et d'une réalité qu'ils me font un effet électrifiant et euphorisant.

Très bonne question Indy, est ce que Sabine lit ce récit ?

Un très beau récit bien écrit et qui laisse place à l'imagination également ..
La vie sait jouer de très belles surprises ..et une deuxième chance de vivre réellement ce qui n'avait pu être ..
Merci de ce partage intime et enthousiasmant..

Sabine lit. Elle trouve ça excitant et apprécie notamment l'absence de vulgarité qui règne sur le sujet. Nous sommes conscients de ce qui nous arrive, conscients de cette deuxième chance, c'est rarement donné à tout le monde. Généralement, dans un couple et à fortiori un couple jeune, la séparation est définitive, il est rare que les chemins se croisent de nouveau et encore plus rare que ça fonctionne, que l'osmose soit si parfaite. Plus jeune, Sabine avait parfois de gros besoins sexuels, de grosses envies et juste après, elle pouvait sembler bien moins attirée, presque distante par rapport au sexe. C'est ce qui m'avait particulièrement déstabilisé à l'époque. Nous en avons bien entendu parlé, parce que c'est un abcès qu'il fallait percer. Elle m'a avoué avoir toujours été très attirée par le sexe et bien plus ouverte que ce que je pensais mais le poids de l'éducation, des convenances, la peur que je la considère comme une fille facile. Je sais aujourd'hui qu'elle avait de gros besoins et qu'elle était devenue une spécialiste de la masturbation à l'imagination sans limites ! Elle a ensuite continué à se masturber régulièrement durant toutes les années de son mariage et même avec moi, elle aime se faire plaisir seule de temps en temps. J'y assiste parfois mais je lui laisse aussi profiter de son intimité.

Pour ce qui est du destin de nos rejetons, impossible de prévoir l'avenir. Pour le moment tout semble se passer très bien. Ils ont su trouver leur équilibre pour se construire une vie de couple tout en conservant une vie privée avec leurs loisirs et leurs amis respectifs. Ils ne sont pas l'un avec l'autre 24h/24 mais sont toujours heureux de se retrouver.

Quant à nous, notre couple, nous ne cherchons pas à évoluer, à performer. Nous prenons la vie comme elle vient, au fil de nos envies, de nos fantaisies, de nos fantasmes. Nous sommes à un stade de notre vie où nous n'avons plus grand-chose à prouver aux autres du point de vue professionnel et matériel. Donc, la seule chose qui nous préoccupe, c'est nous, nos amours, notre relation. Et tout ça est vraiment très prenant.

Merci à vous pour ce superbe récit sans vulgarité... et les suites sont attendues avec impatience !

Nous avons déjà rencontré deux voyeurs. Des rencontres complètement imprévues ; pour la première, à la base, nous sortions juste prendre un peu l'air. Le premier s'est montré tout de suite assez curieux mais sans être insistant, ce que nous avons apprécié. Comme la météo ne permettait pas vraiment d'aller plus loin en extérieur, il nous a proposé de le suivre chez lui. Sur place, un café, un moment convivial puis Sabine et moi avons commencé à nous caresser, à nous déshabiller. Il est resté discret, ne demandant ni n'exigeant rien. Il a lui même proposé d'enfiler un préservatif quand elle lui a demandé s'il souhaitait qu'elle le masturbe.
Elle l'a branlé délicatement pendant que je lui léchais sa chatte gonflée et trempée et tout en me demandant de la sodomiser, elle a attiré le sexe tendu vers sa bouche... Même avec le préservatif, notre voyeur ne cachait pas le plaisir qu'elle lui procurait. Elle s'appliquait à succionner délicatement le gland épais. Nous avons joui tous les trois en même temps.
La seconde rencontre s'est déroulée lors d'un séjour dans un petit hôtel sur la côte normande. Nous avons été surpris dans le couloir alors que je la photographiait dans le plus simple appareil, ou presque... Ambiance feutrée, moquette épaisse dans les couloirs, boiseries, nous étions persuadés d'être seuls à notre étage. C'était sans compter sur ce client. Il a beaucoup apprécié cette rencontre fortuite et nous a proposé de continuer... Ce que nous avons fait. Il ne s'est pas ému quand nous nous sommes rapprochés, ni même quand Sabine est tombée à genoux pour me prendre en bouche. Elle lui a proposé d'enfiler un préservatif qu'il est allé chercher dans sa chambre. Elle nous a sucé alternativement puis s'est installée sur une banquette dans le couloir pour que je la prenne ; d'abord dans son ventre, puis, à sa demande, je suis allé fouiller ses reins, profondément...
La voir sucer un sexe duplique mon désir et accélère la survenance de ma jouissance. Mais je me suis fait violence, retenant au maximum mon éjaculation, nous étions dans le couloir du dernier étage, nous ne risquions pas d'être surpris mais nous devions rester discrets. Elle pompait le sexe avec gourmandise, presque avec violence. Le quadra caressait ses cheveux, rythmant les allers et retours de la bouche de Sabine refermée sur sa queue. Cette fois elle a joui la première. J'ai senti les contractions de son sphincter anal sur ma queue et je me suis répandu en elle, bien au fond de ses reins. Elle a proposé à son partenaire de se répandre sur ses seins, il a ôté le préservatif et à ma grande surprise -et pour mon plus grand plaisir- elle s'est saisie du sexe tendu qu'elle a branlé jusqu'à la dernière goutte. De retour dans la chambre elle a filé sous la douche où nous sommes restés longtemps enlacés, ses seins souillés contre mon torse. Je rebandais quelques instants plus tard et nous en avons profité pour débriefer sous la couette, j'adore pouvoir recueillir ses impressions 'à chaud'... Et elle a adoré voir le sperme jaillir et maculer ses seins. Déjà avec le premier voyeur, elle avait senti les palpitations, les contractions du sexe et le sperme qui remplissait le réservoir sous sa langue.
Notre relation évolue. Nous ne courrons pas après les occasions, nous n'avons pas besoin d'un tiers pour nous éclater, elle est terriblement inventive, très imaginative et entre nous, il n'y a aucun tabou...

Cher Ludwig, encore merci pour vos témoignages qui sont si beaux, si sensuels et qui me font me retourner sur chaque couple quinquagénaire que je croise dans le valenciennois me demandant toujours si cela ne peut pas être vous.

Comme j'aimerai être un jour ce chanceux, en tout cas, merci à vous.

Comme Jay59300 j'apprécierai d'être un des chanceux qui aurait le plaisir de pouvoir vous regarder, qui vous donnerait le plaisir d'être regardés !

