Mes petites histoires...

Bonjour,

je suis Erwan, 50 ans. Contrairement à ce que pourrais laisser penser mon prénom, je ne suis pas breton.

Je vis en Ile de France depuis quelques années. Marié à une institutrice, trois @#$%&, trois voitures, un pavillon, un chien, un chat...
Je suis formateur indépendant. Je rencontre pas mal dans le cadre de mon boulot et parfois, des femmes avec lesquelles ça matche. Elles sont souvent sur Paris pour deux ou trois jours, le temps de la formation. Elles sont à l'hôtel et libérées de leur environnement habituel... J'appelle ça le syndrome de l'école buissonnière.

L'an dernier, lors du premier confinement, tout s'est arrêté. Tous à la maison. Mon épouse, mes mômes et le chien se sont exilés le soir même dans notre maison à la campagne. Moi je n'avais pas franchement envie d'aller me confiner là-bas. J'avais pas mal de boulot, des stages à réorganiser en visio et puis c'était l'histoire de 2 semaines, au plus 4...

Je me suis donc retrouvé seul. Et assez vite, la question du réapprovisionnement s'est posée. Il fallait aller faire les courses. J'avais décidé de faire ça le matin, à l'ouverture de l'hypermarché, histoire d'évite la foule. J'ai repéré une femme dans l'allée centrale, seule avec son caddy. Jolie silhouette, fine mais avec de jolies formes. Blonde avec une coupe au carré, jupe au dessus du genou, jolies jambes. J'aime les femmes minces, je sais que c'est devenu politiquement incorrect de l'affirmer mais la sensualité émanant d'un corps s'exprime tout d'abord par de belles proportions. Je l'ai perdu de vue. J'ai continué à faire mes emplettes lorsque j'ai entendu une voix derrière moi :

- excusez-moi monsieur

Je me retourne : mon inconnue. Joli visage, je lui donne 40/45 ans. Yeux pétillants et regard rieur. J'adore !

- pourriez-vous m'attraper la bouteille là-haut ?

Je m'exécute, ne sachant pas vraiment quoi dire. Je lui tends la bouteille en disant :

- je ne comprends pas qu'ils s'obstinent à faire des rayons si hauts !
- tant qu'il y aura des hommes charmants, ça ne me pose pas de problème.

Je crois que je rougis et elle le voit et sans trop savoir comment ni pourquoi, on commence à discuter un peu, de tout de rien, du confinement, de la vie. On y passe un bon quart d'heure et quand on se sépare, c'est un peu à regret. J'ai été franc, je lui ai expliqué que j'étais marié mais confiné seul, elle aussi est divorcée avec un fils étudiant sur Toulouse et donc seule... Je passe en caisse, plus de trace d'elle. Je rejoins ma voiture, sur le parking, je suis en train de charger lorsque j'entends une voix derrière moi :

- On dirait qu'on a encore des choses à se dire !

Elle est là, un cabas dans la main, je lui demande si elle est à pied. Elle me répond qu'elle vit à environ 2 kilomètres.
Voyant que le cabas semble un peu lourd, je lui propose de la déposer. Je prie pour qu'elle ne soit pas une écolo farouche, je roule en 4x4, un vrai, un Land de 2002 avec snorkel, pneus mixtes. Elle accepte.

Je range le caddy, je reviens à la voiture, je dépose son cabas sur le siège arrière (effectivement il est lourd) et je lui ouvre la portière en l'invitant à s'installer.
Le Land est haut, en se hissant à l'intérieur, sa jupe remonte haut sur ses jambes... Jolies, finement dessinées, musclées juste ce qu'il faut.

Je m'installe à mon tour.

- C'est très haut ces voitures là !

Sa jupe est restée haute sur ses cuisses, elle a croisé les jambes.

- Oui, ça permet de voir loin. Vous me guidez ?

Je sors du parking, elle m'indique une direction, je roule comme à mon habitude, tranquillement.

