Nouvelle activité et donc pas de vacances pour nous cette année mais à plusieurs reprises nous avons profité de week-ends prolongés. Un ami est parti pour 3 ans aux Emirats. Il possède un fourgon aménagé et comme nous étions intéressés, il nous a proposé de le ‘tester’ durant l’été avant de nous prononcer sur l’achat. En contrepartie, ça lui permettait de le stationner chez nous.
Donc on a fait quelques virées. Fourgon de 6 mètres donc côté confort, c’est plutôt sympa. Nous avons découvert avec joie les petits coins tranquilles et un mode de vie très libre avec quelques surprises agréables en côtoyant d’autres utilisateurs de fourgons. Et je pense que de notre côté, nous avons offert également de nombreuses occasions pour les voyeurs et amateurs de situations coquines.
Tout d’abord, Sabine a vécu à moitié nue durant toutes ces escapades, nous prenions la route le vendredi soir et lorsqu’elle prenait place à bord, les vêtements qu’elle portait auraient pu tenir dans ma poche. Nos destinations n’étaient jamais très éloignées mais nous arrivions à la nuit tombée et donc obligation d’allumer les lumières intérieures pour s’installer, préparer le repas du soir, se doucher… Chose que nous faisions porte latérale ouverte. Vu la longueur de ses jupes et en l’absence de culotte, ils ont été nombreux à en profiter. Ce n’est pas qu’il y avait foule mais nous avons presque toujours eu quelques voyageurs pour se rincer l’œil.
Il y a eu un soir où nous sommes arrivés assez tôt pour aller profiter d’une baignade dans un lac. Elle est rentrée au fourgon top-less et a passé ainsi le reste de la soirée.
Et c’est sans compter sur les nombreuses douches prises à l’extérieur du fourgon et dans le plus simple appareil.
Bref des situations qui facilitent les rencontres. C’est ainsi qu’un samedi soir, un camping-car est venu s’installer à quelques mètres de nous. Il était environ 19h et nous bouquinions tranquillement en profitant de la fraîcheur relative qui commençait à se faire sentir. Elle ne portait qu’un bas de maillot, plutôt du genre ‘petit’. Dans le camping-car, trois hommes. On a su par la suite qu’ils revenaient d’un périple dans le sud-ouest où ces amateurs de vins étaient allés ‘faire le plein’. Trois copains, la soixantaine joviale, bons vivants et qui n’avaient pas les yeux dans leurs poches. Vu que nous buvions nous même un verre de vin, la conversation s’est engagée assez naturellement et la perspective de profiter du moment pour dévorer des yeux les seins de Sabine les a incité à nous proposer d’ouvrir une bouteille. Nous nous sommes donc retrouvés à 5 sur un espace restreint. Bien entendu, ils mataient sans vergogne. Et plus ils mataient, plus Sabine s’excitait ; 4 hommes, une femme presque nue, les dernières lueurs du crépuscule et du vin. Tous les ingrédients étaient là. Tout a commencé par une main sur sa cuisse, je ne sais plus auquel des trois elle appartenait mais elle a vite été rejointe. Elle s’est tournée vers moi et on s’est embrassé, passionnément. On s’est presque instantanément retrouvés entourés. Les mains sur ses seins, son corps. Nous sommes allés à l’intérieur. Je me suis assis et je l’ai attirée pour l’asseoir sur mes genoux. Elle était si excitée qu’elle a interprété ça à sa façon et a libéré ma queue ; je bandais, elle est venue sur moi. Trempée. Je me suis retrouvé au fond son ventre ; les mains continuaient à se balader sur son corps, essentiellement sur ses seins mais je sentais aussi les doigts qui s’aventuraient autour de son intimité. On s’est retrouvés tous nus. Pour elle, rien de difficile, deux nœuds à défaire. Un des hommes s’est agenouillé devant elle. Assise sur moi, son dos contre mon torse, il ne lui a fallu que quelques mouvements pour