Pour ma part je ne me retourne pas sur chaque couple quinqua car je vous imagine plutôt classe... et ce n'est pas la chose la plus partagée dans ce monde !

Encore merci pour ces récits...

Ne cherchez pas des quinquagénaires. Nous ne faisons pas nos âges. Ma généraliste a été surprise de voir ma date de naissance sur ma carte vitale et Sabine est dans le même cas. Et sans me vanter, son retour vers moi s'est traduit par une transformation physique qui a bluffé beaucoup de ses amis ou collègues. Et puis nous avons aussi et surtout une bonne hygiène de vie, ni alcool ni tabac, une alimentation équilibrée, de l'activité physique... Et du sexe, beaucoup de sexe.

En tout cas, encore merci pour vos récits de qualité Ludwig.

Monsieur Ludwig et Dame Sabine,

C’est avoir beaucoup d’intérêt et de plaisir que j’ai lu l’ensemble de vos récits…

Votre histoire est tout simplement magnifique et très belle… Que vous vous soyez retrouvé plus de 30 ans, cela m'a beaucoup émue ! Quel plaisir de lire ces beaux textes écrit par Monsieur… On y voit toute l’amour que vous avez l’un pour l’autre !

Depuis quelque temps, je vois que vous aimez faire rentrer dans vos jeux des tierces personnes, pour le plus grand plaisir de Sabine (voyeurs uniquement, puis voyeurs qu’elle sucent et qu’elle laisse enfin lui arroser son corps !) – Je suis à même de comprendre que Dame Sabine puisse aimer ce genre de petits jeux, moi qui apprècie les rencontres avec des inconnus en présence de mon Maître et Amant....

Je me suis crue frigide pendant plusieurs décennies parce que je suis mariée à un homme qui n’est pas capable de me donner du plaisir (un bidochon lui aussi) – Heureusement, j’ai eu la chance de connaitre un homme dominant qui a rapidement compris que j’avais besoin d’être dirigée pour attendre le plaisir absolu… Un grand merci à mon Maitre pour m’avoir fait comprendre ce que j’aimais faire et surtout être ! Depuis plus de 10 ans nous sommes ce qu'on appelle un couple illégitime (mon cocu de mari est au courant)...

Merci pour vos beaux écrits et je vous souhaite à tous les deux de profiter encore pendant de nombreuse années de votre bel amour !
Bien que je ne vous ai pas vu en photo, je sais que vous êtes un beau couple parce que l’amour rend beau !

Folette (Dame du Valenciennois elle aussi), soumise de Maître Marc (et j’en suis fière)…

Houla ! Un mois sans nouvelles ! Bon il faut dire que nous ne voyons pas le temps passer. En un mois, il s'est passé pas mal de choses. D'abord, nos deux @#$%& ne vivent plus à la maison depuis 3 semaines. J'ai plusieurs studios que je mets en location et il y en a un qui s'est libéré. Comme il était nickel, on en a discuté avec Sabine et on s'est dit que c'était peut-être un peu frustrant pour un jeune couple de vivre avec papa et maman, même si la maison est grande. Du coup, ils sont chez eux. Bien entendu, ils ne payent rien et on continue à assurer leur subsistance mais pour nous aussi, ça a été une petite libération. Sabine peut désormais déambuler à moitié nue et ce n'est pas pour me déplaire. Ni au voisin d'ailleurs. Fin février, il a profité du beau temps pour faire quelques réparations sur son toit et elle n'a rien vu pendant toute une matinée... En plus, de sa toiture, il a une vue parfaite sur la baie vitrée du salon et je pense que même s'il y a une bonne cinquantaine de mètres, il s'est bien rincé l'oeil.

Bon, nous voilà donc comme deux jeunes mariés, du coup, on teste toutes les postures dans tous les coins de la maison. Et ça tombe bien qu'on se considère comme des jeunes mariés puisque justement, on va se marier. Au printemps. L'idée nous est venue simultanément, une sorte de transmission de pensée. Je lui ai envoyé un petit mail sur sa boîte pro et de son côté, elle m'a envoyé un SMS. A une vingtaine de seconde près. C'est tellement fou qu'on s'est dit 'Oui', ce sera au printemps. Au début, le mariage n'était pas exclu mais on voulait se laisser du temps mais nous sentons bien que notre relation est sincère et profonde. Nous avons passé presque 30 ans éloignés l'un de l'autre, sans contact mais c'est comme si ces 30 ans n'avaient jamais existé. Certains nous avaient dit :

- c'est le début, ensuite, vous allez vous rendre compte à quel point vous ne vous connaissez plus.

Mais ce n'est pas le cas. Bien au contraire, la complicité est parfaite.

Côté sexe, c'est fou. Nous avons fait quelques rencontres de plus et sauf avec un voyeur, ça s'est très bien passé. Mi février, nous avons rencontré Paul, un quinquagénaire à la peau très mate, si mate que sa verge était presque noire. Nous nous sommes retrouvés chez lui, l'ambiance était très sympa, boiseries, murs de pierre et feu dans la cheminée... On se sentait comme chez nous. Nous avons commencé à nous caresser devant Paul, à faire l'amour et il bandait fort. Il se tenait à distance, très respectueux lorsqu'elle lui a demandé de s'approcher. Quand elle a enroulé ses doigts autour du sexe tendu, j'ai su que quelque chose allait se passer. Elle a d'abord caressé lentement le sexe, l'a décalotté délicatement puis elle l'a attiré vers sa bouche. Elle était sur le dos, j'étais en elle... Son regard a cherché mon approbation et quand elle a compris que nous étions en parfaite osmose, sa langue s'est enroulée sur le gland ; je suis sorti d'elle et je l'ai retournée, allongée à plat ventre sur le lit, elle pouvait désormais sucer Paul. Ma queue était tendue comme jamais et elle était si excitée que je me suis enfoncé d'un coup dans ses reins... En la sodomisant, j'avais une vue parfaite sur sa bouche qui allait et venait sur la tige noire, tendue, luisante de salive. Je me suis surpris à lui susurrer dans le creux de l'oreille :

- Applique toi, suce le gland, avale le bien...

Elle s'appliquait, suivait mes conseils et je voyais la tige disparaitre dans sa bouche. Je la récompensais alors en amplifiant mes mouvements de reins et je la sentais onduler.

De son côté, Paul participait lui aussi à nos échanges :

- Tu es dans son cul ? Elle est bien ouverte ?

Et vers elle :

- Tu aimes te faire enculer ? Tu prends du plaisir ? Tu aimerais ma belle queue ?

Elle gémissait, incapable d'articuler... Elle miaulait comme une chatte, se cambrait, alternait succions et coups de langues.