- Je pensais que ça allait être rustique mais en fait c'est très confortable.
- C'est anglais ! Vous roulez dans la boue mais bien installé sur un siège en cuir chauffant !

Elle rit...

- J'espère que je ne vous oblige pas à faire un grand détour !
- Pas du tout, j'habite à 4 ou 5 kilomètres, ça me fait une petite ballade et en plus, bien agréable...

Là, c'est elle qui rougit...

J'ai toujours quelques cartes de visite professionnelles dans le Land, elles sont posées sur la console centrale. Elle me les montre du doigt :

- Je peux ?
- Servez-vous !

Nous arrivons, un petit immeuble.

- Merci de m'avoir ramenée, je ne pensais pas faire autant de courses, le cabas était lourd, la prochaine fois, je prendrai la voiture.
- La prochaine fois, appelez-moi, nous irons nous ravitailler ensemble !

Elle rit.

- En attendant, j'ai votre numéro, je vous rappelle et on se boit un café chez moi ?

J'ai dit oui.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 23/04/21 11:05 par Baguito70.

Cool,c'est bien "emmanché",lol
Et bien écrit.....

Merci pour ce début de récit, espérant une suite

Je ne m'attendais pas à ce qu'elle me rappelle. Alors quand le téléphone a sonné à 12h30, je dois dire que j'ai été un peu surpris. Elle me donnait rendez-vous chez elle, vers 15h. Je lui ai dit que j'apportais les pâtisseries et je lui ai demandé si elle avait une préférence :

- Je suis gourmande, j'aime tout.

Quelques instants plus tard, je recevais par SMS son adresse et le digicode.

Douché, parfumé, il était 14h55 quand je me suis garé en bas de son immeuble. 5 minutes plus tard, mes pâtisseries à la main, je sonnais à sa porte.

Elle m'a ouvert de suite, robe pull croisée sur le devant, à la fois sage et sexy, maquillée sans excès, parfumée avec goût. En lui suivant jusqu'au salon, mon regard s'est posé sur la descente de rein, une taille fine, des hanches marquées mais sans plus, un joli petit cul. Une belle femme. Elle s'appelle Béatrice.

Elle s'est assise, a versé le café, fait passer les pâtisseries dans une petite assiette puis, avec une décontraction incroyable, s'est installée dans le canapé, bien calée au fond, jambes croisée dévoilant ses très jolies jambes gainées de noir. Et on discute, beaucoup, le courant passe bien. Elle est seule, travaille habituellement comme hôtesse d'accueil dans une concession automobile. Divorcée depuis 7 ans, un fils étudiant, le seul homme dans sa vie. Je parle aussi de moi, de mon mariage qui a en ce moment plus de bas que de hauts, de mon métier, de mes @#$%&.