faire passer ma queue de son ventre à ses reins. Elle aime s’empaler sur moi mais généralement, elle me fait face dans ces moments là et je me délecte de voir son visage pendant que je coulisse dans son cul. Là, c’était un peu différent. Je n’ai pas vraiment coulissé en elle, son cul a avalé d’une seule traite ma queue. Sans un cri, sans un soupir. Le mec devant a plongé sur sa chatte, vu les bruits de succion, il y mettait du cœur. Les deux autres se sont partagés les tétons et eux non plus n’étaient pas vraiment tendres. J’imaginais sans peine ce qu’elle ressentait alors que ses principales zones érogènes étaient ainsi stimulées. Son corps ondulait, elle avait les deux mains posées sur la tête de celui qui s’acharnait sur sa vulve et il savait y faire. Sans m’en rendre compte, j’avais crocheté mes doigts dans ses hanches et je m’efforçais d’aller ou plus profond d’elle ; elle était complètement ouverte. Les deux qui s’occupaient des tétons se sont subitement redressés et j’ai compris pourquoi. Elle avait une main sur chaque sexe et tirait désespérément sur l’un puis sur l’autre pour les prendre en bouche. Mes mains sont allées sur ses seins dont les tétons, à force d’être succionné, étaient durs et longs. Elle a joui… Un cri rauque puis des gémissements… J’ai cessé de me retenir et je me suis vidé en elle… Nous sommes restés ainsi un petit moment. Celui qui lui léchait la vulve s’est enthousiasmé qu’elle lui ait arrosé le visage. Pas la première fois qu’il faisait ‘éjaculer’ une femme mais selon lui, une des plus belle giclée.
En se relevant, elle s’est retournée vers moi, m’embrassant tendrement. Je savais donc qu’elle n’en n’avait pas fini avec eux. Celui qui s’était occupé de sa chatte s’est mis en retrait pendant qu’elle suçait les deux autres, alternativement. Pas la fellation précipitée et entrecoupée de branlettes pour que le mec vienne le plus vite possible. De la bonne sucette, lente mais intense avec de bonnes caresses de la langue. Elle les a gardé en bouche jusqu’à la dernière goutte. Le dernier était tendu lorsqu’il s’est présenté devant elle. Un beau sexe avec un gland très saillant. Elle a commencé à le sucer lentement. Au bout d’un moment, elle m’a regardé tout en enroulant sa langue sur l’extrémité de la verge. Je savais ce qu’elle voulait et elle a su que mon silence valait acceptation. J’étais allongé sur le lit, il n’a pas été surpris quand elle s’est levée, le prenant par la main pour l’entrainer vers le lit. Elle s’est allongée sur le dos et lui a dit :
• Tu as envie de me la mettre un peu ?
• Je n’ai pas de capote.
• Juste un peu et tu te retires quand ça vient.
Il s’est avancé et a commencé à frotter son gland entre ses lèvres ; de plus en plus profondément puis sa queue s’est enfoncée en elle. D’un coup, jusqu’à la garde. Il est resté un moment ainsi avant de ressortir pour recommencer à se frotter sur sa vulve. Lorsqu’elle a d’elle-même posée les chevilles sur ses épaules, il s’est retrouvé idéalement positionné pour explorer toute la zone et s’est émerveillé lorsque son gland tout entier est rentré dans l’anus dilaté de Sabine.
Il est cependant revenu entre ses lèvres, la pénétrant de temps en temps. Quand elle lui a demandé de se frotter sur son clitoris, j’ai su qu’elle voulait sentir son sperme chaud sur sa vulve à défaut de l’avoir en elle. Il s’est vidé sur sa vulve, remplissant le sillon entre ses lèvres et laissant son clitoris nappé de liquide épais et chaud. Elle a joui immédiatement.
Nous avons passé le reste de la soirée avec nos amis qui sont repartis le lendemain matin avant notre réveil. Elle a eu d’autres aventures cet été mais celle-là, à laquelle ont participé de parfaits inconnus, lui a laissé un souvenir particulier.