La queue de Paul était très tendue, elle semblait avoir encore grossi. Il tenait bon. Elle ne cherchait pas à le faire jouir à tout prix, juste à lui donner du plaisir ; de mon côté, je préférais aussi les mouvements lents et amples. Son anus était totalement dilaté, je crois que nous aurions pu y être à deux, cette pensée m'a effleuré l'esprit puis j'ai essayé de la chasser pour ne pas jouir immédiatement. Ma main s'est aventuré à la recherche de sa vulve, je l'ai trouvée brûlante, dégoulinante d'une mouille épaisse, gonflée de plaisir.

Paul s'est alors manifesté :

- Je crois que je ne vais plus tenir très longtemps !

Elle s'est arrêtée, a tourné son visage vers moi. J'ai vu qu'elle voulait aller plus loin. Sans un mot j'ai accéléré le rythme, projetant ma queue tendue au plus profond de ses reins, rebondissant contre ses fesses cambrées. Elle, de son côté, s'acharnait sur le sexe tendu de Paul. C'est lui qui a craqué le premier, un râle de plaisir pendant qu'il se vidait dans sa bouche. Ensuite nous avons explosé en même temps. Exploser est le verbe approprié. J'étais à la limite de la douleur pendant que je remplissais son cul. Elle, de nombreux soubresaut secouèrent son corps longtemps après les contractions. Elle avait mouillé les draps. Nous étions haletants, vidés, elle s'est retournée vers moi et nous nous sommes longuement regardé puis nos langues se sont cherchées et nos bouches se sont trouvées. La sienne avait le goût de son amant.

Après un moment, Paul nous a proposé une douche, nous avons accepté et nous nous sommes retrouvés à trois dans une grande douche italienne. L'eau chaude et le savon coulaient sur nos peaux... Nous nous sommes enroulés ensuite dans de grands draps de bain et nous avons accepté de prendre un café. Quand Sabine s'est levée pour se sécher devant la cheminée, que nous avons vu le reflet des flammes sur son corps et que j'ai croisé son regard, j'ai compris que ce n'était pas fini.

Quand Sabine et moi nous nous sommes retrouvés, nous avons constaté que notre libido était conséquente et que le sexe était une composante importante de notre couple. L'avantage de la maturité, c'est qu'à défaut de savoir ce qu'on veut, on sait ce qu'on ne veut pas. Nous ne voulions pas vivre à moitié, en demie teinte. Nous ne voulions pas avoir de regrets. Les hasards de la vie nous avaient laissé une seconde chance et nous avions conscience de cette opportunité. La question du libertinage est venue naturellement et d'un accord commun, nous avions décidé de ne rien forcer, de laisser les choses se faire. Quand elle a découvert que s'exhiber lui procurait une forte excitation et que moi même, j'étais très enjoué à l'idée de la voir ainsi, nous nous sommes dit que sans pour autant forcer, nous allions être plus attentifs à une initiation potentielle aux plaisirs multiples... Elle avait masturbé des voyeurs, en avait sucé plusieurs dont un sans préservatif. Elle venait de faire jouir Paul avec et dans sa bouche et je voyais dans son regard qu'elle ne comptait pas en rester là. Paul était certainement le candidat idéal. Dragueur sans être prétentieux, il avait de l'humour sans être lourd, du savoir-vivre sans être timide. Physiquement, il s'entretenait et restait endurant. Alors bien sûr, la taille ne compte pas mais n'empêche que Sabine est sensible à la vue d'une belle tige tendue et épaisse. Paul avait la peau si mate que sa tige aurait pu passer pour celle d'un black et Sabine fantasmait aussi un peu là-dessus (Mais juste 'un peu' selon ses aveux !). Le processus initiatique était en marche, nous n'avions pas d'idée quant à la suite des évènements mais je lui faisais confiance : elle connaissait ses limites et ne faisait rien uniquement pour me faire plaisir. Elle m'a rejoint, nue. J'étais assis, elle debout et j'ai commencé à embrasser son ventre, ses seins. Sa peau était chaude, parfumée. Mes mains caressaient ses fesses. Paul s'est levé, il s'est approché et s'est délicatement collé à elle. Il n'était pas très grand et sa queue s'est logée entre les globes fessiers de ma belle tandis que ses mains se saisissaient des seins. Nous sommes restés ainsi un bon moment. En me penchant pour embrasser son buisson noir, j'ai aperçu la queue de Paul. Il bandait de nouveau et avait glissé sa queue entre les cuisses de Sabine, la plaquant contre sa vulve toujours gonflée et humide de nos ébats.
Sabine s'est assise, je me suis levé. J'ai laissé tombé le drap de bain. Je bandais moi aussi. Elle s'est saisie de nos verges gonflées, une dans chaque main, nous adressant un regard à la fois complice et coquin. Elle a sucé alternativement nos bites, gourmande, terriblement excitante. Elle s'évertuait à nous donner à chacun le même plaisir, jouant de sa langue, de ses lèvres, elle était experte. Sans trop nous en apercevoir, du moins me concernant, on s'est retrouvé de nouveau sur le matelas du canapé-lit. Elle est moins allongés face à face, nous embrassant, lui derrière elle, lui caressant les seins et titillant ses orifices du bout de sa queue. Ma main est descendue entre ses cuisses et j'ai senti la queue de Paul glisser contre sa vulve. J'ai été tenté de l'attraper, de le guider mais comment réagirait-il ? J'ai écarté les fesses de Sabine, je sentais le bas ventre de Paul collé contre ma main.

J'ai murmuré :

- Tu es bien ?
- Oui. Et toi ?
- Très bien. Il te fait quoi ?
- Il frotte sa queue sur ma chatte ?
- Rien de plus ?
- Il essaye de m'enculer mais il n'ose pas rentrer.
- Tu veux qu'il rentre ?
- Pas maintenant. Je gère, ne t'inquiète pas !

Petit à petit, je suis descendu le long de son ventre, jusqu'à sa vulve. Elle avait écarté les cuisses et le spectacle était fantastique. Au premier plan, sa vulve rose, lèvres et clitoris gonflés, dégoulinante de plaisir. Au second plan, la bite sombre de Paul dont le gland rose fouille l'anus de Sabine. Je colle ma langue entre ses lèvres, fouille son intimité, tète son clitoris. Elle gémit, je sens à quel point elle est excitée. La situation dure quelques instants encore, le gland disparait de plus en plus dans l'anus ouvert. Sabine se redresse puis demande à Paul un préservatif. Il le lui tend, s'allonge sur le dos. Elle déroule la capote sur le vit turgescent... La scène est surréaliste, terriblement excitante. Puis elle s'allonge et nous dit :

- Chacun son tour !