Dernière tasse de café, cette fois, elle ne se rassoit pas face à moi. Ca me fait du bien quelque part, depuis mon arrivée, je ne sais où poser mes yeux, ses jambes, son décolleté, ses yeux noisettes, tout me trouble. Elle vient à côté de moi, la tension est palpable. Nous savons elle est moi qu'il va se passer quelque chose, nous savons de quoi il s'agit. Nous en avons envie mais nous sommes comme deux ados. Et puis elle pose sa main sur mon avant bras, je pose la main sur sa cuisse et là, tout se précipite. Je ne sais pas si vous avez déjà vécu cette sensation. C'est comme être sur un escabeau qui bascule, on sent que ça commence à partir mais il y a un moment de flottement où l'on se dit que non, ça ne va pas arriver et puis d'un coup, tout se précipite, tout bascule.. Et on tombe. Nous sommes tombés, très vite, elle a déboutonné ma chemise, j'ai ouvert sa robe, lingerie de qualité mais coquine, la délicatesse de ses aréoles brunes au travers du tulle, sa peau satinée, parfumée. Elle me prend la main et nous filons dans la chambre, nous reprenons notre danse horizontale. Je descend, explorant son corps, je libère les seins, j'en caresse les courbes avant de refermer mes lèvres sur un téton tendu tant il est titillé (pas mal cette suite, pas vrai ?), je passe d'un sein à l'autre, essayant d'ignorer les ondulations de son bassin. Je bande, à l'étroit dans mon boxer. Je sens sous ma verge la chaleur de son entrejambe. Je glisse le long du ventre, plat, très légèrement musclé. J'adore. La culotte est assortie au soutien-gorge. Habile patchwork de dentelle et de tulle. Le pubis est taillé, la toison n'est pas blonde mais pas brune non plus. Ni triangle, ni ticket de métro mais impeccablement net... J'embrasse délicatement sa vulve au travers de la culotte. Elle est moite, ses effluves intimes m'enivrent, m'excitent. Je baisse sa culotte. Blond foncé, châtain clair... La vulve est bombée, j'écarte les lèvres, délicatement. Ses muqueuses sont nacrées, le clitoris imposant. Ma langue s'introduit en elle, je la goûte, je la déguste, je la respire. Son jus est presque sucré, très parfumé, abondant. Son ventre ondule sous les mouvements frénétiques de ma langue, mes mains malaxent ses fesses, un petit cul ferme et souple à la fois. Elle semble aimer ces caresses sur son joli postérieur et se retourne, allongée sur le ventre. J'embrasse les deux globes sur lesquelles mes mains glissent, puis je les ouvre, je ne sais pas si c'est ce qu'elle attendait de moi mais ma langue commence à se promener sur l'entrée de ses reins. Béatrice soupire, c'est entre soupir et gémissement. Je lèche son anus rose, d'abord délicatement, puis la gourmandise cède le pas, ma langue se veut plus insistante, elle fouille, s'immisce, s'introduit. Béatrice gémit. Elle accompagne chaque tentative de pénétration de ma langue par un langoureux mouvement de reins.

Merci Baguito70 pour ce charmant récit

Le confinement commence très bien.

Superbe et excitante histoire

Elles appelle un tome 3 voire davantage

j'adore !! un super debut ! vive le confinement :p

Vivement la suite !!! C’est si joliment raconté.

La maman d ' Emma une bonne copine est veuve -- EMMA vit chez elle -- elle y amène souvent ses potes des jeunes mignons --- Un jour d'été je passe voir EMMA qui n'y est pas - elle est partie en Espagne passer la journée - La maman me dit ne te sauve pas si vite reste avec moi on va se causer un peu ! tiens assieds toi prés de moi sur le canapé - On parle de tout et de rien et au fil de la conversation elle me dit EMMA vient toujours avec des jeunes un jour je m'en ferai un --
SOLANGE est une maitresse femme bien en chair -- qui porte bien ses 67 ans -- le mari est décédé jeune elle ne c'est pas remariée et je suppose qu'elle à plus envie de bite que de mots d'Amour --
Je prends l'info au vol et lui dis - dites moi et moi je suis vieux pour vous ?
Ce que vous ferait le jeune moi aussi je peux le faire ma chère ---
Je pose la main sur sa jambe et sans se démonter elle me dit BEN ESSAIE DONC MON CHERI me fixant d'un regard langoureux ----
La coquine me tend sa bouche je la couche sur le canapé nos bouches se collent elle embrasse comme une reine '' mieux que sa fille que je baise à l'occasion '''--
Je défais sa robe légère et surprise elle est nue - et les cuisses écartées le souffle court elle me lance je suis à toi fais de moi ce que tu veux j'ai trop envie --- et là c'est parti pour un après-midi de folie -- On se reverra on se rebaisera moultes fois et un jour elle m'avouera j'attendais ce jour depuis que tu viens à la maison je ne rêvais que de ça faire l'amour avec toi mais comment te le dire ---- ma fille étant toujours là -- Une pensée pour elle elle nous a quittés ---

Excitant, hâte de lire la suite !!