Paul insiste pour que j'ouvre la voie. Elle est trempée, je glisse dans son ventre, rentre et sort tendrement, profitant d'elle en imaginant ce qui va suivre. Hors de question de jouir, je me retire, Paul se présente, la pénètre, elle gémit, me tend la main, il lui laboure le ventre :

- Oh tu es bonne, tu mouilles bien. Tu aimes ma queue ?

Elle se mord les lèvres, gémit, les yeux fermés.

Paul reste un bon moment en elle et se retire, je prends la suite. Paul insiste :

- Mets lui bien au fond, fais la jouir, vas-y !

Je bande terriblement. Elle demande à Paul de se mettre sur le dos :

- Je vais venir sur toi.

Elle s'empale sur la grosse tige. Je comprends alors que le chacun son tour est terminé et qu'une autre alternative s'impose ! Mais laquelle ?

Vous nous aviez manqué ce mois ci.
Félicitations pour le mariage !
Hâte de lire la suite!

Oui Coquinvoyeur, vous vous trompez. Je ne voulais ni gâcher ce moment ni être trop pressé. Elle était empalée sur le sexe de Paul et prenait son pied. Je la voyais monter et descendre en cadence, les fesses cambrées. Bien entendu, la tentation était grande et elle était double... Rejoindre Paul dans son vagin ou m'enfoncer dans ses reins... Et certainement que si elle avait été une autre, je l'aurais fait. Mais voilà, elle n'était pas une autre, elle n'était pas un coup d'un soir mais ma moitié, ma complice. Alors je me suis placé perpendiculairement à eux, agenouillé contre elle, ce qui nous a permis de nous embrasser tendrement pendant qu'elle se donnait du plaisir. Mes mains n'étaient pas en reste, celle de gauche sur ses seins, celle de droite fouillant délicatement son anus. Je sentais la queue de son partenaire au travers des muqueuses. Elle avait les tétons durs et tendus, je les pinçais, les faisait rouler entre mes doigts. Mon index et mon majeur étaient profondément fichés en elle. Elle ondulait sur Paul qui accentuait les mouvements par de grands coups de reins. Sa vulve produisait des bruits de succion, des bruits humides, accompagnés de ses gémissements. J'ai senti qu'elle commençait à se tendre, à se contracter, nos langues s'enroulaient furieusement, je ne caressais plus ses seins, je les pétrissais, mes doigts dansaient dans son fourreau brûlant. Elle a joui. Nos bouches se sont quittées, elle a essayé de contenir ses cris par des gémissements mais a échoué. J'ai senti les pulsations du sexe de Paul en elle, son anus était béant, ses seins durs.

Nous nous sommes retrouvés tous les deux allongés, l'un contre l'autre. Ses doigts refermés autour de mon sexe tendu. Je n'avais pas joui. J'étais très excité, j'avais en tête des images, des sons, des sensations. Elle est descendue et a avalé ma verge. Elle m'a sucé, lentement, délicatement, me laissant dans sa bouche longtemps après qu'elle ait dégluti une dernière gorgée de sperme.

D'habitude, on fait le point de nos jeux sexuels sur l'oreiller. Cette fois, nous n'avons pas pu attendre. Elle m'a confirmé qu'elle se sentait bien, qu'elle était comblée et m'a dit combien elle avait apprécié que ça se passe ainsi, sans précipitation, sans brûler les étapes.

Nous avons revu Paul deux autres fois, toujours selon le même scénario et avec les mêmes limites. Nous attendons simplement le moment propice. La double pénétration n'est pas une fin en soi. Lors de la dernière rencontre, j'ai eu le plaisir de la lécher pendant que Paul la sodomisait et c'était fascinant de ressentir dans bouche le plaisir que lui procurait son amant.

Superbe narration....

Quelle délicatesse, quel érotisme dans le récit de votre vécu...

Merci

Nous avons revu Paul 4 jours plus tard. Certains diront que c'est rapide mais c'est bien connu, il faut battre le fer tant qu'il est chaud et la situation actuelle est très propice à des rencontres. Nous voulions recevoir Paul mais il était moins risqué pour nous de nous déplacer, nous avons nos attestations (étant mon propre patron, je lui ai fait une attestation) et s'agissant de documents 'professionnels', la contrainte est moindre. Robe pull moulante et courte noire, bas couleur café, elle ne portait aucun sous-vêtement et dans la même ambiance feutrée que quelques jours plus tard, nous nous sommes rapidement retrouvés en situation et pour ainsi dire, dans la même situation. Le sexe de Paul dans sa bouche, le mien dans ses reins. C'est elle qui l'avait voulu ainsi, ce n'était pas innocent. Paul a posé les mêmes questions que quelques jours auparavant mais cette fois, la réponse de Sabine a été très directe :

- Tu voudrais m'enculer ? Je suis bien ouverte.

Paul ne s'est pas fait prier et en deux temps, trois mouvements, le préservatif était déroulé sur sa verge tendue. Il s'est positionné dès que je suis sorti. Sabine couchée sur le côté, les jambes ouvertes, Paul contre elle en chien de fusil... Moi, j'ai retiré le préservatif que j'avais enfilé pour la sodomiser et je me suis placé de façon à avoir la bouche à hauteur de la vulve de Sabine et qu'elle puisse me sucer. J'étais à peine installé que la queue de Paul s'enfonçait en elle. Il faut dire que le terrain était préparé, ce qui ne l'a pas empêchée de manifester son plaisir par un 'ooohh'...

De mon côté, j'ai commencé à me délecter de sa chatte trempée, la vue sur la queue de Paul lui pistonnant l'arrière train m'excitait au plus haut point et au vu de la quantité de liquide qu'elle émettait, elle semblait prendre elle aussi beaucoup de plaisir. Paul lui soutenait la jambe, il s'extirpait de son anus puis, dans un lent mouvement, réinvestissait son fourreau anal jusqu'à la garde. Elle gémissait beaucoup, tellement que je me demandais si elle gémissait autant avec moi. De temps en temps, sa bouche m'avalait, elle suçait mon gland mais une nouvelle poussée de Paul la déconcentrait alors de sa tâche.

Elle s'est alors retournée vers Paul lui demandant de se retirer quelques instants. Changement de position. A genoux sur le bord du lit, elle lui offrait désormais sa croupe. Je me suis glissé sous elle pour rester au plus près du spectacle, un peu comme un gosse trop curieux. Elle m'a attrapé par les couilles pour m'attirer dans sa bouche. Elle me suçait profondément, intensément. Paul était positionné, la queue raide contre l'entrée de ses reins. Toutes les conditions étaient réunies pour que la tendre sodomie se transforme en une saillie sauvage. Au début, ce ne fut pas vraiment le cas, Paul la pénétra lentement, reprenant le rythme précédant. Ce fut elle qui l'encouragea et dans ces moments là, elle avait pour elle la force des mots :

- Baise moi fort, mets la moi plus profond, encule moi !

Difficile de rester stoïque et Paul le tendre se transforma alors littéralement, projetant sa queue au plus profond d'elle par de puissants coups de reins. Elle aimait ça, son plaisir coulait dans ma bouche. Sa main était crispée sur mes couilles. Dans d'autres circonstances, ça aurait été douloureux mais dans le cas présent, c'était juste extraordinaire. Elle a soudain exprimé une sorte de satisfaction nouvelle, un cran de plus dans les gémissements. C'est ce changement qui m'a tiré d'une certaine torpeur et m'a fait prendre conscience qu'il y avait un petit problème : la queue de Paul continuait à aller et venir en elle mais elle était nue... Ce qui restait du préservatif enserrait la base du sexe de Paul. J'ai tout fait arrêter, je dois dire que j'ai eu un peu de mal. Paul était tout penaud, il ne s'était aperçu de rien. Sabine n'était ni affolée, ni inquiète. Elle a juste reconnu que d'un coup, elle avait ressenti une sensation différente et qu'en fait... Ca lui avait bien plu !

Paul avait un peu débandé, il a avoué que lui aussi avait ressenti une certaine sensation différente mais qu'il pensait que c'était le rythme imposé qui avait provoqué ça. Et d'après ce qu'il disait, ça avait failli le faire jouir... Sabine nous a regardé :

- Bon, ça n'aurait pas été la fin du monde non plus !

Puis se tournant vers Paul :

- On te fait confiance !
- Ah mais vous pouvez, je suis parfaitement sain, rien à craindre.

Paul était en train de remettre un préservatif, je crois que la nonchalance de Sabine l'avait excité et il bandait de nouveau.

Elle s'est approchée de moi, m'embrassant puis, susurrant à mon oreille :

- Il aurait pu se vider en moi... Tu en penses quoi ?

Je n'ai rien trouvé à dire, j'ai plongé ma langue dans sa bouche, avec l'envie terrible de la saillir bestialement. Ce qu'elle disait ne me laissait pas indifférent. Non seulement ça m'excitait mais en plus, ça avait ouvert une petite porte, quelque part dans mon esprit. Que voulait-elle que je réponde ? Que ça m'aurait excité de la voir prise ainsi ? Que j'aurai adoré plonger ma bite en elle et y sentir le foutre chaud de son amant ?

Paul était prêt mais elle a insisté pour qu'on 'essaye un truc'.

Elle s'est empalée sur moi, sa chatte était trempée, brûlante, j'ai senti la verge turgescente de Paul de l'autre côté de sa muqueuse. Elle gémissait.

Paul lui a demandé :

- Alors, ça te plaît d'être aussi bien remplie ? Ton mari dans la chatte, moi dans ton cul, tu es la reine aujourd'hui !

Elle m'a regardé et m'a dit :

- Toi aussi, parle moi comme ça !

J'étais un peu décontenancé.

- Deux bites en toi, on va te baiser fort, Paul va exploser la capote et on se videra les couilles en toi.

Elle a gémit plus fort, pas vraiment un gémissement, plutôt un couinement, visiblement ça l'excitait alors nous sommes passés des mots aux actes.
Prendre une femme à deux n'a rien de simple. Parfois, elle bougeait sur moi et j'accompagnais ses mouvements par des coups de reins et Paul devait s'efforcer de suivre le rythme.
D'autres fois, elle projetait son bassin vers l'arrière pour sentir au mieux la bite de Paul dans ses reins et dans ce cas là, c'est moi qui devait me maintenir dans son ventre.

Paul et moi échangions sur elle :

- Elle en veut, son cul est ouvert comme une chatte !
- Je sens ta queue quand tu l'encules, défonce lui le cul !
- La salope, on dirait qu'elle a fait ça toute sa vie !
- Elle a la chatte en ébullition, elle aime vraiment la bite en double !
- Si j'étais pas raisonnable, j'arracherais la capote et je lui remplirais le cul !
- Tu viendrais dans sa chatte, toi et moi, une bonne dose de jus !

Et c'est là qu'elle a jouit. J'ai cru qu'elle me pissait dessus ! j'ai continué à pousser ma queue dans son vagin et j'ai senti les contractions de la bite de Paul. Du coup ça m'a fait partir moi aussi. Planté en elle jusqu'à la garde. Nous sommes restés ainsi un petit moment, puis on a bougé. Elle a retiré la capote de Paul avant de le sucer quelques instants. Puis elle est passée à moi.

Cette fois là, il n'y a pas eu de deuxième fois. Mais ça a fait bougé pas mal de nos repères.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/04/21 15:58 par Ludwig.

Quel récit, on vit la chose de l'intérieur, si je puis dire. On s'y croirait vraiment. Merci

Bien entendu, nous avons reparlé de tout ça le soir sur l'oreiller... Nous sommes tombés d'accord sur le fait que nous pouvions faire confiance à Paul, je sais que c'est parfois difficilement explicable mais il y a certaines personnes avec lesquelles le courant passe très bien immédiatement et d'autres, qui sont tout aussi sympathiques avec lesquelles c'est plus difficile. Bref, nous avions trouvé en Paul le complice idéal et la confiance qui s'était installée nous avait très certainement permis d'avancer. De lâcher prise. Nous n'avons pas évoqué directement le port ou pas du préservatif mais Sabine avait assez insisté sur la différence de sensation qu'elle avait ressenti. Que ce soit par le passé ou maintenant, elle avait toujours réagi de façon très primitive aux contacts.
Nos premiers rapports avaient débuté avec préservatif mais au bout de quelques minutes elle avait eu besoin de sentir ma verge directement en elle alors durant quelques mois, nous avions un peu joué avec le feu, je me retirais le plus vite possible et je me répandais, au début sur la toison noire de son pubis, par la suite sur sa vulve. Puis elle avait commencé à prendre la pilule et l'orgasme qu'elle avait ressenti pendant que je me vidais en elle avait été décuplé par rapport à ce qu'elle connaissait jusqu'alors. Elle me racontait avoir ressenti les jets de sperme sur ses muqueuses, la chaleur de la semence en elle.
Ce côté primitif était toujours là. Nous avons la cinquantaine et encore peut-être 15 belles années devant nous du point de vue sexuel. Je sais que c'est un raisonnement hâtif mais la recherche de plaisir tenait compte de ce besoin de vivre les choses plus intensément. A trente ou quarante ans, nous ne prenions pas conscience de ce temps qui passait mais en nous retrouvant, le temps et sa fuite perpétuelle en avant s'étaient imposés.
Nous avons fait l'amour juste après, elle avait 'souffert' de la sodomie intense de Paul mais a insisté pour que je saillisse ses reins. Son orgasme s'est déclenché quand je me suis répandu en elle et je me suis demandé si elle n'était pas en train de fantasmer sur le fait que ce soit Paul et non moi qui remplissait son fourreau anal.
Nous sommes restés un petit moment unis. Puis elle a tourné son visage vers moi et m'a dit en souriant :

- Tu sais que je n'ai jamais été fan du latex...

Il nous a fallu attendre cette fois plus longtemps. Nos emplois du temps ne nous avaient pas permis de nous libérer alors c'est le samedi suivant que Paul est venu. Cette fois, c'est nous qui recevions. Nous sommes désormais seuls dans la maison et ce samedi, notre couple de rejetons étaient occupés. Il était donc fort peu probable de les voir débarquer. Dans un premier temps, nous sommes restés dans le salon, du feu dans la cheminée, ambiance tamisée. L'échauffement s'était déroulé de façon classique, la robe ultra sexy de Sabine s'était vite retrouvée enroulée autour de sa taille et elle avait jugé plus simple de s'en séparer. Confortablement installée sur le canapé, cernée par Paul et moi, elle avait profité de nos mains, nos bouches sur son corps. Nous nous étions partagé ses tétons, chacun un ; nos doigts avaient fouillé sa vulve qui petit à petit s'était humidifiée jusqu'à devenir une étuve. De son côté, elle nous avait empoigné, une verge dans chaque main et avait achevé de nous faire grossir dans ses mains. Lorsque nous avions décidé de passer à l'étage, elle nous avait guidé en nous tenant le sexe. Nue, perchée sur ses talons, c'était une scène particulièrement chargée d'érotisme. Nous avions longuement hésité : notre lit et son matelas en 160 ou celui de la chambre d'ami en 140... La chambre d'ami avait gagné. Façon aussi pour nous de séparer notre couple et nos ébats libertins. Sur le chevet, gel lubrifiant, lingettes, préservatifs et deux de notre plus jolis godes.

La température est montée vite, Sabine s'occupait alternativement de nos deux sexes, malaxant nos couilles à la limite de la douleur, elle venait ensuite nous soulager. Paul était très excité. Il soufflait, gémissait. Il nous avait expliqué qu'il s'était abstenu de toute masturbation depuis notre dernière rencontre, sauf le soir même où il n'avait pu s'empêcher de se donner du plaisir en se remémorant les moments vécus quelques heures plus tôt. Sabine l'a regardé en lui caressant la verge :

- Elle va être très généreuse alors !
- Oui mais attention en jouant avec, elle pourrait exploser à l'improviste !

Sur ces mots elle est venue s'empaler sur moi tout en gardant la verge de Paul dans la main. Son bassin ondulait et je sentais la caresse mouillée de sa vulve sur la base de mon sexe...

Puis elle s'est penchée vers moi :

- Je vais faire un truc qui va te plaire...

Elle s'est relevée, a enjambé Paul. Les cuisses écartées au dessus de la bite raide de notre complice. Elle s'est saisie de la belle tige et a commencé à frotter le gland violacé contre sa vulve, l'enduisant de mouille. Elle m'a regardé et m'a dit :

- Approche toi et regarde...

Le gland de Paul coulissait entre les lèvres gonflées. Au début, c'était la pointe puis petit à petit, le gland entier fut avalé. La caresse était désormais plus intense, je ne voyais plus le gland que lorsqu'il ressortait pour appuyer sur le clitoris. Elle mouillait beaucoup, c'était désormais toute la tige sombre de Paul qui prenait des reflets satinés. Puis elle s'arrêta. Je savais que la bite de Paul, sa bite nue, se trouvait pile dans l'axe du vagin. Elle s'y est empalée lentement, jusqu'à la garde. Puis elle m'a regardé :

- Embrasse moi.

Nos lèvres se sont collées pendant qu'elle commençait à onduler, la bite de Paul contre ses muqueuses, elle respirait fort.

Ils ont changé de position, sur le dos, cuisses ouvertes, offerte. Paul a commencé à la saillir, sa queue raide allait et venait, allongé à côté, j'embrassais Sabine tout en gardant un oeil sur ce qui se passait plus bas. Je bandais fort, prêt à prendre la suite du membre de plus en plus sombre qui lui ouvrait le ventre. Elle gémissait, je me suis souvenu que les mots l'excitaient :

- Il te baise bien ?
- Oui, je le sens bien.
- Tu sens quoi ?
- Je sens sa queue chaude, je sens sa peau.
- Tu sais qu'il va te baiser à fond ? Tu sais qu'il va te remplir ?
- Oui j'ai envie...
- Il va vider son sperme chaud bien au fond !

Paul a grogné à ce moment là. J'ai vu sa queue plantée au plus profond de la chatte de Sabine, les spasmes puis les yeux révulsés de Sabine, sa bouche ouverte dont les cris restaient coincés dans sa gorge, les soubresauts de son ventre. Paul est resté collé à elle jusqu'à ce que je vienne.

- La place est chaude ?
- Chaude et bien lubrifiée. Quelle femelle !

J'ai pénétré Sabine, jusqu'à la garde, ce n'était pas évident au début puis j'ai senti la semence de mon prédécesseur.

Elle avait recommencé à onduler, je résistais à l'envie de la baiser fort, la situation m'excitait, je me penchais alors sur elle :

- Ta chatte est pleine de sperme, tu sais ce que tu es ?
- Je suis ta salope !
- Je vais t'en remettre une autre dose, tu aimes ?
- Oui, j'en veux.

Paul est rentré dans le jeu :

- Je me suis bien vidé en toi, maintenant ton mari. Tu vas encore jouir ?
- Oui je sens que ça monte dans mon ventre !
- Tu as la chatte qui dégouline, ça coule, les coups de bite de ton mari sont en train de faire une belle crème.
- Baise moi fort !

J'ai lâché le fauve, chaque coup de reins la faisait sursauter, son ventre venait se plaquer contre moi. Moi aussi je me suis vidé en elle, j'ai eu l'impression que mes couilles remontaient dans mon ventre, elle a jouit de nouveau.

Elle m'a regardé l'oeil pétillant, satisfaite. J'ai caressé sa vulve gonflée de plaisir, poisseuse. Quand j'ai commencé à lui sucer les tétons, elle n'a pas vraiment compris, pas plus que quand je suis descendu le long de son ventre en léchant et embrassant sa peau. Je crois qu'elle a commencé à se douter de quelque chose lorsque j'ai posé mes lèvres sur son pubis. Sa toison était vierge de toute semence mais plus bas, une source épaisse et blanchâtre s'écoulait lentement. Quand ma bouche s'est collée sur sa vulve, elle a eu un sursaut. Elle a protesté mollement mais a plaqué ma tête contre son bas-ventre lorsque ma langue s'est introduite en elle.

Merci à vous pour ce partage, c'est un plaisir de vous lire à chaque fois.

Cdlt

Merci pour ces récits superbement écrits !
Sabine apprécie t elle aussi les longs préliminaires, les jeux de mains, de doigts, de bouche, de langue... ?

Oui elle aime énormément les jeux de langue(s) et de doigts. Elle adore que je lui trifouille la vulve, que j'étire ses grandes lèvres et que j'expérimente sur elle. Dernièrement je lui ai léché longuement le méat et elle a vraiment beaucoup aimé.

Histoire bien excitante et bien racontée
Plus de suite???

Nous sommes toujours là... Retour de belles et longues vacances. Je vous raconterai ce que nous devenons.

OHH!! Merci pour ce jolie partage
quel plaisir de te lire

Bonne année à tous. Nous sommes de retour.

Bonne année et surtout bonne santé tu as de nouvelle aventures à nous raconter hâte de les lire

Bonjour à tous,

Les choses suivent leur cours. Nous nous sommes mariés, sa fille et mon fils poursuivent leur histoire commune. Et pour ce qui est de notre vie, elle est aussi en pleine mutation puisque nous allons quitter notre région pour aller ailleurs. La maison est vendue, j'ai aussi cédé une partie de mes parts dans l'entreprise et elle s'est mise en disponibilité de la fonction publique. Nous allons reprendre un petit commerce de proximité en zone (très) rurale, un peu plus au sud. Nous avons eu envie de profiter de la vie, et notamment des quelques belles années qu'il nous reste avant que la santé commence à se barrer en sucette.
Ce n'est pas simple comme décision. Nous avons nos parents à proximité, nos familles, nos amis, une partie de mes @#$%&, sa fille unique.

Nous avons largement de quoi vivre confortablement alors autant en profiter vraiment.

Côté sexe, on fonctionne toujours aussi bien. Au début je me disais que ça allait être un passage, l'envie de rattraper le temps perdu, de ne pas mourir idiots. Mais ça dure, ça devient plus intense. Nous avons plusieurs amis de jeux, on fait deux à trois rencontres par semaine et entre deux, on baise sans arrêt. Deux à trois fois par jour. Elle devient accro à la sodomie et une professionnelle de la cravate de notaire. Elle a goûté de nombreuses fois à la pluralité, a adoré. Nous privilégions les relations suivies ce qui lui permet d'avoir des expériences en accord avec ses envies et ses goûts. Bref, on s'éclate.

Un plaisir d'avoir de vos nouvelles !
Excellente année 2022 a vous deux

En attente de vos nouvelles !

Et bien, sacrée lecture pour une sacrée histoire!!!!

Je viens de tout lire, et j'ai vraiment aimé ce mélange de romantisme (30 ans après...) et de ... .
Bonne continuation.

Nous voilà sur la région Parisienne pour environ deux à trois semaines.
Nous logeons chez un ami qui est en mission pour quelques mois, on est à Parmain, un coin sympa, pas loin de l'Oise.
On va en profiter pour quelques sorties coquines car elle est très chaude en ce moment, au moins autant que la météo.

La semaine dernière, j'étais sur place durant deux jours en 'éclaireur', je suis allé faire un tour au Cassandre à St Ouen l'Aumône. Plutôt sympa au niveau des installations et j'ai repéré le glory hole du bas et les cabines d'exhib. Nous en avons parlé et elle mouillait rien qu'à s'imaginer. Donc elle est vraiment chaude pour y aller mais par contre, c'est la population locale qui m'inquiète un peu. J'ai eu l'impression que c'était très orienté bi-gay et plutôt des hommes très (trop ?) mûrs.

En plus, fermeture à 19h...

Bonjour
robin dispo pour vous
je suis a 15 minutes de parmain
je connais d autre endroit sympa pour jouer dans le coin
baisers a tres vite

Je decouvre ce recit que j'ai lu du premier episode au dernier : wouhaou....
Tu nous vends du reve, on aimerait tous avoir cette vie sexuelle trepidente.
Tres agreable a lire.
Profitez a fond des plaisirs de la vie dès que c'est possible, mais pour ca, nous n'avons aucun doute ! Tendres Bises a Madame...

@ludwig, bonjour je connais bien le Cassandre, si vous voulez être tranquilles et choisir vos partenaire vous pouvez vous enfermer dans une des cabine ou dans le salon du bas. Je peux y être demain mardi 21 juin après midi pour vous accompagner car je connais bien les lieux et le parton. Envoyez moi un mp

Quelle belle histoire, un grand merci.

Bonjour à tous,

voici quelques nouvelles. Nous avons complètement changé de vie. Nous avons repris une petite épicerie dans une zone rurale. On a développé un peu l'affaire et pour le moment, ça marche bien. Nous fermons le dimanche, le lundi (jour de marché) et un mercredi sur deux. On ne veut pas se faire 'bouffer' par le travail. Nous avons acheté une maison à proximité, il nous en reste sous le pied et on se dégage assez pour vivre correctement. Nous ne sommes pas dans le sud mais bien plus au sud que lorsque nous étions tout là-haut. Franchement, même si ce n'est que le début, c'est assez sympa. On fait les colis, dépôt de pain, de journaux et il y a une partie du commerce qui pourrait devenir rapidement un petit bar. La patronne est sexy, ça fait jaser mais moi, ça me fait bander.
Mon fils et sa fille filent le parfait amour, ils sont venus nous remplacer pendant quelques semaines et nos clients étaient 'surpris'. Ils nous voyaient en plus jeunes et certains ont eu du mal à comprendre que dans ce jeune couple, la fille ressemble autant à la patronne et le garçon autant au patron. Bon, ça va mieux dès qu'on explique le pourquoi du comment et globalement, les gens trouvent ça 'formidable'. Nous ne travaillons pas tout le temps l'un avec l'autre. Il y a des livraisons à faire de temps en temps, des achats à récupérer. Chaque moment de retrouvaille se traduit par un petit intermède intime dans la réserve, entre deux clients.
Notre vie sexuelle est au top. Déjà entre nous deux. Pas un jour sans sexe. Jamais de migraine, toujours partante pour un bon moment de sexe, qu'il soit rapide ou plus élaboré. C'est tout le contraire de la poupée qui dit non, elle dit toujours oui, me surprend même par ses initiatives, ses envies pressantes de baise, à peine rentrés. Elle excelle dans la fellation sur le palier, raffole des sodomies à la hussarde, des cunnilingus sur un parking de centre commercial. Elle possède une dizaine de godes, sans compter d'autres gadgets plutôt sympa comme cet oeuf vibrant avec commande à distance. Quel plaisir de la voir se tordre discrètement en encaissant un client. Sans parler de ce regard qu'elle me lance et je sais alors qu'elle saura me rendre la monnaie de ma pièce... Elle sait y faire. Elle a des godes xxl et qu'en plus nous avons reçu directement. Il les déballait dans la réserve et a parfois eu du mal à patienter jusqu'au retour à la maison pour tester.
Voilà pour notre vie sexuelle intime. Pour ce qui est de notre vie sexuelle publique, elle n'est pas en reste pour l'évolution. Nous continuons à voir Paul qui vient nous voir de temps en temps et avec lequel l'intimité est au top. Il prend Sabine aussi naturellement que moi et se répand en elle. Il n'est pas le seul. Nous nous sommes fait quelques amis sur la région et il nous est arrivé de nous retrouver à 4 pour la satisfaire. Plus généralement, nous retrouvons une à deux fois par semaine des amis. Parfois un seul, parfois deux, parfois plus. A l'exception d'un très jeune homme de 19 ans (un véritable taureau), tous sont des hommes mûrs et parfois mariés, discrets tant ils sont heureux d'avoir trouver dans ces contrées désertes une femme aussi disponible. Je participe systématiquement, elle a des exigences mais en contrepartie, elle sait satisfaire ses amants, aussi divers soient-ils. Son jeune taureau ne jure que par la saillie intense de son cul. Il la sodomise profondément, intensément. Pendant qu'il s'acharne dans ses reins, elle me suce. Nous avons essayé la double avec lui mais il est bien trop fougueux. Elle sait me faire ressentir au travers de sa bouche tout le plaisir qu'elle prend, jusqu'à ce moment d'extase où elle sent la semence dans ses reins. Avec un autre, c'est la double vaginale. Il aime me rejoindre dans son fourreau. S'introduit lentement dans sa fente poilue tout en lui titillant l'anus qu'il fouillera ensuite de ses doigts épais. Généralement, nous jouissons tous les trois en même temps, sinon, l'éjaculation de l'un déclenche celle de l'autre et elle explose de se sentir si remplie. Il y a eu aussi ce client, la soixantaine qui venait chercher son pain chaque jour après son sport... La verge moulée dans un collant de course. Elle ne pouvait s'empêcher de regarder, il ne pouvait que s'en rendre compte, d'autant que lui même n'était jamais en reste au moment de jeter un oeil dans son décolleté ou de reluquer ses fesses moulées dans un leeging noir en vinyl. Lors de la première rencontre, elle a déballé sa tige comme un cadeau de noël. Il s'est avéré un grand admirateur de sa chatte au naturel (mais entretenue). Il avait promis de se contenter de frotter son gland entre les lèvres de ma belle... Elle, elle n'avait rien promis, elle l'a attirée en elle, surprise de pouvoir s'enfiler un sexe aussi massif d'une seule traite. Il a insisté pour jouir hors d'elle, la privant d'un orgasme certain (elle s'est rattrapée sur ce point). Il a projeté jusqu'entre ses seins de longs jets d'un sperme épais avant de guider son sexe sur les poils pubiens de Sabine pour s'y vider. N'ayant pas eu son orgasme, elle s'est alors caressée, doigtée avec une intensité rare, utilisant le sperme encore chaud pour se stimuler encore plus. François a sursauté quand elle a crié et la voyant éjaculer, s'est jeté entre ses jambes pour recueillir quelques gouttes de liqueur. Et puis il y a eu ce gros fantasme qu'elle a réalisé et qu'elle continue à réaliser de temps à autre. Elle rêvait d'une belle queue d'ébène mais les hommes de couleur ne courent pas les rues chez nous... Et puis il y a eu cet immense coup de bol. Roger, un antillais arrivé en France il y a 35 ans pour faire son service militaire et qui n'était jamais reparti. Il avait été embauché par un artisan dont la fille et la femme avaient succombées à ses charmes mais était finalement resté célibataire, tout en s'offrant de nombreuses aventures auprès de la gente féminine locale. Il avait finalement racheté l'affaire de son patron. Roger avait une réputation de chaud lapin et il nous a été présenté par le client sportif dont l'ex-femme avait longtemps coquiné avec Roger. Elle a donc goûté à une superbe verge noire au gland pourpre. Pour ma part, j'étais disposé à lui offrir ce moment d'intimité mais elle a insisté pour que je sois à ses côté. Je léchais donc sa vulve pendant que ses lèvres allaient et venaient autour de la verge de son amant. Elle mouille habituellement beaucoup mais le flux continu qui s'écoulait d'elle à ce moment là témoignait de son excitation. Elle a été sur le point de jouir quand Roger s'est déversé dans sa bouche. Plus tard, je caressais ses seins et je l'embrassais quand il prit possession de son ventre. Quand elle s'est retournée, j'ai compris qu'elle voulait lui offrir son cul. Je me suis glissé sous elle, la bouche sur sa chatte, une vue extraordinaire sur le braquemard de Roger lui dilatant l'anus. Une sacrée bite. Je sentais sous ma langue son clito frémir à chaque saillie. Elle a jouit dans ma bouche en sentant les contractions de la verge et le sperme remplir son cul. Je l'ai prise juste après, et je dois avouer que j'ai été satisfait et rassuré de lui arracher un second orgasme.

Voilà donc notre nouvelle vie à la campagne. Je ne parle pas des petites aventures quotidiennes : les petits hauts moulants sans soutien-gorge, l'absence de culotte, les exhibs à peine cachées, les petits coups rapides, sans lendemain, sur le bord d'une route ou dans un bois...

Une formidable nouvelle vie....
Ca donne envie de devenir client....
Hummm

Merci de nous donner des nouvelles, très bonne nouvelle vie à la campagne ;) une bise à Sabine

@Ludwig, Bonjour, merci pour le partage.
Vos récits sont touchants, sincères, croustillants (très croustillants...). Vous croquez la vie à pleine dents, et ça fait du bien.
Vous êtes de belles personnes.
Tous mes vœux de bonheur à vous et Sabine, profitez, aimez, partagez, bref éclatez-vous !



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/08/22 10:28 par Zizique59.